Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats des vaccinations sont excellents et en particulier qu’elles auraient fait disparaître l’épidémie en Grande-Bretagne avec l’absence de morts (!) et en particulier en Écosse. Pourtant curieusement les données de l’OMS montrent le contraire.

En effet, après la vaccination les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté ; les trois derniers mois (post-vaccination) cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

La comparaison avec la Suède non confinée et très peu vaccinée est éloquente ; entre début décembre (début de la vaccination) et le 29 mars 2021 la Grande- Bretagne a compté 62 547 morts attribuées au Covid-19 (soit 919/million d’habitants) contre 5 371 (537/M) en Suède sur la même période.

Au total, depuis la vaccination la Grande-Bretagne s’est hissée au deuxième rang européen des plus fortes mortalités Covid-19 avec 1 807 morts/M derrière la Belgique(1 988/M)

Comment des médias peuvent-ils proclamer que la vaccination britannique serait un succès et qu’elle éviterait les formes graves ! Les journalistes recopient-ils les bulletins de victoire des firmes pharmaceutiques et du gouvernement britannique, sans vérifier que leur propagande est compatible avec les chiffres officiels de l’OMS que chacun peut consulter sur le site WHO Covid19 Dashboard ?

Le succès d’une vaccination de masse ne se mesure pas au pourcentage de vaccinés mais seulement à la diminution du nombre des contaminations et à la chute de la mortalité. Or dans tous les pays champions de la vaccination, on assiste au contraire à une augmentation forte de ces deux indices. Autre exemple, les Émirats arabes unis :

Ces évolutions post-vaccinales sont très inquiétantes. Elles suggèrent que le trop faible taux d’anticorps après la première injection de vaccin aurait favorisé un phénomène d’anticorps facilitants [1] aggravant la mortalité, comme le craignait l’Académie de médecine dans son communiqué du 11 janvier dernier :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants.

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Ces risques de la vaccination anti-Covid-19 ont d’ailleurs aussi été soulignés par 5 membres du Comité scientifique, dont le professeur Delfraissy dans un article récent publié dans le Lancet [2] :

« L’arrivée rapide des variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une évasion immunitaire dite naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue.

Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels offriront probablement encore un certain bénéfice aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme… ».

Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur,  fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et comme principale réponse à la pandémie ».

  1. Véran a d’ailleurs récemment reconnu dans un mémoire adressé au Conseil d’État [3] 

1°) L’efficacité partielle des vaccins”, “l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants.”

2°) Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant.”

3°) “le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers.

Dans la mesure où le ministère reconnaît que le vaccin n’offre pas de protection individuelle suffisante, qu’il expose aux formes graves et qu’il n’empêche pas la transmission du virus, on ne comprend pas pourquoi il persiste dans sa propagande actuelle qui prétend le contraire.

Les vérités affirmées devant le Conseil d’État devraient faire réfléchir ceux qui veulent se faire vacciner en croyant ainsi se protéger et protéger les autres et retrouver leurs libertés. Même si vous cédez au chantage « vacciné ou confiné » vous ne serez ni protégé, ni libre. Le Conseil d’État a débouté l’octogénaire qui s’était fait vacciné pour redevenir libre.

Dr Gérard Delépine


[1] https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html

[2] L Atlani-Duault, Bruno Lina, F Chauvin J-F Delfraissy D Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18, https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[3] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911




Pâques : un prêtre chasse la police canadienne de son église

Communiqué par Baryton

La police canadienne a essayé de fermer une église polonaise à Pâques.
Les Polonais ont une PROFONDE compréhension du totalitarisme (fascisme, communisme)
et ont renvoyé la police !



Dis-leur que l’on s’aime, dis-leur que l’on sème

[Source : HK saltimbank]

Oh mais dis-leur que l’on s’aime
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous nous tenons par la main
Oh mais dis-leur que l’on sème
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous sommes le monde de demain

Dis-leur que c’est ainsi
Que naissent les colombes
Dis-leur que c’est ici
Que commence le nouveau monde
Dis leur nos cœurs qui s’ouvrent
Quand le monde s’isole
Dis-leur qu’on se retrouve
Émancipés des camisoles
Dis-leurs nos corps qui vibrent
Nos notes de musique
Dis-leur que nous sommes libres
A chaque pas de danse sur la place publique

Oh mais dis-leur que l’on s’aime
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous nous tenons par la main
Oh mais dis-leur que l’on sème
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous sommes le monde de demain

Dis-leur qu’on est uni-es
Dis-leur qu’on est ensemble
Dis-leur qu’on est en vie
Sur cette Terre qui nous ressemble
Dis-leur que l’on avance
Que c’est inexorable
Croisant nos différences
Suivant l’inaccessible étoile
Dis-leur que l’on invente
Un autre chant des possibles
Comme ces oiseaux qui chantent
Au petit matin d’un grand soir, heureux et indociles

Oh mais dis-leur que l’on s’aime
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous nous tenons par la main
Oh mais dis-leur que l’on sème
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous sommes le monde de demain

Dis-leur que c’est ainsi
Que naissent les colombes
Dis-leur que c’est ici
Que commence le nouveau monde
Dis leur nos cœurs qui s’ouvrent
Quand le monde s’isole
Dis-leur qu’on se retrouve
Émancipés des camisoles
Dis-leurs nos corps qui vibrent
Nos notes de musique
Dis-leur que nous sommes libres
A chaque pas de danse sur la place publique

Oh mais dis-leur que l’on s’aime
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous nous tenons par la main
Oh mais dis-leur que l’on sème
Dis-leur que ça nous fait du bien
En quoi cela serait-il un problème
Nous sommes le monde de demain

HK saltimbank




Covid-19 : échec de l’approche occidentale

[Source : Réseau Voltaire]

Par Thierry Meyssan

L’épidémie de Covid-19 touche le monde entier, toutefois sa mortalité varie de 0,0003 % en Chine à 0,016 % aux États-Unis, c’est-à-dire plus de 50 fois plus. Cette différence peut s’expliquer par des particularités génétiques, mais surtout par des différences d’approche médicale. Elle atteste que l’Occident n’est plus le centre de la Raison et de la Science.

 y a un an déjà, l’épidémie de la Covid-19 arrivait en Occident, via l’Italie. Aujourd’hui, nous en savons un peu plus sur ce virus, cependant, malgré les connaissances, les Occidentaux persistent à l’appréhender de manière erronée.

1- Qu’est ce qu’un virus ?

La Science est par définition universelle : elle observe et échafaude des hypothèses pour expliquer des phénomènes. Cependant elle s’exprime dans des langues et des cultures différentes qui sont sources de quiproquos lorsqu’on ne connait pas leurs spécificités.

Ainsi, les virus sont des êtres vivants selon la définition européenne de la vie, mais de simples mécanismes selon la définition anglo-saxonne de la vie. Cette différence culturelle induit des comportements chez chacun d’entre nous. Pour les Anglo-Saxons, il convient de détruire les virus, tandis que pour les Européens il s’agissait —jusqu’à l’année dernière— de s’adapter à eux.

Je ne dis pas que les uns sont supérieurs ou inférieurs aux autres, ni qu’ils sont incapables d’agir d’une manière différente de celle induite par leur culture. Je dis simplement que chacun appréhende le monde d’une manière qui lui est propre. Nous devons faire un effort pour comprendre les autres et nous n’en sommes véritablement capables que si nous sommes ouverts à cela.

Certes, l’Occident est un ensemble politique plus ou moins homogène, mais il est composé d’au moins deux cultures très différentes. Alors même que les médias ne cessent de minorer ces différences, nous devons toujours en être conscients.

Si l’on pense que les virus sont des êtres vivants, on doit les comparer à des parasites. Ils cherchent à vivre au détriment de leur hôte et surtout pas de le tuer, car ils en mourraient eux-mêmes. Ils tentent de s’adaptent à l’espèce hôte en variant jusqu’à ce qu’ils trouvent un moyen d’habiter en elle sans la tuer. Les variants de la Covid-19 ne sont donc pas les « cavaliers de l’Apocalypse », mais de très bonnes nouvelles conformes à l’évolution des espèces.

Le principe du confinement de populations saines a été édicté par le secrétaire à la Défense états-unien, Donald Rumsfeld, en 2004. Il ne s’agissait pas de lutter contre une maladie, mais de provoquer un chômage de masse pour militariser les sociétés occidentales [1]. Il a été diffusé en Europe par le docteur Richard Hatchett, alors conseiller Santé du Pentagone et aujourd’hui président de la CEPI. C’est lui qui, à propos de la Covid-19, a inventé l’expression « Nous sommes en guerre ! », reprise par le président Macron.

De même, si l’on pense que les virus sont des êtres vivants, on ne peut pas accorder de crédit aux modèles épidémiques développés par le professeur Neil Ferguson de l’Imperial College London et ses disciples, comme Simon Cauchemez du Conseil scientifique de l’Élysée. Par définition, la croissance d’aucun être vivant n’est exponentielle. Chaque espèce s’autorégule en fonction de son environnement. Tracer la courbe du début d’une épidémie puis l’extrapoler est une absurdité intellectuelle. Le professeur Fergusson a passé sa vie à prédire des catastrophes qui ne sont jamais survenues [2].

2- Que faire face à une épidémie ?

Toutes les épidémies ont historiquement été combattues avec succès par un mélange de mesures isolant les malades et augmentant l’hygiène.

Lorsqu’il s’agit d’une épidémie virale, l’hygiène ne sert pas à combattre le virus, mais les maladies bactériennes qui se développent chez les malades du virus. Par exemple, la grippe espagnole, qui sévit dans les années 1918-20, est une maladie virale. Il s’agissait en fait d’un virus bénin, mais dans le contexte de la Première Guerre mondiale, les très mauvaises conditions d’hygiène permirent le développement de maladies bactériennes opportunistes qui tuèrent en masse.

D’un point de vue médical, l’isolement ne s’applique qu’aux malades et à eux seuls. Jamais dans l’histoire, on n’a confiné de population saine pour lutter contre une maladie. Vous ne trouverez aucun ouvrage médical de plus d’un an, n’importe où dans le monde, envisageant une telle mesure.

Les confinements actuels ne sont des mesures ni médicales, ni politiques, mais administratives. Ils ne visent pas à diminuer le nombre de malades, mais à étaler leur contamination dans le temps, de manière à ne pas congestionner certains services hospitaliers. Il s’agit de compenser la mauvaise gestion des institutions de santé. La plupart des épidémies virales durent trois ans. Dans le cas de la Covid-19, la durée naturelle de l’épidémie sera prolongée de la durée administrative des confinements.

Les confinements pratiqués en Chine n’avaient pas plus de raison médicale. C’étaient des interventions du Pouvoir central contre les erreurs de Pouvoirs locaux, dans le contexte de la théorie chinoise du « mandat du Ciel » [3].

Le recours, par une population saine, à des masques chirurgicaux pour lutter contre un virus respiratoire n’a jamais été efficace. En effet, jusqu’à la Covid-19, aucun des virus respiratoires connus se transmet par les postillons, mais par aérosol. Seuls les masques à gaz sont efficaces. Il est bien sûr possible que la Covid-19 soit le premier germe d’un nouveau genre, mais cette hypothèse rationnelle est fort peu raisonnable [4]. Elle avait été envisagée pour la Covid-2 (le « Sars »), mais a déjà été abandonnée.

Il importe de préciser que la Covid-2 n’a pas simplement touché l’Asie en 2003-04, mais aussi l’Occident. Il s’est agi d’une épidémie au même titre que la Covid-19 en 2020-21. Elle est aujourd’hui soignée avec de l’interféron-alpha et des inhibiteurs de protéases. Il n’existe pas de vaccin.

3- Peut-on soigner une maladie que l’on ne connaît pas ?

Même sans connaître un virus, on peut et l’on doit toujours soigner les symptômes qu’il provoque. C’est non seulement un moyen pour soulager les malades, mais aussi une condition pour apprendre à connaître cette maladie.

Les responsables politiques occidentaux ont fait le choix de ne pas soigner la Covid-19 et de miser la totalité de leurs budgets sur les vaccins. Cette décision va à l’encontre du serment d’Hippocrate auquel chaque médecin occidental s’est engagé. Bien sûr de nombreux médecins occidentaux poursuivent leur activité, mais en se faisant le plus discret possible, faute de quoi ils sont menacés de sanctions ordinales et administratives.

Plusieurs traitements médicamenteux sont pourtant administrés avec succès dans les pays non-occidentaux.
- Dès le début de l’année 2020 —c’est-à-dire avant que l’épidémie ne touche l’Occident—, Cuba a montré que certains malades pouvaient être soignés et guéris avec de petites doses d’Interféron Alfa 2B recombiné (IFNrec). La Chine a construit en février 2021 une usine pour produire ce médicament cubain à grande échelle et l’utilise depuis pour certains types de malades [5].
- La Chine a également utilisé un médicament anti-paludéen, le phosphate de chloroquine. C’est à partir de cette expérience que le professeur Didider Raoult a utilisé de l’hydroxychloroquine dont il est un des meilleurs connaisseurs mondiaux. Ce médicament est utilisé avec succès dans de nombreux pays n’en déplaise aux fake news grotesques du Lancet et des médias dominants selon qui ce médicament banal, administré à des milliards de patients, serait un poison mortel.
- Les États qui ont fait le choix inverse des Occidentaux, c’est-à-dire ceux qui ont privilégié les soins plutôt que les vaccins, ont collectivement mis au point un cocktail de médicaments bon marché (dont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine) qui soigne massivement la Covid (voir encadré). Les résultats sont si spectaculaires que les Occidentaux mettent en doute les chiffres publiés par ces États, au premier rang desquels la Chine.

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Extrait d’un document confidentiel suisse. Les médicaments cités peuvent être vendus sous des noms de marque différents selon les pays.

- Enfin le Venezuela a commencé la distribution massive du Carvativir, un médicament issu du thym, qui donne également des résultats spectaculaires. Google et Facebook (et pendant un moment Twitter) censurent toute information à ce sujet avec autant de zèle que le Lancet a tenté de discréditer l’hydroxychloroquine.

4- Comment cette épidémie finira-t-elle ?

Dans les pays qui utilisent les réponses médicales exposées plus haut, la Covid-19 est toujours présente, mais l’épidémie est déjà finie. Les vaccins ne sont proposés qu’aux personnes très exposées.

En Occident, où l’on refuse de soigner les malades, la seule solution paraît de vacciner la totalité de la population. De puissants lobbys pharmaceutiques poussent à l’usage de masse de vaccins coûteux plutôt qu’à celui de médicaments bon marché pour des malades mille fois moins nombreux. On assiste alors à une rivalité meurtrière entre les États pour s’emparer des doses disponibles au détriment de leurs alliés.

Durant quatre cent ans, l’Occident était à la poursuite de la Raison. Il était devenu le héraut de la Science. Aujourd’hui, il n’est plus raisonnable. Il conserve de grands scientifiques, comme le professeur Didier Raoult, et une avancée technique, ainsi que l’attestent les vaccins à ARN messager, mais n’a plus la rigueur pour raisonner scientifiquement. Encore faut-il distinguer les régions d’Occident : les pays anglo-saxons (Royaume-Uni et États-Unis) ont été capables de fabriquer des vaccins à ARN messager, pas l’Union européenne qui a perdu son inventivité.

Le centre du monde s’est déplacé.

Thierry Meyssan


[1] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.

[2] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.

[3] « Covid-19 : propagande et manipulation », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 20 mars 2020.

[4] « Panique et absurdité politique face à la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 avril 2020.

[5] « Le monde après la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 mars 2020.




Que se passe-t-il dans les corps énergétiques et en particulier pour l’âme après le « vaccin »?

[Source inconnue]

Expérience d’une thérapeute qui travaille depuis de nombreuses années avec l’énergie, avec la guérison énergétique, avec les corps subtils, mais surtout avec le rayonnement de la lumière et la fréquence de la vibration du cœur, siège de notre âme, pour atteindre un contact profond avec le moi supérieur.(([1] Voir Les sept chakras et les sept corps subtils de l’Homme
ou Les corps subtils & quantiques]))

[NDRL malgré l’absence de source et de moyen d’en vérifier l’authenticité, ce supposé témoignage est transmis en raison du fait qu’il recoupe au moins partiellement les avertissements suivants :
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Quelle est l’opinion de Dieu sur la vaccination par ARN messager ?
Qui est l’Antéchrist ?
Voir aussi :
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération]

« J’ai donné une séance à une personne qui a fait la première et deuxième dose du vaccin. (([2] Contre la Covid-19))

J’avais déjà traité cette personne énergiquement, mais je ne savais pas qu’elle avait fait la vaccination. 

Quand j’ai commencé avec le traitement, j’ai tout de suite remarqué le changement, de l’énergie très lourde émanant de ses corps subtils. 

Le plus effrayant, c’est quand j’ai travaillé sur le chakra du cœur, je me suis connectée avec son âme. Eh bien, elle était détachée du corps physique, elle n’avait plus de contact et c’était comme si elle flottait dans un état de confusion totale, mais elle n’avait plus de contact direct avec le corps et avec la personnalité.(([3] Voir par exemple : Les 7 Chakras – Guide Des Chakras
ou CHAKRAS))

Un endommagement de la conscience qui perd le contact avec la partie physique, donc avec notre machine biologique, il n’y a plus de communication entre eux.

Pendant le traitement, cette âme me disait qu’elle ne ressentait plus le corps et avait l’impression de flotter dans un profond malaise. 

L’énergie avec laquelle je travaillais, donc l’énergie de son champ énergétique, était très lourde, et on pouvait ressentir ces substances très polluantes pour les corps subtils.

J’ai continué le traitement en envoyant de la lumière au chakra du cœur, donc à l’âme de la personne, mais il semblait que l’âme ne pouvait plus recevoir ni lumière, ni fréquence, ni énergie. Ce fut une expérience très forte pour moi.

Alors j’ai compris qu’effectivement cette substance sert à détacher la conscience pour que cette conscience ne puisse plus interagir à travers ce corps qu’elle possède dans la vie, où il n’y a plus de contact, plus de fréquence, plus de lumière, plus d’équilibre énergétique ni de l’esprit. 

Puis j’ai commencé à pleurer pour cette âme parce que c’est quelque chose qui m’a profondément touchée, une expérience très forte. 

Je n’ai rien dit à la personne, car je ne savais pas comment le dire et si elle aurait compris.

J’ai réalisé que cela ne polluait pas seulement les corps subtils ou le corps physique, mais que c’était quelque chose qui avait à voir avec notre âme. Le but est d’endommager et d’essayer de détruire le contact avec la conscience. 

Ce que Steiner a dit est exactement ça. Il ne s’agit pas seulement de compromettre le système immunitaire. »

Mise à jour — Deuxième traitement de la personne

« Il y a eu un nouveau changement et encore une aggravation, tant pour la lourdeur que pour l’énergie qui transmet son champ énergétique, mais surtout il y a eu une diminution très importante de la fréquence. 

Actuellement, sa situation physique ne présente pas de symptômes sur le corps physique.

