Saverio Blasi, un artiste musicien de talent qui offre sa musique

[Source : Savfk – Music | Free Listening on SoundCloud]

Et de nombreux autres œuvres à écouter ici
ou à voir et écouter sur sa chaîne YouTube.




Analyse de la gestion de la crise sanitaire : Vers une nouvelle inquisition

[Source et auteur : Martine Wonner]

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »

Phrase prêtée à Voltaire.

Pourtant, la crise sanitaire semble bien avoir éteint une flamme au Pays des lumières. Depuis plusieurs mois, en tant que parlementaire, en tant que médecin, en tant que citoyenne, je suis constamment attaquée selon des procédés particulièrement inquiétants.

Articles de presse aux titres calomnieux, accusations infondées, informations tronquées, lorsqu’elles ne sont pas simplement totalement erronées : certaines officines ont, depuis le début de cette crise, escamoté aux citoyens le droit le plus élémentaire d’être correctement informés.

Les conséquences de la gestion de la crise sanitaire sont pourtant réelles : de la lassitude à la colère ; alors que je constate avec stupeur le refus itératif de mes collègues de venir débattre avec leurs administrés, je vois une gronde se soulever sur les territoires, Je sais que bon nombre de mes collègues partage avec moi le constat des dérives actuelles du pouvoir omnipotent et souhaite ce dialogue.

Force est de constater que si ce débat est aujourd’hui impossible, ce n’est pas par crainte du débat lui-même, mais par peur des « décodages » de la presse. Soutenir que des molécules peuvent permettre d’améliorer l’immunité et donc diminuer le taux de létalité face à la Covid-19, entraine la sanction directe d’un article vous dépeignant avec des qualificatifs injurieux inadmissibles. Soutenir que nous glissons vers un État portant les traits caractéristiques de l’autoritarisme, induit la sanction directe d’un article vous dépeignant sous les traits d’une personne ayant embrassé les théories d’extrême droite, etc…

Mon combat en tant que parlementaire a été constant depuis le début de mon mandat : protéger les droits humains, les personnes vulnérables, les « exclus », toujours dans un esprit de justice sociale sur le socle d’une économie forte.

Protection des minorités, protection des migrants, lutte contre toutes formes de racismes et de discriminations, lutte contre la destruction de l’environnement, droit des femmes, ouverture à la PMA pour toutes, droit à l’IVG. Certains peuvent me reprocher ces prises de position, elles sont miennes, reflet de mes valeurs et de mes convictions. Je les assume.

En tant qu’élue de la Nation, j’assiste depuis le mois de mars 2020 à l’affaiblissement total de la démocratie parlementaire ; les médias jouent un rôle déterminant, n’hésitant pas, en tant que 4e pouvoir, à prendre position en faveur d’un exécutif disposant déjà de quasiment tous les pouvoirs. Le projet de loi « organisant la sortie de crise sanitaire », inscrit la semaine prochaine en séance publique à l’Assemblée nationale, est à ce titre illustratif de la volonté du Gouvernement de faire perdurer l’état d’urgence sanitaire et les restrictions que nous connaissons depuis maintenant plus de 13 mois.

Une nouvelle chasse aux sorcières, organisée par autant de nouveaux procureurs autodésignés, semble avoir débuté : fichage en ligne, délation, complicité et duperie avec le pouvoir, voilà le lot quotidien d’une nouvelle presse de non-information.

Je nourris l’espoir d’un sursaut citoyen, capable de pouvoir faire naître un esprit critique face à ces pratiques moyenâgeuses. Je nourris l’espoir d’une presse plurielle, d’une presse d’investigation, d’une presse indépendante.

« Liberté de la presse et séparation des pouvoirs » pourrait être la nouvelle devise des français. L’enjeu n’est ni plus ni moins celui de la sauvegarde de notre démocratie.




En Conscience

[Source : Tistrya Productions]

Depuis la nuit des temps, des individus ont vécu des expériences de mort imminente, des phénomènes d’expansion de conscience, ou encore des sorties hors du corps.

Nous sommes allés à la rencontre de quelques-unes de ces personnes qui ont accepté de témoigner : qu’ont-elles vécu ? Qu’ont-elles vu ? En quoi ces expériences étaient bien différentes de simples rêves ou d’hallucinations ?

Nous avons également interrogé des psychiatres, des psychologues en milieu hospitalier, et d’autres spécialistes pour tenter de percer la réalité de ces phénomènes.
Que disent ces expériences sur notre conscience et sur la structure de la réalité ?
Comment prendre conscience de la véritable nature de notre être ?

Intervenants:
– Olivier Chambon (Docteur psychiatre)
– Jean-Jacques Charbonier (Médecin anesthésiste-réanimateur)
– Sylvie Déthiollaz (Docteur en biologie moléculaire, directrice de l’ISSNOE)
– Eric Dudoit (Docteur en psychologie et psycho-pathologie)
– Marc Boucher de Lignon, Nicole Dron, Philippe Raboud




Général Piquemal : « Le Général Lecointre a peur de déplaire à la ministre des Armées »

[Source : Gérard Infos]


[Note de Joseph : la présente crise en France se résoudra peu probablement dans le cadre de la 5e République et du Système actuel, car celle-ci et ce dernier sont corrompus et en état de décomposition avancée. La nation gagnera toutefois à éviter le passage par une révolution sanglante ou une guerre civile.]




Belgique : initiative citoyenne contre la Loi Pandémie

[Source : Initiative (pompompidou.land)]

[Photo : © BENOIT DOPPAGNE – BELGA]

Initiative citoyenne : Assemblée citoyenne pour nos libertés

Nous, citoyens, souhaitons à travers cette initiative, être entendus par la commission compétente de
la Chambre en respectant les 4 conditions prévues :

● Elle contient au moins 25.000 signatures (authentifiées par écrit et/ou électroniquement).
● Les signataires sont âgés d’au moins 16 ans.
● Au moins 14.500 des pétitionnaires sont domiciliés en Région flamande, 2.500 en Région de
Bruxelles-Capitale et 8.000 en Région wallonne.
● Elle est conforme à la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’Homme et des
libertés fondamentales.

Le texte de notre interpellation

La crise Covid-19 actuelle et à venir concernant la gestion de la pandémie nous montre clairement les
limites de la « démocratie » en Belgique. Des arrêtés ministériels sans aucun débat, que ce soit des
débats parlementaires ou citoyens, sont totalement inacceptables sur le plan démocratique.
La Belgique vient d’être condamnée à juste titre par le tribunal de 1ère instance de Bruxelles par une
action en justice de la Ligue des Droits de l’Homme.

Nous souhaitons une interpellation citoyenne à la Chambre pour dire NON à cette dictature
sanitaire ! La loi pandémie : NOUS N’EN VOULONS PAS !

Grâce à cette pétition, l’initiative aura pour objectif de réclamer une assemblée citoyenne formée
par tirage au sort, afin de pouvoir débattre de la gestion de cette pandémie qui est une véritable
catastrophe sur le plan social et démocratique et ainsi trouver des alternatives à cette gestion.

Par cette assemblée citoyenne, nous proposerons des ateliers de travail, afin de soumettre ces textes
aux parlementaires qui devront les voter en l’état sans modification.


[Source : rtbf.be]

Coronavirus en Belgique : la « loi pandémie » est prête à être soumise au Parlement

Le texte de « loi pandémie » de la ministre de l’Intérieur Annelies Verlinden est prêt à être soumis au parlement. Il a été approuvé par le Conseil des ministres après prise en compte des différents avis requis, dont celui du Conseil d’État, communique son cabinet lundi.

« Deux mois exactement après la présentation de l’avant-projet au Parlement, le projet de loi définitif est aujourd’hui soumis », déclare la ministre Verlinden via communiqué. Le gouvernement espère « qu’un débat parlementaire suivra sous peu ».

Le parlement avait déjà eu l’occasion d’examiner la première mouture du texte, dans une tentative d’associer les élus plus avant au débat, dans le contexte particulier de la pandémie de Covid-19. Le parlement avait ensuite transmis des centaines de pages d’avis et de remarques.

Le projet de loi doit donner une assise juridique plus solide aux mesures de restriction prises dans le cadre de la crise sanitaire, qui dure depuis plus d’un an. Il a revêtu une importance accrue depuis une ordonnance du tribunal de première instance de Bruxelles siégeant en référé, qui a enjoint à l’État de donner une base légale à ces mesures d’ici la fin du mois. L’État a fait appel de cette ordonnance.

Le gouvernement a déjà modifié le texte, tenant compte des remarques du Parlement

Le Conseil d’État, dont l’avis était très attendu, s’est prononcé récemment sur le texte de la « Loi Pandémie », amenant le gouvernement à faire quelques adaptations. Ses remarques les plus critiques portaient sur le traitement des données à caractère personnel (définitions trop vagues, nombreuses délégations de pouvoir, absence de justification du caractère nécessaire et proportionné de la réutilisation de certaines données). La ministre de l’Intérieur indique lundi que la disposition relative au traitement des données à caractère personnel a justement été supprimée du texte définitif tel que soumis le même jour au parlement. « La possibilité de prévoir un cadre légal adéquat à cet égard sera examinée pour autant que cela soit nécessaire », ajoute la ministre.

Selon le projet de loi, les mesures sanitaires seront « en principe prises par arrêté royal », sauf si l’urgence impose de les prendre par arrêté ministériel. Sauf s’il y a extrême urgence, le gouvernement fédéral devrait aussi se concerter au préalable avec les gouvernements des entités fédérées si les mesures sont de nature à avoir un impact sur des domaines politiques qui relèvent de leurs compétences.

« Le délai accordé au parlement pour confirmer l’arrêté royal décrétant ou maintenant la situation d’urgence épidémique, a en outre été porté à 15 jours, permettant ainsi un débat parlementaire approfondi sur la question », indique la ministre de l’Intérieur.

Du côté de la Chambre, on indique qu’il ne sera pas possible de débattre du texte dès ce mardi 27 avril. La commission Intérieur avait gardé une place dans son agenda de mardi pour ce point, mais comme le texte n’avait pas encore été soumis lundi midi, il en a été retiré, indique à Belga son président Ortwin Depoortere (Vlaams Belang).

Le projet de loi est aussi inscrit à l’agenda de la commission Intérieur de mercredi après-midi. Pour le moment, il y est maintenu. Selon Ortwin Depoortere, la conférence des présidents qui se rassemble mercredi midi devrait préciser l’ordre des travaux.




Deux policiers tués en service en l’espace de 12 jours : le syndicat France Police – Policiers en colère adresse une lettre ouverte au président Macron

[Source : Syndicat France Police – Policiers en colère (france-police.org)]

Monsieur Le Président de la République,

À douze jours d’intervalle, une collègue a été égorgée par un terroriste islamiste à Rambouillet tandis qu’hier, un second fonctionnaire a été abattu par balle à Avignon par un membre d’un gang de narcotrafiquants.

Le temps des belles cérémonies d’hommage est révolu. Vous devez passer des bougies à l’action politique. Ce n’est pas avec des larmes qu’on mène une guerre.

Vous dites vous battre pour le droit à la vie paisible mais ce combat ne se gagne pas avec des mots.

Les policiers et les gendarmes ne peuvent pas se défendre en raison d’un texte sur la légitime défense trop flou, laissant le champ libre à toutes les interprétations jurisprudentielles.

Le police bashing permanent orchestré par les médias et les people entrave considérablement notre action.

En bout de chaîne, la faillite de l’appareil judiciaire annihile notre travail d’investigation.

Les Français ne croient plus en leur justice. La manifestation pour réclamer justice pour Sarah Halimi en est la preuve éclatante.

La population n’a plus confiance dans nos services et s’arme pour se défendre elle-même face aux criminels, les évènements de Stalingrad ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres.

Si vous ne voulez pas terminer votre mandat avec le pire bilan en matière de sécurité de l’histoire moderne, notre syndicat de police vous invite à recourir aux dispositions prévues par la loi n° 55-385 du 3 avril 1955.

Dans le cadre de l’état d’urgence, il faut procéder au bouclage des 600 territoires perdus de la République, y compris avec le renfort de l’Armée, en contrôlant et en limitant les entrées et sorties de ces zones par des checkpoints sur le modèle israélien de séparation mis en place avec les territoires palestiniens.

Parallèlement, en recourant au 49-3, il faut adopter en urgence une réforme de la légitime défense pour les policiers et les gendarmes leur permettant d’ouvrir le feu dès lors qu’un fuyard n’obtempère pas ou qu’ils sont l’objet de tirs de mortiers et d’artifices ou de jets de cocktails Molotov.

Notre syndicat de police vous recommande de vous inspirer du modèle brésilien et Philippin en matière de lutte contre le narco-terrorisme.

Les présidents Bolsonaro et Duterte obtiennent d’excellents résultats en ayant donné carte blanche à la police pour reprendre le contrôle des zones de non droit.

L’heure n’est plus au en même temps. Il ne peut y avoir de compromis avec les terroristes et les dealers. Les hésitations, les frilosités politiques et autres tergiversations profitent aux narco-terroristes.

Certain de votre détermination à ne pas abandonner définitivement notre Nation aux mains des trafiquants, recevez, Monsieur Le Chef de l’Etat, l’expression de mon plus profond respect Républicain.

Michel Thooris, secrétaire général du syndicat France Police – Policiers en colère.


[Note de Joseph : face à la dégradation sociale et civilisationnelle favorisée par les « élites » dirigeantes françaises officielles et obscures, les solutions préconisées dans cette lettre vont malheureusement dans le sens voulu par le Nouvel Ordre Mondial, renforceront temporairement les divisions et le chaos, et aboutiront presque inéluctablement à une restriction encore plus grande des libertés, sur le modèle chinois (voir La Chine étend son crédit social à l’international). Créer de nouveaux ghettos sur le modèle de l’apartheid israélien envers les Palestiniens (contre l’intérêt à la fois des juifs et des musulmans du peuple sur le plan de la conscience et de la civilisation, mais pour celui de leurs élites sur le plan matériel du contrôle et du pouvoir) n’est pas une solution sage. La crise socioculturelle, politique et religieuse en France ne se résoudra probablement que par l’assimilation des arrivants ou par leur renvoi dans leur pays d’origine pour ceux qui ne voudront pas participer constructivement à la vie française et respecter l’âme de la nation. Et l’assimilation ne peut se faire par l’isolement dans des enclaves ou des zones de non-droit, mais par l’intégration dispersée sur l’ensemble du territoire, à l’image d’une mayonnaise dont on ne parvient plus à distinguer le vinaigre de l’huile grâce au pouvoir liant de l’œuf et de la moutarde. Dans l’Humanité, le meilleur liant est l’Amour, au contraire de la violence et de la répression.]




La Chine étend son crédit social à l’international

[Source : francesoir.fr]

Officiellement annoncé en 2014, le système de crédit social chinois fonctionne de mieux en mieux, et de plus en plus. En posant des caméras partout, en développant toujours plus de QR-Codes et en incitant à la délation, le Parti Communiste Chinois (PCC) crée Le Meilleur des Mondes [Ndlr : dystopie d’Aldous Huxley]. Quand il s’agit de surveillance, le credo est le suivant : toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort. Aujourd’hui, tous les citoyens chinois sont répertoriés dans la base de données, et sont notés. Ce système de crédit social que l’on dit souvent « orwellien », est double : nous avons d’un côté la surveillance individuelle, et de l’autre la surveillance des entreprises.

Comment cela fonctionne-t-il pour les citoyens ?

En France, nous avons par exemple l’habitude du permis à points pour la conduite. Grillez un feu rouge, vous perdrez quatre points (si vous vous êtes fait prendre). Soyez sages pendant plus de six mois, ou payez pour un stage, et vous récupérerez des points. Si vous êtes chauffeur de taxi, propriétaires de maisons d’hôtes ou simplement commerçants sur Internet, le système de notation vous est aussi familier. Soyez aimables, et les clients vous remercieront en vous notant correctement, ce qui vous donnera meilleure réputation. Si en revanche vous faites mauvaise impression pour telle ou telle raison, vous serez mal noté, et Dieu sait à quel point les notes influencent l’opinion publique.

Maintenant, imaginez que ces systèmes soient étendus à tous les aspects de notre vie quotidienne. C’est difficile, mais c’est réel. Comme dans un jeu vidéo, votre score ne cesserait de varier en fonction de vos actions. Voilà la promesse du crédit social chinois :

Ce qui vous ferait gagner des points : donner votre sang, faire l’éloge du gouvernement, réaliser un acte « héroïque », prendre soin des personnes âgées, aider les plus pauvres, s’engager dans une oeuvre de charité, avoir un bon historique de crédit financier.

Ce qui vous en ferait perdre : tricher sur des jeux en ligne, participer à ce qui peut être considérer comme une secte, ne pas être sincère quand vous vous excusez pour un crime que vous avez commis, répandre des rumeurs sur Internet, poster des messages contre le gouvernement sur les réseaux sociaux, ne pas aller voir vos aînés régulièrement, protester illégalement contre les autorités, commettre des infractions routières.

Ce dont vous pourrez bénéficier avec un bon score : la priorité pour des admissions scolaires ou professionnelles, un accès facilité à des emprunts bancaires ou des crédits, des locations de véhicules, un accès à des salles de sport, des transports en commun moins chers, des temps d’attentes moins longs à l’hôpital, une promotion accélérée au travail, pas de file d’attente pour l’accès au logement social, des taxes réduites.

Comment vous serez punis si vous avez un mauvais score : certains services sociaux vous serons refusés, les vols et les TGV vont seront interdits, vous n’aurez plus droit aux crédits, vous ne pourrez pas travailler auprès du gouvernement, vous n’aurez pas accès aux écoles privées.

La liste noire : si votre score descend trop bas, vous serez ajouté à la liste noire. Le gouvernement vous humiliera alors volontairement auprès du public en affichant votre nom, votre numéro d’identité et votre photo à la télévision ainsi que dans les espaces fréquentés. Aussi, ceux qui vous appelleront sur votre téléphone sauront grâce à un message automatique que vous faites partie de la liste noire. Entrer sciemment en contact avec une telle personne vous fait aussi perdre des points…

Ce modèle n’est pour le moment présent qu’en Chine.

Réplication du modèle des entreprises au Canada

Le système est tout à fait similaire pour ce qui est des entreprises. En évaluant les performances de cette dernière et en analysant plusieurs composantes (taxes, protection de l’environnement, droit de douanes, etc), le gouvernement peut ensuite récompenser les bonnes entreprises et punir les mauvaises.

L’année dernière, le Canada assurait que ce dispositif était prêt à être mis en place chez eux.

Aujourd’hui, à Vancouver, un restaurant de la chaîne chinoise Haidilao Hot Pot est pleinement opérationnel. Équipé de 60 caméras, deux à chaque table, l’endroit est prêt à accueillir ses clients, et à les surveiller en permanence. Ryan Pan, le responsable du restaurant, rapporte lui-même que les caméras sont installées « pour punir les citoyens qui n’adhèreraient pas aux choix de l’entreprise », assurant par ailleurs que « les données récoltées étaient ensuite transférées en Chine. » Ainsi, le mode de vie chinois se répend à l’international car le PCC considère que ses citoyens doivent être surveillés même s’ils sont expatriés. De facto, cela leur permettra aussi d’avoir un oeil sur les Canadiens. Ce qui peut être inquiétant, c’est que les entreprises chinoises sont aujourd’hui très largement réparties à travers le monde. Les restaurants Haidilao à eux seuls sont présents à 935 endroits différents et comptent plus de 60 000 salariés.

La réponse canadienne

Si certaines personnalités canadiennes se sont vivement montrées contre ces installations, il se trouve que les lois actuelles du pays ne peuvent pas réellement empêcher les entreprises chinoises d’installer leurs caméras. Le ministre du Travail de Colombie-Britannique, Harry Bains, a été interrogé pour savoir s’il avait prévu de modifier les lois pour protéger les citoyens canadiens vis-à-vis de la protection des données, mais aussi des punitions qu’ils encourent. Lui, tout comme la ministre des Services aux citoyens Lisa Beare, espère simplement que les citoyens respecteront et adhèreront au système, qui se repose uniquement la Personal Information Protection Act (PIPA).

Le 9 février 2021, David Vigneault, le directeur du service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), assure au cours d’une déclaration publique que « la menace ne vient pas du peuple chinois, mais plutôt du gouvernement chinois qui poursuit une stratégie d’avantage géopolitique sur tous les fronts – économique, technique, politique et militaire – et utilise tous les éléments du pouvoir de l’État pour mener des activités qui constituent une menace directe pour notre sécurité et notre souveraineté nationales. »

Malgré cette mise en garde, et des relations parfois tendues avec la Chine, Justin Trudeau ne semble pour l’instant pas opposé à l’insertion du modèle chinois au Canada.

La Chine, après avoir imposé au monde son modèle économique en seulement quelques années, propose désormais son modèle social fondé sur la surveillance permanente des citoyens, les récompenses et les punitions.

Les virus s’enchaînent… Après le SARS-Cov2, le prochain sera-t-il celui du contrôle social ?




Billet charmant : où est ce Prince qui ne m’a pas embrassée, que je l’extermine ?

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

La culture de la destruction qu’est la cancel culture (en effet, c’est moins violent en anglais) s’attaque maintenant à Blanche Neige. Ou plutôt à ce pauvre Prince Charmant qui, sous le charme de la jeune femme, a eu la mauvaise idée de l’embrasser alors qu’elle était endormie. Ca mérite bien un combat ! Il n’y a rien de plus important aujourd’hui pour ces deux journalistes/activistes, que de s’attaquer aux Princes charmants, qui déjà ne courent pas les rues à force d’émasculation forcée de nos sociétés dévitalisées. Que deux personnes, mal dans leur peau, n’aient pas réussies à dépasser le stade de l’adolescence, c’est leur problème, mais comment notre société a pu se dégrader à ce point que des individus aussi primaires puissent avoir une telle audience ?

Un excellent article dans Le Figaro replace parfaitement le faux débat du baiser du Prince Charmant à sa place. L’on regrettera seulement cette nouvelle mode de ne pas signer ces textes…

Après les relectures anachroniques des pièces du dramaturge grec Eschyle, après le déboulonnage des statues de Churchill et de Colbert, après la dégradation de la petite Sirène de Copenhague, aurions-nous touché le fond ? C’est au tour de Blanche-Neige, conte mythologique des frères Grimm revisité en conte de fées au XXe siècle par Walt Disney, de se voir clouer au pilori par les disciples d’une cancel culture, mâtinée ici du plus intransigeant néoféminisme.

Et ce néoféminisme, qui n’a rien à voir avec les femmes, comme toujours porté Outre-Atlantique par deux activistes qui n’ont rien de journalistes, poussant le fanatisme à sa fin logique – la bêtise la plus crue. Et comme souvent, ce vent mauvais d’Amérique, prétend être un zéphyr, ce vent d’ouest jadis divinisé par les Anciens. Traquant la moindre trace de «cette domination patriarcale blanche», qui aurait soumis le monde depuis la nuit des temps, deux journalistes du SF Gate, la version numérique de l’important journal californien San Francisco Chronicle, ont cru déceler dans l’histoire de cette malheureuse princesse victime de la jalousie assassine d’une méchante reine, «un problème majeur». Dans la scène finale, le geste d’amour salvateur que lui donne le prince charmant ne serait pas autre chose, selon elles, qu’un vulgaire «baiser non consenti» et donc subi par l’héroïne.

Et elles insistent pour que Walt Disney modifie la fin – sans n’avoir rien à proposer. C’est bien l’impasse (heureusement pour nous) de ces mouvements dits « progressistes ». Ils ne sont que destructeurs, ils s’attaquent à ce qui existe, le dégradent, mais ils sont incapables de produire un monde attrayant.

Deux activistes n’ont toujours pas dépassé le refus de leur Prince Charmant de les embrasser et veulent alors exterminer tous les Princes Charmants. Ils sont déjà peu nombreux… Ne m’en voulez pas Messieurs, rien de personnel, cela ne nous empêche pas de vous aimer – comme vous êtes. Tout comme nous espérons être aimées comme des femmes et non pas comme des Princesses fantasmées. 

En quoi cela nous empêche-t-il d’aimer les Princes Charmants et les Princesses ? En quoi cela nous empêche-t-il d’aimer le rêve que les contes de fées mettent dans notre enfance, puis dans notre vie ? Laissez-nous fantasmer tranquilles !

Pourquoi des individus primaires, incapables de faire la différence entre la vie et le rêve, doivent-ils dicter leurs règles ? Pourquoi doit-on appauvrir notre monde, pour le rendre aussi fade, aussi vide, aussi triste que ces activistes ? Et surtout que nous est-il arrivé pour qu’ils aient une telle audience ?!

PS : Pour information, je crois aussi au Père Noël, vous savez ce vieux mâle Blanc, qui vient voir les petits enfants la nuit… Étrange qu’il n’ait pas encore été accusé de pédophilie celui-là…




Crise sanitaire : « On va demander à la population de choisir entre 2 camps », estime Vincent Pavan

[Source : Epoch Times France]

Vincent Pavan est mathématicien, enseignant-chercheur à l’université d’Aix-Marseille. Sollicité par la défense dans le cadre d’une procédure judiciaire engagée à l’encontre de deux restaurateurs biterrois par le procureur de la République de Bayonne, il a revu le premier volet de l’étude ComCor, qui porte sur les lieux et les circonstances de contamination au virus Sars-COV-2.

Une étude épidémiologique coordonnée par le professeur Arnaud Fontanet, membre de l’Institut Pasteur et du Conseil scientifique, et menée en partenariat avec la Caisse nationale d’assurance Maladie (Cnam), Santé Publique France et l’institut de sondage Ipsos.

Cette étude a notamment été citée par Jean Castex au mois de décembre 2020 pour justifier le maintien de la fermeture des cafés et des restaurants décidée à la fin du mois d’octobre, dans le cadre du deuxième confinement.

La méthodologie retenue pour réaliser l’étude ComCor est-elle fiable ? Comment fonctionne le Conseil scientifique ? Quel regard peut-on porter sur la somme de chiffres et de statistiques produits depuis le début de l’épidémie ?

Esprits de Liberté a rencontré Vincent Pavan pour répondre à ces questions.




Macron et le chaos

[Source : RT en français]

Par Anne-Sophie Chazaud

Le niveau de chaos et de délitement désormais atteint dans notre pays est tel qu’il est devenu difficile de réagir. D’abord parce que nous sommes nombreux à avoir annoncé, dénoncé, prévenu ce qui était en train de se produire. Ensuite parce que la colère, la rage mais aussi une forme d’impuissance nous envahissent face à l’amoncellement des difficultés auxquelles nous sommes à présent confrontés. 

Hier soir, quelques jours à peine après l’égorgement islamiste d’une fonctionnaire de police, un policier qui perturbait le trafic de drogue a été abattu. Et je constate avec un dégoût profond l’opportunisme des soutiers du pouvoir pour récupérer à eux ce drame alors qu’ils en sont les principaux responsables.

Je rappelle donc que, pendant de longs mois, notre police a été dévoyée délibérément dans le but de réprimer l’opposition sociale et politique visant la critique de l’action macronienne, laquelle consiste à liquider le pays. Que la doctrine et les pratiques du maintien de l’ordre ont dans ce cadre politique été délibérément dévoyées, tournées contre le peuple de France, comme cela a été fort justement dit dans la lettre/constat des militaires la semaine dernière, tant critiquée à grands cris d’orfraies par ceux-là mêmes qui aujourd’hui versent des larmes de crocodiles sur le fruit de leur incurie, de leur mauvaise foi et de leur perversité.

« Il serait plus judicieux de cesser d’employer les forces de police à matraquer fiscalement avec zèle le peuple français pour des attestations d’Absurdistan »

Pendant que le pouvoir s’occupait et occupait notre police républicaine à mater le peuple, nous n’avons cessé de prévenir au sujet de l’ensauvagement du pays, nous disions «la racaille tue», nous refusions la lâcheté coupable d’un Castaner qui voulait faire mettre le genou à terre pour un meurtre commis de l’autre côté de l’Atlantique.

Le Garde des Sceaux, tout occupé à lutter contre le fascisme d’il y a 70 ans, déclarait que la France n’était pas un coupe-gorge tandis que, pour chacun de nos simples constats, nous étions réduits promptement ad hitlerum. 

Nous avons mis en garde lorsque des Tchétchènes et des Maghrébins firent la loi par les armes dans la capitale de la Bourgogne, lorsqu’Axelle fut abjectement tuée, lorsque tant d’agressions se produisirent. Depuis des semaines nous alertons sur la guerilla urbaine qui s’est désormais installée partout, et nous faisions remarquer qu’il serait plus judicieux de cesser d’employer les forces de police à matraquer fiscalement avec zèle le peuple français pour des attestations d’Absurdistan.

« Les rues sont, pour cause d’absurde couvre-feu, livrées, passée une certaine heure, aux seuls hommes et en particulier à ceux qui viennent semer le chaos »

Chaque semaine désormais des églises brûlent dans le total silence des autorités, des quartiers tous les soirs s’embrasent, les centres villes sont les scènes de violences, de rodéos, de n’importe quoi. Les rues sont, pour cause d’absurde couvre-feu, livrées, passée une certaine heure, aux seuls hommes et en particulier à ceux qui viennent semer le chaos. J’alerte sur ce point depuis des mois, sur cette insécurité totale engendrée en particulier par la prise de contrôle de l’espace public nocturne par les racailles à cause du couvre-feu.

« À aucun moment de ce quinquennat la sécurité des Français n’a été une priorité. »

La police est débordée et n’a plus les moyens de faire face, mais lorsque nous lisions Obertone, lorsque nous alertions, là encore nous étions traités de nazis et autres vieilles lunes pour gauchistes sur le retour en mal de programme. L’urgence était alors à la répression politique et sociale, pendant que les petits SA du système étaient laissés libres d’étendre leurs méfaits pour «ne pas faire de vagues» (et en réalité pour servir le pouvoir par la désorganisation de la nation tant honnie).

À aucun moment de ce quinquennat la sécurité des Français n’a été une priorité.

Tout était écrit, par nous en particulier, et voilà le résultat. Ce quinquennat est bien celui du chaos. Il a précisément prospéré, existé, intrinsèquement, grâce au chaos et à la dislocation du pays. Espérons que les Français s’en souviendront plus de dix jours.




Antidote au délire sanitaire et vaccinal des gouvernements et des médias dominants

[Source : Pierre Chaillot. Transmis par Ben Lyo]

[Pierre Chaillot rejoint les conclusions de Marc Girard concernant l’absence de significativité sanitaire de la présence d’un virus covid19 (voir https://www.rolandsimion.org/coronavirus-mortalite-epidemiologie-fake-intimidation/#Un_quizz_conclusif_et_concluant). Il le montre avec des éléments imparables reprenant simplement les statistiques de décès officielle.]

1 – 100 000 morts, vraiment ? (28 avril 2021 – vidéo 20 minutes)

2 – La dictature des tests (22 février 2021 – vidéo 19 minutes)

3 – Nouveau confinement : l’excuse des jeunes (2 avril 2021 – vidéo 8 minutes)

4 – Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ? (18 janvier 2021 – vidéo 10 minutes – c’est cette vidéo qui est reprise par Les Décodeurs du journal Le Monde et rediffusée dans la vidéo en 7)

5 – Les mauvais calculs d’une vidéo qui prétend que le Covid-19 serait « moins mortel que la grippe en 2017 » (Article des Décodeurs critiquant la vidéo en 4 – 22 janvier 2021) :
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/01/22/les-mauvais-calculs-d-une-video-qui-pretend-que-le-covid-19-serait-moins-mortel-que-la-grippe-en-2017_6067272_4355770.html

6 – Covid VS Grippe : les mauvais calculs des décodeurs (27 janvier 2021 – vidéo 9 minutes répondant à l’article des Décodeurs en 5)

7 – L’arnaque de la chute de l’espérance de vie (11 avril 2021 – 16 min)

8 – COVID-19 : « LE PAPY-BOOM FAIT DE LA RESISTANCE ! » (Interview vidéo de Pierre Chaillot 1h35, par un média indépendant avec également la participation d’un Gilet Jaune) :
Sauter la partie entre 6 min 45 et 16 min 30 qui n’est que la rediffusion de la vidéo Augmentation des décès de 9 % : c’est grave docteur ?

