La surmortalité Covid dans le monde est incompatible avec une maladie respiratoire pandémique comme cause principale de décès

[Source : correlation-canada.org]

Variation spatio-temporelle de la surmortalité toutes causes confondues dans le monde (125 pays) au cours de la période Covid 2020-2023 en ce qui concerne les facteurs socio-économiques et les interventions médicales et de santé publique

CORRELATION a publié un nouveau rapport intitulé « Spatiotemporal variation of excess all-cause mortality in the world (125 countries) during the Covid period 2020-2023 regarding socio economic factors and public-health and medical interventions » rédigé par Denis G. Rancourt, Joseph Hickey et Christian Linard.

Le rapport, qui comprend 521 pages et des centaines de figures, présente un examen détaillé de la surmortalité toutes causes confondues au cours de la période Covid dans 125 pays représentant environ 35 % de la population mondiale.

Les auteurs écrivent :

Les variations spatio-temporelles des taux nationaux de surmortalité toutes causes confondues nous permettent de conclure que la surmortalité toutes causes confondues de la période Covid (2020-2023) dans le monde est incompatible avec une maladie respiratoire virale pandémique comme cause principale de décès. Cette hypothèse, bien que soutenue par des campagnes de tests, doit être abandonnée.

[…]

Nous décrivons des mécanismes plausibles et soutenons que les trois principales causes de décès associées à l’excès de mortalité toutes causes confondues pendant (et après) la période Covid sont les suivantes :

– Le stress biologique (y compris psychologique) dû à des mandats tels que les fermetures et les changements structurels socio-économiques associés.

– les interventions médicales non liées au vaccin COVID-19, telles que les ventilateurs mécaniques et les médicaments (y compris le refus d’administrer des antibiotiques)

– les injections du vaccin COVID-19, y compris les injections répétées sur les mêmes populations.

Télécharger une copie du rapport ci-dessous :

https://correlation-canada.org/wp-content/uploads/2024/07/2024-07-19-Correlation-ACM-World-125-countries-Rancourt-Hickey-Linard.pdf




Baisse de natalité et surmortalité au Québec

Prise de conscience de l’impact très probable des vaccins :

https://twitter.com/bouchraawake/status/1560365645241393152?s=43




Turbos cancer et surmortalité mondiale : ne vous faites plus ou pas injecter !

Le point le 18 décembre 2023

Par Nicole Delepine

Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudovaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du Covid et très faible risque de la grippe).

Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».

Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !

Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.

En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbocancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.

En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus :

STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !

Ainsi les turbocancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.

Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :

Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.

Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbocancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?

Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm

  • Des lymphomes de différents types,
  • Des cancers du cerveau (surtout glioblastomes)
  • Des cancers du sein surtout triples négatifs avancés (stade 3 ou 4)
  • Des cancers du poumon le plus souvent stade 4 d’emblée
  • Mais aussi des leucémies graves, des mélanomes stade 4, des sarcomes (stade 3 et 4), des cancers du testicule et ovaire, de progression rapide et des cancers du rein (stade 4)

La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4

Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.

Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.

Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :

Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]

Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :

Et ça continue :

Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM Tv est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.

Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :





Surmortalité confirmée depuis les campagnes d’injection expérimentale anticovid

Par Nicole Delepine

Œuvrons ensemble pour l’interdiction générale mondiale de l’injection expérimentale covid19 ! URGENT

La surmortalité confirmée dans tous les pays vaccinés devrait calmer les ardeurs de la poursuite de cette pseudo vaccination meurtrière et appeler à son interdiction mondiale.

Chacun doit protéger ses proches par l’information objective, interdire le harcèlement des personnes âgées en EHPAD pour qu’ils acceptent l’injection (celle couplée avec la grippe est encore plus génératrice d’AVC).

Nos élus devraient assumer leur devoir de représentants du peuple en exigeant pour le moins un moratoire. Pourquoi ce silence général devant la nouvelle qui devrait revenir chaque jour sur nos écrans TV ? Rappelez-vous le bruit répétitif d’un décès à la suite d’un essai clinique d’un médicament, essai qui était immédiatement stoppé.

Et depuis le vax anticovid expérimental des millions d’effets secondaires, dont un quart grave, et des milliers de morts dans le monde en rapport direct avec l’injection, sans que cette interdiction de poursuivre ne tombe. Il est clair qu’il n’est plus question de santé des peuples.

Pour ceux qui n’arrivent pas à accepter ce dur état des choses, voici les résultats résumés sur X par DR Hippocrate. Ces schémas ne devraient plus permettre d’ignorer cette surmortalité post injection expérimentale, y compris chez les jeunes. Ce sont des faits avérés et non des opinions. Pourquoi les nier ou les ignorer ?

Cette surmortalité post vaccinale s’observe aussi chez les personnes âgées alors que les injections, si elles étaient efficaces et non toxiques auraient dû stopper la surmortalité observée lors de la première année de la crise covid :

Il est de plus incompréhensible de continuer à recommander ces injections délétères alors que les données de l’OMS, mises en graphique par le département de l’université d’Harvard, démontrent la fin de l’épidémie depuis février 2022.

Virginie Joron députée européenne, a commenté la réponse de la Commissaire qui a signé les contrats d’achats vaccins Covid.
https://europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2023-002470-ASW_EN.html

Dans cette réponse, figure un élément important que les médecins devraient regarder de plus près avant de faire des injections (Les avocats en charge de dossier de victimes devraient aussi s’en servir) : « Ce n’est que dans des cas très exceptionnels que des décès ont été signalés causés par le vaccin. Un exemple est la “thrombose avec syndrome de thrombocytopénie” avec les vaccins vecteurs adénoviraux COVID-19 pour lesquels des mises en garde et des contre-indications ont été incluses dans les informations sur le produit afin d’informer les professionnels de la santé et les patients et de réduire le risque de conséquences indésirables. » Quid donc de la thrombose avec syndrome de thrombocytopenie ? « Le syndrome de thrombose-thrombocytopénie (TTS) est un problème de santé grave impliquant des caillots sanguins (thrombose) et un faible taux de plaquettes (thrombocytopénie). Lorsque des rapports de TTS après la vaccination avec des vaccins contre la COVID-19 à vecteurs viraux ont été révélés en 2021, le TTS est devenu une priorité de l’enquête menée au Canada et dans le monde. »1

Au début des premières injections, j’avais interrogé l’association Amapti. Évidemment, ils avaient répondu comme la majorité des médecins qu’ils n’en savaient rien, mais que le rapport bénéfice-risque était en faveur de l’injection Covid. Qu’en est-il aujourd’hui ? Pourquoi l’@EMA_News ne suspend pas ces autorisations qui entraînent la mort ?2

De « societies of actuaries » Exam Results | SOA

L’excès de mortalité chez les jeunes se confirment en 2023

Même la France avare de la publication de ses résultats ne peut plus nier une surmortalité en 2022

Docteur Hippocrate a reposté
@tatiann69922625

Incroyable qu’il y ait encore des médecins qui ne savent pas que les ARNm de Pfizer & Moderna endommagent le système immunitaire et que chaque injection supplémentaire provoque davantage de dégâts immunitaires Prouvé par la Cleveland Clinic !
https://medrxiv.org/content/10.1101/2022.12.17.22283625v1.full.pdf 19 nov.

Laisserez-vous encore injecter vos proches, ainés dans les EHPAD harcelés par les encadrants, vos enfants ou vous — même, ou bien est-ce suicidaire ou encore finalement le syndrome de Stockholm ?

D’autant que les aveux de l’agence européenne du médicament viennent de confirmer OFFICIELLEMENT que les injections visant à éviter les contaminations entre personnes n’avaient jamais été démontrées efficaces. Relisez la lettre de l’EMA aux parlementaires européens3. 4

Quant aux effets néfastes reconnus ils sont de plus en plus nombreux.

Selon la journaliste Annette Gartland from Changing Times 21 novembre 2023
WHO database lists more than 5.23 million reports of adverse reactions after Covid vaccination

La VigiBase de l’Organisation mondiale de la santé répertorie désormais 5 239 635 rapports d’événements indésirables à la suite de la vaccination contre le Covid, dont 25 881 décès (répertoriés sous « Troubles généraux et conditions au site d’administration »).

Il existe une liste distincte, dans la même catégorie, de 2 296 rapports de mort subite, ainsi que 486 rapports de mort subite d’origine cardiaque, 202 rapports de mort cérébrale, 174 rapports de mort cardiaque, 20 rapports de décès prématuré d’un bébé et 15 rapports de décès néonatal., huit rapports de syndrome de mort subite du nourrisson, six rapports de « mort clinique » et trois rapports de « mort subite inexpliquée par épilepsie ».

UNE SEULE CONCLUSION : INTERDICTION MONDIALE ET IMMEDIATE DES INJECTIONS ANTICOVID A ARNm ET DE TOUT VACCIN BASE SUR LA TECHNOLOGIE ARNm





Surmortalité vaccinale en Allemagne pour 2021 et 2022 ?

Le professeur de mathématiques Matthias Reitzner, avec le professeur Dr. Kuhbandner, a publié une étude sur la surmortalité en Allemagne.
https://cureus.com/articles/14941

[Extraits :]

Figure 1 : Surmortalité annuelle.
Les barres rouges indiquent la surmortalité [ou la sous-mortalité, dans certains cas]
en 2020 (panneau de gauche), 2021 (panneau du milieu) et 2022 (panneau de droite)
dans les différents groupes d’âge. Les barres grises représentent la surmortalité totale.
Figure 2 : L’incertitude du modèle.
Les barres indiquent le déficit de mortalité et la surmortalité
en 2020 (panneau de gauche), 2021 (panneau du milieu) et 2022 (panneau de droite)
pour différentes tables de mortalité et tendances de longévité.
Figure 3 : L’écart-type empirique.
Les carrés bleus indiquent le nombre de décès toutes causes confondues
en Allemagne de 2010 à 2019,
et les carrés rouges le nombre de décès toutes causes confondues pour les années 2020 à 2022.
La ligne bleue représente la ligne de régression pour les années 2010 à 2019.
Figure 4 : Surmortalité mensuelle.
Pour six groupes d’âge, les lignes noires indiquent la surmortalité mensuelle
de janvier 2020 à décembre 2022.
Les zones ombrées en rouge indiquent les périodes
où une augmentation de la mortalité a été observée ;
les zones ombrées en vert indiquent les périodes
où un déficit de mortalité a été observé.
Figure 5 : Surmortalité cumulée.
Pour six groupes d’âge, les lignes noires indiquent
le nombre cumulé de décès en excès de janvier 2020 à décembre 2022.
Les zones vertes indiquent les régions où il y a un déficit de mortalité cumulée
et les zones rouges où il y a une surmortalité cumulée.
Notez que l’axe des y du nombre de surmortalités cumulées
est échelonné différemment selon le groupe d’âge.
Figure 6 : Mortinatalité dans les années 2019 à 2022 en Allemagne.
Le premier panneau montre le nombre de naissances vivantes par trimestre de 2019 à 2022,
le deuxième panneau le nombre de mortinaissances par trimestre de 2019 à 2022,
le troisième panneau le nombre de mortinaissances pour 1 000 naissances totales
(somme du nombre de mortinaissances d’un trimestre
et du nombre de naissances vivantes du trimestre suivant) par trimestre de 2019 à 2022,
et le quatrième panneau l’augmentation trimestrielle du nombre de mortinaissances
pour 1 000 naissances totales au cours des années 2021 et 2022
par rapport à la moyenne des années 2019 et 2020.
Figure 7 : Décès COVID-19 et surmortalité.
Les carrés bleus indiquent le nombre de décès COVID-19 déclarés,
les carrés rouges le déficit de mortalité et la surmortalité,
et les carrés jaunes la différence entre le nombre de surmortalités
et le nombre de COVID-19 de mars 2020 à décembre 2022.
Figure 8 : Nombre de vaccinations par rapport à la surmortalité.
Nombre cumulé de décès en excès (ligne rouge)
et nombre cumulé de personnes entièrement vaccinées (ligne pointillée bleue)
et triplement vaccinées (ligne pointillée verte)
de mars 2020 à décembre 2022.

Conclusions

Cette étude a utilisé la méthode de pointe de la science actuarielle pour estimer le nombre attendu de décès toutes causes confondues et l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues pour les années pandémiques 2020 à 2022 en Allemagne. En 2020, le nombre observé de décès était extrêmement proche du nombre attendu, mais en 2021, le nombre observé de décès était bien supérieur au nombre attendu, de l’ordre de deux fois l’écart-type empirique, et en 2022, supérieur au nombre attendu, de plus de quatre fois l’écart-type empirique. L’analyse de la surmortalité mensuelle en fonction de l’âge a montré que la surmortalité élevée à partir du printemps 2021 est responsable de la surmortalité en 2021 et 2022. Une analyse du nombre de mort-nés a révélé un schéma de mortalité similaire à celui observé pour le groupe d’âge entre 15 et 80 ans.

Comme point de départ pour d’autres recherches expliquant ces schémas de mortalité, nous avons comparé la surmortalité au nombre de décès COVID-19 signalés et au nombre de vaccinations COVID-19. Cela conduit à plusieurs questions ouvertes, la plus importante étant la covariation entre la surmortalité, le nombre de décès dus au COVID-19 et le nombre de vaccinations contre le COVID-19.




Les statistiques officielles britanniques des décès toutes causes par statut vaccinal prouvent que la surmortalité 2022 ne concerne que les injectés. Pour les morts covid, ils sont peu nombreux, mais vaccinés…

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France ils refusent de fournir les statistiques de décès covid et toutes causes en fonction du statut vaccinal. Le seul moyen de faire taire les complotistes que nous sommes en prouvant l’efficacité et la non-dangerosité des injections. Mais que redoutent-ils, ces représentants de la vraie Science ?

En Angleterre nous disposons de ces statistiques, c’est effrayant. Dans la 2e partie de l’article les statistiques covid ne manquent pas d’intérêt, elles prouvent que les morts covid sont en réalité peu nombreux mais vaccinés.

1 Les décès toutes causes : depuis le début 2022 la surmortalité ne concerne que les injectés

Il faut rappeler que les plus âgés sont les plus « boostés »

Angleterre. Décès par statut vaccinal. MISE À JOUR. Taux bruts mensuels de mortalité selon l’âge par 100 000, de avril 2021 à la fin 2022

Les statistiques concernent toutes les causes des maladies et pas seulement la Covid

Pour les plus de 90 ans le taux de mortalité des vaccinés est de 1700/100000 par mois, celui des non-vaccinés de 1000/100000. Du simple au double en fin de période.

Pas de différence significative pour les 80 à 89 ans jusqu’en janvier 2022, mais à partir de là et sur toute l’année 50 % de décès en plus pour 100 000 chez les vaccinés

L’évolution est identique pour les 70/79 ans et pour les 60/69 ans avec une rupture et un renversement au début de l’année 2022

Pour les plus jeunes les taux de mortalité sont bien plus faibles, par exemple 2 pour 100 000 pour les 18 à 39 ans vaccinés et 1 pour 100 000 pour les non-vaccinés. Ils sont donc moins significatifs, mais la tendance est identique : dégradation du taux de mortalité pour les vaccinés à partir du début 2022.

Ces stats doivent cependant tenir compte des décès oubliés (majoritairement des vaccinés)

Une chose est certaine : la surmortalité toutes causes des injectés en 2022, et ce pour tous les âges :

Selon ONS Data pour mai 2022 les risques de décès toutes causes sont majorés de 20 à 70 % pour toutes les tranches d’âges

Sources:

https://ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/birthsdeathsandmarriages/deaths/datasets/deathsbyvaccinationstatusengland…
https://coronavirus.data.gov.uk/details/download… (https://api.coronavirus.data.gov.uk/v2/data?areaType=nation&areaCode=E92000001&metric=vaccinationsAgeDemographics&format=csv…). Previous analysis.
https://twitter.com/OS51388957/status/1576204422857703424?s=20… :

2 les statistiques covid ne manquent pas d’intérêt, elles prouvent que les morts covid sont en réalité peu nombreux mais vaccinés

En Angleterre nous disposons de ces statistiques pour les décès covid et regardez bien.




L’Europe enregistre officiellement une augmentation choquante de 239 % de la surmortalité chez les adolescents et les jeunes adultes depuis que l’EMA a approuvé le vaccin Covid-19

[Source : anna-bellas.com]

Les chiffres officiels de la mortalité en Europe révèlent une augmentation choquante de 239 % des décès en excès chez les adolescents et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’injection de Covid-19.

La surmortalité de cette tranche d’âge a augmenté de 280 % dans toute l’Europe en 2021, avec 5 479 décès en excès.

Malheureusement, le nombre de décès enregistrés chez les 15-44 ans en 2022 est plus élevé que celui de la même période au cours des six dernières années, ce qui a été suivi d’une augmentation de 187 % des décès en excès depuis le début de l’année.

EuroMOMO est une activité européenne de surveillance de la mortalité. L’organisation déclare que son objectif est de « détecter et mesurer les décès excédentaires liés à la grippe saisonnière, aux pandémies et aux autres menaces pour la santé publique ».

Les statistiques nationales officielles de mortalité sont fournies chaque semaine par les 29 pays européens ou régions infranationales faisant partie du réseau de collaboration EuroMOMO, soutenu par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et hébergé par le Statens Serum Institut, au Danemark.

Le graphique suivant montre les totaux cumulés de décès hebdomadaires en excès entre 2017 et 2022 chez les adolescents et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans à travers l’Europe. Le graphique a été extrait du site web d’EuroMOMO et peut être consulté ici.

Comme vous pouvez le constater, à partir de la semaine 37 de 2022, il y a eu plus de décès en excès chez les 15-44 ans qu’il n’y en a eu pendant la même période de n’importe quelle autre année, y compris en 2020 qui aurait été l’apogée de la pandémie de Covid-19.

Le nombre de décès en excès en 2021 dans cette tranche d’âge dépasse également largement le nombre de décès en excès de chaque année précédente.

Le graphique suivant a été établi à partir des données fournies par EuroMOMO et montre le nombre de décès en excès par an de 2017 à 2021 -.

L’Agence européenne des médicaments a accordé pour la première fois l’autorisation d’utilisation en urgence d’un vaccin Covid-19 le 21 décembre 2020 pour tous les plus de 18 ans. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, l’année qui a suivi a vu les adolescents et les jeunes adultes souffrir d’un nombre record de décès en excès, totalisant 5 749.

Cela représente 2 462 décès de plus qu’en 2020, au plus fort de la pandémie de Covid-19, et 4 235 décès de plus que la moyenne de 2017 à 2020.

Cela équivaut à une augmentation de 280 % de la surmortalité chez les 15 à 44 ans en 2021 par rapport à la moyenne de 2017 à 2020.

Le graphique suivant a été établi à partir des données fournies par EuroMOMO et montre le nombre de décès en excès entre la semaine 0 et la semaine 37 par an de 2017 à 2022 -.

En 2022, il y a eu jusqu’à présent 3 437 décès en excès chez les 15 à 44 ans. Cela représente 1 179 décès de plus que ce qui s’est produit en 2020, à l’apogée présumée de la pandémie de Covid-19, et 2 241 décès de plus que la moyenne de 2017 à 2020.

Cela équivaut à une augmentation de 187 % de la surmortalité chez les 15-44 ans en 2021 par rapport à la moyenne de 2017 à 2020.

Le graphique suivant montre le nombre total de décès chez les 15 à 44 ans en 2021 et 2022 jusqu’à présent, ainsi que la moyenne combinée de la semaine 0 à la semaine 52 de 2017 à 2020 et de la semaine 0 à la semaine 37 de 2017 à 2020.

Cela montre qu’il y a eu 6 069 décès de plus tout au long de 2021 et 2022 jusqu’à présent par rapport à la moyenne de 2017 à 2020. Cela équivaut à une augmentation globale de 239 %.

Récemment, nous avons révélé comment une enquête exclusive menée par l’équipe de The Exposé a forcé le département officiel des statistiques de l’Union européenne à entamer une enquête à l’échelle européenne pour déterminer pourquoi il y a eu une augmentation significative de la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans depuis que l’Agence européenne des médicaments a approuvé l’injection de Covid-19 pour les enfants.

Nous demandons maintenant au même département de lancer une autre enquête à l’échelle européenne pour savoir pourquoi il y a également eu une augmentation significative de la surmortalité chez les adolescents et les jeunes adultes depuis que l’Agence européenne des médicaments a accordé pour la première fois une autorisation d’utilisation d’urgence à une injection de Covid-19 à la fin de 2020.

Une augmentation qui ne montre malheureusement aucun signe de ralentissement.

https://expose-news.com/2022/09/25/europe-young-adult-deaths-239-percent-increase/




Surmortalité post boosters — pourquoi ce silence médiatique ? STOPPONS L’INJECTION EXPÉRIMENTALE !

[Surmortalité post boosters1]

Par Nicole Delépine

Attention à la rentrée et à la volonté aveugle de nos dirigeants de poursuivre les injections toxiques et inefficaces, ne serait-ce que pour suivre aveuglément les ordres de la Commission européenne, non élue et non compétente en médecine qui veut écouler ses énormes stocks de pseudo vaccins et poursuivre le programme de dépopulation qui n’est plus caché par personne.

Le ministre de la santé « nouveau » aurait dit que pour résoudre le problème des urgences, il suffirait de « vacciner » plus de monde. A-t-on bien entendu ? Et pendant ce temps-là les citoyens des pays injectés continuent à compter leurs malades (de maux inexpliqués…) et leurs morts qui évidemment n’ont aucun rapport avec l’injection… Combien d’enterrements inattendus… une nouvelle pathologie inconnue ? Bah ! voyons, comme disaient certains.

Dans 29 pays, il est apparu une corrélation entre les injections de rappel anti covid et un excès de mortalité globale (du premier semestre 2022) par rapport aux années antérieures. Ce doit être le mauvais œil ou le mauvais alignement des planètes. Les gens vont-ils ouvrir les yeux, enfin ?

Prouvé : les rappels causent un excès de morts

Notre croque-mort national tenait chaque soir un décompte du nombre de décès attribués covid. Alors, pourquoi les morts de l’injection expérimentale appelée à tort « vaccins » sont-ils invisibles sur nos médias ?

Quelque chose de bizarre se passe et on ne le trouve nulle part dans les nouvelles ! Regardez un JT de 20 h : rien sur rien…

Beaucoup plus de personnes meurent maintenant que durant les années précédant la vaccination sans raison évidente et cette surmortalité est largement ignorée par les médias. Où sont les trackers de la télévision qui gardent une trace des décès quotidiens en excès ? Et ce qui est étrange, c’est que cela ne se produit pas seulement dans un pays, cela se produit en même temps dans de nombreux pays qui ont beaucoup vaccinés. Dans ces pays les gens meurent plus que la normale et personne ne semble savoir pourquoi ni vouloir en rechercher les causes.

Vous pourriez dire que c’est à cause de covid que nous assistons à tous ces décès en excès… Mais non. Trop de gens meurent et ce n’est pas à cause de covid.2

Quelque chose d’autre en est la cause ! Nous avons été soumis à de nombreuses restrictions et fermetures au cours des dernières années soi-disant pour éviter des décès. Maintenant, trop de gens meurent et personne ne semble se poser de questions ou même désirer d’en parler. Silence, on tourne et on enterre. Et bien non, ça ne tourne pas rond du tout… ce sont les vrais croque-morts qui alertent. Ils n’ont jamais vu cela.

Cet été, en Grande-Bretagne, il y a eu 10 355 décès toutes causes confondues en (Angleterre/Pays de Galles) en une semaine (Semaine 32) ! Ce sont presque 1000 de plus que la normale et en seulement une semaine ! Par rapport à la moyenne sur 5 ans, il s’agit d’une augmentation statistiquement significative (=qui ne peut pas être attribuée au hasard) de 10,1 %.

En Norvège, il y a également eu une augmentation massive du taux de mortalité, avec 18% de décès supplémentaires au premier trimestre 2022 par rapport à la même période en 2021, et aussi en Allemagne, en Suisse, etc.

Si nous examinons la surmortalité chez les enfants âgés de 0 à 14 ans à travers l’Europe, il y a eu une augmentation HORRIFIANTE de 1101% de la surmortalité jusqu’à présent cette année par rapport à la même période en 2021. POURQUOI ?

L’analyse statistique montre qu’il existe en 2022 une CORRÉLATION EXTRÊMEMENT FORTE entre les rappels des pseudo vaccins et les décès. Cette surmortalité globale constitue un signal d’alarme et un élément de réflexion qui doivent être analysés plus finement. Nous devons chercher plus loin pour mieux comprendre la causalité. Et en attendant, protégez vos proches, vos amis.

« Quel est le mécanisme sous-jacent entre la surmortalité en 2022 et les injections de rappel ? Pourrait-il s’agir de décès immédiatement après les vaccinations et les injections de rappel ? Se pourrait-il que les boosters n’offrent plus de “protection contre la mort”, mais augmentent plutôt les chances de mourir de Covid ? Pourrait-il s’agir de taux de réinfections plus élevés chez les personnes boostées ? » 

Les chiffres officiels montrent qu’il existe une association statistiquement significative très forte entre la surmortalité en 2022 et l’utilisation des rappels COVID.

RELATION PROUVÉE : Boosters COVID et surmortalité en 2022 dans l’article suivant :

https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

Les données de M. Plothe sont choquantes. Il partage des diapositives de ses graphiques sur un large éventail d’effets des « vaccins », surmortalité, mais aussi baisses de fertilité.

EN 2022 UNE SURMORTALITÉ TOUTES CAUSES CONFONDUES EST OBSERVÉE DANS TOUS LES PAYS APÔTRES DE LA PSEUDO VACCINATION ANTI COVID

Cette surmortalité n’est pas observée dans les pays qui ont échappé aux injections forcées et multiples : ni en Afrique, ni à Madagascar, ni en Inde, pays peu vaccinés.

La cinétique de la surmortalité suit celle des rappels de vaccination. De tels faits avérés justifient des recherches de causalité urgentes, mais le silence des médias permet aux gouvernements d’éluder le problème. Combien faudra-t-il de morts supplémentaires pour qu’enfin les médias et les citoyens se saisissent enfin du problème ?

Il faut cesser ces injections inutiles au moins pendant plusieurs années afin d’en faire un bilan objectif, mais ce n’est manifestement pas le souci des dirigeants occidentaux.3


1 https://igorchudov.substack.com/p/proven-relationship-covid-boosters

2 Nos autorités le crieraient bien fort pour inciter encore à plus de piqûres et de rappel encore et encore…

3 Au contraire, le plan des globalistes du World Economic Forum de Klaus Schwab est en train de se réaliser sous nos yeux : faire baisser la population mondiale, comme ne cesse de le réclamer Bill Gates et compagnie depuis plus de 2 décennies.




Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?

[Source : agoravox]

Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?

Lien vers les vidéos : 

Partie 1 : https://youtu.be/ZPCkx1zwY20

Partie 2 : https://odysee.com/@decoderleco:c/surmortalite_jeunes_vaccins



Une surmortalité trop fréquente partout en Europe

Pour savoir si un pays a plus de morts que l’attendu, Euromomo propose un z-score par pays et semaine. Le z-score est la différence entre le nombre de décès constaté (x) et le nombre de décès attendu (μ) divisé par l’écart-type de la distribution (&#120648 ;).

S’il est positif, c’est qu’il y a une surmortalité et s’il est négatif c’est qu’il y a une sous-mortalité. Il sera d’autant plus grand que la différence entre les décès constatés et les décès attendus est éloignée des différences habituelles.

On constate alors que les z-score des 15-44 ans sont très souvent positifs depuis le milieu de l’année 2021 pour une grosse majorité de pays. La plupart des pays ne franchissent pas la courbe en pointillés représentant une surmortalité anormale. En revanche, au niveau européen, lorsque les données des pays sont agrégées, on observe ce franchissement. Cela signifie qu’en Europe, on constate une légère surmortalité partout en même temps.

Pour se rendre compte que cette surmortalité est vraiment anormale dans chaque pays, même si elle ne franchit pas les pointillés, faisons l’hypothèse qu’elle est due au hasard. Constater une surmortalité ou une sous-mortalité revient alors à jouer à pile ou face. Entre la semaine 20 et la semaine 52 de 2021, il y a 33 semaines. Cela représente donc 33 lancers. Cela fait 2^33 résultats possibles (soit un peu plus de 8,5 milliards). Le nombre de lancers où l’on obtient k fois « pile » est donné par la formule :

On peut alors calculer la probabilité de faire n’importe que nombre de fois « pile » en 33 lancers.
La probabilité de chaque résultat est donnée par la courbe ci-dessous :

En 33 lancers, on réalise entre 9 et 24 « pile » dans 99,5 % des cas. Sur 33 semaines, nous pouvons donc considérer « normal » d’avoir un z-score négatif entre 9 et 24 fois. Il n’y a qu’une chance sur 200 d’obtenir moins de 9 z-score négatifs ou plus de 24 z-score négatifs sur 33 semaines.

On constate alors qu’en 2021, le z-score est très peu souvent négatif pour une majorité de pays d’Europe. Par exemple, en France, il n’y a que 3 semaines qui ont un z-score négatif. Sur les 26 zones considérées, 12 ont moins de 9 z-scores négatifs sur 33 périodes (et 3 en ont plus de 24). Cette situation est exceptionnelle au regard des mêmes périodes les années précédentes. Le résultat est sans appel : il y a trop de morts en 2021 depuis cet été chez les 15-44 ans selon les projections euromomo.

Une vérification s’impose

Évidemment, découvrir qu’il y a plus de morts que prévu impose de vérifier l’origine de la prédiction, tout spécialement en période de « crise ». En effet, depuis 2 ans nos institutions composées de « grands spécialistes » poussent des cris d’orfraie devant « l’hécatombe Covid » en oubliant que la population vieillit et que des hausses mortalités « anormales » arrivent en fait tous les 2 à 3 ans. Malheureusement, Euromomo ne nous donne pas le détail du calcul de son z-score. Il nous faut donc télécharger les données pour vérifier par d’autres méthodes si nous trouvons les mêmes résultats. Pour mémoire, toutes les données utilisées sur la chaîne Décoder l’éco sont publiques et en provenance des instituts officiels, et tous mes programmes sont publics et en ligne sur github. J’invite tout chercheur qui souhaiterait les utiliser à me contacter si besoin.

La majorité des pays d’Europe fournit les données de décès hebdomadaires et de population par tranche d’âge. Nous pouvons donc reconstruire une prévision des années 2019, 2020 et 2021, à partir des années 2013 à 2018, pour mesurer toute surmortalité.

Nous avons réalisé 2 projections différentes pour vérifier si elles sont cohérentes entre elles et avec celle d’euromomo. Les tranches d’âge sont les 15-24 ans, les 25-49 ans, les 50-59 ans, les 60-69 ans, les 70-79 ans et les plus de 80 ans. Comme Euromo, nous réalisons des projections hebdomadaires.

Ces projections doivent nécessairement prendre en compte :

–    1) L’évolution tendancielle du nombre de décès (due à l’évolution de la pyramide des âges et éventuellement à celles des quotients de mortalité) ;

–    2) La saisonnalité (plus de décès en été pour les jeunes, plus de décès en hiver pour les plus âgés).

Par exemple, pour les 70-79 ans au Danemark, on constate qu’il y a de plus en plus de décès. Cela signifie que cette population augmente à cause du vieillissement des baby-boomers. De plus, les décès sont bien plus nombreux l’hiver que l’été pour cette tranche d’âge. On les relie aux maladies hivernales. Notre projection doit donc prévoir cette hausse des décès et cette mortalité hivernale.

À l’inverse, le nombre de décès des 15-24 ans en Pologne a tendance à baisser. La Pologne est également un pays qui vieillit. On y trouve de moins en moins de jeunes. Contrairement aux personnes âgées, les décès sont plus nombreux l’été. On les relie aux comportements à risque des jeunes pendant cette période. Notre projection pour les jeunes doit continuer cette baisse et prévoir plus de morts l’été.

De manière naturelle la saisonnalité sera gérée en utilisant pour chaque semaine que l’on souhaite projeter les mêmes semaines des années du passé. Par exemple, la prédiction de la semaine 10 de 2020 est construite à partir des semaines 10 des années 2013 à 2018.

La tendance longue est gérée de manière différente dans les 2 modèles.

–    Le premier modèle ne tient compte que du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine. Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès, de manière linéaire, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que toutes les tendances d’évolution de population et de quotients de mortalité se prolongent 3 années de plus. La courbe rouge représente les décès observés et la courbe grise les décès prévus par le modèle. La partie noire est la période servant à la construction du modèle et la partie violette est la partie testée.

Il suffit ensuite de calculer la différence entre le modèle et la réalité pour savoir s’il y a une surmortalité ou une sous-mortalité. Avec ce modèle, le constat est simple : quasiment tous les pays connaissent une surmortalité depuis l’été 2021 chez les jeunes. Par exemple, si on somme tous nos pays d’Europe fournissant les données, on obtient le graphique ci-dessous pour les 15-24 ans. Une barre rouge représente une surmortalité et une barre verte une sous-mortalité. La courbe bleue représente une tendance de 6 semaines. Elle reste nettement au-dessus de 0.

–    Le deuxième modèle tient compte du nombre de décès total par tranche d’âge de chaque semaine et de la population de cette tranche d’âge chaque semaine. Pour se faire, le modèle calcule la mortalité standardisée par âge (retrouvez le détail du calcul des décès standardisés dans cette vidéo). 

Il prolonge la tendance observée entre 2013 et 2018 de ce nombre de décès standardisés, de manière linéaire, comme précédemment, pour les années 2019, 2020 et 2021. Ce modèle considère que les changements du nombre de décès d’une année sur l’autre s’expliquent par l’évolution de la pyramide des âges et par l’évolution de la tendance des quotients de mortalité. On retrouve encore le même résultat : les jeunes meurent trop.

Donc, quel que soit le modèle que l’on choisit pour projeter les décès, que ce soit les modèles Euromomo ou ceux que nous venons de voir, on conclut qu’il y a trop de décès chez les jeunes européens depuis l’été 2021. Mais pourquoi meurent-ils ? Que s’est-il passé de spécial dans une majorité de pays d’Europe depuis l’été 2021 ?

Le Sénat refuse d’analyser la mortalité selon le statut vaccinal

Nous venons donc de voir que nos jeunes européens meurent trop depuis cet été. C’est étrange puisqu’aucun pays n’a relevé la moindre surmortalité avant 60 ans en 2020. Il n’y a donc jamais eu de lien jusqu’ici entre les vagues estampillées Covid et la mortalité des jeunes. En revanche, la plupart des pays d’Europe ont lancé une vaccination de masse anti-Covid cet été, avec la mise en place du fameux pass-vaccinal pour forcer les populations à se faire injecter.

En France, d’après les chiffres du gouvernement, 94 % des personnes âgées de plus de 12 ans ont ainsi reçu au moins une dose, le plus souvent deux ou trois. De tels chiffres sont sans précédent dans l’histoire. Le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) fait état de plus de 148 000 effets indésirables renseignés en France, dont un quart considérés graves. Eudravigilance met par ailleurs en ligne les remontées de pharmacovigilance européenne et comptabilisait à la mi-février 2022 plus de 17 000 décès signalés par des professionnels de Santé. Aux États-Unis, les chiffres publiés par la VAERS sont encore plus impressionnants.

Nombre de remontées de pharmacovigilance déclarées sur Eudravigilance au 17/02/2022 :

Le 9 février 2022, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a été saisi par le Sénat pour étudier les effets secondaires des vaccins. Pour s’assurer que les travaux de cette commission permettraient réellement de conclure sur le sujet et pas d’enterrer cette question, le Dr Laurent Toubiana a déposé le 19 février 2022 une pétition réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes. Les données existent dans le Système National des Données de Santé (SNDS). Elles nous permettraient de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non vaccinées par tranche d’âge et par période, de constater s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès. Cette demande, pourtant naturelle et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de faire le tri dans les pétitions.

Il y a donc une censure extrêmement grave de la part de la commission du Sénat, qui refuse que soit rendue publique la possibilité de cette analyse de la mortalité post-vaccinale. Pour dénoncer cette censure, Laurent Mucchielli a écrit une tribune déjà signée par plus de 600 chercheurs, scientifiques, avocats et professionnels de santé. Il est nécessaire aujourd’hui de mettre en lumière ce refus du Sénat et d’obliger le gouvernement à publier ces données essentielles. De quoi peut donc bien avoir peur le Sénat ? Pourquoi l’analyse de la mortalité à la suite d’injections de vaccins sûrs et efficaces poserait problème ? N’aurait-on pas dû suivre précisément les chiffres de mortalité suite aux injections depuis plus d’un an ? En particulier avant de les proposer aux enfants et de forcer la main aux plus de 12 ans ?

Des surmortalités synchronisées avec les campagnes vaccinales

Le site de l’ecdc fournit une base de données du nombre de vaccins distribués dans chaque pays, chaque semaine, et par tranche d’âge. Il est alors possible de joindre ces données de vaccination aux données de mortalité que nous avons calculées précédemment. 

On observe dans beaucoup de pays et de tranches d’âges, des hausses de mortalité importantes au moment exact de la campagne vaccinale, suivies d’une mortalité au-dessus de la moyenne. Ces hausses sont visibles aussi bien avec le modèle de mortalité simple qu’avec le modèle de mortalité standardisée. 

Il faut souligner que, si ces injections engendraient des problèmes de santé, on aurait exactement les mêmes courbes. On observerait tout d’abord des hausses de mortalité pour les quelques personnes qui ne supportent pas l’injection et qui font une réaction forte, puis une mortalité un peu plus élevée que d’habitude pour les personnes que l’injection a rendues durablement malades. Voici une dizaine d’exemples parmi tous les cas possibles :

Pour les 15-24 ans du Portugal et de Pologne, on observe une surmortalité au moment des campagnes vaccinales. Elle est particulièrement forte au Portugal qui a injecté 95 % de sa population jeune en très peu de temps, et plus diffuse en Pologne qui n’a injecté que 55 % de ces jeunes et sur un temps plus long.

Pour les 25-49 ans en Estonie et en Hongrie on observe également des hausses de mortalité au moment des injections. La Hongrie est le premier pays à avoir massivement vacciné ses jeunes et connaît une hausse de mortalité très tôt dans l’année.

Pour les 50-59 ans en France et en Grèce on observe différentes vagues de mortalité depuis le début des campagnes vaccinales également.

Pour les 60-69 ans en Autriche et en Croatie les courbes de surmortalité épousent presque parfaitement les courbes des vaccinations.

Pour les 70-79 ans au Danemark et en Italie on observe bien une surmortalité au printemps, au moment où la mortalité hivernale est censée descendre. Tout se passe comme si les injections avaient déclenché une nouvelle vague de mortalité hivernale dans l’année. Pour mémoire la vague de mortalité d’octobre 2020, a lieu exactement au moment des injections des vaccins antigrippaux.

En plus de ces concordances sur les graphiques, nous avons vérifié si un pic de vaccination correspond à un pic de décès. Vous trouverez les résultats en ligne sous forme de tableau. Pour cela nous regardons les 2 plus gros pics de surmortalité depuis le début de la vaccination, et nous vérifions s’ils se trouvent à moins de 2 semaines d’un pic de vaccination. Par exemple, il y a en moyenne 41 semaines depuis le début de la vaccination des 25-49 ans. Il y a donc une probabilité de 5 sur 41 (soit 12 %) que le plus gros pic de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Il y a une probabilité de 23 % que l’un des 2 plus gros pics de décès soit à proximité du pic de la dose 1. Nous constatons que sur nos 17 pays étudiés, cela arrive dans 40 % des cas, ce qui est significativement trop : les pics de mortalité sont trop souvent proches des pics vaccinaux pour que cela soit dû au hasard. Les pics de mortalité des jeunes sont trop souvent proches des pics de vaccination des doses 1 et 2, et les pics de mortalité des plus âgés sont trop souvent proches du pic de vaccination de la dose 3.

Nous ne sommes pas les seuls à trouver toutes ces concordances. Le chercheur belge Patrick Meyer a publié un préprint qui conclut à un lien significatif entre le nombre d’injections et la surmortalité dans de nombreux pays européens en utilisant des méthodes de machine-learning. Les chercheurs Sprio Pantazatos et Hervé Seligmann ont publié un préprint montrant un lien entre le nombre de personnes vaccinées et la surmortalité constatée dans les différents États américains. Les chercheurs Steve Ohana et Alexandra Henrion-Caude ont également publié un préprint montrant les liens entre la vaccination et les hausses de mortalité des jeunes en Israël. C’est également ce que montre Christof Kuhbandner sur les données détaillées allemandes.

Il est assez surprenant de voir autant de statistiques aller dans le même sens, sans que cela ne fasse aucun bruit dans les médias. Ce sont pourtant ce genre de statistiques qui ont amené autant de monde à conclure qu’un virus était responsable des hausses de mortalité. On se demande donc à quoi joue la commission du Sénat en refusant d’étudier la mortalité toutes causes post-vaccinale. Qui a conseillé à la commission d’enterrer cette requête de Laurent Toubiana ? Est-ce le même cabinet de conseil qui depuis le début de la crise conseille la DREES dans ces choix statistiques ?

