L’état de la France

[Source : Philippe de Villiers]




STOP INJECTIONS POISONS, ET SINGULIÈREMENT CHEZ LES ENFANTS !

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

Il faut interdire les pseudovaccins covid chez l’enfant (et toute la population) inutiles et toxiques. Examen des faits au 15/12/2023.

Les seuls à se réjouir de la distribution du poison :

Il faut le redire encore et encore, car le ministre continue à faire une publicité mensongère largement diffusée (via nos impôts !). Craignons encore que l’argument d’autorité ne soit toxique et parfois fatal à trop de petits en influençant leurs parents !

Un beau cadeau de Noel : leur éviter les injections, poisons de degré très important et avec un long terme inconnu.

Et pourtant le ministère de la Santé, toutes les agences gouvernementales, l’Académie de médecine et les médias continuent de recommander les pseudo-vaccins anti-covid aux enfants de 6 mois à 4 ans. Ils continuent de prétendre qu’ils seraient utiles, efficaces et sûrs.

Mais que nous enseignent les données publiées par l’OMS sur les risques médicaux que la maladie fait courir aux enfants et sur l’efficacité des vaccins pour empêcher les contaminations et prévenir les formes graves ?

Le covid représente-t-il une menace réelle pour les enfants sains ?

L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant sain. Les enfants sont plus rarement infectés que les adultes ; ils ne font habituellement que des formes asymptomatiques et ne constituent pas un facteur notable de transmission du virus. Cela a été constamment démontré dans tous les articles médicaux, rappelé par la société française de pédiatrie, la presse internationale et l’OMS.

La bénignité du covid chez l’enfant est d’ailleurs illustrée par ce graphique de Santé Publique France :

Le covid menace moins les enfants que la grippe saisonnière contre laquelle la Haute Autorité de Santé n’avait jamais conseillé de vacciner les enfants jusqu’à cette année1. Cette recommandation antigrippale, fort mal justifiée, reconnaît d’ailleurs « l’absence de données de bonne qualité sur l’efficacité de la vaccination sur les hospitalisations ou les décès notamment chez les enfants âgés de moins de 2 ans ». La Haute Autorité de Santé n’hésite donc pas à conseiller un traitement en ne sachant pas vraiment s’il est efficace !

Les pseudo-vaccins Covid ne protègent pas des formes graves ni de la mort

Les essais randomisés n’ont pas recherché ni prouvé significativement un effet des injections sur les formes graves et les décès. Mais les données de l’OMS sur les populations vaccinées démentent les affirmations des agences françaises et prouvent que la généralisation des injections n’a pas permis de diminuer la mortalité attribuée au covid. La courbe de la mortalité mondiale n’a en effet pas été infléchie par les pseudo-vaccins administrés aux populations à risque :

En France, en septembre 2022, la quasi-totalité des personnes à risque étaient vaccinées contre le covid ; cela ne les a pas protégées des formes graves ni de la mort.

Le gouvernement, les agences sanitaires et les médias français ont prétendu que seuls les non injectés mourraient. Mais la saisine de l’autorité de la transparence pour obtenir les données brutes de mortalité par statut vaccinal s’est vue répondre « de telles données n’existent pas ». Comment peut-on encore croire les affirmations gouvernementales basées sur l’absence de données ? D’autant que la comparaison des mortalités covid observées dans les pays riches (les plus vaccinés) et les pays africains pauvres (peu ou non vaccinés) montrent que ce sont les pays apôtres du tout vaccin qui souffrent des mortalités les plus fortes.

Un risque de formes graves quasi nul chez l’enfant, des pseudo vaccins incapables de prévenir les formes graves… Comment peut-on imaginer qu’un enfant pourrait espérer le moindre bénéfice personnel de cette injection ?

Les enfants porteurs du sars-cov-2 ne constituent pas des vecteurs notables de transmission

Les articles médicaux publiés dans les grandes revues, les enquêtes épidémiologiques réalisées en France et à l’étranger, la Société Française de Pédiatrie, la presse internationale et l’OMS affirment tous que les enfants sont contaminés par les adultes et ne transmettent guère le virus.

L’expérience personnelle de chacun de covid transmis autour de soi par des vaccinés et les données de l’OMS démontrent que les vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions.

Les personnes fragiles ne peuvent donc espérer aucun bénéfice de l’injection aux enfants de produits n’empêchant pas les transmissions !

Vacciner son enfant contre le covid l’expose à de multiples complications

Aucun traitement actif n’est exempt de complications, mais les risques des injections covid sont particulièrement élevés déjà à court et moyen terme et le futur reste encore plus flou et inquiétant.2

Les myocardites

Les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque.

Mais depuis les vaccinations des enfants, les myocardites réapparaissent, ainsi que l’ont signalé les médecins israéliens dès octobre 20213.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés après vaccin covid dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans : 32 fois plus de myocardites qu’escompté chez les garçons de 12-17 ans, 27 fois plus chez les 18-24 ans4. Ces cas s’observent principalement chez les hommes et se développent peu de temps après l’administration de la 2e dose5.

L’étude du ministère de la Santé d’Israël, pays avec l’un des taux de vaccination les plus élevés au monde, évalue le risque de myocardite après avoir reçu la 2e dose de vaccin entre 1 sur 3 000 et 1 sur 6 000 chez les hommes de 16 ans à 24 ans et 1 sur 120 000 chez les hommes de moins de 30 ans.

Une étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.

Le CDC estime le risque d’accidents cardiaques nécessitant une hospitalisation à 62 par million d’injections chez les garçons de 12 à 15 ans et à 94 cas/million chez les 15-17 ans.

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même.

La myocardite aiguë est l’une des causes de mort subite à l’effort chez les sportifs et les médecins et cardiologues recommandent de ne pas effectuer d’efforts physiques intenses dans la semaine qui suit la vaccination. Comme les myocardites sont aggravées par l’effort, elles sont fortement soupçonnées d’être responsables de nombreuses pertes de connaissance et de morts brutales des sportifs.

L’agence de presse allemande a dressé une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés. F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a souffert d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer.

Non, avant les injections covid les crises cardiaques qui tombent du ciel n’étaient pas habituelles chez les jeunes qui jouaient au foot dans la cour. Nous avons tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus ou ayant perdu tout bon sens depuis la coronafolie. Si vous avez des vaccinés autour de vous, surveillez leur cœur en particulier par des dosages sanguins de D-dimères et CPK MB et des consultations cardiologiques.

D’autres complications moins dramatiques affectent les performances des sportifs en affectant particulièrement le métabolisme anaérobie particulièrement utile lors des épreuves de haut niveau. Les Belges ont été les premiers à remarquer une baisse de 10 à 20 % des performances de leurs footballeurs6 7 particulièrement dans les dernières minutes du match, souvent les plus cruciales pour le résultat final. Depuis, de nombreux athlètes ont dû déclarer forfait à des compétitions pour lesquelles ils s’étaient préparés, ou interrompre leur saison sportive (Jérémy Chardy, Antoine Méchin ou Christophe Lemaitre…). On peut même se demander si les performances exceptionnelles actuelles de Djokovic ne seraient pas en partie facilitées par le fait qu’il a opiniâtrement refusé cette vaccination Covid que ses concurrents ont été contraints d’accepter pour pouvoir continuer à jouer durant la crise covid.

Des troubles neurologiques post vaccinaux divers ont été recensés par l’OMS. Au 29 juin 2021, 1,256 « polyneuropathies aigues » ont été signalés (422 États-Unis, 387 UK, 328 Europe [40 France) et 119 ailleurs). Les paralysies faciales8 et syndromes de Guillain Barré post vaccinaux initialement observés en Inde et en Angleterre9 10 et en Australie 11 marqués par des paralysies d’étendue et de gravité variable pouvant entraîner la mort.

Selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin Janssen de Johnson & Johnson serait lié à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain Barré12. Il s’agit d’un effet secondaire rare, mais possible observé chez 100 personnes sur près de 12,5 millions de doses administrées du vaccin Johnson & Johnson. Sur les 100 cas, 95 étaient graves nécessitant une hospitalisation d’urgence.

Cette complication a été également reconnue par l’agence européenne du médicament dont Le Comité d’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’EMA a conclu « qu’une relation causale entre Vaxzevria et le syndrome de Guillain-Barré est considérée au moins comme une possibilité raisonnable »13. Ajoutant : « Le syndrome de Guillain-Barré devrait donc être ajouté aux informations sur le produit en tant qu’effet secondaire de Vaxzevria ».

Au Pérou, dont plus de 85 % de la population est vaccinée, l’explosion récente des cas de Guillain Barré a même fait déclarer l’état d’urgence sanitaire !

Risques de myocardite, de paralysie, et toute autre complication neurologique cognitive, thrombocytopénie, hémorragie cérébrale, etc.. Nous avons récemment insisté sur l’épidémie de turbocancers14 qui n’épargnent pas les enfants. Chez ces derniers on verra surtout des leucémies et lymphomes et surtout des tumeurs cérébrales d’évolution rapide et résistantes à tout traitement. Pourra-t-on longtemps à parler de coïncidence ?

Quel parent censé pourrait faire courir de tels risques à son enfant pour un vaccin qui ne peut lui apporter aucun bénéfice personnel, ni protéger les personnes fragiles qu’il côtoie ? Juste par obéissance ou déni ?

Les preuves de la dangerosité et de l’inefficacité s’accumulent15, mais nos ministres successifs dans le déni continuent de recommander le poison au prix d’énormes mensonges et de dégâts dans la population. Ne réalisent-ils même pas qu’ils se mettent eux-mêmes en danger au moins juridique (car ne sont pas forcément réellement injectés16) comme le ministre italien sous le coup d’une enquête judiciaire ?17

NE VACCINEZ PAS VOS ENFANTS, ils vous en seront reconnaissants.





Transparence et indépendance pour tous… sauf pour les ministres ?

La mise en cause de la Ministre de la Santé doit conduire à une révision des lois et procédures « anti cadeaux » !

[Source : formindep.fr]

Par Formindep

En 2021 les services de la DGCCRF ont enquêté et mis au jour des pratiques illégales des Laboratoires URGO qui, afin d’augmenter leurs parts de marché, ont mis en place, entre 2015 et 2021, une stratégie commerciale basée sur l’octroi d’avantages en nature illicites à des pharmaciens d’officine sur l’ensemble du territoire national. En contrepartie de l’achat par le pharmacien de produits de la marque URGO, et de la renonciation au bénéfice d’une remise contractuelle sur le prix d’achat de ces produits par le pharmacien, ce dernier obtenait à titre privé une récompense sous la forme d’un ou plusieurs cadeaux, dont la valeur correspondait au montant de la remise prévue par le contrat. Le système ainsi démantelé représente une fraude massive, d’un montant total estimé à plus de 55 millions d’euros sur la période 2015-2021 (voir ici le compte rendu de la DGCCRF, et ici et deux articles de Caroline Coq-Chodorge dans Mediapart et Rozenn le Saint dans Libération sur le sujet).

L’enquête a abouti à une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité en janvier 2023. Outre la confiscation de plus de 5,4 millions d’euros ayant fait l’objet d’une saisie pénale, deux amendes d’un montant total de 1,125 million d’euros ont été prononcées à l’encontre des Laboratoires URGO. Les services d’enquête de la DGCCRF ont poursuivi les investigations auprès des pharmaciens impliqués, aboutissant à la mise en cause en particulier de l’actuelle et récente Ministre de la Santé, Mme Agnès Firmin Le Bodo, à l’époque pharmacienne au Havre, et qui a confirmé être l’objet d’une enquête à ce sujet.

Rappelons que le fait d’accepter de tels commission ou avantages illégaux est passible d’une sanction en application du dispositif « anti-cadeaux », mis en place dans les suites du scandale du Mediator, et adapté en 2013, sous peine d’un an d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende (Articles L.1453-3 à L.1454-10 du code de la santé publique). En outre, il est facile de constater sur le site Transparence Santé, dans le cas de la Ministre, qu’aucune déclaration n’en a été effectuée (ce qui aurait pu permettre de faire acte de bonne foi). Difficile d’imaginer que Mme Firmin Le Bodo puisse continuer à assurer ses missions dans ces conditions.

Le FORMINDEP a largement et souvent fait état des carences de la loi dans ce domaine, en particulier sur le plan de l’absence de procédures de contrôle des déclarations, et l’absence d’autorité compétente en la matière ; les ordres des professionnels de santé se révélant en règle générale incapables de jouer ce rôle, ne bénéficiant pas des moyens de le faire, comme en témoigne par exemple ce bilan de l’Ordre National des médecins. Cette affaire de grande ampleur est une nouvelle illustration de ces carences, et justifie une révision urgente de la loi.




L’idéologie contre la science et la médecine

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.




Turbos cancer et surmortalité mondiale : ne vous faites plus ou pas injecter !

Le point le 18 décembre 2023

Par Nicole Delepine

Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudovaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du Covid et très faible risque de la grippe).

Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».

Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !

Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.

En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbocancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.

En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus :

STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !

Ainsi les turbocancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.

Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :

Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.

Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbocancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?

Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm

  • Des lymphomes de différents types,
  • Des cancers du cerveau (surtout glioblastomes)
  • Des cancers du sein surtout triples négatifs avancés (stade 3 ou 4)
  • Des cancers du poumon le plus souvent stade 4 d’emblée
  • Mais aussi des leucémies graves, des mélanomes stade 4, des sarcomes (stade 3 et 4), des cancers du testicule et ovaire, de progression rapide et des cancers du rein (stade 4)

La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4

Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.

Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.

Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :

Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]

Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :

Et ça continue :

Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM Tv est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.

Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :





Guide de survie pour sauver Noël 2023 ?

Libé publie un guide de survie pour sauver Noël du Covid… quelle blague !

Par Nicole Delépine

Dans un article récent publié par Libération et intitulé « Recrudescence du Covid : un guide de survie pour sauver Noël 2023 »le médecin et écrivain Christian Lehmann essaie de réveiller la peur en agitant le fantôme du Covid qui menacerait les fêtes de Noël et donne « la solution » : le port du masque…  

Pour démontrer la gravité du danger Covid immédiat, il ne donne pas de chiffres actualisés de malades ou de morts, mais insiste sur l’augmentation des variants dans les eaux usées, de tests positifs (dont la non-spécificité est établie [1]) et de celle des consultations pour suspicion de Covid 

A-t-il eu le temps de consulter les données officielles actuelles de l’OMS qui l’auraient rassuré sur les incidences et mortalités actuelles extrêmement faibles du Covid ? Nous les lui rappelons.

Le Covid a déserté la France depuis près de 12 mois

Les chiffres officiels de l’OMS, rapportés et mis en courbe par l’université John Hopkins, que l’on peut obtenir à sur ourworldindata.org montrent, qu’en France, le nombre de cas quotidiens de Covid est proche de zéro depuis presque un an !

Le docteur Lehmann a-t-il pu ignorer ces chiffres et cette courbe qui démentent totalement toute recrudescence du Covid en France ?

D’autant que depuis le 30 juin, le Covid-19 a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en France et qu’on ne peut donc plus prétendre que « les malades sont ignorés ».

Libé aurait-il oublié que la charte des journalistes [2] impose de vérifier les informations auprès de sources indiscutables avant publication ?

De plus, selon les statistiques officielles de l’OMS que l’on peut consulter en français, la mortalité attribuée au Covid est inférieure à 0,000001 depuis plus de six mois :  

Le docteur Lehmann et Libération publient donc un guide de survie contre un virus qui ne rend plus malade et ne tue plus en France ! 

Lors de l’épidémie de grippe asiatique de 1957, le gouvernement considérait qu’elle « ne justifiait pas d’inquiétude particulière » et exhortait les Français à « ne pas ajouter l’hystérie à la maladie » pour ne pas en aggraver les conséquences. 

Aujourd’hui, cet article mensonger de Libération vise à créer une hystérie pour une maladie qui n’existe plus !

Contre les virus, le port du masque ne sert à rien

Lorsqu’on souffre d’une infection bactérienne respiratoire (comme la tuberculose ou la pneumonie), porter un masque diminue le risque de la disséminer. 

Mais, aucune étude n’a jusqu’ici démontré que le masque pouvait protéger contre les virus dans le monde réel.

Pour la grippe, les très nombreuses études sur le sujet, dont plusieurs essais prospectifs randomisés, n’ont pas permis de démontrer que le port généralisé du masque pourrait interrompre la transmission des virus grippaux [références 3 à 22]. La revue exhaustive de la littérature réalisée par la fondation Cochrane [23] confirme l’inefficacité des masques pour réduire la transmission des virus respiratoires et conseille des interventions simples et peu coûteuses, comme l’hygiène des mains [24]. 

Il en est de même pour le Covid où les masques chirurgicaux (en papier et non étanches) ne protègent pas le personnel soignant [25 à 31]. Cette inefficacité des masques contre la transmission du Covid est d’ailleurs confirmée par le seul essai randomisé publié sur le sujet [32].

Actuellement, alors que l’épidémie a quasiment disparu en France, pourquoi faire une telle publicité en faveur du port du masque ? Le port du masque ne constitue qu’un signal d’obéissance, de soumission aux prétendus experts des médias et aux autorités représentées par le ministre de la Santé qui a prétendu le dimanche 27 août 2023 [33] que «  le port du masque doit devenir ‘banal’, parce qu’il est vital ». Aurélien Rousseau et ses conseillers paraissent, eux aussi, ignorer la littérature médicale…

Ceux qui croient à l’efficacité du masque contre les virus devraient se demander pourquoi les grandes pandémies virales (grippe, covid) naissent, croissent et se diffusent toujours d’abord dans les pays les plus adeptes du masque. 

Contre le Covid, les traitements précoces sont efficaces

Notre expérience personnelle de plus d’une quarantaine de malades nous a montré que les ceux-ci, traités dès le début de la maladie par le protocole Raoult ou l’Ivermectine, voyaient leurs symptômes disparaître en deux à trois jours.

L’efficacité du protocole Raoult a été confirmée par les autorités sanitaires des pays qui en ont fait usage (Algérie, Sénégal, Côte d’Ivoire) et par la comparaison des mortalités par million d’habitants publiée par l’OMS de pays comme la France ou la Tunisie qui l’ont refusé et les autres :

De même, l’efficacité de l’ivermectine a été démontrée par plus d’une dizaine d’études randomisées, principalement effectuées dans les pays pauvres [34 à 38]. Le cas de l’inde est d’ailleurs très démonstratif :

Mortalités comparées Europe, France et Inde :

comparatif europe inde

Si vous craignez le Covid, plutôt que d’acheter des masques inefficaces, conservez dans votre pharmacie des antibiotiques, de la chloroquine ou de l’ivermectine. 

Dans son article de Libération, le docteur Lehmann a menti sur la prétendue menace Covid actuelle et sur l’efficacité des masques, mais aussi par omission en ne citant pas les traitements précoces.

Ne craignez plus les prophètes de malheur

Qui n’hésitent pas à mentir pour vous pousser à porter des masques et à vous faire administrer des pseudo-vaccins inefficaces et dangereux. Profitez des fêtes de Noël et embrassez ceux qui vous sont chers.

Et, si une nouvelle épidémie survenait, utilisez les traitements que vous avez mis en réserve.

Nicole Delépine est l’ancienne chef du service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital de Garches.


Références :

[1] chez les personnes asymptomatiques la positivité annonce une maladie dans moins de 3% des cas. Les autres sont des faux positifs

[2] Chartes des journalistes https://cdjm.org/les-chartes/

[3] Suess T, Remschmidt C, Schink SB, et al. The role of facemasks and hand hygiene in the prevention of influenza transmission in households: results from a cluster randomised trial; Berlin,Germany, 2009-2011. BMC Infect Dis. 2012;12(1):1-16.

[4] Barasheed O, Almasri N, Badahdah AM, et al. Booy on behalf of the Hajj Research Team. Pilot randomised controlled trial to testeffectiveness of facemasks in preventing influenza-like illness transmission among Australian Hajj pilgrims in 2011. Infect Disord Drug Targets. 2014;14(2):110-116.

[5] Aiello AE, Perez V, Coulborn RM, Davis BM, Uddin M, Monto AS. Facemasks, hand hygiene, and influenza among young adults: a randomized intervention trial. PLoS One. 2012;7(1):e29744.

[6] MacIntyre CR, Cauchemez S, Dwyer DE, et al. Face mask use and control of respiratory virus transmission in households. Emerg Infect Dis. 2009;15(2):233.

[7] MacIntyre CR, Zhang Y, Chughtai AA, et al. Cluster randomised controlled trial to examine medical mask use as source control forpeople with respiratory illness. BMJ Open. 2016;6(12).

[8] Cowling BJ, Chan KH, Fang VJ, et al. Facemasks and hand hygiene to prevent influenza transmission in households: a cluster randomized trial. Ann Intern Med. 2009;151(7):437-44

[9] Cowling BJ, Fung RO, Cheng CK, et al. Preliminary findings of a randomized trial of non-pharmaceutical interventions to preventinfluenza transmission in households. PLoS One. 2008;3(5): e2101.

[10] Larson EL, Ferng YH, Wong-McLoughlin J, Wang S, Haber M,Morse SS. Impact of non-pharmaceutical interventions on URIsand influenza in crowded, urban households. Public Health Rep.2010;125(2):178-191

[11] Simmerman JM, Suntarattiwong P, Levy J, et al. Findings from a household randomized controlled trial of hand washing and face masks to reduce influenza transmission in Bangkok, Thailand.Influenza Other Respir Viruses. 2011;5(4):256-267.

[12] Jacobs JL, Ohde S, Takahashi O, Tokuda Y, Omata F, Fukui T. Use of surgical face masks to reduce the incidence of thecommon cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial. Am J Infect Control. 2009;37(5):417-419.

[13] Long Y, Hu T, Liu L, et al. Effectiveness of N95 respirators versus

surgical masks against influenza: a systematic review and metaanalysis. J Evid Based Med. 2020;13(2):93-101.

[14] Cowling BJ, Zhou YDKM, Ip DKM, Leung GM, Aiello AE. Face masks to prevent transmission of influenza virus: a systematicreview. Epidemiol Infect. 2010;138(4):449-456.

[15] bin-Reza F, Lopez Chavarrias V, Nicoll A, Chamberland ME. The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza:a systematic review of the scientific evidence. Influenza Other Respir Viruses. 2012;6(4):257-267.

[16] Smith JD, MacDougall CC, Johnstone J, Copes RA, Schwartz B, Garber GE. Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks in protecting health care workers from acute respiratory infection: a

systematic review and meta-analysis. CMAJ. 2016;188(8):567-574.

[17] Offeddu V, Yung CF, Low MSF, Tam CC. Effectiveness of masks and respirators against respiratory infections in healthcare workers: a systematic review and meta-analysis. Clin Infect Dis. 2017;65(11):1934-1942.

[18] Radonovich LJ, Simberkoff MS, Bessesen MT, et al. N95 respirators

vs medical masks for preventing influenza among health care personnel: a randomized clinical trial. JAMA. 2019;322(9):824-833

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La Ligue de renseignement du cyberespace (CTIL) contre la liberté d’expression

[Source : adnm.live]



Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

Ce groupe s’appelle « Cyber-Thread Intelligence League », signifiant « Ligue de renseignement du cyberespace ». Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.

C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.

Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.

Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour « influencer » l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendès France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.

On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.

Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.

Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.


Avant de commencer, il est important de se rappeler certaines choses à propos de la relation entre la liberté d’expression et l’industrie de la censure en France, car ce qui suit dans cet article/vidéo, est en lien direct avec la corruption des institutions, et le concept polarisant de la pensée unique, que certains défendent à tout prix. Voici 2 articles à lire absolument pour bien comprendre pourquoi, nous sommes là devant le plus grand scandale lié à la liberté d’expression depuis carrément l’Allemagne nazie (et je pèse bien mes mots).

Blanchiment d’informations, l’entreprise des factcheckeurs exposée

Les factcheckeurs ne sont rien d’autre que des « tueurs » (d’image publique) à gages, payés par des commanditaires malsains. Nous faisons un récapitulatif et nous vous demandons de partager au maximum.

Big Tech et Fact-checkeurs, même combat ! (Collusions et collaborations) (VIDÉO)

Connaissez-vous les Twitter Files. Il s’agit de révélations concernant une collusion entre le Parti démocrate américain, le FBI et Twitter, pour censurer toute forme d’opposition politique ou autre.

La semaine dernière, je vous ai proposé de regarder ce film (que j’insiste, qu’il faut le regarder, et surtout, le conseiller à tous ceux qui croient encore que les gouvernements sont au service du peuple) :

Katharine Gun, employée des renseignements britanniques, reçoit une note de la NSA : les États-Unis sollicitent l’aide de la Grande-Bretagne pour rassembler des informations compromettantes sur certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU et les obliger à voter en faveur de l’invasion. Gun prend alors la décision de divulguer le mémo à la presse afin d’empêcher la guerre.

Source : Allociné

Ce film devient pertinent à nouveau, car il semblerait que les États-Unis et l’Angleterre ont remis une nouvelle couche à la manipulation des masses pour des raisons criminelles. Accrochez-vous, ça va secouer pas mal. Voici l’origine des Twitter Files, Facebook Files, YouTube Files, et tous les « files » qui parlent de censure forcée par les gouvernements, à travers un plan machiavélique. Les documents qui exposent cette vérité absurde, mais vérité quand même, sont des documents officiels et authentiques, rendus publics par un lanceur d’alerte.

THE CTIL FILES

Thread original datant du 28/11/23 par Michael Shellenberger

LES DOSSIERS CTIL (« CTIL-FILES ») # 1

NDLR : Cyber Threat Intelligence : Service des Renseignements sur les Cyber-menaces

Un lanceur d’alerte vient de présenter une nouvelle série de documents explosifs, dont l’ampleur et l’importance ne sont pas encore pleinement compréhensibles. L’article ci-dessous que j’ai adapté pour la France parle de tous les contournements intellectuels et légaux qui ont été utilisés, pour mettre en place une machine industrielle de censure agressive, qui a été utilisée par l’ensemble de l’occident. On en parle parce que ce scandale implique aussi la France, qui semble avoir utilisé ce protocole complexe de censure (médias, factcheckeurs, secteur privé…) au bénéfice d’Emmanuel Macron aussi. Le nom du président français est mentionné dans le dossier, en tant qu’un des plus gros utilisateurs de « la machine » industrielle de censure.

