Les Français ne peuvent plus compter que sur eux-mêmes et sur leur mobilisation — Rémi Tell

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Co-fondateur du collectif Peuple Libre, créé en mai dernier, Rémi Tell revient nous parler de l’évolution des événements, tant sur le plan sanitaire que sociétal et politique. 

Souvent remarqué aux côtés du président des Patriotes Florian Philippot, il se dit fier de savoir joindre ses forces aux siennes pour lutter contre « l’ennemi » commun, un ennemi qu’il juge profondément corrompu, notamment par l’industrie pharmaceutique. Pour illustrer ses propos, il reprend l’exemple du remdesivir, d’une pétition de soignants pour la vaccination obligatoire, ou encore de la façon dont Emmanuel Macron est devenu millionnaire avant d’être élu président. Selon lui, retrouver nos libertés et ainsi redonner naissance au débat démocratique est une priorité. C’est ce qui permettrait ensuite à chacun de pouvoir reprendre son chemin pour reconstruire la société sur des bases saines.



Cela passe nécessairement par les manifestations, car « les garde-fous traditionnels sont tombés ». En plus de ces rassemblements auxquels il participe régulièrement, Rémi Tell souligne les effets importants qu’a eu le boycott sur les restaurants, les salles de sport ou les cinémas pendant l’été, et invite tout le monde « au courage » pour continuer la lutte. Selon lui, il en va « de l’avenir de nos enfants, de notre humanité, de notre civilisation, de notre rapport plurimillénaire au bien et au mal, à la vérité. »

Voir aussi : Le Collectif Peuple Libre, une nouvelle mobilisation

Auteur(s): FranceSoir




De l’empire britannique au IVème Reich

[Source : valeriebugault.fr]

Par Valérie Bugault

Le globalisme financier, véritable intégrisme commercial, comme origine des Guerres Mondiales d’hier et de demain

I°) Bref rappel du déroulé des séquences historiques depuis les Révolutions du XVIIIème siècle

Du point de vue politique, à partir des velléités impériales d’Olivier Cromwell1, ce qui deviendra l’empire britannique a étendu son emprise sur le monde via le développement du système des banques centrales, du parlementarisme représentatif et du droit anglo-saxon (qui tourne autour des seuls axes commerciaux et maritimes). Il faut immédiatement rappeler que ce « droit anglo-saxon » s’était émancipé du principe de droit continental à partir de 1531 (naissance de l’Église anglicane sous le règne du Roi Henri VIII), transformant sa vocation initiale, qui était d’organiser les conditions de la vie en commun, en « arme de contrôle des populations » aux mains des puissants.

Olivier Cromwell a initié le principe de Commonwealth, sorte de République commerciale universelle rattachée à la Couronne2 en utilisant sa boîte à outil faite d’anonymat, d’opacité, de théâtre politique (via le parlementarisme dit représentatif), afin d’établir les ferments de ce qui deviendra (est d’ores et déjà devenu !) l’hégémonie capitalistique et apatride de la haute finance anglo-saxonne. Précisons immédiatement que c’est donc bien le modèle capitalistique hollando-britannique qui s’est imposé, aux dépens du modèle rhénan de la cogestion et de ce qui aurait pu devenir le modèle français de la codécision (la participation).

C’est précisément ce rapport de force politique qui a généré l’obsession des tenanciers économiques à imposer une nouveau modèle impérial appelé « Gouvernement mondial » afin de réduire drastiquement l’humanité et de mettre en esclavage les rares survivants. Cet esclavage prendra la forme de la fusion des identités biologique et numérique, c’est-à-dire du contrôle des moindres actes et pensées des Hommes, ce qui n’a rien de commun avec toutes les tyrannies que nous avons historiquement connues.

Il est bien ici question de fin de l’humanité en ce qu’un Homme a toujours pu conserver, par définition et quel que soit par ailleurs son statut social, son autonomie de pensée ainsi que sa liberté de discernement et de conscience. Il est ici question de retirer à l’humanité ce qui est sa caractéristique première.

Du point de vue géopolitique, je passerai rapidement sur toutes les étapes intermédiaires suivis par les tenanciers économiques anglo-saxons dans leur longue marche vers l’hégémonie mondiale ; ces étapes, tout à fait décisives, ont consisté à imposer une dialectique mondiale capitalisme/communisme alors qu’ils étaient à l’origine de ces deux idéologies et que ces termes ont été connotés dans le sens que les médias dominants à leur solde se sont ingéniés à imposer dans l’inconscient collectif. Pour clarifier les débats il faut donc préciser deux choses :

  • Par « capitalisme », il faut entendre le modèle hollando-britannique, véritable imposture politique, juridique et économique ;
  • Par « communisme », il faut entendre un modèle dans lequel les hommes sont empêchés de produire, de vivre librement et dans lequel les richesses sont accaparées par un petit groupe d’apparatchiks/bureaucrates aussi inutiles que néfastes en termes de développement social.

Sans cette domination de l’empire britannique, aussi sournoise qu’impitoyable, il aurait été loisible de considérer d’autres modèles de développement. Ou plutôt nous aurions alors pu élaborer un modèle de développement pérenne, favorable tant au niveau individuel qu’au niveau collectif, alors que le modèle britannique nous menait directement et sans échappatoire possible à une impasse économique, sociale et politique.

En particulier, nous aurions pu développer, sur le modèle de la doctrine sociale de l’Église du XIXème siècle, un schéma de développement économique dans lequel l’accaparement est rendu impossible et dans lequel la force de travail, tant matérielle qu’immatérielle, a un statut social équivalent à l’apport de capital.

C’est exactement ce modèle que je propose de suivre à nouveau à l’occasion de ma réforme des institutions3 : il s’agit de revenir sur la bifurcation du « tout commercial » que nous avons subi, à notre corps défendant depuis la vague de Révolution colorées survenues au cours du XVIIIème siècle, afin de reprendre le chemin de la Civilisation européenne, duquel nous nous sommes depuis trop longtemps écarté, chemin pavé de justice, de vérité et de recherche d’équilibre.

Au-delà de l’Europe de l’Ouest, véritable base arrière de la domination de la finance britannique, et des autres continents dominés, il s’est produit l’impensable du côté asiatique. Depuis l’arrivée de Xi Jinping au pouvoir, les représentants de la finance apatride issus de l’empire britannique ont commencé à comprendre qu’ils étaient en phase de perdre leur emprise financière, morale et commerciale sur la Chine.

Ces partisans de l’hégémonie globale se sont donc apprêtés, dès cette époque, à livrer un combat à l’empire continental eurasiatique renaissant. L’OTAN a donc déclaré la Chine principale menace.4

II°) État des lieux de l’aFrance en août 2021

Comme je l’ai déjà maintes et maintes fois expliqué, il se trouve que, depuis le 16 mars 2020, les institutions françaises ont été mises en suspens par Macron, en tant que Chef d’État, chef des armées et représentant du pouvoir exécutif français.

Il en résulte que nos institutions officielles, celles qui sont parties prenantes aux Traités européens, à l’OTAN, à l’OMS, à l’OMC… sont de jure et de facto en cessation d’activité ; nous nous trouvons dans un vide juridique institutionnel dans lequel les fonctions régaliennes sont captées par des instances illégitimes. Officiellement notre pays a disparu des radars du droit international public, les fonctions régaliennes de l’État sont détournées de leur mission pour être mises au service d’un obscur Conseil de Défense sanitaire qui n’a ni base juridique satisfaisante, ni légitimité politique. Nous assistons à un détournement d’État, un abus de droit public international !

Ce détournement des institutions, fait de l’intérieur par le pouvoir en place, n’a été possible que parce que les institutions françaises ne fonctionnaient plus dès avant leur suspension. Ainsi, tout le théâtre politique instauré par le « parlementarisme » dit représentatif apparaît maintenant aux yeux de tous pour ce qu’il est réellement depuis toujours : une imposture politique.

A°) Dès lors, la question qui se pose est : que va-t-il advenir de l’État français ?

La réponse à cette question est binaire : soit la France évolue sur le modèle initié au XVIIIème siècle, et disparaît définitivement en tant qu’entité autonome pendant que les Français sont réduits en esclavage. Soit les Français se montrent capables, comme ils l’ont déjà fait dans leur Histoire, d’un improbable sursaut et arrivent, collectivement, à imposer une bifurcation institutionnelle et à retrouver la route de leur évolution civilisationnelle sur son modèle millénaire.

La réponse ne peut être que binaire car les deux orientations, radicalement opposées l’une à l’autre, relèvent d’un basculement ou non du rapport des forces sociales et politiques en jeu. Le basculement, s’il a lieu, ne peut qu’être total car les tenanciers de l’hégémonie financière ne pourront se contenter de partager un pouvoir qu’ils exercent de manière absolue depuis maintenant quelques 250 ans.

B°) Les conséquences géopolitiques de la réponse qui sera apportée à la question de l’avenir institutionnel de la France

Dans l’optique ou les forces globalistes emportent le combat institutionnel, nous assisterons, à une revivification des instances européennes fédéralistes ; d’ores et déjà nous connaissons l’EuroGendfor5, mais nous allons assister à la naissance de l’Euroforce6. Ces deux forces « européennes » qui resteront rattachées, de loin, à l’OTAN via les Traités européens, seront et sont déjà l’occasion inespérée pour les forces globalistes de légitimer, légaliser et recycler les mercenaires du Stay Behind (Cf. Daniele Ganser « Les armées secrètes de l’OTAN »), qui œuvrent, partout en Europe, sous couverture et qui ne rendent de comptes qu’à leur réel donneur d’ordre, c’est-à-dire les forces financières qui ont pris le contrôle de l’occident. Le statut juridique de ces forces en termes de responsabilité ne sera pas modifié, car elles ne continueront à ne rendre de comptes qu’à la Haute Finance qui contrôle de facto et de jure les instances européennes.

A cela s’ajoute le spectre hautement dangereux d’une fusion de cette Union Européenne renforcée avec l’Intermarium7, alors même que cette organisation se revendique officiellement de l’idéologie nazie.

Avec un peu de recul, il est aisé de considérer que l’histoire se répète car les conditions qui ont donné naissance au IIIème Reich se trouvent à nouveau réunies : la toute-puissance de la haute finance (qui via la création de la Banque des Règlements Internationaux avait financé les préparatifs et l’économie de guerre d’Hitler) va ainsi réussir à créer un IVème Reich, base arrière de leur future guerre contre le bloc Chine-Russie, c’est-à-dire contre le continent eurasiatique en tant que force politique terrestre renaissante (qui pourra donc s’opposer au contrôle absolu, par les puissances globalistes, des voies de commerce maritimes).

III°) Quelques questions à se poser

J’attire votre attention sur plusieurs phénomènes.

A°) Transformation de l’État…

Le premier phénomène est le suivant : pourquoi les dirigeants de l’État ont-ils eux-mêmes, de leur propre chef, mis fin à l’existence juridique de cet État ? Car enfin, l’État peut être contesté, mais alors il s’agit d’une contestation qui ne peut venir des équipes dirigeantes. Or, nous avons assisté à la négation de l’État par ceux-là mêmes qui le dirigeaient sans que ces derniers ne soient en aucune façon gênés par des contre-pouvoirs inexistants. Ces dirigeants ont donc eu une bonne raison, bien que non avouée, pour mettre fin à cet État… Quelle meilleure raison pouvons-nous imaginer que la transformation de la structure juridique en une structure différente, d’une autre nature ?

En l’occurrence, je vous invite à vous rappeler le tropisme non dissimulé et parfaitement assumé de Macron pour les institutions européennes ainsi que sa volonté avouée et décomplexée de partager notre puissance nucléaire avec l’Allemagne (pays sous le joug des mêmes forces financières dominantes que la France !). Il faut aussi rappeler la récente signature du Traité d’Aix-la-Chapelle8, créant la première région européenne.

Or quoi de plus simple que de faire basculer l’État français, qui de facto et de jure n’existe plus (puisque l’équipe en place s’est préalablement assuré de sa disparition), vers cette superstructure a-nationale fédérale et contrôlée par les puissances financières ?

B°) … Au moyen de la mise en œuvre de la stratégie de la tension par le pouvoir exécutif

Je voudrais également que vous réfléchissiez sur le phénomène récurrent (tellement récurrent que l’on peut maintenant considérer qu’il s’agit d’un mode permanent d’administration des populations), selon lequel le Président (ce qui sert de Président) affirme positivement et publiquement qu’il n’ira jamais contre l’intérêt des Français – par exemple qu’il n’imposera jamais le port du masque généralisé ou qu’il ne rendra jamais obligatoire l’injection expérimentale – avant que le gouvernement ne revienne, quelques semaines plus tard, sur cette affirmation et impose des brimades et des punitions inimaginables dans un État de droit.

  • Au passage, j’insiste sur le fait que nous devrions tous nous inquiéter lorsque le Président manifeste publiquement qu’il ne portera pas atteinte à nos intérêts ! Une telle assertion devrait être plus que superfétatoire tant elle devrait « aller de soi », inutile donc de la préciser. Cette attitude est, en soi, très problématique et devrait nous inviter à interroger ses finalités… –

La dernière brimade en date, sous forme de véritable provocation, faite aux français concerne les forces de l’ordre.

L’équipe au pouvoir avait dans un premier temps assuré que les forces de l’ordre ne feraient pas l’objet d’une injection expérimentale forcée.

Or le 24 août dernier, Darmanin, qui sert de ministre de l’intérieur, vient affirmer que si le taux d’injection volontaire n’augmentait pas significativement parmi les forces de Police9, ces dernières se verraient contraintes à une injection forcée.

[Ndlr : autant au Québec ou au Canada de manière générale qu’en France, dès qu’un gouvernement prétend qu’il ne fera pas telle chose, il nous a démontré depuis au moins un an et demi qu’en fait il le fera certainement.]

Rappelons que la gendarmerie avait reçu sa punition de la contrainte d’injection avant la Police10 puisque nous apprenions le 19 août que les gendarmes devraient tous être injecté avant le 15 septembre.11

Auparavant, et dès la loi du 5 août 2021 (extrêmement contestable et néanmoins validée sans état d’âme par le Conseil Constitutionnel) c’était le corps des pompiers qui était contraint à l’injection obligatoire.12

Finalement, on constate que la stratégie de la division n’ayant pas suffi à soulever les Français contre leurs forces de l’ordre et la gendarmerie contre la police, le pouvoir exécutif change de stratégie pour punir tout le monde.

La méthode de gouvernement utilisée n’est pas sans rappeler les techniques utilisées par la CIA pour le contrôle mental (projet MK Ultra) consistant à créer un climat de terreur permanent et généralisé (la crainte du virus) pour ensuite se montrer partiellement clément et finalement, dans un troisième et dernier temps, punir sévèrement les victimes ciblées. L’objectif de ces manœuvres frauduleuses est de générer sidération, confusion et culpabilisation au sein des populations, de sorte qu’elles deviennent incapables de réactions, que leurs velléités d’auto-défense soient définitivement neutralisées.

Enfin, il faut ajouter pour une vue exhaustive de la situation, que le gouvernement utilise à nouveau la délation comme mode de gouvernement ; ce qui n’est pas sans rappeler les techniques de gestion du peuple français sous occupation nazie13 : « Délation 2.0 : La plateforme de la répression des fraudes s’est enrichie d’un nouvel onglet spécial « Covid ». Il est désormais possible de dénoncer son entreprise et le commerçant du coin qui ne se plieraient pas aux injonctions Covidesques d’un simple clic »).

C°) L’objectif recherché par le pouvoir exécutif

Le gouvernement fait monter la pression sociale pour maximiser les chances d’aboutir à un chaos généralisé permettant le passage à l’étape d’après : l’intégration européenne à marche forcée… avec légitimation des mercenaires des armées secrètes de l’OTAN recyclés dans l’Euroforce et l’Eurogendfor (déjà réalisé… ou en cours de réalisation avancée).

N’oublions pas qu’au cours du premier trimestre 2022, la France prend officiellement la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne. L’objectif affiché étant de construire une Europe « plus solidaire et plus souveraine »14. Il faut comprendre par là que l’objectif est de renforcer le fédéralisme européen en mettant en œuvre l’imposition commune des entreprise (projet ACCIS de longue date), la probable fédéralisation des dettes d’État (si l’Allemagne joue le jeu…), et les forces de l’ordre fédérales.

L’observateur averti ne peut que s’inquiéter de cette longue « marche », chère au macronisme, vers le IVème Reich.

Il faut en effet se rappeler l’ascendance nazie des institutions de l’Europe fédérale (née de l’esprit prolifique du juriste Walter Hallstein qui deviendra d’ailleurs le premier président de la Commission Européenne15), et rappelons que cette Europe a été bâtie par et pour les multinationales : commencée par la CECA, elle s’est poursuivie par la toute-puissance de la BCE, dont aucun personnel n’est élu par quelque peuple que ce soit, tout en se cachant derrière l’apparence de légitimité populaire issue du Parlement européen qui n’a aucune initiative en matière règlementaire et dont le rôle, bon an mal an, se concentre sur le choix des multinationales bénéficiaires des Directives et autres Règlements.

Les intérêts qui gèrent les institutions européennes sont les mêmes que ceux qui se trouvent être à l’origine du Club de Rome (dont la posture eugéniste est revendiqué et assumé), du Bilderberg (ce groupe fut créé par le prince Bernhard des Pays-Bas, ancien nazi, voir à cet égard16; il fut officiellement impliqué, avec la mafia et la loge P2, dans des attentats sous faux drapeaux du Gladio survenus en Italie), et de Davos (outre les activités nazies du père de Klaus Schwab17, le site même de Davos ayant hébergé des activités nazies18). Ces intérêts, qui sont à l’origine de la montée nazie ayant aboutie au IIIème Reich et à la 2nde Guerre Mondiale, sont dirigés et normés par ceux qui contrôlent la City of London et la Banque des Règlements Internationaux. Ces intérêts sont à nouveau à l’œuvre aujourd’hui pour le renforcement des institutions de « l’Union Européenne » …

Un pas plus loin, le renforcement du fédéralisme européen sera la porte d’entrée à la fusion de ces instances, dominées par la Haute finance anglo-saxonne, avec l’organisation appelée « Intermarium »19, laquelle est ouvertement dirigée contre la Russie et revendique officiellement et sans complexe la doctrine et l’idéologie nazie… Le mot d’ordre de l’Intermarium est « Reconquista » ! De quelle « reconquête » peut-il bien s’agir dans le contexte où les pays membres de l’Intermarium n’ont strictement aucun problème d’immigration ?

La France en suspension administrée par l’équipe Macron et sous le contrôle des forces financières globales nous mène donc « En marche » vers le nazisme « toutes tendances » confondues et la destruction de l’Humanité via la 3ème Guerre Mondiale…

IV°) Conclusion

La perspective que la mafia globaliste a concoctée pour nous est la terreur et le génocide intérieurs (via l’arme biologique des prétendus vaccins qui ne sont que des injections expérimentales à vocation génétique), lesquels seront suivie pas une inéluctable guerre mondiale qui verra s’opposer l’UE nazie (sous couverture de l’OTAN et sous la direction et le contrôle des forces de la City) au bloc eurasiatique Chine-Russie et leurs alliés.

Grosso modo les protagonistes de cette ultime guerre contre l’Humanité seront l’empire maritime contre un empire continental renaissant.





Dans le prolongement de ses positions exprimées cet été, le groupe socialiste du Sénat prépare un texte pour rendre la vaccination pour tous contre le covid-19 obligatoire

[Source : nicolasbonnal.com]

Dans le prolongement de ses positions exprimées cet été, le groupe socialiste du Sénat prépare un texte pour rendre la vaccination pour tous contre le covid-19 obligatoire. Le débat parlementaire devrait se tenir le 13 octobre.

LE 02 SEP 2021Guillaume JacquotPar Guillaume Jacquot@Algdelest

Un peu plus de 72 % de la population française a reçu au moins une dose de vaccin. L’instauration du passe sanitaire le 30 août n’est pas étrangère à l’accélération de la campagne vaccinale contre le coronavirus. Pour atteindre l’immunité collective, le groupe socialiste et républicain au Sénat préfère passer par une obligation vaccinale pour la population générale. La loi du 5 août, adoptée en urgence par le Parlement cet été, a déjà imposé l’obligation de vaccination contre le SARS-CoV-2 pour les personnels de santé. Dans la continuité de leurs idées défendues en juillet, le groupe PS a déposé une proposition de loi « instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 ».

La rédaction du texte, déposé au Sénat le 31 août, n’est pas encore stabilisée mais le débat en commission, puis en séance publique, interviendra relativement vite. Le groupe espère l’inscrire à l’ordre du jour de son prochain espace réservé en séance, le 13 octobre. Patrick Kanner, estime que l’actualité est venue « donner raison » à la position de son groupe. « Cela aurait été tellement plus simple de décider l’obligation fin juillet. Cela aurait été efficace et on n’aurait pas eu toutes les contestations, qui sont légitimes », explique-t-il. « On est pour la chose simple, égalitaire. En matière de santé publique, la notion d’égalité est quelque chose d’important. »

« Poursuivre l’objectif de vaccination obligatoire universelle sans l’assumer […] c’est le pire des choix »

Lors de l’examen du projet de loi de gestion de la crise sanitaire, fin juillet, les sénateurs socialistes avaient défendu, sans succès, une obligation vaccinale plutôt que la mise en place du passe sanitaire. « Poursuivre l’objectif de vaccination obligatoire universelle sans l’assumer, c’est autre chose : c’est le pire des choix », s’insurgeait alors la sénatrice PS Monique Lubin, lors de l’ouverture des débats.

L’hémicycle avait massivement refusé l’amendement, et le gouvernement avait exprimé son opposition également. En plus d’exposer ses craintes sur l’approvisionnement rapide en doses, le président du groupe LR Bruno Retailleau a déclaré qu’il ne croyait pas dans la solution du groupe PS, à cause des difficultés à faire respecter l’obligation vaccinale. « Quand on pose une obligation, on ne peut pas ignorer les sanctions et l’application qu’on en fait. Sinon, c’est la norme, c’est l’autorité qu’on affaiblit. »

En revanche, d’autres groupes n’ont pas exclu que la question de l’obligation vaccinale puisse s’imposer dans les prochains mois. « Au sein de notre groupe, nous n’écartons pas la possibilité de devoir envisager la vaccination obligatoire générale », confiait ainsi à la tribune l’orateur du groupe Union centriste Philippe Bonnecarrère. L’idée n’a pas non plus été balayée d’un revers de main dans les rangs des parlementaires de la majorité présidentielle. « C’est un sujet que nous aurons peut-être à aborder rapidement, mais le faire par un amendement aujourd’hui n’apporterait pas grand-chose », admettait le sénateur LREM Martin Lévrier.

Déjà le 1er juillet, la mission d’information sénatoriale, destinée à évaluer les effets des mesures prises ou envisagées en matière de confinement ou de restrictions, avait préconisé la vaccination obligatoire pour les 24-59 ans (relire notre article). Dans la proposition de loi PS, qui devrait logiquement s’inspirer de l’amendement défendu en juillet, les conditions d’âge seraient fixées par un décret en Conseil d’État, pris après avis de la Haute Autorité de santé.

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-les-senateurs-ps-deposent-une




Nos bourreaux ne se cachent même plus !

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Je n’ai pas de mots assez forts pour dire ma colère et mon dégoût ! 

Toutes nos institutions sont prises en otages et vérolées ! Nous sommes cernés par ces menteurs corrompus que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel ! Jamais la France n’aura connu une telle situation.

Une mafia qui mène à son terme une destruction totale de notre pays et de son peuple ! Plus aucune liberté, plus de soins, plus de possibilité de sortir de chez nous, de travailler, de bouger si nous n’acceptons pas cette injection qui à terme nous tuera ! Toutes nos lois, nos protections sont démolies, effacées. Ceux qui se sont battus pour nous, doivent se retourner dans leurs tombes !

Peuple de France lève toi !!! Ils ont décidé de mener à son terme ce projet immonde d’anéantissement. Ils sont déterminés à nous anéantir, à nous supprimer et ils ne reculeront pas !

https://ripostelaique.com/le-massacre-continue-20-595-deces-dans-lue-et-toujours-ce-silence.html

Un peu d’histoire pour comprendre qui sont ces dingues meurtriers

Les sociétés secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Prieuré de SionSkull and Bones, le Bohemian Club et bien d’autres, ont été infiltrées par des gens malveillants, dangereux et démoniaques, certaines de ces sociétés secrètes ont aussi été fondées dans le seul but d’amener le monde à un gouvernement mondial.

Si vous pensez que la franc-maçonnerie est « clean » et qu’elle n’a rien à voir avec cet agenda occulte, vous vous trompez. La franc-maçonnerie est responsable de cet agenda ésotérique. Les francs-maçons sont en grande majorité ignorants et incapables de penser par eux-mêmes, ils sont manipulés par un groupe occulte supérieur qui réside dans la franc-maçonnerie sans que les maçons des loges bleues n’en sachent quoi que se soit. Ils sont même convaincus qu’il n’existe pas de chef dans la franc-maçonnerie et que tous les complots sont des mythes.

Leur Nouvel Ordre Mondial n’est pas seulement une guerre physique, c’est une guerre psychique, c’est ce que David Icke appelle « un coup d’état sur l’âme humaine« , ces attentats terroristes sont réels…

Bien sur, ils existent dans le monde en trois dimensions (3D), mais ils existent aussi pour vous choquer spirituellement, pour arriver à l’état où vous pouvez regarder ces atrocités, guerres, génocides, problèmes mondiaux tout en mangeant à 8h du soir, avec votre famille devant la télévision.

Le Nouvel Ordre Mondial a pour but de lobotomiser la population mondiale, de l’exploiter, et de traiter n’importe quel individu comme un vulgaire animal, ce qui est déjà le cas.

Il s’agit de centraliser les populations dans les villes, d’où le but de détruire l’environnement, c’est aussi à propos de vous faire manger des OGMs, de se brosser les dents avec du dentifrice au fluor et de boire de l’eau contenant de la fluorine.

C’est simplement de l’esclavage moderne déguisé en démocratie. Et bien sur, pour arriver à un tel niveau, il faut des guerres, des crimes, de la violence, du chaos et du désordre.

Pourquoi est-ce que les informations en France, aux USA et partout dans le monde de l’Ouest sont si déprimantes, négatives, toujours axées sur les guerres ? C’est pour que vous soyez mentalement effrayé, c’est simplement pour contrôler votre esprit, parce que la vraie réalité n’existe pas dans ce monde que vous voyez en 3D ! La réalité existe dans votre esprit, et ils comptent sur vous pour ne pas utiliser votre esprit et votre potentiel d’intelligence. Ils attendent de vous que vous écoutiez tout ce qu’ils ont à vous dire via les merdias mainstream, et ils espèrent que vous allez gober tous ces mensonges, ce qui est le plus souvent le cas.

C’est aussi l’installation de milliers de caméras de surveillance partout dans vos villes. C’est aussi l’instauration de la loi martiale partout sur la planète pour soi-disant « se protéger contre le terrorisme« , ou n’importe quelle autre force utilisée et manipulée afin d’avoir des guerres, des menaces et des conflits sans fin !

C’est aussi pouvoir vous embaucher et vous renvoyer sans préavis, c’est aussi vous faire payer très cher pour obtenir un appartement ou un logement médiocre dans une banlieue médiocre. C’est instaurer des taxes sur tout et n’importe quoi, même sur l’eau, la nourriture, et même notre protection…

C’est surtout vous contrôler vous et votre âme.

Mais qui sont-ils et d’où viennent-ils ? Pyramide Illuminatis, franc maçonne !

Gouvernement dans le gouvernement qui n’a qu’un seul but, amener le monde à un gouvernement mondial.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite« .

C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des « Maîtres du Monde« . La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l’identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s’agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller, notamment l’incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR (Council of Foreign Relations).

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. (J’ai eu l’occasion de corriger des textes anciens de Weishaupt,  il y a trois ans en tant que correctrice et croyez-moi je sais de quoi je parle !!)

À cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient la légalisation de l’usure, le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des États-Unis auraient été des résultats de leur stratégie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

Leur création marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir à une domination totale sur le monde.

La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple « club de réflexion » ou « réseau d’influence« . Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou « occulte ».

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d’une société secrète très ancienne, la « Fraternité du Serpent » (ou « Confrérie du Serpent« ), dont l’origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

La civilisation qui domine le monde aujourd’hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale : l’administration d’état, l’argent, le commerce, les taxes et les impôts, l’esclavage, les armées organisées, et une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l’asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l’irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd’hui l’Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s’est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les « écoles de mystère » égyptiennes et grecques, l’église chrétienne de Rome (utilisée comme « véhicule » par la « Fraternité » pour s’implanter en Europe), les Mérovingiens (d’où le personnage « Mérovingien » dans le film « Matrix »), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications – Franc- Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jérusalem, Ordre de Malte…), et enfin les « Illuminati » et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

Changer notre monde commence ici. (Jacques Desrosiers)   

Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M ou N.W.O pour New World Order en anglais) est officiellement un terme qui est employé pour parler de la mondialisation, mais pas la mondialisation économique du style OMC, pas la mondialisation de la sécurité mondiale du genre ONU, ou la mondialisation de la force genre OTAN, mais bien une mondialisation politique, religieuse, avec des caractères économiques et culturels, c’est ça le Nouvel Ordre Mondial.

Mais c’est aussi un plan, que les sociétés secrètes tentent de mettre en application depuis des millénaires (depuis Babylone).

Le Nouvel Ordre Mondial est la mise en place d’une dictature internationale de type communiste déguisée sous le mot « humanisme« , où les peuples seront sommés d’obéir à la loi internationale de force sous peine d’être nettoyés.

Pour ce faire, ils ont : La « solution finale »

Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé.

Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie.

L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction de l’allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité, sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens. Ils appellent cela leur arme silencieuse : un type d’arme biologique. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d’une société, en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d’énergie sociales et naturelles, ainsi que leur forces et faiblesses physiques, mentales, et émotionnelles.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

Le 5 mai 2009, un groupe de milliardaires s’était réuni dans la maison de Sir Paul Nurse, un biochimiste britannique Prix Nobel et Président de l’Université privée Rockefeller, à Manhattan.

Ils étaient invités par Warren Buffet et Bill Gates.

Les échanges de vues portaient sur la façon d’optimiser les dons de bienfaisance au cours d’une période de bouleversements financiers. Ultimement, 

« ils sont arrivés à un consensus selon lequel ils cautionneraient une stratégie où la croissance de la population serait taxée de potentielle menace environnementale, sociale et industrielle désastreuse… ils doivent être indépendants des agences gouvernementales, lesquelles sont incapables de contrer le désastre imminent [qu’ils] voient tous« .

Quelle est la philosophie qui sous-tend leurs engagements ?

Bien que des reportages sur de telles réunions ne puissent être vérifiés, les sources du journaliste d’investigation Daniel Estulin, ainsi que celles de Jim Tucker, traqueur vétéran du Groupe Bilderberg, ont fait preuve d’une extrême justesse par le passé.

