CANADA – Deux policiers actifs brisent le silence (Documentaire – 2021)

[Source : @MEDIAPORT]

Après la sortie fulgurante de Mr. Maxime Ouimet il y a déjà plusieurs mois, deux policiers ACTIFS du Québec brisent le silence sur les décrets abusifs et antis constitutionnels du gouvernement de la CAQ et du premier Ministre Justin Trudeau.

Ces policiers nous rappellent que les actions mises en place sont imputables, que la charte des droits et libertés devra toujours être respecté et que toutes les actions au nom du décret sanitaire vont contre nos droits fondamentaux.

Le code du Nuremberg a été établi pour que plus personne n’ose dire qu’il exécutait des ordres. Pour que plus personne ne puisse se cacher derrière une dictature montante.

Source vidéo:
https://www.facebook.com/watch/?v=2916677901996037






À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

[Source : LHK]

Par LHK

À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène? À l’Internet des corps (IoB)

https://winteroakpress.files.wordpress.com/2020/10/klaus-schwab.jpg?w=772
Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. (Wikipédia)
https://lilianeheldkhawam.com/2021/02/06/qui-est-klaus-schwab-le-maitre-de-la-montagne-magique/?fbclid=IwAR3WUD-fesufEvSfJodxAtqde4Jcm7nHyeeXpU3ijOQ0n7_yNHovjSxlSf0

Souvenez-vous de notre article sur l’oxyde de graphène où nous y avions effleuré la notion de l’Internet des corps. Nous y disions notamment que : « En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains. ». Nous parlions dans les faits d’un matériau qui pouvait ouvrir la voie au transhumanisme.

Eh bien, la présence de capteurs n’a pas d’autres objectifs que de connecter le corps humain à un serveur et donc à fusionner les deux entités pour en créer une 3ème qui est le transhumain. Cette dernière appellation est l’antichambre du posthumain qui est l’objectif final de ceux qui tiennent le stylo de la création monétaire contre crédits.

Je vous laisse mieux découvrir l’Internet des corps ou IoB avec une collaboratrice de la Rand Corporation et de documents pris sur le site du World Economic Forum.

C’est ce qui attendrait chacune et chacun d’entre nous, à moins d’un impondérable qui aurait échappé aux algorithmes de nos amis.

Bonne lecture.

LHK

Traduction du texte de la vidéo de Mary Lee

Au 20e siècle, la technologie sans fil intégrée au corps humain n’était rien de plus que de la science-fiction. Mais aujourd’hui, les appareils connectés au Wi-Fi tels que les moniteurs de fréquence cardiaque et les moniteurs de sommeil sont devenus des éléments courants de la vie américaine. Comment la technologie bionique a-t-elle évolué si rapidement de la science-fiction à la réalité ? Et que pourrait signifier cet Internet des corps pour nos vies à l’avenir ? Les chercheurs de RAND étudient ce phénomène et ce que les consommateurs et les décideurs doivent savoir alors que nous nous dirigeons vers un territoire inexploré.

Mary Lee, mathématicienne ; Chercheur, RAND Center for Global Risk and Security

Mary Lee est mathématicienne à la RAND Corporation et membre inaugurale du RAND Center for Global Risk and Security.
Ses intérêts de recherche comprennent la modélisation mathématique et la simulation de systèmes complexes dans les domaines de la défense/aérospatiale, de la cyberpolitique, des soins de santé et des maladies chroniques.…
Vidéo ICI https://www.rand.org/multimedia/video/2020/10/29/what-is-the-internet-of-bodies.html

L’Internet des corps [« Internet of Bodies » en anglais], ou IoB , est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à Internet qui contiennent des logiciels et qui collectent des données personnelles sur votre santé ou peuvent altérer le fonctionnement du corps. Nous considérons l’Internet des corps comme cette collection de tous ces appareils, ainsi que toutes les données que les appareils collectent à votre sujet. Et dans le domaine de la santé, l’Internet des corps existe depuis un certain temps. Avec l’avènement d’Internet, il est tout à fait logique de connecter votre stimulateur cardiaque à Internet afin que votre médecin puisse être automatiquement averti si quelque chose d’anormal se produit, s’il y a une anomalie. Il est naturel à bien des égards de vouloir en savoir plus sur votre corps, comment il fonctionne, comment il se porte bien.

Narrateur

Les appareils IoB pourraient révolutionner les soins de santé. Des quantités sans précédent de données de santé personnelles pourraient éclairer des plans de traitement entièrement adaptés aux besoins d’un patient.

Marie Lee

Il existe maintenant des pilules qui ont un capteur électronique qui permet à un fournisseur de soins de santé de savoir si vous avez pris le médicament. D’autres choses, comme la médecine de précision, la médecine de précision est donc l’idée de créer des produits pharmaceutiques ou un traitement spécifiquement pour votre corps, pour votre traitement personnalisé. Et je pense que l’ IoB pourrait vraiment aider avec cela car de nos jours, de nombreux soins de santé sont basés davantage sur des réactions moyennes, alors qu’avec les données des appareils IoB , vous pourriez être en mesure de traiter de manière vraiment plus précise une certaine maladie.

Narrateur

Mais l’Internet des corps ne sera pas une panacée. En fait, le marché largement non réglementé présente des risques pour les données particulièrement sensibles que ces appareils collectent.

Marie Lee

Tout d’abord, il y a le risque cyber qu’un acteur puisse potentiellement pirater le système, quel qu’il soit. Il y a un risque pour la vie privée de toutes ces données qui sont collectées, et les réglementations concernant ces données sont vraiment obscures pour le moment. Et donc il n’y a pas beaucoup de clarté sur qui possède les données, ce qui leur arrive, à qui elles sont vendues, comment elles sont utilisées. Et il existe même des risques potentiels pour la sécurité nationale et la sécurité mondiale.

Narrateur

Quelques exemples de ces risques se sont déjà manifestés dans la vie réelle. Par exemple, en 2018, des informations très sensibles sur les activités militaires américaines et les emplacements des bases ont été révélées par inadvertance par les trackers de fitness des soldats. C’est donc un moment charnière. Que pouvons-nous faire pour nous assurer de profiter des avantages potentiels de l’Internet des corps sans risquer notre vie privée, notre sécurité et notre autonomie personnelle ?

Marie Lee

Les consommateurs doivent se méfier des appareils IoB, car à mesure qu’ils deviennent de plus en plus populaires, toutes ces données intimes sont collectées, sans doute des données plus intimes que nous n’avons jamais vraiment enregistrées auparavant. Il n’y a pas de clarté sur ce qui est fait avec ces données. Vous savez, avec un vieux stimulateur cardiaque mécanique, aucune donnée n’est collectée et stockée, et, vous savez, vous pouvez consulter l’historique des rythmes cardiaques de quelqu’un.

Parce que la politique a tendance à prendre du retard sur les technologies innovantes comme celle-ci, il appartient probablement aux consommateurs et aux patients des soins de santé d’être vraiment conscients des appareils qu’ils utilisent et de ce qui arrive à leurs données et de savoir quelles sont les réglementations en vigueur. leur état particulier, car il varie tellement d’un état à l’autre. Même si vous pensez que vous n’êtes pas intéressant ou que rien ne se passera avec vos données, il y a beaucoup d’inconnues auxquelles je pense que nous devons faire attention.

Le World Economic Forum, promoteur de l’Internet des corps

Selon le World Economic Forum: L’Internet des corps est là : relever les nouveaux défis de la gouvernance technologique.
Les récents progrès technologiques ont inauguré une nouvelle ère de « l’internet des corps » (IoB), avec un nombre sans précédent d’appareils et de capteurs connectés fixés ou même implantés et ingérés dans le corps humain.
L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines.
Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Pourtant, l’IoB soulève également de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales.

Nous entrons dans l’ère de « l’Internet des corps » : collecter nos données physiques via une gamme de dispositifs pouvant être implantés, avalés ou portés.

Le résultat est une énorme quantité de données liées à la santé qui pourraient améliorer le bien-être humain dans le monde et s’avérer cruciales dans la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Mais un certain nombre de risques et de défis doivent être abordés pour réaliser le potentiel de cette technologie, des problèmes de confidentialité aux obstacles pratiques.

Dans les services spéciaux du Centre clinique de santé publique de Shanghai, les infirmières utilisent des thermomètres intelligents pour vérifier la température des patients COVID-19. La température de chaque personne est enregistrée avec un capteur, réduisant le risque d’infection par contact, et les données sont envoyées à un tableau de bord d’observation. Un résultat anormal déclenche une alerte au personnel médical, qui peut alors intervenir rapidement. Les données recueillies permettent également aux médecins d’analyser les tendances au fil du temps.

Les thermomètres intelligents sont conçus par VivaLNK, une startup basée dans la Silicon-Valley, et sont un exemple puissant des nombreux produits et services numériques qui révolutionnent les soins de santé. Après l’Internet des Objets, qui a transformé notre façon de vivre, de voyager et de travailler en connectant des objets du quotidien à Internet, place à l’Internet des corps. Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs pouvant être implantés, avalés ou simplement portés, générant d’énormes quantités d’informations liées à la santé.

Certaines de ces solutions, comme les trackers de fitness, sont une extension de l’Internet des objets. Mais parce que l’Internet des corps se concentre sur le corps humain et la santé, il soulève également son propre ensemble spécifique d’opportunités et de défis, des problèmes de confidentialité aux questions juridiques et éthiques.

Image : McKinsey & Compagnie

Connecter nos corps

Aussi futuriste que puisse paraître l’Internet des corps, de nombreuses personnes y sont déjà connectées via des appareils portables. Le segment des montres intelligentes à lui seul est devenu un marché de 13 milliards de dollars d’ici 2018 et devrait augmenter de 32 % à 18 milliards de dollars d’ici 2021. Les brosses à dents intelligentes et même les brosses à cheveux peuvent également permettre aux gens de suivre les habitudes de leurs soins personnels et de leur comportement.

Pour les professionnels de la santé, l’Internet des corps ouvre la porte à une nouvelle ère de surveillance et de traitement efficaces.

En 2017, la Federal Drug Administration des États-Unis a approuvé la première utilisation de pilules numériques aux États-Unis. Les pilules numériques contiennent de minuscules capteurs ingérables, ainsi que des médicaments. Une fois avalé, le capteur est activé dans l’estomac du patient et transmet les données à son smartphone ou à d’autres appareils.

En 2018, Kaiser Permanente, un fournisseur de soins de santé en Californie, a lancé un programme de réadaptation virtuelle pour les patients qui se remettent d’une crise cardiaque. Les patients ont partagé leurs données avec leurs prestataires de soins via une montre connectée, permettant un meilleur suivi et une relation plus étroite et plus continue entre le patient et le médecin. Grâce à cette innovation, le taux d’achèvement du programme de réadaptation est passé de moins de 50 % à 87 %, accompagné d’une baisse du taux de réadmission et du coût du programme.

Le déluge de données recueillies grâce à ces technologies fait progresser notre compréhension de la façon dont le comportement humain, le mode de vie et les conditions environnementales affectent notre santé. Il a également élargi la notion de soins de santé au-delà de l’hôpital ou de la chirurgie et dans la vie quotidienne. Cela pourrait s’avérer crucial dans la lutte contre la pandémie de coronavirus. Le suivi des symptômes pourrait nous aider à arrêter la propagation de l’infection et à détecter rapidement de nouveaux cas. Les chercheurs étudient si les données recueillies à partir de montres intelligentes et d’appareils similaires peuvent être utilisées comme alertes d’infection virale en suivant la fréquence cardiaque et la respiration de l’utilisateur.

Dans le même temps, cette technologie complexe et évolutive soulève de nouveaux défis réglementaires.

Qu’est-ce qui compte comme information de santé?

Dans la plupart des pays, il existe des réglementations strictes concernant les informations de santé personnelles telles que les dossiers médicaux et les échantillons de sang ou de tissus. Cependant, ces réglementations conventionnelles ne couvrent souvent pas le nouveau type de données de santé générées par l’Internet des corps, et les entités qui collectent et traitent ces données.

Aux États-Unis, le Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPPA) de 1996, qui est la principale loi pour la réglementation des données de santé, s’applique uniquement aux prestataires de soins médicaux, aux assureurs-maladie et à leurs associations professionnelles. Sa définition de « renseignements personnels sur la santé » ne couvre que les données détenues par ces entités. Cette définition s’avère inadaptée à l’ère de l’Internet des corps. Les entreprises technologiques proposent désormais également des produits et services liés à la santé et collectent des données. Margaret Riley, professeur de droit de la santé à l’Université de Virginie, m’a fait remarquer dans une interview que HIPPA ne couvre pas les masses de données des appareils portables grand public, par exemple. Données

Comment le Forum économique mondial aborde-t-il les défis soulevés par l’Internet des corps ?

Recent technological advancements have ushered in a new era of the “internet of bodies” (IoB), with an unprecedented number of connected devices and sensors being affixed to or even implanted and ingested into the human body.

L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines. Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Le Forum économique mondial a récemment publié un rapport spécial sur cette région en développement. Le rapport d’août 2020 explore comment l’IoB soulève de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales. .

Un autre problème est que la réglementation actuelle ne regarde que si les données sont sensibles en elles-mêmes, et non si elles peuvent être utilisées pour générer des informations sensibles. Par exemple, le résultat d’un test sanguin dans un hôpital sera généralement classé comme une donnée sensible, car il révèle des informations privées sur votre santé personnelle. Mais aujourd’hui, toutes sortes de données apparemment non sensibles peuvent également être utilisées pour tirer des conclusions sur votre santé, grâce à l’analyse de données. Glenn Cohen, professeur à la faculté de droit de Harvard, m’a dit dans une interview que même les données qui ne concernent pas du tout la santé, telles que les listes de courses, peuvent être utilisées pour de telles inférences. En conséquence, les réglementations conventionnelles peuvent ne pas couvrir les données sensibles et privées, simplement parce qu’elles ne semblaient pas sensibles avant d’être traitées.

Risques liés aux données

L’identification et la protection des données sensibles sont importantes, car elles peuvent affecter directement la façon dont nous sommes traités par les institutions et les autres personnes. Avec l’analyse des mégadonnées, d’innombrables actions et décisions quotidiennes peuvent finalement alimenter notre profil de santé, qui peut être créé et maintenu non seulement par les prestataires de soins de santé traditionnels, mais également par des entreprises technologiques ou d’autres entités. Sans lois et réglementations appropriées, il pourrait également être vendu. Dans le même temps, les données de l’Internet des corps peuvent être utilisées pour faire des prédictions et des déductions qui pourraient affecter l’accès d’une personne ou d’un groupe à des ressources telles que les soins de santé, l’assurance et l’emploi.

James Dempsey, directeur du Berkeley Center for Law and Technology, m’a dit dans une interview que cela pourrait conduire à un traitement injuste. Il a mis en garde contre la discrimination et les préjugés potentiels lorsque de telles données sont utilisées pour des décisions en matière d’assurance et d’emploi. Les personnes concernées peuvent même ne pas en être conscientes.

Une solution serait de mettre à jour la réglementation. Sandra Wachter et Brent Mittelstadt , deux universitaires de l’Oxford Internet Institute, suggèrent que la loi sur la protection des données devrait se concentrer davantage sur comment et pourquoi les données sont traitées, et pas seulement sur leur état brut. Ils plaident pour un soi-disant « droit aux déductions raisonnables », c’est-à-dire le droit que vos données soient utilisées uniquement pour des déductions raisonnables et socialement acceptables. Cela impliquerait d’établir des normes pour savoir si et quand déduire certaines informations des données d’une personne, y compris l’état de sa santé présente ou future, est socialement acceptable ou trop invasif.

Problèmes pratiques

Outre les préoccupations concernant la confidentialité et la sensibilité, il existe également un certain nombre de problèmes pratiques liés au volume considérable de données générées par l’Internet des corps. Le manque de normes en matière de sécurité et de traitement des données rend difficile la combinaison de données provenant de diverses sources et leur utilisation pour faire avancer la recherche. Différents pays et institutions tentent conjointement de surmonter ce problème. L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) et sa Standards Association travaillent avec la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis, les National Institutes of Health, ainsi que des universités et des entreprises parmi d’autres parties prenantes depuis 2016, pour aborder la sécurité et question d’interopérabilité de la santé connectée.

Alors que l’Internet des corps se répand dans tous les aspects de notre existence, nous sommes confrontés à une série de nouveaux défis. Mais nous avons également une chance sans précédent d’améliorer notre santé et notre bien-être et de sauver d’innombrables vies. Pendant la crise du COVID-19, saisir cette opportunité et trouver des solutions aux défis est une tâche plus urgente que jamais. Cela repose sur les agences gouvernementales et les organes législatifs travaillant avec le secteur privé et la société civile pour créer un cadre de gouvernance solide et pour inclure des déductions dans le domaine de la protection des données. L’élaboration de normes technologiques et réglementaires pour l’interopérabilité et la sécurité serait également cruciale pour libérer la puissance des nouvelles données disponibles. La clé est de collaborer au-delà des frontières et des secteurs pour réaliser pleinement les énormes avantages de cette technologie en évolution rapide.

https://www.weforum.org/agenda/2020/06/internet-of-bodies-covid19-recovery-governance-health-data/

wef-iob-briefing_paper_2020

Lire également

https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/


[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA]




Zemmour : « Je suis vacciné, j’ai le pass et ça ne me dérange pas »

[Source : E&R vie Sott.net]

Un extrait du passage d’Éric Zemmour au micro complice d’André Bercoff :



La réaction de Youssef Hindi :

Écouter également la rhétorique embrouillée d’Éric Zemmour sur le pass de la 40e minute à 42’30 :

« Le pass ne me gène pas, je peux comprendre le danger que vous y voyez, euh… oui il faudra bien l’arrêter, euh… que vous dire d’autre, euh… je vois bien les dangers qu’il y a derrière, mais ça ne me dérange pas, surtout le sujet essentiel n’est pas là. »

https://www.youtube.com/embed/c6QfgPBcF_E

Un gloubi-boulga qui s’explique par :

- la fausse opposition du « journaliste » au pouvoir réel qui considère donc que la lutte contre la tyrannie capitaliste parasite le Grand Remplacement ; fausse opposition qu’il a bien résumé en s’adressant à plusieurs grands patrons (dont Henri de Castries, président-directeur général d’AXA de 2000 à 2016, administrateur de Nestlé et de HSBC, ancien président de l’Institut Montaigne, et président du comité de direction du groupe Bilderberg depuis 2012) lors d’un dîner : « Si j’arrive au pouvoir, c’est pour traiter un sujet : le choc des civilisations. Sur l’économie, ce ne sera pas la révolution. » Quand on comprend les véritables enjeux de l’opération Covid-19, à savoir la survie du capitalisme et sa mutation du capitalisme néolibéral au capitalisme davossien de la surveillance, on se dit que tout est dit !

- l’entourage (ou l’équipe de campagne) d’Éric Zemmour, à commencer par Frank Tapiro, publicitaire zélé qui a officié pour Nicolas Sarkozy et a soutenu Emmanuel Macron en 2017. Ce Jacques Séguéla du pauvre est notamment l’organisateur mi-septembre au Trocadéro (Paris) d’un « Festival citoyen » en faveur du pass sanitaire… Événement qui a évidemment et magistralement fait un bide ! Un triste sire qui s’est également prononcé pour la reconnaissance faciale et la détection par intelligence artificielle des porteurs de masques…

Pour le reste, relire cet extrait de l’entretien de Youssef Hindi pour Rivarol :

Vous suivez de près la pré-campagne d’Éric Zemmour. Quelle est, selon vous, sa « vraie » position sur la question ?

Je vais le laisser répondre. Reprenons ses déclarations et prises de position chronologiquement depuis le début de la pandémie.

Le 27 mai 2020, sur Paris Première, Fabrice Di Vizio, avocat du collectif de médecins C 19, qui a également déposé une plainte contre des ministres, a été l’invité de l’émission Zemmour & Naulleau. À cette occasion, Éric Zemmour a défendu l’action gouvernementale, en rejetant la faute sur ceux qui ont porté plainte contre les membres de l’Exécutif. Zemmour a directement accusé l’avocat Fabrice Di Vizio d’être responsable de la politique de confinement menée par le gouvernement :

« C’est à cause de vous qu’on ne déconfine pas assez vite. C’est-à-dire que vous terrorisez Édouard Philippe. C’est sûr. À cause de vous, il est obsédé par Laurent Fabius (NDA : il fait référence à l’affaire du sang contaminé) et donc il n’ose rien faire. »

Lorsque le scandale des dîners clandestins a éclaté alors que les Français étaient confinés et semi-confinés depuis un an, Éric Zemmour a évidemment pris parti pour la caste dirigeante contre le peuple lors de son émission Face à l’info le 7 avril 2021 :

« Je vous avoue que je suis sidéré par l’importance accordée à cette histoire, par la violence (!) des réactions. Soyons sérieux, c’est une histoire de cornecul, c’est vraiment trois fois rien. Le Français avait la réputation d’être léger, là je lui trouve une rigueur toute germanique, c’est ‘‘dura lex, sed lex’’ (NDA : la loi est dure, mais c’est la loi). Vraiment ça me sidère l’importance accordée à cela. Et vraiment je vous dis, la méchanceté, la fureur ! »(([1] https://www.dailymotion.com/video/x…))

Selon Zemmour, les Français sont de méchants germaniques – sous-entendu presque des nazis – quand ils s’agacent de voir leurs bourreaux prendre du bon temps tandis qu’ils sont appauvris, enfermés chez eux et fliqués.

Quant à la vaccination obligatoire, Zemmour s’y est dit opposé, mais, car il y a toujours un « mais » :

« On peut favoriser la vaccination. On peut rendre, par exemple, le passe obligatoire dans différents endroits. On peut inciter à la vaccination, moi je veux bien, on a le droit quand on est au gouvernement de choisir ce qu’on veut favoriser. On pourrait supprimer la gratuité pour les tests. »(([2] https://twitter.com/avec_marine/sta…))

Zemmour soutient dans les faits la tyrannie sanitaire, l’écrasement des Français. Il est et a toujours été complice des traîtres et autres sociopathes au pouvoir, c’est pourquoi il est si médiatisé et promu par tous les moyens, n’en déplaise à ceux qui placent en lui leurs espoirs. Il n’a nulle intention de remettre en cause le capitalisme mondialisé et financiarisé, la tyrannie de l’argent-roi, le pouvoir des Rothschild. Il n’agit nullement en faveur des classes populaires et des classes moyennes dont il se moque éperdument, puisqu’il ne remet en cause ni l’euro ni l’Union européenne qui empêchent la France de pratiquer une politique protectionniste.

