La guerre pédophile

[Source de l’illustration : jeminformetv]

LA GUERRE PÉDOPHILE : Il y a un mouvement en ce moment pour désensibiliser le monde à la sexualisation des enfants. Il y a un mouvement pour normaliser, accepter, autoriser et accueillir la pédophilie. Il est enseigné dans les conférences de thérapie grand public. C’est la guerre cachée contre nos enfants.

[Voir aussi :
« Les enfants devraient avoir des partenaires sexuels », affirment l’ONU et l’OMS]

Ils violent des enfants de 2 et 5 ans des centaines de fois par semaine. Chaque année, environ 2 millions d’enfants sont victimes de la traite à des fins de viol, de torture et de sacrifice.

[NDLR Ce serait même pire. Voir :
8 millions d’enfants disparaissent chaque année dans le monde pour être abusés sexuellement ou tués rituellement]

C’est une entreprise de plusieurs milliards de dollars qui a déjà dépassé le commerce illégal d’armes et de drogue, car contrairement à un sac de cocaïne qui ne peut être vendu qu’une seule fois, un enfant peut être vendu 5, 10, 20 fois par jour et plus chaque année. .

Tim Ballard, fondateur de Operation Underground Railroad, qui mène cette guerre cachée contre la traite des enfants et la pédophilie, a travaillé pour la CIA pendant un an, puis a travaillé pour la sécurité intérieure lorsqu’il a été invité à former un groupe de travail sur la traite des enfants.

Incapable d’obtenir les résultats qu’il souhaitait pour sauver les enfants, il a quitté la sécurité intérieure et a formé l’opération Underground Railroad qui a sauvé des milliers d’enfants et mis derrière les barreaux des milliers de pédophiles et prédateurs d’enfants.

The Hidden War est un documentaire en 4 parties sur la traite mondiale des enfants qui sortira bientôt dans le monde entier en 2023. Mel Gibson a réalisé le montage final du Sound of Freedom qui dépeint la vie de Tim Ballard dans ce film d’histoire vraie qui sortira le 4 juillet. Mel Gibson a également participé à la réalisation de The Hidden War.

[Voir aussi :
Le trafic sexuel mondial d’enfants rapporte des milliards de dollars]

Mais ce n’est pas seulement la guerre de Tim Ballard, c’est notre guerre, la guerre des sciences humaines, c’est la guerre finale du bien contre le mal. L’ennemi est les pédophiles d’élite qui gouvernent notre monde. C’est la guerre qui définira l’humanité et notre avenir. Nous devons organiser, nous devons exposer, nous devons arrêter, nous devons gagner cette guerre pour le bien de l’humanité et pour le bien de tous les enfants sur cette terre.




Selon le Premier ministre suédois, « Trois éléments sont nécessaires pour reconstruire la Suède »

«  Permettez-moi d’être clair: une immigration massive associée à une mauvaise intégration ne fonctionnent tout simplement pas. C’est pourquoi nous transformons maintenant la politique migratoire suédoise en la politique migratoire la plus stricte de l’UE.

Un « non » à l’asile signifie non, et vous devez alors quitter le pays. Cela devrait être évident, mais ce n’est pas le cas. Il est tout aussi important de rappeler qu’un « oui » signifie que vous entrez vraiment dans la société suédoise ».

« Il est grand temps pour nous de reconstruire la Suède ensemble et de vaincre l’exclusion. Cela nécessite trois choses :

  1. Une citoyenneté suédoise revalorisée.
  2. Une attention particulière à la langue suédoise.
  3. Et le respect des valeurs communes qui ont fait la force de la Suède. »

Ulf Kristersson




Une association LGBT dit stop et avertit : « Nous sommes sur une route sombre menant à la pédophilie légale »

[Source : lemediaen442.fr]

L’association « Gays Against Groomers » est composée d’individus LGB et T qui estiment que la communauté est allée trop loin « L’écrasante majorité des homosexuels sont contre ce en quoi la communauté s’est transformée, et nous n’acceptons pas que ce mouvement politique avance son programme en notre nom. »

[Voir aussi : L’association « Gays Against Groomers » accuse les militants trans de « terrorisme » et de promouvoir la mutilation d’enfants]


Les membres de « Gays Against Groomers » s’opposent à l’exposition de matériaux intrinsèquement sexuels aux enfants et à la destruction de l’innocence par la communauté LGBT. Ils ne comptent pas rester silencieux et sont ici pour tenir leur communauté responsable.

Il y a des années, la Pride était un événement pour les personnes LGBT qui sortaient pour montrer au monde que nous étions des personnes normales méritant l’égalité et les droits au mariage. Nous voulions que le monde voie que les relations entre personnes de même sexe n’étaient pas une menace et ressemblaient en fait à la dynamique des relations hétérosexuelles à bien des égards. Nous avons manifesté pour nos droits et en 2004, le premier mariage gay légal aux États-Unis a été célébré à Cambridge, dans le Massachusetts. En juin 2015, la Cour suprême des États-Unis a statué à 5 contre 4 que la Constitution des États-Unis garantissait le droit aux couples de même sexe de se marier dans les 50 États américains.

Nous avions enduré une bataille longue et éprouvante, il y avait donc d’autant plus de raisons de célébrer l’anniversaire du mariage légal entre personnes de même sexe chaque mois de juin. Mais au fil des années, cette célébration est passée d’un événement d’amour et d’égalité à une exhibition choquante de sexualité débridée et de débauche en notre nom. Nous en avons eu assez du racolage prévisible des entreprises cherchant à nous exploiter pour leur profit en prétendant nous soutenir. Nous nous sommes retrouvés épuisés par les membres de notre communauté qui mettaient leur sexualité sur un piédestal comme si c’était leur seul trait de personnalité. Et surtout, nous sommes incroyablement perturbés par l’inclusion des enfants dans ces expositions sexuelles annuelles.

Gays Against Groomers est composé d’individus LGB et T qui estiment que notre communauté est allée trop loin. Nous croyons qu’il y a une différence ferme entre l’éducation et l’endoctrinement, l’inclusivité et le racolage, et la célébration de votre droit au mariage par rapport à l’exhibition de comportements dégoûtants destinés à rester dans l’intimité de votre foyer. Nous sommes des personnes LGB et T qui ne faisons pas de notre sexualité un attribut dominant, nous n’avons pas besoin que le monde nous accepte et sommes satisfaits de nos droits actuels. Nous ne suivons pas le récit dominant concernant notre communauté. À cause de cela, nous sommes quotidiennement confrontés à des attaques personnelles et à des critiques sévères, auxquelles nous avons fini par nous habituer.

Non seulement nous trouvons maintenant la Pride inutile, mais nous sommes préoccupés par l’exposition de matériaux intrinsèquement sexuels relevant du parapluie LGBT aux enfants. Dans le passé, nous avons vu des enfants être amenés à des défilés où des adultes vendaient des jouets sexuels, étaient à peine habillés et affichaient un comportement inapproprié que beaucoup de mineurs ne devraient pas être témoins. De nos jours, beaucoup croient que c’est une forme d’autonomisation et un moyen d’éduquer les enfants avec la « positivité sexuelle ». En réalité, nous assistons à la destruction de l’innocence sous nos yeux et nous ne resterons pas silencieux.

Une petite fille lors d’un défilé de la fierté caresse un homme vêtu d’un équipement fétiche de chiot tandis qu’un autre fouette un homme en secouant son cul juste devant elle :

Chaque année, la Pride semble durer un peu plus longtemps. Ce n’est plus seulement le mois de la Pride maintenant, c’est la « saison » de la Pride. Nous croyons fermement que cela est complètement inutile. Nous sommes consternés par des scènes comme des artistes à moitié nus prenant de l’argent auprès de jeunes enfants comme des strip-teaseuses ou des enfants apprenant à danser autour d’une barre pole dance ou voyant le livre « This Book is Gay » [NDLR : Ce livre gay a souvent été interdit et contesté aux États-Unis] être donné à des mineurs. Les enfants sont endoctrinés, sexualisés et même médicalisés au nom de « l’acceptation LGBTQ ». La pente glissante est devenue un phénomène très réel et nous sommes sur une route sombre menant à la pédophilie légale.

Gays Against Groomers ne laissera pas cela se produire sans combattre. Nous sommes ici pour nous opposer à tout cela et tenir notre communauté responsable. Pour que nos efforts soient efficaces, ils doivent être menés depuis l’intérieur de notre communauté. Cependant, nous sommes reconnaissants de tout soutien dans notre lutte pour protéger l’innocence des enfants. »

Traduction par Le Média en 4-4-2 de la déclaration officielle de l’association Gays Against Groomers sur la Pride.

Lien vers l’article original : Gays Against Groomers’ Official Stance on Pride




Électricité : des fournisseurs soupçonnés d’une fraude de plusieurs milliards d’euros

[Source : capital.fr]

Des fournisseurs d’électricité en France sont accusés d’utiliser une combine pour réaliser des bénéfices illégitimes au détriment de leurs clients. En achetant à bas prix une partie de la production nucléaire d’EDF et en la revendant ensuite à prix fort sur les marchés, ces fournisseurs faussent leurs besoins en électricité.

Par Pierre Fougères

Des fournisseurs d’électricité sont actuellement soupçonnés de tromper leurs clients en faisant de fausses déclarations sur leurs besoins énergétiques. Cette manœuvre, récemment dénoncée par l’association de consommateurs CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), aurait pour objectif de réaliser des bénéfices substantiels, rapporte Le Parisien, le 13 juin 2023. En effet, en exploitant une particularité du marché de l’électricité en France, ces fournisseurs parviennent à acheter à bas prix une partie de la production nucléaire d’EDF grâce à l’Arenh (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique) et la revendent ensuite à prix élevé sur les marchés plutôt que de l’utiliser pour approvisionner leurs clients légitimes.

Cette pratique illégale ne se limite pas à une simple fraude commerciale, elle a également un impact sur les tarifs proposés aux consommateurs. En effet, le volume d’électricité nucléaire vendu par EDF à ses concurrents est plafonné, ce qui signifie que les fournisseurs doivent compléter leur approvisionnement sur les marchés à des prix nettement plus élevés. Cette différence est prise en compte par la Commission de régulation de l’énergie (CRE) dans le calcul du tarif réglementé (TRV), qui sert de référence à de nombreuses offres concurrentielles. Ainsi, plus les concurrents d’EDF déclareront des volumes importants, plus le TRV sera élevé, impactant ainsi les factures d’électricité des ménages.

Selon les estimations de la CLCV, cette fraude aurait entraîné une augmentation de 16 % du TRV en 2022, et une hausse supplémentaire de 5 % prévue pour 2023. Ces chiffres représentent plusieurs dizaines d’euros de plus sur la facture annuelle de chaque ménage. Bien que le bouclier tarifaire mis en place par le gouvernement ait protégé financièrement les consommateurs jusqu’à présent, cette fraude continue de peser lourdement sur les finances publiques, qui doivent compenser les pertes.

À LIRE AUSSI Électricité : les concurrents d’EDF font-ils artificiellement bondir les tarifs ?

Face à cette situation, la CRE et la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) ont lancé trois enquêtes conjointes pour enquêter sur cette fraude présumée. Des acteurs du secteur énergétique appellent la CRE à jouer pleinement son rôle de régulateur pour protéger les marchés de l’énergie. Parallèlement, une mission d’information est en cours au Sénat pour évaluer l’étendue de la fraude, estimée à plusieurs milliards d’euros, et envisager les sanctions appropriées en cas de confirmation des actes répréhensibles.

Les conclusions de cette mission d’information seront rendues publiques le 28 juin. Il sera crucial de déterminer avec précision la quantité réelle d’électricité utilisée par les fournisseurs et de la comparer avec leurs demandes déclarées. Si les fraudes sont avérées et que des reventes d’électricité sur les marchés au détriment des clients sont confirmées, il sera essentiel de sanctionner les responsables par des amendes afin de préserver l’intégrité du marché de l’énergie et de protéger les consommateurs.

À LIRE AUSSI Électricité : que valent les offres spéciales Linky des fournisseurs ?




Comment les militants trans ont infiltré la Haute Autorité de Santé

[Source : fdesouche.com]

Le Figaro




Trump était un grain de sable

[Source : infotrad.fr]

L’ancien président exécutif de l’ONU et du Club de Rome révèle comment Trump a interrompu la chronologie du plan qui aurait dû avoir lieu en 2016 sous la présidence d’Hillary Clinton

Le Général FLYNN (Michael T. Flynn) a posté cette vidéo sur Twitter demandant expressément d’écouter ce message au moins une deuxième fois pour en retenir le message.

“Écoutez très attentivement, en fait, il se peut que vous deviez écouter deux fois (c’est une courte vidéo). Voilà ce à quoi nous sommes confrontés. C’est pour de vrai, ils ne se cachent plus. Le siège est le WEF (Forum économique mondial ℹ️), il y a beaucoup de ces élites et ils croient qu’ils savent mieux que nous comment nous devrions vivre nos vies. C’est un avertissement pour tous les Américains qui pensent encore que Trump est le problème. Il s’est simplement mis en travers de leur petit plan. Réveillez-vous !”
Călin Georgescu (né en 1962) est un expert roumain de haut niveau en développement durable, reconnu dans le domaine, après 17 ans de service dans le domaine de l'environnement au sein du système des Nations unies. Georgescu a été nommé directeur exécutif de l'Institut mondial des Nations unies pour l'indice de durabilité à Genève et à Vaduz pour la période 2015-2016. Avant cela, il a été président du Centre de recherche européen du Club de Rome (2013-2015). Il est également membre du Club de Rome International en Suisse. (Source)



La folie des grandeurs

[Source : politiquemagazine.fr]

Par Hilaire de Crémiers

C’est le régime qui la suscite. Celui qui tient le pouvoir, veut y briller comme un homme providentiel.

Vous écrivez toujours la même chose, nous dit-on. C’est évidemment parce que c’est toujours la même chose. Et qu’y peut-on ? La République française ne s’améliore pas, c’est un fait. Malgré la propagande éhontée du gouvernement et les propos rassurants du président de la République qui n’hésite pas à relever le ton jusqu’à l’exhortation et l’admonestation. Même les cérémonies funéraires en l’honneur des morts en service commandé servent à ce genre d’exercice : une explication des malheurs du temps qui ne sauraient relever de ses responsabilités !

Pourtant, les commentateurs du malaise français, indéniable et durable, et qui s’aggrave maintenant dangereusement, n’y vont plus par quatre chemins dans leurs explications qui se répètent, elles aussi, fort naturellement, et se croisent fort justement. Il suffit d’écouter — et ne serait-ce, pour prendre cet exemple, que sur l’actualité politique — un Mathieu Bock-Côté, une Charlotte d’Ornellas, une Gabrielle Cluzel, un Guillaume Bigot, un Yvan Rioufol, pour repérer de manière précise ce qui ne va plus — mais plus du tout — au royaume de France. Sans même chercher à citer ces dizaines d’autres brillants intervenants, particulièrement sur TVLibertés et sur Radio Courtoisie qui disent enfin tout haut ce qu’une bonne partie des Français pense tout bas. Car — et tout le monde le sait bien —, le contrat social du régime, renouvelé dernièrement, et qui est imposé aux Français, leur interdit de penser ce qu’ils pensent et leur commande de penser comme le régime leur signifie de penser. C’est ainsi, aussi monstrueux juridiquement que cela puisse paraître. Huxley et Orwell combinés ! Rien n’est plus évidemment contraignant aujourd’hui que cet impératif catégorique de la République. Chaque ministre y va de sa leçon et Madame Borne n’est pas en reste. Encore dernièrement. Dans sa fonction, elle désigne le Mal ; elle dit le Bien ; elle est le Bien. Comme son chef, Macron.

Interdit de pensée

Les analyses des commentateurs avertis qui dénoncent unanimement cette « bienpensance » officielle ne sont plus isolées. Loin de là ! Elles prennent leur force de tant de convergences. Elles ne changent rien au cours des choses — car ainsi va la politique démocratique ; mais elles témoignent. Et, à ce titre, depuis maintenant quelque temps, cette critique aiguisée et répétée fait peur à toutes les classes politiques et médiatiques qui vivent des illusions de leur domination et qui cherchent à justifier les principes sur lesquels repose leur pouvoir, cette autorité usurpée puisqu’elle s’érige au-dessus des contingences dont elle est issue, et qui autorise à se permettre tout, y compris le pire, pourvu qu’il aille dans le sens de leur démagogie ; en même temps qu’elle interdit formellement et métaphysiquement de penser, de parler, de s’exprimer, à ceux qui contestent un tel système. Jusqu’à interdire des réunions comme un colloque d’Action française ou vouloir supprimer un défilé traditionnel en l’honneur de Jeanne d’Arc — et qui n’a jamais causé aucun trouble public —, organisé par cette même Action française !

C’est ainsi que, devant ce qui s’annonce, tant d’essayistes essaient de voir clair. Christophe Guilluy avec ses Dépossédés, qui montre comment tout a été fait pour priver le peuple français de tout ce qui le constitue ; Patrick Buisson avec Décadanse après La fin d’un monde, qui relève toutes les causes — voulues — qui depuis cinquante ans détruisent systématiquement la société française ; Marcel Gauchet avec Le débat, qui porte un jugement de plus en plus sévère sur la politique macronienne et qui parle de « crise morale des institutions » ; Jérôme Fourquet avec La France sous nos yeux et L’archipel français, qui explique l’éclatement de la France et l’existence de communautarismes exacerbés et juxtaposés ; Pierre Manent avec sa Situation de la France, fort critique sur une fragmentation entretenue délibérément par des politiques aberrantes, promues par des philosophies totalitaires et exclusives, sous prétexte, ô paradoxe, de libéralisme progressiste ; Rémi Brague avec son dernier essai Sur l’islam où il énonce de simples vérités sur un sujet qu’il connaît parfaitement, mais que la pensée officielle refuse même d’entrevoir, alors qu’elle se nourrit de faux principes qu’elle applique dans l’éducation, la vie sociale, la communauté politique, si bien que rien ne résistera demain à un islam conquérant. Oui, ce sont cent auteurs de cette qualité qu’on peut aujourd’hui citer, à droite, à gauche, peu importe, même des Jacques Julliard, même des Rosanvallon, même des Peyrelevade, le vieux banquier de la gauche mitterrandienne, qui s’indignent de la situation actuelle et qui lancent de sombres pronostics sur la république macronienne. Éric Zemmour, déjà bien avant eux, avait dénoncé Le suicide français, Macron n’étant que l’aboutissement de cinquante ans de décisions politiques, économiques et financières sacrifiant la souveraineté française, l’indépendance nationale, les intérêts concrets du peuple français à la folie de pouvoirs supranationaux, considérés comme le nec plus ultra de toute conception politique ! L’évolution politique d’un Renaud Camus, homme de gauche s’il en fut et soixante-huitard, est en elle-même significative. On ne fait pas le bonheur d’un peuple contre la volonté d’un peuple, au risque d’annihiler ce peuple ou de le « remplacer ». Ça commence à se dire dans tous les milieux, y compris au centre, sauf à l’extrême-centre macronien ! Qui continue imperturbablement dans son déni de réalité.

La cause : la République

Il ne s’agit pas seulement de se contenter d’aligner des constats, ou des idées et des propositions. Il faut voir les liens de cause à effet. Cette politique dite nationale, malfaisante dans ses principes, incohérente dans ses applications, est le fruit direct du régime, pas seulement des hommes et des femmes qui nous gouvernent avec cette idée démiurgique de diriger l’ensemble de nos vies, de la naissance, possible ou non, à la mort organisée et préparée, de notre éducation, de notre instruction, de notre travail, de notre retraite, de nos droits classés, réglementés, bref tout, loi sur loi, décret sur décret, règlement sur règlement. Tout cela dans un désordre écrasant qui se veut un ordre. Ils n’ont tant de pouvoir que par la grâce de ce régime, car c’est une grâce pour ainsi dire religieuse d’adhésion au dogme fondamental de la République qui les investit de ce droit supérieur, littéralement exorbitant de tout droit et de toute norme naturelle, et qui tourne, sous couvert de Liberté, d’Égalité et de Fraternité, principes abstraits, s’il en fut, et contradictoires, au totalitarisme le plus absolu, camouflé en libéralisme avancé, mais obligatoire.

S’ils sont là, ces bandes et ces clans improbables, d’aventuriers de passage, aux multiples ramifications d’affaires et aux collusions de toutes sortes — les commissions parlementaires saisies, Énergie et nucléaire, autoroutes, fonds Marianne, et autres McKinsey, n’aboutissent et n’ont jamais dans le passé abouti qu’à rien —, oui, s’ils sont là, c’est parce qu’ils correspondent aux intérêts de ce régime. Pas besoin d’être très finaud pour le saisir. Et c’est bien un régime politique — au sens étymologique du terme — qu’ils sont d’abord chargés de maintenir tout en développant son emprise, fût-ce aux dépens de la France et des Français. Leur République, d’abord. Écoutez-les tous, tant qu’ils sont ! Elle leur appartient ; elle est là pour eux comme ils sont là pour elle. C’est un pacte.

Ne pas comprendre ce lien nécessaire entre les institutions et ceux qui les tiennent et sont censés les représenter, c’est s’aveugler sur la véritable cause de nos maux. Et s’imaginer que le régime serait améliorable par de nouvelles équipes qui seraient dotées d’un sens politique supérieur, et qui s’empareraient de cet État tel qu’il fonctionne dans ses principes et sa pratique est l’illusion dans laquelle la France traîne régulièrement, en croyant qu’un coup de balai électoral suffira à régler le problème. Consultez les journaux de l’époque : on croyait la même chose en 1900 !