Il est important de noter que les éléments ci-dessous ont été apportés au Congrès américain, lors d’une audience qui a eu lieu le jeudi 30 novembre 2023, donc le sujet est à prendre très au sérieux :

WASHINGTON, D.C. — La sous-commission spéciale qui enquête sur l’utilisation du gouvernement fédéral comme arme politique tiendra une audition le jeudi 30 novembre 2023, à 10 heures (heure de l’Est). L’audition, qui aura lieu un an après le premier rapport Twitter Files, examinera l’implication du gouvernement fédéral dans la censure des médias sociaux, ainsi que les récentes attaques contre le journalisme indépendant et la liberté d’expression.
TÉMOINS :

Matt Taibbi, journaliste et auteur des Twitter Files — Michael Shellenberger, journaliste, auteur et écologiste — Rupa Subramanya, journaliste basé au Canada pour The Free Press et d’autres médias.

Dossiers CTIL #1 : Les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018, selon de nouveaux documents

Un lanceur d’alerte met à la disposition du public et du racket une foule de nouveaux documents montrant la naissance du complexe industriel de la censure en réaction au Brexit et à l’élection de Trump en 2016

L’entrepreneur militaire américain Pablo Breuer (à gauche), la chercheuse en défense britannique Sara-Jayne « SJ » Terp (au centre), et Chris Krebs ℹ️, ancien directeur de l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures du ministère américain de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHSCISA).

CTIL Files #1 : De nouveaux documents montrent que les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018

Par @shellenberger @galexybrane @mtaibbi :

Un lanceur d’alerte s’est présenté avec une nouvelle série de documents explosifs, rivalisant ou dépassant les Twitter Files 🔗 et les Facebook Files 🔗 en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL 🔗) (Ligue du renseignement sur les cybermenaces), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS ℹ️).

Les documents de la CTI League offrent les réponses du chaînon manquant aux questions clés qui n’ont pas été abordées dans les Twitter Files et les Facebook Files. Ensemble, ils offrent une image complète de la naissance du secteur de la « lutte contre la désinformation », ou de ce que nous avons appelé le complexe industriel de la censure.

Code of Conduct | CTI League

This Code of Conduct explains expectations for anyone participating in these discussion groups and activities, and defines the consequences of unacceptable…

Les documents du lanceur d’alerte décrivent tout, de la genèse des programmes modernes de censure numérique au rôle de l’armée et des agences de renseignement, en passant par les partenariats avec les organisations de la société civile et les médias commerciaux, et l’utilisation de multi-compte (sock puppet ℹ️) et d’autres techniques offensives.

Un document explique que si de telles activités à l’étranger sont « généralement » menées par « la CIA ℹ️, la NSA ℹ️ et le ministère de la Défense », les efforts de censure « contre les Américains » doivent être menés par des partenaires privés parce que le gouvernement n’en a pas « l’autorité légale ».

Le lanceur d’alerte allègue qu’un dirigeant de CTI League 🔗, un « ancien » analyste du renseignement britannique, était « dans la pièce » à la Maison-Blanche d’Obama en 2017 lorsqu’elle a reçu les instructions pour créer un projet de contre-désinformation afin d’empêcher une « répétition de 2016. »

Au cours de l’année écoulée, les enquêteurs du Congrès et d’autres ont documenté la montée du complexe industriel de la censure, un réseau de plus de 100 agences gouvernementales et organisations non gouvernementales qui travaillent ensemble pour inciter les plateformes de réseaux sociaux à la censure et diffuser de la propagande sur des personnes, des sujets et des récits entiers défavorisés.

L’Agence pour la cybersécurité et la sécurité de l’information (CISA) du ministère américain de la Sécurité intérieure a été le centre de gravité d’une grande partie de la censure, la fondation nationale pour la science finançant le développement d’outils de censure et de désinformation et d’autres agences du gouvernement fédéral jouant un rôle de soutien.

Les courriels des ONG et réseaux sociaux partenaires de la CISA montrent que celle-ci a créé l’Election Integrity Partnership (EIP) (Partenariat pour l’intégrité des élections) en 2020, qui impliquait le Stanford Internet Observatory (SIO) (lObservatoire de l’Internet de Stanford) et d’autres sous-traitants du gouvernement américain. L’EIP et son successeur, le Virality Project (VP), ont exhorté Twitter, Facebook et d’autres plateformes à censurer les publications sur les réseaux sociaux des citoyens ordinaires comme des élus.

Renee DiResta 🔗 ℹ️

Malgré les preuves accablantes de la censure parrainée par le gouvernement, l’origine de l’idée d’une telle censure de masse n’a pas encore été déterminée. En 2018, Renee DiResta 🔗 ℹ️, fonctionnaire de l’AIR et ancienne collaboratrice de la CIA, a fait la une des journaux nationaux avant et après avoir témoigné devant le Sénat américain de l’ingérence du gouvernement russe dans l’élection de 2016.

Mais que s’est-il passé entre 2018 et le printemps 2020 ? L’année 2019 a été un trou noir dans les recherches du complexe industriel de la censure jusqu’à présent. Lorsque l’un d’entre nous, Michael, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis au sujet du complexe industriel de la censure en mars de cette année, l’année entière était absente de sa chronologie.

Une date de début précoce pour le complexe industriel de la censure

Sara-Jayne « SJ » Terp

Aujourd’hui, un grand nombre de nouveaux documents, notamment des documents stratégiques, des vidéos de formation, des présentations et des messages internes, révèlent qu’en 2019, des sous-traitants des services militaires et de renseignement des États-Unis et du Royaume-Uni, dirigés par une ancienne chercheuse de la défense britannique, Sara-Jayne « SJ » Terp 🔗, ont mis au point le cadre général de la censure. Ces sous-traitants ont codirigé le CTIL, qui s’est associé à la CISA ℹ️ au printemps 2020.

En vérité, la construction du complexe industriel de la censure a commencé encore plus tôt — en 2018.

Des messages Slack ℹ️ internes de CTIL montrent que Terp, ses collègues et des fonctionnaires du DHS et de Facebook travaillent tous en étroite collaboration dans le processus de censure.

Le cadre du CTIL et le modèle public-privé sont les germes de ce que les États-Unis et le Royaume-Uni allaient mettre en place en 2020 et 2021, notamment le masquage de la censure au sein des institutions de cybersécurité et des programmes de contre-désinformation ; une forte concentration sur l’arrêt des récits défavorisés, et pas seulement des faits erronés ; et la pression exercée sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles retirent des informations ou prennent d’autres mesures afin d’empêcher le contenu de devenir viral.

Au printemps 2020, le CTIL a commencé à suivre et à signaler les contenus désavoués sur les réseaux sociaux, tels que les récits anti-confinement comme « tous les emplois sont essentiels », « nous ne resterons pas à la maison » et « ouvrez l’Amérique maintenant. » Dans le cadre de ces efforts, le CTIL a créé un canal destiné aux forces de l’ordre pour signaler les contenus. L’organisation a également fait des recherches sur les individus qui postent des hashtags anti-confinement comme #freeCA et a tenu une feuille de calcul avec des détails de leurs bios Twitter. Le groupe a également discuté de la demande de « takedowns » (Suppression) et du signalement de nom de domaines ℹ️ de sites web aux bureaux d’enregistrement.

L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags ℹ️, de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.

Dans une liste de questions suggérées pour l’enquête, CTIL propose de demander aux membres ou aux membres potentiels :

« Avez-vous déjà travaillé sur des opérations d’influence (par exemple, désinformation, discours haineux, autres préjudices numériques, etc.). » L’enquête demandait ensuite si ces opérations d’influence comprenaient des « mesures actives » et des « opérations psychologiques ».

Ces documents nous sont parvenus par l’intermédiaire d’un lanceur d’alerte très crédible. Nous avons pu en vérifier la légitimité de manière indépendante en recoupant les informations avec des sources accessibles au public. Le lanceur d’alerte a déclaré avoir été recruté pour participer à la CTIL lors de réunions mensuelles sur la cybersécurité organisées par le DHS.

Le FBI s’est refusé à tout commentaire. La CISA n’a pas répondu à notre demande de commentaire. Terp et les autres principaux dirigeants du CTIL n’ont pas non plus répondu à nos demandes de commentaires.

Mais une personne impliquée, Bonnie Smalley 🔗, a répondu sur Linked In ℹ️, en disant :

« Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai rejoint la ligue CTI, qui n’est affiliée à aucune organisation gouvernementale, parce que je voulais lutter contre “les injections d’eau de Javel” en ligne pendant la Covid… Je peux vous assurer que nous n’avons rien à voir avec le gouvernement ».

Pourtant, les documents suggèrent que des employés du gouvernement étaient des membres engagés du CTIL. Justin Frappier, qui travaillait pour le DHS, était extrêmement actif au sein du CTIL, participant à des réunions régulières et dirigeant des formations.

Le but ultime duCTIL, a déclaré le lanceur d’alerte, « était de faire partie du gouvernement fédéral. Lors de nos réunions hebdomadaires, ils nous expliquaient clairement qu’ils construisaient ces organisations au sein du gouvernement fédéral, et que si vous construisiez la première itération, nous pourrions vous trouver un emploi ».

Le plan de Terp, dont elle a fait part lors de présentations à des groupes de sécurité de l’information et de cybersécurité en 2019, consistait à créer des « communautés Misinfosec (Mésinformation ℹ️) » qui incluraient le gouvernement.

Les archives publiques et les documents du lanceur d’alerte suggèrent qu’elle y est parvenue. En avril 2020, Chris Krebs, alors directeur de la CISA, a annoncé sur Twitter et dans de multiples articles, que la CISA s’associait à CTIL. « Il s’agit en réalité d’un échange d’informations », a déclaré Chris Krebs.

Les documents montrent également que Terp et ses collègues, par l’intermédiaire d’un groupe appelé MisinfoSec Working Group (Groupe de travail de Mésinformation), dont faisait partie DiResta, ont créé une stratégie de censure, d’influence et de lutte contre la désinformation appelée Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques (AMITT) (Tactiques et Techniques de Désinformation et d’Influence Adverses). Ils ont rédigé AMITT en adaptant un cadre de cybersécurité développé par MITRE 🔗, une importante entreprise de défense et de renseignement qui dispose d’un budget annuel de 1 à 2 milliards de dollars financé par le gouvernement.

MITRE ℹ️ est une organisation à but non lucratif américaine dont l’objectif est de travailler pour l’intérêt public. Ses domaines d’intervention sont l’ingénierie des systèmes, la technologie de l’information, les concepts opérationnels, et la modernisation des entreprises.

Terp a ensuite utilisé AMITT pour développer le cadre DISARM, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) a ensuite utilisé pour « contrer les campagnes anti-vaccination à travers l’Europe ».

Un élément clé du travail de Terp à travers CTIL, MisinfoSec et AMITT a été d’insérer le concept de « sécurité cognitive » (en gros, si notre cerveau peut-être piraté, il a besoin d’une « sécurité ») dans les domaines de la cybersécurité et de la sécurité de l’information.

L’ensemble des documents donne une image claire d’un effort hautement coordonné et sophistiqué des gouvernements américain et britannique pour mettre en place un effort de censure national et des opérations d’influence similaires à celles qu’ils ont utilisées dans des pays étrangers. À un moment donné, Terp a ouvertement fait référence à son travail « en arrière-plan » sur les questions de réseaux sociaux liées au Printemps arabe ℹ️. Une autre fois, selon le lanceur d’alerte, elle a exprimé sa propre surprise apparente à l’idée d’utiliser de telles tactiques, élaborées pour des ressortissants étrangers, contre des citoyens américains.

Selon le lanceur d’alerte, environ 12 à 20 personnes actives impliquées dans le CTIL travaillaient au FBI ou à la CISA. « Pendant un certain temps, ils avaient le sceau de leur agence — FBI, CISA, peu importe — à côté de leur nom », sur le service de messagerie Slack, a déclaré le lanceur d’alerte. Terp « avait un badge CISA qui a disparu à un moment donné », a précisé le lanceur d’alerte.

Les ambitions des pionniers du complexe industriel de la censure en 2020 allaient bien au-delà du simple fait d’exhorter Twitter à apposer une étiquette d’avertissement sur les tweets ou à inscrire des personnes sur des listes noires.

Le cadre d’AMITT appelle à discréditer les individus comme condition préalable à la demande de censure à leur encontre. Il préconise la formation d’influenceurs pour diffuser des messages (pour la France, pensez à l’arrivée des William Audureau (Les Décodeurs du Monde), La Tronche en Biais, Antoine Daoust, et toute la fachosphère qui prétend posséder la vérité unique…). La chronologie du travail de CISA avec CTIL, qui a précédé son travail avec EIP et VP, suggère fortement que le modèle des opérations de censure public-privé peut avoir été créé à partir d’un cadre créé à l’origine par des entrepreneurs militaires. De plus, les techniques et le matériel décrits par le CTIL ressemblent beaucoup au matériel créé plus tard par la Countering Foreign Intelligence Task Force et l’équipe Mis-, Dis-, and Maliformation (Mésinformation/Désinformation/Malinformation 🔗)de la CISA.

Fausses informations
Désinformation La désinformation est une information qui est fausse, et la personne qui la diffuse sait qu’elle est fausse. « C’est un mensonge délibéré et intentionnel, qui montre que les gens sont activement désinformés par des acteurs malveillants ».
Mésinformation La mésinformation est une information qui est fausse, mais la personne qui la diffuse pense qu’elle est vraie.
Malinformation La malinformation est une information qui se fonde sur la réalité, mais qui est utilisée pour porter préjudice à une personne, une organisation ou un pays.
Source

À présent, nous devons examiner de plus près ce qui s’est passé en 2018 et 2019, menant à la création de CTIL, ainsi que le rôle clé de ce groupe dans la formation et la croissance du complexe industriel de la censure.

Créer des communautés Misinfosec

Traduction ci-dessous 👇🏻

COVID-19 CTI League

Mesures actives
L’histoire secrète de la désinformation et de la guerre politique

par Thomas Rid

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
@Ici — groupe de lecture dans un peu plus d’une heure… BigBook indique que nous sommes sur le livre de Thomas Rid ℹ️ « Active Measures », Chapitres 1 & 2″ aujourd’hui…

US Macmillan
Mesures actives | Thomas Rid | Macmillan
« Cette histoire révélatrice et dramatique de la désinformation retrace la montée en puissance des opérations secrètes de tromperie organisées depuis l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours. de la période de l’entre-deux-guerres jusqu’à l’époque contemporaine. contemporaine… »

Bonnie L Smalley
OH J’ai parlé à mon médecin de l’AAPS et elle a été horrifiée.

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Ah oui. Tant de travail à faire.

Bonnie L Smalley
Je connais beaucoup de gens du milieu médical grâce à mon travail contre Dupont ℹ️, donc le fait d’exposer au grand jour les objectifs de cette organisation de merde leur ouvre les yeux, et maintenant je commence à découvrir que certains des professionnels de la médecine qui ont dit que cette substance et cette chose chez Dupont étaient tout à fait acceptables, sont ou étaient associés à l’AAPS. Ce groupe m’aide donc dans mon autre croisade.

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Bien.

Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead a été ajouté à disinformation-triage par SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab).

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLl, CogSecColab)
Oui, oui. Je sais. C’est bien ficelé, j’ai vérifié.

Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead
MDR, bonjour depuis l’autre coté.

« Bénévoles » et « anciens » agents du gouvernement

Bloomberg ℹ️, le Washington Post ℹ️ et d’autres ont publié des articles crédules au printemps 2020, affirmant que la CTI League était simplement un groupe d’experts bénévoles en cybersécurité. Ses fondateurs étaient : un « ancien » agent du renseignement israélien, Ohad Zaidenberg 🔗 ; un « responsable de la sécurité » de Microsoft ℹ️, Nate Warfield 🔗 ; et le chef des opérations de sécurité de DEF CON ℹ️, une convention de pirates informatiques, Marc Rogers 🔗. Les articles affirment que ces professionnels de la cybercriminalité hautement qualifiés ont décidé d’aider des hôpitaux d’une valeur d’un milliard de dollars, sur leur temps libre et sans rémunération, pour des raisons strictement altruistes.

En un mois seulement, de la mi-mars à la mi-avril, le CTIL, censé être entièrement bénévole, comptait « 1 400 membres approuvés dans 76 pays et dans 45 secteurs différents », avait « aidé à démanteler légalement 2 833 actifs cybercriminels sur Internet, dont 17 conçus pour usurper l’identité d’organisations gouvernementales, des Nations unies ℹ️ et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) » et avait « identifié plus de 2 000 vulnérabilités dans des établissements de soins de santé de plus de 80 pays ».

À chaque occasion, les hommes (travaillant pour CTIL) ont souligné qu’ils étaient simplement des bénévoles motivés par l’altruisme.

« Je savais que je devais faire quelque chose pour aider », a déclaré M. Zaidenberg. « Il y a un appétit très fort pour faire le bien dans la communauté », a déclaréRogerslors d’un séminaire en ligne de l’Institut Aspenℹ️.

Pourtant, l’un des objectifs clairs des dirigeants du CTIL était de renforcer le soutien à la censure au sein des institutions chargées de la sécurité nationale et de la cybersécurité. À cette fin, ils ont cherché à promouvoir l’idée de « sécurité cognitive » pour justifier l’implication du gouvernement dans les activités de censure. « La sécurité cognitive est la chose que vous voulez avoir », a déclaré M. Terp lors d’un podcast en 2019. « Vous voulez protéger cette couche cognitive. Fondamentalement, il s’agit de pollution. La désinformation est une forme de pollution sur Internet. »

Terp et Pablo Breuer, un autre dirigeant du CTIL, comme Zaidenberg, avaient des antécédents militaires et étaient d’anciens entrepreneurs militaires. Tous deux ont travaillé pour SOFWERX 🔗, « un projet de collaboration entre le commandement des forces spéciales américaines et l’Institut Doolittle ». Ce dernier transfère au secteur privé la technologie de l’armée de l’air, par l’intermédiaire du laboratoire de ressources de l’armée de l’air.

Selon la biographie de Mme Terp sur le site web d’une société de conseil qu’elle a créée avec M. Breuer, « elle a enseigné la science des données à l’université de Columbia ℹ️, a été directrice technique de l’équipe “big data” des Nations unies, a conçu des algorithmes d’apprentissage automatique et des systèmes de véhicules sans pilote pour le ministère britannique de la Défense ».

Pablo Breuer

Pablo Breuer ℹ️ est un ancien commandant de la marine américaine. Selon sa biographie, il a été « directeur militaire du groupe Donovan 🔗 du Commandement des opérations spéciales des États-Unis, conseiller militaire principal et responsable de l’innovation auprès de SOFWERX 🔗, de l’Agence nationale de sécurité et du Commandement cybernétique des États-Unis, ainsi que directeur du C4 au Commandement central des forces navales des États-Unis ». Sur sa page LinkedIn 🔗, Breuer est indiqué comme ayant été dans la marine lors de la création de CTIL.

En juin 2018, Terp a assisté à un exercice militaire de dix jours organisé par le US Special Operations Command ℹ️, où elle dit avoir rencontré Breuer pour la première fois et discuté des campagnes de désinformation modernes sur les réseaux sociaux. Wired a résumé les conclusions qu’ils ont tirées de leur réunion : « Ils ont réalisé que la désinformation pouvait être traitée de la même manière : comme un problème de cybersécurité. C’est ainsi qu’ils ont créé CogSec 🔗 avec David Perlman 🔗 et un autre collègue, Thaddeus Grugq 🔗, à leur tête. En 2019, Terp a coprésidé le groupe de travail Misinfosec au sein de CogSec. »

Breuer a admis dans un podcast que son objectif était d’amener les tactiques militaires à être utilisées sur les réseaux sociaux aux États-Unis. « Je porte deux chapeaux », a-t-il expliqué. « Je suis le directeur militaire du Donovan Group et l’un des deux responsables de l’innovation chez Sofwerx 🔗, une organisation à but non lucratif 501c3 ℹ️ non classifiée, financée par le commandement des opérations spéciales des États-Unis. »

M. Breuer a ensuite décrit la manière dont ils pensaient contourner le premier amendement. Son travail avec Terp, a-t-il expliqué, était un moyen de réunir des « partenaires non traditionnels dans une même pièce », y compris « peut-être quelqu’un de l’une des sociétés de réseaux sociaux, peut-être quelques opérateurs des forces spéciales, et quelques personnes du département de la sécurité intérieure… pour parler dans un environnement ouvert, sans attribution, de manière non classifiée, afin que nous puissions collaborer mieux, plus librement et vraiment commencer à changer la façon dont nous abordons certaines de ces questions. »

Le rapport Misinfosec préconise une censure gouvernementale radicale et une contre-mésinformation. Au cours des six premiers mois de 2019, les auteurs disent avoir analysé des « incidents », développé un système de signalement et partagé leur vision de la censure avec « de nombreux États, traités et ONG ℹ️ ».

Dans chaque incident mentionné, les victimes de la désinformation appartenaient à la gauche politique, et il s’agissait notamment de Barack Obama ℹ️, John Podesta ℹ️, Hillary Clinton ℹ️ et Emmanuel Macron ℹ️.

Le rapport n’a pas caché que les deux tremblements de terre politiques de 2016 l’ont motivé à lutter contre la désinformation : Le Brexit ℹ️ et l’élection de Trump.

« Une étude des antécédents de ces événements nous a amenés à réaliser qu’il y a quelque chose de déréglé dans notre paysage de l’information », ont écrit Terp et ses coauteurs. « Les idiots utiles et les cinquièmes colonnes habituels — auxquels s’ajoutent désormais des robots automatisés, des cyborgs et des trolls humains — s’emploient à manipuler l’opinion publique, à attiser l’indignation, à semer le doute et à ébranler la confiance dans nos institutions. Et maintenant, ce sont nos cerveaux qui sont piratés ».

Là, vous avez un cas typique d’inversion accusatoire, où Terp et ses coauteurs mettent sur le dos des innocents, les crimes contre la liberté qu’ils commettent eux-mêmes.

Le rapport Misinfosec se concentre sur les informations qui « modifient les croyances » par le biais de « récits » et recommande de contrer la désinformation en s’attaquant à des maillons spécifiques d’une « chaîne de mise à mort » ou d’une chaîne d’influence à partir de l’ »incident » de désinformation avant qu’il ne devienne un récit à part entier.

Le rapport déplore que les gouvernements et les grands médias n’aient plus le contrôle total de l’information. « Pendant longtemps, la capacité d’atteindre un public de masse appartenait à l’État-nation (par exemple, aux États-Unis, par le biais des licences de diffusion accordées à ABC ℹ️, CBS ℹ️ et NBC ℹ️). »

Un rappel important et pertinent :

« Aujourd’hui, cependant, le contrôle des instruments d’information a été dévolu aux grandes entreprises technologiques qui se sont montrées complaisantes et complices, en facilitant l’accès au public pour les opérateurs d’information à une fraction de ce que cela leur aurait coûté par d’autres moyens », dit Terp. En gros, elle regrette le fait que nous pouvons utiliser les réseaux sociaux pour échanger de l’information.

Les auteurs préconisent l’implication de la police, de l’armée et des services de renseignement dans la censure, dans tous les pays de la zone des cinq yeux, et suggèrent même l’implication d’Interpol ℹ️.

Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne), abrégé FVEY pour la classification, désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

Source

Le rapport propose un plan pour AMITT et pour la collaboration en matière de sécurité, de renseignement et d’application de la loi, et plaide pour une mise en œuvre immédiate. « Nous n’avons pas besoin, et nous ne pouvons pas nous permettre, d’attendre 27 ans pour que le cadre AMITT (Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques — Tactiques et techniques de désinformation et d’influence adverses) soit mis en œuvre. »

Les auteurs préconisent de placer les efforts de censure dans le cadre de la « cybersécurité », tout en reconnaissant que la « sécurité de la désinformation » est totalement différente de la cybersécurité. Ils ont écrit que le troisième pilier de « l’environnement informationnel », après la sécurité physique et la cybersécurité, devrait être « la dimension cognitive ».

Le rapport souligne la nécessité d’une sorte de pré-bunking pour « vacciner préventivement une population vulnérable contre les messages ». Le rapport souligne également la possibilité d’utiliser les Centres de Partage et d’Analyse de l’Information (ISAC) financés par le ministère de la Sécurité intérieure pour orchestrer la censure publique-privée, et affirme que ces ISAC devraient être utilisés pour promouvoir la confiance dans le gouvernement.

C’est ici que nous voyons l’idée de l’EIP et du VP : « Bien que les réseaux sociaux ne soient pas identifiés comme un secteur critique et ne remplissent donc pas les conditions requises pour un ISAC, un ISAC de désinformation pourrait et devrait alimenter les ISAC en indications et en avertissements. »

Le point de vue de M. Terp sur la « désinformation » est ouvertement politique.

« La plupart des informations erronées sont en fait vraies », a noté M. Terp dans le podcast de 2019, mais elles sont placées dans le mauvais contexte. Terp explique avec éloquence la stratégie consistant à utiliser les efforts de « lutte contre la désinformation » pour mener des opérations d’influence.

« La plupart du temps, vous n’essayez pas de faire croire à des mensonges. La plupart du temps, vous essayez de modifier leurs croyances. Et en fait, plus profondément, vous essayez de changer, de modifier leurs récits internes… l’ensemble des récits qui constituent la base de votre culture. Cela pourrait donc être la base de votre culture en tant qu’Américain ».

À l’automne, Terp et d’autres ont cherché à promouvoir leur rapport. Le podcast que Terp a réalisé avec Breuer en 2019 est un exemple de cet effort. Ensemble, Terp et Breuer ont décrit le modèle « public-privé » de blanchiment de la censure que le DHS, l’EIP et le VP allaient adopter.

Breuer a parlé librement, déclarant ouvertement que le contrôle de l’information et de la narration qu’il avait à l’esprit était comparable à celui mis en œuvre par le gouvernement chinois, mais qu’il était plus acceptable pour les Américains (et occidentaux en général). « Si vous parlez au citoyen chinois moyen, il est absolument convaincu que la Grande Muraille de Chine ℹ️ n’est pas là pour censurer. Ils pensent qu’elle est là parce que le Parti Communiste Chinois ℹ️ veut protéger les citoyens et ils sont absolument convaincus que c’est une bonne chose. Si le gouvernement américain essayait de faire passer ce message, nous perdrions la tête et nous dirions :

« Non, non, il s’agit d’une violation de nos droits au titre du premier amendement ».

Les messages du groupe intérieur et ceux du groupe extérieur doivent donc être souvent différents.