Il s’agit pour lui et ses soutiens oligarchiques de déplacer la colère du peuple vers un seul ennemi facile, un bouc émissaire, le musulman, jugé seul coupable d’absolument tous les maux, pour permettre le maintien de la même domination communautaire, judéo-sioniste, sur les mœurs, les institutions, les consciences et même sur l’extrême droite, grand-remplacée par les Zemmour, Lévy, Goldnadel et consort. D’ailleurs, ses principaux soutiens, Julien Madar et Jonathan Nadler, sont des banquiers d’affaires venus de chez Rothschild et de JP Morgan. On fait mieux comme position anti-Système !

Notes




Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Christine Massey et Jon Rappoport

Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-


Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé ; il n’y a pas de documents montrant que le virus existe.

Article original (anglais) : https://blog.nomorefakenews.com/2021/10/07/the-non-existent-virus-explosive-interview-with-christine-massey/
La source originale de cet article est nomorefakenews.com
Copyright © Christine Massey et Jon Rappoportnomorefakenews.com, 2021


[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Que se cache t-il derrière LES PÉNURIES MASSIVES ?

[Source : businessbourse.com]

L’Occident s’est réveillé il y a quelques mois et s’est rendu compte qu’il était totalement dépendant de l’Asie pour des produits stratégiques, comme les semi-conducteurs, les métaux rares, ou le matériel médical.
Depuis quelques semaines, avec la reprise de nos activités habituelles, des pénuries apparaissent un peu partout et dans tous les secteurs.

Énergie, céréales, plastiques, métaux, composants électroniques, papier, sucre, huiles, les producteurs font face à une très forte demande et nombreux sont les magasins ou les grossistes en rupture de stock.
Il en résulte d’autres blocages qui amplifient le phénomène, et dont les conséquences se font sentir sur l’activité mondiale et sur les prix, qui flambent partout où la croissance a repris.

Quelles sont les principales pénuries en cours ou à venir, et quels seront leurs effets ?
Pourquoi manque-t-on de tout en ce moment, et combien de temps cela va-t-il durer ?

[Voir aussi :
Comment la pénurie d’électricité en Chine menace le monde
Économie mondiale : les pénuries freinent toutes les chaînes d’approvisionnement
Pénuries alimentaires en vue ?
Pénuries massives et généralisées à tous les secteurs : pourquoi ?
Bill Holter : « Je pense que nous sommes réellement à 72H de l’ANARCHIE TOTALE ! »
La crise mondiale du transport maritime est bien plus grave qu’on ne l’imagine]




Changement climatique. Plus de 40 ans de prédictions erronées…

[Source : Point de vue Suisse (schweizer-standpunkt.ch)
via Arrêt sur Info (arretsurinfo.ch)]

Le rapport entre le CO2 et le changement climatique

Entretien avec Ueli Gubler,* ingénieur HTL

Depuis quelque temps, le sujet du «réchauffement climatique» a une influence massive et directe sur la réalité de nos vies – que ce soit sous la forme de taxes incitatives, de réglementations énergétiques voire de notre alimentation. L’objectif de toutes les mesures politiques est de réduire massivement les émissions de CO2 afin d’éviter le réchauffement de la planète.

Les Nations Unies et des organismes internationaux tels que le «Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat» (GIEC) appellent de manière alarmiste les gouvernements à convertir le plus rapidement possible notre société et notre économie en un système «neutre en CO2». La conversion mondiale bat son plein.

Les mesures ne sont pas adoptées partout. Un projet de loi fédérale sur le CO2 a été rejeté par la population suisse en juin 2021. Le professeur Reto Knutti, expert en climatologie, a ensuite averti de manière presque menaçante qu’une catastrophe mondiale ne pourrait être évitée que si l’on faisait confiance en des experts comme lui et que l’on soutenait des mesures drastiques (cf. Infosperber.ch, 22 août 2021).

Derrière cette affirmation se trouve l’hypothèse selon laquelle nos émissions de CO2 sont trop élevées, ce qui provoquerait le réchauffement de la planète. Mais presque personne ne comprend à quoi cette connexion est censée ressembler.

«Point de vue Suisse» a eu l’occasion de discuter des implications scientifiques avec l’expert Ueli Gubler.


Point de vue Suisse: Monsieur Gubler, vous vous penchez depuis des décennies sur la question des prévisions climatiques. Qu’est-ce qui vous a poussé à vous impliquer plus intensément dans la question du climat?

Ueli Gubler: Ce sont les prévisions contradictoires, qui ont été corrigées à plusieurs reprises. En particulier la déclaration de Hans von Storch et Lennart Bengtsson (deux spécialistes allemands du climat renommés), qui ont admis avec résignation en 2013 et 2014 qu’il y avait une erreur fondamentale dans les modèles. M. Bengtsson a reproché à sa guilde de «balayer sous le tapis» les résultats contredisant le changement climatique anthropique.

Encore et encore, j’ai été frappé par les prédictions inexactes sur notre futur climat. J’ai alors commencé à me pencher plus intensément sur cette question:

Depuis plus de 40 ans, les climatologues établissent des prévisions qui se sont presque toutes révélées fausses. Le secrétaire d’Etat américain Henry Kissinger, par exemple, a averti devant les Nations Unies à New York, encore en avril 1974, que si la combustion des énergies fossiles continue d’augmenter, la température tombera à 0°C d’ici 2015,(([1] L’effet de serre naturel fait que la température moyenne de la Terre est d’environ +14°C. La «valeur naturelle» est déterminée par des modèles. Leurs résultats varient entre 56°F et 58°F. cf. https://data.giss.nasa.gov/gistemp/faq/abs_temp.html (cf. aussi Wikipédia https://de.wikipedia.org/wiki/Globale_Erw%C3%A4rmung#Der_wissenschaftliche_Konsens_zum_Klimawandel) )) ce qui équivaudrait à une ère glaciaire. Depuis 1980, nous sommes confrontés à des avertissements de réchauffement – et plus récemment seulement d’événements extrêmes.

En outre, il est surprenant que de nombreux chercheurs en climatologie, comme Bengtsson, ne commencent à émettre des critiques que lorsqu’ils prennent leur retraite. Cela en dit long.

Et puis, parlons des rapports sur le CO2: toutes les substances chimiques ont des propriétés bien définies. Seul le CO2 présenterait une abondance de propriétés pouvant conduire à des événements extrêmes les plus divers. C’est une affirmation sans fondement.

Et – pour nous les humains, les 100 pires années n’ont pas été une phase de réchauffement, mais la phase de refroidissement entre 1350 et 1450.

Les experts officiels du climat attribuent l’augmentation de la température de la Terre aux émissions de CO2 d’origine humaine. Pourquoi cela?

Le réchauffement actuel de la planète a débuté après 1850, à la suite du «petit âge glaciaire» sur l’hémisphère nord [du 14e au 19e siècle], une période très froide marquée par de nombreuses mauvaises récoltes et famines. La question est donc de savoir si le réchauffement actuel serait plus modéré sans la combustion des énergies fossiles. C’est la question centrale qui se pose.

Objectivement, la question devrait être la suivante: «Quel pourcentage est attribuable au réchauffement naturel et quel pourcentage est attribuable au réchauffement d’origine humaine?» La recherche climatique «politisée» insiste sur le fait que l’homme est le seul responsable. Si les facteurs naturels étaient également pris en compte, le tapis serait probablement tiré sous les pieds du «mouvement climatique».

Qu’entendez-vous par sources «naturelles» d’émissions de CO2?

Il y a un échange annuel de CO2 entre l’atmosphère et les plantes d’environ 100 gigatonnes de carbone (pas de CO2).(([2] Il faut faire attention à savoir si l’on parle du CO2 ou du carbone (C) qu’il contient. Dans le cycle du CO2, on ne parle généralement que du carbone (C). La raison en est que les combustibles fossiles font partie du cycle du CO2. Ce n’est que lorsqu’ils brûlent qu’ils deviennent du CO2. Un kilogramme de carbone se transforme en 3,6 kg de CO2.)) Les plantes absorbent le CO2 et le libèrent à nouveau lors de leur décomposition ou de leur combustion. Un échange analogue, d’une ampleur similaire, a lieu entre l’atmosphère et les océans. L’eau chaude rejette du CO2; l’eau froide en absorbe. Les volcans actifs émettent également de grandes quantités de CO2.

Comment se représenter le gaz CO2?

Le CO2 est un gaz invisible, inodore, insipide et non toxique. Les médias nous le décrivent comme un gaz toxique. La question est de savoir pourquoi ils font cela. La quantité de CO2 dans l’air n’est que de 0,0004 ou 400/millionième. Pour simplifier: si une bouteille d’un demi-litre contenait tout le gaz contenu dans l’atmosphère terrestre, une seule goutte de ce gaz serait du CO2. Ou en d’autres termes encore: une bouteille d’un demi-litre contient 10 000 gouttes. Si chaque goutte devait représenter une partie de l’air, seules 4 d’entre elles seraient du CO2 et, parmi elles, une seule serait du CO2 produit par l’homme.

Comment le CO2 est-il censé réchauffer notre climat?

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat GIEC tente de répondre à cette question depuis 30 ans – sans succès! Il dispose de 30 modèles climatiques produisant des résultats différents selon les hypothèses retenues. Cela prouve que rien n’a été prouvé. On a élaboré la «théorie de l’effet de serre» et on tente d’atteindre une réponse avec ce modèle. Dans le meilleur des cas, 29 modèles sont corrects et un seul est faux – dans le cas le plus ennuyant, tous les modèles sont faux.

Comment fonctionnent les modélisations?

L’histoire de la Terre et du climat ne fournit aucun indice de l’existence d’une relation de cause à effet entre la teneur en CO2 et la température de la Terre. C’est le secret des différents modélisateurs.

La question initiale centrale, acceptée à la fois par les alarmistes et les sceptiques du climat, est la suivante: «De combien la Terre se réchauffera-t-elle si la teneur en CO2 double?». La réponse est ce qu’on appelle la «sensibilité climatique». Les hypothèses varient entre 0,24°C et 6°C – soit d’un facteur 25!

La question du doublement de la teneur en CO2 est difficile. Elle suppose une augmentation exponentielle du CO2 pour obtenir un réchauffement linéaire. En d’autres termes, chaque particule de CO2 supplémentaire produit un effet plus faible que celui qui l’a précédé. Il s’agit de la même loi logarithmique que pour le bruit.(([3] Pour obtenir une augmentation linéaire de la pollution sonore, le bruit à sa source doit augmenter au carré. Si 30 000 personnes crient «Goal» dans un stade de football, ce n’est pas 30 000 fois plus bruyant que si une seule personne crie «Goal». Pour le premier doublement, il faut 2 personnes, pour le suivant déjà 4, pour le suivant déjà 8, pour le suivant 16, pour le suivant 32 et ainsi de suite. On parle alors d’exponentielle, dans ce cas de logarithme (2ème puissance). La distance de freinage d’un véhicule augmente avec la même régularité (double vitesse = quatre fois la distance de freinage; 3 triple vitesse = 9 fois la distance de freinage).)) Il est trop long ici d’entrer dans le fonctionnement de l’effet de serre. Juste une remarque: de nombreuses questions restent ouvertes, de la théorie proprement dite au nombre et à la pondération des différents facteurs.

Est-il possible de déterminer une augmentation de la température mondiale, et quelle est son ampleur?

Par rapport à la fin du petit âge glaciaire vers 1850, elle est d’un peu plus d’un degré. Toutefois, le taux d’augmentation a fluctué au cours des 150 dernières années. Les alarmistes climatiques s’inquiètent de la pause actuelle du réchauffement. C’est ce qu’on appelle un hiatus (une pause).(([4] Hiatus: depuis l’an 2000, la température n’augmente plus parallèlement aux émissions de CO2. Les nombreux experts du climat sont perplexes à ce sujet. Leurs modèles ne le prévoyaient pas (cf. von Storch et Bengtsson ci-dessus). Ce terme est utilisé dans ce contexte.))

Selon la théorie des gaz à effet de serre, la température naturelle cible de la Terre est de 14,88°C.(([2] cf. note de bas de page 2)) Curieusement, elle n’a jamais été atteinte au cours des 150 dernières années. En fanfare, la température la plus élevée jamais mesurée a été annoncée en 2016: 14,83°C. Beaucoup de choses ne collent pas! La température cible mondiale n’a jamais été atteinte pendant l’ère industrielle!

Y a-t-il d’autres facteurs que le CO2 qui influencent le climat?

Le géoscientifique Milutin Milankovic a calculé un cycle qui porte son nom il y a 80 ans. Il a tenu compte du fait que l’axe de la Terre «oscille» (une fois tous les 25 000 ans). En outre, l’inclinaison de l’axe de la Terre fluctue entre 22,5 et 24,5 degrés en 40 000 ans. Troisièmement, l’orbite de la Terre autour du Soleil n’est pas constante.

Quatre cycles du Soleil lui-même sont connus, qui affectent l’activité solaire. Ils influencent les courants océaniques, qui suivent un cycle d’environ 60 ans. On les appelle les oscillations des océans Pacifique et Atlantique. Il y a d’autres facteurs qui sont discutés et de nouveaux facteurs sont ajoutés en permanence. Ce sont des facteurs massifs qui influencent le bilan thermique de notre planète. Les modèles climatiques ne tiennent guère compte de tout cela.

Une question hérétique: est-il possible que les fluctuations climatiques se produisent indépendamment des niveaux de CO2?

Oui, un regard sur l’histoire de la Terre et du climat montre que la teneur en CO2 et la température de la Terre ont fluctué massivement. Toutefois, on ne peut discerner ni une corrélation ni une relation de cause à effet.

L’histoire de la Terre et du climat ne fournit aucune preuve de l’existence d’une relation de cause à effet entre la teneur en CO2 et la température de la Terre.
On ne cesse de montrer des images du recul des glaciers en Suisse pour illustrer le changement climatique provoqué par l’homme. Mais maintenant, nous lisons aussi qu’autrefois la Suisse a déjà été sans glacier?

La réponse doit être limitée à la période chaude actuelle entre la dernière, la quatrième et la cinquième période glaciaire qui s’annonce. En octobre 2020, le glacier de Morteratsch a libéré un tronc de mélèze vieux de 10 000 ans à 2200 mètres d’altitude. Cela prouve qu’il devait faire 2°C de plus à l’époque. L’Institut de recherche sur les glaciers du Tyrol et l’Université de Berne ont reconstitué les hauts et les bas des limites de la forêt sur la base de ces découvertes. Il existe environ quatre époques au cours desquelles la Suisse était totalement ou presque totalement dépourvue de glaciers. Il est frappant de constater que le va-et-vient des cultures humaines a beaucoup à voir avec le climat. D’une manière générale, on peut établir le lien suivant: lorsque le temps était beau et chaud, les gens se portaient bien. Vu sous cet angle, il n’est pas compréhensible que certaines personnes souhaitent le retour des glaciers. Nous ne serions alors plus en mesure de nourrir la population.

Lorsque l’on examine les nombreux résultats de la «recherche climatique» officielle, dont certains sont très discutables, on se demande qui décide de la recherche et de la prise en compte des résultats de la recherche dans les conseils politiques?

Bon nombre de chercheurs en climatologie critiquent le fait que les fonds destinés à la recherche ne sont versés que si la preuve du changement climatique anthropique(([6] Par changement climatique anthropique, on entend le changement climatique provoqué par l’homme en raison de la combustion de combustibles fossiles. Cela contraste avec le changement climatique naturel, que les experts en climatologie ne peuvent expliquer, par exemple les quatre périodes glaciaires au cours des 400 000 dernières années.)) est promise dans la demande. Dans le cas contraire, les chercheurs perdraient leur emploi.

Les résultats sont toujours présentés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Le GIEC effectue-t-il ses propres recherches?

Il s’agit d’un conseil politique qui ne mène pas de recherches lui-même. Il a été fondé en 1988 avec pour mission de prouver le changement climatique anthropique. Il n’y est pas encore parvenu. En outre, les chercheurs dans les domaines de l’énergie solaire et des océans se plaignent que leurs résultats ne sont pas pris en compte dans les rapports récurrents sur l’«état des connaissances». Seul ce qui peut fournir des preuves est admis.

Que reprochez-vous au débat actuel sur le climat?

Qu’il n’y a pas du tout de débat sur le climat. Toute personne osant poser des questions critiques est immédiatement qualifiée de «négationniste du climat». Toute tentative de discussion est étouffée dans l’œuf.

A quoi pourrait ressembler, selon vous, une recherche réaliste sur le climat?

Après plus de 40 ans de prédictions grossièrement erronées, la recherche sur le climat devrait être interrompue. Il en va de même pour la politique. Mais tous deux n’y parviendront guère, car ils se sont trop égarés.

Il n’y a aucune raison de continuer à exclure de manière persistante une faculté, par exemple la recherche sur le soleil, les océans et les glaciers.

D’ailleurs, avant de donner une «chimiothérapie» à l’économie et à la société, il faut s’assurer qu’elle fonctionne. Même si elles ont un effet, les mesures s’évanouiront, car la Suisse ne représente que 1‰ des émissions mondiales de CO2. Les pays leaders que sont la Chine, les Etats-Unis et l’Inde ne suivront pas. Si l’Afrique devait un jour se réveiller économiquement, elle n’étoufferait certainement pas l’élan économique avec des énergies «renouvelables» guère abordables.

M. Gubler, merci pour cet éclairage intéressant.

(Traduction «Point de vue Suisse»)

* Ueli Gubler, ingénieur HTL, journaliste indépendant, va au fond des affirmations et des conjectures. En tant qu’ingénieur, il examine de près certaines lois et certains chiffres.





Lettre ouverte à Éric Zemmour

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Vous souvenez-vous de cette époque, début 2000, où nous devisions sur un banc devant l’Eglise et la fontaine de la place Saint Sulpice à Paris ? Nous avions le même éditeur, les Editions du Rocher.

Je me battais à l’époque pour rétablir mon honneur et ma dignité, et le fusible que j’étais dans la plus énorme affaire de corruption politique, tentait de sauver sa peau en dénonçant leurs turpitudes ! Je fus une des premières à oser dire des vérités sur la classe politique et les coups étaient terribles en retour !  Vous n’étiez alors qu’un jeune journaliste désargenté… qui ramait !

Je vous faisais confiance car vous m’aviez un soir soutenue sur un plateau TV d’invités politiques et vous aviez pris ma défense… Rare à l’époque car sonnait l’hallali de toutes parts contre le fusible désigné que j’étais.

Puis quelques années plus tard sur un plateau TV  dans « On n’est pas couchés« , vous m’avez, avec des mots de serpent, laminée… sans doute pour démontrer à quel point vous êtes fidèle à vos convictions. Ruquier lui-même à la fin est venu vers moi étonné et s’est excusé que vous ne soyez même pas venu me serrer la main. Avec un « ami » comme vous, on n’a plus besoin d’ennemis…

Quel changement radical !

Si l’on est un journaliste honnête et intègre on conserve une éthique. On informe proprement et on a le courage de mettre en lumière les malversations et dérives de notre classe politique. Il me semblait alors que vous faisiez partie de ces  gens courageux qui font l’honneur de cette  profession. Mais ce n’était qu’une illusion car vous n’êtes pas différent des autres, vous seriez même pire.

Les autres, ceux qui oublient la déontologie et la morale et qui servent leur ambition et intérêts propres en usant de contre vérités et de mensonges.

« Mentir c’est pisser contre le vent, » dit-on. Attention au boomerang car depuis quelques mois nous reconnaissons clairement ceux qui ont totalement tourné leur veste et font fi de l’éthique et servent leurs maitres : les mondialistes ! Quelle débâcle !

Appât du gain et corruption ! Devant les gratifications douteuses, l’homme, hélas, est souvent  lâche, fragile et veule !

Et puis en approchant le sommet du pouvoir, il y en a qui sentent pousser leurs ailes et perdent tout contrôle. Grisant, n’est-ce pas  d’approcher la cour du prince ? La place du roi ?

Et vous, Eric Zemmour la girouette versatile qui dit une chose et son contraire, vous êtes en train de vendre votre âme au diable et l’attrait maléfique du pouvoir vous a grisé.

Aujourd’hui, en plein marasme, écroulement économique, tyrannie sanitaire, pertes d’emplois, perte de liberté, misère, vaccins dangereux devenus obligatoires, y compris pour  les enfants… vous venez nous parler d’immigration ? Mais combien vous paie-t-on pour détourner l’attention des vrais problèmes ?

Pourquoi ne dites-vous pas que l’immigration est souhaitée et favorisée par votre ami Jacques Attali qui déclare que l’Europe a un « besoin vital de 150 millions de nouveaux immigrés » ? Pourquoi ne désignez-vous pas la source plutôt que la conséquence ? Qui favorise le « Grand Remplacement » que vous dénoncez ?

Vous vous partagez le travail pour alimenter la haine raciale et religieuse ? Chacun joue son rôle ? Dans quel but ? Provoquer une guerre civile dans notre pays et faire de la France un nouveau Liban, en désignant toujours les éternels boucs émissaires que sont les Musulmans ?

Vous croyez vraiment que les Français vont être dupes de cette machination abjecte ?

Par ailleurs, il y a quelques mois, vous étiez favorable à un durcissement des mesures sanitaires mais en campagne pré-électorale, vous affirmez sans honte bue que vous seriez opposé à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire ?

Vous n’aviez pas de mots assez durs pour désigner l’Europe comme source de tous nos malheurs, mais aujourd’hui pour servir les intérêts de ceux qui vous financent, vous affirmez qu’il faut y rester ?

Vous décriviez l’euro comme la source de l’appauvrissement des Français mais maintenant que le mirage élyséen s’approche, vous décrétez qu’il faut le garder ?

Mais quand dites-vous la vérité Éric Moïse Zemmour ?

Quels intérêts défendez-vous vraiment, vous qui vous prétendez plus Français que les Français ? Vous qui rêvez de transformer notre pays en un nouvel Israël européen, citant le pays de l’apartheid en exemple à suivre ?

Croyez-vous que les Français vont être dupes de vos mensonges et de votre stratégie machiavélique minable qui consiste à nous dresser les uns contre les autres ? En quoi êtes-vous différent de ceux que vous vilipendez ?

Votre apparition en pages des couvertures de cette presse malhonnête et vendue et votre présence massive dans les médias de vos amis milliardaires, avec des sondages truqués à la clé, tentent de nous faire croire que vous seriez le « nouveau phénomène » et fait grimper votre popularité d’une manière insensée et artificielle. Même schéma qu’avec E. Macron…! Un nouveau produit, une nouvelle lessive censée laver plus blanc que blanc. Une nouvelle arnaque !

Et vous nous croyez assez naïfs pour ne pas le voir ? Vous êtes pourtant bien placé pour savoir que les sondages ne sont que des instruments de manipulation de l’opinion publique ! Et vous vous y vautrez sans aucune pudeur, contribuant ainsi à tromper les Français.

Vous ne seriez donc qu’une vulgaire marionnette populiste dans les mains de l’Ordre mondial comme les autres ?