Quelle que soit votre opinion sur les vaccins, les virus ou la pandémie de Covid-19, la seule chose certaine c’est que nous n’aurons jamais les réponses à nos questions si nous n’exigeons pas d’avoir tous les éléments. Nous avons donc tous besoin d’avoir les chiffres à disposition pour enfin savoir et trancher. Il faut absolument forcer le Sénat et le Ministère de la Santé à publier toutes ses données. C’est une question vitale de Santé Publique et même de Souveraineté et de Démocratie. Au-delà même de cette question des vaccins, il est nécessaire de nous battre pour obtenir le droit de savoir et de décider.




Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité

[Source : lecourrierdesstrateges.fr)

par Lalaina Andriamparany

Ute Bergner, député du Land de Thuringe, a remis à la ministre de la santé Heike Werner les données concernant l’étude sur la surmortalité en Allemagne. Elles ont révélé l’existence d’une corrélation étroite entre la vaccination contre le Covid-19 et la surmortalité dans le pays au cours de la période 6 septembre 2021 au 10 octobre 2021. Cette étude apporte de l’eau au moulin du rapport des deux médecins allemands qui ont associé les décès et la vaccination anti-covid ,en s’appuyant sur des autopsies réalisées par un des médecins allemands les plus respectés, le Professeur Peter Schirmacher ?

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Une corrélation de plus de 31

Alors que l’Allemagne fait actuellement face à une hausse du taux de contamination au coronavirus, avec plus de 65% d’habitants complètement vaccinés, dans nos colonnes, nous avions déjà évoqué les études effectuées par le Professeur  Arne Burkhardt et le Professeur  Walter Lang, appuyés par les autopsies du Professeur.Peter Schirmacher qui ont établi un lien de causalité entre vaccins anti-covid et 40% des décès qui sont apparus dans les 14 jours suivant la vaccination.  

Une nouvelle étude sur la surmortalité en Allemagne a été menée en tenant compte des publications de l’Institut Robert Koch et de l’Office fédéral de la statistique. Les analyses effectuées établissent l’existence d’une corrélation entre le taux de vaccination au Covid-19 et la surmortalité. Elle est de plus de 31.

La logique serait de dire : plus le nombre de personnes vaccinées augmente, plus le nombre de décès diminue. Or, la situation est tout autre. En effet, plus le taux de vaccination est élevé, plus le taux de mortalité augmente. La question qui se pose est : cette surmortalité est-elle réellement liée à l’injection des vaccins contre le Covid-19?

Les données réunies jusqu’à présent ne permettent pas d’obtenir une conclusion définitive sur le sujet. En tout cas, ce fait est constaté dans 16 pays et il demande une clarification dans le meilleur délai qui soit.

Ute Bergner demande un changement de politique

La député Ute Bergner a donné son avis concernant les résultats de cette étude sur la surmortalité. Elle demande à l’État d’arrêter de mettre la pression sur les personnes non vaccinées et de tenir compte de la corrélation entre les vaccins contre le Covid-19 et la hausse du nombre de décès.

Selon le député du Land de Thuringe, les citoyens ont le droit à consentement libre et éclairé au vaccin, c’est-à-dire d’avoir le choix entre se faire vacciner ou non. Pour elle, la règle du « 2G » qui interdira aux non-vaccinés l’accès à des lieux publics est tout simplement discriminatoire.

En France, la suspension des soignants qui refusent le vaccin constitue une violation flagrante consentement libre et éclairé.




Surmortalité hors Covid-19 en Europe

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Entre la fin mai et la fin août, partout en Europe une surmortalité sans Covid, mais au maximum des injections et pour les classes d’âge en cours d’injection. Amusant.[?] On observe le phénomène en Autriche cet été avec 20% de surmortalité en pleines injections. Puis la surmortalité disparait quand arrive la nouvelle vague de Covid…

DEUX EXPLICATIONS SONT POSSIBLES : les injections ou des soins différés

Il y a quelques semaines je mettais en évidence l’étrange surmortalité estivale, une scientifique au pseudo de Felicittina fournit de magnifique graphes.

Dans l’hémisphère sud c’est l’été, la covid fait dodo sauf là où ils injectent la troisième dose…

Au ROYAUME UNI ils reconnaissent la vague de surmortalité et cherchent des explications (fin de cet article).

Entre la fin mai et la fin août, surmortalité en pleine injection

Regardez bien la surmortalité comparée aux cinq années avant covid … Repérez en bas les décès covid (aucun entre fin mai et fin aout); la vague d’injection …

En haut la surmortalité par classe d’âge

En Espagne : surmortalité de 25% en plein été au moment où l’Espagne vaccine les jeunes et booste les vieux.

En Italie, il n’y a plus de covid depuis mai mais une surmortalité de 20%.

En Autriche, c’est plus amusant: surmortalité entre fin mai et fin août en pleine vague d’injections puis fin de la surmortalité quand arrive la nouvelle vague de covid.

Même observation en France ci dessous :

Près de 10 000 personnes de plus que d’habitude sont décédées au cours des quatre derniers mois pour des raisons non liées à Covid, alors que les experts ont appelé à une enquête gouvernementale urgente pour savoir si les décès étaient évitables.

Les derniers chiffres de l’Office for National Statistics ont montré que l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 20 823 décès de plus que la moyenne quinquennale au cours des 18 dernières semaines. Seuls 11 531 décès concernaient le Covid.

Illustrator Embed (telegraph.co.uk)

Cela signifie que 9 292 décès – 45 % – n’étaient pas liés à la pandémie . 

« Nous devons de toute urgence comprendre ce qui ne va pas »

Le professeur Carl Heneghan, directeur du Center for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford, a déclaré:

Je demande une enquête urgente. (…) Si vous regardez où se produit l’excès, c’est dans des conditions comme la cardiopathie ischémique, la cirrhose du foie et le diabète, qui sont toutes potentiellement réversibles. (…) Cela va au-delà de la simple observation des chiffres bruts et des certificats de décès. Nous devons revenir en arrière et voir si ces décès ont des causes évitables. (…) Cela pourrait être les retombées du manque de soins évitables pendant la pandémie, et ce qui se passe en aval de cela. (…) Nous devons de toute urgence comprendre ce qui ne va pas et une enquête sur les causes profondes pour déterminer les actions qui peuvent empêcher d’autres décès inutiles. (…)

Les chiffres hebdomadaires pour la semaine se terminant le 5 novembre ont montré qu’il y avait eu 1 659 décès de plus que prévu à cette période de l’année. Parmi ceux-ci, 700 n’ont pas été causés par le Covid.  

L’excédent est susceptible de croître à mesure que davantage de décès sont enregistrés dans les semaines à venir. 

Les données de la UK Health Security Agency montrent qu’il y a eu des milliers de décès de plus que la moyenne quinquennale dans les cas d’insuffisance cardiaque, de maladie cardiaque , de troubles circulatoires et de diabète depuis l’été. 

Le nombre de décès dans les maisons privées est également supérieur de 40,9% à la moyenne quinquennale, avec 964 décès supplémentaires enregistrés au cours de la semaine la plus récente, qui s’étend jusqu’au 5 novembre. 

Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l’Open University, a déclaré:

Le nombre de décès toutes causes confondues augmente généralement à cette période de l’année, mais le nombre total reste supérieur à la moyenne de la semaine correspondante au cours des cinq années 2015 à 2019 . (…) Donc, sur cette définition, nous avons toujours des décès en excès, comme nous en avons depuis 18 semaines consécutives maintenant, et tous ces décès en excès ne sont pas dus à Covid-19. (…) Et nous assistons toujours à un excès considérable de décès dans les maisons des personnes, par rapport à la moyenne de 2015-19, la plupart de ces décès n’impliquant pas Covid-19. (…) Au cours de la semaine la plus récente, il y a eu 891 décès supplémentaires à la maison qui n’impliquaient pas Covid-19 – soit environ 127 par jour. (…)




« Surmortalité Covid » en 2020 ? C’est la démographie, idiot !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

C’est un honneur mais aussi une action de salubrité publique qu’il m’est donné aujourd’hui de réaliser sur cette page en republiant, avec son aimable autorisation, l’analyse de M. Thomas Fernique, chargé de recherche au CNRS, portant sur la surmortalité attribuée au Covid en 2020.

Comme l’a fait Fabien Balli-Frantz en Suisse, ce mathématicien reprend les statistiques avec sérieux (soit l’inverse de la presse payée par l’état) et arrive à la conclusion que cette surmortalité (constatée en termes numériques) est bel et bien expliquée intégralement par le vieillissement de la population !

L’adage est connu (nous le devons à Alfred Sauvy) que les chiffres sont des innocents qui avouent facilement sous la torture tout ce qu’on veut leur faire dire. C’est hélas bel et bien le cas avec le Covid puisque TOUS les chiffres dont on nous abreuve depuis une année sont faux : le nombre de « cas » est faux (avec des tests PCT réglés bien au-delà de 25-30 CT, et qui ne veulent donc plus rien dire) ; le nombre réel de « malades » et par conséquent le fameux RT restent parfaitement inconnus ; le nombre d’ « hospitalisations Covid » est faux (environ 87% d’entre elles le sont pour d’autres raisons que le Covid) ; idem pour le nombre de décès (tous les décès de personnes RCT+ sont comptabilisés comme « dus au Covid », ce qui est à 90% faux !) ; le taux d’occupation des services de soins intensifs à l’automne était présenté fallacieusement comme inhabituel alors qu’il était parfaitement normal pour la saison; et enfin, la « surmortalité » -due comme nous le verrons plus bas au vieillissement de la population- reste elle aussi parfaitement normale en termes relatifs.

Une somme invraisemblable de mensonges et de désinformations donc, expliquant comment on a pu transformer une épidémie correspondant à une grippe un peu sévère (mais rien de plus) en psychose planétaire. Rappelons à ce sujet que si vous êtes âgé de moins de 65 (et même 75) ans, votre risque de mourir, l’an passé comme actuellement, est exactement pareil à n’importe quelle autre année !

Il aurait été difficile de faire paniquer une population avec ça… raison pour laquelle, selon toute vraisemblance (les tribunaux nous le diront), les autorités et les médias n’ont cessé de déformer les chiffres et données d’une manière aussi stupidement alarmiste que pénalement répréhensible…

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C’est donc une contribution ô combien précieuse que celle d’un scientifique compétent comme l’est M. Thomas Fernique, chercheur au laboratoire d’informatique de l’Université de Paris-Nord (par contraste avec les pseudo-experts de plateaux télé), nous donnant les moyens de comprendre les données au lieu de les torturer.

Dans le registre de l’exploitation tendancieuse et éhontée, nous renvoyons volontiers les lectrices et lecteurs de ce blog à ces deux lamentables papiers -sur le même sujet- publiés par la RTS pour le premier et Heidi News pour le second. Ils démontrent l’un et l’autre de manière éblouissante l’incapacité à comprendre des journalistes qui prétendent pourtant aujourd’hui « vérifier les faits et dire la vérité»  ! Et contribuent par voie de conséquence massivement à produire de l’ignorance (et donc de la confusion) d’une manière qui dessert les intérêts de la population mais pas les intérêts de tout le monde, comme l’a magistralement montré un documentaire diffusé récemment sur la chaîne Arte…

Quand donc les experts (comme ceux de la Task Force, des universités ou des HUG) viennent affirmer que le Covid est l’événement épidémique le plus meurtrier depuis la grippe espagnol (grand épouvantail de propagande), il importe que les citoyennes et citoyens de nos pays sachent qu’ils nous trompent et nous manipulent.

Le titre orignal de l’article de M. Fernique est « It’s the demography, stupid ! » que j’ai traduit par « C’est la démographie, idiot ! » L’« idiot » ne s’adresse à personne en particulier, étant idiomatique. Mais on dispose bien de quelques idiots sous la main qui feraient bien de se ré-informer de toute urgence pour arrêter de colporter en boucle des informations fausses et nocives.

Je remercie chaleureusement l’auteur pour l’autorisation de re-publier ici son article, dont la lecture permettra à chacun(e) de se désintoxiquer de la bien vilaine propagande ambiante…


It’s the demography, stupid!

[Auteur :] Thomas Fernique
Chargé de recherche CNRS – Université Sorbonne Paris Nord
4 février 2021

La plus importante mortalité de son histoire récente [1], un record de mortalité depuis l’après-guerre [2], une année noire pour la démographie [3], etc. Le consensus médiatique semble total sur le nombre de décès enregistrés en France en 2020, qui en feraient une annus horribilis [NdNM : « anno horribilis » = année horrible]. Pourtant, cet article va défendre une thèse qui peut paraître iconoclaste :

Thèse 

La mortalité en 2020 en France est forte, mais pas exceptionnelle. Elle est une conséquence naturelle du vieillissement de la population.

Il ne s’agit pas de remettre en cause les chiffres avancés par les médias qui reposent, comme les nôtres, sur les statistiques de l’INSEE. Il s’agit simplement de tenir compte du vieillissement de la population, qui joue beaucoup plus qu’on le croit généralement. La méthode employée, simple, est régulièrement utilisée par l’INSEE [5, 6] et, plus récemment, pour comparer la grippe de 2017 au pic épidémique de Covid de mars-avril 2020 [4].

Corollaire 

Des mesures d’urgence toujours plus contraignantes n’empêcheront pas le nombre des décès de continuer à augmenter comme il le fait depuis 10 ans. Le problème est structurel et non conjoncturel.

Sans compter les dégâts économiques et psychologiques de ces mesures. Ne comptez pas trop non plus sur les vaccins : ils ne pourront vraisemblablement par faire tellement mieux que ceux utilisés chaque année contre la grippe saisonnière. Le plus sage est sans doute d’accepter de mourir un jour et de chercher à rendre cette fin de vie la plus digne possible : système hospitalier qui s’adapte au vieillissement de la population, EHPAD qui ne se transforment pas en oubliettes, communication moins anxiogène, etc.

Nous commencerons par rappeler Partie 1 quelques faits démographiques simples mais pas toujours connus, avant d’exposer Partie 2 la méthode retenue pour tenir compte du vieillissement de la population et justifier la thèse ci-dessus. La partie 3 fait un peu de prospective. Les sources des données utilisées sont détaillées dans l’annexe A.

Quelques faits élémentaires

Fait 1
La population et le nombre de décès varient fortement dans le temps.

C’est une évidence, mais il n’est pas inutile de prendre conscience de l’ampleur de ces variations. La figure 1 représente la population et le nombre de décès à chaque âge pour les années 1998 et 2020 sur la France entière.

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En 1998, on voit bien la saignée faite par la première guerre mondiale (autour de 80 ans), la forte natalité après la première guerre mondiale (entre 60 et 80 ans – on parle parfois de « génération silencieuse ») et surtout le baby-boom ayant suivi la seconde guerre mondiale (entre 30 et 50 ans, les fameux « boomers » aujourd’hui très critiqués par les plus jeunes).

En 2020, la « génération silencieuse » vient gonfler le nombre de décès. Les premiers baby-boomers commencencent eux aussi à décéder (le plateau s’incline) mais le plus gros est encore à venir.

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La mortalité à chaque âge, définie à chaque âge comme la proportion de la population ayant cet âge qui meurt dans l’année, est plus stable dans le temps. Même si elle diminue entre 1998 et 2020, elle garde en effet la même allure (Fig. 2), qu’on peut résumer ainsi :

Fait 2
La mortalité est faible avant  ans et monte en flèche après  ans.

Un dernier fait souvent plus ignoré du grand public est la surmortalité hivernale des personnes âgées. Avec la belle terminologie de 2020 :

Fait 3
Chaque hiver, une vague de décès frappe les personnes âgées.

La figure 3 illustre cela. Chez les moins de 30 ans, la faible mortalité ne permet guère de distinguer les variations, qui s’avèrent faibles et chaotiques. On constate par contre chaque hiver une forte augmentation de la mortalité chez les plus de $65$ ans, avec un profil qui évoque effectivement des vagues. Ces vagues sont hivernales (pics entre décembre et mars) et d’amplitudes comparables. Le pic de 2019-2020 est un peu plus tardif (mars-avril), mais la seule véritable exception de ces $20$ dernières années est le pic estival de la canicule de 2003.

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Raisonner à structure de population donnée

Les formules chocs de la presse citées au début de cet article reposent sur une comparaison brute des nombres de décès. En particulier, le fait qu’il y ait plus de décès en 2020 qu’en 1946 alors que la population métropolitaine est passée de $40$ à $65$ millions d’habitants n’a rien de très surprenant, même avec les progrès de la médecine depuis 1946 ! Le minimum serait de comparer des décès à population totale constante (décès pour 100 000 habitants). Ça serait cependant ignorer le vieillissement d’une population dont l’âge médian est passé de $36$ ans en 1946 à $42$ ans en 2020. On propose ici de comparer « à structure de population donnée », en l’occurrence la population de 2020.

Formellement, pour une année X, on calcule le nombre de décès qu’il y aurait eu si la mortalité de l’année X était appliquée, âge par âge, à la population de 2020. Il s’agit donc d’un nombre de décès « virtuel », tel qu’il aurait été avec la structure de la population de 2020. Le résultat pour les années X entre 1998 à 2020 est illustré Fig. 4.

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On constate que le nombre de décès virtuels diminue régulièrement, ce qui révèle une diminution globale de la mortalité à tous les âges. A contrario, le nombre réel de décès augmente régulièrement depuis environ 2005 : la diminution de la mortalité grâce aux progrès de la médecine ne suffit plus à contrebalancer les effets de plus en plus forts du vieillissement de la population.

À un niveau plus fin, on remarque que le nombre de décès augmente significativement certaines années par rapport à l’année précédente : en 2020 bien sûr, mais aussi en 2015, 2012, 2005 ou 2003 (pour ne pas remonter plus loin). Ces augmentations sont généralement suivies d’une ou plusieurs années « plus clémentes ». C’est ce qui est parfois appelé « effet de moisson » : une sélection des plus faibles par la mortalité au cours d’un évènement particulier se traduit par une sous-mortalité pendant la période suivante (voir, par exemple, [7]).

En considérant les décès réels, c’est-à-dire sans tenir compte du vieillissement de la population, l’augmentation des décès entre 2019 et 2020 est incontestablement très forte, même s’il faut sans doute tempérer par le fait que le pic de mortalité de l’hiver 2019-2020 a été tardif (Fig. 3), renforçant d’autant la différence entre 2020 et 2019 (peut-être aussi parce que 2019 a encore bénéficié de la « moisson » de 2015).

En revanche, en considérant les décès « à structure de population donnée », comme le fait régulièrement l’INSEE [5, 6], l’année 2020 devient bien moins effrayante, puisque seules les quatre dernières années et 2014 font mieux.

On pourra certes objecter qu’il est réducteur de se focaliser sur la seule mortalité au détriment des réanimations, hospitalisations voire séquelles. Ceci s’explique par le fait qu’il est difficile d’avoir des chiffres exploitables (séries longues et selon l’âge) pour ces variables. On peut cependant raisonnablement supposer qu’elles sont, cette année comme les précédentes, fortement corrélées à la mortalité. C’est d’ailleurs un des arguments avancés pour prendre des mesures d’urgence sanitaires.

L’avenir ?

On dit parfois que la validité d’une théorie se mesure à sa capacité à faire des prévisions. Que nous prévoit ce raisonnement à structure de population donnée pour les années prochaines ?

Pour 2021, soyons optimistes : gageons que la vaccination, les mesures sanitaires ou même un éventuel « effet de moisson » de 2020 fera redescendre la mortalité à ce qu’elle était en 2019 (son plus bas niveau historique). Appliquons alors cette mortalité à chaque âge à la population au 1er janvier 2021. Le calcul donne 636 000 décès pour l’année 2021 sur la France entière, soit 32 000 de moins qu’en 2020 : ouf ! Mais cela fait néanmoins encore 20 000 décès de plus qu’en 2019… Ainsi, le seul vieillissement de la population en l’espace de deux ans (de 2019 à 2021) explique 20 000 décès supplémentaires.

À plus long terme, on peut se baser sur les projections de population données par l’INSEE (qui, par définition d’une projection, ont un certain degré d’incertitude). Toujours en faisant le calcul avec la mortalité de 2019, le nombre annuel de décès augmenterait de 10 000 à 20 000 chaque année, avec la barre du million de décès annuels franchie dans une vingtaine d’année (je vous laisse imaginer le confinement 2040). On peut être plus optimiste et tabler sur une poursuite de la diminution de la mortalité à chaque âge grâce aux progrès de la médecine (bien que cette diminution se tasse ces dernières années). Mais avec $40%$ de personnes âgées de plus de $65$ ans en plus dans vingt ans, il ne faut pas se bercer d’illusions : le nombre de décès de 2020 sera certainement un des plus bas des décennies à venir. Notre système hospitalier, dimensionné pour accompagner la fin de vie de la « génération silencieuse », ne l’est plus pour celle des baby-boomers, $50$% plus nombreux (Figure 1). Se confiner 3 mois chaque hiver, porter le masque en permanence ou imposer un passeport vaccinal ne peut jouer qu’à la marge.


Données utilisées

Les pyramides des âges année par année peuvent être téléchargées librement sur le site de l’INSEE. Elles donnent la population totale (recensée ou estimée) à chaque âge au 1er janvier de l’année en question, en France métropolitaine (données à partir de 1901) ou sur la France entière (données à partir de 1991). Les personnes âgées de 100 ans ou plus (105 ans certaines années) sont classées dans une même catégorie. Numériquement faible (il y a quand même 27 000 centenaires en 2020), cette catégorie influence peu les statistiques, sauf pour l’espérance de vie (qui pondère fortement les âges élevés) qu’on s’abstient par conséquent de commenter. Jusqu’en 2016 les pyramides sont ici (fichiers T6) :
www.insee.fr/fr/statistiques/2851528?sommaire=2851587

De 2017 à 2020 elles sont ici :
www.insee.fr/fr/statistiques/1913143?sommaire=1912926

Et celle de 2021 peut être trouvée ici :
www.insee.fr/fr/statistiques/5007688?sommaire=5007726

Pour ce qui est des décès, on trouve, toujours en libre téléchargement sur le site de l’INSEE, le nombre de décès selon l’âge atteint dans l’année (voir « âge selon l’INSEE« ), en France métropolitaine (données depuis 1962) et sur la France entière (données depuis 1994). Comme pour les pyramides des âges, il y a une seule catégorie pour les décès à plus de 100 ans. Jusqu’en 2019, les données sont ici (fichier T74) :
www.insee.fr/fr/statistiques/4771989?sommaire=4772633

Pour 2020, le nombre de décès selon l’âge ne semble pas encore disponible sur le site de l’INSEE. Cependant, on trouve des données brutes plus complètes (également dues à l’INSEE) sur le site data.gouv, qui sont celles qu’on utilise dans cet article :
www.data.gouv.fr/fr/datasets/fichier-des-personnes-decedees/

Ces fichiers donnent, chaque année depuis 1970 et chaque mois sur les deux dernières années, la liste nominative des décès remontés à l’INSEE. L’information est donc très complète puisqu’elle fournit date et lieu de naissance et de décès de chaque personne. Ceci permet en particulier de calculer des variations saisonnières du nombre de décès selon l’âge (Fig. 3), ce qui est impossible avec les fichiers proposés sur le site de l’INSEE. La raison est sans doute que ces fichiers sont énormes et donc peu exploitables par le grand public (une ligne par décès sur l’année, c’est un fichier de plusieurs centaines de milliers de lignes). Leur format texte simple permet cependant de les exploiter facilement en programmant un petit peu.

Il faut faire attention au fait qu’un décès ne remonte pas immédiatement à l’INSEE : la mairie a une semaine pour envoyer l’acte de décès par la poste. En particulier, les décès des 10 derniers jours de l’année se trouvent généralement dans le fichier des décès du mois de janvier de l’année suivante. Nous avons intégré les décès remontés dans le fichier des décès de janvier 2021 (il y en avait environ 10000, l’écrasante majorité ayant eu lieu en décembre 2020). Il y en aura sans doutes encore quelques uns qui remonteront plus tard, mais une comparaison avec 2019 ou 2018 montre que près de 90% des décès « en retard » arrivent en janvier de l’année suivante.

Un autre problème est qu’un même décès est parfois remonté plusieurs fois (rarement plus de deux, même si le décès d’une certaine Marie Cabre est recensé 40 fois dans le fichier des décès 1999). Nous avons enlevé les répétitions exactement à l’identique d’une même ligne (environ 120 000 cas, dont un tiers en 1997 et un autre tiers en 1999).

Enfin, les dates de naissance ou décès sont parfois incomplètes. Dans l’écrasante majorité des cas, ce sont des naissances à l’étranger dont le jour ou le mois n’est pas connu. Cela concerne, par exemple, un peu plus de 4 000 décès dans le fichier 2020, ce qui n’est pas négligeable. Nous avons gardé ces cas car l’année de naissance nous suffit à calculer l’âge au 1er janvier de l’année de décès, qui est l’âge que nous utilisons puisqu’on rapporte à la population au 1er janvier de l’année.

Les projections de population faites par l’INSEE et utilisées Partie 3 sont disponibles ici :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2496716?sommaire=2496793


Bibliographie

1. Les Décodeurs, La France a connu en en 2020 la plus importante mortalité de son histoire récente, Le Monde, 01/15/2021 (url)

2. AFP, Covid-19 : 60 000 morts et mortalité record en France en 2020, Le Point, 18/12/2020 (url).

3. Agnès Leclair, Décès, espérance de vie, naissances: 2020, année noire pour la démographie, Le Figaro, 19/01/2021 (url)

4. Décoder l’éco, Grippe VS Covid, qui est vraiment le plus mortel ?, youtube, 14/01/2021 (url)

5. N. Blanpain, La mortalité stagne à l’âge adulte pour les générations nées entre 1941 et 1955, Insee Première 1824, 13/11/2020 (url).

6. D. Desrivierre, J. Fabre, Plus de décès pendant l’épisode de Covid-19 du printemps 2020 qu’au cours de la canicule de 2003, Insee Première 1816, 18/09/2020 (url).

7. M. Barbieri, A. Nizard. et L. Toulemon, écarts de température et mortalité en France, rapport de l’INED 138 (2006) (url).


Télécharger au format pdf : cliquer ici.




Pr Perronne « apprendre à désobéir »

[Source : Bam Press]

0:00 : Comment la crise a changé le Pr. Perronne : de la naïveté envers le système auquel il participait, à la prise de conscience
8:14 : Dictature de l’#OMS
10:30 : Quelles prochaines peurs fabriquées ? #mpox #viruxX #grippeA = #H5N8 #H5N1
13:57 : Destruction de la médecine
1) Constat :
– Médecins éradiqués
– Hôpital attaqué
– Données vendues à #Gates #Microsoft
– Budget de la Sécu détourné
20:11 :
Destruction de la médecine
2) Solutions pour l’empêcher :
– Nationaliser la #Pharma ?
– Réhumaniser l’enseignement de la médecine ?
– S’affranchir du diktat des études randomisées, trop souvent truquées ?
29:50 : Prises de conscience :
30:08 : Illégalité au sein des institutions
31:07 : Dangers des #vaccins #ARNm actuels et futurs, #surmortalité, #turbocancers, #infertilité
34:13 : Défaites & victoires #APHP #ConseilDeLOrdre
37:35 : Résister, s’unir, apprendre à désobéir




Singapour, hyper vaccinée, est confrontée à une crise démographique

Vaccination dans quelques pays, en comparaison :






Qu’est-ce que l’IA ? Illusions numériques, fausses promesses et rééducation de masse

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith — 10 août 2024

Au cours des cinq dernières années, le concept d’intelligence artificielle a fait l’objet d’une grande fanfare, à tel point que sa primauté est considérée dans les médias comme une évidence. L’idée que les algorithmes puissent « penser » est devenue un mythe omniprésent, un fantasme de science-fiction qui prend vie. La réalité est beaucoup moins impressionnante…

Les mondialistes du Forum économique mondial et d’autres institutions élitistes nous répètent sans cesse que l’IA est le catalyseur de la « quatrième révolution industrielle » — une singularité technologique qui est censée changer à jamais tous les aspects de notre société. J’attends toujours le moment où l’IA fera quelque chose de significatif en termes d’avancement des connaissances humaines ou d’amélioration de nos vies. Ce moment n’arrive jamais. En fait, les mondialistes ne cessent de déplacer les poteaux d’affichage de ce qu’est réellement l’IA.

Je note que les zélateurs du FEM comme Yuval Harari parlent de l’IA comme s’il s’agissait de l’avènement d’une divinité toute puissante (je discute du culte mondialiste de l’IA dans mon article « Intelligence artificielle : un regard laïque sur l’antéchrist numérique »). Pourtant, Harari a récemment minimisé l’importance de l’IA en tant qu’intelligence sensible. Il affirme qu’elle n’a pas besoin d’atteindre la conscience de soi pour être considérée comme un super être ou une entité vivante. Il suggère même que l’image populaire d’une IA de type Terminator dotée d’un pouvoir et d’un désir individuels n’est pas une attente légitime.

En d’autres termes, l’IA telle qu’elle existe aujourd’hui n’est rien de plus qu’un algorithme sans cervelle, et ce n’est donc pas de l’IA. Mais si tous les aspects de notre monde sont conçus autour d’infrastructures numériques et que l’on apprend à la population à avoir une foi aveugle dans l’« infaillibilité » des algorithmes, alors ils finiront par devenir les dieux robots que les mondialistes appellent de leurs vœux. En d’autres termes, la domination de l’IA n’est possible que si tout le monde CROIT que l’IA est légitime. Harari admet essentiellement cet agenda dans le discours ci-dessus.

L’attrait de l’IA pour le commun des mortels réside dans la promesse de se libérer de tout souci ou de toute responsabilité. Comme tous les narcissiques, l’élite mondiale aime simuler l’avenir et acheter la conformité populaire en promettant des récompenses qui ne viendront jamais.

Oui, les algorithmes sont actuellement utilisés pour aider les profanes à faire des choses qu’ils ne pouvaient pas faire auparavant, comme construire des sites web, réviser des dissertations, tricher aux examens universitaires, créer de mauvaises œuvres d’art et du contenu vidéo, etc. Les applications utiles sont rares. Par exemple, l’affirmation selon laquelle l’IA « révolutionne » le diagnostic et le traitement médicaux est tirée par les cheveux. Les États-Unis, le pays qui a sans doute le plus accès aux outils d’IA, souffrent également d’une baisse de l’espérance de vie. Nous savons qu’il ne s’agit pas du Covid, car son taux de survie moyen est de 99,8 %1. On pourrait penser que si l’IA est si puissante dans sa capacité à identifier et à traiter les maladies, l’Américain moyen vivrait plus longtemps.

Il n’existe aucune preuve d’un avantage unique de l’IA à une échelle sociale plus large. Tout au plus, il semble qu’elle permette de supprimer des emplois de développeurs web et d’employés de McDonald’s pour le service au volant. L’idée mondialiste selon laquelle l’IA va créer une renaissance robotique de l’art, de la musique, de la littérature et de la découverte scientifique est totalement absurde. L’IA s’est avérée n’être rien de plus qu’un outil de commodité médiocre, mais c’est en fait la raison pour laquelle elle est si dangereuse.

Je soupçonne le FEM d’avoir changé ses idées sur ce que l’IA devrait être parce qu’elle ne répond pas aux aspirations délirantes qu’il avait à l’origine pour elle. Ils attendaient qu’un logiciel prenne vie et commence à leur donner des informations sur les mécanismes de l’univers, et ils commencent à se rendre compte que cela n’arrivera jamais. Au lieu de cela, les élitistes se concentrent de plus en plus sur la fusion du monde humain et du monde numérique. Ils veulent fabriquer la nécessité de l’IA parce que la dépendance de l’homme à l’égard de la technologie sert les objectifs de la centralisation.

Mais à quoi cela ressemblerait-il en réalité ? Eh bien, il faut que la population continue à devenir plus bête tandis que l’IA s’intègre de plus en plus à la société.

Par exemple, il est aujourd’hui largement admis qu’une formation universitaire n’est pas un gage d’intelligence ou de compétence. Des millions de diplômés entrant sur le marché du travail aujourd’hui font preuve d’un niveau d’incompétence déconcertant. Cela s’explique en partie par le fait que les enseignants sont moins compétents, qu’ils ont des préjugés idéologiques et que le programme d’études moyen s’est dégradé. Mais nous devons aussi commencer à comptabiliser le nombre d’enfants qui s’en sortent à l’école en utilisant ChatGPT et d’autres outils de triche.

Ils n’ont pas besoin d’apprendre quoi que ce soit, l’algorithme et l’appareil photo de leur téléphone portable font tout pour eux. Cette tendance est inquiétante, car les êtres humains ont tendance à emprunter le chemin le plus facile dans tous les aspects de la survie. La plupart des gens ont cessé d’apprendre à cultiver leur nourriture parce que l’agriculture industrielle le fait pour nous. Ils ont cessé d’apprendre à chasser parce qu’il y a des abattoirs et des camions frigorifiques. Aujourd’hui, de nombreux Zennials2 sont incapables de se faire à manger parce qu’ils peuvent recevoir des plats à emporter à leur porte à tout moment. Ils ne parlent presque plus au téléphone et ne créent plus de communautés physiques parce que les textos et les médias sociaux sont devenus les intermédiaires de l’interaction humaine.

Oui, tout est « plus facile », mais cela ne veut pas dire que tout est mieux.

Ma grande crainte —L’avenir que je vois se profiler est un avenir dans lequel les êtres humains ne prennent plus la peine de penser. L’IA pourrait être considérée comme l’ultime accumulation de connaissances humaines, une bibliothèque massive ou un cerveau numérique qui effectue toutes les recherches et réfléchit à votre place. Pourquoi apprendre quoi que ce soit quand l’IA « sait tout » ? Mais c’est un mensonge.

L’IA ne sait pas tout ; elle ne sait que ce que ses programmeurs veulent qu’elle sache. Elle ne vous donne que les informations que ses programmeurs veulent que vous ayez. Les mondialistes l’ont bien compris et ils sentent bien le pouvoir qu’ils auront si l’IA devient une plateforme éducative de premier plan. Ils y voient un moyen d’inciter les gens à abandonner le développement personnel et la pensée individuelle.

Voyez les choses sous cet angle : si tout le monde commence à se tourner vers l’IA pour obtenir des réponses à toutes ses questions, alors tout le monde recevra exactement les mêmes réponses et arrivera exactement aux mêmes conclusions. Tout ce que l’IA a à faire, c’est de censurer activement toute information qui contredit le récit officiel.

Nous avons eu un aperçu de cette situation orwellienne lors de la pandémie de Covid, lorsque des entreprises de haute technologie comme Google ont utilisé des algorithmes pour enterrer toutes les données qui prouvaient que la Covid n’était pas la menace que les autorités gouvernementales prétendaient qu’elle représentait. Pendant au moins trois ans, il était impossible d’aller sur YouTube et de trouver des informations alternatives sur le virus ou les vaccins. L’algorithme a obligé tout le monde à passer au crible une longue liste de sources officielles, dont beaucoup véhiculent des mensonges flagrants sur les masques, la distanciation sociale, le taux de mortalité dû à la Covid, et la sécurité des vaccins.

Le pouvoir en place n’a même pas besoin de censurer ou de supprimer directement les informations qu’il n’aime pas. Il leur suffit de laisser l’algorithme dicter les résultats de recherche et d’enterrer la vérité à la page 10 000, là où personne ne la cherchera.

Quel serait l’impact sur le citoyen moyen ? Supposons que l’IA soit programmée pour dicter le discours scientifique. Que se passerait-il si l’IA disait que le changement climatique provoqué par l’homme est une réalité indéniable et que « la science est établie », sans jamais présenter la montagne de preuves contraires ? Personne ne cherchera les vraies données parce que l’IA les rendra impossibles à trouver. Tout le monde supposera que l’IA leur dit tout ce qu’il y a à savoir sur le sujet, mais il y a pire encore…

De nombreux lecteurs se souviendront peut-être qu’il y a quelques mois, le système d’IA « Gemini » de Google a été programmé pour imposer l’IED3 à ses utilisateurs. Chaque fois qu’une personne demandait à l’IA de créer une image historique, l’algorithme rendait tout le monde noir ou brun et souvent féminin. Les représentations d’hommes blancs étaient étrangement rares, malgré l’exactitude historique. Cela signifie des images sans fin de Highlanders noirs et bruns en Écosse, de Pères fondateurs noirs en Amérique, de papes catholiques féminins, de chevaliers asiatiques dans l’Europe médiévale, et même, ce qui est hilarant, de nazis noirs dans l’Allemagne de la Seconde Guerre mondiale.

Les développeurs d’IA affirment souvent qu’une fois l’IA créée, ils ne contrôlent plus vraiment ce qu’elle fait et comment elle se développe. L’incident des Gémeaux prouve que c’est un mensonge. L’IA peut définitivement être contrôlée, ou du moins modelée par le codage pour promouvoir la propagande que les programmeurs veulent qu’elle promeuve. Il n’existe pas d’IA autonome ; il y a toujours un agenda.

En résumé, les mondialistes souhaitent la prolifération de l’IA parce qu’ils savent que les gens sont paresseux et qu’ils utiliseront le système comme substitut à la recherche individuelle. Si cela se produit à grande échelle, l’IA pourrait être utilisée pour réécrire tous les aspects de l’histoire, corrompre les racines mêmes de la science et des mathématiques et transformer la population en un esprit de ruche baveux ; une écume bourdonnante de drones décérébrés consommant chaque proclamation de l’algorithme comme si elle était sacro-sainte.

En ce sens, Yuval Harari a raison. L’IA n’a pas besoin de devenir sensible ou d’utiliser une armée de robots tueurs pour faire beaucoup de mal à l’humanité. Il lui suffit d’être suffisamment pratique pour que nous n’ayons plus envie de penser par nous-mêmes. Comme le « Grand et Puissant » OZ qui se cache derrière un rideau numérique, vous pensez acquérir des connaissances auprès d’un magicien alors que vous êtes en réalité manipulés par des vendeurs d’huile de serpent mondialistes.





Des scientifiques remettent en question les préceptes fondamentaux de la virologie. Les virus existent-ils vraiment ?

[Source : https://www.lifesitenews.com]

[Traduction Jean Bitterlin, le 31 juillet 2024]

Un certain nombre d’experts en santé favorables à la liberté, dont l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, remettent désormais en question non seulement l’existence du COVID-19, mais aussi celle de tous les virus.

(NDT L’image ci-dessus n’est pas une image provenant de la microscopie électronique, mais est l’œuvre d’un artiste qui l’a réalisée à l’aide d’un programme informatique. Nous y voyons des « virus SARS-CoV-2 » nageant au milieu de globules rouges. Cette « œuvre » figurera peut-être un jour dans un musée dédié à la farce COVID-19.)

Mercredi 17 juillet 2024

Citoyens américains : Exigez du Congrès qu’il enquête sur la surmortalité qui s’élève en flèche. (Demand Congress investigate soaring excess death rates)

(LifeSiteNews) —  Dans une interview accordée le 20 juin à Tucker Carlson1 le présentateur de télévision et auteur écossais Neil Oliver a indiqué qu’il n’était « pas persuadé » qu’il existait une chose telle qu’un virus COVID-19 circulant dans la population depuis 2019 et 2020, expliquant que selon lui, sur la base des statistiques de lits d’hôpitaux et de décès, il n’y avait « pas de pandémie », mais plutôt « une pandémie de propagande, une pandémie de mensonges et une pandémie de (faux) tests PCR. »

Pourtant, lui et d’autres seront peut-être surpris d’apprendre que de nombreux scientifiques ont affirmé avoir la preuve qu’il a raison et que le virus SARS-CoV-2 n’existe même pas. En outre, ils affirment, avec une confiance impressionnante et des démonstrations détaillées, qu’il n’y a en fait aucune preuve que les virus existent et que la virologie elle-même est une « pseudoscience ».

Dans une vidéo de 40 minutes intitulée « Preuve officielle que la virologie est une pseudoscience », la chercheuse canadienne Christine Massey explique comment elle et d’autres ont adressé des demandes au titre de la liberté d’information2 à des centaines d’institutions scientifiques dans 40 pays différents « pour obtenir tout document attestant que quelqu’un dans le monde a jamais trouvé ce prétendu virus (SARS-CoV-2) dans le liquide corporel, les tissus ou les excréments de n’importe quelle personne, n’importe où sur Terre, et par n’importe qui ».

« À ce jour, nous avons reçu des réponses de 216 institutions différentes provenant de 40 pays. Et jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de nous fournir ne serait-ce qu’un seul dossier » et par conséquent « ils ne peuvent citer aucun dossier », a-t-elle déclaré. « Ils ont donc tous admis qu’ils n’avaient pas d’échantillon du prétendu virus et qu’ils ne connaissaient même pas une personne qui ait un jour obtenu un échantillon de ce prétendu virus ».

Un tel échantillon serait nécessaire « afin de séquencer et caractériser une particule et l’étudier au moyen d’expériences de contrôle, ce qui est le fondement de la méthode scientifique », a-t-elle poursuivi. « Et si personne n’a d’échantillon du prétendu virus, alors personne ne peut avoir fait de la science ».

