Un passeport de liberté ou de détention…?

[Source : Voyage Forum via Profession Gendarme]

Bonjour à tous,

Avec la crise actuelle et l’arrivée à grands pas du passeport (ou « pass ») vaccinal obligatoire pour non seulement se déplacer entre les pays, mais aussi dans notre propre pays, tout l’univers du voyage risque de bientôt changer de manière très drastique. Nos différents gouvernements nous font miroiter que le passeport vaccinal en sera un de liberté. Mais est-ce vraiment le cas?

Personnellement, je n’y crois pas du tout (cliquez ici pour lire mon questionnement en septembre 2020 concernant cette crise). Nos gouvernements nous disent que, grâce à ce passeport vaccinal, nous pourrons retrouver une partie de notre vie d’avant, retourner au restaurant, revoir nos proches, voyager… Ce brin de liberté est très attirant pour bien des gens, mais une grosse partie de la population réalisera rapidement que ce passeport vaccinal et ses conditions sous-jacentes cachent en fait, entre autres, un système extrêmement sophistiqué de suivi et de surveillance gouvernementale de tous les déplacements et fréquentations de chaque citoyen (bien des dictateurs ont rêvé d’un tel système de surveillance…). Puis viendra le moment des rappels des vaccins à chaque quelques mois et de l’obligation de passer des tests covid pour diverses situations, sous peine de voir son passeport vaccinal être désactivé. Par la suite, nos gouvernements intégreront très certainement d’autres informations dans ce fameux passeport, de sorte qu’il se transformera en une identité numérique contenant bien plus que notre simple fiche vaccinale du covid. Dans un tel système, il est légitime de se demander aussi ce qu’il adviendra de ceux qui critiqueront le gouvernement: ces personnes auront-elles autant de liberté pour se déplacer et vaquer à leurs occupations dans la société que les autres personnes plus dociles et/ou apeurées? Jusqu’où les élites dirigeantes iront-elles pour garder le contrôle sur la population, sur nous: menaces de perdre notre revenu, notre emploi, notre statut, nos droits, nos libertés, nos possessions…? Ces menaces ont de toute évidence déjà commencé dans de nombreux pays par différents subterfuges. Et, tout cela est sans compter les immenses problèmes éthiques entourant le choix de se faire vacciner ou non sous de telles conditions.

Pour ma part, il est évident que nous nous dirigeons rapidement vers un système similaire au régime totalitaire chinois. Je vous invite fortement à écouter cette vidéo sur le crédit social en Chine. Souhaitons-nous vivre dans ce genre de monde? À la vue de tous les changements qu’il y a eus dans nos sociétés depuis un an (lois et mesures très liberticides et infondées, pensée unique dans les grands médias et dans le monde scientifique (du moins en apparence…), censure de tout ce qui est contraire à la version officielle médiatisée, censure ou discréditation infondée de traitements efficaces et peu coûteux, valeurs morales inversées à différents niveaux de la société, menaces de toute sorte si on critique les décisions gouvernementales, etc.), qui peut croire encore qu’il n’y a aucun risque que nous basculions, si ce n’est pas déjà fait, vers un régime totalitaire? Au nom de la sécurité médicale absolue et du risque zéro (le plus grand des leurres pour les hypocondriaques en herbe), au nom du pseudo altruisme (par exemple, se faire vacciner en pensant que c’est «pour les autres», alors que le vaccin n’empêche pas la contagion selon les données officielles des fabricants), combien de droits et libertés sommes-nous prêts à perdre? Et, une fois perdus, n’est-il pas extrêmement naïf de penser que nos gouvernements nous les redonneront un jour d’eux-mêmes?

En tant que Canadien, je suis d’autant plus inquiet lorsque je me rappelle que l’actuel premier ministre du Canada a déjà dit publiquement qu’il admire le régime dictatorial chinois…! 

Surpris

Ça explique probablement pourquoi il ne dénonce pas haut et fort et ne fait rien de concret pour contrer les camps de concentration des Ouïghours en Chine (vidéo)… 

Incertain

Je suis aussi inquiet de réaliser à quel point l’OMS semble très liée à la Chine et à quel point le directeur de cette organisation, en plus d’être soupçonné de très sérieux crimes (article1 et article2), semble apprécier lui aussi les régimes dictatoriaux (vidéo).

Les démocraties un peu partout dans le monde sont de plus en plus à l’agonie. En guise d’exemple, voici ce qui se passe en ce moment en Israël derrière le mur opaque des grands médias (ce scénario est fort probablement prévu pour les pays d’Europe et au Canada d’ici quelques mois…):
– Sonnette d’alarme sur ce qu’il se passe en Israël
– Une Israélienne lance un S.O.S

Et, à ceux qui crient derrière leur écran «complotiste!» en lisant ce message, je leur rappelle que ces fameux «complotistes» ont eu pratiquement tout bon depuis le début de cette crise. Ils ont en fait été vraiment excellents pour annoncer (dénoncer?) les événements un an ou quelques mois d’avance. Il serait peut-être temps de commencer à les écouter…

Concernant l’avenir de VoyageForum, dans la mesure où faire la promotion des voyages impliquera bientôt nécessairement de faire indirectement la promotion du vaccin, du passeport vaccinal ainsi que de tout le contrôle et la surveillance gouvernementale derrière ce passeport, je refuse catégoriquement de participer, d’alimenter ou de promouvoir une telle machination qui nous rendra encore plus esclaves de nos gouvernements et de leurs volontés. Continuer d’administrer VoyageForum dans de telles conditions impliquerait d’outrepasser mes valeurs les plus profondes, sans compter le fait que je suis totalement contre l’obligation de recevoir un vaccin entièrement expérimental et qui demeurera selon les fabricants en phase test jusqu’à la fin de 2022 (nous sommes littéralement des cobayes).

Qu’adviendra-t-il de VoyageForum? Honnêtement, je n’en ai aucune idée pour le moment et, bien franchement, cela devrait être ces temps-ci la dernière de nos préoccupations. Le temps n’est vraiment pas aux voyages, mais bien à la réflexion sur ce qui est en train de se passer dans nos sociétés et sur ce qu’on peut faire pacifiquement pour éviter le pire.

Pour départir le vrai du faux concernant cette crise, il devient aussi de plus en plus flagrant qu’il faille maintenant aller chercher l’information ailleurs que dans les grands médias (« médias mainstream »). Les principaux médias (qui prennent la majorité de leurs informations de seulement quatre agences de presse au niveau mondial), nos gouvernements, les quelques organisations mondiales ainsi que de grandes entreprises pharmaceutiques sont en effet devenus de toute évidence les différents visages d’une seule et même entité, pour ne pas dire d’une même «bête». Posons-nous sérieusement la question si cette entité, dont les ramifications financières et d’influences sont à tous les niveaux de notre société, souhaite vraiment notre bien. Est-ce que l’état providence existe toujours? C’est une question capitale sur laquelle il est très urgent que chaque personne réfléchisse.

J’en aurais tant à dire sur le sujet, mais je vais plutôt laisser parler des scientifiques et experts par l’intermédiaire de vidéos et articles ci-dessous. Cela aidera sûrement certains d’entre vous à avoir un aperçu plus juste de ce qui se passe derrière le mur de la « version officielle » des grands médias. Vous verrez que de très nombreux scientifiques, médecins et autres spécialistes sont loin d’être unanimes sur la gestion de cette crise, sur ce qui est vraiment en train de se passer à l’arrière-scène et sur les moyens pour remédier à cette crise.

Réveillons-nous, levons-nous et reprenons notre destin en main ainsi que nos droits et libertés. Mais surtout restons pacifiques et solidaires en tant que peuple (nous sommes 99,9% de la population et ils ont tellement peur que le peuple se réveille et se lève…). Prenez bien soin aussi de vous et de vos proches.
Une vidéo inspirante qui donne de l’espoir… Cultivons notre courage et unissons-nous…

Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
Bien cordialement,
François Boucher, fondateur de VoyageForum

VoyageForum.com
VoyageRéseau Inc.



Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

[Source : Visegrád Post (visegradpost.com)]

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post




Bill Gates et la fin de l’Amérique

[Source anglaise : Video Rebel’s Blog]

[Traduction : LA CAUSE DU PEUPLE]

Naomi Wolf a écrit Les dix étapes du fascisme  sous le régime Bush II dans le cadre de son livre de 2007 End of America: A Letter to a Young Patriot [Ndlr: Fin de l’Amérique : lettre à un jeune patriote]. À ce moment-là, elle a dit que nous avions déjà franchi les neuf premières étapes du fascisme. Et aussi à l’époque dans ses conférences, elle nous a promis qu’elle nous avertirait quand nous serions arrivés à l’étape 10 et au fascisme complet. Elle vient d’émettre son avertissement : Naomi Wolf croit maintenant que nous vivons tous sous le fascisme. Et elle dit que c’est la pandémie de covid qui nous a poussés par-dessus bord.

Elle a énuméré dix étapes que chaque coup d’État prend pour mettre en place une dictature. Elles sont :

1. Invoquer un terrifiant ennemi interne et externe.
2. Créer des prisons secrètes où la torture est pratiquée.
3. Développer une caste de voyous ou une force paramilitaire qui ne relève pas des citoyens.
4. Mettre en place un système de surveillance interne.
5. Infiltrer et harceler les groupes de citoyens.
6. Se livrer à la détention et à la libération arbitraires.
7. Cibler les personnes clés.
8. Contrôler la presse.
9. Qualifier la critique comme de l’espionnage et la dissidence comme une trahison.
10. Subvertir la primauté du droit.

Elle écrit maintenant son nouveau livre Step Ten [Ndlr: Étape 10] parce qu’elle croit que nous sommes dans la dernière étape, la transition vers le fascisme mondial. Nous vivons maintenant sous le fascisme parce qu’il n’y a pas d’État de droit avec les mesures d’urgence covid imposées à tous. Même le London Telegraph défend «No jab, No job» (Pas de piqûre, pas de job). Des passeports de vaccins sont en cours d’élaboration. Nous vivrons dans une société contrôlée. La Grande-Bretagne est dans une situation bien pire que l’Amérique. Je pense qu’il en est ainsi pour deux raisons, que Wolf, en tant qu’intellectuelle juive diplômée de Yale et d’Oxford et qui n’a résidé qu’à San Francisco et dans le nord-est des États-Unis, ne comprend pas.

Premièrement, l’Amérique est une nation fédéraliste. Nos gouverneurs d’État ont dit non aux verrouillages et aux masques. Le gouverneur républicain du Dakota du Sud a rejeté les confinements. De nombreux gouverneurs républicains suivent maintenant son exemple et rejettent même les obligations de masque.

Deuxièmement, nous avons un deuxième amendement qui garantit tous les autres. Le Guardian nous a dit que l’année dernière, les Américains possédaient 493 millions d’armes à feu. En raison de Covid et des émeutes du BLM et de l’ANTIFA, les ventes d’armes à feu ont augmenté. USA Today affirme que 40 millions d’armes à feu ont été légalement achetées en 2020 et 4 millions de plus en janvier 2021. Les libéraux ne semblent pas comprendre que si nous n’avions pas plus de 500 millions d’armes à feu, nous aurions perdu nos libertés depuis longtemps.

Un exemple serait le plan de l’administration Bush II pour arrêter 8 millions d’Américains figurant sur une liste principale de personnes à faire disparaître sans procès en cas d’urgence nationale. Cela signifie que si le dollar meurt à cause de la cupidité et de la stupidité des banquiers et de leurs politiciens ʺtoutous à sa mémèreʺ, ils prévoient d’arrêter 8 millions de personnes ʺdangereusesʺ car elles refusent les diktats de Wall Street, des créatures du marais de Washington DC et de Bill Gates.

Ce que Naomi Wolf ne peut pas voir, c’est que, selon cet article du Guardian, 7,1 millions d’Américains possèdent 40 armes ou plus. Que pensez-vous qu’il se passerait si quelqu’un à Washington donnait l’ordre à 20 ou même 30.000 agents fédéraux armés de faire du porte-à-porte et d’arrêter 8 millions d’Américains sans procès? Pensez-vous que quelques uns résisteraient à la torture et à la mort sans procès ? saisiraient-ils quelques unes de ces 500 millions d’armes à feu pour tirer sur des fédéraux? Ne pensez-vous pas que quelques millions d’Américains bien armés passeraient à l’offensive contre les mondialistes dès le 3ème ou 4ème jour des arrestations illégales?

Wolf omet également toute discussion sur les origines du covid en tant qu’arme biologique dans un laboratoire de l’Université de Caroline du Nord. Il a ensuite été perfectionné dans un laboratoire militaire à Wuhan en Chine avec 3,7 millions de dollars de subventions des NIH du Dr Fauci et du président Obama en 2014.

Elle dit qu’à l’étape 10, il n’y a pas de règle de droit. Pfizer et Moderna ont développé des traitements expérimentaux qui, selon la législation américaine, ne pouvaient pas être appelés vaccins. Ils sont probablement beaucoup plus dangereux que le covid. Le CDC, si vous croyez à ses mensonges, nous a dit que le port d’un masque pourrait réduire notre taux de mortalité covid à moins de 2% mais ne nous a pas dit combien d’entre nous mourraient d’infections bactériennes. Lors de l’épidémie de grippe espagnole, des millions de porteurs de masques sont morts d’infections et non de grippe. Une bien meilleure réponse serait de dire aux 70% d’Américains déficients en vitamine D de prendre des suppléments comme ils l’ont fait en Espagne. La région d’Andalousie a réduit son taux de mortalité covid de 82% avec des doses quotidiennes minimales de vitamine D-3.

Il n’est pas surprenant pour moi qu’en tant que démocrate, Wolf n’ait jamais mentionné le vol de l’élection présidentielle de 2020 comme exemple de la perte de l’état de droit. En 2016, malgré le vol par les démocrates de 8 millions de voix, l’Hillarante a quant même perdu. En 2020, ils ont probablement volé quelque 14 millions de voix et ont gagné parce qu’aucun tribunal n’a été disposé à prendre en compte les preuves documentées de vols massifs de votes. Un exemple serait celui de Milwaukee dans Wisconsin où les circonscriptions avec 1.000 électeurs ont enregistré 7.000 votes. Cela ne pourrait jamais arriver si nous avions la primauté du droit et une presse libre et responsable.

Si vous voulez savoir ce qu’est l’Amérique, jetez un œil à ses présidents

Brady Hartfield

Lorsque les menteurs guident, seuls les lâches, les complices et les esprits affaiblis suivent.

Auteur inconnu.

Cela nous indique tout ce que nous devons savoir sur la politique américaine à l’époque de Biden et Harris. Nous avons en Biden un leader corrompu, pervers, menteur, voleur et sénile. La presse et la plupart des gens sont d’accord avec cela.

Je dois souligner que je me suis opposé à de nombreuses politiques de Trump. Je me suis opposé à son sionisme et à son acceptation de l’escroquerie Covid et des vaccins. Mais il était entouré de créatures du marais et de sionistes à Washington.

Gates vs. the goon squad | The Seattle Times

Où se situe Bill Gates dans cette image?
Ces vaccins ont été jugés acceptables parce que nous étions censés être dans un état d’urgence, ce qui signifie qu’ils n’auraient jamais été mis en œuvre si nous avions encore la primauté du droit. M. Bill Gates a donné 750 millions de dollars à GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) en 1999. C’est lui qui nous a donné les vaccins qui, selon le Dr Vernon Coleman, sont des armes de destruction massive.

M. Gates croit en la réduction de la population. Les Georgia Guidestones  nous disent que nous devons réduire la population mondiale à 500 millions. Certains disent que nos grands et glorieux dirigeants permettraient à un milliard d’entre nous, simples roturiers, de continuer à vivre. Bien sûr, cela signifie que 7 milliards ou plus de gens ordinaires devraient mourir.

Vous devez comprendre maintenant que les Boss croient que vous avez été créés pour améliorer la vie des super milliardaires.

Articles Liés

J’ai évoqué le plan d’arrestation et de torture de 8 millions d’Américains. Il a été discuté dans le Huffington Post et dans l’émission de radio Democracy Now.
Fuck Up: 8 millions d’Américains sont sur la liste des disparus https://vidrebel.wordpress.com/2014/02/02/screw-up-8-million-americans-are-on-the-list-to-be -disapparue.
J’ai mentionné le fait que les responsables veulent votre mort. J’ai écrit à ce sujet ici: David Rothkopf était le directeur général de Kissinger Associates dans les années 1990. Il a écrit le livre Superclass dans lequel il a dit que le monde était dirigé par 30 familles et leurs 6000 Minions. Les trente familles sont le nouvel ordre mondial. Cet article prouve également que covid a été créé dans un laboratoire en tant qu’arme biologique
Le patron veut que vous soyez mort (mis à jour) https://vidrebel.wordpress.com/2020/06/08/the-boss-wants-you-dead/.
J’ai mentionné Bill Gates. J’ai écrit plusieurs articles sur lui dont celui-ci:
Bill Gates Prédiction 1997: Extinction 2020 par le virus pulmonaire. https://vidrebel.wordpress.com/2020/04/17/bill-gates-1997-prediction-2020-extinction-by-lung-attacking-virus/.
Je pense que Kamala Harris, qui a des liens étroits avec George Soros et Warren Buffett, est encore plus dangereuse que Joe Biden.
Kamala Harris #PedoQueen # PedoDefender https://vidrebel.wordpress.com/2021/03/09/kamala-harris-pedoqueen-pedodefender/.
J’ai également dit que le Dr Vernon Coleman a dit que ces vaccins étaient des armes biologiques. Jugez par vous-même et regardez sa vidéo.
https://brandnewtube.com/watch/covid-19-vaccines-are-weapons-of-mass-destruction-and-could-wipe-out-the-human-race_GcjtJu9dY1RcSNh.html.

Source : Naomi Wolf, The End of America and Bill Gates




Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid

[Source : Geopolintel]

L’expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Solomon Asch invita un groupe d’étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision. Tous les participants étaient complices avec l’expérimentateur, sauf un. L’expérience avait pour objet d’observer comment cet étudiant (le sujet) allait réagir au comportement des autres.

Dans notre cas on va expérimenter le terme complotiste inventé par des psychologues de la CIA, pour forcer les gens à rentrer dans la pensée admise et non divergente.

Le ministère de la santé a expérimenté cette technique de conformité du groupe avec le port du masque et en faisant croire qu’un test PCR positif équivaut à avoir le Covid.
L’ effet de répétition des campagnes de sensibilisation permet une autohypnose où la force du groupe prime sur l’individu. Cette technique est idéale en dictature pour forcer les gens à renier leur propre opinion plutôt que de sortir du rang.

Autre phénomène utilisé par le gouvernement Macron et le cabinet de conseil McKinsey est la « pensée de groupe » (« groupthink »). Le terme a été inventé par le psychologue américain Irving Janis. C’est une dysfonction du groupe. Il mène les dissidents à taire leur opinion, par peur d’être exclus du groupe, isolés ou ridiculisés.
La distinction entre une parole dissidente mais crédible et une théorie fantaisiste peut être subtile et être instrumentalisée pour valider la pensée du groupe.
C’est pour cela que la presse continue à interviewer le professeur Didier Raoult.
Si on ne lui donne pas la parole on laisse le champ libre aux réseaux sociaux et au complotisme.
Se faire traiter de complotiste agit surtout dans la sphère familiale, depuis le premier confinement ceux qui ne portent pas le masque sont isolés et empêchés de voir leur proches. S’il veulent retrouver une vie familiale ils se résignent à écouter les paroles infantilisantes de l’idiot de Matignon qui préconisait de placer les grands parents dans la cuisine le jour de Noël pour manger la bûche.

Le discours de la « carotte » consiste à mélanger maintien sous contrôle du virus et le retour progressif à une vie normale avec le vaccin pour nous forcer à accepter la dictature sanitaire. Le véritable objectif de l’élite mondialiste est d’écrouler notre économie mais cette pensée est complotiste.

Ceux qui sont sortis du rang doivent assumer leur dissidence pour garder leur liberté.

L’expérience de Asch

Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. À chaque fois, il fallait qu’ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l’unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l’évidence et leur propre vue (voir les expériences filmées), pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors que l’écart était très visible car de plus de 5 cm.

Lorsqu’il n’y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s’émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe ; Des sujets témoins qui n’étaient pas soumis à un point de vue majoritaire, n’eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l’annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Ceci rejoint dans une certaine mesure l’expérience de Milgram où le sujet accuse l’expérimentateur d’être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

L’effet Asch

Son hypothèse de départ est la suivante : Un individu est susceptible de faire sien un jugement qu’il sait contraire au bon sens, à la réalité et cela sans que quiconque n’ait à délivrer la moindre récompense ou punition. La situation est simple et ne présente aucune ambiguïté ; tous les Sujets sont capables de fournir la réponse exacte. En effet, les sujets devaient dire quelle baguette est équivalente à la baguette de présentation. Les erreurs doivent donc être quasi inexistantes ou marginales.

Les résultats sont les suivants :
Les Sujets naïfs, influencés par les compères vont donner en moyenne 36,8 % de réponses erronées. Pour pouvoir comparer ; l’expérimentateur avait constitué ce qu’on appelle un groupe contrôle qui ne comportait pas de sujets compères ; dans cette situation les erreurs sont effectivement marginales avec seulement 2 sujets sur 37 qui montraient une ou deux erreurs sur les 18 évaluations.
Asch observe également de grandes différences entre les sujets ; sur 123, 29 ne font aucune erreur et 39 font plus de 50 % d’erreurs en présence de compères. Le processus de conformité est ici mis à jour.

Dans cette expérience, on a :
Une dépendance ou Influence informationnelle induisant le conflit cognitif.

  • Importance numérique de la majorité
  • L’unanimité de la majorité
  • Support social ou consensus de la majorité Une dépendance ou Influence normative : Il y a conflit motivationnel, dans la mesure où le maintient réel ou symbolique dans le groupe est subordonné à l’adhésion aux Normes, aux règles de ce groupe.

Surmars




Barbier révèle enfin le complot Covid !

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre « Les Tyrannies de l’épidémie » (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Dans l’article d’hier intitulé « Le Pouvoir redoute une explosion sociale« , ma consoeur Brigitte Bouzonnie comparait la situation sociale à une « cocotte minute qui bouillonnne ras la marmite. »

Et au risque de me tromper, je dirais que nous sommes plutôt proches d’une insurrection car les manifestations ne servent à rien, qu’elles sont interdites et violemment réprimées. Depuis 2 ans les défilés chantants n’ont produit que des blessés, des éborgnés, des mutilés. Pour rien !

Ce Pouvoir mafieux a réduit nos libertés au strict minimum, nous a conditionnés et manipulés avec une pandémie qu’il fait durer plutôt que de la traiter, privilégie la vaccination aux traitements préconisés par les plus grands virologues, tente de faire passer pour des charlatans tous les scientifiques, médecins, infectiologues qui décrivent la gestion du Covid comme absurde et infondée, ne tient même pas compte des mises en garde de l’ONU, fait le contraire de ce que préconise l’OMS et comble du cynisme,  continue à maintenir la population dans un climat de peur et de psychose digne des pires dictatures.

Alors on trompe l’opinion à coups de sondages truqués en tentant de faire croire qu’une majorité de Français serait favorable au confinement, au couvre feu, à la vaccination et à toutes les mesures décidées par ce gouvernement qui est sans doute le plus impopulaire que nous ayons eu depuis longtemps.

Jamais de mémoire d’homme, le parti d’un Président de la République n’a enregistré une telle claque dans des élections municipales où il a atteint péniblement, 2,6% des votes exprimés. Les chiffres en disent plus que les mots.

Qui peut croire que Macron dit la vérité ? Qui peut encore avaler la propagande mensongère des médias quand on sait qu’ils appartiennent tous à ceux qui ont financé sa campagne et l’ont mis au pouvoir ?

Des médias jusqu’à la censure des réseaux sociaux américains, nous sommes gavés de désinformation, gavés de mensonges, gavés de manipulations jusqu’à l’indécence. Et le résultat c’est que l’opinion publique est au bord de l’explosion, ce qui démontre que personne ne croit plus ni à la sincérité des médias et encore moins à l’honnêteté des politiques. Si les Français se plient aux mesures liberticides de ce gouvernement ce n’est pas par peur du virus mais par peur des amendes, des poursuites judiciaires, de la répression extrême que Macron exige.

Quelle est la réalité ? Dans un sondage paru en 2020 depuis disparu des radars de Google, la presse s’était faite écho d’un sondage qui a provoqué une onde de choc à l’Elysée : 91% des Français ne font plus confiance à ce gouvernement ! Macron a résolu le problème en faisant appel à un autre institut de sondage où le fils de son épouse Brigitte Trogneux est aux commandes. On n’est jamais mieux servi que par soi-même… mais les Français ne sont pas dupes… Ce président sait parfaitement que sans la police, il serait probablement lynché par le peuple et c’est la raison pour laquelle il accorde aux forces de la répression tout ce qu’elles demandent…

La vaccination est selon les propres aveux de la chaîne d’infos italienne RAI News, un échec total en France comme en Italie. Les gens ne sont pas stupides, ils s’informent sur les médias indépendants sur Internet et découvrent les conséquences tragiques de cette vaccination chez ceux qui étaient fiers d’être les « champions » : Israël, Royaume Uni, Chili. Le nombre de morts que l’on tente de minimiser et de faire passer en dégâts collatéraux, en pertes et profits, est infiniment supérieur aux morts que l’on attribue au virus lui-même puisque la moyenne est de 13 à 15% de décès et complications graves pour la vaccination contre 0,03% pour le Covid ! Ca fait une sacrée différence !

Et puis chaque jour qui passe apporte son lot de révélations. Bien sûr il y a le Grand Reset mais aussi la corruption habituelle mais révélée des instances européennes, des chantres de la vaccination liés aux labos, les témoignages bidonnés de médecins vendus, les faux chiffres des hospitalisés, les reportages truqués où on utilise des figurants jouant les malades du Covid pour les besoins de la propagande. Avec ce gouvernement, on assiste au pire !

Et même ce pauvre Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre Les Tyrannies de l’épidémie (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Merci de cet aveu qui confirme tout ce que les complotistes s’échinent à dire depuis un an ! Nous méritons respect et reconnaissance.

Cette psychose collective a donc été organisée aussi pour mettre un terme aux Gilets Jaunes et éviter l’explosion sociale. Le Covid a servi d’alibi à ce pouvoir assassin pour mettre en oeuvre les mesures liberticides les plus abjectes qu’un gouvernement pouvait décréter. L’urgence sanitaire a servi d’excuse au pire crime contre l’humanité car nos anciens ont été euthanasiés et enterrés dans l’anonymat, les familles ne pouvant même pas organiser de funérailles pour leurs êtres chers, accusés d’être contaminés et dangereux.

C’est proprement dégueulasse ! Il n’y a pas de mots pour décrire le dégoût qu’inspire ce pouvoir criminel ! Il n’y a pas de mots pour décrire la rage que nous éprouvons tous.

Chaque jour nous apprenons que des plaintes sont déposées par des avocats pour homicide volontaire donc pour crime, pour assassinat ! Le nombre de victimes de cette campagne de vaccination menée à marche forcée est hallucinant et Macron ne pourra pas le dissimuler indéfiniment car il est le principal responsable, le vrai coupable de cette boucherie de masse.

Cela fait un an que je m’évertue à dire et à écrire que le virus est une arme biologique fabriquée en laboratoire et génétiquement modifiée donc l’opération Covid est criminelle, elle masque d’autres objectifs, elle est utilisée pour nous faire peur et nous réduire au silence ! Cela fait un an que je tente à ma modeste échelle d’avertir l’opinion publique, preuves à l’appui, avec tant d’autres journalistes indépendants et lanceurs d’alerte. Cela fait un an que je diffuse les messages d’alerte des esprits éveillés, des scientifiques, des virologues, de grands avocats comme Robert F. KennedyReiner FuellmichCarlo BrusaVirginie de Araujo-Recchia, Rocco Galati, Dominic Desjarlais, Fabrice Di Vizio.

[Ndlr : voir aussi sur Nouveau Monde, le dossier Avocats dans le menu en haut du site.]

Je ne sais plus comment faire pour que tous ensemble nous réagissions enfin et mettions un terme à ce cauchemar.
Je suis à bout de forces, j’ai fait ma part, j’ai pris tous les risques que l’on peut prendre en tant qu’être humain pour tenter d’informer du mieux que j’ai pu mes frères humains. A part des ennuis, je n’ai rien à gagner car personne ne me paye pour écrire ce que je publie. Je le fais car ne pas dire la vérité quand on la connait, serait un acte lâche.

J’ai au fond de moi la conviction que le futur de mes enfants sera atroce si je ne fais rien. C’est surtout pour eux et pour tous les enfants de France que je manifeste ma colère, mes indignations et que je suis prêt à mourir sur les barricades s’il le faut.

Si nous sommes des parents dignes de ce nom, si nous sommes des êtres humains dignes de notre humanité, si nous sommes un peuple attaché à la liberté et à la dignité, nous avons l’impérieux devoir de nous mobiliser, de nous unir et d’agir pour que ce pouvoir criminel soit stoppé et jugé dans un Nuremberg II !

Selon Macron « la vaccination est une priorité nationale »…

Les sondages sont catastrophiques ? Qu’à cela ne tienne, Macron a la solution

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Amazon.fr – Les tyrannies de l’épidémie – Barbier, Christophe – Livres




L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique

[Source : Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Le test du polymérase de transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) fut appliqué par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en date du 23 janvier 2020 afin de détecter le virus SARS-COV-2, suivant les recommandations d’un groupe de recherche en virologie (basé à l’hôpital universitaire Charité de Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l’étude Drosten).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas «Nous avons fait une erreur». La rétraction est soigneusement formulée. 

Alors que l’OMS ne nie pas la validité de ses « directives trompeuses » en date de janvier 2020, elle suggère néanmoins de « Retester », ce qui dans la pratique est une impossibilité.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :

Le nombre de cycles d’amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détecte uniquement les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire… (en anglais, Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet implicitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé au point de départ en janvier 2020, en liaison  avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui fut recommandé par l’OMS), les segments du virus SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant «cas positifs» confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois sont erronés (n’ont aucune validité du point de vue scientifique ).

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct> 35 a été la norme «dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la «rétractation» soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe:

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.  (emphase ajoutée par l’auteur). »

Estimations Erronées 

Ce n’est pas une question de  «faibles positifs» ou de «risque de faux positifs». L’enjeu relève  au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que  l’estimation du covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR:   «il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…».

« Retester, On s’est trompé… ».  Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sense. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommendation contradictoire de l’OMS de « retester » confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA COVID SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.


Je dois mentionner qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :   The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset  (Chapitre II). Egalement disponible en français.


Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nation Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de la dite  «pandémie». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les segments du virus Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’extrême  pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique Pieter Borger et al. :

« Si quelqu’un est testé par PCR positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3% , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%   (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97% » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».

Au moment d’écrire ces lignes (mi-mars 2021), malgré le mea culpa de l’OMS, le test PCR continue à être utilisé afin de faire augmenter les chiffres en flèche.
L’objectif consiste à  justifier les politiques de verrouillage en cours.

Ces estimations erronées sont à leur tour manipulées afin d’assurer une tendance à la hausse des positifs Covid. De plus, ces tests PCR ne sont pas accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.

Et maintenant, les gouvernements dans plusieurs pays ont émis des avertissements d’une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin Covid-19.

Et ces déclarations trompeuses se basent sur des statistiques qui sont le résultat d’une méthodologie totalement erronée. Par ailleurs, il n’y a absolument aucune base scientifique pour mettre en œuvre le vaccin Covid-19.

L’OMS et l’évaluation scientifique de Pieter Borger , et al. (cité ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests RT-PCR adoptés par les gouvernements afin de justifier le verrouillage et la déstabilisation des économies nationales sont (selon l’OMS) totalement ERRONÉES. 

Il s’agit de comprendre qu’il y a un jeu de chiffres (basées sur des estimations qui au point de départ sont trompeuses). Ces chiffres sont cités sans relâche 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements.

Il s’agit d’une vérité mensongère dont l’objectif est d’alimenter la campagne de la peur. L’ objectif est de «justifier»  TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :

  • verrouillage, confinement,
  • fermeture de l’activité économique, chômage, pauvreté et banqueroutes,
  • distanciation sociale,
  • masque facial,
  • couvre-feu,
  • programme de vaccination.

Données et statistiques mensongères.
Réfléchissez avant de vous faire vacciner.
Et maintenant, nous sommes entrés dans une soi-disant «troisième vague». (où sont les données ??).
C’est «un paquet de mensonges». 
C’est un crime contre l’humanité. 

Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement en anglais :

The WHO Confirms that the Covid-19 PCR Test is Flawed: Estimates of “Positive Cases” are Meaningless. The Lockdown Has No Scientific Basis, le 19 mars 2021.

Version française par l’auteur, Michel Chossudovsky.


A consulter :

Livre électronique de Michel Chossudovsky intitulé: (Dix chapitres)

La crise mondiale du coronavirus de 2020 : Détruire la société civile, la dépression économique, le coup d’État mondial et la « grande réinitialisation »

Voir Michel Chossudovsky, Note biographique

Articles de Michel Chossudovsky (en français)


Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 2021
English
français

Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

20 janvier 2021Alerte de produit médical

Type de produit : Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

Date: 13 janvier 2021

Identifiant OMS : 2020/5, version 2

Public cible : Personnel de laboratoire et utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro (DIV).

Objetif de cet avis : Apporter des précisions aux informations précédemment transmises par l’OMS. Cet avis remplace la version 1 de l’avis de l’OMS à l’attention des utilisateurs de tests de diagnostic in vitro 2020/5, publiée le 14 décembre 2020.

Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions fournies dans le mode d’emploi lors de l’interprétation des résultats obtenus pour les échantillons analysés par la méthode PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.

La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques.

Conseils aux utilisateurs de DIV : 

  1. Veuillez lire attentivement le mode d’emploi dans son intégralité.
  2. Contactez votre représentant local si un élément quelconque du mode d’emploi vous paraît ambigu.
  3. Vérifiez le mode d’emploi de chaque lot entrant afin de repérer toute modification des instructions.
  4. Indiquez la valeur de Ct dans le rapport transmis au prestataire de soins ayant demandé l’analyse.

Personne à contacter pour toute information complémentaire :

Anita SANDS, Réglementation et préqualification, Organisation mondiale de la Santé, courriel : rapidalert@who.int

Références bibliographiques :

  1. Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2020, numéro de référence OMS : WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.2. Altman DG, Bland JM. Diagnostic tests
  2. Predictive values. BMJ. 1994 Jul 9;309(6947):102. doi: 10.1136/bmj.309.6947.102.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Arrêt de la vaccination Pfizer à Hong Kong

[Source : L’Échelle de Jacob]

Les responsables de la santé de Hong Kong ont ARRÊTÉ les expéditions du vaccin Pfizer après que de multiples problèmes aient été identifiés et signalés. Le South China Morning Post rapporte que des travailleurs de santé de première ligne ont découvert plus de cinquante exemples de flacons fissurés et qui fuyaient. Comment Pfizer peut-il garantir la cohérence et la sécurité de la science de l’ARNm, s’ils ne peuvent pas garder les flacons intacts et correctement préservés?

Il n’existe aucun moyen pratique d’assurer la sécurité d’un vaccin expérimental qui doit être conservé à -93 degrés Fahrenheit. Le vaccin à ARNm Pfizer est expédié dans des boîtes qui ne peuvent être ouvertes que deux fois par jour pendant un maximum de 180 secondes. Si les nanoparticules de la préparation ne sont pas correctement conservées à cette température, elles deviennent dangereuses et inefficaces pour le système immunitaire humain. De plus, une prouesse de fabrication à cette échelle est naturellement sujette à de multiples erreurs.

Vingt et un centres de vaccination de Hong Kong suspendent les rendez-vous

Une fois les flacons qui fuyaient identifiés, les responsables de la santé de Hong Kong ont annulé les rendez-vous pour les vaccins dans les 21 centres de vaccination communautaires. Au moins 1.080 doses avaient déjà été administrées dans dix-neuf centres de vaccination le jour même où les doses ont été suspendues. Les citoyens qui devaient recevoir le vaccin Pfizer ce jour-là ont été informés qu’ils ne pouvaient pas recevoir le vaccin «jusqu’à nouvel ordre». Certains ont attendu en colère dans les centres de vaccination, exigeant leur dose.

Tout comme l’héroïnomane se précipite pour ressentir un sentiment d’exaltation et un sentiment de liberté, il en va de même pour les toxicomanes d’aujourd’hui, qui se précipitent pour avoir un sentiment d’exaltation et un sentiment psychologique de liberté. Les accros aux vaccins tirent un sentiment d’exaltation et de liberté grâce à une série de clichés. Bien qu’ils ne soient pas techniquement dépendants au niveau physiologique, leur cerveau est tout de même entraîné à dépendre des aiguilles. Peu importe d’où viennent les injections, si les flacons sont cassés ou si les aiguilles sont sales et dangereuses. Les accros aux vaccins ont besoin de leur injection.

Ce phénomène psychologique embarrassant se produit parce que les gouvernements continuent de retenir les gens, les obligeant à renoncer à leurs libertés, tout en leur faisant subir un lavage de cerveau en leur faisant croire qu’ils ne se porteront plus jamais bien s’ils ne s’enfoncent pas les aiguilles dans leurs bras. Les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques sont devenus comme des gangs et des trafiquants de drogue, contrôlant et ruinant la vie des gens. Ce n’est pas de la science, c’est de la coercition. Ce sont des gens avec de vrais PROBLÈMES et ils viendront bientôt pour vacciner chaque enfant, pour continuer le cycle et plonger plus d’aiguilles dans des bras.

Le fabricant cherche un alibi, mais n’a pas à s’inquiéter car il bénéficie de l’immunité face aux poursuites

Le programme de vaccination contre le covid-19 de Hong Kong avait précédemment traité huit incidents de flacons BioNTech fissurés et vingt-deux problèmes de pression atmosphérique entraînant des fuites. Ces problèmes de contrôle de la qualité remontaient tous au fabricant et n’étaient pas le résultat d’un sabotage tout au long du processus de distribution. Après seize autres rapports faisant état de fuites de flacons, le directeur de la santé de Hong Kong a dû enquêter. Il y avait onze flacons supplémentaires qui étaient tachés, avec des marques suspectes à l’extérieur des récipients en verre. Ces flacons remontaient au lot 210102, dont plus de cent cinquante mille doses avaient déjà été injectées dans des bras. Le directeur de la santé de Hong Kong se prépare à ouvrir le lot 210104, qui comprend sept cent cinquante-huit mille doses de réserve.