Le régime est constitutionnellement vicié et le système actuel en est devenu la naturelle expression. La France est mal représentée ; elle n’est même pas du tout représentée dans sa réalité ; les intérêts français ne sont pas pris en compte ; les ministères et les innombrables agences et autorités décident officiellement sur des normes qui n’ont plus rien à voir avec l’intérêt national. La famille française est sans cesse attaquée ; on connaît l’état de l’industrie et ce n’est pas le Choose France de Macron qui remédiera à une crise existentielle — la fabrication de batteries n’est rien en comparaison des destructions en cours —, sauf à brader la France à des intérêts étrangers, invités gracieusement à faire leurs emplettes chez nous et à toucher les subventions de l’État, puis à partir avec les technologies. L’agriculture française est abandonnée et voilà que Monsieur Moscovici, l’ancien commissaire européen, jouant de son autorité à la Cour des comptes, ne pense qu’à restreindre drastiquement l’élevage français. Tout est broyé, déstructuré. Même ce qu’on appelle les territoires. Le pouvoir législatif n’est qu’une figuration instrumentalisée par le gouvernement et les partis. Borne a, d’ailleurs, clairement signifié qu’elle préférait LFI au RN. Les LR malgré leurs propositions de lois sur l’immigration n’ont aucune illusion à se faire. Tant de querelles intestines pour aboutir à quoi ? Même la proposition de loi pour revenir sur l’âge de la retraite du groupe LIOT ne franchira pas le cap de la velléité parlementaire et ça risque de se voir dès le 8 juin.

L’exécutif est le maître du jeu ; et l’exécutif n’a plus aucun lien avec la France. Il se contente de pourchasser tout adversaire, en le qualifiant d’« ultra-droite ». Il trafique avec l’argent qu’il emprunte à coups de milliards pour dissimuler les effroyables problèmes qu’il accumule, avec l’intention de taxer ce que Gabriel Attal, le ministre des Comptes publics, appelle les ultra-riches, c’est-à-dire tous les braves gens.

Et, là-dessus, domine Macron. Un seul regard et vous comprenez tout de cet étrange gamin immature et forcené : il a reçu à part à son sommet de Versailles le 15 mai Elon Musk. La photo est parlante. Il est fasciné par la réussite de l’homme qui se croit fait pour dominer le monde et lui imposer sa loi dans tous les domaines, Tesla, SpaceX, implants électroniques, Twitter, etc. Tout est là. Il se rêve en Elon Musk de la politique, dans la libre affirmation d’une personnalité géniale faite pour fasciner l’univers. Et, donc, jusqu’au bout du monde. Et pourquoi pas alors un appareil d’État français pour transporter son ami Zelenski de sommet en sommet ? En se croyant ainsi l’indispensable maître de la guerre et de la paix. « Le problème avec la folie des grandeurs, c’est qu’on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie », disait le dessinateur argentin Quino qui, avec Sempé, se voulait un résistant de l’humour. Y a-t-il seulement un humour qui puisse résister à Macron ?




Pour les confus du genre




Le verdissement croissant de la planète, grâce au… CO2

Entretien complet (< 52 min) :
https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/benoit-rittaud-changement-climatique-s-adapter

[Source : science-climat-energie.be]

Le verdissement de la planète

Par Prof. Dr. Paul Berth

Citer comme P. Berth, « Les contre-vérités biologiques », Arguments — Revue européenne de science, vol. 3, n°1, hiver 2018, http://revue-arguments.com/articles/index.php?id=91.

La concentration en CO2 de l’atmosphère est passée de 320 ppmv en 1959 à ± 408 ppmv en 2018. Puisque le CO2 constitue la nourriture des plantes n’observerions-nous pas un accroissement de la couverture végétale? La réponse est oui! Un verdissement de la planète est observé. En effet, dans un article paru dans Nature en 2016, des chercheurs chinois démontrent un verdissement récent de la planète(([1] Zhu Z. et al. 2016. Greening of the Earth and its drivers. Nature Climate Change 6, 791–795. )). En utilisant trois séries de données satellitaires les chercheurs montrent que l’indice de surface foliaire de la planète (LAI, Leaf Area Index) a augmenté significativement entre 1982 et 2009. Le LAI est une grandeur sans dimension qui exprime la surface foliaire d’un arbre, d’un peuplement, d’un écosystème ou d’un biome par unité de surface de sol. Il est déterminé par le calcul de l’intégralité des surfaces des feuilles de la plante sur la surface de sol que couvre cette plante. Si le LAI d’un arbre augmente, cela veut tout simplement dire que le nombre de feuilles de l’arbre augmente et qu’il réalise plus de photosynthèse. Les chercheurs se sont également intéressés aux causes probables de ce verdissement en utilisant 10 modèles informatiques différents. Les résultats suggèrent que l’augmentation progressive du CO2 atmosphérique explique 70% de ce verdissement. Viennent ensuite une meilleure fixation de l’azote (9%), la légère augmentation de la température globale (8%) et les changements de couverture végétale (4%).

Nous voyons donc que l’augmentation des températures globales et particulièrement du CO2 atmosphérique sont bien loin de provoquer une catastrophe écologique comme nous l’annonce régulièrement l’ensemble des médias. Il est d’ailleurs connu depuis longtemps que l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère des serres dans lesquelles les plantes sont cultivées provoque une augmentation du rendement et de la photosynthèse. Par exemple, dans une étude publiée en 1993, étude résumant des dizaines d’essais en serre, il est démontré que la croissance de 156 espèces de plantes est stimulée en moyenne de 37% lorsque la concentration en CO2 de l’air est doublée(([2] Porter H (1993) Interspecific variation in the growth response of plants to an elevatedambient CO2 concentration. Vegetatio 104/105:77–97. )). De même, dans une étude récente (Cunniff et al. 2017) [3], des chercheurs ont testé l’effet d’une atmosphère dans laquelle la concentration en CO2 était réduite à 180 ppmv ou à 270 ppmv (pour simuler l’Holocène préindustriel). Les espèces testées étaient Triticum boeoticum (une plante C3 appelée le petit épeautre), Hordeum spontaneum (C3, orge sauvage), Panicum miliaceum (C4, millet commun) et Setaria viridis (C4, la sétaire verte). Les résultats exprimés ci-dessous sous forme de graphique nous montrent une réduction significative des rendements à basse concentration en CO2.Rendement total (en grammes/plante) en fonction de la concentration en CO2 atmosphérique (en ppmv). Les étoiles indiquent les différences significatives (Cunniff et al. 2017)(([3] Cunniff, J., Jones, G., Charles, M. and Osborne, C. 2017. Yield responses of wild C3 and C4 crop progenitors to subambient CO2: a test for the role of CO2 limitation in the origin of agriculture. Global Change Biology 23:380-393. )).

Nous voyons donc que si l’homme arrive un jour à faire baisser la concentration en CO2 atmosphériqu,e il provoquera ipso facto une baisse des rendements agricoles. Dans un monde de près de 8 milliards d’êtres humains à nourrir, est-ce souhaitable ?

Références




Les nouveaux exemples pour les enfants

[Source : profession-gendarme.com]

Par Ronald GUILLAUMONT

Des individus nus dans un jardin avec sex-toys, devant des enfants

Après la séance avec une écharpe arc-en-ciel, l’indécence continue avec la présence d’enfants. Ce maire est tombé sur la tête ou ils sont tous comme ça chez les écolos ?

La perversité n’a plus de limite !!! Après l’éducation sexuelle des plus jeunes enfants dans les livres et à l’école, voici « l’éducation en plein air »…

Je vous invite à voir cette publication sur Profession-Gendarme : NE TOUCHEZ PAS AUX ENFANTS,

Vous y trouverez à la fin de cette publication ce lien : L’OMS et l’éducation sexuelle de nos enfants dans lequel vous y verrez les images proposées à vos petits.

Histoire, je l’espère, de vous choquer je place ci-dessous une image « très gentillette » par rapport à celles proposées que je vous laisse découvrir par vous-même sur le lien ci-dessus :

« Comment faire une pipe » ou plus précisément une fellation.

« Qui ne dit rien consent ! » Aussi en ne réagissant pas de manière déterminante, vous devenez « complices » de cette perversité qu’on leur inculque.

Voici à quoi conduisent les cours d’éducation sexuelle des petits enfants, les poussant à passer à l’acte :

Essonne : une enfant de 4 ans aurait été violée par deux autres petites filles de son école

Mathilde Joris 07/06/2023, 8:17



Comme le rapporte Le Parisien mardi 6 juin 2023, deux petites filles de 5 et 7 ans auraient violé une autre enfant de cette école maternelle de l’Essonne, sur le temps de midi. Les fillettes mises en cause ont reconnu les faits, en reportant la faute sur l’autre.

L’école maternelle Ferdinand-Buisson de Morsang-sur-Orge (Essonne) est sous le choc. Lundi 5 juin 2023, deux fillettes de 5 et 7 ans auraient violé une autre enfant, elle âgée de 4 ans, sur le temps de midi. Comme l’a rapporté Le Parisien mardi 6 juin 2023, les faits se seraient déroulés hors de la surveillance du personnel encadrant, sur le temps périscolaire après la restauration scolaire. Auprès d’un adulte de l’école,la victime aurait révélé avoir « mal aux fesses », ce qui l’aurait convaincu d’alerter l’infirmière scolaire pour faire des examens. L’auscultation aurait permis de déceler des rougeurs autour de l’anus. Avant d’être conduite aux urgences pédiatriques, l’élève aurait alors désigné les deux autres petites filles, qui auraient reconnu les faits face aux policiers dépêchés sur place, tout en se rejetant mutuellement la responsabilité.

Des mesures d’écoute mises en place dans l’école

Comme le complète Le Parisien, cette affaire se télescope avec une autre procédure. Âgée de 47 ans, la mère d’une des deux petites filles mises en cause a été placée en garde à vue pour avoir violemment giflé sa fille, lui causant un saignement de nez, après avoir été entendue à l’école par les fonctionnaires de police. Cette élève de la maternelle a été confiée à un foyer avec une ordonnance de placement provisoire. Pour l’heure, la justice doit suivre son cours. Si le parquet d’Évry ne s’est pas exprimé, le rectorat de Versailles et la mairie de Morsang-sur-Orge ont réagi auprès de nos confrères. Les familles ou élèves le souhaitant peuvent solliciter la cellule psychologique mise en place dès ce jeudi 8 mai 2020 dans l’établissement scolaire. De leur côté, les parents de la victime devaient rencontrer la maire Marianne Duranton (UDI) ce mercredi. « Notre rôle est d’être présents pour assurer aux parents que leur fille sera accueillie au mieux à l’école », a affirmé l’édile dans les colonnes du Parisien.

Source : Femme Actuelle


L’exhibitionnisme est considéré comme une « atteinte à la personne humaine »

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGISCTA000021796946

Article 222-32

Modifié par LOI n°2021-478 du 21 avril 2021 – art. 12

L’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.

Même en l’absence d’exposition d’une partie dénudée du corps, l’exhibition sexuelle est constituée si est imposée à la vue d’autrui, dans un lieu accessible aux regards du public, la commission explicite d’un acte sexuel, réel ou simulé.

[NDLR ici, l’homme est carrément tout nu – et devant des enfants!!!!]

Lorsque les faits sont commis au préjudice d’un mineur de quinze ans, les peines sont portées à deux ans d’emprisonnement et à 30 000 euros d’amende.




Pourquoi sont-ils en mode panique ?

[NDLR En toute rigueur, la Suède n’est pas le meilleur exemple de pays européen réfractaire aux mesures sanitaires, car elle a quand même instauré le pass vaccinal, encouragé le port du masque et procédé à une campagne vaccinale(([1] ►https://www.20minutes.fr/sante/3174819-20211117-coronavirus-suede-pass-vaccinal-instaure-premiere-fois-1er-decembre
https://www.lemonde.fr/international/article/2021/02/13/la-campagne-vaccinale-suedoise-suscite-l-exasperation-de-la-population_6069813_3210.html)). Le pays exemplaire contre les mesures sanitaires, mais dont curieusement presque personne ne parle, est la Biélorussie(([2] ►Pendant que les dirigeants de la plupart des pays occidentaux tyrannisent leur peuple, un prétendu dictateur expose l’arnaque des mesures sanitaires
Le président Biélorusse présenté comme un dictateur est un des rares dirigeants du monde à s’opposer aux mesures sanitaires, mais doit se battre contre ses ministres vendus
Les acteurs mondiaux peuvent utiliser le coronavirus pour remodeler le monde sans guerre — Président de Biélorussie)).]




Les aveux du New York Times : des journalistes demandent aux soldats ukrainiens de cacher leurs insignes nazis

[Source : geopolitique-profonde.com]

[PHOTO : ASSOCIATED PRESS / EFREM LUKATSKY]

Un rapport du New York Times reconnaît que des combattants ukrainiens sont des nazis, tout en essayant de minimiser les faits

Le New York Times a été contraint d’aborder très tardivement un sujet qui était depuis longtemps évident et connu de nombreux analystes et médias indépendants, mais qui avait été soigneusement caché aux masses occidentales pour des raisons évidentes.

Le surprenant titre du Monday Times disait que « Les symboles nazis sur les lignes de front de l’Ukraine mettent en lumière les questions épineuses de l’histoire ».

Cette reconnaissance intervient après des années pendant lesquelles des journalistes indépendants et des commentateurs géopolitiques ont souligné qu’en effet, les groupes militaires et paramilitaires ukrainiens, en particulier ceux qui opèrent dans l’est depuis au moins 2014, ont un sérieux problème d’idéologie nazie.

Cela a été documenté de manière exhaustive, une fois de plus, depuis des années.

Mais le rapport, qui tente simplement de minimiser ce problème en le qualifiant de « question épineuse de l’histoire unique de l’Ukraine », suggère que le véritable problème pour les relations publiques occidentales est fondamentalement le fait que cette idéologie soit affichée si ouvertement.

Les troupes ukrainiennes sont invitées à recouvrir ces symboles nazis.

Rapport de NBC News en 2014 : Les Allemands ont été confrontés à des images du sombre passé de leur pays lundi soir, lorsque la chaîne publique allemande ZDF a montré une vidéo de soldats ukrainiens portant des symboles nazis sur leurs casques dans son journal télévisé du soir.

Les auteurs du rapport du NYT commencent par exprimer leur frustration quant à l’aspect visuel des symboles nazis arborés si fièrement sur les uniformes de nombreux soldats ukrainiens.

Suggérant que de nombreuses photographies journalistiques qui ont parfois été publiées dans des journaux et des médias du monde entier (généralement accompagnées d’articles généralement positifs sur l’armée ukrainienne) sont simplement « malheureuses » ou « trompeuses ».

Le rapport du NYT indique que :

« Sur chaque photographie, les Ukrainiens en uniforme portaient des écussons arborant des symboles qui ont été rendus célèbres par l’Allemagne nazie et qui font depuis lors partie de l’iconographie des groupes haineux d’extrême droite. »

Le rapport admet que cela a conduit à une controverse pour laquelle les salles de presse doivent supprimer certaines photos de soldats et de militants ukrainiens.

« Les photos, et leurs suppressions, mettent en évidence la relation compliquée de l’armée ukrainienne avec l’imagerie nazie, une relation forgée sous l’occupation soviétique et allemande pendant la Seconde Guerre mondiale », poursuit le rapport.

Il s’agit donc simplement d’une question « épineuse » et « compliquée », nous dit-on.

Voici un petit échantillon des types d’écussons qui apparaissent sur les uniformes militaires ukrainiens avec « une certaine régularité », selon les termes du New York Times :

L’OTAN a dû supprimer des images gênantes également

Dans un passé récent, l’OTAN elle-même a été contrainte de supprimer des images sur ses comptes officiels de médias sociaux en raison de la présence d’images nazies parmi les troupes ukrainiennes lors de séances de photos.

Traduction :
– Merci de votre attention, OTAN pour avoir supprimé ce tweet, qui montrait un soldat portant un symbole néonazi en forme de soleil noir.
Le Podcast « Against Antisemitism » de demain traite des troupes néonazies, de la rhétorique de la « nazification » et de la réaction de l’extrême droite à la guerre.
– N’oubliez pas que l’on nous répète sans cesse que les néonazis en Ukraine sont une frange insignifiante et que si vous les montrez du doigt, vous êtes un suppôt de Poutine, voire pire.

Le paragraphe suivant du rapport dit tout ce qu’il faut savoir sur le soi-disant « journal de référence » et sa couverture unilatérale et ultra-simpliste de ce que beaucoup réalisent enfin comme une guerre à la réalité profondément complexe (pour ne pas dire plus), loin du récit hollywoodien des Médias Mainstream opposant les bons et les méchants au monde libre, typique des réseaux de CNN à Fox en passant par NBC (ou LCI et BFMTV en France).

« En novembre, lors d’une réunion avec des journalistes du Times près de la ligne de front, un attaché de presse ukrainien a porté une variante de Totenkopf fabriquée par une société appelée R3ICH (prononcer “Reich”). »
« Il a déclaré qu’il ne pensait pas que l’écusson était affilié aux nazis. Un deuxième attaché de presse présent a déclaré que d’autres journalistes avaient demandé aux soldats d’enlever l’écusson avant de prendre des photos. »

NY Times

Oups !

Traduction :
– À vérifier. En 2019, le New York Times décrivait avec précision le bataillon Azov comme une « organisation paramilitaire néonazie ukrainienne » (image de gauche). Aujourd’hui, il s’agit simplement d’une « unité de la Garde nationale ukrainienne » (image de droite). Vous voyez comment cela fonctionne ?
– C’est le New York Times de Schrödinger : Azov, que le journal a correctement décrit comme une « organisation paramilitaire néonazie ukrainienne » en 2019, est maintenant un groupe de rebelles modérés « pro-démocratie ».

Minimisation pour un dérapage contrôlé

On peut maintenant s’attendre à des efforts importants pour limiter les dégâts, ou peut-être même assister aux prémices d’une évolution des définitions et d’un déplacement des poteaux d’affichage.

Plus d’informations dans le NY Times :

« Mais certains membres de ces groupes combattent la Russie depuis que le Kremlin a illégalement annexé une partie de la région ukrainienne de Crimée en 2014 et font désormais partie de la structure militaire élargie. »

« Certains sont considérés comme des héros nationaux, même si l’extrême droite reste marginalisée sur le plan politique. »

« L’iconographie de ces groupes, notamment une tête de mort portée par les gardiens des camps de concentration et un symbole connu sous le nom de “Soleil noir”, apparaît désormais avec une certaine régularité sur les uniformes des soldats qui combattent sur la ligne de front, y compris des soldats qui affirment que cette imagerie symbolise la souveraineté et la fierté de l’Ukraine, et non le nazisme. »

NY Times

Certains écrivent des titres plus appropriés pour l’article du NYT :

Traduction :
– NYT : La décision de certains soldats ukrainiens de porter des écussons avec des icônes nazies menace de renforcer la propagande russe utilisée pour justifier l’invasion. Elle pourrait également redonner vie à ces symboles après les efforts déployés par l’Occident pendant des décennies pour les éliminer.
– Titre alternatif : « L’Occident a blanchi les éléments nazis de l’Ukraine pour combattre la Russie. »

Ce n’est que très récemment que le ministère de la Défense ukrainien et même le bureau du président Zelensky ont été pris en flagrant délit :

« En avril, le ministère ukrainien de la Défense a publié sur son compte Twitter une photo d’un soldat portant un écusson représentant une tête de mort, connue sous le nom de Totenkopf (tête de mort). »

« Ce symbole a été rendu célèbre par une unité nazie qui a commis des crimes de guerre et gardé des camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale. »

« L’écusson figurant sur la photo représente le Totenkopf au sommet d’un drapeau ukrainien avec un petit numéro 6 en dessous. »

« Cet écusson est la marchandise officielle de Death in June, un groupe néo-folk britannique qui, selon le Southern Poverty Law Center, produit un “discours de haine” qui exploite les thèmes et les images du fascisme et du nazisme. »

NY Times

Comme on pouvait s’y attendre, le Times tente toujours de tirer la couverture à lui tout en cherchant désespérément à « rassurer » son public en écrivant :

« À court terme, cela menace de renforcer la propagande de Poutine et d’alimenter ses fausses affirmations selon lesquelles l’Ukraine doit être “dé-nazifiée” — une position qui ignore le fait que le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy est juif. »

De nouveaux niveaux d’exploitation, en effet.

Traduction : Le NYT invente de nouveaux niveaux d’escalade : l’iconographie nazie a des « significations propres à l’Ukraine » ; les symboles nazis « devraient être interprétés en fonction de la façon dont les Ukrainiens les voyaient, et non de la façon dont ils avaient été utilisés ailleurs ».

Mais le NYT concède maladroitement que « plus généralement, l’ambivalence de l’Ukraine à l’égard de ces symboles, et parfois même son acceptation de ceux-ci, risque de donner une nouvelle vie à des icônes que l’Occident a passé plus d’un demi-siècle à essayer d’éliminer ».

Visionnez notre entretien avec Christelle Néant, reporter de guerre en Ukraine, pour comprendre ce qu’il se passe réellement sur le terrain et les origines de l’armée ukrainienne :




Les météorologues sont inquiets : cet été sera beaucoup plus pluvieux que ce que nous pensions

[Source : linternaute.com via lelibrepenseur.org]

Ils sont terrorisé la France et toute l’Europe avec cette pseudo sécheresse, dès le mois de janvier, comme s’il était possible de le savoir aussi longtemps à l’avance. Puis d’un coup, il se met à pleuvoir au mois de mars, puis avril et puis au mois de mai ! Il y a maintenant des orages importants en plein mois de juin ! Il pleut partout, tout le temps, avec des crues et inondations aussi bien en région parisienne, à Lyon, en Occitanie et même dans le Var où la sécheresse était annoncée très rude ! Malheureusement pour eux, cet excès de pluviométrie va contre leur plan de terrorisme climatiste qui avait pour objectif de mettre en place plus de restrictions et faire exploser le prix de l’eau.

LLP

Les prévisions météo pour l’été 2023 annoncent des surprises selon plusieurs modèles européens, particulièrement sur des zones prisées pour les vacances.

