Dictature de l’hygiène : l’esclave, la serpillère et le (faux) courage civil

[Source : reseauinternational.net]

Par Jean Pierre Aussant

Cette dictature participative de l‘hygiène permet à certains, surtout aux plus lâches, de se donner bonne conscience et de jouer quelque temps et sans risque, au gendarme en dénonçant l’autre. Cet autre qui a l’audace impardonnable, contrairement à eux, de ne pas mettre sa serpillère tombale de silence et d’avilissement sur le visage. C’est sans doute pour cette raison que ces gens se sont si facilement et si bien habitués à ces nouvelles règles qui pourtant, sans qu’ils ne s’en rendent compte, les écrasent. C’est que ces miettes d’autorité que la dictature leur donne « à manger » en les encourageant à intervenir pour faire respecter « la loi » dans les lieux publics, au fond, les comblent.

Cela, cependant, est d’autant plus exécrable quand on sait que de coutume, l’occidental moyen qui les représente, notoirement veule et individualiste, est dénué de tout courage civil et que, en règle générale, face à une effraction ou à une agression dont il serait le témoin, loin de se mêler de la chose, il tournera naturellement la tête, fera semblant de ne rien remarquer et ne prendra pas le moindre risque. Tout au plus, pour assouvir son voyeurisme, et si une distance qu’il jugera « de sécurité » le lui permet, il observera de loin l’évènement.

En dernière analyse, ce soudain « courage civil » à peu de frais, qu’il manifeste aujourd’hui pour dénoncer les personnes non masquées, n’est en réalité qu’un minable placebo du vrai courage qu’il n’aura jamais. Bien compris, cet héroïsme civique « de panurge » à deux sous, n’exprime rien d’autre que cette jalousie qu’il ressent face à ceux qui luttent pour leur dignité, et ne fait que révéler son infamie d’esclave servile, qu’au fond, il n’a jamais cessé d’être.

Certes, peut-être que notre occidental moyen a la diffuse impression que cette dictature « pour tous » l’a fait monter pour ainsi dire « en grade » en le faisant passer du statut d’esclave « tout court » à celui d’esclave « participatif ». Triste promotion.




Qui Gouverne la France ?

[Source : zonefr.com via reseauinternational.net]

Par Jean Valmont-Decker

Si vous effectuez une simple recherche sur le Web, avec deux mots-clés : (Attali et PDF), vous vous retrouvez avec plusieurs dizaines de documents traitant de la politique, l’économie ou la géopolitique englobant, les organisations occultes, le mondialisme, le libéralisme, la finance… Un PDF (non signé) a attiré notre attention. Le titre « Qui Gouverne la France ? » est plutôt symptomatique de la cacophonie qui règne dans l’Hexagone depuis quelques décennies. Autrement dit, la France n’est plus un pays souverain, elle obéit à un pouvoir extérieur. Un panier de crabes décide pour le sort de 67 millions d’individus, une poignée d’un millier de personnes pille les richesses et asservit tout un peuple. Quant à leurs maîtres autoproclamés, ils manœuvrent depuis un moment pour instaurer un gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une « hyper-démocratie », sous le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.

Nous reproduisons, ci-dessous, l’intégralité du document :

Qui Gouverne la France ?

Qui vous gouverne ? Des énarques, certes, mais peu savent que tous ou presque sont membres de deux clubs sulfureux, le « Siècle » et la « French American Foundation », deux clubs parmi les plus discrets mais les plus influents de France.  Le Siècle est une filiale du club de BilderbergLa French American Foundation est de son côté une filiale du Council on Foreign Relations, dont le programme 2008-2013 est connu sous le nom de « Nouvel Ordre Mondial ». 

Le Siècle

Le club Le Siècle existe depuis 1945, il a été fondé par un franc-maçon, Georges Bérard-Quelin, mais seulement de 20 à 30% des membres sont actuellement connus comme étant francs-maçons. Il espérait rester anonyme, son existence a été révélée pour la première fois en 1977 par un article de l’Humanité. La liste de ses membres a été publiée contre sa volonté en 2011.

L’adhésion coûte 150€/an. Il y a 15 administrateurs et environ 800 membres, appelés « invités » ce qui leur permet de mentir effrontément en niant leur appartenance au club comme membres à part entière puisqu’ils y sont seulement « invités ». Seulement pour devenir « invité », il faut faire acte de candidature et être recruté par cooptation au sein du conseil d’administration, sur proposition d’un membre (invité) plus l’un des quinze administrateurs.

Le Siècle se réunit une fois par mois, dix fois par an, le dernier mercredi du mois, pour un souper au Crillon place de la Concorde, dans les luxueux salons de l’Automobile Club.

En 2011, un dîner a eu lieu le mercredi 25 avril entre les deux tours de la présidentielle, c’est là qu’il aurait été décidé que la présidence devait passer de Sarkozy à Hollande, ce qui expliquerait la petite phrase de Sarko sur son retour dans le civil et le peu de vitalité manifesté par l’état-major de l’UMP pour le soutenir à partir de ce jour-là.

Plusieurs des membres du Siècle sont, comme Valls et Jospin, également membres du club de Bilderberg. Ce sont ceux-là qui auraient fait passer le message qu’il était nécessaire de pousser Hollande à la présidence, un Hollande plus docile aux suggestions du Bilderberg que Sarkozy, trop « électron libre » et trop proche d’Angela Merkel.

Or, le Bilderberg ne veut pas d’une co-gestion franco-allemande de l’Europe, mais d’une co-gestion américano-européenne de monde occidental. Sur ce point il rejoint l’objectif de la French American Foundation.

Jospin, à la fois membre du Bilderberg et du Siècle, et qui avait déclaré ne plus vouloir faire de politique, fut si présent pendant la campagne présidentielle car il était là pour surveiller que les instructions du directoire du Bilderberg serait bien respectée par tous.

Le Siècle a aussi un objectif plus concret : placer le maximum de ses membres au gouvernement, peu importe qu’ils soient PS ou UMP. C’est la raison pour laquelle Sarkozy qui en est membre avait fait « l’ouverture » avec d’autres membres du club comme Attali.

Vous comprendrez mieux la collusion des énarques de tous bords politiques en voyant la liste des « invités » ci-dessous:

  • Président depuis janvier 2011 : Nicole Notat, l’ancienne syndicaliste CFDT ;
  • Vice-présidents : Olivier Duhamel, journaliste politologue qui écrit dans  Valeurs Actuelles (et le frère d’Alain) et Henry Loirette, président du musée du Louvre ;
  • Trésorier : Marc Tessier, ancien président de France Télévision
  • Secrétaire général : Étienne Lacour, directeur de la rédaction de la Société Générale de Presse.

Quelques « invités », membres du Siècle, sont issus de la finance et des affaires. Presque tous les Inspecteurs généraux des finances (énarques) en activité (114 sur 120 en 2009) appartiennent au Club…

Thierry Breton (ancien ministre des Finances) ; Alain Lamassoure (ancien ministre du Budget) ; Pascal Lamy (ancien inspecteur général des finances, directeur de l’Organisation Mondiale du Commerce) ; Alain Minc (ancien inspecteur général des finances, essayiste, président de SANEF) ; Christian Noyer (ancien directeur du Trésor, Gouverneur de la Banque de France) ; Dominique Strauss-Kahn (ancien directeur général du FMI, ex-Bilderberg) ; Jean-Claude Trichet (ancien directeur du Trésor, ancien Gouverneur de la Banque de France, ancien président de la Banque Centrale Européenne) ; Jacques Attali (conseiller d’État, président de PlaNet Finance) ; Claude Bébéar (ancien président d’AXA, président de l’Institut Montaigne) ; Antoine Bernheim (dirigeant associé de la banque Lazard) ; Daniel Bouton (ancien directeur du Budget, ancien président de la Société Générale) ; Jean-Yves Haberer (ancien PDG du Crédit Lyonnais) ; Michel Pébereau (ancien président de la BNP Paribas) ; Jean Peyrelevade (dirigeant des banques Suez, Stern, Crédit Lyonnais) ; Édouard de Rothschild (banquier et homme d’affaires, Bilderberg) ; Jean-Paul Agon (directeur général de L’Oréal) ; Delphine Arnault (administratrice de sociétés et fille de Bernard Arnault) ; Bernard Bigot (patron du CEA) ; Bernard Boulito (Heinz et Asics) ; Stéphane Courbit ; Serge Dassault ; Étienne Davignon ; Louis Gallois ; Guillaume Pepy ; Antoine Guichard (ancien PDG du Groupe Casino) ; Philippe Jaffré (ELF Aquitaine, Zebank, Alstom) ; Louis Schweitzer (ancien président de Renault, ancien président de la HALDE) (La  liste n’est pas limitative, et ne comporte que les plus connus).

On y compte aussi évidemment bon nombre de journalistes et éditeurs de presse…

Arlette Chabot ; Jean-Marie Colombani (journaliste, ancien président de Le Monde) ; Anne-Marie Couderc (Groupe Hachette Filipacchi Médias) ; Michèle Cotta (journaliste, ancienne directrice de France 2) ; Teresa Cremisi (présidente des éditions Flammarion) ; Alain Duhamel (politologue, chroniqueur à RTL) ; Michel Field (journaliste sur Europe 1) ; Franz-Olivier Giesbert ; Claude Imbert (journaliste au Point) ; Odile Jacob (éditrice) ; Denis Jeambar (ancien directeur des éditions du Seuil) ; Laurent Mouchard-Joffrin (journaliste et directeur de publication du Nouvel Observateur) ; Serge July (ancien PDG de Libération) ; Julien Kouchner (directeur général de l’Agence CAPA) ; Étienne Lacour (secrétaire général du Siècle) ; Maurice Lévy (PDG de Publicis) ; Serge Moati (journaliste sur France 5) ; Denis Olivennes (directeur d’Europe 1) ; Sylvie Pierre-Brossolette ; Bernard Pivot ; Patrick Poivre d’Arvor (journaliste et ancien présentateur télévisé à TF1) ; Alain de Pouzilhac (ancien PDG du groupe Havas) ; David Pujadas (journaliste et présentateur télévisé, France 2) ; Alain-Gérard Slama (journaliste au Figaro et à France Culture) ; Anne Sinclair ; Marc Tessier (ancien président de France Télévisions).

Sans oublier les personnalités politiques…

Martine Aubry PS, Michel Barnier UMP, Jacques Barrot Centriste-UMP, François Bayrou Modem, Éric Besson PS – UMP, Jeannette Bougrab UMP, Hervé de Charette Centriste, Jean-Pierre Chevènement PS, Jean-François Copé UMP, Laurent Fabius PS, Luc Ferry UMP, Aurélie Filipetti PS, François Fillon UMP, Élisabeth Guigou PS, Adeline Hazan PS, Martin Hirsch PS, François Hollande PS, Nicolas Sarkozy UMP, Jean-Paul Huchon PS, Anne-Marie Idrac PS, Lionel Jospin PS et Bilderberg, Alain Juppé UMP, Bernard Kouchner PS, Jack Lang PS, Noëlle Lenoir ?, Corinne Lepage centriste, Charles Millon droite, Pierre Moscovici PS, Jean-Pierre Raffarin UMP, Manuel Valls PS, Jacques Toubon UMP, Michel Vauzelle PS, Henri Weber PS, Hubert Védrine PS, Rama Yade UMP, Marisol Touraine PS, Fadela Amara PS, Rachida Dati UMP, …

Et enfin, la liste ne serait pas complète sans les syndicalistes…

Jean-Christophe Le Duigou (ancien dirigeant de la CGT du corps des finances, puis receveur général des hypothèques) ; Nicole Notat (présidente de Le Siècle, ex-CFDT, puis présidente de Vigeo) ; Laurence Parisot (présidente du MEDEF) ; Ernest-Antoine Seillière (ancien président du MEDEF).

Si vous doutez encore qu’il y ait une formidable collusion entre presse, finance, banques, affaires, syndicats et politiques, lisez et regardez :

Au cœur du pouvoir : enquête sur le club le plus puissant de France Emmanuel Ratier « Les Nouveaux Chiens de garde », film sorti en 2012 de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat dans lequel ils dénoncent le Siècle comme un lieu de collusion entre politiques et journalistes.

Depuis novembre 2010, des moyens considérables de sécurité sont mis à disposition tous les dernier mercredi du mois le soir, sur la place de la Concorde et dans le quartier alentour, sur ordre de Michel Gaudin, préfet de police de Paris, également membre du club afin d’assurer la protection de tous ces joyeux drilles, majoritairement énarques et Sciences Po, qui soupent ensemble et préparent les mauvais coups qu’ils vous destinent tout en faisant semblant de se battre au petit écran et dans la presse.

L’important dans une bande de copains, n’est-il pas de se repasser les bons coups et les affaires juteuses pour que tout le monde y gagne ? Enfin, sauf les cochons de payants.

La French American Foundation (FAF)

La French American Foundation (FAF) a été fondée en 1976 par trois membres du Council on Foreign Relations (CFR) américain et, dans sa version française, conjointement par les présidents Ford et Giscard d’Estaing pour cornaquer les plus éminents des jeunes dirigeants français.

Le Council on Foreign Relations est un think tank (club de réflexion ou « laboratoire d’idées ») non partisan, américain, ayant pour but officiel d’analyser la politique étrangère américaine et la situation politique mondiale.

Le CFR souhaite que ses membres reflètent la diversité de la société américaine et entend développer l’expérience de la génération montante de leaders en proposant des programmes qui incluent des rencontres et des discussions avec les officiels du gouvernement, des leaders mondiaux et des membres éminents de la communauté des affaires étrangères.

Le cœur de son think tank est le David Rockefeller Studies Program, composé d’environ cinquante « adjoints » (pendants des « invités » du Siècle), tant démocrates que républicains. Cette noble assemblée se méfie des partis politiques, qu’elle range en bloc aux côtés des « factions » de tout acabit et considère comme un grave danger pour la République américaine.

Pensant que l’architecture de gouvernance mondiale reflétait trop le monde tel qu’il existait en 1945 et n’était plus adapté au monde actuel, le CFR a lancé en 2008 un programme de cinq ans intitulé « International Institutions and Global Governance, World Order in the 21st Century ». Connu en France sous le nom « Nouvel Ordre Mondial ».

Le programme du CFR se focalise sur quatre grands défis :

  • Contrer les menaces transnationales parmi lesquelles le terrorisme,
  • Promouvoir la sécurité énergétique,
  • Gérer l’économie mondiale,
  • Prévenir et répondre à des conflits violents.

Quand on parle de la French American Foundation, filiale du CFR, évoquer le principe d’un « club cultivant l’amitié entre les peuples américain et français » comme le prétendent ses statuts est une aimable plaisanterie.

À la lecture des noms composant le groupe des généreux donateurs et dirigeants, on peut se dire que des raisons bien matérielles et idéologiques doivent agiter les esprits de la FAF.

Franck Carlucci

En effet sans tous les nommer, on y trouve Franck Carlucci du groupe Carlyle ; David Rockfeller, ancien président du CFR et fondateur de la Trilatérale ou encore Ernest-Antoine Sellière, ancien président du patronat français et européen et président du groupe de Wendel.

À ce niveau, la philanthropie n’existe pas.

L’objectif de la FAF est d’intégrer des personnes appartenant à l’élite politique, économique, militaire et journalistique afin de véritablement quadriller le terrain.

C’est le professeur de science politique et membre du CFR, Ezra Suleiman, qui fut pendant des années le seul habilité à accepter les recrues françaises de la FAF désignées par le terme de « Young Leaders ».

« Depuis son lancement (en France) en 1981, le programme des Young Leaders aspire à sélectionner chaque année les candidats français susceptibles d’occuper des postes à haute responsabilité ».

Côté américain, nous pouvons relever le président Bill Clinton ; Hillary Clinton ministre des Affaires étrangères d’Obama et l’ex-patron de l’OTAN en Europe, le général Wesley Clark. Côté français, nous trouvons de nombreux journalistes comme Christine Ockrent, JeanMarie Colombani (Le Monde), Emmanuel Chain, Jérôme Clément (président d’ARTE) ; mais aussi de nombreux élus socialistes, François Hollande, Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, etc. ; et de l’UMP, Alain Juppé, Valérie Pécresse, Jacques Toubon, Éric Raoult, etc. et aussi Nicolas Dupont-Aignan. 

L’énarchie française s’est ralliée depuis longtemps au dogme du mondialisme.

Cependant, il est utile pour le système de maintenir une opposition artificielle entre UMP et PS alors qu’en fait, nous vivons dans le régime du parti unique.

En jouant l’alternance droite-gauche, on fait croire au peuple qu’il y a une autre politique possible.

En fait, les dirigeants énarques de l’UMP et du PS mènent le pays vers la même direction : l’intégration à un bloc euro-atlantique, à direction unique.

Pourquoi pas, si cela se traduisait par une gouvernance vraiment efficace et l’amélioration des conditions de vie de la population dans la liberté, notamment celle de penser ?

L’ennui, c’est que ce n’est pas le cas, on va plutôt vers Le meilleur des mondes ou 1984 de Orwell.

Le cas de Nicolas Dupont-Aignan est intéressant. Officiellement, il défend avec passion la souveraineté française mâtinée de gaullisme. En fait, c’est un leurre. Son appartenance à la FAF, depuis 2001, le prouve. Si Dupont-Aignan a été accepté au sein de la French American Foundation, cela signifie qu’il a dû présenter obligatoirement des gages prouvant sa bonne foi. On ne trompe pas facilement les élites mondialistes de la FAF. Ce politicien est utile au système parce qu’il est un dérivatif.

Nicolas Dupont-Aignan

Dans le cas de Dupont-Aignan, il s’agit de contrôler un mouvement en faveur de la cause nationale, défendue par le FN, pour ensuite arrondir les angles et empêcher que les « patriotes » puissent diffuser de véritables informations sur les origines du mondialisme. « Quand on ne peut pas arrêter une tendance, en particulier la rébellion de nombreux Français en faveur du retour à la souveraineté, il est préférable d’accompagner le mouvement pour l’étouffer par la suite. C’est la mission de NDA. Ce dernier ne doit pas jouer la comédie de l’homme qui n’est pas au courant des objectifs de la French American Foundation compte tenu des conditions de sélection pour y adhérer. Quand on fait partie de la FAF dont le but ultime est de réaliser un bloc euro-atlantique complet, on ne peut pas en même temps être gaulliste et se présenter comme un ardent défenseur d’une France souveraine. Dans le cadre de la course à la présidentielle NDA a mobilisé des espoirs pour récolter cinq cents signatures. Comme par hasard, il a ensuite échoué au grand dam des Français fidèles à la cause gaulliste. N’est-ce pas là un bon exemple de stérilisation des bonnes énergies ?

C’est le cas de François Hollande, le patron du PS. Il suffit aussi de voir la longue liste des politiques membres du Parti socialiste et de l’UMP appartenant à la FAF. Peu importe l’équipe au pouvoir, la FAF aura ses hommes et ses femmes au pouvoir en France au service de l’Atlantisme. Il ne faut pas oublier aussi la présence de nombreux membres de la FAF au sein des grandes entreprises et du milieu journalistique. D’une certaine manière, tout est verrouillé » ~ Pierre Hilliard, Revue-républicaine.fr

Sur les huit socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, six sont dans son gouvernement. François Hollande et Pierre Moscovici sont FAF depuis 1996, Marisol Touraine et Aquilino Morelle depuis 1998, Arnaud Montebourg depuis 2000 et Najat Vallaud-Belkacem depuis 2006, sont tous des « Young Leaders ».

Tous ont été minutieusement sélectionnés et « formés » par ce très élitiste réseau, une forme de secte politique inconnue du grand public, sponsorisée entre autres, et ce n’est pas par hasard, par la banque franco-américaine Lazard dont le directeur est le très socialiste Mathieu Pigasse qui leur ouvre des comptes protégés à Lazard Frères Gestion à Genève.

En d’autres termes, ils ont tous postulé et se sont fait parrainer pour être admis à suivre le programme phare mis en place par la FAF, la French American Fondation.

La FAF est elle-même un organisme à cheval sur Paris et New York. À noter qu’entre 1997 et 2001, c’est John Negroponte qui présida la FAF, avant de devenir entre 2005 et 2007, sous Georges Bush, le premier directeur coordonnant tous les services secrets américains (Direction of National Intelligence), et dirigeant l’US States Intelligence Community qui regroupe une quinzaine de membres, dont le FBI et la CIA.

Un président et cinq ministres en France : beau tir groupé, comme s’en enorgueillit à juste titre le site américain de la FAF : « La French American Foundation est fière de compter cinq Young Leader dans le cabinet du président François Hollande, lui-même Young Leader en 1996 », tandis que son site français n’en dit pas un mot. C’est beau la discrétion, la transparence et la morale républicaine !

« Pourquoi est-ce que les journalistes ne nous parlent pas de ça, à propos de François Hollande, au lieu de nous parler de son séjour d’étudiant et de son goût pour les cheeseburgers dont on n’a rien à faire ? ».

Qu’ils demandent donc la réponse aux journalistes qui ont l’art de nous servir ces hamburgers, préparés par les communicants, en prenant leurs lecteurs pour des cornichons !

Qu’ils la demandent en particulier aux Young Leaders des médias, aujourd’hui actionnaires ou directeurs des principales rédactions, ces copains de promo de certains de nos nouveaux ministres pour certains d’entre eux : de Laurent Mouchard-Joffrin (Nouvel Observateur) à Denis Olivennes (Europe 1Paris Match et JDD), en passant par Matthieu Pigasse (Banque Lazard et Inrockuptibles), Louis Dreyfus et Erik Izraelewicz (Le Monde) … Et la liste des hommes de médias Young Leaders est longue, comme on peut la lire plus intégralement dans l’enquête « Ils ont acheté la presse ». (Benjamin Dormann, cité par Atlantico).

À New York, la venue de François Hollande et de sa nouvelle équipe était attendue sereinement. Vu de la FAF, « Welcome à la Hollande team » ; on reste en terrain connu, tout est sous contrôle, on est même fier d’avoir autant de ses poulains dans la place, nous l’avons vu.




Demain, ça va chauffer !

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous ! Ça y est, c’est parti ! C’est la nouvelle émission de la TV qui s’appelle « Onde de choc » et qui me permettra donc tous les soirs d’avoir un invité d’exception. Exception, en tout cas dans ce qu’il a à dire et par le courage surtout de témoigner. Vous découvrirez ainsi mes invités en intimité et sous un angle différent.

Nous vous présenterons la grille des programmes de la TV et de la radio. Ce sera demain soir en direct, à l’occasion d’une soirée en public exceptionnelle qui débutera vers 21h15, en direct sur www.launetv.com avec un plateau royal: le docteur Astrid Stuckelberger, Jean-Dominique Michel, Francis Lalanne et d’autres invités vedettes dont je te tais le nom pour l’instant. Merci pour votre fidélité. Merci d’être là, toujours présent. Même au milieu de toutes ces critiques, je vous sais présent du fond du cœur.

Un grand merci et à demain soir.

Ricardo






Vaccination ados: quand le marketing sanitaire manipule le consentement des jeunes avec des récompenses…

[Source : Enfance et libertés (enfance-libertes.fr)]

Une véritable dynamique de surenchère est à l’œuvre pour extorquer le consentement vaccinal des adolescents.

Ces campagnes, qui offrent une récompense “en échange” de la vaccination, sont tantôt impulsées par les municipalités, tantôt pour les préfectures.

Sont-elles le fruit des convictions personnelles de certains élus et fonctionnaires ? Peut-être aussi le reflet de leurs peurs, ou d’un zèle excessif à vouloir être “bon élève” et satisfaire les objectifs de vaccination fixés par le gouvernement ?

Quelles que soient ces motivations, ces pratiques ne sont pas dignes d’une société démocratique qui se targue de pratiquer le consentement éclairé.




Bill Gates et le hold-up vaccinal

[Source : mercola.com]

Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand discute du livre de Judy K. Brown, « Perversion of Justice : The Jeffrey Epstein Story » [Perversion de la justice : L’histoire de Jeffrey Epstein], qui détaille la conspiration du silence entourant le plus grand pédophile présumé et magnat du trafic sexuel de notre époque, Jeffrey Epstein.

Le refus des médias de creuser l’histoire d’Epstein, dit Brand, suggère que les médias font partie d’un establishment corrompu qui protège les riches et les puissants, quoi qu’il arrive. Une personne riche et puissante qui bénéficie de la protection des médias traditionnels est Bill Gates.

Gates et Epstein

Brand cite un article du Daily Beast1, selon lequel Gates a eu des dizaines de réunions avec Epstein rien qu’entre 2011 et 2014, généralement au domicile d’Epstein à Manhattan. Lorsque la nouvelle de la relation de Gates avec Epstein a émergé en 2019, Melinda Gates aurait contacté un avocat spécialisé dans le divorce.

Selon The Daily Beast, Gates « a encouragé Epstein à réhabiliter son image dans les médias. » Si cela est vrai, cela suggère que Gates pourrait en effet avoir été plus proche d’Epstein qu’il ne l’a laissé entendre. Une source anonyme qui prétend avoir été présente à plusieurs des réunions a déclaré que les deux étaient « très proches ».

Le Daily Beast affirme également que « des personnes au courant de l’affaire ont déclaré que Gates trouvait la liberté dans le repaire d’Epstein, où il rencontrait un groupe tournant de noms importants et discutait de problèmes mondiaux entre des séries de blagues et de ragots — une atmosphère de ‘club d’hommes’ qui irritait Melinda ».

Lors d’un entretien avec Anderson Cooper, présentateur de CNN, Gates a expliqué que sa relation avec le célèbre trafiquant sexuel de mineurs n’était rien d’autre qu’une tentative naïve d’obtenir des fonds pour ses efforts en matière de santé publique.

Si l’on considère que l’intérêt d’Epstein pour la santé publique semble avoir été une obsession pour l’idée de créer sa propre race de super humains en faisant accoucher ses bébés par des esclaves sexuelles2, cette excuse semble au mieux fragile. Epstein a également fait des dons à la Worldwide Transhumanist Association3.

Gates essaie maintenant de sortir de l’ombre d’Epstein, qualifiant leurs rencontres d’« erreur ». Cependant, Brand a peut-être raison lorsqu’il affirme que l’histoire de la relation entre Gates et Epstein met réellement en évidence l’importance de conserver notre autonomie et de ne pas suivre aveuglément les personnes qui prétendent être supérieures à nous.
Gates est aussi imparfait que n’importe qui d’autre, et peut-être même plus, car la richesse et le pouvoir engendrent la corruption et permettent aux gens de poursuivre des intérêts qui ne seraient pas ou ne pourraient pas être poursuivis à moins d’avoir l’argent et l’influence nécessaires pour garantir le secret.

Gates finance des organismes de santé publique britanniques et américains

Si nous avons appris quelque chose au cours de l’année et demie écoulée, c’est que la corruption est endémique dans nos agences de santé publique et nos organisations médicales. Comme le rapporte Armstrong Economics, la Fondation Bill & Melinda Gates finance — et exerce donc une influence considérable sur — les organismes de santé publique aux États-Unis et au Royaume-Uni :4

« La [Food and Drug Administration américaine] a donné son plein accord aux vaccins de Gates parce qu’elle a subi d’énormes pressions politiques pour le faire. Même CNBC a rapporté que « les responsables fédéraux de la santé avaient subi une pression croissante de la part de la communauté scientifique et des groupes de défense pour approuver pleinement le vaccin de Pfizer et BioNTech… ».

Pendant ce temps, à Londres, une enquête a révélé que la Fondation Bill et Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé, tout comme elle l’est de la FDA aux États-Unis.

La SEC n’a absolument RIEN fait au sujet des informations privilégiées puisque Gates est également un actionnaire MAJEUR de Pfizer / BioNTech mRNA. Des organisations médicales fiables s’opposent à ces vaccins malgré l’approbation de deux organismes de réglementation qui reçoivent de l’argent de Gates, ce qui ne fait qu’introduire des conflits d’intérêts et une corruption potentielle…

La FDA n’a JAMAIS approuvé un type de médicament complètement nouveau en moins d’un an, ce qui soulève de sérieuses questions sur la corruption. Le délai moyen pour obtenir une approbation de la FDA est de 12 ans ! »

L’enquête londonienne à laquelle ils font référence a été publiée dans The Daily Expose le 20 août 2021.5 La MHRA, la version britannique de la FDA américaine, reçoit en fait la majeure partie de son financement de la Fondation Gates, selon l’enquête.

Le 4 juin 2021, la MHRA a étendu son autorisation d’utilisation d’urgence de la piqûre de Pfizer aux enfants âgés de 12 à 15 ans, malgré les risques connus d’inflammation cardiaque. Le Daily Expose écrit :6

« À l’époque, la directrice générale de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données des essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque. »

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de cette étude extrêmement courte et réduite.7 S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants participant à l’étude ont souffert d’un effet indésirable allant de léger à extrêmement grave.8

Seuls 1 127 enfants ont pris part à l’essai, mais seuls 1 097 enfants ont terminé l’essai, 30 d’entre eux n’ayant pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats ne précisent pas pourquoi ces 30 enfants n’ont pas terminé l’essai… Peut-on vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui détient également des parts dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas. »

Gates est lourdement investi dans les entreprises pharmaceutiques

La Fondation Gates possède également des « parts importantes » dans Pfizer et BioNTech, qui ont développé conjointement une injection de COVID qui, le 23 août 2021, a été pleinement approuvée9 par la FDA pour être utilisée chez les personnes âgées de 16 ans et plus.

La Fondation Gates a commencé à orienter ses investissements vers les produits pharmaceutiques en 2002. Cette année-là, Gates a investi 205 millions de dollars dans neuf grandes entreprises pharmaceutiques, dont Pfizer et Johnson & Johnson. « La décision de prendre des participations dans des entreprises individuelles semble être un changement de stratégie et, pour la première fois, aligne les intérêts de l’organisation caritative sur ceux des entreprises pharmaceutiques », rapportait le Guardian à l’époque10.

Selon The Motley Fool11, Gates a initialement investi dans Pfizer « avec l’intention déclarée d’élargir l’accès au contraceptif injectable tout-en-un de la société pharmaceutique ». Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, Gates a prédit très tôt que Pfizer serait le premier à obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence.

La Fondation Gates ne s’est pas emparée des actions de BioNTech avant septembre 2019, soit trois mois seulement avant l’apparition de la pandémie de COVID, lorsqu’elle a acheté pour 55 millions de dollars d’actions.

Les prévisions financées par la Fondation Gates ont conduit à la condamnation à mort des maisons de retraite

La Fondation Gates a également versé des centaines de millions de dollars à l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui était responsable de la modélisation imprécise qui a conduit plusieurs gouverneurs à « condamner à mort les maisons de retraite ». La Strategic Culture Foundation écrit :12

« Ça chauffe enfin pour le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, à cause de ses politiques de réponse au coronavirus bâclées et criminellement négligentes, pourtant personne ne semble se demander pourquoi Cuomo et certains gouverneurs ont pris les décisions fatidiques qui ont conduit à la surmortalité…

En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les « experts » en modélisation de l’IHME, financé par Gates, que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement envahis par des patients atteints de coronavirus.

Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif amènerait les hôpitaux à manquer d’équipements de survie en quelques jours, et non en quelques semaines ou mois. Le temps était compté, et il était temps de prendre des décisions rapides, ont affirmé les modélisateurs. Lors de deux conférences de presse distinctes, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle de l’IHME ».

Dans l’une de ces conférences de presse, Cuomo a remercié la Fondation Gates « pour le service national qu’elle a rendu ». Le département de la santé de Pennsylvanie a également utilisé les modèles de l’IHME pour orienter sa réponse. Même des bureaucrates fédéraux comme le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, qui ont tous deux des liens personnels avec Gates, se sont appuyés sur les prévisions de l’IHME pour justifier les fermetures d’établissements, les fermetures d’entreprises et les couvre-feux.

En fin de compte, les modèles de l’IHME n’ont pas fonctionné. Ils n’étaient même pas proches [de la réalité]. « Par exemple, l’IHME a utilisé un taux de mortalité de plus de 3 % alors que le chiffre réel provenant de COVID-19 n’est que d’environ 0,1 % », écrit la Strategic Culture Foundation, qui ajoute13 :

« La responsabilité incombe effectivement aux dirigeants élus qui ont pris les décisions fatidiques d’envoyer les patients malades du COVID dans des maisons de retraite, de verrouiller leurs États et de masquer leurs citoyens à perpétuité, mais ce n’est que la moitié de l’histoire.

Les mauvaises données qu’ils ont utilisées proviennent presque exclusivement du réseau Gates, qui s’est livré à un trafic de pseudo-science et a fait preuve d’une incompétence totale et de prévisions imprudentes depuis le début de l’année dernière. »

Il n’est pas surprenant que Gates soit resté muet sur les échecs flagrants de l’IHME. Comme le note la Strategic Culture Foundation14, il s’est « parfaitement lavé les mains de la manie COVID et est passé à l’exigence que le monde occidental se sacrifie au nom de la dernière « crise » qu’est le changement climatique. »

COVID-19 – Une rampe de lancement pour la grande réinitialisation

Bien sûr, les plans « verts » de Gates vont également accroître sa propre richesse, tout comme la pandémie de COVID l’a fait. En effet, la soi-disant « crise du changement climatique » n’est rien d’autre qu’un autre outil pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation, qui modifiera à jamais le visage de la société et du commerce, en transférant pratiquement toutes les richesses et la propriété à quelques technocrates au sommet, laissant les gens ordinaires sans richesse ni liberté.

Compte tenu de la position de Gates au sein de l’élite technocratique, il n’est pas surprenant que ses empreintes digitales se retrouvent sur toutes les pièces nécessaires de cette partie d’échecs mondiale. Comme vous vous en souvenez peut-être, la Fondation Gates a coparrainé la simulation de préparation à la pandémie d’un « nouveau coronavirus », connue sous le nom d’événement 201, en octobre 2019, avec le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security.

L’événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer à peine 10 semaines plus tard, lorsque le COVID-19 est apparu. La Fondation Gates et le Forum économique mondial sont également associés15 aux Nations unies qui, tout en gardant un profil relativement bas, semblent être au cœur du programme de prise de contrôle mondialiste.

« Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre de l’agenda de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. »

Le Forum économique mondial, bien qu’il s’agisse d’une organisation privée, fonctionne comme la branche économique et sociale de l’ONU et constitue une force motrice essentielle de la technocratie moderne et du programme de la Grande Réinitialisation. Son fondateur et président, Klaus Schwab, a déclaré publiquement la nécessité d’une « réinitialisation » mondiale pour rétablir l’ordre en juin 202016.

La règle technocratique, qui est ce que la Grande Réinitialisation apportera, s’articule autour de l’utilisation de la technologie — en particulier l’intelligence artificielle, la surveillance numérique et la collecte de Big Data (ce à quoi sert la 5G) — et la numérisation de l’industrie, de la banque et du gouvernement, qui permet à son tour l’automatisation de l’ingénierie sociale et de la règle sociale (bien que cette partie ne soit jamais expressément énoncée).

Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre du programme de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. La Grande Réinitialisation, parfois appelée le plan « reconstruire en mieux », appelle spécifiquement toutes les nations à mettre en œuvre des réglementations « vertes » et des « objectifs de développement durable  »17,18 dans le cadre de l’effort de redressement post-COVID.

Mais l’objectif final est loin de ce que la personne typique envisage lorsqu’elle entend ces plans. L’objectif final est de nous transformer en serfs sans droit à la vie privée, à la propriété privée ou à quoi que ce soit d’autre. En bref, la pandémie est utilisée pour détruire les économies locales dans le monde entier, ce qui permettra ensuite au Forum économique mondial d’intervenir et de « sauver » les pays criblés de dettes. Le prix de ce sauvetage est votre liberté.

La grande réinitialisation

La Grande Réinitialisation n’est pas une théorie de la conspiration, mais un programme rendu public qui va de l’avant, que nous le voulions ou non.

De nombreux dirigeants mondiaux en ont parlé à titre officiel, et en juin 2020, Zia Khan, vice-président senior de l’innovation à la Fondation Rockefeller, a rédigé l’article19 « Rebuilding Toward the Great Reset : Crisis, COVID-19, and the Sustainable Development Goals » [Reconstruire en vue de la Grande Réinitialisation : Crise, COVID-19, et les objectifs de développement durable], qui passe en revue la « crise sociale » nécessitant l’acceptation par le monde d’un Nouvel Ordre Mondial.

L’article a été co-écrit avec John McArthur, membre senior du Brookings Institute, qui est l’un des nombreux groupes de réflexion technocratiques. En gardant à l’esprit ce que je viens de dire sur ce qu’est réellement la Grande Réinitialisation, et les justifications utilisées pour mettre en œuvre le vol des richesses et de la liberté, lisez comment ils présentent ces changements comme étant dans votre meilleur intérêt :

« Le bouleversement peut apporter une nouvelle compréhension et de nouvelles opportunités. Les normes désuètes ou injustes peuvent succomber au besoin pressant de la société pour de meilleures approches. Par exemple, la nécessité d’une intervention gouvernementale massive et urgente a attiré une attention nouvelle sur les filets de sécurité sociale et sur la possibilité d’améliorer considérablement les politiques.

Les conséquences tragiques de la discrimination raciale ont catapulté la prise de conscience des problèmes systémiques et déclenché des perspectives de réformes sociales indispensables. Les améliorations rapides de l’environnement liées à la fermeture de l’économie ont ravivé la conscience des interconnexions profondes entre les écosystèmes, les économies et les sociétés …

Plutôt que de laisser passivement les normes évoluer par inertie ou par hasard, nous pouvons tous mener des actions pour la Réponse et, bientôt, la Récupération d’une manière qui améliore les chances d’une Réinitialisation vers de meilleurs résultats à long terme.

Heureusement, nous avons déjà un point de départ solide pour ce que devraient être les résultats économiques, sociaux et environnementaux du monde. Il y a cinq ans, en 2015, les 193 États membres de l’ONU se sont mis d’accord sur les Objectifs de développement durable (ODD) comme un ensemble commun de priorités à atteindre dans tous les pays d’ici 2030. »

Je crois que la seule façon de l’arrêter est de réagir collectivement aux différents morceaux et parties du plan qui sont déployés. Ils veulent vous faire croire qu’aucune des choses introduites n’a de rapport avec les autres, mais en fait, ce sont toutes des pièces du même puzzle.

Ce serait une erreur tragique de faire confiance à Gates ou à l’un des autres acteurs qui nous sont présentés comme les sauveurs du jour. Ce sont tous des loups déguisés en moutons. La grande réinitialisation est à notre porte, et votre liberté, ainsi que celle des générations futures, dépend de votre combat pour la conserver20.

Notre meilleure chance est de nous impliquer dans la gouvernance locale, qu’il s’agisse de la commission scolaire de votre enfant ou du gouvernement local, et de nous engager dans une désobéissance civile pacifique.

Gates peut être présenté comme un génie omniscient dont la mission est de nous garder en bonne santé et en sécurité, mais ses activités sont incompatibles et ne correspondent pas à son personnage soigneusement fabriqué. À maintes reprises, Gates a exercé son influence dans des affaires où des mensonges ont été proférés et où la santé publique et les droits de l’homme ont été décimés pour le profit.

 Sources et références




DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




L’Histoire et l’hypothèse de la résurrection du Christ

[Source : y-jesus.org]

Jésus est-il ressuscité ?

Nous nous demandons tous ce qui doit nous arriver après la mort. Quand un proche meurt, nous désirons ardemment le (ou la) revoir quand ce sera notre tour. Serons-nous glorieusement réunis avec ceux que nous aimons, ou bien la mort est-elle la fin de tout ?

Jésus a enseigné que la vie ne s’achève pas à la mort de notre corps.  Il a fait cette déclaration stupéfiante :

” Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. ” Selon les témoins oculaires les plus proches de Jésus, il démontra alors sa puissance sur la mort en se relevant des morts après avoir été crucifié et enterré pendant trois jours. C’est cette croyance qui procure l’espérance aux Chrétiens depuis près de 2000 ans.

Mais certains ne partagent pas cet espoir de vie après la mort. Bertrand Russell, le philosophe athée, a écrit :

” Je crois que quand je mourrai, je pourrirai et rien de mon ego ne survivra. ” [1] Il est évident que Russell n’a pas cru les paroles de Jésus.

Les fidèles de Jésus ont écrit qu’il leur apparut vivant après sa crucifixion et son enterrement. Ils ont prétendu non seulement l’avoir vu, mais aussi avoir mangé avec lui, l’avoir touché, et avoir passé 40 jours avec lui.

Alors, est-ce que ceci pourrait être seulement une histoire qui s’est élaborée au fil du temps, ou est-ce basé sur une preuve solide ? La réponse à cette question est fondamentale au christianisme. Car si Jésus s’est relevé d’entre les morts, cela confirme la validité de tout ce qu’il a dit à son propre sujet, sur la signification de la vie, et sur notre destin après la mort.

Si Jésus s’est effectivement relevé d’entre les morts, alors lui seul possède les réponses concernant le but de la vie et ce qui nous attend après la mort. Par contre, si le récit de la résurrection est faux, alors le christianisme est fondé sur un mensonge. Le théologien R. C. Sproul l’exprime ainsi :

” La revendication de la résurrection est vitale au christianisme. Si Christ a été relevé des morts par Dieu, alors Il possède les qualifications et le titre qu’aucun autre chef religieux ne possède. Bouddha est mort. Mohammed est mort. Moïse est mort. Confucius est mort. Mais, selon le…christianisme, Christ est vivant. ” [2]

De nombreux sceptiques ont tenté de réfuter la résurrection. Josh McDowell était l’un de ces sceptiques, ayant consacré plus de sept cents heures d’étude sur les preuves de la résurrection. McDowell a déclaré ce qui suit sur l’importance de la résurrection :

” J’en ai conclus que la résurrection de Jésus Christ est le canular le plus méchant, vicieux, cruel jamais imposé au cœur de l’homme, OU BIEN c’est le fait le plus fantastique de toute l’histoire. ” [3]

Alors, la résurrection de Jésus est-elle un fait fantastique ou un mythe vicieux ? Pour le découvrir, nous devons examiner les preuves historiques et en tirer nos propres conclusions. Voyons ce que les sceptiques qui ont fait des recherches sur la résurrection ont eux-mêmes trouvé.

 Les cyniques et les sceptiques

Tous ne s’entendent pas pour examiner les preuves de façon objective. Bertrand Russell reconnaît que son opinion sur Jésus ” ne se préoccupe pas ” des faits historiques.[4] L’historien Joseph Campbell a déclaré calmement à son audience de la chaîne de télévision PBS, et sans citer de preuve, que la résurrection de Jésus n’était pas un événement factuel.[5] D’autres intellectuels, tels que John Dominic Crossan du Jesus Seminar, sont d’accord avec lui.[6] Aucun de ces sceptiques ne présente la moindre preuve pour défendre leur point de vue.

Les vrais sceptiques, contrairement aux cyniques, s’intéressent aux preuves. Dans un éditorial du magazine Skeptic, intitulé ” Qu’est-ce qu’un sceptique ? “, la définition suivante est donnée :

” Le scepticisme est… l’application de la raison à toute idée—aucune vache sacrée n’est admise. En d’autres mots… les sceptiques ne s’engagent pas dans une enquête avec l’esprit fermé à la possibilité qu’un phénomène puisse être réel ou qu’une revendication puisse être correcte. Quand nous disons que nous sommes ” sceptiques “, nous voulons dire que nous avons besoin de voir des preuves convaincantes avant de croire. ” [7]

A la différence de Russell et Crossan, beaucoup de vrais sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection de Jésus. Dans cet article, nous entendrons l’opinion de certains d’entre eux et nous verrons comment ils ont analysé les preuves de ce qui est peut-être la question la plus importante de l’histoire du genre humain : Jésus est-il vraiment ressuscité des morts ?

Il prophétise à son propre sujet

En avance de sa mort, Jésus dit à ses disciples qu’il allait être trahi, arrêté et crucifié, et qu’il reviendrait à la vie trois jours plus tard. C’était un drôle de plan !  Que se cachait-il là-derrière ? Jésus n’était pas un artiste de spectacle qui se produisait sur demande devant le monde ; mais plutôt, il promettait que sa mort et sa résurrection prouveraient au monde (si leur esprit et leur cœur étaient réceptifs) qu’il était en fait le Messie.

Wilbur Smith, un étudiant de la Bible, a fait la remarque suivante sur Jésus :

” Quand il a déclaré qu’il se relèverait lui-même d’entre les morts, le troisième jour après sa crucifixion, il dit quelque chose que seul un fou aurait osé avancer en s’attendant toujours à la fidélité de quiconque parmi ses disciples—à moins qu’il ne fût certain de se relever. Aucun fondateur d’une religion du monde connue par l’homme  n’a jamais osé déclarer une chose pareille. ” [8]

En d’autres mots, puisque Jésus avait clairement expliqué à ses disciples qu’il se relèverait après sa mort, son échec à le faire l’aurait exposé comme un menteur. Mais nous nous devançons. Comment Jésus est-il mort avant de se relever (s’il l’a fait) ?

Une mort atroce et ensuite. . . ?

Vous savez à quoi les dernières heures de la vie terrestre de Jésus ont ressemblé si vous avez regardé le film du guerrier de route/Brave Heart (Cœur vaillant), Mel Gibson. Si vous avez raté des passages de La passion de Christ parce que vous vous cachiez les yeux (il aurait été plus simple de tourner le film avec un filtre rouge sur la caméra), consultez les dernières pages des Évangiles dans votre Nouveau Testament pour voir ce que vous avez raté.

Comme Jésus l’avait prédit, il fut trahi par l’un de ses disciples, Judas Iscariote, et il fut arrêté. Lors d’un faux procès auquel présidait le gouverneur romain, Ponce Pilate, il fut accusé de trahison et condamné à mourir sur une croix en bois. Avant d’être cloué sur la croix, Jésus fut brutalement battu au moyen d’un chat à neuf queues romain, un fouet à neuf lanières dont les extrémités étaient nouées avec des morceaux d’os et de métal qui accrochaient la chair pour la déchirer. Il reçut des coups de poing répétés, des coups de pied et on lui cracha dessus.

Ensuite, à l’aide de maillets, les bourreaux romains enfoncèrent les gros clous de fer forgé dans les poignets et les pieds de Jésus. Finalement, ils plantèrent la croix dans un trou au sol entre deux autres croix sur lesquelles étaient cloués des bandits.

Jésus pendit de cette croix pendant environ six heures. Puis, à trois heures de l’après-midi—c’est-à-dire à l’instant même où l’agneau de Pâque était sacrifié en offrande expiatoire des péchés (il y a un peu de symbolisme ici, non ?)—Jésus s’écria (en araméen) :

” Tout est accompli “, puis il mourut. Soudain, le ciel devint sombre et un tremblement de terre secoua la terre. [9]

Pilate voulait vérifier que Jésus était mort avant de d’autoriser la mise en tombe de son corps crucifié. Donc un garde romain plongea une lance dans le côté de Jésus. Le mélange de sang et d’eau qui s’échappa fut une indication nette que Jésus était mort. Le corps de Jésus fut alors descendu de la croix et placé dans la tombe de Joseph d’Arimathée. Les gardes romains scellèrent alors la tombe et y postèrent une garde de 24 heures.

Pendant ce temps, les disciples de Jésus étaient en état de choc. Dr. J. P. Moreland explique à quel point ils étaient frappés et confus après la mort de Jésus sur la croix.

” Ils ne croyaient plus fermement que Jésus avait été envoyé par Dieu. Ils avaient appris, par ailleurs, que Dieu ne permettrait pas que son Messie souffre la mort. Alors ils se dispersèrent. Le Mouvement Jésus en arrivait pratiquement à une fin brutale. ” [10]

Tout espoir s’était évanoui. Rome et les chefs juifs avaient gagné—ou, du moins, c’est ce qu’il semblait.

Quelque chose se produisit

Mais ce n’était pas la fin. Le Mouvement Jésus ne disparut pas (à l’évidence) et, en fait, le christianisme existe aujourd’hui comme la plus grande religion du monde. Donc, nous devons savoir ce qui s’est produit après que le corps de Jésus a été descendu de la croix et placé dans la tombe.

Dans un article du New York Times, Peter Steinfels cite les événements stupéfiants qui eurent lieu trois jours après la mort de Jésus : ” Peu après l’exécution de Jésus, ses fidèles furent soudain galvanisés d’un groupe déconcerté et tremblant en ceux dont le message concernant un Jésus vivant et un royaume approchant, prêché au risque de leur vie, parvint à changer un empire. Quelque chose s’était produit. … Mais quoi exactement? ” [11] C’est la question à laquelle nous devons répondre par un examen des faits.

Il n’existe que cinq explications plausibles pour la résurrection supposée de Jésus, telle qu’elle est présentée dans le Nouveau Testament :

1. Jésus n’est pas vraiment mort sur la croix.

2. La ” résurrection ”  était un complot.

3. Les disciples hallucinaient.

4. Le récit est une légende.

5. Cela s’est vraiment produit.

Considérons chacune de ces options et voyons laquelle correspond le mieux aux faits.

Jésus était-il mort?

” Marley était mort, pour commencer. Là-dessus, pas l’ombre d’un doute. ” C’est ainsi que Charles Dickens entame son conte Un chant de Noël, car l’auteur veut que personne ne se méprenne sur le caractère surnaturel de ce qu’il va se passer. De la même manière, avant de jouer le rôle des Experts CSI et de recueillir les preuves d’une résurrection, nous devons premièrement déterminer qu’il y a bien eu un cadavre. Après tout, on voit occasionnellement un article de journal racontant comment un ” cadavre ” quelconque dans une morgue s’est mis à bouger et s’est rétabli. Est-ce qu’un cas du même type pourrait s’être produit avec Jésus ?

Certains ont avancé que Jésus aurait survécu la crucifixion et serait revenu à lui-même dans l’air frais et humide de la tombe – ” Eh bien, pendant combien de temps j’ai été dans les pommes ? ” Mais cette hypothèse ne semble pas correspondre à l’évidence médicale. Un article figurant dans le Journal of the American Medical Association (Journal de l’Association médicale américaine) explique pourquoi cette hypothèse du soi-disant ” comma ” n’est pas défendable :

” Il est clair que le plus gros de la preuve historique et médicale indique que Jésus était mort. …La lance, enfoncée entre ses côtes droites, perfora probablement, non seulement le poumon droit, mais aussi le péricarde et le cœur et, par conséquent, garantit sa mort. ” [12]

Mais le scepticisme de ce verdict pourrait bien être fondé, car cette affaire date d’il y a 2000 ans. Nous devons, au moins, nous procurer une seconde opinion.

Nous allons trouver cette autre opinion dans les rapports des historiens non-chrétiens de l’époque à laquelle Jésus a vécu. Trois de ces historiens mentionnent la mort de Jésus.

  • Lucien (env.120 à après 180 A.D.) a fait allusion à Jésus comme un sophiste (philosophe) crucifié.[13]
  • Josèphe (env.37 à env.100 A.D.) a écrit : ” En ce temps-là paraît Jésus, un homme sage ; c’était un faiseur de prodiges […]. Et quand Pilate, sur la dénonciation des premiers parmi nous le condamna à la croix, ceux qui l’avaient aimé précédemment ne cessèrent pas. ” [14]
  • Tacite (env. 56 à env.120 A.D.) a écrit : ” Le nom de Chrétiens leur vient du nom de Christ, qui fut condamné sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate. ” [15]

C’est un peu comme si nous allions à la bibliothèque nationale et que nous découvrions qu’un matin de printemps au premier siècle, le Jerusalem Post avait publié en première page un article disant que Jésus était crucifié et mort. Ce n’est pas mal pour un travail de détective, et c’est plutôt concluant.

En réalité, il n’existe aucun rapport historique, émanant de Chrétiens, Romains ni Juifs, contredisant soit la mort de Jésus, soit sa mise en tombe. Même Crossan, un sceptique de la résurrection, reconnaît que Jésus a véritablement vécu et est mort.  ” Le fait qu’il a été crucifié est aussi certain que tout autre fait historique peut l’être. “[16] A la lumière de telle preuve, il semble que nous ayons de bonnes raisons de rejeter la première de nos cinq options. Jésus était clairement mort, ” pas l’ombre d’un doute “.

La question de la tombe vide

Aucun historien sérieux ne doute vraiment que Jésus était mort lorsqu’il a été descendu de la croix. Toutefois, bon nombre ont questionné la manière dont le corps de Jésus a disparu de la tombe. Le journaliste anglais, Dr. Frank Morison, a d’abord pensé que la résurrection était un mythe ou une tromperie, et il a commencé une étude en vue d’écrire un livre la réfutant.[17] Le livre devint célèbre, mais pour des raisons autres que son intention première, comme nous allons le voir.

Morison commença par tenter de résoudre le cas de la tombe vide. La tombe appartenait à un membre du Conseil du Sanhédrin, Joseph d’Arimathée. En Israël, en ce temps-là, faire partie du Conseil était équivalent à être une rock star d’aujourd’hui. Tout chacun savait qui faisait partie du Conseil. Joseph doit avoir été une vraie personne. Autrement, les chefs juifs auraient exposé l’histoire comme un faux dans leurs efforts de réfuter la résurrection. Par ailleurs, la tombe de Joseph aurait été située dans un lieu connu et facile à identifier, de sorte que toute idée de Jésus ” perdu dans le cimetière ” aurait été éliminée.

Morison se demanda pourquoi les ennemis de Jésus auraient permis au ” mythe de la tombe vide ” de persister s’il n’était pas vrai. La découverte du corps de Jésus aurait mis fin instantanément à tout le complot.

Et ce qui est connu historiquement des ennemis de Jésus, c’est qu’ils accusèrent les disciples d’avoir volé le corps, une accusation clairement basée sur une conviction partagée que la tombe était vide.

Dr. Paul L. Maier, un professeur d’histoire antique à l’université de Western Michigan, a aussi déclaré : ” Si toute la preuve est soigneusement et objectivement évaluée, il est vraiment justifiable … de conclure que la tombe dans laquelle Jésus fut placé était en fait vide au matin de la première Pâque. Et aucune trace de preuve n’a encore été découverte … qui puisse réfuter cela. ” [18]

Les chefs juifs étaient stupéfaits, et accusèrent les disciples d’avoir dérobé le corps de Jésus. Mais les Romains avaient affecté une garde de 24 heures à la tombe, avec un détachement de gardes bien entraînés (entre 4 et 12 soldats). Morison demande :

” Comment ces professionnels ont-ils pu laisser vandaliser le corps de Jésus ? “

Il aurait été impossible à qui que ce soit d’échapper à l’attention des gardes romains et d’avoir déplacé une pierre de deux tonnes. Et pourtant, la pierre était déplacée et le corps de Jésus était manquant.

Si le corps de Jésus avait pu se trouver quelque part, ses ennemis auraient rapidement exposé la résurrection comme un mensonge. Tom Anderson, ancien président de la California Trial Lawyers Association (Association californienne des avocats plaidants), résume l’essentiel de cet argument :

” Avec un événement recevant une telle publicité, ne pensez-vous pas qu’il eût été raisonnable qu’un historien, un témoin oculaire ou un antagoniste ait noté pour les temps à venir qu’il avait vu le corps de Jésus ?  …Le silence de l’histoire est assourdissant quant au témoignage contre la résurrection. ” [19]

Alors, faute de preuve, et avec une tombe connue vide de toute évidence, Morison considéra solide la preuve que le corps de Jésus avait en quelque sorte disparu de la tombe.

Vandalisme de tombe?

Comme Morison poursuivit son enquête, il commença à examiner les motifs des fidèles de Jésus. Peut-être que la supposée résurrection était en fait un corps dérobé. Mais alors, si c’était le cas, comment justifier toutes les apparitions documentées de Jésus ? L’historien Paul Johnson, dans History of the Jews (L’histoire des Juifs), a écrit :

” Ce qui comptait, ce n’était pas les circonstances de sa mort, mais le fait qu’un groupe sans cesse plus grand de gens croyaient tout à fait et obstinément qu’il était ressuscité. ” [20]

La tombe était bien vide. Mais ce n’était pas la simple absence d’un corps qui pourrait avoir galvanisé les fidèles de Jésus (notamment s’ils étaient ceux qui l’avait volé). Quelque chose d’extraordinaire devait avoir eu lieu, car les fidèles de Jésus cessèrent d’avoir du chagrin, cessèrent de se cacher, et commencèrent à proclamer audacieusement qu’ils avaient vu Jésus vivant.

Chacun des témoignages oculaires rapporte que Jésus apparut soudain en chair et en os à ses fidèles, aux femmes d’abord. Morison se demanda pourquoi des comploteurs auraient donné un rôle prépondérant à des femmes dans leur histoire. Au premier siècle, les femmes n’avaient pratiquement aucun droit, aucune personne, aucun état. Si le complot devait réussir, Morison raisonna, les conspirateurs auraient mis en avant des hommes, non pas des femmes, comme étant les premiers à voir Jésus vivant. Pourtant, nous entendons que des femmes le touchèrent, parlèrent avec lui, et furent les premières à trouver la tombe vide.

Plus tard, selon les récits des témoins, tous les disciples ont vu Jésus en plus de dix occasions distinctes. Ils écrivirent qu’il leur montra ses mains et ses pieds et leur dit de le toucher. Et ils dirent qu’il mangea avec eux et, plus tard, apparut vivant à plus de 500 fidèles dans un cas.

John Warwick Montgomery, un érudit du droit, a déclaré :

” En 56 A.D., l’apôtre Paul a écrit que plus de 500 personnes avaient vu le Jésus ressuscité et que la plupart d’entre elles étaient encore vivantes (1 Corinthiens 15, 6 et suivants). Cela dépasse les limites de la crédibilité, que les premiers Chrétiens aient pu fabriquer une histoire semblable, puis la prêcher au milieu de ceux qui auraient facilement pu la réfuter en produisant simplement le corps de Jésus. ” [21]

Les érudits de la Bible, Geisler et Turek sont d’accord :

” Si la résurrection n’avait pas eu lieu, pourquoi l’apôtre Paul aurait-il donné une telle liste de supposés témoins ? Il aurait immédiatement perdu toute crédibilité auprès de ses lecteurs corinthiens en mentant aussi effrontément. ” [22]

Pierre expliqua à une foule à Césarée pourquoi lui-même et les autres disciples étaient si convaincus que Jésus était vivant.

” Nous sommes témoins de tout ce qu’il a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. Ils l’ont tué, en le pendant au bois. Dieu l’a ressuscité le troisième jour, et il a permis qu’il apparût […] à nous qui avons mangé et bu avec lui, après qu’il fut ressuscité des morts. ” (Actes 10, 39 à 41)

Michael Green, un érudit britannique de la Bible fait remarquer : ” Les apparitions de Jésus sont aussi bien authentifiées que toute autre chose de l’antiquité…Il ne peut y avoir aucun doute rationnel qu’elles ont eu lieu. ” [23]

Cohérent jusqu’au bout

Comme si les rapports des témoins oculaires étaient insuffisants pour provoquer le scepticisme de Morison, le comportement des disciples le laissa également perplexe. Le fait historique, qui a fait trébucher aussi bien les historiens que les psychologues et les sceptiques, est que ces onze anciens lâches s’exposèrent soudain volontairement à souffrir l’humiliation, la torture et la mort. Tous les disciples de Jésus, à l’exception d’un seul, moururent en martyres. Est-ce qu’ils se seraient engagés de la sorte pour un mensonge, sachant qu’ils avaient eux-mêmes dérobé le corps de Jésus ?

Les martyres islamiques du 11 septembre ont prouvé que certains sont d’accord de mourir pour une fausse cause en laquelle ils croient. Pourtant, c’est de la folie de se prêter volontairement au martyre pour un mensonge évident. Comme l’a écrit Paul Little :

” Les hommes sont d’accord de mourir pour ce qu’ils croient être vrai, bien que cela puisse en réalité être faux. Ils ne meurent pas, toutefois, pour ce qu’ils savent être un mensonge. “[24]

Les disciples de Jésus se sont comportés d’une manière cohérente avec une conviction profonde que leur chef était vivant.

Personne n’a clairement expliqué pourquoi les disciples auraient voulu mourir pour un mensonge évident. Mais, même s’ils avaient tous comploté de mentir sur la résurrection de Jésus, comment auraient-ils pu prolonger ce complot pendant des décennies sans que l’un d’eux au moins ne vende la mèche pour de l’argent ou un titre ? Moreland écrit :

” Ceux qui mentent en perspective d’un gain personnel ne restent pas longtemps unis, notamment quand les difficultés dépassent les avantages. “

L’ancien ” homme à la hache ” du gouvernement de Nixon, Chuck Colson, impliqué dans le scandale de Watergate, fit remarquer combien plusieurs personnes éprouvèrent des difficultés à soutenir le mensonge pendant une période de temps prolongée.

” Je sais que la résurrection est un fait, et Watergate me l’a prouvé. Comment ? Parce que 12 hommes témoignèrent qu’ils avaient vu Jésus relevé des morts, et ensuite proclamèrent cette vérité pendant 40 ans, sans jamais la renier une seule fois. Chacun à son tour fut battu, torturé, lapidé et jeté en prison. Ils n’auraient pas pu endurer cela si ce n’était pas vrai. Watergate impliqua 12 des hommes les plus puissants du monde—et ils furent incapables de soutenir un mensonge pendant trois semaines. Vous me dites que 12 apôtres furent capables de soutenir un mensonge pendant 40 ans ? Absolument impossible. ” [25]

Quelque chose a dû se produire, qui a tout changé dans la vie de ces hommes et de ces femmes. Morison a reconnu :

” Quiconque aborde ce problème doit tôt ou tard faire face à un fait sans explication… Ce fait est… qu’une conviction profonde touche ce petit groupe de gens—un changement qui témoigne du fait que Jésus s’est relevé de la tombe. ” [26]

Les disciples étaient-ils victimes d’une hallucination ?

Des gens croient toujours qu’ils voient un Elvis gras, aux cheveux gris, entrer furtivement chez Dunkin Donuts (chaîne de pâtisserie américaine). Et puis il y a ceux qui croient qu’ils ont passé la nuit dernière avec des extraterrestres, dans leur vaisseau, comme l’objet d’essais innommables. Quelquefois, certaines gens peuvent ” voir ” les choses qu’ils veulent voir, des choses qui n’existent pas vraiment. Et c’est pourquoi certains ont prétendu que les disciples étaient si désespérés de la crucifixion que leur désir de revoir Jésus vivant aurait provoqué une hallucination de masse. Est-ce plausible ?

Le psychologue Gary Collins, ancien président de l’American Association of Christian Counselors (Association américaine des conseillers chrétiens), a été questionné sur la possibilité que des hallucinations aient motivé le changement de comportement radical des disciples. Collins fit la remarque suivante :

” Les hallucinations sont des phénomènes individuels. De par la nature-même des hallucinations, une seule personne à la fois ne peut en voir une. Ce n’est pas quelque chose qui peut être vu par un groupe de gens. ” [27]

L’hallucination n’est pas même une possibilité, selon le psychologue Thomas J. Thorburn :

” Il est absolument inconcevable que… cinq cents personnes, d’une clarté d’esprit moyenne… puisse faire l’expérience de toutes sortes d’impressions sensorielles—visuelle, auditoire, tactile—et que toutes ces… expériences reposent entièrement sur…  une hallucination. ” [28]

Par ailleurs, dans la psychologie des hallucinations, la personne a besoin de se trouver dans une certaine disposition d’esprit qui lui fait souhaiter de voir la personne au point que son esprit la fabrique. Deux chefs importants de la première église, Jacques et Paul, ont tous les deux rencontré un Jésus ressuscité, sans qu’aucun des deux ne s’attende à en avoir le plaisir, ni ne l’espère. L’apôtre Paul, en fait, menait les premières persécutions des Chrétiens, et sa conversion reste inexplicable en dehors de son propre témoignage que Jésus lui est apparu, ressuscité.

Du mensonge à la légende

Certains sceptiques sans conviction attribuent l’histoire de la résurrection à une légende qui commença avec une ou deux personnes mentant ou pensant qu’elles avaient vu le Jésus ressuscité. Au fil du temps, la légende aurait grandi et aurait été embellie en se transmettant. Selon cette théorie, la résurrection de Jésus est comparable à la table ronde arthurienne, à l’incapacité du petit Georgie Washington de dire un mensonge, et à la promesse que la Sécurité sociale deviendra solvable à temps pour satisfaire nos besoins.

Mais cette théorie contient trois problèmes importants.

1. Les légendes se développent rarement alors qu’il existe plusieurs témoins oculaires pour les démentir. Un historien de la Rome et de l’Athènes antiques, A. N. Sherwin-White, a posé l’argument que les nouvelles de la résurrection se sont répandues trop tôt et trop vite pour que celle-ci puisse avoir été une légende.[29]

2. Les légendes se développent par tradition orale et ne s’accompagnent pas de documents historiques contemporains vérifiables. Pourtant, les Évangiles furent écrits en l’espace des trois décennies suivant la résurrection.[30]

3. La théorie de la légende n’explique pas bien le fait de la tombe vide, ni la conviction historiquement vérifiée des apôtres selon laquelle Jésus était vivant.[31]

Pourquoi le christianisme a-t-il prévalu ?

Morison était perplexe du fait qu’un ” mouvement minuscule et insignifiant fût capable de prévaloir sur le contrôle étroit et rusé de l’établissement juif, ainsi que sur la puissance de Rome. ” Pourquoi a-t-il gagné, en dépit de tous ces obstacles s’y opposant ?

Il écrit :

” En l’espace de vingt ans, la revendication de ces paysans galiléens avait bouleversé l’église juive.… En moins de cinquante ans, elle avait commencé à menacer la paix de l’Empire romain. Une fois que le dernier mot a été dit… nous demeurons devant le plus grand mystère de tous. Pourquoi a-t-elle prévalu ? ” [32]

Selon toute logique, le christianisme aurait dû disparaître à la croix, lorsque les disciples s’enfuirent pour sauver leur propre vie. Mais les apôtres procédèrent à l’établissement d’un mouvement chrétien croissant.

J. N. D. Anderson écrit : “

Pensez à l’absurdité psychologique d’imaginer une petite bande de lâches vaincus, se cachant dans une salle à l’étage un jour et, quelques jours plus tard, étant transformés en une compagnie qu’aucune persécution ne parvenait à faire taire—et puis de tenter d’attribuer ce changement catégorique à rien de plus convaincant qu’une invention de misère.…Cela n’aurait simplement aucun sens. ” [33]

De nombreux intellectuels croient (selon les paroles d’un ancien commentateur) que ” le sang des martyres fut la semence de l’église. ” L’historien Will Durant fit observer :

” César et Christ se rencontrèrent dans l’arène, et Christ l’emporta. ” [34]

Une conclusion surprenante

Une fois que le mythe, l’hallucination et l’autopsie fautive furent éliminés, considérant la preuve irréfutable de la tombe vide, le groupe important de témoins oculaires de sa réapparition, et la transformation inexplicable, ainsi que l’impact sur le monde de ceux qui prétendaient l’avoir vu, Morison devint convaincu que son préjudice contre la résurrection de Jésus Christ était faux. Il commença à écrire un livre différent—intitulé Qui a déplacé la pierre ? —pour présenter en détail ses nouvelles conclusions. Morison suivit simplement le sentier de la preuve, indice par indice, jusqu’à ce que la vérité de l’affaire lui semble claire. Sa surprise fut que la preuve menait à la croyance en la résurrection.

Dans son premier chapitre, ” Le livre qui refusait d’être écrit “, cet ancien sceptique expliqua comment la preuve l’avait convaincu que la résurrection de Jésus était un fait historique réel.  ” C’était comme si un homme avait entrepris de traverser une forêt en empruntant un sentier bien battu et en était ressorti là où il ne s’attendait pas à en ressortir. ” [35]

Morison n’est pas seul. D’innombrables autres sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection de Jésus, et l’ont acceptée comme le fait le plus stupéfiant de toute l’histoire humaine. Mais la résurrection de Jésus Christ soulève la question suivante : en quoi le fait que Jésus a vaincu la mort affecte-t-il ma propre vie ? La réponse à cette question fait l’objet du christianisme du Nouveau Testament.