Le journal Times du Royaume-Uni rapportait que ces

« éminents milliardaires se sont rencontrés en secret pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale [et qu’ils] avaient parlé de joindre leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement« . En outre, « on a alloué 15 minutes à chacun des milliardaires afin qu’ils présentent leur cause favorite. Pendant le dîner, ils ont discuté de la manière dont ils pourraient choisir une “cause ombrelle“ pouvant servir leurs intérêts. » Ils ont « convenu que la surpopulation était une priorité ».

Un des invités a déclaré qu’

« ils désiraient discuter de riche à riche sans craindre que ce qu’ils disent se retrouve dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial de rechange« .

La population en excès est maintenant éliminée par des épidémies à répétition !!

Depuis quelques années ils ont décidé d’accélérer l’attaque. C’est là leur dernière carte : Covid19, élaboré et planifié depuis  déjà quelques années pour finir leur sale boulot !

Réduire cette population mondiale et contrôler la planète !

L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétrer de la sorte !!! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, à se battre pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.

Il s’agit là de leur fameuse guerre contre les peuples annoncée par Warren Buffet : Le milliardaire américain Warren Buffet a déclaré il y a quelques années, non sans humour, qu’il existait

« bel et bien une guerre des classes mais c’est ma classe, la classe des riches qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons ».

Ils l’ont ont méticuleusement préparée et mise en œuvre pour nous éliminer et pour soumettre les survivants, leurs futurs esclaves.

Aux Armes citoyens !

La guerre est l’acte par lequel le peuple résiste à l’injustice au prix de son sang ! 

(Henri Lacordaire)

[Note de Joseph : Cependant, s’il s’agit bien d’une guerre, elle est avant tout d’essence spirituelle et doit se maintenir sur ce plan, car la faire descendre sur le plan physique ne ferait que satisfaire ces élites autoproclamées en accélérant la mise en œuvre de leur plan.]

Christine Deviers-Joncour
Source : MédiaZone


[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]




Covid-19 : Le Japon réhabilite le traitement à l’Ivermectine

[Source : infodujour.fr]

Robert Harneis
Robert Harneis, journaliste

Par Robert Harneis

Jusqu’à présent, elles ont été effrontées dans leur détermination à arrêter le traitement de la Covid avec des médicaments connus, sûrs, efficaces et bon marché, notamment l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine. Que cela soit dû ou non au fait que, comme l’a remarqué la députée européenne Michèle Rivasi dans une interview de 2015, « l’industrie pharmaceutique a acheté tout le monde », il n’en reste pas moins que seuls les vaccins feront l’affaire pour Londres et Paris.

Un mépris affiché

En France, les médecins qui estiment qu’il est de leur devoir de prescrire des traitements précoces sont poursuivis. Au Royaume-Uni, ils sont ignorés. Les grands médias sont universellement silencieux sur le sujet, quand ils ne publient pas activement des articles suggérant que ces médicaments, réputés sûrs depuis des décennies, pourraient soudainement avoir des effets secondaires dangereux.

Partout, le mantra officiel est « nous avons besoin de plus de tests et de tests plus fiables ».
Le Premier ministre français, Jean Castex, a même affirmé qu’il ignorait l’existence de ces médicaments, lors d’une audition de la Commission d’enquête sur la pandémie à l’Assemblée nationale le 17 novembre 2020. Lorsque la députée alsacienne Martine Wonner a de nouveau soulevé la question le 9 février, lui et le ministre de la Santé Olivier Véran, l’ont traitée avec un mépris affiché à l’Assemblée nationale, se moquant littéralement d’elle.

En Grande-Bretagne, le Premier ministre Johnson a assuré à la Chambre des Communes le 27 janvier qu’il étudiait l’utilisation de l’Ivermectine. Pour autant que l’on puisse dire, il le fait toujours. S’il y a eu des progrès, c’est grâce au médecin et chercheur Tess Lawrie qui a fait campagne sans relâche pour attirer l’attention sur les nombreux essais ayant donné de bons résultats.

Le cirque médico-politico-médiatique

En France, 1500 médecins menés par le Dr Gérard Maudrux ont présenté un « recours gracieux » – une pétition – au ministre de la Santé, Olivier Véran, lui demandant « sur l’honneur » de déclarer clairement s’il croyait sincèrement que l’Ivermectin était inefficace, comme le prétendait l’ANSM, l’agence française du médicament. Ayant apparemment peur de répondre par l’affirmative, il a refusé de répondre, affirmant bizarrement qu’il n’était pas responsable des décisions de l’ANSM.

En dépit des preuves massives de l’efficacité de ces médicaments, dans les deux pays, le cirque médico-politico-médiatique a pu s’en tirer avec cet obscurcissement, en grande partie parce que les études justificatives provenaient généralement de pays pauvres aux moyens limités et à la réputation médicale modeste. Et ce, malgré les résultats sensationnellement bons obtenus avec l’Ivermectine dans l’État indien de l’Uttar Pradesh, qui compte 220 millions d’habitants.

Le Japon prescrit l’Ivermectine

L’OMS, l’Agence européenne des médicaments et les agences nationales ont refusé de soutenir les traitements, montrant tous les signes de « capture », comme l’appellent les économistes, par l’industrie même qu’ils sont censés réglementer.

Le 13 août, tout a changé. Le Dr Haruo Ozaki, confronté à une recrudescence des infections dans le pays, a donné une conférence de presse au cours de laquelle il a appelé à la généralisation de l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

Le Japon est le premier grand pays industrialisé à soutenir l’Ivermectine sans réserve.

En situation de crise

Le Dr Ozaki a déclaré aux journalistes :

« En Afrique, nous avons comparé les pays qui prescrivent l’Ivermectine avec ceux qui n’en prescrivaient pas… Dans les pays qui donnent de l’Ivermectine, le nombre de cas est de 134,4 pour 100 000 et le nombre de décès est de 2,2 pour 100 000. Dans les pays qui n’utilisent pas l’Ivermectine, le nombre de cas est de 950,6 et le nombre de décès est de 29,3. »

Il poursuit :

« Je crois que la différence est claire. Bien sûr, on ne peut pas conclure que l’Ivermectine est efficace uniquement sur la base de ces chiffres mais quand on a tous ces éléments on ne peut pas dire que l’Ivermectine n’est absolument pas efficace, en tout cas pas moi. Nous pouvons faire d’autres études mais nous sommes dans une situation de crise. En ce qui concerne l’utilisation de l’Ivermectine, il est évidemment nécessaire d’obtenir le consentement éclairé des patients et je pense que nous sommes dans une situation où nous pouvons nous permettre de leur donner ce traitement. »

Il a également recommandé son utilisation à titre prophylactique.
Face à l’évidence du Dr Ozaki, il sera désormais très difficile pour les obscurantistes anti-traitements précoces en France ou en Angleterre de continuer à laisser mourir des gens alors que l’existence de médicaments pour les sauver a été clairement démontrée par une source médicale indéniablement réputée.




Un pompier fait la grève de la faim sur le toit de sa caserne pour protester contre la vaccination obligatoire

[Source : Le Désarroi d’un Père Pompier]

Après le colonel, le médecin chef, le négociateur du GIGN ……tous des supers gars compréhensifs!!




Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer

[Source : courriel]

Parents, agissez sans attendre ! ⚠️ Action européenne pour l’interdiction du « vaccin » Pfizer (17/08/21)

➡️ ⚠️ Recours en annulation pour le « vaccin » Comirnaty (Pfizer/BioNTech).

➡️ Date limite : 15 septembre 2021.

➡️ Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne.

➡️ Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’U.E. du produit expérimental de Pfizer/BioNtech nommé « vaccin » anti-Covid-19 pour les enfants âgés de 12 ans et plus.

➡️ Avocat coordinateur pour la France : maître Virginie De Araujo-Recchia. E-mail pour lui écrire : v.dearaujo-recchia.avocat@protonmail.com

➡️ L’avocat de chaque pays remplira la plupart des documents, les parents doivent surtout dire, «OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité », indique l’avocate représentant l’action.

➡️ La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

➡️ Pour plus d’informations :
[Source : childrenshealthdefense.eu]

Renate Holzeisen: « Les vaccins Covid violent la législation européenne »



Senta Depuydt : [00:00:02] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt de CHD Europe, et aujourd’hui je reçois Renate Holzeisen, que je considère comme l’avocate numéro un pour les litiges concernant les vaccins Covid au niveau des institutions européennes. Renate est avec moi pour deux actions en justice très importantes contre la Commission européenne, et nous demandons à tous les Européens d’y participer. Renate est une avocate en droit économique et fiscal hautement qualifiée. Elle est également spécialisée dans le droit international et européen. Et depuis le début de la pandémie, elle est en première ligne pour défendre nos libertés fondamentales. Elle a ainsi déposé un nombre impressionnant d’affaires liées aux vaccins Covid. Elle est originaire du Tyrol du Sud, la partie germanophone de l’Italie, donc sa langue principale est l’allemand, et elle collabore souvent avec des collègues autrichiens et allemands notamment Reiner Fuellmich. Enfin, Renate est membre du conseil consultatif de CHD Europe. Et nous sommes très, très fiers de la compter parmi nous.

Renate, merci de vous joindre à nous. Je sais que votre temps est très précieux. Avant de nous parler des nouvelles actions, pouvez-vous d’abord nous dire quelques mots sur les différentes actions juridiques que vous avez déjà entreprises au niveau européen ? Merci.

Renate Holzeisen : [00:01:32] Merci. C’est un plaisir d’être avec vous aujourd’hui. Nous avons déjà déposé quatre recours en annulation, conformément à l’article 263 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, contre les délibérations de la Commission européenne concernant l’autorisation conditionnelle des quatre vaccins Covid-19 actuellement autorisés, qui sont en fait des produits expérimentaux de thérapie géniques. Nous avons constaté que les délibérations prises par la Commission européenne sont fondamentalement contraires au droit européen sur l’autorisation conditionnelle des médicaments et des vaccins, si seulement il s’agissait de vaccins, car nous savons qu’ils sont des produits de thérapie génique. Les décisions doivent être prises conformément au règlement européen 507 de 2006. Et l’une des conditions fixées par le législateur européen est que le produit doit garantir un équilibre positif entre les bénéfices et les risques.

Donc, tout d’abord, nous pouvons dire que ces substances n’ont pas été étudiées et autorisées pour la prévention de l’infection par le virus SARS-COV-2. Elles n’ont été étudiées et autorisées que pour la prévention de la maladie Covid-19. Et déjà là, on voit, non seulement beaucoup de malentendus, mais surtout, une véritable propagande et désinformation de la part des institutions et des gouvernements européens. Et ceci est inacceptable. Nous le voyons maintenant avec les législations qui sont annoncées dans les différents pays européens comme la France et l’Italie concernant le soi-disant Pass Vaccinal…

Senta Depuydt : [00:04:48] Oui, je reviens sur ce sujet parce que vous dites tellement de choses importantes. Et je me souviens très clairement – nous avons publié un article là-dessus lorsque l’Agence Européenne du Médicament a publié cette autorisation conditionnelle. Ils ont réalisé une longue interview avec des experts, et je pense que cette vidéo est toujours disponible sur le site, dans laquelle ils déclaraient Oh, nous ne savons pas si le vaccin va prévenir la transmission. En fait, cela n’a pas été étudié… Ce n’est pas prévu dans les données. Nous n’avons aucune idée à ce sujet. Et aujourd’hui hui, au contraire, toutes les preuves montrent que dans les pays où l’on a le plus vacciné, en Israël, au Royaume-Uni, etc. nous voyons qu’il y a de nouveaux variants et que les vaccins n’ont pas fonctionné sur la transmission. Vous soulignez donc l’élément fondamental. Comment l’Union européenne ou les différents pays continuent-ils dans cette direction ? Fournissent-ils de fausses preuves, de fausses données pour être capables de soutenir l’idée que les vaccins bloquent la transmission ?

Renate Holzeisen : [00:06:22] Oui, nous devons être très clairs à ce sujet. Nous avons l’autorisation de la Commission européenne sur le rapport positif de l’AEM et de la documentation officielle de la Commission européenne, tous les documents sont disponibles sur le site web, et en cliquant sur les rapports sur les vaccins Covid-19 tout en haut de la liste, vous trouverez alors toutes les délibérations de la Commission européenne avec les documents joints. A partir de ces documents et des documents de l’AEM, que vous pouvez trouver sur le site de l’AEM, vous verrez que la Commission européenne et l’AEM, déclarent que ces substances sont autorisées pour la prévention de la maladie. Elles n’ont jamais déclaré l’autorisation pour la prévention de l’infection parce que l’AEM elle-même affirme qu’il n’est absolument pas prouvé que ces substances fonctionnent pour la prévention de l’infection. Par conséquent, la Commission européenne n’a pas pu autoriser ces 4 substances qui sont Cominarty (Pfizer/BioNtech), Moderna maintenant appelé Spikevax, AstraZeneca maintenant appelé Vaxzevria et Janssen ou Johnson & Johnson. Ils ne sont pas autorisés pour la prévention de l’infection par le virus, et cela est juridiquement contraignant.

C’est la base légale à partir de laquelle nous devons commencer et, par conséquent, tous ces « Laissez-Passer verts / Pass sanitaire » (Covid pass), qui font référence à une preuve de la vaccination avec l’une de ces quatre substances, sont illégaux. Ils ne sont pas fondés sur des faits. Donc cette législation a déjà échoué avant qu’ils ne soient introduits. Et nous, les avocats, travaillons maintenant sur ce sujet, parce qu’il est clair que nous aurions une discrimination en violation complète des principes constitutionnels entre les personnes non traitées avec ces substances expérimentales par rapport aux personnes vaccinées. Et même les personnes qui ont été traitées avec ces substances, elles n’ont pas été vaccinées afin de prévenir l’infection.

Senta Depuydt : [00:09:54] Oui et pourtant c’est ainsi qu’ils ont justifié toutes ces mesures.

Renate Holzeisen : [00:09:57] Tout à fait. Il est clair que nous avons dès le départ une discrimination complètement illégale. Et je pense que si nous apportons cette preuve avec la documentation légale de la Commission européenne et de l’AEM devant les tribunaux, la loi sur le pass sanitaire (Covid) doit tomber  immédiatement. Et aussi la vaccination obligatoire. Nous avons déjà une vaccination obligatoire en Italie pour les travailleurs de la santé. Et je vais maintenant déposer, à partir de demain, des centaines d’actions en justice afin de demander l’annulation de la suspension déjà décidée par l’Autorité sanitaire du Tyrol du Sud, qui a suspendu sans salaire des centaines de travailleurs de la santé. Ils n’ont plus aucun revenu et c’est évidemment une situation absolument inacceptable.

Senta Depuydt : [00:11:37] Et malheureusement, on voit que ce qu’il se passe en Italie arrive en France. Je suis sûre que vous en avez entendu parler. Et je suis sûre que d’autres pays vont suivre.

Renate Holzeisen : [00:11:49] Oui. Et tout cela est basé sur la manipulation des faits par les gouvernements, même en dehors des documents officiels de la Commission européenne et de l’AEM, parce que c’est la réalité. Nos gouvernements font de fausses déclarations. Ils disent que ces substances sont destinées à prévenir l’infection par le virus, alors que ces substances ne sont pas autorisées pour cela.

Senta Depuydt : [00:12:27] J’ai une question parce que vous et moi réalisons certainement que le rôle de l’Union européenne est vraiment clé dans cette affaire. C’est l’Union qui ont poussé cet Accelerator Act à changer toute la législation et à obtenir une dérogation pour l’utilisation de technologies génétiques. Elle a négocié tous ces terribles contrats pour les vaccins, sans aucune transparence, sans aucune garantie. Elle a approuvé les vaccins sans presque aucunes données. Elle a créé une énorme dette pour les citoyens, etc, et imposé le Pass sanitaire en alternant entre les rôles du sauveur et du dictateur. Et c’est encore l’Union qui, toutes les cinq minutes, tous les jours, établit les codes couleurs de chaque pays avec l’ECDC. « Oh, vous pouvez y aller Wow c’est vert. Fantastique. Arrêtez maintenant, c’est rouge ! »

On joue avec les citoyens européens et les États membres. Alors à part vous Renate, y a-t-il d’autres avocats qui attaquent directement  la Commission européenne ou les institutions européennes comme l’AEM ou le CDC européen ? Pouvez-vous m’en dire plus à ce sujet? Y a-t-il d’autres actions au niveau européen ? Et pourquoi vous adressez-vous directement au niveau européen ? Beaucoup considèrent que nous devons plutôt plaider au niveau national.

Renate Holzeisen : [00:14:00] Nous devons faire les deux, évidemment. Nous savons qu’en raison de la juridiction de la Cour de justice européenne, et en violation de la charte européenne des droits de l’homme, elle a beaucoup trop réduit à mon avis le droit légitime des citoyens à déposer des recours en annulation devant les tribunaux européens…. (allant) à l’encontre de ce que voulait le législateur européen. Nous avons donc, à mon avis, la nécessité d’un changement dans cette juridiction.

D’ailleurs, je voudrais rappeler des paroles de l’avocat général Jacobs, qui a fait une intervention très, très importante à ce sujet. Il a dit :  « S’ils vont dans cette direction, il n’y aura plus de véritables droits de défense pour les citoyens européens. Et nous sommes arrivés dans cette situation. Donc nos actions en annulation des autorisations de ces substances expérimentales seront cruciales et cela montrera si la Cour européenne base ses décisions sur la loi et sur la Charte des droits fondamentaux, ou si nous, citoyens européens, sommes finalement laissés pour compte. C’est un point crucial. Notre situation actuelle correspond exactement à l’avertissement de l’avocat général Jacobs, il y a quelques années, c’est-à-dire « Attention ! L’évolution que vous prenez en tant que tribunal prive les citoyens d’une réelle défense devant les tribunaux ».

Senta Depuydt : [00:16:54] C’est une…

Renate Holzeisen : [00:16:56] Une situation très intéressante.

Senta Depuydt : [00:16:59] Puis-je revenir sur les actions que vous intentez maintenant ? Si je peux résumer, vous avez déposé des actions en annulation pour les quatre vaccins différents qui ont obtenu une autorisation conditionnelle. Vous avez donc intenté des actions que nous (CHD Europe) avons déjà contribué à promouvoir et pour lesquelles nous avons trouvé des intervenants.

Pouvez-vous expliquer votre prochaine plainte ? Vous devez donc déposer un recours par vaccin. Vous l’avez déjà fait pour Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Et pour ceux-ci, nous n’avons plus la possibilité d’intervenir, les délais sont dépassés. Mais pour le dernier vaccin, celui de Johnson & Johnson, nous pouvons tous participer en tant qu’intervenants d’autres pays.

Renate Holzeisen : [00:17:52] Oui, c’est cela.

Senta Depuydt : [00:17:54] Donnez-nous les détails. Que devons-nous faire pour participer ?

Renate Holzeisen : [00:17:58] Donc, c’est ouvert aux citoyens de toute l’Union européenne et, premier lieu, appartenant aux catégories qui sont maintenant confrontées à une vaccination obligatoire, les travailleurs de la santé, mais aussi d’autres. Je pense aux enseignants, aux pilotes et aux travailleurs des transports publics, ils peuvent intervenir en tant que soutiens aux plaignants italiens. J’ai introduit le recours en annulation contre l’autorisation de Janssen ou Johnson & Johnson pour les travailleurs du secteur de la santé italiens. Donc maintenant, les professionnels de la santé et d’autres professions français, belges, allemands, autrichiens et d’autres citoyens européens peuvent intervenir avec leurs avocats, afin de soutenir l’action des professionnels de la santé italiens. C’est une première chose.

Ensuite, la semaine prochaine, je déposerai également un recours spécifique en annulation concernant la délibération de la Commission européenne pour l’autorisation de Cominarty Pfizer/BioNtech pour les enfants à partir de douze ans. C’est, c’était un acte criminel à nos yeux et nous devons demander aux juges d’annuler cette autorisation. Ce que l’on fait aux enfants dans toute l’Union européenne est incroyable. Nous savons que la balance entre les bénéfices et les risques, surtout pour les enfants, ne pourra jamais être positive. C’est vraiment négatif parce que les enfants n’ont aucun problème avec le virus SARS-COV-2, comme le montrent les faits, mais ils encourent des risques incroyables à cause de cette thérapie génique expérimentale. C’est donc un véritable crime d’inoculer maintenant ces substances aux enfants. Et nous devons l’arrêter.

Senta Depuydt : [00:20:58] Merci, j’ai deux questions. La première est, que nous, en tant que Children’s Health Defense, étant donné que notre organisation principale est aux États-Unis, nous suivons vraiment tout ce qui se passe avec la FDA, le CDC, et c’est vraiment comme si les États-Unis poussaient ces politiques. Dès qu’un produit est approuvé par la FDA, il est approuvé, plus ou moins automatiquement, par l’Agence Européenne du Médicament. Je peux maintenant voir que la tendance évolue très rapidement aux États-Unis. Aux dernières nouvelles, ils veulent vacciner les bébés à partir de six mois et ils parlent même de vacciner les enfants sans consentement parental ou même sans information parentale. Donc vous ne sauriez même pas que votre enfant, si par exemple il revient de l’école et que quelque chose lui arrive, vous ne sauriez même pas qu’il est vacciné. Pensez-vous donc que cette politique est vraiment, disons, poussée par les États-Unis ? Parce que je sais que le CDC européen reprend également une grande partie de leurs informations, de leur science, si l’on peut dire. Est-elle poussée par les États-Unis ? Qu’en pensez-vous ?

Renate Holzeisen : [00:22:30] Oui, je vois que ces agences qui donnent les autorisation AEM et autres…. sont dans les mains du lobby pharmaceutique ou plus précisément  les membres de ces autorités viennent de ces lobbies. Donc nous sommes dans une situation très critique, et c’est à nous les adultes de défendre les enfants. Nous devons les bloquer. Les enfants dépendent entièrement de l’aide que nous devons leur apporter. Sur la base de l’article 24 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, les besoins et les droits des enfants sont au premier plan et passent avant tout le reste. Alors que nous, au sein de l’Union européenne, nous utilisions des enfants comme cobayes, c’est un scandale incroyable. Je demande à chaque parent, chaque grand-mère, chaque grand-père, chaque oncle et tante de réfléchir à ce que nous faisons à nos enfants. Nous ne connaissons pas les effets à long terme de ces substances. Elles n’ont pas été étudiées. Nous connaissons les effets de ces substances à très court terme. Nous avons des milliers de morts, déjà 11000 morts en Europe. Et nous avons des centaines de milliers de réactions graves causées par ces substances. Et nous savons que ce n’est qu’une petite partie de la réalité, parce que nous n’avons pas de pharmacovigilance active. Et c’est l’une des violations de la loi européenne. Il est absolument illégal d’inoculer une substance expérimentale, sans pratiquer une pharmacovigilance active. C’est insensé. Ils le savent parfaitement et ils ne veulent pas de pharmacovigilance supplémentaire, parce que s’il y avait une vraie pharmacovigilance, on aurait des chiffres au moins dix fois supérieur.

Senta Depuydt : [00:25:37] Oui, je suis absolument consciente de cela. Renate, alors comment pouvons-nous adhérer ? Laissez-moi essayer d’expliquer ce que nous pouvons faire avec nos amis de Children’s Health Defense et ensuite vous me corrigerez si je me trompe.  Donc ce que les gens peuvent faire dans chaque pays.

Vous déposez l’action en allemand. Donc tous les participants doivent déposer l’action en allemand aussi quelque soit leur pays. Nous devrons donc traduire l’action et aussi le formulaire pour les personnes qui se joigne à l’action en tant qu’intervenants. Et dans chaque pays, il faut que ce soit relayé par un avocat, ou au moins un avocat par langue pour réunir les documents et les introduire.

Renate Holzeisen : [00:26:32] Oui. Je dirais que c’est le moyen le plus facile. Nous fournissons la traduction des actions qui ont déjà été déposées en anglais, français, italien, allemand et grec et de nombreuses autres langues. Le formulaire pour les intervenants a été préparé dans la langue originale, c’est-à-dire l’allemand, parce qu’il doit être déposé en allemand, la procédure est en langue allemande. Mais nous avons tout traduit. Ainsi l’avocat qui amène les intervenants reçoit tout cela de moi.

Senta Depuydt : [00:27:45] Qui doit signer le formulaire ? Donc l’avocat remplit les détails des personnes qui doivent dire, « OK, je veux participer. Voici mon nom, mes coordonnées, ma carte d’identité ».

Renate Holzeisen : [00:27:58] Chaque avocat a besoin évidemment d’un pouvoir donné par ses clients.

Senta Depuydt : [00:28:09] Et les avocats doivent être enregistrés sur e-Curia (barreau européen en ligne) ce qui est assez simple à faire si ils ne le sont pas déjà. Une question que les gens posent : y a-t-il des frais d’adhésion ou des risques financiers pour les personnes qui veulent joindre cette action ?

Renate Holzeisen : [00:28:28] Tout d’abord, les intervenants ne font que soutenir la position des plaignants et n’apportent pas leurs propres arguments. Donc ils n’amplifient pas les besoins de défense de la contrepartie, qui est la Commission européenne, mais qui pourrait aussi être le producteur pharmaceutique. Les coûts sont donc nuls, puisqu’ils n’amplifient pas les arguments présentés au tribunal. Non, il n’y a pas de risques financiers.

Je voudrais également dire une autre chose très importante pour que les gens puissent comprendre le fondement de ce recours en annulation. Tout d’abord, comme je l’ai dit, nous n’avons pas de balance positive des risques et des bénéfices pour ces substances appelées vaccins. Et un autre argument très important est qu’il n’y a pas de réelle absence de traitement contre la Covid-19.

Et là, nous pouvons constater une fois de plus le très mauvais rôle joué par l’AEM. C’est une des conditions prévues par le législateur européen pour donner l’autorisation à des produits pharmaceutiques non étudiés dans tous leurs aspects. Il faut savoir que pour ces substances expérimentales il n’y a pas eu, même pas d’études pré-cliniques. On n’a pas fait d’études sur les animaux, qui font partie des études fondamentales.

[00:30:56] Une autorisation conditionnelle est seulement possible, selon le règlement de l’Union européenne 507 de 2006, s’il y a une réelle absence de traitement d’une maladie. Nous savons qu’en particulier dans l’Union européenne, mais aussi aux États-Unis, de très bonnes thérapies basées sur des produits comme l’Ivermectine par exemple ont été bloquées. Et nous savons que l’Ivermectine fonctionne très, très bien. Et nous avons vu que l’AEM, il y a deux mois, a de nouveau bloqué l’utilisation de l’Ivermectine dans l’Union européenne. C’est le mauvais jeu qu’ils jouent. Et c’est l’un des arguments fondamentaux que nous apportons avec ce recours en annulation. Nous disons « nous ne voyons pas les avantages de ces substances appelées vaccins. Les risques sont énormes, énormes. Vous ne pouvez même pas évaluer la balance, parce que vous ne connaissez pas tous les risques. Nous savons qu’il y a des risques très élevés à court terme et pour le moyen et long terme, nous ne le savons pas. Nous ne sommes donc même pas en mesure d’établir un bilan. C’est pourquoi, ces autorisations doivent être annulées immédiatement ».

Senta Depuydt : [00:32:58]Je reviens sur ce que vous avez dit, car vous avez mentionné beaucoup de choses très importantes. Nous avons une plainte similaire en Belgique exactement sur cette base,  demandant la suspension de l’autorisation des vaccins expérimentaux, parce justement il y a des traitements disponibles.

Et il y a quelques jours, nous avons également interviewé le Dr Tess Lawrie à l’occasion de la Journée de l’Ivermectine, car de nombreux médecins souhaitent avoir le droit de prescrire. Donc vous touchez vraiment un élément très, très important ici.

A ce sujet, savez-vous qui est réellement responsable de ces recommandations au niveau de l’AEM ? Savons-nous s’ils suivent les conseils des États-Unis, se basent sur des études biaisées, peut-être de l’OMS ? Pouvons-nous identifier des responsabilités individuelles pour finalement pouvoir mettre certaines personnes en cause et dire : « OK, cette personne ici est vraiment responsable de la manipulation des données ou de la dissimulation des données » ?

J’ai entendu sur l’Ivermectine que le premier rapport était très bon et qu’ensuite, à la dernière minute, en France par exemple, certaines personnes clés sont venues ajouter de petites phrases du genre « Finalement, ce n’est toujours pas concluant. Nous ne pouvons pas autoriser ce traitement car il y a un manque de données » etc. Pouvons-nous faire quelque chose de plus à ce sujet. Pouvons-nous poursuivre ces personnes qui, a un moment donné, ont eu un rôle majeur pour bloquer ces traitements?

Renate Holzeisen : [00:34:42] Absolument ! Je pense que nous devons faire la même chose que la Chambre du barreau des avocats en Inde. Après avoir déposé mon cinquième recours en annulation concernant la situation spécifique de nos pauvres enfants, nous devrons également penser à une action spécifique en dommages et intérêts. Nous devons introduire cette action, conformément à l’article 265, devant le tribunal général européen contre la Commission européenne et l’AEM pour avoir bloqué l’utilisation de ces médicaments très efficaces et utiles comme l’Ivermectine. Je pense que nous avons maintenant suffisamment de faits pour porter l’affaire devant les tribunaux européens. Car la censure sur les traitements, c’est la seule façon pour eux de continuer à appliquer ces substances expérimentales à haut risque sur l’ensemble de la population. Et nous en voyons les conséquences. Nous sommes maintenant dans des systèmes qui ne sont plus démocratiques, avec des gouvernements qui introduisent une soi-disant vaccination obligatoire avec ces produits de « thérapie génique expérimentale ». Nous devons donc également poursuivre les organisations ou agences européennes devant les tribunaux pour leur demander des dommages et intérêts. Et les dommages sont énormes, non seulement les dommages directs concernant la vie et la santé des personnes, mais aussi les dommages économiques. Nous devons donc aussi travailler sur ce point.

Senta Depuydt : [00:37:15] Je suis très heureuse que vous disiez cela. Et j’aimerais rappeler à tout le monde – et peut-être que vous voulez commenter – le fait que certaines personnes, par exemple, les Doctors For Covid Ethics ou d’autres médecins ou experts ont envoyé des avis de responsabilité aux personnes de l’AEM, à différentes agences de santé ou aux membres du Parlement européen. Nous savons que cela n’aura peut-être pas d’effet immédiat, mais ils ne pourront pas dire « nous ne savions pas ». Je me souviens très bien qu’en décembre 2019, j’étais au sommet de l’OMS, le Sommet sur la sécurité des vaccins, et nous avons entendu un responsable de la santé des philippines,  le Dr Kenneth Hartigan-Go, qui a raconté ses mésaventures pendant la crise de la dengue. C’est une situation un peu similaire d’une certaine manière. Ils avaient donné une autorisation d’urgence au vaccin Dengvaxia, parce qu’il s’agissait d’une épidémie, puis cela s’est transformé en une obligation vaccinale, mais cela a tourné à la tragédie parce que le vaccin a fait beaucoup de victimes.