9 – Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale (Marc Girard – 23 juillet 2017)
L’article de Marc qui mettait déjà en lumière les imbécillités de Adrien Sénécat des Décodeurs du journal Le Monde, rédigé au moment de la promotion du futur élargissement des obligations vaccinales.

Les déconneurs du journal Le Monde au service de la propagande vaccinale

23 juillet 2017

RÉSUMÉ – L’indigence des contributions signées par « les Décodeurs » du journal Le Monde me paraissait tellement évidente que je n’avais pas spontanément éprouvé le besoin d’en parler; néanmoins, il m’a été fait demande de les réfuter. Exécution…

Table des matières

  • Introduction
  • Critères intrinsèques de crédibilité
    • La vérité comme monopole durable
    • Formation intellectuelle
  • “Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)
  • “Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)
  • Conclusion

Introduction

Sous la rubrique « Venons-en aux faits », dont les rédacteurs ont été vaccinés d’office contre le doute cartésien et dont le titre suinte déjà l’humilité scientifique, le journal Le Monde éjacule sans désemparer des articles sur les vaccinations, qui s’ajoutent à d’autres contributions non moins rigoureuses[1] complétées par celles de blogueurs invités tels que celui qui introduit sa chronique de la façon suivante, laquelle suinte, elle, le souci de vérification : « Les vaccins constituent la plus belle victoire de la médecine »…

Réclamé par certains lecteurs, le présent article vise un décodage du décodage, mais sans souci d’exhaustivité : comme je dis souvent, « on n’a pas besoin de manger un œuf jusqu’au bout pour voir qu’il est pourri ».

Critères intrinsèques de crédibilité

La vérité comme monopole durable

Que les employés de Pierre Bergé (qui ne voit aucune différence entre salarier sa force de travail et louer son ventre à fin de gestation pour autrui) ou Xavier Niels (qui a gagné ses premiers sous grâce au Minitel rose) s’imaginent que la vérité scientifique, c’est juste un truc parmi d’autres qu’il suffit d’acheter comme le reste, cela n’est guère étonnant. Personnellement, je ne connais qu’une seule instance (elle aussi pourvue de moyens financiers conséquents) qui ait revendiqué un monopole durable de la Vérité : c’est le Saint-Office.[2] Autant dire que les « décodeurs » du Monde s’inscrivent dans une tradition notoirement prisée pour son ouverture d’esprit et son souci de la vérification expérimentale – demandez à Galilée.

Foin du passé, de toute façon : la rhétorique d’intimidation scientifique derrière le procédé qui consiste à se poser en croisé de la science (et donc à ravaler tout contradicteur au rang de mécréant) se déchiffre aisément sur la base de quelques précédents (parmi bien d’autres…).

  • Au moment de l’escroquerie H1N1, le site « Hoaxbuster » (supposé, comme « Venons-en aux faits », ne connaître que l’irréfutable Loi de la Science) avait mandaté un de ses preux pour se faire mon scalp « d’imposteur ». Dans l’affrontement-minute qui a suivi, les heaumes sont vite tombés : tandis que, conformément à mes prévisions depuis le tout début, la pandémie faisait lamentablement pschitt, il est vite apparu qu’au terme d’un cursus regrettablement erratique et lamentablement stérile, le croisé en question n’avait trouvé d’autre issue dans sa vie qu’acheter un ersatz de « diplôme » (n’ayons pas peur des mots…) moyennant deux mois de formation aux « éléments du langage médical » dispensée dans une école payante vouée au recrutement de sous-sous-larbins au service de l’industrie pharmaceutique…
  • S’attaquant à moi quelques années plus tard avec le courage de l’anonymat, mais assez bêtes pour laisser transparaître l’identité de leur sponsor, les collaborateurs du site PSIRAM – également autoproclamés défenseurs intransigeants de la Science – n’ont même pas été capables de trouver mon CV pourtant parfaitement disponible dès la page d’accueil de mon site, ce qui les a ridiculement conduits à m’attribuer – entre autres – des écrits d’exégèse biblique (dont le véritable auteur est un éminent homonyme, étranger de surcroît) : pour diverses raisons d’ordre biographique (dont je ne suis pas fier), j’ai déjà eu beaucoup de mal à apprendre – tardivement – un peu d’anglais, et j’avoue ne pas me sentir très à l’aise avec l’hébreu et l’araméen dans le texte… Mais il faut croire que pour mes sourcilleux critiques-au-service-de-la-Science, le travail de recherche documentaire, c’est du chinois…
  • Je suis tombé l’autre jour par hasard sur un autre site du même genre, dont je n’ai même pas retenu l’adresse, qui pourfendait sélectivement quelques anti-vaccinalistes parmi les plus nuls, tout en me citant subrepticement dans la « bibliographie » qui suivait mais évidemment sans prendre le risque de formuler précisément la moindre critique me concernant. Cette stratégie d’amalgame m’a rappelé ce passage d’un très officiel bouquin catho publié sous Vichy, qui se lançait dans une dénonciation collective en commençant de la façon suivante (je cite de mémoire, mais c’était le ton) : « Les communistes, les socialistes, les libertins, les francs-maçons (…) ». On a l’esprit Saint-Office ou on ne l’a pas…

À côté de ce procédé faux-cul qui consiste à décrédibiliser par allusion globalisante un intervenant significatif (qui peut inscrire à son tableau de chasse, entre autres, un rôle à tout le moins significatif dans le lamentable échec de la campagne de vaccination contre le H1N1) mais en esquivant la tâche de le réfuter sur ce qu’il a vraiment dit,[3] il y a aussi la méthode-Tartarin consistant à réfuter pied à pied un contradicteur qui n’en n’est pas un : dans le premier des deux articles qu’on va examiner plus bas, le décodeur de service va citer pas moins de sept fois Michèle Rivasi, dont on ne sache pas qu’elle ait la moindre compétence en matière de pharmacie industrielle ou de médecine, et dont l’un des titres de gloire les plus récents consiste à s’être posée en vaillant défenseur du vaccin contre la rougeole : c’est un retour « aux faits » finalement assez confortable que de fonder une propagande sur une pseudo-réfutation des propagandistes du même camp…[4] Mais le chevalier servant de « la » Science chérie par Le Monde ne se contente pas de réfuter une ancienne prof. de SVT : avec une audace qui frise la témérité, il va jusqu’à affronter le site breizh-info.com, tristement connu pour avoir fait courber l’échine des Riches et des Puissants, représentant parmi les plus redoutés de ce que d’autres croisés impayables dénoncent sans rire comme « lobbys (sic) antivaccinaux ».

Sans entrer dans une réflexion épistémologique tant soit peu élaborée, disons simplement que cette illusion que quiconque pourrait durablement s’installer dans le bunker de la Vérité pour y canarder les « imposteurs » ou dissiper « la rumeur » signe assez une remarquable inculture – pas seulement scientifique, d’ailleurs. C’est sur la base de cette évidence qu’avant qu’on ne m’en fît explicitement la demande, je n’avais jamais pris la peine de réfuter les bouffons qui se présentent comme missionnés (mais sans jamais nous dire par qui) pour « décoder » une réalité scientifique dont ils sont si manifestement éloignés.

Formation intellectuelle

La moindre des choses, quand on prétend prendre une position publique sur un problème technico-scientifique, c’est de justifier sur la base de quelle formation et de quelles réalisations antérieures. Les contributions de propagande vaccinale que je me propose d’analyser aujourd’hui ayant été rédigées par un certain Adrien Sénécat, il suffit de cliquer sur son nom pour constater, à partir de sa photo, qu’il n’a les cheveux blancs ni de l’érudition ni de l’expérience[5], et apprendre qu’il est simplement « journaliste », on ne sait même pas d’où : sans ironiser une fois encore sur le niveau des « journalistes » français tel qu’il saute aux yeux de n’importe quelle personne ayant un minimum de familiarité avec ce milieu, on émettra quelques doutes quant à la compétence que peut conférer une école de journalisme relativement à une problématique technico-réglementaire intriquée et complexe qui échappe déjà à la plupart des professionnels de santé[6] (pour ne rien dire des juges « spécialisés »)…

On se le permettra d’autant plus que ce même lien conduit à d’autres contributions dont notre jeune « décodeur » est apparemment très satisfait, et qui concernent, pêle-mêle, la circulation des informations, le problème du cumul chez les parlementaires, l’affaire des « pièces jaunes », les armes chimiques, les tensions religieuses, le terrorisme, le végétarisme, le chômage, la répression policière – j’en passe beaucoup, et des meilleures. Ce n’est certes pas sous ma plume que l’on trouvera une condamnation de principe de l’interdisciplinarité, mais outre qu’il s’agit alors plus d’une ascèse que d’une distraction, outre qu’entre apprendre pour soi et exposer pour les autres, il y a quand même un sacré saut, le dilettantisme de notre pigiste grimé en journaliste est encore confirmé par le temps record (moins d’un an et demi) qu’il lui a fallu pour rédiger (évidemment chaque fois après « enquête » – hi !hi !) pas moins de 34 « articles ».[7] C’est bien facile de « décoder » le Réel quand on n’a fait aucun effort pour en mesurer la complexité…

De nouveau, si je n’avais pas été expressément sollicité pour réfuter ces torche-culs, le constat qui précède aurait largement suffi pour que je passe mon chemin sans m’y attarder davantage : ne pas perdre son temps, ni son énergie, sur ce qui n’en vaut manifestement pas la peine est justement la fonction principale de mes « critères intrinsèques de crédibilité ».

Ces quelques préliminaires méthodologiques étant posés, examinons d’un peu plus près deux des récentes contributions de notre journaleux polygraphe – en pastichant, pour détendre l’atmosphère, la rhétorique faraude du site « Les Décodeurs » (« Pourquoi c’est faux/ Pourquoi c’est exagéré […] »).

“Antivaccins : des mensonges dans un débat légitime” (11/07/17)

Onze vaccins, mais pas onze piqûres à la fois

Pourquoi c’est exagéré

Il s’agit, pour notre sémillant décodeur, de décrédibiliser les abrutis qui voient un risque dans l’augmentation du nombre d’immunisations. Cependant :

  • si le nombre d’injections est un paramètre insignifiant, pourquoi ce dernier a-t-il été outrageusement exploité par le marketing pharmaceutique pour justifier l’introduction de vaccins multivalents (supposés permettre une réduction du nombre d’injections) ?
  • à limiter le nombre d’injections au seul problème de ce qu’un professionnel de recherche clinique appellerait « la qualité de vie » (à savoir, en l’espèce, les conséquences immédiatement douloureuses), notre oblat de la Science emboîte le pas aux commerciaux des fabricants qui s’obstinent à ignorer que le risque de réaction auto-immune est forcément augmenté par le nombre des immunisations (la fameuse « mosaïque de l’auto-immunité »).

Les nouveaux vaccins ont beaucoup moins de molécules antigéniques que les vieux

Pourquoi c’est inepte

On aimerait bien savoir comment le porte-plume de Bergé-Niels déguisé en porte-oriflamme de la Vérité fait en pratique pour dénombrer, quasiment à l’unité près, le nombre d’antigènes administrés par vaccin ! Sait-il qu’avec le moindre médicament, si anodin soit-il, on est dans une totale ignorance du nombre total de métabolites (molécules dérivées de la molécule-mère après « digestion » par l’organisme), dont certains peuvent néanmoins déclencher des réactions graves même s’ils n’existent qu’à l’état de trace indétectable par les moyens analytiques disponibles ? A-t-il entendu parler des normes de tolérance en matière d’impuretés, qui attestent qu’en pratique personne ne prétend maîtriser l’intégralité des substances contenues dans un produit manufacturé (qu’il s’agisse de médicament, de cosmétique, de produit alimentaire…) ?

Un bébé n’est pas « trop fragile » pour supporter des vaccins

Pourquoi c’est aussi idiot que monstrueux

  • C’est idiot : apparemment chapitré sur la portée de cet indice minimum de crédibilité, notre journaliste spécialisé en tout ne peut néanmoins s’empêcher de retomber dans une globalisation de propagande : si « LES » vaccins sont une entité dont on peut parler globalement, aurait-il l’obligeance de revenir sur le retrait d’Hexavac et sur ses raisons ? Sur celui du DTP ? Sur celui de Pandemrix ? Personne ne serait assez idiot pour clamer qu’un bébé n’est pas trop fragile pour supporter DES médicaments : ça dépend lesquels. Eh bien ! n’est-ce pas la même chose avec LES vaccins?…
  • C’est monstrueux : quand la tendance actuelle consiste à contourner le préalable naguère inévitable des essais cliniques, on aimerait bien que notre porte-voix de la pègre médico-pharmaceutique fasse une revue sérieuse des études attestant la bonne tolérance DES vaccins chez LE bébé (lequel, déjà ? Rappelez-moi son nom…). Dans l’entretemps, ce n’est pas sa référence ridicule à « une étude allemande de 2000 » qui sera de nature à rassurer quiconque dispose de la moindre compétence en recherche clinique :
    • aucune information sur le financement, aucune procédure d’aveugle, procédure de randomisation même pas apte à garantir un sex ratio équilibré entre les groupes et, de toute façon, ridiculisée par un taux d’exclusion de 39% dans le groupe vacciné contre 11% dans le groupe non vacciné ;
    • encore plus fort : l’évaluation des défenses immunitaires des enfants s’est faite – en ouvert, donc – sur la seule base d’un suivi assuré par les mères
    • dans un article correspondant à un volume total d’environ 350 lignes, la section Résultats, en principe centrale, se limite à… 15 lignes.

Au total et pour résumer, l’étude – « allemande », nous dit Adrien Sénécat avec des étoiles dans les yeux –, financée par on ne sait qui, et auditée on sait encore moins par qui, s’est contentée, après consultation sommaire des mamans, de poser la question de savoir si des gamins vaccinés au su et au vu de tout le monde allaient mieux que des gamins non vaccinés, également au su et au vu de tout le monde. Inattendue mais imparable, imparable parce qu’inattendue, la réponse été « Jawohl, natürlich ! » – et elle a retenti comme un cinglant démenti à « la rumeur » qui véhiculait que les choses pourraient être un peu plus complexes…

Même Goebbels faisait plus subtil…

L’organisation mondiale de la santé estime que (…) on pourrait sauver 1,5 millions de vies supplémentaires en améliorant la couverture mondiale de LA vaccination

Pourquoi il y a des limites dans le foutage de gueule, même quand il est financé par Bergé, Niels & Co

Curieusement, notre journaleux oublie d’en « revenir au faits » pour décoder tout un tas de « rumeurs ».

  • Pourquoi faudrait-il croire sur parole l’OMS qui, parmi tant d’autres escroqueries, nous avait prédit une catastrophe sans précédent si on omettait de se vacciner contre le H1N1 ?
  • À quelle vaccination précise pense l’OMS sous couvert de LA vaccination (cf. ci-dessus) ? À Pandemrix, retiré dans les conditions de clandestinité que l’on sait, à cause de complications pour lesquelles la solidarité nationale continue de casquer ? Au DTP introuvable en France – bien qu’apparemment, il « pourrait » contribuer à un sauvetage de vies par centaines de milliers au moins ? À la forme d’Hexavac retirée précipitamment en 2005 ? Au vaccin contre la rage ? À celui contre la maladie de Lyme retiré non moins précipitamment par GSK voici quelques années, sans un mot d’explication crédible ? À celui contre le terrible fléau des érections matinales ?
  • En quoi les « Français de souche » (pour parler comme la chère Nadine), surtout s’ils n’ont pas de quoi partir en vacances (il y en a de plus en plus), seraient-ils concernés par le poids sanitaire de toutes les maladies infectieuses du monde entier ? La fièvre jaune ? La maladie du sommeil ? La bilharziose ? Les filarioses ? En quoi seraient-ils concernés par une morbi-mortalité certes infectieuse, mais notoirement corrélée à des facteurs tels que la malnutrition ou l’absence d’eau potable ? Si tout le monde est indistinctement concerné par tous les problèmes sanitaires dont l’OMS est supposée s’occuper, faut-il obliger – puisque ça devient la mode ici – tous les adolescents obèses de cheunoux à manger encore plus pour épargner « les millions de vies » menacées ici et là par la malnutrition ?

Le ministère de la santé estime que l’élargissement de la couverture vaccinale coûtera [seulement] entre 10 et 20 millions à l’Assurance maladie

Pourquoi l’esprit est prompt alors que la chair est faible

Quand on brandit les menaces de l’OMS (cf. ci-dessus) concernant les risques encourus si l’on ose résister aux injonctions de Big Pharma relayées par l’OMS, on peut brandir les estimations financières du gouvernement français quant au coût des cadeaux offerts à Big Pharma par le gouvernement français : c’est un peu comme si on s’était fié à Bokassa pour estimer la valeur des diamants qu’il avait offerts à Giscard. Du grand journalisme…

Les parents qui refusent la prison iront-ils en prison ? (…) Dans les faits, [l’article L3116-4 du Code de la santé publique qui prévoit un tel emprisonnement] est très rarement appliqué

Pourquoi la France va connaître une grave pénurie de moquettes si les amoureux des « faits » continuent d’en fumer autant

Il a dû échapper à notre champion du retour aux faits que tout l’objet du débat était précisément de changer la loi : que l’actuelle soit ou non régulièrement « appliquée » n’est guère informatif quant à la façon dont la nouvelle loi le sera…

Dans 30% des cas [d’hépatite B] en France, le mode de contamination est inconnu

Pourquoi l’homme qui a vu l’homme (…)

Sans me vanter, je pense avoir été le premier à documenter, textes en main, que les autorités françaises – notamment par la voix de leurs experts les plus éminents, tels que le président du CTV – s’étaient continûment fichues du monde avec leurs estimations alarmistes tant de la fréquence de la maladie que des modes de contamination. Avide, à la différence du jeune Sénécat, de « revenir aux faits » s’il peut s’avérer que je me suis trompé d’une façon ou d’une autre, je me suis donc précipité sur le lien fourni par ce dernier supposé documenter (« Venons-en aux faits ») son estimation quantitative des modes de contaminations inconnus.

Cependant, « la preuve » en question est un banal texte du site officiel Santé Publique France qui soutient textuellement (mais sans la moindre référence) : « Dans 30 % des cas, le mode de contamination reste inconnu »… Ainsi :

  • comme démontré plus haut avec l’estimation par les autorités sanitaires du cadeau offert aux fabricants par les autorités sanitaires, le décodeur du Monde n’a pas meilleure source que les autorités sanitaires pour vérifier la propagande mensongère des autorités sanitaires ;[8]
  • lorsqu’il veut prouver que dans 30% des cas, le mode de contamination reste inconnu, le jeune Sénécat fournit un lien Internet renvoyant à une assertion exactement identique quoique pas mieux référencée. Nous sommes typiquement dans la pathologie Internet que j’ai décrite dans une contribution récente :
    “Parler sans savoir et, par conséquent, sans avoir l’obligation morale de vérifier : il suffit qu’en cliquant, je puisse me convaincre que je ne suis pas seul à parler et m’entretenir dans l’illusion que je suis écouté. (…) Par rapport à une pensée aussi plate, en contenu, qu’une feuille de papier à cigarette, l’interconnectivité produit une illusion de profondeur : par contraste, quand on s’est effectivement approprié un savoir ou une pensée, on n’a pas constamment besoin de se rassurer en multipliant les connexions qui en imposent pour des références.”

À lui seul, ce dernier exemple devrait suffire à caractériser la véritable nature du site « Les Décodeurs » du Monde :[9] une bête instance de propagande, et particulièrement balourde de surcroît.

“Vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques : non, la justice européenne n’a pas reconnu le lien”(12/07/17)

À l’heure où l’on bat les blés au soleil en cumulant le plaisir de bronzer et celui de se refaire les biscoteaux, j’ai déjà été bien assez bon de commencer à évacuer – et gracieusement (sans même prendre le temps d’aller déposer une main courante, par exemple au Pôle santé…) – le fumier intellectuel sauvagement abandonné, en date du 11/07/17, par les décodeurs du Monde au beau milieu de la salle à manger. Comme annoncé en Introduction, ne comptez pas sur moi pour balayer toutes les déjections qui restent : mettez-vous au boulot ou évitez l’endroit.

Mais avant d’aller me tremper dans l’eau de Javel pour me désinfecter, j’aperçois encore une fosse à purin que je me propose de curer ; à cause de l’odeur – pour parler comme Chirac –, on va essayer de faire vite. Il s’agit du docte commentaire de notre décodeur sur une récente décision de la Cour de justice de l’Union Européenne (juin 2017) concernant la judiciarisation des complications survenues après vaccination contre l’hépatite B.

L’OMS a émis de sérieuses réserves

Pourquoi l’amour a ses raisons…

Ce n’est pas en lisant le journal de Pierre Bergé qu’on va s’émouvoir de l’intriguant amour qui unit si compulsivement l’OMS et les décodeurs du Monde (cf. plus haut), même si d’aucuns peuvent le juger contre-nature (l’intriguant amour – pas Pierre Bergé, cela va de soi)…

En tout cas, il faut vraiment les yeux de l’amour pour imaginer comme simplement possible une position critique de l’OMS à l’endroit des vaccins contre l’hépatite B, alors que, exactement comme avec le H1N1, cette instance a été l’ardent promoteur – forcément désintéressé – du génial projet de vaccination « universelle » tout au long des années 1990 : rappelez-vous le Viral Hepatitis Prevention Board

Rien ne permet donc aujourd’hui d’établir un lien de cause à effet entre [vaccination et SEP]

Pourquoi il vaut mieux entendre ça qu’être sourd

« Aujourd’hui », certes, vu ce que ça coûterait aux concepteurs et promoteurs du génial projet évoqué ci-dessus. Mais en 1991 – quand Adrien Sénécat n’était pas encore né – c’est bien le fabricant d’Engerix qui a pris l’initiative de demander aux autorités de mentionner le risque de SEP dans la notice du produit.

Et si, dans l’entre temps, le même Adrien Sénécat a eu l’occasion d’apprendre à lire, il pourra vérifier tout seul (un petit effort, allons !) que ce risque est toujours mentionné dans la plupart des notices de ce vaccin dans le monde entier.

Il pourra toujours soutenir – à l’instar de ses donneurs d’ordres – que ça ne veut rien dire, mais il aurait été plus crédible dans ses dénégations s’il avait été mieux informé de l’histoire : mieux informé des « faits », quoi… Et plus crédible, aussi, s’il avait connaissance des procédures réglementaires qui conditionnent la mention d’un tel risque dans le Résumé des Caractéristiques du Produit (c’est-à-dire, en l’espèce, dans la notice Vidal).

Accessoirement, s’avisant enfin du devoir de « vérification » pourtant posé en exergue du site où il sévit, Adrien Sénécat pourrait s’interroger sur la crédibilité de l’étude de Zipp et coll.[10] qui a tant contribué à réorienter la jurisprudence française dans une direction tellement plus favorable aux intérêts des fabricants. S’il ne sait pas faire, on pourra toujours l’aider…

Des débats juridiques qui dépassent le cadre scientifique

Pourquoi Macron va finir par rappeler son chef d’état-major en se disant que tout le monde peut péter une durite

Si le décodeur du Monde avait une meilleure connaissance des « faits » auxquels il prétend faire revenir ses lecteurs, il saurait que ce sont les promoteurs de cette vaccination[11], ainsi que les avocats des fabricants, qui ont constamment détourné la question scientifique cruciale (y a-t-il un lien de causalité ?) vers une problématique judiciaire, sinon juridique, en soutenant effrontément que si les fabricants étaient condamnés, cela engendrerait une intolérable crise de confiance du public à l’endroit de LA vaccination.

La justice européenne ne s’est pas prononcée sur le fond du dossier

Pourquoi « oculos habent et non videbunt »[12]

Tout dépend de ce qu’on appelle le « fond » : personne – à l’exception des fabricants et de leurs avocats (cf. plus haut) – n’aurait eu l’idée incongrue de demander à la justice de se prononcer sur la question scientifique du lien de causalité.

Mais si le « fond » du dossier tient aux conditions d’exonération de la responsabilité des fabricants dans l’apparition de complications vaccinales, notre polygraphe trop pressé n’a manifestement pas pris le temps d’enquêter sérieusement ni sur l’historique, ni sur la dynamique de la jurisprudence française à ce sujet. De la sorte, il n’a pas pu comprendre que la décision européenne était une gifle pour la Cour de cassation qui s’est crispée depuis quinze ans sur des motivations indigentes,[13] dans le but manifeste de ne pas créer un mouvement d’indemnisation qui n’aurait pas manqué de conduire à la ruine de la société Aventis, vitrine industrielle dont les autorités – toutes tendances politiques confondues – sont tellement fières et qu’elles se sont donné tant de mal à établir.

Ce pourrait être un vrai décodage, digne d’un journal naguère prestigieux, de se lancer dans une véritable investigation concernant un tel scandale, en essayant de comprendre le processus qui a permis :

  • au civil, de garantir une aussi confortable immunité aux responsables d’un drame de santé publique sans précédent à ma connaissance ;
  • au pénal, de cantonner le Pôle santé dans une inertie tellement inconcevable (compte tenu du nombre de preuves disponibles) qu’elle en serait comique si elle n’était tragique.

Conclusion

Tout ça pue : comme annoncé, je vais me doucher.

À l’eau de Javel…


  1. Dans celle qui vient d’être citée, la question des vaccinations est posée comme allant de soi (ça gagne déjà une étape dans la démonstration), avec pour seul problème : « comment restaurer la confiance », c’est-à-dire quasiment mot pour mot, la mission naguère confiée à Madame Hurel, dont les compétences médico-scientifiques sont internationalement reconnues. La brillante anthropologue interviewée par Le Monde poursuit en recommandant que l’école soit associée aux parents pour la promotion des vaccins, soit deux ressources dûment répertoriées comme stratégiques par le marketing pharmaceutique dans la promotion des traitements les plus fous (P. Conrad & MR Bergey. Social Science & Medicine 122 [2014] : 31-43) : c’est quand même ballot de se retrouver, au nom flamboyant de la Science, sur des recommandations édictées à son profit par la pègre médico-pharmaceutique…
  2. À y réfléchir de façon tant soit peu philosophique, on se rend compte que dans l’histoire des tyrannies idéologiques ou religieuses, il y a toujours une caste de gens (monarques, chefs religieux, réformateurs, chefs du Parti, Grands Timoniers…) qui s’attribuent le pouvoir de discriminer entre le Bien et le Mal, entre la Liberté et la Servitude, entre la Vérité ou le Mensonge – même si leurs justifications sont radicalement antagonistes selon le camp qu’ils ont choisi : ainsi et pour les chrétiens du Moyen Age, “la vraie liberté était de servir le Christ” – et, par conséquent, de se soumettre corps et âme à ceux qui s’arrogeaient le droit de parler en son nom (Ph. Buc. Guerre sainte, martyre et terreur, Gallimard, 2017: p. 330.). Ce raisonnement primaire est exactement celui des Décodeurs du Monde qui, nonobstant des CV pas toujours convaincants, s’arrogent le droit de discerner entre la Science et l’Erreur (“Pourquoi c’est faux”) : ainsi et malgré une série de scandales que ces derniers ignorent ou occultent, l’Organisation Mondiale de la Santé, c’est le “retour aux faits”, tandis que moi, c’est “la rumeur”. Il y a juste qu’à la fin, les “experts” de l’OMS gagnent beaucoup plus d’argent que moi… C’est une des escroqueries de l’époque (d’ailleurs hautement défendue par Madame Buzyn): que le meilleur moyen pour gagner de l’argent (beaucoup d’argent), ce serait de prendre le parti de la Science, de la Vérité (et de la rigueur opposée à la rumeur)…
  3. Objectif qui devrait être d’autant plus à la portée des intrépides pêcheurs de « faits » que l’intégralité de mes analyses est disponible sous forme écrite.
  4. Dans une interview parue sur Franceinfo le lendemain (24/07/17) de la présente mise en ligne, Madame Rivasi pose d’emblée et sans la moindre précaution oratoire: “je suis pour LES vaccins”. On ne saurait choisir son camp de façon plus caractérisée, quoique fondamentalement débile (LES vaccins…). Poursuivant sur la même ligne, elle affirme que ce n’est pas aux labos de “décider”, mais au médecin: nous qu’on croyait comme des cons au préalable du consentement informé des candidats à la vaccination (ou de leurs représentants légaux)… De toute façon, il a dû lui échapper que ce ne sont jamais les labos qui vaccinent, mais les médecins – même (et surtout) en cas de réquisition, d’où la question que ne pose pas notre “lanceuse d’alertes”: pourquoi les médecins mettent-ils en oeuvre aussi docilement les “décisions” des labos? C’est à des détails comme ça qu’on mesure la profondeur de réflexion qui prévaut chez nos parlementaires – notamment ceux qui se présentent médiatiquement comme les plus conscientisés. Dans la famille des parlementaires qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, on avait déjà eu Gérard Bapt – grand pourfendeur des lobbies et des conflits d’intérêts – qui avait accepté de présider le Club Hippocrate apparemment sans s’être posé la moindre question sur ce qui pouvait conduire des firmes pharmaceutiques à financer une instance de “réflexion” regroupant des sénateurs et des députés…
  5. En cherchant un peu sur la Toile, on finit par reconstituer, à la louche, qu’il a aux alentours de 25 ans : « à la louche », car – indicateur intéressant de l’organisation cognitive propre à la génération Internet – le gars-là n’a apparemment pas réalisé que l’âge qu’il avait le jour où il a rédigé son CV a forcément évolué à mesure que le temps a passé depuis… Vingt-cinq ou 27 ans, de toute façon, ça fait un peu jeune pour pontifier, avec une telle fréquence et sur une telle variété de thèmes, dans un des principaux quotidiens de notre pays : en son temps, JY Nau devait y passer pour un vieux Sage à côté…
  6. Il suffit de se reporter au désopilant « rapport » sur le médicament signé en 2011 par B. Debré et Ph. Even pour apprécier l’ignorance abyssale de ces deux « prestigieux » auteurs sur le sujet…
  7. Pour la seule rubrique « Décodeurs du Monde »…
  8. Ça rappelle un peu le mode de raisonnement de la Cour de cassation…
  9. Une fois encore, ce procédé de “décodage” est parfaitement répertorié parmi les plus grosses ruses de la rhétorique pseudo-scientifique qu’affectionnent aujourd’hui les commerciaux de l’industrie pharmaceutique: on avance une énormité opportuniste que l’on référence par un petit chiffre, alors que la référence à laquelle renvoie ce petit chiffre n’a rien à voir avec l’assertion qu’elle est supposée documenter.
  10. Nature Medicine. 1999 ; 5(9):964-5.
  11. Calès P, Gastroenterol Clin Biol 2003 ; 27 : 865-867.
  12. “Elles [les idoles] ont des yeux et ne voient pas” (Psaume 115)
  13. Girard M. La défectuosité: vers une réappropriation juridique du fait. Petites Affiches 2006 ; n° 132 : 8-14. Girard M. L’intégrisme causal, avatar de l’inégalité des armes? Recueil Dalloz 2005 ; n° 38/7223 : 2620-1.




Michel Onfray : « Les militaires ont raison de sonner le tocsin »

[Source : Front Populaire]

Alors que la tribune des militaires à la retraite appelant le monde politique à renouer avec l’honneur et le patriotisme agite les débats au point d’ébranler la macronie, Michel Onfray livre son analyse.