Jésus a-t-il parlé de ce qu’il nous arrive après la mort ?

Si Jésus est véritablement ressuscité des morts, alors il doit savoir ce qui se trouve de l’autre côté. Qu’a dit Jésus sur la signification de la vie et sur notre avenir ? Y a-t-il une quantité de chemins qui mènent à Dieu ou Jésus a-t-il déclaré qu’il est le seul chemin ? Lire les réponses étonnantes dans “Jésus est-il pertinent à notre époque?”

Notes de fin

  1. Paul Edwards, “Great Minds: Bertrand Russell,” Free Inquiry, December 2004/January 2005, 46.
  2. R. C. Sproul, Reason to Believe (Grand Rapids, MI: Lamplighter, 1982), 44.
  3. Josh McDowell, The New Evidence That Demands a Verdict (San Bernardino, CA: Here’s     Life, 1999), 203.
  4. Bertrand Russell, Why I Am Not a Christian (New York: Simon & Schuster, 1957), 16.
  5. Joseph Campbell, an interview with Bill Moyers, Joseph Campbell and the Power of Myth, PBS TV special, 1988.
  6. Michael J. Wilkins and J. P. Moreland, eds, Jesus Under Fire (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1995), 2.
  7. “What Is a Skeptic?” editorial in Skeptic, vol 11, no. 2), 5.
  8. Wilbur M. Smith, A Great Certainty in This Hour of World Crises (Wheaton, ILL: Van Kampen Press, 1951), 10, 11
  9. Historian Will Durant reported, “About the middle of this first century a pagan named Thallus … argued that the abnormal darkness alleged to have accompanied the death of Christ was a purely natural phenomenon and coincidence; the argument took the existence of Christ for granted. The denial of that existence never seems to have occurred even to the bitterest gentile or Jewish opponents of nascent Christianity.” Will Durant, Caesar and Christ, vol. 3 of The Story of Civilization (New York: Simon & Schuster, 1972), 555.
  10. Quoted in J. P. Moreland interview, Lee Strobel, The Case for Christ (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1998), 246.
  11. Peter Steinfels, “Jesus Died—And Then What Happened?” New York Times, April 3, 1988, E9.
  12. William D. Edwards, M.D., et al., “On the Physical Death of Jesus Christ,” Journal of the American Medical Association 255:11, March 21, 1986.
  13. Lucian, Peregrinus Proteus.
  14. Josephus, Flavius, Antiquities of the Jews, 18. 63, 64. [Although portions of Josephus’ comments about Jesus have been disputed, this reference to Pilate condemning him to the cross is deemed authentic by most scholars.]
  15. Tacitus, Annals, 15, 44. In Great Books of the Western World, ed. By Robert Maynard Hutchins, Vol. 15, The Annals and The Histories by Cornelius Tacitus (Chicago: William Benton, 1952).
  16. Gary R. Habermas and Michael R. Licona, The Case for the Resurrection of Jesus (Grand Rapids, MI: Kregel, 2004), 49.
  17. Frank Morison, Who Moved the Stone? (Grand Rapids, MI: Lamplighter, 1958), 9.
  18. Paul L. Maier, Independent Press Telegram, Long Beach, CA: April 21, 1973.
  19. Quoted in Josh McDowell, The Resurrection Factor (San Bernardino, CA: Here’s Life, 1981), 66.
  20. Paul Johnson, A History of the Jews (New York: Harper & Row, 1988), 130.
  21. John W. Montgomery, History and Christianity (Downers Grove, ILL: InterVarsity Press, 1971), 78.
  22. Norman L. Geisler and Frank Turek, I Don’t Have Enough Faith to Be an Atheist (Wheaton, IL: Crossway, 2004), 243.
  23. Michael Green, The Empty Cross of Jesus (Downers Grove, IL: InterVarsity, 1984), 97, quoted in John Ankerberg and John Weldon, Knowing the Truth about the Resurrection (Eugene, OR: Harvest House), 22.
  24. J. P. Moreland, Scaling the Secular City, (Grand Rapids, MI: Baker Book House, 2000), 172.
  25. Charles Colson, “The Paradox of Power,” Power to Change, www.powertochange.ie/changed/index_Leaders.
  26. Morison, 104.
  27. Gary Collins quoted in Strobel, 238.
  28. Thomas James Thorburn, The Resurrection Narratives and Modern Criticism (London: Kegan Paul, Trench, Trubner & Co., Ltd., 1910.), 158, 159.
  29. Sherwin-White, Roman Society, 190.
  30. Habermas and Licona, 85.
  31. Habermas and Licona, 87.
  32. Morison, 115.
  33. J. N. D. Anderson, “The Resurrection of Jesus Christ,” Christianity Today, 12. April, 1968.
  34. Durant, Caesar and Christ, 652.
  35. Morison, 9.

Permission de reproduire cet article : L’éditeur accorde la permission de reproduire et distribuer ce document sans permission écrite, pour une utilisation à but non lucratif. Aucune partie ne peut être modifiée ou utilisée hors-contexte sans permission écrite. Des copies imprimées de Y-Origins et de Y-Jesus magazine peuvent être commandées à : www.JesusOnline.com/product_page

© 2010 JesusOnline Ministries (Ministères de Jésus en ligne). Cet article est un supplément du magazine  Y-Jesus  publié par Bright Media Foundation & B&L Publications : Larry Chapman, éditeur-en-chef. Pour lire d’autres articles sur les preuves de l’existence de Jésus Christ, voir : www.y-jesus.com.




Particules métalliques dans les vaccins : les complotistes ont encore frappé !

[Source : Michel de Lorgeril]

Par Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition – Membre de la Société Européenne de Cardiologie

L’été 2021 a été marqué par une étrange information, confirmée par de multiples sources conspirationnistes, stipulant que les vaccins antiCOVID contenaient des particules métalliques qui excitaient les aimants.

[Voir :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

Évidemment, bandes d’idiots, cette information n’avait aucun sens : pourquoi y aurait-il des particules métalliques dans les seringues vaccinales ?

Encore une idée de quelques zombies qui voient le mal partout. Les autorités sanitaires, les scientistes de service et les médias ont aussitôt [et à juste raison] rejeté ces théories farfelues.

Par exemple, le subtile Figaro est allé interviewé des gens sérieux…

Et l’incomparable crétin-décodeur du journal du soir des gens accomplis (le fameux Adrien Sénécat) s’est précipité pour nous informer que ces informations… étaient bien sûr des fake news !

Seulement voilà, le Ministère Japonais de la Santé (ou quelque chose d’équivalent) est lui-aussi complotiste : ses experts ont identifié des particules métalliques dans les vaccins Moderna.

Beaucoup plus ennuyeux pour le déconneur du Monde (payé pour mentir) et l’experte du Figaro (payée pour quoi ?), Moderna l’a implicitement confirmé.

Ce n’est plus une fake news, c’est une enquête à diligenter…

C’est encore plus ennuyeux pour les Agences sanitaires internationales (payées pour quoi ?) qui vont devoir expliquer à quoi elles servent… sinon à faire génuflexion devant les stars du grand Kapital Pharma, comme dirait un célèbre Karl…

Que va dire le Grand manitou qui gouverne le Ministère de la Santé en France ?

Tout cela devient quelque peu nauséabond.

Outre que les informateurs des grands médias s’avèrent n’être que des vulgaires propagateurs de fausses informations, il semblerait que les conspirationnistes aient eu raison avant tout ce « sale petit monde » de la désinformation organisée.

Ne pourraient-ils pas, de temps en temps, dire vrai ?

Ils viendront ensuite se plaindre de faire faillite parce que le public va s’informer sur les réseaux sociaux.

Ils n’ont pas encore compris que les médias conventionnels et les réseaux sociaux sont des vases communicants : plus les médias officiels sont mauvais et menteurs et plus les réseaux sociaux enflent !

La jeunesse l’a compris ; la jeunesse ne lit pas le Figaro et encore moins Le Monde !




Manifestation massive pro vaccination à Lyon : ils étaient 100.000 selon BFM, 30… selon vos yeux !

[Source : Le Libre Penseur]

Si on enlève les journalistes, les policiers et les curieux, il reste au maximum une trentaine de personnes ! Ces pauvres manifestants sont ce que représente réellement Macron dans l’opinion publique ou dans les précédentes élections, quasiment rien ! Ce n’est même pas un flop car un flop c’est déjà quelque chose de quantifiable ! Là on est dans le néant, dans l’inexistant !

En face, lorsque les images montrent des centaines de milliers de manifestants dans plus de 200 villes en France chaque samedi en plein juillet-août sous un soleil brûlant, BFM nous explique qu’ils ne représentent rien, que c’est une minorité de radicalisée !




Pass sanitaire : zone libre contre zone occupée, faites votre choix !

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Désormais, les personnes en contact avec le public devront être munies du fameux pass sanitaire, qui n’est pas près de disparaître, comme l’a enfin reconnu Olivier Véran – sans surprise aucune. Et la France, comme à son habitude, est divisée, capable du pire comme du meilleur. Des collaborationnistes empressés proposant des bracelets pour marquer les clients disciplinés, aux résistants réhabilitant fort à propos les zones libres, à chacun d’entre nous de faire son choix, entre deux visions du monde, entre deux visions de l’Homme.

Si vous aviez un doute, Olivier Véran l’a annoncé : le pass sanitaire ne sera pas forcément arrêté au 15 novembre – s’il existe des virus. Rassurez-vous, les virus ont toujours existé, ils ne vont pas disparaître. Donc, votre pass sanitaire non plus. Peut-être, comme Israël, bientôt dès 12 ans, il sera « possible » d’avoir sa 3e dose de vaccin. À la 4e, le café sera offert. Et l’on verra alors les triples vaccinés s’insurger contre l’incivilité des doubles vaccinés, nous vivons dans un monde merveilleux.

Aujourd’hui, comme aux heures d’Occupation les plus sombres, les Français sont divisés. En dehors de la masse qui suit le plus fort (comme à peu près partout), l’on retrouve certains activistes, plus royalistes que le Roi, plus fanatiques que l’Occupant, toujours prêts à démontrer leur inventivité. Ainsi, certains commerçants à Lille ont distribué des bracelets à leurs clients :

« La préfecture a fait part à l’AFP de son accord pour cette initiative, «qui doit faciliter, en particulier, l’identification des clients en terrasse et au bar et favoriser le respect de la réglementation, qui concourt à la prévention de l’épidémie» et est «donc bienvenue». »

En effet, marquer le bétail permet de le diriger plus facilement vers le bon parcage. En parlant de parcage, d’autres ont eu l’idée géniale de clore leur terrasse de café ou de restaurant, afin de mieux contrôler l’accès. L’efficacité, rien de tel… 

Dans le même temps, nombre d’établissements refusent simplement d’ouvrir leurs portes, car ils trouvent cela indigne, contraire à l’esprit même des lieux de convivialité que sont les bars et restaurants :

« Nous ne sommes absolument pas contre la vaccination, mais nous refusons d’appliquer le contrôle du pass sanitaire, « Ce n’est pas à nous de procéder à ce genre de contrôle » ». Contrôle qu’elles trouvent « largement discriminatoire et en totale opposition avec leur activité basée sur l’entraide, la solidarité, la convivialité ».

Des zones libres ont été crées dans toute la France,  par ces gens qui refusent de devenir les instruments d’une surveillance généralisée de la population. Et le problème se généralise – nombre de pompiers démissionnent, car devant se faire vacciner. Certains grands établissements se mettent en grève. Des terrasses sauvages voient le jour. Les manifestations s’enchaînent et grossissent. La France se réveille, la France française se lève contre la France globaliste.

A côté de cela, l’on voit l’hystérie des pseudos experts sur les plateaux télé, demandant à « pourrir la vie » de ces « connards » de non-vaccinés. Au-delà de Thierry Moreau qui vient d’avoir son heure de gloire, faire reposer la responsabilité des mesures liberticides sur les non-vaccinés est devenue courante dans le discours médiatique et a pour but de déresponsabiliser les gouvernants :

C’est de la haine. La haine contre ceux qui ne se soumettent pas. Elle a toujours existé dans les systèmes totalitaires – celui qui n’est pas soumis est un danger pour le système en général, il faut le détruire, aucune « tolérance » n’est possible, aucune « pluralité » n’est envisageable. 

L’argument sanitaire ici n’a plus sa place – à la fois car Israël montre bien que la vaccination massive n’empêche pas une hausse record de la mortalité, et parce qu’en France nous sommes à une quarantaine de décès certifiés conformes par jour quand de toute manière il meurt environ 1 700 personnes par jour et qu’il est toujours interdit de parler de traitement…

Et ne nous y trompons pas. Lorsque l’on parle d’Occupation, ce n’est pas seulement par analogie, mais dans le sens direct du terme, puisque nous avons des structures étatiques qui n’ont pas la maîtrise des décisions qu’elles prennent. L’Occupation d’un pays ne se fait pas uniquement avec des armées et des chars, elle se réalise par la prise de pouvoir sur un territoire et sa population. La gouvernance globalisée au nom d’une dictature sanitaire en est l’exemple aujourd’hui. Certains pays vont plus loin, d’autres moins loin, c’est une question de degré, pas de principe – cela dépend de leur niveau de souveraineté réelle et de la réactivité de la population.

Alors choisissez votre camp. Chacun fait son choix, tout silence est une abdication. Toute abdication est une collaboration.




Pass sanitaire à perpet’ : l’OMS publie un guide pour la certification électronique de la vaccination

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Le 27 août, l’OMS vient de sortir un guide très révélateur pour notre avenir concernant la certification électronique de la vaccination, à l’heure de l’éternelle pandémie du Covid. Ce guide global prévoit notamment la possibilité d’élargir le suivi électronique à d’autres vaccinations et incite tous les pays membres à y recourir, à des niveaux différents en fonction de la réactivité de leur population. Bref, si l’on se soumet, l’on arrive à Pass sanitaire for ever ! Le « nouveau monde » met en place ses instruments.

L’OMS, qui a vu sa fonction gouvernante décuplée grâce à la crise du Covid, prévoit de faire perdurer son pouvoir au-delà des risques de disparition ou d’apparition d’un virus ou d’un autre. L’intérêt étant bien le transfert des mécanismes de gouvernance à un niveau surpa-étatique, système dans lequel les Etats ne sont que des structures d’exécution. Ainsi, un guide concernant la généralisation et la pérennisation de la certification électronique des vaccins, au-delà de celui contre le Covid, a été publié ce 27 août par l’OMS [Ndlr : ⚠️Téléchargement automatique] :

Selon le document lui-même, en plus des « experts » de l’OMS, il a mis à contribution, notamment, des personnes venant de la Banque mondiale (l’on appréciera la dimension sanitaire), de PATH (une organisation globale axée sur « l’équité sanitaire » et « l’innovation » financée à plus de 20% par le Gouvernement américain et à plus de 50% par des Fondations, dont Bill Gates, Bloomberg ou Open society de Soros), l’Organisation internationale de l’aviation civile, la direction générale pour la santé et la sécurité alimentaire de la Commission européenne, le ministre de la Santé de Nouvelle-Zélande, la direction générale de la communication et des technologies de la Commission européenne, le cabinet juridique Ernst and Young, SNOMED International (organisation internationale d’élaboration des normes de terminologie de la santé – bref, en charge de l’élaboration de la Novlangue sanitaire), le ministère canadien responsable de la politique de l’immigration et des réfugiés (question, comme nous le voyons aujourd’hui en France, effectivement et étrangement liée au Covid), des universités, des groupes technologiques, etc. Et en dernière phrase des remerciements, l’on trouve ceci :

« This work was funded by the Bill and Melinda Gates Foundation, the Government of Estonia, Fondation Botnar, the State of Kuwait, and the Rockefeller Foundation.« 
[« Ce travail a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le gouvernement estonien, la Fondation Botnar, l’État du Koweït et la Fondation Rockefeller. »]

Sans commentaire.

En introduction, l’on apprend qu’il s’agit d’un guide intermédiaire pour que les pays aient une approche globale dans ce contexte changeant – pourtant, pas très changeant depuis deux ans … 

« The current document is written for the ongoing global COVID-19 pandemic; thus, the approach is architected to respond to the evolving science and to the immediate needs of countries in this rapidly changing context; for this reason, the document is issued as interim guidance. The approach could eventually be extended to capture vaccination status to protect against other diseases.« 
[« Le présent document a été rédigé pour la pandémie mondiale de COVID-19 en cours. Ainsi, l’approche est conçue pour répondre à l’évolution de la science et aux besoins immédiats des pays dans ce contexte en mutation rapide. Pour cette raison, le document est publié à titre d’orientation provisoire. L’approche pourrait éventuellement être étendue à la saisie du statut vaccinal pour la protection contre d’autres maladies. »]

Donc, les pays n’ont pas de « besoin immédiat » de soigner cette maladie, ils ont un « besoin immédiat » de mettre en place un certificat électronique de vaccination, qui pourra être étendu à d’autres maladies en cas de besoin. Et quand il y a une volonté, l’on trouve un besoin.

Pour rester dans le monde bisounours, il est bien expliqué que ce n’est qu’un instrument permettant d’établir électroniquement l’existence d’une vaccination. Si c’est un instrument c’est neutre. Certes… cela met donc en place les « simples » instruments du nouveau monde, monde de surveillance. Un monde qui a besoin de l’électronique pour réaliser son fantasme. Et d’une excuse morale pour le faire passer – le culte sanitaire.

Et quelques phrases plus loin, l’on voit déjà apparaître l’incitation, notamment pour les voyages :

« Furthermore, in response to the IHR EC advice to the Secretariat, WHO is actively working to update the design of the ICVP to accommodate the COVID-19 status of travelers, including vaccination, history of infection, and test results consistent with the DDCC:VS specifications. In relation to the ICVP, The IHR EC furthermore recommends States Parties “recognition of all COVID-19 vaccines that have received WHO Emergency Use Listing in the context of international travel. In addition, States Parties are encouraged to include information on COVID-19 status, in accordance with WHO guidance, within the WHO booklet containing the International Certificate of Vaccination and Prophylaxis; and to use the digitized version when available.”
[« De plus, en réponse à l’avis du CE RSI au Secrétariat, l’OMS travaille activement à la mise à jour de la conception de l’ICVP pour prendre en compte le statut COVID-19 des voyageurs, y compris la vaccination, les antécédents d’infection et les résultats des tests conformes aux spécifications DDCC:VS. En ce qui concerne l’ICVP, le CE RSI recommande en outre aux États membres « la reconnaissance de tous les vaccins COVID-19 qui ont reçu la liste d’utilisation d’urgence de l’OMS dans le contexte des voyages internationaux. En outre, les États membres sont encouragés à inclure des informations sur le statut de COVID-19, conformément aux directives de l’OMS, dans le livret de l’OMS contenant le Certificat international de vaccination et de prophylaxie ; et à utiliser la version numérisée lorsqu’elle est disponible. »]

L’instrument n’est plus si neutre, il a déjà des implications liberticides. Mais au nom de la santé, Amen ! L’illusion de la neutralité de la technologie est très utile pour construire tout système de gouvernance – qui a justement besoin de mettre en place ses propres instruments pour fonctionner.

Et cette dérive est parfaitement établie dans ce Guide, qui pose bien deux buts – établir l’acte de vaccination dans le cadre de la politique vaccinale classique et surtout, en ce qui intéresse l’actualité, prouver la vaccination dans un but qui n’a rien de sanitaire :

« 2. PROOF OF VACCINATION: Vaccination records can also provide proof of vaccination status for purposes not related to health care.« 
[« 2) PREUVE DE VACCINATION : les carnets de vaccination peuvent également fournir une preuve du statut vaccinal à des fins non liées aux soins de santé. »]

Ainsi est donné l’instrument d’apartheid sanitaire. L’utilisation va dépendre, selon ce Guide, de la « maturité sociale » du pays, autrement dit, la population est-elle ou non prête à cette surveillance. Quoi qu’il en soit, ce certificat électronique doit être mis en place par chaque pays membre de l’OMS, de manière différente en fonction de la situation spécifique du pays, de la population. Nous voyons, par exemple, qu’en Russie, le rejet massif conduit à plus de prudence de la part des pouvoirs publics, moins intégrés dans la globalisation et dépendant encore de l’opinion nationale.

Techniquement, vous trouverez tous les détails dans le Guide, disponible ici en anglais.

Les gens ont le droit de se vacciner avec des produits récents. Chacun a le droit de faire son choix. Mais personne ne peut, dans une société qui respecte l’homme dans son humanité, conditionner l’accès à la vie sociale à un vaccin, dont aucun recul ne permet de déterminer les effets secondaires.

Soigner la population est une obligation pour tout pays qui se respecte et qui respecte sa population. La prise en charge médicale ne peut se réduire, dans un pays civilisé, à la vaccination obligatoire de tous avec un produit à peine sorti des labos et l’enfermement des personnes malades, sans soins adaptés. 

Et n’oubliez pas, que tout système totalitaire se met en place grâce à la passivité des populations. 




À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

Par Reza Moghaddassi

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
  • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
  • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
  • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
  • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
  • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
  • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

  • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
  • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
  • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
  • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
  • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
  • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
  • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
  • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
  • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

  • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
  • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
  • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
  • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
  • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
  • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


À propos de l’auteur

Reza Moghaddassi

Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.




Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »

[Source : QG – Le média libre]

Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 400 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du pass sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale.

Aucun d’entre nous n’aurait cru possible ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux depuis un an et demi. Non pas qu’une nouvelle épidémie vienne mettre à l’épreuve nos systèmes immunitaires individuels et nos structures collectives de santé. Cela, c’était prévisible. Mais que la gestion de cette épidémie vienne mettre en péril des valeurs démocratiques, des libertés et des droits humains acquis de haute lutte depuis la Révolution française, cela, c’était impensable. Et pourtant.

Liberté d’aller et venir, liberté d’expression, liberté de commerce, liberté syndicale, droit au travail, égalité des droits de tous les citoyens, non-discrimination dans l’accès aux biens, lieux et services de la société (dont l’accès aux soins et l’accès à l’éducation), confidentialité des données de santé… la liste est longue, très longue.

Les états d’urgence s’empilent les uns sur les autres. Le Parlement est traité comme une simple chambre d’enregistrement. Le Président de la République gère seul la situation avec un « Conseil de défense sanitaire » dont aucun compte rendu de réunions n’est consultable. Les médias de toutes tendances ne laissent quasiment aucune place au débat contradictoire et ils répercutent la communication gouvernementale sans distance. Les réseaux sociaux ne sont plus du tout le support de la liberté d’expression qu’ils vantaient à leurs débuts. Google (propriétaire de YouTube) et Facebook ne se contentent plus d’orienter nos pensées à l’aide d’algorithmes. Avec d’autres (Twitter, Linkedin, etc.), ils opèrent désormais une censure massive de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid.

Dans un tel contexte, certains se croient tout permis. Les influenceurs se déchainent, les attaques ad hominem pleuvent, les règlements de compte s’étalent. On voudrait non seulement discréditer à coups d’amalgames infantiles (complotistes ! complices de l’extrême droite !), mais aussi radier, démissionner, évincer, en un mot faire taire. Beaucoup de celles et ceux qui – de par leurs emplois – constituent les élites se taisent, souvent par peur d’être à leur tour ostracisés. Tout ceci rappelle à certains égards l’époque de la chasse aux sorcières sous le Maccarthysme.

Par ce texte, nous (professionnels et bénévoles de la recherche, de la santé, de l’éducation, du droit et de la culture) appelons toutes les femmes et tous les hommes qui ont encore un fort attachement à la démocratie à la défendre de toutes leurs forces. Non, il ne saurait être interdit de discuter les origines du Sars-Cov-2. Ni interdit d’interpréter les statistiques de mortalité autrement que pour dire que nous risquons tous de mourir (discours de la peur). Ni interdit de dire que le refus de soigner précocement les personnes contaminées est un dogme imbécile qui, pour le coup, pourrait donner lieu à des poursuites en justice. Ni interdit de dire que les confinements font plus de mal que de bien aux sociétés. Ni interdit de questionner l’influence des richissimes industries pharmaceutiques sur le monde scientifique et médical, sur les gouvernements, sur les organismes supranationaux (OMS, UE) et sur les médias. Ni interdit de constater que si la vaccination ARNm protège en partie des formes graves de Covid, en revanche, comme le variant dit Delta le montre partout dans le monde, elle ne garantit ni d’attraper ni de transmettre le virus, ce qui invalide le principe même du « passe sanitaire ». Ni interdit de contester que l’on vaccine par contrainte ou par chantage les enfants et les adolescents pour qui la balance risque/bénéfice est très défavorable. Ni interdit de demander que l’on attende, pour vacciner certaines catégories de personnes à risque (les femmes enceintes par exemple), d’avoir plus de transparence et de données de pharmacovigilance. Ni interdit de manifester tous les samedis si l’on considère qu’il est intolérable de discriminer massivement les citoyens par le biais d’un laisser-passer sanitaire.

Les principes de liberté et d’égalité, de même que les droits humains fondamentaux, ne se discutent pas, ne se compromettent pas. Ils sont les socles de notre société politique et le vrai fondement de la cohésion sociale. La liberté d’expression est l’un de ces droits fondamentaux. Ceux qui tentent d’une façon ou d’une autre d’en empêcher l’exercice agissent contre la démocratie.

Vous souhaitez signer cette tribune?
Voici l’adresse mail où le faire :

tribune.liberte.expression@gmail.com
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Les 400 premiers signataires:

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Jean Roudier, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Christian Vélot, généticien, maître de conférences à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, microbiologiste, professeur à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Michel Claverie, virologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université
  • Aurélia Vessière, virologue et épidémiologiste à l’Université de Bordeaux
  • Philippe Balcou, directeur de recherche, sciences physiques
  • Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS, économie et environnement
  • Jean Chéry, directeur de Recherche au CNRS, géophysique
  • Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « Azi-Thro-d’hospitalisations »
  • Gérard Maudrux, médecin, président honoraire de la caisse maladie des professions libérales et de la caisse de retraite des médecins
  • Paul Touboul, professeur de médecine à l’Université de Lyon, ancien chef de service à l’hôpital de Lyon
  • Michel Drancourt, professeur de microbiologie médicale à Aix-Marseille Université
  • Philippe Brouqui, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’Université Lyon 3
  • Philippe Ségur, professeur de droit public à l’Université de Perpignan
  • Élise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
  • Rafaëlle Maison, professeur des universités en droit public
  • David Lepoutre, professeur de sociologie à l’Université de Paris-Nanterre
  • Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au CIRED
  • Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
  • Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM
  • Michel Deshaies, professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Yannick Bruneton, professeur d’histoire à l’Université de Paris
  • Joëlle Le Marec, professeur de Sciences de l’information et de la communication au Museum National d’Histoire naturelle
  • Jean-Jacques Lottin, ancien vice-président de la Société Française de Santé Publique
  • Hélène Palma, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université, secrétaire générale de l’association « Enseignement, Recherche et Libertés »
  • Philippe Pognonec, directeur de Recherche au CNRS, Université de Nice
  • Claudie Rey, maître de conférences en sociologie à l’Université de Tours
  • Fabrice Colomb, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Gaëtan Flocco, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit à l’Université de Nîmes
  • Bertrand Charrier, professeur des universités, directeur de l’IUT des Pays de l’Adour
  • Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
  • Serge Katz, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Picardie Jules Verne
  • Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Mélanie Guyonvarch, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Nathalie Chapon, enseignante-chercheuse en sociologie à Aix-Marseille Université
  • Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
  • Isabelle Aubert, maîtresse de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Patrick Martin, chargé de recherche (R) au CNRS, Université de Nice
  • Madalina Calamaz, maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Sylvie Bordère, physico-chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences en histoire à l’université
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences en sociologie, Université Paris Nanterre
  • Christophe Brochier maître de conférences en sociologie à l’Université Paris 8
  • Igor Babou, professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Diderot
  • Carole Groussard, maitresse de conférences HDR en STAPS à l’Université de Rennes 2
  • Renaud Gabet, maître de Conférences, HDR, Institut Polytechnique de Paris
  • Agnès Lainé, historienne, membre de l’Institut des Mondes Africains
  • Colette Anné, mathématicienne au CNRS
  • Mathias Delori, chargé de recherche CNRS au Centre Marc Bloch de Berlin
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences à Sorbonne Université
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences à Telecom Paris
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chercheuse à l’INSERM
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat en droit international public, maîtresse de conférences retraitée
  • Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille
  • Jean Louis Rouvillain, professeur émérite d’orthopédie et traumatologie
  • Dominique Harmand, professeur émérite à l’Université de Lorraine
  • Caroline Petit, chercheuse au CNRS
  • Béatrice Pastre-Belda, maître de conférences de droit public HDR à l’Université de Montpellier
  • Aude Saint Pierre, maître de conférences en statistique à l’Université de Brest
  • Monique Plaza, chercheur HDR en neuropsychologie
  • Annie Notelet, présidente de l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires
  • Anne-Typhaine Bouthors, docteur en microbiologie médicale, Ph D Université Paris VI
  • Richard Refuggi, enseignant en STAPS à l’Université Grenoble-Alpes
  • Guy Bensimon, maître de conférences honoraire en sciences économiques à l’université
  • Dominique Labbé, enseignant-chercheur (R) à l’Université Grenoble-Alpes
  • Jean-Jacques Wunenburger, professeur émérite de philosophie à l’Université Lyon 3
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Philippe Rogeon, maitre de conférences à l’Université de Bretagne Sud
  • Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
  • Éric Chabrière, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Alain Chatelet, biologiste, professeur (R) à l´École Nationale Supérieure d´Architecture de Toulouse (ENSA Toulouse)
  • Benoit Marpeau, maître de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie
  • François Saint-Pierre, professeur (R) des universités, Labex « Structurations des Mondes Sociaux », Université de Toulouse
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Thierry Godefroy, économiste, ingénieur de recherche (R) au CNRS
  • Anne Fremaux, agrégée de philosophie et docteure en écologie politique
  • Pascal Touhari, docteur en droit, enseignant à l’Université de Montpellier
  • Gérard Lehmann, maître de conférences à l’Université de Sud Danemark
  • René Chiche, professeur agrégé de philosophie, vice-président Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Jacques Pollini, PhD, chercheur indépendant, anthropologie de la santé
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche SimplissimA
  • Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’université de Neuchâtel
  • Valérie Lowit, ingénieur d’études, Université de Paris
  • Damien Jeanne, enseignant en histoire à l’université de Caen et du Havre
  • Emmanuelle Duchez, chargée de communication à l’Université Côte d’Azur
  • Eloi Buat-Ménard, magistrat
  • Jean-Claude Berlioz, Avocat Général honoraire
  • Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Jean-Christophe Berlioz, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Pierre Soler-Couteaux, avocat au Barreau de Strasbourg, professeur agrégé de droit public
  • Caroline Mecary, avocate 
  • Sendegul Aras, avocat
  • Bruno Raffi, avocat
  • Elizabeth Oster, avocat à la Cour
  • Nicole Foulquier, avocat
  • Sarah Scalbert, avocate au barreau de Paris
  • Maryse Pechevis, avocate au barreau de Montpellier
  • Corinna Kerfant, avocat au barreau de Versailles 
  • Evie Jaumary-Lapeyre, avocat
  • Evelyne Carbonnell, avocate
  • Elodie Menant, comédienne, auteur
  • Grégori Baquet, comédien
  • Clémence Thioly, comédienne
  • Herrade Von Meier, comédienne
  • Nathalie Mann, comédienne
  • Hugues Leforestier, auteur, comédien
  • Myriam Boyer, comédienne
  • Fanny Cabon, comédienne
  • Lionel Gedebe, réalisateur
  • Samuel Ternoy, musicien
  • Béatrice Charrié, éditrice
  • Patricia Halmone, artiste peintre
  • Marc Menant, journaliste et écrivain
  • Benoit Ducene, traducteur et musicien
  • Elena Ducene, professionnelle de la culture
  • Anne Marie Begué-Simon, céramiste
  • Caroline Mollie, architecte-paysagiste, auteure
  • Marie-José Minassian, philosophe, écrivain
  • Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
  • Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg
  • Benoit Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Georgi Radev, médecin urgentiste SAU/SMUR
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • David Esfandi, psychiatre et addictologue
  • Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et auteur 
  • Jean-Louis Rouvillain, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Véronique Orth Weyers, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Eric Reboli, médecin urgentiste
  • Jean-Paul Ricci, chirurgien-dentiste
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin
  • Bernadette Meignan, médecin
  • Béatrice Fort, médecin hospitalier
  • Cyril Lecomte, psychiatre des Hôpitaux
  • Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
  • Xavier Larvor, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Pierre Quentel, chirurgien urologue
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Philippe de Chazournes, médecin généraliste
  • Jeanine Jemet, médecin généraliste
  • Chlotilde Véron, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin
  • Monique Sroussi, médecin
  • Monique Lamizet, médecin
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Pierre Bonhoure, kiné ostéopathe
  • Aurore Dessus, ostéopathe
  • Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue
  • Marie-Carole Fleury-Munier, médecin, rhumatologue
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin, ORL
  • Gisèle blanc, médecin
  • Cécile Loth, médecin du sport
  • Jean-Baptiste Mouzet, médecin
  • Bertand Jop, médecine, cardiologue
  • Maryline Costagliola, médecin pédopsychiatre hospitalier
  • Soraya Berreghis Mazery, médecin généraliste
  • Malina Canolle, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin gynécologue-obstétricien
  • Catherine Raulin, médecin ostéopathe
  • Pascale Chandy, médecin à l’hôpital de Challans
  • Francoise Douady, médecin
  • Francine Barouch, médecin 
  • Laurent Hervieux, médecin
  • Claude Chiche, médecin généraliste
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Philippe Lefebvre, médecin généraliste
  • Anne-Marie Begue-Simon, médecin
  • Isabelle de la Chaussée-Ruzzica, médecin
  • Jean-Paul Guérard, médecin
  • Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
  • Thi Linh Hoang, médecin acupuncteur
  • Virginie Thomas-Haag, médecin d’urgence
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Catherine Delmas, médecin
  • Christine Calatayud, infirmière
  • Jocelyne Cortier infirmière
  • Nathalie Hannhart, psychologue
  • Florie Gaeta, infirmière au Centre hospitalier de Bourges
  • Soizic Noël-Bourgois, infirmière, docteure en ethno-anthropologie
  • René Messagier, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Corinne Reverbel, docteur en biochimie
  • Janine Nazaire, docteur en chirurgie dentaire
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Rémi Saudax, pharmacien
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Justine Lewna, infirmière
  • Alice Uwamwezi, infirmière
  • Carole Jolly, infirmière
  • Pauline Ledoux, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, Infirmière
  • Nathalie Loizeau infirmière santé travail
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Daniel Robinson, médecin généraliste
  • Anne Maynadié, médecin généraliste
  • Richard Simon, cadre de santé
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier
  • Leïla Gofti-Laroche, praticien Hospitalier, PharmD, PhD Epi
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat
  • Vincent Reliquet, médecin, rédacteur en chef de l’Association Internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante
  • François Gastaud, médecin, chirurgien orthopédiste
  • Nicolas Tetaz ingénieur spatial
  • Laurent Durinck, anesthésiste
  • Olivier Lhoest, anesthésiste-réanimateur
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Christiane Lassalle, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin généraliste
  • Françoise Giorgetti-d’Esclercs, médecin ORL
  • Éric Portes, médecine générale
  • Valérie Papapietro, médecin généraliste
  • Catherine Solignac, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Véronique Chevalier, infirmière
  • Guillaume Renouf, infirmier
  • Marguerite Schnell, infirmière
  • Valérie Nesme, infirmière 
  • Nathalie Devaucoup, infirmière
  • Brigitte Agostini, infirmière libérale
  • Christine Wahl, kinésithérapeute
  • Nathalie De Vliegher, kinésithérapeute
  • Cindy Gual, ostéopathe
  • Léa B. Blanchet, ostéopathe
  • Alain Joseph, médecin généraliste
  • Francois Serres, médecin généraliste
  • Josiane Martelin, pharmacienne libérale
  • Anna Torra Campos, kinésithérapeute à l’hôpital Edouard Herriot
  • Rik Verhellen, chirurgien orthopédique
  • Éric Ménat, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Marie Hélène Lottin, médecin psychiatre
  • Céline Mouillon, pharmacienne et thérapeute
  • François de Chabalier, psychiatre
  • Delphine Rive, médecin généraliste
  • Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste
  • Sophie Conord, médecin radiologue
  • Françoise Robinson, médecin
  • Thuy Chi Nguyen, médecin
  • Anne Crepy, médecin
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Raphaële Vangrevelinghe, médecin, chirurgie dentaire, pédiatrie
  • Paul-André Bellot, chirurgien-dentiste
  • Paul Bousquet, docteur en médecine, évaluateur de risques sanitaires
  • Jean-Christian Prévost, ostéopathe
  • Valérie Giraud, sage-femme, sexologue
  • Cléchet Sylvie, infirmière
  • Sonia Joyeux-Bouillon, radiologie médicale
  • Youssouf Djonouma, médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Eric Delcour, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste
  • Hélène De Cristoforo, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Claire Delval, médecin généraliste
  • Christiane Renard, médecin généraliste
  • Geneviève Gueymard, médecin généraliste
  • Béatrice Petit, médecin généraliste
  • Romain Dupont, médecin interniste à l’Hôpital Joseph Ducuing
  • Bénédicte Dassonville, médecin Ingénieur ENSH, psychothérapeute
  • Stéphane Ottin Pecchio, médecin rhumatologue
  • Pascale Allanic Gabsi, psychologue
  • Laurence Maury, psychologue
  • Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute
  • Gérard Martinez, psychologue clinicien
  • Sylvie Blasquez, psychologue clinicienne 
  • Muriele Savigny, médecin psychiatre
  • Juliette Bianchi, médecin psychiatre
  • Vladislav Lebedko, médecin psychiatre
  • Sarah Loyer, psychologue
  • Anne-Marie Bras Le Coadout, psychologue
  • Aurélie Vantard, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Alain Picard, pharmacien
  • Valérie Lecomte, infirmière
  • Khadidja Meziani, infirmière
  • Jean-Roch Aubertein, infirmier
  • Jocelyn Croze, praticien hospitalier en Odontologie
  • Alain Brunel, docteur en biologie, enseignant
  • Céline Grenier, infirmière
  • Françoise Rodary, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Michel Thomas, médecin généraliste
  • Horia Far, aide-soignante au CHU de Nice
  • Mathilde Taverne, masseur-kinésithérapeute
  • Benoît Quentin, kinésithérapeute
  • Christelle Guicherd, psychologue clinicienne
  • Nathalie Pilot-Maier, préparatrice en pharmacie
  • Béatrice Stantina, aide-soignante/auxiliaire de vie
  • Valérie Perrochet, assistante sociale en hospitalisation à domicile
  • Fausto Lanzeroti, masseur-kinésithérapeute
  • Sandrine Cauvin, masseur kinésithérapeute
  • Élisabeth Angoujard, radiologue 
  • Hélène Debruyne, orthophoniste 
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Julie Croze, orthophoniste
  • Sylvie Ruiz, infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Mathieu Armessen, ostéopathe
  • Pauline Rigollier, masseur kinésithérapeute 
  • Jocelyne Ndoye, psychologue
  • Sandra Rayer, psychologue
  • Viviane Truel, psychologue clinicienne
  • Dominique Porquez, aide-soignante à l’hôpital
  • Anne-Claire Monfroy Gauchier, masseur-kinésitherapeute
  • Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne-nutritionniste
  • Lidwine Loire, aide-soignante, services de soins infirmiers à domicile
  • Catherine Vincent, aide-soignante
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Samuel Reslinger, aumônier hospitalier 
  • Françoise Gaillard, aide-soignante
  • Hervé Bery, auxiliaire de vie
  • Rose-Marie Castello, médecin
  • Jeanne-Marie Brossollet, chirurgien-dentiste
  • Soisik Ghesquières, masseur-kinésithérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Nathalie Caradot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Patrick Frayssinet, médecin, docteur ès sciences, directeur de recherche dans l’industrie
  • Julie Lioré, anthropologue
  • Laurent Trémel, sociologue
  • Thierry Raffin, sociologue et historien, docteur de l’EHESS
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie, conseiller au Pôle Emploi
  • Mathias Teichner, agrégé de sciences économiques et sociales
  • Catherine Lucquiaud, ingénieur de recherche
  • Hervé Laloy, professeur de philosophie
  • Françoise Marie, éducatrice spécialisée
  • Franck Lepage, militant d’éducation populaire à l’Ardeur
  • Thierry Rouquet, éducateur populaire à l’Ardeur
  • Gérard Masselin, enseignant en CPGE
  • Pascal Borde, enseignant en CPGE
  • Sophie Thoron-Salert, enseignante
  • Emmanuelle Azevedo, professeur des écoles
  • Cécile Mencaglia, professeur des écoles
  • Sandrine Barbelin, professeur des écoles
  • José Mata Diaz, professeur d’Espagnol
  • Lys Sanagustin, professeur d’Espagnol
  • Charles-Emeric Gauthier, professeur d’Anglais
  • Christelle Pangallo, professeur d’Anglais
  • Alice Ageron, professeur d’Anglais
  • Pete Barker, professeur d’Anglais
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de Mathématiques
  • Sophie Amand, professeur de sciences économiques et sociales
  • Marie Vantis, enseignant/formateur d’arts appliqués
  • Jean-Louis Delahaut, professeur d’enseignement artistique
  • Gilles Plunian, enseignant EPS et psycho-ergonome 
  • Raphaël Leloup, professeur d’EPS
  • Christine Zeppenfeld, proviseure-adjointe
  • Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation, psychologue
  • Martine Boury, cadre supérieur de la fonction publique
  • Jésus Sanchez, docteur en psychologie sociale, ancien directeur de recherche au CTNERHI
  • Christine Pinard, professeure de lettres modernes 
  • Jean-Marc Gringoz, enseignant d’EPS
  • Frédéric Gobert, enseignant
  • Alain Letombe, enseignant
  • Christianne Joubert, enseignante
  • Tony Marzucchetti, professeur des écoles 
  • Julie Raveau, professeure des écoles
  • Michèle Rey, professeur des écoles retraitée
  • Heike Freire, philosophe et psychologue
  • Valérie Pradier, professeur des écoles
  • Sophie Melilli, professeur des écoles
  • Anne-Léa Le Goff, professeur d’espagnol
  • Monique Bernardini, enseignante et responsable associative
  • Danielle Deville, professeur CPGE Sciences Physiques, retraitée
  • Isabelle Pruvot, enseignante en lycée
  • Fatma Djoubri, professeure de SES
  • Thierry Flaget, conseiller d’éducation
  • Nadine Mauviel, professeur (R) d’histoire-géographie
  • Sandrine Napoléone, professeur des écoles
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques
  • Joseph Rivière, professeur d’histoire-géographie
  • Angélique Silva, enseignante spécialisée dans le 1er degré
  • Jean Charles Renavot, retraité de l’éducation nationale
  • Marie-Pierre Larras, ancienne professeur de lettres
  • Nicolas Vantis, docteur ingénieur, enseignant en mathématiques et sciences
  • Arthur Roncetto, bibliothécaire
  • Camille Secret, enseignante en CFA
  • Catherine Avice, enseignante
  • Sabine Calvino, enseignante
  • Françoise Ternoy, éducatrice spécialisée, psychomotricienne
  • Carole Jensen, AESH en classes ULIS
  • Marc Lepoivre, professeur de culture générale en BTS
  • Alaric Titeux, enseignant de la conduite
  • Anne Pajard, ingénieure d’étude
  • Guillaume Saint Pierre, statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Pierre-Olav Lego, ingénieur
  • Bernard Cornut, ingénieur
  • Rosolino Lionti, Ingénieur
  • Djamil Ramdane, ingénieur du contrôle de la navigation aérienne
  • Pascale Moro, ingénieur dans le spatial
  • Paolo Musardo, ingénieur électronicien
  • Luc Petitnicolas, référent Mastère Entrepreneuriat Numérique Responsable R&D en projet numérique
  • Danièle Guéguen, inspectrice à la CAF
  • Pauline De Castro, conseillère sociale
  • Angélique Leblanc, surveillante en Maison d’Accueil Spécialisée
  • Jacques Quach, consultant Systèmes d’Information
  • Sophie Rey, éducation nationale
  • Luc Baillet, architecte, sécurité sanitaire environnementale
  • Marion Baillet, architecte
  • Rémi Astier, actuaire



Invité dans l’émission Bourdin Direct sur BFM TV, Gilles Pialoux a tenu à répondre aux fake news voulant remettre en question l’efficacité du vaccin contre la Covid-19. Mais, qui est Gilles Pialoux ?

[Source : LE BLOG DU DOCTEUR JO (jesuismalade.org)]

Par Docteur Alain Joseph

Ci-dessous le lien de l’interview de Gilles Pialoux par Bourdin :

HTTPS://WWW.GALA.FR/L_ACTU/NEWS_DE_STARS/GILLES-PIALOUX-TORD-LE-COU-AUX-FAKE-NEWS-IL-RETABLIT-UNE-VERITE-SUR-LE-VACCIN_475210

[Lien direct : Gilles Pialouxface à Jean-Jacques Bourdin en direct – 25/08 (bfmtv.com)]

Ci-dessous les liens d’intérêts du sieur Pialoux qui officiellement ne touche pas de rémunérations cachées des nombreux laboratoires qui l’utilisent :

HTTPS://CNS.SANTE.FR/WP-CONTENT/UPLOADS/2016/10/DPI2016_PIALOUX_GILLES.PDF


Vous pouvez remarquer que Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Tenon, travaille gratuitement (sauf les frais de déplacement – ce qui est normal) comme investigateur principal, investigateur coordinateur ou co-investigateur (parfois les 3 ensemble) pour les laboratoires suivants :
Gilead, Pfizer, GSK, Janssen (vous les connaissez, ces quatre là – pour leurs magnifiques, splendides, superbes, (sauveurs de l’humanité en la réduisant), vaccins et tout le saint glin glin… mais aussi BMS, Iatec, MSD, Tibotec, InnaVirVax, Abbvie, Abbott Bristol Meyer Squibb, Imea… n’en jetez plus, et je ne mentionne pas tout.

Il faut Mr Pialoux, annoncer vos conflits d’intérêts avant de prendre la parole. C’est une obligation légale que vous enfreignez. Un peu d’honnêteté monsieur le professeur. C’est vous le porteur de fake news.

Les vaccins contre la covid 19 sont non seulement inefficaces mais sont dangereux. Vous même Mr Pialoux n’êtes pas vacciné même si vous prétendez le contraire car vous avez peur de ces vaccins et je suis très bien renseigné à ce sujet. Tout se sait Mr Pialoux même ce que vous croyiez secret. Quand vous vous êtes inscrit en médecine, pensiez vous en arriver à dire haut et fort des choses dont vous connaissez pertinemment la fausseté ? Est-ce que vous pensez que votre titre vous mets à l’abri du mensonge et que vous pouvez pérorer ainsi tel un valet ? Réfléchissez un tantinet devant la mousse à raser le matin avant de vous rendre dans votre service. Ce que vous faites, et ce que vous dites à Bourdin – qui aurait dû vous demander vos liens et conflits d’intérêts – ne correspond nullement à l’image que le public se fait d’un chef de service hospitalier. Ressaisissez vous professeur Pialoux, un peu de panache que diable !

Arrêtez de dénoncer des fakes news qui correspondent à la Vérité par d’autres fakes news; le système est éculé et vieux comme Hérode. Personne ne vous empêche de faire vos petits arrangements mais svp ne venez plus vous ridiculiser à la télévision. Restez chez vous, vous n’êtes pas crédible.




Économie mondiale : les pénuries freinent toutes les chaînes d’approvisionnement

[Source : businessbourse.com]

Par Michael Snyder

L’économie mondiale était censée revenir à la « normale », mais au lieu de cela, de plus en plus de problèmes éclatent chaque jour qui passe. Au moment où j’écris cet article, les chaînes d’approvisionnement de la planète sont dans un état de chaos. La pénurie mondiale de puces informatiques rend les choses très difficiles pour des milliers et des milliers de fabricants, le processus de déplacement des produits à travers nos océans est devenu incroyablement coûteux et est souvent entravé par des retards horribles, et le manque de chauffeurs de camion cause d’énormes maux de tête quand il s’agit de transporter les marchandises aux détaillants et aux consommateurs en temps voulu. Nous n’avons jamais rien vu de tel auparavant, et à ce stade, même CNN admet que « la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales s’aggrave »…

Le vaste réseau de ports, de porte-conteneurs et d’entreprises de camionnage qui transporte des marchandises à travers le monde est très perturbé et les coûts d’expédition montent en flèche. C’est une nouvelle troublante pour les détaillants et aussi pour les consommateurs.

Plus de 18 mois après le début de la pandémie, la perturbation des chaînes d’approvisionnement mondiales s’aggrave, provoquant des pénuries de produits de consommation et rendant plus coûteuse pour les entreprises l’expédition des marchandises là où elles sont nécessaires.

Plus tôt cette année, certains des optimistes économiques prévoyaient que nous connaîtrions un formidable « boom économique » au cours de la seconde moitié de 2021.

Mais maintenant, nous sommes confrontés à des étagères vides, à des pénuries et à des casse-têtes majeurs dans les mois à venir.

Un responsable du transport maritime interrogé par CNN a déclaré que les choses ne s’amélioreraient pas avant « le premier trimestre de 2022 au plus tôt »…

Les compagnies maritimes s’attendent à ce que la crise mondiale se poursuive. Cela augmente énormément le coût du transport des marchandises et pourrait s’ajouter à la pression de la hausse sur les prix à la consommation.

« Nous prévoyons actuellement que la situation du marché ne s’améliorera pas avant le premier trimestre 2022 au plus tôt », a déclaré le directeur général de Hapag-Lloyd, Rolf Habben Jansen, dans un récent communiqué.

Ici aux États-Unis, bon nombre d’experts font maintenant des prédictions très sombres sur la prochaine saison des vacances.

Mais nous ne sommes certainement pas les seuls. Au Royaume-Uni, il est rapporté que la « pire crise de la chaîne d’approvisionnement depuis les années 1970 » pourrait potentiellement « ruiner la période de Noël ».

L’un des gros problèmes auxquels les Britanniques sont confrontés est une pénurie sans précédent de chauffeurs de camion et d’employés d’entrepôt. Les chefs d’entreprise demandent que davantage de travailleurs européens soient autorisés à entrer dans le pays, car ils pensent que cela contribuerait à atténuer cette crise.

Les étagères vides et les pénuries sont désormais une réalité quotidienne au Royaume-Uni, et certaines grandes chaînes de restauration rapide sont désormais contraintes de supprimer complètement certains articles de leurs menus

Le manque de certains produits dans les rayons des supermarchés a été repéré à travers le pays en raison d’une combinaison de facteurs, notamment la pénurie de chauffeurs de camion et le Covid.

Les problèmes des fournisseurs ont également entraîné des pénuries dans les chaînes de restauration rapide comme McDonald’s, Nandos et KFC , certains articles manquant dans les menus et les succursales fermées.

Greggs est le dernier à dire qu’il manque de plats préférés et que Costa Coffee a réduit son menu en raison du chaos de la chaîne d’approvisionnement.

Pouvez-vous imaginer entrer dans un McDonald’s et ne pas pouvoir commander un milk-shake ?

Malheureusement, cela est maintenant devenu une réalité dans tous les endroits du Royaume-Uni…

McDonald’s a déclaré avoir retiré les laits frappés du menu de ses 1 250 restaurants britanniques en raison de problèmes d’approvisionnement liés à une pénurie de chauffeurs de camion.

La chaîne de restauration rapide dit qu’elle connaît également des pénuries de boissons en bouteille.

Ici, aux États-Unis, nous sommes confrontés à des problèmes similaires.

À ce stade, il est rapporté que trouver de nouveaux chauffeurs de camion à embaucher dans ce pays est « presque impossible »…

Trouver des chauffeurs de camion est « presque impossible », a-t-il déclaré, alors que les coûts de transport augmentent quotidiennement. Les commandes de l’entreprise arrivent en retard et sont donc confrontées à des retards d’envoi aux clients. Du côté de l’envoi, les livraisons ponctuelles sont toujours supérieures à 50 % mais ont chuté par rapport au taux habituel de plus de 90 %.

« Nous pensions tous que ce serait fini maintenant. C’est juste une chose après l’autre », a-t-il déclaré. « Cela va être la norme pendant encore un certain temps. »

Depuis des décennies, nous pensions que nous avions largement suffisamment de chauffeurs de camion. Nous les payons mal, nous les traitons comme de la merde et nous les faisons travailler des heures ridiculement longues.

Mais sans chauffeurs routiers, notre pays ne peut tout simplement pas fonctionner.

De nos jours, la plupart des jeunes ne veulent pas d’emplois qui demandent beaucoup de travail physique et qui ne sont pas très bien rémunérés. Au lieu de cela, ils préfèrent gagner de l’argent en produisant des vidéos Tik Tok ou en devenant des influenceurs Instagram.

Traditionnellement, les chauffeurs routiers sont des hommes forts et physiques avec des valeurs traditionnelles. Bien sûr, notre société aime diaboliser ces individus de nos jours, mais peut-être que cette crise fera comprendre à tout le monde que nous avons réellement besoin d’eux.

Même si nous avions suffisamment de chauffeurs routiers, nous serions toujours confrontés à un large éventail de pénuries en raison de la pénurie mondiale de puces informatiques

Une pénurie mondiale de puces informatiques cause de gros casse- tête aux fabricants américains.

La pandémie du COVID-19 a provoqué la perturbation des chaînes d’approvisionnement et de la fabrication dans le monde entier. Les fabricants de puces informatiques en Asie ont été particulièrement touchés. Et cela signifie que les entreprises qui fabriquent des produits qui reposent sur de telles puces en ressentent les effets.

Comme je l’ai déjà dit, la pénurie de puces informatiques cause d’énormes maux de tête à des milliers d’autres industries.

Nous n’aurions jamais dû devenir aussi dépendants de la production de puces en provenance d’Asie, et maintenant nous en payons le prix fort.

Hier, j’ai discuté du fait que Kamala Harris avertit les parents d’acheter leurs cadeaux de Noël maintenant en raison des graves pénuries qui se profilent à l’horizon.

Sur Fox News, le contributeur Leo Terrell a déclaré que cela « semble être un signe d’avertissement très inquiétant« …

Le contributeur de Fox News, Leo Terrell, s’est dit préoccupé mardi sur  » Fox & Friends  » que les démocrates souhaitent confiner à nouveau l’économie américaine après que la vice-présidente Kamala Harris a conseillé aux acheteurs d’envisager d’acheter des cadeaux de Noël maintenant en raison de problèmes de chaîne d’approvisionnement mondiale.

LEO TERRELL : « Cela me fait peur parce que cela ressemble à un confinement à venir, on dirait que nous allons nous attendre à ce que l’économie soit à nouveau verrouillée. Et c’est effrayant. Encore une fois, les démocrates ont utilisé la pandémie pour contrôler les Américains. Et fondamentalement, cela ressemble à un signe d’avertissement très dangereux.

Oui, je qualifierais certainement sa déclaration de « signal d’avertissement ».

Ce ne sera pas une période de vacances « normale ».

Et 2022 ne sera certainement pas non plus une année « normale ».

Nous sommes entrés dans une période folle, et nos dirigeants ne feront que devenir encore plus fous.

Beaucoup de gens ne voulaient pas écouter les avertissements de gens comme moi au début, mais maintenant, voir des étagères vides et de telles pénuries, commence à réveiller certains d’entre eux.

Notre infrastructure économique est ébranlée, et beaucoup commencent à se rendre compte que l’économie américaine « invincible » n’est en fait pas si invincible après tout.

Source: theeconomiccollapseblog – Voir les précédentes interventions de Michael Snyder




La vaccination devrait être rendue obligatoire cette semaine en France

[Source et auteur : Nicolas Bonnal]

La vaccination va être rendue obligatoire cette semaine en France (et ailleurs ?). Dixit Attal. Covidtracker.fr réclame 100% de vaccinés sur l’autel de la Bête. On va rigoler. Terreur républicaine en mode turbo tueur. Guerre et extermination au programme.

71.6 % des Français ont reçu au moins une dose de vaccin, 
63.9 % ont reçu toutes les doses requises.

Il reste à vacciner
28.4 % des Français avant d’atteindre un taux de vaccination de 100%.

VaccinTracker Combien de français ont été vaccinés contre la Covid19 ?

Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal

INVITÉ RTL – Dans la lignée de ce qu’avait annoncé Emmanuel Macron le 12 juillet dernier, Gabriel Attal n’exclut pas la mise en place de la vaccination obligatoire pour tous les Français.

https://www.rtl.fr/actu/politique/vaccination-obligatoire-contre-le-coronavirus-a-peut-venir-a-un-moment-declare-attal-7900065819

Gabriel Attal au Grand Jury, dimanche 29 août 2021.

Gabriel Attal au Grand Jury, dimanche 29 août 2021 :

Vaccination obligatoire contre le coronavirus : « Ça peut venir à un moment », déclare Attal (rtl.fr)

Emmanuel Macron avait fait planer la menace d’un recours à la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour tous les Français, le 12 juillet dernier. Depuis, où en est-on ?  « On tend vers les 50 millions de Français ayant reçu une première dose », s’est-il félicité le porte-parole du gouvernement lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI ce dimanche 29 août. 

Interrogé sur la question d’une vaccination obligatoireGabriel Attal a estimé que « ça peut venir à un moment ». « Si on avait abordé cette campagne de vaccination en disant que le vaccin était obligatoire, je ne suis pas sûr qu’on en serait au résultat d’aujourd’hui », a-t-il néanmoins fait valoir. 

Quant aux manifestations contre le passe sanitaire et le vaccin, le porte-parole du gouvernement pointe du doigt « l’instrumentalisation de ces peurs, de ces craintes et de ces doutes à des fins politiques ». Il dénonce « l’hystérisation » faite par les « leaders » de ces mouvements et cite notamment l’ancien bras droit de Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle de 2017 Florian Philippot. 




Chômage | Un massacre social : « Nos dirigeants ont choisi de sacrifier des millions de Français », Benoît Collombat; Samuel Churin

[Source : Aphadolie]

Durée : 34 mn 52 / [1/3]

Certaines mesures de la réforme de l’assurance chômage devaient en vigueur au 1er juillet 2021. Le mode de calcul des allocations a été suspendu par le Conseil d’État mais le président affirme que les dernières mesures s’appliqueront au 1er octobre.

Synopsis :

« Ce qu’il faut bien que les gens comprennent, c’est que cette réforme, c’est la pire des réformes depuis le Conseil National de la Résistance, depuis 1946. C’est la plus grande attaque contre les pauvres. Oser faire plus d’un milliard d’euros d’économie par an sur les plus pauvres d’entre nous, c’est un immense scandale. »

« Sur le fond, cette réforme est un tel scandale que je ne vois pas comment le Conseil d’État pourrait ne pas la retoquer totalement. »

Le Conseil d’Etat a suspendu les règles de calcul du montant de l’allocation chômage qui devaient entrer en vigueur le 1er juillet. Cette réforme, très décriée par les syndicats, modifie les règles de calcul des allocations chômage et instaure un système de bonus-malus pour les entreprises qui abuseraient des contrats courts. Le gouvernement avance que ce nouveau système luttera contre le recours aux contrats courts qui a explosé ces dernières années.

Cependant dans sa philosophie et surtout dans le contexte de crise économique due au Covid-19, la mise en œuvre de ce mode calcul se traduirait surtout par une précarisation pour des millions des d’intermittents et de précaires.

C’est en tout cas l’avis de Samuel Churin, comédien, porte-parole de la coordination des intermittents et précaires et membre du CNNR. Pour lui cette réforme va provoquer une catastrophe sociale et produire des inégalités de traitement entre les précaires. Ce serait aussi une rupture fondamentale avec le fonctionnement de l’assurance chômage.

La réforme avait déjà été suspendue à plusieurs reprises par le gouvernement à cause Covid-19. Mais l’exécutif reste déterminé à la faire passer. Le conseil n’a pas jugé sur le fond. Le ministère du Travail n’attend pas ce jugement et prépare déjà un autre projet de décret pour appliquer la nouvelle formule de calcul à compter du 1er octobre.


Bonus…

Durée : 1 mn 30 / [2/3]

La crise voulue et souhaitée par les serviles représentants de l’oligarchie – Georges Pompidou (Juin 1967).


Durée : 39 mn 55 / [3/3]

Synopsis :

Le chômage de masse est un choix, et non une fatalité : c’est la conclusion de la longue enquête de Benoît Collombat, journaliste et grand reporter, France Inter. Dans cet entretien, Salomé Saqué interroge le journaliste d’investigation sur ces moments clés où tout a basculé.

Comment et pourquoi les hommes politiques ont « remis les clés » de l’organisation du monde à la finance ?

Récit d’une victoire idéologique, celle du néolibéralisme.


Sources :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Benoît_Collombat

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15030

https://travail-emploi.gouv.fr/le-ministere-en-action/nouvelles-regles-d-assurance-chomage/

https://www.journaldunet.com/management/guide-du-management/1197771-reforme-du-chomage-le-nouveau-calcul-suspendu-par-le-conseil-d-etat/

https://travail-emploi.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/assurance-chomage-la-reforme-entre-en-vigueur-ce-1er-juillet-2021

Le site : https://www.blast-info.fr/

Twitter : https://twitter.com/blast_france

Facebook : https://www.facebook.com/blastofficiel

Instagram : https://www.instagram.com/blastofficiel/

Vidéo :

[1] RÉFORME DU CHÔMAGE : UN MASSACRE SOCIAL – BLAST – Le souffle de l’info / YouTube

[2] L’ultralibéralisme : Georges Pompidou (Juin 1967) – Mr Aphadolie / YouTube

[3] CHÔMAGE : NOS DIRIGEANTS ONT CHOISI DE SACRIFIER DES MILLIONS DE FRANÇAIS – BLAST – Le souffle de l’info / YouTube

Photo :

Pour illustration

Voir notamment :

Lorsque le PDG de la JP Morgan demande à François Hollande de supprimer les droits aux salariés s’il veut que Paris devienne une City




Les CDC comptent les personnes qui meurent dans les 14 jours après avoir reçu le vaccin Covid comme des « non-vaccinés »

[Source : anguillesousroche.com]

Une nouvelle étude des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) est utilisée par les médias grand public pour tenter d’effrayer les Américains et les inciter à se faire vacciner avec le vaccin anti-Covid.

Par exemple, un article intitulé « Les résidents de Los Angeles non vaccinés avaient 29 fois plus de risques d’être hospitalisés à cause du COVID-19 : étude CDC » a été publié par Yahoo Finance en début de semaine…

Rapports de Global Research : Citant le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité du comté de Los Angeles publié mardi, même les nouvelles locales ont fait la promotion de l’affirmation selon laquelle « les résidents non vaccinés du comté de Los Angeles [sont] 5 fois plus susceptibles de contracter le COVID, 29 fois plus susceptibles d’être hospitalisés ».

En regardant une capture d’écran du communiqué des CDC, on peut observer les définitions de ce qu’ils considèrent comme « entièrement vacciné »« partiellement vacciné » ou « non vacciné ».

Selon le tableau,

« non vacciné <14 jours de réception de la première dose d’une série de 2 doses ou d’une dose du vaccin unidose ou si aucune donnée du registre de vaccination n’était disponible ».

Cela signifie que si une personne a été hospitalisée, admise en soins intensifs, a eu besoin d’une ventilation mécanique ou est décédée dans les deux semaines suivant l’administration du vaccin, elle est considérée comme « non vaccinée ».

Malheureusement, les données n’étant pas assez précises, nous ne savons pas combien de personnes réellement non vaccinées ont été hospitalisées ou sont décédées du Covid dans le comté de Los Angeles entre mai et fin juillet.

L’ensemble du rapport peut être jeté à la poubelle grâce à l’inclusion des personnes récemment vaccinées dans la catégorie des non-vaccinés.




Crise sanitaire : aidons nos proches à sortir de la manipulation

[Source : ripostelaique.com]

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

Les médias ont relayé les prévisions de Ferguson (Oxford) promettant des millions de morts du coronavirus. Les politiques affirmaient que nous allions vivre une épidémie à l’instar des grandes pestes médiévales ou des XVIIe et XVIIIe siècle. Je m’attendais à compter les morts par dizaines de millions dans le monde. J’imaginais que nous aurions une telle surmortalité que nos populations diminueraient, comme lors de ces pestes auxquelles les scientifiques faisaient référence. J’ai douté, quand début 2021, les données démographiques mondiales et françaises m’ont permis de constater deux choses. Les taux de mortalité étaient les mêmes que ceux des quarante dernières années et la population mondiale continuait de croître. Et, en France, ni surmortalité tragique, ni baisse de la population. Aucun signe d’une épidémie au sens des historiens et des démographes, alors que la chose avait été scrupuleusement ancrée dans nos esprits. Nous avons tous été manipulés par la technique de l’ancrage. Elle consiste à donner un premier avis sur un événement ou une personne pour marquer l’esprit. On nous a annoncé une épidémie, il suffisait de compter les morts pour avoir raison. Pour en sortir et aider nos compatriotes, il existe deux méthodes. La première, les aider à sortir de leur fiction en leur apportant d’autres informations. C’est le but de cet article à exploiter autour de vous. La seconde, donner envie d’agir contre les conséquences toujours plus délirantes dont les manipulateurs tirent profit pour imposer leur volonté.

1. La mise en perspective de la mortalité : épidémie ?

Commençons par apporter la preuve de cette réalité démographique par le tableau produit par l’INSEE.

Le taux de mortalité pour 1000 habitants en 2020 (en gras) est semblable à ceux des années 1982 à 1986 et inférieur même à celui de 1983 (10,1). Une épidémie au sens des historiens et des démographes aurait provoqué quelques centaines de milliers ou millions de morts sur un ou deux ans. Cela se traduirait par un taux de mortalité voisinant les 20/1000 habitants avec 1,2 millions de morts par exemple, ou même 40/1000 h. avec environ 2,5 millions de morts. La leçon est là. La démographie est une science des grands nombres et elle a cela de redoutable qu’elle nous met les choses en perspective. Redoutable pour les manipulateurs à la petite semaine.

2. La mise en perspective de la mortalité mensuelle et journalière

Les médias ne cessent de nous traumatiser par le décompte macabre des morts par jour, prenant bien soin de livrer en pâture un chiffre isolé, preuve manifeste d’une œuvre de propagande et de manipulation, puisque le commun des mortels (sans jeu de mot) ne peut rien comprendre de ce qu’il signifie. Faisons ici cet effort. Prenons le nombre de morts moyen des 10 dernières années : 595 000/an. Divisons-le simplement par 365 jours, cela nous donne 1630 décès par jour. Les démographes savent par le suivi depuis des années que ce nombre varie selon les saisons avec un nombre plus élevé l’hiver que l’été par exemple. Évaluons les morts de la Covid annoncés par les journalistes relativement à ces morts journaliers. Quand ils nous parlent de 50 morts, de 100 morts ou même de 150 morts attribués à cette maladie (sans oublier que la moitié de ces morts, ce sont des personnes de plus de 80 ans), nous parlons de 50 ou 100/1630. Il serait plus loyal de suivre ce nombre-là et son évolution en la comparant sur plusieurs années pour apprécier la surmortalité. Exemple, ce jour-ci, cette année, 1677 morts, l’année dernière 1546, l’année précédente 1708. Tout deviendrait plus clair.

Constatons que la surmortalité a été très faible. Sur ces 6 dernières années, les trois mois les plus mortifères sont mars et avril 2020, période où ce virus va tuer des personnes très âgées, mais comparable et même légèrement inférieur à janvier 2017, pic d’une épidémie de grippe sévère. Même avril 2020 (65 900) ne dépasse pas janvier 2017 (66 990).