Les amateurs de soleil et de chaleur vont peut-être être déçus, mais l’été 2023 s’annonce plutôt inattendu en Méditerranée selon les prévisions météo et les modèles météorologiques. Le centre européen ECMWF réalise des modélisations mois après mois et il indique clairement une tendance pluvieuse sur une large partie de l’Europe jusqu’à la fin du mois de juin, particulièrement sur le sud de la France et la côte méditerranéenne. Mais le reste de l’été pourrait aussi être moins ensoleillé que les dernières années…

En Italie, le célèbre météorologue Guido Guidi intervenant sur la RAI a déjà donné des prévisions similaires pour le début de l’été sur l’ensemble de la zone méditerranéenne, soit les destinations favorites des vacances. « On a un signal très visible d’une anomalie pluviométrique qui dure la majeure partie du mois de juin, et une anomalie de température, induite par plus de nébulosité et de précipitations, et moins d’ensoleillement », glissait-il récemment avant de détailler les premières prévisions pour le reste de la « belle saison ».

« Une chaleur tardive », des orages plus importants ?

« Attention toutefois à la tendance ultérieure : le modèle saisonnier voit plutôt un trimestre d’été (juin, juillet et août) » avec des températures plus élevées que la normale : « cela signifie que si juin sera frais et ensuite l’été sera chaud, cette chaleur devrait être tardive, entre juillet et août, de manière à récupérer les anomalies de fraîcheur de juin », assure-t-il. Les premiers vacanciers sur le pourtour méditerranéen pourraient donc hériter d’une météo moins estivale et favorable tout en évitant les grosses chaleurs.

Le célèbre météorologue avertit que ces signaux restent difficiles à interpréter aussi longtemps à l’avance. Mais ses observations rejoignent celles de nombreux météorologues européens. En France, les modélisations indiquent ainsi que la partie sud de la France devrait être davantage exposée à cette instabilité avec une pluviométrie plus importante que les dernières années, notamment autour des reliefs comme les Alpes ou les Pyrénées.

Les risques d’orage seraient ainsi plus importants que les précédents étés. Avec un avantage : les vagues de chaleur devraient être plus courtes que prévu, avec un risque moins important de canicule sur le début de l’été. Préparez-vous à apprécier les journées de beau temps dès qu’elles se présenteront. Cet été sera sans doute plus pluvieux que prévu…




France — Un député sort de ses gonds et assène une charge épique aux macronistes à l’Assemblée nationale

[Source : Le Dissident]

Face à la censure de la proposition de loi visant à abroger le recul de l’âge de départ à la retraite à 64 ans, le patron du groupe LIOT, Bertrand Pancher, lance un vibrant plaidoyer contre la macronie à l’Assemblée nationale.

Cette vidéo est extraite de la discussion en séance publique à l’Assemblée nationale des propositions de loi formulées par le groupe LIOT dans le cadre de sa niche parlementaire, en date du jeudi 8 juin 2023. Portail vidéo de l’Assemblée nationale : https://videos.assemblee-nationale.fr/




Tucker Carlson triomphe sur Twitter avec une audience record : plus de 100 millions de vues pour sa première émission

[Source : lemediaen442.fr]

Malgré son contrat avec Fox News et son licenciement par la chaîne, Tucker Carlson a publié mardi 8 juin le premier épisode de sa nouvelle émission sur Twitter. L’audience est au rendez-vous, avec plus de 100 millions de vues au compteur. C’est un coup dur pour l’establishment qui pensait s’être débarrassé d’une voix dissidente encombrante. Le succès de Carlson sur Twitter inquiète ses détracteurs.

Voici la traduction de ce premier épisode [montrée aussi sur Nouveau Monde dans Censure, manipulation et propagande des médias américains] qui n’arrange pas le président Zelensky et la propagande occidentale :



Selon Axios, Tucker Carlson pourrait intenter une action en justice contre Fox News pour violation de la liberté d’expression. Cette action aggraverait la bataille juridique entre les deux parties, après que Carlson a été informé que son émission avait été abandonnée sans résiliation de son contrat.

Les avocats de Carlson ont averti Fox News que toute action en justice constituerait une violation des droits du premier amendement de la Constitution américaine. Selon eux, Twitter n’est pas un concurrent direct de Fox News et les messages postés par Carlson sur cette plateforme ne constituent pas une violation de son contrat.

Fox News serait prête à payer Carlson pour le faire taire lors des élections de novembre prochain. La chaîne doit également faire face à d’énormes pertes d’audience après avoir supprimé l’émission de Tucker. L’audience totale de la chaîne a chuté d’un tiers en mai et pendant l’heure d’émission de Tucker, l’audience a chuté de 50 %.

On peut supposer que l’audience de Fox News chutera encore plus avec le lancement de l’émission de Tucker sur Twitter. Les propriétaires de Fox et l’establishment de Washington n’ont pas réussi à faire taire Tucker Carlson.




Les Occidentaux refusent la paix en Ukraine

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Au nom de la Chine, Li Hui est venu proposer aux Occidentaux de faire la paix en Ukraine en reconnaissant leurs erreurs. Son analyse est précise et étayée. Mais les Occidentaux ne l’ont pas écouté. Ils poursuivent sans relâche le discours qu’ils ont mis au point durant la Guerre froide : ils sont démocrates, tandis que les autres, tous les autres, ne le sont pas. Ils poursuivront leur soutien à l’Ukraine, même si celle-ci n’a guère plus de soldats et a déjà perdu sur le terrain.


Vous ne connaissez pas son visage.
Li Hui est pourtant un diplomate chinois des plus importants.
C’est lui qui est venu proposer aux Occidentaux une paix en Ukraine.
Il a été reçu avec amabilité, mais personne ne l’a écouté.

La semaine dernière je rappelais, qu’en droit international, vendre des armes rend responsable de leur usage1. Par conséquent, si les Occidentaux arment l’Ukraine, ils doivent s’assurer que celle-ci ne les utilisera que pour se défendre et jamais pour attaquer le territoire russe de 2014. Faute de quoi, ils entreront, malgré eux, en guerre contre Moscou.

Effectivement, ils veillent toujours à ne pas devenir co-belligérants. Par exemple, ils ont d’abord retiré certains systèmes d’armes des avions qu’ils ont promis à l’Ukraine avant de les leur livrer. Ainsi, ceux-ci ne disposent pas de la possibilité de tirer en vol, depuis l’Ukraine, des missiles air-sol sur des cibles lointaines à l’intérieur de la Russie. Cependant, à terme, les Ukrainiens pourraient se fournir le matériel nécessaire et en équiper à nouveau leurs avions.

Le petit jeu qui consiste à armer l’Ukraine sans lui donner les moyens d’attaquer Moscou est aujourd’hui contesté par la diplomatie chinoise. Le Wall Street Journal a relaté quelques aspects de ces contacts tout en masquant le fond de la position chinoise2.

Li Hui, qui vient de visiter Kiev, Varsovie, Berlin, Paris et Bruxelles, a en effet posé les pieds dans le plat : sur la base de l’« Initiative de Sécurité Globale » et du « Plan en 12 points pour la paix en Ukraine » publiés par le ministère chinois des Affaires étrangères le 24 février, il a fait remarquer à ses interlocuteurs qui les avaient acceptés que :
La Russie a raison en droit international d’entreprendre son opération militaire spéciale contre les « nationalistes intégraux » ukrainiens. Non seulement cela n’est pas contraire à la Charte des Nations unies, mais c’est une application légitime de sa « responsabilité de protéger » les populations russophones.
La Crimée, le Donbass et la partie Est de la Novorossia ont légitimement adhéré à la Fédération de Russie par voie de référendum. Ces anciens Ukrainiens forment depuis des siècles un peuple très différent des Ukrainiens actuels.

Il a souligné que la Russie n’était pas exempte de torts :
Elle doit respecter la décision du 16 mars 2022 de la Cour internationale de Justice (c’est-à-dire le tribunal interne de l’ONU) qui lui a ordonné de « suspendre » ses opérations militaires en Ukraine, ce qu’elle a tardé à faire, mais qu’elle respecte aujourd’hui.

Il a patiemment expliqué que les Occidentaux avaient de très grands torts :
Celui d’avoir installé des dépôts d’armes et des bases militaires de l’OTAN à l’Est en violation de leur signature de la Déclaration d’Istanbul de l’OSCE (2013) ;
Celui d’avoir organisé et soutenu un coup d’État en 2014 contre les autorités légitimes de l’Ukraine ;
Celui de ne pas avoir appliqué les Accords de Minsk, signés par l’Allemagne et la France, (2014 et 2015) puis ratifiés par le Conseil de Sécurité des Nations unies ;
Celui d’avoir pris des mesures coercitives unilatérales contre la Russie en violation de la Charte des Nations unies (1947).

Ce faisant, il a remis en cause non seulement l’ensemble de la narration occidentale, mais la manière dont ses interlocuteurs pensent ce conflit.

Il leur a fait remarquer que, contrairement à ce qu’ils prétendent, les États-Unis ne souhaitent pas la victoire de l’Ukraine. Celle-ci signifierait qu’un petit pays est capable de vaincre la Russie alors que les États-Unis n’osent pas l’affronter. Ce serait leur pire humiliation.

Surtout, il est clair pour les observateurs extérieurs que l’envoi d’armes de seconde main en Ukraine n’a pas pour but de vaincre la Russie, mais de la titiller jusqu’à lui faire révéler les nouvelles armes dont elle dispose. Les Occidentaux n’ont pas sérieusement observé l’armée russe en Syrie, trop occupés qu’ils étaient à faire détruire l’État syrien par des jihadistes. Lorsqu’en 2018, le président Vladimir Poutine a déclaré maîtriser des missiles hypersoniques, des armes laser et des missiles à propulsion nucléaire3, les Occidentaux ont hurlé au bluff. Ils savent aujourd’hui qu’il disait vrai, mais ignorent les caractéristiques de ces armes et s’ils ont les moyens de les contrer.

Dans le conflit ukrainien, Moscou fait preuve d’une très grande patience. Il préfère endurer des pertes que d’abattre ses cartes. Les seules armes nouvelles qui ont été utilisées sont d’une part les systèmes de brouillage des commandes de l’OTAN (expérimentés en situation réelle en mer Noire dès 20144, à Kaliningrad, au large de la Corée5), et au Moyen-Orient6 ; et d’autre part les missiles hypersoniques Kinjal (expérimentés en conditions réelles en Ukraine depuis mars 2022). Certes, les Ukrainiens affirment en avoir abattus, mais cela ressort manifestement de la propagande la plus effrontée. Ils sont pour le moment invincibles et la Russie les produit désormais à la chaîne. Ils ont atteint des bunkers souterrains, le 9 mars, et viennent de détruire un système Patriot, le 16 mai.

Personne ne connaît avec certitude et précision les armes dont dispose la Russie. Mais chacun a conscience qu’elle est devenue beaucoup plus puissante que les États-Unis dont l’arsenal n’a globalement pas été amélioré depuis la dissolution de l’URSS.

Depuis le premier envoi d’armes occidentales en Ukraine, la Russie déplore que cela ne joue pas de rôle significatif sur le terrain, sinon provoquer encore plus de destructions et de victimes. Les Occidentaux n’écoutent pas, convaincus à l’avance que tout discours russe n’est que de la propagande. S’ils cherchaient à comprendre, ils entendraient que ce qu’ils font n’a rien à voir avec les justifications qu’ils en donnent.

Revenons à la position chinoise. Li Hui n’a, semble-t-il, jamais évoqué le président Volodymyr Zelensky que les Occidentaux ont hissé au niveau des héros. En effet, alors que la communication occidentale personnifie tous les acteurs, les Chinois s’y refusent. Ils conservent ainsi une vision plus claire des forces en jeu.

Li Hui a par ailleurs déclaré à ses interlocuteurs qu’ils n’avaient aucune raison de s’aligner sur la position des États-Unis et devaient faire preuve d’autonomie. C’est exactement ce que le président Vladimir Poutine leur avait dit, en 2007, lors de la Conférence sur la Sécurité de Munich7. M. Li s’est même risqué à leur dire que s’ils devaient se séparer économiquement de Washington, ils pouvaient se tourner vers Beijing.

Pour les Européens, ce discours raisonnable était inaudible psychologiquement. Ils n’ont pas reconnu les crimes des États-Unis du dernier quart de siècle et continuent à les dénier. En réalité, ils ne sont pas particulièrement dépendants de Washington, mais se trouvent intellectuellement sous son emprise.

Ils n’ont donc pas répondu à l’argumentaire chinois, mais ont déclaré sans surprise qu’ils ne se découpleraient pas des États-Unis, qu’ils exigeaient avant toute négociation le retrait des troupes russes d’Ukraine ; et qu’ils comptaient sur la Chine pour que le conflit ne dégénère pas en guerre nucléaire.

Ce dernier refrain atteste que les Européens n’ont toujours pas compris ni la position des Russes, ni celle des Chinois. Le président Poutine a mainte fois expliqué qu’il n’utiliserait pas en premier l’arme nucléaire stratégique. Il n’y a donc aucun risque russe de voir ce conflit dégénérer. En outre, la Chine se considère comme l’alliée militaire de la Russie en cas d’affrontement mondial, mais pas dans les conflits qui ne la concerne pas, comme celui d’Ukraine. Elle n’envoie d’ailleurs aucune arme là-bas. Cette distinction entre allié stratégique et allié tactique est une caractéristique du monde multipolaire que Moscou et Beijing s’emploient à construire. Il n’est pas non plus question pour la Russie de former une coalition derrière elle pour aller la soutenir en Ukraine.

Il n’y a de pires aveugles que ceux qui ne veulent pas voir.





France — Les anti-Raoult signataires de la tribune du Monde ont reçu plus de 18,5 M d’euros des labos

[Extrait de francesoir.fr]

  • Les représentants individuels ont touché en moyenne la somme considérable de 152 000 euros au cours des quatre dernières années. En « haut » du classement, le Pr Leclerc et le Pr Laharie ont touché plus de 600 000 euros chacun. 
  • De leur côté, les sociétés savantes se voient octroyées en moyenne plus de 1 400 000 euros. Les plus gâtées, la Société française de cardiologie et la Société nationale française de gastro-entérologie ont reçu respectivement 6,4 et 1,9 million d’euros !



Les Français continuent à manifester contre la réforme des retraites




Roland-Garros : « Le Kosovo c’est la Serbie ». Novak Djokovic, l’irréductible sportif non-aligné

[Source : breizh-info.com]

Par Audrey D’Aguanno

Juste après sa victoire au premier tournoi du Roland Garros, le champion a écrit un message sur l’écran géant du court : « Le Kosovo est le cœur de la Serbie. Arrêtez la violence ! », en référence au regain de tensions au nord du Kosovo entre population serbe, institutions kosovar-albanaises et forces de l’OTAN.

Un message jugé « non-approprié » par Amélie Oudéa-Castéra. La ministre des sports a dénoncé un « message politique militant ». Tout comme l’était l’obligation faite aux joueurs d’équipes de foot de porter des maillots de soutien à la mouvance LGBT, et leur sanction en cas de refus. La politique dans le sport, semble elle aussi obéir au deux poids, deux mesures.

Quant à Novak Djokovic, il n’entend pas se soumettre à l’idéologie dominante. Il  s’en est expliqué en conférence de presse :

« Je ne suis pas un politicien, je n’ai aucune intention d’entrer dans des débats politiques. En tant que Serbe, cela me fait très mal ce qu’il se passe au Kosovo, nos gens sont expulsés des municipalités. Je me sens responsable en tant que personnalité publique et fils d’un homme né au Kosovo, je ressens le besoin de montrer mon soutien à toute la Serbie. Le moins que je puisse faire c’est ça. Je ne sais pas ce que l’avenir réserve au peuple serbe et au Kosovo, mais il est absolument nécessaire de montrer son soutien ».

Quant à sa situation personnelle, il ajoute :

« Je ne sais pas ce qu’il va se passer, s’ils vont me punir, je sais qu’il y a eu des polémiques de la part de journalistes internationaux. Je n’ai aucun regret, je répéterai la même chose encore et encore. Je suis contre les guerres et tout conflit. Cette situation avec le Kosovo a créé un précédent selon la charte des Nations Unies et le droit en général, je suis vraiment désolé que nous soyons dans cette la situation. Le Kosovo est notre foyer, notre bastion, notre plus grande bataille s’y est déroulée, les monastères les plus importants s’y trouvent. »

Depuis l’auto-proclamation d’indépendance du Kosovo en 2008 de la part de la population d’ethnie albanaise, il n’a cessé de manifester publiquement son désaccord, ainsi que son soutien à la minorité serbe sur place continuellement vexée et menacée. Il arbore souvent des maillots de corps ou le drapeau « Kosovo est Serbie », et il brandit ses trois doigts quand il gagne un tournoi comme signe d’appartenance à sa patrie (ce salut est une usance serbe depuis le Moyen Âge, les trois doigts levés représentant la trinité chrétienne… et marque une opposition avec les Albanais du Kosovo en majorité musulmans).

Encore une fois, « Djoko », fait office d’homme libre. Rappelons que son entêtement à ne pas se soumettre à la vaccination anti-Covid19 obligatoire dans certains pays pour participer à de grands tournois, lui en avait valu l’exclusion (US Open), et même plusieurs jours de rétention (Open d’Australie) ce qui aurait pu remettre en cause sa réputation de N. 1 mondial du tennis.

Mais à ce que l’on peut constater, pour Djokovic il y a des choses supérieures à la carrière professionnelle, des positions qui valent la peine d’être défendues, quoi qu’il en coûte.

Audrey D’Aguanno

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Surmortalité vaccinale en Allemagne pour 2021 et 2022 ?

Le professeur de mathématiques Matthias Reitzner, avec le professeur Dr. Kuhbandner, a publié une étude sur la surmortalité en Allemagne.
https://cureus.com/articles/14941

[Extraits :]

Figure 1 : Surmortalité annuelle.
Les barres rouges indiquent la surmortalité [ou la sous-mortalité, dans certains cas]
en 2020 (panneau de gauche), 2021 (panneau du milieu) et 2022 (panneau de droite)
dans les différents groupes d’âge. Les barres grises représentent la surmortalité totale.
Figure 2 : L’incertitude du modèle.
Les barres indiquent le déficit de mortalité et la surmortalité
en 2020 (panneau de gauche), 2021 (panneau du milieu) et 2022 (panneau de droite)
pour différentes tables de mortalité et tendances de longévité.
Figure 3 : L’écart-type empirique.
Les carrés bleus indiquent le nombre de décès toutes causes confondues
en Allemagne de 2010 à 2019,
et les carrés rouges le nombre de décès toutes causes confondues pour les années 2020 à 2022.
La ligne bleue représente la ligne de régression pour les années 2010 à 2019.
Figure 4 : Surmortalité mensuelle.
Pour six groupes d’âge, les lignes noires indiquent la surmortalité mensuelle
de janvier 2020 à décembre 2022.
Les zones ombrées en rouge indiquent les périodes
où une augmentation de la mortalité a été observée ;
les zones ombrées en vert indiquent les périodes
où un déficit de mortalité a été observé.
Figure 5 : Surmortalité cumulée.
Pour six groupes d’âge, les lignes noires indiquent
le nombre cumulé de décès en excès de janvier 2020 à décembre 2022.
Les zones vertes indiquent les régions où il y a un déficit de mortalité cumulée
et les zones rouges où il y a une surmortalité cumulée.
Notez que l’axe des y du nombre de surmortalités cumulées
est échelonné différemment selon le groupe d’âge.
Figure 6 : Mortinatalité dans les années 2019 à 2022 en Allemagne.
Le premier panneau montre le nombre de naissances vivantes par trimestre de 2019 à 2022,
le deuxième panneau le nombre de mortinaissances par trimestre de 2019 à 2022,
le troisième panneau le nombre de mortinaissances pour 1 000 naissances totales
(somme du nombre de mortinaissances d’un trimestre
et du nombre de naissances vivantes du trimestre suivant) par trimestre de 2019 à 2022,
et le quatrième panneau l’augmentation trimestrielle du nombre de mortinaissances
pour 1 000 naissances totales au cours des années 2021 et 2022
par rapport à la moyenne des années 2019 et 2020.
Figure 7 : Décès COVID-19 et surmortalité.
Les carrés bleus indiquent le nombre de décès COVID-19 déclarés,
les carrés rouges le déficit de mortalité et la surmortalité,
et les carrés jaunes la différence entre le nombre de surmortalités
et le nombre de COVID-19 de mars 2020 à décembre 2022.
Figure 8 : Nombre de vaccinations par rapport à la surmortalité.
Nombre cumulé de décès en excès (ligne rouge)
et nombre cumulé de personnes entièrement vaccinées (ligne pointillée bleue)
et triplement vaccinées (ligne pointillée verte)
de mars 2020 à décembre 2022.

Conclusions

Cette étude a utilisé la méthode de pointe de la science actuarielle pour estimer le nombre attendu de décès toutes causes confondues et l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues pour les années pandémiques 2020 à 2022 en Allemagne. En 2020, le nombre observé de décès était extrêmement proche du nombre attendu, mais en 2021, le nombre observé de décès était bien supérieur au nombre attendu, de l’ordre de deux fois l’écart-type empirique, et en 2022, supérieur au nombre attendu, de plus de quatre fois l’écart-type empirique. L’analyse de la surmortalité mensuelle en fonction de l’âge a montré que la surmortalité élevée à partir du printemps 2021 est responsable de la surmortalité en 2021 et 2022. Une analyse du nombre de mort-nés a révélé un schéma de mortalité similaire à celui observé pour le groupe d’âge entre 15 et 80 ans.

Comme point de départ pour d’autres recherches expliquant ces schémas de mortalité, nous avons comparé la surmortalité au nombre de décès COVID-19 signalés et au nombre de vaccinations COVID-19. Cela conduit à plusieurs questions ouvertes, la plus importante étant la covariation entre la surmortalité, le nombre de décès dus au COVID-19 et le nombre de vaccinations contre le COVID-19.