Méfiez-vous car le peuple français se réveille et n’est plus dupe, et les retours de bâtons seront terribles. Bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer car vous ne réalisez pas la colère qui gronde contre cette élite globaliste responsable de tous nos malheurs et de toutes nos souffrances. Cette élite que vous rêvez de rejoindre à n’importe quel prix.

Lorsque les gens auront perdu leur travail et  leurs êtres chers, lorsqu’ils verront leur vie finir en lambeaux à cause des politiciens corrompus, de cette médecine marchande et immorale, de ces menteurs professionnels que sont devenus les journalistes domestiques du pouvoir, et face à cette folie mondialiste meurtrière, leur colère sera à la hauteur de ce qu’ils subissent. N’en doutez pas.

Et les ors de la République ne constitueront une protection pour personne, même pas vous.

Depuis trop longtemps notre pays sombre de Charybde en Scylla avec des gouvernements successifs de plus en plus nocifs et médiocres. S’il vous plait ne rallongez pas cette triste liste. Le constat est acté : Le peuple de France veut reprendre son destin en mains et éliminer les fripouilles. Jamais comme aujourd’hui les Français n’ont eu autant besoin d’honnêteté comme de l’air pur pour respirer. Jamais comme aujourd’hui les Français n’ont eu autant besoin de dirigeants intègres et loyaux car cela fait trop longtemps qu’ils sont trahis, trompés, pillés.

La sagesse Eric Zemmour, c’est quand le Bien embrasse le Mal, quand l’Amour séduit la haine, quand la Force séduit la Faiblesse, quand le Pouvoir protège la Vie.

Et il est évident que vous n’avez pas cette Sagesse là…

A bon entendeur !

CDJ




Si on vous dit que les GAULOIS cèdent, n’y croyez pas… STOP PASS !

Par N Delepine (Sur telegram : t.me/DrDelepine)

PENSEZ-VOUS QUE LES FRANÇAIS SOIENT DUPES ?

À soumettre d’urgence aux députés LREM, MODEM et AGIR tentés de voter le projet de loi ce mardi 19 ! Qu’ils pensent à nos Libertés et prosaïquement à leur réélection !(([1] N° 4565_____ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958QUINZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 13 octobre 2021. PROJET DE LOI portant diverses dispositions de vigilance sanitaire,
(Procédure accélérée) (Renvoyé à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l’administration générale de la République, à défaut de constitution d’une commission spéciale
dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
PRÉSENTÉ par M. Jean CASTEX, Premier ministre))

Comme insiste un fidèle correspondant (J. H), il est urgent d’informer directement nos députés (dont certains demanderont vos suffrages à nouveau dans quelques mois) sur l’imposture de la loi qu’ils devraient voter le 19 octobre. Il y a urgence à les joindre par mail (un par un, les mails groupés n’arrivent pas) et par demande de rendez-vous, ou par téléphone.

Insistez, car la prorogation du pass et de l’état d’urgence n’a aucune raison sanitaire, comme « l’exposé des motifs » censé le justifier le démontre.

L’« Exposé des motifs », n’avance au total que deux « arguments », d’une pauvreté spectaculaire !

– Les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique.
– Il y aurait un « risque » de rebond épidémique. Mais peut-on fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des supputations ?

En revanche, l’« Exposé des motifs » est muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie.

ÉTAT RÉEL DE L’ÉPIDÉMIE

Selon l’OMS l’épidémie est en chute libre en France depuis août ainsi que l’objective cette courbe de l’Université John Hopkins du 17/10.

Dans notre pays, le nombre actuel des nouveaux cas journaliers est inférieur à 5000 alors que notre voisin britannique, champion européen de l’injection Astra Zeneca en compte 40 000.

Selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence Covid est de 3 cas pour 100 000 habitants :

« Surveillance de la COVID-19 :

La semaine dernière (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [2 ; 5]),

ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

L’ » Exposé des motifs » n’apporte à cette réalité aucun démenti. En conséquence, un parlementaire peut-il en conscience voter un projet de loi aussi liberticide sur un argumentaire aussi inconsistant ?

Et que justifie la « procédure accélérée » si ce n’est priver les parlementaires d’un débat solide ?

Par exemple leur montrer que les pays sans pass vont mieux que les muselés

Joignez députés, sénateurs et tous vos élus qu’ils transmettent le refus du peuple à cette nouvelle loi liberticide sans même l’ombre d’une justification sanitaire(([2] Joignez nos représentants !
sénateurs :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
4 Agences de presse :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse))

La grande fête de l’Élysée organisée par le président footballeur le démontre : aucun masque et aucune distanciation, masques pour les serveurs !

Jean Marc Morandini @morandiniblog

16 oct.

Pourquoi les images d’Emmanuel Macron faisant la fête à l’Elysée avec plusieurs dizaines de personnes ont énervé des internautes qui ont le sentiment que le Président est « au-dessus des règles qu’il impose » – Vidéo | Jean-Marc Morandini (jeanmarcmorandini.com)



« Mais les internautes se demandent pourquoi absolument personne ne respecte les gestes barrières ou ne porte le masque. “Ma petite fille est obligée d’être masquée en classe” s’interroge une internaute, “et le Président lui fait la fête à l’Élysée sans rien respecter de ce qu’il nous impose”.

Un autre se demande pourquoi “lui doit porter le masque dans le train, mais pas le Président à l’Élysée en train de danser et bouger”…

On peut également voir des gens s’étonner que “les serveurs portent des masques, mais pas les personnalités qui elles ont le droit de s’amuser sans masque”.

LE PEUPLE N’EST PAS DUPE Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023

Union Française Contre le #PassSanitaire @UnionSanitaire

16 oct.

“TOUS DANS LA RUE N’oubliez jamais que vous n’êtes pas seuls, nous sommes des millions à refuser ce gouvernement pourri. Unissons nos forces et faisons plier le gouvernement”. Soutenez-nous en vous abonnant sur Twitter #Manifestation16octobre #GiletsJaunesSaison2

Un rapide aperçu de ce 16 octobre 2021

“Il y a toujours autant de monde dans les rues d’#Aix-en-Provence contre Macron et sa volonté de maintenir le cap malgré l’absence totale de crédibilité de son pass « (([3] @jlouis 0881 11 h · 16 oct. 2021·Twitter))

Aujourd’hui, les #GiletsJaunes ont repris les ronds-points et ils sont des milliers dans les rues de Paris. Saison 2, acte 1. C’est parti !(([4] @maroc_online #Manifestation16octobre #GiletsJaunesSaison2))

AVIGNON

MARSEILLE

MONTPELLIER

Très long cortège à la #Manifestation16octobre organisée par @_LesPatriotes

! Nous n’accepterons jamais le #PassDeLaHonte, sa prolongation et la vaccination sous contrainte de tous !

et




La réalité tressaille comme dans un vieux film s’effilochant

Par Lucien Samir Oulahbib

Drôle de situation à voir cette réalité officielle tissée par les médias mondiaux. Rouge à lèvres, habillée en silhouettes sveltes et souriantes, poches débordantes de liasses innocentes, elle se désembobine, s’effiloche comme un mauvais bas noir de propagande bas de gamme découvrant dans sa déchirure au creux du matin froid sur la banquette arrière du taxi postmoderne une autre réalité bien moins grivoise, comme un levé de rideau précipité au temps du cinéma muet : cela craquelle en accéléré ou la décomposition en temps réel de visages poupins s’effondrant sous nos yeux-écrans (et caméras) en tas de poussières même plus nucléaires, mais d’éoliennes sans vent. « C’est comment qu’on freine ? » Chantait feu Bashung ; encore faudrait-il déjà avoir des freins…

Mais comme nous sommes maintenant enfouis vivants, à l’instar de déchets médiatiques sans conséquences (car guère radioactifs, tant le Pouvoir en a neutralisé les noyaux actifs), même cette fenêtre d’opportunité de ce craquèlement historique à la sismique de plus en plus généralisée nous échappe, glisse entre nos mains cybernétiques, à l’instar de ces enfants qui voient bien qui attaque Guignol dans son dos, mais celui-ci n’entend pas, ou alors ces paralytiques qui sont tombés de leur fauteuil appellent à l’aide, mais personne ne vient…

Le film de la réalité ainsi tressaille jusqu’à faire apparaître la cassure de la bobine, puis le « noir » sur fond « blanc », non parce que ce serait « fini », mais plutôt parce que le projectionniste s’est enfui.

Fini le temps où le capitaine coulait avec son bateau. Aujourd’hui il est parti avec la caisse et l’ouvreuse (les médias). Et sur la scène, des figurants tentent de mimer le film (des poètes) disparu.

Mais peu importe, peut-être. Après tout, ce n’était qu’une fiction. Pourquoi s’accrocher à des lambeaux de rêves éveillés alors que cette histoire d’un monde « postmoderne » s’est effondrée?  Ce monde gentil permettant que tout cohabite, puisque l’étalon-vérité aurait été effacé : des images sans scénario pouvaient ainsi émerger, nous promettait-on, puis disparaître sans dommage malgré les mondes des Big Brother, Big Pharma, Big Gafam qui pointaient à l’horizon.

Il s’avère pourtant que sous nos yeux, dans les profondeurs des vitalités cruciales, un sursaut surgit, venu de nulle part, et submerge tout sans coup férir, comme si les cisaillements et coupures de ce film de la réalité officielle s’avèrent être des césures et fissures inédites d’une tectonique des plaques symbolique qui aujourd’hui se rassemblent et se fracassent en tremblements de Terre de plus en plus sourds (ceux qu’Henri Heine avait décrits dans De l’Allemagne annonçant les totalitarismes du 20e siècle), eux-mêmes préludes aux tsunamis immenses qui émergent déjà et dont l’énergie tellurique ainsi charriée s’avère si énorme qu’il n’est pas rare de retrouver des fossiles de poissons au plus haut des montagnes éternelles : toutes ces théories se prétendant scientifiques, ces arts et lettres, tout cela s’effiloche à vitesse grand V. Comment pouvoir les lire, même les entendre ? Ou la sentence d’Adorno réorientée : Auschwitz, mais aussi le Goulag n’ont certes toujours pas été pensés, et ce surtout comme issu(e)s du scientisme hygiéniste (élimination radicale de ce qui est nommé « virus ») qui n’a cependant rien à voir avec Descartes et sa volonté de mieux maîtriser le monde (afin de mieux nous connaître et non pas dominer en général). Or il s’avère que leur suite présente reste toujours en friche, et ceux qui veulent apporter quelques remèdes efficaces restent évincés ou étiquetés complices objectifs des « virus » ainsi désignés…

Qu’en conclure ? Peut-être ceci : la complexité vitale de la réalité humaine semble se gausser de ces prétentions statistiques visant à la réduire en courbes alors que celles-ci ne sont que des illustrations, de l’art figuratif qui prétend être cette réalité humaine, au même titre que la Carte énonçant qu’elle Est le Territoire et que donc celui-ci, ainsi remplacé (en « grand »…) peut disparaître sans coup férir. Ceci se révèle cependant toujours faux : le Territoire en effet peut se venger (sauf génocide) jusqu’à échapper à la Carte qui ne représente plus alors qu’elle-même ; ou le temps de la révolution néomoderne au sens d’affiner la notion de Nation vers plus de citoyenneté horizontale (referendums) et verticale (participations).

Encore faut-il voir ce processus : la Carte donc ne représente plus qu’elle-même (exemple BHL, Macron, Biden…). Le Territoire s’échappe (dans l’abstention, l’aspiration à voter pour des candidats « disruptifs »…), mais la Carte des trois B (Big Brother, Big Pharma, Big Gafam) tente de le retenir par diverses interdictions « légales » et également mentales, comme ces diverses impositions dites sanitaires visant à nous isoler comme des « particules élémentaires » incapables ainsi de se couler dans la non-séparabilité de fonctions d’ondes à même, elles, de soulever des montagnes… Sans cependant se transformer en foules de rhinocéros (ce que n’a pas vu Sartre ni son lecteur July : le groupe en fusion a toujours besoin d’un poisson-pilote, mais qui ne doit pas s’y substituer comme le croyait Lénine… César et Dieu, « l’État c’est moi » de Louis XIV restant encore impensé, sauf à bien comprendre Bodin…), car sans direction et respect scrupuleux de la liberté d’être, l’énergie dégagée risque de « dévorer ses propres enfants » selon l’adage… Du moins dans des limites à définir (afin de ne pas substituer aux factions des fractions).

En tout cas, le bombardement incessant provenant de la Carte, avec cette chimio-politique relativiste transplantée médiatiquement dans la chair citoyenne du Territoire humain veut rendre ce dernier si malléable que se fabriquent désormais industriellement des créatures façon Frankenstein, gardes-chiourmes féroces afin d’empêcher que le Territoire, celui de la Nation, se rebelle puis se libère.

D’ailleurs, dans la devise Liberté, égalité, fraternité, la première de ces trois notions ne suit pas l’ordre alphabétique, gageons que la Carte voudra aussi rectifier ce Territoire… À nous de l’en empêcher. Qui « nous » ? Tous ceux épris de ce Territoire  de ce Sol là, d’où l’impossibilité de le remettre en cause… C’est un acquis civilisationnel… Mais qui peut être amendé si des factions émergent pour le fractionner…




Maitre Brusa nous énumère la redoutable composition des injections nazitaires !!!

[Source : michelledastier.com]






Lettre ouverte aux députés et sénateurs français appelés à voter le 19 octobre 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

Par Nicole et Gérard Delépine

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage” a expliqué le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »(([1] L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.))

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif.

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

Au Danemark la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

 Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA(([2] IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid)) dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »(([3] https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/)) Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.(([4] Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6). 

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »(([5] Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »(([6] Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) ))

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?(([7] De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…))

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.(([8] https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois))

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.





Petite annonce : « Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »…

Par Alain Tortosa

Petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour sauver le pays de la dictature. »
« CDD(([1] Contrat à durée déterminée)) dont le mandat prendra fin à la libération. »
« Possibilité de conversion en CDI(([2] Contrat à durée indéterminée (ex-président de la République) ))
si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Je ne suis pas et ne serais pas ce leader…
Je prétends ne pas être totalement nul pour écrire, mais je ne possède pas ces qualités nécessaires à un leader.
Les grandes foules, les envolées lyriques, les groupies qui lancent leurs culottes, ce n’est pas mon truc.

Et pourtant je pense sincèrement que nous ne pourrons pas nous en sortir sans une tête de liste.
Nous n’avons aucunement besoin de réveiller les Français manipulés par la dictature sanitaire.
Nous sommes des millions d’adultes non vaccinés qui, par cet acte, affirment leur attachement à la liberté et à la démocratie.

Nous sommes très nombreux à répéter depuis des mois que nous avons besoin de nous unir et de nous coordonner.
Je ne crois pas à l’action individuelle que certains pourraient qualifier de « terroriste ».
Chacun peut avoir ses petites victoires locales, mes enfants sont sans masque au collège, mais cela ne fait pas une révolution.
Cela participe au bâton dans les roues, mais n’est pas de nature à faire plier la dictature.

Un soignant en grève seul devant son hôpital a l’air d’un crétin. Avec 10 collègues il devient un mouvement revendicatif et à 100 il bloque l’hôpital qui n’a de choix que de céder.

Voici donc ma petite annonce :

« Cherche leader charismatique et intègre pour aider le peuple à faire tomber la dictature. »
« CDD dont le mandat prendra fin à la libération du pays. »
« Possibilité de conversion en CDI si le peuple le réclame à une vraie majorité. »

Descriptif du poste.

Le leader devra :

  • Être intègre et incorruptible.
  • Être viscéralement opposé à la dictature.
  • Être viscéralement attaché aux libertés individuelles qui doivent primer.
  • Être farouchement opposé à remplacer le mot « liberté » par le mot « sécurité » sur les frontons des mairies.
  • Être le moins clivant possible.
  • Être sans conflits d’intérêts financiers ou relationnels et ne pas être financé par la dictature.
  • Être un homme ou une femme ayant une expérience de la vie.
  • Avoir pris des baffes dans la vie dont il (ne comptez pas sur moi pour écrire en inclusif) se serait relevé serait un bon point.
  • Ne pas souffrir de troubles psychiatriques forts de type narcissique ou antisocial.
  • Aimer sincèrement les humains.
  • Avoir un passé de non-collaboration (ou alors être un repenti sincère et le prouver).
  • Laisser la place une fois le pays libéré (sauf si les Français demandent qu’il reste à une vraie majorité).
  • Aimer les grandes assemblées, les grandes foules, les grands discours.
  • Être déterminé et fort pour résister aux attaques les plus viles.
  • Être en capacité de déléguer et s’entourer de conseils.

Un casier judiciaire vierge n’est pas indispensable, on peut commettre des erreurs et les réparer.
Son mandat sera soumis à contrôle tout au long de son action et le peuple pourra le démettre s’il trahit ses engagements.
Il ne pourra pas être marqué « extrême-gauche », « extrême-droite » ou « extrême-centre », mais uniquement « extrême-liberté ».
Ses opinions religieuses, s’il en a, devront demeurer dans la sphère privée.

Quelques candidats potentiels(([3] Par ordre alphabétique))?

Carlo Alberto Brusa

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible.
  • Indestructible. (…et tellement beau gosse)
  • Ne peut prétendre à une carrière politique.

Contre :

  • Ne s’est pas positionné comme leader de la résistance.
  • Ne peut prétendre à une carrière politique (encore qu’une loi, ça se change).
  • Clivant par son côté grande-gueule, mais honnête qui est aussi sa force.

Louis Fouché.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Un puits de science.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Contre :

  • Subissait des pressions de sa hiérarchie.
  • Ne veut pas être le leader qu’il est devenu en partie malgré lui.
  • Ne cherche pas la gloire.
  • Clivant par certains discours jugés trop « prudents », trop « policés ».
  • Considéré d’extrême droite par les personnes d’extrême gauche et d’extrême gauche par les personnes d’extrême droite.

Alexandra Henrion-Caude.

Pour :

  • Résistante de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Une mine de savoir.
  • Sincère, honnête et lumineuse.

Contre :

  • C’est une scientifique pas une politique, son domaine c’est la science.
  • Trop humaine (peut-être trop fragile pour encaisser les coups).
  • Clivante par sa foi qu’elle ne cache pas et peut choquer certains.

Francis Lalanne.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire.
  • Sincère, honnête et passionné.
  • Humain (trop ?).

Contre :

  • Clivant par son passé de gilet jaune.
  • Ne laisse pas indifférent souvent adulé ou détesté.
  • Peut-être trop sensible.

Florian Philippot.

Pour :

  • Est sur le terrain de la résistance depuis des mois qu’il vente ou qu’il neige.
  • Veut être leader.
  • Populaire.
  • Sait parler au peuple et galvaniser des troupes.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • N’a pas peur de prendre des coups.
  • Expérience politique.

Contre :

  • Clivant par son passé d’extrême droite.
  • Passé de non-résistant pro masque et pro confinement.
  • Expérience politique.

Silvano Trotta.

Pour :

  • Résistant de la première heure.
  • Extrêmement populaire auprès des résistants et très écouté.
  • Très présent sur les réseaux sociaux et très suivi.
  • Incorruptible et indestructible.
  • Une mine de savoir.
  • Ne rechigne pas à la besogne.
  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.

Contre :

  • Ne semble pas vouloir de ce rôle.
  • Discrédité par certains à cause de ses positionnements autres (Ovni,…), mais toujours debout fidèle au poste.

Martine Wonner.

Pour

  • Résistante de la première heure.
  • Sincère et intègre.
  • Populaire.
  • Veut bien du rôle de leader.
  • Expérience politique.
  • Pas extrémiste.
  • Toujours debout malgré les attaques violentes.
  • Ils n’ont ni réussi à l’acheter ni à la détruire.

Contre

  • Pas encore totalement positionnée (ou sous-médiatisée) sur son rôle de leader.
  • Relativement peut présente médiatiquement.
  • Pas de groupe Telegram (que je connaisse), pas de chaîne TV d’envergure ni de live réguliers.
  • Pas encore un phare incontournable dans la nuit.
  • Clivante par son passé de femme politique même si sa carrière est récente.
  • Discours un peu trop policé (politique) qui peut être anxiogène pour certains.

Il y en a probablement d’autres, mais si je ne les cite pas c’est soit que je ne les vois pas comme leader soit qu’ils ne le sont pas encore.

En tous les cas, j’imagine mal nous en sortir sans un leader ou une forme de gouvernance collégiale de plusieurs leaders qui se coordonnent pour nous fédérer et lancer des actions concrètes et massives de lutte contre la dictature.
Nous sommes trop nombreux à dire que nous devons nous unir et au final ne pas le faire.

Nous avons besoin d’une coordination des forces.
Nous avons besoin d’un leader de la résistance, d’un porte-parole pour nous mener à la victoire, quitte à le guillotiner s’il faut après la libération !

Merci

Alain Tortosa.

15 octobre 2021. https://7milliards.fr/tortosa20211015-petite-annonce-cherche-leader.pdf




Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN… MàJ

[Source : crashdebug.fr]

Vous trouverez dans ces articles plus d’informations sur le vaccin de Gates et de la DARPA,

https://youtu.be/2MGXePjIzXE [Vidéo censurée]

[Mise à jour : ]

[anglais]

Et dans cette autre vidéo,

[anglais]

Bill Gates explique tranquillement, sans aucun état d’âme, ça semble même le faire marrer, qu’il pourrait y avoir un effet de bord toutes les 10.000 vaccinations, ce qui ferait 700.000 personnes potentiellement impactées [anglais], et pour lui c’est une bagatelle. Ces gens sont des psychopates….

Plutôt que d’enseigner aux gens comment améliorer leur état de santé général ou renforcer leur immunité grâce à des aliments sains, des compléments de qualité et une activité physique, les pouvoirs en place disent au monde que la seule façon de survivre à la crise du Coronavirus est de hâter le développement d’un vaccin et de l’injecter ensuite à chaque être humain sur la planète.

Le gouvernement américain, ainsi que de grandes villes comme Chicago, vont déjà de l’avant avec des plans visant à utiliser les ressources gouvernementales et l’armée pour distribuer des centaines de millions de doses de vaccins aux Américains d’ici la fin de l’année.

Au premier plan de cette conversation se trouve Bill Gates, qui est devenu en quelque sorte le plus grand expert mondial en matière de pandémies et de vaccins. Par le biais de sa fondation, il soutient l’OMS et le développement de nouveaux vaccins, et soutient actuellement un certain nombre de sociétés pharmaceutiques dans leur course à l’invention du produit qui sauvera le monde du Covid-19.

En règle générale, le processus de développement, d’essai et de production de masse des vaccins prend des années, mais grâce à la nouvelle technologie expérimentale émergente, M. Gates espère pouvoir vacciner « 7 milliards de personnes en bonne santé » en un temps record.