Bill et Melinda divorcent, on ne nous dit pas tout !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Que Bill et Melinda divorcent, on s’en fout, me direz-vous. C’est d’ailleurs ce que j’ai répondu à Marcel quand il a proposé de faire un papier là-dessus. Sournoisement, il n’a pas manqué de me rappeler ce que je lui avais dit des « faits divers à la con » qui, mine de rien, offrent un tas informations sur la société.

Les médias ont annoncé l’« événement ». Vous avez remarqué leur unanimité ? Je ne vous donne que les titres — question de place —, mais vous pouvez vérifier, les articles sont tout aussi insipides.  « Bill et Melinda Gates annoncent leur divorce après 27 ans de mariage » titrent mot pour mot Le PointVoici20minutesFranceInfo et Ouest-France.  Une autre tournure : « Bill Gates et sa femme Melinda annoncent leur divorce », titre dont la sobriété reflète le sérieux du Monde, mais aussi des Échos, du Courrier International et même de La Provence. Certains audacieux osent tourner la phraseras légèrement différemment. « Bill et Melinda Gates mettent fin à 27 ans de mariage » annonce Le Dauphiné et Le Parisien : « Le milliardaire Bill Gates et son épouse Melinda divorcent après 27 ans de vie commune ». On sent qu’ils marchent sur des œufs. Faut faire attention à ce qu’on écrit, surtout ne pas contrarier Bill. Il peut être très généreux quand c’est son intérêt (Le Monde a reçu 4 millions).
Pourtant « la liberté d’expression n’a été aussi totale qu’aujourd’hui »,  nous dit François Busnel en présentant La Grande Librairie sur France5, ajoutant « c’est au nom de la liberté d’expression précisément que certains jouent les apprentis censeurs, se défoulent, et que des extrémismes se font entendre ».

Bill subventionne sa liberté d’expression

La liberté d’expression totale dont parle Busnel s’est pleinement manifestée à l’occasion du divorce de Bill et Melinda. « On » ne parle pas de Bill, ou seulement pour dire ce qu’il nous demande de dire. Et avec les mêmes phrases, sans déborder. Le « on », ce sont les milliardaires (Niel, Pinault, Arnaud, Dassault , Drahi, Bouygues…) propriétaires de médias. Ces milliardaires qui obéissent à Google, Facebook et… Bill Gates.

Les dessous d’une success story

Il faut chercher sur BBC News pour apprendre que lorsqu’ils se sont mariés en 1994 sur l’île hawaïenne de Lanai, ils auraient loué tous les hélicoptères locaux pour empêcher les invités indésirables de passer. Une ébauche, très ténue, de critique, car dans nos médias français, la vie de ce couple heureux — on se demande pourquoi ils divorcent — qui se consacre à la philanthropie et qui a des enfants magnifiques, ne souffre que d’une ombre : « Comment vont-ils se partager leur fortune ? » On cherche en vain comment ce couple le plus riche du monde, qui a distribué son argent aux pauvres via sa Fondation, a pu augmenter sa fortune. Elle est passée de 90 milliards de dollars en 2016 à 146 milliards de dollars en 2021. On peut se poser des questions. Les médias non. Tout est lisse dans la présentation de ce couple sympathique.
Allez ! on va fouiner dans cette  success story en commençant par le début. Par Microsoft.

Bill vole son associé 

Bill débute sa carrière en volant son associé, Paul Allen, un génie de l’informatique à l’origine de Microsoft, mais qui, malade, n’est pas en état de se défendre.

Des procès à la pelle

En 1998 Microsoft est attaqué par le gouvernement américain pour abus de position dominante.
Les motifs : 1. absence d’informations aux concurrents pour que leurs logiciels serveurs puissent s’intégrer aux systèmes Windows ; 2. vente incluant le logiciel Windows Media Player, intégré d’office dans Windows.

En 2000 le démantèlement de Microsoft est le « remède » proposé par le juge Jackson pour sanctionner cet abus. En 2004 : Verdict 497,2 millions d’euros d’amende. Bill, coriace, fait appel à la Cour de justice européenne. 2006 : 280 M€ d’amende. 2008 : 860 M€ d’amende. 2013 : 560 M€. On se cite pas tous les procès que ce procédurier de Bill Gates fait traîner d’appel en appel (violation de brevet, contrefaçon…). Un honnête homme.

Le loup se déguise, mais c’est pour mieux nous manger

Bill a senti le danger de la mauvaise publicité autour de son procès. Il va donc se construire une image de philanthrope, grâce à sa fondation  Bill et Melinda Gates au budget communication colossal et grâce à l’autocensure des médias (il leur distribue beaucoup d’argent). Cette image dure encore, on l’a vu à l’occasion de son divorce.

Bill Gates devient un pur philanthrope

Après avoir démissionné de son poste de PDG de Microsoft (en 2008), renoncé à son poste de président du conseil d’administration (en 2014), Bill Gates démissionne du conseil d’administration de Microsoft. Il veut se consacrer entièrement à la philanthropie, expliquent les médias qu’il paie. Le divorce arrive quand Bill Gates s’est complètement dépouillé, comme un moine cistercien, en tong et robe de bure. Il ne détient plus que 1,37 % des actions de Microsoft, ce qui représente… 26 milliards de dollars. 

Une fondation caritative, pour investir

Les actions Microsoft que Bill Gates a vendues ont été investies dans la société Cascade qu’il a créée en 1995. Cascade rapporte du 11 %. Les dividendes alimentent la Fondation ou plutôt son fonds d’investissement, Berkshire Hathaway, dirigé par Warren Buffett. Bill Gates détient 45,4 % du capital (9,76 milliards de dollars). Les investissements préférés de Berkshire Hathaway sont l’industrie de l’armement (BAE Systems au Royaume-Uni), les industries d’extraction minière, les OGM (Monsanto/Bayer), la malbouffe (McDonald’s, Coca-Cola),  les énergies fossiles (Total, BP…). Comptez sur eux pour protéger la santé des populations et l’environnement — c’est pourtant ce que veut officiellement la fondation.

Une fondation, pour l’« optimisation fiscale »

Faire partie d’une fondation, c’est payer moins d’impôts. Le site de la Fondation Bill et Melinda Gates l’explique très bien. Le montant de l’évitement fiscal est souvent supérieur à ce qui est donné par la fondation. 

Une fondation peut ouvrir des marchés

Les entreprises dont la fondation a des actions reçoivent des dons. CocaCola a reçu 538 millions d’euros de placement du trust de la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2014. Il profite de programmes destinés à former 50 000 agriculteurs à la culture de fruits de la passion au Kenya.

Monsanto a au Kenya un centre de recherche sur les OGM, financé par la fondation dont fait partie un des ex-dirigeants de Monsanto. 

Bill Gates aide seulement les ONG dont le siège est aux États-Unis. Seuls 5 % de l’argent arrivent en Afrique. Les Africains sont obligés d’accepter les missions de l’ONU et ne peuvent développer leurs recherches sur place.

Une fondation, oui mais pour des médicaments rentables

La fondation choisit les maladies qui peuvent faire appel à des vaccins et non à des remèdes naturels locaux. La revue scientifique britannique The Lancet relève par exemple que la fondation lutte prioritairement contre les maladies qui appellent la diffusion de vaccins et néglige les autres maladies. Ainsi, l’organisation finance relativement peu la recherche sur la pneumonie, la diarrhée et la sous-nutrition maternelle et infantile, responsables de 75 % des morts d’enfants. Ces maladies ne nécessitent pas la création de nouveaux vaccins mais la mise en place de mesures de préventions efficaces déjà connues… 

Les vaccins sont la bonne affaire

La fondation a beaucoup œuvré pour le développement des vaccins. Financée principalement par des subventions publiques, Covax est menée par deux ONG internationales, Cepiet Gavi, que M. Gates finance, ainsi que par l’OMS. Il est le plus gros donateur de l’OMS (250 millions de dollars versés  en 2005) et prend la main sur l’environnement, la santé. Sa fondation a investi plus de $16 milliards dans différents programmes de vaccins, dont un quart est allé à Gavi.

Des liens entre Jeffrey Epstein et la Fondation de Bill et Melinda

Melanie Walker a travaillé pour Jeffrey Epstein en 1998, avant de rejoindre la fondation en 2006. Elle aurait joué un rôle important dans la relation Gates-Epstein. Melanie Walker a ensuite rencontré le conseiller scientifique de la fondation, Boris Nikolic, à qui elle a présenté Jeffrey Epstein. Boris Nikolic est ensuite devenu l’exécuteur testamentaire de ce dernier, rôle qu’il a ensuite refusé.

Bill Gates fait un faux pas : Jeffrey Epstein le fait chanter

Gates a rencontré Epstein à six occasions, selon une enquête du New York TimesBill Gates figure sur le carnet de vol d’un des avions d’Epstein le 1er mars 2013.

En tant que personne qui investit de manière maniaque dans la sécurité opérationnelle, n’épargnant aucune dépense au point d’avoir des gardes armés, quatre jets, un hélicoptère, un hydravion, des yachts, et du sang de son type l’attendant à beaucoup de ses destinations, vous pouvez être sûr que Bill Gates ne saute pas dans l’avion de n’importe qui. Il doit donc être désespéré pour abandonner un élément majeur de sa sécurité et risquer sa réputation en prenant l’avion d’Epstein avec lui. En tout cas cela explique son don au MIT.

Le MIT reçoit de l’argent de Bill Gates via Jeffrey Epstein

En 2014 le MIT reçoit 2 millions de dollars de Gates par l’intermédiaire de Jeffrey Epstein. Un agent de Gates a écrit à la direction du Media Lab, indiquant que Gates souhaitait que son nom ne soit pas mentionné dans toute discussion publique sur ce don.

Melanie investit dans une société à elle

En 2015 Melanie a fondé la société Pivotal Ventures à but lucratif pour promouvoir les femmes de couleur, dans le secteur informatique. Toujours la charité qui rapporte. Peut-être une façon prudente d’acquérir une certaine autonomie…

En 2015, Bill prédit une pandémie

Lors d’une conférence en 2015, Bill Gates a prédit que des millions de personnes seraient tuées par des « microbes, pas des missiles » lors d’une future pandémie.

En 2020, Bill prédit le passeport vaccinal 

8 mai 2020 : « Il y aura donc un jour cette preuve d’immunité numérique qui facilitera la réouverture mondiale. »https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Flec.deb1%2Fvideos%2F2592371447748720%2F&show_text=false&width=560

Bill veut des vaccins pour toute la planète

14 décembre 2020 : la fondation investit des millions de dollars pour financer la recherche d’un vaccin Covid-19 ainsi que pour les tests et la logistique. La fondation promet 70 millions de dollars pour que le vaccin atteigne tout le monde, y compris les nations pauvres. 

Bill prédit le réchauffement climatique et ses remèdes

Les biocarburants

Bill Gates est le premier propriétaire de terres agricoles des États-Unis. C’est toujours pour notre bien : « On ne sait pas à quel point les biocarburants peuvent être bon marché, mais s’ils sont peu coûteux, ils peuvent résoudre les émissions des avions et des camions. » Les achats de terres agricoles ont été réalisés par sa société d’investissements Cascade Investments. 

Les OGM (nourrir la planète grâce à Monsanto)

« J’ai également bon espoir que le travail de notre fondation sur l’agriculture jouera un rôle clé pour aider les agriculteurs à résister au changement climatique. Il y a plus de dix ans, nous avons commencé à financer la recherche de variétés de cultures de base, comme le maïs et le riz, tolérant la sécheresse et les inondations. Ces nouvelles variétés aident déjà les agriculteurs à produire davantage de nourriture dans certaines régions d’Afrique et d’Inde, et d’autres options de cultures intelligentes du point de vue climatique seront disponibles dans davantage d’endroits dans les années à venir. » En bon partenaire de Davos, Bill Gates mise sur des terres résistantes aux effets du réchauffement climatique et même des cultures de substituts de viande à base de végétaux.

Pendant le réchauffement, le business des vaccins continue

Toujours dans la lettre de la Fondation : « Des organisations comme Gavi et le Fonds mondial vont jouer un rôle important dans ce domaine en améliorant la santé dans les endroits les plus vulnérables. Si nous voulons prévenir une catastrophe climatique, les interventions et solutions spécifiques au climat ne suffisent pas. Nous devons également penser aux effets indirects, comme la façon dont une planète plus chaude affectera la santé mondiale. »

Le nucléaire, énergie sûre

Bill Gates estimé que malgré les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), le nucléaire restait plus sûr que n’importe quelle autre source d’énergie. Déclaration faite en mars 2021. On peut compter sur le dynamisme de Bill pour sauver la planète !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Les scientifiques travaillent sur des vaccins qui se propagent comme une maladie. Qu’est-ce qui pourrait bien se passer ?

[Source anglaise : Bulletin of the Atomic Scientists (thebulletin.org) (Bulletin des scientifiques atomiques)]

Par Filippa Lentzos, Guy Reeves | 18 septembre 2020

[Photo : Un détecteur de maladie pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Liberia.
Un travailleur effectue des tests pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Libéria.
Crédit : John Saindon/Centers for Disease Control and Prevention. CC BY 2.0.]

Une fois que le vaccin COVID-19 sera approuvé pour un usage public, les responsables du monde entier devront relever le défi monumental de vacciner des milliards de personnes, une opération logistique qui soulève d’épineuses questions éthiques. Et si, au lieu d’orchestrer des campagnes compliquées et gourmandes en ressources pour vacciner les humains contre des maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, nous pouvions plutôt stopper à la source les zoonoses qui passent parfois des animaux aux humains ? Un nombre restreint, mais croissant de scientifiques pensent qu’il est possible d’exploiter les propriétés d’autopropagation des virus et de les utiliser pour propager l’immunité plutôt que la maladie. Pouvons-nous battre des virus comme le SRAS-CoV-2, le nouveau coronavirus, à leur propre jeu ?

Un virus qui confère une immunité à l’ensemble d’une population animale à mesure qu’il se propage dans la nature pourrait théoriquement empêcher un débordement zoonotique [Ndlr : transmission de l’animal à l’Homme.] de se produire, étouffant ainsi l’étincelle qui pourrait déclencher la prochaine pandémie. Si les rats sauvages qui hébergent le virus mortel de Lassa, par exemple, sont vaccinés, les risques d’une future épidémie chez l’homme pourraient être réduits. Depuis au moins 20 ans, les scientifiques expérimentent de tels vaccins autodiffusés, un travail qui se poursuit encore aujourd’hui et qui a attiré l’attention de l’armée américaine.

Pour des raisons évidentes, l’intérêt du public et des scientifiques pour les vaccins est incroyablement élevé, y compris pour les vaccins autodiffusants, car ils pourraient être efficaces contre les menaces zoonotiques. Les biologistes Scott Nuismer et James Bull ont attiré l’attention des médias sur les vaccins à diffusion spontanée au cours de l’été après avoir publié un article dans la revue Nature Ecology & Evolution. Mais les reportages qui ont suivi n’ont pas fait grand cas des inconvénients potentiellement importants de la dissémination de ces vaccins dans l’environnement.

Les vaccins autodiffusés pourraient en effet comporter des risques sérieux, et la perspective de les utiliser soulève des questions difficiles.

Qui décide, par exemple, où et quand un vaccin doit être diffusé ? Une fois le vaccin libéré, les scientifiques n’auront plus le contrôle du virus. Il pourrait muter, comme le font naturellement les virus. Il peut changer d’espèce. Il traversera les frontières. Il y aura des résultats inattendus et des conséquences involontaires. Il y en a toujours.

S’il peut s’avérer techniquement possible de lutter contre les maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, le sida, le virus Ebola et le virus Zika avec des virus qui se propagent eux-mêmes, et si les avantages peuvent être importants, comment mettre en balance ces avantages et les risques qui peuvent être encore plus grands ?

Comment fonctionnent-ils ?

Les vaccins autodiffusants sont essentiellement des virus génétiquement modifiés conçus pour se déplacer dans les populations de la même manière que les maladies infectieuses, mais plutôt que de provoquer une maladie, ils confèrent une protection. Construits sur le châssis d’un virus bénin, les vaccins se voient ajouter du matériel génétique d’un agent pathogène qui stimule la création d’anticorps ou de globules blancs chez les hôtes « infectés ».

Ces vaccins pourraient être particulièrement utiles, selon certains scientifiques, pour les populations d’animaux sauvages pour lesquelles la vaccination directe est difficile en raison de problèmes tels que des habitats inaccessibles, des infrastructures insuffisantes, des coûts élevés ou un manque de ressources. L’idée, essentiellement, est de vacciner une petite proportion d’une population par inoculation directe. Ces « fondateurs » transmettront ensuite passivement le vaccin à d’autres animaux qu’ils rencontrent, que ce soit par le toucher, le sexe, l’allaitement ou la respiration du même air. Progressivement, ces interactions pourraient renforcer l’immunité de la population.

Schéma du fonctionnement d’un vaccin autodiffusant. Schéma de la façon dont un vaccin autodiffusant pourrait se propager parmi les chauves-souris. Les chauves-souris « fondatrices » auxquelles on a inoculé un vaccin autodiffusant transmettent passivement le vaccin aux autres chauves-souris qu’elles rencontrent au fil du temps, ce qui renforce progressivement l’immunité au niveau de la population.
Crédit : Derek Caetano-Anollés.

Les vaccins à autopropagation trouvent en partie leur origine dans les efforts visant à réduire les populations de parasites. Des chercheurs australiens ont décrit une immunocontraception à propagation virale, qui détournait le système immunitaire des animaux infectés — en l’occurrence une espèce de souris non indigène en Australie — et les empêchait de féconder leur progéniture. Les premiers efforts de vaccination à propagation automatique ont visé deux maladies infectieuses hautement mortelles dans la population européenne de lapins (le virus du myxome et le virus de la maladie hémorragique du lapin). En 2001, des chercheurs espagnols ont testé sur le terrain un vaccin sur une population de lapins sauvages vivant sur Isla del Aire, une petite île espagnole située au large de Minorque. Le vaccin s’est propagé à plus de la moitié des 300 lapins de l’île, et l’essai a été considéré comme un succès.

En 2015, une autre équipe de chercheurs a spéculé sur le développement d’un vaccin autodiffusant pour le virus Ebola qui pourrait être utilisé sur les grands singes sauvages comme les chimpanzés. Depuis lors, les scientifiques en sont venus à considérer un large éventail d’animaux — de la faune sauvage comme les chauves-souris, les oiseaux et les renards aux animaux domestiqués comme les chiens, les porcs et les moutons — comme se prêtant à des vaccins à autodiffusion.

Jusqu’à présent, les chercheurs n’ont pas mis au point de vaccins expérimentaux à diffusion spontanée pour les humains [Ndlr : toutefois, l’absence de preuves n’est pas preuve de l’absence.] ; rien ne prouve que quelqu’un travaille activement sur cette technologie. Nuismer et Bull soutiennent plutôt que les vaccins à diffusion spontanée constituent une approche révolutionnaire pour contrôler les maladies infectieuses émergentes avant même qu’elles ne se propagent des animaux à la population humaine.

La propagation zoonotique est certainement un problème urgent ; outre le SRAS-CoV-2, le VIH, le virus Ebola et le virus Zika, plus d’un millier d’autres nouveaux virus à potentiel zoonotique ont été détectés chez les animaux sauvages au cours de la dernière décennie. Mieux vaut prévenir que guérir, affirment Nuismer et Bull dans un article du New Scientist. Dans leur article paru dans Nature Ecology & Evolution, ils affirment qu’ils sont « prêts à commencer à développer des vaccins autodisséminant pour cibler un large éventail d’agents pathogènes humains » chez les animaux.

En dehors d’une expérience, les scientifiques seraient confrontés à d’énormes obstacles techniques et pratiques pour identifier les cibles d’intervention les plus appropriées et garantir le maintien de l’immunité dans les populations sauvages. Malgré ces défis de taille, les implications potentielles en matière de sécurité des vaccins autodiffusés sont encore plus graves.

Le principal problème de sécurité est celui du double usage. En substance, cela signifie que la recherche utilisée pour mettre au point des vaccins à diffusion spontanée afin de prévenir les maladies pourrait également être utilisée pour causer délibérément des dommages. On peut, par exemple, créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent des défaillances du système immunitaire chez les personnes ou les animaux infectés, un peu comme le fait naturellement le VIH. On peut aussi créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent une réaction auto-immune nocive, c’est-à-dire que le corps commence à attaquer ses propres cellules et tissus sains.

La question des armes biologiques

Si les chercheurs ont l’intention de créer des vaccins à diffusion automatique, d’autres pourraient détourner leur science et développer des armes biologiques. Une telle arme peut s’avérer incontrôlable et irréversible.

Il n’est pas nécessaire de creuser très loin pour trouver un exemple historique de biologie militarisée. Comme le montre le programme de guerre biologique sud-africain de l’époque de l’apartheid, les pressions sociales, politiques et scientifiques peuvent conduire à une mauvaise utilisation de l’innovation biologique.

Sous le nom de code « Project Coast », le programme sud-africain était principalement axé sur des armes d’assassinat secrètes destinées à être utilisées contre des individus considérés comme une menace pour le gouvernement raciste de l’apartheid. Outre la production d’engins permettant d’injecter des poisons, les chercheurs du projet Coast ont mis au point des techniques permettant d’injecter de la salmonelle dans des morceaux de sucre et du Bacillus anthracis dans des cigarettes.

Bien qu’il y ait eu de nombreux programmes de guerre biologique, dont plusieurs étaient beaucoup plus élaborés et sophistiqués, le programme sud-africain est particulièrement pertinent pour réfléchir aux utilisations malveillantes des vaccins à diffusion automatique. L’un des projets de recherche du projet Coast visait à développer un vaccin humain contre la fertilité.

L’idée a fait son chemin à une époque où l’explosion démographique mondiale suscitait de nombreuses inquiétudes. Schalk Van Rensburg, qui supervisait les travaux liés à la fertilité dans un laboratoire du Project Coast, a déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation de l’Afrique du Sud après l’apartheid, un forum chargé d’examiner l’histoire sordide de l’époque et de jeter les bases de la paix et de la tolérance futures, qu’il pensait que le projet s’inscrivait dans le droit fil des tentatives de l’Organisation mondiale de la santé pour freiner la hausse des taux de natalité dans le monde. Il pensait que ce projet pourrait apporter à son laboratoire une renommée et un financement internationaux. Selon M. Van Rensburg, Wouter Basson, le directeur du programme de guerre biologique, a déclaré que l’armée avait besoin d’un vaccin contre la fertilité afin que les femmes soldats ne tombent pas enceintes.

Alors que certains des scientifiques impliqués dans le projet ont nié avoir eu connaissance d’intentions ultérieures ou même que leur travail sur la fertilité faisait partie d’un effort militaire, Van Rensburg et Daniel Goosen, un directeur de laboratoire, ont déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation que la véritable intention derrière le projet était d’administrer sélectivement le contraceptif en secret à des femmes noires sud-africaines à leur insu.

En fin de compte, le vaccin contre la fertilité n’a pas été produit avant la fermeture officielle du projet Coast en 1995, 12 ans après son lancement. Une première version a été testée sur des babouins, mais jamais sur des humains. L’Afrique du Sud n’est pas le seul pays à essayer de stériliser de force une partie de sa population. Des pays européens, dont la Suède et la Suisse, ont stérilisé des membres de la minorité rom dans la première moitié du XXe siècle et certains, comme la Slovaquie, ont même continué au-delà. Plus récemment, des analystes ont affirmé que le gouvernement chinois stérilisait des femmes dans le Xinjiang, une province comptant une importante population de musulmans ouïgours.

Il n’est pas nécessaire de faire un grand saut dans l’imagination pour comprendre comment les objectifs du projet sud-africain de vaccin contre la fertilité auraient pu bénéficier de la recherche sur les vaccins à diffusion automatique, en particulier si l’on y associe les développements actuels en matière de pharmacogénomique, de développement de médicaments et de médecine personnalisée. Pris ensemble, ces axes de recherche pourraient permettre une guerre biologique ultra ciblée.

Un potentiel d’abus croissant

La Convention sur les armes biologiques, le traité qui interdit les armes biologiques, a presque 50 ans. Négociée et acceptée au plus profond de la guerre froide, la convention souffre de modes de fonctionnement dépassés. Elle pose également d’importants problèmes d’évaluation de la conformité. La convention n’a certainement pas empêché l’Afrique du Sud de poursuivre le projet Coast au début des années 1980.

La recherche sur les vaccins autoportés est un domaine restreint, mais en pleine expansion. À l’heure actuelle, une dizaine d’institutions effectuent des travaux importants dans ce domaine. Ces laboratoires sont principalement situés aux États-Unis, mais certains se trouvent également en Europe et en Australie. À mesure que le domaine s’étend, les risques d’abus augmentent.

Jusqu’à présent, la recherche a été principalement financée par des organismes de financement de la science et de la santé du gouvernement américain, comme la National Science Foundation, les National Institutes of Health et le Department of Health and Human Services. Des organisations privées comme la Fondation Gates et des institutions universitaires ont également financé des projets. Récemment, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), parfois considérée comme l’aile de recherche et de développement de l’armée américaine, s’est impliquée dans la recherche. L’université de Californie, à Davis, par exemple, travaille sur un projet administré par la DARPA intitulé « Prediction of Spillover Potential and Interventional En Masse Animal Vaccination to Prevent Emerging Pathogen Threats in Current and Future Zones of US Military Operation ». Selon une brochure, le projet vise à « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodisséminant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa… et Ebola ».

L’investissement militaire dans l’innovation biologique à des fins défensives ou de protection est autorisé par la convention sur les armes biologiques, mais il peut néanmoins envoyer de mauvais signaux. Ils pourraient amener les pays à douter de leurs intentions respectives et conduire à des investissements réciproques dans des recherches potentiellement risquées, notamment dans des vaccins à diffusion automatique. Le résultat d’une recherche qui tourne mal ou d’une guerre biologique pourrait être catastrophique pour la santé et l’environnement.

À l’heure où la norme contre les armes chimiques se dégrade, comme l’a souligné récemment l’empoisonnement du leader de l’opposition russe Alexei Navalny avec l’agent neurotoxique Novichok — un crime dont de nombreux responsables européens accusent la Russie — la communauté internationale ne peut tout simplement pas se permettre qu’il en aille de même pour la norme contre l’utilisation d’armes biologiques. Cela défierait complètement l’esprit du traité si les États semblaient vouloir poursuivre des activités à double usage à haut risque dans le domaine de la biologie.

Des conversations précoces, ouvertes et de bonne foi sur les objectifs et les avancées scientifiques qui suscitent des préoccupations particulières en matière de double usage, comme c’est le cas des vaccins à diffusion automatique, sont essentielles pour explorer les enjeux plus larges de certaines trajectoires techniques. Le programme de l’université de Californie à Davis cherche des moyens d’intégrer un « interrupteur » pour contrôler la technologie en toute sécurité. Et la DARPA affirme que toute expérimentation sur le terrain liée au projet suivra les protocoles de biosécurité. Mais ces promesses ne suffiront pas. Notre ambition doit être de prendre une décision collective sur les voies techniques que nous sommes prêts, ou non, à emprunter en tant que société.




7m20 Pour Reprendre Le Pouvoir

[Source : Volte-Face]

Alors que l’argent liquide risque d’être complètent supprimé dans peu de temps au profit d’une monnaie complètement numérisée, afin que le gouvernement puisse contrôler chaque dépense des citoyens et bloquer ce qui ne lui convient pas, agissons ensemble pour contrer ce projet et récupérer notre pouvoir sur les banques !

TOUS ENSEMBLE DES LE 4 MAI !




Martine Wonner, parlementaire ex-LREM : « Nous sommes en dictature sanitaire » — Entretien vidéo

[Source : Magazine Nexus]

(Entretien du 14 avril) Dans sa toute nouvelle émission, Nexus a invité Martine Wonner, la députée qui milite pour la transparence dans la gestion sanitaire et la liberté de prescription des médecins. Depuis plus d’un an, elle a vu de l’intérieur les incohérences, les incompétences, les mensonges, et elle dénonce, faits à l’appui, les manquements graves, les pressions élyséennes et l’opacité des prises de décision au sein du Conseil de défense. Celle qui a appartenu 3 ans au groupe majoritaire fait partie aujourd’hui du groupe parlementaire Libertés et Territoires, du collectif Laissons les médecins prescrire, et s’accorde une liberté de parole sans détours. Elle nous livre également son analyse en tant que médecin-psychiatre sur l’impact psychologique de cette gestion sanitaire sur les Français. Elle nous apporte enfin un éclairage édifiant sur le fonctionnement du parlement et l’absence de contre-pouvoir face à un exécutif qui détient les pleins pouvoirs.

« L’Assemblée nationale, qui est la maison du peuple, n’a jamais accueilli de débat depuis le début de cette crise sanitaire »

extrait de notre entretien.

https://youtu.be/TeM7C17_Nm4



Les révélations de la cosmonaute Marina Popovitch

[Source : urantia-gaia.info]

[NDLR Mise à jour en date du 11 février 2023 : malheureusement les sources en français et en espagnol ont visiblement disparu.]

Publié le 8 juillet 2011 par Le Passeur

Née en 1931, Marina Popovitch est un personnage légendaire en Russie. Une étoile dans la constellation du Cancer porte même son nom. Colonel dans les forces aériennes, ingénieur et pilote d’essai ayant survécu à six crashs, elle a volé sur une quarantaine de types d’avions et totalise 107 records du monde dans l’aviation, dont bon nombre n’ont toujours pas été battus. Elle est aussi la première femme à avoir piloté un avion de chasse et avoir franchi le mur du son.

Enfin, professeur en science aérodynamique, maître de conférences et vice-présidente de l’Université d’Arkhangelsk, elle a également suivi des études de théologie et de physique, ainsi que plusieurs enseignements pratiques destinés à éveiller les capacités psychiques dites paranormales. Elle est ainsi devenue capable de voir l’aura humaine et s’est formée à la communication par télépathie. Voilà pour cadrer le personnage.

Avec un tel cursus et un tel palmarès, il est difficile de ne pas prêter attention à ses paroles, d’autant qu’elle est connue depuis 1991 pour avoir publié ce qu’elle déclare être la dernière photo transmise par la sonde Phobos II avant sa disparition près de Mars, et avoir porté au public l’observation de plus de 3.000 OVNIS en Russie et la possession par les Russes de cinq d’entre eux qui se sont crashés, notamment à Tunguska en 1908 (voir article sur Tunguska) et Dalnegorsk en 1986.

Elle a surtout beaucoup parlé des découvertes des scientifiques russes quant à l’interaction permanente entre les émotions humaines et les champs électromagnétiques de la Terre et leur impact immédiat sur l’activité du Soleil. Elle a notamment évoqué la présence de zones obscures dans ces champs par exemple sur les pays où la guerre faisait rage, comme l’Irak.

[Voir aussi : Terre vivante ? et Catastrophes naturelles et pollution mentale]

[L’idée d’impact des émotions humaines sur le climat avait également été évoquée
dans le livre Urane – l’éducation et les lois cosmiques, publié en 1991]

Selon elle, les scientifiques estiment que le chaos émotionnel humain perturbe énormément la Terre, qui réagit de plus en plus violemment à cette saturation. Ce qui doit être porté à la connaissance des populations et doit absolument déclencher un changement radical de tous nos comportements.

Il est à noter que bien des révélations sont faites depuis quelques années par des personnalités issues du monde militaire, notamment des astronautes et des hauts gradés russes et américains. J’ai du mal à penser que ces « fuites » soient autorisées s’il n’y a pas une volonté sous-jacente d’une faction au moins de ceux qui exercent des pouvoirs dans ce domaine que cela soit su. Par ailleurs ce changement de communication reste timoré et la médiatisation grand public reste faible, voire même nulle dans certains pays comme la France.