Traduction ci-dessous 👇🏻

L’ENVIRONNEMENT DE L’INFORMATION

Dimension physique – Où l’environnement de l’information et le monde physique se chevauchent
– Systèmes d’information et réseaux
– Caractéristiques principales : ordinateurs et systèmes de communication, et infrastructures de soutien
Dimension informationnelle – Lieu de collecte, de traitement, de stockage, de diffusion, d’affichage et de protection de l’information.
– Double nature — l’information elle-même et le support
– Liens entre les dimensions physiques et cognitives
– Caractéristiques clés : contenu et flux de l’information, qualité de l’information flux, qualité de l’information
– Lieu de la prise de décision automatisée
Dimension cognitive – Lieu de la prise de décision automatisée
– Dimension des éléments intangibles tels que la morale, la cohésion de l’unité, l’opinion publique, la connaissance de la situation.
– Caractéristiques clés : perceptions, émotions, sensibilisation et compréhension

MITT Blue : Cadre de contre-mesures
(Illisible)

Campagnes — Incidents – Récits
Artéfacts

⬇ Attaquant — ⬆ Défenseurs

« L’école de Poudlard de la désinformation »

« SJ nous appelait l’“école Poudlard ℹ️ de la désinformation et des fausses informations” », raconte le lanceur d’alerte. « Ils étaient les super-héros de leur propre histoire. Et à cet effet, vous pouvez toujours trouver des bandes dessinées sur le site de la CISA ».

La CTIL, selon le lanceur d’alerte, « avait besoin de programmeurs pour décortiquer les informations provenant de Twitter, Facebook et YouTube. Pour Twitter, ils ont créé un code Python ℹ️ afin de récupérer les informations. »

Les dossiers du CTIL fournis par le lanceur d’alerte illustrent exactement la façon dont le CTIL fonctionnait et suivait les « incidents », ainsi que ce qu’il considérait comme de la « désinformation ». Ils ont repéré les affiches appelant à des manifestations contre le confinement comme des artefacts de désinformation.

« Nous aurions dû le voir venir », ont-ils écrit à propos des manifestations. « En fin de compte, pouvons-nous arrêter la propagation, avons-nous suffisamment de preuves pour arrêter les super propagateurs et y a-t-il d’autres choses que nous pouvons faire (y a-t-il des contre-messagers que nous pouvons envoyer par ping, etc. »

Le CTIL a également réfléchi à des contre-messages pour encourager les gens à porter des masques, par exemple, et a discuté de la création d’un réseau d’amplification. « La répétition est la vérité », a déclaré un membre du CTIL lors d’une formation.

Le CTIL a travaillé avec d’autres personnalités et groupes du complexe industriel de la censure. Les notes de réunion indiquent que l’équipe de Graphika 🔗 a envisagé d’adopter AMITT et que le CTIL souhaitait consulter DiResta pour obtenir des plateformes qu’elles suppriment des contenus plus rapidement.

Lorsqu’on lui a demandé si Terp ou d’autres dirigeants de CTIL avaient discuté de leur violation potentielle du premier amendement, le lanceur d’alerte a déclaré :

Exemple de visage généré par Intelligence Artificielle depuis le site :
this-person-does-not-exist.com

« Ils ne l’ont pas fait… L’éthique était que si nous nous en tirons, c’est légal, et qu’il n’y a pas de problèmes liés au premier amendement parce que nous avons un “partenariat public-privé” — c’est le mot qu’ils ont utilisé pour dissimuler ces problèmes. Les personnes privées peuvent faire des choses que les fonctionnaires ne peuvent pas faire, et les fonctionnaires peuvent assurer la direction et la coordination ».

Malgré leur confiance dans la légalité de leurs activités, certains membres du CTIL ont pu prendre des mesures extrêmes pour garder leur identité secrète. Le manuel du groupe recommande d’utiliser des téléphones jetables, de créer des identités pseudonymes et de générer de faux visages d’IA à l’aide du site Web « this-person-does-not-exist » (« Cette personne n’existe pas »).

En juin 2020, indique le lanceur d’alerte, le groupe secret a pris des mesures pour dissimuler encore plus leurs activités (juste avant la campagne de vaccination donc).

Un mois plus tard, en juillet 2020, le directeur du SIO, Alex Stamos ℹ️, a envoyé un courriel à Kate Starbird 🔗 du Center for an Informed Public 🔗de l’université de Washington ℹ️, dans lequel il écrit :

Kate Starbird

« Nous travaillons sur certaines idées de surveillance des élections avec laCISAet j’aimerais avoir vos commentaires informels avant que nous n’allions trop loin dans cette voie […]. [Ce qui aurait dû être assemblé il y a un an est en train de se mettre en place rapidement cette semaine ».

Cet été-là, la CISA a également créé la Countering Foreign Influence Task Force, dont les mesures reflètent les méthodes du CTIL/AMITT et comprennent un « vrai faux » roman graphique qui, selon le lanceur d’alerte, a d’abord été présenté au sein du CTIL.

Le cadre « DISARM », inspiré par AMITT, a été officiellement adopté par l’Union européenne et les États-Unis dans le cadre d’une « norme commune pour l’échange d’informations structurées sur les menaces de manipulation et d’interférence de l’information étrangère ».

Jusqu’à présent, les détails des activités du CTIL n’ont guère retenu l’attention, même si le groupe a fait l’objet d’une publicité en 2020. En septembre 2020, Wired ℹ️ 🔗a publié un article sur le CTIL qui se lit comme un communiqué de presse d’entreprise. L’article, comme les articles de Bloomberg ℹ️ et du Washington Post ℹ️ au printemps, accepte sans discussion que le CTIL soit réellement un réseau « bénévole » d’« anciens » fonctionnaires des services de renseignement du monde entier.

Mais contrairement aux articles de Bloomberg et du Washington Post, Wired décrit également le travail de « lutte contre la désinformation » du CTIL. Le journaliste de Wired ne cite aucun détracteur des activités du CTIL, mais suggère que certains pourraient y voir un problème. « Je l’interroge [Marc Rogers, cofondateur du CTIL] sur l’idée de considérer la désinformation comme une cybermenace.

« Tous ces mauvais acteurs essaient de faire la même chose », répond M. Rogers. Selon lui, le lien entre la prévention de la cybercriminalité et la « lutte contre la désinformation » est fondamentalement le même, car il s’agit dans les deux cas de lutter contre ce que le DHS et la CTI League appellent les « acteurs malveillants », synonymes de « méchants ».

« Comme Terp, Rogers adopte une approche holistique de la cybersécurité », explique l’article de Wired. « Il y a d’abord la sécurité physique, comme le vol de données d’un ordinateur sur une clé USB. Ensuite, il y a ce que nous appelons généralement la cybersécurité, c’est-à-dire la protection des réseaux et des appareils contre les intrusions indésirables. Enfin, il y a ce que Rogers et Terp appellent la sécurité cognitive, qui consiste essentiellement à pirater des personnes en utilisant des informations ou, plus souvent, des informations erronées. »

Le CTIL semble avoir fait parler de lui au printemps et à l’automne 2020 pour la même raison que l’EIP : prétendre plus tard que son travail avait été fait au grand jour et que quiconque suggérait qu’il était secret s’engageait dans une théorie du complot.

Global Volunteer Cyberthreat Community-CERT | CTI League

The CTI League is the first Global Volunteer Community-CERT, defending and neutralizing cybersecurity threats and vulnerabilities to the life-saving sectors related to the current COVID-19 pandemic.

« Le Partenariat pour l’intégrité des élections a toujours fonctionné de manière ouverte et transparente », a affirmé l’EIP en octobre 2022. « Nous avons publié de nombreux articles de blog publics pendant la période précédant l’élection de 2020, organisé des webinaires quotidiens immédiatement avant et après l’élection, et publié nos résultats dans un rapport final de 290 pages et dans plusieurs revues académiques évaluées par des pairs. Toute insinuation selon laquelle les informations sur nos opérations ou nos résultats étaient secrètes jusqu’à présent est réfutée par les deux années de contenu public et gratuit que nous avons créées ».

Mais comme les messages internes l’ont révélé, une grande partie de ce que l’EIP a fait était secrète, ainsi que partisane, et exigeant la censure des plateformes de réseaux sociaux, contrairement à ses affirmations contraires.

L’EIP et le VP ont ostensiblement pris fin, mais le CTIL est apparemment toujours actif aujourd’hui. Plusieurs de ses membres mentionnent le CTIL comme une organisation toujours active sur leurs pages LinkedIn 🔗.

Traduction ci-dessous 👇🏻

Poster « A »

Si les commandes pour rester à la maison sont prolongées au-delà du 30 avril, notre économie ne se relèvera pas, notre économie ne se redressera pas. Il n’y a pas assez de pour soutenir les chômeurs américains. Rejoignez-moi et d’autres Américains pour rouvrir notre économie. Les décès des répercussions de l’économie dépasseront de manière exorbitante les décès dus au virus lui-même. #NousNeResteronsPasÀLaMaison

Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté

Samedi 2 mai 2020 de 14 h à 17 h

Dans tous les hôtels de ville, les parcs publics et les centres-villes dans tous les pays : organisez votre famille et vos amis et venez tout simplement ! Filmez et marchez dans vos rues. Sortez et montrez-leur que nous ne vivrons pas dans la peur. Vivre dans la peur. Téléchargez vos histoires, car nous sommes plus nombreux qu’eux !

Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

Poster « B »

Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté

Dimanche 12 avril, de 14 h à 17 h

Dans chaque mairie, piazza de village ou mairie dans tous les pays : organisez des amis et montrez-vous, filmez, défilez dans vos rues & téléchargez vos histoires parce que nous sommes plus nombreux qu’eux !!!*

Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

Passer des alertes aux actions

Processus d’incident de désinformation

Alerte

  • Humains (groupes, flux)
  • Slack (Incident go/nogo)

Organisation et analyse

  • HIVE (analyse des tâches liées aux incidents)
  • Enrichissement (FrankCode)

Collecte

  • DKAN (données d’incident, données de base)
  • GITHUB ℹ️ (données d’incident)
  • MISP (objets de l’incident)

Action

  • Slack (Rapports, Contre-mesures)

Calendrier du WT

  • Décembre 2018 — Janvier 2019
    Création du GT et énoncé de mission
  • Février 20119
    Rédaction du document WWW
  • Mars 2019
    Création d’une liste d’incidents
  • Avril 2019
    Création d’une liste de techniques
  • Mai 2019
    Atelier de l’équipe rouge
  • Juin 2019
    AMITT affiné
  • Juillet 2019
    Mise en ligne du repo d’AMITT
  • Août 2019
    Présentation BlackHat ℹ️
  • Septembre 2019
    STIX SEP entre en vigueur
  • Octobre 2019
    Remplissage de la liste des compteurs
  • Novembre 2019
    Atelier de l’équipe bleue
  • Décembre 2019
    Affiner les compteurs

J’ai hâte de témoigner devant le Congrès, ce jeudi, sur la menace claire et actuelle que représente le complexe industriel de la censure pour les États-Unis d’Amérique et les autres démocraties libérales occidentales, et sur la manière dont nous pouvons y mettre un terme.

🚨

AVIS D’AUDITION : @mtaibbi, @shellenberger, @rupasubramanya.

Jeudi. 4 h (UTC).

Michael Shellenberger ℹ️ 🔗
Auteur du Thread



Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement : il faut continuer à informer !

Par Dr Delépine

Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.

Mise à jour :

Gardasil 2023-24: Alertes et Responsabilités

(…)

Depuis le début de la campagne généralisée avec le Gardasil-9, des associations et des médecins alertent les parents, les personnels de l’éducation nationale, les personnels et organismes de santé et leurs Ministères de tutelle, ainsi que les élus sur un grave manque d’informations claires et loyales concernant ce vaccin et ses conséquences:

Quelle est l’efficacité connue de ce vaccin Gardasil-9 contre le cancer du col de l’utérus ?
Quels sont ses bénéfices en regard des risques possibles d’effets secondaires graves, voire de décès, comme cela est indiqué dans la notice américaine du vaccin ou encore d’après les notifications dans les bases de pharmacovigilance ?
N’est-il pas légalement obligatoire d’informer chaque parent de ces risques ?  
Le déroulement de la campagne dans les collèges respecte-t-il cette obligation d’informer les parents de façon appropriée  (notamment sur les pertes de connaissances et autres conséquences indésirables possibles ) ?
Des consignes de surveillance et de sécurité suffisantes en « per injection » sont-elles respectées pour les collégiens ?
Ces questions et de nombreuses autres se posent. Certaines ne sont pas nouvelles et font suite au travail d’associations de victimes et de médecins de terrain qui informent et alertent depuis plus de 15 ans. Dans de nombreux pays, les données des registres des cancers sont publiques et permettent d’analyser s’il y a un bénéfice réel à vacciner en masse des enfants et jeunes adultes.

Devant le silence assourdissant des médias officiels et des autorités de santé, nous avons essayé de répondre à une quinzaine de questions afin que tous les parents puissent s’informer de façon libre et éclairée et ainsi puissent exercer, en toute connaissance de cause, leur consentement ou leur refus que l’on vaccine leur enfant en milieu scolaire. (…)

Depuis le coup de Jarnac, où le président s’est transformé en représentant de commerce du Gardasil, toutes les agences de l’État, les médias et même la sécurité sociale font la propagande de ce vaccin en n’hésitant pas à mentir, sans limites.

L’une des « désinformations » les plus diffusées par ces propagandistes concerne l’Australie où ils prétendent : en Australie, le succès de la campagne de vaccination contre les HPV, associée au dépistage du cancer du col de l’utérus, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années.

Pour vérifier qu’il s’agit d’une fake news, il suffit d’interroger l’agence sanitaire australienne en demandant sur internet « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » et en précisant comme langue « français ». On obtient alors le nombre de cancers du col (942 en 2022 contre 727 en 2006) et la courbe d’incidence de ce cancer qui montre que depuis la vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’a plus baissé depuis la vaccination alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % à l’ère du dépistage seul entre 1987 et 2006 (de 14,2 à 7,1).

Et surtout dans le groupe d’âge le plus vacciné on observe une augmentation d’incidence de 15 % entre 2006 (7,9/100 000) et 2019 (9,1), dernière date analysée par groupe d’âge en décembre 2023.

Comment tous ces médias et agences peuvent-ils être aussi ignorants ?

Mentent-ils volontairement ?

Et ils diffusent bien d’autres fausses informations sur d’autres pays pour faire croire à l’efficacité anticancéreuse du Gardasil, alors que les faits publiés par les agences officielles et les registres du cancer démontrent le contraire.

Le Royaume-Uni a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école en 2008. Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, très largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais fin 2022, l’agence officielle « Cancer research UK » (CRUK) affirme sur son site : « dans la dernière décennie, l’incidence du cancer du col est restée stable » et annonce une incidence standardisée de cancer invasif de 9,6/100 000 (supérieure de 50 % au taux français actuel) ainsi que l’illustre ce graphique.

L’analyse par groupe d’âge objective une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées qui ont globalement poursuivi le dépistage cytologique.

À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

Cette inefficacité anticancéreuse du Gardasil est également observée dans les pays scandinaves. Elle est dénoncée depuis maintenant plus de cinq ans.1

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée de 24/100 000 (en 1965) à 8/100 000 (en 2011). La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence standardisée globale des cancers invasifs de 7 en 2006 – 2009 à 11,5 en 2014–2015 (p <0.03),et même 13 en 2021 y compris dans le groupe d’âge le plus vacciné celui des 25-34 ans.

En Norvège, la vaccination scolaire a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer2 montre que l’incidence standardisée sur l’ensemble de la population de ce cancer est passée de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 et surtout qu’elle a augmenté de 30 % dans le groupe de femmes les plus vaccinées.

En Finlande même phénomène

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais avec 16 ans de recul s’est jusqu’ici révélée inefficace sur les cancers invasifs.

Même si elle était totalement efficace contre le cancer et sans danger la vaccination anti hpv ne serait pas justifiée !

En particulier chez les garçons où le cancer anal est rarissime (350 cas annuels en France d’après l’INSERM3), bénéficie de traitements efficaces et ne touche dans la quasi-totalité des cas que des homosexuels passifs et surtout lorsqu’ils sont atteints du SIDA.

Cette vaccination inefficace contre le cancer expose de plus à des complications !

Les brûlures cutanées dont ont tout récemment souffert 7 élèves d’Agde

Et Le décès d’un collégien à Nantes vient de rappeler qu’aucune vaccination ni qu’aucun médicament n’est dénué de risque4. Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA le VAERS recensait 523 décès et une quantité d’effets secondaires qui ont motivé plus de 100 plaintes en justice aux USA et des manifestations dans de nombreux pays.

L’inefficacité du Gardasil contre les cancers, voire sa nocivité paradoxale et ses nombreuses complications dont certaines très graves témoignent d’une balance avantage/risque franchement défavorable qui justifie d’arrêter cette vaccination, et au minimum de ne pas l’imposer via des campagnes scolaires et de laisser à chaque famille le loisir d’en discuter avec son médecin personnel afin d’obtenir une information claire et objective d’où un possible consentement éclairé.

Mais depuis la crise covid durant laquelle nos gouvernants, toutes leurs agences et les médias ont menti sans arrêt pour nous imposer des injections expérimentales qualifiées abusivement de vaccins dont chacun a pu constater autour de soi l’inefficacité et la toxicité, les Français sont devenus moins crédules. Ils se renseignent au lieu de se précipiter lorsqu’on leur annonce qu’un vaccin est nécessaire, sûr et efficace.

Et les informations que les résistants, les collectifs de parents, soignants, etc. ont su transmettre autour d’eux ont été efficaces : au 31 octobre 2023, après deux mois de campagne de vaccination scolaire, seulement 20 000 collégiens (2,5 % de la population ciblée) ont été vaccinés en France.

Ce n’est qu’un début, continuons sans relâche le combat contre la propagande mensongère du Gardasil, car l’information via des conférences, mais surtout des tracts distribués individuellement à la sortie des écoles, des marchés, des magasins est efficace ! Ne nous décourageons pas, car la campagne mensongère continue comme en témoignent des invitations à des conférences par les officiels pour tenter d’imposer ce vaccin inutile aux enfants.





France — Les éoliennes de Lunas dans l’Hérault condamnées à être démolies

[Source : leparisien.fr]

[Illustration : La cour d’appel de Nîmes donne quinze mois à Energie renouvelable du Languedoc pour démolir ses éoliennes et remettre le site en état. LP/Nelly Barbé]

La cour d’appel de Nîmes a ordonné la destruction d’un champ d’éoliennes dans l’arrière-pays héraultais. Les associations de défense de l’environnement s’estiment proches d’une victoire historique. Le groupe Valeco compte se pourvoir en cassation.

Par Nelly Barbé

Nouvel épisode décisif dans le feuilleton qui oppose depuis vingt ans un collectif d’associations de défense de l’environnement à l’exploitant d’un champ de sept éoliennes installées sur les hauteurs de Lunas (Hérault). Dans sa décision du 7 décembre, la cour d’appel de Nîmes donne quinze mois à Énergie Renouvelable du Languedoc (ERL), la société exploitante du groupe Valeco, pour démolir ses éoliennes et remettre le site en état. Passé ce délai, ERL devra payer une astreinte de 3 000 euros par jour pendant six mois, avant retour devant les tribunaux.

Les juges nîmois estiment, entre autres que « la réalité des atteintes environnementales sérieuses est avérée » et qu’aucune solution technique proposée par l’exploitant n’a permis d’éviter la mort d’oiseaux, la dernière en date étant celle d’un aigle royal au printemps 2023. Valeco a d’ores et déjà annoncé se pourvoir en cassation.

« Un signal fort »

Qu’à cela ne tienne, pour Marjolaine Villey-Migraine, porte-parole du collectif pour la protection des paysages et de la biodiversité 34-12, « c’est une grande victoire et une première en France », même si elle trouve que le délai accordé pour la démolition des éoliennes est « un peu long ». « Ils ont monté les éoliennes en six mois, alors pourquoi leur faudrait-il quinze mois pour démonter et remettre en état ? »

Pour l’avocat du collectif, Me Nicolas Gallon, « cette décision au civil est cohérente avec celle de la juridiction administrative qui a annulé plusieurs fois les permis de construire ». Pour lui, le constructeur a fait preuve « de précipitation et de légèreté en passant outre ». « Avec cette décision, c’est un signal fort qui est envoyé ».




Alerte sur le Beyfortus®

[Source : neosante.eu]

Par Pryska Ducœurjoly

Alors que les vaccinations obligatoires pour nos bambins représentent déjà un marathon médical, voici que le gouvernement nous surprend avec une énième injection, que peu de parents ont vu arriver : le Beyfortus®. Depuis le 15 septembre 2023, cette nouvelle « thérapie préventive », présentée comme le meilleur bouclier contre la bronchiolite, est « vivement recommandée » chez tous les nourrissons. En toile de fond : une campagne gouvernementale contre cette inflammation des bronches touchant en priorité les bébés. Lavage des mains, gestes barrières, masques… Derrière ce nouveau cheval de bataille se cache en réalité le cheval de Troie des nouveaux traitements à base d’anticorps monoclonaux.

Développé conjointement par Sanofi et AstraZeneca, le Beyfortus® a bénéficié de la voie royale de l’évaluation en mode accéléré. Il avait en effet déjà obtenu de la part de plusieurs organismes réglementaires la désignation très spéciale de « Traitement innovant » (Breakthrough Therapy pour la FDA américaine) ou de « Médicament prioritaire » (PRIME, pour l’Agence européenne des médicaments) dans la lutte contre le VRS, le grand méchant virus respiratoire syncytial des bronchiolites.

Décidément, le gouvernement français est sur tous les fronts sanitaires cet automne : Gardasil anti-papillomavirus chez les collégiens, campagne anti-Covid et antigrippe chez les aînés… Le ministre de la Santé enrôle à tour de bras (droit et gauche) et à tous les âges. Il ne manquait plus que les tout-petits ! Ils sont pourtant déjà bien aiguillés… Mais pas contre la bronchiolite !

[Note de Joseph : compte tenu de la multiplication des « vaccins » en dépit des alertes passées et présentes contre leurs effets secondaires, il semble bien que la seule réelle manière de stopper l’industrie pharmaceutique et les gouvernements dans cette course vaccinale, voire de faire tomber cette industrie pour en revenir à des approches plus saines et naturelles de la Santé, soit de propager largement la connaissance que l’hypothèse virale est une fraude scientifique et que la théorie mère des germes a également été scientifiquement réfutée.
Les virus pathogènes n’ont jamais été réellement isolés (ceci en suivant une démarche scientifique) et leurs divers prétendus « séquençages » génétiques ne sont que des opérations virtuelles suite à une mauvaise cuisine rituelle appelée « culture virale » dont le résultat est pourtant exactement le même sans matériel biologique supposément « infecté ». Et les bactéries et autres micro-organismes ne sont pas nos ennemis, mais participent dans des conditions de vie normales à des échanges symbiotiques. Notre corps héberge notamment en permanence plus de bactéries de toutes sortes qu’il contient de cellules. Ces bactéries se comportent comme de minuscules usines chimiques qui se nourrissent de certaines substances et en produisent d’autres. Dans notre organisme, elles servent notamment à assimiler les aliments et à nettoyer des déchets. De même, les « exosomes » (dont l’existence a elle été démontrée scientifiquement [contrairement aux virus pathogènes] et qui sont visuellement semblables à ce qui est pris pour des virus pathogènes) servent à évacuer des déchets génétiques (brins d’ARN ou d’ADN) hors des cellules puis du corps et peut-être également à avertir d’autres cellules de la présence de substances toxiques.
Le nouveau paradigme médical (qui hérite des travaux d’Antoine Béchamp et d’autres savants ignorés ou discrédités sous l’influence de Big Pharma) propose une vision plus logique et positive des micro-organismes. Et conséquemment, elle remplace la notion de supposé système « immunitaire » par celle de système de nettoyage, d’assimilation, d’entretien et de réharmonisation.
Voir le dossier Vaccins et virus.
Si en réalité il n’existe pas le moindre méchant « virus » ni la moindre méchante bactérie (la multiplication bactérienne soudaine et anormale en certains endroits du corps ne répondant qu’à la présence d’une cause perturbatrice plus profonde), alors la notion même d’« anticorps » devient caduque et grotesque.
Selon le nouveau paradigme, les maladies proviennent de déséquilibres (par excès ou par déficience) sur un ou plusieurs plans de l’existence : chimiques, physiques, vitaux, émotionnels, affectifs, mentaux, psychologiques, psychiques, et même spirituels. Sur le plan purement concret, les perturbateurs possibles sont nombreux : pesticides, additifs alimentaires, détergents, substances toxiques que sont de nombreux ingrédients cosmétiques, des médicaments et des « vaccins », polluants atmosphériques, contaminants de diverses industries (dont la pétrochimie), etc., mais aussi toutes les formes d’ondes artificielles, spécialement lorsqu’elles sont pulsées (radars, Wi-Fi, radio, télévision, téléphonie sans fil — dont la récente 5G —, Bluetooth, etc.), à cause de leur interaction avec la nature électrique sensible des organismes vivants du fait des multiples courants électriques de faible intensité qui les parcourent en permanence (et pas seulement au niveau des nerfs et des neurones pour les espèces dotées d’un système nerveux). Mais il existe aussi des perturbateurs émotionnels (produisant notamment la peur et la colère, nocives pour l’organisme physique et amenant des excès dhormones), affectifs, mentaux, etc.]

L’État vient justement de recevoir les 200 000 premières doses de Beyfortus®. C’est une quantité qui ne comblera pas encore les besoins des 750 000 naissances annuelles. Les parents sont invités à se ruer sur cette rareté pharmaceutique. Pourtant, il n’y a pas de quoi se précipiter : la bronchiolite est assez bénigne. Elle est certes la première cause d’hospitalisation des bébés, mais il faut garder à l’esprit que cela représente généralement moins de 1,8 % des bébés de moins de deux ans (25 000 hospitalisations environ pour une population de 1,4 million).

Une trop curieuse coïncidence…

Il semble que les maternités aient été les premières servies. Depuis le 15 septembre 2023 donc, on injecte le Beyfortus® à des nourrissons âgés de trois ou quatre jours, avant même leur sortie. Prématurés ou pas, à peine nés, déjà piqués ! Les bénéficiaires de cette innovation thérapeutique ne sont-ils pas un peu trop « pris au berceau » ? Cette injection est-elle vraiment sûre et efficace ? Du côté de la Haute Autorité de Santé française, qui a rendu un avis favorable au remboursement de cette nouvelle spécialité (le 19 juillet 2023), on reconnaît que le bénéfice en matière de réduction des hospitalisations sera probablement assez faible, mais on estime que le risque sera lui aussi limité à quelques réactions cutanées. Vraiment ?