Quant à la situation qui se manifeste au niveau énergétique et surtout de l’âme, il y a eu la confirmation que l’âme a été éjectée hors du corps physique, elle est toujours liée par le soi-disant cordon, mais elle confirme toujours qu’elle n’a plus d’interaction avec le corps physique, émotionnel et mental, il n’y a plus aucun type de communication. (([4] certaines sources ésotériques mentionnent l’existence de deux cordons combinés, formant la corde d’argent : le fil de vie qui serait rattaché au cœur et le fil de conscience qui serait rattaché à la tête. D’autres évoquent aussi une troisième ramification (au niveau du plexus solaire) et une quatrième (au niveau du foie). Voir La corde d’argent (ou cordon d’argent) et le voyage astral.))

L’âme n’est plus capable de gérer ces trois corps, de poursuivre son processus d’incarnation et d’évolution, précisément car ce contact a été interrompu.

Comme c’est une chose nouvelle qui ne s’est jamais produite, et donc la conscience de l’âme ne sait pas ce qui se manifeste, l’âme est dans une situation où elle ne sait pas pourquoi elle a été éjectée.

Elle est consciente que cela s’est produit après la première dose du vaccin, qu’elle n’a plus aucune forme de communication, qu’elle ne peut plus utiliser ces corps dont nous nous sommes revêtus pour rester sur terre. 

L’évolution et les expériences que la personnalité transmet à l’âme, tout ça a été interrompu. »





Les toubibs vaccineurs se font des couilles en or… 1000 euros de l’heure le dimanche !

[Source : resistancerepublicaine.com]

En semaine c’est seulement 500 euros de l’heure… Il y a plein de gens qui, en France, vivent avec moins de 500 euros par mois !

On commence à comprendre pourquoi 80 % des médecins seraient volontaires pour jouer avec le feu, avec la vie et la santé de nos concitoyens.

C’est tellement plus facile de vacciner que de traiter avec de l’hydroxychloroquine ou de l’ivermectine, hein, bande de renégats du serment d’Hippocrate !

C’est le Canard enchaîné qui a mangé le morceau…

La sécu se tait, mais comme d’habitude c’est nous qui trinquons, on va encore nous parler de déficit, de dé-remboursement… sans toucher à l’AME, d’ailleurs, soit dit en passant.




Me Brusa publie les preuves de la mafia covidiste

[Source : Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

[Photo : Me Brusa brandit ses documents.]

par Jacques Chassaing [Ndlr : avec quelques ajustements cosmétiques par Nouveau Monde]

Incroyable, mais vrai, le ministère de la Santé avoue que le vaccin ne sert à rien. Un retraité de 83 ans, vacciné contre le Covid, a saisi le Conseil d’État au motif de vouloir désormais aller partout librement, puisque vacciné. Sa requête a déclenché le mémoire ad hoc en défense du ministère de la Santé. Et là, surprise, Olivier Véran avoue l’inefficacité de la vaccination. Du lourd et même du très lourd qui a déclenché la colère du fondateur de Réaction 19 : « mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

L’avocat Carlo Alberto Brusa était au bord de l’apoplexie lors de son direct sur YouTube qui restera dans les annales de la mortelle dictature politico sanitaire. 



(à partir de 50’) de la vidéo :

« le ministère de la Santé a répondu que pour le moment il est prématuré de différencier les règles entre les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées. 

Le ministre de la Santé énonce ses arguments sur les règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccin: « L’efficacité partielle des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition de nouveaux variants ».

Autrement dit, souligne Me Brusa :

« vous avez non seulement un problème avec l’efficacité, mais en plus en ajoutant les variants, c’est encore plus compliqué. De fait, ce qui est normalement une des qualités du vaccin, disparaît totalement.

Autre affirmation du ministre de la Santé : « Les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées aux formes graves et au décès, en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de la réinfection post vaccinale, ou de la virulence d’un variant. »

Le sang de Me Brusa n’a fait qu’un tour :

« si tu dis que les personnes vaccinées sont celles qui sont les plus exposées…quelle est la garantie… »

Très énervé, l’avocat poursuit :

« de surcroît, le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers »

On se rappellera utilement que les propos du Dr Vincent Reliquet allaient dans ce sens dans l’article publié ici, le 10 mars 2021 : La vaccination Covid est inefficace et dangereuse pour les non vaccinés
(https://ripostelaique.com/la-vaccination-covid-est-inefficace-et-dangereuse-pour-les-non-vaccines.html)

Me Brusa répète les écrits du ministre Véran : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ». 

il  constate : 

« mais donc, ce n’est pas un vaccin. Un vaccin c’est ce qui permet d’être immunisé et de ne pas transmettre le virus aux tiers. Et là, ils nous disent exactement le contraire, donc ce n’est pas un vaccin »

L’avocat s’indigne :

« c’est le ministre qui le dit, c’est gravissime » Puis, citant encore le mémoire : « l’impact de la vaccination sur la population n’est pas encore connu ». 

Brusa est alors dans tous ses états :

« mais alors, pauvre ministre, tu es en train de faire la danse des sept voiles pour que les gens s’empoisonnent, alors que toi même tu expliques que tout ceci ne sert à rien! »

La mafia du vaccin est en lien avec l’État-prison-Macron

C’est un sacré coup de pied qu’a mis Me Brusa dans la mafia internationale qui grenouille autour de l’affaire Covid, avec pour son objectif d’ inoculer n’importe quel produit dit « vaccin » pour asservir les peuples à un nouvel ordre mondial.

« vous allez voir où le fric tourne. » Au premier tableau de chasse, sont épinglés :

Georges Soros, Bill Gates, Thierry Breton, Olivier Véran, Emmanuel Macron, François Bayrou (appelé à s’expliquer sur  étrange agenda des prochains confinements prévus et programmés), Atos, BlackRock, Vanguard Group, BioNtech, ARNMessager, Pfizer, Microsoft, Winterthur, AXA…

« Monsieur Thierry Breton, le monsieur nettoyeur d’ATOS qui a détruit Bull, société française d’informatique, qui a été PDG  de la société ATOS, est le commissaire européen qui a lancé le passeport vert, passeport vaccinal. Or il y a conflit d’intérêts. ATOS, spécialisée dans le contrôle aux frontières par le numérique, gère le K1 code pour le voyage… »

(à 44’13)

« Edouard Philippe a été nommé administrateur de ATOS, son grand ami Thierry Breton nommé commissaire européen, et monsieur vaccin… la toile d’araignée se complique quand vous allez voir qui est chez ATOS : le Vanguard Group des connexions Pfizer, Glaxo… »

Me Brusa se livre alors à la démonstration de toutes les implications, actionnariats et capitaux de ces sociétés et remonte jusqu’à la Fondation Georges Soros qui détient plusieurs portefeuilles.

« aujourd’hui plusieurs fortunes mondiales sont gérées par BlackRock, par Vanguard Group et la Fondation Bill et Mélinda Gates, qui sont également actionnaires de Pfizer… qui sont aussi les actionnaires d’ATOS lesquels veulent nous imposer les fameux codes de reconnaissance. 

On continue : Glaxo n’est pas actionnaire de Pfizer, mais il y a des liens. On continue… et on va remonter jusqu’au laboratoire Wuhan. Vous en saurez plus lors du prochain numéro » 

(48’18)

Ne donnez pas votre accord pour que vos enfants soient testés

« et vous, directrices et directeurs d’école, vous n’avez pas à faire les larbins de la santé, ça ne rentre pas dans vos fonctions. Vous n’avez pas le droit de communiquer les informations personnelles de vos élèves. Il n’existe aucune disposition légale … »

(41’)

« Macron et sa gueule enfarinée »

Il a sang chaud cet Italien d’avocat lorsqu’il s’adresse au président Macron :

« il aime tellement être le Jupiter de la situation… mais avec sa gueule enfarinée, on est dans les menaces constantes… ils prennent les gens pour des cons avec les lits de réanimation. Vous avez plusieurs catégories de ces lits… mais quand on vous parle de taux d’occupation, on ne prend que les lits qui existaient à la base… Me Di Vizio l’a developpé. 

Il faut réagir parce que le but est de nous garder dans une position d’esclavage pour que la piquouze puisse être administrée. Aujourd’hui, il suffit que vous disiez non au poison! C’est à vous de dire non!»

(à 56’).

Il a aussi le tutoiement facile :

« et toi préfet, tu n’as pas besoin de faire un caca nerveux, et toi en tant que maire tu n’as pas besoin d’interdire de mesurer l’oxymétrie… »

(à 16,59’)

Quand un maire de plus participe activement à la répression Macron

On sait que l’association Réaction19 a lancé l’opération Oxymètre, qui consiste depuis plusieurs semaines à collecter les données respiratoires modifiées par le port obligatoire du masque des enfants. Les adultes sont également concernés.

Grande est la collusion avec le pouvoir de ces nombreux maires qui soutiennent la dictature sanitaire, y compris les pions de mairies fleuries des zones rurales.

Rappelons au passage qu’aucun des candidats et leurs listes soi-disant apolitiques aux dernières municipales, ne se sont levés pour dénoncer la manipulation du premier et du second tour. Il faut dire que ces maires se sont empressés de voter le mix de leur impunité avec l’impunité des criminels de l’Etat-Macron : 
https://ripostelaique.com/candidats-du-criminel-macron-le-28-juin-restez-chez-vous.html 
et https://ripostelaique.com/le-conseil-constitutionnel-confirme-limpunite-des-criminels-detat.html

Réaction19 révèle qu’un maire vient de prendre un arrêté interdisant aux parents d’élèves le recueil des données oxymétriques devant l’école. Ce fait s’ajoute à l’action des préfets, des policiers et de l’Education nationale mobilisés pour que les taux d’oxygénation du sang des enfants masqués obligatoirement ne soient pas mesurés.

Me Brusa va mettre en ligne la mise en demeure globale adressée au ministre de l’Education nationale et l’arrêté municipal de ce maire sera attaqué (à 16’).

Ce qu’il a dit, il va l’écrire 

Tous les contenus des documents allégués par Me Brusa seront bientôt disponibles sur le site de Réaction 19 (infos réservées aux 70 000 adhérents à l’association).

De plus, l’avocat va notifier le mémoire en défense précité :

«  à tous les parlementaires, à tous les médecins et Conseils de l’ordre pour qu’ils comprennent qu’ils sont en train de jouer avec la vie des gens avec un produit dangereux qui porte le nom de vaccin. Nous ne devons pas être des cobayes! Le ministre de la Santé est passé aux aveux judiciaires et juridiques de l’inefficacité de ce qui est vendu comme l’espoir de sortie, et ils le savent très bien … »

(54’)

La vidéo publique du live censurée quelques heures après, devient subitement privée : 19 h 10 le Direct : la covid 19 une maladie mentale ! des infos des infos ! (https://youtu.be/inc3NsYpla0)

Me Brusa part en province pour la cause

A partir d’aujourd’hui, Me Brusa entame des déplacement en régions pour amplifier le combat anti totalitarisme covidiste.

Outre Toulon, La Seyne-sur-Mer, Six-Fours-les-Plages, Rennes, Quimperlé (avec la députée Martine Wonner), Aurillac, Nancy, la Saône & Loire (vraisemblablement à Mâcon), Bordeaux, Toulouse, Biarritz, le Nord (Dunkerque ou Lille ou Roubaix), Montpellier, Grenoble, Marseille, Avignon, l’avocat ira en Belgique, à la Guadeloupe, et peut-être en Martinique.

L’association Réaction19 met en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l’Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie de la COVID19 : https://reaction19.fr

Rien ne va plus pour Francis Lalanne

Petit entrefilet pour signaler que le poète militant, encerclé par les CRS dans un théâtre d’Avignon, a reçu l’assurance d’un prompt et prochain soutien de Me Brusa.

Décidément Francis Lalanne s’est lourdement trompé en imaginant l’imminence du ralliement de la police à la cause du peuple opprimé. Sans compter que le docteur Jean-Paul Hamon réclame son incarcération pour délit de bisous pour tous.
Cf https://ripostelaique.com/alexandra-henrion-caude-et-lalanne-chantent-le-temps-de-cerises.html 
et https://putsch.media/20210330/actualites/societe/video-le-dr-jean-paul-hamon-sur-francis-lalanne-pourquoi-on-le-colle-pas-au-trou-ce-mec-alors-que-des-mecs-sont-en-train-de-claquer-en-rea/

Jacques CHASSAING

IMPORTANT : Tous les liens et renvois mentionnés dans cet article constituent des éléments factuels corroborés, à l’appui des opinions et des faits exprimés par l’auteur Jacques Chassaing, ici, ainsi que dans tous les articles qu’il signe.




Nous sommes re-en guerre

[Source : La Croix du Sud]

Ce n’est pas un confinement. Non non !

C’est un renforcement du freinage de la propagation du virus…






À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute

Par Alain Nicolaï

« Je ne veux pas me mentir, il est vrai que je suis un pécheur qui a eu le privilège d’être aimé par la miséricorde de Dieu. »

« Mais, j’insiste, j’ai toujours été aimé par Dieu, qui m’a relevé après chaque chute tout au long du chemin… »

« Mais le moment où je vis le plus intensément l’expérience religieuse, c’est quand je reste un temps indéfini devant le tabernacle. Parfois je m’endors, assis, en me laissant regarder. J’ai l’impression d’être entre les mains de quelqu’un comme si Dieu me prenait par la main. »

Bergoglio

Quand vous avez en face de vous une personne qui est persuadée d’avoir le privilège d’être aimée et regardée par Dieu vous pouvez être sûr que celle-ci n’a rien compris à la Religion et notamment au Christianisme. DIEU est Amour et nous aime tous, tel est l’enseignement de Notre Seigneur Jésus Christ, c’est ce qu’avaient compris les premiers chrétiens, et c’est pourquoi ils ne craignaient pas le martyre, or il s’avère que celui qui a prononcé ces paroles n’est autre que le Cardinal Jorge Bergoglio, le futur pape François qui dirige actuellement l’Église. Ces textes se trouvent dans l’ouvrage, Je crois en l’homme, aux pages 52 et 53 de l’édition française du livre, Le Pape François, Je crois en l’homme, Conversations avec Jorge Bergoglio, Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin, Éditions de Noyelles, 2013.

De plus, ce texte qui a été publié d’abord à Buenos Aires en 2010, et qui est la transcription d’une conversation avec Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin, met en relief la conduite pour le moins équivoque de l’Église en Argentine. Dans les chapitres 13, Le dur chemin vers une patrie de frères et 14, Plongée dans une nuit obscure, ces deux journalistes interrogent le futur pape sur son comportement à cette époque, et pour le moins ses réponses ne sont pas claires ! Il faut savoir qu’une grande partie de la carrière de Bergoglio en Argentine se passa pendant la dictature de Jorge Rafael Videla Redondo responsable de nombreuses exactions dans ce pays et qui dirigea l’Argentine après le coup d’État militaire du 24 mars 1976 qui destitua Isabel Perón. Les auteurs de cet ouvrage font comprendre aux lecteurs que le futur pape s’en est très bien accommodé, et même, après qu’il fut intronisé cardinal, le 21 février 2001 par Jean Paul II, dans son homélie à l’occasion du premier Consistoire public ordinaire du XXIe siècle.

Ce livre étant à la disposition de tous, comment les Cardinaux ont-ils pu être amenés à élire un tel personnage ? Ils portent donc aussi une très lourde responsabilité sur le devenir de l’Église catholique.

Mais concernant Bergoglio, il y a encore beaucoup plus grave, voici un article publié en novembre 2013 par Courrier International :
https://www.courrierinternational.com/article/2013/03/14/jorge-bergoglio-n-est-pas-le-pape-des-pauvres

Après c’est très lourdes accusations, passons à d’autres très graves problèmes qui entachent définitivement le pontificat de Bergoglio. Henri Sire, qui était l’historiographe de l’Ordre de Malte, a publié en 2018 un livre Le Pape dictateur, au titre sans équivoque :
https://www.babelio.com/livres/Sire-Le-Pape-dictateur–Lhistoire-cachee-du-pontifica/1105018
Le Pape dictateur, Henri Sire, Presse de la Délivrance, 2018.

Dans cet ouvrage l’auteur démasque avec de nombreux arguments irréfutables cette face plus que sombre de Bergoglio. Il révèle la mentalité autoritaire de cet homme, qui en fait, ne croit qu’en ses décisions, puisqu’il est persuadé, comme on l’a vue au début de cet article qu’elles lui viennent directement de Dieu. Aussi, il n’hésite pas à les imposer avec l’aide des êtres démoniaques qui ont infiltré l’Église depuis des décennies et qui sans doute l’influencent d’une manière ou d’une autre.

La lecture de l’ouvrage d’Henri Sire est extrêmement pénible, tellement est sinistre ce que l’on apprend sur le fonctionnement d’une institution qui devrait être un modèle de vertu. On est littéralement transporté au cœur d’un milieu sordide où les bons sont rabaissés et les mauvais encouragés. C’est révoltant et écœurant jusqu’à la nausée…

Après la publication de cet ouvrage Henri Sire fut suspendu par l’Ordre de Malte :
https://www.orderofmalta.int/fr/2018/03/23/auteur-ivre-le-pape-dictateur-suspendu/

Si nous devons évoquer qu’un seul être démoniaque pour illustrer nos propos citons simplement Peter Sunderland, décédé début 2018, qui fut pendant plusieurs années, donc sous Bergoglio, Conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège apostolique et directeur de la Commission Internationale Catholique sur la Migration (ICMC) :
https://www.agoravox.fr/actualites/international/article/peter-sutherland-ou-le-visage-de-176554

Ce mondialiste fut sans doute introduit au Vatican par quelques « âmes bien intentionnées. »

Se pose maintenant la question :
Le cas Bergoglio est-il du domaine de la psychiatrie ou simplement révèle-t-il une malignité fondamentale ?

Petit complément pour enfoncer quelques clous

Sur l’idolâtrie au Vatican :
https://fsspx.news/fr/la-veneration-des-statuettes-de-la-pachamama-ete-objectivement-une-idolatrie-52050

Sur la crèche du Vatican en 2020 :
https://www.cath.ch/newsf/vatican-la-creche-horribilis-2020/

Sur le capitalisme inclusif :
http://force-ouvriere44.fr/connaissez-vous-le-capitalisme-inclusif/

Conclusion : Une vertigineuse descente aux enfers…

« Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. »

Matthieu 7.19




Appel du Patriarcat Catholique Byzantin pour jeter les masques le 4 avril

[Source : vkpatriarhat.org]

Chrétiens, rassemblez-vous devant les églises le 4 avril !

Chrétiens, le jour de la résurrection, le 4 avril, rassemblez-vous devant les églises ! Arrêtez cette fausse pandémie !

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB), qui est une voix prophétique, appelle par l’autorité de Dieu : « Chrétiens et gens de bonne volonté, le jour de la résurrection du Christ, le 4 avril 2021, rassemblez-vous devant les églises et célébrez la résurrection du Christ par des chants et des prières ! Ce sera aussi votre résurrection spirituelle face à la peur et à la mort. Jetez les masques par terre à l’extérieur des églises ! Piétinez cette marque d’esclavage et de mort programmée !



