Revue de Presse 14/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 9 MAI 2022

ÉDITO — Moins ça marche, plus on continue !

Les preuves de l’inefficacité des vaccins anti-covid s’accumulent, qu’à cela ne tienne, on commande toujours des lots, y compris pour les enfants, on jette ceux qui sont périmés (en d’autres temps, on aurait appelé ça « jeter l’argent par les fenêtres »), on élargit le spectre des personnes habilitées à vacciner, y compris sans prescription médicale, et on accumule des données effrayantes sur les effets indésirables des injections, de l’hépatite auto-immune au syndrome d’immunodéficience acquise, du Creutzfeld-Jacob à la stérilité, n’en jetez plus il y en a 80 000 pages pour Pfizer et même l’ANSM détaille les effets de l’AstraZeneca !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

L’OMS révèle ses techniques de manipulation de masse

Ce qui peut expliquer l’uniformité des stratégies européennes. Ça sent le McKinsey..

Le pire est à venir pour les enfants, la vaccination obligatoire

https://www.francesoir.fr/opinions-editos/allons-enfants-de-la-patrie-2

Jusqu’où iront-ils ?

Modalités de la vaccination des enfants et calendrier des directives

Au passage, on notera la disparition de l’avis médical…

La Réunion, dose de rappel obligatoire pour les soignants

https://la1ere.francetvinfo.fr/reunion/obligation-vaccinal-les-soignants-bientot-soumis-a-une-nouvelle-dose-de-rappel-pour-continuer-a-exercer-1283168.html

Interdits d’exercer et ne pouvant pas se faire remplacer, le bras de fer se poursuit entre autorités et soignants.

Une citoyenne blessée accuse les médias

https://www.francesoir.fr/politique-france/une-citoyenne-blessee-accuse-les-medias

et demande le retrait du titre « les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés ».

Les preuves du crime dans le CSI du 12 mai 2022

Grand banditisme, et perversion des médias mainstream.

Un humain génétiquement modifié est-il brevetable ?

Une marche de plus vers l’enfer sur terre ?

D’autres pandémies à venir ?

https://www.midilibre.fr/2022/05/07/apres-le-covid-des-virus-emergents-inquietent-depuis-peu-les-scientifiques-a-quoi-faut-il-sattendre-10281113.php

Toujours le même discours pour faire peur, et la solution proposée, des vaccins !

Constat de l’état de l’AP-HP

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Un gâchis !

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-martin-hirsch-a-lap-hp-des-annees-de-mauvaises-decisions-1406015

Et le cynisme en prime !

ÉTRANGER

ALGÉRIE, chantage de Pfizer

https://www.jeuneafrique.com/1171814/politique/coronavirus-lalgerie-accuse-pfizer-de-chantage/

Et les gagnants sont… les vaccins chinois et russes !

CHINE, le confinement de Shanghai n’est pas une mesure sanitaire

Paranoïa de contrôle et préparation de la réélection du président.. . à vie ?

Et

Baisse des cas mais renforcement des restrictions

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/11/nouveau-resserrement-du-confinement-a-shanghai/

Pénurie de nourriture, hausse des prix, difficultés d’accès aux soins...

Et

Des employés s’enfuient de l’usine où ils étaient confinés

https://www.francesoir.fr/politique-monde/confinement-centaines-chinois-ont-fui-lusine-de-quanta

dans des conditions de travail et de vie insoutenables, sans pouvoir rentrer chez eux...

ITALIE, le cri d’alarme d’une députée contre l’obligation vaccinale

https://nouveau-monde.ca/nouveau-cri-dalarme-de-la-deputee-italienne-sarah-cunial-contre-lobligation-vaccinale/

Elle s’adresse au Pape « Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

ITALIE, moratoire sur la vaccination à l’initiative d’un avocat

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-confederation-legale-pour-les-droits-de-lhomme-exige-moratoire-vaccination

Manifeste signé par plus de 167 000 citoyens.

UE, comment elle s’apprête à confisquer nos données de santé

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/06/comment-lue-sapprete-a-confisque-nos-donnees-de-sante/

Le transfert progressif de notre souveraineté sanitaire vers l’Union, puis un jour vers l’OMS, est en marche.

L’OMS affole la presse avec 15 millions de morts du Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/oms-15-millions-morts-covid-surmortalite-presse

Surmortalité liée aux mesures anti-covid et aux statistiques biaisées.

USA, combien Pfizer a-t-il payé à la FDA pour que son vaccin soit approuvé ?

https://vaccineimpact.com/2022/just-released-documents-by-pfizer-show-biontech-paid-fda-2875842-00-drug-user-fee-for-covid-19-vaccine-approval/

2875 millions de dollars !! Qui peut croire que ce vaccin devait protéger la population ??

USA, nouveau scandale, paiements occultés à Fauci et membres du NIH

https://www.epochtimes.fr/nouveau-scandale-350-millions-de-dollars-de-paiements-occultes-destines-a-fauci-collins-et-dautres-membres-des-nih-2022660.html

« Nous pensons qu’il existe un énorme conflit d’intérêts inhérent aux NIH »

L’État profond travaillait contre Trump pour gérer l’épidémie de Covid

https://www.epochtimes.fr/letat-profond-travaillait-contre-trump-reponse-covid-19-ancien-conseiller-departement-de-sante-devoile-2021175.html

« 90 % des personnes en 2020 et 2021, qui ont été désignées comme positives au Covid avec des tests PCR étaient faussement positives ». « Nous aurions pu gérer cette pandémie simplement en protégeant correctement les personnes vulnérables et en permettant à tous les autres de vivre une vie normale, de s’exposer naturellement et sans danger en étant immunisés naturellement », poursuit le Dr Alexander.

Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre Fauci ?

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-lancer-un-mandat-darret-contre-le-docteur-de-lamerique-anthony-fauci/

Exposé détaillé des individus et sociétés responsables des stratégies de la pandémie et de leurs mensonges, à lire absolument !

JUSTICE

Trois médecins devant le Conseil de l’Ordre pour avoir prescrit des antihistaminiques

https://www.francesoir.fr/societe-sante/medecins-haute-savoie-antihistaminiques-conseil-de-lordre

Où commence et s’arrête la liberté de prescrire ?

Afrique du Sud, McKinsey, encore lui !

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/05/05/afrique-du-sud-mckinsey-et-les-societes-de-conseil-bouscules-par-les-scandales-de-corruption-de-l-ere-zuma_6124911_3212.html

Rapport de la commission Zondo consacré au pillage des caisses de l’État dans les années 2010.

INDE, la Cour suprême juge la vaccination obligatoire anticonstitutionnelle

https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-cour-supreme-indienne-juge-la-vaccination-obligatoire-anti-constitutionnelle

Respect de l’intégrité physique et de l’autonomie personnelle… à quand dans le monde ?

USA, le Missouri et la Louisiane intentent un procès à Biden, Fauci, etc.. pour collusion avec les réseaux sociaux (censure sur le covid et les vaccins)

https://nypost.com/2022/05/05/biden-sued-for-colluding-with-big-tech-to-suppress-free-speech-on-hunter-laptop/

et l’Arizona délivre un mandat d’arrêt contre Fauci pour avoir caché des traitements

https://reseauinternational.net/larizona-delivre-un-mandat-darret-contre-fauci-pour-avoir-cache-des-medicaments-et-des-traitements-salvateurs-contre-le-covid-au-public/

COVID

Les sous-variants BA4 et BA5

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/04/30/omicron-ce-que-lon-sait-des-sous-variants-ba-4-et-ba-5

Apparus en Afrique du Sud, leur pouvoir infectieux est élevé et leur devenir épidémiologique inconnu à ce jour.

TRAITEMENTS ET PRÉVENTION

Aucune incidence du port du masque chez les enfants sur le taux de contamination

https://reinfocovid.fr/science/aucune-correlation-entre-le-port-du-masque-et-le-taux-de-sars-cov2-chez-les-enfants/

Les plus jeunes ont des indicateurs de transmission inférieurs à ceux des plus âgés.

USA, les hôpitaux payés pour utiliser un traitement inefficace et dangereux

Remdesivir, Paxlovid, Molnupiravir, 10 fois plus chers que l’ivermectine, efficace et non toxique.

INJECTIONS

La DREES affiche une chute d’efficacité des vaccins

https://www.francesoir.fr/societe-sante/drees-efficacite-vaccins

Les vaccinés sont surreprésentés dans les hospitalisations et décès.

Moderna ira jusqu’au bout alors que son vaccin est déconseillé aux moins de 30 ans !

https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-lagence-europeenne-des-medicaments-examine-lutilisation-du-vaccin-de-moderna-chez-les-moins-de-5-ans-05-05-2022-SGV56EUKHJE77CBVF2KV35GUZ4.php

Les enfants n’ont rien à craindre du Covid, mais tout des vaccins, il faut le répéter !!

EFFETS INDÉSIRABLES

Le 24 mai le Dr Amine Umlil sera auditionné au Sénat sur les effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/politique-france/amine-umlil-auditionne-au-senat-le-24-mai

Audition publique et retransmise sur internet.

Allemagne, une étude confirme l’hépatite auto-immune sévère induite par le vaccin

https://lesakerfrancophone.fr/une-nouvelle-etude-confirme-que-le-vaccin-covid-provoque-une-hepatite-auto-immune-severe

Arrêtons la vaccination des enfants !!

Allemagne, le sang est modifié chez TOUS les vaccinés

https://www.kla.tv/Interviews-fr/22503

Il est possible de faire la distinction selon le statut vaccinal, ce qui pose la question d’un délit.

Allemagne, des complications 40 fois plus importantes que celles du rapport Ehrlich

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-contre-le-sars-cov-2-une-etude-allemande-fait-etat-deffets-secondaires

Un demi-million d’effets secondaires graves !!

Royaume-Uni : Syndrome d’immunodéficience acquise après 3 doses

https://planetes360.fr/les-donnees-officielles-indiquent-que-les-personnes-triplement-vaccinees-developpent-le-syndrome-dimmunodeficience-acquise-a-un-rythme-alarmant/

Système immunitaire décimé, favorisant infections et cancers.

Déni concernant les effets très graves des injections chez les femmes enceintes

https://nouveau-monde.ca/pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes/

ANSM : AUCUN signal de sécurité n’existe à ce jour !!

Et

https://www.aimsib.org/2022/05/08/vacciner-les-femmes-enceintes-est-une-folie-absolue/

Ou comment clouer le bec d’un Conseiller Ordinal en manque d’informations valides !

80 000 pages d’effets indésirables décryptés (documents de Pfizer)



Alexandra Henrion-Caude les décode pour Radio Courtoisie.

Creutzfeld-Jacob, Pfizer dès 2020 avait signalé des contaminations du vaccin !!



mais envisagé seulement un risque théorique.

L’ANSM détaille tous les effets indésirables de l’AstraZeneca

https://www.lelibrepenseur.org/covid-19-lansm-detaille-tous-les-effets-indesirables-lies-au-vaccin-dastrazeneca/

Et la liste s’allonge…

Refuser l’obligation vaccinale prévue et informer, informer...

https://nouveau-monde.ca/refuser-lobligation-vaccinale-prevue-informons-chaque-jour/

Pour rappel, un accident indésirable sur 5 est un trouble cardiaque.

RÉSISTANCES

Conseil scientifique indépendant du 5 mai 2022

Hélène Banoun :

« La minute d’actu »

Claude Escarguel :

« “Les coopérations bactéries/virus et leurs implications thérapeutiques dans la prévention des formes graves et longue de Covid” »



HOLD-OUT, le film après Hold-up et Hold-on

https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/pierre-barnerias-hold-out

3e volet de ce documentaire avec des intervenants prestigieux.

Et

https://rumble.com/v134m5x-hold-out-film-complet-par-le-collectif-de-journalistes-indpendants-citizen-.html

et

https://dissidencetv.fr/19/04/2022/sante/covid-19/hold-out-film-complet/

12 min Base de données EMA, disparition des cas déclarés de décès d’enfants au fil du temps.

22 min, images impressionnantes de structures évoquant un champignon dans le vaccin Moderna, 24 min identification d’un ver de type helminthe, et structures non identifiées, organisées en ligne, le tout indique que les vaccins ont été conçus depuis longtemps.

47 min, des structures triangulaires (qui n’existent pas dans la nature)

Oxyde de graphène (totalement interdit !), transformant le corps humain en émetteur-récepteur ? Produits toxiques, comme le PEG induisant une réaction adverse du corps risque de maladies auto-immunes.

1 h 23, excipient du Janssen, formation d’une structure foliée, et de formes rondes se multipliant sous le microscope (phénomène microtubulaire soumis à une influence magnétique ??). Etc.




L’OMS révèle enfin ses techniques de manipulation des masses pour faire accepter le vaccin

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Nous sommes nombreux à nous être demandé par quelles techniques de manipulation des masses la caste était parvenue à faire admettre la vaccination quasiment obligatoire contre le COVID. Progressivement, le voile se lève sur ce mystère, au fur et à mesure, notamment, des publications de l’OMS. Celle-ci, publiée par la direction régionale en Europe, intitulée « Recherche qualitative rapide pour améliorer le consentement à la vaccination contre le COVID-91 », en dit long sur les techniques de manipulation de masse, et sur la gestion du dispositif partout en Europe. Entre nous, voilà qui sent le Mc Kinsey.


WHO-EURO-2022-4724-44487-62944-eng.pdf from Société Tripalio

Il faut lire ce guide pratique de l’OMS Europe pour faire accepter la vaccination contre le COVID. On y découvre les fondements de manipulation que la caste utilise pour diffuser ses produits avec le moins de résistance possible. 

On peut d’ailleurs s’étonner, de prime abord, de voir que l’OMS ne s’occupe pas seulement de santé, mais aussi de communication sur la santé auprès des foules, et qu’elle s’occupe de développer, à l’intention des pouvoirs publics, des outils aussi “politiques”. 

L’OMS et la manipulation des masses

Ce document est donc présenté de la façon suivante (c’est la traduction de son résumé) : 

Cet outil qualitatif fournit des conseils étape par étape sur la façon de  concevoir et de mener une analyse qualitative rapide effectuer des recherches auprès de différents groupes cibles pour comprendre leurs obstacles et leurs moteurs à la vaccination contre la COVID-19. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour éclairer le développement d’interventions adaptées à la cible groupes pour une vaccination réussie contre la COVID-19. Alors que le document se concentre sur la vaccination COVID-19 l’approche rapide décrite peut être utilisée pour n’importe quel programme de vaccination.

On comprend que ce document sert aux “interventions adaptées à la cible groupes”, c’est-à-dire à la communication de masse auprès des gens qui ne veulent pas être vaccinés. 

Concrètement, le guide de l’OMS explique aux acteurs de la santé publique en Europe comment s’y prendre pour “traiter” la réticence à être vacciné. 

Et le chemin proposé ne manque pas d’intérêt. 

L’OMS et la fin de la souveraineté

Le guide de l’OMS commence par le commencement, et prend la main des gouvernants en leur expliquant le b.a.-ba du groupe de travail qu’ils doivent monter pour piloter leur opération de vaccination. 

Le guide précise la composition des groupes de travail :

Autrement dit, la lutte contre les sceptiques inclut forcément le ministère local de la Santé et l’OMS. Il serait intéressant de savoir si Olivier Véran a suivi ces préconisations dans l’orchestration de la statégie vaccinale française. 

Identifier les réticences

L’OMS préconise ensuite de définir des groupes cibles dont il faut choisir quelques échantillons “qualitatifs” pour comprendre leurs réticences à se faire vacciner. Sur ce point, l’OMS donne quelques exemples qui nous rappellent forcément quelque chose :

Voici des exemples “au hasard” présents par l’OMS : choisir des travailleurs de la santé qui vont subir la vaccination, ou des “civils” ordinaires pour comprendre ce qui les bloque dans la vaccination. 

L’OMS propose d’organiser, avec ces échantillons, des groupes de discussions pour identifier les réticences. Le guide détaille même le canevas des réunions, et quels thèmes, quelles questions aborder. 

Il faut comprendre qu’on a ici affaire avec un travail de consultant professionnel, qui ne laisse rien au hasard, et qui industrialise sa démarche de consultation. 

Tout est passé au crible, y compris cette question : “comment vos collègues perçoivent-ils les vaccins ?”, dont on comprend qu’ils sèment la graine de la délation et du flicage généralisé des services en mode endoctrinement à la chinoise. 

La mécanique est si effrayante que l’OMS recommande d’obtenir l’approbation d’un comité éthique indépendant. Là encore, on aimrait savoir comment la bureaucratie de la santé a mis ces préconisations en pratique en France. 

Petit traité de la manipulation des masses

Mais que faire de la masse d’informations recueillies à l’occasion de ces “enquêtes qualitatives” ? Une matrice de décisions à la Mc Kinsey, bien entendu. 

En l’espèce, voici à quoi elle ressemble :

Comme on le voit, l’OMS identifie les situations qui posent problèmes, les motifs de réticence, et propose des solutions “automatiques”. Il s’agit en quelque sorte d’un outil d’aide à la décision. 

On retiendra ici quelques clés qui permettent, me semble-t-il, de comprendre ce qui s’est passé en France avec l’arrivée du vaccin. 

Ainsi :

  • l’attitude de réticence peut se combattre par la persuasion (le gouvernement pousse à se faire vacciner en “induisant des sentiments positifs ou négatifs”), par l’incitation (en créant une récompense pour les vaccinés), par la restructuration environnementale (changer le contexte social ou physique, expression pudique qui signifie, à terme, une “mise en quarantaine”), par le remodelage (proposer des héros à imiter). 
  • la réticence due à un soutien collectif peut se combattre par la restriction (l’instauration de règles pour limiter ce refus, on reconnaît ici la passe sanitaire ou le passe vaccinal).

 Autrement dit, la matrice de l’OMS a d’ores et déjà théorisé toutes les mesures liberticides mises en oeuvre par le gouvernement, mais aussi celles qui nous pendent au nez comme le “changement de contexte physique” qui ressemble beaucoup à la mise à l’écart, voire à l’isolement, des non-vaccinés. 

Mc Kinsey en sous-main ?

L’intérêt de ce guide est de montrer que l’OMS n’est pas seulement une organisation supra-nationale qui coordonne les campagnes locales sans vraiment les connaître. L’OMS est beaucoup plus intrusive et beaucoup plus normative. Elle intervient directement sur le terrain, y compris en Europe, et encadre effectivement, localement, autoritairement, les campagnes de santé publique qu’elle promeut. 

On n’avait pas compris pour quelle raison tous les pays européens avaient décliné en même temps la même stratégie vaccinale. Le document que nous publions donne un premier élément de réponse : l’OMS est à la manoeuvre, avec des documents pratiques qui harmonisent la mise en oeuvre dans tous les pays. 

La question est de savoir si ces documents sont le fait de l’OMS elle-même, ou si cette organisation spécialisée de l’ONU bénéficie d’une aide extérieure, au hasard de l’aide de Mc Kinsey. 

De mon point de vue, l’utilisation de matrices, le mode opératoire, le jargon du document sont ceux d’un grand cabinet international de conseil. 

Je recommande à tous la lecture de la captivante enquête de Vox (en anglais) sur le recours de l’OMS à Mc Kinsey, notamment depuis que Bill Gates est devenu le premier contributeur au financement de l’OMS… 

Et, comme par sahrd, la Fondation Gates est aussi une cliente importante de Mc Kinsey.

Et si la vaccination obligatoire partout en Occident était le produit d’une volonté de Bill Gates et d’une stratégie de Mc Kinsey, qui ira, s’il le faut, jusqu’à “l’isolement”, c’est-à-dire l’emprisonnement ou la déportation des non-vaccinés ?




Les soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux : tout un symbole

Par Dr Nicole Delépine

[Illustration : © Fournis par franceinfo]

À quand le réveil des Français pour leur santé et leurs droits ? Les bénévoles, sûrement animés de bonnes intentions, mais en pratique collabos du pouvoir, se rendent-ils compte des responsabilités qu’ils prennent dans une gestion cynique dont ils ne mesurent pas la perversité ?

Contrairement aux apparences, nos dirigeants ne sont pas incompétents, mais déroulent un scénario sordide d’application rigoureuse (celui de l’organisation mondiale via les réseaux McKinsey.)

Tout change et rien ne change. On prend les mêmes pour la même politique, la misère des hôpitaux, la suspension des soignants(([1] « suspendu, ça veut dire, premièrement, que tu es suspendu sans aides sociales, ça veut dire pas de RSA, pas d’APL, ça veut dire pas de mutuelle, ça veut dire rien ».)) et la vax obligatoire prévue par l’UE en septembre. Il serait temps de protéger nos enfants.

MANIPULATION RÉUSSIE

La population et trop de médecins et politiques ont eu peur d’un virus d’une mauvaise grippe pour lequel des médicaments étaient disponibles. Pourtant ils le savaient d’emblée puisque notre plus grand infectiologue de notoriété mondiale, le PR Raoult, l’avait dit, écrit d’emblée et que chaque semaine, une vidéo postée de MARSEILLE faisait le point de la réalité de la pandémie.

Mais ils ne se sont pas inquiétés de la chute vertigineuse en deux décennies de la qualité de notre médecine. Ils ne voulaient pas voir et ils ne veulent toujours pas SAVOIR.

Bien sûr il reste encore quelques brillants médecins, chirurgiens, soignants, fidèles à leur sacerdoce, mais que peuvent-ils faire sans aucun moyen, avec des lits fermés et l’absence criante de personnels ?

Les Français ont préféré écouter les bonimenteurs des médias subventionnés(([2] En 2019, le montant des subventions versées par l’État à la presse a atteint 76 millions d’euros. Par ex plus de 5,6 millions pour Le Figaro dont le propriétaire n’est autre que la famille Dassault (fortune : 23,8 milliards d’euros en 2018). En 2020, en plein covid, le gouvernement a débloqué 2 milliards pour aider les médias . Afin de continuer à déverser le discours gouvernemental sans craindre l’approche de la fin du moisCNews, Europe 1, Le Monde, Le Figaro, Le Parisien… En France, 10 milliardaires (Niel, Dassault, Bolloré, Kretinsky & co) possèdent 90 % des quotidiens nationaux, 55 % des parts d’audiences TV et 40 % des audiences radio.)) et se laisser injecter encore et encore une substance expérimentale dont les essais ne se termineront qu’en 2023 et dont on connaît déjà l’inefficacité : un vaccin qu’on réinjecte tous les trois mois ? Même la foi en le mot magique de vaccin utilisé pour un médicament expérimental n’explique pas la passivité à cette aberration.

On en connait aussi les drames avecdes effets secondaires en nombre considérable dont la longue litanie des décès des grands sportifs sur les terrains(([3] Maintenant, une épidémie de morts chez les sportifs vaccinés ? – Agoravox TV)) et d’autres forcés d’abandonner leur profession, des malaises d’enfants dans la cour d’école, des fausses couches, des décès de nouveaux nés, des récidives de cancers et des néoplasies « bizarres » et rapidement fatales, jusqu’aux atteintes cérébrales, de la perte de mémoire rapide des vieillards injectés, à la maladie de Creutzfeld Jacob de l’épouse de Marc Doyer(([4] Voir Verity France))(([5] Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([6] https://nouveau-monde.ca/bilan-catastrophique-des-injections-anticovid-et-manipulation-mediatique/))(([7] « L’OPESCT est au courant des effets indésirables des vaccins contre le Covid » E. Darles et V. Pavan | FranceSoir))

Et depuis ces derniers mois la mortalité bien supérieure des triple vax par rapport aux non vax : exemple du Canada pourtant covidiste

Diffusons la synthèse de Robert Malone inventeur de la technique ARNm et qui comme Einstein en son temps avec la bombe atomique, contemple avec effroi les méfaits de son invention. Bien sûr la science n’est pas coupable, mais seulement les hommes qui tentent de l’utiliser à des fins morbides.

AVERTISSEMENT DU SAVANT ROBERT MALONE AU MONDE ENTIER

Robert Malone affirme que si vous êtes vaccinés, vous avez été trompés par les laboratoires et leurs complices qui ont usurpé les fonctions régaliennes.

« Nous déclarons, et les données confirment, que les injections de la thérapie génique expérimentale Covid 19 doivent cesser. Ces produits ne préviennent pas l’infection, la réplication et la transmission… La majorité des infections se produit chez les vaccinés. Nous ne savons pas ce que l’ARN injecté va donner dans l’avenir… Il faut rétablir une période d’essai minimale de 5 ans… Nous demandons à la FDA de supprimer l’autorisation d’urgence… Nous devons reconnaître que les injections ont causé beaucoup plus de mal que de bien, n’apportant aucun avantage et ne réduisent pas l’infection… À long terme,les injections peuvent abîmer de façon irréversible, le cœur, le cerveau, les organes des enfants…de tous… »

Source : https://odysee.com/@Q…uestions:6/Dr.-Robert-Malone–Stop:a

TOUT CHANGE, MAIS RIEN NE CHANGE

Mais on met la poussière sous le tapis, on prend les mêmes et on recommence malgré les promesses d’un président nouveau, pour un peuple nouveau. Mme Borne a licencié au moins 15000 soignants sans état d’âme et 5000 pompiers et beaucoup d’autres vaccino prudents sont partis et manquent actuellement dans les services et les malades dits non urgents sont toujours forcés de présenter un pass pour être soignés, alors que toutes les autres mesures coercitives sont supprimées.

Le directeur de l’ARS Île de France, Mr Aurélien Rousseau est nommé directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. Les exploits de l’APHP pendant la crise covid, les fermetures de lits, d’hôpitaux témoignent de son « expérience » médicale et surtout de ses choix et on peut être certain que conseillé par son épouse Marguerite Cazeneuve ex McKinsey, directrice de l’assurance maladie et chargée de la réforme des retraites, la saga familiale au pouvoir pourra se poursuivre en toute tranquillité(([8] Aurélien Rousseau devient le nouveau directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. Aurélien Rousseau est l’ancien directeur général de l’agence régionale de santé Île-de-France (ARS), de 2018 à 2021 et responsable de la fermeture de milliers de lits y compris pendant le covid. Marguerite Cazeneuve est la femme de Aurélien Rousseau (ex McKinsey, directrice de l’assurance maladie et chargée de la réforme des retraites).))(([9] Sa belle-mère est un cadre important dans l’industrie pharmaceutique E Lily …)) pour le plus grand malheur des Français.

UN BREF ÉMOI À BORDEAUX

Alors, pourquoi s’étonner que la fermeture des urgences du CHU de Bordeaux, scoop de la soirée du 18 mai ait fait moins de bruit que la prestation de l’acteur Zelinsky au Festival de Cannes, applaudi par les présentsqui se fichent de la mise à la rue des soignants conscients et de la croix gammée tatouée sur le bras des soldats ukrainiens sortis de Marioupol ?…

Ont-ils perdu tout sens critique dans ce petit milieu protégé, ou bien se gavent-ils des derniers feux de la rampe, voulant oublier tout le reste ? On dit que Zelinsky va présider la coupe du monde de foot et le challenge de pétanque à Marseille ou le gala des Enfoirés selon certains internautes très choqués de sa présence incongrue à Cannes…

ON CONTINUE À FERMER LES URGENCES ET DE NOMBREUX SERVICES, ET ON REMPLACE LES SOIGNANTS PAR DES BÉNÉVOLES COMPLICES

Eh oui les urgences bordelaises ferment la nuit et l’accompagnement des patients se fera avec des BÉNÉVOLES. Stop ou encore ? Mais ça n’étonne plus personne et tout passe dans le silence assourdissant.

« À compter de ce mercredi, les urgences adultes du CHU de Bordeaux ne seront plus accessibles au public la nuit. Seuls les cas graves, orientés par le Samu, seront admis. On déporte le problème sur les autres services d’urgence », déplorent les syndicats.

La pandémie de Covid-19 a mis en lumière les nombreux problèmes présents dans les hôpitaux en France: manque de moyens humains et matériels, manque de considération, horaires intenables…(([10] Les urgences du CHU de Bordeaux, en crise, ferment la nuit et n’accueillent que les cas graves (msn.com) ))

Orwell hospitalisé ?

Ils ont bien appris Orwell, et du coup ils parlent de « gestion en mode dégradé » : Santé : le CHU de Bordeaux en « mode dégradé », les patients seront « accueillis par des bénévoles »(([11] https://www.capital.fr/economie-politique/faute-de-soignants-les-patients-sont-accueillis-par-des-benevoles-dans-ce-chu-1436792))

Face aux burn-out en cascade et manque de personnels, patients accueillis par des bénévoles aux urgences… G. Mouden, infirmier anesthésiste et représentant du personnel Sud Santé Sociaux de l’établissement bordelais, sur franceinfo explique(([12] Santé : le CHU de Bordeaux en « mode dégradé », les patients seront « accueillis par des bénévoles » (francetvinfo.fr) )):

« On a environ 40% des médecins urgentistes qui sont sur le départ ou en arrêt de travail en lien avec des burn-out »

Mais aussi à Orléans(([13] Anne-Laure Dagnet les urgences du CHR d’Orléans restent au bord du Burn out général radio France 16 5 2022
https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/greve-aux-urgences/temoignage-hopital-une-triste-sensation-de-travailler-a-l-usine-les-urgences-du-chr-d-orleans-restent-au-bord-du-burn-out-general_5139967.html Une solution transitoire ?)): « Une triste sensation de travailler à l’usine », les urgences du CHR d’Orléans restent au bord du burn-out général

« On en arrive là parce qu’on a épuisé totalement un système d’urgence. Cela fait plus de 5 ans qu’on tire le signal d’alarme. On n’a pas entendu les alertes de l’ensemble des professionnels médecins, paramédicaux, infirmiers ou aides-soignants où il manque des effectifs dans les organisations de travail, où on fait travailler des gens à plein régime sur des gardes de 12 heures, voire de 24 heures pour certains médecins. On les amène à l’épuisement ou au départ. » Mon triste record, c’était 26 patients. On est très pessimiste sur la suite. Si, dans un ou deux mois, on revient dans les mêmes conditions, on partira. On protégera notre santé à nous ».

Idem aux urgences pédiatriques :

« J’ai eu des retours sur ce week-end. Il y avait de jeunes enfants qui sont restés plus de 12 heures à attendre parce qu’il n’y avait qu’un interne de chirurgie pour les prendre en charge.

Cet interne a sous sa responsabilité les urgences pédiatriques, il a sous sa responsabilité les enfants qui doivent aller au bloc opératoire. S’il est sur ces blocs opératoires, il n’est pas sur les urgences.Il y a des enfants en souffrance qui attendent plus de 12 heures et c’est encore le cas ce week-end. Et ça, c’est inadmissible. Un jeune interne a quitté son poste le samedi matin, les larmes aux yeux, après 24 heures de garde ».

«  Le personnel, qui était en arrêt maladie, est revenu et un accord a été trouvé avec les médecins grévistes. Il est temps, car la clinique privée qui a récupéré les urgences de l’hôpital est, elle aussi, sur le point de craquer. »

« D’habitude, on n’a pas ça chez nous », regrette le docteur Xavier Della Valle, le chef des urgences de cette clinique privée, qui vient d’enchaîner 36 heures de garde.

L’afflux de patients menace tout son service. « Les patients sont énervés parce qu’on les balade, ils sont agressifs… Notre personnel d’accueil subit fréquemment des agressions : verbales, tous les jours, et physiques, de temps en temps. Aujourd’hui, toutes les équipes sont à bout », décrit-il. 

Mais aussi à Grenoble : 

« Une étape nouvelle a été franchie à l’automne 2021 avec la fermeture de l’accueil des urgences de nuit adulte du CHU Grenoble Alpes(CHUGA) site Voiron plusieurs jours par semaine et la fermeture de l’accueil de nuit des urgences du Groupement Hospitalier Mutualiste à Grenoble. Depuis, aucune solution n’a permis de rétablir la permanence des soins urgents 24h/24 et 7 jours/7. »

(tract SNMHFO snmh.fo@fosps.com)

IDEM DANS DE NOMBREUSES VILLES DE FRANCE d’après le Tract de la CGT 56 : Tweet 17 mai

CGT chômeurs 56 : 

« Bravo aux trois derniers gouvernements qui ont bien démoli l’hôpital : Dégradation des conditions de travail, gel des salaires, diminution des effectifs, fermeture d’hôpitaux, de lits »…

PENDANT CE TEMPS LE SALON ANNUEL DE LA FÉDÉRATION HOSPITALIÈRE DE FRANCE

Évidemment les technocrates, bonimenteurs de soins n’ont à la bouche que de fausses solutions comme l’obligation de gardes pour les médecins libéraux et des primes pour les soignants qui reporteront leurs vacances d’été à l’automne comme ils l’ont fait en 2021.(([14] Huffingtonpost.fr/entry/covid-19-des-primes-pour-les-soignants-qui-renonceront-a-leur-vacances_fr_5f884f14c5b6c4bb54736800))

Comment ces technocrates loin du patient ne comprennent-ils pas qu’il est plus supportable de démissionner, de changer d’orientation, de métier ou de pays, que d’obéir à leurs ukases stupides qui oublient l’essentiel .

Pour travailler, le médecin doit être LIBRE.

« « L’heure est aux mesures rapides, ambitieuses, fortes et durables. » Voilà ce qu’a expliqué ce mardi le président de la Fédération hospitalière de France (FHF) en ouverture de son salon annuel. Alors que depuis lundi, les urgences de Bordeaux ferment la nuit aux adultes – sauf nécessité impérieuse envoyée par le Samu -, Frédéric Valletoux a dressé un tableau alarmant de la situation.

« Le taux d’absentéisme est plus élevé qu’avant la crise (du Covid), les difficultés à recruter sont fortes (…) et des tensions majeures existent sur les spécialités médicales assujetties aux gardes et astreintes »,a-t-il dit.

En octobre dernier, le président du conseil scientifique Jean-François Delfraissy estimait à 20 % le nombre de lits fermés pour manque de personnel, sur un parc de 387 000.

« Des lits sont fermés dans plus de trois quarts des établissements, y compris médico-sociaux, beaucoup de blocs tournent au ralenti et on note dans toutes les régions des fermetures de services d’urgence», a ajouté le président de la FHF, maire de Fontainebleau et candidat Horizons, bannière d’Édouard Philippe, aux législatives en Seine-et-Marne. »(([15] Tensions aux urgences : les hôpitaux réclament une obligation de garde pour les médecins libéraux – Le Parisien))

Et de nombreuses explications dominent dans ce désastre explicité en 2016 dans « soigner ou obéir »(([16] N Et G Delépine éditions fauves 2016 Cf Soigner ou Obéir ? | Blog.Psycho-Ressources – Psychologie « Ce document lève le voile sur les moyens utilisés par la dictature bureaucratique au service des lobbies, et propose quelques mesures indispensables comme la suppression des Agences régionales de santé (Ars), lourdes et coûteuses inquisitions sans contre-pouvoir. Il n’y aura pas de médecine de qualité, quel que soit le mode d’exercice, sans liberté de prescription ni liberté de choix du patient. Que cet ouvrage soit un outil pour poser les bonnes questions aux candidats sur leurs engagements en santé ! » Présentation vidéo sur TVL Mag Oxygène – Soigner ou obéir : La mort d’Hippocrate.
http://www.tvlibertes.com/2016/11/24/11518/oxygene-soigner-obeir-mort-dhippocrate)) 
malheureusement toujours d’actualité.

« Fermeture d’hôpitaux de proximité et services d’urgences indispensables, suppressions de postes, pour les remplacer par des services numériques dématérialisés privatisés qui ont tout dérégulé notre système de Santé, tout ça au nom de la rentabilité coûte que coûte ! »

16 mai 2022·Twitter

Un autre exemple à Strasbourg et les méfaits des ARS : Fermeture de lits, suppression de postes : ce que contient le « contrat d’avenir » des Hôpitaux de Strasbourg – Résistance (resistance-mondiale.com)

« Document confidentiel obtenu par notre partenaire Rue89 Strasbourg, le « contrat d’avenir » signé le 18 mars avec l’agence régionale de santé oblige les Hôpitaux universitaires de Strasbourg à augmenter leur activité tout en fermant des lits et en réduisant le nombre de postes. »
« Accord qui doit permettre à l’établissement hospitalier de retrouver une autonomie financière d’ici à 2026 »

« Les HUS pourront développer l’offre de soins, et sécuriser l’augmentation d’activité de 5 % (par rapport au niveau atteint avant la crise sanitaire) prévue sur la durée du contrat d’avenir ».

« Malgré les manifestations et appels à l’aide des soignants, la gestion de l’hôpital public garde la même philosophie : plus d’activité avec autant de moyens, voire moins.L’hôpital strasbourgeois doit réduire l’éparpillement de ses services sur différents sites pour parvenir à constituer des plateaux d’hospitalisation d’au moins 20 lits.

L’établissement doit aussi développer « des alternatives à l’hospitalisation complète » et « optimiser les durées moyennes de séjour à l’hôpital ».

Toujours le même discours depuis plus de vingt ans qui a partout abouti aux mêmes échecs, aux mêmes catastrophes tant dans les grandes villes qu’en Province.

« Fusionner des unités, c’est mettre fin « aux difficultés de fonctionnement en raison d’une dispersion des ressources médicales », stipule le contrat d’avenir avec toujours la même rengaine

Le projet aboutira à une baisse globale du nombre de places en hépato-gastro-entérologie : de 39 lits au total, le service fusionné passera à 32 lits. Et cette décroissance des capacités d’hospitalisation ne tient pas compte des 12 lits d’ores et déjà fermés au sein du service de Hautepierre depuis la crise du Covid… Au total, le service fusionné perdra donc 19 lits.

Il faut lire le détail dont la philosophie est toujours la même, fusionner des activités, réduire le nombre de lits et les personnels in fine(([17] https://www.reddit.com/r/france/comments/udwh6h/fermeture_de_lits_suppression_de_postes_ce_que 
https://www.rue89strasbourg.com/fermeture-lits-suppressions-postes-hopitaux-de-strasbourg-233152)). Sabordage organisé, technocratique.

ET PENDANT CE TEMPS-LÀ ON INJECTE

Et le plus grave est la politique du tout vaccin qui continue malgré l’amoncellement des effets toxiques et sa totale inefficacité contre une épidémie terminée par ailleurs. Si vous n’êtes pas tout à fait mort, vous devez défendre vos enfants contre les ardeurs de l’UE, ou plutôt de la commission NON ÉLUE, UE continent en péril, et qui veut achever son action destructrice, avant son plongeon définitif, tel le Titanic.

L’Union Européenne envisage la vaccination des enfants à la rentrée 2022/2023

En commission IMCO, la communication de la Commission européenne a transmis à Virginie Jordon des documents avec la volonté de mettre en place une stratégie vaccinale pour la rentrée scolaire 2022/2023 : stratégie pour augmenter la couverture vaccinale des jeunes enfants.(([18] Via : https://twitter.com/v_joron/status/1526498982968668168?t=nyJkwbCdxu7GrzPJIn_DeQ&s=19 https://t.me/LaVeritecensure))

Espérons que d’ici septembre les campagnes d’information, par chacun d’entre nous, aboutiront à un refus massif de ces poisons. Il semble que même dans nos pays occidentaux où la propagande provax est massive et accompagnée de pressions fortes, les doses ne trouvent plus preneurs(([19] Les vaccins de rappel Covid vont être jetés en Angleterre en raison de la baisse de la demande. 16/01/2022 On estime que des centaines de milliers de doses Pfizer et Moderna sont sur le point d’expirer après une forte baisse de la consommation DÉJÀ EN JANVIER 2022
Les vaccins de rappel Covid vont être jetés en Angleterre en raison de la baisse de la demande. – Résistance (resistance-mondiale.com) )) puisqu’actuellement moins de1/1000 des européens continuent à se faire injecter chaque jour.





Les pays riches victimes de l’OMS et de la politique du tout vaccin

Par le Dr Gérard Delépine

La catastrophe sanitaire des pays riches

Récemment, le ministre de la Santé algérienne expliquait que son pays n’avait pas acheté davantage de vaccins parce qu’ils étaient trop chers. Il aurait pu préciser que plus de la moitié des doses néanmoins achetées avaient été gâchées, car la population algérienne n’en voulait pas(([1] Lassaad Ben Ahmed Algérie/Covid-19 : risque de perdre un stock de 13 millions de doses de vaccin — Dont la date de péremption est très proche. 07.11.2021)). Il aurait pu aussi se féliciter du bilan sanitaire Covid de son pays, qui comme les autres pays pauvres d’Afrique, s’en sort tellement mieux que les pays riches.

En effet, alors qu’au 10 mai 2022 les USA recensent 2997 morts covid par million d’habitants et l’Europe 2440/M, les pays à revenu moyen supérieur n’en comptent que 1000/M et les pays pauvres seulement 65/M !

C’est d’autant plus inattendu que tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres(([2] MARI ELKA PANGESTU Crise du coronavirus : pour les pays les plus pauvres, le pire est à venir 08 AVRIL 2020
https://blogs.worldbank.org/fr/voices/crise-du-coronavirus-pour-les-pays-les-plus-pauvres-le-pire-est-venir)) parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins.

Ces mêmes experts demandaient aux pays riches de faire cadeau de leurs doses inutilisées aux pays qui ne pouvaient pas les acheter ou de payer l’achat de vaccins(([3] OMS communiqué Mécanisme pour un accès mondial aux vaccins contre la COVID-19 : 172 pays participants et plusieurs vaccins candidats
https://www.who.int/fr/news/item/24-08-2020-172-countries-and-multiple-candidate-vaccines-engaged-in-covid-19-vaccine-global-access-facility)), afin que ces pays ne risquent pas de pérenniser l’épidémie et de la propager au reste du monde.

Les pays pauvres épargnés de la catastrophe covid

Mais les pays pauvres n’en ont majoritairement pas voulu et la catastrophe sanitaire les a épargnés, se concentrant sur les pays riches et vaccinés.

La Zambie, qui compte un médecin pour 10 000 personnes, comptait au 15/5/22 douze fois moins de morts Covid que les USA. Le Mali qui dispose de seulement de trois respirateurs par million de personnes n’en recense que près de 100 fois moins que les USA (31/M versus 2997/M).

Certes l’âge plus jeune des populations des pays pauvres, avec une plus faible proportion de personnes à risques (les plus de 60 ans) peut expliquer une partie de la différence, mais après correction de ce facteur, les différences restent considérables (de 10 à 20 fois plus de décès dans les pays riches que dans les pays pauvres).

Comme quoi, à l’ère du Covid, l’argent ne fait pas toujours le bonheur !

La catastrophe sanitaire des pays riches est due à leur politique sanitaire

Ils ont majoritairement appliqué les directives de l’OMS, favorisant les confinements, interdisant les traitements précoces dans une stratégie autoritaire du tout vaccin, alors que les pays en voie de développement ont plutôt utilisé les traitements traditionnels bon marché.

D’ailleurs les pays pauvres qui ont reçu en cadeau des vaccins et les ont utilisés, ont souvent rapidement été victimes d’une poussée paradoxale de l’épidémie et de la mortalité ainsi que l’illustrent les quelques exemples suivants.

L’exemple des îles africaines de l’océan Indien comparant Madagascar et les Seychelles est très démonstratif.

Ces îles partagent le même climat et leurs populations sont très proches par l’âge et le mode de vie. Les Seychelles ont été longtemps citées par les médias comme les champions de la vaccination de la région par ses 85 % de la population injectée.

Avant la campagne d’injection, décidée pour sauver l’industrie touristique et commencée début janvier 2021, les Seychelles ne comptaient que 226 cas. Le 15 mai 2022, après 15 mois d’injection, ce chiffre a dépassé 43 000 et plus de 43 % de la population a été contaminée confirmant que les injections n’empêchent pas (ou favorisent ?) les contaminations.