Après la polémique sur les injections Covid, l’opinion publique est devenue plutôt méfiante sur les nouveaux traitements… Par précaution, l’Agence France-Presse a immédiatement déployé son bouclier anti-intox « AFP Factuel » pour débunker les premiers tirs émanant des tranchées de la dissidence médiatique. Parmi les premières alertes neutralisées, celle de la biologiste Hélène Banoun, personnalité du Conseil Scientifique Indépendant déjà bien connue du service fact-checking de l’AFP…

Dans son article publié le 12 novembre 2023, sur le site de l’Aimsib, la scientifique démonte méthodiquement le bénéfice/risque du Beyfortus® à partir de trois essais cliniques ayant conduit à son autorisation de mise sur le marché. Elle explique aussi que l’injection généralisée peut avoir un effet contre-productif, sur le plan individuel ou collectif : risque de facilitation de l’affection, risque de sélection de souches résistantes et donc moins faciles à traiter… Elle rapporte par ailleurs l’existence de plusieurs décès dans la cohorte des nourrissons ayant reçu l’injection. Quel âge avaient-ils ? De quoi sont-ils morts ? Pour l’instant, ces informations ne sont pas disponibles et aucune autopsie n’a été pratiquée, les décès ayant été classés comme « sans lien » avec l’expérience. Or, il y a quelques jours, de nouvelles données produites par une statisticienne française sont venues apporter un nouvel éclairage, là encore peu rassurant.

Christine Mackoi, observatrice aguerrie des données officielles de mortalité infantile et néonatale, fait état d’une hausse de la mortalité chez les nourrissons âgés de deux à six jours. Cette hausse dépasse largement les attentes habituelles : 54 décès en septembre 2023 (au-delà de la fourchette des 26 à 50 décès attendus), 61 décès en octobre (encore au-delà de la fourchette des 28 à 52 décès attendus). « Deux mois consécutifs avec des taux de mortalité étonnamment élevés, et particulièrement alarmants en novembre ! Que se passe-t-il ? ». Le constat n’a pas manqué d’attirer l’attention d’Hélène Banoun qui a tout de suite établi la corrélation avec le déploiement du Beyfortus®. Les deux scientifiques ont décidé de publier une nouvelle alerte sur le site de l’AIMSIB le 10 décembre 2023, soutenues par les données récentes.

Où est l’étude sur les nouveau-nés ?

En explorant le site de la Haute Autorité de Santé, on découvre plus grave encore. Parmi les annexes disponibles dans le dossier Beyfortus®, une transcription de la réunion de la Commission Transparence se révèle tout particulièrement instructive. Cette réunion, qui s’est tenue le 19 juillet 2023, est fondamentale, car elle sert de base pour la rédaction de l’avis officiel de la HAS. Or, à la lecture du document, on constate que les experts approuvent tranquillement l’injection de bébés de moins de 6 jours en l’absence de données de sécurité les concernant.

Ce texte dévoile en quelque sorte l’arrière-cuisine de nos experts sanitaires, encore bardés de conflits d’intérêts (après étude de leur pedigree sur le site Transparence Santé). Ici, pas vraiment de débats contradictoires. La discussion suit un cours cordial, évoquant tour à tour l’importance du besoin médical d’un nouveau traitement, les conséquences psychosociales des hospitalisations de jeunes nourrissons ou encore la nécessité de procéder dans l’intelligence collective et la diligence, car la saison des bronchiolites approche. Certes, une posture d’objectivité amène un participant à souligner les failles et imperfections des essais cliniques. Mais la Société Française de Pédiatrie (SFP) n’a pas trop de doute, sa présidente fait même preuve d’un zèle certain : « Les études que vous avez rappelées sont extrêmement prometteuses. On n’a pas de signaux ni d’inquiétudes particulières quant aux effets secondaires ». Elle insiste sur le fardeau de la maladie : « Au pic de l’épidémie, c’est 70 % des lits qui sont occupés par des bronchiolites, pour plusieurs semaines de l’hiver, et qui fragilisent tout notre système de santé ».

La présidente de la SFP, dont l’avis est décisif pour l’avis final, est de toute évidence une pro-vax convaincue, on se souvient d’ailleurs de son émotion au micro de BFM TV devant la « grande maturité » et le « civisme » des 12-17 ans allant se faire vacciner contre la Covid (dès le 15 juin 2021), ce qui lui avait valu d’être épinglée pour ses conflits d’intérêts par ses détracteurs. Concernant le Beyfortus® : « Notre proposition était, pour un premier hiver (2023, ndlr), d’immuniser avant tout les moins de 6 mois, de manière systématique, et dès le début de la période épidémique avec une distribution des médicaments, qui serait idéalement faite en maternité pour que les enfants sortent immunisés et protégés dès les premiers jours (…) ». Dans la foulée, la vice-présidente du Collège de Médecine générale, également présente à la réunion, assure de l’appui des généralistes pour bien communiquer en amont auprès des patientes enceintes.

Cependant, au milieu de la réunion (page 25 de ladite transcription), le ronronnement ambiant est subitement interrompu par la question d’une experte qui a examiné la méthodologie des études cliniques :

— Dans ces essais, ils ont inclus des enfants essentiellement dits en bonne santé, demain, avez-vous l’intention de donner ce médicament à tous les nouveau-nés, en sachant que les études n’ont pas inclus de nouveau-nés ? Ils ont inclus des enfants qui avaient entre moins de trois mois, certes, mais jusqu’à plus de 6 mois.

Nul doute que cette remarque a dû laisser un blanc ! Vérification faite (par nos soins après consultation de la fiche produit sur le site de Sanofi), les nouveau-nés ne représentent effectivement qu’une toute petite partie des 4 500 bébés inclus dans les essais cliniques. L’âge médian oscillant entre 2,6 et 3,5 mois selon les cohortes. La recommandation de vacciner les bébés directement à la maternité, c’est-à-dire à la naissance, relève ainsi plutôt de la légalisation d’une expérimentation de masse : ce public n’étant pas représentatif de celui inclus dans les essais cliniques.

Un bébé de six jours est totalement immature sur le plan immunitaire, il est évidemment beaucoup plus fragile qu’un nourrisson de six mois. Cela peut faire une différence de taille en matière d’effets indésirables. Par ailleurs, les essais cliniques ne sont pas représentatifs du type d’effets indésirables et de leurs niveaux, qui seront très probablement différents sur le terrain. En revanche, ces essais peuvent contribuer à produire un avis officiel rassuriste !

Un bénéfice plus que douteux ! Sauf pour les labos…

Après lecture de l’Avis définitif résultant de cette réunion de la Commission Transparence, on ne peut qu’être perplexe sur l’impartialité de la Haute Autorité de Santé : elle reconnaît que les essais n’ont pas apporté la preuve suffisante d’une réduction des hospitalisations, mais elle valide un médicament pour tous les nourrissons ! Par ailleurs, comparé à l’autre traitement existant, la protection réelle contre la bronchiolite n’apparaît pas vraiment supérieure.

Cet autre traitement déjà disponible contre la bronchiolite mérite un petit détour ! Le Synagis® est également un anticorps monoclonal commercialisé par AstraZeneca, mais sa première autorisation de mise sur le marché remonte à 1999. Le brevet de la molécule active du Synagis® serait-il tombé dans le domaine public ? Sanofi et AstraZeneca, grands perdants des vaccins contre la Covid, ont-ils fait pression pour trouver de nouveaux marchés ?

On peut se perdre en suppositions ou… chercher l’explication dans les propos du deuxième expert de la Société Française de Pédiatrie invité à participer à la réunion de la Commission de la Transparence :

— Pour le Synagis, c’est un produit qui ne protège qu’à 50 % alors que l’autre, c’est plutôt 78 % — 80 %. Il est beaucoup moins efficace, et il faut cinq injections très onéreuses. C’est entre 400 et 600 euros, le flacon 15 milligrammes/kilo…

Oui, vous avez bien lu ! Jusqu’à présent, le pack anti-bronchiolite coûtait donc 2 000 € par tête de nourrisson pour une saison de protection. Au-delà de l’efficacité affichée (nous expliquerons pourquoi ce chiffre est trompeur dans le prochain numéro de la revue Néosanté), on comprend bien l’impossibilité de rembourser un tel traitement chez l’ensemble de nos poupons… Dans les faits, le Synagis® a toujours été réservé aux nourrissons à risque, soit environ 6 000 bébés éligibles chaque année. On comprend désormais que l’intérêt du Beyfortus® réside surtout dans son mode d’administration : une injection pour cinq mois de protection. Pour le praticien de santé, il sera beaucoup plus facile de convaincre les parents, et ainsi d’élargir le nombre de personnes prétendument protégées.

À ce stade de la discussion, le président de la Commission Transparence se doit de rappeler les règles de la Commission :

— On ne peut pas parler du prix des médicaments.
— Alors on ne parle pas du prix. Par contre, il y a cinq injections qui sont douloureuses et qu’il faut faire tous les ans, et cela marche beaucoup moins bien. C’est clair qu’il n’y a pas photo entre les deux.

Les bons sentiments ont parfois un coût. La question du prix du Beyfortus®, éludée au cours de cette réunion, est loin d’être anodine. Hélène Banoun s’est d’ailleurs penchée sur cette question, mais elle n’a pas réussi à obtenir le prix de la négociation entre la France et le laboratoire. Top secret ? Aux États-Unis en revanche, la transparence reste de mise : le Beyfortus® coûte entre 300 $ et 500 $…

Il est maintenant possible de sortir la calculatrice pour évaluer, du point de vue du laboratoire, le bénéfice de ce nouveau traitement :

Pour le Synagis® : 6 000 nourrissons x 2 000 € pour 5 injections = 12 000 000 €, c’est le montant maximum du marché.

Pour le Beyfortus® : 750 000 nourrissons x 400 € (estimation) pour une seule injection = 300 000 000 € ! C’est le chiffre d’affaires annuel potentiel de ce nouveau traitement s’il était généralisé, dans le cadre d’une obligation thérapeutique préventive par exemple ou via un forcing promotionnel similaire à celui du Gardasil.

On comprend mieux l’intérêt pour AstraZeneca d’écraser son ancienne molécule au profit de la nouvelle version ! À condition que les effets indésirables passent sous les radars de la pharmacovigilance, ce « me too » peut représenter une bien meilleure opération encore que le Gardasil de Merck : deux injections (230 €) pour 850 000 enfants de 12 ans, cela donne 195 500 000 € par an, « seulement ».

Le 12vaccin obligatoire avance-t-il masqué ?

Pour le ministère de la Santé, rappeler qu’il ne s’agit PAS d’un vaccin est cette fois-ci un élément clé du narratif : « Le Beyfortus® repose sur la technologie des anticorps, c’est-à-dire que l’on donne à l’organisme les outils pour se défendre, et est efficace sur plusieurs mois, à la différence de la vaccination qui présente la maladie à l’organisme pour l’entraîner à se défendre seul ». Ce charabiargumentaire ne veut pas dire grand-chose et à ce titre, les soi-disant vaccins contre la Covid n’en étaient effectivement pas, puisqu’ils ne présentaient pas la maladie à l’organisme. Dans le cas du Beyfortus®, on administre directement des anticorps anti-VRS, très similaires aux anticorps vaccinaux induits par un « vrai » vaccin anti-VRS. Bref, dans l’éventail des nouvelles thérapies immunitaires, il y a franchement de quoi s’y perdre. Même la représentante du Collège de médecine générale patauge :

— … ce vaccin, j’ai bien compris qu’il allait être pris en charge à 100 %. Normalement, nous allions l’avoir à disposition, comme on a pu l’avoir pour le Covid dans les cabinets. Ce que nous craignons, je ne vous le cache pas, c’est qu’on fasse une campagne d’information et que nous n’ayons pas les doses…

Le président de la Commission Transparence se doit de rectifier :

— Merci. Juste une précision, ce n’est pas un vaccin. C’est un produit qui ne passera pas par la Commission Technique des Vaccinations (CTV).

Dont acte. Mais pourquoi avoir convoqué un membre de la CTV en tant qu’expert pour cet audit ? Et notamment Daniel Floret, figure historique de la CTV jusqu’à peu (entre autres commissions), grand spécialiste des vaccins, mais aussi collaborateur régulier de l’industrie pharmaceutique ?

En fait, l’industrie a tout intérêt à ce que le Beyfortus® soit considéré comme un vaccin. Comme toutes les nouvelles thérapies destinées à lutter contre des maladies infectieuses (notamment les produits de thérapies géniques), « le flou est volontairement entretenu du point de vue de la qualification de ces nouveaux produits » rappelle Hélène Banoun. L’industrie aimerait qu’ils suivent plus ou moins la réglementation plus souple des vaccins, en vue d’éviter des essais cliniques complexes et longs. Par exemple, le Beyfortus® contre le VRS a été approuvé en urgence comme un vaccin aurait pu l’être »…

Mais du côté politique, il s’agit surtout de ne pas effrayer les parents avec un « nouveau vaccin » et encore moins relancer la douloureuse polémique sur les vaccins obligatoires du nourrisson. Donc NON, on ne peut pas parler de vaccin ! Et encore moins d’un vaccin obligatoire puisqu’il « ne peut être administré sans l’accord des parents », assure le Ministre de la Santé. Du moins pas pour l’instant… Mais peut-on encore vraiment lui faire confiance ?

[Voir aussi :

Le train du Beyfortus a déjà déraillé

https://www.aimsib.org/2023/12/10/le-train-du-beyfortus-a-deja-deraille/

]




Santé — C’est l’état qui décide pour vous !

Avec Claire Severac et Nicole Delépine

[Source : Jacques Buffet]

Nous vous proposons de revoir cette vidéo de 2015, qui prédit ce que nous vivons aujourd’hui [28 mars 2020]. Rappelons que le croque-mort qui nous présente tous les soirs sur les chaînes mainstream le bilan de la journée était entre 2013 et 2015 le conseiller sanitaire de cette Marysol Touraine, et qu’il n’a pas quitté le ministère de la Santé depuis.




Les chats sauveront-ils Paris à temps ?

Paris, Anne Hidalgo fait appel à des chats pour chasser les rats de la ville avant les jeux olympiques. Les premiers tests sont concluants !

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Lette ouverte aux Sénatrices et Sénateurs contre le projet de loi « Dérives sectaires »

Comme vous le savez, le 19 décembre, en fin de journée ou en début de soirée, sera discuté, dans l’hémicycle du Sénat, le projet de loi n° 111, 2023-2024, visant à renforcer la lutte contre les soi-disant DÉRIVES SECTAIRES. Ce projet de loi répressif comprend un volet sur la « protection de la santé » (Chapitre III), qui est curieusement porté par le ministre de l’Intérieur, en l’occurrence, M. Gérald DARMANIN.

Malgré l’heure tardive du débat, les Français espèrent vous voir très nombreux dans l’hémicycle à vous opposer à ce projet anti-science. Avec certitude, les Français suivront, eux aussi, massivement vos débats sur LCP.

Pourquoi ce projet est-il anti-science ? Nous vous invitons, ainsi que le gouvernement et notamment Monsieur DARMANIN, à consulter « Les grandes controverses scientifiques », 2014, DUNOD, coll. Quai des sciences, 180 p.

Il en ressort un principe ancien et essentiel :




Le président de la Cop28 estime que les demandes d’élimination progressive des combustibles fossiles ne reposent sur aucune donnée scientifique

[Source : theguardian.com]

[Illustration : Anadolu/Getty Images]

Exclusif : Sultan Al Jaber, des Émirats arabes unis, affirme que l’élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz ramènerait le monde « dans les cavernes ».

Par Damian Carrington et Ben Stockton

Le président de la Cop28, Sultan Al Jaber, a déclaré qu’il n’existait « aucune science » indiquant qu’une élimination progressive des combustibles fossiles était nécessaire pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, ont révélé le Guardian et le Centre for Climate Reporting.

M. Al Jaber a également déclaré qu’une élimination progressive des combustibles fossiles ne permettrait pas un développement durable, « à moins de vouloir ramener le monde dans les cavernes ».

Ces commentaires sont « incroyablement préoccupants » et « frôlent le déni climatique », ont déclaré les scientifiques, et ils sont en contradiction avec la position du secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

M. Al Jaber a fait ces commentaires dans des réponses malveillantes aux questions de Mary Robinson, présidente du groupe des « Elders » et ancienne envoyée spéciale des Nations unies pour le changement climatique, lors d’un événement en ligne en direct le 21 novembre. En plus de diriger la Cop28 à Dubaï, M. Al Jaber est également directeur général de la compagnie pétrolière publique des Émirats arabes unis, Adnoc, ce que de nombreux observateurs considèrent comme un grave conflit d’intérêts.

Plus de 100 pays soutiennent déjà l’élimination progressive des combustibles fossiles. La question de savoir si l’accord final de la Cop28 prévoit cette élimination ou utilise des termes plus faibles tels que « réduction progressive » est l’une des questions les plus âprement discutées lors du sommet et pourrait être le facteur déterminant de son succès. Des réductions profondes et rapides sont nécessaires pour ramener les émissions de combustibles fossiles à zéro et limiter l’aggravation rapide des effets sur le climat.

Al Jaber s’est entretenu avec Mme Robinson lors d’un événement organisé par She Changes Climate. Mme Robinson a déclaré : « Nous sommes dans une crise absolue qui touche les femmes et les enfants plus que quiconque… et c’est parce que nous ne nous sommes pas encore engagés à éliminer progressivement les combustibles fossiles. C’est la seule décision que la Cop28 peut prendre et, à bien des égards, parce que vous êtes à la tête d’Adnoc, vous pourriez en fait la prendre avec plus de crédibilité ».

M. Al Jaber a ajouté :

« J’ai accepté de venir à cette réunion pour avoir une conversation sobre et mature. Je n’adhère en aucun cas à une discussion alarmiste. Il n’y a pas de données scientifiques, ni de scénario, qui disent que l’élimination progressive des combustibles fossiles permettra d’atteindre 1,5 °C. »

M. Robinson l’a encore mis au défi : « J’ai lu que votre entreprise investissait dans beaucoup plus de combustibles fossiles à l’avenir ». Al Jaber a répondu : « Vous lisez vos propres médias, qui sont biaisés et erronés. Je vous dis que je suis l’homme de la situation ».

Al Jaber a ensuite déclaré :

« Aidez-moi, s’il vous plaît, montrez-moi la feuille de route pour une élimination progressive des combustibles fossiles qui permettra un développement socio-économique durable, à moins que vous ne vouliez ramener le monde dans les cavernes ».

« Je ne pense pas que vous puissiez aider à résoudre le problème du climat en pointant du doigt ou en contribuant à la polarisation et à la division qui existent déjà dans le monde. Montrez-moi les solutions. Arrêtez de pointer du doigt. Arrêtez ça », a déclaré M. Al Jaber.

M. Guterres a déclaré aux délégués de la Cop28 vendredi : « La science est claire : la limite de 1,5 °C n’est possible que si nous arrêtons de brûler tous les combustibles fossiles. Il ne s’agit pas de réduire, ni d’atténuer. Il s’agit d’une élimination progressive, avec un calendrier précis ».

Bill Hare, directeur général de Climate Analytics, a déclaré : « Il s’agit d’un échange extraordinaire, révélateur, inquiétant et belliqueux. Nous renvoyer dans les cavernes » est le plus vieux trope de l’industrie des combustibles fossiles : cela frise le déni du climat.

« Al Jaber demande une feuille de route à 1,5 °C. Quiconque s’en soucie peut trouver cette feuille de route dans le dernier scénario d’émissions nettes nulles de l’Agence internationale de l’énergie, qui stipule qu’il ne peut y avoir aucun nouveau développement des combustibles fossiles. La science est absolument claire [et] cela signifie absolument une élimination progressive d’ici le milieu du siècle, ce qui améliorera la vie de toute l’humanité ».

[Note de Joseph : Il ne s’agit pas de science, mais d’idéologie ou de religion ici, car la science est caractérisée notamment par le doute permanent, par la possibilité de réfutation des hypothèses et des modélisations et par la possibilité d’un débat argumenté sur les différents points de vue défendus. De plus, une théorie solide doit être cohérente, sans contradictions logiques internes, et s’appuyer sur la démarche scientifique observationnelle et expérimentale. Or les bases de l’hypothèse d’une modification climatique anthropique qui serait due à des gaz à supposé « effet de serre » ou « forçage radiatif » sont contestées, mais les diverses réfutations ne sont pas prises en compte par le GIEC.
Voir notamment :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée
Les principes du raisonnement. Partie 3. Logique et climatologie
La modélisation informatique du climat relève-t-elle de science ?
Climats sous influence : des modèles pas vraiment top
La nouvelle « crosse de hockey » du réchauffement climatique vient d’exploser en plein vol
La religion du carbone]

Le professeur Sir David King, président du Climate Crisis Advisory Group et ancien conseiller scientifique en chef du Royaume-Uni, a déclaré : « Il est extrêmement préoccupant et surprenant d’entendre le président de la Cop28 défendre l’utilisation des combustibles fossiles. Il est indéniable que pour limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C, nous devons tous réduire rapidement nos émissions de carbone et abandonner progressivement l’utilisation des combustibles fossiles d’ici à 2035 au plus tard. L’alternative est un avenir ingérable pour l’humanité ».

Friederike Otto, de l’Imperial College London, au Royaume-Uni, a déclaré : « La science du changement climatique est claire depuis des décennies : nous devons cesser de brûler des combustibles fossiles. Si nous ne parvenons pas à éliminer progressivement les combustibles fossiles lors de la Cop28, plusieurs millions de personnes vulnérables supplémentaires se retrouveront dans la ligne de mire du changement climatique. Ce serait un terrible héritage pour la Cop28 ».

[Note de Joseph : il y a un fait qui semble échapper aux alarmistes climatiques, c’est que la quantité de CO2 continue sa croissance sans ralentir, voire plutôt en accélérant, mais que dans le même temps, depuis une vingtaine d’années, la température moyenne évaluée n’évolue pratiquement plus. Normalement lorsqu’une cause est la principale responsable d’un effet donné, comme ici le CO2 qui serait le principal coupable des changements climatiques, les variations des effets doivent être directement corrélées à celles des causes et avoir en gros les mêmes pentes : si la cause augmente fortement, l’effet doit aussi fortement augmenter. Or, ce n’est pas le cas ici — la température moyenne stagne tandis que le CO2 continue d’augmenter nettement.]

M. Otto a également rejeté l’affirmation selon laquelle les combustibles fossiles étaient nécessaires au développement des pays les plus pauvres, en déclarant que le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat [le GIEC] « montre que les objectifs de développement durable des Nations unies ne sont pas réalisables si l’on poursuit les économies actuelles à fortes émissions basées sur les combustibles fossiles. Le passage à un monde sans énergie fossile présente d’énormes avantages connexes ».

Un porte-parole de la Cop28 a déclaré :

« Les scénarios 1,5 °C de l’AIE et du GIEC indiquent clairement que les combustibles fossiles devront jouer un rôle dans le futur système énergétique, même si ce rôle est moindre. Le président de la Cop a cité les données scientifiques et les principaux experts en matière de climat. »

[Voir aussi :
Sans pétrole, pas d’électricité !]

« Il a clairement indiqué que l’industrie pétrolière et gazière devait s’attaquer aux émissions de portée 1 et 2 [provenant de ses activités], qu’elle devait investir dans les énergies et les technologies propres pour s’attaquer aux émissions de portée 3 [provenant de la combustion des carburants], et que l’ensemble de l’industrie devait s’aligner pour maintenir l’objectif de 1,5 °C à portée de main. »

« Une fois de plus, il s’agit clairement d’un effort continu pour saper les réalisations tangibles de la présidence de la Cop et d’une fausse représentation de notre position et de nos succès à ce jour. »

Le porte-parole a déclaré que la présidence avait rendu opérationnel le fonds pour les pertes et dommages avec plus de 700 millions de dollars, lancé un véhicule climatique du marché privé de 30 milliards de dollars, et amené 51 compagnies pétrolières à convenir d’objectifs de décarbonisation et 119 pays à signer une promesse de tripler les énergies renouvelables. « Ce n’est que le début », a déclaré le porte-parole.

M. Al Jaber est également à la tête de Masdar, la société émiratie spécialisée dans les énergies renouvelables, mais sa nomination en tant que président de la Cop28 a suscité la controverse. Peu avant le sommet, des documents ayant fait l’objet d’une fuite ont montré que les Émirats arabes unis avaient prévu d’utiliser les réunions sur le climat avec les gouvernements pour promouvoir des accords pétroliers et gaziers. M. Al Jaber a nié avoir vu ou utilisé les points de discussion contenus dans ces documents. Selon une analyse indépendante, Adnoc a également les plus grands projets d’expansion dans le domaine du pétrole et du gaz qui n’ont aucune incidence sur les émissions nettes.

La question de l’élimination progressive ou de la réduction progressive est compliquée par le fait que les termes n’ont pas de définitions convenues et par le rôle très incertain des technologies visant à « réduire » les émissions, telles que le captage et le stockage du carbone. « Pour que les objectifs de l’accord de Paris restent d’actualité, il faudra une élimination complète des combustibles fossiles, et non une vague réduction progressive reposant sur des technologies qui n’ont pas fait leurs preuves », a déclaré M. Otto.

Plus de 100 pays d’Afrique, d’Europe, du Pacifique et des Caraïbes soutiennent l’abandon progressif des combustibles fossiles. Les États-Unis, premier producteur mondial de pétrole et de gaz, sont également favorables à une élimination progressive. D’autres, comme la Russie, l’Arabie saoudite et la Chine, rejettent cet appel. Les deux options sont sur la table de la Cop28, ainsi que des propositions visant à ne mentionner que le charbon ou à ne rien dire du tout sur les combustibles fossiles.

[Note de Joseph : pendant que le GIEC et les alarmistes climatiques se focalisent sur le CO2 (indispensable aux végétaux) et le méthane, ils négligent les effets plus ou moins hautement polluants de l’industrie du Charbon et de la pétrochimie. Ceux-ci sont bien plus préjudiciables à la vie organique.]

La Cop26, qui s’est tenue à Glasgow en 2021, a accepté pour la première fois de « réduire progressivement » l’utilisation du charbon, mais cette proposition a été édulcorée à la dernière minute, ce qui a fait fondre en larmes le président de la Cop26, Alok Sharma.

Lors de sa conversation avec M. Robinson, M. Al Jaber a également déclaré :

« Selon moi, la réduction et l’élimination progressives des combustibles fossiles sont inévitables. C’est essentiel. Mais nous devons être vraiment sérieux et pragmatiques à ce sujet ».

« Attendez. Permettez-moi d’expliquer », a-t-il déclaré. « Le monde continuera à avoir besoin de sources d’énergie. Nous [les Émirats arabes unis] sommes les seuls au monde aujourd’hui à avoir décarbonisé les ressources pétrolières et gazières. Nous avons la plus faible intensité de carbone ».

Il s’agit des émissions provenant de l’énergie utilisée pour extraire les combustibles fossiles, et non des émissions bien plus importantes provenant de la combustion des combustibles. Il n’existe pas de pétrole et de gaz « à faible teneur en carbone » ou « à plus faible teneur en carbone », a déclaré M. Otto.