BioNTech, le fabricant, a lancé une enquête distincte sur les flacons bâclés, tachés et qui fuient. BioNTech a écrit aux responsables de la santé de Hong Kong, confirmant qu’il n’y avait aucun problème de sécurité avec le lot; cependant, BioNTech a demandé à Hong Kong d’arrêter d’utiliser des flacons de ce lot par prudence. BioNTech a écrit que les cent cinquante mille doses qui ont déjà été reçues de ce lot ne poseraient aucun risque pour la sécurité des personnes qui les ont reçues.

En fin de compte, Pfizer et BioNTech n’ont pas à s’inquiéter. Même si quelqu’un subit une réaction grave au vaccin, Pfizer est dédouané de toute poursuite civile ou pénale. Ces sociétés de vaccins exercent un pouvoir absolu sur les nations, subvertissant l’état de droit, tout en contraignant les gens à obéir, sans recours possibles.

Les sources comprennent :
Zerohedge.com
SCMP.com
NaturalNews.com
Vu ici




Vaccination Covid – L’illusion puis l’extorsion du consentement éclairé

Par Alain Tortosa

Les Français seraient soudainement devenus majoritairement favorables à la vaccination Anti-Covid ?
Je ne disserterai pas sur la réalité de cette affirmation étant donné que nous ne pourrons pas savoir si elle est mensongère ou pas.

Je vous rappelle que tout acte médical, d’autant plus pour un vaccin, doit donner lieu à un consentement libre et éclairé :

  • Libre de contraintes.
  • Éclairé sur la maladie et sa dangerosité.
  • Éclairé sur les traitements disponibles.
  • Éclairé sur l’innocuité du « vaccin ».
  • Éclairé sur l’objectif de cette thérapeutique.
  • Éclairé sur l’efficacité de la mesure face aux alternatives.
  • Éclairé sur le rapport bénéfice vs risque.

Examinons l’ensemble de ces points afin de déterminer si tout français dispose des informations nécessaires et suffisantes pour pouvoir donner un consentement libre et éclairé à sa vaccination.

–L’absence de contraintes.

Depuis plusieurs mois, médias, politiques, personnels médicaux médiatiques ne font que nous répéter que nous n’en sortirons que par le vaccin.

Nous entendons sans cesse que c’est le vaccin ou la prison.
Pour autant, il est dit aussi qu’une fois vaccinés, nous devrons continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières, alors qu’il nous est matraqué quasi 24h sur 24 que ces fameux « vaccins » sont « les instruments de la liberté ».

Ceci sans parler du fameux passeport vaccinal qu’il faudra sans doute appeler « passe sanitaire » afin de ne pas heurter les sensibilités.

Passeport vaccinal présenté aussi comme un « instrument de la liberté » !
La France s’apprête ainsi à mettre en place des dizaines de milliers de postes-frontière au sein du territoire et on ose parler de « liberté » ?!

Nous sommes donc ici dans une extorsion assumée du consentement.

«Tu es libre de ne pas te vacciner, mais tu seras plus ou moins assigné à résidence et interdit d’activités. »

Le terme « sanitaire » est employé pour nous tromper et nous laisser entendre que la vaccination ne sera pas rendue obligatoire.
Il sera théoriquement possible, dans un premier temps, d’autoriser les personnes dites « guéries » et les personnes avec un test PCR négatif récent à pouvoir aussi accéder à une vie sous surveillance. Ne nous leurrons pas, cela ne durera qu’un temps… Trop compliqué, trop sujet à faux documents…

Et d’autant plus que la doxa affirme que le vaccin ne peut être faillible.

Tout cluster dans une assemblée comportant des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées sera automatiquement « causé » par les non-vaccinés qui seront désignés comme les « coupables ».
Le « passe sanitaire » deviendra de fait obligatoirement un « passe vaccinal » qui sera par la suite logiquement étendu pour tous les vaccins existants, voire même au patrimoine génétique.

Une autre forme de suppression de la liberté de choix porte sur la surreprésentation de la dangerosité supposée du virus et de l’absence supposée de traitements efficaces ou d’alternatives. Donc dès lors que vous dites à une personne que sa vie est menacée par un virus, qu’il n’y a pas de traitements, que c’est le vaccin ou la roulette russe de la mort… je ne vois guère de liberté.

Ici encore tous les jours les médias nous disent « vous rigolerez moins quand vous serez en réanimation » à propos de personnes « coupables » de ne pas respecter gestes barrières et autres pattes de lapin liberticides.

Il n’y a aucune liberté de consentement.
Nous vivons une extorsion totale de consentement basée sur le chantage à la mort et le chantage aux libertés.

–Éclairage sur la maladie et sa dangerosité

Il va de soi que je dois être parfaitement informé de la dangerosité de la maladie afin de pouvoir jauger du rapport bénéfice versus risque et prendre la décision de me vacciner ou pas.
Il ne s’agit pas de connaître la gravité générale de la maladie, en l’occurrence du Covid, mais de la dangerosité du Covid ME concernant.

Ici encore médecins médiatiques et journalistes ne font que décrire un tableau d’une noirceur extrême.
Sans compter que les données de taux d’incidence, d’hospitalisations, de réanimations et de décès fournis par Santé Publique France ne sont pas seulement erronées, mais des FAUX comme j’ai pu longuement l’exposer et le prouver dans mes précédents textes !

À les écouter, quiconque peut se retrouver en réanimation et mourir de cette maladie, quel que soit son état de santé.
Les chiffres de mortalité officiels, environ 100 000 en France, sont totalement déconnectés de la réalité.
De très nombreuses personnes décédées positives ou avec soupçon de Covid ont été étiquetées Covid sous recommandations de l’OMS.
Le pourcentage de personnes décédées du Covid et non décédées AVEC le sars-cov2 est probablement de moins de 5 000 en France.
L’âge médian des décès ne fait que reculer depuis le début de la crise passant de 82 ans à 85 ans au fil des mois, prouvant par la même l’absence de rajeunissement significatif des décès malgré les variants.
Les décès chez les moins de 65 ans sans comorbidités sont inférieurs à 2 000 (98% des personnes décédées de moins de 65 ans ont des comorbidités lourdes), ce qui veut dire que d’un point de vue statistique le risque de mourir du Covid chez une personne en bonne santé est NUL et moindre que de mourir en tombant d’un escalier ou de s’étouffer en mangeant !

Ainsi 99,9% de la population française a survécu à ce « fléau » et selon l’INSEE la mortalité des moins de 70 ans a été moindre en 2020 qu’en 2019.
Cette maladie ne tue quasiment pas, elle se contente de diminuer l’espérance de vie de personnes très âgées et/ou avec des comorbidités très graves.

Afin de nous manipuler encore plus, le compteur de décès n’a pas été réinitialisé (généralement en novembre) comme cela se fait chaque année pour la grippe…

Enfin, si l’on se réfère au réseau Sentinelle, il est possible de constater que le nombre de décès en 2020 de maladies respiratoires aiguës (IRA) est quasi identique au nombre de décès d’IRA en 2 019. Mais en 2020 toutes les IRA (et même d’autres pathologies) ont été qualifiées de Covid quand bien même elles n’étaient pas causées par le Sars-cov2 !

D’autre part, comme je vais le développer dans la suite de mon texte, la gravité d’une maladie doit toujours être mise en balance avec les traitements disponibles, et dans ce domaine la tromperie a été et est encore grandiose.

L’éclairage sur la maladie et sa dangerosité est totalement noirci et mensonger !

–Éclairage sur les traitements disponibles

Scandale international à lui tout seul !
Rendez-vous compte que nous commençons seulement aujourd’hui à évoquer les traitements en France.

Au mois de mars 2020 et encore à ce jour, le traitement officiel du Covid était le paracétamol !

Il faut que le patient soit hospitalisé et à l’article de la mort pour commencer une prise en charge sérieuse.

Quand bien même les antibiotiques ne seraient pas la panacée face à un virus comme cela nous est répété depuis des années…
Il n’en demeure pas moins vrai que si vous êtes médecin, que vous êtes en mars 2020 face à un virus inconnu (entre parenthèses il n’est pas du tout inconnu au mois de mars, les études chinoises sont déjà publiées depuis le mois de février ainsi que l’efficacité de l’hydroxychloroquine), allez-vous, comme demandé par les autorités de santé, dire à votre patient de rester chez lui, de prendre du paracétamol, puis se rendre aux urgences si son état de santé se dégrade vrai ment ?!
Ou allez-vous faire simplement votre métier et lui proposer un traitement, probablement en premier lieu un antibiotique à large spectre ?!

Je ne reviendrai pas non plus sur l’absence totale de politique préventive pour les personnes à risque.
Sans compter sur le scandale de l’hydroxychloroquine, devenue mortelle du jour au lendemain après 70 ans d’existence alors même que plus de 20 000 Français en consomment tous les jours !
Et ne parlons pas du Remdesivir à la toxicité connue qui lui, a été adoubé par les agences européennes et la France puis commandé en masse.
Tandis que Didier Raoult était menacé par le conseil de l’ordre, Karine Lacombe, financée en partie par Gilead, recevait quant à elle la Légion d’honneur !

Vitamine D, zinc, Azytromicine, Ivermectine… sont ignorés ou mis au placard tandis que les anticorps monoclonaux qui eux aussi sont expérimentaux, dangereux, et hors de prix, sont officiellement présentés comme une lueur d’espoir.

Alors même que la maladie ou le décès sont intimement liés aux défenses immunitaires, non seulement nous vivons l’absence totale de campagne visant à booster celles-ci, non seulement rien n’est prévu pour les personnes à risque, mais qui plus est, la solution la plus préconisée a été l’enfermement des personnes les plus faibles, l’interdiction de respirer (hormis derrière un masque en plastique) et l’interdiction de faire du sport !

Mais quel imbécile lobotomisé par la peur ou corrompu pourrait penser que l’objectif du gouvernement est ou était notre santé ?!

L’éclairage sur la prévention et les traitements disponibles est totalement prohibé,
voire pénalisé, par les autorités de santé.

–Éclairage sur l’innocuité du vaccin

Ici encore l’information est indispensable pour déterminer le rapport bénéfice versus risque et donc de la nécessité de se faire vacciner.

Le matraquage médiatique est totalement criminel !

Dans la réalité, une phase III de mise au point d’un vaccin a pour objectif d’augmenter petit à petit, de monter en puissance, pour mesurer les effets secondaires.
Pour un vaccin classique, celle-ci dure entre 5 et 10 ans avant de passer à la phase IV de commercialisation.
Les autorités de santé se sont assises sur cette donnée sous prétexte que nous étions dans une « urgence mortelle ».
Rappelez-les vous que ce Sars-cov2 est censé terrasser n’importe qui et qu’il est censé n’y avoir aucun traitement selon les autorités.

L’AMM [Autorisation de Mise sur le Marché] conditionnelle des vaccins Anti-Covid était précisément conditionnée à l’absence de traitements disponibles.
Ne vous étonnez donc pas qu’il n’y ait pas eu et qu’il n’y ait jamais le moindre traitement officiel, car cela tuerait la poule aux œufs d’or et empêcherait la création du passeport vaccinal puis du crédit social.

Alors pour nous « rassurer », il nous a été asséné jour après jour que les milliards injectés (goutte d’eau dans l’océan des bénéfices de l’industrie pharmaceutique) permettaient de faire plus de tests et donc d’accroître rapidement le degré de sécurité.

Je suis probablement très bête, mais je ne vois pas comment l’argent peut permettre de s’acheter du temps et d’autant plus pour déterminer l’innocuité d’un médicament à long terme, à 5 ou 10 ans et même plus.

Qui peut me garantir l’absence de maladie auto-immune ou de cancer et autres modifications de mon patrimoine génétique dans 10 ou 20 ans aussi bien pour moi-même que pour ma descendance ?

Le plus extraordinaire est que l’on demande ce temps pour des vaccins classiques, mais que celui-ci ne serait pas important pour des thérapies géniques expérimentales à ARN messager comme le Pfizer BioNTech ou l’AstraZeneca qui est un vaccin expérimental OGM.

Certains se réjouissent de la mise au point de la vaccigénie BioNTech en moins d’un an, mais dans les faits, les premiers essais sur l’homme ont eu lieu fin avril 2020, soit un mois après le début de la collaboration entre Pfizer et BioNTech !

Rions un peu…
Je suis néanmoins « heureux » de constater que les vaccins auront permis le retour des décès en France et dans le monde d’autres pathologies que le Covid.
Alors même qu’une personne décédée, écrasée par un camion, pouvait être étiquetée Covid et qu’il n’y avait que des décès du Covid depuis des mois, voici que la vaccination provoque par miracle l’effet inverse !

Désormais, toute personne vaccinée qui décède ne peut que mourir de vieillesse ou de comorbidités parce que les « vaccins sont sûrs ».
Le décès d’un jeune homme de 24 ans en pleine santé récemment ne peut PAS être causé par le vaccin AstraZeneca !

«Ne doutons pas de la sécurité de ces produits mis au point et commercialisés dans des délais records, pour lesquels la plupart des verrous de sécurité façonnés au fil des années ont sauté » !

L’autorisation de mise sur le marché des vaccins Covid en France est issue directement de l’autorisation de mise sur le marché en Europe ce qui pourrait faire rire ou pleurer.

Et l’Europe s’est basée UNIQUEMENT sur les données fournies par les industriels alors même qu’elle aurait très bien pu étudier les effets et l’efficacité des vaccins parallèle ment aux fabricants !

Je ne résiste pas au « plaisir » de rappeler que Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.
Pour AstraZeneca, c’est 500 millions de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour avoir volontairement caché les effets secondaires d’un médicament qui augmentait les risques de diabète !
Et pour Johnson & Johnson c’est 8 milliards d’amende en 2019 pour avoir caché qu’un de ses médicaments pouvait faire pousser la poitrine chez les hommes !
Sanofi, 25 millions de dollars pour corruption en 2018 ! Je pourrais ainsi continuer pendant des pages !

Et il faudrait les croire lorsqu’ils affirment que les vaccins ne présentent pas de danger ??!!

Le dernier exemple d’effets secondaires avec le vaccin AstraZeneca pourrait faire sourire sinon grincer des dents.
Le « vaccin » pourrait engendrer des thromboses et des caillots de sang qui, mal situés, pourraient être mortels.
Plusieurs pays européens stoppent les vaccinations.
Après l’arrêt par l’Allemagne, la France a bien été obligée de suspendre aussi. Les médecins médiatiques crient alors à l’excès de prudence !!! Si, si !!!
Des enquêtes commencent à être menées sur les décès suspects et … deux jours après, alors même que les enquêtes sont encore en cours, l’agence européenne annonce que le vaccin ne présente aucun danger et que les vaccinations peuvent reprendre !
De qui se moque-t-on ?
C’est tout aussi ridicule que les annonces de Pfizer qui affirment l’efficacité de leur vaccigénie contre les variants avec quelques heures de recul.

En résumé toute personne qui se vaccine participe à un essai de phase III de produits commercialisés par des industries largement condamnées par le passé.

Il n’y a strictement aucun éclairage concernant l’innocuité des vaccins
aussi bien de la part des autorités sanitaires que des médecins médiatiques .

–Éclairage sur l’objectif de la thérapeutique vaccinale

Il est indispensable de savoir pourquoi se vacciner et les bénéfices attendus.
Les produits actuellement appelés « vaccins » contre le Covid, ne sont pas des vaccins, soit du fait de la technologie utilisée, soit parce qu’ils ne sont pas des vaccins au sens de « empêcher d’être malade » ou « bloquer la propagation d’un virus ».
Au point que pour Pfizer (et les autres aussi, il me semble), le blocage de la transmission du virus n’a même pas été évalué pour la mise sur le marché.

À la question « ces médicaments empêchent-ils de tomber malade ? » La réponse est non.
Au mieux, ils empêchent d’avoir une forme grave de Covid.
Cela peut éventuellement présenter un intérêt pour les profils qui font des formes graves, mais certainement pas pour les personnes en bonne santé dont le risque de faire une forme grave est quasi nul !
Plus grave encore, les vaccins contre le Covid mis au point pour les souches de l’année dernière engendreraient un risque d’anticorps facilitant.
De fait, les personnes vaccinées pourraient faire des formes plus graves que si elles ne l’étaient pas.

À la question « Ces médicaments bloquent-ils la propagation du virus ? »
La réponse est : Nous ne le savons pas et cela n’a pas été testé dans les études.
Un point qui tendrait à prouver l’inefficacité serait le nombre de personnes devenues positives au Covid alors qu’elles étaient vaccinées.
De plus, alors même que les essais sur l’homme ont débuté il y a plus de 10 mois, la réponse à cette question n’existe toujours pas !

Enfin, les vaccins favoriseraient les variants.
Les pays qui ont vu émerger le plus de variants semblent être les pays dans lesquels la vaccination a été la plus importante.
Ceci est totalement logique… les vaccins étant plus efficaces contre les premières souches, ils auront plus tendance à les bloquer que les mutations.
De fait, les personnes vaccinées auraient tendance à laisser plus passer les mutations, et ceci d’autant plus que ces produits ne bloqueraient pas les transmissions.
Phénomène qui a peu de chance de se produire avec les personnes immunisées naturellement pour lesquelles le système immunitaire a une bien plus grande flexibilité que le vaccin pour lutter contre les variants.

Il n’y a pas d’éclairage du public sur le fait que les vaccins n’empêchent pas de tomber malade, qu’ils empêchent peut-être de ne pas faire de formes graves pour les personnes qui n’en font pas, que les personnes à risque peuvent faire des formes plus graves qu’elles auraient eu et que les vaccins pourraient favoriser les mutations, raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pendant une épidémie, mais avant, et enfin que rien ne prouve qu’ils bloquent la transmission du virus.

– Éclairage sur l’efficacité supérieure des vaccins face aux alternatives

Il ne s’agit pas uniquement de connaître le rapport bénéfice versus risque de la vaccination, mais d’évaluer non seulement l’efficacité de la vaccination, mais aussi d’évaluer l’efficacité par rapport aux alternatives.
Je n’ai pas connaissance de la moindre étude sur l’évaluation de la vaccination et de son efficacité dans la lutte contre l’épidémie et la mortalité.
Et ce d’autant plus que la plupart des personnes décédées du Covid le seraient même sans le Covid.

D’autre part, les « spécialistes » nous disent qu’il faudrait atteindre 70% d’immunité vaccinale pour bloquer l’épidémie.
Mais c’est tout simplement mathématiquement IMPOSSIBLE !
En imaginant une efficacité du vaccin à 90% ce qui est totalement ridicule, et en vaccinant 80% de tous les Français dès la naissance, nous arriverions péniblement à 72% d’immunité vaccinale.

80% de personnes vaccinées est d’autant plus utopique du fait des irréductibles et des personnes qui ne peuvent pas être vaccinées pour raisons médicales.
Donc, laisser croire que l’on pourra parvenir à une immunité vaccinale de masse, et d’autant plus que les variants se succèdent et vont se succéder, relève d’une manipulation de la population et d’un mensonge d’État.

Ajoutons que le discours officiel en vient toujours à affirmer l’efficacité vaccinale versus… rien du tout.
À la base, nous voyons bien que des pays comme la Suède qui n’ont pas tué les droits de l’homme et l’économie n’ont pas eu plus de morts par habitant que les pays qui ont le plus confiné et mis en place une dictature, comme la France.
Preuve en est de l’efficacité de l’immunité naturelle de masse que l’OMS a bizarrement supprimé de ses sites depuis le mois de novembre.
Donc « rien » est déjà peut-être plus efficace que la vaccination.

Enfin, il faudrait pouvoir évaluer l’efficacité de la mesure vaccinale de masse, aussi bien en termes d’hospitalisation que de mortalité, versus une politique de prévention et de traitement des personnes à risque, aussi bien d’un point de vue préventif que curatif.

Les études (honnêtes) sur l’efficacité vaccinale contre le Covid ne verront probablement jamais le jour parce que cela irait totalement à l’encontre des intérêts de l’industrie pharmaceutique et aussi de tous celles et ceux qui visent à limiter de plus en plus les droits de l’homme.

Il n’y a aucun éclairage sur le fait que la stratégie vaccinale est peut-être,
voire probablement, totalement inefficace pour lutter contre le Covid,
et que cela n’a jamais été étudié, ni comparé à d’autres stratégies.

–Éclairage sur le rapport bénéfice vs risque

Celui-ci est la synthèse des questions posées précédemment.

  • Mes droits seront-ils les mêmes que les personnes non vaccinées ?
  • Quelle est ma probabilité d’attraper le Covid ?
  • Quel est mon risque de faire un Covid grave ?
  • Quels sont les traitements possibles préventifs ?
  • Quels sont les traitements possibles curatifs et leur efficacité ?
  • Quels sont les dangers à court terme du vaccin ?
  • Quels sont les risques à long terme du vaccin ?
  • Mon vaccin sera-t-il solidaire pour prévenir la transmission ?
  • Mon vaccin sera-t-il à risque de faciliter les variants ?

À la lumière de toutes ces données, du chantage au vaccin qui est constant.
À la lumière de l’absence totale d’informations objectives sur la maladie, ses dangers, ses traitements.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur l’efficacité vaccinale.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur les dangers des vaccins.

Je peux affirmer, sans risque d’erreurs, que personne sur la planète qui s’est fait vacciner n’a bénéficié des informations légitimes et d’un consentement libre et éclairé…

Merci

Alain Tortosa.

Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

Le 25 mars 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210325-extorsion-consentement-vaccination.pdf

Autres textes sur https://7milliards.fr




La France revivra-t-elle?

Par Joseph Stroberg

Il y a plusieurs siècles et sur un plan occulte, la France était considérée comme la patrie de la Nouvelle Alliance du Christ. La royauté française recevait l’onction sacrée à Reims, comme descendant prétendument du roi David via les Mérovingiens. La France a ainsi été longtemps reconnue comme la fille aînée de l’Église, et son roi était le lieutenant du Christ (en théorie). Cependant, elle a subi de multiples invasions depuis l’époque romaine et les Celtes initiaux se sont dilués. Par analogie, la région géographique correspondante s’est retrouvée comme un corps malade dont les différents organes ne pouvaient plus fonctionner en harmonie. Les Bretons, les Bourguignons, les Normands, les Auvergnats, les Béarnais, les Provençaux, etc. représentaient autant d’organes disparates peu capables de se coordonner. La France était devenue dyspraxique.

Pour pouvoir retrouver un état fonctionnel, ce corps s’est alors doté d’un cerveau puissant : Paris, l’Île-de-France. Pour que son âme celte puisse réintégrer un jour pleinement le corps, la France est devenue une nation mentale, intellectuelle, regorgeant d’esprits forts et créatifs, artistes, inventeurs, penseurs… qui ont longtemps influencé le monde. Le problème est que la Révolution française l’a véritablement décapitée et sa voix s’est progressivement éteinte, n’étant plus qu’un écho de plus en plus lointain de ce qu’elle était originellement.

Le roi de France n’était pas le despote absolu que la propagande républicaine a voulu faire croire, mais avant tout le protecteur du peuple, même si dans la pratique tous les rois n’ont pas joué adéquatement ce rôle. Cette révolution a été le fer de lance du renversement, puis de l’inversion croissante des valeurs, des symboles et des principes immémoriaux pour aboutir à une société corrompue de la tête aux pieds. La République a prétendu se préoccuper du peuple, mais dans la pratique n’a jamais vraiment pris en compte ses intérêts vitaux, car dès le départ, elle a été sous la coupe de sociétés secrètes élitistes et de groupes aux objectifs et aux idéologies contraires. La démocratie a prétendu écouter la voix du peuple, mais dans la pratique, par le biais des systèmes représentatifs, ne lui a jamais laissé le moindre degré de souveraineté et de capacité de décision autonome. Et devant la multiplicité et la complexité croissante des lois, règles et règlements démocratiques ou républicains, les serfs du Moyen-âge se trouvaient en fait plus libres que l’individu de nos sociétés soi-disant développées. (voir La bureaucratie contre la liberté et Société libre ?).

En blessant mortellement l’Église, en décapitant la tête — le Roi, la Révolution a empêché que la France retrouve son âme. Depuis lors, celle-ci se comporte comme un mort-vivant de plus en plus zombifié. Même si le Catholicisme romain et plus récemment le Vatican se sont prétendus représenter l’Église du Christ, cette dernière est de nature nettement plus subtile que les pierres des cathédrales et des monastères. La France ne pourra pas retrouver sa grandeur et son âme sans reconnaître et retrouver son rôle chrétien fondamental, indépendamment de toute structure formelle contraignante, et sans se redonner un guide, sous forme d’un Grand Monarque ou d’autre chose, qui soit apte à la guider et à lui rendre sa lumière perdue. De manière imagée ou symbolique, la tête décapitée devra être replacée et recousue pour que le corps retrouve non seulement sa vitalité, mais aussi son âme. Le Grand Monarque fait partie des gènes de la France, à cause des grands rois qui ont marqué son histoire depuis ses origines. Elle ne pourra réellement revivre sans une figure équivalente, au moins pour le temps de sa convalescence et de sa régénération.

La crise de la Covid-19, largement aggravée, sinon créée, par une partie des élites mondiales et globalistes devrait permettre au peuple (lorsqu’il se réveillera de son coma et de l’anesthésie de l’opération subtile destinée à lui permettre de retrouver sa tête et son âme) de réaliser l’état avancé de la maladie mortelle dont il a été victime. La France ressuscitera au moment même où elle retrouvera sa conscience millénaire, son essence royale, et le sens de sa mission particulière parmi les nations en tant que fille aînée de l’Église du Christ, en tant que patrie de la Nouvelle Alliance et berceau de la Nouvelle Jérusalem. Envolée purement poétique? Ou bien réalité future possible? L’avenir que nous construisons est fortement conditionné par l’orientation de nos pensées et par l’énergie que nous leur fournissons, selon leur intensité, leur concentration, leur acuité et leur durée. Qui vivra verra.




« Demain, ça pourrait être quelqu’un d’autre » : Bernie Sanders se prononce contre l’interdiction de Trump sur Twitter

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le sénateur Bernie Sanders (Indépendant-Vermont) s’est prononcé hier contre l’interdiction de Twitter de l’ancien président Donald Trump. M. Sanders a exprimé son malaise face au rôle des grandes entreprises technologiques dans la censure des points de vue, ce qui le démarque nettement de ses collègues démocrates qui ont réclamé davantage de censure de la part des entreprises. Dans une interview accordée mardi au chroniqueur du New York Times Ezra Klein, M. Sanders a déclaré qu’il ne se sentait pas “particulièrement à l’aise” avec le bannissement malgré son opinion selon laquelle Trump est “un raciste, un sexiste, un xénophobe, un menteur pathologique, un autoritaire… un mauvais élément”. Il a déclaré : “Si vous me demandez si je me sens particulièrement à l’aise avec le fait que le président des États-Unis de l’époque ne pouvait pas exprimer ses opinions sur Twitter ? Je ne me sens pas à l’aise à ce sujet”.

J’ose espérer que Sanders adopterait le même point de vue qu’un président qui ne siège pas ou qu’un citoyen moyen. Ils devraient tous pouvoir s’exprimer librement. Sanders ne va pas jusqu’à cette position d’”originaliste de l’Internet”, mais il reconnaît au moins le danger d’une telle censure. Il a noté que “nous devons réfléchir, parce que si quelqu’un pense qu’hier c’était Donald Trump qui a été banni et demain cela pourrait être quelqu’un d’autre qui a un point de vue très différent.” Il a déclaré que c’est un risque d’avoir une “poignée de personnes à la pointe de la technologie” qui contrôlent la liberté d’expression en Amérique.

J’ai longtemps fait l’éloge de M. Sanders pour sa position de principe sur de nombreuses questions et cette opinion dissidente est très bien accueillie par les membres de la communauté de la liberté d’expression. Elle contraste fortement avec celle de ses collègues démocrates qui ont célébré l’interdiction et appelé à davantage de censure. L’une des principales voix de la censure au Sénat est le sénateur Richard Blumenthal (Démocrate-Connecticut) qui a fustigé les Big Tech pour avoir attendu si longtemps avant d’émettre de telles interdictions : “La question n’est pas de savoir pourquoi Facebook et Twitter ont agi, mais ce qui a pris tant de temps et pourquoi les autres ne l’ont pas fait”.

Comme nous l’avons déjà évoquéles démocrates ont abandonné les valeurs de longue date de la liberté d’expression en faveur de la censure des entreprises. Ils ont clairement une “zone de confort” différente de celle de Sanders. Ce qui met mal à l’aise de nombreux membres démocrates, c’est la capacité des gens à s’exprimer librement sur ces plateformes et à diffuser ce qu’ils considèrent comme de la “désinformation.”

Lorsque le PDG de Twitter, Jack Dorsey, s’est présenté devant le Sénat pour s’excuser d’avoir bloqué le reportage sur Hunter Biden avant l’élection, estimant qu’il s’agissait d’une erreur, les sénateurs l’ont pressé, lui et d’autres dirigeants des Big Tech, de renforcer la censure.

Lors de cette audition, des membres comme le sénateur Mazie Hirono (Démocrate-Hawaï) ont pressé des témoins comme Mark Zuckerberg et Jack Dorsey pour obtenir l’assurance que Trump resterait interdit de parole sur leurs plateformes : “Qu’êtes-vous tous deux prêts à faire concernant l’utilisation de vos plateformes par Donald Trump après qu’il aura cessé d’être président, sera-t-il toujours considéré comme digne d’être publié dans les journaux et pourra-t-il toujours utiliser vos plateformes pour diffuser des informations erronées ?”

Plutôt que d’aborder les dangers d’une telle censure des comptes d’actualités, le sénateur Chris Coons a pressé Dorsey d’élargir les catégories de matériel censuré pour empêcher les gens de partager toute opinion qu’il considère comme du “négationnisme climatique.” De même, le sénateur Richard Blumenthal a semblé prendre le sens inverse de Twitter, en admettant qu’il avait eu tort de censurer l’histoire de Biden. Blumenthal a déclaré qu’il était “préoccupé par le fait que vos deux entreprises sont, en fait, en train de reculer ou de se retrancher, que vous ne prenez pas de mesures contre la désinformation dangereuse.” En conséquence, il a exigé une réponse à cette question :

“Allez-vous vous engager à appliquer le même type de règles de modification robuste du contenu lors des prochaines élections, y compris la vérification des faits, l’étiquetage, la réduction de la diffusion de la désinformation et d’autres mesures, même pour les politiciens lors du second tour des élections à venir ?”

“La “modification robuste du contenu” a un certain attrait, comme un type de mise à niveau du logiciel. Ce n’est pas une modification de contenu. C’est de la censure. Si nos représentants veulent réprimer la liberté d’expression, ils devraient admettre qu’ils sont des partisans de la censure. En effet, des universitaires de premier plan ont eu l’intégrité de déclarer récemment qu’ils pensaient que “la Chine a raison” en matière de censure.

Sanders ne croit manifestement pas que “la Chine a raison”, du moins lorsqu’elle s’applique à un président en exercice. Il faut espérer que Sanders continuera à s’exprimer sur la liberté d’expression et qu’il étendra cette position de principe pour s’opposer aux pressions incessantes de Blumenthal et d’autres en faveur d’un contrôle des entreprises sur les discours sur Internet.

Traduction de Jonathan Turley par Aube Digitale




« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !

[Source : New Eastern Outlook (journal-neo.org)]

[Traduction : Le Grand Changement]

Par F. William Engdahl

La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de technocrates corporatistes, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – la soi-disant Grande Réinitialisation (Great Reset) ou l’Agenda 2030 de l’ONU – n’est pas une proposition future.
Elle est en bonne voie d’actualisation, alors que le monde reste enfermé dans un enfermement insensé pour un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des lockdowns [Ndlr : confinements et fermetures économiques] mondiaux du coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG [Ndlr : pour Environnement, valeurs Sociales et Gouvernance]. Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace de façon spectaculaire les flux de capitaux mondiaux vers un groupe restreint d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser le dystopique Agenda 2030 des Nations Unies ou le programme Great Reset du WEF. Cette évolution est l’un des changements les plus dangereux et les moins bien compris depuis au moins le siècle dernier. Le programme d' »économie durable » de l’ONU est réalisé en toute discrétion par les mêmes banques mondiales qui ont provoqué les crises financières de 2008. Cette fois-ci, elles préparent la grande réinitialisation du WEF de Klaus Schwab en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliers de milliards, d’investissements vers leurs entreprises « réveillées » triées sur le volet, au détriment de celles qui ne le sont pas, comme les compagnies pétrolières et gazières ou le charbon. Les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont créé une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » et les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance). Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux avec lequel elle embauche des cadres et des employés de sexe différent, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour utiliser le terme des Nations unies.

La façon dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG, et pourrait inclure n’importe quoi, des dons d’entreprises à Black Lives Matter au soutien d’agences de l’ONU comme l’OMS. L’objectif central crucial des stratèges du GNE est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du zéro carbone. Les grandes institutions financières et les banques centrales du monde entier sont à l’origine de ce mouvement. Elles ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.Plus de 100 articles scientifiques ont conclu : le CO2 a un Effet Minuscule sur le Climat !

En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Celui-ci s’est rapidement développé en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site internet, ils déclarent , »Le PCAF se fonde sur la position de l’Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale doit s’efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels et la société doit se décarboniser et atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2050. » En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barcylays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d’autres. Plusieurs des banques membres de la PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d’argent. Elles se sentent maintenant investies d’un nouveau rôle de modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, est un « observateur » ou un consultant du PCAF. En août 2020, le PCAF a publié un projet de norme décrivant une proposition d’approche pour la comptabilité carbone mondiale. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables pour évaluer l’empreinte carbone ou le profil écologique d’une entreprise.

Mark Carney s’exprime à Mansion House (Reuters)

Le rôle central de Mark Carney : Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l’agenda vert 2030 de l’ONU derrière la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial de Davos, où il est membre du conseil d’administration. Il est également conseiller du secrétaire général des Nations unies en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique. Il a décrit le plan du PCAF comme suit : »Pour atteindre le zéro net, nous avons besoin d’une transition de l’ensemble de l’économie – chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et chaque investisseur devra ajuster ses modèles d’affaires, développer des plans crédibles pour la transition et les mettre en œuvre. Pour les entreprises financières, cela signifie qu’elles doivent examiner plus que les émissions générées par leur propre activité commerciale. »Elles doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles elles investissent et auxquelles elles prêtent. Le travail du PCAF pour standardiser l’approche de la mesure des émissions financées est une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. » En tant que gouverneur de la Banque d’Angleterre, M. Carney a joué un rôle clé dans le soutien des banques centrales mondiales à l’Agenda Vert du programme 2030 des Nations unies.  Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur banque faîtière, la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles, comme les entreprises pétrolières et gazières, qu’elle juge « non durables. » Lorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d’Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail sur la communication financière relative au climat (TCFD). Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former la TCFD. Présidée par le milliardaire Michael Bloomberg, elle comprenait, outre BlackRock, JP MorganChase, Barclays Bank, HSBC, Swiss Re, le deuxième réassureur mondial, la banque chinoise ICBC, Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood de Generation Investment LLC d’Al Gore.

Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a fait remarquer : « Nous sommes déterminés à faire en sorte que les risques et les opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et que nous collaborions avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquent comment ces risques sont gérés. » Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques dans leur portefeuille de prêts immobiliers en procédant à « une analyse des risques physiques aigus sur un portefeuille échantillon de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu un score basé sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, inondation fluviale, inondation éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête d’hiver. » De même, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné selon les critères de la TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme étant liés au CO2, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que l’émission de CO2 par l’homme est sur le point de détruire notre planète par le réchauffement climatique. Les preuves de l’activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela ne préoccupe pas les intérêts financiers qui vont récolter des billions de dollars au cours de la prochaine décennie. Un autre élément clé de la préparation financière de la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d’une économie à forte intensité énergétique en une économie à faible intensité et économiquement inefficace, est le Conseil des normes comptables de durabilité (SASB). Le SASB affirme qu’il « fournit un ensemble de normes claires pour la communication d’informations sur la durabilité dans un large éventail de domaines… ». Cela semble rassurant jusqu’à ce que l’on regarde qui compose les membres du SASB qui donneront l’imprimatur favorable au climat.Parmi les membres figurent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7.000 milliards de dollars sous gestion), les fonds Vanguard, Fidelity Investments, State Street Global, Goldman Sachs, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques comme Bank of America et UBS.Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008. Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site web, « Depuis 2011, nous travaillons à un objectif ambitieux : développer et maintenir des normes comptables de durabilité pour 77 industries. » L’objectif est de créer un réseau d’entités financières mondiales qui contrôlent la richesse combinée, y compris les assurances et les fonds de pension, pour une valeur de 100.000 milliards de dollars. Elles fixent les règles et définiront une entreprise, voire un pays, en fonction du degré d’émission de carbone qu’elle crée. Si vous êtes propre et vert, vous pouvez potentiellement obtenir des investissements. Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone, comme c’est le cas aujourd’hui pour les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux vous désinvestiront ou éviteront de vous financer. La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon.

Les hydrocarbures attaqués ! La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prévoient qu’au cours des cinq prochaines années, voire moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde vont chuter de façon spectaculaire. « Compte tenu de la place centrale qu’occupera la transition énergétique dans les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan expliquant comment leur modèle économique sera compatible avec une économie nette zéro », a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre aux PDG de 2021. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde, avec plus de 7.000 milliards de dollars à investir. Un autre dirigeant de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie que « là où BlackRock va, les autres suivront ». « Pour continuer à attirer les capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d’actifs avantageux de base – des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham, vice-président de l’exploration mondiale chez WoodMac, une société de conseil en énergie. Le saviez-vous ? La mégacorporation BlackRock vient de prendre le contrôle du Trésor américain et de la Réserve fédérale. L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles locations sur les terres fédérales et en mer, ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur du pétrole et du gaz et ses dérivés tels que la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes entreprises pétrolières et gazières du monde, y compris les entreprises publiques et cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5.400 milliards de dollars en 2015. Alors qu’une nouvelle administration Biden pousse son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde verra un déclin précipité des investissements dans le pétrole et le gaz. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers de l’ESG est de garantir cela.

Et les perdants seront nous. Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ce fut le cas lors des récents blizzards au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industriels deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais soyez rassurés. Tout cela fait partie de la grande réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré à un interviewer : »…Il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse du monde par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… »Le Great Reset du WEF (Davos) n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant aux ravages économiques du coronavirus. Elle a été planifiée depuis longtemps par les maîtres de l’argent.

F. William Engdahl, consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l’université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook ».