Regardez cette vidéo sur: https://prophets-voice.wistia.com/medias/qisbrgc85l   
https://rumble.com/vf3hp7-rassemblez-vous-devant-les-glises-le-4.3.html   
https://cos.tv/videos/play/26822232782967808   
https://ugetube.com/watch/HLtCuPGB2Vgw8GH   
https://gloria.tv/post/mPbJtpcnEg9A3wADx4TvWBbcY   

Téléchargement de vidéo: 122.4 MB, 1280×720 / 36.9 MB, 768×432

La fausse pandémie, les confinements et la maléfique vaccination expérimentale ne visent pas à prendre soin de votre santé. Leur objectif consiste à propager l’infection et la dépopulation génocidaire : la mort ! Dressez-vous contre l’esprit du mensonge et de mort : Satan et ses serviteurs ! Seul Dieu peut arrêter ce génocide planifié. Le jour de la résurrection, il vous demande : sortez de l’église ! C’est votre geste de foi. N’ayez pas peur de la persécution ou du martyre! Lorsque vous répondez à la demande de Dieu, Dieu interviendra ! »

OÙ ? En dehors de l’église.

QUAND ? A Pâques, le 4 avril, à 9 heures.

QUOI ? La victoire du Christ ! Chantez ! Priez ! Jetez et piétinez le masque !

POURQUOI ? Dieu veut que vous le fassiez !

Le Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité !

En vous accordant une bénédiction,

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Téléchargement: Chrétiens, rassemblez-vous devant les églises le 4 avril !


Voir aussi : https://bcp-video.org/fr/le-jour-de-la-resurrection/




Florian Philippot : « Il faut rouvrir tout, tout de suite »

[Source : Sud Radio]




Parlement européen : Ivan Vilibor Sinčić balance tout !

[Source : rumble.com]






Entre une policière espagnole et l’AFP, qui désinforme le plus ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Wolf WAGNER pour FranceSoir

Suite à l’appel vidéo lancé par une policière espagnole incitant les spectateurs à enquêter sur ce qu’elle considère être « un recul inquiétant de la démocratie et des libertés » au sein de pays comme la France et l’Espagne, qu’elle qualifie de « dictatures sanitaires », l’AFP-Factuel, le service de vérification de l’Agence France Presse, lui a répondu en dénonçant les incohérences et autres fausses informations qu’elle pense déceler dans son discours. Problème : l’AFP s’appuie elle-aussi sur des informations erronées pour asseoir sa démonstration. Pire, elle ne peut l’ignorer, puisque France Soir l’en avait déjà avertie.

Sonia Vescovacci est, comme nous le rapporte le site Publico cité par l’AFP dans son article, officier du Corps national de police espagnole (CNP). Elle est également à la tête du collectif « policiers pour la liberté » (« policiàs por la libertad », la traduction en français de la description du collectif est proposée sur ce blog). Un collectif qui avait notamment appelé fin 2020 les agents des forces de l’ordre espagnoles à ne pas verbaliser les citoyens ne portant pas de masque ou ne respectant pas les restrictions sanitaires.closevolume_off

Dans sa dernière vidéo rapidement devenue virale, la policière, qui déclare avoir grandit dans la région marseillaise, se présente devant la caméra en uniforme et s’exprime dans un français à la tonalité hispanique. Elle y dénonce des « lois liberticides, absurdes et sans fondement scientifique » et appelle les citoyens et les journalistes à enquêter sur « les anomalies, les mensonges et les incohérences » existant autour de la crise actuelle, ainsi que sur cette « dictature sanitaire » qui, selon elle, fera « prochainement place à une dictature économico-techno-sanitaire ».

Considérée par les uns comme une « lanceuse d’alerte », elle est moquée et raillée par les autres. L’AFP en tête.

Dans son papier, l’Agence France Presse isole quatre points contenus dans les propos de Sonia Vescovacci qu’elle considère comme fallacieux :

– Les tests PCR sont frauduleux

– Les masques sont inutiles et toxiques

– Il existe des traitements capables de mettre fin à la pandémie

– Les vaccins sont toxiques

Une logorrhée d’arguments accessoires

Concernant ces quatre points, l’Agence France Presse va mettre en avant une logorrhée d’arguments nous renvoyant vers différents articles qu’elle a déjà écrit. Plusieurs heures de lecture vous seront ainsi nécessaires si vous souhaitiez consulter l’ensemble des papiers et autres références vers lesquels nous renvoie l’AFP.

Quelle meilleure preuve possible, pour nous convaincre que cette démonstration faite à l’encontre des arguments avancés par Sonia Vescovacci est juste, que celle de constater que l’AFP avait déjà éclaircie et largement étayée cette problématique ? Sous-entendu qu’il est particulièrement agaçant pour l’agence de presse de devoir nous informer à nouveau sur un sujet qu’elle pensait pourtant à présent entendu par chacun, tant elle avait déjà longuement écrit et « enquêté » sur le sujet.

Comment en vouloir à l’AFP de se sentir agacée de devoir se répéter quand nous le sommes nous-mêmes de lui faire à nouveau remarquer qu’elle ne cesse de toujours mettre en avant les mêmes arguments erronés ?

À l’instar de la manière d’opérer des complotistes les plus fantaisistes, obsédés par la conquête d’un auditoire qui, pour se laisser séduire, réclame de nos jours des théories aux allures de plus en plus vraisemblables, factuelles et argumentées, l’AFP pratique la technique de la « noyade de poisson ». Dit de manière plus intellectuelle, l’agence de presse verse dans le sophisme. En assénant sur un même thème des dizaines de paragraphes reposant principalement sur des préceptes factuellement vrais, l’agence de presse en profite ainsi pour faire passer des contre-vérités et pour, in fine, fuir les véritables questions posées qu’elle entendait pourtant éclaircir.

Par exemple, Sonia Vescovacci parle de « fraude aux tests PCR que l’on appelle aussi la fabrique de faux cas positifs pour ensuite justifier la mise en place de mesures pernicieuses ». Elle déclare que, selon elle, « l’inventeur de ce test, le prix nobel Kary Mullis, a bien expliqué que ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% ».

Ce que l’agence de presse résumera ainsi : « La policière fustige, dès le début de sa vidéo, « une fraude aux faux cas positifs pour les tests PCR » et assure qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise « avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 comme c’est le cas à 99% » ».

Notez comment l’AFP détourne le sens du discours de la policière. Elle qui explique que « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer de maladies et encore moins le covid… encore moins si l’on l’utilise couramment comme des cycles d’amplification supérieurs à 25 » voit ses propos être mutilés en : « la policière (…) fustige qu’ils ne sont pas efficaces si on les utilise avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ». La partie considérant l’efficacité d’un test en fonction de sa capacité à détecter une maladie a été retirée, vidant ainsi de son sens le propos initialement défendu par Sonia Vescovacci.

Et c’est du coup sur cette base tronquée, et donc fallacieuse, que l’AFP va contredire la policière en expliquant pourquoi il est, à juste titre, faux d’annoncer que les tests PCR ne sont pas en mesure de détecter le Sars-CoV-2. Pour autant, tout au long de son argumentaire, l’agence de presse prendra précisément bien garde à rester beaucoup plus évasive concernant la nuance existant entre « présence de virus » et « maladie ».

Pour remettre en question les propos de l’agent des forces de l’ordre espagnoles, l’AFP va brièvement rappeler avoir déjà « démystifié » l’affirmation selon laquelle Kary Mullis aurait déclaré que les tests ne permettaient pas de diagnostiquer « des virus ». L’agence de presse nous renvoie ainsi vers deux articles, l’un du journal Le Monde et le second issu de son cru. (cf le point 2.).

Dans ces papiers, il est expliqué que, contrairement à une affirmation largement relayée sur les réseaux sociaux, jamais Kary Mullis n’a dit que « les tests PCR étaient incapables de détecter des virus ». Dont acte, mais l’AFP nous emmène bien sur un chemin de recherche qui ne convient pas à l’objet du débat instigué par la policière, puisque celui-ci porte sur la détection, via ces tests PCR, de maladies, et non de virus.

Une nuance qui ne semble vraiment pas évidente aux yeux de l’AFP qui considère peut-être qu’il n’est pas possible d’être porteur d’un virus, voire d’une infime part de virus, sans pour autant être malade ? Ce qui serait bien évidemment une erreur d’analyse non-négligeable.

Toujours est-il que dans ce second papier, l’agence de presse s’épanche un peu plus sur la question de la fiabilité du test et en vient à conclure qu’il « est exact en revanche qu’il n’est pas conçu pour déterminer précisément la quantité de virus présent dans l’échantillon ».

De son côté, l’exposé du Monde se contente de retrouver l’article originel d’où est véritablement tirée la phrase partagée sur les réseaux sociaux et dont l’auteur, John Lauritsen, n’est en effet pas l’ancien prix Nobel de chimie inventeur du test PCR.

En résumé, ces conclusions de l’AFP sur l’efficacité des tests PCR sont pour le moins déconcertantes, puisque selon elle :

  • Il est inexact de déclarer que ces tests empêcheraient de détecter des virus, alors que Sonia Vescovacci parlait de maladies.
  • Cette détection est réalisée à l’aide de tests dont l’agence de presse consent à reconnaître que leur résultats ne permettent pas de quantifier la présence d’un virus, et donc implicitement de pouvoir estimer sa proportion à pouvoir rendre malade l’organisme qui le porte.

Face à cette argumentation aux aspects proches de celui d’un oxymore, nul doute que les esprits les plus cyniques auront tendance à vouloir répondre à l’Agence France Presse : Kamoulox ! 

Une conclusion particulièrement contradictoire qui n’est pas, ou plus, partagée par Reuters (texte en anglais). En effet, l’agence de presse britannique qui, comme Le Monde, avait également décidé de classer cette citation attribuée à Kary Mullis (« PCR tests cannot detect free infectious viruses at all », c’est-à-dire « Les tests PCR ne peuvent pas du tout détecter les virus libres et infectieux ») comme « fausse » a finalement décidé de se rétracter pour la qualifier de « trompeuse ».

Reuters explique, tout comme l’AFP l’avait fait avant elle, que « le contexte autour de la citation montre que Lauritsen ne dit pas que les tests PCR ne fonctionnent pas. Au lieu de cela, il précise que la PCR identifie les substances qualitativement et non quantitativement ».

« Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. »

Là où l’interprétation varie entre les deux agences de presse, c’est lorsque Reuters cite l’extrait de l’article de Lauritsen incluant la fameuse phrase polémique : « La PCR est destinée à identifier les substances de manière qualitative, mais de par sa nature même, elle n’est pas adaptée à l’estimation des nombres. Bien qu’il y ait une fausse impression commune que les tests de charge virale comptent réellement le nombre de virus dans le sang, ces tests ne peuvent pas détecter du tout les virus libres et infectieux (…) Les tests peuvent détecter les séquences génétiques des virus, mais pas les virus eux-mêmes. ».

Ce qui incite Reuters à conclure en notant que « même si Mullis avait fait une déclaration similaire avant sa mort en 2019 (ndla : comme par exemple ici), cette citation ne signifie pas que le test PCR est incapable de détecter la présence du SARS-CoV-2 (…) [mais] plutôt qu’il ne peut pas déterminer si l’individu testé est infectieux (ndla : « infectious » se traduit en français par « infectieux », il faut donc comprendre ici : « il ne peut pas déterminer si l’individu testé est contagieux et/ou porteur d’un virus infectieux ») ».

En résumé :

  • Avant sa mort, Mullis avait bien fait une déclaration similaire à celle de Lauritsen, ce pourquoi Reuters a requalifié la citation comme « trompeuse ».
  • Le test PCR est bien en mesure de détecter des traces de virus, mais il n’est pas capable de qualifier dans quelle proportion il s’est développé dans l’organisme sur lequel on a détecté sa présence, tout comme il n’est pas en mesure de déceler si vous êtes malade.

Soit, en définitive, une conclusion proche de ce qu’affirmait Sonia Vescovacci lorsqu’elle disait que : « ce test ne pouvait pas servir à diagnostiquer des maladies et encore moins le covid ».

Même si l’AFP a dénaturé le sens de ses propos, l’agence de presse a, ainsi que Le Monde et Reuters, démontré de manière plus ou moins explicite et consciente que les tests PCR ne faisaient en réalité que révéler la présence, même inactive et infime, d’un virus dans un organisme, sans pour autant être en capacité de qualifier si un individu était malade.

Or, en médecine, la différence entre un individu qui abrite un virus et celui qui est malade est bel et bien de taille. Une différence si notable que nous pourrions trouver là motif à nous interroger sur la fiabilité des tests positifs au Covid quotidiennement recensés sur des personnes « asymptomatiques » et en pleine possession de leurs moyens.

« Le nombre de cycles, on s’en fiche » ?

Une nuance qui devient d’autant plus importante puisque, selon Sonia Vescovacci, ce test devient de moins en moins fiable dès lors qu’on « l’utilise couramment avec des cycles d’amplification supérieurs à 25 ».

La policière fait ici référence à la méthodologie utilisée lors de la recherche de virus à l’aide de ces tests. Plusieurs cycles d’amplification sont effectués sous diverses conditions. Plus vous effectuez de cycles, plus vous avez ainsi de chances de déceler la présence d’un virus. Une méthodologie expliquée dans cette vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève et reprise en exemple par l’AFP dans son article.

https://www.youtube.com/embed/_IiCS5r9gaU

À la différence des propos tenus par l’agent des forces de l’ordre espagnoles, pour l’AFP il n’est pas possible de parler de manière générique concernant ces cycles d’amplification, puisque, comme l’agence de presse le démontre, chaque type de tests PCR répond à des technologies et à des normes différentes. De plus, selon les caractéristiques du virus que vous recherchez, vos analyses se devront d’être plus ou moins approfondies. Vouloir fixer une barre universelle maximale à 25 cycles d’amplification n’aurait donc pas de sens.

C’est ce qu’explique à l’AFP Vincent Enouf, directeur adjoint du Centre national de référence des virus respiratoires de l’Institut Pasteur : « cette valeur est généralement comprise entre 10 et 45. (…) En fait le nombre de cycles, on s’en fiche, tout dépend de la PCR, de la technologie que vous utilisez ».

« On s’en fiche » dans le sens où le nombre de cycles optimal à effectuer variera selon le virus et selon la technologie utilisée. Il ne peut donc pas y avoir de seuil normé.

« On s’en fiche » donc surtout en tant que référence universelle, mais s’en fiche-t-on réellement dans l’absolu ?

Quid d’un éventuel seuil, propre à chaque type de tests PCR (par exemple et au hasard 25 cycles pour l’un, 35 pour l’autre, 45 pour un troisième), qui une fois franchi rendrait caduc le résultat d’un test, tant on aurait multiplié ses cycles d’amplification au point de détecter d’infimes parties de virus qui n’impliqueraient aucune maladie chez le sujet testé ? À moins que l’AFP et Vincent Enouf ne considèrent qu’un test reste fiable quel que soit le nombre de cycles effectué ?

Il est malheureusement impossible de le déterminer après lecture du flot d’articles pourtant proposé par l’AFP sur ce sujet. En étant à la fois incapable de définir s’il existe un seuil maximal de cycles à ne pas dépasser pour chaque technologie utilisée, tout en n’ayant aucune idée du nombre de cycles d’amplification effectué dans les différents laboratoires français, l’Agence France Presse est, contrairement à ce qu’elle s’estime être en mesure d’affirmer, factuellement dans l’impossibilité de nous apporter des éléments tangibles permettant de contredire sur le fond Sonia Vescovacci quant à la potentialité que les résultats de tests PCR puissent être, d’une manière ou d’une autre, frauduleux.

En l’état, l’agence de presse s’obstine simplement à expliquer pourquoi le stade fixé à 25 cycles par la policière est en soi un non-sens et pourquoi ces tests sont bien en mesure de déceler la présence du virus. Si l’AFP a raison sur ces points, cette superposition d’arguments orchestrée autour de questions secondaires sonne davantage comme des victoires à la Pyrrhus pour sa démonstration, puisque in fine, face à un poisson refusant de se noyer, nous restons sur notre faim.

Peut-être ces tests PCR peuvent-ils être frauduleux si sujets à trop de cycles d’amplification, peut-être pas, mais ce n’est pas à la lecture de l’article de l’AFP, et de ses nombreux satellites, que nous sommes plus avancés pour le définir. Pourtant, ces-derniers entendaient bien répondre à notre attente par la négative, tout en prétendant contester la véracité des propos tenus par Sonia Vescovacci.

Une vingtaine de scientifiques, un grand média et des juges portugais ne partagent pas les mêmes conclusions que l’AFP 

Ce manque d’informations autour de la fiabilité d’un test en cas de dépassement d’un certain nombre de cycles est d’autant plus dommageable que cette question n’est quasiment jamais soulevée dans la presse, tout comme la vidéo des Hôpitaux universitaires de Genève ne l’explicite pas non plus. À l’inverse, ils sont nombreux à dénoncer une aberration autour de ce sujet. C’est notamment le cas de cette vingtaine de scientifiques dont l’étude remet en cause l’utilisation des tests PCR sous leur forme actuelle.

Et ils ne sont pas les seuls. Au Portugal, des juges ont qualifié de « discutables » les résultats obtenus par ces tests, notamment concernant ces ambiguïtés touchant aux cycles d’amplification.

En Belgique, un « grand média », la RTBF, ira même jusqu’à communiquer le nombre de cycles réalisé, selon eux, dans le plat pays : « entre 30 et 35 ». Mieux, la RTBF interrogera Frédéric Cotton, responsable de l’un « des cinq plus grands labos belges ». qui admettra « [qu’]aujourd’hui, on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort ».

Frédéric Cotton ajoutera, avec un certain bon sens que l’AFP aime à occulter dans ses analyses, que « cela dit, on devrait pouvoir donner au médecin un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnésce qui lui donnerait une meilleure idée de la contagiosité de son patient Covid. (…) N’empêche en attendant, une standardisation, les labos pourraient commencer à donner une évaluation de la quantité de virus (faible, moyenne ou forte), ce serait un progrès. ».

Un progrès qui permettrait surtout d’offrir de la transparence à l’étude scientifique et publique relative à la fiabilité de ces tests, puisque selon Frédéric Cotton, il suffit de communiquer sur la quantité de virus détectée à chaque cycle pour avoir une idée bien plus précise de la contagiosité, et donc de la charge virale d’un individu. De quoi y voir beaucoup plus clair dans la différenciation à réaliser entre les cas les plus graves et ceux les plus anodins.

Dans Hold-up, le documentaire de Pierre Barnéras, qui avait défrayé la chronique l’an dernier et dont les approximations et diverses projections subjectives avaient permis de dénaturer son travail journalistique aux yeux de l’opinion publique, figurait l’extrait d’un reportage de 8 Mont-Blancune chaine de télévision savoyarde disponible sur le cable. Dans cet extrait, un analyste était interrogé sur le nombre de cycles d’amplification effectué dans son laboratoire (à partir de 11’06 »)Ce-dernier expliquait alors devant la caméra procéder à des recherches allant jusqu’à 50 cycles, ponctuant sa phrase par « ce qui fait qu’on est très très très très sensible (sic) »

Image tirée du reportage réalisé par 8 Mont-Blanc dans un laboratoire effectuant des tests jusqu’à 50 cycles d’amplification.

