Chloroquine, combien de morts ?

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Au tout début, nous y avons cru. À l’entame de l’année 2020, nous avons pensé que le Pr Didier Raoult faisait bien de « repositionner » l’hydroxychloroquine et de préconiser cette molécule en traitement de la nouvelle maladie venue de Chine. En découvrant rapidement qu’il s’agissait d’une fausse pandémie alimentée par une terreur irrationnelle, une méthode de dépistage bidon et des statistiques frauduleuses, nous avons cependant très vite remis en cause la nécessité de recourir à ce médicament non dénué de toxicité. Car oui, il faut le dire et le redire : l’HCQ n’est pas un bonbon pour la toux ni un banal remède à la malaria prescrit également contre le lupus érythémateux et la polyarthrite rhumatoïde. Dotée de dizaines d’effets indésirables potentiels, dont celui d’engendrer des détresses respiratoires (!), cette spécialité pharmaceutique chimique peut gravement léser ses consommateurs et peut même tuer ceux qui souffrent du cœur. On pense ce qu’on veut d’Agnès Buzin, mais l’ex-ministre française de la Santé n’a pas eu tort, fin 2019, de déclasser l’antipaludéen et de le ranger parmi les « substances vénéneuses » exigeant de sérieuses précautions d’usage. Depuis cette décision controversée, la recherche scientifique a encore mis en évidence que l’hydroxychloroquine avait des effets tératogènes et pouvait donc engendrer des malformations congénitales, tout comme la Thalidomide, le Distilbène ou la Dépakine de sinistre mémoire ! Les partisans inconditionnels du druide marseillais et de sa potion sont-ils bien conscients de prendre la défense d’un apprenti sorcier administrant à tour de bras un authentique poison ?

La potion n’était pas magique

En guise de plaidoirie pour sa molécule chérie, l’ancien patron de l’IHU phocéen invoque constamment des décennies de prescription sans conséquences sanitaires perceptibles. Mais en quoi cet argument est-il valable puisque des tas d’autres médicaments dangereux aujourd’hui interdits ont été longtemps prescrits avant qu’on ne découvre ou admette leurs ravages ? À juste titre, Didier Raoult a d’ailleurs accusé le paracétamol d’être une drogue plus dangereuse que sa protégée, or l’antalgique superstar vendu sans ordonnance est précisément un redoutable hépatotoxique qui mériterait d’être chassé des pharmacies ! Remède pire que le mal, l’HCQ est également soupçonnable d’occasionner plus de morts qu’elle ne sauve de vies, comme en atteste la nouvelle étude parue le 2 janvier dans la revue Biomedicine and Pharmacotherapy. Effectuée par des chercheurs lyonnais, cette étude arrive à la conclusion que l’hydroxychloroquine donnée en 2020 aux malades du covid a tué 17 000 d’entre eux, et ce seulement dans les six pays étudiés (Belgique, Turquie, France, Italie, Espagne et USA). Purement rétrospective et usant d’extrapolations hasardeuses, cette recherche a certes des faiblesses que n’ont pas manqué de pointer les défenseurs du Plaquenil et de son prescripteur-vedette. Le travail est notamment basé sur la méta-analyse parue en 2021 dans Nature Communications, alors que celle-ci avait inclus les deux études malhonnêtes de l’OMS (Recovery et Solidarity) recourant à des dosages trop élevés (quatre grammes sur trois jours au lieu de 2,4 grammes sur cinq jours). La récente étude française se base aussi sur des chiffres belges carrément erronés, ce qui a même suscité un « fact checking » du très covidiste et anti-Raoult journal Le Soir. Malgré ses erreurs et ses failles méthodologiques, la recherche en question ne mérite cependant pas d’être balayée d’un revers de main. Elle montre à tout le moins que le « remède miracle » n’en était pas un et qu’il a, plus que probablement, été contre-productif. Si la chloroquine avait performé au lieu de nuire, ce genre d’analyse aurait mis en lumière un impact favorable sur la mortalité au lieu d’indiquer l’inverse.

Des dégâts sous-estimés

Mais alors, comment expliquer que de nombreuses autres études, comme celle menée en Belgique par l’Institut Sciensano, ont bel et bien conclu à un effet positif de l’HCQ sur le taux de décès en hôpital ? Cela n’a rien de mystérieux à nos yeux. D’abord parce que les médecins hospitaliers savent que la dose fait le poison et qu’ils l’ont administré en respectant scrupuleusement la posologie conseillée. Ensuite parce que ces mêmes blouses blanches hospitalières sont parfaitement au courant de la cardiotoxicité du médicament et qu’ils ont prudemment évité de le distribuer aux insuffisants cardiaques. Et enfin, surtout, parce que les patients ont été soignés au lieu d’être laissés en plan ou directement mis sous respirateur artificiel ! Outre une action sur les états inflammatoires, cette prise en charge a permis d’activer l’effet placebo et de réduire drastiquement l’effet nocebo, comme je le postulais dès juin 2020 dans mon infolettre intitulée « Le vrai protocole Raoult ». Si le druide a fait cinq fois mieux dans son IHU-Méditerrannée qu’à Paris et dans l’est de la France, c’est certainement aussi parce que l’hydroxychloroquine a été employée en lieu et place des antiviraux comme le Redemsivir, médoc encore bien plus toxique et inapte, lui, à favoriser l’assimilation du zinc. Bref, la très iatrogène HCQ a fait illusion parce qu’elle a évité une iatrogénie encore plus prononcée. Mais seulement à l’hôpital ! Non sans raison, le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie au CHU de Bordeaux, a fait remarquer que l’étude lyonnaise ne tenait pas compte des malades mis sous chloroquine par leurs médecins traitants et décédés d’un arrêt cardiaque « en ville ». Leur nombre est inconnu. À ces victimes non comptabilisées, il faudrait aussi ajouter les patients qui se sont procuré le médicament sous le manteau et l’ont consommé « sauvagement » à leur détriment. Et comme l’étude menée à Lyon ne s’est pas penchée non plus sur les décès survenus en Inde et au Brésil, deux pays où la molécule antipalu s’achète à tous les coins de rue, le bilan humain global est sans doute bien plus lourd que redouté. Lorsque le Pr Molimard évalue le passif mondial de l’HCQ à « des centaines de milliers de morts excédentaires », je ne pense pas qu’il exagère et je trouve navrant que de nombreux résistants et lanceurs d’alerte crient au complot et à l’intox. Il tombe sous le sens que la potion meurtrière a contribué à autoréaliser la pseudo-pandémie et à remplir les cimetières.

L’éthique a trop bon dos

Dans son argumentaire, Didier Raoult fait systématiquement appel à l’éthique pour justifier sa décision de ne pas procéder à un essai clinique. Selon ce raisonnement louable, il était moralement inadmissible de ne pas traiter tous les covidés et de faire perdre aux malades des chances de guérison. Avec une rigueur toute soviétique, les patients admis ont donc été soumis au même protocole thérapeutique « compassionnel ». Personnellement, je trouve l’esquive un peu facile. Sans groupe contrôle ne recevant pas le médicament, il est impossible de discerner son effet réel et ses inconvénients. Sans randomisation (tirage au sort des participants) ni double aveugle (ni le patient ni le soignant ne savent qui reçoit quoi), il est vain d’espérer atteindre l’objectivité. À défaut de produit inactif, l’IHU aurait pu tester une autre molécule garantie inoffensive, voire une plante bienfaisante comme l’Artemisia. Contrairement à ce qu’a parfois suggéré Raoult, les essais cliniques contre placebo en double insu et randomisés offrent le plus haut niveau de preuve scientifique en « Evidence Based Medicine ». De son côté, l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril ne cesse de rappeler cette vérité élémentaire. La différence entre ces deux fortes têtes ? Le premier critique peu la vaccinologie tandis que le second l’a prise en grippe depuis qu’il en examine les fondements. Dans ses ouvrages sur les vaccinations, le Dr de Lorgeril dénonce en effet l’absence de véritable contrôle dans le développement des vaccins. Et c’est aussi ce que dénoncent les auteurs israéliens du livre « Des tortues jusqu’en bas » : selon leur remarquable enquête appuyée par des centaines de références, les vaccins ne sont JAMAIS comparés à de véritables placebos, ce qui permet de faire croire à leur efficacité et surtout de dissimuler leur insécurité. En agissant de la sorte, l’industrie vaccinale et les instituts de recherche qu’elle stipendie bafouent l’éthique médicale au lieu de la servir. D’une certaine manière, le Panoramix marseillais a commis un crime similaire en omettant de vérifier l’innocuité de sa potion prétendument miraculeuse. Lorsque l’histoire de la mascarade sera écrite, je crains malheureusement que son nom soit associé à une partie de l’hécatombe faussement imputée à un pathogène inexistant…




Réponse du Dr Colignon sur l’étude attribuant 17000 décès à l’hydroxychloroquine

[Source : bam.news]

En guise de nouvel an, la RTBF et la DH exhume une vieille étude que BAM avait déjà debuncké en juillet 2023(([1] Une nouvelle fraude pour accuser l’Hydroxychloroquine)) et attribuant près de 17000 décès à l’hydroxychloroquine. Voici la réponse du Dr Colignon :

Par Dr Alain Colignon

Cher Confrère LEGA,

J’ai eu l’occasion de prendre connaissance de la méta‑analyse sur les dangers de l’hydroxychloroquine administrée pour traiter les infections à SARS CoV2 que vous venez de publier et qui fait grand bruit dans les médias mondiaux.

En relevant des données de la littérature que vous croisez dans cette analyse, vous déterminez de façon spéculative le nombre de décès iatrogènes attribuables à l’hydroxychloroquine dans 8 pays industrialisés…

Si j’ai bien compris votre démarche, la séquence des opérations comptables est la suivante :

  • 1. déterminer le nombre total de patients hospitalisés pour Covid au cours de cette période, dans chacun des 8 pays (N).
  • 2. déterminer pour chaque pays la proportion de patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine ®
  • 3. En déduire le nombre absolu de patients hospitalisés pour Covid, traités à l’hydroxychloroquine (R*N)
  • 4. Déterminer l’ODDS Ratio de mortalité iatrogène liée à l’Hydroxychloroquine à partir d’études spécifiques (OR)
  • 5. En déduire pour chaque pays, le nombre de décès iatrogènes secondaires à l’administration d’Hydroxychloroquine par combinaison de l’ODDS (OR/conv. 1‑1/1;11 soit 0,09909).et du R*N

Etant donné que je suis Belge, j’ai été interpellé par les chiffres que vous avez recueilli pour mon pays.

  •  1. N est bien égal à 19.644 au regard des chiffres avancés par Sciensano. C’est exact.
  • 2. R est évalué à 0,51 conformément aux chiffres annoncés dans l’étude conduite par Nicolas Dauby et Lucy Catteau intitulée Low‑dose Hydroxychloroquine therapy end mortality in hospitalised patients with Covid‑19.
    Il s’agit d’une étude prospective dans laquelle le pourcentage de 0,51 entre dans une logique méthodologique, même s’il ne s’agit pas d’une étude RCT. Ce ratio est exact, mais l’extrapoler à l’ensemble des hôpitaux de Belgique qui n’étaient nullement concernés par le protocole de l’étude de Sciensano/CHU Saint‑Pierre est une faute grossière qu’on ne pardonnerait pas à un mauvais étudiant en médecine.
  • 3. Le chiffre (R*N) de 10.018 patients traités est donc nécessairement faux par excès.
  • 4. Déterminer l’ODDS ratio sur base d’études où des doses mortelles d’hydroxychloroquine (2400 mg / jour)ont été administrées – ce que vous admettez dans votre étude –  et appliquer cet ODDS incongru à une étude où les doses utilisées sont 4 à 6 fois moins élevées est un mélange de genre indigne d’un scientifique.

En suivant votre raisonnement, vous considérez de facto que dans la série de Catteau/Dauby, qui dénombre 4542 patients hospitalisés sous hydroxychloroquine parmi lesquels on dénombre 804 décès, 80 d’entre eux  (0,09909 * 804) sont dus à l’hydroxychloroquine. Par une extrapolation linéaire simpliste jusqu’à l’indicible, la Belgique devrait selon vous déplorer 240 décès iatrogènes dû à l’hydroxychloroquine.

Or, on peut lire dans cette étude de catteau et Dauby dont vous vous prévalez : 

Our study provides further support to the claim that this regimen is not associated with increased short term risk of cardiotoxicity and mortality in the hospital setting and in well‑selected COVID‑19 patients. Accordingly, as of 17 June 2020, the Federal Agency for Medicines and Health Products had registered in total eight reports of adverse reactions suspected to be associated with HCQ use for the treatment of COVID‑19 in Belgium, among which were three cases of cardiac toxicity (all having received concomitant medication), and no reported deaths.
[Notre étude apporte un soutien supplémentaire à l’affirmation selon laquelle ce régime n’est pas associé à un risque accru à court terme de cardiotoxicité et de mortalité en milieu hospitalier et chez des patients COVID-19 bien sélectionnés. En conséquence, au 17 juin 2020, l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé avait enregistré au total huit rapports d’effets indésirables soupçonnés d’être associés à l’utilisation de l’HCQ pour le traitement de COVID-19 en Belgique, dont trois cas de toxicité cardiaque (tous ayant reçu des médicaments concomitants), et aucun décès signalé.]

Ma question vient immédiatement : Qui se trompe, qui ment, qui se fout de la gueule de ses confrères ? Catteau et Dauby qui prétendent qu’ils n’ont aucune mortalité par cardiotoxicité secondaire à l’administration d’hydroxychloroquine ou vous qui prétendez qu’ils ont tué 80 personnes par leur incurie ?

Non, monsieur Lega, Nicolas Dauby et Lucy Catteau n’ont pas tué 80 personnes… ils en ont sauvé beaucoup et si quelqu’un doit aller en prison pour homicide involontaire, c’est vous et non lui !

Cher confrère,

Votre analyse est un ramassis d’inepties qui déshonorent notre profession et qui ne peuvent trouver leur source que dans l’incompétence ou la malhonnêteté. Vous n’imaginez pas à quel point j’aimerais me tromper et trouver dans votre réponse des arguments qui me donnent tort… car je me jetterais à vos pieds, pour implorer votre pardon.

Alain Colignon

Chirurgie Vasculaire




Hydroxychloroquine : LES CHIFFRES SONT INVENTÉS ! Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call-girl du Lancet Gate

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Molimard fait mieux que la Call Girl Ariane Anderson, il resuce les résultats des fameuses études RECOVERY ET DISCOVERY et invente des chiffres dignes du Gorafi :

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S075333222301853X#bib20

MAIS COMMENT ONT ILS TROUVÉ LE % DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ ? ILS LES ONT INVENTÉS !

Non il ne s’agit pas de données officielles, mais d’une INVENTION ; ils sont partis du pourcentage de patients traités à l’HCQ dans des études choisies par eux puis ils ont fait une moyenne qui est devenu… le % de patients traités à l’HCQ dans le pays.

Mais ces études n’ont jamais été représentatives des pratiques hospitalières !

Comment s’étonner qu’ils nous donnent des taux de traitement de 16 % en France et 51 % EN Belgique ou 80 % en Espagne

CES DIFFÉRENCES SONT INCOHÉRENTES ET PROUVENT LE CARACTÈRE FANTAISISTE DES CHIFFRES

Nous avons mené une revue systématique et une méta-analyse d’ études de cohorte pour estimer les taux de mortalité et la proportion d’exposition à l’HCQ chez les patients hospitalisés dans chaque pays représenté dans les études disponibles. Nous avons effectué une recherche documentaire pour identifier toutes les études publiées rapportant le nombre de patients sous tous les traitements examinés dans le cadre du Covid-19. Nous avons effectué une recherche dans Pubmed, du 1er décembre 2019 au 15 mars 2021, en utilisant les mots-clés « coronavirus », « coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 », « SARS-CoV-2 », « nouveau coronavirus », « nCoV », « 2019-nCoV » et « Covid-19 » et « cohorte ». Depuis Pubmed, nous avons sélectionné les études selon les critères d’inclusion suivants : étude multicentrique, taille de l’étude ≥ 500 patients pour éviter l’effet centre, étude rapportant les traitements utilisés dans le Covid-19 et le nombre de patients traités avec ces médicaments. Les études incluant uniquement les patients recevant de l’HCQ, ayant reçu de l’HCQ à partir d’août 2020, et les patients déjà traités par HCQ pour des maladies auto-immunes ont été exclues, ainsi que les études menées dans des pays pour lesquels les données sur la mortalité manquaient

COMME DANS LE LANCET GATE, LES CHIFFRES DONNÉS POUR ÉVALUER LE NOMBRE DE PATIENTS TRAITÉS À L’HCQ SONT TOTALEMENT FANTAISISTES COMME LE DÉMONTRE L’EXEMPLE BELGE

En France on apprend que 16 % des hospitalisés ont été traités à l’HCQ… PIPO ils n’en savent rien, ils ont choisi deux études de référence portant sur 2285 patients… Ils en ont déduit 15,6 % de traités à l’HCQ pour 100 000 patients.

En réalité de 10 à 80 %, on n’en sait rien !

En Espagne ils nous disent que 83.5 % des hospitalisés sont traités à l’HCQ… Pourquoi cette différence ? ON N’EN SAIT RIEN.

Tout part de là : de 25 000 cas étudiés, ils en déduisent ce qui s’est passé pour 104 750.

MAIS POUR LA BELGIQUE NOUS AVONS LES VRAIS CHIFFRES OFFICIELS ET LEURS DONNÉES SONT ENCORE UNE FOIS INVENTÉES — LES PREUVES
La démonstration de Véronique Baudoux

Véronique Baudoux
@VBaudoux

Il y a eu en réalité 4 542 traités sur 19 644 hospitalisés

Il y a eu pour la période concernée deux fois plus de patients traités à l’HCQ que dans la réalité (chiffres du ministère)

Les auteurs estiment ce nombre à 10.018. Comment l’ont-ils obtenu ? En se référant à l’étude nationale belge qui s’est déroulée jusqu’au 24 mai 2020.

De cette étude, ils ont extrait le taux de prescription d’HCQ de 51 % et ils l’ont appliqué à TOUS les patients hospitalisés (19.644) alors qu’en réalité, ce ne sont que 51 % des 8910 patients inclus dans l’étude qui ont reçu l’HCQ, soit 4542 personnes

La première erreur méthodologique est donc de généraliser ce taux de prescription de 51 % extrait de l’étude à l’ensemble des patients belges hospitalisés pour Covid. Car cela aboutit à un nombre de 10 018 personnes au lieu de 4 542. C’est une grosse différence !La question a été posée lors de la séance à la Chambre des Représentants du 16 juin 2020, et la ministre belge de la Santé a répondu que 5 000 personnes avaient reçu l’HCQ en Belgique.

Le 24 mai 2020, il y avait eu 17 357 patients hospitalisés pour Covid en Belgique. Et 4 542 patients avaient reçu l’HCQ. L’ÉTUDE EN TROUVE DEUX FOIS PLUS QUE LA RÉALITÉ.

À moins d’accuser Sciensano et la ministre de la Santé belge de mentir, ce chiffre de 10.018 patients belges ayant reçu de l’HCQ est donc FAUX !

COMMENT ONT-ILS TROUVÉ LE TAUX MOYEN DE SURMORTALITÉ LIÉ À L’HCQ ? ILS L’ONT INVENTÉ !

Il a fallu un an et demi pour publier cette étude annoncée en juin 2022 et dont les résultats ont changé à plusieurs reprises : 9 500 décès [1], puis 16 000 [2] dans 8 pays et enfin 16 000 dans 6 pays [3]. Cette étude s’appuie sur deux données importantes dont l’interprétation est erronée.

La méthode est la même, partir d’études choisies et extrapoler avec des différences extravagantes (du simple au double pour la mortalité toute cause entre la France et ses voisins.

Le nombre de patients traités par HCQ pour Covid-19 pour chaque pays variait de 10 018 à 551 417, avec une exposition hétérogène variant de 16 % [France] à 84 % [Espagne]. Les taux de mortalité ont été calculés à partir des données d’une [Belgique][19] à 20 cohortes [USA] [Fig. 2][40][41][42][43][44][45][46][47][48][49][50][51][52][53] [54][55][56][57][58][59].La mortalité toutes causes confondues des patients hospitalisés variait de 6 % [Turquie] à 23 % [Italie]

Mais le chiffre de surmortalité lié à l’HCQ est le même partout, il est complètement inventé : 11 %

Il provient de l’interprétation d’une étude qui reprenait les expériences RECOVERY ET SOLIDARITY pour lesquelles la dose d’HCQ était… TOXIQUE ET 12 FOIS PLUS ÉLEVÉE QUE CELLE PRESCRITE PAR RAOULT

Le nombre médian de décès liés à l’HCQ en Belgique, en Turquie, en France, en Italie, en Espagne et aux États-Unis était de 240 [fourchette non estimable], 95 [fourchette 92-128], 199 [fourchette non estimable], 1822 [fourchette 1170-128]. 2 063), 1 895 (plage de 1 475 à 2 094) et 12 739 (plage de 3 244 à 15 570), respectivement. Dans l’ensemble, en utilisant les estimations médianes de l’utilisation du HCQ dans chaque pays, nous avons estimé que 16 990 décès à l’hôpital liés au HCQ (plage de 6 420 à 20 294) sont survenus dans les pays pour lesquels des données sont disponibles.

En effet, les auteurs ont appliqué un taux moyen de surmortalité de l’HCQ tiré de la méta-analyse Axfors dont on sait qu’elle reprend des études dans lesquelles les dosages d’HCQ sont nettement supérieurs aux dosages utilisés en Belgique.

Étude anglaise Recovery : ils ont assassiné les cardiaques…

Publié le 9 octobre 2020 par pgibertie

La grande étude anglaise Recovery posait problème, nous en savons plus ; ils ont assassiné les cardiaques ! C’est ce que nous apprennent de nouvelles données… Leur dose d’HCQ était 12 fois plus forte que ce qui est conseillé dans le Royaume-Uni (200 mg jour) : https://www.medicines.org.uk/emc/files/pil.11516.pdf.

Rappelons que l’hydroxychloroquine est efficace dès les premiers symptômes, ensuite il faut préférer anticoagulants et stéroïdes.

Elle permet d’éviter l’intubation c’est son intérêt.

Les malades de Recovery étaient. avant de recevoir l’hydroxychloroquine :

Malade en moyenne depuis 9 jours
sous oxygène pour 77 % d’entre eux et un sur six déjà intubé

L’hydroxychloroquine ne doit pas être donnée aux cardiaques, un électrocardiogramme est nécessaire. Nous constatons que les malades anglais étaient non seulement affaiblis, maispour 27 % d’entre eux l’hydroxychloroquine posait problème (422 sur 1 561). Aux cardiaques s’ajoutaient des posologies contre-indiquées : 119 et 8 % surtout des insuffisances rénales sévères.

AU MOINS UN TIERS DES MALADES NE POUVAIENT PAS RECEVOIR DE L’HYDROXYCHLOROQUINE EN TOUS CAS PAS A FORTES DOSES

Les auteurs citent Axfors et coll. [11] insinuant que, quelle que soit la posologie, l’HCQ seule est associée à une mortalité accrue. Cette interprétation est erronée, comme indiqué dans les compléments, ce risque n’existe pas à faibles doses. Cela a été confirmé par Ioannidis lui-même [12].

Recovery et solidarity représentent 90 % du poids d’Axfors et coll.

Axfors et coll. [13— Suppléments Tableau S3] ont constaté une augmentation du risque de 12 % uniquement pour l’HCQ à forte dose (récupération, sollicitude, plafond de remappage), dans 3 études impliquant 6 711 patients. Le groupe HCQ à faible dose (23 études, 3 301 patients) n’a réduit ce risque que de 1 %, alors que le RC était de 0,97 (0,71, 1,30). il est impossible que l’HCQ à faible dose entraîne un excès de risque de 11 %, risque non démontré par un grand nombre d’études observationnelles (HCQ à faible dose). L’ICMR d’Inde a mis en garde l’OMS contre les doses élevées de récupération.

Les auteurs n’ont pas indiqué le schéma thérapeutique utilisé dans les différents hôpitaux. Ceci est préoccupant, car les seuls essais cliniques faisant état d’une tendance à la nocivité (sans signification statistique) ont utilisé des doses totales beaucoup plus élevées que dans le cadre d’un usage compassionnel. Extrapoler un effet cardiotoxique putatif sans tenir compte de l’effet établi dépendant de la concentration de la chloroquine est erroné.

La majeure partie du poids de la méta-analyse d’Axfors provient d’essais cliniques à fortes doses (Recovery/SOLIDARITÉ). Avez-vous procédé à une comparaison du modèle que vous proposez avec les résultats réels des études incluses dans votre analyse pour valider sa pertinence ?

https://pubpeer.com/publications/CC52948B43670BCD51E1B617E7BDAC

LA MÉTHODE DE L’ÉTUDE

ON prend un taux de surmortalité hydroxychloroquine provenant de doses toxiques 12 fois plus élevées que celles prescrites.

On le multiplie par un pourcentage de patients traités à l’HCQ totalement inventé.

On le multiplie par le nombre de décès Covid.

ON ARRIVE À UN RÉSULTAT REPRIS PAR LES MÉDIAS.




Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Par Nicole Delépine (son site)
lundi 6 avril 2020

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [1][2][3][4]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore :

« Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

[1] Avis 106 de 2009 sur “Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[2] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[3] Contribution du 13 mars 2020 sur les Enjeux éthiques face à une pandémie 

[4] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

Décret Rivotril : compassion, euthanasie[1] ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?

Le traitement du Pr Raoult potentiellement efficace, serait dangereux pour ceux qui sont trop vieux pour bénéficier de soins actifs en cas de Covid ! Mais pas le Rivotril qui les endormira à jamais ! Sortez vos ainés des EHPAD et hôpitaux en urgence.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 :

« C’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931. »

Un nouveau procès de Nuremberg se profile

Les médecins français et soignants de 2020 sauront-ils mieux résister aux injonctions du pouvoir totalitaire qui se met en place que leurs confrères allemands des années 30, qui appliquèrent la loi hitlérienne visant à euthanasier les handicapés, les fous, etc. ?

Comment un soignant peut-il accepter de condamner à une mort rapide un patient avec lequel il converse avec empathie apparente, sous l’ordre de deux médecins différents joints par téléphone qui n’ont pas examiné le malade de chair, d’os et d’âme ?[2] C’est à ces extrêmes qu’on voudrait conduire médecins et infirmiers qui, à coup sûr, contraints dans le feu de l’action et la pression du groupe, accepteront pour certains, mais ne s’en remettront jamais à long terme… [3]

Nos aïeux en EHPAD semblent avoir été sournoisement condamnés à mort par une série convergente de circulaires gouvernementales

Une épidémie volontairement non contrôlée : pourvu que ça dure…

Pas de fermeture des frontières, pas de masques ni gels, ni respirateurs en nombre suffisant, pas d’ouvertures de lits ni embauche de personnel, plan blanc bloquant l’activité des cliniques privées depuis près de trois semaines, mais dont les lits restent vides !

« En même temps » une mise en scène théâtrale permet au président de jouer au chef de guerre salvateur (transfert en hélicoptère coûtant plusieurs centaines de milliers € alors que le transport d’un respirateur ne revient qu’à 300 €)… Le plus révélateur de la duplicité gouvernementale pour les Français naïfs et/ou bienveillants sont les refus réitérés des propositions d’entreprises pour fabriquer des masques, des respirateurs et d’empêcher les médecins de prescrire l’hydroxy chloroquine aux malades qui en ont besoin alors que ce médicament était en vente libre sans ordonnance jusqu’en janvier 2020 et le décret scélérat d’Agnès Buzyn. Les ARS, les Normes, les contrôles et l’exigence d’un essai randomisé, tout l’arsenal des bureaucrates a été utilisé pour retarder l’arrivée des moyens de lutte contre l’épidémie, comme durant la drôle de guerre où ils ont retardé la livraison des armes modernes qui ont tant manqué en 40 [4]

La peur au royaume de Machiavel et le confinement généralisé brutal

Au bout de trois mois de mensonges et de décisions inefficaces, l’excuse d’incompétence n’est plus crédible, ni celle de révision de stratégie. À Wuhan, les Chinois ont bâti un hôpital en 15 jours. En Angleterre, et en Espagne, des milliers de lits ont été montés en quelques jours. Quand l’Allemagne s’est sentie menacée, A. Merkel a immédiatement réquisitionné des hôtels pour les transformer en hôpitaux, et fait tourner les usines jour et nuit pour fabriquer des respirateurs…

En France, l’épidémie a été favorisée par les décisions gouvernementales inadaptées et incohérentes, telles l’incroyable histoire des masques. Port de masques déclaré inutile[5] pour les forces de l’ordre et la population ordinaire jusqu’au 3 avril 2020 où brutalement le directeur général de la santé demande que tout le monde en porte (« on réévalue la doctrine »), il fallait oser ! La peur créée et entretenue 24 h/24 par les médias[6], et en particulier leurs médecins préférés comme Karine Lacombe[7], Yazdan Yazdanpanah [8] ou Jean-François Timsit[9], est responsable d’une hystérie collective qui permet au gouvernement d’imposer un confinement généralisé inutile et inefficace sur le plan sanitaire[10] [11], mais qui a le mérite de museler toutes formes d’opposition et de disposer des pleins pouvoirs[12].

Le peuple crédule, quotidiennement lobotomisé par les émissions pseudo-débiles qui véhiculent la propagande gouvernementale ACCEPTE SANS BRONCHER. (Apparemment — l’eau qui bout ?). Les citoyens se croient protégés, alors qu’en même temps, on les laisse se contaminer (ou on favorise la diffusion du virus ?) lors de leurs courses dans les supermarchés en air conditionné (alors que les marchés de plein air sans risque sont fermés !) et dans le RER, pour ceux qui doivent travailler (haut lieu de contamination, les voyageurs serrés comme des sardines, non protégés). Comble de la perversité, soignants libéraux et policiers au contact de la population travaillent sans protection. Si on voulait que l’épidémie puisse prospérer, c’était la meilleure recette. Nos résultats sanitaires du 2 avril 2020 qui nous placent dans le trio des plus mauvais du monde[13] (Italie 12430 morts, Espagne 8189, France 3514 versus Allemagne 732 et Japon 57) le démontrent amplement.

 Ainsi, tandis que le Premier ministre ferme les cafés, restaurants, et la plupart des commerces en 4 h (quid des provisions des commerçants ?) le samedi 12 mars, le premier tour des élections a lieu le dimanche. Il annonce le lundi un confinement généralisé pour le mardi midi. Bloqués sur place, sidérés, désireux de donner à leur famille un peu d’espace en campagne, les récalcitrants qui le peuvent seront culpabilisés d’emblée. Mais lorsque quelques semaines plus tard, le président et sa ministre des armées exhiberont leurs joujoux pour transférer à prix d’or des patients Covid19 partout en France, personne ne les accusera de diffusion du virus et d’incohérence, alors que de nombreux lits de cliniques privées, équipées en matériel et personnel restent vacants tout près des hôpitaux saturés.

Confinement politique !

Victoire ! les Gilets jaunes sont bloqués ! Le 49 3 anti-retraites du 29 février n’a pas le temps d’entraîner de manifestations, CGT FO, etc. tous sont neutralisés et terrorisés comme tous, par les annonces mille fois répétées sur les ondes. Les médias oublient totalement la guerre des frontières en Grèce, l’ouverture au marché commun avec le Vietnam par l’UE (en même temps, décidément, qu’E. M. fait semblant de plaider pour la souveraineté nationale) et l’intégration de nouveaux pays dans l’OTAN. N’oublions pas, la Commission européenne planche sur un sujet éminemment urgent, la crêpe bretonne.

Les soignants en grève depuis un an, gazés et tabassés dans les manifestations multiples ne peuvent plus témoigner de la misère de l’hôpital. On les traite de héros chaque soir à 20 h en leur promettant des médailles et encore plus d’applaudissements, alors qu’ils ne voudraient que surblouses et embauches immédiates et que des voisins ne leur demandent pas de déménager. Mais l’ARS Grand Est, région martyrisée par le Covid19 et l’insuffisance de moyens confirme en ce début avril la suppression de 598 postes et de 174 lits. Incroyable !

Dos au mur, pourquoi changer une politique qui tue, surtout les riens (les autres sauf exception, ont accès aux respirateurs et surtout à la chloroquine, comme en témoigne Patrick Pelloux). Les avocats qui se battaient depuis plusieurs mois pour tenter de sauver la Justice et le droit sont également muselés, ainsi que d’autres professions libérales.

Ce confinement prétendument sanitaire est politique et pervers

Veut-on limiter la diffusion du virus ? Mais pourquoi alors laisse-t-on ouverts les transports bondés, de telle façon que les agents RATP sont particulièrement touchés. Par contre, une femme âgée seule au soleil sur la plage serait dangereuse ! Comme un surfeur, un pêcheur sur un bateau, un joggeur en forêt plutôt que tournant en rond dans une rue pavée ? Une mère qui sort sur autorisation spéciale son enfant autiste, qui reçoit une amende, car elle a osé emmener ses autres petits (auraient-ils dû rester seuls ? [14]).

D’innombrables exemples montrent que ce « confinement » est volontairement punitif, humiliant, et vise en réalité à nous conditionner à la soumission à la Stanley Milgram. [15]

Quelle merveille pour le gouvernement que ce vilain virus ? Arrêtons d’être dupes, bisounours, de nous contenter de dessins et de bougies pour honorer les victimes, sans dénoncer les complices du bourreau. Ne sous-estimons pas l’adversaire. L’incompétence affichée, digne des regrettés guignols de l’info dans le jeu de rôle de Sibeth, les décisions contradictoires d’un jour à l’autre avec leurs injonctions paradoxales permanentes constituent une stratégie perverse bien connue « la stratégie du choc ». [16]

État d’urgence voté en catimini en 48 H avec quelques députés présents

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ». Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.

PROCESSUS PROGRESSIF D’ÉLIMINATION DES AÎNÉS ET DES PLUS FRAGILES

À cet effet le gouvernement a édicté une série convergente de lois, circulaires et de décrets qui prévoient et organisent la disparition de nos aïeux hébergés en EHPAD ou même égarés aux urgences des hôpitaux[17]. Rappelons-les par ordre chronologique :

1°) CONFINEMENT IMPOSÉ À TOUS sauf dérogation le 16 mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.).

Immédiatement applicable, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient). Rien, un comportement de sauvages comme ceux qui, il n’y a pas si longtemps, faisaient une descente à 4 h du matin pour emmener un communiste, un résistant, un juif. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid19 a bon dos[18].

Ce décret instaure le confinement strict, y compris pour des personnes âgées dépendantes des soins physiques, mais aussi psychologiques, soi-disant pour les protéger du virus.

Cet isolement brutal les sépare de leurs familles et les rend ainsi plus vulnérables, les entraîne dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. 

Des drames multiples ont déjà été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse « on applique les ordres ; « on n’y peut rien ». Ça ne vous rappelle rien ? Vous êtes trop jeunes, peut-être[19]. De plus, on fait signer à ces personnes en état de faiblesse des « directives anticipées » permettant toute intervention, se croyant couvert juridiquement. Soyez prudents, chers collègues, la responsabilité personnelle juridique reste entière, et le parapluie des injonctions Véran sera transitoire, comme son ministère. Le temps de la justice, lui, est long, très long.

Mise au point réconfortante du Conseil national d’éthique en ce début avril 2020

Le Conseil national d’éthique[20] a parfaitement rappelé :

 « L’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ».

Et oui le fameux syndrome de glissement…

Et l’on découvre jour après jour un peu plus la perversité tant pour le futur défunt lui-même que pour ses proches de cette mesure qui interdit au mourant de voir sa famille pour ses derniers instants. Pourtant un mourant ne risque plus rien et sa famille peut se protéger par des masques ! Le confinement de nos parents n’est pas une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les met en prison en leur supprimant les parloirs !

Comble de la perversité des mesures de confinement (qui les a conçus et rédigés ?), les familles ont interdiction de voir le corps de leur défunt et pire encore, de l’enterrer en se soutenant les uns les autres au cimetière. Les premières contraventions de familles dans ces circonstances ont scandalisé les internautes et actuellement seules quatre personnes seraient autorisées. Insupportable détournement d’une mesure soi-disant sanitaire. Humiliation d’un peuple qui a osé résister depuis trop d’années au goût des gouvernants en place depuis 2012 (E. M. secrétaire général adjoint de l’Élysée sous Hollande, puis ministre de l’Économie puis président et O. Véran et J. Salomon conseillers de M Touraine ministre de la santé responsable de l’épouvantable Loi de Santé 2016). Revanche contre les Gilets Jaunes !

2°) Absence de fourniture de matériel barrières (masques, gants, blouses à usage unique), de tests aux soignants, policiers, conducteurs de métro, etc. facilite leur contamination et les transforme (à leur insu et à leur péril) en agents de diffusion du Covid19 parmi leurs pensionnaires lors des soins ou après des contrevenants et voyageurs. Non testés même s’ils présentent des signes très évocateurs, donc non confinés et contaminants.

Est-ce un hasard si les promesses de fournir des masques aux EHPAD n’ont presque jamais été tenues et ne le sont toujours pas ? Ce sont les bonnes volontés qui tentent de les aider. À quoi servent nos impôts ? Sans honte, Darmanin, ministre de l’Économie, et Hirsch, directeur de l’APHP font des quêtes, comme malheureusement Bern pour notre patrimoine aussi mal en point que notre système sanitaire.

Les mesures contre les personnes âgées se durcissent avec les consignes, la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé, est absent[21] de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse.

De la compassion pour les malades en grande détresse respiratoire ?

Certes, certains partisans de l’euthanasie, et les responsables de ce décret plaideront la compassion pour des malades en grand danger, en détresse respiratoire. Bien, mais pourquoi inclure parmi les “bénéficiaires éventuels de ce décret, les patients encore en bon état, mais exclus des soins hospitaliers et/ou de réanimation, sur simple décision de médecins au téléphone qui n’auront ni vu ni examiné le malade et le condamneront en raison de son âge et de ses antécédents médicaux. Sauf si c’est Michet Drucker comme le disent fort justement les twittos. Aux soignants de faire le sale boulot, injecter la seringue prête dans la chambre. Comme souvent diront-ils, et ne s’en remettront pas toujours.

Compassion, oui, mais pour les malades qui souffrent le martyre, pas pour ceux qui pourraient un jour, peut-être, souffrir ce martyre comme nous tous et qui actuellement perdent des chances de survie en leur refusant une chance avec le schéma de l’équipe Raoult.

Même les militants de l’euthanasie sont choqués

Mais comme le font remarquer de nombreux pro-euthanasie, celle-ci doit être la décision du patient et non de l’entourage soignant. L’état d’abus de faiblesse des personnes âgées, isolées, déprimées par l’absence d’environnement familial et amical, laisse largement douter d’un consentement véritablement éclairé lors des directives anticipées qu’on leur demande de remplir ces jours-ci à toute vitesse. Pourquoi ?

Mise en danger juridique des soignants et médecins. Valeur très relative des directives anticipées signées dans ces conditions de confinement

En tous cas, ces directives sans délai de réflexion réel, sans accompagnement véritable ne seraient que fausse protection des soignants en cas de plainte juridique des proches. Collègues, infirmiers, soyez prudents et protégez-vous aussi, ce décret qui semble pour certains juristes, illégal, car contraire à la loi Leonetti, pourrait bien être abrogé par les recours au Conseil d’État qui vont se multiplier.

3°) Refus d’admettre en réanimation les plus de 70-75 ans, quel que soit leur état physiologique, peut-être en partie pour camoufler l’insuffisance majeure de lits et de respirateurs qui résulte des politiques sanitaires désastreuses des dernières années. Argument douteux quand on connaît le nombre de lits vides en établissements privés dotés du nécessaire pour prise en charge de malades lourds et réservés par les ARS en fonction de leur bon vouloir. Directive d’inspiration bureaucratique plus que médicale, car les médecins ne raisonnent jamais en âge absolu, mais bien « physiologique » en fonction de plusieurs caractéristiques de la personne.

4°) Interdiction d’adresser en consulter et d’admettre à l’hôpital public les malades des EHPAD suspects de Covid19 ou des personnes à domicile âgées. Tentez votre chance pour vos proches (en les sortant préalablement pour leurs « derniers jours » chez vous) en consultant directement aux urgences des hôpitaux privés, pour ceux auxquels l’ARS n’a pas supprimé cette compétence. Et n’appelez ni SAMU ni pompiers auxquels l’état impose d’emmener le patient directement en public et seulement en public (même si vous êtes suivi depuis des années par un médecin ou chirurgien) dans un de ces hôpitaux privés. Si besoin, demandez une ambulance privée.

Tel est l’état du système de santé français complètement déséquilibré et entièrement sabordé par l’État via les ARS, les libéraux étant complètement sous la coupe de la technocratie. Il n’y a pas à proprement parler de système privé en France. [22] [23] [24]

5°) Décret du 26 mars empêchant la prescription de chloroquine dans ces établissements et interdiction aux médecins généralistes de ces établissements de les traiter par l’association Chloroquine-Azithromycine (sous prétexte de leur éviter des traitements dangereux !), alors que cette association est donnée depuis longtemps, sans complications notables aux femmes enceintes en zone d’endémie palustre pour prévenir paludisme et infections.

Quel risque chez des patients abandonnés que l’on estime condamnés ? La chloroquine, potentiellement efficace, serait-elle plus dangereuse pour eux que le Rivotril injectable à visée de sédation profonde définitive, puis mort ? De fait, les médecins résistants peuvent tout de même les mettre sous azithromycine en vente encore libre sur ordonnance (pour combien de temps) et/ou sous ciflox qui semble avoir les mêmes effets que l’azithromycine et peut-être pas en rupture de stock. Collègues, battez— vous, battons-nous ensemble à travers des pétitions bien reçues comme celle du Dr Éric Menat [25].

https://www.petition-chloroquine.fr/ signez, diffusez.

Merci pour les patients dont certains certes auraient guéri spontanément, mais les autres ? Ne pas vouloir traiter sous ce prétexte nous semble remettre en question toute la médecine « préventive » ou précoce, et singulièrement les vaccinations qui ne sont pas données à des malades, mais à des bien portants pour leur éviter une possible maladie, comme d’ailleurs la chloroquine est donnée pour éviter le paludisme…

6°) Ordre de maintenir les pensionnaires infectés dans l’établissement (afin qu’ils contaminent un maximum de leurs compagnons d’infortune ?).

Le 30 mars, devant le scandale difficile à étouffer, le ministre demande à isoler préventivement chaque patient dans sa chambre. Plus de visites, plus de bénévoles déjà depuis deux semaines et maintenant plus de contacts avec les autres pensionnaires, temps soignant très court.

Ils étaient en prison sans parloir on les met au mitard ! Pour leur bien ? Qui le croira ?

À peine besoin du Covid19 et/ou du Rivotril pour les achever. Cette prison de fin de vie pour personnes handicapées qui, souvent, ne peuvent se lever est une aberration majeure, une maltraitance monstrueuse. Qui a pu donner des consignes pareilles ? Quels médecins peuvent assumer cette mort à petit feu dans un lit d’une chambre fermée dont on ne peut sortir même pour les toilettes ?… Finalement quand on lit cet arrêté, on peut se demander si Édouard Philippe n’a pas voulu donner une « mort miséricordieuse » à la Hitler avec son Rivotril, pour les mettre rapidement dans un coma irréversible ?

7°) Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !).

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS.

Une internaute : « on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure ». Nous pourrions vous en transcrire des centaines.

Ce décret scélérat autorise la prescription de Rivotril [26] sous forme injectable dans ces établissements, aux malades infectés[27] ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contre-indiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair !

Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription hors AMM dans le cadre du covid-19 »”.

Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

8°) Fourniture du mode d’emploi complet du médicament létal :

« le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la société française d’accompagnement et de soins palliatifs »[28].

Un « protocole » imposé aux cliniciens désemparés devant tant de violation du serment d’Hippocrate

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid [29]. Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique[30]. Pour un malade souffrant d’une légère dyspnée :

ÉTAPE 1 Anticiper une aggravation éventuelle avec le soignant

  1. préparer le matériel —Oxygène prêt à l’emploi si possible (HAD, prestataires privés) — Disponibilité des médicaments (et des soignants en cas de prise en charge à domicile) —Matériel de protection des soignants 
  2. rédiger des prescriptions anticipées qui autorisent l’infirmière à débuter l’administration si aggravation.
  3. préparer les traitements médicamenteux nécessaires à la réalisation de la sédation, dans le poste de soin. En cas de nécessité, préparer les seringues à l’avance et les conserver dans la chambre du patient. Il faut alors étiqueter la seringue avec le nom du patient + le contenu de la seringue + la date et l’heure de préparation + le nom du préparateur.

DANS TOUS LES CAS : Se renseigner sur les organisations et ressources en soins palliatifs mises à disposition sur son territoire de santé :

Patient pour lequel il a été statué qu’une prise en charge en USI ou réanimation ne serait pas entreprise [31]

Patient présentant des facteurs de risque de forme sévère (cancer, pathologie chronique sous-jacente, insuffisance cardiaque ou rénale…)

REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE[32] (…)”

ÉTAPE 1 : ANTICIPER L’AGGRAVATION ÉVENTUELLE DE L’ÉTAT RESPIRATOIRE AVEC LE PATIENT

  1. ÉVALUER LES SYMPTÔMES : dyspnée, encombrement, angoisse, douleur.
  2. INFORMER LE PATIENT s’il est communiquant et de façon adaptée sur la possibilité du recours à une sédation en cas de détresse respiratoire asphyxique. Rechercher son consentement si possible et informer la personne de confiance ou les proches. 
  3. RECHERCHER D’ÉVENTUELLES DIRECTIVES ANTICIPÉES
  4. TRACER LES INFORMATIONS dans le dossier médical et noter la prescription anticipée dans l’observation médicale et dans les transmissions soignantes ».

Telles sont les consignes de la fiche médicale portant sur le premier stade, dont des patients « bien portants ». Les fiches suivantes portent sur les patients en détresse respiratoire avérée.

ÉTAPE 2 : Face à une détresse respiratoire, endormir rapidement le patient pour lui éviter une sensation d’étouffement

PRINCIPES DE TRAITEMENT [33]

  • REPÉRER LA DÉTRESSE RESPIRATOIRE ASPHYXIQUE : 

    • PATIENT COMMUNIQUANT : sensation d’étouffement avec angoisse massive/agitation et sensation de mort imminente
    • PATIENT NON COMMUNIQUANT : FR> 30/min, agitation, utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration), respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration), battement des ailes du nez, râles de fin d’expiration, faciès de peur.

  • REPÉRER les premiers signes de DYSPNÉE : (Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) [34]

Des consignes pour les soignants, outre le protocole technique que nous ne détaillerons pas ici, sont rédigées dans cette fiche[35].