Une nouvelle génération de vaccins est en train d’émerger à l’heure où nous parlons. Pour l’instant, il n’existe pas de vaccins à ADN et à ARN approuvés pour l’usage humain, mais comme le dit M. Gates dans le post suivant de son blog personnel, le moment est venu de les essayer sur tout le monde. Dans le commentaire suivant, il explique la différence entre les vaccins traditionnels et les vaccins à ADN/ARN, qui, une fois encore, n’ont jamais été approuvés pour un usage humain :

Enseigner à votre corps comment vaincre un agent pathogène sans jamais tomber malade. Les deux types les plus courants – et ceux que vous connaissez probablement le mieux – sont les vaccins inactivés et les vaccins vivants. Les vaccins inactivés contiennent des agents pathogènes qui ont été tués. Les vaccins vivants, en revanche, sont constitués d’agents pathogènes vivants qui ont été affaiblis (ou « atténués »). Ils sont très efficaces, mais plus sujets aux effets secondaires que leurs homologues inactivés.

Les vaccins inactivés et vivants sont ce que nous considérons comme des approches « traditionnelles ». Il existe un certain nombre de candidats vaccins COVID-19 des deux types, et pour une bonne raison : ils sont bien établis. Nous savons comment les tester et les fabriquer.

L’inconvénient est que leur fabrication prend du temps. Il y a une tonne de matière dans chaque dose d’un vaccin. La plupart de ce matériel est biologique, ce qui signifie que vous devez le cultiver. Cela prend du temps, malheureusement.

C’est pourquoi je suis particulièrement enthousiaste à l’égard de deux nouvelles approches adoptées par certains des candidats : Les vaccins à ARN et à ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se révèle efficace, nous serons probablement en mesure de diffuser les vaccins dans le monde entier beaucoup plus rapidement (par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, mais avec un type de matériel génétique et un mode d’administration différents).

Notre fondation – à la fois par son propre financement et par l’intermédiaire de la CEPI – soutient le développement d’une plateforme de vaccins à ARN depuis près de dix ans. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre des maladies qui touchent les pauvres comme la malaria, mais aujourd’hui, elle semble être l’une des options les plus prometteuses pour le COVID. Le premier candidat à entamer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

Voici comment fonctionne un vaccin à ARN : plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins.

Comme les vaccins à ARN laissent votre corps faire la plus grande partie du travail, ils n’ont pas besoin de beaucoup de matériel. Cela les rend beaucoup plus rapides à fabriquer. Mais il y a un hic : nous ne savons pas encore avec certitude si l’ARN est une plate-forme viable pour les vaccins. Étant donné que le COVID serait le premier vaccin à ARN à sortir, nous devons prouver à la fois que la plateforme elle-même fonctionne et qu’elle crée une immunité. C’est un peu comme si vous construisiez votre système informatique et votre premier logiciel en même temps ». ~ Bill Gates

Ainsi, le vaccin Covid-19 ne sera pas un vaccin traditionnel. Il ne sera pas testé de manière significative ou standard étant donné l’état d’urgence actuel. Il sera administré par les militaires, et tout le monde sur la planète devra le prendre.

Comme l’a fait remarquer le journaliste d’investigation Jon Rappoport :

« Deux nouvelles technologies sont dans la filière de test COVID au moment où nous parlons : Les vaccins à ADN et à ARN. Ils n’ont jamais été mis en circulation pour un usage public. La technologie de l’ADN est en fait une thérapie génique. Des gènes sont injectés dans le corps et modifient de façon permanente et inconnue la composition génétique du receveur. Les vaccins à ARN comporteraient le danger de déclencher des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que l’organisme se mettrait en guerre contre lui-même.

Le vaccin qui est exploité par le gouvernement américain… sous l’égide de ses National Institutes of Health… par le biais de la société pharmaceutique Moderna… n’a JAMAIS été utilisé sur le marché avant.

IL N’EST PAS AUTORISÉ À ÊTRE UTILISÉ PAR LE PUBLIC.

LES VACCINS ARN ET LA TECHNOLOGIE QU’ILS UTILISENT SONT ENTIÈREMENT EXPÉRIMENTAUX.

ET C’EST LE TYPE DE VACCIN QUI EST MIS EN PLACE À LA HÂTE EN 90 JOURS.

Qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner dans le monde ?

Une façon de le découvrir est de le lancer sur des millions de personnes, de prendre du recul et de voir ». ~Jon Rappoport

Vous êtes prêts à ce que votre famille et vos enfants servent de cobayes dans le cadre de la plus grande expérience de santé mondiale jamais menée ?

Alex Pietrowski est un artiste et un écrivain soucieux de préserver une bonne santé et la liberté fondamentale de jouir d’un mode de vie sain. Il est rédacteur pour WakingTimes.com. Alex est un étudiant passionné de yoga et de vie.

Cet article (Bill Gates explique que le vaccin Covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN), créé et publié à l’origine par Waking Times, est publié ici sous une licence Creative Commons avec mention d’Alex Pietrowski et de WakingTimes.com.

Source : Dcdirtylaundry.com

Informations complémentaires :


Source : https://www.santeglobale.world :

« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. »

Professeur RAOULT : La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion

Youtube : (sud radio) J.D Michel – « Les courbes épidémiques des pays confinés et des pays non confinés sont les mêmes ! »

Le confinement était la dernière chose à faire !!

DAVID ICKE SANS CENSURE !! LA FIN DU CONTRÔLE, LE TRIOMPHE DE L’AMOUR !

Troisième interview de David Icke par Brian Rose sur ©London Real (mai 2020) :



(en anglais)

David Icke montre avec clarté toute la folie de la « pandémie » créée par le technocrates pour nous asservir :

Tony Robbins interroge des médecins sur la pseuodo épidémie de coronavirus, décapant !

(audio, en anglais)




10 mesures urgentes pour en finir avec la crise COVID en 2022

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Vous êtes nombreux à demander comment sortir concrètement de la crise du COVID, notamment à l’occasion du prochain quinquennat. Je vous propose ici 10 idées de mesures urgents à prendre pour préparer un monde d’après humaniste et libre, et pour entamer le mouvement de recul dont nous avons besoin pour endiguer la domination de la caste. Il s’agit de dix idées urgents et immédiates, qui ne font évidemment pas un programme complet. N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !

Par Éric Verhaeghe

Les mesures qui sont exposées ici sont des mesures “urgentes” et donc très sectorisées, qui visent, durant les cent premiers jours du prochain quinquennat à créer un “choc” sociétal permettant le réveil de la société française face aux libertés menacées par une caste en pleine réaction contre le suffrage universel et ses conséquences. 

On ne trouvera donc pas un problème complet, mais un simple guide des décisions immédiates et urgentes.

Volet sanitaire

1° Abolir la notion d’état d’urgence sanitaire et rétablir les fonctionnements démocratiques normaux : le système macronien de suspension du fonctionnement normal de la démocratie sous un prétexte sanitaire instrumentalisé doit s’arrêter. Le recours à des conseils de défense pour décider de mesures expéditives et liberticides doit être banni. 

2° Rétablir la liberté de prescrire et autoriser les traitements peu coûteux, abandonner la politique du tout-vaccin : la stratégie guidée par les laboratoires pharmaceutiques consistant à ne pas soigner le COVID de façon précoce pour contraindre les Français à recourir à un vaccin dont les effets secondaires sont minorés mène à une catastrophe sanitaire. Les médecins doivent retrouver la liberté de prescrire les traitements qu’ils jugent adaptés, y compris les traitements peu coûteux. 

3° Abolir le passe sanitaire et la politique de crédit social, abroger la loi du 5 août 2021 : l’abrogation de la loi doit être immédiate. Le renoncement à toute politique de crédit social doit devenir un principe général du droit. 

4° Mettre en place une Commission d’enquête spéciale sur l’influence des laboratoires pharmaceutiques durant la crise du COVID et sur la corruption parmi les médecins et chercheurs : sur le modèle du rapport rédigé par deux sénateurs en 2010, l’État doit enquêter sur les coulisses de la stratégie sanitaire menée depuis le début de l’année 2020. Une commission spéciale regroupant des parlementaires et des juges doit être mise en place, avec des pouvoirs d’investigation judiciaire exceptionnels, pour déterminer quels moyens les laboratoires pharmaceutiques ont déployé pendant la crise, y compris au niveau européen. Les personnalités corrompues doivent être durement sanctionnées. 

Volet politique

5° déconcentrer les pouvoirs de l’État et supprimer la bureaucratie : après un an et demi de captation du pouvoir par la bureaucratie, PLUS JAMAIS ÇA ! Démantèlement des ARS, réduction drastique des effectifs de l’administration préfectorale, de l’administration hospitalière, et de la caisse nationale d’assurance-maladie. 

6° dépolitiser la haute fonction publique en obligeant les fonctionnaires à démissionner en cas de passage en cabinet ministériel et en supprimant la garantie de l’emploi pour les 500 postes-clés de la haute fonction publique. Il faut couper le cordon ombilical entre la haute fonction publique et le pouvoir politique. Les postes-clés doivent être soumis à une obligation de réussite contrôlée par le Parlement. Les milliers de hauts fonctionnaires en situation de chômage déguisé et payés par le contribuable doivent être licenciés. 

7° supprimer les aides à la presse : la presse doit vivre de ses lecteurs, pas des faveurs d’un État qui achète son consentement. 

8° entamer un dialogue avec la Commission Européenne pour inverser les transferts de souveraineté : sans initier une réforme des traités, l’inversion de la logique de transfert de la souveraineté nationale vers la Commission européenne doit commencer le plus tôt possible. La logique initiale de subsidiarité européenne doit guider l’action des Etats-membres. 

Volet sociétal

9° desserrer la contrainte exercée par la caste sur la société, en rétablissant la liberté d’enseigner et de soigner : la liberté de l’école à la maison doit être rétablie. La liberté de prescrire et la liberté de rembourser les soins hors des déconventionnements forcés de l’assurance-maladie doivent également l’être. La solidarité spontanée entre les individus doit être restaurée. 

10° défiscalisation et désétatisation progressive de la société française, en plafonnant à terme les recettes publiques à 40% du PIB : la crise du COVID a montré l’emprise que l’État et sa bureaucratie ont tissé au fil des années, grâce à une pression fiscale supérieure à ce que connaissent les pays de l’Union Européenne. Il est temps de recentrer l’Etat sur ses missions régaliennes (police, armée, justice, fisc), et de le faire maigrir sur le reste. 




Une province canadienne publie de nouvelles règles COVID qui permettent au gouvernement de saisir des propriétés privées

[Source : resistance-mondiale.com]

[Photo : Scot Moe, Premier ministre de la Saskatchewan]

Par bertruxskydric

Les fonctionnaires de la Saskatchewan peuvent « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Un gouvernement provincial canadien a promulgué des pouvoirs d’urgence de type orwellien au nom de la lutte contre le COVID qui permettent aux autorités de détenir ou de renvoyer des personnes sans mandat et de saisir des biens personnels à volonté. 

En vertu des  nouvelles ordonnances sanitaires , le ministre de la Saskatchewan peut « autoriser l’entrée dans tout bâtiment ou sur tout terrain, sans mandat, par toute personne dans le cadre de la mise en œuvre d’un plan d’urgence ».

Le gouvernement a également le pouvoir de « provoquer l’évacuation de personnes et le retrait de personnes ou de bétail et de biens personnels de toute région de la Saskatchewan qui est ou pourrait être touchée par une situation d’urgence et de prendre des dispositions pour les soins et la protection adéquats de ces personnes ou du bétail et des biens personnels.

Le nouveau décret d’urgence provincial en vertu  de la Loi sur les plans d’urgence a  été signé le 13 septembre par le premier ministre Scott Moe. Les commandes ont été annoncées par le ministère de la Santé de la Saskatchewan.

Selon le ministère de la Santé, les nouvelles ordonnances sont nécessaires pour « assurer la mobilité de la main-d’œuvre du système de santé grâce à une plus grande flexibilité dans la planification et la réorientation des travailleurs de la santé vers les zones confrontées à des pressions de capacité et dans l’utilisation de ressources supplémentaires ».

Les nouveaux pouvoirs sanitaires d’urgence permettent au gouvernement « d’assumer la direction et le contrôle de l’intervention d’urgence d’une autorité locale ».

Ils donnent également au gouvernement le pouvoir « d’acquérir ou d’utiliser tout bien immobilier ou personnel que le ministre juge nécessaire pour prévenir, combattre ou atténuer les effets d’une situation d’urgence ».

Dans le cadre de cette ordonnance, le gouvernement a réactivé les termes d’une lettre d’entente avec la Saskatchewan Health Authority et un grand nombre de syndicats provinciaux, dont le Saskatchewan Union of Nurses et la Health Sciences Association of Saskatchewan.

La lettre d’entente explique comment le gouvernement peut forcer le « redéploiement temporaire des employés de la santé pour répondre à l’augmentation prévue des besoins en soins de santé liés à la COVID-19 ». 

Toute personne résidant en Saskatchewan est mandatée par la loi pour suivre les nouvelles ordonnances d’urgence ou faire face à des sanctions sévères ou à une peine d’emprisonnement.

Les nouvelles commandes sont intervenues après que le gouvernement a déclaré une « quatrième vague » de COVID-19 stimulée par la « variante Delta ».

La province, qui compte environ un million d’habitants, indique actuellement que 262 personnes sont hospitalisées en raison de COVID-19. 

Le 17 septembre, le Dr Saqub Shahab, médecin hygiéniste en chef de la province, a émis une ordonnance d’isolement provisoire obligatoire et de couverture faciale comme palliatif jusqu’à l’entrée en vigueur du passeport vaccinal de la province en octobre.

Moe a récemment déclaré que son gouvernement était “trop ​​patient” avec ceux qui n’avaient pas reçu les vaccins COVID lors de l’introduction d’ un passeport vaccinal.  

Les mots de Moe contre les non vaccinés comprenaient également une phrase selon laquelle, bien qu’il n’ait jamais voulu « mettre en œuvre » un passeport vaccinal, sa « patience a pris fin » avec les non-piqûres.

À partir du 1er octobre, il faut présenter une preuve de vaccination ou un test négatif pour manger à l’intérieur, se rendre dans des lieux de divertissement, assister à des conférences ou à de grands événements ou participer à des centres de fitness intérieurs.

Toutes les provinces canadiennes ont depuis longtemps le pouvoir d’édicter de telles règles draconiennes, qui limitent en fait les droits des personnes en cas d’urgence, mais utiliser une urgence « sanitaire » pour le faire est du jamais vu dans les temps modernes.

La province de l’Alberta a également récemment déclaré une urgence publique en vertu de sa  Public Health Act Comme en Saskatchewan, le gouvernement peut pénétrer dans des immeubles sans mandat ou saisir des biens personnels. 

Le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, bien qu’il ait promis que sa province serait ouverte « pour de bon »,  a  récemment introduit un passeport vaccinal COVID-19. Il a également promulgué de nouvelles règles interdisant aux personnes «non vaccinées» de se rassembler dans leurs maisons privées.

John Carpay, président du Justice Center for Constitutional Freedoms (JCCF), a déclaré qu’en « vertu » du gouvernement Kenney limitant les interactions sociales à l’intérieur de pas plus de 10 personnes, le gouvernement « reconnaît que les personnes vaccinées sont propagateurs de virus.

« Sur quelles preuves le gouvernement s’appuie-t-il pour croire que les personnes non vaccinées sont de pires vecteurs de virus que les personnes vaccinées », a déclaré Carpay dans un communiqué envoyé à LifeSiteNews.

« Le premier ministre Kenney s’est joint au premier ministre Trudeau pour faire des boucs émissaires, diaboliser et vilipender la minorité d’individus non vaccinés.

Les injections de COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer pour les 12 ans et plus, ont toutes des liens avec des cellules dérivées de bébés avortés.  

Tous les quatre ont également été associés à de possibles effets secondaires graves tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez les hommes jeunes et en bonne santé. 

La liste des événements indésirables reconnus par la FDA est passée des réactions anaphylactiques graves aux événements thrombotiques mortels, à la myocardite inflammatoire  et aux maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré. Pendant ce temps, le CDC a signalé un taux de survie à l’infection COVID-19 supérieur à 99,95 % pour les moins de 50 ans. 

Contact:

L’honorable Scott Moe
Premier ministre de la Saskatchewan
226 Édifice législatif
Regina, Saskatchewan
CANADA S4S 0B3

Téléphone : (306) 787-9433
Télécopieur : (306) 787-0885
Courriel :  premier@gov.sk.ca

Traduction de l’article Canadian province issues new COVID rules that let gov’t seize private property – LifeSite (lifesitenews.com)




France : l’influence des lobbys et la gouvernance des coquins !

Par Amar DJERRAD

Nous remettons au goût du jour cet article, publié il y a 17 mois, parce qu’il sied parfaitement à la situation actuelle rendue délétère par les propos mensongers, arrogants et d’essence néocoloniale, indigne d’un chef d’État, du Président français Emmanuel Macron à l’égard de l’Algérie. Ces propos, considérés outrageants et provocants, ont eu des réactions tranchantes des autorités algériennes, des médias et du peuple algérien. Le texte nous semble d’actualité, comme s’il était écrit pour cet évènement.  


France24, France5, TV5 …sont bien des chaînes publiques, de l’État français, financées par l’argent public ! Elles doivent bien répondre aux orientations et directives de l’État français, sinon elles n’ont pas lieu d’exister ! Un insensé comprendra cela, non ?

Où est donc cette « liberté d’expression » ou « indépendance rédactionnelle » évoquées à chaque coup bas des autorités françaises quand les autorités algériennes les pointent d’un doigt accusateur ?

Incapables, à ce point, d’assumer leur responsabilité manifeste ? Incapables d’affronter l’accusation que leur portent les autorités algériennes ? Incapables de faire face loyalement aux décisions politiques et économiques courageuses, annoncées publiquement et sans crainte des nouvelles autorités en Algérie ?

Des autorités françaises qui réagissent par de perfides mesquineries via leurs propres médias interposés leur enjoignant de faire dans l’agitation et la subversion – à défaut d’une politique intelligente, régulière – sans même en assumer la responsabilité de leur décision ? Que des provocations et « incidents » successifs, programmés, montés contre l’Algérie qui ne cherche, pourtant, que l’équilibre des relations ! Cette conception chauvine, égoïste, voire raciste aura ses conséquences que l’esprit étriqué de ces dirigeants ne peuvent encore percevoir. C’est de l’escroquerie ! Quelle déchéance ! Elles craignent à ce point le débat politique franc avec les responsables algériens pour user, sournoisement, de procédés de voyous ? Toutes ces actions absurdes resteront vaines, comme toutes les précédentes, de par son expérience éprouvée et reconnue contre le terrorisme et la subversion !

Au regard de ce qui se déroule, de ce que l’on voit dans la gestion de la crise sanitaire en France et des décisions prises à l’occasion, sur les plans sanitaire et social, on comprend la nature vile des méthodes actuelles de gouvernance de la France ! Une gouvernance par la tromperie, la malversation, le recel et l’incompétence !

On parle de visée « néocolonial e» de la France sur ses anciennes colonies ? Peut-être avec d’autres pays encore sans puissance apparente, mais sûrement pas avec l’Algérie ! C’est lui donner les capacités qu’elle n’a pas et n’aura jamais politiquement, voire militairement !

Le semblant d’arrogance qu’elle fait transparaître n’est autre que l’expression de son incompétence à gouverner et à décider et surtout de sa perte d’influence dans le monde, sinon comment expliquer son suivisme absolu sur les questions internationales et les décisions qui s’y prennent ! Même ses lois internes, reconnues « démocratiques et de liberté », décrétées et en vigueur depuis des décennies, ont été perverties par les influences externes, via des lobbys internes, au point où elle n’est plus maîtresse de son destin et de sa morale ! Elle ne distingue plus le bien du mal ; le réel du rêve ; les vessies et les lanternes !

La France des «droits de l’homme» a bien soutenu des terroristes en Syrie et en Libye ! Cette France-là, impénitente a bien participé à l’assassinat d’un chef d’État ! Elle s’est bien ingérée en étant responsable de ce qui se déroule au Mali ! Elle est bien impliquée dans le martyr du Rwanda ! Elle était active dans l’affaire de l’Arch de Zoé où elle avait fait libérer, par des pressions sur le Tchad, des trafiquants d’enfants ! Sans oublier l’affaire dite des ‘infirmières bulgares’… et le paiement des rançons à des terroristes !

Que peut-elle bien faire d’utile, de performant et de convainquant cette France d’aujourd’hui, en Afrique où elle perd de jour en jour et dans le monde où elle est de plus en plus négligeable, même avec ses capacités nucléaires inutiles (capacité contre qui ?). Surtout avec un Président immature qui semble attendre des orientations, flanqué d’un PM désactivé qui semble gérer les affaires courantes et d’un ministre des AE hagard et distrait, incapable de mener une politique extérieure engagée et cohérente et surtout de condamner clairement les propos graves et vexants, pour la France, d’un député franco-israélien !

En Algérie, elle se sert de quelques félons encore néo colonisés et cupides, bavards, souvent ignares ou paumés, des ploucs sans dignité ni valeur, mais que ses médias désorientés tentent de mettre en avant avec une incompétence crasse ! Les Algériens savent tous que la « marchandise » de « fafa »(*) est toujours frelatée ! À la limite, même le stupide sait choisir son camp entre le décideur et le suiviste !

Pendant que d’autres, en Europe même, enregistrent des succès, voilà que cette France – ce pays souillé et ‘mis à genoux’ par les nazis, mais auquel un certain Charles, aidé par les alliés, ont rendu sa dignité – ose sottement bafouer, en le foulant aux pieds, tout ce qui a été érigé par ses véritables patriotes tout en se permettant d’imposer aux autres le remède à son affection mentale qu’elle n’arrive pas à guérir ?

Cette France-ci n’est plus qu’une pâle réplique insipide, réduite à un faire-valoir, que ne peut sauver de l’outrage et du naufrage que ses véritables patriotes et compétences actuellement négligés et dévalorisés !

(*) Ancienne appellation ironique de la France coloniale




Un navire de guerre américain a tenté de violer la frontière russe en mer du Japon, selon Moscou

[Source : RT en français]

Un destroyer américain a tenté ce 15 octobre de pénétrer sans autorisation dans les eaux territoriales russes près de Vladivostok, d’après le ministère russe de la Défense. Cette tentative aurait été avortée par un navire militaire russe.

Un navire militaire russe de la flotte du Pacifique aurait déjoué, ce 15 octobre, une tentative du destroyer USS Chafee de violer les eaux territoriales de Russie dans la mer du Japon.