[00:38:44] Au début, les médecins se sont tus parce qu’ils avaient peur de parler. Et puis ils ont commencé à voir les cas de décès. Les gens sont descendus dans la rue et ils ont arrêté la campagne. Tout cela s’est terminé par la comparution de trente-deux personnes devant un tribunal pénal, y compris Dr Kenneth Hartigan-Go, des personnes de Sanofi, des personnes des agences qui avaient approuvé le vaccin, comme l’agence des médicaments des Philippines, etc. Et bien sûr, ils disaient « nous ne savions pas quels étaient les risques encourus ».

Alors qu’ici pour le Covid les risques spécifiques liés à l’introduction d’un vaccin au cours d’une pandémie avaient déjà été soulevés avant le lancement des vaccins. Vous vous souvenez qu’il y a un an, tout le monde disait « Oh, un vaccin Covid peut être dangereux, car il peut y avoir une aggravation de la maladie, etc. ». Ces mises en garde ont permis de rapidement signer tous ces contrats exonérant l’industrie pharmaceutique de toute responsabilité, parce que le risque était tellement grand, mais par après, ils ont évidemment oublié cet argument. Donc, l’envoi des notifications légales aux responsables des agences et aux parlementaires est utile dans ce cas car ils ne pourront pas dire « Nous ne savions pas ».

Renate Holzeisen : [00:40:08] Absolument.  J’ai personnellement envoyé un courrier de signification par recommandé, le 20 décembre, au nom d’un groupe de travailleurs de la santé italiens, juste un jour avant que la Commission européenne n’autorise la première de ces quatre substances Cominarty Pfizer/BioNtech. Cet avis a été envoyé à la Commission européenne, au président, au commissaire à la santé et à beaucoup d’autres représentants des nations européennes, mais aussi à l’Organisation mondiale de la santé. Donc, ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas ce qu’ils ont fait.

Et surtout, les avis envoyés par le groupe Doctor For Covid Ethic, sont très précis scientifiquement, et ils posent des questions très claires à l’AEM. Et l’AEM n’a donné aucune réponse. Il est donc absolument clair que les personnes responsables de l’AEM engagent leur responsabilité personnelle pour les (dommages futurs) de ces autorisations et de la poursuite de l’autorisation de ces substances. Le principe juridique est très clair.

Senta Depuydt : [00:42:02] Espérons donc que nos actions portent leurs fruits. Et dernière chose, vous avez mentionné l’aspect financier, et surtout que cela fait aussi partie de votre expertise. CHD Europe travaille également avec Mme Catherine Austin-Fitts. Elle vient de publier un rapport intitulé « The Going Direct Reset », dans lequel elle montre comment l’ensemble de la réponse à la pandémie, d’un point de vue financier, était déjà en place pour aller de l’avant avec un programme qui s’apparente à un coup d’état monétaire.

La crise et l’effondrement économiques étaient déjà là avant la pandémie, mais maintenant, nous pouvons tout mettre sur le dos de la pandémie, bien sûr. Je recommande vraiment à tout le monde de lire ce rapport. Elle commence également à identifier quelques-uns des acteurs clés. J’espère vraiment que vous, Catherine Austin-Fitts, Reiner Fuellmich, Bobby Kennedy et tous les autres passeront à l’action, car ces actions sont vraiment internationales. Je sais qu’une action a été déposée au tribunal international de La Haye par des avocats et des organisations françaises pour montrer les responsabilités individuelles, à l’OMS avec Tedros Adhanom par exemple, ou le Président Macron. La France joue également un rôle important dans ce plan. Donc, vous savez, j’ai vraiment hâte de diffuser le message, de participer. Et je tiens à vous remercier car vous êtes vraiment héroïque à mes yeux.

Renate Holzeisen : [00:43:52] Je pense que les vrais héros sont les citoyens qui font face à la situation sur le front, qui s’opposent à ce qui se passe. Pour moi, ce sont eux les vrais héros. Je dis à chaque médecin, à chaque professionnel de santé qui vient me voir, qui me demande de l’aide et qui me remercie, je leur exprime toujours mes profonds remerciements parce que sans eux, nous, les avocats, ne serions pas en mesure de porter ces questions très importantes, et fondamentales pour notre avenir  devant les tribunaux.

Senta Depuydt : [00:44:45] Merci beaucoup, Renate, et à très bientôt. Nous vous souhaitons beaucoup de succès. Merci beaucoup. Au revoir.

https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_videos/renate-holzeisen-les-vaccins-covid-violent-la-legislation-europeenne/?lang=fr




Dictature de l’hygiène : l’esclave, la serpillère et le (faux) courage civil

[Source : reseauinternational.net]

Par Jean Pierre Aussant

Cette dictature participative de l‘hygiène permet à certains, surtout aux plus lâches, de se donner bonne conscience et de jouer quelque temps et sans risque, au gendarme en dénonçant l’autre. Cet autre qui a l’audace impardonnable, contrairement à eux, de ne pas mettre sa serpillère tombale de silence et d’avilissement sur le visage. C’est sans doute pour cette raison que ces gens se sont si facilement et si bien habitués à ces nouvelles règles qui pourtant, sans qu’ils ne s’en rendent compte, les écrasent. C’est que ces miettes d’autorité que la dictature leur donne « à manger » en les encourageant à intervenir pour faire respecter « la loi » dans les lieux publics, au fond, les comblent.

Cela, cependant, est d’autant plus exécrable quand on sait que de coutume, l’occidental moyen qui les représente, notoirement veule et individualiste, est dénué de tout courage civil et que, en règle générale, face à une effraction ou à une agression dont il serait le témoin, loin de se mêler de la chose, il tournera naturellement la tête, fera semblant de ne rien remarquer et ne prendra pas le moindre risque. Tout au plus, pour assouvir son voyeurisme, et si une distance qu’il jugera « de sécurité » le lui permet, il observera de loin l’évènement.

En dernière analyse, ce soudain « courage civil » à peu de frais, qu’il manifeste aujourd’hui pour dénoncer les personnes non masquées, n’est en réalité qu’un minable placebo du vrai courage qu’il n’aura jamais. Bien compris, cet héroïsme civique « de panurge » à deux sous, n’exprime rien d’autre que cette jalousie qu’il ressent face à ceux qui luttent pour leur dignité, et ne fait que révéler son infamie d’esclave servile, qu’au fond, il n’a jamais cessé d’être.

Certes, peut-être que notre occidental moyen a la diffuse impression que cette dictature « pour tous » l’a fait monter pour ainsi dire « en grade » en le faisant passer du statut d’esclave « tout court » à celui d’esclave « participatif ». Triste promotion.




Qui Gouverne la France ?

[Source : zonefr.com via reseauinternational.net]

Par Jean Valmont-Decker

Si vous effectuez une simple recherche sur le Web, avec deux mots-clés : (Attali et PDF), vous vous retrouvez avec plusieurs dizaines de documents traitant de la politique, l’économie ou la géopolitique englobant, les organisations occultes, le mondialisme, le libéralisme, la finance… Un PDF (non signé) a attiré notre attention. Le titre « Qui Gouverne la France ? » est plutôt symptomatique de la cacophonie qui règne dans l’Hexagone depuis quelques décennies. Autrement dit, la France n’est plus un pays souverain, elle obéit à un pouvoir extérieur. Un panier de crabes décide pour le sort de 67 millions d’individus, une poignée d’un millier de personnes pille les richesses et asservit tout un peuple. Quant à leurs maîtres autoproclamés, ils manœuvrent depuis un moment pour instaurer un gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une « hyper-démocratie », sous le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.

Nous reproduisons, ci-dessous, l’intégralité du document :

Qui Gouverne la France ?

Qui vous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque sont membres de deux clubs sulfureux, le « Siècle » et la « French American Foundation », deux clubs parmi les plus discrets mais les plus influents de France.  Le Siècle est une filiale du club de BilderbergLa French American Foundation est de son côté une filiale du Council on Foreign Relations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de « Nouvel Ordre Mondial ». 

Le Siècle

Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30% des membres sont actuellement connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l’Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.

L’adhésion coûte 150€/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800 membres, appelés « invités » ce qui leur permet de mentir effrontément en niant leur appartenance au club comme membres à part entière puisqu’ils y sont seulement « invités ». Seulement pour devenir « invité », il faut faire acte de candidature et être recruté par cooptation au sein du conseil d’administration, sur proposition d’un membre (invité) plus l’un des quinze administrateurs.

Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le dernier mercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde, dans les luxueux salons de l’Automobile Club.

En 2011, un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril entre les deux tours de la présidentielle, c’est là qu’il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l’état-major de l’UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.

Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu’il était nécessaire de pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestions du Bilderberg que Sarkozy, trop « électron libre » et trop proche d’Angela Merkel.

Or, le Bilderberg ne veut pas d’une co-gestion franco-allemande de l’Europe, mais d’une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l’objectif de la French American Foundation.

Jospin, à la fois membre du Bilderberg et du Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique, fut si présent pendant la campagne présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire du Bilderberg serait bien respectée par tous.

Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de ses membres au gouvernement, peu importe qu’ils soient PS ou UMP. C’est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait « l’ouverture » avec d’autres membres du club comme Attali.

Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bords politiques en voyant la liste des « invités » ci-dessous:

  • Président depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l’ancienne syndicaliste CFDT ;
  • Vice-présidents : Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit dans  Valeurs Actuelles (et le frère d’Alain) et Henry Loirette, président du musée du Louvre ;
  • Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision
  • Secrétaire général : Étienne Lacour, directeur de la rédaction de la Société Générale de Presse.

Quelques « invités », membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club…

Thierry Breton (ancien ministre des Finances) ; Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget) ; Pascal Lamy (ancien inspecteur général des finances, directeur de l’Organisation Mondiale du Commerce) ; Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, président de SANEF) ; Christian Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque de France) ; Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg) ; Jean-Claude Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne) ; Jacques Attali (conseiller d’État, président de PlaNet Finance) ; Claude Bébéar (ancien président d’AXA, président de l’Institut Montaigne) ; Antoine Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard) ; Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la Société Générale) ; Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais) ; Michel Pébereau (ancien président de la BNP Paribas) ; Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais) ; Édouard de Rothschild (banquier et homme d’affaires, Bilderberg) ; Jean-Paul Agon (directeur général de L’Oréal) ; Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault) ; Bernard Bigot (patron du CEA) ; Bernard Boulito (Heinz et Asics) ; Stéphane Courbit ; Serge Dassault ; Étienne Davignon ; Louis Gallois ; Guillaume Pepy ; Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino) ; Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom) ; Louis Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la HALDE) (La  liste n’est pas limitative, et ne comporte que les plus connus).

On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes et éditeurs de presse…

Arlette Chabot ; Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde) ; Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias) ; Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2) ; Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion) ; Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL) ; Michel Field (journaliste sur Europe 1) ; Franz-Olivier Giesbert ; Claude Imbert (journaliste au Point) ; Odile Jacob (éditrice) ; Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil) ; Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel Observateur) ; Serge July (ancien PDG de Libération) ; Julien Kouchner (directeur général de l’Agence CAPA) ; Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle) ; Maurice Lévy (PDG de Publicis) ; Serge Moati (journaliste sur France 5) ; Denis Olivennes (directeur d’Europe 1) ; Sylvie Pierre-Brossolette ; Bernard Pivot ; Patrick Poivre d’Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1) ; Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas) ; David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2) ; Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et à France Culture) ; Anne Sinclair ; Marc Tessier (ancien président de France Télévisions).

Sans oublier les personnalités politiques…

Martine Aubry PS, Michel Barnier UMP, Jacques Barrot Centriste-UMP, François Bayrou Modem, Éric Besson PS – UMP, Jeannette Bougrab UMP, Hervé de Charette Centriste, Jean-Pierre Chevènement PS, Jean-François Copé UMP, Laurent Fabius PS, Luc Ferry UMP, Aurélie Filipetti PS, François Fillon UMP, Élisabeth Guigou PS, Adeline Hazan PS, Martin Hirsch PS, François Hollande PS, Nicolas Sarkozy UMP, Jean-Paul Huchon PS, Anne-Marie Idrac PS, Lionel Jospin PS et Bilderberg, Alain Juppé UMP, Bernard Kouchner PS, Jack Lang PS, Noëlle Lenoir ?, Corinne Lepage centriste, Charles Millon droite, Pierre Moscovici PS, Jean-Pierre Raffarin UMP, Manuel Valls PS, Jacques Toubon UMP, Michel Vauzelle PS, Henri Weber PS, Hubert Védrine PS, Rama Yade UMP, Marisol Touraine PS, Fadela Amara PS, Rachida Dati UMP, …

Et enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes…

Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur général des hypothèques) ; Nicole Notat (présidente de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo) ; Laurence Parisot (présidente du MEDEF) ; Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF).

Si vous doutez encore qu’il y ait une formidable collusion entre presse, finance, banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :

Au cœur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France Emmanuel Ratier « Les Nouveaux Chiens de garde », film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et journalistes.

Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sont mis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la place de la Concorde et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin, préfet de police de Paris, également membre du club afin d’assurer la protection de tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques et Sciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coups qu’ils vous destinent tout en faisant semblant de se battre au petit écran et dans la presse.

L’important dans une bande de copains, n’est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les cochons de payants.

La French American Foundation (FAF)

La French American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.

Le Council on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou « laboratoire d’idées ») non partisan, américain, ayant pour but officiel d’analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.

Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la société américaine et entend développer l’expérience de la génération montante de leaders en proposant des programmes qui incluent des rencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, des leaders mondiaux et des membres éminents de la communauté des affaires étrangères.

Le cœur de son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé d’environ cinquante « adjoints » (pendants des « invités » du Siècle), tant démocrates que républicains. Cette noble assemblée se méfie des partis politiques, qu’elle range en bloc aux côtés des « factions » de tout acabit et considère comme un grave danger pour la République américaine.

Pensant que l’architecture de gouvernance mondiale reflétait trop le monde tel qu’il existait en 1945 et n’était plus adapté au monde actuel, le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans intitulé « International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century ». Connu en France sous le nom « Nouvel Ordre Mondial ».

Le programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :

  • Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,
  • Promouvoir la sécurité énergétique,
  • Gérer l’économie mondiale,
  • Prévenir et répondre à des conflits violents.

Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR, évoquer le principe d’un « club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français » comme le prétendent ses statuts est une aimable plaisanterie.

À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent agiter les esprits de la FAF.

Franck Carlucci

En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.

À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.

L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique, militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain.

C’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra Suleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de « Young Leaders ».

« Depuis son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité ».

Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; Hillary Clinton ministre des Affaires étrangères d’Obama et l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark. Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent, JeanMarie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, etc. ; et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Éric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan. 

L’énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme.

Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti unique.

En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique possible.

En fait, les dirigeants énarques de l’UMP et du PS mènent le pays vers la même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à direction unique.

Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraiment efficace et l’amélioration des conditions de vie de la population dans la liberté, notamment celle de penser ?

L’ennui, c’est que ce n’est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des mondes ou 1984 de Orwell.

Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, il défend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, le prouve. Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.

Nicolas Dupont-Aignan

Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement en faveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondir les angles et empêcher que les « patriotes » puissent diffuser de véritables informations sur les origines du mondialisme. « Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer. Quand on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?

C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé » ~ Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr

Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».

Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public, sponsorisée entre autres, et ce n’est pas par hasard, par la banque franco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation.

La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. À noter qu’entre 1997 et 2001, c’est John Negroponte qui présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.

Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en enorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : « La French American Foundation est fière de compter cinq Young Leader dans le cabinet du président François Hollande, lui-même Young Leader en 1996 », tandis que son site français n’en dit pas un mot. C’est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !

« Pourquoi est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheeseburgers dont on n’a rien à faire ? ».

Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour des cornichons !

Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias, aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, ces copains de promo de certains de nos nouveaux ministres pour certains d’entre eux : de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) à Denis Olivennes (Europe 1Paris Match et JDD), en passant par Matthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (Le Monde) … Et la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).

À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipe était attendue sereinement. Vu de la FAF, « Welcome à la Hollande team » ; on reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est même fier d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.




Demain, ça va chauffer !

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous ! Ça y est, c’est parti ! C’est la nouvelle émission de la TV qui s’appelle « Onde de choc » et qui me permettra donc tous les soirs d’avoir un invité d’exception. Exception, en tout cas dans ce qu’il a à dire et par le courage surtout de témoigner. Vous découvrirez ainsi mes invités en intimité et sous un angle différent.

Nous vous présenterons la grille des programmes de la TV et de la radio. Ce sera demain soir en direct, à l’occasion d’une soirée en public exceptionnelle qui débutera vers 21h15, en direct sur www.launetv.com avec un plateau royal: le docteur Astrid Stuckelberger, Jean-Dominique Michel, Francis Lalanne et d’autres invités vedettes dont je te tais le nom pour l’instant. Merci pour votre fidélité. Merci d’être là, toujours présent. Même au milieu de toutes ces critiques, je vous sais présent du fond du cœur.

Un grand merci et à demain soir.

Ricardo






Vaccination ados: quand le marketing sanitaire manipule le consentement des jeunes avec des récompenses…

[Source : Enfance et libertés (enfance-libertes.fr)]

Une véritable dynamique de surenchère est à l’œuvre pour extorquer le consentement vaccinal des adolescents.

Ces campagnes, qui offrent une récompense “en échange” de la vaccination, sont tantôt impulsées par les municipalités, tantôt pour les préfectures.

Sont-elles le fruit des convictions personnelles de certains élus et fonctionnaires ? Peut-être aussi le reflet de leurs peurs, ou d’un zèle excessif à vouloir être “bon élève” et satisfaire les objectifs de vaccination fixés par le gouvernement ?

Quelles que soient ces motivations, ces pratiques ne sont pas dignes d’une société démocratique qui se targue de pratiquer le consentement éclairé.




Bill Gates et le hold-up vaccinal

[Source : mercola.com]

Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand discute du livre de Judy K. Brown, « Perversion of Justice : The Jeffrey Epstein Story » [Perversion de la justice : L’histoire de Jeffrey Epstein], qui détaille la conspiration du silence entourant le plus grand pédophile présumé et magnat du trafic sexuel de notre époque, Jeffrey Epstein.

Le refus des médias de creuser l’histoire d’Epstein, dit Brand, suggère que les médias font partie d’un establishment corrompu qui protège les riches et les puissants, quoi qu’il arrive. Une personne riche et puissante qui bénéficie de la protection des médias traditionnels est Bill Gates.

Gates et Epstein

Brand cite un article du Daily Beast1, selon lequel Gates a eu des dizaines de réunions avec Epstein rien qu’entre 2011 et 2014, généralement au domicile d’Epstein à Manhattan. Lorsque la nouvelle de la relation de Gates avec Epstein a émergé en 2019, Melinda Gates aurait contacté un avocat spécialisé dans le divorce.

Selon The Daily Beast, Gates « a encouragé Epstein à réhabiliter son image dans les médias. » Si cela est vrai, cela suggère que Gates pourrait en effet avoir été plus proche d’Epstein qu’il ne l’a laissé entendre. Une source anonyme qui prétend avoir été présente à plusieurs des réunions a déclaré que les deux étaient « très proches ».

Le Daily Beast affirme également que « des personnes au courant de l’affaire ont déclaré que Gates trouvait la liberté dans le repaire d’Epstein, où il rencontrait un groupe tournant de noms importants et discutait de problèmes mondiaux entre des séries de blagues et de ragots — une atmosphère de ‘club d’hommes’ qui irritait Melinda ».

Lors d’un entretien avec Anderson Cooper, présentateur de CNN, Gates a expliqué que sa relation avec le célèbre trafiquant sexuel de mineurs n’était rien d’autre qu’une tentative naïve d’obtenir des fonds pour ses efforts en matière de santé publique.

Si l’on considère que l’intérêt d’Epstein pour la santé publique semble avoir été une obsession pour l’idée de créer sa propre race de super humains en faisant accoucher ses bébés par des esclaves sexuelles2, cette excuse semble au mieux fragile. Epstein a également fait des dons à la Worldwide Transhumanist Association3.

Gates essaie maintenant de sortir de l’ombre d’Epstein, qualifiant leurs rencontres d’« erreur ». Cependant, Brand a peut-être raison lorsqu’il affirme que l’histoire de la relation entre Gates et Epstein met réellement en évidence l’importance de conserver notre autonomie et de ne pas suivre aveuglément les personnes qui prétendent être supérieures à nous.
Gates est aussi imparfait que n’importe qui d’autre, et peut-être même plus, car la richesse et le pouvoir engendrent la corruption et permettent aux gens de poursuivre des intérêts qui ne seraient pas ou ne pourraient pas être poursuivis à moins d’avoir l’argent et l’influence nécessaires pour garantir le secret.

Gates finance des organismes de santé publique britanniques et américains

Si nous avons appris quelque chose au cours de l’année et demie écoulée, c’est que la corruption est endémique dans nos agences de santé publique et nos organisations médicales. Comme le rapporte Armstrong Economics, la Fondation Bill & Melinda Gates finance — et exerce donc une influence considérable sur — les organismes de santé publique aux États-Unis et au Royaume-Uni :4

« La [Food and Drug Administration américaine] a donné son plein accord aux vaccins de Gates parce qu’elle a subi d’énormes pressions politiques pour le faire. Même CNBC a rapporté que « les responsables fédéraux de la santé avaient subi une pression croissante de la part de la communauté scientifique et des groupes de défense pour approuver pleinement le vaccin de Pfizer et BioNTech… ».

Pendant ce temps, à Londres, une enquête a révélé que la Fondation Bill et Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé, tout comme elle l’est de la FDA aux États-Unis.

La SEC n’a absolument RIEN fait au sujet des informations privilégiées puisque Gates est également un actionnaire MAJEUR de Pfizer / BioNTech mRNA. Des organisations médicales fiables s’opposent à ces vaccins malgré l’approbation de deux organismes de réglementation qui reçoivent de l’argent de Gates, ce qui ne fait qu’introduire des conflits d’intérêts et une corruption potentielle…

La FDA n’a JAMAIS approuvé un type de médicament complètement nouveau en moins d’un an, ce qui soulève de sérieuses questions sur la corruption. Le délai moyen pour obtenir une approbation de la FDA est de 12 ans ! »

L’enquête londonienne à laquelle ils font référence a été publiée dans The Daily Expose le 20 août 2021.5 La MHRA, la version britannique de la FDA américaine, reçoit en fait la majeure partie de son financement de la Fondation Gates, selon l’enquête.

Le 4 juin 2021, la MHRA a étendu son autorisation d’utilisation d’urgence de la piqûre de Pfizer aux enfants âgés de 12 à 15 ans, malgré les risques connus d’inflammation cardiaque. Le Daily Expose écrit :6

« À l’époque, la directrice générale de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données des essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque. »

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de cette étude extrêmement courte et réduite.7 S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants participant à l’étude ont souffert d’un effet indésirable allant de léger à extrêmement grave.8

Seuls 1 127 enfants ont pris part à l’essai, mais seuls 1 097 enfants ont terminé l’essai, 30 d’entre eux n’ayant pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats ne précisent pas pourquoi ces 30 enfants n’ont pas terminé l’essai… Peut-on vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui détient également des parts dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas. »

Gates est lourdement investi dans les entreprises pharmaceutiques

La Fondation Gates possède également des « parts importantes » dans Pfizer et BioNTech, qui ont développé conjointement une injection de COVID qui, le 23 août 2021, a été pleinement approuvée9 par la FDA pour être utilisée chez les personnes âgées de 16 ans et plus.

La Fondation Gates a commencé à orienter ses investissements vers les produits pharmaceutiques en 2002. Cette année-là, Gates a investi 205 millions de dollars dans neuf grandes entreprises pharmaceutiques, dont Pfizer et Johnson & Johnson. « La décision de prendre des participations dans des entreprises individuelles semble être un changement de stratégie et, pour la première fois, aligne les intérêts de l’organisation caritative sur ceux des entreprises pharmaceutiques », rapportait le Guardian à l’époque10.

Selon The Motley Fool11, Gates a initialement investi dans Pfizer « avec l’intention déclarée d’élargir l’accès au contraceptif injectable tout-en-un de la société pharmaceutique ». Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, Gates a prédit très tôt que Pfizer serait le premier à obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence.

La Fondation Gates ne s’est pas emparée des actions de BioNTech avant septembre 2019, soit trois mois seulement avant l’apparition de la pandémie de COVID, lorsqu’elle a acheté pour 55 millions de dollars d’actions.

Les prévisions financées par la Fondation Gates ont conduit à la condamnation à mort des maisons de retraite

La Fondation Gates a également versé des centaines de millions de dollars à l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui était responsable de la modélisation imprécise qui a conduit plusieurs gouverneurs à « condamner à mort les maisons de retraite ». La Strategic Culture Foundation écrit :12

« Ça chauffe enfin pour le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, à cause de ses politiques de réponse au coronavirus bâclées et criminellement négligentes, pourtant personne ne semble se demander pourquoi Cuomo et certains gouverneurs ont pris les décisions fatidiques qui ont conduit à la surmortalité…

En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les « experts » en modélisation de l’IHME, financé par Gates, que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement envahis par des patients atteints de coronavirus.

Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif amènerait les hôpitaux à manquer d’équipements de survie en quelques jours, et non en quelques semaines ou mois. Le temps était compté, et il était temps de prendre des décisions rapides, ont affirmé les modélisateurs. Lors de deux conférences de presse distinctes, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle de l’IHME ».

Dans l’une de ces conférences de presse, Cuomo a remercié la Fondation Gates « pour le service national qu’elle a rendu ». Le département de la santé de Pennsylvanie a également utilisé les modèles de l’IHME pour orienter sa réponse. Même des bureaucrates fédéraux comme le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, qui ont tous deux des liens personnels avec Gates, se sont appuyés sur les prévisions de l’IHME pour justifier les fermetures d’établissements, les fermetures d’entreprises et les couvre-feux.

En fin de compte, les modèles de l’IHME n’ont pas fonctionné. Ils n’étaient même pas proches [de la réalité]. « Par exemple, l’IHME a utilisé un taux de mortalité de plus de 3 % alors que le chiffre réel provenant de COVID-19 n’est que d’environ 0,1 % », écrit la Strategic Culture Foundation, qui ajoute13 :

« La responsabilité incombe effectivement aux dirigeants élus qui ont pris les décisions fatidiques d’envoyer les patients malades du COVID dans des maisons de retraite, de verrouiller leurs États et de masquer leurs citoyens à perpétuité, mais ce n’est que la moitié de l’histoire.

Les mauvaises données qu’ils ont utilisées proviennent presque exclusivement du réseau Gates, qui s’est livré à un trafic de pseudo-science et a fait preuve d’une incompétence totale et de prévisions imprudentes depuis le début de l’année dernière. »

Il n’est pas surprenant que Gates soit resté muet sur les échecs flagrants de l’IHME. Comme le note la Strategic Culture Foundation14, il s’est « parfaitement lavé les mains de la manie COVID et est passé à l’exigence que le monde occidental se sacrifie au nom de la dernière « crise » qu’est le changement climatique. »

COVID-19 – Une rampe de lancement pour la grande réinitialisation

Bien sûr, les plans « verts » de Gates vont également accroître sa propre richesse, tout comme la pandémie de COVID l’a fait. En effet, la soi-disant « crise du changement climatique » n’est rien d’autre qu’un autre outil pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation, qui modifiera à jamais le visage de la société et du commerce, en transférant pratiquement toutes les richesses et la propriété à quelques technocrates au sommet, laissant les gens ordinaires sans richesse ni liberté.

Compte tenu de la position de Gates au sein de l’élite technocratique, il n’est pas surprenant que ses empreintes digitales se retrouvent sur toutes les pièces nécessaires de cette partie d’échecs mondiale. Comme vous vous en souvenez peut-être, la Fondation Gates a coparrainé la simulation de préparation à la pandémie d’un « nouveau coronavirus », connue sous le nom d’événement 201, en octobre 2019, avec le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security.

L’événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer à peine 10 semaines plus tard, lorsque le COVID-19 est apparu. La Fondation Gates et le Forum économique mondial sont également associés15 aux Nations unies qui, tout en gardant un profil relativement bas, semblent être au cœur du programme de prise de contrôle mondialiste.

« Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre de l’agenda de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. »

Le Forum économique mondial, bien qu’il s’agisse d’une organisation privée, fonctionne comme la branche économique et sociale de l’ONU et constitue une force motrice essentielle de la technocratie moderne et du programme de la Grande Réinitialisation. Son fondateur et président, Klaus Schwab, a déclaré publiquement la nécessité d’une « réinitialisation » mondiale pour rétablir l’ordre en juin 202016.

La règle technocratique, qui est ce que la Grande Réinitialisation apportera, s’articule autour de l’utilisation de la technologie — en particulier l’intelligence artificielle, la surveillance numérique et la collecte de Big Data (ce à quoi sert la 5G) — et la numérisation de l’industrie, de la banque et du gouvernement, qui permet à son tour l’automatisation de l’ingénierie sociale et de la règle sociale (bien que cette partie ne soit jamais expressément énoncée).

Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre du programme de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. La Grande Réinitialisation, parfois appelée le plan « reconstruire en mieux », appelle spécifiquement toutes les nations à mettre en œuvre des réglementations « vertes » et des « objectifs de développement durable  »17,18 dans le cadre de l’effort de redressement post-COVID.

Mais l’objectif final est loin de ce que la personne typique envisage lorsqu’elle entend ces plans. L’objectif final est de nous transformer en serfs sans droit à la vie privée, à la propriété privée ou à quoi que ce soit d’autre. En bref, la pandémie est utilisée pour détruire les économies locales dans le monde entier, ce qui permettra ensuite au Forum économique mondial d’intervenir et de « sauver » les pays criblés de dettes. Le prix de ce sauvetage est votre liberté.

La grande réinitialisation

La Grande Réinitialisation n’est pas une théorie de la conspiration, mais un programme rendu public qui va de l’avant, que nous le voulions ou non.

De nombreux dirigeants mondiaux en ont parlé à titre officiel, et en juin 2020, Zia Khan, vice-président senior de l’innovation à la Fondation Rockefeller, a rédigé l’article19 « Rebuilding Toward the Great Reset : Crisis, COVID-19, and the Sustainable Development Goals » [Reconstruire en vue de la Grande Réinitialisation : Crise, COVID-19, et les objectifs de développement durable], qui passe en revue la « crise sociale » nécessitant l’acceptation par le monde d’un Nouvel Ordre Mondial.

L’article a été co-écrit avec John McArthur, membre senior du Brookings Institute, qui est l’un des nombreux groupes de réflexion technocratiques. En gardant à l’esprit ce que je viens de dire sur ce qu’est réellement la Grande Réinitialisation, et les justifications utilisées pour mettre en œuvre le vol des richesses et de la liberté, lisez comment ils présentent ces changements comme étant dans votre meilleur intérêt :

« Le bouleversement peut apporter une nouvelle compréhension et de nouvelles opportunités. Les normes désuètes ou injustes peuvent succomber au besoin pressant de la société pour de meilleures approches. Par exemple, la nécessité d’une intervention gouvernementale massive et urgente a attiré une attention nouvelle sur les filets de sécurité sociale et sur la possibilité d’améliorer considérablement les politiques.