Christine Massey, ancienne biostatisticienne spécialisée dans le cancer et titulaire d’une maîtrise en sciences, fournit une documentation complète sur ses recherches, y compris une liste des organisations qu’elle a contactées, dont l’Organisation Mondiale de la Santé, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, le Conseil National de la Recherche du Canada, le Public Health of England, et des centaines d’autres. Elle fournit également une longue liste de leurs réponses respectives.

Aucun rapport scientifique de quelque virus que ce soit chez l’homme ou l’animal

Parmi ces réponses l’une provient du CDC et une autre, qu’elle cite, émane de l’hôpital Mount Sinai au Canada, qui déclare :

« Nous ne savons pas si l’isolement d’un virus de la manière que vous avez décrite est possible pour n’importe quel virus. Cela n’entre pas dans le cadre des processus scientifiques actuels ».

Toutefois, Christine Massey précise qu’« il ne s’agit pas d’une limitation de la technologie (car) les protéines et autres particules plus petites sont censées être purifiées », mais ce que ces lettres indiquent, c’est qu’une telle purification et un tel isolement « n’ont jamais lieu en virologie », probablement « parce que s’ils purifiaient des particules, ils ne seraient pas en mesure de montrer qu’elles correspondent réellement à la définition d’un virus ».

Par conséquent, comme d’autres experts au cours des dernières décennies, Christine Massey déclare qu’elle et ses collègues chercheurs ont réalisé que cette anomalie ne se limitait pas au COVID-19, mais à l’ensemble de la virologie. Elle en a déduit que ce domaine d’étude n’était « pas scientifique ». Il n’y a jamais de variable indépendante valable », mais au contraire « on va dans la direction opposée » en menant ce qu’elle appelle « une pseudoscience flagrante ».

[Voir :
Aveuglés par la pseudoscience]

En conséquence, elle et ses collègues ont fait des demandes similaires au titre de la liberté d’information pour « d’autres virus supposés », demandant « toute trace d’un virus supposé infecter les humains qui aurait été purifié à partir d’une personne malade. Et ils ont admis qu’ils n’en avaient aucune ». La même information a été demandée à des institutions telles que le CDC concernant « tout virus supposé être couvert par un soi-disant vaccin dans leurs calendriers de vaccination, que ce soit pour les enfants ou pour les adultes, et ils n’ont pas été en mesure de fournir le moindre dossier ».

Ces mêmes demandes ont également été adressées à des institutions telles que l’Agence Canadienne d’Inspection des Aliments qui, à l’occasion, ordonne la destruction d’un grand nombre d’animaux de ferme « au motif qu’ils sont prétendument infectés par des virus dangereux ».

« Ils ont admis sans ambages qu’ils ne disposaient d’aucun dossier de ce type », a-t-elle déclaré.

La virologie n’a jamais réussi à remplir ses propres exigences afin de prouver l’existence des virus

Pour compléter les découvertes de Christine Massey, le Dr Mark Bailey, médecin néo-zélandais, a rédigé un long document technique en 2022. La thèse de 29 000 mots de Bailey est intitulée « UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) » et a également été transformée en une série de vidéos en trois parties pour expliquer ses arguments à un public plus large.

La première vidéo décrit Bailey comme « un chercheur en microbiologie, en industrie médicale et en santé qui a travaillé dans le domaine médical, y compris les essais cliniques pendant deux décennies » et déclare que son article détaillé, qui s’attaque aux fondements mêmes de toute la discipline de la virologie, reste « incontesté ».

« La virologie a inventé le modèle théorique fictif des virus, mais n’a jamais réussi à remplir ses propres exigences afin de prouver leur existence », résume le narrateur Steve Falconer. « On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que les humains. Pourtant, en dehors des dessins animés, des modèles informatiques et des films hollywoodiens, il n’existe aucune preuve scientifique de ces affirmations ».

Le plus grand échec de la virologie « a peut-être été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus ou des fluides d’organismes tels que les humains censés souffrir de maladies virales », poursuit la vidéo. « Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudoscientifiques pour remplacer la méthode scientifique traditionnelle, comme des expériences de contrôle rigoureuses pour tenter de réfuter leur hypothèse initiale. »

« Pourtant, les virologues n’ont jamais isolé cette particule de vésicule extracellulaire seule et séparée des milliers d’autres particules trouvées dans les tissus humains, les fluides et dans leurs expériences en boîte de Petri et en tube à essai pour « la caractériser génétiquement et prouver qu’il s’agit bien d’une particule virale », affirme la vidéo. Les virologues doivent isoler une particule qu’ils croient être un virus grâce à l’imagerie photographique, afin de prouver qu’il s’agit bien d’un virus « et non de simples débris cellulaires ».

En outre, une particule virale doit être testée pour « remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer, ce qui signifie qu’il produit des copies identiques de lui-même à l’intérieur d’un organisme hôte, et qu’il est également capable de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme », explique M. Falconer.

Il n’existe pas un seul article scientifique publié qui de manière légitime trouve un « virus »

« Cependant », poursuit la vidéo, « les virus tels que le SARS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques ».

« Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de minuscules séquences génétiques communes sélectionnées et de protéines supposées ou plutôt prétendues être virales », affirme Falconer. « L’existence d’un véritable virus n’est pas nécessaire dans ce raisonnement circulaire fallacieux. Ainsi, des pandémies fictives entières peuvent être construites sur la base de créations numériques fictives, puis faussement maintenues grâce à des réactions moléculaires in vitro3 qui n’ont aucune signification ».

Dans la vidéo, le docteur Thomas Cowan, qui se décrit comme un médecin spécialisé dans les médecines alternatives, affirme un « fait sur lequel tous les virologues s’accordent », à savoir qu’« il n’y a pas un seul article scientifique publié dans lequel une particule que l’on pourrait qualifier de virus » ait été trouvée « dans le liquide biologique d’un homme ou d’un animal malade, où que ce soit. Et tout le monde est d’accord. Tous les virologues sont d’accord. Ils disent que ce n’est pas comme ça qu’on trouve un virus ».

En outre, comme le stipule un document dont le Dr Cowan est l’un des principaux auteurs, intitulé « Settling the Virus Debate » (SVD – Régler le débat sur les virus), des particules similaires appelées exosomes « ont été isolées avec succès par purification, mais il n’a pas été démontré qu’elles étaient capables de se répliquer, qu’elles étaient infectieuses et qu’elles provoquaient des maladies ; on ne peut donc pas dire qu’il s’agit de virus ».

Des particules infiniment plus petites que de « prétendus virus » sont régulièrement isolées, expérimentées, fabriquées et même construites en tant que nanotechnologies

Le documentaire poursuit en expliquant que « la centrifugation en gradient de densité est la technique standard scientifiquement requise pour démontrer l’existence d’un virus ». Pourtant, « bien que cette méthode soit décrite dans tous les manuels de microbiologie comme la technique d’isolement des virus, elle n’est en fait jamais appliquée dans les expériences visant à démontrer l’existence de virus pathogènes ».

En outre, Falconer explique que les virologues décrivent les virus comme ayant un diamètre de « 30 à 150 nanomètres », alors que « les chimistes moléculaires trouvent et isolent tous les jours sans problème des molécules plus petites qu’un nanomètre… et font toutes sortes de choses avec elles ».

En fait, « IBM a dévoilé en 2021 la première technologie de puce à deux nanomètres au monde avec des nanofeuilles de deux nanomètres qu’ils sont facilement capables de fabriquer, de trouver, d’isoler et même d’attacher à d’autres nanobandes qui ne font que 12 à 44 nanomètres de large et 75 nanomètres de long, qu’ils peuvent clairement fabriquer, trouver et isoler afin d’y attacher les nanofeuilles plus petites de deux nanomètres ».

« Pourtant, les virologues ne peuvent pas trouver un virus de 30 à 150 nanomètres dans un grand échantillon d’expectoration », observe le documentaire vidéo, bien que la propagande du gouvernement COVID-19 suggère que les personnes infectées sont porteuses du virus à des niveaux si importants qu’il peut rendre une personne dangereusement malade à une distance de six pieds et qu’il peut être filtré par un masque N95.

Selon le document SVD, au lieu d’utiliser la centrifugation pour isoler ces particules, les virologues proposent des « preuves de l’existence des virus » par le biais de « génomes » et d’expériences sur les animaux, qui, selon les auteurs, « découlent de méthodologies avec des contrôles insuffisants ».

Outre le Dr Tom Cowan on trouve, parmi les signataires du document SVD, Christine Massey, le Dr Mark Bailey et sa femme le Dr Samantha Bailey, M.D., et seize autres experts dont l’ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et maladies respiratoires, le Dr Michael Yeadon.

L’opinion dominante selon laquelle les virus existent est défendue par d’autres médecins de la liberté de la santé : « le bébé a été jeté avec l’eau du bain »

Le document SVD continue à « rencontrer les virologues n’ayant parcouru que la moitié du chemin » en proposant une première expérience qui n’exige pas de leur part qu’ils isolent correctement un virus, mais qui est plutôt basée sur leur méthodologie actuelle de séquençage des génomes de « prétendus virus ».

Bien que personne dans la communauté des virologues n’ait apparemment accepté de relever ce défi, une réponse au document a été apportée en mai par un article des docteurs Michael Palmer et Sucharit Bhakdi (P&B), qui cherchent à défendre le consensus de longue date selon lequel l’existence des virus a été correctement démontrée depuis de nombreuses années.

Dans « Les virus existent-ils ? », ces deux médecins reconnaissent tout d’abord qu’à la suite du phénomène COVID-19, « le public a de nombreuses raisons de se méfier… de la «communauté scientifique» » en raison d’une foule de « mensonges absurdes et éhontés » avancés par ces prétendues autorités scientifiques et politiques. Cependant, ils mettent en garde contre un « scepticisme radical » compréhensible et accusent les sceptiques du virus d’avoir « jeté le bébé avec l’eau du bain ».

Après avoir discuté de l’histoire de la théorie des germes, P&B font quelques déclarations fondamentales qui ont été peu après contrées par Massey dans un courriel qu’elle leur a envoyé et qui a été publié par la suite, ainsi que dans une analyse vidéo d’environ 43 minutes réalisée par Tom Cowan le 29 mai.

Par exemple, P&B défendent l’identification et l’« isolement » des virus à l’aide de cultures cellulaires en présentant trois points distincts.

Premièrement, les virus ont souvent « des formes très caractéristiques qui ne risquent pas d’être confondues avec des particules produites par des cellules vivantes ou avec des débris laissés par des cellules mortes ».

En réponse, Cowan souligne que P&B admettent implicitement que « ces virus n’ont jamais été isolés selon la définition courante de l’isolement ». Il poursuit en affirmant que la déclaration de P&B à ce sujet est « clairement fausse », comme le démontrent de nombreux documents qui la réfutent directement, dont un qui affirme qu’il n’y a « aucun moyen » de distinguer ces prétendus virus d’autres particules en se basant uniquement sur des images.

[Voir aussi :
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie]

Deuxièmement, P&B poursuivent en disant qu’« il existe de nombreuses méthodes biochimiques pour caractériser les particules virales », ce que Cowan qualifie de « raisonnement circulaire ». Il demande comment on peut savoir qu’on a affaire à des particules virales si on ne les a jamais isolées et identifiées correctement. En outre, comment peut-on savoir que l’on établit « l’information génétique caractéristique du virus plutôt que de la culture de la cellule hôte » si l’on n’a « jamais isolé, c’est-à-dire séparé, le virus de la culture de la cellule hôte » ?

« Aucune particule n’a jamais été séquencée, caractérisée, étudiée au moyen d’expériences contrôlées et valables, et il n’a jamais été démontré qu’elle correspondait à la définition d’un virus »

Troisièmement, P&B précise que « tous les virus ne sont pas faciles à cultiver dans des cultures cellulaires », ce qui, selon le Dr Tom Cowan, est « une réflexion étonnante ».

« En d’autres termes, ils nous disent que la façon d’isoler, c’est-à-dire de trouver, c’est-à-dire de prouver l’existence d’un virus, est de le cultiver dans une culture cellulaire et de voir l’effet cytopathique sur ces cellules très spécialisées », a-t-il déclaré. “C’est ainsi que l’on identifie la présence d’un virus. Ensuite, ils se retournent et disent : « Eh bien, il y a des virus qu’on ne peut pas cultiver dans des cellules ».

“Vous ne venez pas de me dire que la définition pour savoir s’il y a un virus, c’est qu’il faut qu’il provoque un effet cytopathique dans une culture cellulaire ?” demande Cowan. « Et maintenant, vous me dites que tous les virus ne peuvent pas être cultivés dans une culture cellulaire. Comment avez-vous su en premier lieu qu’il s’agissait d’un virus, parce que c’est ce que vous venez de me dire à l’instant, comment je pourrais le savoir. Et ils font cela encore et encore ».

Christine Massey a ajouté que dans nombre de leurs déclarations, y compris celles mentionnées ci-dessus, P&B s’appuient sur des « sophismes de réification », qui sont définis comme « lorsqu’un argument s’appuie sur un concept abstrait comme s’il s’agissait d’un fait concret ; lorsqu’un scénario ou une situation hypothétique est évoqué et traité comme s’il s’agissait d’une chose réelle ».

Le fait de qualifier continuellement les particules de « virus » n’en fait pas des virus, ne prouve pas qu’elles le sont et induit en erreur en raison de l’absence de preuves valables et logiques », a déclaré la chercheuse canadienne. Il existe peut-être de nombreuses méthodes pour caractériser les particules submicroscopiques, mais aucune particule n’a jamais été séquencée, caractérisée, étudiée à l’aide d’expériences contrôlées et valables, et il n’a jamais été démontré qu’elle correspondait à la définition d’un « virus ».

Aucune analyse d’un « génome » fabriqué par un programme informatique, dont on n’a jamais démontré qu’il avait une contrepartie physique, ne pourrait nous apprendre quoi que ce soit sur un prétendu virus

P&B affirment également que les virus, y compris le virus SARS-CoV-2, ont été isolés « à de nombreuses reprises » et que cet « isolement est souvent utilisé pour la caractérisation initiale d’un nouveau virus », tandis que des méthodes plus rapides d’utilisation d’une culture cellulaire sont utilisées pour la détection de routine.

Faisant référence à ses recherches approfondies qui n’ont pas permis de trouver de preuves d’un tel isolement, Christine Massey a répondu : « Je vous mets au défi de citer une étude dans laquelle un prétendu “virus” a été trouvé dans le liquide corporel/tissu/excrément d’un soi-disant “hôte” et a été effectivement isolé (purifié), séquencé, caractérisé et montré comme causant la maladie en question ».

« J’ai littéralement sur mon site web des centaines de réponses dans le cadre de demandes de liberté d’information4 émanant de plus de 220 institutions dans 40 pays et, dans aucun cas une institution a été en mesure de citer une étude décrivant l’isolement ou la purification réels d’un prétendu virus », a-t-elle écrit.

P&B ont également affirmé que « la nature artificielle du SARS-CoV-2 peut être démontrée de manière convaincante en se basant uniquement sur la séquence de nucléotides de son génome », ce à quoi Christine Massey a répondu qu’ils devaient, pour commencer, d’abord citer « des preuves valables de l’existence du « SARS-COV-2 ». Aucune analyse d’un « génome » informatique inventé dont il n’a jamais été démontré qu’il avait une contrepartie physique ne peut nous apprendre quoi que ce soit sur un prétendu « virus ».

En outre, P&B affirment qu’« il est également possible d’acheter des échantillons du virus purifié auprès de l’American Type Culture Collection », ce à quoi Christine Massey a répondu : “Je vous mets au défi d’étayer cette affirmation en démontrant que tout « isolat » vendu par l’ATCC ou tout autre fournisseur consiste en fait en des particules purifiées et que ces particules se sont avérées être un « virus », en fournissant un lien supplémentaire pour plus d’explications.5

Créé en 1914, l’ATCC est devenu le leader mondial dans la recherche et le développement d’expertise pour l’identification, la caractérisation, de conservation et de distribution d’une large gamme de cellules les lignes et les microbes.

Dr Tom Cowan : P&B « ne disposent d’aucune preuve scientifique solide », mais seulement d’une « étude incontrôlée et irrationnelle datant de 1984, qui ne tente même pas d’isoler quoi que ce soit »

P&B poursuivent en citant une étude de 1985 dans laquelle ils affirment qu’un virus a été « directement isolé » grâce à l’utilisation de porcs « gnotobiotiques », c’est-à-dire « exempts de germes ». Cowan fournit une analyse approfondie de l’étude, affirmant qu’elle a d’abord présumé la présence d’un virus sans la démontrer, qu’elle n’avait pas de groupe de contrôle et qu’elle a simplement présumé que les effets de la diarrhée chez les porcs étaient causés par un virus, sans vérification scientifique suffisante.

« Palmer et Bhakdi utilisent cette étude et doivent remonter à 1985 pour trouver une étude dans laquelle ils ont isolé le virus directement sans utiliser de culture cellulaire », a proposé M. Cowan. Et pourtant, « il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus dans cette étude ».

« Cet article ne démontre donc clairement pas le point que ces deux auteurs essayaient de faire valoir. Il n’y a aucune preuve de l’isolement d’un virus, nouveau ou autre », poursuit-il. « Ils n’ont jamais eu de forme pure de ce virus et n’ont donc jamais pu l’étudier ».

Vers la fin de leur article, P&B affirment que « la légende selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé est fondée uniquement sur l’exigence rigide qu’un tel isolement soit accompli sans l’utilisation de cultures cellulaires ».

À cela, M. Cowan répond :

« Ce n’est pas une exigence rigide, c’est une question de bon sens. Et si vous n’êtes pas d’accord avec cela, donnez-nous une définition de ce qu’est l’isolement et montrez-nous dans quelle partie de la culture cellulaire l’isolement a été effectué. Et je peux vous garantir qu’ils ne répondront pas à cette question ».

P&B affirment en outre que ‘les virologues praticiens sont très enclins à ignorer cette exigence (rigide)’, en raison de la commodité d’utilisation d’une culture cellulaire, et « nous ne pouvons pas les en blâmer ».

« La raison pour laquelle ils ignorent cette exigence est qu’il n’y a aucune partie de la culture cellulaire qui corresponde à la définition de l’isolement ou qui montre que le virus a été isolé », a répondu M. Cowan. « Ainsi, lorsqu’ils affirment que c’est plus facile pour eux, bien sûr que c’est plus facile, c’est tout simplement faux ».6

Dans leur conclusion, P&B déclarent : « Bien que nous ayons toutes les raisons de nous méfier et de mettre en accusation l’establishment médical et scientifique d’aujourd’hui, cela ne doit pas nous conduire à ignorer les preuves scientifiques solides lorsqu’elles existent ».

« Ils n’ont pas de preuves scientifiques solides », a rétorqué M. Cowan. «Ils ont une étude incontrôlée et irrationnelle datant de 1984 qui ne commence même pas, qui ne tente même pas d’isoler quoi que ce soit, ce qui est tout le point central de (leur) article, de nous montrer un article qui a isolé et prouvé l’existence d’un virus sans faire de culture cellulaire».

Le Dr Peter McCullough plaide en faveur des virus, d’autres experts de la liberté de la santé lui répondent

Le Dr Peter McCullough, cardiologue très connu et très respecté, qui est devenu un héros pour beaucoup en s’opposant aux vaccins COVID-19, a répondu à cette question dans un podcast du 10 juin, indiquant qu’il était mal à l’aise face à la remise en question du consensus sur l’existence des virus.

‘Il existe toute une littérature évaluée par des pairs sur le SARS-1, ainsi que sur le MERS, le virus respiratoire du Moyen-Orient, et maintenant sur le SARS-CoV-2, la maladie respiratoire aiguë soudaine, et la maladie COVID-19’, a-t-il déclaré. « Tous ces virus ont été cultivés et isolés. Il y a eu des tentatives pour tuer le virus et l’utiliser comme vaccin dans ces trois exemples ».

Tout en exprimant son grand respect pour le Dr McCullough, y compris son « soutien à son travail fantastique, avertissant les gens de ne pas suivre ces absurdités et de ne pas prendre ces injections toxiques », le Dr Mark Bailey a fait part de la nécessité d’apporter une réponse aux déclarations similaires faites par le célèbre défenseur de la liberté médicale en septembre dernier :

Lorsque Peter dit des choses comme « isolement », comprend-il ce qu’il veut dire, parce qu’il ne parle pas ici d’isolement physique. Nous savons qu’ils ne le font pas, et nous savons qu’ils ont essayé. Ce n’est pas faute d’avoir essayé au cours du siècle dernier. Dans les années 70, en particulier, on s’est efforcé de purifier les particules dont on pouvait démontrer qu’elles étaient de nature virale, mais sans succès.

Ainsi, lorsqu’il parle d’isolement, nous devons rappeler à tout le monde qu’il s’agit de la définition virologique de l’isolement, qui n’a en fait pas vraiment de définition. Certains manuels de virologie ne donnent même pas de sens spécifique à ce mot. Ils l’utilisent donc comme bon leur semble…

(Et) avec ce qu’il appelle la culture standard, il parle simplement d’expériences de décomposition cellulaire où un échantillon biologique est ajouté à quelque chose de traditionnel comme des cellules de rein de singe, qui ont tendance à se décomposer parce qu’elles présentent des anomalies chromosomiques, et il prétend qu’il s’agit d’une technique d’isolement en regardant cette décomposition.

Le Dr Peter McCullough a poursuivi son podcast en soulignant que « Sinopharm, la société qui fabrique le vaccin chinois, cultive en fait le virus en grandes quantités, puis le tue et l’administre sous forme de vaccin ».

En réponse à une déclaration similaire, M. Bailey a fait référence à son article expliquant une étude chinoise de février 2020 qui décrit comment les scientifiques ont prélevé un échantillon de poumon sur « un homme de 41 ans atteint d’une pneumonie » et ont ensuite « cherché toutes les séquences d’ARN qu’ils pouvaient trouver dans ce liquide », créé un modèle silico7 et l’ont ensuite comparé à d’autres dans la base de données génétiques.8

« Sur cette base, ils ont déclaré qu’il existait un nouveau coronavirus, alors qu’il n’y a rien dans ce document qui montre que quoi que ce soit se réplique, qui montre que quoi que ce soit soit infectieux, et qu’il n’y a certainement aucune preuve que les séquences génétiques qu’ils ont publiées proviennent de l’intérieur d’une particule qu’ils prétendent avoir identifiée », a-t-il déclaré.

« C’est donc de ce genre de pseudoscience dont nous parlons lorsqu’ils font des déclarations d’isolement. Ils n’ont rien fait de tel, et nous ne pouvons qu’encourager Peter à lire le travail que nous avons tous effectué », a-t-il poursuivi. « Nous passons en revue ces (nombreuses) méthodologies et montrons pourquoi elles ne sont pas scientifiques et pourquoi elles ne démontrent pas l’existence de parasites intracellulaires capables de se répliquer ».

Il n’a jamais été démontré que les particules obtenues par microscopie électronique étaient capables de se ‘répliquer ou de provoquer des maladies, et on ne peut donc pas dire qu’elles soient des « virus »

Le Dr Peter McCullough a poursuivi son podcast en proposant que le virus COVID-19 est scientifiquement « visible au microscope électronique ». Ainsi, lorsque nous l’observons, le virus envahit une cellule humaine, se multiplie à l’intérieur de la cellule, puis la cellule éclate et toutes les particules virales sortent comme un champignon ».

Pourtant, après avoir présenté des arguments similaires sur sa page Substack en novembre 2022, le Dr Sam Bailey a apporté une réfutation quatre jours plus tard en affirmant que la section des méthodes de l’étude citée par McCullough « révèle que les auteurs ont simplement affirmé qu’ils avaient commencé avec des « souches virales » dans certains spécimens obtenus» et qu’après les avoir ajoutées à des cellules rénales de singe et avoir observé leur décomposition 4 à 5 jours plus tard, ils avaient déclaré que « diverses particules » parmi les « débris cellulaires » étaient des « virions ». En outre, il n’y a eu « bien sûr aucune expérience de contrôle ».

Ils sont tombés dans le piège de l’un des plus vieux stratagèmes de la virologie : ce que nous appelons l’escroquerie du « pointer et déclarer ». Il n’a jamais été démontré qu’une de ces particules imagées était capable de se répliquer ou de provoquer des maladies. Et aucune d’entre elles n’a été caractérisée pour déterminer le matériel génétique qu’elle contient, si tant est qu’il y en ait un », a-t-elle expliqué.

En effet, « aucune particule ne s’est jamais avérée capable de se répliquer et d’être pathogène pour répondre à ce concept imaginaire » de virus.

Le médecin néo-zélandais a également inclus une vidéo qu’elle a produite en février 2022 et qui traite de ce qu’elle considère comme la « prémisse non établie » sur laquelle reposent de tels arguments de la microscopie électronique et qui donne lieu à des conclusions non prouvées.

« Comme je l’ai souligné, si l’on veut affirmer qu’un virus a été découvert, les images de la micrographie électronique ne sont pas suffisantes, à moins qu’elles ne montrent des particules complètement purifiées qui peuvent ensuite être testées », résume-t-elle.

Son mari, le Dr Mark Bailey, a également déploré que « malheureusement » le Dr McCullough « semble tout simplement ignorer » ces réfutations et continue de prétendre que les arguments qu’il présente sont « tous des éléments incontestés, ce qui n’est pas correct ».

Dr Michael Yeadon met en garde contre la « pensée de groupe » : « De nombreux articles affirmant la même chose non prouvée »9 ne soutiennent tout simplement pas l’affirmation non prouvée

Le Dr Peter McCullough a poursuivi l’explication de son podcast en déclarant : « Pour ceux qui nient la présence du virus, je pense que nous approchons les 300 000 articles évalués par des pairs sur le sujet. Je veux dire que c’est une montagne de preuves qu’on ne peut rejeter du revers de la main ».

Interrogé par LifeSiteNews pour commenter ces déclarations, le Dr Michael Yeadon, qui est un expert en toxicologie, a fourni une réponse détaillée comprenant l’introduction suivante :

Mes préoccupations initiales concernent principalement la tentative de prétendre qu’un grand nombre d’articles affirmant la même chose non prouvée renforce l’affirmation non prouvée. Ce n’est tout simplement pas le cas.

À l’époque où les gens pensaient que la Terre était immobile et que le Soleil tournait autour d’elle, s’il y avait eu des « articles évalués par des pairs », tous les évaluateurs auraient approuvé les articles sur les systèmes centrés sur la Terre. Les chiffres n’en font pas une vérité. Simplement, une fois que la pensée de groupe s’installe, presque tout le monde interprétera les preuves sous cet angle. Cela continue jusqu’à ce que des preuves sans équivoque apparaissent pour contrer les erreurs de pensée.

Titulaire d’un doctorat en pharmacologie respiratoire et ayant travaillé pendant plus de 30 ans pour les plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde, Michael Yeadon a accédé au poste de recherche le plus élevé dans ce domaine chez Pfizer, devenant vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il a démissionné en 2011 et a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a ensuite été vendue à Novartis en 2017.

À LIRE : Former Pfizer VP: Why evidence is lacking for the existence of COVID-19 “virus” or any other (L’ancien vice-président de Pfizer : Pourquoi les preuves de l’existence du « virus » COVID-19 ou de tout autre virus font-elles défaut ?)

Le Dr Sam Bailey a expliqué un jour que toutes les personnes qu’elle connaît et qui ont mis ou mettent actuellement en évidence les failles fondamentales de la théorie virale y ont cru à un moment donné, mais ont changé d’avis à la suite d’une enquête personnelle.

De la même manière, le Dr Yeadon a déclaré dans une interview en 2022 qu’à la suite de conversations avec certains de ces individus, qui l’ont perturbé pendant un certain temps, il a fini par réaliser qu’il ne pouvait « plus maintenir » sa « compréhension des virus respiratoires » et qu’après avoir obtenu des informations supplémentaires, « la possibilité que les virus respiratoires tels qu’ils sont décrits existent s’est effondrée. Ils n’existent pas ».

« La science est dirigée par les industries »

Le Dr Kevin Corbett, spécialiste des sciences de la santé, s’est joint à Mark Bailey dans sa réponse vidéo au Dr McCullough en septembre dernier. Il a été présenté comme ayant avancé le même argument contre l’existence du virus VIH « pendant plus de trois décennies, avec des publications réfutant les méthodologies et les tests virologiques ».

Le chercheur britannique a affirmé que même un grand nombre de ses collègues défenseurs de la liberté médicale ont « reculé » devant ces défis à la virologie « parce qu’ils ne la comprennent pas et qu’ils sont effrayés par les arguments en raison de leur investissement dans l’industrie. Ils sont liés à l’industrie biotechnologique, qu’ils le veuillent ou non, et c’est pourquoi l’enjeu est si important ».

Il a ensuite cité un article publié en 1993 dans la prestigieuse revue Nature Biotechnology, article qui a fait l’objet d’un examen par les pairs et qui, selon lui, indique « qu’il n’existe pas d’isolat de VIH avéré » et que le mécanisme de test est donc « frauduleux » pour démontrer l’existence d’une infection par le VIH.

Bien que les scientifiques « ouverts aux arguments » aient vu « la logique de cet article », il a été « complètement ignoré » par les « soi-disant scientifiques », en particulier dans le « domaine du VIH », simplement parce que « l’industrie ne l’acceptera pas, et c’est l’industrie qui dicte cela, pas la science ». La science est dirigée par les industries », a affirmé M. Corbett.

Les conséquences de cette thèse « incroyable » signifieraient « l’effondrement de la moitié du système médical pharmaceutique » et « des calendriers de vaccination des enfants »

En effet, Mark Bailey ajoute que les ramifications de cette question sont très importantes pour l’industrie médicale, car cette thèse remet en question l’existence de « tous les prétendus virus », y compris le SARS-CoV-2, le VIH et le reste. S’il est « démontré que les virus n’existent pas, c’est l’effondrement de la moitié du système médical pharmaceutique. C’est l’effondrement des calendriers de vaccination des enfants. Les conséquences sont tout simplement incroyables ».

Selon le Dr Tom Cowan, cette question est également importante parce que « si les soi-disant leaders du mouvement pour la liberté de la santé ne sont même pas capables de comprendre la science de base des virus, qui est la question fondamentale de cette soi-disant pandémie, et de toute la tyrannie médicale, alors il n’y a aucun espoir que nous sortions de tout cela avec une position plus saine, rationnelle, logique et de bon sens, que nous nous libérions de ce système de croyances scientiste, et que nous vivions réellement notre vie sur la base de la pensée rationnelle, du bon sens et de la recherche de la vérité ».

Les sceptiques recherchent simplement des « expériences scientifiques contrôlées » pour démontrer que les « virus » agissent tels qu’ils sont définis

Résumant la position du mouvement sceptique viral, le médecin du nord de l’État de New York a déclaré : « Ce que nous demandons est très clair. Donnez-nous une définition de l’isolement. Expliquez-nous pourquoi l’isolement est fondamental. Il faut séparer une chose de tout le reste pour savoir de quoi elle est faite, quels sont ses composants et ce qu’elle fait ».

« Et ensuite, nous voulons des expériences scientifiques contrôlées pour montrer que ce virus purifié et isolé fait ce que vous dites qu’il fait », a-t-il proposé. « Et pour autant que nous puissions en juger, personne n’a été en mesure de fournir la moindre preuve. Notre position, ou du moins la mienne, repose donc sur la logique, le bon sens et la rigueur scientifique. »

Alors qu’au moins un virologue de l’establishment ayant admis avoir « essayé pendant longtemps d’isoler des virus dans des cultures cellulaires », mais « n’y être jamais parvenu », Christine Massey, a fait état de la création par un philanthrope allemand d’un « Fonds pour la Vérité de l’Isolement » qui, jusqu’au début de cette année, promettait 1,5 million d’euros à tout « virologue qui présenterait une preuve scientifique de l’existence d’un virus corona, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes suivies pour la preuve ». Bien qu’une chercheuse ait tenté d’obtenir le prix, elle aurait apparemment refusé de fournir la preuve de sa prétendue découverte.

« Il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus », poursuit le Dr Tom Cowan. « Plus vite nous nous rendrons compte que toute l’escroquerie du COVID était basée sur cette escroquerie virale, et plus jamais nous ne tomberons dans le panneau ; et tous ceux qui prétendent être des leaders dans le mouvement pour la liberté de la santé, ou qui ont quelque chose à voir avec l’avenir de notre santé, doivent comprendre cela en premier lieu. Ou, je dirais, “dégagez du chemin” parce que nous ne pouvons pas nous permettre de continuer à répéter cette arnaque majeure (des virus) encore et encore ».

« D’accord, j’espère que c’est très clair », a conclu le Dr Tom Cowan à l’intention de ses téléspectateurs. « J’attendrai avec impatience de voir si nous recevons notre réponse, mais je peux déjà vous dire que je sais que nous ne l’aurons pas. »


1 NdT : célèbre présentateur de la chaîne de télévision américaine FoxNews qui, à force de dénoncer les mensonges du narratif Covid-19 et de la guerre en Ukraine, s’est fait « virer » et a créé sa propre chaîne.

2 NdT : en anglais « Freedom of Information Act » qui stipule qu’un organisme doté de financements publics a le devoir de répondre aux questions posées par tout contribuable.

3  En éprouvette.

4 NdT : dans les pays anglo-saxons les institutions financées par l’État, donc par le contribuable, ce dernier a le droit à être informé sur les résultats obtenus par ces institutions

5 NdT : L’American Type Culture Collection (ATCC) est une société privée américaine sans but lucratif, centre de ressources biologiques, dont la mission se concentre sur l’acquisition, l’authentification, la production, la conservation, le développement et la distribution de la norme de référence de micro-organismes, les lignées cellulaires et d’autres matériaux pour la recherche dans les sciences de la vie. Source Wikipedia. (NdT : « sans but lucratif » il n’y a que les benêts qui peuvent croire cela)

6 NdT : Palmer et Bakdhi, sur ce problème crucial de la non-isolation d’un « virus », font valoir les mêmes arguments que les « virologues ». Ils acceptent donc que la « science » dominante ne nous « prouve » l’existence des « virus » que par la présence de particules appelées arbitrairement « anticorps » ou en ayant recours à une hypothèse sans fondement scientifique puis à la culture cellulaire suivie d’un raisonnement circulaire.

7 NdT : un modèle obtenu grâce à un programme informatique.

8 NdT : c’est ainsi que les Chinois ont comparé leur prétendu SARS-CoV-2 à un “virus”, le SARS-Cov-1 qu’ils avaient dans leurs bases de données et prétendu qu’il s’agissait d’un nouveau virus. Ils ont envoyé les séquences de ce nouveau virus à Drosten qui a immédiatement déposé un brevet pour le test.

9 NdT : ce qu’on appelle la « science » par consensus.




Quoi, je m’inquiète ?

[Source : off-guardian.org]

Par Todd Hayen

Est-ce que c’est fini ? Des personnes vont-elles continuer à mourir à cause des vaccins Covid ? Ou la surmortalité a-t-elle atteint son maximum ? Ou dois-je continuer à m’inquiéter pour tous mes amis et ma famille qui se sont fait vacciner ?

Un récent article de presse (The Telegraph, Royaume-Uni) titrait « Les vaccins Covid pourraient avoir atteint leur apogée » :

« Les vaccins Covid pourraient avoir contribué à alimenter la hausse de la surmortalité ».

Cet article a fait grand bruit dans les médias sociaux, car il s’agit apparemment du premier (ou du moins de l’un des premiers) « média grand public » à admettre que la piqûre a une quelconque corrélation avec la surmortalité.

Inutile de dire que les « vérificateurs de faits » sont tous sortis de sous leurs rochers pour rejeter une telle chose, déblatérant divers « faits » incrédules tels que « tous les scientifiques ne sont pas d’accord ». Oh là, là, cela m’arrêterait dans mon élan, n’est-ce pas ? Le « fait » que « tous les scientifiques ne sont pas d’accord » rend le titre du journal plus crédible qu’il ne l’est autrement. Sans blague.

Quoi qu’il en soit, nous voyons en effet un grand nombre d’aveux similaires de la part de diverses sources. Mais qu’est-ce qui fait qu’une source est « grand public » ? Difficile à dire, en fait. La plupart d’entre elles appartiennent à un oligarque quelque part, alors qu’est-ce qui n’est pas « grand public » ? J’ai compris. Je pense que le mantra « Je ne croirai que ce qui provient de cette source » réduira considérablement le choix des sources au fil du temps. Si de plus en plus de torchons « grand public » comme The Telegram continuent à faire des affirmations aussi absurdes, il y aura de moins en moins de torchons considérés par les moutons comme « grand public ».

Je m’écarte du sujet.

Est-ce que c’est fini ? Bien sûr que non. Le pensiez-vous ? J’en doute. Il est certain que de nombreux moutons pensent que la « pandémie » est terminée, que le Covid est peut-être terminé (bien que l’agenda continue de battre ce cheval mort — je suppose que l’on peut encore extraire le sang d’un navet). En fait, il est difficile de savoir ce que pensent les moutons. Ils sont tellement « moutonniers ».

Je suppose qu’il suffit d’allumer la télévision et d’écouter quelques-unes de leurs idoles pour s’en rendre compte. Mais si c’est votre méthode pour comprendre quel lapin les moutons suivront ensuite, assurez-vous de regarder/écouter 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, car dans le jeu sans fin du « suivez le chef », le chef (ou du moins ce qu’il désigne) change à tout moment.

Malheureusement, la piqûre Covid risque d’entraîner la mort de bien d’autres personnes. Problèmes cardiaques chroniques, problèmes cérébraux, dégradation du système immunitaire, cancers, mortinatalité, infertilité (ce qui est une façon indirecte de se débarrasser des mangeurs inutiles). Il se peut que certains de ces problèmes ralentissent, mais ce n’est peut-être qu’une accalmie dans la tempête, et peut-être que tout cela reprendra avec une vigueur inégalée jusqu’à présent. Il faut laisser du temps au temps.

J’ajouterai cette citation tirée d’une récente interview du Dr Sherri Tenpenny. Vous vous souvenez d’elle ? C’est elle qui a dit que tous ceux qui ont pris le vaccin seront morts dans cinq ans (je n’ai pas pu vérifier si elle a fait cette citation, mais je me souviens qu’elle l’a dite. Des liens ? Quelqu’un ? Quelqu’un ?)

Ces gens me font toujours penser au film de Jimmy Stewart No Highway in the Sky, dans lequel Stewart, une sorte d’expert en aéronautique/ingénieur, affirme qu’un nouvel avion va tomber en panne après un certain nombre d’heures de service. Tout le monde pense qu’il est fou et insiste sur le fait que ses prédictions sont absurdes. Eh bien… regardez le film.

Et n’oubliez pas, en ce qui concerne la prédiction de Tenpenny, que cinq ans ne sont pas encore écoulés, et que beaucoup de gens sont morts jusqu’à présent. Le Dr Sherri dit que ce n’est pas encore fini :

« Ce n’est pas fini, ce n’est qu’une inspiration avant la prochaine expiration. Ce n’est qu’une pause avant la prochaine tempête. Il faut donc que les gens restent dans le jeu, qu’ils comprennent ce qui s’est passé et pourquoi. Et ils doivent comprendre que la censure est réelle. Lorsque Tedros (Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS) s’est exprimé lors de la réunion de l’Organisation mondiale de la santé (Assemblée mondiale de la santé) la semaine dernière, il a déclaré que nous devions nous en prendre aux antivax parce que ce sont eux qui nous ont empêchés d’introduire cette arme biologique dans le bras de tous les êtres humains de la planète. “Nous devons les faire taire. C’était juste un autre niveau de censure, et ça ne s’arrête pas, et ça va recommencer très bientôt.” »

Sympa.

La plupart d’entre vous me connaissent assez bien pour savoir que je suis d’accord avec les spéculations de Tenpenny. Malheureusement, c’est le cas. Et je crois aussi en Vanden Bossche. Mais je ne retiens pas mon souffle en espérant que la fin du monde arrive bientôt. Beaucoup de choses peuvent se produire de différentes manières. Et nous ne pouvons tout simplement pas être certains du calendrier. Il peut suffire de quelques années (ou mois !) pour que tout cela reprenne de la vitesse et aille plus loin, ou bien cela peut prendre des années. Dans tous les cas, l’agenda présente des avantages.

Une chose que Tenpenny dit et qui est, à mon avis, une vérité absolue, c’est l’effort de l’agenda pour introduire une aiguille dans chaque bras de chaque être humain sur Terre. Si vous considérez les choses sous cet angle, vous comprendrez que tout cela a un peu plus de sens. Il ne s’agit pas nécessairement de piqûres de Covid, mais aussi de piqûres contre la grippe aviaire, la variole du singe ou la maladie X. Il peut même s’agir des piqûres annuelles habituelles. Il peut même s’agir du vaccin annuel contre la grippe ! En fait, il peut s’agir d’à peu près n’importe quoi. Il est certain que n’importe quel vaccin ou piqûre, quel qu’il soit, est à prendre en considération. La nourriture, les chemtrails, l’eau contaminée, les moustiques, les tiques, les puces. Certaines de ces méthodes sont peut-être plus efficaces que d’autres, mais je n’exclurais aucune d’entre elles comme moyen possible d’introduire de l’ARNm dans notre corps.1

Bien sûr, si vous ne vous êtes pas aventuré jusqu’au fond du trou du lapin, vous êtes peut-être en train de vous exclamer « Balivernes » (ou quelque chose de moins désuet). « Ce Todd est un imbécile ! » Oui, oui, je ne vous contredirai pas sur ce point. Mais si je suis un imbécile, je ne suis pas le seul à l’être. Beaucoup d’entre vous se sont aventurés au fond de ce trou et savent exactement de quoi je parle.