Cette seconde mise en perspective montre que la mortalité mensuelle n’a pas été épidémique au sens des historiens et démographes. La mortalité journalière de même. Quand les chiffres des démographes démontrent l’inverse de la désinformation au jour le jour. À ce jour, les chiffres de l’INSEE pour les 6 premiers mois de 2021. À l’exception de janvier 2021 (65 500), les mois suivants sont dans la ligne des mois d’hiver (56 000 à 57 000 décès) et mai et juin marquent le reflux (51 200 et 44 300 en juin) totalement comparable aux mois de juin des 6 dernières années.

Les commentaires de l’institut sont sans appel :
« Le nombre moyen de décès enregistrés quotidiennement, qui avait un peu augmenté en janvier 2021 par rapport à fin 2020, a diminué ensuite jusqu’à la mi-mars pour se stabiliser sur un plateau jusqu’à début mai. Il baisse depuis. Au cours du mois de janvier, environ 2 150 décès ont été enregistrés en moyenne chaque jour contre 2 035 la deuxième moitié du mois de décembre. En février, le nombre moyen de décès quotidien diminue et s’établit à 2 040, avec une baisse entre la première quinzaine et la seconde quinzaine. La baisse qui s’était poursuivie la première quinzaine de mars (avec 1 880 décès en moyenne par jour), fait place ensuite à une relative stabilisation jusqu’à début mai (avec 1 900 décès en moyenne par jour entre la mi-mai et la fin avril). La première quinzaine de mai, le nombre moyen de décès s’établit à 1 750 par jour. Il continue de diminuer ensuite et s’établit en moyenne à 1 620 décès par jour la seconde quinzaine de mai, soit un niveau qui se rapproche de celui de 2019.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/5404610?sommaire=4487854

Et plus précisément encore, les tranches d’âges les plus jeunes meurent moins,, ce qui rend encore plus absurde les quelques cas exhibés en propagande concernant quelques jeunes décédés de la covid-19, pour ceux-là de manière certaine, évidemment :
« Le nombre de décès enregistré entre le 1er janvier et le 31 mai 2021 est inférieur à celui constaté sur la même période en 2019 pour les jeunes (- 12 % pour les moins de 25 ans) mais aussi pour les personnes âgées de 25 à 49 ans (- 5 %). Il est relativement stable pour les personnes âgées de 50 à 64 ans (+ 2 %). » (Insee)

3. Le critère de létalité

Le législateur comme le Conseil constitutionnel peuvent-ils alors se prévaloir d’une crise sanitaire au seul motif que le nombre de lits ne suffit pas à traiter des nouveaux malades ? Non, il s’agit-là d’une crise capacitaire, d’un mauvais dimensionnement de l’organisation hospitalière, d’un désordre dans le parcours de soin, entre les premiers soins de la médecine de ville, puis les cas graves à hospitaliser. La saturation hospitalière a largement résulté d’un interdit de soin en médecine de ville. N’ouvrons pas cette polémique. Mais y a-t-il un critère justifiant l’épidémie et la crise sanitaire ? Cherchons pour terminer du côté de la létalité. Une crise sanitaire n’a de sens pour limiter les activités économiques et atteindre aux libertés fondamentales, que si elle est de nature à tuer dans des proportions très élevée. C’est la létalité, soit le nombre de morts parmi les personnes ayant contracté la maladie sur une période. L’OMS et l’Institut Pasteur convergent pour un taux entre 0,5 % et 1 %, sachant qu’il varie selon les classes d’âge pour la covid-19. Quelle est la létalité du choléra ou d’Ebola par comparaison : pour le choléra, l’institut Pasteur mentionne deux données : 1,8 % et plus de 6 % pour les régions les plus exposées (https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/cholera). Cela signifie, 2 fois plus ou 5 fois plus. Pour Ebola, l’OMS mentionne un taux de 50 %, avec des variations liées à des flambées jusqu’à 90 %. En clair, vous l’avez, vous mourrez. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease). La table des létalités montre que la covid-19 est très très loin derrière ces épidémies dévastatrices. La peste bubonique, à laquelle certains comparaient à la hâte ce nouveau coronavirus à une létalité de 30 à 60 % sans traitement indique l’OMS. (https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/plague). Bref, chacun voit que les maladies fatales : peste, cholera, VIH (Sida) durant les premières années ont une létalité dramatique, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Il en est de même de la contagiosité, vitesse à laquelle une population diffuse en son sein la maladie.
Reste un dernier facteur qui serait celui de l’impuissance médicale. Il y a aussi crise sanitaire, ce qui fut le cas pour durant les premières années du Sida, avant l’avènement des traitements au milieu des années 90. Ce n’est pas le cas non plus.

En conclusion, que pouvons-nous dire sur les critères scientifiques qui permettraient de légitimer un état de crise sanitaire ? Que dire à nos amis encore sous l’emprise de cet ancrage ? Constatons-nous un pic de mortalité qui bouleverse les moyennes ? Non. Il aurait fallu doubler, tripler pour constater que la mortalité journalière explose vraiment. Rien de tout cela ne s’est produit, pas même lors des premiers mois de l’année 2020. Ce recul, nous démontre qu’il n’y a rien d’épidémique au sens premier de cette notion. Ni surmortalité, ni baisse de la population. Enfin, les deux derniers critères de létalité ou d’impuissance temporaire de la médecine n’existent pas. En conséquence, le législateur ne peut pas se prévaloir de critères qui motiverait un état de crise sanitaire du fait d’une hypothétique épidémie. Il faut éclairer nos élus, les députés en tête et plus encore réinformer nos concitoyens. Allez sur les sites, notez les chiffres, posez-leur des questions, dialoguez tranquillement, faites-les douter. Quand on est sous l’emprise d’un ancrage, il faut plusieurs discussions pour accepter d’interroger sa croyance. Il faut « désintoxiquer » nos contemporains.

Pierre-Antoine Pontoizeau




Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins

Par Nicolas Bonnal

La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n’est qu’un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu’elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.

Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s’en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin ; je vais reprendre ce qu’il écrit sur les vaccins :

« L’un des rares médecins à avoir osé s’élever contre le monopole médical, le Dr Robert Mendelssohn, en accentuant sa position contre la médecine moderne la définissait comme une église aux quatre eaux bénites. La première d’entre elles, la “Vaccination”. Le Dr Mendelsohn l’avait qualifiée de “sécurité douteuse”. Cependant, d’autres médecins ont été plus explicites. »

Mullins fait le lien avec le chevalier « chloros » de l’apocalypse. Il ne faut pas avoir peur de recourir aux symboles, car nos monstres au pouvoir y ont tout le temps recours (cf. la chouette à Macron, voyez vigilantcitizen.com [ou Macron et son hibou]). Mullins donc :

« De ces quatre éléments, que l’on pourrait aussi appeler les Quatre Cavaliers de l’apocalypse; surtout connus pour causer la mort et la destruction dans leur sillage et dont le plus pernicieux avec ses effets à long terme serait sans aucun doute la vaccination. Cette pratique va directement à l’encontre de la découverte des experts médicaux holistiques modernes que le corps à une défense immunitaire naturelle contre la maladie. »

Le vaccin est un sacrement au service des puissances :

« La religion de la médecine moderne prétend que l’unique absolution contre le péril de l’infection est dispensée par l’eau bénite de la vaccination. Donc en injectant dans le système biologique une infection étrangère qui fera alors un miracle médical et conférera une immunité à vie, d’où le terme “immunisation”. La plus grande hérésie qu’un médecin puisse commettre est d’exprimer publiquement tout doute sur l’une des quatre eaux saintes, mais la plus profondément ancrée dans la pratique médicale moderne est sans nul doute cette multitude de programmes de vaccination. »

L’obligation n’est pas venue avec le coronavirus ou autre ; elle a toujours été là :

« Pourtant, dans l’État de Virginie, et dans beaucoup d’autres États, les parents sont obligés de faire vacciner leurs enfants par la profession médicale qui se fait payer pour ce service, mais en fait également des clients et patients potentiels et assure son avenir. L’écrivain se souvient bien des années vingt, alors écolier en Virginie, où pendant des semaines alors qu’aucune obligation de vaccination ne soit ordonnée par les autorités, chaque matin, l’enseignant commençait les cours en demandant : “Clarence, as-tu apporté ton certificat de vaccination aujourd’hui ?” Apparemment, il s’agissait là de la plus urgente question du système éducatif, ayant priorité sur les questions telles que les leçons et les études. »

Et Mullins alors évoque justement le culte de Baal (au culte duquel nous fûmes initiés moi et les enfants de mon âge par la télévision gaulliste) :

« Dans mon livre “La malédiction du Canaan”, j’ai écrit sur le rite du sacrifice d’enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l’établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la Fraternité De La Mort. Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s’empresse d’accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d’un “style de vie alternatif” dans leurs préférences sexuelles. »

L’obsession pédophile et sacrificielle est déjà là :

« L’objectif actuel de l’Association Nationale de L’Éducation semble plutôt être la distribution à l’école de préservatifs par les enseignants, que le démarrage des activités de la journée.

L’urgence de ma vaccination n’était pas qu’il y ait une épidémie dans ma ville, Roanoke, ni pour dans les soixante années à venir. L’urgence était qu’aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n’échappe pas au sacrifice sur l’autel des pédophiles. »

Puis Mullins s’intéresse aux nombreuses, aux innombrables même morts inexplicables :

« Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu’environ 80% de ces décès sont dus à l’inoculation ou à la vaccination qu’ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de “mort naturelle”. Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. »

Mullins écrit même :

« Le Dr Clarke n’a jamais vu de cas de cancer chez une personne non vaccinée. »

Parlant du Sida, Mullins écrit :

« Le monopole médical cherche désespérément une sorte de “vaccination’’ contre ces fléaux, et finira sans aucun doute par concocter un “vaccin plus redoutable que la maladie elle-même’’. Depuis le début, nos experts médicaux les plus éminents nous ont fièrement informés que le SIDA est incurable, ce qui n’est guère l’approche que nous attendons de ceux qui exigent que nous acceptions leur infaillibilité en tout ce qui touche à la médecine. »

La pratique de la vaccination est déjà un danger universel il y a cinquante ans :

« …le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : ”La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l’État, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante, mais aussi l’outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu’elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombres du siècle dernier. »

Et l’on découvre que l’on préfère déjà les porcs aux humains :

« Tout à coup, d’Atlanta, est venu le plan du CDC pour une campagne nationale de vaccination contre la “grippe porcine”. Le fait qu’il n’y ait pas eu un seul cas connu de cette grippe n’a pas dissuadé Big Pharma de suivre le plan. Les éleveurs de porcs avaient été choqués par les démonstrations du vaccin sur quelques porcs, qui s’effondraient et mourraient. On peut aisément imaginer l’angoisse de Big Pharma jusqu’à ce qu’un jeune homme brillant remarque: “Eh bien, si les éleveurs de porcs refusent de l’injecter à leur bétail, notre unique marché restant est de l’injecter aux humains. »

Retour sur la grippe espagnole :

« En conséquence, les hôpitaux militaires ont été remplis, non pas de blessés de combat, mais de victimes du vaccin. L’épidémie s’appelait “la grippe espagnole”, une appellation délibérément trompeuse, qui visait à dissimuler son origine.

Cette épidémie de grippe a fait vingt millions de victimes; ceux qui ont survécu étaient ceux qui avaient refusé le vaccin. »

Et on ne parlera ni de la variole ni de la polio… Je vous laisse découvrir ce livre extraordinaire.

Sources




Selon Maître Carlo Brusa, les injections anti-Covid en France sont totalement illégales

[Source : Réaction19 (reaction19.fr)]




Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants

[Source : Truth11.com]

Open letter addressed to the European Medicines Agency (EMA) and its English equivalent (MHRA) by Holocaust survivors and some of their descendants.(([1] Holocaust survivors send open letter to the MHRA demanding an end to the Covid-19 Vaccine roll-out because they are seeing another Holocaust unfold before their eyes | Truth11.com))

Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants


August 25, 2021

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience. Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons.

En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de mi-1997 à fin 2013 — une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité.

Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Remarque pour (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Remarque pour (b): Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant numéros de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves, ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige : « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains.

Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus. Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques après la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés suite à la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code : « Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à tout moment, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, d’une compétence supérieure et d’un jugement prudent exigé de lui, que la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection.

La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thrombo-embolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin.

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils, filles et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.




L’exemple d’un grand Résistant : Stéphane Hessel

[Source : Cairn.info]

La vie miraculeuse de Stéphane Hessel(([1] Ce texte s’inspire d’un discours que l’auteur a tenu au Rotary Club de Cabourg lors de son Meeting du 23.10.2017 au Grand Hôtel de Cabourg.))

De Berlin à Paris : Jules et Jim

Stéphane Hessel est né le 20 octobre 1917 à Berlin, « l’année de la révolution soviétique », aimait-il à rappeler, dans une famille juive convertie au luthéranisme. Son père Franz Hessel ,(([2] En hommage à Franz Hessel un prix franco-allemand de littérature contemporaine a été conçu et organisé par la Villa Gillet à Lyon et la Fondation Genshagen. Depuis 2010 ce prix récompense chaque année de jeunes auteurs d’expression française et allemande. Le prix reçoit le soutien du Délégué du gouvernement fédéral allemand pour la Culture et les Médias (BKM) et du Ministère français de la Culture et de la Communication.)) un écrivain et traducteur, s’installe en 1906 à Paris où il rencontre une jeune peintre allemande, Hélène Grund. Ils se marient à Berlin en 1913, avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale. De ses années parisiennes, Franz Hessel a conservé l’amitié d’Henri-Pierre Roché, peintre, écrivain, collectionneur. La paix revenue, ils se retrouvent lors de vacances en Bavière où Hélène succombe au charme d’Henri-Pierre Roché. La mère de Stéphane aime donc Henri-Pierre Roché qui reste le meilleur ami de son père. En 1924, Hélène Hessel décide de venir vivre à Paris avec ses enfants Stéphane, 7 ans, et son frère Ulrich 10 ans, auprès de son amant. Henri-Pierre Roché a décrit cette relation triangulaire dans un roman Jules et Jim, le livre a paru en 1953. Le film de François Truffaut, sorti en 1962, immortalise « le ménage à trois » des parents de Stéphane Hessel avec Henri-Pierre Roché. Pour mémoire, les acteurs en sont Jeanne Moreau, Oskar Werner et Henri Serre.

Stéphane Hessel est élève de l’École alsacienne où il est reçu au bac philo en juillet 1933. Il n’a pas seize ans. Sa mère l’inscrit ensuite à la London School of Economics où l’on enseigne l’économie et la diplomatie. En juillet 1937, Stéphane Hessel est reçu au concours d’entrée de Normale sup. Le 20 octobre 1937, date de son vingtième anniversaire, il obtient son décret de naturalisation.

De la résistance au camp de concentration de Buchenwald

En 1939, quand le gouvernement décrète la mobilisation générale, il est affecté à l’école des aspirants de Saint-Maixent. La même année il se marie avec Vitia Mirkine Guetzévitch.(([3] Après le décès de Vita Mirkine Guetzévitch en 1985 Stéphane Hessel s’est remarié deux ans plus tard avec Christiane Chabry.)) À peine le mariage scellé, Stéphane Hessel rejoint son régiment près de Forbach. Prisonnier de guerre, il a écouté le discours que le général de Gaulle a prononcé à la radio de Londres le 18 juin 1940 prononcé sur les ondes de la BBC, un appel aux armes dans lequel il demande de ne pas cesser le combat contre le Troisième Reich. L’appel du Général de Gaulle n’avait pas eu un grand écho immédiat. Dans ses Mémoires de Guerre, de Gaulle évoque les prémices de l’Appel du 18 juin et la situation dans laquelle il se trouvait à Londres au début de ce mois de juin 1940 : « Je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendait franchir à la nage. ».(([4] Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, T1, L’Appel 1940-1942, Plon Paris 1959.)) Le gouvernement de Vichy le caricaturait comme « “Colonel en retraite” sans importance… ».

Stéphane Hessel décide sans hésitation de rejoindre la France libre à Londres. Le 20 mars 1941, Stéphane Hessel pose le pied en Angleterre à Bristol. Un mois après son arrivée, il franchit enfin le seuil du siège des Français libres à Carlton Gardens. On le dirige en juin vers Camberley, dans le Surrey, où s’opère le dispatching des volontaires. Durant neuf mois, il suit comme membre des Forces aériennes françaises libres une formation de la Royal Air Force comme navigateur. En mars 1942 il passe l’examen et devient air observer.

Le contingent français qui a suivi le Général de Gaulle en Angleterre n’étant pas très nombreux, celui-ci a pris l’habitude d’inviter de temps en temps – peu importe leur rang militaire – quelques volontaires de l’armée française libre à un déjeuner à sa résidence à Londres, qui se trouvait à l’hôtel Connaught, Carlos Place, Mayfair. Stéphane Hessel a été un des rares qui aient eu en mai 1941 le privilège d’être invité à la table du Général et de Madame de Gaulle. Il décrit en ces termes cette seule rencontre personnelle qu’il ait eue avec le Général : « Je le trouve beau, grand, j’aime bien sa façon de s’exprimer. Il se montre très courtois dans l’écoute de ses invités en prenant garde de ne pas trop écraser le déjeuner de sa présence. ».(([5] Manfred Flügge, Stéphane Hessel – Ein glücklicher Rebell, Aufbau Verlag, Berlin 2012, p. 80.)) En surmontant sa timidité il lui a confirmé l’admiration que les étudiants, et en particulier les normaliens ont exprimée pour son engagement à côté des Alliés et de leur dégout concernant la position prise par le Maréchal. Selon Hessel, la manière dont le Général s’exprimait, plutôt dans une manière littéraire que militaire, a facilité leur rapport. Madame de Gaulle observait une distance sans jamais dépasser les strictes conventions. Pour Stéphane Hessel la pression sur de Gaulle exercée par les autorités britanniques était visiblement énorme. Il a gardé de lui l’image d’un leader fier et jeune…

Ses supérieurs à Camberly jugèrent que ses capacités multilingues pourraient être plus utiles pour la libération de la France que ses connaissances comme navigateur dans les Forces aériennes françaises libres. Après un séjour de trois ans en Angleterre Stéphane Hessel accepte de rejoindre les services du contre-espionnage, c’est-à-dire le Bureau de renseignements et d’action (BCRA). Pour sa mission d’action à Paris où il arrive fin mars 1944 il prend le pseudonyme GRECO. Hélas, son service n’a duré qu’une centaine de jours : le 10 juillet 1944 il se fait arrêter lors d’un piège tendu par la Gendarmerie française au Café des Quatre Sergents, pas loin du cimetière Montparnasse où 70 ans plus tard il est enterré.

Après des interrogatoires – pour ne pas dire tortures – par la Gestapo à son siège parisien, 84 Avenue Foch, Hessel est déporté le 8 août 1944 au camp de concentration de Buchenwald (Weimar) où il arrive le 16 août 1944 comme prisonnier # 10003. Condamné à mort il arrive à survivre grâce à l’intervention incroyable d’un autre prisonnier, Eugen Kogon. Celui-ci, attaché au médecin-en-chef de Buchenwald, arrive à transférer à Stéphane Hessel l’identité d’un autre jeune français, Michel Boitel d’Amiens, mort le 20 octobre 1944 du typhus. Le même jour, son 27e anniversaire, la Ville de Weimar a établi un certificat de décès attestant la mort de « Stéphane Hessel, né à Paris, étudiant de philosophie ». Jusqu’à sa libération en mai 1945, Stéphane Hessel a donc porté le nom de Michel Boitel. Après sa libération, il a déclaré que, à plusieurs reprises que c’était « grâce à sa mort [qu’il avait] pu survivre ». Dans ce contexte macabre, il est étonnant que la même Ville de Weimar, exactement 68 ans plus tard, a refusé de décerner à Stéphane Hessel, devenu une célébrité mondiale, à l’occasion de son 95e anniversaire le 20 octobre 2012 sa citoyenneté d’honneur « par manque de justification des relations particulaires » avec cette ville.

Roland Dumas, ancien ministre et comme Stéphane Hessel lauréat du prix Adam-Mickiewicz, nous a livré le témoignage suivant :

« Stéphane Hessel était un de mes bons amis de la Résistance, de la guerre et de l’Occupation. Nous avons travaillé ensemble dans le Club des 22 survivants de la guerre.Il était marié avec l’une de mes amies. Pour vous dire que je souscris pleinement à votre idée de créer une société à sa mémoire. C’était un héros, il a quitté son pays, il a tourné le dos à l’Allemagne nazie, s’est engagé dans la Résistance et a été déporté.Il m’avait même demandé avant sa mort d’essayer de lui trouver dans les archives allemandes le procès-verbal d’audition qu’il avait eu avec les autorités de l’Occupation quand il a été arrêté. Je n’ai pas pu faire le nécessaire pour arriver à temps, il était mort avant ». (([6] Lettre à l’auteur du 19 octobre 2017.))

À maintes reprises Stéphane Hessel a souligné l’actualité du programme, mis au point de 1943 à 1944, et proclamé, le 15 mars 1944, du Conseil National de la Résistance (CNR) et qui réunissait les différents mouvements de la Résistance, puis les partis, les syndicats d’avant-guerre, etc. C’était un programme de gouvernement pour après la Libération. « Un ensemble de principes et de valeurs sur lesquels reposerait la démocratie moderne de notre pays ». « Ces principes et ces valeurs, nous en avons aujourd’hui le plus grand besoin », note Stéphane Hessel qui ajoute : « Il nous appartient de veiller tous ensemble à ce que notre société reste une société dont nous soyons fiers ; pas cette société des sans-papiers, des expulsions, des soupçons à l’égard des immigrés, pas cette société où l’on remet en cause les retraites, les acquis de la Sécurité sociale, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance. ».(([7] Stéphane Hessel : « indignez-vous ! », Indigène éditions, Montpellier 2010, p. 7.))

INDIGNEZ VOUS (millebabords.org)

Les rescapés se retrouvent, chaque année, sur le plateau des Glières, haut lieu symbolique de la Résistance, qui avait réussi, en février-mars 1944, à transformer, sur cette plate-forme savoyarde, une défaite des armes en « victoire morale » des maquis de l’intérieur.

Au service de la diplomatie française

Admis, en novembre 1945, au concours des Affaires étrangères, il est affecté en 1946 comme son chef de cabinet auprès d’Henri Laugier, Secrétaire-Général adjoint au siège de l’ONU, qui se trouvait entre 1945-1951 temporairement à Lake Success (Nassau County, N.Y.). Comme secrétaire dans la troisième commission de l’assemblée générale chargée de préparer la rédaction de la charte des droits de l’homme, il est affecté à la section chargée de réunir les documents concernant les questions sociales et les droits de l’homme. Ces cinq années passées à l’ONU ont sans aucun doute marqué à jamais sa manière de voir les problèmes de l’humanité qui constituent le fil conducteur de sa pensée pendant toute sa vie. Et pourtant ayant quitté le siège de l’ONU pour retourner à Paris au Quai d’Orsay, il constate dans son autobiographie qu’il a eu « le sentiment d’avoir perdu la plupart de ses illusions concernant les Nations unies… ». Avant de rentrer à Paris, il a pris un congé de six mois à la campagne à Nemours pour rédiger un texte anthropologique-politique intitulé La société du vouloir-faire, qu’il n’a en fin de compte jamais terminé. Bien sûr, Hessel n’a jamais voulu mettre en doute l’importance de l’ONU, cette « formidable institution », comme il l’appelait. Mais comme idéaliste incorrigible jusqu’à la fin de ses jours, il était impatient devant l’absence d’une volonté politique commune des pays membres de l’organisation mondiale pour attaquer ensemble les problèmes souvent analysés et bien connus auxquels les peuples du monde doivent faire face.

Rentré en France an 1950, il poursuit sa carrière diplomatique dans divers postes, secrétariat des conférences au Quai d’Orsay, liaison avec Matignon, Conseiller aux Ambassades de Saigon et d’Alger, Conseiller auprès du Directeur-Général de l’UNESCO, Administrateur adjoint au PNUD, Ambassadeur et Délégué Permanent auprès de l’ONU et des organisations internationales à Genève. En 1982 il prend sa retraite. À la fin de sa carrière le Président Mitterrand l’a élevé à la dignité d’Ambassadeur de France. Voilà son commentaire ému : « Ça n’a l’air de rien, mais pour un Berlinois devenu français à l’âge de 20 ans, c’est assez formidable. Suprême symbole de ma francité qui me resterait attaché jusqu’à la mort. D’autant plus immérité, d’autant plus savoureux, que mon parcours au ministère avait été peu orthodoxe : aucune grande ambassade, pléthore de multilatéralisme. »

Stéphane Hessel, l’Europe et le Triangle de Weimar

Peut-être à cause de ses racines familiales : La famille paternelle de Stéphane Hessel est d’origine juive-polonaise, il est né allemand et a obtenu dans sa jeunesse la nationalité française. Ce sont sans doute ces racines familiales qui ont fait que la coopération étroite entre la France, l’Allemagne et la Pologne dans le cadre du Triangle de Weimar a eu pour lui une certaine fascination. Ainsi il a bien voulu accepter mon invitation de servir comme membre du Conseil consultatif du Comité pour la coopération franco-germano-polonaise dès sa formation. Il a participé comme orateur à de nombreuses conférences en France, en Allemagne et en Pologne.

L’Ambassadeur Stéphane Hessel, lui-même ancien déporté à Buchenwald, a dit sa déception de voir ce qu’on pourrait faire dans le cadre politique du Triangle de Weimar, lancé dès 1991, et qu’on ne fait pas. « La référence à Weimar doit être prise dans son sens le plus profond : Goethe et Buchenwald sont liés dans l’esprit des anciens et aussi des jeunes. » « Nos trois pays ont souffert du manque de liberté avec des réactions profondes, les mouvements révolutionnaires français, la résistance allemande au nazisme, Solidarnosc… Il y a une tradition de défendre la liberté, une volonté de combat contre tout ce qui opprime. / Il faudrait nommer trois personnes, un petit triangle, avec qui tous les littérateurs et chercheurs pourraient travailler. / Il faut redonner à l’Europe une dimension, une pensée : elle est la patrie du droit et des révoltes contre l’oppression, la patrie de la liberté. ».(([8] Extrait du compte rendu du Colloque trilatéral « Un nouveau souffle pour le Triangle de Weimar », organisé sous l’impulsion du Comité Triangle de Weimar le 2 avril 2009 à l’Ambassade de Pologne à Paris.))

S. Wolf, Maire de Weimar, H. von Moltke, Stéphane Hessel, Z. Najder, R. Süssmuth, KH Standke

En 2012, Stéphane Hessel s’associe à une initiative collective sous les auspices du Comité Triangle de Weimar lancée du Palais Présidentiel à Varsovie par Wladislaw Bartoszewski, Président du Comité Auschwitz-Birkenau, Jack Lang, ancien ministre, Rita Süssmuth, ancienne Présidente du Parlement allemand (Bundestag), Michal Kleiber, ancien ministre, Président de l’Académie des Sciences et moi-même. Cette démarche a permis de faire la collecte d’un montant de 120 000 € pour l’organisation d’une exposition itinérante et le financement d’un catalogue en langue allemande, française et polonaise « Redécouverts ».(([9] Stiftung Gedenkstätten Buchenwald und Mittelbau-Dora, Katalog zur Ausstellung Wiederentdeckt. Zeugnisse in der KZ-Gedenkstätte Mittelbau-Dora, 12. April- 31. Juli 2013, Jens-Christian Wagner (Éd.) im Auftrag der Stiftung Gedenkstätten Buchenwald und Mittelbau-Dora, Göttingen 2013.)) fait de documents et témoignages du camp de concentration de Holzen, disparus lors des marches de la mort du mois d’avril 1945, et qui ont fait une réapparition surprise au cours de l’été 2012 : 200 portraits de détenus et des annotations en provenance du kommando « Hecht », un camp extérieur du camp de Buchenwald près de Holzen, dans la région du Weserbergland. L’exposition, placée sous les auspices du Comité Triangle de Weimar, a été ouverte le 13 avril 2013 au camp de concentration de Mittelbau-Dora par la ministre-présidente de Thuringe, Christine Lieberknecht. Après sa fuite du camp de concentration de Buchenwald, Stéphane Hessel avait repris et envoyé au camp de Mittelbau-Dora où il est resté jusqu’à sa libération en mai 1945.

Stéphane Hessel et le Collegium International éthique, scientifique et politique

En 2002, des théoriciens et chercheurs de renom dans les domaines de la philosophie et des sciences se sont réunis dans le cadre du Parlement européen à Bruxelles pour créer le Collegium International éthique, politique et scientifique pour évaluer les dérèglements mondiaux. Président : Michel Rocard, Vice-Présidents : Stéphane Hessel et Mola Kučan. Secrétaire-Général : Sacha Goldman. www.collegium-international.org.

Mola Kučan. Michel Rocard, Stéphane Hessel

Pour mieux comprendre le « credo » de Stéphane Hessel, il me parait indispensable de situer la dernière décennie de sa vie dans le contexte du Collegium International dont il était un des co-fondateurs. Le texte qui suit nous offre une excellente synthèse de sa pensée :

« Il n’y a plus de temps à perdre. Les défis auxquels nous devons faire face dans l’immédiat sont connus, repérés et décrits. Les responsables sont ceux qui détiennent le pouvoir politique et ceux qui détiennent le pouvoir financier. Ce ne sont pas les mêmes. Les premiers n’ont pas appris à soumettre les seconds.

Nous savons ainsi que les défis sont interdépendants, aussi bien géographiquement que thématiquement. Ils ne concernent pas un pays, même le plus puissant, ni même une région aussi riche qu’elle soit, mais dans leur complexité, la planète tout entière. Le défi de la misère face à la richesse scandaleuse de quelques-uns, le défi de leur surexploitation des ressources de notre Terre, et enfin le défi de la haine des uns et la violence des autres doivent être abolis ensemble. C’est pourquoi il nous faut mettre en place un programme de réformes radicales autour duquel toutes les cultures et les civilisations conjuguent leurs efforts ».

Le Collegium International éthique scientifique et politique s’attèle à cette mission depuis maintenant dix ans. Il s’efforce de faire dialoguer entre eux, se répondre, s’écouter, d’anciens chefs d’États ou membres de gouvernement et des gens qui ont mené une réflexion individuelle forte sur les grands problèmes de l’économie, de la science, du devenir de l’humanité. Quand ils se rencontrent, ils doivent avoir un objectif commun qui est le bien de l’humanité… Attention, cette tâche est ardue mais elle est indispensable. Si on a un autre objectif, cela ne vaut rien. Il faut avoir cet objectif-là et si ces gens réunissent leurs expériences pour essayer d’élaborer la façon dont on peut l’atteindre, ils montreront la voie à suivre.

Leçon de la mondialisation par excellence, aucun État n’est aujourd’hui en mesure de faire respecter un ordre mondial et d’imposer les Indispensables régulations globales. Il faut donc travailler avec des modèles d’organisation alternatifs à l’hégémonie. Prix Nobel ou pas, le président des États-Unis (NB : Barack Obama KHS) n’est plus l’homme le plus puissant de la planète. La fin du rêve impérial américain, ensablé entre Bagdad et Kaboul, fait écho à la dislocation de l’empire soviétique, il y a une vingtaine d’années déjà. Après plus de trois siècles sous le régime westphalien de l’absolutisme des États nationaux, une autre ère s’ouvre dans les relations entre peuples, bousculant le réflexe national sur lequel reposent encore nos cultures politiques modernes.

Catastrophe écologique, récession économique, famines et pénuries, pandémies virales, instabilité politique, menaces terroristes et nucléaire… Il nous faut des réponses mondiales aux problèmes mondiaux. Devant ces crises monétaires, nous devons absolument prendre conscience de notre interdépendance. C’est la survie de l’humanité qui est en jeu ! Et cette survie passe par l’instauration d’une gouvernance mondiale digne de ce nom – pour sortir de la cacophonie décourageante qu’on a malheureusement pu constater à maintes occasions récentes. Car quels que soient les espoirs suscités par la mise en place d’un G20 ou par les gesticulations enthousiastes du président français (NB François Hollande KHS), il n’a, à l’heure actuelle, aucune gouvernance mondiale. Certes, des éléments de régulation internationale et quelques institutions agissent à l’échelle globale, mais la gouvernance mondiale, c’est bien plus : c’est la capacité de s’élever au-delà des marchandages entre intérêts nationaux pour prendre des décisions politiques planétaires – au nom de l’humanité.Hélas ! Aujourd’hui malgré quelques frémissements, la nécessité vitale de ce type de gouvernance n’est pas encore comprise. Les intérêts nationaux, autant dire « les égoïsmes, prévalent encore, transformant chaque rencontre internationale en séance de marchandages sordides. Que ce soit en manière de lutte contre le climat, sur les questions énergétiques, la sécurité collective ou le commerce international, l’incapacité à s’élever au niveau des enjeux est patente. Tous les échecs sont évidemment connectés et il est impensable de les considérer séparément. : dans ce genre de jeu somme nulle, chaque concession est vécue comme une défaite. Cette myopie persistante des acteurs étatiques est la marque d’un terrible échec politique.

Ne nous y trompons pas, ce que révèle, par exemple, l’incapacité des marchés intégrés à prendre en compte les externalités négatives de l’économie mondialisée, ce sont les limites flagrantes d’un système international purement étatique. Plus que jamais, les défis planétaires du XXIe siècle viennent remettre en question La notion de souveraineté étatique et son expression internationale : l’intergouvernementalisme. L’intervention croissante d’acteurs non étatiques (firmes multinationales, réseaux criminels, terroristes ou mafieux, organisations transnationales) a, depuis quelques décennies complètement bouleversé le jeu traditionnel de l’équilibre des puissances. Portant une vision alternative de l’intérêt général, parfois en opposition avec celle que sont censés incarner les États, certaines grandes ONG incarnant même, au niveau global, une nouvelle forme de représentation citoyenne. À l’heure où se joue notre avenir à tous, il est temps d’intéresser les peuples du monde au façonnement de leur propre destin, en tant qu’humanité.