Faire le tri du stock de malades, selon l’expression du Président

Comme l’a simplement résumé Corso di saluti[36] :

« s’il n’y a plus de place pour prendre les patients en détresse respiratoire, on demandera aux médecins de ville de “faire le tri” en amont, en administrant directement des traitements palliatifs à ces patients ».

Le plus choquant dans ces fiches détaillées pour les médecins et infirmiers est le détail des indications initiales alors que le patient respire normalement ET qu’on lui demande de fait d’accepter l’euthanasie en cas d’aggravation. Préventivement. Froidement.

Les fiches se poursuivent avec les protocoles techniques pour malades en détresse respiratoire graves qui ne sont plus admis en réanimation depuis quelques jours alors que des lits sont disponibles dans des cliniques privées qui ont signifié leur accord pour les accueillir.

ASSASSINAT AVEC PRÉMÉDICATION SUR INJONCTION DE L’ÉTAT

Il s’agit donc bien de la préparation de la mise à mort préméditée, programmée, de vieillard qui aurait le malheur d’être dans un EHPAD, à l’hôpital, ou même à domicile et qui aurait l’imprudence d’appeler chez lui pour n’importe laquelle pathologie pulmonaire un médecin complice de ce programme criminel.

Nous parlons de crime parce qu’il ne s’agit pas là d’un arrêt de traitement inutile (on ne les traite pas), ni de mettre fin à des souffrances (qui n’existent pas encore) puisque cet empoisonnement est anticipé. Et en cas de résistance imprévue du sujet au premier cocktail, la fiche conseille de doubler les doses et/ou de recourir aux autres drogues connues dans les euthanasies souhaitées ou subies depuis 20 ans.

Nous nous garderons de vous donner la recette de ce cocktail rappelé aux médecins de garde dans la fiche de la société de soins palliatifs et accompagnement.

9°) Ce même décret autorise l’extension des morgues dans ces établissements sans demande de permis de construction préalablepudiquement appelés « locaux destinés à l’entreposage » afin d’accroître la capacité des morgues existantes des établissements auxquels les ARS soi-disant incapables de fournir des masques de protection ont déjà fourni des housses mortuaires. Pourquoi tant de prévisions pour cadavres si comme LCI tente de le faire croire ce jour dimanche 5 avril, ce décret ne visait pas la disparition de nombreux vieillards, pas toujours si vieux… puisque bons à travailler selon le dernier projet de retraites.

10°) Réquisition d’entrepôts réfrigérés à Rungis pour entreposer les corps. Avec l’idée fameuse de rejoindre le plus gros marché alimentaire de France. Ils ont toujours des idées…

DES ANTÉCÉDENTS PEU GLORIEUX AU DÉCRET RIVOTRIL SIGNÉ PHILIPPE-VERAN

« N’est-ce pas l’exigence de la charité : délivre ceux que tu ne peux guérir ! » LA MORT MISÉRICORDIEUSE selon Hitler…

 Afin que chacun discerne clairement la société dans laquelle nous nous dirigeons à grands pas, si une réaction majeure à ce décret n’apparaît pas très rapidement, nous rappellerons quelques épisodes de l’ascension d’Hitler et de sa marche vers l’horreur à l’aide de quelques moments cruciaux (lire le développement de Wikipédia sur le sujet). Il s’agit ici de rappeler le génocide des malades par Hitler, en parallèle au génocide possible des vieux malades engagé par le décret #RIVOTRIL du 26 mars 2020 en France.

Le drame global de la Shoah ne sera pas détaillé ici, mais chacun doit bien penser que mettre le doigt dans l’engrenage est un risque réel…

Petit rappel :

« Euthanasie des enfants sous le Troisième Reich : meurtre d’enfants et d’adolescents handicapés organisé par le régime nazi, sous le Troisième Reich de 1939 à 1945.

Ce programme, initié et dirigé depuis la Chancellerie du Führer et sur ordre d’Hitler, précède chronologiquement celui de l’Aktion T4, et implique un grand nombre d’“établissements pédiatriques spécialisés” sur le territoire du Reich. Plus de 5 000 enfants ont été victimes de ce programme, et peu de ses responsables sont poursuivis pénalement après-guerre ». [37] [38]

Le mythe du soulagement de la souffrance des enfants, utilisé déjà par les nazis 

 « Les demandes de malades incurables ou de personnes sévèrement blessées, qui priaient d’être délivrées de souffrances trop dures à porter pour eux, arrivaient de plus en plus souvent, et ce environ six mois avant que la guerre n’éclate.

Ces demandes étaient particulièrement tragiques, car les médecins ne pouvaient les satisfaire en raison des lois existantes. Comme notre office était justement là, comme on nous le répétait souvent, pour traiter sur ordre d’Hitler les cas qui ne pouvaient être résolus légalement, le docteur Hefelmann et moi-même nous sommes sentis obligés de transmettre au docteur Brandt un certain nombre de ces cas, en le priant de solliciter d’Hitler ce qu’il convenait de faire. Le docteur Brandt répondit bientôt qu’il était possible d’accéder à de telles demandes, si l’on pouvait s’assurer que le médecin traitant du patient ainsi qu’une commission médicale, qui restait à créer, s’entendaient sur le caractère incurable de la souffrance »[39] 

Lecture difficile à supporter.

DÉROULEMENT DU PROGRAMME D’EUTHANASIE DES MALADES SOUS HITLER

« Euthanasie » des enfants de 1939 à 1945,

« L’euthanasie » des adultes de 1940 à 1945 :

« L’Aktion T4 » programme centralisé d’assassinat par le gaz, de janvier 1940 à août 1941,

« L’euthanasie » par les médicaments, ou par une sous-nutrition contrainte, pratiquée de façon plus décentralisée de septembre 1941 jusqu’en 1945,

« L’euthanasie » des invalides et des détenus, connue sous le nom « Aktion 14f »[40] d’avril 1941 à décembre 1944

L’Aktion Brandt prend place de juin 1943 à 1945[41]. Le nombre des victimes de ce programme de « guerre contre les malades » est estimé à 260 000 personnes[42].

« Aktion T4 [43] nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941 (70 000 à 80 000 victimes) ».

Le nazisme ne tombe pas du ciel, préparé par plusieurs décennies de propagande d’eugénisme depuis les années 1880

L’extermination ne tombe pas du ciel, elle est précédée par une mise en condition de la population et des politiques pour un eugénisme actif qui fleurit aux USA et en Europe dès les années 1880. Dès 1895, le juriste allemand Adolf Jost, dans son ouvrage Le Droit à la mort, plaide en faveur de « mises à mort médicales ». En Allemagne Alfred Ploetz, fondateur en 1905 de la Société pour l’hygiène de la race, estime qu’il faut arrêter les soins aux malades alcooliques, vénériens ou issus d’unions consanguines, car ils sont « contre-sélectifs », en leur permettant de se reproduire et de maintenir ainsi des tares héréditaires dans le corps social15 ; il conseille aux médecins de tuer les nouveau-nés chétifs et malformés ».

« En 1920, l’ouvrage Die Freigabe der Vernichtung lebensunwerten Lebens (L’autorisation de l’annihilation de la vie dénuée de valeur) de Karl Binding et Alfred Hoche propage en Allemagne les concepts de “semi-humains”, “esprits morts”, “avariés” et “existences superflues”. Parmi les raisons évoquées, et par la suite reprises par les nazis, figurait la nécessité d’éviter de dépenser un argent qui pourrait servir autrement à des fins “productives[44]. Dans cet ouvrage crucial selon Lifton19, les auteurs estiment que l’euthanasie forcée est une action compassionnelle et conforme à l’éthique médicale. 

Lors de la publication de l’ouvrage, l’écrasante majorité des médecins allemands rejette l’euthanasie, mais l’idée de mettre à mort des malades se propage dans l’opinion : en 1922, une revue de droit pénal publie un projet de loi sur la suppression des malades mentaux, et en 1925, une enquête menée auprès de théologiens fait apparaître que certains d’entre eux estiment inutile d’aider médicalement les enfants attardés ».

1933 :

« La Conférence internationale d’hygiène mentale, tenue à Paris, se déclare unanimement favorable à toutes mesures empêchant la naissance “des anormaux et des tarés”. En juin 1933, Hitler assiste à une séance du Congrès annuel de la Société internationale de biologie criminelle, tenue à Hambourg, où sont présentés les bons résultats des lois de stérilisation au Danemark. Cette séance convainc Hitler d’appliquer de telles lois, mais renforcées et contraignantes, en Allemagne (loi du 14 juillet 1933) ». [45]

Les antécédents de l’histoire actuelle en France

Comme en Allemagne lors de l’ascension d’Hitler, le décret d’E Phillipe ne tombe pas du ciel malheureusement. Nous écrivions déjà en 2013 [46] : « L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé. »

« 3,1 % des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8 % des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2 % seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient selon l’Ined. (…)

Si on “aide“ quelqu’un à mourir, ce ne peut être qu’un choix longuement pesé et le risque moral, médicolégal et éthique doit persister et être assumé, seul rempart à la banalisation du meurtre. Il ne faut pas banaliser le fait de “tuer” dans notre société et achever un mourant est bien ‘tuer’. Si on passe la limite sans même sans apercevoir, la déliquescence de la société et son humanité sont en jeu. La porte est rouverte aux wagons de bestiaux, aux camps pour handicapés ou opposants, aux expériences médicales sur ces ‘sous hommes’ déchets humains selon l’expression des années 1930 pour les cancéreux incurables, voir à l’extermination de catégories gênantes, bref ! au fascisme qui rode toujours” car ‘le ventre est toujours fécond d’où naît la bête immonde[47]’. »

Déjà trop d’euthanasies en France, la mort précipitée dans un cas sur deux ! Ce nombre important de fins de vie “accélérées” dont un nombre non négligeable sans l’accord du patient même conscient interpelle.

Les gouvernements, les soignants, voire les familles ont pris l’habitude de décider de ce qui est bon pour le malade. On a l’habitude d’entendre dans les réunions hospitalières qui se permettent de décider de la vie ou de la mort des individus au nom d’une collégialité toute puissante : “cette vie ne vaut pas la peine d’être vécue” (et la leur ?). Ou bien “pourquoi réanimer cette enfant handicapée ?” (Faits quotidiens dans les hôpitaux). Faut-il avoir un QI minimum pour avoir le droit de vivre, de rire, de jouer, d’aimer et d’être aimé ?”

N’est-ce pas cette dérive devenue banale qu’on voit se formaliser dans ce décret et cette fois-ci à grande échelle ?

Sur les causes de cette dérive mise sur le compte de la compassion, nous évoquions des raisons pas si nobles en faveur de l’euthanasie motivant peut-être certains de ses promoteurs.

Les soins palliatifs sont encore trop coûteux. Les hôpitaux sont « encombrés » de patients vieux, fatigués, malades peut-être incurables (cela est vite décrété et souvent au moins partiellement faux). Les établissements hospitaliers sont en déficit. Il faut réduire les coûts, donc les hospitalisations, d’autant que les moyens ou longs séjours nécessitent beaucoup de personnel soignant et que ce sont les emplois qui coûtent cher.

Alors, accélérer les fins de vie en le présentant comme un choix humain et compassionnel, n’est-ce pas une belle idée de gestionnaire, inavouable dans ses raisons réelles à la population. Les citoyens ne le découvrent que lorsque leur proche est en cause. Et encore seulement les plus vigilants qui ne se laissent pas tromper par le discours de compassion apparente.
 

UNE NOTE D’ESPOIR

Parmi les journaux, l’Obs[48] et Corse matin se sont jusqu’ici saisi du problème. Les grands médias n’ont guère réagi ni informé sur les raisons réelles et les conséquences pratiques de ce décret. Les réseaux sociaux sont heureusement plus actifs et de nombreux médecins hurlent à la honte de ce viol du serment d’Hippocrate et quelques radios [49].

Ce 5 avril 2020, devant la stupeur et l’indignation suscitées par le décodage des finalités de ce décret, le gouvernement a mobilisé tous ses moyens de désinformation dont LCI vient de donner un bel exemple en prétendant que ce décret aurait « pour objectif la prise en charge palliative des patients confrontés à un état asphyxique et ne pouvant être admis en réanimation ou pour lesquels une décision de limitation de traitements actifs a été prise. »

Ce qui confirme en fait exactement ce que nous dénonçons : ils sont victimes d’une décision de non-admission en réanimation (parce que la réanimation manque de lits obligeant les réanimateurs à faire un tri inhumain).

Cette pseudo mise au point essaie de cacher qu’il s’agit d’une euthanasie active et non pas d’une limitation des traitements actifs. En effet, l’interdiction d’usage d’emploi de la chloroquine dans les stades précoces par le gouvernement fait qu’il n’existe pas en France [50] de traitement actif du Covid19. Le Rivotril injectable n’est pas un traitement du Covid19, mais un puissant dépresseur respiratoire d’ailleurs officiellement contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires ce qui est exactement le cas des infections à Covid19 qui se compliquent. Il vise à la sédation profonde et définitive, et donc de décès.

Et le Dr Gavazzi prétend justifier l’euthanasie active (injection de Rivotril) par le risque de complication lors des soins de réanimation : « Aujourd’hui, on sait que la durée d’intubation pour les malades du Covid-19 est d’environ 21 jours. C’est une technique très invasive pour le patient, avec de nombreuses prises de sang et de nombreuses autres procédures de soins invasives potentiellement douloureuses. Cela peut entraîner d’importantes complications et des conséquences lourdes, explique encore le Dr Gavazzi. Oui, des personnes ne peuvent pas supporter ce protocole de soin », mais la mort par Rivotril n’est-il pas pire que des complications éventuelles ?

Le Comité Consultatif National d’Éthique a pris des positions qui lui font honneur en rappelant dans de nombreux avis [51][52][53][54]

« Les principes éthiques fondamentaux doivent être respectés ». Il faut éviter que « le confinement, quelle que soit sa justification aux impératifs de santé publique, ne devienne pour ceux qui n’ont plus la liberté de choisir leur cadre et leur mode de vie, une mesure de coercition ».

Et encore : “Faudra-t-il aller jusqu’à contraindre ces personnes en leur appliquant des mesures de contention, physique ou pharmacologique ? « Cette question doit être posée et la réponse doit être le fruit d’une discussion préalable, en y associant des personnes extérieures à l’institution, comme les professionnels des équipes mobiles de gériatrie, ainsi que les proches, sans jamais oublier que l’on peut nier l’humanité de la personne en niant le sens qu’a sa déambulation ».

Et enfin, et peut-être le plus utile en pratique :

« Concernant les familles et les proches aidants qui souhaitent que le résident puisse au moins temporairement les rejoindre à leur domicile, de telles initiatives devraient être encouragées, après avoir bien entendu recueilli l’assentiment du résident et pratiqué des tests permettant de prévenir des risques de contamination intrafamiliale ».

Relisez ces avis ; méditez-les ; et si vous le pouvez, sauvez vos êtres chers, en les sortant des établissements que le gouvernement transforme petit à petit en abattoirs, et en attendant que raison ne revienne sous la pression populaire.


[1] Source : Organisation Mondiale de la Santé (OMS/WHO) Rapport 804 du comité d’experts

— Il est éthiquement justifiable de ne pas mettre en œuvre ou d’arrêter des mesures destinées à prolonger la vie qui ne sont pas en accord avec les désirs du malade, quand de telles mesures ne peuvent inverser l’évolution de la maladie, mais seulement prolonger l’agonie.

— Il est également justifiable, sur le plan éthique, pour des médecins, après consultation avec des membres de la famille, des tuteurs ou des mandataires préalablement désignés par un malade, de prendre de telles décisions au nom de patients inconscients ou incapables.

— Des médicaments à des doses requises pour supprimer la douleur et d’autres symptômes ne peuvent pas être refusés seulement parce qu’ils pourraient abréger la vie d’un malade.

— L’euthanasie (hâter la mort de façon active par des médicaments) ne doit pas être légalisée.

[2] Cf témoignage poignant sur twitter du 3 04 2020 @princedelamour, petite vidéo vue des milliers de fois.

[3] Nous avons vécu cela avec les enfants cancéreux de Garches, brutalement extirpés de leur milieu soignant aimant par la fermeture brutale, accompagnée de CRS (déjà en 2014), le personnel soignant contraint au silence sous peine de sanctions par le petit chef issu d’un ministère et reconverti à l’APHP. Les séquelles chez ces personnels furent lourdes, en termes de dégoût, désinvestissement et abandon de la carrière. Cf Neuf petits lits sur le trottoir, N Delepine éditions Fauves 2014, récit d’un drame collectif abominable.

[4] Comme les chasseurs Dewoitine 520 qui n’avaient pas été munis de leurs mitrailleuses en mai 40 ! Ce chasseur a montré sa supériorité sur le Messerschmitt 109, avion allemand gloire de la Luftwaffe. Malheureusement seulement 37 exemplaires avec mitrailleuses furent livrés avant la débâcle, alors que mille auraient pu l’être dont beaucoup saisis par les Allemands ont été distribués aux alliés de l’Axe.

[5] Interrogée le 4 mars 2020 sur France Inter la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a répondu fermement : « non, on ne doit pas acheter de masques, et d’ailleurs on ne peut pas en acheter puisque nous avons donné des instructions ».

[6] Dont les propriétaires milliardaires possèdent aussi des actions de Gilead, Abbvie ou Sanofi

[7] Aucune des chaînes qui la programment ne précise que la collaboration avec ces labos lui a apporté plus de 150 000 $ en 5 ans. Écoutez Sud radio émission André Bercoff : Gérard Delepine du 27 mars 2020, et ce dans la violation de la loi de 2011.

[8] Très lié à AbbVie, Bristol-Myers Squibb, Gilead, MSD, Pfizer, Johnson & Johnson, and ViVi Healthcare

[9]Lié à Maat Pharma, Merck, Bayer Pharma, Medimune, Gilead, VenatoRx, Nabriva, Paratek

[10] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478

[11] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[12] Et vote d’une loi d’urgence sensée être sanitaire et qui casse ce qui reste du Code du travail, sans manifestation possible, car confinement. Jusqu’à quand ?

[13] Italie, Espagne, France pays qui les premiers ont confiné leur population saine

[14] Contestation pénale prévue et remboursement possible ? cf. PlainteCovid.fr diffusée par Bruno Gaccio, collective et déjà des milliers de plaintes

[15] “Soumission à l’autorité Stanley Milgram et le film la Vague.

[16] La stratégie du choc — Naomi Klein, octobre 2013 Essai (Poche)

[17] Que beaucoup d’entre eux évitent depuis plusieurs années, vu la tendance qui devient plus visible actuellement.

[18] Partout dans le monde en particulier USA et Italie, les morts seraient tous attribués au Covid19, alors que décédés avec le Covid19, ou même sans, en vue d’alimentation de la peur, et de subventions possibles (USA : tous les frais liés au virus seront pris en charge par l’État, promesse de Trump).

Dans le sud de l’Italie ce ne serait que 12 % liés directement au virus, sous réserve de ces chiffres. À suivre.

[19] “Je n’ai fait qu’obéir aux ordres” était l’argument le plus fréquemment avancé par les gardiens de camps de concentration nazis pour fuir leurs responsabilités lors des procès de Nuremberg. Deux médecins furent pendus.

[20] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 

[21] Il ne s’agit donc pas d’une euthanasie au sens juridique, mais bien d’un meurtre. Définition juridique de l’euthanasie : se définit comme un suicide aidé par un tiers, tiers qui est le plus souvent un médecin. Elle traduit un désir de contrôle de la phase terminale de sa vie. Ses partisans estiment que le patient a le droit de mettre fin à sa vie si celle-ci est devenue intolérable. https://www.cairn.info/revue-etudes-sur-la-mort-2001-2-page-69.htm

[22] Quant aux suppléments d’honoraires que certains vont mettre en exergue, les plus élevés et excessifs se voient dans les hôpitaux publics et la médaille d’or à quelques médecins de l’aphp, souvent les mêmes que ceux qui ont de puissants liens d’intérêt. Ceci est une autre histoire.

[23] https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bureaucratie-etouffe-le-systeme-205363

[24] Soigner ou obéir N et G Delépine ; éditions Fauves 2016

[25] “Je sais bien que les gouvernements ne tiennent jamais compte des pétitions.

Mais sait-on jamais. Certains d’entre vous peuvent être intéressés à faire connaître leur point de vue.

Personnellement, je l’ai fait. Écoutez la vidéo, et prenez votre décision en votre âme et conscience.

À l’heure où nos structures médicales sont saturées, pourquoi interdit-on aux médecins de terrain de traiter, comme ils l’ont toujours fait, au cas par cas, leurs patients qu’ils connaissent bien, avec des médicaments dont ils connaissent parfaitement les contre-indications éventuelles et les dosages ?

195 000 en 24 heures, je n’ai personnellement jamais vu ça…” Dominique Delawarde

[26] Puissant calmant et dépresseur respiratoire totalement déconseillé aux personnes qui ont du mal à respirer

[27] Décret no 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret no 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire

[28] ‘Fiche-conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs.

[29] ‘Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID19’. Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.

[30] ‘Prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD’

[31] C’est là que le bât blesse le plus ! Qui décide ?

[32] Covid 19 : Risque de dégradation rapide de l’état respiratoire) Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale simple (gêne respiratoire absente/légère/modérée/sévère/très sévère) Patient non communiquant : FR>24/min ou utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l’inspiration) ou respiration paradoxale (dépression abdominale durant l’inspiration)

Autres signes de gravité clinique (troubles de la vigilance, fièvre très élevée…)

[33] Détaillés dans la fiche

[34] Gêne respiratoire rapportée par le patient, évaluée sur une échelle de 0 (je respire normalement) à 10 (j’ai une gêne maximale) ou par une échelle verbale

[35] ‘RECOMMANDATIONS PERSONNEL SOIGNANT

Faire appel à un autre soignant si possible. Si le soignant est seul (n’entre pas dans la chambre en l’absence de nécessité, mais peut aller chercher les traitements et matériel nécessaire). Rester calme ou arriver calme (y penser avant d’entrer dans la chambre). Avertir le médecin si possible Expliquer simplement la situation au patient, ce que l’on fait, ce que l’on va faire. Injecter le protocole de sédation prévu, etc.

Après l’épisode, prendre un temps avec la famille et les soignants.’ Toujours la langue de bois selon Orwell : n’est-ce pas de mort, de décès qu’il s’agit ? Non un épisode de la vie, pas de Plus belle la vie, c’est certain. 

[36] Isabelle Luccioni L’Associu corsu di a salute refuse ‘un tri barbare et arbitraire » corse Matin 02 avril 2020

[37] https://fr.wikipedia.org/wiki/Euthanasie_des_enfants_sous_le_Troisi&egrave ; me_Reich

[38] ‘Les enfants sont tués par ingestions échelonnées et surdosées de barbituriques comme le phénobarbital ou le véronal, voire de morphine, mélangés à la nourriture des patients ou vaporisés au prétexte d’une protection contre le typhus. Ces overdoses conduisent à des paralysies respiratoires, et à l’arrêt du fonctionnement du système digestif et rénal. Il est ainsi toujours possible d’invoquer une cause apparemment naturelle de décès. Le procédé est développé début 1940 par Hermann Paul Nitsche, qui devient ensuite le directeur médical de l’Aktion T4. La sous-nutrition et le séjour en chambres très peu chauffées accroissent les effets des ingestions médicamenteuses tout en préservant l’apparence d’un décès naturel et contingent.

Hermann Pfannmüller (de), directeur d’une clinique infantile à Munich, teste des ‘régimes alimentaires spéciaux’ consistant à diminuer progressivement la quantité de nourriture administrée aux enfants, et à ne pas leur donner du tout d’élément gras dans les portions38. Les enfants meurent de dénutrition à plus ou moins longue échéance, sous couvert d’expérimentation de régimes alimentaires’ IBID.37

[39] Ulf Schmidt, « Euthanasie » und die aktuelle Sterbehilfe-Debatte : Die historischen Hintergründe medizinischer Ethik, Gœttingue, 2000, « Kriegsausbruch und « Euthanasie » : Neue Forschungsergebnisse zum « Knauer Kind » im Jahre 1939

[40] Udo Benzenhöfer, Der Fall Leipzig (alias Fall “Kind Knauer”) und die Planung der NS-„Kindereuthanasie “, Münster, Klemm & Oelschläger, 2008, 151 p. (ISBN 978-3-932577-98-7), p. 51 IBID.37

[41] Peter Sandner, Verwaltung des Krankenmordes. Der Bezirksverband Nassau im Nationalsozialismus, Gießen, Psychosozial-Verlag, 2003, 788 p. 587 IBID.37

[42] Angelika Ebbinghaus et Klaus Dörner, Vernichten und Heilen. Der Nürnberger Ärzteprozeß und seine Folgen, Berlin, 2002 p. 297 IBID.37

[43] Michael Tregenza, Aktion T4, 2011 IBID.37

[44] Argument favori d’Attali dans sa guerre contre ‘les vieux’ qu’il se garde bien d’appliquer à lui-même

[45] A. Laffont et J. Audit, ‘Eugénique’, Encyclopédie médico-chirurgicale, Masson,‎ 1934, p. 12-15

Fascicule 5122. IBID.37

[46] http://www.economiematin.fr/news-debat-euthanasie-economies-securite-sociale

[47] Bertold Brecht la résistible ascension d’Arturo Ui

[48] Mathieu Aron l’obs 1 4 2020 https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200401.OBS26931/le-cri-d-alarme-du-comite-consultatif-national-d-ethique-pour-la-protection-des-personnes-agees.html

[49] Sud radio https://www.sudradio.fr/societe/dr-nicole-delepine-la-chloroquine-cest-le-meilleur-de-ce-quon-peut-proposer/ 3 avril 2020

[50] Contrairement à de très nombreux pays

[51] Avis 106 de 2009 sur ‘Les questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale

[52] Avis 128 de 2018 Enjeux éthiques du vieillissement

[53] Contribution du 13 mars 2020 sur ‘Enjeux éthiques face à une pandémie 

[54] Avis du 30 mars 2020 Réponse à la saisine du ministère des Solidarités et de la santé sur le renforcement des mesures de protection dans les EHPADs et les USLD 


Sur le même thème

Le Scandale du Rivotril
Qui a sabordé l’État de droit en France ? Mmes Mrs les parlementaires, abrogez la ‘loi sanitaire’ !
Euthanasie, c’est parti !
Le détournement de la santé
Euthanasie, secret médical… échange avec Hippocrate




Et pourtant elle est efficace ! (La chloroquine)

Et soutien à Martine Wonner

Par Dr Gérard Delépine

[Illustration :] Galilée devant ses juges

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

(ONU décembre 1948)

La religion contre la science. Le dogme contre les faits

Lorsque Galilée a été condamné par l’Inquisition parce qu’il affirmait que la terre tournait autour du soleil, il a fait publiquement amende honorable, mais aurait susurré « et pourtant elle tourne ».

Quatre siècles plus tard, de nombreux procès semblables à celui de Galilée se tiennent contre les médecins et scientifiques, enseignants-chercheurs, etc. qui ont osé ne pas répéter la doxa officielle du gouvernement. Peu importe les faits, seul le dogme compte.

Par exemple, la docteur Nicole Delépine vient d’être blâmée comme d’autres collègues, par le conseil de l’ordre régional parisien qui a pourtant relaxé le PR Perronne, pour avoir conseillé les traitements précoces, le conseil arguant que cette affirmation n’était pas avérée malgré les publications internationales démonstratives dès février 2020.

Pourtant les faits avérés et les publications accumulées, confirment ses déclarations, prouvent que la chloroquine et l’azithromycine sont efficaces et démentent le crédo officiel que les traitements précoces seraient inefficaces et les vaccins salvateurs.

Il serait grand temps que les juges du CNOM se comportent enfin en scientifiques, admettent que les progrès en médecine naissent de débats démocratiques et qu’ils analysent les faits avérés au lieu de se comporter en grands inquisiteurs du dogme officiel.

Rappel des données publiées par l’OMS

Tous les pays du monde n’ont pas appliqué la funeste recette de l’OMS (enfermement, interdiction des traitements précoces, injections forcées) et maintenant que l’épidémie est terminée (grâce à Omicron), la comparaison des mortalités selon la stratégie covid de chaque pays permet d’en apprécier la pertinence.

Les pays d’Afrique souffrant de paludisme ont confirmé l’efficacité des antipaludéens

Les pays pauvres d’Afrique ne pouvaient pas s’offrir les injections covid trop onéreuses et les espoirs de l’OMS, de GAVI et de Big Pharma de faire payer les pays riches pour leur offrir ces traitements ont été déçus. Tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins. Or c’est le contraire que nous constatons !

Dans les pays souffrant chroniquement du paludisme, les populations qui prennent chaque jour des antipaludéens ont moins souffert du covid avec une mortalité 20 à 100 plus faible que celle des pays riches très vaccinés !

Il faut fermer les yeux pour ne pas voir que les antipaludéens ont été très efficaces.

Madagascar a prouvé l’efficacité de l’Artémisinine

En avril 2020, face au Covid, les autorités de Madagascar ont décidé d’orienter tous leurs efforts vers la distribution de décoctions de la pharmacopée traditionnelle, l’artémisinine, substance isolée de la plante locale Artemisia Annua, utilisée jusqu’ici en prévention du paludisme.

« Une nette amélioration de l’état de santé des patients ayant reçu ce remède a été observée en 24 heures seulement après la première prise. La guérison a été constatée après sept jours, voire dix jours. Ce remède est naturel, non toxique et non invasif »1.

L’OMS et les fabricants de vaccins ont tout fait pour discréditer ce traitement au prix insignifiant, poussant le président Andry Rajoelina à quitter l’OMS et à déconseiller les pseudo vaccins.

En octobre 2022, l’épidémie est terminée à Madagascar depuis plus de 6 mois et la mortalité cumulée est 40 à 60 fois inférieure à celle des pays riches très injectés.

On pourrait croire que le climat de Madagascar ou la jeunesse de sa population expliqueraient cette différence, mais la comparaison avec les Seychelles contredit cette hypothèse. Madagascar et les Seychelles distantes de 1000 kilomètres partagent le même climat, des populations semblables et des modes de vie similaires. Mais les Seychelles ont suivi les recommandations de l’OMS et ont tenté de sauver leur saison touristique en vaccinant toute leur population. À la fin de l’épidémie, les Seychelles souffrent d’une mortalité 32 fois supérieure à celle de Madagascar très peu vaccinée (<5 %).

Il faut refuser de considérer les chiffres pour ne pas admettre que l’artémisinine a été très efficace :

L’Algérie a prouvé l’efficacité considérable du traitement Raoult, le professeur très malmené par les institutions malgré sa haute réputation internationale2

La comparaison entre la France et l’Algérie est très pertinente, car les populations française et algérienne sont très comparables par leurs facteurs de pronostic covid : mêmes pourcentages de plus de 60 ans, même sex ratio, un peu plus d’obèses en Algérie 23 % vs 17 %, qui ne peuvent donc pas expliquer la différence de mortalité observée.

Dès le 31 mars 2020, le Comité scientifique algérien installé auprès du ministère de la Santé algérien décidait de démarrer le traitement à la chloroquine pour tous les positifs au test PCR et tous les malades symptomatiques. Le 31 mai 2020, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités ».

Et au 31 octobre 2022, les chiffres de l’OMS montrent qu’avec ce traitement, le covid n’a pas été plus mortifère en Algérie qu’une grippe ordinaire : 6881 morts attribuées au covid en trente-deux mois sur une population de 42 millions d’habitants, alors que la France en compte plus de 156 000 pour 67 millions d’habitants.

Certains pourraient évoquer la différence de climat entre l’Algérie et la France, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, la Tunisie qui partage le même climat que l’Algérie, a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Il faut être aveugle pour ne pas reconnaître que la stratégie Raoult a été très efficace.

La politique du Conseil national de l’ordre paraît se résumer à celle des 3 singes : « Ne rien voir, ne rien entendre et bâillonner ceux qui disent la vérité ».

Le conseil de l’ordre des médecins veut constamment faire taire ceux qui disent une vérité qui dérange le dogme officiel.

En 1986, le conseil de l’ordre des médecins m’avait accusé de « prôner des thérapeutiques non reconnues » parce que j’affirmais que l’amputation pouvait être évitée à la majorité des malades souffrant de cancers des membres. J’ai dû mon salut professionnel à la parution, quelques semaines avant le jugement, d’un audit du ministère de la santé américain confirmant mes dires. Et depuis aucun spécialiste au monde ne défend plus l’amputation.

Mais il ne fait pas avoir trop tôt raison devant le conseil de l’ordre des médecins !

Une fois de plus je refuse de me taire, car mon devoir de médecin m’impose de tout faire pour protéger la vie de mes semblables et ma responsabilité de scientifique me dicte de proclamer la vérité des faits établis, même si elle gêne les intérêts de l’industrie pharmaceutique et de ses nombreux complices au pouvoir pour lesquels la reconnaissance de l’efficacité des traitements précoces signerait la fin du business si rentable des faux vaccins Covid (déjà environ 250 milliards de dollars).

Lors de cette crise Covid, l’attitude quasi religieuse du conseil de l’ordre des médecins a contribué à empêcher les Français de bénéficier des traitements précoces qui auraient vraisemblablement permis d’en sauver plus de 100 000. Sa responsabilité dans cette hécatombe qui aurait pu être évitée, au moins en grande partie, justifie une enquête scientifique indépendante des pouvoirs en place, et pourquoi pas judiciaire, pour mise en danger de la vie d’autrui.

Le conseil de l’ordre des médecins poursuit de nombreux médecins qui ont trop parlé, ou pire, qui ont guéri des malades avec des traitements précoces3. Il est indispensable que la population apporte massivement son soutien à ces héros et défende la liberté d’expression, la liberté de penser et la liberté de traiter les malades.

Que chacun de ces procès iniques se transforme en procès du conseil de l’ordre des médecins qui n’a poursuivi comme il le devait les médecins des plateaux télé ni les médecins de journaux lorsqu’ils vantaient des traitements réellement dangereux et inefficaces, tels le Remdesevir sans mentionner leurs liens d’intérêt comme la loi les y oblige.

La liberté ne persiste que si on la défend. Montrons-nous dignes de nos aïeux !

Des voix s’élèvent dans le monde

Pendant que le gouvernement tente de réhabiliter la milivudes et les délateurs de dérives sectaires et les complotistes, assimilés de fait à la dénonciation des mensonges de la crise covid.

En voici une de qualité :



(vidéo sous-titrée en français)

Écoutez l’émission de Ivan Rioufol sur CNews sur le scandale sanitaire que nous avons vécu :

https://t.me/Canal_Hippocrate/188 vidéo interdite et supprimée par YouEnTube

La voici complète et téléchargeable

Enfin l’énorme scandale de la gestion criminelle de cette crise COVID explose sur CNEWS grâce à Ivan Rioufol :
– ces « vaccins » expérimentaux sont inefficaces et dangereux ;
– il existe des traitements efficaces et inoffensifs qui sont interdits ;
– les scientifiques Lanceurs d’Alertes sont tous censurés par les merdias.
Partagez !

SOUTENONS MARTINE WONNER

En urgence, allez à Nancy soutenir l’ex-députée Martine Wonner psychiatre, un des rares députés à avoir élevé la voix dans l’hémicycle 4 contre la dictature sanitaire qui s’aggravait de jour en jour pendant sa présence à l’assemblée, et malgré les insultes et le mépris réitéré du ministre de la Santé, O. Véran.

[En réponse à 2022-11-04 Nancy Soutien WONNER Martine]

Le VICE-PRÉSIDENT NATIONAL DE L’UNION NATIONAL DES PORTE – DRAPEAUX DE FRANCE 🇫🇷
À reçu Mandat De soutenir
L’ancienne DÉPUTÉE.
Martine. WONNER. Dans son combat. Pour le rétablissement
De la vérité.
Une députée. Dynamique
Véridique
Doit être. Rétablie. Dans tous Ses Droits.
Liberté 🗽 chérie

Francis Volk
Commandeur de L’Ordre National
Du Mérite. À titre militaire 💥🇫🇷🪂🪂🪂🇫🇷🇫🇷

[Transféré de 2022-11-04 Nancy Soutien WONNER Martine]

Bonjour à toutes et tous, je vous mets en pièce jointe un courrier que vous pouvez envoyer par mail (en l’adressant de votre part dans le courrier) à la chambre disciplinaire régionale de l’ordre des médecins de Nancy en soutien au Dr Martine Wonner qui y est convoquée ce vendredi 4/11 à 9 h 30. L’association Unic67 a déjà envoyé ce courrier par la poste ainsi que par mail à :
LORRAINE@CROM.MEDECIN.FR
Soutenons notre ancienne députée qui s’est battue pour notre liberté d’expression, pour nos droits, etc., soutenons le Docteur, soutenons la femme… Merci en tout cas de tout ce que vous avez fait pour nous. Alors n’hésitez pas, le courrier est pré-fait et ne vous prendra pas beaucoup de temps, chaque grain de sable est important merci. Cordialement. Secrétaire Unic67.

SOUTENONS JULIEN DEVILLEGER

Pour rappel qui est le cardiologue, initiateur de la pétition au Sénat sur les effets secondaires des injections géniques 
https://t.me/c/1435630116/59347
@JaneOfArc6 #JeSoutiensDrDevilleger Cardiologue convoqué au commissariat pour suspicion d’exercice de la médecine sans respect de l’obligation vaccinale… le 8 novembre 2022

Ex-URSS ? Non, la France !





Macron lit-il les statistiques de l’OMS avant de critiquer la chloroquine et de soutenir le Vax ?

Par Dr Nicole & Gérard Delépine

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Lors d’une interview récente, E. Macron pensait discréditer sa rivale en affirmant « si Le Pen avait été au pouvoir vous auriez eu la chloroquine et pas de vaccin » espérant ainsi s’attirer la reconnaissance d’un électorat bien conditionné par la propagande des médias.

© BFMTV Emmanuel Macron face à la presse le 12 avril à Mulhouse :

« Je n’oublie pas ce que Madame Le Pen a dit constamment pendant la crise du Covid », a déclaré Emmanuel Macron lors d’un micro-tendu, avant de détailler: « Elle allait soigner les gens à la chloroquine. Elle allait vacciner les gens avec un vaccin russe dont même l’Organisation mondiale de la santé a déclaré qu’il n’était pas efficace… Et elle a critiqué assez méthodiquement toutes les décisions prises par le gouvernement, sans lesquelles nous n’aurions pas tenu« .

Et pourtant ce fut une des meilleures déclarations de MLP pendant cette crise du covid, et le plus beau compliment qu’il peut lui faire. Oui, il fallait traiter les patients de covid19 par l’hydroxychloroquine dont l’efficacité se confirme à long terme. Ecoutez la récente interview du Pr Raoult et du Pr Millon : Chloroquine & Censure – YouTube

Et l’analyse complète du PR Million

Présentation complète du Pr Million : https://filesender.renater.fr/?s=down…

Il devrait aussi lire les résultats des injections expérimentales tels qu’ils sont publiés par l’OMS et l’université John Hopkins et reproduits en français dans :

Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org)

Qu’il s’agisse de l’échec des injections Pfizer en Israël :

Ou de l’échec des injections Astra Zeneca et autres en Grande Bretagne :

Si Macron était mieux informé, il aurait évité cet argument de la chloroquine inefficace et du vaccin salvateur car il clame ainsi son ignorance des données avérées de l’OMS qui démontrent que les pays qui ont utilisé la chloroquine pleurent en moyenne dix fois moins de morts Covid que ceux qui comme la France ont appliqué la stratégie du tout vaccin.

Les pays qui ont utilisé l’hydroxychloroquine sont essentiellement africains

Les pays africains tropicaux sont des zones d’endémie du paludisme et leurs populations prennent tous les jours des antipaludéens. Certaines régions de l’inde et du Pakistan vivent sous la même menace et utilisent la même protection. L’Inde après examen des données avérées par son comité Covid a axé officiellement sa stratégie Covid sur les traitements précoces et même préventifs par HCQ (hydroxychloroquine), antibiotiques et ivermectine. L’Algérie a fermement conseillé et largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid19.

Les pays occidentaux riches ont au contraire suivi les recommandations de l’OMS, officiellement refusé la chloroquine et imposé la vaccination forcée.

Les données de l’OMS mises en graphique par l’Université John Hopkins prouvent que la stratégie du tout vaccin aboutit à une mortalité 5 à 20 fois supérieure à celle centrée sur la chloroquine.

Si Le Pen avait été au pouvoir et permis aux médecins d’utiliser la chloroquine comme le conseillaient les Professeurs Raoult et Perronne, et de nombreux autres en France et à l’étranger, nous déplorerions 120000 à 130000 morts de covid de moins !

Avant de s’autoglorifier de sa politique sanitaire que lui a conseillée McKinsey, le candidat Macron et le collège des généralistes enseignants feraient bien de vérifier les données que l’OMS publie sur OMS Covid Dashboard !

Auteurs : Dr Nicole & Gérard Delépine




La Russie paye-t-elle l’abandon de la chloroquine et l’inefficacité du vaccin ?

Par Gérard Delépine

Depuis quelques semaines, les médias décrivent de façon apocalyptique la reprise de l’épidémie en Russie, mais aucun n’essaie ou ne veut en comprendre les possibles raisons. Pourtant cette récidive est apparue après l’arrêt de la recommandation officielle du traitement par l’hydroxychloroquine, comme cela avait été déjà observé en Suisse ou en Allemagne, lorsque les prescriptions de chloroquine ont brutalement chuté après l’article truqué du Lancet Gate de mai 2020 et les mises en garde injustifiées de l’OMS.

Russie : Évolution de l’épidémie d’après les chiffres officiels de l’OMS

Au début de l’épidémie, les autorités sanitaires russes ont officiellement conseillé l’usage des traitements précoces et en particulier de l’hydroxychloroquine. Durant cette période, le nombre de cas et de décès quotidiens s’élevait alors à environ la moitié de ceux de la France où les instructions gouvernementales étaient de se limiter au Doliprane et éventuellement au Rivotril.

Mais le 7 mai 2021, pour des raisons à éclaircir, les nouvelles recommandations sanitaires officielles ont supprimé l’hydroxychloroquine et tout misé sur le vaccin Spoutnik. Un mois plus tard, le nombre de nouveaux cas quotidiens explosait.

Cette forte reprise de l’épidémie a été bientôt suivie par une augmentation de la mortalité quotidienne avec un rattrapage progressif de la mortalité cumulée par rapport à la France.

Cette corrélation statistiquement significative entre l’arrêt de l’HCQ et la hausse des cas et la mortalité en l’absence d’autres causes connues suggère fortement un lien de causalité. D’autant que des corrélations temporelles semblables ont été observées en Allemagne.

Allemagne : Évolution de l’épidémie d’après les chiffres officiels de l’OMS

Au début de l’épidémie (premier trimestre 2020), les médecins allemands ont considérablement prescrit de la chloroquine comme traitement du Covid, car par rapport à l’année 2019, un surplus de près de 2 millions de boîtes de ce médicament a été prescrit.

Durant cette période, la mortalité est restée faible comparée à celle de la France

Mais après l’article truqué du Lancet Gate et les recommandations consécutives de l’OMS, les médecins allemands ont cessé de prescrire l’HCQ et l’épidémie est repartie de plus belle.

La situation préoccupante observée actuellement en Russie est donc vraisemblablement la conséquence de l’arrêt des traitements précoces. Espérons que les autorités sanitaires de ce grand pays en prennent rapidement conscience et qu’elles suivent l’exemple de l’Inde en recommandant HCQ et Ivermectine dès les premiers signes cliniques.




L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe

Par Gérard Delépine

« On ne sait jamais le jour où son voisin devient fou ».

Vieux proverbe africain

Depuis le début de la crise, les gouvernants et les médias occidentaux tentent de nous faire croire que leur stratégie sanitaire « confinement — pas de traitement — tout vaccin » est la meilleure et la seule possible.

Mais certains pays africains par choix et/ou nécessité ont fait autrement et s’en sont plutôt bien trouvé. Nous analysons ici l’évolution du Covid dans différents pays africains selon leurs stratégies.

Les faits bruts : nombre de cas et mortalité

En Afrique, un peu plus de 8 millions de cas (3 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial) ont été recensés alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

Le nombre de cas est certainement sous-estimé du fait de l’insuffisance chronique de tests, aussi nous nous concentrerons dans cette analyse sur la mortalité Covid. Rappelons d’emblée que sur les 200 000 morts africains, environ 45 % des morts déclarées l’ont été dans un seul pays, l’Afrique du Sud.

Compte tenu de la population de 1,3 milliard, la mortalité Covid africaine globale est de 153 par million (80/million en excluant l’Afrique du Sud), soit 12 à 22 fois plus faible qu’en France qui en compte près de 1800 par million.

Cette très faible mortalité africaine est d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus médiocres que le nôtre, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés.

D’ailleurs depuis le début de la crise les médias avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent(([1] La catastrophe politique du Covid-19 en Afrique, selon le Quai d’Orsay
https://www.gabonreview.com/la-catastrophe-politique-du-Covid-19-en-afrique-selon-le-quay-dorsai/))(([2] https://theworldnews.net/ca-news/Covid-19-catastrophe-redoutee-en-afrique))(([3] https://lovebook-rencontre.routes-des-vins.com/youtube-video-Pandemie-de-Covid-19-une-catastrophe-humanitaire-qui-fait-craindre-le-pire-en-Afrique-325278.html))(([4] https://m.pouvoirsafrique.com/2020/05/10/Covid-19-lafrique-face-a-la-catastrophe/)) et nos gouvernants voudraient leur imposer la thérapie génique.

Comment expliquer cette évolution inattendue ?

La population de l’Afrique dépasse 1,3 milliard d’humains, essentiellement composée de jeunes.

Le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 8 % (Tunisie), alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA.

Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est d’environ quatre fois inférieure à celle de l’Europe et peut ainsi explique une partie de la sous-mortalité constatée.

Mais après correction par l’âge, les Africains bénéficient encore de 3 (si on intègre l’Afrique du Sud) à 7 fois moins (en l’excluant) de morts Covid par million d’habitants.

Le climat, les modes de vie, les moindres contacts internationaux pourraient aussi expliquer une plus petite partie du sous-risque africain.

Mais l’explication la plus plausible est liée à l’utilisation quotidienne des antipaludéens

La comparaison des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence de paludisme montre que les pays dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible que les autres.

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid parfois évoquée est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

Comme rien ne permet d’imaginer que le paludisme puisse protéger du Covid, l’hypothèse la plus plausible est l’effet bénéfique des traitements antipaludéens au long cours sur le Covid.