Si vous adoptez ce point de vue, vous savez bien sûr que ce n’est pas encore fini. Et si vous adoptez cette perspective, vous saurez que la manière dont la Covid a été gérée n’était pas « une erreur » ou le résultat de « nous avons fait de notre mieux avec ce que nous savions ».

Vous saurez également qu’il ne s’agissait pas d’un plan de profit, c’est-à-dire d’un plan conçu pour que Fauci et compagnie, Pfizer et tous les autres escrocs qui ont mis tout cela sur pied puissent gagner des milliards de dollars. Non, ce n’est pas si simple, je le crains. C’est bien plus sinistre que cela.
Accrochez-vous à votre chapeau. La partie la plus folle de la chevauchée sauvage de M. Taud est sur le point de commencer.

Todd Hayen PhD est un psychothérapeute agréé qui exerce à Toronto, en Ontario, au Canada. Il est titulaire d’un doctorat en psychothérapie des profondeurs et d’une maîtrise en études de la conscience. Il est spécialisé dans la psychologie jungienne et archétypale. Todd écrit également pour son propre site, que vous pouvez lire ici.





Covid-19 : bilan d’une surveillance massive

[Source : lejournal.cnrs.fr]

La France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie1 de Covid-19. Historien et sociologue, Nicolas Mariot s’est interrogé sur cette expérience d’obéissance de masse.

Nicolas Mariot2, vous avez coécrit avec Théo Boulakia3 un ouvrage sous forme d’enquête, L’Attestation (Anamosa, 2023), qui dresse un bilan de ce versant coercitif de l’enfermement national. Face à une même menace sanitaire, les pays n’ont pas du tout adopté les mêmes mesures de lutte contre le [supposé4] virus ?

Nicolas Mariot. Effectivement, au printemps 2020, tous les gouvernements se sont retrouvés au même moment dans la même situation : il fallait prendre 100 % des décisions avec 50 % d’informations, comme l’a dit alors le Premier ministre néerlandais. Or, les États ont adopté des politiques radicalement différentes. Pour s’en tenir à l’Europe, cinq pays du Sud — la France, l’Italie, l’Espagne, la Grèce et Chypre — ont adopté les mesures parmi les plus strictes, avec attestation, soumettant toute circulation de leur population à des règles sévères, contrôlées par les forces de l’ordre. Dans le même temps, les pays nordiques comme la Suède, la Finlande, le Danemark, la Norvège, les Pays-Bas, mais aussi la Suisse ou la Bulgarie ont adopté comme partout des mesures sanitaires (port du masque, interdiction des rassemblements, recommandation de lavage des mains, etc.), mais ont laissé les sorties totalement libres. Résultat, en France, la fréquentation des espaces verts au printemps 2020 a diminué de moitié par rapport à l’hiver, tandis qu’au Danemark, à la même période, elle a été multipliée par deux.

Des soldats patrouillent rue de Rivoli, à Paris, le 20 mars 2020. Sortir sans attestation est passible d’une amende de 135 euros.
Dmitry Kostyukov/The New York Times-REDUX-RÉA

Dans la façon de s’adresser aux populations également, le ton fut différent. Alors que le président Emmanuel Macron répète à quatre reprises, le 16 mars, dans son allocution aux Français le fameux « Nous sommes en guerre5 », contre « un ennemi sanitaire certes », mais « insaisissable et qui progresse », de son côté, le président de la République fédérale d’Allemagne Frank-Walter Steinmeier déclare que « non cette pandémie n’est pas une guerre ». Les autorités néerlandaises publient, elles, un manuel de communication sur le virus proscrivant tout langage guerrier pour préférer des messages insistant sur la dimension collective de la lutte contre le Covid.

En France, les autorités locales ont même durci les mesures nationales ?

N. M. Effectivement, par un décret du 23 mars, les préfets et les maires ont été encouragés à « utiliser la totalité de leurs pouvoirs de police » et à « adopter des mesures plus restrictives — que celles prises au niveau national — lorsque les circonstances légales l’exigent ». Et ils n’ont pas hésité à user de ce pouvoir ! Dix-sept préfectures ont instauré des couvre-feux pour les personnes, trente pour les commerces, neuf départements ayant opté pour les deux ; plus de deux cents municipalités ont également instauré leurs propres couvre-feux qui se superposaient — ou pas — à ceux des préfectures. La limitation des sorties a aussi été durcie : quatre-vingt-trois départements ont énoncé des restrictions d’accès aux lieux de nature et de détente, avec parfois une justification incongrue, comme « Le confinement, ce n’est pas les vacances ! ». Ou avec des mentions saugrenues, comme « l’interdiction d’acheter une baguette ou un seul journal à la fois », ou encore « l’interdiction de s’asseoir sur les bancs publics ». Ces différentes mesures complémentaires ont souvent conduit à rompre avec l’un des principes fondamentaux de légitimation du confinement : l’égalité de tous face aux interdits.

« Le confinement, ce n’est pas les vacances ! », ont argué certaines autorités politiques pour justifier la fermeture des espaces verts.
Alain Pitton/NurPhoto via AFP

Comment expliquer que la France ait choisi d’adopter une politique si coercitive ?

N. M. Si l’Italie a été le premier pays européen exposé au virus à prendre des mesures drastiques, les pays qui ont ensuite adopté les règles les plus strictes n’étaient pas plus à risque, du point de vue sanitaire, que les autres. La différence de réaction est clairement liée aux habitudes coercitives des gouvernements : nous montrons que plus les États européens comptent de policiers par habitant, ou plus ils ont l’habitude de s’affranchir des libertés publiques, plus ils ont enfermé leur population. À l’occasion de cette pandémie, on a donc vu ressurgir de vieilles habitudes de gestion punitive des populations. Pour la France, cette politique a sans doute aussi témoigné du manque de confiance des autorités dans la capacité des habitants à suivre la politique recommandée. Le pays sortait de la crise des « gilets jaunes » et des manifestations contre la réforme des retraites, nos gouvernants ont probablement craint une réaction hostile.

Les contrôles de police ont-ils été beaucoup plus fréquents en France qu’ailleurs ?

N. M. Nous sommes un des rares pays à avoir introduit la fameuse « attestation de sortie », présentée comme un dispositif de responsabilisation, mais vite devenue un outil de contrôle massif. Transformer chacun en gendarme de soi-même : c’est ce dispositif (emprunté aux Italiens) qui a permis de vider l’espace public. Selon l’enquête « La vie en confinement » (Vico6), que nous avons lancée dès avril 2020 et à laquelle ont participé 16 000 personnes, 28 % des gens déclarent avoir été contrôlés au moins une fois du 17 mars au 11 mai 2020, donc en 55 jours seulement !

En deux mois, 21 millions de personnes ont été contrôlées en France. Dans certains départements, il y a eu autant de contrôles que d’habitants adultes !

Le ministère de l’Intérieur a avancé pour la même période le chiffre de 21 millions de contrôles sur la France entière (pour 67 millions d’habitants), incluant des personnes qui peuvent avoir été contrôlées plusieurs fois. Dans des départements comme la Sarthe ou le Lot, police et gendarmerie ont réalisé autant de contrôles qu’il y avait d’habitants adultes. Et pour le Lot, on relève même plus de contrôles (153 000) que d’habitants âgés de 15 ans et plus (149 000) ! Mais l’important, c’est d’appréhender ce que nous avons appelé le « choc moral » du contrôle. Alors que de nombreuses enquêtes montrent qu’en temps « normal » ce sont très majoritairement les hommes, jeunes et d’aspect « étranger » dont on vérifie l’identité. Cette fois ce sont les femmes, les cadres, les personnes âgées de 30 ans et plus, quasiment jamais concernés, qui ont été très largement contrôlés.

Certains départements ont beaucoup contrôlé et peu verbalisé (le Lot), d’autres ont peu contrôlé mais beaucoup verbalisé (la-Seine Saint-Denis).
Aurélie Boissière/Éditions Anamosa

Ces contrôles ont-ils donné lieu à des verbalisations ?

N. M. Cela dépend. Dans le Lot, pour poursuivre sur cet exemple, les policiers ont quadrillé en permanence, mais peu verbalisé. En Seine-Saint-Denis, les contrôles étaient plus rares, mais 17 % ont donné lieu à des verbalisations, un des taux les plus élevés de France. De plus, les verbalisations se sont concentrées sur quatre zones : la façade méditerranéenne, le Nord et l’Île-de-France, l’Est et les départements d’outre-mer, instaurant encore une fois une inégalité de fait entre les citoyens. Au niveau européen, nous avons pu récupérer le nombre d’amendes dans quelques pays. L’Espagne est en haut du podium, avec 2 157 amendes pour 100 000 habitants, suivie de près par la France (1 630), puis l’Italie (709), les Pays-Bas arrivant en queue, avec 77 amendes pour 100 000 habitants. Tout le monde n’a donc pas vécu le même confinement, loin s’en faut.

Comment expliquer que la population ait largement obéi à ces règles très contraignantes ?
N. M.
Nous avions deux hypothèses pour expliquer que 80 % de la population ait accepté de rester enfermée à domicile : la peur du virus et la peur du gendarme. L’enquête Vico nous a montré que durant toute cette période, il n’y a jamais eu plus de 50 % des gens qui respectaient les recommandations sanitaires (mettre un masque, se laver les mains, etc.). Donc la crainte du virus ne suffit pas, à elle seule, à expliquer l’obéissance massive aux règles.

Une famille profite des espaces verts à Copenhague, au Danemark, le 3 mai 2020. Dix personnes peuvent se retrouver dans une limite de 40 m² tracée au sol.
Ida Guldbaek Arentsen/EPA/Newscom/MaxPPP

Par ailleurs, il faut mettre en avant une dimension plus horizontale de l’obéissance, celle qui a trait à la comparaison avec autrui. Le fait est que beaucoup de gens se sont préoccupés de donner l’exemple et/ou de s’assurer que leurs voisins ne disposaient pas d’un privilège, si menu soit-il. L’explosion des dénonciations durant la période (adressées aux maires, aux commissariats ou aux radios locales) est le signe de cette préoccupation fondamentale : les règles ne sont pas mises en cause dès lors que leur application semble ne pas laisser place à l’arbitraire. Enfin, il faut insister sur l’expulsion de toute présence humaine de l’espace public : bars et parcs sont fermés, plages et forêts sont interdites, l’éclairage nocturne est souvent supprimé. Toutes ces mesures ont abouti à ce que nous avons appelé un « inquiètement du dehors ». Pour les femmes notamment, il est devenu angoissant de s’aventurer dans un espace déserté, par peur d’un dehors devenu trop étrange.

Au niveau international, d’autres pays ont-ils adopté des mesures plus draconiennes ?

N. M. Nous avons tous vu des images terrifiantes de Chinois enfermés, ou violemment expulsés de leur logement. Mais il faut noter une différence notable entre la Chine et la France : dans le premier pays, c’est toujours un motif sanitaire qui préside à l’édiction de nouvelles règles. Le confinement est appliqué dans différentes provinces successivement en fonction de la propagation de l’épidémie, et différemment selon le statut « négatif », « cas contact » ou « infecté » des personnes. Il ne touche jamais tous les citoyens en même temps et de la même façon, contrairement à ce qui se passe en France.

Grâce aux données de géolocalisation de Google, rendues anonymes, les chercheurs ont pu comparer la fréquentation des espaces verts lors du confinement, entre mars et juin, par rapport à janvier 2020. L’Europe est alors clairement divisée en deux : les pays où l’on peut sortir et ceux où les habitants sont enfermés.
Aurélie Boissière/Éditions Anamosa

Finalement, si c’était à refaire, dans quel pays serait-il préférable de résider ?

N. M. Dans les pays qui ont connu un déficit de mortalité durant la période (oui, il y en a), sans imposer d’assignation à domicile. Par exemple le Japon, Taïwan, le Danemark. Inversement, nous n’irions pas au Koweït, en Équateur ni au Pérou. Mais la France n’est pas tellement plus attrayante. Et l’Espagne a été le pays qui a connu la plus grave surmortalité, 40 %, alors qu’elle est aussi le pays qui a le plus confiné ses habitants… pour déclarer finalement ce confinement inconstitutionnel, et proposer un remboursement des amendes à ses citoyens.

Qu’est-ce qui vous a surpris dans cette enquête ?

N. M. J’ai été très étonné de voir qu’aucun grand média, mais également qu’aucune équipe de recherche, en France et même, sauf erreur, en Europe, ne se soit intéressé à dresser un bilan de cette période du point de vue non pas sanitaire, mais réglementaire. Il y a pourtant beaucoup de leçons à tirer de cette expérience, car nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle pandémie7. Par ailleurs, avec le recul, on constate que ce confinement, qui était accepté, car il concernait tout le monde quels que soient sa classe sociale, son âge, son niveau de revenu, son lieu de résidence, fut en fait relativement inégalitaire dans ses modalités d’application, du fait de la grande liberté laissée aux autorités locales et aux forces de l’ordre. Enfin, en tant qu’historien spécialiste de la guerre de 14-18, j’ai déjà étudié une telle expérience d’obéissance à grande échelle. Et j’ai été surpris qu’une nouvelle forme d’union sacrée justifiant suspension des libertés et gouvernement sans contrôle ait pu se répéter presque un siècle après à l’identique. ♦

À lire
L’Attestation. Une expérience d’obéissance de masse, printemps 2020, Théo Boulakia et Nicolas Mariot, Éditions Anamosa, septembre 2023, 400 p., 25 euros.

Pour aller plus loin
Retrouvez l’enquête « La vie en confinement » (Vico), ses sources, ses méthodes, mais aussi des analyses statistiques ou encore des vidéos sur https://l-attestation.github.io/

Notes




5G : la technologie militaire appliquée sur les civils, liée aux nanomatériaux injectés

[Source : favoris-alcyonpleiades via @Cielvoile]

Mark Steele, ingénieur et activiste britannique, parle du plan de guerre de l’élite basé sur le changement climatique et dont le but est de déclencher un massacre de masse en utilisant la 5G, qui est une arme, et en mettant en œuvre les villes de 15 minutes. La 5G est la clé, car elle est interconnectée avec le contenu des vaccins Covid.

[NDLR Autour de l’hypothèse de base de l’interaction entre notamment la 5G, la nanotechnologie vaccinale et les villes 15 minutes, il existe deux thèses principales qui évoquent toutes les deux un plan contre l’Humanité de la part d’entités non humaines.
La première est celle défendue par Ricardo Delgado Martin. Selon lui, ces entités ont pour objectif d’entasser les êtres humains dans les villes 15 minutes afin de mieux ensuite se nourrir de leurs énergies émotionnelles engendrées par la souffrance. Cette hypothèse se situe plutôt dans la ligne gnostique concernant des entités nommées Archontes.
La seconde défendue ici considère que l’entité maîtresse du plan est celle connue dans la Bible sous le nom de Satan, l’Adversaire de la Création et de l’Humanité. Son but n’a rien à voir avec le vol d’énergie humaine, mais avec celui de l’âme.

Dans la première hypothèse, l’Humanité est une éternelle victime, soumise à des entités manipulatrices dont le but serait de faire l’élevage des êtres humains comme source de nourriture énergétique émotionnelle.
Dans la seconde, l’Humanité peut être sauvée ou libérée en suivant la voie indiquée par le Christ, par le Bouddha Gautama et par d’autres sages du passé.

La première est peu cohérente, car des entités invisibles ne subissent pas les contraintes de la matière et n’auraient a priori pas besoin d’entasser leurs victimes dans des villes 15 minutes ou autres enclos pour sucer aussi bien leur énergie. Elle n’explique pas non plus l’empoisonnement croissant de l’Humanité depuis des décennies, ni la surmortalité vaccinale qui semble aussi être croissante, ni la volonté eugéniste des élites mondialiste. Celle-ci est d’ailleurs contradictoire avec le besoin supposé de nourriture émotionnelle pour ces entités. Un tel besoin s’accommoderait plutôt au contraire d’une forte population humaine. Enfin, les énergies provenant de la souffrance sont très négatives et de faible qualité. Pourquoi des entités se nourrissant d’énergie émotionnelle rechercheraient-elles une nourriture de mauvaise qualité provenant d’une Humanité si peu saine ?
La seconde paraît bien davantage cohérente et compatible avec les faits observés, notamment avec un empoisonnement croissant de l’Humanité, y compris sur les plans psychique et spirituel, de sorte à obtenir beaucoup de morts et d’âmes (sans que cela se remarque trop, au moins dans un premier temps). Elle est également compatible avec le transhumanisme, la technologie à outrance, l’IA, la nourriture synthétique, etc. Satan étant adversaire de la Création et donc du naturel biologique, mais promoteur du tout artificiel.]






Combattons les censures et les atteintes à nos droits fondamentaux

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien et cancérologue

Le droit de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions constituent les plus essentiels des droits fondamentaux de l’homme. Mais les élites menacent la liberté d’expression par la désinformation et les censures. Battons-nous pour les faire respecter.

La liberté d’expression conditionne la liberté d’opinion

Elle est inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 :

Elle est rappelée par l’Article 19 de celle de l’ONU :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Elle est garantie par la constitution française et de nombreux traités internationaux que nous avons signés dont la Convention européenne des droits de l’Homme.

Mais la liberté d’expression insupporte tous ceux qui n’ont pas d’arguments solides pour débattre avec leurs opposants et qui s’efforcent d’instaurer une censure généralisée pour imposer la pensée unique, premier pas du totalitarisme.

Depuis la crise du covid, les gouvernants des pays qui se prétendent pourtant démocratiques ont rivalisé d’ingéniosité pour diaboliser et censurer tous ceux qui dénonçaient l’énormité de leurs mensonges, les publications qui mettaient en danger leurs présentations de la vérité, leurs idéologies, leurs pouvoirs et leurs intérêts matériels.

La liberté d’opinion est indispensable à la science

La religion repose sur la foi et ignore le doute. Les vérités énoncées dans le livre Sacré sont immuables. Toute contestation est hérétique et doit être condamnée.

La science repose sur le doute. Une vérité scientifique n’est admise que tant qu’elle est compatible avec les faits constatés. Toute contradiction entre la théorie dominante du moment et un fait observé crée une controverse qui mène à une nouvelle vérité d’où naissent la plupart des progrès scientifiques.

Méconnaître les paradoxes et refuser le débat c’est stériliser la science, la transformer en religion. Niels Bohr, pionnier de la mécanique quantique, l’avait brillamment exprimé à propos du paradoxe Einstein-Podolsky-Rosen « qu’il est merveilleux de constater un paradoxe. Maintenant nous avons l’espoir de faire quelques progrès ».

La désinformation, les censures et l’oppression Covid pour modèles

Désinformation et propagande

Comme la censure des médias ne suffisait plus pour ignorer les hérétiques, les autorités ont utilisé les agences sanitaires comme caution pseudo scientifique de leurs mensonges.

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps incarné la voix officielle en prétendant entre autres fadaises que les vaccins étaient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété à l’envie :

« Les vaccins sont efficaces à 90 %… ils empêchent la diffusion de l’épidémie… ils protègent des formes graves… ils sont efficaces et sans danger ».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous, y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie ». Cette dernière affirmation été depuis dramatiquement démentie par les données officielles montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce taux magique de 80 %.

Au niveau mondial aussi les données de l’OMS ont démontré que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et qu’elles les ont peut-être même favorisées.

Répression de la liberté d’expression

Pour éviter que les faits contredisant leurs mensonges soient connus, certains milliardaires et les gouvernements occidentaux ont instrumentalisé des journalistes et l’ordre des médecins comme tribunal de l’Inquisition et ont fait condamner tous ceux qui voulaient ouvrir un débat scientifique ou qui diffusaient des faits scientifiquement établis, mais contraires au dogme officiel.

Comme l’inefficacité de l’obligation généralisée du masque contre les virus1, que les « vaccins covid » n’en étaient pas, que ces injections étaient expérimentales2Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort et qu’elles exposaient à des complications, que les traitements précoces (hydroxychloroquine, Ivermectine, antibiotiques, vitamine D…) étaient efficaces, que l’hydroxychloroquine était peu toxique.

De nombreux médecins qui énonçaient ces faits ont été interdits d’exercer leur activité sans qu’aucun tribunal n’ait à ce jour rappelé que la liberté d’expression est un droit constitutionnel.

Les pays occidentaux qui ont le plus imposé les pass et les vaccins sont ceux qui ont comptabilisé des plus fortes mortalités covid par million :

Et ce sont ces mêmes pays, chantres des injections, qui souffrent actuellement de surmortalités toutes causes confondues « inexpliquées », car possiblement liées aux effets secondaires des pseudo vaccins.

La censure emprunte de multiples méthodes

L’invisibilisation

Le premier temps consiste à ignorer les donneurs d’alerte : les médias ne mentionnent pas leurs informations, livres ou discours pour que le public n’y ait pas accès… Désindexation de leurs articles par Google Actualité, suppression de leurs vidéos par la chaîne YouTube, Facebook, Instagram, etc., puis rapidement censure financière par boycott de ses services de publicité. Google et les réseaux sociaux évitent d’en faire mention alors qu’ils accordent une place considérable à la propagande officielle.

Rappelons le blocage en France de la chaîne Rumble et de RT France chaîne de télévision très écoutée disparue brutalement sans explications techniques sur ordre du gouvernement. Les tentatives de diffusion par Odyssée ou autres des innombrables vidéos censurées par YouTube sont utiles, mais n’atteignent pas le même nombre de vues.

L’exercice qui consiste à éviter certains mots qui engendreront automatiquement la censure d’une vidéo par YouTube en minimisant son audience, comme vaxx, enfants, genre, etc. conduisent à une autocensure automatique des auteurs, de même que le fait de ne pas montrer d’images dures comme les photos des interventions pour changement de genre, ce qui amoindrit le message.

La diabolisation par sophisme, par association

Lorsque cela n’est pas suffisamment efficace, les censeurs tentent de décrédibiliser les donneurs d’alerte en s’attaquant à leur personne plutôt qu’à leurs propos pour le discréditer ou le déshonorer.

Ils ont pour cela créé des « fast checkers », le plus souvent journalistes3 qui, au lieu d’informer équitablement, à charge et à décharge, déforment les propos des donneurs d’alerte, ne les interrogent jamais et n’hésitent pas à mentir en les diffamant. Ces fast checkers sont entre autres financés par George Soros (Open Society Foundation), Google, la fondation Bill et Melinda Gates, the National Endowment for Democracy, Ebay’s Omidyar Foundation, les gouvernements occidentaux et la Commission Européenne.

Par exemple, pour tenter de démentir mon article illustrant la surmortalité post vaccinale précoce4, Françoise Kadri de AFP « factuelle », « antiviral » site Internet, La Montagne journal web, et Ludwig Gallet du Parisien ont imaginé et prétendu que j’étais l’objet d’« une plainte du Conseil national de l’Ordre des médecins depuis décembre 2020 »5 avant de confirmer les données chiffrées de l’OMS que je citai, tout en tentant de leur trouver des explications non liées aux injections pour quelques pays. Le comique de l’histoire est que je n’étais plus inscrit au conseil de l’ordre depuis 2014 !

Ils utilisent volontiers des sophismes par association pour induire une « culpabilité par association ». L’exemple de sophisme par association le plus classique en politique consiste à associer leurs adversaires au fascisme, à l’extrême droite ou à Hitler, référence suprême du mal, pour le discréditer. Ils les traitent d’antivax (même les vaccinés !) de « populistes », « contestés », « complotistes », « d’extrême droite », sans jamais étayer leurs accusations par des faits ou des propos précis, objectifs, et en citant comme contradicteurs les avis sans nuances de médecins de plateau aux liens d’intérêts avec les gouvernants ou l’industrie souvent considérables, jamais mentionnés.

L’accusation de « discours de haine »

Nos députés ont, à juste titre, déclaré illégales l’apologie du terrorisme, du racisme et la négation des crimes contre l’humanité. Les activistes utilisent ces modèles en qualifiant ce qu’ils désirent censurer de « discours de haine », et de « phobique » « islamophobes », « homophobes », « transphobes », « grossophobes » et même, tout récemment « capillaro phobes » !

Rappelons que la critique d’une croyance ne constitue pas un discours de haine envers les croyants, mais seulement l’expression d’une opinion qui appelle au débat. Le blasphème est d’ailleurs parfaitement autorisé en France depuis la révolution de 1789, et la plupart des chrétiens le tolèrent. Je ne suis pas chrétien et je réprouve les excès passés de l’Église catholique lorsqu’elle imposait ses lois à la cité, mais je ne ressens aucune haine envers cette religion, ni envers ses croyants dont, au contraire, j’apprécie profondément les principes moraux, fondateurs de notre civilisation. Ce qui n’est manifestement pas le cas de certains militants extrémistes de croyances minoritaires religieuses, sociales ou sexuelles qui s’expriment parfois avec la brutalité propre aux convertis récents à une idéologie.

L’interdiction légale

Cette accusation de discours de haine ou de phobie vise à préparer une interdiction légale. Les individus qui se prétendent discriminés font du lobbying intense pour transformer l’expression des opinions qui leur déplaisent en délit punissable par la loi.

Ils y parviennent trop souvent ; ainsi en France les députés n’ont pas hésité à couper les cheveux en quatre en votant le 28 mars 2024 une loi pour « Reconnaître et sanctionner la discrimination capillaire ». Maintenant critiquer la coiffure de son épouse peut exposer aux rigueurs de la loi !

Certains censeurs se glorifient de défendre une cause qu’ils jugent essentielle !

L’étape ultime du refus de la liberté d’expression est franchie lorsque le censeur se glorifie de combattre la liberté d’opinion sous prétexte qu’elle s’oppose à une cause qu’il juge essentielle.

Des extrémistes de l’urgence climatique n’hésitent pas à agresser des œuvres artistiques mondialement reconnues.

Aux États-Unis, l’autocensure des médias américains s’est exprimé en floutant la Une de Charlie Hebdo renaissant de ses cendres après l’attentat terroriste islamiste qui l’avait frappé.

Des extrémistes s’attaquent à la littérature et au cinéma et consacrent leur temps à traquer les expressions ou les thèmes qui leur déplaisent pour les censurer.

De nombreuses œuvres sont ainsi réécrites au gré de la sensibilité exacerbée de minorités agissantes ; « Dix petits nègres » a été renommé « ils étaient dix ».

Les accusations moralistes contre « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » (Prix Pullitzer 1961) ont conduit certaines bibliothèques scolaires de l’État de Virginie de le retirer de leurs rayons. « Huckleberry Finn » de Mark Twain, « La case de l’Oncle Tom », « Tintin au Congo », « Tristes tropiques », mais aussi « le marchand de Venise de Shakespeare » et Voltaire sont la cible de censeurs qui nous rappellent tristement l’époque du procès de Flaubert pour Mme Bovary ou plus récemment la chasse aux sorcières du Maccarthisme triomphant. Même les Misérables de Victor Hugo sont attaqués.

Le film multi-oscarisé « Autant en emporte le vent » accusé de raciste et de révisionniste, a été retiré de HBO Max en juin 20206 et est maintenant précédé d’une « mise en contexte », censée aider le public à comprendre qu’il faut bien le replacer dans son époque et qu’il « Il serait irresponsable de le maintenir sans explication et dénonciation. » Cela témoigne d’un mépris des spectateurs qui seraient incapables de comprendre seuls et d’une volonté totalitaire de rééducation culturelle.

L’exemple de censeur sans complexe est incarné par la directrice de Radio France A. V. Reeth qui se glorifie publiquement d’exclure de l’antenne les scientifiques covidosceptiques ou climatosceptiques s’érigeant ainsi en grand maître des vérités scientifiques.

Mais comment peut-elle se glorifier ainsi de mépriser la démocratie et de trahir son devoir de journaliste énoncé dans la charte de Munich de 19717 et du celle du journaliste8

« Le droit du public à une information de qualité, complète, libre, indépendante et pluraliste, rappelé dans la Déclaration des droits de l’homme et la Constitution française, guide le journaliste dans l’exercice de sa mission. Cette responsabilité vis-à-vis du citoyen prime sur toute autre… Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ».

Cette volonté de « censure pour une bonne cause » s’oppose au jugement prononcé par la Cour Européenne des Droits de l’Homme dans la jurisprudence Hertel9 :

« Peu importe que l’opinion dont il s’agit soit minoritaire, et qu’elle puisse sembler dénuée de fondement : dans un domaine où la certitude est improbable, il serait particulièrement excessif de limiter la liberté d’expression à l’exposé des seules idées généralement admises ».

Les élites veulent accroître les censures par la loi et les traités internationaux

Alors qu’ils prétendent se comporter en démocrates les dirigeants occidentaux veulent toujours plus censurer pour imposer plus étroitement leur contrôle et nous faire croire à de futures crises sanitaires dans l’espoir d’attenter davantage encore à nos libertés.

En France, la loi Darmanin menace d’amende astronomique et de prison les donneurs d’alerte en médecine :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique »… « Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende ».

Il envisage même d’interdire les « outrages » dans la sphère privée !

En Europe, le règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act, DSA) vise à obliger les plateformes à censurer les continus qui pourraient paraître problématique sous menace d’amende et d’interdiction de leur exploitation sur le territoire. Il sacralise une censure privée (les plateformes apprécient seules la légalité ou non du contenu). Le respect de codes de conduite européen comporte en particulier la « visibilité accrue des sources d’information faisant autorité » (celles des gouvernements…). Twitter et consorts seront « en liberté ultra-provisoire et totalement surveillés ».

Les autorités espèrent-elles vraiment « restaurer la confiance » en censurant des faits réels qui contredisent leur discours ? Ne devraient-elles pas plutôt répondre à leurs opposants par des arguments lors de débats ? C’est en tous cas ce qui correspondrait le mieux aux idéaux démocratiques qu’elles se targuent de respecter. La démocratie meurt de la censure.

L’OMS dans son projet de nouveau règlement sanitaire international veut instituer une censure renforcée contre les critiques émises de ses préconisations qu’elle veut de plus rendre contraignantes. S’il n’était pas refusé, il pourrait demander des obligations vaccinales que personne n’aurait le droit de critiquer.

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Sans liberté de parole, il n’y a pas de démocratie !

Refusons la dictature des minorités et des grands groupes financiers qui pilotent ces projets liberticides tant en France, qu’à l’OMS ou à la Commission européenne.

Ceux qui croient que la démocratie est le moins mauvais de tous les systèmes politiques doivent s’allier pour dénoncer ces scandales partout et toujours et nous gagnerons, car la vérité triomphe toujours quand on la défend.

De nombreux pays ont déjà annoncé qu’ils refuseraient d’appliquer le nouveau règlement sanitaire de l’OMS s’il était voté en mai 2024 tel que son directeur général l’espère.

Malheureusement de trop nombreux dirigeants européens, trop liés à la finance, veulent supprimer progressivement nos droits fondamentaux de citoyens. Renvoyons chez eux les politiques qui veulent restreindre les droits de l’homme.

Quittons les organismes supranationaux (UE, OMS, OTAN) qui veulent faire taire la voix des peuples et détruire la démocratie. Obtenons le Frexit !

À bas la censure ! Liberté de parole ! Liberté de communication ! Liberté de déplacement ! Libertés !

Gérard Delépine





Les infrasons émis par les éoliennes pourraient constituer « une menace considérable pour l’ensemble de la biodiversité »

Un médecin allemand tire la sonnette d’alarme concernant l’impact des infrasons émis par les éoliennes

[Source : epochtimes.fr]

[Illustration : (Summit Art Creations/Shutterstock)]

Par Maurice Forgeng

En 2024, on estime à 9500 le nombre d’éoliennes terrestres et en mer en France tandis que l’Allemagne se plaçait au premier rang européen en 2022 pour la production d’électricité éolienne avec 29,9 % du total de l’Union européenne.

Aux États-Unis, plus de 70 000 éoliennes fonctionnent et le gouvernement américain continue d’approuver des projets d’éoliennes en mer dans le cadre de sa transition vers une énergie propre.

Cependant, lorsque les éoliennes tournent, elles produisent non seulement de l’électricité, mais aussi des infrasons.

Pour Ursula Bellut-Staeck, femme médecin et auteur scientifique, cette évolution représente « un énorme problème pour toutes les formes d’organismes », y compris l’homme. Elle étudie depuis plusieurs années les effets des infrasons sur la santé. Depuis 2015, elle étudie les infrasons en tant que facteurs de stress au niveau cellulaire et a publié en 2023 un article sur la manière dont les infrasons affectent la microcirculation et les cellules endothéliales.

Inaudibles mais percutants

Les infrasons sont des ondes sonores dont la fréquence est inférieure à 20 hertz (Hz). Plus la fréquence du son est basse, plus sa longueur d’onde est grande et plus il est difficile de s’en protéger. Les infrasons peuvent traverser les murs, les personnes et les animaux.

« Avec des éoliennes de plus en plus grandes, les fréquences deviennent de plus en plus basses. Cela rend les infrasons plus problématiques et plus dangereux », a déclaré la Dr Bellut-Staeck à Epoch Times.

Les éoliennes actuelles atteignent des fréquences aussi basses que 0,25 Hz. La longueur d’onde de cette fréquence est d’un peu moins de 1,38 km.

Les infrasons présentent une autre particularité. L’homme ne peut généralement pas entendre les fréquences inférieures à 16 Hz, ce qui correspond à ce que l’on appelle le seuil inférieur d’audition. En d’autres termes, nous ne pouvons pas entendre la plupart des sons émis par les éoliennes. Cependant, nous pouvons les ressentir dans notre corps sous forme de bourdonnement ou de grondement, comme dans le cas d’un haut-parleur. Plus la fréquence est basse, plus le niveau de pression acoustique (c’est-à-dire le volume) doit être élevé pour que l’on puisse le ressentir ou l’entendre.

Néanmoins, les forces mécaniques émanant des fréquences sonores inaudibles peuvent avoir un effet sur les structures cellulaires et membranaires, a souligné la Dr Bellut-Staeck.

La transmission par l’air et le sol

Les éoliennes produisent des infrasons lorsque la pale du rotor frôle le mât. La pale du rotor pousse devant elle de grandes masses d’air, qui sont ensuite interrompues au niveau du mât.

Les infrasons sont alors transmis non seulement dans l’air, mais aussi dans le sol via la tour et peuvent pénétrer dans les maisons. Les bâtiments n’offrent donc aucune protection. « Au contraire : Les infrasons aériens et terrestres peuvent s’additionner considérablement à l’intérieur des bâtiments », a expliqué la Dr Bellut-Staeck.

L’impact sur les cellules endothéliales

Les infrasons pourraient également affecter la microcirculation, c’est-à-dire la circulation sanguine du fin réseau capillaire par lequel l’oxygène et les nutriments pénètrent dans les tissus environnants.

Plus précisément, ce sont les cellules endothéliales situées sur la paroi interne des capillaires qui réagissent aux infrasons, explique la Dr Ursula Bellut-Staeck qui étudie la microcirculation et les cellules endothéliales depuis 2004. Outre le transport des protéines, ces cellules ont plusieurs fonctions vitales, telles que l’inhibition de l’inflammation et le contrôle de la pression artérielle. Dans une étude sur les effets des infrasons chez les rats, les chercheurs ont constaté un gonflement de l’endothélium et des lésions de la membrane cellulaire externe dans les trois heures suivant l’exposition à des infrasons d’une fréquence de 8 Hz.

La surface d’une cellule endothéliale (Avec l’aimable autorisation du Dr Ursula Bellut-Staeck)

« Depuis 2015 environ, on a remarqué que les personnes exposées aux infrasons et aux vibrations des émetteurs techniques présentaient des symptômes correspondant à des troubles microcirculatoires », a dit la Dr Bellut-Staeck. Cet effet était particulièrement perceptible après le remplacement des petites éoliennes par de plus grandes.

Selon une étude citée dans le Canadian Family Physician, les effets néfastes des éoliennes industrielles sont la faiblesse, les vertiges, les maux de tête, les problèmes de concentration et de mémoire, la pression auriculaire, l’arythmie cardiaque et les troubles du sommeil.

Plusieurs animaux ont également réagi aux éoliennes. On a observé qu’ils quittaient les environs des éoliennes. Une étude publiée dans Scientific Reports a montré que plusieurs espèces d’oiseaux et de mammifères évitaient les parcs éoliens et les zones environnantes, ce qui affectait leurs schémas de distribution et de migration. Les animaux liés à un lieu, tels que les chevaux, les vaches et les animaux domestiques, auraient montré des changements de comportement, y compris des signes de stress.

« Les symptômes observés chez les animaux ne peuvent pas être attribués à un effet nocebo », note la Dr Bellut-Staeck, comme le suggèrent parfois les autorités officielles. Contrairement à l’effet placebo, l’effet nocebo décrit un effet négatif sur la santé dû à l’attente de conséquences négatives.

La Dr Bellut-Staeck a souligné que d’autres systèmes techniques émettent aussi des infrasons et peuvent causer des problèmes majeurs. C’est le cas, par exemple, des pompes à chaleur, des installations de biogaz et des turbines à gaz à l’intérieur ou à proximité des habitations. Toutefois, elle s’attend à ce que les grandes éoliennes aient les conséquences les plus importantes pour l’environnement et la biodiversité, précisément en raison de leur nombre et de leur taille croissants.

« Ces facteurs de stress chroniques et impulsifs à basse fréquence ne peuvent en aucun cas être comparés à la pollution naturelle par infrasons [comme les vagues et les vents violents] », a-t-elle dit.

Les décès de baleines sont-ils liés ?

En 2023, des données officielles ont révélé une augmentation des échouages et des décès de baleines le long de la côte est des États-Unis. Il existe un lien temporel et géographique entre cette surmortalité et les études géologiques menées en vue de l’expansion de l’énergie éolienne en mer. En conséquence, 30 maires du New Jersey ont signé une pétition demandant aux membres du Congrès d’interrompre les activités d’expansion de l’énergie éolienne en mer jusqu’à ce qu’une enquête complète puisse être menée. La National Oceanic and Atmospheric Administration a déclaré : « Il n’existe aucun lien connu entre la mort de grandes baleines et les activités éoliennes offshore en cours. »

Mais la Dr Bellut-Staeck reste préoccupée par les sons et les vibrations à basse fréquence du bruit des navires et d’autres sons. Dans l’océan, le son se propage à une vitesse de 1,46 km par seconde, soit quatre fois plus vite que dans l’air. La profondeur des océans n’offre donc aucune protection contre le son.

« Le son n’affecte pas seulement l’orientation, mais aussi la régulation des fonctions vitales de l’organisme », explique-t-elle. « Les conséquences pour les animaux sont un manque d’énergie, une inflammation chronique, une perturbation de la reproduction, une surmortalité et un déclin de la population. »

Le stress vibratoire

Étant donné que tous les organismes réagissent aux infrasons, la Dr Bellut-Staeck a souligné que « nous pourrions être confrontés à une menace énorme, jusqu’ici méconnue, pour l’ensemble de la biodiversité ».

La Dr Bellut-Staeck, qui effectue ses recherches en Allemagne, où l’énergie éolienne est la plus importante contribution au réseau électrique, propose que les sons profonds et les vibrations agissent comme un facteur de stress vibratoire sur les cellules endothéliales. Comme de nombreuses fonctions vitales nécessitent des cellules endothéliales intactes, les lésions endothéliales peuvent avoir de graves conséquences, notamment contribuées au vieillissement vasculaire et à l’athérosclérose.

L’Agence fédérale allemande de l’environnement a toutefois déclaré à Epoch Times qu’elle n’avait trouvé aucune preuve que les infrasons émis par les éoliennes ont des effets néfastes sur la santé et que « la manière dont les infrasons émis par les éoliennes affectent les cellules endothéliales n’a pas encore été scientifiquement prouvée ».

Des études internationales montrent des effets nocifs

La Dr Bellut-Staeck a mentionné qu’il n’existe actuellement aucune étude illustrant ou prouvant clairement le risque des infrasons, car la plupart des études se concentrent sur les sons acoustiques ou audibles.

Cependant, les premières études sur les effets des infrasons indiquent la possibilité de graves problèmes de santé. Une étude publiée dans Environmental Disease a conclu qu’il y avait une forte probabilité que les personnes vivant à proximité d’éoliennes industrielles subissent des effets nocifs sur la santé en raison de l’anxiété, du stress et de la perte de sommeil résultant de l’exposition aux infrasons et à d’autres émissions. Une étude allemande a également mis en évidence les effets toxiques de l’exposition aux infrasons au niveau cellulaire. Une autre étude, publiée dans PLoS ONE, a mis en évidence des modifications de l’activité cérébrale à la suite d’une exposition à une stimulation infrasonore.

Ces études soulignent la nécessité de poursuivre les recherches et de mieux comprendre les effets des infrasons.