7 jours sur un brancard aux urgences en France, c’est possible ! Un urgentiste témoigne




Plus Jamais, épisode 5 : « Ne cédez jamais, n’abandonnez jamais »

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Les ramifications internationales du nazisme, les stratégies de censure, l’utilisation des techniques de contrôle mental (par la CIA)… Comprendre, c’est déjà en sortir !

[Voir aussi :
« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3
et
Plus Jamais, Épisode 4. « Cette fois, nous sommes tous Juifs » !]

Par Senta Depuydt

Mise à jour 3 juin 2023 : Ce n’était pas Himmler, mais Rudolf Hess qui a été expertisé par le prof. Ewen Cameron lors du procès de Nuremberg.

Ce dernier épisode de la série nous réserve encore quelques témoignages particulièrement importants et illustre la poursuite des acteurs et des idéologies liées au nazisme dans le monde de l’après-guerre.

Uwe Alschner, historien allemand

La Commission du Président dirigée par Elie Wiesel invitait à détecter les analogies avec l’Holocauste, pas à les censurer

Je suis conscient qu’il est très, très délicat pour les Allemands de faire référence à l’Holocauste. Nous sommes formés à honorer le caractère unique de cet événement et ses victimes, mais pas à établir des comparaisons, ce qui est bien sûr anhistorique, antidémocratique et même injuste pour ceux qui ont souffert et qui ont été victimes de l’Holocauste.

À Bruxelles, en début d’année (2022), une grande manifestation a été dispersée prématurément par la police. C’était très, très troublant aussi parce que c’était le jour où vous, Vera Sharav, avez parlé d’analogies, de similitudes que vous avez vues. Ce que vous faites est absolument conforme à ce que la Commission d’Elie Wiesel avait recommandé : qu’il y ait des personnes d’autorité morale pour alerter le public sur les dangers possibles, qui pourraient conduire à un nouvel Holocauste ou même à des parties de celui-ci. C’est donc un point qui est très, très explicite dans ce rapport :

Non seulement le paysage moral de la réalité humaine a été modifié par l’Holocauste, mais l’accélération de la technologie et l’énergie nucléaire menacent désormais l’existence humaine elle-même. En mettant l’accent sur les dangers inhérents aux fins et aux moyens d’une société technologique et bureaucratique, l’étude de l’Holocauste et de ses implications peut encourager un renouveau de l’engagement en faveur de la raison et de l’humanité.

En 1979, on a pris conscience que notre société, avec tous ses progrès technologiques réalisés au fil des siècles, et surtout au cours des deux dernières décennies, représentait une menace existentielle pour l’humanité.

En tant qu’historien, je trouve très inquiétant que les personnes qui font allusion à des analogies et à des similitudes entre hier et aujourd’hui soient immédiatement accusées d’être antisémites, fascistes, néonazies ou autres.

Dans le rapport de la commission Elie Wiesel au Président Jimmy Carter, à la deuxième page de la lettre d’introduction, on peut lire :

« La leçon la plus importante à tirer de l’époque de l’Holocauste est qu’Auschwitz a été possible parce que l’ennemi du peuple juif et de l’humanité — et c’est toujours le même ennemi —a réussi à diviser, à séparer, à scinder la société humaine, nation contre nation, Chrétien contre Juif, jeune contre vieux.

Il est clair que pour Elie Wiesel, quand il parle de « l’ennemi du peuple juif et de l’humanité », il veut dire que les Allemands n’étaient pas les seuls à avoir participé à l’Holocauste. Uwe Alschner insiste sur l’importance de cette citation qui sera ensuite explicitée dans le rapport :

Cela faisait partie d’une idéologie établie de longue date dans laquelle l’eugénisme jouait un rôle. Aujourd’hui, le transhumanisme est un concept plus récent, mais qui est clairement enraciné dans l’idée de l’eugénisme.

David Veale, petit-fils d’anciens scientifiques nazis récupérés par les USA.

Témoignage assez rare que celui d’un descendant de nazis « exfiltrés » :

Le mal est fait par des personnes normales

Mes deux grands-parents sont arrivés avec le projet Paperclip (ndlr: un projet secret de la CIA chapeauté par Rockefeller et Nixon qui a permis à des milliers de scientifiques et d’officiels nazis de poursuivre leur carrière aux États-Unis).

Ils sont d’abord allés à la base aérienne de Wright-Patterson dans l’Ohio, puis à Los Angeles. Mon grand-père travaillait pour Aerospace Corporation, qui est un partenaire de l’armée de l’air. Il a été amené dans ce pays parce qu’il était l’un des scientifiques qui travaillaient pour Wernher Von Braun sur les turbines des engins militaires. C’est là qu’il a rencontré ma grand-mère. Elle était l’une des secrétaires. Elle travaillait pour Wernher Von Braun et enregistrait une grande partie des mesures de leurs tests mécaniques.

Je me souviens que ma sœur et moi avons posé des questions à ma grand-mère. Mon grand-père ne parlait pas beaucoup. Il était très, très silencieux. Quoi qu’il en soit, nous avons demandé à ma grand-mère : « Qu’avez-vous vu ? As-tu connu des juifs qui sont allés dans les camps de concentration ? » Elle a répondu : « Oh, eh bien ». Elle n’était manifestement pas à l’aise pour répondre à la question. Et elle dit : « Eh bien, on nous a dit ou montré qu’ils étaient juste séparés. » Je ne sais pas si c’est ainsi que cela a été présenté à la population. C’est ce qu’elle a dit. Je soupçonne qu’elle en savait plus, à la fin, mais je ne sais pas si elle savait tout cela au début au départ. Elle est née en 25, elle était donc encore assez jeune lorsque la guerre a commencé.

Ils faisaient partie de la machine nazie, mais ils étaient aussi mes grands-parents. La demande d’accès à l’information que ma sœur a soumise au FBI suggère que mon grand-père n’était pas le stéréotype du nazi, fortement raciste et nationaliste. Et il est certain que certaines personnes arrivées aux États-Unis avaient suffisamment de valeur pour ce pays pour ne pas se soucier de leur histoire. J’aime donc à penser que mon grand-père était l’un des meilleurs éléments de ce groupe.

Mais en même temps, il faisait certainement partie de la machine nazie. Il faut comprendre que le mal n’est pas tel qu’il est dépeint à la télévision ou même dans les journaux télévisés, où l’on montre des caricatures. Tous les gens de droite ne sont pas membres du Ku Klux Klan et tous les gens de gauche ne sont pas incapables de déterminer leur propre sexe.

Mon grand-père, qui travaillait au développement des V-2, a manifestement été responsable de la mort d’un grand nombre de personnes. On pourrait dire la même chose de ma grand-mère. Mais je pense qu’il est important de comprendre que le mal n’est pas le fait de personnes aux idées et à la personnalité diaboliques. Il est le fait de personnes tout à fait normales.

La CIA a récupéré et développé les méthodes de contrôle mental des nazis (programme MK-Ultra)

David Veale rappelle que la CIA a étudié les nazis et leur capacité à contrôler les populations, à influencer leur comportement :

Je pense que la CIA s’en est servie pour ses expériences MK-Ultra.

Nous connaissons tous au moins deux grands sujets de ces expériences, à savoir « Unabomber » Ted Kaczynski et Charles Manson. Ils été soumis à ces expériences de lavage de cerveau et de programmation mentale pour contrôler les gens.

Notre gouvernement a certainement un intérêt direct dans ce domaine, et les nazis étaient très avancés sur ce sujet.

Note :

L’un des pires tortionnaires des méthodes MK-Ultra était le psychiatre Dr Ewen Cameron qui opérait à l’université Mac Gill au Canada. Il est consternant d’apprendre qu’il avait fait l’expertise psychiatrique des officiels nazis tels que Rudolph Hess au procès de Nuremberg. Plutôt que de s’inspirer des principes de libre consentement énoncés dans le Code d’éthique qui suivit, il reprit leurs travaux de contrôle et de reprogrammation mentale dans ses « traitements » psychiatriques, avec les financements de la CIA. Le programme MK-Ultra a utilisé des méthodes de torture par chocs électriques, traumatisme sexuel, administration de LSD et d’autres drogues, rayons, conditionnement du cerveau, etc.et a impliqué plus de 40 universités, des hôpitaux et des prisons. 

Ces « traitements » qui ont tué et abîmé des milliers de personnes ont dominé la « science » des années 50 et 60. En 1961, Cameron était même devenu président de la société mondiale de psychiatrie. Malheureusement, ils existent toujours de manière officieuse et ils servent même d’inspiration à l’échelle du conditionnement de la population globale. 

Pour plus d’information sur les expériences de la CIA, voir par exemple le documentaire « Les cobayes de la CIA » d’Olivier Pighetti. 

David Veale n’est pas dupe. Pour lui, « de nombreuses personnes ont compris que le mal était utile, s’il pouvait servir des intérêts privés », en particulier aux États-Unis.

Je crois en la santé publique. Je pense qu’il est important de contrôler les maladies. Il n’y a rien de mal à cela. Les gens ne se rendent pas compte qu’on se sert d’eux pour leur imposer quelque chose. Lorsque quelqu’un dit qu’il fait le bien, la plupart des gens supposent qu’il fait effectivement le bien et que tout ce qui s’ensuit est fait dans ce but. Mais ce n’est pas le cas.

L’Allemagne et le monde de l’après-guerre ont réaffecté d’anciens dirigeants nazis à des postes clés, par l’intermédiaire des services secrets.

Uwe Alschner rappelle également le lien entre l’État profond’ et les nazis, en exposant des faits encore peu connus de l’histoire :

Après la guerre, la communauté du renseignement a été mise en place et dirigée par Allen Dulles. Aujourd’hui, l’on voit que la directrice de la CIA, Avril Haines, est également impliquée dans l’événement 201. Il est légitime de se demander :

« Qu’est-ce que la CIA, le service de renseignement des États-Unis, a à voir avec l’urgence en matière de santé publique ? Pourquoi est-elle impliquée ? »

Eh bien, cela a du sens, quand on voit que les services de renseignement sont en fait étroitement liés à ces intérêts financiers, qui restent dans l’ombre, dont les noms ne sont pas mentionnés. Nous entendons les noms de Bill Gates et de George Soros, mais il ne s’agit que de personnes de façade. Par conséquent, les énormes institutions financières qui sont derrière tout cela ont un intérêt dans la manière dont une urgence de santé publique a été déclenchée afin de subvertir la démocratie, d’encourager et de promouvoir les tendances oligarchiques et fascistes des entreprises.

C’est une façon de tromper le public. Les opérations psychologiques, le contrôle mental et la propagande sont le fonds de commerce des agences de renseignement.

Durant la guerre, l’agence de renseignement des nazis était dirigée par Reinhard Gehlen, un général de la Wehrmacht, qui devint plus tard chef du Bundesnachrichtendienst, le service de renseignement fédéral allemand.

Il a été capturé par les troupes américaines, alors qu’en fait, avec ses hommes, il s’était retiré dans une vallée des Alpes en attendant d’être exfiltré. On dit qu’il avait avec lui de très nombreuses caisses de documents, des documents compromettants, non seulement sur les Soviétiques, mais aussi sur les relations avec l’Ouest, avec les Américains. Un officier de marine, du nom de Richard Nixon, avait participé à la prise en otage de Gehlen…

Il existe donc au moins des preuves indirectes qui justifient une observation plus approfondie des raisons pour lesquelles Richard Nixon a été choisi par la suite pour devenir un homme politique américain de premier plan (président des USA),, parce qu’il pourrait avoir eu connaissance d’informations incriminant quelqu’un d’aussi haut placé qu’Allen Dulles.

Avec l’avocat nazi Hans GlobkeGehlen était le co-auteur des politiques qui ont conduit aux lois raciales de Nuremberg.

Eh bien, après la guerre, Globke est devenu le chef de cabinet du chancelier allemand Konrad Adenauer et Gehlen est devenu le chef des services de renseignement allemands. Les deux hommes se réunissaient régulièrement pour discuter de qui devait accéder à quel poste dans l’administration. Ils étaient donc triés sur le volet par d’anciens nazis, sous le contrôle et en coopération avec les services de renseignement américains. Tout cela bien sûr au service des intérêts de ceux qui se cachent aujourd’hui derrière les mesures Covid.

Fascistes américains (du haut) :
#1 David Rockefeller
#2 Prescott Bush,
#3 Averell Harriman,
#4 Clint Murchison Sr.,
#5 H. L. Hunt,
#6 E. Roland Harriman,
#7 Edmund Leopold de Rothschild,
#8 Montagu Norman, 1st Baron Norman,
#9 Allen Welsh Dulles,
#10 Henry Ford.

Les organisations internationales, les Nations unies, mais aussi l’Organisation mondiale de la santé, ont été créées dans les années 1940, après la guerre. Dès le départ, elles ont voulu, ou du moins ont pu mener des politiques mondiales centralisées. De riches investisseurs et de riches industriels demandent un partenariat public-privé avec ces institutions, dont ils tirent ensuite profit. Mais c’est aussi pour mettre en œuvre d’autres formes de leur programme, l’eugénisme, le transhumanisme et essentiellement le non-humain.

Hannah Arendt, lorsqu’elle s’est exprimée dans les années 1960, a déclaré que ce n’était pas tant le fait qu’Hitler soit arrivé au pouvoir qui était choquant. Ce qui était choquant à l’époque, c’était le degré d’adhésion des intellectuels. Nous voyons la même chose aujourd’hui, la suppression, le dépouillement des droits humains fondamentaux des individus, mais aussi de groupes entiers. Il s’agit donc d’un phénomène tout à fait similaire à ce qui s’est passé dans les années 1930.

Et de conclure :

Il faut avoir ce contexte en tête quand nous sommes face à des injections hautement toxiques administrées au grand public, sans tenir compte des effets secondaires, de la mort, du mal qui est fait.

Il est temps d’appeler à l’arrêt, d’appeler à une enquête, de résister, de désobéir civilement, d’être pacifique, mais de ne pas obéir. Nous avons une tâche à accomplir, c’est certain. Nous devons faire face. C’est un moment vraiment décisif.

Scott Schara, père de Grace, jeune trisomique « assassinée sur ordonnance » sous prétexte de traitement Covid.

Les meurtres sur ordonnance enrichissent les médecins et les hôpitaux

L’histoire de Grace, la fille adorée de Scott Schara est aussi poignante que choquante. Hospitalisée « par précaution » avec quelques légers symptômes, Grâce est soumise à des traitements inutiles et dangereux, jusqu’à être simplement « liquidée » par l’injection d’un cocktail mortel (proche du Rivotril), sous l’œil impuissant de ses parents.

Son père raconte cette incroyable tragédie : comment l’hôpital a falsifié les données médicales de sa fille trisomique et feint d’avoir l’accord de la famille pour l’euthanasier’ de force.

Je suis juste le père qui apprend cela en temps réel et qui vient de s’éveiller… et une fois que vous êtes éveillé, vous ne pouvez pas arrêter de partager ces informations.

Les chiffres sont stupéfiants. Le gouvernement a déjà versé aux hôpitaux, sous la forme de primes de traitement du COVID, y compris les primes de décès, quatre mille milliards (trillons) de dollars. Nous sommes le seul pays où plus d’un million de décès sont imputables au COVID… Et nous sommes le seul pays où le Remdesivir est le traitement recommandé.

La chose la plus importante qui m’a choqué est la corruption de notre gouvernement. Ils sont tellement corrompus. Il n’y a pas une seule chose qu’ils disent à laquelle on puisse se fier.

Avital Livy initiatrice du « Projet des Témoins » en Israël

Avital a entrepris de recueillir les témoignages des victimes de la vaccination Covid et de réaliser deux documentaires, expliquant les symptômes vécus et les diagnostics qui ont suivi, pour briser le tabou des médias et du gouvernement sur la question.

En Israël, il reste pratiquement inconcevable de mettre en question la politique sanitaire du gouvernement :

Pour les Israéliens, tout d’abord, les gens oublient que nous avons tous été dans l’armée, entre 18 et 20 ans. Je pense donc que l’on s’habitue à suivre les ordres. Deuxièmement, en raison de notre histoire, nous avons l’impression que notre pays, notre État, notre gouvernement nous protègent du monde entier qui veut nous tuer. Ils sont comme notre père et notre mère. Ils ne nous feront pas de mal. Nous leur faisons confiance. Nous donnons notre vie à ce pays. S’ils disent que c’est bon, que c’est sans danger, que nous nous aiderons les uns les autres en nous faisant vacciner, nous le ferons. Les personnes les plus intellectuelles, les plus éduquées sont celles qui suivent le récit.

Sur les 120 membres du Parlement, le Parlement israélien, il n’y en a plus qu’une, une femme arabe, qui a commencé à dire qu’il fallait vérifier le lien entre tous les cas d’arrêts cardiaques chez les jeunes et les injections. Elle est la seule à parler.

Je n’ai plus confiance dans le parlement, dans notre gouvernement. Ils ont eu leur chance. C’est à nous, le peuple, de prendre les choses en main.

Pour compléter ses révélations angoissantes, elle a aussi choisi de partager les différents types de traitement qui ont permis aux malades du Covid ou aux victimes des injections d’aller mieux.

Je veux donner un message d’espoir à tout le monde. Les personnes non vaccinées ont été terrorisées pendant deux ans. La vérité est en train d’éclater et nous allons vers un monde meilleur. Aux personnes vaccinées, je veux dire : il existe des traitements. N’ayez pas peur. Ne perdez pas espoir. Traitez-vous, traitez votre corps.

La première étape du traitement consiste à comprendre ce qui se passe.

J’envoie donc l’amour et la bonne santé à tout le monde. Nous sommes la majorité. La vérité éclatera et nous gagnerons.

Il y a encore beaucoup d’autres témoignages dans ce dernier épisode qui valent la peine d’être écoutés : des commentaires de Vera Sharav, de Macha Orel, initiatrice d’un mouvement de soutien au Dr Bhakdi, ou ceux du musicien Karsten Troyke.

Mais, l’on ne saurait passer sous silence, les mots de la fin, ceux du Dr Vladimir « Zev » Zelenko à qui Vera Sharav dédicace cette série documentaire :

C’est une course entre l’asservissement et l’expansion de la conscience humaine globale. Parce que nous sommes beaucoup, beaucoup plus nombreux que ces sociopathes. Ils sont solides comme Goliath. Ils ont beaucoup de ressources. Mais le mouvement en faveur de la liberté commune des êtres humains pourrait être imparable une fois que nous aurons franchi un certain seuil.

Je prêche la désobéissance civile non violente et le rejet absolu de toutes les obligations. Pas de pampers sur la figure. Ne vivez pas dans la peur. Ne vous isolez pas. N’acceptez pas le poison de la mort. Et résistez.

Mettez vos enfants à l’abri du danger en les retirant du système scolaire public et en vous regroupant avec des parents partageant les mêmes idées. Créez un d’enseignement à domicile ou dans votre paroisse, où l’on pourra leur enseigner le raisonnement déductif, la pensée analytique, et leur donner une bonne base morale.

Il y a eu de nombreux exemples pendant la Seconde Guerre mondiale, où un nazi armé d’une mitrailleuse et d’un berger allemand pouvait conduire un millier de Juifs selon son gré. Il leur aurait pourtant suffi de se retourner et de lui sauter dessus. Les premiers seraient peut-être morts, mais pas les suivants. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? Parce qu’ils sont démoralisés, parce qu’ils ont perdu, déshumanisé ; ils ont perdu la foi en eux-mêmes. Ils ont perdu leur humanité.

Nous devons donc nous souvenir et enseigner aux gens, leur rappeler leur souveraineté, leur valeur inestimable, qu’ils sont importants. À mon avis, ils sont faits à l’image de Dieu. La vie est sacrée, ils ont des droits humains, et il n’est pas du ressort d’un sociopathe de décider combien d’entre nous vivent sur la planète, combien de temps nous vivons, et qui doit être libre.

Nous allons gagner. La seule variable est le nombre de morts. J’espère que nous pourrons l’atténuer en accélérant l’éveil des consciences. Et nous nous rapprochons de ce seuil, où l’éveil va s’autoentretenir. Nous devons simplement continuer à pousser dans la bonne direction.

Je ne sais pas si je survivrai pour le voir. Mais ce qui est important, ce n’est pas un individu en particulier. Ce qui compte, c’est la capacité de l’âme humaine à s’épanouir et à atteindre son plein potentiel, sans que des forces maléfiques et tyranniques essaient de l’asservir.

C’est une colline sur laquelle il vaut la peine de mourir. Je vois le carnage et je vois la misère, mais j’ai le sentiment, personnellement, que je suis dans le juste — je fais ce pour quoi il semble que j’ai été créé.

Ce n’est qu’un sentiment interne. Je ne peux pas le prouver, mais j’ai l’impression qu’aider les gens à redécouvrir leur valeur humaine, lutter contre la déshumanisation et encourager les gens à se battre pour leur propre souveraineté et leur propre liberté, c’est la bonne chose à faire.

Retrouvez toute la série sur :

La lettre de Senta : sentadepuydt.substack.com

Sur le site www.plusjamais.eu

Crowdbunker : @Plusjamais






Interviews autour du colloque sur les enfants dans la Dérive Totalitaire actuelle

[Source : infovaccin.fr]

Grâce au soutien des médias de réinformation, plusieurs des personnalités présentes et des intervenants ont donné des interviews saisissantes autour du colloque du 13 mai dernier sur les effets de la Dérive Totalitaire actuelle sur les enfants.

Nous allons enrichir cette page de ces interviews.

Merci de soutenir ces médias qui font le travail que les autres ne font pas.

Laurence Kayser

Extraordinaire interview par Epoch Times, le Docteur Kayser revient sur les aspects médicaux alarmants ce ce qui est imposé aux enfants.