Qu’importe l’avis que chacun s’est fait sur Hold-Up, ce passage est extrait d’un reportage réalisé par une rédaction de journalistes, dont le travail ne peut pas, faute de contradiction probante, être remis en question.

Si grâce à l’AFP nous sommes à présent en mesure d’affirmer que le seuil de 25 cycles ne peut pas être pris comme référence universelle maximale à ne pas dépasser pour obtenir des résultats fiables lorsque l’on cherche à détecter la présence suffisamment importante d’un virus dans un organisme, nous restons en revanche ignorants sur l’interprétation que nous pouvons faire vis à vis d’une amplification portée à 50 cycles, et ce, quelle que soit la technologie utilisée par ce laboratoire. Les seules réponses que nous ayons pour le moment émanent d’individus qui ne sont, certes, pas journalistes à l’AFP, mais qui le sont néanmoins bien à la RTBF, ou qui sont des scientifiques reconnus, quand ils ne sont pas juges au Portugal, et qui, tous, remettent en cause la fiabilité supposée implacable des tests PCR.

Quant au responsable du grand labo belge, s’il juge déjà qu’à « 30 à 35 cycles », « on n’a peut-être pas intérêt à autant amplifier le virus parce que le risque est d’en détecter parfois des traces d’un virus qui n’est plus infectieux, d’un virus entre guillemet mort », il serait intéressant de le questionner sur la technologie utilisée permettant, selon lui, de nécéssiter de monter jusqu’aux 50 cycles évoqués dans le reportage de 8 Mont-Blanc.

N’en déplaise à l’AFP, voici la preuve a minima que le débat scientifique et sociétal sur le sujet n’est pas tranché, et encore moins clos. La probabilité que des tests PCR puissent être frauduleux existe. Pour lever tout soupçon, il suffirait, comme le préconise Frédéric Cotton, de rendre plus transparent le calcul des résultats en donnant simplement « au médecin », et au patient, « un résultat de dépistage où le nombre de cycles seraient mentionnés ».

Différents avis divergents auxquels chacun décidera d’octroyer plus ou moins d’importance selon l’analyse qui lui est propre, mais que l’AFP, elle, ne juge visiblement que trop peu pertinents pour devoir nous les dévoiler. On notera toutefois que le seuil de 50 cycles d’amplification se situe en dehors de la « valeur généralement comprise entre 10 et 45 » annoncée par Vincent Enouf.

De quoi à nouveau relancer nos interrogations concernant les cas asymptomatiques et en bonne santé. De la même manière, redescendre sous la barre des 5,000 cas par jour fixée par Emmanuel Macron pourrait dès lors apparaître comme particulièrement difficile à atteindre si toute personne abritant une infime part de virus, potentiellement « mort entre guillemets », était obligatoirement testée positive.

L’AFP répète systématiquement les mêmes erreurs… et les mêmes fausses informations

Autre preuve du déni de l’AFP, dès les premières lignes de son article, l’agence de presse cherche à contredire la policière espagnole qui dit s’appuyer sur les propos des « professeurs Perronne, Toussaint, Raoult et Alexandra Henrion-Caude ». Pour cela, l’agence de presse fait référence à l’un de ses précédents papiers (qui lui-même renvoyait déjà à de nombreux autres) censé(s) prouver pourquoi Hold-up était truffé d’une trentaine de fausses informations.

Or, déjà à l’époque dans sa démonstration, l’AFP s’était elle-même faite l’écho de nombreuses informations erronées, pour ne pas dire mensongères, comme nous vous le révélions dans ce non moins court article sur le sujet.

Malgré notre travail journalistique qui n’a depuis été contredit ni de près ni de loin par aucun service de vérification de la presse dominante, il est particulièrement exaspérant de constater que l’Agence France Presse persiste et signe dans sa démarche visant à cultiver des zones d’ombre, voire des passages purement fallacieux ou faux, lors de démonstrations pourtant extrêmement détaillées.

En effet, si vous allez au bout de la lecture des différents papiers proposés par l’AFP, vous constaterez qu’en ce qui concerne la partie de son article touchant aux « traitements capables de mettre fin à la pandémie », et donc à la question de l’hydroxychloroquine, elle continue d’appuyer l’ensemble de sa contre-argumentation sur 3 études scientifiques qui, contrairement à ce qu’affirme l’agence de presse, ne démontrent en réalité pas que cette molécule est inefficace pour lutter contre le Covid (ndla : Cf le point 5/ de notre papier).

Deux d’entre elles, Solidarity et Discovery, ont administré des doses de cheval à leurs patients, qui plus est sans avoir associé la molécule à aucun antibiotique, rendant ainsi caduque tout constat fiable sur le traitement proposé par le professeur Raoult. Des doses véritablement dangereuses au regard des posologies préconisées par l’Agence nationale de sécurité du médicament. La troisième étude, Hycovid, a, pour sa part, clairement eu tendance à prouver l’inverse de l’interprétation à laquelle se réfère l’AFP, puisqu’elle montrait qu’associée à l’azithromycine, l’hydroxychloroquine obtenait des effets sensiblement positifs sur les malades atteints de Covid-19. Le trop faible nombre de patients concernés et la trop courte durée de l’étude n’ayant pas permis de confirmer ces résultats.

Bis repetita sur le sujet des masques, où l’AFP contredit l’idée qu’ils puissent être inutiles et toxiques. Là encore, l’agence de presse usera de multiples arguments pour expliquer pourquoi le masque est bien utile dans certaines situations et conditions, tout en omettant de préciser dans lesquelles il ne l’est pas et en ne mentionnant pas le fait que l’Organisation mondiale de la santé, elle-même, n’est pas en mesure de prouver scientifiquement qu’il le soit. Le même procédé est utilisé concernant leur toxicité (ndla : cf les points 1/ et 2/ de notre précédent papier).

Que l’AFP puisse faire des erreurs, voire qu’elle puisse colporter plusieurs fausses informations dans ses articles, est de l’ordre du tolérable. A fortiori durant une crise où se mêlent de multiples incertitudes. Nul n’est parfait… même s’il fut un temps où cela impliquait une démission immédiate de son équipe dirigeante. En revanche, ce qui intrigue davantage sur les motivations qui animent maintenant la parution de ses articles, c’est que, même une fois alertée, l’AFP choisisse tout de même de s’obstiner à répéter des démonstrations interminables qu’elle sait pourtant biaisées, et donc fausses, le tout en promotionnant toujours la même idée directrice sans jamais chercher à opposer ses arguments aux informations contradictoires les plus pertinentes.

En bref, l’AFP ne s’embarrasse à présent plus à chercher la vérité. Elle la décrète directement et distribue ensuite ses bons points.

 

Wolf WAGNER est journaliste indépendant.




Covid, une opération des pouvoirs sionistes et financiers

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Parlons de choses sérieuses parce que les événements qui se produisent depuis un an, ne se prêtent ni à la légèreté ni à la plaisanterie.

Le premier point que je souhaite aborder dans l’article d’aujourd’hui, concerne les attaques incroyables sur nos libertés. Tout comme le 11 septembre a permis l’abject Patriot Act qui fait de chaque citoyen américain un individu sous haute surveillance sous prétexte de « lutter contre le terrorisme‘, l’opération Covid est la phase suivante.

Ce virus dont nous savons grâce au Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, qu’il a été produit en laboratoire, n’est rien d’autre qu’une arme biologique à visée terroriste. Mais cette fois à grande échelle puisque presque tous les pays du monde sont visés.

Alors la première question qui vient à l’esprit c’est : mais qui a donc fait ça ? Et pourquoi ?

Avant de vous faire part de mon idée sur la question, idée que beaucoup d’entre vous connaissent déjà si vous me lisez régulièrement, je ne peux m’empêcher de repenser à la manière dont Poutine a fait face au problème en dénonçant l’échec probable du Nouvel Ordre Mondial et à cette déclaration fracassante du colonel à la retraite Vladimir Kvachkov [Ndlr: voir Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation] du GRU (renseignement militaire russe) sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov n’est pas n’importe quel péquin insignifiant car c’est un ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes. Il ne parle pas à la légère car on ne peut pas s’offrir ce luxe dans une situation aussi grave. Il faut donc le prendre au sérieux.

Je le cite : « Le phénomène des coronavirus, la soi-disant « pandémie » – et laissez-moi vous dire – il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge. – Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens.

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus. »

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Dans ces trois paragraphes nous avons la réponse possible à nos deux questions : qui et pourquoi. Certains douteront et d’autres verront dans ces déclarations du colonel Vladimir Kvachkov, la seule explication plausible à ce que nous subissons depuis un an.

Maintenant l’autre question c’est : mais pourquoi notre gouvernement ne nous protège pas de ces criminels ? La réponse est simple. Voyons qui a choisi Macron et qui a financé son accession au pouvoir et nous comprendrons pourquoi.

Sans revenir en détail sur chaque point et en allant à l’essentiel, Macron a été choisi par le groupe Bilderberg, groupe réunissant les puissants de ce monde et tenant à le rester. Le deal c’est « tu fais tout ce qu’on te dit et on fera de toi le Président de la France. En contre partie de ta participation à nos plans, tu pourras même en profiter pour t’enrichir autant que tu voudras puisque tu bénéficies du privilège de la fonction et que tu es intouchable vu que tu es protégé par l’immunité. » Et Macron a répondu selon ses propres mots : « Banco !« 

Macron n’est ni un moine bouddhiste, ni un jésuite. Il n’a aucune attache spirituelle d’aucune sorte, n’a aucune moralité, est dépourvu de tout scrupule puisqu’il considère comme quantité négligeable « ceux qui ne sont rien ». Sa vie, son parcours démontrent que la seule chose qui l’intéresse c’est de devenir riche et puissant. Il est donc le complice idéal des mondialistes, car lui-même semble obsédé par le projet messianique du gouvernement mondial de Jacques Attali et de tous les sionistes, à qui le grand rabbin Schneerson a demandé d’agir pour accélerer la venue du « Mechia’h« .

Et comme l’explique en détail Youssef Hindi dans ses écrits sur les origines du sionisme messianique, pour que cette venue puisse se produire, la mise en place du Nouvel Ordre Mondial est un préalable.

Alors, que va-t-il se produire dans un futur proche ?

Un peu partout, les peuples divisés entre les crédules qui font encore confiance aux gouvernements criminels obéissant aux ordres de ces « illuminés » (Illuminati ?) et les éveillés qui ont parfaitement compris ce qui est en train de s’accomplir sous nos yeux, vont provoquer une scission qui ne pourra aboutir qu’à des désordres, des affrontements, peut-être même une insurrection ou une guerre civile.

Pourquoi Attali semblait si sûr de lui quand il a déclaré qu’il y aurait une révolution en France avant 2022 ?

Attali n’est ni prophète ni devin, mais a cette faculté étrange d’annoncer des catastrophes auto-réalisatrices. C’est un agent du Nouvel Ordre Mondial qui est parfaitement informé du plan criminel mis en place par ceux qui ont déclenché l’opération Covid. Et il sait aussi que la partie du peuple qui prend conscience de ce qui se passe, va réagir et peut-être même violemment. Voilà pourquoi il a fait cette prédiction. D’ailleurs cette déclaration est bien antérieure à l’opération Covid. Il savait donc déjà tout et avait envisagé tous les scénarios possibles car on peut faire confiance à ces gens, experts en manipulation des masses pour prévoir chaque détail du plan.

Attali comme tous ceux qui se rendent complices de cette opération criiminelle savent que s’ils échouent, leurs sorts seront peu enviables. C’est donc un pari risqué. Mais compte tenu qu’ils sont le vrai pouvoir et qu’ils disposent de complicités dans les institutions, dans les médias et des forces de police et de généraux traîtres à la nation au sein de l’armée, ils pensent être capables de mater une insurrection ou une révolution et continuer à rester les « Maîtres » du pays.

Donc, le désordre et la violence sont le scénario le plus probable et c’est pour l’éviter que la vaccination est utilisée. Le nombre de victimes de ces vaccins qui provoquera une vraie pandémie ne fera qu’augmenter, la peur et la psychose aussi et on compte sur ce stratagème pour maintenir les populations sous pression et soumises, à travers les confinements et autres mesures extrêmes pour éviter une révolte du peuple.

Machiavélique n’est-ce pas ?

J’ai pour habitude de dire ce que je m’applique à moi-même : espérons le meilleur tout en étant prêts à affronter le pire. Et si le pire n’est pas toujours probable, il est souvent possible.

Je vous laisse méditer sur tout ça…

Bonne semaine à tous.




La vraie vie du pape des pauvres

[Source : Le Saker Francophone]

Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

La pape avec sa Lamborghini

Je suis en train de réfléchir à mon prochain grand essai. En attendant, voici une petite vignette de ma vie quotidienne qui pourrait vous plaire.

Dmitry Orlov

[Ndlr : Poisson d’avril ou réalité ? Ne pas oublier non plus le rôle actif du pape François dans la promotion et l’achèvement de la construction du Nouvel Ordre Mondial.]




« Qui veut la peau de l’euro ? La Cour de Karlsruhe ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]

Par Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Cette information n’a pas franchement fait les gros titres de la presse nationale ni de nos télés, même Hanouna n’en a pas parlé, c’est dire si c’est une information insignifiante. [Voir cependant https://nouveau-monde.ca/le-plan-de-relance-europeen-suspendu-par-karlsruhe/]

D’ailleurs, l’euro, notre monnaie commune, n’a aucune importance n’est-ce pas.

Et puis les Allemands, comme chacun le sait, sont nos AMIS, car en plus, l’Europe c’est la PAIX.

Répétez après moi :

« L’Europe c’est la PAIX, l’amour entre les peuples et la félicité ».

Donc en fait c’est parce que le narratif Européen est construit sur cette foutaise d’amitié franco-allemande, que l’on vous parle assez peu de tous les coups de nos amis allemands.

Comme disait l’autre, méfiez vous de vos amis, mes ennemis, je m’en occupe !!

Nous sommes à couteaux tirés actuellement avec les Allemands qui sont à la manœuvre pour dissoudre au maximum l’industrie française de l’armement. Une menace à long terme pour la suprématie allemande en Europe. Et oui. Il ne faut pas être naïfs. Il n’y a qu’en France que nous avons abandonné le temps long de la géopolitique. En Chine, aux USA, en Russie, ou aux États-Unis, ils se battent tous bec et ongles pour assurer leur souveraineté et leur indépendance.

En France nous sommes dirigés par des nains politiques qui se pensent « européens »… hahahahahahahahaha ! Résultat ils organisent le pillage de notre nation et la ruine de notre population unie dans sa diversité et dans de plus en plus grande pauvreté !

Bref, c’est dans ce contexte d’amitié franco-allemande et d’amour entre les peuples que…

La Cour constitutionnelle allemande suspend la ratification du plan de relance !

D’après cette dépêche presque confidentielle de l’agence de presse Reuters, 

« la Cour constitutionnelle allemande a bloqué vendredi la ratification du fonds de relance européen, approuvé cette semaine par les deux chambres du Parlement, le temps d’examiner un recours contre ce plan d’investissement financé par la dette.

Les opposants au plan de relance de l’UE, notamment le parti d’extrême droite alternative pour l’Allemagne (AfD), affirment que le plan viole les traités européens en ouvrant la voie à des emprunts communs par les États membres.

La Commission européenne s’est déclarée convaincue que la législation européenne visée par le recours, la « décision sur les ressources propres », serait validée par le tribunal constitutionnel allemand. Cette loi constitue depuis des décennies la base de tous les budgets pluriannuels de l’UE.

La modification qui doit être ratifiée relève de 0,6 point de pourcentage le plafond des contributions nationales au budget de l’UE pour le porter à 2 % du revenu national brut jusqu’en 2058, afin de garantir le remboursement de l’emprunt de recouvrement au cas où les recettes fiscales prévues à cet effet seraient insuffisantes.

« Nous notons que la validité de la décision sur les ressources propres n’a pas été remise en question par la Cour constitutionnelle allemande », a déclaré une porte-parole de la Commission.

Aucun délai n’est prévu pour que la Cour se prononce sur la plainte, mais il pourrait lui falloir jusqu’à trois mois pour rendre une décision.

La ratification allemande pourrait ainsi être retardée jusqu’en juin, ce qui permettrait néanmoins de respecter le calendrier de la Commission européenne, qui prévoit le versement des premières tranches du fonds de relance de 750 milliards d’euros au cours de l’été ».

Donc il est fort probable que nos aimables voisins retardent les versements du plan d’aide européen, au mieux, car au pire, cela pourrait même provoquer son annulation.

Est-il illégal au sens des traités ce plan d’aide ?

Évidemment !!

Cela fait bien longtemps que l’Europe s’est assise sur tous les traités et toutes les règles.

Vous vous souvenez les règles du traité de Maastricht, les fameux « critères » du genre 60 % de dettes et 3 % de déficit — hahahahahaha — ce n’est plus qu’un souvenir, ou encore l’interdiction de monétiser la dette, oubliée également ! De même que la lutte contre l’inflation et tous ces fils à la patte nécessitant une bonne gestion pour assurer une « convergence ». Terminé. Je vous en ai parlé dans cette vidéo.

Pourquoi cela menace-t-il l’euro?

Soyons clairs.

Nous avons tous la même monnaie.

Mais nous n’avons pas tous le même endettement.

Ceux qui sont trop endettés — et la France en fait désormais partie avec plus de 120% de dettes sur PIB — ne pourront jamais s’en sortir avec l’austérité ou la croissance.

Il ne reste que la fuite en avant monétaire. Sous forme de plans d’aides ou de rachats d’actifs c’est-à-dire de dettes par la BCE directement ou hypocritement indirectement et sur le marché secondaire comme c’est le cas aujourd’hui.

Si la Cour Constitutionnelle allemande s’oppose (juridiquement à juste titre) à ces politiques économiques, alors son refus entraînera l’explosion de fait de la zone euro.

Il ne fera alors pas bon détenir des « liquidités ».

Plus nous approcherons de la « sortie » de crise sanitaire et plus les tensions entre les pays bien gérés et les paniers percés seront fortes.

Ce sera un moment de tous les dangers pour l’Europe avec une Allemagne qui gagne du temps pour payer le moins possible depuis maintenant 12 ans et la crise des Subprimes.

L’heure de vérité approche.

L’euro peut exploser, comme l’Europe faire son grand saut fédéral.

Ce ne sera qu’au pied du mur que nous verrons qui l’emportera.

Nul doute que les mamamouchis français sauront vendre notre pays à l’Allemagne pour qu’elle accepte de « payer » un peu pour nous, après avoir dépecé la bête France.

Triste politique.

Tristes résultats, conséquence de pauvres sires à la tête de notre grand pays.

Un peuple de lions menés par des ânes.