Londres 2024 : George Orwell l’avait pensé, le Brexit l’a fait

L’arnaque du « Brexit » sans rupture avec l’OTAN — Dystopie bankstériste

La dystopie du Brexit : l’arnaque du siècle racontée par un brillant esprit et voyageur, Lionel Labosse. Londres hors de l’Europe est devenue le cauchemar orwellien prévisible sauce Rothschild. À transmettre aux couillons du Frexit qui veulent imiter le vil escroc Farage (qui travaillait pour un milliardaire du porno). Attention : il n’y a plus d’échappatoire possible. Et rappel : 30 livres le Fish and chips avec de la bière. Pour le reste, cauchemar numérique et soumission globale de la populace. Lionel écrit : « J’ajoute un élément de compréhension à mon article sur le pouvoir de la banque : “La richesse de la famille Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés… le Royaume-Uni est à l’instar de la Chine et de la Palestine, un laboratoire privilégié de toutes les roueries du totalitarisme dystopique.” »

Nicolas Bonnal

[Source : altersexualite.com via PG]

Par Lionel Labosse — samedi 16 mars 2024

Après 5 ans de pause forcée depuis 2019, je suis retourné dans ma capitale favorite, Londres. Je m’attendais naïvement à admirer une capitale européenne enfin libérée par le Brexit du carcan mondialiste et rendue à la démocratie. Je suis tombé de haut. Comme le disait récemment un commentateur dont j’ai oublié le nom, et le média sur lequel il s’exprimait, le Brexit n’était pas chez ses promoteurs une volonté de fuir l’UE, mais de s’inféoder davantage à l’État profond étasunien. Je dirais même plus, aux banquiers qui ont toujours régné sur la City, cet État dans l’État. Je vais dans cet article d’abord rendre compte de mes observations & découvertes lors de ce 7e séjour à Londres, puis expliquer dans une seconde partie en quoi le Brexit a été selon moi une arnaque au bénéfice des bankstéristes, non pas pour nous dissuader du Frexit, mais pour nous avertir qu’un Frexit sans libération de la domination des États-Unis, et donc d’Israël, dont les États-Unis sont le « proxy » selon le mot du Gal Delawarde, serait un coup d’épée dans l’eau.

Choses vues à Londres post-Brexit

Le voyage commence dès la gare. J’ai pris des billets Eurostar à un tarif correct, et vu la faible différence de prix j’ai opté pour « Standard premier ». Mon objectif était la tranquillité et le confort ; mais j’ai été surpris de découvrir que nous avions un petit déjeuner ou un repas offert, que j’ai pris en photo à l’aller et au retour. Il y a, me semble-t-il, moins de trains dans la journée, et au retour, par le dernier train (départ de Londres à 20 h 2), le wagon « Standard premier » était vide à 90 %, ce qui m’a étonné. Je ne sais pas si c’est la saison (février) ou le Brexit, mais j’ai eu l’impression par divers signes que le tourisme a baissé. Les trains moins nombreux ou vides, la pancarte « vacancies » sur plusieurs hôtels, la baisse des tarifs des hôtels alors que tout le reste a augmenté, l’absence de file d’attente à la Tour de Londres, que j’avais renoncé à visiter pour cette raison lors de mes précédents séjours, voilà des signes objectifs, à nuancer bien sûr par la saisonnalité. J’ai pris un des hôtels de la rue Argyle, juste en face de la gare, avec vue sur la gare et un lit plus large et le même style de chambre et d’hôtel familial que je prends d’habitude, pour pas trop cher ; j’ai même eu l’impression que les prix avaient baissé, mais peut-être est-ce parce que les vacances de février sont la période la moins fréquentée.

Avant d’en passer aux critiques, je dois commencer par montrer ce qui saute aux yeux à Londres au premier coup d’œil quand on vient de Paris. Contrairement à ce que tente de nous faire croire la presse des milliardaires en France, le Brexit n’a pas entamé d’un iota la prospérité britannique, du moins pas plus que les autres économies d’Europe de l’Ouest n’ont été laminées par la politique criminelle des coronazis, hommes de main des banksters. Voici d’abord ma vidéo de comparaison entre Londres et la ville d’Annie Dingo, au ton ironique (mais qui n’aborde pas les points plus complexes qui constitueront la 2e partie de l’article) :

Je n’étais pas très éveillé à ces questions avant le covidisme, et si vous lisez mon article sur Londres vous pourrez consacrer que j’ai toujours apprécié les manifestations altersexuelles, du moment que cela stimulait l’esprit critique sans chercher à imposer un mode de vie. Ce qui me semble avoir changé, c’est qu’on est passé de provocations salutaires à un raz de marrée wokiste, omniprésent, dont j’ai constaté ou photographié des quantités d’avatars. Par exemple, la statue actuellement visible sur le fameux « 4e socle » de Trafalgar Square, nommée « Antelope » représente un militant panafricaniste, John Chilembwe, aux prises avec un méchant blanc. L’artiste a eu l’idée vraiment géniale, pour montrer la grandeur du gentil noir et la petitesse du méchant blanc, de faire en sorte que la statue du bon noir soit deux fois plus haute que celle du méchant blanc, et qu’il porte un chapeau, ce qui était interdit. Ça, c’est de l’art ! Allez, une grosse subvention… Et cet étalage wokiste a une fonction très claire, en soutien au fascisme des gouvernements occidentaux : effacer la mémoire de Julian Assange qui à ce même endroit proclamait en 2011 une vérité tellement salutaire, et qui, 13 ans plus tard, meurt à petit feu en prison en Angleterre, avec l’assentiment de la quasi-totalité des journaputes du monde occidental.

J’ai fait un tour dans les grands musées que je visite à chaque séjour, National Gallery, British Museum, Victoria & Albert Museum, et les deux Tate. Au V&A, on entre comme dans un moulin, par les deux entrées, sans le moindre contrôle de quoi que ce soit. Dans les autres, on jette vaguement un œil sur votre sac. En revanche, au British Museum, un directeur bien abruti a fait installer à grands frais une tente avec plusieurs préposés au coup de torche dans vos sacs, qui ne sert qu’à nous faire perdre du temps. Je l’ai prise en photo. Il est donc clair que les terroristes ont des goûts très éclairés en art. Dans tous les cas l’entrée reste gratuite, sauf pour les expositions, mais on est appelé à faire une « donation », et là, l’argent liquide est exceptionnellement autorisé (photo). Cette tente idiote n’existait pas à mon précédent passage, et de fait elle m’a dissuadé, car la bêtise m’énerve, et j’ai attendu l’avant-dernier jour pour une visite éclair. Mais le pire que j’aie eu c’est lors du spectacle Mrs Doubtfire. Là, c’était coup de torche et question insidieuse sur ce que j’avais dans mon sac. Quand on comprend que le prix élevé du billet rémunère aussi des métiers inutiles plutôt que seulement les pros du spectacle, c’est désagréable.

National Gallery

Bref, j’ai fait un tour à la National Gallery, où j’ai revu certaines de mes œuvres préférées. L’aile nord étant en travaux, les œuvres ont été redéployées et beaucoup sont rangées, mais le principal était là. Je n’ai pas été saisi par le wokisme dans ce musée. Dans ma salle préférée, j’ai remarqué que Le Christ contemplé par l’âme chrétienne de Vélasquez et Saint Jean à Patmos du même, dont j’avais admiré la juxtaposition, sont actuellement séparés par un petit Greco. Quelle drôle d’idée ! J’ai retrouvé les deux petites crucifixions que j’avais déjà repérées. J’ai admiré à nouveau Bacchanale devant un terme (1633) de Nicolas Poussin, dont j’ai photographié un détail, pour rappeler à certains orthosexuels de la résistance que ce ne sont pas les mondialistes actuels qui ont inventé un certain libertinage, qui semblait certes moins satanique à l’époque de Louis XIII que celui de nos pervers !

Bacchanale devant un terme (1633), Nicolas Poussin (1594–1665).
© National Gallery/Lionel Labosse

J’ai aussi photographié les morceaux de la version anglaise de L’Exécution de Maximilien (1869), d’Édouard Manet, et Baigneurs à la Grenouillère (1869), de Claude Monet, dont je connaissais mieux une variante intitulée La Grenouillère figurant dans le manuel scolaire que j’utilisais jadis pour les Secondes. Un Canaletto a attiré mon attention : The feast day of Saint Roch (1735), qui présente une mise en abyme de tableaux exposés sans doute à l’extérieur de l’église en question pour cette fête. J’ai photographié la Vieille femme grotesque de Quentin Metsys, que j’ai imaginé être un portrait flatteur de notre Première guenon Chibritte ! J’ai photographié un tableau de Piero di Cosimo, Bataille entre les Centaures et les Lapithes (1500-15), et un détail de ce tableau saisissant. La France est à l’honneur de ce grand musée, comme d’ailleurs de tout Londres. Une petite expo (accès gratuit) était consacrée au peintre français Jean-Étienne Liotard, et à son Déjeuner de la famille Lavergne, dont une version peinte était pour la première fois exposée à côté d’une version en pastel. Magnifique ! J’ai aussi photographié un Service à thé (1781). En 2019, c’était aussi un peintre français du XVIIIe, Louis-Léopold Boilly, qui était honoré de la même façon. C’est un peu normal, car la France est le grand pays européen le plus proche ; mais comme disait Emmacruel Nécron « Il n’y a pas une culture française » ! J’ai enfin passé un long moment devant le célébrissime Pluie, Vapeur et Vitesse de Joseph Mallord William Turner (dont je parle dans cet article), pour essayer d’apercevoir le détail du lièvre qui détale devant le train. J’ai pris des photos, mais je les ai supprimées, parce que c’est vraiment une tache indistincte, qu’on finit par entrevoir, mais je crois que le type fumait un peu la moquette. On voit mieux sur la photo proposée par le musée. C’est une tache marron clair sur beige foncé, sur la diagonale entre l’avant du train et le bord inférieur droit du tableau, à peu près aux trois cinquièmes, côté cadre…

La Tour de Londres

Le lendemain j’ai visité la Tour de Londres, monument que j’avais laissé de côté volontairement pour une prochaine visite, surtout parce que lors de mes dernières tentatives, la file d’attente était dissuasive. Cette fois-ci, j’ai fait 5 minutes de queue pour acheter le billet (sur place, même si on vous incite à le faire en ligne). C’est très intéressant et très long à visiter. J’ai remarqué que sur les 8 langues proposées par les nombreux panneaux explicatifs (ce qui rend la visite très agréable sans vous obliger à prendre un audioguide ou un truc en ligne), le français est la première langue. Peut-être à cause de Guillaume le Conquérant, le Normand qui fut roi d’Angleterre et construisit la Tour blanche, qui constitue le donjon de l’ensemble, au XIe siècle. Cela donne l’impression qu’on aurait conservé à Paris les vestiges de l’enceinte carolingienne du XIe siècle, et le palais romain qui occupa le site de l’actuel palais de Justice ! Vous pouvez admirer les corbeaux apprivoisés aux ailes rognées, que l’on perpétue selon une légende qui veut que leur disparition sonnerait le glas de la monarchie. La Tour blanche abrite un musée des armes et armures.

Outils de travail du bourreau de la Tour blanche, à Londres.
© Lionel Labosse

J’y ai photographié un bel objet qui m’a inspiré une pensée émue pour Jean-Brichel et son mari, à qui l’on peut souhaiter un destin digne d’Anne Boleyn. On conserve aussi une trace de la ménagerie royale, ancêtre du zoo, mais où les animaux devaient avoir des conditions de vie pas terribles. Les animaux servirent de cadeaux diplomatiques dès le XIIIe siècle, et la ménagerie fut ouverte au public au XVIIIe siècle jusqu’en 1835. J’ai photographié le billet pour garder trace du prix parce que, à part les hôtels, Londres est devenue hors de prix. 33,6 £, soit 40 € (voir infra) !

Victoria & Albert Museum

J’ai fait un tour, même deux, à ce musée, couplés à mes visites au Royal Albert Hall. Je l’avais déjà visité, seul, mais aussi avec mes parents, en 2012, je crois (1er voyage d’une série avec mes parents). D’ailleurs les larmes me sont venues aux yeux en voyant un monsieur plus jeune que moi avec un plus vieux, deux gouttes d’eau, comme mon père et moi au même endroit naguère. Donc, on y entre comme dans un moulin, car les terroristes ont annoncé qu’ils ne feraient pas d’attaque à cet endroit. J’ai photographié quelques sculptures. Albert Einstein par Jacob Epstein en 1933 est un must, non loin de Crouching Youth (1934), de Winifred Turner. J’ai apprécié aussi Le Pr Raoult châtiant Véran & Attal avec une mâchoire d’âne (1749), par Vincenzo Foggini.

J’ai apprécié le restaurant du musée où pour une somme raisonnable comparée aux prix en ville, on peut se régaler de plats cuisinés. J’ai aussi apprécié leurs W.C. customisés, tous décorés aux couleurs du musée, avec des œuvres différentes dans chaque cabine reproduites en carrelage. Dans l’aile Sud, on a une succession de salles consacrées à « The Rise of France » (l’essor de la France). J’envisage un exercice scolaire : transposer ce panneau en 2024 ! J’ai photographié un instrument bizarre qui s’appelle crénequin ou cranequin, qui sert au cranequinier à remonter la corde de l’arbalète. En peinture, j’ai apprécié Seed tile, de John Frederick Herring (1854-56), qui représente, je pense, les semailles par des procédés mécaniques et une traction hippomobile dans une exploitation très riche. Les lecteurs de M&mnoux savent que rien qu’un cheval dans la campagne du XIXe siècle, c’était déjà une rare richesse pour un paysan ; et là vous en avez 12 dans la scène !

Je suis tombé sur une photographie de la construction de l’Opéra de Paris (Garnier) entre 1864 et 1867, par Louis-Émile Durandelle, de l’atelier Delmaet & Durandelle (Delmaet étant mort en 1862). Reportage fascinant qui montre les ouvriers travailler sans protections. Aujourd’hui, on tombe dans l’excès contraire, même si le bâtiment reste un domaine où les accidents du travail sont nombreux. C’est aussi un des nombreux exemples de cette fascination de Londres pour Paris, qui à cette époque, étaient rivales. J’ai aussi admiré une série de chronophotographies d’Eadweard Muybridge, évoqué dans cet article. Dans une salle était projeté un film de performance de trois créatures trans, avec un concept woke comme quoi ces personnes seraient victimes de l’Intelligence artificielle qui leur ferait subir je ne sais quelle torture sans doute « dignedézeurléplusombrdenotristoir ». Il s’agit de The Zizi Show de Jake Elwes. Ah bon, je suppose que la performance était subventionnée par M. Sam Altman, PDG de Chat GPT et n° 1 au classement 2023 des personnalités juives les plus influentes du Jerusalem post, pour montrer à quel point son automate est respectueux des droits des animaux humains palestiniens, euh non, pardon, des personnes trans ! Au moment où je suis passé, un groupe de 4 femmes trans regardaient la vidéo, oh pas des trans du show-biz, mais des trans de la rue comme j’ai pu en connaître. Elles ne manifestaient aucune réaction face à ce spectacle ridicule qui les instrumentalise. J’aurais bien aimé leur demander leur avis, mais mon manque de maîtrise élémentaire de la langue de Boy George aurait pu me faire commettre un impair. Ma meilleure trouvaille de cette nouvelle visite est une crucifixion, détail d’un retable en bois du XVIe siècle.

Détail d’un retable (1527-33) attribué à Giovanni Angelo & Tiburzio del Mainok, Victoria & Albert Museum.
© Lionel Labosse

Zoo de Londres

Je n’avais jamais visité ce zoo, qui est pourtant « le plus ancien zoo scientifique du monde » selon Wikipédia. On peut y admirer des mosaïques, et l’ancien « Penguin Pool », un vestige typique du style international dû à Berthold Lubetkin, heureusement abandonné pour « Penguin Beach », vaste espace peu spectaculaire, mais sans doute plus agréable pour nos amis pingouins ! Côté arts, j’y ai aussi photographié une couple de bousiers aux prises avec leur boule de bouse, statue de Wendy Taylor, photo que je dédie à nos amis « fact-shakers », Rudy et Julien notamment ! Le zoo a la particularité de permettre une immersion dans le monde animal, avec par exemple le pavillon des papillons, que l’on peut admirer sans barrière, avec une écloserie à chenilles et une vitrine de cocons. Tous ces pavillons sont protégés par des sas censés empêcher les animaux de sortir. On peut donc admirer des singes, des oiseaux, des fourmis et des araignées (là, beaucoup de gens restent dehors !) Dans le pavillon des oiseaux, on observe de près le Goura de Victoria, ou « Victoria crowned pigeon » pour les intimes. Le pigeon anglais vous a quand même une autre allure que le mougeon français ! C’est devant ce « Blackburn Pavillon » que j’ai filmé l’horloge aux oiseaux, magnifique réalisation manufacturée sans doute commandée par informatique, mais qui nous rappelle ce que l’artisanat peut encore nous proposer de merveilles. Le spectacle dure 1’30 et se répète toutes les 30 minutes.

La cage des tigres m’a scotché, il y en avait carrément 4 exemplaires, et on pouvait les voir s’amuser avec des boules de polystyrène ou se taquiner. Les lions étaient plus hiératiques, un mâle et une femelle dans un 300 m2 avenue Foch ! Chez les gorilles, c’était extraordinaire, car dans les jours précédents il y avait eu deux naissances, et l’on pouvait entrevoir l’une des mères en train d’allaiter. Une autre femelle s’employait à montrer clairement qu’elle n’était pas une Chibritte ! (photo). L’autre édifice surprenant du zoo est le « Snowdon Aviary » (ouvert en 1965), immense volière qui semble flotter dans l’air grâce à des prouesses de l’architecte Cedric Price et de l’ingénieur Frank Newby. Actuellement elle abrite des singes, mais c’est du gâchis pour un tel espace, il y en avait un paquet qui s’épouillaient dans un coin. On devrait y mettre le gouvernement Macron et la guenon ! Il y a aussi des attractions sympathiques pour les enfants, démonstrations d’oiseaux, etc. Il manque certaines stars des grands zoos, puisqu’on n’a qu’un seul des « big five », ni ours polaire ou bipolaire… mais c’est un grand zoo et un must. Je n’ai pas fait la queue pour rentrer, sans acheter de billet en ligne.

Tate Britain & Tate Modern

J’ai fait un tour rapide à la Tate Britain. Je voulais revoir la sculpture en albâtre de Jacob Epstein Jacob et l’ange, qui n’en finit pas de m’émouvoir. Hélas, ma statue préférée a disparu de l’exposition permanente, même si elle est toujours sur le site. L’employée à qui j’ai posé la question dans mon anglais niveau 5e n’a pas pu m’en dire plus ; elle ne sait pas. On ne pouvait pourtant pas ne pas la voir ! Mais il faut laisser la place à l’art woke ! Sinon, j’ai revu sans surprise mes autres œuvres favorites dont j’ai déjà parlé dans l’article ci-dessus. J’ai remarqué et photographié une peinture qui ne m’avait pas encore frappé : Bronze Ballet (1940) d’Edward Wadsworth, qui représente le port du Havre pendant la Seconde Guerre, avec des hélices qui semblent danser.
Côté Tate Modern, c’est comme à Beaubourg, l’exposition est régulièrement renouvelée de fond en comble. J’ai remarqué une toile de grand format d’André Fougeron, Civilisation atlantique (1953), peinture dénonçant le colonialisme avec un engagement communiste du peintre. Pour le reste, 90 % de la collection permanente que je connaissais est rentrée dans les cartons, au profit d’innombrables œuvres wokistes… mais pas de Premier dame de France au service 3 pièces ; et bien entendu pas une seule œuvre consacrée à la Palestine, à l’Ukraine, au covidisme, à rien qui nous importe. Eh oui, l’art officiel vit de subventions, meurt de liberté ! Là aussi, je n’ai pas revu une des œuvres phares de ce musée, la Femme qui pleure de Picasso. Est-elle visible dans un autre pays pendant ce temps ? Au fait, il paraît que Salvador Dali aurait peint une Amanda-bite conservée dans un coffre des Rothschild !

Royal academy of arts

Je suis passé à la Royal Academy of Arts où lors de mon précédent séjour j’avais apprécié l’exposition « The Renaissance nude ». Dans la cour, énième œuvre wokiste, mais d’une grande qualité technique : The First Supper, de Tavares Strachan (né en 1979 aux Bahamas). Du talent, bien sûr, mais est-ce le seul thème intéressant en 2024 ? Panem & circenses ! J’ai payé plein pot pour voir une exposition en réalité minuscule (2 salles !) intitulée « Impressionists on Paper ». Magnifique ! J’ai admiré In the Cab (1880-83), de Giuseppe de Nittis et un dessin de Van Gogh (ci-dessous) sur les fortifications de Paris. Il y avait aussi un de ses dessins d’académie, peu caractéristique de son style. Un dessin préparatoire de Georges Seurat pour la Baignade à Asnières, laquelle est un des fleurons de la National Gallery.

Les Fortifications de Paris, Vincent Van Gogh, dessin, 1887.
© WikiArt

British museum

J’ai fait un tour rapide au British museum. La file d’attente m’avait dissuadé. Lors de mes précédentes visites on rentrait comme dans un moulin. Ils ont installé une grande tente sur le côté, enfin j’en ai parlé ci-dessus. Tout cela ne sert qu’à gaspiller du fric (alors que l’entrée reste gratuite). À l’intérieur il n’y avait pas tant de monde, donc pourquoi créer ce goulot d’étranglement qui fait perdre énormément de temps ? J’ai remarqué une scène modelée représentant un étranglement rituel en Inde, appelée « Thugee », datée 1857 (voir l’article Thug). Cela ressemble au fameux coup du père François, macron qui vous embobine aves ses lois sociétales à la con, pendant que les députés traîtres de la fausse opposition vous étranglent et vous font les poches. J’ai photographié à nouveau des plats romains en argent du 3e siècle avec svastikas, mais j’en avais déjà parlé lors de mes précédents voyages. J’ai aussi remarqué une « Reducing machine », 1824, France, qui ressemble à celle-ci.

« Thugee » (1857), British museum.
© Lionel Labosse

Autres balades

Je suis retourné à Greenwich, où j’ai visité le Musée maritime (gratuit). Photos de figures de proue et d’un triskèle, marque de baptême d’un navire. Je voulais parcourir « The Line », un chemin agrémenté de sculptures, mais je me suis planté entre les différentes stations nommées « Greenwich » quelque chose, et je n’avais plus le temps. J’ai parcouru à nouveau le souterrain sous la Tamise, signalé par deux dômes d’entrée. Il est théoriquement interdit d’y rouler à vélo, mais de nombreux livreurs Uber le parcourent. Je me suis d’ailleurs trouvé coincé dans l’ascenseur à la sortie, avec des livreurs qui semblent y être habitués, obligés de se fader l’escalier pour remonter avec leur vélo électrique de 30 kg ! J’aurais dû commencer par le nord, où « The Line » part de la tour Orbit ou « ArcelorMittal Orbit », une structure entre la sculpture et la construction (voir ma vidéo au début de cet article). Les Rosbif ont eu cette idée tardivement pour les JO de 2012, mais cela reste un monument emblématique de Londres, avec « le plus grand toboggan du monde ». Elle se situe juste en face de l’Aquatics Centre construit par Zaha Hadid, qui reste à Stratford (au nord-est de Londres, accessible en zone 2-3 du métro) un site intra-muros majeur. Je montre dans ma vidéo que ce site olympique excentré est un quartier résidentiel correct, où l’on se promène en toute quiétude, à comparer avec l’immonde cloaque dans mon quartier à Paris où les cloportes qui dirigent cette ville ont foutu le « Adidas Arena », seul site olympique pérenne construit sur Paris intra-muros. La comparaison nous donne une honte éternelle.

Dans le quartier de South Kensington, où se situe le musée V&A, le lycée français, l’ambassade de France (avec le torchon européen à côté du drapeau national, comme l’ambassade d’Italie, alors que l’ambassade d’Irak arbore le drapeau palestinien [photos]), bref un des nombreux quartiers riches de la ville, comme je cherchais un banc pour manger mon sandouiche, je me suis rendu compte qu’il n’y en a pas, et que les jolis squares du quartier sont tous privés (photo). Eh oui, les riches n’aiment pas que les pauvres s’installent chez eux… S’ils viennent à Paris pour les JO ils vont faire une crise cardiaque ! Mais « le Brexit a entraîné le pays au fond du gouffre » ! À Hyde Park j’ai admiré d’énormes camélias en fleurs, ce qui m’a inspiré l’envie d’en acheter un petit pour mon balcon. Toujours les canards à St Jame’s Park, où j’ai raté la relève de la garde. Comment cette ville peut-elle rester aussi belle alors qu’ils ont fait de Paris une poubelle ?

Manifestation pro-palestinienne, Londres, 17 février 2024.
© Lionel Labosse

Un matin, j’avais perdu mon bonnet. Londres étant la seule ville au monde où j’eusse déjà perdu un bonnet (acheté au Pérou et que j’adorais), j’ai cru à un complot judeo-maçonnique, d’autant que juste avant de le perdre, j’avais pris un selfie avec une affiche pro-palestinienne, vêtu dudit bonnet, pour une association. Je suis retourné au Royal Albert hall où il était envisageable que je l’eusse perdu lors du spectacle Alegria. Et c’est là que je suis tombé sur une manifestation pro-palestinienne, dont j’avais vu des préliminaires partout en ville depuis le matin. Pas de complot judeo-maçonnique donc, sauf que j’ai tapé trois fois « pro-palestinienne », 4 même, sur mon smartphone, et il refuse de l’enregistrer et de me le proposer… là il y a complot, non ? Bref, vous verrez dans ma vidéo que c’était une manifestation énorme, avec des méchants musulmans au couteau entre les dents (et même des gens normaux !), et que tout se passait bien, dans le plus grand calme, sans que des nervis juifs d’extrême droite ou des blackblocks n’agressent les manifestants, et pas la queue d’un flic à l’horizon. Notre tyran devrait passer un coup de fil à Rishi Sunak pour lui apprendre comment on s’y prend pour rendre impossible le droit à manifester.

Devant le parlement, il y avait quelques femmes « militantes » sans doute bien payées par les milliardaires, avec des panneaux pour évoquer les otages (propagande pour le génocide en fait, soyons clair), là aussi sans problème. Je leur ai dit ma façon de penser dans mon anglais niveau 5e… « Just stop genocide ». Enfin, cela n’intéressait personne, et il y avait mille fois plus de monde à la manif pour Gaza, mais au moins tout se passait dans le calme. Sur Parliament Square, j’ai photographié la statue de Millicent Fawcett la suffragette, dont je dédie le slogan aux complotistes. « Courage calls to courage everywhere » (« Le courage appelle le courage partout »). La statue a été installée en 2018, et je ne l’avais pas encore vue.

Millicent Fawcett (1847-1929) « Courage calls to courage everywhere ».
© Lionel Labosse

Londres est aussi réputé pour l’art de rue. Dans le quartier de Shoreditch, j’ai photographié un lettrage immense « I don’t like this anymore », et auprès du Zoo, « Art Lovers », une peinture murale de l’artiste Bambi qui a droit à une notice Wikipédia.

« Art Lovers », peinture de Bambi, Londres, Regent’s Park.
© Bambi/Lionel Labosse

J’ai fait ce petit film au ton quelque peu ironique (voir au début de l’article) pour comparer Londres et Paris. J’ai filmé dans le désordre et monté dans l’ordre. Quand j’ai filmé les deux séquences de Paris, il pleuvait et donc je n’ai pas eu droit à la foule de zombies à laquelle je m’attendais, et puis il semble que les édiles, qui nous importent des « migrants » par milliers pour alimenter la mafia, fassent plus ou moins le ménage, parce que si nous on peut supporter ça, les touristes des JO méritent qu’on glisse un peu cette poussière sous le tapis… Le problème est que le tas de poussière est désormais dix fois plus grand que le tapis. Vous constaterez la différence entre les deux gares, du Nord et Saint-Pancras, enfin leur environnement surtout, car en tant que telle je n’ai rien contre l’architecture de la Gare du Nord, sauf que le touriste londonien qui débarque comprend tout de suite que Paris est une ville du Tiers-Monde. J’ai filmé aussi une concession Ferrari dans le quartier de Green Park. J’étais passé devant 3 Ferrari garées dans la rue. J’ai compris quand je suis tombé sur le nid juste à côté. 500 m plus loin c’est Porsche, etc. Dans le magnifique square d’où j’ai filmé, pas une tente de migrant, pas un clodo, pas un drogué… Mais le Brexit a provoqué la faillite du pays ! Le seul truc que j’ai trouvé casse-couilles dans la ville (mis à part le gros dossier par lequel je terminerai l’article), ce sont les innombrables tuk-tuk qui proposent leurs services dans les quartiers touristiques, avec la musique à fond pour attirer le pigeon. Et dans le métro, vous avez aussi des messages sonores insupportables, mais d’un seul type (je ne me souviens plus, mais disons la sécurité), et pas la propagande sur les « coups de chaud » en janvier, le « harcèlement sexuel » comme on les subit à Paris. Sinon, j’ai photographié un nouveau modèle de bus londonien à deux étages. À cause du Brexit, ils en sont réduits à avoir des planchers en parquet, et des sièges en velours rouge, alors que nous les Parigots on a du plastoc. Vive Annie Dingo !

Au royaume de la comédie musicale

Mrs Doubtfire

L’un des grands attraits de Londres est la quantité de spectacles de grande qualité qu’on peut y voir. J’y ai mes habitudes en comédies musicales. J’essaie de choisir des spectacles que j’ai une chance de comprendre. Cette année, j’ai choisi Mrs Doubtfire, adaptation du film lui-même adapté du roman jeunesse Quand papa était femme de ménage, d’Anne Fine (1987). Magnifique spectacle, comme toutes les comédies musicales de Londres. Je l’ai déjà dit dans mon précédent article sur Londres, mais il faut insister. Dans cette ville existe une industrie particulière, prospère, spécifiquement consacrée à ce type de spectacles. Chaque soir, dans chacune de ces salles qui sont toutes des chefs-d’œuvre d’architecture (voyez ma photo de la sortie du spectacle à la salle de Shaftesbury), des centaines de personnes viennent en famille et se ruinent pour assister à un spectacle vivant. Pour ce spectacle, j’ai compté 22 comédiens sur scène, sans oublier les musiciens et tous les employés (moins les fouilleurs de sacs, totalement inutiles & nuisibles au plaisir). Tous ces gens contribuent à la prospérité de Londres. La distribution inclut, comme beaucoup, 3 enfants, sans doute doublés ou triplés pour respecter la loi. Ces enfants apprennent le métier et perpétueront la tradition. N’en déplaise à Elon Musk, il faut souhaiter que malgré la fameuse « Intelligence » artificielle, rien ne remplace le plaisir d’assister à des performances d’êtres humains qui se défoncent pour produire ces spectacles vivants.

En ce qui concerne la pièce, la situation est complexe. J’avais signalé un défaut du livre édité en 1987 et soumis à la Clause 28 de sinistre mémoire. Mais la situation s’est retournée comme une crêpe depuis lors, et maintenant, ce n’est plus l’État qui persécute les altersexuels, mais les faux LGBT à la Soros qui cassent les couilles à tout le monde. Alors au lieu de développer quelques scènes amusantes, mais subtiles et non provocatrices où le personnage serait titillé par son changement de sexe, les scénaristes ont introduit artificiellement une dose insupportable de wokisme à tous les étages. Le protagoniste a un frère gay caricatural qui lui procure le travestissement. Là, je suis d’accord, c’est plus plausible que dans le roman, et c’est sans doute à cause de la Clause 28 que l’auteure avait inventé que le frère était prothésiste, OK. Mais pourquoi coller subitement un enfant à ce couple gay, avec une tirade wokiste sur les enfants qui ont tous des familles différentes, bla, bla, bla ? Message avec lequel je suis d’accord en principe bien sûr, mais là ça fait trop, c’est téléphoné, c’est comme du placement de produit idéologique.

Ce délire n’empêche pas que la pièce m’ait profondément ému parce que le socle reste présent, et le socle, c’est un père désespéré parce qu’on l’empêche de voir ses enfants suite à un divorce, et prêt à tout pour les retrouver. Le travestissement a un sens non pas militant à la mords-moi-le-nœud, mais dans le fait que, prenant le rôle d’une femme, il se rend compte qu’en tant qu’homme il a mal agi et n’a pas été capable de comprendre sa femme. Le motif reste dans la pièce, mais c’est gâché par le collage de l’indigeste propagande LGBT wokiste qui noie le message sous le catéchisme de cette nouvelle religion hégémonique.

Moulin Rouge

J’étais très attiré par ce spectacle, adapté non pas d’Offenbach ou du film de Jean Renoir ou même de John Huston, mais basé sur le film musical éponyme de Baz Luhrmann (2001), que je n’ai pas vu, mais qui se trouve sur la liste du BO pour le thème Paris, ville capitale ?. Si j’ai été époustouflé par les qualités techniques et musicales du spectacle, du niveau inégalable de la scène londonienne (et new-yorkaise en l’occurrence), la trame m’a laissé indifférent. Le Paris de la pièce est une ville de carton-pâte, chromo suranné maintenu en coma artificiel pour exciter la rémanence du souvenir d’une ville attirante. Cela se passe à Montmartre, avec un scénario calqué sur La Dame aux camélias. Un élément de décor montre des toits en zinc typiques de Paris, et c’est tout, ou plutôt, le reste du décor montre un éléphant parce que la pièce mise en abyme se passe en Inde, Inde de carton-pâte itou. La musique est un medley de succès anglo-saxons enchaînés à grande vitesse, sans aucun rapport avec Paris. Il y a, je crois, un bref extrait d’une chanson de Piaf. Et puis évidemment, comme pour la pièce précédente, un personnage bien gay comme il faut, en dehors de toute vraisemblance. Cerise sur le gâteau, le personnage de Toulouse-Lautrec est interprété par un comédien noir. Le message est-il « Désolés, nous n’avons pas trouvé de comédien handicapé, donc on a embauché un noir, c’est une sorte de handicap » ? En tout cas cela ridiculise encore plus le scénario. Donc j’ai passé un bon moment devant un bon spectacle avec des performances d’artistes qui font le show, mais gâché par le placage idéologique et une vision caricaturale de Paris.

Alegria, Cirque du Soleil

J’ai été bouleversé par le spectacle Alegria du Cirque du Soleil au Royal Albert Hall. C’est la 2e fois que je vois un spectacle dans cette salle ; mais la première fois c’était un concert classique. Cela faisait longtemps que j’avais envie de voir le Cirque du Soleil, eh bien je n’ai pas été déçu. Rien de woke ici, car c’est la reprise d’un vieux spectacle, et il n’y a pas encore de loi pour introduire de façon forcée du wokisme dans les vieux spectacles. Le Cirque du Soleil, fondé au Québec en 1984, est maintenant une multinationale du spectacle, américano-chinoise, qui joue simultanément dans le monde entier de nombreux spectacles plus ou moins anciens. Alegria date de 1994. Vous avez sur scène un nombre invraisemblable de circassiens des catégories les plus nobles (trapézistes, jongleurs, acrobates, clowns), plus de nombreux musiciens & chanteurs. Les places sont donc chères, mais on en a pour son argent. J’ai été époustouflé et ému aux larmes par tous ces numéros d’artistes de cirque qui donnent la preuve que l’homme peut effectuer des prouesses par la maîtrise de son propre corps que l’« Intelligence artificielle » ne pourra pas atteindre. Des milliers d’heures d’entraînement quotidien pour accomplir ces prouesses à couper le souffle. Cela me rappelle le spectacle et le livre du Cirque Gruss. Il ne manque que les animaux. Tous les numéros sont extrêmement spectaculaires, les numéros de clown sont moins ma tasse de thé, mais les enfants dans la salle étaient ravis. Dans l’équipe actuelle au Royal Albert hall, la chanteuse est française, Sarah Manesse, voix magnifique. J’ai regretté de n’avoir pas pris une meilleure place pour mieux voir. Au diable l’avarice quand on est face à tant de talent. Voici une vidéo d’une version ancienne du spectacle, pour vous en donner une idée.

La dystopie du Brexit : l’arnaque du siècle

Après ces considérations touristiques, il faut maintenant aborder le sujet qui fâche. Je m’étais rendu à Londres la fleur au fusil, car malgré mon ironie, vous avez compris que je suis un chaud partisan du Brexit, modèle pour moi du Frexit que j’appelle de mes vœux. Il est possible qu’on n’en ait même pas besoin, car si les Allemands votent le Dexit avant nous, l’UE éclatera d’un seul coup. Mais j’ai vite déchanté. Le Brexit est une arnaque au profit de « la Banque », et c’est ce que je voudrais expliquer ici.
J’ai fait un bref article à part qui synthétique plusieurs documents à propos du pouvoir de « la banque », qui selon l’éphémère Premier ministre britannique Liz Truss, est plus puissante que les dirigeants élus. David de Rothschild est le plus puissant des banquiers de la City et de Paris, et Alain Minc a dit que macron était une « pute » pour Rothschild. Cependant un fait nous rend l’espoir, la victoire inattendue de George Galloway, élu député à Rochdale lors d’élections législatives partielles le 28 février 2024.

Mise en place en douceur
de la « ville de 15 minutes », à Londres.
© Lionel Labosse

J’avais remarqué comme tout complotiste qui se respecte, que le Royaume-Uni est à l’instar de la Chine et de la Palestine, un laboratoire privilégié de toutes les roueries du totalitarisme dystopique. Les « villes de 15 minutes », qui sont selon la presse des milliardaires qui nous pillent, une « théorie du complot », sont mises en place avec le procédé d’ingénierie sociale du « Nudge ». Et cela, comme à Paris, a commencé avec le remplacement subreptice des grandes cartes de la ville entière qui permettent de se situer dans l’espace, par d’affriolantes cartes partielles avec un cercle (qui n’est pas « de craie caucasienne », mais quand même diabolique) : « 5/15 minutes walk »). Inutile de chercher à savoir ce qu’il y a au-delà du jardin du curé, comme dans « Le vilain petit canard » d’Andersen. Il est un fait que les jeunes sont habitués à ne plus voir de cartes et à se repérer non pas en regardant en l’air, mais en baissant la tête vers un écran hypnotiseur. Récemment, j’ai affiché des cartes Michelin de Paris et de l’Île-de-France dans ma classe. Les étudiants s’y précipitent comme une volée de moineaux, ils sont heureux de pouvoir montrer où ils habitent. Eh oui, les fascistes ont fait supprimer dans les salles et dans les rues presque toutes les cartes globales pour habituer subrepticement les gens à la « ville de 15 minutes », avec seulement des plans de quartier. Alors quand ces jeunes voient une carte qui leur permet d’appréhender un territoire, ils ont une révélation !

En même temps, comme dirait l’employé de Rothschild, qu’ils wokisent l’esclavage du passé, les Londoniens affichent fièrement leurs chaînes d’esclaves modernes des banquiers, les mêmes qui tirèrent profit de l’esclavage d’hier… Les commerçants proclament haut & fort leur fierté d’être « cashless » (sans espèces). Et je l’ai vérifié, c’est encore pire qu’en Islande et en Norvège, c’est-à-dire que l’on paie partout, même pour trois fois rien, avec sa carte ou, si l’on est moderne, avec son smartphone. De nombreux endroits, y compris les plus inattendus, sont « cashless », comme par exemple des baraques à frites. La plupart des supermarchés conservent quelques caisses automatiques à pièces, voire parfois un caissier (en fait un employé polyvalent) qui peut vous prendre des espèces. En revanche pour les dons facultatifs dans les musées gratuits, alors là le cash est accepté, dans des urnes gratuites !

« We’re cashless ». Restaurant, Londres.
© Lionel Labosse

Petite anecdote annexe : j’avais conservé quelques billets de 20 £ de mon précédent séjour, mais quand j’ai voulu en utiliser pour acheter ma dose de cocaïne, mon dealer habituel (fournisseur officiel de Rishi Sunak, qui accepte encore le cash) m’a dit qu’ils n’étaient plus valables. J’ai dû aller les échanger à la Banque d’Angleterre, métro Bank, au cœur du Léviathan. Après fouille des sacs et interrogatoire, je suis dirigé vers un luxueux bureau, où une dizaine d’employés attendaient derrière des vitres. J’étais le seul, donc je me dirige vers un guichet, et on m’échange très aimablement mes biftons pour des plus petits et moins smarts, mais échangeables contre de la bonne poudre péruvienne. En sortant j’ai voulu photographier une magnifique mosaïque au sol représentant un caducée, mais dix flics m’ont plaqué au sol, menotté, violé… euh non, ça, c’était mon cauchemar de la nuit suivante ! Bref, on ne peut même pas prendre une photo, en tout cas c’était une expérience ! Je me suis donné beaucoup de mal pour en retrouver une image sur Internet, dans une vidéo sur le site de la banque elle-même, à la 32e minute. Ces mosaïques sont l’œuvre de Boris Anrep, un méchant russe. On devrait les détruire !

