Nous nous dirigeons à présent vers la tyrannie totale en Occident

[Source : Aube Digitale]

Par Michael Snyder

Si nous acceptons ce qu’ils nous font maintenant, ils vont continuer à repousser les limites. Au cours des 12 derniers mois, les autorités du monde occidental ont utilisé la pandémie comme excuse pour imposer des mesures orwelliennes que nous n’aurions jamais acceptées en temps normal. Elles nous promettent que ces mesures ne sont que “temporaires”, mais la pandémie est là depuis un an déjà et rien n’indique qu’elle va disparaître de sitôt. Si ceux qui nous gouvernent sont prêts à aller jusqu’à des extrêmes aussi ridicules pendant une pandémie relativement mineure, que seront-ils prêts à faire lorsque les choses commenceront à devenir vraiment folles ?

L’observation des événements qui se sont déroulés dans une église d’Edmonton ces derniers jours a été un point de rupture pour moi sur le plan émotionnel.

Mercredi dernier, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) a attiré l’attention du monde entier en installant une clôture à trois niveaux autour de l’église GraceLife afin d’empêcher les gens d’entrer.

Je ne sais pas pourquoi ils ont décidé qu’une seule clôture ne serait pas suffisante. Apparemment, le fait que des chrétiens se réunissent est si dangereux que trois clôtures étaient nécessaires.

Inutile de dire que cette mesure draconienne a fait les gros titres et que, dimanche, environ 400 chrétiens se sont réunis pour protester devant l’église. La plupart d’entre eux se contentaient de chanter des hymnes ou de lire la Bible, mais lorsque quelques-uns d’entre eux ont commencé à démolir l’une des clôtures, 200 policiers anti-émeute lourdement armés sont intervenus.


Je m’attendrais à voir ce genre de scène dans la Chine communiste, en Corée du Nord ou en Iran.

Ce genre de chose n’était pas censé se produire au Canada.

Sur les 4,4 millions de personnes vivant en Alberta, il n’y a eu que 2 013 décès, et environ la moitié d’entre eux concernaient des personnes âgées de 80 ans ou plus.

S’il n’est pas sécuritaire d’aller à l’église, pourquoi laisse-t-on des hordes de Canadiens se déplacer dans les établissements de vente au détail tous les jours de la semaine ?

Si les églises doivent être fermées, on pourrait penser que Wal-Mart, Costco et Canadian Tire devraient l’être aussi.

Mais ils ne le sont pas.

Dans tout le monde occidental, on nous promet que la vie reviendra finalement à la “normale” une fois la pandémie terminée, et on nous dit que les vaccins mettront fin à la pandémie.

Mais ce n’est pas le cas. Les cas sont à nouveau en hausse et des milliers de personnes tombent encore malades, bien qu’elles aient été “complètement vaccinées”.

Et maintenant, Pfizer et Moderna admettent publiquement que leurs vaccins ne confèrent qu’une immunité de six mois environ

Selon de nouvelles recherches de Pfizer et Moderna, il semble que l’immunité contre le COVID-19 durera au moins six mois chez les personnes complètement vaccinées, bien que les études soient en cours. Dans une déclaration publiée jeudi par Pfizer-BioNTech, il est confirmé que l’immunité contre le coronavirus dure au moins six mois chez les personnes qui ont été entièrement vaccinées avec le vaccin Pfizer.

La plupart des personnes qui se font vacciner pensent qu’elles ont désormais une sorte d’immunité permanente, mais c’est loin d’être le cas.

Pendant ce temps, des variantes continuent d’apparaître dans le monde entier, contre lesquelles les vaccins actuels ne sont pas du tout efficaces.

Je sais que beaucoup d’entre vous ne veulent pas entendre ça, mais la pandémie est là pour rester.

Et cela signifie que les mesures orwelliennes qui sont mises en place le sont aussi.

Au Royaume-Uni, un récent sondage a révélé qu’une majorité de la population britannique est en fait en faveur d’un système de passeport vaccinal permanent

Une autre enquête inquiétante a révélé qu’une majorité de Britanniques sont prêts à accepter des passeports vaccinaux pour pouvoir mener leurs activités quotidiennes de base, et qu’ils sont prêts à accepter le système de carte d’identité numérique de façon PERMANENTE.

Le sondage du London Independent, réalisé par l’institut de sondage Savanta ComRes, a mis en évidence les résultats : 56 % des personnes interrogées ont déclaré qu’il serait acceptable de devoir prouver une vaccination ou un statut COVID négatif pour pouvoir entrer dans un magasin.

Moins d’un tiers, 32 %, ont déclaré que cela serait inacceptable, selon l’enquête.

Que diable est-il arrivé aux Britanniques ?

Ici, aux États-Unis, des chercheurs mettent au point un capteur implantable qui peut dire si vous êtes malade ou non. Si vous n’êtes pas encore au courant, je vous recommande vivement de regarder ce reportage de 60 Minutes.

https://www.youtube.com/embed/No5Bz2eHNtA

En Australie, les mesures orwelliennes qu’ils ont instituées pendant cette pandémie ont régulièrement fait la une des journaux du monde entier, et maintenant ils envisagent de faire quelque chose de complètement insensé.

J’ai eu du mal à le croire quand je l’ai lu pour la première fois. Selon une source d’information australienne, le gouvernement envisage en fait d’exiger que les gens fournissent “100 points d’identification” avant d’être autorisés à accéder aux plateformes de médias sociaux telles que Facebook, Twitter ou Instagram…

Le gouvernement Morrison va envisager une mesure radicale pour prévenir l’intimidation et le trolling en ligne, mais les experts affirment que la proposition comporterait de graves risques pour les utilisateurs des médias sociaux.

Le gouvernement envisage de forcer les utilisateurs de plateformes de médias sociaux comme Twitter, Facebook et Instagram – ainsi que de plateformes de rencontres en ligne comme Tinder – à télécharger 100 points d’identification pour pouvoir les utiliser.

Cette recommandation, qui a déjà été soulevée auparavant, est l’une des 88 recommandations du rapport d’une commission parlementaire qui se penche sur la violence familiale, domestique et sexuelle.

C’est la direction empruntée par notre monde.

Pendant longtemps, nous avons bénéficié d’un Internet relativement libre et ouvert, mais cette époque est révolue.

Aujourd’hui, les tyrans du monde entier constatent que l’Internet peut être utilisé comme un outil de contrôle, et cela devrait nous alarmer tous profondément.

Au cours des 12 derniers mois, la pandémie a été utilisée comme justification pour faire progresser la tyrannie à pas de géant.

Si c’est ce qui s’est passé lors d’une pandémie relativement mineure, que se passera-t-il lorsqu’une véritable urgence mondiale se présentera ?

Nous devrions tous y réfléchir très attentivement, car nous entrons dans une période très sombre, et la tyrannie gouvernementale ne fera qu’empirer.

Traduction de The Most Important News par Aube Digitale




La mort étrange du Président qui avait défié l’OMS

[Source : Jeanne traduction]



Transcription

Triste nouvelle à annoncer, vous avez peut-être déjà entendu que le président tanzanien John Magufuli est décédé.
C’est triste car Magufuli était un champion pour son peuple. Il les défendait. Il a réduit la corruption. Il a construit de nouvelles infrastructures. Il a réduit son propre salaire et celui de nombreuses personnes au sein du gouvernement pour que cet argent soit utilisé dans des programmes qui amélioraient son pays. Magufuli est bien connu pour le… le tour qu’il a joué au laboratoire de dépistage covid dans son pays. Il a secrètement envoyé des échantillons de papaye, d’huile de moteur, de chèvres et d’autres choses, d’autres choses non humaines. Il leur a donné des noms humains et les a envoyés au laboratoire. Et bien sûr, certains de ces résultats sont revenus positifs pour le covid.
Et clairement, comme vous pouvez le voir sur les visages dans cette vidéo, -c’est la foule qui s’est rassemblée dans les rues au passage de son cercueil l’autre jour- vous pouvez voir qu’ils ne portent pas de masques. Le taux de mortalité dans son pays est resté très bas depuis le début de cette affaire. Et il n’a mis en œuvre aucune des politiques de distanciation sociale, aucune des politiques de confinement et aucune des politiques de masquage. Il a évité la campagne de peur.
Et rien que pour cela, je respecte cet homme.

Dans la vidéo d’aujourd’hui, je vais parler de certaines choses autour de Magufuli, des gens qui ont pu vouloir le voir mort, comment est la situation actuellement.
Et je ne veux pas donner l’impression à quiconque que j’ai une image complète de ce qui s’est passé là-bas, parce que ce n’est pas le cas ; il s’agit simplement de certaines choses qui m’ont frappé lorsque j’ai examiné la situation. Il est important de noter que Magufuli n’est pas simplement mort. Il avait disparu, pendant des semaines avant que sa mort ne soit finalement annoncée, personne ne savait ce qui lui arrivait. Quant à son franc-parler au sujet des tests PCR et d’autres choses liées aux vaccins et au coronavirus, entre autres, il parlait en connaissance de cause.
Magufuli était titulaire d’un doctorat en chimie de l’université de Darussalam. Il a également travaillé dans l’industrie, donc il savait de quoi il parlait. Et il a utilisé ses connaissances pour faire passer l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé, pour une idiote.
Vous pouvez donc voir où cela nous mène. Il se dresse contre les puissances mondiales que nous connaissons, et puis tout d’un coup, il disparaît et meurt à l’âge de 61 ans. Je ne sais pas, c’est un peu suspect pour moi, et même ici, je veux juste vous montrer une chose de plus. En 2017, dans un article de Reuters, il est dit : « Le Tanzanien Magufuli rejette les appels à prolonger son règne au-delà de la limite de deux mandats ». Vous voyez ce qui se passe ? Il y avait des gens dans son pays qui voulaient qu’il reste leur leader pour toujours. Et il a dit non.
Il a dit, « j’ai juré de défendre la Constitution. Je vais jouer mon rôle et passer les rênes au prochain président le moment venu. »
Il était bien aimé, et il était loyal à la constitution. Il est resté fidèle à la Constitution, ce qui, en fait, si vous examinez la situation en profondeur, fait partie du problème. Les personnes qui parlent sans cesse dans la presse de Magufuli en mal, l’une de leurs critiques est qu’il n’a jamais changé la Constitution. Voilà leur critique. Ils voulaient qu’il affaiblisse la Constitution, et il ne l’a pas fait.

L’une des personnes, d’ailleurs, qui parle en mal de Magufuli est ce type Tundu Lissu. Il était le leader de l’opposition en Tanzanie. Mais ce type n’a pas le droit de parler. Il a lui-même violé la Constitution. En fait, écoutez ça. Il était le leader de l’opposition, mais en septembre 2017, il s’est fait tirer dessus, et il a fui le pays. Et depuis janvier 2018, il est en Belgique. Enfin, en juin 2019, ils ont viré ce type du gouvernement. Il est en fait hors du pays, depuis des années, et ne divulgue pas ses dépenses, ses actifs et ses dettes, comme l’exige leur constitution.
Imaginez que vous vous enfuyez de votre pays, que vous restez en Belgique pendant deux ans, et que vous dites ensuite que Magufuli est un criminel et un corrompu. Imaginez faire cela.
Il est évident qu’il s’agit d’un de ces accords de type révolution de couleur qu’ils veulent mener. Eh bien, maintenant ils n’ont pas à le faire. Maintenant ils n’ont pas à le faire, parce que maintenant Magufuli est mort aussi. Par quoi ? Nous ne savons pas comment, mais la version officielle de la femme qui est maintenant présidente, dit qu’il est mort d’un problème cardiaque qu’il avait depuis 10 ans.
Le type de l’opposition ici présent est en train d’annoncer que Magufuli est mort du covid.

« Je m’y attendais depuis le premier jour, où j’ai tweeté, lundi de la semaine dernière, lorsque j’ai posé la question suivante : où est le président Magufuli et quel est son état de santé ? Magufuli est mort du corona, c’est la première chose. Deuxièmement, Magufuli n’est pas mort ce soir, j’ai des informations provenant essentiellement des mêmes sources qui m’ont dit qu’il était gravement malade. J’ai l’information qu’il est mort depuis mercredi de la semaine dernière. »

Il savait depuis des semaines que Magufuli était en train de mourir du covid quelque part. Selon ses sources anonymes, il n’est pas surpris de la nouvelle de la mort, selon ses sources anonymes, qui lui ont fait savoir tout ce qui se passait. Vous voyez un schéma ici ? Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Lissu a dit que Magufuli mourant du covid-19 était une justice poétique. Il l’a dit à voix haute en public.
Et ils adorent ça, n’est-ce pas ? Le truc du, « oh, c’était un covido-septique, et maintenant il est mort du covid. »
Pour moi, ça montre leur inhumanité. C’est honteux. D’ailleurs, il n’est pas le seul à être mort en février, un homme appelé Maalim Seif Sharif, de Zanzibar, qui fait partie de la Tanzanie, il est aussi mort soi-disant du covid, le 18 février 2021. Je ne sais pas de quel côté du débat sur le covid, il se situait, mais il est aussi mort subitement.
Ce qui est effrayant dans cette affaire, c’est que beaucoup de gens auraient pu annoncer la possibilité d’un attentat contre Magufuli et une organisation l’a fait. Le Off Guardian a publié cette information le 12 mars. Quelques jours avant que Magufuli ne soit déclaré mort, ils ont dit « Tanzanie, le second coup d’état covid ».
Le Off Guardian spécule, que nous pourrions être sur le point de voir la mort soudaine et ou le remplacement du président de la Tanzanie, tout comme ils ont fait à Pierre Nkurunziza, du Burundi. Il a refusé de jouer le jeu du covid, et a demandé à la délégation de la Chambre de quitter son pays avant de mourir subitement d’une crise cardiaque, ou d’une suspicion de covid-19. Puis son successeur a immédiatement inversé chacune de ses politiques de covid, y compris en invitant l’OMS à revenir dans le pays du Burundi, comme le souligne le Off Guardian.
Le Guardian avait publié cet article, dans la première semaine de février disant « Il est temps pour l’Afrique d’arrêter le président anti-vax de Tanzanie »
Et ils disent : « Qu’est-ce qui ne va pas avec le président John Magufuli ? De nombreuses personnes en Tanzanie et hors de Tanzanie se posent cette question. » À peu près au même moment, le Council on Foreign Relations a publié un article dans lequel ils disent : « Une figure audacieuse au sein du parti au pouvoir pourrait tirer profit de l’épisode actuel pour commencer à inverser le cours des choses. » Ils parlaient du fait que Magufuli pourrait avoir covid-19 parce qu’il avait disparu et que personne ne savait où il était.
Dans l’article du Guardian, ils disent que Magufuli doit être défié ouvertement et directement, la position inadmissible de Magufuli devrait nous obliger tous à agir, et ils vont plus loin que cela.

Regardez ce que dit le Guardian. Cela ressemble à une menace voilée pour moi, ils disent « Magufuli sait que l’ancien président du Ganna, Jerry John Rawlings, est mort du virus, ainsi que l’ancien président du Congo Brazzaville. Le mois dernier quatre ministres du Zimbabwe dont Sibusiso Moyo, sont morts du covid.
Au Malawi, quatre responsables gouvernementaux, dont deux ministres, ont succombé. En Eswatini, anciennement le Swaziland, le premier ministre Ambros Lomani, a succombé au virus. Le dernier premier ministre démocratiquement élu du Soudan, Sadiq al-Mahdi, vient de mourir, tout comme l’ancien premier ministre de la Libye et l’ancien premier ministre de la Somalie. Au Burundi, le voisin de la Tanzanie, deux anciens présidents Pierre Nkurunziza et Pierre Buyoya sont morts du covid-19. »
Donc ils listent 16 personnes qui sont mortes, du covid-19. Qu’essayent-ils de dire ? La question de savoir si c’est oui ou non une menace envers Magufuli, n’en devient que plus primordiale à résoudre, quand vous considérez que la section entière « développement global » du Guardian, est financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, et l’est depuis des années. Je me demande donc quel contrôle éditorial il y a derrière cette section et, quel était leur but ici.
Le menaçaient-ils ? C’est difficile à dire. Il est tellement probable qu’il y ait du déni dans cet article

Qui va donc le remplacer ? De ce que nous savons, c’est Samia Suluhu Hassan, elle est maintenant la présidente de la Tanzanie, et quand vous lisez vous voyez « qu’après ses études en 1992, elle a été employée dans un projet subventionné par le programme alimentaire mondial, qui est bien-sûr les Nations Unies, elle est ensuite partie en Angleterre compléter ses études, et elle est allée à l’Open University de Tanzanie.
Plus loin dans l’article, on lit qu’elle est mariée à un homme appelé Hafidh Ameir, et sa fille Mwanu Hafidh Ameir est membre du parlement de Zanzibar, donc elle est aussi au gouvernement. Mere et fille au gouvernement. Et sa fille, est aussi allée à l’Open University de Tanzanie, a étudie au Center for Foreign Relations, et quelque part appelé « Info-Serve USA », que je n’ai pas encore creusé. Mais elles semblent à mon sens être dans les petits papiers du gouvernements… Je vais me pencher sur son mari dans une seconde, mais d’abord je veux aller dans les détails de l’Open University de Tanzanie.
Voici leur rapport annuel de 2014/2015, et ils ont mentionné, qu’ils ont eu une croissance exceptionnelle concernant leurs finances, et cela vient en grande partie de la World Bank, et d’une organisation appelée SIDA, qui est l’Agence Suédoise de développement international. Ils se hissent au sommet des fondateurs, d’après leurs dires.
Et les autres partenaires dans le top 5 sont, l’Open University de Grande-Bretagne, Association of Commonwealth Universities, la fondation Rockefeller, et l’UNESCO. Donc maintenant nous parlons du marais profond, les Rockefeller, et le programme de prise de contrôle des nations unies, c’est de ça qu’il s’agit, ils ne se nourrissent que de l’argent des impôts, pour la donner à des projets qu’ils utilisent pour reformer la monde.
Et vous pouvez voir ici que l’université de Tanzanie, a vu une réelle explosion de ses fonds depuis environ… 2008. Les chiffres vont de centaines de milliers, à des millions, et tout cela est largement dépassé au fur et à mesure que les années passent. Donc de 2014 à 2015, regardez l’explosion de la richesse.
Deux autres sources de subvention qu’ils mentionnent, qui ont donné beaucoup, à l’Open University de Tanzanie, sont COSTECH et AGRA Project.
COSTECH a l’air bien en apparence quand vous regardez, parce qu’il est dit qu’elle a été créée par une loi de l’assemblée nationale de tanzanie en 1986, et on dirait que c’est une organisation gouvernementale, mais si vous regardez leurs affiliations non-gouvernementales et internationales, vous trouvez KPMG, Palladium International, Foreign Affairs of Finland, et d’autres choses que je n’ai pas creusé.
Si vous regardez le AGRA Project, et voilà, vous les retrouvez encore une fois, c’est Bill Gates et la fondation Rockefeller. AGRA a été fondée en 2006 par la fondation Bill et Melinda Gates, et la fondation Rockefeller. Un des principaux clients, des agriculteurs de AGRA, est le programme alimentaire mondial des Nations Unies, et n’est-ce pas exactement où la nouvelle présidente de la Tanzanie a débuté dans le monde du travail ? Le programme alimentaire mondial.
Il s’avère que l’Open University de Tanzanie, est purement basé sur l’enseignement à distance et par correspondance. L’organe de surveillance, pour avoir une vue d’ensemble, est l’université sainte Marie d’Addis-Abeba en Ethiopie, et également l’université de Corée.
Vous souvenez-vous que Tedros Adhanom Ghebreyesus, le dirigeant actuel de l’OMS vient d’Addis-Abeba en Ethiopie, et quand il était ministre de la santé en Ethiopie, il a noué d’étroites relations avec Bill Clinton et la fondation Clinton, et la fondation Bill et Melinda Gates.
En 2010, le département d’État américain a nommé l’Ethiopie à l’initiative américaine en matière de santé mondiale. Je me demande ce que ça implique. Et je me demande si cela à quelque chose à voir, avec le fait que vers 2009, l’Open University de Tanzanie a reçu des tonnes et des tonnes d’argent, beaucoup plus, de manière exponentielle. Et ce sont des sommes d’argent qu’ils ont obtenu de fondation comme celle de Rockefeller, et l’UNESCO, et toutes celles qu’on connaît… Je ne sais pas, je ne prétends rien, mais ça pourrait être possible.

Maintenant, nous savons que la nouvelle président de la Tanzanie, est mariée à un gars appelé Hafidh Ameir, et je ne peux pas trouver une photo d’eux ensemble, donc je ne peux rien vérifier, mais il y a un gars appelé Hafidh Ameir qui travaille à TACAIDS, il y est depuis 10 ans et 11 mois, et il est le coordinateur régional du VIH et du SIDA. Cela correspond plutôt bien à toutes les autres choses que nous venons d’apprendre. Parce que le truc du VIH et du SIDA, c’est le même groupe encore une fois. Qui se superpose avec le mega, super prédateur sur la scène de la santé, qui est la fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les Nations Unies et bien sûr la fondation Rockefeller. Et j’ai déjà exposé comment Bill Gates est lié à tout ça, avec son Global Fund, et comment il détient pratiquement l’Organisation Mondiale de la Santé en tant que principal donateur, juste à côté des Etats-Unis. Et si vous n’êtes pas au courant de ça, vous n’allez pas en revenir, vous voyez ici vous avez PEPFAR d’Anthony Fauci, c’est parce qu’il a convaincu le gouvernement d’introduire cette branche du département d’état, nommée « plan d’urgence du président pour l’aide aux malades du sida », et ce type reçoit des milliards de dollars qu’il envoie dans des pays étrangers à travers les ambassades, d’après ce que j’ai compris, à d’innombrables ONG. Et je dis innombrables, parce que la seule entité, qui contrôle cet argent, est l’ONU, et ils ne laisseront personne voir l’entièreté de ces documents. L’argent de PEPFAR va directement, à travers le département d’état en majorité à l’ONU qui le donne ensuite à qui elle souhaite.
Et il s’avère que la personne qui dirige PEPFAR au département d’état américain est Debra Burkes. Anthony Fauci et Debra Burkes ont tout deux fini par atterrir au coronavirus task force, ce qui est merveilleux, après avoir été ensemble dans cette organisation PEPFAR. Donc ils ne font que fabriquer une autre arnaque, avec la même empreinte sur la carte. Remplacez juste les logo de PEPFAR par le symbole du coronavirus.
Les millards de Bill Gates vont dans des organisations, et il créé en majeure partie des vaccins, et depuis son organisation à but lucratif appelée la fondation Bill et Melinda Gates, son argent lui revient en personne. C’est une arnaque massive.

Ok mais on est supposé parler de la Tanzanie ici. Donc le mari de la nouvelle dirigeante de la Tanzanie, Hafidh Ameir, je pense, travaille pour cette organisation TACAIDS, et je pense qu’il est également le contact tanzanien pour des organisation appelées Genesis Analytics. Si vous regardez ici, il est écrit « rencontrez les équipes de nos pays », vous allez dans la Tanzanie, et vous trouvez Dr. Hafidh Ameir, la comission tanzanienne du SIDA, TACAIDS, le même homme. Les partenaires de Genesis Analytics sont Global HIV Prevention Coalition, Genesis Unlocking Value, l’université de Manitoba, qui est aussi la maison de notre seul laboratoire P4 de virologie au Canada. Et, la fondation Bill et Melinda Gates.
Mais ça ne s’arrête pas là.
Je voulais voir ce qu’est cette organisation, Genesis Unlocking Value, parce qu’ils sont tous partenaires. Et regardez ça.
Genesis est à propos de l’économie comportementale, l’économie comportementale est un domaine puissant qui combine l’économie et la psychologie, et utilise la compréhension de ces sciences pour influencer les comportements et améliorer les prises de décision pour le mieux, à travers des interventions à bas coût et faciles à mettre en oeuvre.
En 2014, Genesis Analytics a crée la première équipe de consultants en Afrique afin d’user de la compréhension scientifique du comportement humain pour résoudre des problèmes économiques concrets dans le monde.
Notre experience montre que changer les comporter et améliorer les prises de décision ajoute de la valeur dans une série d’industries et de filières. Nous intégrons les connaissances comportementales dans les campagnes de marketing et de communication dans de grandes banques, nous augmentons les cotisations mensuelles aux fonds de retraite des grands assureurs, nous adaptons les sites Web des multinationales de l’automobile de luxe, nous remanions les programmes de fidélisation des grandes plateformes de commerce électronique de détail, et nous formons les organisations à tirer parti des capacités de l’économie comportementale.
Cela ressemble-t-il à une organisation qui devrait être impliquée dans le SIDA ? Ou la santé ? Mais c’est là qu’ils sont impliqués. En partenariat avec Bill et Melinda Gates. Et c’est possiblement là, que la marie de la nouvelle présidente de la Tanzanie travaille. Je suppose que c’est pratique pour les globalistes. Vous ne trouvez pas ?

Comme le dit cet analyste politique kényan : « Magufuli est arrivé sur une plateforme de lutte contre la corruption et d’autonomisation des masses. Ce sont les gens qui ont bénéficié de la corruption et de toutes ces drôles de choses, qui ne sont pas satisfaits de lui. »

À mesure que la Tanzanie avance avec son nouveau gouvernement, il sera intéressant de voir ce qui change, cela sera-t-il comme au Burundi, l’administration entrante inversera-t-elle tout le travail de Magufuli ? Les habitants de la Tanzanie commenceront-ils à avoir peur, les verrons-nous porter des masques et appliquer la distanciation sociale, ou leurs entreprises couler à cause du confinement ?
Parce que nous pouvons voir qu’à la masse de gens qui est venue honorer Magufuli l’autre jour, que ce n’est pas le cas pour l’instant. À quel vitesse, transformeront-ils les tanzaniens en des petits moutons effrayés ? Peut être qu’ils ne le feront pas, nous pouvons garder nos doigts croisés pour ça.




Cette vitamine montre que la science est MANIPULÉE au plus haut niveau contre les remèdes naturels

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Par Xavier Bazin

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Message de Jeanne, une fidèle lectrice :

« Bonjour Xavier, j’apprécie vos lettres, mais est-il vraiment possible que la science soit aussi manipulée que vous le dites ?  

J’ai un peu de mal à croire que tant de revues médicales et de chercheurs soient vendus à Big Pharma, non ? » 

Oui Jeanne, je comprends tout à fait que ce soit difficile à croire.

Je ne dis pas du tout que tout le monde est « vendu » – il y a énormément de scientifiques de bonne foi, qui ne se rendent pas compte de ce qui se passe.

Mais il est clair que la science médicale est manipulée.

Et je vais vous en donner une preuve EXTRAORDINAIRE aujourd’hui, avec la vitamine C.

Je vous conseille vraiment de lire ce qui suit.

Peut-être pensez-vous encore que l’article frauduleux du Lancet sur l’hydroxychloroquine était un « accident de parcours », un malheureux hasard.

(Je rappelle quand même que 96 000 dossiers médicaux avaient été purement et simplement inventés pour faire croire à la dangerosité de l’hydroxychloroquine).

Peut-être pensez-vous que l’étude récente soi-disant défavorable à l’ivermectine a été publiée de bonne foi dans le prestigieux journal JAMA.

(Alors que sur plus de 20 études randomisées prouvant l’efficacité de l’ivermectine, c’est l’une des seules qui ne trouve pas d’effet probant – pour une raison simple : l’ivermectine a été testée sur des personnes jeunes et en bonne santé, qui ont guéri toutes seules !).

Peut-être avez-vous déjà oublié que le remdésivir, le médicament hors de prix et inefficace de Gilead, avait au départ obtenu plusieurs études favorables, publiées dans de grands journaux médicaux.

(Il a fallu que les Chinois, puis l’Organisation mondiale de la Santé, réalisent des études indépendantes pour prouver que ce médicament ne valait rien).

Bref, si vous croyez encore qu’on peut faire confiance, les yeux fermés, au « consensus scientifique » tel qu’il s’étale dans les grands journaux médicaux, lisez bien ce qui suit.

Car ce qui s’est passé sur la vitamine C est tout simplement hallucinant.

Vous êtes bien assis ? Regardez cette étude incroyable sur la vitamine C

Il y a quelques années, un des plus grands médecins au monde, le Pr Marik, a découvert que des injections de doses massives de vitamine C avaient un effet extraordinaire sur les patients victimes de septicémie, en soins intensifs.

Ceux qui recevaient des injections de vitamine C dès leur entrée en réanimation étaient beaucoup moins nombreux à mourir que les autres !

Donc si les médecins réanimateurs du monde entier utilisaient cette substance peu coûteuse, la vitamine C, des milliers de vies pourraient être sauvées.

Qui pourrait avoir intérêt à cacher une information aussi salvatrice ?

Dans un monde normal, personne, bien sûr. 

Et pourtant, regardez-bien ce qui s’est passé.

Suite à la découverte du Pr Marik, une grande étude a été publiée dans le prestigieux Journal of the American Journal Association (JAMA) [1].

Il s’agissait d’une étude randomisée, en double aveugle et multicentrique.

Bref, en termes de sérieux et de fiabilité, on ne peut pas faire mieux.

167 patients admis en réanimation pour septicémie ou détresse respiratoire ont été tirés au sort :

  • La moitié ont reçu des perfusions de vitamine C ;
  • La moitié ont reçu un placebo (une perfusion sans substance active).

Conclusion des chercheurs : la vitamine C ne marche pas.

En tout cas, c’est ce qu’ils écrivent noir sur blanc, dans le résumé (« abstract ») de l’étude :

« Dans cette étude préliminaire, les perfusions de vitamine C pendant 96 heures n’ont pas amélioré de façon significative le score de dysfonction des organes, ni altéré les marqueurs de l’inflammation et de lésions vasculaires ».

Je rappelle que 99 % des scientifiques se contentent de lire le résumé des études.

Donc, si on s’arrête là, on en conclut que la vitamine C en perfusion ne marche pas, et on passe à autre chose.

Maintenant, apprêtez-vous à être SURPRIS.

En réalité, ce sur quoi l’étude n’a pas trouvé d’efficacité de la vitamine C, c’est uniquement sur des « biomarqueurs », comme le « taux de thrombomoduline ».

Mais qu’en est-il de son effet sur la survie des patients ? Ou sur leur durée d’hospitalisation ?

N’est-il pas plus important de savoir si les patients ont été sauvés… plutôt que de faire des analyses sanguines ? 

Alors regardons ensemble ce qu’il en est.Il faut aller au fond de l’article pour découvrir ce magnifique graphique [2] :

Il s’agit de l’effet de la vitamine C sur la MORTALITÉ.

En bleu, vous voyez que le placebo aboutit à une mortalité totale de 45 %.

En orange, vous voyez que les perfusions de vitamine C conduisent à seulement 30 % de mortalité.

Cela fait un tiers de morts en moins, et c’est un résultat statistiquement significatif !

Cela veut dire que si on soigne 1 000 malades similaires, la vitamine C permettrait d’en sauver 150 !!!

Magnifique non ? Ce n’est pas tous les jours qu’on obtient un tel effet en médecine !

Et pourtant, les auteurs de l’étude et l’éditeur du Journal ont enterré cette découverte et expliqué, dans le résumé, que la vitamine C ne servait à rien !!!

C’est purement et simplement criminel.

En réalité, cette étude confirme l’efficacité de la vitamine C sur tous les aspects cliniques :

  • Moins de temps passé en réanimation par le groupe vitamine C (significatif)
  • Et moins de temps passé à l’hôpital au total (15 jours seulement contre 22 jours pour le placebo, également significatif statistiquement).

Donc vous avez une étude très positive sur ce qui est le plus important pour le patient : 

  • Le nombre de jours passés à l’hôpital ;
  • Le nombre de jours passés en réanimation ;
  • Et la survie (il me semble que ça compte un peu de ne pas mourir, non ?).

Mais la conclusion officielle, la conclusion du « consensus scientifique , c’est que la vitamine C ne « marche pas » !!!

Vous rendez-vous compte ?

Après avoir lu ceci, pouvez-vous encore croire que ces grands journaux sont de « bonne foi », quand il s’agit de molécules naturelles, non brevetables ? 

Ce qui se passe en ce moment n’est que la face émergée d’un iceberg de désinformation scientifique, qui sévit depuis des années !

Et ils recommencent avec la vitamine C, cette fois sur la Covid !

Vous allez voir que la mauvaise foi est sans borne.

Récemment, des chercheurs ont voulu savoir si des comprimés de vitamine C (et de zinc) peuvent avoir un effet contre la Covid-19 [3], quand on avale ces micronutriments très tôt, dès les premiers symptômes.

C’est une bonne idée, si l’étude est réalisée honnêtement.

Problème : ils ont choisi des patients relativement jeunes (45 ans en moyenne), donc qui guérissent tout seuls pour la plupart, sans problème particulier.

Comme je vous l’ai déjà dit, c’est un moyen évident d’obtenir un résultat non significatif, donc non probant, surtout avec seulement 50 patients par groupe testé !

Dès le départ, donc, la méthode était faussée.

Et sans surprise, l’étude conclut que ces compléments alimentaires n’ont « pas d’efficacité ». 

Pour enfoncer le clou, le JAMA a même publié un « commentaire » de l’étude réalisée par deux grands professeurs de médecine, qui pourfendent la « fausse mode » des micronutriments en compléments alimentaires.

Résultat : tous les idiots utiles (scientifiques et journalistes) ont pu claironner que la vitamine C et le zinc « ne servent à rien ».