Nos amis de Covidhub décortiquent cette interview ici : https://www.covidhub.ch/effondrement-natalite-pays-tres-vaccines/

Ariane Bilheran et Amandine Lafargue

Les deux psychologues de haut vol répondent clairement, humainement et utilement aux questions de Kaïros. Elles reviennent notamment sur les directives de l’OMS, et les mensonges sur le fait que les enfant auraient une sexualité, et expliquent des points cruciaux pour tout parent et tout citoyen.



Ariane Bilheran

Dans une interview relativement courte, Ariane répond aux questions de la Chaîne Humaine, notamment sur les raisons d’organiser ce colloque et sur la propagation des traumatismes et des problèmes profonds dans les dérives actuelles.

Senta Depuydt

Senta répond aux questions des Dépêches Citoyennes, tirant la sonnette d’alarme sur des points troublants, autour du totalitarisme notamment :




France — Agitation autour du professeur Raoult

Mise à jour :


[Source : Jean-Dominique Michel]




[Voir aussi :]

https://www.francesoir.fr/societe-sante/enieme-deformation-mediatique-raoult-vaccin

Énième déformation médiatique des propos du Pr Raoult, à propos de l’efficacité du vaccin anti-Covid: le point avec le Pr Parola de l’IHU-Méditerranée

POLÉMIQUE – Attendus avec la plus grande attention du grand public, les propos du Professeur Raoult sont toujours auscultés à la fois par les raoult-sceptiques et ses partisans. Les esprits de tous ont été marqués depuis le début de la pandémie avec les nombreuses publications de l’IHU-Méditerranée, qui a été à la pointe du soin et de la recherche contre la Covid-19. 

Certaines de ces publications ont fait l’objet de controverses médiatiques, notamment à propos de l’efficacité de la bithérapie (combinant hydroxychloroquine et azithromycine), proposée dès mars 2020 et prescrite au sein de l’établissement public dans le cadre d’un protocole de soins méticuleux. 

Afin de répondre aux critiques et de faire taire les fausses informations à ce sujet, l’équipe de l’IHU Méditerranée et le professeur Raoult ont décidé de faire certifier les données par huissier de leur étude phare portant sur les 30423 patients soignés à l’IHU. Ces dernières, mises à disposition du public, démontrent une indubitable efficacité du traitement. 

Cette certification est une première en science. Alors que les notions de consensus et de disputatio scientifiques sont malmenées à notre époque, notamment au sein des médias dominants ou par des experts qui peuvent entretenir des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique et refusent tout débat pluriel, elle permet de répondre à des besoins essentiels en matière de transparence scientifique. 

Une transparence qui engage de facto le monde médiatique à vérifier l’information, y compris par conséquent dans le domaine de la science, qui est désormais particulièrement exposé aux raccourcis et à diverses fausses nouvelles. L’exemple du LancetGate en est l’épisode le plus représentatif

Hélas, les actes de désinformation ou de mésinformation se poursuivent. Un article de Cyprien Cini et Joanna Wadel, publié le 24 mai 2023 sur le site de RTL, titre : « Didier Raoult admet que le vaccin est efficace ». En sous-titre, on peut lire :  « Dans un entretien accordé à UPR TV, la chaîne YouTube de François Asselineau, le microbiologiste reconnaît les vertus du vaccin contre le Covid-19″.   

Selon cet article et son interprétation de propos (isolés) tenus lors d »un entretien réalisé auprès du président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), une sorte de couperet tombe et signifierait un changement de direction à 180° réalisé par le professeur Raoult : « Après deux ans et demi, le praticien admet enfin l’efficience du vaccin. »  

“Ces déclarations”, qui sont ainsi prêtées (fallacieusement) au professeur Raoult selon les auteurs de l’article au sein de cette présentation, “sont d’autant plus improbables qu’elles contrastent drastiquement avec ses prises de position des années précédentes : ‘Parmi les vaccinés, il n’y a pas moins de morts’, affirmait-il par exemple en 2021”.

Et les journalistes de conclure, dans un jugement aussi hâtif que définitif, au virement de bord du Pr Raoult. Cette « nouvelle » n’a pas manqué d’enflammer les esprits sur les réseaux sociaux avec de nombreux commentaires fusant de part et d’autre. La partisanerie, toujours stérile, s’est immédiatement exercée autour de l’affaire.

(…)

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccins-le-professeur-didier-raoult-reconnait-enfin-l-efficacite-des-medias-deformer

Vaccins : le professeur Didier Raoult reconnaît enfin l’efficacité des médias à déformer ses propos

POLÉMIQUE – Non, il n’a pas changé d’avis. Car cela n’est une question ni d’avis, ni d’opinion. Mais une question de science et d’observation. Dans une énième déformation de ses propos commise par la sphère médiatique mainstream (24/05), le professeur Raoult n’a ni annoncé “que le vaccin est efficace après avoir assuré qu’il ne servait à rien” (La Dépêche), ou “après l’avoir longtemps nié”.

Mea maxima culpa… ou pas

Non, il n’a jamais refusé “jusqu’alors de reconnaître tout effet positif au vaccin contre le Covid-19” (le JDD). Non, il n’a pas affirmé que “les gens qui sont vaccinés meurent moins que ceux qui ne le sont pas” (Sud Ouest). Non, il n’a pas “contredit notamment ses propos de 2021, où il expliquait qu’il n’y avait pas ‘moins de morts’ parmi les vaccinés” (Le Figaro). Non, il n’a pas fait de “mea culpa inattendu” (sic, CNews) ! 

La palme revient à la Voix du Nord qui pense expliciter le “déni sur la mortalité” (re-sic) du professeur marseillais : “C’est la première fois que Didier Raoult le dit aussi clairement et sans parler de tranches d’âge ou de public particulier.” Car c’est exactement sur ce point que les propos du professeur marseillais, ancien président de l’IHU-Méditerranée ont été dénaturés, déformés, raccourcis, coupés.  

Et bien, non, une fois de plus. La clef demeure justement liée à la question des tranches d’âges du public concerné par la vaccination anti-Covid-19. Au sein d’un entretien Débriefing accordé à France-Soir, le professeur Raoult rappelle ses positions, qui n’évoluent qu’en fonction de l’état de la science et de l’observation clinique, non à la convenance de son opinion.

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Interview de didier raoult :
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/hydroxychloroquine-traitement-efficace-covid-sabote-raoult

L’hydroxychloroquine, un traitement efficace contre la Covid-19 « saboté depuis le début » : « Il faut qu’il y ait une commission parlementaire à ce sujet », entretien avec le Professeur Raoult

DEBRIEFING – Dans le cadre d’un entretien en compagnie du Professeur Raoult, l’ancien président de l’IHU-Méditerranée évoque plusieurs sujets incontournables de l’actualité scientifique et médicale : l’étude rétrospective qui confirme l’efficacité du traitement par l’hydroxychloroquine (HCQ) chez les patients atteints de la Covid-19; la certification des données issues de cette étude, par huissier, afin de garantir leur transparence totale et leur accès libre à tous les scientifiques (via deux bases de données internationales, “l’une américaine, l’autre chinoise”); la déformation médiatique de ses propos au sujet des vaccins; la question de la surveillance de l’industrie pharmaceutique afin d’éviter ses dérives; mais aussi bien d’autres questions brûlantes…



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https://www.francesoir.fr/societe-sante/reaction-pr-christian-perronne-cabale-raoult

Christian Perronne réagit à la cabale contre Didier Raoult: « Les traitements précoces fonctionnent, il faut être aveugle pour ne pas le voir »

SCIENCE/SANTÉ – Après la publication d’une étude rétrospective qui démontre l’efficacité de l’hydroxychloroquine (HCQ) en traitement précoce de la Covid-19, le professeur Raoult fait l’objet d’une nouvelle fronde. Les attaques proviennent notamment de sociétés savantes, à l’origine de tribunes, analyses et opinions, abondamment relayées par les médias mainstream sans aucune distance critique. 

Le professeur Perronne revient à chaud sur les nouvelles attaques faites contre le Pr Didier Raoult et son équipe de l’IHU-Méditerranée.



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Les Français dépossédés de leurs biens immobiliers ? Finie la propriété privée ?

[Source : Putsch Media]

« Vous ne posséderez plus rien, mais vous serez heureux » présidait Klaus Schwab, le big boss du Forum de Davos et patriarche du World Economic Forum. En France, le gouvernement semble en prendre le chemin avec une volonté de déposséder les Français de leurs biens immobiliers. Demain plus de propriétaires ? La fin du droit inaliénable de la propriété privée ? Vous seriez propriétaire du bâti, mais plus du foncier ? Vous redeviendrez donc des locataires avec comme bailleur l’État ? La Macronie semble avoir un plan à ce sujet. Et cette perspective est très inquiétante ! Décryptage avec Alain Falento, conseiller économique et auteur de « Sortir de l’Europe, question de vie ou de mort ! » (Ed. Riposte Laïque)




Nicole et Gérard Delépine — Gardasil protège-t-il des cancers du col de l’utérus ?

[Source : CSI]






Une mère récupère sa fille des griffes du programme Trans d’un collège

[Source : epochtimes.fr]

Par Michael Wing

Aucun chevalier blanc ne viendra sauver vos enfants — vous êtes le chevalier blanc. Erin Friday, 56 ans, mère californienne, l’a découvert pour sa fille, alors âgée de 11 ans. Tout a commencé très simplement : quelques surnoms à consonance enfantine et quelques lettres de l’alphabet en plus. Ce n’était pas innocent pour autant.

Quelques filles, dont la petite Friday, ont été entendues dans la cour intérieure en train de bavarder sur les nouvelles choses qu’elles avaient apprises à l’école. Elles étaient branchées sur les nouvelles tendances alors que, dans leur esprit, leur mère, vieille et ennuyeuse, faisait figure de dinosaure ignare, bien en retard sur son temps.

« Cinq filles ont choisi chacune une étiquette qui figurait dans la liste. Elles se sont moquées de moi et m’ont dit : “Tu es cis et tu ne comprends pas” », a expliqué Mme Friday au journal Epoch Times. Je n’avais jamais entendu ce terme « cis » auparavant. Elles m’ont ensuite lancé : « Plaît-il, fossile ! ».

Nous étions en 2019 et la petite Friday était en classe de cinquième. C’est à ce moment-là que sa maman a pris conscience de la situation : « Qu’est-ce qu’ils enseignent à nos enfants à l’école ? », s’est-elle demandé. La curiosité s’est transformée en inquiétude au fur et à mesure que cette éducation basée sur l’égalité des sexes se développait. Elle s’est d’abord dit : « Oh, c’est probablement dû à la puberté ».

La jeune Friday, qui était autrefois une petite fille — une grande fan de « Mon Petit Poney » — a commencé à se couvrir de sweat-shirts amples. Mme Friday pensait qu’il s’agissait simplement d’un « acte de timidité » lié à l’éclosion de la féminité ; Mme Friday en avait fait l’expérience. Mais lorsque la fan de « Mon Petit Poney » est passée au statut de « fille soldat », enfilant des bottes de combat, lorsque ses amies aux cheveux longs ont commencé à prendre des noms de garçons, lorsque des teintures violettes et vertes ont fait leur apparition, l’inquiétude de la maman s’est aggravée.

Un poison dans l’éducation sexuelle du collège

C’est ainsi que cette curieuse éducation a porté ses fruits étranges et nocifs. Avoir une étiquette est devenu tendance. Alors qu’une fille se disait pansexuelle, une autre pensait être polyamoureuse (ouverte à de multiples partenaires), ce qui n’avait aucun sens. « La moitié de sa troupe d’éclaireuses s’est révélée transgenre », a expliqué Mme Friday. Elles ont alors sorti les protège-seins. Les voix féminines ont bizarrement baissé d’un ton durant la nuit.

« Ma fille a choisi “pansexuelle” à 11 ans, ma fille de 11 ans dénuée de toute sexualité », a déclaré Mme Friday. Quelques-unes ont choisi « lesbienne », mais personne n’a choisi « hétéro » – je suppose que dans leur terminologie, ils disent « cis » – parce que c’est ennuyeux ; c’est comme choisir de la glace à la vanille. Dans une mise en garde humoristique, Mme Friday a fait remarquer qu’elles continuaient curieusement à regarder « Twilight » pour s’extasier devant les vampires sexy qui leur tenaient à cœur — les petites filles qu’elles étaient.

Pourtant, maman ours était furieuse, se sentant trahie par ceux du collège Central, à San Carlos, en qui elle avait confiance : les professeurs de sa fille. Mme Friday connaissait la plupart d’entre eux par leur nom, car elle y faisait souvent du bénévolat. Ils allaient parfois boire un verre ensemble.

Le collège Central, à San Carlos, en Californie (Capture d’écran/Google Maps) ;
(Encadré) Erin Friday. (Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

« Tout ce que dit l’enseignant est précieux et véridique », a déclaré Mme Friday. « Les personnes les plus importantes dans la vie d’un enfant sont ses parents, et ses professeurs ». Mme Friday leur avait fait confiance, et l’école l’avait déçue.

Ce ne sont pas forcément les enseignants eux-mêmes qui ont commis cette double infraction. La maman a appris qu’un groupe tiers était venu dispenser pendant cinq heures des cours d’éducation sexuelle. Avec un nom comme Health-Connected, l’idée semble inoffensive, mais c’est loin d’être le cas. « Ils ont passé une heure entière sur les cinq à enseigner l’idéologie du genre, en présentant le dessin animé “genderbread man” — où le cerveau et les parties du corps sont montrés du doigt — en expliquant qu’il est possible d’avoir un cerveau féminin dans un corps masculin, ou vice-versa ».

C’est par crainte des élèves et de leur « nouveau moi » que les enseignants leur ont fait des courbettes et les ont traités différemment, a expliqué Mme Friday. Ils ont été loués comme étant extraordinaires et spéciaux, considérés comme des licornes et élevés au rang de superstars. « Les enfants qui sont un peu en marge, qui n’ont pas beaucoup d’amis, ou qui sont peut-être un peu bizarres, font leur coming-out comme trans et deviennent des vedettes », a-t-elle ajouté. « Si vous êtes blanc, de la classe moyenne ou aisée, et hétérosexuel, vous êtes un oppresseur, vous êtes ennuyeux, il n’y a rien de spécial en vous. »

Avec le temps, ce fruit malsain a mûri. En 2020, lorsque le Covid a enfermé les élèves pour qu’ils apprennent à la maison, Mme Friday a été choquée d’apprendre que l’école secondaire publique utilisait un pronom masculin pour sa fille. Elle a donc contacté la direction de l’école. Lors d’un appel téléphonique, l’administration lui a expliqué que la raison de cette pratique était de fournir un « espace sûr », ce que Mme Friday a trouvé ridicule. Sa fille était juste au bout du couloir.

Ils ont répondu de manière très étrange [à propos du changement de pronom] : « Oh, nous ne l’avons pas fait légalement », ont-ils répondu a raconté Mme Friday. « Je leur ai dit : “Vous n’avez pas le droit, je suis le parent. Ne l’oubliez pas. Je suis le parent. Vous n’êtes pas le parent. » »

« Je suppose que je n’étais pas “un espace sûr” parce que j’utilisais son prénom féminin et des pronoms féminins. Puis les services de protection de l’enfance se sont présentés à ma porte. La police est arrivée plus tard. »

Le matériel pédagogique sur l’éducation sexuelle destiné au collège
et proposé par Health-Connected permet d’expliquer l’idéologie du genre.
(Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

Le service de protection de l’enfance a estimé que la fillette risquait de se suicider, en se basant sur des recherches qu’elle avait faites sur l’iPad de l’école. Même si le service de protection de l’enfance a fini par abandonner ses investigations, Mme Friday s’est montrée furieuse que l’école ait utilisé le risque de suicide comme prétexte à une éventuelle plainte pour maltraitance parce qu’elle s’était opposée à la transition sexuelle secrète et éhontée dont sa fille faisait l’objet.

Face à toute cette folie — la puberté de sa fille, les différentes étiquettes données aux filles, la trahison du collège, et maintenant le service de protection de l’enfance sur le pas de sa porte — l’instinct de Mme Friday lui a permis d’aller au cœur du problème. La dépression induite par le confinement avait plus à voir avec la crise de genre de sa fille qu’avec n’importe quoi d’autre. Elle n’était pas la seule enfant à avoir été entraînée dans une spirale de troubles psychiques causée par le Covid. C’était clair comme de l’eau de roche.

Quant à la solution, pour Mme Friday et de nombreux autres parents, il s’agissait d’un terrain inconnu.

Le fait qu’elle ait engagé une thérapeute pour sa fille n’a pas eu l’effet escompté avant même de commencer. La thérapeute a insisté sur le fait que le souvenir que Mme Friday avait de la féminité de sa fille était « erroné ». Je me suis dit : « Wow, c’est incroyable. Elle aimait donc “Mon Petit Poney” quand elle avait 3 ans, juste parce qu’elle attendait de sortir de sa coquille pour nous faire savoir qu’elle était un garçon ? » a poursuivi Mme Friday. « J’ai un fils, ils sont très différents. »

La thérapeute a exhibé son argument « 41 % de chances de se suicider » devant Mme Friday. « Lorsque je l’ai interrogée sur le sujet, il m’est apparu très clairement qu’elle n’avait pas lu le rapport. Or, je l’avais lue », a expliqué Mme Friday. « J’aurais été renvoyé de mon emploi d’avocate si j’avais invoqué une affaire dont je n’avais pas pris connaissance ». Voilà donc ce qui est arrivé à la thérapeute qui n’a pas su prendre en charge la dépression de ma fille : elle a été licenciée. Virée.

Pour Mme Friday, le monde entier semblait être devenu fou.

La bataille pour récupérer sa fille

Il était temps pour maman ours de sortir de son sommeil et de commencer une sérieuse déprogrammation avec sa fille. La première étape consisterait à trouver un thérapeute critique à l’égard du genre, plus intéressé à comprendre pourquoi sa fille ne quittait pas le lit, ne se brossait pas les dents ou ne mangeait pas, qu’à colporter une idéologie.

Pendant ce temps, Mme Friday devait acquérir des connaissances. Elle a plongé dans les profondeurs. Tout en lisant des livres tels que « Desist, Detrans, & Detox: Getting Your Child Out of the Gender Cult » [Désistement, désintoxication et réhabilitation : sortir votre enfant du culte du genre] de Maria Keffler, elle a écouté le podcast de Benjamin Boyce sur les détransitionnistes et « Gender: A Wider Lens » [Genre : Un nouveau regard].

Comme on épluche les couches d’un oignon pourri et en décomposition, Mme Friday a découvert la nature de plus en plus sombre et sinistre de l’agenda transgenre. Des groupes en ligne ont été créés pour cibler spécifiquement les enfants identifiés comme transgenres et les nourrir d’un endoctrinement empoisonné. Leurs parents étaient présentés comme des vilains parce qu’ils ne voulaient pas reconnaître la nouvelle identité de leurs enfants.

La situation s’est encore aggravée. Ces groupes les ont bombardées de pornographie immonde par vagues successives, que Mme Friday a qualifiée d’« au-delà de toute mesure ». Surveillant l’historique de navigation de sa fille, ses appareils et les médias sociaux, elle a gardé un seau à côté d’elle au cas où elle n’arriverait pas à supporter ce qu’elle voyait.

Sa propre progéniture se dressait contre elle, comme si elles se trouvaient de part et d’autre d’un gouffre. Pour que Mme Friday puisse retrouver sa petite fille perdue, il lui faudra combler le fossé.

Elle savait ce qui ne fonctionnerait pas : de longues discussions, des preuves scientifiques, le silence dans l’espoir que cela passe. Elle savait que cela ne passerait pas. Elle savait qu’elle devait s’attaquer au problème sans détour.

Alors que sa fille se devait de trouver elle-même la solution, maman ours laissait des miettes de pain utiles le long du chemin — des questions et des indices qui laissaient de « petites fissures » dans son esprit, en attendant que la lumière de la vérité jaillisse pour que la réalité apparaisse.

« Je lui ai posé des questions sur le vaccin Johnson & Johnson et je lui ai dit : “Oh, mon Dieu, ce n’est pas bon pour les femmes. Êtes-vous autorisés à y recourir ?” a raconté Mme Friday. Elle m’a hurlé dessus, en disant “Je ne suis pas une femme”, et elle est partie. Ce fut une victoire. C’est une réalité biologique. »

Une autre ligne d’attaque s’est déployée ainsi :

« Je lui ai demandé pourquoi elle pensait être un garçon. Elle m’a répondu qu’elle n’aimait pas ses seins », a raconté Mme Friday. « J’ai poursuivi en lui demandant : “Quoi d’autre ?” “Je n’aime pas mes règles”. “Alors, tu viens d’expliquer pourquoi tu n’aimes pas être une fille. Mais pourquoi penses-tu être un garçon ? » » Elle ne pouvait pas répondre et se mettait, bien sûr, en colère. Mais elle en gardait une trace dans son esprit.

Erin Friday avec sa fille quand elle était petite.
(Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

Mme Friday n’a rien laissé en plan pour lutter contre l’ennemi invisible et le mensonge. Elle a quitté son emploi et passé des journées de 16 heures pour remonter aux racines diaboliques de l’agenda. Elle considère désormais le transgenrisme comme une « secte ».

Afin de briser l’emprise de cette secte sur l’esprit de sa fille, Mme Friday a essayé une stratégie qui consistait à écouter des podcasts loufoques sur la secte dans sa voiture. La secte des Moonies, avec ses mariages de masse arrangés et alimentés par la drogue, a montré jusqu’à quel point les gens pouvaient être dupés sur l’ordre d’un tiers.

Mme Friday a fait remarquer à sa fille que « certaines personnes pensaient que le transgenrisme est une secte », puis elle s’est retirée pour la laisser mijoter.

Mme Friday devait surveiller sa fille en permanence. Elle a confisqué un grand nombre d’appareils, fouillé sa chambre et trouvé de nombreux iPhones sous son matelas. La maman a compris combien sa fille était intelligente : elle possédait deux comptes pour chaque média social. Il y avait l’Instagram que maman regardait et le compte fantôme de ses « amis » transgenres.