À part l’hôtel, comme je l’ai dit plus haut, j’ai remarqué une inflation terrible des prix. Pour vous donner un ordre d’idée, un simple fish & chips et une bière, sur les quais près de la Tate Modern quand même, 27 livres (photo), à multiplier par 1,25 à peu près. C’est du délire ! Dans le fameux Rock & Sole Plaice d’Endell Street censé faire le meilleur fish & chips ever in the world, j’ai payé 32 £, et il faut savoir que les prix affichés sont augmentés d’un service de 12,5 % (voir ma photo de la note). Pour être honnête, à Greenwich, dans un pub pas du tout miteux et juste à côté du métro, j’ai payé dans les 12 £ pour la même chose, taxes incluses. J’avais repéré lors de ma précédente escapade un fast-food japonais, « Wasabi », où je m’étais régalé de bons plats chauds. Eh bien les prix ont pris l’ascenseur, et les quantités ont fondu, de sorte que pour quelque chose comme 8 £ (alors que j’avais noté dans mon article précédent des prix dans les 5 ou 6), j’ai mangé un truc qui ne m’a ni plu ni rassasié. Je n’y suis pas retourné, mais j’ai vu qu’ils vendent dorénavant les mêmes plats dans les supermarchés, ce qui a dû modifier la stratégie marketing. Le bon plan que je puis vous donner, c’est des menus combinés dans les supérettes, où la réduction est significative ; mais parfois il faut avoir une carte de fidélité… Je voyage seul ; bien entendu pour une famille, avec des enfants affamés et fatigués, autant se couper les veines !

Le Brexit est une arnaque. En fait la Banque (comprenez David de Rothschild, le propriétaire de macron) impose sa dictature dystopique. Paiement quasi obligatoire en carte ou par smartphone, et caméras de flicage omniprésentes. J’ai renoncé à nager dans la magnifique piscine olympique de Zaha Hadid, dont j’ai fait l’éloge dans ma petite vidéo. Il faut s’enregistrer en ligne, m’a dit la brave « caissière ». Bienvenue chez George Orwell. C’est terrifiant. J’ai essayé d’expliquer mon ressenti à cette dame assez âgée. Elle a eu l’air de comprendre & compatir. Eh oui, sous couvert de « Brexit », David de Rothschild et ses copains milliardaires ont affermi la dictature de la City, qui constitue une enclave autogérée dans Londres. On ne peut plus faire un pas sans non seulement être tracé comme des objets manufacturés, mais aussi sans payer la moindre dépense, même 1 £, en numérique. On a donc dû passer depuis le Brexit, de 60 % de paiement en carte, à 90 %. Il suffit de multiplier le pourcentage des banques, donc du propriétaire de macron.

Et s’il n’y avait que ça ! Il faut ajouter tous les frais annexes : location du terminal de paiement, frais bancaires, etc. Et ne croyez pas que le paiement en cash soit la panacée, car pour les commerces, le fond de caisse en rouleaux est facturé, mais surtout si par esprit rebelle, vous faites un retrait dans un distributeur, le jackpot est encore pire. J’ai relevé pour mémoire : pour 100 £ retiré, on m’a compté 123,33 €, soit bien plus que le taux normal (ce serait plutôt 117 €), et en même temps pour reprendre le mantra du teckel de Rothschild, la banque ajoute une taxe de retrait (le nonos du petit teckel caché dans la machine) de 5,57 %, soit 6,38 €. Donc, au lieu de me coûter 117, 27, mes 100 £ m’ont coûté 129,71. 12,44 % de frais pour la banque. Bon, je veux bien qu’il faille payer le distributeur et les employés qui vont nourrir le teckel caché dedans, mais c’est quand même bien payé, surtout qu’en principe, l’argent que vous avez sur votre compte rapporte déjà à votre banque puisqu’elle le prête, donc on pourrait considérer l’usage des distributeurs comme un prêté pour un rendu… En ce qui concerne les paiements par carte, mon relevé de compte m’a appris que les frais sont de 2,8 % à peu près. Quand on rechigne à donner un pourboire à une ouvreuse dans un théâtre pour une place à 100 €, sachons que le pourboire qu’on donne aux Rothschilds est de 2,8 €. J’ajoute un élément de compréhension à mon article sur le pouvoir de la banque : « La richesse de la famille Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés ».

J’ai encore été témoin d’une scène à la station de métro dans mon quartier ce jour : une pauvre dame qui baragouine le français, réclame ses tickets. L’employé lui explique qu’elle s’est fait couillonner par « la banque » (je vous la fais courte) : elle voulait juste un ticket, elle a eu une jolie carte à 2 € plus 2 tickets chargés sur la carte à je ne sais plus combien, soit le double. Elle proteste : elle possédait déjà une carte, mais là elle voulait juste un ticket. Si elle veut se faire rembourser, ce n’est pas au guichet, mais il faut écrire à telle adresse mentionnée sur la facturette (et encore, elle a eu la présence d’esprit de cliquer sur « oui, je suis une mauvaise citoyenne qui veut la mort de la planète et ne fait pas confiance aux banques, j’exige d’imprimer le ticket »). Oui, bien sûr, pour réclamer 2 € la pauvre dame va demander à un voisin de lui rédiger une belle lettre, acheter une enveloppe, un timbre, etc. ! Et c’est tous les jours que l’on constate ce genre d’arnaques qui s’additionnent. Cela a commencé il y a longtemps, quand « pour nous faciliter la vie », les autorisations de prélèvement direct des prestataires sur nos comptes en banque se sont multipliés, sans que l’on ait à donner notre accord, que ce soit pour un abonnement Vélib, la location d’une voiture, tout et n’importe quoi. Une fois donné votre accord pour une prestation, le prestataire peut modifier le prix ou prélever un complément sans autorisation sous n’importe quel prétexte. C’est tellement « pratique » ! Sauf que s’il faut réclamer, c’est un parcours du combattant entre David et Goliath ! L’autre jour, l’employée de la piscine m’explique son mécontentement sur l’arnaque des JO : elle ne travaillera que quelques jours en juillet avant d’aller chez elle en Serbie. Mais pour ces quelques jours, elle devrait payer une carte de transport au tarif délirant que l’État fasciste a annoncé pour les JO. Je lui ai suggéré la solution, mais elle y avait déjà songé, et la moitié de ses collègues : arrêt de travail. On va bien s’amuser, mais s’il faut en passer par là pour que les gens comprennent le Hold-up de la banque contre nous le peuple ! Hold-up, c’est le titre du film de Pierre Barnérias auquel j’ai consacré ce récit. De quoi s’agit-il d’autre que de dénoncer un Hold-up ? Avec ce « Brexit » déloyal, Londres nous met en garde.

Le milieu gay à l’avant-garde du fascisme bankstériste

Maintenant que les enfants sont couchés, j’en termine par ce bref addendum pro domo (attention, jeu de mots !) sur mon expérience traumatisante dans ce qu’il reste du milieu gay londonien. Si l’un des trolls ou des gros abrutis homophobes à 1 neurone qui s’avachit la bedaine devant son ordi en parcourant cet article quand il sera repris par Profession gendarme arrive jusque-là, combien de vomissures et de délations dignes de la Kommandantur va me valoir ce paragraphe ? Je cite d’avance les grands auteurs à destination de ces trolls :

« Pendant la collaboration, la tendance à la calomnie et à la délation était d’autant plus exacerbée que le courage des collaborateurs, d’autant plus zélés qu’ils étaient anonymes, était protégé par la collusion entre Vichy & la Gestapo. »

Extrait de Madame Ghislaine Pétain, vie & œuvre d’une Première dame méconnue, par Jakomar de Bragmardo, traduit du swahili par Bernard-Henry Lévy, Gallimard, 1993).

Bref, voici ce que j’ai constaté en after. Je rappelle que je suis un peu à la diète question fleurette, rapport à mon grand âge, mais que ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on ne peut pas regarder ce qu’il y a à manger. Bref, les soirs où je n’étais pas au spectacle, j’ai remis les pieds dans mes traces de ce qu’il reste des saunas et autres lieux de rencontre dans lesquels ledit grand-âge ne me fait pas refouler. Par rapport à l’hécatombe constatée en 2019, il n’y a rien eu de pire en ce qui concerne les 4 établissements où j’ai mis le pied. Sauf que la revue papier que j’avais l’habitude de prendre à la librairie « Gay’s the word » n’existe plus. Obligation d’utiliser son smartphone, pour que Rothschild et Bill Gates sachent tout de moi. Je serai bref : à une exception près, les tenanciers de ces établissements censés être des lieux récréatifs participent de tout cœur à la brutalisation à l’œuvre dans la dystopie à grande échelle que nous subissons depuis le National-covidisme. Voici, du plus léger au pire :
Augmentation des tarifs, désormais les plus chers saunas du monde (enfin dans ma modeste expérience). En plus de cela dans un établissement dont jadis j’adorais l’ambiance, au lieu d’avoir dix pour cent des cabines privées, ils sont passés à 95 %, dont ils ne louent en réalité que 5 % moyennant un surplus qui s’ajoute au tarif déjà explosé, et du coup l’établissement est dans un état de désolation qui le met aux antipodes de ce qu’était censé être ce type d’endroit. Dans un autre, après des travaux, ils ont séparé l’établissement en deux, sauna d’un côté et salle de sport de l’autre, de sorte que l’endroit est riquiqui et stressant ; il est impossible de s’isoler.

« Cashless » dans deux établissements sur 4. Dans l’un des deux autres, comme je payais en espèces, on a exigé un document d’identité ou une carte bancaire en dépôt, sans doute pour que je ne vole pas la clé du vestiaire ! Et les deux types, un jeune et un vieux de l’âge d’avoir connu le sida avant les traitements, ont protégé leur main avec une serviette avant de me prendre ledit document des mains. Ils ne portaient pas la muselière, mais harcelaient un employé chargé du nettoiement, qui passait et repassait comme un dément partout dans l’établissement pourtant petit, pour désinfecter les sols. Inutile de dire que j’ai passé un fort mauvais moment. Des tarés, rendus fous par le National-covidisme, et à qui personne n’a dit que la guerre est finie.

Dans un seul de ces établissements, pour la première fois au monde dans un commerce, j’ai dû subir une photographie par caméra. Là on est vraiment dans le fascisme banquier ultime, et je ne vois pas comment ces collabos peuvent encore grimper d’un échelon dans la brutalisation bankstériste. À l’intérieur du même établissement, il y a des caméras dans les couloirs, alors que les gens y sont souvent en petite tenue voire à poil. Que font ces enculés de ces images ? Comment les gays londoniens ne se sont pas révoltés ? La réponse va de soi : toutes les associations soi-disant LGBT sont en réalité financées par Soros et ses copains bankstéristes. Et pour les naïfs, ce qui se cache au bout du « tout smartphone » et de l’euro numérique, c’est la réduction en esclavage de l’homme occidental, qui est en cours d’expérimentation en Ukraine, malgré les minables dénégations de la presse fasciste : votre smartphone et votre compte seront bloqués si vous n’êtes pas un bon citoyen, par exemple si vous ne vous faites pas vaxiner (ça, c’était pour tester le taux d’obéissance du mougeon) ou si vous ne vous présentez pas au bureau de recrutement pour vous faire sacrifier sur l’autel, je veux dire le front ukrainien. C’est ce que veulent tous les Rothschilds et leurs nombreux teckels. Que ceux qui se sont fait injecter sous la menace ne se vexent pas, mais se révoltent contre les fascistes qui les ont manipulés. Ce sont ces bankstéristes qui veulent notre mort, et leur arme est le smartphone, l’euro et l’identité numérique.

« Rendez-vous au bureau de recrutement de l’armée au plus vite. Votre compte sera réactivé, et vous serez mort sous 48 h. Veillez à désigner un héritier, sinon le solde de votre compte sera versé aux œuvres sociales de la banque ».

Cerise sur le gâteau, et je ne l’aurais pas réalisé si je n’avais pas enfin visité la Tower of London et ses geôles : les cabines où quand on a trouvé chaussure à son pied on peut se mettre à l’abri et lire en chœur les œuvres complètes de Dominique Strauss-Kahn, sont de dimension réduite, soit trop basses, soit trop étroites pour qu’on puisse s’y allonger ou y rester debout, et souvent les deux. Il s’agit là d’une torture physique digne des in pace de l’Inquisition ou des cages exposées dans ladite salle des tortures de la Tour de Londres.

Bref, même si à Paris j’avais constaté sous la dictature que les gays du milieu, bien qu’ils soient souvent de mon âge et aient connu l’époque Act-Up où l’on s’opposait au pouvoir quand on était gay, étaient complètement acquis à la dictature covidiste, ce qui m’avait profondément écœuré, à Londres c’est dix fois pire, ils sont vraiment aux avant-postes du totalitarisme, ce sont les influenceurs du monde de George Orwell. Cela fait mal quand on fait (à son corps défendant en ce qui me concerne) un chouia partie d’une prétendue « communauté », de constater que les leaders se comportent en kapos de camps de concentration. Je fais un parallèle avec la situation des juifs, qui est exactement la même. 80 % des juifs, que ce soit en Israël ou dans la diaspora, se sont faits les auxiliaires d’un nazisme juif génocidaire. Une « amie » juive, pourtant « de gauche » et même anticovidiste (il est rare d’avoir les deux ensemble), m’a dit qu’elle allait se « radicaliser », alors qu’elle prétend haïr Netanyahu. Je ne puis plus être son ami. Eh bien chez les gays c’est pareil, maintenant que le système les a choisis comme auxiliaires et chouchous de la dictature, 80 % de ces crétins se comportent en kapos. Comment cela a-t-il pu advenir d’après vous ? Il suffit de se mettre un instant du côté des milliardaires. Combien cela coûte-t-il d’après vous d’acheter l’opinion d’un groupe d’influence ?

Subventionner de façon claire ou occulte les 5 médias, les 5 associations, les 5 influenceurs les plus écoutés du groupe, sans compter de plus modestes oboles versées aux petites associations de quartier. Le premier qui se rebellera ou émettra le moindre doute verra aussitôt se déchaîner contre lui « des trolls indiscrets, qui, sans connaissance de cause, crieront en public contre eux, qui les accableront d’injures, et les damneront hautement de leur autorité privée ». (Voir ma parodie de Dom Juan). C’est ce qui se passe avec la trouducusphère pourtant débusquée par le scandale du Fonds Marianne, mais qui continue à sévir, je veux parler notamment de la bande de l’ignoble Rudy Reichstadt, qui opère sous la direction et le financement de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, dirigée par David de Rothschild, employeur de Choupinet, et sous couvert de « lutte contre le séparatisme », nous explique que sur la bite à Chibritte, circulez y a rien à voir. Le montage est digne d’un malfrat de banlieue, mais le mot « Shoah » que ces escrocs ont mis dessus fonctionne à la façon des gousses d’ail contre les vampires !

Attention, que les homophobes et antisémites ne se réjouissent pas, car quand je dis à la louche 80 %, eh bien c’est la même proportion que dans la population neutre. La seule chose c’est qu’on aurait pu espérer que des gens qui font plus ou moins partie d’un groupe, sinon d’une communauté, qui a plus ou moins subi un phénomène de bouc émissaire, soient un peu plus alertés sur la frontière entre humanité & fascisme. Eh bien non, pas du tout. Enfin je ne découvre rien, sauf que la conclusion est effrayante et constitue un avertissement salutaire :
Le « Brexit » est un leurre. Ce qu’il faut, c’est sortir de la mainmise de la banque et des milliardaires, donc pas de « Frexit » ou de « Dexit » sans sortie de l’OTAN, et dissolution de tous les groupes d’influence de type Bilderberg, Trilatérale, WEF, etc. Je crains que la méthode Poutine ne soit la seule susceptible de nous sauver : une balle dans la tête de chaque oligarque, et basta. Donc pour l’instant je tiens ma ligne : il faut voter, surtout aux élections européennes, et si possible voter pour une liste qui soit ignorée par les médias aux mains des bankstéristes, et non une liste de vendus comme le RN qui soit présentée du matin au soir comme un « danger », alors qu’on sait bien que ce parti est dorénavant un parti collaborationniste. Attention, je parle d’une élection à un seul tour. Il est bien évident que si l’on avait à nouveau à choisir dans un 2e tour entre la peste RN et le choléra macron, je choisirais le parti qui n’a pas encore été au pouvoir, parce qu’on n’est pas à l’abri d’une bonne surprise non plus. La politique relève parfois du shalom géant. Pardon, du slalom !

Pour l’instant, je suis affligé du spectacle désolant que nous proposent Asselineau & Philippot. Ces deux messieurs semblent n’avoir pas de pires ennemis que l’autre. Ils sont en train de nous expliquer l’un et l’autre que Poutine & Zelensky doivent négocier, alors qu’eux-mêmes sont incapables de discuter avec un alter ego dont ils partagent 95 % des idées. La politique c’est le compromis. Micron a bien embauché des types qui avaient craché sur lui quelques mois avant. Comment comptent-ils gouverner la France s’ils venaient à être élus ? Un gouvernement UPR sans aucun Patriote, ou vice-versa ? Alors avec qui ? Des membres des différents partis sionistes ? Avec l’amuseur Lassalle ? Avec LFI, parti covidiste & climatiste ? Bref, c’est rageant, mais il faut voter, alors la proposition récente de Dieudonné/Lalanne me semble pour l’instant une bonne alternative, surtout qu’ils ont fait un appel du pied aux deux ennemis jurés et qu’ils sont pro-frexit. Espérons que le nœud gordien se dénoue dans les semaines qui viennent.

Je termine par un document de première importance à écouter et partager, sans grand rapport avec ce qui précède, sauf que cela concerne aussi la dictature actuelle, qui tue les gens et compte organiser son impunité : le député Andrew Bridgen mène un débat sur la surmortalité, le 16 janvier 2024, à Westminster Hall. C’est un combat solitaire, mais un mois après, l’élection surprise de George Galloway constitue peut-être un espoir que ces combats ne soient pas si vains que ça.




COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam

Source : La cause du peuple

Par Ben Bartee

Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».

Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.

Via Slay News :

Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.

Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.

La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.

Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.

Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.

Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.

Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.

Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».

Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :

Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…

L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique.

Le midazolam, une benzodiazépine (la même classe de médicaments qui comprend le Xanax et le Valium), est souvent utilisé pour endormir les patients hospitalisés en soins intensifs. C’est également — et quiconque a une vaste expérience directe des benzos comme moi peut en témoigner — extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il est directement introduit dans la circulation sanguine, comme cela se serait produit à grande échelle, comme procédure opératoire standard pour les patients hospitalisés atteints de Covid, dans les hôpitaux britanniques tout au long de 2020 et 2021.

[Voir aussi :
Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé
Le scandale du Rivotril]

Via MédecinePlus :

L’injection de midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves, voire potentiellement mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort. Vous ne devez recevoir ce médicament que dans un hôpital ou un cabinet médical disposant de l’équipement nécessaire pour surveiller votre cœur et vos poumons et pour fournir rapidement un traitement médical vital si votre respiration ralentit ou s’arrête. Votre médecin ou votre infirmière vous surveillera de près après avoir reçu ce médicament pour s’assurer que vous respirez correctement. Informez votre médecin si vous avez une infection grave ou si vous avez ou avez déjà eu des problèmes pulmonaires, des voies respiratoires ou respiratoires ou une maladie cardiaque. Informez votre médecin et votre pharmacien si vous prenez l’un des médicaments suivants : antidépresseurs ; les barbituriques tels que le sécobarbital (Seconal) ; dropéridol (Inapsine) ; médicaments contre l’anxiété, la maladie mentale ou les convulsions ; médicaments opiacés contre la toux comme la codéine (dans Triacin-C, dans Tuzistra XR) ou l’hydrocodone (dans Anexsia, dans Norco, dans Zyfrel) ou pour la douleur comme la codéine, le fentanyl (Actiq, Duragesic, Subsys, autres), l’hydromorphone (Dilaudid , Exalgo), mépéridine (Demerol), méthadone (Dolophine, Methadose), morphine (Astramorph, Duramorph PF, Kadian), oxycodone (dans Oxycet, dans Percocet, dans Roxicet, autres) et tramadol (Conzip, Ultram, dans Ultracet) ; sédatifs ; somnifères ; ou des tranquillisants.

Cela représente beaucoup de contre-indications mortelles pour une population occidentale plus âgée, statistiquement susceptible de prendre beaucoup de médicaments pharmaceutiques.

Je ne suis pas médecin — je suis un simple « théoricien du complot », un journaliste spécialisé dans le « terrorisme intérieur », et j’en suis fier — mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour comprendre que les benzodiazépines sont très rarement des interventions médicales bien conçues, surtout lorsqu’elles sont administrées par voie intraveineuse à un patient âgé qui a déjà du mal à respirer sous respirateur.

Si les accusations sont fondées, le midazolam aurait été une méthode d’exécution parfaite, car il est fréquemment utilisé dans ce type d’environnement (pour ne pas éveiller les soupçons) et il est difficile d’attribuer la cause du décès au midazolam plutôt qu’au COVID, surtout dans le contexte d’une ignorance délibérée. Dans le domaine des relations internationales, ce dilemme est appelé « brouillard de guerre », en référence à la difficulté d’attribuer correctement la source d’une attaque en temps réel sur le champ de bataille.

4 mars 2024

Extrait de prose d’Armageddon

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables.




Vœux du Professeur Christian Perronne

[Source : bonsens.info]

Vœux 2024

Chers résistants, chers éveillés,

Voilà bientôt quatre ans que notre beau pays est tombé bien bas par la volonté d’un petit groupe de personnes ultrariches et ultrapuissantes qui ne nous veulent pas du bien. L’Union européenne a renié toutes ses valeurs démocratiques en se laissant diriger par une Commission qui outrepasse ses droits. C’est le cas notamment pour l’achat par dizaines de milliards de produits expérimentaux que les médias aux ordres nous ont fait passer pour des vaccins et pour la dépense de dizaines de milliards pour des guerres injustes et perdues d’avance. Le peuple de France souffre, comme beaucoup de peuples en Europe. On attaque la protection sociale et on détruit le système de santé. Les urgences des hôpitaux ferment faute de personnel. Les médecins sont en voie de raréfaction et même de disparition pour certaines spécialités. On profite de la répression Covid pour pourchasser les médecins qui soignent la maladie de Lyme chronique qui touche des millions de personnes en Europe et en Amérique du Nord, dont beaucoup meurent à petit feu, abandonnées par le système de santé, pour protéger des intérêts militaires. Une rare bonne nouvelle en 2023 a été la reconnaissance par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention), centre de surveillance des maladies aux États-Unis, de l’existence de la forme chronique de la maladie de Lyme, déniée depuis des décennies. Mais l’élite est à des années-lumière de la souffrance des citoyens, elle profite dans son monde. Il y a un feu d’artifice de personnalités politiques mises en examen pour des scandales sexuels ou financiers, mais personne n’est condamné. On dirait que c’est devenu la norme pour avoir des responsabilités républicaines. Le parlement est piétiné. La liberté d’expression est bâillonnée et l’on va profiter des Jeux Olympiques pour renforcer, de façon pérenne, le contrôle sur les citoyens. La mortalité augmente de façon très inquiétante depuis les campagnes « vaccinales » Covid, y compris chez les jeunes avec beaucoup de crises cardiaques, d’accidents vasculaires et de cancers d’évolution fulgurante. Cette surmortalité est reconnue, mais officiellement la cause est inconnue et l’on nous bloque l’accès aux données de santé qui sont devenues secret d’État ! La fertilité est en baisse, et cela depuis quelques mois après le début des campagnes d’inoculation. La France, par nature optimiste, qui avait un des taux de natalité les plus élevés en Europe, fait beaucoup moins d’enfants. Jamais depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’horizon n’a été aussi sombre. Les jeunes sont tristes, rivés à leur smartphone, et préfèrent se soumettre sans se poser de questions, plutôt que d’affronter la réalité de plein fouet. Pourtant je vois une immense lueur d’espoir. Après la phase d’abnégation où les Français ont été terrorisés par des messages de peur incessants, de plus en plus de personnes se réveillent de ce cauchemar et ne lisent plus ou n’écoutent plus les médias de grand chemin. Ces médias n’existeraient plus aujourd’hui sans les milliards de subventions donnés par le gouvernement. Les Français apprennent à se prendre en charge sans compter sur l’État qui n’est plus là pour les protéger ni les aider. Les Français apprennent à dire non aux diktats injustes. Un immense esprit de solidarité parcourt à nouveau le pays. Les valeurs familiales n’ont jamais été aussi fortes. Il faut parfois surmonter des épreuves pour connaître le meilleur. La crise Covid et les manipulations de masse ont provoqué des fractures graves dans les familles et parmi les amis. Il est très difficile pour une personne qui s’est soumise aux injonctions brutales de l’autorité, en pensant bien, d’accepter l’idée de s’être laissée abuser et de le reconnaître. La conséquence peut être la colère, mais c’est encore souvent le déni. La réalité est trop violente à regarder en face. Il faut donc faire preuve de bienveillance et de patience pour retrouver nos liens si chers. Ces milliardaires qui nous organisent ces crises auront permis à des millions de Français de découvrir que nous ne vivons plus en démocratie. L’éveil a déjà touché des milliards d’habitants sur la planète et ce mouvement est inarrêtable. Alors tous ensemble, marchons avec le cœur au ventre vers la libération et une ère nouvelle pleine d’humanité. Je vous remercie infiniment pour votre soutien constant et si chaleureux et vous souhaite pour vous, votre famille et vos proches une excellente année 2024.

Christian PERRONNE




Hydroxychloroquine : LES CHIFFRES SONT INVENTÉS ! Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call-girl du Lancet Gate

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Molimard fait mieux que la Call Girl Ariane Anderson, il resuce les résultats des fameuses études RECOVERY ET DISCOVERY et invente des chiffres dignes du Gorafi :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X#bib20

MAIS COMMENT ONT ILS TROUVÉ LE % DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ ? ILS LES ONT INVENTÉS !

Non il ne s’agit pas de données officielles, mais d’une INVENTION ; ils sont partis du pourcentage de patients traités à l’HCQ dans des études choisies par eux puis ils ont fait une moyenne qui est devenu… le % de patients traités à l’HCQ dans le pays.

Mais ces études n’ont jamais été représentatives des pratiques hospitalières !

Comment s’étonner qu’ils nous donnent des taux de traitement de 16 % en France et 51 % EN Belgique ou 80 % en Espagne

CES DIFFÉRENCES SONT INCOHÉRENTES ET PROUVENT LE CARACTÈRE FANTAISISTE DES CHIFFRES

Nous avons mené une revue systématique et une méta-analyse d’ études de cohorte pour estimer les taux de mortalité et la proportion d’exposition à l’HCQ chez les patients hospitalisés dans chaque pays représenté dans les études disponibles. Nous avons effectué une recherche documentaire pour identifier toutes les études publiées rapportant le nombre de patients sous tous les traitements examinés dans le cadre du Covid-19. Nous avons effectué une recherche dans Pubmed, du 1er décembre 2019 au 15 mars 2021, en utilisant les mots-clés « coronavirus », « coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 », « SARS-CoV-2 », « nouveau coronavirus », « nCoV », « 2019-nCoV » et « Covid-19 » et « cohorte ». Depuis Pubmed, nous avons sélectionné les études selon les critères d’inclusion suivants : étude multicentrique, taille de l’étude ≥ 500 patients pour éviter l’effet centre, étude rapportant les traitements utilisés dans le Covid-19 et le nombre de patients traités avec ces médicaments. Les études incluant uniquement les patients recevant de l’HCQ, ayant reçu de l’HCQ à partir d’août 2020, et les patients déjà traités par HCQ pour des maladies auto-immunes ont été exclues, ainsi que les études menées dans des pays pour lesquels les données sur la mortalité manquaient

COMME DANS LE LANCET GATE, LES CHIFFRES DONNÉS POUR ÉVALUER LE NOMBRE DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ SONT TOTALEMENT FANTAISISTES COMME LE DÉMONTRE L’EXEMPLE BELGE

En France on apprend que 16 % des hospitalisés ont été traités à l’HCQ… PIPO ils n’en savent rien, ils ont choisi deux études de référence portant sur 2285 patients… Ils en ont déduit 15,6 % de traités à l’HCQ pour 100 000 patients.

En réalité de 10 à 80 %, on n’en sait rien !

En Espagne ils nous disent que 83.5 % des hospitalisés sont traités à l’HCQ… Pourquoi cette différence ? ON N’EN SAIT RIEN.

Tout part de là : de 25 000 cas étudiés, ils en déduisent ce qui s’est passé pour 104 750.

MAIS POUR LA BELGIQUE NOUS AVONS LES VRAIS CHIFFRES OFFICIELS ET LEURS DONNÉES SONT ENCORE UNE FOIS INVENTÉES — LES PREUVES
La démonstration de Véronique Baudoux

Véronique Baudoux
@VBaudoux

Il y a eu en réalité 4 542 traités sur 19 644 hospitalisés

Il y a eu pour la période concernée deux fois plus de patients traités à l’HCQ que dans la réalité (chiffres du ministère)

Les auteurs estiment ce nombre à 10.018. Comment l’ont-ils obtenu ? En se référant à l’étude nationale belge qui s’est déroulée jusqu’au 24 mai 2020.

De cette étude, ils ont extrait le taux de prescription d’HCQ de 51 % et ils l’ont appliqué à TOUS les patients hospitalisés (19.644) alors qu’en réalité, ce ne sont que 51 % des 8910 patients inclus dans l’étude qui ont reçu l’HCQ, soit 4542 personnes

La première erreur méthodologique est donc de généraliser ce taux de prescription de 51 % extrait de l’étude à l’ensemble des patients belges hospitalisés pour Covid. Car cela aboutit à un nombre de 10 018 personnes au lieu de 4 542. C’est une grosse différence !La question a été posée lors de la séance à la Chambre des Représentants du 16 juin 2020, et la ministre belge de la Santé a répondu que 5 000 personnes avaient reçu l’HCQ en Belgique.

Le 24 mai 2020, il y avait eu 17 357 patients hospitalisés pour Covid en Belgique. Et 4 542 patients avaient reçu l’HCQ. L’ÉTUDE EN TROUVE DEUX FOIS PLUS QUE LA RÉALITÉ.

À moins d’accuser Sciensano et la ministre de la Santé belge de mentir, ce chiffre de 10.018 patients belges ayant reçu de l’HCQ est donc FAUX !

COMMENT ONT-ILS TROUVÉ LE TAUX MOYEN DE SURMORTALITÉ LIÉ À L’HCQ ? ILS L’ONT INVENTÉ !

Il a fallu un an et demi pour publier cette étude annoncée en juin 2022 et dont les résultats ont changé à plusieurs reprises : 9 500 décès [1], puis 16 000 [2] dans 8 pays et enfin 16 000 dans 6 pays [3]. Cette étude s’appuie sur deux données importantes dont l’interprétation est erronée.

La méthode est la même, partir d’études choisies et extrapoler avec des différences extravagantes (du simple au double pour la mortalité toute cause entre la France et ses voisins.

Le nombre de patients traités par HCQ pour Covid-19 pour chaque pays variait de 10 018 à 551 417, avec une exposition hétérogène variant de 16 % [France] à 84 % [Espagne]. Les taux de mortalité ont été calculés à partir des données d’une [Belgique][19] à 20 cohortes [USA] [Fig. 2][40][41][42][43][44][45][46][47][48][49][50][51][52][53] [54][55][56][57][58][59].La mortalité toutes causes confondues des patients hospitalisés variait de 6 % [Turquie] à 23 % [Italie]

Mais le chiffre de surmortalité lié à l’HCQ est le même partout, il est complètement inventé : 11 %

Il provient de l’interprétation d’une étude qui reprenait les expériences RECOVERY ET SOLIDARITY pour lesquelles la dose d’HCQ était… TOXIQUE ET 12 FOIS PLUS ÉLEVÉE QUE CELLE PRESCRITE PAR RAOULT

Le nombre médian de décès liés à l’HCQ en Belgique, en Turquie, en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis était de 240 [fourchette non estimable], 95 [fourchette 92-128], 199 [fourchette non estimable], 1822 [fourchette 1170-128]. 2 063), 1 895 (plage de 1 475 à 2 094) et 12 739 (plage de 3 244 à 15 570), respectivement. Dans l’ensemble, en utilisant les estimations médianes de l’utilisation du HCQ dans chaque pays, nous avons estimé que 16 990 décès à l’hôpital liés au HCQ (plage de 6 420 à 20 294) sont survenus dans les pays pour lesquels des données sont disponibles.

En effet, les auteurs ont appliqué un taux moyen de surmortalité de l’HCQ tiré de la méta-analyse Axfors dont on sait qu’elle reprend des études dans lesquelles les dosages d’HCQ sont nettement supérieurs aux dosages utilisés en Belgique.

Étude anglaise Recovery : ils ont assassiné les cardiaques…

Publié le 9 octobre 2020 par pgibertie

La grande étude anglaise Recovery posait problème, nous en savons plus ; ils ont assassiné les cardiaques ! C’est ce que nous apprennent de nouvelles données… Leur dose d’HCQ était 12 fois plus forte que ce qui est conseillé dans le Royaume-Uni (200 mg jour) : https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.11516.pdf.

Rappelons que l’hydroxychloroquine est efficace dès les premiers symptômes, ensuite il faut préférer anticoagulants et stéroïdes.

Elle permet d’éviter l’intubation c’est son intérêt.

Les malades de Recovery étaient. avant de recevoir l’hydroxychloroquine :

Malade en moyenne depuis 9 jours
sous oxygène pour 77 % d’entre eux et un sur six déjà intubé

L’hydroxychloroquine ne doit pas être donnée aux cardiaques, un électrocardiogramme est nécessaire. Nous constatons que les malades anglais étaient non seulement affaiblis, maispour 27 % d’entre eux l’hydroxychloroquine posait problème (422 sur 1 561). Aux cardiaques s’ajoutaient des posologies contre-indiquées : 119 et 8 % surtout des insuffisances rénales sévères.

AU MOINS UN TIERS DES MALADES NE POUVAIENT PAS RECEVOIR DE L’HYDROXYCHLOROQUINE EN TOUS CAS PAS A FORTES DOSES

Les auteurs citent Axfors et coll. [11] insinuant que, quelle que soit la posologie, l’HCQ seule est associée à une mortalité accrue. Cette interprétation est erronée, comme indiqué dans les compléments, ce risque n’existe pas à faibles doses. Cela a été confirmé par Ioannidis lui-même [12].

Recovery et solidarity représentent 90 % du poids d’Axfors et coll.

Axfors et coll. [13— Suppléments Tableau S3] ont constaté une augmentation du risque de 12 % uniquement pour l’HCQ à forte dose (récupération, sollicitude, plafond de remappage), dans 3 études impliquant 6 711 patients. Le groupe HCQ à faible dose (23 études, 3 301 patients) n’a réduit ce risque que de 1 %, alors que le RC était de 0,97 (0,71, 1,30). il est impossible que l’HCQ à faible dose entraîne un excès de risque de 11 %, risque non démontré par un grand nombre d’études observationnelles (HCQ à faible dose). L’ICMR d’Inde a mis en garde l’OMS contre les doses élevées de récupération.

Les auteurs n’ont pas indiqué le schéma thérapeutique utilisé dans les différents hôpitaux. Ceci est préoccupant, car les seuls essais cliniques faisant état d’une tendance à la nocivité (sans signification statistique) ont utilisé des doses totales beaucoup plus élevées que dans le cadre d’un usage compassionnel. Extrapoler un effet cardiotoxique putatif sans tenir compte de l’effet établi dépendant de la concentration de la chloroquine est erroné.

La majeure partie du poids de la méta-analyse d’Axfors provient d’essais cliniques à fortes doses (Recovery/SOLIDARITÉ). Avez-vous procédé à une comparaison du modèle que vous proposez avec les résultats réels des études incluses dans votre analyse pour valider sa pertinence ?

https://pubpeer.com/publications/CC52948B43670BCD51E1B617E7BDAC

LA MÉTHODE DE L’ÉTUDE

ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites.

On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé.

On le multiplie par le nombre de décès Covid.

ON ARRIVE À UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MÉDIAS.




STOP INJECTIONS POISONS, ET SINGULIÈREMENT CHEZ LES ENFANTS !

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

Il faut interdire les pseudovaccins covid chez l’enfant (et toute la population) inutiles et toxiques. Examen des faits au 15/12/2023.

Les seuls à se réjouir de la distribution du poison :

Il faut le redire encore et encore, car le ministre continue à faire une publicité mensongère largement diffusée (via nos impôts !). Craignons encore que l’argument d’autorité ne soit toxique et parfois fatal à trop de petits en influençant leurs parents !

Un beau cadeau de Noel : leur éviter les injections, poisons de degré très important et avec un long terme inconnu.

Et pourtant le ministère de la Santé, toutes les agences gouvernementales, l’Académie de médecine et les médias continuent de recommander les pseudo-vaccins anti-covid aux enfants de 6 mois à 4 ans. Ils continuent de prétendre qu’ils seraient utiles, efficaces et sûrs.

Mais que nous enseignent les données publiées par l’OMS sur les risques médicaux que la maladie fait courir aux enfants et sur l’efficacité des vaccins pour empêcher les contaminations et prévenir les formes graves ?

Le covid représente-t-il une menace réelle pour les enfants sains ?

L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant sain. Les enfants sont plus rarement infectés que les adultes ; ils ne font habituellement que des formes asymptomatiques et ne constituent pas un facteur notable de transmission du virus. Cela a été constamment démontré dans tous les articles médicaux, rappelé par la société française de pédiatrie, la presse internationale et l’OMS.

La bénignité du covid chez l’enfant est d’ailleurs illustrée par ce graphique de Santé Publique France :

Le covid menace moins les enfants que la grippe saisonnière contre laquelle la Haute Autorité de Santé n’avait jamais conseillé de vacciner les enfants jusqu’à cette année1. Cette recommandation antigrippale, fort mal justifiée, reconnaît d’ailleurs « l’absence de données de bonne qualité sur l’efficacité de la vaccination sur les hospitalisations ou les décès notamment chez les enfants âgés de moins de 2 ans ». La Haute Autorité de Santé n’hésite donc pas à conseiller un traitement en ne sachant pas vraiment s’il est efficace !

Les pseudo-vaccins Covid ne protègent pas des formes graves ni de la mort

Les essais randomisés n’ont pas recherché ni prouvé significativement un effet des injections sur les formes graves et les décès. Mais les données de l’OMS sur les populations vaccinées démentent les affirmations des agences françaises et prouvent que la généralisation des injections n’a pas permis de diminuer la mortalité attribuée au covid. La courbe de la mortalité mondiale n’a en effet pas été infléchie par les pseudo-vaccins administrés aux populations à risque :

En France, en septembre 2022, la quasi-totalité des personnes à risque étaient vaccinées contre le covid ; cela ne les a pas protégées des formes graves ni de la mort.

Le gouvernement, les agences sanitaires et les médias français ont prétendu que seuls les non injectés mourraient. Mais la saisine de l’autorité de la transparence pour obtenir les données brutes de mortalité par statut vaccinal s’est vue répondre « de telles données n’existent pas ». Comment peut-on encore croire les affirmations gouvernementales basées sur l’absence de données ? D’autant que la comparaison des mortalités covid observées dans les pays riches (les plus vaccinés) et les pays africains pauvres (peu ou non vaccinés) montrent que ce sont les pays apôtres du tout vaccin qui souffrent des mortalités les plus fortes.

Un risque de formes graves quasi nul chez l’enfant, des pseudo vaccins incapables de prévenir les formes graves… Comment peut-on imaginer qu’un enfant pourrait espérer le moindre bénéfice personnel de cette injection ?

Les enfants porteurs du sars-cov-2 ne constituent pas des vecteurs notables de transmission

Les articles médicaux publiés dans les grandes revues, les enquêtes épidémiologiques réalisées en France et à l’étranger, la Société Française de Pédiatrie, la presse internationale et l’OMS affirment tous que les enfants sont contaminés par les adultes et ne transmettent guère le virus.

L’expérience personnelle de chacun de covid transmis autour de soi par des vaccinés et les données de l’OMS démontrent que les vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions.

Les personnes fragiles ne peuvent donc espérer aucun bénéfice de l’injection aux enfants de produits n’empêchant pas les transmissions !

Vacciner son enfant contre le covid l’expose à de multiples complications

Aucun traitement actif n’est exempt de complications, mais les risques des injections covid sont particulièrement élevés déjà à court et moyen terme et le futur reste encore plus flou et inquiétant.2

Les myocardites

Les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque.

Mais depuis les vaccinations des enfants, les myocardites réapparaissent, ainsi que l’ont signalé les médecins israéliens dès octobre 20213.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés après vaccin covid dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans : 32 fois plus de myocardites qu’escompté chez les garçons de 12-17 ans, 27 fois plus chez les 18-24 ans4. Ces cas s’observent principalement chez les hommes et se développent peu de temps après l’administration de la 2e dose5.

L’étude du ministère de la Santé d’Israël, pays avec l’un des taux de vaccination les plus élevés au monde, évalue le risque de myocardite après avoir reçu la 2e dose de vaccin entre 1 sur 3 000 et 1 sur 6 000 chez les hommes de 16 ans à 24 ans et 1 sur 120 000 chez les hommes de moins de 30 ans.

Une étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.

Le CDC estime le risque d’accidents cardiaques nécessitant une hospitalisation à 62 par million d’injections chez les garçons de 12 à 15 ans et à 94 cas/million chez les 15-17 ans.

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même.