Les conséquences tragiques de la discrimination raciale ont catapulté la prise de conscience des problèmes systémiques et déclenché des perspectives de réformes sociales indispensables. Les améliorations rapides de l’environnement liées à la fermeture de l’économie ont ravivé la conscience des interconnexions profondes entre les écosystèmes, les économies et les sociétés …

Plutôt que de laisser passivement les normes évoluer par inertie ou par hasard, nous pouvons tous mener des actions pour la Réponse et, bientôt, la Récupération d’une manière qui améliore les chances d’une Réinitialisation vers de meilleurs résultats à long terme.

Heureusement, nous avons déjà un point de départ solide pour ce que devraient être les résultats économiques, sociaux et environnementaux du monde. Il y a cinq ans, en 2015, les 193 États membres de l’ONU se sont mis d’accord sur les Objectifs de développement durable (ODD) comme un ensemble commun de priorités à atteindre dans tous les pays d’ici 2030. »

Je crois que la seule façon de l’arrêter est de réagir collectivement aux différents morceaux et parties du plan qui sont déployés. Ils veulent vous faire croire qu’aucune des choses introduites n’a de rapport avec les autres, mais en fait, ce sont toutes des pièces du même puzzle.

Ce serait une erreur tragique de faire confiance à Gates ou à l’un des autres acteurs qui nous sont présentés comme les sauveurs du jour. Ce sont tous des loups déguisés en moutons. La grande réinitialisation est à notre porte, et votre liberté, ainsi que celle des générations futures, dépend de votre combat pour la conserver20.

Notre meilleure chance est de nous impliquer dans la gouvernance locale, qu’il s’agisse de la commission scolaire de votre enfant ou du gouvernement local, et de nous engager dans une désobéissance civile pacifique.

Gates peut être présenté comme un génie omniscient dont la mission est de nous garder en bonne santé et en sécurité, mais ses activités sont incompatibles et ne correspondent pas à son personnage soigneusement fabriqué. À maintes reprises, Gates a exercé son influence dans des affaires où des mensonges ont été proférés et où la santé publique et les droits de l’homme ont été décimés pour le profit.

 Sources et références




Nouvelle vague de mensonges: ils veulent faire croire que les bébés meurent de la Covid, que le vaccin protège de la contamination

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Les stats de la DREES sur lesquelles s’appuient le gouvernement sont toutes biaisées, déconnectées de la réalité, donc de la vérité. Cela explique que rien ne corresponde avec ce qui est vécu en dehors de la France. Les lecteurs de ce blog  savent que les statistiques ne correspondent pas à celles de Santé Publique France. Les résultats sont débilissimes, un vacciné aurait huit fois moins de risques d’être contaminé qu’un non vacciné. Toutes les études ont prouvé  que la vaccination n’empêchait pas la contamination. En Israël, les taux de vaccinés contaminés sont identiques à leur part de la population par classe d’âge.

Le groupuscule  citizens4sciences  s’est distingué  par un activisme de dénonciation contre les médecins qui soignent et de scientifiques comme Laurent Mucchielli. Là il se livre à une propagation de fausses nouvelles avec Karine Lacombe .

Inquiétude de nombreux scientifiques très favorables à la vaccination, comme Dominique Costagliola. Avec de tels biais elle redoute que les mensonges déconsidèrent les vaccins.

un bébé serait mort de la Covid :

https://www.cnews.fr/france/2021-08-22/occitanie-un-nouveau-ne-atteint-du-covid-19-est-mort-1118150

Un bébé mort-né (il n’a pas respiré du tout) a été testé positif post-mortem. Sa mère (vaccinée ? Pas vaccinée ? On n’en sait rien) était positive au Covid aussi.

Au-delà de l’ignominie : évoquer ce cas comme une alerte alors qu’il n’est en rien représentatif, suggérer un lien entre la #COVID19 et ce décès sans le début d’un élément [de preuve]. Que dire des info manquantes ? Croyez que si la mère n’avait pas été vaccinée, ils l’auraient claironné.

Quand quelqu’un meurt après s’être fait vacciner, ce n’est pas le vaccin. Quand quelqu’un meurt et qu’il était positif au Covid, il est forcément mort du Covid. Est-ce que Véran va lancer une campagne de vaccination des bébés in utéro, du coup ? Quelqu’un sait ?




DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




L’Histoire et l’hypothèse de la résurrection du Christ

[Source : y-jesus.org]

Jésus est-il ressuscité ?

Nous nous demandons tous ce qui doit nous arriver après la mort. Quand un proche meurt, nous désirons ardemment le (ou la) revoir quand ce sera notre tour. Serons-nous glorieusement réunis avec ceux que nous aimons, ou bien la mort est-elle la fin de tout ?

Jésus a enseigné que la vie ne s’achève pas à la mort de notre corps.  Il a fait cette déclaration stupéfiante :

” Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. ” Selon les témoins oculaires les plus proches de Jésus, il démontra alors sa puissance sur la mort en se relevant des morts après avoir été crucifié et enterré pendant trois jours. C’est cette croyance qui procure l’espérance aux Chrétiens depuis près de 2000 ans.

Mais certains ne partagent pas cet espoir de vie après la mort. Bertrand Russell, le philosophe athée, a écrit :

” Je crois que quand je mourrai, je pourrirai et rien de mon ego ne survivra. ” [1] Il est évident que Russell n’a pas cru les paroles de Jésus.

Les fidèles de Jésus ont écrit qu’il leur apparut vivant après sa crucifixion et son enterrement. Ils ont prétendu non seulement l’avoir vu, mais aussi avoir mangé avec lui, l’avoir touché, et avoir passé 40 jours avec lui.

Alors, est-ce que ceci pourrait être seulement une histoire qui s’est élaborée au fil du temps, ou est-ce basé sur une preuve solide ? La réponse à cette question est fondamentale au christianisme. Car si Jésus s’est relevé d’entre les morts, cela confirme la validité de tout ce qu’il a dit à son propre sujet, sur la signification de la vie, et sur notre destin après la mort.

Si Jésus s’est effectivement relevé d’entre les morts, alors lui seul possède les réponses concernant le but de la vie et ce qui nous attend après la mort. Par contre, si le récit de la résurrection est faux, alors le christianisme est fondé sur un mensonge. Le théologien R. C. Sproul l’exprime ainsi :

” La revendication de la résurrection est vitale au christianisme. Si Christ a été relevé des morts par Dieu, alors Il possède les qualifications et le titre qu’aucun autre chef religieux ne possède. Bouddha est mort. Mohammed est mort. Moïse est mort. Confucius est mort. Mais, selon le…christianisme, Christ est vivant. ” [2]

De nombreux sceptiques ont tenté de réfuter la résurrection. Josh McDowell était l’un de ces sceptiques, ayant consacré plus de sept cents heures d’étude sur les preuves de la résurrection. McDowell a déclaré ce qui suit sur l’importance de la résurrection :

” J’en ai conclus que la résurrection de Jésus Christ est le canular le plus méchant, vicieux, cruel jamais imposé au cœur de l’homme, OU BIEN c’est le fait le plus fantastique de toute l’histoire. ” [3]

Alors, la résurrection de Jésus est-elle un fait fantastique ou un mythe vicieux ? Pour le découvrir, nous devons examiner les preuves historiques et en tirer nos propres conclusions. Voyons ce que les sceptiques qui ont fait des recherches sur la résurrection ont eux-mêmes trouvé.

 Les cyniques et les sceptiques

Tous ne s’entendent pas pour examiner les preuves de façon objective. Bertrand Russell reconnaît que son opinion sur Jésus ” ne se préoccupe pas ” des faits historiques.[4] L’historien Joseph Campbell a déclaré calmement à son audience de la chaîne de télévision PBS, et sans citer de preuve, que la résurrection de Jésus n’était pas un événement factuel.[5] D’autres intellectuels, tels que John Dominic Crossan du Jesus Seminar, sont d’accord avec lui.[6] Aucun de ces sceptiques ne présente la moindre preuve pour défendre leur point de vue.

Les vrais sceptiques, contrairement aux cyniques, s’intéressent aux preuves. Dans un éditorial du magazine Skeptic, intitulé ” Qu’est-ce qu’un sceptique ? “, la définition suivante est donnée :

” Le scepticisme est… l’application de la raison à toute idée—aucune vache sacrée n’est admise. En d’autres mots… les sceptiques ne s’engagent pas dans une enquête avec l’esprit fermé à la possibilité qu’un phénomène puisse être réel ou qu’une revendication puisse être correcte. Quand nous disons que nous sommes ” sceptiques “, nous voulons dire que nous avons besoin de voir des preuves convaincantes avant de croire. ” [7]

A la différence de Russell et Crossan, beaucoup de vrais sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection de Jésus. Dans cet article, nous entendrons l’opinion de certains d’entre eux et nous verrons comment ils ont analysé les preuves de ce qui est peut-être la question la plus importante de l’histoire du genre humain : Jésus est-il vraiment ressuscité des morts ?

Il prophétise à son propre sujet

En avance de sa mort, Jésus dit à ses disciples qu’il allait être trahi, arrêté et crucifié, et qu’il reviendrait à la vie trois jours plus tard. C’était un drôle de plan !  Que se cachait-il là-derrière ? Jésus n’était pas un artiste de spectacle qui se produisait sur demande devant le monde ; mais plutôt, il promettait que sa mort et sa résurrection prouveraient au monde (si leur esprit et leur cœur étaient réceptifs) qu’il était en fait le Messie.

Wilbur Smith, un étudiant de la Bible, a fait la remarque suivante sur Jésus :

” Quand il a déclaré qu’il se relèverait lui-même d’entre les morts, le troisième jour après sa crucifixion, il dit quelque chose que seul un fou aurait osé avancer en s’attendant toujours à la fidélité de quiconque parmi ses disciples—à moins qu’il ne fût certain de se relever. Aucun fondateur d’une religion du monde connue par l’homme  n’a jamais osé déclarer une chose pareille. ” [8]

En d’autres mots, puisque Jésus avait clairement expliqué à ses disciples qu’il se relèverait après sa mort, son échec à le faire l’aurait exposé comme un menteur. Mais nous nous devançons. Comment Jésus est-il mort avant de se relever (s’il l’a fait) ?

Une mort atroce et ensuite. . . ?

Vous savez à quoi les dernières heures de la vie terrestre de Jésus ont ressemblé si vous avez regardé le film du guerrier de route/Brave Heart (Cœur vaillant), Mel Gibson. Si vous avez raté des passages de La passion de Christ parce que vous vous cachiez les yeux (il aurait été plus simple de tourner le film avec un filtre rouge sur la caméra), consultez les dernières pages des Évangiles dans votre Nouveau Testament pour voir ce que vous avez raté.

Comme Jésus l’avait prédit, il fut trahi par l’un de ses disciples, Judas Iscariote, et il fut arrêté. Lors d’un faux procès auquel présidait le gouverneur romain, Ponce Pilate, il fut accusé de trahison et condamné à mourir sur une croix en bois. Avant d’être cloué sur la croix, Jésus fut brutalement battu au moyen d’un chat à neuf queues romain, un fouet à neuf lanières dont les extrémités étaient nouées avec des morceaux d’os et de métal qui accrochaient la chair pour la déchirer. Il reçut des coups de poing répétés, des coups de pied et on lui cracha dessus.

Ensuite, à l’aide de maillets, les bourreaux romains enfoncèrent les gros clous de fer forgé dans les poignets et les pieds de Jésus. Finalement, ils plantèrent la croix dans un trou au sol entre deux autres croix sur lesquelles étaient cloués des bandits.

Jésus pendit de cette croix pendant environ six heures. Puis, à trois heures de l’après-midi—c’est-à-dire à l’instant même où l’agneau de Pâque était sacrifié en offrande expiatoire des péchés (il y a un peu de symbolisme ici, non ?)—Jésus s’écria (en araméen) :

” Tout est accompli “, puis il mourut. Soudain, le ciel devint sombre et un tremblement de terre secoua la terre. [9]

Pilate voulait vérifier que Jésus était mort avant de d’autoriser la mise en tombe de son corps crucifié. Donc un garde romain plongea une lance dans le côté de Jésus. Le mélange de sang et d’eau qui s’échappa fut une indication nette que Jésus était mort. Le corps de Jésus fut alors descendu de la croix et placé dans la tombe de Joseph d’Arimathée. Les gardes romains scellèrent alors la tombe et y postèrent une garde de 24 heures.

Pendant ce temps, les disciples de Jésus étaient en état de choc. Dr. J. P. Moreland explique à quel point ils étaient frappés et confus après la mort de Jésus sur la croix.

” Ils ne croyaient plus fermement que Jésus avait été envoyé par Dieu. Ils avaient appris, par ailleurs, que Dieu ne permettrait pas que son Messie souffre la mort. Alors ils se dispersèrent. Le Mouvement Jésus en arrivait pratiquement à une fin brutale. ” [10]

Tout espoir s’était évanoui. Rome et les chefs juifs avaient gagné—ou, du moins, c’est ce qu’il semblait.

Quelque chose se produisit

Mais ce n’était pas la fin. Le Mouvement Jésus ne disparut pas (à l’évidence) et, en fait, le christianisme existe aujourd’hui comme la plus grande religion du monde. Donc, nous devons savoir ce qui s’est produit après que le corps de Jésus a été descendu de la croix et placé dans la tombe.

Dans un article du New York Times, Peter Steinfels cite les événements stupéfiants qui eurent lieu trois jours après la mort de Jésus : ” Peu après l’exécution de Jésus, ses fidèles furent soudain galvanisés d’un groupe déconcerté et tremblant en ceux dont le message concernant un Jésus vivant et un royaume approchant, prêché au risque de leur vie, parvint à changer un empire. Quelque chose s’était produit. … Mais quoi exactement? ” [11] C’est la question à laquelle nous devons répondre par un examen des faits.

Il n’existe que cinq explications plausibles pour la résurrection supposée de Jésus, telle qu’elle est présentée dans le Nouveau Testament :

1. Jésus n’est pas vraiment mort sur la croix.

2. La ” résurrection ”  était un complot.

3. Les disciples hallucinaient.

4. Le récit est une légende.

5. Cela s’est vraiment produit.

Considérons chacune de ces options et voyons laquelle correspond le mieux aux faits.

Jésus était-il mort?

” Marley était mort, pour commencer. Là-dessus, pas l’ombre d’un doute. ” C’est ainsi que Charles Dickens entame son conte Un chant de Noël, car l’auteur veut que personne ne se méprenne sur le caractère surnaturel de ce qu’il va se passer. De la même manière, avant de jouer le rôle des Experts CSI et de recueillir les preuves d’une résurrection, nous devons premièrement déterminer qu’il y a bien eu un cadavre. Après tout, on voit occasionnellement un article de journal racontant comment un ” cadavre ” quelconque dans une morgue s’est mis à bouger et s’est rétabli. Est-ce qu’un cas du même type pourrait s’être produit avec Jésus ?

Certains ont avancé que Jésus aurait survécu la crucifixion et serait revenu à lui-même dans l’air frais et humide de la tombe – ” Eh bien, pendant combien de temps j’ai été dans les pommes ? ” Mais cette hypothèse ne semble pas correspondre à l’évidence médicale. Un article figurant dans le Journal of the American Medical Association (Journal de l’Association médicale américaine) explique pourquoi cette hypothèse du soi-disant ” comma ” n’est pas défendable :

” Il est clair que le plus gros de la preuve historique et médicale indique que Jésus était mort. …La lance, enfoncée entre ses côtes droites, perfora probablement, non seulement le poumon droit, mais aussi le péricarde et le cœur et, par conséquent, garantit sa mort. ” [12]

Mais le scepticisme de ce verdict pourrait bien être fondé, car cette affaire date d’il y a 2000 ans. Nous devons, au moins, nous procurer une seconde opinion.

Nous allons trouver cette autre opinion dans les rapports des historiens non-chrétiens de l’époque à laquelle Jésus a vécu. Trois de ces historiens mentionnent la mort de Jésus.

  • Lucien (env.120 à après 180 A.D.) a fait allusion à Jésus comme un sophiste (philosophe) crucifié.[13]
  • Josèphe (env.37 à env.100 A.D.) a écrit : ” En ce temps-là paraît Jésus, un homme sage ; c’était un faiseur de prodiges […]. Et quand Pilate, sur la dénonciation des premiers parmi nous le condamna à la croix, ceux qui l’avaient aimé précédemment ne cessèrent pas. ” [14]
  • Tacite (env. 56 à env.120 A.D.) a écrit : ” Le nom de Chrétiens leur vient du nom de Christ, qui fut condamné sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate. ” [15]

C’est un peu comme si nous allions à la bibliothèque nationale et que nous découvrions qu’un matin de printemps au premier siècle, le Jerusalem Post avait publié en première page un article disant que Jésus était crucifié et mort. Ce n’est pas mal pour un travail de détective, et c’est plutôt concluant.

En réalité, il n’existe aucun rapport historique, émanant de Chrétiens, Romains ni Juifs, contredisant soit la mort de Jésus, soit sa mise en tombe. Même Crossan, un sceptique de la résurrection, reconnaît que Jésus a véritablement vécu et est mort.  ” Le fait qu’il a été crucifié est aussi certain que tout autre fait historique peut l’être. “[16] A la lumière de telle preuve, il semble que nous ayons de bonnes raisons de rejeter la première de nos cinq options. Jésus était clairement mort, ” pas l’ombre d’un doute “.

La question de la tombe vide

Aucun historien sérieux ne doute vraiment que Jésus était mort lorsqu’il a été descendu de la croix. Toutefois, bon nombre ont questionné la manière dont le corps de Jésus a disparu de la tombe. Le journaliste anglais, Dr. Frank Morison, a d’abord pensé que la résurrection était un mythe ou une tromperie, et il a commencé une étude en vue d’écrire un livre la réfutant.[17] Le livre devint célèbre, mais pour des raisons autres que son intention première, comme nous allons le voir.

Morison commença par tenter de résoudre le cas de la tombe vide. La tombe appartenait à un membre du Conseil du Sanhédrin, Joseph d’Arimathée. En Israël, en ce temps-là, faire partie du Conseil était équivalent à être une rock star d’aujourd’hui. Tout chacun savait qui faisait partie du Conseil. Joseph doit avoir été une vraie personne. Autrement, les chefs juifs auraient exposé l’histoire comme un faux dans leurs efforts de réfuter la résurrection. Par ailleurs, la tombe de Joseph aurait été située dans un lieu connu et facile à identifier, de sorte que toute idée de Jésus ” perdu dans le cimetière ” aurait été éliminée.

Morison se demanda pourquoi les ennemis de Jésus auraient permis au ” mythe de la tombe vide ” de persister s’il n’était pas vrai. La découverte du corps de Jésus aurait mis fin instantanément à tout le complot.

Et ce qui est connu historiquement des ennemis de Jésus, c’est qu’ils accusèrent les disciples d’avoir volé le corps, une accusation clairement basée sur une conviction partagée que la tombe était vide.

Dr. Paul L. Maier, un professeur d’histoire antique à l’université de Western Michigan, a aussi déclaré : ” Si toute la preuve est soigneusement et objectivement évaluée, il est vraiment justifiable … de conclure que la tombe dans laquelle Jésus fut placé était en fait vide au matin de la première Pâque. Et aucune trace de preuve n’a encore été découverte … qui puisse réfuter cela. ” [18]

Les chefs juifs étaient stupéfaits, et accusèrent les disciples d’avoir dérobé le corps de Jésus. Mais les Romains avaient affecté une garde de 24 heures à la tombe, avec un détachement de gardes bien entraînés (entre 4 et 12 soldats). Morison demande :

” Comment ces professionnels ont-ils pu laisser vandaliser le corps de Jésus ? “

Il aurait été impossible à qui que ce soit d’échapper à l’attention des gardes romains et d’avoir déplacé une pierre de deux tonnes. Et pourtant, la pierre était déplacée et le corps de Jésus était manquant.

Si le corps de Jésus avait pu se trouver quelque part, ses ennemis auraient rapidement exposé la résurrection comme un mensonge. Tom Anderson, ancien président de la California Trial Lawyers Association (Association californienne des avocats plaidants), résume l’essentiel de cet argument :

” Avec un événement recevant une telle publicité, ne pensez-vous pas qu’il eût été raisonnable qu’un historien, un témoin oculaire ou un antagoniste ait noté pour les temps à venir qu’il avait vu le corps de Jésus ?  …Le silence de l’histoire est assourdissant quant au témoignage contre la résurrection. ” [19]

Alors, faute de preuve, et avec une tombe connue vide de toute évidence, Morison considéra solide la preuve que le corps de Jésus avait en quelque sorte disparu de la tombe.

Vandalisme de tombe?

Comme Morison poursuivit son enquête, il commença à examiner les motifs des fidèles de Jésus. Peut-être que la supposée résurrection était en fait un corps dérobé. Mais alors, si c’était le cas, comment justifier toutes les apparitions documentées de Jésus ? L’historien Paul Johnson, dans History of the Jews (L’histoire des Juifs), a écrit :

” Ce qui comptait, ce n’était pas les circonstances de sa mort, mais le fait qu’un groupe sans cesse plus grand de gens croyaient tout à fait et obstinément qu’il était ressuscité. ” [20]

La tombe était bien vide. Mais ce n’était pas la simple absence d’un corps qui pourrait avoir galvanisé les fidèles de Jésus (notamment s’ils étaient ceux qui l’avait volé). Quelque chose d’extraordinaire devait avoir eu lieu, car les fidèles de Jésus cessèrent d’avoir du chagrin, cessèrent de se cacher, et commencèrent à proclamer audacieusement qu’ils avaient vu Jésus vivant.

Chacun des témoignages oculaires rapporte que Jésus apparut soudain en chair et en os à ses fidèles, aux femmes d’abord. Morison se demanda pourquoi des comploteurs auraient donné un rôle prépondérant à des femmes dans leur histoire. Au premier siècle, les femmes n’avaient pratiquement aucun droit, aucune personne, aucun état. Si le complot devait réussir, Morison raisonna, les conspirateurs auraient mis en avant des hommes, non pas des femmes, comme étant les premiers à voir Jésus vivant. Pourtant, nous entendons que des femmes le touchèrent, parlèrent avec lui, et furent les premières à trouver la tombe vide.

Plus tard, selon les récits des témoins, tous les disciples ont vu Jésus en plus de dix occasions distinctes. Ils écrivirent qu’il leur montra ses mains et ses pieds et leur dit de le toucher. Et ils dirent qu’il mangea avec eux et, plus tard, apparut vivant à plus de 500 fidèles dans un cas.

John Warwick Montgomery, un érudit du droit, a déclaré :

” En 56 A.D., l’apôtre Paul a écrit que plus de 500 personnes avaient vu le Jésus ressuscité et que la plupart d’entre elles étaient encore vivantes (1 Corinthiens 15, 6 et suivants). Cela dépasse les limites de la crédibilité, que les premiers Chrétiens aient pu fabriquer une histoire semblable, puis la prêcher au milieu de ceux qui auraient facilement pu la réfuter en produisant simplement le corps de Jésus. ” [21]

Les érudits de la Bible, Geisler et Turek sont d’accord :

” Si la résurrection n’avait pas eu lieu, pourquoi l’apôtre Paul aurait-il donné une telle liste de supposés témoins ? Il aurait immédiatement perdu toute crédibilité auprès de ses lecteurs corinthiens en mentant aussi effrontément. ” [22]

Pierre expliqua à une foule à Césarée pourquoi lui-même et les autres disciples étaient si convaincus que Jésus était vivant.

” Nous sommes témoins de tout ce qu’il a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. Ils l’ont tué, en le pendant au bois. Dieu l’a ressuscité le troisième jour, et il a permis qu’il apparût […] à nous qui avons mangé et bu avec lui, après qu’il fut ressuscité des morts. ” (Actes 10, 39 à 41)

Michael Green, un érudit britannique de la Bible fait remarquer : ” Les apparitions de Jésus sont aussi bien authentifiées que toute autre chose de l’antiquité…Il ne peut y avoir aucun doute rationnel qu’elles ont eu lieu. ” [23]

Cohérent jusqu’au bout

Comme si les rapports des témoins oculaires étaient insuffisants pour provoquer le scepticisme de Morison, le comportement des disciples le laissa également perplexe. Le fait historique, qui a fait trébucher aussi bien les historiens que les psychologues et les sceptiques, est que ces onze anciens lâches s’exposèrent soudain volontairement à souffrir l’humiliation, la torture et la mort. Tous les disciples de Jésus, à l’exception d’un seul, moururent en martyres. Est-ce qu’ils se seraient engagés de la sorte pour un mensonge, sachant qu’ils avaient eux-mêmes dérobé le corps de Jésus ?

Les martyres islamiques du 11 septembre ont prouvé que certains sont d’accord de mourir pour une fausse cause en laquelle ils croient. Pourtant, c’est de la folie de se prêter volontairement au martyre pour un mensonge évident. Comme l’a écrit Paul Little :

” Les hommes sont d’accord de mourir pour ce qu’ils croient être vrai, bien que cela puisse en réalité être faux. Ils ne meurent pas, toutefois, pour ce qu’ils savent être un mensonge. “[24]

Les disciples de Jésus se sont comportés d’une manière cohérente avec une conviction profonde que leur chef était vivant.

Personne n’a clairement expliqué pourquoi les disciples auraient voulu mourir pour un mensonge évident. Mais, même s’ils avaient tous comploté de mentir sur la résurrection de Jésus, comment auraient-ils pu prolonger ce complot pendant des décennies sans que l’un d’eux au moins ne vende la mèche pour de l’argent ou un titre ? Moreland écrit :

” Ceux qui mentent en perspective d’un gain personnel ne restent pas longtemps unis, notamment quand les difficultés dépassent les avantages. “

L’ancien ” homme à la hache ” du gouvernement de Nixon, Chuck Colson, impliqué dans le scandale de Watergate, fit remarquer combien plusieurs personnes éprouvèrent des difficultés à soutenir le mensonge pendant une période de temps prolongée.

” Je sais que la résurrection est un fait, et Watergate me l’a prouvé. Comment ? Parce que 12 hommes témoignèrent qu’ils avaient vu Jésus relevé des morts, et ensuite proclamèrent cette vérité pendant 40 ans, sans jamais la renier une seule fois. Chacun à son tour fut battu, torturé, lapidé et jeté en prison. Ils n’auraient pas pu endurer cela si ce n’était pas vrai. Watergate impliqua 12 des hommes les plus puissants du monde—et ils furent incapables de soutenir un mensonge pendant trois semaines. Vous me dites que 12 apôtres furent capables de soutenir un mensonge pendant 40 ans ? Absolument impossible. ” [25]

Quelque chose a dû se produire, qui a tout changé dans la vie de ces hommes et de ces femmes. Morison a reconnu :

” Quiconque aborde ce problème doit tôt ou tard faire face à un fait sans explication… Ce fait est… qu’une conviction profonde touche ce petit groupe de gens—un changement qui témoigne du fait que Jésus s’est relevé de la tombe. ” [26]

Les disciples étaient-ils victimes d’une hallucination ?

Des gens croient toujours qu’ils voient un Elvis gras, aux cheveux gris, entrer furtivement chez Dunkin Donuts (chaîne de pâtisserie américaine). Et puis il y a ceux qui croient qu’ils ont passé la nuit dernière avec des extraterrestres, dans leur vaisseau, comme l’objet d’essais innommables. Quelquefois, certaines gens peuvent ” voir ” les choses qu’ils veulent voir, des choses qui n’existent pas vraiment. Et c’est pourquoi certains ont prétendu que les disciples étaient si désespérés de la crucifixion que leur désir de revoir Jésus vivant aurait provoqué une hallucination de masse. Est-ce plausible ?

Le psychologue Gary Collins, ancien président de l’American Association of Christian Counselors (Association américaine des conseillers chrétiens), a été questionné sur la possibilité que des hallucinations aient motivé le changement de comportement radical des disciples. Collins fit la remarque suivante :

” Les hallucinations sont des phénomènes individuels. De par la nature-même des hallucinations, une seule personne à la fois ne peut en voir une. Ce n’est pas quelque chose qui peut être vu par un groupe de gens. ” [27]

L’hallucination n’est pas même une possibilité, selon le psychologue Thomas J. Thorburn :

” Il est absolument inconcevable que… cinq cents personnes, d’une clarté d’esprit moyenne… puisse faire l’expérience de toutes sortes d’impressions sensorielles—visuelle, auditoire, tactile—et que toutes ces… expériences reposent entièrement sur…  une hallucination. ” [28]

Par ailleurs, dans la psychologie des hallucinations, la personne a besoin de se trouver dans une certaine disposition d’esprit qui lui fait souhaiter de voir la personne au point que son esprit la fabrique. Deux chefs importants de la première église, Jacques et Paul, ont tous les deux rencontré un Jésus ressuscité, sans qu’aucun des deux ne s’attende à en avoir le plaisir, ni ne l’espère. L’apôtre Paul, en fait, menait les premières persécutions des Chrétiens, et sa conversion reste inexplicable en dehors de son propre témoignage que Jésus lui est apparu, ressuscité.

Du mensonge à la légende

Certains sceptiques sans conviction attribuent l’histoire de la résurrection à une légende qui commença avec une ou deux personnes mentant ou pensant qu’elles avaient vu le Jésus ressuscité. Au fil du temps, la légende aurait grandi et aurait été embellie en se transmettant. Selon cette théorie, la résurrection de Jésus est comparable à la table ronde arthurienne, à l’incapacité du petit Georgie Washington de dire un mensonge, et à la promesse que la Sécurité sociale deviendra solvable à temps pour satisfaire nos besoins.

Mais cette théorie contient trois problèmes importants.

1. Les légendes se développent rarement alors qu’il existe plusieurs témoins oculaires pour les démentir. Un historien de la Rome et de l’Athènes antiques, A. N. Sherwin-White, a posé l’argument que les nouvelles de la résurrection se sont répandues trop tôt et trop vite pour que celle-ci puisse avoir été une légende.[29]

2. Les légendes se développent par tradition orale et ne s’accompagnent pas de documents historiques contemporains vérifiables. Pourtant, les Évangiles furent écrits en l’espace des trois décennies suivant la résurrection.[30]

3. La théorie de la légende n’explique pas bien le fait de la tombe vide, ni la conviction historiquement vérifiée des apôtres selon laquelle Jésus était vivant.[31]

Pourquoi le christianisme a-t-il prévalu ?

Morison était perplexe du fait qu’un ” mouvement minuscule et insignifiant fût capable de prévaloir sur le contrôle étroit et rusé de l’établissement juif, ainsi que sur la puissance de Rome. ” Pourquoi a-t-il gagné, en dépit de tous ces obstacles s’y opposant ?