Le fait que ces révélations existent peut vouloir annoncer la fameuse divulgation quant à la présence extraterrestre que beaucoup espèrent et pour laquelle ils luttent depuis des décennies. Mais on ne peut exclure qu’elle puisse encore servir une manipulation des marionnettistes de notre monde dans le but de conserver le contrôle dans une situation nouvelle, où des événements majeurs et contre lesquels ils ne peuvent rien auront eu lieu.

En attendant de vivre le scénario à venir, voici une intéressante interview de Marina Popovitch, réalisée pour le journal espagnol Planète urbaine :

Pendant la guerre froide, la Russie a donné une grande importance à l’étude du domaine paranormal. Vous avez fait des découvertes importantes sur la grille énergétique de la planète ainsi qu’un « champ d’enregistrement psychique » qui entoure la Terre. Comment cela fonctionne-t-il ?

– Les études réalisées à Moscou ont déterminé que la planète est entourée d’un immense réseau énergétique, un « tissu » d’énergie qui possède une distribution de forme géométrique. La géologie des continents répond aux schémas directeurs énergétiques de cette grille. Toute la structure de ce que nous connaissons comme l’univers physique s’ordonne selon des schémas géométriques déterminés. Ceci est connu sous le terme de « Géométrie sacrée ». Par ailleurs, en 1958, le professeur Bernascki a découvert une sorte d’anneau qui enveloppe la planète et qui contient un champ d’énergie dans lequel sont mémorisés des « registres » de toutes les formes de vie et de l’histoire de la planète. Il a été découvert que ce champ d’énergie ne se situe pas sur un plan physique. Nous avons été capables de détecter cette bande et de la «lire» avec des instruments scientifiques et en utilisant des médiums entraînés à le faire.

Nous avons ainsi découvert que ce champ est un tissu éthérique chargé d’émotions. C’est pourquoi il est nécessaire de contrôler nos passions. Chacun de nous a le pouvoir d’affecter ce champ de manière positive ou négative. Toute la négativité exprimée, comme la haine et la peur, a une incidence directe sur l’état de la planète. La Terre réagit violemment à nos pensées et nos sentiments et elle émet un type de rayonnement qui se répercute sur les modèles climatiques. Les éléments sont comme des anticorps planétaires.

Est-ce que cela pourrait être une des causes des changements climatiques violents qui se produisent actuellement ?

– C’est seulement une partie d’un immense processus qui s’inscrit dans un ordre cosmique parfait. Les scientifiques savent très bien que nous sommes confrontés à un processus cyclique et inévitable qui ne peut juste se réduire à l’homme. Dans l’univers tout est interconnecté, quoi que nous fassions d’harmonieux ou de dysharmonieux, et affecte la Terre. Ces charges négatives affectent en tout les êtres humains et sont en fait plus puissantes que l’énergie nucléaire elle-même. La planète, comme si elle était un corps malade, réagit avec des anticorps naturels pour soigner ce désarroi. La pollution n’est pas causée uniquement par la consommation des énergies résiduelles. Nous sommes nous-mêmes une puissante source de pollution. Le monde répond à la haine et l’amour (voir La Clé du Présent).

Est-il vrai que les Russes avaient une bonne avance par rapport aux Américains dans ce domaine ?

– Certains médiums russes ont dit qu’ils s’étaient retrouvés sur des plans astraux (non physiques) en présence d’Américains travaillant dans le même domaine.

Par le biais d’un entraînement spécifique, on a pu détecter ces champs de  pollution « psioniques » et on a vu comme un manteau obscur enveloppant certaines parties du globe terrestre. On a constaté qu’en utilisant certaines fréquences, il est non seulement possible d’influencer la vie en exerçant un contrôle mental, mais aussi de modifier le climat. Il existe des études poussées concernant l’antigravité qui ont amené des découvertes sur les champs scalaires, les énergies vectorielles et le vide.

Une application correcte de cette technologie pourrait avantageusement changer le monde.

[Voir aussi Note sur le mental et l’astral]

Tout nous indique que des changements climatiques majeurs vont nous obliger à changer radicalement la façon dont nous concevons notre civilisation. Quelles sont les conclusions que les scientifiques russes tirent pour la Russie à ce sujet ?

– Ces changements sont une réalité et nos scientifiques ont conclu que nous entrons dans une période de grands bouleversements de l’écosystème terrestre. Mais le plus important est que ces événements constituent un défi majeur pour l’humanité. Ils doivent être vus comme une opportunité ainsi que l’unique option pour le monde entier de décider unanimement que les vieilles formes d’exploitation de l’énergie soient remplacées par d’autres, renouvelables et non polluantes.

Il existe des preuves de visites extraterrestres à travers le monde. Il semble que les gouvernements aient même été prévenus des grands changements à venir. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet et pourquoi personne dans le monde ne présente ces preuves ?

– Nous avons atteint un point dans l’évolution de l’intelligence humaine où il est plus logique et crédible de suggérer l’existence d’une vie au-delà de notre monde que de la nier. Les grands gouvernements le savent… et le nient. Parce que si vous aviez la connaissance que ces êtres possèdent — y compris la véritable histoire de notre planète — le système actuel des croyances s’effondrerait en un rien de temps. Le pouvoir même que ces gouvernements ont sur la population mondiale pourrait disparaître du jour au lendemain. Ces créatures ont des connaissances très avancées sur ce qu’on appelle « l’énergie libre ». Notre planète et l’univers possèdent d’innombrables sources d’énergies non polluantes dont l’usage pourrait blesser mortellement l’empire dominant de l’économie mondiale. Utiliser des sources d’énergie polluantes maintient la totalité du système actuel dans la dépendance des ressources monétaires.

[Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Les ultimes photos de la sonde Phobos II

Ces êtres respectent notre libre arbitre et ne s’impliquent donc pas directement dans nos affaires. Ils ont prouvé qu’ils viennent avec de bonnes intentions et ont démontré comment ils peuvent neutraliser, en quelques secondes, la technologie terrestre la plus avancée si elle est utilisée pour les attaquer.

Cela ne peut pas et ne doit pas être caché aux populations du monde. Tout ce qui concerne la question doit être révélé. Dans toutes mes conférences et mes livres, je présente les événements les plus divers qui se sont déroulés sur le sol soviétique. La mission Phobos II *, que nous avons envoyée vers Mars, a disparu lorsqu’elle a transmis à la Terre des photos d’un vaisseau géant d’environ 15,5 miles de long (25 km).

Comparaison entre Phobos et l’OVNI

La disparition ou la perte de contact avec les sondes envoyées depuis la Terre a été un sujet de conversation et de débat entre le président Bush père et Gorbatchev à la Conférence de Malte. Il y a eu des contacts entre les astronautes dans l’espace et des êtres venus d’autres mondes. Je suis convaincue que très bientôt quelque chose va arriver sur la planète qui va obliger ces êtres à se présenter massivement dans notre monde pour nous aider. Et ce sera l’événement le plus important de l’histoire moderne.

Interview réalisée pour Planeta Urbano – Traduction Le Passeur (juillet 2011)


* Phobos II est une sonde envoyée en 1989 par les Russes pour observer Phobos, l’une des deux lunes de Mars qui ne fait que 28 km par 20 km, orbitant à peine à 6.000 km de la planète. Les deux sondes Phobos I et II ont mystérieusement perdu le contact avec la Terre. Seule Phobos II a pu émettre quelques photos.

Pour en savoir plus, voir cet article.

Source originale de l’interview (en espagnol).

Source : http://www.urantia-gaia.info
(en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)



Wuhan : entre info et intox!

[Source : La Minute de Ricardo]






La manipulation des algorithmes de la Silicon Valley est la seule chose qui maintient les médias grand public en vie

[Source : crashdebug.fr]

Par Caitlin Johnstone

L’émergence d’Internet a été accueillie avec espoir et enthousiasme par des personnes qui avaient compris que les grands médias contrôlés par les ploutocrates manipulaient l’opinion publique pour fabriquer un consentement au statu quo. La démocratisation du partage de l’information allait donner naissance à une conscience publique émancipée de la domination du contrôle narratif ploutocratique, ouvrant ainsi la possibilité d’un changement révolutionnaire des systèmes corrompus de notre société.

Mais cela ne s’est jamais produit. L’utilisation d’Internet est devenue courante dans le monde entier et l’humanité est capable de se mettre en réseau et de partager des informations comme jamais auparavant. Mais nous restons fermement sous la coupe des mêmes structures de pouvoir qui nous gouvernent depuis des générations, tant sur le plan politique que psychologique. Même les institutions médiatiques dominantes sont en quelque sorte toujours les mêmes.

Alors qu’est-ce qui a mal tourné ? Plus personne n’achète de journaux, les audiences de la télévision et de la radio diminuent. Comment est-il possible que ces mêmes institutions oligarchiques impérialistes contrôlent encore la façon dont la plupart des gens pensent à leur monde ?

La réponse est la manipulation des algorithmes.

Le mois dernier, une interview très instructive a vu le PDG de YouTube, qui appartient à Google, discuter franchement de la façon dont la plateforme utilise les algorithmes pour élever les médias traditionnels et supprimer les contenus indépendants.

Lors du sommet mondial sur la gouvernance technologique 2021 du Forum économique mondial, Susan Wojcicki, PDG de YouTube, a expliqué à Nicholas Thompson, PDG d’Atlantic, que si la plateforme permet toujours aux vidéos artistiques et de divertissement d’avoir les mêmes chances de devenir virales et d’obtenir un grand nombre de vues et d’abonnés, dans des domaines importants comme les médias d’information, elle privilégie artificiellement les « sources faisant autorité ».

« Ce que nous avons fait, c’est vraiment affiner nos algorithmes pour nous assurer que nous donnons toujours aux nouveaux créateurs la possibilité d’être trouvés lorsqu’il s’agit de musique, d’humour ou de quelque chose de drôle », a déclaré Wojcicki. « Mais lorsqu’il s’agit de domaines sensibles, nous devons vraiment adopter une approche différente. »

Wojcicki a déclaré qu’en plus d’interdire les contenus jugés préjudiciables, YouTube a également créé une catégorie appelée « contenu limite » qu’il déclasse de manière algorithmique afin qu’il n’apparaisse pas comme une vidéo recommandée aux spectateurs intéressés par ce sujet :

« Lorsque nous traitons de l’information, nous voulons nous assurer que les sources que nous recommandons sont des informations fiables, de la science médicale, etc. Nous avons également créé une catégorie de contenu plus limite, dans laquelle nous voyons parfois des gens qui regardent du contenu de moindre qualité et limite. Nous voulons donc faire attention à ne pas trop recommander ces contenus. Il s’agit donc d’un contenu qui reste sur la plateforme mais que nous ne recommandons pas. Nos algorithmes ont donc définitivement évolué en termes de traitement de tous ces différents types de contenu. »

Click to play the video

Le commentateur progressiste Kyle Kulinski a publié une bonne vidéo pour réagir aux commentaires de Wojcicki, disant qu’il pense que sa chaîne (tout à fait inoffensive) a été classée dans la catégorie « limite » parce que ses vues et ses nouveaux abonnés ont soudainement connu une chute spectaculaire et inexplicable. Kulinski rapporte que du jour au lendemain, il est passé de dizaines de milliers de nouveaux abonnements par mois à peut-être un millier.

« Les gens sont allés sur YouTube pour échapper aux bêtises qu’ils voient sur les chaînes d’information câblées et à la télévision, et maintenant YouTube veut devenir les chaînes d’information câblées et la télévision », explique M. Kulinski. « Les gens viennent ici pour échapper à cela et vous allez les gaver de ce qu’ils fuient comme CNN, MSNBC et Fox News. »

Il n’est pas terriblement surprenant d’entendre Susan Wojcicki admettre avoir élevé les médias de l’empire oligarchique au rang de PDG d’une publication néoconservatrice au Forum économique mondial. Elle est issue du même milieu de gestion d’empire d’élite que tous les gestionnaires d’empire qui ont été placés à la tête de médias grand public par leurs propriétaires ploutocratiques, puisqu’elle est allée à Harvard après avoir été littéralement élevée sur le campus de l’université de Stanford dans son enfance. Sa sœur Anne est la fondatrice de la société de tests génétiques 23andMe et elle était mariée au cofondateur de Google, Sergey Brin.

Google lui-même utilise également des algorithmes pour booster artificiellement les médias mainstream dans ses recherches. En 2017, World Socialist Website (WSWS) a commencé à documenter le fait qu’il, ainsi que d’autres médias de gauche et anti-guerre, avait soudainement connu une baisse spectaculaire du trafic provenant des recherches Google. En 2019, le Wall Street Journal a confirmé les affirmations de WSWS, rapportant que : « Bien qu’il nie publiquement le faire, Google tient des listes noires pour supprimer certains sites ou empêcher d’autres de faire surface dans certains types de résultats. » En 2020, le PDG d’Alphabet, la société mère de Google, a admis avoir censuré WSWS lors d’une audition au Sénat, en réponse à la suggestion d’un sénateur selon laquelle Google ne censure que les contenus de droite.

[Ndlr : Caitlin Johnstone reste politiquement polarisée et ne semble pas se rendre compte que la censure ne vise pas la « gauche », mais tous les sites, politiques ou non, qui s’écartent de la pensée unique et du politiquement correct diffusés par les médias dominants. Donald Trump, pourtant considéré de « droite » a même subi un traitement pire. Il n’a pas seulement été déclassé par les algorithmes, il a carrément été banni alors qu’il était encore Président des États-Unis ! Les sites considérés plutôt de droite subissent les mêmes traitements que ceux de gauche. La polarisation politique ne peut qu’aggraver la division des peuples et celle-ci favorise la tyrannie.]

Google, pour mémoire, est financièrement imbriqué avec les agences de renseignement américaines depuis sa création, lorsqu’il a reçu des subventions de recherche de la CIA et de la NSA. La société déverse des sommes considérables dans le lobbying fédéral et les groupes de réflexion de Washington, entretient des relations étroites avec la NSA et a toujours été un fournisseur de services de renseignement militaire.

Ensuite, il y a Facebook, où un tiers des Américains s’informent régulièrement. Facebook est un peu moins évasif en ce qui concerne ses pratiques de censure imposant le statu quo, et fait ouvertement appel à la société de gestion narrative impérialiste The Atlantic Council, financée par les gouvernements et les ploutocrates, pour l’aider à déterminer le contenu à censurer et celui à promouvoir. Facebook a déclaré que si ses « vérificateurs de faits », tels que The Atlantic Council, jugent une page ou un domaine coupable de diffuser de fausses informations, il « réduira considérablement la distribution de l’ensemble de son contenu au niveau de la page ou du domaine sur Facebook ».

Tout l’empilement d’algorithmes par les géants dominants de la distribution d’informations, Google et Facebook, garantit également que les plateformes et les reporters grand public auront beaucoup plus de followers que les médias indépendants sur des plateformes comme Twitter, puisqu’un article qui a été artificiellement amplifié recevra beaucoup plus de vues et donc beaucoup plus de clics sur leurs informations dans les médias sociaux. Les employés des médias de masse ont tendance à se regrouper et à s’amplifier mutuellement sur Twitter, ce qui ne fait qu’exacerber le fossé. Pendant ce temps, des voix de gauche et anti-guerre, dont je fais partiese plaignent depuis des années que Twitter limite artificiellement le nombre de leurs followers.

S’il n’y avait pas eu ces actes délibérés de sabotage et de manipulation de la part des mégacorporations de la Silicon Valley, les grands médias qui nous ont trompés en nous entraînant dans une guerre après l’autre et qui fabriquent le consentement à un statu quo oppressif auraient été remplacés par des médias indépendants depuis des années. Ces géants de la technologie sont le système de survie de la propagande des médias mainstream.

Source(s) : CaitlinJohnstone.medium.com via Activist Post




🎁 Cadeau de « déconfinement » : Lettre de Carole & Louis Fouché 🎁

[Source : Le ciel a tout filmé]

Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.

Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.

Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.

Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher. Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos oeillères, nous laissant contempler le désastre.

D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente… Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.

Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.

Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.

Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.

Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.

Nous ne voulons pas vivre masqués.

Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.

Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.

Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.

Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.

Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.

Vous vouliez nous séparer. «Attention, distanciation sociale: 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».

Vous nous avez rassemblés.

Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.

Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.

Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.

Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.

Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.

Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.


[Voir aussi :
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Note sur les problèmes et les opportunités
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]La clef de la libération
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Ne plus nourrir la Bête
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Amasser ou créer
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Sortir de la crise
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Note sur certaines actions contre la tyrannie sanitaire
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]Note sur l’avenir
[wpfa5r icon= »hand-point-right » color= »pink »]L’avenir se crée maintenant]




Un nouveau rapport fait la lumière sur le culte apocalyptique des vaccins

[Source : reseauinternational.net]

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair : les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux. Les acteurs qui autorisent, contraignent ou administrent la vaccination expérimentale contre le Covid-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés »

Doctors for Covid Ethics (Médecins pour l’Éthique du Covid), 29 avril 2021

Une nouvelle étude explosive menée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la génération actuelle de vaccins qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L’article, intitulé « The novel coronavirus’ spike protein plays additional key role in illness » (La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie), montre que la « protéine “spike” distinctive » du SRAS-CoV-2… « endommage les cellules, confirmant que le Covid-19 est une maladie essentiellement vasculaire ». Bien que l’article se concentre strictement sur les problèmes liés au Covid-19, il soulève inévitablement des questions sur les nouveaux vaccins qui contiennent des milliards de protéines spike qui pourraient augmenter considérablement les risques de maladie grave ou de décès. Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021 :

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike suffit à elle seule à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires. » (Note : « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires ») …

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, en exposant des cellules endothéliales saines (qui tapissent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine spike endommageait les cellules en se liant à l’ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2). Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui produisent de l’énergie pour les cellules), ce qui a endommagé et fragmenté les mitochondries …

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque les cellules étaient exposées au virus SRAS-CoV-2, mais il s’agit de la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées à la protéine spike seule »

« La protéine spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie », Salk.edu

Ce nouveau document de recherche est l’équivalent d’une bombe à hydrogène. Il change tout en confirmant ce que les détracteurs des vaccins ont théorisé pendant des mois sans pouvoir le prouver.

Il existe maintenant des preuves solides que :

  • Le Covid-19 est principalement une maladie du système vasculaire (le système vasculaire, également appelé système circulatoire, est constitué des vaisseaux qui transportent le sang et la lymphe dans le corps) et non du système respiratoire.
  • Le principal coupable est la protéine spike. (Protéine spike – « une glycoprotéine qui fait saillie de l’enveloppe de certains virus », Merriam-Webster – « Comme une clé dans une serrure, ces protéines spike fusionnent avec des récepteurs à la surface des cellules, permettant au code génétique du virus d’envahir la cellule hôte, de prendre le contrôle de sa machinerie et de se répliquer » ~ Bruce Lieberman)

[Ndlr : les coronavirus et autres composants viraux naturellement présents dans le corps humain par centaines de milliers de milliards et constituant ce qui a été nommé assez récemment le « virome » sont souvent aussi dotés de telles protéines qui leur permettent de franchir la paroi cellulaire afin d’accomplir diverses fonctions biologiques. Pour autant, ces protéines n’endommagent habituellement pas les vaisseaux sanguins ni les parois d’autres composants ou tissus du corps. Par contre, si le SRAS-CoV-2 est bien d’origine artificielle, par altération génétique d’un virus comme le suspectent différents chercheurs du domaine médical (notamment les professeurs Fourtillan et Montagnier), alors ses protéines Spike peuvent avoir été intentionnellement transformées de manière similaire à celles des « vaccins » anticovid. Des protéines Spike ainsi altérées ont de fortes chances d’agresser les cellules humaines et de provoquer alors des inflammations et des lésions diverses. Selon l’endroit du corps exposé à ces pseudo virus (puisqu’artificiels), ce sont différents organes qui pourront ainsi se trouver plus ou moins gravement touchés. En cas par exemple de dispersion d’une telle arme biologique par aérosols dans des milieux confinés, alors les poumons se trouveront prioritairement affectés et en l’occurrence subiront inflammation des parois pulmonaires et lésions des vaisseaux capillaires. Ceci a été observé dans plusieurs cas de supposés malades de la Covid-19 (qui seraient en fait des victimes de cette arme biologique artificielle. Car dans un tel cas, on ne peut plus guère parler de « maladie », mais d’une forme d’empoisonnement). Toutefois et fort heureusement, des traitements relativement simples existent et permettent visiblement de contrecarrer d’une manière ou d’une autre les effets délétères de ces protéines Spike modifiées. Il est même possible qu’un antidote existe, surtout si les inventeurs d’une telle arme ne sont pas totalement stupides.]

En d’autres termes, si le Covid-19 est avant tout une maladie vasculaire et si le principal instrument des dommages physiques est la protéine spike, alors pourquoi injectons-nous aux gens des milliards de protéines spike ?

Voici comment l’architecte et auteur, Robin Monotti Graziadei, a résumé ces développements sur YouTube :

« Donc, on nous a dit depuis l’année dernière, que le seul rôle que la protéine spike était censée jouer était de pénétrer dans les cellules humaines. (Mais) il est clair que ce n’est pas ce qu’elle fait, (puisqu’) elle vous donne une maladie, une maladie vasculaire. Une maladie vasculaire peut avoir de nombreuses manifestations. Il peut s’agir de thromboses des veines sinusales, de caillots sanguins, d’hématomes et d’affections à plus long terme. Pensez-vous que c’est une bonne idée de contourner les premières (défenses) de votre système immunitaire, … et d’injecter… des milliards de protéines spike dans vos cellules compte tenu des informations qui viennent d’être publiées par le Salk Institute ? Pensez-y …

Les chercheurs du Salk Institute nous ont dit – sans aucune ambiguïté – que la protéine spike est un élément fondamental de la maladie Covid-19. Oui, il est vrai que la protéine spike avec la protéine N, ne se réplique pas. Cependant, des milliards (de ces protéines) induites par l’injection du vaccin ont la capacité de créer des dommages dans votre système vasculaire. C’est ce que dit l’étude et ce qui a été publié par un centre d’études biologiques extrêmement important. Il ne s’agit pas d’une théorie de la conspiration. Je pense qu’à ce stade, il y a suffisamment d’informations pour se demander si l’on nous dira la vérité dans les prochains jours, car ces informations devraient faire la couverture de tous les journaux et être à la une de toutes les chaînes d’information. Et ce qu’ils devraient dire est ceci : « La base fondamentale et technologique – sur laquelle reposent tous les vaccins qui ont été distribués en Occident – est défectueuse. Nous pensions que la protéine spike n’entrerait dans les cellules que pour créer des anticorps, de sorte que si vous étiez confronté au virus sauvage, il ne s’accrocherait pas à vos cellules, mais nous avions tort. Nous avions tort car la protéine spike en elle-même, crée la maladie, et si vous en injectez des milliards dans un corps humain, il y aura des manifestations de maladie dans de nombreux cas » …

Il n’est pas sûr d’injecter des milliards de protéines spike dans un muscle, car cela contourne les couches de votre système immunitaire qui auraient pu potentiellement neutraliser le virus… En franchissant le seuil du corps humain par l’injection de ces composés, vous ne donnez pas à votre système immunitaire la chance de monter une réponse suffisamment forte à la protéine spike pour la neutraliser. Si vous acceptez (de prendre) l’un de ces vaccins, (le vaccin) contiendra cette protéine spike génératrice de maladie. … C’est maintenant à nous d’essayer de réparer l’erreur qu’ils ont commise »

Robin Monotti Graziadei sur le nouveau document de recherche du Salk Institute, YouTube – voir avant que la vidéo ne soit supprimée.

Parfaitement énoncé et en plein dans le mille. Graziadei extrapole le sens caché du rapport Salk et clarifie sa signification. Comment les responsables de la santé publique, les politiciens, les médias et le reste du camp pro-Vaxx anti-covid vont-ils réagir à ces révélations, surtout avec l’imprimatur du Salk Institute apposé au recto du rapport ? Vont-ils essayer de balayer l’affaire sous le tapis ou de détourner l’attention du public vers les légendaires « variants » ? Ou bien tenteront-ils quelque chose d’entièrement différent, comme prétendre qu’une catégorie de protéines spike est bonne pour la santé alors que d’autres entraînent des maladies prolongées et la mort ? Que vont-ils faire ?

Le docteur Vladimir Zelenko, qui a été proposé pour le prix Nobel de la paix pour son utilisation de l’hydroxychloroquine dans le traitement des patients atteints du Covid-19, a déclaré ceci :

« Comprenez-vous ce que cela signifie ? Nous injectons le code génétique viral de la protéine spike à des personnes innocentes et elle s’introduit dans presque toutes les cellules du corps ».

(Candidat au prix Nobel, Zelenko a également été banni de Twitter).

En effet, c’est précisément ce qu’ils ont fait. Et, n’oublions pas, les fabricants de vaccins bénéficient d’une immunité juridique totale pour les blessures qu’ils produisent. L’immunité légale signifie l’impunité morale.

Alors, quel effet ces protéines spike auront-elles sur les personnes qui se sont fait vacciner ?

Voici ce que les Doctors for Covid Ethics ont à dire dans leur dernier article publié cette semaine :

« Les vaccins sont dangereux tant pour les personnes en bonne santé que pour celles souffrant de maladies chroniques préexistantes, pour les raisons suivantes : risque de perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, notamment troubles de la coagulation, thrombose cérébrale, accident vasculaire cérébral et crise cardiaque ; réactions auto-immunes et allergiques ; renforcement de la maladie par les anticorps ; impuretés des vaccins dues à une fabrication précipitée et à des normes de production non réglementées… on peut s’attendre à ce que tous les vaccins à ARNm provoquent des troubles de la coagulation du sang et des saignements… Les vaccins ne sont pas sûrs »

« Vaccins anti-covid : Nécessité, Efficacité et Sécurité », Doctors for Covid Ethics

C’est écrit noir sur blanc : « Les vaccins ne sont pas sûrs ». Voici un autre extrait d’un article de Children’s Health Defense sur le professeur Yehuda Shoenfeld, l’immunologiste clinique israélien qui est largement considéré comme le « père de l’auto-immunité ». Shoenfeld aborde la question sous un angle entièrement différent. Jetez-y un coup d’œil :

« La principale préoccupation de Shoenfeld se résume à ce que l’on appelle le mimétisme moléculaire. Il y a un certain nombre de séquences génétiques qui sont identiques dans le génome humain et dans celui du SRAS-CoV-2 …

Les immunologistes attirent particulièrement l’attention sur les séquences identiques dans un groupe spécifique de protéines que l’on trouve dans les poumons (le site de la pneumonie SDRA/Covid)… C’est une préoccupation de Shoenfeld …

C’est la raison pour laquelle Shoenfeld et ses collègues ont insisté l’an dernier, pendant la phase de développement du vaccin, pour que les séquences peptidiques utilisées dans les nouveaux vaccins soient uniques et non communes à celles que l’on trouve dans l’organisme …

Pour une personne prédisposée, une réaction indésirable au vaccin, selon Shoenfeld et ses collègues, pourrait suffire à la faire basculer dans une maladie auto-immune. L’un des signes les plus évidents de prédisposition est d’être déjà atteint de l’une des plus de 100 maladies auto-immunes qui sévissent dans les sociétés industrialisées. Pourtant, alors que le père de l’auto-immunité tire la sonnette d’alarme sur les risques auto-immuns, les gouvernements qui mettent en place des programmes de vaccination de masse n’émettent pas un seul mot d’avertissement. Honte à eux ! »

« Sommes-nous à la veille d’une “super-épidémie” de maladies auto-immunes ? », Children’s Health Defense

Ma compréhension limitée du « mimétisme moléculaire » est la suivante : En injectant dans l’organisme des protéines si semblables aux protéines du Covid qui font des ravages dans le système vasculaire, nous pourrions déclencher une situation dans laquelle le système immunitaire de l’organisme attaque ses propres organes ou son système vasculaire. C’est pourquoi l’auteur s’interroge : Sommes-nous à la veille d’une « super-épidémie » de maladies auto-immunes ?

Dans des articles précédents, nous avons présenté les points de vue de scientifiques et de professionnels de la santé qui ont anticipé les questions qui se posent actuellement à propos de la protéine spike. Par exemple, voici un extrait d’un article sur le rhumatologue pédiatrique, le Dr J. Patrick Whelan, qui a déclaré ce qui suit dans une lettre adressée à la FDA :

« Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 puissent causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas avoir été évaluée actuellement dans les essais de sécurité de ces traitements potentiels …

Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur. Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine spike sur ces autres organes ».

« Des scientifiques interpellent les responsables de la santé sur la vaccination des personnes qui ont déjà eu le COVID », Global Research

Nous avons également souligné que « les vaccins à ARNm libèrent une protéine spike qui se répand dans tout le corps, se retrouve piégée dans la circulation sanguine et s’accumule dans la couche de cellules (cellules endothéliales) qui recouvre les vaisseaux sanguins ». Nous pensons que les nouvelles recherches du Salk Institute confirment cette théorie générale.

En outre, selon le Dr Hyung Chun, cardiologue à Yale, les cellules « libèrent des cytokines inflammatoires qui exacerbent encore la réponse inflammatoire de l’organisme et conduisent à la formation de caillots sanguins ». Chun a déclaré : « L’endothélium “enflammé” contribue probablement non seulement à l’aggravation du résultat dans le cas du Covid-19, mais est également considéré comme un facteur important contribuant au risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral ».

Cela semble suggérer que la protéine spike du vaccin peut avoir le même effet que la protéine spike de l’infection. Voici d’autres informations :

« Les personnes atteintes du Covid-19 présentent un grand nombre de symptômes neurologiques, tels que des maux de tête, une ataxie, des troubles de la conscience, des hallucinations, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies cérébrales. Mais les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications de la manière dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques …

Si ce n’est pas une infection virale, qu’est-ce qui pourrait causer des lésions aux organes distants associées au Covid-19 ? …

Le coupable le plus probable qui a été identifié est la protéine spike du Covid-19 libérée par l’enveloppe externe du virus dans la circulation. Les recherches citées ci-dessous ont montré que la protéine spike virale est capable d’initier une cascade d’événements qui déclenchent des lésions d’organes distants chez les patients atteints de Covid-19 …

Il est inquiétant de constater que plusieurs études ont montré que les protéines spike ont à elles seules la capacité de provoquer des lésions étendues dans tout le corps, sans aucune trace de virus …

Ce qui rend cette découverte si inquiétante, c’est que les vaccins à ARNm COVID-19 fabriqués par Moderna et Pfizer et actuellement administrés dans tous les États-Unis programment nos cellules pour qu’elles fabriquent cette même protéine spike du coronavirus afin d’inciter notre corps à produire des anticorps contre le virus »

« La protéine de pointe des vaccins Moderna et Pfizer pourrait-elle provoquer des caillots sanguins, une inflammation cérébrale et des crises cardiaques ? », Global Research

La citation ci-dessus est essentielle pour comprendre ce qu’est réellement le Covid et pourquoi les nouveaux vaccins menacent d’exacerber considérablement le problème. Comme le dit Chun :

« … Les études d’autopsie n’ont pas encore trouvé de preuves claires d’une invasion virale destructrice dans le cerveau des patients, ce qui pousse les chercheurs à envisager d’autres explications sur la façon dont le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes neurologiques… »

Cette observation est correcte. Les recherches n’indiquent pas une « invasion virale dans le cerveau des patients ».

Pourquoi ? Parce que – comme l’indique le rapport Salk, « ce n’est pas l’infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine spike qui a franchi la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire ».

Voici encore le Dr Chun : « Quoi d’autre pourrait causer des lésions aux organes distants associées au Covid-19 ? »

Une fois de plus, ce n’est pas le virus mais la protéine spike et la réponse auto-immune.