C’est évidemment faux : la seule conclusion honnête des résultats proposée, c’est que l’étude n’est pas probante, dans un sens ou un autre, faute de patients en nombre suffisant.

Mais il y a pire.

Vous allez voir qu’il y a, en plus, deux ÉNORMES manipulations. 

Les chercheurs ont volontairement SABOTÉ leur étude pour l’empêcher de prouver l’efficacité de la vitamine C !

Quand on regarde les chiffres avec précision, on réalise que les patients sous vitamine C ont guéri un jour plus tôt que ceux du groupe placebo.

Le résultat n’est pas significatif statistiquement, car l’étude ne comportait pas assez de patients.

Mais si l’on avait testé la vitamine C sur davantage de patients, on aurait pu aboutir à un résultat significatif.

Et c’est là que ça devient à peine croyable.

Figurez-vous que les chercheurs ont arrêté l’étude en cours de route !!!

Initialement, ils avaient prévu de faire des groupes de 100 patients, et non des groupes de 50.

Mais ils ont arrêté l’étude en cours de route, soi-disant pour « futilité »… alors que les groupes vitamine C étaient en train de prouver leur efficacité sur la réduction des symptômes !

Cela ne vous fait pas penser à l’étude française Discovery, arrêtée pour les mêmes raisons absurdes (« futilité »), au moment où le groupe traité par hydroxychloroquine avait 31 % de morts en moins par rapport au groupe placebo [4] ?

De même, dans le cas de cette étude sur la vitamine C, l’arrêt de l’essai clinique en cours de route est extrêmement suspect, car contraire au protocole scientifique fixé au départ.

On peut penser que l’objectif était d’éviter de devoir révéler au monde entier qu’une banale vitamine a une réelle efficacité sur les symptômes de la Covid-19.

Et ce n’est pas tout. 

Les auteurs sont allés jusqu’à cacher des résultats favorables à la vitamine C, dans leur propre étude !

Regardez la diminution des symptômes dans le groupe vitamine C (en rouge) par rapport au placebo (en bleu) :

On voit bien qu’entre les jours 5 et 10, il y a une très forte amélioration du groupe vitamine C.

Puis, après 20 jours, il y a moins de différences, car la plupart des patients ont eu le temps de guérir spontanément, avec ou sans vitamine C.

Mais des scientifiques indépendants ont ré-analysés les données et montré que la vitamine C accélère la guérison de 70 %, un résultat significatif statistiquement… mais caché par les auteurs [5] !

Ces mêmes scientifiques honnêtes ont aussi montré que parmi les patients ayant des symptômes pendant longtemps, ceux qui avaient pris de la vitamine C avaient guéri trois jours plus tôt, ce qui n’est pas négligeable.

Bref, cette étude est globalement favorable à l’efficacité de la vitamine C !

Mais la conclusion du « consensus scientifique » est exactement inverse ! 

Cette étude a permis à certains « pontes » de conclure avec autorité que la vitamine C ne marche pas… en avançant comme « preuve » que cela a été publié dans un journal prestigieux comme le JAMA !

Mais c’est faux, il suffit de regarder l’étude en détail !

(Quant au zinc, le sabotage est peut-être encore plus flagrant : figurez-vous que le groupe ayant reçu du zinc en plus de la vitamine C comprenait 29 % de diabétiques, contre 9 % seulement dans le groupe placebo – or on sait bien que les diabétiques ont plus de risques de complications).

Bref, j’espère que vous voyez la gravité de la situation.

On ne peut pas faire confiance au « résumé » (abstract) des grands articles publiés dans des journaux prestigieux dans deux cas :  

  • Quand ils concernent des molécules anciennes et peu coûteuses, a fortiori naturelles ;
  • Quand elles concernent des molécules innovantes hors de prix, avec des études financées ou organisées par les laboratoires pharmaceutiques.

Dans ces deux cas, il faut aller voir et décortiquer le contenu précis de l’étude.

C’est ce que j’essaie de faire pour vous, car j’en ai le temps et l’énergie.

Mais la plupart des médecins et journalistes n’en ont pas le temps… et de toute façon, cela leur paraît inutile car ils font confiance au « résumé ».

Et voilà comment on a un faux consensus scientifique sur l’inefficacité de l’hydroxychloroquine…

… et une absence de consensus scientifique sur la vitamine D ou l’ivermectine, malgré des preuves massives et évidentes d’efficacité !

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : j’ai rassemblé toutes mes réflexions dans un livre explosif : Big Pharma démasqué – de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.

Il sortira le 22 avril aux éditions Trédaniel, je vous en reparlerai prochainement (c’est une publicité totalement assumée car je ne toucherai aucun centime sur ce livre, mes droits d’auteurs seront intégralement reversés à la Fondation Hippocrate, qui défend une médecine intégrative, c’est à dire l’alliance du meilleur des médecines naturelles et conventionnelles).


Sources

[1] https://www.jem-journal.com/article/S0736-4679(20)30029-9/fulltext

[2] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6777268/

[3] https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2776305

[4] www.sante-corps-esprit.com/ma-bombe-sur-letude-discovery-ne-plait-pas-a-tout-le-monde-voici-ma-reponse/

[5] https://www.researchsquare.com/article/rs-289381/v1

[6] Par ailleurs, on ne sait même pas si les patients ont reçu 50 milligrammes de zinc élémentaire – une dose adéquate – ou seulement 7 milligrammes – une dose ridicule – car les auteurs parlent de « 50 mg de zinc gluconate », ce qui peut vouloir dire 50 mg de zinc « sous sa forme gluconate », ou bien 50 mg de « zinc gluconate », qui ne contient que 7 mg de zinc.




INÉGALITÉS ET INJUSTICES AMPLIFIÉES PAR LA CRISE DU COVID-19

[Source : Amnesty International France]

Par Agnès Callamard

La pandémie de Covid-19 a mis à jour le terrible bilan de politiques destructrices, délibérément créatrices de divisions et qui perpétuent les inégalités, la discrimination et l’oppression. Des mesures qui ont représenté un terreau fertile favorisant les ravages causés par le Covid-19.

Notre nouveau rapport sur la situation des droits humains dans le monde, couvre 149 pays et présente une analyse détaillée des grandes tendances en matière de droits humains observées à travers le monde en 2020.

Dans notre Rapport annuel, nous démontrons que les populations qui étaient déjà les plus marginalisées, notamment les femmes et les personnes réfugiées et migrantes, sont celles qui ont été le plus durement frappées par la pandémie. Cela s’explique par des décennies de politiques discriminatoires décidées par celles et ceux qui dirigent le monde.

Le personnel soignant, les travailleuses et travailleurs migrants et les personnes travaillant dans le secteur informel – qui pour beaucoup se sont trouvés en première ligne face à la pandémie – ont également été trahis par des années de politiques d’austérité. Les systèmes de santé ont été négligés et les aides économiques et sociales lacunaires.

Les mesures prises pour faire face à la pandémie ont aussi été minées par le fait que des dirigeants ont impitoyablement exploité cette crise et instrumentalisé le Covid-19 pour lancer de nouvelles attaques contre les droits humains.

Lire notre dossier : Covid-19, les droits des soignants en danger

LES INÉGALITÉS EXACERBÉES PAR LA PANDÉMIE

En raison des inégalités actuelles, qui résultent de décennies d’exercice toxique du pouvoir, les populations déjà marginalisées, notamment les minorités ethniques, les femmes et les personnes réfugiées et migrantes ont été affectées par la pandémie de façon disproportionnée.

Certaines personnes réfugiées, demandeuses d’asile ou migrantes, se sont retrouvées piégées dans des camps sordides et privées de fournitures essentielles ou bloquées en raison du renforcement des contrôles aux frontières.

Lire aussi : De Calais à Grande-Synthe, à quand des mesures pour protéger les réfugiés et migrants du Covid-19 ?

Par exemple, l’Ouganda, le pays africain accueillant le plus grand nombre de personnes réfugiées, avec 1,4 million d’entre elles recensés sur son territoire, a immédiatement fermé ses frontières au début de la pandémie, ne faisant pas d’exception pour les personnes réfugiées ou demandeuses d’asile qui voulaient entrer dans le pays. En conséquence, plus de 10 000 personnes ont été bloquées à la frontière entre la République démocratique du Congo et l’Ouganda.

Nous attirons également l’attention sur la nette augmentation du nombre de cas de violence domestique et liée au genre. Sur le fait que pour de nombreuses femmes et personnes LGBTI les obstacles à l’accès à une protection et à une aide se sont accrus à cause des restrictions du droit de circuler librement, du manque de mécanismes permettant aux victimes de signaler de façon confidentielle des violences alors qu’elles sont isolées avec les agresseurs, et de la suspension ou des capacités réduites des services d’assistance.

Lire aussi : Les violences faites aux femmes et aux personnes LGBTI en nette progression

L’ÉROSION DES SERVICES PUBLICS

Le personnel de santé et les personnes ont subi de plein fouet les conséquences des politiques qui ont laissé péricliter les systèmes de santé et les mesures de protection sociale. Des personnes qui se sont retrouvées en première ligne face à la pandémie.

Au Bangladeshde nombreuses personnes qui travaillent dans le secteur informel se sont retrouvées sans revenu et sans protection sociale en raison des mesures de confinement et des couvre-feux. Au Nicaragua, au moins 16 professionnels de santé ont été licenciés en l’espace de deux semaines après avoir fait état de leurs inquiétudes concernant le manque d’équipement de protection individuelle et la gestion de la pandémie par les pouvoirs publics.

Lire aussi : Focus sur la situation des droits humains en France

Une habitante de Paraisopolis, l'un des plus grands bidonvilles de la ville, participe à une manifestation à Sao Paulo, au Brésil, le 18 mai 2020, pour demander plus d'aide au gouvernement de l'État de Sao Paulo pendant la pandémie de coronavirus COVID-19.
Une habitante de Paraisopolis, l’un des plus grands bidonvilles de la ville, participe à une manifestation à Sao Paulo, au Brésil, le 18 mai 2020, pour demander plus d’aide au gouvernement de l’État de Sao Paulo pendant la pandémie de coronavirus Covid-19 © Miguel SCHINCARIOL / AFP

INSTRUMENTALISATION DE LA PANDÉMIE

Dans notre rapport, nous dressons également un sombre bilan des carences de certains dirigeants du monde. Trop souvent, leur façon de gérer la pandémie a été marquée par l’opportunisme et un mépris total pour les droits humains.

Lire aussi : Crise du Covid-19, des dirigeants du monde loin d’être à la hauteur

L’adoption par les autorités de lois réprimant pénalement les commentaires relatifs à la pandémie est devenue la norme. En Hongrie, par exemple, le gouvernement du Premier ministre Viktor Orbán a modifié le Code pénal du pays, qui prévoit désormais jusqu’à cinq ans d’emprisonnement en cas de « diffusion de fausses informations » au sujet du Covid-19.

En ce qui concerne les pays du Golfe, l’Arabie saouditeBahreïn, les Émirats arabes unis, le Koweït et Oman ont utilisé la pandémie comme prétexte pour continuer de réprimer le droit à la liberté d’expression. Ils ont poursuivi en justice – , pour diffusion de « fausses nouvelles » – des personnes ayant publié sur les réseaux sociaux des commentaires sur les mesures prises par les autorités gouvernementales face à la pandémie.

D’autres dirigeants ont utilisé une force excessive. Aux Philippines, le président Rodrigo Duterte a dit avoir ordonné à la police de « tirer pour tuer » les personnes qui protestent ou qui causent des « troubles » pendant le confinement. Dans le Brésil du président Jair Bolsonaro, les violences policières se sont intensifiées pendant la pandémie de Covid-19. Au moins 3 181 personnes ont été tuées par la police dans tout le pays entre janvier et juin, soit en moyenne 17 personnes par jour.

Lire aussi : Le président Rodrigo Duterte demande de tuer les « fauteurs de troubles »

Certains dirigeants sont même allés jusqu’à profiter de la distraction provoquée par la pandémie pour réprimer les propos critiques sans rapport avec le virus, et perpétrer de nouvelles violations des droits humains, alors que l’attention des médias à travers le monde se portait ailleurs. Par exemple, en Inde, Narendra Modi a intensifié la répression contre les militants de la société civile. Pour ce faire, il a notamment mené des opérations antiterroristes dans les bureaux et au domicile de plusieurs d’entre eux.

Parallèlement à cela, dans la Chine du président Xi Jinping, le gouvernement continue sans relâche de persécuter les Ouïghours et d’autres minorités musulmanes dans la région du Xinjiang. En outre, une loi draconienne relative à la sécurité nationale s’appliquant à Hong Kong a été adoptée pour légitimer la répression motivée par des considérations politiques.

Lire aussi : Des enfants ouïghours détenus et séparés de leur famille

Un agent de police portant un masque facial par mesure de prévention contre le Covid-19 (nouveau coronavirus) tente d'empêcher un photojournaliste de prendre des photos dans une rue à l'extérieur d'un complexe commercial à Pékin, le 13 octobre 2020.
Un agent de police tente d’empêcher un photojournaliste de prendre des photos dans une rue à l’extérieur d’un complexe commercial à Pékin, le 13 octobre 2020 © NICOLAS ASFOURI / AFP

LA COOPÉRATION INTERNATIONALE EN BERNE

Les dirigeants de la planète ont également causé des ravages à l’échelle internationale, entravant les initiatives collectives de redressement en bloquant ou en sapant la coopération internationale.

Pour exemple, des dirigeants de pays riches, comme l’ancien président américain Donald Trump, ont contourné les tentatives de coopération mondiale en achetant la plupart des stocks de vaccins disponibles dans le monde, n’en laissant guère pour les autres pays. Ces pays riches se sont en outre abstenus de pousser les entreprises pharmaceutiques à partager leurs connaissances et leurs technologies afin d’accroître l’offre de vaccins contre le Covid-19.

La pandémie a crûment mis en évidence l’incapacité du monde à coopérer efficacement en période de grandes difficultés à l’échelle planétaire.

Agnès Callamard

FACE À L’INDIFFÉRENCE DES GOUVERNEMENTS, DES MOUVEMENTS DE PROTESTATION

Les politiques répressives ont incité de nombreuses personnes à participer à des combats de longue haleine comme avec les manifestations du mouvement Black Lives Matter aux États-Unis, les manifestations du mouvement #End SARS au Nigeria, et les nouvelles formes innovantes de protestation telles que les manifestations virtuelles pour le climat.

Lire aussi : En 2020, nos 15 plus belles victoires pour les droits humains

De nombreuses victoires ont été remportées en 2020 grâce à des militantes et militants des droits humains, particulièrement dans le domaine de la lutte contre les violences liées au genre. Citons notamment les nouvelles lois qui ont été adoptées pour combattre les violences contre les femmes et les filles en Corée du Sud, au Koweït et au Soudan, ainsi que la dépénalisation de l’avortement en Argentine, en Corée du Sud et en Irlande du Nord.

En 2020, l’impulsion n’est pas venue des puissants, des privilégiés ou des profiteurs. Elle est venue des innombrables personnes qui ont manifesté pour réclamer un changement.

Agnès Callamard

Des personnes portant des masques de protection scandent des slogans, lèvent le poing et tiennent des pancartes, alors qu'elles manifestent à Nantes, le 8 juin 2020, lors d'une manifestation mondiale "Black Lives Matter" contre le racisme et la brutalité policière à la suite de la mort de George Floyd, un homme noir non armé tué lors de son arrestation par la police à Minneapolis.
Lors d’une manifestation mondiale « Black Lives Matter » contre le racisme et les violences policières à la suite de la mort de George Floyd, Nantes, 8 juin © Loic VENANCE / AFP

LE MONDE EN 2020, PAYS PAR PAYS

Nous avons rassemblé des informations sur de graves violations des droits humains commises en 2020 dans 149 pays.

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Rendez-nous nos piscines : elles tuent le virus du Covid-19 ! Mise à jour

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com)]

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50 m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet. [1]

« Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée. Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule ! (…)

 Il apparut que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades, ne contaminaient ni enfants ni adultes. »

Néanmoins des mesures coercitives furent prises bloquant la vie normale des Français dont bon nombre supportèrent très mal les privations de liberté, les sportifs en particulier. Tout ferma contre toute logique, car sans étude spécifique, il semblait bien que la pratique de la natation dans un milieu très javellisé ne devait pas être un sport à risques. Mais la politique eut le dessus d’une logique quelque peu sanitaire.

La sortie du tunnel ? La lumière à l’horizon comme dit l’avocat Reiner Fuellmich

L’Imperial college nous a fait plonger dans une catastrophe internationale via les prévisions fallacieuses de ses simulateurs et leur chef Neil Ferguson [2]. Vont-ils nous en sortir en nous faisant replonger dans nos piscines avec délectation ?

Nous avions alerté il y a quelques semaines sur le désarroi des nageurs, jeunes et vieux privés de leur milieu devenu naturel et partie intégrante de leur vie et de leur bien-être. [3] Actuellement, à l’occasion de la réouverture des piscines en Grande-Bretagne, une équipe de virologues de Londres de l’Imperial College publie son étude sur la survie du coronavirus SARS-2 dans l’eau de piscine et conclue à la destruction quasi complète du virus en piscine.

L’eau de la piscine inactive le virus du Covid-19 en 30 secondes dans les bonnes conditions, selon une nouvelle étude [4].

Les résultats suggèrent que le risque de transmission de Covid-19 dans l’eau de la piscine est « incroyablement faible » selon l’expression des chercheurs anglais. Les études ont été réalisées en collaboration entre Swim England et l’entreprise de natation pour bébés Water Babies et la Royal Life Saving Society UK (RLSS UK).

L’étude sur l’eau des piscines a été entreprise par le virologue et expert en virus respiratoires de premier plan, le professeur Wendy Barclay, en collaboration avec le Dr Jonathan Brown, associé de recherche, et Maya Moshe, technicienne de recherche à l’Imperial College de Londres, et le projet géré par Alex Blackwell, responsable des piscines et des installations de Water Babies.

Le professeur Barclay a examiné les effets de l’eau de piscine sur le virus responsable du Covid-19, SRAS-CoV-2, pour évaluer la quantité de temps et de contact nécessaires pour inactiver le virus à différents niveaux de chlore et de pH.

« Le virus ne survit pas »

La recherche a établi que 1,5 mg par litre de chlore libre avec un pH entre 7-7,2 réduit l’infectiosité du virus de plus de 1 000 fois en 30 secondes.

Des tests supplémentaires effectués sur différentes gammes de chlore et de pH ont confirmé que le chlore dans l’eau de la piscine était plus efficace avec un pH inférieur – ce qui est conforme aux directives actuelles pour le fonctionnement de la piscine.

Déclarations du virologue en charge de l’expérience

Le professeur Wendy Barclay a déclaré :

« Nous avons effectué ces expériences dans nos laboratoires de confinement élevé à Londres.  « Dans ces conditions de sécurité, nous sommes en mesure de mesurer la capacité du virus à infecter les cellules, ce qui est la première étape de sa transmission.

« En mélangeant le virus avec l’eau de la piscine livrée par l’équipe des Water Babies, nous avons pu montrer que le virus ne survit pas dans l’eau de la piscine : il n’était plus infectieux. « Cela couplé avec l’énorme facteur de dilution du virus qui pourrait trouver son chemin dans une piscine d’une personne infectée suggère la possibilité de contracter Covid-19 de l’eau de la piscine est négligeable ».

Les piscines sont des milieux dénués de danger pour la contamination du virus. Raison de plus pour que le gouvernement autorise la reprise de la natation en milieu ouvert et fermé, sans risque sanitaire. Les sportifs licenciés amoureux de l’eau ont été particulièrement frustrés depuis un an. Il est impératif qu’ils puissent reprendre leur entraînement le plus rapidement possible afin de retrouver leur forme physique mais aussi morale.

Pour tous, la possibilité de reprendre une activité sportive est capitale. Comme d’autres, nous avons insisté sur la terrible détérioration de l’état mental de l’ensemble du peuple, mais singulièrement des jeunes et enfants. Il est capital qu’ils retrouvent des activités sportives leur permettant de plus de reprendre une vie sociale avec des camarades de classe, des coachs.

IRONIE DU SORT ? Sauvés par l’Imperial college ?

Par ironie du sort, l’Imperial college fut un des instruments de la catastrophe covid via les mesures de confinement qu’il conseilla. La sortie de la folie collective de mesures liberticides inappropriées viendra-t-elle de la même Université ?

ROUVRONS LES PISCINES SANS ATTENDRE

AUCUNE RAISON SANITAIRE NE JUSTIFIE UNE SEULE SECONDE LA POURSUITE DE LEUR FERMETURE

Nicole Delépine


[1] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- la en tsunami ! – “La politique est une poubelle qu’il faudrait vider plus souvent”© (observatoiredumensonge.com)

[2] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[3] Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons- là en tsunami ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] Swimming pool water inactivates Covid-19 virus in 30 seconds


Mise à jour — Complément

  Le risque de noyade chez les enfants est-il à craindre ? (aufeminin.com)   « Covid-19 : avec la fermeture des piscines, un risque d’explosion des noyades chez les enfants est-il à craindre ?

par Suruthi SRIKUMAR créé le 9 mars 2021

« La pandémie de coronavirus a bouleversé les activités scolaires et extra-scolaires des enfants, les empêchant, par exemple, d’apprendre à nager à la piscine. Une conséquence désastreuse pour les professionnels qui craignent une hausse des noyades cet été.


Au total, 800 000 élèves n’ont pas pu suivre leur cycle de natation à cause des piscines fermées ou partiellement fermées. Pourtant pour de nombreux élèves, notamment ceux issus de milieux populaires, l’école était le seul endroit où ils apprenaient à nager. En effet, en Seine-Saint-Denis, un jeune sur deux n’a pas son attestation scolaire savoir nager (ASSN).

Mais depuis un an, cet apprentissage a été perturbé, voire totalement interrompu à cause du covid-19.
Une fermeture qui n’est pas sans conséquence. “C’est un an de perdu, qu’on pourra difficilement rattraper”, s’inquiètent des professeurs d’EPS au Parisien. (Fermeture des piscines : le virus a-t-il créé une génération de non-nageurs ? – Le Parisien)

En effet, à l’approche des vacances d’été, le fléau estival des noyades inquiète. Chaque année, 1000 personnes se noient, un chiffre qui ne cesse d’augmenter depuis six ans. Axel Lamotte, maître-nageur en Seine-Saint-Denis et secrétaire général adjoint du Syndicat national professionnel des maîtres-nageurs sauveteurs indiquent : “Les enfants n’ayant pas accès de façon normale à l’éveil aquatique et à l’apprentissage de la natation depuis un an, nous sommes inquiets du nombre de noyades qui pourrait grandir en 2021”, explique-t-il au Parisien. “Quand les cohortes d’élèves 2020/2021 vont débarquer sur les plages ou les bases de loisirs, cela va être catastrophique !”, s’alarme-t-il.

Selon une étude de Santé publique France, il existe une hausse de 96 % des décès par noyade chez les enfants de moins de 6 ans, et de 132 % dans les piscines privées familiales. »




Coronavirus : le gouvernement disposait de toutes les informations depuis mars 2020 !

Par Alain Tortosa

Coronavirus, mars 2020, oui on savait !

Contrairement à la croyance répandue et développée depuis plus d’un an, oui on savait.

Le gouvernement disposait de TOUTES les informations nécessaires pour faire les BONS choix !

Les pseudo-média, les pseudo-médecins utilisent l’argument de l’ignorance pour développer la thèse que toutes les erreurs commises en France en mars 2020 n’étaient QUE le résultat de l’ignorance que nous avions et que nous avons encore sur le fameux « nouveau coronavirus ».

Cette croyance est à ce point ancrée et martelée que même des grandes figures de la résistance face à la dictature, adhèrent à ce mythe et ne critiquent pas ou peu les premières semaines de gestion de l’épidémie en France.

Oui à ce mythe, car il s’agit bien là d’un mythe parfaitement orchestré afin de nous manipuler et faire passer toutes les lois liberticides de la dictature.

Je ne prétends pas affirmer que nous savions tout, car le principe de toute science est de douter et que plus nous apprenons sur un sujet, plus nous sommes conscients de ne rien savoir. Dans les faits, toute réponse amène son flot de questions…

Mais il ne s’agit pas de philosopher, mais de répondre à l’interrogation suivante :

« En mars 2020 lors du premier confinement étions-nous dans l’ignorance ou en savions-nous suffisamment pour proposer une politique diamétralement opposée ? »

Le fait que je pose la question vous indique que je possède déjà la réponse.

Que pouvaient savoir le conseil scientifique et le Président de la République à la veille de condamner l’ensemble de la population française à une incarcération sans procès préalable ?

Voici nos connaissances de l’époque d’un point de vue général

  • Nous n’avions pas à faire à un virus totalement inconnu, mais de la famille des coronavirus qui sont courants.
  • Nous savions que les coronavirus passent leur temps à muter.
  • Nous savions qu’aucun vaccin n’avait jamais pu fonctionner pour les coronavirus précédents et nous savions donc que faire un vaccin relevait d’un non-sens, notamment du fait des dites mutations.
  • Nous savions aussi qu’il ne faut pas vacciner les personnes durant une épidémie (mais avant) à cause du risque accru d’anticorps facilitant et d’augmentation du nombre de variants.
  • Nous savions que les confinements d’une population générale en bonne santé n’avaient aucune efficacité pour contrôler ou ralentir une épidémie (cf. par exemple les données de l’OMS).
  • Nous savions que les épidémies se terminent naturellement lorsque l’environnement devient défavorable au virus (météo, immunité acquise par la population, décès des personnes qui devaient décéder…).
  • Nous savions que le port du masque dans une population générale était non seulement inefficace, mais plutôt de nature à faire empirer l’épidémie et la santé des porteurs (cf. OMS).
  • Nous savions que la distanciation, les gestes barrière n’étaient pas efficaces dans une population en bonne santé.
  • Nous savions qu’il est efficace de faire tourner les virus dans des populations qui ne sont pas à risque pour faciliter une immunité naturelle de masse et ainsi protéger les personnes à risque.

Nos connaissances sur le Sars-cov2 au premier trimestre 2020.

  • Les chinois avaient publié de nombreuses études ou donné, mais aussi les italiens dont l’épidémie avait débuté p lus tôt.
  • Nous connaissions parfaitement le profil des patients à risque et le profil n’a que peu évolué depuis le mois de janvier 2020 (2020 et non 2021 !).
  • Nous savions que seules les personnes très âgées o u avec de graves comorbidités décédaient. L’âge médian des décès e st passé de 82 ans en mars 2020 à 85 ans à ce jour.
  • Nous savions notamment que les enfants n’étaient pas concernés, et même si on a cherché à nous faire peur avec le syndrome de Kawasaki, la dictature n’a pas réussi à fabriquer de faux morts d’enfants.
  • Nous savions qu’il y avait des traitements et les Chinois avaient déjà montré que des antibiotiques et l’hydroxychloroquine étaient efficaces pour traiter les patients.
  • Nous savions AVANT même de débuter le confinement que celui-ci serait un échec. Il suffisait de comparer la courbe de progression des cas dans des pays à fort confinement comme l’Italie et des pays qui n’ont JAMAIS confiné leur population comme la Corée du Sud.
  • Nous savions que la détection ET l’isolement des MALADES (pas des positifs asymptomatiques) étaient efficaces.

Tout ce qui est précédemment cité est demeuré vrai au fil des mois.

Je sais bien que seules les comparaisons avec les pays dont les résultats sont encore plus catastrophiques que la France sont « légitimes », mais pas les autres. Pour autant, la Suède qui, en gros, n’a strictement rien mis en œuvre déplore moins de morts par habitant que la France.

L’Asie et des pays comme la Corée du Sud (du Sud, pas du Nord ! 51 millions d’habitants, niveau de vie identique à la France, âge médian de la population identique, capitale surpeuplée de 9 millions d’habitants… ) ont des résultats incroyablement meilleurs !

Je vous précise que l’épidémie a débuté quasiment au même moment en Italie et en Corée du Sud. Au 25 février 2020, chacun des deux pays comptait 10 morts (au total) tandis que la France n’en avait qu’un seul. Nous pouvons considérer que l’épidémie en France avait environ 10 jours de retard sur la Corée du Sud et l’Italie.

(Les données suivantes sont le nombre de décès pour 1 000 000 habitants.)

Au 15 mars, l’épidémie débutait à peine en France avec 1,33 mort.

L’Italie était déjà à 29,92 décès alors que la Corée du Sud ne déplorait que 1,46 mort.

Le 17 mars, deux jours plus tard ! La France avait dépassé le nombre de décès de la Corée du Sud avec 2,19 versus 1,58 tandis que l’Italie était déjà à 41,40 soit 20 fois plus que la Corée du Sud !

15 jours plus tard, le 4 avril c’était du délire ! 3 morts pour la Corée, 110 pour la France et 254 pour l’Italie. (Au 14 avril, équivalent en nombre de jours d’épidémie, la France était à 230, preuve en est de résultats très proches pour les deux pays.)

Je le répète, en regardant la progression du nombre de malades, nous savions AVANT le confinement que l’Italie avait fait un choix catastrophique et que le bon élève était la Corée du Sud.

Et la France avait choisi la politique italienne. Pourquoi ?

Imaginez que si je disposais à la mi-mars de tous les éléments de preuve de l’escroquerie et du futur échec du confinement, quelles pouvaient être les données possédées par le gouvernement français ?

Mais je vais être bon prince et vous laisser quand même dire que l’on ne savait pas en mars 2020 ce qui est faux. Mais aussi vous laisser dire que la France ne possédait pas des masques qui, par ailleurs, sont totalement inutiles. Je vais même vous laisser dire que la France ne possédait pas de tests en masse indispensables pour les malades, mais totalement inutiles en population générale en bonne santé.

Nous avons eu les masques, nous avons eu des millions de tests, et nous avons eu deux confinements de plus (pour l’instant) ! Et pendant ce temps, l’écart de mortalité entre les pays européens qui ont détruit les droits de l’homme et l’Asie ne faisait que croître !

La dictature sanitaire a osé dire que c’était la faute aux variants, variants qui « étrangement » sont principalement apparus dans les pays qui ont testé les « vaccins ». Nous dirons que c’est la faute à pas de chance…

J’imagine que vous aurez donc une théorie, encore une fois, pour expliquer que les variants ont épargné la Corée du Sud ! Bizarre, non ?

Et aujourd’hui ?

Eh bien au 11 avril de cette année nous en sommes respectivement à 1 890 décès pour 1 000 000 habitants en Italie, 1 450 décès pour 1 000 000 habitants en France et… 34 pour la Corée du Sud !

S’il ne s’agissait pas de morts, nous pourrions en rire ! Rendez-vous compte que la France dénombre 42 fois plus de décès par habitant que la Corée du Sud ! Si cela ne vous parle pas, c’est comme si nous avions eu en France 2 300 décès depuis le début de la crise en mars 2020 !

Pour expliquer cela, vous pourriez émettre l’hypothèse que la Corée du Sud testait ou teste plus que les Français. (Je vous rappelle que l’absence de tests massifs était une des hypothèses retenues par le conseil scientifique pour nous confiner la première fois.)

Le nombre actuel de tests journaliers est de 0,8 pour 1000 habitant en Corée du Sud avec un pic à 1 pour 1000. La France en est à 7,6 pour 1 000 habitants, soit presque 10 fois plus, et avec un pic à 7,9.

Au 17 mars, l’Italie testait déjà plus que la Corée du Sud ! (je n’ai pas les données pour la France en mars). L’hypothèse du nombre de tests effectués pour contrôler une épidémie tombe aussi à l’eau.

Mais alors qui se fout de nous ?

Nous avons toutes les preuves que les politiques mises en œuvre depuis le début de la crise en France sont catastrophiques, que les confinements et autres masques obligatoires n’ont absolument pas contenu l’épidémie.

On ose nous dire que le problème de la France est que nous manquons de lits de réanimation alors même que nous faisons tout pour les remplir en interdisant les traitements préventifs et curatifs. Or une personne qui entre en réanimation n’est rien d’autre que la preuve de l’échec d’une politique sanitaire ! On ne résout pas le problème de débordement d’une baignoire en augmentant son volume, mais en diminuant réellement le débit de l’eau et sans baguette magique.

Les autorités nous ont annoncé dès le mois de mars 2020 que le « sauveur » serait la thérapie vaccinale !

Revenons donc à la Corée du Sud

Alors que 15,8% des Français ont reçu au moins une dose du sauveur, seuls 2,2% des Sud-Coréens ont été vaccinés ! Décidément ce pays est très étrange, j’imagine que la génétique de l’Asiatique doit être fort différente de celle des Français. Ils ont 40 fois moins de morts qu’en France sans se vacciner et la vaccination serait L’UNIQUE voie ? Il va me falloir du temps pour comprendre !

À propos du « vaccin » miracle…

Rendez-vous compte que le taux de mortalité de la Hongrie est passé de 1 145 à 2 400 depuis le début de la vaccination avec 30% de personnes vaccinées ! Évidemment c’est la faute aux variants qui adorent la Hongrie, mais détestent la Corée du Sud… Il est vrai que j’ai entendu dire que les nouveaux variants étaient plus snobs et préféraient les iPhone aux Samsung, ceci expliquant sans doute cela !

Alors quel est le secret de la Corée du Sud ?

Rien de bien extraordinaire, ils ont fait ce que nous faisions dans le temps en France avec nos sanatoriums pour la tuberculose. Ils ont simplement placé en quarantaine les malades. Le plus risible ou pitoyable est lorsque les autorités françaises nous disent que cette mesure ne serait pas possible en France, car elle constituerait une atteinte aux droits de l’homme ! Ici encore, mieux vaut en rire !