Les pays dont les populations prennent des antipaludéens tous les jours bénéficient d’une mortalité 10 à 200 fois inférieure à celle de la France

comme :

  • le Nigéria (13/M soit 135 fois moins),
  • le Mali (26/M soit 68 fois moins),
  • le Congo (10/M soit 176 fois moins),
  • le Tchad (11/M soit 170 fois moins),
  • le Cameroun (58/M soit 30 fois moins que la France),
  • le Niger (8/M soit 220 fois moins),
  • la Côte d’Ivoire (24/M soit 74 fois moins),
  • la Guinée (30/M soit 61 fois moins),
  • le Sénégal (116/M soit 16 fois moins)

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé.

Au 10 octobre 2021, la mortalité cumulée ne dépasse pas 138/M soit 13 fois moins que la France. Le 31 mai 2121 à 19 h sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien, a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 10 octobre 2021 la mortalité cumulée atteint 392/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 10 octobre 2021 la mortalité Covid atteint 2117/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin.

Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1495 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens sont efficaces.





Arrêt des essais hydroxychloroquine : ce que révèlent les archives

[Source : francesoir.fr]

Quand on apprend que la souveraineté sanitaire des Français repose sur une étude britannique qui n’a pas été vérifiée ni validée par les autorités sanitaires…

L’accès aux documents administratifs : un parcours du combattant

Alors qu’aux Etats-Unis, plus de 5000 pages d’emails du Pr Fauci ont été obtenus et publiés sur Internet au travers d’une demande FOIA (Freedom of Information Act), en France, obtenir les documents administratifs est un parcours du combattant. Les demandes d’un citoyen et de l’association BonSens.org auprès de l’ANSM (Agence nationale de la sécurité du médicament) sur les échanges sur les essais cliniques de l’hydroxychloroquine n’avaient pas été suivie d’effets. L’association et le citoyen qui en est membre ont donc décidé de faire une action devant le tribunal administratif de Montreuil par l’intermédiaire de Me Jean-Charles Teissedre.

En France la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) permet à toute personne d’obtenir les échanges et documents administratifs. Une simple demande sur internet suffit. Cependant, il arrive que les administrations ne répondent pas. Dans ce cas là, une procédure au tribunal administratif peut être initiée – c’est ce qu’ont fait le citoyen et l’association afin d’obtenir des documents sur les échanges administratifs ayant mené à la suspension puis à l’interruption des essais avec l’hydroxychloroquine. Un an pour obtenir ces documents. Un processus long et douloureux qui ne les a pas rebutés.


 

Des documents sont caviardés de manière partielle

Suite à la publication de l’étude Mehra dans le Lancet le 22 mai 2020, le ministre de la Santé, comme il l’annonçait dans un tweet le samedi 23 mai 2020, avait saisi les autorités compétentes pour évaluer l’impact de cette étude – qui fut retractée quelques jours après. Il est donc fort intéressant de comprendre ce qui s’est passé et comment les diverses administrations ont interprété cette étude.

Les 27 documents obtenus retracent principalement des échanges inter administration (Inserm, DGS et les investigateurs en chef des diverses études). Au-delà du fait que certains noms ont été enlevé alors que d’autres subsistent visuellement, il est ici difficile d’établir la règle de caviardage utilisée. Un point que pourrait soulever Me Teissedre lors de l’audience au tribunal administratif.

Un échange a attiré notre attention : celui en date du 9 juin 2020, qui retrace l’historique de la suspension de l’hydroxychloroquine des divers essais. Rappelons que de nombreux médecins ont déclaré que l’hydroxychloroquine était suspendue des essais suite à sa non-performance dans l’étude Solidarity qui regroupait l’étude Discovery – Discovery est la grande étude francaise dont les mérites avaient été vantés par le président de la République qui s’était avancé à dire que des résultats viendraient début mai 2020. En octobre, toujours rien.

Un rapide historique permet de rappeler que l’hydoxychloroquine a été suspendue des essais cliniques Solidarity, Hycovid, Covidoc, tout d’abord suite à l’étude du lancet vers le 25 mai 2020, avant d’étre réintégrée et d’être de nouveau suspendue à la lumière des résultats de l’étude britannique Recovery dont de nombreux chercheurs et FranceSoir contestent les résultats. Les résultats sont contestés du fait du surdosage en hydroxychloroquine (quatre fois la dose préconisée par le Pr Raoult) et de l’administration à des patients hospitalisés dans un état grave alors que le Pr Raoult l’utilise en traitement précoce pour prévenir l’hospitalisation.

Le 18 juin 2020, on pouvait lire dans le journal Ouest-France :

Depuis cette suspension, fin mai, la revue The Lancet, à l’origine de l’interruption d’essais cliniques dans le monde entier, avait pris ses distances avec son étude désormais controversée sur l’hydroxychloroquine, finalement rétractée. Face aux critiques, l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait finalement décidé d’arrêter les essais cliniques sur l’hydroxychloroquine.

Dans les documents de l’ANSM au sujet des essais cliniques hydroxychloroquine, tout semblait aller bien en France avec des signaux d’efficacité.

Cependant dans les documents on perçoit un intense lobbying de Reacting et de Jerome Salomon, le directeur général de la santé (DGS). Dès le 8 juin 2020, Reacting, Bichat et Discovery avaient décidé la non reprise des essais avec l’hydroxychloroquine. Tout allait bien, comme en atteste le résumé extrait d’un courrier non signé (nom caviardé) du 9 juin au directeur de l’ANSM Dominique Martin.

Document dont la signature et le nom du signataire ont été enlevés alors que subsistent les noms des personnes en copie.

Le DSMB (Data safery monitoring board), controleur de l’étude écrivait encore que le 3 juin 2020 que l’on pouvait continuer les inclusions et ce malgré l’étude frauduleuse du Lancet.

Pour les autres études comme Hycovid à son arrêt, elle comptabilisait 4,72% de décès dans le bras HCQ et 7,14% dans le bras placebo. L’écart était non significatif à ce stade, cependant l’essai a été arrêté après l’inclusion de 250 patients alors qu’il devait en compter 1300. En faisant l’hypothèse que l’on garde les même ratios de décès dans le bras HCQ et le bras placebo sur la base de 1300 patients, on a une différence significative. 

De plus les résultats de cette étude doivent être pris avec beaucoup de circonspection car la pratique du « cherry picking » (selection des données ou des résultats) est tel que le collectif citoyen avait publié un article expliquant les biais de cette étude. « Avec azithromycine: des résultats tellement bons qu’ils sont omis. » Et avait écrit :

Il est primordial de réinformer les français sur l’état des recherches sur l’hydroxychloroquine et l’azithromycine : car si un traitement efficace existe, il n’y a  besoin ni de reconfinement, ni de masques ni de vaccin…

Les résultats de l’étude Discovery tarderont à venir avant d’être intégrés dans l’étude solidarity avec des problèmes de différences de dosages et de type de patients.

Ce qui attire l’attention est le paragraphe 2 du courrier qui indique que le 5 juin 2020, l’étude britannique Recovery montrait aucun bénéfice de l’hydroxychloroquine pour les patients hospitalisés, entrainant ainsi la continuité de la suspension de l’hydroxychloroquine, puisqu’en conséquence au résultat de cette étude, le 5 juin, le comité de contrôle de Discovery décide malgré les avis précédents positifs de « maintenir la suspension temporaire du bras hydroxychloroquine »

Il n’y a pas d’autres explication ni analyse qui sont détaillées. Le surdosage en hydroxychloroquine dans l’étude Recovery n’est pas évoqué (2400mg le premier jour vs 800mg pour Discovery). Pas plus que l’état des patients ni les autres biais éventuels de l’étude. C’est donc une erreur importante de la recherche française que de se précipiter et d’utiliser le résultat de l’étude Recovery sans tout d’abord en tirer la quintessence ou d’en analyser l’applicabilité à la recherche française. Les ratios de risques ou taux de mortalités bien différents (plus de 25% de décès dans le bras HCQ de Recovery et pareil dans le bras placebo). Ce simple élément aurait du attirer l’attention des contrôleurs ou des autorités scientifiques avant de se prononcer sur la continuité d’une suspension. Surtout que dans les échanges on peut aussi noter que les investigateurs de Hycovid avait écrit pour faire des suggestions sur l’inclusion d’autres patients par exemple des patients des ephads. Ces derniers ont eu un fin de non-recevoir pour des raisons de sécurité – qui ne sont toujours pas justifiées par des faits.

L’Inserm qui se targue de mettre en place une recherche et une médecine « basée sur les preuves » commet donc de nombreuses erreurs ici pour la souveraineté sanitaire des Français, et surtout aucune preuve n’est apportée sur l’applicabilité de l’étude Recovery aux Français. Ils ont tout simplement pris pour argent comptant les résultats. Une véritable faute qui demande explication complète et indépendante. Comme pour Recovery, il serait utile qu’une commission d’experts indépendants reprennent les résultats pour les analyser en détail. Un peu tard pour les personnes décédées mais il n’est jamais trop tard pour apprendre afin d’éviter de nouveaux impairs nocifs. Sans oublier que les essais randomisés mal utilisés sont la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques car seuls eux ont les moyens de financer ces études forts onéreuses.

Force est de constater qu’un excès d’éthique scientifique mal maîtrisée finit par nuire à l’éthique médicale.

Pour conclure, une courte vidéo du Docteur Gérard Guillaume apporte un éclairage sur la crise. « Il y a quelques années nous étions la meilleure médecine française ».

Auteur(s): FranceSoir




L’avocat R. Kennedy Jr révèle pourquoi l’hydroxychloroquine a été interdite

[Source : lemediaen442.fr]






Le conseil d’État italien approuve enfin le traitement précoce par Hydroxychloroquine !

Auteurs : Docteurs Nicole et Gérard Delépine

Mieux vaut tard que jamais, mais combien de morts inutiles ?

Alors que le Conseil de l’Ordre des Médecins français poursuit le Pr Raoult et 5 autres médecins pour utilisation et/ou promotion de « traitement dont l’efficacité n’a pas été reconnue » (chloroquine à faibles doses en phase précoce, entre autres), ce traitement vient d’être reconnu en Italie par sa plus haute juridiction, après l’examen d’un rapport exhaustif du problème par les Professeurs Alessandro Capucci, Luigi Cavanna et Paola Varese du 7 décembre 2020.[1 et 2]

Cette reconnaissance officielle de l’efficacité de l’Hydroxychloroquine et des autres antipaludéens sur le Covid19 s’ajoute à celles déjà actées dans plus de 20 pays [3] dont les populations cumulées dépassent les 3 milliards d’humains.

Mais le conseil de l’ordre doit s’estimer plus qualifié scientifiquement que les experts internationaux.

Le rapport d’expertise scientifique des Professeurs Alessandro Capucci, Luigi Cavanna et Paola Varese mérite d’être lu en entier (30 pages). Nous en donnons ci-après quelques courts extraits commentés.

Sécurité de l’Hydroxychloroquine (HCQ) à faibles doses : le mythe des risques cardiaques

HCQ est un médicament sur le marché depuis 1959 pour les maladies chroniques. Plusieurs travaux ont mis en évidence l’innocuité de l’utilisation du HCQ à la fois dans les thérapies prolongées et dans les cycles thérapeutiques courts avec des doses de 200 mg 3 fois par jour.

Le médicament est actuellement utilisé en Italie par environ 60000 patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde ou de lupus. Le Pr Roberto Gerli, président de la Société italienne de rhumatologie, a confirmé, « depuis 35 ans qu’ils [les rhumatologues] l’utilisent, ils n’ont pas enregistré d’effets indésirables significatifs au niveau cardiologique ».

La macroanalyse de Risch (2020) confirme l’innocuité absolue du médicament, utilisé à des doses thérapeutiques et en évitant les patients prédisposés aux réactions cardiaques. L’étude de Pascarella et coll. spécifiquement consacrée à l’examen de l’association entre HCQ et les risques cardiaques (2020), montre que l’utilisation de HCQ n’est pas associée à l’allongement de l’intervalle QT chez une importante cohorte de patients atteints de maladies rhumatismales inflammatoires chroniques.

Les données confirmant l’innocuité de HCQ ont récemment été présentées au Congrès annuel de l’American College de Rhumatologie[4]. La sécurité de HCQ pour la Covid 19[5] concluait :  l’hydroxychloroquine est protectrice pour le cœur, pas nocive.

À l’exception de certains rapports d’effets bénins (allongement de QT dans 23% des sujets), HCQ est même associé à une incidence réduite des événements cardiaques défavorables mortels.

Shivraj Padiyar dans sa revue récente[6] conclue « la plupart des données disponibles et crédibles suggèrent que l’HCQ est un médicament sûr, y compris l’essai RECOVERY indiquant l’absence de cardiotoxicité par l’HCQ. »

Les travaux de Hung 2018 décrivent un risque réduit de maladie coronarienne chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traitée avec HCQ.

Selon les données de Sharma en 2016, les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde traités par HCQ avaient une réduction de 72% des risques cardiovasculaires.

Ces observations expliqueraient la réduction de la mortalité globale de l’étude Gentry et coll. 2020, qui a analysé l’utilisation de HCQ chez les anciens combattants souffrant de maladies rhumatismales et démontré une augmentation de leur survie par rapport aux contrôles, sur la même base que d’autres médicaments immunomodulateurs et stéroïdes.

 Isaac V. Cohen dans une revue récente des évènements indésirables[7] liés au traitement par chloroquine (CQ) et HCQ[8] remarque que « plusieurs rapports de cas décrivent la mortalité cardiaque associée à l’inflammation du myocarde. L’utilisation de CQ et HCQ dans les cohortes de lupus érythémateux et polyarthrite rhumatoïde, pour l’étude est une coïncidence bénéfique, car ce sont également des conditions inflammatoires affectant le système cardiovasculaire qui sont également traitées avec CQ et HCQ.

L’efficacité de la chloroquine à faible dose dans la Covid est démontrée par de nombreuses études rétrospectives

L’étude CORIST, étude rétrospective italienne, analyse l’évolution de 3451 patients admis dans 33 centres cliniques en Italie du 19 février 2020 au 23 mai 2020. 76,3 % des patients ont été traités par HCQ avec une réduction de 30 % de la mortalité et de la morbidité intra-hospitalière

Celle de Catteau et coll. est une étude observationnelle avec un échantillon très important de sujets hospitalisés : 8075 dont 4542 en monothérapie HCQ et 3533 dans le groupe témoin). Des décès ont été enregistrés chez 17,7 % des sujets du groupe HCQ contre 27,1 % du groupe sans HCQ, ce qui équivaut à une différence de mortalité de 30 % pour les patients hospitalisés recevant un traitement par HCQ.

L’efficacité de la chloroquine précoce à faible dose est démontrée par de nombreuses études prospectives du traitement de la Covid

Ainsi Ladapo et coll. dans leur méta-analyse de 5577 patients[9] inclus dans 5 essais randomisés montrent que l’utilisation du médicament HCQ réduit le risque d’infection, d’hospitalisation ou de décès de 24 %, sans aucune interruption de la thérapie due à la toxicité.

Selon les méta-analyses publiées, l’efficacité du médicament HCQ dépend de la posologie et disparait en cas de surdosage (apport quotidien supérieur à 600 mg) ne respectant pas les recommandations nationales d’utiliser HCQ 200 mg trois fois par jour pendant 5 à 7 jours. Ainsi, si on exclue les 4 publications randomisées utilisant des doses trop élevées (dont les deux grands essais de l’OMS, RECOVERY et SOLIDARITY qui ont utilisé 800 mg/j pendant 9 ou 10 jours respectivement, et une dose totale de 9 200 ou 10000 mg HCQ, on observe une réduction de la mortalité jusqu’à 35%.

La pertinence des faits avérés

« Les données probantes sur le terrain, qui sont les plus importantes pour les malades démontrent avec une très grande certitude statistique l’efficacité et l’innocuité du médicament ».

Dans le cas d’études observationnelles non contrôlées, la référence pour évaluer l’ampleur de l’effet d’un médicament en termes comparatifs est le taux d’hospitalisation dans l’échantillon de malades traités précocement par rapport à la population soumise à d’autres protocoles de traitement ou à leur absence.

Les faits recueillis spontanément dans diverses régions d’Italie au cours de la première phase épidémique (mars-avril 2020) montrent de façon constante et répétée que la comparaison entre le taux d’hospitalisation des personnes traitées à l’hydroxychloroquine (±azithromycine) est de 5 à 6 %, par rapport à un taux de 20% chez les sujets atteints du SRAS-COV-2 soumis à d’autres protocoles thérapeutiques, tel que rapporté par les rapports de l’Institut Supérieur de Santéde la même période.

Cela est constamment relevé dans des situations différentes, menés par des médecins différents dans différentes parties de l’Italie (et dans diverses régions du monde), avec comme seul élément commun : le même protocole de traitement l’hydroxychloroquine (±azithromycine).

Une méthodologie rigide qui aurait rendu aveugle

Le rapport italien propose une explication généreuse[10] aux errements de l’Agence italienne du médicament :

« probablement par excès de zèle, l’Agence Italienne du médicament (AIFA) ainsi que les autres agences internationales de médicaments et instituts supranationaux (FDA, EMA, OMS, etc.) chargés de sauvegarder la santé des citoyens, ont fondé leur jugement sur des données qui n’étaient absolument pas pertinentes à l’élucidation de la question relative à l’efficacité et à l’innocuité de HCQ dans les soins à domicile de la première étape de l’infection par le SARS-CoV-2.

Ils ont vraisemblablement été submergés par la quantité considérable d’informations reçues avec un important biais de l’information des principaux producteurs de connaissances de ce secteur – c’est-à-dire les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes, et les instituts de recherche financés par eux… »

« En favorisant les exigences méthodologiques de validité interne, les agences pharmaceutiques ont été contraintes, en raison de l’absence d’études expérimentales menées sur la population de référence réelle (patients covid-positifs traités à domicile), de violer l’exigence de validité externe, qui prime toutefois tout autre critère, car elle détermine la pertinence de la preuve.

Cette violation est confirmée par l’utilisation de critères d’évaluation inadéquats, tels que le taux de mortalité ou la période de séjour à l’hôpital, alors que le critère de jugement le plus approprié pour vérifier l’utilité clinique (et pharmaco-économique) de l’hydroxychloroquine est celui du taux d’hospitalisation des sujets traités. »

Conflits d’intérêt et prise de contrôle (dite « capture » selon le terme international)[11] des agences de régulation

La pratique réglementaire montre la persistance de certains problèmes fondamentaux. Deux d’entre eux sont les phénomènes de conflits d’intérêts et les conséquences de la prise en main (capture) des organismes de réglementation par les régulés eux -mêmes.

La prise de contrôle du régulateur par les régulés eux-mêmes compromet l’intégrité et l’exactitude des décisions publiques, qui ne visent plus à la protection et la satisfaction des intérêts généraux, mais celle des intérêts privés de groupes spécifiques.

L’analyse des cas de capture ou détournement du contrôle des agences de régulation (regulatory capture) a généré des milliers de contributions scientifiques, théoriques et empiriques, appartenant à un large éventail de disciplines académiques qui sont généralement ignorées du grand public. Elles sont malheureusement ignorées complètement en France.[12]

Diverses causes et mécanismes convergent pour permettre la « capture » du régulateur par le régulé.

Tout d’abord, il y a un état général d’asymétrie d’information qui afflige le régulateur et les experts qu’il utilise, qui provient de la plus grande expérience de l’industrie régulée par rapport au régulateur, la difficile mesurabilité des phénomènes biomédicaux, l’imperfection des processus de validation expérimentale et de publication scientifique, le déficit de ressources publiques ou d’inertie institutionnelle. Les firmes en représentant partiellement les différents éléments de risque et de décision, peuvent conduire à des décisions publiques erronées ou sous-optimales dans la défense de la sécurité sanitaire.

Un tel pouvoir de conditionnement est renforcé par le fait que dans certains pays, il y a un manque de garanties réglementaires spécifiques pour la transparence et la réglementation des activités de lobbying et/ou d’autres mécanismes de participation des parties prenantes comme celui des « pantouflages », dans lesquelles les régulateurs complaisants sont ensuite embauchés à prix d’or par les régulés, (La Pira et Thomas, 2017).

Comme le montre la littérature, les phénomènes d’asymétrie de l’information, de lobbying, de pantouflage aboutissant à la capture du régulateur sont particulièrement fréquents dans le monde de la santé, en raison de l’importance économique des intérêts en jeu, de l’urgence dans laquelle les décisions sont souvent prises, de la puissance financière de l’industrie du médicament (qui gère la gestion de la quasi-totalité des essais cliniques), des ressources souvent limitées du régulateur et de l’utilisation stratégique faite par l’industrie privée de la hiérarchie des preuves scientifiques et des publications.[13]

En Italie (comme en France), des épisodes de prise en main de la formation biomédicale et de mise à jour professionnelle ont été mises en évidence. Enfin, il convient de noter que, bien que dans les cas les plus graves, il existe des épisodes de corruption, extorsion ou détournement de fonds (comme, par exemple, dans les événements qui ont abouti à la condamnation n ° 5756 de 2012 de la Cour Suprême, United Civil Sections).

L’asymétrie d’information et les autres moyes de capture du régulateur peuvent le conduire à prendre des décisions erronées même s’il agit en parfaite bonne foi.

Parmi les solutions proposées dans la littérature, il y a le renforcement de recettes déjà proposées dans le passé, mais pour la plupart non appliquées : comme l’interdiction / limitation du parrainage privé d’événements scientifiques biomédicaux, une plus grande implication des sociétés scientifiques dans la détection des conflits d’intérêts, l’ouverture aux différentes parties prenantes, la transparence des documents et accès aux comptes rendus des séances des agences, aux documents réglementaires, utilisation du benchmarking international afin d’acquérir et d’évaluer des preuves du contraire, aux fins d’enquêtes complémentaires.

Que retenir de ce rapport scientifique qui a conduit le Conseil d’État Italien à approuver le traitement précoce par HCQ ?

HCQ à faibles doses n’est pas nocive et parait même protectrice pour le cœur.

Le traitement précoce par HCQ à faibles doses diminue d’environ 30% le risque d’hospitalisation des malades atteints de Covid19. Le traitement précoce par HCQ à faibles doses diminue d’autant la mortalité.

Les agences sanitaires ont été et sont sous influence des laboratoires pharmaceutiques et de leurs complices, qui ont détourné le pouvoir réglementaire des agences dans les seuls intérêts de l’industrie et affidés politiques et scientifiques et/ou médecins, pharmaciens, biologistes, sociétés savantes etc. L’exemple savoureux et dramatique du Remdesivir est le plus récent. Mais c’est une autre saga.


[Notes]

[1] L’usage de l’hydroxychloroquine autorisé en Italie : le rapport scientifique complet – PLANETES360

[2] Hydroxychloroquine approuvée en Italie – PaSiDupes (wordpress.com)

[3] Dont la Chine, l’Inde, le Maroc, la Tunisie, la Malaisie, de nombreux pays arabes du moyen orient…

[4] ParkE, et coll. L’utilisation du HCQ n’a pas été associée à l’augmentation de l’intervalle QT dans une grande cohorte de patients atteints de LSL et de PR 2020 (étude portant sur 681 patients)

[5] New Microbe and New Infect 2020; 37:100747) https://doi.org/10.1016/j.nmni.2020.10074 [lien dysfonctionnel] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7439006/

[6] Shivraj Padiyar 1, Debashish Danda Revisiter la sécurité cardiaque de l’hydroxychloroquine dans les maladies rhumatologiques à l’ère du COVID-19 : faits et mythesEur J Rheumatol 8 octobre 2020. doi : 10.5152/eurjrheum.2020.20174 [–> Revisiting cardiac safety of hydroxychloroquine in rheumatological diseases during COVID-19 era: Facts and myths (eurjrheumatol.org)]

[7] Isaac V. Cohen Événements indésirables cardiaques associés à une exposition à la chloroquine et à l’hydroxychloroquine au cours de 20 ans de rapports de surveillance de l’innocuité des médicaments Sci Rep. 2020 ; 10 : 19199

[8] IsaacV. Cohen Cardiac adverse events associated with chloroquine and hydroxychloroquine exposure in 20 years of drug safety surveillance reports https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7644696/pdf/41598_2020_Article_76258.pdf

[9] Joseph A. Ladapo Randomized Controlled Trials of Early Ambulatory Hydroxychloroquine in the Prevention of COVID-19 Infection, Hospitalization, and Death : Meta-Analysis https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.09.30.20204693v1

[10] Ne soulignant pas les conflits d’intérêts pourtant majeurs dans la prise de décisions

[11] « il est plausible que le gouvernement et les organismes supranationaux soient victimes du phénomène de « la capture réglementaire ». Il s’agit d’un phénomène aujourd’hui bien connu dans la littérature qui décrit les effets de l’asymétrie de l’information entre l’industrie (en l’occurrence pharmaceutique) et l’organisme de réglementation, au détriment de ce dernier, qui doit se prononcer sur des questions pertinentes pour l’industrie, avec des informations et des critères interprétant les éléments de preuve, fourni par ce dernier.

Dans cette relation asymétrique, le régulateur n’est pas seulement un décideur autonome, car il dépend de l’industrie comme principale source d’information, mais finit par assumer son « état d’esprit » en absorbant aussi son axiologie.

[12] https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/02/Aristote-relations-m%c3%a9decins-industrie.pdf

[13] Mitnick, B., (2011), « Capturing ̳Capture » : Definition and Mechanisms, dans : Levi-Faur D., (2011), Handbook on the Politics of Regulation, E. Elgar




Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine»

[Source : Le tribunal de l’infaux]

event 201
Logo de l’Événement 201 –
Exercice de pandémie mondiale

Première partie : L’information contrôlée

En bon soldat de la pensée unique, Jeff Yates ne perd jamais de temps avant de se porter à la défense de la vision de l’ordre établi que l’on se doit d’adopter de nos jours afin d’éviter, au pire, le dénigrement et/ou la censure, au mieux, le qualificatif « controversé ».

Le lendemain d’une conférence de presse tenue par des médecins préconisant l’hydroxychloroquine comme traitement contre la COVID-19, conférence censurée par YouTube, Facebook, Twitter et Google, le décrypteur s’est empressé de mettre le public en garde contre la vidéo de cette conférence qu’il qualifie de « controversée » car elle contredit l’ensemble des recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Jeff suit bien les directives données aux médias dans le tristement célèbre Event 201 (Événement 201), cette simulation de pandémie de coronavirus tenue le 18 octobre 2019 et financée par la Bloomberg School of Public Health de l’Université John Hopkins, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG).

Le scénario de cette simulation se lit comme suit :

« L’Événement 201 simule une épidémie d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et ensuite à l’homme, lequel finit par se transmettre efficacement d’une personne à l’autre, entraînant une grave pandémieL’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins […]

Un vaccin ne pourra pas être disponible la première année. Il existe un médicament antiviral fictif qui peut aider les malades mais qui ne limite pas de manière significative la propagation de la maladie […]

Et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.

Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès […] La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations)

Trois mois plus tard, ce scénario devenait réalité, à quelques exceptions près.

Nostradamus aurait difficilement pu faire mieux.

L’Université John Hopkins a précisé à la suite de l’éclosion de SRAS-CoV-2 que cette simulation n’était pas une prédiction.

Si l’on ne peut que spéculer sur le caractère prémonitoire de la simulation, nous pouvons clairement voir à l’œuvre les recommandations qui en sont issues.

La simulation, qui « visait à éduquer les plus hauts dirigeants des gouvernements étasunien et internationaux et les leaders des industries mondiales », a donné naissance à une série de recommandations du John Hopkins Center for Health Security, du Forum économique mondial et de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Parmi celles-ci, la lutte contre la « désinformation » :

« Les gouvernements et le secteur privé devraient accorder une plus grande priorité à la mise au point de méthodes de lutte contre la désinformation avant la prochaine intervention en cas de pandémieLes gouvernements devront s’associer aux entreprises de médias traditionnels et aux réseaux sociaux pour rechercher et développer des approches souples de lutte contre la désinformation. Il faudra pour cela développer la capacité à inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes.

Les autorités de santé publique devraient travailler avec les employeurs privés et les leaders communautaires de confiance, tels que les chefs religieux, pour promulguer des informations factuelles aux employés et aux citoyens. Les employeurs du secteur privé influents et dignes de confiance devraient créer la capacité d’augmenter facilement et de manière fiable les messages publics, de gérer les rumeurs et la désinformation, et d’amplifier des informations crédibles pour soutenir les communications publiques d’urgence. Les agences nationales de santé publique devraient travailler en étroite collaboration avec l’OMS afin de créer la capacité d’élaborer et de diffuser rapidement des messages cohérents concernant la santé publique. Pour leur part, les entreprises médiatiques devraient s’engager à faire en sorte que les messages faisant autorité soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie. »

Les gouvernements devront s’associer aux médias traditionnels et aux réseaux sociaux pour diffuser des messages « faisant autorité »?

Quand l’État est associé aux médias, on n’est plus en démocratie. Le rôle des médias est de servir de contre-pouvoir à l’État, pour protéger les citoyens des abus de pouvoir. Quand l’information est dictée par l’État, on est dans un État totalitaire. Et quand l’État reçoit l’information d’un organisme supranational, on est dans un monde totalitaire.

Dans la vidéo de la simulation (à 7:38), l’amiral Stephen C. Redd, directeur de l’Office of Public Health Preparedness and Response du Centers for Disease Control and Prevention (CDC), suggère que « les gouvernements doivent être disposés à faire des choses qui sont en dehors de leurs perspectives historiques » et que « l’on doit être sur un pied de guerre ».

On voit ensuite un extrait d’un reportage simulé indiquant que « les gouvernements réagissent différemment pour combattre la quantité impressionnante de désinformation qui circule, certains gouvernements ayant même procédé à une coupure limitée de l’internet pour éviter la panique ».

Dans la version intégrale du faux reportage, le faux expert Kevin McAleese explique :

« Identifier tous les mauvais acteurs s’avère être une tâche énorme et les experts s’entendent pour dire que les nouvelles campagnes de désinformation sont générées chaque jour et sont un grave problème qui nous empêchera de mettre un terme à la pandémie et pourrait même mener à la chute de certains gouvernements […] Si la solution constitue le contrôle et la réduction de l’accès à l’informationje crois qu’il s’agit du bon choix. »

Évidemment, l’autre fausse experte est d’accord. Elle insiste, avec un regard intense, que « souvent ce sont les leaders politiques eux-mêmes » qui disséminent la désinformation.

Comme Donald Trump qui fait la promotion de la « controversée hydroxychloroquine »? Quelle visionnaire cette fausse experte!

Tom Inglesby du John Hopkins Center for Health Security demande ensuite au panel : « À quel point l’information doit-elle être contrôlée et par qui? Et comment la fausse information peut-elle être remise en question? »

Cela donne le ton à la discussion qui suit. On ne donne pas le choix aux participants d’être pour ou contre le contrôle de l’information. On demande qui doit la contrôler et dans quelle mesure.

On le voit clairement dans les recommandations citées plus haut : advenant une crise sanitaire le contrôle de l’information et la censure s’imposent.

En ce moment, l’idée que l’hydroxychloroquine puisse être efficace comme traitement contre la COVID-19 est considérée comme de la désinformation parce que l’OMS a décidé qu’il ne s’agit pas d’un traitement efficace, bien que non seulement une foule d’études démontrent l’inverse, mais aussi une foule de médecins, données à l’appui, affirment le contraire, comme nous le verrons dans la quatrième partie de cette série d’articles.

event 201 misinformation

Les « faux messages » de ces médecins sont « supprimés, y compris par l’utilisation de la technologie ». Les géants de la haute technologie que sont YouTube, Facebook, Twitter et Google ont joué un rôle essentiel dans la censure des informations contredisant LE message « faisant autorité » sur tout ce qui touche le coronavirus : l’hydroxychloroquine est inefficace.

Nous verrons comment l’article de Jeff Yates nous démontre que Radio-Canada a bien appris sa leçon et participe activement à la diffusion de « messages faisant autorité », mais que ses « réponses rapides » à la soi-disant désinformation ne sont ni « précises », ni « cohérentes ».

La pandémie de coronavirus nous a précipités dans un monde totalitaire où les médecins n’ont plus le droit de parole, ni le droit de soigner leurs patients.

Pendant ce temps, Bill Gates, l’ingénieur en informatique recyclé en pusher de vaccins, est devenu une sommité de la science médicale et on le retrouve sur toutes les tribunes à nous répéter que le monde ne sera plus jamais pareil avant que la planète ne soit vaccinée.

Bill, qui a investi massivement dans les sociétés pharmaceutiques, se trouve non seulement au sommet de la pyramide totalitaire qui se met en place depuis janvier, mais il est de surcroît au cœur d’un système de financement, de recherche, de développement et de production de vaccins, et sa position au sein de l’OMS lui permet d’influencer les politiques de santé publique à travers le monde entier.

Nous ferons un long détour nécessaire pour bien comprendre le rôle de Bill Gates et les enjeux actuels, détour qui nous permettra de déboulonner l’article de Jeff Yates, plein d’omissions, de propagande et de demi-vérités, bref plein de désinformation.

combattre la désinformation

Et comme « la désinformation mine les efforts visant à contrôler la pandémie », nous la combattrons avec une armée de faits, en espérant que l’on ne nous coupe pas l’internet entre-temps.

Cet article est divisé en cinq parties qui seront publiées cette semaine :

  1. L’information contrôlée
  2. L’OMS, Bill Gates et les vaccins
  3. Dons de la Fondation Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens; Bill Gates : expert en santé publique
  4. Investir dans les vaccins, c’est payant; Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine
  5. Jeff Yates : Décrypteur au service du public ou désinformateur au service de l’establishement?; Les grands médias se taisent ou dénigrent, les géants de la haute technologie censurent



Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine, Jeff Yates, le désinformateur, et la censure

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

Voici la 5et dernière partie de la série Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la « controversée hydroxychloroquine »

1ère partie : Information contrôlée : Bill Gates, Jeff Yates, le vaccin contre la COVID-19 et la «controversée hydroxychloroquine» ou ici

2e partie : L’OMS, Bill Gates et les vaccins ou ici

3e partie : Dons de la Fondation Bill & Melinda Gates : des cadeaux empoisonnés pour les Indiens ou ici

4partie Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant! ou ici


Attaques orchestrées contre l’hydroxychloroquine

Même si de nombreux médecins à travers le monde disent avoir employé l’hydroxychloroquine avec succès pour traiter leurs patients, l’OMS recommande de ne pas l’utiliser pour traiter la COVID-19 en raison d’« importants effets secondaires ».

OMS-recommend-not-use-hcq

Pourtant, selon une lettre au rédacteur en chef de la revue Nature, écrite par un groupe de chercheurs chinois en mars 2020, « la chloroquine semble être le médicament de choix pour une utilisation à grande échelle en raison de sa disponibilité, de son innocuité éprouvée et de son coût relativement bas » (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations) :

« En conclusion, nos résultats montrent que l’HCQ [hydroxychloroquine] peut inhiber efficacement l’infection au SRAS-CoV-2 in vitro. En combinaison avec sa fonction anti-inflammatoire, nous prédisons que le médicament a un bon potentiel pour combattre la maladie. Il faut attendre que cette possibilité soit confirmée par des essais cliniques. Nous devons souligner que, bien que l’HCQ soit moins toxique que la CQ, une utilisation prolongée et par surdose peut toujours provoquer un empoisonnement. »

Une étude du CDC de 2005 publiée dans le Virology Journal avait par ailleurs démontré que la chloroquine est très efficace contre le SRAS-CoV-1.

« [L]a chloroquine a de puissants effets antiviraux sur l’infection par le SRAS-CoV des cellules de primates. Ces effets inhibiteurs sont observés lorsque les cellules sont traitées avec le médicament avant ou après l’exposition au virus, ce qui suggère un avantage à la fois prophylactique et thérapeutique […]

Une autre étude publiée en 2004 par des chercheurs belges dit ceci :

« La chloroquine, un ancien médicament antipaludique, peut être envisagée pour une utilisation immédiate dans la prévention et le traitement des infections par le SRAS-CoV. »

raoult
Didier Raoult

Depuis février, l’expert des maladies infectieuses Didier Raoult préconise l’emploi de l’hydroxychloroquine et de l’azythromicine pour traiter les patients atteints de la COVID-19. Il n’est pas le seul.

Le Dr. Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à l’Université Yale a déclaré en entrevue à Fox News que l’emploi de l’hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints de la COVID-19 pourrait sauver de 75 000 à 100 000 vies.

Dans une étude parue le 27 mai, il affirme :

risch
Harvey Risch

La combinaison hydroxychloroquine+azithromycine a été faussement représentée dans les études cliniques et dans les médias de masse, et ce de manière considérable […]

Cinq études, dont deux essais cliniques contrôlés, ont démontré son efficacité significative dans les traitements ambulatoires. L’hydroxychloroquine+azithromycine est un traitement standard qui a été employé chez plus de 300 000 personnes âgées souffrant de multiples comorbidités. La proportion estimée de diagnostics d’arythmie cardiaque attribuable aux médicaments est de 47/100 000 utilisateurs et la mortalité est estimée à <20 %, 9/100 000 utilisateurs, comparativement aux 10 000 Américains qui meurent actuellement chaque semaine. Ces médicaments doivent être largement disponibles et faire l’objet d’une promotion immédiate pour que les médecins puissent les prescrire. »

Selon un sondage mené auprès de 6000 médecins à travers le monde et portant sur 15 options de traitement, l’hydroxychloroquine constitue le traitement le plus efficace contre la COVID-19 :

sondage

Un autre sondage mené aux États-Unis auprès de 1271 médecins dans 50 États a révélé que 65 % d’entre eux prescriraient la chloroquine ou l‘hydroxychloroquine pour traiter ou prévenir la COVID-19 chez un membre de leur famille. Seulement 11 % d’entre eux disent qu’ils n’utiliseraient pas du tout ce médicament.

Controversée l’hydroxychloroquine ou diabolisée par de puissants intérêts financiers?

En gardant tout cela en tête, retournons enfin à Jeff Yates.

Jeff Yates, le désinformateur

combattre la désinformation

Nous pourrions nous attaquer à chaque point que Jeff Yates qualifie de mensonge dans son texte, America’s Frontline Doctors : attention à cette vidéo trompeuse portant sur la COVID-19, mais nous nous en tiendrons à un seul d’entre eux : l’hydroxychloroquine.

Vous pouvez voir la conférence de ces médecins en entier sur leur site America’s Frontline Doctors.

Ces médecins affirment ce qui suit :

« Les États-Unis sont victimes d’une campagne massive de désinformation. Nous pouvons spéculer sur la manière dont cette campagne s’est produite et les raisons pour lesquelles elle s’est poursuivie, mais le but du premier sommet des ‘’blouses blanches’’ est de donner aux Américains les moyens de cesser de vivre dans la peur. »

Selon Jeff Yates, la vidéo de la conférence de ces médecins étasuniens affirmant que l’hydroxychloroquine est efficace contre la COVID-19 contient plusieurs mensonges au sujet de la pandémie.

america's frontline doctors

Il nous explique « pourquoi c’est faux » :

« L’hydroxychloroquine n’est pas considérée comme un traitement efficace contre la COVID-19.

Depuis le début de la pandémie, ce traitement est mis de l’avant, notamment par le professeur Didier Raoult, de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille. Ce dernier affirme depuis la fin février que ce médicament, prescrit avec l’azithromycine, constitue un traitement efficace contre la COVID-19. Toutefois, ses études ont été sévèrement critiquées. »

Le dernier lien nous amène vers un texte du Parisien à propos d’une revue critique d’un seul épidémiologiste hollandais au sujet d’une seule étude de Didier Raoult. Où sont les autres études sévèrement critiquées? Serait-ce un message implicite du décrypteur nous invitant à faire nos propres recherches?

Il poursuit en disant :

« Depuis, de plus en plus d’études démontrent que l’hydroxychloroquine n’est pas un traitement efficace contre la COVID-19. »

Vraiment?

Voici 76 études (45 révisées par des pairs) menées à travers le monde et dont la très grande majorité démontre la « grande efficacité » de l’hydroxychloroquine comme traitement et prophylaxie. On peut voir un tableau mis à jour le 16 août et indiquant que les pays qui emploient l’HCQ au début de la maladie (en vert) ont un taux de mortalité inférieur de 78,2 %.

tableau comparatif pays

D’autres facteurs sont-ils en cause? Possiblement.

Ces données sur la mortalité sont cependant corroborées par le Pr. Raoult, selon lequel la censure dans les revues scientifique est « inédite ».

Il affirmait dans une vidéo publiée le 7 juillet :

« Ni le remdésivir, ni le lopinavir n’ont jamais eu une étude publiée montrant qu’il y avait une prévention de la mortalité. Zéro. Donc le seul produit pour lequel il y a une prévention de la mortalité, c’est l’hydroxychloroquine […]

Et quand on combine toutes les études qui ont été publiées à ce jour sur l’hydroxychloroquine, on trouve qu’il y a un effet positif à la mortalité. »

Jeff Yates cite seulement une étude très récente du New England Journal of Medicine (NEMJ) démontrant l’inefficacité de l’HCQ, sans mentionner le scandale de l’étude rétractée du Lancet selon laquelle l’hydroxychloroquine serait inefficace contre la COVID-19, causerait des problèmes cardiaques et augmenterait les risques de mortalité. Une étude similaire des mêmes auteurs publiée par le NEMJ a été rétractée le 25 juin.

Le décrypteur ajoute que l’« Organisation mondiale de la santé (OMS) a cessé ses essais cliniques [sur l’hydroxychloroquine] début juillet ».

Voilà. Preuve que l’hydroxychloroquine est inefficace. Même l’OMS a arrêté ses essais cliniques.

Le problème c’est que l’OMS a cessé ses essais cliniques à la suite de la parution de l’étude du Lancet qui a finalement été rétractée. Les auteurs ont refusé de divulguer leurs données et l’étude a été critiquée dans une lettre ouverte signée par 146 experts, incluant cinq Canadiens.

À la suite d’une correction et d’une republication de l’étude, James Watson, du Centre for Tropical Medicine and Global Health de l’Université d’Oxford et signataire de la lettre, a jugé que les auteurs de l’étude n’avaient pas répondu adéquatement aux inquiétudes soulevées, contrairement à ce que prétendait le Lancet.

Il a ajouté :

« Nous nous inquiétons également de l’effet que cette situation aura sur les essais d’hydroxychloroquine en cours et donc la possibilité d’obtenir des réponses sur le traitement potentiel de la COVID-19. »

Nous savons maintenant quel effet cette étude frauduleuse a eu : l’arrêt des essais de l’OMS sur l’hydroxychloroquine.

L’étude a ensuite été rétractée pour de bon.

Trop peu, trop tard.

L’article de Reuters publié par Radio-Canada le 5 juillet, vers lequel Jeff Yates nous envoie concernant l’arrêt des essais, reprend essentiellement le communiqué de presse de l’OMS :

« Les résultats préliminaires montrent que l’hydroxychloroquine ou l’association de lopinavir et de ritonavir ne réduisent pas ou très peu la mortalité des patients hospitalisés atteints par la Covid-19, par comparaison aux soins standards », peut-on lire dans un communiqué.

Les chercheurs impliqués dans l’essai Solidarity suspendront leurs travaux pour ces deux options thérapeutiques avec effet immédiat, est-il précisé, en référence à l’essai clinique international lancé dans le but de trouver un traitement efficace contre la maladie. »

On ajoute que des études continuent, incluant celle du remdésivir de Gilead, médicament administré par intraveineuse suscitant l’optimisme et ayant fait bondir les actions de la société de 17 %, lesquelles figurent désormais parmi les « coups de cœur » des analystes de Wall Street et sont qualifiées d’actions « de rêve » par CNN :

gilead-cnn-dream-stock

Ce que l’on ne nous dit pas – et c’est ce qui arrive lorsqu’on ne fait que copier-coller des communiqués de presse – c’est que les doses d’hydroxychloroquine employées dans l’essai Solidarity étaient 4 fois supérieures à la normale, ce qui « pourrait expliquer les problèmes d’efficacité dans le traitement des patients atteints de la COVID-19 », rapporte le New Indian Express.

L’OMS a d’ailleurs été alertée par des chercheurs indiens le 29 mai, poursuit le quotidien :

Actuellement, conformément aux protocoles établis par le gouvernement indien pour traiter les patients gravement atteints de coronavirus nécessitant une prise en charge en unité de soins intensifs, les doses d’HCQ sont administrées de la manière suivante : le premier jour, une forte dose de 400 mg d’HCQ une fois le matin et une fois le soir, suivie de 200 mg d’HCQ une fois le matin et une fois le soir à suivre pendant les quatre jours suivants. La dose totale administrée à un patient en 5 jours s’élève donc à 2400 mg.

S’adressant à l’ANI sous le couvert de l’anonymat, un fonctionnaire du ministère de la Santé a expliqué le contexte dans lequel le Conseil indien de la recherche médicale et le ministère de la Santé sont en désaccord avec l’évaluation de l’OMS, le principal point étant l’écart important entre les niveaux de dosage administrés en Inde et au niveau international : “Dans le cadre de l’essai Solidarity, les patients de la COVID-19 reçoivent 800 mg x 2 doses de charge à 6 heures d’intervalle, suivies de 400 mg x 2 doses par jour pendant 10 jours. La dose totale administrée à un patient pendant 11 jours est d’environ 9600 mg, ce qui est quatre fois plus élevé que la dose que nous administrons à nos patients”, a expliqué le fonctionnaire. »

new-indian-express-who

Rappelons ce que disaient les Chinois en mars dernier « une utilisation prolongée et par surdose [de l’HCQ] peut toujours provoquer un empoisonnement ».

Croyez-vous que l’essai Solidarity de l’OMS, financée principalement par Bill Gates, le kingpin des vaccins, aurait employé des surdoses d’HCQ dans le but de « trouver un traitement efficace contre la maladie »? On dirait plutôt que ces essais étaient voués à l’échec et avaient pour but de discréditer l’hydroxychloroquine, ce qu’ils ont réussi à faire à l’aide des médias traditionnels.

Dans l’essai Recovery, financé aussi en partie par la Fondation Bill and Melinda Gates, la dose était elle aussi excessive : 8060mg.

recovery

Peut-on se fier à des études sur un médicament peu coûteux faisant concurrence au développement d’un vaccin lucratif lorsqu’elles sont financées par la Fondation Gates, laquelle investit massivement dans tout ce qui touche à la vaccination et lorsque le grand Bill Gates nous somme de vacciner la planète contre la COVID-19?

Les conflits d’intérêts exposés depuis le début de cette série d’articles, principalement dans, L’OMS, Bill Gates et les vaccins et Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!, ne sont-ils pas aveuglants?

Outre la liste des pharmaceutiques évoquées dans ces deux articles, la Fondation Gates en finance d’autres qui développent actuellement des vaccins contre la COVID, comme SK Bioscience, laquelle pourrait produire 200 millions de « trousses de vaccins COVID-19 » dès juin 2021.

The Clover Chronicle rapportait en mai dernier que la fondation finance également des usines de plastique (BSF) qui produiront des fioles et une compagnie qui fabrique des seringues (Apiject), lesquelles sont également financées par le département de la Défense étasunien.