Une Policière Espagnole s’adresse aux Gendarmes et Policiers Français

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Une policière Espagnole s’adresse aux membres des Forces de l’ordre de France. La France, pays de la Révolution de 1789, pays des Droits de l’Homme, pays de Démocratie et de Liberté, qui affiche  au fronton de chacune de nos mairies  « Liberté, Égalité, Fraternité ».

De quelle manière nos camarades Gendarmes et collègues Policiers, en activité de service, recevront-ils ce message ? Savez-vous qu’une majorité de la population espagnole surnomment leurs « Flics » les Anges gardiens ? 

Nos voisins européens et en particulier Espagnols, vont-ils finir par nous donner des leçons de Démocratie ?

Sonia Vescovacci, 41 ans, policière et créatrice du mouvement « Policia Por la Libertad »



Source : Rumble

Quiénes somos. [Qui sommes-nous?]

La asociación “Policías por la Libertad” nace con el objetivo de unir a Policías y ciudadanos en estos momentos tan difíciles, tanto para los ciudadanos como para los miembros de las Fuerzas y Cuerpos de Seguridad y Vigilantes de Seguridad.
[L’association «Police pour la liberté» a été créée dans le but d’unir les policiers et les citoyens en ces temps difficiles, tant pour les citoyens que pour les membres des forces et corps de sécurité et des gardes de sécurité.]

Somos muchos los Compañeros de los distintos Cuerpos que queremos seguir desempeñando nuestra labor en base a nuestra ética personal y profesional, nuestros principios básicos de actuación y como marcan nuestros Códigos Deontológicos, sin dejarnos llevar por nuestros propios miedos y nuestras diferencias de opiniones.
“Prometimos PROTEGER Y SERVIR a los ciudadanos, NO METERLES MIEDO.”
[Nous sommes de nombreux collègues des différentes instances qui souhaitons continuer à mener notre travail sur la base de notre éthique personnelle et professionnelle, de nos principes d’action de base et de la façon dont l’indiquent nos Codes Déontologiques, sans nous laisser emporter par nos propres peurs et nos différences. d’opinions.
« Nous avons promis de PROTÉGER ET DE SERVIR les citoyens, PAS DE LES CRAINDRE. »]




Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

Un jeune médecin nantais de 24 ans, victime expiatoire de la folie vaccinale. À 24 ans, zéro risque du covid-19, et le vaccin ne protège pas les autres. Alors pourquoi lui a-t-on fait courir ce risque ?

Avec l’analyse des données publiées, on apprend que l’EMA a accordé l’autorisation « conditionnelle » sur l’examen intérimaire d’essais phase 3 portant sur seulement 5 800 sujets vaccinés.

Ouest-France rapporte dans son édition du 23/3/2021 la triste histoire de ce jeune interne en médecine nantais de 24 ans, en parfaite santé, brutalement décédé d’une thrombose 10 jours après vaccination par AstraZeneca. Au-delà de la compassion que nous éprouvons pour les proches de cet étudiant qui ne pourra jamais être médecin, c’est la colère qui nous submerge.

Colère que nous inspire le refus des autorités de santé européennes et françaises d’interdire ce vaccin, au moins jusqu’à ce que des études indépendantes sérieuses prouvent que le vaccin est innocent.

Colère devant leur propagande réitérée « la balance avantage/risque est favorable » alors qu’à 24 ans le risque du covid-19 sévère est infime (inférieur à celui d’une grippe) et que dans le monde, les accidents post-vaccinaux graves et parfois mortels se multiplient chez les jeunes. AVANTAGES ZÉRO, risque non négligeable d’incidents et accidents parfois mortels et aucune protection des autres, l’argument compassionnel exclu.

Colère contre l’Agence européenne du médicament qui a autorisé la mise sur le marché « conditionnelle » d’un vaccin dont l’essai phase 3 ne sera pas terminé avant le 15 février 2023, d’après le site américain officiel « clinical trials.gov » et a autorisé la reprise de cette vaccination expérimentale en se fiant au simple plaidoyer de l’entreprise pour innocenter le vaccin tueur.

Après la révélation de thromboses post-vaccinales mortelles par l’agence sanitaire danoise, puis de nombreuses autres agences européennes (néerlandaise, norvégienne, allemande) entraînant la suspension temporaire de 48 h de l’utilisation du vaccin, l’EMA s’est contenté de prétendre « qu’il n’y avait pas de lien établi entre les cas de thrombose signalés et le vaccin, les troubles de la coagulation ne faisant pas partie des effets secondaires reconnus, mais qu’elle n’excluait pas un lien de causalité entre vaccin et thrombose » et a autorisé la reprise de la vaccination sans entreprendre, ni demander immédiatement d’étude sur la responsabilité du vaccin AstraZeneca. Cette triste histoire montre que l’agence européenne fait passer, comme d’habitude, l’intérêt des firmes pharmaceutiques devant la sécurité sanitaire des populations.

Attitude confortée le lendemain par celle de l’OMS qui, elle non plus, n’a pas jugé utile de réclamer une étude indépendante sur le problème. Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Mais plusieurs pays scandinaves maintiennent actuellement l’interdiction d’utilisation

D’autant que des chercheurs norvégiens et allemands ont démontré le lien de causalité et mis en évidence son mécanisme immunologique, expliquant le caractère tout à fait exceptionnel du type de thromboses rencontrées.

En France, la Haute Autorité de santé, comme l’Agence allemande du médicament, avait attiré l’attention sur l’inefficacité de ce vaccin chez les plus de 65 ans et déconseillé son usage dans ce groupe d’âge. Après la révélation récente des morts post-vaccin AstraZeneca par thromboses, la HAS a demandé que ce vaccin ne soit plus administré aux moins de 55 ans.

Malheureusement pour ce jeune homme, cette mesure de prudence a été prodiguée trop tard. Actuellement l’agence ne conseille plus la vaccination AstraZeneca que pour la tranche d’âge 55-65 ans. Espérons que cette tranche d’âge protège vraiment des complications de ce vaccin tueur.

Manifestement nos autorités font preuve d’une foi sans limites en ce vaccin, puisqu’elles ont même utilisé à Blois(([1] La Nouvelle République Covid-19 : des vaccins du lot AstraZeneca retiré en Autriche ont été injectés à Blois
Publié le 12/03/2021)) le lot banni d’Autriche après qu’il a été jugé responsable de deux complications graves dont la mort d’une infirmière.

Qu’en pensent les citoyens qui découvrent cette pratique ?

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Aux USA le vaccin n’est toujours pas autorisé à la vente, même sous conditions. Des dizaines de millions de doses de vaccins AstraZeneca restent bloqués comme réserve stratégique en attendant une éventuelle approbation par la FDA.

Le 22/3/2021 le laboratoire AstraZeneca avait défendu son vaccin, affirmant qu’il était efficace à 80 % contre le Covid chez les personnes âgées et n’augmentait pas le risque de caillots, après des essais cliniques de phase III menés aux États-Unis, avec 32 449 participants.

Mais un groupe de surveillance(([2] Rhys Blakely Des responsables américains se disent préoccupés par les données “incomplètes” sur le vaccin Oxford The Times 23 3 2021)) de l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID), qui supervise des essais cliniques de vaccins. a exprimé(([3] communiqué publié lundi 22 mars dans la soirée et apporté par Le Figaro)) sa « préoccupation » : AstraZeneca « a pu utiliser des informations obsolètes lors de cet essai », « ce qui peut avoir abouti à une estimation incomplète de l’efficacité » « Nous exhortons la compagnie à travailler avec le Data and safety monitoring board (DSMB, comité de suivi de l’essai), pour évaluer l’efficacité des données et s’assurer que les données les plus précises, les plus récentes et les plus efficaces possibles soient rendues publiques au plus vite ».

Le célèbre DR Fauci a déclaré mardi à « Good Morning America » d’ABC News que le vaccin Oxford-AstraZeneca était « probablement un très bon vaccin ». Cependant, a-t-il ajouté, le DSMB s’est inquiété du fait que les données contenues dans la déclaration publique d’AstraZeneca « étaient quelque peu dépassées et pourraient, en fait, être un peu trompeuses »(([4] Sam Meredith AstraZeneca a peut-être inclus des informations obsolètes dans l’essai du vaccin Covid, selon l’agence américaine de la santé MAR.23 MARS 2021)). Les actions d’AstraZeneca ont glissé de près de 1 % lors de la séance du 23 mars à Londres et ont baissé de 2 % dans les négociations de pré-commercialisation à New York.

Le 24/3/2021 20 heures, la recherche sur Google et PubMed montre qu’il n’existe toujours aucune publication de cet essai qui permettrait d’analyser les données alléguées dans le communiqué de presse d’AstraZeneca.

Situation en Europe au 24/3/2021 : les études avant AMM conditionnelle plus que légères ! De l’AMM ultralight

L’agence européenne l’EMA a osé autoriser la mise sur le marché d’un vaccin sur un simple rapport intérimaire(([5] Merryn Voysey  et al Safety and efficacy of the ChAdOx1 nCoV-19 vaccine(AZD1222) against SARS-CoV-2: an interim analysis of four randomised controlled trials in Brazil, South Africa, and the UK www.thelancet.com Vol 397 January 9, 2021)) de la sommation de deux études, l’une de phase 3 et l’autre de phase 2/3 incluant un nombre très insuffisant de sujets (7 548 dans l’essai phase 2/3  COV002 mené au Royaume-Uni et 4 088 dans l’essai phase 3 COV003 réalisé au Brésil), dont au total de ces deux essais seulement 5 800 vaccinés avec un recul médian totalement insuffisant (3-4 mois) et de plus entachées d’erreurs de dose.

La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.(([6] AstraZeneca avait reconnu que c’était par erreur qu’une demi-dose seulement avait été administrée à certains sujets de l’essai))La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.

La vaccination AstraZeneca réalisée actuellement à marche forcée représente en réalité un véritable essai vaccinal à grande échelle sur des citoyens mal informés et transformés à leur insu en cobayes.

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? Les citoyens sont-ils si compliants et aveugles ?

Dr Gérard Delépine





Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus

Par Jean

Communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire aux populations et aux politiques

De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.

Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it

Une Constitution universelle pour un État global, privatisé et financiarisé, sous les couleurs de l’Agenda 2030 de l’ONU

[Analyse de l’Agenda 2030 de l’ONU non expurgée par Liliane Held Khawam publiée le 25 septembre 2020, https://www.lilianeheldkhawam.com.]

Un jeu qui permet de prendre connaissance des transformations qui traversent notre monde
Fidèle à sa volonté de sensibiliser la population aux « objectifs de développement durable » (ODD) de l’ONU, l’association La Fonda vient de lancer « Faire ensemble 2030 », son nouveau jeu coopératif.
Il s’agit d’un outil ludique à visées pédagogiques fondé sur la résolution de défis en lien avec les ODD. L’idée consiste principalement à mettre en avant des solutions communes, des partenariats d’acteurs, dans l’esprit de l’ODD17 «  Partenariats pour la réalisation des objectifs »
Le Commissariat général au développement durable est heureux d’avoir été associé à l’élaboration de cet outil.

25 septembre 2015. Il y a tout juste 5 ans, le pape François ouvrait en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Un Programme majeur pour un Nouveau Monde

Ce programme jette les bases du Nouveau Monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution universelle. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme :

« Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable».

Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons. Pourtant, les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des Etats, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Une feuille de route pour TOUS les pays

« Le Programme de développement durable, [Agenda 2030] est un plan d’action pour l’humanité, la planète et la prospérité ». Cette première phrase du Préambule introduit un des programmes les plus déterminants du Nouveau Monde. La gestion de l’humanité et de la planète est associée à la prospérité.

Étrangement, bonheur et liberté sont présentés en tant que capacité à produire et à consommer suffisamment.

Faim, misère et désespoir doivent être combattus par la croissance du PIB des pays. 

Joseph Savès a appelé une vision économétrique du monde. Il rappelle que des régimes archaïques enrichis par de fortes rentrées liées à des particularités naturelles, telles que le pétrole, peuvent abriter des populations qui n’en bénéficient pas du tout. A l’inverse, des pays à faibles PIB comme l’Etat du Kérala en Inde du Sud, assurent à leurs populations une vie relativement équilibrée et saine.

Lecture indispensable pour comprendre les enjeux du Développement durable et sa portée sur le terrain :
https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/10/vers-un-nouveau-paradigme-de-structure-coronale-liliane-held-khawam/

Qu’est- ce que l’Agenda 2030?

Liste des 17 objectifs ODD composent et structurent le Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030

  1. Mettre fin à la pauvreté, sous toutes ses formes, partout,
  2. Éradiquer la faim, garantir la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition, promouvoir l’agriculture durable,
  3. Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies,
  4. Garantir une éducation de qualité, sans exclusion, équitable, avec possibilités d’apprentissage pour tous tout au long de la vie,
  5. Égalité des genres: parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles,
  6. Eau pure et hygiène: assurer la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour       tous,
  7. Garantir l’accès à une énergie abordable, fiable, durable, moderne, pour tous,
  8. Travail de qualité et économie: promouvoir une croissance économique soutenue, sans exclusion, viable, le plein emploi productif, un travail décent pour tous,
  9. Innovation et infrastructures de qualité : construire des infrastructures résilientes, promouvoir l’industrialisation, sans exclusion, et durable, et encourager l’innovation,
  10. Réduire les inégalités, au sein des pays et d’un pays à l’autre,
  11. Villes et communautés durables : faire des villes et des établissements humains des endroits sans exclusion, sûrs, résilients et durables,
  12. Consommation responsable: garantir des modèles durables de consommation et de production,
  13. Agir d’urgence contre le changement climatique et ses impacts,
  14. Océans durables: préserver et utiliser de manière durable les océans, mers et ressources marines pour     le développement durable,
  15. Exploitation du sol durable : protéger, restaurer et promouvoir une utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer les forêts de manière durable, lutter contre la désertification, stopper et remédier à la   dégradation des terres, et mettre fin à la perte de la biodiversité,
  16. Paix et justice : promouvoir des sociétés pacifiques, sans exclusion, dans le cadre du développement durable, permettre un accès à la justice pour tous, et mettre en place des institutions efficaces,      responsables, et sans exclusion, à tous les niveaux,
  17. Renforcer les moyens de mise en œuvre et revitaliser le partenariat mondial pour le développement durable

Visuel des 17 buts

https://www.are.admin.ch/are/fr/home/developpement-durable/cooperation-internationale/agenda2030/_jcr_content/par/image/image.imagespooler.jpg/1531215589689/1024.2000/sdg_poster.png

Le visuel a muté récemment en couronne (ou coronal), coronavirus oblige

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2020/09/dab07-sustainable_development_goals_tcm14-147225.jpg

Présentation stylisée par le Prince Charles et le World Economic Forum… (Article ici)

La globalisation de la Suisse actée par la présidente de la Suisse

Dans cette allocution de la présidente de la Suisse en faveur de l’Agenda 2030, nous retrouvons les mêmes arguments mis en avant par ses collègues du Conseil fédéral, soit la famine, la pauvreté, les conflits, les discriminations entre hommes et femmes, etc.

Ainsi, en 2018 déjà, son collègue Alain Berset avait appelé l’assemblée des Nations-Unies à une refonte de l’ordre mondial, qui est une invitation à remettre en question la planète définie par des Etats pour la voir comme un tout, une entité une et indivisible. Pourquoi? Pour mettre fin à la

M Berset invita l’assemblée à entrer dans le Nouveau Monde, que nous définissons comme globalisé, productif, soumis à la finance globale.

L’Agenda 2030 a été tricoté sur la base du Développement durable. Dans un rapport sur la mise en œuvre de l’Agenda 2030 par la Suisse, le Conseil fédéral écrit : 

« En Suisse, le développement durable est un objectif suprême de la Confédération et à ce titre, il est inscrit dans la Constitution fédérale. La réalisation de cet objectif passe par la promotion de la prospérité commune, de la cohésion interne et de la diversité culturelle du pays mais aussi par un engagement en faveur de la conservation durable des ressources naturelles et d’un ordre international juste et pacifique. À tous les niveaux, les autorités publiques doivent viser un juste équilibre, sur la durée, entre la capacité de régénération de l’environnement et son exploitation par l’humain. ».

Forts de ce qui précède, il ne faut pas s’étonner de retrouver une autre conseillère fédérale, Doris Leuthard, en juillet 2018 en train de remettre à l’ONU une sorte de reporting (compte-rendu) incroyablement détaillé sur la Suisse. (cf détail tout en bas)!

Les fidèles de l’Agenda 2030 récompensés par… (Vidéo ICI)

https://i.ytimg.com/vi/7nbYRFZsZ28/maxresdefault.jpg

L’insistance de la présidente suisse quant au rôle de l’OMS

Le discours de la présidente suisse met en avant le rôle central de l’OMS et sa volonté de la soutenir. La chose est d’autant plus étonnante que le monde entier est actuellement au courant de qui tient le pouvoir décisionnel de l’OMS. A relever au passage que l’actuel directeur n’est pas plus médecin (malgré son titre de docteur) que le financeur et donneur d’ordres.

https://www.who.int/images/default-source/funding/ac-and-vc-2018-2019.tmb-1920v.png?sfvrsn=823d03b4_1
On retrouve les Gates aussi bien au niveau de leur fondation que du GAVI.

L’objectif 3 de l’Agenda 2030

Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies (But 3)

Les cibles de l’objectif 3
3.1: D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes
3.2: D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances vivantes au plus
3.3: D’ici à 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose, au paludisme et aux maladies tropicales négligées et combattre l’hépatite, les maladies transmises par l’eau et autres maladies transmissibles
3.4: D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
3.5: Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psychoactives, notamment de stupéfiants et d’alcool
3.6: D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route
3.7: D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux
3.8: Faire en sorte que chacun bénéficie d’une assurance-santé, comprenant une protection contre les risques financiers et donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable
3.9: D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substances chimiques dangereuses et à la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
3.a: Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac

3.b: Appuyer la recherche et la mise au point de vaccins et de médicaments contre les maladies, transmissibles ou non, qui touchent principalement les habitants des pays en développement, donner accès, à un coût abordable, à des médicaments et vaccins essentiels, conformément à la Déclaration de Doha sur l’Accord sur les ADPIC et la santé publique, qui réaffirme le droit qu’ont les pays en développement, pour protéger la santé publique et, en particulier, assurer l’accès universel aux médicaments, de recourir pleinement aux dispositions de l’Accord sur les ADPIC qui ménagent une flexibilité à cet effet

3.c: Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement, notamment dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement
3.d: Renforcer les moyens dont disposent tous les pays, en particulier les pays en développement, en matière d’alerte rapide, de réduction des risques et de gestion des risques sanitaires nationaux et mondiaux

La Suisse derrière la création d’une fondation dédiée à l’OMS. Cadeau de 3 milliards

L’ex-chef de l’Office fédéral de la santé publique Thomas Zeltner a présenté à Genève la WHO Foundation, qui prévoit d’apporter à l’Organisation mondiale de la santé près de 3 milliards de francs d’ici à 2023. https://www.letemps.ch/monde/une-fondation-suisse-secours-financier-loms

Nul besoin de grands discours pour savoir qui va profiter de l’argent des Suisses menés bien malgré eux à l’abattoir de la faillite généralisée… Au nom du big reset exigé par les promoteurs de l’Agenda 2030!

Les liaisons dangereuses vont jusqu’à nous faire assister au versement par Gates de quelques millions à Swissmedic, l’autorité particulièrement indépendante, responsable de la mise sur le marché des vaccins et des médicaments. On soutient avec des milliards les visions hautement discutables de ces personnes privées, puis on accepte quelques petits millions.

Où commencent et où finissent les abus d’autorité et autre corruption?

Eh bien tout ceci est parfaitement illégal en démocratie, mais tout aussi parfaitement légal et exigé dans le monde de l’Agenda 2030.

https://www.20min.ch/story/swissmedic-erhaelt-millionen-von-bill-gates-280633837943

Bref, l’adhésion inconditionnelle à l’Agenda 2030 explique à elle seule le soutien inconditionnel à l’OMS ainsi que les pré-commandes à milliards d’un vaccin anti-Covid avant même d’en avoir vu les premiers effets positifs.

Nous marchons à pas forcés vers un Etat planétaire non seulement unifié, mais globalisé, où les milieux de la haute finance occupent une place de choix dans la cogouvernance de l’humanité, d’ores et déjà en place.

LHK


Remarques complémentaires

Avec la création d’une gouvernance mondiale la démocratie va disparaître, puisque c’est une élite autoproclamée qui va prendre d’autorité les décisions, comme le font actuellement Macron en France, Johnson en Grande-Bretagne, Trudeau au Canada, Draghi en Italie… et Ursula von der Leyen à la Commission européenne.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, les individus ne seront plus que des pions.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la soumission des citoyens et des peuples sera permanente.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la dictature sera actée et définitive.

Avec la volonté de créer une gouvernance mondiale des financiers et des technocrates sans aucune conscience montrent à tous leur profond mépris de l’humanité.

La crise sanitaire n’est donc qu’un prétexte pour déclencher la phase finale de leur complot contre les Peuples et les États.

À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre pour un esprit normalement constitué que se trame dans le dos de la population un gigantesque complot contre les Peuples et les États mené par la finance et ses complices. 

Cela ne peut pas être nié, puisque de ces manigances, les médias dominants aux ordres ne vous en ont jamais parlé.

Les synonymes de complot sont conspiration et intrigue. Il est bien évident que nous sommes en présence de personnes qui se croient au-dessus des lois et qui s’estiment intouchables.

La mafia

 Mafia (XIXe siècle), mot italien désignant une société secrète, issue du sicilien, mafia, « hardiesse, vantardise », d’origine obscure. Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.

Définition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

La mafia comme délit :

La création, en 1982, du « délit d’association mafieuse » répond à la nécessité de fixer un phénomène social ambigu, objet d’une approche tantôt culturaliste (la mafia comme façon d’être, expression archétypale de l’être sicilien), tantôt criminologique (la mafia comme association de malfaiteurs sans rapports permanents entre eux). Or nous avons vu comment la difficulté de prouver le caractère durable du lien mafieux et de démontrer la conscience des associés quant au projet criminel de leur association rendait caduques les tentatives judiciaires d’imputer aux mafieux un délit associatif, tel que prévu par le Code Pénal. La loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code Pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État. Juger la mafia — Deborah Puccio-DenJuger la mafia, Deborah Puccio-Den  

À ces délits, nous ajoutons la corruption.

Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les principes républicains et de tous les principes démocratiques veut se substituer aux États pour mettre en place un gouvernement mondial aux mains d’une élite autoproclamée.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »

David Rockefeller. Discours à la Commission Trilatérale, en juin 1991 à Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000.

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils représentent ma famille et moi comme des “internationalistes” ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée — un seul monde, si vous voulez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller, Mémoires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475.

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

David Rockefeller, All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order.– David Rockefeller, 1994, Dîner aux Nations Unies.

Conclusion

Cet Agenda 2030 de l’ONU est à mettre en relation avec plusieurs projets des mondialistes, la liste ci-dessous n’étant que très sommaire :

Banque européenne, Catherine Lagarde : 
https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html 

Commission européenne : 
https://www.touteleurope.eu/actualite/la-dette-publique-des-etats-de-l-union-europeenne.html
https://www.touteleurope.eu/actualite/margrethe-vestager-il-ne-s-agit-pas-de-reconstruire-le-monde-tel-qu-il-etait-avant-le-covid.html

Forum Économique Mondial, Klaus Schwab : 
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux – Nouveau Monde

Bill Gates :
https://reseauinternational.net/bill-gates-mecene-ou-arnaqueur/

Bonus :
https://nouveau-monde.ca/les-comploteurs-demasques-macron-cheval-de-troie-du-nouvel-ordre-mondial-et-de-la-finance/

Étant donné que dans les médias dominants, ces informations ne sont pas mises en relation, et que l’essentiel se trame en coulisses, caché aux yeux du grand public, nous voulons croire que la plupart des responsables politiques ne sont pas, eux aussi, au courant de ce plan machiavélique, élaboré par des suprématistes et qui signera l’arrêt de mort de la démocratie. Aussi nous demandons aux politiques, qu’ils soient maires, députés, sénateurs ou responsables de parti, de prendre leurs responsabilités sous peine de ne pas être réélus, et de se retrouver très prochainement à la rue…

Le signe de l’infamie



La vérité brutale #6

Par Amélie Paul



Les épisodes précédents :

#1 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-du:4

#2 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-2:3

#3 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-3:a

#4 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-4:f

#5 https://odysee.com/@ameliepaul:8/laveritebrutale5:9




Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, après un an de dictature sanitaire et de mascarade généralisée, c’est bien d’un dernier appel dont il s’agit ici. Avant qu’il ne soit trop tard. Un dernier appel avant embarquement pour suicide collectif.

Cet appel, on pourrait même le qualifier d’alerte rouge, tellement il devient pressant, urgent de se bouger, de s’insurger, de se révolter pour se libérer. À l’heure où tout le monde reste encore bien sagement claquemuré chez soi en attendant le déluge.

Face à l’apathie générale et au renoncement de se battre pour s’extraire des griffes de la finance mondialiste afin de sauver nos libertés, qu’attendons-nous encore avant de nous révolter ?

Qu’il ne reste plus un seul commerce indépendant ouvert, ni une seule petite entreprise encore en état de fonctionner avant que toute notre économie soit définitivement parterre ?

Les financiers du Grand Reset du Forum de Davos qui n’ont d’autre but que de nous asservir, n’attendent plus qu’une chose : que nous soyons tous piqués comme des poulets OGM afin de tous nous contrôler pour mieux nous voler nos biens, une fois ruinés par l’arrêt total de l’économie, et nous exclamer béatement, selon le slogan cynique de leur film de propagande (([1] nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/)) :

« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. »

Formidable, non ? Alors, qu’espérer encore ? Un sursis ? Un malheureux sursis ? Et après ?

« Encore quelques minutes, Monsieur le bourreau ! » Mais non, il n’y aura pas de sursis ! À part pour les quelques restaurateurs naïfs qui croient encore que les maigres subsides de l’État vont leur permettre de survivre. Mais pour combien de temps ? Car c’est bien un gigantesque suicide collectif de toute la classe moyenne qui se prépare, avec la complicité des États et de l’Union européenne à la solde de l’oligarchie financière mondialiste, orchestrée par les partenaires illuminés du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab, Bill Gates et Jacques Attali, dont Macron, Merkel et von der Leyen ne sont que des marionnettes.

À gauche : Bill Gates, partenaire contributeur du Forum Économique Mondial :

« Les vaccins Covid19 ADN devraient nous donner un contrôle extrême sur toute la population mondiale. »

À droite : Peter Sellers dans Docteur Folamour, film du génial Stanley Kubrick décrivant un monde corrompu où toute dignité humaine est enterrée sous une pseudo-nécessité de survie, avec la volonté clairement affichée des dirigeants de préserver leur pouvoir pour se livrer ouvertement à leurs magouilles politiques, leur brutalité, leurs perversions et leurs instincts bestiaux sous l’excuse qu’ils agissent pour l’humanité. Le slogan des militaires américains « La paix est notre profession » résume assez bien l’hypocrisie générale des décideurs qui baigne ce film.

« Nos tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

La Boétie

Car il faut vraiment être à genoux pour accepter de voir l’œuvre de toute une vie ruinée par la fermeture de son commerce, de son restaurant, de son entreprise. À genoux aussi pour accepter la fermeture de tout ce qui fait le sel de la vie : théâtres, cinémas, opéras, salles de sport, bars, discothèques… Et combien d’autres rideaux qui se baissent jour après jour sur nos loisirs ?

Car il faut vraiment être à genoux, ensuite pour accepter sans broncher d’être bâillonnés du matin au soir, de s’asphyxier à petit feu en respirant toute la journée son propre gaz carbonique, y compris à l’extérieur, même au bord de la mer ou encore en forêt ! C’est hallucinant !

Il faut vraiment être à genoux pour accepter cet enfermement quasi permanent fait de confinements, de reconfinements et de couvre-feux, comme si nous étions en état de guerre. Mais nous ne sommes pas en guerre ! Qui peut croire encore que l’on peut faire la guerre à un virus ? Qui peut croire encore ces propos délirants de psychopathe ?

Mais le pire n’est même pas là.

Comment peut-on accepter de voir tous ces écoliers dès l’âge de 6 ans, bâillonnés avec ces abominables muselières qui ne sont rien d’autre qu’un plan machiavélique d’ingénierie sociale pour nous apprendre à devenir tous des esclaves dès le plus jeune âge ?

Qui sont ces parents assez fous, assez criminels pour accepter que leurs propres enfants s’asphyxient huit heures par jour à l’école avec ces bâillons mortifères ?

Sont-ils incapables à ce point de créer des collectifs de parents d’élèves résistants pour forcer ce gouvernement criminel à plier en retirant massivement leurs enfants de l’école et cesser du même coup d’être les victimes d’un chantage aberrant : le masque ou l’exclusion ?

Et qui sont tous ces profs pour accepter eux aussi cette mascarade mortifère ? Où sont les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves pour défendre la bonne santé des écoliers et des élèves face à la pandémie imaginaire d’un virus dont la létalité de 0,05 % frappe principalement la population des Ephad à comorbidité âgée de plus de 80 ans ? (([2] Didier Raoult, Carnets de guerre Covid19, le plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle, Michel Lafon))

Ne savent-ils pas que non seulement ces masques ne protègent pas des virus (c’est écrit sur la boîte), mais en plus sont de véritables nids à miasmes, surtout si on les porte 8 heures par jour, a fortiori toute la semaine ? Tous ceux qui vous diront le contraire vous mentent. Ces masques n’ont pas été conçus pour l’usage que les pouvoirs occidentaux nous imposent, mais pour le personnel médical.

Ces parents et ces profs ont-ils perdu à ce point tout bon sens, pire : tout sentiment d’humanité, à force de lavages et rinçages de cerveaux successifs administrés par les infos anxiogènes débitées H24 par toutes les chaînes d’info continue pour leur dire quoi penser ?

Ont-ils peur à ce point de l’amende de 135 euros que le sinistre de l’intérieur ne manque jamais une occasion de leur rappeler ? Se sont-ils jamais posé la question de ne pas la payer parce qu’elle est totalement injustifiée, car le port du masque ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’il a été décidé uniquement par un conseil qui n’a de scientifique que le nom ?

Savent-ils seulement qu’il y a pléthore d’avocats prêts à plaider leur cause via les collectifs citoyens initiés par des avocats tels Maître Brusa, Maître Di Vizio, Maître Jean-Pierre Joseph ou encore Maître de Araujo-Vecchia, pour ne citer que ceux-là ? (([3] reaction19.fr/,
divizio.fr/,
bonsens.info/,
legavox.fr/blog/maitre-de-araujo-recchia/rapport-dictature-2020-terrorisme-etat-29896.htm))

N’ont-ils pas encore compris que ce pouvoir inique qui nous enferme ne tient plus que par notre peur du virus pour nous imposer le chantage des masques et des vaccins pour mieux nous asservir ?

Sont-ils devenus à ce point des robots, incapables d’autre chose qu’obéir servilement sans réfléchir, à la moindre directive liberticide aussi absurde que criminelle, que le gouvernement et l’Union européenne tentent de nous imposer depuis maintenant un an?

N’ont-ils toujours pas compris qu’il est vital d’éteindre définitivement son téléviseur pour allumer enfin son cerveau afin de découvrir sur les médias alternatifs d’internet vers quelle abomination l’UE et nos gouvernants nous mènent à marche forcée ?

Quant à ces parents qui livrent leurs enfants aux mains des labos pharmaceutiques, tel Moderna aux USA, pour qu’ils servent de cobayes à des « vaccins » qui ne sont rien d’autre que des expériences géniques, ont-ils seulement entendu parler du Dr Mengele d’Auschwitz et de ses « expériences » sur les prisonniers ? Pourquoi a-t-on établi un code de Nuremberg en 1947 ? Pour des souris de laboratoire ? À l’heure où les déboires du vaccin Astra-Zeneca s’accumulent malgré l’autorisation provisoire de mise sur le marché de l’Agence Européenne du Médicament, (([4] francais.rt.com/international/84989-astrazeneca-information-obsolete-a-pu-fausser-essai-efficacite-vaccin-anti-covid,
francais.rt.com/france/84987-nantes-vaccin-astrazeneca-covid-etudiant-24-ans-meurt-thrombose-enquete-ouverte-)) le jour où l’UE nous intimera de piquer à notre tour nos enfants pour remplacer les souris, l’accepterons-nous bien docilement ?

« C’est parce qu’il y a des moutons qu’il y a des loups. »

C’est ainsi que Rainer Werner Fassbinder résumait son film « Le droit du plus fort ». Si le grand réalisateur allemand décédé il y a bientôt 40 ans revenait maintenant parmi nous, on pourrait aisément imaginer son effarement en constatant jusqu’à quel point la société d’aujourd’hui qui affiche un égalitarisme sans vergogne, est devenue paradoxalement la plus inégalitaire qui soit, à savoir l’incarnation même de sa mise en garde du siècle dernier !

Dans cette société soudainement devenue folle sous la pression d’une clique de mondialistes corrompus, il appartient à chacun d’entre nous de chasser dès maintenant par tous les moyens, les loups du pouvoir. Après tout, ils ne sont qu’une meute affamée de pouvoir et d’argent. Le jour où nous cesserons de leur donner nos vies à manger, ils mourront.





Quand le Parlement Européen devient une tribune pour le terrorisme international

[Source : Algerie54]

Le parlement européen, par le biais de la présidente de la Sous-commission des droits de l’homme, Marie Arena a accordé récemment la parole à Rachid Mesli, un des fers de lance de l’organisation qatarie Al Karama, dont le président Al Nuaimi, est inscrit dans la liste des personnes soutenant le terrorisme international par le département américain.

Mesli plaidait la cause des droits de l’homme en Arabie saoudite, et oublie le Qatar

En prenant la parole, devant les députés européens, le défenseur des droits de l’homme des commanditaires des assassinats d’intellectuels en Algérie, défendait la cause des droits de l’homme en Arabie saoudite, l’incarcération arbitraire et la torture des opposants aux tenants du pouvoir à Ryad, et l’ignoble assassinat du journaliste Jamal Khashoggi.
Se versant largement dans le sélectif, lorsqu’il s’agit de la défense des droits de l’homme, Rachid Mesli, ; excellant le mensonge par omission, n’a aucun moment durant ces dernières années, défendu le poète qatari Mohammed al-Ajami, alias Ibn al-Dhib, condamné par un tribunal qatari , à la prison à perpétuité pour avoir rédigé un poème qualifié d’hostile à l’actuel Emir du Qatar Tamim Bin Hamad Al Thani , ou défendu les conditions du travail inhumaines des étrangers en charge de la réalisation d’infrastructures qui accueilleront la coupe du monde 2022 au Qatar

Mesli et Dhina, compagnons du combat terroriste

Il n’est un secret pour personne, que la doctrine du combat pour l’instauration d’un régime théocratique et anti-démocratique, lie Rachid Mesli, Mourad Dhina et autres Zitout, depuis des décennies, à commencer par la décennie noire en Algérie avec les fetwas d’élimination de journalistes, intellectuels , artistes et chercheurs. Des liens renforcés au sein de la nébuleuse de Rachad et Al Karama dirigée par Al Nuaim, les dons et la générosité financière des commanditaires du terrorisme international, aidant

Rachad et Al Karama, même objectif

Le mouvement intégriste Rachad, composé essentiellement par les anciens du FIS dissous, à l’instar de Larbi Zitout ,  Mourad Dhina, et autres Abbes Aroua et Rachid Mesli, avait rejoint l’organisation qatarie Al Qarama, créée en 2004, en terre helvétique, est considérée comme le bailleur de fonds du terrorisme international, et principal soutien des groupes terroristes en Syrie, Irak et Libye, sachant que son fondateur Abderrahmane Al Nuaimi, est inscrit sur la liste des personnes soutenant le terrorisme international par le département d’Etat américain.

Comme à son habitude le youtubeur algérien Rafaa n’a pas tardé à réagir à la plaidoirie accordée, à Rachid Mesli, en interpellant, Marie Arena, présidente de la Sous-commission des droits de l’homme au Parlement Européen, et a diffusé une vidéo pleine d’informations et de documents compromettants les Mesli, Dhina, Zitout, et leurs mentors financiers et idéologiques à savoir, les Abderrahmane Al Nuaimi, Al Matiri et Mossab al Souri(syrien).

Lien https://www.facebook.com/838965286151328/videos/3850505248369603






Quelles stratégies de défense face à la dictature ?

Par Alain Tortosa,

Notre rapport à la dictature, à la révolte et à la soumission.

Adhésion, compromis, auto-trahison, intransigeance, renoncement… ?

Quelles stratégies de défense face à la dictature ?

Prenons par exemple l’obligation du port du masque…

Nous pouvons :

–Adhérer à la menace du virus mortel

Dans ce cas de figure le port du masque sera non seulement une contrainte acceptable, mais de plus sera en accord avec nos valeurs et, qui plus est, valorisé par la dictature, mais aussi auto-valorisé.

« Qu’est-ce que je suis une personne bien quand même ! Je protège les autres ! » Précisons que 2020 a été l’année de la solidarité, fini l’égoïsme… (ne rions pas).

–Le compromis

À la différence de « l’adhésion plénière », nous allons renoncer à une partie de nos désirs, mais sans renier nos valeurs.
Le profil sera celui d’une personne modérée dans ses croyances, considérant que le port du masque « ce n’est pas génial », mais pour autant « pas si grave ».
Pour lui, il ne menace pas outre mesure la santé de son porteur… et plus encore, « il sauve des vies ».
Ce renoncement n’en est pasun, car il est « choisi » (sur des données mensongères. Nous sommes dans la manipulation et dans l’extorsion du consentement) et aussi bien « diplomatique » qu’« intelligent », car ce « choix » demeure totalement compatible avec nos croyances.
Ici encore je pourrai m’auto-valoriser en constatant ma « sagesse » et mon « sacrifice » au service de la collectivité !
Ce sera quand même beaucoup plus flamboyant de s’en convaincre que d’adhérer par lâcheté et par confort comme le fait une grande partie de la population.

–L’auto-trahison sous couvert de compromis

Ah, il fait mal celui-ci!
À la différence du compromis, nous allons aussi renoncer à une partie de nos désirs, mais en essayant de nous auto-convaincre que cela relève d’un « choix » stratégique, de la diplomatie ou de l’intelligence.
Alors même que nous trahissons plus ou moins, consciemment ou pas, nos valeurs !
Le profil sera celui d’une personne qui considère que le masque relève de la muselière, de la maltraitance, et qu’il est totalement inefficace pour lutter contre cette « épidémie ».