Conclusion

Pour résumer, les principales données sur le virus étaient connues dès le premier trimestre 2020. Le profil des personnes à risque était parfaitement identifié ! Nous savions que les antibiotiques et l’hydroxychloroquine fonctionnaient et dès le mois d’avril nous savions que l’Ivermectine était prometteuse. Nous savions que les confinements d’une population générale, l’obligation du masque toujours dans une population générale, n’avaient eu aucune efficacité dans l’histoire du monde dès lors que le virus circule déjà.

Nous savions que la politique de confinement mise en place quinze jours avant la France en Italie était catastrophique. Nous savions que les dépistages massifs mis en place en Italie n’avaient strictement aucune efficacité.

ET…
Nous avions AVANT le premier confinement, déjà la preuve que la politique sud-coréenne de mise en quarantaine des malades fonctionnait parfaitement !

Alors que nous avions toutes les données sur ce qu’il fallait faire et ne pas faire, la France, et de nombreux pays européens, n’ont pas modifié leur politique sanitaire ni à l’époque, ni depuis…

Celle-ci est uniquement basée sur des dogmes ou la main mise de l’industrie pharmaceutique qui a converti des mensonges en « Vérités absolues ».

  • « Si un confinement ne fonctionne pas, c’est qu’il a été non respecté. »
  • « Si des contaminations ont lieu, c’est que les gens portent mal le masque ou ne respectent pas les gestes barrière. »
  • « S’il y a des personnes qui en contaminent d’autres, c’est que l’on ne fait pas assez de tests PCR. »

La science, si elle n’avait pas été exécutée sur l’autel de l’obscurantisme et de la corruption, aurait voulu que l’on se dise « nous voyons bien que cela ne fonctionne pas, changeons ». Mais les autorités françaises ont affirmé que si certaines mesures ne fonctionnaient pas, c’est qu’il fallait donc les accroître !
« Je constate que cela ne marche pas, je vais augmenter les doses ! »

Alors, s’il vous plaît arrêtez de répéter les mensonges de la Pravda et des scientifiques corrompus !

Nous disposions de TOUTES les données utiles pour faire les bons choix avant même le premier confinement ! C’est en toute connaissance de cause que ces choix les plus mortifères ont été mis en œuvre en France depuis plus d’un an. Nous avons toutes les données et toutes les preuves scientifiques !

NOUS SAVIONS CE QU’IL FALLAIT FAIRE ET NE PAS FAIRE DÈS LE MOIS DE MARS 2020 !

LES AUTORITÉS SANITAIRES ONT FAIT LE CHOIX DÉLIBÉRÉ DE PROVOQUER UN MAXIMUM DE DÉCÈS DANS LA POPULATION FRANÇAISE !

Cette politique n’a JAMAIS été infléchie depuis !

Et pour celles et ceux qui penseraient que c’est facile de le dire aujourd’hui avec le recul, je les invite à lire mes textes publiés dès le mois de mars 2 020.

Merci

Alain Tortosa

Le 13 avril 2021

Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210413-covid-on-savait.pdf


Quelques Sources :

https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6911e2.htm
Initial Investigation of Transmission of COVID-19 Among Crew Members During Quarantine of a Cruise Ship — Yokohama, Japan, February 2020

https://www.jwatch.org/na51083/2020/03/13/covid-19-incubation-period-update NEJM COVID-19
Incubation Period: An Update 10 mars 2020

https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2763667
Case-Fatality Rate and Characteristics of Patients Dying in Relation to COVID-19 in Italy
L’étude de l’ISS précise q ue 48,5% des patients décédés avaient 3 pathologies ou plus. 26% avaient 2 pathologies et 25% une seule. Et de rajouter « Seulement 0,8 % des personnes n’avaient aucune pathologie » 23 mars 2020

https://www.nature.com/articles/s41421-020-0156-0
Hydroxychloroquine, a less toxic derivative of chloroquine, is effective in inhibiting SARS-CoV-2 infection in vitro
18 mars 2020

https://www.letemps.ch/sciences/chloroquine-une-piste-lutter-contre-sarscov2
La chloroquine, une piste pour lutter contre le SARS-CoV-2
Une vingtaine d’essais cliniques sont en cours en Chine pour évaluer l’effet de cet antipaludéen. Les résultats préliminaires d’un essai français semblent probants, mais cette approche thérapeutique ne fait pas l’unanimité
17 mars 2020

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7108130/
In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)
9 mars 2020

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30183-5/fulltext
Clinical features of patients infected with 2019 novel coronavirus in Wuhan, China 24 janvier 2020

https://www.researchgate.net/publication/339792001_Therapeutic_options_for_the_treatment_of_2 019-novel_coronavirus_An_evidence-based_approach
Therapeutic options for the treatment of 2019-novel coronavirus: An evidence-based approach Indian Journal of pharmacology
Janvier 2020

https://www.isglobal.org/documents/10179/6022921/Patel+et+al.+2020+version+1.pdf
Ivermectin in COVID-19 Related Critical Illness – ISGlobal
6 avril 2020

https://www.caymanchem.com/news/using-existing-therapeutics-against-sars-cov-2
Using Existing Therapeutics Against SARS-CoV-2
Article from 2020-03-30
« reports have shown that ivermectin’s nuclear transport inhibitory activity is also effective against cultured Vero/hSLAM cells infected with SARS-CoV-2. The mechanism of action for how ivermectin interferes with this particular coronavirus is unclear. »

https://7milliards.fr/coronavirus-france-vs-coree.html
Coronavirus confinement à la française ou à la coré enne ? Un scandale ?
4 avril 2020

https://7milliards.fr/la-crise-du-coronavirus.html
Coronavirus ou l’interdiction de penser ?
Mars 2020

https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer? zoomToSelection=true&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confi rmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=ITA~KOR~FRA
Décès par million d’habitants

https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer? zoomToSelection=true&pickerSort=desc&pickerMetric=population&Interval=Cumulative&Relativ e+to+Population=true&Align+outbreaks=false&country=HUN~IND~ISR~GBR~USA~CHN~FRA ~KOR&Metric=People+vaccinated
Pourcentage de la population ayant reçu une dose de vaccin.

https://ourworldindata.org/grapher/daily-tests-per-thousand-people-smoothed-7-day? tab=chart&country=KOR~ITA~FRA
Nombre de tests journaliers pour 1000 personnes.




Les déclarations d’un éminent professeur de médecine devant la Commission d’enquête Covid19 du Sénat américain

[Source : TANRESI]

https://youtu.be/zjn__NjFY7c



Reiner Fuellmich : « Je vois une lumière à la fin de ce tunnel ! »

[Source : Neuf de Coeur]

Il y a quelques mois, Reiner Fuellmich a fait part de son intention de traduire en justice l’OMS (et d’autres acteurs) pour «crimes contre l’humanité».
C’est un avocat allemand qui a une expertise dans le domaine médical et qui a monté un groupe d’experts afin de se préparer à réaliser l’un des plus grand recours collectif de l’histoire, autrement connu sous le nom de «Nuremberg 2.0».
Voici un court extrait de son interview du 2 avril 2021 réalisée par Jerm Warfare.

Voux pouvez découvrir toutes les interviews de Jerm Warfare sur le site suivant : https://jermwarfare.com/

[Voir État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich et Reiner Fuellmich : avocats et médecins contre l’arnaque du COVID-19!)






FranceSoir sauve sa tête malgré le lobbying de la presse subventionnée

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

France Soir pourra garder son label de site « d’information politique et générale ». Cette décision met hors d’elle la presse mainstream et déchaîne les accusations de « complotisme » et de « fake news ». En fait le titre est une cible de ses « confrères » précisément à cause de son succès et de son souci d’une information vérifiée. A l’époque de la presse subventionnée, des vérités officielles, de la censure Big Tech et des chasses aux sorcières, ce n’est pas pardonnable.

FranceSoir a donc sauvé sa tête. Le verdict est tombé hier. Saisie fin janvier par Roselyne Bachelot, la Commission paritaire des publications et des agences de presse (CPPAP) a tranché: le site d’information peut garder son label de site « d’information politique et générale » (IPG). Théoriquement, le titre aurait accès, par conséquent, à des aides d’État accordées par le Ministère de la Culture et de la Communication, relevant du « fonds stratégique de développement de la presse ». France Soir n’a pas utilisé cette possibilité. En revanche, la plupart des grands titres de la presse nationale ou régionale émargent à ce fond, certains pour des montants de plusieurs centaines de millions d’euros. À l’annonce de la décision, on a vu se multiplier les récriminations de la presse mainstream (en France synonyme de médias subventionnés). Ainsi  Le Figaro ou Libération reprennent-ils largement à leur compte les accusations de complotisme qui étaient déjà à l’origine de l’enquête diligentée par la Ministre de la Culture. On reproche à FranceSoir de ne pas s’être aligné sur les thèses officielles durant toute la crise du COVID 19 : le site a largement fait place aux médecins qui, tels Didier Raoult, défendent des traitements préventifs ou précoces contre le virus. Il a invité certains des plus remarquables analystes de la crise sanitaire comme le professeur suisse Jean-Dominique Michel. Il a posé sans tabous la question de la fiabilité des vaccins, pointé les approximations du gouvernement et des instances d’experts, posé la question des libertés fondamentales… et gagné 3 millions de visiteurs uniques chaque mois. 

Le succès, ça ne se pardonne pas au pays inventeur de la guillotine! 

Médias du monde ancien contre média de son temps

Ce qui se joue autour de la tentative de déstabiliser FranceSoir de la part de ses concurrents, peut être analysé à quatre niveaux: 

  1. Il y a bien entendu un enjeu de liberté d’information et d’opinion. Ce que d’aucuns qualifient de complotiste, c’est tout simplement le souci d’informations qui ne soient pas simplement la reproduction de discours gouvernementaux et de communiqués de la bureaucratie d’État. 
  2. La digitalisation des médias est profondément déstabilisante pour les médias traditionnels et elle a favorisé l’émergence de titres nouveaux, flexibles et adaptés aux nouveaux publics. C’est mondialement que les médias du monde ancien tentent de disqualifier leurs concurrents, en particulier en les accusant de propager des fausses nouvelles et en s’appuyant sur l’appareil d’État pour obtenir de nouveaux types de censures. 
  3. À ceci vient s’ajouter le contexte spécifiquement français de la difficulté à réformer et faire bouger de vieilles structures. Alors même que le titre était en train de couler définitivement par refus des salariés d’évoluer, on ne pardonne pas à Xavier Azalbert d’avoir pris le taureau par les cornes et refondé le journal.  
  4. Enfin, il existe un autre enjeu qui est de celui de savoir si les médias veulent répondre à la soif d’information libre du public ou bien conforter l’entre-soi des grandes métropoles et de leur information contrôlée, au service du Great Reset. Très clairement les géants de la Big Tech, par la censure qu’ils mettent en œuvre sur les réseaux sociaux, pensent que l’information doit refléter uniquement la parole officielle des visiteurs de Davos ou des amis de la Chine communiste, le tout sur fond d’agit prop gauchiste.

Tel David contre Goliath,  FranceSoir  combat pour l’information de tous les citoyens et nos libertés, individuelles et collectives. Il y aura d’autres tentatives de déstabilisation. Mais réjouissons-nous que, cette fois, l’État n’ait pas cédé à la pression des minorités ni du monde ancien.  




De l’art de la manipulation, de la pensée unique… et de l’usage du mot « complotiste »

Par Alain Tortosa

Concernant l’utilisation répétée et généralisée du mot « complotiste »

Celui-ci ne fait qu’apporter la preuve indirecte que ledit « complotiste » énonce des propos qui sont, sinon justes, tout du moins dignes d’intérêt.

En effet, le terme « complotiste » a une visée double :

  • Celui de discréditer en amont les opinions divergentes.

Mais aussi et surtout :

  • Décharger autrui de l’obligation morale de lecture et de réflexion pour construire sa propre opinion.

Et donc faire passer le message :

« Je t’annonce que les propos suivants ne sont que délires et que tu n’as pas à les lire. »

Mais pire encore :

«Tu ne devrais pas les lire, car tu pourrais être manipulé et induit en erreur. Tu es donc dédouané du devoir de t’informer avant de juger pour construire ta propre opinion. »

Ceci constitue une preuve que l’intention manipulatrice vient, non pas du prétendu « complotiste », mais de celui qui utilise le terme pour discréditer toute hypothèse alternative.

Cela peut se résumer autrement en disant que si les propos dudit « complotiste » n’étaient que « délire », il suffirait de le laisser s’exprimer librement et toute personne censée en prendrait conscience et ce serait terminé, le soufflet retomberait.

Une autre « justification » de l’usage reviendrait de fait à affirmer que le peuple est trop stupide pour comprendre, qu’il faut donc le mettre sous tutelle et le protéger malgré lui. Il faut donc l’empêcher de réfléchir, ce qu’il ne sait pas faire, par nature, et donc l’empêcher de construire sa propre opinion qui ne pourrait qu’être erronée. Nous déduisons qu’il faut évidemment lui retirer toute prérogative et il serait logique en premier lieu de lui supprimer le droit de vote. Ce qu’a fait en gros la 5e république…

Donc tout journaliste qui traite autrui de « complotiste » est en train de dire indirectement que les propos dudit complotiste sont pour partie vrais (et donc subversifs) ou d’affirmer que la démocratie ne saurait exister pour un peuple incapable d’avoir les « bonnes » pensées et de faire les « bons » choix.

La vérité serait statistique ou issue des autorités de pouvoir ou reconnues

La théorie voudrait que « plus c’est répété, plus c’est vrai ». Un mensonge dit par une personne seule est un mensonge, mais s’il est répété par des milliers de personnes il devient une Vérité. Cela est concomitant avec une autre croyance qui dirait que plus l’information est issue d’une autorité reconnue et plus elle est au-dessus de tout soupçon.

De fait, quand par exemple l’OMS, l’Agence Européenne du Médicament ou l’INSERM diffusent le même conte, cette uniformité de discours en fait une Vérité incontournable. Or le devoir de tout journaliste ou de tout scientifique est de douter de la vérité et enquêter sans a priori.

Un autre point qu’il ne faut pas négliger est le conformisme et le besoin d’appartenance. Si l’OMS le dit et que j’ai la croyance que c’est une entité respectable, alors j’aurai naturellement tendance à penser qu’ils émettent une Vérité. Commencer à penser ou dire le contraire me placerait en porte-à-faux et dans une position inconfortable sans compter le risque de dénigrement ou d’excommunication…

Nous assistons de fait au décès de la science.

Et pourtant, la seule démarche scientifique face à un chercheur qui affirmerait que la Terre est plate serait d’écouter ses arguments et de lui demander d’apporter les éléments de preuve qui lui permettent d’avancer cette théorie.

Si d’aventure son hypothèse était totalement ridicule, il ne serait pas difficile d’exposer les contre-arguments et l’auteur de la théorie de la Terre plate serait discrédité.

À propos des institutions au-delà de tout soupçon.

Prenons l’exemple de l’OMS

Quiconque s’est un peu penché sur le sujet sait que l’OMS pose problème.

  • La fondation Bill et Melinda Gates est un des plus grands contributeurs, plus que la plupart des états membres. Fondation elle-même soutenue et financée par l’industrie pharmaceutique et le Gavi qui est un lobby mondial pour la vaccination.
  • Les laboratoires pharmaceutiques sont représentés dans les instances décisionnelles.

Le sous-financement de l’OMS la rend directement dépendante des lobbies. Il serait donc déraisonnable, voire irresponsable, de s’appuyer sur son seul nom pour en déduire la véracité scientifique et objective de ses discours.

L’Union Européenne

Ici encore le lobbying dans l’Union est un secret de polichinelle. Les milliards des lobbyistes coulent à flots et nous assistons à un jeu de chaises musicales entre les postes dans l’industrie et les postes au sein de la commission. Nous avons eu la preuve de l’absence totale d’indépendance pour l’autorisation de mise sur le marché des thérapies dites « vaccinales ». Thérapies qui ont pu bénéficier d’une autorisation temporaire parce qu’il n’existe, officiellement, aucun traitement contre le Covid. Qui dit « traitement » dit donc adieu aux « vaccins » ou en tous les cas, retarde leur arrivée de plusieurs années du fait de l’interdiction de court-circuiter toutes les sécurités. Ne nous étonnons donc pas de l’absence de traitement proclamée dès le déb ut de l’épidémie et de l’annonce que « seuls les vaccins nous permettront d’éradiquer le fléau ».

Comment ne pas se questionner aussi dès lors que les autorisations de mise sur le marché des dits produits ont été accordées sur les seules données des industries pharmaceutiques.

L’industrie pharmaceutique

Les scandales se succèdent d’année en année et les milliards de dollars d’amendes aussi bien pour falsification de données, mensonges, publicité mensongère et corruption massive de politiques ou de médecins.

Dès lors que cette industrie pèse sur l’OMS et est en capacité de faire autoriser ses produits expérimentaux sur simple présentation de ses données, comment ne pas s’interroger ?

Les scientifiques et la recherche (INSERM, Pasteur,…)

La survie financière et la possibilité pour des scientifiques de faire des recherches sont rendues quasi impossibles sans un partenariat public/privé du fait du désengagement progressif de la force publique. Seules les études qui peuvent avoir une rentabilité commerciale sont menées.

Existe-t-il encore une science ? Combien d’études sont publiées sans que les auteurs aient reçu une rémunération directe ou indirecte de l’industrie pharmaceutique ? Qui pourrait ainsi croire que le financeur ou le « mécène » n’est pas celui qui insuffle la ligne directrice et donc la Vérité ?

Bref! tout ceci pour affirmer ou rappeler qu’il faudrait être fou ou corrompu pour s’appuyer sur le seul nom d’une institution pour en déduire la véracité de ses propos.

Le dénigrement par le consensus, le doute et le dévoiement du principe de précaution

La dictature sanitaire utilise à la fois le consensus et le doute pour mettre à mort la science.

D’un côté, le consensus :

Le discours est à ce point biaisé que lors d’un débat entre une personne qui adhère à la doxa et un scientifique qui doute, le message passé par le Ministère de la Vérité sera par exemple : «Il y a un consensus sur l’efficacité du port du masque » alors même que la seule existence de celui qui critique constitue une preuve de l’absence de consensus.

La Vérité imposée par les autorités sanitaires et leurs complices médiatiques est qu’il y a « consensus » parmi les scientifiques qui ont accès aux médias nationaux et puis c’est tout ! Tous les autres sont donc naturellement qualifiés de « complotistes » et il est de fait inutile, voire dangereux, de les intégrer comme pensée divergente. Ainsi le « consensus » n’est pas brisé étant donné que seules les opinions conformes sont crédibles.

De l’autre côté, le doute :

Toute affirmation qui n’irait pas dans le sens de la Vérité imposée sera dénaturée par une introduction perverse du doute.

Cette méthode est d’autant plus perverse que le doute est LA démarche de base de la science. Prenons l’exemple de l’Ivermectine. De nombreuses études issues de scientifiques indépendants au-delà de tout soupçon arrivent à la conclusion que le produit est efficace pour lutter contre le Covid et qu’il faut donc l’intégrer dans l’arsenal des mesures possibles.

(Je vous rappelle que s’il était efficace les « vaccins » n’auraient pas pu bénéficier d’une AMM)

Que font celles et ceux qui voient les « vaccins » comme étant des sauveurs ou plutôt une manne financière ? Ils inondent la presse scientifique « d’études » qui concluent que le médicament est inefficace ou dangereux. Il y a donc un doute que l’on peut naïvement croire légitime qui s’installe… Au point que si les études (bidons) deviennent majoritaires, le doute disparaît et la « preuve » que le produit est finalement inefficace et dangereux s’impose. Mais est-ce un doute raisonnable et honnête ou un doute biaisé induit par des chercheurs qui auraient des conflits d’intérêts ou même carrément véreux ?

Abordons maintenant le dévoiement du principe de précaution

Le « Primum non nocere » [d’abord, ne pas nuire] est parti aux oubliettes.

Si celui-ci était de mise alors nous n’aurions connu :

  • Ni confinement.
  • Ni masques obligatoires.
  • Ni commerces ou loisirs fermés.
  • Ni maltraitances envers les enfants.
  • Ni Remdesivir.
    Etc.
  • Ni « vaccins ».

Il y aurait eu une évaluation préalable de chaque mesure et certainement pas un déploiement à l’échelle de nombreux pays… Une partie de la population aurait été confinée, mais pas l’autre et nous aurions pu évaluer l’efficacité de la mesure et éventuellement prendre la décision de l’étendre ou pas. De même que pour les masques, les traitements et les « vaccins »…

Il y aurait eu aussi débat sur le fait de savoir si « la fin justifie les moyens » et si au nom d’une efficacité nous pouvons nous asseoir sur les droits de l’homme !

Mais ici l’industrie pharmaceutique a décidé unilatéralement l’inverse !

Le principe de précaution a été dévoyé en arguant que nous étions face à la peste noire.

« Les masques ne servent peut-être à rien, ils sont peut-être dangereux, mais par précaution il faut les porter ! »

« Les vaccins sont expérimentaux, ils sont peut-être dangereux, nous ne connaissons pas les effets à long terme, mais par précaution il faut les injecter, même à une population qui ne craint strictement rien du virus ! »

En revanche, un traitement avec des molécules quasi gratuites qui existent depuis plus de 50 ans, dont les effets à court et long terme n’ont aucun doute doivent, elles, être découragées et interdites au nom du principe de précaution ! Imaginez que l’on puisse sauver gratuitement des vies, quelle horreur !

Deux poids, deux mesures !

La manipulation par détournement des chiffres

Prenons par exemple l’âge médian des décès de 85 ans et considérons que cette donnée gouvernementale est réelle quand bien même des décès autres, par exemple de cancer, sont attribués au Covid. Il est possible de dire que cette donnée constitue une preuve que le Covid ne peut entraîner une hécatombe chez les jeunes… sinon l’âge médian serait bien inférieur !

Mais il est aussi possible d’utiliser cette donnée pour faire peur et ainsi dire que le Covid tue aussi des personnes jeunes ! Si cette affirmation largement usitée dans les médias demeure exacte, elle en devient pour le moins une manipulation de la réalité. Santé Publique France indique que seuls 2% des décès concernent des per sonnes de moins de 65 ans et sans pathologies graves connues. Cela représenterait moins de 2000 décès !

Mais ici encore la manipulation est possible en disant « et si c’était vous ou vos enfants ? » oubliant par exemple de préciser qu’il y a plus de risque de décéder en s’étouffant ou frappé par la foudre pour une personne en bonne santé que de décéder du Covid.

C’est de même nature que d’énoncer tous les jours le nombre de décès du Covid sans les mettre en

perspective par rapport au nombre total de morts journaliers, de décès par maladie, de suicides…

Je pourrais aussi citer les réanimations dont le taux de réanimation qui est fourni est un faux, car il divise le nombre total de personnes en soin critique (19 000 lits) par le nombre de lits de réanimation (5400 lits). Ou ignorer le fait que ces fameuses saturations sont systémiques et qu’elles n’ont strictement rien à voir avec le Covid. Et d’autant plus que les chefs de service DOIVENT remplir leur lit de réanimation afin de conserver des budgets ou réclamer de nouveaux lits.

En conclusion

Se faire traiter de « complotiste » est aujourd’hui une récompense. Il n’est ni plus ni moins que la confirmation que vous êtes une personne qui se pose des questions qu’il ne faut surtout pas écouter.

S’il faut tout faire pour que le « peuple des inutiles » écoute le moins possible les « complotistes », c’est la preuve que le pouvoir est terrorisé par le réveil du peuple. La censure grandissante et les calomnies prouvent que la dictature est de plus en plus inquiète de voir le peuple découvrir qu’on lui ment, comme jamais, depuis plus d’un an.

L’épidémie de Covid n’est pas plus grave que les épidémies d’infections respiratoires aiguës des années précédentes et elle l’est d’autant moins dans les pays qui n’ont pas INTERDIT les traitements. Le masque porté dans une population générale n’a jamais limité une épidémie alors que ses contre-indications pour la santé physique, psychique et sociétale sont bien réelles. Il n’est là que pour terroriser, tester la capacité d’un peuple à tout gober par la peur et rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et les mesures dictatoriales.
« Tiens, elle a été un peu rude la grippe cette année ! »
Les confinements d’une population générale sont totalement inefficaces et contre-productifs comme nous le savons depuis des siècles.

La lutte contre un virus ne se résume pas à prendre du paracétamol ! On n’enferme pas les gens, on ne les prive pas de contacts, sauf si on veut les détruire physiquement ou psychiquement.

Et manipuler le peuple pour lui faire croire qu’un vaccin pourrait être efficace contre un virus qui ne fait que muter…
« Vaccin » qui favorise en toute logique les mutations en bloquant principalement la souche d’origine.
« Vaccins » qui ont pu être commercialisés en échappant aux mesures de sécurité face à «l’urgence ».
« Vaccins » que l’on ose nommer ainsi alors même qu’ils n’empêchent ni de tomber malade, ni les contaminations.

Le pire est que :

  • L’on ose parler de vaccination solidaire alors que la preuve n’est toujours pas là pour dire qu’ils protègent autrui
  • L’on ose parler de rapport bénéfice/risque favorable pour une population en bonne santé pour laquelle le risque de décès est statistiquement NUL
  • L’on ose aujourd’hui parler de vacciner des enfants alors que 0 enfant en bonne santé est décédé de cette gentille grippe, gentille, car à la différence de la vraie grippe qui tue chaque année en France des dizaines d’enfants, le gentil Covid les a totalement épargnés.

Et des personnes qui se prétendent « journalistes » n’ont pour seul argument que de traiter de complotiste toute personne qui réfléchit, qui reg arde les chiffres, analyse ce qu’il se passe dans d’autres pays et lit des études scientifiques indépendantes !

Mais profitez donc de la controverse, écoutez celles et ceux qui ne sont pas hypnotisés ou corrompus et nourrissez-vous de leur savoir !

Vous, « journalistes », n’avez-vous plus aucune conscience ni courage ? Aucune déontologie ? Aucune soif d’enquêter ? Aucune soif de réfléchir et faire réfléchir ? Aucune soif de vérité ?

Comment vivez-vous le fait de n’être que des photocopieurs branchés sur l’AFP ? Méprisable !

Merci

Alain Tortosa

Le 11 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210411-journaliste-complotiste-science.pdf




« VACCINS » : et le principe de précaution ???

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par MARC LE STAHLER

AVERTISSEMENT

Je n’ai pas écrit cet article pour terroriser les vaccinés et les candidats à la vaccination, mais pour combler un grave déficit d’information que la loi exige pourtant « claire et complète » et que le gouvernement interdit aux médias de donner. Ainsi d’ailleurs qu’à ses propres organismes, comme l’Agence Nationale pour la Sécurité du Médicament, censurée « pour ne pas dissuader les gens de se faire vacciner ».

Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le Ministre de la santé lui-même en est convenu. 

Mais les premiers constats officiels sur les effets secondaires montrent qu’il peut être négatif sur certaines catégories précises de la population et notamment les bébés, les femmes « enceintes ou allaitantes », les personnes à comorbidités et les plus de 65 ans. Elles, leurs parents ou leur famille ont le droit de savoir quel risque ils prennent.

Certes, le risque de mourir du vaccin reste faible dans l’absolu, les premières évaluations du VAERS américain l’ont chiffré en décembre dernier à moins de 2,6% des cas d’effets secondaires, la ANSM française en février à moins de 1%, mais porte à 90% sur les plus de 75 ans ! 

Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État, pendant que Macron reconnait dans le JDD que le confinement total est plus nocif qu’utile. Mais la presse ne répète pas ces confidences. Comme elle ne parle pas de l’échec de la vaccination en Afrique du Sud, ni du jugement de « projet grotesque » formulé par Tedros Adanom Gebreyesus le D.G. de l’OMS, sur le projet Covax que Macron a fait adopter par l’Union Européenne et qui a sombré corps et biens parce que personne à la Commission européenne et à l’Élysée n’a pensé que la fabrication de milliards de doses provoque des goulets d’étranglement en capacité de production et en matières premières. Une seule entreprise allemande fabrique les petits flacons à doses qui doivent résister à -100°C pour Pfizer, Moderna et Jenssenn. Pour AstraZeneca il faut de l’adénome de chimpanzé et on ne peut pas saigner à blanc tous les chimpanzés du monde après que l’adénome de porc envisagé un moment ait montré ses limites.

L’Imprécateur

ALERTE SANTÉ ! DISPARITION DU « PRINCIPE DE PRÉCAUTION » ! 

Curieux pays que celui où le Conseil d’État ayant pour mission de conseiller le gouvernement et les Assemblées ainsi que de rendre la justice administrative, soit présidé par le Premier ministre et composé à 99 % par des hauts fonctionnaires ! Il dépend donc totalement de l’autorité de l’État et n’est en rien indépendant comme l’avait souhaité son créateur Napoléon Bonaparte, et comme il devrait l’être.

Il n’est pas surprenant que le 10 avril 2019, il ait rejeté sans les étudier deux requêtes présentées par 3047 citoyens français représentés par la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations et par l’Institut pour la protection de la santé naturelle (IPSN).

L’une demandait à ce que la vaccination ne soit pas étendue aux nourrissons, l’autre que les adjuvants sous forme de nanoparticules métalliques, notamment de l’aluminium, ne soit pas autorisés dans les vaccins. « Ces dossiers ne nous semblent pas poser de difficultés juridiques en l’état actuel des connaissances scientifiques », a déclaré le rapporteur du C.E. Rémi Decout-Paolini. Pas de débat donc sur le très légitime doute scientifique ou le principe de précaution. « Les vaccins – dont aucune institution scientifique en France et à l’étranger ne considère la dangerosité –sont efficaces »avait précisé le rapporteur, ignorant visiblement les oppositions aux nouveaux vaccins atypiques déjà nombreuses.

Vaccin AstraZeneca-Oxford,  ChAdOx1 est un adenovirus de chimpanzé

TOUT BAPTISER « VACCIN » EST UNE FAÇON DE TROMPER LES GENS

« La substance active d’un vaccin est un agent antigénique à pathogénicité atténuée par une forme tuée ou affaiblie du micro-organisme pathogène, ou par une de ses toxines » (Wikipedia).

Ce qui est présenté comme des « vaccins » par les laboratoires Pfizer-NBiotech, Moderna et AstraZeneca ne correspond pas à cette définition. Il s’agit en réalité de modificateurs géniques expérimentaux ; ils contiennent des nanoparticules métalliques décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084 pris par Bill Gates, et un désinfectant, qui peut être comme ici du formol ou comme dans les poches de sang désinfecté des hôpitaux de l’eau de Javel.
Les nanoparticules doivent seulement, en principe, permettre d’identifier si la personne examinée a été vaccinée ou non.

En réalité elles peuvent être programmées pour bien d’autres choses, comme l’identification ou la localisation de la personne, c’est un sujet d’étude où les chercheurs chinois sont très avancés.

C’est pourquoi ceux qui refusent d’être traités comme du bétail par les Bill Gates, Klaus Schwabb et autres partisans d’un gouvernement mondial voulant gérer les peuples du Monde par l’électronique et l’Intelligence Artificielle comme le fait Xi Jinping en Chine, demandent que les vaccins n’en contiennent pas.

LA CONNAISSANCE DES EFFETS SECONDAIRES PROGRESSE

Depuis la décision manquant d’intelligence, d’attitude scientifique et de prudence du Conseil d’État du 10 avril 2019, la connaissance des effets immédiats et secondaires des vaccins a progressé. Des études ouvertement négligées par la presse et autres médias trop souvent soumis aux gouvernements ont été menées, en Israël par le Service national de Santé, en Norvège et en Allemagne par leurs équivalents, au USA par le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) et en France par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament).

Si l’on scinde les effets en effets attendus et effets constatés, ces études montrent :

=> Effets attendus : la protection des individus vaccinés contre la contamination est incertaine ; celle des non-vaccinés n’est pas non plus certaine, il y a dans tous les pays de nombreux cas de contamination après vaccination. L’efficacité de la vaccination est maintenant supposée ne venir que plusieurs semaines après les injections.

Source US VAERS (au 18 décembre)

– 112 807 vaccinés 1ère dose
– 3 150 effets secondaires enregistrés soit 2,8% dont 514 femmes enceintes

La protection globale de la société espérée par les gouvernants viendra peut-être si 80% des personnes sont vaccinées, mais pour le moment ce n’est qu’une hypothèse fondée sur la connaissance historique de vaccins qui n’avaient rien à voir avec ceux à ARNm et adenovirus.

L’arrêt total de l’épidémie viendra certainement un jour parce que c’est la loi de toutes les épidémies : elles finissent toujours par s’arrêter, mais peuvent aussi revenir naturellement des mois, des années voire des siècles plus tard.

=> Effets nocifs constatés : Certains sont immédiats, c’est-à-dire apparaissent dans les jours qui suivent l’injection et, dans la quasi totalité des cas, sont de courte durée : poussée de fièvre, crampes, douleurs musculaires… Rares sont ceux qui provoquent une mort presque immédiate dans le temps, de 24 heures à une semaine, par une coagulation brutale du sang qui provoque une thrombose, un AVC, ou une hémorragie cérébrale.

Mais ils touchent souvent des personnes jeunes réputées en bonne santé, comme cela a été constaté sur quatre infirmières, une portugaise de 23 ans, une anglaise de 42 ans et deux jeunes américaines.