Il écrit :

” En l’espace de vingt ans, la revendication de ces paysans galiléens avait bouleversé l’église juive.… En moins de cinquante ans, elle avait commencé à menacer la paix de l’Empire romain. Une fois que le dernier mot a été dit… nous demeurons devant le plus grand mystère de tous. Pourquoi a-t-elle prévalu ? ” [32]

Selon toute logique, le christianisme aurait dû disparaître à la croix, lorsque les disciples s’enfuirent pour sauver leur propre vie. Mais les apôtres procédèrent à l’établissement d’un mouvement chrétien croissant.

J. N. D. Anderson écrit : “

Pensez à l’absurdité psychologique d’imaginer une petite bande de lâches vaincus, se cachant dans une salle à l’étage un jour et, quelques jours plus tard, étant transformés en une compagnie qu’aucune persécution ne parvenait à faire taire—et puis de tenter d’attribuer ce changement catégorique à rien de plus convaincant qu’une invention de misère.…Cela n’aurait simplement aucun sens. ” [33]

De nombreux intellectuels croient (selon les paroles d’un ancien commentateur) que ” le sang des martyres fut la semence de l’église. ” L’historien Will Durant fit observer :

” César et Christ se rencontrèrent dans l’arène, et Christ l’emporta. ” [34]

Une conclusion surprenante

Une fois que le mythe, l’hallucination et l’autopsie fautive furent éliminés, considérant la preuve irréfutable de la tombe vide, le groupe important de témoins oculaires de sa réapparition, et la transformation inexplicable, ainsi que l’impact sur le monde de ceux qui prétendaient l’avoir vu, Morison devint convaincu que son préjudice contre la résurrection de Jésus Christ était faux. Il commença à écrire un livre différent—intitulé Qui a déplacé la pierre ? —pour présenter en détail ses nouvelles conclusions. Morison suivit simplement le sentier de la preuve, indice par indice, jusqu’à ce que la vérité de l’affaire lui semble claire. Sa surprise fut que la preuve menait à la croyance en la résurrection.

Dans son premier chapitre, ” Le livre qui refusait d’être écrit “, cet ancien sceptique expliqua comment la preuve l’avait convaincu que la résurrection de Jésus était un fait historique réel.  ” C’était comme si un homme avait entrepris de traverser une forêt en empruntant un sentier bien battu et en était ressorti là où il ne s’attendait pas à en ressortir. ” [35]

Morison n’est pas seul. D’innombrables autres sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection de Jésus, et l’ont acceptée comme le fait le plus stupéfiant de toute l’histoire humaine. Mais la résurrection de Jésus Christ soulève la question suivante : en quoi le fait que Jésus a vaincu la mort affecte-t-il ma propre vie ? La réponse à cette question fait l’objet du christianisme du Nouveau Testament.

Jésus a-t-il parlé de ce qu’il nous arrive après la mort ?

Si Jésus est véritablement ressuscité des morts, alors il doit savoir ce qui se trouve de l’autre côté. Qu’a dit Jésus sur la signification de la vie et sur notre avenir ? Y a-t-il une quantité de chemins qui mènent à Dieu ou Jésus a-t-il déclaré qu’il est le seul chemin ? Lire les réponses étonnantes dans “Jésus est-il pertinent à notre époque?”

Notes de fin

  1. Paul Edwards, “Great Minds: Bertrand Russell,” Free Inquiry, December 2004/January 2005, 46.
  2. R. C. Sproul, Reason to Believe (Grand Rapids, MI: Lamplighter, 1982), 44.
  3. Josh McDowell, The New Evidence That Demands a Verdict (San Bernardino, CA: Here’s     Life, 1999), 203.
  4. Bertrand Russell, Why I Am Not a Christian (New York: Simon & Schuster, 1957), 16.
  5. Joseph Campbell, an interview with Bill Moyers, Joseph Campbell and the Power of Myth, PBS TV special, 1988.
  6. Michael J. Wilkins and J. P. Moreland, eds, Jesus Under Fire (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1995), 2.
  7. “What Is a Skeptic?” editorial in Skeptic, vol 11, no. 2), 5.
  8. Wilbur M. Smith, A Great Certainty in This Hour of World Crises (Wheaton, ILL: Van Kampen Press, 1951), 10, 11
  9. Historian Will Durant reported, “About the middle of this first century a pagan named Thallus … argued that the abnormal darkness alleged to have accompanied the death of Christ was a purely natural phenomenon and coincidence; the argument took the existence of Christ for granted. The denial of that existence never seems to have occurred even to the bitterest gentile or Jewish opponents of nascent Christianity.” Will Durant, Caesar and Christ, vol. 3 of The Story of Civilization (New York: Simon & Schuster, 1972), 555.
  10. Quoted in J. P. Moreland interview, Lee Strobel, The Case for Christ (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1998), 246.
  11. Peter Steinfels, “Jesus Died—And Then What Happened?” New York Times, April 3, 1988, E9.
  12. William D. Edwards, M.D., et al., “On the Physical Death of Jesus Christ,” Journal of the American Medical Association 255:11, March 21, 1986.
  13. Lucian, Peregrinus Proteus.
  14. Josephus, Flavius, Antiquities of the Jews, 18. 63, 64. [Although portions of Josephus’ comments about Jesus have been disputed, this reference to Pilate condemning him to the cross is deemed authentic by most scholars.]
  15. Tacitus, Annals, 15, 44. In Great Books of the Western World, ed. By Robert Maynard Hutchins, Vol. 15, The Annals and The Histories by Cornelius Tacitus (Chicago: William Benton, 1952).
  16. Gary R. Habermas and Michael R. Licona, The Case for the Resurrection of Jesus (Grand Rapids, MI: Kregel, 2004), 49.
  17. Frank Morison, Who Moved the Stone? (Grand Rapids, MI: Lamplighter, 1958), 9.
  18. Paul L. Maier, Independent Press Telegram, Long Beach, CA: April 21, 1973.
  19. Quoted in Josh McDowell, The Resurrection Factor (San Bernardino, CA: Here’s Life, 1981), 66.
  20. Paul Johnson, A History of the Jews (New York: Harper & Row, 1988), 130.
  21. John W. Montgomery, History and Christianity (Downers Grove, ILL: InterVarsity Press, 1971), 78.
  22. Norman L. Geisler and Frank Turek, I Don’t Have Enough Faith to Be an Atheist (Wheaton, IL: Crossway, 2004), 243.
  23. Michael Green, The Empty Cross of Jesus (Downers Grove, IL: InterVarsity, 1984), 97, quoted in John Ankerberg and John Weldon, Knowing the Truth about the Resurrection (Eugene, OR: Harvest House), 22.
  24. J. P. Moreland, Scaling the Secular City, (Grand Rapids, MI: Baker Book House, 2000), 172.
  25. Charles Colson, “The Paradox of Power,” Power to Change, www.powertochange.ie/changed/index_Leaders.
  26. Morison, 104.
  27. Gary Collins quoted in Strobel, 238.
  28. Thomas James Thorburn, The Resurrection Narratives and Modern Criticism (London: Kegan Paul, Trench, Trubner & Co., Ltd., 1910.), 158, 159.
  29. Sherwin-White, Roman Society, 190.
  30. Habermas and Licona, 85.
  31. Habermas and Licona, 87.
  32. Morison, 115.
  33. J. N. D. Anderson, “The Resurrection of Jesus Christ,” Christianity Today, 12. April, 1968.
  34. Durant, Caesar and Christ, 652.
  35. Morison, 9.

Permission de reproduire cet article : L’éditeur accorde la permission de reproduire et distribuer ce document sans permission écrite, pour une utilisation à but non lucratif. Aucune partie ne peut être modifiée ou utilisée hors-contexte sans permission écrite. Des copies imprimées de Y-Origins et de Y-Jesus magazine peuvent être commandées à : www.JesusOnline.com/product_page

© 2010 JesusOnline Ministries (Ministères de Jésus en ligne). Cet article est un supplément du magazine  Y-Jesus  publié par Bright Media Foundation & B&L Publications : Larry Chapman, éditeur-en-chef. Pour lire d’autres articles sur les preuves de l’existence de Jésus Christ, voir : www.y-jesus.com.




Particules métalliques dans les vaccins : les complotistes ont encore frappé !

[Source : Michel de Lorgeril]

Par Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition – Membre de la Société Européenne de Cardiologie

L’été 2021 a été marqué par une étrange information, confirmée par de multiples sources conspirationnistes, stipulant que les vaccins antiCOVID contenaient des particules métalliques qui excitaient les aimants.

[Voir :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

Évidemment, bandes d’idiots, cette information n’avait aucun sens : pourquoi y aurait-il des particules métalliques dans les seringues vaccinales ?

Encore une idée de quelques zombies qui voient le mal partout. Les autorités sanitaires, les scientistes de service et les médias ont aussitôt [et à juste raison] rejeté ces théories farfelues.

Par exemple, le subtile Figaro est allé interviewé des gens sérieux…

Et l’incomparable crétin-décodeur du journal du soir des gens accomplis (le fameux Adrien Sénécat) s’est précipité pour nous informer que ces informations… étaient bien sûr des fake news !

Seulement voilà, le Ministère Japonais de la Santé (ou quelque chose d’équivalent) est lui-aussi complotiste : ses experts ont identifié des particules métalliques dans les vaccins Moderna.

Beaucoup plus ennuyeux pour le déconneur du Monde (payé pour mentir) et l’experte du Figaro (payée pour quoi ?), Moderna l’a implicitement confirmé.

Ce n’est plus une fake news, c’est une enquête à diligenter…

C’est encore plus ennuyeux pour les Agences sanitaires internationales (payées pour quoi ?) qui vont devoir expliquer à quoi elles servent… sinon à faire génuflexion devant les stars du grand Kapital Pharma, comme dirait un célèbre Karl…

Que va dire le Grand manitou qui gouverne le Ministère de la Santé en France ?

Tout cela devient quelque peu nauséabond.

Outre que les informateurs des grands médias s’avèrent n’être que des vulgaires propagateurs de fausses informations, il semblerait que les conspirationnistes aient eu raison avant tout ce « sale petit monde » de la désinformation organisée.

Ne pourraient-ils pas, de temps en temps, dire vrai ?

Ils viendront ensuite se plaindre de faire faillite parce que le public va s’informer sur les réseaux sociaux.

Ils n’ont pas encore compris que les médias conventionnels et les réseaux sociaux sont des vases communicants : plus les médias officiels sont mauvais et menteurs et plus les réseaux sociaux enflent !

La jeunesse l’a compris ; la jeunesse ne lit pas le Figaro et encore moins Le Monde !




Manifestation massive pro vaccination à Lyon : ils étaient 100.000 selon BFM, 30… selon vos yeux !

[Source : Le Libre Penseur]

Si on enlève les journalistes, les policiers et les curieux, il reste au maximum une trentaine de personnes ! Ces pauvres manifestants sont ce que représente réellement Macron dans l’opinion publique ou dans les précédentes élections, quasiment rien ! Ce n’est même pas un flop car un flop c’est déjà quelque chose de quantifiable ! Là on est dans le néant, dans l’inexistant !

En face, lorsque les images montrent des centaines de milliers de manifestants dans plus de 200 villes en France chaque samedi en plein juillet-août sous un soleil brûlant, BFM nous explique qu’ils ne représentent rien, que c’est une minorité de radicalisée !




Pass sanitaire : zone libre contre zone occupée, faites votre choix !

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Désormais, les personnes en contact avec le public devront être munies du fameux pass sanitaire, qui n’est pas près de disparaître, comme l’a enfin reconnu Olivier Véran – sans surprise aucune. Et la France, comme à son habitude, est divisée, capable du pire comme du meilleur. Des collaborationnistes empressés proposant des bracelets pour marquer les clients disciplinés, aux résistants réhabilitant fort à propos les zones libres, à chacun d’entre nous de faire son choix, entre deux visions du monde, entre deux visions de l’Homme.

Si vous aviez un doute, Olivier Véran l’a annoncé : le pass sanitaire ne sera pas forcément arrêté au 15 novembre – s’il existe des virus. Rassurez-vous, les virus ont toujours existé, ils ne vont pas disparaître. Donc, votre pass sanitaire non plus. Peut-être, comme Israël, bientôt dès 12 ans, il sera « possible » d’avoir sa 3e dose de vaccin. À la 4e, le café sera offert. Et l’on verra alors les triples vaccinés s’insurger contre l’incivilité des doubles vaccinés, nous vivons dans un monde merveilleux.

Aujourd’hui, comme aux heures d’Occupation les plus sombres, les Français sont divisés. En dehors de la masse qui suit le plus fort (comme à peu près partout), l’on retrouve certains activistes, plus royalistes que le Roi, plus fanatiques que l’Occupant, toujours prêts à démontrer leur inventivité. Ainsi, certains commerçants à Lille ont distribué des bracelets à leurs clients :

« La préfecture a fait part à l’AFP de son accord pour cette initiative, «qui doit faciliter, en particulier, l’identification des clients en terrasse et au bar et favoriser le respect de la réglementation, qui concourt à la prévention de l’épidémie» et est «donc bienvenue». »

En effet, marquer le bétail permet de le diriger plus facilement vers le bon parcage. En parlant de parcage, d’autres ont eu l’idée géniale de clore leur terrasse de café ou de restaurant, afin de mieux contrôler l’accès. L’efficacité, rien de tel… 

Dans le même temps, nombre d’établissements refusent simplement d’ouvrir leurs portes, car ils trouvent cela indigne, contraire à l’esprit même des lieux de convivialité que sont les bars et restaurants :

« Nous ne sommes absolument pas contre la vaccination, mais nous refusons d’appliquer le contrôle du pass sanitaire, « Ce n’est pas à nous de procéder à ce genre de contrôle » ». Contrôle qu’elles trouvent « largement discriminatoire et en totale opposition avec leur activité basée sur l’entraide, la solidarité, la convivialité ».

Des zones libres ont été crées dans toute la France,  par ces gens qui refusent de devenir les instruments d’une surveillance généralisée de la population. Et le problème se généralise – nombre de pompiers démissionnent, car devant se faire vacciner. Certains grands établissements se mettent en grève. Des terrasses sauvages voient le jour. Les manifestations s’enchaînent et grossissent. La France se réveille, la France française se lève contre la France globaliste.

A côté de cela, l’on voit l’hystérie des pseudos experts sur les plateaux télé, demandant à « pourrir la vie » de ces « connards » de non-vaccinés. Au-delà de Thierry Moreau qui vient d’avoir son heure de gloire, faire reposer la responsabilité des mesures liberticides sur les non-vaccinés est devenue courante dans le discours médiatique et a pour but de déresponsabiliser les gouvernants :

C’est de la haine. La haine contre ceux qui ne se soumettent pas. Elle a toujours existé dans les systèmes totalitaires – celui qui n’est pas soumis est un danger pour le système en général, il faut le détruire, aucune « tolérance » n’est possible, aucune « pluralité » n’est envisageable. 

L’argument sanitaire ici n’a plus sa place – à la fois car Israël montre bien que la vaccination massive n’empêche pas une hausse record de la mortalité, et parce qu’en France nous sommes à une quarantaine de décès certifiés conformes par jour quand de toute manière il meurt environ 1 700 personnes par jour et qu’il est toujours interdit de parler de traitement…

Et ne nous y trompons pas. Lorsque l’on parle d’Occupation, ce n’est pas seulement par analogie, mais dans le sens direct du terme, puisque nous avons des structures étatiques qui n’ont pas la maîtrise des décisions qu’elles prennent. L’Occupation d’un pays ne se fait pas uniquement avec des armées et des chars, elle se réalise par la prise de pouvoir sur un territoire et sa population. La gouvernance globalisée au nom d’une dictature sanitaire en est l’exemple aujourd’hui. Certains pays vont plus loin, d’autres moins loin, c’est une question de degré, pas de principe – cela dépend de leur niveau de souveraineté réelle et de la réactivité de la population.

Alors choisissez votre camp. Chacun fait son choix, tout silence est une abdication. Toute abdication est une collaboration.




Pass sanitaire à perpet’ : l’OMS publie un guide pour la certification électronique de la vaccination

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Le 27 août, l’OMS vient de sortir un guide très révélateur pour notre avenir concernant la certification électronique de la vaccination, à l’heure de l’éternelle pandémie du Covid. Ce guide global prévoit notamment la possibilité d’élargir le suivi électronique à d’autres vaccinations et incite tous les pays membres à y recourir, à des niveaux différents en fonction de la réactivité de leur population. Bref, si l’on se soumet, l’on arrive à Pass sanitaire for ever ! Le « nouveau monde » met en place ses instruments.

L’OMS, qui a vu sa fonction gouvernante décuplée grâce à la crise du Covid, prévoit de faire perdurer son pouvoir au-delà des risques de disparition ou d’apparition d’un virus ou d’un autre. L’intérêt étant bien le transfert des mécanismes de gouvernance à un niveau surpa-étatique, système dans lequel les Etats ne sont que des structures d’exécution. Ainsi, un guide concernant la généralisation et la pérennisation de la certification électronique des vaccins, au-delà de celui contre le Covid, a été publié ce 27 août par l’OMS [Ndlr : ⚠️Téléchargement automatique] :

Selon le document lui-même, en plus des « experts » de l’OMS, il a mis à contribution, notamment, des personnes venant de la Banque mondiale (l’on appréciera la dimension sanitaire), de PATH (une organisation globale axée sur « l’équité sanitaire » et « l’innovation » financée à plus de 20% par le Gouvernement américain et à plus de 50% par des Fondations, dont Bill Gates, Bloomberg ou Open society de Soros), l’Organisation internationale de l’aviation civile, la direction générale pour la santé et la sécurité alimentaire de la Commission européenne, le ministre de la Santé de Nouvelle-Zélande, la direction générale de la communication et des technologies de la Commission européenne, le cabinet juridique Ernst and Young, SNOMED International (organisation internationale d’élaboration des normes de terminologie de la santé – bref, en charge de l’élaboration de la Novlangue sanitaire), le ministère canadien responsable de la politique de l’immigration et des réfugiés (question, comme nous le voyons aujourd’hui en France, effectivement et étrangement liée au Covid), des universités, des groupes technologiques, etc. Et en dernière phrase des remerciements, l’on trouve ceci :

« This work was funded by the Bill and Melinda Gates Foundation, the Government of Estonia, Fondation Botnar, the State of Kuwait, and the Rockefeller Foundation.« 
[« Ce travail a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le gouvernement estonien, la Fondation Botnar, l’État du Koweït et la Fondation Rockefeller. »]

Sans commentaire.

En introduction, l’on apprend qu’il s’agit d’un guide intermédiaire pour que les pays aient une approche globale dans ce contexte changeant – pourtant, pas très changeant depuis deux ans … 

« The current document is written for the ongoing global COVID-19 pandemic; thus, the approach is architected to respond to the evolving science and to the immediate needs of countries in this rapidly changing context; for this reason, the document is issued as interim guidance. The approach could eventually be extended to capture vaccination status to protect against other diseases.« 
[« Le présent document a été rédigé pour la pandémie mondiale de COVID-19 en cours. Ainsi, l’approche est conçue pour répondre à l’évolution de la science et aux besoins immédiats des pays dans ce contexte en mutation rapide. Pour cette raison, le document est publié à titre d’orientation provisoire. L’approche pourrait éventuellement être étendue à la saisie du statut vaccinal pour la protection contre d’autres maladies. »]

Donc, les pays n’ont pas de « besoin immédiat » de soigner cette maladie, ils ont un « besoin immédiat » de mettre en place un certificat électronique de vaccination, qui pourra être étendu à d’autres maladies en cas de besoin. Et quand il y a une volonté, l’on trouve un besoin.

Pour rester dans le monde bisounours, il est bien expliqué que ce n’est qu’un instrument permettant d’établir électroniquement l’existence d’une vaccination. Si c’est un instrument c’est neutre. Certes… cela met donc en place les « simples » instruments du nouveau monde, monde de surveillance. Un monde qui a besoin de l’électronique pour réaliser son fantasme. Et d’une excuse morale pour le faire passer – le culte sanitaire.

Et quelques phrases plus loin, l’on voit déjà apparaître l’incitation, notamment pour les voyages :

« Furthermore, in response to the IHR EC advice to the Secretariat, WHO is actively working to update the design of the ICVP to accommodate the COVID-19 status of travelers, including vaccination, history of infection, and test results consistent with the DDCC:VS specifications. In relation to the ICVP, The IHR EC furthermore recommends States Parties “recognition of all COVID-19 vaccines that have received WHO Emergency Use Listing in the context of international travel. In addition, States Parties are encouraged to include information on COVID-19 status, in accordance with WHO guidance, within the WHO booklet containing the International Certificate of Vaccination and Prophylaxis; and to use the digitized version when available.”
[« De plus, en réponse à l’avis du CE RSI au Secrétariat, l’OMS travaille activement à la mise à jour de la conception de l’ICVP pour prendre en compte le statut COVID-19 des voyageurs, y compris la vaccination, les antécédents d’infection et les résultats des tests conformes aux spécifications DDCC:VS. En ce qui concerne l’ICVP, le CE RSI recommande en outre aux États membres « la reconnaissance de tous les vaccins COVID-19 qui ont reçu la liste d’utilisation d’urgence de l’OMS dans le contexte des voyages internationaux. En outre, les États membres sont encouragés à inclure des informations sur le statut de COVID-19, conformément aux directives de l’OMS, dans le livret de l’OMS contenant le Certificat international de vaccination et de prophylaxie ; et à utiliser la version numérisée lorsqu’elle est disponible. »]

L’instrument n’est plus si neutre, il a déjà des implications liberticides. Mais au nom de la santé, Amen ! L’illusion de la neutralité de la technologie est très utile pour construire tout système de gouvernance – qui a justement besoin de mettre en place ses propres instruments pour fonctionner.

Et cette dérive est parfaitement établie dans ce Guide, qui pose bien deux buts – établir l’acte de vaccination dans le cadre de la politique vaccinale classique et surtout, en ce qui intéresse l’actualité, prouver la vaccination dans un but qui n’a rien de sanitaire :

« 2. PROOF OF VACCINATION: Vaccination records can also provide proof of vaccination status for purposes not related to health care.« 
[« 2) PREUVE DE VACCINATION : les carnets de vaccination peuvent également fournir une preuve du statut vaccinal à des fins non liées aux soins de santé. »]

Ainsi est donné l’instrument d’apartheid sanitaire. L’utilisation va dépendre, selon ce Guide, de la « maturité sociale » du pays, autrement dit, la population est-elle ou non prête à cette surveillance. Quoi qu’il en soit, ce certificat électronique doit être mis en place par chaque pays membre de l’OMS, de manière différente en fonction de la situation spécifique du pays, de la population. Nous voyons, par exemple, qu’en Russie, le rejet massif conduit à plus de prudence de la part des pouvoirs publics, moins intégrés dans la globalisation et dépendant encore de l’opinion nationale.

Techniquement, vous trouverez tous les détails dans le Guide, disponible ici en anglais.

Les gens ont le droit de se vacciner avec des produits récents. Chacun a le droit de faire son choix. Mais personne ne peut, dans une société qui respecte l’homme dans son humanité, conditionner l’accès à la vie sociale à un vaccin, dont aucun recul ne permet de déterminer les effets secondaires.

Soigner la population est une obligation pour tout pays qui se respecte et qui respecte sa population. La prise en charge médicale ne peut se réduire, dans un pays civilisé, à la vaccination obligatoire de tous avec un produit à peine sorti des labos et l’enfermement des personnes malades, sans soins adaptés. 

Et n’oubliez pas, que tout système totalitaire se met en place grâce à la passivité des populations. 




COVID : les députés votent pour un transfert de souveraineté à l’Europe

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Personne n’en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne « renforcée » dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l’an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !


Résolution de l'Assemblée Nationale sur les crises sanitaires from Société Tripalio

Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France. 

Une résolution contre la souveraineté sanitaire

Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée. 

On retiendra du texte qu’il appelle : 

  • à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
  • à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
  • à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
  • à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
  • à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
  • à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”

Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…

Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible

On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques. 

Ainsi, la création d’un grand “Cloud” européen en matière de santé (bien entendu respectueux du règlement général sur la protection des données privées, qui pourrait imaginer le contraire ?) participe de cette idée que le contact tracking doit désormais être piloté en dehors des Etats-nations et de leurs vieilles libertés

On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.

Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe. 




À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

Par Reza Moghaddassi

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
  • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
  • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
  • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
  • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
  • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
  • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

  • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
  • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
  • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
  • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
  • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
  • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
  • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
  • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
  • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

  • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
  • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
  • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
  • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
  • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
  • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


À propos de l’auteur

Reza Moghaddassi

Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.




Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »

[Source : QG – Le média libre]

Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 400 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du pass sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale.

Aucun d’entre nous n’aurait cru possible ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux depuis un an et demi. Non pas qu’une nouvelle épidémie vienne mettre à l’épreuve nos systèmes immunitaires individuels et nos structures collectives de santé. Cela, c’était prévisible. Mais que la gestion de cette épidémie vienne mettre en péril des valeurs démocratiques, des libertés et des droits humains acquis de haute lutte depuis la Révolution française, cela, c’était impensable. Et pourtant.

Liberté d’aller et venir, liberté d’expression, liberté de commerce, liberté syndicale, droit au travail, égalité des droits de tous les citoyens, non-discrimination dans l’accès aux biens, lieux et services de la société (dont l’accès aux soins et l’accès à l’éducation), confidentialité des données de santé… la liste est longue, très longue.

Les états d’urgence s’empilent les uns sur les autres. Le Parlement est traité comme une simple chambre d’enregistrement. Le Président de la République gère seul la situation avec un « Conseil de défense sanitaire » dont aucun compte rendu de réunions n’est consultable. Les médias de toutes tendances ne laissent quasiment aucune place au débat contradictoire et ils répercutent la communication gouvernementale sans distance. Les réseaux sociaux ne sont plus du tout le support de la liberté d’expression qu’ils vantaient à leurs débuts. Google (propriétaire de YouTube) et Facebook ne se contentent plus d’orienter nos pensées à l’aide d’algorithmes. Avec d’autres (Twitter, Linkedin, etc.), ils opèrent désormais une censure massive de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid.

Dans un tel contexte, certains se croient tout permis. Les influenceurs se déchainent, les attaques ad hominem pleuvent, les règlements de compte s’étalent. On voudrait non seulement discréditer à coups d’amalgames infantiles (complotistes ! complices de l’extrême droite !), mais aussi radier, démissionner, évincer, en un mot faire taire. Beaucoup de celles et ceux qui – de par leurs emplois – constituent les élites se taisent, souvent par peur d’être à leur tour ostracisés. Tout ceci rappelle à certains égards l’époque de la chasse aux sorcières sous le Maccarthysme.

Par ce texte, nous (professionnels et bénévoles de la recherche, de la santé, de l’éducation, du droit et de la culture) appelons toutes les femmes et tous les hommes qui ont encore un fort attachement à la démocratie à la défendre de toutes leurs forces. Non, il ne saurait être interdit de discuter les origines du Sars-Cov-2. Ni interdit d’interpréter les statistiques de mortalité autrement que pour dire que nous risquons tous de mourir (discours de la peur). Ni interdit de dire que le refus de soigner précocement les personnes contaminées est un dogme imbécile qui, pour le coup, pourrait donner lieu à des poursuites en justice. Ni interdit de dire que les confinements font plus de mal que de bien aux sociétés. Ni interdit de questionner l’influence des richissimes industries pharmaceutiques sur le monde scientifique et médical, sur les gouvernements, sur les organismes supranationaux (OMS, UE) et sur les médias. Ni interdit de constater que si la vaccination ARNm protège en partie des formes graves de Covid, en revanche, comme le variant dit Delta le montre partout dans le monde, elle ne garantit ni d’attraper ni de transmettre le virus, ce qui invalide le principe même du « passe sanitaire ». Ni interdit de contester que l’on vaccine par contrainte ou par chantage les enfants et les adolescents pour qui la balance risque/bénéfice est très défavorable. Ni interdit de demander que l’on attende, pour vacciner certaines catégories de personnes à risque (les femmes enceintes par exemple), d’avoir plus de transparence et de données de pharmacovigilance. Ni interdit de manifester tous les samedis si l’on considère qu’il est intolérable de discriminer massivement les citoyens par le biais d’un laisser-passer sanitaire.

Les principes de liberté et d’égalité, de même que les droits humains fondamentaux, ne se discutent pas, ne se compromettent pas. Ils sont les socles de notre société politique et le vrai fondement de la cohésion sociale. La liberté d’expression est l’un de ces droits fondamentaux. Ceux qui tentent d’une façon ou d’une autre d’en empêcher l’exercice agissent contre la démocratie.

Vous souhaitez signer cette tribune?
Voici l’adresse mail où le faire :

tribune.liberte.expression@gmail.com
.