Cette explosion des cas a été suivie par une augmentation considérable de la mortalité aux Seychelles. Pendant cette période, grâce à l’Artémisine, l’épidémie et la mortalité ont été totalement contenues sans vaccination à Madagascar.

L’exemple du Maghreb est tout aussi démonstratif. La Tunisie a suivi les instructions de l’OMS et une politique du tout vaccin comme ses voisins du sud de l’Europe, Espagne et Italie. À l’opposé, l’Algérie n’a pas suivi l’OMS et a généralisé l’application du protocole Raoult.

Au 14/5/2022, l’Algérie compte 17 fois moins de morts covid par millions d’habitants (135/M) que la Tunisie (2400/M), l’Espagne (2243/M) et l’Italie (2734/M) alors qu’elle recense davantage de personnes âgées de plus de 60 ans que la Tunisie (25 %(([4] Près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’Algériens, en 2019, d’après le représentant de l’Office national des Statistiques (ONS), Hamid Zidouni.)) vs 15 %) et autant que ses voisins du nord.

Là encore la politique du tout vaccin et l’absence de traitement précoce ont aggravé la mortalité des populations tunisiennes, italiennes et espagnoles.

La corruption des pays riches peut seule expliquer le scandale Covid

Comment l’Europe et la France qui dépensent autant pour la santé et disposent de très nombreux médecins ont-elles pu aboutir à une mortalité covid 20 à 100 fois supérieure à celle de pays pauvres ?

La corruption des pays riches les a condamnés et la pauvreté d’autres pays les a sauvés paradoxalement : les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas voulu investir autant « d’argent » auprès des dirigeants de pays incapables financièrement d’acheter finalement leurs produits expérimentaux.

La politique sanitaire française (confinement(([5] NatureGate et la fable du confinement aveugle
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/naturegate-et-la-fable-du-confinement-aveugle)) et autres mesures autoritaires inutiles, rejet des médecins de famille, interdiction des traitements précoces et peu chers, chantage à la vaccination) ne reposait sur aucune expérience médicale, mais seulement sur une simulation mathématique fausse volontairement terrorisante créée par N. Ferguson (prophétisant 500 000 morts en France) et sur le modèle chinois et sur les conseils de McKinsey.

Elle était contraire à toute l’expérience médicale des épidémies précédentes ainsi que nous l’avons dénoncé dès mars 2020(([6] Delépine Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([7] Delépine Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27/3/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)) et contraire aux préconisations du rapport de la Cour des comptes(([8] https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/5_lutte_contre_la_grippe_A_H1N1.pdf)) et du Sénat sur l’épidémie H1N1.(([9] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2706.html))(([10] https://www.senat.fr/notice-rapport/2009/r09-685-1-notice.html))(([11] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2700.html))

Le comportement outrancièrement autoritaire de nos gouvernants, l’instauration d’une censure sévère dans les médias et sur internet, et la persécution sauvage des opposants allant jusqu’à l’exclusion de la profession et parfois la mise en garde à vue, ne peut résulter de la simple croyance aveugle à l’efficacité miraculeuse d’un traitement(([12] Ce ne sont pas des vaccins car ils ne contiennent aucun antigène anti-covid.)) expérimental(([13] Pour vérifier que les essais phase trois d’aucun pseudo vaccin n’est terminé il suffit de consulter le site clinical trials. gov)) issu d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée en infectiologie.

Seule la corruption intense par les grandes firmes pharmaceutiques Big Pharma et au premier plan Pfizer a permis de tisser des liens d’intérêts intenses avec les revues médicales(([14] L’industrie pharmaceutique qui assure maintenant près de 80 % des ressources des revues médicales.)), les médias grand public, l’OMS(([15] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de l’OMS.)), les agences sanitaires(([16] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de la FDA et de l’EMA.)), les experts, les médecins leaders d’opinion et les décideurs administratifs(([17] un rapport officiel de la Chambre des Communes britannique, en 2005 : « Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques (Chambre des Communes du Royaume-Uni) )) et politiques.(([18] Aux États-Unis qui sont plus transparents que la France, les firmes pharmaceutiques sont les plus gros financeurs des campagnes électorales.))

Ces problèmes ne sont pas nouveaux puisqu’en 2005 un rapport de la Chambre des Communes du Royaume-Uni(([19] The influence of pharmaceutical industry
https://publications.parliament.uk/pa/cm200405/cmselect/cmhealth/42/42.pdf)) s’inquiétait :

« Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques ».

Mais cette mainmise de l’industrie avec « capture des agences de régulation » s’est fortement aggravée depuis lors, comme l’ont montré les affaires du médiator(([20] L’affaire du Mediator 2010-2020 Dix ans après Anne Danis-Fatôme, François-Xavier Roux-Demare
https://univ-droit.fr/recherche/actualites-de-la-recherche/parutions/37571-l-affaire-mediator-2010-2020)), du Vioxx(([21] Scandale du médicament Vioxx : une plainte relance le dossier en France 03/04/2016 à 15 h 2 —
https://www.francesoir.fr/societe-sante/scandale-du-medicament-vioxx-une-plainte-relance-le-dossier-en-france))(([22] Caroline Pintard Scandale du Vioxx : Merck s’apprête à payer le figaro 17/07/2008
https://www.lefigaro.fr/societes-etrangeres/2008/07/17/04011-20080717ARTFIG00432-scandale-du-vioxx-merck-s-apprete-a-payer-.php)) et plus récemment celle des opioïdes aux USA.

La vente des pseudo vaccins Pfizer est une manne colossale pour Pfizer qui a été de plus déchargée des risques de dédommagements pour accidents liés à ses produits. La présidente de la Commission européenne a négocié directement avec le laboratoire et aucun parlementaire, journaliste ni aucune association de malades n’a pu obtenir le détail des contrats qu’elle a signés en notre nom.

Le nombre de doses achetées ou précommandées par l’Union européenne depuis le début de la crise atteint 4,2 milliards (chiffre confirmé par la commission) pour une population de 447 millions d’habitants. C’est donc près de dix injections de cette substance expérimentale inefficace et dangereuse que ces dictateurs veulent imposer à chacun d’entre nous alors que grâce à Omicron nous avons presque tous été immunisés !

Battons-nous pour notre santé et celle de nos proches, en demandant un moratoire de toute injection anticovid et la transparence sur les résultats réels et les accidents de ce traitement expérimental.





Ursula von der Leyen : symbole de la ruine de la classe dominante occidentale

[Source : algeriepatriotique.com]

Par Mohsen Abdelmoumen

L’hystérie des dirigeants européens et de la presse occidentale aux ordres ne connaît pas de limites depuis le 24 février dernier, date à laquelle la Fédération de Russie a entamé son opération spéciale en Ukraine. Chaque jour apporte son lot de déclarations à l’emporte-pièce des responsables occidentaux qui laissent à penser qu’ils ont perdu toute lucidité et discernement. La cheffe de file de cette meute enragée n’est autre que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, parachutée par Angela Merkel à la tête de la Commission pour échapper aux problèmes qui n’auraient pas manqué de survenir suite aux nombreux conflits d’intérêts et aux tripotages qui entachent son séjour au ministère de la Défense allemande.

En effet, Ursula von der Leyen a tendance à mêler sa famille à sa carrière politique et à impliquer ses proches dans la réalisation de contrats aux bénéfices plantureux, tels que des contrats passés par le ministère de la Défense lorsqu’elle y était ministre, pour un montant de plusieurs millions d’euros et sur lesquels la commission d’enquête du Bundestag devait se pencher. Mais, pas de chance, les SMS et l’historique des conversations de von der Leyen qui auraient pu servir de preuve ont disparu de son téléphone. D’une incompétence crasse, cette grande bourgeoise teutonne n’en est pas moins roublarde puisqu’elle efface toutes les preuves de ses «indélicatesses».

Non seulement Ursula von der Leyen est incompétente, mais, en plus, elle est embourbée dans une multitude de malversations. Celles-ci ont commencé lors de ses études à l’université de Hanovre en Allemagne où elle étudiait la médecine et où son époux enseignait. En 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki a découvert que 43,5% de sa thèse de doctorat était copiée. Plusieurs universitaires allemands notables l’ont accusée de plagiat intentionnel, mais à la suite d’une enquête universitaire ouverte en 2016, il a été décidé de ne pas lui retirer son titre de docteur sous prétexte qu’aucune intention de tromper ne pouvait être prouvée. Ursula von der Leyen aurait donc volé le travail de quelqu’un d’autre sans s’en apercevoir ? Serait-elle sujette à des crises de somnambulisme au cours desquelles elle fait des copiés-collés ?

Autre supercherie : son curriculum vitae indiquait qu’elle avait fréquenté l’université Stanford en tant qu’«auditrice invitée», alors que ce poste n’existe pas. Ce n’est qu’un détail mais qui révèle la personnalité de celle qui règne actuellement sur l’Europe comme un nouveau Führer et qui impose ses diktats à des millions de personnes sans jamais avoir été élue. Elle vient d’ailleurs de déclarer que le vote à l’unanimité n’avait plus de sens dans les domaines clés de la politique de l’Union européenne si celle-ci veut agir plus rapidement. Von der Leyen ne cache plus ses intentions de gouverner comme un véritable dictateur. Sachant cela, l’Union européenne va-t-elle encore continuer à vanter ses «valeurs» démocratiques ?

Revenons un peu en arrière. Ursula von der Leyen a pris ses fonctions au ministère de la Défense allemande en décembre 2013 et les dépenses faramineuses de la ministre ont mis la puce à l’oreille du président de la Cour des comptes qui estimait que le ministère de la Défense sous Ursula von der Leyen dépensait beaucoup d’argent pour des prestations de conseil. Ainsi, d’après la Cour des comptes, le ministère de von der Leyen avait dépensé 100 millions d’euros en 2015, puis 150 millions d’euros en 2016 en frais de contrats de conseil, alors que des sommes bien inférieures avaient été publiquement déclarées. Il apparaît que c’était le cabinet de conseil McKinsey qui était chargé de conseiller la ministre von der Leyen, laquelle avait fait appel à son «expertise» sans passer par un appel d’offre. On comprendra aisément pourquoi quand on saura que l’un des collaborateurs de McKinsey était le propre fils de von der Leyen, David, et qu’il participait aux bénéfices de l’entreprise. Dans la foulée, von der Leyen a aussi nommé Katrin Suder, la directrice du bureau berlinois de McKinsey, au poste de secrétaire d’Etat à l’armement, qui est par la suite devenue la cheffe du Conseil du numérique, chargée de conseiller le gouvernement fédéral sur la numérisation de l’Allemagne et qui, au cours de ses quatre années à ces fonctions, a augmenté significativement le nombre de contrats attribués à des consultants externes, notamment à Accenture et McKinsey.

[Voir aussi :
Chez les von der Leyen, on trafique en duo !
Von Der Leyen, Présidente corrompue de la dictature Européenne

McKinsey et Big Pharma sont dignes du baron de la drogue Pablo Escobar
Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
Affaire McKinsey : quelques vidéos pour ceux qui n’ont pas envie de lire
McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale »
Les nombreuses fois où McKinsey a été mêlé à des scandales
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !]

D’après la presse allemande, von der Leyen dépensait allègrement l’argent public en contrats avec des conseillers externes qui entraient et sortaient du ministère en empochant des tarifs journaliers énormes et, en outre, avaient accès à des documents confidentiels et disposaient également d’adresses électroniques ministérielles. Devant les dizaines de millions d’euros dépensés par le ministère de la Défense pour des contrats attribués à ces cabinets de conseil externes, une commission d’enquête organisée par l’Office fédéral des finances allemand a été chargée en 2018 d’examiner d’un peu plus près la gestion désastreuse de von der Leyen. Le bureau de vérification a constaté plusieurs irrégularités dans la façon dont les contrats avaient été attribués et pour les besoins de l’enquête, deux des téléphones de von der Leyen ont été confisqués, mais les données des deux appareils avaient été supprimées. En décembre 2019, Tobias Lindner, député Alliance 90/Les Verts, a déposé une plainte pénale pour l’effacement des données des téléphones portables d’Ursula von der Leyen, invoquant une destruction délibérée de preuves.

En plus d’être une récidiviste en matière de corruption et de conflits d’intérêts, Von der Leyen a la manie de faire le grand nettoyage de ses téléphones. Ainsi, depuis qu’elle est à la Commission européenne, son copinage avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, défraie la chronique. En effet, elle a échangé avec lui des SMS qu’elle ne veut pas révéler malgré la demande expresse de la médiatrice européenne, Emily O’Reilly, qui trouve que cette Ursula est décidément une vilaine cachottière, tellement cachottière qu’elle a à nouveau effacé tous ses SMS et l’historique de ses conversations. Et ce n’est pas par hasard, comme nous allons le découvrir. Il s’avère que le mari de la nouvelle impératrice européenne, le Dr Heiko von der Leyen, a été catapulté directeur médical de la société pharmaceutique américaine Orgenesis, spécialisée dans la recherche sur l’ARN messager et proche de la société Pfizer.

De chef de clinique à Hanovre, il est parti aux Etats-Unis sans crier gare pour rejoindre le conseil d’administration d’Orgenesis en décembre 2020, soit au tout début de ce qui allait devenir la pandémie de Covid. Salaire : 1 million de dollars par an pour quelqu’un qui n’était pas vraiment qualifié pour ce poste. Mais il semble que ce soit une tradition familiale chez les von der Leyen de se faufiler dans des emplois lucratifs. Dès lors, des tractations entre Ursula von der Leyen, son mari et le patron de Pfizer ont eu lieu via des échanges de SMS. Et, le 8 mai 2021, un contrat d’achat de 1.8 milliard de doses de vaccin est signé par Ursula von der Leyen au nom de la Commission européenne. Le prix de la transaction n’a pas été révélé, mais on l’estime à 36 milliards de dollars, payés par les contribuables européens bien sûr. Qui dit négociation de contrat, dit commission et, donc, le Dr Heiko Von der Leyen a reçu une «prime de performance» s’élevant à plusieurs millions de dollars. Les députés européens qui cherchent à faire la lumière sur les tractations obscures entre la Commission et Pfizer ont reçu – dans un laps de temps limité pour l’étudier et avec interdiction de prendre des notes – copie du contrat, mais la moitié des 90 pages dudit contrat étaient grisées et les passages inaccessibles concernaient les éléments les plus importants, comme les prix et les clauses de responsabilité au sujet des effets secondaires.

Son accession à la présidence de la Commission européenne lui monte à la tête, car Ursula von der Leyen a réalisé un véritable coup d’Etat au sein des institutions européennes en prenant des décisions qui n’incombent pas à son poste comme, entre autres, celle d’interdire des organes de presse russes tels que Russia Today et Sputnik, et envoyer des armes en Ukraine, ce dernier fait constituant à lui seul une véritable déclaration de guerre à la Russie qui n’entre pas dans le cadre des attributions de la Commission et qui est totalement anticonstitutionnel. Mais von der Leyen n’en a cure et elle continue à saccager les institutions européennes avec une ardeur frénétique. Comme elle dévaste également l’économie européenne en imposant des sanctions ubuesques à la Russie, dont l’effet boomerang ne va pas manquer de se répercuter sur les populations des pays européens. Elle a envoyé 4 milliards d’euros en Ukraine depuis le début de l’opération spéciale de la Russie pendant que les Européens voient grimper le prix des énergies et des carburants et se demandent comment ils vont pouvoir payer leurs factures de chauffage et faire le plein de leur véhicule pour aller travailler.

Aujourd’hui, Ursula von der Leyen est en guerre contre la Russie et, il faut bien le dire, contre les peuples d’Europe qu’elle précipite dans la ruine et la récession. Elle est très amie avec le clown Zelensky auquel elle envoie l’argent des contribuables européens et de l’armement et auquel elle a promis l’entrée de l’Ukraine dans la communauté européenne. Sachant que l’Ukraine va cesser d’exister en tant qu’Etat en étant coupée en deux, l’ouest revenant à la Pologne et l’est retournant dans le giron de la Fédération de Russie, on se demande quel territoire ukrainien va adhérer à l’Europe. Mais Ursula von der Leyen reste convaincue qu’elle gagnera sa guerre contre la Russie, au risque d’entraîner toute l’Europe dans une crise sans précédent.

Jusqu’ici, elle a réussi à se faufiler entre les enquêtes et à échapper à la justice. Il est grand temps que les peuples européens se réveillent de l’état d’hébétude dans lequel le régime fasciste des «élites» européennes les a plongés, car ce qui s’annonce à l’horizon pourrait bien être la fin de l’Europe et le début du chaos.




Chez les von der Leyen, on trafique en duo !

[Source : RL]

Par Mitrophane Crapoussin

Même si l’on voit réapparaître quelques terroristes covidistes télévisuels, le temps passant confirme l’inefficacité des produits expérimentaux, vendus par falsification sous le nom de vaccin, leur inefficacité et surtout leur dangerosité, ce que confirme une étude allemande rapportant que huit vaccinés sur mille souffrent d’effets secondaires…

Beaucoup s’interrogent sur cette quasi obligation vaccinale qui n’est pas terminée, le passe sanitaire n’étant que suspendu… Les mesures liberticides et le management par la terreur que nous subissons ne sont, encore et toujours, qu’affaires de gros sous et de corruption au plus haut niveau, impliquant Ursula, les siens, nos mafieux européens et hexagonaux.

Ursula et son mari achetés par Vanguard Group ?

La pandémie a commencé en mars 2020. En décembre 2020, comme par hasard… un prof de médecine allemand, chef d’une clinique de Hanovre, Heiko van der Leyen, est propulsé directeur médical d’une très puissante entreprise de Big Pharma américaine, spécialisée dans la technologie de l’ARNm, Orgenesis.

L’OMS, l’UE et nombre d’États pressaient alors les labos pharmaceutiques de trouver un vaccin, ou le contraire… alors qu’il y avait des traitements, lesquels étant anciens ne rapportaient pas beaucoup d’argent et qui furent interdits  ou déconseillés car qui dit traitement dit pas de vaccin…

Flairant le gros coup, Pfizer signa un partenariat avec Orgenesis pour la partie des tests scientifiques et cliniques,  et avec les Allemands de BioNTech pour la fabrication. Pfizer l’a cooptée dans ce projet pour avoir un soutien politique dans les négociations ultérieures avec l’Union européenne avec Merkel et Ursula.

De plus, Orgenesis et Pfizer ont les mêmes actionnnaires dont le célèbre Vanguard Group.

Vanguard plus puissant que BlackRock !

Vanguard détient la plupart des actions d’un autre fonds géant, BlackRock. Les deux grands groupes financiers contrôlent presque tout à l’échelle mondiale, dont Big Pharma… et 90% des médias américains.

Il est presque impossible de trouver tous les propriétaires d’actions du fonds Vanguard. Mais quelques noms se remarquent, selon des sources boursières officielles : Rothschild Investment Corp., Edmond de Rothschild Holding, diverses familles comme Orsini en Italie, Bush aux États-Unis, du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller, la famille royale britannique.

Il se dit aussi que Vanguard comprend des investisseurs tels Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos ou Mark Z, voire Joe Biden et son célèbre fils Hunter.

Alors que la politique sanitaire est du ressort de chacun des États de l’UE, Ursula s’accapara l’achat des vaccins. Le 8 mai 2021, elle  signa le marché avec le patron de Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin, livrables jusqu’en 2023.

En l’absence de chiffres officiels, la transaction fut estimé à environ 36 milliards de dollars, soit environ 20 dollars la dose. Tout contrat commercial de ce type comporte des « commissions de performance » pour les intermédiaires. 2 % de 36 milliards équivaut à 760 millions de dollars ! Pour qui ?

Ursula la tricheuse

Elle a étudié la médecine à l’Université de Hanovre et, en 1991, y a obtenu son doctorat. Récemment, elle a été accusée de plagiat par la presse allemande. Des journalistes ont découvert que 43,5% de sa thèse de doctorat était copiée. L’université a conclu que, bien que la thèse ait contenu du plagiat, aucune intention de tromper ne pouvait être prouvée.

Lorsqu’elle était ministre de la Défense (dans les gouvernements III et IV de Merkel), Ursula avait dépensé sans compter pour rémunérer des cabinets conseil dont McKinsey où travaillait l’un de ses fils….  Pour 700 millions d’euros. À cette époque, une commission parlementaire a tenté d’enquêter sur les allégations de mauvaise gestion, mais l’affaire fut étouffée.

Au cours de cette enquête, a fuité l’information selon laquelle Ursula aurait supprimé des données de son téléphone portable.

On sait que la négociation entre Ursula et Bourla (Pfizer) s’est déroulée de façon très opaque, avec des contrats inaccessibles aux eurodéputés, puis caviardés… Les messages et appels  liés à ces transactions ont subitement disparu des téléphones d’Ursula, au grand étonnement de la médiatrice de l’UE Emily O’Reilly .

Une journaliste ayant demandé si ces messages avaient été supprimés, s’ils n’étaient toujours pas archivés ou si les commissaires européens en avaient connaissance, la question est restée sans réponse. Une porte-parole de la CE a confirmé à la presse que les messages courts ne sont pas enregistrés dans le système Ares (le programme d’archivage interne de l’UE). En tout cas, à l’heure actuelle « il n’y a aucune possibilité technique d’enregistrer des messages courts ».

Il convient de noter que ce phénomène est en contradiction avec les règles internes de la Commission, adoptées en 2015. Selon elles, les SMS et messages similaires devraient être copiés dans un e-mail, scannés ou enregistrés d’une autre manière.

À qui profite les crimes ?

Des « vaccins » trouvés et commercialisés en quelques mois, au lieu de la dizaine d’années habituelle…, des labos irresponsables des effets secondaires, lesquels sont niés ou cachés…, des populations obligées aux injections à répétition sous peine de discrimination… pour pousser à la consommation et favoriser les « bénéfices outrageants de Pfizer», comme s’en est ému le professeur Raoult… Tout cela ne révolte personne.

Pfizer a un passé et un lourd passif en matière de corruption et de condamnations… dans de gravissimes scandales où l’on retrouve McKinsey…

Qu’Ursula claque, sans délégation aucune des populations, l’argent des Européens est inacceptable, qu’elle le dépense pour faire assassiner par des « vaccins » forcés ou des armes va devoir se discuter très sérieusement, y compris avec ses 27 complices, dont Macron.

Il est édifiant que celui qui se veut le principal opposant de Macron ne lui parle jamais ni d’Alstom, pas davantage que de Mckinsey, de Pfizer, etc. Serait-il lui aussi sponsorisé par Vanguard?




Covid-19 — Le bilan en 40 questions

  • Collection :
  • « Faits de société »
  • Genre :
  • Essai – Enquête
  • Détails :
  • Publié le 20/05/2022 15 x 22 cm 300 pages
  • Prix :
  • 20 € TTC
  • ISBN :
  • 978-2-36845-295-0
  • Covid-19
  • Le bilan en 40 questions
  • Auteurs :
  • Jean-Loup IZAMBERT – Claude JANVIER

Résumé

La crise liée à la covid-19 a mis en lumière de sérieux problèmes de désinformation venant d’Internet mais aussi parfois, contre toute attente, de l’UE, de l’OMS et de la France, toutes trois mises sous pression par les lobbies de puissants groupes pharmaceutiques et cabinets de conseil.

Ainsi, plusieurs informations relayées au public se sont finalement avérées inexactes ou tronquées. Plus inquiétant, certaines études scientifiques essentielles ont été ignorées et des conflits d’intérêts ont été découverts, installant un sentiment de méfiance dans l’esprit de nombreux citoyens.

Face à ce manque de clarté, le journaliste Jean-Loup Izambert et l’écrivain-essayiste Claude Janvier sont allés à la rencontre de spé-cialistes de tous bords (médecins, chercheurs, avocats, journalistes, élus, associations…) pour apporter des réponses précises et sour-cées à 40 questions que se posent les Français.

Quelle est la dangerosité réelle du virus covid-19 ? Les test PCR sont-ils fiables ? Combien ont-ils coûté à la France ? Le cabinet McKinsey a-t-il contribué à élaborer le plan de vaccination en France ? Pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas favorisé les traitements contre la covid-19 ? Le port du masque est-il efficace ? Quel est le bénéfice/risque des vaccins à ARNm ? Sont-ils vraiment sans effet secondaire ? Le Passe vaccinal est-il justifié ? Comment se défendre légalement face à certaines mesures gouvernementales ?

Retrouvez toutes les réponses et bien d’autres questions dans Covid-19 : Le bilan en 40 questions, ainsi que des informationspratiques et juridiques pour faire respecter ses droits dans un contexte législatif parfois abusif.

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NOUS CONTACTER

Les auteurs

Jean-Loup Izambert a derrière lui cinquante années de journalisme dont trente comme journaliste d’investigation indépendant (économie, finance, politique). Il est également collaborateur de médias étrangers et écrivain. Plusieurs de ses ouvrages ont défrayé la chronique : « Le krach des 40 banques », « Le Crédit Agricole hors la loi ? », « Faut-il brûler l’ONU ? », « 56 – Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels », « 56 – Tome 2 : Mensonges et crimes d’État », « Trump face à l’Europe », « Le virus et le Président » et enfin « Le scandale Ivermectine ».

Claude Janvier est écrivain-essayiste. Doté d’un humour noir et disciple de Pierre Desproges, il est l’auteur de trois livres « coups de gueule » et a co-écrit « Le virus et le Président » avec Jean-Loup Izambert. Depuis quinze ans, il fouille, déterre, décortique et analyse l’actualité afin de mettre à jour les véritables informations, qu’il diffuse dans les nombreux médias où il intervient. Adepte du courant de contre-culture dans les années 1970, il a acquis une certaine méfiance envers l’État « providence » et la société de consommation. Il reste fidèle à sa devise : « Je râle donc je suis ».

L’idée du livre

Démontrer que de nombreuses informations communiquées par l’Union européenne, l’Organisation mondiale de la santé et la France durant la crise sanitaire étaient fausses, tronquées ou contradictoires. Or, celles-ci ont pourtant été relayées massivement par les médias grand public, créant peur et confusion dans l’esprit de la population.

Apporter aux lecteurs des informations scientifiques, juridiques ou pratiques liées à la Covid-19 sous la forme de 40 questions-réponses appuyées par des interventions de nombreux spécialistes.

L’enquête

Afin de porter à la connaissance des lecteurs des faits dissimulés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le pouvoir politique et des administrations, les auteurs ont fait le choix délibéré de publier de nombreux extraits de travaux référencés : études de chercheurs, avis de médecins spécialisés, rapports d’analystes et de centres de recherches, enquêtes de journalistes scientifiques et d’investigation, analyses d’associations, communications de l’OMS, de l’Union européenne, d’administrations et d’organisations, interventions et interviews d’avocats, d’élus, de syndicalistes…

Cette enquête sur ceux qu’ils qualifient de « faussaires de la science » est émaillée de nombreuses sources d’informations. Plus qu’un livre de réinformation, « Covid-19 : Le bilan en 40 questions » se veut également un livre pour la réflexion. Ainsi, de nombreuses réponsesprésentées sous la forme de fiches sont suivies d’une rubrique « En savoir plus ». Celles-ci donnent au lecteur de nouvelles sources pour compléter son information.

De même, les auteurs publient des informations juridiques émises par des avocats et des associations pour permettre aux lecteurs de se défendre contre les atteintes à leurs droits.

Sommaire

Préface : Démêler le vrai du faux

Le virus SRAS-CoV-2 et ses variants

  • 1. Qu’est-ce que le virus SRAS-CoV-2 ?
  • 2. Comment le virus SRAS-CoV-2 se transmet-il ?
  • 3. Quels sont les symptômes de la covid-19 ?
  • 4. Le virus et sa maladie covid-19 sont-ils vraiment dangereux ?
  • 5. Les mesures gouvernementales sont-elles justifiées ?
  • 6. Le ministère de la Santé diffuse-t-il de fausses informations ?
  • 7. Quel est le risque lié à la covid-19 ?
  • 8. Les mutations rendent-elles le virus plus dangereux ?
  • 9. Qu’est-ce que le taux d’incidence ?

Les tests RT-PCR

  • 10. Qu’est-ce que le test RT-PCR ?
  • 11. fonctionne le test RT-PCR ?
  • 12. Le résultat d’un test RT-PCR est-il fiable ?
  • 13. Combien coûte ce dépistage approximatif et sans limite ?
  • 14. D’où vient la tromperie sur le test RT-PCR ?
  • 15. Qui a fait adopter le test PCR à l’OMS ?
  • 16. Actions en justice contre le test RT-PCR

La pandémie covid-19

  • 17. Pourquoi la France a-t-elle été démunie face à la covid-19 ?
  • 18. À quoi sert le Conseil scientifique covid-19 ?

Le port du masque

  • 19. Le port du masque protège-t-il ?
  • 20. Quels dangers à porter le masque ?

Le médicament qui soigne de la Covid-19

  • 21. Le médicament Ivermectine soigne-t-il de la covid-19 ?
  • 22. Pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas favorisé les traitements contre la covid-19 ?

Les vaccins, les produits à ARNm et la vaccination

  • 23. Le plan de « vaccination » de l’Union européenne est-il dangereux ?
  • 24. Qui a décidé du plan de « vaccination » en France ?
  • 25. Quelles différences entre des produits à ARNm et des vaccins ?
  • 26. Pourquoi les « vaccins » à ARNm sont-ils inachevés ?
  • 27. Que se passe-t-il autour du vaccin français ?
  • 28. Faut-il se faire vacciner contre la covid-19 ?
  • 29. Qu’en est-il vraiment du ratio bénéfice/risque ?
  • 30. Les « vaccins » à ARNm sont-ils dangereux ?
  • 31. Quels risques à se faire « vacciner » avec des produits à ARNm ?
  • 32. Les effets secondaires des « vaccins » à ARNm sont-ils bien connus ?
  • 33. L’injection de produits à ARNm aurait-elle du être stoppée ?

Gouvernement et fabricants de produits à ARNm

  • 34. Pourquoi les fabricants de ces « vaccins » sont-ils déchargés de leurs responsabilités ?
  • 35. Combien coûtent les mesures gouvernementales ?

La pandémie disparaît

  • 36. Où en est la « pandémie » à la fin de l’année 2021 ?

S’opposer au passe sanitaire et faire respecter ses droits

  • 37. Le passe vaccinal est-il justifié ?
  • 38. Comment se défendre face aux mesures gouvernementales ?
  • 39. Forces de l’ordre : comment faire respecter ses droits ?
  • 40. Pourquoi les dirigeants français sont-ils cités devant la Cour pénale internationale ?

À propos des auteurs

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Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre « le docteur de l’Amérique », Anthony Fauci ?

Par Nicole Delépine

Pourquoi la candidate au poste de gouverneur de l’Arizona veut-elle lancer un mandat d’arrêt contre Fauci, le monsieur vax américain ?

« Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit : “Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent”. Je ne l’ai jamais oublié. »

Robert Kennedy, fils de Robert et neveu du Président JFK

Mai 2022

Kari Lake, la candidate des Républicains soutenue par Donald Trump pour l’élection du Gouverneur de l’Arizona veut lancer un mandat d’arrêt contre Anthony Fauci pour avoir caché les bienfaits de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine !

Rappelons qu’Antony Fauci est le Mr Santé des présidents américains depuis des décennies et que ses exploits connus ont commencé avec le SIDA.

Selon le prologue du livre de R Kennedy :

« Le Dr Anthony Fauci a trôné pendant un demi-siècle en tant que commissaire à la Santé des États-Unis, se préparant à son rôle final de commandant dans la plus grande guerre de l’histoire contre une pandémie mondiale. À partir de 1968, il a occupé différentes fonctions au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dont il est le directeur depuis novembre 1984. Son salaire annuel de 417 608 $ fait de lui le mieux payé des quatre millions de fonctionnaires fédéraux, le président compris. L’expérience de 50 ans qu’il a acquise en tant que grand manitou d’une puissante administration fédérale, après avoir conseillé six présidents, le Pentagone, les agences de renseignement, les gouvernements étrangers et l’OMS, l’a excellemment préparé à une crise qui allait lui permettre d’exercer un pouvoir dont peu de dirigeants et aucun médecin ont pu se targuer dans l’histoire.

Au cours des premiers mois de l’épidémie, le calme, l’autorité et le côté oncle bienveillant du Dr Fauci ont été le Prozac des Américains assaillis par deux crises existentielles : la présidence Trump et la COVID-19. Les démocrates et les libéraux idéalistes du monde entier, traumatisés par le style de gouvernement chaotique du président Trump, ont trouvé du réconfort dans la présence sereine et forte du Dr Fauci sur la scène de la Maison-Blanche. Il a semblé offrir un contrepoids rationnel, franc et scientifique à la grandiloquence narcissique et agitée du président Trump. Naviguant dans des eaux dangereuses, entre un président erratique et un virus mortel, le Dr Fauci a d’abord fait figure de héros, tel l’Ulysse d’Homère menant son navire entre Scylla et Charybde.

Tournant le dos au sinistre horizon, des Américains confiants ont pris les rames et ont obéi aveuglément à ses ordres, sans se rendre compte qu’ils propulsaient notre pays vers une destination désolée où la démocratie allait mourir. Tout au long de la première année de la crise, le charisme du Dr Fauci et sa voix autoritaire ont inspiré confiance en ses prescriptions. Ils lui ont valu une affection certaine — quoique pas universelle.

De nombreux Américains, consciencieusement enfermés chez eux pour se conformer à la quarantaine imposée par le Dr Fauci, se sont consolés avec la possibilité de rejoindre un fan-club Tony Fauci, de se prélasser sur un coussin “J’aime Fauci”, de boire dans un mug “In Fauci We Trust”, de garder leurs pieds au chaud dans des chaussettes et chaussons Fauci, de s’empiffrer de donuts Fauci, d’afficher une pancarte “Klaxonnez pour le Dr Fauci” devant leur maison ou de se prosterner devant une bougie de prière Dr Fauci. Les aficionados de Fauci pouvaient choisir parmi une variété de jeux en ligne Fauci et une armée de figurines et de bubbleheadse à son effigie. Ils pouvaient même raconter son hagiographie à leur progéniture grâce à un livre pour enfant à sa gloire.

Au plus fort du confinement, Brad Pitt a rendu un hommage révérencieux au Dr Fauci lors de l’émission Saturday Night Live, et Barbara Streisand lui a envoyé un message surprise enregistré lors d’une fête d’anniversaire organisée en son honneur sur Zoom. Le New Yorker l’a surnommé “le docteur de l’Amérique”. »

Ceci ne nous étonne guère, en particulier depuis le livre choc de Robert Kennedy maintenant traduit en de nombreuses langues dont le français, disponible pour tous.

Voici quelques éléments à ce sujet, extraits de l’interview de la journaliste belge Senta Depuydt à l’occasion de la sortie du livre en France et en Belgique(([1] Disponible sur www.neosante.eu :
Le numéro 120 (mars 2022) de Néosanté, revue internationale de santé globale.

Lire la totalité de l’ITW mise en ligne gratuitement par neosanté, vu l’importance des infos et relayez, merci.
Interview Exclusive De Robert Kennedy | NéoSanté Éditions (neosante.eu)

Et KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages.indd (neosante.eu) prologue du livre de Robert Kennedy))

à lire en totalité sur le site de Neosanté.


« Robert F. Kennedy, Jr : Les gens qui sont au pouvoir mentent ! » Propos recueillis par Senta Depuydt(([2] Entretien effectué à l’occasion de la sortie du livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » (Collection Résurgence) ))(([3]Retrouvez Robert F. Kennedy, Jr. sur
www.chdeurope.org
(site européen) et www.childrenshealthdefense.org (site américain)
Senta Depuydt, journaliste indépendante, fondatrice de la branche européenne de l’association de l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. « Children’s Health Defense Europe » et auteur d’un avant-propos pour l’édition française du livre paru aux éditions Marco Pietteur))

(…). Durant la pandémie, disons que près de 30 % de la population avait une méfiance spontanée envers les autorités et des personnalités comme Anthony Fauci ou Bill Gates. Mais il leur était quand même difficile de concevoir les motifs pour lesquels les responsables de la santé publique agiraient à l’encontre de l’intérêt des citoyens. Les Américains sont assez idéalistes, parfois naïfs. C’est pour les aider à comprendre tout cela que j’ai écrit ce livre.

Vu la somme de crimes et délits que vous documentez là, peut-on espérer des poursuites à leur encontre ?

Difficile à dire. Je pense qu’il y a un espoir que cela arrive, si la situation politique change. Si les républicains gagnent aux élections qui auront lieu à la mi-novembre et qu’ils s’emparent du Sénat, il est probable qu’ils procèdent à des auditions à partir de janvier prochain. D’ici là, je pense que les démocrates et les médias qui font leur propagande vont continuer à les protéger.(([4] Note : l’ancien président des USA et le clan Kennedy sont traditionnellement des démocrates, Robert Kennedy, Jr. s’est lamenté à de nombreuses reprises du manque d’intégrité et de respect des valeurs démocratiques qui règne parmi les membres actuels du parti.)) Mais quand on voit les chiffres, Fauci aura des comptes à rendre sur les politiques de réponse à la pandémie.Plus de 2800 décès par million d’habitants aux USA, c’est extrêmement élevé, alors qu’avec tout le budget et l’expertise dont nous disposons, nous sommes censés avoir les meilleurs résultats.

Au Nigéria, où seul 1,5 % de la population a été vaccinée, ils n’ont eu que 14 morts par million et la plupart des autres pays d’Afrique ont une moyenne qui tourne autour de 170, on ne peut même pas parler de pandémie. Pourtant, au début de la crise, Gates et Fauci multipliaient les discours alarmistes en prédisant une réelle hécatombe en Afrique. Finalement, c’est l’inverse qui s’est produit. Comment cela se fait-il ? Il va tout de même falloir l’expliquer. Personnellement, je pense que c’est en partie parce que ce sont des pays qui ont l’habitude d’utiliser des médicaments simples, efficaces et accessibles, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. (…)

Quid de Bill Gates ?

Bill Gates est peut-être moins présent dans les médias, mais il reste très actif en coulisses. Et comme il a le contrôle de l’OMS, il continue à pousser tous ces agendas mondialistes, les passeports vaccinaux, l’identité numérique, les politiques alimentaires.Il est extrêmement riche et puissant, très proche de la plupart des gouvernants d’Europe, mais aussi de la Chine, et il collabore étroitement avec le Forum Économique Mondial (Davos). Malheureusement, beaucoup de gens continuent à le révérer et à écouter ses recommandations, ses « prédictions ». Je crois que pour l’instant, il serait difficile de le déboulonner, c’est tout un réseau mondial qui opère avec lui.

À propos de réseau mondial, que pensez-vous de cette histoire de labos de recherche en Ukraine ? Il semble que l’on retrouve un certain nombre d’acteurs identiques dans ce partenariat avec l’Ukraine pour les « programmes de réduction de la menace biologique » ?

(…) lorsque Victoria Nuland, Secrétaire d’état aux affaires politiques et affaires étrangères, a été auditionnée sous serment par le Congrès, elle a semblé particulièrement mal à l’aise en admettant que, oui, les États-Unis financent des labos qui manipulent des souches dangereuses : l’anthrax, certains types d’herpès et même des souches de variole — ce qui est interdit — et de nombreux autres agents susceptibles de créer des pandémies. Dans ce « programme de réduction de la menace sanitaire », nous sommes en présence des mêmes acteurs qu’avec la pandémie. La firme Eco Health Alliance qui avait financé les recherches de gain de fonction des coronavirus à Wuhan avec l’aide de Fauci et Peter Daszak, et USAID qui est une couverture pour les opérations de la CIA.(([5] À ce propos il serait intéressant de rappeler que le baron Peter Piot, responsable en charge de la réponse à la pandémie à l’Union Européenne, a été un des directeurs de USAID et travaille toujours en consultance pour le département de la sécurité américain, ensemble avec son épouse Heidi Larson, directrice du Vaccine Confidence Project. Quelles sont les implications des agences de renseignement américaines dans les politiques de l’Union ?))

Rappelons qu’en 2014, Obama a interdit les recherches de gains de fonction et d’autres types de technologies servant à développer des agents biologiques mortels, jugeant que c’était trop dangereux pour la population humaine. Car cette année-là, des souches dangereuses s’étaient échappées de laboratoires à trois reprises différentes.Fauci et ses acolytes avaient donc reçu l’ordre de mettre fin à 18 expériences de ce type, mais au lieu d’obéir, ils ont poursuivi leurs expériences à l’étranger par l’intermédiaire d’un scientifique nommé Peter Daszak, en créant Eco Health Alliance.Rien qu’à Wuhan ils avaient investi plus de 100 millions de dollars. (…)

IL FAUT ABSOLUMENT QUE LE PUBLIC COMPRENNE QU’IL EST MANIPULÉ PAR DE LA PROPAGANDE. BIG PHARMA CONTRÔLE LA SANTÉ PUBLIQUE, LE COMPLEXE MILITARO-INDUSTRIEL OPÈRE VIA LA CIA ET CONTRÔLE AUSSI LE PENTAGONE. TOUTES CES INSTITUTIONS SONT DETOURNÉES ET NE SONT PLUS AU SERVICE DE LA NATION.

Malheureusement l’Europe semble être sous la même influence. Quel que soit le domaine, on y voit les mêmes experts répétant les mêmes mensonges à l’unisson, peu importe la réalité.

Tout récemment par exemple, un de nos « Fauci » locaux a prétendu que la réponse à la pandémie avait été exemplaire, en donnant pour preuve le fait qu’aux USA les états « rouges » (républicains) avaient eu des résultats désastreux, alors que les états « bleus » (démocrates) s’en étaient mieux sortis, grâce à l’application de mesures draconiennes.

C’est exactement l’inverse ! Il y a même eu un article dans le New York Times qui l’a confirmé : le confinement, les masques, la distanciation sociale, tout cela n’a eu aucun impact sur la circulation de l’épidémie. De manière générale les états qui ont eu une politique plus souple s’en sont mieux sortis, parce qu’ils ont limité les dommages collatéraux provoqués par ces mesures. L’impact sur les enfants, sur la vie des gens, l’impact économique sur les petites et moyennes entreprises, tout cela a été dramatique.

En revanche, cela a permis à ceux qui ont imposé et soutenu ces restrictions (par ex. les GAFA) de s’enrichir d’une manière odieuse. Environ 3,1 trillions de dollars sont partis de la poche des familles américaines vers les méga-corporations et en réalité, c’était une gigantesque opération de racket qui a profité à cette nouvelle caste de milliardaires. Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sergei Brin, Bill Gates ont censuré toutes les infos critiques sur les politiques sanitaires.

Il ne faut pas oublier de se demander « à qui profite le crime » ? Cui bono ? Le public a constamment été manipulé… d’abord avec la pandémie, aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et avant cela en Irak, etc.(…). Tout semble être fait pour poursuivre un agenda global, peu importe les faits ou les données sur lesquelles l’on se base, et pourtant la plupart des gens l’acceptent.

Malheureusement, c’est le résultat du contrôle par la peur. Tant qu’ils sont dominés par la peur, ils se retranchent dans cette sorte de mécanisme de survie, proche de ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm, où les victimes d’enlèvements se mettent à aimer ceux qui les ont kidnappés et se convertissent à leur foi ou leur idéologie, devenant même des fanatiques.

Comment faire pour résister à de tels pouvoirs ? Vous avez souvent dit « la seule barrière qu’il y a entre des prédateurs comme Big Pharma et les enfants, c’est leur mère ».