Et il y a les effets nocifs. Ils provoquent des effets sanitaires graves, souvent guérissables mais parfois durables. Soit ils entrainent la mort, soit ils provoquent un handicap grave et définitif : troubles cardiaques, AVC non guéris, paralysie faciale ne touchant que la moitié du visage, grande fatigue permanente empêchant toute activité, troubles psychiatriques… Dans les effets secondaires enregistrés par l’ANSM, 24 % sont graves, un taux environ dix fois supérieur à celui des vaccins « classiques » à base de micro organismes pathogènes morts ou atténués.

LES NOUVEAUX « VACCINS » FONT L’OBJET D’UN TEST À L’ÉCHELLE MONDIALE

Il y a des différences importantes entre les vaccins comme ceux contre la rage, la varicelle, la fièvre jaune, bien connus et réputés à juste titre efficaces, et les produits à base d’ARNm ou d’adenovirus présentés comme des vaccins alors qu’il s’agit dans le premier cas de modificateurs génétiques et dans le second plutôt de sérums comme les nomme la revue « Challenges ».

L’américain Pfizer associé à l’allemand BioNTech et l’autre américain Moderna misent sur l’ARNm, technique connue depuis 2011 (premiers brevets) dont ils ont accéléré le développement avec des moyens financiers considérables ; ainsi Moderna a réussi  à mettre au point son vaccin à ARNm en 42 jours !

Il est exact qu’une fois le processus d’utilisation de l’ARNm mis au point, la mise en fabrication du vaccin est beaucoup plus rapide que celle des vaccins classiques.

Par contre, sur cette première fabrication, une grande partie du temps gagné tient à ce que les tests auxquels sont astreints les vaccins (les tests de niveau 3) n’ont pas été effectués à la demande des gouvernements pressés d’avoir les « vaccins » imprudemment annoncés comme fiables à 90% et régulièrement annoncés sur le point d’arriver en grandes quantités, ce qui n’a pas été le cas.

Et quand ils ont été testés, comme Pfizer-BioNTech et AstraZeneca-Oxford l’ont fait en Afrique du Sud avec l’accord du gouvernement, sur des Africains ignorant de quoi il s’agissait, la publication des résultats, si elle a eu lieu, est restée très confidentielle. C’est maintenant, après quelques mois, que la presse sud-africaine signale des effets secondaires arrivés tardivement, des morts, des femmes devenues stériles ou ayant avorté, des paralysies partielles.
En Afrique du Sud AstraZeneca a été déclaré fiable à 22% seulement par l’Université Witwatersrand de Johannesburg. Le gouvernement sud-africain après avoir arrêté le 7 février le programme de vaccination de sa population a aimablement proposé le 22 mars à l’Union européenne de lui revendre le stock de vaccins dont il dispose encore, un million de doses. C’est sympa, de la part d’un gouvernement qui pense que ces vaccins sont plus dangereux qu’utiles !

À l’exception du Point, de Sciences avenir et de Capital dans de courts articles, la presse française n’a pas parlé de cet échec lamentable de la vaccination de masse dans un grand pays. Au contraire, la Haute autorité de santé et la Commission européenne ont validé la continuation de la vaccination avec AstraZeneca-Oxford et les autres vaccins en prétextant que l’Afrique du Sud a un variant particulier, comme si le variant anglais ou le variant breton (que, disent les médecins, les tests n’arrivent pas à reconnaître), n’étaient pas eux aussi des variants particuliers différents de la première souche de Covid.

Le gouvernement veut au contraire accélérer la vaccination de tous dans une obsession vaccinale absurde dans la mesure où, faute du recul de plus d’un an nécessaire, personne ne peut garantir que les effets secondaires graves le seront moins à l’avenir qu’ils le sont après la première série d’injections du 15 janvier au 15 février.
Elle a causé en France (source ANSM, recensement au 19 février) 217 morts rapides et 6960 cas secondaires ayant entrainé des séquelles, AVC, thromboses, hémorragies cérébrales, paralysies partielles, covid dans sa forme dure, etc.

PERSONNE NE SAIT ENCORE SI LES VACCINS PROTÈGERONT

Personne ne peut garantir non plus, sinon en s’appuyant sur des projections informatiques ne reflétant que la conviction des informaticiens qui les ont conçues, que les vaccins protègeront durablement la population.

Ils ne protègent pas totalement les vaccinés comme le montre le nombre de cas de covid après vaccination, ils ne protègent pas non plus « les autres » comme l’a reconnu Olivier Véran en expliquant que les vaccinés doivent continuer à respecter le confinement et les gestes barrières, qu’il est important qu’ils reçoivent deux doses parce que c’est peut-être deux ou trois semaines après la seconde injection que l’immunité arriverait et qu’à long terme rien n’est  certain.

Le faible nombre de vaccinés ayant reçu la seconde dose ne permet pas d’affirmer quoi que ce soit mais cela ne gêne aucunement Olivier Véran.

D’ailleurs, après la déclaration d’Emmanuel Macron au Journal Du Dimanche, « L’Allemagne a montré que le confinement ne sert à rien » ce qui explique ses décisions actuelles pour en limiter les conséquences, non seulement économiques mais aussi psychologiques, sur une population exaspérée mais qui reste encore soumise. Les doutes qu’aurait exprimé Véran sur l’utilité des vaccins paraissent de plus en plus crédibles.

J’ai d’abord cru à une fausse annonce (fake news).
Puis je l’ai retrouvée sur le blog d’Ema Krusi https://emakrusi.com/videos/30-04 et la vidéo que vous trouverez sous la référence #30-(04.04.2021)-Le dîner de cons des vaccinés.
Elle donne comme lien-source Le Figaro. Si l’on admet que Le Figaro est sérieux, l’info est crédible.
Ainsi, Olivier Véran aurait déclaré au Conseil constitutionnel :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de ré-infection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la progression du virus n’est pas encore connu« .

Une aussi incroyable franchise, si elle est authentique, peut s’expliquer par ce fait peu connu : le Conseil d’État est totalement soumis au gouvernement, son président étant le premier ministre. De plus la majorité de ses membres est socialiste, comme le camarade syndiqué Véran. Il a pu penser que ses confidences sur l’inutilité de la vaccination resteraient un secret de famille.

Une déclaration du directoire d’AstraZeneca/Oxford pour défendre son vaccin n’est pas non plus très rassurante :
« Les premiers résultats semblent confirmer que la mutation du virus détectée en Afrique du Sud peut se transmettre à la population déjà vaccinée ».  https://www.sciencesetavenir.fr/sante/pourquoi-l-afrique-du-sud-met-elle-de-cote-le-vaccin-astrazeneca_151596

En effet, il est prouvé que, dans une population virale de la même famille, le virus mutant le plus résistant finit toujours par remplacer les précédents, comme le virus anglais vient de le montrer en éliminant Cov-2 qui avait éliminé Cov-1 etc.
On saura bientôt si le virus sud-africain remplace l’anglais et dans ce cas, les vaccinés donneraient raison à Ema Krusi ! Joyeuse perspective !

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION EST DE L’HISTOIRE ANCIENNE

Source ANSM : 37 680 effets secondaires constatés au 19 février, dont 34 968 plus de 65 ans soit 93 %

Le plus surprenant est que la France, adepte du principe de précaution inscrit dans la Constitution, ne l’applique pas dans le domaine de la santé. Les Agences nationales de santé d’Israël et de la Norvège ont alerté sur le danger que la vaccination représente pour les femmes enceintes et allaitantes.
Ce risque a été confirmé par l’expérience du professeur Alain Fischer : sur dix bébés vaccinés il y a eu deux cas de leucémie dont l’un est décédé rapidement.

Et aussi pour les plus de 75 ans pour lesquels, dit la Norvège, le risque de mourir de Covid après la vaccination est quatre fois plus élevé que sans vaccination ce qu’Israël confirme sans préciser de pourcentage
.

L’Agence Nationale française pour la Sécurité du Médicament (ANSM) a publié le 5 mars un rapport dans lequel elle signale que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que ceux qui en sont atteints et parfois en meurent sont à plus de 90% des 65 à 100 ans.
Le gouvernement retire le rapport de l’ANSM de la circulation et en interdit la diffusion « pour ne pas dissuader les Français de se faire vacciner« .

Effectivement, si le gouvernement, les nombreux membres du corps médical achetés par les laboratoires et les médias subventionnés commencent à dire la vérité aux Français, où va-t-on ?




Allemagne : l’institut Robert Koch, la Fondation Gates et l’OMS

[Source : Kla.tv]

L’émission qui suit apporte des révélations sur le Professeur Lothar Wieler, président de l’Institut allemand Robert Koch. Elles portent principalement sur la tromperie gigantesque des tests PCR. Étant donné les interrelations du Prof. Wieler avec plusieurs organismes dont l’OMS, il est fort probable que cette fraude n’est pas seulement un cas isolé en Allemagne, mais qu’elle concerne la plupart des pays, en particulier la France.

Ce documentaire met à la lumière une grosse fraude statistique dont Lothar Wieler, en tant que directeur de l’institut Robert Koch, porte la responsabilité.



Le dossier Wieler : interrelations et révélations

Depuis 2015, le Pr. Lothar Wieler est président de l’Institut allemand Robert Koch, ou RKI en abrégé. Cet institut est l’institution centrale du gouvernement fédéral allemand pour la surveillance et la prévention des maladies. Ses tâches principales sont la détection, la prévention et le combat contre les maladies, en particulier les maladies infectieuses, ainsi que l’élaboration de résultats scientifiques servant de base aux décisions de politique de santé. En sa qualité de président du RKI, le Dr Wieler rend compte directement au ministère fédéral de la santé et influence considérablement de nombreuses décisions politiques par ses évaluations. Ses déclarations ont donc du poids !

Wieler est également responsable de tous les chiffres clés relatifs au Covid, tels que les chiffres dits d’infection et le taux d’incidence. Ces chiffres, qui sont rapportés quotidiennement, fournissent aux politiciens la justification pour des restrictions de grande envergure des droits fondamentaux, jamais vues auparavant dans toute l’histoire de la République fédérale d’Allemagne.
Etant donné l’énorme responsabilité que cela représente, Lothar Wieler doit également affronter l’examen critique.
C’est pourquoi dans cette émission nous allons d’abord nous intéresser de plus près à ses interrelations étendues. Ensuite, des déclarations centrales de Wieler – qui constituent des révélations incroyables – seront examinées :

I. Les interrelations étendues de Lothar Wieler

Le Pr.Wieler est membre de comités nationaux et internationaux très influents :

  • 1. L’Académie nationale allemande des sciences Leopoldina
    Dans un rapport dont Wieler est le coauteur, il a demandé un confinement dur au début du mois de décembre 2020, ce que la chancelière et les chefs de gouvernement des lands ont ensuite également décidé le 13 décembre 2020. Le Pr. Michael Esfeld, lui-même membre de la Leopoldina, a protesté publiquement et de manière très véhémente contre ce détournement politique de la science. Il reprochait à ses collègues : « Ces scientifiques se sont laissé prendre par le gouvernement pour faire de la propagande. »
    Le Pr. Thomas Aigner de Tübinger a quitté l’Académie des Sciences de Mayence à cause de l’expertise de la Léopoldina, « parce qu’il ne pouvait plus le concilier avec sa conscience », car « l’expertise ad hoc n’était pas digne d’une science honnête. »
  • 2. Le Conseil consultatif scientifique du GloPID-R (Collaboration mondiale en matière de recherche pour la préparation aux maladies infectieuses)
    Les organisations membres de GloPID-R sont souvent concernées par la distribution des vaccins. Les principaux donateurs sont la Fondation Bill et Melinda Gates et l’OMS, qui est également cofinancée par Gates.
  • 3. L’IANPHI (Bureau exécutif de l’Association internationale des instituts nationaux de santé publique)
    L’IANPHI a été fondé et est financé par la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill et Melinda Gates.
  • 4. L’EACHR (Comité consultatif européen pour la recherche en santé (Le CCERS)
    Cet organe de 24 membres conseille le directeur régional de l’OMS pour l’Europe.
  • 5. Le STAG-IH (Groupe consultatif stratégique et technique sur les risques infectieux) de l’Organisation mondiale de la santé, OMS)
    Le STAG-IH évalue le contexte mondial des maladies infectieuses et conseille l’OMS dans la définition de ses priorités. Le principal donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a également transféré 253 000 dollars à l’Institut Robert Koch, que dirige Wieler.

Ces interrelations soulèvent trois questions importantes :

  1. En tant que membre de la Leopoldina, Wieler, qui est subordonné au ministre fédéral de la Santé, prépare-t-il des expertises de complaisance pour le gouvernement fédéral ?
  2. Wieler, en tant que chef du RKI, s’appuie-t-il sur ses propres recommandations alors que, dans le même temps, il agit en tant que conseiller de l’OMS sur les questions de pandémie et applique ensuite lui-même ces directives de l’OMS ?
  3. Dans quelle mesure M. Wieler peut-il être indépendant et objectif alors que presque toutes ses interrelations sont directement ou indirectement cofinancées par la Fondation Bill et Melinda Gates ?

II. Les incroyables révélations sur Lothar Wieler

Révélation 1 – Les vaccinations :

Le 15 octobre 2020, interviewé par Phoenix, Wieler fait une déclaration sur l’honneur :

« Nous supposons tous que les vaccins seront approuvés l’année prochaine. Nous ne savons pas exactement comment ils fonctionnent, à quel point ils sont efficaces, ce qu’ils font, mais je suis très optimiste quant aux vaccins. »

Wieler révèle ainsi que le RKI n’a pas du tout compris comment fonctionnent les nouveaux vaccins à ARN. Ces vaccins ont été introduits après une procédure d’approbation accélérée, ils sont recommandés sans aucune indication de risque ni étude à long terme et de manière irresponsable, ils sont même décrits comme sûrs !

Révélation 2 : Le test PCR :

« L’essentiel est que nous identifiions le plus grand nombre de personnes possible avec le PCR ! Et puis le séquençage est une technologie séquentielle en aval qui nous donne encore plus d’informations. Mais tout d’abord, toute l’essence du contrôle de la pandémie repose sur l’identification des personnes… »

Wieler révèle ainsi que le test PCR n’est qu’une question d’identification. Là où la déclaration de M. Wieler est particulièrement inquiétante, c’est que cette « pandémie de tests » semble maintenant être utilisée pour pousser à l’identification et la numérisation. Même en 2019, avant la première épidémie de Covid, il avait demandé une meilleure identification et un stockage numérique des données pour pouvoir augmenter les taux de vaccination.

Révélation 3 – les chiffres quotidiens du RKI :

1.) Le nombre de personnes qui sont mortes à cause du Covid.

« Dans notre pays, on considère qu’une personne est morte du Covid si l’infection par le Covid a été détectée. »

Wieler révèle ainsi que le RKI ne permet pas de distinguer si le coronavirus est la cause du décès d’une personne. Une personne souffrant d’un cancer en phase terminale qui a été testée positive peu de temps avant sa mort est comptée comme une mort Covid, tout comme un accidenté de la route, testé positif avant l’accident. La clinique universitaire de Hambourg-Eppendorf a effectué les autopsies de plus de 600 personnes qui, selon les statistiques officielles, sont mortes du Covid ; ces examens ont montré que 99 % d’entre elles souffraient déjà d’une grave maladie antérieure. Cela montre que les chiffres de mortalité du Covid publiés par Wieler ne reflètent en rien la mortalité réelle causée par le Covid 19.

2.) Le nombre de personnes prétendument infectées par le Covid

« La référence absolue du diagnostic primaire reste le PCR ! »

Wieler révèle ici, contrairement à tous les faits, que pour lui le test PCR est la référence absolue du diagnostic. La notice de ce test PCR indique que le test n’est pas du tout adapté au diagnostic :

« A des fins de recherche uniquement. Ne convient pas aux procédures de diagnostic. »

L’inventeur de la méthode PCR, Kary Mullis, décédé en 2019, s’opposerait également avec véhémence à cette déclaration de Lothar Wieler. Mullis a déclaré à ce sujet :

« Avec le PCR, vous pouvez trouver – si vous le faites bien – presque n’importe quoi chez n’importe qui […] Le test ne vous dit PAS si vous êtes malade ; ou si ce qui a été trouvé vous cause vraiment du tort. »

Le Sénat de Berlin a également dû confirmer en octobre 2020, suite à une demande d’information du député Luthe, que le test PCR ne permet pas de distinguer un virus capable de se reproduire d’un virus incapable de se reproduire ! Il s’agit toutefois d’une condition préalable à la détection d’une maladie.
Pourquoi Wieler parle-t-il néanmoins « d’infections avérées » et non de « tests PCR positifs » (comme il serait correct de le dire) ? Wieler est conscient de cette différence. Néanmoins, lui et les médias répandent la peur dans la population en répétant sans cesse le terme terrifiant de « nouvelles infections ».

3.) Le taux d’incidence [nombre de personnes prétendument infectées pour 100 000 habitants].

« …une incidence de dix, ce serait un bon chiffre, (…) et j’avais déjà dit au printemps qu’avec ce chiffre nous pouvons vraiment bien réguler et contrôler ce qui se passe, et là mon estimation n’a pas changé. »

Wieler révèle là un « but recherché » inatteignable. Le taux d’incidence requis de 10 de Wieler signifie que sur 100 000 personnes, seuls 10 peuvent être testées positifs sur une période de 7 jours !
Même si le test PCR ne présentait que 2 % de résultats faussement positifs, le taux d’incidence de 10 serait déjà atteint à partir de 500 tests effectués pour 100 000 habitants. Si on les testait tous, on obtiendrait un taux d’incidence « catastrophique » de 2 000, rien que par le taux d’erreur du test !
En ne tenant pas compte du « taux de faux positifs » du test PCR lors de la détermination du taux d’incidence, Wieler est capable de tromper la population en lui faisant croire à une « situation d’infection » complètement fausse !

La stratégie actuelle du gouvernement fédéral, avec un taux d’incidence requis de 50, voire de 35, et l’augmentation simultanée du nombre de tests PCR, permet de maintenir aussi longtemps que ce sera souhaité le confinement par cette « pandémie de test » auto-créée. Et cela, bien que la majorité de ces résultats montrent des personnes simplement testées positives, mais en aucun cas des personnes qui sont tombées malades !
Et c’est là que le RKI viole sa propre recommandation du 3 novembre 2020 :

« En règle générale, les diagnostics de laboratoire ne doivent être effectués que s’il existe des signes de maladie et que les critères du test sont remplis. »

L’OMS souligne également que la valeur informative des tests est largement inutile si les personnes testées ne présentent aucun symptôme.
Étant donné que cela s’applique à la grande majorité des personnes testées, il faut cesser immédiatement les tests PCR sur les personnes ne présentant pas de symptômes ! Sinon, le taux d’incidence actuellement requis de 50 ou moins, ne permettra aucunement de sortir du confinement !

Révélation 4 : Les consignes Covid

« Nous devrons nous conformer à ces consignes pendant des mois encore. Celles-ci doivent être la norme. Elles ne doivent jamais être remises en question. Garder la distance, l’hygiène des mains et, lorsqu’il n’est pas possible de garder la distance, porter en plus des masques tous les jours ou des protections bucco-nasales, et ce, à l’intérieur comme à l’extérieur. Donc c’est la règle de base, personne ne devrait et ne doit plus remettre en question cela, nous devrions simplement le faire. »

Wieler révèle-t-il ici le commandement numéro un de la pandémie : interdiction de remettre en questions !? Pourquoi essaie-t-il d’empêcher toute remise en question ?

CONCLUSION :

Sous la direction de Wieler, le RKI utilise toutes les astuces possibles pour gonfler les données statistiques sur le nombre de décès dus au covid, le nombre de personnes prétendument infectées et le taux d’incidence actuel.
Une discussion critique basée sur les faits est empêchée.

Chers téléspectateurs, ce documentaire a mis en lumière une fraude statistique indéniable, dont le Dr. Lothar Wieler est responsable en tant que directeur du RKI. Cette fraude pèse lourd car elle fournit aux politiciens une justification pour un confinement continu avec des restrictions sévères de la liberté des citoyens. Il n’y aura pas de levée fondamentale des lourdes restrictions actuelles concernant les droits fondamentaux des citoyens tant qu’une grande partie de la population ne sera pas informée de cette fraude.

Comme depuis des mois, les principaux médias n’ont pas rempli leur devoir de reportage critique et d’information complète de la population, il faut maintenant un « tsunami d’informations » de la part du peuple !
Faites partie d’un grand mouvement populaire où chacun informe dès maintenant son entourage sur ces liens de cause à effet !
Faites donc suivre cette vidéo explicative à autant d’amis, de collègues de travail et de parents que possible ! Pensez en particulier aux personnes qui s’informent principalement par le biais des médias principaux ! Utilisez tous les moyens disponibles, par exemple les mails, WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Le lien de cette émission s’affiche à l’écran.

Sources / Liens :

Allgemeine Infos zu Dr. Lothar Wieler https://www.rki.de/DE/Content/Service/Presse/Pressemitteilungen/2015/01_2015.html
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/institut_node.html;jsessionid=47280A3647889057D2968D7DC0361C80.internet121
https://de.wikipedia.org/wiki/Robert_Koch-Institut
Wielers Verflechtungen
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/lothar-heinz-wieler/
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler#Mitgliedschaften
https://www.rki.de/SharedDocs/Personen/Mitarbeiter/W/Wieler/Wieler_Lothar_H.html
https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/11/OPP1216026
Leopoldina-Gutachten
https://www.leopoldina.org/uploads/tx_leopublication/2020_12_08_Stellungnahme_Corona_Feiertage_final.pdf
Beschluss zum Lockdown im Dezember
https://www.bundesregierung.de/resource/blob/997532/1827366/69441fb68435a7199b3d3a89bff2c0e6/2020-12-13-beschluss-mpk-data.pdf
Protest von Prof. Michael Elsfeld
https://www.merkur.de/politik/corona-angela-merkel-soeder-deutschland-wissenschaft-leopoldina-lockdown-kuba-syndrom-aktuell-90204364.html
Prof. Thomas Aigner
https://www.kla.tv/17942
https://www.akanthos-akademie.de/2020/12/28/protest-gegen-leopoldina-ad-hoc-gutachten-t%C3%BCbinger-professor-verl%C3%A4sst-akademie-der-wissenschaften/
https://www.rundschau.info/prof-dr-thomas-aigner-ich-kann-es-mit-meinem-gewissen-nicht-vereinbaren-ein-teil-dieser-art-von-wissenschaft-zu-sein/
Mitgliedschaften GloPID-R:
https://www.glopid-r.org/about-us/members/
IANPHI:
https://en.wikipedia.org/wiki/International_Association_of_National_Public_Health_Institutes
EACHR:
https://www.rki.de/SharedDocs/Lebenslauf/EN/Wieler_Lothar_H_EACHR_en.html
STAG-IH:
https://www.who.int/emergencies/diseases/strategic-and-technical-advisory-group-for-infectious-hazards/en/
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/Leitung/Wieler_STAG-IH.html
Wielers unglaubliche Enthüllungen
1. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=_CpcIUov-1Q
2. Enthüllung
https://dein.tube/watch/rWi7Yzyo6kPYuSk
https://www.pharma-fakten.de/news/details/782-digitalisierung-der-schluessel-zu-besseren-impfquoten/
3. Enthüllung
1.https://www.facebook.com/tagesschau/videos/243812243453095/?v=243812243453095¬if_id=1584694894382298¬if_t=live_video
ab Min. 17:47
https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_87636856/coronavirus-hamburg-will-nur-echte-covid-19-tote-zaehlen.html
https://www.n-tv.de/wissen/Fast-alle-Corona-Toten-waren-vorerkrankt-article22371530.html
2. https://www.youtube.com/watch?v=wO_F0UrHKxY
(ab min.13.00)
https://www.kla.tv/17530
https://www.youtube.com/watch?v=Xc0Kysti6Kc
ExpressZeitung Ausgabe 38/2021
https://www.epochtimes.de/assets/uploads/2020/11/Antwort-des-Berliner-Senats.pdf
https://www.creative-diagnostics.com/pdf/CD019RT.pdf
3. https://www.youtube.com/watch?v=iN5BIcgZQqU&t=2506s
(ab Min 41:46)
https://reitschuster.de/post/rki-chef-wieler-entlarvt-corona-versagen-der-regierung-und-keiner-merkt-es/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32133832/
https://impf-info.de/82-coronoia/314-coronoia.html#falsch_positiv
(update 12.6.20)
https://www.nordbayern.de/politik/streit-um-den-inzidenzwert-ist-nun-die-35-die-neue-50-1.10832878
https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/NCOV2019/FAQ_Liste_Diagnostik.html
https://reitschuster.de/post/unglaublich-who-warnt-vor-unzuverlaessigkeit-von-pcr-test/
https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
4. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=HGZpv9iB-Qg




Serge Rader, ancien pharmacien, s’exprime sur la « vaccination » anticovid19

[Source : Vidéos de Laurent Du Mcse | VK]



[Voir aussi : Alerte Vaccins : le coup de gueule d’un pharmacien]




On en sait plus sur l’efficacité du masque… Elle ne dépasse pas celle d’un placebo. MàJ

[Source :Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

(…)Presque un an après – le premier pays européen à l’avoir imposé est l’Autriche, le 6 avril 2020 – nous disposons enfin d’un recul sur l’effet réel de cette mesure.(…)

Des courbes accablantes

Voici ce que montrent les graphiques qui associent l’évolution du nombre d’infections au Covid et l’introduction de l’obligation du port du masque[1].

Ces graphiques existent pour la plupart des pays d’Europe.

Ici je vais m’en tenir à la France et à ses voisins.

Les données viennent du très sérieux Our world in data et sont consultables librement. Vous trouverez, en source de ma lettre sur mon site, l’entrée pour « France » – mais vous pouvez effectuer la même opération pour n’importe quel autre pays[2].

En France, le masque est devenu obligatoire en mai 2020. Après une accalmie des infections en été, celles-ci sont reparties à la hausse dès la mi-août, avec la flambée que l’on connaît en septembre-octobre.

[NDLR (Mise à jour) : en fait, ce n’est qu’à partir de 28 août que le masque est devenu obligatoire en France, et ceci seulement dans une partie du territoire
(cf. Covid-19 : où en est-on du port obligatoire du masque en France? (lejdd.fr)). Son inutilité est encore plus flagrante.]

En Espagne, le masque est devenu obligatoire peu de temps après, au plus bas des infections. L’accalmie a été plus courte, et la flambée plus rapide.

La Belgique et la Grande-Bretagne ont imposé la mesure à peu près au même moment, durant la seconde quinzaine de juillet. Leurs courbes se ressemblent : 


On voit, dans les deux cas, que la mesure n’a pas empêché une nette reprise des infections dès la fin de l’été.

L’Italie a été, concernant le port du masque, bonne dernière. Voici le résultat :

Le port du masque a été décrété en octobre, en pleine reprise de l’épidémie, et ne l’a en aucune manière ralentie.

Toutes les courbes se ressemblent, sauf…

J’ai encore deux graphiques à vous montrer.

Le premier, c’est celui de l’Allemagne :

L’Allemagne a été l’un des premiers pays européens à imposer le port du masque. Sur ce graphique, on pourrait croire que la mesure a d’abord été efficace : on observe une diminution des infections… entamée un mois avant.

Mais comparez ce graphique aux précédents, et vous comprendrez immédiatement que cette introduction très tôt n’a pas « sauvé » l’Allemagne du destin de ses voisins : la courbe est rigoureusement la même d’un pays à l’autre… quelle que soit le moment où le port du masque a été rendu obligatoire.  

On pourrait tenter objecter ceci à ce stade : « mais enfin, sans le masque obligatoire, sans doute la hausse des contaminations aurait été bien pire ».

Eh bien non.

Ce dernier tableau le prouve : 

Ce graphique compare les courbes des infections dans les pays européens : les courbes noires représentent les pays ayant imposé le masque, les rouges celles ne l’ayant pas fait (la Suède, la Norvège et le Danemark).

On constate un peu plus d’infections durant la grande accalmie de l’été 2020 dans l’un des pays n’ayant pas imposé le masque.

Mais par la suite… ces pays n’ont pas connu la même flambée spectaculaire d’infections des pays « masqués ».

Le port du masque obligatoire semble bel et bien avoir été non seulement inutile, mais contre-productif.

Et pourtant, nous savions

L’été dernier, je dénonçais dans l’une de mes lettres le miroir aux alouettes que constituait le port du masque obligatoire[3].

Et vous vous souvenez des communications du gouvernement au sujet du masque, déclarant d’abord qu’il était parfaitement inutile avant de le décréter obligatoire… sans qu’aucune étude scientifique sérieuse n’ait entretemps changé la donne. 

En réalité les études sérieuses ne trouvent aucun « intérêt » au port du masque face au SARS-CoV-2. 

Comme d’ailleurs face aux autres virus du même type.

La plus « célèbre » de ces études est l’étude randomisée danoise menée sur 6000 personnes, et publiée en novembre 2020 dans Annals of Internal Medecine : les chercheurs avaient découvert que le risque d’être infecté était le même…

…que l’on porte un masque ou non[4]

Je rappelle, à toutes fins utiles, que les particules du SARS-CoV-2 mesurent environ 0,12 microns – c’est-à-dire 0,12 millième de millimètre.

C’est 10 000 fois plus fin que l’épaisseur d’un cheveu. 

Or n’importe quel masque en tissu laissent passer des particules jusqu’à 0,3 microns d’épaisseur.

Autrement dit : les mailles sont deux à trois fois plus grandes que les particules du virus.

Pour mémoire les particules des virus de la grippe (Influenza A et B) font à peu près la même taille et de nombreuses études ont, depuis longtemps, conclu à l’inefficacité des masques pour s’en protéger, comme l’a montré la vaste méta-analyse effectuée par des chercheurs de l’université de Hong Kong, publiée en mai 2020[5].

Une autre étude randomisée, encore plus récente et menée sur 8000 personnes, a été publiée dans la prestigieuse revue Plos One et livre une conclusion sans ambiguïté : « L’étude a échoué à apporter une preuve définitive de l’efficacité du port du masque » contre les infections virales respiratoires[6].

Est-ce nouveau ?

Non.

Une étude de grande ampleur du British Medical Journal publiée en 2015, alertait déjà sur les « faibles pouvoirs filtrants » de ces masques… mais aussi de leurs dangers, concluant que leur usage répété augmentait le risque d’infection[7] !

Le masque, un « lobbying politique »

Pour être « modérément efficace », il faudrait changer tout le temps de masque, le plaquer au-dessus du nez, etc. Peu de gens le font, et l’emploi répété de masques jetables est d’ores et déjà un désastre écologique.

Les masques FFP2 sont réputés plus efficaces que les masques classiques. 

Et cela reste vrai.

Il y a quelques jours, une enquête suisse, basée sur des tests, le montrait encore, précisant toutefois qu’il « est moins confortable, moins respirable et plus difficile à porter correctement »[8].

Ce masque est même déconseillé par l’ECDC (European Centre for Disease Prevention and Control).

Dans ce même document, agence émanant de l’Union Européenne, il est écrit noir sur blanc que « la preuve de l’efficacité des masques dans la prévention du Covid-19 est limitée ».

Cette phrase ahurissante n’est pas cachée dans les profondeurs du rapport. Elle figure en première page et vous pouvez la consulter en source[9]

Alors… pourquoi diable l’obligation de porter un masque persiste-t-elle ??

La réponse a été donnée par des responsables de l’OMS à une journaliste médicale britannique, Deborah Cohen (BBC). Ils ont admis que, en l’absence de preuve scientifique, le port du masque n’est rien d’autre que… du « lobbying politique »[10].

Mais oui. Un gouvernement, c’est fait pour agir.

Et même si son action est inutile, au moins… il a agi.

Obliger les gens à porter un masque fait partie de ces actions absurdes, effectuées pour « donner le change » et donner à la population l’illusion, fausse, qu’elle se protège.

La troisième vague qui bat son plein en est une illustration supplémentaire.

Portez-vous bien,

Rodolphe


[1] Weiss, Y. 27.10.2020. 
https://twitter.com/yinonw/status/1321177359601393664

[2] https://ourworldindata.org/coronavirus/country/france

[3] Bacquet, R. 19.08.2020. L’été masqué. 
https://alternatif-bien-etre.com/coronavirus/lete-masque/

[4] Bundgaard, H., Bundgaard, J. S., et al. (2021). Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers. Annals of Internal Medicine. DOI: 
https://doi.org/10.7326/M20-6817

[5] Xiao, J., Shiu, E. Y. C., Gao, H. et al. (2020). Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerging Infectious Disease 26(5) 967-975. DOI : 
https://dx.doi.org/10.3201/eid2605.190994

[6] Alfelali, M., Haworth, E. A., Barasheed, O. et al. (2020). Facemask against viral respiratory infections among Hajj pilgrims : A challenging cluster-randomized trial. Plos One. DOI : 
https://doi.org/10.1371/journal.pone.0240287

[7] MacIntyre, C. R., Seale, H., Dung, T. C., et al. (2015). A cluster randomised trial of cloth masks compared with medical masks in healthcare workers. BMJ Open 5:e006577. doi: 10.1136/bmjopen-2014-006577. 
https://bmjopen.bmj.com/content/5/4/e006577

[8] Rtsinfo. 23.03.2021. Les masques en tissu sont trop peu efficaces, montre un nouveau test. 
https://www.rts.ch/info/sciences-tech/12066642-les-masques-en-tissu-sont-trop-peu-efficaces-montre-un-nouveau-test.html

[9] European Centre for Disease Prevention and Control, Stockhlom. (2021). Using face masks in the community : first update. Effectiveness in reducing transmission of COVID-19. 
https://www.ecdc.europa.eu/sites/default/files/documents/covid-19-face-masks-community-first-update.pdf

[10] Cohen, D. 12.07.2020. 
https://twitter.com/deb_cohen/status/1282244773030633473




Les criminels, ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît

Par Jean-Michel Grau

La « Haute autorité de Santé » (HAS) vient de recommander que les personnes de moins de 55 ans ayant reçu une première dose du vaccin Astra-Zeneca reçoivent un vaccin à ARN messager en deuxième dose. L’OMS, à ce stade, n’a pas fait de recommandation à ce sujet.