La myocardite aiguë est l’une des causes de mort subite à l’effort chez les sportifs et les médecins et cardiologues recommandent de ne pas effectuer d’efforts physiques intenses dans la semaine qui suit la vaccination. Comme les myocardites sont aggravées par l’effort, elles sont fortement soupçonnées d’être responsables de nombreuses pertes de connaissance et de morts brutales des sportifs.

L’agence de presse allemande a dressé une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés. F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a souffert d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer.

Non, avant les injections covid les crises cardiaques qui tombent du ciel n’étaient pas habituelles chez les jeunes qui jouaient au foot dans la cour. Nous avons tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus ou ayant perdu tout bon sens depuis la coronafolie. Si vous avez des vaccinés autour de vous, surveillez leur cœur en particulier par des dosages sanguins de D-dimères et CPK MB et des consultations cardiologiques.

D’autres complications moins dramatiques affectent les performances des sportifs en affectant particulièrement le métabolisme anaérobie particulièrement utile lors des épreuves de haut niveau. Les Belges ont été les premiers à remarquer une baisse de 10 à 20 % des performances de leurs footballeurs6 7 particulièrement dans les dernières minutes du match, souvent les plus cruciales pour le résultat final. Depuis, de nombreux athlètes ont dû déclarer forfait à des compétitions pour lesquelles ils s’étaient préparés, ou interrompre leur saison sportive (Jérémy Chardy, Antoine Méchin ou Christophe Lemaitre…). On peut même se demander si les performances exceptionnelles actuelles de Djokovic ne seraient pas en partie facilitées par le fait qu’il a opiniâtrement refusé cette vaccination Covid que ses concurrents ont été contraints d’accepter pour pouvoir continuer à jouer durant la crise covid.

Des troubles neurologiques post vaccinaux divers ont été recensés par l’OMS. Au 29 juin 2021, 1,256 « polyneuropathies aigues » ont été signalés (422 États-Unis, 387 UK, 328 Europe [40 France) et 119 ailleurs). Les paralysies faciales8 et syndromes de Guillain Barré post vaccinaux initialement observés en Inde et en Angleterre9 10 et en Australie 11 marqués par des paralysies d’étendue et de gravité variable pouvant entraîner la mort.

Selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin Janssen de Johnson & Johnson serait lié à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain Barré12. Il s’agit d’un effet secondaire rare, mais possible observé chez 100 personnes sur près de 12,5 millions de doses administrées du vaccin Johnson & Johnson. Sur les 100 cas, 95 étaient graves nécessitant une hospitalisation d’urgence.

Cette complication a été également reconnue par l’agence européenne du médicament dont Le Comité d’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’EMA a conclu « qu’une relation causale entre Vaxzevria et le syndrome de Guillain-Barré est considérée au moins comme une possibilité raisonnable »13. Ajoutant : « Le syndrome de Guillain-Barré devrait donc être ajouté aux informations sur le produit en tant qu’effet secondaire de Vaxzevria ».

Au Pérou, dont plus de 85 % de la population est vaccinée, l’explosion récente des cas de Guillain Barré a même fait déclarer l’état d’urgence sanitaire !

Risques de myocardite, de paralysie, et toute autre complication neurologique cognitive, thrombocytopénie, hémorragie cérébrale, etc.. Nous avons récemment insisté sur l’épidémie de turbocancers14 qui n’épargnent pas les enfants. Chez ces derniers on verra surtout des leucémies et lymphomes et surtout des tumeurs cérébrales d’évolution rapide et résistantes à tout traitement. Pourra-t-on longtemps à parler de coïncidence ?

Quel parent censé pourrait faire courir de tels risques à son enfant pour un vaccin qui ne peut lui apporter aucun bénéfice personnel, ni protéger les personnes fragiles qu’il côtoie ? Juste par obéissance ou déni ?

Les preuves de la dangerosité et de l’inefficacité s’accumulent15, mais nos ministres successifs dans le déni continuent de recommander le poison au prix d’énormes mensonges et de dégâts dans la population. Ne réalisent-ils même pas qu’ils se mettent eux-mêmes en danger au moins juridique (car ne sont pas forcément réellement injectés16) comme le ministre italien sous le coup d’une enquête judiciaire ?17

NE VACCINEZ PAS VOS ENFANTS, ils vous en seront reconnaissants.





VAXINS : les Japonais indemnisent ; les Anglais tombent comme des mouches ; en France, le ministre ne sait même pas lire les notices Pfizer

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

En France les journalistes et les politiques bloquent toujours la porte de l’escalier et la Vérité ne peut monter. On a même vu le ministre mentir, incapable, comme les juges de la Cour de Justice de la République de lire les notices Pfizer.

Au Japon la presse parle et en Angleterre c’est la panique.

Enfin, la plus grande chaîne d’information nationale du Japon, NHK, vient de mentionner les décès dus au vaccin COVID ! Concernant une femme d’une cinquantaine d’années dans la préfecture, décédée le lendemain de la réception du nouveau vaccin contre le coronavirus, elle a reçu 44 millions de yens (environ 300 000 USD). À l’échelle nationale, plus de 2 000 demandes de décès par vaccin sont toujours en cours.

Hier, la télévision japonaise CBC a diffusé un reportage complet sur les victimes de familles décédées après les vaccinations contre le covid ! Voici un reportage sur « une mère de 4 bébés dont le mari est décédé trois jours après la vaccination.

Semaine 43 — Angleterre et Pays de Galles — Décès excessifs.
Les décès de moins de 45 ans sont les plus élevés jamais enregistrés.
57 936 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES EN 2023 DÉJÀ.
301 395 DÉCÈS EXCÉDENTAIRES CUMULÉS.

Problème, la surmortalité ne concerne pas les non-vaccinés… tendance à la baisse pour eux.

@PanDanTag

Royaume Uni Comparaison de la mortalité chez les 18-39 ans selon les statistiques officielles de l’ONS (Office for National Statistics) Non vaccinés vs “vaccinés” 4 doses Les “vaccinés” meurent 2,5 X plus




Le bioterrorisme, ça n’existe pas (jusqu’à preuve du contraire)

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves Rasir

Dans son infolettre du 15 novembre, mon amie, compatriote, collaboratrice et excellente consœur Senta Depuydt a publié une interview détonante du Dr Heiko Schöning. Ce vaillant médecin allemand s’est illustré en 2020 en dénonçant d’emblée une mascarade préméditée et en co-fondant la World Doctors Alliance, coalition d’opposants médicaux et scientifiques aux délires covidistes. C’est ce collectif qui a notamment fait venir Robert Kennedy Jr à Berlin, où le futur candidat-président américain a prononcé un discours mémorable devant une véritable marée humaine. Ce que beaucoup ignorent, c’est que Heiko Schöning avait anticipé dès 2018 ce qui allait se passer deux ans plus tard. Dans une interview télévisée, l’ancien médecin militaire prévoyait qu’une fausse urgence sanitaire allait bientôt servir de prétexte à des mesures totalitaires et que cette pseudo-pandémie imminente serait mise à profit pour tendre un traquenard vaccinal à la planète entière. Dans un livre non traduit en français, il avance que cette machination remonte à 2001 et qu’elle associe la CIA, le département US de la Défense et une brochette de firmes pharmaceutiques généreusement financées par le gouvernement américain. Fin 2023, voilà le fin limier de retour avec un deuxième ouvrage d’investigation intitulé en allemand « Angriff aufs mikrobiom » (« Attaque sur le microbiome »). Selon ce nouvel opus, les mêmes acteurs étasuniens fomenteraient cette fois une grande alerte de nature bactérienne et se présenteraient en sauveurs du monde en fournissant les seuls antibiotiques aptes à enrayer le fléau. Le but étant à nouveau de faire avancer l’agenda globaliste de contrôle social, de concentrer le pouvoir dans quelques mains et d’administrer à l’ensemble de la population mondiale un faux remède pire que le mal, ciblant cette fois la flore intestinale. Scénario noir et prémonitoire ? Vu son pédigrée, je ne doute pas de la sincérité et de la perspicacité d’Heiko Schöning. Ce qu’il ose prédire pourrait fort bien advenir prochainement. La « crise Covid » a montré que la stratégie du choc et la manipulation des foules par la peur fonctionnaient à merveille. En revanche, son raisonnement prédictif me semble fondé sur une faille de taille, celle de croire au risque bioterroriste et à la réalité d’une menace bactériologique.

La vie n’est pas une arme

Contrairement à la majeure partie de la résistance, Néosanté n’a jamais adhéré à la thèse du coronavirus trafiqué en laboratoire, doté de « gains de fonction » pour en étudier la virulence et accidentellement relâché dans la nature. Nous croyons encore moins que la présumée particule virale ait pu être manipulée à des fins militaires et diffusée intentionnellement en tant qu’arme de guerre. Nous avons exprimé ce « laboscepticisme » à travers plusieurs infolettres, notamment celle-ci et celle-là. Et nous avons plus d’une fois renvoyé aux vidéos du Dr Sam Bailey, souriante pourfendeuse de ce qu’elle appelle malicieusement un conte de fées. Comme le potentiel pathogène d’aucun virus n’a jamais été démontré scientifiquement, on ne voit pas très bien comment des chercheurs, fussent-ils imprudents ou mal intentionnés, auraient pu conférer une quelconque toxicité au virus couronné. Il est d’ailleurs formellement établi que c’est la psychose qui a occasionné de la surmortalité, et non la prétendue virose. Les virus tueurs évadés de labos, ça n’existe qu’au cinéma et dans l’imagination de certains auteurs avides de notoriété et se faisant passer pour des spécialistes en « bioterrorisme ». Les bactéries ? Si leur existence est avérée et si leur prolifération dans un corps humain peut représenter un danger, rien ne permet d’affirmer non plus leur pathogénicité. A fortiori, il n’existe pas de preuve qu’un germe bactérien puisse être « militarisé » et employé comme arme létale. J’ai beau me documenter sur le sujet, je n’ai pas encore trouvé d’élément prouvant indubitablement qu’un micro-organisme quelconque pouvait servir à détruire des vies à grande ou même à petite échelle. On peut certes trouver des textes et quelques études traitant du bioterrorisme et de l’armement bactériologique. Mais en les lisant avec un œil critique, on sera bien en peine d’y dénicher la moindre évidence scientifique. Pour illustrer l’absence de preuve solide, je vais partir de ce « bref historique » paru dans une revue sérieuse et y pointer trois épisodes censés accréditer le grand péril infectieux.

Les suppositions de Pasteur

La fable de la vie microbienne donnant la mort remonte bien sûr au sieur Louis Pasteur. Si l’on excepte les tentatives antérieures de décimer un ennemi en lui balançant des cadavres ou des vêtements de pestiférés et la suggestion épistolaire d’exterminer les Amérindiens par la variole, c’est en effet au célèbre chimiste que revient la « géniale » idée de provoquer artificiellement une maladie épidémique. Comme le raconte l’article, Pasteur avait le projet ambitieux de débarrasser l’Australie de ses lapins prolifiques en répandant le choléra des poules. C’eût été une vaste expérience convaincante en cas de résultat concluant, mais elle ne s’est jamais concrétisée. En lieu et place, le grand fraudeur que la France vénère a été sollicité par une admiratrice viticultrice en Champagne pour protéger ses caves des terriers les surplombant. Des cadavres de lapins ont bien été retrouvés sur le sol du clos les jours suivants, l’assistant du savant a estimé que l’essai était magistralement réussi, mais on chercherait en vain la moindre rigueur méthodologique dans cette amorce de lutte biologique. Sur le même modèle, mais plus méthodiquement, l’expérience a été reproduite en 1946 dans les vignobles de l’Héraut. L’article nous dit que les lapins inoculés sont décédés — on est prié de le croire sans le moyen de vérifier — mais qu’il n’y a pas eu d’épizootie. Tu m’étonnes, Simone ! C’est toujours comme ça en réalité : les expérimentateurs parviennent à faire mourir les animaux qui passent entre leurs mains, mais échouent à leur faire transmettre la maladie. L’auteur appelle ça des « résultats inégaux », façon de camoufler l’absence totale de preuve qu’un microbe introduit dans la nature puisse y provoquer une épidémie. Depuis Pasteur et ses suppositions gratuites, on attend toujours la démonstration que l’introduction d’un « pathogène » dans l’environnement débouche sur une hécatombe animale ou humaine. Comme toute religion, la patascience pasteurienne s’appuie essentiellement sur les dogmes édictés par le fondateur.

Les vaines cruautés japonaises

Dans ce « bref historique », on nous sert aussi les fameuses et abominables expériences de l’armée japonaise dans les années 30 et 40. C’est un sombre épisode que mentionne également souvent le très pasteurien Christian Perronne pour agiter l’épouvantail des bactéries tueuses. Comme le raconte feu Henri-Hubert Mollaret, chercheur à l’Institut Pasteur de Paris, le Japon a effectivement tenté d’utiliser l’arme bactériologique durant sa guerre contre la Chine. Ne possédant pas la technologie nucléaire ni l’expertise en armement chimique, l’Empire nippon a beaucoup misé sur la microbiologie pour se doter d’une arme de destruction massive à base de bactéries. Sur les prisonniers chinois, l’armée impériale s’est livrée à d’atroces essais scientifiques à côté desquelles les expérimentations du Dr Mengele passent pour de gentilles activités philanthropiques. Durant les dernières années du conflit, l’aviation japonaise a même tenté de provoquer des épidémies de peste dans plusieurs villes chinoises en larguant des bombes bourrées de bacilles ou de puces infectées. Ce sont des faits historiques que personne ne nie. Mais qui peut affirmer que ces tentatives macabres ont été couronnées de succès ? Si vous avez le cœur bien accroché et si vous prenez la peine de lire attentivement ce dossier publié par la Fondation Auschwitz, vous constaterez par vous-mêmes que les indices de réussite de la sinistre Unité 731 sont extrêmement ténus. Outre que les aveux de ses responsables ont été obtenus lors d’un procès stalinien clairement inéquitable, il apparaît que ni les tortures « bactériennes » sur les cobayes humains ni les épandages aériens ou les empoisonnements de rivière par des agents bactériens ne semblent avoir répondu aux attentes. Lorsqu’ils ont réussi à faire mourir des individus, les chercheurs sadiques les ont également grièvement blessés ou préalablement affaiblis par des traitements inhumains, ce qui ne permet pas de conclure à la responsabilité du germe. Et quand ils ont prétendument « contaminé » des populations entières, l’hécatombe voulue n’était visiblement pas au rendez-vous. Les quelques succès revendiqués reposent sur des rumeurs ou sur les déclarations invérifiées des accusés lors de ce procès truqué au profit de la propagande soviétique. Rien de scientifiquement consistant là-dedans ! Dans son article, Mollaret mentionne d’ailleurs les accusations d’attaques biologiques lancées quelques années plus tard à l’égard de l’armée américaine engagée en Chine et en Corée. Or on sait aujourd’hui qu’il s’agissait aussi d’une opération de désinformation ourdie par l’URSS pour salir l’ennemi américain et victimiser ses alliés nord-coréens. Encore une fois, rien ne permet de dire que des microbes militarisés ont déjà permis de tuer ou rendre malade qui que ce soit.

La douteuse épidémie de Sverdlovsk

La CIA aurait-elle imité le KGB dans l’art de diaboliser l’adversaire ? Le mythe du bioterrorisme repose en tout cas sur un autre événement majeur censé convaincre de sa réalité, la ténébreuse « affaire de Sverdlovsk ». Puisque le « bref historique » n’y fait que brièvement allusion, je vous invite à lire cette page Wikipédia pour savoir de quoi il s’agit. Selon le récit officiel actuel, une fuite accidentelle du bacille du charbon se serait produite en 1979 dans un complexe militaro-industriel proche de Ekaterinbourg, l’ancien et nouveau nom de Sverdlovsk. D’après ce narratif toujours, les spores de l’anthrax se seraient répandues dans l’air et auraient fait une centaine de morts dans le voisinage de l’usine. Le conditionnel s’impose, car les autorités soviétiques ont d’abord expliqué cette mini-épidémie par la consommation de viande avariée, une version corroborée en 1986 par le Pr Matthew Meselson, enseignant-chercheur à Harvard et autorisé à venir enquêter chez les Soviets. C’est seulement en 1992 que la version américaine de l’incident a prévalu, lorsque le président russe Boris Eltsine a reconnu « la véritable nature de l’épidémie ». Véritable, vraiment ? Souvenons-nous qu’à cette époque, les États-Unis orchestrent secrètement l’effondrement de l’ex-URSS et que le président russe, ivrogne notoire et dirigeant calamiteux, ne fait rien pour freiner ce dessein. Ce qui est interprété comme un signe de transparence de la Russie pourrait au contraire être une opération d’enfumage made in USA. N’est-il pas curieux que le Pr Meselson ait mangé son chapeau et retourné sa veste à la suite de la « mission d’investigation » occidentale ? Est-il anodin que cette équipée scientifique ait été diligentée par l’Oncle Sam et non par un organisme international impartial ? Et est-il surprenant que la thèse du nuage contaminé l’ait emporté sur la thèse de l’intoxication alimentaire sur base de tests PCR, comme nous le révèle cet article ? Avec cette technique génomique — le Corona Circus nous l’a assez montré — on peut trouver la trace de n’importe quelle molécule chez n’importe qui, il suffit de régler les machines pour qu’il en soit ainsi. Pour ma part, je demeure donc très sceptique sur cette ténébreuse affaire de Sverdlovsk et sur le rôle causal attribué à Bacillus Anthracis. S’il est certain qu’on a cherché des deux côtés du rideau de fer à se doter de l’arme bactériologique, les preuves de sa mise au point effective sont pour le moins légères. À propos de l’anthrax, ce sont évidemment les « attaques » de 2001 aux USA qui ont relancé la hantise du risque bioterroriste. Les quelques enveloppes piégées ont suffi à ranimer le spectre d’un fléau bactérien dévastateur. Et c’est précisément sur cet événement troublant que Heiko Schöning s’appuie pour prophétiser une nouvelle plandémie avec comme actrice principale une bactérie dangereuse. J’y reviendrai dans un prochain billet, car je ne vois pas du tout en quoi cet épisode risible confirmerait la théorie du germe pathogène. Jusqu’à preuve sérieuse du contraire, l’arme biologique n’existe pas et n’est pas près d’exister.

Yves Rasir

Note de TAL : J’abonde dans le sens d’Yves RASIR ! La preuve que les microorganismes (virus ou bactéries) sont la cause des maladies n’a jamais pu être apportée malgré d’innombrables tentatives d’infecter des gens avec des produits absorbés ou injectés. Tout ce qu’on raconte sur la contagion est FAUX, ARCHI-FAUX ! Ainsi dans un livre publié en 1910 un médecin a étudié la peste qui est, selon la croyance dominante, causée par une bactérie…Il a pu démontrer que ce  sont les conditions de vie déplorables qui permettent à la peste de survenir, pas le bacille qui n’est que la conséquence ! La maladie est toujours un effort du corps pour se dépolluer et se guérir et les micro-organismes sont des AIDES, des ALLIES ! Le château de cartes de la virologie officielle s’effondre, comme le montre avec précision le livre VIRUS MANIA

qui est un vrai chef d’œuvre de science avec conscience !

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Faut-il encore croire aux viru$, à la contagion et aux pand€mi€s ?
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective]




Un projet de loi du gouvernement veut criminaliser les donneurs d’alerte en médecine

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.


Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée





Comment le colonialisme britannique a tué 100 millions d’Indiens en 40 ans

[Source : les-crises.fr]

Par Dylan Sullivan, Adjunct Fellow à l’école des sciences sociales, Macquarie University
et Jason Hickel, Professeur à l’Institut des sciences et technologies de l’environnement (ICTA-UAB) et membre de la Société royale des arts.

Entre 1880 et 1920, les politiques coloniales britanniques en Inde ont fait plus de victimes que toutes les famines de l’Union soviétique, de la Chine maoïste et de la Corée du Nord réunies.

Nos recherches montrent que les politiques d’exploitation de la Grande-Bretagne ont été associées à environ 100 millions de décès excédentaires au cours de la période 1881-1920, écrivent Sullivan et Hickel [British Raj (1904-1906)/Wikimedia Commons].

Ces dernières années ont été marquées par une résurgence de la nostalgie de l’Empire britannique. Des ouvrages très médiatisés, tels que Empire : How Britain Made the Modern World de Niall Ferguson et The Last Imperialist de Bruce Gilley, affirment que le colonialisme britannique a apporté prospérité et développement à l’Inde et à d’autres colonies. Il y a deux ans, un sondage YouGov a révélé que 32 % des Britanniques étaient fiers de l’histoire coloniale de leur pays.

Cette image idyllique du colonialisme est en contradiction flagrante avec les données historiques. Selon les recherches de l’historien économique Robert C. Allen, l’extrême pauvreté en Inde a augmenté sous la domination britannique, passant de 23 % en 1810 à plus de 50 % au milieu du XXe siècle. Les salaires réels ont baissé pendant la période coloniale britannique, atteignant leur niveau le plus bas au XIXe siècle, tandis que les famines devenaient plus fréquentes et plus meurtrières. Loin d’avoir profité au peuple indien, le colonialisme a été une tragédie humaine qui n’a guère d’équivalent dans l’histoire.

Les experts s’accordent à dire que la période allant de 1880 à 1920 — l’apogée de la puissance impériale britannique — a été particulièrement dévastatrice pour l’Inde. Les recensements exhaustifs de la population effectués par le régime colonial à partir des années 1880 révèlent que le taux de mortalité a considérablement augmenté au cours de cette période, passant de 37,2 décès pour 1 000 habitants dans les années 1880 à 44,2 dans les années 1910. L’espérance de vie est passée de 26,7 ans à 21,9 ans.

Dans un récent article publié dans la revue World Development, nous avons utilisé des données de recensement pour estimer le nombre de personnes tuées par les politiques impériales britanniques au cours de ces quatre décennies brutales. Il n’existe de données solides sur les taux de mortalité en Inde qu’à partir des années 1880. Si nous les utilisons comme base de référence pour la mortalité normale, nous constatons qu’environ 50 millions de décès excédentaires se sont produits sous l’égide du colonialisme britannique au cours de la période allant de 1891 à 1920.

Cinquante millions de morts, c’est un chiffre stupéfiant, et pourtant il s’agit d’une estimation prudente. Les données sur les salaires réels indiquent qu’en 1880, le niveau de vie dans l’Inde coloniale avait déjà considérablement baissé par rapport à ce qu’il était auparavant. Allen et d’autres chercheurs affirment qu’avant le colonialisme, le niveau de vie en Inde était peut-être « équivalent à celui des régions en développement de l’Europe occidentale ». Nous ne connaissons pas avec certitude le taux de mortalité de l’Inde avant la colonisation, mais si nous supposons qu’il était similaire à celui de l’Angleterre aux XVIe et XVIIe siècles (27,18 décès pour 1 000 habitants), nous constatons que l’Inde a connu une surmortalité de 165 millions de personnes au cours de la période allant de 1881 à 1920.

Bien que le nombre précis de décès soit sensible aux hypothèses que nous faisons sur la mortalité de base, il est clair qu’environ 100 millions de personnes sont mortes prématurément à l’apogée du colonialisme britannique. Il s’agit de l’une des plus importantes crises de mortalité d’origine politique de l’histoire de l’humanité. Elle est plus importante que le nombre combiné de décès survenus pendant toutes les famines en Union soviétique, en Chine maoïste, en Corée du Nord, au Cambodge de Pol Pot et en Éthiopie de Mengistu.

Comment la domination britannique a-t-elle pu provoquer ces pertes humaines considérables ? Il y a eu plusieurs mécanismes. Tout d’abord, la Grande-Bretagne a effectivement détruit le secteur manufacturier de l’Inde. Avant la colonisation, l’Inde était l’un des plus grands producteurs industriels du monde, exportant des textiles de haute qualité aux quatre coins de la planète. Les étoffes de pacotille produites en Angleterre ne pouvaient tout simplement pas rivaliser. Cette situation a toutefois commencé à changer lorsque la Compagnie britannique des Indes orientales a pris le contrôle du Bengale en 1757.

Selon l’historien Madhusree Mukerjee, le régime colonial a pratiquement éliminé les droits de douane indiens, permettant aux produits britanniques d’inonder le marché intérieur, mais a créé un système de taxes exorbitantes et de droits internes qui empêchaient les Indiens de vendre du tissu dans leur propre pays, et encore moins de l’exporter.

Ce régime commercial inégal a écrasé les fabricants indiens et a effectivement désindustrialisé le pays. Comme le président de l’East India and China Association s’en est vanté devant le parlement anglais en 1840 : « Cette société a réussi à convertir l’Inde d’un pays manufacturier en un pays exportateur de produits bruts. » Les industriels anglais ont bénéficié d’un avantage considérable, tandis que l’Inde a été réduite à la pauvreté et que sa population a été exposée à la faim et à la maladie.

Pour aggraver la situation, les colonisateurs britanniques ont mis en place un système de pillage légal, connu des contemporains sous le nom de « drainage des richesses ». La Grande-Bretagne taxait la population indienne et utilisait ensuite les revenus pour acheter des produits indiens — indigo, céréales, coton et opium — obtenant ainsi ces biens gratuitement. Ces produits étaient ensuite consommés en Grande-Bretagne ou réexportés à l’étranger, les recettes étant empochées par l’État britannique et utilisées pour financer le développement industriel de la Grande-Bretagne et de ses colonies de peuplement : les États-Unis, le Canada et l’Australie.

Ce système a privé l’Inde de biens d’une valeur de plusieurs milliers de milliards de dollars en monnaie d’aujourd’hui. Les Britanniques ont été impitoyables en imposant cette ponction, obligeant l’Inde à exporter des denrées alimentaires même lorsque la sécheresse ou les inondations menaçaient la sécurité alimentaire locale. Les historiens ont établi que des dizaines de millions d’Indiens sont morts de faim au cours de plusieurs famines considérables provoquées par la politique britannique à la fin du XIXe siècle, alors que leurs ressources étaient siphonnées vers la Grande-Bretagne et ses colonies de peuplement.

Les administrateurs coloniaux étaient pleinement conscients des conséquences de leurs politiques. Ils ont vu des millions de personnes mourir de faim et n’ont pourtant pas changé de cap. Ils ont continué à priver sciemment les populations des ressources nécessaires à leur survie. L’extraordinaire crise de mortalité de la fin de la période victorienne n’est pas le fruit du hasard. L’historien Mike Davis affirme que les politiques impériales de la Grande-Bretagne « étaient souvent les équivalents moraux exacts de bombes larguées à 18 000 pieds d’altitude. »

Nos recherches montrent que les politiques d’exploitation de la Grande-Bretagne ont été associées à une surmortalité d’environ 100 millions de personnes au cours de la période 1881-1920. Il s’agit d’un cas simple de réparation, avec un précédent solide dans le droit international. Après la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne a signé des accords de réparation pour indemniser les victimes de l’Holocauste et, plus récemment, elle a accepté de payer des réparations à la Namibie pour les crimes coloniaux perpétrés dans ce pays au début des années 1900. Dans le sillage de l’apartheid, l’Afrique du Sud a versé des réparations aux personnes qui avaient été terrorisées par le gouvernement de la minorité blanche.

L’histoire ne peut être changée et les crimes de l’Empire britannique ne peuvent être effacés. Mais les réparations peuvent contribuer à remédier à l’héritage de privation et d’inégalité que le colonialisme a produit. Il s’agit d’une étape essentielle vers la justice et la guérison.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement la position éditoriale d’Al Jazeera.

Dylan Sullivan

Chercheur associé à l’École des sciences sociales de l’Université Macquarie

Jason Hickel

Professeur à l’Institut des sciences et technologies de l’environnement (ICTA-UAB) et membre de la Royal Society of Arts

Jason Hickel est professeur à l’Institut des sciences et technologies de l’environnement (ICTA-UAB), chercheur invité à la London School of Economics et membre de la Royal Society of Arts. Il est l’auteur de The Divide et Less is More.

Source : Ajazeera, Dylan Sullivan, 02-12-2022

Traduit par les lecteurs du site Les-Crises




Prochaine injonction injectable en octobre 2023 : affaiblir encore plus une population mise en obsolescence programmée

Par Lucien SA Oulahbib

Vincent Pavan du CSI indique dans son n° 115 consacré à la fausse appellation « vaccin » — alors qu’il s’agit d’une injection génique expérimentale, que des « journalistes » d’un journal de Province ont empêché que sa conférence de presse puisse se tenir, en faisant agressivement pression, avec les accusations calomnieuses (habituelles…) sur la mairie ayant octroyé des locaux pour ce faire. Ceci est gravissime, non seulement tyranniquement parlant, mais bien pis encore : totalitairement parlant ou l’extrémisme même fusionnant terreur rouge et brune.

Ces « journalistes » censeurs devraient être, en fait comme en droit, non seulement exclus au plus vite (toute affaire cessante) de leur (désormais vile) profession, mais aussi poursuivis pénalement, et ce également au plus vite pour complicité criminelle afin d’être lourdement condamnés (on peut certes toujours rêver, car il faudrait au préalable réformer en profondeur le système judiciaire). Ceci impliquerait alors de les placer dans le box des accusés aux côtés de tous ces décideurs qui ont violé, sciemment ou par avidité affairiste, les droits fondamentaux garantis constitutionnellement (et renforcés avec le Code de Nuremberg) et ont imposé depuis deux ans maintenant la quasi-injonction injectable pour population générale (alors que seule une minorité de gens fragiles auraient pu être concernés du moins s’il n’y avait pas eu de médicament alternatif ce qui est faux puisqu’il y en avait bien plus d’un…), sans oublier l’obligation concoctée pour les professionnels de santé et de la protection civile, alors que ceux-ci vu leur jeune âge en plus n’étaient pas concernés…

Sans oublier enfin l’excès de mortalité relaté aujourd’hui par rapport à 2020 (et même reconnu par… l’INSEE) soit au plus fort de la vraie-fausse « crise sanitaire » (qui n’aura mobilisé que « 2 % » des hospitalisations, et 8 à 11 % dans les services dédiés, — chiffres évidemment « contestés » par les médias aux ordres —, puisque les malades n’étaient pas soignés en amont…).

Tout ceci est donc bel et bien criminel, surtout lorsque l’on sait maintenant que cette injection s’avère bien plus toxique que salutaire, malgré les démentis d’agence sanitaire aux ordres, comme le démontre magistralement (et entre autres) Michel Cucchi dans ce dernier numéro du CSI.

Aussi convient-il, à l’approche du mois d’octobre et de la montée artificielle des « cas » (mais non des hospitalisés) concernant surtout des injectés (alors qu’ils devraient en être « protégés », et peu importe s’il s’avère qu’ils sont par définition majoritaires dans la population du fait de l’injection de masse opérée) de rester vigilant, car cela affaiblit les fonctions immunitaires. Il faut en effet dénoncer vertement qu’il ne sert à rien de s’injecter quelques excitants d’anticorps de première ligne faisant d’ailleurs plutôt office de sonnette d’alarme (comme il est indiqué dans ce numéro du CSI) qui s’estompe au bout de trois mois (preuve s’il en est que ce n’est pas un « vaccin ») à la différence d’une réelle immunisation de longue durée…

Ces produits fabriqués à la chaîne étaient déjà connus comme toxiques et auraient dû être retirés du marché puisqu’ils ne protègent même pas des formes « graves » (autrement il n’y aurait pas un excès de mortalité en… 2023) que l’on aurait pu d’ailleurs empêcher en soignant précocement comme l’indiquaient déjà il y a trois ans maintenant (!) Perronne et Raoult…) à l’instar du Médiator, ce qu’indiquaient déjà ces plaintes australiennes il y a… deux ans maintenant…

Au fond, la Secte (SHAA) au pouvoir savait (d’où le retrait, brutal, de l’hydroxychloroquine en vente sans ordonnance avant janvier… 2020 et la mise à l’index de l’ivermectine malgré des expérimentations encourageantes…), forçant les populations (en particulier les plus fragiles) à ne pas être soignées puis à être injectées avec une substance qui s’avère être affaiblissante au fur et à mesure des années qui passent. Cette politique sanitaire s’ajoute à celles visant à affaiblir tous azimuts les populations mises à la découpe désormais en les forçant à disparaître dans leur forme politique nationale, détruisant les membranes de protection une par une afin de les rendre perméables et interchangeables, tout en disant le contraire, quitte même à empêcher que cela se sache à l’instar des sifflets à l’encontre du commis mis à la tête de ladite « République » française, sifflets tout à fait légitimes lorsque le préposé ne remplit précisément pas les fonctions dédiées comme la sécurité, la prospérité, la protection des droits fondamentaux…




Pour un lendemain sans libertés volées

[Source : editions-tredaniel.com]

QUE SERAIENT UNE OPINION, UNE SCIENCE, UN SAVOIR, UNE CONSCIENCE, SANS LE QUESTIONNEMENT, LA REMISE EN CAUSE ET LE DOUTE ? AINSI QUE L’ÉCRIVAIT ALDOUS HUXLEY :

« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Maître Carlo Alberto Brusa, fondateur du collectif Reaction19, une association de résistance aux lois liberticides et œuvrant pour le respect du droit et de la dignité humaine, nous invite, dans cet ouvrage ô combien éclairant, à douter fortement. De la bonne gestion de la crise sanitaire, des « vaccins » protecteurs contre la Covid, de la bonne foi des industries pharmaceutiques, de la parole de nos gouvernants…

Carlo Alberto Brusa est un homme de cœur, profondément. Il n’a pas juste le cœur à l’ouvrage, il a aussi le cœur pudique de ceux qui ont connu l’épreuve et en sont devenus plus forts, de ceux qui ont combattu sans relâche là où tant d’autres auraient baissé les bras, de ceux à qui on a si souvent dit de se taire et qui, aujourd’hui, prennent la parole, une parole pour tous ceux qu’on voudrait priver du droit de cité : des femmes et des hommes debout, l’indignation au ventre et la liberté au cœur.

Quant à ceux qui n’ont jamais été dupes de ce qu’il s’est tramé durant la pandémie de la Covid-19, ne doutez jamais qu’une minorité de citoyens réfractaires et lucides puisse changer le monde. En vérité, il en a toujours été ainsi.

Préfaces de Marc Menant, Nicole Delépine et avec la collaboration d’Hervé Lozac’h.
Avant-propos du Dr Martine Wonner.

Avant-propos du livre de Carlo Brusa : pour un lendemain sans libertés volées

Par Nicole Delépine

Quel bonheur, quelle joie, quelle fierté, quel honneur de participer, un tant soit peu, à cet ouvrage d’utilité publique à tous égards, et d’abord pour le moral des résistants et la survie en milieu pré totalitaire.

Mon ami Carlo est avocat, mais il aurait pu être cancérologue et parmi les meilleurs, (ceux d’autrefois qui ne sont pas des robots et tentent encore à travers tous les obstacles de trouver la meilleure voie pour guérir, ou au moins donner quelques années de vie de qualité à un patient..) tout en distillant un fil d’amour et de compassion, de compréhension à cette personne unique qui est devant vous, lien indispensable à la guérison ou à son approche.

Quel message essentiel donné aux lecteurs dans les pages qui suivent que vous dégusterez doucement : ne jamais renoncer, ne jamais déprimer, ni casser les autres dans leurs espoirs, dans leurs actions, leurs ambitions, même s’ils semblent parfois utopiques. Aucun combat n’est perdu d’avance tant qu’on le livre, comme nous le disions dès notre premier livre « Neuf petits lits au fond du couloir » en l’an 20001.

« Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sontCeux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front,Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime,Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime,Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour. » 2….

Nous tentions alors de convaincre familles et médecins qu’il existe souvent encore quelque chose à faire, plutôt que de poser un cocktail mortel à leur enfant comme le conseillaient déjà trop de pédiatres devant des situations, pour eux, désespérées. Qui sommes-nous pour juger, pour asséner des probabilités de tant de mois de vie, alors que pour bon nombre d’enfants recueillis à Herold puis Robert Debré, et jusqu’à Garches, ce fut finalement et heureusement très différent.

Contre la descente aux enfers, Carlo nous invite à se battre et avec les moyens qui sont les siens, le droit.

« Le seul rappel, ici, sera celui du droit, l’esprit du droit, fondamental et inaliénable, dire haut et fort comment il a été – et sera toujours – à la portée de chacun, l’arme la plus sûre et ultimement pacifique pour soutenir, au jour le jour, chacun de nos combats contre le totalitarisme ».

« Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre. »3

Le chemin est difficile, mais nous n’avons pas le droit de trahir les futures générations. Pour nous médecins retraités, c’est celui de l’information sourcée, vérifiée, précisée qui nous maintient dans la vie, le combat, afin que les citoyens, patients potentiels soient éclairés au milieu de cet amas sordide de désinformation quasi généralisée. Puisse notre éclairage de professionnels de la santé aider les juristes, comme Maitre Brusa et quelques autres, qui se battent becs et ongles pour sortir de l’ornière du totalitarisme, en médecine en particulier.

Une société mortifère, perverse et sadique

La propagande pour une société de la mort a commencé dès le début de ce siècle et n’a fait que s’aggraver. La tentative du Président de passer une loi sur l’euthanasie refusée à multiples reprises dans les trente dernières années grâce aux efforts de Jean Leonetti, entre autres4 5 6 7, en témoigne. De quel droit imposer cette nouvelle « religion » mortifère par une loi ? Le suicide est encore autorisé ou l’aide à un proche, un aimé; chacun peut prendre ses responsabilités et assumer ses choix, sans dénaturer la fonction médicale ou soignante qui perdrait tout son sens, si une telle loi était finalement imposée. Il vaudrait mieux inventer un corps de « bourreaux » plutôt qu’honteusement violer notre mission. Quel regard le patient peut-il porter sur son médecin s’il sait que celui-ci a le droit de le tuer ?

Cette société du désespoir, de la mort, de l’indifférence entre générations n’est pas celle de Carlo, de Tmpx, de Riccardo, ni de tous les bénévoles qu’ils réunissent autour d’eux. Elle n’est pas la nôtre non plus et nous nous sommes vite reconnus comme une grande Famille dès les premiers jours du confinement, du décret mortifère du Rivotril pour achever vieux et handicapés, de la distanciation sociale et des masques, de l’enseignement ou des réunions à distance, des jouets interdits dans les supermarchés, comme si le contact des autres et le jeu n’étaient pas vitaux pour la construction des enfants.

Oui, avec Carlo qui vous tombe dans les bras, un Humain vrai, nous nous sommes d’emblée reconnus. Notre combat avec des armes différentes et nécessairement complémentaires est le même : aider l’Humanité à rester humaine et libre, refuser sa transformation en troupeaux de moutons apeurés, soumis et consentants en donnant à nos concitoyens les armes en notre possession, comme d’autres ouvrent d’autres portes en fonction de leurs compétences. Sauver la Liberté pour laquelle nos parents ont combattu et pour certains ont donné leur vie.

Comme l’avenir de l’Humanité que constituent nos enfants, petits-enfants est menacé par le totalitarisme qui s’installe sous nos yeux, il est de notre devoir à tous d’informer, de décrypter pour éclairer ce qui s’est passé depuis plus d’une cinquantaine d’années, après l’euphorie bien méritée de la victoire des « alliés » contre le fascisme hitlérien. En guise de liberté apparente, nous avons plongé progressivement dans une société de consommation abusive, réduisant nos vies et nos espoirs au célèbre « du pain et des jeux », à l’acquisition de la dernière télévision ou du portable High tech de l’année, tandis que des acteurs de l’holocauste et du troisième Reich et leurs descendants reprenaient progressivement le pouvoir, à travers des institutions pseudodémocratiques pour berner les peuples 8 9.

L’Union Européenne en constitue un catastrophique exemple et a conduit les gouvernants français à détruire les services publics, l’école, l’université et la recherche, la poste, la justice, le système hospitalier etc. Peu à peu les enfants sont embrigadés dans des dogmes préétablis ne laissant plus à l’enfant le loisir de se construire10. Ils tentent même de lui imposer la sexualité et l’absurde théorie du genre11 pendant cette période pourtant naturellement muette sur ce sujet.

Ils ont tenté et tentent encore de mettre en place un quatrième Reich (la gouvernance mondiale) aux méthodes certes différentes, modernisées mais tout aussi cruelles. Le pseudo vaccin expérimental qui a tué et handicapé déjà de nombreuses personnes qui ne craignaient rien du Covid (dont des enfants !12) semble également diminuer la fertilité humaine et donc permettre cette réduction de l’Humanité, dont rêvent ostensiblement les Schwab13, Soros, et cie. Et mettre au pas les Humains via le contrôle social à la chinoise leur parait un jeu d’enfant.

Mais ils se trompent, car toutes les dictatures tombent un jour ou l’autre.. Question de temps et donc malheureusement de nombre de victimes ..

L’épisode Covid19 fut la cerise sur le gâteau que ceux qui, comme Carlo, avaient vécu des épisodes douloureux à une période de leur vie, reconnurent vite comme l’installation insidieuse de la dictature. Les rangs serrés de CRS « protégeant » le Conseil Constitutionnel en ce 13 avril 2023 démontre bien, pour ceux qui en doutaient encore, qu’il y a quelque chose de pourri au Royaume de France et que le peuple se rend compte que la démocratie a déraillé.