BSF-Gates-support
apiject-gates-funding

Rappelons au passage que PATH, une organisation financée par la Fondation Gates fait l’objet d’une poursuite en Inde relativement aux essais cliniques de deux vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) au cours desquels des jeunes filles sont mortes.

dod-apiject

Troublant tout ça.

Que dire par ailleurs du financement par la Fondation Gates de grands médias publics et privés et de divers groupes œuvrant dans le domaine journalistique comme ABC, PBS (Public Broadcasting Service, équivalent de la chaîne télé de Radio-Canada), The Financial TimesCenter for Investigative Reporting, American Society of News Editors Foundation, International Center for Journalists, Public Radio InternationalNational Public Radio (NPR, l’équivalent de la radio de Radio-Canada), National Journal Group, Al Jazeera, Education Writers Association, The Guardian et plusieurs autres?

gates-com-funding

Le Seattle Times écrivait en 2011 que la Fondation Gates était devenue « une puissance journalistique » :

« Les contributions de la fondation aux médias à but lucratif et non lucratif ont contribué à stimuler la couverture des questions de santé, de développement et d’éducation au niveau mondial. Mais certains craignent que son appui croissant aux organes médiatiques ne brouille la frontière entre le journalisme et la promotion. »

Enfin, lorsque l’on regarde le portrait global, comment peut-on nier le fait que d’importants intérêts financiers sont à l’œuvre dans ce plan de vaccination planétaire promu par Bill Gates, dont l’influence tentaculaire est indéniable?

Il ne s’agit pas d’une théorie de conspiration.

Les faits sont là.

Bill Gates est en flagrant conflit d’intérêts et les médias n’en parlent pas.

Qu’il soit derrière le financement des plus importantes études sur les traitements contre la COVID, lesquelles comparent un médicament peu coûteux et accessible et un vaccin qui serait hautement lucratif pour lui et ses partenaires n’est pas seulement une apparence de conflit d’intérêts.

Mais ne vous fiez pas sur Jeff Yates pour vous en informer, ni vous guider dans ces méandres. Au lieu de s’en prendre aux riches et puissants, Jeff frappe vers le bas et s’en prend à des médecins qui demandent à avoir accès à un médicament qu’ils considèrent efficace pour traiter la COVID-19.

Jeff répète le mantra : l’hydroxychloroquine n’est pas un traitement efficace contre la COVID.

Pour Jeff, ce n’est pas important de mentionner que l’OMS a cessé ses essais sur l’hydroxychloroquine en se basant sur une étude rétractée, critiquée par des centaines d’experts.

Ce n’est pas non plus important de noter que les essais Solidarity de l’OMS sur l’hydroxychloroquine, financés en partie par Bill, tout comme les essais Recovery, financés en partie par Bill, ont vraisemblablement été conçus pour échouer plutôt que pour « trouver un traitement efficace contre la maladie ».

L’ensemble des informations factuelles vérifiables et vérifiées évoquées dans cette série brosse un portrait totalement différent du vaccin contre la COVID-19 et de « la controversée hydroxychloroquine », pour reprendre les termes de Radio-Canada.

Un vaccin contre la COVID-19 sera extrêmement lucratif, à moins que l’on démontre l’efficacité d’un médicament peu coûteux, sécuritaire et accessible. Il semble évident que tout est mis en œuvre pour que ce médicament ne voit pas le jour et/ou ne soit pas reconnu s’il existe déjà.

Mais pour Jeff Yates, toutes ces informations ne sont pas pertinentes. À moins qu’il ignore tout ce qui précède car il éprouve des difficultés à faire ses propres recherches?

Les grands médias se taisent ou dénigrent, les géants de la haute technologie censurent

Les médias traditionnels ne semblent pas avoir assisté à cette conférence de presse des médecins dits controversés dont parle Jeff Yates. La vidéo rapidement devenue virale a été supprimée par plusieurs plateformes, incluant YouTube, Facebook et Twitter, lesquelles suivent les directives de suppression de « faux messages » émisent lors de l’Événement 201 (voir la première partie).

L’auteure de ces lignes a regardé la conférence des médecins de 45 minutes que vous pouvez voir ici :

https://www.bitchute.com/video/PqqvcxdCGJo9/

Elle l’a partagée sur Facebook qui l’a censurée et lui a suggéré un lien vers une page de l’OMS qui « déboulonne les mythes » sur la COVID-19. Facebook a par ailleurs censuré des articles du Tribunal de l’infaux, a effacé un an et demi de publications sur sa page et a bloqué les partages de tous les textes du Tribunal, lesquels demeurent toujours à zéro.

Les médecins qui se sont prononcés dans la vidéo censurée préconisent surtout l’emploi de l’hydroxychloroquine comme traitement contre la COVID-19. Une médecin l’a suggéré à titre préventif, comme l’étude de 2005 suggérait de le faire pour le SRAS-CoV-1.

D’ailleurs, c’est ce que font 19 % des 6000 médecins ayant répondu au sondage cité plus haut :

sondage-prophylaxie

Le décrypteur affirme :

« Contrairement à ce qu’avance la médecin dans la vidéo, le médicament ne semble pas non plus fonctionner comme traitement préventif. »

Au moins 6 études récentes disent le contraire ici. L’une d’entre elles, Markedly Lower Rates of Coronavirus Infection and Fatality in Malaria-Endemic Regions – A Clue As to Treatment?, suggère que les pays où sévit la malaria affichent des taux significativement bas d’infection et de mortalité. Les chercheurs émettent l’hypothèse que la prise d’antiviraux à titre préventif contre la malaria, comme l’hydroxychloroquine, serait en cause.

Jeff Yates poursuit ensuite son article en attaquant une médecin du groupe qui a fait des déclarations fantaisistes sur ses croyances religieuses par le passé. Ces déclarations n’ont rien à voir avec ce qui a été dit durant la conférence de presse, non seulement par elle, mais par les autres médecins qui eux n’ont pas fait de déclarations farfelues.

Il s’agit d’une tentative malhonnête de culpabiliser par association : discréditer tous les médecins présents en les associant aux déclarations qu’une seule personne dans le groupe a fait dans un tout autre contexte au sujet de ses croyances religieuses.

Ce n’est pas du journalisme, c’est du salissage.

Depuis le début de la pandémie les médecins son bâillonnés et ont de la difficulté à prescrire l’hydroxychloroquine. Au Québec, le Collège des médecins a interdit la prescription de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine :

« Le Collège, l’Ordre des pharmaciens du Québec et le ministère de la Santé et des Services Sociaux (MSSS) ont été avisés de l’émission d’ordonnances de chloroquine ou d’hydroxychloroquine visant à traiter ou à prévenir la COVID-19 chez des patients ambulatoires.

À la lumière de l’état de la situation au Québec et des données scientifiques actuellement disponibles, ces ordonnances sont jugées inappropriées et non indiquées […]

Par conséquent, les médecins sont priés de cesser dès maintenant l’émission de telles ordonnances. Quant aux pharmaciens, ils doivent les refuser à moins d’obtenir la confirmation que ces substances ont été prescrites pour un problème de santé chronique.

Cette ligne de conduite doit être rigoureusement suivie d’ici à ce que de nouvelles directives soient transmises par le MSSS. »

college-medecins-hcq

Lorsque l’on empêche les médecins de s’exprimer et de débattre, mais surtout lorsqu’on les empêche de soigner des malades, il faut se poser de sérieuses questions sur l’état de notre soi-disant démocratie.

À la lumière des faits évoqués plus haut, le Collège des médecins devrait faire l’objet de poursuites pour avoir interdit aux médecins de prescrire un médicament « grandement efficace » lorsqu’il est pris au début de la maladie, selon une foule d’études.

Sinon, les chercheurs chinois, Didier Raoult, Harvey Risch, ce groupe de médecins étasuniens censurés et bien d’autres propageraient tous de « faux messages » méritant la suppression des géants de la haute technologie?

Notons au passage que Google, propriétaire de YouTube, est l’un des donateurs de Gavi, l’Alliance pour les vaccins (voir parties 2 et 4), donc la multinationale a des intérêts financiers à supprimer tout ce qui pourrait freiner la nécessité d’un vaccin contre la COVID.

Les grands médias, qui autrefois étaient Charlie, devraient être les premiers à condamner la censure. Au contraire, ils la justifient.

Les grands médias justifient la censure des médecins.

C’est inacceptable.

Charlie-Hebdo-Radio-Canada-Une
Ils étaient Charlie.

L’absence de débats et la suppression de l’opposition par la censure est digne des régimes totalitaires.

« Le peuple doit commencer à penser d’une manière uniforme, à réagir d’une manière uniforme et à se mettre à la disposition du gouvernement de tout son cœur », a déclaré en 1933 Joseph Goebbels, ministre nazi de la Propagande et de l’Information.

Il n’y a qu’une opinion respectable, qu’une action respectable de nos jours : croire tout ce que les médias nous disent sur le coronavirus et suivre les consignes sanitaires sans réfléchir ni questionner.

Nous devons obéir pour protéger les autres et parce que le gouvernement veut notre bien.

Si c’était réellement le cas, le Collège des médecins n’aurait pas interdit la prescription d’hydroxychloroquine et nous ne serions pas victimes d’une campagne massive de peur et de désinformation.

Au lieu de s’insurger contre la censure d’un groupe de médecins, Jeff Yates participe au fascisme intellectuel ambiant et contribue au règne de la pensée unique. Il se fait le porte-parole de l’ordre établi et des multimilliardaires comme Bill Gates et Mark Zuckerberg, lequel a défendu la censure par Facebook de tout contenu affirmant qu’il existe un traitement éprouvé contre la COVID-19.

Le rôle d’un journaliste est d’agir à titre de contre-pouvoir face à l’État et aux autres structures de pouvoir, de faire connaître de multiples points de vue, de faire des liens entre les événements et de dénoncer d’évidents conflits d’intérêts, surtout ceux ayant des conséquences sur la santé publique mondiale.

Un journaliste se doit de défendre la liberté d’expression, d’encourager les débats d’idées et de questionner les discours des riches et puissants au lieu de s’acharner sur les groupes dissidents.

Le rôle d’un journaliste est de contrer la désinformation qui vient d’en haut et de faire connaître l’information qui vient d’en bas, sur le terrain.

De toute évidence, on ne peut pas se fier à Jeff Yates pour jouer ce rôle-là.




Covid-19 et Hydroxychloroquine : lecture et interprétation des études médicales, mauvaise foi des journalistes français ?

[Source : afrik.com via sott.net]

Vendredi 15 mai 2020, un des sujets qui traversent l’ensemble des médias français, tout au long dans la journée, est : « deux nouvelles études montrent que l’hydroxychloroquine n’est pas efficace contre la Covid ». On va montrer ici que les journalistes ne savent pas lire les études médicales et que le message ainsi diffusé est purement et simplement mensonger.

Par Laurent Mucchielli

La crise du Covid est comme un révélateur ou un miroir grossissant, elle exacerbe les mécanismes préexistants. C’est vrai du fonctionnent du pouvoir politique et de la haute administration dépendant du ministère de la santé. Et ça l’est également de la presse française, qui s’enfonce dans la superficialité et la suffisance. On n’a jamais vu autant de journalistes parler de science, et on n’a jamais vu autant de journalistes dire autant de bêtises. On va ci-dessous montrer une fois de plus que la plupart d’entre eux ne savent pas lire un article scientifique. Pire : on va comprendre qu’ils ne jugent même pas nécessaire d’apprendre à le faire, tellement ils sont pressés de confirmer leurs opinions.

Un grand concert de copier-coller

C’était hier matin – 15 mai 2020 – sur BFMTV (télévision privée) puis sur France Info (radio publique), puis encore sur le site Internet de France Info (encore le service public). Et tout cela était nourri des dépêches de l’Agence France Presse (AFP) tombées la veille au soir. Dépêches qui nourriront au fil de la journée l’ensemble de la presse dans un grand concert de copiés-collés.

BFMTV – fil d’actualités – 06h57 – Hugo Septier avec AFP : « Coronavirus : l’hydroxychloroquine n’est pas efficace, selon deux études ». Extraits : « Selon deux études publiées vendredi, le traitement qui a fait couler beaucoup d’encre, ne semble en réalité pas efficace contre le Covid-19, que ce soit chez des patients gravement ou plus légèrement atteints. La première étude, menée par des chercheurs français, conclut que ce dérivé de l’antipaludéen chloroquine ne réduit pas significativement les risques d’admission en réanimation ni de décès chez les patients hospitalisés avec une pneumonie due au Covid-19. Selon la seconde étude, menée par une équipe chinoise, l’hydoxychloroquine ne permet pas d’éliminer le virus plus rapidement que des traitements standard chez des patients hospitalisés avec une forme « légère » ou « modérée » de Covid-19. En outre, les effets secondaires sont plus importants ».

France Info avec AFP – 07h47 – « Coronavirus : deux études concluent à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 ». Extraits : « L’hydroxychloroquine, traitement qui a fait couler beaucoup d’encre, ne semble pas efficace contre le Covid-19, que ce soit chez des patients gravement ou plus légèrement atteints, selon deux études publiées jeudi 14 mai. La première étude (en anglais), menée par des chercheurs français, conclut que ce dérivé de l’antipaludéen chloroquine ne réduit pas significativement les risques d’admission en réanimation ni de décès chez les patients hospitalisés avec une pneumonie due au Covid-19. Selon la seconde étude (en anglais), menée elle par une équipe chinoise, l’hydoxychloroquine ne permet pas d’éliminer le virus plus rapidement que des traitements standard chez des patients hospitalisés avec une forme « légère » ou « modérée » de Covid-19. De plus, les effets secondaires sont plus importants ».

En version radio dans la matinale, à 08h30, les journalistes Marc Fauvelle, Renaud Dély (pour mémoire, celui qui avait traité les Gilets jaunes de « vermine » le 21 avril 2019) et Matteu Maestracci, au détour de leur interview du député d’extrême droite non-inscrit Louis Alliot, questionnaient ce dernier pour le soutien qu’il a affiché à l’endroit du professeur Raoult et s’empressaient de le contredire en affirmant : « les études internationales qui mettent en doute l’efficacité de l’hydroxychloroquine se multiplient, encore deux nouvelles études ces tout derniers jours qui démontrent que ce traitement n’est pas plus efficace et qu’il est même potentiellement plus dangereux sur le plan cardiaque ». Ils en profitaient également pour prétendre que « les médecins ne sont pas interdits de le prescrire », faisant mine d’ignorer le contenu réel du décret du 25 mars et la différence entre médecine hospitalière (où les médecins peuvent prescrire le traitement de leur choix) et médecine de ville (où les médecins ne le peuvent pas).

Pour mémoire encore, le vendredi précédent (8 mai), France Info donnait la parole à Marie-Paule Kieny, directrice de recherche à l’Inserm, membre du CARE (le deuxième comité scientifique installé par le gouvernement le 24 mars), qui déclarait que « la plupart des études qui sortent disent que ça ne sert à rien et que ça ne marche pas » et renvoyait bien entendu à l’étude européenne Discovery qui pourtant est un fiasco et ne donnera jamais les résultats (quels qu’ils soient) annoncés pour la mi-mai depuis le mois de mars.

Que dire sinon que ces journalistes « vedettes » de France Info ont tout l’air d’être de très bons relais de la communication gouvernementale ? Manque la preuve d’une telle hypothèse. Elle arrive.

Ce que disent (et ne disent pas) les deux études scientifiques en question

L’étude française (hôpitaux de la région parisienne), signée par une trentaine d’auteurs (dont le célèbre opposant à D. Raoult, F.-X. Lescure, en lien d’intérêt avec le laboratoire Gilead), a été initiée au moins de mars. Il ne s’agit pas d’une étude randomisée. Elle porte sur 181 patients hospitalisés pour une pneumonie et ayant besoin d’assistance respiratoire. Pour l’essentiel, 84 patients ont reçu de l’hydroxychloroquine dans les 48h suivant leur admission à l’hôpital et 89 autres n’en ont reçu (c’est le groupe de contrôle). Au 21ème jour après leur entrée à l’hôpital, l’état de santé des deux groupes de patients comparés ne présentait pas de différence significative.

Cette étude pose cinq problèmes. Le premier est la faiblesse des effectifs. Le second est le stade déjà avancé de la maladie. Le troisième est que cette étude n’est pas randomisée, chose qui est reprochée en permanence aux études de l’IHU mais qui, ici, ne gêne personne (encore et toujours le « deux poids, deux mesures » que nous avons déjà mis en évidence).  Le quatrième – de loin le plus important – est que cette étude ne teste pas le protocole Raoult puisque ce dernier d’une part associe l’hydroxychloroquine avec un antibiotique (l’azithromycine, qui est ici officiellement absente), d’autre part traite les patients dès qu’ils sont testés positifs (pour faire baisser la charge virale, sans attendre les premiers signes de détresse respiratoire). Enfin, un cinquième problème est encore plus sournois puisque les auteurs de l’article ont tenté de le dissimuler (ce qui n’a pas échappé à l’équipe du prof. Raoult). Ce problème est que, sans le dire dans la méthodologie exposée au début de l’article, l’étude française a en réalité donné à 15 patients une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine. Résultat (très favorable au protocole Raoult, donc déplaisant aux rédacteurs de l’article) : « Aucun des 15 patients qui ont reçu une combinaison d’hydroxychloroquine et d’azithromycine n’a été transféré aux soins intensifs et aucun n’est décédé. En outre, ces patients présentaient moins de signes graves à l’admission que les patients ayant reçu de l’hydroxychloroquine sans azithromycine ». A notre connaissance, aucun des très nombreux journalistes ayant commenté cette étude n’a relevé ne serait-ce qu’un seul de ces cinq points (et certainement pas les deux derniers).

L’étude chinoise, signée par une vingtaine d’auteurs d’une dizaine d’hôpitaux et universités choinoises, a été initiée au mois de février. Elle porte sur 150 patients hospitalisés à un stade encore « modéré » de la maladie. Durant 28 jours, la moitié des patients a reçu de l’hydroxychloroquine, l’autre moitié non (groupe de contrôle recevant des « soins standards » dont on ignore cependant la nature et qui ne sont pas nécessairement exactement les mêmes que dans les protocoles « standards » français). L’étude est randomisée. Le résultat est l’absence de différence significative dans l’évolution de l’état de santé des patients à l’issue de la période d’observation.

Quel sont ici les problèmes ? Le premier est à nouveau la faiblesse des effectifs. Le deuxième est le dosage de l’hydroxychloroquine (qui est le double de celui utilisé à Marseille). Le troisième est que, à nouveau, cette étude ne teste pas le protocole Raoult puisque ce dernier associe l’azithromycine ici absente. Enfin, le quatrième problème réside dans les fameux « effets indésirables » surtout « cardiaques » sur lesquels insistent tant les journalistes cités. C’est qu’ils n’ont lu que le résumé de l’étude et non le texte intégral dans lequel il est clairement indiqué que ces effets indésirables sont essentiellement des diarrhées (pour 10% des patients sous hydroxychloroquine) et que les 2 seuls cas plus sérieux consistent en des infections respiratoires et non des problèmes cardiaques. A nouveau, aucun des journalistes cités n’a relevé aucun de ces quatre points.

Conclusion

Les deux études présentées comme des contradictions majeures aux arguments du professeur Raoult ne testent pas en réalité son protocole (ou cherchent à le dissimuler lorsqu’elles le font en partie). Elles sont de surcroît conduites sur de très petits effectifs (181 et 150 patients là où l’IHU de Marseille en a 3 292 dans sa cohorte au 15 mai 2020). Ces journalistes (qui sont parmi les plus connus) ne travaillent pas sérieusement, ils déforment consciemment ou inconsciemment la réalité pour mieux confirmer leurs préjugés. Des préjugés qui coïncident parfaitement avec la communication gouvernementale, raison pour laquelle Serge Halimi les appelait les « nouveaux chiens de garde » il y a déjà quelques années. Chacun en tirera les interprétations qu’il souhaite. Mais les faits sont là et les lendemains de crise risquent d’être douloureux pour cette presse.

Post-Scriptum

Pendant ce temps-là, aux Etats-Unis, sous la pression des médecins qui partout écrivent aux gouverneurs des états pour réclamer que l’on teste le protocole Raoult, le National Institutes of Health vient d’annoncer (14 mai) le lancement d’un grand essai clinique pour évaluer si l’hydroxychloroquine combinée à l’azithromycine peut prévenir l’hospitalisation et la mort liées au Covid-19. Mais il n’y a peut-être pas eu de dépêche de l’AFP à ce sujet ? 🙂




Publication du Lancet sur L’Hydroxychloroquine* : Chercher LES ERREURS !

[Source : Covid-19 Laissons les médecins prescrire]

*https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext

Etude sur 96032 dossiers médicaux émanant de 671 hôpitaux
sur les 6 continents.
Patients hospitalisés entre le 20/12/19 et le 14/04/20
– Publication le 21/05/20
– 4 auteurs signataires
Chapeau ! un record d’efficacité pour recueil data, traduction des différentes langues étrangères y compris asiatiques + analyse statistique + écriture article + reviewing + publication !
Au bas mot une publication à 50 millions d’euros. Qui l’a financée ?
Et on passe sur les liens d’intérêt déclarés par les auteurs avec l’industrie pharmaceutique (cf page 9).

[Critiques]
  1. DES PATIENTS HOSPITALISES, A UN ETAT GRAVE DE LA MALADIE
  2. DES PATIENTS SUIVIS DANS DES PAYS N’AYANT PAS LES MEMES ATTITUDES THERAPEUTIQUES
  3. DES CRITERES D’INCLUSION FLOUS ex : des coprescriptions d’antiviraux dans 40% des cas, sans information sur leur répartition dans les groupes analysés
  4. DES IMPRECISIONS SUR LES TRAITEMENTS ANALYSES : on parle de macrolides. Impossible de savoir QUI A RECU DE L’AZITHROMYCINE
  5. DES PATIENTS AVEC DES COMORBIDITES n’en faisant pas une population représentative (ex : 1 patient sur 3 avec hypertension dans le groupe hydroxychloroquine + macrolide)
  6. DES GROUPES NON COMPARABLES : ex groupe HCQ* + macrolide plus grave avec 20% de ventilation mécanique versus 7,7% des patients du groupe « dit témoin », idem sur paramètre SaO2 ˂ 94
    Alors qu’il est écrit « No significant between-group differences were found among baseline characteristics or comorbidities. » « Foot note » du tableau 2 surprenante : « Age and BMI are continuous variables.
    « The 95% CIs have not been adjusted for multiple testing and should not be used to infer definitive effects »
  7. DES DOSES ET DUREES DE TRAITEMENT NON PRECISEES
  8. DES RESULTATS EXPRIMES EN MOYENNE, ON AURAIT AIME AUSSI DES MEDIANES ET DES RANGE
  9. AUCUNE INFORMATION SUR LES « MISSING VALUES » « multiple imputation for missing values was not possible » « it was assumed that the characteristic was not present » – il est évident que les missing values doivent se compter à la pelle sur une analyse multicentrique multipays aux soins variés
  10. AUCUNE ANALYSE DES GROUPES EN FONCTION DES TRAITEMENTS ASSOCIES NI DES RISQUES CARDIO
  11. AUCUN SCANNER THORACIQUE A LA RECHERCHE DES ATTEINTES CARDIAQUES DU VIRUS QUI SONT FREQUENTES POUR UNE ANALYSE CORRECTE DE CE QUI EST APPELE EVENEMENT INDESIRABLE
  12. PAS DE MESURE DES INTERVALLES QT NI DE RECHERCHE DE TORSADES DE POINTE !!!
  13. UNE PRESCRIPTION VENDUE COMME PRECOCE (moins de 48h après l’hospitalisation) QUI OCCULTE LA DATE DES PREMIERS SYMPTOMES ET VEUT FAIRE CROIRE A UNE PRESCRIPTION PRECOCE !

et la liste est encore longue… Mais diantre le Comité de lecture faisait-il la sieste ???

Assez d’une telle désinformation !
QUI a intérêt à faire croire que l’Hydroxychloroquine est inefficace
et dangereuse quand elle est bien prescrite ?

LAISSONS LES MÉDECINS PRESCRIRE !

Le collectif de médecins #COVID19-LaissonsLesMédecinsPrescrire, après avoir réclamé la liberté d’auto-prescription de l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, sous stricte surveillance médicale, dans le but de réaliser une étude observationnelle rigoureuse portant sur plusieurs milliers de médecins français infectés par le Covid-19, exige l’abrogation du décret du décret n°2020-293 du 23 mars 2020 modifié par les décrets 2020-314 du 25 mars et 2020- 337 du 26 mars 2020 portant atteinte à la liberté de prescription et réduisant les chances des citoyens dans le soin du COVID-19.

Twitter @laissonslespre1

Contacts presse :
Alexandra CARRASCO – Marie-Noëlle BAS – presse@stopcovid19.today

Télécharger le communiqué de presse au format pdf




À chaque jour, une tentative pour semer la Peur d’un virus !

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delepine

Pendant que nous avons peur, les politiques continuent à déployer leur arsenal totalitaire1.

Ne craignez plus les rumeurs de pandémies qui nous menaceraient

Depuis le covid l’OMS2, l’ONU3, l’Union européenne et même la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge4 ne cessent de nous alerter sur l’imminence d’une pandémie mortelle : nouveau variant du covid, variole du singe, grippe aviaire, Klebsielle et même une maladie fictive, la maladie X5.

Leur propagande vise à raviver la peur qui a figé la réflexion des populations lors de la crise covid et leur a fait accepter des mesures liberticides inutiles.

Rappelons l’illogisme des mesures anti-covid et leurs résultats désastreux

La crise du covid a constitué une expérience sociologique de soumission des peuples par la peur. Tout au long de la crise les dirigeants nous ont imposé des mesures conseillées par l’OMS sans aucune base scientifique et les agences sanitaires les ont validées par obéissance aux politiques comme le démontrent les dossiers récemment publiés de l’institut Koch (RKI files)6 7 (largement publiés par la presse mainstream allemande alors que les médias français restent terriblement silencieux).

Lors de la crise de la grippe asiatique de 1957-1958, qui était particulièrement virulente et, comme le covid, a décimé les plus fragiles8 (le plus souvent non soignés), le mot d’ordre diffusé par le gouvernement était de « ne pas ajouter la panique à la maladie».

Durant la crise covid, au contraire les consignes semblaient plutôt « amplifier l’angoisse par une présentation terrorisante des faits, accroître les conséquences de la maladie en interdisant aux médecins de donner des antibiotiques, égrener chaque soir le nombre de morts attribuées au covid, en majorer le nombre en donnant des primes à ceux qui en déclarent…» Cette politique terrorisante, très efficace, a permis d’imposer sans grande réaction populaire des mesures liberticides scientifiquement infondées et médicalement inefficaces.

Le confinement aveugle, enfermant ensemble malades et bien portants, a été conseillé par l’OMS sur la foi d’une simulation biaisée alors qu’il avait été exclu des mesures sanitaires anti-épidémie depuis ses résultats catastrophiques lors de la peste de Marseille de 1720, comme nous l’avions rappelé dès le 27 mars 20209. La nocivité du confinement est d’ailleurs parfaitement illustrée par la comparaison du nombre de contaminations et de morts journalières en Belgique (confinée) et aux Pays-Bas (non confinés).

Facilitant les contaminations le confinement a, de plus, été responsable de troubles psychologiques majeurs, d’une catastrophe scolaire sans précédent, de la grave crise économique et de l’explosion de la dette que nous subissons10 11. Les publications qui osent encore le glorifier utilisent presque toujours des simulations multipliant par 5 à 10 la réelle mortalité du covid pour prétendre « nous avons sauvé des millions de vies ».

Les pass, outil d’apartheid entre soumis et résistants ont été, d’après les données de l’OMS, totalement incapables de limiter l’extension de l’épidémie en France comme dans les autres pays européens qui les ont imposés et n’ont constitué qu’un moyen de chantage pour faire vacciner :

Les injections anti-covid ont été inefficaces et toxiques.

La généralisation des injections prétendument vaccinales a été suivie par une augmentation des contaminations et de la mortalité

Globalement les pays qui ont imposé les mesures prescrites par l’OMS ont souffert des mortalités covid par million d’habitants les plus élevées.

L’OMS et nos gouvernants veulent encore nous contrôler par la peur

Le covid ne terrorise plus assez : malgré les alertes réitérées aux nièmes rappels d’injections covid, la population a compris qu’elles ne protègent pas et qu’elles exposent à des complications parfois mortelles (cardiopathies).

Les tentatives de l’OMS pour créer la peur avec la variole du singe12 13 ont été peu efficaces. Il est vrai que pour un hétérosexuel le risque d’attraper la variole du singe est infime et celui d’en mourir pratiquement nul14 15.

Mais l’OMS réunit un comité d’urgence le 14 août pour décréter une urgence sanitaire et tenter d’imposer de nouveau les mesures liberticides qui ont fait tant de dégâts lors du covid.

Ne doutons pas que les pays qui ont souffert de ces mesures (Chine, Inde, Russie) sauront réfréner les ambitions totalitaires de l’OMS et espérons que les populations occidentales se réveilleront enfin pour défendre leurs libertés.

La grippe aviaire16 est également brandie pour engendrer la peur et l’OMS a conclu des accords avec 15 fabricants de vaccins, dans le cadre de la mise en œuvre du plan PIP (Pandemic Influenza Preparedness), après la large médiatisation de l’unique cas humain américain de grippe A (H5N1) fin mars 2024 et les 4 cas de grippe A (H7N2.

Les autorités sanitaires américaines (U.S. Department of Health and Human Services) ont prétendu que certains virus comme le H5N1 pouvaient entraîner une pandémie et menacer la sécurité des USA pour justifier la mise sur le marché de tests diagnostic et de pseudovaccins expérimentaux produits par la société Seqirus qui a reçu des millions de dollars pour préparer les futurs vaccins. 665 000 doses du vaccin contre le H5N8 ont déjà été commandées par la Commission européenne avec une option de 40 millions de doses pour les 4 prochaines années17. Comme quoi un seul cas humain de grippe aviaire peut rapporter énormément !

Le 30 septembre 2020, l’Agence régionale de santé de la Guyane française a signalé que l’arbovirus Oropouche18 qui sévit en Amérique du Sud avait été détecté pour la première fois en Guyane française (sept cas confirmés dans le village de Saül). Mais cette annonce n’a pas suscité de panique du fait de l’absence de transmission interhumaine de cette grippe tropicale et de sa très grande bénignité19 établie sur les dizaines de milliers de cas rapportés jusqu’ici. À nouveau la presse d’août 2024 se fait l’écho d’un virus inarrêtable et potentiellement mortel qui pourrait arriver en Europe.20 On n’arrête pas le délire en tous cas.

Déçus que leurs mises en garde contre les virus connus n’effraient plus suffisamment les populations, l’OMS, l’ONU, la Croix Rouge21 et les médias tentent d’y parvenir avec un futur virus hypothétique, le virus X (que certains préparent peut-être dans des laboratoires supposés fabriquer des vaccins ?) qui a été à l’honneur lors d’une table ronde intitulée « se préparer à la maladie X » du Forum économique mondial de Davos du 17 janvier 2024.

Tous les organismes supranationaux essaient nous faire croire, avec l’appui des médias subventionnés (c’est-à-dire toutes !), qu’une prochaine pandémie est inévitable : « La question n’est pas tant de savoir “si” une prochaine pandémie va se produire, mais bien plutôt quand»22.

Il faut espérer que les populations échaudées par la crise covid ne seront plus dupes de ces « machins »23 ennemis de nos libertés.

Il n’y a aucune raison de craindre les épidémies en France en 2024

Les épidémies ont toujours émaillé l’histoire de l’espèce humaine. Les plus mortifères (peste, typhus…) ont été vaincues par l’hygiène. L’eau potable a éradiqué les maladies qui se transmettent uniquement par voie féco-orale (choléra, typhoïde, poliomyélite, hépatite A…). Les antibiotiques se sont révélés irremplaçables pour lutter contre la tuberculose, la lèpre, la scarlatine et les vaccins décisifs contre variole et la fièvre jaune. Et si la mortalité du covid a été élevée, c’est précisément la faute des mesures imposées par les autorités telles que l’effacement des médecins, l’interdiction de traiter par antibiotiques et/ou hydroxychloroquine ou Ivermectine qui leur a été faite. Cette mortalité a été largement amplifiée par les ordres des décideurs d’injecter les personnes âgées par du Rivotril au moindre doute de possible covid.24

En 2024, en France Il n’y a donc aucune raison logique de craindre une épidémie mortifère au point de se soumettre sans réfléchir à n’importe quel ukase liberticide que rêve de nous imposer l’OMS comme les confinements, les pass ou des injections expérimentales qualifiées de vaccins.

Les objectifs de l’ONU : faire peur pour restreindre nos libertés et imposer des vaccins

Exemple de propagande terrorisante de l’ONU25 : « des pandémies futures vont apparaître plus souvent, se propageront plus rapidement, causeront plus de dommages à l’économie mondiale et tueront plus de personnes que la COVID-19, à moins que l’approche globale de la lutte contre les maladies infectieuses ne soit modifiée… Pour nous échapper de l’ère des pandémies, nous devons, en plus de la réaction, nous concentrer sur la prévention… Le rapport propose également un certain nombre d’options politiques qui permettraient de faire face et de réduire le risque de pandémie. En voici quelques-unes : Un Conseil intergouvernemental de haut niveau sur la prévention des pandémies… L’approche “Un monde, une santé” pourrait être institutionalisée par les Gouvernements nationaux… »

L’OMS a tenté de faire adopter un règlement sanitaire international contraignant pour instaurer son pouvoir supranational. Après le rejet de ce projet par une majorité d’états, elle a réintroduit une grande partie de ses mesures par des amendements avalisés à la va-vite par une minorité.

Ces amendements prévoient que l’OMS peut déclarer des urgences sanitaires et décréter alors des mesures telles que des interdictions de voyager, un contrôle de l’information, des obligations vaccinales et une surveillance sur vous et votre famille. Il est urgent que la France se retire de ce règlement sanitaire et de convaincre nos élus de le faire.

Pour riposter, signer la pétition « Rejetez le Règlement Sanitaire International », exhortant notre gouvernement à se retirer du RSI et à protéger nos libertés : https://cgo.ac/sci0YgjK

L’Union Européenne contre les libertés fondamentales

La constitution européenne proclame les droits de l’Homme, mais la Commission européenne édicte constamment des mesures visant à les réduire, le prétexte officiel le plus fréquent de ces dernières années étant de protéger la santé.

La Belgique, l’Allemagne, la Grèce, la Lettonie et le Portugal envisagent de tester une nouvelle carte de vaccination dans divers formats (cartes imprimées, versions numériques pour smartphones). L’université de Crète (Grèce) coordonne ce projet de carte européenne de vaccination avec un financement de 7,3 millions d’euros du programme EU4Health de la Commission européenne.

Cette carte européenne de vaccination suit les critères du Réseau mondial de certification numérique de la santé de l’Organisation mondiale de la santé et vise à promouvoir un « passeport numérique mondial » que les mondialistes rêvent d’imposer.

L’avocat néerlandais Meike Terhorst a qualifié ce passeport de vaccination numérique de « menace directe à notre liberté et aussi à la souveraineté de tout État… Tous nos pouvoirs sont cédés aux mondialistes, au groupe des banquiers et des investisseurs». Il représente en effet d’une menace directe contre nos libertés de se déplacer et de disposer librement de son corps.

Fitts a précisé :

« L’objectif est le contrôle financier. Il n’y a pas d’objectif légitime en matière de santé publique. Les banquiers centraux se cachent derrière un discours sur la santé — des politiques comme confinement sont un moyen de gérer l’inflation et la demande de ressources lorsque la politique monétaire est fortement inflationniste.»

Dr David Bell, médecin de santé publique a renchéri en rappelant les similitudes du projet avec l’eugénisme du nazisme :

« La carte de vaccination proposée reflète un effort croissant d’utilisation des outils de santé publique comme moyen de concentrer les richesses et de fournir un moyen de contrôler les populations. Il rappelle très clairement les approches dans certaines parties de l’Europe avant la Seconde Guerre mondiale, et sert essentiellement un objectif similaire : exclure les individus qui ne suivent pas les instructions gouvernementales de la société. »

Refusons toute carte de vaccination et tout pass d’autant qu’ils ont montré lors du covid qu’ils étaient médicalement inefficaces.

Les libertés n’existent que tant que nous les défendons

Les mondialistes utilisent tous les organismes supranationaux et la corruption de certains de nos élus pour tenter de supprimer les droits fondamentaux des populations et imposer des mesures aux bénéfices de l’élite et de la finance internationale en utilisant la peur.

En France, il n’y a aucune raison objective d’avoir peur des épidémies si on laisse les médecins nous soigner sans qu’ils ne se soumettent aux politiques.26

Si nous ne voulons pas perdre nos droits fondamentaux de citoyens et notre démocratie, rejetons la peur et battons-nous par tous les moyens : lettres aux élus, pétitions, manifestations, vote… Ne les laissons plus faire et nous ferons reculer le totalitarisme une fois de plus !





Deux alternatives à Big Pharma vaccinaliste

Par Joseph Stroberg

Les deux alternatives principales qui sont apparues depuis l’opération psychologique Covid-19 (qui avait manifestement pour but de vacciner massivement l’Humanité avec des nanoparticules particulières sont les suivantes) :

Le point de vue dominant, Big Pharma compatible

S’il reconnaît que les vaccins anticovid ont eu des effets secondaires graves, nombreux et fréquents, il continue à donner du grain à moudre à Big Pharma et favorise une prochaine « plandémie ». Ceux qui s’y rangent continuent à croire en effet aux éléments suivants :

  • l’existence de méchants virus ;
  • l’existence de virus « augmentés » en labos P4 ;
  • le pouvoir de vaccins contre ces méchants virus, augmentés ou non ;
  • le pouvoir antiviral de substances telles que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine.

Même si dans ce groupes, des personnes pensent qu’il existe une nanotechnologie autre qu’à base d’ARNm ou de protéine Spike dans les vaccins, comme dans la vidéo suivante, elles continuent à croire aux pathogènes viraux.



Le point de vie étouffé même au sein de la Résistance au Nouvel Ordre Mondial

Ce groupe minoritaire prend cependant de l’expansion, car il expose avec force arguments le caractère pseudo scientifique (mais scientiste religieux) de l’hypothèse virale en particulier et de la théorie des germes en général.1

Il réfute scientifiquement l’hypothèse virale et la théorie des germes, montrant notamment que les supposés virus ne sont que des composants ou des déchets génétiques de cellules vivantes agressées d’une manière ou d’une autre, et que les bactéries vivent habituellement en harmonie avec nous dans notre microbiome.

Il considère que les supposés « antiviraux » atténuent en fait des symptômes, mais ne soignent rien.

Il considère la théorie du terrain comme étant bien plus compatible avec les faits observés et attribue donc les maladies à des déséquilibres (ou perte de l’homéostasie2) de ce dernier, ceci à cause d’excès ou de déficiences sur un ou plusieurs plans (physique, chimique, électrique, magnétique, électromagnétique, vital, affectif, émotionnel, mental, psychique, et même spirituel), certaines maladies pouvant avoir plusieurs causes simultanées, au moins comme causes secondaires ou dérivées d’une cause plus fondamentale3.

Il montre que les soi-disant « virus augmentés » en labos P4 ne sont que des soupes chimico-génétiques toxiques (issues de la prétendue « culture » virale)4.

Ne considérant plus les germes comme la cause véritable des maladies (mais tout au plus comme des témoins, des nettoyeurs et parfois des facteurs secondaires de ces maladies), il en déduit que les vaccins ne sont au mieux que des placebos, mais le plus souvent des soupes toxiques directement injectées dans le corps de leurs victimes.

Il a découvert la présence de graphène et de nanotechnologie autoassemblée dans les vaxins supposés être à ARNm.

Il a l’esprit ouvert, curieux, capable d’envisager les hypothèses les plus extraordinaires, souvent rejetées sans examen par les autres, comme celles présentées à partir d’éléments probants dans la vidéo suivante [source : @AgoraTVNEWS] :







Combattons les censures et les atteintes à nos droits fondamentaux

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien et cancérologue

Le droit de se déplacer librement et celui d’exprimer ses idées et ses opinions constituent les plus essentiels des droits fondamentaux de l’homme. Mais les élites menacent la liberté d’expression par la désinformation et les censures. Battons-nous pour les faire respecter.

La liberté d’expression conditionne la liberté d’opinion

Elle est inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 :

Elle est rappelée par l’Article 19 de celle de l’ONU :

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit ».

Elle est garantie par la constitution française et de nombreux traités internationaux que nous avons signés dont la Convention européenne des droits de l’Homme.

Mais la liberté d’expression insupporte tous ceux qui n’ont pas d’arguments solides pour débattre avec leurs opposants et qui s’efforcent d’instaurer une censure généralisée pour imposer la pensée unique, premier pas du totalitarisme.

Depuis la crise du covid, les gouvernants des pays qui se prétendent pourtant démocratiques ont rivalisé d’ingéniosité pour diaboliser et censurer tous ceux qui dénonçaient l’énormité de leurs mensonges, les publications qui mettaient en danger leurs présentations de la vérité, leurs idéologies, leurs pouvoirs et leurs intérêts matériels.

La liberté d’opinion est indispensable à la science

La religion repose sur la foi et ignore le doute. Les vérités énoncées dans le livre Sacré sont immuables. Toute contestation est hérétique et doit être condamnée.

La science repose sur le doute. Une vérité scientifique n’est admise que tant qu’elle est compatible avec les faits constatés. Toute contradiction entre la théorie dominante du moment et un fait observé crée une controverse qui mène à une nouvelle vérité d’où naissent la plupart des progrès scientifiques.

Méconnaître les paradoxes et refuser le débat c’est stériliser la science, la transformer en religion. Niels Bohr, pionnier de la mécanique quantique, l’avait brillamment exprimé à propos du paradoxe Einstein-Podolsky-Rosen « qu’il est merveilleux de constater un paradoxe. Maintenant nous avons l’espoir de faire quelques progrès ».

La désinformation, les censures et l’oppression Covid pour modèles

Désinformation et propagande

Comme la censure des médias ne suffisait plus pour ignorer les hérétiques, les autorités ont utilisé les agences sanitaires comme caution pseudo scientifique de leurs mensonges.

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps incarné la voix officielle en prétendant entre autres fadaises que les vaccins étaient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété à l’envie :

« Les vaccins sont efficaces à 90 %… ils empêchent la diffusion de l’épidémie… ils protègent des formes graves… ils sont efficaces et sans danger ».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous, y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie ». Cette dernière affirmation été depuis dramatiquement démentie par les données officielles montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce taux magique de 80 %.

Au niveau mondial aussi les données de l’OMS ont démontré que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et qu’elles les ont peut-être même favorisées.

Répression de la liberté d’expression

Pour éviter que les faits contredisant leurs mensonges soient connus, certains milliardaires et les gouvernements occidentaux ont instrumentalisé des journalistes et l’ordre des médecins comme tribunal de l’Inquisition et ont fait condamner tous ceux qui voulaient ouvrir un débat scientifique ou qui diffusaient des faits scientifiquement établis, mais contraires au dogme officiel.

Comme l’inefficacité de l’obligation généralisée du masque contre les virus1, que les « vaccins covid » n’en étaient pas, que ces injections étaient expérimentales2Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort et qu’elles exposaient à des complications, que les traitements précoces (hydroxychloroquine, Ivermectine, antibiotiques, vitamine D…) étaient efficaces, que l’hydroxychloroquine était peu toxique.

De nombreux médecins qui énonçaient ces faits ont été interdits d’exercer leur activité sans qu’aucun tribunal n’ait à ce jour rappelé que la liberté d’expression est un droit constitutionnel.

Les pays occidentaux qui ont le plus imposé les pass et les vaccins sont ceux qui ont comptabilisé des plus fortes mortalités covid par million :

Et ce sont ces mêmes pays, chantres des injections, qui souffrent actuellement de surmortalités toutes causes confondues « inexpliquées », car possiblement liées aux effets secondaires des pseudo vaccins.

La censure emprunte de multiples méthodes

L’invisibilisation

Le premier temps consiste à ignorer les donneurs d’alerte : les médias ne mentionnent pas leurs informations, livres ou discours pour que le public n’y ait pas accès… Désindexation de leurs articles par Google Actualité, suppression de leurs vidéos par la chaîne YouTube, Facebook, Instagram, etc., puis rapidement censure financière par boycott de ses services de publicité. Google et les réseaux sociaux évitent d’en faire mention alors qu’ils accordent une place considérable à la propagande officielle.

Rappelons le blocage en France de la chaîne Rumble et de RT France chaîne de télévision très écoutée disparue brutalement sans explications techniques sur ordre du gouvernement. Les tentatives de diffusion par Odyssée ou autres des innombrables vidéos censurées par YouTube sont utiles, mais n’atteignent pas le même nombre de vues.

L’exercice qui consiste à éviter certains mots qui engendreront automatiquement la censure d’une vidéo par YouTube en minimisant son audience, comme vaxx, enfants, genre, etc. conduisent à une autocensure automatique des auteurs, de même que le fait de ne pas montrer d’images dures comme les photos des interventions pour changement de genre, ce qui amoindrit le message.

La diabolisation par sophisme, par association

Lorsque cela n’est pas suffisamment efficace, les censeurs tentent de décrédibiliser les donneurs d’alerte en s’attaquant à leur personne plutôt qu’à leurs propos pour le discréditer ou le déshonorer.

Ils ont pour cela créé des « fast checkers », le plus souvent journalistes3 qui, au lieu d’informer équitablement, à charge et à décharge, déforment les propos des donneurs d’alerte, ne les interrogent jamais et n’hésitent pas à mentir en les diffamant. Ces fast checkers sont entre autres financés par George Soros (Open Society Foundation), Google, la fondation Bill et Melinda Gates, the National Endowment for Democracy, Ebay’s Omidyar Foundation, les gouvernements occidentaux et la Commission Européenne.

Par exemple, pour tenter de démentir mon article illustrant la surmortalité post vaccinale précoce4, Françoise Kadri de AFP « factuelle », « antiviral » site Internet, La Montagne journal web, et Ludwig Gallet du Parisien ont imaginé et prétendu que j’étais l’objet d’« une plainte du Conseil national de l’Ordre des médecins depuis décembre 2020 »5 avant de confirmer les données chiffrées de l’OMS que je citai, tout en tentant de leur trouver des explications non liées aux injections pour quelques pays. Le comique de l’histoire est que je n’étais plus inscrit au conseil de l’ordre depuis 2014 !