De nombreux commentateurs ont déclaré que les révélations négatives ou embarrassantes concernant Al Jaber et Adnoc augmentent la pression exercée sur lui pour qu’il conclue un accord solide dans le cadre de la Cop28. Le Guardian a récemment rapporté que les champs pétroliers et gaziers des Émirats arabes unis, gérés par l’État, brûlaient du gaz presque quotidiennement alors qu’ils s’étaient engagés, il y a 20 ans, à appliquer une politique de zéro brûlage systématique.

Le Guardian a précédemment rapporté qu’Adnoc avait pu lire les courriels envoyés et reçus par le bureau de la Cop28 jusqu’à ce que le Guardian soulève la question en juin, et que les Émirats arabes unis n’avaient pas non plus déclaré les émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre, produites par leur industrie pétrolière.

Harjeet Singh, du Réseau Action Climat, a déclaré : « La Cop28 doit prendre une décision sur l’élimination progressive des combustibles fossiles d’une manière juste et équitable, sans aucune faille ou échappatoire permettant à l’industrie de continuer à se développer et à exacerber la crise climatique. »




Le traité de l’OMS sur les pandémies et les enjeux de souveraineté

[Source : infodujour.fr]

Par La rédaction Infodujour

Grégory Houillon est Maître de conférences, enseignant-chercheur à l’université de Poitiers en droit public et sciences politiques. Il a enseigné en France et à l’étranger. Spécialisé sur la pénalisation de l’action publique, il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le lobbying, dont Lobbying. Du déni au défi (Presses Littéraires, 2017). Dans cette entrevue, il nous fait part de son analyse juridique sur ce projet de traité en cours de discussion et nous transmet son analyse plus approfondie à télécharger ci-dessous.

Combien de morts dus au Covid-19 ? L’OMS avoue des erreurs de calcul. (UnlimPhotos)
Que prévoit de faire ce traité sur les pandémies et quels sont ses délais ?

L’objectif du traité consiste en une révision du Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS. Le RSI est considéré comme un instrument de droit international, un accord juridiquement contraignant conclu par pratiquement tous les pays du monde (à l’exception du Liechtenstein), qui invite les membres à détecter, évaluer, signaler et répondre aux urgences de santé publique de manière coordonnée. En vertu de son actuel article 2, le RSI a pour objet et pour portée de « prévenir la propagation internationale des maladies, à s’en protéger, à la maîtriser et à y réagir par une action de santé publique proportionnée et limitée aux risques qu’elle présente pour la santé publique, en évitant de créer des entraves inutiles au trafic et au commerce internationaux ».
L’Organe international de négociation (OIN) s’est ainsi attelé à la rédaction d’un projet de traité, dont la dernière version accessible est celle transmise aux États membres qui date du 1er février 2023. Ce projet sera examiné à la 76e Assemblée mondiale de la Santé, qui se tient en mai 2023. L’OIN espère conclure l’accord en mai 2024, ce qui permettrait à l’OMS de déclarer les pandémies et soumettre les États membres à son autorité « de direction et de coordination du travail sanitaire international ».

Quels sont ses objectifs et en quoi posent-ils problème ?

De l’exposé des motifs introductif du projet de traité, on peut retenir une volonté des États membres de se donner les moyens juridiques d’agir en cas de pandémie — dans un cadre permanent et non uniquement d’exception — et de contenir l’appréhension différenciée par les États de la gestion d’une pandémie comme cela a pu être le cas lors de la survenance la pandémie de Covid-19. On peut aussi y relever le rôle central que les États-parties envisagent de donner à l’OMS en tant qu’autorité directrice et coordonnatrice, ainsi que la nécessité d’une intervention « pansociétale » (whole-of-society), en s’appuyant sur plusieurs concepts comme les « systèmes de santé résilients » ; le programme « One Health », ou encore la « couverture sanitaire universelle ». Son champ d’application sera, en vertu de son article 5, à la fois national, régional et international.

A l’analyse, ce projet de traité semble poser un problème de fond ainsi qu’un problème de forme. Sur le fond, il constitue, au prétexte de la prophylaxie et d’une vision globale de la gestion d’une future pandémie, une immixtion importante dans les prérogatives inhérentes à la souveraineté interne des États membres. Ce qui amène une nécessité de forme : la nécessité d’en respecter le cadre constitutionnel
contraignant pour procéder à sa ratification.

En quoi s’agit-il d’une immixtion dans la souveraineté des États ?

Outre qu’il limite fortement les réserves des États et ne permet pas de retrait du traité avant une période de deux ans après la date d’entrée en vigueur du traité, le projet de traité sur les pandémies vient s’immiscer de façon importante dans la souveraineté des États de plusieurs façons, que nous pouvons synthétiser en trois points :

  • D’abord, le projet de traité organise un transfert de pouvoirs des États membres à l’OMS en matière de santé. L’article 3 § 3 du projet de traité pose la limite du principe de souveraineté des États, tout en le conditionnant à l’évidence même qu’il ne soit préjudiciable aux populations. Qui appréciera cette condition d’une grande complexité à apprécier du préjudice à la population en matière de santé ? Et à partir de quel seuil considère-t-on un dommage à la population ? Le projet n’en dit rien.
  • Ensuite, ces concessions se révèlent à la lecture du projet de traité, encore plus graves et importantes. En effet, le traité organise dans son article 15, l’exercice d’un pouvoir solitaire pour le Directeur Général de l’OMS qui décide seul, en l’état du projet, sans contre-pouvoirs ni conditions claires, de la possibilité de déclencher une pandémie.
  • Enfin, le projet de traité excède largement le domaine de la seule santé publique dans son champ d’application, ce qui accroît la gravité du transfert de compétence indirectement organisé. Trois éléments permettent de le constater : d’abord, avec la mise en œuvre du concept « One Health » (synergies multisectorielles et transdisciplinaires), qui s’étend au climat et à l’environnement, mais aussi à l’agriculture, l’école, l’information, les médias et le numérique (programmes éducatifs de sensibilisation, gestion des infodémies, lutte contre les fake news et la désinformation, etc.). Plus encore, il s’immisce dans les compétences législatives et l’exercice du pouvoir réglementaire des autorités nationales et les conséquences juridiques des mesures de santé publique (confinements, couvre-feux, isolements, fermetures) peuvent toucher à l’ordre public interne des États avec des mesures relevant du noyau dur des compétences régaliennes de l’État (ministère de l’Intérieur, justice). Le traité permet une intervention de l’OMS non seulement au plan régional et international, mais aussi national. Et il faut ajouter que ce traité, malgré un titre trompeur, dépasse le seul cadre pandémique, puisqu’il engage les États dans ce qu’il appelle les « périodes inter-pandémiques » (formule récurrente retrouvée dans les principaux articles).

Or, de telles compétences ainsi concédées sont au cœur de la souveraineté de l’État et ont des effets sur les libertés fondamentales. Elles relèvent d’un noyau dur de « compétences régaliennes », ont trait aux libertés publiques et ne peuvent en aucun cas être concédées par l’État. Or, ce serait incontestablement le cas si l’État liait toute décision à l’appréciation et à la direction d’une organisation internationale comme l’OMS. Car la santé publique est intimement liée à l’ordre public interne et à aux libertés. Si l’on se réfère à l’alinéa 15 du préambule de la Constitution de 1946 qui dispose que « sous réserve de réciprocité, la France consent aux limitations de souveraineté nécessaires à l’organisation et à la défense de la paix », force serait de constater que le projet de traité sur les pandémies va bien au-delà de la simple « organisation et défense de la paix » tel que prévu par cette disposition. Il pourrait bien de ce point de vue, se retrouver en contrariété avec la
Constitution sur plusieurs points.

Ce traité sera-t-il vraiment contraignant ? Et si oui, dans quelle mesure ?

En pratique, cela va dépendre. Certes, dès son préambule, le projet de traité précise que « Dans le cadre du mandat susvisé, l’INB a établi un processus et une approche systématique pour son travail et en a convenu, lors de sa deuxième réunion, que l’instrument devrait être juridiquement contraignant et contenir à la fois des stipulations juridiquement contraignantes aussi bien que des éléments juridiquement non contraignants. » Mais, l’on voit bien qu’à l’analyse du projet, les choses ne sont pas aussi claires et qu’il risque d’y avoir une interprétation au cas par cas, article par article, par le juge saisi au contentieux, tant du traité que des lois qui seront initiées pour le mettre en œuvre. En effet, ce genre de document préparatoire permet au juge d’analyser chaque stipulation dans le cadre du contentieux dont il est saisi afin d’en déterminer le caractère impératif ou non pour l’État. Il faudra donc s’en remettre à la jurisprudence.

Ce futur traité vise donc incontestablement à produire des effets juridiques si l’on suit les volontés de son auteur. De plus, il faut se référer à la précision d’un certain nombre de stipulations qui prévoient les engagements des États, comme par exemple, l’article 13 qui prévoit que les États devront mener des exercices réguliers bisannuels avec des simulations multi-pays pour identifier les lacunes et vulnérabilités de leurs systèmes afin de les rendre résilients. On peut aussi citer, entre autres stipulations, l’article 19 § 1, d) qui prévoit un financement de chaque État sur la base d’une « ressource PIB », ou chaque État contribuera au financement des institutions créées par le traité à hauteur d’un pourcentage à définir de son PIB.

S’il est contraignant pour les États, il faudra bien que ce traité soit ratifié par eux, dont la France ?

Oui, car ce projet relève incontestablement d’un véritable traité international. Au regard du droit des traités, le texte est écrit et régi par le droit international (Charte des Nations-Unies et Constitution de l’OMS) et qui plus est multilatéral (il concerne les 194 États membres de l’OMS, ce qui lui donne aussi une importance certaine), et d’autre part, il appert que, dès lors que dans ses travaux préparatoires et en préambule du document, les auteurs ont explicitement voulu rendre le texte juridiquement contraignant en tout ou partie et que celui-ci comporte des engagements précis, nous n’avons plus à faire à un simple accord, mais à un véritable traité au sens de l’article 55 de la Constitution. Et c’est là que le cadre constitutionnel intervient pour lui imposer des formes obligatoires rigoureuses pour sa ratification.

Dans un précédent article avec le Professeur de droit international Francis Boyle, nous avions vu qu’une clause permettait une application provisoire. Le traité n’essaierait-il pas de prévoir des exceptions possibles pour faire appliquer ce traité avant sa ratification en bonne et due forme ?

Le projet de traité semble en effet prévoir une application provisoire des futures stipulations. Son article 35 évoque la possibilité pour un État signataire d’appliquer, « à titre provisoire, en tout ou partie », les stipulations du texte. Il faut toutefois rappeler que le propre du provisoire est de ne jamais être définitif. Et le paragraphe 2 de l’article 35 vient le confirmer en prévoyant immédiatement que cette application provisoire prend nécessairement fin à la date d’entrée en vigueur du traité. Ne produisant plus ses effets juridiques, il sera alors nécessaire de ratifier le traiter par les voies « normales », prévues par le droit constitutionnel français, conformément à l’article 19 de la Constitution de l’OMS. Aussi, une telle application revient à « reculer pour mieux sauter » puisque, quand bien même ces stipulations s’appliqueraient provisoirement depuis quelques mois, les parties n’échapperont pas à la ratification en la forme prévue par leur modèle constitutionnel.

Justement, que prévoit alors le droit constitutionnel français pour la ratification de ce traité ?

La ratification relève de l’article 53, alinéa 1er de la Constitution : « Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi ». Les traités doivent donc, lorsqu’ils relèvent de ces catégories de conventions régies par le droit international, faire l’objet d’une ratification solennelle en la forme législative et donc passer par la voie parlementaire. Dans ce cas, sur le plan administratif, en application de l’article 39 de la Constitution, le Conseil d’État devra être consulté comme pour tous les projets de loi autorisant la ratification ou l’approbation des traités ou accords énumérés à l’article 53. Il faut aussi rappeler que, si la ratification d’un tel traité est de nature législative, cette nature législative peut être parlementaire (article 53 de la Constitution), mais aussi référendaire (article 11 de la Constitution), en dépit de la démophobie ambiante (plus aucun référendum de ce genre n’a été organisé depuis quasiment 20 ans).

En l’état du droit, vous pensez donc que sa ratification ne pourra faire l’économie d’une loi ou d’un référendum. L’enjeu est-il important ?

Évidemment. Il ressort donc à l’évidence que ce traité multilatéral rédigé dans le cadre de l’OMS, va produire des effets de droit, créer de nouvelles institutions internationales, comporte des stipulations budgétaires pour les États et va imposer en droit français des modifications de nature législative au droit préexistant, comme par exemple des modifications des dispositions du Code de la santé publique (de valeur législative), mais pas seulement, car des confinements, une politique d’isolement et de quarantaines, une obligation du port du masque en population générale ou une campagne éventuelle de vaccination obligatoire ou supplétive de volonté produiront inévitablement d’évidentes conséquences sur l’exercice des libertés fondamentales. La mise en œuvre de mesures sanitaires de prophylaxie ou de lutte contre les épidémies implique la mise en œuvre d’instrument relevant de la police administrative, qui revient, dans l’intérêt de l’ordre public sanitaire, à entraver l’exercice de plusieurs libertés. Par exemple, l’instauration d’un « pass » sanitaire ou vaccinal comme cela a été le cas pendant la crise du Covid-19 nécessite un encadrement législatif avec des garanties accordées aux citoyens en contrepartie de telles entraves — même temporaires — aux libertés.




La controverse sur les manipulations du climat

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Il va de soi que ce n’est pas auprès des « experts du GIEC » qu’il faut s’informer sur les questions climatiques, tout comme ce n’est certainement pas auprès des « experts de l’OMS » qu’il faut chercher une information sérieuse sur la santé ! Dès que vous évoquez ce thème concernant le climat et l’eau en particulier, vous avez immédiatement une pluie de railleries qui vous tombe dessus ! Puis, vous êtes traîné dans la boue ; les pouvoirs nient farouchement la réalité et développent des arguments copieusement puisés dans le registre de la diffamation, traitant de « complotistes » ou « délirants » tous ceux qui osent évoquer ce scandale bien réel pour la santé publique. Ceux qui ont des preuves de la pratique des « chemtrails » sont bâillonnés, enfermés en psychiatrie ou astucieusement exécutés ! Une femme pilote de l’US Air Force, Kristen Meghan, témoigne depuis quelque temps, partout dans le monde, de la réalité indiscutable de ces programmes qui se pratiquent dans tous les pays occidentaux. Sa carrière a été brutalement compromise ! Pour ceux qui sont encore en mesure d’avoir envie de savoir, vous pouvez écouter son témoignage sur :



Concernant les Chemtrails, il existe un rapport scientifique qui ne laisse aucun doute possible sur la question et qui a été publié le 8 juillet 2010 par Vivre Debout ! Ce rapport scientifique a pour nom CASE ORANGE.

[Voir aussi :
Les catastrophes naturelles ne sont pas toutes naturelles,
Révélations sur les chemtrails,
Smart dust, la poudre blanche intelligente,
L’arme du climat, une guerre invisible]

Case Orange a été élaboré par une équipe « d’experts », qui ont estimé qu’il était temps de dévoiler au public les faits réels concernant ces traînées de condensation des avions que l’on nomme « chemtrails ». Certes, l’identité des auteurs n’est pas dévoilée dans ce rapport — on peut comprendre pourquoi — mais toutes les données peuvent être contrôlées via les renvois en bas de page et toutes les affirmations sont étayées par des annexes détaillées.

Ce rapport prouve essentiellement et sans démenti possible que des épandages sont réellement effectués partout dans le monde, depuis de nombreuses années et mis en action tout d’abord par les États-Unis.

Case Orange a été présenté au Symposium International de Gand, en Belgique, organisé par le Belfort Group, le 29 mai 2010. L’on pouvait écouter les orateurs sur le site suivant :
http://www.ustream.tv/channel/belfort-test

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :
http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf
[en allemand en anglais ??]

Si vous ne pouvez pas le visualiser, je propose ici un résumé du texte de base que j’avais gardé en son temps dans mes documents.

Définition des termes

Contrails (condensation — trails = traînées de condensation): il s’agit de la condensation de la vapeur d’eau émise dans les gaz d’échappement des avions.

Leur formation dépend et de l’altitude et de la température (aussi pour les moteurs à hélice). Leur caractéristique : ils sont éphémères.

Les avions actuels, équipés de moteurs plus puissants génèrent des traînées plus persistantes sur des longueurs de 30 à 40 km.

Distrails (dissipation — trails = dispersion) : ce sont des tunnels qui se forment lorsqu’un avion vole à travers un nuage. Les gouttelettes d’eau se transforment en vapeur d’eau.

Chemtrails (chemical – trails = traînées chimiques) : il s’agit de traînées d’avion délibérément provoquées par épandage à des fins militaires ou politiques.

Elles sont plus persistantes, elles durent des heures et se déploient en quadrillant, de grandes surfaces. Officiellement, les États nient leur réalité. Si l’on met de côté le mensonge et la négation par les pouvoirs, la justification qui est avancée est celle-ci : il s’agirait d’influencer le climat et plus particulièrement de favoriser ou d’éviter les précipitations par le « cloud seeding » (ensemencement de nuages) en vue de s’opposer au réchauffement climatique !

Les carburants

Pour les avions civils, il y a +/— 50 substances chimiques dont l’éthylène, le formaldéhyde, l’acétylène et le propène.

Pour les avions militaires, le carburant est différent et breveté parce qu’il contient des additifs en relation avec le « point d’inflammabilité » (point plus élevé), la stabilité thermique, l’encrassement par des résidus de coke, etc. Il contient un lubrifiant supplémentaire.

Pas de contrôle sur les programmes militaires

Le commandement militaire qui centralise les missions d’épandages n’est pas contrôlé par les pouvoirs publics. Les avions militaires sont exclus des normes. Les recommandations ne sont pas toujours traduites en lois et sont donc non contraignantes.

Les avions-citernes KC135 (= équivalent du Boeing 707) et les bombardiers posent problème. Leurs émissions de gaz sont 1200 % supérieures pour le CO2 et 30 % supérieures pour le NO si on compare ces valeurs aux normes de référence !

Les Contrails

En d’autres termes, les contrails (« normaux ») sont déjà source d’une sérieuse pollution ! Les cirrus quant à eux — naturels ou artificiels — ont un effet refroidissant sur la température.

Les aérosols ont une double action :

1 — d’une part, ils forment un écran/filtre de la lumière du soleil (assombrissement global — global dimming). Il fait plus froid et plus sec.

2 — d’autre part, ils forment des gouttelettes d’eau et donc des précipitations.

La quantité d’aérosols influence le climat et cela donne donc la possibilité de manipuler le climat !

Les Chemtrails

Le phénomène des chemtrails a démarré à la fin des années 90. (On se rappelle l’article de William Thomas)

La recherche sur ce thème doit être menée et basée sur les programmes militaires et scientifiques existants, des études sur la modification de l’atmosphère et du climat basées sur des notions telles que « l’ensemencement », la « géo-ingéniérie », etc..

Elle doit également se baser sur des faits concrets comme des brevets, des licences, des contrats…

On connaît déjà plusieurs expériences faites par les militaires, comme le WWII, qui sont des plaquettes de brouillage (aluminium) servant de contre-mesure radar. (CHAFF)

Le Projet « Cirrus » qui est le premier programme d’ensemencement de nuages par General Electric, mais, dès le début, effectué dans un contexte militaire et donc en collaboration avec l’US Air Force et l’US Navy…

C’était un essai pour provoquer « artificiellement » la pluie.

Continuation des projets d’ensemencement via « Storm Fury » 1962 et « Popeye » 1967. Le but était d’affaiblir des cyclones tropiques avec de l’iodure d’argent.

1. À partir de cette époque, divers programmes d’ensemencement ont été réalisés aux États-Unis et sont devenus une arme par modification du climat.

Les ELF (Extreme Low Frequency)

En 1974, est découverte une autre possibilité pour influencer les conditions atmosphériques à savoir, modeler la magnétosphère (la couche au-dessus de l’ionosphère) avec des ondes mégamétriques (ELF – extreme low frequency, ondes inférieures à 300 Hz ou des longueurs d’onde supérieures à 1 000 000 mètres).

Les ondes ELF génèrent un courant de particules qui sont capables de passer l’horizon et de retomber en tant qu’ondes à fréquence extrêmement haute (EHF — extreme high frequency — ondes entre 30 et 300 gigahertz ou de 1 à 10 millimètres).

Elles influencent les conditions atmosphériques et peuvent provoquer la pluie ou la sécheresse.

En 1995, on assiste à la création en Alaska, d’une entreprise commune (militaire, civile) avec le projet HAARP (High Active Auroral Research Project). En réalité, HAARP est devenu une arme puissante et redoutable et fonctionne actuellement à pleine capacité : plusieurs gigawatts !

Ceci permet de provoquer des séismes (cf. les brevets et la hausse du magnétomètre 2 jours avant le tremblement de terre à Haïti).

Avec cette technologie, l’on peut donc aussi influencer le temps : « La Guerre des Fréquences ».

La manipulation du climat est un fait !

De plus, on en parle ouvertement depuis 1996 ! Des études sont effectuées au sein de l’armée américaine sous la dénomination « 2025 ». L’objectif poursuivi, c’est le contrôle et le monopole de l’atmosphère ainsi que de l’espace !

Le document « Owning the weather in 2025 » regroupe toutes les études qui ont un rapport avec la manipulation des conditions atmosphériques.

1 — Ensemencement des nuages avec de l’iodure d’argent.

2 — Modification de la ionosphère : « Space Weather ».

3 — Contrôle des pluies et des tempêtes par la formation de nuages et de CONTRAILS.

« Les évolutions actuelles sur le plan démographique, économique et environnemental créeront, au niveau mondial, des zones de tension qui, pour beaucoup de pays et ‘groupements‘ rendront inévitables et effectives, l’exécution des possibilités de modifications climatiques. » (Rapport Case Orange)

« Aux États-Unis, la modification du climat sera une composante de la politique nationale de défense avec des applications internes y compris des applications à l’étranger. Nos gouvernements mèneront les politiques à différents niveaux selon et compte tenu des intérêts. » (Idem)

On peut donc provoquer ou empêcher la pluie où l’on veut. Et ceci est très important. L’eau sera une ressource rare, chère et essentielle pour la survie. Celui qui contrôle l’eau contrôlera le monde.

Le programme a prévu une introduction de miroirs ionosphériques artificiels à partir de 2000 avec une nette hausse aux alentours de 2008.

Le système HAARP est devenu complètement opérationnel en 2015.

L’emploi de produits chimiques était prévu pour ensemencer l’atmosphère à partir de 2000 afin d’obtenir ainsi un « Weather Force Support » pour 2015 et obtenir un climat virtuellement contrôlable à 100 % en 2025 !

Le programme stipule une introduction de « smart clouds » par la nanotechnologie aux environs de 2004, avec un accroissement exponentiel après 2010. Une évolution identique est prévue pour « l’Énergie Dirigée », en parlant du réchauffement de l’ionosphère.

Une application toute particulière fut la présentation du « Carbon Black Dust » (poussière carbone noir), une technologie qui a été développée par le Ministère de la Défense US à partir de 2005.

Les gens à l’origine de ce programme délirant en parlaient ouvertement à la conférence de l’AAAS (American Association for Advancement of Science) à Asilomar en Californie, conférence qui a eu lieu du 18 au 22 février 2010. Ces gens sérieux affirmaient ouvertement qu’ils devraient épandre annuellement jusqu’à 20 millions de tonnes d’Aluminium ! Aujourd’hui, tous les pouvoirs nient farouchement dans toutes les langues, qu’on serait en train d’en épandre…

Le thème du « Réchauffement climatique Global » est sujet à de sérieuses controverses, surtout après le ‘climate-gate’ et la condamnation du film d’Al Gore par la Justice britannique.

La Géo-ingénierie est un néologisme pour exprimer la manipulation délibérée du climat pour contrecarrer les effets du réchauffement climatique (dû à l’émission des gaz à effet de serre) en influençant la balance énergétique et la réflexion de la lumière du soleil dans l’espace. La géo-ingénierie est apparue pour la première fois dans un brevet de la Hughes Aircraft Company: le brevet décrit — déjà en 1991, 18 techniques pour réduire le réchauffement global en dispersant dans la stratosphère de l’oxyde d’aluminium, de l’oxyde de thorium et des particules de « Welsbach » (=des particules de métaux) pour réfléchir la lumière du Soleil.

Ces substances sont vaporisées à une altitude de 7 à 13 000 m et sont de la taille de 10 à 100 microns.

La Hughes Aircraft Company est momentanément une division de la Raytheon Corporation, une entreprise avec un chiffre d’affaires annuel de 21 milliards de dollars, qui est propriétaire de HAARP et fournisseur de l’armée américaine…

Les autorités nient l’existence d’opérations d’épandages dans l’atmosphère, mais le scénario proposé dans le rapport IPCC en 2001 ressemble étrangement au brevet « Welsbach »

D’une part, ces particules réfléchissent partiellement la lumière du Soleil, mais, d’autre part, elles bloquent le ‘rayonnement de corps noir‘ (black body radiation), le rayonnement thermique de la terre.

La conséquence de tout cela a été une nette hausse du réchauffement global !

Une étude récente montre qu’il y a deux manières de vaporiser ce mélange, qui contient 85 % de particules métalliques et 15 % de silica colloïdal (gel) (dioxyde de silicium) : Les particules sont ajoutées au carburant des avions à réaction civils et vaporisées à l’altitude de croisière et ainsi le problème de l’épandage n’est ni vu ni connu !

Ou alors, le mélange est injecté directement dans les gaz d’échappement à haute température, via un dispositif dont la marine américaine détient le brevet.

Ainsi, ce mélange se diffuse comme un aérosol, dans la traînée que produit l’avion avec l’avantage, encore une fois, de n’être ni vu ni connu !

Plusieurs avions militaires, dont l’avion-citerne KC135, possèdent ce dispositif d’aérosol et ceci pourrait expliquer au moins partiellement le fait que les avions militaires ont des valeurs d’émission plus élevées que les avions des lignes commerciales.

De plus, il n’est pas difficile de se procurer les preuves que des Ministères Européens de la Défense font des achats en grande quantité de baryum et de barytine C14, qui est employée, entre autres, pour la détection des courants maritimes… (Pour la France, voir les analyses de la Cour des Comptes publiées chaque année.)

Il existe des cartes météorologiques indiquant les zones d’épandage de par le monde. Elles ont même été, un certain temps, consultables publiquement sur un site officiel de Californie, avant d’être retirées par les pouvoirs qui se sont tardivement aperçus de la bourde.