(…)Malheureusement, il y a un effort considérable pour attaquer ce dernier rempart, par le vote d’une série de lois visant à éliminer l’autorité parentale. Par exemple aux États-Unis, de nombreux états accordent à l’enfant la faculté de consentir seul à la vaccination, allant même jusqu’à interdire aux écoles et aux compagnies d’assurance d’en informer les parents.

Que faut-il faire ? Comment des organisations comme la nôtre, peuvent-elles apporter leur soutien à ces familles ?

Martin Luther King disait qu’il fallait déployer un arsenal d’actions : militer, aller en justice, changer les lois et éduquer et moi j’y ajouterai aussi innover.

(…) Chacun doit avoir le courage d’un guerrier et mener les actions qui sont à sa portée, exploiter toutes les failles du système. C’est la somme de tous ces efforts individuels, ces ripostes sur tous les fronts, qui peut faire la différence. Il faut mener une sorte de guérilla.Ce n’est pas la première fois que la démocratie est sous attaque, on finit par la restaurer, souvent avec des changements positifs à la clé. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, la puissance des technologies de surveillance et de contrôle est au-delà de tout ce que l’on a jamais pu connaître dans l’histoire et c’est un vrai défi. Il est essentiel que la résistance citoyenne se développe plus rapidement que la mise en place de ces instruments de contrôle totalitaire.

Il faut d’abord que l’industrie pharmaceutique paye pour ses crimes. Je pense par exemple à la crise des opioïdes, où tant de gosses sont morts d’overdose, parce que la firme Purdue a véritablement poussé à la consommation de ces médicaments dangereux (l’Oxycotin). Il faut voir la mini-série Dopesick qui revient sur toute cette horreur et c’est la même chose qui se passe avec les vaccins. On pousse à la consommation en cachant les effets secondaires. On ne peut pas faire confiance à ces entreprises.

Nous avons une grave épidémie d’autisme. Pourquoi sommes-nous passés d’un enfant sur 10 000 à 1 enfant sur 44 aux États-Unis ?Pourquoi y a-t-il une épidémie d’allergies alimentaires et d’eczéma, et une explosion du nombre de maladies chroniques, comme le diabète juvénile, le lupus, l’arthrite rhumatoïde, les maladies de Crohn, le syndrome de Guillain Barré ?Les gènes ne peuvent expliquer ces épidémies, cela ne peut être attribué qu’à une toxicité de l’environnement ou de certains produits. D’ailleurs c’est pour cela que nous sommes aussi très actifs sur des questions comme les dangers liés à la 5G, aux pesticides (Kennedy et le bureau d’avocats Michael Baum ont gagné le procès contre le Roundup et Monsanto en 2018 NDLR), la qualité des aliments pour bébé, enfin toutes sortes de pollutions. Donc oui, clairement, le rôle numéro un de la santé publique, c’est d’identifier tous ces facteurs et de les éliminer.Toute cette focalisation sur les maladies infectieuses, n’est qu’une manière de sortir de l’argent. (…)

IL FAUT VRAIMENT QUE LES GENS COMPRENNENT QUE LA PANDÉMIE EST UN ACTE DE GUERRE MONDIALE, UN COUP D’ÉTAT CONTRE LA DÉMOCRATIE. LA RÉPONSE À LA PANDÉMIE N’A JAMAIS ÉTÉ MÉDICALE, ELLE A ÉTÉ D’ORDRE MONÉTAIRE ET MILITAIRE.

Tout le monde doit prendre ses responsabilités et défendre la démocratie. Il faut lutter contre la propagande que l’on nous inflige, et pour cela il est essentiel de développer la pensée critique chez nos enfants.

Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit :

« Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent ».

Je ne l’ai jamais oublié.


La candidate américaine de l’ARIZONA focalise ses reproches gravissimes contre Fauci sur son interdiction des traitements peu coûteux comme l’ivermectine.

Médicaments qui pourtant guérissent les patients atteints de covid particulièrement si prescrits tôt dans l’évolution de la maladie. Nous avons connu les mêmes errements en France dont les autorités refusent systématiquement depuis le début de la crise covid tous les médicaments susceptibles de guérir les malades en commençant par l’hydroxychloroquine conseillée par le PR Raoult.

Et cela continue actuellement en même temps que le gouvernement donne l’AMM sans limitation au Paxlovid de Pfizer, d’efficacité très discutée de même que ses effets indésirables…(([6] Un message DGS-Urgent daté du 5 mai confirme l’entrée dans le droit commun du Paxlovid, jusqu’à présent mis à disposition dans le cadre d’une autorisation d’accès précoce. De ce fait, ses modalités de prescriptions s’allègent.

Paxlovid est composé de deux molécules. La molécule PF-07321332 est l’agent actif qui empêche à la protéine du virus de se répliquer. La molécule de ritonavir, un inhibiteur de la protéase.)) en ce 5 mai 2022.

Les autorités françaises nient l’efficacité démontrée de ces vieux médicaments et poursuivent les médecins qui les utilisent et osent guérir leurs patients. Hippocrate est torturé jusque dans sa tombe.

Le Bamlanivimab médicament très cher et sans efficacité prouvée(([7] anticorps monoclonal bamlanivimab (Lilly/AbCellera) ))

Déjà en 2021 Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » distribué par Lily à plus de 1 000 euros la cure.

Appelé Bamlanivimab, il n’a pas passé la phase 2 des expérimentations. Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… De plus, il fait partie des médicaments susceptibles de favoriser l’apparition de nouveaux variants.(([8] https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/anticorps-monoclonaux-imbroglio-autour-d-un-medicament-risque-mais-pousse-par-l-etat_2145966.html mars 2021))

Aucune raison scientifique d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament. POURTANT

« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu », a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.

Alors pourquoi : derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.

Parmi les directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve Béatrice Cazeneuve :

  • Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;
  • Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Élysée ;
  • Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.

Comme cela a été résumé sur twitter :

(([9] https://www.liberation.fr/checknews/traitement-contre-le-covid-19-y-a-t-il-un-conflit-dinteret-entre-le-labo-lilly-et-certains-conseillers-du-gouvernement-20210302_2YJH2PU7XFHQNBBUS5YOYGPEAI/))

Le scandale Ivermectine

Depuis plus d’une année, les articles cachés par les médias officiels se multiplient pour dénoncer le blackout sur l’ivermectine après celui sur l’hydroxychloroquine et même sur la vitamine D.

Citons par exemple :

Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine — Xavier Bazin (xavier-bazin.fr)

Ce sont les mêmes autorités qui ont autorisé le Remdesevir, le Paxlovid et le Molnupiravir, mais bloquent un traitement ancien, non toxique pas cher et qui sauve des vies.

Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !

L’ivermectine n’a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU), remède d’efficacité majeure contre le Covid-19.

Des médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :

  • L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain [5] ;
  • Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine [6] ;
  • Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %
  • Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament

En France, le Dr Gérard Maudrux a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine(([10] Le traitement du Covid existe : Ivermectine, efficace à 100 % ? par le Dr Gérard Maudrux — Le Libre Penseur)), s’exprime en janvier 21 et envoie en avril 21 une lettre à Emmanuel Macron(([11] Ivermectine vs Doliprane : le Dr Gérard Maudrux s’exprime dans une lettre à Emmanuel Macron – Le Libre Penseur)). En mai, il interroge officiellement le médecin Olivier Veran sur son refus de guérir les malades du Covid avec l’Ivermectine.(([12] https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/le-medecin-gerard-maudrux-89530 ))

L’article reprend le recours, signé par 1500 médecins, et l’exposé des motifs édité sur son blog :

https://www.covid-factuel.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/(([13] « Contrairement à ce que dit l’ANSM, les conclusions de l’étude citée sont pourtant claires : “La prophylaxie à deux doses par l’ivermectine a été associée à une réduction de 73 % de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les travailleurs de la santé pour le mois suivant. La chimio prophylaxie est pertinente pour endiguer la pandémie”. L’ANSM ne retient que la réserve d’usage exprimée quasi systématiquement dans toutes les études : “ils ont souligné la nécessité d’obtenir confirmation par des études longitudinales ou interventionnelles”. »
Or, aucune étude au monde n’est négative en ce qui concerne la prophylaxie, et l’ANSM prétend le contraire sans avancer une seule étude le démontrant.))

Il détaille efficacité tant en prophylaxie qu’en curatif et son innocuité. L’Ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Reconnu comme » sans danger pouvant être utilisé à grande échelle » par l’OMS.

À titre de comparaison, Vigibase recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine, contre 3 695 décès et 161 147 effets indésirables pour le Doliprane.

Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats :

  • L’État indien Uttar Pradesh a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ;
  • Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ;
  • Tout récemment, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.

À l’Assemblée nationale, Olivier Véran s’est cru permis de tenter de ridiculiser la députée Martine Wonner qui l’avait interpellé sur l’ivermectine. Qui était le plus ridicule ?

Olivier Véran a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump ! Combien de temps allons-nous tolérer l’inversion des valeurs médicales et humaines dans ce pays ?

Points communs entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine :

  • vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde
  • Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées — dans certains pays, en vente libre, sans ordonnance
  • Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, car ce sont des médicaments génériques aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits importants avec ces molécules ;
  • Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine peuvent être données à domicile par des médecins généralistes dès les premiers symptômes :
  • L’ivermectine est encore plus sûre que l’hydroxychloroquine

L’hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle !

  • L’ivermectine est nettement plus efficace que l’hydroxychloroquine

l’hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement : conclusion de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde, sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille.

Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital avec l’ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires :

  • En prévention, l’ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection
  • En traitement, l’ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu’à 75 %

C’est la conclusion de méta-analyses réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill comme celle du Dr Pierre Kory.

Quelques articles de presse médiastream concèdent cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times : « un antiparasitaire bon marché pourrait réduire le risque de mort de la Covid-19 jusqu’à 75 %) »

Ou dans le Daily Mail.

Mais lire aussi Mathilde Debord | 09 mars 2022 : Ivermectine : de la DARPA à Buckingham, jusqu’où ira le scandale ?(([14] Ivermectine, le scandale de l’après-COVID ? | Le Point critique))

James O’Keefe affirme avoir obtenu des documents surprenants concernant les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça

Projet Veritas, la FDA et Pfizer

« Le 10 janvier 2022, le rédacteur en chef du Projet Veritas, James O’Keefe, affirme avoir obtenu “des documents surprenants et inédits concernant les origines du COVID-19, la recherche sur le gain de fonction, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça”.

Pour information, Projet Veritas est une organisation composée de journalistes regroupés autour d’un projet commun : “enquêter et dénoncer la corruption, la malhonnêteté, les délits d’initié, le gaspillage, la fraude et autres inconduites dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et transparente” (LinkedIn). Ce mot d’ordre peut faire sourire, mais le talent des journalistes du Projet Veritas est de parvenir à obtenir des documents accablants pour les personnes qu’ils incriminent, sans que leurs accusations ne soient jamais contredites par la justice ».

Military Documents About Gain of Function Contradict Fauci Testimony Under Oath | Project Veritas

Et encore Anthony Fauci

Au-delà des révélations concernant le financement par le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci, d’études de gain de fonction conduites dans le laboratoire P4 de Wuhan, c’est la mise au jour d’un document explosif qui inquiète aujourd’hui l’administration américaine.

« L’efficacité de l’ivermectine et l’hydroxychloroquine est connue des autorités depuis avril 2020 et elle est cohérente avec la manière dont le virus a été modifié »(([15] « Bon nombre des premiers protocoles de traitement ignorés par les autorités fonctionnent parce qu’ils inhibent la réplication virale ou modulent la réponse immunitaire aux protéines de pointe, ce qui est logique dans le contexte créé par EcoHealth. Certains de ces protocoles de traitement inhibent également l’action de la protéine de pointe du moteur. Par exemple, l’ivermectine (identifiée comme curative en avril 2020) agit à toutes les phases de la maladie, car elle inhibe à la fois la réplication virale et module la réponse immunitaire. Il convient de noter que le phosphate de chloroquine (hydroxychloroquine, identifiée en avril 2020 comme curative) est identifié dans le protocole comme un inhibiteur du SRASr-CoV, tout comme l’interféron (identifié en mai 2020 comme curatif). »

Rapport DARPA))

LES « BONS CONSEILS » DE MCKINSEY À OLIVIER VERAN

« Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?

Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le
gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en “négligence délibérée” le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée »(([16] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique))

Au-delà de la polémique sur la guérison de la reine Elisabeth II qui serait due à l’Ivermectine après son infection malgré ses 4 injections anticovid, (mais qu’il ne faut surtout pas ébruiter), informons nos lecteurs qu’il existe maintenant un arsenal thérapeutique large !

L’arsenal thérapeutique contre le COVID-19 compte à ce jour 511 traitements potentiels, dont 30 précoces approuvés par 70 pays, adossés à 1 479 études(([17] https://lepointcritique.fr/2022/03/09/ivermectine-de-la-darpa-a-buckingham-jusquou-ira-le-scandale)) recensées dans la base de données
https://c19early.com/.

Le magazine Nexus a publié un dossier complet sur le sort qui a été réservé à l’ivermectine sous la houlette d’Olivier Véran. Le titre du numéro est un clin d’œil à la décision du ministre d’en censurer l’accès malgré les preuves accablantes de son efficacité.

Dossier « Ivermectine : présumé inefficace ? » (Nexus, numéro de mars 2022)(([18] Le site c19ivermectin.com recense 148 études comparant l’ivermectine à d’autres traitements. Elles ont porté au total sur 85 767 patients.))

Le journaliste Jean-Loup Izambert répond le 3 mai 2022 à Kairos :
Le scandale de l’Ivermectine — interview de Jean-Loup Izambert — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ? Mise à jour

Business is business ? Volonté de réduire un peu l’Humanité ? Si ce n’est pas le but, en tous cas cela risque d’en être le résultat !

Et ce déni est aggravé par une publicité mensongère à large échelle et en particulier sur France info qui prétend qu’il n’y aurait aucun risque alors qu’aucun essai clinique randomisé de vaccins anti-Covid 19 sur cette population n’est terminé ! Qui va dénoncer cette publicité mensongère devant le CSA (bien que les plaintes soient le plus souvent jetées à la poubelle, mais il faut essayer tout de même) ?

On connaît depuis longtemps le danger des vaccins en général et particulièrement des pseudo vax covid pour les femmes enceintes : le VAERS l’avait objectivé très tôt. Nous publiions fin 21 dans le livre « Les enfants sacrifiés du covid » ces quelques mots à ce sujet :

« MORTS FŒTALES

Dans le Vaccine Adverse Events Registration System (VAERS) « ll y a eu 1 614 décès fœtaux enregistrés chez des femmes enceintes qui ont reçu une injection contre le Covid-19 ». Injectée et servant de cobaye non déclaré puis qu’aucune femme enceinte n’avait participé au moindre essai clinique officiel de vaccin anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux chez les femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe. Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Mort-nés et décès précoces de nourrissons(([1] 2 620 bébés morts après une vaccination et des rapports d’effets secondaires terribles — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

2 620 bébés morts après les vaccins anticovid enregistrés dans le VAERS

Au 12 novembre 2021 : 2 015 décès de bébés après BioNTech/Pfizer et 689 après Moderna. Johnson & Johnson : 100 décès. Jusqu’à 91 % de fausses couches si le vaccin est administré avant la 20e semaine.

Les pompes funèbres britanniques signalent dix fois plus de décès de bébés.(([2] https://www.wochenblick.at/2-620-tote-babys-nach-impfung-und-berichte-schrecklicher-nebenwirkungen/))

Au cours des 11 derniers mois, il y a donc eu plus de décès de bébés après vaccination contre le COVID-19 que les 2 225 cas totaux survenus en plus de 30 ans, tous vaccins confondus.

En octobre 2021, le New England Journal of Medicine a reconnu que l’étude initiale sur la base de laquelle les autorités sanitaires américaines CDC et la FDA ont recommandé les vaccins aux femmes enceintes était erronée.

Entre-temps, des chercheurs néo-zélandais ont mené une nouvelle étude et sont parvenus à la conclusion que les fausses couches étaient 7 à 8 fois plus fréquentes que ne le montraient les résultats initiaux.

Et pourtant, les CDC et la FDA continuent de recommander la vaccination aux femmes enceintes, bien qu’une analyse correcte des données initiales montre que 82 % à 91 % des femmes enceintes vaccinées dans les 20 premières semaines de leur grossesse subissent des fausses couches. »(([3] Les enfants sacrifiés du covid))

Et malheureusement la série noire continue…

Dans le fort intéressant article de Laurent Aventin dans le courrier des stratèges(([4] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/19/les-vaccins-covid-accroissent-ils-la-disparition-des-enfants-a-naitre/)), de nombreuses informations nous inquiètent :

« En Occident, le taux « naturel » de fausses couches toutes choses égales par ailleurs, est environ de 10 à 13 % des grossesses, ce qui est déjà très élevé. Au cours d’une émission américaine The Ben Armstrong Show, Malcom Roberts du Queensland en Australie fait remonter les statistiques d’une clinique gynécologique où le taux de fausse couche a atteint 50 % chez les femmes enceintes vaccinées et jusqu’à 75 % chez celles qui ont été vaccinées au cours du 1er trimestre de la grossesse. »

Malgré l’absence de réaction de prudence de l’ANSM fin mars 2022(([5] Au 25 mars 2022, l’ANSM indique qu’« À ce jour, aucun signal n’a été identifié chez les femmes enceintes et allaitantes avec l’ensemble des vaccins contre le Covid-19 disponibles en France », la HAS recommande la vaccination pour les femmes enceintes de plus de 35 ans notamment et celles qui pourraient être en contact avec des personnes infectées. » COMMENT EST-CE POSSIBLE ?)), il est capital d’informer la population et singulièrement d’alerter les femmes enceintes.

Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale après vaccin administré aux États-Unis avait en fait massivement augmenté (d’environ 2000 %) depuis la mise à disposition des vaccins COVID. (…)

Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de “s’abstenir de rapports hétérosexuels” et de ne pas donner de sperme.

Jusqu’à avril 2022, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont enregistré 550 millions d’injections de COVID administrées depuis la campagne de vaccination Covid (fin 2020), avec 3 725 morts fœtales déclarées, un décès fœtal pour 147 651 injections.

Il indique qu’il y a eu quatre milliards d’injections vaccinales administrées (autre que Covid) de 2006 à 2019, avec 1 368 décès fœtaux, soit un décès fœtal pour 3 millions d’injections.

Depuis que les injections de Covid sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux ».

Déni collectif, mais la justice a imposé à Pfizer de rendre publics les documents classés secrets jusque là et les révélations tombent et changent les choses.

Un document de Pfizer  Wayback Machine (archive.org) exigé de la Federal Drug Administration (FDA) en 2021 dans le cadre du Freedom of Information Act (FOIA) montre des résultats inquiétants pour les femmes enceintes au cours de l’essai clinique de Pfizer (dans le cadre du Biological License Application, procédure permettant de valider la mise sur le marché du vaccin).

À la page 12 de ce document (Wayback Machine—archive.org) apparaissent les événements indésirables signalés chez les femmes enceintes ou allaitantes qui ont reçu l’injection sur la période du 1er décembre 2020 au 28 février 2021 dans différents pays à partir de sources diverses internes à Pfizer et d’autres sources extérieures :

23 des 32 grossesses au cours desquelles les parturientes ont reçu un vaccin Pfizer contre Covid se sont terminées par des avortements spontanés.

 Le Dr Peterson Pierre rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.

« Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établis. »

Les femmes enceintes et allaitantes ayant été exclues de l’essai clinique transmis à la FDA pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.(([6] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique article très complet à lire impérativement))

Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques validées. Or il n’y en a pour l’instant aucune.

Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].

Une étude parue en novembre 2021(([7] Karrow NA. Maternal COVID-19 Vaccination and its potential impact on fetal and neonatal development. vaccines. 2021 Nov 18; 9(11):1351. DOI:10.3390/vaccines9111351.)) met aussi en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal :

  « Nous n’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer.»

Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques possibles pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Comment peut-on entendre sur France info la publicité lancinante pour inciter à la vaccination des femmes enceintes en avril 2022 ? Comment en est-on arrivé là ?

L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour fin mars 2022, et identifie 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9].

L’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », mais réalise en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.

Enfin, des médecins de l’armée américaine(([8] Des données de l’armée américaine remettent en cause le discours sur la sécurité des vaccins — ANTIDOTES (wordpress.com) )) attirent l’attention sur une explosion des effets délétères au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins anticovid :

  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

(Les mêmes constatations sont faites pour l’explosion des cancers, des accidents vasculaires, etc.)

Ainsi plus les mois passent, plus les données scientifiques sont inquiétantes, faisant craindre une baisse de la natalité mondiale. But recherché de l’injection covid ou conséquence inattendue de l’absence d’essai incluant les femmes enceintes ?

PROTÉGEZ VOS BÉBÉS !

Mise à jour




Liste complète de la prochaine génération de jeunes leaders mondiaux du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab

[Source : aubedigitale.com]

Par JADE

Les objectifs du Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab vont bien au-delà de la refonte de l’économie. Ils veulent vous refaire physiquement, vous, vos enfants et les enfants de vos enfants. Ils veulent que vous ne possédiez rien et que vous soyez heureux.

Le FEM contrôle l’élite mondialiste depuis plus longtemps qu’on ne le croit. Les Young Global Leaders de Klaus Schwab ont été installés comme marionnettes à la tête de pays du monde occidental. Des sommités de la gauche radicale comme Justin Trudeau au Canada, Emmanuel Macron en France et Jacinda Ardern en Nouvelle-Zélande, ainsi que les milliardaires Bill Gates et Jeff Bezos, en sont les exemples les plus flagrants.

[Voir aussi :
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».
Les valeurs familiales de Schwab
La Suisse a offert à Klaus Schwab le statut d’Organisation internationale. Une révolution antidémocratique
La funeste illusion de Klaus Schwab pour sa Grande Réinitialisation
La quatrième phase de Schwab
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Des « camps de rééducation » pour ceux qui seront réfractaires à la Grande Réinitialisation ?
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….]

Nous disposons désormais d’une liste complète des futurs leaders mondiaux du FEM. Vous seriez bien avisé de conserver cette liste pour toute référence future. Si l’on considère les régimes répressifs dirigés par la première génération de jeunes leaders mondiaux du FEM, et si l’on connaît les plans que le FEM a en réserve pour l’humanité, on ne peut que supposer que cette nouvelle génération de leaders est formée pour être encore pire .

La classe 2021 des Young Global Leaders de Klaus Schwab comprend le lieutenant-gouverneur de l’État du Michigan, un vice-président senior d’Uber, le militant raciste Ibram X Kendi et des cadres de Dow, Pfizer et Merck, entre autres.

Des pays du monde entier sont représentés dans la dernière cuvée de 112 futurs leaders mondialistes du FEM. Selon leur site web, les Young Global Leaders se composent de « plus de 1 400 membres et anciens membres de 120 nationalités ». Ces personnes sont formées pour « [s’]aligner sur la mission du Forum économique mondial », qui est de « stimuler la coopération public-privé dans l’intérêt public mondial ». Le FEM est connu pour sa réunion annuelle des élitistes à Davos, une station alpine en Suisse. Rapport de la Fondation Rair :

Le Forum économique mondial encourage le dangereux virage de la fusion continue des gouvernements avec les grandes entreprises, décrite comme une « coopération public-privé ». Cette « coopération » est également illustrée par ce que l’on appelle le « capitalisme participatif », qui permet à l’industrie de ne plus fonctionner sur la base du profit. À terme, un tel système serait contraint de se replier sur lui-même, mais les élitistes mondialistes ne semblent pas trop s’en inquiéter.

Vous pouvez faire défiler la liste de la classe 2021 du Young Global Leader par région. Voici la liste représentant l’Amérique du Nord :

  • Daniel Ahn, Global Fellow, The Woodrow Wilson International Center for Scholars, États-Unis.
  • Peter Biar Ajak, Visiting Fellow et Adjunct Faculty, Africa Center for Strategic Studies, États-Unis.
  • Adriana Cargill, journaliste radio indépendante, États-Unis.
  • Arvan Chan, Vice-président senior ; Directeur des opérations, International, Centene, États-Unis.
  • Alexis Crow, Directeur mondial, Geopolitical Investing, PwC, États-Unis.
  • Abasi Ene-Obong, Directeur général et Fondateur, 54gene, États-Unis.
  • Jocelyn Formsma, directeur exécutif, Association nationale des centres d’amitié, Canada.
  • Garlin Gilchrist II, Lieutenant Gouverneur, Etat du Michigan, États-Unis
  • Pierre-Dimitri Gore-Coty, Vice-président principal, Livraison, Uber Technologies, États-Unis.
  • Megan Greenfield, Partenaire, McKinsey & Company, États-Unis
  • Jessica Jackson, Responsable du plaidoyer, Reform Alliance, États-Unis.
  • Gadeer Kamal-Mreeh, Envoyé spécial principal, Amérique du Nord, Agence juive, États-Unis.
  • Brian Kaufmann, Chef, Investissements privés ; Gestionnaire de portefeuille ; Membre du Comité de gestion, Viking Global Investors, États-Unis.
  • Conrod Kelly, Directeur général, Chili, Merck & Co, Inc, États-Unis.
  • Ibram X Kendi, Directeur du Centre de recherche antiraciste, Université de Boston, États-Unis.
  • Haley Lowry, Directrice du développement durable, Dow, États-Unis.
  • Lukas Nelson, chef de groupe, Promise of The Real, États-Unis.
  • Amit Paley, directeur général et directeur exécutif, The Trevor Project, États-Unis
  • Emily Serazin, Directrice générale et partenaire, Boston Consulting Group (BCG), États-Unis.
  • Liam Sobey, vice-président, Merchandising, Sobeys Inc, Canada.
  • Vasudha Vats, vice-présidente, Pfizer, États-Unis.
  • Hitesh Wadhwa, vice-président, ventes et initiatives stratégiques, Tech Mahindra, États-Unis.
  • David Alexander Walcott, fondateur et associé gérant, Novamed, États-Unis.

Mais le Forum économique mondial ne veut pas seulement refaire l’économie, il veut aussi refaire l’humanité..

Biologie synthétique

La biologie synthétique va refaire le monde. Les outils dont disposent les scientifiques aujourd’hui offrent un vaste potentiel pour faire du bien ou du mal. – Lieutenant-colonel Marcus A. Cunningham, USAF, Strategic Studies Quarterly, automne 2020.

Une partie de la vision de Schwab semble être son itération folle de la « biologie synthétique », qui a été décrite comme « la conception et la construction de modules biologiques, de systèmes biologiques et de machines biologiques ou la reconception de systèmes biologiques existants à des fins utiles ». En substance, la biologie synthétique est un terme générique qui inclut une obsession marginale bizarre avec le transhumanisme, ou la « fusion des êtres humains avec la technologie ».

Un article choquant publié en novembre 2020 sur LifeSite News présente le Dr Miklos Lukacs de Pereny, professeur de science, de technologie et d’innovation à l’université de San Martín de Porres au Pérou. Le professeur est cité comme expliquant que la quatrième révolution industrielle « n’est rien d’autre que la mise en œuvre du transhumanisme au niveau mondial. »

En effet, en 2016, Schwab a déclaré que cette « quatrième révolution industrielle » conduira « à une fusion de nos identités physique, numérique et biologique. »

La vision de Schwab est tellement scandaleuse qu’il devrait évidemment être rejeté d’emblée comme un fou. Mais au lieu de cela, les élites mondiales autoproclamées assistent avec empressement aux conférences de Schwab et s’inscrivent pour devenir des « Young Global Leaders ».

Si la « Quatrième révolution industrielle » est la vision de Klaus Schwab pour refaire l’humanité et l’économie mondiales, alors la rampe de lancement est la « Grande réinitialisation ». Le véhicule du Grand Reset, bien sûr, est la pandémie de coronavirus.




Ce néo-fascisme qui veut nous faire faire la guerre mondiale

[Transmis par Christine Côte]

Par Fred Boutet

« Le fascisme peut revenir. À condition qu’il s’appelle anti-fascisme » 

Pier Paolo Pasolini

Le vote pour Macron aurait été pour empêcher le fascisme ?
Ce qui se passe, c’est justement l’installation de la pire des dictatures néo-fascistes que l’Europe ait jamais connue. Le programme de « la Macronie » 2022-2027 décrypté par un économiste : réduction des fonctionnaires et des prestations sociales à des niveaux jamais vus auparavant.

https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/economie/cet-economiste-ebranle-tout-le-plateau-de-bfm-business-en-pointant-du-doigt-un-document-transmis-a-l-ue

Moins de fonctionnaires, donc :

  1. McKinsey et compagnie vont faire des rapports et décider de ce qui va se passer en France et en Europe, et
  2. les machines numériques qui vont remplacer les fonctionnaires au contact du public, des millions de gens — y compris professeurs et médecins — vont perdre leur boulot (avec le covid, le diagnostic d’un médecin est remplacé par un test !)

De moins en moins d’emplois (trajectoire unique de la société industrielle),
donc besoin d’aides sociales (RSA, revenu universel),
mais pas « gratuit » : crédit social à la chinoise.
Bref, Macron a le programme d’Hitler : je mets tout le monde au travail. Et lequel de travail ? Ben, combattre la Russie pardi !
La guerre contre un virus n’était qu’un amuse-gueule.

Voici deux lectures importantes :

  • document « La situation s’envenime » (dans les semaines à venir, probablement l’escalade avec les premières frappes russes sur des convois d’armes livrés par l’O.T.A.N. à Zelenski) :
  • Vladimir Poutine qui s’adresse directement à nous, peuples occidentaux :



Si les gens ne veulent pas faire la guerre ? Ben ils auront faim :

Ci-dessous des graphiques, la réalité telle qu’elle est. Rien de plus.




Macron lit-il les statistiques de l’OMS avant de critiquer la chloroquine et de soutenir le Vax ?

Par Dr Nicole & Gérard Delépine

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Lors d’une interview récente, E. Macron pensait discréditer sa rivale en affirmant « si Le Pen avait été au pouvoir vous auriez eu la chloroquine et pas de vaccin » espérant ainsi s’attirer la reconnaissance d’un électorat bien conditionné par la propagande des médias.

© BFMTV Emmanuel Macron face à la presse le 12 avril à Mulhouse :

« Je n’oublie pas ce que Madame Le Pen a dit constamment pendant la crise du Covid », a déclaré Emmanuel Macron lors d’un micro-tendu, avant de détailler: « Elle allait soigner les gens à la chloroquine. Elle allait vacciner les gens avec un vaccin russe dont même l’Organisation mondiale de la santé a déclaré qu’il n’était pas efficace… Et elle a critiqué assez méthodiquement toutes les décisions prises par le gouvernement, sans lesquelles nous n’aurions pas tenu« .

Et pourtant ce fut une des meilleures déclarations de MLP pendant cette crise du covid, et le plus beau compliment qu’il peut lui faire. Oui, il fallait traiter les patients de covid19 par l’hydroxychloroquine dont l’efficacité se confirme à long terme. Ecoutez la récente interview du Pr Raoult et du Pr Millon : Chloroquine & Censure – YouTube

Et l’analyse complète du PR Million

Présentation complète du Pr Million : https://filesender.renater.fr/?s=down…

Il devrait aussi lire les résultats des injections expérimentales tels qu’ils sont publiés par l’OMS et l’université John Hopkins et reproduits en français dans :

Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Qu’il s’agisse de l’échec des injections Pfizer en Israël :

Ou de l’échec des injections Astra Zeneca et autres en Grande Bretagne :

Si Macron était mieux informé, il aurait évité cet argument de la chloroquine inefficace et du vaccin salvateur car il clame ainsi son ignorance des données avérées de l’OMS qui démontrent que les pays qui ont utilisé la chloroquine pleurent en moyenne dix fois moins de morts Covid que ceux qui comme la France ont appliqué la stratégie du tout vaccin.

Les pays qui ont utilisé l’hydroxychloroquine sont essentiellement africains

Les pays africains tropicaux sont des zones d’endémie du paludisme et leurs populations prennent tous les jours des antipaludéens. Certaines régions de l’inde et du Pakistan vivent sous la même menace et utilisent la même protection. L’Inde après examen des données avérées par son comité Covid a axé officiellement sa stratégie Covid sur les traitements précoces et même préventifs par HCQ (hydroxychloroquine), antibiotiques et ivermectine. L’Algérie a fermement conseillé et largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid19.

Les pays occidentaux riches ont au contraire suivi les recommandations de l’OMS, officiellement refusé la chloroquine et imposé la vaccination forcée.

Les données de l’OMS mises en graphique par l’Université John Hopkins prouvent que la stratégie du tout vaccin aboutit à une mortalité 5 à 20 fois supérieure à celle centrée sur la chloroquine.

Si Le Pen avait été au pouvoir et permis aux médecins d’utiliser la chloroquine comme le conseillaient les Professeurs Raoult et Perronne, et de nombreux autres en France et à l’étranger, nous déplorerions 120000 à 130000 morts de covid de moins !

Avant de s’autoglorifier de sa politique sanitaire que lui a conseillée McKinsey, le candidat Macron et le collège des généralistes enseignants feraient bien de vérifier les données que l’OMS publie sur OMS Covid Dashboard !

Auteurs : Dr Nicole & Gérard Delépine




La vaccination Covid : un marquage de « type bétail » pour prendre le contrôle de nos vies

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Le directeur général de GAVI (L’alliance mondiale du vaccin), Seth Berkley, explique que « la vaccination a besoin d’un coup de pouce technologique par des systèmes d’identification numériques sécurisés pouvant stocker les antécédents médicaux d’un enfant ». Il fallait bien que ce soit le copain de Bill Gates qui l’annonce sinon cela aurait pu susciter des soupçons. Voici comment l’élite mondialiste prévoit de conduire les populations au marquage numérique grâce à l’épidémie de Covid et la vaccination.

Quelle coïncidence ! Il se trouve que Bill Gates – l’ami de Seth Berkley – qui siège également au conseil d’administration de GAVI et du CEPI, les deux mamelles de la politique mondiale de vaccination avec en toile de fond l’OMS et l’industrie pharmaceutique – dispose déjà de cet outil dans sa besace.

[Voir aussi : Dossier Implants numériques]

Certains l’ont déjà oublié mais en 2019, le soi-disant philanthrope avait déjà testé son dispositif dans deux pays d’Afrique, le Kenya et le Malawi où les gouvernements sont moins regardant sur les questions d’éthique. Avant l’épidémie de Covid, Bill Gates testait déjà cette innovation technologique avec la collaboration du MIT, il l’a donc financée des années avant. Voici que cette innovation va maintenant servir pour marquer la population mondiale.

La numérisation des carnets de vaccination

Une vidéo de 2 minutes nous explique la suite, c’est-à-dire l’agenda tel qu’il va être maintenant déroulé et auquel collabore – plutôt avec zèle – le transhumaniste Macron.

« En fournissant à chaque enfant une identité biométrique numérique, GAVI double ses efforts en devenant membre fondateur d’ID 2020, un partenariat public privé (Microsoft et GAVI sont parties prenantes) qui a évolué vers l’essor de l’identité biométrique numérique mondiale.

Ce vaccin peut être administré à l’aide d’un patch soluble via un réseau de micro-aiguilles solubles qui délivre un motif de microparticules sur la peau émettant de la lumière dans l’infrarouge proche de la peau (du point de vaccination). Elles délivrent une marque de particules sur la peau des vaccinés qui sont invisibles à l’œil nu mais sui peuvent être visualisés à l’aide de smartphones équipés (lecteur). Quelque chose comme un code barre tatoué.

Kevin McHugh, professeur assistant en bioingénieurie à la faculté de Rice (USA) et cocréateur du marquage sous cutané des vaccins financés par Gates déclare : « La fondation Bill et Melinda Gates est venue nous voir et nous a dit : Hé, nous avons un vrai problème pour savoir qui est vacciné (…) donc notre idée était de mettre le marquage sur la personne ». Ce sera un marqueur numérique lié à une identification biométrique. Bien sûr, cette petite équipe ne s’est pas embarrassée de savoir si marquer les êtres humains comme du bétail pouvait poser un problème éthique.

Un système de contrôle liberticide pensé depuis de nombreuses années

Bill Gates s’exprime dans la même vidéo (cf. supra) : « Par la suite nous devrons avoir un certificat garantissant le rétablissement ou la vaccination des personnes ». C’est actuellement mis en œuvre par un certain nombre de gouvernements. Onfido – dans laquelle Miscrosoft a investi en 2017 – propose déjà une application à l’aide d’une reconnaissance faciale et d’autres données biométriques reliant ces informations à un test d’anticorps Sars-Cov 2 ou à une preuve de vaccination contre le coronavirus.

Les citoyens vaccinés peuvent ensuite se faire prendre en photo pour prouver leur immunité à chaque fois qu’ils souhaitent accéder à un espace restrictif (c’est à dire réglementé par les autorités publiques comme en Chine dès qu’on veut sortir de chez soi).

En 2012, la Fondation Bill et Melinda Gates (encore et toujours) a aidé à fonder la Better Than Cash Alliance – dans laquelle on retrouve le système des Nations-Unies, l’USAID et la BERD – afin d’accélérer la transition vers les paiements numériques à l’échelle mondiale. Ils travaillent à un basculement du monde vers un système de paiement numérique lié à l’identité biométrique.

La vidéo conclue sur les différents niveaux de contrôle de la population qui s’emboitent comme les pièces d’un puzzle et qui sont conduits simultanément en les justifiant sous des motifs fallacieux, que les populations acquiesceront… ou pas.

Le vaccin n’est pas fait pour Covid mais Covid pour vacciner la population mondiale

La campagne de vaccination est liée à la campagne d’identification biométrique (numérique) qui est elle-même liée à la campagne de numérisation de la monnaie et à la disparition programmée de la monnaie papier.

Gates et ses partenaires gouvernementaux, conduits par McKinsey dont Macron est un fervent consommateur – car c’est eux qui donnent les instructions du Great Reset comme s’ils étaient indépendants – imposeront les vaccins aux populations afin que nos données biométriques soient saisies et enregistrées au niveau national, associées à une identité numérique puis intégrées à un réseau mondial.

Ces identités numériques seront liées à toutes les actions et transactions. Ces dernières pourront être jugées illégales par ceux qui les contrôlent – nos gouvernements – et bloquer toute transaction financière. Ceux qui ne se conformeront pas à la doxa, ne pourront plus ni acheter ni vendre.  

Chaque transaction et mouvement de chaque citoyen seront analysés en permanence et les données enregistrées en temps réel sur des super ordinateurs. Si les citoyens ne s’y opposent pas fermement, tout sera sous contrôle de ceux qui prendront nos vies : un système d’identification biométrique lié à une infrastructure de paiement numérique sera utilisé pour suivre, cataloguer et contrôler chaque mouvement, chaque transaction et chaque interaction des citoyens. Pour cela une micropuce biométrique sera injectée dans le corps et servira de passe identitaire, de passe sanitaire, de moyen de paiement numérique…seul autorisé.

Une fois cette structure du mal acceptée, il ne sera plus humainement possible d’en sortir. Accepter la vaccination revient à se soumettre à cet agenda liberticide et mortifère.




Quel bénéfice les Français trouvent-ils à élire un président qui utilise une partie de leurs impôts pour engraisser des sociétés privées, surtout lorsqu’elles sont étrangères ?

Barbara Lefebvre sur RMC

[Voir aussi :
Affaire McKinsey : quelques vidéos pour ceux qui n’ont pas envie de lire
McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale »
Les nombreuses fois où McKinsey a été mêlé à des scandales
L’opportun scandale Servier qui cache la forêt McKinsey
McKinsey Gate — Suite
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?]

Bonus

   Mais si, mais si, « IL LE PEUT » !
   C’est-ce qu’il fait depuis des années !

Turiya




Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?

[Source : agoravox]

Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?

Lien vers les vidéos : 

Partie 1 : https://youtu.be/ZPCkx1zwY20

Partie 2 : https://odysee.com/@decoderleco:c/surmortalite_jeunes_vaccins



Une surmortalité trop fréquente partout en Europe

Pour savoir si un pays a plus de morts que l’attendu, Euromomo propose un z-score par pays et semaine. Le z-score est la différence entre le nombre de décès constaté (x) et le nombre de décès attendu (μ) divisé par l’écart-type de la distribution (&#120648 ;).

S’il est positif, c’est qu’il y a une surmortalité et s’il est négatif c’est qu’il y a une sous-mortalité. Il sera d’autant plus grand que la différence entre les décès constatés et les décès attendus est éloignée des différences habituelles.

On constate alors que les z-score des 15-44 ans sont très souvent positifs depuis le milieu de l’année 2021 pour une grosse majorité de pays. La plupart des pays ne franchissent pas la courbe en pointillés représentant une surmortalité anormale. En revanche, au niveau européen, lorsque les données des pays sont agrégées, on observe ce franchissement. Cela signifie qu’en Europe, on constate une légère surmortalité partout en même temps.

Pour se rendre compte que cette surmortalité est vraiment anormale dans chaque pays, même si elle ne franchit pas les pointillés, faisons l’hypothèse qu’elle est due au hasard. Constater une surmortalité ou une sous-mortalité revient alors à jouer à pile ou face. Entre la semaine 20 et la semaine 52 de 2021, il y a 33 semaines. Cela représente donc 33 lancers. Cela fait 2^33 résultats possibles (soit un peu plus de 8,5 milliards). Le nombre de lancers où l’on obtient k fois « pile » est donné par la formule :

On peut alors calculer la probabilité de faire n’importe que nombre de fois « pile » en 33 lancers.
La probabilité de chaque résultat est donnée par la courbe ci-dessous :

En 33 lancers, on réalise entre 9 et 24 « pile » dans 99,5 % des cas. Sur 33 semaines, nous pouvons donc considérer « normal » d’avoir un z-score négatif entre 9 et 24 fois. Il n’y a qu’une chance sur 200 d’obtenir moins de 9 z-score négatifs ou plus de 24 z-score négatifs sur 33 semaines.

On constate alors qu’en 2021, le z-score est très peu souvent négatif pour une majorité de pays d’Europe. Par exemple, en France, il n’y a que 3 semaines qui ont un z-score négatif. Sur les 26 zones considérées, 12 ont moins de 9 z-scores négatifs sur 33 périodes (et 3 en ont plus de 24). Cette situation est exceptionnelle au regard des mêmes périodes les années précédentes. Le résultat est sans appel : il y a trop de morts en 2021 depuis cet été chez les 15-44 ans selon les projections euromomo.

Une vérification s’impose

Évidemment, découvrir qu’il y a plus de morts que prévu impose de vérifier l’origine de la prédiction, tout spécialement en période de « crise ». En effet, depuis 2 ans nos institutions composées de « grands spécialistes » poussent des cris d’orfraie devant « l’hécatombe Covid » en oubliant que la population vieillit et que des hausses mortalités « anormales » arrivent en fait tous les 2 à 3 ans. Malheureusement, Euromomo ne nous donne pas le détail du calcul de son z-score. Il nous faut donc télécharger les données pour vérifier par d’autres méthodes si nous trouvons les mêmes résultats. Pour mémoire, toutes les données utilisées sur la chaîne Décoder l’éco sont publiques et en provenance des instituts officiels, et tous mes programmes sont publics et en ligne sur github. J’invite tout chercheur qui souhaiterait les utiliser à me contacter si besoin.

La majorité des pays d’Europe fournit les données de décès hebdomadaires et de population par tranche d’âge. Nous pouvons donc reconstruire une prévision des années 2019, 2020 et 2021, à partir des années 2013 à 2018, pour mesurer toute surmortalité.