Un exemple éclairant est celui du port du masque pour nos enfants.
Nous allons accepter qu’ils le portent (le plus mal possible) en cherchant à nous convaincre que ce n’est pas si grave pour eux aussi bien pour leur état de santé physique que psychique. Nous allons aussi nous réfugier derrière nos impossibilités diverses (et réelles) de retirer nos enfants de l’école ou de nous opposer de pied ferme…
Nous allons ainsi faire notre possible pour nous « acheter une conscience » quand bien même nous nous mentirions à nous-même et nous trahirions nos valeurs.
Ceci est d’autant plus dévastateur pour notre moi qu’il nous renvoie à la notion de limite.
« Où est ma limite ? Vais-je accepter qu’ils soient vaccinés, qu’ils aient un passeport sanitaire, une puce RFID ? »

Un autre exemple, moins douloureux, est de décider de porter le masque sous le nez.
De cette façon, je peux respirer, j’échappe à la contravention (sauf exception) et je peux me convaincre que je suis dans une forme de résistance face à l’oppresseur en regardant tous les « moutons masqués jusqu’aux oreilles ».
Néanmoins, je suis aussi conscient d’obéir en partie à un arbitraire auquel je n’adhère absolument pas et que cette obéissance que je peux penser « intelligente » et
« pragmatique » relève aussi de ma lâcheté.

–Les intransigeances

L’intransigeant se divise en 2 groupes, l’intransigeant héroïque et l’intransigeant fuyant.

  • L’intransigeant héroïque

Il ne transige pas avec ses valeurs et ne met pas de masque, jamais !
Il fréquente les lieux publics, les transports, les magasins tel un super héros.
Son attitude de confiance totale ou guerrière peut lui permettre d’échapper à la police politique, mais c’est quand même très très risqué…

  • L’intransigeant fuyant

Lui non plus ne transige pas avec ses valeurs, mais à la différence de l’intransigeant héroïque, celui-ci abandonne le terrain à l’ennemi.
Je vous avoue humblement que je rentre dans cette catégorie.
Il ne fréquentera que des lieux dans lesquels le risque est limité afin de ne pas s’opposer directement à la police de Vichy.
De fait, il aura une forte tendance à l’auto-confinement.
Si ses valeurs « anti-masque » sont totalement préservées par son attitude, en revanche il pourra vivre l’abandon de terrain aux ennemis comme une forme de trahison de ses valeurs. Il aura tendance à ne pas se trouver extrêmement courageux de ne pas monter au front et d’attendre qu’autrui le fasse pour lui.
En ce sens, il n’est pas seul au club. Nous sommes des millions à être opposés à la dictature et il n’y a pas grand monde dans la rue alors même que les réseaux sociaux ne nous permettront jamais d’en sortir.

–Le renoncement à la lutte

C’est celui qui fait le plus mal à son estime de soi.
Le renoncement à la lutte, « je pense que le masque est inefficace et maltraitant » et pourtant j’obéis, je le mets parfois ou tout le temps…
Imaginez l’état de délabrement de notre conscient ou de notre inconscient.
Bien entendu, nous essaierons de nous rassurer en pensant qu’il n’y a rien à faire, que la guerre est perdue d’avance…
Nous passerons notre cerveau en mode survie, mais à quel prix !

Efficacité de chaque mode de « défense », de fonctionnement, face à la dictature

Je ne reviendrai pas sur l’adhésion ou sur le renoncement ni même sur le compromis consenti qui ne
participent pas à la lutte contre la dictature…

Restent les autres options :

–L’auto-trahison

Dans ce mode de lutte, la dictature n’est pas, ou peu, au fait que je n’adhère pas à ses lois iniques.
Soit elle l’ignorera totalement pendant que mes enfants portent le masque, soit elle verra des petits signes comme un masque sous le nez.
La plupart des spectateurs endormis par la propagande verront en nous, probablement, une personne irresponsable et sans le moindre respect pour les autres, plutôt qu’une forme de résistance.

Je rappelle pour celles et ceux qui l’ignoreraient encore que le port du masque n’a strictement aucune visée sanitaire, mais celle de rendre visible une épidémie dont nous ignorerions totalement l’existence sans les médias et le masque obligatoire.
De fait, le porter sous le nez, voir même sur le cou, rend quand même la menace fantôme visible et c’est l’essentiel.
S’il y avait un virus mortel et que le masque présentait la moindre efficacité, toute personne qui le porterait mal, fumerait, mangerait, etc. serait immédiatement verbalisée et condamnée pour mise en danger de la vie d’autrui.
Ceci confirme qu’il n’est qu’un objet de notre soumission.

Pour rendre la mesure de résistance face à l’oppresseur efficace, il faudrait qu’une écrasante majorité le porte mal pour y voir un symbole de résistance.
Je pourrais dire qu’il en est de même de retirer ses enfants de l’école.
Si le geste est isolé, cela arrange plutôt Vichy qui se débarrasse d’un problème devenu invisible. En revanche, si 10% des élèves sont retirés, le pouvoir rigolera beaucoup moins.

–L’intransigeant héroïque

Il a le mérite d’être totalement en accord avec ses valeurs, mais pour autant son action héroïque peut s’apparenter parfois plus à de la connerie… la frontière entre le débile et le héros est souvent bien mince.
Bref d’un point de vue de lutte contre la dictature, ici encore, seul le nombre rendra le message efficace.

–L’intransigeant qui se réfugie dans ses quartiers

Il est évident que son action ne dérange pas le moins du monde la dictature, ici encore, tant qu’elle reste isolée.
En revanche si des centaines de milliers de personnes limitaient au maximum leur consommation, abandonnaient le terrain de la consommation, ce vide et cette perte de PIB ne sauraient demeurer inaperçus et seraient de nature à vraiment mettre des bâtons dans les roues à la dictature

Nous voyons donc ici que notre façon d’appréhender la dictature n’a que peu d’effet pour lui faire obstacle et que finalement la méthode employée importe relativement peu.
Ici encore, seul le nombre sera de nature à lui causer souci…

On se focalisera donc sur la méthode qui est le plus en accord avec nos valeurs afin de pouvoir continuer à nous regarder dans un miroir dans quelques années lorsque nos enfants et nous-mêmes serons devenus des zombis au service d’une dictature.
Je vous rappelle que les personnes qui n’auront connu que la dictature et qui auront été formatées dès le plus jeune âge comme les enfants, penseront naturellement que tout ceci est « normal ».

Vous êtes-vous posé la question de votre appartenance à une des catégories citées et de sa compatibilité avec vos valeurs ?

L’indispensable compromis ?

Il est d’usage de dire qu’une guerre (avec des militaires) se termine toujours autour d’une table de négociation et donc avec des compromis… et que l’on aurait pu éviter la phase barbarie.
Que nenni !…
L’objectif même du conflit armé est de supprimer autant que faire se peut la négociation.

Le vainqueur décide et le vaincu cède…

C’est ainsi que les conditions de la reddition en 1918 étaient tellement inacceptables pour les Allemands qu’elles ont largement participé à la montée du nazisme et de la Seconde Guerre mondiale.

De l’intérêt donc de la guerre et de l’épreuve de force pour éviter le compromis.

Plus nous serons visibles sur le théâtre des opérations, soit par la chaise vide (retirés du monde capitaliste), soit sur le terrain par la désobéissance civile, et plus nous serons en mesure de faire céder la dictature et retrouver des libertés.

Il va s’en dire que tant que nous continuerons notre petite guerre uniquement sur des réseaux sociaux en jouant au jeu du chat et de la souris de la censure…
Tant que nous nous focaliserons sur ce qui nous sépare et non ce qui nous rassemble, plus la dictature demeurera tranquille pour les prochains mois et prochaines années.

Le dos rond et autres compromissions

Nous avons vu que dans le cadre du port du masque au quotidien, la désobéissance unitaire n’était pas de nature à perturber la dictature. S’opposer pour s’opposer ne présente pas, ou peu, d’efficacité, dès lors que l’on ne conceptualise pas parfaitement l’objectif. Je le dis encore, l’héroïsme face à un ak47 relèverait plus de la connerie que de la bravoure. Pour autant, la réflexion me semble indispensable et je vais pour cela évoquer le problème des manifestations.

Attitude face à la dictature et manifestations (regroupements)

Nous sommes passés d’un régime déclaratif « je vous annonce que… » à un régime d’autorisation
«voulez-vous bien que »… preuve en est, pour ceux qui l’ignoreraient encore, que la France est bien une dictature.

Aujourd’hui, pour être autorisé à manifester, vous devez, à minima, vous engager à respecter ce contre quoi vous vous battez. En clair, vous devez porter un masque, respecter la distanciation et utiliser du gel. Une manif légale contre le système ne saurait se différencier de passants dans la rue…

C’est un peu comme si vous vous engagiez à obliger tous les manifestants d’un mouvement pour la promotion du véganisme à manger un hot-dog au début du rassemblement ! Obliger le port du masque dans un mouvement qui dénonce le port du masque est tout aussi délirant…

Dans la vie, nous avons parfois le choix entre le calcul, la politique et l’intransigeance… Les données sont pourtant limpides… si vous refusez de cocher que vous ferez appliquer la dictature, alors votre manifestation sera interdite — fin de l’épisode.

Si vous déclarez faire respecter les lois de Vichy, mais que vous ne mettez pas en œuvre les moyens permettant de faire respecter cesdites lois, alors l’État fasciste aura toute liberté de vous poursuivre et de vous faire condamner au prétexte que VOS manifestants n’ont pas respecté les règles.

Celles et ceux qui veulent manifester deviennent de fait dans l’obligation de renier certaines de leurs valeurs afin de pouvoir accéder à un espace où la lutte est possible. Imaginez une manifestation pro végane avec des manifestants tenant un hot-dog dans la main. Ce n’est pas plus ridicule que des manifestants anti-masque avec des masques !

Je vous rappelle que je pense que la lutte passe par la rue et la sortie des réseaux sociaux.

Afin de ne pas prendre parti, je vais faire une pirouette et me projeter dans le futur.

Dès lors que la contestation commencera à vraiment inquiéter Vichy, celle-ci sera obligée de restreindre encore plus les conditions de manifestation.

Un moyen le plus simple dans un premier temps sera d’obliger un test PCR négatif pour tous les manifestants et dans un deuxième temps une vaccination obligatoire.

Vous pourriez en rire ou penser que je suis dans la démesure, mais j’imagine que vous serez nombreux à penser que ce sera la réalité dans quelques semaines ou quelques mois. S’il y a un peu plus d’un an nous vous avions décrit notre présent, personne ne l’aurait cru.

Au même titre que pour le hot-dog, allons-nous nous faire vacciner pour manifester contre la vaccination ?

Vous voyez bien qu’il y a une limite et qu’il est donc légitime de se poser la question quant au franchissement de la ligne jaune de nos valeurs dès aujourd’hui… Cette ligne jaune est-elle franchie dès lors que l’on accepte de se plier à l’obligation du port du masque et des gestes barrières dans une manifestation ?

Tout en étant bien conscient que le « fou » qui ose déclarer une manif (fou au sens héroïque) devra bien se protéger et donc demander aux manifestants de respecter l’irrespectable. Je vous avoue bien humblement ne pas avoir le courage de ce « fou » et encore une fois je comprends évidemment que le déclarant est dans l’obligation de « composer avec la dictature » pour ne pas être piétiné par l’arbitraire.

Alors existe-t-il une alternative ? Est-il raisonnable d’anticiper l’inéluctable ?

La solution serait-elle de se passer de permission pour nous réunir ?

Sommes-nous aujourd’hui plus protégés, plus à l’abri de la violence d’État, en nous réunissant dans la rue avec un Ausweis d’autorisation de manifestation (tout en sachant pertinemment que nous ne respecterons pas à la lettre nos engagements écrits) ?

Je ne suis ni juriste ni obergruppenführer, de fait ma réponse sera purement théorique. Si le risque de se réunir par milliers dans la rue sans autorisation nous exposait principalement au dispersement par les forces du mal, cela ne serait pas forcément contre-productif pour réveiller les Français…

Même le fait d’avoir un refus de manifestation pour n’avoir pas coché que l’on obligerait le port du masque pourrait aussi être un outil de lutte contre la dictature. Ce refus pourrait être brandi tel un étendard :

« La police de Vichy interdit une manifestation anti-masque pour non-respect du masque ! »

Bref, je n’ai pas de réponses (définitives), mais je ne suis pas certain que le mode déclaratif soit le plus efficace ni le plus protecteur. Il l’est peut-être encore un peu aujourd’hui, mais si demain un test PCR négatif devient obligatoire alors le débat ne sera plus de mise.

Le carnaval non déclaré de Marseille du 21 mars, réunissant plusieurs milliers de participants, n’est— il pas une preuve que c’est à nous de reprendre nos droits et notre liberté et qu’il est illusoire de demander à la dictature de nous l’accorder via des autorisations qui n’en sont pas ?

Petit bémol, comme à l’accoutumée la réaction politique, médicale et des journalistes a été hystérique pour nous laisser croire que cette fête allait être source de clusters… le mensonge se perpétue.

Merci

Alain Tortosa. 21 mars 2021

Auteur de l’ouvrage « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210321-rapport-a-la-dictature.pdf

Autres textes sur https://7milliards.fr




La bataille judiciaire bat son plein : référé contre les confinements et couvre-feux

Par Nicole Delépine

De multiples plaintes et procédures émanent de différents cabinets d’avocats, contre les masques, les contraventions abusives, les vaccins thérapies géniques, etc..(([1] En vert les quelques commentaires du rapporteur du texte pour les citoyens.))

Nous vous présentons aujourd’hui le très fouillé document de Maître Araujo fourni à la justice. Nous la remercions de ce lourd travail.


ASSIGNATION EN RÉFÉRÉ DEVANT LE PRÉSIDENT DU TRIBUNAL JUDICIAIRE DE PARIS

Le 8 mars 2021 présentée par Maître De Araujo, avocat au barreau de Paris

à la demande de l’association Action 21 France, l’association Wikijustice Julian Assange, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations et 1360 demandeurs personnes physiques – anonymat – assignation à laquelle nous nous sommes joints.(([2] l’association Action 21 France pour objet la défense de la liberté individuelle l’association wikijustice Julian Assange, pour objet la défense des droits de l’homme, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations pour objet le libre choix pour le médecin d’appliquer les méthodes préventives et curatives qu’il entend adopter et, avec l’accord du patient, le droit de les appliquer dans l’exercice de sa profession.))

J’AI, huissier soussigné, DONNÉ ASSIGNATION À : Ministère des Solidarités et de la Santé, représenté par le ministre, le Cabinet du Premier ministre, représenté par le Premier ministre, l’Agent judiciaire de l’État, domicilié au Ministère de l’Économie et des Finances.

À COMPARAÎTRE LE : … Devant le président du tribunal judiciaire de PARIS, tenant l’audience des référés, au palais de justice de PARIS

OBJET DE LA DEMANDE : RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE : quelques extraits libres en tant que plaignante, ci- dessous la totalité de la procédure, références et annexes dans le document intégral :

https://drive.google.com/drive/folders/1Rit6Wh6GYBUHtLPvuGg0F5JSv3bqJwAQ?usp=sharing

extraits libres :

« Malgré toute l’énergie déployée afin de mener à bien leurs projets personnels et professionnels, les demandeurs ont vu leur vie basculer radicalement à la suite des mesures dites de « confinement » et de « couvre-feu », prises au niveau national.

La liberté individuelle de chacun d’eux s’est vue entravée de manière drastique, ce qui a engendré de graves conséquences, tant au niveau de leurs liens sociaux, familiaux et professionnels qu’au niveau de leur santé psychologique et morale. »

Le 16 mars 2020, à la suite d’une coordination européenne le 17 mars 2020, le Premier ministre a présenté au Conseil d’État un projet de loi organique d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19.

 La loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence a  été adoptée dans le cadre d’une procédure accélérée.

En l’espace de quatre jours, les citoyens ont vu leurs libertés réduites à néant du fait l’adoption de deux nouveaux articles.

« Ce ne sont certainement pas les conditions dans lesquelles nous légiférons aujourd’hui, sur le fondement d’un texte connu seulement dans la soirée d’hier, qui permettront d’élaborer un dispositif d’exception pérenne et proportionné. » (([3] relève M. Alain Milon, président de la commission des affaires sociales, rapporteur, au Sénat, en séance du 19 mars 2020 ))

Aux termes du nouvel article L. 3131-12 du code de la santé publique (CSP) : « l’état d’urgence sanitaire peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ainsi que du territoire des collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution et de la Nouvelle-Calédonie en cas de catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population« .

Note de ND : ces mesures ont été particulièrement étonnantes sans rapport avec la réalité de l’épidémie, car le nombre de malades de ce début mars n’était guère supérieur aux épidémies de grippe habituelles, saturant l’hôpital public éventuellement comme chaque année depuis dix ans et les fermetures de lits accumulées. Les soignants manifestaient quelques semaines plutôt pour dénoncer leurs difficultés de travail et s’étaient d’ailleurs fait largement tabasser.

« Les mesures prescrites en application du présent article sont strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. ».

On verra dans les semaines et mois suivants la supercherie de ces affirmations.
La répression s’annonce forte (([4] Aux termes de l’article L3136-1 du Code de santé publique (modifié par Décret n°2021-172 du 17 février 2021 – art. 1) )) :

Le fait de ne pas respecter les réquisitions prévues est puni de six mois d’emprisonnement et de 10 000 € d’amende. La violation des autres interdictions ou obligations est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.

Si les violations prévues sont verbalisées à plus de trois reprises dans un délai de trente jours, les faits sont punis de six mois d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende ainsi que de la peine complémentaire de travail d’intérêt général, et de la peine complémentaire de suspension, pour une durée de trois ans au plus, du permis de conduire lorsque l’infraction a été commise à l’aide d’un véhicule. (…).

Par dérogation aux dispositions de l’article L. 3131-13 du CSP, l’état d’urgence sanitaire a donc été déclaré pour une durée de deux mois à compter de l’entrée en vigueur de la loi du 23 mars 2020. À aucun moment les parlementaires n’ont été mis à même d’évaluer l’utilité, la proportionnalité et le caractère approprié des mesures d’interdiction de sortie du domicile.

MESURES D’INTERDICTION DE SORTIE DE DOMICILE DITES DE « CONFINEMENT » ET DE COUVRE-FEU

Le « confinement national » est une mesure d’interdiction de sortie du domicile concernant l’ensemble de la population.

Le Premier ministre le reconnaît devant le Sénat le 19 mars 2020 :

« Ces mesures sont massives, draconiennes ; jamais notre pays n’avait connu des mesures de restriction aussi générales et rigoureusessur l’ensemble de son territoire. » 

Au moment de la mise en place du premier « confinement », la loi ne prévoyait pas la possibilité de mettre en place une telle mesure d’interdiction de sortie des citoyens et cela n’avait d’ailleurs jamais existé de toute notre histoire.

[sauf lors de l’occupation par les nazis].

En effet, l’article L3131-1 du CSP alors en vigueur disposait que :

« En cas de menace sanitaire grave appelant des mesures d’urgence, notamment en cas de menace d’épidémie, le ministre chargé de la santé peut, par arrêté motivé, prescrire dans l’intérêt de la santé publique toute mesure proportionnée aux risques courus et appropriée aux circonstances de temps et de lieu afin de prévenir et de limiter les conséquences des menaces possibles sur la santé de la population. »

Or, par un décret n°2020-260 du 16 mars 2020, le Premier ministre décrète:

« Afin de prévenir la propagation du virus covid-19, est interdit jusqu’au 31 mars 2020 le déplacement de toute personne hors de son domicile à l’exception des déplacements pour les motifs suivants, dans le respect des mesures générales de prévention de la propagation du virus et en évitant tout regroupement de personnes »

Et vous avez tous connu la suite du second confinement!

Par un décret (([5] n° 2020-1310)) du 29 octobre 2020il a de nouveau été décidé que : (([6] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143)) Tout déplacement de personne hors de son lieu de résidence est interdit à l’exception des déplacements pour les motifs suivants, en évitant tout regroupement de personnes

La seconde période de confinement a été étendue jusqu’au 14 décembre 2020

Note ND : Et le 17 mars 2021, le gouvernement a à nouveau reconduit des mesures de confinement se rajoutant au couvre-feu imposé depuis décembre 2021 conformément aux injonctions sous forme de prévisions de Ferguson conseiller modalisateur de l’OMS et de la Grande- Bretagne.

Néanmoins ce nouveau confinement est hybride devant la colère des peuples montante partout dans le monde.

Par temps de paix, les demandeurs ont donc subi des mesures de confinement attentatoires à leur liberté individuelle :

du 17 mars 2020 au 11 mai 2020 (soit 1mois et 25jours), et

du 30 octobre 2020 au 14 décembre 2020 (soit 1mois et 17jours).

(note ND et Une troisième fois depuis cette date, couvre-feu puis confinement).

Par temps de paix, des mesures dites de « couvre-feu » ont été mises en place.
Le total cumulé des périodes confinement/couvre-feu correspond : période de plus de six mois étalés depuis le début de la crise.

Tout citoyen contrevenant à l’une des mesures dites « de confinement » ou de « couvre-feu » est passible d’une amende d’un montant de 135 euros en cas d’infraction, d’une amende de 1 500 euros en cas de récidive puis d’une peine d’emprisonnement, cette fois en milieu carcéral.

JUSTIFICATIONS INVOQUÉES À CES PRIVATIONS DE LIBERTÉ

Ces décrets seraient justifiés par les résultats des campagnes massives de dépistage du virus grâce à l’utilisation de tests RT-PCR non fiables, pourtant validés par des arrêtés signés par le ministre de la Santé (Annexe 1).

Ces mesures d’une extrême gravité et manifestement illégales, ont porté atteinte, et continuent de porter atteinte à la liberté individuelle des demandeurs, lesquels n’ont pourtant jamais représenté de danger (même sanitaire) pour la sécurité ou l’ordre public, ni menacé de commettre une infraction prévue par le Code pénal.

C’est pourquoi, dans cette situation d’extrême urgence, les demandeurs ont assigné les défendeurs en référé, aux fins de voir cesser la violation de leur liberté individuelle et aux fins de voir réparer leur préjudice moral découlant de cette violation.

EXPOSÉ DES MOYENS EN FAIT ET EN DROIT sur les demandes en référé

Les justifications citées par l’avocate reposent sur

la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen conquise en 1789 :
les actes du pouvoir exécutif ne peuvent être respectés par le peuple que si ces actes respectent eux-mêmes les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme.(([7] « Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »))

Sur l’obligation de sagesse, de justice et de raison des lois :

« Les lois ne sont pas de purs actes de puissance ; ce sont des actes de sagesse, de justice et de raison. Le législateur exerce moins une autorité qu’un sacerdoce.
Il ne doit point perdre de vue que les lois sont faites pour les hommes, et non les hommes pour les lois ».(([8] Extrait du discours préliminaire sur le projet de Code civil de Jean-Etienne-Marie PORTALIS, présenté le 1er pluviôse an IX).))

Sur lobligation dune justice indépendante afin datteindre ou de conserver le statut d’« État de Droit »

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution »
Lorsque les droits de l’Homme sont bafoués, seule une justice indépendante fait alors office de rempart.

Depuis l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2001, de la loi du 30 juin 2000, la justice administrative s’est progressivement arrogé le pouvoir de juger de l’ensemble des atteintes aux droits fondamentaux.

Or, dans le cadre de la crise de Covid-19, constitue -t-elle véritablement une justice indépendante ?

Notre réponse à cette question sera la même que celle formulée par Anselme BATBIE

« Nous ne considérons pas comme une garantie vaine celle qui résulte de l’examen par le Conseil d’État. Mais il est difficile d’admettre que chez nous, après tout ce qui a été dit pour demander que nul ne soit distrait de ses juges naturels, nous en soyons arrivés à placer les droits les plus essentiels sous la protection d’un corps semi-politique et composé de membres révocables, qu’après avoir tant de fois entendu demander que le contentieux administratif fût restreint ou même supprimé, on mette sous la protection de cette justice tant attaquée autrefois les droits essentiels de l’homme vivant en société ».(([9] A. BATBIE, Traité théorique et pratique de droit public et administratif, 2e éd., 1885-1886, t. VII, p. 409 et s., cité par E. DESGRANGES, préc., p. 154, sénateur et auditeur au Conseil d’État en 1847))

Aujourd’hui en France, l’autorité judiciaire indépendante est la seule Gardienne Naturelle de nos Libertés et Droits fondamentaux. 

Les évènements récents exigent plus que jamais l’intervention du Juge Judiciaire indépendant afin que les atteintes aux libertés et le mépris des Droits de l’Homme dont fait preuve le pouvoir exécutif cessent immédiatement et soient sanctionnés.

L’existence d’une voie de fait emporte immédiatement compétence du juge judiciaire.(([10] (T. confl., 30 octobre 1947 : Rec. CE, p.511; JCP G 1947, II, 3966, note Fréjaville ; RD publ. 1948, p.86, note Waline; D. 1947, p.476, note P.L.J.).))

La seule constatation d’une voie de fait ouvre droit à réparation soit contre l’Administration soit contre le bénéficiaire de la voie de fait.

Depuis l’arrêt du Tribunal des conflits en date du 17 juin, il y a voie de fait de la part de l’administration dans la mesure où l’administration :

  • soit a procédé à l’exécution forcée, dans des conditions irrégulières, d’une décision, même régulière, portant atteinte à la liberté individuelle
  • soit a pris une décision qui a les mêmes effets d’atteinte à la liberté individuelle ou d’extinction d’un droit de propriété et qui est manifestement insusceptible d’être rattachée à un pouvoir appartenant à l’autorité administrative.

Le Conseil Constitutionnel a eu maintes fois l’occasion de le rappeler, toute mesure de procédure de nature à porter atteinte à la liberté individuelle doit être placée sous le contrôle de l’autorité judiciaire.

En cas de voie de fait, le juge judiciaire peut non seulement constater l’atteinte à la liberté individuelle commise par l’administration et en réparer les conséquences dommageables, mais aussi la faire cesser.

En l’espèce, le Premier ministre et le ministre de la Santé ont commis plusieurs voies de fait en prenant des actes manifestement insusceptibles de se rattacher à un pouvoir leur appartenant, portant ainsi atteinte à la liberté individuelle des demandeurs.

Il y a VOIE DE FAIT LORSQUE DES DÉCISIONS SONT MANIFESTEMENT INSUSCEPTIBLES D’ÊTRE RATTACHÉES À UN POUVOIR APPARTENANT À L’AUTORITÉ ADMINISTRATIVE

Par principe seule l’autorité judiciaire peut prendre des mesures limitatives ou privatives de liberté. L’Habeas Corpus à la française figure à l’article 66 de la Constitution du 4 octobre 1958.

L’Habeas corpusénonce la liberté fondamentale, selon laquelle personne ne peut être emprisonné sans jugement, contraire de l’arbitraire qui permet d’arrêter n’importe qui sans raison valable. Ildispose que :

« Nul ne peut être arbitrairement détenu. L’autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi. »

FONDEMENTS JURIDIQUES

L’article 7 contient la formule suivante :

« Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ».

-L’article 9 :

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».  

La Déclaration (([12] du 10 décembre 1948)) pose les principes :

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. »

« Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales (cf texte in extenso joint)

Toute personne victime d’une arrestation ou d’une détention dans des conditions contraires aux dispositions de cet article a droit à réparation. »

L’article 9 :

« Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu, ni exilé. »

  • le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (ONU, 16 décembre 1966) dispose :Tout individu victime d’arrestation ou de détention illégale a droit à réparation. »

BLOC CONSTITUTIONNEL NORME SUPRÊME ET HIÉRARCHIE DES NORMES

La hiérarchie des normes applicable en France place le bloc constitutionnel et le bloc conventionnel au-dessus du bloc législatif et du bloc réglementaire, le bloc constitutionnel étant la norme suprême.

Par conséquent, les normes rappelées ci-dessus sont de valeur supérieure à la loi récente n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence et aux articles L. 3131-12 et L. 3131-15 du CSP issus de cette loi et aux suivantes.

La loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 (([13] https://www.senat.fr/seances/s202003/s20200319/s20200319_mono.html#Niv1_SOM6)) prétendait s’inspirer de la loi du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence, elle s’en écarte largement. Ainsi le Parlement se voit empêché d’exercer un quelconque contrôle sur cette action, au mépris de l’article 24 de la Constitution du 4 octobre 1958 et le juge judiciaire est écarté en violation de l’article 66 de la Constitution.

En ce sens, la loi du 3 avril 1955 est beaucoup plus protectrice des droits des personnes.

Ce contrôle n’est pas prévu par la loi d’état d’urgence sanitaire.

Nous affirmons que le traitement des citoyens sous le régime de l’état d’urgence sanitaire est contraire à l’Habeas Corpus et aucun argument ne pourra venir contredire cette vérité.

En conclusion : Jusqu’à présent les régimes dérogatoires, limitatifs ou privatifs de la liberté individuelle, ont toujours prévu l’intervention du juge judiciaire, que ce soit dans le but de lutter contre le terrorisme ou que ce soit dans le domaine de la santé, conformément à notre État de Droit.

Ceci contrairement à l’article L3131-15 du CSP qui permettrait au Premier ministre et au ministre de la Santé d’interdire aux citoyens de sortir de leur domicile (il s’agit bien d’une mesure limitative ou privative de liberté), sans que cet article ne prévoie un contrôle, même a posteriori, de cette mesure par le juge judiciaire.

De même l’article L3136-1 du CSP nouvellement rédigé, prévoie des peines d’amende et d’emprisonnement conséquentes et de fait incontestables devant le juge judiciaire et apporte la précision suivante :

« L’application de sanctions pénales ne fait pas obstacle à l’exécution d’office, par l’autorité administrative, des mesures prescrites en application des articles L. 3131-1 et L. 3131-15 à L. 3131-17 du présent code. »

En effet, en dehors de la procédure d’urgence en référé-liberté et le recours pour excès de pouvoir devant le juge administratif, aucune voie de droit devant le juge judiciaire n’est prévue par ce dispositif aux fins de contestation des mesures d’interdiction de sortie de domicile.

CARACTÈRE INCONSTITUTIONNEL DE CES PRIVATIONS DE LIBERTÉ

Le Premier ministre et le ministre de la Santé ne pouvaient disposer d’un tel pouvoir d’interdiction de sortie du domicile à l’encontre des citoyens, sans qu’aucun contrôle du juge judiciaire ne soit prévu par l’article L. 3131-15 du code de la santé publique, lequel revêt de ce seul fait un caractère inconstitutionnel et entre en contradiction avec les conventions signées par la France.

Les décisions de confinement et de couvre-feu sont manifestement insusceptibles de se rattacher à un pouvoir de l’administration.

« Un tel dispositif devrait être supprimé purement et simplement du code de santé publique, car il entre en contradiction avec toutes les règles et les valeurs les plus fondamentales de notre démocratie. » Ce dispositif est une voie de fait en lui-même, oserais-je, dire un coup d’État à lui seul. 

Heureusement le bloc constitutionnel et les conventions signées par la France sont là pour rappeler qu’un tel dispositif ne saurait exister et perdurer en France, pays des droits de l’homme.

Si par extraordinaire, vous jugiez néanmoins que l’administration avait le pouvoir de prendre de telles décisions, manifestement et gravement attentatoires à la liberté individuelle des citoyens, nous démontrerons par ailleurs que l’administration a procédé à l’exécution forcée de ces décisions dans des conditions irrégulières.

VOIE DE FAIT LORSQUE L’ADMINISTRATION A PROCÉDÉ À L’EXÉCUTION FORCÉE, DANS DES CONDITIONS IRRÉGULIÈRES, D’UNE DÉCISION ADMINISTRATIVE MÊME RÉGULIÈRE

Les événements dans lesquels l’état d’urgence est justifié doivent non seulement être graves, mais aussi imprévisibles et intempestifs.

Or, on ne peut plus considérer aujourd’hui que l’épidémie de Covid-19 est un événement imprévisible et intempestif un an après le début de ladite épidémie. La Cour constitutionnelle de l’Équateur a annulé l’état d’urgence déclaré par le président de ce pays le 10 décembre 2020 en relevant justement que l’épidémie de Covid-19 n’était plus un événement imprévisible et intempestif.(([14] réunie en session plénière, dans une décision n°1217 en date du 27 décembre 2020, ►http://esacc.corteconstitucional.gob.ec/storage/api/v1/10_DWL_FL/e2NhcnBldGE6J3RyYW1pdGUnLCB1dWlkOicyYzM2ZDg1NC1iZDFjLTRkMWQtYjBkZS0xZGJjYWNmYjc3ZTcucGRmJ30=
https://q4kspolmx3an7phvn4omlnkwau–www-elcomercio-com.translate.goog/actualidad/corte-constitucional-decreto-excepcion.html))

La situation « gravissime » utilisée par le pouvoir depuis un an est une mascarade (ND)

En France, les mesures de confinement et de couvre-feu ont été prises afin de juguler le risque sanitaire, dit d’une particulière gravité par le gouvernement engendré par l’épidémie de Covid-19.

Or on évalue le degré de gravité d’une épidémie par le taux de mortalité, en ce qui concerne le Covid-19 très faible: 0,03 à 0,05%.Le taux de létalité est de 0,12 à 0,14% sans soins avec 2,6 comorbidités en moyenne et un âge médian de 83 ans.

« La COVID-19 a un taux de létalité réel similaire à celui de la grippe saisonnière » Pr John Ioannidis, 17 avril 2020).

Il n’y a donc aucune justification concernant ces mesures non seulement disproportionnées, mais aussi non scientifiques.Ces mesures attentatoires à la liberté individuelle ont été exécutées de manière forcée dans des conditions irrégulières.

LA MESURE D’INTERDICTION AUX PERSONNES DE SORTIR DE LEUR DOMICILE AURAIT DÛ ÊTRE JUSTIFIÉE :

Absence de publication du rapport du ministre et prise en compte aveugle des données OMS

Le ministre n’a pas su prendre en compte les observations rendues publiques à la suite de la « pandémie » H1N1 de 2009 ni s’interroger quant à la réalité de l’urgence sanitaire et sur le recul qu’il est nécessaire d’observer face aux recommandations de l’OMS.

Pourtant, des experts indépendants (sans lien d’intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques) ont contesté à de nombreuses reprises les communications alarmantes de l’OMS. Des protocoles particuliers, dont le plan national de prévention et de lutte contre les pandémies, existent en France depuis 2004.(([15] Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul FLYNN en date du 7 juin 2010))

Il ressort clairement de ce rapport qu’aucun État membre à ce jour ne peut se fonder uniquement sur les recommandations de l’OMS pour déclarer l’État d’urgence sanitaire au niveau national, car la gouvernance de l’OMS ne présente à ce jour aucune assurance quant à ses réels objectifs, organisme majoritairement financé par des fonds privés provenant de sociétés ou fondations détenant des laboratoires pharmaceutiques. Information désormais de notoriété publique.

Le rapport de la Cour des comptes septembre 2010, intitulé « l’utilisation des fonds mobilisés pour la lutte contre la pandémie grippale A(H1N1)(([16] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-270-annexe.pdf)) rappelle :

« Le plan national de prévention et de lutte contre la pandémie grippale est le document stratégique réunissant sous une forme synthétique le fruit opérationnel des réflexions menées de façon interministérielle depuis 2004 et la première alerte pandémique mondiale. Il a pour vocation dorganiser la réponse des autorités en cas de pandémie grippale.

le plan « pandémie grippale » de l’OMS et le ministère de la Santé disposent par ailleurs de très nombreux conseils, comités et commissions quil peut consulter et saisir dans le cadre de leurs compétences.Or, durant la crise du Covid-19, ces experts et Comités n’ont pas été consultés à titre principal, un nouveau Conseil scientifique a été mis en place et le plan national de prévention et de lutte contre la pandémie semble avoir été écarté.

Le ministère sait donc pertinemment qu’une immunité croisée peut réduire le taux de létalité d’un virus, que le système hospitalier doit être en capacité d’offrir des soins de qualité, et que les traitements précoces ont un impact décisif.

Dans ce rapport, il n’est absolument pas question de mesure d’interdiction de sortie du domicile. Cette mesure n’est d’ailleurs jamais mentionnée et les plans d’urgence n’ont jamais prévu de telles mesures liberticides aux fins d’enrayer une épidémie.

  • Les citoyens n’ont pas accès à la documentation du Conseil scientifique

Par un avis n°20204259 du 10 décembre 2020, la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) reconnaît qu’il n’existe aucun enregistrement ou compte rendu des séances du Comité scientifique Covid-19 qui propose au gouvernement les mesures liées à la crise sanitaire. De même, aucune liste des experts sollicités n’est accessible, contrairement à ce que prévoient la loi et le règlement.

Les députés ont également demandé ces éléments puisqu’ils n’y ont pas accès en empêchant par là même le contrôle du Gouvernement.(([17] https://www.agnesthill.fr/2021/01/question-ecrite-n-35725-comptes-rendus-du-conseil-scientifique-covid-19/
Ainsi, une question écrite de Madame Agnès THILL, députée de l’Oise a été déposée le 26 janvier 2021 afin de réclamer les documents, qui ont fait l’objet de l’avis précité de la CADA))

Note ND :
TOUT EST OPAQUE ET LE GOUVERNEMENT N’A PAS SUIVI LES RECOMMANDATIONS INTERNATIONALES ET NATIONALES PAR CE QUE SA FEUILLE DE ROUTE EST AILLEURS ET SUIT RIGOUREUSEMENT COMME LA PLUPART DES PAYS OCCIDENTAUX LES DIRECTIVES DE L’OMS ET DU PLAN DAVOS
(([18] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont))

Dans la partie suivante, l’avocate explique que l’ensemble des mesures repose non pas sur une épidémie de malades, mais sur une épidémie de tests. Elle rejoint par-là les procédures internationales en cours, initiées par l’avocat allemand Reiner Fuellmich par un comité international dit corona créée en juillet 2020 à Berlin.

PANDÉMIE DE « TESTS POSITIFS »

D’après les arrêtés de validation pris par le ministre (Annexe 1), le test virologique PCR permettrait de savoir, au moment où on le réalise, si une personne est infectée par le coronavirus. CECI EST UNE SUPERCHERIE INTERNATIONALE.

De ce fait, nous assistons depuis plusieurs mois à des campagnes de dépistage par utilisation de PCR produisant une quantité importante de faux positifs (faux infectés/faux malades), de laquelle découle des mesures liberticides et mortifères, notamment les mesures de confinement et de couvre-feu, port du masque obligatoire, quarantaine, codes couleurs, interdiction de voyager, traçage, distanciation sociale (et maintenant, campagne matraquage pour la vaccination portant le rêve de passeport sanitaire et donc de coercition sans justification du peuple)

(Annexe 1).