Ils utilisent volontiers des sophismes par association pour induire une « culpabilité par association ». L’exemple de sophisme par association le plus classique en politique consiste à associer leurs adversaires au fascisme, à l’extrême droite ou à Hitler, référence suprême du mal, pour le discréditer. Ils les traitent d’antivax (même les vaccinés !) de « populistes », « contestés », « complotistes », « d’extrême droite », sans jamais étayer leurs accusations par des faits ou des propos précis, objectifs, et en citant comme contradicteurs les avis sans nuances de médecins de plateau aux liens d’intérêts avec les gouvernants ou l’industrie souvent considérables, jamais mentionnés.

L’accusation de « discours de haine »

Nos députés ont, à juste titre, déclaré illégales l’apologie du terrorisme, du racisme et la négation des crimes contre l’humanité. Les activistes utilisent ces modèles en qualifiant ce qu’ils désirent censurer de « discours de haine », et de « phobique » « islamophobes », « homophobes », « transphobes », « grossophobes » et même, tout récemment « capillaro phobes » !

Rappelons que la critique d’une croyance ne constitue pas un discours de haine envers les croyants, mais seulement l’expression d’une opinion qui appelle au débat. Le blasphème est d’ailleurs parfaitement autorisé en France depuis la révolution de 1789, et la plupart des chrétiens le tolèrent. Je ne suis pas chrétien et je réprouve les excès passés de l’Église catholique lorsqu’elle imposait ses lois à la cité, mais je ne ressens aucune haine envers cette religion, ni envers ses croyants dont, au contraire, j’apprécie profondément les principes moraux, fondateurs de notre civilisation. Ce qui n’est manifestement pas le cas de certains militants extrémistes de croyances minoritaires religieuses, sociales ou sexuelles qui s’expriment parfois avec la brutalité propre aux convertis récents à une idéologie.

L’interdiction légale

Cette accusation de discours de haine ou de phobie vise à préparer une interdiction légale. Les individus qui se prétendent discriminés font du lobbying intense pour transformer l’expression des opinions qui leur déplaisent en délit punissable par la loi.

Ils y parviennent trop souvent ; ainsi en France les députés n’ont pas hésité à couper les cheveux en quatre en votant le 28 mars 2024 une loi pour « Reconnaître et sanctionner la discrimination capillaire ». Maintenant critiquer la coiffure de son épouse peut exposer aux rigueurs de la loi !

Certains censeurs se glorifient de défendre une cause qu’ils jugent essentielle !

L’étape ultime du refus de la liberté d’expression est franchie lorsque le censeur se glorifie de combattre la liberté d’opinion sous prétexte qu’elle s’oppose à une cause qu’il juge essentielle.

Des extrémistes de l’urgence climatique n’hésitent pas à agresser des œuvres artistiques mondialement reconnues.

Aux États-Unis, l’autocensure des médias américains s’est exprimé en floutant la Une de Charlie Hebdo renaissant de ses cendres après l’attentat terroriste islamiste qui l’avait frappé.

Des extrémistes s’attaquent à la littérature et au cinéma et consacrent leur temps à traquer les expressions ou les thèmes qui leur déplaisent pour les censurer.

De nombreuses œuvres sont ainsi réécrites au gré de la sensibilité exacerbée de minorités agissantes ; « Dix petits nègres » a été renommé « ils étaient dix ».

Les accusations moralistes contre « Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » (Prix Pullitzer 1961) ont conduit certaines bibliothèques scolaires de l’État de Virginie de le retirer de leurs rayons. « Huckleberry Finn » de Mark Twain, « La case de l’Oncle Tom », « Tintin au Congo », « Tristes tropiques », mais aussi « le marchand de Venise de Shakespeare » et Voltaire sont la cible de censeurs qui nous rappellent tristement l’époque du procès de Flaubert pour Mme Bovary ou plus récemment la chasse aux sorcières du Maccarthisme triomphant. Même les Misérables de Victor Hugo sont attaqués.

Le film multi-oscarisé « Autant en emporte le vent » accusé de raciste et de révisionniste, a été retiré de HBO Max en juin 20206 et est maintenant précédé d’une « mise en contexte », censée aider le public à comprendre qu’il faut bien le replacer dans son époque et qu’il « Il serait irresponsable de le maintenir sans explication et dénonciation. » Cela témoigne d’un mépris des spectateurs qui seraient incapables de comprendre seuls et d’une volonté totalitaire de rééducation culturelle.

L’exemple de censeur sans complexe est incarné par la directrice de Radio France A. V. Reeth qui se glorifie publiquement d’exclure de l’antenne les scientifiques covidosceptiques ou climatosceptiques s’érigeant ainsi en grand maître des vérités scientifiques.

Mais comment peut-elle se glorifier ainsi de mépriser la démocratie et de trahir son devoir de journaliste énoncé dans la charte de Munich de 19717 et du celle du journaliste8

« Le droit du public à une information de qualité, complète, libre, indépendante et pluraliste, rappelé dans la Déclaration des droits de l’homme et la Constitution française, guide le journaliste dans l’exercice de sa mission. Cette responsabilité vis-à-vis du citoyen prime sur toute autre… Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ».

Cette volonté de « censure pour une bonne cause » s’oppose au jugement prononcé par la Cour Européenne des Droits de l’Homme dans la jurisprudence Hertel9 :

« Peu importe que l’opinion dont il s’agit soit minoritaire, et qu’elle puisse sembler dénuée de fondement : dans un domaine où la certitude est improbable, il serait particulièrement excessif de limiter la liberté d’expression à l’exposé des seules idées généralement admises ».

Les élites veulent accroître les censures par la loi et les traités internationaux

Alors qu’ils prétendent se comporter en démocrates les dirigeants occidentaux veulent toujours plus censurer pour imposer plus étroitement leur contrôle et nous faire croire à de futures crises sanitaires dans l’espoir d’attenter davantage encore à nos libertés.

En France, la loi Darmanin menace d’amende astronomique et de prison les donneurs d’alerte en médecine :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique »… « Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende ».

Il envisage même d’interdire les « outrages » dans la sphère privée !

En Europe, le règlement européen sur les services numériques (Digital Services Act, DSA) vise à obliger les plateformes à censurer les continus qui pourraient paraître problématique sous menace d’amende et d’interdiction de leur exploitation sur le territoire. Il sacralise une censure privée (les plateformes apprécient seules la légalité ou non du contenu). Le respect de codes de conduite européen comporte en particulier la « visibilité accrue des sources d’information faisant autorité » (celles des gouvernements…). Twitter et consorts seront « en liberté ultra-provisoire et totalement surveillés ».

Les autorités espèrent-elles vraiment « restaurer la confiance » en censurant des faits réels qui contredisent leur discours ? Ne devraient-elles pas plutôt répondre à leurs opposants par des arguments lors de débats ? C’est en tous cas ce qui correspondrait le mieux aux idéaux démocratiques qu’elles se targuent de respecter. La démocratie meurt de la censure.

L’OMS dans son projet de nouveau règlement sanitaire international veut instituer une censure renforcée contre les critiques émises de ses préconisations qu’elle veut de plus rendre contraignantes. S’il n’était pas refusé, il pourrait demander des obligations vaccinales que personne n’aurait le droit de critiquer.

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Sans liberté de parole, il n’y a pas de démocratie !

Refusons la dictature des minorités et des grands groupes financiers qui pilotent ces projets liberticides tant en France, qu’à l’OMS ou à la Commission européenne.

Ceux qui croient que la démocratie est le moins mauvais de tous les systèmes politiques doivent s’allier pour dénoncer ces scandales partout et toujours et nous gagnerons, car la vérité triomphe toujours quand on la défend.

De nombreux pays ont déjà annoncé qu’ils refuseraient d’appliquer le nouveau règlement sanitaire de l’OMS s’il était voté en mai 2024 tel que son directeur général l’espère.

Malheureusement de trop nombreux dirigeants européens, trop liés à la finance, veulent supprimer progressivement nos droits fondamentaux de citoyens. Renvoyons chez eux les politiques qui veulent restreindre les droits de l’homme.

Quittons les organismes supranationaux (UE, OMS, OTAN) qui veulent faire taire la voix des peuples et détruire la démocratie. Obtenons le Frexit !

À bas la censure ! Liberté de parole ! Liberté de communication ! Liberté de déplacement ! Libertés !

Gérard Delépine





Les médecins font-ils plus de mal que de bien ?

[Source : expose-news.com]

Nous dépensons aujourd’hui davantage pour les soins de santé et la profession médicale est mieux équipée que jamais. Il est vrai, bien sûr, que les médecins sauvent des milliers de vies. Cependant, les maladies iatrogènes — affections causées par des traitements ou des procédures médicales — qui ont toujours marqué la pratique médicale n’ont cessé de s’aggraver.

Dans un livre publié pour la première fois en 1994, le Dr Vernon Coleman a noté que nous avions déjà atteint le point où, tout compte fait, les médecins font plus de mal que de bien.

Le texte suivant est extrait du livre de Vernon Coleman « Betrayal of Trust » (La trahison de la confiance) (1994).

Rhoda Wilson — Le 26 Avril 2024

Par le Dr Vernon Coleman

Nous dépensons aujourd’hui plus que jamais pour les soins de santé, et la profession médicale est apparemment plus scientifique et mieux équipée que jamais. Il y a donc une ironie sauvage dans le fait que nous avons atteint le point où, tout compte fait, les médecins bien intentionnés de la médecine générale et les spécialistes hautement qualifiés et bien équipés travaillant dans les hôpitaux font plus de mal que de bien. L’épidémie de maladies iatrogènes qui a toujours marqué la pratique médicale n’a cessé de s’aggraver et, aujourd’hui, la plupart d’entre nous seraient le plus souvent mieux lotis sans profession médicale.

La plupart des pays développés consacrent aujourd’hui environ 8 % de leur produit national brut aux soins de santé (les Américains dépensent beaucoup plus — environ 12-14 %), mais par un mélange d’ignorance, d’incompétence, de préjugés, de malhonnêteté, de paresse, de paternalisme et de confiance mal placée, les médecins tuent plus de gens qu’ils n’en sauvent et ils causent plus de maladies et de malaises qu’ils n’en soulagent.

La plupart des pays développés dépensent aujourd’hui environ 1 % de leur revenu annuel en médicaments délivrés sur ordonnance et les médecins ont plus de connaissances et un meilleur accès à des traitements puissants que jamais auparavant, mais il n’y a probablement jamais eu d’autre période dans l’histoire où les médecins ont fait plus de mal qu’ils n’en font aujourd’hui.

Il est vrai, bien sûr, que les médecins sauvent des milliers de vies, par exemple en prescrivant des médicaments vitaux ou en pratiquant des interventions chirurgicales essentielles sur des victimes d’accidents.

Mais lorsque la profession médicale et l’industrie pharmaceutique affirment que ce sont les progrès de la médecine qui expliquent l’augmentation de l’espérance de vie depuis une centaine d’années, elles se trompent. Ainsi, il est communément admis que la médecine scientifique moderne a permis d’améliorer l’espérance de vie dans la plupart des pays développés, qui est passée d’environ 55 ans au début du siècle à plus de 70 ans aujourd’hui.

Or, cette affirmation n’est pas étayée par des preuves.

Toute amélioration (faible) de l’espérance de vie survenue au cours des cent dernières années n’est pas liée à l’évolution de la profession médicale ou à la croissance de l’industrie pharmaceutique internationale. En revanche, l’augmentation de la iatrogénie est liée à ces deux facteurs.

Quels que soient les faits observés, ils semblent confirmer ma thèse selon laquelle les médecins font peut-être un peu de bien, mais beaucoup plus de mal.

Si les médecins aidaient vraiment les gens à rester en vie, on pourrait s’attendre à ce que les pays qui ont le plus de médecins aient les meilleures espérances de vie. Or, ce n’est pas du tout le cas.

Aux États-Unis, il y a un médecin pour 500 personnes et l’espérance de vie des hommes noirs est d’environ 65 ans. En Jamaïque, il y a un médecin pour 7 000 personnes et l’espérance de vie des hommes est d’environ 69 ans. En Corée du Nord, il y a un médecin pour 400 patients et l’espérance de vie des hommes est de 63 ans. En Corée du Sud, il y a un médecin pour 1 500 personnes et l’espérance de vie est de 64 ans. L’Amérique dépense plus par habitant pour les soins de santé que n’importe quelle autre nation dans le monde et pourtant ses citoyens ont l’une des espérances de vie les plus faibles du monde occidental. (Il est bien sûr possible d’affirmer qu’il existe de nombreuses différences autres que le nombre de médecins entre la Corée du Sud et la Corée du Nord, mais il est raisonnable de s’attendre à ce que les médecins influencent ces facteurs. En outre, si les médecins en tant que groupe revendiquent la responsabilité des succès des soins de santé, ce qu’ils font, il est certainement juste qu’ils assument la responsabilité globale des taux de mortalité et de morbidité).

Les Américains dépensent environ 2 000 dollars par personne et par an pour les soins de santé et pourtant, sur 1 000 naissances vivantes, douze enfants meurent avant d’atteindre leur cinquième anniversaire. Au Japon, où les dépenses de santé sont nettement inférieures à la moitié de celles des Américains, le nombre d’enfants qui n’atteindront pas leur cinquième anniversaire est de huit sur mille naissances. Les Américains consacrent environ 12 à 14 % de leur produit national brut à la médecine de haute technologie, mais en moyenne ils sont plus malades et meurent plus jeunes que les habitants de la plupart des autres pays développés.

Les taux de mortalité infantile en Asie sont inférieurs à ceux de l’Europe occidentale, tandis que l’espérance de vie estimée à la naissance est plus élevée en Extrême-Orient que dans l’Occident surdoté.

Ce n’est que lorsque l’on compare des pays gravement sous-développés à des pays développés que l’on constate des différences évidentes dans les taux de mortalité infantile et les chiffres de l’espérance de vie et, dans ce cas, ce sont les différences dans l’infrastructure des pays qui expliquent la différence. Mon point de vue peut paraître surprenant et controversé, mais il est partagé par un nombre croissant d’experts indépendants dans le monde. Ces chiffres ne plaident guère en faveur de l’image des médecins en tant que profession curative efficace.

Ce qui est peut-être encore plus surprenant, c’est ce qui se passe lorsque les médecins font grève et laissent les patients se débrouiller sans aide médicale professionnelle.

On pourrait imaginer que sans les médecins, les gens meurent comme des mouches en automne. Il n’en est rien. Lorsque les médecins israéliens ont fait grève pendant un mois, les admissions à l’hôpital ont chuté de 85 %, seuls les cas les plus urgents étant admis. Malgré cela, le taux de mortalité en Israël a chuté de 50 % — la plus forte baisse depuis la précédente grève des médecins vingt ans plus tôt — pour atteindre son niveau le plus bas jamais enregistré. La même chose s’est produite partout où les médecins ont fait grève. À Bogota, en Colombie, les médecins ont fait grève pendant 52 jours et le taux de mortalité a chuté de 35 %. À Los Angeles, une grève des médecins a entraîné une réduction de 18 % du taux de mortalité. Pendant la grève, il y a eu 60 % d’opérations en moins dans 17 grands hôpitaux. À la fin de la grève, le taux de mortalité est revenu à la normale.

Quelles que soient les statistiques consultées, quelles que soient les preuves examinées, la conclusion doit être la même. Les médecins sont un danger plutôt qu’un atout pour une communauté. En Grande-Bretagne, le taux de mortalité des hommes actifs de plus de 50 ans était plus élevé dans les années 1970 que dans les années 1930. Les Britanniques n’ont jamais été en aussi bonne santé que pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les chiffres publiés par le Bureau du recensement des États-Unis montrent que 33 % des personnes nées en 1907 pouvaient espérer vivre jusqu’à 75 ans, tandis que 33 % des personnes nées en 1977 pouvaient espérer vivre jusqu’à 80 ans. Si l’on exclut les améliorations apportées par de meilleures conditions de vie, un approvisionnement en eau plus propre et la réduction des décès pendant ou juste après l’accouchement, il devient évident que les médecins, les sociétés pharmaceutiques et les hôpitaux ne peuvent pas avoir eu d’effet utile sur l’espérance de vie. En effet, les chiffres montrent une augmentation des taux de mortalité chez les personnes d’âge moyen et une augmentation de l’incidence des troubles invalidants tels que le diabète et l’arthrite. L’incidence du diabète, par exemple, doublerait tous les dix ans et l’incidence des maladies cardiaques graves chez les jeunes hommes augmenterait rapidement. Aujourd’hui, les taux de mortalité dus aux maladies cardiaques chez les adultes sont 50 fois plus élevés qu’au début du siècle. Dans les pays comme l’Amérique où l’incidence des maladies cardiaques a légèrement diminué, il est clair que l’amélioration est due à de meilleures habitudes alimentaires (en général, cela signifie simplement que l’on consomme moins d’aliments gras) plutôt qu’à une amélioration des soins médicaux. L’explosion des médicaments et des traitements chirurgicaux pour les maladies cardiaques n’a eu aucun effet positif sur les taux de mortalité. Au contraire, de nombreux éléments montrent que l’augmentation du recours à des procédures telles que l’angiographie, le traitement médicamenteux et la chirurgie cardiaque a entraîné une augmentation du nombre de décès. Les Occidentaux sont soignés et drogués jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Quatre personnes sur cinq dans le monde vivent dans des pays sous-développés, mais quatre médicaments sur cinq sont consommés par des personnes vivant dans des pays développés. Malgré les énormes sommes d’argent consacrées aux programmes de dépistage, le nombre de décès de jeunes femmes dus au cancer continue d’augmenter et chaque fois qu’une maladie infectieuse est vaincue, une autre semble prendre sa place. Les bactéries deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques et le nombre de citoyens handicapés et incapables dans les pays développés augmente si rapidement qu’il est désormais clair que d’ici 2020, les personnes handicapées et incapables seront plus nombreuses que les personnes en bonne santé et valides.

En Grande-Bretagne, où l’accès aux médecins et aux hôpitaux est gratuit pour tous, l’espérance de vie des personnes âgées de 40 ans est plus faible que presque partout ailleurs dans le monde développé. Aux États-Unis, 6 % des patients hospitalisés contractent une infection résistante aux médicaments, provoquée par l’hôpital, et l’on estime à 80 000 le nombre de patients qui en meurent chaque année. Les infections hospitalières figurent donc parmi les dix premières causes de décès en Amérique.

Lorsque les médecins et les laboratoires pharmaceutiques publient des chiffres indiquant une augmentation (généralement légère) de l’espérance de vie au cours des cent dernières années environ, ils négligent invariablement la contribution massive apportée par l’amélioration des conditions de vie, l’assainissement de l’eau potable, l’amélioration des installations d’évacuation des eaux usées, la généralisation de l’éducation, l’amélioration (et l’abondance) de l’alimentation et l’amélioration et la sécurisation des moyens de transport. Tous ces facteurs ont eu une influence bien plus spectaculaire sur les taux de mortalité et de morbidité que la fourniture de services de soins de santé.

Les organisations humanitaires qui travaillent dans les régions sous-développées du monde sont bien conscientes qu’elles peuvent avoir un impact sur les taux de mortalité beaucoup plus rapidement en fournissant des outils, des puits et des abris qu’en construisant des hôpitaux ou des cliniques ou en important des médecins et des infirmières. Malheureusement, les gouvernements qui reçoivent de l’aide sont souvent réticents à l’accepter et sont souvent beaucoup plus enthousiastes à l’idée de construire des hôpitaux ultramodernes équipés de scanners, d’équipes de transplantation cardiaque et d’unités de soins intensifs que de construire des maisons, d’installer des systèmes d’irrigation ou de planter des cultures.

Cette obsession de la haute technologie entraîne des problèmes dans tous les domaines des soins de santé. Par exemple, la lutte contre le paludisme s’est bien déroulée tant que les mares d’eau stagnante étaient éliminées, mais lorsqu’on a découvert que les moustiques pouvaient être tués par pulvérisation de DDT et que la maladie pouvait être combattue à l’aide de médicaments tels que la chloroquine, les autorités ont cessé de se préoccuper de l’élimination des mares d’eau stagnante. Aujourd’hui, les moustiques sont résistants au DDT et les parasites responsables de la malaria deviennent résistants aux médicaments : la malaria tue aujourd’hui environ 1,5 million de personnes par an.

Ceux qui affirment que les médecins sont responsables de l’amélioration de l’espérance de vie dont nous bénéficions oublient que depuis le Moyen-Âge, en passant par la Renaissance et jusqu’aux premières décennies du XXe siècle, les taux de mortalité infantile étaient absolument terribles et que ce sont ces taux de mortalité massifs chez les jeunes qui faisaient baisser l’espérance de vie moyenne.

L’hôpital des enfants trouvés de Dublin a admis 10 272 nourrissons entre 1775 et 1796, et seuls 45 d’entre eux ont survécu. En Grande-Bretagne, le nombre de décès chez les bébés de moins d’un an a chuté de plus de 85 % au cours du siècle dernier. Même chez les enfants plus âgés, l’amélioration a été spectaculaire. En 1890, un enfant britannique sur quatre mourait avant son dixième anniversaire. Aujourd’hui, 84 enfants sur 85 survivent jusqu’à leur dixième anniversaire. Ces améliorations n’ont pratiquement rien à voir avec les médecins ou les laboratoires pharmaceutiques, mais résultent presque entièrement de l’amélioration des conditions de vie. En 1904, un tiers des écoliers britanniques étaient sous-alimentés. En raison d’une mauvaise alimentation, les bébés et les jeunes enfants étaient faibles et succombaient facilement aux maladies. Les enfants plus âgés des familles pauvres devaient survivre avec du pain et de la bouillie, et de nombreuses femmes qui devaient passer de longues heures à travailler dans des conditions épouvantables ne pouvaient pas allaiter leurs bébés, dont beaucoup mouraient après avoir bu du lait ou de l’eau contaminés.

Si l’on ne tient pas compte de l’amélioration des chiffres de la mortalité infantile, il est clair que, pour les adultes vivant dans les pays développés, l’espérance de vie n’a certainement pas augmenté comme le suggèrent habituellement les médecins et les laboratoires pharmaceutiques.

Et il n’est pas possible d’attribuer aux programmes de vaccination l’amélioration de l’espérance de vie, car les chiffres montrent clairement que les taux de mortalité pour des maladies aussi variées que la tuberculose, la coqueluche et le choléra étaient tous tombés à une fraction de leur niveau antérieur, en raison de l’amélioration des conditions de vie, bien avant l’introduction des vaccins en question.

À propos de l’auteur

Vernon Coleman a exercé la médecine pendant dix ans. Il est auteur professionnel à plein temps depuis plus de 30 ans. Romancier et écrivain militant, il a écrit de nombreux ouvrages non romanesques. Il a écrit plus de 100 livres qui ont été traduits en 22 langues. Son site web, www.vernoncoleman.com, contient des centaines d’articles dont la lecture est gratuite.




Refusons la tyrannie pseudo-sanitaire que l’OMS veut nous imposer

[Publication initiale : profession-gendarme.com]

Par Dr Gérard Delépine

Durant la crise Covid, l’OMS a été l’instigatrice de mesures contraires aux libertés et aux données de la science. Elles se sont révélées inefficaces contre la maladie, extrêmement dommageables pour les populations qui y ont été soumises et source de profits colossaux pour les élites.

Mais l’OMS, institution non démocratique, non élue et financée à plus de 80 % par des groupes d’influence privés, veut recommencer et, pour y parvenir plus facilement, disposer de pouvoirs supranationaux qui lui permettraient d’imposer une dictature mondiale totale au service de Big Pharma, des GAFAM et des milliardaires.

Les dramatiques échecs des recommandations OMS contre le Covid

Les chiffres de l’épidémie de Covid, publiés par l’OMS et mis en courbe par l’université J. Hopkins, montrent qu’aucune des mesures contraignantes de l’OMS (confinements, obligations du port des masques, pass, obligations vaccinales) n’a été efficace contre la maladie. 939 000 scientifiques et médecins de tous les pays du monde l’avaient clairement annoncé par la déclaration du Great Barrington1.

Nous avions, dès le 27 mars 2020, dénoncé l’imposture des confinements aveugles2 3 4 5. La comparaison des données des Pays-Bas (non confinés) et de la Belgique (sévèrement confinée) a depuis illustré leur nocivité tant sur la recrudescence des infections que sur la mortalité. Avant le confinement, le nombre de contaminations journalières et la mortalité par million étaient semblables dans ces deux pays voisins semblables par leurs démographies et leur mode de vie. Le confinement a fait exploser les contaminations puis la mortalité en Belgique, tandis qu’elles augmentaient deux fois moins aux Pays-Bas non confinés.

Nous avions aussi rappelé6 que la littérature internationale7 montrait que le port généralisé du masque ne protège pas des infections virales. Les données OMS l’ont confirmé : lors du pic d’Omicron les français, soumis à l’obligation du masque ont souffert de 50 % de plus de contaminations journalières/million que les Suédois, non masqués (6000/M versus 4000/M).

Les pseudo vaccins recommandés par l’OMS, et présentés par notre ministre de la santé comme très efficaces, ont été incapables de prévenir la transmission de l’épidémie comme chacun a pu l’observer autour de soi et comme le montrent les comparaisons des données OMS entre les pays très vaccinés et les autres :

Et, contrairement à la propagande de l’OMS et des gouvernements occidentaux, les pseudovaccins n’ont pas non plus protégé les populations ni des formes graves, ni de la mort8 9 :

L’OMS a également prétendu que les traitements précoces étaient inefficaces et milité pour leur interdiction, alors que l’usage du traitement Raoult a sauvé les populations des pays qui l’ont utilisé comme la Côte d’Ivoire, le Sénégal ou l’Algérie (ou la proportion de plus de 65 ans est égale à celle de la France)

Totalement inefficaces les recommandations de l’OMS ont été de plus extrêmement dommageables pour les populations qui les ont subies.

Les confinements ont été source de troubles psychologiques graves persistants10 11, de retards scolaires12, de retard de traitements13, de pertes économiques sans précédent14 et d’un endettement colossal15, d’une aggravation mortifère de la famine en Afrique16.

Les masques ont souvent aggravé les infections respiratoires.

Les pseudo vaccins ont été responsables de nombreuses complications en particulier cardiaques (myocardites), neurologiques, de troubles menstruels et de morts subites.

Les mesures Covid de l’OMS ont permis un enrichissement colossal des milliardaires17.

La fortune des milliardaires dans le monde a augmenté en 19 mois de pandémie Covid plus qu’au cours de toute la décennie précédente.

De mars 2020 à octobre 2021, la fortune des milliardaires français a augmenté de 86 %. Les 5 premières fortunes de France ont gagné 173 milliards d’euros et doublé ainsi leur richesse d’avant le début de la pandémie. Ils ont ainsi capté l’équivalent des trois quarts des 240 milliards du « quoi qu’il en coûte »18. Les 5 milliardaires français les plus riches possèdent désormais autant que les 40 % de leurs compatriotes les plus pauvres.

Avec les milliards d’euros engrangés en 19 mois par les milliardaires français, on aurait pu quadrupler le budget de l’hôpital public ou distribuer un chèque de 3500 euros à chaque Français.

La politique de l’OMS est dictée par ses financeurs privés

Lors de sa création par l’ONU en 1948, l’OMS était financée uniquement par les états en fonction de la fortune et de la population de chaque pays. Mais progressivement les principaux états contributeurs, déçus des politiques adoptées, ont diminué leurs contributions tandis que des entités privées (dont des laboratoires pharmaceutiques, Bill Gates et les fondations Gavi et Bill Melinda Gates prenaient le relais.

Lors de l’exercice 2022-2023, seulement 16 % des ressources de l’OMS provenaient des contributions obligatoires des États membres19 tandis que Bill Gates y participait pour près de 40 %, directement ou indirectement, par ses fondations. Bill Gates est devenu le premier financeur de l’OMS et son influence sur les décisions de l’organisme est d’autant plus importante que la majorité de ses contributions sont fléchées, destinées uniquement à un but précis (pour Bill Gates les vaccinations, si possibles obligatoires, pour toutes les maladies, partout et toujours).

German Velasquez, ancien directeur à l’OMS déclarait à l’occasion d’un entretien sur la politique OMS contre le paludisme20 :

«  Les acteurs privés, comme la Fondation Bill et Melinda Gates, ont pris le contrôle de l’organisation. »

En mars 2020, Tim Schwab21 a souligné les risques moraux de la Fondation Gates qui a donné des centaines de millions de dollars à des sociétés dont elle détient des actions ou des obligations, dont Merck, Sanofi, Lily, Pfizer, Novartis, Teva qui font de plus partie des plus grandes entreprises du monde, telles que GlaxoSmithKline qui développent de nouveaux vaccins et médicaments.

Lionel Astruc estime :

« Une telle participation financière devrait être soumise à un droit de regard des États et des citoyens, tant son pouvoir est grand et sa menace lourde sur nos démocraties »22.

Lors d’une interview au Spiegel23 l’épidémiologiste Tom Jefferson, démontrait les conséquences de la privatisation de l’OMS lors de la crise de la grippe H1N1 :

« Une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là, à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie… L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffi qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle… « Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies ».

Lors de la crise H1N1, l’OMS et les gouvernements n’avaient pas réussi à convaincre les populations de la réalité du danger et de l’utilité des vaccins, car les médecins étaient septiques et les médias partagés. Leurs bénéfices des milliardaires ont été moindres qu’espérés, mais ils en ont tiré les enseignements. Lors du Covid, ils contrôlaient totalement l’information officielle et ont disqualifié et/ou interdit les médecins prudents qui s’exprimaient.

L’argent est une drogue très addictive et les super riches en veulent toujours plus. Ils poussent l’OMS à s’arroger encore plus de pouvoir pour asservir davantage et mieux bâillonner les populations lors de la prochaine prétendue épidémie. C’est le but réel des modifications que l’OMS veut apporter au traité sanitaire international (RIS).

Les propositions totalitaires mondiales de l’OMS24 25 26

Le neuvième cycle de négociations sur l’accord mondial de prévention contre les pandémies a commencé le 25 mars 2024. Le directeur de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus a présenté son projet de Traité contre les Pandémies et un nouveau règlement sanitaire international prévoyant des transferts majeurs de souveraineté des pays membres vers l’OMS afin de lui permettre de décider d’une politique sanitaire mondiale contraignante à appliquer partout.

1°) Ce projet veut rendre obligatoires les décisions de l’OMS qui jusque-là n’étaient que des recommandations non contraignantes.

2°) Son article 4 veut limiter la souveraineté des états en stipulant « le droit souverain des États n’existe que dans la mesure où les activités des États ne nuisent pas à leurs populations, ni aux autres pays ».

3°) Son article 15 confierait au Directeur général le pouvoir exorbitant de décider seul s’il y a une urgence sanitaire et de son ampleur avec une vaste extension des éventualités pour justifier une urgence, incluant non plus seulement les pandémies, mais aussi le changement climatique, la perte de diversité…

4°) L’article 18 du règlement sanitaire international (RSI) permettrait à l’OMS :

  • – d’exiger des examens médicaux ou une vaccination ou toute autre mesure prophylactique, et d’en rechercher les preuves ;
  • – de placer en quarantaine les personnes suspectes ou leur appliquer d’autres mesures sanitaires, d’isoler ou de traiter les personnes affectées ;
  • – de rechercher les contacts des personnes suspectes ou affectées ou de les soumettre à un dépistage.

Ces propositions supprimeraient en pratique le consentement libre et éclairé des citoyens aux soins et la liberté de prescription des médecins

5°) Les articles 1 et 2 du traité évoquent les « produits de santé » sur lesquels l’OMS aura une autorité totale de se substituer aux agences sanitaires nationales en s’arrogeant :

  • – Le droit de choisir les produits de santé, alors même que plusieurs contributeurs de l’OMS sont très liés à l’industrie pharmaceutique.
  • – De dresser et publier une liste des produits de santé nécessaires. Détablir et publier des spécifications pour la production des produits de santé nécessaires.
  • – D’élaborer des lignes directrices adéquates à l’intention des autorités de réglementation pour l’homologation rapide des produits de santé (…).
  • – De créer une base de données sur les matières premières et les fournisseurs éventuels.
  • – De créer une bibliothèque des lignées cellulaires pour accélérer la production et l’homologation des produits biothérapeutiques similaires et des vaccins.
  • – De passer en revue et mettre à jour la liste des autorités afin de faciliter les homologations qu’elle jugerait utiles.

6°) L’article 44 et l’article 18 du règlement sanitaire international institueraient une censure mondiale pire que celle qu’on a subie depuis le Covid.

En vue de « contrer la diffusion d’informations erronées ou non fiables » et « combattre les informations fausses et trompeuses ou la désinformation ». La définition des informations « fausses et trompeuses ») serait celle de l’OMS :

« [des informations] qui font “obstacle à l’adhésion aux mesures sociales (…) et qui sapent la confiance envers la science et les institutions de santé publique”. »

L’OMS veut ainsi s’ériger ainsi en juge de la vérité scientifique, grand prête du crédo officiel, pouvant décréter hérétique et censurer toute opinion qui serait contraire aux intérêts de ses financeurs, comme l’a fait d’ailleurs fait en France le gouvernement Macron avec son « conseil scientifique Covid » dont les délibérations sont toujours protégées par le secret défense.

Contre l’OMS, réaffirmons partout nos droits fondamentaux !

Lors d’une conférence de presse à Genève le 28 mai 2023, l’Alliance internationale pour la justice et la démocratie a alerté :

« La centralisation du pouvoir dans les mains de l’OMS menace la démocratie ».

Le président Macron, Ursula von der Leyen et le gouvernement américain actuel sont favorables à ces textes liberticides qui vont être reproposés au vote le 26 mai 2024. S’ils étaient acceptés, nous n’aurions plus de recours légaux.

Si nous voulons refuser que notre santé et nos libertés fondamentales dépendent du bon vouloir de l’OMS, des entreprises privées et des milliardaires qui la financent et qui l’inspirent, c’est maintenant que nous devons nous battre !

Les menaces que ce projet de traité font peser sur nos libertés paraissent autrement plus importantes que la discrimination capillaire qui a récemment occupé nos parlementaires ! Exigeons que l’Assemblée Nationale en débatte, que le Sénat crée une commission d’enquête et/ou que la décision soit soumise à référendum.

Nous ne sommes pas seuls à nous battre pour défendre les libertés fondamentales des citoyens : le Syndicat Liberté Santé27, Bon sens,le Collectif des 300, des juristes français et lInternational Association of Lawyers for Human Rightset bien d’autres au travers le monde se sont déjà mobilisés.

De nombreux pays ont d’ailleurs déjà refusé de donner leur accord aux propositions autoritaires de l’OMS : dont plusieurs nations africaines avec l’Ouganda comme tête de file, mais aussi l’Iran, la Malaisie, l’Estonie, les Philippines et le Brésil28.

Le ministre britannique adjoint aux Affaires étrangères, Andrew Mitchell, a déclaré au Telegraph « qu’il bloquerait toute loi empêchant le Royaume-Uni d’établir sa propre politique de santé ».

Le Sénat de l’État de Louisiane a adopté à l’unanimité le projet de loi 133, une déclaration claire de souveraineté contre l’agenda de l’ONU, de l’OMS et du FEM.

« Aucune règle, réglementation, frais, taxe, politique ou mandat de quelque nature que ce soit de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies et du Forum économique mondial ne sera appliqué ou mis en œuvre par l’État de Louisiane ou par toute agence, département, conseil, commission, subdivision politique, entité gouvernementale de l’État, paroisse, municipalité ou toute autre entité politique ».

Informons nos élus pour qu’ils prennent conscience du problème et qu’ils persuadent notre gouvernement d’adopter une attitude semblable. La France ne peut pas abandonner le premier terme de sa devise : LIBERTÉ.

Lire ou écouter aussi :

Appel solennel de N. Farage ex-député européen Nigel Farage plaide pour que tout le monde dise non au Traité sur la pandémie de l’OMS :

« Il s’agit littéralement d’un traité mondialiste qui enlève le pouvoir à l’État-nation. Nous ne devrions pas verser d’argent à cette épouvantable organisation. »

« Là où le Professeur Perronne pourrait aller plus loin, c’est que c’est vrai pour l’environnement, pour les antibiotiques, c’est vrai pour tout !»

@DIVIZIO1

alerte sur l’élargissement considérable du champ d’action de l’OMS dans le cadre de son action #OneHealth. De la…

Et bien d’autres. Le combat est international. Poursuivons-le et nous le gagnerons !





« Virus » ? Ou parasites ?

Par Quartz Traduction

Se basant sur les recherches du Dr. Lee Merritt, Greg Reese nous propose un rapide tour d’horizon sur le lien qui pourrait exister entre parasites et certaines maladies comme la sclérose en plaque voire certains cancers.

S’interroger ne veut pas dire affirmer. Néanmoins, il ne fait pas de doute que les lobbies pharmaceutiques, qui dictent les politiques de santé publique dans le monde, ont tout intérêt à ce que nous, leurs cobayes, en sachions le moins possible.

[Note de Joseph :
Les microscopes électroniques permettent de grossir davantage que celui de Royal Rife, mais contrairement à ce dernier, ils travaillent sur de la matière morte et dénaturée suite à différents processus physico-chimiques pour permettre l’observation.
À la liste des chercheurs et médecins modernes réfutant l’hypothèse virale, on peut ajouter notamment :
le virologue Stefan Lanka, les docteurs Samantha et Mark Bailey, Dr Claus Köhnlein, Dr Stefano Scoglio, Ricardo Delgado Martin (fondateur de la Quinta Columna), Dr Kevin Corbett, Christine Massey. Nous pouvons aussi ajouter les journalistes Mike Stone et Jon Rappoport. Etc. Cette liste est en augmentation mois après mois, voire jour après jour.]

Liens :

https://healthfeedback.org/claimreview/no-evidence-hydroxychloroquine-ivermectin-cure-cancer-multiple-sclerosis-arent-caused-solely-parasites-contrary-orthopedic-surgeon-lee-merritt/

https://podcasters.spotify.com/pod/show/sonsoflibertyradiolive/episodes/Dr–Lee-Merritt-The-Connection-Between-Parasites–Cancer–COVID-Shots–5G-e1sk0mn

[Voir aussi le dossier
Vaccins et virus
dont l’essai :
UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)
+
Effets des champs électromagnétiques sur le vivant, selon Dr Lee Merritt,
« Nous vivons dans “The Truman Show”. Tout est mensonge. C’est l’empoisonnement qui provoque la maladie »]




COVID-ARNAQUE — Royaume-Uni : pas de Covid, mais un meurtre de masse par le Midazolam

Source : La cause du peuple

Par Ben Bartee

Un homme politique australien publie des preuves du meurtre potentiel par le gouvernement britannique de dizaines de milliers de personnes âgées hospitalisées pour augmenter le nombre de « décès causés par Covid ».

Le directeur national du United Australia Party, Craig Kelly, a fait des allégations choquantes, voire surprenantes, contre le NHS en Grande-Bretagne.

Via Slay News :

Un nouveau rapport explosif a provoqué une onde de choc dans le monde entier après qu’une enquête sur le nombre élevé de « décès dus au Covid » pendant la pandémie a révélé des preuves que des dizaines de milliers de personnes âgées ont en fait été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.

Les données produites pour le rapport indiquaient que des personnes étaient euthanasiées au moyen d’une injection mortelle de Midazolam.

La cause de leur décès a ensuite été répertoriée comme « Covid », indiquant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était réellement.

Les données explosives du rapport ont été rendues publiques par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party.

Le rapport a obtenu des données officielles du gouvernement britannique sur les taux de mortalité et leurs causes.

Les données semblent montrer qu’un grand nombre de personnes âgées ont été assassinées par une injection du médicament en fin de vie Midazolam.

Selon Kelly, les patients ont été euthanasiés afin d’augmenter les « décès dus à Covid » et d’accroître la peur du public afin d’obtenir un soutien en faveur du confinement et des vaccins.

Tout en alertant le public sur ces données, Kelly a déclaré qu’elles révélaient « le crime du siècle ».

Extrait du rapport préimprimé, « Décès excessifs au Royaume-Uni : Midazolam et euthanasie dans la pandémie de Covid-19 » :

Les macrodonnées pendant la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni présentent des anomalies de données importantes et des incohérences avec les explications existantes.Cet article montre que le pic de décès au Royaume-Uni, attribué à tort à la pandémie de COVID-19 en avril 2020, n’était pas dû au virus SRAS-CoV-2, qui était largement absent, mais à l’utilisation généralisée des injections de Midazolam, qui étaient statistiquement très fortement corrélées (coefficient supérieur à 90 %) à la surmortalité dans toutes les régions d’Angleterre au cours de l’année 2020…

L’utilisation répandue et persistante du Midazolam au Royaume-Uni suggère une possible politique d’euthanasie systémique.

Le midazolam, une benzodiazépine (la même classe de médicaments qui comprend le Xanax et le Valium), est souvent utilisé pour endormir les patients hospitalisés en soins intensifs. C’est également — et quiconque a une vaste expérience directe des benzos comme moi peut en témoigner — extrêmement dangereux, en particulier lorsqu’il est directement introduit dans la circulation sanguine, comme cela se serait produit à grande échelle, comme procédure opératoire standard pour les patients hospitalisés atteints de Covid, dans les hôpitaux britanniques tout au long de 2020 et 2021.

[Voir aussi :
Pendant la Covid et le confinement, le gouvernement tuait les aînés
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
France — Le « décret Rivotril » un génocide organisé
Le scandale du Rivotril]

Via MédecinePlus :

L’injection de midazolam peut provoquer des problèmes respiratoires graves, voire potentiellement mortels, tels qu’une respiration superficielle, ralentie ou temporairement arrêtée, pouvant entraîner des lésions cérébrales permanentes ou la mort. Vous ne devez recevoir ce médicament que dans un hôpital ou un cabinet médical disposant de l’équipement nécessaire pour surveiller votre cœur et vos poumons et pour fournir rapidement un traitement médical vital si votre respiration ralentit ou s’arrête. Votre médecin ou votre infirmière vous surveillera de près après avoir reçu ce médicament pour s’assurer que vous respirez correctement. Informez votre médecin si vous avez une infection grave ou si vous avez ou avez déjà eu des problèmes pulmonaires, des voies respiratoires ou respiratoires ou une maladie cardiaque. Informez votre médecin et votre pharmacien si vous prenez l’un des médicaments suivants : antidépresseurs ; les barbituriques tels que le sécobarbital (Seconal) ; dropéridol (Inapsine) ; médicaments contre l’anxiété, la maladie mentale ou les convulsions ; médicaments opiacés contre la toux comme la codéine (dans Triacin-C, dans Tuzistra XR) ou l’hydrocodone (dans Anexsia, dans Norco, dans Zyfrel) ou pour la douleur comme la codéine, le fentanyl (Actiq, Duragesic, Subsys, autres), l’hydromorphone (Dilaudid , Exalgo), mépéridine (Demerol), méthadone (Dolophine, Methadose), morphine (Astramorph, Duramorph PF, Kadian), oxycodone (dans Oxycet, dans Percocet, dans Roxicet, autres) et tramadol (Conzip, Ultram, dans Ultracet) ; sédatifs ; somnifères ; ou des tranquillisants.

Cela représente beaucoup de contre-indications mortelles pour une population occidentale plus âgée, statistiquement susceptible de prendre beaucoup de médicaments pharmaceutiques.

Je ne suis pas médecin — je suis un simple « théoricien du complot », un journaliste spécialisé dans le « terrorisme intérieur », et j’en suis fier — mais il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de médecine pour comprendre que les benzodiazépines sont très rarement des interventions médicales bien conçues, surtout lorsqu’elles sont administrées par voie intraveineuse à un patient âgé qui a déjà du mal à respirer sous respirateur.

Si les accusations sont fondées, le midazolam aurait été une méthode d’exécution parfaite, car il est fréquemment utilisé dans ce type d’environnement (pour ne pas éveiller les soupçons) et il est difficile d’attribuer la cause du décès au midazolam plutôt qu’au COVID, surtout dans le contexte d’une ignorance délibérée. Dans le domaine des relations internationales, ce dilemme est appelé « brouillard de guerre », en référence à la difficulté d’attribuer correctement la source d’une attaque en temps réel sur le champ de bataille.

4 mars 2024

Extrait de prose d’Armageddon

Ben Bartee, auteur de Broken English Teacher : Notes From Exile, est un journaliste américain indépendant basé à Bangkok, aux pouces opposables.




Tedros: le parcours du directeur de l’OMS depuis ses débuts au sein d’une organisation terroriste

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

En réaction aux dernières déclarations de Tedros qui se plaint du « torrent de fake news » qui s’abat sur lui et sur les futurs « traités pandémies », le Dr Meryl Nass, experte en politiques de santé publique, s’est lâchée : « Tedros a la langue fourchue » !

Il faut bien l’avouer, on n’en peut plus de son éternel blabla de compassion et d’équité, alors qu’il devrait être derrière des barreaux avec ses acolytes de l’OMS. Certains diront que j’exagère. Mais le désastre infligé par la déclaration d’une urgence sanitaire injustifiée est un crime à l’échelle planétaire. Et il a même récidivé, lorsqu’il a tenté de remettre la sauce avec la variole du singe en mai 2022, histoire de faire voter en urgence quelques amendements au Règlement sanitaire international. Et que dire des scandaleuses études sur l’hydroxychloroquine où des patients sont morts à cause des surdosages préconisés par l’OMS ?

En réalité, Tedros est un loup qui se déguise en agneau. Il n’est pas question de laisser ce bonhomme prendre la tête « d’une gouvernance mondiale par la santé » comme ce serait peut-être le cas si le « traité pandémies » ou la révision du règlement sanitaire international sont adoptés à la prochaine Assemblée de l’OMS fin mai 2024. (voir mes articles et vidéos à ce sujet)

Voilà pourquoi je reprends un portrait du personnage que j’avais publié dès le début de la « pandémie », le 16 avril 2020 sur Health Impact News (et dont j’avais aussi parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio).

L’OMS est-elle dirigée par un terroriste ? Tedros Adhanom Ghebreyesus…

Gates et la Chine engagés dans la bataille mondiale pour le leadership

En quelques semaines, le sort de la planète entière semble avoir été placé sous le commandement de l’Organisation mondiale de la santé et de son leader, Tedros Gherbreyesus. Mais au cours des derniers jours, sa gestion de la crise des coronavirus et ses relations avec la Chine ont mis le président de l’organisation sous le feu des projecteurs, beaucoup appelant à sa démission. [1] 

Alors, qui est cet homme qui a notre destin entre ses mains ?

Le directeur de l’OMS, Tedros, et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, ont signé en 2018 un protocole d’accord entre le NIAID et l’OMS pour améliorer les futures collaborations sur les activités de recherche menées en réponse aux nouvelles flambées de maladies infectieuses et aux urgences de santé publique.