Nous avons réalisé 2 projections différentes pour vérifier si elles sont cohérentes entre elles et avec celle d’euromomo. Les tranches d’âge sont les 15-24 ans, les 25-49 ans, les 50-59 ans, les 60-69 ans, les 70-79 ans et les plus de 80 ans. Comme Euromo, nous réalisons des projections hebdomadaires.

Ces projections doivent nécessairement prendre en compte :

–    1) L’évolution tendancielle du nombre de décès (due à l’évolution de la pyramide des âges et éventuellement à celles des quotients de mortalité) ;

–    2) La saisonnalité (plus de décès en été pour les jeunes, plus de décès en hiver pour les plus âgés).

Par exemple, pour les 70-79 ans au Danemark, on constate qu’il y a de plus en plus de décès. Cela signifie que cette population augmente à cause du vieillissement des baby-boomers. De plus, les décès sont bien plus nombreux l’hiver que l’été pour cette tranche d’âge. On les relie aux maladies hivernales. Notre projection doit donc prévoir cette hausse des décès et cette mortalité hivernale.

À l’inverse, le nombre de décès des 15-24 ans en Pologne a tendance à baisser. La Pologne est également un pays qui vieillit. On y trouve de moins en moins de jeunes. Contrairement aux personnes âgées, les décès sont plus nombreux l’été. On les relie aux comportements à risque des jeunes pendant cette période. Notre projection pour les jeunes doit continuer cette baisse et prévoir plus de morts l’été.

De manière naturelle la saisonnalité sera gérée en utilisant pour chaque semaine que l’on souhaite projeter les mêmes semaines des années du passé. Par exemple, la prédiction de la semaine 10 de 2020 est construite à partir des semaines 10 des années 2013 à 2018.

La tendance longue est gérée de manière différente dans les 2 modèles.

–    Le premier modèle ne tient compte que du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine. Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès, de manière linéaire, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que toutes les tendances d’évolution de population et de quotients de mortalité se prolongent 3 années de plus. La courbe rouge représente les décès observés et la courbe grise les décès prévus par le modèle. La partie noire est la période servant à la construction du modèle et la partie violette est la partie testée.

Il suffit ensuite de calculer la différence entre le modèle et la réalité pour savoir s’il y a une surmortalité ou une sous-mortalité. Avec ce modèle, le constat est simple : quasiment tous les pays connaissent une surmortalité depuis l’été 2021 chez les jeunes. Par exemple, si on somme tous nos pays d’Europe fournissant les données, on obtient le graphique ci-dessous pour les 15-24 ans. Une barre rouge représente une surmortalité et une barre verte une sous-mortalité. La courbe bleue représente une tendance de 6 semaines. Elle reste nettement au-dessus de 0.

–    Le deuxième modèle tient compte du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine et de la population de cette tranche d’âge chaque semaine. Pour se faire, le modèle calcule la mortalité standardisée par âge (retrouvez le détail du calcul des décès standardisés dans cette vidéo). 

Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès standardisés, de manière linéaire, comme précédemment, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que les changements du nombre de décès d’une année sur l’autre s’expliquent par l’évolution de la pyramide des âges et par l’évolution de la tendance des quotients de mortalité. On retrouve encore le même résultat : les jeunes meurent trop.

Donc, quel que soit le modèle que l’on choisit pour projeter les décès, que ce soit les modèles Euromomo ou ceux que nous venons de voir, on conclut qu’il y a trop de décès chez les jeunes européens depuis l’été 2021. Mais pourquoi meurent-ils ? Que s’est-il passé de spécial dans une majorité de pays d’Europe depuis l’été 2021 ?

Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal

Nous venons donc de voir que nos jeunes européens meurent trop depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.

En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de Santé. Aux États-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants.

Nombre de remontées de pharmacovigilance déclarées sur Eudravigilance au 17/02/2022 :

Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins. Pour s’assurer que les travaux de cette commission permettraient réellement de conclure sur le sujet et pas d’enterrer cette question, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans le Système National des Données de Santé (SNDS). Elles nous permettraient de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès. Cette demande, pourtant naturelle et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions.

Il y a donc une censure extrêmement grave de la part de la commission du Sénat, qui refuse que soit rendue publique la possibilité de cette analyse de la mortalité post-vaccinale. Pour dénoncer cette censure, Laurent Mucchielli a écrit une tribune déjà signée par plus de 600 chercheurs, scientifiques, avocats et professionnels de santé. Il est nécessaire aujourd’hui de mettre en lumière ce refus du Sénat et d’obliger le gouvernement à publier ces données essentielles. De quoi peut donc bien avoir peur le Sénat ? Pourquoi l’analyse de la mortalité à la suite d’injections de vaccins sûrs et efficaces poserait problème ? N’aurait-on pas dû suivre précisément les chiffres de mortalité suite aux injections depuis plus d’un an ? En particulier avant de les proposer aux enfants et de forcer la main aux plus de 12 ans ?

Des surmortalités synchronisées avec les campagnes vaccinales

Le site de l’ecdc fournit une base de données du nombre de vaccins distribués dans chaque pays, chaque semaine, et par tranche d’âge. Il est alors possible de joindre ces données de vaccination aux données de mortalité que nous avons calculées précédemment. 

On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne. Ces hausses sont visibles aussi bien avec le modèle de mortalité simple qu’avec le modèle de mortalité standardisée. 

Il faut souligner que, si ces injections engendraient des problèmes de santé, on aurait exactement les mêmes courbes. On observerait tout d’abord des hausses de mortalité pour les quelques personnes qui ne supportent pas l’injection et qui font une réaction forte, puis une mortalité un peu plus élevée que d’habitude pour les personnes que l’injection a rendues durablement malades. Voici une dizaine d’exemples parmi tous les cas possibles :

Pour les 15-24 ans du Portugal et de Pologne, on observe une surmortalité au moment des campagnes vaccinales. Elle est particulièrement forte au Portugal qui a injecté 95 % de sa population jeune en très peu de temps, et plus diffuse en Pologne qui n’a injecté que 55 % de ces jeunes et sur un temps plus long.

Pour les 25-49 ans en Estonie et en Hongrie on observe également des hausses de mortalité au moment des injections. La Hongrie est le premier pays à avoir massivement vacciné ses jeunes et connaît une hausse de mortalité très tôt dans l’année.

Pour les 50-59 ans en France et en Grèce on observe différentes vagues de mortalité depuis le début des campagnes vaccinales également.

Pour les 60-69 ans en Autriche et en Croatie les courbes de surmortalité épousent presque parfaitement les courbes des vaccinations.

Pour les 70-79 ans au Danemark et en Italie on observe bien une surmortalité au printemps, au moment où la mortalité hivernale est censée descendre. Tout se passe comme si les injections avaient déclenché une nouvelle vague de mortalité hivernale dans l’année. Pour mémoire la vague de mortalité d’octobre 2020, a lieu exactement au moment des injections des vaccins antigrippaux.

En plus de ces concordances sur les graphiques, nous avons vérifié si un pic de vaccination correspond à un pic de décès. Vous trouverez les résultats en ligne sous forme de tableau. Pour cela nous regardons les 2 plus gros pics de surmortalité depuis le début de la vaccination, et nous vérifions s’ils se trouvent à moins de 2 semaines d’un pic de vaccination. Par exemple, il y a en moyenne 41 semaines depuis le début de la vaccination des 25-49 ans. Il y a donc une probabilité de 5 sur 41 (soit 12 %) que le plus gros pic de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Il y a une probabilité de 23 % que l’un des 2 plus gros pics de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Nous constatons que sur nos 17 pays étudiés, cela arrive dans 40 % des cas, ce qui est significativement trop : les pics de mortalité sont trop souvent proches des pics vaccinaux pour que cela soit dû au hasard. Les pics de mortalité des jeunes sont trop souvent proches des pics de vaccination des doses 1 et 2, et les pics de mortalité des plus âgés sont trop souvent proches du pic de vaccination de la dose 3.

Nous ne sommes pas les seuls à trouver toutes ces concordances. Le chercheur belge Patrick Meyer a publié un préprint qui conclut à un lien significatif entre le nombre d’injections et la surmortalité dans de nombreux pays européens en utilisant des méthodes de machine-learning. Les chercheurs Sprio Pantazatos et Hervé Seligmann ont publié un préprint montrant un lien entre le nombre de personnes vaccinées et la surmortalité constatée dans les différents États américains. Les chercheurs Steve Ohana et Alexandra Henrion-Caude ont également publié un préprint montrant les liens entre la vaccination et les hausses de mortalité des jeunes en Israël. C’est également ce que montre Christof Kuhbandner sur les données détaillées allemandes.

Il est assez surprenant de voir autant de statistiques aller dans le même sens, sans que cela ne fasse aucun bruit dans les médias. Ce sont pourtant ce genre de statistiques qui ont amené autant de monde à conclure qu’un virus était responsable des hausses de mortalité. On se demande donc à quoi joue la commission du Sénat en refusant d’étudier la mortalité toutes causes post-vaccinale. Qui a conseillé à la commission d’enterrer cette requête de Laurent Toubiana ? Est-ce le même cabinet de conseil qui depuis le début de la crise conseille la DREES dans ces choix statistiques ?

Quelle que soit votre opinion sur les vaccins, les virus ou la pandémie de Covid-19, la seule chose certaine c’est que nous n’aurons jamais les réponses à nos questions si nous n’exigeons pas d’avoir tous les éléments. Nous avons donc tous besoin d’avoir les chiffres à disposition pour enfin savoir et trancher. Il faut absolument forcer le Sénat et le Ministère de la Santé à publier toutes ses données. C’est une question vitale de Santé Publique et même de Souveraineté et de Démocratie. Au-delà même de cette question des vaccins, il est nécessaire de nous battre pour obtenir le droit de savoir et de décider.




Les conséquences sociétales catastrophiques de la politique anti-covid du gouvernement Macron

Par Gérard Delépine

L’effondrement du PIB (-10%), la forte dégradation de la balance des comptes (-53,2 milliards d’€), l’explosion de la dette publique (+420 milliards d’€), l’aggravation record de la pauvreté et des inégalités sociales, la division de la nation et le recul de la démocratie ne sont pas les conséquences du Covid mais essentiellement des mesures autoritaires scientifiquement infondées qui ont été imposées, des lois d’exception qui les ont autorisées du refus de tout débat démocratique, de la censure, de la persécution des opposants et du « quoiqu’il en coûte » a plus de 400 milliards d’euros.

La santé économique et politique du pays nécessite de rétablir liberté et confiance. Pour la rétablir il est indispensable de supprimer toutes les obligations prétendument sanitaires, de stopper la propagande mensongère provax permanente, les censures, les diffamations contre les opposants et d’ouvrir enfin un débat démocratique équilibré.

Dans un article précédent,(([1] https://nouveau-monde.ca/le-bilan-de-la-politique-sanitaire-du-quinquennat-de-macron-est-desastreux/)) nous avons dressé le bilan sanitaire sinistre de la politique anti-covid du gouvernement : plus de 100 000 morts qu’on aurait pu éviter si les ukases du gouvernement Macron avaient respecté les données acquises de la science et l’éthique médicale.

Dans ce second article, nous en évaluerons les conséquences sociétales de ce qu’il faut bien appeler une dictature sanitaire du fait de la propagande permanente des médias, l’obscurité des décisions en partie guidées par le cabinet Kinsey, les mensonges d’état, une censure féroce, les diffamations et les persécutions professionnelles et policières des opposants, le non-respect des droits démocratiques fondamentaux…(([2] Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun contre-pouvoir n’ait pu remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures. Nous pouvons le constater à la lecture de la décision du Conseil constitutionnel n° 2020-808 DC du 13 novembre 2020, relative à la loi autorisant la prolongation de l’état d’urgence sanitaire, par laquelle le Conseil constitutionnel refuse de censurer ladite loi alors que : — le gouvernement a utilisé la procédure des votes bloqués (art. 44, al.3 de la Constitution), empêchant ainsi d’adopter un amendement réduisant la période de confinement (amendement qui avait été adopté lors du premier vote).))

Effondrement du PIB (près de -10 %)

En Europe, la baisse du PIB 2020 est directement corrélée à l’intensité et à la durée des mesures restrictives des libertés. L’Espagne (-11 %) et l’Italie (-8,9 %), particulièrement touchées par les confinements lors de la première vague sont les deux États membres qui enregistrent le plus fort taux de récession. Viennent ensuite la Croatie 8,4 %), la Grèce (-8,2 %), le Portugal (-7,6 %) et la France (-8,1 %) ou la chute de la consommation des ménages a atteint 7,1 % et l’investissement a reculé de 9,8 %. Cette baisse du PIB français 2020(([3] https://www.lepoint.fr/economie/covid-19-le-pib-a-chute-de-8-3-en-2020-une-recession-historique-29-01-2021-2411756_28.php)) est à comparer à son augmentation moyenne des dernières années (+2 %), ce qui permet de chiffrer l’impact réel du confinement sur le PIB à -10 %. Nous avons été parmi les plus victimes de contraintes (indice 60 %) et logiquement nous nous retrouvons avec l’une des plus fortes baisses de PIB.

Cette chute du PIB français constitue le record absolu depuis la dernière guerre.

L’Autriche est dans la moyenne de la récession de la zone euro, avec -6,6 % du PIB réel par rapport à 2019. Quant à l’Allemagne, elle accuse un recul de 4,9 % de son PIB par rapport à 2019.

La Finlande (-2,8 %) et la Suède (-2,8 %) qui n’ont pas confiné s’en sortent beaucoup mieux.

Forte dégradation de la balance des comptes

Les mesures pseudo sanitaires ont entraîné une chute des exportations de 16,7 % aggravant le déficit des comptes courants qui a atteint 53,2 milliards € (-2,3 % du PIB) en 2020, alors qu’il était proche de l’équilibre en 2019 (-16,2 milliards €, soit -0,7 % du PIB).(([4] https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/278462.pdf))

Un « quoiqu’il en coûte » a plus de 400 milliards d’€

Prise en charge du chômage partiel (plus de 34 milliards €), fonds de solidarité créé pour aider les petites entreprises et les indépendants (19,4 milliards €), exonération de cotisations sociales des entreprises (8,2 milliards €). Les primes (2 milliards €) : au total environ 60 milliards €.

Forte contraction de l’activité économique réduisant les recettes fiscales et sociales (100 milliards €).

La garantie de l’État de prêts que les banques ont accordé à près de 600 000 entreprises (jusqu’à 300 milliards €), la réassurance publique sur les encours d’assurance-crédit à hauteur de 10 milliards € et celle des crédits-exports de court terme à hauteur de 2 milliards €, soit plus de 310 milliards € d’engagement, dont on ne peut prévoir combien seront effectivement perdus.

« La crise du Covid-19 va coûter 424 milliards € à l’État français sur trois ans » avait annoncé le 13/4/2021 Olivier Dussopt le ministre de l’Action et des comptes publics. Quatre mois plus tard(([5] B Lemaire interview sur France Inter du 30 août 2021
https://www.challenges.fr/economie/la-facture-du-quoi-qu-il-en-coute-s-eleve-a-240-milliards_778588)), B. Lemaire chiffrait les sommes déjà dépensées à 240 milliards €.

Dans son rapport, rendu public le 9 septembre 2021, la Cour des comptes(([6] La Cour des comptes rapport, les dépenses publiques pendant la crise et le bilan opérationnel de leur utilisation rendu public le 9 septembre 2021
https://www.vie-publique.fr/rapport/281413-rapport-sur-depenses-publiques-pendant-la-crise-et-le-bilan-operationnel)) a relevé la forte hausse des dépenses publiques qui représentent 61,8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2020 contre 55,4 % en 2019. Cette « augmentation massive » a contribué à une hausse des déficits publics, de l’État, de l’assurance-maladie et de l’Unedic.

Explosion de la dette publique

En 2019, avant la crise sanitaire, la dette publique de la France s’affichait à 2378 milliards € (97,6 % du PIB) et le déficit à 3,1 %. L’endettement a crû de 232,4 milliards € en 2020 et devrait croître de 185,8 milliards € supplémentaires en 2021. En 2021, la dette publique atteint 2798 milliards € (113 % du PIB) et le déficit 6,5 %.

En deux ans l’impact des mesures sanitaires sur l’accroissement de la dette atteint ainsi 400 milliards € !

Grâce au très faible taux d’intérêt accepté actuellement par les prêteurs la charge de la dette est momentanément contenue, mais elle fait peser une menace considérable sur notre avenir et notre indépendance lorsque les taux remonteront.

Aggravation record de la pauvreté et des inégalités sociales

Les mesures anti-Covid 19 imposées sans fondements scientifiques par le gouvernement Macron (sur les conseils du cabinet McKinsey ?) ont déstabilisé des situations budgétaires déjà très serrées.

Quand les maigres ressources baissent alors que les dépenses augmentent (du fait de la fermeture des cantines scolaires ou de l’augmentation des dépenses d’électricité et de gaz), les privations deviennent quotidiennes.(([7] Secours Catholique, 2020,
www.secours-catholique.org/sites/scinternet/files/publications/rs20-bd.pdf.)) La crise agit ici comme le puissant révélateur d’une insécurité alimentaire(([8] Une personne est en situation d’insécurité alimentaire lorsqu’elle n’a pas un accès régulier à suffisamment d’aliments sains et nutritifs pour une croissance et un développement normaux et une vie active et saine.)) déjà établie.

En 2020, 7 millions de personnes auraient eu recours à l’aide alimentaire, soit près de 10 % de la population française(([9] SECOURS CATHOLIQUE – CARITAS FRANCE ÉTAT DE LA PAUVRETÉ EN FRANCE 2021
https://www.unafo.org/app/uploads/2021/11/rs21.pdf)) contre 2,6 millions en 2006. Du jamais-vu depuis près de 70 ans.

David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a d’ailleurs appelé à cesser d’envisager le confinement comme moyen principal de lutte contre le covid-19(([10] 8 octobre 2020 dans l’hebdomadaire britannique The Spectator))(([11] https://thespectator.info/2020/10/12/who-reverses-course-says-lockdowns-are-too-damaging-and-shouldnt-be-primary-covid-response/)) en pointant les conséquences néfastes de ces mesures :

« Le confinement a des conséquences que vous ne devez jamais minimiser, celle de rendre les gens pauvres, beaucoup plus pauvres. »,

ajoutant :

« les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. ».

L’appauvrissement des pauvres s’est accompagné d’un enrichissement record des ultrariches (27,5 %) aggravant d’autant les inégalités. La banque suisse UBS et le cabinet de conseil PwC dans leur rapport 2020 sur les milliardaires(([12] Riding the storm
https://www.pwc.ch/en/insights/fs/billionaires-insights-2020.html)), estiment à 10 200 milliards dollars la fortune des 2000 plus riches du monde.

Selon le rapport 2022 d’Oxfam(([13] Oxfam rapport 2022 les inégalités tuent
https://www.oxfamfrance.org/rapports/dans-le-monde-dapres-les-riches-font-secession/)) présenté par Quentin Parrinello :

« la fortune des milliardaires dans le monde a plus augmenté en 19 mois de pandémie qu’au cours de la dernière décennie. Depuis la pandémie, le monde compte un nouveau milliardaire toutes les 26 heures, alors que 160 millions de personnes sont tombées dans la pauvreté.

Avec les 236 milliards € supplémentaires engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on pourrait quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

Les 5 premières fortunes de France ont doublé leur richesse depuis le début de la pandémie. Elles possèdent à elles seules autant que les 40 % les plus pauvres en France.

« La hausse des grandes fortunes est un phénomène mondial, mais les fortunes françaises ont particulièrement progressé. Bernard Arnault est le deuxième homme qui s’est le plus enrichi au monde depuis le début de la crise, derrière Elon Musk ».

Une catastrophe éducative sans précédent

Les enfants n’ont rien gagné et énormément perdu des fermetures d’écoles. Les conséquences des fermetures de classes pendant 12 semaines, de l’enseignement à distance, des demi-jauges, du port obligatoire des masques n’ont fait l’objet d’aucune évaluation publiée dans des revues à comité de lecture. Et les multiples demandes de preuves de la CNIL concernant l’efficacité des passes sont toujours sans réponse du gouvernement.

Dès avril 2020, l’ONU avait lancé un cri d’angoisse prémonitoire contre les fermetures de classes :

« 188 pays ont imposé des fermetures d’écoles à l’échelle nationale, touchant plus de 1,5 milliard d’enfants et de jeunes. Il est difficile d’imaginer les conséquences potentielles de ces mesures sur l’éducation des jeunes d’aujourd’hui, et le développement de leur capital humain. »

Dans leur rapport du 6 décembre 2021, la Banque Mondiale(([14] Banque mondiale Les pertes d’apprentissage dues à la COVID-19 pourraient coûter à cette génération d’étudiants près de 17 000 milliards de dollars de gains à vie
https://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2021/12/06/learning-losses-from-covid-19-could-cost-this-generation-of-students-close-to-17-trillion-in-lifetime-earnings)), l’UNESCO et l’Unicef ont estimé que la déscolarisation des enfants risque déjà de leur faire perdre près de 17 000 milliards $ de revenus, soit environ 14 % du PIB mondial actuel.

En France, la fermeture de 12 semaines des classes et les autres mesures anticovidovid-19 ont été responsables d’une forte aggravation du décrochage scolaire(([15] https://www.ouest-france.fr/education/rentree-scolaire/970-000-eleves-ont-decroche-lors-du-confinement-6947547)) qui n’est plus limité aux enfants défavorisés, mais menace maintenant tous les jeunes.

Selon « le Média de l’école »(([16] https://mediadelecole.wordpress.com/2020/11/17/actu-le-confinement-a-multiplie-les-cas-de-decrochage-scolaire/)) les enseignants interrogés définissent un élève désengagé comme un élève qui ne prend plus part aux activités proposées par l’enseignant ou un élève qui ne communique plus. Près de 20 % des élèves ne paraissent pas engagés dans la scolarité depuis le début du confinement. Ils seraient 30 % dans les collèges et lycées des Zones d’Éducation Prioritaire (ZEP). Par ailleurs, 40 % des élèves désengagés n’étaient pas identifiés par leurs enseignants comme des élèves à risque de décrochage, avant le confinement.

Les étudiants ont souffert tout autant des conditions inédites(([17] https://www.studyrama.com/actualite/covid-19-l-impact-de-la-crise-sur-les-conditions-de-107200)) et/ou de l’isolement et des conséquences financières du confinement : 31 % d’entre eux ont déclaré être en détresse psychologique et 10 % des étudiants confinés seuls déclarent avoir bu de l’alcool tous les jours.

43 % des étudiants suivis par M Wathelet(([18] https://www.letudiant.fr/lifestyle/Sante-mutuelle-et-assurance/sante-mentale-la-crise-sanitaire-pese-encore-sur-les-etudiants.html)) présentaient des troubles sévères de la santé mentale : détresse, stress, idées suicidaires, anxiété, dépression…

Entre la perte ou la diminution de l’activité salariée (pour 58 % des étudiants), l’annulation ou le report des stages (78 %) ou encore l’interruption des mobilités internationales et des programmes d’échanges (pour 72 % des étudiants), l’incertitude économique liée aux conséquences économiques des mesures sanitaires rendent les jeunes inquiets pour leur avenir.

25 % des étudiants ont modifié leurs projets d’orientation, et 21 % d’entre estiment que leurs chances d’insertion sont devenues mauvaises en France.

La psychologue M-E Dupont dénonce l’apprentissage à distance et sa grande inefficacité à terme(([19] Marie-Estelle Dupont : « Les Français sont fragilisés par cette pression, ce chantage, cette manipulation… » (lemediaen442.fr) )):

L’enseignement numérique ne permet pas que les informations passent dans la mémoire à long terme. Avec l’ordinateur, vous avez une déprivation sensorielle. Elle a vu des étudiants antérieurement brillants « en état quasi végétatif » en fin d’année scolaire, n’ayant peu ou pas de souvenirs des sujets étudiés. La mémoire immédiate a permis de passer les examens et basta. L’ordinateur désynchronise les cycles cérébraux et c’est la nuit qu’on mémorise. Et si on est tout le temps sur l’ordinateur, on dort mal et on ne mémorise plus.”

L’alternance de cours en direct et de cours à distance entraîne une concentration moindre et une perte d’apprentissage. Nombre d’élèves du primaire ne parviennent plus à rester concentrés ou présentent des phobies scolaires, les lycéens manquent de motivation et décrochent, les étudiants en situation de fragilité économique et affective baissent les bras et abandonnent plus ou moins leurs études.

En septembre 2021, le second baromètre de l’éducation des jeunes en France, un sondage réalisé par Opinion Way(([20] https://www.lejournaltoulousain.fr/societe/decrochage-echec-scolaire-en-hausse-depuis-le-debut-de-la-crise-132438/)) pour les Apprentis d’Auteuil montrait que « près d’un jeune sur cinq se déclare en difficulté scolaire en France, soit près de 1,3 million de jeunes de 16 à 25 ans ». Phénomène en hausse du fait de l’impact des mesures sanitaires, d’un contexte familial dégradé et système éducatif inadapté.“ Loin d’être un épiphénomène, c’est un véritable fait social : 44 % des jeunes en France avouaient avoir rencontré des difficultés scolaires. Par ailleurs, en France, 12,9 % des jeunes de 15 à 29 ans sont sans emploi, ni formation ou simplement déscolarisés.

Une démocratie fragile mal défendue par ceux censés le faire

La crise covid a été marquée par un état d’urgence totalement injustifié permettant au gouvernement de légiférer par décrets violant les droits fondamentaux de l’homme, sans qu’aucun des organismes censés les protéger (médiateur de la république, conseil d’État, conseil constitutionnel) ne réagisse.

Les interdictions de circuler lors des confinements, les couvre-feux…

Aucune de ces mesures liberticides n’a jamais prouvé son efficacité médicale. Aucune de ces mesures liberticides n’a été efficace. Toutes constituent des atteintes majeures à nos libertés.

Avant le covid, l’astreinte à domicile (confinement) représentait une peine qui ne pouvait être prononcée que par un juge envers un criminel. Nous avons tous été considérés comme des criminels par le gouvernement Macron !

Auparavant les couvre-feux n’avaient été utilisés qu’en temps de guerre et les autorisations de sortie (ausweiss) inventées par les Allemands lors de l’occupation. Le gouvernement Macron l’a fait, car il avait déclaré la guerre au virus (ou au peuple qui l’hébergeait ?)

Rétablissement du délit d’opinion pour les médecins

La Révolution française avait supprimé le délit d’opinion et l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 déclare que :

Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.”

La charte de l’ONU de décembre 1948 stipule :

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.”

Mais, pour empêcher tout débat démocratique sur l’efficacité de sa politique anticovid, le gouvernement macron a rétabli le délit d’opinion pour les médecins. Le 24 décembre 2020, Castex a publié un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions autres que la doxa officielle. Le nouvel article R. 4127-19-2 précise que le médecin qui communique avec le public doit suivre l’avis du conseil de l’ordre.

III. — Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le Conseil national de l’ordre.

C’est donc maintenant le conseil de l’ordre qui détermine la vérité médicale !

Il le fait sans mesure en poursuivant tout médecin qui a le courage d’exprimer une vérité qui n’est pas bonne à dire comme Didier Raoult, Christian Péronne et bien d’autres pour avoir simplement exprimé leur opinion.

Dans le même temps, il refuse de faire respecter la loi qui oblige les médecins de plateau à préciser leurs liens d’intérêts et ne s’offusque pas des mensonges marchands que professent souvent les médecins des médias.

Rétablissement de la censure

Les géants du net, Facebook, google, tweeter ont installé des censeurs féroces supprimant les comptes ou dissimulant les textes qui ne participent pas à l’hystérie Covid.

Les dispositions héritées de la loi de 1881 sur le droit de la presse ne suffisant pas au gouvernement Macron, une loi “anti fausse information” a été votée dès le 20 novembre 2018 (promulguée le 22 décembre 2018) ce qui n’a pas empêché le ministère d’être souvent le premier diffuseur de désinformations.(([21] Rappelez-vous les crédos des masques))

Mais comme elle ne suffisait pas, Emmanuel Macron a installé une commission prétendument indépendante présidée par le sociologue Gérald Bronner et dont les membres, choisis par l’Élysée ont la fâcheuse habitude d’user du terme “complotisme” comme d’un anathème contre quiconque pense mal.(([22] https://www.franceinter.fr/emissions/en-toute-subjectivite/en-toute-subjectivite-du-lundi-04-octobre-2021)) Ils ont créé le ministère de la vérité cher à Orwell.

La France prend-elle pour modèle de liberté de la presse l’URSS ou la Chine ?

Apartheid et fragmentation de la communauté nationale par les pass

Ni le pass sanitaire ni le pas vaccinal n’ont permis de ralentir l’épidémie qui s’est propagée comme jamais auparavant lorsqu’ils étaient en vigueur. Cette inefficacité avérée a motivé leur abandon par tous les autres pays européens qui les ont institués.

Mais les mensonges des médias et du gouvernement Macron sur leur utilité espérée ont fait accepter par le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel les pass, mesures pourtant totalement contraires aux droits du citoyen et à notre devise “Liberté-Egalité-Fraternité” aboutissant à une instrumentalisation des institutions censées servir le peuple et non le pouvoir.

Seul le défenseur des droits a émis des réserves, appelant de ses vœux :

l’organisation d’un débat démocratique public de fond et regretter vivement le choix d’une procédure accélérée compte tenu de l’ampleur des atteintes aux droits et libertés fondamentales prévues par ce projet de loi ainsi que du caractère inédit de certaines dispositions qu’il comporte

Le caractère discriminatoire de ces mesures ne peut être écarté. Elles n’apparaissent pas proportionnées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.”

Ces pass ont créé un véritable apartheid dans la population selon le statut vaccinal et désigné les vaccino prudents à la vindicte des vaccinés. La célèbre phrase présidentielle : “je veux emmerder les non-vaccinés” témoigne à la fois de son mépris des Français et de la démocratie.

Violation des principes de Nuremberg et de la convention d’Oviedo

Les médecins nazis ont été condamnés à la pendaison parce qu’ils avaient imposé des traitements expérimentaux sans accord libre éclairé des personnes traitées. Le code de Nuremberg a ensuite été transposé en droit international par la Convention d’Oviedo signée par la France.

Compte tenu du caractère expérimental des pseudo vaccins (leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023) les obligations vaccinales décrétées pour de nombreuses professions violent clairement la convention d’Oviedo que nous nous sommes pourtant engagés à respecter. Mais URSULA VAN DER LAYEN présidente de la Commission européenne a appelé à violer le code de Nuremberg en déclarant : “je pense qu’il est compréhensible et approprié de potentiellement penser à la vaccination obligatoire au sein de l’Union européenne”.

Diffamation, menaces et persécutions des opposants

L’exemple du professeur Raoult est éloquent. Parce qu’il a osé proposer un vieux traitement qui ne coûtait presque rien, il a été victime d’une campagne organisée de diffamation d’une violence inouïe, puis de menaces personnelles (y compris de menaces de mort), puis de plaintes infondées d’une société savante sponsorisée par Big Pharma et même d’une condamnation scandaleuse du conseil de l’ordre.

Suppression du droit au travail des opposants

Le docteur Pascal Sacré, Benoit Ochs et Denis Agret ont été chassés de leur poste ou interdits d’exercer, comme Philippe De Chazournes et bien d’autres alors qu’ils n’avaient commis aucun délit, ni été l’objet de plainte de patients.

Les soignants vaccino prudents ont été chassés de la profession sans droit aux indemnités chômage ou RSA, ce qui a augmenté le nombre de déserts médicaux et contraint près de 20 % des blocs opératoires à réduire le nombre d’interventions et de nombreux services d’urgence à fermer, le ministre pleurant ensuite qu’il n’était pas responsable de la pénurie de personnel !

L’exécutif bafoue continuellement le bloc constitutionnel depuis le début de la crise. Les conséquences sont désastreuses pour la Nation. Mise en place d’un Comité scientifique et du Comité Analyse, Recherche et Expertise (CARE), dont certains membres ont des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et qui de ce fait, ne peuvent être objectifs quant aux décisions à prendre concernant la santé des citoyens





Le bilan de la politique sanitaire du quinquennat d’E. Macron est désastreux

Par Gérard Delépine

[NDLR : il ne s’agit malheureusement pas d’un poisson d’avril.]

Le bilan sanitaire de la stratégie anti-covid française depuis deux ans ne montre que morts évitables, destruction de l’économie et de l’instruction, flambée de suicides et de dépressions, etc. UN GÂCHIS MAJEUR !

Ce n’est pas l’épidémie qui est responsable de l’état catastrophique actuel de la France et des Français, mais seulement les mesures restrictives des libertés souvent ubuesques qui nous ont été imposées sans aucune justification scientifique (sur les conseils de McKinsey ?).

Mortalité Covid record, innombrables victimes collatérales par défaut de soins, explosion des problèmes psychiatriques, forte progression de la pauvreté, débâcle de l’enseignement, crise économique la plus sévère depuis la dernière guerre, fragmentation de la société sont quelques-unes des conséquences des mesures autoritaires contre lesquelles aucun des organismes supposés défendre la démocratie, ni aucun parti politique lourd, ni la plupart des personnalités politiques, médicales, « scientifiques, syndicales, associations ne se sont opposés, figés dans la collaboration et/ou dans la sidération induite par les médias aux ordres des milliardaires qui les possèdent. Nous estimerons ici les conséquences purement sanitaires de la politique covid du gouvernement, laissant de côté les innombrables conséquences désastreuses économiques, sociales, éducatives, etc., traitées ailleurs.

Mortalité Covid-19 globale : la France parmi les mauvais pays du monde

Au 21 mars 2022, avec 2058 morts par million d’habitants la France compte trois fois plus de morts que la moyenne mondiale (758/M) et la comparaison avec des pays qui consacrent beaucoup moins d’argent à leur système de santé montre que notre politique du tout vaccin a été une erreur.

Les partisans de la tyrannie sanitaire prétendent parfois que ce mauvais résultat serait seulement la conséquence de l’âge avancé de notre population.

Mais la comparaison avec le Japon montre qu’il n’en est rien. Le Japon qui n’a jamais confiné et dont la population est plus âgée que la nôtre (27 % de Japonais âgés de plus de 65 ans contre 20 % de Français) recense une mortalité près de dix fois inférieure à la nôtre.

Le directeur général de l’OCDE observait récemment : « les Espagnols, comme les Italiens ou les Britanniques, sont convaincus que leurs pays respectifs ont eu la pire réponse face au Covid-19. ». La mortalité Covid-19 place juste la France derrière eux en très mauvaise place également.

Malheureusement l’intensité de la propagande et de la désinformation que nous subissons en permanence est telle que trop de nos compatriotes sont encore dupes.

Non la politique de santé menée depuis deux ans n’a pas été la meilleure : une autre stratégie sanitaire aurait pu éviter environ 100 000 morts de covid, et 15 000 à 25 000 victimes collatérales, la vague massive de dépressions, de flambées de cancer, etc.

Ces très mauvais résultats de la politique sanitaire d’E. Macron sont la conséquence de mesures autoritaires non fondées sur la science telles que l’interdiction des traitements précoces, et l’interdiction aux médecins de soigner, l’usage immodéré du Rivotril, les confinements, les plans blancs et les autres restrictions sanitaires, les pass, et les pseudo-vaccins.

Les confinements et les autres mesures privatives de liberté inefficaces ont aggravé la situation

Le confinement ne repose sur aucune base scientifique ni aucune expérience médicale, — on le savait d’emblée d’après l’Histoire des épidémies des siècles précédents — mais seulement sur la peur créée ex nihilo par la croyance aveugle en une prophétie mathématique délirante de non-médecins et de médecins non-cliniciens répétée 24 heures sur 24 par tous les médias complices de la mise en condition de la « pandémie »(([1] Les critères ont été modifiés pour permettre de décréter une épidémie « pandémie » avec des chiffres plus bas.)) décrétée par l’OMS, Bill Gates et leurs complices.

Niels Ferguson et ses complices de l’Imperial College dans le rapport 9(([2] Report 9—Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand
https://www.imperial.ac.uk/mrc-global-infectious-disease-analysis/covid-19/report-9-impact-of-npis-on-covid-19/)) et ses élèves de l’institut Pasteur ont prétendu que « seul le confinement pourrait éviter un record de morts et le blocage complet des hôpitaux » et « que ce confinement devrait s’étendre jusqu’en décembre 2021 ou l’arrivée d’un vaccin. »

En France, le rapport 9 n’a été ni publié, ni analysé par des médecins indépendants, ni discuté à l’Assemblée nationale avant la décision autoritaire du confinement. Les agences sanitaires suédoise, finlandaise, biélorusse, japonaise et coréenne n’ont pas cru cette simulation folle et ont refusé de confiner aveuglément. Ils avaient raison : leurs hôpitaux n’ont jamais été débordés et ont accueilli normalement les malades tout au long de l’épidémie.

En Suède, sans aucun confinement (refusé par le conseiller du gouvernement devenu héros national) ni port de masque, le pourcentage d’occupation des lits de réanimation et le nombre de morts a été dix fois inférieur aux prophéties de l’impérial College comme le montrent les figures suivantes.(([3] https://evaluation-modelisation-covid.github.io/france/))

Le confinement aveugle(([4] Lire « autopsie d’un confinement aveugle » N et G Delépine qui relate au jour le jour les évolutions de la politique sanitaire de mars à juin 2020.)) (ne séparant pas les malades de la population saine !) s’est même révélé susceptible d’accélérer la propagation de l’épidémie, ainsi que le montre la comparaison du début de l’épidémie en Belgique (qui a confiné le 17 mars 2020) et aux Pays-Bas qui n’ont pas confiné dans cette période.

L’augmentation des contaminations a été suivie de l’augmentation de la mortalité ainsi que l’illustre la courbe comparant les mortalités Covid-19 cumulées par million de personnes des pays qui ont confiné à l’aveugle (USA, Belgique, Italie, Grande-Bretagne, Espagne, Portugal, France) et de ceux qui n’ont pas confiné (Suède, Belarus, Finlande, Japon, Corée, Vietnam)

Au 20 mars 2022, les pays qui ont refusé le confinement affichent une mortalité plus faible que la nôtre. La Suède comptait 15 % de moins de morts Covid-19 par million que la France (et environ dix fois moins que les prévisions catastrophiques de N. Ferguson), le Belarus trois fois moins (711/M), la Finlande quatre fois moins (500/M) et les pays asiatiques encore moins, entre 5 et 10 fois moins que la France (entre 200 et 400/M).

Quelques publications ont prétendu que le confinement aurait sauvé des vies. Elles ont toutes été rédigées par des auteurs qui ont prôné ce confinement, et sont très liés aux gouvernements qui les ont imposées. Aucune ne fait l’analyse des faits avérés et toutes reposent sur des simulations aussi fausses que le report 9.

Leur principe d’autoglorification consiste à comparer une simulation catastrophique au réel. Il suffirait de prophétiser par exemple qu’il y aurait 5 millions de morts sans confinement, puis constatant qu’en réalité il n’y en aurait eu que 500 000, elles proclameraient fièrement « le confinement a sauvé 4,5 millions de personnes » alors que la conclusion scientifique logique aurait dû être « notre prédiction était exagérée et nous le regrettons ». C’est exactement ce qui a été fait par plusieurs gouvernements et publications autrefois scientifiques.

Ainsi, la caricature de ces textes d’autosatisfaction est parue dans la revue Nature qui a osé prétendre, selon ce procédé, que le confinement aurait sauvé 3 millions de vies(([5] Seth Flaxman et al Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature 08 June 2020
https://www.nature.com/articles/s41586-020-2405-7)). Malheureusement, leurs auteurs n’ont pas assez soigné leur argumentation. Dans leur tableau présenté en annexe, ils estiment le nombre de vies sauvées dans chaque pays par le confinement et précisent : 560 000 allemands et 26 000 suédois grâce au confinement alors que ces pays n’avaient pas confiné dans la période concernée et que ces chiffres démontraient très simplement que la simulation initiale catastrophique du report 9 était totalement erronée.

L’acceptation de cet article montre aussi l’inefficacité et/ou la complicité du comité de lecture de Nature qui n’a pas fait corriger de telles contre-vérités pourtant évidentes.

De très nombreuses études réalisées par des chercheurs indépendants(([6] Ari R Joffe et al COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([7] Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence AIER Staff — December 19, 2020
https://www.aier.org/article/lockdowns-do-not-control-the-coronavirus-the-evidence/))(([8] Rabail Chaudhry et al A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes”. EClinicalMedicine 25 (2020) 100464.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32838237/))(([9] Christof Kuhbandner et al Was Germany’s Corona Lockdown Necessary?”. Advance: Sage Preprint, June 23, 2020
https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Dehning_et_al_Science_15_May_2020_eabb9789_Inferring_change_points_in_the_spread_of_COVID 19_reveals_the_effectiveness_of_interventions_/12362645))(([10] Stefan Homburg and Christof Kuhbandner Comment on Flaxman et al. (2020): The illusory effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe” by. June 17, 2020. Advance, Sage Pre-Print.))(([11] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic” by. MedRxiv Pre-print May 1, 2020
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([12] Surjit S Bhall Lockdowns and Closures vs COVID-19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69c
https://indianexpress.com/article/opinion/columns/lockdowns-dont-work-6855411/))(([13] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022/October 2021
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([14] Eran Bendavid Assessing mandatory stay‐at‐home and business closure effects on the spread of COVID‐19 Eur J Clin Invest. 2021 Feb 1 : e13484.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7883103/)) ont analysé les évolutions avérées de l’épidémie selon les restrictions imposées et ont toutes conclu, comme la dernière macroanalyse de l’université Johns Hopkins(([15] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) qui les résume :

« les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. »

Cinq membres du comité scientifique, dont le Pr Delfraissy du comité scientifique gouvernemental français, l’ont d’ailleurs reconnu dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet : 2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)) restée confidentielle de fait.

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. »

« Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Mais leurs constatations ont été ignorées par les médias et le gouvernement qui continue périodiquement de nous menacer de confinement si nous n’obéissons pas à leurs lubies pseudo sanitaires, en réalité purement politiques et manipulatoires.

La mise à l’écart des médecins et l’interdiction des traitements précoces ont été responsables de très nombreuses morts évitables et de maladies évolutives

Au début de la crise, le gouvernement a répété « n’allez pas voir votre médecin, restez chez vous et prenez du doliprane, car il n’existe pas de traitement efficace contre le Covid-19 ». L’exemple de l’Algérie qui a rejeté ces injonctions montre qu’elles étaient infondées. Elles ont été très mortifères.

L’Algérie dépense près deux fois moins que nous pour sa santé (6 % du PIB contre 11 % en France) et sa population est semblable à la nôtre par l’âge et les autres facteurs pronostiques connus du Covid-19. Elle a basé sa stratégie Covid sur l’application précoce du protocole Raoult(([17] Abderrahmane Benbouzid, ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière algérien a annoncé le 23 mars 2020, que son pays aurait recours à la Chloroquine pour le traitement des malades atteints de l’épidémie du coronavirus.)) et compte au 24 mars 2022 treize fois moins de morts covid par million que la France. (156/M vs 2093/M)

« Grâce aux traitements précoces », a affirmé le ministère de la santé algérien.

Si nous avions appliqué la même stratégie thérapeutique, nous aurions pu espérer avoir le même résultat et ne compter guère plus de 11 000 morts.

Isolement et prescription de Rivotril ont accru la mortalité des vieillards

L’objectif officiel mis en exergue du ministère de la Santé aurait été de protéger les plus fragiles, mais les décrets de mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.). Immédiatement applicables, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient les utiliser, etc.). Rien. Cet isolement brutal les séparant de leurs familles les a rendus plus vulnérables, les entraînant dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. De véritables drames ont été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse : « on applique les ordres ; on n’y peut rien » et cette autre octogénaire verbalisée parce qu’elle était sur la voie publique en essayant de voir son mari en EHPAD au travers d’une vitre. Les témoignages sont légion.