Selon le ministère russe de la Défense, le navire de lutte anti-sous-marin Amiral Tribouts a mis en garde le vaisseau américain, qui s’approchait de la frontière russe, par le biais d’un canal de communication international. Le ministère russe poursuit dans un communiqué : «Après l’avertissement, le destroyer Chafee, au lieu de changer de cap pour quitter la zone, a hissé les drapeaux indiquant la préparation au décollage d’un hélicoptère depuis son bord, signifiant ainsi qu’il ne pouvait changer de cap ou de vitesse, et a essayé de violer les frontières de l’Etat de la Fédération de Russie dans le golfe de Pierre le Grand. Agissant dans le cadre des règles internationales de navigation, l’Amiral Tribouts a mis le cap sur l’intrus pour le chasser des eaux territoriales russes.»

D’après la même source, le vaisseau américain, «comprenant la détermination de l’équipage du navire russe à ne pas permettre la violation des frontières de l’Etat», a fini par changer de direction, alors que l’Amiral Tribouts se trouvait à moins de 60 mètres de lui.

Plus tard dans la journée, le ministère russe de la Défense a annoncé dans un communiqué avoir convoqué l’attaché militaire des Etats-Unis. «Le représentant des forces armées américaines a été informé de la position de l’armée russe dans le cadre d’une tentative du destroyer de la marine américaine Chafee de violer les frontières de l’Etat de la Fédération de Russie dans le golfe de Pierre le Grand le 15 octobre», précise le texte.

Selon l’agence Reuters, les Etats-Unis n’ont pas commenté l’événement à ce stade.




Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté dans toute l’Italie contre le pass sanitaire

Par Nicole Delépine



Pour ne rien rater des manifs c’est ici
👉 t.me/AnonymeCitoyen




Un pas de plus vers l’empoisonnement du monde avec l’interdiction envisagée des huiles essentielles

Par Diane Vincero

Big Pharma, Monsanto (Nestlé — Bayer), les GAFA, etc. continuent leur progression pour rendre le monde totalement tributaire d’eux… Nous en voyons déjà largement les effets aujourd’hui avec la prétendue pandémie de Covid.

Big Pharma :

piétine le système à son profit :

  • a déjà obtenu d’être lavé de toute responsabilité pour les effets secondaires de ses vaccins, a déjà imposé 11 vaccins aux bébés (les générations futures…),
  • a imposé la vaccination Covid,
  • a obtenu que les plantes comme la Valériane (effet tranquillisant sans accoutumance), la passiflore (effet sur le sommeil, sans accoutumance), le millepertuis (antidépresseur), etc., etc. ne puissent plus être présentés comme ce qu’ils sont, mais comme de vulgaires « compléments alimentaires »,
  • a obtenu en 2007, à l’échelle européenne, que l’argent colloïdal ne puisse plus être recommandé per os (= par voie générale) — alors que c’est un excellent antibactérien, antiviral, antimycosique, anti-inflammatoire et cicatrisant —, sous le prétexte totalement fallacieux et mensonger (…) qu’il entraîne « des dépôts bleus dans le corps », ce qui n’est vrai qu’au-delà de 20 ppm (= parties par million), c’est-à-dire à des concentrations totalement inutiles puisque les ions sont alors agglomérés et sont trop volumineux pour pouvoir pénétrer dans les cellules pour assurer leurs multiples effets bénéfiques. Ceux-ci sont obtenus pour des concentrations optimales de 15 ppm (où les ions sont libres et donc suffisamment petits pour pénétrer dans les cellules).
  • a obtenu qu’on ne puisse pas, en France, procéder à des perfusions à hautes doses de vitamine C pour guérir des cancers.
  • a obtenu d’imposer ses 2 protocoles de chimiothérapie contre le cancer alors qu’il y a des protocoles plus anciens
  • qui fonctionnent de façon vraiment efficace (comme l’a souligné le Dr N. Délépine.
  • a obtenu que les traitements par la médecine tibétaine et autres médecines ancestrales ne soient pas délivrés en France.
  • etc., etc.

Progressivement, au fil des décennies, Big Pharma a pris le pouvoir sur les politiques, a évincé tous les traitements naturels et veut maintenant parachever son œuvre destructrice en supprimant les huiles essentielles… Jusqu’à ce qu’il n’existe plus que… leurs molécules chimiques avec leurs effets secondaires délétères…

Il faut savoir que toutes ces substances naturelles connues et utilisées depuis la plus haute antiquité constituent une concurrence importante pour Big Pharma puisqu’il ne peut pas breveter les substances naturelles… Donc, il a jeté le discrédit sur leurs effets, tout en ayant — quand même — synthétisé les molécules chimiques à partir des connaissances sur les effets bénéfiques des plantes !!… Puis, il en a fait interdire l’utilisation, et maintenant, il veut terminer par l’élimination des huiles essentielles !!!

Programme mégalo et délirant qui n’obéit à aucune logique saine et bienveillante.

[Voir aussi :
Les résultats dévastateurs de la « révolution verte » en Afrique
et Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Monsanto :

industrie chimique qui détruit l’Humanité avec ses produits chimiques, « phytosanitaires », comme les pesticides. Monsanto qui existe depuis les années 1920 et qui s’est juré de rendre l’Humanité entière tributaire de lui !!… Stratégie progressive là aussi, au fil des décennies.

Les insecticides qui détruisent les insectes pollinisateurs [abeilles, papillons, etc.] et donc à terme, empêchent le développement les fleurs et les fruits. À terme, il restera quoi à manger ???? Les céréales OGM de Monsanto qui résistent aux pesticides…. [cf. plus bas] !!!

Le Roundup [glyphosate], herbicide promu de façon universelle par Monsanto auprès des cultivateurs, jardiniers, etc. qui stérilise la terre, qu’on retrouve dans nos assiettes tous les jours et qui détruit notre système immunitaire, provoque de l’hypertension artérielle, du diabète de type 2, de l’obésité qui touche maintenant 30 % de la population mondiale […], des cancers, des maladies auto-immunes [sclérose en plaques, thyroïdite d’Hashimoto, spondylarthrite ankylosante, etc.], etc., etc.

Les OGM Monsanto résistants au Roundup, mais dont il faut racheter les semences à Monsanto chaque année, car elles ne repoussent pas….

Monsanto qui a racheté Nestlé [industrie agroalimentaire polluée, générant de plus en plus de maladies], s’est marié à Bayer [notre voisin allemand, industriel chimique et pharmaceutique], arrivant ainsi à nos portes et permettant ainsi le mariage entre les effets délétères de l’industrie chimique et les traitements pharmaceutiques des maladies provoquées par la partie chimique du système…

Toute une chaîne de A à Z : produits chimiques sur les cultures et dans la nourriture, destruction des pollinisateurs et disparition des fleurs et des fruits, OGM résistant aux pesticides, maladies diverses, médicaments.

Et ainsi : ils tiennent tout le monde dans leurs mains…

Progressivement, ces géants broient tout sur leur passage. Ne les laissons plus avancer !!

[Voir aussi :
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Les Racines de nos Maladies
Monsanto, Syngenta et Bayer ont décidé d’investir des millions de dollars pour développer des « sprays » de morceaux d’ARN afin de transformer les plantes en OGM directement dans les champs
Comment la Fondation Gates pousse le système alimentaire dans la mauvaise direction]


[Source : leslignesbougent.org]

Par Helena Wittkopf

Pétition : Huiles essentielles en danger — sauvons notre patrimoine naturel !

Adressé à : La Commission Européenne

Huiles essentielles en danger : sauvons notre patrimoine naturel !

Non à l’interdiction des huiles essentielles par l’Union Européenne !

A l’heure où je vous parle, la Commission Européenne a déjà pris sa décision : classer les huiles essentielles comme des substances dangereuses dans l’Union européenne… 

… D’ici la fin de l’année !

L’étape d’après ? Les interdire complètement ?

A partir de cette date, les huiles essentielles pourraient bien être en passe de disparaître du paysage santé et cosmétique. 

Les huiles essentielles n’ont rien à voir avec les substances chimiques de synthèse ! 

Les huiles essentielles contiennent plus de 200 molécules actives100% naturelles : elles sont les extraits les plus purs et les plus concentrés d’une plante ! 

Pourtant, une des mesures phares du Pacte vert initié par la Commission européenne ? 

Les traiter sur le même plan que des substances chimiques de synthèse : c’est absurde ! 

D’ici la fin de l’année, on pourrait vraiment finir par voir figurer des têtes de mort sur un flacon de lavande ou de menthe poivrée… comme sur la bouteille d’un produit ménager corrosif ! 

Alors que les huiles essentielles sont utilisées depuis des millénaires pour soigner de nombreux maux mais aussi embellir la peaules cheveuxle corps

Aujourd’hui, ce sont des millions de Français qui ont chaque jour recours aux puissantes propriétés des huiles essentielles (Il se peut d’ailleurs que vos propres produits de beauté en contiennent ou que vous en fassiez vous-même usage quotidiennement) !

C’est la meilleure alternative qui existe aux cosmétiques chimiques qui contiennent souvent des substances très controversées (perturbateurs endocriniens, substances cancérigènes, allergènes…). 

Des centaines de milliers d’emplois menacés ! 

La production des huiles essentielles crée un nombre considérable d’emplois chaque année, en France et dans le reste de l’Europe. 

De la culture agricole à la parfumerie, la cosmétique ou encore la distillerie : ce sont des milliers de personnes qui vont se retrouver sur la paille si ce projet de loi est adopté ! 

La Commission européenne ne peut pas se permettre de faire mourir tout un artisanat et un savoir-faire

Ce sont les petits producteurs et les agriculteurs qui seront les premières victimes de cette mesure. Ne sont-ils pas déjà assez bridés dans leur métier comme ça ? Qui va les indemniser si on les empêche de travailler ? 

Et qu’allons-nous faire de toutes ces étendues de lavande si caractéristiques du sud de la France ? Les brûler ? 

Tout un écosystème est sur le point de s’effondrer ! 

Il y a urgence ! 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience que les huiles essentielles sont aujourd’hui indispensables

Elles ont de multiples vertus sur notre santé et sur notre bien-être physique et psychique. En cosmétique par exemple, elles sont capables de résoudre de nombreux problèmes de peau acné, imperfections, poils incarnés, inflammations, rougeurs… 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience de la spécificité des huiles essentielles : il n’est pas possible de les classer dans la même catégorie que les produits chimiques de synthèse que l’on trouve sur le marché

Si nous n’agissons pas maintenant, d’ici la fin de l’année : il sera plus facile de se procurer un produit potentiellement cancérigène qu’un cosmétique élaboré à partir d’un extrait de plante 100 % naturel !

C’est pourquoi nous exigeons que la Commission européenne adopte une législation spécifique et adaptée aux produits naturels dont font partie les huiles essentielles..

… Qui serait plus proche de la réalité ! 

Les huiles essentielles font partie de notre patrimoine culturel et naturel

Elles sont indispensables pour obtenir des cosmétiques durables, respectueux de notre peau et 100 % naturelles

Avons-nous, aujourd’hui, réellement envie de revenir aux produits toxiques et douteux suite aux mesures du Pacte Vert ? 

La réponse est NON ! 

Signez cette pétition pour faire savoir notre désaccord, sauver des emplois et pouvoir continuer à avoir des cosmétiques naturels sur le marché !

Aidez-moi à mobiliser vos proches, aidez-moi à faire renoncer l’Union Européenne.

Il y a urgence !

S’il vous plaît, signez ma pétition et faites-la signer autour de vous !

Un grand merci !

Pour signer la pétition

Sources

Auteur : Helena Wittkopf




En attendant la crise financière internationale de 2022…

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Nathalie Souvorov-Robert, pour FranceSoir

Naissance et propagation, la chute d’un système financier né à la fin des accords de Bretton Woods

50 ans après la fin officieuse des accords Bretton Woods avec la suspension de la convertibilité du dollar US en or, le système financier international apparaît menacé suite aux diverses crises traversées en ce début de XXIème siècle et à la pensée économique unique qui semble se propager au sein de l’élite occidentale. 

I – La crise financière de 2008, les racines de la crise à venir

Les causes de la crise financière internationale de 2008 ont largement été masquées à la population. Derrière la faillite de Lehman Brothers et la crise des subprimes des intérêts bien moins avouables semblent avoir été dissimulés, intérêts qui ont pu en toute impunité continuer leurs activités nocives, mais ont fait également des adeptes, ce qui constitue un risque systémique majeur pour le système financier mondial quatorze ans plus tard.

II – « Quantitative easing » et gestion de la crise du Covid-19 : les remèdes pires que le mal

Les politiques monétaires et budgétaires menées ces dernières années en Occident pour faire face aux crises de ce début du XXIème siècle ont engendré d’énormes bulles spéculatives (immobilier et bourse notamment) et un endettement abyssal aussi bien privé que public.
Ces gigantesques déséquilibres ne pourront être corrigés que par une crise financière brutale sans précédent à l’échelle mondiale.

1. Les bulles spéculatives et faiblesse de la productivité

En injectant des milliards d’euros / dollars US de liquidités dans le système financier mondial sans création de valeur en face, les banquiers centraux occidentaux ont créé des bulles financières à travers le monde. Les valeurs actuelles de nombreux actifs sont ainsi déconnectées de la réalité.
De plus, si les acteurs du marché peuvent investir à coût quasi-nul aussi bien en actifs financiers qu’en actifs physiques, ils courent le risque d’acquérir des actifs qui ne rapportent rien. On a alors des équilibres non optimaux tels qu’ils ont été décrits par la théorie des jeux, où les parties ne choisissent pas les options qui sont les meilleures pour l’ensemble. D’après certains courants de pensée, cette politique de non-discrimination par les prix serait même à l’origine de la faiblesse de la productivité.

2. L’endettement privé

L’encours de dette des sociétés non financières a bondi laissant craindre un surendettement des entreprises, hausse en grande partie imputable aux Prêts Garantis par l’État en France.
Le remboursement des prêts garantis par l’État (PGE) pourrait être problématique pour nombre d’entreprises. En août 2021, 15% à 25% des entreprises ayant souscrit un PGE seraient dans l’incapacité de rembourser une annuité correspondant à 20% du montant de ce prêt. Un remboursement de la première annuité n’est toutefois pas prévu avant le printemps 2022. A fin juillet 2021, on notait déjà plus de 20 milliards de dettes restructurés depuis le début de la crise sanitaire en France (Vallourec, AccorInvest,…) sur un total de 118 milliards d’euros pour toute l’Europe et de 503 milliards d’euros dans le monde.

Un rebond des défaillances d’entreprise par effet de rattrapage est également inévitable compte tenu que les aides d’état ont permis de « maintenir à flot » des entreprises non viables. Les aides gouvernementales auraient dû se concentrer sur les entreprises prometteuses afin de traverser la crise du Covid-19 sereinement.

Aux États-Unis, selon Janet Yellen, le gonflement de la dette des entreprises les expose à un risque de « banqueroute » en cas de fort ralentissement économique.

On note également que les émissions d’obligations adossées à des prêts hypothécaires réalisées aux USA par des banques et des acteurs immobiliers ont explosé au deuxième trimestre 2021 atteignant 42 milliards de dollars, l’un des montants les plus élevés depuis la crise des subprimes.

À cet endettement des entreprises s’ajoute notamment, aux États-Unis, l’endettement des ménages et des étudiants.

3. L’endettement public

La pandémie a coûté, sur 2020 et 2021, en tout entre 170 et 200 milliards à l’État français entre les dépenses exceptionnelles et les pertes de recettes. En 2021, pour la deuxième année consécutive, le déficit de la France dépassera les 9 % du PIB, déficit qui finance malheureusement, comme dans bien des pays occidentaux, des dépenses courantes.
Les taux d’endettement public des pays de l’OCDE sont extrêmement élevés en 2021 : 117 % en France, 141 % aux États-Unis, 157 % en Italie, 245 % au Japon, 72 % en Allemagne.
Les États-Unis font face à un plafond de la dette atteint et qui a été relevé in extrémis repoussant de quelques mois la crise financière historique qui pourrait résulter d’un défaut de paiement US (flambée des taux d’intérêt, chute brutale du cours des actions et autres troubles financiers à attendre).
 

III – Développement de la culture de la pensée unique occidentale

Du fait de l’interaction des marchés boursiers internationaux, les politiques de la Réserve Fédérale des États-Unis (FED) et de la Banque Centrale Européenne (BCE) s’alignent l’une sur l’autre répétant chacune les erreurs de l’autre. Leur indépendance et les objectifs qui leur sont fixés ne répondent pas à l’optimisation du « bien-être » des populations concernées à long terme. Les courants libéraux déstabilisés par l’épidémie du Covid-19 semblent s’être noyés dans un océan de dettes et des politiques du « quoi qu’il en coûte » à l’opposé de leur doctrine, appliquant ainsi des schémas qu’ils ne maîtrisent pas. 

Conclusion

Bien que la crise financière mondiale à venir soit prévisible d’un point de vue strictement économique et financier, les banques centrales et gouvernements occidentaux refusent de voir l’évidence et préfèrent la méthode « Coué », ou pire se rêvent en « Candide » de Voltaire. Les seules issues aux jours troubles qui se préparent semblent être de bonnes connaissances des rouages macro et microéconomiques, une refonte du système financier actuel, le sang-froid, l’empathie et le courage.

Sources : Les Echos (Karl Eychenne, Nathalie Silbert, Guillaume Benoit, Anne Drif, Patrick Artus)

Auteur(s): Nathalie Souvorov-Robert, pour FranceSoir




Bill Holter : « Je pense que nous sommes réellement à 72H de l’ANARCHIE TOTALE ! »

[Source : businessbourse.com]

L’écrivain financier et expert en métaux précieux Bill Holter a longtemps anticipé que le système financier surendetté allait s’effondrer à un moment donné. Selon Holter, l’attente est terminée, et voici ce qu’il dit : 

« C’est déjà en train d’imploser maintenant. Quand va-t-il complètement plonger ? Cela pourrait prendre quelques jours, quelques semaines ou peut-être même quelques mois, mais le système est en train de déraper. »

Le marché immobilier ou « schéma de Ponzi » de 62 000 milliards de dollars en Chine est en train d’imploser et aurait au moins 6 000 milliards de dollars de dette sur le dos. En Amérique et dans le reste du monde, ils impriment davantage juste pour maintenir le système à flot. Ce système financier est en train de sombrer, et cela pourrait déclencher un krach financier que personne n’a jamais vu auparavant. Il y a une forte inflation irrémédiable, des pénuries de main-d’œuvre et de graves perturbations dans les chaînes d’approvisionnement, et cela va s’aggraver. C’est un cauchemar de déflation et d’inflation en même temps. Voici ce qu’Holter explique : 

« Dans l’immobilier chinois, le volume s’est tari et les prix suivent maintenant. C’est évidemment une déflation. Parallèlement, en regardant dans le monde entier les biens dont les gens ont besoin, comme la nourriture et les produits de base, eh bien l’inflation est partout à travers la planète. Cette inflation évolue en fonction de la masse monétaire qui a été injectée dans le système… Maintenant, le problème est que les banques centrales ont mis trop d’argent dans le système, et vous voyez évidemment l’inflation… 35 % de tous les dollars en circulation aujourd’hui ont été créés au cours des 12 derniers mois. »

Holter brosse le tableau d’un krach financier imminent qui va écraser l’économie alors que l’inflation s’embrase actuellement. La situation du travail ne fait que jeter de l’huile sur le feu de l’inflation. Voici ce qu’Holter souligne : 

« Bien sûr, l’inflation est maintenant exacerbée par les problèmes liés aux chaînes d’approvisionnement. Vous avez des économies qui qui ne cessent de démarrer et de s’arrêter et qui redémarrent et s’arrêtent à nouveau partout dans le monde. Cela a nui aux chaînes d’approvisionnement. Maintenant, vous avez ces obligations ridicules où les gens accordent plus d’importance à leur vie qu’à se retrouver coincés parce qu’ils ne se sont pas faits vacciner. Donc, vous avez des salariés qui prennent le large ou qui sont suspendus au milieu d’une crise de chaîne d’approvisionnement, ce qui ne fait qu’empirer les choses. »

En conclusion, voici ce qu’Holter dit : 

« À ce stade, chaque jour où vous vous réveillez, vous n’êtes qu’à 72 heures de l’anarchie totale. La raison en est que 72 heures sont trois jours. Une personne peut passer trois jours sans nourriture et ensuite on risque de la perdre… Si vous avez un système qui dérape et que les rayons des magasins sont vides ou que les magasins sont fermés ou quoi que ce soit d’autre, vous allez voir de l’anarchie… Par rapport à il y a deux ans, c’est le jour et la nuit. Nous sommes au seuil de la tyrannie totale, et en même temps, vous avez des problèmes d’approvisionnement et des problèmes financiers évidents. Vous avez un Trésor américain fauché qui envidage de dépenser 5 000 milliards de dollars supplémentaires. Vraiment ? D’où viendront les 5 000 milliards de dollars ? Oh, nous allons juste les imprimer. »

[Ndlr : l’être humain peut sans difficulté passer trois jours sans nourriture et de nombreuses personnes ont fait la grève de la faim pendant plus d’un mois. Par contre, c’est de boire que l’on ne peut pas se passer pendant tellement plus de trois jours. Par ailleurs, en cas de pénurie alimentaire grave, les stocks d’épiceries et autres magasins d’alimentation ne tiendraient pas plus de quelques jours.]

Le conseil d’Holte r: « Achetez de vrais trucs maintenant » et « faites le plein de tout ce dont vous pensez avoir besoin pour les prochaines années ». Holter aime aussi l’or et l’argent dont il suggère de s’en procurer rapidement, en particulier l’argent car « c’est l’actif le plus sous-évalué de la planète ».

Source: usawatchdog.com

[Note de Jean-Michel : Expliquer doctement qu’on est tous à 72 heures de l’anarchie totale chaque matin parce-qu’on ne peut pas survivre plus longtemps que 3 jours est une aberration totale. Que cet aigrefin mette les pieds dans une bibliothèque, ce qu’il n’a sans doute jamais fait, et se procure le livre « Naufragé volontaire » d’Alain Bombard, dans lequel celui-ci démontre qu’un naufragé sans nourriture peut survivre en mer sur un engin pneumatique en se nourrissant exclusivement de poisson, de plancton et d’eau de mer pendant plus de deux mois ! Même après le krach du millénaire, les poissons de mer et de rivières seront toujours là. Il suffit de savoir pêcher ! Et ne parlons pas des fruits et légumes qui ne vont pas disparaître comme par enchantement avec la tornade boursière. Ni des vaches qui donneront toujours du lait. On peut continuer, la liste est longue. Mais apparemment, cela n’effleure même pas la cervelle de poisson rouge de ce requin sans scrupules qui imagine le monde à son image subaquatique.
Les peuples ont assez à faire avec les marchands de malheur au pouvoir pour ne pas aller en chercher d’autres dans des sites qui anticipent déjà la panique boursière qui vient pour mieux faire du fric sur le malheur des plus faibles.]