Comme on les comprend !

En effet, prendre le risque d’administrer en deux temps à un même patient deux « vaccins » expérimentaux aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral (Astra-Zeneca) et un « vaccin » à ARN messager (Pfizer/ Moderna), c’est un peu comme vouloir compléter son réservoir d’essence sans plomb par du diesel. Ce qui s’avère d’ailleurs impossible vu que les orifices des réservoirs sont différents selon le carburant utilisé pour éviter l’erreur.

Les précautions que l’on a prises pour le bon fonctionnement des moteurs de nos voitures sont apparemment le cadet des soucis de la HAS pour la santé des humains avec ces « vaccins » qui n’ont, rappelons-le, qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, parce qu’expérimentaux.

Face à une telle décision, on reste sans voix. Est-on en présence d’une bêtise crasse de la HAS, dont il apparaît clairement désormais que l’autorité prévaut sur la santé, ou bien d’une absence totale d’empathie face à la vie humaine ?

Il est hélas! fort à craindre que l’on soit dans le deuxième cas. Car il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour se rendre compte que l’administration successive de deux types de « vaccins » aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral et un « vaccin » à ARN messager peut s’avérer explosive pour la santé des personnes qui auront encore l’innocence et la candeur de se laisser piquer en toute confiance sur le conseil de ces charlatans.

Combien de morts suite à ces administrations vaccinales mortifères faudra-t-il encore compter avant de stopper définitivement ce génocide qui n’ose pas encore dire son nom ?

Il faut ajouter qu’ici encore, on nage en plein Absurdistan. En effet, alors que l’OMS déclare ne pouvoir faire une telle recommandation « à ce stade » en l’absence de « données adéquates », la HAS reconnaît le manque d’études également !(([1] francais.rt.com/france/85520-haute-autorite-sante-recommande-vaccin-arn-messager-apres-premiere-dose-astrazeneca)) Ce qui ne l’empêche pas en même temps de prendre la décision de recommander d’administrer successivement aux Français deux « vaccins » à la composition aussi différente. Sur la base de quoi ? On cherche encore…

Malgré tout, au risque d’apparaître comme un brin provocateur, on peut considérer que la recommandation de la HAS est une excellente nouvelle.

Tout simplement, parce que cette solution eugéniste qui ne dit pas son nom, est l’ultime tentative désespérée de Big Pharma de sauver ce qui reste des « vaccins ». Pour la simple raison que les cobayes volontaires s’avèrent de moins en moins nombreux à se porter candidats à la vaccination Covid généralisée qui s’avère d’ores et déjà être un monumental échec.

– Échec d’Astra-Zeneca tout d’abord, suite aux multiples cas de thromboses, mais aussi de décès de par le monde de ceux qui se sont vu injecter cette piqûre mortifère d’adénovirus de chimpanzé. Échec ensuite de la production, de la logistique et de la distribution du même « vaccin ».(([2] francais.rt.com/international/85513-astrazeneca-retard-sur-moitie-livraisons-vaccins-union-europeenne-semaine)) Pour Astra-Zeneca, ça sent la fin, le changement de nom n’y changera rien.(([3] reseauinternational.net/astrazeneca-ca-sent-la-fin/)) Un responsable de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a d’ailleurs officiellement confirmé dernièrement un lien entre le « vaccin » d’Astra-Zeneca et les thromboses.(([4] francais.rt.com/international/85412-responsable-ema-confirme-lien-entre-vaccin-astrazeneca-thrombose)) La conséquence directe en est que plus personne ne veut de ce « vaccin » assassin.(([5] lavoixdunord.fr/975576/article/2021-04-04/gravelines-faute-de-candidats-au-vaccin-astrazeneca-le-centre-sportica-doit))

– Échec de même pour Johnson & Johnson dont le « vaccin » commence à subir les mêmes déboires que celui d’Astra-Zeneca avec les caillots sanguins, vu que le principe est similaire.(([6] francais.rt.com/international/85510-caillots-sanguins-apres-astrazeneca-vaccin-johnson-johnson-collimateur-ema))

– Échec enfin des « vaccins » Pfizer et Moderna à ARN messager qui ne sont pas en reste, en termes de collection d’effets secondaires et de cas graves suite à l’administration des piqûres comme le montre l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) dans son rapport du 25 mars 2021 dans le tableau ci-dessous :(([7] sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2686947-effets-secondaires-indesirable-vaccin-covid-ansm-france-pfizer-moderna-astrazeneca-cas-graves/))

Au début, le « vaccin » d’Astra-Zeneca était recommandé pour les personnes de moins de 65 ans. Aujourd’hui, en Angleterre, le « vaccin » est recommandé pour les personnes de plus de 30 ans, en Belgique et en France pour les personnes de plus de 55 ans et en Italie et en Espagne pour les personnes de plus de 60 ans.

En combinant toutes ces recommandations, il ne reste plus que les personnes entre 60 et 65 ans à qui l’on peut encore « recommander » ce « vaccin »…

Il apparaît indéniable que les promoteurs du Grand Reset qui repose entièrement sur des vaccins qui n’en sont pas, sont en fait aujourd’hui aux abois. Ils ne savent plus à quel vaccin se vouer pour mettre encore en œuvre leur plan chimérique de domination mondiale qui s’avère de plus en plus compromis par le refus des peuples de servir de cobayes pour un génocide qui apparaît désormais au grand jour.





STOP AU HARCÈLEMENT VIA SMS – VACCIN ANTICOVID

Par Nicole Delépine

Non au harcèlement par SMS pour le vaccin covid, virus qui a tué moins de 0,1 % des Français[1]

Au secours ! Goebbels, roi de la propaganda d’Hitler est revenu.

La publicité mensongère du gouvernement sur toutes la chaines de télévision (payée par nos impôts), et les médias dominants est maintenant complétée par le harcèlement individuel sur notre propre téléphone par SMS.

Attention ne vous laissez pas manipuler !

Ces SMS comme les appels de la sécurité sociale pour passer des tests PCR ne sont en rien des obligations, mais des incitations répétées qui constituent du harcèlement (possiblement passible de poursuites ?)

Combien de victimes déjà de ce harcèlement honteux qui ont passé des tests PCR dangereux[2] inutiles couteux[3], ruineux pour la sécu et non fiables, les asymptomatiques positifs étant à 97 % des faux positifs ne montrant que des traces de virus non spécifiques et aucunement preuve ni d’une infection active à corona ni d’une contagiosité.[4]

Combien de fermetures de classes nuisibles aux enfants, d’arrêt maladie inutile et destructeur pour le citoyen bloqué (et non malade et non contagieux)[5] et pour les entreprises désorganisées, alors que les asymptomatiques ne contaminent jamais personne comme l’étude de Nature sur dix millions de chinois[6] l’a démontré s’il en était besoin.[7]

MONSTRUEUSE DESINFORMATION PLURIQUOTIDIENNE SUR LES TV

Cette vidéo montrant des petits-enfants qui courent embrasser leur grand-mère qu’on retrouve ensuite à l’hôpital est scandaleusement culpabilisante, mensongère[8] et honteuse !

Les enfants ne contaminent ni adultes ni enfants.

Les lits de réanimation ne sont pas encombrés davantage que les dernières années en dépit des nombreuses suppressions de lits réalisées ces dernières années et qui été poursuivies durant la pandémie. (300000 lits en trente ans).

Le traitement précoce du covid diminue fortement le risque d’hospitalisation.

 Pire encore, depuis mars 2020, les personnes âgées ne sont pas acceptées et mises rapidement sous Rivotril dans les EHPADs pour les « soulager » c’est -à- dire les euthanasier sans leur accord, ni ceux de leurs familles.  

NON ILS N’ONT PAS VOULU SAUVER LES ANCIENS

 CETTE PROPAGANDE EST MENSONGÈRE

 Ne vous laissez pas intoxiquer si on vous dit que les mesures imposées à tous le sont pour sauver les vieux ! Depuis le début de la pandémie, les personnes âgées ont subi des refus de traitement précoce et en cas d’aggravation des refus d’hospitalisation à l’hôpital et du Rivotril injectable et létal en cas de détresse respiratoire débutante suspecte !

D’ailleurs de quoi discute-t-on à l’Assemblée nationale actuellement, non pas de légaliser l’usage de l’ivermectine, de la chloroquine et de tous les traitements précoces, mais de l’euthanasie.

Politique de mort contre la vie. Heureusement que des Français se réveillent et font de la musique en dansant dans les gares.

Il nous parait important de partager avec vous cette lettre que vous pourriez adresser à votre docteur s’il vous harcèle lui aussi (il y en a de nombreux en ce moment, probablement eux aussi harcelés par leurs instances sécurité sociale, ordre etc…)

« Voici un exemple de lettre-réponse à adresser à votre médecin qui, hypnotisé par le coronacircus vous incite à la vaccination sans s’embarrasser de la notion de consentement libre et éclairé. 

Lettre-réponse au médecin qui vous propose de vous piquer[9]

« Madame, Monsieur,

J’ai bien reçu l’invitation à recevoir un vaccin ARNm contre le SRAS-CoV-2 et vous en remercie.

Avant de prendre une quelconque décision y étant relative, j’aimerais que vous m’informiez1 en me répondant par écrit sur les points suivants qui me semblent fondamentaux :

  1. Me donner la liste complète des ingrédients des vaccins mis en circulation actuellement dans notre pays
  1. Me certifier que le vaccin que vous projetez de m’injecter ne contient pas de MRC5 (des cellules de fœtus avortés ou traces d’ADN humains), ce qui irait à l’encontre de mes convictions religieuses
  2. Me certifier qu’il n’y a aucun risque de réactions iatrogènes ;
  3. M’informer de toutes les contre-indications et de tous les effets secondaires potentiels, réparables ou irréparables, à court, moyen et long terme
  4. Me certifier de façon sans équivoque et de bonne foi, dans le respect de l’article 13 de la Convention d’Oviedo, que cette technologie n’a pas le potentiel de modifier l’ADN humain grâce à ce que l’on appelle la transcriptase inverse, qui permet explicitement le transfert d’informations de l’ARNm à l’ADN
  5. Me certifier que ce vaccin ne contient pas d’inserts du virus VIH
  1. Me certifier que le vaccin ne contient pas de puce d’Identification par Radiofréquence (Rfid) ou de nanotechnologie se présentant sous une forme quelconque
  2. Me certifier que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits
  3. Me préciser quels sont les autres traitements possibles pour lutter contre le SRAS-CoV-2, en détaillant les avantages et les inconvénients de chaque traitement, au sens de l’article 2 du Code de Nuremberg.

De plus, je vous prie de bien vouloir me répondre simplement, par oui ou par non, aux questions suivantes :

  1. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter de porter un masque ?
  2. Si je me fais vacciner, puis-je arrêter la distanciation sociale ?
  3. Si je me fais vacciner, dois-je encore respecter le couvre-feu ?
  4. Si mes parents, mes grands-parents et moi-même sommes tous vaccinés, pouvons-nous nous étreindre à nouveau ?
  5. Si je me fais vacciner, serai-je résistant à la Covid et à ses nombreux variants et pour combien de temps ?
  6. Si je me fais vacciner, est-ce que j’éviterai les formes graves avec

hospitalisation, ainsi que la mort ?

  1. Si je me fais vacciner, serai-je contagieux pour les autres ?
  2. Si j’éprouve une réaction indésirable grave, des effets à long terme (encore inconnus) entraînant même la mort, serai-je (moi ou ma famille) indemnisé ? Et par qui ?

D’autre part, outre vos réponses, je compte m’informer de façon contradictoire par les indications données par les laboratoires et les experts officiels du gouvernement, mais également par des scientifiques indépendants et des témoignages de personnes ayant déjà été vaccinées : ce n’est que lorsque j’aurai recueilli toutes ces informations que je serai à même de vous remettre mon consentement libre et éclairé, après avoir évalué objectivement la balance bénéfices/risques.

Le cas échéant, je reviendrai vers vous, en ayant éventuellement sélectionné le vaccin qui me conviendrait le mieux. Je suis en parfaite santé et n’ai nullement l’intention de voyager, ce qui me permet de prendre un peu de recul afin de prendre une décision réfléchie et responsable, ayant toujours en mémoire le serment d’Hippocrate qui reste la pierre fondatrice de notre médecine :

 « primum non nocere ».

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

Notes :

  1. « J’informerai correctement les personnes qui font appel à mes soins ». Serment d’Hippocrate, version adaptée par le Conseil national de l’Ordre des Médecins de Belgique (juillet 2011).
  2. Loi du 22 août 2002 relative aux Droits du Patient– article 7 §2 : « La communication avec le patient se déroule dans une langue claire. Le patient peut demander que les informations soient confirmées par écrit. »
  3. « Une intervention ayant pour objet de modifier le génome humain ne peut être entreprise que pour des raisons préventives, diagnostiques ou thérapeutiques et seulement si elle n’a pas pour but d’introduire une modification dans le génome de la descendance. »
  4. « L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflus par nature. »

(Merci à Philippe L.)

P.J. Document au format PDF

 Un commentaire de Zorba44

Il serait bon d’ajouter à cette lettre une demande à votre médecin deux choses :

+ liste de ses conflits d’intérêts éventuels avec des labos pharmaceutiques
+ une copie de son attestation d’assurance professionnelle et les conditions générales et particulières des risques et des montants couverts

 VOICI CE QUE VOUS POURREZ DEMANDER À VOTRE MÉDECIN !

Si vous voulez des informations complémentaires laissées de côté avant la pression monstrueuse que nous subissons, écoutez les vidéos de notre éminente collègue Alexandra Henrion Caude[10] « amoureuse de l’ARN » qui le connait bien :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN. Je suis une amoureuse de l’ARN… une adepte de ses capacités immenses… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… Et d’ailleurs on a essayé ce genre de thérapie sur des malades… Si on n’y arrive même pas encore sur des malades, alors le mettre en œuvre sur une population saine… Ce n’est pas de la folie dans l’absolu, c’est de la folie dans les circonstances actuelles d’une dizaine d’années de développement et de connaissances qui s’accumulent. »

« L’essai de Pfizer se terminera en 2022… D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet d’un essai biomédical…. Un cobaye. »


[1] Une récente étude John Ioannidis estime que l’infection fatality rate (IFR) dû à 0.15 % soit semblable à celui de la grippe saisonnière

[2] Académie de médecine les tests par prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque, 
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/covid-19
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/08/covid-19-les-tests-naso-pharynges-ne-sont-pas-sans-risque-previent-l-academie-de-medecine_6076072_3244.html

[3] Les dépenses liées à ces tests sont actuellement estimées à deux milliards d’euros

[4] L’OMS admet enfin que les tests PCR créent des faux positifs France Soir 1/1/2021

[5] Jonas F Ludvigsson   Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ;109(8) :1525-1530.  doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.

[6] Cao S et al Dépistage des acides nucléiques du SRAS-CoV-2 après le verrouillage chez près de dix millions d’habitants de Wuhan, en Chine. Nat Commun 2020 ; 11 : 5917. doi : 10.1038 / s41467-020-19802-w. pmid : 33219229

[8] Aucun cas d’une telle évolution n’a été décrit dans la littérature par ailleurs extrêmement improbable en l’état actuel de la science

[9] Lettre-réponse à adresser aux médecins qui vous proposent de vous vacciner (lemediaen442.fr) Publié le 28 mars 2021 par Olivier Demeulenaere

[10] Alexandra Henrion-Caude : « Utiliser de l’ARN sur des gens sains est une pure folie | « Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie (wordpress.com)




Ils osent tout… C’est même à ça qu’on les reconnaît !!!

Par Jean

Second communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire(([1] Premier communiqué :
http://www.profession-gendarme.com/les-peuples-et-les-etats-pietines-les-complotistes-ne-se-cachent-meme-plus/))

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Les comploteurs et leurs maîtres ont lancé à l’automne 2019 leur attaque qu’ils veulent définitive contre les Peuples et les Etats pour nous dissoudre dans la mondialisation. Les spadassins que l’on voit s’agiter sur les plateaux TV et dans la presse, ne sont que les mercenaires d’une caste composée de financiers et de milliardaires qui veulent nous contrôler et nous asservir. Leurs armes sont, les pouvoirs qu’ils détiennent, la peur du virus, et la vaccination. Ils sont dans l’obligation absolue de poursuivre leur plan sous peine de perdre la face. Pour cela, ils doivent, coûte que coûte, « ad infinitum » continuer à mettre la pression sur la population avec ce virus qui n’est qu’un prétexte amplifié par des médias subventionnés et des journalistes, dont la plupart sont au-dessous de tout. Toute cette clique entretient depuis plus d’un an la terreur sanitaire, le plus souvent avec des mensonges, des omissions, et des manipulations les plus grossières(([2] Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.)). Le confinement perpétuel est indispensable à ceux qui tirent les ficelles, c’est pour cela qu’ils vont prolonger l’état d’urgence et serrer de plus en plus la vis. Notamment pour bloquer les instances judiciaires afin d’éviter une cascade de procès qui risque de leur être fatal(([3] https://nouveau-monde.ca/la-bataille-judiciaire-bat-son-plein-refere-contre-les-confinements-et-couvre-feux/)), ou, par exemple, quand ceci va être déposé dans un tribunal international honnête(([4] https://nouveau-monde.ca/maitre-carlo-brusa-devoile-toute-la-supercherie-du-covid/)).

Selon eux il n’existe qu’une seule solution pour nous sortir de la crise covidienne, la « vaccination(([5] https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/)) (([6] https://www.cielvoile.fr/2021/03/l-ancien-vice-president-de-pfizer-a-l-aflds-il-est-tout-a-fait-possible-que-cela-soit-utilise-pour-une-depopulation-a-grande-echelle)) (([7] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/?fbclid=IwAR3n_IBxCm1Ah_LrRIyfHR8SEm3V9i6LUP5UMnB4alws3ts80YgQYRKQEEs#.YBHxv9OnByY.facebook)) (([8] https://nouveau-monde.ca/il-denonce-la-fausse-pandemie-orchestree-par-bill-gates/)), alors qu’il est maintenant abondamment prouvé qu’il existe des traitements très efficaces et à bas coûts. Par exemple : l’ivermectine(([9] https://planetes360.fr/dr-tess-lawrie-avis-aux-populations-du-monde-entier-livermectine-fonctionne/)) et le protocole Raoult avec son hydroxychloroquine qui a fait ses preuves notamment en Afrique. Mais ces solutions ne sont pas leur solution, vous comprenez ? Eux, ce qu’ils cherchent à tout prix avec l’alibi de la « vaccination », c’est d’injecter dans votre corps des composants qui n’ont rien à y faire.

Ce qui est le plus clair et le plus manifeste dans cette kabbale c’est que le dialogue n’existe plus depuis longtemps, seul subsiste les décisions autoritaires prises unilatéralement par un pouvoir qui est maintenant devenu ainsi, peu à peu, une dictature totalitaire. Ce pouvoir cherche à régenter entièrement nos vies. Ses décisions nous sont quasiment imposées par un pilonnage médiatique incessant. Malheur à ceux qui écoutent toute la journée BFMTV, dont son directeur Marc-Olivier Fogiel a osé dire « Dès qu’on a entendu ce que racontaient les rassuristes, on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter. Nous sommes très vigilants sur cette crise pour éviter les fake news. »

Voyons un peu ce que ce sordide personnage considère comme étant une fake news, une seule info suffira : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Une paille, ce qui fait une moyenne de plus de 300 médecins par département !!!!! Fogiel n’est assurément pas un démocrate, toute cette engeance est du même tonneau.

Ceux d’entre nous qui ne se sont pas encore rendu compte que la quasi-totalité des informations objectives et vraiment nécessaires sont en fait censurés, devraient commencer dès maintenant à sérieusement réfléchir

Peter de Berlin : Quelque chose se passe sous nos yeux, mais nous ne le voyons pas ! — PLANETES360

Le confinement dans la caverne, une méthode qui a fait déjà fait ses preuves dans le passé pour préparer et faire démarrer les pires guerres qu’a connu l’humanité.

Dans le plan initial, Klaus Schwab le président fondateur du Forum de Davos (Forum Économique Mondial), misant sur un virus nettement plus violent et mortel, avait prévu un lockstep total sur l’ensemble de la planète. C’est-à-dire plus personne dans les rues. Tous les pays devaient être confinés et rester confinés en permanence, avec masques comme une muselière à perpétuité pour les gueux. Ceci est confirmé par le sinistre polonais de la santé(([10] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/04/09/comme-attali-et-schwab-le-ministre-polonais-de-la-sante-promet-des-decennies-de-tyrannie-sanitaire/)) qui ne doute de rien. Heureusement pour nous, le virus à fait pschitt… et maintenant ils se retrouvent fort démunis, puisqu’entre autres, la Chine, depuis septembre 2020(([11] http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm , 22 septembre 2020, Conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France.)), la Russie, la Turquie, plusieurs états américains … ont levé les restrictions sanitaires et ont donc remis en route leur économie. Vladimir Poutine leur faisant, en prime, l’affront de botter le cul du président Schwab en plein Forum virtuel du Davos 2021(([12] https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/)), une info, comme beaucoup d’autres, que l’on se garde bien de vous transmettre, et une déculottée cuisante qui les a certainement mis en fureur.

Ne pouvant plus faire marche arrière, malgré que le bateau fuit de toute part, ils continuent obstinément leur sinistre plan comme les créatures pitoyables qu’ils sont, mais d’une manière ou d’une autre ils sont faits comme des rats… ce n’est qu’une question de temps.


La suppression envisagée de l’ENA (École Nationale d’Administration) est un signe fort qui doit montrer clairement aux aveugles que Macron a bien choisi de trahir son pays et sa population pour donner le plein pouvoir sur nos vies et celles de nos enfants au cartel du Nouvel Ordre Mondial.


Ne vivez plus dans la peur, ne soyez plus des êtres passifs, réagissez, venez respirez l’air du large…(([13] TEASER – Vers un Grand Reset national anti-Davos ? — Avec Valérie Bugault))
La peur va changer de camps, bientôt nous les submergerons.


Notes




Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

[Source : ⚡️ BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME (geopolitique-profonde.com)]

BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME

Par Marc Gabriel Draghi

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies. 

Le succès du Bitcoin

Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.

La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

Cette frénésie actuelle autour du bitcoin des grands acteurs « institutionnels » a débuté de manière significative avec l’année 2020 et l’instauration progressive de la crise sanitaire.

La société américaine PayPal (l’hégémonique plateforme de service de paiement en ligne) autorise désormais les paiements en bitcoin sur sa plateforme. Ce qui représente une consécration pour la plus célèbre des cryptos.

Ensuite, le discours de la fin d’année 2020, de Larry Fink, patron de BlackRock, a également acté le poids croissant du bitcoin et son intérêt pour le plus gros gestionnaire d’actifs au monde comme monnaie alternative au dollar…

Ainsi, le 20 janvier 2021, l’ancienne filiale de Blackstone, premier gestionnaire d’actifs mondial a officiellement inclus des produits dérivés du bitcoin dans la liste des actifs éligibles à deux de ses fonds d’investissement.

Enfin, le très médiatique et iconique patron de Tesla, Elon Musk, a de son côté, carrément fait grimper le cours du cryptoactif de 33 % en février 2021 quand il a fait l’acquisition de plus de 1.5 milliard de Bitcoin et qu’il a communiqué sur cette initiative.

On constate donc qu’au cours de l’année 2020 et en ce premier semestre 2021, il s’est véritablement passé quelque chose (en tout cas politiquement et stratégiquement) autour du bitcoin. Cependant, ce succès et cette tendance soulèvent évidemment plusieurs questions.

Bitcoin et alt season en bulle
Cette pièce existe-elle vraiment ?

Cryptomonnaies et Great Reset

En effet, alors que nous avons entamé une phase extraordinaire de décroissance programmée (le fameux Great Reset), on constate depuis quelques mois une recrudescence d’attention vers les cryptomonnaies. Dans ce contexte particulier (pré-effondrement), les cryptomonnaies (plus particulièrement le bitcoin) sont en train d’être présentées comme la solution numéro 1 au péril financier qui se dresse devant nous.

Mais n’en déplaise à certains, les comportements « médiatiques » de BlackRock et Musk qui n’hésitent pas à clamer haut et fort leurs investissements sur le bitcoin semblent davantage s’apparenter à des tentatives de manipulation de marchés, plutôt qu’à une exclamation de joie désintéressée. Et à y regarder de plus près, il semble bien que ce soient les grands acteurs financiers et leurs échos médiatiques qui font concrètement le jeu des cryptomonnaies et du bitcoin en particulier.

N’oublions pas que depuis presque une décennie les médias nous expliquent à longueur de journée que le bitcoin est un succès et qu’il existe un engouement. Dans le même temps, les grands acteurs du monde financier n’ont eu de cesse de souffler le chaud et le froid sur ce cryptoactif. Et au final, ils ont participé à cette promotion de manière avérée (principe du bad et good buzz). Plusieurs exemples d’articles de journaux comme Les ÉchosLa Dépêche ou France Tv Info, peuvent nous permettre de justifier cet argument.

Et si le succès du Bitcoin est indéniable, l’engouement actuel (fabriqué) autour de cette cryptomonnaie ne doit rien au hasard, car les politiques de surliquidités des banques centrales et l’inflation qui arrivent à grands pas ont tout fait pour rompre la confiance qu’ont les investisseurs dans les actifs et devises traditionnels. Chacun cherche désormais à protéger son épargne et sortir le plus possible son capital du système financier mondial agonisant et sous perfusion.

Et il n’est pas impossible que les cryptodevises, qui sont donc de plus en plus présentées (presque officiellement) comme des actifs crédibles face aux périls de notre système financier moribond, fassent en réalité partie du piège…

La valeur du bitcoin

Car même si a priori le bitcoin peut paraître séduisant, plusieurs caractéristiques et signes peuvent nous permettre de douter légitimement face à cette technologie numérique.

Tout d’abord, le bitcoin a connu un succès rapide après sa création, le 31 octobre 2008. En effet, seulement de 2 ans après son lancement, le site Wikileaks acceptait les dons en bitcoin, lui conférant un nouveau statut d’outil libertaire.

C’est à cette occasion que le grand public prît connaissance de l’émergence d’une cryptomonnaie qui était encore jusque-là très confidentielle (principalement connue des geeks américains). À partir de cet évènement, plusieurs projets de cryptomonnaies et blockchain commencèrent à voir le jour dans la foulée de ce succès.

Le 10 juin 2011, le bitcoin se situait déjà aux alentours de 28 euros et moins de deux ans après (des corrections sont intervenues entre temps) le cours avait atteint les 287 euros en avril 2013, puis les 1240 dollars à la fin de cette même année. L’or digital était donc lancé !

Certes à un moment où les grandes banques centrales ont commencé à faire fonctionner la planche à billets (politiques de QE), on peut comprendre qu’une monnaie émise de pair à pair, qui ne nécessite pas de banque centrale et qui est utilisable au moyen d’un réseau informatique décentralisé, a de quoi faire rêver les plus dissidents et retors d’entre nous…

Cette technologie qui utilise les principes de la cryptographie et associe l’utilisateur aux processus d’émission et de règlement des transactions a forcément l’apparence d’un véritable outil démocratique, à une époque où la contrainte et la surveillance généralisée sont grandissantes.

Mais malheureusement pour nous, les cryptomonnaies et les systèmes de Blockchain sont en vérité des illusions, pour ne pas dire purement et simplement des escroqueries à plus ou moins long terme.

Là où l’on devrait ramener nos systèmes économiques et financiers vers un peu de concret et les faire pencher davantage vers le travail véritable (création de valeur ajoutée), cette technologie nous pousse en réalité vers une fuite en avant en direction de la numérisation et la virtualisation du monde.

De ce constat, on peut en conclure que le mécanisme financier du bitcoin est d’ailleurs simple : une performance exceptionnelle qui ne repose sur rien !

Certains m’opposeront l’argument que la valeur du bitcoin repose au contraire, sur la technologie Blockchain, qui semble être une révolution technologique à elle seule, mais nous répondrons à cet argument un peu plus tard, quand nous évoquerons sa fiabilité et le rôle de la fonction de hachage SHA-256.

En réalité le problème principal et donc de fond du bitcoin (et des cryptomonnaies en général) repose sur leur nature même.

À l’inverse de l’or (à qui il est comparé actuellement), le bitcoin n’a évidemment pas de valeur intrinsèque et sa reconnaissance n’est pas universelle. De plus, de manière encore plus concrète l’accès à un bitcoin nécessite de l’électricité, une connexion internet, une plateforme d’exchange pour en acquérir, une wallet, un code d’accès à celle-ci, etc. ce qui ne facilite pas son « universalisation ». On peut donc d’ores et déjà indiquer objectivement que ce n’est pas simple de « posséder » un Bitcoin, à la différence d’une pièce d’argent métal que l’on a dans la proche.

De même, ces « cryptos » que l’on qualifie abusivement de monnaies ne sont en aucun cas des monnaies au sens légal du terme. Il serait même plus approprié d’utiliser les termes cryptoactifs, car ces « coins » (pièces de monnaie numériques en français) s’apparentent davantage à des actions, produits obligataires … qu’à une véritable monnaie. De plus, même celles qui se disent éthiques et vertueuses sont uniquement créées pour la spéculation. Le terme monnaie accolé à « crypto » vise d’ailleurs à subvertir le concept de monnaie et à habituer le grand public à cette conception viciée de l’objet monétaire.

En réalité, ce que certains qualifient de cryptomonnaie (comme le bitcoin) ne possède pas du tout l’ensemble des caractères fonctionnels d’une convention (un accord de volonté conclu entre des personnes pour créer, modifier, éteindre, ou transférer des obligations). En aucun lorsque vous possédez un Bitcoin, vous êtes face à la dimension d’une norme impérative (règle de droit à laquelle personne ne peut déroger). Nous ne sommes donc pas en présence d’un objet monétaire au sens légal du terme.

C’est cette absence de caractère conventionnel/légal des cryptomonnaies qui explique le fait qu’il est très compliqué d’acheter son pain et de payer ses impôts en bitcoin, même si certains acteurs sont désormais favorables à cet outil.

De surcroît l’extrême volatilité du bitcoin ne permet pas non plus d’affirmer qu’il pourrait être une unité de mesure.

Concrètement et pour ne pas tourner autour du pot, le Bitcoin est en réalité un gigantesque schéma de Ponzi qui ne repose que sur la confiance d’une communauté.

D’ailleurs la notion de communauté est primordiale dans la plupart des projets de cryptomonnaies. Pour la quasi-totalité des cas, il faut simplement que les investisseurs continuent à remplir le gouffre, jusqu’à ce que la musique stoppe. Le transfert de richesse est réalisé au final quasiment à sens unique (vers celui qui a produit le token : jeton d’authentification et qui a fait la levée de fonds / ICO). C’est -à-dire celui qui a vendu un produit qui possède une valeur réelle proche de zéro.

Au regret de perturber les investisseurs naïfs, il n’y a malheureusement aucune réalité économique ou financière derrière les cryptomonnaies actuelles : seulement une valeur de convenance entre parties. La valeur de l’actif réside simplement dans la croyance de celui qui va acheter cette cryptodevise. Certes, comme à la roulette ou à une partie de poker, il peut vous arriver de gagner, mais au final c’est toujours le Casino qui remporte la partie sur le long terme. Le véritable gagnant (celui qui s’enrichit) est celui qui a son nom sur le jeton…

Et vous imaginez bien que si le Bitcoin (qui est la cryptomonnaie de référence) est un Ponzi, ces semblables (qui sont automatiquement de moins bonnes qualités pour plusieurs raisons que l’on va détailler), sont elles aussi des fraudes à plus ou moins grande échelle.

Mais alors qu’est-ce qui permet de dire qu’une cryptomonnaie (et en particulier le Bitcoin) est un Ponzi numérique sophistiqué?

Le premier argument est un argument de bon sens, mais il est fondamental de le présenter, car chaque citoyen mature politiquement devrait comprendre ce constat simple lié à l’observation et à la réflexion sur la question monétaire.

Cet argument consiste à répéter que cette monnaie virtuelle n’a aucune valeur intrinsèque (en elle-même), et qu’elle ne vaut fondamentalement rien sur le temps long. Mais alors quelle différence les monnaies fiat actuelles ont-elles avec le Bitcoin, me direz-vous ?

Le billet imprimé par la BCE ou le dollar de la Réserve fédérale sont fondamentalement dans la même situation, selon plusieurs adeptes de cryptos.

Mais en réalité, pas tout à fait (voire même pas du tout), puisque nos monnaies fiat modernes reposent quand même (et ce n’est pas rien) sur une garantie de la banque centrale et surtout de la nation (communauté de producteurs) qui a choisi cette monnaie pour ses échanges.