Enfin, Chun reconnaît que les nouveaux vaccins « programment nos cellules pour qu’elles fabriquent cette même protéine spike du coronavirus afin de déclencher la production d’anticorps contre le virus par notre organisme ».

La production et la distribution de ces injections potentiellement mortelles vont bien au-delà de la simple imprudence. Il s’agit d’une catastrophe mondiale sans précédent qui pourrait entraîner la mort de millions de personnes. Combien de temps cette folie va-t-elle durer ?

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International




ANIMAP, l’annuaire professionnel pour tous ceux qui veulent s’affranchir de la ségrégation vaccinale

[Source : animap.fr]

[À l’heure de la mise en ligne de l’article :]

464 prestataires n’exigent ni dépistage ni vaccination

animap.fr – De quoi s’agit-il ?

À cause du Corona et de la gestion politique de ce virus, des fractures de plus en plus profondes se forment au sein de la population. Avec le passeport vaccinal prévu dans un avenir proche, seront désavantagées et exclues toutes les personnes qui ne veulent pas se faire injecter ce vaccin Covid-19 en phase expérimentale. La réponse à cet apartheid vaccinal imminent est ANIMAP.

Il s’agit d’un répertoire d’industries et de produits, pour les entreprises de tous les secteurs, n’excluant personne, vacciné ou non, testé ou non, et qui permettent à tous d’accéder librement à leurs produits et services.

Êtes-vous également et sans hésitation contre la discrimination et l’exclusion des personnes qui ne veulent pas se faire vacciner ? Cliquez ici pour enregistrer gratuitement votre entreprise.

Veuillez noter que l’ANIMAP est géré par des bénévoles et que, par conséquent, toutes les traductions ne sont pas encore correctes. Bien sûr, nous serions très heureux d’une contribution. Merci beaucoup.


Présentation par Richard Boutry dans La Minute de Ricardo :






Urgent : Le jour viendra

[Source : La Minute de Ricardo (Richard Boutry)]




[Voir aussi : La France revivra-t-elle?]




Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.

« La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”

Étienne de Harven, médecin, dans la préface du livre.

Avant que la panique du coronavirus ne soit déclenchée aux États-Unis, Torsten Engelbrecht et Claus Köhnlein, M.D., Kiel, Allemagne, ont écrit un livre en 2007, “Virus Mania : How the Medical Industry Invents Epidemics Making Billion Dollar Profits at our Expense” (Virus Mania : comment l’industrie médicale invente les épidémies en réalisant des profits de plusieurs milliards de dollars à nos dépens). Ce livre est non seulement prophétique mais inattaquable avec 836 notes de bas de page sur 266 pages.

Ce livre rendra fous la plupart des gens qui ont perdu des entreprises et des emplois à cause de la réaction excessive du gouvernement à la soi-disant épidémie de virus. Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus. Selon ses recherches, les virus sont accusés d’être à l’origine de nombreuses épidémies fabriquées par l’industrie pharmaceutique et les grands médias qui récoltent des milliards de dollars grâce à la panique des gouvernements.

Quel virus ?

Kohnlein indique clairement dès le départ que la médecine moderne en est encore à l’âge de pierre lorsqu’il s’agit d’épidémies virales. La cause de l’épidémie de corona virus n’est que supposée être un virus à partir d’anticorps indirects qui ne sont pas spécifiques pour déterminer la cause virale. Les anticorps sont une sorte d’empreinte, mais on ignore encore de quoi il s’agit, selon M. Kohniein. Les drogues récréatives et les antibiotiques peuvent également produire des anticorps, ce qui entraîne des résultats positifs aux tests de dépistage des virus. Il affirme que les virus peuvent être autoproduits dans le corps humain pour ce que nous en savons à l’heure actuelle.

Le livre de Kohniein ne nie pas que les gens tombent malades, “bien que beaucoup ne soient pas vraiment malades, mais sont seulement définis comme malades, et sont ensuite rendus malades ou tués”, dit-il.

Selon Kohnlein, l’absence totale de germes entraîne la mort. Il indique que les politiques de santé en matière d’épidémies sont fondées sur la “théorie des germes” erronée de Louis Pasteur, utilisée pour exploiter la peur. En revanche, la théorie du terrain (théorie du milieu) d’Antoine Bechamp est plus précise mais n’est jamais utilisée par les décideurs politiques. Selon la théorie du terrain, le système immunitaire doit d’abord être un milieu fertile pour qu’un virus, une bactérie ou une grippe puisse causer des dommages ou déclencher une réaction auto-immune qui peut tuer. Pour M. Kohnlein, le dépistage des virus revient à “essayer de dire que quelqu’un a mauvaise haleine en regardant son empreinte digitale”.

Selon Kohnlein, la théorie des germes a la faveur du gouvernement car “il préfère que l’homme périsse plutôt que de changer ses habitudes”, ce qui aide les politiciens à apaiser certains groupes.

Non pas une arme virale, mais une arme thérapeutique ?

Dans une autre interview (ici), Kohnlein cite une étude de cas du Lancet Journal sur la façon dont les médecins prescrivent trop de médicaments et de traitements afin de ne pas être légalement accusés de ne rien faire. Mais cela tue le patient. Selon lui, le protocole médical de traitement du prétendu coronavirus, publié dans le numéro du 18 février 2020 du prestigieux Lancet Journal au début de la panique virale, est une faute professionnelle.

Les auteurs de cette étude de cas du Lancet étaient liés à l’école des sciences de la santé de l’université de Wuhan, en Chine. Cela soulève la question de savoir si la Chine n’a pas nécessairement utilisé un virus comme arme, mais plutôt un protocole de traitement mortel qui a été utilisé sur des patients atteints de coronavirus aux États-Unis, qui avaient la grippe ou la tuberculose.

Dans son interview en ligne, Kohnlein dit qu’il traite les personnes qui entrent dans sa clinique et qui veulent être testées pour le coronavirus en raison de symptômes tels que la fièvre, l’essoufflement, etc. Il leur dit de rentrer chez eux avec les remèdes habituels pour la grippe (repos au lit, hydratation, aspirine, etc.). Lorsqu’on le pousse à faire le test, il constate qu’ils ont la grippe A et qualifie le test du coronavirus de très peu fiable car il est programmé pour donner de faux positifs.

Surtraitement

Kohnlein a déclaré que les médecins ont tendance à surtraiter pour qu’on ne puisse pas leur reprocher de ne rien faire.

Il a ajouté :

“Les hommes politiques sont dans la même position (que les médecins) et c’est pourquoi ils réagissent de manière excessive, car ils perdraient leur poste s’ils n’en faisaient pas assez. S’ils mettaient en œuvre toutes les mesures, comme ils l’ont fait jusqu’à présent, alors ils stopperaient une épidémie qui n’a sans doute jamais existé.”

Le secret

Selon Kohnlein, la science médicale est gouvernée par le “secret”, qui utilise une urgence épidémique ”autogénérée” comme couverture pour son ”octroi de privilèges, son absence de responsabilité, son manque flagrant de contrôle” et ses protocoles médicaux démesurés. Cette situation est soutenue par une “quasi-religion” qui invente ses propres marqueurs de maladie faussement positifs, sa propre théorie des germes et une fausse croyance en une “solution miracle” de vaccinations qui arrivent trop tard, ne fonctionnent pas et peuvent tuer.

Peur

Il ne s’agit pas d’un livre de charlatans écrit par des personnes en marge de la politique ou ayant un programme politique. Il a été écrit en Europe, avec un regard sur les politiques mondiales.

Joachim Mutter, MD, Freiberg, Allemagne, écrit dans la préface du livre :

“…la plupart des épidémies présentées dans les médias comme étant de véritables histoires d’horreur (grippe, grippe aviaire, sida, ESB, hépatite C, etc.) n’existent pas en réalité ou sont inoffensives.”

Etienne de Harven, médecin, professeur émérite de l’Université de Toronto, écrit également dans l’avant-propos :

“Nous ne sommes pas témoins d’épidémies ; nous sommes témoins d’épidémies de peur. Et ce sont les médias et l’industrie pharmaceutique qui portent la plus grande part de responsabilité dans l’amplification des peurs, peurs qui se trouvent, par ailleurs, être toujours à l’origine d’affaires fantastiquement rentables”.

Ce livre ne sera pas lu par ceux que Kohnlein appelle les profiteurs de l’industrie pharmaceutique “corrompue” et les médias opportunistes, ni par les responsables de la politique de santé du gouvernement. Mais peut-être les citoyens qui ont été emportés par la panique peuvent-ils être mieux informés sur la situation générale de la panique liée au coronavirus. Les hôpitaux devraient peut-être se concentrer sur la grippe et les porteurs de tuberculose latente qui sont plus sensibles au virus ou à la grippe.

Source : Virus Mania: How Big Pharma, Media Invent Epidemics – California Globe
Traduction par https://cv19.fr

Virus Mania: How the Medical Industry Continually Invents Epidemics, Making Billion-Dollar Profits At Our Expense




France : chez Monoprix, faites une téléconsultation médicale avant de passer en caisse !

[Source : Nexus]

Prendre votre température et votre tension vous-même en plein coeur d’un supermarché, manipuler un stéthoscope, avec un visio un médecin jamais rencontré jusqu’alors, c’est désormais possible chez Monoprix !

L’enseigne vient effectivement de mettre en place de nouveaux espaces « la santé au quotidien » équipés de cabines permettant des consultations avec des médecins par écrans interposés, dans les Monoprix de la Porte de Châtillon à Malakoff (92) et celui de Troyes (10).

◆ L’Ordre des médecins outré par cette self-médecine assistée à distance

« L’entreprise Tessan Pharma Express qui développe ses cabines assure travailler uniquement avec des médecins inscrits au Conseil national de l’ordre des médecins et conventionnés par la Sécurité sociale » , lit-on dans les Echos.
Ce qui n’ a pas empêché de faire bondir l’Ordre des médecins qui l’a fait savoir dans un communiqué de presse le 20 avril dernier. Sans se déclarer être contre la téléconsultation de manière générale, selon lui, « Il ne peut être accepté qu’un médecin prenne en charge un patient sans possibilité de procéder à un examen clinique chaque fois que cela est souhaitable ; sans aucun ancrage territorial ni aucune connaissance du tissu sanitaire et médico-social ; sans se préoccuper de son parcours de soins et sans apporter une garantie que la continuité des soins pourra être assurée ». Le Docteur François Simon se montre inquiet du fait que le professionnel de santé ne connaisse rien du patient au moment de la téléconsultation dans un article de LCI : « Là, le malade ne connaissait pas le médecin la veille et n’entendra plus parler de lui le lendemain” (…) C’est de la médecine au rabais. » On avait l’impression que cela avait été oublié ces derniers mois, et cela fait du bien de l’entendre. Pour l’Ordre des médecins,  « la médecine ne doit pas être pratiquée comme un commerce. »

◆ La position de Monoprix

L’enseigne assure dans un article de LSA que « ce service de télémédecine n’a absolument pas vocation à se substituer à une consultation présentielle ou à promouvoir un modèle unique dans l’exercice de l’art médical. Celui-ci constitue un outil complémentaire dans le parcours de soin et peut constituer une réponse particulièrement pertinente dans les déserts médicaux et dans les territoires en tension. »  Cependant, tout est facilité pour un accès facile à un médecin à distance : les cabines de téléconsultation « permettent – après présentation d’une carte vitale – d’être mis en relation avec un médecin en quelques minutes. Ce dernier peut délivrer une ordonnance directement imprimée dans la cabine à l’issue de la consultation. » Aucun risque pour l’enseigne en ce qui concerne les responsabilités médicales : « Sans consultation physique cependant, les risques d’erreur dans le diagnostic du patient sont plus grands. Cela soulève la question du contentieux médical. “La responsabilité de Monoprix ne sera pas engagée, ni celle du vendeur des cabines de téléconsultations”, note le Docteur Michel Van Rechem. “Ce sera uniquement la responsabilité du médecin.” »

◆ Des éléments à approfondir

Ces cabines seront-elles déployées après ces phases de tests dans tous les Monoprix, et les autres supermarchés vont-ils suivre le mouvement ? Qui se trouve derrière l’entreprise Tessan Pharma Express qui les a installées ? Combien ont coûté ces installations et comment ont-elles été financées précisément ? Par qui et comment cette démarche a-t-elle validée au sein de Monoprix ? Le Ministère de la Santé a-t-il signé un accord avec Tessan Pharma Express et Monoprix et si oui, qui a décidé au Gouvernement qu’une telle démarché était possible ? A-t-elle été validée par le Parlement et/ou un comité d’éthique ? Comment sont choisis les médecins intervenants ? Bientôt le personnel de caisse de Monoprix remplacé par des caisses automatiques sera-t-il formé à la vaccination pour nous faire des injections dans les files d’attente aux rayons boucherie ou fromage ? Tout autant de questions auxquelles nous tenterons de répondre.

Image par Alexandra_Koch de Pixabay




18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid

[Source : Sott.net]

Par Christian Elliot — Deconstructing Conventional

Quelques amis m’ont demandé mon avis sur le(s) « vaccin(s) » anti-Covid, alors j’ai pensé qu’il était temps d’écrire un article sur le sujet. Ils n’avaient pas tous pris connaissance de la plupart des détails que j’ai déjà partagés, j’ai donc pensé que vous pourriez apprécier de lire une partie de ce que je leur ai dit. Sachant à quel point ce sujet est controversé, une partie de moi préférerait écrire sur autre chose, mais j’ai l’impression que la discussion/les nouvelles sont tellement unilatérales que je dois m’exprimer. Comme je m’efforce toujours de le faire, je promets de faire de mon mieux pour être raisonnable et en aucun cas hystérique.

Je ne suis pas ici pour me battre avec qui que ce soit, mais simplement pour vous faire part de ce que j’ai lu, de mes questions persistantes et vous expliquer pourquoi je n’arrive pas à donner un sens à ces « vaccins » anti-Covid.

Trois règles de base pour la discussion

Si vous souhaitez vous engager sur ce sujet avec moi, excellent. Voici les règles…
Je suis plus qu’heureux de correspondre avec vous si…

  1. vous êtes respectueux et me traitez de la manière dont vous souhaiteriez être traité ;
  2. vous posez des questions sincères et réfléchies sur ce qui a du sens pour vous ;
  3. vous faites valoir vos arguments en utilisant une logique solide et ne vous cachez pas derrière des liens ou le mot « science ».

Si vous répondez et que vous enfreignez l’une de ces règles, vos commentaires seront ignorés/supprimés.
Ceci étant dit, laissez-moi vous dire une chose… Je ne sais pas tout, mais jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de répondre aux objections ci-dessous.

Voici donc les raisons pour lesquelles je choisis de ne pas recevoir un de ces « vaccins » anti-Covid.

N°1 — Les fabricants de ces « vaccins » sont à l’abri de toute responsabilité

Les fabricants de vaccins sont la seule industrie au monde qui n’assume aucune responsabilité pour les préjudices ou les décès résultant de leurs produits.

Établis en 1986 par la loi nationale sur les préjudices aux enfants causés par les vaccins, et renforcés par la loi PREP, les fabricants de vaccins ne peuvent être poursuivis, même s’il est démontré qu’ils ont été négligents.

Les fabricants de « vaccins » anti-Covid sont autorisés à créer un produit unique, sans aucun test sur des sous-populations — c’est-à-dire des personnes présentant des problèmes de santé spécifiques — et pourtant ils ne sont pas disposés à accepter la moindre responsabilité pour les effets indésirables ou les décès causés par leurs produits.

Si une entreprise n’est pas disposée à garantir l’innocuité de son produit, surtout s’il s’agit d’un produit qu’elle a mis sur le marché à la hâte et sur lequel elle n’a pas effectué d’essais sur les animaux, je ne suis pas prêt à prendre le risque de recourir à son produit.

Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici pourquoi…

N°2 — Le passé mouvementé des fabricants de ces « vaccins »

Soit les quatre grandes entreprises qui fabriquent ces vaccins anti-Covid,

  1. n’ont jamais mis de vaccin sur le marché avant le Covid (Moderna et Johnson & Johnson) ;
  2. sont des criminels en série (Pfizer/BioNTech et AstraZeneca) ;
  3. cochent les deux points précédents (Johnson & Johnson).

Moderna a essayé pendant des années de « Moderniser notre ARN » — d’où le nom de la société — mais n’a jamais réussi à mettre AUCUN produit sur le marché — ce qui ne les empêche pas d’être ravis d’avoir obtenu du gouvernement une importante injection de fonds pour continuer à essayer.

En fait, tous les grands fabricants de vaccins (à l’exception de Moderna) ont versé des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts pour d’autres produits qu’ils ont mis sur le marché tout en sachant qu’ils pouvaient causer des préjudices et des décès — voir Vioxx, Bextra, Celebrex, Thalidomide et Opioïdes, pour ne citer que quelques exemples.

Si les entreprises pharmaceutiques choisissent délibérément de mettre sur le marché des produits nocifs, alors qu’elles peuvent être poursuivies, pourquoi ferions-nous confiance à un produit pour lequel elles n’ont AUCUNE responsabilité ?

Au cas où cela n’aurait pas été compris, laissez-moi répéter… Trois des quatre fabricants de vaccins contre la coqueluche ont été poursuivis pour des produits qu’ils ont mis sur le marché alors qu’ils savaient qu’il en résulterait des préjudices et des décès.

Permettez-moi de réitérer ce point :

Compte tenu de l’exonération de responsabilité et du passé douteux de ces entreprises, pourquoi devrions-nous supposer que tous leurs « vaccins » sont sûrs et fabriqués de manière complètement irréprochable ?

Dans quel autre domaine ferions-nous confiance à quelqu’un possédant ce genre de réputation ?
Pour moi, cela a autant de sens que d’attendre d’un amant sans remords, abusif et infidèle qu’il devienne une personne différente parce qu’un juge a dit qu’au fond, c’est une bonne personne.
Non. Je ne leur fais pas confiance.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici une autre raison pour laquelle je ne leur fais pas confiance.

N°3 — L’histoire peu glorieuse des tentatives de fabrication de vaccins contre les coronavirus

Dans le passé, de nombreuses tentatives de fabrication de vaccins viraux se sont soldées par un échec total, ce qui explique pourquoi nous n’avons pas eu de vaccin contre le coronavirus en 2020.
Dans les années 1960, des scientifiques ont tenté de fabriquer un vaccin contre le VRS — virus respiratoire syncytial — destiné aux nourrissons.

Dans cette étude, ils ont évité les essais sur les animaux car ils n’étaient à l’époque pas nécessaires.

En fin de compte, lorsqu’ils ont été exposés au virus en milieu naturel, les nourrissons vaccinés ont été bien plus malades que les nourrissons qui ne l’avaient pas été, et 80 pour cent des nourrissons vaccinés ont dû être hospitalisés et deux d’entre eux sont morts.

Après 2000, les scientifiques ont fait de nombreuses tentatives pour créer des vaccins contre les coronavirus.
Au cours des vingt dernières années, toutes se sont soldées par un échec car, tout comme les enfants des années 1960, les animaux participant aux essais cliniques sont tombés très malades et beaucoup sont morts.
Vous pouvez lire un résumé de cette histoire/science ici.
Ou si vous voulez lire les études individuelles, vous pouvez consulter ces liens :

  • En 2004, une tentative de vaccin a provoqué une hépatite chez les furets ;
  • En 2005, des souris et des civettes sont devenues malades et plus sensibles aux coronavirus après avoir été vaccinées ;
  • En 2012, les furets sont tombés malades et sont morts. Et dans cette étude, les souris et les furets ont développé une maladie pulmonaire ;
  • En 2016, cette étude montre également que les souris ont développé une maladie pulmonaire.

Le schéma typique des études mentionnées ci-dessus est que les enfants et les animaux ont produit de belles réponses en anticorps après avoir été vaccinés.
Les fabricants pensaient avoir touché le jackpot.

Le problème est survenu lorsque les enfants et les animaux ont été exposés au virus en milieu naturel.

Lorsque cela s’est produit, il s’est produit un phénomène inexpliqué appelé « facilitation de l’infection par des anticorps » [acronyme ADE en anglais – NdT], également connu sous le nom de « maladie facilitée par le vaccin » [acronyme VED en anglais – NdT] : le système immunitaire a produit une « tempête de cytokines » — ce qui veut dire que le système immunitaire a attaqué l’organisme de façon massive — et les enfants/animaux sont morts.

Le problème persistant est le suivant…

Les fabricants de vaccins n’ont aucune donnée suggérant que leurs « vaccins » faits à la va-vite ont surmonté ce problème.

En d’autres termes, aucune tentative de fabrication d’un vaccin contre les coronavirus n’a jamais été couronnée de succès, et la technologie de thérapie génique que sont les « vaccins » à ARNm n’a jamais été mise sur le marché en toute sécurité, mais comme ils ont reçu des milliards de dollars de financement public, je suis sûr qu’ils ont trouvé une solution.

Sauf qu’ils ne savent pas s’ils ont trouvé une solution…

N°4 — Les « données manquantes » soumises à la FDA par les fabricants de ces « vaccins »

Lorsque les fabricants de ces « vaccins » ont soumis leurs documents à la FDA en vue d’obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence — une autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose qu’une approbation complète de la FDA — ils ont signalé, parmi les nombreuses « lacunes dans les données », que rien dans leurs essais ne permettait de penser qu’ils avaient surmonté le problème épineux de la maladie facilitée par le vaccin.

Ils ne savent tout simplement pas — c’est-à-dire qu’ils n’ont aucune idée si les « vaccins » qu’ils ont fabriqués produiront également la même tempête de cytokines — et les mêmes décès — que les tentatives précédentes de l’usage de tels produits.

Comme le souligne le Dr Joseph Mercola…

« Les précédentes tentatives de développement d’un médicament à base d’ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées parce que lorsque la dose était trop faible, le médicament n’avait aucun effet, et lorsque la dose était trop élevée, le médicament devenait trop toxique. Une question évidente se pose : qu’est-ce qui a changé pour que cette technologie soit désormais suffisamment sans danger pour une utilisation à grande échelle ? »

Si cela n’est pas assez alarmant, voici d’autres lacunes dans les données — c’est-à-dire qu’il n’existe aucune donnée suggérant l’innocuité ou l’efficacité en ce qui concerne :

  • les personnes âgées de moins de 18 ans ou de plus de 55 ans ;
  • les femmes enceintes ou allaitantes ;
  • les maladies auto-immunes ;
  • les personnes immunodéprimées ;
  • la transmission du Covid ;
  • la prévention de la mortalité due au Covid ;
  • la durée de la protection contre le Covid.

Difficile à croire, n’est-ce pas ?

Si vous pensez que j’invente tout cela, ou si vous voulez voir les documents réels envoyés à la FDA par Pfizer et Moderna pour leur autorisation d’utilisation d’urgence, vous pouvez consulter respectivement ceci et ceci. Les lacunes dans les données se trouvent à partir de la page 46 et 48, respectivement.

Pour l’instant, tournons nos regards vers les données brutes que les fabricants de ces « vaccins » ont utilisées pour soumettre leur demande d’autorisation d’utilisation d’urgence.

N°5 — Aucun accès aux données brutes des essais

Vous aimeriez voir les données brutes à l’origine des affirmations tant vantées dans les journaux selon lesquelles il y aurait « 90 pour cent et 95 pour cent d’efficacité » ?
Moi aussi…
Mais ils ne nous laisseront pas voir ces données.

Comme le souligne le British Medical Journal, quelque chose dans les allégations d’efficacité des « vaccins » de Pfizer et Moderna laisse franchement à désirer. Il y a eu

« 3 410 cas totaux de Covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l’étude, 1 594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1 816 dans le groupe placebo. »

Attendez… quoi ?
Ont-ils échoué dans leur étude scientifique en ne vérifiant pas une variable majeure ?
Ne pouvaient-ils pas tester ces cas « suspects mais non confirmés » pour savoir s’ils étaient atteints du Covid ?
Apparemment pas.

Pourquoi ne pas tester les 3 410 participants par souci d’exactitude ?

Pouvons-nous seulement supposer qu’ils n’ont pas fait de tests parce que cela aurait faussé leurs affirmations quant à leur « efficacité à 90-95 pour cent » ?
Que fait la FDA ?
Ne serait-il pas prudent que la FDA attende, voire exige, des fabricants de vaccins qu’ils testent les personnes présentant des « symptômes de type Covid » et qu’ils publient leurs données brutes afin que des tiers puissent examiner comment les fabricants ont justifié ces chiffres ?

Après tout, on essaye quand même de convaincre chaque citoyen du monde de prendre ces produits expérimentaux…

Pourquoi la FDA ne l’a pas exigé ? N’est-ce quand même pas son objectif principal ?
Bonne question.
Serait-ce les renards qui gardent le poulailler ?
On dirait bien.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.

N°6 — Aucun test d’innocuité sur le long terme

Il est évident qu’avec les produits qui ne sont sur le marché que depuis quelques mois, nous ne disposons d’aucune donnée quant aux effets — innocuité & nocivité — sur le long terme.

En d’autres termes, nous n’avons aucune idée des conséquences de ce produit sur l’organisme dans quelques mois ou années — et ce, quel que soit le type de population [vaccinée ou pas vaccinée, jeune ou vieux, sain ou malade – NdT].

Compte tenu de tous les risques susmentionnés — risques que présentent TOUS les produits pharmaceutiques — ne serait-il pas prudent d’attendre de voir si les pires scénarios ont effectivement été évités ?

Ne serait-il pas logique de vouloir combler ces « lacunes » avant d’essayer d’injecter ce produit à chaque femme, homme et enfant de la planète ?

Eh bien… ce serait logique, mais pour obtenir ces données, ils doivent procéder à des tests sur des personnes, ce qui m’amène au point suivant…

N°7 — Pas de consentement éclairé

Ce que la plupart des personnes qui se font vacciner ne savent pas, c’est que, comme ces produits sont encore en phase d’essai clinique, toute personne qui se fait vacciner fait désormais partie de l’essai clinique.

Ils font partie intégrante de l’expérience.

Ceux — comme moi — qui ne se font pas vacciner font partie du groupe témoin.
Le temps nous dira ce qui ressortira de cette expérience.
Mais, me direz-vous, si ces « vaccins » sont nocifs, ne devrait-on pas en entendre parler partout dans les médias ?
La FDA n’interviendrait-elle pas pour interrompre la distribution ?
Eh bien, si le système de signalement des effets indésirables fonctionnait, les choses seraient peut-être différentes.

N°8 — Les effets indésirables et les décès sont sous-déclarés

Selon une étude réalisée par Harvard — à la demande de notre propre gouvernement — moins de 1 pour cent de tous les effets indésirables de ces « vaccins » sont effectivement soumis au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS) [qui ne vaut que pour les États-Unis – NdT] — lire la page 6 du lien ci-dessus.

Bien que les problèmes du VAERS n’aient pas été résolus — comme vous pouvez le lire dans cette lettre au CDC — au moment où nous écrivons ces lignes [le 8 avril 2021 – NdT], le VAERS fait état de plus de 2 200 décès dus aux actuels « vaccins » anti-Covid, et de près de 60 000 réactions indésirables.

Note du traducteur : En date du 27 avril 2021, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, et pour la seule Union européenne ! Ces chiffres commencent à donner le tournis…

« Les données VAERS publiées aujourd’hui ont montré 50 861 signalements d’effets indésirables après les injections des « vaccins » anti-Covid, dont 2 249 décès et 7 726 préjudices graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 mars 2021. »

Et ces chiffres n’incluent pas les actuels 578 cas de paralysie de Bell.

Si ces chiffres ne représentent encore que 1 pour cent du total des effets indésirables — ou 0,8 à 2 pour cent de ce que cette étude récemment publiée dans le JAMA a trouvé — vous pouvez faire le calcul, mais cela équivaut à ce jour à environ 110 000 à 220 000 décès dus aux « vaccins », et à un nombre ridicule d’effets indésirables.

Je parie que vous n’avez pas vu ça aux infos.

Ce nombre de décès serait actuellement encore inférieur aux 424 000 décès [aux seuls États-Unis – NdT] dus aux erreurs médicales qui se produisent chaque année — dont vous n’entendez probablement pas parler non plus — mais le déploiement de ces « vaccins » a débuté il y a moins de six mois.

Si vous souhaitez approfondir les problèmes liés au système de signalement VAERS, vous pouvez consulter ce document ou celui-ci.
Mais il y a aussi mon prochain point, qui pourrait laisser à penser que ces « vaccins » anti-Covid sont inutiles…

N°9 — Les vaccins ne préviennent ni l’infection ni la transmission

Attendez, quoi ?
Ces vaccins ne sont-ils pas censés constituer la solution tant attendue pour « revenir à la normale » ?
Non.
Pourquoi pensez-vous que nous recevons tous ces messages contradictoires sur la nécessité de pratiquer la distanciation sociale et de porter des masques même APRÈS avoir reçu un « vaccin » ?

La raison en est que ces « vaccins » n’ont jamais été conçus pour arrêter la transmission OU l’infection.

Si vous ne me croyez pas, je vous renvoie aux documents soumis à la FDA dont j’ai donné le lien ci-dessus.
L’objectif principal — ce que ces « vaccins » sont censés accomplir — est de réduire vos symptômes.
Ça ressemble à tous les autres médicaments sur le marché, non ?
C’est ça… la réduction des symptômes est le grand bénéfice que nous attendions.
Est-ce que ça semble complètement inutile à quelqu’un d’autre que moi ?

  1. Il ne peut pas nous empêcher de propager le virus.
  2. Il ne peut pas empêcher le virus de nous infecter une fois injecté.
  3. Se faire vacciner, c’est accepter tous les risques de ces produits expérimentaux et le mieux qu’il puisse faire, c’est de réduire les symptômes ?

Quoiqu’il en soit, il existe bien des moyens à ma portée pour réduire mes symptômes sans prendre ce qui semble être un produit très risqué.

Maintenant, en ce qui concerne la prochaine question logique :

Si nous sommes préoccupés par les disséminateurs asymptomatiques, le « vaccin » ne rendrait-il pas plus probable la création d’une dissémination asymptomatique ?

S’il réduit effectivement les symptômes, les personnes qui le reçoivent peuvent ne pas savoir qu’elles sont malades et sont donc plus susceptibles de propager le virus, non ?

Pour ce que ça vaut, j’ai entendu beaucoup de gens dire que les effets secondaires du « vaccin » — surtout la deuxième dose — sont pires que d’attraper le Covid.
Je n’arrive pas non plus à comprendre ce que cela signifie.
Prendre le risque.
Ne pas être protégé.
Subir les effets secondaires du « vaccin ».
Continuer à porter son masque et à se distancier socialement…
Et continuer à être à même de propager le virus.
Quoi ?
Et ça devient de pire en pire.

N°10 — Certaines personnes sont infectées par le Covid après avoir été complètement vaccinées

Tu parles d’une poisse.
Tu es vacciné et tu es quand même infecté par le Covid.

En réalité, ce phénomène se produit probablement partout, mais ce sont ces cas qui font l’actualité actuellement.
Compte tenu des raisons énumérées ci-dessus — et de celles qui suivent — cela ne vous surprend peut-être pas, mais si vous pensiez que le « vaccin » était un bouclier pour vous protéger, vous allez être déçu.
Ce n’est pas le cas.
Cela n’a jamais été le but.

Si 66 pour cent des professionnels de santéde Los Angeles vont retarder ou ignorer le « vaccin »… c’est qu’ils ne sont peut-être pas non plus emballés par une science bâclée.