Au cours d’une des nombreuses conférences de presse de Covid-19 à la Maison Blanche, le Dr Fauci a montré toute son appréciation pour Tedros Ghebreyesus, son nouveau héros :

« Tedros est vraiment une personne exceptionnelle. Je le connais depuis qu’il était ministre de la Santé en Éthiopie. L’OMS a très bien réussi sous sa direction. »[2]

Mais après ce qui semblait avoir été de nombreuses « bévues » dans les annonces et recommandations de l’OMS depuis le début de la pandémie, beaucoup le voient maintenant suivre la marche de la honte, plutôt que celle de la gloire.

Né le 3 Mars 1965 à Asmara (Ethiopie), Tedros Adhanom Ghebreyesus a été élu Directeur général de l’OMS en 2017.

Il est le premier Africain à diriger l’agence de santé et le premier à ne pas être médecin. Il détient un B.Sc. en biologie de l’Université d’Asmara en Érythrée, un doctorat en santé communautaire de l’Université de Nottingham au Royaume-Uni en 2000 et il a été ministre de la Santé de l’Éthiopie de 2005 à 2012.

De 2009 à 2011, Tedros Ghebreyesus a également été directeur du Fonds mondial, un programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, lancé par la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que chef du Conseil de coordination du programme de l’ONUSIDA.

Membre du conseil d’administration de l’Alliance pour la vaccination GAVI (B. Gates), Tedros Ghebreyesus était en outre étroitement associé à la Fondation Clinton et à la Clinton AIDS Initiative (CHAI). Souriant et posé, il est décrit comme une figure humble et compatissante, un bienfaiteur de l’humanité, dévoué à ses lourdes responsabilités.

Le Front de libération du peuple tigré (TPLF)

Il est assez étonnant de découvrir que la carrière politique de Tedros Ghebreyesus a commencé au bureau politique du Tigray People’s Liberation Front (TPFL), une organisation terroriste, inscrite à la US Homeland Security. Cette base de données sur le terrorisme mondial a classé le TPFL parmi les organisations terroristes de niveau III [4] pour une série d’enlèvements, d’attentats à la bombe et de vols à main armée. [3]

Dans son manifeste de 1975, la TPFL avait déclaré une « guerre éternelle » contre les populations voisines, principalement les ethnies amhara et oromo, représentant 30 % et 34 % de la population.

Après plusieurs années de guérilla, le TPFL a renversé le régime de Mengistu avec l’aide d’un autre mouvement de libération érythréen et a pris le pouvoir en 1991 en tant que branche d’un seul parti d’inspiration marxiste, le Front révolutionnaire démocratique du peuple éthiopien (EPDRF), dont seul le nom est démocratique.

Alarmes répétées des organisations de défense des droits de l’homme

Amnesty International a dénoncé sa violence politique depuis des décennies [5]. Un rapport publié dans une revue de droit international [6] affirmait qu’en dépit des efforts pour dissimuler sa dictature, le TPFL « abusait en fait des notions d’autodétermination et de démocratie pour piller l’Éthiopie ».

C’était aussi l’alarme déclenchée par un document de l’Oakland Institute qui estimait que les 3,5 milliards de dollars d’aide financière reçus par l’Éthiopie (60 % du budget national) étaient principalement utilisés pour la répression politique. [7]

Cela a aussi été confirmé par Human Rights Watch (HWR), qui a accusé le Parlement européen en 2016 d’avoir négligé les nombreuses violations commises par le régime éthiopien qu’il subventionne. [8]

HWR a affirmé que sous la direction de l’EPRDF, le gouvernement avait détourné des fonds des programmes d’aide internationale, les utilisant comme armes politiques pour contrôler la population, punir la dissidence et réprimer ses opposants. Les programmes d’aide alimentaire, d’agriculture, de microcrédit ou de soins de santé ont profité exclusivement à certains groupes ethniques (e. a. Tigray), tandis que d’autres en ont été systématiquement privés.

Accusations de génocide

On pourrait peut-être donner à Tedros Ghebreyesus le bénéfice du doute, en l’imaginant comme un noble réformateur qui, s’étant égaré au début, se serait transformé en un humanitaire dévoué apportant sa lumière dans l’obscurité d’un mauvais régime.

Cette illusion s’estompe rapidement lorsque l’on découvre le dossier accablant présenté par l’Amhara Professional Union (APU), l’accusant d’avoir mené une véritable politique génocidaire en tant que ministre éthiopien de la Santé. [9]

L’ethnie Amhara affirme avoir perdu plus de 2,5 millions de personnes entre les recensements de 1997 et 2007, alors que les autres grands groupes ethniques ont augmenté en moyenne annuelle de 2,6 %, les Amharas ont connu une croissance démographique plus lente, avec seulement 1,9 %.

Ils ne bénéficiaient pas des mêmes services de santé et ne bénéficiaient pas des mêmes ressources que la population dominante du Tigré. Les habitants du Tigray avaient une couverture sanitaire 5 fois supérieure en termes d’infrastructures et de nombre de prestataires de soins. Le seul programme en faveur des Amhara était la campagne de contraception.

Les femmes Amhara recevaient beaucoup plus de contraceptifs injectables, tels que Depo-Provera, tout en ayant moins d’informations sur la planification familiale et les autres méthodes contraceptives (Tigray a reçu 2 à 3 fois plus d’informations sur TV, Radio et Print).

Le Depo-Provera est un produit très controversé qui a reçu un avertissement de boîte noire [10, 11] aux États-Unis pour une incidence accrue d’ostéoporose et un risque plus élevé de cancer du sein. Il a également été associé à une augmentation des cas de sida et à des difficultés à retrouver la fertilité après une utilisation prolongée, deux conditions qui semblaient également prévaloir parmi la population d’Amhara. L’APU a accusé le gouvernement éthiopien de discrimination raciale en poussant l’utilisation de Depo sur leurs femmes, sans obtenir leur consentement éclairé. [12]

Selon un autre rapport « Depo-Provera Violence Reproductive Mortelle Contre les Femmes », [13] la planification familiale faisant la promotion de ce médicament en Afrique s’engage dans des politiques de discrimination de facto, par de fausses déclarations sur les effets du produit, en omettant d’informer les femmes sur ses méfaits et ses effets secondaires.

Ces produits ont été limités ou même interdits en Europe et aux États-Unis, mais ils sont toujours inclus dans la planification familiale de l’OMS, et des programmes tels que le FP2020, soutenu et dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates (et Tedros).

Cela a suscité de vives critiques [14] de la part des groupes de santé et des défenseurs des droits de l’homme.

Peut-être que l’administration Trump a également pris en compte certains de ces arguments lorsqu’elle a annoncé qu’elle cesserait de financer le Fonds des Nations Unies pour la population et les politiques qui exécutent ou fournissent des informations sur l’avortement.

Bill Gates a déclaré qu’il était « profondément troublé » par les coupes annoncées aux États-Unis, mais lors du sommet international sur la planification familiale qui s’est tenu à Londres plus tard en 2017, le Royaume-Uni, le FMI, la Banque mondiale et des ONG internationales se sont engagés à un nouveau financement pour un total de 2,5 milliards de dollars.

Tedros Ghebreyesus, qui a assisté à la réunion en tant que nouveau chef de l’OMS, a promis de « défendre personnellement la question des droits sexuels et reproductifs comme une priorité absolue » [15], réaffirmant son intérêt personnel à participer aux politiques de contrôle des naissances.

Tout sauf le choléra

Mais Tedros Ghebreyesus est également connu pour avoir dissimulé plusieurs épidémies de choléra en Éthiopie (2006, 2009, 2011), en les renommant « Diarrhée aqueuse aiguë » (AWD). [16]. Il y avait pourtant des rapports d’expert de l’OMS certifiant que le choléra avait bien été identifié comme l’agent causal. [17]

Tedros a préféré ne pas nuire à l’image de son parti et de son pays. En refusant de déclarer l’épidémie, il a privé ces populations de l’aide de base dont elles avaient besoin, comme des mesures de réhydratation et l’assainissement de l’eau.

Le même scénario s’est répété en 2009 et 2011, même sous sa direction à l’OMS, lorsqu’il a ignoré une épidémie massive au Soudan, voisin en conflit avec l’Éthiopie, selon une lettre ouverte signée par une équipe de médecins américains et Genocide Watch. [18]

Le Fonds mondial est un partenariat dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates pour lutter contre le sida, la tuberculose et le paludisme. 

En juillet 2009, Tedros a été élu président du conseil d’administration du Fonds pour un mandat de deux ans. Dans un profil publié en avril 2010, The Lancet a indiqué qu’il était « un nom familier au Secrétariat du Fonds mondial » et que ses réalisations ont conduit à nommer l’Éthiopie comme un pays hautement performant et exemplaire.

Une conclusion surprenante, quand on découvre que sous sa direction, l’utilisation des fonds d’aide internationale qu’il supervisait était très discutable.

En 2012, un audit [19] du Fonds mondial a examiné les dépenses du programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme dans plusieurs pays africains, dont l’Éthiopie, qui avait reçu 1,3 milliard de dollars de subventions dans ce cadre.

L’inspecteur général John Parson qui était en charge de l’audit, a révélé un manque flagrant de transparence et de nombreuses lacunes dans la comptabilité et la gestion des fonds, au point de suggérer un remboursement minimum de 7 millions de dollars à l’organisation.

Surtout, l’enquête a également montré un écart important entre les résultats présentés comme exemplaires et la réalité observée en Éthiopie lors des visites sur le terrain.

Exemplaire ? 77 % des centres médicaux construits n’avaient pas d’eau potable et 32 % n’avaient pas d’installations sanitaires. Seulement 14 % avaient un microscope ou une table d’accouchement et seulement 12 % avaient une pharmacie.

Le rapport aurait dû conduire à une série de mesures garantissant plus de transparence et d’efficacité dans la gestion du programme, mais l’inspecteur général et ses conclusions ont été écartés.

De toute évidence, de bonnes relations avec les dirigeants des gouvernements africains avaient une importance bien plus grande.

Sanglant ministre des Affaires étrangères

Puis, en 2012, à la fin de son mandat au ministère de la Santé, Tedros Ghebreyesus a été nommé chef des Affaires étrangères (de 2012 à 2016), ce qui confirme qu’il était toujours resté au cœur des décisions du Parti et de ses objectifs et méthodes criminelles.

Par exemple, en 2013, lorsque l’Arabie saoudite a choisi de renvoyer des immigrants de différentes nations, le seul pays qui n’a pris aucune mesure pour rapatrier ses ressortissants était l’Éthiopie. Cette inaction, dont il était responsable, a provoqué des violences contre les Éthiopiens par les Saoudiens. [20]

En 2014, Tedros, l’ancien terroriste du TPLF, a également organisé l’enlèvement, l’extradition et la condamnation de plusieurs dirigeants dissidents et de centaines de demandeurs d’asile au Yémen, avec la complicité du gouvernement yéménite. [21]

Elu à l’OMS par Bill Gates et la Chine

On se demande comment un tel homme a pu devenir directeur général de l’OMS. Nul doute que le travail réalisé par l’agence de communication américaine Mercury Public Affairs (spécialisée dans les campagnes politiques) pour préparer la présentation de sa candidature a été efficace, à la fois en ce qui concerne l’édulcoration de son image sulfureuse et en le poussant comme « la voix des pays en développement ». Certains États membres de l’OMS se sont pourtant immédiatement opposé à lui.

Lorsque les candidats ont été entendus avant l’élection, l’ambassadeur du Brésil a demandé à Tedros comment il entendait « représenter la voix des pays en développement en proposant un programme beaucoup plus aligné sur les priorités des pays du Nord ». Il faisait ainsi référence à son approche de la santé par la sécurité (préparation à une pandémie), et à sa volonté de traiter la notion « d’égalité » en termes de « couverture vaccinale » (vaccins), plutôt que dans le développement de systèmes de santé universels (par exemple, infrastructure médicale et formation ou accès à l’eau).

Il a également fait remarquer que Tedros n’avait rien proposé de concret en termes de développement durable pour les pays vulnérables. [22] 

En fait, ce « programme pour le Nord » était très aligné sur les priorités du Programme de sécurité sanitaire mondiale (Global Health Security Agenda), promu par les principaux bailleurs de fonds et influenceurs de l’OMS, en particulier celle de Bill Gates.

Dans un article publié quelques semaines avant le vote intitulé « Rencontrez le médecin le plus puissant du monde : Bill Gates » [23], le journal Politico écrivait :

« Certains milliardaires sont satisfaits de s’acheter une île. Bill Gates s’est payé une agence des Nations Unies à Genève. »

Des insiders ont déclaré qu’il était traité comme un chef d’État, non seulement à l’OMS, mais également au sommet du G20, et qu’il avait une influence démesurée sur l’agenda de l’organisation. Bien entendu, Tedros était le candidat préféré de Bill Gates, compte tenu de leurs liens étroits avec le Fonds mondial et les politiques de planification familiale.

Mais l’élection de Tedros à l’OMS en mai 2017 a également été soutenue par la Chine. En tant que membre du gouvernement éthiopien, il avait déjà établi une collaboration de longue date avec Pékin.

M. Tedros Ghebreyesus au Forum international des politiques publiques
de l’Université de Pékin, mars 2017

Pour commencer, le TPLF est un mouvement d’inspiration marxiste qui s’engage dans le même genre de politique autoritaire. Mais aussi, la Chine a fait d’énormes investissements en Ethiopie. Les Chinois ont développé près de 70 % des infrastructures éthiopiennes et financent la construction du siège du futur Centre africain de prévention et de contrôle des maladies.

Pour sa part, l’Éthiopie occupe une position stratégique, car elle est la porte d’entrée du continent africain, en venant de l’Est. Pas étonnant qu’en mars 2017, deux mois avant les élections à l’OMS, Ghebreyesus ait été invité à prononcer un discours d’ouverture à l’Université de Pékin.

Fait intéressant, Bill Gates a participé au même événement, avec une conférence intitulée « Regard vers l’avenir : innovation, philanthropie et leadership mondial » [24], dans laquelle il a résumé ses partenariats avec le gouvernement chinois dans quatre domaines essentiels : la santé, l’agriculture, les technologies informatiques, et même l’énergie nucléaire. Voici quelques citations révélatrices qui montrent que Bill Gates investit en Chine parce qu’elle est pour lui, « le nouveau leader mondial » :

« La Chine est prête à devenir un leader mondial. C’est formidable de voir la Chine monter en puissance pour combler le vide du leadership. Elle est particulièrement bien équipé pour le faire. Aucun autre pays n’a accompli ce que la Chine a accompli au cours des dernières décennies (…) à une échelle et à une vitesse sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Et en encourageant l’investissement grâce à des mécanismes de financement innovants comme le Fonds de développement Chine-Afrique, la Chine renforce non seulement la capacité économique de l’Afrique, mais aussi, au fil du temps, les marchés des produits chinois.

La Chine a une grande opportunité d’être un leader mondial de l’innovation en santé. Avec son riche bassin de scientifiques talentueux et sa capacité à développer de nouveaux médicaments et vaccins, la Chine a été notre choix évident pour créer un nouvel Institut mondial de découverte de médicaments pour la santé. Cet institut — une collaboration entre notre fondation, le gouvernement municipal de Pékin et l’Université Tsinghua — aidera à accélérer la découverte et le développement de nouveaux médicaments vitaux. »

Mais Gates n’est évidemment pas le seul allié de la Chine. Ses liens avec une grande partie de l’élite mondialiste occidentale méritent une enquête plus approfondie.

En regardant les membres du conseil d’administration [25] de l’École d’économie et de gestion de l’Université Tsinghua, hébergée par Wang Qishan, le vice-président de la République de Chine, nous trouvons des individus tels que Henry Paulson, PDG de Goldman Sachs, Jamie Dimon de JP Morgan Chase, Corbat de Citigroup, Mark Zuckerberg, Elon Musk, Tim Cook, Laurence Fink et les PDG de Dell, McKinsey, IBM, Walmart, General Motors, BlackRock, Tata et bien d’autres.

Que font-ils vraiment au conseil d’administration d’une université chinoise ? Cela ne ressemble-t-il pas plutôt à un conseil stratégique mondial ?

Le rôle de Tedros dans la pandémie de coronavirus

Ces liens expliquent notamment pourquoi la gestion par l’OMS de la crise de Covid-19 a été largement influencée par Pékin et pourquoi Tedros a ouvertement félicité le gouvernement chinois après sa rencontre avec Xi Jinping.

« Nous apprécions le sérieux de la réponse de la Chine à cette épidémie, en particulier la force de son leadership [26] et la transparence dont ils ont fait preuve. » [27]

et

« La Chine illustre de nouvelles normes en matière de préparation et de riposte aux épidémies. » [28]

Tedros a même qualifié les mesures de quarantaine draconiennes prises par le gouvernement de Pékin d’« héroïques » [29], tout en insistant paradoxalement sur le maintien du trafic aérien avec la Chine. Le 3 février, Tedros a réprimandé les États-Unis et d’autres pays qui avaient fermé leurs frontières quand il est devenu clair que la nation communiste ne contenait pas la propagation du virus.

[Voir aussi :
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)]

« Il n’y a aucune raison pour que des mesures interfèrent inutilement avec les voyages et le commerce internationaux. Nous appelons tous les pays à mettre en œuvre des décisions fondées sur des preuves et cohérentes », a-t-il déclaré.

Bien que la plupart des compagnies aériennes aient rapidement suspendu leurs vols, Ethiopian Airlines est l’une des rares à avoir maintenu des connexions avec la Chine tout au long de la crise. [30]

Le Forum sur la coopération sino-africaine a rapporté un appel téléphonique [31] entre le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed Ali et Xi Jinping qui confirme une fois de plus les liens étroits entre les deux pays.

« Cet appel téléphonique ainsi que les deux lettres de sympathie du Premier ministre témoignent de la profonde amitié et du soutien mutuel entre la Chine et l’Éthiopie en tant que partenaires de coopération stratégique globale. L’Éthiopie a suivi les recommandations de l’OMS et a maintenu ses liens et échanges normaux avec la Chine. La Chine apprécie cette expression de confiance. »

Le contrôle de la santé et de l’économie de l’Afrique est évidemment un enjeu important dans la gestion de l’épidémie de coronavirus. L’administration Trump a mis en garde contre l’espionnage chinois dans la future installation du Centre africain de contrôle des maladies, affirmant qu’elle cesserait de financer si Pékin poursuivait la construction de son siège social en Éthiopie.

Le Financial Times [32] a cité un responsable de l’administration américaine :

« C’est une menace pour l’Afrique. L’Afrique possède de grandes quantités de données génomiques et les Chinois veulent construire le CDC pour éventuellement voler les données de tous les autres centres », se référant à cinq centres régionaux des CDC africains, « ils traitent les virus à haut risque, les crises sanitaires, la recherche et la collecte de données. »

Washington a déclaré que les États-Unis avaient investi 900 millions de dollars pour soutenir la santé en Afrique au cours des 15 dernières années et avaient donné 14 millions de dollars au CDC africain lors de sa première année de fonctionnement, en 2017. Mais les Chinois sont allés de l’avant et ont investi 200 millions de dollars dans la construction du centre de conférence de l’Union africaine, « sur écoute », qui abrite actuellement le secrétariat du CDC africain. Il semble que la Chine et les États-Unis aient trouvé un accord de coopération sur la question sous l’administration Obama, mais cela ne pourrait pas durer très longtemps sous la présidence de Trump.

L’OMS et la Chine jouent-ils un rôle dans la situation italienne ?

Au début de l’épidémie, Ghebreyesus a appelé les Italiens (1er pays à avoir déclaré des cas après la Chine) « à ne pas stigmatiser les Chinois » en insistant sur le fait que « le temps n’était pas au jugement, mais à la solidarité. » Les précieuses recommandations du directeur de l’OMS ont ainsi empêché le gouvernement italien de confiner les personnes de retour de Chine. Pire encore, le maire de la ville de Florence, qui compte un nombre important d’immigrants chinois, a été encouragé à lancer une campagne nationale invitant ses concitoyens à « embrasser un chinois dans la rue ! »[33]. Mais une telle complaisance envers la Chine est également due au fait que l’année dernière, le gouvernement Salvini a été le premier pays du G7 à signer un partenariat économique avec la Chine dans le cadre du projet Belt and Road, qui leur donnerait un accès direct à la Méditerranée.

Maintenant que le parti de Salvini a quitté le gouvernement, le déclenchement de l’épidémie de coronavirus a peut-être incité la nouvelle majorité à réévaluer ses liens avec Pékin. L’Italie est en tous cas devenue le premier gouvernement occidental à interrompre ses vols en provenance de Chine. Mais le pays pourrait payer le prix de son infidélité, car il est fort isolé politiquement. Ses partenaires européens ont refusé de l’aider, alors que la Chine tente de maintenir son emprise en envoyant une aide médicale et des experts pour résoudre la crise. Entre-temps, l’OMS, qui a son siège européen à Venise, l’une des principales zones touchées, a délégué un de ses principaux experts pour diriger la réponse à la pandémie. Malgré (ou à cause de ?) cela, le nombre de cas de décès en Italie continue de monter en flèche et dépasse de loin les autres pays. Aucune explication scientifique convaincante n’a été fournie, même si des facteurs tels qu’une population plus âgée et un manque d’unités de soins intensifs ont aggravé la situation et si la notification des cas est biaisée.

Interpellée par la situation, la Russie a envoyé toute une équipe d’experts et de médecins militaires pour aider le nord de l’Italie à faire face à la crise. Il est certain que cette délégation mènera sa propre enquête sur la situation italienne. Quoi qu’il en soit, il est maintenant évident que l’OMS et ses dirigeants ont un programme de riposte à la Pandémie qui a plus à voir avec le gouvernement mondial et le leadership mondial qu’avec la santé.

Bill Gates semble mener l’initiative avec le fonds CEPI pour accélérer la production de vaccins.

Il fait avancer son programme de gouvernance mondiale avec son armée d’experts en santé dévoués, tels que les membres du Coronavirus Response Task Force, Fauci et Birx, qui sont des partenaires de longue date de la campagne du Fonds mondial contre le sida. Étant donné leurs liens proches avec Pékin, il n’est pas étonnant que Fauci ait refusé de répondre à la presse quand elle lui a demandé de commenter le fait que Tedros louait l’exemple de la Chine.

… (fin de l’article rédigé en avril 2020)

Références




Diviser pour régner entre jeunes et boomers pour faire avaler la société de la mort

Par Nicole et Gérard Delépine

On entend trop souvent affirmer que le confinement aurait eu pour but de protéger les boomers et qu’ils l’auraient demandé… Il faut être encore dupe de la propagande covidiste du gouvernement pour répéter pareille fadaise, car rien n’est moins contraire aux faits.

Les boomers n’ont été ni instigateurs, ni bénéficiaires du confinement, ni de l’ensemble des mesures liberticides se multipliant de façon exponentielle depuis une dizaine d’années. Ces mesures appliquent des recommandations mortifères de Davos (euthanasie, abandon des malades par casse du système de santé, constitutionnalisation du droit de tuer par l’infanticide — avortement jusqu’à neuf mois —, destruction de l’école, des services publics, et de faire disparaître l’agriculture française, etc.).

« Les jeunes ne sont pas sacrifiés pour les vieux, mais pour la finance mondiale. » Nous l’expliquions déjà en 20201.

« La dernière version de la propagande médiatique qui envahit les esprits même cultivés et intelligents est que la génération des jeunes aurait été sacrifiée pour sauver les boomers. Comment ont-ils réussi à intégrer dans trop de jeunes cerveaux ce mensonge monstrueux ?

Les vieux n’ont aucunement été protégés pendant cette année 2020 par le gouvernement qui a fait prescrire une grande ration de Rivotril pour euthanasier les vieux en EHPAD en cachette pendant que les visites y étaient interdites.

Arriver à faire croire aux jeunes et moins jeunes que cette privation de liberté avait pour but de protéger les aînés est une prouesse de communication des gouvernements mondialistes et des médias corrompus dont la propagande est fort efficace ».

Corruption de la médecine et des revues médicales

Grâce à l’article totalement mensonger du Lancet Gate, le traitement par hydroxychloroquine qui aurait évité la grande majorité des hospitalisations et des morts a été calomnié, puis interdit.

Ce scandale témoigne une fois de plus de la corruption en médecine qui a toujours existé, mais s’est développé de façon industrielle depuis les années 80, à l’âge où les boomers étaient dans la force de l’âge. Ne la découvrir que maintenant, et l’attribuant en partie à la « panique » des boomers qui ne voudraient pas mourir et feraient développer en ce sens tous les vaccins possibles et inimaginables relèvent de la naïveté, de l’ignorance, et de l’efficacité de manipulation par le pouvoir dont l’intérêt est de « diviser pour régner ». La dernière illustration de cette tradition manipulatoire est la démonstration devant une botte de paille de notre tout neuf premier ministre tentant de diviser les agriculteurs. Et aujourd’hui encore qui dirige ? Un jeune homme de 33 ans, pas vraiment un boomer, plutôt un petit-fils de boomer…

Un certain nombre de jeunes ou moins jeunes qui ont découvert la médecine à l’occasion du covid se trompent complètement sur les causes de la corruption en médecine, et sur la responsabilité des « sentiments » de peur de la mort d’une génération, celle des boomers à qui les médias imputent les dérives de la prise en charge du covid.

On voit bien là la manipulation de pseudo résistants qui ne voient qu’un aspect du problème et n’ont pas abordé la destruction systématique du système de santé qui a commencé avec l’ère Thatcher Mitterrand en 1983 à une époque où nos fameux boomers qui étaient alors dans la force de l’âge et dont un certain nombre d’entre eux, une petite minorité, ont pris le pouvoir. Ils sont à l’origine du désastre actuel, le restant de la population étant coupable de leur « soumission intellectuelle » qui a conduit au « déni de tyrannie »2.

Pour certains égarés, les boomers qui arriveraient à l’âge de la mort auraient corrompu la médecine en privilégiant les médicaments, les préventions, les vaccins contre toutes les maladies et auraient contribué à faire développer une médecine robotisée. Erreur totale : si le pouvoir a présenté le confinement comme un moyen de protéger les vieux en isolant aussi les jeunes et en fermant les écoles, les naïfs qui peuvent encore faire ce genre d’affirmation ont oublié la précipitation du gouvernement d’Édouard Philippe pour publier le décret Rivotril fin mars 2020, qui a permis et poussé les infirmiers et médecins à injecter un produit mortel à tout vieillard ou handicapé qui osait avoir une quinte de toux3.

Ce sont les générations post boomer qui ont défendu et imposé le confinement !

Les médias ont délivré une information anxiogène, voire catastrophique, alimentée en permanence par la peur de la pandémie. Parmi les plus actifs des propagandistes de la peur et du confinement, on distingue Karine Lacombe4 (50 ans), Yazdan Yazdanpanah (56 ans) et Timsit (62 ans) dont aucun ne peut être qualifié de boomer.

C’est un président de 43 ans qui a décidé de nous enfermer à domicile, nous imposer le masque, des couvre-feux, de prendre nos cafés debout, les pass et les injections anti-covid qualifiées mensongèrement de vaccins. Et c’est Édouard Philippe (51 ans) le soi-disant candidat préféré des Français qui a signé le décret pour faire administrer du Rivotril aux boomers afin de les euthanasier, cosigné par Olivier Véran jeune ministre (de 41 ans)5.

Et parmi les opposants les plus précoces et les plus déterminés à ces mesures liberticides médicalement stupides, on remarque beaucoup de boomers (dont nous-mêmes dès les premiers jours de mars 2020)6 7.

La responsabilité du confinement incombe aux moins de 60 ans et n’avait aucunement pour but réel de protéger les boomers, mais bien d’en éliminer les plus fragiles réglant dans la foulée une partie du « problème des retraites ».

Les boomers n’ont pas bénéficié du confinement qui en a tué beaucoup

La base traditionnelle de la prévention des maladies infectieuses transmissible est la séparation des malades des biens portants le temps nécessaire à ce que les premiers ne soient plus contagieux8 ; c’est la mesure appelée quarantaine d’après la durée (40 jours) d’isolement adopté empiriquement contre la transmission de la peste.

Le confinement a au contraire, volontairement et consciemment enfermé ensemble les personnes saines et les malades augmentant ainsi fortement le risque de transmission.

Cette aberration a été dénoncée d’emblée et ce n’est pas par ignorance que les dirigeants ont imposé cette absurdité.

Cela a été confirmé par la comparaison des courbes des contaminations en Belgique (confinée) et aux pays bas (non confinés)

En France, le confinement, l’interdiction de traitements précoces, l’impossibilité ou plutôt l’interdiction d’évacuer les malades âgés à l’hôpital et les difficultés, faute de moyens de les isoler dans les EHPAD a abouti à des pics de contaminations dans les lieux de vie des plus fragiles expliquant les pics de mortalités observés (en l’absence de traitement précoce autorisé).

Cette catastrophe du confinement était parfaitement prévisible depuis l’expérience du confinement de Marseille en 1720 qui a entraîné la mort de la moitié de la population confinée sans aucunement protéger les populations de Provence ni d’Italie !

Nous l’avions d’ailleurs rappelé dès le 4e jour du confinement 9 10 sans que les médias traditionnels ni Google ne reprennent l’information qui a été soigneusement occultée. Après 3 ans de recul, on constate que globalement ce sont les pays qui ont imposé les confinements les plus sévères qui ont le plus souffert du covid.

En France le confinement a multiplié les contaminations et a interdit les visites de leurs proches à leurs parents hospitalisés, alors que de telles visites constituent souvent le seul moyen de les motiver à vivre. Qui a imposé cet apartheid mortifère inhumain des vieux, non pas les boomers (tous plus de 70 ans) dans une volonté de suicide, mais les générations suivantes !

Le témoignage de ce fils est déchirant :

« Ma mère a 97 ans, elle vit seule chez elle et est autonome, mais le confinement est une maltraitance psychologique majeure pour les personnes dans sa situation. Si je comprends bien les recommandations officielles, je n’ai pas le droit de me rendre auprès d’elle pour lui prêter temporairement assistance. »11

Et cet autre : Hedwig, 79 ans, a été verbalisée pour avoir « stationné » à la fenêtre de la chambre de l’EHPAD de Graulhet (Tarn) où est hébergé Jean-Jacques, son mari de 93 ans. Chaque jour, Hedwig remplissait son attestation, cochait la case « assistance à personne vulnérable » et venait devant la fenêtre de plain-pied de sa chambre, 5 ou 10 minutes, pour que son mari puisse la voir. Munie d’une ardoise, elle lui adressait des petits messages à travers la vitre. Dans son fauteuil, Jean-Jacques qui ne peut pas bouger ne risquait pas d’ouvrir, mais il savait qu’Hedwig était là. Mais jeudi dernier, deux gendarmes ont interpellé Hedwig devant la fenêtre, l’ont verbalisée et renvoyée chez elle.

« Ils lui ont dit qu’elle n’avait pas le droit de stationner là et qu’elle le savait bien ».12

Et encore : Le 4 avril 2020, Patrice Dupas a été verbalisé alors qu’il souhaitait rendre visite à son père mourant. Son père est décédé quelques jours plus tard sans qu’il ait pu le voir. Comment peut-on avoir imaginé et accepté une telle inhumanité ?

Qui a osé poursuivre jusqu’à ce jour certaines restrictions en EHPAD13 et même à l’hôpital, alors que l’on sait la bénignité de ce virus aujourd’hui moins pathogène que la grippe saisonnière ? La torture des personnes âgées en EHPAD se poursuit sans l’ombre d’une explication sanitaire valable — interdiction de visites sans masques, pression pour des injections complémentaires dont l’inefficacité est maintenant évidente.

15 juillet 2022, il y avait 22 446 décès liés au coronavirus aux Pays-Bas qui ont refusé le confinement pour une population de 18 millions (1247/M) contre plus de 150 000 en France pour une population de 67 millions (2238/M) malgré les deux confinements que le gouvernement Macron nous a imposés 80 % de plus !

Ceux qui prétendent actuellement que ce sont les boomers qui ont demandé le confinement et qu’ils en auraient bénéficié reprennent en fait la désinformation du gouvernement qui essaie d’accuser les victimes des mesures ignobles et contraires à la science qu’il a imposées, victimes des confinements qui ont souffert des mortalités les plus élevées. Le but évident est de diviser les générations.

QUI A RAPIDEMENT INFORME QU’IL EXISTAIT UN TRAITEMENT SIMPLE ET EFFICACE DE LA PSEUDO PESTE ANNONCÉE PAR LE CROQUE MORT DU SOIR ?

Le Pr Raoult, Boomer lui aussi, a rapidement annoncé l’existence d’un traitement simple et efficace que les autorités, jeune président et jeunes ministres se sont empressés de calomnier et d’interdire ! La comparaison des données de l’OMS relatives aux mortalités observées en France (chloroquine interdite) et en Algérie (traitement Raoult conseillé) pays dont la proportion de personnes à risque (les plus de 65 ans) est semblable montre que nous aurions pu éviter plus de 120 000 morts par ce traitement.

Qui a imposé aux Français dans le silence quasi général l’injection expérimentale sous pression, restriction et avec l’accord voire l’aide de jeunes progressistes, écologistes, députés LFI, renaissance, etc.

LE POUVOIR, LES BOOMERS ET LEURS SUCCESSEURS

Il ne faut pas confondre la génération des boomers avec quelques milliardaires qui ont confisqué le pouvoir et distribué à leurs affidés. Chacun peut découvrir le système des Young leaders anglo-saxons14 et maintenant aussi chinois15 qui a permis depuis une quarantaine d’années de se repasser le pouvoir et les milliards, et les paradis fiscaux entre puissants choisis et convertis (ou conditionnés via les surveillances de leurs vies, cf. scandale Epstein). Il suffit d’examiner le profil de nous dirigeants, quasiment tous choisis par le WEF et Young leaders.

LES BOOMERS ET LA TÉLÉVISION

Quant aux boomers qui ont voté E Macron, ne sont-ils pas les victimes de la propagande permanente qui règne sur les médias officiels ? Qui possède ces médias ? Huit milliardaires. Qui se soumet à ces patrons si ce n’est nos journalistes fort bien rémunérés dont certains très jeunes et de bonne famille16 et qui obéissent au doigt et à l’œil pour intoxiquer les vieillards handicapés des EHPAD ou des résidences seniors qui sont installés devant la télévision toute la journée et gobent leur leçon du jour.
Quel âge ont les journalistes vedettes de nos journaux télévisés ?

ET qui a élu le président actuel et la chambre de nos députés soumis qui acceptent la vingtaine de 49 -3 d’affilée ? Certes certains boomers bien travaillés au corps par l’intoxication télévisée, mais aussi la majeure partie des cadres supérieurs, ingénieurs, enseignants et d’autres qui ont cru à la technologie, et au président des start-ups qui allait changer le monde.

LES VÉRITABLES RESPONSABILITÉS DES BOOMERS DATENT DE L’EUPHORIE DE L’APRÈS-GUERRE ET DES DÉCISIONS ERRONÉES QU’ILS ONT ACCEPTÉES

Il ne s’agit pas ici de nier ni exonérer les responsabilités des baby-boomers dans l’état actuel du monde occidental et singulièrement de la France, mais plutôt de remettre les choses dans l’ordre en lieu et place de cette simplification affligeante.

Les baby-boomers sont nés dans l’euphorie de la victoire sur le nazisme et l’abondance apparente fournie par le plan Marshall qui a astucieusement mis en place la colonisation de la France et de l’Europe par les États-Unis. Celui-ci s’est doté rapidement d’un instrument mortifère, la communauté européenne suivie de la création de l’UNION Européenne, basée sur les travaux des collaborateurs d’Hitler et de la construction du Reich.

Ils sont nés dans l’euphorie de la naissance de la sécurité sociale appliquant les programmes politiques de la résistance pour garantir à chaque français la protection sociale en cas de maladie et de chômage (cadeau aux classes populaires pour éviter une révolution rouge).

Ils ont découvert la machine à laver, le frigidaire et le plein emploi, même dans des conditions souvent difficiles de temps de travail (48 heures par semaine) et de distance… Grands et petits bonheurs après les drames et restrictions de la longue guerre.

Ils ont eu bien des torts et des responsabilités dans l’évolution de notre monde occidental actuellement en voie d’effondrement, après la sape insidieuse de ses principes. Cette génération s’est fait copieusement manipuler par la machine industrielle dénoncée par Mary Holland17 dans son discours à l’ONU en 2016 contre l’obligation vaccinale et la violation du code de Nuremberg.

Notre responsabilité à nous boomers est immense, mais absolument pas là où certains la voient, et n’est pas liée à la panique de la mort qu’à cet âge on a su, normalement, dominer.

Les boomers en état de penser, de parler, de transmettre, d’enseigner s’efforcent de tenter de mettre en garde les jeunes générations contre les dangers actuels du totalitarisme qu’ils reconnaissent comme le pendant du vécu de leurs parents pendant la période ayant précédé leur naissance 1870-1950.18

Les boomers ont voulu donner à leurs enfants une vie meilleure que la leur et ils y sont globalement parvenus. Leur tort principal de ne pas leur avoir enseigné qu’il fallait pour cela qu’ils travaillent et que les libertés ne durent que tant qu’on se bat pour elles. Cette éducation trop cool et permissive sous l’influence américaine, via les réformes de 1968, a peut-être facilité l’acceptation des confinements par les générations plus jeunes, mais les a conduits globalement dans une société du tout « tout de suite » et du prédigéré et du recul devant l’effort.

Les boomers aveuglés par les bons sentiments et les apparentes facilités du nouveau monde d’après-guerre ont la lourde responsabilité d’avoir laissé détruire l’école, que la génération des cinquantenaires actuels n’a pas su dénoncer ni réparer.19 Ils n’ont pas mesuré l’importance de l’influence des réseaux sociaux dans la vie des jeunes générations matraquées par la publicité intrusive et diffuse, leur faisant presque croire que la pseudo intelligence artificielle pourra tout remplacer du médecin à l’enseignant et même à l’élève pour rendre ses devoirs.

Les boomers et leurs enfants ont laissé l’UE détruire l’Europe sous les ordres des USA. Ils ont tout de même voté contre la Constitution européenne en 2005, mais, trahis par le président Sarkozy en 2007, ils se sont soumis à ce coup d’État insidieux asservissant progressivement toutes les professions jusqu’alors libres : destruction de l’éthique médicale et du système de santé, du métier d’agriculteur et de l’agriculture par des normes souvent absurdes et des contrôles incessants20, destruction de tous nos services publics, police, mairies en imposant partout internet comme seul interlocuteur, entraînant la désertification des campagnes au profit d’un entassement dans les villes de plus en plus invivables (le rêve du WEF d’imposer les villes de 15 min déjà repoussées par de nombreuses municipalités et citoyens en voie d’éveil).

Les boomers et leurs enfants ont laissé manipuler les plus jeunes par l’école soumise au programme du wokisme, prônant l’écologie punitive, l’éducation sexuelle à l’école intégrant la théorie du genre, et les miracles attendus de l’immigration, tous plans inclus dans les ordres du WEF et des Young leaders intronisés chaque année depuis 1970. Tous nos dirigeants jeunes en sont issus, de Gabriel Attal notre Premier ministre, à l’actuelle ministre de l’Éducation nationale et des Sports, Amélie Oudéa-Castéra.

Ce ne sont pas les boomers qui ont voulu les confinements qui ont ruiné la classe moyenne, mais les mondialistes et leurs complices rémunérés pour imposer les pseudo vaccins et multiplié les fortunes des milliardaires.

Prétendre qu’ils auraient été les instigateurs d’une mesure symbolique qui leur a été aussi néfaste, vise en fait à éluder la responsabilité des décideurs pour l’ensemble des mesures liberticides de la période de plandémie. Cette idée qui court montre l’aveuglement qui persiste de toute une population soumise et dans le déni, dont d’autres manifestations sont encore répandues comme la négation du nombre énorme des effets indésirables des injections ARNm et même du rôle pourtant indéniable de ce pseudovaccin dans l’explosion des turbocancers.

L’urgence n’est pas de séparer, diviser, opposer les générations, mais bien de sortir ensemble du déni de tyrannie et de la soumission généralisée qui a permis la destruction de notre monde et de tenter de le reconstruire ensemble pour l’avenir de nos petits-enfants et arrière-petits-enfants.





Sortir de la caverne

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Que mon billet de la semaine dernière suscite des réactions outrées, je m’y attendais un peu. Les Gaulois réfractaires n’apprécient guère qu’on égratigne le druide et qu’on regarde sa potion de travers. Ce qui m’a surpris, c’est que ma lettre surprenne tellement de lecteurs. Certains m’ont violemment reproché de « retourner ma veste », de « trahir la résistance » ou de « faire le jeu des vaccinolâtres », ce qui est un comble puisque Néosanté incarne depuis 13 ans la critique radicale de la patascience appelée vaccinologie. Il y a même des amis qui sont venus aux nouvelles en croyant que mon compte avait été piraté et que la newsletter ne pouvait pas provenir de moi. Cette incrédulité m’a étonné, car je tiens exactement le même discours depuis 4 ans : autant j’aime bien Didier Raoult que je n’ai pas, contrairement à beaucoup d’autres, découvert en 2020, autant je me méfie de l’hydroxychloroquine qui n’est pas une molécule anodine.

Un poison reste un poison

Certes, ce médicament chimique est sans doute « le plus prescrit au monde » comme le répète sans cesse son célèbre promoteur. Et à dose correcte, il ne tue que les personnes fragiles du cœur. Mais à ceux qui m’accusent de la diaboliser, je réponds que cette molécule ne doit certainement pas être banalisée. Avant l’invention des antibiotiques, la médecine dite « moderne » soignait les maladies infectieuses avec du mercure ou de l’arsenic : viendrait-il à l’idée de toubibs contemporains de défendre ces « remèdes » redoutablement toxiques ? La liste de 70 effets secondaires de l’HCQ établie par la célèbre Mayo Clinic, ce n’est pas moi qui l’ai inventée. Et les mises en garde du NHS (service de santé britannique), ce ne sont pas non plus des manœuvres récentes échafaudées pour disqualifier une parade au covid et préparer la voie au vaccin. On remarquera que le NHS incite les consommateurs de chloroquine à téléphoner au centre antipoison s’ils manifestent une grande détresse respiratoire, effet adverse notoire et sans doute pas rare puisqu’il est repris en tête de liste. Dans l’étude dont je vous parlais la semaine dernière, les chercheurs ont également établi que le médoc tératogène augmentait de 30% le risque de malformation congénitale. Or dans le contexte de panique virale mondiale, il a très probablement été prescrit à des femmes enceintes dont certaines ont accouché de bébés difformes. Rien que ça, ça me fait gerber et ça me met en colère contre les avocats du Plaquenil. Pour rappel, il suffit de surdoser le médicament d’un facteur 2 pour lui conférer un pouvoir létal. C’est pourquoi il est très raisonnable et rationnel de suspecter qu’il a beaucoup tué ces quatre dernières années. Un médecin-réanimateur marocain abonné de Néosanté m’a raconté jeudi dernier qu’une femme s’était présentée aux urgences de son hôpital après avoir avalé toute une boîte de comprimés. Elle s’en est sortie, ce qui plaide en apparence pour l’innocuité de l’HCQ. Mais combien d’autres patients n’ont pas eu cette chance et sont décédés à domicile ? Quitte à me faire taxer de « traître », je me range résolument dans le camp des soignants et des pharmacologues alarmés par le recours massif à l’antipaludique.

Une doxa-bis qui dupe énormément

Mes détracteurs m’ont vivement reproché d’adhérer ainsi à la doxa covidiste. Or c’est à mon sens exactement l’inverse : ceux qui continuent à se fier aux « traitements précoces » ont été complètement contaminés par la narration officielle. Ils croient que nous avons été attaqués par un nouveau virus engendrant une nouvelle maladie et que celle-ci devait être combattue à grand renfort de substances nouvelles ou « repositionnées ». La seule différence entre le narratif dominant et le narratif alternatif, c’est que le second n’est pas tombé dans le guet-apens vaccinal. Par rapport au récit des comploteurs, le récit adopté par la plupart des complotistes est même plus anxiogène puisqu’il postule l’existence d’un agent infectieux rendu plus pathogène. Mais pourquoi diable s’accrocher à cette pure fiction ? Les chiffres ont parlé et il n’y a pas eu de pandémie. Il y a eu une pandémie de peur, une pandémie de tests, une pandémie de iatrogénie, une pandémie d’abandon de soins et de mesures sanitaires délétères, une pandémie d’assassinats au Rivotril, une pandémie de statistiques falsifiées, mais il n’y a pas eu de fléau viral justifiant le développement des injections expérimentales ou le recours à un arsenal médicamenteux spécial. Dois-je rappeler que les médecins qui ont soigné avec les moyens du bord, par exemple le Dr David Bouillon en Belgique, s’en sont très bien tirés ? Dois-je rappeler qu’après la « première vague », la grippe baptisée covid a été traitée avec succès au moyen des seuls antibiotiques, anticoagulants et cortisone, soit les outils classiques de la médecine classique face aux pneumopathies ? Dois-je rappeler que le zinc et la vitamine D, c’est-à-dire les compléments naturels habituels contre la grippe, ont démontré toute leur utilité préventive et curative ? Si la mini-épidémie de Wuhan était passée inaperçue et si l’OMS n’avait pas sauté sur l’occasion pour monter une gigantesque opération psychologique, on ne se serait rendu compte de rien, car la saison grippale 2020 n’a pas dérogé aux normes saisonnières. Les livres de Laurent Toubiana, Eusèbe Rioché et Pierre Chaillot en apportent les preuves irréfragables. Au fond, les ingénieurs sociaux à l’origine de cette méga-manipulation ont fait de l’excellent boulot : ils ont réussi à conduire des milliards de moutons blancs vers les injections géniques et des millions de moutons noirs vers des produits toxiques comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Il serait en effet naïf d’imaginer que les scénaristes de la psy-op n’ont pas anticipé la popularité de ces molécules et n’ont pas orchestré à dessein interdictions et restrictions. Rien de plus tentant qu’un remède prohibé pour les récalcitrants à la piquouze ! L’important était d’apeurer et de faire passer un banal syndrome grippal pour une calamité inédite, passage obligé vers la surveillance numérique et le « great reset » économique.

Raoult se dépasteurise !