Et même si pour les monnaies fiat créées ex nihilo (depuis les accords des changes flottants 1971 et de la Jamaïque 1976) nous sommes également en présence d’une fraude (Argent-Dette), celle-ci est bien plus complexe et elle ne repose pas totalement sur rien. La valeur d’une monnaie fiat repose quand même sur le droit, une obligation, donc l’État et en définitive la force (monopole de la violence physique légitime comme le disait le sociologue Max Weber) ce qui n’est pas rien et ce qui est encore concret (demandez aux Gilets jaunes).

Cette démonstration peut également s’appliquer au dollar, qui au niveau mondial, reste encore la monnaie internationale de référence, non pas parce que l’économie US est la plus productive), mais parce que l’ensemble des nations du monde redoutent le complexe militaro-industriel américain (la force) qui pèse encore très lourd dans la géopolitique mondiale. Un autre facteur (sa grande liquidité sur le marché international des devises) permet également de justifier la conservation de son statut. Il existe donc une gradation dans entre ces deux escroqueries qui résident en particulier sur la notion de garantie (qui est tout de même un aspect fondamental).

En effet, quelqu’un qui vous vend une Twingo dans un garage en vous faisant croire que c’est une Mercedes ne commet pas le même méfait que celui qui vous vend une photo de Mercedes sur internet, en vous faisant croire qu’il vous vend la voiture… Dans le premier cas, vous aurez davantage de chance de vous déplacer à 50km/h sans produire un effort physique énorme…

Plus concrètement, le jour où vous ne pouvez plus acheter/vendre/posséder de bitcoin, personne ne sera responsable. Par contre le jour où il n’y a plus de monnaie, plus d’accès au compte en banque, les responsables existent et vous pourrez toujours aller en chercher certains et leur demander des comptes… Ce qui semble beaucoup plus difficile à faire avec le cas de l’ectoplasme nippon…

Bitcoin et altcoin : comment investir ?

Qu’est-ce qu’une monnaie ?

C’est d’ailleurs tout l’intérêt que pose la question du Bitcoin et des cryptomonnaies. En réalité, les actifs numériques nous interrogent sur le rôle de la monnaie elle-même.

Il y a quelques semaines, lors d’un échange avec l’excellent Dr Louis Fouché du collectif RéinfoCovid et l’universitaire spécialiste de l’histoire de la monnaie Jean-Michel Servet, nous avons essayé d’apporter des réponses à cette question, à l’invitation de la plateforme de débat « Prenez Place ».

Dans ce débat, il a été avancé par mes contradicteurs (Fouché-Servet) un élément pertinent indiquant que : « la monnaie était vraisemblablement un outil qui avait pris différentes formes à travers l’histoire ». Et cette forme pouvait, selon eux, « varier en fonction de l’époque, mais qu’il existait cependant une constante notamment le fait que l’objet-monnaie reflétait presque toujours le zénith (technique ou technologique) de ce qu’une communauté d’individu savait produire ou échanger »

Cette analyse est très intéressante, car elle est au cœur de la question monétaire moderne et des interrogations relatives au cas du bitcoin en particulier. Car nous sommes bien avec le Bitcoin et la Blockchain face à un outil technologique très avancé.

Malheureusement pour moi, cette vision énoncée dans le débat n’a pas pu faire l’objet d’une réponse développée et argumentée de ma part en raison des contraintes de temps inhérentes à ce genre d’exercice (débat entre 4 personnes sur des questions précises, en l’occurrence la notion de commun).

Par cet article sur le Bitcoin et la Blockchain, il me paraît donc essentiel d’apporter une précision sur la notion d’objet monétaire.

Ainsi, dans cette vidéo de l’Acte 1 de Prenez Place, comme dans mon livre d’ailleurs, j’ai tenté d’expliquer que l’outil monétaire possédait plusieurs facettes que je synthétise pour ma part avec cette définition relativement simple et ancienne qui consiste à dire que : la monnaie au sens classique du terme, est le morceau de métal précieux produit en série et estampillé par la cité.

Et même si le côté métallique de la monnaie est désormais officiellement désuet, on retrouve dans cette définition historique, de manière implicite, les fonctions essentielles de l’objet monnaie (à savoir être une réserve de valeur, un intermédiaire/ moyen d’échange, une unité de mesure, mais surtout une marque de souveraineté : une norme impérative de droit).

Et pour se faire un avis sur le Bitcoin, les monnaies numériques, mais aussi sur nos « bouts de papier » et cartes bleues actuels (les monnaies fiat et scripturales), il est primordial d’avoir cette ancienne conception de la monnaie dans un coin de notre tête.

Pour faire le lien directement avec le Bitcoin et la cryptomonnaie, on peut déjà dire que l’Euro ou le Dollar, qui sont encore émis par les banquiers centraux, ont au moins encore (plus pour très longtemps) le mérite (par rapport au bitcoin) d’être un morceau de papier qui reste difficile à reproduire par une entité qui ne dispose pas du droit de le faire. Et quand il est dans votre main ou dans votre poche, il reste assez difficile à faire disparaître…

Contrairement à ce que m’a opposé le Dr Fouché (disciple du penseur Jacques Ellul) l’outil par essence est bien neutre. C’est la technique qui, elle, peut, ne pas être neutre. Il est donc important de ne pas faire l’amalgame entre les notions d’outils, d’objets techniques ou encore de fonction d’usage et d’action complémentaire. Pour l’outil monétaire, il n’existe évidemment pas d’intention intrinsèque particulière à l’outil. La monnaie sert d’abord à mesurer et échanger des biens. L’usage pour la quasi-totalité des outils (les plus basiques : ne nécessitant pas de technique spécifique) est totalement neutre. Par exemple pour une hache, sa fonction d’usage est de couper (du bois ou autre chose) et pour un marteau c’est d’enfoncer/écraser. Cette conception de neutralité de l’outil se retrouve dans les analyses et observations d’Aristote dans la plupart de ses ouvrages (Éthique à Nicomaque, la Politique, Économie, etc.) Ainsi, pour ne pas se perdre dans la question monétaire, il est donc important de ne pas sur interpréter la notion de fonction d’usage d’un outil.

Cependant l’argument du docteur Fouché est néanmoins juste lorsqu’il s’agit d’un outil technique numérique ou en réalité la donnée (la data), l’information est l’élément essentiel de la technologie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire de manière intuitive, une Kalachnikov n’a en réalité pas pour fonction première de tuer, elle est d’abord construite pour tirer des balles efficacement, et rien n’empêche son utilisateur de tirer en l’air, sur une cible, ou dans les jambes… Sa fonction extensive (complémentaire) est évidemment de tuer, mais elle n’est pas dans l’ADN premier de cet outil (malgré les apparences). C’est l’entraînement (la technique) qui permettra à l’usager (le tireur) de parachever son intention. Pour la monnaie en réalité c’est la même chose.

La monnaie en tant qu’outil n’est ni bonne ni mauvaise. C’est son utilisation (comme pour la hache qui peut couper du bois ou des têtes) qui induit sa finalité d’usage.

Comme je l’ai brièvement évoqué dans le débat, en termes de réflexion économique, il est donc nécessaire de partir de ce postulat (neutralité de l’objet monnaie) et de retenir qu’il existe deux conceptions monétaires opposées (les autres n’étant que des subdivisions de ces 2 catégories) :

– La première, celle d’Aristote (la bonne) consiste à considérer la monnaie comme un instrument de mesure, un intermédiaire et la norme supérieure organisant le bien commun, c’est-à-dire un moyen d’échange qui vise à échanger des biens (valeur ajoutée, richesses : récompense du travail) dans l’intérêt d’une collectivité (société) et en vue de la consolidation du bien commun.

– Puis, la seconde, celle de Jacques Attali et ses pantalons à une jambe par exemple, voit l’Argent (la monnaie) comme la finalité de l’échange (bien en lui-même). Ce qui compte c’est « d’être riche », que ça rapporte beaucoup, qu’il existe « un retour sur investissement maximal ».

Cette conception (celle de notre temps) sacralise l’appât du gain, la chasse aux profits et l’objet monétaire en lui-même. Celle-ci est en réalité la matrice monétaire de notre époque moderne. Mais elle est aussi en définitive la conception proposée par le bitcoin qui est seulement un actif spéculatif. Il y a dans le bitcoin, une adoration d’un objet vide de valeur réelle, qui est encore bien plus dangereux que la célèbre auri sacra fames (maudite soif de l’or).

L’or baisse : le Bitcoin monte

D’ailleurs, ceux qui adoptent la conception aristotélicienne se rapprochent souvent de solutions monétaires liées à l’argent métal ou à l’or, car bien qu’étant improductifs, ces actifs sont des étalons de valeur neutres (personne ne les créés), concrets et difficilement manipulables quand il s’agit d’or et d’argent physique.

Cependant dans cette période de troubles financiers, contre toute attente, l’or depuis quelques mois (la rentrée 2020) baisse, alors que le bitcoin lui a continué son ascension de manière considérable. Mais alors comment peut-on expliquer cet état de fait ?

Nous le savons, le marché de l’or est manipulé depuis des décennies, pour ne pas dire des siècles désormais. Le simple fait de s’intéresser au « fixing » du prix du métal jaune suffit à valider l’argument.

Ces manipulations du cours de l’or (mais aussi de l’argent) sont la conséquence des comportements des grandes banques internationales, des démonétisations officielles et successives de l’argent (fin du XIXe) et celle de l’or (1971-76) et de la création du marché de l’or et de l’argent papier (certains ETF).

Face à ce contexte de baisse (correction) du métal jaune, réputé comme l’actif anti-fragile par excellence, le bitcoin tend à être vendu et imposé dans la sphère médiatique comme une nouvelle valeur refuge, au même titre que la relique barbare (l’or) dans cette période de grande instabilité financière.

Géopolitique de l'Or
Les banques centrales ont-elles du Bitcoin ?

Les origines du Bitcoin

Mais pour poursuivre notre critique de fond, nous pouvons affirmer que la structuration/conception du bitcoin pose elle-même question. La source de la crypto/blockchain la plus célèbre est réellement et fondamentalement problématique.

Pour commencer, le créateur de la première blockchain : le bitcoin, est un parfait inconnu. Ainsi, selon le peu d’informations dont nous disposons, ce monsieur se nommerait Satoshi Nakamoto.

Cet individu de nationalité japonaise serait un mathématicien, programmeur, cryptographe et révolutionnaire dans l’âme, et nous aurait même donné sa date de naissance exacte le 5 avril 1975. Cependant, à l’heure actuelle, il est tout simplement impossible de savoir s’il s’agit bien d’une seule personne ou au contraire d’un groupe de personnes. Ce Nakamoto qui n’a jamais donné aucun signe de vie et n’a jamais prouvé son existence est également le créateur du forum bitcointalk (communauté).

Selon la légende officielle, il posséderait quand même plus d’un million de bitcoins comme l’indique le site businessinder et en décembre 2017, sa fortune était déjà estimée à 19,4 milliards de dollars…

D’ailleurs, dans un dernier message public de la fin de l’année 2010, Nakamoto aurait cessé d’être actif et aurait quitté le projet Bitcoin, pour passer à autre chose…

Il aurait donc confié le « bébé » à un certain Gavin Andresen (américain) développeur en chef du bitcoin, travaillant à créer selon ses propres termes une « monnaie pour l’Internet » sécurisée et stable. Ce dernier est d’ailleurs diplômé de Princeton (université de l’Yvy League) et serait même allé présenter le projet dans les bureaux de la CIA comme il l’a déclaré dans un tweet étrange de juin 2011.

Gavin Andresen, le bitcoin et la CIA

À la tête de la fondation Bitcoin jusqu’en 2017, il a ensuite rejoint le projet BitcoinCash (une cryptomonnaie issue du Bitcoin) par la suite. Évidemment cet étrange mystère autour du « créateur » a pour conséquence d’énormes spéculations sur l’identité de Nakamoto. D’ailleurs son origine nipponne est même sérieusement remise en cause par la qualité de son anglais et l’absence totale de publications en japonais…

La Blockchain et la NSA

Mais ce n’est pas tout, une hypothèse pas totalement farfelue fait de Satoshi Nakamoto une création de la National Security Agency (renseignement américain). Le japonais serait donc un personnage fictif présenté au grand public par l’agence de renseignement américaine, ou au moins une personne travaillant pour elle. « Absurde théorie du complot ! » diront certains adeptes de la très subventionnée « conspiracywatch », mais quand on connaît les origines (pourtant officielles) de la « crypto-currency », l’hypothèse est loin d’être surréaliste.

Concrètement, il est tout aussi crédible de dire que le créateur du bitcoin est la NSA que d’affirmer vigoureusement que Nakomoto est une vraie personne.

D’ailleurs, bien avant la création du bitcoin, un document intitulé : « How to make a mint : The cryptography of anonymous electronic cash » publié en 1997, détaille étrangement la structure et la fonction de la monnaie virtuelle.

Et l’auteur de ce petit document se trouve être le Bureau de la recherche et de la technologie de la sécurité de l’information de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).

En définitive, par l’intermédiaire de ce document, l’agence de renseignement américaine a donc réellement détaillé la structure future des cryptomonnaies, bien avant la fin de l’année 2008. En réalité le Bitcoin a réussi là où le concept de b-money, imaginé par Wei Dai en 1999, et le bitgold, de Nick Szabo en 2005 ont échoué.

Une grande partie du protocole de la monnaie virtuelle est même détaillée dans le document cité ci-dessus, y compris les techniques d’authentification des signatures, l’élimination des contrefaçons de cryptocoin par l’authentification des transactions et plusieurs caractéristiques qui permettent l’anonymat et l’impossibilité de retracer les transactions. Le document souligne aussi le risque important de blanchiment d’argent qui peut être aisément réalisé avec cet actif numérique.

La date officielle de création du Bitcoin (31 octobre 2008) en pleine crise financière des Subprimes et son succès en pleine défiance du grand public envers le monde de la finance (le mouvement OccupyWall Street lancée en 2011) sont également étranges.

Évidemment, le lien entre la NSA et la technologie de la blockchain ne s’arrête pas à la rédaction d’un document technique sur la cryptomonnaie.

L’agence de renseignement américaine est surtout le créateur du hash SHA-256 dont dépendent toutes les transactions Bitcoin et des autres cryptomonnaies (toutes basées sur ce système) dans le monde.

Ainsi, l’intégrité du bitcoin dépend d’une fonction de hachage appelée SHA-256, qui a été conçue, développée par la NSA et publiée par le National Institute for Standards and Technology.

Contrairement à ce qu’avancent les adeptes du bitcoin, la Blockchain (comme tout support numérique) n’est pas inviolable. En effet, comme l’a expliqué un spécialiste en cryptographie Matthew D. Green de l’Université John Hopkins, il n’est pas impossible de prendre le contrôle du réseau.

Néanmoins selon lui, pour arriver à cela il faudrait procéder rapidement sur le SHA-256, avec de gros moyens techniques et des actions crédibles et détectable pour falsifier les transactions. Officiellement, cela n’est jamais arrivé et il faudrait une grosse structure (un service de renseignement ?) pour réussir à réaliser cette opération.

Ainsi, comme tout outil numérique la blockchain est manipulable et il serait donc possible de falsifier les transactions si le hachage SHA-256 développé par la NSA disposait d’une méthode détournée pour déchiffrer le cryptage.

Il est à noter que jusqu’ici aucune activité frauduleuse n’a officiellement été détectée par aucun chercheur. D’ailleurs si tel avait été le cas et si cela avait été su, le bitcoin aurait déjà été liquidé par les investisseurs qui auraient fui cet actif déjà très volatile. Cependant quand on examine le cours du bitcoin depuis 2014 et les réactions (nombreuses) qu’il suscite, on constate que certains experts expriment leurs doutes sur le fait qu’il n’est jamais subi de manipulations

D’ailleurs, le 15 août 2010 un certain Jeff Garzik avait déjà repéré une faille dans le système. Une sorte de « bloc étrange » comme il le désigne dans le forum bitcointalk : avait été identifié par ses soins. Ainsi, il y a plus d’une décennie, une faille dans le protocole (ou une intervention) avait permis la génération de 92 milliards de bitcoins ! Cette erreur avait pu être corrigée et la Blockchain était revenue à son état antérieur afin de liquider ces nouveaux bitcoins issus de cette création frauduleuse.

Les adeptes du bitcoin, n’apprécient généralement pas qu’on leur rappelle ce petit épisode qui n’a jamais vraiment été expliqué de manière convaincante (malgré de multiples tentatives). En outre, une manipulation du cours du bitcoin, voire même une spoliation de millions de bitcoins pourrait être réalisée et semble du domaine du possible.

Et pour cela, sans même aller sur terrain de l’argumentation de la fiabilité de la blockchain, le cours du bitcoin est par principe manipulable puisque le créateur du bitcoin possède à lui seul entre 900 000 et 1.1 million de bitcoins. Certains observateurs avisés expliquaient déjà en 2018 que Satoshi Nakamoto (ou l’entité derrière ce personnage) possédait un stock d’environ 980 000 bitcoins…

Rajoutez à cela, les acquisitions de mastodontes comme Musk/Tesla ou encore BlackRock qui en 2018 dépassait déjà les 6 000 milliards d’actifs sous gestion, et vous obtenez un cours potentiellement manipulable « au carré/puissance 2 »… BlackRock qui est devenu, à l’occasion de la crise du Coronavirus un organe du gouvernement américain (ou l’inverse), fait désormais la pluie et le beau temps sur les marchés internationaux et peut donc totalement et sans aucun problème, jouer avec le cours du bitcoin…

Il ne nous est donc pas très difficile de conclure qu’il est très probable qu’une cryptomonnaie comme le bitcoin, serve d’une certaine manière à prendre le contrôle d’une partie importante de la masse monétaire mondiale alors que le système de la monnaie fiduciaire/dette s’effondre sur lui-même. La dimension de piège politique/financier à propos du bitcoin n’est évidemment pas à écarter.

Une monnaie numérique remplaçant nos vieux billets et évitant une fuite vers l’or et l’argent métal serait une solution idéale pour l’oligarchie apatride de Wall Street et de la City. Le bitcoin, en plus d’habituer les gens par la culture d’investissement numérique qu’il répand, similaire à la numérisation des devises, sert probablement de prétexte à l’oligarchie financière.

Cash et cryptomonnaie
Tangible ou pas tangible ?

La fausse opposition au Bitcoin des banques centrales et des banques commerciales

On le constate de plus en plus au fil des mois, il existe une opposition formelle à la monnaie virtuelle alors que dans l’ombre s’organise une adhésion de fond parmi les grands acteurs et les institutions du secteur financier comme l’attestent les différentes réactions sur le bitcoin.

En effet, la Réserve fédérale américaine (FED) n’a pas hésité à déclarer (à la stupeur des experts) que « des monnaies virtuelles comme le bitcoin étaient légitimes ».

Pourtant en utilisant sciemment le terme « monnaie », la banque centrale américaine se tirait une belle balle dans le pied quand on pense à sa propre fonction (battre la monnaie pour les États-Unis). À moins que les gens de la Réserve fédérale en disant cela aient une idée derrière la tête…

Plusieurs banques centrales, dont la Banque de France, avaient, elles, été jusque-là plus prudentes dans leurs déclarations concernant le Bitcoin, faisant preuve d’une grande hypocrisie : « La Banque de France met en garde contre l’utilisation du bitcoin, soulignant que ce genre de devise n’est pas régulé, et réclamant une intervention des autorités pour mettre un terme à certaines transactions illicites. »

Une déclaration qui était pour le moins totalement inepte… Car qui sont les autorités dont elle parle ? Ne serait-ce pas le rôle d’une banque centrale ? Ne seraient-ce pas les missions des autorités de marché ? Serait-ce la division financière du parquet qui doit intervenir ? Qui a la mission d’assurer la protection des investisseurs ?

La Banque Centrale européenne avait, quant à elle, étrangement (en pleine crise de l’Euro) travaillé sur un rapport d’octobre 2012, ou l’hostilité envers les cryptomonnaies ne transparaissait pas vraiment…

La Banque des Règlements internationaux de Bâle et la Banque d’Angleterre quant à elles, ont lancé officiellement la phase d’instauration des monnaies numériques de banque centrale au cours de l’année 2020.

En réalité, dans cette grande pièce de théâtre, personne n’agit vraiment. Seuls les Chinois ont interdit l’usage et même le minage du bitcoin, et les Russes l’ont aussi très vite déclaré illégal.

Pour les Chinois, cela s’explique d’une manière assez simple : c’est la nation la plus en avancée dans l’instauration de sa monnaie (yuan) numérique de banque centrale (CBDC) et dans l’expérience de crédit social dont les mesures sanitaires occidentales (covipass/gestes barrières, attestations, amendes pour non-respect, etc.) semblent se rapprocher de semaine en semaine.

Pour la Russie, il y a fort à parier que les services de renseignements russes savent qui se cache derrière le bitcoin, comme ils connaissent déjà l’état de santé délicat du président américain Joe Biden.

D’ailleurs, il est aussi possible (pour des objectifs complètement différents) que les actions des deux leaders des BRICS soient justifiées également par leur politique respective d’achat important d’or métal depuis plusieurs années. L’or ou le Bitcoin, a priori, il faut choisir, et ces deux grandes puissances semblent avoir choisi…

Autres preuves que les cryptomonnaies sont des fraudes : désormais les grandes banques anglo-américaines investissent massivement dans les cryptomonnaies. À commencer par la JP Morgan and Chase de Jamie Dimon qui est devenue récemment (2019) la première banque à créer sa propre cryptocurrency. Cette dernière repose sur la même technologie de blockchain avec pour seul détail qu’elle est indexée sur le dollar. Les investisseurs peuvent donc utiliser cet actif numérique dans le cadre de transferts d’argent instantanés entre des comptes institutionnels de grands investisseurs, d’autres banques, et de grandes entreprises clientes de JP Morgan.

De même pour le « Boss » de la Bank of America Bryan Moynihan, qui a lui aussi déclaré au cours de la même année (2019) dans une interview que son institution déposait de nombreux brevets sur cette nouvelle technologie qu’était la blockchain. Preuves que les grandes banques ne sont pas du tout hostiles à cette tendance de digitalisation/numérisation monétaire…

Le FMI aime ça !

D’ailleurs, même le Fonds Monétaire International aime le concept de monnaie virtuelle. Pourtant, face à cette révolution monétaire, on aurait pu légitimement s’attendre à ce que le l’institution basée à Washington joue un rôle d’éventuel opposant face à cette révolution technologique « d’émancipation ». Bien au contraire le FMI version Christine Lagarde et maintenant Georgieva ne considère pas du tout le Bitcoin comme un problème.

En 2017, devant la Banque d’Angleterre, la grande Christine avait même déclaré qu’ « Il n’y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu’il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. »

Des rumeurs ont même circulé par la suite, indiquant carrément que c’était le FMI qui était à l’origine du bitcoin ou que le bitcoin visait à détruire les grandes banques centrales à son profit… Rien n’est impossible, mais seul l’avenir nous le dira.

Ce qui est certain, et on le constate avec la crise/dictature sanitaire du Coronavirus, le bitcoin et les cryptomonnaies vont servir de marchepied aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et à l’élimination de l’argent liquide.

Monnaie numérique et fin du cash

En réalité, il est surtout avéré que la technologie « Blockchain » a été construite (ou reprise c’est selon) pour détruire définitivement l’argent liquide.

Une réunion de banquiers et grands dirigeants relatée par un article du journal Bloomberg intitulé : « Inside the Secret Meeting Where Wall Street Tested Digital Cash » nous a d’ailleurs informé qu’une centaine de dirigeants des grandes institutions financières anglo-américaines (représentants du Nasdaq, de Citigroup, de Visa, de Fidelity, de Fisery et de Pfizer…) s’était tenue en 2016 à New York dans les bureaux de Times Square Nasdaq Inc.

Avec le recul et la crise du Coronavirus on peut légitimement se poser la question de la présence des dirigeants de Pfizer (entreprise pharmaceutique qui se trouve être le plus grand vendeur de vaccin anti-covid) à cette réunion…

Bitcoin, numérisation et traçage
Un petit vaccin peut-être ?

Lors de cette réunion privée, une société avait même présenté une technologie qui transforme les dollars américains en actifs numériques purs. C’est la promesse de la Blockchain, ou le système lourd actuel sujet aux erreurs qui prend des jours pour transférer de l’argent est remplacé par un mécanisme à la rapidité quasi instantanée. Cette technologie révolutionnaire est destinée à changer les pratiques liées à l’argent et a constitué la première étape vers une société sans liquide.

La technologie des monnaies numériques a donc été sélectionnée pour nous amener vers une dictature financière universelle.

Par sa nature informatique : la monnaie virtuelle sera tout simplement facile à créer et à voler. Et bien qu’elle repose sur une somme d’algorithmes complexes, la technologie Blockchain qui semble être anonyme et décentralisée est au contraire bien plus susceptible d’être spoliée qu’une pièce d’or ou d’argent présente au fond d’un coffre. Vision archaïque, mais de bon sens, que les « pros-crypto » n’hésiteront pas à dénigrer, car elle remet leur démarche dans le concret.

D’ailleurs grâce au terrorisme international, le gouvernement américain a depuis longtemps accès à des données financières par le biais de SWIFT dans le cadre de la prétendue lutte contre le terrorisme. Et même si l’on sait que la crypto-currency sert déjà de « monnaie d’échange » pour les diverses activités de financement et blanchiment entre la pègre, les mouvements terroristes mafieux, certaines grandes multinationales et agences gouvernementales, la technologie Blockchain rendra la traçabilité parfaite et seuls les grands groupes mafieux (qui contrôlent) cet outil, auront la chance (le luxe) de ne pas être traçable (comme le dit si bien Jacques Attali).

Ce système de monnaie virtuelle va aussi enterrer à coup sûr, le mouvement de résurgence des systèmes financiers, basé sur les métaux précieux, qui après la chute du dollar hégémonique, laissera naturellement la place à une crypto monnaie mondiale divisée probablement dans un premier temps en CBDC continentale (peut être portée par le FMI, avec son phénix/DTS).

En conclusion, mis à part si vous savez que vous pouvez faire un gain à court terme, évitez de vous lancer dans les cryptomonnaies, car elles amènent avec elles, un monde construit sur l’illusion numérique et l’asservissement.

Illusion et captation de la rébellion

Au contraire, nous devons prioritairement nous battre pour reconnecter l’Argent (la monnaie) avec le Travail productif afin de rester dans le monde réel. C’est bien l’extrême virtualisation et mathématisation du monde qui amène le gouvernement perpétuel des usuriers.

Il ne faut surtout pas imiter les parasites (traders, grands banquiers, etc., dans leur quête de la pierre philosophale virtuelle…), mais au contraire travailler concrètement en ayant conscience de l’effondrement prochain. Comme le dit si bien le Dr Fouché, il faut faire de cette crise, une chance, une opportunité, pour nous changer nous-mêmes. Mais ne nous leurrons pas en plus de ce travail personnel, il nous faudra aussi nous mettre en colère pour aller chercher les marchands du Temple… La passivité même consciente nous conduira à l’esclavage.

Et pour ne pas subir le cataclysme qui vient, il va nous falloir impérativement nous remettre au travail en tournant vers les activités réellement productives et enfin militer pour la reprise du contrôle de notre monnaie (souveraineté) en adossant celle-ci à un (des) étalon qui a lui-même une valeur intrinsèque (l’or, l’argent, le cuivre, le palladium…).

Le Silver Squeeze et le WallStreetBet, mouvement de fond bien plus intéressant que les épisodes rigolos Gamestop, démontrent qu’il existe des solutions concrètes que Wall Street et la City abhorrent (acquisition d’or et d’argent physiques par les masses et retour au Bimétalisme pour les nations).

Pour vous en convaincre, dites-vous bien que vous ne verrez jamais BlackRock, JP Morgan, Barclays ou Goldman Sachs vous crier que les perspectives d’investissement sur l’argent métal sont intéressantes avec de vastes campagnes publicitaires et de communication dans les médias…

Au final, n’oublions pas que la seule valeur d’une monnaie réside en réalité, sur le travail et la richesse des producteurs qui s’assemblent et se servent de cet objet pour échanger.

L’or et l’argent métal sont malheureusement encore une fois, les seules monnaies valables pour se préserver de l’effondrement qui vient et pour lutter collectivement contre la dictature numérique et sanitaire de l’oligarchie financière… Nos ancêtres (bien plus sages que nous) ont utilisé en priorité ces métaux comme objet monétaire pendant des millénaires, dîtes-vous bien qu’il doit bien y avoir une raison à cela…

Enfin, si vous persistez encore avec les cryptos et le bitcoin, essayez de sortir avant la captation définitive (par une interdiction, un bug, etc.) Car lorsque la petite musique cessera, que le silence numérique fera de vous des petits Bernie Madoff, qui après avoir bien joué, seront à la fin, privés de liberté (financière et politique), plus personne au fond de votre cellule, ne viendra vous sauver, car il sera trop tard.

Dans ce « Monde d’Après » totalitaire et virtuel, dans lequel nous serons presque tous enfermés, il nous arrivera probablement de regretter le temps où nous aurions pu abattre cette douce illusion, prémices de ce système diabolique (Blockchain/Bitcoin/CBDC), que nous avons cru pouvoir maîtriser à notre avantage…

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




Au nom de la théorie selon laquelle les vaccins permettraient une immunité collective, la Cour européenne des droits de l’Homme s’assoit sur ces derniers

[Source : medias-presse.info (medias-presse.info)]

Par Francesca de Villasmundo

Cour de Strasbourg et sentence historique : l’obligation vaccinale est légitime selon la Cour européenne des droits de l’homme

Dans une décision qui restera dans l’histoire, la Cour européenne des droits de l’homme a statué que les vaccinations obligatoires peuvent être considérées comme nécessaires dans les sociétés démocratiques.

Cette légitimité a été établie par un arrêt de la Cour basée à Strasbourg, après un recours formé par certaines familles tchèques contre l’obligation de vaccination décidée par l’Etat.

« Les mesures peuvent être considérées comme nécessaires dans une société démocratique », lit-on dans l’arrêt de la Cour, rapporté par l’Agence de presse italienne AGI, qui confirme que la politique de santé de la République tchèque est conforme à « l’ intérêt supérieur » des enfants et ne viole pas le droit au respect de la vie privée. La législation, au centre de l’appel, concerne « les vaccins administrés contre les maladies infantiles bien connues de la science médicale, à savoir la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, les infections à hémophilus de la grippe de type b, la poliomyélite, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole et, pour enfants ayant des problèmes de santé spécifiques, les infections pneumococciques. Selon les experts, la décision pourrait également avoir des implications pour toute politique de vaccination obligatoire contre la covid.

Parmi les requérants, notent les agences de presse, l’un a été condamné à une amende pour ne pas avoir suffisamment vacciné deux enfants, les autres se sont vu refuser l’admission au jardin d’enfants pour la même raison. La vaccination obligatoire, dit la Cour de Strasbourg, représente une ingérence dans l’intégrité physique de l’individu et, par conséquent, porte atteinte au droit au respect de la vie privée, protégé par l’article 8 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme. Cependant, les juges notent que le droit tchèque poursuit l’objectif « légitime » de protéger la santé ainsi que les droits d’autrui, soulignant que « la vaccination protège à la fois ceux qui la reçoivent et ceux qui ne peuvent être vaccinés pour des raisons médicales et qui comptent donc sur l’immunité collective pour être protégés contre les maladies infectieuses graves. »

En ce qui concerne les vaccins anti-covid, comme l’a expliqué récemment à un quotidien italien Giovanni Maria Flick, ancien président de la Cour constitutionnelle italienne et ancien ministre de la Justice, la vaccination obligatoire est parfaitement compatible avec la Constitution :

« La Constitution a été rédigée alors que nous venions de sortir de la tragédie des expériences pseudoscientifiques nazies, de la suppression des handicapés. Sur ces questions, il était évident qu’il y avait une sensibilité particulière. Mais récemment, à deux reprises, en 2017 et 2018, le Conseil a établi qu’à partir de la recommandation de vaccination, il est possible de passer à l’obligation lorsqu’elle sert à protéger la communauté. Il est incontestable qu’aujourd’hui la situation est la suivante, donc l’obligation est là, le problème, si tant est que ce soit, ce sont les sanctions. »

La question de la vaccination obligatoire, notamment en ce qui concerne le personnel de santé, est au centre du débat depuis de nombreuses semaines dans de nombreux pays européens, un taux non négligeable de membres sanitaires étant réticent à se faire vacciner contre la covid, les « vaccins » actuels, qu’il faudrait appelés thérapies géniques, étant encore expérimentaux.

L’arrêt de la Cour de Strasbourg, en admettant la légitimité de certaines vaccinations, pourrait s’avérer fondamental dans ce débat. Et limiter encore un peu plus le libre choix des uns et des autres. La tyrannie sanitaire a de beaux jours devant elle…

Francesca de Villasmundo




Alertez votre maire sur la dérive autoritaire du gouvernement et la propagande médiatique du covid

[Source : TextUp]

[Transmis par Philippe Loubière]

La lettre à copier (n’oubliez pas de signer avec votre nom et prénom à la fin) : 

https://docs.google.com/document/d/1peJXqZg6wg0_pXMePXXAF6GNLJnaJoLmYvtUHA64wIc/edit?usp=sharing

Le fichier PDF téléchargeable ci-dessus permet d’imprimer la lettre (avec les liens et les sources) sur 3 pages recto verso.