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

[Ndlr : l’Union Européenne contribue à détruire les nations. Sa destruction permettrait-elle de reconstruire ces dernières et de leur redonner un minimum de souveraineté ?]



Page 1
Chart
La dette publique dans l’UE
Allemagne
Luxembourg
Slovaquie
Slovénie
Image
Chypre
Malte

Dette publique des Etats membres en pourcentage du PIB, au 3e trimestre 2020
Données : Eurostat
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MAJ 7370 – dette publique (T3 2020)
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L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Mordechai Sones – Le 25 mars 2021

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale.

Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que nous sommes en présence de produits maléfiques (ce n’est pas une décision que j’ai déjà prise en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle « mécanistes », c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ils fonctionnent.

Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas déterminé.

Il ne serait sage à aucun moment de faire ce qu’ils ont déclaré avoir l’intention de réaliser.

Puisque je le sais avec certitude, et que je sais que ceux qui le dirigent le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur motif ?

Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.

Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le sais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du « système de complément » immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait : « À l’avenir, toute nouvelle restriction sur les voyages à destination ou en provenance d’Israël doit, en termes juridiques, reposer sur une base complète, factuelle et fondée sur des données. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et souvenez-vous que le CoV-2 du SRAS est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon :

« Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux cellules T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes : vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui se sentent concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

[AFLDS :] Ma compréhension d’un « vaccin fuyant » est qu’il ne fait qu’atténuer les symptômes chez les vaccinés, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ [Hydroxychloroquine] pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre un super-variant ?

[Yeadon :]

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereux’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d' »échapper à l’immunité ».

Non seulement c’est intrinsèquement improbable — car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant — mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

La bonne nouvelle est qu’il existe de multiples choix possibles : l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques), et bien sûr la vitamine D orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ces traitements réduisent la gravité à tel point que ce virus n’aurait pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

[AFLDS :] Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’autorité de réglementation ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

[Yeadon :]

« Jusqu’à récemment, j’avais une grande estime pour les régulateurs mondiaux des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ? L’agence est financée par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et de la BMGF créent un environnement où dire non n’est pas une option pour l’organisme de réglementation.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité), je ne peux que déduire qu’ils seront utilisés à des fins néfastes.

Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

Je pense qu’il est tout à fait possible que ces systèmes soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle. »

https://www.americasfrontlinedoctors.com/exclusive-former-pfizer-vp-to-aflds-entirely-possible-this-will-be-used-for-massive-scale-depopulation/



Macron, Merkel et Johnson appellent formellement à la dictature sanitaire globale

[Source : Russie politics]

par Karine Bechet-Golovko

La France, La Grande-Bretagne et l’Allemagne sont lancées en première ligne pour tenter de mettre fin à l’organisation mondiale découlant de la Seconde Guerre mondiale, telle que nous la connaissons aujourd’hui. Or, pour détruire un système international, il faut généralement une grande guerre, qui met à plat les sociétés et les économies. Le Covid trouve ici toute son utilité : contre « la tentation du nationalisme », à l’heure d’une dévastation socio-économique et humaine comme l’on en n’a pas connue depuis 1945, il nous est intimé de repenser le système des relations internationales. La Première Guerre globale [Ndlr : des élites mondialistes contre l’Humanité ordinaire] doit permettre l’avènement d’un monde global, basé sur un principe primaire totalisant de « santé ». Toute vie, humaine ou animale, est assimilée et réduite à sa dimension biologique; les États ou les sociétés privées, au même niveau, sont gouvernés par des instances globales. Les États-Unis restent formellement en retrait, la Russie et la Chine n’ont pas signé cet appel, mais soyons certains que le front diplomatique va s’ouvrir. Cet appel « pour une architecture internationale sanitaire plus robuste » explique enfin pourquoi la gestion de cette crise sanitaire du Covid a été aussi désastreuse : elle permet de mettre en scène les conditions nécessaires à la tentative de ce qui ressemble à s’y méprendre à un coup d’État global, avec un changement formel du lieu et du fondement légitime de l’exercice du pouvoir.

La presse britannique diffuse un appel signé par 26 dirigeants de pays dont la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Italie, le Portugal, l’Ukraine, la Thaïlande, l’Albanie, le Costa Rica, le Rwanda, le Kenya, etc. Parmi les États, qui doivent représenter tous les continents, l’on notera l’absence significative, d’une part des États-Unis, qui ne partent pas en première ligne, puisque leurs pays-satellites sont là pour prendre la responsabilité de ces combats. D’autre part, l’absence de la Russie est également notable, elle qui tente de ne pas dissoudre sa souveraineté dans cette vague covidienne globale. En ce sens, en plus des États, cet appel est signé par différents organes de la gouvernance globale, à savoir par le directeur général de l’OMS (organe, qui est devenu le centre de gouvernance, puisque le pouvoir est légitimé par la « santé ») et par le président du Conseil européen, Charles Michel, qui est à la pointe du combat idéologique dans la zone européenne, zone stratégique en raison de la nécessité de faire plier la Russie. 

Cet appel a été diffusé, en ce qui concerne la France, sur le site de Macron, mais étrangement en anglais, de l’Élysée — en anglais et en français, et évidemment par les institutions européennes, qui retrouvent ici un nouveau souffle, dans la destruction de l’ordre international issu de la Seconde Guerre mondiale.

Cet appel s’appuie sur la crise sanitaire pour tenter de reformater les relations entre les pays. Ce qui est posé dès le titre :

« Agir pour une architecture sanitaire internationale plus robuste »

La « crise » étant étiquetée sanitaire, toutes les réformes de l’organisation des relations internationales doivent être a priori justifiées par le facteur sanitaire, sans que cela ne se discute. Pourtant, les différentes pandémies, d’hépatites ou de SIDA par exemple, qui ont fait des millions de morts et qui sont toujours en cours, n’ont jamais nécessité de réformes de l’ordre international. Peu importe, le Covid doit le nécessiter. 

Historiquement, pour schématiser, les changements radicaux des rapports internationaux ont découlé des grands conflits. Nous vivons actuellement dans le système issu de la Seconde Guerre mondiale, qui avait mis fin au système des États nations, remplacé alors par celui des pôles de pouvoir, initialement deux, chacun dominé par un État central. Déjà, par ces mécanismes, les États furent attaqués et fragilisés. Lorsque l’URSS a été détruite comme pays, le bloc qu’elle dirigeait s’est écroulé avec elle, laissant flotter et dériver des pays, dont les structures politiques et étatiques étaient trop faibles pour assumer une véritable souveraineté. Ils furent absorbés sans aucune difficulté dans le bloc atlantiste. Nous sommes alors passés à un système global régionalisé, et l’UE a pris toute son importance pour aboutir le processus visant à évider les États de toute substance souveraine. Le retour de la Russie sur la scène internationale, tout d’abord sur le plan de la communication avec le fameux discours de Poutine à Munich, puis réellement avec la Crimée et la Syrie, a provoqué une rupture dans cette organisation lissée. À la différence de la Chine, la Russie a une dimension civilisationnelle et peut proposer un modèle qui soit acceptable en Occident, comme cela a déjà été le cas, elle présente donc un danger accru pour le monde global, qui ne peut avoir qu’un seul projet.

Or, les conflits militaires qui se développent aujourd’hui sous différentes étiquettes sur la planète, au nom de l’exportation démocratique, s’ils permettent un combat pour les ressources stratégiques, ne sont pas de dimension à justifier un changement des relations internationales, à justifier l’avènement d’une globalisation décomplexée, assumée, revendiquée, contre des États réduits aux slogans d’isolationnisme et de nationalisme.

Le Covid, avec tout le travail en amont de déstructuration des États, de destruction des économies nationales, d’écrasement des hommes et des sociétés, de négations des valeurs humanistes et libérales, a permis de mettre en scène une « Première Guerre globale », menée… contre nous, sous l’égide de structures globales (OMS, UE, ONU), faisant des dégâts socio-économiques comparables à ceux d’un conflit armé de grande ampleur, et, grâce à une statistique plus qu’inclusive venant en aide à une gestion manifestement volontairement catastrophique, des dégâts humains également significatifs.

Le moment est donc venu de cet appel pour un monde global sanitaire, ou plutôt pour une dictatude sanitaire globale :

La pandémie de Covid-19 représente le plus grand défi auquel la communauté mondiale est confrontée depuis les années 1940. À cette époque, les dirigeants politiques ont pris la mesure des ravages provoqués par les deux guerres mondiales et se sont retrouvés pour former le système multilatéral. Leurs objectifs étaient clairs : rassembler les pays, éloigner les tentations de l’isolationnisme et du nationalisme, et faire face aux enjeux pour lesquels une solution commune n’était possible que dans un esprit de solidarité et de coopération, à savoir la paix, la prospérité, la santé et la sécurité.

Il est donc demandé de revenir sur l’organisation des relations entre les pays, et ce de manière pérenne, puisque le risque sanitaire existera toujours – il y a toujours eu et il y aura toujours des virus :

Alors que nous luttons ensemble pour venir à bout de la pandémie de Covid-19, notre espoir est aujourd’hui le même de mettre en place une structure plus solide pour le secteur de la santé internationale afin de protéger les prochaines générations.

Il y aura d’autres pandémies et d’autres situations d’urgence sanitaire de grande ampleur. Aucun gouvernement ni aucun organisme multilatéral ne peut, seul, faire face à cette menace. La question n’est pas de savoir si cela aura lieu, mais quand.

L’avenir de la santé de l’humanité ne passe plus par les soins, mais par la vaccination, et sur cette base un nouvel accord global doit être conclu :

Dans cette optique, nous croyons que les pays devraient œuvrer ensemble à l’élaboration d’un nouveau traité international sur la préparation et la riposte aux pandémies.

Un tel engagement collectif renouvelé serait une étape importante pour consolider la préparation aux pandémies au plus haut niveau politique. La Constitution de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) lui servirait d’ancrage et il serait soutenu par d’autres organisations sans lesquelles cette entreprise — qui s’appuie sur le principe de santé pour tous — ne pourrait aboutir.

Et le système mis en place par le Règlement sanitaire international (voir notre texte ici) et qui met en place une architecture de soumission et de contrôle des États doit alors être renforcé et servir de base. Le nouveau principe de base de l’organisation des relations internationales, devenu en même temps principe de légitimation du pouvoir, est la « santé ». L’homme, dans ce nouveau monde, n’est plus appréhendé dans sa dimension humaine, spécifique, qui va bien au-delà de la vie biologique. Bien au contraire, il est réduit, à n’importe quelle forme de vie :

Ce traité ferait sien également le principe « une seule santé », qui relie la santé des humains, des animaux et de notre planète. 

Et la concentration du pouvoir, sous l’égide de l’OMS et de ses structures, qui gouvernent les autres « acteurs », mais de second rang. Ainsi, les États et les institutions publiques sont mis au même niveau que les ONG ou les entreprises.

Pour ce faire, nous travaillerons avec les chefs d’État et de gouvernement du monde entier et avec toutes les parties prenantes concernées, dont la société civile et le secteur privé

C’est la fin officielle de la souveraineté des États, qui ne sont que des structures vides d’exécution, au nom d’une conception totalitaire et primaire de la « santé » et de la « vie », réduite à sa plus petite dimension. Le moment est donc venu pour utiliser le Covid, afin de transformer en profondeur le système international :

Au moment où le Covid-19 tire parti de nos faiblesses et de nos divisions, nous devons saisir cette occasion pour nous rassembler en tant que communauté mondiale en faveur d’une coopération pacifique qui aille au-delà de cette crise. Le renforcement de nos capacités et de nos systèmes pour y parvenir prendra du temps et exigera un engagement soutenu pendant de nombreuses années d’un point de vue politique, financier et de la société en général. (…) La préparation aux pandémies a besoin d’un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire.

Ce système de pouvoir global, basé sur le culte de la santé, s’accompagne d’une transformation puissante des économies, avec la montée en puissance, comme nous le voyons déjà, de certains secteurs liés à la santé et au numérique, au détriment de beaucoup d’autres. C’est aussi un enjeu de pouvoir. Le grand absent de ce nouvel ordre global, c’est l’homme. L’homme dans sa richesse, sa diversité, sa complexité. L’homme, son âme, son esprit. Sa culture, sa civilisation.




L’État belge condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

[Source : Le Soir]

Par Laurence Wauters

Info «Le Soir» – L’État condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

Le tribunal de première instance de Bruxelles a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours. Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision.

[NDLR Dans l’hypothèse où cette décision judiciaire serait effectivement suivie d’effets, elle n’est malheureusement pas obtenue par le biais des preuves existantes en matière médicale, mais pour des raisons procédurales et, de plus, l’État belge fera probablement appel.]

La Ligue des droits humains avait introduit, il y a trois semaines au nom de tous les Belges, une action en référé devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Celui-ci a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours, a appris « Le Soir ». Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision. Le tribunal des référés a estimé que l’urgence invoquée par les demandeurs était établie par le fait de la prolongation jusqu’au 1er avril, par arrêté ministériel du 6 février dernier, des mesures querellées, et ce « sans qu’une réelle communication ait été faite sur le sujet ».

Les demandeurs mettaient en cause la responsabilité de l’État belge en ce qu’il aurait commis une faute en adoptant des mesures, par voie réglementaire, attentatoires aux libertés fondamentales « en méconnaissance des règles constitutionnelles et/ou légales qui lui imposent de s’abstenir ou d’agir dans un sens déterminé ». Aucune des trois lois invoquées par l’État belge pour restreindre les libertés des Belges, estimaient Me Despontin et Me Lackner pour la LDH, ne pouvaient servir de base sous-jacente à l’arrêté ministériel litigieux. L’arrêté ministériel, soulignaient les deux avocates, « viole le principe de subsidiarité du droit pénal, l’obligation de consultation du Conseil d’État et le principe de la sécurité juridique ».

https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01613302/zone/34/showtitle/1/src/q00kxur/?tagparamdecoded=News

Comme d’autres l’avaient fait avant, sans jusqu’ici obtenir gain de cause, la LDH soulignait que le défendeur, en l’occurrence l’État, « s’était abstenu de légiférer alors qu’il savait que l’arrêté ministériel était illégal » et que d’autre part, il a cautionné les poursuites et les sanctions pénales « illégales » liées à l’application de cet arrêté.

La principale loi sur laquelle se basait la ministre de l’Intérieur pour adopter les mesures « corona » est celle du 15 mai 2007 sur la société civile, qui concerne des mesures d’évacuation et qui a été adoptée suite à la catastrophe de Ghislenghien. Le tribunal de première instance constate, dans l’ordonnance rendue ce matin, que cette loi définit « de manière restrictive et prévisible les pouvoirs ainsi conférés à l’exécutif », et que la situation liée au covid-19 n’est pas visée par cette loi. « La fermeture des divers établissements (culturels, festifs, sportifs, récréatifs, événementiels, horeca, des professions de contacts), la suspension de l’obligation scolaire, la limitation des rassemblements publics ou privés, la limitation de circuler depuis et vers la Belgique échappent aux notions que le langage courant nous impose des termes « réquisition et évacuation », conclut l’ordonnance.

Il apparaît, dit le tribunal de première instance, que les mesures restrictives des libertés constitutionnelles et des droits de l’homme, édictées par l’arrêté ministériel du 28 octobre 2020 et ses arrêtés subséquents « ne reposent, en apparence, pas sur une base légale suffisante. »

Le montant d’astreinte fixé à 5.000 euros/jour ne pourra excéder un total de 200.000 euros. « Au regard des circonstances complexes liées à la crise sanitaire et sans les remettre en cause », le tribunal a accordé un délai de 30 jours calendrier à l’État pour se conformer à la décision. Il serait étonnant que l’État n’interjette pas appel de cette décision.

Notons que la loi « pandémie », destinée à mettre fin à ces problématiques, sera débattue ce mercredi après-midi en commission à la Chambre.

Au cabinet du Premier ministre, on ne réagit pas pour l’instant. On attend d’étudier le jugement du tribunal de première instance de Bruxelles.




Canada : Une famille enfermée et condamnée à une amende de 18 000 dollars pour avoir fourni des résultats de tests Covid « périmés » de 2 heures

[Source : Aube Digitale]

Le nombre d’histoires de folles dignes d’États policiers est trop élevé pour être compté. Il suffit d’en choisir quelques-unes pour se rendre compte qu’elles sont représentatives de ce qui se passe dans l’ensemble du monde occidental.

Via Life Site News :

Une mère canadienne, qui, avec ses quatre enfants et la grand-mère des enfants, a été condamnée à une amende de 3 000 dollars après que des agents frontaliers canadiens ont refusé d’accepter les résultats de leurs tests COVID – parce que les résultats étaient périmés depuis deux heures – va contester les accusations devant les tribunaux si elles ne sont pas abandonnées par la Couronne.

“Nous avons des droits en tant que Canadiens et ces droits sont violés. Je suis prête à mener le bon combat”, a déclaré à LifeSiteNews la mère, une infirmière autorisée (RNBN) qui travaille dans le domaine des soins chroniques, à condition que son nom ne soit pas publié par crainte de représailles.

“Si les accusations ne sont pas abandonnées par la Couronne, la prochaine étape consiste à fixer une date de procès. Notre date limite est le 2 avril 2021.”

LifeSiteNews a créé une page LifeFunder pour la famille afin de l’aider à couvrir les frais.

LifeSiteNews a rapporté le mois dernier comment la mère et sa famille revenaient des États-Unis au Manitoba après avoir assisté au rendez-vous médical de la grand-mère de 79 ans et rendu visite à sa famille.

Elles ont toutes reçu des tests négatifs du Covid avant de traverser la frontière en voiture pour rentrer chez elles. En raison d’un problème de voiture, lorsqu’ils ont atteint la frontière, les tests, qui ont une fenêtre de validité de 72 heures, étaient expirés depuis deux heures. Les agents frontaliers ont non seulement rejeté les tests, mais ont également infligé à la famille l’amende maximale pour ne pas avoir “respecté un ordre concernant [sic] une mesure de traitement visant à prévenir l’introduction et la propagation d’une maladie transmissible”.

La famille a ensuite été emmenée dans une installation de quarantaine COVID gérée par le gouvernement, où elle a été contrainte de rester jusqu’à ce qu’elle puisse subir d’autres tests COVID.

La mère a raconté à LifeSiteNews cette semaine les détails de leur séjour dans l’installation de mise en quarantaine.

“Nous sommes restées à l’hôtel, 3 jours et 2 nuits. Nous avons fait nos devoirs, prié, pris des leçons de danse via Zoom, et mangé nos repas”, a-t-elle déclaré.

“Nous étions escortées à l’extérieur une fois par jour pour une promenade autour de la propriété. Une infirmière est venue dans la chambre pour un contrôle de bien-être/symptômes tous les matins. Finalement, nous avons tous reçu nos résultats négatifs à 20 heures le mercredi 17 février. Nous devions attendre que l’agent de quarantaine envoie par courriel une note de sortie pour chacun d’entre nous, ce qui s’est fait rapidement.”

“Nous étions si heureuses de pouvoir rentrer à la maison. Nous étions tellement contentes de pouvoir rentrer chez nous, mais nous nous demandions encore pourquoi nous devions aller à l’hôtel en premier lieu”, a-t-elle ajouté.