« Un test PCR positif ne peut pas vous dire que vous êtes malade, car avec ce test, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui». (([19] Pourtant, l’inventeur du test PCR (créé en 1983), le Docteur Kary Mullis, lauréat du prix Nobel de chimie en 1993, a déclaré dans une interview))

Le drame est venu de la supercherie organisée par le conseiller de Me Merkel, C. Drosten qui a publié en urgence en janvier 2020 un papier sur le test PCR et en 48 h l’OMS a déclaré ce test valide et imposé dans le monde entier. La tromperie est largement démontrée depuis le printemps 2020, mais le pouvoir de l’OMS et affidés plus celui des médias appartenant aux milliardaires continue à l’imposer sous toutes ses formes jusque maintenant, alimentant la peur et la croyance au virus.

-Pourtant, l’étude scientifique du 27 septembre 2020 de 22 chercheurs démontre que ces travaux présentent dix erreurs majeures qui rendent les tests invalides pour le diagnostic d’infection par Sars-CoV-2.(([20] Review Report by an International Consortium of Scientists in Life Sciences (ICSLS) – Corman-Drosten et al., Eurosurveillance 2020: analyse indépendante « par les pairs » de l’article original de Drosten et Corman ,
https://cormandrostenreview.com/report/))

« L‘utilisation des tests PCR en tant que méthode de mesure des infections, n’est pas seulement un non-sens scientifique, mais a apparemment été délibérément conçue pour créer autant de faux positifs que possible (et paniquer ainsi le monde). »

Cette trop grande sensibilité du test RT-PCR est délétère et nous induit en erreur !

Les paramètres d’interprétation ont finalement été rappelés par l’OMS le 13 janvier 2021 mis à jour le 20 jan 2021 concernant les tests PCR : l’OMS reconnaît l’existence d’un grand nombre de faux résultats positifs liés notamment au seuil de cycle et par là même la non-fiabilité des tests RT-PCR. Elle reconnaît qu’il s’agit d’une aide au diagnostic, pas d’un diagnostic en tant que tel.

Manifestement, le gouvernement français actuel n’en tient AUCUN COMPTE

En conclusion, concernant l’épidémie de tests : nous réclamons l’arrêt de l’utilisation du nombre de cas « positifs » par tests PCR additionné au nombre de cas « positifs » par test antigénique issus de Contact Covid, afin d’alimenter la peur au sein de la population et tenter de justifier l’ensemble des mesures liberticides et notamment l’interdiction de sortie des citoyens de leur domicile.

Pour mémoire, d’après l’article 432-5 du Code pénal :

Le fait, par une personne visée à l’alinéa précédent ayant eu connaissance, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’une privation de liberté dont l’illégalité est alléguée, de s’abstenir volontairement soit de procéder aux vérifications nécessaires si elle en a le pouvoir, soit, dans le cas contraire, de transmettre la réclamation à une autorité compétente, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende lorsque la privation de liberté, reconnue illégale, s’est poursuivie. »

CHANGEMENT DU TAUX D’INCIDENCE OU DE PRESSION ÉPIDÉMIQUE AFIN DE LÉGITIMER L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE :

le taux d’incidence ou de pression épidémique (nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants, sur une période de sept jours) : le seuil épidémique pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux) depuis 1985 et jusqu’à 2018 (dernière année pour laquelle le réseau Sentinelles a publié un bilan annuel(([21] https://www.sentiweb.fr/document/4633)) a constamment été fixé entre 150 et 200 cas pour 100.000 habitants.

Jamais un seuil épidémique n’a été fixé à 50 cas pour 100 000 habitants, comme c’est le cas depuis mai 2020.Ce changement de seuil permet de manipuler l’opinion publique.

NOMBRE ARTIFICIEL DE DÉCÈS CAUSÉS PAR LE COVID-19 :

De nombreux témoignages (de médecins notamment remettent en cause les formulaires de déclaration de décès) : un grand nombre de personnes décédées d’accident ou d’autres maladies a été porté à tort au nombre des décédés de la maladie Covid-19.

Les tensions hospitalières et traitements sont récurrents depuis des années et ne justifient en rien le coronacircus actuel. Depuis décembre 2020, les « Réas » incluent Réas, Soins Intensifs & Unités de Surveillance Continue((22] https://dashboard.covid19.data.gouv.fr/vue-d-ensemble?location=FRA)) soit une capacité totale de près de 20.000 lits et non de 5.000 lits, comme l’indique le gouvernement relayé par les médias.

Les traitements disponibles et efficaces n’ont pas été conseillés pour soigner la maladie de Covid-19 (voire interdits) alors que bon nombre d’entre eux sont utilisés à travers le monde : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, Artemisia, vitamine D, zinc O2, aspirine… (plus de 300 études et plus de 3500 scientifiques font part de ces traitements et de leurs résultats)(([23] ​HCQ études scientifiques et résultats : https://hcqmeta.co
Ivermectine études scientifiques et résultats : https://c19ivermectin.com/)). Des antibiotiques à spectre large couplés à des corticoïdes sont également utilisés pour soigner, mais rien ne peut être dit publiquement (sous peine de sanctions par l’ordre des médecins).

La mesure d’interdiction aux personnes de sortir de leur domicile doit être proportionnée aux risques sanitaires encourus

MÊME LE CONSEIL SCIENTIFIQUE SE DÉDIT, MAIS NE PEUT PUBLIER QU’À L’ÉTRANGER. CURIEUX ?

Par une lettre publiée par The Lancet le 18 février 2021, certains membres du Conseil scientifique (Annexe 5) proclament : « La lutte contre l’évasion immunitaire nécessitera une réévaluation des stratégies de santé publique et la création d’un nouveau contrat social fondé sur des preuves.

Il est donc temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, basées sur un confinement généralisé, en apparence aléatoire, comme principale réponse à la pandémie. (…)

L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, et le pire est à venir en ce qui concerne les niveaux de chômage et de dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient peu menacées en termes de morbidité et de mortalité par l’infection par le SRAS-CoV-2. (…)

Bien qu’il soit attrayant pour de nombreux scientifiques et qu’il constitue une mesure par défaut pour les dirigeants politiques qui craignent d’être tenus pour légalement responsables de la lenteur ou de l’indécision des réponses nationales, son utilisation doit être revue, mais seulement en dernier recours. »

Constat accablant, les membres du Conseil scientifique reconnaissent que les mesures d’interdiction de sortie du domicile ne sont pas fondées, ont des conséquences dévastatrices et qu’elles n’ont été prises que pour couvrir les risques de mise en cause de la responsabilité juridique de nos dirigeants.

Constat confirmé par une étude de l’Université de Stanford en date du 12 janvier 2021(([24] Constat confirmé par une étude de l’Université de Stanford en date du 12 janvier 2021, en comparant les courbes épidémiques de huit pays ayant adopté des mesures autoritaires (fermeture d’entreprises, couvre-feu, confinement) avec celles de deux pays s’étant contentés de conseils à la population, il s’avère qu’il n’y a pas de résultats significativement différents dans les deux groupes)) « les décrets de confinement obligatoire à domicile et de fermeture d’entreprise ne semblent pas avoir eu d’avantages substantiels sur la croissance des cas dans les huit pays aux premiers stades de la pandémie. Des réductions similaires de la croissance des cas peuvent être réalisables avec des changements de comportement résultant d’interventions moins restrictives.

Près de 35 000 scientifiques et de praticiens de médecine ou de santé publique ont signé le 4 octobre 2020 la Déclaration de Great Barrington (États-Unis)(([25] https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/ rédigée par trois chercheurs des universités Stanford, Oxford et Harvard)) qui affirme que:

« Les politiques actuelles de confinement et couvre-feu produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme ». Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice. 

Conserver ces mesures en attendant quun vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées. 

« Nous sommes de simples médecins, mais dès le 21 mars 2020 nous dénoncions dans une tribune le caractère non scientifique, médicalement stupide, socialement et économiquement désastreux dune telle mesure. Le 27 mars, nous récidivions espérant ainsi réveiller les réflexions dune population tétanisée par la peur créée par une propagande dune intensité jusque-là inégalée en France. En vain.

L’expérience marseillaise de l’an 1720:

Nous rappelions que le confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants) navait jamais fait la preuve de son efficacité dans le monde réel et quenfermer ensemble malades et bien portants avait un grand risque daccélérer les contagions.

Cela avait été démontré lors de la grande peste de Marseille de 1720 où le confinement militaire strict avait abouti à la mort de la moitié de la population de la cité, sans empêcher la propagation de l’épidémie à la Provence et à l’Italie. La comparaison, d’après les chiffres de lOMS, des évolutions de l’épidémie en Belgique confinée et aux Pays-Bas non confinés a malheureusement confirmé nos craintes. »

Nous relevons effectivement que le confinement participe à l’augmentation inquiétante des suicides et des maladies mentales. En effet, des médecins psychiatres constatent que les mesures de confinement sont nocives pour la population et que ces mesures privatives de liberté causent de réelles atteintes à la dignité et à l’intégrité physique, psychique et morale de chaque citoyen, d’autant plus si les interventions médiatiques des autorités administratives contribuent à engendrer un climat de peur et de terreur.

Des études scientifiques vont également dans le sens d’une corrélation entre les mesures de confinement et l’apparition de maladies mentales, notamment chez les jeunes individus (prévalence de la dépression et de l’anxiété).(([28] Association of Home Quarantine and Mental Health Among Teenagers in Wuhan, China, During the COVID-19 Pandemic
https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2775249?guestAccessKey=04af0d22-d94d-435d-8c8e-afb5ad0de5a7&utm_source=silverchair&utm_medium=email&utm_campaign=article_alert-jamapediatrics&utm_content=olf&utm_term=011921))

« Nos gouvernants et nos parlementaires, du fait de leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.

Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres -ici au virus mortel-, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun, car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. (…) Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement na plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées.

Les mesures de distanciation resteront la règle. Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates dapparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés. Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert dassurer leur salut. Ce qui fait lhumain, sa capacité à tisser des liens, son besoin dentrer en contact avec lautre est menacé. Le tissu social sest dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. »

Une étude chinoise publiée le 20 novembre 2020, faite à Wuhan sur la base de 10 millions de personnes (représentant 94,1% de la population de Wuhan – méta-analyse), a démontré que les personnes asymptomatiques ne sont pas contaminantes: la pratique généralisée des tests PCR au sein d’une population est donc parfaitement inutile.(([29] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020):
https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w))

Dans la mesure où seuls les malades symptomatiques sont contagieux, comme le prouve cette très large étude portant sur 10 millions de Chinois,il n’existeAUCUNE RAISON de confiner la population saine. Il suffit d’isoler les personnes véritablement malades.

LA JURISPRUDENCE INTERNATIONALE

La Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine (([30] https://reseauinternational.net/cour-constitutionnelle-de-bosnie-herzegovine-la-mesure-de-restriction-de-mouvement-et-de-port-de-masques-est-une-violation-des-droits-humains-fondamentaux-affaire-ap-3683-20/ Par une décision du 22 décembre 2020, la 120e session ordinaire du Grand Conseil (Affaire AP-3683/20)
http://www.ustavnisud.ba/dokumenti/_bs/AP-3683-20-1262390.pdf)) a déclaré que les décisions de la cellule de crise sur l’interdiction de circuler et le port obligatoire de masques de protection sont « une ingérence dans les libertés et droits fondamentaux de l’homme garantis par la Constitution de la Bosnie-Herzégovine et la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme».

La Cour de Rome (Italie) (([31] https://cv19.fr/2020/12/26/italie-la-cour-de-rome-declare-que-les-decrets-ministeriels-anti-coronavirus-sont-illegitimes-les-libertes-et-les-droits-constitutionnels-violes/ section civile 6, dans l’ordonnance n. 45986/2020 R.G. du 16 décembre 2020
https://ia801802.us.archive.org/7/items/ordonnance-45986-2020-du-tribunal-de-rome/Ordonnance%2045986-2020%20du%20tribunal%20de%20Rome.pdf)) déclare que les décrets ministériels anti-coronavirus sont illégitimes et les droits constitutionnels violés.

Une décision du Tribunal de Weimar (Allemagne)(([32] https://openjur.de/u/2316798.html en date du 11 janvier 2021, n° 6 OWi – 523 Js 202518/20)),selon laquelle en imposant une mesure de confinement strict, le gouvernement régional a violé la dignité humaine garantie comme étant un droit fondamental inviolable par la loi allemande, que de ce fait cette mesure est inconstitutionnelle.

Ledit Tribunal a observé que le confinement était « une décision politique catastrophique et erronée, avec des conséquences dramatiques dans tous les domaines de la vie des citoyens » les qualifiant par là même d’attaque disproportionnée contre les fondements de la société.

Le Tribunal de Mannheim (Allemagne)(([33] https://www.badische-zeitung.de/suedwest-1/gericht-kippt-naechtliche-ausgangssperre-in-baden-wuerttemberg)) a jugé le couvre-feu illégal(([34] https://www.stuttgarter-zeitung.de/inhalt.urteil-zu-corona-massnahme-gericht-hebt-naechtliche-ausgangssperre-in-baden-wuerttemberg-auf.c11554f0-3671-43b0-89d9-d4422f5ef84b.html décision sans appel en date du 8 février 2021.)).

La Cour de La Haye (Pays-Bas)(([35] https://uitspraken.rechtspraak.nl/inziendocument?id=ECLI:NL:RBDHA’2021’1100 décision en date du 16 février 2021 (C/09/607056 / KG ZA 21-118).)) a jugé le couvre-feu illégal et observé qu’avant d’introduire une restriction de grande envergure telle qu’un couvre-feu, il doit être clair qu’il n’existe pas d’autres mesures de moindre envergure et que l’introduction du couvre-feu aura effectivement un effet substantiel.

Ces décisions émanant de différents pays d’Europe démontrent que les magistrats en charge de ces affaires font le même constat concernant l’inutilité des mesures de confinement et de couvre-feu et de leur nocivité.

CONCLUSION DE L’ASSIGNATION EN RÉFÉRÉ DU MINISTRE DE LA SANTÉ ET DU PREMIER MINISTRE

Le confinement et le couvre-feu n’entraînent ni réduction des taux de transmission de la maladie Covid-19, ni réduction du nombre des décès.

Seuls les individus présentant les symptômes (donc « malades ») doivent être soignés avec l’un des traitements disponibles et éventuellement isolés à la suite du diagnostic d’un médecin, seule habilité à prendre des décisions d’ordre médical pour chacun des patients visés.

Le confinement et le couvre-feu sont des mesures politiques disproportionnées et dramatiques, qui n’ont pas fait l’objet d’une évaluation empirique préalable de la part du pouvoir exécutif et qui ne sont pas recommandées lorsque d’autres solutions sont disponibles suivant une majorité d’études scientifiques.

En revanche, il est démontré que ces mesures portent une atteinte grave à la liberté individuelle des citoyens, à la dignité humaine et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation.

Des professionnels de santé du collectif international United Health Professionals(([36] Plus de 1,500 membres (y compris des professeurs de médecine, d’anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’Océanie ont adressé un courrier le 12 février 2021 au président de la France, au Premier ministre et au ministre de la Santé dont voici un extrait (Annexe 7) et adressé à des chefs d’État des cinq continents.)) ont interpellé les chefs d’État du monde entier.

« Levez toutes les restrictions.Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF.

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme…Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas » (Pr Peter Gøtzsche, 4 décembre 2020). (…) »

Pour l’ensemble des raisons exposées ci-dessus, nous affirmons que le Premier ministre et le ministre chargé de la santé ont donc bel et bien de manière évidente procédé à l’exécution forcée de décisions administratives dans des conditions irrégulières, portant ainsi manifestement atteinte à la liberté individuelle des demandeurs.

En outre, étant donné que la qualification de catastrophe sanitaire n’est absolument pas démontrée ni justifiée par le pouvoir exécutif, le droit commun s’applique.

Ces mesures d’interdiction de sortie du domicile sans justification sanitaire sont qualifiables en réalité de mesures d’assignation à résidence, pour reprendre les termes communément applicables en droit pénal, car il ne s’agit pas d’autre chose.

Ces mesures d’interdiction de sortie du domicile/d’assignation à résidence ont été prises à l’encontre de l’ensemble de la population, de manière générale, arbitraire et sans discernement, alors que la Constitution et les traités internationaux requièrent la prise en considération des agissements des individus et le recours au juge judiciaire.

En effet, aucune autorité administrative ne peut décider de priver de liberté individuelle l’ensemble de la population sur la seule basede données informatisées, correspondant à un certain nombre de tests RT-PCR positifs non fiables, lesquels ne permettent pas de diagnostiquer une infection ou une maladie, d’un nombre de décès douteux et imprécis, puisqu’il est impossible aujourd’hui de connaître le nombre exact de personnes décédées de la maladie Covid-19 et non pas « avec le Covid-19 »

Le bloc constitutionnel et le bloc conventionnel n’ont jamais donné un tel pouvoir aux autorités administratives. Ces voies de fait ont manifestement porté atteinte à la liberté individuelle des demandeurs et par là même à leur dignité et à l’intégrité physique, psychique et morale de chacun.

Nous demandons donc la cessation immédiate de ces mesures attentatoires à la liberté individuelle et nous demandons réparation(([37] Pour mémoire, d’après l’article 432-4 du Code pénal :
« Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.
Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d’amende. »)).

Sur les dommages-intérêts provisionnels

Il y a urgence à faire cesser et à réparer le trouble particulièrement grave que génère ces voies de fait, lesquelsont porté atteinte et continueront de porter atteinte àla liberté individuelle des demandeurs.Le principe de ce préjudice étant acquis, chacun des demandeurs est bien fondé à solliciter à ce titre la somme de 25 000 euros à titre de provision sur dommages-intérêts.

Le préjudice lié aux voies de fait sera réparé par la condamnation du ministère de la Santé et de l’État. À titre subsidiaire, et vu l’urgence, s’il était jugé que l’une de ces demandes dépassait les pouvoirs du juge des référés, il sera demandé de faire application de l’article 837 du code de procédure civile et de renvoyer à une audience au fond, à bref délai.

PAR CES MOTIFS (([38] Vu l’article 66 de la Constitution, le Préambule et les articles 3, 5 et 9 de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, l’article 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’O.N.U. du 16 décembre 1966, les articles 834, 835, 836, 837 du Code de procédure civile, les moyens qui précèdent et les pièces versées aux débats.))

Il est demandé à Monsieur le Président du Tribunal judiciaire de PARIS statuant en référé, pour les causes et raisons sus-énoncées, de :

  1. RECEVOIR l’intégralité des moyens et prétentions des demandeurs en constatant l’existence de voies de fait commises par le Premier ministre et le ministre de la Santé.
  2. ORDONNERla cessation de toute mesure d’interdiction de sortie du domicile dites « de confinement » ou de « couvre-feu ».
  3. ORDONNER la cessation de l’utilisation du nombre de cas « positifs » aux tests RT-PCR ou antigéniques à des fins de justification de mesures liberticides.
  4. CONDAMNER le Ministère de la Santé, le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État à payer à chacun des demandeurs la somme de 25 000 euros à titre de dommages-intérêts provisionnels.
  5. CONDAMNER le Ministère de la Santé,le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État à payer aux demandeurs la somme de 2 000 euros au titre des frais irrépétibles par application des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile.
  6. SUBSIDIAIREMENT et vu l’urgence, faire application de l’article 837 du code de procédure civile et renvoyer le cas échéant à une audience au fond, à bref délai.
  7. CONDAMNER le Ministère de la Santé,le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État aux dépens par application des dispositions de l’article 695 du code de procédure civile.

Me Virginie DE ARAUJO-RECCHIA , Avocat à la Cour





De la psychologie des adeptes du déni de conspiration

[Source : Sott.net]

Par Tim Foyle — Reporting For Beauty

Comment se fait-il que des personnes par ailleurs parfaitement intelligentes, réfléchies et rationnelles reculent devant l’idée que les psychopathes conspirent pour les manipuler et les tromper ? Et pourquoi défendent-ils avec autant de véhémence cette position sans fondement ?

L’histoire elle-même regorge de machinations commises par des menteurs, des voleurs, des tyrans et des narcissiques et décrit leurs effets dévastateurs. Les preuves de corruption et d’inouïes fourberies abondent également à l’époque moderne.

Nous savons, sans la moindre équivoque, que les hommes politiques mentent et occultent les relations qu’ils ont entre eux et que les entreprises témoignent couramment d’un mépris total pour les normes morales — en bref, nous baignons dans la corruption.

Nous savons que le jeu des chaises musicales entre les entreprises et les sphères politiques, le système de lobbying, les régulateurs corrompus, les médias et le système judiciaire signifie que les actes répréhensibles ne sont pratiquement jamais soumis à un semblant de véritable justice.

Nous savons que la presse évoque bruyamment ces questions de temps à autre, mais sans jamais les examiner avec une véritable vigueur.

Nous savons que les actes répréhensibles commis par les services de renseignement et les forces de police sont, dans des proportions stupéfiantes, monnaie courante et que, là encore, la justice n’est jamais rendue.

Nous savons que les gouvernements ne cessent d’ignorer ou de piétiner les droits des citoyens, et qu’ils abusent et maltraitent les populations de manière répétée. Rien de tout cela ne porte à controverse.

Alors, que refusent exactement les adeptes du déni de conspiration avec la ferveur, la droiture et la condescendance qui sont les leurs ? Pourquoi, contre toute évidence, en viennent-ils à défendre d’un ton narquois et méprisant le mythe en décrépitude selon lequel « les puissants » sont quelque part un peu comme nous, qu’ils ont la situation bien en main, n’ont que notre intérêt à cœur et sont scrupuleux, sages et sincères ? Que la presse est au service du peuple et de la vérité plutôt qu’à celui des escrocs ? Que les injustices successives résultent d’erreurs et d’oublis, et qu’elles ne peuvent jamais procéder de ce concept redoutable : la conspiration ?

Quelle personne raisonnable continuerait à croire à un monde à ce point illusoire ?

Le point de désaccord ici porte uniquement sur la question de la proportion. Une personne véritablement curieuse des desseins élaborés par de puissants psychopathes élargira le périmètre de ses recherches au-delà d’une entreprise ou d’une nation. Pourquoi ne le ferait-elle pas ? Une telle personne part du principe que les mécanismes observés à une petite échelle sont susceptibles d’être les mêmes à tous les niveaux du pouvoir. Mais les adeptes du déni de conspiration insistent sur le fait que c’est absurde.

Pourquoi ?

Le fait que les structures sociétales et juridiques pyramidales que l’humanité a laissé se développer sont précisément le type de hiérarchies de dominance qui avantagent indubitablement le psychopathe est cruellement évident. Un être humain doté d’un esprit de coopération normal et sain s’avère peu enclin à se lancer dans les combats nécessaires à une ascension sociale ou politique.

Alors, que s’imaginent les individus qui réfutent l’existence des conspirations ? Selon eux, que font chaque jour les 70 millions ou plus de psychopathes dans le monde, tous nés dans un « jeu » où la richesse et le pouvoir se concentrent au sommet de la pyramide, et dans lequel les attributs les plus efficaces pour atteindre la « victoire » sont la cruauté et l’amoralité ? N’ont-ils jamais joué au Monopoly ?

Les psychopathes ne choisissent pas leur conception du monde grâce à leur conscience, et sont tout simplement incapables de comprendre pourquoi les gens normaux se mettraient dans une situation aussi désavantageuse en se limitant à la conscience et à l’empathie, vertus dont l’existence échappe à la compréhension du psychopathe et qui est à la mesure de ce que serait pour l’être humain un monde qui en serait dénué.

Le psychopathe n’a besoin que d’une seule chose pour gagner : mentir publiquement tout en conspirant en privé. Quoi de plus simple ? En 2021, continuer à imaginer que le monde dans lequel nous vivons n’est pas largement déterminé par cette dynamique relève d’une naïveté téméraire qui confine à la folie. Quelle est la source d’une pulsion à ce point malencontreusement destructrice ?

L’enfant en bas âge accorde une confiance innée aux personnes qui l’entourent — une confiance qui, le plus souvent, s’avère par nature justifiée. Si ce n’était pas le cas, l’enfant ne pourrait pas survivre.

Au sein d’une société saine et équilibrée, cet instinct profond évolue au rythme du développement de la psyché. Au fur et à mesure de l’évolution chez un individu de la conscience de soi, des facultés cognitives et logiques et du scepticisme, cette instinct de confiance innée continuerait à être compris comme un besoin central de la psyché. L’évolution et le développement conscients de cette tendance enfantine serait favorisées par l’existence de systèmes de croyances partagées qui placeraient consciemment cette foi dans des valeurs et des croyances porteuse d’une signification et d’une valeur durables pour la société, l’individu ou, idéalement, les deux.

La déférence et le respect de la tradition, des forces naturelles, des ancêtres, de la raison, de la vérité, de la beauté, de la liberté, de la valeur innée de la vie, ou de l’esprit initiateur de toutes choses, peuvent tous être considérés comme des qualités indispensables au sein desquelles nous pouvons en toute conscience placer notre confiance et notre foi — tout comme celles qui découlent de systèmes de croyance plus formalisés.
Indépendamment du chemin emprunté pour évoluer et développer une foi personnelle, l’apport de sa propre conscience et de sa propre connaissance à cette élan naturel en constitue le point clé. Je pense que développer et cultiver une foi mature représente une responsabilité fondamentale dont beaucoup — ce qui est compréhensible — ne sont pas conscients.

Que se passe-t-il lorsque subsiste en nous un besoin enfantin qui n’a jamais évolué au-delà de sa fonction originelle de survie et qui consiste à faire confiance à ceux qui, dans notre environnement, sont simplement les plus puissants, les plus présents et les plus actifs ? Lorsque nous n’avons jamais vraiment exploré notre propre psyché, et n’avons jamais profondément questionné ce en quoi nous croyons vraiment et pourquoi ? Lorsque la raison pour laquelle nous accordons notre confiance à quelque chose ou à quelqu’un n’est pas remise en question ? Quand la philosophie est laissée aux philosophes ?

Je pense que la réponse est simple, et que les preuves de ce phénomène et des ravages qu’il provoque sont visibles partout autour de nous : le besoin inné de faire confiance à la mère n’évolue jamais, ne rencontre ni n’entre jamais en contact avec sa contrepartie, la raison (ou la foi mature), et reste en permanence sur son réglage infantile « par défaut ».

Alors que cette psyché immature ne dépend plus des parents pour son bien-être, la puissance motivationnelle du principe fondamental que je viens de décrire reste intact : incontesté, négligé et non développé. Et, dans un monde où la stabilité et la sécurité sont de lointains souvenirs, ces instincts de survie, plutôt que d’être bien affûtés, réfléchis, pertinents, discernés et actualisés, restent, littéralement, ceux d’un bébé. Parce que l’instinct décrète que la survie en dépend, la confiance est dès lors accordée à l’influence la plus importante, la plus bruyante, la plus présente et la plus indéniable.

Et, dans cette grande « pépinière mondiale », la force la plus omniprésente est celle des institutions interconnectées qui projettent en permanence une image de pouvoir, de calme, d’expertise, d’intérêt et de stabilité.

À mon avis, c’est ce qui permet aux adeptes du déni de conspiration de s’agripper au, et de défendre d’une manière agressive le fantasme totalement illogique selon lequel — au-delà d’un certain niveau indéfini de la hiérarchie sociétale — la corruption, la tromperie, la malveillance et le narcissisme s’évaporent mystérieusement, d’une manière ou d’une autre. Que, contrairement à la maxime, plus une personne a de pouvoir, plus elle fera inévitablement preuve d’intégrité. Ces âmes fragiles et bercées d’illusions sont intimement persuadées que, là où l’expérience personnelle et les connaissances préalables ne sauraient combler les lacunes de leur vision du monde — en d’autres termes, tous les endroits dont l’accès est interdit — papa et maman seront toujours là pour veiller à ce que leur petit trésor soit à l’aise, heureux et en sécurité pour toujours.

Il s’agit là de l’illusion fondamentale et réconfortante qui sous-tend l’état d’esprit des adeptes du déni de conspiration, le socle délabré sur lequel ils érigent un monumental édifice de justifications et à partir duquel ils peuvent de manière pompeuse ridiculiser et railler toutes les personnes dont la vision est différente.

On comprend dès lors pourquoi ces adeptes du déni de conspiration combattent la moindre suggestion selon laquelle l’archétype du soignant n’existe plus — que des psychopathes se trouvent derrière chaque accès interdit, et qu’ils nous traitent avec le plus grand mépris voire nous ignorent complètement. Ces adeptes du déni de conspiration s’en prendront à toute suggestion similaire aussi violemment que si leur survie en dépendait — ce qui, dans la composition de leur psyché inconsciente et précaire, est, d’une certaine manière, le cas.

Leur sentiment de bien-être, de sécurité, de confort, voire même d’avenir, est complètement — et de manière totalement inconsciente — investi dans ce fantasme. L’enfant en eux n’a jamais mûri et, parce qu’ils n’en sont pas conscients, si ce n’est sous la forme d’un attachement profond à leur sécurité personnelle, ils attaqueront férocement toute menace envers cet aspect inconscient et central de leur vision du monde.

Leur refrain épuisant de banalité est le suivant : « une conspiration d’une telle ampleur ne peut exister ».

La réponse simple à un tel expert autoproclamé des conspirations est évidente : quelle ampleur ?

Les plus grandes entreprises « médicales » du monde peuvent, depuis des décennies, considérer comme de simples dépenses commerciales les amendes considérables dont elles écopent pour des crimes qui vont de la dissimulation d’effets indésirables liés à aux tests de leurs produits à des meurtres multiples provoqués par des expérimentations non déclarées, en passant par des crimes environnementaux colossaux.

Sans être le moins du monde inquiétés, les gouvernements mènent sur leurs propres populations les « expériences » — les crimes — les plus viles et les plus impensables.

Les politiciens ont coutume de nous mentir ouvertement, sans conséquence.

Et ainsi de suite. À quel moment, exactement, une conspiration devient-elle à ce point considérable qu’elle constitue pour « eux » une limite, et pourquoi ? Je pense que le point de rupture se produit lorsque leur capacité cognitive faiblit et que leur instinct de survie inconscient se déclenche. Le moment même où l’intellect est submergé par l’ampleur des événements et où l’instinct se replie sur la foi familière et réconfortante qu’ils connaissent et ont cultivé depuis leur toute première tétée. La foi selon laquelle quelqu’un d’autre s’en occupe — qu’au moment où le monde devient inconnu, il suffit de placer une foi absolue dans l’existence d’une autorité humaine puissante et bienveillante pour être assuré d’une sécurité émotionnelle éternelle.

Cette dangereuse illusion pourrait bien être le facteur clé qui remet entre les mains des psychopathes la sécurité physique et l’avenir de l’humanité.

À tous ceux qui ont l’habitude de rejeter les personnes qui posent des questions, enquêtent et sont sceptiques — comme peuvent l’être les partisans de Trump, qui nient la science, sont paranoïaques et portent un chapeau en aluminium — je pose la question suivante : en quoi croyez-vous ? Où avez-vous placé votre foi et pourquoi ? Comment pouvez-vous, alors que personne ne fait confiance aux autorités, vous fier de manière absolue aux organisations degouvernance mondialenaissantes ? En quoi est-ce rationnel ?

Si vous accordez votre confiance en de telles organisations, considérez qu’à l’ère de la mondialisation, ces organisations — aussi extraordinaires puissent-elles paraître — ne sont que des émanations plus ambitieuses des versions locales auxquelles noussavonsne pas pouvoir nous fier. Elles ne sont pas nos parents et ne font preuve d’aucune loyauté envers les valeurs humaines. Il n’existeaucuneraison d’accorder une quelconque confiance à ne serait-ce qu’une seule d’entre elles.

Si vous n’avez pas développé consciemment une foi ou si vous ne vous êtes pas, dans une certaine mesure, interrogé sur les raisons pour lesquelles vos croyances sont animées d’une telle ferveur, une telle position peut sembler misanthropique, mais en vérité, c’est le contraire. L’argent des relations publiques et les mensonges mielleux sont les deux seules formules qui ont permis à ces organisations de gagner votre confiance. Le véritable pouvoir reste, comme toujours, entre les mains du peuple.

Ce n’est pas pour rien si les bouddhistes recommandent vivement de placer sa foi dans le Dharma, ou loi naturelle de la vie, plutôt que dans les personnes, et que des préceptes similaires sont courants au sein d’autres systèmes de croyance.

Le pouvoir corrompt. Et, dans le monde d’aujourd’hui, la confiance mal placée et non fondée pourrait bien être l’une des plus grandes sources de pouvoir qui soit.

Les conspirations criminelles monumentales existent. Les preuves sont accablantes. L’ampleur de celles en cours actuellement est inconnue, mais rien, dans la nouvelle ère mondiale, ne permet d’imaginer une diminution de la quête psychopathique du pouvoir ou la possession des ressources nécessaires pour y parvenir. En tout cas, pas tant que la dissidence est tournée en dérision et réduite au silence par les gardiens, les « idiots utiles » et les adeptes du déni de conspiration, lesquels, par leurs attaques incessantes contre ceux qui voudraient faire la lumière sur les malversations, sont en fait les complices directs du programme des psychopathes.

Il est de la responsabilité urgente de chaque être humain d’exposer les agendas psychopathiques peu importe où ils se manifestent — et de ne jamais attaquer ceux qui cherchent à le faire.

Plus que jamais, il est temps aujourd’hui de mettre de côté les futilités et les pulsions enfantines, et de réagir en adultes afin de protéger l’avenir des enfants qui n’ont d’autre choix que de nous confier leur vie.

Cet essai s’est concentré sur ce que je considère comme le moteur psychologique le plus profond du déni de conspiration.

Il en existe certainement d’autres, comme le désir d’être accepté ; fuir la connaissance et le combat des zones d’ombre intérieure et extérieure ; préserver une image positive et juste de soi qui constitue une version généralisée du phénomène d’« abus par procuration », dans lequel une classe sociale intéressée et vicieuse se protège en se regroupant autour du tyran ; adopter de manière subtile et inconsciente la vision psychopathique du monde (par exemple, « l’humanité est un virus pour la planète ») ; développer une addiction à l’indignation, au complexe de supériorité et aux jeux de prestige ; entretenir un intellect rabougri ou sans ambition qui octroie au maintien du statu quo sa raison d’être ; adopter un mécanisme de protection dissociatif en imaginant que les crimes et les horreurs commis à plusieurs reprises au cours de notre vie ne se produisent pas maintenant, pas « ici », et enfin la bonne vieille paresse et la lâcheté.

Je pense que, dans une certaine mesure, tous ces mécanismes reposent sur les fondements de la cause principale que j’ai décrite ici.

Source de l’article initialement publié en anglais le 6 mars 2021 : Reporting For Beauty
Traduction : Sott.net




État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich

Par Jean-Michel Grau

Le Dr Reiner Fuellmich résume l’état actuel de la procédure judiciaire contre la dictature sanitaire mondialiste au 20 mars 2021, dont voici l’adaptation résumée de la traduction. (([1] fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-06-www-corona-schadensersatzklage-de/))

« Comme on a déjà pu le constater sur nos chaînes (([2] corona-ausschuss.de/ (chaîne en allemand avec quelques traductions en anglais) )), de nouveaux développements sont intervenus au Canada et aux États-Unis, mais aussi en Europe et notamment en Allemagne, qui montrent qu’il s’agit d’une bataille très difficile qui va bien au-delà du domaine purement juridique.

I.

Il est particulièrement important pour nous de souligner une fois de plus, que seule la coopération internationale très bien coordonnée des professions juridiques, en particulier des professions juridiques allemandes, autrichiennes, françaises et italiennes avec les professions juridiques anglo-américaines qui seules disposent du puissant outil de la « class action » et d’un véritable droit de la preuve, permettra d’atteindre notre but.

Car ce que nous voyons ici dans le monde entier, encore laborieusement déguisé en « pandémie », mais néanmoins de plus en plus clairement visible, est en vérité la plus grande attaque contre la démocratie qu’il n’y ait jamais eu, menée par des élites politiques et économiques transnationales. Le but de cette attaque est de spolier la richesse de la classe moyenne et des contribuables par ces soi-disant « élites » autoproclamées et, à l’aide du passeport numérique de vaccination, d’obtenir un contrôle permanent sur chaque citoyen, en particulier, sur ceux qui se laissent « vacciner ».

Car les profiteurs de la panique de masse la plus répandue comme jamais dans le monde sont les industries pharmaceutiques et technologiques, dont les « vaccins », les tests et les masques sont payés par les centaines de milliards de dollars de l’argent des contribuables.

Ils veulent utiliser nos données génétiques stockées dans nos cartes de vaccination pour prendre le contrôle, en particulier de ceux qui sont « vaccinés », parce que personne ne les informe qu’en violation massive du code de Nuremberg et des accords d’Helsinki ainsi que du principe de « consentement éclairé », une expérience médicale est testée sur eux. En effet, il n’existe pas d’études scientifiques du type de celles qui sont habituellement menées, sur l’efficacité et la sécurité d’un nouveau médicament avant sa mise sur le marché.

II.

Dans le contexte de ces faits, il est alors compréhensible que les « élites » susmentionnées aient veillé à ce que les postes de pouvoir décisifs soient occupés par des personnes qui mettent en œuvre ces objectifs pour elles, telles des marionnettes. Nous le voyons en Allemagne à la tête du gouvernement fédéral et surtout du gouvernement de l’État de Bavière, mais aussi à la tête de la Cour constitutionnelle fédérale, et nous le voyons en Europe surtout à la tête de la Commission européenne.

III.

1.

La première action collective en dommages et intérêts au Canada a été rejetée par le tribunal de première instance. Mais ce procès se poursuit maintenant devant la plus haute juridiction canadienne. Et toujours au Canada, une autre action collective internationale est en cours de finalisation, cette fois pour les enfants, c’est-à-dire les enfants du monde entier, victimes des mesures Drosten. Ainsi, tous les enfants devraient pouvoir faire valoir leurs droits à des dommages et intérêts pour préjudice moral et corporel. Une fois encore, les deux fausses affirmations factuelles centrales de M. Drosten, qui ont ensuite été diffusées dans le monde entier par l’OMS, sont au cœur du problème, à savoir les questions :

– « Existe-t-il des  » infections asymptomatiques  » ? »

Bien sûr que non, car une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé et ne peut donc donner aucune réponse à un médecin lorsqu’on lui demande quels sont ses symptômes ;

– « Un test PCR peut-il détecter une infection ? »

Bien sûr que non, même l’OMS a dû l’admettre entre-temps. C’est pourquoi les tests PCR ne sont pas approuvés à des fins de diagnostic. Sans l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, personne n’aurait pensé que des personnes en bonne santé et ne présentant aucun symptôme pouvaient être malades, et certainement personne n’aurait pensé à tester des personnes en bonne santé et ne présentant aucun symptôme.