Les 400 premiers signataires:

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Jean Roudier, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Christian Vélot, généticien, maître de conférences à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, microbiologiste, professeur à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Michel Claverie, virologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université
  • Aurélia Vessière, virologue et épidémiologiste à l’Université de Bordeaux
  • Philippe Balcou, directeur de recherche, sciences physiques
  • Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS, économie et environnement
  • Jean Chéry, directeur de Recherche au CNRS, géophysique
  • Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « Azi-Thro-d’hospitalisations »
  • Gérard Maudrux, médecin, président honoraire de la caisse maladie des professions libérales et de la caisse de retraite des médecins
  • Paul Touboul, professeur de médecine à l’Université de Lyon, ancien chef de service à l’hôpital de Lyon
  • Michel Drancourt, professeur de microbiologie médicale à Aix-Marseille Université
  • Philippe Brouqui, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’Université Lyon 3
  • Philippe Ségur, professeur de droit public à l’Université de Perpignan
  • Élise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
  • Rafaëlle Maison, professeur des universités en droit public
  • David Lepoutre, professeur de sociologie à l’Université de Paris-Nanterre
  • Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au CIRED
  • Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
  • Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM
  • Michel Deshaies, professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Yannick Bruneton, professeur d’histoire à l’Université de Paris
  • Joëlle Le Marec, professeur de Sciences de l’information et de la communication au Museum National d’Histoire naturelle
  • Jean-Jacques Lottin, ancien vice-président de la Société Française de Santé Publique
  • Hélène Palma, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université, secrétaire générale de l’association « Enseignement, Recherche et Libertés »
  • Philippe Pognonec, directeur de Recherche au CNRS, Université de Nice
  • Claudie Rey, maître de conférences en sociologie à l’Université de Tours
  • Fabrice Colomb, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Gaëtan Flocco, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit à l’Université de Nîmes
  • Bertrand Charrier, professeur des universités, directeur de l’IUT des Pays de l’Adour
  • Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
  • Serge Katz, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Picardie Jules Verne
  • Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Mélanie Guyonvarch, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Nathalie Chapon, enseignante-chercheuse en sociologie à Aix-Marseille Université
  • Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
  • Isabelle Aubert, maîtresse de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Patrick Martin, chargé de recherche (R) au CNRS, Université de Nice
  • Madalina Calamaz, maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Sylvie Bordère, physico-chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences en histoire à l’université
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences en sociologie, Université Paris Nanterre
  • Christophe Brochier maître de conférences en sociologie à l’Université Paris 8
  • Igor Babou, professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Diderot
  • Carole Groussard, maitresse de conférences HDR en STAPS à l’Université de Rennes 2
  • Renaud Gabet, maître de Conférences, HDR, Institut Polytechnique de Paris
  • Agnès Lainé, historienne, membre de l’Institut des Mondes Africains
  • Colette Anné, mathématicienne au CNRS
  • Mathias Delori, chargé de recherche CNRS au Centre Marc Bloch de Berlin
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences à Sorbonne Université
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences à Telecom Paris
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chercheuse à l’INSERM
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat en droit international public, maîtresse de conférences retraitée
  • Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille
  • Jean Louis Rouvillain, professeur émérite d’orthopédie et traumatologie
  • Dominique Harmand, professeur émérite à l’Université de Lorraine
  • Caroline Petit, chercheuse au CNRS
  • Béatrice Pastre-Belda, maître de conférences de droit public HDR à l’Université de Montpellier
  • Aude Saint Pierre, maître de conférences en statistique à l’Université de Brest
  • Monique Plaza, chercheur HDR en neuropsychologie
  • Annie Notelet, présidente de l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires
  • Anne-Typhaine Bouthors, docteur en microbiologie médicale, Ph D Université Paris VI
  • Richard Refuggi, enseignant en STAPS à l’Université Grenoble-Alpes
  • Guy Bensimon, maître de conférences honoraire en sciences économiques à l’université
  • Dominique Labbé, enseignant-chercheur (R) à l’Université Grenoble-Alpes
  • Jean-Jacques Wunenburger, professeur émérite de philosophie à l’Université Lyon 3
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Philippe Rogeon, maitre de conférences à l’Université de Bretagne Sud
  • Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
  • Éric Chabrière, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Alain Chatelet, biologiste, professeur (R) à l´École Nationale Supérieure d´Architecture de Toulouse (ENSA Toulouse)
  • Benoit Marpeau, maître de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie
  • François Saint-Pierre, professeur (R) des universités, Labex « Structurations des Mondes Sociaux », Université de Toulouse
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Thierry Godefroy, économiste, ingénieur de recherche (R) au CNRS
  • Anne Fremaux, agrégée de philosophie et docteure en écologie politique
  • Pascal Touhari, docteur en droit, enseignant à l’Université de Montpellier
  • Gérard Lehmann, maître de conférences à l’Université de Sud Danemark
  • René Chiche, professeur agrégé de philosophie, vice-président Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Jacques Pollini, PhD, chercheur indépendant, anthropologie de la santé
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche SimplissimA
  • Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’université de Neuchâtel
  • Valérie Lowit, ingénieur d’études, Université de Paris
  • Damien Jeanne, enseignant en histoire à l’université de Caen et du Havre
  • Emmanuelle Duchez, chargée de communication à l’Université Côte d’Azur
  • Eloi Buat-Ménard, magistrat
  • Jean-Claude Berlioz, Avocat Général honoraire
  • Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Jean-Christophe Berlioz, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Pierre Soler-Couteaux, avocat au Barreau de Strasbourg, professeur agrégé de droit public
  • Caroline Mecary, avocate 
  • Sendegul Aras, avocat
  • Bruno Raffi, avocat
  • Elizabeth Oster, avocat à la Cour
  • Nicole Foulquier, avocat
  • Sarah Scalbert, avocate au barreau de Paris
  • Maryse Pechevis, avocate au barreau de Montpellier
  • Corinna Kerfant, avocat au barreau de Versailles 
  • Evie Jaumary-Lapeyre, avocat
  • Evelyne Carbonnell, avocate
  • Elodie Menant, comédienne, auteur
  • Grégori Baquet, comédien
  • Clémence Thioly, comédienne
  • Herrade Von Meier, comédienne
  • Nathalie Mann, comédienne
  • Hugues Leforestier, auteur, comédien
  • Myriam Boyer, comédienne
  • Fanny Cabon, comédienne
  • Lionel Gedebe, réalisateur
  • Samuel Ternoy, musicien
  • Béatrice Charrié, éditrice
  • Patricia Halmone, artiste peintre
  • Marc Menant, journaliste et écrivain
  • Benoit Ducene, traducteur et musicien
  • Elena Ducene, professionnelle de la culture
  • Anne Marie Begué-Simon, céramiste
  • Caroline Mollie, architecte-paysagiste, auteure
  • Marie-José Minassian, philosophe, écrivain
  • Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
  • Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg
  • Benoit Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Georgi Radev, médecin urgentiste SAU/SMUR
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • David Esfandi, psychiatre et addictologue
  • Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et auteur 
  • Jean-Louis Rouvillain, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Véronique Orth Weyers, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Eric Reboli, médecin urgentiste
  • Jean-Paul Ricci, chirurgien-dentiste
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin
  • Bernadette Meignan, médecin
  • Béatrice Fort, médecin hospitalier
  • Cyril Lecomte, psychiatre des Hôpitaux
  • Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
  • Xavier Larvor, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Pierre Quentel, chirurgien urologue
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Philippe de Chazournes, médecin généraliste
  • Jeanine Jemet, médecin généraliste
  • Chlotilde Véron, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin
  • Monique Sroussi, médecin
  • Monique Lamizet, médecin
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Pierre Bonhoure, kiné ostéopathe
  • Aurore Dessus, ostéopathe
  • Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue
  • Marie-Carole Fleury-Munier, médecin, rhumatologue
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin, ORL
  • Gisèle blanc, médecin
  • Cécile Loth, médecin du sport
  • Jean-Baptiste Mouzet, médecin
  • Bertand Jop, médecine, cardiologue
  • Maryline Costagliola, médecin pédopsychiatre hospitalier
  • Soraya Berreghis Mazery, médecin généraliste
  • Malina Canolle, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin gynécologue-obstétricien
  • Catherine Raulin, médecin ostéopathe
  • Pascale Chandy, médecin à l’hôpital de Challans
  • Francoise Douady, médecin
  • Francine Barouch, médecin 
  • Laurent Hervieux, médecin
  • Claude Chiche, médecin généraliste
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Philippe Lefebvre, médecin généraliste
  • Anne-Marie Begue-Simon, médecin
  • Isabelle de la Chaussée-Ruzzica, médecin
  • Jean-Paul Guérard, médecin
  • Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
  • Thi Linh Hoang, médecin acupuncteur
  • Virginie Thomas-Haag, médecin d’urgence
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Catherine Delmas, médecin
  • Christine Calatayud, infirmière
  • Jocelyne Cortier infirmière
  • Nathalie Hannhart, psychologue
  • Florie Gaeta, infirmière au Centre hospitalier de Bourges
  • Soizic Noël-Bourgois, infirmière, docteure en ethno-anthropologie
  • René Messagier, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Corinne Reverbel, docteur en biochimie
  • Janine Nazaire, docteur en chirurgie dentaire
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Rémi Saudax, pharmacien
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Justine Lewna, infirmière
  • Alice Uwamwezi, infirmière
  • Carole Jolly, infirmière
  • Pauline Ledoux, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, Infirmière
  • Nathalie Loizeau infirmière santé travail
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Daniel Robinson, médecin généraliste
  • Anne Maynadié, médecin généraliste
  • Richard Simon, cadre de santé
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier
  • Leïla Gofti-Laroche, praticien Hospitalier, PharmD, PhD Epi
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat
  • Vincent Reliquet, médecin, rédacteur en chef de l’Association Internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante
  • François Gastaud, médecin, chirurgien orthopédiste
  • Nicolas Tetaz ingénieur spatial
  • Laurent Durinck, anesthésiste
  • Olivier Lhoest, anesthésiste-réanimateur
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Christiane Lassalle, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin généraliste
  • Françoise Giorgetti-d’Esclercs, médecin ORL
  • Éric Portes, médecine générale
  • Valérie Papapietro, médecin généraliste
  • Catherine Solignac, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Véronique Chevalier, infirmière
  • Guillaume Renouf, infirmier
  • Marguerite Schnell, infirmière
  • Valérie Nesme, infirmière 
  • Nathalie Devaucoup, infirmière
  • Brigitte Agostini, infirmière libérale
  • Christine Wahl, kinésithérapeute
  • Nathalie De Vliegher, kinésithérapeute
  • Cindy Gual, ostéopathe
  • Léa B. Blanchet, ostéopathe
  • Alain Joseph, médecin généraliste
  • Francois Serres, médecin généraliste
  • Josiane Martelin, pharmacienne libérale
  • Anna Torra Campos, kinésithérapeute à l’hôpital Edouard Herriot
  • Rik Verhellen, chirurgien orthopédique
  • Éric Ménat, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Marie Hélène Lottin, médecin psychiatre
  • Céline Mouillon, pharmacienne et thérapeute
  • François de Chabalier, psychiatre
  • Delphine Rive, médecin généraliste
  • Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste
  • Sophie Conord, médecin radiologue
  • Françoise Robinson, médecin
  • Thuy Chi Nguyen, médecin
  • Anne Crepy, médecin
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Raphaële Vangrevelinghe, médecin, chirurgie dentaire, pédiatrie
  • Paul-André Bellot, chirurgien-dentiste
  • Paul Bousquet, docteur en médecine, évaluateur de risques sanitaires
  • Jean-Christian Prévost, ostéopathe
  • Valérie Giraud, sage-femme, sexologue
  • Cléchet Sylvie, infirmière
  • Sonia Joyeux-Bouillon, radiologie médicale
  • Youssouf Djonouma, médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Eric Delcour, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste
  • Hélène De Cristoforo, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Claire Delval, médecin généraliste
  • Christiane Renard, médecin généraliste
  • Geneviève Gueymard, médecin généraliste
  • Béatrice Petit, médecin généraliste
  • Romain Dupont, médecin interniste à l’Hôpital Joseph Ducuing
  • Bénédicte Dassonville, médecin Ingénieur ENSH, psychothérapeute
  • Stéphane Ottin Pecchio, médecin rhumatologue
  • Pascale Allanic Gabsi, psychologue
  • Laurence Maury, psychologue
  • Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute
  • Gérard Martinez, psychologue clinicien
  • Sylvie Blasquez, psychologue clinicienne 
  • Muriele Savigny, médecin psychiatre
  • Juliette Bianchi, médecin psychiatre
  • Vladislav Lebedko, médecin psychiatre
  • Sarah Loyer, psychologue
  • Anne-Marie Bras Le Coadout, psychologue
  • Aurélie Vantard, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Alain Picard, pharmacien
  • Valérie Lecomte, infirmière
  • Khadidja Meziani, infirmière
  • Jean-Roch Aubertein, infirmier
  • Jocelyn Croze, praticien hospitalier en Odontologie
  • Alain Brunel, docteur en biologie, enseignant
  • Céline Grenier, infirmière
  • Françoise Rodary, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Michel Thomas, médecin généraliste
  • Horia Far, aide-soignante au CHU de Nice
  • Mathilde Taverne, masseur-kinésithérapeute
  • Benoît Quentin, kinésithérapeute
  • Christelle Guicherd, psychologue clinicienne
  • Nathalie Pilot-Maier, préparatrice en pharmacie
  • Béatrice Stantina, aide-soignante/auxiliaire de vie
  • Valérie Perrochet, assistante sociale en hospitalisation à domicile
  • Fausto Lanzeroti, masseur-kinésithérapeute
  • Sandrine Cauvin, masseur kinésithérapeute
  • Élisabeth Angoujard, radiologue 
  • Hélène Debruyne, orthophoniste 
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Julie Croze, orthophoniste
  • Sylvie Ruiz, infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Mathieu Armessen, ostéopathe
  • Pauline Rigollier, masseur kinésithérapeute 
  • Jocelyne Ndoye, psychologue
  • Sandra Rayer, psychologue
  • Viviane Truel, psychologue clinicienne
  • Dominique Porquez, aide-soignante à l’hôpital
  • Anne-Claire Monfroy Gauchier, masseur-kinésitherapeute
  • Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne-nutritionniste
  • Lidwine Loire, aide-soignante, services de soins infirmiers à domicile
  • Catherine Vincent, aide-soignante
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Samuel Reslinger, aumônier hospitalier 
  • Françoise Gaillard, aide-soignante
  • Hervé Bery, auxiliaire de vie
  • Rose-Marie Castello, médecin
  • Jeanne-Marie Brossollet, chirurgien-dentiste
  • Soisik Ghesquières, masseur-kinésithérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Nathalie Caradot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Patrick Frayssinet, médecin, docteur ès sciences, directeur de recherche dans l’industrie
  • Julie Lioré, anthropologue
  • Laurent Trémel, sociologue
  • Thierry Raffin, sociologue et historien, docteur de l’EHESS
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie, conseiller au Pôle Emploi
  • Mathias Teichner, agrégé de sciences économiques et sociales
  • Catherine Lucquiaud, ingénieur de recherche
  • Hervé Laloy, professeur de philosophie
  • Françoise Marie, éducatrice spécialisée
  • Franck Lepage, militant d’éducation populaire à l’Ardeur
  • Thierry Rouquet, éducateur populaire à l’Ardeur
  • Gérard Masselin, enseignant en CPGE
  • Pascal Borde, enseignant en CPGE
  • Sophie Thoron-Salert, enseignante
  • Emmanuelle Azevedo, professeur des écoles
  • Cécile Mencaglia, professeur des écoles
  • Sandrine Barbelin, professeur des écoles
  • José Mata Diaz, professeur d’Espagnol
  • Lys Sanagustin, professeur d’Espagnol
  • Charles-Emeric Gauthier, professeur d’Anglais
  • Christelle Pangallo, professeur d’Anglais
  • Alice Ageron, professeur d’Anglais
  • Pete Barker, professeur d’Anglais
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de Mathématiques
  • Sophie Amand, professeur de sciences économiques et sociales
  • Marie Vantis, enseignant/formateur d’arts appliqués
  • Jean-Louis Delahaut, professeur d’enseignement artistique
  • Gilles Plunian, enseignant EPS et psycho-ergonome 
  • Raphaël Leloup, professeur d’EPS
  • Christine Zeppenfeld, proviseure-adjointe
  • Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation, psychologue
  • Martine Boury, cadre supérieur de la fonction publique
  • Jésus Sanchez, docteur en psychologie sociale, ancien directeur de recherche au CTNERHI
  • Christine Pinard, professeure de lettres modernes 
  • Jean-Marc Gringoz, enseignant d’EPS
  • Frédéric Gobert, enseignant
  • Alain Letombe, enseignant
  • Christianne Joubert, enseignante
  • Tony Marzucchetti, professeur des écoles 
  • Julie Raveau, professeure des écoles
  • Michèle Rey, professeur des écoles retraitée
  • Heike Freire, philosophe et psychologue
  • Valérie Pradier, professeur des écoles
  • Sophie Melilli, professeur des écoles
  • Anne-Léa Le Goff, professeur d’espagnol
  • Monique Bernardini, enseignante et responsable associative
  • Danielle Deville, professeur CPGE Sciences Physiques, retraitée
  • Isabelle Pruvot, enseignante en lycée
  • Fatma Djoubri, professeure de SES
  • Thierry Flaget, conseiller d’éducation
  • Nadine Mauviel, professeur (R) d’histoire-géographie
  • Sandrine Napoléone, professeur des écoles
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques
  • Joseph Rivière, professeur d’histoire-géographie
  • Angélique Silva, enseignante spécialisée dans le 1er degré
  • Jean Charles Renavot, retraité de l’éducation nationale
  • Marie-Pierre Larras, ancienne professeur de lettres
  • Nicolas Vantis, docteur ingénieur, enseignant en mathématiques et sciences
  • Arthur Roncetto, bibliothécaire
  • Camille Secret, enseignante en CFA
  • Catherine Avice, enseignante
  • Sabine Calvino, enseignante
  • Françoise Ternoy, éducatrice spécialisée, psychomotricienne
  • Carole Jensen, AESH en classes ULIS
  • Marc Lepoivre, professeur de culture générale en BTS
  • Alaric Titeux, enseignant de la conduite
  • Anne Pajard, ingénieure d’étude
  • Guillaume Saint Pierre, statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Pierre-Olav Lego, ingénieur
  • Bernard Cornut, ingénieur
  • Rosolino Lionti, Ingénieur
  • Djamil Ramdane, ingénieur du contrôle de la navigation aérienne
  • Pascale Moro, ingénieur dans le spatial
  • Paolo Musardo, ingénieur électronicien
  • Luc Petitnicolas, référent Mastère Entrepreneuriat Numérique Responsable R&D en projet numérique
  • Danièle Guéguen, inspectrice à la CAF
  • Pauline De Castro, conseillère sociale
  • Angélique Leblanc, surveillante en Maison d’Accueil Spécialisée
  • Jacques Quach, consultant Systèmes d’Information
  • Sophie Rey, éducation nationale
  • Luc Baillet, architecte, sécurité sanitaire environnementale
  • Marion Baillet, architecte
  • Rémi Astier, actuaire



Invité dans l’émission Bourdin Direct sur BFM TV, Gilles Pialoux a tenu à répondre aux fake news voulant remettre en question l’efficacité du vaccin contre la Covid-19. Mais, qui est Gilles Pialoux ?

[Source : LE BLOG DU DOCTEUR JO (jesuismalade.org)]

Par Docteur Alain Joseph

Ci-dessous le lien de l’interview de Gilles Pialoux par Bourdin :

HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/GILLES-PIALOUX-TORD-LE-COU-AUX-FAKE-NEWS-IL-RETABLIT-UNE-VERITE-SUR-LE-VACCIN_475210

[Lien direct : Gilles Pialouxface à Jean-Jacques Bourdin en direct – 25/08 (bfmtv.com)]

Ci-dessous les liens d’intérêts du sieur Pialoux qui officiellement ne touche pas de rémunérations cachées des nombreux laboratoires qui l’utilisent :

HTTPS://CNS.SANTE.FR/WP-CONTENT/UPLOADS/2016/10/DPI2016_PIALOUX_GILLES.PDF


Vous pouvez remarquer que Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Tenon, travaille gratuitement (sauf les frais de déplacement – ce qui est normal) comme investigateur principal, investigateur coordinateur ou co-investigateur (parfois les 3 ensemble) pour les laboratoires suivants :
Gilead, Pfizer, GSK, Janssen (vous les connaissez, ces quatre là – pour leurs magnifiques, splendides, superbes, (sauveurs de l’humanité en la réduisant), vaccins et tout le saint glin glin… mais aussi BMS, Iatec, MSD, Tibotec, InnaVirVax, Abbvie, Abbott Bristol Meyer Squibb, Imea… n’en jetez plus, et je ne mentionne pas tout.

Il faut Mr Pialoux, annoncer vos conflits d’intérêts avant de prendre la parole. C’est une obligation légale que vous enfreignez. Un peu d’honnêteté monsieur le professeur. C’est vous le porteur de fake news.

Les vaccins contre la covid 19 sont non seulement inefficaces mais sont dangereux. Vous même Mr Pialoux n’êtes pas vacciné même si vous prétendez le contraire car vous avez peur de ces vaccins et je suis très bien renseigné à ce sujet. Tout se sait Mr Pialoux même ce que vous croyiez secret. Quand vous vous êtes inscrit en médecine, pensiez vous en arriver à dire haut et fort des choses dont vous connaissez pertinemment la fausseté ? Est-ce que vous pensez que votre titre vous mets à l’abri du mensonge et que vous pouvez pérorer ainsi tel un valet ? Réfléchissez un tantinet devant la mousse à raser le matin avant de vous rendre dans votre service. Ce que vous faites, et ce que vous dites à Bourdin – qui aurait dû vous demander vos liens et conflits d’intérêts – ne correspond nullement à l’image que le public se fait d’un chef de service hospitalier. Ressaisissez vous professeur Pialoux, un peu de panache que diable !

Arrêtez de dénoncer des fakes news qui correspondent à la Vérité par d’autres fakes news; le système est éculé et vieux comme Hérode. Personne ne vous empêche de faire vos petits arrangements mais svp ne venez plus vous ridiculiser à la télévision. Restez chez vous, vous n’êtes pas crédible.




Économie mondiale : les pénuries freinent toutes les chaînes d’approvisionnement

[Source : businessbourse.com]

Par Michael Snyder

L’économie mondiale était censée revenir à la « normale », mais au lieu de cela, de plus en plus de problèmes éclatent chaque jour qui passe. Au moment où j’écris cet article, les chaînes d’approvisionnement de la planète sont dans un état de chaos. La pénurie mondiale de puces informatiques rend les choses très difficiles pour des milliers et des milliers de fabricants, le processus de déplacement des produits à travers nos océans est devenu incroyablement coûteux et est souvent entravé par des retards horribles, et le manque de chauffeurs de camion cause d’énormes maux de tête quand il s’agit de transporter les marchandises aux détaillants et aux consommateurs en temps voulu. Nous n’avons jamais rien vu de tel auparavant, et à ce stade, même CNN admet que « la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales s’aggrave »…

Le vaste réseau de ports, de porte-conteneurs et d’entreprises de camionnage qui transporte des marchandises à travers le monde est très perturbé et les coûts d’expédition montent en flèche. C’est une nouvelle troublante pour les détaillants et aussi pour les consommateurs.

Plus de 18 mois après le début de la pandémie, la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales s’aggrave, provoquant des pénuries de produits de consommation et rendant plus coûteuse pour les entreprises l’expédition des marchandises là où elles sont nécessaires.

Plus tôt cette année, certains des optimistes économiques prévoyaient que nous connaîtrions un formidable « boom économique » au cours de la seconde moitié de 2021.

Mais maintenant, nous sommes confrontés à des étagères vides, à des pénuries et à des casse-têtes majeurs dans les mois à venir.

Un responsable du transport maritime interrogé par CNN a déclaré que les choses ne s’amélioreraient pas avant « le premier trimestre de 2022 au plus tôt »…

Les compagnies maritimes s’attendent à ce que la crise mondiale se poursuive. Cela augmente énormément le coût du transport des marchandises et pourrait s’ajouter à la pression de la hausse sur les prix à la consommation.

« Nous prévoyons actuellement que la situation du marché ne s’améliorera pas avant le premier trimestre 2022 au plus tôt », a déclaré le directeur général de Hapag-Lloyd, Rolf Habben Jansen, dans un récent communiqué.

Ici aux États-Unis, bon nombre d’experts font maintenant des prédictions très sombres sur la prochaine saison des vacances.

Mais nous ne sommes certainement pas les seuls. Au Royaume-Uni, il est rapporté que la « pire crise de la chaîne d’approvisionnement depuis les années 1970 » pourrait potentiellement « ruiner la période de Noël ».

L’un des gros problèmes auxquels les Britanniques sont confrontés est une pénurie sans précédent de chauffeurs de camion et d’employés d’entrepôt. Les chefs d’entreprise demandent que davantage de travailleurs européens soient autorisés à entrer dans le pays, car ils pensent que cela contribuerait à atténuer cette crise.

Les étagères vides et les pénuries sont désormais une réalité quotidienne au Royaume-Uni, et certaines grandes chaînes de restauration rapide sont désormais contraintes de supprimer complètement certains articles de leurs menus

Le manque de certains produits dans les rayons des supermarchés a été repéré à travers le pays en raison d’une combinaison de facteurs, notamment la pénurie de chauffeurs de camion et le Covid.

Les problèmes des fournisseurs ont également entraîné des pénuries dans les chaînes de restauration rapide comme McDonald’s, Nandos et KFC , certains articles manquant dans les menus et les succursales fermées.

Greggs est le dernier à dire qu’il manque de plats préférés et que Costa Coffee a réduit son menu en raison du chaos de la chaîne d’approvisionnement.

Pouvez-vous imaginer entrer dans un McDonald’s et ne pas pouvoir commander un milk-shake ?

Malheureusement, cela est maintenant devenu une réalité dans tous les endroits du Royaume-Uni…

McDonald’s a déclaré avoir retiré les laits frappés du menu de ses 1 250 restaurants britanniques en raison de problèmes d’approvisionnement liés à une pénurie de chauffeurs de camion.

La chaîne de restauration rapide dit qu’elle connaît également des pénuries de boissons en bouteille.

Ici, aux États-Unis, nous sommes confrontés à des problèmes similaires.

À ce stade, il est rapporté que trouver de nouveaux chauffeurs de camion à embaucher dans ce pays est « presque impossible »…

Trouver des chauffeurs de camion est « presque impossible », a-t-il déclaré, alors que les coûts de transport augmentent quotidiennement. Les commandes de l’entreprise arrivent en retard et sont donc confrontées à des retards d’envoi aux clients. Du côté de l’envoi, les livraisons ponctuelles sont toujours supérieures à 50 % mais ont chuté par rapport au taux habituel de plus de 90 %.

« Nous pensions tous que ce serait fini maintenant. C’est juste une chose après l’autre », a-t-il déclaré. « Cela va être la norme pendant encore un certain temps. »

Depuis des décennies, nous pensions que nous avions largement suffisamment de chauffeurs de camion. Nous les payons mal, nous les traitons comme de la merde et nous les faisons travailler des heures ridiculement longues.

Mais sans chauffeurs routiers, notre pays ne peut tout simplement pas fonctionner.

De nos jours, la plupart des jeunes ne veulent pas d’emplois qui demandent beaucoup de travail physique et qui ne sont pas très bien rémunérés. Au lieu de cela, ils préfèrent gagner de l’argent en produisant des vidéos Tik Tok ou en devenant des influenceurs Instagram.

Traditionnellement, les chauffeurs routiers sont des hommes forts et physiques avec des valeurs traditionnelles. Bien sûr, notre société aime diaboliser ces individus de nos jours, mais peut-être que cette crise fera comprendre à tout le monde que nous avons réellement besoin d’eux.

Même si nous avions suffisamment de chauffeurs routiers, nous serions toujours confrontés à un large éventail de pénuries en raison de la pénurie mondiale de puces informatiques

Une pénurie mondiale de puces informatiques cause de gros casse- tête aux fabricants américains.

La pandémie du COVID-19 a provoqué la perturbation des chaînes d’approvisionnement et de la fabrication dans le monde entier. Les fabricants de puces informatiques en Asie ont été particulièrement touchés. Et cela signifie que les entreprises qui fabriquent des produits qui reposent sur de telles puces en ressentent les effets.

Comme je l’ai déjà dit, la pénurie de puces informatiques cause d’énormes maux de tête à des milliers d’autres industries.

Nous n’aurions jamais dû devenir aussi dépendants de la production de puces en provenance d’Asie, et maintenant nous en payons le prix fort.

Hier, j’ai discuté du fait que Kamala Harris avertit les parents d’acheter leurs cadeaux de Noël maintenant en raison des graves pénuries qui se profilent à l’horizon.

Sur Fox News, le contributeur Leo Terrell a déclaré que cela « semble être un signe d’avertissement très inquiétant« …

Le contributeur de Fox News, Leo Terrell, s’est dit préoccupé mardi sur  » Fox & Friends  » que les démocrates souhaitent confiner à nouveau l’économie américaine après que la vice-présidente Kamala Harris a conseillé aux acheteurs d’envisager d’acheter des cadeaux de Noël maintenant en raison de problèmes de chaîne d’approvisionnement mondiale.

LEO TERRELL : « Cela me fait peur parce que cela ressemble à un confinement à venir, on dirait que nous allons nous attendre à ce que l’économie soit à nouveau verrouillée. Et c’est effrayant. Encore une fois, les démocrates ont utilisé la pandémie pour contrôler les Américains. Et fondamentalement, cela ressemble à un signe d’avertissement très dangereux.

Oui, je qualifierais certainement sa déclaration de « signal d’avertissement ».

Ce ne sera pas une période de vacances « normale ».

Et 2022 ne sera certainement pas non plus une année « normale ».

Nous sommes entrés dans une période folle, et nos dirigeants ne feront que devenir encore plus fous.

Beaucoup de gens ne voulaient pas écouter les avertissements de gens comme moi au début, mais maintenant, voir des étagères vides et de telles pénuries, commence à réveiller certains d’entre eux.

Notre infrastructure économique est ébranlée, et beaucoup commencent à se rendre compte que l’économie américaine « invincible » n’est en fait pas si invincible après tout.

Source: theeconomiccollapseblog – Voir les précédentes interventions de Michael Snyder




La vaccination devrait être rendue obligatoire cette semaine en France

[Source et auteur : Nicolas Bonnal]

La vaccination va être rendue obligatoire cette semaine en France (et ailleurs ?). Dixit Attal. Covidtracker.fr réclame 100% de vaccinés sur l’autel de la Bête. On va rigoler. Terreur républicaine en mode turbo tueur. Guerre et extermination au programme.

71.6 % des Français ont reçu au moins une dose de vaccin, 
63.9 % ont reçu toutes les doses requises.

Il reste à vacciner
28.4 % des Français avant d’atteindre un taux de vaccination de 100%.

VaccinTracker Combien de français ont été vaccinés contre la Covid19 ?

Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal

INVITÉ RTL – Dans la lignée de ce qu’avait annoncé Emmanuel Macron le 12 juillet dernier, Gabriel Attal n’exclut pas la mise en place de la vaccination obligatoire pour tous les Français.

https://www.rtl.fr/actu/politique/vaccination-obligatoire-contre-le-coronavirus-a-peut-venir-a-un-moment-declare-attal-7900065819

Gabriel Attal au Grand Jury, dimanche 29 août 2021.

Gabriel Attal au Grand Jury, dimanche 29 août 2021 :

Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal (rtl.fr)

Emmanuel Macron avait fait planer la menace d’un recours à la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour tous les Français, le 12 juillet dernier. Depuis, où en est-on ?  « On tend vers les 50 millions de Français ayant reçu une première dose », s’est-il félicité le porte-parole du gouvernement lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI ce dimanche 29 août. 

Interrogé sur la question d’une vaccination obligatoireGabriel Attal a estimé que « ça peut venir à un moment ». « Si on avait abordé cette campagne de vaccination en disant que le vaccin était obligatoire, je ne suis pas sûr qu’on en serait au résultat d’aujourd’hui », a-t-il néanmoins fait valoir. 

Quant aux manifestations contre le passe sanitaire et le vaccin, le porte-parole du gouvernement pointe du doigt « l’instrumentalisation de ces peurs, de ces craintes et de ces doutes à des fins politiques ». Il dénonce « l’hystérisation » faite par les « leaders » de ces mouvements et cite notamment l’ancien bras droit de Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle de 2017 Florian Philippot. 




Chômage | Un massacre social : « Nos dirigeants ont choisi de sacrifier des millions de Français », Benoît Collombat; Samuel Churin

[Source : Aphadolie]

Durée : 34 mn 52 / [1/3]

Certaines mesures de la réforme de l’assurance chômage devaient en vigueur au 1er juillet 2021. Le mode de calcul des allocations a été suspendu par le Conseil d’État mais le président affirme que les dernières mesures s’appliqueront au 1er octobre.