La machination repose évidemment sur la théorie du germe chère à Louis Pasteur et à ses adeptes. Sans cette religion sectaire et ses superstitions, la mystification covidienne n’aurait pas pu entraîner la planète entière dans le délire totalitaire. Sans cette croyance en la pathogénicité des microbes, la minuscule minorité de milliardaires psychopathes ne pourrait plus terroriser les foules à son profit. C’est pourquoi Néosanté œuvre inlassablement à déconstruire le paradigme médical pasteurien et à pointer ses failles béantes. Comme dans le mythe platonicien de la caverne, il importe de réaliser qu’on nous abuse avec des ombres chinoises symbolisant les fausses connaissances. Dans la vie réelle, les micro-organismes ne veulent pas notre peau, ils ne sont pas la cause des maladies et il est donc absurde de leur faire la guerre. Saurons-nous profiter de la formidable opportunité offerte par le virus couronné pour tourner la page et leur déclarer la paix ? Dans ma série de lettres de janvier-février 2023 intitulée « Comment le covid a tué Pasteur », j’ai passé en revue les éléments montrant que la vision biophobique ne tenait plus la route. Et dans les analyses qu’il partage désormais en primeur avec les lecteurs de notre mensuel, le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement que les thèses virologiques sont amplement contredites par les faits et les chiffres. Dans le numéro de décembre, notre nouveau collaborateur avait déjà magistralement exposé « la vraie histoire de la fausse pandémie ». Dans le prochain numéro de février, il revient à la charge et révèle lumineusement qu’il a suffi de deux instruments — les tests (dont les résultats n’ont ni queue ni tête) et la codification hospitalière (dont la modification a permis de remplir la coque-vide) — pour monter la grande escroquerie plandémique. Avez-vous entendu le druide dénoncer ces deux clés de l’arnaque corona ? Non, car cela l’obligerait douloureusement à retirer ses œillères pasteuriennes. Très récemment, il a pourtant fait un pas en dehors de la caverne. Dans cette vidéo décoiffante, Didier Raoult admet ni plus ni moins que les virus et bactéries n’ont pas de responsabilité causale(([1] Note de Joseph : il n’en est pas encore vraiment là, même s’il semble aller dans la bonne direction. Il pense toujours que les virus doivent avoir un rôle à jouer, éventuellement en combinaison avec des bactéries, notamment pour expliquer la grippe, mais n’envisage pas pour l’instant que les bactéries puissent agir en tant qu’agents de nettoyage de l’organisme ni que les « virus » — en fait « exosomes » et autres déchets ou composants cellulaires — soient simplement le résultat de l’agression des cellules par divers facteurs environnementaux, dont les champs électriques et les ondes électromagnétiques. Les « virus » particuliers proviennent de conditions particulières et sont bien sûr alors spécifiques à l’individu dont ils proviennent, ce qui fait qu’il est impossible ou très improbable d’en trouver de génétiquement identiques chez d’autres personnes. Globalement le corps en émet des milliards par jour, constituant alors le « virome », à cause des agressions environnementales permanentes qu’il subit, ne serait-ce que par l’électrosmog. Si à un moment donné leur nombre devient excessif en certains organes ou tissus biologiques trop agressés, des bactéries viennent aider à leur évacuation ou à leur recyclage. À ce stade, cela peut se traduire en symptômes perceptibles, dont la fièvre ou des irritations dues à l’inflammation des tissus par cette suractivité cellulaire et microbienne. Ces virus et bactéries ne sont pas la cause d’une maladie supposée contagieuse, mais des effets d’une agression ou d’un choc subi individuellement ou collectivement.)) dans les maladies qu’on leur impute ! Les microbes sont présents, et encore pas toujours, mais « il y a autre chose » qui reste à découvrir dans le processus pathologique. À mes yeux, l’infectiologue marseillais est un authentique scientifique, autrement dit un gars qui est capable de se remettre en question, de rompre le consensus et de faire ainsi progresser la science. Je fais le pari qu’il va continuer à se dépasteuriser et qu’il regrettera un jour d’avoir préconisé un remède inutile et dangereux.


Réaction de Pryska Ducoeurjoly (par courriel collectif)

Chers amis,

J’ai bien pris connaissance de la polémique sur les dernières newsletters d’Yves. J’ai aussi reçu des emails de la part de membres de l’Aimsib… En tant que collaboratrice régulière de Néo Santé, je me permets de répondre.

Pour être claire et transparente, Yves me lit en copie.

J’apprécie beaucoup Néo Santé car c’est LE support qui m’a permis de publier la quasi-totalité des enquêtes les plus intéressantes que j’ai pu produire. Je remercie donc Yves de m’avoir ouvert ses colonnes depuis plus de 10 ans, dans un contexte où l’expression du journalisme d’investigation était déjà un vrai défi ! Cependant, ce n’est pas pour autant que j’adhère à tous les éditos ou à l’ensemble de la ligne éditoriale. Nous avons souvent des débats, Yves et moi ! Néanmoins, Yves accepte de laisser la place dans ses colonnes à des points de vue avec lesquels il n’est pas forcément en accord. C’est tout à son honneur.

Ceci dit, sur les deux dernières newsletters, je me permets d’exprimer en toute amitié mon désaccord avec le point de vue d’Yves.

Sur la forme, je n’adhère pas au ton. Je trouve regrettable de qualifier Raoult de druide et de Panoramix… cela ne sert pas le sérieux du débat contradictoire. Je ne pense pas que cela soit vraiment apprécié par l’audience de Neo Santé. Cela peut aussi contribuer à desservir les dossiers de la revue, à placer les collaborateurs en situation délicate, par exemple pour décrocher plus tard d’autres ITW.

Tout le monde n’est pas fan de Raoult (ses conclusions sur le vaccin papillomavirus me hérissent le poil, Nicole Delépine sera d’accord avec moi sur ce point). Pour autant Didier Raoult reste une personnalité scientifique de haut niveau et surtout un soignant de premier plan, qui a osé mettre en place un protocole de soin (basé aussi sur une antibiothérapie et le zinc). Il mérite un débat contradictoire respectueux. Je pense que c’est surtout cela qui a choqué et fait réagir, au-delà du débat scientifique en lui-même qui est toujours bienvenu.

Sur le fond, après ma collaboration avec Hélène Banoun sur La Science face au pouvoir, j’ai pu lire pas mal de choses sur l’action de l’HCQ dans la pathogénicité de la maladie Covid, ainsi que celle de certaines classes d’antibiotiques. Maintenant, si on ne croit pas à l’existence d’une maladie spécifique Covid, ni à un virus associé, il est certain que le débat sera plus compliqué. Pour ma part, je me rallie aux conclusions de JM Sabatier sur l’existence d’une pathogénicité spécifique de la maladie Covid, ce qui permet de comprendre l’action de certaines classes de médicament.

Autre remarque pour nourrir le débat de fond, je ne pense pas que les études double contrôle randomisée placebo soient le Graal de la preuve scientifique, loin de là. Raoult a parfaitement raison sur ce point. Il a bien fait de mettre en place un protocole de soin et non un protocole d’étude clinique. Philippe Even, dans Corruption et crédulité en médecine (Cherche-Midi 2015), ouvrage dédié principalement aux médocs anticholestérol, démontre que les RCT (randomized controlled trials) sont faits pour et par les labos en vue de valider leurs molécules toxiques qui seraient immédiatement recalées si on les passait au crible de simples études d’observation de terrain. Les études dites « gold standard » sont manipulables, « basées sur les malades idéaux, dans des conditions éloignées de la vie réelle » dit Even. Les essais cliniques sont « du marketing déguisé », dit aussi Peter Gotzsche.

En espérant que la vérité puisse tracer son chemin dans l’opinion publique en 2024, via l’expression d’un débat contradictoire respectueux des différents points de vue qui contribuent à son émergence, 

je vous souhaite à tous une belle année !

Pryska Ducoeurjoly

—–

PS : À propos de l’étude évoquant le risque de malformations fœtales sous HCQ, je me permets, Yves, de te donner mon point de vue.

À mon avis, elle mérite aussi d’être prise avec des pincettes comme les autres études que tu cites.

— Tout d’abord, l’étude repose sur des données d’ordonnances, ce qui ne nous donne pas une image claire de l’utilisation réelle du médicament.

— De plus, l’approche de l’étude, basée sur le codage et de la classification. Outre le fait que le risque d’erreur dans la classification est un biais en soi, les chercheurs n’ont pas accès aux dossiers médicaux personnels. Nous sommes typiquement dans le cadre d’une étude de type « Big data », rétrospective (données jusqu’à 2015), ce type d’études a largement été dénoncé par Didier Raoult à l’occasion de la fameuse étude du Lancet (100 % Big Data aussi). C’est une grosse différence avec les études présentées par Raoult, qui lui dispose du dossier médical de chacun des participants.

— En ce qui concerne les résultats, les auteurs suggèrent un « risque légèrement accru avec l’HCQ, mais cette augmentation n’est pas suffisamment significative pour être concluante. Les auteurs admettent eux-mêmes disposer d’un faible nombre de cas pour certaines malformations spécifiques. Je m’interroge sur la manière de comparer une cohorte de 2000 femmes à un groupe de référence de 3 millions de femmes. Ça me paraît assez atypique comparé à ce que je vois habituellement avec des cohortes équilibrées en termes de nombre. Il faudrait aussi se pencher attentivement sur la manière dont les auteurs ont exclu l’impact d’autres médicaments. Apparemment ils ont essayé d’isoler le risque HCQ, mais il faudrait prendre une heure pour étudier les annexes et vérifier tout cela. Il suffit de lire le livre de Corinne Lalo, Le grand désordre hormonal, pour s’apercevoir que tous les médicaments chimiques ont un impact neuro–hormonal, qu’ils sont des perturbateurs endocriniens et que tous les médicaments chimiques devraient être interdits pendant la grossesse. Le paracétamol en premier lieu bien sûr ! D’autant plus qu’il est en vente libre en pharmacie et que son effet tératogène a largement été documenté d’après Corinne Lalo.

— Enfin, je note les liens étroits des auteurs avec l’industrie pharmaceutique. Ils ont reçu des financements de plusieurs grandes entreprises, notamment Eli Lilly and Company, GlaxoSmithKline, Baxalta, Pacira Pharmaceutical Inc, Aetion Inc, Alosa Foundation, Merck for Mothers, Pfizer, Bristol-Myers Squibb, AbbVie Inc, Roche Holding AG, Bayer, Vertex et Novartis. Dans ma pratique journalistique, j’évite généralement de citer ce type d’étude.


Réponse d’Yves Rasir

Bonjour Pryska,

Merci pour cette belle réaction argumentée.

J’adorerais une confrontation entre Michel de Lorgeril et Didier Raoult sur la hiérarchie des méthodologies, car le premier ne jure que par les études versus placebo doublement contrôlées et randomisées. Que certaines soient manipulées, j’en conviens volontiers, mais c’est aussi sur l’absence de vrai placebo qu’a été bâtie toute l’imposture vaccinaliste et pasteurienne (et le mythe homéopathique, soit dit en passant). Du reste, dans sa vidéo « dépasteurisée » que je pointais avant-hier, Raoult déplore qu’on se fourvoie depuis 80 ans sur la grippe parce qu’il n’y avait pas de groupe contrôle dans les études. Ce n’est pas la première fois que le Professeur fait preuve d’une singulière incohérence…

Pour ce qui est du covid, il est clair qu’une Banoun ne dit pas la même chose qu’un Chaillot. C’est toute la différence entre une pasteurienne pur jus et un gars sans a priori qui découvre que rien ne colle dans la théorie du germe. Je confirme mon ouverture au débat contradictoire puisque l’une et l’autre interviennent dans le Néosanté de février.

Amitiés confraternelles,

Yves RASIR





L’acharnement contre le Pr Didier Raoult est antiscientifique et indécent

Par Dr Gérard Delépine

Dans une vidéo de ce jour, mise en avant sans modération par un journaliste qui ne donne que ses initiales (M.D.) et publiée par 20 minutes1, l’avocat Maxence Gallo, trompé par un article digne du Lancet Gate23, prétend :

«En tout état de cause, les familles des patients décédés qui ont été traitées à l’hydroxychloroquine peuvent engager un recours [civil] à l’encontre de Didier Raoult ». « Homicide involontaire », « mise en danger délibérée d’autrui ».

Mais pourquoi pas pour l’accuser du crime suprême d’hérésie ?

On ne peut pas reprocher à Maître Maxence Gallo de chercher des clients ni de défendre aussi des menteurs, c’est la base de son métier4. On ne peut pas non plus reprocher à un non-médecin de ne pas se rendre compte du caractère totalement fallacieux d’un article paru dans une revue française jadis prestigieuse, mais aujourd’hui dépendante des lobbys financiers qui le font vivre… Aussi pour lui éviter de perdre son temps en le laissant se fourvoyer dans des procédures vouées d’avance à l’échec, je lui communique des faits avérés qu’il pourra facilement consulter sur Pubmed (base bibliographique médicale du Sénat américain), sur les publications de l’OMS (omscoviddashboard) ou celles de l’université John Hopkins (ourworldindata covid), tous en en libre accès.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments les plus utilisés dans le monde. Depuis 1945 il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques et les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance, comme je l’ai fait personnellement fait lorsque je me rendais en pays d’endémie pour des congrès.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur. Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette. Revenons au monde réel, aux faits établis.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 : « On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

L’excellente tolérance de l’HCQ été confirmée par le comité scientifique algérien et bien détaillée dans la vidéo de canal Algérie consultable à https://www.youtube.com/watch?v=wz8cv2NlNZA

Cette bonne tolérance habituelle de l’HCQ chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par une revue Cochrane6 et par tous les autres pays qui l’ont utilisée et par les manuels de thérapeutiques.

L’article des auteurs lyonnais7 n’est pas une étude réalisée dans le monde réel, mais une simulation aux hypothèses fausses

Elle prétend que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. »

On ne peut pas reprocher à un avocat de croire de telles bêtises, mais il aurait pu se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée8 basée sur une sélection arbitraire d’articles qui n’utilisaient pas l’HCQ selon les modalités proposées par D. Raoult (doses trop fortes et/ou administrées trop tard) et sur des données en partie inventées, comme l’a très bien démontré Gibertie dans son excellente analyse9.

Pour instruire aussi maître Maxence Gallo sur le caractère salvateur du traitement Raoult, nous lui rappellerons quelques faits authentifiés par les données de l’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022 l’épidémie Covid est terminée en Algérie et, en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans10 11, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)12 13.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie commune. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et, comme la France, compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne14 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 15 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)16

le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22 lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 17 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »18.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé avec succès le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont terriblement dépourvus de médecins, d’infirmières et de médicaments :

La pauvreté de ces pays africains a évité la corruption et la propagande pro vaccinales que nous avons subies et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations.

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais pour leur torchon pseudo scientifique qui les discrédite et aussi malheureusement la revue qui a accepté de le publier.

Mais peut-être que M.D., 20 minutes, Maxence Gallo, Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA et les membres du comité de lecture Biomedicine & Pharmacotherapy ignorent ce qui se passe en Afrique…

Pourquoi une telle haine contre D. Raoult ?

La démarche scientifique se caractérise par la remise en question permanente des vérités considérées comme établies. Dès qu’un fait ne cadre pas avec l’hypothèse dominante, celle-ci doit être discutée et être abandonnée au profit d’une hypothèse plus adaptée aux faits. En science être minoritaire et susciter les controverses permet souvent de faire progresser les connaissances.

La démarche religieuse se caractérise au contraire par des croyances qui ne peuvent pas être remises en cause sans être traité d’hérétique. La violence infondée qui s’exerce contre D. Raoult est caractéristique d’une démarche religieuse qui l’a soumis à l’inquisition du conseil de l’Ordre.

Cette religion à laquelle il s’oppose est celle de la finance et son crime d’avoir proposé des traitements dont les brevets sont tombés dans le domaine public et qui pour cela rapportent trop peu à l’industrie pharmaceutique et à ses complices.

Il a jadis critiqué le business des antibiotiques sur https://www.youtube.com/watch?v=hCImb7T_BJw

Le torrent de haine qui se déverse sur lui ne serait-il pas lié à son impardonnable récidive récente avec sa critique ferme des pseudo vaccins covid résumé dans un tweet récent :

« Nous sommes contents de voir que le surgeon général de Floride, équivalent de notre ministre de la santé, demande à la FDA d’interdire les vaccins contre le covid Pfizer et moderna. »19

« Ces vaccins, contrairement à leurs indications et à toutes les règles pharmaceutiques, contiennent des quantités considérables (100 000 copies par ml) d’ADN, alors qu’elles ne devaient en contenir que des traces. »Ces copies d’ADN associées au plasmide qui a permis de créer l’ARN ont été démontrées, à d’autres occasions, dans le passé, comme des agents de cancer, en particulier de lymphomes et de leucémies.20

Dans la prochaine étape, je vous détaillerai comment les ARN injectés ont produit des protéines inconnues qui expliquent, peut-être, la survenue imprévue d’encéphalopathie de type Creutzfeld-Jacob liées aux prions fabriqués à cette occasion, ce que prédisait le Pr Montagnier. Ne vous inquiétez pas, on continue à travailler au lieu de jaser, je ne quitte pas le champ de bataille.21

Conseil à maître Maxence Gallo

Il vous sera beaucoup plus facile de trouver des victimes des pseudo vaccins covid que de chercher en vain des victimes du traitement Raoult.

Vous pourriez certainement incriminer la responsabilité pénale de tous les journalistes, fonctionnaires et politiques qui ont poussé ces victimes à se vacciner en diffusant de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui.

Suivez l’exemple des avocats US et suivez les procès fédéraux en cours qui vous fourniront des informations juridiques profitables !

1 https://www.20minutes.fr/sante/4069015-20240105-covid-19-hydroxychloroquine-liee-mort-17-000-personnes-durant-premiere-vague

2 https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/the-lancet-gate-saga-dune-etude-corrompue-1216931

3 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2020/06/15/covid-19-le-lancetgate-revele-des-failles-de-l-edition-scientifique_6042946_1650684.html

4 Cet avocat au vu de l’article sur les soi-disant 17 000 morts de l’hcq, pourtant démontré fallacieux, propose aux éventuels victimes de l’hcq de les défendre

5 https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

6 https://www.cochrane.org/fr/CD013587/INFECTN_la-chloroquine-ou-lhydroxychloroquine-est-elle-utile-pour-traiter-les-personnes-atteintes-de-la

7 Alexiane PRADELLE, Sabine MAINBOURG, Steeve PROVENCHER, Emmanuel MASSY, Guillaume GRENET, Jean-Christophe LEGA Deaths induced by compassionate use of hydroxychloroquine during the first COVID-19 wave: an estimate Biomedicine & Pharmacotherapy Volume 171, February 2024, 116,055

8 Des calculs basés sur des hypothèses fausses

9 https://pgibertie.com/2024/01/04/hydroxychloroquine-les-chiffres-sont-inventes-molibard-et-sa-bande-sont-en-passe-de-remplacer-la-call-girl-du-lancet-gate/

10 https://www.tsa-algerie.com/pres-de-11-millions-dalgeriens-sont-ages-de-60-ans-et-plus/

11 https://www.senioractu.com/France-les-plus-de-60-ans-representent-22-6-de-la-population_a11937.html

12 https://solidarites-sante.gouv.fr/systeme-de-sante-et-medico-social/strategie-nationale-de-sante/priorite-prevention-rester-en-bonne-sante-tout-au-long-de-sa-vie-11031/priorite-prevention-les-mesures-phares-detaillees/article/obesite-prevention-et-prise-en-charge

13 https://www.reporters.dz/sante-medecine-pres-de-10-millions-dalgeriens-sont-obeses

14 Ibid 3 : https://www.marianne.net/monde/afrique/au-senegal-un-traitement-avec-de-lhydroxychloroquine-on-ne-suit-pas-aveuglement-loms

15 Analyse statistique permettant d’évaluer l’importance particulière des différents facteurs pronostiques

16 https://ourworldindata.org/covid-cases?country=~FRA

17 https://www.youtube.com/watch?v=QJuBIXJturA

18 rapporte Actualité CD
https://actualite.cd/2020/03/24/rdc-tshisekedi-insiste-sur-lurgence-de-produire-une-quantite-industrielle-de-la

19 https://floridahealth.gov/_documents/newsroom/press-releases/2024/01/20240103-halt-use-covid19-mrna-vaccines.pr.pdf

20 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14724672/

21 Tweet du 17/1/2024




Totalitarisme onusien en vue si l’OMS obtient le contrôle total de la médecine

[Source : businessbourse.com]

Selon la Dr Meryl Nass, l’OMS, agence de l’ONU, est en train de concocter un « Règlement Sanitaire International » ABSOLUMENT DYSTOPIQUE !

La Dr Meryl Nass est une experte en vaccins. Elle a témoigné à plusieurs reprises devant le Congrès. La Dr Nass a mis en garde contre les dangers du vaccin contre le CV19. Des quantités massives de décès et d’invalidités ont été documentées dans le monde entier, causées par ce que de nombreux médecins considèrent comme de simples injections d’armes biologiques. Dès le début, la Dr Nass était partisane du traitement du Covid avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, avec des résultats exceptionnels pour ses patients. Pour cela, sa licence médicale a été suspendue dans l’État du Maine il y a deux ans. Cela n’a pas empêché la Dr Nass de se battre pour faire connaître le mal causé par les vaccins contre le CV19. Juste au moment où vous pensez que c’est fini et que nous pouvons tous revenir à la normale, la Dr Nass met en garde contre un projet mondial encore plus diabolique qui vise à prendre le contrôle de votre santé (et de votre vie) lors de la prochaine pandémie. L’ONU et l’OMS souhaitent le faire d’ici mai 2024. Voici ce que la Dr Nass explique : « L’OMS est une agence relevant de l’ONU. Un document, qui n’a jamais existé auparavant, s’appelle un “Traité sur la Pandémie”, et ils sont en train de le rédiger en ce moment. L’autre est un document ordinaire appelé “Règlement Sanitaire International”. Ce qui s’est passé, c’est qu’ils veulent utiliser ce document et le modifier massivement. Ils veulent changer complètement le contenu du document et le transformer en ordres auxquels toutes les nations du monde devront obéir. La personne qui donne les ordres est le Directeur général de l’OMS. Ce directeur peut déclarer une pandémie dans toutes les circonstances qu’il veut… Cela donne au directeur général de l’OMS un pouvoir énorme pour dicter les modalités de santé à suivre et surtout concernant n’importe qui dans le monde… Ils veulent avoir la possibilité de vous imposer des vaccins à l’avenir contre les pandémies qu’ils déclarent à volonté, sans aucune norme sur ce que cela implique. Ils veulent avoir la Droit de refuser des médicaments et de faire taire votre médecin. Ainsi, le directeur général de l’OMS, Tedros, qui n’a pas de diplôme en médecine, deviendrait le médecin du monde. »

La Dr Nass poursuit en avertissant que si l’OMS obtient ce pouvoir, elle pourra vous forcer à prendre n’importe quel vaccin qu’elle souhaite vous administrer. Les personnes blessées ou tuées n’auraient aucun recours, car toutes les personnes impliquées bénéficieraient d’une protection contre toute responsabilité. En outre, Nass soutient que l’OMS aurait la Droit de censurer toute personne, dans n’importe quel pays, qui donne un avis différent sur les vaccins ou les options de traitement utilisés pour la prochaine pandémie. En bref, aucune liberté d’expression ne sera autorisée si elle n’est pas un discours approuvé par l’ONU.

Lors de la prochaine pandémie, davantage de vaccins seront développés plus rapidement, sans essais sur les animaux. Au lieu de mettre au point un vaccin qui, ce qui prend plus de 10 ans, ils veulent un nouveau vaccin matérialisé en quatre mois seulement. C’est vrai, quatre mois !!! La Dr Nass (encore une fois, un expert en vaccins) prévient : « La FDA a effectivement accordé une licence à certains de ces vaccins contre le CV19, mais n’a utilisé aucune de ses normes normales. Ce fut un désastre total. Ce qu’ils veulent faire la prochaine fois, c’est créer un vaccin en 100 jours et le déployer auprès de l’ensemble de la population en 130 jours. Quatre mois et une semaine, et ils veulent déployer le prochain vaccin dans le monde entier. C’est complètement fou ! Il n’y aurait aucun moyen d’évaluer si cela fonctionne ou si c’est sûr en 130 jours. C’est ça le véritable projet. C’est le projet de l’OMS et du gouvernement américain, du G7, du G20, de l’UE et ils ont tous dit qu’ils voulaient un vaccin en 100 jours. Ils ont également mis en place tous ces documents pour mettre en place un système permettant de dégager la responsabilité des fabricants… Vous n’avez aucun moyen non plus de poursuivre l’OMS. Ils n’ont absolument aucun compte à rendre au public.

La Dr Nass ajoute que le gouvernement fédéral et l’administration Biden n’ont pas la Droit de superviser les soins de santé. Les soins de santé relèvent de la responsabilité des États, et la Dr Nass affirme que c’est là que l’OMS peut être arrêtée pour ses projets “désastreux”.

Source : usawatchdog.com




« S’opposer aux récits “officiels” du COVID, c’est comme affronter Goliath »

[Source : Business Bourse]

Par Tyler Durden

17 MILLIONS DE DÉCÈS À CAUSE DES VACCINS CONTRE LE COVID-19 : « C’est comme un bilan de guerre mondiale… L’OMS va imposer des contrôles TOTALITAIRES sur toutes les nations ! »

Tucker Carlson s’est entretenu avec le biologiste évolutionniste Bret Weinstein, et les deux ont disséqué le réseau complexe de récits autour du COVID-19, l’industrie pharmaceutique et les changements mondiaux en matière de gouvernance et de politique de santé publique.

Selon Weinstein, s’opposer aux récits « officiels » du COVID, c’est comme affronter Goliath — avec des experts compétents et courageux dans divers domaines qui ont été agressivement censurés pendant la pandémie. Cela a conduit à la formation d’une « Dream Team » de dissidents.

« J’appelle la force que nous affrontons Goliath. Goliath a commis une terrible erreur et l’a commise de la manière la plus flagrante pendant la période du COVID, c’est-à-dire qu’il a pris toutes les personnes compétentes, toutes les personnes courageuses, et les a chassées des institutions, là où elles s’accrochaient. Et cela a créé, ce faisant, la “Dream Team”. Cela a créé tous les joueurs que vous pourriez souhaiter dans votre équipe pour mener une bataille historique contre un mal terrible », a-t-il déclaré, suggérant que la « Dream Team » est particulièrement qualifiée, pour lutter contre ceux qui ont bâclé la stratégie médicale face à la pandémie, avec des conséquences mortelles.

Weinstein a également discuté de la diabolisation des traitements alternatifs tels que l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine, et a affirmé qu’il y a eu 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID-19.

« Donc, je ne suis pas un génie en mathématiques, mais une injection sur huit cents multipliée par milliards, cela représente beaucoup de gens… 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID ? » demanda Tucker. « Juste pour mettre en perspective. Je veux dire, c’est comme le bilan d’une guerre mondiale. »

Ce à quoi Weinstein a répondu : « Oui, absolument. C’est une grande tragédie de l’histoire. Donc on est vraiment dans cette proportion. Et étonnamment, il n’y a aucune chance que cela soit fini. Je veux dire, ils nous recommandent toujours ces choses pour les enfants en bonne santé. »

Weinstein et Carlson ont également discuté de ce qu’ils perçoivent comme un changement de pouvoir mondial orchestré par les politiques de santé publique. Ils ont discuté du plan de préparation à une pandémie proposé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exprimant leurs inquiétudes quant à d’éventuelles atteintes à la souveraineté nationale. Weinstein a mis en garde contre une « planète totalitaire clé en main », dans laquelle l’OMS serait en mesure d’imposer des contrôles sans précédent sur les nations et leurs citoyens.

Source : zerohedge




Après le Lancet Gate, le France Info Gate ?

Par le Dr Gérard Delépine

Le 04/01/2024, Anne Le Gall sur Radio France a encensé une étude française actualisant les thèses et les méthodes du Lancet Gate1 2 pour prétendre que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. » et ajoutait que plusieurs travaux de recherche auraient souligné « son inefficacité dans cette indication ».

Peut-on reprocher à une journaliste non-médecin d’affirmer de telles bêtises, mais elle aurait dû se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée3 basée de plus sur des données en partie inventées comme l’a très bien démontré Gibergie dans son excellente analyse4. Elle aurait pu aussi vérifier les résultats publiés par l’OMS et les agences sanitaires qui ont utilisé ce traitement et demander des commentaires au professeur Raoult qu’elle accuse de tous les maux.

Pour tenter de l’instruire, nous lui rappellerons quelques faits indiscutables qu’elle paraît ignorer alors qu’ils sont authentifiés par les données de L’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments qui a été le plus utilisé dans le monde. Depuis 1945, il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques, les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur ? Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid, a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 :

« On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

Cette bonne tolérance habituelle chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par tous les manuels de thérapeutique.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022, l’épidémie Covid est terminée en Algérie, et en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans6 7, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)8 9.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie communes. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et comme la France compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne10 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 11 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)12.

Le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22, lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 13 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »14.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont quasi inexistants :

La pauvreté de ces pays africains leur a épargné la corruption et la propagande pro vaccination et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations. Mais peut-être que Anne Le Gall et Radio France ignorent-ils l’Afrique…

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité du traitement Raoult, sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité Covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais de ce torchon pseudo-scientifique qui les discrédite.

On peut même se demander si leur responsabilité pénale ne serait pas engagée pour diffusion de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui. L’avenir nous le dira.

Sortie désespérée de l’impasse dans laquelle les mondialistes se trouvent ?

De nombreux tweets commentent cette attaque en piqué de tous nos médias le même jour à la même heure… grotesque et pitoyable :

et bien d’autres… bonne lecture.





Convoquée par la police, le Dr Jade Allègre attaquée pour son travail sur l’argile

[Source : lemediaen442.fr]

par Yoann

Le monde de la santé alternative et naturelle est secoué par l’affaire du Dr Jade Allègre, une praticienne renommée en naturopathie. Son implication dans une controverse judiciaire, convoquée par la préfecture de police de Paris pour des accusations d’exercice illégal de la médecine, d’usurpation de titre de médecin, et de faux et usage de faux, met une nouvelle fois en évidence les frictions entre les approches conventionnelles et non conventionnelles en matière de santé.

Les fondements de cette affaire reposent sur le fait que bien qu’elle détienne un diplôme d’État de docteur en médecine obtenu à la Faculté de médecine Paris 13, ainsi que des qualifications en médecine générale et d’urgence, Jade Allègre pratique la naturopathie, mettant en avant son intérêt pour l’argilothérapie. Pourtant, l’accusation d’usurpation de titre de médecin découle du non-paiement de la cotisation à l’ordre des médecins, une condition pour pouvoir exercer sous le titre de médecin en France.

Cette affaire va au-delà des simples aspects administratifs. Elle soulève des questions plus profondes sur la coexistence des approches médicales, la reconnaissance des pratiques alternatives et les limites imposées aux professionnels de la santé. Le différend juridique autour du Dr Allègre sert de catalyseur à un débat plus large concernant la pluralité des méthodes thérapeutiques et l’intégration des médecines alternatives dans le paysage médical actuel.

Les partisans de la médecine intégrative plaident en faveur d’une approche inclusive, reconnaissant la diversité des pratiques et la nécessité de mieux comprendre les bénéfices des thérapies alternatives. Ils remettent en question les formalités administratives strictes imposées aux praticiens non conventionnels et soulignent l’importance d’une réglementation qui tienne compte de cette diversité sans restreindre les choix thérapeutiques des patients.

Le projet de loi sur les dérives sectaires risque, s’il est adopté, de contraindre les médecins à mettre en danger leurs patients. Il suffit de rendre obligatoires les produits à l’ARNm qui détruisent les codes génétiques et dont les effets létaux sont reconnus. Le dernier en date est le vaccin Covid, mais les laboratoires ne vont pas s’arrêter en si bon chemin. Avant la pseudo pandémie, l’hydroxychloroquine avait été classée produit vénéneux. Aujourd’hui ce sont les onze vaccins obligatoires qui viennent d’être classés produits vénéneux. À quand les vaccins ARNm obligatoires ? À quand l’obligation — via la loi dite antisectes — pour les médecins de les prescrire ?




Guide de survie pour sauver Noël 2023 ?

Libé publie un guide de survie pour sauver Noël du Covid… quelle blague !

Par Nicole Delépine

Dans un article récent publié par Libération et intitulé « Recrudescence du Covid : un guide de survie pour sauver Noël 2023 »le médecin et écrivain Christian Lehmann essaie de réveiller la peur en agitant le fantôme du Covid qui menacerait les fêtes de Noël et donne « la solution » : le port du masque…  

Pour démontrer la gravité du danger Covid immédiat, il ne donne pas de chiffres actualisés de malades ou de morts, mais insiste sur l’augmentation des variants dans les eaux usées, de tests positifs (dont la non-spécificité est établie [1]) et de celle des consultations pour suspicion de Covid 

A-t-il eu le temps de consulter les données officielles actuelles de l’OMS qui l’auraient rassuré sur les incidences et mortalités actuelles extrêmement faibles du Covid ? Nous les lui rappelons.

Le Covid a déserté la France depuis près de 12 mois

Les chiffres officiels de l’OMS, rapportés et mis en courbe par l’université John Hopkins, que l’on peut obtenir à sur ourworldindata.org montrent, qu’en France, le nombre de cas quotidiens de Covid est proche de zéro depuis presque un an !

Le docteur Lehmann a-t-il pu ignorer ces chiffres et cette courbe qui démentent totalement toute recrudescence du Covid en France ?

D’autant que depuis le 30 juin, le Covid-19 a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en France et qu’on ne peut donc plus prétendre que « les malades sont ignorés ».

Libé aurait-il oublié que la charte des journalistes [2] impose de vérifier les informations auprès de sources indiscutables avant publication ?

De plus, selon les statistiques officielles de l’OMS que l’on peut consulter en français, la mortalité attribuée au Covid est inférieure à 0,000001 depuis plus de six mois :  

Le docteur Lehmann et Libération publient donc un guide de survie contre un virus qui ne rend plus malade et ne tue plus en France ! 

Lors de l’épidémie de grippe asiatique de 1957, le gouvernement considérait qu’elle « ne justifiait pas d’inquiétude particulière » et exhortait les Français à « ne pas ajouter l’hystérie à la maladie » pour ne pas en aggraver les conséquences. 

Aujourd’hui, cet article mensonger de Libération vise à créer une hystérie pour une maladie qui n’existe plus !

Contre les virus, le port du masque ne sert à rien

Lorsqu’on souffre d’une infection bactérienne respiratoire (comme la tuberculose ou la pneumonie), porter un masque diminue le risque de la disséminer. 

Mais, aucune étude n’a jusqu’ici démontré que le masque pouvait protéger contre les virus dans le monde réel.

Pour la grippe, les très nombreuses études sur le sujet, dont plusieurs essais prospectifs randomisés, n’ont pas permis de démontrer que le port généralisé du masque pourrait interrompre la transmission des virus grippaux [références 3 à 22]. La revue exhaustive de la littérature réalisée par la fondation Cochrane [23] confirme l’inefficacité des masques pour réduire la transmission des virus respiratoires et conseille des interventions simples et peu coûteuses, comme l’hygiène des mains [24]. 

Il en est de même pour le Covid où les masques chirurgicaux (en papier et non étanches) ne protègent pas le personnel soignant [25 à 31]. Cette inefficacité des masques contre la transmission du Covid est d’ailleurs confirmée par le seul essai randomisé publié sur le sujet [32].

Actuellement, alors que l’épidémie a quasiment disparu en France, pourquoi faire une telle publicité en faveur du port du masque ? Le port du masque ne constitue qu’un signal d’obéissance, de soumission aux prétendus experts des médias et aux autorités représentées par le ministre de la Santé qui a prétendu le dimanche 27 août 2023 [33] que «  le port du masque doit devenir ‘banal’, parce qu’il est vital ». Aurélien Rousseau et ses conseillers paraissent, eux aussi, ignorer la littérature médicale…

Ceux qui croient à l’efficacité du masque contre les virus devraient se demander pourquoi les grandes pandémies virales (grippe, covid) naissent, croissent et se diffusent toujours d’abord dans les pays les plus adeptes du masque. 

Contre le Covid, les traitements précoces sont efficaces

Notre expérience personnelle de plus d’une quarantaine de malades nous a montré que les ceux-ci, traités dès le début de la maladie par le protocole Raoult ou l’Ivermectine, voyaient leurs symptômes disparaître en deux à trois jours.

L’efficacité du protocole Raoult a été confirmée par les autorités sanitaires des pays qui en ont fait usage (Algérie, Sénégal, Côte d’Ivoire) et par la comparaison des mortalités par million d’habitants publiée par l’OMS de pays comme la France ou la Tunisie qui l’ont refusé et les autres :

De même, l’efficacité de l’ivermectine a été démontrée par plus d’une dizaine d’études randomisées, principalement effectuées dans les pays pauvres [34 à 38]. Le cas de l’inde est d’ailleurs très démonstratif :

Mortalités comparées Europe, France et Inde :

comparatif europe inde

Si vous craignez le Covid, plutôt que d’acheter des masques inefficaces, conservez dans votre pharmacie des antibiotiques, de la chloroquine ou de l’ivermectine. 

Dans son article de Libération, le docteur Lehmann a menti sur la prétendue menace Covid actuelle et sur l’efficacité des masques, mais aussi par omission en ne citant pas les traitements précoces.

Ne craignez plus les prophètes de malheur

Qui n’hésitent pas à mentir pour vous pousser à porter des masques et à vous faire administrer des pseudo-vaccins inefficaces et dangereux. Profitez des fêtes de Noël et embrassez ceux qui vous sont chers.

Et, si une nouvelle épidémie survenait, utilisez les traitements que vous avez mis en réserve.

Nicole Delépine est l’ancienne chef du service d’oncologie pédiatrique de l’hôpital de Garches.


Références :

[1] chez les personnes asymptomatiques la positivité annonce une maladie dans moins de 3% des cas. Les autres sont des faux positifs

[2] Chartes des journalistes https://cdjm.org/les-chartes/

[3] Suess T, Remschmidt C, Schink SB, et al. The role of facemasks and hand hygiene in the prevention of influenza transmission in households: results from a cluster randomised trial; Berlin,Germany, 2009-2011. BMC Infect Dis. 2012;12(1):1-16.

[4] Barasheed O, Almasri N, Badahdah AM, et al. Booy on behalf of the Hajj Research Team. Pilot randomised controlled trial to testeffectiveness of facemasks in preventing influenza-like illness transmission among Australian Hajj pilgrims in 2011. Infect Disord Drug Targets. 2014;14(2):110-116.

[5] Aiello AE, Perez V, Coulborn RM, Davis BM, Uddin M, Monto AS. Facemasks, hand hygiene, and influenza among young adults: a randomized intervention trial. PLoS One. 2012;7(1):e29744.

[6] MacIntyre CR, Cauchemez S, Dwyer DE, et al. Face mask use and control of respiratory virus transmission in households. Emerg Infect Dis. 2009;15(2):233.

[7] MacIntyre CR, Zhang Y, Chughtai AA, et al. Cluster randomised controlled trial to examine medical mask use as source control forpeople with respiratory illness. BMJ Open. 2016;6(12).

[8] Cowling BJ, Chan KH, Fang VJ, et al. Facemasks and hand hygiene to prevent influenza transmission in households: a cluster randomized trial. Ann Intern Med. 2009;151(7):437-44

[9] Cowling BJ, Fung RO, Cheng CK, et al. Preliminary findings of a randomized trial of non-pharmaceutical interventions to preventinfluenza transmission in households. PLoS One. 2008;3(5): e2101.

[10] Larson EL, Ferng YH, Wong-McLoughlin J, Wang S, Haber M,Morse SS. Impact of non-pharmaceutical interventions on URIsand influenza in crowded, urban households. Public Health Rep.2010;125(2):178-191

[11] Simmerman JM, Suntarattiwong P, Levy J, et al. Findings from a household randomized controlled trial of hand washing and face masks to reduce influenza transmission in Bangkok, Thailand.Influenza Other Respir Viruses. 2011;5(4):256-267.

[12] Jacobs JL, Ohde S, Takahashi O, Tokuda Y, Omata F, Fukui T. Use of surgical face masks to reduce the incidence of thecommon cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial. Am J Infect Control. 2009;37(5):417-419.

[13] Long Y, Hu T, Liu L, et al. Effectiveness of N95 respirators versus

surgical masks against influenza: a systematic review and metaanalysis. J Evid Based Med. 2020;13(2):93-101.

[14] Cowling BJ, Zhou YDKM, Ip DKM, Leung GM, Aiello AE. Face masks to prevent transmission of influenza virus: a systematicreview. Epidemiol Infect. 2010;138(4):449-456.

[15] bin-Reza F, Lopez Chavarrias V, Nicoll A, Chamberland ME. The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza:a systematic review of the scientific evidence. Influenza Other Respir Viruses. 2012;6(4):257-267.

[16] Smith JD, MacDougall CC, Johnstone J, Copes RA, Schwartz B, Garber GE. Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks in protecting health care workers from acute respiratory infection: a

systematic review and meta-analysis. CMAJ. 2016;188(8):567-574.

[17] Offeddu V, Yung CF, Low MSF, Tam CC. Effectiveness of masks and respirators against respiratory infections in healthcare workers: a systematic review and meta-analysis. Clin Infect Dis. 2017;65(11):1934-1942.

[18] Radonovich LJ, Simberkoff MS, Bessesen MT, et al. N95 respirators

vs medical masks for preventing influenza among health care personnel: a randomized clinical trial. JAMA. 2019;322(9):824-833

[19] Aiello AE, Murray GF, Perez V, Coulborn RM, Davis BM, Uddin M, Shay DK, Waterman SH, Monto AS. Mask use, hand hygiene, and seasonal influenza-like illness among young adults: a randomized intervention trial. J Infect Dis. 2010 Feb 15;201(4):491-8. doi: 10.1086/650396. PMID: 20088690.

[20] Xiao J, Shiu EYC, Gao H, Wong JY, Fong MW, Ryu S, Cowling BJ. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings-Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020 May;26(5):967-975. doi: 10.3201/eid2605.190994. Epub 2020 May 17. PMID: 32027586; PMCID: PMC7181938.

[21] Lee LY, Lam EP, Chan CK, Chan SY, Chiu MK, Chong WH, Chu KW, Hon MS, Kwan LK, Tsang KL, Tsoi SL, Wu CW. Practice and technique of using face mask amongst adults in the community: a cross-sectional descriptive study. BMC Public Health. 2020 Jun 16;20(1):948. doi: 10.1186/s12889-020-09087-5. PMID: 32546228; PMCID: PMC7296904.

[22]Haworth E, Barasheed O, Memish ZA, Rashid H, Booy R. Prevention of influenza at Hajj: applications for mass gatherings. J R Soc Med. 2013 Jun;106(6):215-23. doi: 10.1258/jrsm.2012.120170. PMID: 23761581; PMCID: PMC3705423.

[23] Jefferson T, Dooley L, Ferroni E, Al-Ansary LA, van Driel ML, Bawazeer GA, Jones MA, Hoffmann TC, Clark J, Beller EM, Glasziou PP, Conly JM. Physical interventions to interrupt or reduce the spread of respiratory viruses. Cochrane Database Syst Rev. 2023 Jan 30;1(1):CD006207. doi: 10.1002/14651858.CD006207.pub6. PMID: 36715243; PMCID: PMC9885521.

[24] Jefferson T, Del Mar CB, Dooley L et al. Interventions physiques pour interrompre ou réduire la propagation des virus respiratoires . Système de base de données Cochrane Rév. 2011 ; 6 :CD006207. [

[25] Greenhalgh T Schmid MB Czypionka T, et al. . Masques faciaux pour le public pendant la crise du covid-19 . BMJ 2020 ; 369 : m1435.

[26] Chu DK Akl EA Duda S, et al. . Distanciation physique, masques faciaux et protection des yeux pour prévenir la transmission de personne à personne du SRAS-CoV-2 et du COVID-19 : une revue systématique et une méta-analyse . Lancet 2020 ; 395 : 1973-1987.

[27] Howard J Huang A Li Z, et al. . Un examen des preuves des masques faciaux contre COVID-19 . Proc Natl Acad Sci USA 2021 ; 118 :e2014564118.

[28] Mahase E. Covid-19 : quelles preuves pour les masques en tissu ? BMJ 2020 ; 369 :m1422.

[29] Bartoszko JJ Farooqi MAM Alhazzani W, et al. . Masques médicaux vs respirateurs N95 pour la prévention du COVID-19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse d’essais randomisés . Grippe autres virus respiratoires 2020 ; 14 :365-373.

[30] Wang J Pan L Tang S, et al. . Utilisation du masque pendant COVID-19 : une stratégie ajustée en fonction des risques . Environ Pollution 2020 ; 266 : 115099

[31] Hsiao TC Chuang HC Griffith SM, et al. . COVID-19 : le point de vue d’un aérosol de l’expiration à la transmission au mécanisme viral . Aérosol Air Qual Res 2020 ; 20 :905-910.

[32] Henning Bundgaard, DMSc, Johan Skov Bundgaard, BSc and all Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine18 November 2020 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/

[33] dans l’émission « L’événement du dimanche LCI »

[34] Waheed M Shoumann, Abdelmonem Awad Hegazy, Ashraf E. Sileem Use of Ivermectin as a Potential Chemoprophylaxis for COVID-19 in Egypt: A Randomised Clinical Trial Medicine, Environmental Science Journal of Clinical and Diagnostic Research 2021

[35] Kory P, Meduri GU, Varon J, Iglesias J, Marik PE. Review of the Emerging Evidence Demonstrating the Efficacy of Ivermectin in the Prophylaxis and Treatment of COVID-19. Am J Ther. 2021 Apr 22;28(3):e299-e318.

[36] Kerr L, Baldi F, Lobo R, Assagra WL, Proença FC, Chamie JJ, Hibberd JA, Kory P, Cadegiani FA. Regular Use of Ivermectin as Prophylaxis for COVID-19 Led Up to a 92% Reduction in COVID-19 Mortality Rate in a Dose-Response Manner: Results of a Prospective Observational Study of a Strictly Controlled Population of 88,012 Subjects. Cureus. 2022 Aug 31;14(8):e28624. doi: 10.7759/cureus.28624. PMID: 36196304; PMCID: PMC9525042.

[37] Azeez TA, Lakoh S, Adeleke AA, Balogun OT, Olanipekun BJ, Olusola FI. Chemoprophylaxis against COVID-19 among health-care workers using Ivermectin in low- and middle-income countries: A systematic review and meta-analysis. Indian J Pharmacol. 2021 Nov-Dec;53(6):493-498. doi: 10.4103/ijp.ijp_117_21. PMID: 34975139; PMCID: PMC8764977.

[38] Chahla RE, Medina Ruiz L, Ortega ES, Morales Rn MF, Barreiro F, George A, Mancilla Rn C, D’ Amato Rn S, Barrenechea G, Goroso DG, Peral de Bruno M. Intensive Treatment With Ivermectin and Iota-Carrageenan as Pre-exposure Prophylaxis for COVID-19 in Health Care Workers From Tucuman, Argentina. Am J Ther. 2021 Aug 16;28(5):e601-e604. doi: 10.1097/MJT.0000000000001433. PMID: 34491960; PMCID: PMC8415509.




Un projet de loi du gouvernement veut criminaliser les donneurs d’alerte en médecine

Par Gérard Delépine

Sous prétexte de réprimer les dérives sectaires Gérald DARMANIN, ministre de l’Intérieur et Mme Sabrina AGRESTI-ROUBACHE, secrétaire d’État veulent en réalité interdire le doit d’expression des médecins donneurs d’alerte. Nous devons tout faire pour défendre la liberté d’expression et la science menacées par ce texte scandaleux1 !