2.

Le procès en cours à New York par nos collègues de Childrens Health Defense (([3] childrenshealthdefense.eu/)) n’a jamais été un recours collectif. Il s’agit d’un procès qui conteste l’exigence du test PCR pour les enfants qui veulent aller à l’école. C’est ainsi que nous resserrons dans le monde l’étau autour de M. Drosten et de ses affirmations. Pour l’instant, seule la motion d’urgence a été rejetée, manifestement motivée par des raisons politiques, mais le procès se poursuit.

Cependant, nous avons maintenant l’intention de déposer une véritable action collective aux États-Unis, ainsi qu’en Australie. Nous sommes en contact étroit avec nos collègues de ces deux pays.

IV.

Entre-temps, deux collègues israéliens (([4] francesoir.fr/videos-les-debriefings/ruth-makhacholovsky-et-aryeh-suchowolski-la-plainte-la-cour-penale?utm_source=NL)) avec lesquels nous sommes en échange ont engagé une procédure pénale auprès de la Cour Pénale Internationale en raison des expériences humaines en cours, étonnamment aussi en Israël. On peut trouver le lien ici :
fr.rt.com/international/114629-israeli-vaccine-critics-file-lawsuit-at-international-criminal-court/.
[Note : le lien n’est plus fonctionnel]

Par ailleurs, un juge du tribunal de première instance de Ludwigsburg a rendu une autre très bonne décision, et surtout très bien motivée, selon laquelle, comme l’a déjà déclaré le tribunal de première instance de Weimar, les mesures anti-Covid sont anticonstitutionnelles et nulles.

On peut trouver le lien ici :
www.lkz.de/lokales/stadt-ludwigsburg_artikel,-richterin-am-amtsgericht-ludwigsburg-zerpflueckt-corona-verordnung-_arid,628632.html

Pour conclure : une victoire juridique n’est possible que dans le cadre d’une coopération internationale d’avocats éclairés, notamment sur les problèmes du test PCR et des infections asymptomatiques, et surtout dans le cadre d’une coopération avec des collègues anglo-américains. Cela passe avant tout par les scientifiques en tant qu’experts et témoins experts que nous avons entendus au sein du Comité Covid.

Deux procédures particulièrement importantes ont été mises en place qui mèneront à la victoire, mais nous ne pouvons pas encore en parler pour ne pas compromettre leur succès.

Nous avons également l’intention d’organiser une visioconférence zoom en direct avec nos collègues canadiens la semaine prochaine. Nous annoncerons les dates exactes ultérieurement.

Nous profitons de cette occasion pour remercier toutes celles et ceux qui nous soutiennent au quotidien par leurs mots gentils et motivants.

Nous vaincrons le régime criminel qui tente de s’établir.»

Dr. Reiner Fuellmich





“Brûlez vos masques !” Des manifestations massives contre le confinement font rage dans le monde entier

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Des milliers, voire des dizaines de milliers de manifestants à travers l’Europe ont défilé samedi contre la poursuite des mesures de confinement gouvernementales et autres restrictions en cas de pandémie fondées sur des données scientifiques douteuses, qui ont entraîné un chômage de masse, détruit des petites entreprises, alimenté une dépression et une maladie mentale généralisées et coûté aux contribuables des milliards de dollars pour empêcher le navire de sombrer.

Des manifestants de Londres, d’Allemagne, de France, de Suède, des Pays-Bas, d’Australie, de Belgique, du Japon, de Vienne et d’ailleurs ont participé au Rassemblement mondial pour la liberté.

Dans le centre de Londres, des milliers de militants anti-confinement ont déambulé dans Hyde Park en scandant “Debout, reprenons notre liberté !”

En Allemagne, la police a utilisé du gaz lacrymogène sur les manifestants dans la ville de Kassel, où 15 000 à 20 000 manifestants étaient présentes, selon le Daily Mail. Quelque 1 800 agents ont été placés en état d’alerte à Berlin.

Plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées sur le principal site de protestation sur une place du centre-ville de Kessel, serrées les unes contre les autres sans porter de masques,

a constaté un journaliste de l’AFP.

Des échauffourées ont éclaté lorsqu’un groupe de manifestants a tenté de franchir un cordon de police pour rejoindre d’autres manifestants, provoquant des bousculades et incitant les agents à utiliser du gaz lacrymogène.

Daily Mail

En photo : Des manifestants participent à une marche pour demander le respect des droits fondamentaux et la fin des mesures restrictives liées au coronavirus à Kassel, dans le centre de l’Allemagne, le 20 mars.

Des manifestants ont affronté la police en Allemagne et en Croatie samedi, tandis que de nouvelles mesures de confinement ont été introduites en France, en Pologne et en Ukraine pour lutter contre une troisième vague de coronavirus.
En photo : Des manifestants affrontent la police à Kassel, dans le centre de l’Allemagne (via le Daily Mail).

À Melbourne, en Australie, des manifestants ont scandé “Libre de parler. Libre de respirer” sont sortis par milliers.

https://twitter.com/freddie1999/status/1373272180063145986?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1373272180063145986%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.aubedigitale.com%2Fbrulez-vos-masques-des-manifestations-massives-contre-le-confinement-font-rage-dans-le-monde-entier%2F

Plus :

Aux Pays-Bas :

Au Japon :

En Autriche :

En Belgique :

C’est ce qui arrive quand on détruit des économies basées sur une science douteuse.




De qui dépend ma santé ?

[Source : Le blog de Bien-être-soi (tdg.ch)]

Par Marie-France de Meuron.

En fait, qui est le souverain de ma santé ? Qui la construit instant après instant ? Qui choisit ma nourriture, mes activités motrices, mon sommeil, mes situations affectives, sociales, professionnelles ? Nous sommes l’unique habitant de notre corps. Évidemment, nous sommes en interrelation constante avec moult facteurs extérieurs à nous. La question est : qui va nous forger ? Nos pulsions de vie, nos forces innées, nos goûts, nos aspirations, nos intuitions, nos qualités, nos missions de vie ? Le cadre extérieur va-t-il nous permettre de nous révéler à nous-mêmes, de développer nos potentiels et nos qualités ou va-t-il faire de nous des animaux dans un zoo, allant jusqu’à être rassemblés dans des lieux prédéterminés, ou animés par les pulsions imposées par divers dirigeants ? Sommes-nous destinés à vivre dans des cadres limités, réduisant nos capacités humaines, allant jusqu’à n’être plus que des zombies ou des robots obéissants aux commandes à distance ?

Après un an où les gouvernements ont décidé des mesures sanitaires globales, dépendantes de mesures de laboratoire ou de chiffres permettant des modélisations, n’est-il pas temps de revivre les poumons déployés au printemps qui s’annonce, de nous épanouir comme les primevères à la lumière, nous activant en tous lieux qui correspondent à nos dynamiques vitales ?

Ce qui m’anime aujourd’hui, c’est mon empathie pour les restaurateurs qui aspirent à revivre leurs désirs d’animer un espace de vie où il vaut la peine de se poser et de découvrir des saveurs nouvelles, dans un lieu offrant un cadre hors de nos habitudes.

Les dirigeants politiques sont partagés entre la pression du peuple – une population impatiente soutient le Conseil fédéral – et la prudence inspirée par les chiffres statistiques relayant les résultats de tests sujets à caution. Le même écartèlement se manifeste entre les médecins conformes aux dogmes scientifiques et ceux qui prennent en compte les paramètres les plus larges possibles. De ce fait, deux voies sont possibles, chacune apportant quelques nuances qui ne changent rien au fond.

N’est-il pas temps d’ouvrir une troisième voie ? Ce qu’ont fait beaucoup de professionnels indépendants, enrichis de leurs expériences médicales et de leurs consciences des êtres humains dans leurs globalités en relation avec de multiples facteurs de santé. Ces praticiens aident les individus à réveiller le médecin qui sommeille en eux et les accompagnent sur le chemin pour y parvenir du fait des multiples moyens offerts par leurs connaissances profondes de l’être humain, de diverses thérapies et des produits de la nature, cette nature qui offre bien des ressources pour se maintenir en bonne santé ou se soigner au stade précoce des maladies plutôt que d’être confinés aux mesures sanitaires qui amoindrissent notre énergie vitale sur différents plans !

Cela fait un an que notre santé est tenue en laisse par des lois, des calculs de modélisateurs, des études scientifiques dépendantes des investissements alloués. N’est-il pas temps de vivre une réelle mutation ? Nous sommes en temps de carême ; or cette période dure 40 jours alors que nos restrictions de vie dure depuis un an. À quelle résurgence est-il judicieux de nous préparer ? Vers où tourner notre attention afin de considérer l’être humain dans toute son amplitude et trouver un réel mode de vie sanitaire plutôt que de focaliser – et de contraindre la population à en faire de même – sur un microorganisme avec l’illusion de pouvoir l’éradiquer à force de tests, de masques et de vaccins ? Cela ne fait qu’affaiblir l’énergie vitale et n’apporte pas de réelles solutions puisque les virus suivent les impulsions de la vie en créant des mutants qui nous précéderont toujours. De plus, brandir l’espoir d’une solution avec un produit vaccinal est un leurre qui ne fait qu’aggraver la situation dans plusieurs dimensions.

Comme l’USAM le déclare : « La stratégie du Conseil fédéral manque d’un objectif clair, à savoir la normalisation de la vie sociale, et ne présente aucune perspective pour l’économie et la société »… Un compromis n’est pas une solution : « quelle décision prendre demain ? Poursuivre sur une ligne sanitaire stricte ou lâcher du lest ? La réponse est sans doute dans un compromis, qui manifestement ne pourra pas satisfaire les partisans d’un retour à la normale ».

Et pourtant, le verdict est tombé : Face à la dégradation de la situation épidémiologique, le Conseil fédéral n’a finalement pas adopté les mesures envisagées. Une seule carotte octroyée : Un seul assouplissement sera effectif dès lundi : les réunions privées à domicile passeront de 5 à 10 personnes maximum, enfants compris. La justification présentée montre à quel point un seul facteur compte pour la gestion globale de la santé de la population : Cet allégement a été décidé en prévision de Pâques, explique le gouvernement dans un communiqué. Mais aucune mesure transmise à la population pour renforcer son système immunitaire ! En revanche, il se dédouane avec une recommandation passe-partout : Il recommande toutefois de limiter le nombre de ménages présents et de se faire tester avant de retrouver famille et amis.

En réalité, un compromis ne peut mener qu’à une impasse comme nous la percevons maintenant. Par conséquent, il nous reste donc à réaliser une grande réinitialisation de la médecine, avec la reprise de l’enseignement – déjà à partir des facultés de médecine – de l’être humain dans sa globalité et dans toutes les interrelations entre ses différentes dimensions. Ainsi, le corps médical sera beaucoup moins fracturé et pourra se dresser face aux pouvoirs dirigeants et non se soumettre pareillement à la technoscience ou aux modélisations qui se coupent de la substance vivante et complexe qui constitue les êtres humains.


[Voir aussi :




Il est temps de se souvenir de qui nous sommes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir

Le clivage qui s’installe dans la société française depuis un an n’est pas qu’une question de politique et de vision de l’avenir, mais révèle deux conceptions de la vie de l’homme, dont la divergence impose désormais un choix.

Liberté, Égalité, Fraternité ?

N’y a-t-il plus d’intelligence dans ce pays, n’y a-t-il plus de bon sens ? L’épuisement spirituel de la population et le matérialisme forcené inculqué depuis l’après-guerre ont-ils conduit la population française à son point de non retour… ou son point de rupture ? Y a-t-il encore la place pour un sursaut salvateur ou bien la peur et la servilité l’ont-elles emporté ?

L’état d’esprit des Français laisse apparaître que désormais plusieurs réalités se côtoient dans notre pays, selon le niveau d’information et la conscience de chacun, divisant et brouillant la société, les familles, les amis…

Entre ceux qui ont plus ou moins calqué leur opinion sur le narratif uniforme matraqué  par les radios et les télévisions et ceux qui ne leur accordent plus la moindre confiance et ont cherché la vérité ailleurs, la société française, jusqu’au cœur des familles, parfois des couples, s’est divisée à l’ombre d’un minuscule virus.

Un clivage qui semble s’étendre chaque jour un peu plus, dressant les uns contre les autres et profitant à ceux qui concentrent toujours plus de pouvoir et d’argent, comme le montrent l’inexistence politique du Parlement, les salaires croissants des élus et les comptes en banques des GAFA et de Big Pharma durant cette année de misère grandissante du peuple, particulièrement des jeunes et des étudiants condamnés à la soupe populaire.

La détresse de la jeunesse est très préoccupante. Jusqu’à quand des parents vont-ils continuer à envoyer leurs enfants dans des écoles démentes où trois jetons leur sont donnés par des fonctionnaires zélés pour choisir entre respirer ou pisser ? D’où les enfants bâillonnés sortent parfois avec des saturations en oxygène autour de 83 %, soit un état d’hypoxie sévère, là où l’on doit s’inquiéter des conséquences sous les 95 % ?

Les artisans, les entrepreneurs vont-ils continuer à se laisser mourir parce que ce sont les ordres ? La peur du gendarme et de l’amende a-t-elle plus de force que l’instinct de survie pour eux et leurs familles ?  Est-ce que quelqu’un a encore un peu de lucidité et de courage dans ce pays ?

Tout le monde va-t-il continuer à croire qu’il y a une pandémie qui justifie cette folie, alors que les chiffres de l’INSEE démontrent qu’il n’y a pas plus de morts en France en 2020 que les années précédentes ? Et comme l’a précisé depuis le Pr Raoult, qu’il y en a moins en 2020 chez les moins de 65 ans qu’en 2019 ?

Le taux de mortalité du COVID tous âges confondus est de 0,05 % environ, c’est un fait. Alors s’il n’y a pas de vraie raison sanitaire à la dictature qui s’installe, n’est-il pas temps de s’interroger sur les véritables motivations d’une telle opération et sur les objectifs réels du contrôle et de l’asservissement des populations ?

C’est perdre son temps et rajouter à la confusion que de tenter de chercher des explications logiques à une politique volontairement incohérente. Il est tout aussi inutile de se perdre en conjectures sur l’incompétence des uns et les revirements des autres. Tout ceci est inspiré des techniques de manipulation mentale bien connues (voir le manuel Kubark déclassifié par la CIA). 

Alors combien de temps encore soumis et insoumis vont-ils se focaliser sur les ombres de la caverne de Platon ?

Toutes ces mesures à l’encontre de la vie ont raturé une France faite de défaillances d’entreprises et par effet domino de leurs sous-traitants, de files de jeunes sans espoir d’avenir devant l’aide alimentaire, de taux de suicides alarmants, d’une séparation physique des gens jusque dans les familles, de couvre-feux absurdes ne reposant sur aucun argument censé, de masques dangereux pour la santé, comme vient encore de le démontrer un rapport allemand sur la santé des enfants, ainsi que de confinements à répétition dont on sait a minima désormais l’inefficacité sanitaire.

Les Français trop crédules vont-ils chercher plus d’ivresse encore à boire les mensonges éhontés d’une presse collaborant à des intérêts partisans qu’ils dissimulent ? Les démonstrations ne manquent pourtant pas de l’arrogance et du mépris des castes influentes vis à vis du bas-peuple, des sans-dents, des gilets jaunes. Cette question de la croyance en la bienveillance ou la malveillance au pouvoir est cruciale. Elle est l’une des clés du sursaut possible en chacun, le coup d’arrêt fatal à la naïveté.

Il est convenu désormais que lorsqu’on évoque les coulisses de ces forces qui ont pris pouvoir sur la vie de chacun, on soit alors immédiatement traité de complotiste délirant, voire dangereux. Sans doute les présidents Eisenhower et Kennedy étaient-ils aussi des complotistes délirants. Car qui connaît le discours d’Eisenhower du 17 janvier 1961 lorsqu’il a quitté le pouvoir ? En voici un extrait particulièrement d’actualité :

« Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l’énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble. »

Car qui connaît le discours de J.F. Kennedy à New York le 27 avril 1961, qui demandait en vain son aide à la presse et dont voici un extrait :

« […] Car nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre arbitre. C’est un système qui a nécessité énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Leurs ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. Elle conduit la guerre froide, en bref, avec une discipline de guerre qu’aucune démocratie n’espérerait jamais vouloir égaler… C’est pourquoi le législateur athénien décréta comme criminel tout citoyen se désintéressant du débat… Je sollicite votre aide dans l’immense tâche qui est d’informer et d’alerter le peuple américain avec la certitude qu’avec votre aide l’homme deviendra ce pour quoi il est né libre et indépendant.  »

Je ne sais pour ma part quel dysfonctionnement peut expliquer qu’il y a tant de gens éduqués, pour croire ce qu’on leur dit sans rien remettre en question. Sans doute faut-il y deviner les barrières d’une programmation de souche auxquelles se greffent le carcan de leur éducation et parfois leur simple intérêt cupide. Il se confirme que l’essentiel du bon sens et de la réaction à ce qui se joue vient des couches sociales les moins éduquées, les moins formatées peut-être, alors que le modèle de la dystopie hante nombre des plus diplômés. De quoi se faire traiter de populiste en plus de complotiste.

Car est jusque-là populiste celui qui aime le peuple, lui reconnaît sa légitimité et son bon sens culturel, issu d’une longue histoire de celles qui forge et nourrit l’esprit d’une nation. Car est désormais complotiste ou conspirationniste celui qui se pose des questions et cherche la vérité au lieu d’accepter la ligne officielle qui révèle les apprentis dictateurs.

Les seuls vrais conspirateurs sont ceux qui conspirent contre les peuples. Et ils accusent ceux qui les dévoilent d’être ce qu’ils sont eux-mêmes, c’est une technique aussi vieille que l’homme.

La responsabilité de la presse aujourd’hui dans ce mécanisme de manipulation des masses est majeure. Elle est impardonnable et lorsque cette folie sera brutalement interrompue, car je crois qu’elle le sera, la presse telle qu’on l’a connue ne s’en relèvera pas. Elle disparaîtra au profit d’une presse plus citoyenne et seront confrontés à leurs responsabilités ceux qui ont fait ce qu’elle est devenue.

Certains ont fait le pari de se ranger du côté des puissants pour assurer leur intérêt personnel mais n’ont pas compris l’éphémérité du pouvoir, ni ne saisissent l’impermanence des cycles de l’histoire. Ils n’ont pas mieux perçu l’aspect eschatologique de ce que vit la planète en ce moment, ils n’ont pas la vision globale de ce qui se joue parce qu’ils sont ignorants de l’aspect spirituel de cette guerre déclarée à l’humanité. Ils n’en mesurent pas les finalités profondes et s’arrêtent à la seule perception de leur logique et de leur expérience matérialiste. Ils demeurent insensibles aux aspects plus élevés auxquels les appelle plus que jamais leur condition humaine.

Ils ont vécu dans un monde qu’ils croient inusable dans son fonctionnement, n’ayant croyance que de ce qu’ils ont appris d’un passé si bref et d’une éducation biaisée. Leur conscience se limite pour le moment à ce contexte et ils n’entendent pas encore son appel à l’ouverture et à l’expansion.

Dans ce monde d’imposture où sont adulés et portés au pinacle les indignes et où sont diffamés et persécutés les justes, toutes les valeurs sont inversées. On peut raisonnablement voir le combat planétaire actuel comme une formidable opportunité d’étendre sa conscience et reprendre individuellement et collectivement sa souveraineté en tant qu’être vivant, égal à tout être vivant, et non assujetti par force ou par délégation à des pouvoirs iniques et profondément corrompus.

Le nouveau clivage ne se résume pas seulement à mon sens au mondialisme contre le souverainisme, mais avant tout au matérialisme contre le spiritualisme, ce qui, je le précise, ne signifie pas le religieux, mais la reconnaissance pour ce qu’elle est de la dimension spirituelle de l’être, qui est un sentiment partagé par une majorité d’hommes peuplant ce monde.

Comme le disait le philosophe théologien Pierre Theillard de Chardin : « Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine ». C’est je crois cette dimension de l’homme qui est appelée à s’éveiller comme jamais en ces jours, qui pourraient aussi devenir les plus sombres si cette lumière ne jaillit pas en chacun.

Je suis de ceux qui mesurent la vraie richesse de l’humanité à la reconnaissance et au partage généreux et bienveillant de ses différences, certainement pas à leur castration dans une soupe mondialiste uniforme et insipide. Je crois en une humanité extraordinairement diverse et créative et pour autant unie dans un schéma plus grand que la somme de ses parties. C’est ce qu’il lui appartient désormais de cultiver sous tous ses climats et toutes ses particularités culturelles et ethniques, dans le respect et la conscience au sens large du Vivant.

Cela pointe la polarité opposée au monde ultra-matérialiste promu par les transhumanistes rêvant de fondre la machine et l’homme dans une vision démente de sa transcendance. Le danger n’a jamais été aussi grand de voir s’accomplir cette folie par la dictature mondiale qui se répand depuis un an dans le déni de trop de gens encore. Et c’est pourquoi dans cette phase la polarisation ne fait que croître.

Je suis intimement convaincu que c’est là le véritable enjeu de tout ce qui se joue en ce moment. Que cette crise sans précédent dans notre histoire est l’opportunité unique et brève de décider le monde que nous choisissons désormais, pas celui que nous subissons par peur, résignation ou sentiment d’impuissance depuis trop longtemps. Nous sommes les puissants, tous ensemble.

C’est cette conscience de la force d’un peuple uni dans sa quête de liberté, d’égalité et de fraternité qui effraie les injustes. C’est ce qu’ils s’acharnent à étouffer dans la confusion, la censure et la répression.

Que ce prétexte du COVID ne serve pas que le camp des censeurs ultra-matérialistes, mais qu’il serve avant tout celui de ceux qui souhaitent la conscience avant la science.

Sans doute est-il enfin temps de se souvenir de qui nous sommes. Et de reprendre les rênes de nos destinées et de notre condition au sein du creuset alchimique de nos vies, à la lumière d’une dimension de nous-mêmes plus vaste que ce qui nous a jusque-là limités.

Le jeu planétaire aujourd’hui peut se voir comme le temps de la moisson de nos expériences. Et il n’est pas trop tard pour en décider la richesse. Même sur le tard, toute conscience qui s’éveille et se tourne vers sa souveraineté est un diamant dans l’escarcelle de l’humanité.

Nous et nos enfants serons riches ou pauvres demain de ce que nous avons décidé aujourd’hui. C’est notre choix.

Auteur(s): Frédéric Vidal, pour FranceSoir


[Voir aussi :




3e confinement : une arme de destruction massive pour la présidentielle

Par Jean-Michel Grau

En ce samedi 20 mars, premier jour de printemps, notre chef d’État a décidé de fêter l’évènement à sa manière : en reconfinant pour la troisième fois.

Mais pas n’importe où : les régions Île-de-France, Hauts de France, et les départements des Alpes maritimes, de la Seine maritime et de l’Eure.

Sacré virus ! Non seulement, il est capable de se démultiplier en vagues à répétition et autres variants, justifiant autant de mesures liberticides à l’infini, mais en plus, il ne s’attaque maintenant qu’à des zones géographiques bien précises, à savoir uniquement les régions et les départements des candidats potentiels ou déclarés pour la prochaine présidentielle !

Quel merveilleux hasard ! Il est décidément très fort, ce virus !

Reprenons toutes les régions et départements confinés :

  • L’Île-de-France :
    • candidats déclarés : Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon.
    • Candidate potentielle : Valérie Pécresse.
    • Candidate très potentielle : Anne Hidalgo.
  • Les Hauts de France : candidat déclaré : Xavier Bertrand.
  • Les Alpes maritimes : candidat potentiel : Christian Estrosi.
  • La Seine maritime : candidat potentiel : Edouard Philippe.
  • L’Eure : candidat potentiel : Bruno Le Maire.

Tous ces élus des régions et départements précités sont donc des candidats potentiels ou déclarés à la prochaine présidentielle et autant de candidats susceptibles de faire de l’ombre à notre apprenti dictateur, candidat, comme chacun sait, à sa propre succession.

Le virus covid 19, en plus d’être un virus biologique, s’avère donc maintenant être un redoutable virus politique ! Il faut croire que Macron tient les Français en si peu d’estime pour s’imaginer qu’ils ne verront que du feu dans ce pitoyable stratagème, n’importe quelle personne dotée d’un cerveau en état de marche étant capable de démasquer cette énième supercherie de bas étage.

Si le théâtre, tout comme le cinéma d’ailleurs, est connu pour être l’art du mensonge, Macron est un bien piètre acteur, et Brigitte Trogneux, une bien mauvaise professeur de théâtre.

Avec ce troisième confinement à géométrie présidentielle, il nous refait le coup des vaccins, à savoir un chantage gros comme le grand Reset de Klaus Schwab (1), autrement dit :

Les confinements à répétition et la ruine de leurs administrés, voilà ce qui attend jusqu’en avril 2022, les candidats à la présidentielle, s’ils n’abandonnent pas toute velléité de se présenter.

Ou comment punir par la même occasion tous celles et ceux qui auraient l’outrecuidance de voter pour un concurrent de notre Jupiter de salle de bains qui continue du fond de sa baignoire, de découper haché menu, ce qui reste de nos libertés.

En agissant ainsi avec ce 3e confinement, Macron nous rejoue le scénario du chantage écrit pour les réfractaires aux vaccins qui ne pourront jamais plus aller au restaurant, à l’hôtel, ni dans les musées et les concerts ou encore se déplacer en train ou en avion s’ils ne se font pas vacciner.

Mais ce n’est pas tout : le 3e confinement est le scénario idéal pour renvoyer les élections régionales et départementales aux calendes grecques, la décision finale du maintien de ces élections au mois de juin devant se prendre avant le 1er avril, soit en plein confinement. Sacré virus !

Il serait plus que temps de comprendre que tous ces chantages odieux ont assez duré, sachant que les restaurants indépendants ne rouvriront jamais, les théâtres, les cinémas et autres salles de spectacle, non plus, que l’on soit vacciné ou non.

Encore une fois, tout est écrit dans le programme de Klaus Schwab pour spolier tous les biens et les richesses de la classe moyenne par la haute finance et les entreprises transnationales. (([1] Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing))

Les gens du spectacle qui occupent les théâtres peuvent toujours attendre longtemps : à moins de quitter les théâtres pour monter des barricades dans la rue, ils n’obtiendront jamais rien.

Même chose pour les restaurateurs, dont les subventions qui vont s’arrêter le 30 juin prochain ne leur permettront pas d’échapper à la faillite qui les attend, si ce n’est déjà fait.

La liberté ne s’achète pas : ni avec des vaccins, ni avec des carottes, ni avec des menaces.

On n’a pas à payer pour être libres.

L’inscription « Liberté, Égalité, Fraternité » gravée sur tous les frontons des mairies n’est pas un slogan publicitaire. Sinon, autant la remplacer par « Le pouvoir de dire oui », plus dans l’air du temps… Elle est le témoin d’un combat gagné de haute lutte, de révolution en révolution pour vivre en citoyens libres et égaux en droits, comme inscrit dans la constitution. Mais il est clair que de compromission en compromission, de renoncement en renoncement, de lâcheté en lâcheté de la part de tous les politiques qui se sont succédés dans ce pays depuis des décennies, force est de reconnaître qu’aujourd’hui, la liberté, l’égalité et la fraternité se sont évanouies.

Tout est à reconstruire dès maintenant, si l’on ne veut pas voir la démocratie disparaître à jamais dans une tyrannie mondialiste dont nous serons tous devenus les esclaves consentants.

Désormais, le retour aux libertés ne passera que par l’insurrection.





MONTREZ-NOUS DES IMAGES !

Par Alain Tortosa

Sauf preuves explicites et documentées qui me seraient fournies…
J’affirme qu’il n’y a AUCUNE saturation des services de réanimation en France…
(Le « aucune » est un effet de style, il y a probablement quelques services dont la saturation a été sciemment organisée.)

Préambule :

Je vous rappelle que :

  • Le taux d’incidence est un FAUX, car il comptabilise des personnes officiellement positives et non des malades et de plus qu’il est directement influencé par le nombre de tests pratiqués.
  • Le nombre de personnes hospitalisées est un FAUX comme cela est reconnu dans les documents officiels du gouvernement qui comptabilise une personne asymptomatique positive au Sars-Cov2 et donc ne souffrant pas de Covid, et hospitalisée pour une appendicite dans la liste des personnes hospitalisées.
  • Le nombre de personnes en réanimation n’est pas connu.
    Seul le nombre de personnes en soin critique (réanimation + soin intensif + unité de surveillance) est fourni et nous ne savons pas si la pathologie qui les a menés en réanimation est le Covid ou pas.
  • Le taux de réanimation indiqué par l’État est un FAUX.
    Au 20 mars 2021, le gouvernement affiche qu’il y a 4246 personnes en réanimation en France, ce qui est FAUX.
    Il y aurait en fait 4246 personnes en soin critique.
    Le gouvernement ose écrire que le taux d’occupation des lits de réanimation est de 83,9 % alors même que le taux d’occupation des lits de soin critique n’est que de 22 %.
  • Le nombre de décès dus a u Covid est un FAUX.
    Les instructions écrites de l’OMS sont de comptabiliser comme décès du Covid des personnes en phase terminale de cancer avec soupçon de Covid.

La guerre de l’image

Guerre du Vietnam et guerre du golf.

  • Guerre du Vietnam : 60 000 soldats américains décédés versus environ 1,5 million de Vietnamiens.
  • Guerre en Irak (la première) : 400 soldats environ vs environ 200 000 Irakiens.

Qu’est-ce qui différencie ces 2 guerres ?

Vous pourriez me répondre que les Américains ont perdu la première, mais gagné la 2e…

À cela, je vous rétorquerais que d’un point de vue militaire, les USA n’ont pas perdu la guerre du Vietnam…
Et même s’il y a d’autres facteurs, celle-ci a été principalement perdue, selon moi, d’un point de vue médiatique
La presse était présente pour couvrir totalement et librement, le conflit.
Au point que l’opinion américaine a été totalement choquée de voir la réalité de la guerre, la barbarie qu’elle représente, fait à mon avis unique dans l’histoire des conflits armés.

Les Américains ont à ce p oint intégré le problème que nous n’avons pas vu d’images durant la guerre du golf.
Les seules images que nous fournissait l’armée américaine étaient des images de « jeux vidéo » dans lesquels nous voyions un missile faire exploser un bâtiment.
Pas la moindre image au sol !

C’est dire la différence d’impact psychologique entre les morts visibles, les enfants déchiquetés et les morts théoriques qui ne sont qu’une succession de chiffres…
Il suffit ainsi de basculer d’un modèle à l’autre pour manipuler l’opinion publique.

Les épidémies de grippe

Chaque année nous avons droit sur les médias nationaux à nos petits reportages sur les services d’urgence saturés par l’épidémie de grippe.
Nous avons alors la « chance » de voir un couloir d’hôpital avec un ou deux patients sur des brancards et un personnel médical ou un chef de service nous expliquant qu’il manque de lits et de moyens à cause de la « pourriture d’État » qui ne fait que fermer des lits…
… et ce, alors même que les dépenses de santé ne font qu’exploser.

Cela nous permet, lorsque nous sommes accoudés au comptoir en buvant notre café, de dire à quel point le gouvernement est nul.
Mais, soyons honnêtes, dans les faits, vous et moi n’en avons strictement rien à foutre…

« L’épidémie » de Covid

« Nous sommes en guerre », a déclaré à maintes reprises le chef de l’État.

Je suis obligé de mettre des guillemets au mot « épidémie », car, au même titre que la guerre du golf, je n’ai presque pas vu d’images de la « guerre du Covid » qui m’a été racontée, mais pas montrée.

Pendant la vraie épidémie, en mars, de la grippe 19, j’ai pu assister à la conférence de presse de l’état-major des armées sanitaires qui nous faisait le rapport quotidien des pertes de la journée, mais très peu d’images.
Nous avons bien vu par-ci par-là une image d’une personne âgée ou obèse intubée.
Il y a bien eu également quelques tentatives de manipulation en nous montrant des camions frigorifiques censés déborder de cadavres.
Mais dans les faits, pas grand-chose…
Et ne croyez pas que je ne regarde pas les BFM et autres France info depuis le mois de mars, ce qui devrait me valoir une médaille, vous en conviendrez.

Pourquoi une telle absence d’images ?

Quand on connaît le poids des images…
Quand on sait qu’elles participent activement à la victoire ou à la défaite d’une guerre, imaginez…
Ajoutons le fait que les journalistes sont totalement dénués de conscience.
Ils sont prêts à vous faire des gros plans sur le cadavre de Diana.

N’oubliez pas que les médias TV sont des médias d’images et qu’ils ne vivent que de l’image.

L’image est tellement essentielle qu’ils envoient un journaliste devant le palais de l’Élysée uniquement pour nous dire qu’il ne sait strictement rien alors même qu’il aurait très bien pu faire sa déclaration d’ignorance en studio…
L’image est vitale pour eux et pourtant la crise du Covid est principalement racontée par les médias audiovisuels par des images en studio ou dans des bureaux via webcam… étrange non ?

Le récit gouvernemental et médiatique

Selon nos élites et leurs esclaves…

  • Une pandémie « biblique » s’est abattue sur la planète, au point d’être contraints d’arrêter quoi ? Non seulement les libertés, mais aussi la vie !
  • Il existe une partie de la population à ce point « débile et dégénérée » qu’elle n’y croit pas…
  • L’adhésion à toutes les mesures dictatoriales est « vitale » pour s’en sortir.
    Je vous rappelle que selon le discours officiel, chaque remontée de l’épidémie a été causée par « l’irresponsabilité » de certains, un « irrespect » du port du masque et des gestes barrière.
    «L’éminent spécialiste » Martin Blachier, « exempt de conflits d’intérêts », avait même déclaré que si tous les Français respectaient les consignes nous pourrions nous débarrasser définitivement du fléau e n 15 jours (sic). C’est dire…
  • Le vaccin est « l’unique voie » pour en sortir et le succès de la campagne de vaccination dépend totalement de l’adhésion…
  • Des médecins et des chefs de service « au-delà de tout soupçon » nous expliquent tous les jours que « les variants touchent un public de plus en plus jeune, qui plus est sans comorbidité », c’est dire si la menace ne fait que croître !

Et pas d’images ? On se moque de qui ?

Cela me fait penser à celles et ceux qui pensent que personne n’est jamais allé sur la lune.
Dans ma grande naïveté, je pense qu’il suffirait de montrer des films en live du LEM et des 180 tonnes d’objets laissés officiellement par la NASA lors des différentes missions lunaires pour mettre fin à la polémique…
Au contraire, une loi a été votée aux USA afin de protéger les sites et interdire toute interaction !

Dans le même esprit, il me semble plus facile de filmer des services de réanimation que d’envoyer une nouvelle mission sur la Lune…

  • Pourquoi ne voyons-nous pas toute la journée des reportages dans des réanimations surchargées ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas des personnels hospitaliers ou des infirmiers « épuisés » interrogés dans ces services ?
  • Pourquoi les chefs de service ne profitent-ils pas de la crise pour nous montrer le tiers-monde à l’hôpital ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas des journalistes filmant dans tous les services des hôpitaux afin de clouer le bec aux impies et nous montrer la saturation des services ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas les personnels médicaux sans emploi, du fait de la fermeture de certains services, soulager l’hôpital dans les services Covid qui devraient avoir trop de personnels ?
  • Pourquoi ne voyons-nous pas tous les jours des images de personnes jeunes, en bonne santé (comme ils le disent), sans comorbidités apparentes, sous oxygène ou sous respirateur ?
  • Pourquoi voyons-nous toute la journée des journalistes et des invités blablater sur les plateaux, mais pas d’images ?

Pourquoi ne pas nous montrer ces images dans tous les hôpitaux de la région parisienne qui sont officiellement « au bord du gouffre » ?

Vous avez des hypothèses ?

  • Pour respecter la vie privée des personnes filmées ? Il suffit de les flouter.
  • Pour ne pas faire dans le sensationnalisme ? Je pourrais en rire…
  • Parce que ces charognes de journalistes n’y penseraient pas et qu’ils préféreraient filmer un chef de service devant sa webcam ? Vous aurez du mal à me convaincre…

Il n’y aurait QUE des avantages à nous prouver que la situation est grave ou même catastrophique pour nous inciter à nous injecter leurs poisons.

  • Que les services d’urgence sont saturés dans les zones à « fort taux d’incidence » par des patients Covid ou autres…
  • Qu’il n’y a presque plus de places dans les lits de réanimation de ces régions.
  • Qu’il n’y a pas de services totalement désertés dans un hôpital alors que le service Covid de ce même hôpital serait saturé et que les autres hôpitaux publics ou privés de la ville subissent la même saturation,
  • Et de plus nous montrer la liste des patients en nous indiquant leur âge et leurs comorbidités.

Si vous — les responsables qui nous mentent depuis des mois sur les chiffres (preuves à l’appui) — me montriez ce que je demande, alors je pourrais commencer à vous croire…

L’absence d’images qui ne pourraient que convaincre les Français est une preuve indiscutable et irréfutable que vous nous mentez sur la saturation supposée des services de réanimation.

En ne fournissant pas ces données légitimes, VOUS reconnaissez implicitement votre mensonge et la manipulation de tous les Français…

Merci.

Alain Tortosa. 20 mars 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210320-fausse-epidemie.pdf




Ce n’est pas de vaccin dont les étudiants ont besoin, mais d’enseignement et de liberté

Par Dr G et N Delépine

« Ne nous jouons pas de mots. Cette campagne vaccinale relève d’une expérimentation inédite et planétaire qui impacte nos sociétés. L’un de ses risques serait de ne pas anticiper les conséquences humaines et politiques d’une impatience ou de négligences qu’aucun principe supérieur ne saurait justifier. » (([1] Décembre 2020 Quelles règles éthiques pour organiser la vaccination contre le SARS-CoV-2 en Ehpad ? (theconversation.com) ))

Pr Emmanuel Hirsch
Professeur d’éthique médicale, Université Paris-Saclay

Dans un article récent France Soir informe que « la Conférence des présidents d’université (CPU) demande au gouvernement une vaccination massive des étudiants pour envisager une rentrée 2021 en présentiel. », demande également appuyée Virginie Dupont, vice-présidente de la CPU, et par l’Avuf (Association des villes universitaires) présidée par Catherine Vautrin.