Au cours des jours suivants, des agents du gouvernement, habilités par la loi sur la quarantaine, ont appelé la famille pour s’assurer qu’elle respectait les règles relatives à la mise en quarantaine à domicile.

“Ils appelaient 6 fois par jour”, a raconté la mère, “un appel pour chaque personne”.

“Ils étaient très préoccupés par l’endroit où le non-voyageur, mon mari, vivait dans la maison. Ils n’arrêtaient pas de demander comment nous faisions pour rester séparés, même si nous avions tous deux des tests négatifs. Ils ont aussi fait une visite à domicile où nous avons dû montrer une pièce d’identité et répondre à un tas de questions à nouveau.”

La mère n’est pas restée inactive à la maison. Elle a raconté comment elle a appelé les agents frontaliers à de nombreuses reprises, demandant pourquoi ses enfants avaient reçu une amende et comment ils étaient censés la payer.

“J’ai expliqué la situation, en insistant sur le fait que je ne comprenais pas comment mon enfant de 9 ans, ou de 12 ans, etc. devait payer cette amende. Dans la semaine qui a suivi, j’ai reçu une lettre envoyée par courrier recommandé par le Service des poursuites pénales du Canada, indiquant que “la Couronne ne poursuivra pas vos enfants”.

La mère a déclaré qu’elle aurait souhaité, au moment du passage de la frontière, en savoir plus sur ses droits en tant que citoyenne canadienne. Elle aurait insisté pour que les agents respectent ses droits.

Plus personne n’a de droits.




Maître Carlo Brusa dévoile toute la SUPERCHERIE du COVID !

[Source : Quartier Libre TV]






Le «vaccin» d’AstraZeneca change-t-il de nom pour continuer en douce ?

[Source : European Medicines Agency (Agence européenne des médicaments)]

Vaxxevria (anciennement Vaccin Covid-19 AstraZeneca)
[Dans le rectangle sur fond vert :]
AUTORISÉ
Ce médicament est autorisé pour utilisation dans l’Union Européenne

Formes autorisées

(Document COVID-19 Vaccine AstraZeneca, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

Numéro AMM UE Nom (de fantaisie) Dosage Forme Voie pharmaceutique d’administration primaire Conditionnement Contenu
(Concentration)
Présentation
EU/1/21/1529/001 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 4 ml (8 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (80 doses)
EU/1/21/1529/002 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 5 ml (10 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (100 doses)

Extraits du document « Annexe I »

(Document Vaxzevria, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

[Les effets secondaires reconnus par le fabricant :]

Effets indésirables du médicament SOC MedDRA Fréquence Effets indésirables
Affections hématologiques et du système lymphatique Peu fréquent Lymphadénopathie
Troubles du métabolisme et de la nutrition Peu fréquent Diminution de l’appétit
Affections du système nerveux Très fréquent Céphalées
Peu fréquent Étourdissements
Somnolence
Affections gastro-intestinales Très fréquent Nausées
Fréquent Vomissements
Diarrhées
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Hyperhidrose
Prurit
Éruption cutanée
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquent Myalgies
Arthralgies
Troubles généraux et anomalies au site d’administration Très fréquent Sensibilité au site d’injection
Douleur au site d’injection
Chaleur au site d’injection
Prurit au site d’injection
Ecchymoses au site d’injection (a)
Fatigue
Malaise
État fébrile
Frissons
Fréquent Gonflement au site d’injection
Érythème au site d’injection
Fièvre (b)
(a) : Les ecchymoses au site d’injection incluent un hématome au site d’injection (peu fréquent)
(b) : Fièvre mesurée ≥ 38°C



Même le Pr Delfraissy déconseille confinement et politique de la peur

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Mais pourquoi le président Emmanuel Macron n’écoute-t-il plus le président du Comité scientifique ?  Et pourquoi certains réclament-ils un nouveau confinement ?

Il y a un an, on ne connaissait pas bien le Covid-19 et le Président a eu peur.

La peur, créée par la prophétie apocalyptique de Ferguson (500 000 morts en France) et amplifiée par la propagande terrorisante du gouvernement et des médias, lui a fait accepter un confinement aveugle [1] qui ne reposait sur aucun argument scientifique du monde réel, mais seulement sur un modèle mathématique imparfait, reposant sur des hypothèses fausses.

Le Président vraisemblablement subjugué par les modélisateurs du Comité scientifique et l’utilisation de modèle informatique, a préféré croire les prédictions d’un mathématicien au lieu de suivre la sagesse médicale traditionnelle, qui venait pourtant de faire ses preuves en Corée du Sud, Taïwan et au Japon.

Car comme le précise J.-P. Delfraissy, dans son article récent, [2] le confinement « est une mesure attirante pour les dirigeants politiques craignant une responsabilité juridique pour des réponses nationales lentes ou indécises ».

Espérant que le confinement masquerait l’état pitoyable de nos hôpitaux [3] affaiblis par 20 ans de gestion bureaucratique, nos gouvernants ont créé la pire crise sanitaire depuis plus d’un siècle et la pire crise économique depuis la dernière guerre. Macron a déclaré la guerre, mais sa stratégie du confinement aveugle (doublé d’une interdiction des traitements précoces sous l’influence des lobbies et de son gouvernement) nous a conduit à une cuisante défaite contre la maladie, tout en massacrant les forces vives de la nation.

Car la crise dramatique que nous subissons actuellement n’est pas due au Covid-19, mais aux mesures totalitaires scientifiquement infondées, disproportionnées et souvent stupides qu’ils nous ont imposées.

Bilan d’un an de confinement et de mesures prétendument sanitaires 

Sur le front du Covid-19, les résultats des confinements sont catastrophiques. Les confinements aveugles, expériences sociales inédites jusqu’ici, n’ont pas atteint leur objectif de diminuer le nombre des contaminations ou de ralentir leur rythme [4] [5] [6].

L’analyse des trajectoires des épidémies avant et après le verrouillage, par la recherche des points de rupture (break point analysis), ne montre aucun signe de discontinuité dans les tendances du taux de croissance, du temps de doublement et du nombre de reproduction.

En extrapolant les tendances des taux de croissance avant le verrouillage, il n’existe aucun élément de preuve que les confinements aveugles auraient sauvé des vies dans le monde réel, contrairement à ce que prétendent les études basées sur les modèles mathématiques des proches de Ferguson qui comparent des morts virtuelles attendues (estimations grossies de 1000 %) au nombre réellement observé [7].

Les rares succès apparents sont en fait liés aux reculs naturels de l’épidémie qui ont précédé le confinement comme en Grande-Bretagne, en Italie (ainsi que le montre la figure suivante) [8] ou en Norvège ainsi que l’a courageusement reconnu le Premier ministre norvégien Erna Solberg, lors d’un discours à la télévision nationale le 27 mai 2020 : « était-il nécessaire de fermer les écoles ? “Peut-être pasJ’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur ».

La comparaison du début des épidémies dans les différents pays montre même que le confinement aveugle enfermant ensemble malades et bien-portants augmente parfois la vitesse de propagation de l’épidémie, comme le prouve la comparaison de deux pays voisins (Belgique et Pays-Bas) aux populations très proches par leur âge, leur mode de vie et l’état de leurs hôpitaux.

Après un an d’épidémie et de mesures sanitaires sévères, au 26 mars 2021, la France avec 1 422 morts/million d’habitants trône sur le podium des 5 plus fortes mortalités européennes attribuées au Covid-19 avec les autres grands pays européens champions du confinement aveugle : la Belgique (1969/M), la Grande-Bretagne (1863/M), l’Italie (1766/M), l’Espagne (1592/M).

alors que ceux qui n’ont pas confiné à l’aveugle souffrent d’une mortalité Covid-19 plus faible, qu’il s’agisse des Pays-Bas (957/M), de la Finlande(148/M), de la Suède (1324/M) ou de la Biélorussie (231/M).

Comme le reconnaissent (enfin) J.-P. Delfraissy et ses coauteurs du Comité scientifique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais le désastre sanitaire du confinement ne se limite pas au Covid-19

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Le confinement et le plan blanc ont entraîné des arrêts et/ou des retards de traitement de toutes les pathologies non Covid. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont eu des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générant des pathologies psychiatriques.

En France, on peut estimer qu’au moins 60 000 morts supplémentaires actuelles et/ou futures sont des victimes des retards et/ou défauts de soins et on ne peut que regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes collatérales. Qu’il s’agisse de maladies aiguës (crises cardiaques, embolies, accidents vasculaires cérébraux) ou de malades chroniques abandonnées à cause du Plan blanc [9] ou des cancers non diagnostiqués.

Les jeunes qui ne craignent presque rien du Covid-19 ont vu leurs études massacrées et leurs relations sociales gravement perturbées à une période où elles sont essentielles à leur épanouissement personnel et social futur. La véritable menace sanitaire actuelle est celle des problèmes psychiatriques amplifiés ou créés par le confinement et qui se traduit dans la hausse des consultations psychiatriques, l’augmentation forte de la consommation des antidépresseurs et de la fréquence des suicides qui menacent maintenant même les enfants.

La précarité et les troubles psychiques chez les étudiants, secondaires à l’arrêt des cours “en présentiel”, ne pourront être qu’aggravés par un nouveau confinement.

Ainsi que le reconnaît Delfraissy :

« les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

La courageuse prise de position du professeur Delfraissy et des autres membres du Conseil scientifique prouvent qu’ils ont conservé leur esprit scientifique et qu’ils ont capables d’analyser les faits, contrairement aux dirigeants politiques et aux représentants de commerce des firmes qui veulent nous maintenir en esclavage jusque nous acceptions de nous faire traiter ou vacciner avec des produits expérimentaux.

Inefficace ou délétère sur le Covid-19, catastrophique pour les autres pathologies, dramatiques pour les jeunes, responsable d’une crise économique [10] , d’un chômage record, le confinement est inefficace et totalement nuisible.

Et l’argument, on « ne peut rien faire d’autre car nos hôpitaux ne sont pas prêts » qui pouvait se discuter il y a un an, est aujourd’hui devenu scandaleux. En un an on a dépensé 120 milliards d’euros pour la crise, on pouvait largement augmenter les lits de réanimation en rouvrant les hôpitaux récemment fermés (à Paris comme l’Hôtel-Dieu ou le Val-de-Grâce que des gestionnaires envisagent de transformer en centres commerciaux ou hôtel de luxe. Et soulignons une nouvelle fois le traitement précoce qui diminue drastiquement le besoin de lits de réanimation.

L’expérience acquise depuis 1 an prouve sans équivoque que le confinement aveugle est sanitairement délétère, catastrophique pour les jeunes, l’éducation, les violences familiales, l’économie, la démocratie, la vie sociale, en un mot pour tout ce qui nous rend humain.

Même le professeur Delfraissy le reconnaît publiquement avec 4 autres membres du Comité scientifique. Comment certains ministres peuvent-ils encore oser en menacer le pays ? Comment peuvent-ils encore interdire aux médecins de traiter leurs malades en leur âme et conscience ? Et comment les journalistes peuvent-ils prétendre que ce confinement serait voulu par le Conseil scientifique ? en tous cas pas par tous ses membres. On choisit celui qui nous arrange !

Au classement mondial du bonheur 2020 [11], les pays européens qui n’ont pas confiné occupent 4 des 6 premières places : Finlande et Islande étant les champions suivis par les Pays-Bas (5e) et la Suède tandis que la Grande-Bretagne passe de la 13e à la 18e place et la France recule d’un rang (21e).

Le confinement, sanitairement désastreux ne fait pas le bonheur !  Stop confinement !

Dr Gérard Delépine


[1] ne séparant pas les malades des bien-portants. Voir Autopsie d’un confinement aveugle par N. et G. Delépine éditions Fauves septembre 2020

[2] JF Delfraissy and al  Lancet Public health, avril 21, 6,4

[3] Pourtant clamée haut et fort par les soignants lors des grèves et des manifestations durement réprimées

[4] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic. https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717

[5] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest   2021 Jan 5 ; e13484. doi :10.1111/eci.13484.

[6] Wieland, T. Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au Covid-19 en Allemagne. Saf. Sci. 131, 104924 (2020).

[7] l’article de Flexman prétend que le confinement aurait sauvé plus de 3 millions d’Européens ; il cite la Suède où le confinement a sauvé 26 OOO Suédois alors que la Suède n’a jamais confiné. Il affirme aussi que le confinement a sauvé 450 000 Allemands alors sur une période où l’Allemagne n’a pas confiné ! !

[8] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 https://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[9] L’Académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines

[10] Déjà 120 milliards d’euros envolés

[11] world happiness report 2020 WHR+21.pd




Le plan de relance européen suspendu par Karlsruhe !

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par Jean Goychman

La Cour constitutionnelle allemande a décidé de suspendre la ratification du plan de relance européen qui devait sceller la solidarité retrouvée des États-membres de la zone euro. Il était, du reste, assez étonnant qu’après avoir plusieurs fois alerté les instances européennes sur la non-conformité des actions entreprises par la BCE en regard des modalités définies dans les différents traités européens, la Cour de Karlsruhe ne se soit pas manifestée plus tôt.

UN PLAN DE RELANCE DE 750 MDS €

Ce programme de relance, porté par la BCE à hauteur de 750 milliards d’euros, est destiné à aider les pays qui ont vu leur situation financière dégradée par la crise du COVID.
Comme la BCE ne peut créer de la monnaie que sur des dettes, il faut donc que ce soit les Etats-membres qui empruntent de l’argent auprès des marchés financiers privés. Jusqu’à présent, un certain nombre de pays, dont l’Allemagne, avaient constamment refusé l’idée de la mise en commun des dettes publiques. Ils passaient pour des « radins » alors qu’ils voulaient simplement ne pas payer pour les autres, jugés trop « dispendieux ».

Compte-tenu de l’ampleur de la crise, Emmanuel Macron, avant tout partisan de la création d’une Europe fédérale, crut qu’il avait une opportunité de pousser ses idées. La rapide et énorme augmentation de la dette française, due au confinement généralisé sur le territoire, pouvant fragiliser la France et peut-être même la zone euro, ne pouvait laisser insensible la Chancelière allemande.

Celle-ci accepta sans entrain excessif le plan de la BCE poussé par Emmanuel Macron. Mais le plus dur restait à faire : convaincre les autres pays « dissidents » du bien-fondé de ce plan de relance qui passait par la mutualisation des dettes des États.

Les négociations s’engagèrent au sein du Conseil de l’Europe et furent longues et difficiles. Toutefois, un accord arriva le 20 juillet 2020 et, pour la 1ère fois, les États acceptèrent d’emprunter collectivement en déléguant les modalités à la Commission Européenne.

Pour entrer en vigueur, ce plan de relance doit toutefois être ratifié par chacun des Etats-membres.

COUP DE TONNERRE À BRUXELLES !

Le texte ayant été approuvé par les parlementaires européens le 12 février 2021, il convient maintenant le faire ratifier par les chefs d’État.

Et c’est là où la Cour Constitutionnelle allemande intervient en suspendant le processus en raison

« d’un recours contre ce mécanisme basé sur une dette commune.
L’instance suprême « a décidé que le texte de loi » sur ce plan, qui venait d’être approuvé par les parlementaires, « ne devait pas être paraphé par le chef de l’Etat » dans l’attente d’une décision sur ce recours en référé, selon un communiqué de la Cour 
».

Véritable « coup de tonnerre » dans le Landerneau bruxellois, cette demande en référé porte justement sur l’inconstitutionnalité de la mise en commun des dettes publiques. Les demandeurs estiment que la Constitution allemande ne permet pas à l’Allemagne de partager sa dette avec d’autres États, invoquant une sorte de transfert financier des pays « vertueux » vers ceux considérés comme « dépensiers »

De plus, se pose à nouveau le problème des financements des déficits publics par la BCE, ce qui lui est interdit par l’article 123 du traité de Lisbonne :

« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite ».

EST-CE UN MOMENT CRUCIAL POUR L’UNION EUROPÉENNE ?

C’est plus que probable, car la crise du COVID a agi comme un véritable révélateur de ce qu’était la réalité de l’Union Européenne. La concurrence entre les États et la défiance des uns envers les autres a pris des proportions alarmantes. De plus, les disparités économiques, déjà considérables, ont été amplifiées par la crise sanitaire qui risque de se prolonger par une crise sociale sans précédent.

Le jeu d’Emmanuel Macron, qui se voulait le champion de l’intégration européenne peut se retourner contre lui et contre Angela Merkel. La différence entre les deux est que Mme Merkel a prévu de quitter bientôt la scène politique, et que M Macron ne partage pas nécessairement ce dessein…

Jean Goychman




Révélations de l’économiste Gaël Giraud sur le système bancaire, le blanchiment d’argent, le chaos économique…

[Sources : Thinkerview et My Cost Killer]

Version complète :

Extrait sur le fonctionnement des banques :




La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




Pourquoi les « scientifiques » ne font pas de science ? Pourquoi l’obscurantisme est-il la règle ?

Par Alain Tortosa

Ce texte vient compléter celui que j’ai écrit sur l’incapacité de l’être humain d’exister dans une vérité anxiogène et ainsi son besoin de la fuir. (Pourquoi la condition humaine est-elle conditionnée par la peur et le refus de la vérité ? « Par pitié, mentez-moi ! »)

La corruption ne suffit pas à elle seule à expliquer le délabrement actuel de la science.

Traitements contre le Covid et corruption

En fait, je m’apprêtais à écrire un long dossier sur l’Ivermectine et les anticorps monoclonaux. D’un côté, une molécule quasi gratuite qui date de plus de quarante ans et dont la toxicité semble marginale. De l’autre côté, les anticorps monoclonaux dont le coût d’un traitement est de plusieurs milliers d’euros et dont la toxicité est avérée.
Nous revivons exactement l’épisode de l’hydroxychloroquine et du Remdesivir.
Tandis que tout est fait pour saborder le premier, le 2e est adoubé par l’agence européenne du médicament !

Une revue « Global trends in clinical studies of ivermectin in COVID-19 » après analyse de 42 études arrive à la conclusion que l’Ivermectine est efficace. Cette revue a été publiée dans un journal scientifique japonais de renom et cosignée par Satoshi Ōmura, prix Nobel de médecine en 2015.
Et le 22 mars l’Agence Européenne du Médicament met en garde contre l’utilisation de l’Ivermectine tandis que quelques jours auparavant, elle autorise les anticorps monoclonaux.
Dormez tranquille, c’est cette même agence européenne qui a validé les vaccigénies et les vaccins expérimentaux en ayant fait sauter bon nombre de sécurités pour leur commercialisation.