Illustration présentée dans La Croix du 08/09/20172

Quelques extraits du texte déposé au Sénat le 15 novembre 2023

Sous prétexte de Protéger la santé l’Article 4 veut insérer dans le Code pénal, un article ainsi rédigé :

« Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente. »

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Bien plus qu’une simple censure ce texte menace les donneurs d’alerte d’amendes astronomiques et même de prison. Il attente ainsi gravement à la liberté d’expression et au développement du progrès scientifique qui repose sur la critique constructive des vérités admises.

Les progrès de la science naissent du doute et de la résolution des paradoxes3 par la controverse

L’histoire de la médecine de Pasteur à Flemming démontre qu’elle progresse le plus souvent par l’intuition de personnes « hérétiques » qui s’opposent à la doxa. La particularité de la science est d’être discutée, et de passer par des expériences qui peuvent être reproduites.

Rappelons les propos de Bertrand Russell 4 considéré par beaucoup comme le Voltaire du XXe siècle :

« La tournure d’esprit scientifique est circonspecte et tâtonnante ; elle ne s’imagine pas qu’elle connaît toute la vérité, ni même que son savoir le plus sûr est entièrement vrai. Elle sait que toute théorie doit être corrigée tôt ou tard, et que cette correction exige la libre recherche et la libre discussion. […] L’argument contre la persécution des opinions reste inchangé, quel que soit le prétexte de la persécution. Cet argument est que nul d’entre nous possède la vérité infuse, que la découverte de vérités nouvelles est favorisée par la libre discussion et rendue très difficile par la censure, et qu’à la longue, le bien être humain est accru par la découverte de la vérité et desservi par les actes basés sur l’erreur. Les vérités nouvelles sont souvent gênantes pour les intérêts privés […] mais l’intérêt général exige que les vérités nouvelles soient librement diffusées. »

Une vérité scientifique n’est admise comme telle que tant qu’elle est confirmée par les faits. Toute discordance entre la réalité constatée et une « vérité » du moment justifie l’abandon de cette dernière et l’élaboration d’une nouvelle hypothèse qui deviendra, après discussion, la nouvelle vérité. L’esprit scientifique se caractérise par cette remise en question permanente des connaissances admises.

À l’opposé l’approche religieuse repose sur la foi, consacrant une vérité immuable et des dogmes que rien ne peut remettre en question. La foi justifie l’inquisition et la condamnation des hérétiques.

L’article223-1-2 de la proposition de loi, interdisant la remise en cause « des connaissances médicales » du moment constitue donc un outil profondément anti-scientifique instaurant une « science officielle » décidée par l’état et ses agences suivant le triste exemple des communistes sous Staline et Lyssenko.

Cette proposition de loi vise à empêcher la dénonciation future des mensonges d’état en santé

Lors du Covid le très mal nommé « comité scientifique » a longtemps prétendu que les masques, les pass et les vaccins seraient efficaces. Le ministère, les agences officielles et l’académie de médecine ont répété que « les vaccins sont efficaces à 90 %5… ils empêchent la diffusion de l’épidémie6 7… ils protègent des formes graves8… ils sont efficaces et sans danger 9 10».

L’académie de médecine a même réclamé l’obligation vaccinale pour tous y compris pour les enfants en prétendant « qu’un taux de vaccination de 80 % assurerait une immunité collective suffisante pour contrôler l’épidémie »11. Cette affirmation été depuis cruellement démentie par les données de l’OMS montrant l’explosion d’Omicron alors que le taux de vaccinés en France atteignait ce 80 %.

Les données de l’OMS démontrent également que les injections covid ont été inefficaces contre les transmissions et les ont peut-être même favorisées :

Mais aussi que les injections anti-covid n’ont pas évité les formes graves entraînant la mort :

Cette propagande pro vax officielle a été très tôt mise en doute par une petite poignée de médecins qui ont été diffamés, traités de complotistes et condamnés par l’ordre des médecins alors qu’ils ne faisaient qu’énoncer des faits maintenant démontrés.

Le caractère mensonger de ces affirmations gouvernementales (ils reconnaissent des « erreurs » !) est maintenant admis par la quasi-totalité des scientifiques y compris Delfraissy 12 et l’Agence Européenne des Médicaments (EMA)13 qui aurait recensé 1,7 million d’effets indésirables14 post injections Covid.

Si l’état avait laissé se développer un débat démocratique honnête sur ces sujets au lieu de réprimer les donneurs d’alerte, de nombreux soignants, pompiers, gendarmes n’auraient pas été ignominieusement exclus de leur sacerdoce et les citoyens vaccino prudents n’auraient pas été discriminés de manière scandaleuse comme en témoignent les quelques déclarations incroyables mais vraies qui suivent :

Les mensonges d’état, la censure et le refus de tout débat démocratique ont abouti à une gestion catastrophique de la crise qui a placé la France dans le top dix des plus fortes mortalités covid par million des pays riches, tandis que la propagande sur les prétendus vaccins ont mis en danger de très nombreux français et en particulier les enfants qui ne craignaient pourtant rien du covid.

Si on avait écouté les donneurs d’alerte vaccino prudents, la majorité de la population n’aurait pas été exposée aux complications de ces injections expérimentales qui rendent difficile la vie de plus en plus de vaccinés souffrant de complications neurologiques, de myocardites ou thromboses et qui, trop souvent, en meurent comme le montrent l’inquiétante surmortalité toutes causes confondues de l’année 2022 et 2023 alors que le covid a quasiment disparu.

Cet article 4 ouvre la chasse aux donneurs d’alerte

Les trop nombreux scandales sanitaires des dernières années ont montré que les agences sanitaires ne font pas correctement le travail pour lequel elles ont été créées et que sans les alertes émises par les soignants de nombreux médicaments ou vaccins dangereux seraient encore prescrits (Distilbène, Thalidomide, Vioxx, Hormone de croissance, sang contaminé, Dépakine, vaccination contre la grippe A H1N1, traitements au 5-FU de patients déficients en DPD, Médiator, vaccin Dengvaxia administré sans précautions aux jeunes enfants…)

Mais au lieu de tirer les leçons de sa gestion insuffisante de notre sécurité sanitaire, le gouvernement préfère la fuite en avant et veut renforcer la censure et sa mainmise sur notre santé en criminalisant les donneurs d’alerte !

Si ce projet de loi avait été voté les médecins et les scientifiques, qui ont dénoncé le Médiator ou le VIOXX responsables de dizaines de milliers de morts dans le monde, auraient pu être condamnés à un an d’emprisonnement !

Des directeurs de recherche comme les professeurs Didier Raoult ou Christian Perronne, qui vanteraient les effets de l’hydroxychloroquine contre le virus du Covid-19, risqueraient deux ans de prison et 30 000 euros d’amende avec une telle loi !

L’association E3M, les docteurs Delépine1516, De-Chazournes 17 et de nombreux autres médecins 18 qui alertent sur les graves effets indésirables du Gardasil (allant jusqu’au décès des patients alors qu’il n’y a aucune preuve solide qu’il évite le cancer) et réclament un moratoire sur la campagne de vaccination Gardasil19, tomberaient sous le coup de l’article 4 !

Une maison d’édition indépendante comme la revue Prescrire, qui publierait la liste des 107 médicaments plus dangereux qu’utiles, serait menacée elle aussi par cet article 4 !

Cette loi veut interdire la liberté de parole, droit fondamental de la démocratie

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme20 précise « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme »

Le Conseil d’État s’est d’ailleurs inquiété dans son avis21 de cette proposition de loi qui « pourrait remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte » et « constituer une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789 ».

La liberté de parole fait pourtant partie des libertés protégées par la Cour européenne des Droits de l’homme.

La Convention communautaire de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales octroie aux citoyens européens la liberté « d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriée. »

Profondément contraire aux libertés fondamentales, ce projet de loi est d’autant plus scandaleux que la « science » officielle repose habituellement sur l’avis d’experts qui souffrent trop souvent de la corruption systémique qui règne dans le milieu médical et dans la science en général qui explique en autre que 75 % des études publiées dans les grandes revues soient gravement faussées par les liens d’intérêts22 23. L’exemple de l’article du Lancet Gate24, prétendant que la chloroquine serait inefficace et très toxique, qui a constitué le prétexte pour interdire ce médicament en France est à cet égard tristement démonstratif.

Contraire aux Droits de l’homme, cet article menace aussi gravement la santé de nos citoyens !

La présentation du gouvernement sur le projet de loi et sa prétention à « protéger la santé », suscite bien des interrogations et des inquiétudes chez les médecins sur l’exercice de leur métier25 et des avocats soucieux des libertés publiques26

Nous devons tout faire pour que cette proposition de loi soit rejetée

Dénoncez cette proposition de loi scandaleuse autour de vous par la parole, des tracts ou de réunions publiques.

Signez des pétitions : https://www.abolition-article-4.com/signature

Alerter vos élus locaux

Demandez à vos députés d’affirmer leur opposition ce projet profondément antidémocratique.


Pétition — NON au projet de loi « Protéger la santé » du 19 décembre !

Par Thibaut Masco

Chère lectrice, cher lecteur,

C’est dans l’urgence que je vous écris, car c’est avec urgence qu’il faut que nous RÉAGISSIONS !

Un projet de loi vient d’être déposé ce 15 novembre au Sénat par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et la secrétaire d’État Sabrina Agresti-Roubache1.

Ce projet piloté par la Miviludes2, je le cite, « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires » a l’audace de porter le nom « PROTÉGER LA SANTÉ ».

Son but ?

A priori, très éloigné de la santé.

Il s’agit d’un article de loi, par ailleurs tout à fait raisonnable, voire souhaitable, sur les dérives sectaires au sein de groupes

Et en particulier quand celles-ci mènent à de la torture, voire la mort

Il s’agit également de mieux en accompagner les victimes.

La France a en effet été marquée de scandales gravissimes liés à des sectes ces dernières décennies. 

Je ne citerai que l’exemple de l’Ordre du Temple Solaire, qui mena en 1995 à la mort de 16 personnes, dont 3 enfants, brûlées sur un bûcher.

Ainsi :

« Art. 223-15-3. — I. — Est puni de trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende le fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement et ayant pour effet de causer une altération grave de sa santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables. »

Jusque-là, je ne peux que féliciter l’initiative.

Mais à mesure que je lis le projet de loi, je tombe sur l’inquiétant chapitre 3 : « Protéger la santé ».

Et c’est en particulier l’article 4 qui a soudain provoqué en moi une terrible indignation. Et qui mérite aussi VOTRE indignation.

« 2) Art. 223-1-2. — Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique (c’est-à-dire préventif),lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »

Et ça continue !

« 4) Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende. »

Autrement dit, les médecines alternatives sont comparées directement à des dérives sectaires.

Mais dans quel monde vit-on !

Je vais vous le dire…

Dans un monde qui veut INTERDIRE et EMPRISONNER les médecins qui proposent des TRAITEMENTS NATURELS qui ne seraient pas approuvés par la soi-disant MÉDECINE D’ÉTAT.

Mais le pire vient à la toute fin. 

Car cette loi ne s’applique pas seulement aux médecins.

Elle s’applique à TOUTE PERSONNE et TOUT MÉDIA parlant de santé !

J’en veux pour preuve l’alinéa 5.

« 5) Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Votre blog personnel sur la médecine chinoise pourrait vous mener en PRISON !!! 

Alors, de quelle santé parle-t-on ? Comme le disait un journaliste, si c’est la santé financière des fabricants de vaccin, alors ce titre est approprié.

Mais la santé des citoyens qui sont libres de choisir leur traitement ? J’EN DOUTE

SOUVENEZ-VOUS DE L’AFFAIRE RAOULT

L’idée de la loi est de faire taire les charlatans, qui eux, existent bel et bien, et causent des torts immenses à la médecine.

Mais le sous-texte, ce que vous devez lire entre les lignes, c’est que le Gouvernement se réserve le droit d’éteindre les voix de scientifiques ayant une parole différente.

Souvenez-vous, au début de la crise sanitaire en 2020, la véritable CHASSE AUX SORCIÈRES dont a été victime le professeur Didier Raoult.

Éminent virologiste, professeur des universités et lauréat du Grand prix de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en 2010 pour ses recherches sur les virus, Raoult avait un avis « hors-piste » au sujet du COVID-19.

Il préconise alors un traitement à base d’hydroxychloroquine, un médicament bien connu de la médecine pour ses propriétés bénéfiques pour l’immunité. Il est même classé « médicament essentiel » par l’OMS3.

Raoult ne prétend pas que c’est un médicament miracle, mais qu’il peut être une arme thérapeutique supplémentaire pour lutter contre l’épidémie.

Très vite, il comprend que le vaccin ne freine pas l’épidémie et que cela ne sert donc à rien de vacciner de force les populations qui ne sont pas en risque de formes graves.

Par ailleurs, il pointe du doigt le manque de transparence des labos, dont il dénonce les pratiques. 

Pour le Gouvernement et les médias, c’en est trop. Avec une rare unanimité, ils lui tombent dessus.

Ses prises de position dérangent parce que grâce à lui les Français entendent un autre son de cloche que celui du Gouvernement.

Il est traité de tous les noms par lesquels on essaie de museler la pensée critique : complotiste4, charlatan5, fou à lier6, criminel7…

Vous l’aurez compris : les autorités sanitaires ont l’air de choisir qui a le droit à la parole dans les débats publics !

Cet article de loi censé « protéger la santé » semble donc plutôt protéger les intérêts de l’État.

Comme le dit très justement le sénateur Alain Houpert8 :

alain houpert

Car ne vous méprenez pas. Son véritable objet : ce sont les prochains vaccins qui seront mis sur le marché.

Imaginez la situation quand la prochaine crise sanitaire surviendra.

(Car elle va venir, aucun doute là-dessus.)

Quand le gouvernement prendra des mesures coercitives du jour au lendemain.

Quand il rouvrira les vaccinodromes pour un vaccin développé à la va-vite sans essai clinique.

Qu’arrivera-t-il aux médecins, aux médias et aux citoyens qui oseront, pas même émettre des doutes ou s’opposer, mais simplement OUVRIR UN DÉBAT NEUTRE, CRITIQUE et LIBRE ?

  • Votre médecin pourra être condamné à 3 ans de prison !
  • Les journaux pourront être fermés et les rédacteurs amendés (45 000 €) !
  • Vos opinions seront muselées et vous deviendrez « sectaire » !

Bref, un retour à la situation de 2020… mais cette fois, le gouvernement veut avoir le CONTRÔLE TOTAL sur l’information et éviter TOUTE FORME DE DISCUSSION ÉCLAIRÉE.

C’est pour cela que j’ai besoin de vous au plus vite. 

Si vous voulez conserver votre liberté d’expression dans ce « pays des droits de l’homme », signez aujourd’hui la pétition.

JE SIGNE LA PÉTITION

Avoir une pensée critique dans la France d’aujourd’hui, c’est être « sectaire »

Cette loi prétend limiter l’expression des opinions qui ne seraient raccord avec « l’état des connaissances médicales ».

Mais qui décide de ce qui fait « état des connaissances médicales » ?

Est-ce au juge pénal de décider de cela désormais ?

Il ne me semble pas qu’il revient au législatif de trancher entre ce qui est une « bonne » et une « mauvaise » étude !

La science doit rester l’affaire des scientifiques !

Par contre, cela me semble évident qu’il y a une médecine « approuvée par les intérêts politiques et économiques du gouvernement » et une médecine libre.

Comment peut-on tolérer une société où un honnête pharmacien sera traité de paria, de complotiste, d’escroc et désormais aussi de CRIMINEL, de MEURTRIER ?

Si la loi passe au Sénat le 19 décembre prochain, ce sera la réalité dans laquelle vous vivrez.

JE SIGNE LA PÉTITION

Qui décide de la vérité ?

Pendant la crise du Covid les médias officiels n’ont cessé d’exposer des personnalités qui se sont trompées.

Les médecins de plateau TV bien sûr comme Karine Lacombe9, Michel Cymes10, Gilbert Deray11, ou le Pr Delfraissy12.

Les ministres de la Santé censés être bien informés se sont eux aussi fourvoyés à de multiples occasions comme Véran, Rousseau ou Buzin. 

Tous se sont trompés avec plus ou moins de bonne foi…

Que ce soit sur l’efficacité des masques, l’utilité des confinements, l’efficacité des vaccins sur la transmission ou la réalité des effets secondaires, la validité de telle ou telle étude, etc.

On voit donc bien que l’erreur n’est pas l’apanage des complotistes !!

CHERCHEZ L’ERREUR

La médecine est facilement manipulable par les intérêts économiques et politiques. 

Les Gouvernements et les lobbys ont la furieuse tendance de choisir la médecine qui les arrange le mieux en fonction de leurs intérêts du moment,

Quand donc la loi « PROTÉGER LA SANTÉ » nous parle de « l’état des connaissances médicales », comment pouvons-nous leur faire confiance ???

Faisons bloc le 19 décembre pour que cette loi ne passe pas !

Quand vous aurez lu et signé cette pétition, ne vous arrêtez pas là.

Parlez-en aux membres de votre famille, à vos amis, à vos voisins, à votre médecin même.

Il faut faire comprendre à notre gouvernement que nous sommes libres de notre corps et de nos choix.

Le patient a le droit de s’informer comme il le souhaite, et d’avoir accès à une information complète et loyale. Et surtout, de choisir pour lui-même.

Sinon, le régime de Liberté est anéanti.

Pour conserver ma liberté d’expression, et mon droit de choisir la médecine qui me soigne vraiment. 

JE SIGNE LA PÉTITION AVANT LE 19 DÉCEMBRE

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée





Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé

[Source : qg.media]

Par Laurent Mucchielli

Les éditions de l’École Normale Supérieure (ENS) viennent de publier la traduction française d’un livre important de Sergio Sismondo, professeur de philosophie des sciences et des techniques à la Queen’s University de Kingston au Canada, intitulé Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma. Elles ont eu de surcroît la bonne idée de le mettre intégralement en accès libre en ligne. [NDLR Le voici inséré ici :]



Sa lecture vaut le détour. Elle est même cruciale pour qui veut mieux comprendre la façon dont, au cours des dernières décennies, les industries pharmaceutiques ont pris le contrôle de notre santé, en corrompant massivement non seulement le milieu de la recherche médicale, mais aussi celui des autorités de contrôle nationales et internationales, ainsi que le monde de l’édition scientifique médical, le tout avec l’aide de cabinets de conseils comme McKinsey.

[NDLR Les surlignages en jaune et les petites notes entre crochets sont des ajouts non présents dans l’article original de Laurent Mucchielli.]

Comme le rappelle dans sa préface Mathias Girel (à qui l’on doit déjà la préface de la traduction française du livre majeur de Robert Proctor, Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac, en 2014), « les fantômes dont il est question ici sont bien réels, et ils ne se déplacent pas seuls : ce sont des rédacteurs fantômes, c’est-à-dire des personnes, travaillant pour l’industrie pharmaceutique, qui écrivent des articles qui sont ensuite signés par des chercheurs, mais aussi des organismes de recherche sous contrat (ORC), des associations de patients, des leaders d’opinion ». Il s’agit ainsi de remonter toute la chaîne de production dont l’aboutissement est d’un côté la publication dans les revues scientifiques médicales, de l’autre la prescription individuelle des médicaments par les médecins, voire leur usage en population générale par les gouvernements dans le cadre des politiques de santé publique. Et, tandis que ces aboutissements sont ultra-médiatisés, la chaîne de production qui se cache derrière reste, elle, invisible. D’où le titre du livre : le management fantôme de la médecine. Pour Sismondo, il s’agit rien moins que d’un « nouveau modèle de science », une « science d’entreprise, réalisée par de nombreux travailleurs cachés, à des fins de marketing, et qui tire son autorité de la science académique traditionnelle ». Au fond, comme le dit l’auteur dans sa postface, « Le management fantôme de la médecine est un livre qui explore la manière dont l’industrie pharmaceutique fusionne science et marketing, en particulier en Amérique du Nord et en Europe ». Et ce système de fabrication des connaissances repose sur une « corruption systémique » à laquelle l’auteur a également consacré un article récent (Sismondo, 2021).

La fabrique d’une pseudo-science au profit de l’industrie pharmaceutique

[Note de Joseph : cela fait quelques années que nous récoltons, sur Nouveau Monde, des articles (dont certains placés dans le dossier Vaccins et virus) qui pris ensemble démontrent que la virologie est une pseudo-science parce que l’hypothèse virale a été scientifiquement et implacablement réfutée et parce que ses méthodes ne relèvent pas de science, mais de religion avec notamment ses rituels (comme la prétendue « culture virale »), ses dogmes (comme celui de l’existence de méchants virus), ses grands prêtres (y compris prétendument « résistants » au Nouvel Ordre Mondial), ses idoles (comme les vaccins) et ses saints intouchables ou nobélisés (comme Montagnier ou Pasteur) à défaut d’être canonisés. Cela fait quelques années que nous dénonçons la mainmise croissante de l’industrie pharmaceutique, alias Big Pharma, sur la (dé)formation des médecins lors de leurs études universitaires et après. Ce livre apporte de l’eau au moulin de la réinformation.]

Dans ce livre, qui repose sur d’innombrables entretiens, observations de réunions, lectures de documents produits par les industriels et leurs affidés, Sismondo analyse « les principales tactiques et pratiques utilisées par les compagnies pharmaceutiques pour influencer la médecine ». Il décrit « les chemins que parcourent l’information et les savoirs relatifs aux médicaments depuis les organismes de recherche sous contrat [ORC] (qui effectuent la majeure partie de la recherche pharmaceutique), jusqu’aux planificateurs de publication (qui dirigent la production d’articles de revues écrits par des rédacteurs fantômes), en passant par les leaders d’opinion (qui sont déployés pour éduquer les médecins aux médicaments) et au-delà ». Il nous permet ainsi de comprendre les mécanismes de production, de circulation et de consommation du savoir médical tels que l’industrie pharmaceutique les conçoit, c’est-à-dire dans un univers intellectuel où « la recherche, l’éducation et le marketing ont fusionné ». Et l’auteur de nous rappeler que « l’avalanche de connaissances que les entreprises créent et diffusent n’est pas conçue pour le bien de l’Humanité, mais pour augmenter les profits ». Et même, « il arrive parfois que la recherche de profits aille totalement à l’encontre de l’intérêt général ». Comment cela est-il rendu possible ?

Les industriels font d’abord produire des recherches (les essais cliniques) par des organismes de recherche sous contrat, qui utilisent à leur tour des sous-traitants : « l’industrie finance à peu près la moitié de tous les tests cliniques — souvent des essais contrôlés randomisés, la [soi-disant] plus précieuse forme de savoir médical — et parraine la plupart des nouveaux essais entrepris chaque année ». Les ORC (organismes de recherche sous contrat) travaillant pour leur compte « planifient et mènent des essais cliniques pour faire approuver des médicaments et pour élaborer de nouveaux arguments en faveur de la prescription de médicaments. Ils recrutent des médecins, qui recrutent des sujets d’essai, dont les tissus, fluides et qualités observables peuvent être transformés en données ». Les ORC sont ainsi « les premiers fantômes de l’industrie pharmaceutique ».

Ensuite, grâce à ces données récoltées, « l’industrie pharmaceutique produit une part significative de la littérature scientifique sur les médicaments brevetés ou en cours de brevetage. Dans les revues médicales les plus prestigieuses, près de 40 % des articles récemment approuvés sont le fait du management fantôme ». Des « planificateurs de publication » mettent alors au point des « stratégies de publication », mettent sur pieds « des équipes de professionnels pour penser et rédiger des articles », puis « sélectionnent les revues auxquelles ces articles seront soumis et choisissent les leaders d’opinion qui en seront les auteurs putatifs ». C’est ainsi que « les sciences médicales sont façonnées pour servir des objectifs marketing. (…) Le résultat ressemble à de la science médicale, et peut même être [apparemment] une science de haute qualité, mais c’est une science conçue pour vendre des médicaments ».

En outre, « le management fantôme se poursuit avec la communication des sciences médicales sur le terrain. En donnant des conférences, les leaders d’opinion contribuent à l’énorme influence que l’industrie pharmaceutique exerce sur le savoir médical. Les leaders d’opinion sont les zombies de l’industrie, des morts-vivants missionnés pour exécuter les ordres de l’industrie pharmaceutique ».

Puis vient l’étape de la diffusion, c’est-à-dire de la communication : « une industrie de services sophistiquée enserre toute communication médicale. (…) En qualité d’agents des sociétés pharmaceutiques, les sociétés de formation médicale et de communication créent des cours, planifient des conférences et des séminaires, mènent des enquêtes et rédigent des articles et des études. Tout ce matériau est ensuite remis aux éducateurs, aux chercheurs et aux médecins qui les utiliseront à bon escient ». Pour parachever le tout, « ces entreprises nourrissent les journalistes qui écrivent dans les journaux généralistes et les magazines médicaux, en leur transmettant des détails techniques, des articles scientifiques, des noms d’experts à contacter et même des lignes narratives. Ils fournissent même des clips vidéo aux chaînes de télévision qui diffusent ensuite des reportages sur les dernières avancées médicales ».

Enfin, l’industrie a appris à utiliser à son profit les défenseurs des patients et les associations de défense des patients (ADP) qui sont ainsi devenus « d’autres maillons essentiels dans la nébuleuse du marché du médicament ». C’est ainsi que, aux États-Unis, les deux tiers de ces associations reçoivent un financement de l’industrie, avec un ciblage particulier pour celles « qui donnent des conférences ou participent aux discussions qui ont lieu à la Food and Drug Administration ». Sismondo note même que, « dans certains cas extrêmes, les ADP sont des créatures de l’industrie. Elles sont entièrement financées par une ou plusieurs entreprises, le recrutement de leur personnel est pris en charge par des professionnels, et elles trouvent des patients à enrôler a posteriori ».

Au final, les industries pharmaceutiques « exercent une pression systématique sur la circulation du savoir scientifique et les pratiques médicales qui en découlent. Il s’agit d’un système d’influence rendu plus efficace du fait même qu’il est opaque et fantomatique ». Et ce système d’influence est probablement bien plus efficace que la publicité, même si les industries utilisent toujours très largement ce moyen de propagande (Sismondo rappelle ainsi que, « par exemple, en 2016 aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique dans son ensemble a acheté pour plus de 3 milliards de dollars de publicités télévisées et a dépensé presque autant en publicités dans les magazines, journaux et autres médias. Sur ce montant, 300 millions de dollars ont été consacrés à des annonces dans des revues médicales »).

La grande « pharmaceutisation » de la société (ou le retour de Knock)

Le constat économique est là : « l’ensemble des ventes de médicaments augmente de près de 10 % par an, que l’année soit bonne ou mauvaise ». Aux anciennes maladies, se sont en effet ajouté les nouvelles, issues de nos modes de vie modernes [ou produites par les médicaments et les vaccins eux-mêmes]. Mais le problème est bien plus grave encore car, comme le rappelle Sismondo, même quand les maladies n’existent pas, ou pas vraiment, les industries pharmaceutiques ont une réponse : « les maladies peuvent être façonnées et ajustées pour créer un marché plus fort et plus rentable ». Sismondo rappelle ici ce fait déjà bien connu au terme duquel, pour augmenter leurs ventes, les entreprises pharmaceutiques tentent de « vendre de la maladie », selon la formule de Moynihan et Cassels (2005). Concrètement, les industriels « s’efforcent d’accroître la sensibilisation aux maladies pour lesquelles leurs médicaments peuvent être prescrits, et d’augmenter ainsi la probabilité que les gens se croient atteints de ces maladies » [Voir aussi : Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective]. Il ne s’agit plus d’une médicalisation croissante de la vie, mais, plus précisément et plus globalement, d’une « pharmaceutisation » (pharmacolisation) de la société. Ce concept suscite une petite littérature scientifique (notamment sociologique) depuis une quinzaine d’années aux États-Unis (Abraham, 2020 ; Williams et coll., 2011). Sismondo en rappelle des exemples qui, pour être bien connus des spécialistes, n’en demeurent pas moins majeurs et édifiants.

Commençons par une maladie psychique, la dépression, qui constitue désormais « l’une des maladies les plus évidemment régies par l’existence de médicaments ». Sismondo résuma ainsi l’évolution de la maladie et de sa pharmaceutisation : « jusque dans les années 1960, la dépression était un diagnostic relativement peu répandu, et était plutôt associée aux personnes âgées. Elle est devenue, dans les années 1970, un peu plus visible grâce aux fabricants de la première génération d’antidépresseurs. Cependant, depuis l’arrivée sur le marché du Prozac de la compagnie Eli Lilly en 1987, un nombre toujours plus important de personnes furent diagnostiquées dépressives. Le nombre de personnes touchées par la dépression a augmenté (au point que l’OMS l’annonce comme le problème de santé bientôt le plus répandu au monde), les critères du diagnostic de dépression n’ont cessé de s’élargir et les estimations de la prévalence de la dépression ont augmenté de façon spectaculaire. La dépression est devenue le “rhume” des troubles mentaux ». Le premier grand succès financier de ces nouveaux « antidépresseurs » sera le Prozac. Grâce à lui, les industriels parviendront à « commercialiser à la fois le médicament et la maladie ». De fait, « ils ont investi massivement dans la recherche sur la dépression et les antidépresseurs. Ils ont largement promu une théorie de la dépression fondée sur la carence en sérotonine, puis une théorie du déséquilibre chimique, pour lesquelles il n’existe pas beaucoup de preuves. Ils ont établi des liens étroits avec des psychiatres et d’autres médecins qui rédigent des manuels, des articles et des guides de pratiques cliniques. Ils ont financé des campagnes de sensibilisation et de lutte contre la stigmatisation. Les entreprises ont réussi à donner un statut à la maladie tant sur le plan médical que culturel, en aidant les médecins à volontiers la reconnaître et à la diagnostiquer et les patients à interpréter leurs sentiments et leurs expériences dans les coordonnées de la dépression — peut-être même à façonner leur identité autour d’elle ».

Bien d’autres maladies chroniques de la société contemporaine sont également l’objet de cette pharmaceutisation, notamment l’hypertension, le diabète, l’hypercholestérolémie et l’ostéoporose.

Une autre façon pour Sismondo de le dire est celle-ci : « Il fut un temps où les gens se considéraient le plus souvent en bonne santé, sauf s’ils tombaient malades ou présentaient des fragilités ou des symptômes inhabituels ». Or, désormais, on parle de « risque » et nous sommes tous concernés, tous potentiellement malades. « Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore », faisait dire Jules Romains au docteur Knock en 1923. Un siècle plus tard, sa prédiction s’est réalisée au-delà même de ce qu’il entrevoyait. Désormais, comme l’écrit Sismondo, « nous sommes tous, toujours, en mauvaise santé. La plupart des maux dont nous souffrons sont chroniques, les traitements peuvent ainsi durer toute une vie. Et comme nous sommes tous à bien des égards en mauvaise santé, le traitement — même réussi — des facteurs de risque ou des pathologies n’a jamais de fin ». Pour Big Pharma, c’est le jackpot. Et la suite est plus grave encore.

Une criminalité (très bien) organisée

Sismondo développe notamment l’exemple des opioïdes aux États-Unis, car on y retrouve « presque tous les éléments évoqués dans le reste du livre ».

Rappelons les faits : au cours des vingt dernières années, plus de 200 000 citoyens américains sont morts à cause d’opioïdes vendus sur ordonnance comme antidouleurs, mais qui étaient en réalité tout aussi dangereux et addictifs que l’héroïne. En cause, « la flambée de prescriptions d’analgésiques, en particulier l’OxyContin », autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) depuis 1995. L’affaire est la suivante : « l’antidouleur contenu dans l’OxyContin est l’oxycodone, un ancien dérivé de la morphine semblable à l’héroïne dans sa structure et ses effets généraux. L’argument de vente du nouveau médicament était sa concentration élevée en oxycodone combinée à un mécanisme de libération continue que son fabricant, Purdue Pharmaceuticals, appela “Contin”. Le mécanisme dit Contin, breveté en 1980, était censé modérer les effets euphoriques et semblables à ceux de l’héroïne, et soulager la douleur pendant douze heures. Le résultat, affirmait-on, était un opioïde peu addictif. Pour Purdue, l’OxyContin était un bon substitut à son précédent opioïde à libération lente, le MS Contin, qui avait fait l’objet d’abus en tant que drogue récréative ». Parallèlement, la Drug Enforcement Administration (DEA) autorisait les quotas de production des analgésiques susceptibles d’entraîner une dépendance, ce qui « a permis de multiplier par près de quarante la production d’oxycodone entre le début des années 1990 et aujourd’hui ».

Ainsi donc un industriel a fait fortune en vendant une drogue équivalente à l’héroïne qui a tué des centaines de milliers de personnes, le tout avec la bénédiction du gouvernement américain. Comment cela est-il possible ? Entouré tout au long de son opération par des cabinets de conseils comme l’Américain McKinsey et le Français Publicis, l’industriel a commencé par inviter plus de 5 000 participants à plus de 40 conférences sur la gestion de la douleur, tous frais payés. « Ces conférences ont permis d’établir une base de prescripteurs et, plus important encore, une base de leaders d’opinion pour siéger à l’agence de conférenciers de Purdue et donner des présentations rémunérées à d’autres prescripteurs ». Cette liste comprenait 2 500 médecins, parmi lesquels 1 000 étaient actifs. Grâce à la force d’influence des leaders d’opinion, Purdue a pu financer plus de 20 000 événements éducatifs afin de faire valoir l’utilisation des opioïdes pour traiter la douleur de manière énergique ». Ensuite, l’industriel a passé un accord rémunéré avec la Joint Commission on Accreditation of Healthcare Organizations, qui se présente comme une « organisation indépendante à but non lucratif » composée de médecins et qui est à l’origine du système d’accréditation américain. Grâce à cet accord, et avec l’aide d’un autre industriel disposant de davantage d’infrastructures (Abbott), Purdue a pu diffuser son produit dans tous les hôpitaux américains.

Et la corruption ne s’arrête pas là. L’industriel a aussi fait des cadeaux aux étudiants en médecine ainsi qu’à des organisations comme l’American Geriatrics Society et l’American Academy of Pain Medicine. C’est ainsi que, « dans un panel de l’American Geriatrics Society qui a rédigé des directives pour le traitement de la douleur chronique chez les personnes âgées, plus de la moitié des membres avaient été payés pour des consultations ou des conférences par l’une ou l’autre des compagnies qui fabriquent des opioïdes ». La corruption ira très loin puisque, après le vote d’une loi en 2016 (le Ensuring Patient Access and Effective Drug Enforcement Act), l’industriel « fit en sorte que la DEA ne puisse pas enquêter sur la distribution ou sur les compagnies. Bien que la DEA se soit farouchement opposée à la loi, elle fut muselée par une stratégie à deux volets : les employés de la DEA se voyaient systématiquement offrir des postes directement ou indirectement liés à l’industrie — au total, cinquante employés furent mutés — et des législateurs grassement financés subordonnèrent leur soutien global à la DEA au silence de celle-ci sur cette loi ».

Enfin, bien sûr, durant toute cette immense opération de marketing, l’industriel s’est assuré le soutien des scientifiques. D’abord en finançant de nombreux essais cliniques randomisés, publiés ensuite dans les plus grandes revues médicales sous des signatures collectives, sans toutefois que l’on sache qui a réellement mené la recherche, qui a rédigé l’article, etc. « En d’autres termes, il est presque sûr que ces études furent managées de façon fantôme ». Il a fallu par ailleurs dissimuler les effets indésirables du « médicament », en l’occurrence l’addiction parfaitement semblable à celle provoquée par l’héroïne et le risque de mort par overdoses tout aussi létales.

Au final, les ventes d’OxyContin ont fait la fortune de l’industriel concerné (Purdue Pharmaceuticals), dont les propriétaires (la famille Sackler, qui pratique bien entendu la philanthropie, à destination notamment des universités) se sont incroyablement enrichis à cette occasion. Les quelques 600 millions de dollars d’amendes payés par la suite ne sont qu’une goutte d’eau comparée aux dizaines de milliards qu’a rapportés cette drogue légale. Cela fait partie du business plan. Le bilan sanitaire et social de cette affaire est pourtant catastrophique car, non seulement l’industriel a contribué directement la mort de centaines de milliers de personnes, mais il a de surcroît bouleversé le marché américain des drogues en jetant des centaines de milliers de personnes (appartenant principalement à la classe ouvrière) devenues dépendantes dans les bras des trafiquants de drogues (Quinones, 2015). Au demeurant, comme l’écrivent Anne Case et Angus Deaton (2021), « beaucoup de ceux qui ont suivi de près le scandale des opioïdes ne voient guère de différence entre le comportement de ces dealers légalisés et celui des fournisseurs illégaux d’héroïne et de cocaïne qui sont si largement méprisés et condamnés ». Il s’agit dans les deux cas « de se remplir les poches en détruisant des vies ». Sauf qu’ici, ces crimes organisés se commettent avec la bénédiction des autorités publiques.

Des éléments qui aident également à comprendre la crise du Covid

Dans cette traduction française, Sergio Sismondo a ajouté une postface inédite (rédigée en juin 2023) dans laquelle il revient sur la crise du Covid, d’une façon qui conforte pleinement nos propres analyses (Mucchielli, 2022a). Il constate d’abord que « la pandémie ayant été définie comme une crise de santé publique, et non comme un simple problème de santé individuelle, les industries pharmaceutiques ont directement engagé le dialogue avec les gouvernements, en essayant de faire de ces derniers — qui sont les régulateurs des dépenses de santé en général et en médicaments en particulier — leurs alliés ». Dès lors, il est clair que « la pandémie a accéléré l’effacement des frontières entre l’industrie pharmaceutique et les autres parties prenantes, telles que les gouvernements, les organismes de réglementation et les établissements universitaires. Les collaborations et les partenariats sont devenus essentiels pour accélérer les processus de recherche, de développement et de distribution. Toutefois, cet enchevêtrement a également suscité des inquiétudes quant aux conflits d’intérêts, à l’influence indue et au risque de compromission dans la prise de décision ». Ensuite, Sismondo constate également que « les industries pharmaceutiques se sont également adressées directement à un large public de non-spécialistes, en présentant leurs vaccins comme la solution à cette crise, grâce aux outils des relations publiques » (toujours les mêmes cabinets de conseil à commencer par McKinsey).

Sismondo développe ensuite deux exemples concrets. Le premier est la façon dont ce vaste système de corruption a d’abord permis à l’industriel Gilead Sciences de refourguer un antiviral (le Remdesivir) pourtant déjà reconnu comme inefficace dans des épidémies virales précédentes (Hépatite C et Ebola), le tout avec la bénédiction des services sanitaires gouvernementaux américains dirigés par Anthony Fauci. Le second est la façon dont d’autres industriels (aux premiers rangs desquels Pfizer et Moderna) ont prétendu avoir mis au point des « vaccins sûrs et efficaces à 95 % » et les ont vendus un peu partout dans le monde avec la bénédiction non seulement des gouvernements nationaux, mais aussi des organisations internationales aux premiers rangs desquels l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Union Européenne (UE). Il en conclut que « si l’on ne connaît pas les taux d’infection de fond dans les populations étudiées, si l’on ne fait pas preuve d’une transparence totale sur les méthodologies des essais et si l’on ne rapporte pas de manière exhaustive les effets indésirables, ces scores élevés d’efficacité vaccinale ne nous disent pas tout ce que nous avons besoin de savoir pour évaluer les vaccins. Mais en tant qu’outils de relations publiques, ils ont été très efficaces ».

Sismondo termine en écrivant que « dans l’idéal, le livre aurait donc dû inclure des recherches sur les stratégies de l’industrie pour traiter avec les gouvernements et le grand public, deux éléments cruciaux pour le succès commercial de leurs produits en période de pandémie ». De fait, le moins que l’on puisse dire est que la crise du Covid illustre parfaitement le propos de l’auteur, qui aurait pu par exemple s’intéresser de plus près à d’autres dimensions de cette crise telles que le scandale du Lancet (Mucchielli, 2022b) ou encore aux graves effets indésirables provoqués par l’administration contrainte en population générale de ces thérapies génétiques expérimentales. Mais il est sans doute encore un peu trop tôt pour que les effets de cet immense rapt sur les consciences et sur les corps soient reconnus et analysés par des intellectuels qui, pour la plupart, n’ont pas été capables sur le moment de comprendre et de résister à une propagande industrielle et politique déployée avec plus de force que jamais. Ils retrouveront certainement davantage de lucidité et de courage dans les mois et les années qui viennent.

Laurent Mucchielli

Références :

Abraham J. (2010), « Pharmaceuticalization of Society in Context: Theoretical, Empirical and Health Dimensions », Sociology, 44 (4), p. 603-622.

Case A., Deaton A. (2021), Morts de désespoir. L’avenir du capitalisme, Paris, Presses Universitaires de France.

Moynihan R., Cassels A., (2005), Selling Sickness. How drug companies are turning us all into patients, Crows Nest, Allen and Unwin.

Mucchielli L. (2022a), La doxa du Covid. Tome 1 : Peur, santé, corruption et démocratie, Bastia, éditions Éoliennes.

Mucchielli L. (2022 b), « “Fin de partie” pour l’hydroxychloroquine ? Une escroquerie intellectuelle (le Lancetgate) », in Mucchielli L. (dir.), La doxa du Covid. Tome 2 : Enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise, Bastia, éditions Éoliennes, p. 99-110.

Quinones S. (2015), Dreamland. The True Tale of America’s Opiate Epidemic, London, Bloomsbery Press.

Proctor R., (2014), Golden Holocaust. La conspiration des industriels du tabac, Paris, éditions des Équateurs.

Sismondo S. (2021), « Epistemic Corruption, the Pharmaceutical Industry, and the Body of Medical Science», Frontiers in Research Metrics and Analytics, 8 (6), 614013.

Sismondo S. (2023), Le management fantôme de la médecine. Les mains invisibles de Big Pharma, Paris, ENS éditions (en ligne).

Williams S., Martin P. et Gabe J. (2011), « The Pharmaceuticalisation of Society? A Framework for Analysis», Sociology of Health & Illness, 33 (5), p. 710-725.




Prochaine injonction injectable en octobre 2023 : affaiblir encore plus une population mise en obsolescence programmée

Par Lucien SA Oulahbib

Vincent Pavan du CSI indique dans son n° 115 consacré à la fausse appellation « vaccin » — alors qu’il s’agit d’une injection génique expérimentale, que des « journalistes » d’un journal de Province ont empêché que sa conférence de presse puisse se tenir, en faisant agressivement pression, avec les accusations calomnieuses (habituelles…) sur la mairie ayant octroyé des locaux pour ce faire. Ceci est gravissime, non seulement tyranniquement parlant, mais bien pis encore : totalitairement parlant ou l’extrémisme même fusionnant terreur rouge et brune.

Ces « journalistes » censeurs devraient être, en fait comme en droit, non seulement exclus au plus vite (toute affaire cessante) de leur (désormais vile) profession, mais aussi poursuivis pénalement, et ce également au plus vite pour complicité criminelle afin d’être lourdement condamnés (on peut certes toujours rêver, car il faudrait au préalable réformer en profondeur le système judiciaire). Ceci impliquerait alors de les placer dans le box des accusés aux côtés de tous ces décideurs qui ont violé, sciemment ou par avidité affairiste, les droits fondamentaux garantis constitutionnellement (et renforcés avec le Code de Nuremberg) et ont imposé depuis deux ans maintenant la quasi-injonction injectable pour population générale (alors que seule une minorité de gens fragiles auraient pu être concernés du moins s’il n’y avait pas eu de médicament alternatif ce qui est faux puisqu’il y en avait bien plus d’un…), sans oublier l’obligation concoctée pour les professionnels de santé et de la protection civile, alors que ceux-ci vu leur jeune âge en plus n’étaient pas concernés…

Sans oublier enfin l’excès de mortalité relaté aujourd’hui par rapport à 2020 (et même reconnu par… l’INSEE) soit au plus fort de la vraie-fausse « crise sanitaire » (qui n’aura mobilisé que « 2 % » des hospitalisations, et 8 à 11 % dans les services dédiés, — chiffres évidemment « contestés » par les médias aux ordres —, puisque les malades n’étaient pas soignés en amont…).

Tout ceci est donc bel et bien criminel, surtout lorsque l’on sait maintenant que cette injection s’avère bien plus toxique que salutaire, malgré les démentis d’agence sanitaire aux ordres, comme le démontre magistralement (et entre autres) Michel Cucchi dans ce dernier numéro du CSI.

Aussi convient-il, à l’approche du mois d’octobre et de la montée artificielle des « cas » (mais non des hospitalisés) concernant surtout des injectés (alors qu’ils devraient en être « protégés », et peu importe s’il s’avère qu’ils sont par définition majoritaires dans la population du fait de l’injection de masse opérée) de rester vigilant, car cela affaiblit les fonctions immunitaires. Il faut en effet dénoncer vertement qu’il ne sert à rien de s’injecter quelques excitants d’anticorps de première ligne faisant d’ailleurs plutôt office de sonnette d’alarme (comme il est indiqué dans ce numéro du CSI) qui s’estompe au bout de trois mois (preuve s’il en est que ce n’est pas un « vaccin ») à la différence d’une réelle immunisation de longue durée…

Ces produits fabriqués à la chaîne étaient déjà connus comme toxiques et auraient dû être retirés du marché puisqu’ils ne protègent même pas des formes « graves » (autrement il n’y aurait pas un excès de mortalité en… 2023) que l’on aurait pu d’ailleurs empêcher en soignant précocement comme l’indiquaient déjà il y a trois ans maintenant (!) Perronne et Raoult…) à l’instar du Médiator, ce qu’indiquaient déjà ces plaintes australiennes il y a… deux ans maintenant…

Au fond, la Secte (SHAA) au pouvoir savait (d’où le retrait, brutal, de l’hydroxychloroquine en vente sans ordonnance avant janvier… 2020 et la mise à l’index de l’ivermectine malgré des expérimentations encourageantes…), forçant les populations (en particulier les plus fragiles) à ne pas être soignées puis à être injectées avec une substance qui s’avère être affaiblissante au fur et à mesure des années qui passent. Cette politique sanitaire s’ajoute à celles visant à affaiblir tous azimuts les populations mises à la découpe désormais en les forçant à disparaître dans leur forme politique nationale, détruisant les membranes de protection une par une afin de les rendre perméables et interchangeables, tout en disant le contraire, quitte même à empêcher que cela se sache à l’instar des sifflets à l’encontre du commis mis à la tête de ladite « République » française, sifflets tout à fait légitimes lorsque le préposé ne remplit précisément pas les fonctions dédiées comme la sécurité, la prospérité, la protection des droits fondamentaux…