Ainsi, la réforme en profondeur du seul embryon de gouvernance mondiale existant aujourd’hui, l’Onu, semble indispensable. De la Déclaration universelle des droits de l’homme à la proclamation des Objectifs du millénium ou de la Sécurité humaine, les valeurs qui inspirent n’ont jamais eu meilleure pertinence. Il ne s’agit pas uniquement de réformer le Conseil de sécurité des Nations unies, même si c’est nécessaire. Il s’agit d’approfondir, la représentativité, la responsabilité et la légitimité de tous ses organes. Après soixante années de relative hibernation à l’ombre glaçante d’empires totalitaires ou de démocraties impériales, son action peut enfin devenir efficace et contribuer à l’émergence d’une gouvernance politique mondiale.

Bien qu’indispensable, la réforme de cette formidable institution ne suffira pas. Car toute la problématique est de parvenir à dépasser l’intergouvernementalisme. Bien sûr, les États restent légitimes pour représenter leurs peuples, cependant l’heure n’est plus à la souveraineté nationale, mais à la souveraineté mondiale. Au moment où se dessinent les contours d’une véritable société-monde, c’est une double légitimité que nous devons construire : celle de la règle de droit comme principe d’organisation, et celle d’un système d’organes capable de catalyser des décisions politiques planétaires – au nom de l’homme.

Nous en appelons à fonder cette « communauté mondiale » dont il est temps de préciser enfin la stratégie opérationnelle sur les valeurs inaliénables, comme celles qui figurent dans le Préambule des Nations unies. Elle ne peut pas demeurer cette entité vague dénuée d’incarnation politique et trop souvent méconnue comme une forme déguisée de passé colonial.

Légitimité et représentativité des acteurs non-étatiques, souveraineté de l‘humanité, régulations internationales, droit universel… : le chantier de la gouvernance universelle se prête aujourd’hui plus que jamais à une réflexion existentielle profonde et urgente.

Pour finir, voici une pensée qui m’est très chère de Rainer Maria Rilke, qui nous dit : “Nous sommes des abeilles qui butinons le visible pour lui donner toute sa force dans l’invisible.” ».(([10] Stéphane Hessel et al.Le monde n’a plus de temps à perdre. Appel du Collegium International pour une gouvernance mondiale solidaire et responsable avec Mireille Delmas-Marty, Michael W. Doyle, Stéphane Hessel, Bernard Miyet, Edgar Morin, René Passet, Michel Rocard, Peter Sloterdijk.
Coordination éditoriale : Sacha Goldman. LLL Les liens qui libèrent, Paris 2012.))

L’héritage de Stéphane Hessel

Un jour, à Weimar, Stéphane Hessel m’avait confié, plein d’ironie et de sarcasme : « pour être reconnu dans ce monde, on doit passer le cap des 90 ans ». En effet, sa notoriété mondiale a commencé lorsqu’il a publié à l’âge de 93 ans une brochure de quatorze pages qui n’a même pas la longueur d’un script de conférence. Indignez vous(([11] Indigène éditions, Montpellier 2010.)) a obtenu un succès sans précédent. Ce petit livre a fait de lui « une sorte d’icône de toutes les révoltes, un porte-parole des sans-voix, protecteur des justes causes. Son ange gardien n’a même pas eu le temps de le prévenir que SH était hissé au rang de grande conscience internationale réclamé de partout… ».(([12] Jean Michel Helvig, Stéphane Hessel : L’homme du siècle, La Libération, 27 février 2013.
Mars 2012, AFP.)) Selon Stéphane Hessel lui-même, le succès foudroyant de sa brochure, publiée à 4,5 millions d’exemplaires et traduite en quarante langues, « est encore un étonnement pour moi, mais cela s’explique par un moment historique. Les sociétés sont perdues et se demandent comment faire pour s’en sortir et cherchent un sens à l’aventure humaine ». Dans une de ses dernières interviews Stéphane Hessel a répondu à la question « Quels conseils pouvez-vous donner aux jeunes d’aujourd’hui ? » comme suit : « Garder sa faculté d’indignation, de non-acceptation. Les jeunes ne doivent pas accepter l’injustice, la cupidité, le pouvoir non contrôlé. Quelle que soit la cause, ayez le goût de résistance, ne serait-ce pour rester digne… ».

Un hommage national a été rendu le 7 mars 2013 à Stéphane Hessel, aux Invalides. Dans son éloge funèbre, le Président de la République a salué en Stéphane Hessel « une conscience, un grand Français, un Juste ». Les honneurs militaires ont été rendus à l’ancien résistant. Stéphane Hessel a été inhumé au cimetière Montparnasse. Edgar Morin et Michel Rocard ont prononcé les discours d’adieu. Les émouvantes obsèques populaires, à la fois familiales et amicales, ont été marquées par deux discours, l’un de Michel Rocard, l’autre d’Edgar Morin.

Après la mort de Stéphane Hessel un groupe de ses amis a déclaré : « Nous avons maintenant une mission : celle de transmettre ses valeurs, sa pensée qui doivent à tous et particulièrement aux jeunes générations, nous servir de modèle pour l’avenir. » Dans le même esprit des personnalités qui se sentent proches de Stéphane, ses fidèles et ses admirateurs ont répondu favorablement à ma suggestion de fonder en sa mémoire, le 20 octobre 2017, le jour de son 100e anniversaire, une « Société Franco-Allemande Stéphane Hessel – Deutsch-Französische Stéphane-Hessel-Gesellschaft » dont le siège est à Berlin et à Paris.(([13] Parmi les membres fondateurs on trouve les noms de Peter von Becker, Roland Dumas, Sacha Goldman, Hans Herth, Michael Kogon, Jack Lang, Christine Lieberknecht, Hélène Miard-Delacroix, Edgar Morin, Klaus-Heinrich Standke, Hans Stark, Rita Süssmuth, Uwe Thomas, Jérôme Vaillant, Gilles Vanderpooten, Georges Wagner-Jourdain, Jens-Christian Wagner, Nike Wagner, Bernard A. Wolfer et al.
Christiane Chabry-Hessel en a accepté la Présidence d’honneur.))

À l’occasion d’un Dîner solennel donné par Christiane Hessel le 14 novembre 2017 pour le centenaire de la naissance de son mari au Théâtre du Soleil à la Cartoucherie de Vincennes, Edgar Morin a rendu un hommage émouvant à son ami :

« Au centenaire de la naissance de Stéphane, quatre années après son décès, son esprit reste vivant, plus vivant que jamais. Son message profond contient l’indignez-vous mais ne s’y résume pas.Son message profond est d’abord RÉSISTEZ.Résistez comme il l’a fait toute sa vie, après sa résistance contre le nazisme, dans la résistance à l’injustice, à l’humiliation, à toutes les vieilles barbaries renaissantes de domination, haine et mépris et aussi contre la barbarie glacée de la domination du calcul insensible et du profit insatiable née de notre civilisation même.ENGAGEZ-VOUS dans l’aventure incertaine de l’humanité vouée à tant de périls qui nous relie en une communauté de destin planétaire.Engagez-vous pour que s’épanouisse en vous et en autrui la poésie de l’existence qui est communion, ferveur, amour AIMEZ. Dans la lutte gigantesque et infinie entre Éros et Thanatos, prenez hardiment le parti d’Éros, il vous tonifiera comme il a tonifié notre ami le grand Stéphane Hessel. »

Notes




Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

L’enfer est vide, tous les démons sont ici.

William Shakespeare, The Tempest, 1610-1611

Introduction

Une série de mensonges et d’affabulations sont utilisés pour justifier des décisions politiques de grande envergure qui, au cours des 18 derniers mois, ont littéralement détruit la vie des gens dans le monde entier.

La « fausse science » est utilisée pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, qui sont tous maintenus comme moyen d’éradiquer le « virus tueur ».

Qui est ce « virus tueur » qui a été personnifié par les médias et nos gouvernements, tenu pour responsable du déclenchement du chaos économique et social dans le monde entier ?

Vous vous souvenez peut-être qu’au plus fort de l’effondrement financier de février 2020, « V le Virus » a été tenu pour responsable du plus grand krach boursier depuis 1929.

Le « virus tueur » a-t-il été identifié ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ?

Cet article passera en revue cette question litigieuse qui se dresse depuis le début de la crise en janvier 2020. Une partie de cette analyse est basée sur des recherches menées au début de 2020.

La question centrale soulevée dans cette analyse est la suivante: l’OMS et les autorités sanitaires nationales fournissent-ils des preuves fiables et irréfutables que le présumé virus SRAS-CoV-2 a été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé d’un patient malade » ?

Alors que le présumé virus a été initialement défini comme le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) en janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en janvier 2020 qu’elle n’avait pas en sa possession de détails concernant l’isolement/l’épuration et l’identité du 2019-nCoV.

Et comme les détails concernant l’isolement / la purification n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le prétendu virus du SRAS 2003 « similaire » (rebaptisé ultérieurement SRAS-1) comme « point de référence » pour la détection de fragments génétiques du nouveau 2019-nCoV.

Ce que cette décision implique, c’est que le nouveau 2019-CoV-2 n’est PAS un nouveau virus. Il a été classé par les autorités chinoises et l’OMS comme « semblable » au SRAS-CoV de 2003 ainsi qu’au SRMO. 

2003 Le CoV-SRAS a ensuite été renommé SRAS-CoV-1.

Historique : Isolement du virus

Autorités sanitaires chinoises

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu‘ »un nouveau type de virus » avait été identifié « semblable à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, ce n’est pas la source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection à nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international pour les infections respiratoires aiguës aiguës et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. (c’est nous qui soulignons)

L’article suivant intitulé A new coronavirus associated with human respiratory disease in China « (En Chine, un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire affectant les humains) (Nature, 3 février 2021) a été parmi les premiers à faire rapport sur le nouveau coronavirus chinois :(…) [Nous] avons recueilli du liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF) et effectué un séquençage méta-transcriptomique profond. L’échantillon clinique a été manipulé dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 au Shanghai Public Health Clinical Center. L’ARN total a été extrait de 200 μl de BALF et une bibliothèque méta-transcriptomique a été construite pour le séquençage en bout de paire (150 pb de lecture) à l’aide d’un Illumina MiniSeq comme décrit précédemment 4,6,7,8..Au total, nous avons généré 56 565 928 lectures de séquence qui ont été de novo-assemblées et criblées pour des agents étiologiques potentiels.(…)La séquence génomique de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR à transcription inverse (RT-PCR)10 et 5′/3′ amplification rapide des extrémités de l’ADNc (RACE), respectivement. Cette souche virale a été désignée sous le nom de coronavirus WH-Human 1 (WHCV) (et a également été appelée « 2019-nCoV ») et sa séquence génomique entière (29 903 nt) a reçu le numéro d’accession GenBank MN908947.L’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par l’alignement de la séquence avec deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SRAS-CoV Tor2, numéro d’accession GenBank AY274119) [2003] et un coronavirus associé aux chauves-souris (chiroptelle SL-CoVZC45, numéro d’accession GenBank MG772933) . (Nature, 3 février 2020)

Il n’est pas clair, d’après les citations ci-dessus ni sur les documents consultés, si les autorités sanitaires chinoises ont entrepris un isolement/purification du spécimen provenant d’un patient.

Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) aux États-Unis

À la suite de l’annonce chinoise du 28 janvier 2020, le CDC a déclaré que le virus corona novela avait été isolé. La déclaration du CDC datée du 28 janvier 2020 (mise à jour en décembre 2020) est sans équivoque :

Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été isolé en laboratoire et est disponible pour la recherche par la communauté scientifique et médicale.


Calendrier :

  • Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.
  • Le 2 février 2020, le CDC a généré suffisamment de SRAS-CoV-2 cultivé en culture cellulaire pour être distribué aux chercheurs médicaux et scientifiques.
  • Le 4 février 2020, le CDC a expédié le SRAS-CoV-2 au dépôt de ressources BEI.
  • Un article traitant de l’isolement et de la caractérisation de cet échantillon de virus est disponible dans Maladies infectieuses émergentes.

(…)

Une façon importante pour le CDC d’appuyer les efforts mondiaux visant à étudier et à en apprendre davantage sur le SRAS-CoV-2 en laboratoire était de cultiver le virus en culture cellulaire et de veiller à ce qu’il soit largement disponible. Les chercheurs de la communauté scientifique et médicale peuvent utiliser le virus obtenu à partir de ces travaux dans leurs études.

Les souches du SRAS-CoV-2 fournies par le CDC et d’autres chercheurs peuvent être demandées gratuitement auprès du référentiel de ressources de recherche sur la biodéfense et les infections émergentes (BEI) icône externe par les établissements établis qui répondent aux exigences de l’EIM. Ces exigences comprennent le maintien d’installations et de programmes de sécurité appropriés, ainsi que l’expertise appropriée. BEI fournit des organismes et des réactifs à l’ensemble de la communauté des chercheurs en microbiologie et en maladies infectieuses. (C’est nous qui soulignons).

Voir également l’étude connexe qui a été affichée sur le site Web des CDC.

Les CDC reconnaissent que le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé.

Le document officiel du CDC, (daté du 21 juillet 2021) intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel » se lit comme suit :

Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’était disponible pour le CDC au moment de la mise au point du test [janvier 2020] et que cette étude a été menée, des essais conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) du titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant consistant en une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (TMV) pour imiter l’échantillon clinique. (c’est nous qui soulignons, page 40)

Comparez l’énoncé ci-dessus à l’avis du 28 janvier 2020 des CDC confirmant l’isolement du SRAS-CoV-2:

Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.


Voir l’analyse des réponses du CDC dans la section ci-dessous sur les demandes d’accès à l’information.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas entrepris l’isolement / la purification d’un spécimen

D’après les documents cités ci-dessous, les autorités chinoises n’ont pas fourni à l’OMS un échantillon de SRAS-CoV-2   isolé / purifié.

Et comme les détails concernant l’isolement n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » son test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant un soi-disant isolat du virus SRAS-CoV « similaire » à celui de 2003 (rebaptisé ultérieurement SRAS-CoV-1) en tant que « point de référence » (ou proxy) pour détecter les fragments génétiques du SRAS-CoV-2 2019.

L’OMS a demandé l’avis du Dr. Christian Drosten, et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité. L’étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ») a ensuite été soumise à l’OMS.

Alors que l’étude de Drosten et al a confirmé que « plusieurs séquences génomiques virales avaient été libérées », dans le cas du 2019-nCoV, « des isolats de virus ou des échantillons de patients infectés n’étaient pas disponibles …« 

Les recommandations à l’OMS étaient les suivantes :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du nCoV 2019 et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le SRAS-CoV-1 de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. »

(Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignez-le).

Ce que cette déclaration audacieuse suggère, c’est que l’isolement / purification du nCoV 2019 n’était pas nécessaire et que la « validation » serait rendue possible par « l’étroite parenté génétique avec le SRASCoV-1 de 2003″.

Les recommandations de l’étude Drosten (soutenue et financée par la Fondation Gates) concernant l’utilisation du test RT-PCR appliqué au 2019-nCoV ont ensuite été fermement approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Livre électronique, chapitre II).

Liberté d’information : Aucun dossier sur l’isolement-purification du SRASCoV-2 

Un important projet d’enquête continu et détaillé de Christine Massey, M.Sc. de l’Ontario, Canada, s’intitule :

Freedom of Information Requests: Health/ Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification

Demandes d’accès à l’information : Les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’a aucun dossier » d’isolement/purification du SRAS-COV-2 (travail en cours depuis 2020)

par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Un texte connexe montre la liste des institutions contactées

90 établissements de santé et de sciences dans le monde entier n’ayant même pas réussi à citer un seul enregistrement de purification du « SRAS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, jamais 

Par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Le rapport d’enquête fournit une documentation détaillée basée sur les demandes d’accès à l’information adressées à quatre-vingt-dix établissements de santé / sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’existe aucun dossier d’isolement / purification du SRASCoV-2 « ayant été effectué par quiconque, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé / sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro dossier de ce type :

Nos demandes [sous la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement effectués par l’institution respective, ni aux documents rédigés par l’institution respective, mais étaient plutôt ouvertes à tout document décrivant l’isolement/la purification du « virus de la COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2) effectué par quiconque, jamais, n’importe où sur la planète. »

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC)

L’auteur de ce rapport a contacté la CCL sous la forme de quatre demandes distinctes : 2 novembre 2020, 1er mars 2021, 3 mars 2021, qui sont examinées ci-dessous :

Le 2 novembre 2020 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier d’isolement/purification réel par qui que ce soit, n’importe où, jamais, par quelque méthode que ce soit » :USA-CDC-Virus-Isolation-Response-Scrubbed.pdf

Le 1er mars 2021 :

Les CDC ont de nouveau clairement indiqué qu’ils n’ont toujours aucun dossier sur l’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par quiconque, n’importe où sur la planète, jamais… tout simplement pas en tant que tel. Au lieu de cela, les CDC ont absurdement laissé entendre que l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. (La demande n’avait rien à voir avec la réplication.)

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-1-2021-SARS-COV-2-Isolation-Response-Redacted.pdf

Le 3 mars 2021 :

Les CDC ont une nouvelle fois omis de fournir/citer tout document décrivant l’isolement/la purification du « SRAS-COV-2 » par qui que ce soit et où que ce soit… mais ils ne se contentent plus de le dire (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la figuration en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC

Les CDC n’ont toujours pas fourni/cité d’enregistrements décrivant l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » par quiconque n’importe où… mais n’ont plus simplement dit (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la réthorique en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-3-2021-SARS-COV-2-purification-FOI-response.pdf

Le 7 juin 2021 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier de purification « SRAS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse, par quiconque, n’importe où, jamais :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/06/CDC-FOIA-request-response-no-records-SARS-COV-2-purification.pdf

Résultats concluants de l’enquête

Ce que l’auteur de ce rapport incisif et détaillé a confirmé, c’est que :

Chaque établissement n’a pas fourni ne serait-ce qu’un seul dossier décrivant l’isolement, alias purification de tout « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été falsifié pour la première fois avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement les cellules rénales de singe alias « Vero » et le sérum bovin fœtal).

Voici 5 pdf de compilation contenant les réponses à la FOI de 79 institutions dans 22 pays/juridictions, concernant l’isolement/la purification/l’existence du « SRAS-COV-2 », ainsi que des courriels d’auteurs d’études qui ont affirmé avoir « isolé le virus » et un courriel du chef du laboratoire de consultants en microscopie électronique diagnostique des agents pathogènes infectieux de l’Institut Robert Koch d’Allemagne, dernière mise à jour le 13 juillet 2021

La capture d’écran d’une sélection de réponses est fournie ci-dessous : Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni.

Consultez les archives complètes des lettres et des réponses. Ce travail a été entrepris sur une période de plus de 12 mois.

Réponse de Public Health England

Il ressort de l’étude détaillée ci-dessus qu’il n’y a aucune preuve que le virus du CoV-2 du SRAS a été isolé/purifié à partir de l’échantillon d’un patient, comme en témoignent les réponses « en vertu de la liberté d’information » (FOI) de quelque 90 établissements de santé / sciences dans le monde entier.

Jusqu’à présent (le 9 juillet 2021) 27 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses. (cliquez sur le lien pour accéder à la liste)

République d’Irlande : « Le virus n’existe pas »

« Gemma O’Doherty est journaliste d’investigation en Irlande.

« Cette enquête irlandaise sur la Covid montre que le ministère de la Santé refuse de confirmer l’existence d’un « virus » par écrit. Confirmation révélant que le virus n’a jamais été isolé. »

VIDÉO



« Dans le cadre de notre action en justice, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont réellement un impact sur la propagation des virus ; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ils ne le font pas. Il n’existe pas de telles études ; que la distanciation sociale est basée sur la science – ce n’est pas le cas. C’est inventé ; que la recherche des contacts (traçage) a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr que non. Cette organisation ici – est en train de tout inventer au fur et à mesure. » – Gemma O’Doherty

Isolement du virus. La bataille juridique en Alberta. Patrick King

Patrick King. Le virus n’a pas été isolé !

« Non, je n’ai pas gagné le procès ». [Cependant] « Ils n’ont pas les preuves ».

La vidéo suivante montre Patrick King dans sa bataille juridique contre le gouvernement de l’Alberta.

Il y a beaucoup de gens en Alberta et dans le monde qui luttent contre le grand mensonge.

Vidéo : Patrick King incarne la Vérité.



REGARDER SUR ODYSEE, ou BITCHUTE, ou REGARDER SUR RUMBLE 

[Voir aussi : Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province]

Mot de la fin : « La plus grande fraude médicale de l’histoire du monde »

Le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé. Le virus existe-t-il ?

Ni les autorités chinoises, ni les CDC, ni l’OMS, ni les gouvernements nationaux, ni les autorités scientifiques / sanitaires n’ont fourni de preuve que le CoV-2 du SRAS a été isolé / purifié.

Sur la base des recherches d’enquête de Christine Malley, nous avons accès aux réponses de nombreux gouvernements et autorités sanitaires, y compris celle fournie par la République d’Irlande à la journaliste Gemma O’Doherty.

Ce que cela signifie, c’est que tout le récit [officiel] de la Covid s’écroule.

Nous avons été systématiquement induits en erreur.

Tout ce que vos gouvernements vous ont dit est un mensonge, un amalgame de mensonges et de faussetés.

Il n’y a pas de véritable pandémie. L’isolement / purification du virus n’a pas été réalisé.

Toutes les politiques adoptées par les gouvernements du monde entier, qui étaient prétendument imposées pour « sauver des vies », sont illégales, socialement destructrices et en violation des droits humains fondamentaux.

Ces politiques ont contribué à « détruire la vie des gens ».

Le Dr. Stephen Frost qualifie la prétendue « pandémie de Covid » comme « la plus grande fraude médicale de l’histoire de l’humanité ».

Dès le début, en janvier 2020, le test RT-PCR défaillant et invalide a été utilisé pour « détecter » le présumé virus SARS-CoV-2 de 2019, malgré le fait que les détails concernant l’isolement/la purification du virus original n’étaient pas disponibles.

Toutes les décisions politiques de grande envergure imposées aux personnes à l’échelle mondiale étaient basées sur une banque de données de faux cas positifs associée à de fausses données sur la mortalité et se rapportant à des décès attribués à la maladie Covid-19.

Freiner la prétendue pandémie de SRAS-CoV-2 par l’imposition de masques faciaux, la distanciation sociale, la fermeture des économies nationales est tout simplement criminel et ces mesures n’ont aucune légitimité.

La souche originale du CoV-2 du SRAS n’a pas été isolée / purifiée : comment cela peut-il affecter le processus de prétendue »détection » de « variants mortels » du virus original ?

Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait « Pas de virus tueur », il y a un « vaccin tueur ».

Alors que le virus SARS-CoV-2 est présenté par les médias et les gouvernements comme un « virus tueur » (alors qu’en fait l’OMS et les CDC le décrivent comme « similaire à la grippe saisonnière »), un vaccin anti Covid-19, totalement invalide et inefficace, est actuellement imposé à l’ensemble de la population de la planète : 7,9 milliards de personnes.

Il s’agit d’une entreprise [pharmaceutique] de plusieurs milliards de dollars dans laquelle Pfizer est le chef de file, établissant ainsi un monopole quasi mondial pour la vente et la distribution du vaccin tueur à ARNm.

Question importante :

Comment Big Pharma a-t-elle réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) dont le rôle est de « protéger les gens » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

De plus, le CoV-2 du SRAS 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS 2019 n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin contre la Covid repose sur les centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données sur la mortalité lié à la Covid.

Le vaccin à ARNm de Big Pharma a entraîné d’innombrables décès et séquelles [injuries] dans le monde entier. Cela n’est pratiquement pas rapporté par les grands médias.

Bien que nous n’ayons pas de chiffres pour l’ensemble de la planète, les derniers chiffres officiels de l’Union européenne et des États-Unis sont révélateurs. Gardez à l’esprit qu’ils sous-estiment considérablement les tendances réelles de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin :UE/EEE/Suisse au 31 juillet 2021 – 20 595 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,94 million de séquelles [injuries], selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni au 21 juillet 2021 – 1 517 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,1 million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.

États-Unis au 23 juillet 2021 – 11 940 décès liés à l’injection du vaccin anti Covid-19 et plus de 2,4 millions de séquelles, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE / le Royaume-Uni/ les États-Unis – 34 052 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 5,46 millions de blessures signalées – le 1er août 2021

Notez Bien : Il est important de savoir que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. En outre, les gens continuent de mourir (et de subir des blessures) des vaccins tous les jours. (D4CE)

Alors, pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner ?

Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier font l’objet de pressions, de pots-de-vin, de cooptation et/ou de menaces de la part de puissants intérêts financiers pour qu’ils acceptent le consensus sur le vaccin anti Covid.

Le passeport vaccinal est la phase finale constituant une transition vers la tyrannie numérique.

L’étude et les rapports analysés dans cet article devraient être utilisés pour confronter les politiciens ainsi que pour informer et sensibiliser les gens dans les villes, les villages, à travers le pays, au niveau national et international.

À ce stade de notre histoire, la solidarité est absolument fondamentale.

Le virus existe-t-il ?

Les gouvernements et l’OMS n’ont aucune preuve sur laquelle s’appuyer. Et Bill Gates non plus.

Ce que nous devons chercher, c’est de faire face à un consensus très fragile, basé sur la fraude et la tromperie.

Michel Chossudovsky

Le 10 août 2021

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[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]
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Lien vers l’article original:

Does the Virus Exist? SARS-CoV-2 Has Not Been Isolated? “Biggest Fraud in Medical History”,
publié le 10 août 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation 

Note de l’auteur

Je remercie grandement Christine Massey pour ses recherches approfondies et ses enquêtes sur la question de l’isolement / purification du virus.

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003), [traduit en français : La mondialisation de la pauvreté], America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à l’adresse suivante :crgeditor@yahoo.com

Voir Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Le seul parti politique fédéral canadien qui propose autre chose que la répression sanitaire

[Source : Parti populaire du Canada]

POLITIQUE COVID
UNE APPROCHE RATIONNELLE QUI RESPECTE NOS DROITS ET LIBERTÉS

ENJEU

La réponse sans précédent des gouvernements à la pandémie de covid-19 a eu des répercussions extrêmement négatives sur la santé physique et mentale des Canadiens, leur bien-être économique, ainsi que leurs droits et libertés.

L’approche standard de la gestion d’une pandémie a toujours été de protéger les personnes vulnérables et de permettre au reste de la population en bonne santé de vaquer à leurs occupations normales tout en renforçant l’immunité collective. Le confinement de populations entières n’a jamais fait partie d’une planification pandémique pré-covid.

Cette approche expérimentale a été largement inefficace pour réduire la propagation du virus, mais a causé des dommages collatéraux importants. La grande majorité des victimes de covid étaient des patients âgés avec comorbidités dans des CHSLD que les gouvernements n’ont pas réussi à protéger. Les mesures de confinement entraîneront encore plus de décès à plus long terme en raison de maladies liées au stress, dépression, reports d’interventions chirurgicales, surdose de drogue, suicide, violence domestique, etc.

Les gouvernements ne veulent pas admettre qu’ils se sont trompés et imposent des mesures de plus en plus autoritaires à la population, notamment des passeports vaccinaux. Tant les vaccinés que les non vaccinés souffriront d’un régime de ségrégation, de contrôle et de surveillance constants. Il est illusoire de croire que le virus peut être éradiqué. Nous devons apprendre à vivre avec, sans détruire notre mode de vie ce faisant.

FAITS

Les confinements, obligations de porter un masque, fermetures d’écoles et autres mesures sanitaires autoritaires n’ont eu aucun effet notable sur le cours de la pandémie. Les régions ou les pays qui ont mis en place des mesures strictes ont été aussi impactés que ceux qui ne l’ont pas fait.

Les vaccinés et les non vaccinés peuvent être infectés et transmettre le virus, ce qui nie la justification de la ségrégation et des passeports vaccinaux.

L’article 1 de la Charte canadienne des droits et libertés stipule que des limites raisonnables à nos droits et libertés ne peuvent être imposées que s’il a été démontré qu’elles sont justifiées dans une société libre et démocratique. Une telle démonstration n’a pas été faite pour les restrictions liées à la covid, dont la plupart sont sans doute inconstitutionnelles.

NOTRE PLAN

Bien que la plupart des mesures en réponse à la pandémie de covid aient été mises en œuvre par les gouvernements provinciaux, Ottawa a un rôle de coordination important à jouer au niveau national et peut influencer les politiques provinciales. L’agence fédérale de santé publique coordonne les politiques avec les agences provinciales. Ottawa a également encouragé et soutenu les politiques de confinement en transférant des dizaines de milliards de dollars d’aide financière aux provinces et territoires.

Un gouvernement du Parti populaire :

  • Fera la promotion d’une approche rationnelle et fondée sur la science de la pandémie qui met l’accent sur la protection des plus vulnérables, garantit la liberté des Canadiens de prendre des décisions fondées sur un consentement éclairé, et rejette la coercition et la discrimination.
  • Congédiera l’administratrice en chef de la santé publique du Canada Theresa Tam et la remplacera par quelqu’un qui travaillera avec les agences provinciales pour mettre en œuvre une approche rationnelle de la pandémie, au lieu de suivre les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé.
  • Mettra fin aux obligations de vaccination et aux tests réguliers pour les fonctionnaires fédéraux et les travailleurs des industries sous réglementation fédérale.
  • Abolira les passeports vaccinaux pour les voyageurs.
  • S’opposera à la vaccination obligatoire, aux passeports vaccinaux et à d’autres mesures autoritaires imposées par les gouvernements provinciaux, et soutiendra les individus et groupes qui contestent ces mesures devant les tribunaux.
  • Soutiendra les mesures d’urgence provinciales mises en œuvre pour protéger les plus vulnérables, mais arrêtera de renflouer financièrement les provinces qui imposent des confinements destructeurs sur le plan économique.
  • Soutiendra la recherche médicale et le développement de thérapies pour traiter la covid-19 et d’autres maladies virales.

APPUYEZ-VOUS CETTE CAUSE?

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Pour gagner en liberté, il faut agir librement. La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Par Guy Boulianne

Henry Makow écrit dans son article en date du 24 août dernier : « Les Américains sont pour la plupart complaisants et dociles face à leur disparition imminente. Une pandémie avec un taux de survie de 99,7 % n’est pas une pandémie. Une maladie sans symptômes n’est pas une maladie. À moins que nous ne retrouvions notre bon sens et que nous réalisions que le Covid est une opération psychologique politique et un canular, nous sommes finis. » Je partage avec vous le dernier article du conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, aujourd’hui chroniqueur, Gary D. Barnett. Celui-ci écrit : « L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. » 

Je vous souhaite une bonne lecture.


Gary D. Barnett : Pourquoi je fais ça ?

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J’écris sur ces questions concernant l’indépendance, la liberté et la souveraineté de l’individu depuis plus de deux décennies, et regardez où nous en sommes aujourd’hui. J’ai vu ce pays continuer à empirer chaque année depuis ma naissance, et maintenant nous sommes confrontés au défi ultime, et la seule défense évidente est les efforts d’un petit nombre. Oui, on parle de refoulement et de menaces de ne pas se conformer, mais ce n’est rien de plus que des paroles. Il y a aussi plus de protestations, du moins dans d’autres parties du monde, mais ce qui est nécessaire, ce n’est pas protester après tout, car protester dans la plupart des cas n’est rien de plus qu’un effort futile. Cela dépend de la dépendance d’une population faible à l’égard de leurs geôliers qui les gouvernent, ce qui leur donne un certain soulagement. Pour gagner en liberté, il faut agir librement.

La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression ; cela nécessite juste de la désobéissance et de la dissidence, et un refus de se conformer aux ordres, mandats et tentatives de corruption de ce gouvernement odieux pour vous contrôler.

L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. La stupidité d’esprit qui est nécessaire pour que cette prise de contrôle de la société ait lieu dépasse l’imagination de toute gauche capable de penser même en termes simples. Je suis abasourdi par cette posture, mais je ne suis pas du tout surpris.

Beaucoup m’ont insulté, m’ont dit que j’étais trop dur et brutal dans mon approche, ont dit que je ne parlais que de malheur et ont tenté de me réprimander pour avoir dit la vérité qu’ils ne voulaient pas entendre. J’ai été censuré, menacé, rejeté et maudit, simplement pour avoir mis en garde contre ce qui est maintenant bien en vue. J’ai été étiqueté comme un cinglé du complot et ignoré au milieu des yeux qui roulent. A quoi pensent tous ces gens aujourd’hui en voyant leur vie disparaître ?

Avec la collusion massive de Bill Gates et de la Fondation Gates, de l’industrie pharmaceutique, du gouvernement et des organisations mondiales de « santé », et des autres pires éléments criminels de la société, la FDA a approuvé ce que l’on appelle ridiculement les « vaccins Covid » chez Pfizer et BioNTech, le premier de beaucoup, et maintenant le début de la fin est certainement là pour rester. En quelques instants, New York, la Californie, Porto Rico, et probablement plus au moment où j’écris ceci, exigent que tous se fassent injecter ou sinon. C’est peut-être le bon moment pour dire que je vous l’avais dit !

Préparez-vous, si vous ne voulez pas être un esclave, à recevoir une injection complète de poison mortel pour survivre. Ceux d’entre nous qui ne veulent pas suivre maintenant sont les cibles non seulement de la dictature criminelle et meurtrière des États-Unis, mais de tous nos voisins et soi-disant amis. Bientôt, toute possibilité de voyager, toute entrée dans les magasins, les restaurants, les épiceries, les écoles et un certain nombre de lieux « publics » seront fermés à ceux qui choisissent de ne pas se faire piquer, mais à ce stade, l’agression contre les vrais dissidents intelligents sera portée à un niveau très élevé. Il pourrait facilement devenir — dans un avenir très proche — presque impossible de fonctionner sans conformité. Mais cela ne se terminera pas avec des mandats de « vaccination », cela se terminera par une tyrannie totale et la mort.