L’industrie pharmaceutique est une industrie

  • Il est un fait que l’industrie pharmaceutique est une industrie dont les profits dépassent ceux de l’industrie pétrolière.
  • Il est un fait qu’elle n’hésite pas à mentir, corrompre médecins, politiques, journalistes…
  • Selon l’ONG Transparency International, 30 % des membres du Parlement européen et 50 % des Commissaires européens qui ont quitté leur poste travaillent pour des lobbies ! (cf « 7milliards d’esclaves et demain ? »).
  • L’association Corporate European Observatory, qui lutte contre le lobbying indique dans sa publication « Petit guide de la lobbycratie à Bruxelles » :

«On estime à plus de 25 000 le nombre de lobbyistes travaillant dans cette capitale européenne. (,,,) 1,5 milliard d’euros sont dépensés chaque année pour faire pression sur la Commission européenne, le Parlement européen… »

Donc rien de nouveau sous le soleil. L’ultra-capitalisme est là pour faire du profit et n’en a que faire de l’humain… mais là n’est pas l’objet de mon texte…

Où sont passés les médecins et les scientifiques ?

Je ne parlerai pas ici de celles et ceux qui n’ont plus droit à la parole et qui sont même poursuivis par leur conseil de l’ordre parce qu’ils osent réfléchir ou soigner leurs patients !
Je vais m’intéresser à la masse de celles et ceux qui nous ont conduits dans la situation dramatique dans laquelle nous nous trouvons.

1) Le manque de formation. Une fabrique de petits soldats

Je crains que ce ne soit le nerf de la guerre.
Il me semble évident que la démarche scientifique n’est pas apprise dans nos universités sinon nous n’en serions pas là.
L’enseignement français ressemble à un gavage et un formatage des esprits.
Cette « vérité » se transmet de génération en génération. L’étudiant qui a appris d’un maître enseignera aux générations suivantes la même histoire une fois devenu professeur. Ce type d’enseignant devenu inutile pourra être remplacé prochainement par des ordinateurs.

2) La vérité est « pyramidale » et elle naît de la plus forte autorité

Le plus compétent est celui qui est le plus diplômé et le plus élevé dans la hiérarchie. Ni plus ni moins !
Il est de bon ton de se moquer du « complotiste » qui n’a de fait aucune « légitimité », car son curriculum vitae ne l’autorise pas à réfléchir.
Le jeune chercheur ou médecin sera à minima découragé dans ses tentatives de questionnement ou de remise en cause d’une « vérité ».
En revanche le professeur de médecine qui, toute sa vie, n’aura fait que répéter son formatage, sera quant à lui le « grand prêtre détenteur et défenseur de la foi et de la vérité ». Critiquer ses « vérités » est de l’ordre du blasphème et certains n’hésitent pas à qualifier l’entreprise de « criminelle ».
Toutes les personnes d’un rang inférieur approuveront naturellement ce « puits de science » sans jamais le remettre en question.

3) La vérité scientifique est statistique

Elle sera d’autant plus « vraie » qu’elle sera publiée, citée, dupliquée à l’infini pour en devenir une vérité non pas scientifique, mais statistique.
Plus une information est répétée et plus elle est vraie.
C’est ainsi que l’industrie du sucre, pour détourner l’attention, a mis en place une campagne afin de rendre la graisse responsable des maladies cardiaques. Des médecins et des scientifiques ont été achetés, des centaines et des milliers de publications ont eu lieu et ainsi le gras est devenu l’ennemi. Qui pense aujourd’hui que le mauvais cholestérol est un mythe ? Dans le cadre du Covid, les contre-vérités scientifiques se succèdent et sont répétées à l’infini… et elles deviennent de fait « La Vérité ».
Une autre illustration est la méta-étude ou méta-analyse. On analyse la littérature sur un sujet et si 82 % des études publiées affirment qu’une molécule est inefficace alors nous avons la « preuve » de son inefficacité !
Mais 82 % des études sont-elles bien menées, honnêtes, dénuées de conflits d’intérêts, dénuées de biais et financées par qui ?

4) Le biais inconscient

Inutile d’être corrompu pour faire de la fausse science. C’est la conséquence directe de la vérité statistique.
Il est très difficile de reprogrammer ses croyances et d’assumer ses erreurs…

  • Dès lors que la vérité officielle est qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid.
  • Que la vérité officielle est que l’unique solution est le vaccin.

Si vous étudiez une molécule, vous allez inconsciemment orienter vos résultats afin de ne pas risquer de mettre à mal vos croyances.
Et si par malheur une autorité a déjà émis une simple critique sur ladite molécule, alors votre recherche ne visera plus à déterminer si cette molécule fonctionne ou pas, mais à écarter toutes les données qui pourraient aller dans le sens de son efficacité.
Ce problème se produit dès lors que nos certitudes sont basées non pas sur des données scientifiques, mais sur des croyances.

5) La bêtise et la fainéantise

Le plus grand mal est sans doute la bêtise humaine. 90 % des médecins médiatiques ne sont que des porte-parole, mais ils l’ignorent.
Bien entendu, ils se croient supérieurement intelligents comme de très nombreux médecins. Ils n’ont pas lu la moindre étude sur le Covid, au mieux un petit résumé.
Ils n’ont jamais cherché à se faire leur propre opinion, mais se contentent de répéter. Ils n’ont jamais eu le moindre sens critique, le moindre questionnement.
Si demain on leur explique que le blocage du virus passe par une plume dans le cul (cf. mon texte), alors ils adhéreront comme ils ont adhéré à toutes les débilités précédentes.
Ils sont simplement complètement idiots, mais médiatisés, diplômés et donc « crédibles ».

6) La peur, les sanctions et les menaces

Si vous voulez faire carrière et grimper dans la hiérarchie, la voie royale est la prostitution. Nous avons vu ici comment des Peronne, Raoult et autres Toubiana ont été traînés dans la boue, menacés ou virés…
Dès lors que la vérité scientifique relève de la foi et que les tables de la loi sont écrites par l’industrie pharmaceutique, il devient important d’envoyer un signal fort à tout scientifique qui se permettrait de réfléchir, poser des questions ou de douter.
Combien de médecins ou de chercheurs vivent aujourd’hui dans la peur ? Le conseil de l’ordre des médecins n’est qu’une milice aux ordres de Vichy.
Alors « si vous voulez survivre, devenez une pute, asseyez-vous sur vos valeurs et priez pour que la science et la démocratie reviennent un jour ».
Et puis « masquez et vaccinez vos enfants » !
Ou « empochez 1500 euros le samedi pour leur injecter des potions expérimentales »

Nous voyons ici à quel point il est quasi impossible de disposer d’une information scientifique rigoureuse sur le Sars-Cov2. Tout est fait pour fabriquer des moutons et des crétins dès le plus jeune âge.
L’enseignement ne vise en rien l’épanouissement, la curiosité, l’apprentissage de la critique, le questionnement, mais uniquement à formater et (remplir) vider des cerveaux.
Et si le port du masque entraîne des retards d’apprentissage chez de jeunes enfants, cela ne pourra qu’être bénéfique dans une société qui vise à fabriquer des moutons dociles et terrorisés.
Nous avons la science, les médecins, les journalistes, les politiques, etc. que nous méritons.

Et j’en reviens toujours au même point.

Une autorité le dimanche nous disait que le masque était inutile et dangereux (ce qui est vrai).
Le lundi, cette même autorité nous a dit qu’ils étaient vitaux, inoffensifs et le monde « scientifique » a suivi dans un bellement à l’unisson.
Pour faire taire ceux qui auraient eu quelques doutes, on a fait croire que c’était une stratégie, car on manquait de masques…
De fait tout ce monde qui a perdu la capacité de réfléchir enlèvera son masque le jour où cette même autorité dira qu’ils ne sont plus utiles en se basant s’il le faut sur la taille des variants et les phases de la Lune…
Ils peuvent dire n’importe quoi, et cela ne sera jamais remis en cause par la masse.

La science est morte, vive la science !

Merci

Alain Tortosa 29 mars 2021.

« 7milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210329-antiscience-chez-les-scientifiques.pdf




Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse

[Source : Guy Fawkes News]

À Toulouse, dans ma résidence, des antennes 5G ont été installées sur le toit. Depuis, les cadavres d’abeilles s’accumulent sur le sol, juste en dessous des antennes 5G. Je suis effarée, effrayée, choquée! On va droit dans le mur. C’est un suicide collectif bien connecté! J’en appelle à nos politiques. Arrêtons ce massacre!
Source: Lune Troc



Le passeport vert européen et les QR codes d’ATOS

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Le commissaire européen Thierry Breton nous annonce le passeport sanitaire européen pour le 15 juin. Or on savait qu’il y aurait conflit d’intérêts puisque par le plus grand des hasards sa société ATOS dont il a été le PDG de 2009 à 2019, est précisément spécialisée dans les QR codes, les contrôles aux frontières par le numérique et la digitalisation des données de santé. C’est du reste cette société ATOS qui gère les applications de QR code pour les voyages en Espagne. Edouard Philippe est devenu administrateur de cette société dont les principaux actionnaires sont Blackrock et Siemens. Une plainte d’anticor avait été déposée suite à du favoritisme dans des marchés publics pour la mise en place des radars automatiques alors que Thierry Breton était ministre. Vous avez compris la toile d’araignée? Alors qu’ils sont nommés dans le cadre d’un mandat politique ou européen, ils font leur business sur la mise en esclavage numérique des peuples européens avec des techniques de contrôle et surveillance digitales commercialisées par leurs propres boîtes.

https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-thierry-breton-annonce-l-arrivee-d-un-passeport-vaccinal-des-le-15-juin-20210328

https://www.bastamag.net/Thierry-Breton-audition-Commission-Europe-conflit-interets-PDG-Atos-Macron

https://www.leparisien.fr/politique/commission-europeenne-thierry-breton-cible-par-une-nouvelle-plainte-d-anticor-25-10-2019-8180385.php

https://www.zonebourse.com/cours/action/ATOS-SE-4612/actualite/ATOS-nbsp-va-gerer-les-formulaires-de-controle-sanitaires-des-voyageurs-vers-l-Espagne-31151155/

https://www.capital.fr/economie-politique/la-future-remuneration-dedouard-philippe-chez-atos-1381412
 Thierry Breton, PDG d’une multinationale financée par les fonds européens en voie de devenir commissaire… européen

par Rachel Knaebel 14 novembre 2019

Après le rejet de Sylvie Goulard par le Parlement européen, Emmanuel Macron a proposé Thierry Breton au poste de commissaire européen au Marché intérieur. Au vu du curriculum vitæ du personnage et des marchés sur lesquels intervient l’entreprise dont il était PDG, Atos, ce choix pose de sérieuses questions.

Le 12 novembre, le Parlement de Strasbourg a approuvé en commission la candidature de Thierry Breton au poste de commissaire européen. À 12 voix contre 11, les députés de la commission des Affaires juridiques ont estimé que le profil de l’ancien ministre de l’Économie français, Thierry Breton, ne présentait pas de conflits d’intérêts. L’ingénieur de formation a donc passé cette première étape de justesse. Il y a deux semaines, le Parlement européen avait rejeté la candidature de Sylvie Goulard, ancienne ministre de la Défense mise en cause dans une affaire d’emplois présumés fictifs d’assistants parlementaires.

Exempt de tout conflit d’intérêt, Thierry Breton, vraiment ? Si sa candidature est validée, le Français proposé par Emmanuel Macron pour le portefeuille du Marché intérieur arrivera directement à la Commission depuis sa position de… PDG de grande entreprise. De 2008 à octobre 2019, Thierry Breton a dirigé le groupe Atos. L’entreprise fournit des solutions en télécommunications et électronique, pour la défense ou l’aéronautique, ainsi que pour des fichiers administratifs. Le méga-fichier français TES (pour titres électroniques sécurisés) qui rassemble les données personnelles et biométriques des Français pour les cartes d’identité ou les passeports, c’est Atos.

L’entreprise est aussi active dans le secteur des services sociaux privatisés au Royaume Uni, où sa politique de réduction des dépenses sociales est très controversée (voir notre article). Thierry Breton a démissionné de son poste de PDG d’Atos le mois dernier dans la perspective de devenir commissaire européen, et renoncé à sa rémunération qui avoisinait les 6,1 millions d’euros en 2017 (salaire fixe, part variable et rémunérations en actions).

La suite sur Bastamag




La danse des mougeons

[Source : Exister en Liberté]




Pourquoi la condition humaine est-elle conditionnée par la peur et le refus de la vérité ? « Par pitié, mentez-moi ! »

Par Alain Tortosa

Le Covid est une nouvelle illustration de l’impossibilité pour l’homme de vivre dans la vérité.

Serait-elle à ce point insupportable qu’elle en deviendrait mortelle ?!

Devons-nous y renoncer afin de simplement pouvoir « vivre » ?

Peut-on exister, être heureux dans un monde réel et en avons-nous le droit moral ?

Dès lors qu’un enfant prend conscience de sa condition de mortel, il va mettre en place un processus permettant de l’occulter (plus ou moins) et nous, humains, vivons comme si nous étions immortels.

Dès lors qu’une réalité est trop angoissante, trop pleine d’incertitudes et qu’elle échappe à tout contrôle, tout est fait pour la balayer et l’extirper de son conscient.

Qui conscientise que notre confort d’occidentaux repose sur le sang d’autres êtres humains ?
Qui associe son smartphone à la mort factuelle d’enfants pour extraire des terres rares ?

Il en était de même pour les crimes d’Hitler ou Staline que le peuple ne voulait ou ne pouvait voir !

Alors quand on nous parle de Covid… Attention, je ne vous parle pas des têtes pensantes dont l’objectif est de faire de nous des esclaves lobotomisés, mais de vous et moi.

Quand on nous manipule tous les jours depuis un an pour nous faire croire en l’existence d’un virus mortel pour lequel il n’existerait pas de traitements et qui peut frapper quiconque…

Pensez-vous que cette angoisse soit supportable ?

Un discours de vérité scientifique qui vous dit :

  • Le confinement d’une population générale ne sert strictement à rien hormis créer de la misère, de la destruction du vivre ensemble, de la paranoïa, de la dépression et des suicides.
  • Le port du masque d’une population générale ne sert à rien hormis à mettre en danger votre santé, rendre visible une épidémie invisible et vous museler.
  • Les gestes barrières, le lavage des mains au gel, la distanciation, l’aération d’une pièce ne servent à rien pour une population en bonne santé… Et oui…

Et donc, que l’on ne contrôle absolument pas une épidémie !

Ces vérités scientifiques ne sont pas supportables.

Nous vivons au moyen-âge et le peuple a besoin de décideurs responsables, de sacrifices, de pattes de lapin pour se rassurer et surtout d’acquérir un statut d’irresponsable et surtout pas de décideur. Les humains, dans leur immense majorité, préfèrent ainsi vivre dans un maximum d’ignorance.

La folie est telle que des parents en sont à refuser de mesurer le taux d’oxygène de leurs enfants masqués, pour la simple raison qu’ils ne veulent surtout pas prendre le risque de découvrir la vérité. Il est tellement plus vivable, plus confortable d’être dans le mythe du masque protecteur et inoffensif que dans la réalité du masque patte de lapin, dangereux et maltraitant !

Bien entendu, il en est de même pour toutes les lois liberticides qui nous sont imposées.

Merci.

Alain Tortosa.

Auteur de « 7milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210327-mortelle-verite.pdf




Un passeport vert pour un État mondial numérisé

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam]

Le Programme de développement durable de l’Agenda 2030  » jette les bases du nouveau monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution planétaire. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. » Ce texte a été écrit en 2019 quelques semaines avant la pandémie planétaire annoncée quelques semaines plus tard.

Le virus va permettre de faire vivre ces quelques mots quotidiennement grâce à une coordination médiatique planétaire pour le moins fascinante par le consensus dont elle fait l’objet.

À l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale.

Le Digital Green Pass peut être considéré comme la nouvelle carte d’identi(fication)té de citoyens numériques.

Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national.

Le passeport vert semble faire l’unanimité planétaire au niveau de gouvernants, tous signataires du Programme 2030. Dans les faits, il acte la fin des Etats-Nations.

Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents « officiels » émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation.

Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr.

Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods.

Bref, à passeport universel, une citoyenneté universelle pour une gouvernance planétaire.

La couleur verte rappelle que l’homme ne doit plus trop bouger au nom d’une santé planétaire dorénavant gérée par ses pollueurs …

La digitalisation permet l’intrusion permanente de tiers au nom de la santé. Votre corps ne vous appartient plus

Je vous invite à lire ce petit chapitre qui explique certains mécanismes fondateurs de la citoyenneté universelle prévue de très longue date. Vos élus avaient juste oublié de vous en parler.

LHK

La Politique Commune des États. Coup d’État planétaire (Extrait)

« We the peoples of the United Nations». C’est par ces quelques mots que s’ouvre le préambule de la Charte des Nations Unies. Signée le 26 juin 1945 à San Francisco, cette assertion n’est pas sans rappeler les premiers mots de la Constitution américaine « We The People of the United States ».

De fait, l’ONU est non seulement un lieu de rassemblement supranational, mais aussi d’intégration des Etats et des peuples par une multitude de projets communs. En 2000, la Déclaration du Millénaire des Nations Unies, qui ressuscitait les valeurs des four freedoms, fut signée à New York par les 193 Etats-membres. Un consensus, une unanimité qui en fait une feuille de route à destination des Etats de la planète. Un texte fondamental, voire fondateur de la nouvelle gouvernance planétaire. Dans son préambule les quelques mots qui suivent donnent le ton pour un projet planétaire et universel : « Nous réaffirmons solennellement, en cette occasion historique, que l’Organisation des Nations Unies est le lieu de rassemblement indispensable de l’humanité tout entière où nous nous efforçons de concrétiser nos aspirations universelles à la paix, à la coopération et au développement. Nous nous engageons donc à accorder un soutien indéfectible à la réalisation de ces objectifs communs et nous nous déclarons résolus à les atteindre».

Ainsi, la dimension universelle de l’ONU est admise par l’ensemble des Etats signataires de la Déclaration, et on a le sentiment, que les aspects concernés sont si nombreux et si conséquents qu’aucun thème social, économique ou politique n’y échappe Cette réalité est porteuse de conséquences lorsque les mêmes signataires font de l’ONU le lieu de gestion de leurs nombreux objectifs communs. La Déclaration du Millénaire confirme la démarche communautariste quand elle demande de « renforcer davantage la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et les parlements nationaux, représentés par leur organisation mondiale, l’Union interparlementaire, dans divers domaines, notamment la paix et la sécurité, le développement économique et social, le droit international et les droits de l’homme, la démocratie et la parité entre les sexes. » Une vaste entente entre les responsables de l’ensemble des secteurs qui régissent la planète doit tricoter le nouveau monde sur fond de promesses de droits de l’homme, sous l’égide de l’ONU et du droit international. C’est ainsi que les opposés s’allient sur fond de promesses de paix et de sécurité. Mais objectivement, nous peinons à voir la paix et la sécurité dans un monde marqué par la souffrance humaine.