Synopsis :

« Ce qu’il faut bien que les gens comprennent, c’est que cette réforme, c’est la pire des réformes depuis le Conseil National de la Résistance, depuis 1946. C’est la plus grande attaque contre les pauvres. Oser faire plus d’un milliard d’euros d’économie par an sur les plus pauvres d’entre nous, c’est un immense scandale. »

« Sur le fond, cette réforme est un tel scandale que je ne vois pas comment le Conseil d’État pourrait ne pas la retoquer totalement. »

Le Conseil d’Etat a suspendu les règles de calcul du montant de l’allocation chômage qui devaient entrer en vigueur le 1er juillet. Cette réforme, très décriée par les syndicats, modifie les règles de calcul des allocations chômage et instaure un système de bonus-malus pour les entreprises qui abuseraient des contrats courts. Le gouvernement avance que ce nouveau système luttera contre le recours aux contrats courts qui a explosé ces dernières années.

Cependant dans sa philosophie et surtout dans le contexte de crise économique due au Covid-19, la mise en œuvre de ce mode calcul se traduirait surtout par une précarisation pour des millions des d’intermittents et de précaires.

C’est en tout cas l’avis de Samuel Churin, comédien, porte-parole de la coordination des intermittents et précaires et membre du CNNR. Pour lui cette réforme va provoquer une catastrophe sociale et produire des inégalités de traitement entre les précaires. Ce serait aussi une rupture fondamentale avec le fonctionnement de l’assurance chômage.

La réforme avait déjà été suspendue à plusieurs reprises par le gouvernement à cause Covid-19. Mais l’exécutif reste déterminé à la faire passer. Le conseil n’a pas jugé sur le fond. Le ministère du Travail n’attend pas ce jugement et prépare déjà un autre projet de décret pour appliquer la nouvelle formule de calcul à compter du 1er octobre.


Bonus…

Durée : 1 mn 30 / [2/3]

La crise voulue et souhaitée par les serviles représentants de l’oligarchie – Georges Pompidou (Juin 1967).


Durée : 39 mn 55 / [3/3]

Synopsis :

Le chômage de masse est un choix, et non une fatalité : c’est la conclusion de la longue enquête de Benoît Collombat, journaliste et grand reporter, France Inter. Dans cet entretien, Salomé Saqué interroge le journaliste d’investigation sur ces moments clés où tout a basculé.

Comment et pourquoi les hommes politiques ont « remis les clés » de l’organisation du monde à la finance ?

Récit d’une victoire idéologique, celle du néolibéralisme.


Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Benoît_Collombat

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15030

https://travail-emploi.gouv.fr/le-ministere-en-action/nouvelles-regles-d-assurance-chomage/

https://www.journaldunet.com/management/guide-du-management/1197771-reforme-du-chomage-le-nouveau-calcul-suspendu-par-le-conseil-d-etat/

https://travail-emploi.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/assurance-chomage-la-reforme-entre-en-vigueur-ce-1er-juillet-2021

Le site : https://www.blast-info.fr/

Twitter : https://twitter.com/blast_france

Facebook : https://www.facebook.com/blastofficiel

Instagram : https://www.instagram.com/blastofficiel/

Vidéo :

[1] RÉFORME DU CHÔMAGE : UN MASSACRE SOCIAL – BLAST – Le souffle de l’info / YouTube

[2] L’ultralibéralisme : Georges Pompidou (Juin 1967) – Mr Aphadolie / YouTube

[3] CHÔMAGE : NOS DIRIGEANTS ONT CHOISI DE SACRIFIER DES MILLIONS DE FRANÇAIS – BLAST – Le souffle de l’info / YouTube

Photo :

Pour illustration

Voir notamment :

Lorsque le PDG de la JP Morgan demande à François Hollande de supprimer les droits aux salariés s’il veut que Paris devienne une City




Les CDC comptent les personnes qui meurent dans les 14 jours après avoir reçu le vaccin Covid comme des « non-vaccinés »

[Source : anguillesousroche.com]

Une nouvelle étude des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) est utilisée par les médias grand public pour tenter d’effrayer les Américains et les inciter à se faire vacciner avec le vaccin anti-Covid.

Par exemple, un article intitulé « Les résidents de Los Angeles non vaccinés avaient 29 fois plus de risques d’être hospitalisés à cause du COVID-19 : étude CDC » a été publié par Yahoo Finance en début de semaine…

Rapports de Global Research : Citant le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du comté de Los Angeles publié mardi, même les nouvelles locales ont fait la promotion de l’affirmation selon laquelle « les résidents non vaccinés du comté de Los Angeles [sont] 5 fois plus susceptibles de contracter le COVID, 29 fois plus susceptibles d’être hospitalisés ».

En regardant une capture d’écran du communiqué des CDC, on peut observer les définitions de ce qu’ils considèrent comme « entièrement vacciné »« partiellement vacciné » ou « non vacciné ».

Selon le tableau,

« non vacciné <14 jours de réception de la première dose d’une série de 2 doses ou d’une dose du vaccin unidose ou si aucune donnée du registre de vaccination n’était disponible ».

Cela signifie que si une personne a été hospitalisée, admise en soins intensifs, a eu besoin d’une ventilation mécanique ou est décédée dans les deux semaines suivant l’administration du vaccin, elle est considérée comme « non vaccinée ».

Malheureusement, les données n’étant pas assez précises, nous ne savons pas combien de personnes réellement non vaccinées ont été hospitalisées ou sont décédées du Covid dans le comté de Los Angeles entre mai et fin juillet.

L’ensemble du rapport peut être jeté à la poubelle grâce à l’inclusion des personnes récemment vaccinées dans la catégorie des non-vaccinés.




LE SUICIDE DE CHARLIE HEBDO qui rejoint la pensée unique officielle

Reçu d’un ami Philippe C que je remercie.

Nicole Delépine

Philippe C. :

Imaginer Charlie Hebdo venir joindre sa voix à l’uniformisation est tout juste incroyable !

Je me réjouis que le CRIIGEN ait accepté d’abriter cette publication de M. Bourdineaud https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(Jean-Paul BOURDINEAUD est titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie. Il est professeur de biochimie et toxicologie environnementales à l’Université de Bordeaux, France. Il est éditeur associé du Journal of Toxicological Sciences et du International Journal of Molecular Sciences, section Molecular Role of Xenobiotics.)

« Cette confrontation ici entre Charlie Hebdo et un membre scientifique du Crrigen souligne, s’il en était besoin,  la puissance de la pensée unique qui, dans “le contexte”, arrive à assujettir ceux-là mêmes que nous pensions connaitre comme des esprits libres, critiques et indomptables ! »

[Note de Joseph : des esprits libres ou des fanatiques idéologiques antireligieux ?]

Enfin, pour mémoire, et en réponse au Président de la République qui orchestre, revendique et promeut  la discrimination sur les personnes non vaccinés :

– l’Avis rendu par le Conseil d’État le 1er avril 2021, déboutant un plaignant, mais le Juge des Référés (Ordonnance n° 450956) ne manque pas de souligner :

« …la vaccination, qui ne concerne encore qu’une faible fraction des personnes les plus vulnérables, elle n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus… »

Et

« …Les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier… »


Lettre à Charlie • C’est dur d’être vacciné par des cons…




Big Pharma échec et mat ?

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Profession Gendarme :

« A priori, Trump est plus malin que nos gouvernements et que l’UE qui ont laissé les labos exciper du secret industriel pour ne pas donner la composition des “toxines” et au surplus refusent la responsabilité des conséquences. »

Voir aussi :
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle
la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19




Les scientifiques ayant des avis divergents à propos de la vaccination des enfants doivent-ils se taire ?

[Source : lalibre.be]

Non. Prendre de bonnes décisions nécessite un débat public ouvert. Réaction à l’opinion de M. Heynen qui a écrit – merci à lui – ce que beaucoup pensent [Ndlr : pensent à tort, selon le point de vue exposé dans l’article.] sans oser le dire.

Les scientifiques ayant des avis divergents à propos de la vaccination des enfants doivent-ils se taire ?

Une carte blanche de Vincent Laborderie (UCLouvain), Christine Dupont (UCLouvain), Irène Mathy (Université Saint-Louis), Elisabeth Paul (ULB), Bernard Rentier (ULiège), Erik Van den Haute (ULB), Nicolas Vermeulen (UCLouvain).

Dans une tribune libre, M. François-Xavier Heynen met en cause la légitimité des scientifiques à avancer des éléments scientifiques et à remettre en cause la doxa. Il y aurait beaucoup à dire sur les arguments avancés et leur légèreté, mais il nous apparaît plus utile d’aborder la thèse centrale qui consiste à intimer l’ordre de se taire aux scientifiques ayant des avis divergents. Cet élément est en effet bien plus essentiel que n’importe quel débat sur la question de savoir s’il faut ou non vacciner les enfants.

S’il ne s’agit pas de reprendre toutes les erreurs et raccourcis présents dans ce texte, pointons tout de même une phrase qui, à elle seule, en contient un certain nombre :

« Mobiliser des universitaires pour la remise en question des mesures sanitaires va immanquablement alimenter un discours antiscientifique et générer une récupération politique. »

Sujet : la vaccination des enfants

Il y a d’abord une globalisation du terme « mesures sanitaires » : on confond tout en assimilant la vaccination des enfants aux mesures de confinement. Si l’on suit le raisonnement, tout ce qui est labellisé (et par qui ?) comme « mesure sanitaire » devrait être accepté, sans remise en question et quelle que soit la nature de la mesure. On en arrive donc à accepter toutes les dérives, comme une discrimination assumée entre les citoyens telle que l’expérimentent aujourd’hui nos voisins Français.

Sous le terme « discours antiscientifique », on voit bien que c’est le discours « antivax » qui est visé. Or comment ne pas comprendre que si l’on écrit un argumentaire concernant la seule vaccination des enfants, c’est que l’on fait une distinction avec la vaccination des adultes ? Distinction que les antivax ne font évidemment pas. Au passage, on peut se demander si les plus grands promoteurs de ce discours anti-science ne sont pas ceux qui prônent la vaccination pour tous et pour tout, sans tenir compte des risques différenciés liés au Covid selon les classes d’âges. Différence de risque qui, au passage, constitue une vérité scientifique établie, mais trop souvent occultée. Enfin, concernant la « récupération politique », il s’agit là d’un pur fantasme. Quel parti belge s’est opposé aux « mesures sanitaires » ou, pour reprendre le cas précis, à la vaccination des enfants contre le Covid ?

Remettre en cause les idées

Puisque le doute est au centre de l’article et de la démarche scientifique, attardons-nous d’abord sur ce terme et la signification qu’en donne l’auteur. Il distingue le doute du soupçon, le premier serait légitime et le second condamnable. Mais le problème est que la distinction qu’il opère entre les deux ne repose sur rien. Surtout, rien n’indique que les positions dénoncées appartiennent à l’une ou l’autre catégorie.

Cette mise en cause du doute sert en réalité l’objectif central de l’article, qui consiste à faire l’éloge du consensus. On lit ainsi cette affirmation péremptoire : « la division est le contraire du véritable fondement de la démarche scientifique, le consensus ». On se demande où l’auteur est allé chercher cette idée selon laquelle la démarche scientifique nécessite le consensus. Si les savants avaient suivi ce précepte, il y a fort à parier que l’on croirait encore que la terre est plate et que le soleil lui tourne autour. Toute la démarche scientifique consiste au contraire à remettre en cause les idées établies en se basant – et ce qui la distingue de l’opinion – sur des faits ou des recherches scientifiques.

Mais là où l’opinion de M. Heynen est intéressante, c’est qu’elle nous révèle un attrait certain pour le consensus. Quel confort intellectuel de penser que tous les savants sont d’accord et que nos politiques agissent éclairés par la science infaillible ! On peut alors se dispenser de réfléchir et, tout doute écarté, accéder à un certain bonheur.

Quel consensus scientifique ?

Pour revenir au fond du problème, M. Heynen parle de consensus entre les pairs. Or le fait est qu’il n’existe aucun consensus scientifique autour de la nécessité, ni même de l’utilité, de vacciner les enfants pour enrayer l’épidémie de Covid-19. Le fait que les quelques scientifiques belges présents dans le comité chargé de conseiller nos gouvernants sur ce sujet aient rendu un avis favorable ne produit pas un consensus scientifique. Surtout quand cet avis est à la fois discutable sur le fond, mais apparemment impossible à discuter dans quelque enceinte que ce soit.

Pour justifier l’absence de débat scientifique, il est révélateur de voir l’auteur citer Descartes parlant d’un groupe perdu dans les bois. Serions-nous à ce point ignorants de ce qu’est le Covid-19 ? On pouvait encore le concevoir en mars-avril 2020 lorsqu’une maladie nouvelle a déferlé sur le monde. Mais croire qu’il en est de même 18 mois – et quelques dizaines de milliers d’articles scientifiques – plus tard en dit long sur l’obscurantisme dans lequel certains nous croient plongés.

Démocratie et nécessité du débat

L’auteur développe également une bien curieuse conception de la démocratie, qui serait menacée par le doute scientifique. Une fois que le gouvernement aurait pris une décision, il serait illégitime de la contester ni même de la questionner, en tout cas jusqu’à la prochaine campagne électorale. On se demande dès lors pourquoi les Parlements régionaux ou fédéraux siègent et débattent entre les élections. Ou même pourquoi les hommes politiques donnent des interviews hors campagne électorale, parfois pour oser critiquer les décisions prises. Ou bien faut-il comprendre que seuls les élus et professionnels de la politique ont droit à la parole ? Une telle conception correspond bien à un climat ambiant présent depuis le début de la pandémie, qui vise à proscrire les opinions divergentes ou à les renvoyer à des étiquettes comme « rassuriste » ou « complotiste ». Pour revenir à la vaccination des enfants, on attend toujours le moindre débat contradictoire sur le sujet, que ce soit dans un cadre universitaire, politique ou simplement médiatique. Celui-ci aurait l’avantage de convaincre de la nécessité de cette vaccination. Mais aucune parole n’a été accordée à la contradiction, ni avant ni après la prise de décision. Selon M. Heynen, le point de vue défendu par Bernard Rentier et nous-mêmes ne doit pas seulement être absent du débat public. Il ne doit même pas circuler sur Internet via son blog personnel. Une bien belle conception de la démocratie qui, rappelons-le, n’est pas la dictature de la majorité, mais nécessite un débat permanent, ouvert, et argumenté.

Merci à lui

S’il nous a paru utile de répondre à l’opinion de M. Heynen, c’est qu’il écrit ce que beaucoup pensent sans oser le dire. Qu’il soit donc remercié d’exprimer clairement une opinion largement répandue depuis le début de la crise sanitaire : les voix dissidentes doivent se taire. Pour le bien-être général.




Crise sanitaire : aidons nos proches à sortir de la manipulation

[Source : ripostelaique.com]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les médias ont relayé les prévisions de Ferguson (Oxford) promettant des millions de morts du coronavirus. Les politiques affirmaient que nous allions vivre une épidémie à l’instar des grandes pestes médiévales ou des XVIIe et XVIIIe siècle. Je m’attendais à compter les morts par dizaines de millions dans le monde. J’imaginais que nous aurions une telle surmortalité que nos populations diminueraient, comme lors de ces pestes auxquelles les scientifiques faisaient référence. J’ai douté, quand début 2021, les données démographiques mondiales et françaises m’ont permis de constater deux choses. Les taux de mortalité étaient les mêmes que ceux des quarante dernières années et la population mondiale continuait de croître. Et, en France, ni surmortalité tragique, ni baisse de la population. Aucun signe d’une épidémie au sens des historiens et des démographes, alors que la chose avait été scrupuleusement ancrée dans nos esprits. Nous avons tous été manipulés par la technique de l’ancrage. Elle consiste à donner un premier avis sur un événement ou une personne pour marquer l’esprit. On nous a annoncé une épidémie, il suffisait de compter les morts pour avoir raison. Pour en sortir et aider nos compatriotes, il existe deux méthodes. La première, les aider à sortir de leur fiction en leur apportant d’autres informations. C’est le but de cet article à exploiter autour de vous. La seconde, donner envie d’agir contre les conséquences toujours plus délirantes dont les manipulateurs tirent profit pour imposer leur volonté.

1. La mise en perspective de la mortalité : épidémie ?

Commençons par apporter la preuve de cette réalité démographique par le tableau produit par l’INSEE.

Le taux de mortalité pour 1000 habitants en 2020 (en gras) est semblable à ceux des années 1982 à 1986 et inférieur même à celui de 1983 (10,1). Une épidémie au sens des historiens et des démographes aurait provoqué quelques centaines de milliers ou millions de morts sur un ou deux ans. Cela se traduirait par un taux de mortalité voisinant les 20/1000 habitants avec 1,2 millions de morts par exemple, ou même 40/1000 h. avec environ 2,5 millions de morts. La leçon est là. La démographie est une science des grands nombres et elle a cela de redoutable qu’elle nous met les choses en perspective. Redoutable pour les manipulateurs à la petite semaine.

2. La mise en perspective de la mortalité mensuelle et journalière

Les médias ne cessent de nous traumatiser par le décompte macabre des morts par jour, prenant bien soin de livrer en pâture un chiffre isolé, preuve manifeste d’une œuvre de propagande et de manipulation, puisque le commun des mortels (sans jeu de mot) ne peut rien comprendre de ce qu’il signifie. Faisons ici cet effort. Prenons le nombre de morts moyen des 10 dernières années : 595 000/an. Divisons-le simplement par 365 jours, cela nous donne 1630 décès par jour. Les démographes savent par le suivi depuis des années que ce nombre varie selon les saisons avec un nombre plus élevé l’hiver que l’été par exemple. Évaluons les morts de la Covid annoncés par les journalistes relativement à ces morts journaliers. Quand ils nous parlent de 50 morts, de 100 morts ou même de 150 morts attribués à cette maladie (sans oublier que la moitié de ces morts, ce sont des personnes de plus de 80 ans), nous parlons de 50 ou 100/1630. Il serait plus loyal de suivre ce nombre-là et son évolution en la comparant sur plusieurs années pour apprécier la surmortalité. Exemple, ce jour-ci, cette année, 1677 morts, l’année dernière 1546, l’année précédente 1708. Tout deviendrait plus clair.

Constatons que la surmortalité a été très faible. Sur ces 6 dernières années, les trois mois les plus mortifères sont mars et avril 2020, période où ce virus va tuer des personnes très âgées, mais comparable et même légèrement inférieur à janvier 2017, pic d’une épidémie de grippe sévère. Même avril 2020 (65 900) ne dépasse pas janvier 2017 (66 990).

Cette seconde mise en perspective montre que la mortalité mensuelle n’a pas été épidémique au sens des historiens et démographes. La mortalité journalière de même. Quand les chiffres des démographes démontrent l’inverse de la désinformation au jour le jour. À ce jour, les chiffres de l’INSEE pour les 6 premiers mois de 2021. À l’exception de janvier 2021 (65 500), les mois suivants sont dans la ligne des mois d’hiver (56 000 à 57 000 décès) et mai et juin marquent le reflux (51 200 et 44 300 en juin) totalement comparable aux mois de juin des 6 dernières années.

Les commentaires de l’institut sont sans appel :
« Le nombre moyen de décès enregistrés quotidiennement, qui avait un peu augmenté en janvier 2021 par rapport à fin 2020, a diminué ensuite jusqu’à la mi-mars pour se stabiliser sur un plateau jusqu’à début mai. Il baisse depuis. Au cours du mois de janvier, environ 2 150 décès ont été enregistrés en moyenne chaque jour contre 2 035 la deuxième moitié du mois de décembre. En février, le nombre moyen de décès quotidien diminue et s’établit à 2 040, avec une baisse entre la première quinzaine et la seconde quinzaine. La baisse qui s’était poursuivie la première quinzaine de mars (avec 1 880 décès en moyenne par jour), fait place ensuite à une relative stabilisation jusqu’à début mai (avec 1 900 décès en moyenne par jour entre la mi-mai et la fin avril). La première quinzaine de mai, le nombre moyen de décès s’établit à 1 750 par jour. Il continue de diminuer ensuite et s’établit en moyenne à 1 620 décès par jour la seconde quinzaine de mai, soit un niveau qui se rapproche de celui de 2019.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5404610?sommaire=4487854

Et plus précisément encore, les tranches d’âges les plus jeunes meurent moins,, ce qui rend encore plus absurde les quelques cas exhibés en propagande concernant quelques jeunes décédés de la covid-19, pour ceux-là de manière certaine, évidemment :
« Le nombre de décès enregistré entre le 1er janvier et le 31 mai 2021 est inférieur à celui constaté sur la même période en 2019 pour les jeunes (- 12 % pour les moins de 25 ans) mais aussi pour les personnes âgées de 25 à 49 ans (- 5 %). Il est relativement stable pour les personnes âgées de 50 à 64 ans (+ 2 %). » (Insee)

3. Le critère de létalité

Le législateur comme le Conseil constitutionnel peuvent-ils alors se prévaloir d’une crise sanitaire au seul motif que le nombre de lits ne suffit pas à traiter des nouveaux malades ? Non, il s’agit-là d’une crise capacitaire, d’un mauvais dimensionnement de l’organisation hospitalière, d’un désordre dans le parcours de soin, entre les premiers soins de la médecine de ville, puis les cas graves à hospitaliser. La saturation hospitalière a largement résulté d’un interdit de soin en médecine de ville. N’ouvrons pas cette polémique. Mais y a-t-il un critère justifiant l’épidémie et la crise sanitaire ? Cherchons pour terminer du côté de la létalité. Une crise sanitaire n’a de sens pour limiter les activités économiques et atteindre aux libertés fondamentales, que si elle est de nature à tuer dans des proportions très élevée. C’est la létalité, soit le nombre de morts parmi les personnes ayant contracté la maladie sur une période. L’OMS et l’Institut Pasteur convergent pour un taux entre 0,5 % et 1 %, sachant qu’il varie selon les classes d’âge pour la covid-19. Quelle est la létalité du choléra ou d’Ebola par comparaison : pour le choléra, l’institut Pasteur mentionne deux données : 1,8 % et plus de 6 % pour les régions les plus exposées (https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/cholera). Cela signifie, 2 fois plus ou 5 fois plus. Pour Ebola, l’OMS mentionne un taux de 50 %, avec des variations liées à des flambées jusqu’à 90 %. En clair, vous l’avez, vous mourrez. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease). La table des létalités montre que la covid-19 est très très loin derrière ces épidémies dévastatrices. La peste bubonique, à laquelle certains comparaient à la hâte ce nouveau coronavirus à une létalité de 30 à 60 % sans traitement indique l’OMS. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/plague). Bref, chacun voit que les maladies fatales : peste, cholera, VIH (Sida) durant les premières années ont une létalité dramatique, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Il en est de même de la contagiosité, vitesse à laquelle une population diffuse en son sein la maladie.
Reste un dernier facteur qui serait celui de l’impuissance médicale. Il y a aussi crise sanitaire, ce qui fut le cas pour durant les premières années du Sida, avant l’avènement des traitements au milieu des années 90. Ce n’est pas le cas non plus.

En conclusion, que pouvons-nous dire sur les critères scientifiques qui permettraient de légitimer un état de crise sanitaire ? Que dire à nos amis encore sous l’emprise de cet ancrage ? Constatons-nous un pic de mortalité qui bouleverse les moyennes ? Non. Il aurait fallu doubler, tripler pour constater que la mortalité journalière explose vraiment. Rien de tout cela ne s’est produit, pas même lors des premiers mois de l’année 2020. Ce recul, nous démontre qu’il n’y a rien d’épidémique au sens premier de cette notion. Ni surmortalité, ni baisse de la population. Enfin, les deux derniers critères de létalité ou d’impuissance temporaire de la médecine n’existent pas. En conséquence, le législateur ne peut pas se prévaloir de critères qui motiverait un état de crise sanitaire du fait d’une hypothétique épidémie. Il faut éclairer nos élus, les députés en tête et plus encore réinformer nos concitoyens. Allez sur les sites, notez les chiffres, posez-leur des questions, dialoguez tranquillement, faites-les douter. Quand on est sous l’emprise d’un ancrage, il faut plusieurs discussions pour accepter d’interroger sa croyance. Il faut « désintoxiquer » nos contemporains.

Pierre-Antoine Pontoizeau




La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Dr Robert Young – Le 20 août 2021

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

La microscopie à contraste de phase, la microscopie électronique à transmission et à balayage et la spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie révèlent les ingrédients des vaccins contre le CoV-19 !

Résumé

Il existe actuellement quatre grandes sociétés pharmaceutiques qui fabriquent un vaccin contre le SRAS-CoV-2, maintenant appelé SRAS-CoV-19. Ces fabricants et leurs vaccins sont Pfizer– le vaccin ARNm BioNTech, Moderna- le vaccin ARNm Lonza -1273, Serum Institute- le vaccin Oxford Astrazeneca et le vaccin Covid-19 Janssen, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, un adénovirus recombinant, inapte à la réplication, exprimant la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. L’objectif de ces vaccins est de conférer une immunité contre le nouveau coronavirus infectieux ou SARS-CoV-2, désormais appelé SARS-CoV-19. Ces quatre sociétés pharmaceutiques n’ont pas fourni de divulgation complète à la FDA sur leur boîte de vaccin, leur fiche d’information ou leur étiquette pour bon nombre des ingrédients majeurs et/ou mineurs contenus dans ces soi-disant vaccins. Le but de cet article de recherche est d’identifier les ingrédients majeurs et mineurs spécifiques contenus dans le vaccin Pfizer, le vaccin Moderna, le vaccin Astrazeneca et le vaccin Janssen en utilisant divers tests scientifiques anatomiques, physiologiques et fonctionnels pour chaque vaccin SRAS-COV-2-19. En tant que droits de l’homme, régis en vertu du droit international par le Code de Nuremberg de 1947, l’information sur les ingrédients spécifiques du vaccin est essentielle, requise et nécessaire à connaître pour que tout être humain de n’importe quel pays au monde puisse prendre une décision éclairée quant à son consentement ou non à l’inoculation du SRAS-CoV-2-19. Nous avons effectué les tests scientifiques sur chaque vaccin et avons identifié plusieurs ingrédients ou adjuvants non divulgués qui sont contenus dans ces quatre vaccins contre le SRAS-CoV-2-19. Actuellement, ces vaccins sont administrés à des millions d’êtres humains dans le monde entier en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) délivrée par chaque pays sans que tous les ingrédients soient divulgués et, dans certains cas, à la demande de gouvernements ou d’employeurs, ce qui constitue une violation des droits de l’homme en vertu du Code de Nuremberg de 1947.

Méthodologie et techniques

Quatre « vaccins » ont été analysés, à savoir le vaccin Pfizer-BioNtech, Moderna-Lonza mRNA-1273, Vaxzevria d’Astrazeneca, Janssen de Johnson & Johnson, en utilisant différents instruments et protocoles de préparation selon les nouvelles approches technologiques des nanoparticules. Les différents instruments comprennent la microscopie optique, la microscopie à champ clair, la microscopie à contraste de pHase, la microscopie à champ sombre, l’absorbance UV et la spectroscopie de fluorescence, la microscopie électronique à balayage, la microscopie électronique à transmission, la spectroscopie à dispersion d’énergie, le diffractomètre à rayons X et les instruments de résonance magnétique nucléaire, qui ont été utilisés pour vérifier la morphologie et le contenu des « vaccins ». Pour les mesures de haute technologie et le soin de l’enquête, tous les contrôles ont été activés et les mesures de référence adoptées afin d’obtenir des résultats validés.

Microscopie à contraste de phase et à champ sombre du sang vivant

Des images des fractions aqueuses des vaccins ont ensuite été obtenues pour évaluer visuellement la présence éventuelle de particules de carbone ou de graphène.

Les observations en microscopie optique ont révélé une abondance d’objets laminaires 2D transparents qui présentent une grande similitude avec les images de la littérature (Xu et al, 2019), et avec les images obtenues à partir de la norme rGO (SIGMA)(Figures 1, 2 et 3).

Des images de grandes feuilles transparentes de taille et de formes variables ont été obtenues, montrant des formes ondulées et plates, irrégulières. Des feuilles plus petites de formes polygonales, également similaires aux flocons décrits dans la littérature (Xu et al, 2019) peuvent être révélées avec la microscopie à contraste de pHase et à champ sombre (Figure 3).

Tous ces objets laminaires étaient répandus dans la fraction aqueuse de l’échantillon de sang (Figure 1) ou de vaccin (Figures 2 et 3) et aucun composant décrit par le brevet déposé ne peut être associé à ces feuilles.
 

Figure 1, vous pouvez voir à quoi ressemble une bombe à fragmentation d’oxyde de graphène réduit (rGO) dans le sang humain vivant non taché après une inoculation de CoV-19 provoquant une coagulation sanguine pathologique ![1][2][55][56][57]
 

La figure 1 est une micrographie d'un amas de carbone d'oxyde de graphène réduit (rGO) visualisé dans le sang humain vivant non coloré avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s'agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie "empiler".

La figure 1 est une micrographie d’un amas de carbone d’oxyde de graphène réduit (rGO) visualisé dans le sang humain vivant non coloré avec une microscopie à contraste de pHase à 1500x. Notez que les globules rouges s’agglomèrent dans et autour du cristal rGO dans une condition connue sous le nom de Rouleau ! Un mot français qui signifie « empiler ».

Quels sont les ingrédients non divulgués contenus dans les vaccins CoV-19 soi-disant Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ?

Pour répondre à cette question, une fraction aqueuse des vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen a été prélevée dans chaque flacon, puis examinée séparément sous microscope à contraste de pHase à des grossissements de 100x, 600x et 1500x, montrant des preuves anatomiques de particules d’oxyde de graphène réduit (rGO) qui ont été comparées à des micrographies de rGO de Choucair et al, 2009 pour identification et vérification[3].

Étapes de l’analyse des fractions aqueuses du vaccin

Les échantillons réfrigérés ont été traités dans des conditions stériles, en utilisant une chambre à flux laminaire et du matériel de laboratoire stérilisé.

Les étapes de l’analyse sont les suivantes :

1. Dilution dans du sérum physiologique stérile à 0,9 % (0,45 ml + 1,2 ml)

2. Fractionnement par polarité : 1,2 ml d’hexane + 120 ul d’échantillon RD1

3. Extraction de la phase aqueuse hydrophile

4. Balayage de l’absorbance UV et de la spectroscopie de fluorescence
 

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

5. Extraction et quantification de l’ARN dans l’échantillon

6. Microscopie électronique et optique de la pHase aqueuse.

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » de Pfizer

Les micrographies des figures 2 et 3 ont été obtenues par microscopie optique à contraste de pHase 100X, 600X et 1500X, à champ sombre et à champ clair [3].

À gauche de chaque micrographie, vous verrez des micrographies obtenues à partir de la fraction aqueuse du vaccin Pfizer contenant du rGO.

À droite de chaque micrographie, vous verrez une correspondance avec des sources connues contenant du rGO pour la validation anatomique.

Les observations en microscopie à contraste de pHase, à champ sombre, à champ clair, en microscopie électronique à transmission et à balayage du produit vaccinal de Pfizer, ainsi que des produits vaccinaux de Moderna, Astrazeneca et Janssen ont révélé certaines entités qui peuvent être des bandes de graphène, comme le montre la figure 3 ci-dessous.