Le Conseil national d’éthique avait pourtant rappelé :

« l’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ».

Le fameux syndrome de glissement…

Le confinement de nos parents âgés n’a pas constitué une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les a mis en prison en leur supprimant même les parloirs !

Les mesures contre les personnes âgées ont culminé avec la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Veran qui prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé, appliqué y compris chez des personnes de 70 ans et des handicapés même jeunes) par injection intraveineuse de médicaments contre-indiqués dans les détresses respiratoires (benzodiazépines). Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort sans le consentement éclairé du patient (en abus de faiblesse) ni de sa famille (interdite de visite).(([18] Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) publié dès le 6 avril 2020. Comment les médecins ont-ils accepté une horreur pareille contraire au serment d’Hippocrate, au code de Nuremberg et à toutes les lois et conventions (Oviedo etc.), régissant notre profession ?))

Les prescriptions de ces drogues(([19] à défaut de midazolam, la SFAP propose : le clonazépam (RIVOTRIL®), 0,5 à 1 mg en induction (IV, IM, SC), puis 2 mg/24 h, ou le diazépam (VALIUM®), 5 mg (IV très) à 10 mg (IM) toutes les 4 à 6 h ou le clorazépate (TRANXENE®), 60 mg en induction, 120 mg/24 h en relais) destinées à l’euthanasie.)) ont été bien analysées par F. Pesty(([20] F. Pesty Chronique n° 33 — « Combien de morts sur ordonnances en EHPADs ou à domicile avec le Rivotril, à cause du covid et des refus d’hospitaliser ? » France soir 22/10/2020 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-covid-ndeg33-combien-de-morts-sur-ordonnances-dans-les-ehpads-ou)) qui estime leur surprescription globale durant la première vague à près de 100 000 ampoules. Il regrettait à juste titre que l’inspection générale des affaires sociales n’ait pas expertisé les dossiers médicaux de tous les résidents d’EHPAD et de toutes les personnes vivant à leur domicile qui ont fait l’objet de ces prescriptions « hors AMM pour covid-19 ». Ces pratiques ont été prolongées jusqu’à maintenant.

Bizarrement le Rivotril®, et les autres benzodiazépines recommandées par la SFAP, n’ont pas fait l’objet d’une analyse par EPI-PHARE le Groupement d’intérêt scientifique associant l’ANSM et la CNAMTS, dans leur étude épidémiologique des produits de santé publiée le 5 octobre 2020.

L’isolement de nos aïeux et les prescriptions de Rivotril ont certainement pesé pour 10 000 à 20 000 morts dans le surplus mortifère de la politique sanitaire du gouvernement.

Les trop nombreuses « victimes collatérales » du plan Blanc

En plus des victimes directes du covid qui auraient pu être évitées par une stratégie plus respectueuse de la science et de la pratique médicale, le bilan de la politique gouvernementale a été aggravé par la dictature du « plan blanc ».

Le plan blanc interdit toute intervention ou tout traitement jugés non urgents par les Agences Régionales de Santé si ce traitement nécessite une hospitalisation (soit environ 70 % de l’activité chirurgicale normale), tant en public qu’en privé (soumis aux mêmes contraintes).

Déclenché dès le 26 février 2020 dans les hôpitaux de Creil et de Compiègne, le plan blanc a été étendu par le Premier Ministre dans les hôpitaux des régions du Grand Est et Île-de-France le 6 mars 2020 avant d’être généralisé à tous les établissements de santé le 13 mars 2020. Levé progressivement à partir de mai 2020, il a été réactivé dans plusieurs hôpitaux français le 15 décembre 2020 et redéclenché au cours de l’été 2021 puis début décembre 2021.

Ces quatre à 6 mois (selon les régions) d’applications du plan blanc ont été particulièrement dommageables pour les malades en attente de greffe d’organes, pour les patients en urgence vitale non diagnostiqués restés à domicile, les cancéreux en traitement ou non repérés, et les malades chroniques parfois en grande souffrance physique et psychique, etc.

En Île de France, le confinement et le plan blanc ont fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soins, ce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. », a avoué l’agence régionale de santé d’Île-de-France.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées »

Des greffes d’organes ont été annulées ou retardées de plusieurs mois et globalement, pour les malades qui ont survécu à ces retards, elles ont diminué de 25 % en 2020 et de 10 % en 2021 (par rapport à 2019) selon l’Agence de biomédecine. Actuellement plus de 20 000 Français sont en attente de greffe alors que les donneurs se sont nettement raréfiés et qu’on ne voit pas comment le gouvernement pourrait recruter 300 infirmières spécialisées supplémentaires, comme il l’a annoncé s’il ne supprime pas l’obligation vaccinale qui a exclu de la profession près de 10 % d’entre eux et s’il n’améliore pas de façon drastique les émoluments et plus encore les conditions d’exercice de l’ensemble des soignants très rapidement.

Le traitement des cancers a été désorganisé par les retards de soins et de diagnostic. L’Institut national du cancer a noté un recul de 17 % des chirurgies d’ablation de tumeurs ou d’organes entre mars et août 2020. Ces retards de plusieurs mois aux traitements en cours des cancers pourraient être responsables de très nombreux décès évitables dans les années à venir.(([21] Camille Maring The impact of the COVID-19 pandemic on cancer deaths due to delays in diagnosis in England, UK: a national, population-based, modelling study www.thelancet.com/oncology Vol 21 August 2020
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1470-2045%2820%2930388-0))

Le diagnostic précoce représente un facteur essentiel du pronostic du cancer et environ 30 000 nouveaux cancers étaient dépistés chaque mois avant le plan blanc soit environ 150 000 cancers qui n’ont pas pu être diagnostiqués durant les 5 mois des différents confinements. Début décembre 2020 le Pr Axel Kahn constatait « après la première vague de Covid-19, un déficit important de diagnostics de cancer a été observé, parfois de 30 à 50 % selon les territoires ». « Les chiffres varient, mais on sait qu’un mois de retard fait perdre entre 5 et 20 % de chances de guérison selon les tumeurs, souligne JYBlay, président d’Unicancer qui craint que les retards de diagnostic soient fort préjudiciables.(([22] Retard de diagnostic du cancer : jusqu’à 6000 morts en plus à cause du Covid
https://www.leparisien.fr/societe/sante/retard-de-diagnostic-du-cancer-jusqu-a-6000-morts-en-plus-a-cause-du-covid-08-12-2020-8413033.php))(([23] https://www.unicancer.fr/fr/communique-de-presse/unicancer-presente-les-conclusions-de-son-etude-relative-aux-retards-de-diagnostics-en-cancerologie-lies-a-la-crise-sanitaire-et-deplore-labsence-de-revalorisation-des-praticiens-des-centres/))

Ainsi par l’abandon des dépistages et des diagnostics précoces, les perturbations des traitements en cours et le retentissement psychologique de ces retards, le plan blanc aura probablement entraîné lors de la première vague de l’ordre de 4 à 11 000 morts supplémentaires (à venir) de cancéreux.

Le plan blanc a également nui au traitement optimal des urgences vitales cardiaques et vasculaires (phlébites et accidents vasculaires cérébraux) dont les consultations hospitalières ont chuté de près de 50 %, les patients terrorisés ne se rendant plus aux urgences.

Le professeur J. Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié-Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ». On estime qu’au moins 3000 à 5000 malades sont morts de ces retards durant cette période.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F. Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Les traitements des maladies chroniques (diabète, hypertension, insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique…) ont également été gravement perturbés par le plan blanc du fait des hospitalisations retardées ou annulées et souvent de la reconduction d’ordonnances sans aucun examen. Aucune estimation du nombre de victimes potentielles n’a été jusqu’ici publiée à notre connaissance par les instances officielles.

Globalement les plans blancs ont déjà conduit à plus de 5000 morts évitables et seront vraisemblablement responsables de 10 000 à 20 000 décès supplémentaires dans les années à venir. Ceci est d’autant plus triste qu’ils n’ont servi à rien, car les lits d’hospitalisation ainsi libérés sont presque tous restés vides comme l’a récemment confirmé l’analyse officielle de l’activité hospitalière 2020.(([24] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf))(([25] Aboutissant à des licenciements de personnels dans le secteur privé faute de patients (les malades covid n’étant quasiment pas adressés dans ces établissements).))

Mais les bureaucrates des agences de santé ne sont apparemment pas intéressés au sort de ces victimes collatérales. Ils auraient soi-disant dû faire de la place pour que les plus jeunes atteints de Covid (moins de 70 ans ?) ne soient pas refusés aux urgences, afin que la population ne réalise pas l’état pitoyable dans lequel leur politique comptable des trois dernières décennies a mis l’hôpital public. Les motivations n’étaient probablement pas limitées à cette propagande, car rien n’imposait d’interdire les traitements précoces à domicile…

En France comme partout en Europe, les pass ont totalement échoué

La Grèce, espérant ainsi sauver sa saison touristique, a fortement milité pour la vaccination et a été la première à imposer les pass à sa population alors qu’elle recensait moins de 500 cas journaliers. Mais depuis les pass, le nombre de cas quotidiens a atteint 36 000 ! 180 fois plus !

L’Autriche a instauré le passe le 1er juillet 2021 à une période où l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières). Mais depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle pour atteindre 500 fois la valeur d’avant pass (44 275 cas/jour le 19/3/2022).

En France, avant l’instauration du pass sanitaire le nombre quotidien de cas s’élevait à 1800 ; depuis les pass il a atteint les 365000, 200 fois plus !

Dans aucun pays d’Europe, les pass sanitaire et/ou vaccinaux n’ont permis de ralentir le nombre d’infections. Partout ils ont été suivis par un accroissement considérable des contaminations journalières. Constatant leur totale inefficacité sanitaire, la plupart des pays d’Europe les ont abandonnés dans le courant du premier trimestre 2022.

L’Italie et la Grèce, pays pionniers de la tyrannie vaccinale ont annoncé qu’ils abandonneraient leurs mesures autoritaires le 1er mai 2022. C’est la confirmation de l’inutilité totale de ces mesures, qui a précipité leur abandon et non pas une prétendue efficacité des vaccins.

Combien de temps les Français supporteront-ils une simple suspension de ces pass inutiles qui constituent une négation de notre devise « Liberté, Égalité, Fraternité » ? Il faut les supprimer définitivement ainsi que tous les fichiers nominatifs qu’ils ont permis d’établir et qui constituent une menace pour notre démocratie.

En France, comme dans le monde, les vaccins ont totalement échoué

L’idéologie officielle des pass reposait sur la croyance infondée en l’efficacité des pseudo-vaccins. Mais ce ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes), mais des thérapeutiques géniques à ARN messager. Ils sont issus d’une technologie expérimentale qui n’avait jamais été utilisée en infectiologie. Leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023 et jusqu’à cette date ils restent par définition expérimentaux.

On peut cependant dès maintenant estimer leurs résultats en population réelle en observant l’évolution de l’épidémie depuis leur mise en œuvre début 2021.

D’après l’OMS au 18 mars 2022, près de 11 milliards de doses de vaccin ont été administrées, mais cette extrême diffusion a été incapable d’empêcher l’épidémie de s’étendre et même récemment, de s’accélérer.

On peut même se demander si les injections ne facilitent pas la progression d’Omicron, car les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie est actuellement la plus vive.

Et contrairement à ce que les laboratoires pharmaceutiques et les médias prétendent constamment, les pseudovaccins sont également incapables de protéger des formes graves et de la mort comme le montre l’exemple d’Israël. Dans ce pays modèle champion des injections Pfizer, le nombre total de morts est passé de 3040 avant les injections à 10 449 (+250 %) en 15 mois. La comparaison avec la Palestine peu vaccinée est très parlante.

Cette incapacité à prévenir les formes graves et la mort se confirme au niveau mondial où les pays les plus vaccinés souffrent tous d’une mortalité plus élevée que l’Afrique, très peu vaccinée.

Incapable d’empêcher les contaminations, ni de prévenir les transmissions, ni d’éviter les formes graves, ni la mort, ces injections anti-covid constituent l’échec récent le plus sévère de la vaccination de masse.

Et les nombreuses complications observées, dont un nombre totalement inhabituel de morts post injections, rendent la balance bénéfice/risque de ce traitement expérimental totalement défavorable et singulièrement chez les moins de 65 ans qui statistiquement ne risquent rien du virus SARS-CoV-2 en dehors d’une symptomatologie grippale plus ou moins visible.

Explosion des problèmes psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides prévisibles liés entre autres à la crise économique.

La propagande terrorisante du gouvernement qui se poursuit, les périodes de confinement et couvre-feu, la peur de la maladie, pour soi et ses proches et les conditions de vie bouleversées dues aux mesures sanitaires et donc économiques, ont entraîné des conséquences graves sur la santé mentale des Français et particulièrement inquiétantes chez les enfants et adolescents.

L’hystérisation de la maladie décrite par les gouvernements et par les médias comme une « guerre », « contre une peste » due à un « ennemi invisible, mais très intelligent », menaçant toute la population(([26] Alors qu’en réalité les jeunes ne risquaient presque rien. Relire « Les enfants sacrifiés du covid » N et G Delépine fauves éditions janvier 2022.)) et la culpabilisation des enfants par des publicités mensongères les accusant de « contaminer leurs grands-parents » a généré un sentiment de peur et de stress qui se pérennise.

Les complications psychiques des personnes antérieurement saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace sont avérées et souvent catastrophiques.

Les enfants déterminent leurs réponses émotionnelles et comportementales selon celle des adultes proches et les parents angoissés leur transmettent leurs inquiétudes. Les familles qui ressentaient de la peur et de l’anxiété ont eu une qualité de vie inférieure aux rares familles n’éprouvant pas ces émotions négatives. À l’opposé, les enfants qui ont pu poursuivre une activité physique pendant le confinement ont présenté un niveau d’anxiété et de stress plus faible que ceux ayant une diminution des activités physiques imposées.

Anxiété et stress ont conduit à des pathologies psychiatriques comme la dépression (25 à 40 % selon les enquêtes 2020 contre 13 % en 2017), le stress post-traumatique (30 %), divers troubles de l’adaptation (16,7 %), le deuil pathologique (16,7 %) et même le suicide chez de très jeunes enfants. Ces suicides et tentatives chez les moins de 9 ans ont constitué une grande nouveauté tragique de cette période.

Aux USA, après le confinement 41,5 % des enfants avaient pris du poids, 34,2 % présentaient une augmentation du temps de sommeil et 69,3 % une augmentation de l’utilisation d’Internet.

Dans la région niçoise, les mesures sanitaires, l’arrêt des activités scolaires et l’obligation de port des masques ont entraîné une réactivation de la peur et des symptômes du syndrome post-traumatique éprouvé au lendemain de l’attentat terroriste du 14 juillet 2016 durant lequel plusieurs enfants ont été confinés avec leurs parents, dans des restaurants ou dans des appartements autour de la Promenade des Anglais, en attendant que le danger passe. Pour certaines familles, cet enfermement s’est poursuivi pendant plusieurs semaines, de peur qu’une nouvelle attaque ne se produise.

L’augmentation de la demande de soins en psychiatrie va certainement perdurer, car la peur installée persiste (et est entretenue) dans la population comme le montre la persistance du port des masques qui n’ont pourtant jamais fait la preuve de leur utilité contre le Covid, et au contraire de bien des inconvénients.(([27] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Mais dans toute la France, le gouvernement, via les ARS, continue de fermer des lits ou des services de psychiatrie comme à Auch(([28] https://www.ladepeche.fr/2022/03/29/hopital-psychiatrique-dauch-la-cgt-denonce-une-fuite-en-avant-10201079.php)), Laval(([29] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/laval-un-service-entier-de-psychiatrie-ferme-a-l-hopital-de-laval-be806d9c-8b42-11ec-88ed-2ead809b0816)), Cholet(([30] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/cholet-fermeture-du-service-de-psychiatrie-les-elus-de-gauche-soutiennent-les-soignants-ade4c2ea-3b2d-11ec-82a9-f13e64837724)), Thonon(([31] https://www.lemessager.fr/36254/article/2022-02-03/fermeture-de-l-unite-psychiatrique-de-thonon-laisse-faire-deplore-un-ancien)), Draguignan(([32] https://www.varmatin.com/sante/non-a-la-fermeture-des-urgences-psychiatriques-a-draguignan-une-petition-deja-signee-par-plus-de-30000-personnes-743734)), Saint-Maurice(([33] https://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/fermeture-dune-unite-psychiatre-a-lhopital-saint-maurice-cest-la-fin-dun-suivi-digne-de-ce-nom-13-01-2022-S4ORKSMYWJDMND3N36BQ476ANI.php)), Sevrey(([34] https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/bourgogne/saone-et-loire-fermeture-de-25-lits-au-centre-hospitalier-specialise-de-sevrey-2364106.ht)), ou près de Lyon au Centre Hospitalier du Vinatier…

Conclusion

Le bilan sanitaire de ces deux ans de politique du gouvernement Macron est réellement catastrophique avec un excès considérable de morts Covid évitables (130000-140000 morts ?) liées à l’interdiction des traitements précoces, les euthanasies au Rivotril, mais aussi les trop nombreuses victimes collatérales du plan blanc (15000-25000 ?) et d’un véritable tsunami de troubles psychiatriques alors qu’on retire aux hôpitaux les moyens de les traiter.

Et ce bilan purement sanitaire ne tient pas compte des autres conséquences des mesures sanitaires : crise économique la plus sévère depuis la dernière guerre, fragmentation de la société, forte progression du décrochage scolaire et de la pauvreté, mise à mal des hôpitaux et du personnel soignant, dérive autoritaire foulant aux pieds de nombreux droits fondamentaux garants de la démocratie…

Ainsi analyserons-nous dès que possible le gouffre financier du « quoiqu’il en coûte ».

Notes




Macron est-il de « droite », Mélenchon de « gauche »?

Par Lucien SA Oulahbib

Comme il va être vu, le Président actuel incarne plutôt un centre gauche post giscardien entremêlant étatisme technocratique globalisé et assistanat universel et circonstancié de type populiste péronien (les ralliements actuels provenant des sociaux-démocrates et des gaullistes dits « sociaux » le prouvent). Marine le Pen représente de plus en plus, seule, la gauche jacobine par glissement de l’électorat populaire et son nouvel ancrage programmatique. Mélenchon s’identifie désormais dans sa dernière métamorphose à l’extrême gauche césariste (façon Brutus) et néo-robespierriste (à la manière de Trotski) alliant alter-islam et toujours la fusion organique Parti-Etat léniniste au sein d’une » race » autocratique colorant celle du « Prolétariat » par le « Créolétariat ». Jadot est sur le même créneau, mais avec l’hypocrisie en plus, entremêlée d’illuminisme catastrophiste pénitent, tandis que les trois autres (PC et trotskistes) incarnent le léninisme « classique » au sens remplaciste classiste : la nouvelle race idéocratique forgée dans le Creuset symbolique du Prolétariat imaginaire (émancipateur de « l’Humanité ») remplace « la classe dominante » sans plus, comme il a été vu dans les pays communistes (avec la vague idée de faire mieux bien sûr comme le prétend Badiou qui soutient d’ailleurs toujours et mordicus l’obligation injectable).

Pécresse, elle, incarne un centre droit mou à la Louis XVIII, en compagnie de Lassalle, ou la déliquescence accélérée de la démocratie chrétienne ayant croisé pendant un temps les classes industrielles urbaines supérieures avec toute cette nostalgie du « bon temps » qui a fait la gloire de la littérature au 19e siècle (Madame Bovary, Tartarin de Tarascon) et du cinéma français et européen des années 60 (Sautet, Bergman, Fellini, Visconti…) : l’hiver en ville et ses salons olé-olé, l’été à la campagne avec Lassalle en berger des Pyrénées racontant les histoires de l’oncle Paul à la veillée ou encore, plus interlope, à La Baule et Saint-Jean de Luz, se reposant des affres permanentes entre le capitalisme familial de papa et la Secte globalisée avide d’affairisme généralisé et de gloriole apprise à Saint-Tropez (et New York) comme tout arrivisme qui se respecte cherchant également à s’anoblir entre deux dessous de table. Il reste à droite Dupont-Aignan avec son souverainisme cinglant, mais par un certain biais rigide suicidant, par exemple l’alliance avec Poisson lors des régionales (quoiqu’il a été intransigeant en ce qui concerne les libertés fondamentales lors du covidisme aigu).

Il reste aussi à droite, et ce surtout désormais, Zemmour, qui tente de réconcilier comme il le dit les différentes « familles de la droite » (voire aussi de la France au sens du dernier Barrès, d’où sa ritournelle à chaque fin de meeting : »… et, surtout, surtout, vive la France! »). Il risque cependant d’en faire une addition plutôt qu’un tout supérieur à la somme de ses parties :

  • ainsi sa frilosité sur la « démocrature » scientiste et hygiéniste, de même que sa difficulté à expliquer que l’immigration est, d’abord, un problème mondial lié à l’affairisme ultra-échangiste de la corruption internationalisée qui cache l’action des mafias mondiales sous le couvert d’États croupions ou Potemkine ; ce qui fait que la France devrait au plus tôt quitter les instances internationales comme la Banque Mondiale, l’UNESCO, et sommer l’ONU de se réformer ou de disparaître comme feu la Société des Nations. Ce flou, s’il en est, dans l’analyse (compensé il est vrai par la promesse de bloquer l’aide au développement et les transferts monétaires) explique l’actuelle diabolisation du concept de « remigration » opérée y compris par Marine Le Pen alors que pourtant la position de Zemmour est somme toute modérée (!) à côté des positions « identitaires » qui veulent, elles, aller bien plus loin : jusqu’à aller aux antipodes de l’idée d’assimilation (à l’exception cependant de l’Action Française qui d’ailleurs soutient Zemmour) ce qui, là, renvoie à la droite dite techno-différentialiste proche des thèses anglo-saxonnes communautaristes en réalité et aussi racialistes classiques de type völkisch (mais c’est un autre sujet) ou en fait la « vraie » extrême droite représentant aussi le courant strictement anti-parlementariste et clairement anti-assimilationniste (qui appelle d’ailleurs à voter contre Zemmour parce que « juif »…).

Une blague édifiante, en passant, sur ce classement proposé : lors du trajet en car vers Paris pour le Trocadéro, l’on s’arrête, et nous voyant débarquer, le préposé à la station-service demande à un « reconquêtiste » si l’on va à un meeting de Marine Le Pen, il répond hilare : « euh non, on va à un meeting de droite… ». Le préposé est sans doute encore en train d’y réfléchir 🙂. À propos du classement ci-dessus, il pourrait être néanmoins rétorqué que concernant par exemple Macron, son globalisme ultra-échangiste le marque plutôt à « droite » et que la radicalité de Zemmour sur la « remigration » à « l’extrême droite ». Rien n’est moins sûr. À moins d’établir une équivalence entre droite et ultra-échangisme, ce qui n’est pas vraiment le cas historiquement parlant, y compris mondialement, le protectionnisme, par exemple, n’étant pas nécessairement de « gauche » (malgré les dires d’un Sapir, Onfray, ou Todd)

On peut certes avancer que Macron est tout de même « libéral » dans le sens « néo-libéral » acclimaté aujourd’hui, c’est-à-dire selon la Vulgate « le jouet de LA finance ». Or là aussi j’émets un bémol à la fois doctrinal et politique : sur le premier aspect, libéral ne veut pas dire licence et donc affairisme du moins si l’on suit Locke et Montesquieu ; ce qui fait que, sous l’aspect politique, jamais la City ou la Réserve Fédérale n’ont joué contre les intérêts, souverains, du Royaume-Uni ni des USA (même aujourd’hui dans le bras de fer avec Poutine : dollar et livre contre rouble et yuan, l’euro en touche). D’ailleurs, comment se fait-il qu’un Trump et un Johnson aient pu se faire élire s’il n’y avait pas dans le tréfonds de ces deux pays une solidité quasi mystique qui avait d’ailleurs donné un Churchill (et aussi le De Gaulle du 18 juin by the way sans parler du sursaut russe à Stalingrad…). En fait, le fait libéral au sens philosophique des 1er et second amendements américains et non pas au sens de la gauche américaine vous le voyez encore plutôt en Floride, au Texas au Dakota Sud, et aussi en Europe en Suède, car ces États malgré la pression « covidiste » n’ont pas flanché sur les libertés imprescriptibles à la différence de tant d’autres y compris anglo-saxons (Canada, Australie, Nouvelle-Zélande…).

Macron n’est en fait pas « libéral » du tout en ce sens profond (ontologique) légué par le libre arbitre d’Adam et Ève, de Moïse et de Saint Augustin; et même s’il apparaît être le jouet de « LA » finance avec les histoires McKinsey et autres optimisations fiscales et comptes cachés, il s’agit plutôt de licence au sens lockien de perversion et donc d’affairisme éhonté qui se sert cependant des graves manques de l’appareil d’État (pour s’enrichir, mais en secret) en ce sens où les services de contrôle a posteriori étatiques ne font pas leur « boulot » comme le soulignent Charles Gave et Didier Raoult – hormis la Cour des Comptes qui n’a toujours cependant qu’un avis facultatif (ce qui devrait pourtant changer, mais je n’ai entendu aucun candidat l’exprimer) ; car ces services cherchent plutôt la petite bête (comme l’a indiqué dernièrement Raoult), étant télécommandés par des ennemis en interne et des lobbys divers (liés à Big Pharma en ce qui concerne Raoult), et aussi de la bureaucratie bruxelloise aux ordres de la Secte trans/globaliste. Et cela se passe aussi, du reste, dans toutes les autres structures étatiques dont les tentatives d’autoréforme sont immédiatement bloquées par les franges pseudo-syndicales et plutôt affairistes et/ou idéocratisées (comme le fait dernièrement de nier « l’islamo-gauchisme à l’Université »), le CNRS en tête, alors que tout le monde sait que cette dernière structure tout comme nombre d’Universités ne sont que des rentes pour la franche intellectuelle idéocratique oscillant entre Mélenchon Macron (au second tour) et les autres, SciencePo en incarnant désormais la pointe (salace et pudibonde) la plus avancée. D’où aussi l’utilisation d’officines privées opérée par Macron lorsqu’il veut aller vite, vite, vite pour imposer, quoi qu’il en coûte, « le Grand Reset », ce qui du reste n’est pas contradictoire comme on le sait (le fameux « en même temps ») avec le projet de la gauche trans/humaniste allant d’Attali aux boomers californiens…

Au fond, le dilemme reste toujours le même : qui peut dans ce cas incarner au mieux le fait de non seulement restaurer, rénover, mais affranchir la France de toutes ces entraves intérieures et extérieures en vue à la fois de préserver ses acquis et les affiner ? Qui ?…

J’ai ma petite idée, mais à vous de voir : « libre arbitre »…

Et, surtout (surtout), réponse le 10 avril…




Le quinquennat du mépris

[Source : observatoiredumensonge.com]

Le scandale qui éclabousse l’Élysée, c’est de la dynamite pour le Président-candidat + SCOOP

[Voir aussi :
McKinsey Gate — Suite
Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
Révélation explosive : en 5 ans, Big Pharma a offert 818 millions d’euros à des médecins influenceurs en France]

Par Alexandre Goldfarb

Macron DOIT être interrogé sans répit sur le scandale de son cabinet conseil américain à l’Élysée : McKinsey.
Ce scandale à lui seul résume tout l’échec de son quinquennat, le quinquennat du mépris :

  • 🔵 mépris des procédures,
  • 🔵 mépris des deux assemblées, ce qui la fiche mal dans une démocratie, et ne saurait être justifié,
  • 🔵 mépris du pouvoir d’achat des Français, avec faut-il le marteler des hausses à répétitions régulières des produits énergétiques et ce, bien avant, la guerre en Ukraine,
  • 🔵 mépris du budget de l’État avec un gaspillage ostentatoire de nos impôts notamment pour soi disant lutter contre le coronavirus, qui non seulement crée un chômage « caché bien que réel » et un déficit dramatique du budget de l’État, 
  • 🔵 mépris du peuple en s’affichant ouvertement dédaigneux et parfois insultant à son encontre (Pour « ceux qui ne sont rien » entre autres),
  • 🔵 mépris de notre industrie en privatisant à outrance nos entreprises fleurons et même désormais les entreprises étatiques,
  • 🔵 mépris de nos personnels de santé avec des suppressions de postes régulières et même des suppressions de lits et d’établissements avant et pendant la pandémie,

Tout cela c’est du réel et du concret qui prouve à quel point les échecs sont bien la marque de fabrique du Macronisme.
Alors oui, personne ne pourra faire pire sauf… Si Macron est réélu le 24 avril 2022 !

La seule façon de s’en sortir c’est de les sortir (en avril 2022 au plus tard).

Une information croquignolesque qui démontre la nocivité du système mis en place :

Le directeur d’En Marche avait été employé par la firme américaine McKinsey ! Paul Midy, directeur général du Pôle communication En Marche dont les principales missions sont : stratégie et toutes activités de communication, influence et opinion…

Déclaration du Président-candidat, prince de l’ironie sans nul doute :

« Macron se dit choqué par l’optimisation fiscale pratiquée par le cabinet McKinsey ». 

Attal, ministre porte-parole du gouvernement appelle l’administration à recourir au conseil « avec parcimonie »

Rétablissons ici les mots des maux chroniques de cette Macronie : il ne s’agit pas d’optimisation fiscale mais bien d’évasion fiscale pour un montant déjà évalué à plus d’un milliard d’Euro !

« Un milliard, c’est encore de la parcimonie ? », lui a demandé le journaliste Marc Fauvelle. La réponse du porte-parole de l’Élysée, Gabriel Attal « non » ! Circulez…

Et cette dernière information est sûre puisqu’elle émane du journal de gauche Le Monde, celui qui a créé « Décodex » pour dire si une information est vraie ou fausse !!!

Un Président ne devrait pas agir ainsi et donner les clés à un cabinet américain (McKinsey), donc étranger, qui coûte « un pognon de dingue ».

Macron, c’est vraiment :

Le quinquennat du mépris

Président-fondateur Observatoire du MENSONGE

 Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Alexandre Goldfarb pour Observatoire du MENSONGE




Mc Kinsey : le Sénat a-t-il intentionnellement noyé la mèche qui devait exploser ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par LaurianeB

Le rapport du Sénat sur les activités de MC Kinsey a fait couler beaucoup d’encre. En apparence, il est très critique et démontre que le cabinet de conseil s’est engraissé sur le dos des contribuables sans payer d’impôt sur les sociétés. Mais était-ce bien cela, le problème ? N’était-ce pas plutôt les liens osmotiques entre le Président de la République et un cabinet qui lui a proposé un prêt personnel pour financer sa campagne électorale ? et n’était-ce pas plutôt l’emprise de Mc Kinsey et d’Accenture sur la stratégie de lutte contre le COVID, notamment l’invention du passe sanitaire, puis du passe vaccinal, partout en Occident – sujet éludé par le rapport ?

[NDLR : ce ne serait pas la première fois que pour étouffer un problème majeur on attire l’attention sur un problème secondaire.]

Rapport sénatorial « Mc Kinsey »

Bien entendu, il y a la version officielle, et officiellement méchante, du rapport de la sénatrice communiste (présidente du groupe communistes, d’ailleurs) Eliane Assassi sur les cabinets de conseil en matière de politiques publiques : ils gagnent beaucoup trop d’argent sur le dos de l’Etat. Cette ancienne adjointe au maire de Drancy a par exemple pointé du doigt l’évasion fiscale dont Mc Kinsey France est la bénéficiaire, avec des impôts payés au Delaware. 

Mc Kinsey, les méchants qui gagnent trop d’argent

Toute la presse (y compris le Courrier) s’est fait écho du rapport de la sénatrice Assassi sur l’activité des cabinets de conseil privés auprès du gouvernement. Et toute la presse a retenu deux informations qui, au fond, arrangent bien tout le monde : ils gagnent trop d’argent (2.168 €/jour), et, s’agissant de Mc Kinsey, ils ne paient pas leurs impôts en France.

Bouh ! pas bien ! et l’affaire est pliée. 

Donc, on résume : pas un mot sur le “pourquoi ?” que nous avons soulevé à plusieurs reprises. Nous avons notamment, il y a quelque temps, rappelé les liens d’amitié entre Emmanuel Macron alors candidat à l’élection présidentielle de 2017 et le cabinet Mc Kinsey. Nous avions aussi pointé du doigt l’étrange reproduction, dans l’affaire du passe sanitaire, des méthodes prônées par Mc Kinsey dans le scandale des opioïdes aux USA.  Sans même évoquer l’étrange reproduction des méthodes utilisées en Afrique du Sud pour asservir l’intérêt général. 

Autrement dit, le Sénat a concentré ses critiques sur le cabinet Mc Kinsey (et partiellement Accenture), en épargnant soigneusement Emmanuel Macron, le financement de sa campagne, et l’intervention de la caste mondialisée dans la définition de la stratégie française en matière de COVID. 

C’est quand même bizarre…

Un rapport adopté à l’unanimité par la commission 

Si certains avaient des doutes sur le caractère réellement bizarre de cette bizarrerie, il suffit de régarder le destin du rapport. Comme le pointe habilement le site Publicsénat :

Le rapport, adopté à l’unanimité des membres de la commission le 16 mars, sera traduit en proposition législative. Une proposition de loi « transpartisane » est d’ores et déjà annoncée.

Autrement dit, même Nicole Duranton, sénatrice LREM, a voté pour les conclusions de ce rapport ? Preuve incontestable qu’il évite soigneusement de gêner le pouvoir. 

Les questions qui n’ont pas été posées par la communiste Assassi

On se souvient ici des positions du Courrier sur l’intervention de Mc Kinsey (et d’Accenture) dans la question du COVID, et singulièrement dans la question de la vaccination et du passeport vaccinal. 

Nous défendons la conviction selon laquelle si tous les pays occidentaux ont adopté la même stratégie en matière de lutte contre le COVID, c’est parce que les grands cabinets mondialisés ont été utilisés pour la mettre en place, en grande partie sous l’influence du gouvernement profond américain qui déroule l’agenda du Great Reset. Parmi ces grands cabinets, on retrouve Mc Kinsey bien sûr, mais aussi Accenture (qui a fait affaire avec tout le petit cercle mondialisé comme le Forum de Davos, Trudeau ou les Bataves, sur l’identité numérique) ou Roland Berger dont nous avons décelé l’influence dans la campagne d’Eric Zemmour. 

Il était donc crucial non de se demander si Mc Kinsey et Accenture avaient gagné beaucoup d’argent dans l’affaire du COVID (le “beaucoup” étant forcément subjectif), mais s’ils avaient été les agents et même les principes actifs des mesures liberticides adoptées à l’occasion du COVID. 

Sur ce point, on se souviendra de l’étrange mollesse de la gauche communiste sur les suspensions de soignants non-vaccinés. Prompts à dénoncer les licenciements boursiers, ils se sont curieusement trouvé très secs et silencieux sur la mise à la rue sans indemnité de soignants objecteurs de conscience vaccinale. 

Une commission qui a enterré le dossier ?

Les communistes français ont-ils peur de dénoncer la mondialisation dans ses aspects les plus brutaux, notamment la désignation des non-vaccinés comme boucs-émissaires et l’utilisation politique et financière du COVID pour imposer la loi de Pfizer et de l’identité numérique aux pays occidentaux ?

En lisant le rapport Assassi, on ne peut que le penser. 

On ne trouvera dans ce document qu’une analyse à charge pour les laboratoires pharmaceutiques, qui passe gentiment sous silence la subordination de l’équipe Macron aux mondialistes de Davos et à leurs affidés. 

C’était pourtant bien le sujet : par quel mode opératoire la caste impose-t-elle son agenda à tous les pays industrialisés en même temps ? De notre point de vue, le rapport conforte cette thèse par une série d’indications. Mais, malheureusement, elles sont savamment escamotées ou mal exploitées, pour que les sénateurs ne donnent aucune interprétation politique à leurs constats. 

Reste à savoir pourquoi. 




Révélation explosive : en 5 ans, Big Pharma a offert 818 millions d’euros à des médecins influenceurs en France

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng -2 mars 2022

Entre 2014 et 2019, Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médias influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février.

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.

En effet, d’après cette étude relayée par le média Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits. Les montants débloqués sont faramineux. Selon le Quotidien du Médecin, entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature. D’après la même source, 548 médecins influenceurs sont en France.

“Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature. En moyenne, un médecin influenceur recevait l’équivalent de 3 700 euros de cadeaux par an. Et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré”, révèle la source.

Dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a eu accès à l’étude en question dans sa version originale et intégrale. Et les chiffres qui y sont dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 millions d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros.

L’étude révèle également qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3 700 euros de cadeau par an pour chaque KOL. En pleine crise sanitaire, cette étude risque de provoquer un séisme dans le monde médiatique.

Pour lire l’étude dans sa version originale, cliquez sur le lien suivant : KOL 





Trudeau n’a pas eu la vie facile au Parlement européen

[Source : Éric Pilon]

Par Eric Pilon

Pas moins de 4 députés du parlement ont reproché au premier ministre canadien son attitude antidémocratique.

Ce qui devait être une agréable journée mercredi pour Justin Trudeau a failli tourner au cauchemar. C’est que le PM a rencontré beaucoup de résistance au Parlement européen; plus qu’il ne l’avait sûrement imaginé. Quatre députés ont fustigé ses méthodes autoritaires, faisant référence entre autres au Convoi de la liberté.

Dans son discours devant une salle remplie seulement au tiers, Trudeau a fait valoir que les gouvernements peuvent et doivent jouer un rôle positif dans la vie des gens. Ce qu’il n’avait pas anticipé, c’est que pour certains, il est loin de jouer un rôle positif dans la vie des Canadiens.

Le député croate Mislav Kolakusic, pour un, a accusé Trudeau de mener « une dictature de la pire espèce ». « Le Canada, autrefois symbole du monde moderne, est devenu ces derniers mois un symbole de violation des droits civiques sous votre botte quasi libérale », a-t-il lancé au PM. Kolakusic a fait allusion à la gestion du dossier concernant le Convoi de la liberté pour exposer ses nombreux griefs contre le gouvernement libéral et Justin Trudeau.

L’Allemande Christine Anderson a abondé dans le même sens en traitant le premier ministre canadien de « disgrâce pour la démocratie », ne manquant pas de l’accuser à son tour d’avoir violé les « droits humains » et « la règle du droit ». Elle s’est par ailleurs désolée du fait que la direction du parlement a permis au PM d’y prononcer un discours.

À ce sujet, un autre député allemand, Bernhard Zimniok, a dit avoir tenté en vain d’empêcher Trudeau de parler devant les membres du parlement parce que, a-t-il dit, il a « piétiné les valeurs fondamentales de la démocratie ».

Un dernier, le Roumain Cristian Teres, a quant à lui refusé d’assister au discours du premier ministre, disant qu’il n’avait aucune leçon de démocratie à recevoir de ce dernier. « Vous ne pouvez pas venir donner des leçons de démocratie [au] Parlement européen quand vous piétinez à coups de sabot vos propres citoyens qui exigent le respect de leurs droits fondamentaux », a fait savoir Teres dans une déclaration écrite.

Aucun média traditionnel au Canada ne semble avoir montré de l’intérêt pour ces critiques acerbes formulées contre Trudeau au Parlement européen.

Sources

CTV NewsThe Post Millennial, Twitter #1#2#3#4


[Compilé par Nicole :]

https://twitter.com/uvieile/status/1507005947222237191?s=11

Le député européen croate et ancien juge Mislav Kolakusic interpelle Justin Trudeau lors de sa visite au Parlement européen à Bruxelles hier :
« Pour vous, il s’agit peut-être de méthodes libérales. Pour de nombreux citoyens du monde, c’est une dictature de la pire espèce. »

https://twitter.com/comtediderot/status/1507076029466226689?s=11

https://twitter.com/letontonflingr/status/1507078106393333763?s=11
[Voir aussi :
McKinsey, ce cabinet qui conseille Macron et qui fraude le fisc,
L’agence de presse Reuters, le cabinet McKinsey et Pfizer, l’énorme conflit d’intérêts !
et Cabinets de conseil : le rapport accablant de la commission d’enquête du Sénat]

J’ai essayé d’empêcher le discours du 🇨🇦 PM #Trudeau au Parlement de l’#UE parce qu’il a récemment piétiné les valeurs fondamentales de la démocratie. Malheureusement, les ennemis de la démocratie sont également en hausse en #Europe, comme le montre clairement la réaction de mes collègues.



Macron-Mélenchon ou la charia avant les bœufs

Par Lucien Oulahbib

[© Crédit photo : Archives AFP]

Entre deux bateleurs de grand chemin, lequel choisir ? Se demande, lassé, apeuré, le Marais. D’autant que leur programme se ressemble, malgré l’impression du contraire (en l’occurrence les tranches d’imposition et le degré de spoliation), qu’il s’agisse du multiculturalisme intégral (« il n’y a pas de culture française » versus « l’obscurantisme chrétien » opposé à «l’apport des civilisations arabes »), de la fluidité de genre (« votre problème, c’est que vous considérez qu’un père est forcément un mâle » versus «inscrire dans la Constitution la possibilité de changer de sexe »), le tout bien préparé en amont par un bombardement idéologique permanent dans les écoles les médias, les « institutions » à la solde.

Mais n’est-ce pas là placer la charia avant les bœufs ? Il n’est pas sûr en effet qu’accroître ainsi le multiculturalisme par un relativisme et un fractionnement exacerbés, une immigration massive de plus en plus encouragée (qui vient par ailleurs culbuter et culpabiliser les premières générations en voie d’assimilation) ait l’effet escompté. Il n’est pas sûr que les nouveaux entrants s’accommodent d’un tel bouleversement des mœurs, tant cette dite « fluidité » des rôles et des genres s’avère non seulement violemment rejetée par le multiculturalisme plus « traditionnel » qui s’installe et culpabilise les premières générations (« noir, arabe, juif » de service, clament les Suivantes aux ordres), mais en devient de plus sans aucun doute le justificatif même pour que, en son sein, croissent les tendances les plus retorses à cette « décadence », comme elles le décrivent dans leurs prêches, se servant certes des facilités octroyées par les deux M [Macron-Mélanchon] pour s’installer, mais rejetant toute cette fluidité annoncée par un séparatisme non seulement « culturel », mais territorial…

Les deux M et leurs entourages respectifs ne le pensent pas, hurlent au racisme et au complotisme, croyant ainsi éviter l’erreur effectuée par les « démocrates » algériens et « iraniens », ou comment pourtant l’alliance avec leur contraire les mena à leur perte. Mais en France, la prétention de se sentir supérieur, en soi, est telle que cette possibilité de soumission à plus fort spirituellement puis territorialement se trouve écartée, et ce d’un revers de main hautain et méprisant. Un peu comme pour l’idée communiste qui aura certes échoué partout, mais ce, non pas parce qu’elle serait viciée au départ, clament ces thuriféraires (éliminer définitivement l’envie, la jalousie, la corruption par l’emprise d’un état total sui generis posé comme état intime à imiter), mais « seulement » parce qu’elle n’aurait pas été menée par les seuls et vrais révolutionnaires qui ne peuvent être que Français avec 1789 comme exemple phare : la France en URSS qui aurait « réussi » avec son État social omnipotent.