Qu’est-ce que l’Union interparlementaire ? (Extraits du site ipu.org)

 « L’Union interparlementaire (UIP, en anglais IPU) est l’organisation mondiale des parlements des États souverains. Créée en 1889, elle est la plus ancienne des institutions internationales à caractère politique.
Désireuse de promouvoir la paix et le principe de l’arbitrage international, elle a jeté les bases de ce qui est aujourd’hui la coopération multilatérale institutionnelle et a plaidé pour la création d’institutions analogues au niveau gouvernemental, qui se sont concrétisées sous la forme de l’Organisation des Nations unies.
L’Union a également contribué à la création de ce qui est aujourd’hui la Cour permanente d’arbitrage de La Haye.
A l’origine, simple association de parlementaires, l’Union est devenue l’organisation internationale des Parlements des États souverains (Article 1er des Statuts de l’Union interparlementaire). Foyer de la concertation et de la diplomatie parlementaires entre législateurs de tous les systèmes politiques du monde, et réunissant en son sein des représentants de toutes les tendances politiques, l’Union constitue un exceptionnel poste d’observation de l’évolution de la pensée politique. En outre, les Assemblées statutaires et les réunions spécialisées de l’Union fournissent l’occasion de lancer des idées nouvelles ou des initiatives qui font avancer la cause de la paix et de la coopération internationale. » ( Histoire de l’IPU)
« L’Union œuvre en étroite collaboration avec l’Organisation des Nations Unies dont elle partage les objectifs et appuie les efforts. Elle coopère en outre avec les organisations interparlementaires régionales et les organisations internationales, intergouvernementales et non gouvernementales qui s’inspirent des mêmes idéaux. En octobre 2016, l’UIP a adopté sa stratégie 2017-2021 sous le titre général « De meilleurs parlements pour des démocraties plus fortes ». »

Si le rôle de l’ONU en tant que médiatrice de paix est connu du grand public, celui de plateforme de la mondialisation l’est nettement moins.

La Déclaration du millénaire précise : « Nous sommes convaincus que le principal défi que nous devons relever aujourd’hui est de faire en sorte que la mondialisation devienne une force positive pour l’humanité tout entière ». Le nouvel ordre du monde de Roosevelt et de Truman est bien ancré.

L’ONU est donc cet organe facilitateur du nouveau monde, en tant que pivot entre les Etats-membres d’une part et d’autre part, entre les Etats-membres et les multinationales.

L’ultralibéralisme de l’OMC y est cautionné[1]. L’ONU promeut un multilatéralisme planétaire doublé de partenariats publics-privés si forts, que sa référence semble être un modèle qui vise à collectiviser et organiser la gestion des ressources – y compris humaines- de la planète sous bannière privée.

Quinze ans après la signature de la Déclaration, un autre programme de communautarisation globale voit le jour. Tout le monde se souvient du jour où le pape François a ouvert en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies, qui fut célébré du 25 au 27 septembre 2015. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Ce programme jette les bases du nouveau monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution planétaire. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde.

D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme : « Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable ».Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons.

Les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des États, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Exemple. Alors que le Programme prône l’éradication de la famine, l’article 68 demande « (…) à tous les membres de l’Organisation mondiale du commerce de n’épargner aucun effort pour parachever rapidement les négociations du Programme de Doha pour le développement. (…) » 

Or, le cycle de Doha est piloté par l’OMC dans le but, entre aures, de libéraliser le commerce international et dont le Programme fait la promotion des produits agricoles des pays pauvres. Mais le cycle promeut aussi la libéralisation des services publics. Récemment, Pierre Moscovici, commissaire européen, confirmait sur France Inter que l’« On peut très bien avoir des services publics qui sont gérés par des entreprises privées. ».

Et si un État venait à refuser le fameux programme 2030 qui vise à transformer le monde ? Le point 30 du Programme y répond de manière très explicite « Il est demandé instamment aux États de s’abstenir d’adopter et d’appliquer des mesures économiques, financières ou commerciales unilatérales dérogeant au droit international ou à la Charte des Nations Unies et qui font obstacle à la pleine réalisation du développement économique et social, en particulier dans les pays en développement. » L’épée de Damoclès, due à l’endettement public détenue par le privé, se chargerait de rappeler à l’ordre les États récalcitrants.

Voici un exemple supplémentaire qui démontre la perte d’autonomie, voire de l’impuissance des Etats. Elle nous vient de l’UE et du pilotage et de la « surveillance multilatérale » que ses organes exercent sur les Etats. Le rôle de la Commission européenne -entité inscrite au Registre du Commerce belge, et donc de type commercial- y est central.

Il est dit : « Le Conseil, sur recommandation de la Commission, élabore un projet pour les grandes orientations des politiques économiques des États membres et de l’Union et en fait rapport au Conseil européen. [2]» Les Etats membres qui ont ratifié ce genre de traités considèrent dans le même texte « leurs politiques économiques comme une question d’intérêt commun », raison pour laquelle ils ont transféré leur souveraineté à la Commission européenne. Cette organisation va jouer un rôle essentiel pour assurer « (…) une coordination plus étroite des politiques économiques et une convergence soutenue des performances économiques des États membres, (…) ».

Puis intervient la surveillance de ce qui devient de fait une autorité de contrôle : « (…) le Conseil, sur la base de rapports présentés par la Commission, surveille l’évolution économique dans chacun des États membres et dans la Communauté, ainsi que la conformité des politiques économiques avec les grandes orientations visées au paragraphe 2, et procède régulièrement à une évaluation d’ensemble.
Pour les besoins de cette surveillance multilatérale, les États membres transmettent à la Commission des informations sur les mesures importantes qu’ils ont prises dans le domaine de leur politique économique et toute autre information qu’ils jugent nécessaire. »
Et enfin, qui dit contrôle, dit sanction. « 4. Lorsqu’il est constaté, (…) que les politiques économiques d’un État membre ne sont pas conformes aux grandes orientations visées au paragraphe 2 ou qu’elles risquent de compromettre le bon fonctionnement de l’Union économique et monétaire, la Commission peut adresser un avertissement à l’État membre concerné. (…). Dans le cadre du présent paragraphe, le Conseil statue sans tenir compte du vote du membre du Conseil représentant l’État membre concerné. (…) »Une perte d’indépendance déjà annoncée : « Dans les faits, les banquiers centraux, notamment sous la forte influence de l’aristocratie financière supranationale, ont tricoté un réseau systémique entre eux (…). Plus ils avancent dans le processus de multilatéralisation, et plus les États de la planète sont automatiquement rendus inopérants. (…) Quel gouvernement national, dépendant des primary dealers pour sa dette publique, pourrait s’opposer à une telle alliance banco-financière ? »[3]Toutes les voies mènent à l’ONU, FMI, OMC, et autre Banque mondiale, structure supranationale de l’après-guerre et relais de la finance globale.

Annexe : Extrait de l’inscription de la Commission européenne au registre des entreprises belges.


[1] « 68. Le commerce international est un moteur de la croissance économique pour tous et un moyen de réduire la pauvreté ; il contribue au développement durable. Nous continuerons à soutenir un système commercial multilatéral universel, fondé sur des règles, ouvert, transparent, prévisible, inclusif, non discriminatoire et équitable établi sous l’égide de l’Organisation mondiale du commerce, et nous sommes favorables à une véritable libéralisation des échanges. »

[2] TFUE ; Chapitre 1, article 121 (ex-Article 99 TCE)

[3] Dépossession, id.




Note sur le bouchon de Suez

Par Joseph Stroberg

Incident purement fortuit ou volontaire, à qui peut-il nuire et à qui peut-il profiter ?

Quelques éléments de réflexion :

Le navire porte-containers qui bouche le Canal de Suez appartient à une compagnie taïwanaise, sachant que Taïwan est alliée des États-Unis, mais fortement hostile à la Chine communiste.

La nouvelle route de la soie développée par la Chine peut devenir d’autant plus utile et nécessaire que le flux maritime est réduit.

Depuis plusieurs années, les mondialistes semblent favoriser la Chine au détriment des États-Unis dans le but de faire s’effondrer le dollar et de faciliter ainsi le Grand Reset.

Le Grand Reset s’inscrit dans la stratégie du chaos contrôlé.

La « plandémie » Covid-19 engendre le chaos économique.

Le bouchon du canal augmente ce chaos.




Stratégie du Chaos Contrôlé

[Source : krystalstarcenter.com]

[Ndlr : L’hypothèse d’une influence non humaine derrière une telle stratégie n’enlève pas pour autant à la pertinence de l’analyse.]

Par Lisa Renee

Aujourd’hui, trop de personnes de bon cœur dans le monde accordent à leurs dirigeants et décideurs corrompus le bénéfice du doute, en invoquant l’incompétence ou la compassion pathologique lorsqu’ils tentent d’expliquer la destruction et le déclin rapidement croissant de leur culture occidentale dans les grandes villes soumises au programme du Chaos Contrôlé. La destruction systématique et méthodique des ressources naturelles et des cadres culturels civilisés, la destruction ou la dissimulation de beaux chefs-d’œuvre de l’art et de la littérature, et la décimation intentionnelle d’artefacts et d’antiquités mettant en évidence les âges précédents d’une culture humaine éclairée n’est pas un accident. Le Chaos Contrôlé est basé sur la soumission des individus à des méthodes sophistiquées de Manipulation Psychologique globale conçues pour réformer et réprimer la conscience de masse, en Façonnant de Faux Récits qui détruisent l’Unité et l’Empathie au sein de l’humanité. Les stratégies de division et de domination encouragent les divisions, les conflits et le chaos entre les groupes opposés afin d’empêcher la formation d’alliances fortes et l’unification qui pourraient remettre en cause le pouvoir du Contrôleur ou du Dirigeant. Cela s’étend aux entités négatives, telles que les groupes Lucifériens ou Sataniques, qui exercent un contrôle supplémentaire sur leurs représentants humains qui ont été socialement conçus pour mener à bien leur programme de division et de conquête de la race humaine.

Comprendre les motivations de l’élite du pouvoir en place signifie comprendre leurs croyances spirituelles et idéologiques liées à l’utilisation du chaos contrôlé contre leur opposition, qui est essentiellement d’inciter continuellement au chaos et à la division afin de contrôler le reste des habitants de la terre. Le chaos contrôlé, c’est comprendre le rôle de la théorie du chaos qui est utilisée dans la prise de décision militaire, lors de la planification de tactiques de division et de conquête visant tout groupe, toute population ou toute nation. Le Chaos contrôlé est utilisé à la fois comme une stratégie de guerre spirituelle sur le front métaphysique par des forces obscures non physiques, et comme un outil de désinformation et une tactique d’affaiblissement basé sur la propagande et visant les masses du monde physique. Il s’agit d’une stratégie globale de domination de la Terre sur tout le spectre (full spectrum domination), menée par les forces des EANs [Ndlr: Entités Aliénigènes (ou non-humaines) Négatives, à l’image des « démons » ou des « Archontes » dans certaines traditions religieuses ou culturelles, ou encore des Reptiliens dans des théories plus récentes relevant du domaine ufologique.], qui utilisent des contrôleurs humains sur le terrain qui ont eu accès à des richesses et des ressources illimitées de la planète afin de gérer le reste d’entre nous dans un Chaos Contrôlé.

En détruisant méthodiquement la cohésion et l’unité qui existent au sein de tout groupe, organisation, État ou nation ciblé, le groupe est affaibli par la division interne et le chaos, ce qui fait que des forces organisées extérieures qui utilisent des tactiques de chaos contrôlé peuvent intercepter et imposer facilement le contrôle des ressources du groupe. Dans le cadre d’une étude de cas, la destruction d’un état puissant pourrait être souhaitée par des sociétés multinationales, des syndicats du crime et des institutions qui ont l’intention d’obtenir un contrôle agressif sur les ressources financières, militaires et informationnelles de cet état. Les stratégies consisteraient notamment à saturer la propagande de la culture de la mort dans la population en renforçant les comportements destructeurs, tels que l’augmentation du dénuement et du nombre de sans-abri, la distribution gratuite de seringues d’héroïne, la promotion de la misère sexuelle pour réduire le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Lorsqu’il y a indifférence à la souffrance, à la misère et au dénuement des autres, les gens deviennent suicidaires et perdent leur volonté de vivre. Cela agit comme un mécanisme d’euthanasie générale pour faciliter une stratégie eugénique ou tuer dans la culture ciblée.

Une autre étude de cas permettant d’observer les stratégies de chaos contrôlé en action, comme l’utilisation de la modification du climat pour provoquer le chaos, est mise en évidence par l’activité récente de l’Ouragan Florence sur la côte est. Dane Wigington, de GeoengineeringWatch.org, a attiré l’attention du public sur ce sujet avec son récent article et la vidéo ci-dessous.

« L’ouragan Florence infligera-t-il le niveau de dommages catastrophiques prévu ? L’immobilisme « prévu » de Florence sera-t-il, dans une certaine mesure, parallèle au scénario de l’Ouragan Harvey ? Ou bien un changement de direction et un affaiblissement de la tempête au cours de la dernière heure diminueront-ils une partie ou une grande partie des impacts prévus ? Dans les deux cas, l’ingénierie climatique est la partie essentielle de l’équation qui n’est reconnue par aucune source officielle. Bien que la nature engendre de plus en plus d’ouragans / cyclones en raison du réchauffement rapide des mers, les opérations massives d’ingénierie climatique mondiale (et les technologies associées) sont de plus en plus capables de manipuler et de diriger de telles tempêtes. Dès le début, les météorologues savaient que l’Ouragan Florence suivrait une trajectoire presque rectiligne vers une région spécifique de la côte est des États-Unis. Comment le savaient-ils ? Parce qu’ils lisent un script qui leur est transmis de haut en bas de l’échelle. Un script qui, en fin de compte, provient de l’entrepreneur en génie climatique Raytheon, qui effectue toute la modélisation pour le National Weather Service (NWS) et la National Oceanic and Atmospheric Administration NOAA (les deux agences gouvernementales sont soumises à un bâillon fédéral illégal). Les guerres météorologiques continuent de s’intensifier dans le monde entier, l’Ouragan Florence n’est qu’un exemple de manipulation des ouragans et des cyclones. On prévoit que le Super-Typhon Mangkhut deviendra probablement la tempête la plus puissante depuis que l’on a commencé à tenir des registres. Mangkhut touchera les Philippines et même Hong Kong. Les grands médias Américains vont-ils même en parler ? Combien d’autres problèmes d’actualité mondiale seront omis en raison de la couverture de l’Ouragan Florence ? Cela fait-il partie de l’agenda mis en place ? Bien que d’innombrables formes d’activité humaine déciment et fassent dérailler le système climatique, les programmes de géo-ingénierie sont le plus grand facteur de perturbation du climat. La couverture continue des médias mainstream concernant les opérations illégales d’ingénérie climatique en fait des complices de ces crimes. Le reportage vidéo de 5 minutes ci-dessous fournit des informations sur l’Ouragan Florence et sur certains des programmes potentiels qui se cachent derrière la manipulation de cette tempête. L’Ouragan Florence, la Géo-Ingénierie de Destruction Massive et de Distraction (Dane Wigington) »

Instiguer et semer un chaos continu, particulièrement par le biais de catastrophes naturelles ou de situations d’urgence, dépasse la capacité de soutenir un mode de vie durable et perturbe la stabilité et la cohésion nécessaires pour rétablir l’ordre dans le désordre. Le déracinement des populations, la création de réfugiés et les migrations massives sont des outils de déstabilisation et de guerre psychologique, en prenant le contrôle de ces zones par l’incitation au chaos tout en détruisant la culture locale. Lorsque l’environnement naturel et la beauté de la terre sont détruits, tels que les arbres, les plantes et les animaux, cette décimation produit un effet de Déshumanisation et de démoralisation sur les personnes qui y vivent. Vivre dans une terre désolée et stérile à cause de la pauvreté abjecte, de la guerre et des événements cataclysmiques n’est pas très souhaitable pour faire évoluer la conscience et développer la culture locale, cela produit des valeurs primitives et de la barbarie. En conditionnant la propagande du chaos contrôlé continu comme un mode de vie semé comme la Culture de la Mort mondiale, elle atteint les objectifs des Contrôleurs de diverses manières.

  • Vivre sur le terrain de la guerre psychologique des stratégies de chaos mondial contrôlé freine la croissance de la conscience humaine, exploite les émotions négatives primitives et neutralise la volonté intérieure de créer et de se développer davantage de manière positive qui contribue à la société, personnellement et professionnellement. (invoque la peur, de la division à la confusion).
  • Il détruit le développement des liens de communication entre les personnes, augmentant la compartimentation et la déconnexion de la vision de la somme plus importante des parties mobiles, supprimant l’accès à l’information qui permet aux personnes et aux groupes de voir l’ensemble du tableau. (ignorance contre intelligence, semer la division et la confusion).
  • Elle réduit la capacité des gens ordinaires à influencer les événements dans les structures de pouvoir et de contrôle, en promouvant des valeurs barbares et primitives comme étant acceptables, tout en fermant les médias indépendants et alternatifs. (déshumanisation et démoralisation, ignorance contre intelligence).
  • Augmente la bureaucratie, répand le gaslighting par de faux récits, sème la croyance illusoire qu’il faut plus d’argent pour tout résoudre, augmente l’esclavage de la dette et favorise la corruption et les comportements criminels. (accablement et usure, démoralisation).
  • Détruit les progrès de l’enseignement supérieur et contrecarre les véritables découvertes scientifiques, élimine la possibilité de poursuivre les voies d’un développement supérieur de l’humanité vers des technologies libres et ouvertes qui élimineraient la guerre, le carburant et les économies basées sur les catastrophes. (ignorance contre intelligence, division contre confusion).
  • Cache un ciblage spirituel secret et une persécution qui vise à freiner l’expansion de la conscience, nous bombardant de négativité, tout en réprimant la vérité et les attributs Krystiques dans les personnes Eveillées, car tous les médias et les piliers de contrôle de la société sont utilisés pour nous soumettre spirituellement, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. (invoquer la peur, semer la division et la confusion, la démoralisation).

Les stratégies du Chaos Contrôlé et l’incitation intentionnelle aux forces du chaos dans le monde en général sont également liées à l’Idéologie Satanique générale et à ses principes les plus élevés. Les individus qui sont des occultistes modérés ou extrêmes dans leurs différentes branches du système de croyance satanique pratiquent également les mêmes stratégies de division et de conquête afin de prendre l’avantage et d’opprimer les masses, par Manque d’Empathie et de compassion pour le sort des autres. Le Satanisme favorise la montée de maîtres manipulateurs et de personnalités sociopathes pour exploiter toute la faiblesse psychologique et émotionnelle de l’homme à des fins personnelles. Pour l’occultiste Satanique, l’attaque psychique et la Magie Noire sont conçues pour siphonner l’énergie de l’âme afin de produire une faiblesse spirituelle ainsi que la préméditation de stratégies complexes qui visent à détruire leur opposition à tout prix. C’est pourquoi de nombreux Satanistes sont des maîtres de la propagande, utilisant des tromperies complexes à des fins de manipulation psychologique pour tenter d’endoctriner le public dans diverses formes d’Idéologie Satanique de modéré à extrême au travers des médias mainstream contrôlés.

(Source: Propaganda, Hurricane Florence, Geoengineering Mass Destruction, Dane Wigington GeoengineeringWatch.org)

→ Voir Principes de base de la Guerre Psychologique.

Auteur : Lisa Renee, energeticsynthesis.com