Mme Friday est allée jusqu’à appeler sa fille par différents prénoms, notamment des prénoms masculins, parce qu’elle ne voulait pas accepter son prénom féminin.

Cela a pris environ un an et demi. Mais le fait qu’elle ait finalement accepté son prénom a montré qu’elles étaient enfin arrivées à bon port. Face au bombardement incessant de sa mère, le château de cartes transgenre s’est effondré. Mme Friday avait raison : à mesure que la dépression de sa fille s’estompait, l’anxiété qui l’habitait s’est dissipée.

« La dépression a commencé à disparaître, ce qui est très important dans la mesure où l’identité transgenre est une réponse inadaptée à la dépression et à l’anxiété », a expliqué Mme Friday. « Une fois que l’on s’attaque au problème sous-jacent, le transgenrisme disparaît. »

Mme Friday a compris que le problème se résolvait lorsque sa fille a choisi un maillot de bain avant de partir en vacances à Noël en famille.

« J’avais proposé plusieurs maillots de bain différents, dont des shorts et des débardeurs », a expliqué Mme Friday. « Et elle a choisi le bikini qu’elle — oh mon Dieu, je vais pleurer — qu’elle avait l’habitude de me voler quand elle était petite. »

La guerre transgenre fait rage

Pour Mme Friday, cette bataille est gagnée. Mais la guerre se poursuit pour les autres parents, innombrables, dont les enfants sont toujours vulnérables. C’est ainsi que maman ours a poursuivi sa route pour s’enfoncer plus profondément dans le trou du lapin. Elle découvrira qui ou quoi se cache derrière les mutilations et les stérilisations des enfants.

Consciente de l’étiquette « chapeau d’aluminium » qui fait si efficacement taire les interrogations, Mme Friday s’exprime néanmoins en toute franchise : le transgenrisme n’est pas seulement une secte, c’est aussi une source d’argent pour Big Pharma qui gagne des patients à vie grâce à ces enfants qui changent de sexe.

« Il s’agit d’une industrie de 11 milliards de dollars », a précisé Mme Friday. « C’est une hydre à plusieurs têtes. Il y a des gens qui encouragent cette industrie pour des raisons financières ; la communauté médicale et les grandes sociétés pharmaceutiques font pression parce que chaque enfant transidentifié vaut un million ou un million et demi de dollars. Ce sont des patients à vie. »

La promulgation du transgenrisme dans la société en général permet également de procéder à l’abattage délibéré du troupeau, a ajouté la maman.

« C’est de l’eugénisme », a-t-elle déclaré. « Nous disons à un petit garçon qui aime jouer avec des accessoires de filles — encore une fois, un stéréotype régressif — qu’il est forcément une fille. Ainsi, il grandira probablement comme un enfant gay, mais maintenant nous le transformons en fille — ce qui le stérilise — ce qui, une fois de plus, réduit le troupeau. »

En un mot, c’est du marxisme.

La dépravation est encore plus flagrante. Mme Friday nous apprend que ce système favorise la normalisation de la pédophilie, un fantasme qui prolifère dans les bas-fonds de la société : dans la mode, le divertissement, la politique et d’autres cloaques.

Erin se tient debout lors d’un rassemblement de protestation
contre l’idéologie du genre.
(Avec l’aimable autorisation d’Erin Friday)

La destruction de la famille et de notre démocratie est l’objectif ultime, a expliqué Mme Friday, ajoutant que « si tout cela continuait, notre société dans son ensemble pourrait s’effondrer ».

L’ancienne avocate a choisi de ne pas reprendre son travail, mais de rester en première ligne pour se battre. Elle a rejoint Our Duty, un groupe international de parents qui permet aux parents membres d’agir librement dans leur environnement pour lutter contre le transgenrisme. Ils rédigent des lois, témoignent devant les instances gouvernementales et offrent aux parents désespérés un refuge dans un monde devenu fou.

« J’ai passé une bonne année, probablement une année à pleurer », a poursuivi Mme Friday, en parlant de ses motivations. « J’ai traversé une grave dépression, j’ai pensé au suicide parce que je ne pouvais pas regarder ma fille mourir de mille coups et voir le monde entier l’encourager et en être le témoin. »

Elle a transformé son chagrin en action en utilisant sa voix. Alors que certains parents se cachent derrière des pseudonymes, Mme Friday a choisi une tactique différente.

« Je vais me faire l’avocate de mon enfant et lui faire savoir exactement ce que je fais », a-t-elle déclaré. « Je m’exprime maintenant sous mon vrai nom parce qu’il le faut. Ce n’est pas dangereux, ils ne peuvent pas tous nous éliminer. »

Aujourd’hui, Mme Friday fait preuve d’un optimisme prudent pour sa fille. Aujourd’hui âgée de 16 ans, son avenir est loin d’être assuré. Avec l’université qui se profile à l’horizon, des guerriers du genre viendront exercer des pressions, tandis qu’Internet regorge de prédateurs à l’affût. Il n’y a pas d’« endroits sûrs », a expliqué Mme Friday.

Pourtant, elle se risque à une prédiction.

« Je ne pense pas qu’elle sera dénigrée, car elle aime beaucoup son corps de femme », a souligné Mme Friday. « Mais elle s’est fait piéger une fois. Je ne dormirai pas tranquillement tant qu’elle n’aura pas 25 ans et que son lobe frontal ne se sera pas complètement formé. »




Le totalitarisme et les enfants

[Voir aussi :
« Les enfants devraient avoir des partenaires sexuels », affirment l’ONU et l’OMS
et
WOKISME, THÉORIE du GENRE, toutes les dérives de cette Société LGBTQ+ qu’« ILS » veulent nous imposer par tous les moyens…]




Plus Jamais, Épisode 4. « Cette fois, nous sommes tous Juifs » !

[Sources : sentadepuydt.substack.com et @Plusjamais]

[Pour voir les trois épisodes précédents :
« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3]

Mike Yeadon explique pourquoi les vaccins sont une arme de génocide et les Afro-Américains voient le retour de l’esclavage, de la ségrégation et de l’eugénisme.

Par SENTA DEPUYDT

Un plan mondial d’extermination et d’esclavage.

« Cette fois nous sommes tous Juifs », le Dr Zelenko revient en détail sur le plan eugéniste des Rockefeller. Il montre comment ils étaient le principal financier des recherches sur l’eugénisme dans l’Allemagne nazie, jusqu’à financer le fameux docteur Mengele et l’usine d’IG Farben qui a fabriqué le fameux Zyklon B. Il explique aussi comment ils ont ensuite complètement éliminé les médecines et la pharmacopée traditionnelles par l’infiltration et la corruption des universités américaines et l’imposition de médicaments chimiques à base de pétrole. Enfin, il montre comment ils étaient à nouveau à la manœuvre dans le Covid, par exemple en bloquant les traitements à l’hydroxychloroquine.

[Voir aussi :
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Si vous remarquez bien, toutes les initiatives de cette famille ont pour thème l’anéantissement des êtres humains. La raison pour laquelle je m’en prends à cette famille, c’est que la Fondation Rockefeller est encore partout avec ses recherches insensées. Prenons l’exemple d’un des complices de ce génocide, le Dr Rick Bright, qui a saboté l’ordre du président Trump de rendre l’hydroxychloroquine disponible pour chaque Américain par le biais du stock national de médicaments. Il les a littéralement sabotés et a été renvoyé pour insubordination. Eh bien, il travaille maintenant en tant que directeur à la Fondation Rockefeller.

La liste de revenu de base universel est la future liste d’extermination des « bouches inutiles ».

Dr Zelenko met aussi en garde contre les effets « collatéraux » du Grand Reset :

Il y a un thème récurrent : beaucoup de ces grandes familles comme les Rockefeller sont au mieux démoniaques. Elon Musk a présenté ses robots humanoïdes et Yuval Harari a déclaré textuellement que ces robots remplaceraient 90 % de la main-d’œuvre humaine. Par conséquent, nous avons besoin d’un revenu de base universel. Laissez-moi vous dire ce qu’est cette liste de revenus de base universels. Vous pensez que les dégénérés qui ne valorisent pas la vie, qui nous considèrent comme de la vermine, veulent donner de l’argent gratuit à des mangeurs inutiles ?

Note : Elon Musk vient d’obtenir l’autorisation pour tester les implants cérébraux Neuralink sur les êtres humains.

La monnaie numérique des banques centrales (Central Bank Digital Currency) et l’identité numérique sont les deux instruments de la dictature et de l’esclavage

Vera Sharav attire l’attention sur les dangers des « camps de concentration numériques ».

En ce moment, ils poussent la monnaie unique, la monnaie numérique centralisée pour remplacer l’argent liquide. C’est un extrême — cela et la carte d’identité numérique sont les deux méthodes pour pousser tout le monde vers la dictature et l’esclavage, l’esclavage personnel. Si nous optons pour ces deux solutions, c’est perdu d’avance. Ce n’est pas pour rien que, par exemple, l’Union européenne n’a pas fonctionné. Tout le monde pensait que cela permettrait d’éviter les guerres. Mais il s’agissait de petites guerres comparées à celle-ci. Lorsque vous donnez le contrôle mondial à un groupe, il peut détruire la majeure partie du monde, pour un simple caprice, parce qu’il n’a aucun compte à rendre.

C’est une arme fabriquée par l’homme pour changer totalement la société. Et ils ont un nom pour cela : la Grande Réinitialisation, le Nouvel Ordre Mondial. Personne ne nous a demandé si nous voulions changer notre monde et quand d’autres le font à notre place, c’est souvent catastrophique.

C’est également ce que craint Mike Yeadon, sous couvert de passeport vaccinal, d’identité numérique et de monnaie numérique, c’est en réalité un système de contrôle total qui se profile.

S’il n’y a pas d’argent liquide et que tout est numérique, je peux vous assurer que le grand ordinateur dans le ciel sait exactement ce que vous êtes sur le point d’acheter, à qui et où, et s’il ne le veut pas, l’algorithme vous le refusera. Ce ne sera pas personnel. Ils n’auront pas besoin de vous contrôler individuellement. Mais si l’algorithme vous dit : « Vous n’avez pas le droit d’être à plus de huit kilomètres de chez vous », et que vous êtes à huit kilomètres et demi de chez vous et que vous essayez d’acheter une pizza, l’algorithme vous dira : « Désolé, vous ne pouvez pas faire cet achat ».

C’est aussi la fin de la politique. Actuellement en Chine. Ils transforment le passeport vaccinal des gens en rouge sur un simple clic. Ces gens ne peuvent littéralement plus quitter leur immeuble. Ou ils ne peuvent plus monter dans un train parce qu’ils doivent utiliser leur carte d’identité numérique obligatoire pour se déplacer ou que leur compte le leur interdit.

Voilà ce que sont les passeports vaccinaux. Il s’agit d’une répétition de la carte d’identité numérique obligatoire. Vous devrez porter une pièce d’identité numérique à tout moment pour que la machine, peu importe, Skynet sache où vous êtes à chaque instant. Vous n’avez aucune liberté. Vous ne pouvez plus jamais décider de votre propre droit d’être où que ce soit ou de faire quoi que ce soit. Le pire, c’est qu’une fois en place, vous ne pouvez pas vous y opposer. Vous ne pouvez pas voter contre. Vous ne pouvez pas faire campagne sur ce thème. On ne pourra pas l’arrêter. Ne laissez pas cela se produire. Je pense que tout cela est proche, très proche maintenant.

Note : L’Union européenne avance bon train sur son programme d’identité numérique européenne.

Mike Yeadon est parmi les personnes plus qualifiées pour comprendre ce qui se passe réellement :

Je suis diplômé en biochimie et en toxicologie. J’ai un doctorat en pharmacologie respiratoire, c’est-à-dire l’étude des médicaments sur la respiration des mammifères. Ensuite, j’ai travaillé pendant 32 ans pour la Recherche et le Développement en biopharmaceutique. Je suis un chercheur, et jusqu’en 2011, j’étais responsable de la recherche mondiale pour le groupe Allergie et Pneumologie de Pfizer. Mon travail s’étendait de l’idée du développement d’un médicament jusqu’à la preuve de concept chez les patients.

Au début de l’interview il explique comment chaque mesure de réponse la pandémie a été un mauvais choix intentionnel, basé sur des fraudes scientifiques.

Toutes les mesures imposées, y compris les confinements et les masques, n’ont rien faire d’utile. Les personnes qui n’ont pas de symptômes, par exemple, ne peuvent pas infecter une autre personne. Cette idée de séparer les gens les uns des autres est totalement absurde. Même les médecins de plateau doivent savoir que ce que je viens de dire est vrai. Si vous vous portez parfaitement bien et que vous n’avez pas de symptômes, vous ne pouvez pas transmettre une maladie que vous n’avez pas à quelqu’un d’autre. Tout de même, il faut reste sérieux !

Non, vous n’avez pas besoin de vous éloigner de quelqu’un d’autre. On n’a jamais eu besoin de le faire. C’était un mensonge pour séparer les gens. Pourquoi ? Pour les empêcher de parler entre eux. Sinon : « Ils auraient discuté et ils auraient compris ». Ils savaient que s’ils ne séparaient pas les gens au cours des premières semaines, ça n’aurait pas marché.

Quant aux masques, ils répètent qu’ils ne servent à rien et que leur usage prolongé représente plutôt un danger pour la santé.

Ils ne filtrent rien dans les voies respiratoires. Ce sont tout au plus des protections contre les éclaboussures. Les personnes qui portent des masques en tissu toute la journée, jour après jour après jour, ça arrive, portent l’équivalent d’un sous-vêtement sale. Le masque devient littéralement une boîte de Petri où se développent des bactéries, des champignons. Et devinez quoi ? Vous les respirez dans vos voies respiratoires et si vous n’avez pas de chance, elles s’incrustent.

Mais surtout il démontre de manière édifiante comment et pourquoi les vaccins à base de la protéine Spike sont dangereux.

Mike Yeadon soulève alors une question extrêmement lourde de conséquences :

Pourquoi tous les fabricants de vaccins Covid, ont-ils choisi d’utiliser la protéine Spike pour leur vaccin, la protéine qui est l’agent toxique dans la maladie, alors que d’autres protéines de Coronavirus (inoffensives) auraient pu être utilisées ?

On peut décomposer le virus en six ou sept petits éléments. Si vous les aviez devant vous sur la table, ces morceaux de l’agent pathogène, et que vous vous demandiez : « Quels sont les critères de choix pour en sélectionner un pour le vaccin ? », vous seriez probablement d’accord avec ce raisonnement : « Le virus est un agent pathogène, ne prenons pas l’élément qui est toxique en soi ».

Le seul élément qui produit des effets indésirables importants, dans toutes les espèces testées, est la protéine Spike. Elle est vraiment mauvaise. Elle a des conséquences neurologiques néfastes. Elle peut déclencher l’activation des plaquettes, ce qui peut conduire à la formation de caillots sanguins et à de nombreuses autres choses.

Devinez lequel ils ont choisi ? La protéine Spike !

Les quatre entreprises ont choisi la protéine Spike. Si vous et moi dirigions des séances de brainstorming concurrentes dans différentes parties de l’entreprise, sur la manière de concevoir ce vaccin, vous et moi — je ne peux pas croire que l’un d’entre nous quitterait ces salles de réunion en choisissant la protéine Spike comme réponse. Je suis sûr que vous diriez : « Ne choisissez pas quelque chose qui, une fois exprimé dans le corps humain, pourrait être toxique. »

Quatre entreprises, à mon avis, ont choisi la mauvaise réponse, la réponse contraire à la sécurité, à chaque fois ! Et je crains, mesdames et messieurs, que ce ne soit pas de la chance. Vous n’êtes pas stupides. C’est délibéré. Je pense que c’est coordonné et qu’il s’agit d’une malversation. Vous devez savoir que ce que vous avez fait est mal. Vous devez savoir.

À ses yeux, il n’y a aucun doute qu’il s’agit d’un agissement criminel, et que ces injections sont une arme biologique.

Il adresse une mise en garde publique à trois de ses anciens collègues, directeurs scientifiques des laboratoires ayant fabriqué des vaccins Covid :

Il vous faut démissionner, passer aux aveux, me débattre ou de me poursuivre en justice. Vous êtes responsable d’une activité criminelle. Faites au moins l’une des quatre choses que je viens de citer, ou vous êtes un lâche !

Chez AstraZeneca, Sir Menelas Pangalos

Bonjour Mene, nous avons travaillé ensemble chez Pfizer il y a quelque temps et vous sembliez être un homme raisonnable. Que faites-vous à présent ? Votre entreprise fabrique, une fois de plus, une expérience humaine mal testée, épouvantablement conçue et inappropriée, qui enfreint le code de Nuremberg comme les autres.

Note : comme la plupart des serviteurs du génocide de l’élite globale, Menelas Pangalos a reçu les honneurs publics, en l’occurrence, il a été anobli par le prince William du Royaume-Uni.

Mathai Mammen, Johnson & Johnson

Bonjour Mathai, il est temps que tu avoues, que tu démissionnes ou que tu débattes avec moi. Parce que vous ne pouvez pas vous cacher derrière l’idée que les choses dont je viens de parler avec Vera ne sont pas correctes et que vous êtes responsable de ce vaccin qui nuit aux gens. Il tue des gens

Note : Mathai Mammen a démissionné peu après, le 8 août 2022.

James Merson, Pfizer

Au sein de mon ancien employeur Pfizer que j’ai quitté en très bons termes, j’ai adoré travailler chez Pfizer, je salue donc le Dr James Merson. Il a occupé le bureau voisin du mien pendant des années. Il était vice-président senior et responsable de la recherche sur les vaccins.

Alors James, il est temps de démissionner, d’avouer, de débattre avec moi ou de me poursuivre en justice. Tu dois faire l’une de ces quatre choses, car tous les auditeurs savent que ce que je dis est vrai.

Vous savez quoi ? Un mensonge déteste être remis en question. La vérité, elle, ne craint pas d’être confrontée. Si vous étiez assez nombreux à démissionner d’un seul coup, vous y mettriez fin. Je pense que vous pourriez sauver le monde si dix cadres supérieurs de la R&D, de n’importe laquelle de ces entreprises, rédigeaient une lettre ouverte de trois paragraphes et démissionnaient. Vous y mettriez fin.

Andrew Barr est historien et il a démarré l’association « Jews For Justice » pour parler des violations actuelles du code de Nuremberg et des similitudes avec le passé, en particulier avec le traitement réservé aux personnes non vaccinées et le traitement des Juifs dans l’Allemagne nazie. En tant que descendant de victimes de l’Holocauste, il lui semble nécessaire d’avoir un débat entre Juifs.

Les seules personnes qui peuvent nous dire de nous taire sont d’autres Juifs, et nous aurons alors un débat.

Ici, en Grande-Bretagne, le COVID a été annoncé le 23 février, lorsque le Premier ministre a soudainement levé toutes les restrictions. La guerre en Ukraine a commencé le 24 février, une coïncidence étonnante. Mon point de vue sur la politique COVID tend à être qu’il s’agissait d’un test d’obéissance massif…

L’objectif est de conditionner la population pour qu’elle laisse le gouvernement lui imposer des choses qu’elle n’aurait jamais acceptées autrement. Après les avoir poussés si loin, les gouvernements peuvent faire marche arrière, mais ils peuvent recommencer. Ils ont établi le principe. C’est ce qui est effrayant. Non pas que cela se produira nécessairement pour une autre maladie, mais le principe de forcer les gens à faire ce que l’on veut qu’ils fassent est établi.

Beaucoup de gens ont complètement perdu confiance dans le corps médical, ainsi que, évidemment, dans les médias. Israël a une longue histoire de vente de ses citoyens aux sociétés pharmaceutiques des États-Unis et au complexe pharmaceutique américain pour qu’ils fassent l’objet d’expériences. Il y a le scandale de la teigne, qui impliquait l’exposition de Juifs séfarades à des doses massives de radiations, soi-disant pour traiter la teigne, mais en fait c’était une expérience pour voir quel niveau de radiations ils pourraient tolérer. Dans les années 1950, à une époque où Israël était un pays incroyablement pauvre, les États-Unis leur ont donné plusieurs fois leur budget annuel pour soumettre les Juifs séfarades à cette horrible expérience.

Je ne sais pas si vous avez eu les mêmes informations aux États-Unis, mais les médias grand public britanniques ont fait état de ce nouveau phénomène du « syndrome de la mort subite de l’adulte », un phénomène inexplicable d’adultes qui tombent soudainement raides morts. Quelle pourrait en être la cause ? Ils n’en ont aucune idée. Il faut enquêter sur ce phénomène. Mais je parie qu’il y a une cause qui ne sera pas étudiée. Comme le fait que lorsqu’ils étaient censés fermer tout le pays au printemps 2020 pour protéger toutes les personnes âgées, en réalité ils assassinaient toutes les personnes âgées en leur donnant du midazolam (ndlr : proche du Rivotril) et de la morphine.

Kevin Jenkins est co-président de la Fondation du Dr Zelenko. Il se bat contre les oligarques parce qu’il estime que c’est LA bataille de l’humanité.

Ce combat est le nôtre. Il est temps pour nous de sortir et de nous battre pour nos enfants, parce que je pense que c’est la chose la plus importante. Leur laisser un endroit où ils peuvent être libres et comprendre que la souveraineté de leur corps et leur droit de choisir est « Mon corps, mon choix ».

Nous devons maintenant arrêter cette industrie maléfique et ses partenaires, le système monétaire et les grandes entreprises technologiques.

Nous avons du pain sur la planche. On nous a menti. Nous ne nous laisserons pas transformer en marchandise. Nous nous battrons contre cet esclavage mondial. Nous continuerons à éduquer les gens. Nous allons nous battre pour nos enfants, pour cette terre et pour ce pays.

C’est facile pour moi de le dire parce que je suis un Noir américain et que je comprends l’esclavage. Une meilleure compréhension de l’histoire m’a permis de voir les choses plus rapidement.