La figure 2 montre une image de la fraction aqueuse de l'échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l'oxyde de graphène réduit (rGO) standard (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique, 100X

La figure 2 montre une image de la fraction aqueuse de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique, 100X

Figure 3 - Images de fractions aqueuses contenant de l'oxyde de graphène réduit provenant de l'échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l'oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique à contraste de pHase, 600X

Figure 3 – Images de fractions aqueuses contenant de l’oxyde de graphène réduit provenant de l’échantillon de vaccin Pfizer (à gauche) et de l’oxyde de graphène réduit (rGO) standard soniqué (à droite) (Sigma-777684). Microscopie optique à contraste de pHase, 600X

La figure 4 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l'oxyde de graphène en attachant la capside du liposome à des molécules d'ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L'image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

La figure 4 montre la capside du liposome contenant le rGO que Pfizer utilise pour son produit pour véhiculer l’oxyde de graphène en attachant la capside du liposome à des molécules d’ARNm spécifiques pour conduire le contenu du liposome de rGO vers des organes, des glandes et des tissus spécifiques, à savoir les ovaires et les testicules, la moelle osseuse, le cœur et le cerveau. L’image a été obtenue par une préparation SEM-Cryo.

Pour une identification définitive du graphène par TEM, il est nécessaire de compléter l’observation par une caractérisation structurelle en obtenant un échantillon standard caractéristique par diffraction électronique (comme la figure ‘b’ montrée ci-dessous).

L’échantillon standard correspondant au graphite ou au graphène a une symétrie hexagonale, et présente généralement plusieurs hexagones concentriques.

La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l'oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19

La figure 4b révèle le diagramme de diffraction des rayons X des particules de graphène. Identification définitive de l’oxyde de graphène par microscopie TEM dans les 4 vaccins CoV-2-19

En utilisant la microscopie électronique à transmission (MET), nous avons observé une matrice ou un maillage complexe de feuilles de rGO flexibles, translucides et pliées, avec un mélange d’agglomérations multicouches plus sombres et de monocouches dépliées de couleur plus claire, comme le montre la figure 5. [3]

La figure 5 montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées.

La figure 5 montre un amas de nanoparticules de graphène dans un vaccin Pfizer. Elles semblent être agrégées.

Les zones linéaires plus sombres de la figure 5 semblent être un chevauchement local des feuilles et un arrangement local des feuilles individuelles parallèlement au faisceau d’électrons [4].

Après le maillage, une forte densité de formes claires arrondies et elliptiques non identifiées apparaît, correspondant peut-être à des trous générés par le forçage mécanique du maillage rGO pendant le traitement, comme on peut le voir sur la figure 6.[4]

La figure 6 montre une observation en microscopie TEM où l'on retrouve des particules d'oxyde de graphène réduit dans un vaccin Pfizer". La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.

La figure 6 montre une observation en microscopie TEM où l’on retrouve des particules d’oxyde de graphène réduit dans un vaccin Pfizer ». La diffractométrie des rayons X révèle leur nature de nanoparticules cristallines de rGO à base de carbone.

La spectroscopie aux rayons X à dispersion d’énergie révèle la présence de rGO dans un vaccin Pfizer [5] [6] [7].

Le contenu chimique et élémentaire de la fraction liquide du vaccin Pfizer a ensuite été analysé par spectroscopie à rayons X à dispersion d’énergie (EDS), comme le montre la figure 6. Le spectre EDS a montré la présence de carbone, d’oxygène, vérifiant les éléments rGO, ainsi que de sodium et de chlorure, puisque les échantillons des figures 2, 3, 5 et 6 ont été dilués dans une solution saline.

La figure 7 montre un spectre EDS d'un "vaccin" Pfizer sous un microscope ESEM couplé à une microsonde à rayons X EDS (axe X =KeV, axe Y =Comptes) identifiant le carbone, l'oxygène, le sodium et le chlorure.

La figure 7 montre un spectre EDS d’un « vaccin » Pfizer sous un microscope ESEM couplé à une microsonde à rayons X EDS (axe X =KeV, axe Y =Comptes) identifiant le carbone, l’oxygène, le sodium et le chlorure.

La quantification de l’ARNm dans le vaccin Pfizer

La quantification de l’ARN dans l’échantillon Pfizer a été effectuée selon les protocoles conventionnels (Fisher).

Selon le logiciel spécifique de vérification de l’étalonnage du spectrophotomètre NanoDropTM 2000 (Thermofisher), le spectre d’absorption UV de la fraction aqueuse totale était corrélé à 747 ng/ul de substances absorbantes inconnues.

Cependant, après extraction de l’ARN à l’aide d’un kit commercial (Thermofisher), la quantification à l’aide de la sonde de fluorescence Qbit spécifique à l’ARN (Thermofisher) a montré que seuls 6t ug/ul pouvaient être liés à la présence d’ARN. Le spectre était compatible avec le pic du rGO à 270nm.

Selon les images microscopiques présentées ici, la majeure partie de cette absorbance pourrait être due à des feuilles de type graphène, abondantes dans les fluides en suspension dans l’échantillon.

Ces conclusions sont également étayées par la forte fluorescence de l’échantillon, avec un maximum à 340 nm, en accord avec les valeurs de pic pour le rGO. Il faut rappeler que l’ARN ne présente pas de fluorescence spontanée sous exposition aux UV.

Figure 8 - Spectre UV de la fraction aqueuse de l'échantillon de vaccin Pfizer. [1] [2] [3] [5] [6]

Figure 8 – Spectre UV de la fraction aqueuse de l’échantillon de vaccin Pfizer. [1] [2] [3] [5] [6]

Test de fluorescence Ultra Violet de la fraction aqueuse de Pfizer pour l’oxyde de graphène réduit (rGO) [5]

Les spectres d’absorption et de fluorescence ultraviolets ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d’absorption UV a confirmé un pic maximum à 270nm, compatible avec la présence de particules de rGO.

Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l’échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 9 - Les spectres d'absorption UV et de fluorescence ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d'absorption UV a confirmé un pic maximal à 270 nm, compatible avec la présence de rGO. Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l'échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 9 – Les spectres d’absorption UV et de fluorescence ont été obtenus avec le spectrophotomètre Cytation 5 Cell Imaging Multi-Mode Reader (BioteK). Le spectre d’absorption UV a confirmé un pic maximal à 270 nm, compatible avec la présence de rGO. Le maximum de fluorescence UV à 340 nm suggère également la présence de quantités importantes de rGO dans l’échantillon (Bano et al, 2019).

Figure 10 - L'analyse spectroscopique UV a montré une adsorption due à la présence d'oxyde de graphène réduit, ce qui est confirmé par l'observation en microscopie visible ultraviolette.

Figure 10 – L’analyse spectroscopique UV a montré une adsorption due à la présence d’oxyde de graphène réduit, ce qui est confirmé par l’observation en microscopie visible ultraviolette.

Les figures 11 et 12 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nano particules qui ont été identifiées dans les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen, dits  » vaccins  » et analysées sous un microscope électronique à balayage environnemental (SEM) couplé à une microsonde à rayons X d’un système dispersif en énergie (EDS) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nano particules observées[5][6][7].

La figure 11 montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant "vaccin" Pfizer contenant du carbone, de l'oxygène, du chrome, du soufre, de l'aluminium, du chlorure et de l'azote.

La figure 11 montre des débris de 20 microns de longueur identifiés dans le soi-disant « vaccin » Pfizer contenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote.

 La figure 12 montre une particule de 20 microns de longueur identifiée dans le soi-disant "vaccin" Pfizer. Elle est composée de carbone, d'oxygène de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.

La figure 12 montre une particule de 20 microns de longueur identifiée dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Elle est composée de carbone, d’oxygène de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Les figures 13 et 14 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées dans les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen et analysées au microscope électronique à balayage (MEB) couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la taille des particules, la distribution de la composition et la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Y a-t-il des parasites dans les « vaccins » de Pfizer ?

Un corps allongé de 50 microns, comme on peut le voir sur la figure 13, est une présence mystérieuse et nette dans le vaccin Pfizer. Il apparaît et est identifié anatomiquement comme un parasite Trypanosoma cruzi dont plusieurs variantes sont létales et constituent l’une des nombreuses causes du syndrome d’immunodéficience acquise ou SIDA [Atlas of Human Parasitology, 4e édition, Lawrence Ash et Thomas Orithel, pages 174 à 178] [8].

La figure 13 montre un parasite Trypanosoma d'environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant "vaccin" Pfizer. Il est composé de carbone, d'oxygène, de chrome, de soufre, d'aluminium, de chlorure et d'azote.

La figure 13 montre un parasite Trypanosoma d’environ 20 microns de long trouvé dans le soi-disant « vaccin » Pfizer. Il est composé de carbone, d’oxygène, de chrome, de soufre, d’aluminium, de chlorure et d’azote.

Une micrographie par microscopie à contraste de phase : parasite Trypanosoma cruzi [8] vivant dans du sang

Une micrographie par microscopie à contraste de phase : parasite Trypanosoma cruzi [8] vivant dans du sang

La figure 14 identifie une composition de nanoparticules comprenant du carbone, de l’oxygène, du chrome, du soufre, de l’aluminium, du chlorure et de l’azote, que l’on retrouve également dans les « vaccins » CoV-19.

La figure 13 identifie une composition de nanoparticules

La figure 13 identifie une composition de nanoparticules

Les figures 15 et 16 ci-dessous montrent une micrographie de différentes micro et nanoparticules qui ont été identifiées et analysées sous un microscope électronique à balayage (MEB) environnemental couplé à une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (SDE) qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 15 montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le "vaccin" Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 15 montre les particules de taille nanométrique et micronique identifiées dans le « vaccin » Pfizer. La particule blanche de 2 microns de long est composée de bismuth, carbone, oxygène, aluminium, sodium, cuivre et azote.

La figure 16 montre que la particule blanche de 2 microns trouvée dans le "vaccin" Pfizer est composée de bismuth, de carbone, d'oxygène, d'aluminium, de sodium, de cuivre et d'azote.

La figure 16 montre que la particule blanche de 2 microns trouvée dans le « vaccin » Pfizer est composée de bismuth, de carbone, d’oxygène, d’aluminium, de sodium, de cuivre et d’azote.

Les figures 17 et 18 montrent l’identification de particules organiques de carbone, d’oxygène et d’azote avec un agrégat de nanoparticules incorporées comprenant du bismuth, du titane, du vanadium, du fer, du cuivre, du silicium et de l’aluminium, qui ont toutes été trouvées dans le soi-disant  » vaccin  » Pfizer.

La figure 17 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d'aluminium incorporées dans le "vaccin" Pfizer.

La figure 17 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans le « vaccin » Pfizer.

La figure 18 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d'aluminium incorporées dans un "vaccin" Pfizer !

La figure 18 montre un agrégat organique (carbone-oxygène-azote) avec des nanoparticules de bismuth, de titane, de vanadium, de fer, de cuivre, de silicium et d’aluminium incorporées dans un « vaccin » Pfizer !

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » d’Astrazeneca

Les figures 19 et 20 montrent un agrégat de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable, composé de micro et nanoparticules incorporées et identifiées dans le « vaccin » d’Astrazeneca, observé au microscope électronique à transmission (MET) et quantifié à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées et leur morphologie.

Figure 19 - Agrégat manufacturé de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d'acier inoxydable.

Figure 19 – Agrégat manufacturé de fer, de chrome et de nickel, également connu sous le nom d’acier inoxydable.

La figure 20 montre les particules de nano quantifiées dans le "vaccin" Astrazeneca à l'aide d'une microsonde à rayons X d'un système à dispersion d'énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

La figure 20 montre les particules de nano quantifiées dans le « vaccin » Astrazeneca à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie qui révèle la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

L’instrument XRF (X-ray fluorescence) a été utilisé pour évaluer les adjuvants du « vaccin » Astrazeneca, ce qui a permis d’identifier les molécules suivantes : histidine, saccharose, polyéthylène glycol (PEG) et alcool éthylénique, également contenues dans les « vaccins » Pfizer et Moderna. Les résultats de ce test sont présentés figure 20 [9].

Le PEG et l’alcool éthylénique sont tous deux connus pour être cancérigènes et génotoxiques[9]. Le PEG était le seul adjuvant déclaré sur la fiche technique énumérant les ingrédients du « vaccin » Astrazeneca, mais contenu dans les « vaccins » Pfizer et Moderna.

La figure 21 identifie le spectre des adjuvants des vaccins AstraZeneca. Des couleurs différentes sont utilisées pour les quatre molécules identifiées à l'aide de spectres de référence. La concentration relative est calculée sur les intégrales des signaux de référence pour les molécules dans un spectre quantitatif acquis avec un rapport cyclique de 5 secondes. Le plus long T1 calculé étant de 5 secondes.

La figure 21 identifie le spectre des adjuvants des vaccins AstraZeneca. Des couleurs différentes sont utilisées pour les quatre molécules identifiées à l’aide de spectres de référence. La concentration relative est calculée sur les intégrales des signaux de référence pour les molécules dans un spectre quantitatif acquis avec un rapport cyclique de 5 secondes. Le plus long T1 calculé étant de 5 secondes.

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » de Janssen

Les figures 22 et 23 montrent un agrégat organique-inorganique identifié dans le « vaccin » de Janssen. Les particules sont composées d’acier inoxydable et sont collées ensemble avec une « colle à base de carbone » d’oxyde de graphène réduit[10]. Cet agrégat est hautement magnétique et peut déclencher une coagulation sanguine pathologique et « l’effet Corona » ou « l’effet protéine en pointe » créé par la dégénérescence de la membrane cellulaire due aux interactions avec d’autres dipôles[10]. Vous pouvez voir ces réactions biologiques ou transformations cellulaires dans le sang vivant sous pHase Contraste et microscopie à fond noir dans les figures 24, 25 et 26[1][11].

Figure 22 : Agrégat d'acier inoxydable composé de carbone, d'oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l'oxyde de graphène.

Figure 22 : Agrégat d’acier inoxydable composé de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel, maintenu par de l’oxyde de graphène.

La figure 23 montre des éléments de carbone, d'oxygène, de fer et de nickel réunis par de l'oxyde de graphène.

La figure 23 montre des éléments de carbone, d’oxygène, de fer et de nickel réunis par de l’oxyde de graphène.

L’effet Corona et l’effet protéine Spike

L' » effet Corona  » et la  » protéine de pointe  » créés de manière endogène sont causés par un empoisonnement chimique et radiologique dû à l’oxyde de graphène réduit et aux rayonnements micro-ondes ![11]

Figure 24 "L'effet Corona" et la création endogène d'exosomes due à l'empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l'interstium.

Figure 24 « L’effet Corona » et la création endogène d’exosomes due à l’empoisonnement chimique et radiologique des fluides vasculaires et interstitiels de l’interstium.

La figure 25 montre "l'effet Corona" et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l'empoisonnement chimique ou ce que j'appelle "l'effet de pic de protéines".

La figure 25 montre « l’effet Corona » et la naissance endogène de pics de protéines S1 causés par les radiations et l’empoisonnement chimique ou ce que j’appelle « l’effet de pic de protéines ».

Figure 26 Cette micrographie montre la création endogène des "pics de protéines" comme une infection et non une infection !

Figure 26 Cette micrographie montre la création endogène des « pics de protéines » comme une infection et non une infection !

Les figures 24 et 25 ci-dessus montrent « L’EFFET CORONA » sur les globules rouges et la figure 26 montre « L’EFFET PROTÉINE SPIKE », tous deux causés par une acidose décompensée des fluides interstitiels et vasculaires provenant d’un mode de vie acide et plus particulièrement d’une exposition à des champs électromagnétiques pulsés toxiques à 2,4 GHz ou plus, d’un empoisonnement chimique provenant de la nourriture et de l’eau ingérées, d’une pollution atmosphérique acide toxique, de chemtrails et, pour couronner le tout, d’une inoculation de CoV-19 à base de nana particules chargées de produits chimiques ! S’il vous plaît, laissez vos sentiments et vos fausses croyances à la porte avant que VOUS ne vous fassiez du mal prématurément[11] !

Les ingrédients non divulgués du « vaccin » Moderna

Les figures 26 et 27 ont identifié une entité mixte de matières organiques et inorganiques contenue dans le « vaccin » Moderna.  
La microscopie électronique à transmission (TMS) et la quantification à l’aide d’une microsonde à rayons X d’un système à dispersion d’énergie (EDS) ont révélé la nature chimique des micro et nanoparticules observées.

Le « vaccin » Moderna est un substrat d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans lequel sont incorporées des nanoparticules. Ces nanoparticules sont composées de carbone, d’azote, d’oxygène, d’aluminium, de cuivre, de fer et de chlore[12].

Figure 26 La microscopie électronique à transmission révèle un composite d'oxyde de graphène dans lequel sont intégrées des matières organiques et non organiques.

Figure 26 La microscopie électronique à transmission révèle un composite d’oxyde de graphène dans lequel sont intégrées des matières organiques et non organiques.

La figure 27 révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées.

La figure 27 révèle la présence de nanoparticules cytotoxiques intégrées.

Les figures 27 et 28 montrent une analyse qui a également été effectuée sous microscope électronique à transmission (TEM) et quantifiée avec une microsonde à rayons X d’un système dispersif en énergie (EDS) et qui a révélé la nature chimique des micro et nano particules observées. De nombreux corps étrangers ont été identifiés avec une morphologie sphérique avec quelques cavités en forme de bulles.

La figure 29 montre qu’ils sont composés de carbone, d’azote, d’oxygène, de silicium, de plomb, de cadmium et de sélénium. Cette composition de nanoparticules hautement toxiques sont des points quantiques de séléniure de cadmium qui sont cytotoxiques et génotoxiques [13] [14].

La figure 27 montre les nano-points dans l'oxyde de graphène trouvé dans le "vaccin" Moderna.

La figure 27 montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le « vaccin » Moderna.

La figure 28 montre les nano-points dans l'oxyde de graphène trouvé dans le "vaccin" Moderna.

La figure 28 montre les nano-points dans l’oxyde de graphène trouvé dans le « vaccin » Moderna.

La figure 29 révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d'oxyde de graphène trouvées dans le "vaccin" Moderna.

La figure 29 révèle la composition cytotoxique et génotoxique des nanoparticules d’oxyde de graphène trouvées dans le « vaccin » Moderna.

Les figures 30 et 31 analysent plus en détail le « vaccin » Moderna et révèlent un symplaste de 100 microns de composite de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit. Le rGO est composé de carbone et d’oxygène avec une contamination de nanoparticules d’azote, de silicium, de phosphore et de chlore [15].

Figure 30 La microscopie électronique à transmission révèle un grand composite d'oxyde de graphène réduit de 100 microns.

Figure 30 La microscopie électronique à transmission révèle un grand composite d’oxyde de graphène réduit de 100 microns.

La figure 31 révèle le complexe de nanoparticules contenu dans le "vaccin" Moderna

La figure 31 révèle le complexe de nanoparticules contenu dans le « vaccin » Moderna

Les figures 32 et 33 montrent des entités d’oxyde de graphène réduit à base de carbone dans le « vaccin » Moderna, mélangées à des agrégats remplis de nanoparticules de silicate d’aluminium[16].

La figure 32 révèle un complexe d'oxyde de graphène et de silicate d'aluminium par microscopie électronique à transmission.

La figure 32 révèle un complexe d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium par microscopie électronique à transmission.

La figure 33 révèle les nano-éléments d'oxyde de graphène et de silicate d'aluminium contenus dans le "vaccin" Moderna

La figure 33 révèle les nano-éléments d’oxyde de graphène et de silicate d’aluminium contenus dans le « vaccin » Moderna

Discussion

La pandémie de SRAS-CoVid-2-19 a incité les industries pharmaceutiques à développer de nouveaux médicaments qu’elles ont appelés vaccins.

Le mécanisme d’action de ces nouveaux médicaments, tel qu’il est déclaré par l’industrie pharmaceutique, associé à ce qui est indiqué dans la fiche technique des vaccins, n’est PAS clair pour les savants médicaux actuels qui comprennent que ces nouveaux médicaments produits par Pfizer – le vaccin ARNm BioNTech, le vaccin ARNm-1273 Moderna-Lonza, le vaccin Serum Institute Oxford Astrazeneca et le vaccin Janssen COVID -19, fabriqué par Janssen Biotech Inc, une société pharmaceutique Janssen de Johnson & Johnson, ne sont PAS des vaccins mais des médicaments nanotechnologiques fonctionnant comme une thérapie génétique.

Le nom « vaccin » est probablement un escamotage (ruse) utilisé pour des raisons bureaucratiques et technocratiques afin de recevoir une approbation d’urgence, en ignorant toutes les règles normales nécessaires pour les nouveaux médicaments, en particulier pour ceux qui impliquent de nouveaux mécanismes nanotechnologiques qui n’ont jamais été développés ni expérimentés par l’homme, où que ce soit, à n’importe quel moment de l’histoire du monde.

Tous ces soi-disant « vaccins » sont brevetés et leur contenu réel est donc tenu secret, même pour les acheteurs, qui, bien sûr, utilisent l’argent des contribuables. Ainsi, les consommateurs (les contribuables) n’ont aucune information sur ce qu’ils reçoivent dans leur corps par inoculation.

L’humanité est maintenue dans l’ignorance en ce qui concerne les processus technologiques de nanoparticules impliqués, les effets négatifs sur les cellules du corps, mais surtout l’effet possible de la nano-bio-interaction magnétotoxique, cytotoxique et génotoxique sur le sang et les cellules du corps.

Cette étude actuelle, qui consiste en une analyse directe des soi-disant « vaccins » susmentionnés à l’aide d’instruments technologiques à nanoparticules, révèle des informations troublantes et susceptibles de changer la vie des personnes concernées, concernant la vérité sur le contenu acide toxique réel de ces soi-disant vaccins.

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

Les médicaments Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ne sont PAS des « vaccins » mais des agrégats complexes de nanoparticules d’oxyde de graphène composés de divers nano-éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm provenant de cellules animales ou vero et de cellules fœtales humaines avortées, comme nous l’avons vu et décrit ci-dessus. Une fois de plus, les ingrédients de ces soi-disant vaccins sont hautement magnétotoxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique, ce qui a déjà entraîné de graves accidents (estimés à plus de 500 millions) et/ou la mort (estimée à plus de 35 millions)[17][18] à [54].

Les soi-disant « experts » ou « savants médicaux » VOUS disent que les vaccins contre le CoV -2 – 19 sont le SEUL moyen d’arrêter la propagation du CoV-19… même lorsqu’il n’y a AUCUNE PREUVE de son existence et AUCUNE PREUVE de sa propagation telle que déterminée par la méthode scientifique des postulats de Koch ou de Rivers ! [53]

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

Qu’ils sont sûrs – malgré les preuves documentées du contraire…[53]

Qu’ils sont efficaces – même si des millions de personnes « doublement piqués » tombent malades, s’exposent théoriquement à un VIRUS NON EXISTANT appelé CoV – 19, et meurent…[54] NON pas d’une infection virale fantôme mais de la PEUR ou de fausses preuves semblant réelles et du contenu acide toxique de l’oxyde de graphène réduit délivré via l’ARNm génétiquement modifié à des cibles spécifiques du corps humain entraînant une coagulation sanguine pathologique, un manque d’oxygène, une hypercapnie, une hypoxie et ensuite la mort par suffocation. [55][56][57]

 Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) ou coagulation sanguine pathologique [56][57].

Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) ou coagulation sanguine pathologique [56][57].

Que VOUS DEVEZ recevoir au moins deux injections PLUS des « rappels » pour vivre une « vie normale »…

Et bientôt, ils vous diront que VOUS n’avez pas d’autre choix que de vous conformer à TOUTES leurs OBLIGATIONS, même si le CDC et d’autres gouvernements, universités et instituts médicaux ont reconnus par écrit qu’ils n’ont AUCUN « STANDARD D’OR » d’isolement du CoV – 2 maintenant appelé le virus CoV-19 !

Il n’y a PAS DE VIRUS CORONA et il n’y en a JAMAIS eu ![55].

Rappelez-vous…

NE LAISSEZ PERSONNE VOUS ENLEVER VOTRE LIBERTÉ DE SANTÉ !

C’est VOTRE corps, VOTRE vie et VOTRE choix !

La connaissance est le pouvoir. Et c’est la clé pour comprendre pourquoi les vaccins expérimentaux CoV -19 sont si dangereux – malgré le récit officiel des médias aux ordres qui suppriment et censurent quiconque ose s’exprimer.

Vous avez le contrôle de votre propre santé. Ne soyez pas victime des gouvernements et des bureaucrates mondiaux qui poussent tout le monde à se faire vacciner. Le « philanthrope » milliardaire Bill Gates et les activistes milliardaires de Big Tech pensent savoir ce qui est le mieux pour vous et votre famille.

Vous devez être libre de décider ce qui est bon pour vous. Ne laissez PAS les gouvernements et les employeurs vous forcer à vous faire « vaxxer » « pour votre bien ».

Et ne laissez jamais la culture de la censure vous rendre trop effrayé pour défendre vos droits !

Selon les mots du grand médecin et scientifique français, Antoine Béchamp, « Il n’y a rien de si faux qui ne contienne un élément de vérité et il en est ainsi de la théorie des germes ». Dans ce cas, la théorie des virus, des vaccins et de l’immunité ![58]

La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d'oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

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Références

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2- NanoDrop™ https://www.thermofisher.com/order/catalog/product/ND-2000#/ND-2000

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[54] Young, RO, « CDC NOW Admits NO ‘Gold Standard’ for the Isolation for ANY Virus! » https://www.drrobertyoung.com/post/cdc-now-admits-no-gold-standard-for-the-isolation-for-any-virus

[55] Young, RO, « The Genesis of Severe Acute Respiratory (Syndrome) or SARS & Corona Virus or COVID – 19. » https://www.drrobertyoung.com/post/the-genesis-of-severe-acute-respiratory-syndrome-or-sars-corona-virus-or-covid-19

[56] Young, RO, « What Causes Oxygen Deprivation of the Blood(DIC) and Then Lungs(SARS – CoV 2 & 19)? » https://www.drrobertyoung.com/post/what-causes-oxygen-deprivation

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Hôpital St Jacques, Besançon : Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires

[Source : Aphadolie]

Le 26 août 2021, devant l’hôpital St-Jacques à Besançon, des soignants révoltés ont organisé une action contre le Pass sanitaire pour accéder à l’hôpital ainsi que la vaccination obligatoire. « On ne pensait pas que ça allait finir comme ça », s’exclame une des soignantes en déchirant son diplôme.

Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires



Des soignants continuent de se mobiliser contre le Pass sanitaire et la vaccination obligatoire. 120 personnes se sont rassemblées devant l’hôpital Saint-Jacques, ce jeudi, après l’appel à manifester des syndicats FO, FSU et Sud.

Des infirmières ont ensuite brûlé des diplômes et jeté leur blouse, en symbole.

Une introduction orale avant l’action

Un communiqué commun à trois syndicats (Force ouvrière, Fédération syndicale unitaire et Sud solidaire) a été lu en début d’évènement pour situer leurs prises de positions actuelles dont voici quelques extraits :

« Les participants et participantes sont invitées à apporter un objet emblématique de leur travail méprisé. (…) blouse, équipement de protection, copie de diplôme etc. (…)  Le gouvernement par la loi du 6 août 2021 instrumentalise la crise sanitaire pour attaquer à nouveau le droit du travail. Des dizaines de salariés ayant pourtant fait la preuve de leur dévouement et de leur efficacité il y a peu, contraints et contraintes d’aller au travail sans protection, ont été parfois réquisitionnés malgré leur positivité. (…) se voient maintenant menacés de privation de salaire, de rupture de contrat de travail si elles ou ils refusent le vaccin.

Le gouvernement instrumentalise la crise pour organiser un contrôle et une surveillance généralisée sur la population et diviser la population entre vaccinés et non-vaccinés. Il instrumentalise la crise pour empêcher l’accès aux soins d’un certain nombre de malades ne disposant pas du précieux pass sanitaire. Ne reculant devant aucune remise en cause des droits des salariés, le gouvernement attaque le droit de grève.

Le jeudi 5 août, le ministre de la Santé a déclaré devant la presse lors d’une visite au centre hospitalier d’Aix-en-Provence : “Vient un temps où ces personnes n’auront plus le loisir de faire grève, puisque par définition, cette obligation vaccinale s’appliquera”. (…) En même temps la casse de l’hôpital public continue : suppression des lits, des postes, réorganisation ubuesque des services ».

Des soignants et des patients à protéger

Nous avons pu entrer en contact avec Ludivine Vinel, secrétaire générale de Force ouvrière au CHU de Besançon, qui a lancé le préavis de grève illimitée le 6 août 2021 et qui a organisé l’action du 6 août :

« Je suis indignée par le fait qu’on puisse suspendre mes collègues comme des malpropres, après les deux années particulièrement difficiles que nous venons de vivre. Je suis moi-même vaccinée depuis février, mais à cette époque, on avait la liberté de choisir. Comment ferons-nous sans mes collègues quand auront lieu les prochaines vagues épidémiques automnales et hivernales ? Et même hors période épidémique ! Ils sont essentiels. Vous rendez-vous compte qu’au CHU de Besançon, depuis octobre 2020, il n’y a plus de services de suites et de réadaptation ? Plus de vingt patients ont dû être redirigés ailleurs depuis, faute de médecin ! Et comment peut-on refuser l’accès aux soins à des patients qui n’auraient pas de Pass sanitaire ? C’est intolérable. C’est pour ces raisons que notre syndicat a lancé un préavis de grève illimitée dans le Doubs à compter du 9 août 2021, aux côtés de FSU et Sud Solidaire ».

Une force grandissante

Cette action n’est pas la première et ne sera sans doute pas la dernière, même si certains soignants militants sont actuellement réprimandés, convoqués ou menacés d’être suspendus pour leurs idées. Maria Cloarec, infirmière et membre du collectif soignants du département 05, nous explique que la première a eu lieu le 5 août 2021 à Briançon, qui a été suivie par Digne-les-Bains et Montélimar. Quant à Besançon, une autre action a été annoncée pour le 2 septembre 2021 devant l’espace Mandela pour protester contre le Pass sanitaire dans les lieux culturels et pour soutenir le personnel vacataire précaire qui risquent de perdre leur emploi, quelques jours après la manifestation du samedi 28 août Place de la Libération contre les mesures sanitaires actuelles.

Mobilisation devant l’hôpital St Jacques contre le Pass sanitaire à Besançon



Dans la continuité des actions proposées par l’Intersyndicale (FO 25, FSU25, Solidaires 25).

Les participants sont invités à apporter un objet de leur travail méprisé qui sera brûlé : blouse, équipement de protection, copie de diplôme, etc…


sources :

• nexus.fr/soignants-brulent
• 25.force-ouvriere.org/tous-ensemble-le-lundi-09-aout-a-16-h-30-sur-le-parvis-du-chru-de-besancon
• francebleu.fr/120-personnes-rassemblees-devant-l-hopital-saint-jacques-pour-protester-contre-le-pass-sanitaire




Selon Maître Carlo Brusa, les injections anti-Covid en France sont totalement illégales

[Source : Réaction19 (reaction19.fr)]