Peut-être qu’ils observent la manière louche dont les décès et les cas sont communiqués…

N°11 — Le taux de mortalité globale dû au Covid

Selon les propres chiffres du CDC, le Covid a un taux de survie de 99,74 pour cent.
Pourquoi prendrais-je le risque de me faire injecter un produit qui n’empêche pas l’infection ou la transmission, tout ça pour m’aider à vaincre un rhume qui a 0,26 pour cent de chances de me tuer — en fait, dans ma tranche d’âge, c’est environ 0,1 pour cent, et 0,01 pour cent pour mes enfants — mais ne coupons pas les cheveux en quatre.

Avec une probabilité — taux de mortalité — aussi faible, nous serons enfermés chaque année… c’est-à-dire pour toujours.

Mais attendez, qu’en est-il des 500 000 morts et plus, c’est alarmant non ?
Je suis content que vous posiez la question.

N°12 — Les chiffres des morts dus au Covid sont surgonflés

Dans cette affaire, il y a vraiment quelque chose de bizarre.
Dans l’histoire des certificats de décès, c’est la première fois que notre propre gouvernement a changé la façon dont ces derniers sont déclarés.
Pourquoi déclarons-nous désormais que toutes les personnes qui meurent avec le Covid sont mortes du Covid, plutôt que des comorbidités qui sont réellement responsables de leurs trépas ?

Jusqu’à l’apparition du Covid, tous les coronavirus — rhumes courants — n’étaient jamais répertoriés comme la principale cause de décès lorsqu’une personne mourait d’une maladie cardiaque, d’un cancer, d’un diabète, d’une maladie auto-immune ou de toute autre comorbidité majeure.
La maladie était indiquée comme la cause du décès, et un facteur de confusion comme la grippe ou la pneumonie était indiqué sur une ligne distincte.

Pour gonfler encore plus le nombre des décès, l’OMS et le CDC ont modifié leurs directives de sorte que, et sans que cela ne nous soit jamais confirmé, les personnes probablement mortes ou suspectées de l’être à cause du Covid sont également incluses dans le nombre des décès.

Sérieusement ?
Si nous devons procéder ainsi, ne devrions-nous pas revenir en arrière et modifier les chiffres de toutes les saisons de rhume et de grippe passées afin de pouvoir comparer des pommes avec des pommes en ce qui concerne les taux de mortalité ?
Selon les chiffres mêmes des CDC — voir la section « Comorbidités et autres conditions » — seuls 6 pour cent des décès attribués au Covid sont des cas où ce dernier semble avoir été le seul problème en cause.

En d’autres termes, réduisez de 94 pour cent le nombre de décès annoncés aux informations et vous obtenez ce qui est probablement le nombre réel de décès dus au seul Covid.
Même si l’ancien directeur du CDC a raison et que le Covid-19 est un virus amélioré en laboratoire — voir la raison n° 14 ci-dessous — un taux de mortalité de 0,26 pour cent reste conforme au taux de mortalité virale qui fait le tour de la planète chaque année.

Ensuite, il y a ce type, Fauci.
J’aimerais vraiment lui faire confiance, mais outre le fait qu’il n’a pas traité un seul patient atteint du Covid… vous devriez probablement savoir ce qui suit…

N°13 — Fauci et six autres personnes du Niaid possèdent des brevets du « vaccin » Moderna

Grâce à la loi Bayh-Dole, les fonctionnaires sont autorisés à déposer des brevets sur toute recherche qu’ils effectuent avec l’argent des contribuables.

Tony Fauci possède plus de 1 000 brevets — voir cette vidéo pour plus de détails— y compris des brevets utilisés pour le « vaccin » Moderna… dont il a approuvé le financement gouvernemental.

En fait, le NIH — dont le NIAID fait partie — revendique la propriété conjointe du « vaccin » Moderna.
Suis-je le seul à considérer cela comme un conflit d’intérêt MAJEUR, voire criminel ?
Je dis criminel parce qu’il y a aussi ce problème pesant qui me rend encore plus méfiant à l’égard de Fauci, du NIAID et des NIH en général.

N°14 — Fauci est sur la sellette pour des recherches illégales sur les gains de fonction

Qu’est-ce que la recherche sur les « gains de fonction » ?
Les scientifiques tentent de faire en sorte que les virus acquièrent des fonctions — en gros, ils deviennent plus transmissibles et plus mortels.
Ça semble pour le moins un peu contraire à l’éthique, non ?
Quelle pourrait bien en être l’utilité ?
Notre gouvernement était d’accord et en a interdit la pratique.
Alors qu’a fait le NIAID dirigé par Fauci ?
Ils ont changé d’orientation et ont externalisé en Chine la recherche sur les gains de fonction — dans les coronavirus, rien de moins — pour un montant de 600 000 dollars.

Vous trouverez plus de détails, y compris l’importante chronologie de ces événements, dans ce film documentaire qui s’appuie sur une recherche extrêmement approfondie.
M. Fauci, vous avez des explications à fournir… et j’espère que les caméras enregistreront le moment où vous devrez défendre vos actions.
Pour l’instant, tournons notre attention vers le virus…

N°15 — Le virus continue à muter

Non seulement le virus — comme tous les virus — continue de muter, mais selon Geert Vanden Bossche, concepteur de vaccins de renommée mondiale — que vous rencontrerez ci-dessous si vous ne le connaissez pas — il mute environ toutes les 10 heures.

Comment diable allons-nous continuer à créer des « vaccins » pour suivre ce niveau de mutation ?
C’est impossible.
Cela pourrait-il également expliquer pourquoi des personnes entièrement vaccinées sont malgré tout infectées par le Covid ?
Pourquoi, alors que l’immunité naturelle n’a jamais failli à l’humanité, ne lui faisons-nous soudainement plus confiance ?
Pourquoi, si je pose des questions comme celles qui précèdent, ou si je publie des liens comme ceux que vous trouvez ci-dessus, mes réflexions seront supprimées de toutes les grandes plateformes de médias sociaux ?
Cela m’amène au prochain problème troublant que je rencontre avec ces « vaccins ».

N°16 — La censure… et l’absence totale de débat scientifique

Arrivé là, je ne peux m’empêcher d’être sarcastique, alors d’avance, pardonnez-moi.
Avez-vous apprécié tous ces débats animés, retransmis à l’échelle nationale et mondiale, organisés par des responsables de la santé publique et diffusés en simultané sur toutes les grandes chaînes d’information ?
N’était-ce pas formidable d’entendre les meilleurs esprits en médecine, virologie, épidémiologie, économie et les spécialistes des vaccins du monde entier débattre vigoureusement et respectueusement de sujets comme :

  • les confinements ;
  • le port du masque obligatoire ;
  • la distanciation sociale ;
  • les essais d’efficacité et d’innocuité des « vaccins » ;
  • comment dépister la sensibilité aux préjudices causés par les « vaccins » ?
  • les thérapies — à savoir les options non vaccinales.

N’était-ce pas formidable de voir la « science » des responsables de la santé publique — qui n’ont jamais traité personne atteint du Covid — remise en question ?
N’était-ce pas formidable de voir le comité de la FDA interroger publiquement les fabricants de vaccins à une heure de grande écoute, alors qu’ils étaient sous le feu de questions difficiles quant à leurs produits pour lesquels leur responsabilité ne peut pas être engagée ?

Oh, attendez… vous n’avez pas vu ces débats ?
Non, vous ne les avez jamais vus… parce qu’ils n’ont jamais eu lieu.
En revanche, ce qui a bien eu lieu, c’est une censure autoritaire de toute information hormis celles concordant à l’unique narration officielle.
Ironiquement, Mark Zuckerberg peut remettre en question l’innocuité des « vaccins », mais pas moi ?
Hypocrite ?
À quel moment le premier amendement est-il devenu une suggestion ?
Il s’agit du PREMIER amendement Mark — celui que nos fondateurs pensaient être le plus important.
Avec autant d’enjeux, pourquoi ne nous donne-t-on à entendre qu’une seule narration… ne devrait-on pas y avoir plusieurs points de vue qui seraient débattus de manière professionnelle ?

QU’EST-IL ARRIVÉ À LA SCIENCE ?
Qu’est-il arrivé à la méthode scientifique consistant à toujours remettre en question les hypothèses formulées ?
Qu’est-il arrivé au débat animé dans ce pays, ou du moins dans la société occidentale ?
Pourquoi quiconque est en désaccord avec l’OMS ou le CDC est-il si lourdement censuré ?

La science de la santé publique est-elle devenue une religion,
ou la science ne devrait-elle pas reposer sur le débat ?

Si quelqu’un dit « la science est établie », je sais que j’ai affaire à une personne qui a l’esprit fermé.
Par définition, la science — en particulier la science biologique — n’est jamais établie.
Si c’était le cas, ce serait un dogme, pas une science.
OK, avant de trop m’énerver, laissez-moi vous dire ceci…
JE VEUX ÊTRE UN BON CITOYEN.
Je le pense vraiment.
Si le confinement fonctionne, je veux faire ma part et rester chez moi.
Si les masques fonctionnent, je veux les porter.
Si la distanciation sociale est efficace, je veux m’y conformer.
Mais s’il est prouvé que ce n’est pas le cas — comme pour les masques par exemple — je veux aussi entendre cette preuve.
Si des scientifiques de renom ont des opinions différentes, je veux savoir ce qu’ils pensent.
Je veux avoir la possibilité d’entendre leurs arguments et me faire ma propre opinion.
Je ne pense pas être la personne la plus intelligente du monde, mais je pense pouvoir réfléchir.
Je suis peut-être bizarre, mais si quelqu’un est censuré, alors je veux VRAIMENT entendre ce qu’il pense.
Pas vous ?
À tous mes amis qui n’ont pas de problème avec la censure, aurez-vous la même opinion lorsque ce que vous pensez sera censuré ?

La censure n’est-elle pas la technique des dictateurs,
des tyrans et des personnes avides de pouvoir ?

N’est-elle pas le signe que ceux qui censurent savent que c’est le seul moyen de gagner ?

Et si un homme qui a passé toute sa vie à développer des vaccins était prêt à mettre toute sa réputation en jeu et à demander à tous les dirigeants mondiaux d’arrêter immédiatement les « vaccins » anti-Covid en raison de problèmes scientifiques ?

Et s’il plaidait pour un débat scientifique ouvert sur une scène mondiale ?
Voudriez-vous entendre ce qu’il a à dire ?
Voudriez-vous voir le débat qu’il demande ?

N°17 — Le plus grand spécialiste des vaccins au monde tire la sonnette d’alarme…

Voici ce qui pourrait être la plus grande raison pour laquelle ce « vaccin » anti-Covid n’a pas de sens pour moi.

Lorsqu’une personne très pro-vaccins, qui a passé toute sa carrière professionnelle à superviser le développement de vaccins, crie sur tous les toits que nous faisons face à un problème majeur, je pense que cet personne doit être entendu.

Au cas où vous l’auriez manqué, et au cas où vous auriez envie de savoir ce qu’il dit, voici les explications de Geert Vanden Bossche :

  1. Pourquoi le « vaccin » anti-Covid pourrait exercer une telle pression sur le virus que sa capacité à muter et à devenir plus mortel s’en trouverait accélérée.
  2. Pourquoi les « vaccins » anti-Covid pourraient créer des virus résistants aux vaccins — comme les bactéries résistantes aux antibiotiques.
  3. Pourquoi, en raison de problèmes antérieurs liés à la facilitation de l’infection par des anticorps, nous pourrions être confrontés à une explosion de victimes dans les prochains mois ou années.

Si vous voulez voir/lire un deuxième entretien, plus long, avec Vanden Bossche, dans lequel des questions difficiles lui ont été posées, vous pouvez consulter ceci.

Si la moitié de ce qu’il dit se réalise, ces « vaccins » pourraient être la pire invention de tous les temps.

Si vous n’aimez pas sa science, discutez-en avec lui.

Je ne suis que le messager.

Mais je peux aussi parler du Covid d’un point de vue personnel.

N°18 — J’ai déjà eu le Covid

Je n’ai pas apprécié.
J’ai eu un méchant rhume pendant deux jours :

  • des douleurs incessantes aux fesses et au bas du dos ;
  • une très faible énergie ;
  • une faible fièvre.

C’était bizarre de ne pas pouvoir sentir quoi que ce soit pendant deux jours.
Une semaine plus tard, le café avait toujours un goût « mauvais ».
Mais j’ai survécu.

Maintenant, il semble — comme cela a toujours été le cas — que j’ai une belle immunité naturelle, à vie
… et non pas quelque chose qui risque de s’estomper en quelques mois si je me fais vacciner.
Pour mon organisme, comme pour ma famille, le Covid c’est du passé.
En fait, maintenant que je l’ai eu, il existe des preuves que le « vaccin » anti-Covid pourrait être plus dangereux pour moi.
Ce n’est pas un risque que je suis prêt à prendre.

En résumé

Ce qui précède ne sont que mes raisons de ne pas vouloir le « vaccin ».
Peut-être que mes raisons ont du sens pour vous, peut-être pas.
Quelles que soient celles qui ont un sens pour vous, j’espère que nous pourrons rester amis.
Pour ma part, je pense que nous avons beaucoup plus en commun que ce qui nous sépare.

  • Nous voulons tous vivre dans un monde de liberté.
  • Nous voulons tous faire notre part pour aider les autres et vivre bien.
  • Nous voulons tous avoir le droit d’exprimer nos opinions sans craindre d’être censurés ou vicieusement attaqués.
  • Nous méritons tous d’avoir accès aux faits afin de pouvoir prendre des décisions éclairées.

Que vous soyez d’accord ou pas avec moi, je ne vous traiterai pas différemment.
Vous êtes un être humain tout aussi digne d’amour et de respect que n’importe qui d’autre.
Pour cela, je vous salue et je vous souhaite vraiment le meilleur.
J’espère que vous aurez trouvé cet article utile.
Si oui, n’hésitez pas à le partager.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à me faire part — gentiment — de ce qui n’a pas eu de sens pour vous et je serais heureux d’entendre également vos réflexions.
Restez curieux et restez humble.
Jusqu’à la prochaine fois,

Christian

P.S. : Si vous pensez que j’ai bien étudié ce sujet, imaginez toutes les idées que je pourrais mettre en œuvre pour vous aider à préserver votre santé. Aider les gens à être en bonne santé, c’est ce que je fais toute la journée, tous les jours.

P.P.S. : La santé ne peut pas être injectée, mais elle peut être acquise.


Source de l’article initialement publié en anglais le 8 avril 2021 : Deconstructing Conventional
Traduction : Sott.net




Affaire de la lettre ouverte des anciens militaires : 58% des français la soutiennent dont 46% des sympathisants LREM (MàJ)

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Mise à Jour :

« Aujourd’hui, deux bonnes nouvelles sont venues conforter les signataires de la lettre dans leur démarche. 

1 – Le nombre de signataires de « l’Alerte » a « explosé ». Il est passé en 24 heures de 10 093 à 18 005 (+ 80%) et ce, malgré les menaces proférées par les destinataires de la lettre et les sarcasmes permanents d’une majorité des journalistes et des médias mainstream dévoués à ceux qui mènent notre pays vers l’abîme par leur inaction.

Pour être juste, je dois admettre que Cnews et Sud Radio se sont écartés de la meute mainstream malhonnête et malfaisante, et nous ont donné la parole dans de bonnes conditions (Bercoff, Morandini, Praud). Qu’ils en soient remerciés. Nos remerciements vont aussi aux nombreux responsables de sites ou de blogs, qui ont relayé notre alerte sans esprit partisan, politicien, bref vicieux…

2 – En creusant les résultats du sondage Harris Interactive pour LCI, on s’aperçoit que le soutien à notre lettre nous vient de tous les partis politiques et c’est un bien puisque notre alerte ne concerne pas la politique, mais l’avenir de la France, notre pays à tous. Il est particulièrement réjouissant de voir que les sympathisants écologistes nous soutiennent tout de même à 36% ; que 43% des sympathisants LFI, 44% des sympathisants PS, et même 46% des sympathisants LREM, dont les responsables politiques et leurs relais médiatiques sont pourtant « vent debout » contre nous, nous soutiennent aussi.

Cela indique clairement que certaines élites politiques sont déconnectées des préoccupations d’une part très importante de leur électorat. Et que les médias qui relayent 24h sur 24 leurs messages hostiles à la lettre ouverte des anciens militaires sont, une fois de plus, à côté de la plaque, ce qui n’est pas bien surprenant  lorsqu’on connaît ceux qui les « contrôlent ».

Il va donc falloir, pour les politiques de tous bords, se saisir enfin de ce problème qui nous concerne tous, s’ils veulent garder leur électorat. Les problème évoqués dans la lettre ouverte seront probablement déterminants dans les futures échéances électorales. Quant aux médias, ils devront eux aussi évoluer s’ils ne veulent pas perdre le peu de crédibilité qui leur reste

Pour conclure, je voudrais ré-insister sur le fait que cette lettre ouverte n’est pas une lettre des généraux mais une lettre des anciens militaires de tous grades, attachés à leur pays. Un général n’est jamais qu’un homme comme un autre. Il a deux pieds, deux jambes, deux bras, un cœur et, parfois même, un cerveau. Il sera dans une position de stricte égalité avec tous les autres lorsqu’il aura quitté notre terre. Ni plus haut, ni plus bas, quel que soit son rang.

Pour terminer, je voudrais remercier les milliers de français de tous bords qui n’ont pas pu signer la lettre ouverte, mais qui nous ont apporté et nous apportent encore leurs messages de soutien ou leurs témoignages par tous les moyens disponibles. »

Un sondage d’Harris Interactive réalisé pour LCI, vient d’être publié sur l’affaire de la lettre ouverte des « 1 500 lanceurs d’alerte anciens militaires au gouvernement concernant les délitements de la France et l’incitation à l’action avant qu’il ne soit trop tard.

Notons, avant de donner les résultats que le nombre de lanceurs d’alerte est passé de 1 500 à 10 093 et le nombre de généraux en retraite de 20 à 40malgré les menaces brandies par les destinataires de la lettre.

Notons aussi que l’institut de sondage, sollicité par un média mainstream qui soutient et relaye notoirement les points de vue de l’exécutif ne peut être soupçonné de complaisance envers les anciens militaires, bien au contraire. Si biais il devait y avoir, il ne serait certainement pas en faveur des anciens militaires.

Les résultats sont sans appel : 58% des français soutiennent les auteurs de cette lettre ouverte.

49% estiment même que l’Armée devrait intervenir sans qu’on lui en donne l’ordre (ce qui n’est pas du tout suggéré dans le texte de la lettre puisque celui-ci s’inscrit strictement dans le cadre de la légalité républicaine, c’est-à-dire que l’intervention de l’Armée ne peut être décrétée, que dans le cadre de l’État de Siège, promulgué par le président de la République, en cas de situation qui deviendrait incontrôlable. Seuls les gens de totale mauvaise foi voient, dans le texte des lanceurs d’alerte, l’idée d’intervenir sans ordre ou un quelconque appel au soulèvement de l’Armée… S’il fallait remettre les points sur les i, je les remets solennellement ici.

86% estiment que dans certaines villes ou quartiers les lois de la république ne s’appliquent plus.

73% estiment que la société française se délite.

45% estiment même, déjà, que la France connaîtra prochainement une guerre civile.

Ces résultats montrent que les Français partagent massivement le constat des lanceurs d’alerte sur le délitements du pays et ses possibles conséquences et qu’ils soutiennent également massivement l’initiative des lanceurs d’alerte et cela, il faut le souligner, malgré une campagne de presse très importante et coordonnée, visant à les faire passer pour des factieux et à les discréditer. La meute médiatique mainstream conduite par BFMTV, va y perdre le peu de crédibilité qui pouvait lui rester.

Quant aux sanctions prévues contre les 18 militaires en activité qui ont signé la lettre ouverte, 64% des français les désapprouvent.

C’est la première fois qu’une décision, prise sous la pression politico-médiatique par un chef d’État major des Armées en exercice est désavouée par une telle majorité de l’opinion. En clair, la confiance accordée aux anciens militaires et, par extension aux militaires d’active, est mise à mal par une décision disproportionnée de son chef, ce qui est évidemment regrettable…

Contrairement à ce que prétend le complexe politico-médiatique, et quelques généraux « de rencontre » qui auraient peut être été vichystes en 1939, les personnels de l’Armée d’active ne sont pas indifférents à cette lettre d’alerte. Les signataires retraités reçoivent de très nombreux mails de remerciements et de soutien de la part des personnels d’active, contraints au silence mais qui n’en pensent pas moins. Les pompiers et les forces de l’ordre nous adressent également de très nombreux messages d’encouragement et de soutien.

Ma conclusion est simple : Les politiques et ceux des chefs militaires qui leurs sont liés ne doivent pas se tromper de cible. Au lieu de s’attaquer et de bâillonner ou de sanctionner les lanceurs d’alerte, ils devraient s’attacher à neutraliser les fauteurs de troubles et de violence, souvent connus des services de police qui pourrissent la vie des citoyens honnêtes. Ils devraient aussi s’attacher à reconquérir les territoires perdus de la République. C’est aussi simple que ça, et nous, les lanceurs d’alerte en seront très heureux.

Quant aux politiciens qui nous accusent de faire de la politique je dis solennellement ceci : je ne suis pas encarté et je n’ai jamais milité pour le Front national, comme une majorité de mes camarades signataires. Ceux qui cherchent à faire l’amalgame font, eux, de la politique politicienne. Ils essayent de nous faire passer pour des factieux, liés au Rassemblement national, dans le seul but de porter atteinte à ce parti, pour éviter la débâcle dans les élections à venir. Qu’ils s’occupent donc correctement de la France et tout ira mieux, pour eux, dans les prochaines élections. Vouloir nous mêler à leurs basses manœuvres politiciennes est tout simplement indigne.

Ce texte peut être diffusé à vos amis.

Dominique Delawarde

Post Scriptum : J’ai eu la possibilité et l’honneur de défendre ma signature et de m’exprimer sur les possibles sanctions des militaires en activité, dans l’émission de CNews « Morandini Live » ce matin. J’intervenais en début d’émission.




Covid-19: Consentement éclairé préparé par une femme médecin de Suisse romande

[Source : Egalité des citoyens face aux lois. (tdg.ch)]

Bonjour,

Voilà le texte reçu ce matin d’un internaute que je remercie vivement. Il s’agit d’un texte préparé par une femme médecin travaillant en Suisse romande afin d’alerter ses patients avant qu’ils acceptent de se faire vacciner contre le Covid-19.

Votre consentement éclairé avant de recevoir le vaccin à ARN COVID-19

Quelques vérités à accepter avant que je vous injecte le vaccin :

1. Je comprends que je reçois un vaccin expérimental, entièrement nouveau, avec des ingrédients inédits qui n’ont jamais été administrés en masse avant l’été 2020.

2. Je consens à participer à une expérience internationale menée par des entreprises pharmaceutiques et des politiciens qui n’assument aucune responsabilité pour tout dommage causé.

3. Je suis d’accord de fournir mes données médicales personnelles pendant l durée de deux ans, au cours de cette étude post-autorisation de phase 3 puis 4.

4. Je comprends que les vaccins sont encore en phase expérimentale et que les essais cliniques de phase 3 sont en cours – leurs achèvements prévus en octobre 2022 pour Moderna et en janvier 2023 pour Pfizer-BioNTech Comirnaty.

5. Je suis au courant que les résultats définitifs de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins expérimentaux sont inconnus à ce jour.

6. Je prends conscience que ce vaccin expérimental est un produit de génie génétique 100% synthétique – c’est un OGM, un organisme génétiquement modifié, qui sera injecté dans mon corps.

7. Je comprends que ce vaccin expérimental peut :

  • ne pas me protéger de la maladie Covid-19 (ne protégerait potentiellement que des formes graves) ;
  • ni prévenir la transmission du virus SRAS-CoV-2.

8. Je reconnais que l’analyse du ratio bénéfice-risque de ce vaccin expérimental est fondée sur des risques inconnus et minimisés, et des avantages surestimés et présumés. Les risques potentiels incluent l’atteinte à la fertilité, troubles de la coagulation et troubles neurologiques.

9. J’accepte l’idée fausse selon laquelle être humain signifie être toujours un contaminant potentiel et un vecteur de maladie, idée faite pour susciter la peur.

10. Je comprends qu’avec le vaccin, je dois garder les mesures barrières : règles de distanciation sociale, du port du masque, PCR et quarantaine si je suis testé(e) positif(ve) à l’avenir.

11. Je reconnais qu’à ce jour, des milliers de décès ont été signalés à la suite de cette campagne de vaccination expérimentale, ainsi que des centaines de milliers de blessés souffrant de troubles neurologiques, d’inflammations sévères et d’effets indésirables cardiovasculaires (thromboses, AVC, infarctus)

12. Je comprends que la maladie de Covid n’est à haut risque que pour les personnes âgées et les immunodéprimés, et que pour que plus de 99.7% de la population le décès n’est pas un risque : 99.7% de survie ! 

13. J’ai pris connaissance des politiques et accords en Suisse concernant l’indemnisation et les compensations (maximum payé= 70 000 Francs suisses) : 

je comprends qu’il pourrait s’avérer impossible de poursuivre le fabriquant de cette injection contre le Covid-19 au cas où elle serait responsable d’un dommage sur ma santé, ou d’un décès.

14. Je comprends et j’ai lu la liste des effets indésirables significatifs signalés en lien avec les injections contre le Covid-19. 

Les effets indésirables connus comprennent :
►l’infection au Covid-19,
►l’anaphylaxie,
►des problèmes neurologiques,
►troubles cardio-vasculaires graves,
►maladies auto-immunes,
►affections chroniques,
►la cécité et la surdité,
►problèmes de fertilité,
►dommages sur les fœtus,
►fausse-couches,
►mort-nés
►et décès.

15. Je suis informé(e) que la probabilité statistique de décès par Covid-19 est de
►0,003% pour les jeunes (entre 0 et 19 ans),
►0,02% entre 20 et 49 ans,
►0,5% pour des individus âgés de 50 à 69 ans,
►5,4% pour les seniors âgés de 70 ans et plus quand non soignés (tel qu’il a été fortement recommandé de le faire : « restez chez vous ! »)

16. J’ai pris connaissance que bien que vendues sous le nom de « vaccins », ces injections Covid-19 ARNm sont des thérapies géniques expérimentales. 

Les fabricants de vaccin décrivent officiellement l’approche ARNm, jamais autorisée auparavant, comme un moyen de « programmer les cellules d’un individu » ou, en usant de la terminologie de la société Moderna, comme le déploiement d’un nouveau « logiciel ». 

Dans la recherche passée, les injections de ARNm ont montré qu’elles avaient un élément inflammatoire intrinsèque, ce qui rend difficile la détermination d’une balance bénéfice/risque « acceptable ».

17. En tant que cobaye, je suis bien conscient(e) que, contrairement à tout autre essai thérapeutique de médicament, je ne serai pas payé(e)/défrayé(e) par le laboratoire pour cet essai de phase 3 dans la population générale.

J’ai bien lu et compris, je donne mon consentement éclairé et j’accepte de me faire vacciner en toute liberté avec le vaccin expérimental Moderna/Pfizer et décharge entièrement mon médecin de toute responsabilité civile et pénale concernant cette injection et ses possibles conséquences.

Fait à 

Le                                                             signature du patient/de la patiente




Philippe de Villiers : Macron, Zemmour, Schwab, Le Pen… il dit tout !

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Dans l’entretien accordé à TVLibertés, Philippe de Villiers n’est jamais allé aussi loin dans sa critique de la personnalité d’Emmanuel Macron. Celui qui évoquait un lien amical avec le président de la République considère aujourd’hui que ce dernier « n’a pas le goût de la France. Ce pays est trop vieux pour lui ! ». La rupture date du 3 mars 2019. Il s’en explique ouvertement et évoque la nécessité absolue de battre l’actuel locataire de l’Elysée.

Philippe de Villiers décrit aussi dans son nouveau livre à succès « Le jour d’après », un monde qui passe du politique au bio politique. Il cible ceux qui, comme le patron du Forum de Davos, Klaus Schwab, veulent mettre à profit les crises sanitaires pour nous faire basculer dans une société distanciée, désagrégée, contrôlée par le numérique et imposant le capitalisme de surveillance : « On nous prépare le goulag numérique, l’épadhisation de la vie avec un tiers accompagnant, un auxiliaire de vie digitale ».

Cependant, même si « notre société coule à pic et est en perdition », Philippe de Villiers réfute avec force tout esprit de défaitisme. Il appelle à un travail de re-francisation de notre pays et à une véritable insurrection des consciences.
Un entretien puissant avec des arguments nouveaux, Philippe de Villiers dit tout !! A regarder et partager de toute urgence.




Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Après donc les mesures de confinement (dont tout confirme la nocivité et l’inutilité) voilà que s’effondre à son tour l’autre grande mesure soi-disant sanitaire qui nous est imposée : le port du masque. Comme pour le confinement, ce ne sera une surprise que pour les naïfs ou les fanatiques : nous savions depuis des décennies que le port du masque n’est d’aucune utilité face aux viroses respiratoires, et qu’il est de toute manière inefficace (sauf contre certaines formes de pollution aérienne comme les particules fines) en population générale.

Il s’agissait donc d’une telle évidence que la seule surprise est que des personnes a priori éduquées et capables de réfléchir aient adhéré à une telle absurdité. Ceci, nous sommes nombreux (à nouveau) à l’avoir dit depuis des mois. Que l’on ait pu imposer une telle mesure, évidemment nocive, à la population et même des groupes vulnérables comme les enfants ou les jeunes restera comme une ignominie de plus dans cette lamentable crise sanitaire.

Je repose la question aux sceptiques et à mes détracteurs : trouvez-moi un seul plan de lutte contre les pandémies respiratoires virales qui ait prévu d’imposer le port du masque à la population en bonne santé et je vous offre le champagne !

Nous savions, comme pour le confinement, que cela ne servait à rien en plus d’infliger des dommages graves, avec un élément qu’il faut être inconscient pour ne pas remarquer : ces mesures, sans utilité sanitaire avérée, sont des mesures puissantes de contrôle social et d’humiliation.

Elles polarisent de surcroît la population entre ceux qui ont cru de bonne foi aux bêtises avancées par nos autorités et ceux qui ont gardé un esprit critique. Avec, le cas échéant, un objectif à ce sujet : les dociles et les soumis devenant des multiplicateurs de la contrainte absurde et les petits soldats de la dérive totalitaire.

Ce trait, comme de nombreux autres, est caractéristique. Je sais que les mots relatifs à la dérive en cours (comme totalitaire ou dictature) font ricaner nombre de bien-pensants qui n’ont toujours pas compris que nous avions déjà basculé hors de l’état de droit.

Lors de la conférence de presse du 15 avril organisée par les Amis de la Constitution, M. Nicolas Rimoldi, co-président de l’association Mass-voll, a rappelé qu’à l’heure actuelle, 23 articles de notre Constitution sont suspendus ou violés par les diktats pseudo-sanitaires sans justification solide. On peut en effet ricaner mais il ferait plutôt sens d’y réfléchir.

Or donc, si l’absence de pertinence du port du masque aurait dû être une évidence, il s’est trouvé (comme toujours) des ayatollahs en blouse blanche pour affirmer l’inverse en se réclamant de l’autorité de la « science » et pour aller terroriser et culpabiliser la population sur les plateaux télé… à partir de données mensongères.

Le dogme du masque est en effet une pièce importante de la manipulation en cours. Quand les populations se rendront compte qu’on leur a imposé des mesures sans justification et lourdement dommageables en leur racontant des salades, il est possible qu’elle réagissent autrement qu’en poussant des cris de joie.

Les lecteurs de ce blog se souviendront des différents articles que j’ai rédigés ou re-publiés sur cette question au long des derniers mois. Ils se souviendront également de la réponse quelque peu hystérique d’un gratte-papier de l’AFP à une revue de la littérature scientifique publiée au mois de janvier par un médecin travaillant dans un des hôpitaux de la faculté de médecine de Stanford, que j’avais portée à la connaissance de mes lecteurs.