Reprise des Gilets Jaunes ?

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Puisque les voyous ont profité de la crise pandémique pour reprendre la mains dans un silence général aussi assourdissant que désolant, la seule chose qui pourrait désormais nous arriver de bien, c’est ça :

Pour peu qu’il soit pris acte des “faiblesses” de la saison 1, avec une saison 2, disons, plus énergique, et avec un seul objectif bien précis : virer définitivement les voyous (je ne parle pas des blackblocks, mais des salauds corrompus de la haute), non vraiment, je ne vois pas ce qui pourrait nous arriver de mieux pour en finir avec ce désastre  – que pouvait-il d’ailleurs nous arriver de pire ?




15 octobre 2021 : radiation des soignants = autodafé du Serment d’Hippocrate

Par Lucien Samir Oulahbib

À écouter le dernier Conseil Scientifique indépendant (CSI) qui avait invité un spécialiste du SARS-CoV-2, il semble bien que, selon lui, les Autorités en place aient échoué, d’une part en employant imprudemment une technologie mal maîtrisée (d’où les doses à répétition par ailleurs périmées au bout de six mois), d’autre part en écartant des techniques préventives comme la vitamine D ; elles ont donc aggravé la situation. Alors que cette prévention articulée à une thérapie précoce pour les malades effectifs aurait pu représenter une barrière puissante évitant l’aventurisme affairiste auquel nous assistons actuellement.

Le second exposé, relatif au déni de l’existence de relations de causalité entre injections et effets secondaires, était également d’autant plus intéressant qu’il rappelait en effet que les industries du tabac avaient pendant longtemps rigoureusement nié les corrélations causales entre tabac et cancer du poumon. L’exposé se fragilise cependant inutilement en indiquant aussi comme exemple lesdites négations de « climato-sceptiques » concernant les liens entre hausse des températures (1,5 % sur 150 ans) et élévation de gaz dits à « effet de serre » (CO2, méthane, vapeur d’eau…) liée à l’activité humaine, car là, pour le coup, la démonstration n’est pas faite comme l’a indiqué François Gervais, spécialiste du CO2, en signalant d’une part que les 3/4 de l’augmentation du CO2 a émergé avant les années 1940 (donc avant le boom industriel des années 50-60) et que d’autre part l’on confond CO2 et CO. Le premier est bénéfique pour la végétation, à la différence du second qui du fait d’une combustion non aboutie sécrète des toxines toxiques qui sont cependant éliminées de mieux à mieux (ainsi les nouveaux pots catalytiques les éliminent à 98 %).

Ce qui fait que les relations causales dépendent de l’objet étudié et surtout de l’angle choisi : si l’on adopte par exemple un point de vue purement arithmétique, il est sûr qu’en lissant sur 500 ans le nombre d’incidences criminelles l’on peut trouver que la Cour des Miracles pouvait être plus dangereuse que Place Stalingrad aujourd’hui. Mais cette constatation académique ne vaut rien au niveau politique lorsqu’il s’agit de subir pour tout un chacun des perturbations vitales qui statistiquement pèsent peu alors qu’elles sont si importantes pour les personnes les vivant au quotidien. Il en est évidemment de même pour ces quartiers qui voient les « natifs » être réellement chassés par les nouveaux arrivants comme l’indiquent ces derniers temps ces nombreux exemples relatés par des maires courageux, même si cela ne forme encore qu’une poignée en ratio avec le nombre d’étrangers aux quartiers concernés ; mais dans ce cas, et si cela était si infime que cela, ce serait identique à ce qui est dit aujourd’hui concernant les effets secondaires des injections qui, comparés aux trois milliards de personnes en phase expérimentale, pèseraient peu au vu de leurs remontées encore infimes. Alors que cependant, l’on sait d’une part que des médicaments ont été arrêtés pour moins que cela et que d’autre part l’on ne connaît pas encore les effets à long terme de ces injections à AMM conditionnelle (et qui n’a pas été renouvelée aux dernières nouvelles), comme la prolifération actuelle des maladies auto-immunes et des cancers. C’est du moins ce que relatent plusieurs membres du CSI (à cette même séance) ; tout en espérant, à décharge, que les fonctions immunitaires naturelles des personnes en bonne santé ont en fait éliminé d’emblée cette inoculation (alors que celle-ci accentuerait la fragilité des personnes plus à risques ce qu’il faut creuser).

En tout cas, ce qui est à retenir et ce qui est très grave, c’est que l’on a adopté une technologie qui n’a guère d’effets positifs, car si l’on compare l’été 2020 et l’été 2021 l’écart létal n’est pas significatif avec ou sans injection. En effet, en juin 2020 avant l’arrivée de ce que l’on a appelé plus tard des « variants », causes des remontées de cas et de malades, la courbe était retombée sans injection (voir d’autres comparaisons ici dans l’étude animée par Laurent Toubiana). D’autre part, le fait d’avoir empêché les médecins de prescrire, y compris lorsqu’il n’y avait pas d’injections, est bien la preuve que le Serment d’Hippocrate aura été piétiné et, aujourd’hui mis au feu, puisqu’en cette date désormais maudite du 15 octobre 2021 (au même titre que celles du 5 août et du 12 juillet 2021), les soignants non injectés sont non seulement suspendus, mais interdits de pratiquer, ce qui est un scandale immense, inouï, inédit qui fera date.

Jamais en effet, pour une maladie si peu létale qui plus est, et alors que ces soignants savent prendre leurs précautions, une politique aussi brutale et cruelle, n’a été adoptée, montrant par là toute l’inhumanité d’une Secte sûre de son fait, prétentieuse, alors qu’elle s’est trompée sur toute la ligne (y compris sur l’efficacité supposée des « confinements », battue en brèche), croyant tout savoir sur l’immense complexité de la vie humaine. Alors qu’il faut toujours rester modeste, tant nous savons encore si peu de choses sur ce que le mot « santé » veut dire, du moins si l’on cherche à aller plus loin que cette remarque de Claude Bernard lorsqu’il indiquait pour celle-ci qu’il s’agissait déjà du « silence des organes », ce qui n’est pas rien, certes, mais nécessiterait sans doute de continuer à les sonder, tant le silence, surtout lorsqu’il est abyssal, décèle des causalités insoupçonnées, ce qui peut cependant permettre d’en prévenir les effets à venir si on laisse précisément les médecins faire librement leur travail.

Mais Claude Bernard est oublié. La médecine, les médecins, leurs longues, très longues années d’études et de pratiques, tout est jeté à la « poubelle de l’Histoire » au profit d’une vaste machinerie pseudo scientifique (scientiste en réalité) façon Frankenstein, Folamour, voire Menguele, tant expérimenter par exemple sur des enfants — qui ne font pas partie des catégories à « risques » (censées être par ailleurs « protégées » par l’injection) — s’avère être de plus en plus un crime contre l’Humanité, à tendance génocidaire. Ceci devra être bien sûr durement sanctionné, à commencer par tous ces sophistes de plateau qui sont les premiers responsables à avoir par exemple décrié les traitements précoces et surtout, comme l’indique Didier Raoult dans son dernier ouvrage, sont restés minutieusement silencieux devant ces manipulations de données dignes de pratiques cyniques nihilistes et en fait mafieuses.

C’est ce silence, plus que celui des « organes » qui est devenu inadmissible et doit donc être très durement sanctionné.




L’étude foireuse de Véran pour s’autojustifier

[Source : pgibertie.com]

Epi-Phare — des questions à poser sur la fameuse étude de Véran qui justifie Véran

… Covid-19 : une étude française confirme l’efficacité des vaccins sur plus de 22 millions de personnes

Fait sans précédent, ces deux analyses ont été réalisées sur un total de 22,6 millions de personnes. Ce sont « les études épidémiologiques analysant l’efficacité “en vie réelle” des vaccins qui portent sur le plus grand nombre de personnes dans le monde », souligne Antoine Flahault, professeur d’épidémiologie et directeur de l’Institut de santé globale à Genève. « Les études israéliennes sur le sujet, elles, ont inclus près de 6,5 millions de participants, les études britanniques 2,6 millions et les études nord-américaines 3,4 millions », précise l’épidémiologiste suisse.

Une étude  chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.

Une presse d’investigation se serait posée la question des conflits d’intérêt : Véran justifiant Véran  et surtout elle aurait lu l’étude

Il me semble utile de poser quelques questions sur la fiabilité de l’étude.

1) Il n’est pas vrai que la totalité des Français de plus de 50 ans soient incorporés dans cette étude et nous ne pouvons que le regretter…

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000

Ils auraient inventé un million d’habitants…

https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/structure-population/population-ages/

https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474

Pour les 50 à 75 ans , ils en étudient 15,4millions, l’INSEE en compte 21M soit …

Ce serait donc plus de 85% des plus de 50 ans  en France qui auraient été suivis depuis le 11 février et jusqu’au 20 juillet , pour moitié  non vaccinés pour une autre moitié  à partir de la première dose

2) Toutes les hospitalisations covid n’ont pas été prises en compte

Un total de 26000 hospitalisés depuis  le 11 février  jusqu’au 20 juillet pour cause de covid selon l’étude

Au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus  pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations covid ont disparu…

La Drees nous a habitué à des choix sélectifs et l’ont ne peut que s’en inquiéter.

Nous constatons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte pour les vaccinés , nous pouvons être certains qu’au moins 90%  des hospitalisés Covid ont été testé covid via un test pcr, mais ils ne doivent être que 60% des hospitalisés non vaccinés à être certifiés covid.

3) En réalité il n’y a pas eu de suivi de tous les Français de plus de 50 ans

mais des « appariements de vaccinés et non vaccinés pouvant être utilisés plusieurs fois, un non-vacciné servant  ensuite après la vaccination comme vacciné dans la poursuite de l’étude.

L’étude reconnait les appariements.

Les groupes « vaccinés » et « non vaccinés » ont été constitués, en appariant chronologiquement (du 27
décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou
date index) de mêmes âge, sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans
PUI (pharmacie à usage intérieur)). Les personnes vaccinées et non vaccinées ont été suivies de la date
de vaccination jusqu’au 20 juillet 2021.

Nous retrouvons les même défauts dans une étude israélienne, la même opacité des données  avec plusieurs biais évidents :

Le biais chronologique reconnu de l’étude israélienne : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non vacciné  mais pour des périodes chronologiques différentes , les non vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie ( février mars  avril) et sils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés  en mai ou juin , les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés mais parce que la pandémie est terminée…

Ils nous garantissent bien un appariement chronologique entre le 27 décembre et le 30 avril …Je veux bien mais il y a un os.

Très concrètement parlons des vaccinés Pfizer suivis après le 14e jour  post deuxième dose. Il y en a beaucoup parmi les plus de 75 ans après le mois de mai , qu’ils en aient trouvé  1M700 000 n’est pas difficile. Mais pour trouver un nombre équivalent de non vaccinés, il y a un os dans le yaourt…

Mais à qui feront ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent  de plus de 75 ans  non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? ….Au début mai il n’y avait en France que 1,5 millions de plus de 75 ans  , et leur nombre n’ a cessé depuis de diminuer…

À moins d’inventer un million de plus de 75 ans non vaccinés, l’étude était impossible à réaliser pour cette période faute d’effectifs

À moins de ne pas respecter l’appariement chronologique et de comparer ce qui ne l’est pas , des vaccinés

Merci de me rassurer.

Reprenons donc l’étude en attendant des précisions sur les comparaison s à long terme qui me posent problème.

Plus de 75 ans : le risque  d’hospitalisation réduit des deux tiers.

Non=vaccinés 5 471 / 3 645 744 (0.15 %)
Vaccinés à partir de la première dose 1 540 / 3 645 744 (0.04 %)

Pour les 50 74 ans Le risque d’hospitalisation  réduit de moins des deux tiers   et seulement de moitié avec moderna :

Non-vaccinés 13 223 / 7 754 912 (0.17 %)
Vaccinés après la première dose 4 317 / 7 754 912 (0.06 %)

On nous dit qu’il ne s’agit que des hospitalisations covid  Rien donc sur l’ensemble des hospitalisations qui auraient pu nous interpeler sur les effets secondaires. Cependant entreau cours de la deuxième semaine qui suit la première inoculation il se passe quelque chose d’étrange

Suivi du 7e jour jusqu’au 13e jour après la 1re dose :

Moderna

Non-vaccinés 139 / 288 795 (0.05 %)
Vaccinés 179 / 288 795 (0.06 %)

Pfizer

Non-vaccinés 1 926/ 2 823 965 (0.07 %)
Vaccinés 1 234 / 2 823 965 (0.04 %)

Il n’y a aucune différence [franche] entre vaccinés et non-vaccinés.

Une protection liée à la vaccination de un à trois pour les hospitalisations semble cohérente avec des statistiques d’autres pays.

Pour arriver à un à neuf il faut s’appuyer sur des comparaisons post deuxième doses qui butent sur des impossibilités démographiques étudiées plus haut.

CE QUE L’ON POUVAIT ATTENDRE.

Si l’on applique  la règle Véran ( le vaccin réduit la mortalité de 90% on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés  pour avoir le nombre de décès évités

Sans le vaccin , cet été la France aurait eu plus de mort que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas … Impossible

Israël et le Royaume Uni auraient dû avoir  depuis mars   trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays , bien plus que cet hiver

DEUX POSSIBILITES

  1. L’étude est truandée
  2. La France est protégée par Jupiter

Voir la démonstration par l’absurde sur Twitter  par un biologiste dissimulé par le pseudo Mounotella.

L’équipe de France Soir met en évidence d’autre biais :

Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé (francesoir.fr)


[Source : francesoir.fr]

Epi-Phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé

Une si petite chose, et tant d’effets
Pixabay

Auteur(s) : Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir

ANALYSE — Ce lundi 11 octobre, le groupement Epi-Phare a publié deux études affirmant que « la vaccination est efficace à plus de 90 % pour réduire les formes graves de Covid-19 chez les personnes de plus de 50 ans en France ». Cette étude sort à quatre jours des discussions au Sénat sur la vaccination obligatoire en France. Depuis près de 18 mois, les experts nous vantent les mérites des études randomisées en double aveugle publiées après revue par les pairs dans des journaux indépendants sans que les auteurs n’aient de lien d’intérêt. Le canon de la science nous dit-on, malgré le fait que nous avons dû faire face à une nouvelle maladie qui aurait dû entraîner au sein de la loi d’urgence des « décisions adéquates ». Les études définies comme « best practice » font l’objet de protocoles enregistrés (clinicaltrials.gov ou bien Prospero) afin de s’assurer que celles-ci respectent les normes et règles établies. Le lecteur de cette dernière étude ne pourra donc qu’être surpris de l’absence de déclaration préalable de cette étude ou de l’absence de revue par les pairs. Le « deux poids, deux mesures » dénoncés par bien des scientifiques lors des derniers mois prend toute sa mesure avec cette nouvelle étude qui s’apparente plus à une autoévaluation ou auto-validation du ministre de la Santé Olivier Véran. Avant de rentrer dans les biais méthodologiques, les travers de cette étude au niveau macro sont nombreux : absence de revue par les pairs, non-déclaration préalable, lien entre Epi-phare, l’ANSM et le ministère de la Santé, sans parler de l’absence de validation ou calibration au réel en comparant à d’autres pays.

Transparence

L’étude Epi-Phare mesure-t-elle vraiment l’impact de la vaccination ?

La méthodologie d’Epi-phare est sensiblement la même que celle utilisée pour Israël dans l’étude de Dagan et al, dont la critique a été faite dans l’article « A-t-on encore le droit de questionner la politique vaccinale ? » Elle utilise le même type de données, les mêmes outils d’analyses, porte donc les mêmes biais et arrive aux mêmes conclusions. Les résultats dépendent entièrement de la manière dont ont été remonté les hospitalisations et décès liés à la Covid-19.

Cette étude montre seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou décédés de la Covid-19. Rien ne nous montre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés ou décédés que les non-vaccinés. Il serait pourtant très simple de vérifier si la vaccination a un impact positif sur la santé.

La méthode volontairement borgne, biaisée d’emblée

La méthode de cette étude est décrite en page 7 ou 8 selon l’une ou l’autre des deux études : La cohorte de sujets vaccinés a été identifiée à partir de la base des données nationales pseudonymisées VAC-SI mise en œuvre par l’Assurance maladie. Ces données ont été couplées au Système national des données de santé (SNDS) afin de décrire leurs caractéristiques sociodémographiques et leurs comorbidités ainsi que d’identifier la cohorte de sujets non vaccinée.

Cela signifie que l’étude peut suivre tous les événements intéressants des vaccinés et non vaccinés intervenant à l’hôpital et les comparer.

Les événements d’intérêt (hospitalisation pour COVID, décès survenant au cours de l’hospitalisation pour COVID-19) ont été définis à partir des données d’hospitalisation du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) Fast Track collecté et restitué par l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH).

Cela signifie que seuls les évènements déclarés comme liés à la Covid-19 seront analysés. C’est un énorme biais.

En premier lieu, comme il a été montré dans la dernière revue des statistiques de la DREES, les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (pass sanitaire oblige). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif qu’un vacciné.

Rappelons ici que la Haute autorité de santé considère que la spécificité des tests Covid-19 est de 98%. Ainsi, jusqu’à 2 % de faux positifs peuvent être comptabilisés. Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui seront rangés dans la case « asymptomatique ». Si on testait tous les millions de petits garçons français avec un test de grossesse, on en trouverait forcément quelques-uns de positifs. Avec la nouvelle logique Covid, il faudrait donc les déclarer en « grossesse asymptomatique ».

Ainsi, tous ces non-vaccinés, surtestés et donc positifs par le hasard des choses, vont voir leurs évènements indésirables classés en « Covid ». Biaisant ainsi tous les résultats statistiques.

De plus, dans cette dernière critique sur les statistiques de la DREES, il a été montré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même sans test positif de confirmation.

Chacun peut vérifier que dans le tableau 1 de sa dernière étude, la DREES informe des entrées à l’hôpital, soins critiques et décès pour cause Covid-19, selon le statut vaccinal et la présence d’un test RT-PCR positif. Ainsi, sur la période du 30 août au 5 septembre, 619 personnes ont été déclarées décédées de la covid-19 à l’hôpital. Parmi elles, 466 étaient non vaccinées et 130 avaient une vaccination complète. Étonnamment, seuls 61% des non-vaccinés déclarés décédés de la Covid avaient bien un test positif (286/466) contre 92% des vaccinés (119/130).

Cette étude d’Epi-Phare n’est pas une étude randomisée. Il ne s’agit pas d’un groupe d’étude et d’un groupe de contrôle choisis au hasard et portant des caractéristiques similaires. Cette étude est construite à partir de données administratives médicales. Il n’y a donc absolument aucun contrôle scientifique préalable sur leur qualité. Personne ne sait si la déclaration « hospitalisation Covid-19 » ou « décès Covid-19 » est sans biais relatif au statut vaccinal. Les statistiques semblent plutôt révéler un biais en accord avec des pressions politiques ou financières, comme nous avons pu le voir sur l’aspect « surdéclaration » expliqué dans cette vidéo ou l’étrange répartition géographique expliquée dans cet article.

Ainsi, ces études d’Epi-Phare contiennent les mêmes biais de sélections que les statistiques de la DREES, il est donc normal d’y retrouver les mêmes ordres de grandeur des résultats.

Une méthodologie complexe permet de masquer les incohérences

S’il y a bien une maladie qui s’est répandue depuis 2020 dans le monde scientifique, c’est la modélite aiguë. Désormais, toute étude semble devoir s’appuyer sur des modèles. Cela a le double avantage de donner un caractère sérieux à n’importe quel résultat trivial ou même invraisemblable, tout en éliminant toute relecture par des personnes non initiées à ces cascades. Lorsqu’on a été formé à comprendre les mécanismes de ces modèles, on est souvent surpris de la distance séparant le titre de l’étude des statistiques utilisées.

Un appariement étrange vaccinés/non-vaccinés

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs annoncent page 5 suivre une cohorte de vaccinés et une cohorte de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Il est étonnant d’avoir les données d’autant de personnes puisque l’Insee estime la population de France (donc incluant les DOM-TOM) de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes. Une erreur de 800 000 personnes de la part de l’institut semblerait assez improbable, surtout s’il s’agit de personnes ayant leurs données SNDS disponibles.

À la page 11, les auteurs précisent : 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « vaccinés », 2 486 060 (40,5%) sujets inclus uniquement dans le groupe « non vaccinés » et 1 160 913 (19,0%) sujets initialement inclus dans le groupe « non-vaccinés » puis devenus vaccinés par la suite, et donc inclus successivement dans le groupe « non-vaccinés » puis le groupe « vaccinés ».

Ainsi, la cohorte suivie serait en réalité de 6,1 millions de personnes (et pas 7,2), dont 1,1 million comptés 2 fois.

Ce double comptage est à la fois incompréhensible et problématique. Les auteurs écrivent en page 8 : 

Afin de rendre comparable les groupes « vaccinés » et « non vaccinés », nous avons constitué des couples (1 personne vaccinée et 1 personne non-vaccinée), en appariant chronologiquement (de 27 décembre 2020 au 30 avril 2021) chaque sujet vacciné à un sujet non vacciné à la date de vaccination (ou date index) de mêmes âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)). Ces informations constituent les variables d’appariement. Les sujets non vaccinés (témoins) ne pouvaient être appariés qu’à une seule personne vaccinée. Si un sujet témoin était vacciné au cours du suivi, le suivi était aussitôt arrêté pour l’ensemble du couple auquel il appartenait, puis le sujet nouvellement vacciné était de nouveau éligible pour être inclus dans la cohorte en tant que vacciné.

Ainsi, avec cette méthode, les premiers vaccinés sont très rapidement sortis de l’étude puisqu’ils ont beaucoup de chance d’être appariés à un non-vacciné qui va se faire vacciner rapidement. Dès lors, il paraît tout à fait normal que l’étude ne soit pas capable de détecter de baisse d’efficacité vaccinale, puisqu’elle se débarrasse des primo-vaccinés au fur et à mesure. Les 1,1 million de comptés 2 fois signifient que l’étude de 1,1 million des 2,4 millions de vaccinés qui n’ont pas changé de groupe s’est arrêté précocement soit 45%.

Pourtant, il est trivial de savoir qui dans toute la cohorte sera un jour vacciné. Il ne faut donc pas apparier un vacciné avec un futur vacciné pour ne pas perdre son suivi.

Des non-vaccinés en bien mauvaise santé

Les auteurs ont apparié vaccinés et non-vaccinés selon quatre critères : même âge (même année de naissance), sexe, région administrative et type de résidence (EHPAD et USLD avec/sans PUI (pharmacie à usage intérieur)).