La frustration est exaspérante, car savoir où cela se dirigeait depuis des années n’est pas une consolation compte tenu de l’enfer auquel nous sommes confrontés maintenant. Dans les jours, les semaines et les mois à venir, ce pays se sera transformé en un cauchemar totalitaire jamais vécu auparavant dans l’histoire. Tous vos enfants courent de grands risques, et je dis cela non pas pour être sensationnel, mais pour mettre en garde contre la destruction de l’esprit et du corps de tous les jeunes qui a été planifiée et ouvertement annoncée pendant toute cette fausse « pandémie » par cet État méchant, et bien sûr, il a été promu une fois de plus aujourd’hui par le diabolique Biden.

Alors pourquoi je fais ça ? Pourquoi j’écris ? Pourquoi est-ce que je continue mes tentatives pour réveiller les masses pathétiques ? À quoi bon, quand la plupart sont encore endormis et n’ont aucun désir de se protéger ou de protéger leur famille ? Je le fais pour moi et ma famille, parce que si je ne fais rien, ma vie n’aura aucun sens, tout comme la majeure partie de la vie des masses n’aura aucun sens. Je vais donc continuer, mais je crois que plus cette parodie est autorisée à continuer, plus ce sera un grand risque. J’écrirai et je me battrai pour moi-même, ma famille et tous ceux qui ont le courage de défendre ce qui est juste. Je me défendrai à tout prix contre l’agression de l’État et n’acquiescerai jamais à cet État. Quant à ceux qui s’apitoient sur leur sort, refusent de s’exprimer et désobéissent, se cachent de la vérité et s’attendent à être protégés par les autres, vous êtes livrés à vous-même.

Cette société est malade mentalement au point de confusion totale apathique

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la psychose collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Carl Jung

LawrenceArabie


À propos de Gary D. Barnett

Gary Barnett est un conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, et il a géré l’argent des clients de son entreprise pendant plus de trente ans. Il a également possédé deux autres entreprises au cours de sa vie et a parfois eu une course folle.

Gary a écrit sur une gamme complète de sujets concernant la liberté pendant de nombreuses années, et a écrit pour lewrockwell.comThe Future of Freedom Foundation et plusieurs autres publications au cours de cette période. Il considère que c’est une grande passion dans la vie d’apprendre et de continuer à s’éduquer, de promouvoir et de diffuser les idées de liberté à tous ceux qui sont prêts à écouter. La liberté n’est pas due à la politique ou aux constitutions, elle ne peut exister que dans l’esprit des individus.

Gary est apparu en tant qu’invité dans plusieurs émissions de radio Internet et nationales, notamment Freedom Watch avec le juge Andrew Napolitano, le Brian Wilson Show, Antiwar Radio, le Karen Kwiatkowski Radio Show, Liberty News Radio et Radio Liberty.

Il vit actuellement à Lewistown, dans le Montana, avec sa merveilleuse épouse Yoshie et son fils Leo. Il aime le plein air, la cuisine et la gastronomie, les chiens, les plages, la musique, la pêche à la mouche et les voyages exotiques.

En ce qui concerne sa philosophie, c’est un anarchiste pacifique qui croit en la loi naturelle sans restriction de l’État. Bien que Gary comprenne le scepticisme de la plupart concernant la mise en œuvre de ce type de structure politique individuelle, c’est le seul système où la liberté peut être pleinement atteinte. L’anarchie pacifique est basée sur la responsabilité individuelle, l’autonomie, l’échange volontaire sur les marchés libres, la non-agression et la liberté individuelle ; tout ce qui est nécessaire pour atteindre la paix et l’harmonie. Le collectivisme, le gouvernement central et la guerre ne sont pas et ne seront jamais la réponse.

L’écriture est la passion de Gary, et maintenant qu’il est à la retraite, il peut se concentrer à plein temps sur cette entreprise. Écrire depuis une plage chaude serait préférable, mais vivre dans le Montana ne permet pas ce luxe. Il peut cependant, enfiler son short et ses tongs assis devant son ordinateur pendant les blizzards et le froid brutal des hivers du Montana, et rêver.


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[Voir aussi : La clef de la libération]
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Pour ce chirurgien, « vaccination » = génocide

[Source : nrpyrenees.fr]

Par Sophie Loncan/C.Vignes

Dans le cadre de la manifestation qui s’est déroulée samedi dernier à Tarbes, un chirurgien de l’hôpital a qualifié la vaccination de « génocide » et appelé l’auditoire, huit cents personnes environ, à la refuser. L’établissement hospitalier a fait un signalement.

« Nous sommes choqués par les propos de ce praticien. » Le service de communication de l’hôpital de Tarbes indique que la direction de l’établissement a signalé le discours public de l’un de ses chirurgiens orthopédiques, tenu dans le cadre de la manifestation anti-pass et anti vaccin samedi 21 août à Tarbes, auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) Occitanie.

Lors de sa prise de parole, le chirurgien orthopédique Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants, déclare : « Cette injection est responsable de… alors on appelle ça des effets indésirables, mais ça s’appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites deux jours après la vaccination. »

Interrogés sur cette affirmation, le service de communication de l’hôpital de Tarbes et Manon Mordelet, directrice de l’ ARS Hautes-Pyrénées, disent « ne pas vouloir aller sur ce terrain et outrepasser le secret médical. » Laurie Lassalle, directrice de la communication du centre hospitalier d’ajouter : » De plus, nous ne savons pas comment il peut affirmer une telle chose. Parle-t-il de patients hospitalisés dans son service ou dans d’autres ? Tout ça est très vague. »

Mais le praticien va plus loin et appelle à un « refus de l’injection » , qu’il qualifie de « génocide. » Interrogé dans l’auditoire à propos de solutions thérapeutiques efficaces, le docteur Huboud-Peron répond que « oui, elles existent. L’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’ivermectine, le zinc, la vitamine D, la vitamine C, tout ça, ça fonctionne, ça marche très bien. Mes collègues en ville qui ont utilisé ces protocoles n’ont hospitalisé aucun patient », a affirmé le professionnel de santé, Des propos qui soulèvent de vives réactions dans la communauté médicale et scientifique.

Indignation et incompréhension

L’affaire est pour le moins « sérieuse », déclare la directrice de l’ ARS 65. « Oui, j’ai pu, comme beaucoup d’autres, visionner les vidéos où le docteur Huboud-Peron. Il y tient des propos qui interrogent sur la déontologie de ce professionnel de santé. Des propos qui devront être minutieusement analysés par le Conseil de l’Ordre, que nous avons immédiatement saisi. Ensuite, il appartient à la direction de l’hôpital de saisir le Centre National de Gestion qui gère les praticiens hospitaliers, et voir quelles sont les suites à donner à cette affaire. »

Chose faite du côté de la direction de l’hôpital qui précise « que les consignes de cette autorité compétente en la matière sont attendues et seront appliquées par l’établissement. Ce praticien est en congés depuis le 16 août et reprend le travail le 30. Nous ne l’avons donc pas revu. »

Pour le docteur Le Coustumier, président de la commission médicale d’établissement, « le docteur Huboud-Peron est un excellent chirurgien qui tient à bout de bras son service, dans des conditions difficiles. Mais il aurait dû se cantonner à son rôle de chirurgien qu’il accomplit parfaitement. Je rappelle que dans notre serment d’Hyppocrathe, la première chose c’est de ne pas nuire au patient. »

Pour l’heure, nous ne sommes pas parvenus à joindre le chirurgien. Un entretien entre Christophe Bouriat, directeur de l’hôpital de Tarbes, et le praticien pourrait se tenir lundi prochain, à leur retour respectifs de congés, selon le service communication du centre hospitalier de Bigorre.

Le chirurgien orthopédique de l’hôpital de Tarbes, Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants.




Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]






Utiliser le paracétamol contre la Covid est une erreur thérapeutique majeure!

[Source : AIMSIB]

Attention, cet article est complexe mais pourtant absolument fondamental pour qui souhaite comprendre que la médecine ne se décrète pas sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Non, en cas de Covid, le paracétamol ne doit pas être utilisé « en attendant d’aller mieux », car vous « irez » en vous aggravant. Merci au remarquable Jean Umber, ancien chimiste à l’ENS St Cloud, de nous en démontrer factuellement le mécanisme. On précise immédiatement que les références constantes à wikipédia sont intentionnelles, ce site démontre un sérieux sans faille en matière de chimie. Alors pourquoi l’absurde antienne gouvernementale Doliprane-domicile-dodo peut mener à … Décès? Bonne lecture…

Introduction

À la lecture de l’article du 6 janvier 2021 publié par France-Soir (1): « Le paracétamol aurait-il tué ? » , j’ai voulu approfondir mes propres connaissances à son sujet, et essayer d’étayer de manière plus rationnelle leur thèse, qui, à mon avis, n’allait pas jusqu’au bout des questions posées. Mon étude porte à penser que la paracétamol a favorisé l’apparition de difficultés respiratoires au bout du temps nécessaire pour que la quantité de glutathion cellulaire devienne insuffisante pour gérer le métabolisme d’absorption de l’oxygène. Tout ce qui suit étant connu dès 2018, on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS.

Paracétamol

Je me suis intéressé pour la première fois au paracétamol vers l’an 2000, après avoir découvert dans un bouquin de chimie organique (2) à la page 1357 le mécanisme (partiel) de l’action du paracétamol sur le glutathion. Il était indiqué que le métabolisme humain oxyde le paracétamol en une iminoquinone (3), laquelle réagit par la suite avec le soufre du glutathion pourrait donner une liaison stable soufre carbone qui enlève toute propriété antioxydante au glutathion.

Je m’étais intéressé auparavant à ce glutathion (L-γ-glutamyl-L-cysteinyl-glycine) (4) , car il était beaucoup question de ce tripeptide dans la survie des HIV positifs, particulièrement de la part l’équipe de Herzenberg à Stanford, US (5). C’est à cette époque que je m’étais dit que, si la trithérapie fonctionnait si bien, c’était peut-être aussi à cause du soufre de la lamivudine (6), ce qui pouvait permettre de compenser plus ou moins la déficience en glutathion. Cette même équipe de Herzenberg (Ghezzi et al) s’est également intéressé au problème du paracétamol (7).

Je m’intéressais également de longue date (depuis que j’ai découvert la chimie grâce à Linus Pauling à l’âge de 12 ans) aux divers oxydes de l’azote car je me suis étonné de la grande diversité des structures azote – oxygène. Ce n’est que vers l’an 2000 également que je découvris l’importance métabolique du monoxyde d’azote (8) et des peroxynitrites (9) que je découvris par la même occasion. C’est Koppenol (10) qui a détaillé tout cela en 1998.

Rôle des NO-synthases

Je compris mieux alors l’importance des NO-synthases (11) que l’on retrouve finalement dans beaucoup de cellules vivantes, puis celle du peroxynitrite formé très rapidement, sans catalyseur, par réaction instantanée du monoxyde d’azote NO sur l’ion superoxyde O-O(-) (12). Car ces deux structures comportent toutes deux un électron célibataire qui leur permet de se lier très facilement. Une des principales caractéristiques biochimiques de ces peroxynitrites est leur capacité à réagir, en présence de CO2, avec les cycles aromatiques phénoliques (ou mieux, riches en électrons) par formation facile et rapide d’un composé nitré: fixation d’un groupement NO2 sur un cycle benzénique, cela explique par exemple la formation naturelle du chloramphénicol (13). Pacher et al. décrivent les propriétés physiologiques de ces deux composés (14).

Naproxène, amoxicilline

En furetant, je suis tombé vers 2010 dans une librairie sur un ouvrage de McMurry et Begley (édité par de Boeck en 2008) : « Chimie organique des processus biologiques« . J’y ai trouvé quelque chose qui me permettait d’utiliser les connaissances acquises précédemment : à partir de la page 363, ils décrivent les résultats des études sur la biosynthèse des prostaglandines (15), responsables en particulier des phénomènes inflammatoires. Ils indiquent p 366, que les peroxynitrites sont les initiateurs probables de cette synthèse. Je me suis dit alors : si les peroxynitrites sont piégés, les prostaglandines ne se formeront pas. Mais qu’est-ce qui piège ces peroxynitrites ? On l’a vu plus haut : ce sont en particulier les phénols et les cycles benzéniques riches en électrons. Exemples : le naproxène (16), qui est un éther de naphtol (17), son cycle est encore plus riche en électrons que celui du paracétamol. On se rend rapidement compte que tous ces AINS sont de la même famille chimique. Il en est de même pour le paracétamol.

A noter que l’amoxicilline (18) est également un phénol, ce qui pourrait lui conférer des propriétés antiinflammatoires expliquant sa rapidité d’action par rapport à celle d’autres pénicillines.

Prostaglandines

Il me fallait trouver les travaux de référence. Je les ai trouvés dans la publication de Schildknecht et al. (2008) : « Acetaminophen inhibits prostanoid synthesis by scavenging the PGHS-activator peroxynitrite » (19). Ils donnent bien entendu les références des autres travaux qui confortent leur expérience. Je trouvais par la même occasion une confirmation possible à mon hypothèse concernant le mécanisme de l’inhibition de certaines prostaglandines par le paracétamol.
Cependant, il y avait une contradiction entre les deux réactions biochimiques attribuées au paracétamol. Selon Herzenberg (20) , Clayden (21), Jaeschke (22), Tatiana Obukhanych, le paracétamol modifié (oxydé) par le cytochrome CYP2E1 (23), agit comme un oxydant et forme un adduct avec le glutathion, adduct éliminé par la suite, avec donc consommation du paracétamol, qui donc n’est plus en quantité suffisante pour permettre d’enrayer la synthèse des prostaglandines, où il joue au contraire le rôle de réducteur chimique.

Les travaux de Chan et al en 2018 (24) permettent de résoudre ce paradoxe. On constate que l’adduct ipso (voir schéma p 2), qui met en jeu non seulement le groupement thiol (-SH) du glutathion, mais également ceux des protéines comme la cystéine (25), conserve son pouvoir oxydant et va réagir avec un nouveau groupement thiol (du glutathion ou d’une protéine) en décomposant l’adduct ipso pour former un disulfure (noté Pr-S-S-G ici)(Pr = protéine soufrée, G étant le glutathion) en libérant le paracétamol (APAP). Le bilan est donc nul pour le paracétamol dont la concentration va demeurer constante, et la véritable réaction consiste en l’oxydation des thiols (-SH)x2 en disulfures (-S-S-) par le cytochrome, réaction qui n’a pas lieu dans le métabolisme normal. Le paracétamol reste donc disponible pour bloquer la synthèse des prostaglandines.

Ce comportement chimique du paracétamol montre qu’il agit comme un catalyseur (26). Il catalyse donc la diminution par oxydation de la quantité de thiols (glutathion) disponibles et il empêche l’oxydation de l’acide arachidonique (27) en prostaglandine (28).

Le travail de Khomich et al. (2018) (29) montre bien l’association de l’augmentation des entités oxydantes réactives (ROS et NOS) dans les maladies virales respiratoires, ainsi que la diminution de l’antioxydant principal, le glutathion (GSH), que l’on ne doit surtout pas confondre avec le glutathion oxydé GSSG (un disulfure) qui lui, justement est le produit de la réaction des ROS (ou NOS) avec GSH.

La première conclusion générale est qu’il ne faut pas faire diminuer la quantité de glutathion circulant, et que toute action en ce sens est une erreur,…, que nos « autorités » ont faite en imposant le paracétamol. L’apparition de difficultés respiratoires au bout de 10 jours pourrait bien être le fait des 4g de paracétamol prescrits journellement.

Conclusion

D’ailleurs, pourquoi avoir imposé l’évitement des autres AINS, sinon pour utiliser cette propriété du paracétamol consistant à faire diminuer le glutathion, ce que ces autres ne possèdent pas ?
Autre étude importante, celle de Hati et al. (2020) : « Impact of Thiol–Disulfide Balance on the Binding of Covid-19 Spike Protein with Angiotensin-Converting Enzyme 2 Receptor  » (30) dont le résumé succinct est le suivant : la liaison entre la Spike et le récepteur ACE2 est d’autant plus faible que la quantité de groupement thiol est importante : thiols = glutathion.

On retrouve le fait que la maladie est d’autant plus dangereuse que le taux de glutathion est faible, tendance que l’on retrouve bien entendu d’abord chez les personnes âgées, mais aussi sans doute chez celles ayant abusé de paracétamol. Les personnes décédées de la covid n’auraient-elles pas présenté un important déficit en glutathion ?

Et cette alerte pourrait également être appliquée à la « thérapie génique », qui est censée faire produire cette protéine spike par la cellule vivante.

Je rebondis sur l’article d’André Fougerousse (31) qui indique que c’est bien l’excès d’oxydants qui est à l’origine de la thrombose, oxydants qui sont normalement réprimés par le glutathion. Les thromboses associées à la spike ne seraient donc pas dues au hasard.

Ces deux références se retrouvent dans l’analyse de Sestili et Fimognari : « Paracetamol-Induced Glutathione Consumption: Is There a Link With Severe COVID-19 Illness? » (32)

Le rôle du glutathion est bien entendu beaucoup plus étendu. J’ai voulu mettre en exergue deux points qui nous concernent particulièrement aujourd’hui.

Jean Umber
Aout 2021

Notes et sources:

(1) https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-le-paracetamol-aurait-il-tue
(2) Clayden, Greeves, Warren, Wothers chez Oxford University Press https://www.academia.edu/35755359/Organic_Chemistry_By_Clayden_Greeves_Warren_and_Wothers
(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/N-Ac%C3%A9tyl-p-benzoquinone_imine
(4) https://fr.wikipedia.org/wiki/Glutathion
(5) https://www.pnas.org/content/94/5/1967
(6) https://fr.wikipedia.org/wiki/Lamivudine
(7) https://herzenberglab.stanford.edu/sites/g/files/sbiybj10046/f/publications/lah579_cysdef.pdf
(8) https://fr.wikipedia.org/wiki/Monoxyde_d%27azote
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Peroxynitrite
(10) https://www.researchgate.net/publication/26351868_The_chemistry_of_peroxynitrite_a_biological_toxin
(11) https://fr.wikipedia.org/wiki/Oxyde_nitrique_synthase
(12) https://fr.wikipedia.org/wiki/Peroxynitrite
(13) https://fr.wikipedia.org/wiki/Chloramphénicol
(14) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2248324/pdf/nihms38119.pdf
(15) https://fr.wikipedia.org/wiki/Prostaglandine
(16) Le naproxène est largement utilisé en médecine à ce jour sous son nom DCI mais aussi sous les noms commerciaux d’Apranax©, Antalnox©, Alève©…   
https://fr.wikipedia.org/wiki/Naprox%C3%A8ne
(17) https://fr.wikipedia.org/wiki/Naphtol
(18) Antibiotique de la famille des Béta-lactamines universellement utilisé à ce jour, vendu seul sous son nom de DCI, mais aussi sous des noms commerciaux tels que Clamoxyl© : En association avec de l’acide clavulanique l’assemblage a vu le jour sous le nom d’Augmentin© en France.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Amoxicilline
(19) https://faseb.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1096/fj.06-8015com
(20) https://herzenberglab.stanford.edu/sites/g/files/sbiybj10046/f/publications/lah579_cysdef.pdf
(21) https://www.academia.edu/35755359/Organic_Chemistry_By_Clayden_Greeves_Warren_and_Wothers
(22) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21296090/
(23) https://en.wikipedia.org/wiki/CYP2E1
(24) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6166671/pdf/zjw2034.pdf
(25) https://fr.wikipedia.org/wiki/Cystéine
(26) https://fr.wikipedia.org/wiki/Catalyse
(27) https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_arachidonique
(28) https://fr.wikipedia.org/wiki/Prostaglandine
(29) https://www.mdpi.com/1999-4915/10/8/392/htm
(30) https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsomega.0c02125
(31) https://www.aimsib.org/2019/11/17/lexplication-sur-la-thrombose-qui-va-vous-en-boucher-un-coin/
(32) https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fphar.2020.579944/full#B24




Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre

[Source : NewsLetter de Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Cette newsletter s’adresse particulièrement à trois catégories de gens :

  • Ceux qui se sont laissés vaxxer à regret pour avoir le droit de continuer à gagner leur vie et nourrir leur famille.
  • Ceux qui, bernés par les mensonges de la télé, se sont fait vaxxer volontairement et sont maintenant très inquiets par ce qu’ils ont appris depuis sur les risques de santé graves, voire mortels, qu’ils encourent maintenant.
  • Ceux qui ne sont pas vaxxés mais qui risquent d’être infectés par la proximité permanente ou imprévisible de vaxxés qui sont en fait des pollueurs ambulants de graphène.

Mais elle ne s’adresse pas à ceux qui pensent avoir fait un choix judicieux et sage.
À ce sujet, je voudrais ici mettre en défaut un raisonnement tronqué venant des « Zélites médico-politiques » concernant les sujets fragiles, que par une grande mansuétude on place prioritaires pour bénéficier du « vaxxin sauveur », il s’agit bien sûr des gens âgés, particulièrement ceux des EHPADs, mais aussi des gens à risques comme les diabétiques et les obèses, dont les défenses immunitaires sont souvent déficientes.

Or on sait que la première ligne de défense anti graphène (poison confirmé) est le L-glutathion, alors que celui-ci est automatiquement en déficit chez ces gens-là. Devinez qui risque de gagner la partie… Alors ne pensez-vous pas qu’il s’agirait plutôt d’une volonté de « débarrasser le plancher » des éclopés considérés comme des encombrants inutiles ?

Comment peut-on encore croire des politiques qui depuis toujours n’ont fait que nous mentir sur tout ? Ceux qui n’ont pas encore compris que nous vivons dans un monde à l’envers où les cadeaux sont toujours empoisonnés, sont bien naïfs.

Une compartimentation regrettable des spécialités médicales

Différentes sommités de la recherche en virologie ont sonné l’alarme en affirmant qu’il n’y aurait aucun retour en arrière possible pour les doubles vaxxés, particulièrement au niveau des dégâts physiologiques et neurologiques résultant de ces faux vaxxins ARNm. Cela n’a pas empêché des millions de gens sous hypnose TV de courir les yeux fermés se faire injecter le poison libérateur… Evidemment les alerteurs indépendants n’ont jamais eu accès TV.

En outre, je me demande pourquoi les sommités connues de la virologie qui ont accès au moins à Internet continuent à tourner en rond, centrés sur les coronas V, persistant à ignorer les vrais agents du crime parfait contenus dans les vaxxins, en l’occurrence l’oxyde de graphène, la protéine Spike S (au graphène) et le gel hydroalcoolique. Je rappelle que c’est ce qu’ont trouvé plusieurs labos espagnols selon La Quinta Columna, après avoir analysé des ampoules de « vaxxin » Pfizer, mis à part quelques mini ingrédients d’usage et aucune trace de souche corona ! Ce qui prouve bien que ce n’est pas fait pour vaxxer mais pour empoisonner.

L’histoire compliquée de la suramine

De son côté, le Docteur Judy Mikovits, chercheuse de haut niveau, pensait qu’il était impossible que les promoteurs criminels de l’holocauste vaxxinal n’aient pas prévu une échappatoire pour eux-mêmes et leurs protégés.

Ainsi, Judy Mikovits et ses collaborateurs ont fini par découvrir la botte secrète que ces gens avaient à disposition confidentielle dans le corps médical depuis près de 100 ans, la Suramine, utilisée pour le traitement de la maladie du sommeil humaine (causée par des parasites, les trypanosomes).

Or cette suramine est dérivée du bleu trypan appelé ainsi parce qu’il tue les trypanosomes. Celui-ci a été synthétisé pour la première fois par le scientifique allemand Paul Ehrlich en 1904. Mais ce n’est pas tout, car lorsque l’on remonte la filière des chimistes, on apprend que le trypan est lui-même dérivé de la toluidine, issue du toluène… qui est extrait de l’huile de pin !
Et cela a été la piste de Judy Mikovits.

Bref historique des aiguilles de pin sylvestre

L’histoire nous montre que les aiguilles de pin sylvestre, ou de différentes autres espèces de pin, ont été largement utilisées depuis des millénaires chez différents peuples comme les amérindiens, si bien que ce pin était surnommé « l’arbre aux mille vertus ». Les herboristes du monde entier connaissent depuis longtemps les bienfaits de ces aiguilles de pin en tisane, en Teinture Mère, en poudre, ou en huile essentielle.
Aussi, la richesse des aiguilles de Pin sylvestre en pinène et multiples autres constituants volatils ou non volatils, et en vitamine C (le Pin a été utilisé dans le soin du scorbut) et A, leur confère un pouvoir guérisseur reconnu ciblant particulièrement les affections respiratoires en tant que :

  • Antiseptique,
  • Anti-inflammatoire,
  • Expectorant,
  • Mucolytique,
  • Antioxydant puissant (d’après une étude sud-coréenne en 2011),
  • Stimulant de la corticosurrénale.

Mais aussi de :

  • Booster l’état général,
  • Améliorer la circulation sanguine et lymphatique,
  • Favoriser la diurèse et donc éliminer les toxines.

Une piste en impasse

Là nous entrons dans un sac d’embrouilles avec la recherche de la suramine – version naturelle – supposément concentrée dans les aiguilles, celle-là non agressive comparée à celle qui est de synthèse :

L’analyse d’une teinture mère réalisée à partir d’aiguilles de Pin sylvestre fraîchement récoltées, étude faite par un laboratoire sérieux et doté d’appareillages performants, n’a révélé aucune trace de suramine.
La teinture mère contient le précurseur de cette molécule, le toluène (découvert initialement dans le Baumier de Tolu, un grand arbre d’Amérique du sud, d’où le nom de ce composant) : le toluène est en effet soluble dans l’éthanol contenu dans l’alcool impliqué dans la fabrication de la teinture mère.

Mais cet extrait ne contient pas de suramine, molécule obtenue par voie de synthèse, comme expliqué ci-dessus : la suramine n’est présente dans aucune plante, elle ne se trouve pas à l’état naturel : cette molécule est une création de la chimie analytique ! L’infusion d’aiguilles de Pin sylvestre ne contient pas non plus de suramine, pas plus que la teinture mère ou tout autre extrait du Pin sylvestre, ou tout autre espèce de Pin !

Alors pourquoi ça marche ?

Il est clair que si Judy Mikovits avait raconté des sottises, pourquoi l’aurait-on empêché de parler en la mettant en prison (comme JB Fourtillan) ? A notre avis, elle ne s’est pas trompée sur les résultats, mais a dû mal interpréter la complexité du processus réel de l’action thérapeutique des aiguilles – la suramine serait donc un faux drapeau, et il y aurait autre chose qui fait le travail, mais quoi ?

  1. Notre problème central est la neutralisation du graphène qui est un peroxydant. Or les extraits d’aiguilles de pin étant, nous l’avons vu, un puissant antioxydant apportent une aide extérieure importante au L-glutathion, principal antioxydant endogène qui peut être très insuffisant.
     
  2. Par ailleurs tout le monde sait que les pinèdes dégagent beaucoup d’ions négatifs extrêmement tonifiants qui donnent une sensation de légèreté. Les aiguilles en sont en grande partie le siège.

D’un autre côté l’oxyde de graphène étant électropositif a besoin d’être dans un milieu électropositif pour pouvoir fonctionner. A noter aussi sa capacité exceptionnelle de conduction électrique et magnétique.
Ceci a donné lieu, chez des milliers de personnes à des phénomènes amusants d’aimantation de petits objets ferreux sur le point d’inoculation du vaccin.
Mais malheureusement aussi à des réactions dramatiques presque immédiates de gesticulations violentes incontrôlables et continues insupportables à voir (pauvres gens !) – Il semble que tout le système cérébro-spinal soit en court-circuit.

La vérité est que les extraits d’aiguilles de pin peuvent neutraliser l’électropositivité du graphène le rendant inactif et le piégeant magnétiquement. Pour en savoir plus, je vous renvoie en référence à la thèse d’un scientifique anglais – cliquez sur :

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01325244

Comme le dit Hugo Barès :

La suramine, c’est l’antidote du graphène pour les élites,
mais les aiguilles de pin, c’est l’antidote du peuple.

Conclusion

Les gros dommages physiques et psychiques post-vax peuvent être grandement évités ou atténués grâce aux aiguilles de Pin sylvestre en préventif avant le vax, ceci permettant de se mettre en règle naturellement sans trop de risques avec le scandaleux passeport vert.

En curatif post vax, il parait aussi possible dès le départ de bloquer le graphène, mais je ne suis pas sûr que par la suite il soit possible de rattraper tous les dégâts déjà occasionnés.

  • NOTA :
    Vu sur ProFide Catholica : en Espagne les produits dérivés d’aiguilles de Pin ont été interdits courant mai 21 !
    C’est bien la preuve que ça marche !…

Recommandations PRÉ ET POST VAX

Alcoolature ou Teinture Mère d’aiguilles fraiches de pin sylvestre

  • 15 gouttes dans de l’eau avant chacun des 3 repas, pendant 25 jours, cure à renouveler après arrêt d’une semaine. Un flacon de 100 ml suffit pour deux cures. 
     

Nota : Hélas, il est possible que beaucoup de gens
n’aient pas accès à ces informations ou n’y croiront pas,
parce que cela ne sera pas diffusé à la télé…

Garantie Qualité

  • Les aiguilles de Pin sylvestre sont coupées et mises en macération sur le site même de la cueillette, dans de la Blanche d’Armagnac 55°, certifiée Demeter et Ecocert.
  • La teinture mère est labellisée Ecocert, Nature et Progrès, Demeter. Elle a un titre alcoolique de 35° environ.

Commande

Vous pouvez vous procurer la Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre ici :




L’évêque orthodoxe Mar Mari Emmanuel s’en prend à présent aux fers de lance du Nouvel Ordre Mondial et de la vaccination Covid

[Source : Le libre penseur]



Voir aussi : L’évêque Mar Mari Emmanuel s’adresse au gouvernement Australien




Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste : feint-sacrement, destruction de l’empire US et avènement de l’ordre banquier universel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial — alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.

Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :

« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte, mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »

https://youtu.be/A9OuIaU9JPU

Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul — à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.

Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :

« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’État (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »

Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’État est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :

« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »

Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Évidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :

[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]

« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, “réjouit le cœur de l’homme”. Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »

Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :

« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants ; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »

Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :

« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »

Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment, mais à un niveau mondial.

« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés ; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants — les Gros les ont dévorés. À mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État — c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »

Et Huxley de mettre les points sur les I :

« Dans une démocratie capitaliste comme les USA, elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Élite du Pouvoir. »

Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…

Sources principales :





Âme génétique et résonance morphique

[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

« Nous sommes des machines à survie, des robots aveuglément programmés pour préserver ces molécules égoïstes que l’on appelle des gènes. » Ainsi s’exprime Richard Dawkins dans Le Gène égoïste [1]. Comme il le constatait en 1989, sa théorie « est devenue l’orthodoxie des manuels scolaires », car elle est simplement « une conséquence logique du néodarwinisme orthodoxe, mais exprimée comme une image nouvelle ».

[Voir aussi : L’Homme programmé ou l’Homme libre ?]

L’image est trompeuse. Dawkins ne croit pas littéralement que les gènes sont des entités égoïstes animées par une volonté de se répliquer. S’ils l’étaient, ils seraient comme des sortes d’âmes transgénérationnelles. Dans le modèle néodarwinien, les gènes ne sont pas des âmes, mais simplement des molécules régies par les lois déterministes de la chimie. Et ils sont le résultat d’une série d’accidents chimiques sur des millions d’années, à partir de la première protéine capable de s’autorépliquer.

J’ai déjà écrit pour E&R deux articles critiques sur le darwinisme : « Généalogie du darwinisme »  et « Le singe devenu dieu » (où je montrais le lien logique entre darwinisme et transhumanisme). Je vais ici prolonger cette critique, présenter brièvement l’alternative, en particulier la théorie de Rupert Sheldrake, et conclure par une réflexion « métagénétique » pour sortir du paradigme individualiste. Je voudrais ainsi apporter une modeste contribution au débat passionnant entre Alain Soral, Xavier Poussard et Lucien Cerise animé par Monsieur K, en rappelant que l’essence du vivant est le génétique, et que, pour l’être humain, le génétique, ou le générationnel, est la substance organique du politique.

La catastrophe darwinienne

[Voir aussi :
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée]

Nietzsche l’avait prédit dans la seconde de ses Considérations inactuelles : le darwinisme est un poison civilisationnel.

« [Si de telles idées], avec la folie de l’enseignement qui règne aujourd’hui, sont jetées au peuple pendant une génération encore, personne ne devra s’étonner si le peuple périt d’égoïsme et de mesquinerie, ossifié dans l’unique préoccupation de lui-même. Il commencera par s’effriter et par cesser d’être un peuple. À sa place, nous verrons peut-être apparaître, sur la scène de l’avenir, un enchevêtrement d’égoïsmes individuels, de fraternisations en vue de l’exploitation rapace de ceux qui ne sont pas des « frères », et d’autres créations semblables de l’utilitarisme commun. »

Bien qu’il disait tenir la théorie de Darwin « pour vraie, mais pour mortelle », Nietzsche en critiqua la nature mécanique, qui néglige la « volonté de puissance » inhérente à la vie, dont il avait appris l’importance chez son maître Arthur Schopenhauer. Dans sa préface à la seconde édition de La Volonté dans la nature (1836), soit cinq ans avant la parution de L’Origine des espèces, Schopenhauer avait mis en garde contre :

« le zèle et l’activité incomparables affichés dans toutes les branches des sciences naturelles qui, comme cette recherche est principalement entre les mains de gens qui n’ont rien appris d’autre, menace de conduire à un matérialisme grossier et stupide, dont le côté le plus immédiatement offensant est moins la bestialité morale de ses résultats ultimes, que l’incroyable absurdité de ses premiers principes ; car de cette manière, même la force vitale est niée, et la nature organique est dégradée en un simple jeu de hasard des forces chimiques. »

Pour mesurer où nous a conduit cette conception mécanique de la vie, un bon indicateur est le succès planétaire de la dernière star darwinienne Yuval Noah Harari. Ses livres se sont vendus à près de 30 millions d’exemplaires en 60 langues. Dans Sapiens (2015, publié initialement en hébreu), il enfonce le clou de la morale darwinienne : « La vie n’a pas de scénario, pas d’auteur, pas de metteur en scène, pas de producteur – et pas de sens. » Puis dans Homo Deus (2017), il nous apporte la bonne nouvelle transhumaniste, l’autodéification de l’Homme par le miracle de la haute technologie : « ayant sorti l’humanité de la brutalité des luttes pour la survie, nous allons chercher à hisser les hommes au rang de dieux, à transformer Homo sapiens en Homo deus. »

« les bio-ingénieurs vont […] se saisir du vieux corps de Sapiens et en réécrire délibérément le code génétique, recâbler ses circuits cérébraux, modifier son équilibre biochimique, voire lui faire pousser des membres nouveaux. […] Le génie cyborg ira plus loin, et fusionnera le corps organique avec des appareils non organiques, tels que des mains bioniques, des yeux artificiels ou des millions de nanorobots qui navigueront dans nos vaisseaux sanguins, diagnostiqueront les problèmes et répareront les dommages. »

Désormais, la « machine-robot » de Dawkins peut commencer à se transformer en un immortel zombie électronique. Un tel fantasme d’immortalité physique et d’omnipotence est risible à notre époque de covidophobie aiguë, mais il y a un lien très étroit : il s’agit toujours d’enfoncer dans le crâne des masses ahuries que le but de la vie est d’éviter la mort (la mort physique individuelle, s’entend).