Pour moi le pass, je l’ai appelé le passeport de l’esclavage depuis le début. Il y a 60 ans, je ne pouvais pas rentrer dans un magasin parce que « je n’étais pas propre »…

Pensez à la communauté juive, à la communauté noire, aux personnes qui ont vécu dans la Russie communiste, aux personnes qui ont vécu dans le monde entier. Pensez à la façon dont ils ont vraiment oublié les horreurs que leurs ancêtres ont vécues, que leurs ancêtres ont vécues en abandonnant leur corps et en renonçant à leur liberté simplement pour dire : « Regardez-moi, je suis propre. Je suis propre. » C’est déchirant.

Dr Aaron Lewis est un évêque protestant, afro-américain et juif. Il a été éduqué dans la religion protestante tout en étant très proche de la religion et de la communauté juive hassidique de Brooklyn, dont ses grands-parents faisaient partie.

Il rappelle qu’une des leçons les plus importantes à retenir de l’Holocauste, c’est de ne pas assister à l’horreur en silence :

Lorsque je pense à l’Holocauste et à ses leçons — l’une d’entre elles étant que le silence était dangereux, traître — cela m’a toujours poussé à dire quelque chose, à faire une déclaration, à prendre les mesures nécessaires pour ne pas dire, à un moment donné de ma vie : « J’aurais aimé avoir fait ceci. J’aurais aimé dire ceci. J’aurais pu sauver cette vie, mais je n’ai rien fait ». Je ne veux pas que ce soit l’épitaphe sur ma pierre tombale. Je veux que ce soit : « Il a agi. À défaut d’autre chose, il a agi. » Aujourd’hui, tout mon temps est consacré à sauver des vies.

Il insiste aussi sur l’importance de faire comprendre ce qui se déroule en ce moment :

L’une de mes abolitionnistes préférées de l’histoire est Harriet Tubman. Je l’adore. Elle a dit : « J’ai libéré des milliers d’esclaves. » Et elle a ajouté : « J’aurais pu en libérer des milliers d’autres si seulement ils avaient su qu’ils étaient des esclaves. »

C’est une déclaration puissante parce que je crois que c’est là où nous en sommes aujourd’hui. Nous sommes à un moment où les gens ne savent même pas ce qui se passe. Ils sont dans le déni le plus total. Ils ne relient même pas les points entre eux. Ils ignorent complètement les signes flagrants de ce qui se passe dans la société. Même avec la propagande, la personne moyenne d’aujourd’hui ne comprendrait pas à quel point ce que nous vivons aujourd’hui est un parallèle direct avec ce que nous vivions dans les années trente et quarante. Et c’est effrayant, car si nous faisions attention à ce qui s’est passé, nous pourrions éviter ce qui se passe aujourd’hui.

C’est le même film que l’on rejoue aujourd’hui…






Le Gardasil inutile et dangereux — Témoignage

[Source : Jean Jacques Bourguignon]

L’histoire de la famille Bourguignon et l’histoire d’Adriana décédée suite à ce vaccin.





France — La Cour des comptes veut limiter à 500 gr par semaine la consommation de viande rouge

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Heureusement il y a les insectes et la production de tumeurs cancéreuses en labo pour remplacer

Élevage bovin : la Cour des comptes recommande « une réduction importante du cheptel »

Le respect des engagements de la France en matière de réduction des émissions de méthane (souscrits dans l’accord international Global Methane Pledge) appelle nécessairement une réduction importante du cheptel », note en effet la Cour des comptes – sans donner de chiffre précis —, qui souligne que l’élevage bovin est « responsable en France de 11,8 % des émissions d’équivalents CO2, comparables à celles des bâtiments résidentiels du pays », principalement à cause du méthane produit lors de la digestion des animaux.

« Cette réduction peut être aisément conciliée avec les besoins en nutrition des Français, un tiers d’entre eux consommant davantage que le plafond de 500 g par semaine de viande rouge préconisé par le plan national nutrition santé », pointe-t-il.(([1] https://www.lefigaro.fr/conjoncture/elevage-bovin-la-cour-des-comptes-recommande-une-reduction-importante-du-cheptel-20230522))

Miracle, en même temps, l’Europe autorise la consommation de grillons, vers de farine et criquets migrateurs.

Bill Gates et ses alliés du Forum économique mondial (WEF) ont fortement poussé le public à passer à la viande cultivée en laboratoire en arguant qu’elle aide à lutter contre le « changement climatique ».

Le principe de production, la multiplication des cellules n’est rien d’autre que celui du développement des tumeurs cancéreuses

Les cellules sont placées dans des boîtes de Petri avec un « milieu de croissance » comprenant des nutriments tels que des acides aminés, du glucose, des vitamines et des sels inorganiques.

Ceci est complété par des facteurs de croissance et d’autres protéines pour aider les cellules musculaires à se multiplier et à se développer.

Ils sont autorisés à proliférer comme le feraient des tumeurs cancéreuses à l’intérieur d’un animal jusqu’à ce qu’il y ait des milliards de cellules.

Dans une interview de 2021 avec MIT Technology Review, Gates a fait valoir que « tous les pays riches devraient passer au bœuf 100 % synthétique » dans le but d’atteindre les objectifs de l’agenda vert du WEF.

Pour en sourire, regardez :

Partie 1 : https://vimeo.com/124391891 Partie 2 : https://vimeo.com/124392955

LA PRODUCTION DE VIANDE DE LIMOUSIN NÉCESSITÉ SEULEMENT L’EAU QUI TOMBE DU CIEL SUR LES PRAIRIES ET QUI TOMBERA MÊME SI LES BŒUFS DISPARAISSENT

Produire 1 livre de viande de bœuf prend moins d’eau que produire 1 libre d’avocats ou 1 livre de noix. Le mythe du 10 000 litres d’eau par livre de bœuf : c’est 95 % de l’eau de pluie qui tomberait quand même. Ce que vous ne lirez jamais dans nos médias Wokes.

Encore une arnaque mathématique qui consiste à comparer de l’eau et des fibres végétales faiblement nourrissantes à de la viande. Et bien sûr en fait les bilans carbone d’une alimentation très végétalisée ne sont pas meilleurs.




Les pédiatres poussent les « vaccins » à cause de l’argent des pots-de-vin de Big Pharma — voici la preuve

[Source : naturalnews.com]

[Traduction : information645]

Une grande révélation qui est sortie de la « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19) concerne la relation incestueuse et tournante entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique. Les hôpitaux et autres établissements de soins de santé, nous le savons maintenant, ont été incités par le gouvernement à assassiner essentiellement leurs patients en échange d’argent de Big Pharma, un petit arrangement confortable qui semble également être vrai pour les pédiatres qui reçoivent des pots-de-vin pour pousser les vaccins infantiles sur leurs patients.

Ce ne sont pas seulement les « vaccins » COVID que la médecine occidentale continue de pousser sur le public en échange de l’argent de l’industrie pharmaceutique, mais tous les vaccins. Et comme la plupart des vaccins sont administrés aux enfants par des pédiatres, il est important de ne pas négliger le fait que ce stratagème de corruption dure depuis des décennies et n’est pas seulement apparu comme un produit du covid.

Une étude de 1999 publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) a révélé que le nombre moyen de patients pour un pédiatre américain, du moins à l’époque, était de 1 546 — et « significativement plus élevé dans les zones moins peuplées et les cabinets en solo ». Un patient pédiatrique sur quatre à la même époque avait deux ans ou moins.

Des données plus récentes de 2021 montrent que 75 % des pédiatres américains ont entre 1 000 et 1 800 patients, ce qui suggère que peu de choses ont changé. Ce qui a changé, c’est la révélation en 2016 que les pédiatres reçoivent environ 400 $ par patient pédiatrique qui reçoit les 10 vaccins suivants, soit 25 doses au total, avant son deuxième anniversaire :

  1. Vaccin DCaT
  2. Vaccin VPI
  3. vaccin ROR
  4. Vaccin VZV
  5. Vaccins HiB
  6. Vaccins contre l’hépatite B
  7. Vaccins PCV
  8. Vaccin contre l’hépatite A
  9. Vaccins contre le RV
  10. Vaccins contre la grippe

Ce chiffre de 400 $ provient d’un document publié par Blue Cross Blue Shield (BCBS) qui a finalement été divulgué aux journalistes.

« En utilisant les statistiques moyennes de 1999, si un pédiatre a 1 000 patients, on peut s’attendre à ce que 264 aient 2 ans ou moins », rapporte le rapport Discern. « Si tous sont complètement vaccinés, le pédiatre serait éligible à une prime de fin d’année de 105 600 $. »

(En relation : Certains pédiatres américains sont des toiletteurs d’enfants déguisés qui font sortir les parents de la pièce avant de pousser le transgenre sur leurs enfants innocents.)

Si les pédiatres ne parviennent pas à atteindre les calendriers de vaccination « cibles » du BCBS, ils ne reçoivent RIEN en termes de pots-de-vin.

Afin de recevoir de l’argent du BCBS, un pédiatre doit au moins atteindre un niveau « cible » de 63 % des vaccins ci-dessus. Si un pédiatre n’obtient que 62 % de conformité à la vaccination ou moins, il ne reçoit rien du BCBS.

Donc, comme vous pouvez le voir, il y a une forte incitation pour les pédiatres américains à pousser autant d’injections de vaccins que possible sur les enfants par l’intermédiaire de leurs parents — parce que s’il y a trop d’« anti-vaxxers » inscrits dans un cabinet médical donné, alors le pédiatre qui le dirige ne gagnera pas d’argent de pot-de-vin supplémentaire.

Cela expliquerait pourquoi certaines des cliniques pédiatriques les plus sordides n’accepteront même pas les enfants non vaccinés. Les parents ont rencontré des panneaux de porte leur disant de se démener s’ils ne prévoient pas de piquer leurs enfants, et il y a de fortes chances que les bureaux en question veuillent cet argent de pot-de-vin doux des compagnies d’assurance et de l’industrie pharmaceutique.

Le marché noir de la drogue n’est même pas à la hauteur de l’activité criminelle comme celle-ci qui sévit dans le racket légal de la drogue. Les médecins, pédiatres, pharmaciens et autres membres du cartel des blouses blanches atteignent largement certains quotas ou perdent leur part du butin de la corruption.

« De telles incitations… finissent par forcer un médecin à considérer les implications financières de l’acceptation de patients qui veulent simplement se retirer d’un vaccin », prévient le Dr Bob Sears à propos du racket légal de la drogue.

« Peut-être que quelques-unes de ces familles ne les feraient pas échouer aux examens des cartes, mais s’ils en ont trop, il y a leur prime de fin d’année. »

Les dernières nouvelles sur la corruption fasciste de Big Pharma, Big Government et du système de médecine occidentale peuvent être trouvées sur BadMedicine.news.

Les sources de cet article incluent :

DiscernerReport.com
NaturalNews.com




Les propositions de l’OMS menacent la relation médecin-patient et l’autonomie personnelle

[Source : childrenshealthdefense.org]

[Traduction : Turiuya]

Le traité de l’Organisation mondiale de la santé sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international menacent la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle, ont déclaré des experts au Defender.

Note de l’éditeur : Voici la deuxième partie d’une série de deux articles sur la manière dont le traité sur les pandémies proposé par l’Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international pourraient priver les nations et les peuples de leur souveraineté en matière de prise de décision dans le domaine de la santé.

Lire la première partie ici [en anglais].

Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’apprête à convoquer son Assemblée mondiale de la santé annuelle du 21 au 30 mai, la controverse se poursuit autour de deux instruments proposés à l’ordre du jour : le traité sur les pandémies et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI).

La plupart des critiques formulées à l’encontre de ces deux instruments portent sur la menace qu’ils font peser sur la souveraineté nationale.

Mais des experts ont déclaré au Defender que ces propositions menaçaient également la souveraineté médicale personnelle, y compris la relation médecin-patient, la liberté médicale et l’autonomie personnelle.

« Ces instruments s’injecteraient eux-mêmes et interrompraient la relation médecin-patient », a déclaré l’avocate Reggie Littlejohn.

« L’OMS dira quels sont les traitements “corrects” et quels sont les traitements “incorrects”, ce qui constitue une abrogation de la souveraineté. »

Mme Littlejohn, cofondatrice de la Sovereignty Coalition, fondatrice et présidente de Women’s Rights Without Frontiers et coprésidente de la Task Force Stop Vaccine Passports, a déclaré au Defender :

« Un groupe de bureaucrates étrangers non élus ne devrait pas dire aux États-Unis ou à tout autre pays comment gérer nos problèmes de santé. »

Selon le Dr David Bell, médecin de santé publique et consultant en biotechnologie, ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund :

« C’est exactement ce que nous avons vu dans l’affaire COVID, où, pour la première fois à ma connaissance, des gouvernements ont interdit des médicaments parfaitement sûrs.

Ce n’est pas la première fois que l’on impose des vaccins, mais c’est la première fois que l’on impose des vaccins à l’ensemble de la population, et c’est la première fois que l’on interdit des médicaments sûrs, que l’on interdit aux médecins de faire ce qu’ils considèrent comme le meilleur pour le patient. »

Le Dr Meryl Nass, interniste et épidémiologiste spécialiste des guerres biologiques, membre du comité consultatif scientifique de la Children’s Health Defense, a déclaré que les amendements proposés au RSI comprenaient une disposition permettant au directeur général de l’OMS de « convoquer un comité d’urgence » qui pourrait ordonner aux pays de ne pas administrer certains traitements.

Selon Francis Boyle, J. D., Ph.D., professeur de droit international à l’université de l’Illinois et expert en armes biologiques qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act (loi antiterroriste sur les armes biologiques) de 1989, les autorités locales et étatiques des États-Unis seraient obligées de suivre les diktats de l’OMS.

En contournant le 10e amendement de la Constitution des États-Unis, « les autorités locales et étatiques seraient obligées d’obéir à toutes les décisions émanant de ce nouvel organe créé par le traité sur la pandémie. Et cela pourrait aller jusqu’à donner des ordres à votre médecin traitant, qu’il serait obligé d’obéir », a déclaré M. Boyle.

Selon M. Bell, les médecins se trouveraient ainsi dans la position de suivre les instructions du « gouvernement et des autorités supérieures » et d’en être « les instruments, plutôt que de traiter avec un patient en face d’eux, comme le veut la relation médecin-patient, où l’on examine le patient et où l’on prend des décisions sur la base d’une discussion avec le patient ».

« Elle fait des médecins des organes de l’État et de l’OMS plutôt que des entités indépendantes qui s’occupent des soins de santé d’un patient », a ajouté M. Bell.

Le Dr Katarina Lindley, présidente de l’Association texane des médecins et chirurgiens américains et directrice du Global COVID Summit, a déclaré au Defender : « L’une des raisons pour lesquelles je suis opposée à l’initiative de One Health [“Une seule santé”], un seul monde, c’est que je ne crois pas à la “taille unique”… même pendant la COVID ou le processus normal de la maladie… il faut adapter l’approche du traitement en fonction du patient ».

Le Dr Karladine Graves, médecin de famille, a déclaré que l’autorité de l’OMS pour dicter des conseils médicaux est compromise par ses liens avec Big Pharma [les grandes entreprises pharmaceutiques]. Elle a dit :

« L’OMS est largement financée par l’industrie pharmaceutique ainsi que par des groupes privés tels que la Fondation Bill & Melinda Gates. Si le traité de l’OMS et les amendements au RSI sont adoptés, l’OMS ne sera plus un organe consultatif pour les 194 pays membres des Nations unies, mais plutôt un organe directeur sans responsabilité qui imposera tous les protocoles de soins de santé ainsi que les médicaments disponibles uniquement sous sa direction.

Cela signifie que les médecins privés n’auront pas la possibilité d’utiliser d’autres traitements que ceux “approuvés” directement par l’OMS… Les patients n’auront pas leur mot à dire sur leurs soins médicaux et éventuellement sur l’accès aux soins. »

M. Lindley a prévenu que les instruments proposés par l’OMS pourraient déboucher sur un large éventail de mandats, notamment « la fermeture des frontières, l’approbation de certains traitements seulement, d’éventuelles nouvelles vaccinations, des passeports numériques et tout le reste ».

De même, M. Bell a mis en garde contre le fait que les instruments pourraient donner lieu à des vaccinations forcées ou contraignantes, déclarant à The Defender que « l’observation purement forcée d’une procédure médicale » observée lors de la pandémie de COVID-19 « est ce à quoi nous nous attendons avec le traité sur les pandémies, qui continuera à se produire ».

Les propositions de l’OMS sont liées à la demande d’une carte d’identité numérique mondiale

Selon M. Boyle, l’OMS affirme que le traité sur les pandémies ne sera pas voté par l’Assemblée mondiale de la santé avant mai 2024, mais « nous ne savons pas si c’est vrai ou non. La dernière version du traité que j’ai examinée pourrait être prête à la fin du mois. Nous n’en savons rien. »

M. Boyle a déclaré que les amendements au RSI « seront certainement prêts d’ici la fin du mois ».

L’auteur et animateur de podcast Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy et cofondateur de la Sovereignty Coalition, a déclaré :

« Un certain nombre de choses ont été très préoccupantes, en particulier le fait que nous n’avons pas eu un niveau de transparence adéquat. »

« Dans l’ensemble, ils ont été très déterminés à le dissimuler, ce qui soulève des questions quant à leurs motivations », a ajouté M. Gaffney. « Ce à quoi nous avons affaire, c’est à un effort concerté de la part de toutes les parties que j’ai mentionnées pour remplacer les États-Unis en tant que nation souveraine par un nouvel ordre mondial qu’ils commercialisent sous l’euphémisme de gouvernance mondiale. »

Dans ce nouvel ordre mondial, a déclaré M. Gaffney,

« nous ne serions qu’une autre sorte de composant […] et notre souveraineté, notre constitution et nos libertés seraient toutes soumises aux autorisations des autres. Et ces autorisations seraient certainement limitées, voire refusées, sur la base d’éléments tels qu’une carte d’identité mondiale ».

Selon M. Gaffney, un système d’identification numérique mondial « serait présenté comme un moyen de contrôler la santé publique dans le monde entier », mais il permettrait en fait de « réaliser une opération de surveillance de notre peuple, parmi d’autres, dans le monde entier ».

Journaliste et chercheur indépendant James Roguski a déclaré au Defender que « la partie sournoise » des amendements proposés au RSI est une disposition relative à un réseau mondial de certification de la sécurité sanitaire numérique qui créerait non seulement des passeports vaccinaux numériques, mais l’étendrait également à des certificats de test, de récupération ou de prophylaxie ».

Cela pourrait constituer un confinement de fait pour ceux qui n’ont pas ces documents.

« S’ils parviennent à ce que chaque pays accepte de restreindre les déplacements des étrangers, alors tout le monde sera bloqué », a déclaré M. Roguski.

Si un pays comme les États-Unis ne souhaitait pas adhérer à ce réseau mondial de certification, M. Roguski a déclaré que ses citoyens pourraient être « piégés », car d’autres pays continueraient à imposer les certificats comme condition d’entrée sur leur territoire.

M. Gaffney a déclaré qu’un certificat numérique global « devient le véhicule parfait pour mettre toutes vos données sur cette pièce d’identité et l’utiliser comme le fait le Parti communiste chinois dans son système de crédit social ».

Cela permettrait aux autorités gouvernementales et mondiales « non seulement de surveiller ou de contrôler, mais aussi de contrôler les détenteurs de ces cartes d’identité et de les utiliser pour appliquer non seulement leurs mandats en matière de santé, mais aussi tout ce qu’ils veulent faire… y compris l’accès à votre argent, à vos voyages ou à vos possibilités d’emploi », selon M. Gaffney.

M. Gaffney a rappelé que l’OMS avait déjà montré les dents lors de la pandémie de COVID-19, même si ses recommandations aux pays n’étaient pas contraignantes.

« Je pense que la plupart d’entre nous ne pensent pas que les choses se soient bien passées », a déclaré M. Gaffney. « Les mensonges de l’OMS sur les origines du virus, sa nature, sa transmissibilité et la réponse à y apporter ont causé un tort incalculable à notre pays. »

« Ce qu’elle a imposé, c’est le modèle chinois, a déclaré M. Gaffney, c’est-à-dire les masques, les quarantaines, les enfermements et les vaccinations avec des thérapies géniques insuffisamment testées, et le moyen numérique d’imposer ces mandats par le biais du passeport vaccinal. »

Il a ajouté :

« Nous avons vu comment cela fonctionnait, même si l’OMS ne disposait que d’une autorité consultative. C’était un avertissement… de ce qui pourrait nous arriver si cette organisation avait l’autorité qu’elle cherche maintenant à obtenir, pour nous dicter ce qu’est une PHEIC, une urgence de santé publique de portée internationale [Public Health Emergency of International Concern], ou comment nous devons y répondre. »

Mme Littlejohn a fait remarquer que les amendements proposés au RSI prévoient un « comité de mise en œuvre » et un « comité de conformité », et que l’OMS et les gouvernements nationaux pourraient utiliser le mécanisme de surveillance qu’ils prévoient de mettre en place comme sanction potentielle en cas de non-conformité.

« Ils vont surveiller votre compte de médias sociaux et si vous dites des choses qui vont à l’encontre du décret de l’OMS… ils pourraient vous retirer des médias sociaux et vous priver de vos cartes de crédit et de votre compte en banque », a-t-elle déclaré.

« Ces mondialistes, ainsi que le WEF [World Economic Forum (Forum Économique Mondial)] et la Banque mondiale, pourraient imposer des sanctions économiques sévères aux pays qui ne suivent pas le mouvement », a déclaré Mme Littlejohn. « Surtout si nous avons une monnaie numérique de banque centrale globale… si nous avons un président qui s’y oppose, ils pourraient essayer de nous couper les vivres. »

Experts : Les États-Unis et d’autres pays doivent quitter l’OMS

Selon les experts, le meilleur moyen d’empêcher la mise en œuvre d’un éventuel traité sur les pandémies et/ou des amendements proposés au RSI est que les États-nations, y compris les États-Unis, quittent l’OMS.