Pourtant, les nombreuses études à disposition montrent que l’état de santé d’une personne est déterminant sur son risque d’être hospitalisée ou même de décéder. À la page 16 de l’étude, on apprend que les non-vaccinés sont plus souvent :

  • En situation de grande défavorisation (indice 4 et 5)
  • Fragiles
  • Alcooliques
  • Obèses
  • Diabétiques
  • Fumeurs

Précisons à ce stade que les personnes défavorisées sont le plus souvent sous-diagnostiquées, ainsi les problèmes médicaux identifiés ont une probabilité plus grande d’être sous-estimés.

Il est donc « étonnant » que l’appariement n’ait pas eu lieu également sur ce type de critère qui risque fort de biaiser les résultats.

« Nous demandons que soit réalisé un appariement cohérent avec les variables affectant le résultat. »

Au lieu d’améliorer la qualité de l’appariement, les auteurs ont décidé d’établir une méthode pour corriger les biais des covariables citées. Le modèle de Cox est censé proposer des résultats sans biais. Pour appliquer cette méthode il faut supposer que l’évènement que l’on suit (décès ou hospitalisation) résulte d’une somme de facteurs et que certaines hypothèses soient vérifiées.

Ainsi, il faut que le risque porté par chaque covariable soit constant. Le modèle ne tient pas la route si le risque d’être hospitalisé pour Covid-19 lorsque l’on est fumeur dépend de la période de l’année. Étant donné que ce risque est fortement lié à la saison (beaucoup d’hospitalisations et de décès l’hiver et très peu l’été).

« Il faut donc que soient publiées les vérifications d’hypothèses permettant de justifier le modèle. »

Ajoutons que cette régression de Cox qui additionne des facteurs de risque n’a aucun sens si on considère que les risques ne s’additionnent pas. Ainsi, pour simplifier, si on considère que le risque porté par le fait de fumer et d’être obèse à la fois, est bien plus grand que le risque d’être fumeur additionné au risque d’être obèse, ce modèle ne tient pas non plus. Pourtant, cette augmentation du risque plus forte qu’un simple cumul semble bien probable dans la vraie vie. À l’inverse, si les risque ne s’additionnent pas et que le plus grand l’emporte, par exemple, le modèle s’écroule aussi.

Une méthode sans biais pourtant facile à mettre en œuvre

Il serait extrêmement facile pour Epi-Phare de retirer le biais de sélection sur l’enregistrement « Covid ». Il suffirait de garder la même étude, mais de choisir comme évènement d’intérêt « hospitalisation » et « décès », à la place d’« hospitalisation Covid » et « décès Covid ».

Cette étude permettrait en plus d’évaluer le bénéfice total de la vaccination, rapporté à ses risques. En effet, même si nous supposions que la déclaration Covid-19 n’a aucun biais de sélection entre non-vacciné et vacciné, il reste le biais lié à l’injection en elle-même. Si jamais l’injection est associée à une augmentation de la mortalité, même faible, des plus fragiles, alors les plus fragiles sont décédés avant d’être malades de la Covid-19. On trouvera alors un taux de mortalité lié à la Covid-19 plus faible chez les vaccinés, car certains seront morts avant.

Ainsi, comme pour l’étude de Dagan et al., nous demandons que soient considérés comme évènements d’intérêt les « décès » et « hospitalisations ». Cela nous permettra de savoir si ces injections ont un réel intérêt pour la santé publique.

D’autres personnes se sont interrogées sur cette étude

Sur les réseaux sociaux, plusieurs personnes se sont employées à critiquer cette pseudo-étude, comme Patrice Gibertie sur son blog Epiphare/des questions a poser sur la fameuse étude de veran qui justifie veran.

L’analyse la plus intéressante porte sur la validation exogène de l’étude en appliquant les données à d’autres pays comme Israël ou le Royaume uni pour analyser qu’en appliquant les ratios (1/10 décès de vaccinés) de l’étude Epi-Phare au Royaume uni il y aurait donc au 15650 décès de plus de 50 ans s’il n’y avait pas eu les vaccins. La calibration au réel est une phase essentielle de toute étude rétrospective et visiblement elle a été totalement omise de l’étude Epi=Phare comme si les autres pays n’existaient pas.

Et d’un point de vue de la dépense publique et du rapport coût-bénéfice ?

Il ne fait aucun doute que, si la Covid-19 est bien une maladie hautement contagieuse et mortelle dont les vaccins protègent à plus de 90%, il devrait apparaître nettement un intérêt de ces produits pour les décès et hospitalisations toutes causes.

Rappelons que cette demande a été clairement formulée par la Cour des comptes. Dans son rapport du 22 septembre 2021, la Cour des comptes analyse les statistiques mises à disposition par le gouvernement pour « informer » sur la situation actuelle et surtout justifier sa politique

La Cour des comptes est donc bien consciente que les statistiques estampillées « Covid » n’apportent absolument aucune information sur la situation sanitaire, et ce depuis le début de cette crise. Le terme « opaque » est bien évidemment le doux euphémisme de « propagande ».

Vu les sommes actuellement engagées dans cette politique vaccinale (5,7 milliards d’euros) alors qu’est maintenu le choix de supprimer les lits d’hôpitaux (-5 700 en 2020), il est plus que temps de prouver l’intérêt de cette stratégie, sans biais.

Un gain ridicule au regard de son coût

À partir de la page 23 sont listées les différences entre vaccinés et non-vaccinés selon la méthode utilisée. Même si nous n’avions pas relevé de problème de méthode dans cette étude, il faut réaliser le piètre bénéfice révélé ici.

Pour une somme engagée de 5,7 milliards d’euros, la politique du tout-vaccinal « permettrait » de passer d’un taux de 0,31% d’hospitalisation des personnes de 75 ans et plus à 0,03%, soit de 19 000 à 2 000 (-17 000 séjours) pour 6,2 millions de personnes. Pour les 20 millions de 50-74 ans, le risque passerait de 0,05% à 0,01%, soit de 9 000 à 1000 (-8 000).

Cela fait donc 5,7 milliards dépensés pour « éviter » 25 000 hospitalisations. En comparaison l’hôpital a enregistré en 2019 11,7 millions de séjours en hospitalisation complète et 17,6 millions de journées en hospitalisation partielle. Ce 25 000 est donc complètement insignifiant sur l’activité hospitalière française (0,21%) comme le révèle la quasi-impossibilité de l’observer graphiquement.

En revanche, en 2019, les dépenses de consommation de soins hospitaliers (secteurs public et privé, hors soins de longue durée) s’élèvent à 97,1 milliards d’euros. Les 5,7 milliards dépensés représentent près de 6 % de ce budget.

Constater un tel montant d’argent public ainsi dépensé au bénéfice des grands industriels pharmaceutiques, alors que le gain que l’État s’échine à vouloir justifier n’a pas le moindre rapport avec le coût de la vaccination, n’est qu’une preuve supplémentaire qu’à aucun moment depuis 18 mois il n’a été question de santé publique.

La transparence est le socle de toute étude scientifique, permettant à tous les chercheurs de réaliser des analyses sur la même base de données publiques. Si le gouvernement est aussi sûr de lui sur l’efficacité des vaccins, qu’il permette enfin aux chercheurs indépendants d’accéder aux données. C’est normalement le fondement de toute étude scientifique de nous permettre de réaliser aussi des analyses sur la même base. Pourquoi continuer à cacher des données pseudonymisées qui d’après eux prouvent le miracle de la vaccination en sauvant de nombreuses vies ? Ouvrez enfin les accès pour que nous puissions, nous aussi, être enfin convaincus par votre politique, au lieu d’avoir à subir vos conclusions sans pouvoir les vérifier.

Jacques Attali a bien déclaré que « faire confiance doit devenir un droit de l’Homme » et Lénine que « La confiance n’exclut pas le contrôle. » 

Auteur(s): Pierre Chaillot, statisticien, Vincent Pavan, mathématicien, et Xavier Azalbert, pour FranceSoir


[Source : pgibertie.com]

Même si Pascal Praud ne le veut pas, l’étude de Véran est foireuse

Non, Mr Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’étude EPI-PHARE est indigne, comparable à celle menée par la call-girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arrêt des expériences sur la molécule.

Non M Praud vous ne pouvez renvoyer Yvan Rioufol dans les cordes par un simple argument d’autorité. L’etude EPI PHARE est indigne, comparable a celle menée par la call girl américaine pour discréditer l’hydroxychloroquine et permettre l’arret des expériences sur la molécule.

Tout comme pour le Lancet Gate les observateurs découvrent le pot aux roses en mettant en évidence des impossibilités statistiques. J’avais exposé les mêmes remarques pour une étude qui prétendait suivre via des appariements presque toute la population israélienne. Depuis le biais chronologique a été reconnu : risque de mettre dans le même couple un vacciné et un non-vacciné, mais pour des périodes chronologiques différentes, les non-vaccinés sont très nombreux pour les groupes âgés en pleine pandémie (février mars avril) et ils seront très exposés à la maladie. Si on les compare à un nombre équivalent de vaccinés en mai ou juin, les vaccinés tomberont moins malades non parce qu’ils sont vaccinés, mais parce que la pandémie est terminée…

L’étude de Mr Véran s’en défend, mais alors nous nous heurtons à des impossibilités statistiques : comment trouver des non-vaccinés en nombre suffisant en mai juin juillet ?

L’étude explose sous les incohérences ! Les données de l’Assurance Maladies et celles de Santé publique France sont en contradiction sur de multiples points avec celles de ladite étude. Vérifiez !

Si l’on applique la règle Véran (le vaccin réduit la mortalité de 90 % on tombe alors sur des absurdités statistiques). En effet sans le vaccin il faudrait multiplier par dix le nombre de morts vaccinés pour avoir le nombre de décès évités

sans le vaccin, cet été la France aurait eu plus de morts que l’hiver dernier avec deux fois moins de cas… Impossible

Israël et le Royaume-Uni auraient dû avoir depuis mars trois fois plus de décès que n’en ont enregistré les statistiques de ces pays, bien plus que cet hiver

Aux 722 décédés britanniques non vaccinés il faudrait rajouter 1700 vaccinés décédés et donc 17 000 décédés évités par le vaccin selon Véran. 20 000 MORTS au lieu de 2400… Impossible !

Vous avez lancé un appel à témoignage, nous serons des centaines d’universitaires à vous répondre sur tous les points précis, mais en attendant :

Comment expliquez-vous que cette étude qui prétend suivre 22 millions de Français sur plusieurs mois puisse y parvenir ?

Le diable se cache dans les détails :

20 % DES PLUS DE 55/74 ANS FUMENT, l’étude n’en trouve que 5 %.

10 % DES PLUS DE 74 ANS FUMENT L’ÉTUDE EN TROUVE 1 %.

Les statistiques officielles comptent 170 000 personnes prises en charge pour Parkinson dans toute la France, l’étude en trouve le double pour les plus de 50 ans.

Des différences inexplicables en plus ou en moins sont vérifiables pour le diabète ou Alzheimer.

Les groupes de non-vaccinés sont deux fois plus nombreux à ne pas être vaccinés contre la grippe. Les lecteurs de ce blog n’ignorent pas que la moitié des Covid graves sont associés à une grippe préparant le terrain à la Covid.

la différence est conséquente pour les plus de 75 ans parmi lesquels on compte 700 000 non vaccinés contre la grippe de plus dans le groupe des non-vaccinés Covid.

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200 000

1,1 M DE VACCINES AURAIENT ÉTÉ COMPTES ET APPARIES DEUX FOIS

Au début de la période considérée 1,1 M de vaccinés contre I, 1 million de non vaccinés, mais au fur et à mesure où les non-vaccinés se font vacciner, ils deviennent dans l’étude des vaccinés et sont appariés à de nouveaux non vaccinés. Les 1,1 M de vaccinés avec lesquels ils étaient appariés sont retirés définitivement de l’étude et par conséquent cessent d’être suivis. S’ils tombent malades par la suite, au pire moment de la pandémie, cela ne sera pas pris en compte.

Étudions ce qui se passe au cours du dernier mois de ladite étude

CONTRADICTION ENTRE SANTÉ PUBLIQUE France ET L’ÉTUDE EPI-FOIRE : 600 vaccinés hospitalisés manquent à l’appel en juillet

Entre le 20 juin et le 21 juillet selon Geodes nous avons eu en tout 730 hospitalisations de plus de 75 ans

Par ailleurs selon Epi Phare l’étude se serait poursuivie avec en appariement un million de non vaccinés de cette tranche d’âge, soit a minima, tous ceux qui vivent dans le pays à ce moment-là…

Et un million de vaccinés (faciles à trouver). Mais à qui feront-ils croire qu’ils ont pu suivre un nombre équivalent de plus de 75 ans non vaccinés et de vaccinés après le 30 avril ? … Au début mai il n’y avait en France que 1,5 million de plus de 75 ans, et leur nombre n’a cessé depuis de diminuer…

Toujours selon EPI-PHARE il y aurait eu pour tous les non-vaccinés disponibles dans le pays 154 hospitalisations… On devrait en déduire que les hospitalisés vaccinés de plus de 75 ans sont 730-154 soit 576… Pas du tout ils n’en trouvent que 25

Problèmes majeurs c’est de cette période que l’on tire les enseignements sur l’efficacité à long terme des vaccins contre le Delta

En recoupant les statistiques de l’étude avec celles de la DREES, nous observons deux biais majeurs :

  • les vaccinés se font tester dix fois moins que les non-vaccinés ce qui rend impossibles les comparaisons de risques de contamination entre les deux catégories. Les études sérieuses portent sur la charge virale dans les muqueuses, elle est identique ce qui démontre que la vaccination ne protège pas de la contamination
  • nous pouvons être certains qu’au moins 90 % des hospitalisés vaccinés Covid ont été testés Covid via un test PCR, mais ils ne doivent être que 60 % des hospitalisés non vaccinés à être certifiés Covid

La sous-évaluation des vaccinés hospitalisés est donc là encore évidente !




Cette dictature sera nécessairement la pire de toutes

[Source : reseauinternational.net]

Par Jean Pierre Aussant.

Cette dictature de l’hygiène présente trois caractéristiques radicalement nouvelles qui la démarquent de celles du passé et qui feront d’elle, et de loin, la plus effroyable de toutes.

La première de ces caractéristiques est qu’elle est mondiale. Cela implique que cette fois la résistance ne pourra compter sur aucun sauveur, aucun allié, aucune grande nation étrangère qui serait susceptible d’intervenir pour une « libération ». Bref, pas d’armée russe ou américaine pour libérer nos Auschwitz et nos Dachau à nous.

La deuxième est que l’immense majorité des esclaves et des opprimés, donnent raison à leurs maîtres. Chose qui rend la résistance du petit noyau d’êtres humains ayant réussi à rester dignes et clairvoyants extrêmement difficile.

La troisième (qui est aussi la plus importante) est que pour la première fois dans l’histoire de l’humanité nous avons à faire à une dictature qui évolue dans un cadre culturel essentiellement athée (si les dictatures communistes du passé se réclamaient officiellement de l’athéisme, pour autant les populations- comme nous l’avons vu en ex URSS- étaient, elles, demeurées croyantes). C’est sans doute cette privation du « filet de sécurité » qu’offraient jadis les religions qui bon an, mal an, reconnaissant une dignité transcendantale à l’être humain créé par Dieu, fixaient une sorte de limite dans le mal, qui ouvrira la porte de l’enfer sur terre.

En effet, l’homme postmoderne qui ces dernières décennies et par le truchement de l’athéisme s’est laissé aller à accepter les pires lois d’infamie contre le respect de la création et de la vie « en soi », n’est plus en mesure de croire sérieusement en lui-même. Ayant accepté avec la légalisation du meurtre de l’innocent absolu qui est l’enfant à naître, le principe même de l’écrasement de l’être humain dans ce qu’il a de plus précieux (la vie), il ne peut plus, en creux, croire en lui-même. Il sait désormais au fond de lui, qu’il n’a plus rien à dire. Pour ainsi dire l’acceptation de l’écrasement des autres, l’oblige maintenant à accepter son propre écrasement. Oui, le mépris des autres l’aura in fine conduit à se mépriser lui-même.  C’est pourquoi, au fond, il est devenu incapable de se défendre.




La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’histoire de la polio

La maladie la plus souvent invoquée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite. Par coïncidence, c’est aussi le plus grand mensonge et la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. Les toxines causant la “polio” sont bien documentées. Le virus responsable de la polio n’a jamais existé.

Une infirmière assiste un patient de 27 ans dans un poumon d’acier à Syracuse, N.Y., en 1954

1824 : Les ouvriers métallurgistes souffraient depuis des siècles d’une paralysie similaire à la polio, causée par le plomb et l’arsenic présents dans les métaux qu’ils travaillaient. Le scientifique anglais John Cooke observe : “Les fumées de ces métaux, ou leur réception en solution dans l’estomac, provoquent souvent des paralysies”.

1890 : Aux États-Unis, on commence à pulvériser de l’arséniate de plomb jusqu’à 12 fois par été pour tuer le carpocapse des pommes.

1892 : Des épidémies de polio commencent à se produire dans le Vermont, une région de culture de pommes. Dans son rapport, l’inspecteur du gouvernement, le Dr Charles Caverly, note que les parents signalent que certains enfants tombent malades après avoir mangé des fruits. Il déclare que ” la paralysie infantile se produit généralement dans des familles comptant plusieurs enfants, et comme aucun effort n’a été fait pour les isoler, il est très probable qu’elle n’est pas contagieuse ” (un seul enfant de la famille ayant été touché).

1907 : L’arséniate de calcium est utilisé principalement sur les cultures de coton.

1908 : Dans une ville du Massachusetts comptant trois usines de coton et des vergers de pommiers, 69 enfants tombent soudainement malades de paralysie infantile.

1909 : Le Royaume-Uni interdit les importations de pommes en provenance des États-Unis en raison de la présence de résidus importants d’arséniate de plomb.

1921 : Franklin D. Roosevelt développe la polio après avoir nagé dans la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick. La toxicité de l’eau pourrait être due à des écoulements polluants.

1943 : Introduction du DDT, un pesticide neurotoxique. Au cours des années suivantes, son utilisation se généralise dans les foyers américains. Par exemple, du papier peint imprégné de DDT a été placé dans les chambres d’enfants.

1943 : Une épidémie de polio dans la ville britannique de Broadstairs, dans le Kent, est liée à une laiterie locale où les vaches étaient lavées au DDT.

1944 : Albert Sabin rapporte qu’une cause majeure de maladie et de décès des troupes américaines basées aux Philippines était la poliomyélite. Les camps militaires américains y sont pulvérisés quotidiennement avec du DDT pour tuer les moustiques. Les colonies philippines voisines n’ont pas été touchées.

1944 : Le NIH rapporte que le DDT endommage les mêmes cellules de la corne antérieure qui sont endommagées dans la paralysie infantile.

1946 : Gebhaedt montre que la saisonnalité de la polio est en corrélation avec la récolte des fruits.

1949 : Le Dr Morton Biskind, endocrinologue, praticien et chercheur médical, constate que le DDT provoque ” des lésions de la moelle épinière similaires à celles de la polio humaine “.

1950 : Le directeur médical de l’hygiène industrielle de la santé publique américaine, J.G. Townsend, note la similitude entre l’empoisonnement au parathion et la polio et pense que certaines polio pourraient être causées par la consommation de fruits ou de légumes contenant des résidus de parathion.

1951 : Le Dr Biskind traite ses patients atteints de polio comme des victimes d’empoisonnement, en éliminant les toxines de la nourriture et de l’environnement, en particulier le lait et le beurre contaminés par le DDT. Le Dr Biskind écrit : “Bien que les jeunes animaux soient plus sensibles aux effets du DDT que les adultes, dans la mesure où la littérature disponible est concernée, il ne semble pas que les effets de telles concentrations sur les nourrissons et les enfants aient même été pris en compte.

1949-1951 : D’autres médecins déclarent avoir du succès dans le traitement de la polio avec des antitoxines utilisées pour traiter les empoisonnements, le dimercaprol et l’acide ascorbique. Exemple : Le Dr. F. R. Klenner rapporte : Lors de l’épidémie de poliomyélite en Caroline du Nord en 1948, 60 cas de cette maladie ont été pris en charge… Le traitement consistait en des doses massives de vitamine C toutes les deux à quatre heures. Les enfants jusqu’à quatre ans recevaient une injection de vitamine C par voie intramusculaire… Tous les patients étaient cliniquement bien portants au bout de 72 heures.”

1950 : Le Dr Biskind présente au Congrès américain des preuves que les pesticides sont la principale cause des épidémies de polio. Il est rejoint par le Dr. Ralph Scobey qui déclare avoir trouvé des preuves évidentes d’empoisonnement en analysant les traces chimiques dans le sang des victimes de la polio.

Commentaire : C’était un non-lieu. La théorie de la causalité virale ne devait pas être remise en question. Les carrières d’éminents virologues et d’autorités sanitaires étaient menacées. Les idées de Biskind et Scobey sont tournées en ridicule.

1953 : Les vêtements sont rendus imperméables aux mites en les lavant dans de l’EQ-53, une formule contenant du DDT.

1953 : Le Dr Biskind écrit : “On savait déjà en 1945 que le DDT était stocké dans les graisses corporelles des mammifères et qu’il apparaissait dans leur lait… pourtant, loin d’admettre une relation de cause à effet entre le DDT et la polio qui est si évidente et qui, dans n’importe quel autre domaine de la biologie, serait immédiatement acceptée, pratiquement tout l’appareil de communication, tant profane que scientifique, a été consacré à nier, dissimuler, supprimer, déformer et tenter de convertir en son contraire cette preuve accablante. La diffamation, la calomnie et le boycottage économique n’ont pas été négligés dans cette campagne”.

1954 : Une législation reconnaissant les dangers des pesticides persistants est promulguée, et l’élimination progressive du DDT aux États-Unis s’accélère parallèlement à un transfert des ventes de DDT vers les pays du tiers monde.

(Notez que l’élimination progressive du DDT coïncide avec le début de la vaccination généralisée contre la polio. Cela dit, les cas de polio ne montent en flèche que dans les communautés qui acceptent le vaccin antipoliomyélitique, car ce dernier contient des métaux lourds et d’autres toxines, de sorte que le récit de la paralysie recommence. Comme les vaccins contre la polio provoquent d’énormes pics de polio, le public mal informé demande davantage de vaccins contre la polio et le cycle s’emballe de manière exponentielle).

1956 : l’American Medical Association impose à tous les médecins agréés de ne plus classer la polio comme telle. Tous les diagnostics de polio sont rejetés au profit du syndrome de Guillian-Barre, de la PFA (paralysie flasque aiguë), de la paralysie de Bell, de l’infirmité motrice cérébrale, de la SLA (maladie de Lou-Gehrig), de la SEP, de la MD, etc. Ce tour de passe-passe a été fabriqué dans le seul but de donner au public l’impression que le vaccin contre la polio avait réussi à faire reculer la polio ou à l’éradiquer. Le public a mordu à l’hameçon et, jusqu’à ce jour, de nombreux arguments en faveur des vaccins sont alimentés par le mensonge fabriqué concernant l’éradication de la polio par le vaccin.