Ceci indique que les hauts responsables des États ont connaissance de ces programmes de contrôle du climat, mais qu’ils se taisent, peut-être parce que la situation est plus grave qu’on se l’imagine. Depuis le délire covidiste, nous savons que les États au service du mondialisme veulent organiser le génocide des peuples pour les motifs que nous avons déjà largement analysés et publiés au cours de ces trois dernières années passées.

Dans un communiqué de presse du 9 septembre 2009, au cours des préambules du sommet de Copenhagen, 5 économistes (dont des prix Nobel) déclaraient que la géo-ingénierie du climat était considérée comme le moyen le moins coûteux pour résoudre le problème du réchauffement climatique global.

À propos de la légalité

Aux États-Unis, il n’y a pas de « problème » : l’épandage est légal depuis 1977. Le Ministère de la Défense peut faire des expérimentations biologiques sur sa propre population.

Ces mesures ont été renforcées en 2002. Initialement, il y avait une proposition de loi garantissant la sauvegarde de l’espace, d’armes à basse fréquence, la sauvegarde du milieu et du climat d’armes de nouvelles technologies destructrices et la protection contre les « chemtrails ». Mais toutes ces restrictions sont tombées lors de l’approbation de la loi en 2002.

En Europe, certaines directions militaires ont déjà dû admettre qu’ils épandaient au-dessus de leur propre territoire (propre population), mais, soit ils nient les effets nocifs (comme en Allemagne), soit ils justifient cet épandage dans le cadre de l’intérêt national (comme en Grande— Bretagne).

Menaces sur la santé des peuples et argent public utilisé contre les contribuables

Après avoir revu la vidéo de Claire Séverac (cf., également « La Guerre secrète contre les peuples », éditions Contre Kulture, 2015, 405 pages) j’ai noté la composition des produits chimiques qu’elle avait signalée en son temps. Composition des épandages (chemtrails) :

DIBROMURE D’ÉTHYLÈNE

– allergies
– gorge irritée, toux

– symptômes grippe

– fatigue

BARYUM, THRONTIUM

– difficultés respiratoires

– difficultés cardio-vasculaires

– division du cerveau (empêche une interaction entre les acides aminés)

– destruction de la couche d’ozone

ALUMINIUM
– alzheimer
– parkinson
– lou gehrig : La sclérose latérale amyotrophique ou SLA, également appelée dans le monde francophone maladie de Charcot ; maladie de Lou Gehrig ou ALS en anglais, est une maladie neurodégénérative des motoneurones de l’adulte.

– Autisme

METAUX LOURDS

– nanoparticules : la maladie des morgellons.

Elle conseillait de regarder un film : BYE BYE BLU SKYE



https://crowdbunker.com/v/QIRCm5BYU_8

Les autres dommages sont les suivants : les dégâts désastreux sur la couche d’ozone ; les coûts sont plus élevés pour introduire du soufre ; une diminution de la luminosité. Le cycle hydrologique est perturbé ce qui a comme conséquence l’apparition de sécheresses plus fréquentes. Le ciel bleu est désormais plutôt gris ou voilé. L’énergie solaire est amoindrie. Le vivant est clairement menacé.

Les gaz des avions, même sans l’ajout d’aérosols, sont une menace directe pour la nature, les animaux et l’homme, pour tout ce qui vit sur Terre…

L’existence de programmes en vue de maîtriser le climat ne peut plus être niée. Ils sont contrôlés et coordonnés par les autorités militaires. Ils sont approuvés par les gouvernements partisans du mondialisme et exécutés en silence pour éviter tout conflit et protestation, ainsi que pour pouvoir continuer tranquillement le massacre de ce qu’ils considèrent comme une « surpopulation problématique ». Les 2 objectifs principaux sont : 1 — le contrôle de la température en créant des nuages artificiels, les chemtrails via des contrails manipulés ; et 2 — le contrôle du climat par manipulation de l’ionosphère, via des Installations comme HAARP (ionisation, réchauffement de l’ionosphère).

Les États-Unis ambitionnent le contrôle total, civil et militaire, du climat d’ici 2025. Sur base des brevets qui sont la propriété de Raytheon et du Département de la Défense américain, il est clair que les programmes de manipulation climatique émanent et sont organisés à partir des États-Unis.

Les pouvoirs sont clairement criminels et n’ont aucun scrupule à planifier un génocide de masse. Ces deux dernières années qui viennent de passer nous ont donné un aperçu de ce qui va pouvoir se faire, comme les tremblements de terre sur commande (Turquie, Maroc) ; les incendies rigoureusement ciblés (île Maui Hawaï), où le métal des voitures a même été fondu ; les nuages de poussière gigantesques (sable du Sahara sur toute l’Europe) ; les vents d’une violence exceptionnelle comme en octobre 2023 en France (210 km/h sur la Bretagne)…

Récapitulons :

Toutes les sources d’eau potable ont été globalement captées par les communes ou par des sociétés d’exploitation et de distribution de l’eau potable. C’est d’ailleurs la captation abusive des sources d’eau sur tous les territoires, et la prolifération des « bassines » qui ont également provoqué la pénurie par l’épuisement de la nappe phréatique.

Le réchauffement climatique en tant que tel, n’est pas la cause première ou exclusive de la pénurie d’eau potable (des sources qui tarissent, des nappes phréatiques qui ne sont plus réalimentées par les pluies devenues plus rares, des petits et moyens cours d’eau qui se retrouvent asséchés), mais c’est le comportement irresponsable des industries de l’agriculture intensive et surtout les programmes militaires contrôlant le climat qui sont à l’origine de ce dérèglement climatique observé…

L’eau est un élément indispensable à la vie ; elle est donc d’une valeur inestimable. Nous devons faire preuve d’un immense respect pour cet élément sans lequel rien ne peut vivre sur Terre. Sur cette question, il est également évident que la conscience reste essentielle. Les conditions de la vie sur Terre sont en relation étroite avec la spiritualité, avec l’éveil de conscience de chacun, avec une éthique intime qui a trouvé la voie de son avènement.

Seul, ne sait pas, celui qui ne veut pas savoir ! Il va de soi que les inconscients ou les handicapés de l’autocensure n’ont toujours pas compris le projet criminel des mondialistes, ayant entre leurs mains l’ensemble des pouvoirs, et le degré de perversion qui anime ceux qui veulent dominer le monde. Les acteurs égarés de ces programmes délirants sont capables d’abolir toute trace de vie sur Terre en préservant la leur, mais aussi tout avenir pour l’espèce humaine ! Il faut impérativement les arrêter ou disparaître !

Jean-Yves Jézéquel

Voir aussi :

https://crowdbunker.com/v/CZZ46R4mqL

Le document comprend un texte de base de 70 pages et de 230 pages d’annexes. Il était possible de le télécharger sur le site suivant :

http://www.belfort-group.eu/sites/default/files/page/2010/05/COpart1.pdf

*

Pour aller plus loin :

Voir en anglais :

Weather Warfare: “Beware the US Military’s Experiments with Climatic Warfare” par Michel Chossudovsky

En français :

HAARP : La guerre climatique par Michel Chossudovsky (article également publié par The Ecologist)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2023




VAXINS : les Japonais indemnisent ; les Anglais tombent comme des mouches ; en France, le ministre ne sait même pas lire les notices Pfizer

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France les journalistes et les politiques bloquent toujours la porte de l’escalier et la Vérité ne peut monter. On a même vu le ministre mentir, incapable, comme les juges de la Cour de Justice de la République de lire les notices Pfizer.

Au Japon la presse parle et en Angleterre c’est la panique.

Enfin, la plus grande chaîne d’information nationale du Japon, NHK, vient de mentionner les décès dus au vaccin COVID ! Concernant une femme d’une cinquantaine d’années dans la préfecture, décédée le lendemain de la réception du nouveau vaccin contre le coronavirus, elle a reçu 44 millions de yens (environ 300 000 USD). À l’échelle nationale, plus de 2 000 demandes de décès par vaccin sont toujours en cours.

Hier, la télévision japonaise CBC a diffusé un reportage complet sur les victimes de familles décédées après les vaccinations contre le covid ! Voici un reportage sur « une mère de 4 bébés dont le mari est décédé trois jours après la vaccination.

Semaine 43 — Angleterre et Pays de Galles — Décès excessifs.
Les décès de moins de 45 ans sont les plus élevés jamais enregistrés.
57 936 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES EN 2023 DÉJÀ.
301 395 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES CUMULÉS.

Problème, la surmortalité ne concerne pas les non-vaccinés… tendance à la baisse pour eux.

@PanDanTag

Royaume Uni Comparaison de la mortalité chez les 18-39 ans selon les statistiques officielles de l’ONS (Office for National Statistics) Non vaccinés vs “vaccinés” 4 doses Les “vaccinés” meurent 2,5 X plus




Aux Pays-Bas, un vote pour la « désislamisation » et contre l’écologie punitive

[Source : fr.irefeurope.org]

Le Parti pour la liberté (PVV) dirigé par Geert Wilders a remporté les élections législatives aux Pays-Bas. Selon les derniers résultats, il obtient 37 sièges sur 150. Il disposait jusqu’à présent de 16 sièges. Il est suivi par l’alliance de Frans Timmermans (gauche-écologistes) avec 25 sièges qui est aussi en progression (+8) et par le Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD), formation de centre-droit au pouvoir qui obtient 24 sièges (-10). Le jeune parti (créé il y a tout juste trois mois !) Nouveau Contrat social de Pieter Omtzigt, issu du mouvement chrétien-démocrate, obtient 20 sièges. Bien qu’il arrive en tête, le PVV devra former une coalition pour gouverner, car il faut 76 sièges sur les 150 que compte la chambre basse du Parlement néerlandais. Ce ne sera pas du tout facile pour Geert Wilders, d’autant plus qu’il lui faudra intégrer dans son programme de gouvernement des propositions venant de ses futurs alliés. D’ailleurs, les autres partis pourraient former une coalition et un gouvernement sans le PVV.

Lorsqu’il a présenté son programme électoral, le 16 septembre, Geert Wilders l’a décrit comme « social et de droite » : « dur sur l’immigration et l’ordre public, mais social sur le pouvoir d’achat et les soins de santé ». Néanmoins, l’islam, le droit d’asile et les immigrés ont bien été les principaux thèmes de sa campagne. Le PVV a appelé à la « désislamisation » des Pays-Bas, affirmant sa ferme intention de faire du Coran un livre interdit comme l’est Mein Kampf, de fermer les mosquées, de fermer les frontières aux migrants en provenance de pays islamiques. L’année dernière, l’immigration nette vers les Pays-Bas a plus que doublé pour atteindre plus de 220 000 personnes. Son discours a aussi porté sur les réglementations européennes et les dépenses consacrées aux mesures climatiques qu’il veut stopper. Il a également mené bataille contre l’agenda écologiste du Premier ministre Mark Rutte, en particulier contre un projet de loi qui visait, entre autres, à réduire arbitrairement la taille des cheptels de 30 %, ce qui menaçait un tiers des exploitations agricoles. Contrairement à ce que certains médias font croire, Wilders a dès le début condamné l’invasion de l’Ukraine et a même voté en faveur de l’accueil des réfugiés ukrainiens. De plus, le PVV demande à ce que les coupables — des Russes — qui ont abattu en 2014 l’avion civil MH 17, dont les deux tiers des passagers étaient néerlandais, soient jugés aux Pays-Bas. Il s’est néanmoins opposé à l’aide à l’Ukraine.

Les progressistes (et pas seulement) ont rapidement réagi à cette élection. Ils ont dénoncé la menace extrémiste en Europe. Il serait temps pour beaucoup de politiques et de médias de comprendre que le vote contre l’immigration n’est pas forcément extrémiste. Les problèmes d’insécurité, les problèmes identitaires et religieux, touchent une grande majorité d’électeurs. C’est leur droit fondamental de ne pas les accepter.




Ceci n’est pas une lettre au Père Noël

[NDLR Texte initialement diffusé par courriels]

Par Jean Pierre Santon

Cher Monsieur le Tribunal,

J’ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d’interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.

Quelle mouche vous a donc piqué ?

Vous avez fait des études, je suppose. Peut-être savez-vous donc que Noël vient du latin « Natalis » qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont il est question est celle d’un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. Je dis ça parce qu’étant donné que vous n’avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noël n’est pas l’anniversaire de la naissance du Père Noël (je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l’andouillette tout en interdisant la consommation d’andouillette le jour de la fête de l’andouillette.

La crèche c’est ce qu’on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n’est parce qu’il est le fruit d’une tradition ?

Vous êtes un briseur de rêves Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens. La crèche c’est Noël et Noël c’est la crèche. La crèche c’est aussi l’histoire d’une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C’est un signe d’espoir pour tous les sans-abri. La crèche c’est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C’est un signe d’espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations, de conflit au Moyen-Orient et de crainte de « l’autre » attisée par des attentats horribles. La crèche c’est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez-vous beaucoup d’agriculteurs qui rigolent en cette période de crise ? La crèche c’est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l’homme. Enfin, la crèche, c’est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2014 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes et ne semble pas en être revenu.

Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur le Tribunal, à l’expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël.

Jean Pierre Santon




Contre la censure prévue en médecine sous couvert de loi relative aux dérives sectaires

Lettre ouverte des docteurs Delépine au ministre et aux parlementaires




France — Un témoignage qui contredit le discours mainstream concernant le drame de Crépol

[Source : breizh-info.com]

Pierre d’Herbais, que nos lecteurs ont déjà pu lire sur Breizh-INfo.com, a rencontré un jeune patriote qui était à Romans-sur-Isère samedi dernier. Avec son témoignage, il veut remettre l’histoire à l’endroit et démonter les mensonges de la presse mainstream.

Depuis quelques jours, une partie de la presse mainstream salit à la fois Thomas (en déformant la réalité du drame de Crépol et en cherchant toutes les excuses du monde à des racailles venues armées dans un bal de village), tout en vomissant sur « l’ultra droite », en réalité sur des manifestants dont le seul « crime » est de dénoncer ce meurtre… et tous les autres.

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Un projet de loi du gouvernement veut criminaliser les donneurs d’alerte en médecine

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.


Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée





France — Assassinat de Thomas : le coup de gueule de Juliette Briens




« Certains ont reçu de très mauvais lots… l’EMA et les institutions nationales auraient dû informer le public »




Surmortalité confirmée depuis les campagnes d’injection expérimentale anticovid

Par Nicole Delepine

Œuvrons ensemble pour l’interdiction générale mondiale de l’injection expérimentale covid19 ! URGENT

La surmortalité confirmée dans tous les pays vaccinés devrait calmer les ardeurs de la poursuite de cette pseudo vaccination meurtrière et appeler à son interdiction mondiale.

Chacun doit protéger ses proches par l’information objective, interdire le harcèlement des personnes âgées en EHPAD pour qu’ils acceptent l’injection (celle couplée avec la grippe est encore plus génératrice d’AVC).

Nos élus devraient assumer leur devoir de représentants du peuple en exigeant pour le moins un moratoire. Pourquoi ce silence général devant la nouvelle qui devrait revenir chaque jour sur nos écrans TV ? Rappelez-vous le bruit répétitif d’un décès à la suite d’un essai clinique d’un médicament, essai qui était immédiatement stoppé.

Et depuis le vax anticovid expérimental des millions d’effets secondaires, dont un quart grave, et des milliers de morts dans le monde en rapport direct avec l’injection, sans que cette interdiction de poursuivre ne tombe. Il est clair qu’il n’est plus question de santé des peuples.

Pour ceux qui n’arrivent pas à accepter ce dur état des choses, voici les résultats résumés sur X par DR Hippocrate. Ces schémas ne devraient plus permettre d’ignorer cette surmortalité post injection expérimentale, y compris chez les jeunes. Ce sont des faits avérés et non des opinions. Pourquoi les nier ou les ignorer ?

Cette surmortalité post vaccinale s’observe aussi chez les personnes âgées alors que les injections, si elles étaient efficaces et non toxiques auraient dû stopper la surmortalité observée lors de la première année de la crise covid :

Il est de plus incompréhensible de continuer à recommander ces injections délétères alors que les données de l’OMS, mises en graphique par le département de l’université d’Harvard, démontrent la fin de l’épidémie depuis février 2022.

Virginie Joron députée européenne, a commenté la réponse de la Commissaire qui a signé les contrats d’achats vaccins Covid.
https://europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2023-002470-ASW_EN.html

Dans cette réponse, figure un élément important que les médecins devraient regarder de plus près avant de faire des injections (Les avocats en charge de dossier de victimes devraient aussi s’en servir) : « Ce n’est que dans des cas très exceptionnels que des décès ont été signalés causés par le vaccin. Un exemple est la “thrombose avec syndrome de thrombocytopénie” avec les vaccins vecteurs adénoviraux COVID-19 pour lesquels des mises en garde et des contre-indications ont été incluses dans les informations sur le produit afin d’informer les professionnels de la santé et les patients et de réduire le risque de conséquences indésirables. » Quid donc de la thrombose avec syndrome de thrombocytopenie ? « Le syndrome de thrombose-thrombocytopénie (TTS) est un problème de santé grave impliquant des caillots sanguins (thrombose) et un faible taux de plaquettes (thrombocytopénie). Lorsque des rapports de TTS après la vaccination avec des vaccins contre la COVID-19 à vecteurs viraux ont été révélés en 2021, le TTS est devenu une priorité de l’enquête menée au Canada et dans le monde. »1

Au début des premières injections, j’avais interrogé l’association Amapti. Évidemment, ils avaient répondu comme la majorité des médecins qu’ils n’en savaient rien, mais que le rapport bénéfice-risque était en faveur de l’injection Covid. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pourquoi l’@EMA_News ne suspend pas ces autorisations qui entraînent la mort ?2

De « societies of actuaries » Exam Results | SOA

L’excès de mortalité chez les jeunes se confirment en 2023

Même la France avare de la publication de ses résultats ne peut plus nier une surmortalité en 2022

Docteur Hippocrate a reposté
@tatiann69922625

Incroyable qu’il y ait encore des médecins qui ne savent pas que les ARNm de Pfizer & Moderna endommagent le système immunitaire et que chaque injection supplémentaire provoque davantage de dégâts immunitaires Prouvé par la Cleveland Clinic !
https://medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1.full.pdf 19 nov.

Laisserez-vous encore injecter vos proches, ainés dans les EHPAD harcelés par les encadrants, vos enfants ou vous — même, ou bien est-ce suicidaire ou encore finalement le syndrome de Stockholm ?

D’autant que les aveux de l’agence européenne du médicament viennent de confirmer OFFICIELLEMENT que les injections visant à éviter les contaminations entre personnes n’avaient jamais été démontrées efficaces. Relisez la lettre de l’EMA aux parlementaires européens3. 4

Quant aux effets néfastes reconnus ils sont de plus en plus nombreux.

Selon la journaliste Annette Gartland from Changing Times 21 novembre 2023
WHO database lists more than 5.23 million reports of adverse reactions after Covid vaccination

La VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé répertorie désormais 5 239 635 rapports d’événements indésirables à la suite de la vaccination contre le Covid, dont 25 881 décès (répertoriés sous « Troubles généraux et conditions au site d’administration »).

Il existe une liste distincte, dans la même catégorie, de 2 296 rapports de mort subite, ainsi que 486 rapports de mort subite d’origine cardiaque, 202 rapports de mort cérébrale, 174 rapports de mort cardiaque, 20 rapports de décès prématuré d’un bébé et 15 rapports de décès néonatal., huit rapports de syndrome de mort subite du nourrisson, six rapports de « mort clinique » et trois rapports de « mort subite inexpliquée par épilepsie ».

UNE SEULE CONCLUSION : INTERDICTION MONDIALE ET IMMEDIATE DES INJECTIONS ANTICOVID A ARNm ET DE TOUT VACCIN BASE SUR LA TECHNOLOGIE ARNm





L’inquisition frappe aussi la Pologne

[Source : ordreuniversel.org]

Ce qui se passe en Pologne démontre que la chasse aux vrais médecins est devenue une priorité européenne. Ne laissons pas faire cela !

[NDLR L’emprise de l’industrie pharmaceutique, alias Big Pharma, sur la médecine est quasi planétaire et les différents ordres de médecins et ordres d’autres personnels soignants en sont de nos jours des chiens de garde au détriment de trop nombreux médecins, pharmaciens, infirmiers… qui paient le prix de leur volonté de soigner avant tout en tenant compte des réalités du patient.]

Par Élisabeth Pellenq-Zemek (22 septembre)

RESTONS SOLIDAIRES AVEC le Docteur Katarzyna RATKOWSKA, médecin convoquée le 24 novembre prochain par la Chambre Disciplinaire de l’Ordre des Médecins en Pologne. La Chambre s’apprête à interdire le Docteur RATKOWSKA d’exercer la médecine.

L’Ordre des Médecins en Pologne reproche au Dr RATKOWSKA :

1. D’avoir soigné les patients atteints du Covid en prescrivant avec succès un médicament connu en Pologne depuis 40 ans, inscrit dans la pharmacopée ainsi qu’approuvé par un spécialiste des maladies pulmonaires et un professeur en neurologie pour la prise en charge du Covid. Le Docteur RATKOWSKA a répondu à la demande des patients qui avaient perd confiance dans le traitement du Covid officiellement préconisé (par le paracétamol).

2. D’avoir fait appel à la prudence, à plusieurs reprises, à la fois en consultations et publiquement, vis-à-vis de produits injectables nommés « vaccin anti-covid ».

3. D’avoir fait part de son indignation après la découverte des essais cliniques du laboratoire Pfizer, s’étant déroulés en Pologne en 2021 sur des enfants âgés de plus de 6 mois, pour la plupart issus des orphelinats et des familles d’accueil. Le Docteur RATKOWSKA a adressé une lettre ouverte à ce sujet au Président de la République de Pologne et au Premier Ministre (ce jour, elle n’a pas reçu de réponse).

À l’automne 2021, le Dr RATKOWSKA a été convoquée deux fois à la section Responsabilit Professionnelle de l’Ordre des Médecins en Pologne, où elle n’a jamais eu la possibilité de parler, de s’exprimer ni d’argumenter ses choix. Le 18 mars 2022, elle a été jugée par le Conseil Régional de l’Ordre des Médecins en Pologne où le chargé d’affaires a accusé le Dr RATKOWSKA pour d’avoir soigné le Covid en utilisant le traitement connu de longue date, il a demandé l’interdiction d’exercer la médecine avec un effet immédiat. À l’époque, la Chambre Disciplinaire n’a pas suivi, néanmoins elle a de nouveau convoqué ce médecin à comparaître le 24 novembre 2023.

Le Dr RATKOWSKA travaille comme médecin psychiatre au sein d’un dispensaire public en Pologne couvrant un secteur de presque 200 000 habitants. Sur 6 postes des médecins dans ce dispensaire, seuls deux sont pourvus, dont le sien.

L’OUPS soutient la liberté de choix thérapeutique des médecins, le respect de la déontologie édicale et de la dignité humaine, ainsi que le droit pour la population d’avoir le choix et l’accès aux soins.

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-des-enfants-des-chercheurs-polonais-denoncent-des-essais-cliniques  : le Dr RATKOWSKA s’exprime au début de la 1 ère partie de la conférence sur les essais cliniques sur les enfants polonais




LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Monsieur le Président de la République,
Monsieur le Chef des Armées,

Le dimanche 14 mai 2017, vous avez prêté serment devant Monsieur Laurent FABIUS, ancien Premier ministre de la France et actuel Président du Conseil Constitutionnel, de veiller au respect de la Constitution du 4 octobre 1958 en vigueur.

Son titre premier : « DE LA SOUVERAINETÉ » est très clair :

« La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum.
Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. »

(Article 3).

Le titre II qui s’ensuit, s’intitule : « LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE » :

« Le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État.
Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »

(Article 5).

« Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie. »

(Article 55).


Cette lettre ouverte vous est respectueusement adressée par un ancien avocat de la Direction Générale des Douanes spécialisé en Droit International Public et par un Officier Général (2S) de l’Armée de Terre. Tous deux ont prêté serment de servir la France avec dignité et loyauté.

Elle vous touchera donc forcément. Y rester sourd vous rendrait parjure.

Cette lettre sera sans doute validée par tous nos concitoyens profondément attachés à leur patrie, en hommage envers ceux qui sont tombés pour la défendre.

Ces citoyens entendent promouvoir la Justice et la Dignité sans lesquelles il n’est pas de Liberté, d’Égalité ni de Fraternité.

En vous croyant seul aux commandes, en vous soumettant, à titre personnel, à l’influence de puissances ennemies des Français, lesquels vous ont confié leur destinée, vous commettriez le crime de trahison.

En effet, la souveraineté nationale n’appartient qu’au peuple ; il vous est interdit de vous l’attribuer.

Force est de constater que depuis que le Général de GAULLE a quitté le pouvoir le 28 avril 1969 à minuit dix et dans la malheureuse continuité de vos prédécesseurs à l’Élysée, la France n’a cessé de se vassaliser à son puissant protecteur d’Outre-Atlantique et/ou de se soumettre à une autorité européenne « supranationale » sous influences qui nous a conduits à une situation gravissime, voire mortelle que vous semblez ignorer.

Que sont devenus les projets mirifiques initialement promis aux populations ?

En 2018-2019, les Gilets Jaunes n’ont reçu en retour de leurs légitimes inquiétudes exprimées dans la rue, que des brutalités dont les blessés les plus graves ne sont scandaleusement toujours pas indemnisés.

Le 21 avril 2021, des milliers de militaires appelèrent votre attention sur le délitement de la France par la « Lettre à nos gouvernants » que vous avez royalement méprisée. Vous ordonnâtes même que plusieurs de ces lanceurs d’alerte soient poursuivis, menacés et pire pour certains sanctionnés ! Pourtant ils n’avaient fait que leur devoir de soldats et de patriotes.

Le 11 novembre 2023 au Trocadéro, la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen (DDHC) de 1789 s’est retrouvée en fondement juridique plus qu’abscons d’une interdiction préfectorale formelle d’honorer ceux qui ont versé leur sang pour nous permettre de vivre dans une France libérée. Trop, c’est trop !

Pour une large majorité de la population et ceux qui vécurent ces trois événements, votre comportement en tant que Chef des Armées a été et reste encore incompréhensible.

Maintenir la France en vassale de puissants alliés qui vacillent au plan diplomatique, est-ce de votre part un choix de naïve prudence ou un plan extérieur de faux amis pour nous enfoncer dans un piège mortel ? La question se pose et ne le devrait pas. Vous êtes le chef de l’État français et la France mérite une clarification sur ce point crucial !