Faisant feu de toutes les moches ficelles du journalisme de propagande, il avait tout à la fois dénigré l’auteur et convoqué à mon encontre des collègues aussi pleins de parti-pris que lui, comme Mme Johanne Montay, journaliste belge qui après s’être fait connaître pour harceler ses collaborateurs, maltraite depuis une année la population belge tout entière. Non encline à en rester là, elle s’en était pris à moi après une conférence à Liège, déformant scandaleusement mon propos et cherchant à piéger certaines personnalités de manière malhonnête et déloyale en les faisant réagir à des propos que je n’avais jamais tenus (je dispose évidemment des preuves écrites de ce que j’indique là) !

Les gredins s’entre-cautionnent, ce qui n’est non plus guère surprenant. Là où je commence à me réjouir par avance, c’est de voir comment lesdits « journalisss » vont faire pour contenir la masse de données probantes confirmant la fausseté de leur propagande. Ça ressemble à l’histoire du jeune hollandais qui avait mis son doigt pour boucher la faille d’une digue. Je souhaite à ces tristes sires bien du plaisir…

Voici donc quelques épouvantails supplémentaires dont ils vont devoir trouver comment les diffamer ou les dénigrer (je ne fais pas de souci, à défaut de savoir faire du journalisme ils sont doués en la matière) pour continuer à désinformer la population.

C’est ennuyeux pour eux, mais on commence ainsi à voir apparaître des études confirmant que non seulement le port du masque n’empêche en rien la transmission du Covid mais encore fait courir un risque à ceux qui le portent. Les courbes des maladies infantiles en France montrent par exemple que les taux de prévalence de l’asthme, des gastro-entérites ou du Covid ne connaissent pas de différence entre les mois précédant ou suivant l’imposition du port du masque dans les écoles.

Par contre, les pneumopathies bactériennes, elles, flambent à partir de cette date comme nous étions nombreux à l’avoir annoncé comme étant prévisible.

Malgré les dénégations imbéciles des autorités médicales et politiques, bien sûr qu’infliger cette contrainte absurde a des effets problématiques majeurs ! Comme vient de le confirmer une étude publiée dans l’ International Journal of Environmental Research amd Public Health par une équipe de chercheurs et médecins allemands :

De nombreux pays ont introduit l’obligation de porter des masques dans les espaces publics pour contenir le SRAS-CoV-2, ce qui en fera une pratique courante en 2020.  Jusqu’à présent, il n’y a pas eu d’enquête complète sur les effets néfastes que les masques peuvent avoir sur la santé. L’objectif était de trouver, de tester, d’évaluer et de compiler les effets secondaires liés au port de masques qui ont été scientifiquement prouvés (…)

Dans cet article, nous faisons référence à la détérioration psychologique et physique ainsi qu’aux multiples symptômes décrits en raison de leur présentation cohérente, récurrente et uniforme dans différentes disciplines comme un syndrome d’épuisement induit par le masque (MIES). Nous avons objectivé l’évaluation des changements dans la physiologie respiratoire des porteurs de masque avec une corrélation significative de la chute d’O2 et de la fatigue (p< 0,05), une cooccurrence groupée de la déficience respiratoire et de la chute d’O2 (67%), du masque N95 et de la montée de CO2 (82%), du masque N95 et de la chute d’O2 (72%), du masque N95 et des maux de tête (60%), de la déficience respiratoire et de l’élévation de température (88%), mais aussi de l’élévation de température et de l’humidité (100%) sous les masques. Le port prolongé de masques par la population générale pourrait entraîner des effets et conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux.

Dans le même temps, une étude réalisée par une équipe du MIT (Massachusetts Institue of Technology » dément la protection contre les gouttelettes, principal « argument » en faveur du port du masque :

Les chercheurs vont plus loin, affirmant même que dans un espace mal ventilé, ces gouttelettes peuvent se propager lorsque les personnes respirent à travers un masque. Pire, dans un espace mal ventilé, lorsque les personnes respirent à travers un masque, les gouttelettes ont tendance à remonter et à se propager dans l’espace confiné. Le risque de contamination est alors plus élevé, augmentant ainsi le risque de contamination.

A nouveau, cela ne surprendra que les fanatiques ! Au demeurant, la question ne se pose même pas dans les termes d’une éventuelle utilité : le droit constitutionnel exige comme condition impérative d’une mesure portant atteinte aux droits fondamentaux qu’elle soit absolument nécessaire et indiscutablement efficace.

Nous aurons à la place, vu à nouveau des médicocrates venir perpétrer des abus de pouvoir, complaisamment accueillis par une presse de connivence, en prétendant fallacieusement que « la science » imposait ces mesures.

Tout en brodant des explications foireuses selon lesquelles « même si on n’avait pas de certitude absolue, on pensait quand même que ça avait forcément une certaine d’efficacité, petite ou grande, et que combiné à d’autres absurdités, ça générait forcément in fine quelque chose dont il serait « contraire à l’éthique » de se priver. » Bref, de la bullshit [littéralement : « de la merde de taureau » = des conneries] en barre pour dire les choses sans détour.

Ce que ces Diafoirus ont oublié au passage c’est que même s’ils portent des titres prestigieux tout en étant payés 500’000.- par an ou plus aux frais du contribuables et des assurés, le droit prohibe strictement de tels agissements.

Tout en reconnaissant aussi que ce sont les autorités politiques et les juristes qui ont failli : la tentation de la toute-puissance est une scorie de l’univers médical et s’il n’y a pas les patients, les élus, les avocats et les journalistes pour la contenir, il tend à dériver naturellement dans ce type d’abus, l’histoire de la médecine comme son quotidien en donnent d’innombrables exemples.

Allons-nous enfin et une bonne fois pour toutes pouvoir mettre cela derrière nous ?

Eh bien probablement pas ! Ceci pour trois raisons :

  1. Reconnaître ses erreurs est un signe de grandeur d’âme et d’honnêteté ; or il faut se lever de bonne heure pour repérer grand-chose qui relève de ces valeurs au sein de la nomenklatura politico-sanitaire !
  2. Comme indiqué précédemment, l’imposition du masque permet de marteler obsessionnellement l’existence d’un danger (là où le risque de mortalité n’a simplement pas été modifié en-dessous de 75 ans l’an dernier !) De surcroît, elle déshumanise, humilie et force à la soumission, ce qui est du pain béni pour tous les apprentis-dictateurs ! Maintenir la population dans cet état de panique et de soumission est un objectif évident des « autorités » : sinon, pourquoi avoir entretenu la panique de manière aussi obsessionnelle depuis des mois là où un appel raisonné à la prudence quand c’était requis aurait suffi sans traumatiser la population ?
  3. Elle remplit à ce titre un rôle central dans le dispositif d’aliénation et d’asservissement, nécessaire notamment à faire avancer le troupeau affolé vers l’expérimentation génique (contraire à l’éthique et au droit) qu’on nous fait passer comme étant la seule porte de sortie de cette cacade alors qu’il s’agit au mieux d’un pari à haut risque

Un fait devrait nous alerter : j’ai déjà mentionné le verdict rendu par un juge de Weimar, saisi par des parents d’élèves. Après avoir entendu des experts, fouillé les articles scientifiques et respecté le droit, il avait conclu à la levée immédiate de ces mesures, ce qui évidemment avait fait un certain foin (sauf en Suisse, où la presse anesthésie la population en s’assurant que les informations importantes ne parviennent jamais à ses oreilles).

Or voilà qu’on apprend que ledit juge a été l’objet de différentes plaintes pénales et qu’une perquisition vient d’être menée chez lui au petit matin. Certes, peut-être s’avérera-t-il qu’il allait braquer des banques, planqué derrière son masque, pendant ses heures perdues…

Ce qui vient plus naturellement à l’esprit comme hypothèse est que nous pourrions être face à une tentative d’intimidation, réalité elle aussi courante dans les temps de dérive totalitaire.

Celles et ceux qui ne comprennent pas que nous ne sommes pas dans l’illusion de réalité que les gouvernements et les médias peignent à notre intention depuis une année auront des réveils douloureux. Pour nous c’est le combat qui l’est, particulièrement du fait de l’endoctrinement massif de la population à coup de procédés de propagande parfaitement connus et de l’efficacité dramatique de ce lavage de cerveau.

Comme par exemple le fait de présenter l’expérimentation génique en cours comme un vaccin, une innovation quasimiraculeuse montrant notre agilité et la grandeur de notre science.

Ceci alors qu’en réalité l’injection hasardeuse d’ARN messager n’a rien à voir avec les vaccins classiques, et que l’incertitude sur les effets indésirables à moyen et long terme devrait conduire chaque citoyen à refuser d’être pris comme cobaye à ses risques et périls. Sans oublier que le taux anormalement élevé d’effets indésirables (graves dans 30% des cas) devrait conduire à suspendre instantanément cette opération aussi risquée pour les gens qu’elle est lucrative pour les intéressés, c’est dire.

Inoculer des personnes en bonne santé et sans facteurs de risque, a fortiori des enfants ou des jeunes, est juste une abomination en termes de santé publique et d’éthique. Qu’autant de corps constitués (les médecins en première ligne) adhèrent à cela restera un grand moment d’égarement collectif. Même si en jouant à la roulette russe il reste des chances de ne pas mourir…

Je re-publie pour terminer infra la traduction de l’article paru dans Nordkurier relatant les tracasseries infligées à ce juge suivie de la relation du jugement de Weimar.


Opération de police au domicile d’un juge de Weimar

Appartement et bureau fouillés, téléphone portable confisqué : après qu’un juge ait fait sensation dans tout le pays en statuant contre les mesures prises contre le coronavirus dans deux écoles, il a maintenant reçu une « visite » de la police.

On ne sait pas encore ce dont Christian Dettmar est accusé. Le fait est que le juge du tribunal de grande instance de Weimar s’est prononcé le 8 avril dans une décision spectaculaire contre les masques obligatoires, les tests obligatoires, les règles de distance et l’enseignement à domicile et a ainsi remis en question, pour la première fois, le sens et la nécessité des mesures « sanitaires » prescrites dans les écoles. Selon les médias, le parquet d’Erfurt a entre-temps confirmé la perquisition des locaux d’habitation et de travail du magistrat et la confiscation de son téléphone portable ainsi que de son ordinateur portable. Une procédure préliminaire a été ouverte pour suspicion initiale d’obstruction à la justice, a déclaré un porte-parole du parquet.

Les observateurs parlent de « tentative d’intimidation

La nouvelle que des perquisitions avaient eu lieu au domicile du juge de district s’est répandue sur les médias sociaux lundi soir et a été confirmée au Nordkurier par une source sûre. Selon les informations, l’opération de police dans les locaux du juge concerne certainement le verdict controversé. Les observateurs de l’entourage du magistrat auraient eu l’impression d’une « tentative d’intimidation ».

La décision avait provoqué des rumeurs

Après que la décision a été connue, des allégations ont circulé selon lesquelles le juge était connu pour sa position critique sur les mesures et avait été délibérément choisi pour la procédure. Jusqu’à présent, cependant, aucune preuve concrète n’a été apportée à ces accusations. Selon BILD, une douzaine de plaintes pénales contre le juge ont été déposées au parquet d’Erfurt.

Le juge des affaires familiales, âgé de 58 ans, avait interdit, après la plainte d’une mère de deux enfants (8 et 14 ans), à deux écoles de Weimar, par décision judiciaire, de contraindre les élèves au devoir de masque, à la distance, au devoir d’examen et à l’enseignement à domicile.

« Défiant les faits historiques »

Le raisonnement approfondi soutenu par trois experts disait, entre autres choses :

« 100 000 élèves d’écoles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port d’un masque pendant une semaine pour prévenir une seule infection par semaine. Qualifier ce résultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadéquate. Elle montre plutôt que le législateur de l’État qui réglemente ce domaine est tombé dans une déconnexion factuelle qui a atteint des proportions historiques. « 


Verdict sensationnel à Weimar : plus de masques, de distanciation ni de tests pour les élèves

Source : site Enfance & Libertés

Le 8 avril 2021, le tribunal de la famille de Weimar a décidé, dans le cadre d’une procédure en référé (réf. : 9 F 148/21), qu’il est interdit à deux écoles de Weimar, avec effet immédiat, d’exiger des élèves le port de couvre-bouche ou de nez de quelque nature que ce soit (en particulier les masques qualifiés tels que les masques FFP2), de respecter les distances minimales de l’AHA et/ou de participer aux tests rapides SARS-CoV-2. En même temps, la Cour a déterminé que l’enseignement en classe doit être maintenu (texte intégral de l’arrêt comprenant trois avis d’experts).

Pour la première fois, des preuves ont été présentées devant un tribunal allemand concernant le caractère scientifiquement raisonnable et la nécessité des mesures anti-Corona prescrites. Les témoins experts qui ont éré entendus étaient les professeurs Ines Kappstein, médecin, Christof Kuhbandner, psychologue et Ulrike Kämmerer, biologiste.

La procédure judiciaire en question est une procédure dite de protection de l’enfance en vertu de l’article 1666, paragraphes 1 et 4, du code civil allemand (BGB), qu’une mère avait engagée pour ses deux fils, âgés respectivement de 14 et 8 ans, auprès du tribunal local (tribunal de la famille). Elle a fait valoir que ses enfants subissaient un préjudice physique, psychologique et éducatif, sans que cela soit contrebalancé par un quelconque avantage pour les enfants ou les tiers. Cela violerait en même temps de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales.

La procédure prévue par le § 1666 du code civil peut être engagée d’office, sur proposition de toute personne ou sans proposition, si le tribunal estime que l’intervention est nécessaire pour des raisons de bien-être de l’enfant, § 1697a du code civil.

Après avoir examiné la situation de fait et de droit et évalué les expertises, le tribunal des affaires familiales de Weimar est arrivé à la conclusion que les mesures désormais interdites représentent un danger actuel pour le bien-être mental, physique ou psychique de l’enfant, à tel point que, si elles sont maintenues, un préjudice considérable est presque certainement à prévoir.

Le juge déclare : « Un tel risque est présent ici. En effet, les enfants ne sont pas seulement mis en danger dans leur bien-être mental, physique et psychique, notamment par l’obligation de porter des masques pendant les heures de classe et de se tenir à distance les uns des autres et d’autres personnes, mais ils sont en outre déjà actuellement lésés. Dans le même temps, cela viole de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales. Cela s’applique en particulier au droit au libre développement de la personnalité et à l’intégrité physique de l’article 2 de la Loi fondamentale ainsi qu’au droit de l’article 6 de la Loi fondamentale à l’éducation et aux soins par les parents (également en ce qui concerne les mesures de soins de santé et les « objets » à porter par les enfants.) »

Par son jugement, le juge confirme l’appréciation de la mère : « Les enfants subissent un préjudice physique, psychologique et pédagogique et leurs droits sont violés, sans que cela soit contrebalancé par un quelconque bénéfice pour les enfants eux-mêmes ou les tiers. »

Selon la condamnation du tribunal, les administrateurs scolaires, les enseignants et d’autres personnes ne pouvaient pas invoquer les dispositions légales de l’État sur lesquelles les mesures étaient fondées, car elles étaient inconstitutionnelles et donc nulles. Motif : ils violent le principe de proportionnalité ancré dans l’état de droit (articles 20, 28 de la Loi fondamentale).

« Selon ce principe, également appelé interdiction du caractère excessif, les mesures destinées à atteindre un but légitime doivent être appropriées, nécessaires et proportionnées au sens étroit, c’est-à-dire lorsqu’on met en balance les avantages et les inconvénients qu’elles procurent. Les mesures qui ne sont pas fondées sur des preuves, contrairement à l’article 1(2) IfSG, sont déjà inadaptées pour atteindre le but fondamentalement légitime qu’elles poursuivent, à savoir éviter la surcharge du système de santé ou réduire l’incidence de l’infection par le virus SRAS-CoV- 2. Mais en tout état de cause, elles sont disproportionnées au sens strict du terme, car les inconvénients considérables/dommages collatéraux qu’elles entraînent ne sont pas compensés par un avantage perceptible pour les enfants eux-mêmes ou les tiers« , a déclaré le juge.

Il précise : « Il convient toutefois de souligner que ce ne sont pas les intéressés qui devraient justifier l’inconstitutionnalité des atteintes à leurs droits, mais, à l’inverse, l’État libre de Thuringe, qui porte atteinte aux droits des intéressés par ses dispositions de droit public, devrait prouver, à l’aide des preuves scientifiques requises, que les mesures qu’il prescrit sont aptes à atteindre les objectifs visés et qu’elles sont, le cas échéant, proportionnées. Jusqu’à présent, cela n’a pas été fait à un degré quelconque. »

  1. l’absence de bénéfice du port de masques et du respect des règles de distance pour les enfants eux-mêmes et les tiers

Pour convaincre le tribunal, l’expert Prof. Kappstein, après avoir évalué l’ensemble de la base de données internationale sur le sujet des masques, a déclaré que l’efficacité des masques pour les personnes en bonne santé en public n’est pas soutenue par des preuves scientifiques.

Dans le verdict, il est dit : « De même, la ‘protection étrangère’ et la ‘transmission inaperçue’, avec lesquelles le RKI a justifié sa ‘réévaluation’, ne sont pas soutenues par des faits scientifiques. La plausibilité, les estimations mathématiques et les évaluations subjectives dans les articles d’opinion ne peuvent remplacer les enquêtes clinico-épidémiologiques basées sur la population. Les études expérimentales sur les performances de filtrage des masques et les estimations mathématiques ne permettent pas de prouver leur efficacité dans la vie réelle. Si les autorités sanitaires internationales préconisent le port de masques dans les espaces publics, elles affirment également que les études scientifiques ne fournissent aucune preuve à cet égard. Au contraire, toutes les preuves scientifiques actuellement disponibles suggèrent que les masques n’ont aucun effet sur l’incidence des infections. Toutes les publications qui sont citées comme preuve de l’efficacité des masques dans les espaces publics ne permettent pas cette conclusion. Cela s’applique également à l’étude dite de Jena, comme l’expert l’explique en détail dans son avis. En effet, l’étude d’Iéna – comme la grande majorité des autres études une estimation purement mathématique ou une étude de modélisation basée sur des hypothèses théoriques sans recherche réelle des contacts avec des auteurs du domaine de la macroéconomie sans connaissances épidémiologiques – ne tient pas compte, comme l’explique en détail l’expert, de la circonstance épidémiologique décisive que les niveaux d’infection ont déjà diminué de manière significative avant l’introduction des masques obligatoires à Iéna le 6 avril 2020 (environ trois semaines plus tard dans toute l’Allemagne) et qu’il n’y avait déjà plus d’incidence pertinente d’infection à Iéna à la fin du mois de mars 2020. »

Les masques ne sont pas seulement inutiles, ils sont aussi dangereux, juge le tribunal : « Tout masque, comme le précise encore l’expert, doit être porté correctement pour être en principe efficace. Les masques peuvent devenir un risque de contamination s’ils sont touchés. Cependant, d’une part, ils ne sont pas portés correctement par la population et d’autre part, ils sont très souvent touchés avec les mains. C’est également le cas des hommes politiques que l’on voit à la télévision. La population n’a pas appris à utiliser correctement les masques, on ne lui a pas expliqué comment se laver les mains en chemin ou comment procéder à une désinfection efficace des mains. Il n’a pas non plus été expliqué pourquoi l’hygiène des mains est importante et qu’il faut veiller à ne pas toucher les yeux, le nez et la bouche avec les mains. La population a été pratiquement laissée seule avec les masques. Non seulement le risque d’infection n’est pas réduit par le port des masques, mais il est augmenté par une manipulation incorrecte du masque. Dans son expertise, l’experte expose ce point en détail, ainsi que le fait et les raisons pour lesquelles il est « irréaliste » de parvenir à une manipulation appropriée des masques par la population. »

L’arrêt poursuit en disant que « la transmission du SRAS-CoV-2 par les « aérosols », c’est-à-dire par l’air, est médicalement invraisemblable et scientifiquement non prouvée. Il s’agit d’une hypothèse basée principalement sur les physiciens des aérosols, qui, selon l’expert, sont incapables d’évaluer les corrélations médicales à partir de leur domaine d’expertise. La théorie des « aérosols » est extrêmement préjudiciable à la coexistence humaine et fait que les gens ne peuvent plus se sentir en sécurité dans les espaces intérieurs, et certains craignent même d’être infectés par des « aérosols » à l’extérieur des bâtiments. Avec la transmission « inaperçue », la théorie de l’aérosol conduit à voir un risque d’infection dans chaque être humain.

Les déclarations modifiées de la politique sur les masques, d’abord les masques en tissu en 2020, puis depuis le début de 2021 les masques OP ou les masques FFP2, manquent de clarté. Même si les masques OP et les masques FFP sont tous deux des masques médicaux, ils ont des fonctions différentes et ne sont donc pas interchangeables. Soit les politiciens qui ont pris ces décisions eux-mêmes n’ont pas compris à quel type de masque convient en principe, soit ils ne sont pas intéressés par cela, mais seulement par la valeur symbolique du masque. Du point de vue de l’expert, les décisions des politiciens en matière de masques ne sont pas compréhensibles et, pour le moins, peuvent être qualifiées d’invraisemblables.

L’expert souligne en outre qu’il n’existe aucune étude scientifique sur l’espacement en dehors des soins médicaux aux patients. En résumé, selon elle, à la conviction de la cour, seules les règles suivantes peuvent être établies à cet égard :

  1. le maintien d’une distance d’environ 1,5 m (1 – 2 m) en cas de contacts vis-à-vis, si l’une des deux personnes présente des symptômes de rhume, peut être décrit comme une mesure raisonnable. Cependant, elle n’est pas prouvée au sens scientifique du terme ; il existe seulement des preuves ou on peut la qualifier de plausible qu’il s’agit d’une mesure efficace de protection contre le contact avec des agents pathogènes par le biais de gouttelettes de sécrétion respiratoire si la personne en contact présente des signes de rhume. En revanche, une distance tout azimut n’est pas utile pour se protéger lorsque l’interlocuteur est enrhumé.
  2. garder une distance totale ou même seulement une distance d’environ 1,5 m (1 – 2 m) si aucune des personnes présentes ne présente de signes de rhume n’est pas étayé par des données scientifiques. Cependant, cela nuit gravement à la coexistence des personnes et en particulier aux contacts insouciants entre enfants, sans aucun avantage apparent en termes de protection contre l’infection.
  3. les contacts étroits, c’est-à-dire à moins de 1,5 m (1 – 2 m), entre élèves ou entre enseignants et élèves ou entre collègues de travail, etc. ne présentent pas de risque même si l’une des deux personnes de contact présente des signes de rhume, car la durée de ces contacts à l’école ou même entre adultes dans un lieu public est beaucoup trop courte pour que la transmission de gouttelettes se produise. C’est également ce que montrent des études portant sur des ménages où, malgré la promiscuité et les nombreux contacts avec la peau et les muqueuses, peu de membres du ménage tombent malades lorsque l’un d’eux souffre d’une infection respiratoire. »

Le tribunal suit également l’évaluation du Pr Kappstein concernant les taux de transmission des personnes symptomatiques, pré-symptomatiques et asymptomatiques. Il écrit :

 » Les transmissions pré-symptomatiques sont possibles, selon elle, mais pas inévitables. Quoi qu’il en soit, selon elle, ils sont nettement plus faibles lorsque des scénarios de contact réels sont évalués que lorsqu’une modélisation mathématique est utilisée.

A partir d’une revue systématique avec méta-analyse sur la transmission du Corona dans les foyers publiée en décembre 2020, elle oppose un taux de transmission plus élevé mais non excessif chez les cas index symptomatiques de 18% à une transmission extrêmement faible chez les cas asymptomatiques de seulement 0,7%. La possibilité que des personnes asymptomatiques, autrefois appelées personnes saines, transmettent le virus n’a donc aucun sens. »

En résumé, le tribunal déclare :  » Il n’existe aucune preuve que les masques faciaux de différents types puissent réduire le risque d’infection par le SRAS-CoV-2, ni même de façon appréciable. Cette affirmation est vraie pour les personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents, ainsi que pour les personnes asymptomatiques, présymptomatiques et symptomatiques.

Au contraire, il est plus probable que le contact encore plus fréquent entre les mains et le visage lors du port du masque augmente le risque d’entrer soi-même en contact avec l’agent pathogène ou d’amener d’autres personnes à entrer en contact avec lui. Il n’existe aucun risque d’infection pour la population normale, que ce soit en public ou en privé, qui pourrait être réduit par le port de masques (ou d’autres mesures). Il n’y a aucune preuve que le respect des exigences de distance puisse réduire le risque d’infection. Cela est vrai pour les personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents. »

Même après les conclusions approfondies de l’expert, le professeur Kuhbandner, selon les motifs du jugement, « il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique de haute qualité que le port de masques faciaux puisse réduire de manière significative le risque d’infection. Selon les conclusions de l’expert, les recommandations du RKI et la ligne directrice S3 des sociétés professionnelles sont basées sur des études d’observation, des études de laboratoire sur l’effet de filtre et des études de modélisation, qui ne fournissent que des preuves faibles et très faibles, car aucune conclusion réellement valable sur l’effet des masques dans la vie quotidienne et dans les écoles ne peut être tirée de telles études en raison de la méthodologie sous-jacente. En outre, les résultats des différentes études sont hétérogènes et les études observationnelles plus récentes fournissent également des résultats contradictoires. »

Le juge déclare :

 » En outre, l’ampleur réalisable de la réduction du risque d’infection par le port du masque dans les écoles est en soi très faible, car les infections se produisent très rarement dans les écoles, même sans masque. En conséquence, la réduction du risque absolu est si faible qu’une pandémie ne peut être combattue de manière pertinente… Selon les explications de l’expert, les chiffres d’infection actuellement prétendument en hausse chez les enfants sont très probablement dus au fait que le nombre de tests chez les enfants a considérablement augmenté au cours des semaines précédentes. Le risque d’infection dans les écoles étant très faible en soi, même une éventuelle augmentation du taux d’infection par la nouvelle variante du virus B.1.1.7 de l’ordre de grandeur retenu dans les études ne devrait pas entraîner une augmentation significative de la propagation du virus dans les écoles. Ce faible avantage est contrebalancé par de nombreux effets secondaires possibles en termes de bien-être physique, psychologique et social des enfants, dont de nombreux enfants devraient souffrir pour prévenir une seule infection. Ceux-ci sont exposés en détail par l’expert sur la base, notamment, du registre des effets secondaires publié dans la revue scientifique Monatsschrift Kinderheilkunde. »

  1. l’inadéquation des tests PCR et des tests rapides pour mesurer l’incidence de l’infection

En ce qui concerne le test PCR, le tribunal écrit :  » Le témoin expert Prof. Kappstein souligne déjà dans son expertise que le test PCR utilisé ne peut détecter que le matériel génétique, mais pas si l’ARN provient de virus capables d’infection et donc capables de se répliquer (= capables de se reproduire).

L’expert Prof. Kämmerer confirme également dans son avis d’expert en biologie moléculaire qu’un test PCR – même s’il est effectué correctement – ne peut fournir aucune information sur le fait qu’une personne est infectée ou non par un agent pathogène actif.

En effet, le test ne peut pas faire la distinction entre la matière « morte », par exemple un fragment de génome totalement inoffensif, vestige de la lutte du système immunitaire de l’organisme contre un rhume ou une grippe (de tels fragments de génome peuvent encore être trouvés plusieurs mois après que le système immunitaire a « traité » le problème) et la matière « vivante », c’est-à-dire un virus « frais » capable de se reproduire.

Par exemple, la PCR est également utilisée en médecine légale pour amplifier l’ADN résiduel présent à partir de résidus de cheveux ou d’autres traces au moyen de la PCR de manière à pouvoir identifier l’origine génétique du ou des auteurs (« empreinte génétique »).

Même si tout est fait « correctement » lors de la réalisation de la PCR, y compris toutes les étapes préparatoires (conception et établissement de la PCR, prélèvement et préparation de l’échantillon et réalisation de la PCR), et que le test est positif, c’est-à-dire qu’il détecte une séquence génomique qui peut également exister dans un ou même le virus spécifique « Corona » (SARS-CoV-2), cela ne signifie en aucun cas que la personne qui a été testée positive est infectée par un SARS-CoV-2 en réplication et est donc infectieuse = dangereuse pour d’autres personnes.

Pour déterminer l’existence d’une infection active par le SRAS-CoV-2, il faut plutôt recourir à d’autres méthodes de diagnostic spécifiques, comme l’isolement des virus réplicables.

Indépendamment de l’impossibilité principale de déterminer une infection par le virus SARS-CoV-2 au moyen du test PCR, les résultats d’un test PCR, selon les explications de l’expert Prof. Dr. Kämmerer, dépendent d’une série de paramètres qui, d’une part, entraînent des incertitudes considérables et, d’autre part, peuvent être délibérément manipulés de manière à obtenir beaucoup ou peu de résultats (apparemment) positifs.

Parmi ces sources d’erreur, il convient d’en distinguer deux frappantes.

L’un d’eux est le nombre de gènes cibles à tester. Ce nombre a été successivement réduit de trois à un, conformément aux spécifications de l’OMS.

L’expert calcule que l’utilisation d’un seul gène cible à tester dans une population mixte de 100 000 tests dont aucune personne n’est réellement infectée donne un résultat de 2 690 faux positifs sur la base d’un taux d’erreur moyen déterminé dans une comparaison interlaboratoire. L’utilisation de 3 gènes cibles ne donnerait que 10 faux positifs.

Si les 100 000 tests effectués étaient représentatifs de 100 000 citoyens d’une ville ou d’un comté dans un délai de 7 jours, cette réduction du nombre de gènes cibles utilisés entraînerait à elle seule une différence de 10 faux positifs par rapport à 2690 faux positifs en termes d' »incidence quotidienne » et, en fonction de celle-ci, de gravité des restrictions à la liberté des citoyens prises.

Si le « nombre cible » correct de trois ou même mieux (comme par exemple en Thaïlande) jusqu’à 6 gènes avait été systématiquement utilisé pour l’analyse PCR, le taux de tests positifs et donc « l’incidence sur 7 jours » aurait été réduit presque complètement à zéro.

D’autre part, ce que l’on appelle la valeur ct, c’est-à-dire le nombre d’étapes d’amplification/doublement jusqu’auquel le test est encore considéré comme « positif », est l’une des sources d’erreur.

L’expert souligne que, selon l’opinion scientifique unanime, tous les résultats « positifs » qui ne sont détectés qu’après un cycle de 35 n’ont aucune base scientifique (c’est-à-dire : aucune preuve). Dans la fourchette des valeurs ct 26-35, le test ne peut être considéré comme positif que s’il correspond à une culture virale. En revanche, le test RT-qPCR pour la détection du SRAS-CoV-2, qui a été propagé dans le monde entier avec l’aide de l’OMS, a été (et à sa suite tous les autres tests qui s’en inspirent) fixé à 45 cycles sans définir une valeur ct pour « positif ».

En outre, la notice d’information de l’OMS à l’intention des utilisateurs de DIV 2020/05 doit être respectée lors de l’utilisation du test RT-q-PCR (n° 12 de la notice légale du tribunal). Ainsi, si le résultat du test ne correspond pas aux constatations cliniques d’une personne examinée, un nouvel échantillon doit être prélevé et un nouvel examen doit être effectué ainsi qu’un diagnostic différentiel ; ce n’est qu’alors qu’un test positif peut être comptabilisé selon ces directives.

Selon l’avis de l’expert, les tests antigéniques rapides utilisés pour les tests de masse ne sont pas non plus en mesure de fournir des informations sur l’infectivité, car ils ne peuvent détecter que des composants protéiques sans aucun lien avec un virus intact et reproductible.