Il existe en effet une sorte d’imaginaire non-dit tissé d’un nationalisme révolutionnaire à la française (« Révolution », titre d’un livre de Macron) installé au cœur d’un internationalisme globalisant fantasmé (Mélenchon) avec à sa tête nos deux « éclairés » (le « wokisme » américain en est en réalité un simple remake) ; et nos deux M se voient bien en « leaders charismatiques » siamois capables de mener à bien l’idée communiste, mais Cyber-rénovée à la façon néo-maoïste, ou comment se servir de l’outil capitaliste comme couteau suisse qui permet de créer enfin cet État total servant « en même temps » de canevas nounou et de père fouettard pour modeler tous les états intimes, ou le totalitarisme à son stade enfin abouti.

Les deux M sont certes adversaires, mais en apparence. Si en effet Mélenchon grignote ces temps-ci quelques points dans les sondages (aussi fiables que ceux de 2002), il le doit certainement aux révélations sur l’emprise techno-scientiste et hygiéniste de l’outil McKinsey dont s’est servie la nounou Macron pour accomplir la marche de plus en plus funèbre qui accompagne l’effondrement, masqué, du mode de vie made in France. Mélenchon en serait, lui, le versant père fouettard, au cas où la Secte trans/globaliste déciderait d’en accélérer le processus d’embaumement (déjà Médiapart refait du Fillon en taillant un costard au candidat PC qui fait de l’ombre), puisqu’il s’agit de spolier encore plus les classes moyennes supérieures, de détruire définitivement le nucléaire, la famille « hétéro-normée », d’accélérer enfin le déversoir de millions d’immigrés à la fois pour masquer la faillite de la décolonisation et de l’aide onusienne au « développement » d’une part, pour, d’autre part, repeupler électoralement façon libéraux américains et castristes en construisant ces immenses lotissements dits « sociaux » — les habitants munis ainsi de leur carte de séjour multifonction (et Q.R code) qui peuvent toucher l’allocation universelle, voyager, bénéficier de tel ou tel service s’ils votent « bien » comme au Venezuela et en Chine.

Face à ce rouleau compresseur (dont les deux M sont les deux têtes siamoises) et qui a décidé désormais d’élargir la guerre contre le virus C-19 versus Poutine, la tentation est alors grande de baisser les bras, de se « barrer », au lieu de chercher à l’arrêter, ce qui est certes sans doute plus facile à écrire qu’à faire. Mais n’est-il tout de même pas possible de créer non seulement des armes hypersoniques comme des résistances multiformes à coup de dénonciations et de manifestations de plus en plus massives, façonnant également des essaims de drones symboliques et pratiques capables d’enrayer façon jeu de Go chaque point de la Matrice ?… « L’imagination au pouvoir » disait-on naguère un… 22 mars…

« Impossible n’est pas français » une autre formule (plus qu’un dicton) de chimie politique qu’il s’agirait alors, et ce, maintenant, de réaliser.




Cabinets de conseil : le rapport accablant de la commission d’enquête du Sénat

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Le rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur l’emprise croissante des cabinets de conseil privés sur le déploiement des missions de l’État français a été rendu public ce 17 mars, à l’issue de quatre mois d’investigations et d’auditions. Son titre annonce la couleur : « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Les sénateurs y soulignent « l’influence avérée » des cabinets de conseil sur les décisions publiques, le coût exorbitant des prestations pour des résultats parfois jugés médiocres, ou encore le « pantouflage » bien réel et les risques de conflits d’intérêts. Face à ce phénomène qui s’exerce sur « des pans entiers des politiques publiques », ce rapport « soulève deux principales questions : notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés, d’une part, et la bonne utilisation des deniers publics, d’autre part », écrivent le président de la commission, Arnaud Bazin (LR) et la rapporteure Éliane Assassi (CRCE). Le cabinet de conseil américain McKinsey est également accusé d’évasion fiscale alors qu’il avait prétendu le contraire sous serment lors d’une précédente audition en janvier.

Le point de départ de cette enquête sénatoriale, réalisée à l’initiative du groupe Communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE), a été l’appel à des consultants privés dans le cadre de la gestion de la crise Covid à partir de 2020. En réalité, il ne s’agissait que de la « face émergée de l’iceberg ». Selon le rapport, « les cabinets de conseil sont intervenus sur la plupart des grandes réformes du quinquennat, renforçant ainsi leur place dans la décision publique ». Si cette pratique n’a pas démarré avec la présidence d’Emmanuel Macron, les sénateurs notent qu’elle s’est nettement accélérée sous sa présidence au point d’évoquer un recours « massif » et « croissant ».

Voir aussi : « Les Infiltrés » : l’ouvrage qui expose au grand jour la connivence entre État et cabinets de conseil

S’il est désormais de notoriété publique que des consultants privés ont été sollicités sur les aspects centraux de la gestion crise du Covid, le rapport révèle qu’il est également fait appel à eux dans une très grande variété de domaines, y compris quand il faut préparer « une interview sur BFM TV ou une audition au Sénat ».

Plus d’un milliard d’euros de prestations de conseil pour la seule année 2021

Le recours aux consultants a particulièrement augmenté entre 2018 et 2021, pour atteindre plus d’un milliard d’euros de dépenses publiques l’an dernier, financées avec les impôts des Français. La rapporteure n’hésite pas à reprendre l’expression auparavant utilisée par Emmanuel Macron sur les prestations sociales : un « pognon de dingue ».

En outre, le rapport précise qu’il ne s’agit que d’une estimation minimale, la commission d’enquête ayant seulement interrogé les opérateurs publics les plus importants comme Pôle Emploi et la Caisse des Dépôts et consignations. Pour elle, l’objectif de réduction des dépenses de 15 % pour les prestations de conseil est « peu ambitieux ». Dans ses recommandations, elle demande que soit publiée chaque année la liste des prestations de conseil commandées par l’État et ses opérateurs.

Une qualité de prestation remise en cause

Le rapport souligne que les livrables, à savoir les documents produits par les cabinets dans le cadre de leurs missions, sont « de qualité inégale ». Il est fait référence à l’insatisfaction de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) sur des travaux de McKinsey qui visaient à accompagner la stratégie pour la mise en place du service public des pensions alimentaires en 2019. Dans son évaluation, la DITP déplore « un manque de culture juridique et plus largement du secteur public » ou encore la « juniorité » de certains consultants « pas au niveau », dont il a fallu demander le remplacement. C’est pourquoi le Sénat estime qu’une évaluation devrait être conduite systématiquement, avec des pénalités à la clé si les résultats ne sont pas concluants.

Par ailleurs, les sénateurs épinglent l’absence de « suite tangible » de certaines prestations. On repense à l’exemple très médiatisé de cette audition du 18 janvier au cours de laquelle un des directeurs associés du cabinet de conseil McKinsey, Karim Tadjeddine, a eu bien des difficultés à justifier un contrat de 496 800 euros sur l’évaluation des « évolutions du métier d’enseignant ». « Il n’est pas possible de déterminer les conséquences directes » de cette prestation, selon le ministère cité par le rapport sénatorial.

Voir aussi : McKinsey au Sénat : les conseillers peinent à répondre aux questions de la Commission

Par ailleurs, McKinsey, qui s’était aussi retrouvé début 2021 au cœur d’une polémique quand son implication dans la stratégie sanitaire du gouvernement avait éclaté au grand jour, est aussi accusé d’évasion fiscale par les sénateurs. La société n’a payé aucun impôt pendant dix ans, selon les informations obtenues par la commission d’enquête auprès de l’administration fiscale. Une révélation d’autant plus embarrassante pour le géant américain au regard de la déclaration de Karim Tadjeddine lors de son audition par les sénateurs, le 18 janvier : « Je le dis très nettement : nous payons l’impôt sur les sociétés en France » témoignait-il… sous serment. C’est pourquoi les sénateurs ont saisi le procureur sur le cas de M. Tadjeddine. Le faux témoignage devant une commission d’enquête est passible de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

Le politique publique sous influence d’entreprises privées

Dans son rapport, la commission sénatoriale insiste particulièrement sur « l’influence avérée des cabinets de conseil sur la prise de décision » des ministères. « Certaines de leurs publications, qui sont particulièrement nombreuses en période électorale, s’apparentent même à des programmes politiques », relève-t-elle.

Par ailleurs, la fusion entre administration publique et cabinets de conseil privés est pointée du doigt. Par exemple, des consultants disposent d’une adresse électronique avec le nom de domaine du ministère et des documents sont parfois rédigés « sous le sceau de l’administration », comme a justement pu le faire McKinsey au ministère de la Santé au cours de la crise du Covid. « Cette méthode de travail renforce l’opacité des prestations de conseil car elle ne permet pas de distinguer l’apport des consultants, d’une part, et celui de l’administration, d’autre part », estiment les sénateurs.

La Commission alerte sur le « pantouflage » et les conflits d’intérêts

S’il existe déjà un cadre déontologique, « il faut néanmoins redoubler de vigilance en raison de l’influence que les cabinets de conseil peuvent exercer sur la décision publique, en particulier pour le conseil en stratégie », plaide le rapport.

Pour éviter de potentiels conflits d’intérêts, bien réels lorsque des consultants conseillent des pouvoirs publics et des acteurs privés, les sénateurs recommandent d’imposer une déclaration d’intérêts en vue de prévenir tout incident en amont si bien qu’un manquement à cette obligation serait sanctionné par une exclusion des marchés publics.

Dans le même esprit, le document met aussi l’accent sur le « pantouflage », les allers et retours des hauts fonctionnaires entre le secteur public et le secteur privé qui se traduisent par le recrutement d’anciens responsables publics dans les équipes de ces cabinets de conseil.

Plusieurs responsables politiques se sont rapidement emparés de ce rapport sénatorial. Estimant qu’Emmanuel Macron ne pouvait pas ignorer que McKinsey se rendait coupable d’évasion fiscale, la candidate LR, accusée de prise illégale d’intérêts dans l’affaire Alstom, a estimé que le président devait « rendre des comptes ».

Gilbert Collard, porte-parole du parti Reconquête, a appelé à enfin « faire la lumière sur tous ces cabinets qui dirigent indirectement la France et dont on doit se passer ! ». Le président du Parti communiste français, Fabien Roussel, a, lui, dénoncé un scandale, jugeant que les cabinets privés ne se sont jamais « autant gavés » que depuis l’élection d’Emmanuel Macron.

L’avocat Fabrice Di Vizio a lui annoncé qu’il déposait une plainte contre Amélie de Montchalin : 

Le rapport, adopté à l’unanimité des membres de la commission le 16 mars, fera l’objet d’une proposition de loi « transpartisane ».




Sabotage du système de Santé français

Par John Hunter

Vous avez depuis ce gouvernement une volonté omniprésente et programmée de saboter la Santé publique. On ne va pas parler du fiasco vaccinal, leur dernière invention. On va essayer de cerner les mesures que ce gouvernement impose.

Le coup de force McKinsey. Ce groupe a court-circuité l’ARS soutenue par le contribuable et se rémunère à coups d’enquêtes artificielles comme la dernière audition du Sénat l’a mis en lumière. Le déremboursement des médicaments, l’urgence désormais facturable, l’affaire de la diminution des lits d’hôpitaux, la révocation des soignants non vaccinés, ne représentent qu’un épisode de la saga. On voudrait traiter ici de la multiplication des sources de pollution de l’environnement.

La multiplication des sources de fréquences, ces radiations omniprésentes qui nous cernent de toutes parts.

C’est le rapport Bolen de l’armée de l’air américaine qui a le plus de chance de découvrir le cocktail explosif des radiations. Il suit le rapport Raines et comporte de nombreux graphiques. Une conversation avec Steven Cooper, l’acousticien d’Australie, m’a fait comprendre le problème. Les aviateurs de l US Air Force s’évanouissaient en vol et crashaient leur appareil à cause des infrasons générés par les moteurs puissants. Depuis ils ont perfectionné la combinaison pressurisée pour répartir la charge. Et commencé à investiguer sérieusement les fréquences pour maîtriser le problème.

Certains pilotes d’essai sont morts des fréquences absorbées qui parsèment le territoire d’éoliennes géantes encore plus nocives (Recherche Ceranna), car celles-ci émettent des fréquences ténues et en plus grosse quantité que les éoliennes moyennes.

La pénétration sur le vivant est chiffrée en milliwatts et cela donne mW/cm2. On distingue pénétration thermique et non thermique. L’ICNIRP ou l’ANSES ne reconnaissent pas les effets non thermiques ce qui a le mérite de laisser les industries adjacentes polluer le vivant à qui mieux mieux. L’ICNIRP vient encore de réfuter le Pr Frank de l’université d’Edinburgh pour son éclat contre la 5G. Quant à l’ANSES, c’est encore plus piteux puisqu’elle ose proclamer que les moindres fréquences sont si petites qu’elles sont inoffensives, à l’encontre de toutes les recherches internationales. Elle n’admet dans ses références que les chercheurs ayant conclu comme elle que les effets non thermiques n’existent pas. Comme la culture scientifique en France est en franche dégringolade, on laisse cet organisme dire des inepties. Les médecins ne sont pas formés dans ce domaine et se moquent ouvertement des victimes irradiées avec perte de sommeil et pathologies. En France le Dr Belpomme est le seul à être au courant. C est un miracle si l’Ordre ne lui est pas déjà tombé dessus.

En France le labo ToxSeek et la chercheuse Sioux Berget ont établi les faits. L’ANSES a entendu Sioux Berger venue parler au nom de la Fed qui regroupe les anti-éoliens. Quelle réaction ? Aucune bien entendu, et surtout pas une solution du procès qui opposait les éleveurs de Nozay et d’autres exploitations laitières cernées par les fréquences électromagnétiques des parcs éoliens.

La recherche Duchamp sur les décès en masse des visons de Norvège a été proposée à la FED qui n’a pas bougé non plus. Mais les dégâts sanitaires s’accumulent et le nombre des victimes augmente.

Le Linky fabrique les électrosensibles. Les éoliennes c’est des perturbations biologiques à vie. La 5G c’est l’arme du crime, car elle amplifie le covid. Les lignes haute tension amènent la leucémie. Les antennes pour portables pratiquement aussi nocives Une maison électrifiée produit de l’électricité sale, car il y a perte de courant. C’est systématique.

Tous ces facteurs non régulés le gouvernement les passe sous le tapis. ToxSeek et Berger ont fait un travail considérable en soulevant la poussière. Le sol français devient invivable. Les vers de terre meurent sous les éoliennes tellement les vibrations sont insoutenables. Les pesticides et le glyphosate sont permanents. Une étude récente à l étranger à analyse les urines des Français : du glyphosate à un taux incroyable comme nulle part ailleurs. Dr Seneff a montré que ce glyphosate inhibe des enzymes guérisseurs du covid.

Si nous sommes si empoisonnés par la main de ce gouvernement, nous allons non seulement périr de maladies (car Bolen souligne les anomalies chromosomiques et autres joyeusetés), mais c’est la génération future qui sera affectée, et l’affaiblissement de la santé publique pour les autres générations. Avec la dictature OMS, ce sera la dystopie totale. Des injections tous les jours, des puces et des microcircuits et encore plus de directives qui vont à l’envers de la Vie et du bon sens. Ne laissez pas les fréquences bouleverser insidieusement vos vies et lisez vite le livre d’Arthur Firstenberg « The invisible rainbow », un arc-en-ciel pas catholique du tout, mais le favori du gouvernement, car il laisse peu de traces.

Pour finir le chapitre, il faudrait présenter l’œuvre du radiesthésiste belge Roger Nollet qui dresse un constat accablant du génocide secret avec des détecteurs en unités Bovis, des radioactivités ahurissantes notamment par les terres rares. C’est évident que tout se tient actuellement. La dépopulation avance très bien pour les eugénistes et les gouvernements qui les soutiennent.




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

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Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

3:24:45

Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




Jean-Michel Blanquer : une nouvelle vision de la remontada.

Par Karen Brandin

« Il faut probablement plus de mathématiques dans le tronc commun (…), mais je ne laisserai pas dire qu’il y a un déclin sur le sujet. »

Voici ce que déclarait en substance il y a quelques jours à peine le futur ex-ministre de l’Éducation nationale (« ex-ministre » ; quelques grammes d’espoir dans une tribune bien sombre) avant de renchérir, sans rosir :

« On est en train de renforcer les mathématiques. »

Emballement alors d’une majorité de médias dont l’indulgence étonne ou navre, qui ont cru percevoir dans ces propos une forme de mea-culpa, et ce quand bien même le gouvernement en place ne nous a guère accoutumés au cours de ces cinq dernières années à une forme, même atténuée, d’introspection.

Malheureusement, Mr Blanquer va devoir souffrir que le petit peuple remette en cause ses déclarations, car force est de constater (et de défendre) que nous sommes encore en démocratie, fût-elle vacillante selon l’expression désormais consacrée.

Ce que propose donc JMB, c’est tout au plus un pansement sur une jambe de bois. Certainement pas une refonte d’une réforme qui a non seulement détruit la qualité et la cohérence des enseignements scientifiques, mais qui est en outre venue corrompre durablement, en la dénaturant (nous y reviendrons), la relation entre l’élève et l’enseignant.

Difficile en réalité de comprendre en quoi consiste cet enseignement scientifique sinon, au travers de thèmes imposés, aux intitulés souvent ambitieux d’ailleurs, de proposer une sorte vernis aux allures de sciences qui de l’aveu même des enseignants et des élèves pour le coup très lucides, s’écaillera à la première occasion tant il est jugé « inutile. »

En première, comme en terminale, il s’agit d’un enseignement de 2 h hebdomadaires évalué dans le cadre du contrôle continu et affecté d’un coefficient 5 malgré tout (6 en 2023). Dans l’état actuel des choses, les mathématiques ne sont, en classe de première, pas du tout représentées et nombreux sont les cas où en terminale, les maths sont à ce jour (en février 2022 donc) les grandes absentes de cette « formation » au moins aussi artificielle donc que l’est l’imposture du tristement célèbre Grand Oral au cours duquel il s’agit de présenter en cinq minutes, à grand renfort de gesticulations et de regards pénétrés, un sujet que l’on ne maîtrise naturellement pas. Une épreuve d’éloquence à laquelle se soumettent si volontiers nos dirigeants avec le succès et le vocabulaire fleuri que l’on connaît.

L’idée lumineuse du ministre, une idée à peu de frais, serait donc d’imposer dès la classe de première dans ce fourre-tout scientifique, quelques notions de maths distribuées au gré du vent, histoire de faire illusion (R. Gori présente J.M. Blanquer présente d’ailleurs comme un marionnettiste). Sauf que personne n’est dupe.

Quant au député de l’Essonne, Cédric Villani, dont le silence devenait assourdissant, il a suggéré de faire passer cet enseignement à 3 voire 4 h par semaine, estimant que le pire de tout serait :

« de revenir aux anciennes sections, ces dernières ayant montré leur limite. »

En marche ou pas, je pense que l’on ne doit pas regarder dans la même direction…

Le plus cocasse, c’est que lorsque l’on s’est empressés de sonder les lycéens suite à ces annonces ou plutôt à « cette vraie/fausse prise de conscience », ces derniers ont rejeté en bloc cette proposition. La plupart d’entre eux ne souhaitant pas, et il fallait s’y attendre, le retour des maths sous quelque forme que ce soit, dans l’enseignement obligatoire.

Blanquer a pratiqué une incision sur un patient dont il ne soupçonnait pas qu’il était hémophile. Il a provoqué une hémorragie mathématique qu’il risque désormais d’être bien en peine de maîtriser. Il va pourtant falloir trouver rapidement le moyen de « stabiliser les constantes » du lycée.

Densifier les créneaux horaires d’enseignement scientifique pourrait en revanche avoir un avantage pratique ; celui de permettre de reclasser des profs de maths (on pense aussi au NSI — numérique et sciences informatiques — pour un prof de maths « couteau suisse »), dont l’auditoire naturel ne cesse de se clairsemer.

Que penser de la seconde affirmation, à savoir des maths qui auraient été renforcées par cette terrible réforme ?

Blanquer en veut pour preuve une constatation très simple, chiffrée : dans l’ancien bac S (scientifique donc), il y avait 6 h de maths obligatoires (coef. : 7) auxquelles on pouvait ajouter un enseignement de spécialité de 2 h (ce qui faisait passer les maths à un coef. 9 contre 6 pour la physique et 6 pour la SVT, en ce temps béni où l’on pouvait prétendre à une culture scientifique homogène). Le ministre nous rappelle que désormais, avec la spécialité maths (6 h) et les maths expertes (3 h), nous sommes à 9 h. CQFD. Circulez, il n’y a rien à voir.

Loin de nous l’ultime provocation, proche de la mauvaise foi reconnaissons-le, qui viserait à prétendre que 8>9 ; sauf que ce n’est pas si simple et que tout n’est pas affaire de comptabilité. Ce qu’oublie de dire le ministre c’est tout d’abord que si les maths dites abusivement « expertes » sont associées à un créneau de 3 h, c’est parce qu’elles doivent désormais compter avec un chapitre très lourd, celui des nombres complexes, autrefois enseigné en obligatoire (depuis 2013, l’ex-spé maths ne contenait que 2 thèmes : une initiation à l’arithmétique et une au calcul matriciel. Autrefois, il y avait en outre un complément géométrique sur les nombres complexes).

Pour appréhender au mieux la chute dramatique du niveau, c’est assez facile en réalité. Il suffit de se rendre sur le site de l’APMEP, d’ouvrir par exemple, la session, disons, 2017 et de comparer le degré d’exigence avec celui des épreuves de 2021 (qui ont eu lieu, on le rappelle, pour les élèves scolarisés dans les structures hors contrat). Les grands discours sont inutiles. Monsieur Blanquer, bien que féru de neurosciences, est un marchand de sommeil et nous payons à prix d’or des conditions d’apprentissage fortement dégradées. On rappelle qu’en spé maths, on doit parcourir entre septembre et mars, pas moins de huit thèmes allant des suites aux probas, en passant par le logarithme, les limites de fonctions, la continuité, la géométrie dans l’espace, etc.. On imagine dans quelles conditions de brutalité est dispensé ce gavage.

Ce qui est assez drôle (puisque c’est le règne des QCM dans la nouvelle version de l’épreuve en plus de l’exercice au choix ; on n’est jamais trop prudents quand on vise les 100 % de réussite), c’est que certaines consignes marquent en majuscules :

« AUCUNE JUSTIFICATION N’EST DEMANDÉE ».

Je rappelle que c’est une épreuve de maths et que l’on vous supplie presque de ne pas justifier vos réponses. Bravo, vraiment pour ce grand progrès !

Même au niveau strictement horaire, le compte n’y est clairement pas. Pour s’en convaincre, il faut regarder ce qui se passait du côté de la terminale ES (pour Économique et Sociale) où le nombre d’heures de maths hebdomadaires était de 4 (pour un coef. 5), voire 5 h 30 si le lycéen choisissait l’enseignement dit de spécialité. Si ces élèves se reportent sur les maths complémentaires, ce qui semble le plus naturel, ils n’ont désormais plus que 3 h de cours.

Quant au profil des élèves, dont la plupart sont en très grande difficulté même avec des outils tout à fait élémentaires, il est lui aussi sans comparaison lorsque l’on a, ne serait-ce que dix ans d’expérience et donc de recul.

Lorsqu’un terminale S prenait la décision de suivre la spécialité maths (jusqu’en 2020 donc), c’était une décision mûrement réfléchie et concertée, éventuellement lourde de conséquences, car cet enseignement estimé difficile, comptait pour un quart de la note lors de l’épreuve du bac (1 exercice sur 4). Il s’agissait donc de s’investir. Aujourd’hui, on retrouve en maths expertes des élèves parfois très faibles, souvent désengagés. La raison en est que la spécialité maths est associée à un coefficient 16 (c’est le cas des 2 spé que conserve l’élève en terminale) quand les maths expertes (comme les maths complémentaires d’ailleurs) ne pèsent rien, avec un coefficient de seulement… 2 !

Ce sont les élèves, donc les principaux intéressés, qui en parlent le mieux et ne reconnaissent pas tant un choix motivé par l’intérêt pour la matière, qu’un choix opportuniste pour un dossier plus présentable.

Parce que l’on baigne dans la société du paraître, on a tout intérêt à s’inscrire dans ces modules de maths ; le dossier est étoffé à moindre coût et sans aucun risque ou presque. On retrouve à l’échelle de l’école, la balance « bénéfices/risques. » N’oublions en outre que l’on ne passe plus le bac, mais « ParcourSup » au point que l’année scolaire semble pour certains s’arrêter fin mars.

Il faut interroger les élèves, une fois encore. C’est le discours prédominant, revendiqué même. Ils sont devenus les consommateurs que l’on a faits d’eux, souvent bien conscients que le client est roi. Il y a ceux, sincères, qui trop souvent se découragent devant la masse de travail et renoncent à ce module avant le 15 novembre (date fatidique) et les autres, qui assistent passivement, bon gré, mal gré, à un enseignement dont ils ignorent tout ou presque. Leur seule contribution étant de faire acte de présence, ce qui n’est déjà pas si mal, vous rétorquent-ils.

On nous avait pourtant vendu qu’avec cette réforme qui devait mettre fin à l’hégémonie de la section S, on aurait des élèves certes moins nombreux, mais motivés, impliqués puisqu’enfin acteurs de leur formation. On parlait de « pacte de confiance » où chacun pouvait faire un choix de spécialités en conscience, un choix libre et éclairé, qui lui permettrait de s’épanouir au mieux. Bref, on sortait d’un enseignement de masse pour un enseignement personnalisé. Le rêve.

Et sur le terrain, qu’en est-il ?

J’ai un exemple qui se reproduit depuis quelques semaines avec des élèves de première qui ont fait comme choix de spécialités soit le triplet : « maths+SES+SVT » ou bien « maths+HGGSP (géopolitique moralement)+SVT ». Pourquoi pas après tout ?

On se dit : voici des élèves qui hésitent entre un profil scientifique ou bien plus proche de l’économie, plus littéraire, disons (au sens large). Avec l’ancien système, le doute devait être levé en fin de seconde, donc ce serait plutôt une avancée avec une année de plus pour que les aptitudes ou centres d’intérêt se confirment ou pas.

Malheureusement, lorsque vous demandez à ces jeunes quelle spé ils vont abandonner en fin d’année, ils répondent d’une seule voie : « les maths ». Si bien que le couple retenu est soit : « SVT+ SES », soit « SVT+HGGSP ». Avec quelle motivation ? Une poursuite d’études bien précise ? Pas du tout ; seulement un souci de rentabilité.

On abandonne une spé (coef. 8) que l’on trouve difficile, qui demande trop de travail et on garde deux spé estimées plus rentables coef. 16 indépendamment du profil atypique qui en découle. Voici les choix par défaut auxquels conduit ce système et le diktat ParcourSup bien entendu.

À la manière du gouvernement, trop d’élèves évaluent puis gèrent désormais un risque, simplement d’une autre nature que pénal. Un autre effet pervers du système, corollaire inévitable de l’obsession de l’évaluation, est l’explosion de l’absentéisme pour éviter d’assister aux devoirs qui viendraient compromettre le sacro-saint dossier.

Que le lycée-Blanquer ne puisse plus jouer son rôle de tremplin, encore moins de caution vis-à-vis de l’enseignement supérieur, des structures privées, sorte de nouveau cabinet de conseils, l’ont bien compris (nous, on voulait McKinsey, mais trop cher et pas disponible. Oh, si l’on ne peut plus rire…).

Pour la modique somme de 20 euros (si non boursier), vos chères têtes blondes (ou pas) pourront passer en mars 2022 le TeSciA pour : Test Scientifique Avancé. Un bac privé en somme ; on en rêvait. Ce gouvernement « nounou » anticipe décidément tous nos désirs, réalise tous nos fantasmes, même indirectement. Ne vous laissez pas surprendre, le début de la vidéo fait penser à une convention obsèques, mais il n’en est rien, à moins bien sûr qu’il s’agisse de mettre en bière le lycée comme lieu d’instruction et d’égalité…

C’est intéressant de se pencher sur le champ lexical dans la petite bande-annonce de présentation, puisqu’est évoquée « une évaluation objective face à une épreuve exigeante. » À croire que ce n’est pas ce que garantit ce bac Blanquer… C’est bizarre.

La dernière partie de ce long billet a pour but d’alerter en appelant à une résistance active aussi bien les enseignants que les élèves, car comme il était suggéré en introduction, la réforme Blanquer ne s’est pas arrêtée à une destruction méthodique des savoirs. Elle a aussi, et c’est plus grave encore, perverti, dénaturé la relation prof/élève en la convertissant en une relation VRP/client particulièrement inquiétante en plus d’être dégradante pour les deux partis.

Je renvoie au dernier ouvrage du psychanalyste Roland Gori, « La fabrique de nos servitudes » (paru en janvier 2022 aux Liens qui Libèrent) qui associe J. M. Blanquer à un marionnettiste (pion lui-même d’un pauvre théâtre de Guignol si je puis me permettre…) dont l’obsession serait de transformer les élèves en profils biologiciels, que l’on commande à distance ; bref des élèves sous assistance, tenus, retenus par des fils numériques. Il nous alerte sur cette réduction de l’éducation à un strict apprentissage de compétences via l’irruption dans le cadre du lycée d’une forme de libéralisme autoritaire.

Je relais cet appel à une vigilance redoublée qui a eu un écho d’autant plus important qu’au moment où j’ai eu entre les mains le livre de R. Gori, je venais de finir « Mathematica » de David Bessis (éditions Seuil) qui pour le coup est une ode à la liberté de penser, une liberté décomplexée. Parce que la créativité, c’est aussi le terrain des maths, ne la mettons pas en jachère.

Le sociologue Michel Maffesoli anticipe une ère des soulèvements. Espérons qu’il ait vu juste et que l’on ne s’achemine pas au contraire vers une ère des consentements.

Dans « Mathématiques : entre état des lieux et état d’urgence », je m’étais inquiétée de cette dépendance constatée à l’immédiateté, ce vertige, cette angoisse du temps long, celui de la réflexion que les élèves ne tolèrent plus quand il est pourtant au cœur de l’enseignement des maths notamment. Cette capacité à errer tout simplement, à explorer des pistes, à revenir sur ses pas, est une nécessité, un passage obligé pour que l’on puisse réellement parler de formation. Or nous avons désormais des élèves qui sont en demande de méthodes prêtes à consommer, de contentions intellectuelles toujours plus fortes, comme autant de corsets qui les rassurent alors qu’ils brident cette imagination qui est pourtant leur principale richesse en plus d’être la garantie d’une indépendance de pensée.

Dans cette frénésie d’une réponse dans l’instant, cette addiction à la vitesse doublée d’une forme de paresse, on les voit se réfugier dans des outils numériques tels que photomaths qui résout vos problèmes plus vite que votre ombre. Ils ont oublié cette phrase attribuée à Confucius : « Mieux vaut enseigner l’art de pêcher que d’offrir un poisson. »

On est en train de faire de ces esprits jeunes qui malheureusement sont des victimes trop largement consentantes, ces esprits vifs par essence, normalement intrépides et audacieux, parfois même arrogants, des vieillards de la pensée, frileux avant l’âge et c’est impardonnable.

Trop souvent en cours alors que l’on est face à des intelligences on ne peut plus naturelles puisque biologiques, profondément humaines, on a le sentiment glaçant de faire du « deep learning » comme on dit ; à savoir de développer une intelligence artificielle (au sens : faîte d’artifices), un apprentissage par reconnaissance d’images ou de consignes, raisonnements en trompe-l’œil plus proches du conditionnement ou du simple réflexe que la compréhension véritable.

Il faut leur redonner (et il nous faut retrouver par la même occasion) le goût de l’esprit critique et avec lui, celui du danger, du risque, sans quoi on va voir émerger et s’installer une société peureuse, moutonnière et donc corvéable à merci. Dans « L’enseignement de l’ignorance », J. C. Michéa, avec le secours de Debord, avait anticipé cette triste évolution.

Loin des masques FFP2, des rendez-vous feutrés dans les cabinets ministériels entre velours et dorure, loin des blessures d’amour-propre, le corps enseignant doit de toute urgence libérer la parole comme les visages et faire bloc, dans la rue ou ailleurs, pour défendre l’essence même de ce métier. Déléguer, c’est renoncer. C’est aussi se dépouiller.

Pour finir, une dédicace à Jean-Michel Blanquer (que je remercie pourtant d’avoir laissé autant que possible les écoles ouvertes) avant de le laisser voguer vers d’autres horizons : « Il y a des gens qui augmentent votre solitude rien que par leur présence. » (Sacha Guitry)

Karen Brandin

PS : L’image en illustration est extraite de « Super pédago ; la ruine de l’école a son super héros ! » (aux éditions SOS Education)

Références et lectures complémentaires :

1— Oraison funèbre de la classe de philosophie — Harold Bernat (aux Atlantiques Déchaînés)

2— Mathematica – David Bessis (Seuil)

3— http://images.math.cnrs.fr/Lycee-les-maths-en-soins-palliatifs.html

4— https://www.instruire.fr/actualites/lettre-ouverte-a-cedric-villani.html

5— https://nouveau-monde.ca/mathematiques-et-enseignement-entre-etat-des-lieux-et-etat-durgence/)

6— https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-denseigner/karen-brandin/210621-profs-parents-eleves-unissez-vous-prof-karen-brandi/

7— La fabrique de nos servitudes – Roland Gori (Les Liens qui Libèrent)

8— L’enseignement de l’ignorance – Jean-Claude Michéa ( Climats)




Pour Macron, les emmerdements volent désormais en escadrille

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Début janvier, Emmanuel Macron tentait un pari pré-électoral : celui « d’emmerder les non-vaccinés » pour se refaire une santé auprès de ses admirateurs. Manifestement, le pari n’est pas seulement peu concluant. Il est tout proche d’être complètement perdu, si l’on en juge par les emmerdements… qui se succèdent pour lui, et qui pourraient bien mal se terminer. Le Stalingrad de Macron est en passe de déroute complète.

Macron a des ennuis, qui volent en escadrille en ce moment. Il faut dire que réduire la politique à la communication, fût-elle électorale, cela n’a qu’un temps. 

Macron et sa terrible séquence européenne

Déjà, en décembre, Emmanuel Macron avait donné une conférence de presse sur la présidence française de l’Union qui n’avait intéressé personne, et avait fait moins bien que le débat Mélenchon-Zemmour. 

Hier, Macron a fait pire. Sa prestation à Strasbourg, devant la presse, bien devant le Parlement européen, a tourné au cataclysme. 

D’abord, les journalistes européens ont quitté la salle parce qu’ils ne pouvaient poser aucune question. Eh oui! Emmanuel, il n’y a qu’en France où la presse est aux ordres, à ce point en tout cas. 

Ensuite, le Président en titre de l’Union est arrivé au Parlement sous les huées de la foule, comme le montrent les images que nous diffusions ci-dessus. 

Enfin, les orateurs français se sont succédé à la tribune du Parlement pour dire pis que pendre de lui

Ces déconvenues s’accompagnent de discussions tendues avec l’Allemagne sur la remise à plat de l’orthodoxie budgétaire pronée par le traité de Maastricht. 

Bref, la présidence française de l’Union est loin d’être la marche triomphale que le Président imaginait sans doute. 

Ibiza, ce peut aussi être très emmerdant

Sur le front intérieur, la situation n’est guère meilleure. 

Manifestement, le ministre Blanquer est le bouc-émissaire désigné pour un sacrifice humain dans les jours à venir. Après avoir pédalé dans la semoule de son 50è protocole sanitaire en dix-huit mois, Blanquer passe à la désagréable paëlla de son séjour à Ibiza durant la trêve des confiseurs, d’où il a annoncé le 49è protocole

Pour comble de drôlerie, la compagne de Jean-Michel Blanquer, Anna Cabana, a animé un débat sur la chaîne de télévision israélienne I24 sur le sujet… Pouvait-on donner un meilleur sentiment de connivence entre les medias et les politiques ?

Ce jeudi, la deuxième grève des enseignants depuis la rentrée de janvier est annoncée…

Pas sûr que Blanquer puisse tenir jusqu’aux présidentielles à ce rythme. Et, pour Macron, disposer d’un tel maillon faible dans son gouvernement à l’approche des élections va bientôt relever du casse-tête. 

Le front Mc Kinsey est ouvert

Dans le même temps, le Sénat a ouvert un front inattendu pour le Président : l’audition de Mc Kinsey, dans le cadre d’une enquête sur le recours de l’Etat aux cabinets de conseil privés. 

L’audition retransmise hier a eu un effet désastreux. Le représentant du cabinet américain, qui emploie le fils Fabius, a peiné à justifier l’utiliser des très coûteuses missions achetées par l’Etat… notamment par le ministère de l’Education Nationale. 

De notre point de vue, il y a là un départ d’incendie qui pourrait fortement inquiéter le pouvoir. Le rôle de Mc Kinsey dans la gestion de la crise sanitaire est tout sauf clair et transparent, et c’est peut-être le fil d’une pelote qui remonte jusqu’à un barril de TNT qui est brutalement tiré. 

Il semblerait que, dès aujourd’hui, le Premier Ministre ait donné d’importantes instructions pour limiter les dégâts dans les mois à venir. 

Dans tous les cas, l’audition malheureuse d’hier a nourri le sentiment de conflits d’intérêts et de gaspillage des fonds publics par l’équipe au pouvoir. 

Affaires de financements

Accessoirement, la majorité présidentielle ne vit pas une période de beau fixe. On notera les tensions entre le nouveau parti d’Edouard Philippe et « Agir » de Franck Riester. Mais on notera aussi que les échanges semblent animés entre LREM et le MODEM pour financer la campagne

Les révélations du Parisien sur ce sujet sont riches d’enseignement :

Pour le premier meeting de la Maison commune de La Mutualité, sous la bannière « Ensemble citoyens ! », un accord avait par exemple été trouvé. Coût du raout : 200 000 euros, financé selon nos informations au trois-quarts par LREM (150 000 euros) et au quart par le MoDem (50 000 euros), un Marcheur tenant à souligner qu’Agir avait apporté « une petite contribution, mais vraiment minoritaire ». 

200.000 € le meeting, c’est bon à savoir. 

Turbulences présidentielles

Bref, l’entrée en campagne pour Emmanuel Macron ne semble pas particulièrement heureuse, ni annonciatrice de bonnes nouvelles. 

On peut même dire que le pire est à craindre. Le pari de l’offensive clivante lancée début janvier contre les non-vaccinés est d’ores et déjà perdue, si l’on en juge à la façon dont le « narratif » sur l’urgence sanitaire s’effrite même dans les médias subventionnés. Et le plus dur reste à faire. 

Au point de renoncer à une candidature ?

Nous annoncions, en juillet, que le passe sanitaire serait le Stalingrad de Macron. Nous maintenons ce pronostic. 




Tribune : « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident »

[Source : QG – Le média libre]

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L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre.

La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.

En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) propose de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder »

Les ressorts éculés de la propagande de masse

Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.

Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.

Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.

En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors« s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».

Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.

La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande

La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.

Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge

Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021
Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)

Le premier [constat] est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.

Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».

Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020

Source : réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN

Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.

Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple iciiciiciici et ). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?

Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.