Madame le maire, Monsieur le Maire, chers Élus,

Depuis plus d’un an, les français vivent une situation particulièrement difficile liée à la crise sanitaire. Vous n’en ignorez rien, cette crise vous touche tout autant que vos administrés. Les confinements et couvre-feu successifs ont eu un très fort impact sur l’activité économique du pays. À l’échelle nationale, cela se traduit par une récession de 8 % (une des plus importantes en Europe et dans le monde)(1). À l’échelle locale ou individuelle, nous avons assisté en 2020 à la faillite de milliers de PME, commerces dits « non-essentiels », restaurants, lieux culturels(2). Le maintien par le gouvernement des mesures sanitaires ne laisse entrevoir, hélas, qu’une aggravation de la situation et la destruction toujours plus prononcée du tissu économique en 2021. À court terme, il engendre la paupérisation des ménages, la baisse immédiate du pouvoir d’achat et la dégradation des conditions de vie. À long terme, il aboutira à une austérité nécessaire face à des services publics hors de nos moyens (hôpital, éducation, sécurité sociale,…).

Au-delà encore de l’aspect économique, les mesures dites de « distanciation sociale » ont eu un profond impact psychologique sur les français. De l’aveu de tous les spécialistes, l’année 2020 a vu exploser les cas de dépression, les suicides également, dans des populations jeunes et autrefois épargnées par ces fléaux(3). La dureté des règles, leur modification permanente, le flou quant à leur durée, leur utilité et efficacité, additionnées à la rupture du lien social, la privation de loisirs et la détresse économique ont jeté les français dans la peur et l’atrophie. Les jeunes générations ne sont aucunement épargnées, elles sont mêmes en première ligne puisque les enfants, dès l’âge de 6 ans, sont contraints de porter le masque à longueur de journée, privés du contact de leurs camarades à l’école, et soumis à des règles de distanciation d’une grande sévérité.

Un an après l’instauration des premières mesures sanitaires, la situation ne s’est pas améliorée en France. Selon les chiffres officiels du gouvernement, les hôpitaux sont toujours saturés, les cas ne diminuent pas , les décès non plus, et l’heure n’est donc pas au relâchement.

De nombreux experts(4) ont pourtant l’impression de voir dans cette crise non pas la virulence d’un virus encore méconnu, mais l’action irraisonnée du gouvernement qui, croyant combattre un danger sanitaire, occasionne bien plus de mal que la maladie elle-même.

Un an après l’instauration des premières mesures sanitaires, aucune étude ne vient confirmer une quelconque efficacité de la distanciation sociale, du confinement, du couvre-feu ou du port du masque. Les chiffres des contaminations et des décès ne témoignent pas non plus d’un effet salvateur. La comparaison des pays pratiquant ou non la distanciation sociale est également sans appel : ces mesures ne démontrent aucune efficacité. En Suède(5), la situation est meilleure que la nôtre malgré une absence totale de mesures sanitaires. En Espagne(6), la réouverture des lieux de vie n’a engendré aucune hausse des cas ainsi que du nombre de morts. Aux États-Unis(7) où de nombreux états ont abandonné toutes les mesures sanitaires, la situation est meilleure de jour en jour. En ce début d’année, en écho aux travaux de l’éminent professeur Ioannidis démontrant l’inutilité des mesures de distanciation sociale(8), l’Organisation Mondiale de la Santé a confirmé ce dont les chercheurs se doutaient déjà : la non-contagiosité des porteurs asymptomatiques du covid-19(9), rendant inutile toute distanciation sociale, tout port du masque chez les individus en bonne santé.

Compte tenu de son faible taux de mortalité(10), comparable à celui de la grippe, et du risque quasi-nul qu’il représente pour une population saine (l’essentiel des décès se trouvant chez les personnes très âgées ou présentant de graves comorbidités), le covid-19 ne saurait être sérieusement considéré comme une menace pour la population. Il semble par ailleurs se combattre très efficacement par l’utilisation de traitements communs et peu dangereux : hydroxychloroquine, ivermectine, azythromycine, zinc, artemisia, vitamine D(11), pourvu qu’il soit pris en charge à un stade précoce. Ces traitements ayant suscité de nombreuses polémiques en France sont utilisés librement et massivement dans la plupart des pays du monde(12), où se multiplient les études attestant leur efficacité. Parallèlement à cela, l’interdiction de ces traitements en France est poussée par des acteurs de la santé dont les liens d’intérêts questionnent, ainsi que par un conseil de médecins sur lequel aucune transparence n’est faite, et dont l’impartialité ne peut donc être vérifiée.

Enfin, la promotion massive de la vaccination en France par nos autorités, excluant tout principe de précaution (aucun des vaccins utilisés en France n’a achevé ses phases de tests, ils reposent par ailleurs pour la plupart sur la technologie ARNm, inédite et également non-testée sur l’homme) finit de jeter le doute sur la justesse de la stratégie sanitaire du gouvernement. Elle expose l’État à de futurs scandales sanitaires pour n’avoir pas suspendu, à l’instar d’autres pays européens, le vaccin Astrazeneca reconnu responsable de thromboses mortelles. Cette vaccination, hasardeuse selon beaucoup d’experts, connaît une forte désapprobation auprès des français, et la menace permanente d’un « pass vaccinal », ou d’une restitution des libertés soumise à un vaccin plus ou moins obligatoire, questionnent une fois de plus sur la stratégie gouvernementale et son refus de traiter la maladie par des protocoles sûrs et éprouvés à l’étranger.

Nous vous écrivons aujourd’hui car, outre la crise sanitaire sur laquelle beaucoup reste à dire, nous assistons en France à ce que l’on pourrait qualifier de dérive autoritaire, les mesures sanitaires et leur application privant plus que jamais le peuple français de ses libertés les plus fondamentales : liberté de travailler, liberté de déplacement, liberté d’expression même. Écartés de cette crise, les élus du peuple, maires et députés, ne peuvent ni représenter les intérêts des français, ni s’assurer du respect de leurs droits. Alors qu’une opposition populaire de plus en plus marquée s’élève contre l’action gouvernementale et contre ce qui s’apparente à des mesures autoritaires abusives, les français ne recherchent pas la création d’un contre-pouvoir, mais la simple protection que leurs élus leurs doivent.

En votre qualité d’élu, il est de votre droit, mais aussi de votre responsabilité, de protéger vos administrés contre des mesures économiquement, sanitairement et socialement destructrices. Nous vous demandons donc d’user de vos compétences, comme de nombreux maires avant vous, pour alléger le poids de la crise sur vos administrés. Il vous appartient de dispenser ces derniers des mesures sanitaires les plus contraignantes, de mettre fin aux contrôles et aux amendes abusives, et de rendre aux français une qualité de vie décente. Ils vous en seront plus que reconnaissants tant le gouvernement français peine à les entendre depuis un an.

En espérant vous avoir sensibilisé aux grandes difficultés que les français subissent actuellement, ainsi qu’aux espoirs que nous mettons dans votre action, nous joignons à notre requête des liens d’informations susceptibles de vous intéresser. 

Dans l’attente d’une réponse de votre part, veuillez recevoir, Madame le Maire, Monsieur le Maire, chers Élus, l’expression de notre considération.

Signature (Nom Prénom)

Signature


Liens et sources :

  1. Récession économique : 
  1. Faillites :
  1. Suicides et dépression :
  1. Experts en France : Christian Perronne, Laurent Toubiana, Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-François Toussaint, Pascal Sacré (Belgique), Louis Fouché, Luc Montagnier, Violaine Guérin, Martine Wonner, le collectif Laissons Les Médecins Prescrire, Gérard Maudrux, Bernard Kron
    Experts à l’étranger : Dolores Cahill (Irlande), Heiko Schöning (Allemagne), Hector Carvallo (Argentine), Femi Babalola (Nigéria), Waheed Shouman (Egypte), Tess Lawrie (Angleterre), la FLCCC (Etats-Unis), Pierre Kory (Etats-Unis) Satoshi Oruma (Japon)
  1. La Suède vs la France (La Suède n’a jamais confiné ni imposé le port du masque) : 
  1. Espagne (qui a rouvert fin-Février. Depuis, le nombre de mort est en chute libre) : 
  1. Etats-Unis (Texas, plus de port du masque et réouverture totale depuis 3 semaines et depuis le nombre de mort est en chute libre) :
  1. Les doutes sur l’efficacité du confinement et John Ioannidis : 
  1. Asymptomatiques : 
  1. Taux de mortalité du virus :

    Au 09/04/2021, le nombre de décès dus au covid-19 est de 98 065 pour une population de 67,06 millions d’habitants. Le taux de mortalité du covid-19 est de 98 065 / 67 060 000 x 100 = 0,15 %, ou 15 morts pour 10 000 habitants.

  1. Hycroxychloroquine/Azythromycine : 
  1. Pays utilisant l’hydroxychloroquine : 
  1. Les tests potentiellement dangereux : 

La liste des adresse e-mail des mairies : 

https://docs.google.com/spreadsheets/d/14IOECDKxJRcvTcbCy0lrLzDMP8sjTLtfh1oSJzQtKPQ/edit?usp=sharing

Code postal Commune Adresse courriel
01000 Bourg-en-Bresse courrier@bourgenbresse.fr
01100 Oyonnax administration.generale@oyonnax.fr
01504 Ambérieu-en-Bugey secretariat@mairie-amberieuenbugey.fr
02100 St-Quentin mairie@saint-quentin.fr
02140 Vervins mairie@vervins.fr
02209 Soissons contact@ville-soissons.fr
02400 Château-Thierry contact@ville-chateau-thierry.fr
03016 Moulins accueil.hotel-ville@ville-moulins.fr
03106 Montluçon contact@mairie-montlucon.fr
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04000 Digne-les-Bains cabinet.mairie@dignelesbains.fr
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47207 Marmande mairie@mairie-marmande.fr
47307 Villeneuve-sur-Lot mairie@mairie-villeneuvesurlot.fr
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47500 Fumel accueil@mairiefumel.fr
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57700 Hayange mairie@ville-hayange.fr
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59304 Valenciennes contact@ville-valenciennes.fr
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65100 Lourdes sg@ville-lourdes.fr
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65300 Lannemezan internetlannemezan@gmail.com
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66500 Prades vila.fabienne@mairiedeprades.com
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67129 Molsheim renseignements@molsheim.fr
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67241 Bischwiller infos@bischwiller.com
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68160 Sainte-Marie-aux-Mines contact@ville-saintemarieauxmines.fr
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73011 Chambéry chambery@mairie-chambery.fr
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76196 Yvetot mairie@yvetot.fr
76210 Bolbec communication@bolbec.fr
76404 Fécamp directiongenerale@ville-fecamp.fr
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77200 Torcy info@ville-torcy.fr
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78195 Trappes courrier.dg@mairie-trappes.fr
78200 Mantes-la-Jolie service-etat-civil@manteslajolie.fr
78303 Poissy courrier@ville-poissy.fr
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80301 Albert mairie@ville-albert.fr
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80600 Doullens contact@mairie-doullens.fr
80700 Roye contact.mairie@roye.eu
81023 Albi secretariat.general@mairie-albi.fr
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81304 Graulhet mairie@mairie-graulhet.fr
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82300 Caussade secretariat@mairie-caussade.com
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83300 Draguignan mairie@ville-draguignan.fr
83608 Fréjus info@ville-frejus.fr
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83500 la Seyne-sur-Mer courrier@la-seyne.fr
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84045 Avignon allo.mairie@mairie-avignon.com
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84110 Vaison-la-Romaine mairie@vaison-la-romaine.com
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84208 Carpentras mairie@carpentras.fr
84300 Cavaillon accueil@ville-cavaillon.fr
84405 Apt mairie@apt.fr
84505 Bollène mairie@ville-bollene.fr
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84801 L’Isle-sur-la-Sorgue courrier@islesurlasorgue.fr
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Israël comme laboratoire et fer de lance du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Rabbi Nahman de Breslev]

Analyse de la situation économique et sociale en Israël et dans le monde à l’heure de la Covid, dans une perspective qui évoque le plan des élites satanistes.




Le contrôle mental au temps du Covid

[Source : Anthropo-logiques (anthropo-logiques.org)]

Présentation par Jean-Dominique Michel :

C’est une grande joie pour moi d’accueillir sur ce blog un nouveau texte du Dr Frédéric Badel. Cet auteur nous avait déjà gratifiés de deux excellents articles sur la manipulation mentale que l’on doit bel et bien observer dans la gestion catastrophique de la crise sanitaire en Occident.

Les lectrices et lecteurs désireux d’en savoir plus ou de creuser cette question pourront bien sûr se tourner vers les travaux de Mme Ariane Bilheran, docteure en psychopathologie, ou la suite d’entretiens donnés à Ema Krusi par M. Philippe Bobola, physicien, biologiste, anthropologue et psychanalyste, sur le thème de l’ingénierie sociale.

Ici, le Dr Badel pose des questions qui sont hélas reléguées hors de la sphère publique – ce qui est non seulement dommage mais aussi hautement dommageable.

Avec une conclusion pas chouette à laquelle tous les esprits un peu avertis sont déjà parvenus : nous sommes non seulement maltraités mais aussi délibérément manipulés par nos gouvernements.


LE CONTRÔLE MENTAL

Par Frédéric BADEL

Comment parvient-on à faire porter le masque à toute une population sans qu’aucune preuve ne soit apportée d’une quelconque utilité du port de celui-ci ? Comment en vient-on à proposer le principe d’un passeport vaccinal pour un virus peu létal, mutant, qui tue essentiellement des personnes de plus de 80 ans ?

Et comment se fait-il que ces propositions, solutions ou injonctions déclenchent si peu de réactions auprès des populations concernées ?

Certaines techniques de manipulation de masse permettent d’expliquer l’évolution rapide des contenus de pensée à l’échelle de la population et l’adhésion d’une grande partie de cette population à un nouveau programme.

La manipulation de masse ne date pas d’hier. Les outils pour la mettre en place se sont modernisés et ont gagné en rapidité. La manipulation va permettre de disséminer à grande échelle une propagande visant à modifier les repères et les croyances habituels, puis à les remplacer par de nouveaux, sans qu’aucune supercherie ne soit détectée.

De nos jours, la propagation rapide de la propagande d’État est réalisée via la télévision qui reste l’outil d’information quotidien principal pour une majorité de Français. Cette véritable « institution » qu’est cet outil de communication et d’information occupe généralement une place centrale dans un salon ou une pièce où sont pris les repas. La télévision capte les regards et les conversations. Des expériences datant de la fin des années 60 (Thomas Mulholland, Herbert Krugman) montrent qu’après seulement une minute d’écoute, l’activité cérébrale du spectateur se modifie et passe de fréquences bêta à des fréquences alpha. Ce passage signe l’émoussement de la pensée logique et critique pour une détente proche de l’hypnose, ce qui peut expliquer bien des endormissements devant la télé. La propagande va donc employer l’activité hypnotique de cet outil omniprésent.

La télé propose actuellement des programmes en continu. Deux éléments sont utilisés :

– La répétition d’informations identiques 

La répétition d’informations identiques auprès de populations en état semi hypnotique permet de mieux ancrer ces informations dans le cerveau. La population recevant les mêmes informations acquiert un mode de pensée unique qui crée une pression sociale, peer pressure, un mécanisme d’auto-régulation du peuple par lui-même. Une fonction naturelle de l’homme est en effet de se calquer inconsciemment sur le modèle social ; à l’échelle de l’individu, un nouveau modèle s’installe pour correspondre à la pensée dominante. L’instinct grégaire et l’obéissance à la règle transforment les citoyens en gardiens de l’ordre établi.

– La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion

La généralisation de programmes ne faisant pas intervenir la réflexion, la diffusion de programmes de télé-réalité faisant appel à la distraction, permettent de détourner l’attention et d’abêtir le peuple en l’éloignant des vrais problèmes sociaux.

Les programmes proposent donc une alternance d’informations inquiétantes et de programmes aliénants permettant la détente.

La télé est le média le plus performant pour conditionner les populations. Les journaux, débats d’idées lors de rencontres par exemple sont moins performants car non hypnotiques. Les lecteurs ou auditeurs gardent un esprit critique, une réflexion, qui permettent plus difficilement d’accéder au subconscient pour y introduire de nouveaux concepts.

Le matraquage médiatique télévisuel utilise certaines stratégies visant à favoriser la modification des croyances. L’ingénierie sociale s’est développée dès les années 30 et plus particulièrement après-guerre. Elle a connu une accélération avec l’arrivée de la télévision qui a permis de s’introduire rapidement dans tous les foyers.

Sur une population hypnotisée, le but est d’effacer progressivement certains programmes mentaux existants et les remplacer par de nouveaux. Comme sur un ordinateur.

– La stratégie des chocs

La stratégie des chocs a pour objet d’initier et maintenir un chaos social. Le choc créé par une annonce, une image, un commentaire peut provoquer un état de sidération (se rappeler le visionnage en boucle d’images du world trade center). Les images d’hôpitaux submergés, de malades évacués par convois spéciaux, les commentaires alarmants spéculant sur le nombre de morts à venir, les messages sonores, ont favorisé le conditionnement sur un modèle pavlovien.  Les chocs successifs ont été distillés de façon aléatoire et assez rapprochée. Les masses, par conditionnement progressif, ont attendu avec anxiété le choc suivant fourni par les interventions de l’exécutif.

Les chocs successifs ont été accompagnés d’une stratégie visant à faire croire que les sacrifices étaient douloureux mais nécessaires et que tout irait mieux demain. Cette stratégie a permis d’amplifier la cohésion sociale autour du narratif officiel.

Elle a été accompagnée également d’un outil particulièrement redoutable de manipulation qu’est l’infantilisation. Par exemple, s’autoriser à soi-même un déplacement à moins d’un kilomètre de son domicile, pour une durée limitée, à condition de porter un masque est infantilisant, humiliant et très conditionnant ; cela place le gendarme en chacun de nous et oblige à la transgression en conscience. Les demandes stupides imposées font partie de la charte de coercition de Biderman.

– La stratégie des petits pas

Depuis les premières annonces, insensiblement, les libertés ont été réduites. Une bonne annonce pour la population aujourd’hui réside dans l’absence de privations nouvelles. Un an après le début de la crise, nous sommes en état d’urgence, sous le coup d’un couvre-feu, avec surveillance des frontières, tests systématiques et sous la menace d’une vaccination obligatoire. Insensiblement, nos libertés se réduisent, le gouvernement réglant avec habileté le curseur pour minimiser les risques de sortie de l’hypnose.

Les techniques utilisées, une fois la peur instillée pour obtenir le chaos, consistent à fausser volontairement la réflexion en l’orientant de façon délibérée vers de nouveaux concepts ou un nouveau langage. Dans un temps ultérieur, un sauveur pourra proposer un ordre nouveau pour résoudre la crise.

Le gouvernement au cours de la crise sanitaire a utilisé largement des techniques visant à faire croire que la situation était entièrement nouvelle :

– Un néo-langage

La notion de cluster est apparue dès le début de la crise. La population découvrant ce mot lui a attribué la tonalité émotionnelle dramatique du moment et l’a conservée. En résumant, cluster égale danger. Les clusters se sont multipliés, véhiculant avec eux la peur. Il en a été de même pour le patient zéro, les tests PCR, les plateaux montants, les variants etc. La présentation pseudo-scientifique, donc crédible, de ces notions a bâti jour après jour un monde effrayant.

– des pseudo concepts

« Le monde d’après » : quelques semaines à peine après le début de l’épidémie, la présentation du « monde d’après » a été utilisée pour donner une coloration dramatique à la virose. Le monde d’après renvoie dans l’inconscient aux grandes catastrophes, qu’elles soient naturelles, atomiques ou virales, dont raffolent les films catastrophes. Ce concept élimine de fait tout retour possible à l’ordre ancien.

« Il va falloir vivre avec le virus » :  le public non averti a pensé que nous n’avions pas, jusqu’à présent, à vivre avec les virus de façon durable, que ceux-ci disparaissaient après les épidémies, et qu’il ne nous restait donc plus comme espoir que la vaccination pour nous en débarrasser, (puisqu’il n’existe officiellement en France aucun traitement).

« Objectif zéro covid ». En contradiction avec le concept précédent, il rend impossible toute sortie de crise. La présence côte-à-côte de ces deux énoncés rend compte du non-sens, très prisé dans la communication gouvernementale. L’objectif étant irréalisable, il prépare le concept suivant.

« La seule sortie de crise possible est la vaccination » : cette affirmation court-circuite des questions de bon sens sur la nécessité d’un tel traitement, ses conditions d’élaboration etc. Couplée à la menace de pérennisation des restrictions de déplacement auxquelles la vaccination pourrait mettre un terme, beaucoup pensent à se vacciner, permettant sans le savoir qu’une telle mesure soit mise en place. En effet, sans vaccination massive, le passeport sanitaire ou un équivalent serait impossible. On se situe clairement ici dans la fabrique du consentement.

Ces procédés ne permettent pas de débattre des vrais sujets de façon sereine et confisquent toute discussion constructive. La sidération des esprits ne permet plus à chacun de rétablir le sens commun qui aurait permis de demander par exemple :

  • « comment avons-nous fait avec les épidémies précédentes ? »
  • ou « pourquoi parler si tôt d’un monde d’après ou d’une guerre pour un virus ? »,
  • « pourquoi se précipiter sur la recherche d’un vaccin sans savoir si un vaccin est une solution pour l’épisode actuel ? »
  • « pourquoi de nombreux pays disposent-ils d’un traitement ? ».

Les questions de fond qui permettraient de construire une réflexion structurée et argumentée ont donc soigneusement été éludées.

Néo-langage et pseudo-concepts, renouvelés à l’envi, permettent de maintenir la terreur et de supprimer le sens de l’information.  Progressivement, un fait ou une situation seront nommés par des mots galvaudés détournés de leur signification première.

De ce nouveau langage ont disparu les mots « soigner » et » malades » puisqu’il faut disjoindre le concept d’épidémie de l’idée de malades à soigner. L’épidémie devient une épidémie de cas positifs à isoler et de contacts à identifier. Le peuple passe d’une peur d’être malade à une peur d’être « positif », voire « contact » et accepte docilement les tests et les isolements.

– L’exaltation de certaines valeurs morales : la solidarité et le sens de l’éthique

Le port du masque, tout comme la vaccination, deviennent des actes dont on peut être fier car ils sont philanthropes. Ils sont même filmés par les médias pour être mieux mis en valeur.

Les confinements, les fermetures d’établissements, le déclin de l’économie, les dépressions, les suicides, les retards de prise en charge d’autres pathologies, sont justifiables car nous protégeons les personnes fragiles. L’hypnose des écrans permet d’éluder la catastrophe sanitaire créée par ces mesures prétendument salvatrices. En protégeant les plus fragiles, la vie de millions de personnes est estropiée sans que cela ne pose de problème de logique.

Ce chaos social est organisé par une « cellule » (ici conseil de défense, conseil scientifique) proposant de façon non transparente les mesures liberticides à mettre en place. De façon arbitraire, sans recours à des arguments scientifiques pourtant disponibles, sans tenir compte des nombreuses voix qui s’élèvent pour dénoncer l’inefficacité et la nocivité de ces mesures, cette cellule n’a pas hésité à faire varier l’intensité des chocs délivrés à toute la population, confinements et couvre-feux alternant, sans que personne ou presque ne s’interroge plus réellement sur le terme de ces mesures. Cette cellule a usé des non-sens pour déconnecter encore plus la population de tout raisonnement (combien de débats sur le port du masque debout, assis, les distances de sécurité, et combien de mesures ineptes comme la fermeture des espaces conviviaux en préservant l’accès aux lieux les plus fréquentés).

Les chocs successifs permettent d’anéantir la capacité de réflexion des masses et de les sidérer, d’effacer tous les repères antérieurs. Sur ce fond de turbulence, de désorganisation, il est possible de greffer n’importe quel programme visant à résoudre le chaos et à proposer/ organiser/ imposer le retour au calme.

Le programme actuel est un programme de terreur dont le scénario est basé sur la propagation d’un ou plusieurs virus.

La transe hypnotique dans laquelle est plongée une partie du peuple ne permet plus de rectifier l’information par l’observation. Le monde chaotique proposé à l’écran est entré dans le subconscient de chacun et il est sans cesse renforcé par les mesures visibles au quotidien, telles le port du masque.

Sur la table rase cognitive réalisée en peu de temps par la puissance médiatique et les techniques de manipulation mentale, un nouveau monde apparaît dans lequel il est nécessaire de se protéger de tout, quitte à dissoudre les libertés fondamentales.

Des comportements qui auraient été jugés aberrants hier règnent en règle sociale établie aujourd’hui. Les meilleurs gardiens de ces nouvelles règles sont les personnes ayant subi ce lavage de cerveau. Une manipulation réussie laisse croire à la masse manipulée qu’elle a elle-même décidé de son comportement. Elle passe d’un monde à un autre en traversant une crise déclenchée et résolue par d’autres (stratégie du pyromane).

Le monde d’après se met en place comme annoncé. Le virus en a été le prétexte, la manipulation des masses le moyen. Aujourd’hui, et sans contrôle ou presque, les gens portent le masque y compris dans les zones où il n’est pas obligatoire, ils se reprennent entre eux pour non-respect de la règle, il est normal que les enfants portent des masques à l’école, que les plus vieux soient isolés en Ehpad, le passeport vaccinal ne choque plus que la moitié de la population et est considéré comme une sortie de crise possible, voire souhaitée.

En résumé, nous avons connu une épidémie saisonnière dont le traitement politique et médiatique a permis de réduire nos droits fondamentaux, de bousculer tous les repères antérieurs et d’instaurer de nouvelles normes, en décalage complet avec la réalité.

La puissance de feu de la dyade politico-médiatique a fabriqué le consentement.

Note : la charte de coercition de Biderman définit 8 critères de torture. Les techniques sont employées par les parents ou conjoints maltraitants, les sectes, et à grande échelle tous les régimes totalitaires ; elles permettent de créer l’asservissement et de briser toute résistance.

Une comparaison avec les mesures prises pour la crise est instructive.

  • Isolement (privation du soutien social qui donnerait la capacité de résister),
  • Monopolisation de la perception (effets recherchés, fixer l’attention sur une situation difficile, éliminer les informations en compétition),
  • Épuisement induit,
  • Menaces (pour induire l’impuissance et augmenter la soumission),
  • Indulgences occasionnelles (empêche l’accoutumance aux privations, stratégie des chocs).
  • Démonstration de toute puissance,
  • Dégradation,
  • Demandes stupides imposées (pour développer la soumission).

Frédéric BADEL




La Belgique entre condamnation des mesures sanitaires et répression policière

[Source : Belgian Alternative Media]

[PHOTO : REUTERS / CLÉMENT ROSSIGNOL]

La Belgique est sens dessus dessous depuis l’ordonnance en référé du 31 mars condamnant l’Etat belge à mettre ses mesures liberticides en conformité avec la loi.
Quoi ? Les mesures sanitaires que les habitants du royaume subissent depuis un an seraient illégales? La loi pandémie en discussion au Parlement ne serait-elle qu’un prétexte pour entériner sans les évaluer des mesures autoritaires qui n’ont, apparemment, produit que des résultats sanitaires délétères?

Pour nous éclairer sur les conséquences de l’ordonnance du Tribunal de 1ère instance de Bruxelles et du vote à venir de la loi pandémie, BAM! a invité LUC HENNART, Président honoraire du tribunal de 1ère instance de Bruxelles. Il ne mâche pas ses mots pour dénoncer l’infamie de cette loi liberticide, en l’état.

Notre chroniqueuse SANDRA FERRETTI, politologue, décortique ce projet de loi et met le doigt sur ce qui ne va pas de soi. Bref, ce qui menace nos libertés fondamentales, voire la démocratie même.

Notre chroniqueur MARC-HENRI WOUTERS, nous lit une lettre à envoyer aux députés que tout un chacun peut s’approprier. C’est un appel à l’action!

Les jeunes fêtards du Bois de la Cambre le 1er avril, eux, ne se sont toujours pas remis de la répression policière très dure à coup de canon à eau, de matraques, de gaz lacrymogène et de police montée à cheval, qui n’ont pas hésité à provoquer la foule pacifique et à faire couler le sang de jeunes citoyens.

Notre chroniqueur youtubeur ALEX LE COMPLOTISTE y était. Il nous raconte ce qu’il a vu, ce qu’il a subi et met en demeure les responsables politiques d’arrêter la répression violente d’une jeunesse à bout.

Animateur : HUGHES BELIN, journaliste freelance

50 minutes de paroles libres sur l’actualité de la vie covidienne des Belges.

https://www.youtube.com/watch?v=_t1kdA6MKbk



Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !

Quand l’académie de médecine nous confirme que les décodeurs du Monde devraient démissionner s’ils avaient la moindre dignité !

Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !

Par Alain Tortosa

Cela fait des mois que nous disons que les écouvillons utilisés pour les tests PCR peuvent être dangereux pour la santé et qu’il est important de faire attention à leur utilisation, surtout pour les enfants.

Toutes les publications que nous faisons et faisions sur Facebook ou Tweeter étaient ou sont encore censurées au motif que c’est une « désinformation ».

Ces réseaux sociaux dictatoriaux se basaient notamment sur les fameux décodeurs du « journal » « Le Monde ».

Rappelons que ce « grand » organe de « presse » « indépendant » a été subventionné par la fondation Bill Gates depuis des années à hauteur de quelques millions d’euros.

Que nous disait cette usine à manipulation des masses en juillet avec l’aide de médecins, au mieux incompétents, au pire corrompus :

« Coronavirus : non, les tests PCR ne mettent pas le cerveau en danger »

(([1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/07/21/coronavirus-non-les-tests-pcr-ne-mettent-pas-le-cerveau-en-danger_6046826_4355770.html)) — Le Monde 21 juillet 2020.

Et de rajouter :

« L’utilisation d’écouvillons pour aller effectuer des prélèvements au fond du nez n’est pas une nouveauté : cette méthode est utilisée depuis des années pour rechercher d’autres virus, ce qui donne un certain recul sur sa sécurité. »

« Dans tous les cas, l’écouvillon ne touche pas la barrière hémato-encéphalique, contrairement à ce qu’affirme la rumeur. Il touche la partie supérieure du pharynx, derrière la fosse nasale, comme on peut également le voir dans cette vidéo (c’est pourquoi on parle d’un prélèvement nasopharyngé). »

« Un écouvillonnage n’entre pas au contact de la barrière hémato-encéphalique, il faudrait qu’il franchisse la muqueuse et l’os du crâne pour l’atteindre ! », rappelait récemment Daniel Dunia, directeur de recherche en neurovirologie au CNRS, à 20 Minutes. »

L’objet de la publication est de bien prouver au public que l’écouvillon ne présente aucun danger (barrière hémato-encéphalique ou pas)

En septembre 2020 j’alertais sur le fait qu’il n’existait pas d’études sur le danger des écouvillons et que cela me semblait totalement délirant.

La seule étude que j’avais trouvé comparait des écouvillons 3d avec des écouvillons classiques et de conclure :

«L’épistaxis (saignement de nez) est survenue immédiatement ou peu après le retrait de l’écouvillon chez 5,0 % des employés testés avec l’écouvillon 3D et chez 8,3 % des employés testés avec l’écouvillon commercial »

Notez que 8 % de saignement de nez ce n’est pas rien !

Et voici que l’académie de médecine vient à notre secours, une fois n’est pas coutume

« Les prélèvements nasopharyngés ne sont pas sans risque »

(([2] https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2021/04/Les-pr%C3%A9l%C3%A8vements-nasopharyng%C3%A9s-ne-sont-pas-sans-risque-1.pdf)) — 8 avril 2021

Et de préciser…

« Devant la multiplication et la répétition des prélèvements, parfois effectués dans des conditions inadaptées, il importe de rappeler les précautions à observer et les risques encourus. Si certaines complications peuvent être considérées comme bénignes (désagrément, douleur ou saignement), de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines, notamment des brèches de l’étage antérieur de la base du crâne associées à un risque de méningite ».

(([3] Sullivan CB et al. Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019. JAMA Otolaryngol Head Neck Surg. 2020 dec 1 ; 146(12):1179-1181.))

« De plus, l’Académie nationale de médecine recommande :
de réserver la pratique des prélèvements nasopharyngés aux professionnels de santé formés pour la réalisation de ce geste dans des conditions techniques rigoureuses ;
chez les enfants, de privilégier les prélèvements salivaires pour leur sécurité et leur acceptabilité… »

Les décodeurs du Monde vont-ils censurer l’académie de médecine ?

Vont-ils faire leur mea-culpa et présenter des excuses ?

Ne soyons pas naïfs, ils vont continuer à nous manipuler comme ils le font depuis le début de la crise.

Réveillons-nous !

Merci.

Alain Tortosa.
Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210408-ecouvillon-danger.pdf




La lumière solaire inactive le coronavirus 8 fois plus vite que prévu

[Source : dailygeekshow.com]

90 % de ses particules infectieuses sont inactivées après seulement une demi-heure d’exposition à la lumière estivale.

Des chercheurs américains plaident pour des recherches plus approfondies sur la façon dont la lumière solaire inactive le SARS-CoV-2, après avoir mis en évidence un important écart entre la théorie la plus récente en la matière et les résultats expérimentaux.

UN ÉCART CONSÉQUENT

Dans le cadre d’une étude publiée dans The Journal of Infectious DiseasesPaolo Luzzatto-Fegiz et ses collègues de l’UC Santa Barbara ont constaté que le coronavirus était inactivé jusqu’à huit fois plus rapidement que ne le prévoyait le modèle théorique le plus récent, supposant que l’inactivation se produit lorsque les UVB frappent l’ARN du virus et l’endommagent. Selon l’équipe, un tel écart suggère que d’autres processus, dont la compréhension pourrait s’avérer utile pour maîtriser le virus, sont impliqués.