Le brillant banquier que vous fûtes sera traître aux yeux de ceux que vous avez le devoir de servir, si vous ne virez pas de bord sans délai, pour un nouveau cap salvateur, vous permettant, nous permettant de nous émanciper de la soumission à des naufrageurs, lesquels vous égarent d’évidence après vous avoir promu…

Au-delà du terrible constat de l’état de la France et de son désarroi, dont votre popularité est la première victime, nombreux sont aujourd’hui les lanceurs d’alerte de tous ordres et leurs facilitateurs qui dénoncent le chaos à venir.

Leur statut est reconnu par le Droit européen et désormais par la Loi n° 2022-401 du 21 mars 2022.

Aussi et dans l’intérêt de tous, y compris du Gouvernement et du Parlement, il nous apparait qu’une solution politique, juridique et diplomatique que nous venons ici vous proposer, est en mesure de conjurer le mauvais sort d’un naufrage imminent.

Pour cela, s’impose d’urgence le retour à un véritable État de droit, avec d’abord et sans tergiversation, une Justice retrouvant immédiatement ses lettres de noblesse et une belle image. C’est d’évidence la condition première pour assainir et mettre fin à cette ambiance « délétère » qui plombe notre pays et dont les premiers à en devoir payer le prix sont les « damnés de la France », nos compatriotes en position cumulative injuste et anormale de victimes et d’accusés de cette chienlit.

Ils sont devenus trop nombreux en métropole comme en Outre-mer.

Dès lors et paradoxalement, l’ambiance internationale explosive dont vous ne pouvez plus douter que la France ne puisse en être impactée et pire bientôt ciblée, vous offre, nous offre en réalité, une opportunité salvatrice et ingénieuse, pourvu que vous profitiez de ce changement géopolitique mondial profond, dont l’accélération est perceptible par les guerres en Ukraine, au Proche-Orient et par les troubles en Arménie et dans nos anciennes colonies d’Afrique. Sans parler du risque majeur d’embrasement militaire au Kosovo, au statut juridique douteux.

Le monde bipolaire a vécu ; des missiles hypersoniques nous menacent désormais et la Diplomatie tricolore peut et doit impérativement redevenir audible et crédible sur la scène internationale.

La France bénéficie toujours et encore d’un fort potentiel d’intérêts et d’empathie dans de nombreuses régions du Monde auxquelles l’Histoire et la Langue nous lient et dont les peuples attendent encore beaucoup du Pays de la déclaration des droits de l’homme.

L’objectif est que la France, nos diplomates et nos armées redeviennent admirables et exemplaires aux yeux et au sein de toute la Communauté internationale.

Pour atteindre cet idéal, il vous incombe d’abord d’éradiquer et proscrire de tous les actes officiels et, surtout, de faire effacer tout de suite du site du Quai d’Orsay la page vantant avec fierté une « attitude singulière et ambivalente envers l’ONU », dès lors ravalée au rang du passé et de l’abstrus. Cette page inepte doit être tournée sans délai et sans regret. Par vous.

Alors seulement nous serons en mesure de retrouver la confiance et l’admiration de tous ceux qui n’attendent qu’un geste fort et clair de la France et des Français.

Dans le droit fil de cette proposition d’éclaircissement général, de ce virage historique profond possible, notre diplomatie redeviendra erga omnes indépendante et souveraine au sein de l’ONU comme de l’Union Européenne ou de l’OTAN. Les majorités sont en effet en train de basculer et de s’inverser.

Vous pouvez ainsi accompagner ces métamorphoses au lieu de les subir et éviter à la France de manquer le train de l’Histoire.

LA SOLUTION PROPOSÉE

Par deux fois, Paris fut au centre de la Diplomatie mondiale.

D’abord, avec le Traité de Paris du 20 novembre 1815 (il y a tout juste 208 ans aujourd’hui) lors du Congrès de Vienne.

Ensuite, avec le Traité de Paris du 10 février 1947, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, entre l’Italie et les autres pays victorieux.

Dans l’intervalle, la France fut condamnée le 7 juin 1932 par la Cour Permanente de Justice Internationale (CPJI) de La Haye, pour non-respect du Droit International…

Dans ce triple cadre politique, juridique et diplomatique précis, il nous est possible de démontrer notre capacité inattendue à réussir — in extremis — une opération de décolonisation pour une fois exemplaire.

Les deux traités de Paris sont territoriaux et multilatéraux. Combinés, ils contiennent tous les ingrédients permettant à la France de se mettre en stricte conformité avec le Droit International ET la Charte de l’ONU.

Il faut admettre enfin que le statut juridique de la Savoie historique (Départements 73 et 74) et de l’ancien Comté de Nice (Département 06) est, en toute hypothèse, problématique pour la France, au regard de l’art. 44 du Traité de Paris du 10 février 1947 et qu’il est indispensable de normaliser cette situation juridique en accord avec l’arrêt de règlement rendu le 7 juin 1932 par la CPJI devenue l’organe juridictionnel incontournable de l’ONU.

Cela ne justifie en rien l’indépendance de la Savoie et/ou de Nice, la question est hors sujet ici.

Un règlement pacifique de cette affaire d’États recevra l’approbation unanime ou presque des 193 États membres de l’ONU.

Vous tenez donc là, et la France avec vous, une opportunité jupitérienne.

La première conséquence sera de pouvoir prendre l’initiative d’organiser, à Paris :

Une Grande Conférence Internationale pour la Paix, la Sécurité et les frontières en Europe

Elle vous grandirait aux yeux du monde et des Français, tout en prenant en compte l’intérêt de toutes les populations concernées et de toutes les diplomaties invitées.

En prime, un vaste mouvement de rapprochement entre tous les États participants démontrera de façon spectaculaire la capacité irréfragable de la France à réinscrire résolument sa Diplomatie dans un Droit international respecté et clairement distinct du système de Lois internationales américaines extraterritoriales…

Et pourquoi pas ? Une initiative permettant la TRANSITION : notamment celle de l’Organisation des Nations Unies avec sa vieille Charte de 1945 vers une Organisation des Peuples Unis dans la fraternité du combat contre les grands malheurs et pour les grandes causes.

Le préambule de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 prévient :

  • L’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements. »

  • Ignorerez-vous cette ultime alerte ?

  • Oublierez-vous votre mission sacrée ?

  • Mépriserez-vous une Solution ?

Puissent la lucidité, le discernement, le courage et surtout la volonté de SERVIR vous guider afin que survive la France et se rallume ce Phare de l’humanité qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être.




Aveux de l’EMA : l’agence lâche les gouvernements !

À la demande de parlementaires de l’UE, l’EMA AFFIRME que les pseudovaccins expérimentaux anticovid-19 n’ont jamais été approuvés pour empêcher la transmission du virus [jamais isolé(([1] NDLR Voir le dossier Vaccins et virus, et notamment Un adieu à la virologie))] de personne à personne. L’Agence européenne des médicaments a ainsi confirmé, de fait, que la « vaccination obligatoire » contre le Covid-19 était une utilisation illégale hors AMM.

LES VAX MASSIVES NE REPOSAIENT PAS SUR DES FAITS.

L’EMA SOULIGNE LE MANQUE DE DONNÉES SUR LA CONTAGIOSITÉ.

LES VAX SONT UNIQUEMENT PROPOSÉES POUR LA PROTECTION D’UN INDIVIDU.

EN CONSÉQUENCE :

LES CAMPAGNES DE VACCINATION DOIVENT ÊTRE ABSOLUMENT STOPPÉES ET LES GOUVERNEMENTS DEVRONT PORTER LA RESPONSABILITÉ DES EFFETS SECONDAIRES ET DE LEUR RÉPARATION.

Conférence de presse du 21 novembre 2023 au Parlement européen, suite à la réponse pour le moins surprenante de l’EMA, à la lettre du député européen Marcel de Graaff, demandant de retirer l’autorisation de mise sur le marché des « vaccins » Covid à cause des très graves problèmes engendrés.

➡️ Voir sur Odysee
https://odysee.com/@Q…uestions:6/Le-scandale-arrive—L’eurod%C3%A9put%C3%A9-Marcel-De-Graaff:8

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Dysphorie de genre

[Source : espace de respiration]






Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé

[Source : qg.media]

Par Laurent Mucchielli

Les éditions de l’École Normale Supérieure (ENS) viennent de publier la traduction française d’un livre important de Sergio Sismondo, professeur de philosophie des sciences et des techniques à la Queen’s University de Kingston au Canada, intitulé Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma. Elles ont eu de surcroît la bonne idée de le mettre intégralement en accès libre en ligne. [NDLR Le voici inséré ici :]



Sa lecture vaut le détour. Elle est même cruciale pour qui veut mieux comprendre la façon dont, au cours des dernières décennies, les industries pharmaceutiques ont pris le contrôle de notre santé, en corrompant massivement non seulement le milieu de la recherche médicale, mais aussi celui des autorités de contrôle nationales et internationales, ainsi que le monde de l’édition scientifique médical, le tout avec l’aide de cabinets de conseils comme McKinsey.

[NDLR Les surlignages en jaune et les petites notes entre crochets sont des ajouts non présents dans l’article original de Laurent Mucchielli.]

Comme le rappelle dans sa préface Mathias Girel (à qui l’on doit déjà la préface de la traduction française du livre majeur de Robert Proctor, Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac, en 2014), « les fantômes dont il est question ici sont bien réels, et ils ne se déplacent pas seuls : ce sont des rédacteurs fantômes, c’est-à-dire des personnes, travaillant pour l’industrie pharmaceutique, qui écrivent des articles qui sont ensuite signés par des chercheurs, mais aussi des organismes de recherche sous contrat (ORC), des associations de patients, des leaders d’opinion ». Il s’agit ainsi de remonter toute la chaîne de production dont l’aboutissement est d’un côté la publication dans les revues scientifiques médicales, de l’autre la prescription individuelle des médicaments par les médecins, voire leur usage en population générale par les gouvernements dans le cadre des politiques de santé publique. Et, tandis que ces aboutissements sont ultra-médiatisés, la chaîne de production qui se cache derrière reste, elle, invisible. D’où le titre du livre : le management fantôme de la médecine. Pour Sismondo, il s’agit rien moins que d’un « nouveau modèle de science », une « science d’entreprise, réalisée par de nombreux travailleurs cachés, à des fins de marketing, et qui tire son autorité de la science académique traditionnelle ». Au fond, comme le dit l’auteur dans sa postface, « Le management fantôme de la médecine est un livre qui explore la manière dont l’industrie pharmaceutique fusionne science et marketing, en particulier en Amérique du Nord et en Europe ». Et ce système de fabrication des connaissances repose sur une « corruption systémique » à laquelle l’auteur a également consacré un article récent (Sismondo, 2021).

La fabrique d’une pseudo-science au profit de l’industrie pharmaceutique

[Note de Joseph : cela fait quelques années que nous récoltons, sur Nouveau Monde, des articles (dont certains placés dans le dossier Vaccins et virus) qui pris ensemble démontrent que la virologie est une pseudo-science parce que l’hypothèse virale a été scientifiquement et implacablement réfutée et parce que ses méthodes ne relèvent pas de science, mais de religion avec notamment ses rituels (comme la prétendue « culture virale »), ses dogmes (comme celui de l’existence de méchants virus), ses grands prêtres (y compris prétendument « résistants » au Nouvel Ordre Mondial), ses idoles (comme les vaccins) et ses saints intouchables ou nobélisés (comme Montagnier ou Pasteur) à défaut d’être canonisés. Cela fait quelques années que nous dénonçons la mainmise croissante de l’industrie pharmaceutique, alias Big Pharma, sur la (dé)formation des médecins lors de leurs études universitaires et après. Ce livre apporte de l’eau au moulin de la réinformation.]

Dans ce livre, qui repose sur d’innombrables entretiens, observations de réunions, lectures de documents produits par les industriels et leurs affidés, Sismondo analyse « les principales tactiques et pratiques utilisées par les compagnies pharmaceutiques pour influencer la médecine ». Il décrit « les chemins que parcourent l’information et les savoirs relatifs aux médicaments depuis les organismes de recherche sous contrat [ORC] (qui effectuent la majeure partie de la recherche pharmaceutique), jusqu’aux planificateurs de publication (qui dirigent la production d’articles de revues écrits par des rédacteurs fantômes), en passant par les leaders d’opinion (qui sont déployés pour éduquer les médecins aux médicaments) et au-delà ». Il nous permet ainsi de comprendre les mécanismes de production, de circulation et de consommation du savoir médical tels que l’industrie pharmaceutique les conçoit, c’est-à-dire dans un univers intellectuel où « la recherche, l’éducation et le marketing ont fusionné ». Et l’auteur de nous rappeler que « l’avalanche de connaissances que les entreprises créent et diffusent n’est pas conçue pour le bien de l’Humanité, mais pour augmenter les profits ». Et même, « il arrive parfois que la recherche de profits aille totalement à l’encontre de l’intérêt général ». Comment cela est-il rendu possible ?

Les industriels font d’abord produire des recherches (les essais cliniques) par des organismes de recherche sous contrat, qui utilisent à leur tour des sous-traitants : « l’industrie finance à peu près la moitié de tous les tests cliniques — souvent des essais contrôlés randomisés, la [soi-disant] plus précieuse forme de savoir médical — et parraine la plupart des nouveaux essais entrepris chaque année ». Les ORC (organismes de recherche sous contrat) travaillant pour leur compte « planifient et mènent des essais cliniques pour faire approuver des médicaments et pour élaborer de nouveaux arguments en faveur de la prescription de médicaments. Ils recrutent des médecins, qui recrutent des sujets d’essai, dont les tissus, fluides et qualités observables peuvent être transformés en données ». Les ORC sont ainsi « les premiers fantômes de l’industrie pharmaceutique ».

Ensuite, grâce à ces données récoltées, « l’industrie pharmaceutique produit une part significative de la littérature scientifique sur les médicaments brevetés ou en cours de brevetage. Dans les revues médicales les plus prestigieuses, près de 40 % des articles récemment approuvés sont le fait du management fantôme ». Des « planificateurs de publication » mettent alors au point des « stratégies de publication », mettent sur pieds « des équipes de professionnels pour penser et rédiger des articles », puis « sélectionnent les revues auxquelles ces articles seront soumis et choisissent les leaders d’opinion qui en seront les auteurs putatifs ». C’est ainsi que « les sciences médicales sont façonnées pour servir des objectifs marketing. (…) Le résultat ressemble à de la science médicale, et peut même être [apparemment] une science de haute qualité, mais c’est une science conçue pour vendre des médicaments ».

En outre, « le management fantôme se poursuit avec la communication des sciences médicales sur le terrain. En donnant des conférences, les leaders d’opinion contribuent à l’énorme influence que l’industrie pharmaceutique exerce sur le savoir médical. Les leaders d’opinion sont les zombies de l’industrie, des morts-vivants missionnés pour exécuter les ordres de l’industrie pharmaceutique ».

Puis vient l’étape de la diffusion, c’est-à-dire de la communication : « une industrie de services sophistiquée enserre toute communication médicale. (…) En qualité d’agents des sociétés pharmaceutiques, les sociétés de formation médicale et de communication créent des cours, planifient des conférences et des séminaires, mènent des enquêtes et rédigent des articles et des études. Tout ce matériau est ensuite remis aux éducateurs, aux chercheurs et aux médecins qui les utiliseront à bon escient ». Pour parachever le tout, « ces entreprises nourrissent les journalistes qui écrivent dans les journaux généralistes et les magazines médicaux, en leur transmettant des détails techniques, des articles scientifiques, des noms d’experts à contacter et même des lignes narratives. Ils fournissent même des clips vidéo aux chaînes de télévision qui diffusent ensuite des reportages sur les dernières avancées médicales ».

Enfin, l’industrie a appris à utiliser à son profit les défenseurs des patients et les associations de défense des patients (ADP) qui sont ainsi devenus « d’autres maillons essentiels dans la nébuleuse du marché du médicament ». C’est ainsi que, aux États-Unis, les deux tiers de ces associations reçoivent un financement de l’industrie, avec un ciblage particulier pour celles « qui donnent des conférences ou participent aux discussions qui ont lieu à la Food and Drug Administration ». Sismondo note même que, « dans certains cas extrêmes, les ADP sont des créatures de l’industrie. Elles sont entièrement financées par une ou plusieurs entreprises, le recrutement de leur personnel est pris en charge par des professionnels, et elles trouvent des patients à enrôler a posteriori ».

Au final, les industries pharmaceutiques « exercent une pression systématique sur la circulation du savoir scientifique et les pratiques médicales qui en découlent. Il s’agit d’un système d’influence rendu plus efficace du fait même qu’il est opaque et fantomatique ». Et ce système d’influence est probablement bien plus efficace que la publicité, même si les industries utilisent toujours très largement ce moyen de propagande (Sismondo rappelle ainsi que, « par exemple, en 2016 aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique dans son ensemble a acheté pour plus de 3 milliards de dollars de publicités télévisées et a dépensé presque autant en publicités dans les magazines, journaux et autres médias. Sur ce montant, 300 millions de dollars ont été consacrés à des annonces dans des revues médicales »).

La grande « pharmaceutisation » de la société (ou le retour de Knock)

Le constat économique est là : « l’ensemble des ventes de médicaments augmente de près de 10 % par an, que l’année soit bonne ou mauvaise ». Aux anciennes maladies, se sont en effet ajouté les nouvelles, issues de nos modes de vie modernes [ou produites par les médicaments et les vaccins eux-mêmes]. Mais le problème est bien plus grave encore car, comme le rappelle Sismondo, même quand les maladies n’existent pas, ou pas vraiment, les industries pharmaceutiques ont une réponse : « les maladies peuvent être façonnées et ajustées pour créer un marché plus fort et plus rentable ». Sismondo rappelle ici ce fait déjà bien connu au terme duquel, pour augmenter leurs ventes, les entreprises pharmaceutiques tentent de « vendre de la maladie », selon la formule de Moynihan et Cassels (2005). Concrètement, les industriels « s’efforcent d’accroître la sensibilisation aux maladies pour lesquelles leurs médicaments peuvent être prescrits, et d’augmenter ainsi la probabilité que les gens se croient atteints de ces maladies » [Voir aussi : Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective]. Il ne s’agit plus d’une médicalisation croissante de la vie, mais, plus précisément et plus globalement, d’une « pharmaceutisation » (pharmacolisation) de la société. Ce concept suscite une petite littérature scientifique (notamment sociologique) depuis une quinzaine d’années aux États-Unis (Abraham, 2020 ; Williams et coll., 2011). Sismondo en rappelle des exemples qui, pour être bien connus des spécialistes, n’en demeurent pas moins majeurs et édifiants.

Commençons par une maladie psychique, la dépression, qui constitue désormais « l’une des maladies les plus évidemment régies par l’existence de médicaments ». Sismondo résuma ainsi l’évolution de la maladie et de sa pharmaceutisation : « jusque dans les années 1960, la dépression était un diagnostic relativement peu répandu, et était plutôt associée aux personnes âgées. Elle est devenue, dans les années 1970, un peu plus visible grâce aux fabricants de la première génération d’antidépresseurs. Cependant, depuis l’arrivée sur le marché du Prozac de la compagnie Eli Lilly en 1987, un nombre toujours plus important de personnes furent diagnostiquées dépressives. Le nombre de personnes touchées par la dépression a augmenté (au point que l’OMS l’annonce comme le problème de santé bientôt le plus répandu au monde), les critères du diagnostic de dépression n’ont cessé de s’élargir et les estimations de la prévalence de la dépression ont augmenté de façon spectaculaire. La dépression est devenue le “rhume” des troubles mentaux ». Le premier grand succès financier de ces nouveaux « antidépresseurs » sera le Prozac. Grâce à lui, les industriels parviendront à « commercialiser à la fois le médicament et la maladie ». De fait, « ils ont investi massivement dans la recherche sur la dépression et les antidépresseurs. Ils ont largement promu une théorie de la dépression fondée sur la carence en sérotonine, puis une théorie du déséquilibre chimique, pour lesquelles il n’existe pas beaucoup de preuves. Ils ont établi des liens étroits avec des psychiatres et d’autres médecins qui rédigent des manuels, des articles et des guides de pratiques cliniques. Ils ont financé des campagnes de sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation. Les entreprises ont réussi à donner un statut à la maladie tant sur le plan médical que culturel, en aidant les médecins à volontiers la reconnaître et à la diagnostiquer et les patients à interpréter leurs sentiments et leurs expériences dans les coordonnées de la dépression — peut-être même à façonner leur identité autour d’elle ».

Bien d’autres maladies chroniques de la société contemporaine sont également l’objet de cette pharmaceutisation, notamment l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie et l’ostéoporose.

Une autre façon pour Sismondo de le dire est celle-ci : « Il fut un temps où les gens se considéraient le plus souvent en bonne santé, sauf s’ils tombaient malades ou présentaient des fragilités ou des symptômes inhabituels ». Or, désormais, on parle de « risque » et nous sommes tous concernés, tous potentiellement malades. « Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore », faisait dire Jules Romains au docteur Knock en 1923. Un siècle plus tard, sa prédiction s’est réalisée au-delà même de ce qu’il entrevoyait. Désormais, comme l’écrit Sismondo, « nous sommes tous, toujours, en mauvaise santé. La plupart des maux dont nous souffrons sont chroniques, les traitements peuvent ainsi durer toute une vie. Et comme nous sommes tous à bien des égards en mauvaise santé, le traitement — même réussi — des facteurs de risque ou des pathologies n’a jamais de fin ». Pour Big Pharma, c’est le jackpot. Et la suite est plus grave encore.

Une criminalité (très bien) organisée

Sismondo développe notamment l’exemple des opioïdes aux États-Unis, car on y retrouve « presque tous les éléments évoqués dans le reste du livre ».

Rappelons les faits : au cours des vingt dernières années, plus de 200 000 citoyens américains sont morts à cause d’opioïdes vendus sur ordonnance comme antidouleurs, mais qui étaient en réalité tout aussi dangereux et addictifs que l’héroïne. En cause, « la flambée de prescriptions d’analgésiques, en particulier l’OxyContin », autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) depuis 1995. L’affaire est la suivante : « l’antidouleur contenu dans l’OxyContin est l’oxycodone, un ancien dérivé de la morphine semblable à l’héroïne dans sa structure et ses effets généraux. L’argument de vente du nouveau médicament était sa concentration élevée en oxycodone combinée à un mécanisme de libération continue que son fabricant, Purdue Pharmaceuticals, appela “Contin”. Le mécanisme dit Contin, breveté en 1980, était censé modérer les effets euphoriques et semblables à ceux de l’héroïne, et soulager la douleur pendant douze heures. Le résultat, affirmait-on, était un opioïde peu addictif. Pour Purdue, l’OxyContin était un bon substitut à son précédent opioïde à libération lente, le MS Contin, qui avait fait l’objet d’abus en tant que drogue récréative ». Parallèlement, la Drug Enforcement Administration (DEA) autorisait les quotas de production des analgésiques susceptibles d’entraîner une dépendance, ce qui « a permis de multiplier par près de quarante la production d’oxycodone entre le début des années 1990 et aujourd’hui ».

Ainsi donc un industriel a fait fortune en vendant une drogue équivalente à l’héroïne qui a tué des centaines de milliers de personnes, le tout avec la bénédiction du gouvernement américain. Comment cela est-il possible ? Entouré tout au long de son opération par des cabinets de conseils comme l’Américain McKinsey et le Français Publicis, l’industriel a commencé par inviter plus de 5 000 participants à plus de 40 conférences sur la gestion de la douleur, tous frais payés. « Ces conférences ont permis d’établir une base de prescripteurs et, plus important encore, une base de leaders d’opinion pour siéger à l’agence de conférenciers de Purdue et donner des présentations rémunérées à d’autres prescripteurs ». Cette liste comprenait 2 500 médecins, parmi lesquels 1 000 étaient actifs. Grâce à la force d’influence des leaders d’opinion, Purdue a pu financer plus de 20 000 événements éducatifs afin de faire valoir l’utilisation des opioïdes pour traiter la douleur de manière énergique ». Ensuite, l’industriel a passé un accord rémunéré avec la Joint Commission on Accreditation of Healthcare Organizations, qui se présente comme une « organisation indépendante à but non lucratif » composée de médecins et qui est à l’origine du système d’accréditation américain. Grâce à cet accord, et avec l’aide d’un autre industriel disposant de davantage d’infrastructures (Abbott), Purdue a pu diffuser son produit dans tous les hôpitaux américains.

Et la corruption ne s’arrête pas là. L’industriel a aussi fait des cadeaux aux étudiants en médecine ainsi qu’à des organisations comme l’American Geriatrics Society et l’American Academy of Pain Medicine. C’est ainsi que, « dans un panel de l’American Geriatrics Society qui a rédigé des directives pour le traitement de la douleur chronique chez les personnes âgées, plus de la moitié des membres avaient été payés pour des consultations ou des conférences par l’une ou l’autre des compagnies qui fabriquent des opioïdes ». La corruption ira très loin puisque, après le vote d’une loi en 2016 (le Ensuring Patient Access and Effective Drug Enforcement Act), l’industriel « fit en sorte que la DEA ne puisse pas enquêter sur la distribution ou sur les compagnies. Bien que la DEA se soit farouchement opposée à la loi, elle fut muselée par une stratégie à deux volets : les employés de la DEA se voyaient systématiquement offrir des postes directement ou indirectement liés à l’industrie — au total, cinquante employés furent mutés — et des législateurs grassement financés subordonnèrent leur soutien global à la DEA au silence de celle-ci sur cette loi ».

Enfin, bien sûr, durant toute cette immense opération de marketing, l’industriel s’est assuré le soutien des scientifiques. D’abord en finançant de nombreux essais cliniques randomisés, publiés ensuite dans les plus grandes revues médicales sous des signatures collectives, sans toutefois que l’on sache qui a réellement mené la recherche, qui a rédigé l’article, etc. « En d’autres termes, il est presque sûr que ces études furent managées de façon fantôme ». Il a fallu par ailleurs dissimuler les effets indésirables du « médicament », en l’occurrence l’addiction parfaitement semblable à celle provoquée par l’héroïne et le risque de mort par overdoses tout aussi létales.