Mais pourquoi ne demandent-ils pas plutôt la reprise immédiate des cours en présentiel ?

RISQUE QUASIMENT ZÉRO POUR LES ÉTUDIANTS

Les étudiants n’ont aucun bénéfice individuel à espérer de la vaccination puisqu’ils ne risquent pratiquement rien du covid19. De même, la motivation altruiste n’a aucun intérêt dans cette maladie, puisque la vaccination semble incapable d’interrompre la transmission de la maladie.

Si les présidents des universités veulent mettre fin aux graves souffrances des étudiants et des enseignants, c’est la suppression immédiate des mesures liberticides inutilement imposées dans leurs établissements qu’ils doivent réclamer !

Les mesures tyranniques prises à l’encontre des étudiants et le chantage « présentiel seulement si vacciné » n’ont en effet aucune justification médicale, car les étudiants ne risquent pratiquement rien du covid19 et leur contamination naturelle constituerait un bien meilleur rempart contre le covid19 des populations à risque que les vaccinations actuelles.

Les étudiants ne risquent pratiquement rien du Covid-19

Une enquête récente de l’Ined([2] https://dc-covid.site.ined.fr/fr/presentation/q7/)) portant sur la France, l’Italie, l’Espagne et l’Allemagne montre que les moins de 50 ans ne participent que pour 1 à 2% des morts attribuées au Covid-19. En France, les adultes de moins de 30 ans ne regroupent que moins de 5% des malades de Covid-19 en réanimation et beaucoup environ 0,1% des décès.

Il n’y a donc aucun espoir de bénéfice individuel à espérer pour eux, alors que les complications des vaccins expérimentaux commencent à faire la une des médias. La Haute Autorité de Santé vient d’émettre le 19 mars un avis défavorable à l’utilisation du vaccin Astra Zeneca chez eux (et pour tous les moins de 55 ans)(([3] https://www.has-sante.fr/jcms/p_3244283/fr/avis-n-2021-0018/ac/seesp-du-19-mars-2021-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-sur-la-place-du-vaccin-astrazeneca-dans-la-strategie-vaccinale-suite-a-l-avis-de-l-agence-europeenne-des-medicaments-concernant-des-evenements-indesirables-survenus-dans-plusieurs-pays-europeens-chez-des-personnes-vaccinees)).

Les vaccins actuels ne protègent pas de la transmission

Aucun essai phase 3 d’aucun vaccin n’est terminé ni analysé, ni publié :
tous les vaccins anti covid19 actuellement commercialisés sont donc expérimentaux.

Les données communiquées montrent qu’il est douteux qu’ils soient susceptibles d’empêcher la transmission de la maladie. Être vacciné ne protège pas les proches !

L’évolution de l’épidémie dans les pays récemment largement vaccinés laisse même craindre que la vaccination augmente la diffusion de la maladie au moins durant les premières semaines qui suivent le début des campagnes de vaccination, partout marquées par une augmentation considérable des nombres de contaminés selon les données de l’OMS.

Qu’il s’agisse d’Israël où trois mois après le début de la vaccination (20/12) le taux hebdomadaire de contaminations, après avoir culminé à 58299 en janvier 2021, reste encore supérieur (18916) à la moyenne observée durant les 4 semaines d’avant vaccination (10000). Après dix mois d’épidémie, le pays comptait 373275 cas ; trois mois après la vaccination, ce chiffre a plus que doublé atteignant 823899 cas. La mortalité a suivi une évolution similaire avec un total de 3089 le 19 décembre passé à 6064 le 18 mars 2021.

L’amélioration constatée depuis quelques semaines dans ce pays s’observe également au niveau mondial avec une baisse de près de 60% depuis janvier 2021.

Les Émirats Arabes Unis

Les Émirats Arabes Unis représentent le champion arabe de la vaccination avec plus de 45% de sa population vaccinée depuis le 23 décembre 2020.

À cette date, près dix mois d’épidémie le pays comptait 195878 cas ; trois mois après la vaccination, ce chiffre atteint 436825 (+123%). La mortalité a suivi un accroissement similaire avec un total de 642 le 23 décembre passé à 1428 (+122%) le 18 mars 2021.

Au Bahreïn

Après dix mois d’épidémie, le pays comptait 87929 cas ; trois mois après la vaccination, ce chiffre atteint 134510 (+53%). La mortalité a suivi une évolution similaire avec un total de 343 le 7 décembre passé à 493 (+43%) le 18 mars 2021.

Il ne peut donc pas y avoir de motivation altruiste à se faire vacciner pour l’instant.

L’immunité naturelle de la majorité des étudiants protégerait la nation

Les jeunes qui ont été contaminés par le covid19 guérissent en acquérant une immunité solide qui les protégera la vie durant comme cela est le cas habituel pour les maladies virales (([4] Cette protection n’existe que pour la souche virale initiale et n’empêche pas un nouveau virus de nuire)). Si suffisamment d’étudiants se contaminent, cette immunité acquise sans risque constituerait une protection pour les plus âgés. Il n’y a donc pas de logique sanitaire à tenter de limiter les contaminations dans ce groupe d’âge. Il suffit de leur recommander de ne pas rendre visite à leurs aînés lorsqu’ils se sentent malades(([5] En effet la contamination par les asymptomatiques, si elle est possible ne joue qu’un rôle infime dans la transmission)).

Alors pourquoi détruit-on l’enseignement universitaire et pousse-t-on les étudiants au suicide ?

L’arrêt des activités universitaires normales et les autres contraintes sanitaires, qui n’ont pas fait la preuve scientifique de leur efficacité (masque, confinement) sont directement responsables de la perte d’un an d’enseignement, de l’accroissement extrême de la misère étudiante, de la perte de vocations et de graves troubles psychiques qui ont déjà poussé de nombreux étudiants au suicide.

Il est très curieux que dès avril 2020 des doyens aient réclamé la fermeture des universités au moins jusqu’en janvier 2021 sans connaissance de l’évolution de l’épidémie qui commençait en France.

Tout se passe comme s’ils étaient les porte-voix des décideurs de l’OMS et gouvernements affidés, suivant les prédictions délirantes(([6] Dans le rapport 9 de Ferguson le risque réel du covid19 et surestimé par 10 !)) – décisions pour le futur, de Ferguson et de ses confinements successifs.

L’intérêt sanitaire, déjà suspect, pour les étudiants l’est encore plus devant cette demande honteuse de prise de risque via des médicaments expérimentaux d’une classe d’âge qui en retour n’a à attendre aucun bénéfice puisque quasiment pas touché par le covid.

L’alliance des doyens, en lien étroit avec les présidents d’université de médecine, est pour le moins suspecte et à interroger. Serait-il indécent de se demander si les partenariats public-privé sur lesquels reposent maintenant les financements des universités ne seraient pas en cause dans ces liens peut-être incestueux avec l’industrie pharmaceutique ?

Sinon, quelles sont les compétences des doyens pour trancher une question aussi lourde de conséquences ?

De quel droit suprême interviennent-ils dans un domaine qui aurait dû rester de la compétence médicale et de fait verse complètement dans le politique, comme leur position le démontre encore.

Les vaccins sont encore expérimentaux : les imposer est contraire à l’éthique et au code de Nuremberg et à la convention d’Oviedo signée par la France.

Comme nous l’avons prouvé lors d’une tribune(([7] Dr Gérard Delépine OUI, les vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l’AFP et J. Mansour affirment dans leur fast check ” Réseau international 19/3/2021 ou directement ici)) démentant des affirmations erronées de l’AFP, les vaccins anticovid19 actuellement commercialisés sont tous expérimentaux, puisqu’aucun de leurs essais de phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023. Tapez clinicaltrials.gov et retrouvez les détails des essais en cours dont sont extraites ces images.

Leur utilisation chez des volontaires informés de manière loyale comme le prince héritier de Bahreïn, Salman ben Hamad est respectable(([8] Le prince héritier de Bahreïn participe aux essais du vaccin contre la Covid-19 https://arab.news/wthwc)).

Mais mentir en faisant une propagande mensongère pour les vaccins, prôner une obligation ou discriminer ceux qui ne veulent pas être vaccinés est contraire à l’éthique médicale et aux valeurs des pays démocratiques ainsi que l’a rappelé l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe(([9] L’Assemblée regroupe les parlementaires [députés, sénateurs] des 47 États membres du Conseil de l’Europe – dont les pays de l’Union européenne, mais aussi la Turquie, la Russie et les pays du Caucase. Ses résolutions ne sont pas juridiquement contraignantes. L’assemblée représente la « conscience démocratique » de l’Europe « et ses positions portent une valeur morale sur le plan international » : « Elles ont une influence indirecte sur la législation nationale puisque les mêmes parlementaires regroupés au sein de l’Assemblée votent — dans leurs parlements — les lois nationales. »)) le 27/1/2021 par la résolution 2361.

La demande des présidents d’université au gouvernement pour une vaccination massive des étudiants n’est ni éthique ni médicalement justifiée en l’état actuel de la science, et questionne largement sur leurs motivations. Il eût été intéressant qu’ils tiennent compte de l’avis d’un professeur d’éthique médicale, le Pr Emmanuel Hirsch (Université Paris-Saclay) qui mettait en garde en décembre 2020 sur les risques éthiques de la vaccination rapide et quasi forcée dans les Ehpad.(([10] Quelles règles éthiques pour organiser la vaccination contre le SARS-CoV-2 en Ehpad Les recommandations de la Haute Autorité de santé (HAS), sollicitée par les instances gouvernementales pour édicter les bonnes pratiques, en concertation avec notamment le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale française, évoquent, une fois rappelées l’exigence de sécurité, la transparence dans l’information, les priorités dans les phases de diffusion du vaccin, la liberté de décider pour soi d’être vacciné ou non. Qu’en sera-t-il en Ehpad, espaces particuliers où culminent les vulnérabilités, que l’on a choisis pour lancer la phase 1 de la vaccination ? ? (theconversation.com)))

Rappelons ses dires en décembre 2020 :

« Serait-il acceptable qu’ils situent au rang des critères d’arbitrage, et donc de leurs responsabilités, le principe selon lequel les premiers mois d’implémentation du vaccin constitueraient une phase transitoire, une quatrième phase en quelque sorte d’expérimentation populationnelle du vaccin ?

Si tel était le cas, cette situation sans précédent imposerait des lignes de conduite spécifiques en termes de concertation avec notre représentation nationale, d’information publique, d’inclusion, d’accompagnement du protocole de vaccination et plus encore de pharmacovigilance. Une telle option engagerait à justifier une position inédite, dans un contexte de crise sanitaire majeure aux textes éthiques s’appliquant à la recherche biomédicale. Car ceux-ci visent à ce que « la recherche ne présente pour la personne concernée qu’un risque minimal et une contrainte minimale ; aucune considération quant à l’importance des bénéfices potentiels de la recherche ne peut être utilisée pour justifier un niveau accru du risque ou de la contrainte ». Et encore, il s’agissait de la population la plus à risque. Comment ignorer les règles éthiques concernant une population à risque quasi nul pour satisfaire les relations des doyens avec le pouvoir ? Impensable.

Ce n’est pas de vaccin dont les étudiants ont besoin, mais de conditions d’études normales, et de vie libre tant dans leurs activités de loisir que sportives, culturelles, etc.

Sans délai ni condition non médicalement justifiée et à risques encore non correctement évalués.





Les décisions gouvernementales n’ont d’ubuesque que l’apparence

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Le théâtre du jeudi soir (de notre temps, c’était du samedi soir…)

Étonnée que les Français soient encore surpris des annonces en yoyo et manifestement délirantes, si on les regarde avec un œil sanitaire.

Mais pas d’étonnement pour tous ceux qui ont quitté la secte covid et ont ouvert les yeux après une sidération plus ou moins longue et la dissonance cognitive associée par les mesures volontairement contradictoires et inutiles, du masque sur la plage ou seul en forêt aux campagnes de tests PCR démontrés non fiables depuis de longs mois et multipliés dans les écoles.

Pourtant, on sait depuis près d’une année aussi que les enfants ne sont ni en danger, ni contaminants.

Alors que penser du scénario du jeudi, comme on regarde un feuilleton aux rebondissements multiples depuis des semaines. Mais le scénario est mauvais, les artistes amateurs et les conséquences tragiques. Ceux qui, curieusement, l’analysent sur le plan sanitaire ne peuvent que constater les incohérences et terminent leur discours par un sempiternel « je ne comprends pas ».

Et même si nos gouvernants ratent quelque peu la mise en scène, force est de reconnaître qu’ils suivent scrupuleusement le rapport 9 de Ferguson et les confinements successifs prévus. Pas de seconde vague en novembre, peu importe : on change la spécificité des tests (plus de CT de cycles d’amplification et donc plus de positifs) et des cas, mais Véran ne parle jamais plus que de malades même quand il ne s’agit que de cas, donc des bien-portants. Et puis, on multipliera les tests plusieurs fois par semaine chez les hospitalisés jusqu’à obtenir un positif, isoler le malade venu pour un cancer ou une infection abdominale. Privé de famille, de compréhension, de soins adéquats puisque transféré en unité covid, beaucoup mourront isolés, mal traités à tous les sens du terme et codés covid, évidemment, donc sans accompagnement ni avant ni après la mort…(([1] https://www.20min.ch/fr/story/coronavirus-ces-deces-qui-sement-le-doute-879843877850?utm_medium= et aussi les témoignages de Stéphanie bataille sur sud radio chez Bercoff))

De nombreux témoignages se multiplient atteignant même les chaînes télé, car la sidération se tassant, les familles réalisent, culpabilisent et parlent. Bref, la pseudo-seconde vague fut alimentée par toutes sortes de voies, telles les septicémies bactériennes ou à champignons provoquées par le port prolongé du masque, dont il est tabou de dire du mal, nouveau totem du pouvoir sanitaire.

La troisième vague prévue pour le confinement programmé en mars tardait à arriver, donc les tests antigéniques (encore moins fiables que les tests PCR habituels), ont été multipliés largement par notre Véran national qui a pu chaque jour depuis quelques semaines afficher des chiffres en hausse, discordant toutefois avec la courbe plate des décès. Mais qu’importe si – même des Blachier – questionnent sur les ondes officielles.  Enfin, lui et d’autres expliquent clairement aussi que si les lits de réanimation se sont remplis, c’est automatique si on en libère par exemple en supprimant les autres activités, on adapte les entrées pour remplir au moins à 90 %, ce qui est impératif pour garder son budget et son personnel.

« Il n’y a PAS de 3e vague !
Depuis le début de l’année seulement 96 morts/jour de plus que en 2019 année sans épidémie sur 2 065 morts/j en moyenne soit augmentation/2019 de + 4,6 % pondéré pour vieillissement population = + 3 % /2019
Vérifier ici : 
https://insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854#figure1_radio2…Dr »

Peter Elbaz sur tweeter ce 19 mars.

Et cette réflexion de bon sens de dragonduclos :

« Nous sommes dans une situation inédite dans l’histoire médicale selon laquelle une “épidémie mortelle” n’est pas caractérisée par l’augmentation de la mortalité… »

L’application du projet OMS Davos se poursuit tant que les hommes se soumettront…

Que penser donc des mesures de confinement, dites de freinage ? Évidemment, elles ont deux portées majeures, continuer le conditionnement de la population à obéir, mais sans en faire trop car, évidemment, le Président craint à juste titre une explosion. Alors leur rendre une heure le soir, ce qui soulage effectivement, et voilà nos Français contents qui oublient tout le reste et… partent en province. Ils ont bien raison…

La deuxième conséquence majeure est la fermeture des PETITS commerces qui aboutira à la faillite de nombreux d’entre eux avec quelques suicides au passage, et réalisera ainsi l’objectif avoué, écrit dans le livre de Klaus Schwab LA DISPARITION DES TROIS QUARTS DES RESTAURANTS, BARS, ETC. AVANT JUIN 2021. Qu’on ne me parle pas de complot, les participants au forum de Davos ont parlé depuis des décennies de leur plan machiavélique fondé sur la numérisation à outrance et l’obéissance des peuples via les nouvelles technologies, leur nouveau Dieu.

Pour les plus crédules et/ou curieux, lisez le dernier livre paru en juillet 2020 et disponible gratuitement sur le web :
« Covid-19 : LA GRANDE RÉINITIALISATION ».

Vous y trouverez la disparition de la monnaie liquide et, à travers cette mesure, la perte totale de notre indépendance vis-à-vis des banques. Le passeport sanitaire en fera partie.

Ils n’ont pas encore gagné

Mais ils n’ont pas gagné encore, tous les totalitarismes s’écroulent et celui-là disparaîtra probablement avant d’être complètement développé ; il y a toujours des grains de sable qui s’accumulent progressivement pour devenir plage, voire montagne. La seule inconnue est le temps de son renversement et des victimes directes et collatérales induites par leur tentative de coup d’État mondial et sa durée.

Alors, cette épidémie de grippe comme une autre avec son lot de décès inférieur à d’autres grandes pandémies leur a donné l’occasion, provoquée ou non, de tenter d’appliquer leur projet funeste, révisé dans l’Event 2019 en novembre en utilisant leurs armes politiques via l’utilisation de mesures sanitaires que les bons peuples allaient gober, et que le FMI allait aider en donnant des subventions aux pays qui accepteraient les confinements (avouées par certains pays, probables dans les autres).

Ces confinements, couvre-feux et toutes mesures liberticides ruinant l’économie contribueraient donc à la disparition attendue des classes moyennes, transformant les individus de ces classes en esclaves modernes touchant le revenu universel (de l’ordre de 1 000 euros mensuels), ne possédant plus rien et louant appartement, machine à laver etc. avec, comme distractions, des émissions type téléréalité, etc. Certains trouvent d’ailleurs ces hypothèses alléchantes. Mais la sécurité et police à la chinoise qui l’accompagnent (car surveillent si on mérite bien ces avantages) ne nous enthousiasment guère. D’où beaucoup de grains de sable résistants.

Et le vaccin ?

Le Premier ministre a évidemment ressassé son obsession du vaccin, et innocenté l’AstraZeneca de tout péché, dont il savait que la commission de l’agence du médicament l’absoudrait… au moins un certain temps, celui d’augmenter largement les ventes. Notons que le 19 mars la HAS a précisé qu’il ne fallait pas utiliser ce vaccin chez les moins de 55 ans.

La présidente de l’EMA ne risquait pas beaucoup a priori de contrarier les labos dont elle est issue.

« Avant d’être directrice générale de l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui vient de donner le feu vert à Astra Zeneca. Emer Cooke a travaillé à l’association européenne des groupes pharmaceutiques à Bruxelles, principal lobby de l’industrie pharmaceutique auprès de l’UE ».

(([2] @rifain_nouvelle sur Twitter (tu commences à comprendre, dit-il ?) ))

Alors, évidemment, en 48 heures (comment analyser des milliers de signalements en si peu de temps, l’EMA a tranché : “circulez il n’y a rien à voir”. Les médias devenus rapidement spécialistes de l’embolie pulmonaire nous l’ont bien expliqué. Il y en a autant chaque jour chez les citoyens normaux et les vaccinés : alors pourquoi chercher la petite bête.

« Le comité est parvenu à une conclusion scientifique claire : il s’agit d’un vaccin sûr et efficace », a déclaré la directrice exécutive de l’EMA, Emer Cooke, lors d’une visioconférence.

« Le régulateur européen, basé à Amsterdam, “a également conclu que le vaccin n’était pas associé à une augmentation du risque global d’événements thromboemboliques ou de caillots sanguins », a précisé Mme Cooke. « Ses avantages dans la protection des personnes contre le Covid-19, avec les risques associés de décès et d’hospitalisation, l’emportent sur les risques possibles ».

Curieux, déjà, ce commentaire qui devrait alerter les naïfs volontaires :

« les risques associés de décès et d’hospitalisation l’emportent sur les risques possibles ».

Sont-ils conscients, nos candidats  que même, à moins de 55 ans, on peut mourir d’un vaccin alors que la maladie  ne tue que les personnes âgées de 84 ans en moyenne et moins de 0,05 % de la population au total ?

Le problème est qu’il existe toujours des gens pour empêcher la terre de tourner en rond. Et, hop, un caillou de plus dans la chaussure de l’EMA :

Le responsable de l’enquête norvégienne confirme que le vaccin d’Astra Zeneca a provoqué des caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.

Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare. Ils sont arrivés avec une douleur aiguë ; ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau.

« De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes. En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause », explique le chercheur.

« Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée. »

Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent un problème. « Nous parlons d’anticorps très spécifiques ».

« On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible. »

Bref, en nous gardant bien de conclure dans une affaire aussi complexe de spécialistes, il est clair que le vaccin AstraZeneca n’est pas un bonbon sans risque et qu’il serait bien qu’on prenne le temps d’attendre. Mais la Bourse est pressée.

Bien d’autres sont inquiets sur l’avenir des vaccinés, au-delà des effets immédiats.

Et des twittos s’alarment : 

« Pourquoi les #média ne parlent-ils pas des décès dû aux #vaccin après #vaccination du #Pfizer #AstraZeneca #Moderna
À ce jour nous en sommes à 3 964 décès “officiels” soit + 16,95 % 
N’oubliez pas le facteur mensonge de la part des autorités
#StopCouvreFeu #StopConfinement » 

@AileaStick

et allez vérifier sur la base de données de l’EMA des effets indésirables même si c’est un peu ardu…

En tous cas, si vous aimez les vôtres, dites-leur qu’il est urgent d’attendre…  pour les quatre vaccins actuellement injectés en France… Qui vivra verra…

Nicole Delépine





Poutine un « tueur » ? Réponse du Président russe à Biden

[Source : Le Cri des Peuples]

[…] Polina Bolbochan, Coordinatrice des bénévoles du Festival international de musique et représentante de l’Université fédérale de Crimée : Monsieur le Président, j’ai une question un peu personnelle pour vous. Hier, le Président Biden a été assez dur dans son entretien, y compris à votre égard. Que lui diriez-vous ?

Vladimir Poutine :

En ce qui concerne la remarque de mon homologue américain [qui a qualifié Poutine de « tueur » à qui il ferait « payer cher ses actions »], nous nous sommes effectivement, comme il l’a dit, rencontrés en personne. Que lui répondrais-je ? Je dirais « Restez en bonne santé ! ». Je lui souhaite une bonne santé. Je dis cela sans ironie ni arrière-pensées. C’est mon premier point.

Deuxièmement, en adoptant une approche plus large de cette question, je voudrais dire que les événements difficiles, dramatiques et sanglants abondent dans l’histoire de chaque nation et de chaque État. Mais lorsque nous évaluons d’autres personnes, ou même d’autres États et nations, nous semblons toujours être face à un miroir, nous nous voyons toujours dans le reflet, car nous projetons notre for intérieur sur l’autre personne.

Vous savez, je me souviens que quand nous étions enfants et que nous jouions dans la cour de récréation, nous avions des disputes de temps en temps et nous disions [en réponse à une insulte] : « C’est celui qui le dit qui l’est ». Ce n’est pas une coïncidence ou juste une blague d’enfants. Ce propos exprime une vérité psychologique très profonde. Nous nous voyons toujours dans une autre personne et pensons qu’elle est comme nous, et évaluons les actions de l’autre en fonction de notre propre vision de la vie.

[Voir : L’utilité des miroirs et de l’observateur]

En ce qui concerne le gouvernement américain, la classe dirigeante — je ne parle pas du peuple américain, qui est majoritairement composé de gens honnêtes, dignes et sincères qui veulent vivre en paix et en amitié avec nous, une chose dont nous avons conscience et que nous apprécions, et nous comptons sur lui pour l’avenir —, mais pour ce qui est de la classe dirigeante américaine, son état d’esprit s’est formé dans des circonstances plutôt difficiles dont nous sommes tous conscients. Après tout, la colonisation du continent américain par les Européens est allée de pair avec l’extermination des populations locales, le génocide, comme on dit aujourd’hui, le génocide pur et simple des tribus indiennes suivi d’une période très dure, longue et difficile de l’esclavage, une période très cruelle. Tout cela a fait partie de la vie en Amérique tout au long de l’histoire des États-Unis et jusqu’à ce jour. Sinon, d’où viendrait le mouvement Black Lives Matter ? Jusqu’à ce jour, les Afro-Américains sont confrontés à l’injustice et même à l’extermination.

La classe dirigeante des États-Unis a tendance à aborder les questions de politique intérieure et étrangère en se basant sur de telles considérations [racistes et criminelles]. Après tout, les États-Unis sont le seul pays à avoir utilisé des armes nucléaires, qui plus est contre un État non nucléaire, le Japon, à Hiroshima et à Nagasaki à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il n’y avait absolument aucun besoin militaire justifiant ce bombardement. Ce n’était rien d’autre que l’extermination de civils. J’en parle, car je sais que les États-Unis et leurs dirigeants sont déterminés à maintenir certaines relations avec nous, mais sur des sujets qui intéressent les États-Unis et selon leurs propres termes. Même s’ils croient que nous sommes comme eux, nous sommes différents ! Nous avons un code génétique, culturel et moral différent. Mais nous savons comment défendre nos intérêts. Nous travaillerons avec les États-Unis, mais dans les domaines qui nous intéressent et à des conditions qui nous semblent bénéfiques pour nous. Ils devront en tenir compte malgré leurs tentatives visant à arrêter notre développement, malgré les sanctions et les insultes. Ils devront en tenir compte et reconnaître [qu’ils doivent traiter avec nous sur un pied d’égalité et non depuis une position de domination, de pression et de coercition].

En gardant à l’esprit nos intérêts nationaux, nous développerons nos relations avec tous les pays, y compris les États-Unis. C’est en gros tout ce que je veux dire à ce sujet. […]




De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

[Source : Les 7 du quebec]

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

Le 29 mars prochain, l’un des plus grands scandales sanitaires ayant directement concerné notre pays va trouver son épilogue. C’est celui du Médiator.

Près de 5 000 victimes, 376 avocats,  25 prévenus révèlent l’ampleur de ce  scandale dans lequel sont impliqués le laboratoire pharmaceutique Servier (le corrupteur), mais surtout les présumés corrompus, de l’appareil exécutif, politique ou sanitaire de notre pays, poursuivis par la justice (source pour la liste nominative ci dessous: Wikipedia)

Marie Thèrèse Hermange, ancienne sénatrice, rapporteur du rapport sénatorial sur le Médiator de 2011, mise en examen pour trafic d’influence ou complicité de trafic d’influence (selon les sources). Claude Griscelli, Professeur de médecine, soupçonné d’avoir fait modifier le rapport sénatorial sur le Médiator de 2011 par Marie Thèrèse Hermange, consultant médical au laboratoire Servier pour 90000 euros/an. Mis en examen pour trafic d’influence. Jean-Michel Alexandre, président de la commission d’autorisation de mise sur le marché (AMM) au ministère de la Santé de 1985 à 1993, puis directeur de l’évaluation du médicament de l’Agence du médicament de 1993 à 2000. À sa retraite, il devient consultant pour Servier via une société écran, rémunéré plus de 1,1 million d’euros pour la période 2001-2009. Il est soupçonné d’avoir été mis sous influence financière par Servier lorsqu’il était fonctionnaire. Éric Abadie (décédé), directeur de l’évaluation à l’Afssaps à partir de 2007, chargé de la pharmacovigilance, mis en cause pour avoir caché que son épouse était l’avocate des laboratoires Servier. Dominique Maraninchi mis en examen pour homicides et blessures involontaires comme représentant légal de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament). Michel Detilleux, Jean-Roger Claude et Bernard Rouveix: experts rémunérés par Servier qui siégeaient simultanément à des commissions des autorités de santé statuant notamment sur des produits du groupe pharmaceutique, ils sont mis en examen pour «prise illégale d’intérêts». Jacques Massol, ancien membre de la Haute Autorité de santé et de la Direction générale de la santé, et François Lhoste, ancien chargé de mission au ministère de la Santé, sont mis en examen pour «prise illégale d’intérêts».

Outre les chefs d’inculpation retenus contre les personnes physiques, ceux retenus contre les personnes morales  (laboratoire Servier, ses filiales et l’ANSM sont, eux aussi édifiants: «tromperie aggravée», «homicides et blessures involontaires», et «escroquerie» au préjudice de la sécurité sociale et des mutuelles.

Rappelons que les effets nocifs du Médiator  étaient dénoncés dès 1997 dans «la revue Prescrire», que ce médicament avait été retiré du marché en Italie (2003) et en Espagne (2004) pour ses effets nocifs, mais qu’il a pu se maintenir en France jusqu’en Novembre 2009 grâce à la corruption par «Big Pharma» qui gangrène les institutions politiques et sanitaires de la France. Il est surprenant et choquant pour les honnêtes gens et pour les victimes, qu’il ait fallu 11 ans pour que justice soit rendue dans cette affaire alors que plusieurs prévenus et de nombreux plaignants sont déjà décédés.

Il ne serait pas surprenant, en revanche, que l’ampleur et l’étendue de la corruption étant ce qu’elles sont devenues, aujourd’hui, dans notre pays, le verdict du 29 mars dans le procès du «Médiator» soit plus clément qu’attendu pour les corrupteurs et les corrompus …«Selon que vous serez puissant ou misérable les jugements de cour vous rendront blanc ou noir …..».

C’est dans ce contexte judiciaire que survient la pandémie de la Covid-19. Il nous faut bien constater, hélas, ce qui apparaît de plus en plus clairement dans la gestion calamiteuse de cette épidémie en France, que rien n’a véritablement changé pour ce qui est de la corruption  encore trop importante d’une partie de notre personnel politique et de nos institutions sanitaires.

Ce n’est pas sans raisons que Transparency International a déjà dénoncé cette corruption par l’industrie pharmaceutique, 
https://www.lesechos.fr/2016/06/transparency-international-denonce-la-corruption-dans-lindustrie-pharmaceutique-207127  et  que celle-ci a été, dans le passé, régulièrement pointée du doigt, arguments à l’appui, par certains médias.   
https://www.monde-diplomatique.fr/2003/10/RIVIERE/10610

Ce qui pose problème aujourd’hui, c’est que les médias mainstream français ne dénoncent plus ce genre de «détails». Ils font cause commune avec les laboratoires pour une raison très simple. Une poignée de milliardaires ont pris le contrôle de 90% des médias en France. La connivence et la collusion entre eux et les politiques au pouvoir qui accordent les subventions sont d’un intérêt mutuel bien compris. Leur connivence et leur collusion avec les milliardaires qui contrôlent Big Pharmales GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), les banques et la spéculation boursière, sont également d’un intérêt mutuel bien compris. Les requins ne se dévorent pas entre eux, surtout lorsqu’ils appartiennent au petit monde qui contrôle la finance et l’économie mondiale et qu’ils appartiennent, le plus souvent, à la même communauté.

Corrupteurs et corruptibles 

Mais pour qu’il y ait des corrupteurs, encore faut-il qu’il y ait des responsables politiques et sanitaires prêts à se laisser corrompre. C’est, hélas, trop souvent le cas au sein de la commission européenne et du parlement européen mais aussi au sein des exécutifs de tous les états de l’UE, et, pour ce qui nous concerne, au sein de l’exécutif français et de ses instances sanitaires.

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

L’affaire du Remdesivir

Analyser les sagas concernant l’achat massif par l’Europe et la promotion surprenante d’un médicament notoirement nocif (Remdesivir) qui rappelle fâcheusement le précédent du Médiator.  Analyser le choix d’un cabinet de conseil sur la stratégie vaccinale d’une campagne de vaccination française chaotique et désorganisée, avec des vaccins encore «expérimentaux» et donc non «aboutis», tout cela est édifiant pour qui accepte de se livrer à cet exercice.

Il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que le bras de fer mené par les suppôts corrompus de Big Pharma et leurs relais complices des médias mainstream contre la chloroquine et l’azytromicine recommandées par le professeur Raoult n’avait qu’un seul but: promouvoir le Remdesivir et le vaccin, au plus grand profit de Big Pharma …. La pitoyable étude du Lancet, rétractée pour fraude avérée, mais prétexte, en France, à l’interdiction faite aux médecins de ville de prescrire, a montré de triste manière jusqu’où les corrupteurs de Big Pharma pouvaient aller et à quel point ils pouvaient réussir leur manœuvre  auprès d’un appareil exécutif peut être plus corrompu qu’ailleurs.

La technique utilisée dans cette «guerre de l’information» était bien connue et a été parfaitement décrite par Anne Morelli.  Le 3ème principe élémentaire de cette propagande de guerre contre la chloroquine a été utilisé: il consistait à répéter un mantra (ce que BFMTV et France Intox savent faire et font à longueur de journée): «le chef du camp adverse (Raoult) a le visage du diable (ou «du charlatan de service»).

Faire douter l’opinion, salir, décrédibiliser, détruire le chef du camp adverse, c’est remporter la partie. Manque de chance pour les corrompus, Raoult est un «géant» et il n’était pas seul. Il avait à ses côtés son équipe de professeurs d’élite de l’IHU de Marseille, tous plus titrés les uns que les autres, dont aucun n’a fait défaut ou n’a trahi ses convictions malgré les sollicitations dont ils ont du faire l’objet. Il avait derrière lui des dizaines de milliers de médecins français, des centaines de milliers de médecins dans le monde entier qui soutenaient et appliquaient son protocole.  Une étude anglosaxonne a d’ailleurs montré que les deux médicaments les plus prescrits contre la Covid dans le monde, par les médecins de terrain, ont été   1 – l’Azytromycine 54% et 2 – la chloroquine 49% avec des résultats «observés» bien meilleurs que dans tous les pays qui ont fait l’impasse sur ces traitements efficaces et peu onéreux. https://www.maltraites-ledoc.com/

S’agissant de la stratégie vaccinale en France, les plus hauts niveaux de l’État français ont fait appel à un cabinet US (Mc Kinsey) pour la diriger. Ceci doit inciter le citoyen français à se poser quelques séries de questions:

1 – N’existe-t-il pas, en France, suffisamment de structures compétentes pour remplir ce genre de mission ? Pourquoi faire appel et sous traiter à un cabinet de conseil US une mission qui concerne directement les intérêts et la santé des français ? La gestion US de la crise sanitaire, la plus mauvaise au monde si l’on s’en tient aux résultats, doit-elle être considérée comme un modèle à suivre par nos dirigeants ?

2 – Pourquoi choisir le «sulfureux» cabinet conseil Mc Kinsey dont l’histoire récente a été marquée par des scandales à répétition ? Ce cabinet vient tout juste de verser 573 millions de dollars pour clore les procédures engagées contre lui par 49 États US, après la mort de 500 000 Américains suite à un usage abusif d’opioïdes (conseillés par McKinsey). Ce cabinet est  également  à la  base du  plus gros scandale financier de l’Histoire: ENRON !   voir le paragraphe scandales et controverses sur l’article de Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/McKinsey_%26_Company

3 – N’y aurait-il pas encore derrière le choix d’un cabinet mafieux, US de surcroît, une nouvelle saga de corruption dont l’appareil d’État français semble aujourd’hui avoir le secret?

S’agissant des attitudes contrastées de l’exécutif sur l’administration du vaccin AstraZeneca à la population, on note celle de Mr Véran s’accrochant,  comme ses prédécesseurs  l’avaient fait en soutien du Médiator, à l’innocuité  du produit, s’opposant aux décisions prises dans 7 pays européens et en Afrique du Sud.  On note avec amusement teinté de scepticisme et de mépris pour  l’intéressé, que le vaccin est, pour lui, inoffensif donc recommandé malgré quelques «rares??» effets secondaires. https://www.francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir  mais qu’en revanche, la chloroquine qui, administrée aux bonnes doses en début de maladie, est efficace et sans aucun effet secondaire sur des millions de patients, reste interdite de prescription en France (?????)

S’agissant du Président, qui gère beaucoup mieux que son ministre son risque pénal en se défaussant sur la décision de l’Agence Européenne du médicament, il n’ignore pas, évidemment, que cette agence européenne est aujourd’hui la plus corrompue de toute, ce que l’on peut comprendre lorsque des dizaines de milliards de profit sont en jeu pour Big Pharma… On connaît d’avance la préconisation qui sera faite et qui ne tiendra, évidemment, aucun compte de l’intérêt et de la santé des populations européennes.

Lorsqu’on prend conscience du marigot putride de corruption dans lequel baignent nos institutions européennes et nationales, on ne s’étonne plus qu’un sondage récent révèle qu’Emmanuel Macron inspire principalement de la “colère” (28%), du “dégoût” et  du “désespoir”  (21%), de la honte (18%) aux Français 
https://www.tvlibertes.com/actus/un-sondage-revele-quemmanuel-macron-inspire-principalement-de-la-colere-du-degout-et-du-desespoir-aux-francais

Rien d’étonnant non plus que des appels argumentés à la résistance civile se multiplient sur la toile: 
https://videos.files.wordpress.com/kAglcnp3/appel-a-la-resistance-civile-et-au-reveil-des-consciences_mp4_dvd.mp4

Rien ne vaut, pour conclure, un peu d’humour lié à la situation que nous connaissons:

Moins drôle :  La crise sanitaire a coûté plus de 160 milliards d’euros à l’État en 2020 (lefigaro.fr)




3e Guerre US contre l’Europe

[Source : Pars Today]

La Seconde Guerre mondiale, les USA l’ont fait sur le dos de l’Europe. La Guerre froide, ils l’ont mené contre les intérêts de l’Europe et leur guerre nucléaire qu’ils disent vouloir conduire à l’aide des bombes tactiques nucléaires et pour laquelle ils ont même fait des essais à Ramstein en Allemagne, essais secrets bien sûr ils iront le commencer sur le territoire de « SmallBrother » ?…

Probable vu la concentration de bombes nucléaires tactiques à travers tout le vieux continent et ces divers prétextes qu’ils trouvent pour faire remonter l’Europe orientale contre la Russie tout comme l’Europe Nord. Le ministère russe de la Défense confirme qu’il est prêt à agir avec fermeté en cas de déploiement du MRBM en Europe.

Le ministre de la Défense de la Fédération de Russie, Sergueï Choigou, a déclaré que la partie russe était prête à agir avec fermeté au cas où l’armée américaine déploierait des missiles balistiques à moyenne portée et d’autres armes de missiles en Europe. La déclaration est intervenue sur fond d’informations diffusées par Washington sur ses intentions de commencer à déployer ses missiles balistiques à moyenne portée en Europe.

« Nous nous sommes engagés à ne pas déployer de telles armes si elles ne sont pas déployées en Europe. Autrement dit, nous ne le ferons pas non plus. Mais s’il est affiché, nous y répondrons naturellement de manière appropriée. Ainsi que dans l’est de notre pays, bien sûr, je veux dire le déploiement possible sur le territoire du Japon et de la Corée du Sud » – a déclaré le ministre russe.