Le rayonnement ultraviolet est facilement absorbé par certaines bases d’acide nucléique de l’ADN et de l’ARN, ce qui peut entraîner leur liaison d’une manière difficile à rétablir. Mais tous les rayons UV ne sont pas identiques. Alors que les ondes UV plus longues, appelées UVA, se révèlent trop peu énergétiques pour causer des problèmes, les ondes moyennes UVB de la lumière solaire sont principalement responsables de la destruction des microbes et de l’endommagement de nos propres cellules lorsque nous y sommes exposés.

Si les rayons UVC à ondes courtes s’avèrent efficaces contre des virus tels que le SARS-CoV-2, même lorsqu’il se trouve à l’intérieur de fluides humains, ceux-ci sont bloqués par la couche d’ozone. « Les UVC sont excellents pour les hôpitaux », souligne Julie McMurry, toxicologue à l’université d’État de l’Oregon et co-auteure de l’étude. « Mais dans d’autres environnements – par exemple, les cuisines ou les métros – les UVC interagiraient avec les particules pour produire de l’ozone nocif. »

— Ed Connor / Shutterstock.com

En juillet 2020, une étude expérimentale avait testé les effets de la lumière UV sur le SARS-CoV-2 dans une salive simulée et montré que le virus était inactivé lorsqu’il était exposé à la lumière solaire simulée pendant 10 à 20 minutes. À l’époque, ses auteurs avaient conclu que « la lumière naturelle du Soleil pouvait s’avérer efficace pour désinfecter les matériaux non poreux contaminés ».

90 % DES PARTICULES INFECTIEUSES INACTIVÉES EN 30 MINUTES

Pour ces nouveaux travaux, Luzzatto-Feigiz et son équipe ont comparé ces résultats avec une théorie concernant le rôle de la lumière solaire dans ce processus, publiée un mois plus tard, et constaté que les calculs ne correspondaient pas. Leur analyse a révélé que le SARS-CoV-2 était trois fois plus sensible aux UV de la lumière solaire que la grippe A, avec 90 % de ses particules infectieuses inactivées après seulement une demi-heure d’exposition à la lumière solaire de midi en été, tandis que celles-ci pouvaient rester intactes pendant des jours lorsqu’elles étaient exposées à la lumière hivernale.

Les calculs environnementaux effectués par une autre équipe de chercheurs ont conclu que les molécules d’ARN du virus étaient endommagées par voie photochimique directement par les rayons lumineux. Ce phénomène s’avérant plus puissant avec des longueurs d’onde de la lumière plus courtes (UVC et UVB), et les UVC n’atteignant pas la surface terrestre, l’équipe de Luzzatto-Feigiz a basé ses calculs sur les UVB, de longueur d’onde moyenne. Ce qui lui a permis de déterminer que « l’inactivation observée expérimentalement dans la salive simulée était plus de huit fois plus rapide que ce que prévoyait le modèle théorique ».

― Gorodenkoff / Shutterstock.com

Selon les chercheurs, il est possible que les UVA n’affectent pas directement l’ARN, mais interagissent avec les molécules du milieu d’essai (salive simulée) d’une manière accélérant l’inactivation du virus. Un phénomène notamment observé dans le domaine du traitement des eaux usées, où les UVA réagissent avec d’autres substances pour créer des molécules qui endommagent les virus.

« NOTRE ANALYSE SOULIGNE LA NÉCESSITÉ DE MENER DES EXPÉRIENCES SUPPLÉMENTAIRES POUR TESTER SÉPARÉMENT LES EFFETS DE LONGUEURS D’ONDE LUMINEUSES SPÉCIFIQUES »

Si les UVA peuvent être exploités pour lutter contre le SARS-CoV-2, des sources lumineuses bon marché et économes en énergie, à longueur d’onde spécifique, pourraient s’avérer utiles pour renforcer les systèmes de filtration de l’air avec un risque relativement faible pour la santé humaine.

« Notre analyse souligne la nécessité de mener des expériences supplémentaires pour tester séparément les effets de longueurs d’onde lumineuses spécifiques et de la composition du milieu de culture », conclut Luzzatto-Feigiz.

Bien que la distanciation sociale et le port du masque restent les moyens les plus sûrs d’éviter le virus, étant donné sa capacité à rester en suspension dans l’air pendant de longues périodes, de telles recherches mettent une nouvelle fois en évidence le rôle de la lumière solaire dans l’atténuation de sa propagation durant les mois les plus chauds.




Le Dr Fauci ne peut pas expliquer pourquoi les cas de COVID au Texas continuent de chuter malgré la réouverture

[Source : anguillesousroche.com]

Plus d’un mois s’est écoulé depuis que le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a choqué les Faucis du monde entier en supprimant les restrictions inspirées du COVID imposées aux entreprises et aux particuliers, notamment en supprimant l’obligation de porter un masque.

Ces décisions ont incité le Dr Anthony Fauci et des légions d’« experts » en santé publique à mettre en garde contre les conséquences dévastatrices – des milliers de décès inutiles en résulteraient, selon eux – mais, comme le montrent les données, pratiquement tous les indicateurs ont montré que l’épidémie de l’État de l’étoile unique a continué à reculer, alors même que des États bleus comme le Michigan connaissent une nouvelle poussée d’infections (que l’on pense être due à des souches « mutantes »).

Alors que les épidémiologistes du monde entier s’efforcent de trouver une explication, il est intéressant de noter que les Texans mangent davantage au restaurant, selon les chiffres d’Opentable, qui sont devenus un indicateur fiable de l’activité économique après la mise en quarantaine.

Alors que les experts ont eu du mal à trouver une réponse satisfaisante, le Dr Fauci a été interrogé sur le phénomène lors d’une interview sur MSNBC mardi matin, alors que le conseiller principal du président Biden faisait sa tournée. Comme l’a fait remarquer MSNBC« si vous allez au Texas… on dirait que c’est 2019… les restaurants sont pleins… les stades sont pleins… » et pourtant, le nombre de cas a continué à baisser.

Le Dr Fauci semblait abasourdi. Il a d’abord suggéré que la recrudescence des cas ne s’était tout simplement pas encore manifestée en raison d’un « décalage ». Cela aurait pu être logique si la tendance ne s’était manifestée que pendant une semaine ou deux. Mais un mois s’est écoulé, et le taux de positivité du Texas – la part des nouveaux tests qui donnent des résultats positifs, considérée comme une représentation plus précise de la propagation de la communauté – a continué à baisser.

« Cela peut être déroutant parce que vous pouvez voir un décalage ou un retard, parce que souvent vous devez attendre quelques semaines… il y a beaucoup de choses qui entrent en jeu », a déclaré le Dr Fauci.

« Je ne suis pas vraiment sûr, c’est peut-être parce qu’ils font les choses à l’extérieur, vous savez qu’il est très difficile de faire des comparaisons en tête-à-tête… J’espère qu’ils continueront à baisser, si c’est le cas, ce sera formidable. Mais il y a toujours le souci que lorsque vous retirez des méthodes, en particulier des choses comme les repas en intérieur, ou les bars qui sont bondés… vous pourriez voir un retard, puis tout d’un coup les cas remontent. »

« On s’est déjà fait avoir avec des endroits qui ouvrent, puis rien ne se passe, mais tout à coup, quelques semaines plus tard, les cas explosent sur vous. »

Il a conclu en disant « nous devons faire attention à ne pas juger prématurément » la situation au Texas.

Pour ceux qui n’ont pas suivi de près la situation au Texas, 26 jours se sont écoulés depuis que l’État a « rouvert à 100 % » sans mandat pour les masques, et 34 jours depuis que le gouverneur Abbott a annoncé cette réouverture. Le nombre de nouveaux cas, de décès, d’hospitalisations, d’occupation des unités de soins intensifs et le taux de positivité ont tous diminué.

Source : NYT

Le médecin a ensuite émis l’hypothèse que le match des Texas Rangers d’hier soir, qui a fait salle comble, pourrait être un « événement de super propagation » (comme Sturgis ? … ou la fête du Super Bowl à Miami ?).

Le Dr Fauci a déjà rejeté la rhétorique de « malheur imminent » du directeur du CDC, M. Walensky, et a déclaré mardi à CNBC que « tant que nous continuerons à vacciner les gens de manière efficace, je ne pense pas qu’une quatrième vague se produira ».

Cependant, « cela ne signifie pas que nous n’allons pas encore voir une augmentation des cas ».

Entre-temps, la Maison Blanche a annoncé mardi qu’elle avançait la date cible pour que tous les adultes américains puissent recevoir un vaccin au 19 avril, soit deux semaines plus tôt que l’objectif annoncé précédemment. Le gouvernement a déjà distribué près de 150 millions de doses.

Lire aussi : Deux semaines après que les médias aient prédit une catastrophe, le Texas voit les cas de COVID chuter à un niveau record




Covid : les États-Unis excluent les passeports de vaccination fédéraux

[Source anglaise : BBC News]

La Maison Blanche a exclu l’introduction de passeports fédéraux obligatoires pour la vaccination contre le virus Covid-19, affirmant que la vie privée et les droits des citoyens devaient être protégés.
Les projets d’introduction de tels passeports ont été présentés dans le monde entier comme un moyen de permettre une circulation sûre des personnes tout en luttant contre la pandémie.
Mais les critiques disent que ces documents pourraient être discriminatoires.
Les États-Unis ont déclaré qu’ils ne soutenaient pas et ne soutiendraient pas un « système qui oblige les Américains à porter un document d’identité ».

Le pays a enregistré plus de 550 000 décès liés au virus et près de 31 millions de cas, soit les chiffres les plus élevés au monde, selon l’université Johns Hopkins.
Les passeports Covid sont « une option » pour le Royaume-Uni, selon le ministre.
Quels sont les projets du Royaume-Uni concernant les passeports Covid ?
Quels sont les projets de passeports vaccinaux pour les vacances d’été ?
S’adressant aux journalistes, le porte-parole de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré qu’il n’y aurait pas de « base de données fédérale sur les vaccinations » ni de « mandat fédéral exigeant que chacun obtienne un justificatif unique de vaccination ».

« Le gouvernement ne soutient pas, et ne soutiendra pas, un système exigeant des Américains qu’ils portent un certificat de vaccination », a-t-elle déclaré. « Notre intérêt est très simple de la part du gouvernement fédéral, à savoir que la vie privée et les droits des Américains doivent être protégés, et pour que ces systèmes ne soient pas utilisés contre les gens de manière injuste. »

Les pays du monde entier envisagent l’introduction de passeports dits « de vaccination », qui seraient utilisés pour montrer qu’une personne a été vaccinée contre le Covid-19, comme un moyen de rouvrir en toute sécurité les rassemblements de masse et les voyages.

En Angleterre, un système de « certification du statut Covid » est en cours d’élaboration pour permettre la tenue de concerts et de matchs sportifs. Il consignerait si les personnes ont été vaccinées, si elles ont récemment été testées négatives, ou si elles ont déjà eu le Covid-19 et s’en sont remises.

L’Union européenne travaille également sur des plans visant à introduire des certificats, tandis qu’en Israël, un « laissez-passer vert » est déjà disponible pour toute personne ayant été entièrement vaccinée ou ayant récupéré du Covid-19, qu’elle doit présenter pour accéder à des installations telles que des hôtels, des salles de sport ou des théâtres.
L’Organisation mondiale de la santé a déclaré mardi qu’elle n’était pas favorable, pour l’instant, à l’obligation de présenter des passeports de vaccination pour voyager, en raison de l’incertitude quant à la question de savoir si l’inoculation empêche la transmission, et des problèmes de discrimination.

Dans le même temps, le président américain Joe Biden a annoncé mardi qu’il avait avancé au 19 avril la date à laquelle tous les adultes américains pourront recevoir le vaccin Covid.

« Nous devons accélérer une approche gouvernementale globale qui mobilise tout le pays et nous place sur le pied de guerre pour vaincre véritablement ce virus », a-t-il déclaré.


Cette décision entérine celle qu’avait prise la Floride il y a 3 jours :

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/la-floride-interdit-le-passeport-vaccinal-au-nom-des-libertes-individuelles-20210403




Toute l’équipe de Reinfocovid adresse un grand merci à tous ses contradicteurs et au Coronavirus

[Source : REINFOCOVID]

Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.

Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.

Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.

Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos œillères, nous laissant contempler le désastre.

[Ndlr: Cela fait au moins quelques décennies que des lanceurs d’alerte et autres « complotistes » ont averti le monde de ce qui se tramait. Cependant, ils criaient dans le désert jusqu’à l’émergence de cette crise artificielle. Maintenant, grâce aux médias dominants qui tentent de les discréditer et en font ainsi involontairement la publicité, leur message est de mieux en mieux reçu par une portion croissante de la population.]

D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.

Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.

Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.

Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.

Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.

Nous ne voulons pas vivre masqués.

Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.

Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.

Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.

Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.

Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.

Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».

Vous nous avez rassemblés.

Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.

Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.

Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.

Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.

Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.

Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.




La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire

[Source : Nexus]

« Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire », selon Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS. « Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place. Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage. La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde. »

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen.

Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS

Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.

Il y a deux cas à considérer :

– Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
– Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.

Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.

Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid. Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable. D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.

Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS, mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :

  • Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
  • Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
  • Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
  • Identification des personnes avec qui l’on déjeune
  • Mémorisation de tous les déplacements
  • Calcul de temps de travail ou temps de présence…
  • Détection de déplacement inhabituel…
  • Etc.

Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage.Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué. Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique.

Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :

  • Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
  • Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
  • Surveillance de l’activité des enfants
  • Analyse des interactions familiales
  • Analyse de situation (repos, activité, chute…)
  • Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
  • Détection et mémorisation des habitudes
  • Etc.

J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer. Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée. Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.

La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin

Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS

Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.

Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.

Philippe Guillemant, le 24 novembre 2020 
Son site http://guillemant.net/




André Comte-Sponville : « Faire de la santé la valeur suprême, c’est du nihilisme sanitaire ! »

[Source : Le Dissident]

« La santé n’est pas la valeur suprême. »
« La santé n’est pas une valeur, c’est un bien. »

André Comte-Sponville

https://youtu.be/ELzK0HHTXAE



Les soignants n’ont aucune raison objective de se vacciner contre le covid19

Par Dr Gérard Delépine

L’obligation prônée par certains serait un scandale

Il y a un mois, un pharmacien de l’APHP réclamait une obligation vaccinale anticovid19 pour les soignants. Les personnels hospitaliers ne sont pas des enfants et pèsent les bénéfices/risques d’une telle solution. Pourquoi les infantiliser ? Nous tenterons ici de combler les lacunes qui peuvent conduire à une telle proposition.

Au moins 4 raisons majeures s’opposent à une telle obligation.

  • Ces vaccins sont toujours expérimentaux. On n’en connaît donc pas leurs complications à long terme, en particulier sur leurs effets génétiques et la stérilité éventuelle.
  • Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection certaine contre la maladie.
  • Rien ne prouve qu’ils soient capables de limiter la transmission de la maladie, bien au contraire.
  • Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.
Ces vaccins sont expérimentaux

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain Clinical Trials.gov visible par tout un chacun.

Les lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947

Or imposer à quiconque un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki(([1] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/ Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25.   La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

Les vaccins ne protègent pas de la maladie ni de ses formes graves

Les médias nous inondent de communiqués de victoire des laboratoires, des services de vaccination ou de dirigeants qui se servent de la vaccination pour renforcer leur popularité ou tenter de redorer leur blason.

Ceci explique probablement la quasi-unanimité des politiques en faveur du vaccin. Ils supposent probablement que le peuple attend le vaccin comme le messie et s’occupent plus de la logistique, disponibilité des lots, des lieux pour injection, etc., plus que de la sécurité et de l’efficacité prévisible. Ils sont manifestement mal informés.

RÉSULTATS DES CAMPAGNES DE VACCINATION DANS LA VIE RÉELLE

Mais l’analyse objective des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination est très angoissante, car dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités en relation avec le covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les quatre mois post-vaccination ont été assombris par 65 581 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Même évolution en Israël (3085 morts avant la vaccination et 3131 depuis la vaccination de masse), aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 860 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne très vaccinée et en Suède très peu vaccinée évoque une corrélation entre l’aggravation de la mortalité et la vaccination.

Cette corrélation temporelle évidente justifie des études complémentaires pour voir s’il existe un lien de causalité directe.

Mise en garde de l’Académie de Médecine en janvier

Cette aggravation des mortalités après vaccination montre que la mise en garde de l’Académie de médecine(([2] Communiqué de l’Académie du && janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)) sur les risques d’anticorps facilitants(([3] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) était justifiée : « dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération.

Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Mise en garde du ministre de la Santé sur les aléas et dangers de la vaccination en mars 2021

À l’occasion d’un recours au Conseil d’État d’un patient vacciné à deux reprises, et âgé de 83 ans réclamant sa « libération » de toute mesure d’enfermement étant donné sa protection supposée, le ministre a dans son rapport donné des éléments surprenants par rapport à la campagne de vaccination tous azimuts jusqu’aux pubs télévisées. Nul doute que son rapport au Conseil d’État va faire réfléchir.

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([4] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) « efficacité partielle des vaccins », « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

La balance individuelle bénéfices/risques de la vaccination pour les soignants paraît actuellement négative, car bon nombre d’entre eux sont à risque extrêmement faible en raison de leur âge jeune voire très jeune, et d’autant plus que de nombreuses complications post-vaccinales ont déjà été rapportées en dépit du faible recul en mois de la vaccination.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la transmission de la maladie

La motivation sociétale « il faudrait vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des Ehpad » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

En effet si les communiqués des services de communication des laboratoires, des services de vaccination prétendent que les vaccins seraient efficaces à plus de 90%, les relevés des contaminations publiés par l’OMS montrent le contraire : dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, le nombre de contaminations a explosé durant les 6 semaines post vaccinales avant que l’épidémie ne régresse dans la plupart des pays, vaccinés ou non signant une relative fin de l’épidémie.

Que ce soit en Grande-Bretagne :

En Israël :

Ou aux Émirats Arabes Unis :

Ou au Bahreïn

L’espoir éventuel de protéger les autres en se vaccinant paraît donc illusoire.

HISTOIRE D’UNE MORT ANNONCÉE DU VACCIN COMME DU REMDESIVIR

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique ont récemment prévenu(([5] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI : https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus.

Une telle évolution pourrait être favorisée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle.

La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire de promouvoir la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux.

Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications, dont des décès

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20% à 40% des personnels incapables de travailler. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

À Nantes, un étudiant en médecine en bonne santé est mort après la vaccination. Sa mort s’ajoute aux 5993 morts post-vaccinales comptabilisées par Eudravigilance au 2 avril 2021.

Ces complications sont d’autant plus insupportables que les soignants ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid.

Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

Les entreprises du médicament et le ministère affirment en chœur que les vaccins sont sans dangers, mais alors pourquoi ont-ils convenu d’exonérer par avance les fabricants et les médecins vaccinateurs de toute responsabilité en cas de complications ?

Nos impôts paient les vaccins et paieront aussi le coût des indemnisations pour accident vaccinal, comme en Chine lorsque les familles devaient payer la balle qui a servi à l’exécution de leur enfant.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour eux ni de fait pour leur entourage et patients. Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire(([6] Lors du procès des médecins de Nuremberg la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort)).

On peut protéger les soignants par des traitements préventifs

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les familles au contact des malades. Au 5 avril 2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, déplore 126 morts/million d’habitants contre 1469/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on déplore 12 fois plus de morts que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de diagnostic et de traitements précoces administrés par les médecins traitants !





“Un matin pas comme les autres” en Belgique

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Quel bonheur de lire quelques lignes de réconfort après tant de mois de grisaille et de complicité de bien trop de personnes de différents secteurs, comme les médecins cois devant leur Conseil de l’Ordre et oubliant, pour trop d’entre eux, leur serment d’Hippocrate, et comme les juges et députés validant quasi automatiquement les desiderata des puissants du moment.

Alors oui, comme dit dans un post Mme Anne-Emmanuelle Bourgaux, enseignante en droit constitutionnel à l’université de Mons en Belgique, cela fait du bien de lire la sentence d’un tribunal belge condamnant en première instance les décisions gouvernementales. Nous sommes heureux de vous transférer ce billet car, comme elle, nous ne pouvons pas penser que des peuples soumis à la terreur de leurs gouvernements depuis de nombreux mois ne finiront pas par réagir.

La cour belge a affirmé que les lois contre le covid sont illégales.

Voici ce post réconfortant

« Ce matin était un matin comme tous les matins depuis plus d’un an.
Ce matin, les cinémas et les hôtels, restaurants et cafés (HORECA) étaient toujours fermés ; les écoles et les coiffeurs l’étaient à nouveau ; les universités l’étaient derechef ; les musées et les hôtels, on ne sait plus (et eux non plus).
Ce matin, je donnais cours à mes chers étudiants qui sont plus de la moitié à avoir des symptômes de dépression, qui ne voient que la quadrature de leur écran et des plannings de réunion et de cours, qui, pour certains, manquent de basculer dans la rue, ou de basculer tout court.
Mais ce matin avait décidément décidé de ne pas être un matin comme les autres.

Ce matin, saisie par la Ligue des Droits de l’Homme, la présidente du Tribunal de Première Instance de Bruxelles s’est fâchée toute rouge.

Extraits choisis :

  • “Il s’agit de restrictions aux libertés publiques sans précédent depuis la IIème Guerre Mondiale”
  • “Lorsque tant de libertés fondamentales sont limitées depuis plus d’une année, il s’agit en l’espèce de constater que le maintien de telles restrictions sur la durée et, à ce stade, sans restriction dans le temps (la prorogation systématique de la durée des mesures par voie d’arrêtés n’est que l’apparat d’une durée illimitée) constitue nécessairement une aggravation des conséquences pour les destinataires de ces libertés”.
  • “Les parties demanderesses apportent suffisamment d’éléments concrets qui permettent de constater qu’une décision est immédiatement souhaitable lorsqu’elles détaillent :
    • l’impact psychologique des mesures sur la santé mentale des enfants et des adolescents ;
    • la mise à mal de l’éducation scolaire et de l’enseignement supérieur ;
    • le fait que les enfants ne puissent plus pratiquer des activités extra-scolaires ;
    • l’augmentation des violences intrafamiliales
    • la précarisation sociale, affective et financière d’une large partie des citoyens ;
    • les conditions d’incarcération des détenus ;
    • l’exclusion sociale et familiale des personnes âgées (…).

Tant que ces constats demeurent, l’urgence d’y remédier demeure”.

  • “C’est la prolongation des mesures en cause jusqu’au 1er avril 2021 par arrêté ministériel du 6 février 2021 qui a décidé les demanderesses à nous saisir s’agissant d’une prolongation de deux mois sans qu’une réelle communication n’ait été faite à ce sujet”.
  • “Il s’avère que la fermeture des établissements (culturels, sportifs, récréatifs, événementiel, « HoReCa » des professions de contact, la suspension de l’obligation scolaire, la limitation des rassemblements public et privé, la liberté de circuler depuis ou vers la Belgique, échappent (…) aux termes “réquisition et évacuation” et, partant, au cadre restrictif et prévisible de l’habilitation prévue par la loi du 15 mai 2007″.
  • “Si l’urgence des premiers temps de l’épidémie aurait pu expliquer qu’il faille s’appuyer sur la loi du 15 mai 2007, il ne paraît plus justifier de s’en prévaloir plusieurs mois après l’émergence de la crise sanitaire (…).

En l’espèce des restrictions aux droits et libertés et droits constitutionnels nécessitent, prima facie (= à première vue) une base légale solide que ne constitue pas, en apparence, la loi du 15 mai 2007 ».

  • A cet égard, c’est au législateur d’intervenir pour décider des limites à apporter aux libertés fondamentales“.
  • La “motivation stéréotypée” pour éviter “la consultation de la Section de Législation du Conseil d’Etat qui n’a pas été consultée pour avis depuis un an” pose également “un problème de légalité”
  • RESTREINDRE “DE MANIERE ILLEGALE LES LIBERTES CONSTITUTIONNELLES A POUR CONSEQUENCE QU’UNE PARTIE DES DISPOSITIONS DE LA CONSTITUTION SONT SUSPENDUES, CE QUE L’ARTICLE 187 DE LA CONSTITUTION INTERDIT”.
  • En conséquence, l’Etat est invité “à prendre toutes les mesures mettant fin à la situation d’illégalité (…) en demeurant libre dans le choix des moyens pour y parvenir” et ce “dans un délai de 30 jours”.
  • Et comme “il ressort des éléments de la cause et des pièces déposées que l’Etat belge a été interpellé à de multiples reprises quant à la légalité des mesures édictées (…) sans qu’elles aient été prises en considération” : à défaut de mettre fin à l’illégalité, 5000 euros d’astreintes/jour avec un maximum de 200 000 euros. »

Alors bien sûr, à ce matin pas comme les autres a rapidement succédé un après-midi comme les autres : déjà, la ministre de l’Intérieur annonce qu’elle fait appel de cette ordonnance.

Comme me le dit un de mes chers étudiants : “elle réagit comme ces étudiants qui ratent un examen et plutôt de se demander ce qui cloche chez eux, ils attaquent le prof”.
Mais qu’à cela ne tienne : cet après-midi, on se dit que pour une fois, l’arriéré judiciaire bruxellois a du bon. À force de sous-financer la justice, c’est l’arroseur arrosé : cet appel mettra bien plus d’un mois pour aboutir. Plus moyen de tergiverser/reporter/prolonger/échapper au problème.

Alors ce soir, après ce matin pas comme les autres et malgré cet après-midi qui fait déjà semblant de rien, après 12 mois 1/2, 37 arrêtés ministériels, des dizaines d’arrêts du Conseil d’État décevants, des jugements courageux réformés en appel, des heures de discussion, de relecture, d’interventions, avec mes étudiants du Labovir-IUS, on était content.

Contents que cette décision, ce ne soit pas un Poisson d’avril.

https://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/l-etat-condamne-par-le-tribunal-de-premiere-instance-a-lever-toutes-les-mesures-covid-60644f7e9978e2410fea59fa (Merci à Maryam Benayad)

https://bx1.be/categories/news/letat-belge-condamne-a-adopter-un-cadre-legal-pour-encadrer-les-mesures-covid/?theme=classic (Merci à Adeline Bauwin)

DEPUIS LE DÉBUT DE LA CRISE, LES PARLEMENTAIRES NE DÉFENDENT PAS NOS DROITS ET LIBERTÉS »

Ce n’est pas nouveau que Mme Bourgaux défende les institutions. On peut lire par exemple en janvier 2021, Anne-Emmanuelle Bourgaux (UMons) : « depuis le début de la crise, les parlementaires ne défendent pas nos droits et libertés ».

Anne-Emmanuelle Bourgaux, professeure de droit et constitutionnaliste à l’université de Mons, invitée du Grand Oral RTBF/Le Soir.

Mis en ligne le 30/01/2021

« Dans la Constitution belge, il y a un principe très vieux mais génial et d’une modernité incroyable qui est le principe de légalité : il y a des choses qui doivent faire l’objet de débat parlementaire, précisément pour que la balance entre les intérêts se fasse de manière pluraliste et transparente. Concrètement : est-ce qu’en privilégiant des mesures fortes sur le Covid-19 on n’abandonne pas la jeunesse ? Dans quelle mesure la dépression des jeunes c’est moins ou plus important que la mort par maladie ? Dans la Constitution, les représentants élus doivent faire des arbitrages sur ce genre de questions importantes. Mais en Belgique, on voit la mise en œuvre de procédures opaques : je vous laisse réfléchir à la qualité délibérative d’une consultation électronique des membres du Comité de concertation. Je pense qu’on atteint le niveau zéro. »

En Belgique, à force de mettre en place ce cocktail inédit entre une difficulté de comprendre les enjeux du débat parce qu’il manque de transparence, et une augmentation flagrante de l’approche répressive, les autorités produisent du désespoir chez les citoyens. Il ne faut donc pas s’étonner de voir naître des manifestations violentes. »

Nicole Delépine




Ce qui est irresponsable

[Source : Ingrid Courrèges]

Il y aura des gens parmi vos amis, votre famille, des personnes que vous ne connaîtraient pas sur des plateaux télé qui vous diront vous êtes irresponsables parce que vous n’avez pas porté votre masque en plein air aujourd’hui lors d’un rassemblement, alors qu’il n’y a aucune étude sérieuse qui démontre son efficacité en extérieur.
Vous serez pourtant à leurs yeux des irresponsables, mais vous pourrez leur répondre ceci :

Ce qui n’est pas responsable, c’est de nous avoir dit que l’épidémie n’avait aucune chance d’arriver en France et de ne pas s’y être préparé.
Ce qui n’est pas responsable, c’est d’avoir laissé l’hôpital sans moyens depuis des années et de faire porter sur les soignants le poids des erreurs politiques manifestes et répétés répétés.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de penser qu’il n’y a que la vaccination qui pourra nous sortir de cette situation.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de croire sur parole les labos pharmaceutiques et d’accepter de tester à grande échelle un prototype de vaccin expérimental.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas écouter des spécialistes réputés en économie, en médecine, en droit, en biologie, en psychiatrie, sous prétexte qu’ils ne vont pas dans le sens de la pensée gouvernementale.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de dire à des gens qu’ils ne sont rien, rien, rien, qu’ils ne sont pas utiles à la société, qu’ils sont non essentiels.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de mettre au ban de la société les fiertés de notre nation que sont la gastronomie, la culture et le sport.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de fermer des lieux culturels alors qu’aucun cluster n’a été identifié dans ces lieux et de priver les Français du droit fondamental à l’éveil.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas promouvoir les bienfaits de l’activité physique, du soleil, du grand air et d’interdire la promenade, la baignade et le sport.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de voir ces dizaines d’enfants entrer en psychiatrie pour des tentatives ou des envies de suicide et de ne rien faire.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de laisser nos étudiants dans leur cité universitaire comme dans une prison sans lien social
Ce qui n’est pas responsable, c’est de continuer à considérer les Français comme des enfants et de leur demander de se comporter en adulte.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de punir à 18h05 des automobilistes piégés dans des bouchons créés par les contrôles eux mêmes.
Ce qui n’est pas responsable, c’est embourber les Français dans des mesures absurdes et de perdre la confiance de son peuple.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de couler l’économie en endettant les Français sur plusieurs générations
Ce qui n’est pas responsable, c’est de ne pas voir que les dégâts causés par les mesures sanitaires ont dépassé ceux causés par le virus lui même.
Ce qui n’est pas responsable, c’est de faire peser le poids des erreurs politiques sur le dos d’un Français qui a retiré son masque le temps d’un après midi ensoleillé en extérieur.

Voilà ce que vous pourrez répondre avoir enlevé votre masque. Aujourd’hui, ce n’est pas irresponsable, c’est réfléchi. Montrez votre visage dignement, le temps d’une manifestation ou le temps d’une revendication, c’est un acte ponctuel de désobéissance civile et de contestation.

Ce n’est pas un acte irresponsable, c’est un acte citoyen.

https://youtu.be/HVBTvgXz6_A



Interrogation : AstraZeneca, dois-je déduire que la vaccigénie Pfizer / BioNTech protège des accidents thrombo-emboliques ?

Par Alain Tortosa

Les accidents et les décès d’accidents thrombo-emboliques semblent se succéder parmi les personnes « vaccinées » par l’OGM AstraZeneca aussi bien en France qu’à l’étranger.

Les autorités médicales — médecins médiatiques sont montés au créneau en regrettant notamment « l’excès de précautions » et « l’excès de transparence ».
« Ceux-ci étant de nature à inquiéter et décourager les candidats à la vaccination ce qui serait évidemment « dramatique » pour l’avenir du monde » selon leurs auteurs.

Le leitmotiv utilisé pour nous « rassurer » est de dire que ce type de problèmes est tout à fait normal et qu’il ne peut, de toute évidence, être imputé au « vaccin ».

C’est toujours la même stratégie qui est utilisée par l’industrie pharmaceutique : semer le doute !

Si ces spécialistes incompétents ou corrompus disent vrai et que ce type d’accidents mortels est habituel alors nous devrions les retrouver aussi parmi les personnes injectées par le produit expérimental Pfizer / BioNTech !

Or les données disponibles au 25 mars sur le site de l’ANSM1 concernant Pfizer font apparaître officiellement 89 cas depuis le début des injections, mais a priori aucun décès !

Côté AstraZeneca ce serait une soixante de cas, mais 7 décès en France.

Au 25 mars, 1,9 million de Français ont reçu une dose d’AstraZeneca versus 4,8 millions de Pfizer.

Le nombre de personnes de plus de 75 ans injectées par AstraZeneca est négligeable alors qu’il est très important chez Pfizer.

En revanche si l’on compare le nombre de cobayes entre 16 et 75 ans injectés par les 2 vaccins, les données sont très comparables soit 1 929 463 pour Pfizer versus 1 789 176 pour AstraZeneca.

Il serait donc naturellement logique que les cas de thromboses graves ou mortelles soient quasi identiques chez les personnes injectées par l’un ou l’autre des « vaccins » étant donné qu’officiellement ces cas seraient similaires en population générale non vaccinée.

Or ce n’est pas le cas… Voici 3 hypothèses dont plusieurs pourraient être concomitantes :

  1. Le suivi des effets secondaires n’aurait que pas ou peu de valeur et il faut le dénoncer.
  2. La vaccigénie Pfizer/BioNTech protégerait des décès thrombo-emboliques (cool !).
  3. Les décès thrombo-emboliques seraient amplifiés par les injections AstraZeneca.

Merci

Alain Tortosa 5 avril 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210405-thromboses-astra-pfizer.pdf

1https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets- indesirables-des-vaccins