Ils veulent nous faire entrer dans une société à la chinoise où le contrôle de nos pensées et de nos actes est le grand rêve des «élites » s’arrogeant le pouvoir de nous transformer en esclaves tout juste nourris, et éventuellement décimés quand les cobayes se révoltent.

Allons-nous les laisser faire ?

« Qu’avons-nous fait de notre lucidité, de notre discernement, de notre liberté de penser ? »

Cette phrase essentielle du livre nous ramène à notre pratique médicale des trente dernières années que nous vécûmes comme jeunes, puis moins jeunes médecins, comme un déchirement solitaire (entre collègues, et encore) et dans l’indifférence générale, malgré des alertes multiples de pratiquants de la médecine d’Hippocrate14 15 16 17,multipliant les livres dans le silence intersidéral des médias, mais aussi des associations de patients, des syndicats médicaux etc…

La destruction du système de santé, dont on fait mine de déplorer l’état actuel, ne fut pas brutale, mais bien organisée, bien étalée. Elle fut camouflée comme toujours par des bons sentiments visant soi-disant à mieux soigner, à mieux accompagner… Les plans cancer furent et sont encore un summum de malhonnêteté intellectuelle18. Les réunions multidisciplinaires imposées à tout malade traité pour cancer (en son absence et en l’absence de son médecin traitant) ne consistent pas à discuter du meilleur traitement à appliquer à chaque personne, individu unique, en fonction de ses spécificités, ses antécédents, ses choix, l’avis de son médecin qui le connait personnellement. Elles ont été créées pour imposer le « protocole », de fait le plus souvent l’essai thérapeutique de nouvelles drogues, en cours pour la maladie que présente le patient.

Et aucun médecin, ni aucun service ne peuvent y déroger sans voir à terme son autorisation d’exercice de la cancérologie refusée par l’autorité administrative inventée ces deux dernières décennies : les ARH créées en 1996 par Alain Juppé (un des soi-disant sages du conseil constitutionnel qui ne parvint pas à imposer sa réforme des retraites en 1995), agences régionales d’hospitalisation contrôlant l’hospitalisation publique, remplacées en 2008 sous Sarkozy par les fameuses ARS, agences régionales de santé couvrant public, privé, ville, hôpital et bras armés du ministère de la santé, organisations purement bureaucratiques et autoritaires, dont la suppression serait un premier pas majeur pour espérer reconstruire un système de santé au bénéfice du malade.

Dès le virage Thatcher en 1984 fut modifié le statut des médecins des Hôpitaux qui devinrent « PH » c’est-à-dire praticien hospitalier, titre non spécifique dédié à des « docteurs » au sens d’autrefois, le médecin qui vous examine, vous touche, vous console, mais aussi aux pharmaciens, ingénieurs ou autres. Bref une catégorie bureaucratique qui augurait bien de ce qui allait advenir avec la mise aux ordres des chefs de service, bientôt eux-mêmes sous la coupe des directeurs non-médecins issus de l’ENA ou de la sous ENA l’école de Rennes qui firent entrer les tableaux Excel et l’argent à tous niveaux dans les hôpitaux. Le malade devint un « traceur », et le nombre de couches, de compresses utilisées plus important que le confort de celui qui deviendra de plus en plus un « patient » voire une « charge » ..

Et progressivement le « droit » inaliénable de prescrire le meilleur traitement en fonction des données acquises de la science, comme le prescrivait l’arrêt Mercier de 1936, disparut, victime du droit flou (?) 19 qui s’immisça en médecine depuis les années 80. Les cancérologues, premières « victimes » (consentantes ?), avec les patients, se turent pour la plupart, laissant nos métiers se vider de leur sens. L’interdiction qui nous fut faite dans les années 2000 de tenter de sauver des petits cancéreux condamnés par les grands centres, n’était pas un hasard lié à de méchants chefs de service tout puissants des centres anticancéreux hégémoniques, mais bien une orientation politique qui allait se généraliser progressivement dans d’autres domaines. Les internes des hôpitaux surent bientôt que devant une infection chez un patient reçu aux urgences pendant leur garde, ils n’avaient plus le choix de l’antibiothérapie et devaient appliquer l’association d’antibiotiques décidée par leurs grands chefs, dans une réunion loin du malade, et indépendamment de leurs études médicales qui semblent n’être plus qu’une peau de chagrin inutile. Les « protocoles » prérédigés et Chat gpt vont pourvoir aux besoins sans blouses blanches20.

Pour les médecins de ville, les « références médicales opposables représentèrent la fin du « docteur ». Elles virent le jour dans le début des années 90, privant les praticiens au lit du malade de leur libre arbitre et du choix du traitement préféré en fonction de leur expérience, leurs habitudes et du désir de leur patient. Choix du malade ? Quelle idée bizarre en 2023, après tant de restrictions sur plus de vingt ans aux droits et devoirs de chaque médecin de respecter son serment d’Hippocrate.

Le pire est que ces amputations successives aux devoirs des médecins de choisir le meilleur traitement connu pour son malade furent acceptées dans le silence médical (et général) expliquant probablement l’absence de réaction (sauf quelques nobles exceptions) aux décisions mortifères de mars 20 déconseillant aux malades de consulter leur généraliste, de n’appeler le 15 qu’en cas d’asphyxie et d’avaler du doliprane à gogo. Nous ne rappellerons pas la suite comme l’interdiction des antibiotiques et des autres traitements précoces dont chaque médecin savait en 2020 l’innocuité et l’efficacité21.

La soumission médicale a donc été préparée doucement et progressivement, habituant les patients à la notion de « protocole », tous le même, et finalement à l’absence de besoin de médecin au sens propre, une bonne télécabine pouvant faire l’affaire pour beaucoup. On ne soigne plus un malade, mais une maladie. La diminution du nombre de médecins disponibles ne résulte pas non plus du hasard, mais du sabotage imposé par le numérus clausus (dès 1971) et toutes les mesures dégradantes qui ont suivi et détourné les jeunes de ce métier formidable, mais seulement si on peut l’exercer librement.

Les réponses judiciaires aux familles de patients depuis de nombreuses années furent négatives, toutes les plaintes de nature médicale étant classées sans suite (sur ordre venu d’en-haut semble-t-il)… Et le grand silence médiatique et populaire les enterrant permit de poursuivre vers le néant. Rappelons par exemple que l’association Ametist 22qui se bat depuis 1990 pour l’accès aux enfants et jeunes atteints de cancer au libre choix de refuser un essai thérapeutique pour bénéficier des traitements éprouvés, a déposé une vingtaine de plaintes et référés au moment de la fermeture de la seule unité indépendante d’oncologie pédiatrique qui perdurait en 2014 à Garches. Ces plaintes furent regroupées en une seule et rejetées en bloc.23 24

Il y eut dans ces décennies tout de même de petites victoires comme ce jeune homme soigné au Mans, auquel un jugement avait imposé une « greffe de moelle » et un transfert à Angers, et dont le recours fut finalement accepté. Mais le parcours du combattant opposé aux décisions des grands manitous chefs, dits médecins, l’avait usé. Il ne s’en remit pas, pas plus que sa famille ..

Actuellement le monopole de soins en cancérologie est imposé par décision administrative interdisant à certains chirurgiens de qualité internationale d’opérer des patients atteints de tumeur maligne, pour réserver ces opérations à des centres choisis par les ARS. Ainsi les malades sont -ils privés de compétences pointues25… Est-ce acceptable ?

L’année dernière, nous avons dû adresser un enfant en Espagne pour lui éviter l’amputation proposée en France comme la seule solution possible. Et actuellement nous devons trouver un chirurgien à l’étranger pour pratiquer l’ablation d’une tumeur thoraco abdominale qui pouvait être parfaitement opérée en France, avant que l’ARS n’interdise à des chirurgiens français compétents de traiter certains cancers26. Pendant trente ans nous avons accueilli en France des malades venus de nombreux pays pour leur offrir des traitements qu’ils ne pouvaient pas obtenir dans leurs pays d’origine. Aujourd’hui les malades français doivent aller à l’étranger pour bénéficier des traitements auxquels la dictature des ARS les empêchent d’accéder !

Comme le dit Hervé Lozac’h , « le problème n’est pas seulement médical et ou pénal, mais bien philosophique et humaniste » . Il est de fait celui de retrouver la liberté de penser, de soigner, d’éduquer, d’enseigner27 28, de rêver, d’exister…Bref de retrouver, reconstruire une société libre, adulte, mature, ne demandant pas à chaque pas à l’administration ce qui est ou non autorisé.

Ne plus être considéré comme des objets ou des esclaves, mais comme des citoyens adultes libres de leurs choix. Et comment ne pas évoquer ici l’indicible situation de soignants, médecins, infirmiers, aides-soignants mais aussi administratifs des services de soin, pompiers, qui sont suspendus depuis plus de dix-huit mois pour avoir eu l’honnêteté et le courage de refuser ouvertement l’injection expérimentale d’un produit ARNm, tant pour se protéger, que pour informer les citoyens par leur attitude, et qui ont été traités de manière inhumaine pour leur refus d’obéir au bon plaisir du roi.

Et le pouvoir n’a pas hésité à violer toutes les lois, celle consacrant le consentement libre et éclairé mais aussi le droit du travail en les privant de toute compensation par chômage, RSA etc. L’ensemble des scientifiques internationaux ont reconnu l’absence de légitimité médicale de ces « punitions » « humiliations » doublées de mépris et diffamations, calomnies… Tous les pays du monde sauf le nôtre et la Hongrie ont renoncé à cette discrimination scientifiquement infondée, scandaleuse et inhumaine. Alors participons à toutes les manifestations, pétitions etc.. pour obtenir la possibilité de réintégration (s’ils le souhaitent encore) et les compensations financières ainsi qu’une reconnaissance de leur courage, de leur détermination et des excuses pour les décisions infâmes qu’ils ont subies, en poussant certains à la rue, voire au suicide. Ne les oublions pas !29 30 31

Le pseudo-vaccin ne protège ni du Covid19, ni de la transmission aux contacts, ni des formes graves contrairement au dernier mensonge des covidistes pour tenter de sauver leur attitude. En revanche, il est suivi par des multiples complications dont certaines graves et parfois mortelles. Souvenons-nous de la longue liste des sportifs de haut niveau morts sur le terrain, plus rapidement de problèmes cardiaques que la population générale en raison des efforts extrêmes. Malheureusement la surmortalité (par coïncidence, ou inexpliquée) qui se confirme dans le monde fait craindre une multiplication de ces effets secondaires niés jusqu’à aujourd’hui par nos dirigeants qui prêchent encore l’injection des enfants et des femmes enceintes. « Nous savons, ils savent, et ils savent que nous savons qu’ils mentent. »32 Que cherchent-ils ?

Maitre Brusa souligne à juste titre que notre civilisation perd ses repères…La médecine se meurt à la suite des infâmes lois de 1984, des plans cancer, des lois Bachelot, Touraine et des innombrables décrets récents.

« La loi et le droit ne peuvent pas se confondre. Le droit peut dire à la loi: «Ce que tu fais n’est pas juste. » La loi n’est pas, en tant que telle, la source du bonheur. La loi, dans les mains d’un dictateur, d’un fou, d’une technocratie ou d’une oligarchie peut être extrêmement dangereuse. Une loi peut donc être illégitime; simplement parce qu’il y a la loi, et qu’il y a le droit. »33

Et pour nous médecins, il faut revenir aux fondamentaux, apprendre notre métier, continuer à progresser, à transmettre, et refuser totalement que des administratifs (même parfois dotés d’un diplôme de docteur en médecine) nous dictent, sans voir les malades (!) nos schémas de traitement nos autorisations d’opérer, les durées d’hospitalisation des patients ou le nombre de couches autorisé pour les vieillards etc. La médecine ne peut s’exercer que librement, armée de sa liberté d’expression34 35 36 37. Les juristes peuvent nous aider à faire respecter cet impératif pour des soins les meilleurs possibles.

Ensemble, reconstruisons une société humaine dans tous les domaines de la vie. Merci à Maitre Carlo Brusa et aux quelques autres juristes découverts depuis les années 2000, et singulièrement dans ces trois dernières années (hélas trop peu nombreux) d’être avec nous pour sauver notre démocratie et avec elle, nos professions médicales, et donc nos patients.

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge. »

Alexandre Soljenitsyne





Démonstration de l’excès de mortalité (probablement vaccinale) chez les jeunes

[Source : francesoir.fr]

Cet inquiétant excès de mortalité chez les jeunes qui interroge sur la vaccination anti-Covid-19

Par Jean-Noël Haas

Depuis le deuxième semestre 2021, le site EuroMOMO (1) laisse apparaître un excès de mortalité dans la tranche des 15-44 ans, et cela sans déclencher aucune alerte dans l’opinion publique. L’institut minimise le problème en indiquant que le calcul de l’excédent de mortalité n’est plus fiable depuis la pandémie Covid, car le modèle mathématique utilisé pour les prédictions de mortalité n’est plus adapté. 

Voulant en avoir le cœur net j’ai développé un programme en suivant les indications du statisticien Pierre Chaillot pour analyser la mortalité française à partir du journal des décès publié chaque mois sur data.gouv.fr. Je ne vais pas rentrer dans les détails du fonctionnement du programme. Ceux qui suivent Pierre Chaillot de la chaîne YouTube Décoder l’éco seront familiers avec les différents concepts utilisés dans le programme. Notamment la standardisation des décès qui permet de s’affranchir du vieillissement de la population pour avoir des chiffres comparables au fil des années. 

Le code source du programme se trouve sur le site GitHub et n’importe qui avec des compétences en programmation et en statistiques peut le vérifier, le modifier et soumettre des corrections. 

Au premier lancement, le programme télécharge automatiquement les journaux des décès depuis le site data.gouv.fr, ainsi que les fichiers de pyramide des âges depuis le site de l’INSEE.

Cela fait, le programme insère les données dans une base de données, calcule des statistiques annuelles, ajuste une droite sur la courbe des décès d’avant la pandémie pour pouvoir donner des prédictions et calculer un excès de mortalité par rapport à ce qui est attendu. Les résultats sont consolidés à la fin dans un fichier Microsoft Excel avec des graphiques. 

Par défaut voici le graphique que le programme génère. 

Nous voyons là le nombre de décès standardisés en bleu et en rouge la prédiction à partir d’une régression linéaire sur la période Pre-Covid de 2012 à 2019 inclus.

Nous voyons bien l’excès de mortalité à partir de 2020 avec l’épidémie de Covid et nous constatons également que cet excès de mortalité persiste toujours en 2022 alors que la pandémie est pratiquement terminée.

Ceci est conforme aux constatations de l’INSEE qui titre dans un article 53 800 décès de plus qu’attendu en 2022 : une surmortalité plus élevée qu’en 2020 et 2021. Les excédents de mortalité donnés dans cet article sont équivalents à ceux donnés par mon programme malgré une méthodologie différente. 

Année  Excédent INSEE  Excédent programme 
2020  48 400  50 200 
2021  42 700  41 700 
2022  53 800  52 600 

Maintenant, intéressons-nous aux jeunes. Nous pouvons spécifier au programme des arguments pour filtrer par exemple sur la tranche d’âge 5-40 ans et nous pouvons également choisir le semestre comme unité de temps plutôt que l’année pour augmenter la résolution temporelle.

Voici la ligne de commande :

FrenchMortalityAnalyzer.exe evolution –MinAge 5 –MaxAge 40 — -TimeMode Semester 

Et voici le résultat : 

Les années en +0,0 représentent les premiers semestres et les année en +0,5 représentent les seconds semestres. Il s’agit là purement d’une convention de notation. Par exemple 2021,0 représente le premier semestre 2021 et 2021,5 représente le deuxième semestre 2021.

Voici le tableau depuis 2020 :

Semestre  Décès standardisés  Excès 
2020,0  5118  -15 
2020,5  5086  -11 
2021,0  5056  -5 
2021,5  5426  400 
2022,0  5505  515 
2022,5  5575  621 
2023,0  5255  337 

Et que voyons-nous ? 

  • Premier semestre 2020 aucun excédent de mortalité alors que nous sommes en pleine première vague Covid. 
  • Deuxième semestre 2020 aucun excédent de mortalité alors que nous sommes en pleine deuxième vague Covid. 
  • Premier semestre 2021 aucun excédent de mortalité alors que la pandémie Covid est toujours en cours. 

On voit là que le Covid n’a strictement eu aucun impact en termes de mortalité sur les moins de 40 ans et que le modèle de prédiction des décès est valable. Le nombre de décès constaté est très proche de ce qui est attendu. 

Et ensuite ? 

Eh bien tout change : 

  • Deuxième semestre 2021 excédent d’environ 400 décès par rapport aux prédictions alors que nous sommes au variant Delta, déjà beaucoup moins sévère et que les jeunes se font vacciner massivement. 
  • Premier semestre 2022 excédent d’environ 500 décès par rapport aux prédictions alors qu’on est passé au variant Omicron, encore moins sévère. 

  • Deuxième semestre 2022 excédent d’environ 600 décès par rapport aux prédictions alors que la pandémie est pratiquement terminée. 
  • Premier semestre 2023 encore un excédent de 330 décès qui semble aller à la baisse malgré qu’il faille encore rester prudent dans la mesure où tous les décès ne sont pas encore remontés pour cette période 

Avant de commenter il faut nous poser la question si cet excédent est significatif ? 

Pour cela nous pouvons faire les calculs d’erreur statistique. En utilisant la formule de l’écart-type pour la loi normale :

Avec un taux de mortalité (p) d’environ 0,2 pour 1 000 sur un semestre et une population (n) d’environ 27 400 000 individus pour la tranche d’âge des 5-40 ans, nous trouvons un écart-type théorique d’environ 73 décès.

Si nous superposons la loi normale correspondant à un écart-type de 73 avec la distribution réelle du nombre de décès chaque semestre depuis 2012 nous obtenons l’histogramme suivant : 

La loi normale en rouge et la distribution réelle en bleu. Nous voyons que tous les semestres strictement antérieurs au deuxième semestre 2021 sont relativement bien regroupés autour de la distribution normale, confirmant qu’il n’y a que des fluctuations statistiques. En revanche les quatre derniers semestres (deuxième semestre 2021 et plus) sont bien à l’écart. L’excédent de mortalité dans ces quatre semestres est statistiquement significatif.  

Et quelle est la probabilité que cela arrive par hasard ?  

Le deuxième semestre 2021 avec un excédent de 400 se trouve à 5 fois l’écart-type (400/73). 

À vos abaques ! Il y a une probabilité de 1 sur 1 744 278 d’être à plus de 5 fois l’écart-type ce qui rend ces chiffres extrêmement significatifs. Sans compter que cela s’est produit 4 semestres de suite. Il s’est réellement passé quelque chose. Cela ne peut pas être le fruit du hasard. 

Mais alors, qu’a-t-il bien pu se produire ? Qu’est-ce qui a bien pu changer au deuxième semestre 2021 ? Quoi d’autre sinon que les jeunes ont été massivement vaccinés avec les vaccins anti-Covid-19 ?

À part cela je ne vois pas. 

  • Est-ce que quelqu’un a entendu parler d’un nouveau variant Covid bien plus mortel chez les jeunes apparu au deuxième semestre 2021 ? 
  • Est-ce que quelqu’un a entendu parler d’un nouveau fléau qui s’abattait sur les jeunes pouvant expliquer un tel excédant de mortalité ? 

Les tenants du « corrélation n’est pas causalité » ont du boulot sur la planche pour nous démontrer que ce ne sont pas les vaccins anti-Covid-19 qui sont la cause de ces décès supplémentaires. 

Il faut quand même se mettre en tête que 10 ans de baisse de la mortalité chez les jeunes ont été perdus en un semestre et que cela persiste encore au premier semestre 2023 alors que les jeunes ne reçoivent plus d’injection anti-Covid-19.

Il y a potentiellement des effets secondaires à long terme et il faudra attendre la remontée des chiffres pour le deuxième semestre 2023 pour voir si cet excédent disparaît enfin. 

Est-ce que cet excédent de mortalité n’existe que chez les jeunes ? Probablement non, mais il est toutefois bien plus difficile d’en apporter la preuve avec une analyse sur la mortalité toutes causes confondues dans la mesure où d’éventuels décès liés aux vaccins vont se noyer dans les décès d’autres causes qui seront bien plus importants chez les plus âgés. 

Pour ceux qui seraient encore dubitatifs, voici un graphique extrait de l’article de l’INSEE précédemment mentionné. 

Vous pouvez constater l’augmentation de l’excès de mortalité entre 2020 et 2022 dans les tranches d’âge de moins de 35 ans. Le résultat est moins précis dans la mesure où l’analyse est annuelle et fait apparaître l’année 2021 comme une année charnière alors qu’avec l’analyse semestrielle l’augmentation est fulgurante au deuxième semestre 2021.

Je vous mets la dernière phrase de cet article : 

« En 2022, les accidents mortels de la route ont augmenté pour les 18-34 ans (+12 %, soient +109 personnes). Néanmoins, ils sont loin d’expliquer entièrement la hausse de la surmortalité à ces âges, qui est donc due à d’autres facteurs. » 

L’INSEE constate donc bien cette augmentation de mortalité chez les jeunes, mais ne donne pas d’explications quant aux causes. Pas vraiment pressé de trouver ces fameux « autres facteurs » 

Si nous laissons de côté la pudibonderie et le politiquement correct de l’INSEE, avec l’analyse ici présente nous arrivons à un total de 1 700 décès en excès en France dans la tranche des 5-40 ans qui selon toute vraisemblance et jusqu’à preuve du contraire sont imputables à la vaccination massive anti-Covid-19. 

Il faut réaliser que le fait que les décès dus à des effets secondaires de vaccin soient visibles en mortalité générale est du jamais vu dans l’histoire des vaccins et qu’en plus que les médias n’en parlent pas est encore plus effarant.

En 1976, une campagne de vaccination massive antigrippale a été interrompue aux États-Unis juste pour une trentaine de décès. Nous sommes hélas tombés bien bas ! 

Pour toutes espèces vivantes, c’est la descendance qui est systématiquement favorisée pour assurer coûte que coûte la survie de l’espèce. Il faut croire que chez les humains cette règle ne s’applique pas. Nous sommes capables de sacrifier la jeunesse pour prolonger la vie de quelques mois des personnes en fin de vie.

Une sorte de sacrifice en plus inutile, dans la mesure où les vaccins anti-Covid-19 ne protègent que contre les formes graves et ne réduisent pas la retransmission du virus. 

Si la moyenne d’âge des décès Covid est de 81 ans et que l’espérance de vie est de 83 ans, nous pouvons alors faire le raisonnement suivant :

Quand vous décédez à 20 ans, vous perdez 63 ans d’espérance de vie et ce sont les plus belles années de votre vie qu’on vous vole. Quand vous décédez à 81 ans, vous perdez deux ans d’espérance de vie. Un mort de 20 ans compte 30 fois plus qu’un mort de 81 ans.

Je vous laisse en tirer vos propres conclusions. 

Imaginez-vous en fin de vie à devoir choisir entre sacrifier votre descendance pour pouvoir vivre quelques mois de plus ou vous sacrifier vous-même pour que votre descendance puisse prospérer ? Que choisissez-vous ? 

Eh bien les autorités de santé et le gouvernement ont choisi pour vous. Et c’est comme s’ils avaient décidé de sacrifier votre descendance ! 

Note : 

(1) EuroMOMO est un site dédié à la surveillance de la mortalité en Europe. Il vise à détecter et mesurer les décès excessifs liés à la grippe saisonnière, aux pandémies et à d’autres menaces pour la santé publique.

Jean-Noël Haas, titulaire d’un DEA en Physique subatomique, est informaticien, développeur de solutions de sécurité et d’authentification forte et créateur indépendant de logiciels d’analyse de journaux informatiques.




Les brûlantes vérités d’Eusèbe Rioché

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Tourner la page de la pandémie, comme le voudrait le ministre français de la Santé ? Il s’impose au contraire d’instruire le dossier, d’en examiner tous les aspects et de confronter les récits aux faits. Pour ce faire, il suffit de tourner les pages de deux livres exposant magistralement comment les gouvernements et les médias ont menti sur tout et tout le temps. Le premier de ces ouvrages, celui de Pierre Chaillot, est sorti il y a six mois et il a fait un tabac malgré le black-out médiatique et les critiques fielleuses des rares journaleux qui en ont parlé. Le second essai très réussi vient tout juste d’être imprimé, il arrivera en librairie à la rentrée, mais on peut déjà se le procurer sur le site de l’éditeur Marco Pietteur : il s’agit de « COVID-19 : guerre ouverte contre les peuples », d’Eusèbe Rioché. Je l’ai lu le week-end dernier, j’ai interviewé son auteur pour le Néosanté de septembre, et je peux vous dire que ce « brûlot de vérité », comme le qualifie son préfacier Jean-Dominique Michel, va décoiffer ses lecteurs ! Chiffres officiels et moult graphiques à l’appui, ce bouquin démontre en effet qu’il n’y a pas eu de fléau infectieux dépassant en gravité celle d’un banal épisode grippal et que si les autorités ne l’avaient pas géré en dépit du bon sens en terrifiant les populations, il serait passé inaperçu et n’aurait fait aucune… vague. Selon Eusèbe Rioché, docteur en sciences s’abritant modestement derrière un pseudonyme, mais visiblement très calé en statistiques, les pics de mortalité enregistrés en 2020 ne sont en réalité que les effets normaux du vieillissement conjugués à un délabrement des hôpitaux, à un abandon massif des soins et à une « épidémie de meurtres » dans les maisons de repos. Au final, la maladie prétendument émergente n’aura été qu’une « fable destinée à couvrir un géronticide », écrit le scientifique qui n’a pas sa plume dans sa poche et qui ne dédaigne pas l’humour noir en ajoutant que « quand on tue les gens, ils guérissent forcément moins bien ».

Les chiffres qui tuent… le mensonge

Voilà donc un pavé qui tombe à point dans la mare pour remettre les horloges à l’heure, l’église au milieu du village et les points sur les « i » : la vraie histoire du covid-19 n’a rien à voir avec ce que nous ont vendu la racaille politicienne, les experts corrompus et la presse de propagande. Peut-être que les plus « complotistes » d’entre nous n’apprendront pas grand-chose à la lecture de ce brûlot dont la bibliographie mentionne pourtant 275 références. Depuis plus de trois ans, les assoiffés d’infos que sont les résistants ont pris le pli de s’abreuver à de multiples sources de qualité, et notamment au blog de Jean-Dominique Michel qui fut le premier à diffuser les analyses d’Eusèbe Rioché. Long de seulement 250 pages, l’opus de ce dernier constitue toutefois un excellent résumé des bobards covidistes et un très bon réservoir d’arguments à opposer à ceux qui continuent à les gober. Personnellement, j’ai beaucoup apprécié le chapitre où le statisticien inspecte la coque vide et constate qu’on y a fourré toutes les autres causes de décès. Selon les propres chiffres de Santé publique France, le coco a été super costaud, car il a diminué d’un tiers la mortalité de la tuberculose, divisé par deux celle des hépatites virales, éliminé la grippe et les pneumonies classiques, terrassé le SIDA, raréfié les suicides, éclipsé les cancers et fait disparaître les AVC et crises cardiaques. Même les accidents de voiture ont été proportionnellement beaucoup moins mortels en 2020 ! Bref, on s’est bien fichu de notre tête. Dans un autre chapitre, l’auteur fournit les preuves tangibles que les médecins ont arrêté de soigner convenablement — les ordonnances d’antibiotiques et de corticoïdes se sont effondrées — tandis que les ventes d’antiviraux toxiques, de Valium et de Rivotril ont décollé. En pleine épidémie, on a donc empoisonné et euthanasié à tour de bras tout en atteignant un record historique de sous-prescription des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie : cherchez la double erreur !

Le modèle norvégien

Dans son ouvrage, Eusèbe Rioché fait également un sort aux deux mesures « sanitaires » les plus emblématiques du délire covidien : le port du masque et les confinements. Concernant le premier, il dézingue notamment la fameuse enquête menée au Bangladesh et dont les médias à la botte du pouvoir se sont empressés de brandir les conclusions favorables au bâillon obligatoire. « Les chercheurs qui ont réalisé cette étude sont des clowns », pourfend le scientifique, « la statistique est criblée de biais majeurs qui la font sombrer dans le ridicule, la principale étant que leur population-contrôle était déjà mise sous pression par leur gouvernement pour appliquer le port du masque et des consignes de distanciation ». De plus, le nombre de malades et la différence entre les masqués et les autres étaient trop faibles pour mesurer un quelconque effet. S’agissant des confinements, le dissident a étudié en détail leur impact selon leur degré de sévérité et il aboutit à deux évidences : ils n’ont eu aucune influence sur la dynamique de l’épidémie et ils ont eu des conséquences très négatives pour la santé. En moyenne, les pays qui ont confiné ont subi une mortalité deux fois plus élevée que ceux qui se sont abstenus de le faire. Pour Rioché, la Suède n’a pas été exemplaire, car elle a quand même assassiné ses vieux en les enfermant et en les maltraitant. Le meilleur élève mondial, c’est en réalité la Norvège. Aussi surprenant que cela puisse paraître, car personne n’en a parlé, ce pays n’a infligé aucune contrainte à ses habitants et n’a organisé aucune propagande pour les effrayer. Résultat éloquent : ce non-membre de l’Union Européenne a officiellement une mortalité « covid » parmi les plus basses du monde, de l’ordre d’une minuscule grippe. À titre de comparaison, la France a enregistré 44,3 décès pour 100 000 durant la « première vague », contre 4,7 pour La Norvège, soit un score 9,4 fois plus mauvais pour la République Française. Il y a des chiffres effectivement indiscutables, Mr Véran, ils parlent d’eux-mêmes !

[NDLR D’autres pays n’ont pas imposé de mesures sanitaires et sont également passés sous silence, comme la Biélorussie prétendument dirigée par un dictateur.]

Vaccination, piège à mougeons

Non content de pulvériser la mythologie pandémique, l’essayiste expédie par le fond sa pseudo-solution vaccinale. Selon ses investigations statistiques sur les années 2021 et 2022, les injections expérimentales ont provoqué une surmortalité persistante dans toutes les classes d’âge. Pour la France, il évalue l’excès de décès entre 34 000 et 46 000. Et si on inclut les campagnes antigrippales, la surmortalité générale frôle les 86 000 trépas. Prenant le contrepied du discours dominant et abondant dans celui de Néosanté, Eusèbe Rioché affirme en effet que l’épidémie a pris d’emblée en grippe les vaccinés et que les piqûres reçues ne les ont jamais protégés des formes graves et de la mort. Si les gouvernementeurs ont pu soutenir l’inverse et continuent à le faire, c’est grâce à la mystification consistant à ne comptabiliser les vaxxés que deux ou trois semaines après l’injection, au prétexte que ce délai est nécessaire à l’apparition des anticorps. Or c’est endéans les 14 ou 21 jours que surviennent la plupart des effets secondaires sévères et des décès inopinés ! En décalant les courbes de mortalité de 3 semaines, Rioché révèle qu’elles épousent parfaitement celles des campagnes vaccinales. Et il cite une recherche montrant que les données corrigées impliquent un risque de décès toutes causes 14 fois supérieur pour les mougeons que pour les réfractaires ! Dans son démontage de l’escroquerie, l’expert en statistiques explique aussi que les morts subites de jeunes sportifs sont bien dues aux vaccins : il y a par exemple moins d’une chance sur un milliard que les affolants décès de footballeurs en 2021 soient des coïncidences ! Les « vaccidents » sont donc beaucoup plus nombreux qu’on ne le dit et l’effet le plus dramatique de la vaccination est peut-être encore à venir : selon l’auteur de « COVID-19, une guerre ouverte contre les peuples », la surmortalité infantile, l’explosion des fausses couches et la chute des naissances laissent également redouter ce que les troubles du cycle féminin faisaient déjà apparaître, à savoir un impact délétère majeur sur la fertilité et la fécondité. Vous avez dit « dépopulation » ?

Les vraies raisons de l’opération

Dans la suite de son essai-pamphlet incisif à souhait, Eusèbe Rioché ne tourne plus autour du pot : on n’a jamais eu affaire à une crise sanitaire, mais bien à une machination criminelle aux relents eugénistes, transhumanistes et… capitalistes. Selon lui, c’est en effet pour préserver ses rentes de la ruine que la haute finance mondiale a orchestré cette opération psychoterroriste. Histoire de clarifier ce raisonnement, voici un extrait de l’interview à paraître dans le Néosanté de septembre. Deux questions que j’ai posées à mon interlocuteur et les réponses claires qu’il m’a apportées :

La suite de votre livre nous entraîne dans l’explication de son titre-choc. Il y aurait donc une guerre, non pas contre un virus, mais contre les peuples, contre nous ?

La « COVID-19 » a surpris la population par la campagne de sidération orchestrée par les pouvoirs coalisés : politiques, médiatiques, pharmaceutiques, financiers, etc. Mais la recette est ancienne, la soupe éventée. En 2009 a eu lieu la fausse pandémie de H1N1, et même le Sénat français s’est indigné : son rapport n° 685 sur le sujet est aujourd’hui qualifié de complotiste. En 2003, c’est le SRAS qui a effrayé le bourgeois, en vain. En 1998 a sévi la grippe aviaire, une arnaque dont le seul mérite est d’avoir permis l’expérimentation de la désorganisation de l’hôpital public. Cela fait 25 ans au moins que nous subissons à l’échelle mondiale des tentatives de « pandémies ». Cela fait 25 ans qu’à chaque « pandémie », la fortune des milliardaires bondit. Si la « COVID-19 » a fonctionné, c’est grâce à un effort coordonné de tous les types de pouvoirs, les médias en tête. En effet, après la crise financière de 2008, le monde des banques et de la finance a acheté en masse tous ces médias qui avaient alors fait passer les financiers pour des escrocs irresponsables. En 2020, tous les éléments nécessaires à la réussite du plan ont enfin été réunis. Depuis cette date, jamais les riches n’ont été aussi riches : leur fortune a doublé, triplé, quintuplé ! Pour les mêmes raisons, jamais les pauvres n’ont été aussi pauvres. Les virus pandémiques ne sont que des prétextes ; leur réalité est hautement discutable, et les articles « scientifiques » affirmant leur réalité ne résistent pas à l’épreuve de l’étude minutieuse. Le virus n’est qu’un prétexte, une sorte de Père Fouettard pour adulte : l’ennemi désigné, c’est le peuple indocile refusant de tout donner à ses maîtres.

Vous insistez sur les motifs financiers de cette guerre. Qu’est-ce que le « risque de longévité » et en quoi peut-il expliquer l’opération Covid ?

Les fonds de pension représentent une masse financière titanesque dans l’économie mondiale : 35 000 milliards de dollars, soit le tiers du PIB mondial ! Ces placements sont gérés par les gouvernements, ainsi que par de nombreux fonds privés. Les intérêts des placements ne suffisent pas à assurer les rentes par capitalisation ; ainsi le capital est lentement consommé de manière à ce qu’il soit nul quand le pensionné meurt. Mais quand il vit trop longtemps et que le capital tombe à zéro, c’est le fonds de pension qui paie de sa poche ! C’est cela le risque de longévité : le risque pour les fonds qu’un retraité vive au-delà de son capital accumulé. Les gestionnaires ont donc fait un pari sur l’espérance de vie des pensionnés. Malheureusement, ils se sont trompés ! Ils ont sous-estimé l’âge de décès des gens, qui a beaucoup augmenté grâce à l’hygiène, le confort de vie, et surtout la santé publique. Autrement dit, si les vieux continuent à être vieux, le tiers du PIB mondial va partir en fumée : la banqueroute mondiale ! L’opération « COVID-19 » et la vaccination sont des réponses apportées par le cartel de la finance internationale pour sauver le système capitaliste : il faut absolument que les vieux meurent dès qu’ils ne sont plus rentables. Pour les psychopathes qui nous gouvernent, c’est leur existence qui se joue. La « COVID-19 » est une bataille livrée dans la guerre existentielle entre la dignité humaine et la nécrophilie financière.

En guise de joyeuse conclusion

Pour conclure ce billet, je vais aussi vous offrir les deux questions qui ont ponctué mon entretien avec Eusèbe Rioché. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce brillant savant doublé d’un intellectuel érudit ne sombre pas dans le pessimisme. Il porte un regard plutôt réjouissant sur la suite des événements et il nous annonce une fin de conflit tournant à l’avantage des peuples grâce aux puissantes lois de la nature ! Acceptons-en l’agréable augure et lisons son livre pendant les vacances pour affûter nos connaissances et être prêts pour la rentrée. La guerre de l’info tourne à la confusion des vaccina-tueurs plandémistes, mais elle doit encore être gagnée…

En fin d’ouvrage, vous dépassez l’analyse « marxiste » d’une lutte entre les ultrariches et les masses laborieuses, et même l’analyse « complotiste » d’un coup d’État mondial piloté par la clique de Davos. Votre écriture prend des accents eschatologiques et on dirait que vous nous annoncez le Jugement Dernier, l’affrontement final entre le Bien et Mal. La Bête de l’événement arrive ?

Depuis Rousseau et son Contrat social, la souveraineté du peuple fonde son opposition aux élites dominantes. La théorie marxiste de la lutte des classes en est une interprétation post-industrielle, et la « social-démocratie » une version édulcorée. Mais la lutte des faibles contre les forts n’est pas une invention de la modernité. Elle s’exprimait déjà à travers les religions, la loi de Dieu, ou des dieux, modérant les élans des monarques et autres potentats par divers rituels et sacrifices. Lacordaire a théorisé ce principe par son aphorisme célèbre, souvent incompris, car sorti de son contexte : « Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c’est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit. » Quand il parle de liberté, il s’agit de celle du fort d’opprimer le faible, mais la loi qui affranchit, c’est celle de Dieu, car toute loi humaine émane immanquablement du plus fort : seule la loi de Dieu est conçue comme miséricordieuse par la communauté des croyants. La guerre du puissant contre le misérable est donc aussi vieille que la civilisation elle-même. Medhi Belhaj Kacem, l’un des préfaciers de mon livre, philosophe de son état, a créé le concept de « pléonectique », nommant ainsi le principe universel qui pousse à toujours avoir plus jusqu’à tout dévorer, sans partage, ce qu’il appelle le Mal. Nous sommes dirigés par des gens d’une cupidité sans limites, prêts à sacrifier l’humanité pour un petit sou en plus. Ils sont cupides et cruels, certes ; mais ce sont avant tout des minables, incapables de faire perdurer leur empire alors qu’ils ont tout. Inutile d’invoquer l’Antéchrist ni la fin des temps, pour d’aussi pathétiques démons.

Votre « brûlot de vérité », comme le qualifie Jean-Dominique Michel, s’achève sur une note étonnement optimiste : selon vous, l’insurrection est inévitable et les insurgés ont déjà gagné ! Vous dites que la révolution sera belle, mais vous ne présagez nullement de son caractère violent ou pas. Comment croire à une « happy end » alors que la France ressemble de plus en plus à un volcan en éruption ?

Le covidisme, le climatisme, le transhumanisme, la promesse d’un Great Reset, toutes ces outrances sont des postures de risques-tout, l’expression d’un désespoir face à un univers qui échappe aux appétits morbides de ses seigneurs. La vie des civilisations est parsemée de ces moments qui font charnière entre deux règnes. Leur empire prend fin, car son heure est venue : ils ont voulu trop avoir et vont crever d’indigestion. Comme le faisait remarquer Gustave Le Bon, ni les foules, ni les peuples n’agissent comme des êtres pensants, rationnels. Ce sont des puissances de la nature qui suivent leurs propres règles, comparables aux animaux cyclopéens des mythes antiques, qui mettent un temps fou à se réveiller, mais qui toujours se lèvent d’un très mauvais pied. Une fois le Kraken libéré de sa monstrueuse colère provoquée par la folie des puissants, après la tempête viendra l’accalmie propice à une période prospère où de jeunes loups chercheront à prendre leur part, puis celle des autres petit à petit, en une fringale inextinguible qui nous mènera tous à un nouveau désastre, une nouvelle ire du monstre, la suivante d’une longue liste. La Bête de l’événement arrive, oui ; mais la fin des temps, non, je ne crois pas. Nos petites affaires humaines nous accaparent ; mais tout cela n’est pas dramatique à l’échelle de l’espèce : à peine un soubresaut dans le grand cycle de l’existence. Comme beaucoup, je me donne bonne conscience en agissant pour la communauté. Mais, sérieusement, les lois de la nature sont à l’œuvre dans l’équilibre de nos sociétés : rien n’affectera la roue du destin. Je ne suis pas devin ; je ne sais pas quand ni comment tout basculera. En tout cas, malgré les heurts inévitables, tôt ou tard : « ça ira ! ».

Yves RASIR

NB : Pour compléter votre (in)formation anticovidiste, je vous encourage également à visionner les très instructives séries de capsules proposées durant l’été par Jean-Dominique Michel. Certaines ont été censurées par YouTube et Facebook, mais vous pouvez les retrouver toutes sur d’autres canaux et sur son site. Moyennant une modeste participation aux frais de production, vous pouvez aussi télécharger les vidéos pour les partager aisément sur les réseaux. C’est ici que ça se passe.