Les experts n’excluent pas que la partie russe soit prête à mettre en service les derniers systèmes de missiles balistiques, ainsi que les systèmes de missiles « Calibre » et « Dagger », ce qui procure beaucoup de mécontentement chez les Américains, puisque ces derniers ont une portée qui atteint presque n’importe quel point sur les territoires de l’Europe.

Puis, on a appris la rupture de tous les contacts existants entre la Russie et l’OTAN. Le ministère des Affaires étrangères de Russie a indiqué que la Russie a complètement rompu tous les contacts avec l’OTAN. « Après les accusations européennes, la tenue des rencontres n’a plus de sens. L’OTAN a abandonné toutes les structures préparatoires, c’est-à-dire : un groupe de travail, un comité préparatoire et le conseil lui-même au niveau des ambassadeurs. Tous les éléments, à l’exception de la réunion des ambassadeurs, ont été détruits, ils ne fonctionnent plus. », a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie Alexander Grushko.

Une guerre avec la Russie n’est pas un expédient aisé, loin s’en faut, c’est même une voie suicidaire. Mais les USA n’ont plus d’options alternatives. Leur narrative ne suscite plus l’adhésion, comme le démontre l’échec de l’ingénierie sociale en Syrie ou encore au Myanmar en dépit d’efforts colossaux. Le cycle entamé laisse entrevoir le pire pour l’Europe qui risque de devenir un terrain de jeu US par la faute des Américains. Et dire que la Chine pourrait s’y rallier. La Chine, longtemps adepte du profil bas et effacé, d’une politique étrangère basée sur le développement économique, est maintenant persuadée de l’inéluctabilité de cette éventualité du clash. Et cette évaluation n’est pas en relation avec le statut de Taïwan ou les îlots de la mer de Chine méridionale, mais avec une perception assez lucide des intentions réelles de ses adversaires.




Le monde peut-il encore éviter une guerre entre les États-Unis et la Russie?

[Source : Strategika 51]

Loin des diversions médiatiques ou les futilités absolues des réseaux sociaux, la montée en puissance des capacités d’une frappe fulgurante contre la Russie en Europe orientale continue à une cadence soutenue.

La crise économique et financière mondiale, l’effondrement total de la propagande occidentale et la faillite du système politique US ne laissent à l’État profond qu’une option. La pire de toutes: une escalade de la politique hostile contre la Russie, laquelle ne peut aboutir qu’à un affrontement. D’abord par proxy. Puis direct. Avec des conséquences fort désastreuses pour l’ensemble des protagonistes et des retombées catastrophiques pour le système de sécurité collectif.

En réalité, le leadership russe, tout comme son homologue US, est préparé à cette ultime éventualité. La seule variante est de savoir qui le premier va perdre son sang-froid et la maîtrise du jeu de dupes pour dévoiler son intention finale. Tous les éléments laissent entendre que c’est l’actuelle équipe à la Maison Blanche qui va déclencher les hostilités et mener ouvertement une campagne hostile d’une ampleur inédite contre Moscou. Peu importe le prétexte avancé, que ce soit la reprise d’éléments de guerre psychologique basés essentiellement sur l’accusation d’une ingenrence russe dans les élections présidentielles US et par voie de conséquence une ingérence russe visant le sabotage de la démocratie parfaite et exceptionnelle (l’image ne tient pas mais la symbolique est un élément à charge) ou encore le blocage de la guerre en Syrie, la paralysie de l’Ukraine, l’accès de la marine de guerre en Méditerranée, la guerre des vaccins et les pertes occasionnées aux Big Pharma par une soi-disant contre-propagande russe visant à décrédibiliser les vaccins occidentaux, l’alliance avec la Chine, la percée russe en Afrique australe et occidentale, etc. Le prétexte de l’ingérence russe dans des présidentielles US chaotiques et dignes d’une république bananière (le terme a été lancé par l’ex-président George Bush Junior) de quatrième ordre sera probablement utilisé par l’État profond qui a désigné Joe Biden pour relancer un conflit “dur” avec la Russie. Cela permettra de camoufler la faillite du système politique US, totalement obsolète et corrompu sous les bruits de bottes et le tonnerre d’une guerre symétrique d’envergure mondiale.

Une guerre avec la Russie n’est pas un expédient aisé, loin s’en faut, c’est même une voie suicidaire. Mais l’Empire n’a plus d’options alternatives. Sa narration ne suscite plus d’adhésion comme le démontre l’échec de l’ingénierie sociale en Syrie ou encore au Myanmar en dépit d’efforts colossaux. La manipulation autour du nouveau coronavirus a achevé le peu de crédibilité qu’avait son appareil médiatique auprès de ses propres populations. L’épisode du Capitole n’est pas clos. A force de vouloir supprimer la symbolique de cet incident inhérent au déclin des nations, ce ne seront pas des manifestants dans une ambiance bon enfant qui vont menacer le siège du pouvoir législatif américain mais des missiles hypersoniques à têtes nucléaires tactiques multiples et indépendantes. Le scénario de l’horloge sonnant minuit n’a jamais été aussi proche du réel.

Le monde pourra t-il éviter une guerre entre les États-Unis et la Russie avant qu’il ne soit trop tard?

Le cycle entamé laisse entrevoir des épisodes pires que celux des années précédentes. La plupart des pays se préparent à la guerre. La Chine, longtemps adepte du profil bas et effacé, d’une politique étrangère sort basée sur le développement économique, est maintement persuadée de l’inéluctabilité de cette éventualité. Et cette évaluation n’est pas en relation avec le statut de Taïwan ou les îlots de la mer de Chine méridionale mais avec une perception assez lucide des intentions réelles de ses adversaires.

L’Etat profond à court de moyens, veut venger ses revers en diabolisant Vladimir Poutine comme il l’a fait avec tout chef d’État dont la posture est jugée non-conforme et hostile aux intérêts de l’Empire. C’est un schéma usé et dangereux. Le retour des bellicistes à Washington fut marqué par une manœuvre très mal habile visant à supprimer toute référence au passé d’une caste vivant essentiellement de la guerre. Prétendre la naïveté est un moyen de diversion et dé-concentration.

La paix mondiale n’existe plus. Le cycle d’airain vient tout juste de commencer.




De l’État profond au gouvernement mondial

[Source : Site officiel de Valérie Bugault (valeriebugault.fr) via reseauinternational.net]

par Valérie Bugault et Pierre Bergerault – TVL

Valérie Bugault, docteur en droit, ancien avocat fiscaliste, reconvertie dans la géopolitique juridique et économique.

Vous êtes l’auteur de plusieurs ouvrages « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie » co-écrit avec Jean Rémy, « La nouvelle entreprise », « Les raisons cachées du désordre mondial » et « Demain dès l’aube… le renouveau » tous édités chez Sigest.

1) « La géopolitique est conçue comme l’étude des stratégies d’approche, d’attaque et de défense militaire d’un État vis-à-vis d’un ou de plusieurs autres ». Cette définition est-elle toujours de mise ?

Cette notion, la « géopolitque », a évolué deux fois au cours des dernières décennies sans d’ailleurs que les analystes en soient toujours clairement conscients :

  • À partir de la seconde GM et en particulier à partir de la signature des accords de Bretton Woods, le terrain de la « géopolitique » s’est déplacé du champ de bataille militaire vers le champ de bataille économique et monétaire et
  • Depuis quelques mois, nous assistons à une seconde évolution de la « géopolitique ». Le terrain économique et financier est en effet en cours de déplacement vers le terrain juridique. Le « droit » existait auparavant mais il n’était pas perçu comme enjeu majeur. Il était perçu comme un simple moyen d’action car les finalités du droit n’étaient plus discutées depuis trop longtemps. On arrive aujourd’hui à un moment particulier de l’Histoire où le droit va devenir, il faudrait dire « redevenir », le véritable champ de bataille, supplantant le domaine monétaire et économique, pour devenir le véritable enjeu de la géopolitique moderne.

En effet, outre sa fonction d’être un moyen d’action politique, le « Droit » en tant que « système » véhicule une culture, une conception du monde et de la vie en commun. Les décennies qui viennent verront la confrontation des systèmes de droit en raison du nécessaire renouveau politique.

Le « droit anglo-saxon » et le « droit continental » véhiculent une conception antagoniste de la vie en Société. Le droit britannique est, depuis le XVIe siècle, conçu comme une arme règlementaire au profit des puissants tandis que le droit continental traditionnel s’est développé, jusqu’à l’avènement du Code civil de 1804, comme un art politique : l’art d’améliorer la vie du groupe (c’est-à-dire de la Société), le moyen de pacifier les relations interpersonnelles en imposant aux « hommes de l’art » la recherche de justice.

Alors que le droit civil est le seul « Droit » à véhiculer le concept de justice, de vie en commun et in fine de civilisation, ce dernier est, malheureusement, en voie de fusion-absorption par le système britannique commercialiste.

Pour la France, et par extension pour le monde, l’enjeu majeur des prochaines décennies sera de réinitialiser notre droit civil en tant que « droit commun », lui-même développé autour du droit naturel.

2) « De façon subreptice et sournoise depuis le XVIIIe siècle, nous sommes collectivement entrés dans une ère qui interdit le libre arbitre humain au profit exclusif des puissances financières qui se sont emparées réellement et anonymement du pouvoir ». Comment ce changement de paradigme s’est-il opéré ? 

Ce changement de paradigme s’est opéré par la double prise de contrôle monétaire et politique par les puissances d’argent.

La prise de contrôle monétaire s’est faite de façon directe par la centralisation de la gestion monétaire dans les mains des banquiers au moyen de la création de « banques centrales ».

La prise de contrôle politique fut plus sournoise ; elle s’est réalisée par l’avènement et la généralisation d’un système politique axé autour du parlementarisme représentatif et d’une pseudo séparation des pouvoirs (qui est en réalité une disparition du pouvoir politique), dans lequel la vie politique a été captée par les « partis politiques ». Or, les partis obéissent à ceux qui les financent, ce qui a permis d’établir :

  • L’omnipotence hégémonique et anonyme des puissances financières et
  • La disparition des contrepouvoirs internes, qui devraient normalement structurer la vie politique.

3) Le contrôle de l’or opéré par les banquiers changeurs du Moyen-âge se terminera, dites-vous par un gouvernement mondial dictatorial de nature technocratique entièrement dirigé par les puissances financières dominantes. Que répondre à ceux qui voient là une vision simpliste, affirmant que toutes les nations n’ont pas intérêt à se fondre dans une structure mondiale ? 

Aucun peuple, aucune Nation, n’a « intérêt » à se fondre dans une structure globale dominée par les financiers. La volonté populaire n’entre pas en ligne de compte car tout est organisé de façon opaque, par le biais du mensonge, on fait passer des choses en prétendant qu’elles sont l’inverse… Ce pouvoir hégémonique s’est toujours imposé sans demander l’avis des peuples, par la corruption, l’illusionnisme et le mensonge !

À partir du moment où la vie politique est captée par les puissances financières – ce qui est vrai de la très grande majorité des pays du monde – l’intérêt commun des dirigeants à se fondre dans une structure mondiale dominée par les financiers est de facto, par principe, établi. Seuls des incidents mineurs lié à l’existence d’intérêt personnel des uns ou des autres doivent être contournés par les globalistes afin d’établir leur projet de gouvernement mondial totalitaire.

4) Au-delà d’imposer leur empire politico-financier, vous affirmez que les tenants d’un Nouvel Ordre Mondial souhaitent édicter une religion mondiale. Quels en seraient les dogmes ?

Je ne suis pas spécialiste des religions mais il me semble que cette religion existe déjà en filigrane : culte de l’argent, concurrence de tous contre tous, métissage de tous les monothéismes en un seul magma synthétique (sur le modèle des produits financiers).

La laïcité aura été un moyen de détruire le pouvoir spirituel en Europe et non, comme on pourrait le croire, un moyen de neutralité bienveillant. Or, faire disparaître le pouvoir spirituel a eu en réalité à la fois pour cause et pour conséquence de faire disparaître tout contrepouvoir politique à la toute-puissance des financiers.

Un autre moyen de destruction du pouvoir spirituel aura été l’exacerbation des antagonismes entre les trois monothéismes. La « religion mondiale » aura été imposée par la manipulation à l’extrême des anciens monothéismes en montant les uns contre les autres. Les dominants financiers ont utilisé, une fois de plus (on ne change pas une méthode qui marche), le principe de bonne politique consistant à « diviser pour mieux régner ».

En montant les religions les unes contre les autres, ils réussissent à créer un vide spirituel dans lequel ils vont engouffrer leurs propres croyances, qu’à vrai dire je ne suis pas sûre qu’il faille appeler « religion ». En effet, lesdites croyances ressemblent plus à la domination du mal absolu qu’à une quelconque spiritualité véhiculant des principes de « vie en commun » que les religions traditionnelles portent en elles. Peut-on appeler « religion » une croyance de quelques hommes qui consiste à :

  • Estimer que la population mondiale ne doit pas dépasser 500 millions d’âmes (Georgia Guidestones) ;
  • Pirater le fonctionnement intime (génétique) du vivant (Trans humanisme) pour permettre la vie éternelle à ceux qui resteront sur cette terre ?

Alors même que toutes les religions ont, jusqu’à ce jour, respecté le droit naturel supérieur, une croyance en la toute-puissance de l’homme, censé devenir éternel, ne me semble, après réflexion, pas devoir être désigné du terme de « religion ». Cela ressemble davantage à une secte sataniste qu’à une religion stricto sensu.

5) Pourquoi voyez-vous dans le droit anglo-saxon et la City de Londres l’alpha et l’oméga de cette volonté mondialiste ?

L’émancipation en 1531 de la papauté par le roi Henri VIII d’Angleterre au moyen de la création de l’église réformé (à mi-chemin entre protestantisme et catholicisme) sous la houlette de l’archevêque de Cantorbéry, nommé par le Roi, a modifié fondamentalement la façon de concevoir le droit en Angleterre. Le droit anglais est devenu l’apanage du seul pouvoir temporel (cf. pour le catholicisme l’équivalent de 1531 est 1929 et les Accords du Latran), autrement dit, un simple instrument de puissance dans les mains du détenteur du pouvoir temporel, d’abord identifié par le Roi puis par les puissances financières.

Le développement des visées impériales britanniques, cristallisées sous Cromwell (1599-1658) par l’établissement d’un « Commonwealth républicain » [Cf. wikipedia.org/wiki/Oliver_Cromwell], a acté la suprématie du pouvoir économique et monétaire sur le pouvoir politique.

La puissance financière est à l’origine du développement de l’empire britannique et le droit fut son arme de domination. C’est précisément cette conception, très affairiste et utilitariste, du « droit » qui s’est imposée sur la scène internationale tout au long des XIXe et surtout XXe siècles. Nous sommes ici dans un contresens par rapport à ce que signifie traditionnellement la notion de « Droit », ce type de normes est un « droit » qui n’est ni « droit » ni du « Droit ».

6) Vous dites que le droit anglo-saxon aurait pris le pas sur notre droit continental mais en quoi ce droit continental est-il différent du droit anglo-saxon ?

Tous les développements juridiques sur la personne, les rapports de l’individu au groupe, à la puissance et à l’autorité ont été formalisés, conceptualisés par les grands légistes de droit canon (penseurs catholiques) tout au long du Moyen-âge et en particulier au haut Moyen-Âge avec Saint-Augustin, puis, à partir du XIe siècle avec l’évêque Fulbert (1006 – 1028), le Décret de Gratien 1140, Saint Thomas d’Aquin (1225 – 1274) au XIIIe siècle… [Cf. cairn.info/la-formation-de-la-pensee-juridique-moderne ; cours.unjf.fr/repository/coursefilearea ; books.openedition.orgjstor.org/stable]. Le droit canon ou, plus précisément, son métissage avec les apports structurels du droit romain, est à l’origine du développement de « la civilisation européenne ».

Or, le droit britannique s’est, à partir de 1531, émancipé des apports du droit développé sur le modèle ci-dessus décrit pour se fonder sur la suprématie maritime et commerciale propre à servir le développement impérial et les intérêts financiers dominants qui le supportait.

À la même époque, le droit continental est, tout au contraire, resté fondé sur un droit commun de nature civile issu de l’équilibre des forces entre pouvoir temporel et pouvoir spirituel. Les choses ont commencé à changer sur le continent européen à partir de la Révolution française – qui a beaucoup affaibli l’Église catholique – jusqu’à 1929, date des accords du Latran, qui correspond, en Europe et pour le monde catholique, à ce que fut l’année 1531 pour l’Angleterre : la soumission définitive et radicale du pouvoir spirituel, via Mussolini, au pouvoir financier mené par la City.

Tout au long des XIXe et XXe siècles, la puissance de l’empire britannique n’a fait que croître pour finalement se transférer dans l’empire américain, lequel a utilisé les mêmes armes monétaire, économique et juridique en les déployant partout dans le monde grâce à sa puissance de frappe militaire et financière.

C’est la raison pour laquelle toutes les institutions internationales ou supranationales nées au cours du siècle passé – parées pour la façade et très hypocritement de vertus humanistes ou d’une prétendue pacification du monde – n’auront finalement été que des appendices, des projections mondiales, de la puissance financière des banquiers globalistes apatrides (BRI, FMI, banque mondiale, OCDE, ONU, Union européenne, OMC, OMS…).

7) Comment se traduit concrètement cette soumission du droit continental au droit anglo-saxon ?

Cette soumission s’est réalisée, au fur et à mesure du temps, en quatre grandes étapes, qui furent des attaques en règles contre le Droit continental traditionnel :

  • La première attaque est d’ordre institutionnel, elle concerne la méthodologie du droit avec l’instauration d’un parlement dont la seule mission est de « créer » du droit, ce qui va à l’encontre de la mission traditionnelle du droit continental, qui comportait des règles simples et peu nombreuses.
  • La 2ème attaque est d’ordre conceptuel : avènement de la théorie pure du droit d’Hans Kelsen (1881 – 1973) qui impose un droit positif émancipé des principes du droit naturel [Cf. wikipedia.org/wiki/Hans_Kelsen].
  • La 3ème attaque est à nouveau d’ordre institutionnel : avènement des institutions européennes, dominées par le « principe réglementaire » issu des multinationales et véhiculé (ne l’oublions pas !) par les pouvoirs exécutifs des principales puissances économiques de l’Union. Ce système aggrave considérablement et à dessein la confusion des genres entre « règlementation professionnelle » et « Droit ».
  • La 4ème et dernière attaque est à nouveau d’ordre conceptuel : il s’agit de « moderniser le droit français », c’est-à-dire qu’il s’agit de transformer le droit civil en droit commercial (sur le modèle du droit de propriété économique) de façon à le rendre compatible avec le droit anglo-saxon, d’essence commercialiste. Il s’agit aussi de financiariser et opacifier ce nouveau « droit commun commercial ». Ce qui se traduit en termes de droit positif par toujours plus :
    • d’anonymat capitalistique et contractuel,
    • d’irresponsabilité juridique des dirigeants et décideurs réels,
    • de disparition de la corrélation entre responsabilité et pouvoir,
    • d’accaparement,

La disparition « de fait » (de facto) des libertés, inhérente à la domination économique, deviendra, par un glissement appelé (par les partisans du globalisme) « réalisme juridique », une disparition « de droit » (de jure). C’est ainsi que l’hégémonie financière se traduira fatalement, tôt ou tard, en droit positif par la suppression :

  • de la liberté d’expression,
  • de la propriété privée.

8) Vous évoquez l’intrusion de la fiducie en droit français à la fin des années 2000 grâce à une pression sur les élus de la République… En quoi consiste l’opération de la fiducie ?

Il s’est agi de permettre sur le territoire français des opérations patrimoniales faisant intervenir trois personnes différentes : le constituant, le fiduciaire et le bénéficiaire.

Techniquement, l’intervention d’une tierce personne gestionnaire, appelée trustee ou fiduciaire, permet de rendre discrètement anonyme le nom du bénéficiaire réel des opérations réalisées sous fiducie. La fiducie introduit une dose supplémentaire de confusion dans la responsabilité juridique qui incombe aux décideurs économiques. Le droit français était beaucoup plus clair sur les responsabilités lorsque les parties à un contrat d’organisation patrimoniale étaient identifiées clairement comme cédant et cessionnaire d’un bien ou d’un droit, ou comme bénéficiaire et débiteur d’une sûreté. La fiducie introduit un degré d’opacité dans la responsabilité juridique en matière de gestion patrimoniale. Ce n’est pas un hasard si les dominants financiers ont utilisé le trust et non le droit civil français pour organiser le contrôle et la circulation des capitaux dans le monde entier.

Politiquement cette intrusion répondait aux besoins de la liberté de circulation des capitaux imposée par l’ordre économique mondial, c’est-à-dire par les tenanciers des paradis fiscaux anglo-saxons. L’opération s’inscrivant, rappelons-le, dans le contexte de la disparition des paradis fiscaux à comptes numérotés, qui étaient des « corsaires juridiques » sous contrôle de certains États, au profit des paradis terrestres hébergeant des trusts anonymes. Pour être tout à fait claire, on identifie ici un plan organisé et prémédité, que l’on pourrait appeler « complot », puisque l’intervention de la fiducie, en France en 2007, a précédé les grandes manœuvres géopolitiques lancées par l’OCDE en 2009, avec Nicolas Sarkozy en tête de pont, tendant à liquider les paradis fiscaux fondés sur les comptes numérotés. « L’a-France » est, très souvent, dans le wagon de tête des félonies politico-juridiques ; mais elle n’est pas la locomotive de ces manœuvres.

L’intervention de la fiducie par la loi Marini du 19 février 2007, qui est une modification législative majeure, s’inscrit dans le contexte de la vague scélérate de « modernisation du droit français » consistant à rendre le droit civil compatible avec le droit anglo-saxon d’essence commercialiste.

Enfin, il faut remarquer la concomitance historique entre la trahison juridique que fut l’introduction, le 19 février 2007, de la « fiducie » en droit français et la trahison politique que fut la signature, le 13 décembre de la même année, du Traité de Lisbonne par les chefs d’État ou de gouvernement des 27 États membres de l’Union européenne. Rappelons que cette Trahison politique fut actée par les parlementaires français en 2009, lesquels ont ratifié ce traité signé en 2007 alors même que le peuple français avait rejeté, en mai 2005, la Constitution européenne, version initiale quasi identique dudit Traité. Nous avons ici, soit dit en passant, une magnifique application – un cas d’école – du fait que le principe du parlement dit représentatif existe à la seule fin de domestiquer la volonté populaire (ce que dénonçait déjà en son temps Jean-Jacques Rousseau !).

La trahison juridique n’est jamais très éloignée de la trahison politique ; ces deux « félonies » fonctionnent en osmose.

9) Drôle de découverte : La République française est, selon « société.com », site web d’informations légales sur les entreprises françaises, enregistrée à l’INSEE d’une façon similaire à une entreprise commerciale. Qu’est-ce que cela signifie ? (un numéro SIREN (100000017), numéro SIRET, réservé aux entreprises (10000001700010), un numéro de TVA intracommunautaire (FR15100000017))

Cela signifie que nous sommes anglo-saxonnisés !

Cela signifie que nos institutions civiles et politiques ont vocation à devenir, sur le modèle britannique, des institutions commerciales, ce qu’elles n’ont historiquement, politiquement et philosophiquement JAMAIS été ni dans notre pays, ni sur le continent européen, ni dans tous les pays ayant adopté notre système de droit continental.

À cet égard, je voudrais rappeler que la dénonciation, à grands cris, par le milieu des affaires, de « l’extraterritorialité du droit américain » qui veut mettre la main sur les multinationales dites françaises et le mutisme intégral de ce même milieu face à la colonisation forcée de notre droit par le droit anglo-saxon a quelque chose de grotesque qui s’apparente aux « Précieuses ridicules » de Molières.

Ce deux poids deux mesures des milieux des affaires, qui poussent des cris d’orfraie et appellent dans un cas au « patriotisme économique » alors que, dans l’autre cas, ils s’écrasent littéralement pour ne pas dire qu’ils rampent en pratiquant même la surenchère des mesures, est finalement assez comique à observer ! Les acteurs économiques, qui ont eux-mêmes trahi et vendu leur « système de droit », appellent ce dernier à la rescousse dès qu’ils sentent, sur eux-mêmes, les premiers effets de leur trahison ! Rappelons que « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

L’hypocrisie endémique, liée à l’esprit de collaboration, traditionnellement très prisée des « dirigeants français », a définitivement condamné les milieux juridiques français à finir, sauf improbable sursaut, dans les poubelles de l’histoire…

10) « Les puissances financières anonymes ont juridiquement développé un système économique mondial de type monopolistique qui leur permet de capter et contrôler toutes les technologies ; technologies qui deviennent, dans leurs mains, des armes employées contre les peuples ». Au-delà de la censure qu’utilisent les GAFAM, jusqu’où ces armes peuvent être utilisées ?

Levons une ambiguïté : ce système est couramment appelé, à tort, capitaliste. À tort car il ne s’agit pas, et ne s’est jamais agi, d’une idéologie mais d’une volonté d’hégémonie politique des banquiers, ce qui est très différent.

Le terme « capitalisme » organise une confusion volontaire en parant une volonté bancaire hégémonique d’oripeaux intellectuels qui a permis de justifier :

  • le développement de l’anonymisation des décideurs ;
  • le développement subséquent de la déresponsabilisation juridique des décideurs ;
  • le développement de la dérégulation, c’est-à-dire de la disparition du « droit » remplacé par de la simple « règlementation » adossée à l’idéologie de la « liberté du Commerce ». Une fois encore la liberté du commerce ne signifie qu’une seule chose : la mise en esclavage des petites entités économiques par les grosses ;
  • la création d’énormes conglomérats économiques appuyés sur les banques et dont la seule vocation est l’accaparement des richesses ;

Le terme même de « capitalisme » est une escroquerie destinée à justifier intellectuellement, c’est-à-dire à cacher aux yeux de tous par de savantes constructions fondées sur des postulats erronés ou biaisés, l’accaparement opéré par les puissances financières. OR, l’accaparement est incompatible avec la civilisation. Toutes les civilisations de l’Histoire humaine ont lutté contre l’accaparement. Et justement, le « capitalisme » a rendu l’accaparement légal et légitime !!!

On se situe avec le prétendu « capitalisme » qualifié de « liberté » dans le même rapport d’illusionnisme et de domination qu’avec le « parlementarisme représentatif » qualifié de « démocratie » : une imposture pure et simple !

11) Les dominants financiers, dites-vous, n’ont jamais caché leur volonté et motivation génocidaires. Volonté que vous désignez sous l’appellation de « dette de sang ». Expliquez-nous ?

Plus exactement, j’ai dit que, depuis l’avènement du Club de Rome, les dominants financiers ne cachent plus leur volonté génocidaire.

Par ailleurs, il faut se souvenir qu’au-delà du génocide, il est surtout question du lien indéfectible entre développement des puissances financières et esclavagisme des masses. À titre d’exemple : l’État du Delaware aux États-Unis n’a accepté (et il fut le dernier État à le faire) de renoncer à l’esclavage que pour devenir un « paradis fiscal ». La dette est un puissant moyen de domination car, comme l’a si bien dit Napoléon : « La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit ».

Une fois que vous êtes englués dans les liens de la dette, vous ne pouvez plus rien refuser à votre/vos créancier(s), surtout si ce dernier s’est arrangé pour contrôler le pouvoir législatif de façon à organiser son anonymat !

Tout cela n’a pu se produire que parce que le concept de « personne morale » (sic), organisée sur le modèle capitaliste Britannico-hollandais (en opposition au modèle de la participation ou de la cogestion), est intervenu pour cacher le nom véritable des quelques personnes physiques qui contrôlaient in fine ce système organisé par le « droit » dans un ballet très structuré de clair/obscur.

12) Pourquoi dites-vous qu’il est inutile de dénoncer un gouvernement des juges »? (sous la dépendance du pouvoir en place, en l’occurrence le pouvoir financier)

Car c’est en réalité l’intégralité de l’appareil d’État qui est au service, via le partis politiques, du pouvoir financier ! Le prétendu pouvoir des juges fait partie intégrante du pouvoir exécutif et donc de l’appareil d’État. Parler de « gouvernement des juges » c’est vraiment l’arbre qui cache la forêt ! L’imposture politique élevée au niveau de « grand art », du pur illusionnisme !

13) Pour vous, la contestation de l’actuel pouvoir français, illégitime, dictatorial et outrancier, est nécessaire et même indispensable. Que pensez-vous de la gestion gouvernementale du covid ?

Plus précisément, je dis que l’intégralité de l’appareil d’État est aux mains des puissances financières. Nos institutions politique ont organisé consciencieusement, bien que discrètement, la disparition de tout contrepouvoir interne.

L’absence de contrepouvoir interne, initiale et consubstantielle à nos institutions, a été mise en évidence par la disparition du contrepouvoir politique externe que constituait l’existence d’un « bloc de l’Est ». IL FAUT maintenant LE CONSTATER.

Or, une organisation politique sans contrepouvoir est antinomique non seulement avec une quelconque démocratie, avec la liberté individuelle et collective mais aussi et surtout avec le concept même de CIVILISATION.

Les mesures législatives et règlementaires prises, à l’occasion de la crise covidique, par les « autorités chargées de la gestion du territoire français » (il ne s’agit pas à proprement parler de personnel politique puisque les « gouvernements » ne sont plus des « entités politiques ») s’inscrivent évidemment dans cette tendance lourde de la toute puissance financière.

14) Vous jugez la contestation du pouvoir nécessaire pour ne pas nous voir imposer le fameux Great Reset ? Quelle définition donnez-vous à ce projet d’agenda proposé par le président du Forum économique mondial, Klaus Schwab ? (projet monétaro-politique) ; Pour faire face à cette Grande Réinitialisation, à ce gouvernement mondial, vous proposez de remettre les institutions politiques et étatiques au service de la population, vaste programme. Mais avant cela, comment amener cette population à prendre conscience de sa servitude ? (Modèle financiariste contre modèle politique)

Le forum de Davos via son directeur Klaus Schwab, lequel s’est récemment fait l’écho officiel (à grand renfort médiatique) du « Great Reset », est le dernier avatar de la prise de pouvoir mondiale par les puissances financières globalistes. Cette prise de pouvoir, qui s’inscrit dans une dimension historique pluri-centenaire, arrive aujourd’hui à maturité.

Dans ce contexte, le seul moyen pour les peuples, de s’opposer à l’inéluctabilité de leur mise en esclavage, est de reprendre le contrôle de leurs institutions, lesquelles sont aujourd’hui fondées sur l’imposture politique. Retrouver des institutions politiques signifie mettre fin à l’hégémonie mondiale des puissances financières. C’est aussi simple que cela. Mais pour y arriver, il faut avoir une vision claire des forces en présences et des enjeux civilisationnels qui en découlent.

Les gens doivent prendre l’habitude de raisonner par eux-mêmes, de confronter leurs intérêts et ne plus se laisser manipuler par l’avalanche de « mots » dépourvus de sens que les dominants financiers leur imposent, générant volontairement une variété infinie de « maux » politiques et sociaux. Lorsque les politiques, médias ou « sachants » universitaires et autres experts de plateaux parlent de « liberté », il faut aujourd’hui comprendre « servitude ». La liberté, lorsqu’elle existe, n’a pas besoin d’être mentionnée à tout bout de champ. On ne parle des choses que lorsqu’elles ont disparu !

Il est temps d’instaurer une organisation sociétale dans laquelle tous les intérêts catégoriels traversant la Société seront politiquement représentés. Ce qui signifie qu’il est temps de se séparer de nos systèmes politiques actuels, pures impostures politiques, dans lesquels les seuls intérêts politiquement représentés sont, via les partis politiques, les intérêts financiers supérieurs. Je renvoie les auditeurs intéressés à mes travaux sur la rénovation institutionnelle (voir mon site internet et mes différents ouvrages), c’est-à-dire à ma proposition de réinitialisation de l’État telle qu’elle figure sur mon site et telle qu’elle est décrite dans mes différents articles.

15 et 16) Vous avez récemment lancé sur votre blog un cercle de réflexion que vous avez appelé « Révoludroit » pour « un droit au service des humains ». Qu’est-ce que c’est ? Vous dites qu’il faut réactualiser les fondamentaux du Droit, avec une réforme du droit civil (contrat, responsabilité, famille, respect du vivant), économique (droit de l’entreprise à nouveau compris comme une institution et réhabilitation de la monnaie) et pénal. Quelle forme devra prendre cette réforme ?

L’ambition à terme est de faire de RévoluDroit une école de droit alternative. Cette initiative a également pour vocation de préparer l’avenir institutionnel et juridique.

RévoluDroit s’adresse principalement aux juristes afin de rétablir un système de droit digne de ce nom, fondé sur un droit commun (le droit commun est civil ou n’est pas !) adossé au droit naturel, lequel doit être réévalué à l’aune de nos connaissances, scientifiques et humaines, actuelles.

Mais RévoluDroit s’adresse également à toute personne qui pourrait organiser des débats, physiques ou dématérialisés, afin de diffuser dans le public la réforme des institutions et de l’entreprise que j’ai élaborées et que je préconise hautement de mettre en œuvre. L’enjeu de cette mise en œuvre est, n’ayons pas peur de le dire, la survie de l’humanité.

Les auditeurs pourront trouver sur mon site internet, en première page, le schéma de la nécessaire réforme institutionnelle.

Quant à la, non moins nécessaire, réforme de l’entreprise, elle correspond à mon travail de thèse, vulgarisé dans mon livre « La nouvelle entreprise ». Il s’agit, in fine, de mettre en musique juridique le concept de « participation » qui, rappelons-le, trouve sa première manifestation dans la doctrine sociale de l’Église élaborée au XIXe siècle. Cette réforme est tout à fait fondamentale car elle seule permettra de rétablir l’équilibre entre les rapports de force, équilibre que l’imposture du « capitalisme » a volontairement rompu à la seule fin – et les français doivent enfin le comprendre – d’hégémonie politique des puissances financières.

Il n’y a que des perdants à ce jeu de dupe que les puissances financières dominantes appellent fallacieusement « capitalisme » et qui ne sert qu’à monter une partie de la population (ceux qui détiennent un peu d’argent) contre l’autre (ceux qui ne détiennent que leur force de travail). Finalement tout le monde appartient forcément, à un moment ou à un autre, à la catégorie des perdants du « capitalisme », y compris, et peut-être en premier lieu, les grands capitaines d’industrie qui se sont tous plus ou moins fait vampiriser par le jeu de la haute finance prédatrice.

Ce jeu, appelé « capitalisme » est un jeu de dupe pour plusieurs raisons :

  1. Il habille d’honorabilité des pratiques de pures prédations non seulement économiques mais aussi et surtout humaines avec le brevetage et la commercialisation du vivant ;
  2. Il fait passer pour « la liberté », ce qui n’est que la « liberté du commerce », qui se traduit par la simple loi du plus fort dans la savane capitalistique et financière ;
  3. Il est instable par nature: les règles du jeu sont toujours susceptibles de changer brutalement en fonction du seul intérêt, bien compris, des seules puissances financières dominantes. Les partisans des petites crypto-monnaies privées risquent, bientôt, de le découvrir à leur dépens. Car lorsque les dominants financiers décideront de mettre fin à ce qu’il faut considérer comme une expérimentation grandeur nature, toute l’armada juridique de répression de l’émission de fausse monnaie est prête à être mis en œuvre. A minima, ces cryptomonnaies ne pourront plus être converties en monnaies légales. Ce qui, d’ailleurs, peut s’avérer être à double tranchant pour le pouvoir actuel. Néanmoins, le pouvoir en place aura, fatalement, le dernier mot car il contrôle, politiquement et militairement, l’émission énergétique nécessaire au concept de cryptomonnaie.

En conclusion, j’insiste lourdement sur le fait que toutes les catégories – y compris les chefs d’entreprises (petites et moyennes) et les gens ayant fait des « économies » (plans d’épargnes, assurances-vie…) – ayant cru bénéficier de ce jeu fallacieusement appelé « capitalisme » se retrouveront immanquablement flouées à un moment où à un autre. Il est temps de le comprendre !

Il est surtout temps de changer de paradigme socio-politique, de passer de l’imposture à la réalité, de passer de la domination à la protection du vivant, de passer de l’excès de division à la réinitialisation de la vie en commun, c’est-à-dire de « retrouver le chemin de la civilisation ». Rejoignez RévoluDroit pour préparer la suite…




Le responsable de l’enquête norvégienne confirme que le vaccin d’AstraZeneca a provoqué des caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.

Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare :

  • Ils sont arrivés avec une douleur aiguë;
  • Ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau;
  • De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes.

Plus tard, l’Union européenne a convoqué un sommet d’urgence sur les vaccins après que plus d’une douzaine de pays européens ont décidé de ne plus utiliser le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca en raison de graves incidents de caillots sanguins signalés dans de nombreux pays.

Un groupe du Rikshospitalet, dirigé par le responsable de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, s’est efforcé de découvrir pourquoi trois agents de santé de moins de 50 ans ont été admis pour de graves caillots sanguins après avoir pris le vaccin d’AstraZeneca.

Les experts ont travaillé sur la base d’une hypothèse selon laquelle les vaccins ont déclenché une réaction immunitaire inattendue chez les agents de santé malades, ce qui a provoqué une combinaison de caillots sanguins et une diminution des plaquettes.

Alors que nous attendons la décision de l’Agence européenne des médicaments, le principal investigateur et médecin norvégien a confirmé de manière sensationnelle que le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca a déclenché une réaction immunitaire inattendue à l’origine des rares caillots sanguins.

“En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause”, explique le chercheur.

Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée.

Parce que nous n’avons pas d’autres antécédents chez ces patients qui peuvent donner une réponse immunitaire aussi forte. Je suis pratiquement sûr que ce sont ces anticorps qui en sont la cause, et je ne vois pas d’autre raison que celle-là – c’est le vaccin qui la déclenche.

M. Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent problème. “Nous parlons d’anticorps très spécifiques”.

On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible.

Le comité des effets secondaires de l’Agence européenne des médicaments (EMA), où siège également la Norvège, se réunit jeudi au sujet de cette affaire et devrait faire une déclaration.

Une fois que l’EMA aura publié une déclaration, il appartiendra aux autorités nationales de décider de la marche à suivre pour leurs pays respectifs.


Sources : 
https://greatgameindia.com/astrazeneca-immune-response-blood-clots/
https://www.vg.no/nyheter/innenriks/i/QmwR1V/professor-om-mistenkte-vaksinebivirkninger-aarsaken-er-funnet
Traduction par https://cv19.fr