Afin de permettre une estimation de la contagiosité des personnes testées, le test positif respectif (similaire à la RT-qPCR) devrait être comparé individuellement avec la cultivabilité des virus de l’échantillon testé, ce qui est impossible dans les conditions de test extrêmement variables et invérifiables.

Enfin, l’examinateur souligne que la faible spécificité des tests entraîne un taux élevé de faux positifs, qui ont des conséquences inutiles sur le personnel (quarantaine) et la société (par exemple, fermeture des écoles, « notifications d’épidémie ») jusqu’à ce qu’ils s’avèrent être de fausses alertes. L’effet d’erreur, c’est-à-dire un nombre élevé de faux positifs, est particulièrement fort dans les tests effectués sur des individus sans symptômes.

Il reste à préciser que le test PCR utilisé, ainsi que les tests rapides antigènes, comme le prouve l’expertise, ne sont en principe pas adaptés à la détection d’une infection par le virus SARS-CoV-2. En outre, les sources d’erreur décrites et d’autres sources d’erreur avec des effets graves énumérées dans l’avis d’expert, de sorte qu’il n’existe pas de détermination adéquate de l’infection par le SRAS-CoV-2 en Thuringe (et à l’échelle nationale).

En tout état de cause, le terme « incidence » est mal utilisé par le législateur de l’État. Par « incidence », on entend en fait l’apparition de nouveaux cas dans un groupe de personnes défini (testé à plusieurs reprises et, si nécessaire, examiné médicalement) au cours d’une période définie, cf. le point 11 des notes juridiques de la Cour. En réalité, cependant, des groupes de personnes non définis sont testés au cours de périodes non définies, de sorte que ce que l’on fait passer pour une « incidence » ne sont que de simples taux de déclaration.

En tout cas, selon une méta-étude du médecin et statisticien John Ioannidis, l’un des scientifiques les plus cités au monde, publiée dans un bulletin de l’OMS en octobre 2020, le taux de létalité de l’infection est de 0,23 %, ce qui n’est pas plus élevé que pour les épidémies de grippe modérément sévères.

Ioannidis a également conclu, dans une étude publiée en janvier 2021, que les confinements ne présentent aucun avantage significatif.

  1. la violation du droit à l’autodétermination informationnelle par les tests rapides dans les écoles

Le droit à l’autodétermination informationnelle, qui fait partie du droit général de la personnalité énoncé à l’article 2, paragraphe 1, de la Loi fondamentale allemande, est le droit des individus de déterminer eux-mêmes, en principe, la divulgation et l’utilisation de leurs données personnelles. Ces données personnelles comprennent également le résultat d’un test. En outre, le résultat d’un tel test est une « donnée » de santé personnelle au sens du règlement sur la protection des données (DSGVO), qui ne regarde en principe personne.

Cet empiètement sur les droits fondamentaux est également inconstitutionnel. En effet, étant donné les procédures concrètes du processus de test dans les écoles, il semble inévitable que de nombreuses autres personnes (camarades de classe, enseignants, autres parents) aient connaissance d’un résultat de test « positif », par exemple.

Cela s’appliquerait mutatis mutandis si des barrières de test similaires étaient érigées dans le cas de l’accès aux magasins ou aux événements culturels.

En outre, tout test obligatoire des écoliers en vertu de la loi du Land n’est déjà pas couvert par la loi sur la protection contre les infections – indépendamment du fait que cette dernière fait elle-même l’objet de préoccupations constitutionnelles considérables.

Conformément à l’article 28 de l’IfSG, les autorités compétentes peuvent prendre les mesures de protection nécessaires de la manière qui y est spécifiée si des  » personnes malades, des personnes suspectées d’être malades, des personnes suspectées d’être infectées ou des excréteurs  » sont identifiés. Selon le § 29 IfSG, ces personnes peuvent être soumises à une observation et doivent alors également tolérer les examens nécessaires.

Dans sa décision du 02.03.2021, Réf. : 20 NE 21.353, la Cour administrative d’appel de Bavière a refusé de considérer les employés des maisons de retraite comme malades, soupçonnés d’être malades ou excréteurs dès le départ. Cela devrait également s’appliquer aux élèves. Cependant, une classification comme suspect d’être infecté est également hors de question.

Selon la jurisprudence du Tribunal administratif fédéral, est considéré comme suspecté d’être infecté au sens de l’article 2 n° 7 IfSG quiconque a eu un contact avec une personne infectée avec une probabilité suffisante ; une simple probabilité lointaine ne suffit pas. Il est nécessaire que l’hypothèse selon laquelle la personne concernée a ingéré des agents pathogènes soit plus probable que l’inverse. L’élément déterminant pour une suspicion d’infection est exclusivement la probabilité d’un processus d’infection passé, cf. arrêt du 22.03.2012 – 3 C 16/11 – juris marginal n° 31 et seq. Le BayVGH, loc. cit. l’a rejeté pour les employés des professions infirmières. Rien d’autre ne s’applique aux écoliers. »

4 Le droit des enfants à l’éducation et à la scolarisation

En ce qui concerne le droit à l’éducation des enfants, le juge déclare : « Les écoliers ne sont pas seulement soumis à l’obligation scolaire en vertu du droit du Land, mais ont également un droit légal à l’éducation et à la scolarisation.

Cela découle également des articles 28 et 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant, qui est le droit applicable en Allemagne.

Selon ce texte, tous les États contractants doivent non seulement rendre la fréquentation de l’école primaire obligatoire et gratuite pour tous, mais aussi promouvoir le développement de diverses formes d’enseignement secondaire à caractère général et professionnel, les rendre disponibles et accessibles ( !) à tous les enfants et prendre des mesures appropriées telles que l’instauration de la gratuité de l’enseignement et l’octroi d’un soutien financier en cas de besoin. Les objectifs éducatifs de l’article 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant doivent être respectés. »

  1. Résultat

Le juge a résumé sa décision comme suit :

« La contrainte imposée aux écoliers de porter des masques et de se tenir à distance les uns des autres et des tiers porte atteinte aux enfants sur le plan physique, psychologique, éducatif et dans leur développement psychosocial, sans être contrebalancée par autre chose que, au mieux, un bénéfice marginal pour les enfants eux-mêmes ou pour les tiers. Les écoles ne jouent pas un rôle important en cas de « pandémie ».

Les tests PCR et les tests rapides utilisés ne sont pas adaptés en soi, en principe et dans un premier temps, pour détecter une « infection » par le virus SRAS-CoV-2. Ceci résulte déjà des propres calculs de l’Institut Robert-Koch selon les explications des avis d’experts. Selon les calculs de RKI, comme l’indique le professeur Kuhbandner, témoin expert, la probabilité d’être réellement infecté lors d’un résultat positif lors d’un test de masse avec des tests rapides, indépendamment des symptômes, n’est que de 2 % pour une incidence de 50 (spécificité du test 80 %, sensibilité du test 98 %). Cela signifie que pour deux résultats de test rapide vrais positifs, il y aurait 98 résultats de test rapide faux positifs, qui devraient tous être retestés avec un test PCR.

Une contrainte (régulière) de tester en masse des personnes asymptomatiques, c’est-à-dire des personnes en bonne santé, pour lesquelles il n’existe aucune indication médicale, ne peut être imposée car elle est disproportionnée par rapport à l’effet qui peut être obtenu. En même temps, l’obligation régulière de passer le test soumet les enfants à une pression psychologique, car leur capacité à fréquenter l’école est ainsi constamment mise à l’épreuve. »

Enfin, le juge note : « Sur la base d’enquêtes menées en Autriche, où aucun masque n’est porté dans les écoles primaires, mais où des tests rapides sont effectués trois fois par semaine dans tout le pays, les résultats suivants selon les explications de l’expert Prof :

100 000 élèves d’écoles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port de masques pendant une semaine afin d’éviter une seule infection par semaine.

Qualifier ce résultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadéquate. Elle montre plutôt que le législateur de l’État qui réglemente ce domaine est tombé dans une déconnexion factuelle qui a atteint des proportions historiques. « 




France — un célèbre médecin refuse le test : « Savez-​​vous qui je suis ? »

[Source : 20 minutes]

Le célèbre professeur Axel Kahn s’est présenté sans test PCR, à son retour de Belgique. Un policier lui a rappelé la règle, mais le médecin a estimé qu’elle ne s’appliquait pas à lui.

L’information révélée par «Le Canard enchaîné» a fait grincer des dents sur Twitter, et suscité les critiques acerbes des commentateurs les plus avisés. Le célèbre professeur français Axel Kahn s’est tristement distingué lors d’un contrôle dans une gare parisienne. Comme tous les autres voyageurs de retour de l’étranger, la Belgique en l’occurrence, le président de la Ligue contre le cancer devait présenter un test PCR négatif. Mais il n’était pas en mesure de le faire, et pour cause: il n’en avait pas.

Motif? Sa notoriété qui, selon lui, le dispense des mesures imposées au reste de la population: «Vous ne me reconnaissez pas? Je suis Axel Khan!» a-t-il dit au policier, après que ce dernier lui a rappelé la règle qui s’applique à tout le monde. Et le généticien d’argumenter par la suite: «Je m’en fous! J’ai été vacciné parmi les premiers, je n’ai pas besoin de faire de test. Laissez-moi passer», a-t-il poursuivi. Le médecin a finalement eu gain de cause, les policiers ayant décidé de passer l’éponge pour cette fois.

Favorable au confinement

Une fois l’anecdote révélée, Axel Kahn a tout d’abord démenti avant de finalement reconnaître les faits. Mais il réfute un quelconque échange virulent. «Je sais être très exposé du fait de mon exposition médiatique, il y aura une campagne diffamatoire à mon encontre. Peu importe, c’est inévitable. Je préfère par conséquent vous préciser que ce qui s’est passé m’est apparu d’abord plus amusant qu’inquiétant», a-t-il répondu dans un billet publié sur son site, où il raconte la scène en question.

Depuis, cette histoire fait le tour du microcosme parisien. Un ministre du gouvernement français, préférant garder l’anonymat, a ainsi dénoncé une attitude «très moyenne, venant de quelqu’un qui passe son temps à donner des leçons».

En février dernier, le célèbre médecin avait notamment appelé à un reconfinement général en lieu et place du couvre-feu. Plus récemment, il avait estimé que les restrictions actuellement en place en France n’avaient «que très peu d’effets» sur la circulation du virus.




Québec : exemple de désinformation et de foi aveugle en la «vaccination» par un «journaliste» de média mainstream

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Par Julie Lévesque

[Extraits]

La propagande vaccinale atteint des sommets inégalés et [le journaliste] Patrick Lagacé est l’un de ses chantres. Il ne rate pas une occasion de nous chanter les louanges de la « vaccination » et de désinformer le citoyen moyen qui ne prend pas le temps de vérifier ce que disent les apôtres de l’injection divine.

(…)

La chronique de Patrick Lagacé « Oui au passeport vaccinal » publiée le 24 avril 2021 contient plusieurs manquements à la déontologie journalistique telle que décrite dans le Guide de déontologie des journalistes de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec.

Notez que les termes « vaccin » et « vaccination » seront employés ici avec parcimonie puisque les produits pharmaceutiques dont il est question dans la chronique ne sont pas des vaccins. Les termes « thérapie génique », « injection » et « traitement » étant plus appropriés, leur emploi sera privilégié.

Monsieur Lagacé manque totalement de rigueur, fait plusieurs fausses affirmations et des déclarations qui ne sont pas appuyées par des faits ou des statistiques. De plus, son discours est totalement incohérent.

Il affirme :

« La réticence vaccinale est un problème : en CHSLD, seulement 62 % des employés sont vaccinés. Cela favorise les infections de personnes vaccinées – même vaccinée, une personne âgée a un système immunitaire plus vulnérable – en CHSLD. »

D’abord sur quoi M. Lagacé s’appuie-t-il pour affirmer que si « seulement 62 % des employés sont vaccinés, [c]ela favorise les infections de personnes vaccinées »? Cette affirmation semble tout à fait gratuite et non factuelle.

De plus, M. Lagacé admet que les personnes « vaccinées » peuvent tout de même être infectées. Comment peut-il ensuite justifier l’injection de masse et l’instauration d’un « passeport vaccinal », sachant que ces injections auraient pour seul effet d’empêcher les formes graves de la maladie? Quel intérêt ont les personnes qui ne sont ni âgées ni vulnérables à recevoir une injection?

Les thérapies géniques et autres injections n’empêcheront « probablement pas » l’infection ni la transmission, selon ce qui est clairement écrit dans un article d’Alice Girard-Bossé paru dans La Presse le 2 décembre 2020, « Pas de retour à la “normale” automatique ».

L’article cite de nombreux experts dont aucun ne connaît l’efficacité des traitements injectables contre la COVID. Certains s’inquiètent même que ces traitements, au lieu de prévenir la transmission, l’augmentent :

« Le vaccin n’empêchera probablement pas d’attraper la COVID-19, il diminuera plutôt les risques de développer des symptômes graves de la maladie. Les personnes vaccinées seront possiblement asymptomatiques, mais pourront toujours transmettre le virus.

“Les données annoncées démontrent que le vaccin est efficace pour réduire la sévérité de la COVID-19, mais on ne sait pas s’il prévient l’infection”, affirme Benoit Mâsse, professeur à l’École de santé publique de l’Université de Montréal. C’est le cas des études sur les vaccins de Johnson & Johnson, Pfizer-BioNTech, Moderna et Oxford-AstraZeneca […]

“Le vaccin pourrait avoir un effet au niveau pulmonaire, mais ne pas avoir d’effet sur la capacité du virus à se transmettre”, explique Nathalie Grandvaux, chercheuse au laboratoire de recherche sur la réponse de l’hôte aux infections virales du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). Si c’est le cas, la personne vaccinée sera protégée de la maladie, mais pourra toujours contaminer les autres […]

“Il faut vraiment protéger les plus vulnérables, parce qu’on ne sait pas jusqu’à quel point le vaccin peut permettre d’éliminer la transmission.” Le DNicholas Brousseau, de l’INSPQ

La vaccination pourrait toutefois avoir des effets pervers. Un vaccin qui réduirait seulement la gravité de la maladie pourrait augmenter les risques de transmission, puisque les personnes vaccinées deviendraient asymptomatiques, ce qui faciliterait la transmission communautaire, indique M. Mâsse. » (Soulignements ajoutés)

Par ailleurs, le Dr Anthony Fauci lui-même l’a déclaré en entrevue récemment :

« Actuellement nous ne sommes pas certains de la protection contre l’infection, parce qu’il est concevable que vous vous fassiez vacciner, que vous soyez exposé, que vous soyez infecté sans le savoir parce que le vaccin vous protège des symptômesmais vous pourriez être porteur du virus dans votre nasopharynx, donc c’est pourquoi nous disons que jusqu’à ce que nous prouvions que le vaccin prévient la transmission, les gens qui sont vaccinés devraient porter un masque en présence de personnes vulnérables à l’infection. »

Donc, selon Anthony Fauci, la preuve que le vaccin empêche la transmission n’a toujours pas été établie.

En ce qui a trait à l’utilité du « vaccin », il est clairement écrit dans l’article de Mme Girard-Bossé qu’il n’immunise pas contre le SARS-CoV-2 :

« L’utilité du vaccin

À quoi sert donc un vaccin qui ne nous immunise pas ? “À désengorger les hôpitaux et à alléger le poids de la COVID-19 sur le système de santé”, explique M. Mâsse. Il précise que si la majorité des cas deviennent asymptomatiques, ce sera beaucoup plus facile à gérer pour les systèmes de santé. »

La réussite de la vaccination repose donc sur le fait que la grande majorité des personnes vulnérables soient vaccinées. » (Soulignements ajoutés)

La « vaccination » ne sert donc pas à immuniser mais plutôt à « désengorger les hôpitaux », et sa réussite repose sur la « vaccination » de « la grande majorité des personnes vulnérables ».

Bref, il n’a pas encore été prouvé que ces traitements préviennent la transmission, donc prôner un « passeport vaccinal » est totalement injustifié sur le plan scientifique et déraisonnable sur le plan éthique puisqu’une telle politique rendrait de facto la « vaccination » obligatoire dans le seul et unique but de palier le désinvestissement dans le système de santé qui dure depuis des décennies.

Par ailleurs, voici ce que dit l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) à propos de la COVID-19 dans un document intitulé « Nouveau coronavirus (2019-nCoV) : conseils au grand public – En finir avec les idées reçues » :

« La plupart des personnes qui contractent la COVID-19 en guérissent

La plupart des personnes qui contractent la ‎COVID-19 ont des symptômes bénins ou ‎modérés et peuvent guérir grâce à un ‎traitement de soutien. » (Soulignements ajoutés)

La COVID-19 est donc, selon l’OMS, une maladie généralement bénigne.

Il convient de rappeler ce que dit l’objet de la Loi sur la santé publique. Il est très clair qu’elle vise « la population en général » :

« CHAPITRE I

OBJET DE LA LOI

La présente loi a pour objet la protection de la santé de la population et la mise en place de conditions favorables au maintien et à l’amélioration de l’état de santé et de bien-être de la population en général. » (Soulignements ajoutés)

L’urgence sanitaire, elle, s’applique uniquement lorsqu’une « menace grave à la santé de la population » en général est « réelle » ou « imminente » :

« SECTION III

DÉCLARATION D’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE

118. Le gouvernement peut déclarer un état d’urgence sanitaire dans tout ou partie du territoire québécois lorsqu’une menace grave à la santé de la population, réelle ou imminente, exige l’application immédiate de certaines mesures prévues à l’article 123 pour protéger la santé de la population. » (Soulignements ajoutés)

Nous l’avons vu, l’OMS considère la COVID-19 comme une maladie bénigne ou modérée pour « la plupart des personnes », donc l’urgence sanitaire est injustifiée.

Parmi les mesures prévues à l’article 123 figure « la vaccination obligatoire de toute la population ». Or, cette mesure ne peut s’appliquer qu’à certaines conditions.

Le Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada stipule dans Les règlements reconnus par la loi touchant la relation médecin-patient :

« Traitement et mesures de prophylaxie obligatoires

Les conditions dans lesquelles le traitement est obligatoire figurent sur la liste dressée par le ministre de la Santé. Cette liste comprend uniquement les « maladies ou infections contagieuses médicalement reconnues comme pouvant constituer une grave menace à la santé d’une population et pour lesquelles un traitement efficace pour mettre un terme à la contagion est disponible. » (Soulignements ajoutés)

La COVID-19 ne menace pas la santé de la population en général, mais bien les personnes âgées et les personnes vulnérables, comme le démontre Jay Bhattacharya, MD, PhD, professeur de médecine de l’Université Stanford dans son rapport d’expert rédigé pour le recours juridique d’Entrepreneurs en actions du Québec contre le gouvernement du Québec.

« En résumé, le COVID-19 ne constitue pas une menace réelle ou imminente grave pour la santé de la population en général, mais seulement pour la santé d’une partie spécifique de la population – les personnes âgées et un nombre limité de personnes souffrant de certaines maladies chroniques. L’âge est le facteur de risque le plus important, avec un taux de survie à l’infection de 99,95 % pour les personnes de moins de 70 ans et de 95 % pour les personnes de 70 ans ou plus. » (Soulignements ajoutés)

De surcroît, le « vaccin » n’est pas « un traitement efficace pour mettre un terme à la contagion », selon les nombreux experts cités plus haut.

En résumé, la COVID-19 ne constituant pas une menace grave pour la santé de la population en général et le « vaccin » n’étant pas « un traitement efficace pour mettre un terme à la contagion », la « vaccination » obligatoire, de facto comme de jure est totalement injustifiée. Dès lors, l’idée du « passeport vaccinal » l’est tout autant.

Sur le plan légal, le passeport vaccinal contrevient à l’article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés :

« 7. Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne; il ne peut être porté atteinte à ce droit qu’en conformité avec les principes de justice fondamentale […]

L’article 7 protège également une sphère d’autonomie personnelle où se prennent des « décisions intrinsèquement privées » qui sont de « l’essence même de ce que signifie la jouissance de la dignité et de l’indépendance individuelles » (Godbout c. Longueuil (Ville)[1997] 3 R.C.S. 844, au paragraphe 66; 

[…] Cet aspect de la liberté comprend le droit de refuser un traitement médical (A.C., précité, aux paragraphes 100 à 102 et 136) et celui de faire des « choix médicaux raisonnables » sans menace de poursuites pénales: R. c. Smith2015 CSC 34 au paragraphe 18. » (Soulignements ajoutés)

Pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, l’idée du « passeport vaccinal » est inconstitutionnelle en plus d’être injustifiée sur le plan scientifique.

En qualifiant de « négationnistes sanitaires » d’« obscurantistes » et d’« égoïstes » les personnes qui revendiquent leurs droits et libertés fondamentaux garantis par la Charte, M. Lagacé manque totalement de rigueur, d’équité et d’ouverture d’esprit.

Il écrit :

« Si – et seulement si – les taux de vaccination ne nous permettent pas d’atteindre l’immunité collective qui protégera la société contre les ravages du virus, ce passeport deviendra sans doute inévitable. » (Soulignements ajoutés)

M. Lagacé ignore visiblement en quoi consiste l’immunité collective. Les traitements injectables contre la COVID-19 n’immunisent pas, comme l’affirmait sa collègue Alice Girard-Bossé dans son article du 2 décembre. M. Lagacé fait donc de la désinformation en affirmant que la « vaccination » pourrait permettre d’atteindre l’immunité collective.

L’article 3 du Guide de déontologie des journalistes du Québec stipule :

« 3 a) Véracité des faits

Les journalistes ont l’obligation de s’assurer de la véracité des faits qu’ils rapportent au terme d’un rigoureux travail de collecte et de vérification des informations. Ils doivent corriger leurs erreurs avec diligence et de façon appropriée au tort causé. » (Soulignements ajoutés)

M. Lagacé contrevient à cet article en ignorant les données scientifiques sur la COVID et en prétendant que la « vaccination » immunise. Son texte constitue de la désinformation.

Il contrevient également aux valeurs fondamentales du journalisme que sont l’équité, qui amène les journalistes à « à considérer tous les citoyens comme égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi », et l’ouverture d’esprit qui « suppose chez [les journalistes] la capacité d’être réceptifs aux réalités qui leur sont étrangères et d’en rendre compte sans préjugés ».

Les termes « négationnistes sanitaires » « obscurantistes » et « égoïstes » ne sont rien d’autre que des préjugés et constituent des propos haineux dirigés vers un groupe identifiable par ses opinions.

En prônant le « passeport vaccinal », Patrick Lagacé incite à la ségrégation médicale.

En terminant, précisons que le Guide de déontologie stipule :

« Dans les genres journalistiques comme les éditoriaux, les chroniques et les billets ou dans le journalisme engagé, où l’expression des opinions prend une large place, les journalistes doivent tout autant respecter les faits. »

Patrick Lagacé ne respecte les faits d’aucune manière pour appuyer son opinion.


À propos de l’auteur

Dès la fin de ses études en journalisme en 2009, elle s’est fait un devoir de critiquer la désinformation et la propagande de guerre dans les médias occidentaux. Elle a travaillé 6 ans pour Global Research et Mondialisation.ca [version francophone de Global Research], l’un figurant sur la liste Prop or Not du Washington Post, l’autre sur le Décodex du Monde [Ndlr : vérificateurs de la conformité à la « pensée unique »].




Démarche pour se libérer de la crise covidienne

[Source : Deseille Michel]

Le message délivré dans la vidéo

Pour participer à l’amélioration de la situation terrestre :

Aperçu de la crise mondiale :

  • Crise économique qui s’aggrave depuis 2008 ;
  • Plusieurs camps s’affrontent ;
  • Des batailles perdues ou gagnées par l’un ou l’autre camp dépendra l’éventuelle explosion du système économique en 2021 (toutes les conditions sont réunies pour cela) ;
  • Cela amènera l’émancipation ou l’asservissement de l’Humanité, selon le cas.

Vers une dictature mondiale :

S’il n’y a pas de réveil [par un travail intérieur comme exposé ci-dessus].

Etc.

« « Il n’est pas temps que la peur change de camp » : cette phrase est sans sagesse ; il est temps que la peur quitte le cœur des Hommes avant qu’elle ne les tue jusqu’au dernier. » [Car même les élites ont peur. Elles ont peur des foules.]

« Soyez le plus détaché possible des émotions. Entraînez vos esprits à trier le bon grain de l’ivraie. Soyez lucide. Et lorsque le temps de l’action est là, soyez déterminé. »




Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?

[Source : AgoraVox]

par L’étrangère

Nous sommes toutes et tous manipulables.

Doués d’émotions, conditionnés depuis notre naissance, nous voguons à chaque instant dans une réalité virtuelle où nos illusions (la plupart du temps inconscientes), remplacent le plus souvent la réalité de nos existences. Ce que nous voyons ou pensons est, pour une large majorité du temps, une projection déformée de cette réalité.

Nous avons construit nos croyances et nos certitudes sur la base de connaissances distillées par des êtres plus ou moins bien intentionnés, nous piégeant ainsi dans une prison mentale dont il est difficile de s’extraire.

Il est toujours plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils se font fait tromper.

Les techniques de manipulations, les répétitions d’images, de mots, jouent un rôle important dans ce qui s’en vient. Car, après réflexion, j’ai le sentiment que le Covid est un exercice de préparation mentale.

« Encore un article de complotiste » diront certains. Peut-être. Peut-être pas. Je ne fais que conjecturer ici.

La genèse de ma petite bafouille est liée à une des dernières vidéos de Project Veritas (https://www.youtube.com/watch?v=Dv8Zy-JwXr4). Le sujet principal concerne la propagande anti-Trump déployée par CNN durant la dernière campagne présidentielle mais, ce qui m’a surtout interpelé, c’est l’aveu concernant l’utilisation de « narratif » par les médias et que le prochain concernerait la crise du « changement climatique ».

On peut même parier que le mot changement sera très prochainement renommé en « urgence ». Il faut bien faire sonner l’alarme de catastrophe imminente dans toutes les têtes.

Mettons quand même les choses au clair : Je ne nie pas que le dérèglement climatique existe. Comme je ne nie pas que le Covid 19 existe.

En revanche, l’histoire que l’on nous raconte sur ces deux réalités, dont l’origine de ces crises, est peut-être légèrement, voire beaucoup, « bidouillée » pour arriver à des fins très utiles pour certains.

Ce qui m’a fait tilt c’est de rapprocher la vidéo de Project Veritas à un des derniers articles du voyant Attali (https://www.attali.com/coronavirus-2/la-pandemie-et-apres/). Outre le fait d’apprendre que nous allons devoir subir beaucoup de piqures, nous découvrons surtout que nous devons nous préparer aux prochaines menaces imminentes (tu la sens monter la peur, tu la sens ?).

Le forum de Davos qui avait participé à la répétition générale d’une pandémie en Octobre 2019 avec l’Event 201 (https://www.weforum.org/press/2019/10/live-simulation-exercise-to-prepare-public-and-private-leaders-for-pandemic-response/), est désormais tout orienté vers cet autre enjeu majeur pour 2021 : « Mais malgré les retombées inévitables de COVID-19, ce sont les questions liées au climat qui constituent l’essentiel de la liste des risques de cette année, que le rapport décrit comme « une menace existentielle pour l’humanité ». » (https://fr.weforum.org/agenda/2021/01/voici-les-plus-grandes-menaces-mondiales-de-2021/).

Et puis Biden et la clique de mondialistes corrompus ont organisé il y a quelques jours un sommet sur le climat. Si en France le Covid tient encore la population bien sagement à la maison, sourires figés derrière les masques, aux Etats-Unis, par exemple, certains Etats ayant repris une vie quasi normale, il faut donc vite remplacer le joujou cassé par un nouveau pour garder la masse des esprits concentrés sur une thématique effrayante.

On apprend que la pandémie a exacerbé les effets dévastateurs du réchauffement climatique (tu la sens monter la peur, tu la sens ?) et qu’il faut donc mettre tout en œuvre pour lutter contre ce fléau (https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20210421-pas-de-r%C3%A9pit-en-temps-de-pand%C3%A9mie-pour-le-r%C3%A9chauffement-climatique).

Notre cher Président Macron (si si, il nous coûte très cher) a d’ailleurs récemment twitté que la Finance serait notre alliée (https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1385243093927092230) pour la lutte (finale ?). Rien de moins étonnant pour un ancien banquier.

Factuellement donc, toutes les grandes instances mondiales se mettent en marche pour lutter contre la prochaine plaie qui s’abattra sur le monde.

Et c’est là que le Covid vient tenir son rôle.

Evidemment dans l’histoire de la pandémie il avait le 1er rôle, mais une pandémie ça ne peut pas durer éternellement et comme on a quand même sacrément investi sur lui, on va pas le mettre à la poubelle. Allez Covid tu continues à jouer mais en deuxième ligne.

Une pandémie, c’est utile, c’est pratique car d’un cela permet de se faire un max de thunes rapidement (surtout qu’on nous annonce qu’il faut finalement beaucoup, beaucoup vacciner : 3 doses au lieu de 2 et tous les 6 mois s’il vous plait), de deux cela permet de mettre les gens en condition pour vivre à fond la prochaine histoire qui fait peur. Bouh !

Car pourquoi autant de confinements alors que rien ne prouve factuellement que cela a un impact sur l’épidémie (la Suède, la Corée du Sud sont des contre-exemples) ?

Pourquoi une accélération du contrôle total de la population dans les pays les plus « pollueurs » ?

Ce n’est certes qu’une hypothèse mais je crois qu’avec les restrictions imposées pour la gestion (catastrophique) de la crise sanitaire, on prépare en fait les esprits à accepter les nouvelles règles de vie à venir qui seront imposées sous le prétexte ultime de « sauver la planète ».

Pour sauver la planète il faudra renoncer à certains plaisirs (ski, consommation de biens non essentiels).

Pour sauver la planète il faudra accepter de se confiner 2 fois par an pour faire baisser le taux de CO2 (qui deviendrait le nouveau taux d’incidence).

Pour sauver la planète il faudra accepter une dépopulation.

Pour sauver la planète il faudra accepter d’être contrôlé tout le temps pour s’assurer qu’on ne nuit pas à notre mère nourricière la Terre.

Vous avez aimé être culpabilisé pour sauver vos papis et mamies et pour ces pauvres âmes en réanimation ? Vous allez adorer porter le lourd fardeau du sort de la planète sur vos épaules !

Les médias joueront ici encore une fois leur rôle de haut-parleur pénible mais efficace, rabâchant matin midi et soir ce qu’il faut croire et penser. Une déformation de la réalité mais pour qui ? Pour quoi ?

C’est le moment de l’article pour faire fonctionner son imaginaire si fertile…

Pas de solution pour échapper aux contes effrayants et mortifères ?

Si bien sûr ! Tout est question de choix.

Ce qui peut marcher (par expérience) :

  1. éteindre la télé et la radio (on s’informe en lisant) et utiliser ce nouveau temps libre pour respirer, méditer, reprendre contact avec la (sa) vraie nature.
  2. réfléchir sur la place de ses croyances et le rôle de l’autorité (parentale, institutionnelle) dans sa vie.
  3. lister ce qui est important dans sa vie, ce qui (nous) fait du bien. Poser à l’écrit avec des mots bien choisis la trame qui sert de repère quand les nuages s’amoncellent parfois.

Refaire lien avec l’humain car si les politiques et médias, marionnettes du pouvoir caché, cherchent autant à nous diviser à coup de différences de couleur de peau, de religions, de genres, et autres cases de prison, c’est uniquement parce que si nous comprenons enfin notre interconnexion et interdépendance alors aucune histoire qu’ils nous vendraient de force n’aurait de prise sur nous. On pourrait être libre d’être.