M. Gaffney, décrivant les négociations sur les deux instruments proposés comme un « jeu truqué » qu’il est « peu probable d’arrêter », a déclaré que cela avait incité la Sovereignty Coalition à « adopter la position selon laquelle ce que nous devons faire, c’est sortir de l’OMS ».

M. Roguski, qui a lancé le site ExitTheWHO.com, a déclaré que l’OMS pourrait ne pas attendre l’approbation formelle des deux instruments.

Il s’est référé à un document de l’OMS intitulé « Rapport O », qui « utilise des termes tels que : ils rendent opérationnelles les choses qui sont négociées… ils construisent simplement les systèmes, ils le font ».

Par exemple, M. Roguski a déclaré :

« Ils sont en train de mettre en place un réseau mondial de certification en matière de santé numérique, sans traité ni amendement. Ils ne font que cela. Qui va les arrêter ?

Ils sont occupés à mettre en place le système de prestations d’accès aux pathogènes. Ils veulent développer le réseau logistique. Tout ce que vous pouvez imaginer, ils sont en train de l’opérationnaliser de sorte qu’au moment de signer un traité, ils pourront dire : oh, regardez, nous avons déjà ce réseau en place dans le monde entier. »

M. Roguski a également déclaré au Defender que les négociations en cours concernant les amendements au RSI comprennent une proposition qui pourrait permettre à l’OMS de prétendre que ce sont les États-nations eux-mêmes qui mettent en œuvre les obligations de l’OMS, plutôt que l’OMS elle-même.

Selon les amendements proposés pour l’article 4 du RSI, soumis par la Russie :

« Les États parties adoptent ou adaptent la législation afin de doter les points focaux nationaux RSI de l’autorité et des ressources nécessaires à l’exercice de leurs fonctions, en définissant clairement les tâches et la fonction de l’entité jouant le rôle de point focal national RSI dans la mise en œuvre des obligations prévues par le présent règlement. »

Par conséquent, « l’Organisation mondiale de la santé n’aura pas besoin d’appliquer directement les règlements. Le “point focal national RSI” sera autorisé à mettre en œuvre les obligations découlant de la réglementation », a déclaré M. Roguski.

Il a ajouté :

« Cela répond directement à la question de savoir comment les amendements seraient appliqués… par la législation, la réglementation ou les ordres exécutifs dans chaque nation.

Nos propres bureaucraties seraient susceptibles d’essayer d’appliquer les futurs diktats de l’OMS de la même manière qu’elles ont essayé d’appliquer les “recommandations” de l’OMS au cours des trois dernières années — sauf qu’elles pourraient invoquer des obligations internationales et une autorité nouvellement légiférée. »

Aux États-Unis, par exemple, « le centre d’opérations du secrétaire à la santé et aux services sociaux est le “point focal national” chargé de signaler les événements à l’OMS » et devrait jouer ce rôle dans le cadre de la mise en œuvre du RSI modifié, a fait remarquer M. Roguski.

M. Boyle : la loi sur le retrait de l’OMS nous protégerait

M. Boyle a déclaré au Defender que le départ des États-Unis de l’OMS pourrait se faire par le biais d’une proposition de loi, la loi sur le retrait de l’OMS, actuellement examinée par le Congrès.

Parrainée par le député Andy Biggs (R-Ariz.), elle retire les États-Unis de l’OMS, met fin à tout financement américain de l’OMS et « révoque cette résolution conjointe du Congrès ».

« Je pense que si nous obtenions cette législation, ce serait terminé et nous serions protégés », a déclaré M. Boyle, ajoutant que les États et les collectivités locales s’opposent de plus en plus aux instruments proposés par l’OMS. Il a cité, par exemple, le comté de Collier, en Floride, qui a « adopté une ordonnance et une résolution » à cet effet.

Mme Littlejohn a indiqué que le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) avait parrainé la loi « No WHO Pandemic Preparedness Treaty Without Senate Approval Act », qui exige que tout traité adopté par l’OMS ne soit mis en œuvre qu’« avec l’avis et le consentement du Sénat ».

Toutefois, selon Mme Littlejohn, « le Sénat lui-même l’a rejeté », selon les lignes de parti.

Mais cette proposition de législation « ne ferait pas l’affaire » de toute façon, a déclaré M. Boyle, en raison de l’ensemble des documents et des dispositions légales en vigueur. Selon M. Boyle, « la législation récemment introduite par le député Biggs, qui vise à mettre fin immédiatement à l’adhésion des États-Unis à l’OMS, fera l’affaire ».

M. Boyle a déclaré que les républicains de la Chambre ont le pouvoir d’agir ainsi parce qu’ils « contrôlent la Chambre, ce qui signifie qu’ils contrôlent le budget et les crédits ». Par conséquent, « ils peuvent utiliser ce contrôle pour faire pression sur l’OMS dans ce domaine ».

M. Gaffney a déclaré que la Sovereignty Coalition a recommandé « que le gouvernement américain cesse de financer l’OMS [and] et notifie officiellement son retrait de l’organisation ».

Bien que ce processus nécessite un préavis d’un an, M. Gaffney a fait valoir que « s’ils modifient fondamentalement la nature de l’organisation et les modalités de son fonctionnement, je pense que nous devons nous en retirer immédiatement… et c’est ce que nous recommandons au Congrès ».

M. Gaffney a toutefois déclaré : « Il est tout simplement stupéfiant que le Sénat américain ait été si indifférent à la possibilité que ces changements radicaux se fassent sans son avis et son consentement ».

(Le Sénat américain n’a toujours pas étudié les milliers de pages données en 2014 par le Dr William Thompson du CDC établissant la preuve du lien entre le vaccin (contre le ROR ?) et l’autisme…)

Mme Littlejohn, qui a également appelé à une sortie des États-Unis de l’OMS, a noté que l’ancien président Donald Trump avait lancé ce processus, mais que Joe Biden, qui est devenu président avant que la position de retrait d’un an ne soit achevée, a rétabli les États-Unis.

De même, M. Boyle a déclaré :

« Je ne dis pas que je soutiens Trump… Trump nous a correctement retirés de l’OMS, mais il y avait un préavis de six mois. Biden a été élu, a annulé le retrait et nous a réintégrés dans l’OMS et veillera à ce que nous soyons toujours dans l’OMS. »

Mme Littlejohn a ajouté :

« Nous pourrions faire valoir que les soins de santé ne sont pas un pouvoir énuméré qui revient au gouvernement fédéral ; ils restent du ressort de l’État, et donc, si la branche exécutive du gouvernement fédéral n’a pas le pouvoir de régir les soins de santé, elle n’a pas la capacité de les confier à l’OMS. »

Toutefois, Mme Littlejohn a déclaré que de tels arguments juridiques étaient « en terrain inconnu », tandis que M. Gaffney a fait remarquer que l’Assemblée générale des Nations unies avait bientôt « l’intention de faire à peu près la même chose [que l’OMS] en ce qui concerne ses pouvoirs… qui donneraient essentiellement au secrétaire général le droit de répondre à… des crises ne relevant pas de la santé publique ».

M. Boyle a fait valoir que « tous les responsables gouvernementaux, les scientifiques et les médias affirment qu’une nouvelle pandémie est imminente. C’est exact. Ils savent qu’une nouvelle pandémie se profile à l’horizon. Elle sort de leurs laboratoires BSL3 [biosecurity level 3] et BSL4. Ils préparent donc déjà le terrain pour la prochaine pandémie ».

[Voir ce que disent les médecins qui disent que ce sont des exosomes, et que « le terrain est tout »]

[Voir aussi : Bill Gates prépare sa prochaine plandémie]

Se référant à One Health, qui est largement mentionné dans le traité sur la pandémie et auquel les centres de contrôle et de prévention des maladies participent activement, M. Boyle a déclaré qu’il s’agissait d’une violation du droit international existant. Il s’est référé à l’article 12, paragraphe 1, du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, qui stipule que

« les États parties au présent Pacte reconnaissent le droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’elle soit capable d’atteindre. »

« Le pacte compte 171 États parties », a déclaré M. Boyle, ajoutant qu’il « constitue la norme pertinente en matière de droit international et de droits de l’homme lorsqu’il s’agit de répudier One Health ».

« Vous noterez que cette formulation est sans équivoque et péremptoire », a déclaré M. Boyle. « Il ne dit rien du tout sur la santé animale ou l’environnement », a déclaré M. Boyle, estimant que « l’adoption de One Health violerait l’article 12, paragraphe 1, du pacte… et irait à l’encontre de l’objet et de la finalité de ce pacte ».

À l’approche de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, la Sovereignty Coalition a déclaré le mois de mai « Mois de la sortie de l’OMS », lançant une campagne d’envoi de lettres aux membres du Congrès et aux agences fédérales, ainsi qu’une « Déclaration de souveraineté américaine » et une campagne de signatures qui a recueilli le soutien d’éminents politiciens et experts médicaux.

« Nous avons besoin d’une action du Congrès d’ici la fin du mois », a déclaré Mme Littlejohn, qui a ajouté :

« La Constitution n’est pas un document auto-exécutoire. Elle ne peut pas se défendre. Nous devons la défendre. Nous ne pouvons pas compter sur un bout de papier pour nous sauver.

La Constitution est un instrument qui protège notre liberté, et nous devons déployer cet instrument pour protéger notre liberté, car elle ne le fera pas d’elle-même. Les gens ne peuvent pas être passifs dans cette situation. Nous devons être actifs. »




Le mensonge et la manipulation pour diviser et détruire la nation

[Source : Places d’armes]

Par le Général (2 s) Antoine MARTINEZ

Il y a deux ans, la lettre ouverte à nos gouvernants et parlementaires ou tribune dite des généraux sonnait l’alarme sur l’état de délitement de la France et sur ses conséquences. Le constat émis par cette lettre était approuvé par une large majorité de Français. Depuis ce moment, la situation n’a cessé de s’aggraver, le président de la République n’ayant même pas daigné s’exprimer sur ce constat pourtant accablant, car il refuse que le débat légitime sur des sujets vitaux pour l’avenir, voire la survie de la nation puisse se tenir.

N’oublions pas qu’après l’épisode « Gilets jaunes », avec une phase quasi insurrectionnelle en début d’année 2019, le Covid 19 a permis à nos dirigeants, par une gestion de cette crise sanitaire basée sur la peur, de soumettre les esprits, de porter atteinte aux libertés publiques ou individuelles, de monter les Français les uns contre les autres, d’interdire aux médecins de soigner, ce qui a provoqué des milliers de morts, sans compter l’utilisation du Rivotril dans les EHPADs. Ce dernier point devra d’ailleurs recevoir un jour une explication et certains devront rendre des comptes devant la Justice. Ce rappel permet de souligner la radicalité avec laquelle a été gérée cette crise par l’État avec son lot de souffrances endurées par les Français et confirme une dérive autoritaire du pouvoir exécutif qui transforme notre démocratie dite libérale en une démocratie totalitaire.

C’est dans ce contexte que l’association Place d’armes, à l’origine de la tribune dite des généraux ignorée par ses destinataires, a lancé un nouvel appel — au peuple français, cette fois-ci — et un rassemblement, comme elle l’avait fait le 26 mars 2022, devait se tenir à Paris le 13 mai. Les services de la préfecture avaient d’ailleurs félicité ses responsables pour les conditions dans lesquelles s’était déroulée cette manifestation. Mais cette année, le ministre de l’Intérieur a décidé de façon arbitraire d’interdire cette manifestation, se référant, pour se justifier, aux réactions suscitées après la manifestation tenue une semaine avant par le groupe ultranationaliste « Comité du 9 mai ». La préfecture avait pourtant justifié l’autorisation de cette manifestation du 6 mai en expliquant que « dans la mesure où cette manifestation n’avait occasionné, les années précédentes, aucun débordement ou trouble à l’ordre public, le préfet de police n’était pas fondé à prendre un arrêté d’interdiction à son encontre. » Mais, manifestement le pouvoir, aujourd’hui aux abois, préfère s’entêter dans sa radicalisation en bafouant la liberté d’expression et en classant Place d’armes dans le camp de l’extrême/ultradroite. Cette méthode despotique permet au pouvoir d’entretenir la fracture du peuple en dressant les Français les uns contre les autres.

Cela dit, la colère, contenue et accumulée depuis 2019 par les Français, s’est brutalement libérée après l’adoption de la réforme sur les retraites obtenue par l’utilisation de l’article 49.3 de la Constitution et perturbe sérieusement les déplacements du Président de la République ainsi que des membres du gouvernement, voire des parlementaires de la majorité présidentielle. L’inquiétude, sinon la panique, est en train de s’installer au sein du pouvoir exécutif. C’est dans ce climat de tensions que le mensonge et la manipulation sont utilisés par l’État contre Place d’armes.

En premier lieu, le pouvoir exécutif considère que tous ceux qui se réfèrent à la France, à son drapeau, à ses héros, au passé, donc à l’histoire du pays pour se projeter dans l’avenir et affirmer le droit du peuple français à sa continuité historique ne peuvent être que d’extrême-droite. Mais une nouvelle étape vient d’être franchie dans l’ignoble, en passant de l’extrême-droite à l’ultradroite, les médias serviles relayant sans gêne ce slogan ! Place d’armes, composée d’anciens militaires ayant consacré leur vie à la défense de la France et de la nation, est donc classée à l’ultradroite ! Qu’en pensent nos camarades d’active ? Ils pourraient donc être eux aussi d’ultradroite ? Et nos morts, l’ont-ils été en donnant leur vie pour la France ? Mais alors, lorsque le président de la République, lui-même, préside les cérémonies à l’Arc de Triomphe pour rendre hommage aux morts pour la France, il rend hommage à l’ultradroite ? Et nos héros comme Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France, qui est célébrée chaque année depuis sa canonisation et le vote par le Parlement, à l’unanimité, le 10 juillet 1920, de la fête nationale de Jeanne d’Arc et du patriotisme ? Pourquoi avoir voulu interdire cette célébration par un mouvement royaliste ? Notre ministre de l’Intérieur ne doit pas savoir que Leclerc, de Lattre de Tassigny, Honoré d’Estienne d’Orves et Roger de La Grandière, morts pour la France, Pierre de Bénouville, Michel de Camaret, et bien d’autres, tous Compagnons de la Libération, étaient royalistes ! C’est notre histoire ! C’est consternant. Honte à vous, Monsieur le ministre !

En deuxième lieu, le président de la République est censé être le garant des institutions et notamment de notre Constitution. Or, la dérive constatée depuis la conduite brutale constatée dans la gestion de la crise sanitaire s’accélère aujourd’hui et mène vers une « démocratie totalitaire » dans laquelle il faut rendre le citoyen, sinon soumis, au moins passif en l’éduquant pour qu’il pense comme il faut. Les médias, pour une grande partie d’entre eux, collaborent activement à cet objectif et remplissent leur rôle à merveille en usant de la propagande et de l’intimidation. Mais cette conception tyrannique du pouvoir bafoue notre Constitution et menace notre liberté, notre liberté de penser, notre liberté d’expression, notre liberté de manifester. Dans le cas présent, le pouvoir démontre, en outre, son cynisme, le ministre de l’Intérieur ayant notifié à dessein l’interdiction le vendredi à 16 h 45, moins de 24 heures avant, ce qui neutralisait tout recours ou référé auprès du tribunal administratif pour Place d’armes. Seule la célébration de Jeanne d’Arc a pu avoir lieu, car prévue le dimanche. Nos dirigeants n’en sortent pas grandis et le ministre de l’Intérieur — curieusement beaucoup moins actif contre les vraies menaces — s’est même ridiculisé dans cette affaire. Car son interdiction a été invalidée par le tribunal administratif pour des raisons évidentes : l’arrêté « porte une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de manifester. » Et cette invalidation vaut également pour Place d’armes. Les PV infligés à ses représentants présents lors de la conférence de presse dimanche après-midi sont donc illégaux et doivent être annulés. Le désaveu est ainsi complet d’autant plus que l’interdiction d’une manifestation ne peut pas être imposée a priori comme un ordre du ministre aux préfets et la notion d’extrême-droite ou d’ultradroite utilisée est purement politique et ne tient pas juridiquement. Cette démarche du ministre de vouloir passer en force et reconnue illégale — le ministre est hors-la-loi ! — ne doit-elle pas le conduire à démissionner ? Par ailleurs, ne serait-il pas, dans ces conditions, judicieux de reconduire rapidement cette manifestation empêchée le 13 mai ?

En troisième lieu, il faut revenir sur les véritables raisons de cette volonté d’interdire notre rassemblement, avancées par le pouvoir. En effet, invoquer la manifestation du 6 mai et les réactions qu’elle a suscitées est un prétexte fallacieux et une manipulation sournoise des faits que le pouvoir ne souhaite pas mettre en avant. En réalité, l’interdiction notifiée à Place d’armes est à rapprocher de l’annonce de sa démission faite, le 11 mai, par le maire de Saint-Brévin, démission cependant prise depuis plusieurs semaines et probablement connue bien avant du préfet et donc du ministre. Car cette démission est la conséquence de la « politique d’immigration » voulue par nos dirigeants, mais qui a surtout — c’est le point capital — conduit à des réactions hostiles à l’instauration de camps de migrants dans cette commune comme dans d’autres. Et Place d’armes, ainsi que d’autres associations, est fermement opposée à cette immigration massive et de peuplement pratiquée depuis trop longtemps et qui mène le pays à sa libanisation. C’est la raison de sa mise à l’index aujourd’hui par le pouvoir qui a décrété qu’elle doit être classée à l’extrême/ultradroite. On se rappelle le choc médiatique et politique provoqué en avril 2021 par la tribune dite des généraux dont une soixantaine étaient signataires accompagnés de près de 30 000 militaires à la retraite et de 100 000 civils sympathisants. Permettre à Place d’armes de répéter l’exercice dans le climat actuel de tension et de colère des Français après l’adoption forcée de la réforme des retraites pouvait envenimer la situation. Pour le pouvoir aux abois, il n’en était pas question. Mais finalement cette interdiction suivie d’un désaveu cinglant rendu par le tribunal administratif doit nous inciter, plus que jamais, à dénoncer son action contraire aux intérêts de la nation et à s’y opposer par tous les moyens légaux. En effet, malgré tous les constats alarmistes et l’opposition d’une large majorité de Français, le pouvoir ne s’oppose pas à la submersion migratoire que subit le pays depuis plusieurs années de la part de populations de culture non seulement différente, mais hostile et met en grand péril la sécurité, la cohérence et l’unité de la nation. En réalité, cette immigration de masse injustifiée n’est-elle pas admise par un pouvoir acquis à une vision progressiste, mondialiste et immigrationniste de l’humanité visant à abattre les frontières et à détruire les nations, ambition déclarée de la Davocratie, apôtre d’un ordre nouveau privilégiant une gouvernance mondiale confiée à l’oligarchie financière ? Son flux continu et massif n’est-il pas précisément un élément essentiel pour déstabiliser/fracturer notre société dans sa cohérence interne, pour diviser les Français, pour diluer leur identité et, in fine, pour détruire la nation ? D’ailleurs, pourquoi le président de la République rejette-t-il tout projet de référendum sur l’immigration ? Son refus de consulter les Français sur un sujet aussi vital pour leur avenir n’est-il pas l’aveu de sa réticence à privilégier les intérêts de la nation face à une vision personnelle basée sur le mondialisme et le progressisme qui détruisent l’identité des peuples ? Car ce processus de déconstruction est bien engagé, plus d’une personne sur cinq et d’une naissance sur trois, en France, étant dès à présent d’origine extra-européenne. Alors, une question se pose à laquelle les Français vont devoir répondre eux-mêmes puisque nos dirigeants ne le feront pas : s’opposer à ce processus de submersion est-il légitime ou pas ? Pour qui a porté l’uniforme, ne pas répondre par l’affirmative serait, à l’évidence, trahir la nation et la patrie.

Ces observations nous conduisent à rappeler certains principes institutionnels scandaleusement bousculés impunément jusqu’à ce jour par nos dirigeants qui considèrent que le pouvoir leur permet de s’affranchir de certaines règles et notamment de décider de tout sans que le peuple ait son mot à dire, voire de décider contre le peuple. Le cas de cette immigration de masse porteuse d’une culture violente incompatible avec la nôtre — l’actualité le démontre quotidiennement, combien de morts les Français sont-ils encore prêts à supporter sans réagir — est emblématique. Le président de la République ne peut pas sur un tel sujet qui touche à l’âme de la France, à l’identité même du peuple qu’il dirige temporairement accepter de le sacrifier sur l’autel de quelque principe que ce soit. Il n’a pas le droit d’œuvrer contre le peuple, contre les intérêts de la nation, contre l’existence même de la nation. Car, en l’occurrence, c’est un génocide par substitution qui est en train de se réaliser à bas bruit. Le président de la République n’est pas élu pour laisser faire cela. Certes, il est le Chef de l’État, mais il est avant tout le fondé de pouvoir d’un souverain qui s’appelle le peuple. L’article 3 de la Constitution est très clair. Le président ne peut décider seul sur ce sujet. Il outrepasserait ses droits et manquerait à ses devoirs liés à l’unité et à la protection de la nation. Par ailleurs, l’article 5 stipule qu’il veille au respect de la Constitution et qu’il est le garant de l’intégrité du territoire. Or, cette intégrité du territoire national est violée depuis de nombreuses années par des flux réguliers de clandestins. Alors, dans ces conditions une autre question se pose : sur un plan purement juridique et constitutionnel, le président ne se place-t-il pas lui-même dans une position hautement critiquable qui se traduit par un manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de ses fonctions en ne s’opposant pas à cette submersion migratoire contraire aux intérêts de la nation ?

Le 22 mai 2023 Général (2 s) Antoine MARTINEZ