Au final, les ventes d’OxyContin ont fait la fortune de l’industriel concerné (Purdue Pharmaceuticals), dont les propriétaires (la famille Sackler, qui pratique bien entendu la philanthropie, à destination notamment des universités) se sont incroyablement enrichis à cette occasion. Les quelques 600 millions de dollars d’amendes payés par la suite ne sont qu’une goutte d’eau comparée aux dizaines de milliards qu’a rapportés cette drogue légale. Cela fait partie du business plan. Le bilan sanitaire et social de cette affaire est pourtant catastrophique car, non seulement l’industriel a contribué directement la mort de centaines de milliers de personnes, mais il a de surcroît bouleversé le marché américain des drogues en jetant des centaines de milliers de personnes (appartenant principalement à la classe ouvrière) devenues dépendantes dans les bras des trafiquants de drogues (Quinones, 2015). Au demeurant, comme l’écrivent Anne Case et Angus Deaton (2021), « beaucoup de ceux qui ont suivi de près le scandale des opioïdes ne voient guère de différence entre le comportement de ces dealers légalisés et celui des fournisseurs illégaux d’héroïne et de cocaïne qui sont si largement méprisés et condamnés ». Il s’agit dans les deux cas « de se remplir les poches en détruisant des vies ». Sauf qu’ici, ces crimes organisés se commettent avec la bénédiction des autorités publiques.

Des éléments qui aident également à comprendre la crise du Covid

Dans cette traduction française, Sergio Sismondo a ajouté une postface inédite (rédigée en juin 2023) dans laquelle il revient sur la crise du Covid, d’une façon qui conforte pleinement nos propres analyses (Mucchielli, 2022a). Il constate d’abord que « la pandémie ayant été définie comme une crise de santé publique, et non comme un simple problème de santé individuelle, les industries pharmaceutiques ont directement engagé le dialogue avec les gouvernements, en essayant de faire de ces derniers — qui sont les régulateurs des dépenses de santé en général et en médicaments en particulier — leurs alliés ». Dès lors, il est clair que « la pandémie a accéléré l’effacement des frontières entre l’industrie pharmaceutique et les autres parties prenantes, telles que les gouvernements, les organismes de réglementation et les établissements universitaires. Les collaborations et les partenariats sont devenus essentiels pour accélérer les processus de recherche, de développement et de distribution. Toutefois, cet enchevêtrement a également suscité des inquiétudes quant aux conflits d’intérêts, à l’influence indue et au risque de compromission dans la prise de décision ». Ensuite, Sismondo constate également que « les industries pharmaceutiques se sont également adressées directement à un large public de non-spécialistes, en présentant leurs vaccins comme la solution à cette crise, grâce aux outils des relations publiques » (toujours les mêmes cabinets de conseil à commencer par McKinsey).

Sismondo développe ensuite deux exemples concrets. Le premier est la façon dont ce vaste système de corruption a d’abord permis à l’industriel Gilead Sciences de refourguer un antiviral (le Remdesivir) pourtant déjà reconnu comme inefficace dans des épidémies virales précédentes (Hépatite C et Ebola), le tout avec la bénédiction des services sanitaires gouvernementaux américains dirigés par Anthony Fauci. Le second est la façon dont d’autres industriels (aux premiers rangs desquels Pfizer et Moderna) ont prétendu avoir mis au point des « vaccins sûrs et efficaces à 95 % » et les ont vendus un peu partout dans le monde avec la bénédiction non seulement des gouvernements nationaux, mais aussi des organisations internationales aux premiers rangs desquels l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Union Européenne (UE). Il en conclut que « si l’on ne connaît pas les taux d’infection de fond dans les populations étudiées, si l’on ne fait pas preuve d’une transparence totale sur les méthodologies des essais et si l’on ne rapporte pas de manière exhaustive les effets indésirables, ces scores élevés d’efficacité vaccinale ne nous disent pas tout ce que nous avons besoin de savoir pour évaluer les vaccins. Mais en tant qu’outils de relations publiques, ils ont été très efficaces ».

Sismondo termine en écrivant que « dans l’idéal, le livre aurait donc dû inclure des recherches sur les stratégies de l’industrie pour traiter avec les gouvernements et le grand public, deux éléments cruciaux pour le succès commercial de leurs produits en période de pandémie ». De fait, le moins que l’on puisse dire est que la crise du Covid illustre parfaitement le propos de l’auteur, qui aurait pu par exemple s’intéresser de plus près à d’autres dimensions de cette crise telles que le scandale du Lancet (Mucchielli, 2022b) ou encore aux graves effets indésirables provoqués par l’administration contrainte en population générale de ces thérapies génétiques expérimentales. Mais il est sans doute encore un peu trop tôt pour que les effets de cet immense rapt sur les consciences et sur les corps soient reconnus et analysés par des intellectuels qui, pour la plupart, n’ont pas été capables sur le moment de comprendre et de résister à une propagande industrielle et politique déployée avec plus de force que jamais. Ils retrouveront certainement davantage de lucidité et de courage dans les mois et les années qui viennent.

Laurent Mucchielli

Références :

Abraham J. (2010), « Pharmaceuticalization of Society in Context: Theoretical, Empirical and Health Dimensions », Sociology, 44 (4), p. 603-622.

Case A., Deaton A. (2021), Morts de désespoir. L’avenir du capitalisme, Paris, Presses Universitaires de France.

Moynihan R., Cassels A., (2005), Selling Sickness. How drug companies are turning us all into patients, Crows Nest, Allen and Unwin.

Mucchielli L. (2022a), La doxa du Covid. Tome 1 : Peur, santé, corruption et démocratie, Bastia, éditions Éoliennes.

Mucchielli L. (2022 b), « “Fin de partie” pour l’hydroxychloroquine ? Une escroquerie intellectuelle (le Lancetgate) », in Mucchielli L. (dir.), La doxa du Covid. Tome 2 : Enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise, Bastia, éditions Éoliennes, p. 99-110.

Quinones S. (2015), Dreamland. The True Tale of America’s Opiate Epidemic, London, Bloomsbery Press.

Proctor R., (2014), Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac, Paris, éditions des Équateurs.

Sismondo S. (2021), « Epistemic Corruption, the Pharmaceutical Industry, and the Body of Medical Science», Frontiers in Research Metrics and Analytics, 8 (6), 614013.

Sismondo S. (2023), Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma, Paris, ENS éditions (en ligne).

Williams S., Martin P. et Gabe J. (2011), « The Pharmaceuticalisation of Society? A Framework for Analysis», Sociology of Health & Illness, 33 (5), p. 710-725.




France — Campagne de vaccination HPV dans les collèges : informations partielles, encadrement inadapté et précipitation mettent en péril la vie des enfants !

La campagne de vaccination contre le HPV dans les collèges a débuté en octobre 2023, sur circulaire interministérielle de juin 2023.

Le 19 octobre 2023, un accident qui va s’avérer mortel a lieu dans un collège privé sous contrat de la région nantaise : un élève de cinquième fait une « chute » consécutive à un « malaise » post-vaccinal. Il décède quelques jours après.




L’exécution professionnelle du Dr Umlil par l’Ordre des pharmaciens

Par le Dr Amine Umlil — 6 novembre 2023

[Source : analysecitoyenneindependante]

Le 19 octobre 2023, une audience de la chambre de discipline du conseil central de la section H (première instance) de l’Ordre national des pharmaciens s’est tenue à Paris.

Cette audience était réservée à la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) que j’avais soulevée avec mon avocat. (Cliquer ici)

Comme l’exige la loi, le juge doit d’abord rendre une décision écrite et motivée sur cette QPC : il doit décider de sa transmission, ou non, au Conseil d’État pour que ce dernier la transmette, à son tour, au Conseil constitutionnel.

En attendant cette décision sur la QPC, le juge doit surseoir à statuer : il ne peut rendre une décision sur le fond que suite à une deuxième audience.

Le 19 octobre 2023, le fond de cette affaire n’a donc pas été plaidé ni par mon avocat, ni par moi-même.

Aujourd’hui (6 novembre 2023), je reçois une décision de cette chambre de discipline.

Alors que je m’attendais à découvrir si le juge a transmis la QPC au Conseil d’État, je trouve une nouvelle ʺsurpriseʺ : la chambre de discipline s’est prononcée sur le fond de l’affaire ; fond qui n’était pas l’objet de l’audience du 19 octobre 2023.

Cette chambre de discipline m’inflige alors :

« Une peine de trois ans d’interdiction d’exercice de la profession de pharmacien » qui est « assortie du sursis pour une durée d’un an ». Soit deux ans ferme.

De plus, cette décision ne mentionne aucun de mes moyens (arguments) de fait et de droit pourtant figurant dans mes écritures en défense au fond. Pas un seul !

Cette décision reprend, en des termes très généraux, non précis, et sans vérification, une partie des accusations figurant dans l’arrêté de ma révocation, à compter du 4 février 2023, par la directrice générale par intérim du centre national de gestion (CNG) — Ministère de la Santé — :

« Considérant qu’il est reproché à Monsieur Amine UMLIL, pharmacien-praticien hospitalier, responsable du centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques [CTIAP] au sein du centre hospitalier de Cholet, d’avoir utilisé le blog du centre en vue d’assurer la promotion d’opinions hostiles à la vaccination contre la covid-19, en développant des thèses hostiles à la politique gouvernementale de vaccination contre cette maladie et en critiquant les obligations de vaccination s’imposant aux personnes soignants. »

Je rappelle que mes publications, repérées puis utilisées par notamment l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), n’ont fait que révéler, que rendre visibles et accessibles, les données établies et publiées par les autorités sanitaires et politiques ; ce qui est mon rôle en tant que responsable dudit CTIAP, de l’unité de pharmacovigilance, et de la coordination de neuf vigilances sanitaires. En le faisant, et par la force des choses, le public a pu relever le décalage entre le constat de ces autorités et leur discours dans les médias.

Une deuxième exécution donc en violation manifeste de tous les droits de la défense notamment ; après ladite révocation… après ladite « peine de mort professionnelle » selon les termes de mon avocat.

Il y a lieu de soulever notamment la question suivante :

Pour quelles raisons, cette chambre de discipline cache-t-elle mes arguments de fait et de droit, versés en défense ?

Le pharmacien président dudit conseil central de la section H, auteur de la plainte déposée suite à l’injonction de la directrice par intérim du CNG, n’a jamais répondu à mes arguments en défense.

Les juristes apprécieront.

Et surtout, les citoyens, au service desquels je suis censé faire mon travail de pharmacien.

Un pharmacien qui est investi par la loi d’une indépendance professionnelle en vue de la protection du public et de la préservation de sa confiance ; comme cela jaillit des propres écritures de l’Ordre national des pharmaciens lui-même.

Aucun pharmacien français, aucun médecin français, n’a subi autant de sanctions, et avec de telles violence et sévérité…

Un appel sera interjeté ; auprès du Conseil national de ce même Ordre des pharmaciens.

C’est ça aujourd’hui la France, le pays de ʺDéclarationʺ des droits de l’Homme.

Docteur Amine UMLIL

Pharmacien — Juriste (Droit de la santé)

Citoyen français




Situation sanitaire du Bangladesh et évaluation de l’utilité du Gardasil dans ce pays

[Illustration : Mohammad Ponir Hossain/Reuter]

Par Dr Gérard Delépine

L’OMS tente d’imposer dans le monde entier sa vaccination coûteuse, mais fort rentable Gardasil. Quelle en est l’opportunité ? Nous étudierons ici l’exemple du Bangladesh.

Au Bangladesh, malgré la rareté du dépistage et l’absence de vaccination contre les papillomavirus (HPV), le cancer du col est actuellement moins fréquent (8268 cas annuels1) que dans de nombreux pays européens pourtant très dépistés et très vaccinés. Dans ce pays, l’incidence de 10,6/100 000 est proche de celui de la Grande-Bretagne ou des Pays-Bas et inférieure à celui de la Norvège (14,8/100 000) ou de la Suède (13/100000), pays qui bénéficient tous du dépistage et d’un taux de vaccination Gardasil de la population cible supérieur à 80 %.

Au Bangladesh, le cancer du col constitue la seconde cause de décès par cancer féminin dans ce pays, mais ne siège qu’à la 29e place des causes de mortalité avec un taux de 6/100000 très loin derrière les diarrhées (27,3/100 000), la tuberculose (22,6/100 000)2 ou les infections des voies respiratoires inférieures (17,9/100 000), maladies infectieuses que des traitements peu coûteux, qui ont fait leurs preuves d’efficacité certaine, pourraient éviter.

Au Bangladesh le cancer du col ne représente donc pas un problème prioritaire de santé publique.

La vaccination par Gardasil n’a toujours pas démontré qu’elle était capable d’éviter un seul cancer du col dans aucun pays du monde. Aucun essai randomisé de Gardasil n’a prouvé une quelconque diminution d’incidence des cancers invasifs, mais seulement celle des infections à HPV, des verrues génitales et de dysplasies bénignes qui régressent le plus souvent toutes seules, mais qui, considérées à tort comme des critères substitutifs des cancers, ont permis d’obtenir l’autorisation de mise sur le marché.

La vaccination à visée anticancéreuse par Gardasil ne constitue, en réalité, qu’une expérience massive sur des populations désinformées par une propagande massive (comme lors du covid).

Après 17 ans d’utilisation, les résultats cancérologiques du Gardasil sont inquiétants, car dans aucun pays l’incidence globale (0-85 an), qui diminuait depuis les années 1990 grâce au dépistage, ne diminue plus, et dans le groupe d’âge le plus vacciné, arrivé à la période à risque (actuellement les 25-34 ans) l’incidence de ce cancer augmente paradoxalement, comme le montrent les données des registres des cancers.

L’Australie a été le premier pays à instaurer la vaccination scolaire des filles dès 2006. Les chiffres officiels3 montrent que, depuis la généralisation de la vaccination, le nombre global de cancers du col a augmenté (de 727 en 2006 à 942 en 2022) et que l’incidence standardisée des cancers invasifs ne diminue plus, alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % entre 1987 et 2006, grâce aux dépistages par frottis cytologiques. 

Pour 2022 l’incidence est estimée à 7,1/100 000. Les nombreux articles qui claironnent l’éradication du cancer du col en Australie ne reposent donc sur aucun fait réel, mais seulement sur des simulations hasardeuses et l’espoir incertain que la diminution des infections à HPV entraînerait une diminution des cancers invasifs, hypothèse démentie par les faits constatés dans le monde réel.

Mais le plus inquiétant dans les données publiées par l’AIHW est l’augmentation d’incidence des cancers invasifs dans le groupe des femmes les plus vaccinées, celui des 25-34 ans4 :

La triste histoire de Sharon Tate, championne olympique à Londres, morte du cancer du col 7 ans après avoir été vaccinée est là pour illustrer ce risque.

Les données britanniques, publiées par Cancer Research UK5, confirment cette tendance très inquiétante avec une augmentation significative d’incidence (+15 %) dans le groupe le plus vacciné.

Même constat alarmant en Norvège6 7 et Finlande8 9 où, depuis le Gardasil, l’incidence standardisée des cancers invasifs augmente sur l’ensemble de la population et encore plus dans le groupe le plus vacciné des 25-34 ans.

En France, la prudence envers cette vaccination explique un taux de vaccination relativement bas par rapport aux pays voisins, qui va de pair avec une incidence standardisée de cancers qui continue de diminuer et qui est devenue significativement inférieure à celles des pays champions du Gardasil.

Le Gardasil ne protège pas non plus des cancers du canal anal

Pour doubler le marché du Gardasil, les complices des laboratoires font tout pour l’imposer aux garçons en effrayant les parents avec les cancers de l’anus et en prétendant que la vaccination permettrait d’éradiquer les HPV (comme ils l’ont affirmé pour le covid19). Mais en France ce cancer est exceptionnel chez l’homme (600 cas annuels), et le plus souvent curable (environ 200 morts par an) et il ne menace qu’une population très limitée (les homosexuels passifs et les malades du Sida).

De plus, la consultation des registres nationaux du cancer montre une augmentation d’incidence des cancers de l’anus depuis le Gardasil chez les filles dans les pays adeptes de la vaccination scolaire comme l’Australie, la Grande-Bretagne ou les pays scandinaves.

Contrairement aux affirmations des médias et de nos autorités sanitaires, les registres des cancers montrent que dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination Gardasil se révèle incapable de diminuer l’incidence des cancers dont on accuse les HPV et est même suivie d’une augmentation !

Comme tout traitement, le Gardasil expose à des complications

Tout récemment à Nantes un collégien est mort des suites de la vaccination Gardasil ; et malgré les dénégations embarrassées de l’agence régionale de santé, ce fait est indiscutable : si ce collégien n’avait pas été vacciné, il serait toujours vivant.10

Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, le VAERS (système de déclarations des complications postvaccinales) recensait 523 décès post Gardasil.

La vaccination Gardasil est de plus suivie d’une quantité d’effets secondaires recensés par le VAERS : Coma, Épilepsie, Paralysies des membres, Paralysie faciale Syndrome de Guillain-Barre, Thromboses, Uvéite, Choc anaphylactique, Avortement spontané, Insuffisance ovarienne…

Ces complications ont motivé des plaintes en justice :

et des manifestations dans de nombreux pays (Colombie, Japon, Irlande, Danemark) :

Ces manifestations contre le Gardasil et les nombreuses actions en justice dans plus de dix pays étrangers témoignent de la fréquence et de la gravité des complications de cette vaccination.

Mais en France les agences officielles les nient comme elles ont jadis nié que les retombées du nuage de Tchernobyl aient atteint notre territoire.

L’absence de bénéfice cancérologique constaté dix-sept ans après la mise sur le marché du Gardasil et les nombreuses complications recensées rendent la balance avantage/risques négative même si l’OMS financée en grande partie par Bill Gates et nos agences prétendent le contraire.

Le prix européen considérable du Gardasil (près de 360 euros pour trois doses dont la fabrication revient à 1,5 euro), la propagande mensongère et la corruption de certains décideurs expliquent peut-être sa recommandation pour le Bangladesh, d’autant plus surprenante que l’expérience du Gardasil dans le district de Gazipur en 2016 a été entachée de nombreux problèmes éthiques 11 et n’a apporté en pratique aucun bénéfice aux jeunes filles vaccinées.

Quelle politique pour l’Occident voulant vraiment « aider » les pays encore défavorisés ?

L’exemple du Bangladesh : un des vrais fléaux médicaux curables est la tuberculose

Pour les associations humanitaires voulant aider réellement la population, il paraîtrait plus efficace de s’attaquer à la tuberculose (plus de 16 000 morts annuels dans ce pays) curable dans plus de 85 % des cas par des antibiotiques adaptés. Le prix d’un traitement complet, y compris le traitement BPaLM (composé de bédaquiline (B), de prétomanide (Pa), de linézolide (L) et de moxifloxacine (M)), permettant de traiter les personnes atteintes de tuberculose résistante aux médicaments en 6 mois (au lieu des deux ans habituels) est d’environ 500 dollars, soit à peu près le coût d’une vaccination à trois doses de Gardasil.

Chaque don de 1000 euros permettrait de sauver à coup sûr 2 tuberculeux et aussi de diminuer les transmissions de la maladie, permettant à terme d’espérer l’éradication de la maladie alors que consacrer cette somme au Gardasil n’aboutirait à aucun bénéfice mesurable ni prévisible selon les expériences relatées précédemment.

Ce n’est pas de Gardasil dont le Bangladesh a besoin, mais de médicaments et de tests contre la tuberculose et d’eau potable pour lutter contre les diarrhées mortifères.





NON à la traque des médecins libres !

Par AISNSH

Citoyens, Citoyennes,

Ces médecins sont chassés, traqués, punis, et pourquoi ? Pour avoir commis des erreurs médicales ?

NON

Pour avoir mis en danger la vie de leurs patients ?

NON

Pour des conflits d’intérêts ?

Encore moins…

Leur seul « crime », c’est d’avoir proposé des soins « non conventionnels » à leurs patients… ou d’avoir osé s’exprimer librement sur des « tabous de la médecine ».

48 médecins suspendus… et ça continue ! Malgré les déserts médicaux, les problèmes d’accès aux soins et la rareté des médecins, l’Ordre s’acharne.

En France, en 20221

  • L’Ordre a ouvert 1866 nouveaux dossiers (+12 % par rapport à 2021), en vue de sanctionner les praticiens (hors poursuites des médecins non-vaccinés) ;
  • 48 verdicts de suspensions et interdits d’exercer ont été rendus (c’est énorme !) ;
  • 62 médecins ont été jugés pour « faute grave » parce qu’ils ont osé proposer des solutions « non conventionnelles » à leurs patients (compléments alimentaires au curcuma, cure de propolis, probiotiques… ces solutions sont validées par la science mais restent méprisées par l’Ordre).

Les condamner, c’est VOUS condamner ! Ces hommes et ces femmes ont fait au moins 10 ans d’études pour nous soigner, sauver des milliers de vies. Aujourd’hui, ces héros ordinaires sont accusés d’être des complotistes, des lanceurs d’alerte, des inconscients…

Harcelés pour avoir dénoncé

Les plus éminents médecins de notre continent se voient interdire leur droit d’exercer la médecine et de soigner leurs patients tour à tour.

Juin 2023, en pleine période Covid : le Dr Vincent Reliquet est condamné à 3 ans d’interdiction d’exercice.

  • Médecin généraliste
  • Expert en hydrotomies marines (traitement novateur contre l’arthrose notamment)
  • Auteur de COVID 19 — L’enquête interdite
  • Critique de plusieurs traitements, dont le vaccin Gardasil, les statines et les IPP…

1er septembre 2023 : le Professeur Joyeux est condamné à un interdit d’exercer pendant 2 ans.​​​​​​​

  • Professeur de cancérologie et de chirurgie
  • Prix international de cancérologie
  • Spécialisé dans les médecines alternatives

Sanctionné durement, car il a osé « dénoncer certains abus vaccinaux ».

NON à la condamnation du Professeur Joyeux !

19 octobre 2023 : le Dr Louis Fouché est convoqué par l’Ordre des médecins.

  • Médecin anesthésiste-réanimateur
  • Fondateur du collectif réinfo covid qui visait à sensibiliser les Français sur la politique sanitaire

Même date : le Dr Amine Ulmi est convoqué devant le Conseil de l’Ordre.

  • Docteur en Pharmacie
  • Juriste en droit de la Santé

Mis en cause pour avoir dénoncé certains problèmes de pharmacovigilance (ex : affaire du Levothyrox, Covid).

Reproché d’avoir « incité à l’indiscipline collective »2.

13 septembre 2022 : Pr Christian Perronne

  • Collaborateur de l’OMS
  • Professeur à l’Institut Pasteur
  • Ancien Président de la Fédération française d’infectiologie
  • Membre du Haut Conseil de Santé Publique

Accusé de s’être exprimé sur la politique sanitaire durant la crise Covid, sur l’efficacité et la dangerosité du vaccin anti-Covid et sur les lobbies pharmaceutiques.

Par miracle, l’Ordre a annulé sa condamnation grâce aux nombreuses pétitions et signataires qui défendaient la liberté d’informer et de soigner.

Plus récemment, c’est le Dr Thierry Schmitz, qui est accusé.

Le Dr Schmitz, convoqué le 22 novembre… Aidons-le !

L’Ordre des médecins s’en prend cette fois au Dr Schmitz :

  • Docteur en médecine
  • Fondateur de l’Institut Européen de Médecine Naturelle
  • Spécialisé en médecine anti-âge, mésothérapie, homéopathie, aromathérapie, phytothérapie, micronutrition et bien d’autres thérapies naturelles
  • Père de l’Ozonothérapie en Europe, une innovation scientifique marquante du 21è siècle
  • Expert des maladies auto-immunes

Il y a quelques jours, le Dr Schmitz a reçu un courrier « personnel et confidentiel » de la part de l’Ordre.

CONVOCATION DEVANT L’ORDRE DES MÉDECINS
Le mercredi 22 novembre à 19 h 15

Motif ?

15 articles et 2 vidéos d’informations concernant le vaccin et la politique sanitaire pendant la pandémie.

Durant cette période, le Dr Schmitz a aidé et informé tous ses lecteurs sur ces sujets :

  • Protection du système immunitaire face au Covid
  • Traitements naturels existants (vitamine C, ozonothérapie)
  • Effets indésirables graves de certains vaccins
  • L’obligation vaccinale et les problèmes éthiques qu’elle soulevait

L’Ordre pointe également du doigt un article du 11 novembre 2020 dans lequel le Dr Schmitz informait ses lecteurs de leurs droits :

« L’obligation vaccinale va à l’encontre de la loi Kouchner selon laquelle un acte médical ne peut être pratiqué contre votre gré. »

On marche sur la tête !

Ceux qui vous informent sur VOS droits sont menacés de suspension…

… Par ceux qui sont censés faire appliquer la loi !

Doit-on laisser le Dr Schmitz marcher sur l’échafaud des autorités de santé bourrées de conflits d’intérêts ?

NON !

Battons-nous, comme nous l’avons fait pour le Pr Christian Perronne pour défendre NOS droits et ceux qui les respectent !

Signez cette pétition pour qu’ils dressent leur drapeau blanc et qu’enfin, nous puissions retrouver notre liberté d’être soignés !

POUR soutenir le Dr Schmitz et les médecins qui se battent pour VOS droits

CONTRE le harcèlement de ces médecins libres

CONTRE la corruption des décideurs actuels concernant VOTRE santé

Signez cette pétition à nos côtés !

Je signe cette pétition !

Rappelez-vous !

D’après la loi Kouchner, vous avez « droit à l’information et au consentement éclairé ».

Pourtant, ceux appliquent cette loi à la lettre sont accusés.

Accusés d’avoir INFORMÉ leurs patients.

Accusés de les SOIGNER par tous les moyens.

Pourquoi un tel acharnement ?

Les liens troubles entre l’Ordre des médecins et les grands laboratoires pharmaceutiques

Le 13 septembre, le Dr Schmitz et quelques confrères belges ont adressé un courrier aux dirigeants de l’Ordre.

Dans ce communiqué, il dénonce notamment le vice-président de l’Ordre national belge de s’être « vanté » de persécuter des dizaines de médecins critiques concernant le vaccin anti-Covid

… Alors que lui-même venait de déclarer, comme imposé par la loi, avoir des intérêts dans le domaine de la vaccinologie3.

C’est le monde à l’envers : ceux qui respectent les lois sont condamnés, ceux qui les enfreignent sont à la tête des grandes institutions de santé…

Il est grand temps que la tendance s’inverse.

C’est à NOUS, citoyens, de soutenir nos médecins, ceux qui défendent vraiment nos droits, ceux qui nous soignent dans le respect.

Avec notre respectueuse considération,

L’Association Santé Naturelle

PS : Amis belges, médecins, soignants citoyens et patients du Dr Schmitz organisent une manifestation pacifique le 22 novembre de 18 h 30 à 21 h 30, sur la pelouse en face du 417, avenue de Tervuren, Bruxelles.

Je vous encourage à nous rejoindre pour soutenir le Dr Schmitz qui plaidera, lui, POUR une médecine indépendante des conflits d’intérêts financiers et politiques.

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH)
Case postale — 1211 Genève 3 — Suisse

Sources :