Vous souhaitez soutenir cette tribune? Vous êtes chercheur, universitaire ou professionnel de santé? Vous pouvez signer en envoyant un mail ici: tribune.liberte.expression@gmail.com

Les 1 200 premiers signataires

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS (site)
  • Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Paul Touboul, professeur de médecine (cardiologie, rythmologie) à l’université de Lyon
  • Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « traitants » « AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS
  • Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM
  • Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC
  • Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS
  • Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM
  • Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille
  • Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII
  • Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1
  • Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane
  • Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS
  • Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université
  • Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS
  • Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS
  • Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS
  • Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux
  • Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes (Italie)
  • David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre
  • Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay
  • Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille
  • Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8
  • Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS
  • Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS
  • Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS
  • Christian Toinard, professeur des Universités
  • Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
  • Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay
  • Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS
  • Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie
  • Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes
  • Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS
  • Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine
  • Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APS
    Maryse Esterle, sociologue, Université d’Artois
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM
  • Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux
  • Stéphane Vautier, professeur des Universités (psychométrie et méthodologie)
  • Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université
  • Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris
  • Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté
  • Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat
  • Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie
  • Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1
  • Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université
  • Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris
  • Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE
  • Claire Berton-Carabin, directrice de recherche
  • Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS
  • Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès
  • Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage (retraité) Université de Franche-Comté
  • Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France
  • Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble
  • Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE
  • Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS (en disponibilité), ancien professeur de l’Ecole Polytechnique
  • Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise
  • Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois 
  • Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS
  • Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie
  • Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon
  • Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers
  • Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne
  • Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne (Suisse)
  • Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités
  • Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes
  • Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux
  • Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux
  • Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt (Allemagne)
  • Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre
  • Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes
  • Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université
  • Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry
  • Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID
  • Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE
  • Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education
  • Pierre Chaillot, statisticien
  • Pierre Roche, docteur en sociologie HDR
  • Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux
  • Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine
  • Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS
  • Hélène San Clemente, ingénieur CNRS
  • Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS
  • Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale
  • Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS
  • Laurent Le Guillou, maître de conférences (Physique) à la Sorbonne Université
  • Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève
  • Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique
  • Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13
  • Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités
  • Fabrice Megrot, médecin (PhD / HDR), chercheur associé au CNRS
  • Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion
  • Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center (New York, USA)
  • Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS
  • Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon
  • Idriss Aberkane, Ph.D
  • Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne
  • Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour
  • Nicolas Guérin, Maître de conférences (HDR) en Psychologie à Aix-Marseille Université
  • Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes
  • André Bernold, retraité de la Michigan State University
  • Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École
  • Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord
  • André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne
  • Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
  • Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France
  • Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris
  • Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau
  • Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM (méthodologiste et biostatisticienne)
  • Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3
  • Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London (Royaume-Uni)
  • Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers
  • Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes
  • Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris
  • Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux
  • Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon
  • Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS
  • Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia
  • Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel (Suisse)
  • Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon
  • François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université
  • Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
  • Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE
  • Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie
  • Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée
  • Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur
  • Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3
  • Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale
  • Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris
  • Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’Etat es sciences biologiques, retraité du CNRS
  • Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg
  • Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS
  • Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université
  • Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS
  • Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique
  • Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc
  • Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS
  • Loïc Renoud, Ph.D, maître de conférences à Okayama University (Japon)
  • Sylvain Fève, ingénieur au CNRS
  • Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie
  • Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités
  • Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur
  • Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD)
  • Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM
  • Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse
  • Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a (New York, USA)
  • Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM
  • Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM
  • Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS
  • André PICOT (président de l’ATC), Directeur de recherche honoraire du CNRS
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima
  • Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté
  • Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE
  • Michèle Leclerc-Olive, Chercheure (HDR) au CNRS honoraire
  • Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier 
  • Maïté Lascaud, professeure agrégée, chercheure associée LVis Lyon
  • Massimo Nespolo, enseignant-chercheur à l’Université de Lorraine, Nancy
  • Sophie Le Gal, Maître de conférences à l’Université de Nantes
  • Rosolino Lionti, ingénieur de recherche
  • Michèle Ramond, Professeur honoraire de l’Université Paris 8
  • Alain Chatelet, enseignant-chercheur à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Toulouse
  • Clara RomeroMaitre de conférences en Sciences du langage à l’Université de Paris
  • Sabine Fenner-Wegener, enseignante aux universités de Darmstadt et Marbourg (Allemagne)
  • Ariel Prunell, ex Directeur de Recherche CNRS, spécialité Biologie moléculaire
  • Shirin Jindani, PhD., enseignant à l’Université Rennes 2
  • Muriel Cassel-Piccot, maître de conférences à l’Université Lyon 3
  • Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences, Telecom Paris, Institut Polytechnique de Paris
  • Régis Chambert, enseignant-chercheur retraité de l’Institut Jacques Monod de l’Université Paris 7
  • Henri Persat, Dr ès Science, PhD en Biologie, médaillé du CNRS
  • Duval Marie-France, Professeur retraitée, Aix-Marseille Université
  • Sacha Singh, enseignant à l’Université de Lille
  • Xavier Moniot-Lundy, juriste et enseignant (droit, économie) à l’Université
  • Etienne Fieux, Maître de conférences, Institut de Mathématiques de Toulouse, Université Paul Sabatier
  • Isabelle Aubert, Maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Michel Massol, Chimiste-Médecin, Professeur Honoraire à l’Université Toulouse III
  • Isabelle Salle, enseignante-chercheuse à l’Ecole d’Economie d’Amsterdam (Pays-Bas)
  • Anne Isla, Economiste, Université de Toulouse
  • Hélène Conjeaud, Retraitée, Chercheure au CNRS (Biophysique)
  • Eric Desmons, agrégé de droit public, professeur des universités
  • Alain Pénoël, professeur agrégé de mathématiques, docteur de l’Université Paris VI
  • Patrick Labarthe, Professeur émérite à l’Université de Zurich (Suisse)
  • Anselm Gerhard, professeur à l’Université de Berne (Suisse)
  • Joseph Romano, sociologue, maître de conférences HDR, retraité de l’Université de Lorraine
  • André Fougerousse, professeur de Chimie émérite à l’Université de Strasbourg
  • Alain Bernard, agrégé de droit privé, professeur émérite des universités
  • Roland Hinnion, professeur de mathématiques (retraité) à l’Université Libre de Bruxelles (Belgique)
  • Pierre Couturier, Maître de conférences à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Denis Roux, docteur d’Etat, retraité de l’université
  • Marc Cizeron, maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne
  • Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public de l’Université de Limoges
  • Agnès Rouby, enseignante-chercheuse dans l’enseignement supérieur
  • Giordano Mastrocola, chercheur à l’Université Toulouse – Jean Jaurès
  • Dominique Harmand, professeur émérite de l’Université de Lorraine
  • Géraldine Victoir, maître de conférences, université Paul Valéry Montpellier 3
  • Shanti Rouvier, docteur en Psychologie Clinique et Psychopathologie, chargée de cours à Aix Marseille Université 
  • Thierry Ternisien d’Ouville, chercheur retraité au Centre National d’études des Télécommunication
  • Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences, Faculté des sciences, Université de Montpellier
  • Charles Bourdeau, ingénieur de recherche, retraité du CNRS
  • Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’IFREMER
  • Eric Perera, Sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Montpellier
  • Marie lecomte-Tilouine, anthropologue, chercheuse au CNRS
  • Daniel Richard, Professeur retraité des Universités en Neurosciences
  • Daniel Boichu, Enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne
  • Élisabeth Campagna-Paluch, docteure en Anthropologie Sociale, Université Paris VIII- Saint-Denis
  • Claude Depollier, professeur émérite à le Mans Université
  • Estelle Garbay-Velázquez, maître de conférences à l’Université de Bourgogne Franche-Comté
  • Nadine Piat, professeur à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Emmanuel Piat, Maître de Conférences HDR à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques
  • Bernard Valette, doctorat d’État, chercheur associé au Laboratoire ISTerre (Chambéry-Grenoble, UGA, USMB), retraité de l’IRD
  • Martine Timsit-Berthier, Docteur en Médecine, Docteur en Sciences. Retraitée de l’Université de Liège (Belgique)
  • Marie-Françoise Petit-Glatron, chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie
  • Maxime Parisotto, Ph.D et chercheur en biochimie
  • Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive à INRAE
  • Philippe Mengue, Agrégé et Docteur d’État en philosophie
  • Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
  • Jérôme Couillerot, professeur à l’Université Lyon 3, détaché auprès de l’université St Joseph (Beyrouth, Liban)
  • Bruno Décoret, maitre de conférences agrégé de mathématiques HDR
  • Christophe Lemardelé, enseignant, historien des religions
  • Christophe Brochier, sociologue, maître de conférences à l’Université Paris 8
  • Maxime Prévost, Professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Canada)
  • Franck Galtier, chercheur en économie politique au CIRAD
  • Anne Mandeville, Maître de conférences HDR en science politique à l’Université Toulouse Capitole
  • Milagros Ezquerro, Professeure des Universités
  • Raphaël Gély, Professeur aux Université Saint-Louis (Bruxelles, Belgique)
  • Caroline De Mulder, professeur à l’Université de Namur (Belgique)
  • Michèle Crogiez Labarthe, professeur ordinaire à l’Université de Berne (Suisse)
  • Madalina Calamaz, maître de conférences des universités
  • Benoit Marpeau, Maître de conférences en Histoire à l’Université de Caen-Normandie
  • Jean-François Georgis, Physicien, Maître de Conférences à l’Université Toulouse III
  • Nadia Lamm professeure retraitée de l’Université de Rouen
  • François Rosset, professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne (Suisse)
  • Hélène Bregani, psychologue (retraitée) à l’Université de Genève (Suisse)
  • Anne Mantero, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté
  • Christian Ferrié, Professeur de chaire supérieure (CPGE, Strasbourg)
  • Hélène Pelczar Maître de conférences
  • Georgie Durosoir, professeur émérite à la Sorbonne Université
  • Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université d’Aix-Marseille
  • Valérie Lowit Ingénieure d’études à l’Université de Paris
  • Christophe Leroy, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
  • Jean Jimenez, docteur en Génie Biologique et Médical
  • Alain Brunel, docteur en biologie
  • Maya Habegger, Docteur en psychologie cognitive, neurosciences et biologie neurale
  • Michel Herren, docteur en philosophie (Lausanne)
  • Jean-Marc Del Percio-Vergnaud, docteur en science politique
  • Simon Archipoff, docteur en informatique
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie
  • Nicolas Murcier, docteur en sociologie
  • Eveline Jaumary-Lapeyre, Docteur en Science Politique et droit public
  • Damien Gauden, Docteur ès sciences physiques
  • Patrice Gibertie, PhD, géographe
  • Françoise Gil, sociologue
  • Véronique Verdier, Docteur en philosophie, Université Paris 1
  • Marc G. Wathelet, Ph.D., docteur en biologie moléculaire
  • Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques
  • Patrick Frayssinet, docteur en médecine, docteurs es sciences
  • Martine Lacour Masvigner, docteur en psychologie
  • Agnès Segura, Docteur en psychologie
  • Géraldine Bérail, Docteur en chimie de l’environnement et santé
  • Maxime Izoulet, docteur en économie de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS, Paris)
  • Agnès Lainé, historienne, Institut des mondes africains
  • Georges Herault, Professeur des universités
  • Alain Delannoy, docteur de l’Université d’Orléans
  • Gérard Maudrux, médecin, ancien président de la Caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins
  • Michel Cucchi, Directeur d’hôpital
  • Jacques Bouaud, chargé de valorisation de la recherche à l’AP-HP
  • Vincent Béja, ancien statisticien et chargé d’études à l’Observatoire Régional de la Santé de Provence Alpes Côte d’Azur
  • Bruno van Peteghem, Association Toxicologie-Chimie (ATC), Président du fonds de dotation I For Lyme (iFL)
  • Benoît Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Anne-Marie Monjo, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Olivier Lhoest, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Pierre-Yves Garnier, médecin, expert scientifique à l’international
  • Laure Laffly, biochimiste/biologiste (ancienne cadre R&D chez Sanofi vaccin)
  • Anne Stein, praticien hospitalier et maitre de conférences en biochimie à Aix-Marseille-Université
  • Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin radiologue, fondateur de l’institut de médecine naturelle de Saint-Sébastien
  • Nancy Béchard Radiologue
  • Andrei Cividjian, Chargé de mission – recherche, Hospices Civils de Lyon
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, Docteur d’état
  • Louis-Claude Le Gueult, médecin biologiste, ancien Directeur du site transfusionnel du Havre
  • Paul Bousquet, médecin, santé publique (évaluateur de risques)
  • Judith Ribbe, médecin en santé du travail
  • Philippe Teyber, cadre supérieur de santé
  • Jacqueline Collard, chimiste, présidente associative, ancienne administratrice CHU de Grenoble, représentante ARS AURA
  • Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne
  • Carole Xavier, médecin spécialiste en Anatomie Pathologique
  • Beatrice Fort médecin anesthésiste réanimatrice
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Nabil Bensalem, Médecin Généraliste et urgentiste
  • Michel Thomas, docteur en médecine
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin généraliste
  • Philip Siegenthaler, médecin généraliste (Suisse)
  • Yves Colliez, médecin généraliste
  • Alain Garenne, médecin généraliste
  • Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale
  • Franck Hugbéké, chirurgien-dentiste
  • Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier 
  • Dominique Lesuisse, psychiatre (Bruxelles)
  • François Thioly, psychiatre
  • Laurent Jacquemin médecin psychiatre
  • William Suerinck, Dr en médecine, psychiatre, ex Praticien Hospitalier
  • Maria Ancona, psychothérapeute en Psychiatrie (Fonction Publique Hospitalière)
  • Michel Brack, médecin ex attaché INSERM
  • François-Xavier Roth, praticien hospitalier, pédiatre
  • Marie Grenet, médecin, pédiatre
  • Christine Coremans, Cardio-pédiatre
  • Gérard Machline, médecin généraliste
  • Helene Chollet médecin généraliste
  • Françoise Volot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Marie Pasquier, médecin coordonnateur en EHPAD (suspendue)
  • Marlène Mellinger Chirurgien-dentiste
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Véronique Pécastaings, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Brigitte Bertoldo médecin régulateur libéral SAMU (suspendue)
  • Daniel Chollet pneumologue
  • Catherine Raulin, médecin ostépathe
  • Marc L’Hospitalier, ostéopathe
  • Philippe Ollivier, médecin, ophtalmologie
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste 
  • Éric Reboli, médecin urgentiste
  • Arturo Perez, médecin urgentiste
  • Fabien Quédeville, médecin généraliste
  • Sandro Provenzano, médecin généraliste
  • Catherine Dubien, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste (suspendu)
  • Catherine Delmas, médecin dermatologue
  • Dominique Rivière, médecin, gériatre, praticien hospitalier
  • Diane Williot, médecin généraliste et médecin coordonnateur en Ehpad
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Dominique Eraud médecin généraliste
  • Emmanuel Pichot, médecin radiologue
  • Catherine Solignac Fernstrom, immuno-allergologue
  • Delphine Rive médecin généraliste
  • Vincent Reliquet, médecin généraliste (AIMSIB)
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Brigitte Weiss, médecin généraliste
  • Christian Marquis, médecin généraliste
  • Alain Berthier, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Pascale Mourgues, médecin généraliste retraitée
  • Line Cabot, médecin généraliste
  • Christian Sarthe médecin généraliste
  • Patrick Viot, médecin généraliste
  • Anne-Laure Geslin, médecin généraliste
  • Bertrand Calichiama, médecin généraliste
  • Georges Oberzusser, médecin généraliste et médecin du travail
  • Hélène Oberzusser, radiologue
  • Ida Berar, radiologue
  • Marie Josephe Contrucci. Cadre de santé en Centre hospitalier
  • Denise Peyrat-Colonna, chirurgien dentiste
  • Christophe Grangeon, médecin urgentiste
  • Jean-Luc Lebrun, médecin, ex-praticien hospitalier (cessation d’activités)
  • Jacques Le Lann, médecin généraliste, gériatre et spécialiste de Santé Publique et Médecine Tropicale
  • Eric Beeth, Docteur en Médecine (Bruxelles)
  • Frédéric Schnee, Docteur en médecine générale
  • Anne Marie Begué-Simon, médecin homéopathe retraité, ancien maître de conférences et expert près des Tribunaux
  • Jean-Philippe Cros, médecin Honoraire des Hôpitaux, ancien chef de service
  • Françoise Caumont, chirurgien-dentiste
  • Corinne Masson, sage-femme (interdite d’exercer)
  • Bertrand Jop, Cardiologue 
  • Jacques Mabit, médecin généraliste
  • Catherine Maso, médecin généraliste
  • Joelle Locatelli, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin généraliste
  • Philippe Lemasson, médecin généraliste
  • Jean-Bernard Morez, médecin généraliste
  • Bernard Bozzi, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Jean-Marc Rehby, médecin généraliste
  • Floriane Lefèvre, médecin généraliste
  • Olivier Vercruysse, médecin généraliste
  • Alain Mazeyrat, médecin généraliste
  • Éric Portes, médecin généraliste
  • Bruno Geoffray, médecin généraliste
  • Franck Zeiger, médecin généraliste
  • Alain Carillon, médecin généraliste
  • Daniel Fagnano, médecin généraliste
  • Anne Nespolo, médecin généraliste
  • Claire Lenclud médecin généraliste
  • Christiane Vallin, médecin généraliste
  • Maryse Morin-Bateau, médecin généraliste
  • Michel Marcadé, médecin généraliste
  • Anne Catherine Martin, médecin généraliste
  • Catherine Gal Bozzi, médecin généraliste
  • Sylvie Leroux, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Dominique Prost médecin généraliste
  • Daniel Robinson, médecin généraliste, ancien médecin des hôpitaux de Lyon
  • Patrice Perrette, médecin généraliste, ancien président du Collège des Généralistes
  • Alain Batarec, médecin généraliste
  • Simone Casabon, médecin généraliste
  • Michel Boudet, médecin généraliste
  • Anne-Lise Vidal, docteur en médecine
  • Gaëlle Douhet, docteur en médecine générale 
  • René Messagier, docteur en médecine
  • Olivier Personne, médecin généraliste (Allemagne)
  • Daniel Dhaussy, médecin généraliste retraité
  • Jean Marie Pavard, médecin retraité
  • Isabelle Rossetti, médecin généraliste
  • Daniela Engel médecin généraliste
  • Philippe Imbert, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Caroline Chalbos. Médecin généraliste
  • Philippe Bonnet, médecin généraliste
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Catherine Artviga, médecin généraliste
  • Estelle Prevost, médecin psychiatre
  • Jérôme Jeudy médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Corinne Constantin, médecin généraliste
  • Pascal Henriot, médecin généraliste
  • Chrystelle Martin, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Jean Grimberg, Chirurgien Orthopédiste
  • Frédéric Pic, médecin, rhumatologue
  • Martine Mérour pneumologue
  • Farida Ouadghiri chirurgien gynécologue à l’hôpital de Niort (suspendue)
  • Laurence Duboc-Lecocq, docteur en Médecine Vétérinaire 
  • Claire Martin, médecin vétérinaire
  • Nadine Prouilhac, sage-femme
  • Aurélie Colin, sage-femme 
  • Nathalie Ba, sage-femme
  • Fanny Semblat, sage-femme
  • Morgane Chazaud, sage-femme hospitalière
  • Nicolas Bojic, médecin gériatre
  • Marie Gaspard, médecin biologiste
  • Véronique Grasset médecin généraliste
  • Jacky Maillard, médecin généraliste
  • Eric Menat, médecin généraliste
  • Christine Le Pezron médecin généraliste
  • Michel Souid, médecin généraliste et gériatre
  • Jean Claude Bourrin, médecin généraliste retraité
  • Alix Moulanier, Médecin généraliste
  • Armelle Blanchard, médecin généraliste
  • Corinne Bernard, Docteur en médecine
  • Jacques Gardan, médecin généraliste
  • Murielle Oger Rucker, médecin généraliste
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Philippe Bos, médecine anesthésiste réanimateur
  • Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste réanimateur
  • Richard Faitg, médecin anesthésiste réanimateur
  • Laurent Durinck, Anesthésiste
  • Valérie Mach-Alingrin, médecin en soins intensifs, Centre hospitalier
  • Élisabeth Angoujard, docteur en médecine, radiologue 
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • Jean Gabriel Balique, chirurgien hospitalier
  • Eve Lefrancq, Médecin Cardiologue
  • Valérie Sierra, médecin cardiologue
  • Bernard Hardt, Chirurgien Urologue
  • Janine Nazaire docteur en chirurgie dentaire
  • Francis Fiocconi, radiologue
  • Béatrice Gay, oncologue médical et médecine interne générale
  • J. Oosterlinck, médecin généraliste
  • Pierre Jacq, chirurgien-dentiste
  • Isabelle Le Bras chirurgien-dentiste
  • Jacqueline Mariani, chirurgien-dentiste
  • Marie-Jacques Poncet, médecin gynécologue
  • Antoine Gastal, médecin MPR des Hôpitaux de Saint Maurice
  • Hélène De Cristoforo, médecin généraliste
  • Virginie Thomas-Haag, médecin urgentiste
  • Anne Crepy, médecin gériatre
  • Geneviève Pagnard, psychiatre
  • David Esfandi, Psychiatre 
  • Frédéric Badel, psychiatre
  • Marie Hélène Lottin, psychiatre
  • Jacques Vigne, psychiatre
  • Louise Riguet, Médecin psychiatre
  • Muriele Savigny, psychiatre
  • Jean-Michel Delaroche, psychiatre
  • Lise Gandolfi, psychologue
  • Fabienne Carver Psychologue clinicienne
  • Aline Gosset-Rage, psychologue clinicienne
  • Yamina Cherrou, psychologue clinicienne
  • Isaline Heulin, psychologue
  • Alexandra Meert, Psychologue
  • Laure Novarese psychologue clinicienne
  • Sylvie Blasquez, Psychologue clinicienne
  • Lise Nathanson, psychologue clinicienne
  • Claire Roy, pharmacienne
  • Jean-Jacques Devic, pharmacien 
  • François Carre, docteur en pharmacie
  • Coralie Amar, Dr vétérinaire
  • Laurent Aufrere, docteur en chirurgie dentaire
  • Jacqueline Warnet, Gastro-entérologue
  • Paul-André Bellot, chirurgiuen-dentiste
  • Jean-Pierre Letourneur, Gastroentérologue
  • Hélène Costamagna, Gynécologue
  • Tess Deffinis Ostéopathe 
  • Hélène Hamon pédiatre
  • Corinne Tilloy, médecin généraliste
  • Hilde De Smet médecin généraliste (Belgique)
  • François Le Corre, médecin généraliste retraité
  • Valérie Papapietro, médecin gastro-entérologue
  • Patrick Bruno, Ingénieur hospitalier
  • Arnaud Brun, Docteur en pharmacie
  • Aurore Rizzon, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Jean-Luc Laurent, psychologue clinicien
  • Rose-Marie Rohé Psychologue clinicienne
  • Viviane Truel psychologue clinicienne
  • Laurence Maury, psychologue
  • Hervé Staub, médecin généraliste
  • Patrick Marcon, médecin généraliste
  • François Berenger, médecin, pédopsychiatre
  • Catherine Bonnet, médecin, pédopsychiatre
  • Frédéric Goaréguer, médecin, pédopsychiatre
  • Véronique Helmlinger, médecin psychiatre (suspendue)
  • Clélia Dubois, aide médico-psychologique en psychiatrie
  • Danielle Vautrin, médecin généraliste
  • Claude Murtaza médecin généraliste
  • Philip Keros, médecin généraliste
  • Gilles Cizeron, médecin généraliste
  • Annie Logli-Poumerol, médecin généraliste
  • Cecile Miraglia Romer, médecin généraliste
  • Bernadette Meignan médecin généraliste
  • Laurent Hervieux, médecin généraliste
  • Didier Tarte médecin généraliste
  • Catherine Noel, Docteur en médecine
  • Anne Marie Pillon, médecin généraliste retraité
  • Yannick Jouan, docteur en Médecine
  • Jean-Luc Stanek, Santé Navale et docteur en chirurgie dentaire
  • Xavier Le Gregam, médecin généraliste homéopathe
  • Philippe Vernet, docteur en médecine – chirurgien
  • Antoine Damotte, chirurgien orthopédiste
  • Marc Franchini, Chirurgien Ophtalmologiste 
  • Philippe Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Gabin Lopez, médecin ophtalmologiste
  • Léna Le Flem, biologiste médical, PhD
  • Valérie Daubié sage-femme
  • Guylaine Lestienne Sage-femme
  • Françoise Casas, Psychomotricienne Psychothérapeute
  • Pascale Cloquell-Munos psychomotricienne
  • Anne-Sita Forest, Psychomotricienne
  • Marion James-Leduc, Psychomotricienne
  • Marianna Drinoczi, Psychologue clinicienne
  • Charline Chaveneau Orthophoniste
  • Laurent Redien, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Sabine David, masseur-kinésithérapeute
  • Cyrille Ortman, kinésithérapeute
  • Sylvain Lafargue, masseur-kinésithérapeute
  • Matthias Giraudon, kinésithérapeute
  • Kim Gallois, kinésithérapeute
  • Clément Belmahdi, Masseur-kinésithérapeute
  • Françoise Cluzeau kinésithérapeute
  • Marie-Laure Pignier, masseur-kinésithérapeute
  • Caroline Grante, masseur-kinésithérapeute
  • Rose-Blanche Lehours Chaboud, infirmière en santé mentale
  • Laurence Jacquin Infirmière
  • Isabelle Rousset, Infirmière
  • Virginie Guillaume infirmière
  • Deniz Sevim, infirmière
  • Florence Marechaux, infirmière Education Nationale
  • Marie-Claude Durel, infirmière
  • Monique Lars, infirmière
  • Valérie Hutsebaut Infirmière
  • Nelly Cahuzac, Infirmière
  • Véronique Chevalier Infirmière 
  • Marielle Raggi, infirmière
  • Guillaume Renouf¸ infirmier
  • Nicolas Wodiczko, infirmier
  • Bénédicte Huguet infirmière
  • Cynthia Thezenas, infirmière Puéricultrice
  • Éric Comellini, Psychomotricien
  • Fabienne Garcia Kinésithérapeute
  • Ghislaine Le Corre, Kinésithérapeute
  • Thomas Brossier masseur kinésithérapeute
  • Laurence Meert, Kinésithérapeute
  • Bernard Chervet, psychiatre 
  • Pierre Babilliot, médecin psychiatre
  • Suzette Vieira Roth, pédiatre
  • Nicolas Ziolkowski Responsable Affaires Réglementaires et Évaluations cliniques – Dispositifs Médicaux
  • Isabelle Hoehne, docteur en médecine, médecin généraliste (cessation d’activité)
  • Rose-Marie Castello, médecin du Travail
  • Donia Hammami, vétérinaire
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier, masseur kinésithérapeute
  • Julie Ceccone Radiophysicienne médicale en cancérologie, en CHRU
  • Francoise Poulain, praticien hospitalier urgentiste
  • Nathalie Caradot, docteur en médecine
  • Béatrice Petit, médecin généraliste retraitée
  • Philippe Martin, Ostéopathe
  • Emmanuelle Gaultron, ostéopathe
  • Marie Labat Médecin spécialiste
  • Philippe Saegesser médecin anesthésiste
  • Vincent Morault Docteur en Pharmacie
  • Isabelle Lagny, Médecin du travail
  • Marie Pascual, médecin du travail
  • Yves Richard, docteur en Chirurgie Dentaire
  • Catherine Lidon, sage-femme
  • Sébastien Moret, kinésithérapeute 
  • Virginie Pichault, infirmière en psychiatrie
  • Claude Deroussent, Médecin Généraliste
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin ORL
  • Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin ORL
  • Gérard Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue
  • Nicole Delépine pédiatre cancérologue
  • Marie Dominique Tronchon, Ostéopathe, psychothérapeute
  • Richard Defay neuropediatre
  • Annie Aubin, docteur en médecine
  • Geneviève Farrachi, médecin généraliste
  • Julien Petit, médecin généraliste
  • Isabelle Chivilo, médecin généraliste
  • Jean François Teyssier, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin Gynécologue Obstétricien
  • Jean-Luc Lauer, Kinésithérapeute-ostéopathe
  • Stéphan Lepetit-Teston, Ostéopathe, Kinésithérapeute
  • Laurent Redien, kinésithérapeute
  • Frédéric Texereau, chirurgien dentiste
  • Anne-Françoise Van den Bulke, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Le Gall, kinésithérapeute
  • Danièle Augé psychanalyste
  • Sandrine Raison. Infirmière
  • Noelle Vial, infirmière
  • Lucie Campitelli infirmière
  • Flottes Noémie, orthophoniste
  • Christine Mathou Orthophoniste
  • Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste (radiée)
  • Corinne Martin Rondeau, Orthophoniste (suspendue)
  • Emmanuelle Colson, Orthophoniste
  • Françoise Font Orthophoniste
  • Thibaut Berry, électroradiologie médicale
  • Jolanta Amouyal, Psychologue Clinicienne et du Travail
  • Françoise Verriest, psychothérapeute
  • José Pedralva da Silva, Psychologue clinicien
  • Elsa Hybertie psychologue clinicienne
  • Sandra Pain psychologue
  • Agathe Vastel-Paris, docteur en pharmacie, diplômée en biologie médicale
  • Laura Minart, docteur en médecine, médecine du travail
  • Déborah Busidan, médecin du travail
  • Martine Breteau, médecin du travail
  • Zineb Deheb, médecin, dermatologue
  • Jean-Charles Luizard, psychiatre
  • Laura Giusti, médecin psychiatre 
  • Bernard Chervet, psychiatre
  • Sylvie Imbert psychiatre
  • Magali Delvaux, médecin psychiatre
  • Anne Meriglier, psychologue clinicienne (suspendue)
  • Françoise Ternoy, psychomotricienne
  • Delphine Bensaïd, psychologue clinicienne
  • Yvette Klein Wurtz psychologue clinicienne
  • Dominique Lismonde, psychologue clinicienne
  • Roselyne Charvet Dischly, psychologue clinicienne
  • Aleth Naquet, psychologue clinicienne
  • Catherine Vasseur psychothérapeute
  • Charles-Henri Crochet, psychologue clinicien
  • Michel Forné-Vivó, médecin, psychothérapeute
  • Marie-Bénédicte Hibon, médecin généraliste
  • Christian Latriche, médecin généraliste, homéopathe, acupuncteur
  • Jacqueline Guérin, docteur en médecine
  • Philippe Danjou Urologue, praticien hospitalier.
  • Benjamin Guy, médecin hospitalier
  • Dominique Jaulmes, médecin hospitalier
  • Véronique Aymes, docteur en chirurgie dentaire et professeur de mathématiques
  • Nadine Dumont, psychothérapeute
  • Elodie Petit-Aguilar, psychologue clinicienne
  • Fabrice Guilbaud, psychologue clinicien
  • Jean-Pierre Morinière docteur en pharmacie
  • Sophia Hamdi, psychologue
  • Karine Baillieu, psychologue
  • Florence Amat, psychologue
  • Florence Pichot, psychologue
  • Gilles Rochette, psychologue
  • Sophie Plantade, psychologue
  • Ève Cottignies, psychologue clinicienne 
  • Catherine Duchossoy, psychologue clinicienne
  • Christophe Charpiot, Psychologue de l’Education nationale
  • Eve Martin, psychologue de l’Éducation nationale
  • Françoise Zannier, Psychologue et docteur en Psychologie
  • Valérie A.G. Ventureyra, PhD, Docteur en Psychologie
  • Véronique Debeaumont, psychologue sociale 
  • Iréne Bouchaud psychothérapeute
  • Monique-Cécile Drouet, psychiatre
  • Clémence Garçon, soignante (suspendue)
  • Alain Freby, Médecin généraliste
  • Marceline Bogaert, kinésithérapeute
  • Johanna Radosevic, psychomotricienne (suspendue)
  • Marjorie Etienne, cadre de santé, infirmier fonction publique hospitalière (suspendue)
  • Sarah Kharmouche, kinésithérapeute
  • Mathieu Armessen Ostéopathe
  • Goulven Saliou, infirmier spécialisé en bloc opératoire
  • Anne-Françoise Hémion, pédicure-podologue
  • Jacques Guillet, masseur-kinésithérapeute
  • Michèle Serres médecin généraliste
  • Françoise Salkowsky médecin généraliste
  • Pierre Pennamen, Docteur en Médecine
  • Laurence Le Gall, médecin généraliste
  • Cécile Poiroux, médecin généraliste
  • Sophie Colmart, médecin généraliste
  • Sandra Jasmin médecin généraliste
  • Christophe Robin, médecin généraliste
  • Karine Delaumône, médecin généraliste
  • Michel Jreige, médecin généraliste, ancien urgentiste (suspendu)
  • Pierre Billon, docteur en médecine générale
  • Emmanuel Peyre médecin généraliste
  • Guaracy Gadegbeku, médecin générale
  • Valerie Vigne Chazaud sage-femme
  • Sternotte Isabelle, Ostéopathe, Sage-femme
  • Bénédicte Dassonville, médecin généraliste, ingénieur de l’ENSH
  • Marc Naudin, ostéopathe
  • Sophie Bezert, Orthophoniste
  • Charline Chaveneau, orthophoniste
  • Laurence Ducol, orthophoniste
  • Najia Majdi, sage-femme
  • Anne Veyrac, infirmière
  • Murielle Jouannet Infirmière 
  • Alain Giordanetto, infirmier
  • Martine Gaillard, infirmière
  • Sandy Bonne, infirmier
  • Benjamin Guglielmi, infirmier, cadre de Santé
  • Claude Robert, Orthodontiste
  • Zoé Debain, masseur kinésithérapeute
  • Laurent Lalliot Masseur kinésithérapeute
    Isabelle Lalliot Masseur kinésithérapeute
  • Béatrice Adam – Kinésithérapeute
  • Fabienne Carbonnel masseur-kinésithérapeute
  • Joëlle Thuet, infirmière
  • Magali Morroni, infirmière anesthésiste
  • Jean-Marc Casamatta, infirmier de bloc opératoire
  • Raphaëlle Montassut-Diarra, infirmière
  • Virginie Rossi, infirmière en psychiatrie à l’hôpital
  • Fabienne Ormillien, infirmière
  • Marc Heinrich, infirmier
  • Nathalie Vigat, infirmière
  • Jacqueline Segot, Infirmière
  • Stéphanie Montagut infirmière
  • Dominique Danjou Loire, infirmière de bloc opératoire
  • Marie-Line Ferreira, infirmière
  • Lyne Furco infirmière
  • Marie-Hélène Scheidel infirmière
  • Alexandra Wendel, infirmière
  • Patricia Bacquet, infirmière faisant fonction de cadre
  • Cécile Fernandez, infirmière en pédopsychiatrie
  • Vladimir Pavlovic, Educateur spécialisé en pédopsychiatrie
  • Sylvain POIREL, infirmier, CHU de Montréal (Canada)
  • Catherine Huerta, infirmière en EHPAD
  • Margot Schnell, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, infirmière 
  • Aude Buche, infirmière
  • Jackie Trividic, infirmière
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Cristine-Isabel Goncalves. Infirmière en CHRU
  • Marie-Anne Février, Infirmière Puéricultrice
  • Yvette Laugier, Infirmière
  • Isabelle Côte, Infirmière
  • Annie Dumas, infirmière
  • Nathalie Devaucoup Infirmière
  • Jean Michel Valentini, infirmier
  • Sophie Cauchois, infirmière
  • Marie-Odile Desvalois, Infirmière
  • Marion Philippon infirmière en hématologie à l’hôpital
  • Viviane Defrance, infirmière scolaire, retraité
  • Nathalie Blanchard, infirmière puéricultrice
  • Jean-Roch Aubertein, Infirmier
  • Zoé Moutel, Infirmière
  • Nadine Mulas, infirmière
  • Sylvie Bonnefoy Infirmiere
  • Florence Joyeux, Infirmière
  • Carole Auger, Infirmière
  • Laurence Villedieu infirmière, auxiliaire de vie
  • Françoise Astier, agents des services hospitaliers qualifiés en Ehpad
  • Fatima Jriri, aide-soignante
  • Marie-Pierre Barrier, aide-soignante
  • Cyril Sala, aide-soignant
  • Hasna Bouzid aide-soignante
  • Charlène Kluck, aide-soignante (suspendue)
  • Lise-Marie Chemineau Infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Christophe Joie, ergothérapeute en Centre hospitalier Province de Liège (Belgique)
  • Emmanuelle Cart-Tanneur, pharmacienne biologiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Martine Dejean, pharmacienne
  • Stéphanie Cellier, pharmacienne
  • Cathy Nicoud, infirmière urgences pédiatriques
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Margaux Chopin, aide-soignante gérontologie
  • Marie Weinrich, médecin généraliste
  • Laurent Hennequin, Docteur en Médecine, ancien chef de service de Radiologie en CHR
  • Luc Quintin, médecin anesthésiste réanimateur, charge de recherches au CNRS (physiologie cardiovasculaire)
  • Guy Van Hoonacker, médecin anesthésiste réanimateur 
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
  • Denis Asselineau, médecin anesthésiste réanimateur
  • Koryna Socha, PhD, médecin et docteur en sciences médicales
  • Marie-Hélène Poirier Garcia, psychiatre, EPSM
  • Gaël Puget, orthophoniste
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Anne Mouriès, orthophoniste
  • Marie France Coquillay, pharmacienne et enseignante chercheuse retraitée
  • Alain Le Hyaric, médecin en santé publique
  • Florence Parent, Médecin de santé publique
  • Pierre Buet, médecin généraliste
  • Chau Huu Tin, docteur en Médecine
  • Nathalie Souzan-Delagrave, docteur en Médecine
  • Cécile Morgan, médecin généraliste
  • Brigitte Chorliet, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin Généraliste
  • Julie Chataing, médecin généraliste
  • Virginie Airiau, médecin généraliste
  • Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste
  • Anne Damais-Cepitelli, médecin biologiste
  • Jean Emsallem, Médecin Vasculaire
  • Marcel Hoehne, chirurgien vasculaire
  • Philippe Cepitelli, médecin
  • Perrine Millet, médecin, gynécologue obstétrique
  • Christian Quichaud médecin généraliste
  • Amel Abbad, attachée de Recherche Clinique
  • Benoit Artault, médecin, ancien directeur médical de centre de santé
  • Marie Claude Granget-Calliet, psychologue clinicienne
  • Julien Reboul Coordinateur Service éducatif de soins de santé à domicile (SESSAD)
  • Monique Marien Sroussi, gynécologue
  • Linh Hoang-thi médecin acupuncteur
  • Roman Florent, infirmier
  • Amandine Laurent infirmière
  • Anne Laissus, Infirmière
  • Marianne Passarrieu, pharmacienne
  • Anne Gardiesn pharmacienne
  • Marie Belliot, infirmière de réanimation à l’hôpital Jacques cœur de Bourges (suspendue)
  • Fatima Rezig, infirmière
  • Pascale Morbois, infirmière
  • Arlette Fétat, infirmière
  • Florence Verbaenen, infirmière en psychiatrie
  • Caroline Giron, psychologue
  • Denis Bellano, Docteur en psychologie, psychologue clinicien
  • Éric Lemlé, docteur en chirurgie dentaire
  • Laetitia Trossat, médecin en soins palliatifs
  • Jean-Jacques Picard, kinésithérapeute ostéopathe
  • Raphaël Sendrez masseur-kinésithérapeute
  • Marie-Christine Faure, infirmière puéricultrice
  • Jacques Pollini, anthropologue de la santé
  • Anne Camus-Bruneau, orthophoniste
  • Nicole Chaudière, pharmacienne
  • Laurent Tonnerre, infirmier
  • Nicolas Soloy, Art Thérapeute en Hôpital de jour
  • Florence Pierre, masseur kinésithérapeute
  • Denis Chefdor, Masseur-Kinésithérapeute ostéopathe
  • Marie-Laure Martin, kinésithérapeute
  • Caroline Lecouvette kinésithérapeute
  • Serge Houël, Masseur Kinésithérapeute (interdit d’exercer)
  • Frédéric Barbier Damiette, kinésithérapeute (suspendu)
  • Dimitri Jacques, psychothérapeute, biologiste en nutrition
  • Eberhardt Wittich, ex biologiste et chimiste
  • Théodore Rottier, psychologue
  • Emmanuelle Schulz psychologue clinicienne
  • Martine Durand Jullien, médecin généraliste
  • Patricia Melot médecin généraliste
  • Lagorce Sebastien, médecin généraliste
  • Sophie Dévé, médecin généraliste
  • Nicole Perrot médecin généraliste
  • Caroline Mouzet, Médecin généraliste
  • Martin Gauthier, médecin généraliste
  • Romain Dupont Docteur en médecine
  • Donald Archer, médecin généraliste retraité
  • Benoit Ochs, médecin généraliste (Luxembourg)
  • Jean Pascal Serbera médecin généraliste
  • Marie-Cécile Tellier, médecin généraliste
  • Ourdia Krim, médecin spécialiste
  • Marie-Line Eon, médecin et docteur en science de l’éducation
  • Philippe Yannic médecin biologiste
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Marie Fages, kinésithérapeute
  • Jean-Marie Kerlo, masseur kinésithérapeute
  • Jean-Pierre Gay-Montchamp, praticien hospitalier, pharmacologie-toxicologie
  • Daniele Guieu, Docteur Vétérinaire
  • Grégory Desfilles, Masseur Kinésithérapeute
  • Valérie Franco, infirmière
  • Laura Roux, infirmière
  • Christine Munier Infirmière libérale
  • Gabrielle Charvet, infirmière
  • Laurence Queffurus-Lepetit, infirmière dans un centre de cancérologie en CHRU
  • Pascale Grimm, infirmière
  • Lucie Massart-Chauvet, vétérinaire
  • Clotilde Maurin, masseur-kinésithérapeute
  • Antoine Rault, vétérinaire
  • Christine Goldie, Attachée de Recherche Clinique
  • Serge Perrin, sapeur-pompier professionnel
  • Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé
  • Murielle Bauchet, économiste et consultante en santé publique
  • Tetsuaki Shigemitsu, Médecin-épidémiologiste
  • Silvia Moreno, Microbiologiste PhD
  • Karen Brandin, docteur en théorie algébrique des nombres (mathématiques)
  • Virginie Charreau, ingénieur en nutrition, diététicienne nutritionniste
  • Thierry Raffin, PhD, sociologue
  • Emmanuelle Lepoutre, sophrologue
  • Claire Seigneur, Psychologue
  • Margot Szefer, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Martine Crogiez, Ergotherapeute
  • Nathalie Pech, PhD, économiste
  • Gauthier Lasou, ingénieur chercheur
  • Catherine Vaillandet, orthophoniste
  • Karine Rabiet, orthophoniste
  • Xavier Gallet, psychopraticien
  • Lucia Martinez, Aide médico-psychologique en EHPAD
  • Céline Merigot, éducatrice spécialisée auprès d’adultes ayant des troubles psychologiques
  • Christine Quélier, Sociologue et psychologue
  • Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales
  • Monique Plaza, chercheur en neuropsychologie
  • Anna Marie Cournil, gérontologie sociale
  • Renaud de Bellefon, docteur en histoire
  • Gérald Pech, ingénieur, ancien chercheur dans le spatial
  • François Sanchez, doctorant à l’université de Mulhouse
  • Hervé Brochart, chercheur, docteur ès sciences pharmaceutiques
  • Olivier Rimbault, docteur en lettres classiques, chercheur indépendant
  • Jean-Claude Barescut, ingénieur (nucléaire, radioprotection)
  • Anne-Marie Ropert, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts
  • Julie Lioré, anthropologue, rédactrice scientifique indépendante
  • Pierre Goletto, retraité, École Centrale de Marseille, IAE d’Aix en Provence
  • Victor Molinié, interne en médecine (spécialité gériatrie) en CHU
  • Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Philippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire
  • Irina-Maria Stefanescu Chirurgienne
  • Anna Levy Bencheton Dermatologue
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Odile Huchet, pharmacienne
  • Yannick Marcadet, pharmacien
  • Marie-Claude Marcadet Fièvet, pharmacienne
  • Mireille Coulon, masseure-kinésithérapeute, cadre de santé
  • Séverine Guitton, Cadre de santé
  • Anne Vincent, Cadre de santé
  • Fabienne Consoli, médecin généraliste
  • Françoise Rometti Psychiatre
  • Sylvie Laval, psychiatre
  • Sophie Sabatier, médecin généraliste
  • Brigitte Faure médecin généraliste
  • Fabienne Emonnot psychiatre
  • Yvette Dorémieux, psychiatre
  • Hanna Kump pédiatre
  • Daniel Avisse médecin généraliste
  • Régis Pouthier, médecin généraliste
  • Corinne Navarro, médecin généraliste
  • Dominique Sabatier, médecin généraliste
  • Véronique Beranger, médecin généraliste
  • Gaëtan Cantineau, radiologue
  • Claudie Henru, pharmacienne
  • Katia Bustamante, chirurgien
  • Frédéric Teste, Ostéopathe
  • Mélanie Faucher, psychologue en centre hospitalier
  • Caroline Collin-Blondel, psychologue clinicienne et ancienne attachée de recherche clinique (suspendue)
  • Danièle Santini, psychologue
  • Erika Cadat, psychologue clinicienne
  • Patricia Bres, infirmière
  • Mireille Klenovski, infirmière
  • Frédérique Yampolsky, infirmière
  • Florie Gaeta, infirmière hospitalière
  • Philippe Chauveau, infirmier
  • Marie-Anne Morien, infirmière
  • Marie-Françoise Stigliani, pharmacienne
  • Jean-Pierre Moutel, médecin généraliste
  • Stéphane Cheslet, podologue posturologue
  • Solen Halloin, sage-femme (suspendue)
  • Laurence Borgogno, médecin vétérinaire
  • Amandine Eloy, opticienne
  • Marie Berthet, dermatologue
  • Thierry Coquet, aide-soignant
  • Nicolas Ecobichon infirmier
  • Fabienne Tremillon, Infirmière
  • Stéphanie Delaigue infirmière
  • Dominique Cadoret, psychologue
  • Marie Boutrolle psychologue
  • Muriel Chetcuti, ergothérapeute
  • Josiane Risacher, Ergothérapeute
  • Gérard Martinez psychologue Clinicien
  • Bernard Guibbaud, psychologue, sexologue
  • Elisabeth Griffon, assistante sociale hospitalière (suspendue)
  • Nicolas Erhardt, cadre socio-éducatif dans la fonction publique hospitalière (suspendu)
  • Eddy Prave, ingénieur et technicien de recherche, Université de Rennes 2
  • Raymond Barbry, chercheur au Centre international de recherche en étude transdisciplinaire (CIRET)
  • Jérémie Salvadero, docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse
  • Marc Guibert, gynécologue obstétricien
  • Charles Bénard, électro-radiologie
  • Thuy Chi Nguyen, médecin généraliste
  • Suzanne Vanet, chirurgien
  • Nicole Sicard, docteur en médecine, ancien chef de service hospitalier, accompagnante en santé
  • Thierry Deliere, chirurgien vasculaire, ancien Chef de service à l’Hôpital
  • Gaëlle Saliou, docteur en pharmacie
  • Patrick Guérin, docteur vétérinaire
  • Jolivet Delphine, infirmière
  • Paul Polis, médecin vétérinaire
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Claire Pasquinelli Masseur-Kinésithérapeute
  • Anne Gauquelin, orthophoniste
  • Josselyne Abadie, consultante éthique
  • Aïd Zair, kinésithérapeute
  • Marie-Christine Hénaut, kinésithérapeute
  • Delphine Leterrier kinésithérapeute
  • Sylvain Deleplanque, psychologue clinicien
  • Marie-Claire Hemptinne, psychothérapeute
  • Gérard Ostermann, psychothérapeute
  • Marie-Gabrielle Vasseur, chirurgien-dentiste 
  • Christine Blanc, médecin Généraliste
  • Céline Arnaud, sage-femme
  • Claire Soulas, infirmière
  • Fabrice Davison, Infirmier
  • Andrée Martini, infirmière anesthésiste
  • Frederic Jolly, Podologue
  • Christine Oliveira, psychothérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Jérôme Turostowski Osteopathe
  • Anne Bastin, orthophoniste
  • Antoine Fredot, pédicure Podologue 
  • Gwénaëlle Gombourg, chirurgien-dentiste
  • Denis Ribbe, Praticien Hospitalier Urgentiste et gériatre
  • Anna Rosset, biologiste, médecin spécialiste en radio-oncologie
  • Philippe de Joux, médecin généraliste
  • Yvonne Parquer, médecin généraliste
  • Valérie Mayaud, médecin généraliste
  • François Ribière, médecin généraliste
  • Hélène Skolka, médecin généraliste
  • Annie Bendayan, médecin généraliste
  • Marcel-Marie Gricourt, médecin généraliste
  • Anne Belin médecin généraliste
  • Olivier Boumendil, médecin radiologue
  • Samira El Ouali, médecin ostéopathe
  • Jean-Dominique Maupu, Médecin retraité
  • Christine Cieur, docteur en pharmacie
  • Odile Normant, directrice d’Établissements Médico-sociaux
  • Carole Pellissier, Masseur kinésithérapeute
  • Françoise Rouillé, infirmière cadre et psycho-clinicienne
  • Henri Duchemin, ambulancier (suspendu)
  • Pascale Le Marquand, Ambulancière hospitalière
  • Nathalie Ingenito, laboratoire bio-médical
  • Marie-Hélène Lacarra, kinésithérapeute
  • Solène Charon, kinésithérapeute et Ostéopathe
  • Julia Froment, aide-soignante
  • Esther Joly, sociologie et psychanalyste
  • Florence Belasco, psychologue clinicienne
  • Yoanna Micoud, psychologue
  • Lecomte Valérie, infirmière
  • Gérard Bunel, infirmier
  • Danièle Mullet, infirmière
  • Anne-Laure Durix, infirmière
  • Pascale Polly, infirmière
  • Philippe Baudier, infirmier de Secteur Psychiatrique 
  • Clothilde Mora, diététicienne-nutritionniste
  • Vanessa Szpatkowski, infirmière
  • Amélie Huberlant, infirmière anesthésiste
  • Aram Ndiaye, Infirmière en cancérologie
  • Viviane Dubost, psychologue
  • Lucile Brochot, vétérinaire
  • Charles-Antoine Winter, diététicien nutritionniste
  • Jean-Guillaume Bellier, professeur agrégé de géographie
  • Benoît Diné, ingénieur de recherche
  • Jean-Pierre Reyal, ingénieur à l’INSA
  • Nicolas Tetaz, Ingénieur spatial
  • Gabrielle Radault, PhD., Ingénieur Brevets
  • Patrick Meunier, enseignant agrégé de Biochimie-génie biologique
  • Xavier Audebert, audioprothésiste
  • Xavier Pascal, Ingénieur informaticien
  • Sabine Lasou, ingénieur chercheur
  • Patrick Lawson, ingénieur d’études
  • Bruno Vassoille, ingénieur d’études
  • Thomas Metge, ingénieur d’études
  • Maxime Goulon, Ingénieur d’études
  • Olivier Gosselet, Ingénieur d’études
  • Dorothée Dumay, Ingénieur d’études
  • Sandrine Marasco, technicienne de laboratoire d’analyses médicales
  • Jean-Jacques Navarro, ingénieur à Centrale Paris
  • Frédéric Goupil, Ingénieur aéronautique
  • Marc Savall, docteur en informatique de l’INSA
  • Helene Chambatte Abeille, ancien interne des hôpitaux de Lyon
  • Jean Soldini, Ph.D, philosophe et historien de l’art
  • Roland Dubourg, chercheur en sûreté nucléaire
  • René Chiche, professeur de philosophie, Vice-président du syndicat Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Benoît Brandin, professeur agrégé de philosophie
  • Marc Thibault professeur agrégé de philosophie
  • Sophie Amant, professeur de sciences économiques et sociales, doctorante en sociologie
  • Marie-Virginie Cambriels, doctorante à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3
  • Jörg-Andreas Bötticher, Professeur FHNW/ Musikhochschule, Basel (Suisse)
  • Jean Leplant, enseignant dans les Établissement et Services de Réadaptation Professionnelle
  • Laurent Gaillard, professeur de sciences physiques
  • Anne Girerd, professeur agrégé de Sciences de la vie et de la terre
  • Kévin Krantz, professeur agrégé de philosophie
  • Jacques Eutrope, Ph.D, retraité de l’industrie
  • Denis Guillec, professeur agrégé de philosophie
  • Marie-Suzanne Bourgeade, enseignante-chercheuse retraitée de l’université
  • Georges Sorais, Professeur de mathématique/Sciences physiques
  • Jean-Claude Villanueva, psychologue clinicien, chargé d’enseignement à l’Université de Montpellier
  • Christophe M. Dubois, ancien chercheur à l’Institut d’études européennes de l’Université Catholique de Louvain, ancien attaché de cabinet ministériel
  • Sylvie Lasserre, PhD, grand reporter
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Gérald Sawicki, professeur agrégé et docteur en histoire contemporaine
  • Sébastien Aubert, normalien, professeur agrégé de génie mécanique
  • Dominique Arnaud, ingénieur retraitée du corps de l’industrie et des mines, Autorité de sûreté nucléaire
  • Michel Doucet, ingénieur chercheur retraité du CEA
  • Alvaro Buero Buoro, géophysicien
  • Cathy Brunel, microbiologiste
  • Michèle Florquin, biologiste (Belgique)
  • Guylain Cabantous, vice-président de CPAM, membre de la commission exécutive CGT Santé Action Sociale



À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

[Source : LHK]

Par LHK

À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène? À l’Internet des corps (IoB)

https://winteroakpress.files.wordpress.com/2020/10/klaus-schwab.jpg?w=772
Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. (Wikipédia)
https://lilianeheldkhawam.com/2021/02/06/qui-est-klaus-schwab-le-maitre-de-la-montagne-magique/?fbclid=IwAR3WUD-fesufEvSfJodxAtqde4Jcm7nHyeeXpU3ijOQ0n7_yNHovjSxlSf0

Souvenez-vous de notre article sur l’oxyde de graphène où nous y avions effleuré la notion de l’Internet des corps. Nous y disions notamment que : « En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains. ». Nous parlions dans les faits d’un matériau qui pouvait ouvrir la voie au transhumanisme.