La conception mécanique du vivant

La maladie mentale qui conduit l’Homme à se prendre pour une machine a été inoculée aux Européens par le Français René Descartes (1596-1650). Descartes était fasciné depuis son enfance par les nouvelles machines de son époque. Comme tout homme intelligent et instruit, il était aussi impressionné par les descriptions mécaniques du Système solaire faites par Kepler et Galilée. Il voulut donc étendre ce modèle au monde vivant. « Mon but, écrivait Kepler en 1605, est de montrer que la machine céleste ne doit pas être comparée à un organisme divin mais plutôt à une horloge. » L’analogie de l’horloge convenait aux êtres célestes, dont les mouvements réguliers avaient fourni à l’Homme ses mesures du temps. La découverte que les mouvements des planètes pouvaient être conceptualisés en termes purement mathématiques conduirait à la théorie révolutionnaire de la gravitation d’Isaac Newton. En revanche, la théorie de Descartes sur la machine animale n’a conduit à aucun progrès en biologie. En vivisectant des chiens, il a observé que le cœur fonctionnait comme une pompe, mais on le savait déjà.

Selon la tradition platonicienne et aristotélicienne, adoptée par Thomas d’Aquin, les êtres vivants différaient essentiellement de la matière inanimée par leur principe vital, leur anima. Mais voyant « l’organisme cosmique » désormais privé de son anima mundi et converti en mécanisme, Descartes a voulu se débarrasser de l’anima aussi chez les animaux, et prouver que les organismes biologiques eux-mêmes étaient en réalité des mécanismes biologiques. Il fut assez prudent pour faire une exception pour l’Homme, à qui il accordait une âme rationnelle logée dans la glande pinéale.

La théorie cartésienne, c’est-à-dire mécanique, de la vie eut un succès limité et a été constamment combattue par une école de pensée qu’on a appelée « vitalisme » au XIXe siècle. Les vitalistes affirment que les phénomènes de la vie ne peuvent pas être entièrement expliqués par des lois mécaniques ou chimiques dérivées de l’étude des systèmes inanimés, et que les processus de morphogenèse et de reproduction nécessitent un facteur causal irréductible à ces lois. Les vitalistes ont été parmi les premiers à théoriser l’évolution des espèces, qui pourrait s’expliquer si « l’élan vital » (Henri Bergson, L’Évolution créatrice, 1907) inclut une sorte de « volonté d’évoluer » à la Schopenhauer. Bergson écrit :

« Plus on fixe son attention sur cette continuité de la vie, plus on voit l’évolution organique se rapprocher de celle d’une conscience, où le passé presse contre le présent et en fait jaillir une forme nouvelle, incommensurable avec ses antécédents. »

En 1802, Jean-Baptiste de Lamarck pensa vaincre le vitalisme avec sa doctrine du transformisme, qui expliquait comment les espèces évoluaient les unes à partir des autres par héritage des caractères acquis. Darwin proposa ensuite un mécanisme d’évolution différent (« descente avec modification »), sans nier le facteur lamarckien (ce que fera son disciple zélé August Weismann).

Le darwinisme marque le triomphe de la théorie mécanique de la vie. Mais il a en outre l’avantage de rendre inutile l’« hypothèse Dieu » : les machines nécessitent normalement un concepteur (Newton imaginait Dieu « très doué en mécanique et en géométrie »), mais les organismes n’en ont pas besoin s’ils ont évolué progressivement par variation et sélection naturelle. Seuls « le hasard et la nécessité » (Jacques Monod, 1970) ont créé toutes les formes de vie, de la bactérie à l’Homme.

Avec la redécouverte des lois de l’hérédité de Mendel, le darwinisme a évolué vers ce que Julian Huxley a appelé la « synthèse moderne » (rebaptisée plus tard néodarwinisme). Dans les années 1930, grâce au microscope électronique, la quête de l’explication de la vie passe du niveau cellulaire au niveau moléculaire. La biologie s’efforce de devenir une branche de la chimie. Francis Crick, qui partagea le prix Nobel pour la découverte de la structure de l’ADN, a rendu ce programme très explicite dans son livre Of Molecules and Men (1966) : « Le but ultime de la modernité en biologie est en fait d’expliquer tous les phénomènes biologiques en termes physico-chimiques. » [2]

Paradoxalement, c’est l’accent mis sur le niveau moléculaire qui a dévoilé la complexité époustouflante du vivant, laquelle pose aujourd’hui un défi gigantesque au modèle simpliste de l’évolution darwinienne par mutations accidentelles et sélection naturelle.

Le dessein intelligent

Michael Behe ​​est un biochimiste de premier plan qui défend l’hypothèse du « dessein intelligent » (Intelligent Design). Il explique dans son livre Darwin’s Black Box :

« La biochimie a démontré que tout appareil biologique impliquant plus d’une cellule (comme un organe ou un tissu) est nécessairement un réseau complexe de nombreux systèmes identifiables différents, d’une complexité effroyable. La cellule de réplication autosuffisante « la plus simple » a la capacité de produire des milliers de protéines différentes, et d’autres molécules, à des moments différents et dans des conditions variables. Synthèse, dégradation, génération d’énergie, réplication, maintenance de l’architecture cellulaire, mobilité, régulation, réparation, communication : toutes ces fonctions ont lieu dans pratiquement chaque cellule, et chaque fonction elle-même nécessite l’interaction de nombreuses parties. » [3]

Une telle complexité peut-elle être le résultat d’une série d’erreurs accidentelles dans la réplication des gènes ? Il est important de comprendre en effet que, selon Darwin, le seul processus créatif dans l’évolution réside dans « des variations produites accidentellement ». La sélection naturelle ne crée rien ; elle n’agit que négativement en éliminant les variations désavantageuses. Elle n’est pour rien dans l’apparition des variations avantageuses, qui est le résultat d’accidents dans la réplication de l’ADN.

Puisque les tenants du « dessein intelligent » soutiennent que la complexité de la vie, qui devient de plus en plus grande avec chaque nouvelle découverte, est la preuve la plus convaincante de l’existence de Dieu – ou de l’Esprit –, les scientifiques déicides sont entrés en mode croisade contre ces hérétiques. D’où la campagne agressive pour interdire les professeurs d’université favorables à l’Intelligent Design, bien documentée dans le film Expelled : No Intelligent Allowed (à voir en français ici sur Égalité et Réconciliation). Il y a maintenant une sélection darwinienne dans le milieu universitaire pour éliminer les scientifiques non darwiniens. J’en ai fait moi-même l’expérience à un faible niveau, lorsque, muni de mon doctorat en « Études médiévales anglaises », j’ai postulé en 2010 pour un poste d’assistant à l’université ; après m’avoir dit que je correspondais exactement au profil recherché, on m’a soudain claqué la porte au nez pour la raison – qui m’a clairement été signifiée – que j’avais traduit, édité et préfacé le livre de Phillip Johnson, Le Darwinisme en question. Science ou métaphysique ?

Stephen Meyer, qui défend également la théorie du dessein intelligent dans son livre Darwin’s Doubt, écrit :

« Les entités qui confèrent des avantages fonctionnels aux organismes – de nouveaux gènes et les protéines qu’ils codent – constituent de longues chaînes linéaires de sous-unités séquencées avec précision, des bases nucléotidiques dans le cas des gènes et des acides aminés dans le cas des protéines. Pourtant, selon la théorie néodarwinienne, ces entités complexes et hautement spécifiées doivent d’abord apparaître et fournir un certain avantage avant que la sélection naturelle puisse agir pour les préserver. Étant donné le nombre de bases présentes dans les gènes et les acides aminés présents dans les protéines fonctionnelles, un grand nombre de changements dans la disposition de ces sous-unités moléculaires devraient se produire avant qu’une nouvelle protéine fonctionnelle et sélectionnable puisse apparaître. Pour que même la plus petite unité d’innovation fonctionnelle – une nouvelle protéine – se produise, de nombreux réarrangements improbables des bases nucléotidiques devraient se produire avant que la sélection naturelle n’ait quelque chose de nouveau et d’avantageux à sélectionner. » [4]

Meyer souligne que la révolution de la biochimie a conduit à la prise de conscience que la vie n’est pas fondamentalement une question de matière ; c’est une question d’information. Et l’information ne peut être produite que par une intelligence. L’ADN « code » des informations, qui peuvent être « transcrites » en molécules d’ARN, puis « traduites » en une séquence d’acides aminés au fur et à mesure que des molécules de protéines sont synthétisées. « Depuis que la révolution de la biologie moléculaire a mis en évidence la primauté de l’information sur le maintien et la fonction des systèmes vivants, les questions sur l’origine de l’information sont passées au premier plan des discussions sur la théorie de l’évolution. » [5] Des changements aléatoires ou accidentels dans toute séquence contenant des informations ne font que dégrader les informations et ne peuvent en aucun cas ajouter de nouvelles informations. C’est pourquoi le défi majeur du darwinisme est venu des mathématiciens : en 1966, un groupe distingué de mathématiciens, d’ingénieurs et de scientifiques s’est réuni pour un colloque à l’Institut Wistar de Philadelphie intitulé « Les défis mathématiques de l’interprétation néodarwinienne de l’évolution ». [6]

La Résonance Morphique

Pour Stephen Meyer, « la découverte d’informations numériques même dans les cellules vivantes les plus simples indique l’activité préalable d’une intelligence créatrice à l’œuvre à l’origine de la première vie ». Mais cette « intelligence créatrice » ne doit pas nécessairement être conçue comme un Dieu exclusivement transcendant, extérieur à sa création. En d’autres termes, le paradigme du dessein intelligent ne doit pas être réduit à une version moderne de l’horloger (en l’occurrence le concepteur d’ordinateurs), qui crée de temps en temps de nouveaux modèles. Il est également possible de suivre une ligne de pensée plus panthéiste ou animiste et de supposer que l’intelligence est inhérente à la vie elle-même. Des documentaires sur « l’intelligence des plantes » peuvent nous aider à le concevoir (ici ou ici, vidéos en anglais non sous-titrées).

Il existe, en fait, un foisonnement de théories tentant de dépasser ou abandonner le darwinisme sans pour autant se satisfaire du « dessein intelligent ». Un site leur est consacré : www.thethirdwayofevolution.com. Certains des savants cités s’intéressent aux processus épigénétiques, d’autres explorent les mécanismes holistiques de la vie (comme Denis Noble, auteur de La Musique de la vie. La biologie au-delà du génome). Est mentionné dans ce site le professeur Didier Raoult, auteur en 2010 de Dépasser Darwin.

Mais je voudrais ici présenter, pour ceux qui ne le connaissent pas, le biologiste de Cambridge Rupert Sheldrake, connu pour sa théorie des « champs morphogénétiques ». Il n’a pas inventé cette notion et en attribue le crédit à Hans Spemann, Alexander Gurwitsch et Paul Weiss, qui, au début des années 1920, ont proposé que la morphogenèse soit organisée par champs « développementaux », « embryonnaires » ou « morphogénétiques ». Ces champs organisent le développement de l’embryon et guident les processus de régulation et de régénération après dommages. Sheldrake écrit dans The Presence of the Past (traduit en français sous le titre La Mémoire de l’Univers, Éditions du Rocher, 2002) :

« La nature spécifique des champs, selon Weiss, signifie que chaque espèce d’organisme a son propre champ morphogénétique, bien que les champs d’espèces apparentées puissent être similaires. De plus, au sein de l’organisme, il existe des champs subsidiaires dans le champ global de l’organisme, en fait une hiérarchie imbriquée de champs dans les champs. » [7]

La notion de champs, initialement introduite pour expliquer le magnétisme, puis la gravitation, tend aujourd’hui à s’imposer dans tous les domaines de la physique, comme l’explique le physicien David Tong dans cette conférence (en anglais, non sous-titrée en français) à Cambridge. D’une certaine manière, cette notion réconcilie la pensée scientifique avec l’idéalisme platonicien. Werner Heisenberg, l’un des fondateurs de la mécanique quantique, a déclaré :

« Je pense que la physique moderne a tranché en faveur de Platon. Car les plus petites unités de matière ne sont pas des objets physiques au sens ordinaire du terme, mais des formes, des idées qui ne sauraient être exprimées de manière claire qu’en langage mathématique. » [8]

Penser en termes de champs est nécessaire en biologie, soutient Sheldrake, parce que l’information génétique ne peut pas être localisée uniquement dans les gènes. Sheldrake écrit dans Morphic Resonance : The Nature of Formative Causation (Une nouvelle science de la vie : l’hypothèse de la causalité formative, Éditions du Rocher, 2003) :

« Le concept de programmes génétiques est basé sur une analogie avec les programmes informatiques. La métaphore implique que l’œuf fécondé contient un programme prédéterminé qui coordonne en quelque sorte le développement de l’organisme. Mais le programme génétique doit impliquer quelque chose de plus que la structure chimique de l’ADN, car des copies identiques d’ADN sont transmises à toutes les cellules ; si toutes les cellules étaient programmées de la même manière, elles ne pourraient pas se développer différemment. » [9]

Une partie de l’information qui « donne forme » à l’organisme n’est donc pas matériellement codée ; elle est contenue dans les champs morphogénétiques et non dans l’ADN. Sheldrake utilise une métaphore simple qui rend l’idée facile à comprendre :

« Considérez l’analogie suivante. La musique qui sort du haut-parleur d’un poste radio dépend à la fois : 1) des structures matérielles du poste et de l’énergie qui l’alimente et 2) de la transmission sur laquelle le poste est réglé. La musique peut bien sûr être affectée par des changements dans le câblage, les transistors, les condensateurs, etc., et elle s’arrête lorsque les piles sont retirées. Quelqu’un ne sachant rien de la transmission de vibrations invisibles, immatérielles et inaudibles à travers le champ électromagnétique pourrait conclure que la musique pourrait être entièrement expliquée en termes de composants de la radio, de la manière dont ils étaient disposés et de l’énergie dont leur fonctionnement dépendait. S’il envisageait la possibilité que quelque chose vienne de l’extérieur, il la rejetterait en découvrant que l’appareil pesait le même poids allumé et éteint. Il devrait donc supposer que les schémas rythmiques et harmoniques de la musique sont apparus dans l’appareil à la suite d’interactions extrêmement compliquées entre ses parties. Après une étude et une analyse minutieuses de l’ensemble, il pourrait même être en mesure d’en faire une réplique qui produirait exactement les mêmes sons que l’original, et il considérerait probablement ce résultat comme une preuve frappante de sa théorie. Mais malgré son exploit, il resterait complètement ignorant du fait qu’en réalité la musique provenait d’un studio de radiodiffusion à des centaines de kilomètres de là. » [10]

Sur la notion de champs morphogénétiques, Sheldrake construit celle de « résonance morphique ». Puisque les champs morphogénétiques contiennent une mémoire inhérente, cette mémoire n’est pas immuable, mais est influencée par rétroaction. En d’autres termes, tous les organismes (ou organes, ou cellules) animés par un certain champ entrent en résonance les uns avec les autres, et cette résonance constitue le champ lui-même.

« La résonance morphique a lieu sur la base de la similitude. Plus un organisme est similaire aux organismes précédents, plus leur influence sur lui par résonance morphique est grande. Et plus il y a eu de tels organismes, plus leur influence cumulative est puissante. » [11]

C’est ce que Sheldrake appelle aussi la « causalité formative » : « selon l’hypothèse de la causalité formative, la forme d’un système dépend de l’influence morphique cumulative des systèmes similaires précédents » ; « Les champs morphiques ne sont pas définis avec précision mais sont des structures de probabilité qui dépendent de la distribution statistique de formes similaires précédentes. » [12] Cela n’explique toujours pas l’apparition de nouvelles espèces. À mon sens, la théorie de Sheldrake n’exclut pas, bien au contraire, l’hypothèse d’une Intelligence créatrice suprême, qui serait comme le cœur nucléaire du Champ morphique universel, ce dernier étant assimilable au Logos ou à la Sophia des néoplatoniciens.

L’âme génétique

Je connais la théorie de Sheldrake depuis une vingtaine d’années, et elle n’a cessé d’accompagner ma réflexion depuis. J’y ai repensé récemment en lisant de nombreux articles américains par des auteurs réagissant à l’agression culturelle sans précédent contre la « race blanche » ou la « civilisation blanche ». Nombre de ces auteurs formulent leur défense de la civilisation blanche selon le paradigme darwinien, et je pense que c’est une stratégie désastreuse, car le darwinisme ne donne aucun sens à la vie. Comment le darwinisme pourrait-il insuffler une nouvelle âme aux peuples européens alors qu’il s’agit d’une théorie matérialiste qui n’accorde aucune place aux forces spirituelles. Le darwinisme mécanise la vie et déshumanise l’humain. C’est d’ailleurs une arme maniée avec beaucoup plus d’efficacité par les adversaires de la civilisation blanche : le catéchisme darwinien n’affirme-t-il pas en effet que les races n’existent pas – surtout la race blanche ?

La théorie de Sheldrake permet de penser une anthropologie qui accorde toute son importance à la nature généalogique de l’être humain, mais sans réduire celle-ci à sa dimension matérielle, chimique. La résonnance morphique, dont Sheldrake étend et teste l’application aux domaines psychologiques et même parapsychologiques, suggère que les hommes sont liés spirituellement de manière organique et holistique, c’est-à-dire que l’âme individuelle est enveloppée dans une hiérarchie d’âmes groupales, et que cette hiérarchie est fondée non pas exclusivement mais principalement sur la consanguinité. Ce modèle rejoint la théorie de Ludwig Gumplowicz (1838-1909), l’un des pionniers de la sociologie, qui fait du « sentiment syngénique » fondé sur la consanguinité le principal facteur de cohésion des sociétés humaines.

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Représentation symbolique d’un système holistique

En définitive, la métaphore de Dawkins n’est pas sans valeur, si seulement nous lui restituons une dimension spirituelle. Les gènes, écrit-il, « nous ont créés, corps et esprit ; et leur préservation est la raison ultime de notre existence ». Préservation n’est pas le bon concept ; on ne peut que partager ses gènes. Mais cela mis à part, dans une conception sheldrakienne du génétique, on est conduit à concevoir que l’Homme, en tant qu’être spirituel et non seulement matériel, est un être essentiellement collectif, qui s’inscrit dans une lignée.

Le « sang » est le nom que l’on donnait jadis aux qualités spirituelles et morales qui se transmettent des parents aux enfants, lorsqu’on ne savait encore rien de l’ADN. Cette notion traditionnelle du « sang » est totalement étrangère à la modernité. Le « sang » n’évoque pour la plupart des Européens ou des Américains qu’une substance chimique qui prolonge notre misérable vie individuelle.

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Une startup propose des transfusion de sang jeune pour rajeunir le corps

Le sang, au sens traditionnel d’âme génétique, est l’impensable de l’individualisme matérialiste, qui est le fondement théorique de la société libérale des droits de l’homme. L’individu est déclaré être la réalité humaine ultime, en fait la seule réalité humaine. Sur le plan politique, cela a justifié les théories « contractualistes », qui commencent avec Thomas Hobbes (Léviathan, 1651) et passent par Adam Smith (La Richesse des nations, 1776). Postulant, comme Hobbes, que les hommes sont motivés exclusivement par leur intérêt personnel et matériel, Smith imagine que, par la magie de la libre concurrence, la somme des individualismes égoïstes engendrerait une société juste. Selon lui, les hommes contribuent mieux au bien public lorsqu’ils ne s’occupent que de leur bien personnel. Nous connaissons le résultat ; l’argent n’est pas le sang d’une société organique faite de cellules et d’organes, mais le carburant d’une société mécanique où les individus sont interchangeables. Le patrimoine génétique et le syngénisme sont la véritable richesse des nations.

Il faut sans doute avoir atteint un certain âge pour comprendre combien la personnalité et la destinée des hommes sont formées, à leur insu, par leur généalogie, par l’histoire des générations dont ils découlent. À la fin de sa vie, Carl Jung évoquait « l’étrange communauté de destin qui me rattache à mes ancêtres », ainsi que le « sentiment d’être sous l’influence de choses et de problèmes qui furent laissés incomplets et sans réponses par mes parents, mes grands-parents et mes autres ancêtres » [13]. La psychologie transgénérationnelle a apporté de nombreuses confirmations de l’intuition de Jung. Un de ses pionniers était Ivan Boszormenyi-Nagy, qui s’est intéressé à ces « loyautés invisibles » qui nous rattachent inconsciemment à nos ancêtres et façonnent notre destin de façon largement inconsciente, sur la base d’un système de valeurs, de dettes et de mérites : « L’élaboration de la loyauté est déterminée par l’histoire de la famille et par le type de justice que cette famille pratique et par les mythes familiaux. Elle trouve résonance en chacun des membres de la famille. » [14] Vincent de Gaulejac, dans L’Histoire en héritage. Roman familial et trajectoire sociale, évoque les « nœuds sociopsychiques » et « impasses généalogiques » qui peuvent parasiter le destin d’un individu cherchant à se déraciner de sa famille :

« À vouloir rompre à tout prix, il reste attaché sans comprendre pourquoi. À tenter de se construire dans un ailleurs, il reste surdéterminé par une filiation qui s’impose à lui quand bien même il penserait lui échapper. Ces inscriptions inconscientes conduisent à postuler l’existence d’un passé généalogique qui s’impose au sujet et structure son fonctionnement psychique. » [15]

Cette part de déterminisme généalogique, bien qu’incontestable, est une aberration du point de vue de l’utopie libérale. Mais il faut bien admettre qu’elle est également étrangère au christianisme, et que l’individualisme philosophique qui sous-tend la modernité est en partie le rejeton du christianisme (voir Louis Dumont, « La genèse chrétienne de l’individualisme moderne », dans Essais sur l’individualisme [16]).

À l’inverse, les Juifs reconnaissent et valorisent cette vérité anthropologique du sang, inscrite au cœur de la Bible hébraïque. Les Juifs, a écrit Martin Buber, font du sang « la couche la plus profonde et la plus puissante de [leur] être ». Le Juif perçoit « quelle confluence de sang l’a produit. […] Il sent dans cette immortalité des générations une communauté de sang » [17]. Nathan Wachtel, dans un livre sur la dispersion marrane, rappelle que le terme « nation », qui vient du latin natio, « naissance », a d’abord été utilisé au XVIe siècle par les marranes portugais et espagnols dispersés à travers le monde, « qui ne professent pas officiellement la même foi religieuse, et cependant partagent le sentiment d’appartenir à une même collectivité, désignée lapidairement par un mot : la Naçã  » [18].

Notre faiblesse à nous, Goyim européens, est l’individualisme. Notre sens du sang, de la lignée, est faible, et s’affaiblit d’année en année, produisant des êtres fragiles, incapables de se donner un destin commun, même au niveau familial. Il y aura bientôt un siècle, un mouvement européen était entièrement basé sur le droit naturel du sang (voir à ce sujet Johann Chapoutot, La Loi du sang. Penser et agir en nazi, Gallimard, 2014). La dénazification de l’Europe s’est depuis accompagnée d’une guerre sans pitié contre tout ce qui ressemble de près ou de loin à cette idéologie du sang (lire mon article « Jusqu’où ira la dénazification ? »)

L’anthropologie moderne a démontré que le réseau complexe de parenté qui enveloppe chaque personne de la naissance à la mort forme la structure distinctive de chaque société. Notre ancien système de parenté, hérité du monde romain et organisé autour de l’autorité du père, après avoir été affaibli par le christianisme, est aujourd’hui déchiqueté avec une sauvagerie inouïe.

Chacun de nous est membre d’un arbre généalogique : c’est notre identité première. Il me semble que l’affirmation de cette loi naturelle devrait revenir au premier plan dans un puissant mouvement culturel. Que nous voulions sauver notre civilisation ou en préparer une nouvelle, nous devrions peut-être travailler à la restauration du clan. La définition la plus simple du clan est « la communauté au sein de laquelle on ne se marie pas ». Il s’agit de la famille élargie, de trois ou quatre générations, auxquels il faut ajouter les aïeuls, dont la présence symbolique est primordiale. Construire une nouvelle culture du clan est un grand défi, car le clan ne peut se maintenir que sur la base des hiérarchies naturelles, qui se heurtent à nos « valeurs » démocratiques et mercantiles.

Mais si nous donnons la priorité à la construction de grandes familles solidaires et durables, des hommes et des femmes de valeur en sortiront – des héros, peut-être. Cela me rappelle d’ailleurs quelque chose que Laurence Leamer a écrit sur les Kennedy :

« Joseph P. Kennedy a créé une grande chose dans sa vie, et c’était sa famille. […] Joe enseignait aux siens que le sang régnait et qu’ils devaient se faire confiance et s’aventurer dans un monde dangereux plein de trahisons et d’incertitudes, pour retourner toujours dans le sanctuaire de la famille. » [19]

Laurent Guyénot

Notes

[1] Richard Dawkins, Le Gène égoïste, Odile Jacob, 2003 (première édition anglaise, 1976).

[2] Cité dans Rupert Sheldrake, Réenchanter la science, Albin Michel, 2012, p. 82

[3] Michael Behe, Darwin’s Black Box : The Biochemical Challenge to Evolution, S&S International, 2006, p. 46.

[4] Stephen Meyer, Darwin’s Doubt : The Explosive Origin of Animal Life and the Case for Intelligent Design, HarperOne, 2013, p. 177.

[5] Stephen C. Meyer, Darwin’s Doubt, p. 168.

[6] Stephen C. Meyer, Darwin’s Doubt, p. 170.

[7] Rupert Sheldrake, The Presence of the Past : Morphic Resonance and the Habits of Nature, Icon Books, 2011.

[8] Cité dans Rupert Sheldrake, The Presence of the Past.

[9] Rupert Sheldrake, Morphic Resonnance : The Nature of Formative Causation, Park Street Press, 2009, p. 9.

[10] Rupert Sheldrake, Morphic Resonnance, p. 111-112.

[11] Rupert Sheldrake, The Presence of the Past.

[12] Rupert Sheldrake, Morphic Resonnance, p. 94, 109.

[13] Carl G. Jung, Ma vie, Gallimard, 1991.

[14] Ivan Boszormenyi-Nagy, Invisible Loyalties : Reciprocity in Intergenerational Family Therapy, Harper & Row, 1973, p. 56.

[15] Vincent de Gaulejac, L’Histoire en héritage. Roman familial et trajectoire sociale, Petite Bibliothèque Payot, 2012, p. 141-142, 146-147.

[16] Louis Dumont, « La genèse chrétienne de l’individualisme moderne, une vue modifée de nos origines », Le Débat, 15, septembre-octobre 1981, repris dans Essais sur l’individualisme. Une perspective anthropologique sur l’idéologie moderne, Seuil, 1983, p. 35-81, sous le titre « De l’individu-hors-du-monde à l’individu-dans-le-monde ».

[17] Cité par Brendon Sanderson dans sa critique du livre de Geoffrey Cantor et Mark Swetlitz, Jewish Tradition and the Challenge of Darwinism, dans The Occidental Observer.

[18] Nathan Wachtel, La Foi du souvenir. Labyrinthes Marranes, Seuil, 2001, p. 26.

[19] Laurence Leamer, Sons of Camelot : The Fate of an American Dynasty, HarperCollins, 2005.




Le jour où j’ai compris la supercherie

[Source : REINFOCOVID]

Par Alain MANET

Dans un contexte dominé par la terreur, la peur, lorsque le vaccin est apparu, inondé par les informations toutes plus alarmistes les unes que les autres, j’ai vu du soleil, même si je me disais « comment est-ce possible, si simple, si vite ? ». Mais comme 100 % des médias disaient c’est formidable et qu’« il n’existe que cela »…

Ma mère, 87 ans, était inquiète, impossible d’avoir un rendez-vous par téléphone pour avoir « son vaccin ». Je prends rendez-vous pour elle par internet. Elle est rassurée. Elle prend sa 1re dose, puis la deuxième… qui la fatigue beaucoup quelques jours…

Puis elle appelle : elle est chez elle, essaie de colmater une hémorragie nasale sans succès. Appel des pompiers. Le médecin présent lui demande ce qui se passe :

« Je crois que c’est un vaccin, en 87 ans je n’ai jamais saigné du nez.
— C’est lequel ?
— Cominarrty, répond-elle.
— Ah, oui, ça ne m’étonne pas ».

Aux urgences, une grosse mèche dans le nez, très douloureuse. Ramenée chez elle, une heure plus tard, 2e hémorragie, sa petite fille arrive, une flaque de sang par terre, tout se déverse par l’autre narine : pompiers, retour à l’hôpital où l’on met une deuxième mèche en expliquant que cela aurait dû être fait avant… ?

Sa petite fille la récupère debout, accolée à un mur dans le couloir d’entrée. Il y a le COVID, faut pas rester là… Je la récupère, car j’habite loin pour la surveiller le week-end, le sang coule, elle prie, elle pense qu’elle va mourir.

J’essaie de refaire des mèches… ça ne tient pas, trop de sang et dès qu’elle touche, ça part. Je vais dans le plus grand hôpital du département. D’abord aux vaccinations. Un monsieur est en train de rassurer les futurs vaccinés :

« vous verrez, c’est sûr à 99 % ».

« Bonjour, je suis les 1 %
— Pardon ?
— Oui ma mère est assise là et elle fait des hémorragies depuis sa vaccination, que fait-on ? »

Le médecin m’attrape vite le bras devant les futurs vaccinés inquiets…

« Mais monsieur, il faut aller aux urgences, ici on ne s’occupe pas de cela ».

À l’autre bout de l’hôpital, les urgences, il faut attendre pour faire l’admission. J’explique. La personne qui fait l’admission lève les bras au ciel :

« Et encore une de plus, ça n’arrête pas, et dire qu’ils veulent que nous, on se vaccine ! Ça ne risque pas !!! ».

Et il donne un coup de coude à sa collègue :

« Tu as vu ? Encore une Pfizer ! ».

Les mèches sont refaites, 18 de tension. On donne donc un médicament pour faire tomber la tension, l’hémorragie se calme.

Je réclame un bilan sanguin, il faut insister, mais il est fait et on repart. Finalement, qu’est-ce que cela veut dire ? J’appelle la pharmacovigilance, il faut saisir un formulaire compliqué.

« Vous ne l’avez pas dans vos données ?
— Non, il faut le saisir vous-même ».

Je fais le dossier sur internet et rappelle :

« Pourriez-vous me dire si vous avez eu beaucoup de cas et si vous avez une solution ?
— Non, le cas de votre maman, on n’a pas vu et il faut qu’elle voie son médecin ».

Mais alors ces fameux centres de pharmacovigilances qui alimentent l’ANSM des cas graves, si l’hôpital ne fournit pas les données, si l’interne dit qu’il ne voit passer que cela alors que le centre de pharmacovigilance n’est qu’à 300 mètres dans le même hôpital….Qu’est-ce que cela veut dire sur la validité des données que l’on communique ? Qu’arrive-t-il aux personnes qui ont des effets graves, vu qu’on leur dit : « circulez ! Allez voir votre médecin » ????

Son médecin :

« Oh ! À votre âge, il faut prendre ces médicaments toute votre vie. C’est plus sûr.
— Mais je n’en ai jamais eu besoin avant. Je ne peux pas arrêter au bout d’un mois ou 2 ?
— Non, c’est dangereux ».

………?????

Nous avons effectivement basculé dans un autre monde, le monde du vaccin incontestable, celui qui ne doit pas poser de problèmes. S’il en pose, il faut cacher les victimes, ne pas les comptabiliser, si elles meurent en silence c’est même mieux. De toute façon, elles gênent le « progrès », celui qui est « en marche ». Si on ne répond pas bien au vaccin, si on le conteste on ne marche pas.

Depuis c’est un combat, car même avec ce témoignage, on peine à convaincre de la dangerosité. Je ne suis même pas arrivé à convaincre mes enfants. L’un est allé, angoissé, dans un centre, car il avait peur qu’on lui interdise d’aller enseigner aux enfants à la rentrée et faire sa première année de professeur… Dans le centre on demande :

« Pour quelle raison venez-vous ?
— Pour le PASS.
— Ah, oui, c’est le cas de tous ceux que j’ai vus aujourd’hui ».

Il était le 1000e piqué de la journée.

« Il faut remplir et signer le formulaire de consentement ».

Consentement de quoi, pour quoi et pour qui ? Pour dire que l’on accepte ce que l’on nous impose ? Quelle est cette mascarade ? Pour que l’État se décharge de toute responsabilité ?

Il ne soigne déjà plus les malades du vaccin, il ne les reconnaît même pas. Il dit qu’ils n’existent pas ! Et que dire des dizaines de millions pour payer les vigiles des hôpitaux payés pour empêcher des malades d’entrer à l’hôpital.

Nous avons en quelque mois inventé le PASS de la HONTE.

Alors, résistons à ce monde dirigé par toute cette cruauté, pour nous, pour nos enfants, pour l’avenir de l’humanité, pour rester libre et pouvoir avoir des choix.

Alain MANET