Eh bien, la présence de capteurs n’a pas d’autres objectifs que de connecter le corps humain à un serveur et donc à fusionner les deux entités pour en créer une 3ème qui est le transhumain. Cette dernière appellation est l’antichambre du posthumain qui est l’objectif final de ceux qui tiennent le stylo de la création monétaire contre crédits.

Je vous laisse mieux découvrir l’Internet des corps ou IoB avec une collaboratrice de la Rand Corporation et de documents pris sur le site du World Economic Forum.

C’est ce qui attendrait chacune et chacun d’entre nous, à moins d’un impondérable qui aurait échappé aux algorithmes de nos amis.

Bonne lecture.

LHK

Traduction du texte de la vidéo de Mary Lee

Au 20e siècle, la technologie sans fil intégrée au corps humain n’était rien de plus que de la science-fiction. Mais aujourd’hui, les appareils connectés au Wi-Fi tels que les moniteurs de fréquence cardiaque et les moniteurs de sommeil sont devenus des éléments courants de la vie américaine. Comment la technologie bionique a-t-elle évolué si rapidement de la science-fiction à la réalité ? Et que pourrait signifier cet Internet des corps pour nos vies à l’avenir ? Les chercheurs de RAND étudient ce phénomène et ce que les consommateurs et les décideurs doivent savoir alors que nous nous dirigeons vers un territoire inexploré.

Mary Lee, mathématicienne ; Chercheur, RAND Center for Global Risk and Security

Mary Lee est mathématicienne à la RAND Corporation et membre inaugurale du RAND Center for Global Risk and Security.
Ses intérêts de recherche comprennent la modélisation mathématique et la simulation de systèmes complexes dans les domaines de la défense/aérospatiale, de la cyberpolitique, des soins de santé et des maladies chroniques.…
Vidéo ICI https://www.rand.org/multimedia/video/2020/10/29/what-is-the-internet-of-bodies.html

L’Internet des corps [« Internet of Bodies » en anglais], ou IoB , est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à Internet qui contiennent des logiciels et qui collectent des données personnelles sur votre santé ou peuvent altérer le fonctionnement du corps. Nous considérons l’Internet des corps comme cette collection de tous ces appareils, ainsi que toutes les données que les appareils collectent à votre sujet. Et dans le domaine de la santé, l’Internet des corps existe depuis un certain temps. Avec l’avènement d’Internet, il est tout à fait logique de connecter votre stimulateur cardiaque à Internet afin que votre médecin puisse être automatiquement averti si quelque chose d’anormal se produit, s’il y a une anomalie. Il est naturel à bien des égards de vouloir en savoir plus sur votre corps, comment il fonctionne, comment il se porte bien.

Narrateur

Les appareils IoB pourraient révolutionner les soins de santé. Des quantités sans précédent de données de santé personnelles pourraient éclairer des plans de traitement entièrement adaptés aux besoins d’un patient.

Marie Lee

Il existe maintenant des pilules qui ont un capteur électronique qui permet à un fournisseur de soins de santé de savoir si vous avez pris le médicament. D’autres choses, comme la médecine de précision, la médecine de précision est donc l’idée de créer des produits pharmaceutiques ou un traitement spécifiquement pour votre corps, pour votre traitement personnalisé. Et je pense que l’ IoB pourrait vraiment aider avec cela car de nos jours, de nombreux soins de santé sont basés davantage sur des réactions moyennes, alors qu’avec les données des appareils IoB , vous pourriez être en mesure de traiter de manière vraiment plus précise une certaine maladie.

Narrateur

Mais l’Internet des corps ne sera pas une panacée. En fait, le marché largement non réglementé présente des risques pour les données particulièrement sensibles que ces appareils collectent.

Marie Lee

Tout d’abord, il y a le risque cyber qu’un acteur puisse potentiellement pirater le système, quel qu’il soit. Il y a un risque pour la vie privée de toutes ces données qui sont collectées, et les réglementations concernant ces données sont vraiment obscures pour le moment. Et donc il n’y a pas beaucoup de clarté sur qui possède les données, ce qui leur arrive, à qui elles sont vendues, comment elles sont utilisées. Et il existe même des risques potentiels pour la sécurité nationale et la sécurité mondiale.

Narrateur

Quelques exemples de ces risques se sont déjà manifestés dans la vie réelle. Par exemple, en 2018, des informations très sensibles sur les activités militaires américaines et les emplacements des bases ont été révélées par inadvertance par les trackers de fitness des soldats. C’est donc un moment charnière. Que pouvons-nous faire pour nous assurer de profiter des avantages potentiels de l’Internet des corps sans risquer notre vie privée, notre sécurité et notre autonomie personnelle ?

Marie Lee

Les consommateurs doivent se méfier des appareils IoB, car à mesure qu’ils deviennent de plus en plus populaires, toutes ces données intimes sont collectées, sans doute des données plus intimes que nous n’avons jamais vraiment enregistrées auparavant. Il n’y a pas de clarté sur ce qui est fait avec ces données. Vous savez, avec un vieux stimulateur cardiaque mécanique, aucune donnée n’est collectée et stockée, et, vous savez, vous pouvez consulter l’historique des rythmes cardiaques de quelqu’un.

Parce que la politique a tendance à prendre du retard sur les technologies innovantes comme celle-ci, il appartient probablement aux consommateurs et aux patients des soins de santé d’être vraiment conscients des appareils qu’ils utilisent et de ce qui arrive à leurs données et de savoir quelles sont les réglementations en vigueur. leur état particulier, car il varie tellement d’un état à l’autre. Même si vous pensez que vous n’êtes pas intéressant ou que rien ne se passera avec vos données, il y a beaucoup d’inconnues auxquelles je pense que nous devons faire attention.

Le World Economic Forum, promoteur de l’Internet des corps

Selon le World Economic Forum: L’Internet des corps est là : relever les nouveaux défis de la gouvernance technologique.
Les récents progrès technologiques ont inauguré une nouvelle ère de « l’internet des corps » (IoB), avec un nombre sans précédent d’appareils et de capteurs connectés fixés ou même implantés et ingérés dans le corps humain.
L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines.
Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Pourtant, l’IoB soulève également de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales.

Nous entrons dans l’ère de « l’Internet des corps » : collecter nos données physiques via une gamme de dispositifs pouvant être implantés, avalés ou portés.

Le résultat est une énorme quantité de données liées à la santé qui pourraient améliorer le bien-être humain dans le monde et s’avérer cruciales dans la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Mais un certain nombre de risques et de défis doivent être abordés pour réaliser le potentiel de cette technologie, des problèmes de confidentialité aux obstacles pratiques.

Dans les services spéciaux du Centre clinique de santé publique de Shanghai, les infirmières utilisent des thermomètres intelligents pour vérifier la température des patients COVID-19. La température de chaque personne est enregistrée avec un capteur, réduisant le risque d’infection par contact, et les données sont envoyées à un tableau de bord d’observation. Un résultat anormal déclenche une alerte au personnel médical, qui peut alors intervenir rapidement. Les données recueillies permettent également aux médecins d’analyser les tendances au fil du temps.

Les thermomètres intelligents sont conçus par VivaLNK, une startup basée dans la Silicon-Valley, et sont un exemple puissant des nombreux produits et services numériques qui révolutionnent les soins de santé. Après l’Internet des Objets, qui a transformé notre façon de vivre, de voyager et de travailler en connectant des objets du quotidien à Internet, place à l’Internet des corps. Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs pouvant être implantés, avalés ou simplement portés, générant d’énormes quantités d’informations liées à la santé.

Certaines de ces solutions, comme les trackers de fitness, sont une extension de l’Internet des objets. Mais parce que l’Internet des corps se concentre sur le corps humain et la santé, il soulève également son propre ensemble spécifique d’opportunités et de défis, des problèmes de confidentialité aux questions juridiques et éthiques.

Image : McKinsey & Compagnie

Connecter nos corps

Aussi futuriste que puisse paraître l’Internet des corps, de nombreuses personnes y sont déjà connectées via des appareils portables. Le segment des montres intelligentes à lui seul est devenu un marché de 13 milliards de dollars d’ici 2018 et devrait augmenter de 32 % à 18 milliards de dollars d’ici 2021. Les brosses à dents intelligentes et même les brosses à cheveux peuvent également permettre aux gens de suivre les habitudes de leurs soins personnels et de leur comportement.

Pour les professionnels de la santé, l’Internet des corps ouvre la porte à une nouvelle ère de surveillance et de traitement efficaces.

En 2017, la Federal Drug Administration des États-Unis a approuvé la première utilisation de pilules numériques aux États-Unis. Les pilules numériques contiennent de minuscules capteurs ingérables, ainsi que des médicaments. Une fois avalé, le capteur est activé dans l’estomac du patient et transmet les données à son smartphone ou à d’autres appareils.

En 2018, Kaiser Permanente, un fournisseur de soins de santé en Californie, a lancé un programme de réadaptation virtuelle pour les patients qui se remettent d’une crise cardiaque. Les patients ont partagé leurs données avec leurs prestataires de soins via une montre connectée, permettant un meilleur suivi et une relation plus étroite et plus continue entre le patient et le médecin. Grâce à cette innovation, le taux d’achèvement du programme de réadaptation est passé de moins de 50 % à 87 %, accompagné d’une baisse du taux de réadmission et du coût du programme.

Le déluge de données recueillies grâce à ces technologies fait progresser notre compréhension de la façon dont le comportement humain, le mode de vie et les conditions environnementales affectent notre santé. Il a également élargi la notion de soins de santé au-delà de l’hôpital ou de la chirurgie et dans la vie quotidienne. Cela pourrait s’avérer crucial dans la lutte contre la pandémie de coronavirus. Le suivi des symptômes pourrait nous aider à arrêter la propagation de l’infection et à détecter rapidement de nouveaux cas. Les chercheurs étudient si les données recueillies à partir de montres intelligentes et d’appareils similaires peuvent être utilisées comme alertes d’infection virale en suivant la fréquence cardiaque et la respiration de l’utilisateur.

Dans le même temps, cette technologie complexe et évolutive soulève de nouveaux défis réglementaires.

Qu’est-ce qui compte comme information de santé?

Dans la plupart des pays, il existe des réglementations strictes concernant les informations de santé personnelles telles que les dossiers médicaux et les échantillons de sang ou de tissus. Cependant, ces réglementations conventionnelles ne couvrent souvent pas le nouveau type de données de santé générées par l’Internet des corps, et les entités qui collectent et traitent ces données.

Aux États-Unis, le Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPPA) de 1996, qui est la principale loi pour la réglementation des données de santé, s’applique uniquement aux prestataires de soins médicaux, aux assureurs-maladie et à leurs associations professionnelles. Sa définition de « renseignements personnels sur la santé » ne couvre que les données détenues par ces entités. Cette définition s’avère inadaptée à l’ère de l’Internet des corps. Les entreprises technologiques proposent désormais également des produits et services liés à la santé et collectent des données. Margaret Riley, professeur de droit de la santé à l’Université de Virginie, m’a fait remarquer dans une interview que HIPPA ne couvre pas les masses de données des appareils portables grand public, par exemple. Données

Comment le Forum économique mondial aborde-t-il les défis soulevés par l’Internet des corps ?

Recent technological advancements have ushered in a new era of the “internet of bodies” (IoB), with an unprecedented number of connected devices and sensors being affixed to or even implanted and ingested into the human body.

L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines. Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Le Forum économique mondial a récemment publié un rapport spécial sur cette région en développement. Le rapport d’août 2020 explore comment l’IoB soulève de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales. .

Un autre problème est que la réglementation actuelle ne regarde que si les données sont sensibles en elles-mêmes, et non si elles peuvent être utilisées pour générer des informations sensibles. Par exemple, le résultat d’un test sanguin dans un hôpital sera généralement classé comme une donnée sensible, car il révèle des informations privées sur votre santé personnelle. Mais aujourd’hui, toutes sortes de données apparemment non sensibles peuvent également être utilisées pour tirer des conclusions sur votre santé, grâce à l’analyse de données. Glenn Cohen, professeur à la faculté de droit de Harvard, m’a dit dans une interview que même les données qui ne concernent pas du tout la santé, telles que les listes de courses, peuvent être utilisées pour de telles inférences. En conséquence, les réglementations conventionnelles peuvent ne pas couvrir les données sensibles et privées, simplement parce qu’elles ne semblaient pas sensibles avant d’être traitées.

Risques liés aux données

L’identification et la protection des données sensibles sont importantes, car elles peuvent affecter directement la façon dont nous sommes traités par les institutions et les autres personnes. Avec l’analyse des mégadonnées, d’innombrables actions et décisions quotidiennes peuvent finalement alimenter notre profil de santé, qui peut être créé et maintenu non seulement par les prestataires de soins de santé traditionnels, mais également par des entreprises technologiques ou d’autres entités. Sans lois et réglementations appropriées, il pourrait également être vendu. Dans le même temps, les données de l’Internet des corps peuvent être utilisées pour faire des prédictions et des déductions qui pourraient affecter l’accès d’une personne ou d’un groupe à des ressources telles que les soins de santé, l’assurance et l’emploi.

James Dempsey, directeur du Berkeley Center for Law and Technology, m’a dit dans une interview que cela pourrait conduire à un traitement injuste. Il a mis en garde contre la discrimination et les préjugés potentiels lorsque de telles données sont utilisées pour des décisions en matière d’assurance et d’emploi. Les personnes concernées peuvent même ne pas en être conscientes.

Une solution serait de mettre à jour la réglementation. Sandra Wachter et Brent Mittelstadt , deux universitaires de l’Oxford Internet Institute, suggèrent que la loi sur la protection des données devrait se concentrer davantage sur comment et pourquoi les données sont traitées, et pas seulement sur leur état brut. Ils plaident pour un soi-disant « droit aux déductions raisonnables », c’est-à-dire le droit que vos données soient utilisées uniquement pour des déductions raisonnables et socialement acceptables. Cela impliquerait d’établir des normes pour savoir si et quand déduire certaines informations des données d’une personne, y compris l’état de sa santé présente ou future, est socialement acceptable ou trop invasif.

Problèmes pratiques

Outre les préoccupations concernant la confidentialité et la sensibilité, il existe également un certain nombre de problèmes pratiques liés au volume considérable de données générées par l’Internet des corps. Le manque de normes en matière de sécurité et de traitement des données rend difficile la combinaison de données provenant de diverses sources et leur utilisation pour faire avancer la recherche. Différents pays et institutions tentent conjointement de surmonter ce problème. L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) et sa Standards Association travaillent avec la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis, les National Institutes of Health, ainsi que des universités et des entreprises parmi d’autres parties prenantes depuis 2016, pour aborder la sécurité et question d’interopérabilité de la santé connectée.

Alors que l’Internet des corps se répand dans tous les aspects de notre existence, nous sommes confrontés à une série de nouveaux défis. Mais nous avons également une chance sans précédent d’améliorer notre santé et notre bien-être et de sauver d’innombrables vies. Pendant la crise du COVID-19, saisir cette opportunité et trouver des solutions aux défis est une tâche plus urgente que jamais. Cela repose sur les agences gouvernementales et les organes législatifs travaillant avec le secteur privé et la société civile pour créer un cadre de gouvernance solide et pour inclure des déductions dans le domaine de la protection des données. L’élaboration de normes technologiques et réglementaires pour l’interopérabilité et la sécurité serait également cruciale pour libérer la puissance des nouvelles données disponibles. La clé est de collaborer au-delà des frontières et des secteurs pour réaliser pleinement les énormes avantages de cette technologie en évolution rapide.

https://www.weforum.org/agenda/2020/06/internet-of-bodies-covid19-recovery-governance-health-data/

wef-iob-briefing_paper_2020

Lire également

https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/


[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA]




Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité ?

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam]

Deloitte ne met pas au conditionnel le modèle de la nouvelle médecine. Il vous l’affirme en invitant ses clients à se mettre à jour avec ce qui s’en vient. Écoutez plutôt. (Comme ce genre de vidéos n’est pas censuré, profitez de la traduction offerte par YouTube).

Deloitte, en champion des cabinets de conseil, qui couvre le secteur de la santé, nous offre cette vidéo qui remonte à mars 2019. Bien avant les histoires covidiennes donc.

Dans ce document, nous démontrons que l’individu sain devient, par une volonté de mettre en place une autre forme de médecine, un malade qui s’ignore et que les appareils vont prédire ses maladies avant même que les symptômes apparaissent. Pour ce faire, le personnel de santé est invité à faire évoluer ses compétences pour être capable de répondre à la demande. Le contrôle sera sévère, n’en doutons pas.

Ainsi, les populations humaines sont sommées d’accepter un nouveau paradigme techno-médico-sanitaire qui doit changer en profondeur leur identité, leur droit à disposer de leur corps, ET de leur intimité. Sont-elles consentantes ou pas est le dernier des soucis de ces individus qui s’acharnent à modifier la nature humaine afin de réaliser leur rêve, au minimum centenaire : contrôler la vie sur terre par la technologie.

Dans une étude sur la surveillance sanitaire permanente d’un individu connecté, les auteurs ont eu un sursaut d’inquiétude au niveau éthique. Ils y soulignent en passant les problèmes que poserait la collecte massive de données.

« Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée. » 

Dans la même étude, on a une représentation d’un individu infiltré de capteurs à base de graphène qui permettent la surveillance permanente de la santé.

… Voici en écho une représentation compatible de l’humain posé sur un téléphone portable qui semble scanné et dont les données sont numérisées et donc récupérées par le Big data.

Regardez cette image incroyable publiée début 2019 par le numéro1 des consultants (secteur de santé inclus). L’individu est représenté sur son cellulaire avec une lumière qui sert à décoder les informations sur sa santé qui sont par la suite numérisées et transmises à un centre de gestion (envie d’écrire plutôt commandement) sanitaire. Vous constaterez le biocapteur au niveau du front. Image déjà présente en mai 2019

the-future-of-health-deloitte-us (Télécharger)

Une étude de Nature confirme que la technologie et son Big Data représentent une dimension incontournable de la Nouvelle médecine (envoyée 7 avril 2020)

Fig. 1 : The interconnected digital technologies used in the public-health response to COVID-19.

En avril 2020, ce schéma était prêt avec tout le protocole que nous connaissons aujourd’hui ! Bluetooth du smartphone au centre du processus. Comme sur l’image de Deloitte d’avant 2019 !

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L’élite globalisée livre sa guerre contre le virus

Larry Summers, président du panel de hauts responsables (comprenez de délégués de la Planète finance) pour la prévention des pandémies, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine.

« Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération.» 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/22/devinez-qui-dicte-les-ordres-a-vos-autorites-sanitaires/

On voit la terminologie liée à la sécurité, ou à la résistance aux adversaires. Et même si elle n’est utilisée que dans un but rhétorique, elle interpelle et renvoie à cette phrase du président Macron qui avait dit ‘Nous sommes en guerre face à un ennemi invisible’.

Et maintenant, regardez cette présentation de Bill Gates qui use de visuel digne des militaires. Sauf que dans son cas, il a remplacé les soldats de plomb en miniatures en blouse blanche. La nouvelle armée du Nouveau Monde.

Les soldats ont été remplacés par le personnel de santé pour faire face à une promesse de pandémies à répétition.

L’Onu a entendu les responsables des cordons de la bourse sans lesquels les salaires onusiens risqueraient d’avoir quelques petits soucis. Ainsi en mai 2021, le chef de l’ONU lança lui aussi un : ‘Nous sommes en guerre’ contre le Covid. Et de préciser : le monde est ‘en guerre’ contre le Covid-19, appelant la communauté internationale à aller au-delà de la solidarité et à entrer en ‘économie de guerre’ pour stopper le virus.
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/nous-sommes-en-guerre-contre-le-covid-dit-le-chef-de-l-onu_2151430.html

Gates mandate les consultants dans le cadre de sa guerre sanitaire

Gates mandate des consultants que l’on retrouve en train de coacher des gouvernants, voire plus si entente.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/09/jusquou-va-linfluence-de-la-firme-mckinsey-en-france-dans-la-promotion-du-vaccin-et-de-la-mise-en-place-du-pass/

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À noter que McKinsey ne pointe qu’à la 6e place dans le classement Gartner. Deloitte est le numéro 1

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Et en bons généraux, les gouvernants se chargent du terrain

Afin de réaliser sur le terrain la formation d’une armée de personnel médical soumis aux ordres, il va falloir restreindre les libertés individuelles par un contrôle piloté par l’État. Tout comme le sont les soldats militaires. Les médecins et autres infirmiers doivent devenir des gens qui appliquent des protocoles/règlements/procédures/etc. sans trop se poser de questions. Mais ils doivent aussi s’adapter à la médecine personnalisée et prédictive hautement connectée comme vu ci-dessus dans la vidéo de Deloitte.

Les médecins contemporains et autres intervenants dans le domaine médical doivent se former et s’adapter à la techno-médecine, ou disparaître.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/.

C’est à cela que servira le Conseil national de certification. À faire changer les mentalités des médecins qui veulent encore soigner avec des molécules. Ils doivent passer à la technologie. Et c’est un ordre.

Ainsi, en France, sous le titre de Conseil national de certification, le Conseil des ministres du 19 juillet 2021 a ordonné la mise en place d’une Certification périodique de certains professionnels de santé. Et voici en quoi elle consiste :

Le ministre des Solidarités et de la Santé a présenté une ordonnance relative à la certification périodique de certains professionnels de santé. L’article 5 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé habilite le Gouvernement à prendre par ordonnance toute mesure relevant du domaine de la loi afin, d’une part, de créer une procédure de certification indépendante de tout lien d’intérêt permettant, à échéances régulières au cours de la vie professionnelle, de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles, l’actualisation et le niveau des connaissances, et, d’autre part, de déterminer les professionnels concernés par cette procédure de certification, les conditions de sa mise en œuvre et de son contrôle, les organismes qui en sont chargés, les conséquences de la méconnaissance de cette procédure ou de l’échec à celle-ci, ainsi que les voies de recours ouvertes à l’encontre de ces conséquences.
L’ordonnance détermine les principes structurants applicables à la certification périodique, dont les modalités d’application seront largement définies par voie réglementaire après concertation avec l’ensemble des parties prenantes.

Elle complète le titre II du livre préliminaire de la quatrième partie du code de la santé publique consacré au « Développement professionnel continu ». Un chapitre II relatif à la certification périodique des professionnels de santé est ainsi ajouté :

https://www.vie-publique.fr/discours/280808-conseil-des-ministres19072021-certification-periodique-professions-sante

  • il définit les objectifs de la certification périodique, le champ des actions qui participent à celle-ci (actualisation des connaissances et des compétences, amélioration de la qualité des pratiques professionnelles et de la relation avec le patient, prise en compte de la santé individuelle du praticien), la périodicité de l’obligation (tous les six ans), ainsi que les sept professions qui sont assujetties à l’obligation de certification (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues) ;
  • il crée un Conseil national de la certification périodique chargé de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique ;
  • il prévoit que les actions de certification sont librement choisies par le professionnel de santé, le cas échéant en lien avec son employeur, parmi une liste figurant dans un référentiel national de certification périodique ;
  • les référentiels sont élaborés par les conseils nationaux professionnels, sur la base d’une méthode arrêtée par le ministre chargé de la santé sur proposition de la Haute Autorité de santé et après avis du Conseil national de la certification périodique. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé, qui peut saisir au préalable pour avis la Haute Autorité de santé ;
  • il confie le contrôle du respect de l’obligation de certification périodique aux ordres professionnels ;
  • il instaure, au bénéfice de chaque professionnel, des comptes individuels qui retracent les actions de certification périodique suivies. Il prévoit que ces comptes seront gérés par une autorité administrative qui sera désignée par voie réglementaire. (lire la suite sur le site de vie-publique.fr

Un cabinet d’avocat traduit cette décision. Ainsi, le texte définit la notion de certification, crée une instance nationale de pilotage, prévoit la création de référentiels et institue un dispositif de contrôle.
https://accens-avocats.com/blog/2021/07/22/professions-de-sante-creation-dun-dispositif-obligatoire-de-certification-individuelle-periodique-des-competences/

Cette décision a amené le site ‘Observatoire du mensonge’ à publier un article qui est devenu viral et qui est combattu par les médias du système :

Bref, nous retiendrons 2 données incompressibles. D’abord, l’élite se sent en guerre, ensuite le nouveau paradigme qui change la pratique médico-sanitaire doit changer la nature humaine, la vie en société, en famille, ainsi que l’intrusion dans la sphère intime du couple, des toilettes, etc.

Ce changement de paradigme, s’il était expliqué clairement, serait probablement rejeté par tout un chacun. Alors, comment le mettre en place sans faire la guerre aux populations ?

Liliane Held-Khawam




Conseil Constitutionnel et pass-sanitaire : Fabius en conflit d’intérêt ?

[Source : economiematin.fr]

Article initialement publié le 28 juillet 2021, republié à l’occasion de la validation du Pass sanitaire par le Conseil constitutionnel le 5 août 2021.

Alors que la loi prévoyant l’extension du pass-sanitaire vient d’être adoptée par la commission mixte paritaire du Sénat et de l’Assemblé nationale, celle-ci doit être étudiée par le Conseil constitutionnel pour vérifier sa conformité avec les grands principes fondamentaux de la République établis par la constitution. L’institution qui est composé de 9 membres et est présidée par Laurent Fabius – l’ancien premier Ministre de François Mitterrand – vient de préciser qu’elle rendrait sa décision d’ici le 5 août.

Cette loi qui a été largement pilotée et décidée par la Présidence de la République et le gouvernement à l’initiative de ces mesures est considérée par de nombreux français comme portant atteintes aux libertés fondamentales et ils attendent avec impatience que statue cette instance indépendante garante de notre Constitution.

Dans cette affaire, le point troublant est le rôle du cabinet de conseil et de lobbying américain Mc Kinzey qui, selon des informations déjà dévoilées en janvier par le site Politico, a été engagé comme consultant par la Présidence de la République pour le déploiement en France de la politique vaccinale dans le cadre de la lutte contre le covid. Ce cabinet est donc rémunéré pour que ses « experts » accompagnent les fonctionnaires chargés de la politique vaccinale pour définir le cadre de la logistique et « soutenir la coordination opérationnelle du groupe de travail ». Selon le Point, cette prestation est payée 2 millions d’euros par mois.

Le député Olivier Marleix, par ailleurs auteur du livre « Les liquidateurs », avait dénoncé sur Twitter cette situation « Absolument sidérant ! Qu’est-ce que McKinsey vient faire là-dedans ? On a un ministère de la Santé, un ministère de l’Intérieur et un ministère de La Défense armée en gestion de crise… pour peu qu’on sache les mobiliser. Après les ARS hors-sol, un cabinet de conseil US ».

On peut effectivement s’interroger sur la présence d’un cabinet de conseil et de lobbying comme structure d’accompagnement de l’Elysée mais on ne peut qu’être sidéré lorsque l’on apprend sur le propre site Internet de la compagnie que celle-ci se range parmi les leaders dans le conseil des sociétés pharmaceutiques :

«  Notre cabinet s’est imposé comme le leader mondial du conseil dans le secteur biopharma au sens large, avec plus de 3 750 missions effectuées au cours des cinq dernières années, auprès de grands laboratoires pharmaceutiques, mais aussi d’acteurs des biotechs, de laboratoires de taille moyenne, d’industriels des dispositifs médicaux, de génériqueurs… Nous avons ainsi contribué au développement de huit des dix principales marques de médicaments sur ordonnance et à la conduite de huit des dix plus grosses opérations de fusion-acquisition du secteur ».

Le site français de l’entreprise précise également avoir accompagné « 18 des 20 plus gros laboratoires pharmaceutiques ».

Dès lors il apparait clairement que le cabinet de conseil qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinal actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial.

Encore plus troublant, l’un des directeurs associés du cabinet Mc Kinzey en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Elysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, chargé de censurer ou non la loi qui établit le pass-vaccinal et qui donc contribue au déploiement « logistiques de la vaccination en France ».

A ce stade il est difficile de savoir si Victor Fabius est impliqué ou non dans le dossier de la vaccination et du pass-vaccinal. Il n’en demeure pas moins qu’en tant qu’associé, il participe financièrement aux succès financiers du cabinet à ce titre.




France et passe Sanitaire : on pourra attaquer les décrets d’application devant le Conseil d’État

[Source : bvoltaire.fr]

[Ndlr : l’article est paru avant la validation du projet de loi par le Conseil Constitutionnel.]

Passage en revue des différents points du projet de loi sur l’extension du passe sanitaire qui pourraient être censurés par Guillaume Leroy, chargé d’enseignement en droit constitutionnel à l’université et responsable du pôle affaires publiques du Cercle Droit et Liberté.

Quels sont les éléments du texte de loi sur le passe sanitaire qui pourraient être non constitutionnels ?

Il y a plusieurs éléments. Dans l’article premier, plusieurs libertés constitutionnelles sont violées par cette loi. L’article premier de la Déclaration des droits de l’homme prévoit que les êtres humains naissent libres et égaux en droit. Or, le passe sanitaire crée deux sortes de citoyens : ceux qui sont vaccinés ou sont dépistés tous les deux jours et ceux qui n’ont pas la possibilité de le faire.

De nombreuses libertés sont restreintes : celle d’aller et venir et la liberté d’entreprendre, qui sont des libertés garanties par la Constitution. À partir du moment où on démontre qu’il y a disproportion dans cette atteinte, cet article premier devrait être censuré.

Pensez-vous que les sages puissent retoquer ces éléments ?

C’est compliqué. En effet, le Conseil constitutionnel est une institution juridique mais également très politique. Il est nommé par le pouvoir exécutif et législatif, donc par le président de la République et par les présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, il sera donc difficile d’aller à l’encontre du gouvernement. Il y a, malheureusement, peu de chances que certaines dispositions soient censurées. Certaines ont déjà été pointées du doigt par le Conseil d’État, notamment le manque de clarté concernant les transports. Une autre problématique a été pointée par le Conseil d’État : la fermeture des centres commerciaux à ceux qui n’ont pas de passe sanitaire. Certains centres commerciaux sont des hypermarchés, donc certaines personnes ne pourraient plus simplement se fournir en nourriture, cela pose un problème. Mais il n’y a quasiment aucune chance que le passe sanitaire soit abrogé dans son intégralité.

Pourriez-vous nous éclairer sur le fonctionnement du Conseil constitutionnel ?

Il est composé de neuf membres nommés par le président de la République, le président de l’Assemblée nationale et le président du Sénat. Ces neuf personnes décident de la constitutionnalité d’une loi et regardent que la Constitution ne soit pas violée par une loi votée. Des parlementaires ou le gouvernement peuvent saisir le Conseil constitutionnel avant qu’une loi ne soit promulguée. Après la promulgation de la loi, toute personne peut le saisir à l’occasion d’un litige en justice. Le problème est que, souvent, le secrétariat général se prononce et écrit la décision à la place des sages. Cela est problématique.

Y a-t-il une sorte de conflit d’intérêts entre Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel, et son fils, directeur associé du cabinet McKinsey & Company qui assiste le gouvernement pour la campagne de vaccination ?

Ce n’est pas un réellement conflit d’intérêts mais ça laisse présager d’un manque d’impartialité du président du Conseil constitutionnel. Les décisions du Conseil constitutionnel se prennent à la majorité, à cinq contre quatre. À mon avis, la quasi-totalité des sages du Conseil constitutionnel sera favorable au passe sanitaire, donc la voix de Laurent Fabius ne changera pas grand-chose.

Votre mouvement, le Cercle Droit et Liberté, a déposé un recours auprès du Conseil constitutionnel. Que stipulait-il ?

Ce n’est pas exactement un recours, c’est un appui à la saisine du Conseil constitutionnel faite par 60 députés et 60 sénateurs. On donne des arguments en faveur de cette anticonstitutionnalité du passe sanitaire. On démontre trois choses : le passe sanitaire n’aidera pas forcément à la protection de la santé ; la loi adoptée par le Parlement est peu claire sur certains points, notamment sur l’accès aux transports et aux centres commerciaux ; et, enfin, on démontre que ce passe sanitaire va à l’encontre du principe de fraternité.

Si le texte est validé dans sa forme actuelle par le Conseil constitutionnel, quel recours resterait-il ?

Après la validation de la loi, des décrets d’application sont nécessaires. On pourra attaquer ces décrets devant le Conseil d’État. Par exemple, on ne sait pas quels moyens de transport seront soumis au passe sanitaire : les TGV, les TER, le RER ?

La seule opportunité qu’il reste est celle d’attaquer légalement les décrets.

Une action devant la Cour européenne des droits de l’homme est-elle envisageable ?

Oui c’est possible, mais à très long terme, car il faut un épuisement des voies de recours. À mon sens, ce ne serait pas avant un ou deux ans.




France : passe sanitaire validé par Conseil Constitutionnel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Passe sanitaire vacciné (validé) bien sûr par Fabius et le conseil constitutionnel ; il va donc falloir une révolution. Mais attention : car leur France QR avec sa masse de vaccinés, de soumis, de bobos, de « jeunes filles », de retraités et de technophiles, ce n’est pas le modèle de la Liberté : c’est le coq hérétique. Je suis le seul à le dire [Ndlr : peut-être pas tout à fait. Voir notamment :
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID,
Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité,
Note sur les manifestations sous le règne du NOM,
Garçon, la carte s’il vous plaît !,
Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?], et je le maintiens. Pass sanitaire pour les touristes étrangers vaccinés… La France passe sous administration étrangère (Rothschild, McKinsey, KPMG, Pfizer, Microsoft and Co.), est privatisée, fascisée, et ses ressortissants sont des actifs financiers à plumer (souvent volontaires). Les bourreaux volontaires ? Richard Boutry craque et incrimine les loges et la dictature maçonnique. J’ai parlé il y a un an de dressage maçonnique (strategika.fr). Richard prie la vierge Marie, on va tous en avoir besoin avec nos chaînes à QR code.

Pourquoi les ouvriers se révoltaient et pas nous :

« Il faut remarquer encore que cette insurrection formidable ne fut pas l’entreprise d’un certain nombre de conspirateurs, mais le soulèvement de toute une population contre une autre. Les femmes y prirent autant de part que les hommes. Tandis que les premiers combattaient, les autres préparaient et apportaient les munitions ; et, quand on dut enfin se rendre, elles furent les dernières à s’y résoudre. Quant à la science stratégique que fit voir cette multitude, le naturel belliqueux des Français, la longue expérience des insurrections et surtout l’éducation militaire, que reçoivent tour à tour la plupart des hommes du peuple suffisent pour l’expliquer. La moitié des ouvriers de Paris ont servi dans nos armées et ils reprennent toujours volontiers les armes. Les anciens soldats abondent en général dans les émeutes. »

(Tocqueville, Souvenirs, p. 176)

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-passe-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-valides-par-le-conseil-constitutionnel-20210805

Le passe sanitaire et la vaccination des soignants validés par le Conseil constitutionnel

Les dispositions prévoyant l’isolement obligatoire des malades ainsi que la rupture d’un contrat de travail ont en revanche été censurées.

Le projet de loi visant à contrer la flambée de l’épidémie de Covid-19, avec l’extension controversée du passe sanitaire, a été approuvé jeudi 5 août par le Conseil Constitutionnel, à l’exception de la mesure d’isolement obligatoire. L’avis des Sages, très attendu, a été rendu en fin d’après-midi et conditionne la mise en œuvre de la stratégie du gouvernement.

« Le législateur a poursuivi l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé », notent les Sages à propos du passe et de la vaccination des soignants. Les juges constitutionnels ont toutefois estimé que l’isolement obligatoire des malades de 10 jours n’était ni «nécessaire, adapté et proportionné» en ce qu’il constitue une mesure privative de liberté « sans décision individuelle fondée sur une appréciation de l’autorité administrative ou judiciaire ».

L’extension du passe sanitaire aux centres commerciaux validée

Le Conseil constitutionnel a également validé l’extension du passe sanitaire à certains centres commerciaux «au-delà d’un certain seuil défini par décret» et si «la gravité des risques de contamination» à l’échelle d’un département le justifie. L’autorité préfectorale pourra ainsi mettre en place le passe sanitaire dans les grands magasins et centres commerciaux tout en garantissant «l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ainsi qu’aux moyens de transport accessibles dans l’enceinte de ces magasins et centres», selon la loi adoptée le 25 juillet et validée par le Conseil Constitutionnel. Le gouvernement veut appliquer cette mesure dès lundi 9 août.

La rupture du contrat de travail censurée

Les dispositions de la loi sanitaire prévoyant qu’un CDD ou contrat d’intérim puisse être rompu «avant son terme» par l’employeur faute de passe sanitaire, ont, en revanche, été censurées. Le Conseil a toutefois validé la procédure de suspension du contrat de travail sans rémunération pour les CDI. «En prévoyant que le défaut de présentation d’un ‘passe sanitaire’ constitue une cause de rupture anticipée des seuls contrats à durée déterminée ou de mission, le législateur a institué une différence de traitement entre les salariés selon la nature de leurs contrats de travail qui est sans lien avec l’objectif poursuivi», indique ainsi le Conseil constitutionnel.

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-mais-retoque-lisolement-obligatoire-20210805_LLLIRNBY3RBDDFUQ62MALZHPZM/

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-gouvernement-annonce-la-creation-dun-pass-sanitaire-pour-touristes-etrangers-vaccines-20210805_G7MGM6BNIRCFDIOBYFSM6FIZII/

https://www.nouvelobs.com/pass-sanitaire/20210805.OBS47243/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-mais-censure-l-isolement-obligatoire.html

Richard Boutry :

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