1962 : Publication de Silent Spring de Rachel Carson.

1968 : Abandon de l’homologation du DDT aux États-Unis.

2008 : La paralysie flasque aiguë (PFA) fait toujours rage dans de nombreuses régions du monde où l’utilisation de pesticides est élevée, et où le DDT est toujours utilisé. La PFA, la sclérose en plaques, la paralysie de Bell, l’infirmité motrice cérébrale, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de Lou Gehrig) et le syndrome de Guillain Barré sont tous des diagnostics de type “panier de crabes”, aux symptômes similaires, liés à l’empoisonnement par les métaux lourds et à une charge toxique élevée.

2008 : L’OMS déclare sur son site web : Il n’y a pas de remède à la polio. Ses effets sont irréversibles”.

Conclusion :

La croyance moderne selon laquelle la polio est causée par un virus est une tragédie permanente pour les enfants du monde. Les fonds publics sont gaspillés pour des vaccins inutiles et dangereux alors que les enfants pourraient être traités avec des antitoxines. Un débat sur le mythe de la vaccination est justifié, ainsi qu’une enquête complète sur le véritable programme exécuté contre l’humanité, impliquant la science, les produits chimiques, les vaccins, le domaine médical en général et le gouvernement.

[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Propositions de ressources pour vérifier ces informations :
https://learntherisk.org/vaccines/diseases/#Polio
https://www.westonaprice.org/health-topics/environmental-toxins/pesticides-and-polio-a-critique-of-scientific-literature/

Source (anglais) : https://truth11.com/2021/10/09/the-history-of-polio-the-go-to-disease-to-defend-vaccines-is-polio-coincidently-its-also-the-greatest-lie-and-medical-con-job-of-all-time/




La secrétaire de presse de la Maison Blanche qualifie les vaccinés de « personnes marquées » — La marque de la bête !

[Source : Hal Turner Radio Show]

Le 10 septembre 2021, la Maison Blanche a diffusé en direct sur Internet une conférence de presse à laquelle participait l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki.  Une grande partie de cette conférence de presse portait sur l’annonce faite précédemment par le président qu’il allait obliger les entreprises de 100 employés ou plus à faire vacciner leurs employés contre le COVID-19.

Ce mandat met les gens dans une position où ils doivent soit accepter une thérapie génique expérimentale dans leur corps, soit perdre leur gagne-pain.  C’est de la coercition et de l’extorsion.

Depuis cette annonce, de plus en plus d’efforts ont été déployés, tant aux États-Unis qu’à l’étranger, pour obliger les gens à se faire vacciner contre le COVID.  Au Canada, par exemple, les autorités québécoises ne se contentent pas d’exiger que les travailleurs de la santé se fassent vacciner, mais si ces derniers refusent, ils ne seront pas simplement renvoyés de leur emploi, mais leur LICENCE de soins de santé sera révoquée afin qu’ils ne puissent pas aller travailler ailleurs !

Le niveau de « pression » pour prendre cette modification génétique est si fort, et le refus de la prendre est si répandu que l’intimidation draconienne, la coercition et l’extorsion pour prendre la modification génétique, semblent maintenant la norme.

Les raisons pour lesquelles de nombreuses personnes rejettent le vaccin sont valables : Il provoque des caillots sanguins qui entraînent des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques chez de nombreux patients.  Plus de 14 000 Américains sont déjà morts quelques jours seulement après avoir pris le vaccin.  Certains meurent en quelques minutes !

Chez les jeunes, le vaccin a provoqué des myocardites, c’est-à-dire des gonflements du muscle cardiaque… et des péricardites, c’est-à-dire des gonflements de la paroi du cœur.  Statistiquement, les jeunes qui souffrent de myocardite ont un taux de mortalité de vingt pour cent dans l’année et de cinquante pour cent dans les cinq ans.  En d’autres termes, la moitié d’entre eux meurent.  Sur les quelque 9 millions de jeunes qui ont pris le vaccin, 360 000 ont contracté une myocardite.  Statistiquement, la moitié d’entre eux (180 000) seront MORTS dans les cinq ans !
Pourtant, le pouvoir en place continue de faire pression pour que ce vaccin soit administré à un nombre croissant de personnes.   

Dès le début de la distribution du soi-disant vaccin COVID-19, on a appris que les soi-disant « vaccins » ne contenaient pas le contenu typique d’un vaccin.   Habituellement, un vaccin contient une petite quantité du virus réel, soit vivant, soit atténué pour le rendre plus faible.  Ce n’est pas le cas des vaccins COVID.   Habituellement, les vaccins contiennent des versions « ADN recombinant » du virus, où des gènes du virus réel sont génétiquement remplacés par des gènes de levure, de sorte que l’extérieur du virus conserve son apparence, mais que l’intérieur est constitué de levure inoffensive.  Les vaccins COVID ne contiennent pas cela non plus.

La plupart des vaccins COVID contiennent de l’ARN messager (ARNm), l’un des messagers les plus fondamentaux des blocs de construction de l’ADN du corps humain.  L’ADN dit à l’ARN ce qu’il doit faire ; l’ARN dit ensuite à toutes les cellules de notre corps ce qu’elles doivent faire. Étrangement, l’ARN a la capacité de modifier l’ADN par l’action de la transcriptase inverse.   Une fois que l’ADN est modifié, il ne peut jamais – JAMAIS – être remis dans sa forme originale.  Il est modifié à jamais.

Ce fait a conduit certaines personnes à demander :

« Si l’ARNm modifie notre ADN, sommes-nous encore humains ? ». 

D’autres ont demandé,

« puisque la Cour suprême des États-Unis a statué que personne ne peut breveter une substance naturelle, mais peut breveter des substances modifiées, si le fait de permettre à l’ARNm de modifier notre ADN fait de nous la propriété de la société qui a modifié notre ADN ?  Sommes-nous un nouveau produit maintenant ? »

Enfin, certains sont allés jusqu’à demander :

« Notre Créateur, Dieu, nous reconnaîtrait-il comme siens une fois que notre ADN a été modifié ? ». 

C’est cette question que beaucoup de gens ont trouvé la plus troublante, car les croyants de la Bible ont été mis en garde depuis des générations contre « la marque de la Bête ».

Sans entrer dans les interprétations sans fin des passages bibliques, nous présentons simplement ce que dit la Bible :

1 Puis je vis monter de la mer une bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème.
2 La bête que je vis ressemblait à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, son trône et une grande autorité.
3 Une de ses têtes paraissait blessée à mort; mais sa plaie mortelle fût guérie, et toute la terre, saisie d’admiration, suivit la bête,
4 et l’on adora le dragon, parce qu’il avait donné l’autorité à la bête, et l’on adora la bête, en disant:  » Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? « 
5 Et il lui fut donné une bouche proférant des paroles arrogantes et blasphématoires, et il lui fût donné pouvoir d’agir pendant quarante-deux mois.
6 Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, son tabernacle et ceux qui habitent dans le ciel.
7 Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints et de les vaincre; et il lui fût donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue et toute nation.
8 Et tous les habitants de la terre l’adoreront, ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de vie de l’Agneau immolé, dès la fondation du monde.
9 Que celui qui a des oreilles entende!
10 si quelqu’un mène en captivité, il sera mené en captivité; si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée. C’est ici la patience et la foi des saints.
11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui portait comme un dragon.
12 Elle exerçait toute la puissance de la première bête en sa présence, et elle amenait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie.
13 Elle opérait aussi de grands prodiges, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes,
14 et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, persuadant les habitants de la terre de dresser une image à la bête qui porte la blessure de l’épée et qui a repris vie.
15 Et il lui fut donné d’animer l’image de ta bête, de façon à la faire parler et à faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête.
16 Elle fit qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on mit une marque sur la main droite ou sur le front,
17 et que nul ne pût acheter ou vendre, sil n’avait pas la marque du nom de la bête ou le nombre de son nom.
18 C’est ici la sagesse! Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête; car c’est un nombre l’homme et ce nombre est six cent soixante-six.

La Bible indique donc que les habitants de la terre seront séduits [Ndlr : « ensorcelés », « hypnotisés »…] et devront accepter une marque pour pouvoir acheter ou vendre.

Qu’est-ce que le monde voit se dérouler en ce moment même avec la marque du COVID ?   Nous voyons les gens se faire dire qu’ils ne peuvent pas sortir, qu’ils ne peuvent pas entrer dans les magasins (acheter ou vendre) sans quoi ?  Le vaccin !

Et quel est l’un des ingrédients du vaccin COVID ?  « Luciférase »… le nom de Lucifer !

Pourtant, alors qu’une myriade de personnes, même des experts religieux, ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour expliquer aux gens que les vaccins COVID ne sont PAS la « marque de la bête », l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a laissé échapper le contraire.  Lors du point de presse du 10 septembre, Psaki, depuis le podium de la salle de presse de la Maison Blanche, a répondu à une question des journalistes sur le mandat de Biden en disant ce qui suit :

« Ce que vous avez entendu le président transmettre hier, ce sont les prochaines mesures qu’il prend, en utilisant tous les leviers du gouvernement, pour réduire, euh, les maladies, pour réduire les hospitalisations, pour protéger les personnes marquées, et sauver plus de vies. »   [Ndlr : « Marked people » en anglais.]

Elle l’a vraiment dit, PERSONNES MARQUÉES.
PERSONNES MARQUÉES !!!!!!!!

Avancez jusqu’à 1:11:50 dans la vidéo ci-dessous, et vous entendrez la journaliste poser la question à Psaki et vous verrez et entendrez Psaki le dire elle-même :

Personne ne fait une telle erreur.  Personne ne substitue le mot « marqué » [« marked » en anglais] à « plus » [« more » en anglais].  

Pourtant, c’est exactement ce que le secrétaire de presse de la Maison Blanche a dit.  « Des personnes marquées. »

Commentaire d’Hal Turner

Ne vous laissez pas tromper.  Vous connaissez maintenant la vérité.  Vous l’avez entendue de leur propre bouche.
Les vaccinés sont des « personnes marquées ».  Quelle autre marque aurait-elle pu vouloir dire, sinon la marque de la bête ?

Une fois que vous l’aurez entendu de vos propres oreilles, si vous restez assis là, complètement étonnés, vous ne serez pas les seuls.   J’ai été complètement abasourdi de l’entendre moi-même.

C’est aussi clair que le jour.  Aussi clair que le nez au milieu de ma figure.  « Les personnes marquées. »
Un certain nombre d’entre vous m’ont dit que nous vivions dans les derniers jours.   J’ai eu du mal à le croire, mais après cela… wow!… c’est ce que je vois.  

En fait, compte tenu de ce que je vois, il semble maintenant que notre gouvernement national soit dirigé par Satan lui-même.

Non, merci.


[Note de Joseph :
L’élément le plus abondant de la croûte terrestre est la silice (SIO2) composée de silicium et d’oxygène.
Le silicium est la base des puces électroniques qui équipent tous les ordinateurs, tablettes, téléphones prétendument intelligents, et même la plupart des appareils électroniques et électroménagers, jusque dans les voitures.
Il est la base de l’informatique pratique, et se trouve donc derrière le fonctionnement de tous les logiciels sans lesquels une bonne partie des miracles de la technologie moderne ne seraient pas accomplis.
Les États-Unis et leur pouvoir bicéphale (ou bicorne) Démocrate-Républicain représentent la terre de naissance de l’informatique moderne, notamment avec la Silicon Valley.
La Bête de la terre peut donc symboliser à la fois les États-Unis et l’informatique.
La science s’est corrompue en scientisme technologique répandu sur la Terre entière au point de devenir comme une véritable religion mondiale dont les dogmes et croyances ne se discutent pas plus que ceux du catholicisme en nette perte d’influence. Le dogme vaccinal et celui du réchauffement climatique anthropique, par exemple, sont indiscutables aux yeux des grands-prêtres médiatiques qui font office de nouveaux inquisiteurs devant toute déviation de la pensée unique. Les discuter, les remettre en question, c’est s’exposer à l’excommunication de l’église scientiste, voire au bûcher pour sorcellerie.

Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




Florian Philippot : « Covid — fin de partie pour cette MAFIA internationale ! »

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Lettre ouverte aux journalistes diffamateurs

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Maryse Laurence Lewis

Ce texte a été motivé par la lecture d’un article rédigé par la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier, publié dans le journal le Soleil.(([1] https://www.lesoleil.com/actualite/science/neuf-barrieres-psychologiques-derriere-le-refus-de-la-vaccination-314dc917f0c619c1956b5396bbdf5f51))

Les gens qui refusent actuellement la vaccination, et dont on parle tant, sont en fonction dans les hôpitaux et les CHSLD. Contrairement aux journalistes des grands médias, leurs études englobent l’anatomie, la biologie, la connaissance des substances chimiques. De plus, même pour les préposés n’ayant pas cette formation, ceux-ci et le personnel soignant sont en contact direct avec les patients. Donc, mieux placés que quiconque pour savoir combien de malades décèdent réellement de la Covid-19 et combien de cas lui sont attribués par “co-morbidité”, alors que des centaines de patients sont hospitalisés pour des maladies respiratoires, cardiaques ou pour faiblesses immunitaires. Selon la Société Canadienne du Cancer, ce sont en moyenne 228 personnes par jour, au Québec et au Canada, qui meurent de cette maladie. (Des conspirationnistes, sans doute!) Excluant les cas habituels de mortalité par grippes saisonnières, malgré la vaccination effectuée chaque automne, depuis des années. Faites le compte et n’allez pas insinuer que ces causes de décès n’existent plus, et ne confondez pas les détections supposées de cas positifs d’avec les individus réellement atteints par un virus.(([2] https://cancer.ca/fr/research/cancer-statistics/cancer-statistics-at-a-glance))

La publicité mensongère

Dans les publicités gouvernementales, radiodiffusées ou livrées par la poste aux citoyens, on affirme que la vaccination ne présente aucun risque. Même l’Organisation Mondiale de la Santé mentionne les effets secondaires possibles et les incertitudes. Sans doute, les journalistes des grands médias et le gouvernement ignorent-ils ce qu’est un choc anaphylactique ou le syndrome de Guillain Barré. Et on insulte ceux qui refusent la vaccination et qui, eux, savent la différence entre les quatre types de vaccins que l’on administre en ce moment.(([3] https://www.who.int/fr/news-room/q-a-detail/coronavirus-disease-(covid-19)-vaccines?adgroupsurvey))

De même, Mme Beaulieu-Pelletier affirme que les vaccins dérivent de techniques connues depuis longtemps. En ce qui concerne le vaccin des Chinois, oui. Ce sont d’ailleurs eux qui ont inventé le principe des vaccins, bien avant Pasteur! Dans “Les voyages de Potocki”, en 1791, cet aventurier polonais le confirme, durant un périple au Maroc, un père montrait fièrement son enfant vacciné, grâce au procédé utilisé en Chine et en pays musulmans pour contrer la variole.(([4] Jean Potocki, Voyages, Éditions Garnier-Flammarion, publication de 2015.))

Si on parle de vaccin à virus inactivé ou atténué, oui, la technique est maîtrisée depuis longtemps. De vaccin à véhicule viral ou protéine recombinante, c’est plus récent, mais déjà testé. Quant aux doses de Moderna et Pfizer, toutes les deux utilisant un brin d’ARN, il est totalement faux de prétendre que cette technique est éprouvée et que les tests sur les humains sont achevés. Bill Gates n’est pas un philanthrope, il a investi dans tous les vaccins, sauf celui des Russes, et s’il se préoccupait de la santé des Africains, il n’aurait pas fait entreposer ses doses dans un hangar à 28 degrés Celsius, alors que même un congélateur ordinaire ne suffit pas à conserver adéquatement ces composés à l’ARN. 

L’Esprit critique, c’est justement savoir rejeter les sites farfelus et s’informer au-delà des médias subventionnées par des entreprises privées et des monopoles financiers. Et surtout, se renseigner auprès des scientifiques qui ne sont pas en collusion avec les entreprises pharmaceutiques. Celles-ci ont d’ailleurs exigé des États de ne jamais être tenues responsables de l’inefficacité ou des dommages entraînés par leurs vaccins. De plus, si les vaccins s’avéraient si efficaces, le peu d’individus non vaccinés ne pourraient contaminer ceux qui ont reçus les deux doses, et auxquels on en proposera une troisième, une quatrième… Étant donné qu’il existe une cinquantaine de laboratoires de niveau P4 où l’on conserve les pires virus, cette histoire n’aura de fin que lorsqu’on les interdira.

Si j’en avais les moyens, j’initierais un procès en diffamation et pour non respect de la neutralité journalistique, entre autres, à Mme Marie-Andrée Chouinard et à Richard Martineau, à Mme la Bien-Pensante psychologue, ainsi qu’aux responsables d’Info-sectes qui confondent les gens lucides et les  instigateurs de groupes ésotériques. Ces journalistes trahissent leur rôle de média d’information en ne présentant pas les arguments des gens qui s’opposent à la vaccination obligatoire. Ils sont incapables de justifier ou décrire les particularités des vaccins, ne sont aptes qu’à insulter ceux qui savent pourquoi ils ne désirent pas devenir cobayes pour des entreprises n’ayant rien de philanthropiques. Les gens qui défendent la liberté de recevoir ou de refuser le vaccin, lié à la Covid, ne sont pas des ignorants aux prises avec des problèmes psychologiques. Au lieu de confondre les amateurs de sectes, les visionnaires d’extraterrestres et autres fabulateurs d’avec les gens conscients, formés en médecine ou en biologie, Mme Beaulieu-Pelletier ferait mieux de soigner de véritables complotistes et pervers tel que Klaus Schwab, le fondateur du Forum Économique Mondial et les membres de la Fondation Rockefeller.

[Note de Joseph : les personnes qui ont vu des entités non humaines, supposément extraterrestres ou d’une autre nature, ou celles qui pensent que celles-ci peuvent réellement exister ne sont pas du tout nécessairement des fabulateurs ni des tarés. Un nombre non négligeable de scientifiques en font partie, dont des astronomes professionnels. Quant aux sectes, n’importe qui peut s’y retrouver embarqué sans s’en rendre compte au départ, parce qu’il traverse une période de vulnérabilité, ou parce qu’il trouve un groupe sympathique, ou encore parce que les idéaux, les philosophies, ou les modes de vie présentés l’attirent. Des individus de tous milieux socioculturels, de toutes professions, et de n’importe quel QI s’y sont déjà retrouvés.

Le procédé qui consiste à dénigrer des groupes humains pour tenter de revaloriser celui auquel on s’identifie est beaucoup trop facile. S’il y a présentement un combat contre l’Humanité, peut-être vaut-il mieux éviter de se tromper d’adversaire ou de s’en créer inutilement. Cette dernière se trouve déjà suffisamment divisée.]

Le premier publiant sans censure des élucubrations transhumanistes dans sa “Quatrième révolution industrielle” et les seconds ayant financé les recherches eugénistes avant, pendant et après la période nazie. Quant à la « théorie conspirationniste » de volonté de réduction de la population, faites une recherche sur l’initiative de Henry Kissinger et son Memorendum-200. Des femmes et aussi des hommes pauvres, de l’Inde, du Brésil, du Pérou, entre autres, ont été stérilisés grâce au Fonds des Nations-Unies pour la Population. Un travail parfois effectué à une vitesse digne d’une usine performante, comprenant des dommages collatéraux sous forme de décès. Sur le site officiel, on parle de contraception, de prévention, jamais de charcuterie en série.(([5] https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9rilisation_contrainte
//pdf.usaid>pdf_docs>PCAAB500 (document qui se télécharge) ))

À l’ensemble du personnel soignant que l’on menace de congédiement, je suggère donc de s’allier au groupe CSAPE qui demande à la Cour Pénale Internationale de juger les responsables de la crise actuelle pour crime contre l’humanité.(([6] https://www.csape.international/))

Maryse Laurence Lewis

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Maryse Laurence Lewis, Mondialisation.ca, 2021

Notes – Références :




La prison électronique ou rien?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dominique Muselet

J’ai participé autrefois à une expérience grâce à laquelle j’ai découvert un des principes fondamentaux de ce qu’on appelait la Création quand Dieu dirigeait nos vies.

L’animateur a mis toutes sortes d’instruments à la disposition d’un groupe de personnes n’ayant aucune connaissance musicale, puis il nous a demandé de jouer ensemble, a enregistré notre performance et nous l’a fait écouter. A la cacophonie du début, s’est substituée, en deux jours, une belle harmonie…

Et c’est là que j’ai compris que l’harmonie est le cœur de la Création. Il me semble que tout dans l’univers aspire à l’harmonie et que sans harmonie rien ne fonctionnerait. Ou du moins, il doit y avoir davantage d’harmonie que de désordre pour que ça marche.

Bon, je crois que nul ne niera qu’en ce moment l’harmonie est particulièrement mise à mal dans notre société. La polarisation, la « fracture » qui est le fonds de commerce des commentateurs stipendiés, a atteint des sommets. Au niveau international, le conflit s’intensifie entre l’Occident déclinant et le bloc eurasiatique montant. La guerre nucléaire menace. Les multinationales financiarisées et les politiciens qu’elles ont fait élire mènent une guerre impitoyable aux peuples, les riches aux pauvres, les covidistes aux réfractaires à l’ordre sanitaro-politique, les mondialistes au communautarisme, et au niveau local, les tribus nouvellement formées, se livrent de cruelles guerres de territoire et d’influence…

L’histoire de la création chez les Iroquois

La recherche d’harmonie est ce que personnellement j’appelle Dieu. Dans un ashram, en Inde, j’ai lu, dans la traduction d’un livre de prières sanskrites, que Dieu, c’est « ce qui tient tout ensemble ». Quand Jésus dit que Dieu est amour, il dit la même chose. L’amour n’est pas un sentiment, c’est l’action de créer ou de maintenir l’harmonie, l’unité, la paix. Le diable, c’est l’incarnation de tout ce qui divise. Jusqu’ici, l’univers est toujours là et nous aussi. Cela semble indiquer que, même si des morceaux de l’univers se désagrègent sans cesse, Dieu, la force « qui tient tout ensemble », triomphe encore, peut-être de justesse, mais il triomphe.

C’est ce qu’ont tenté de nous enseigner Jésus, Gandhi, Martin luther King et tant d’autres. Malheureusement, les États, nos nouveaux dieux, n’ont pas à leur disposition de grandes réserves d’amour. Du coup, ils choisissent le contrôle, la menace, la manipulation, la coercition, la punition, la prison, pour tenter de tenir tout ensemble. Il est vrai que leur but n’est pas non plus aussi désintéressé que celui du Dieu de Jésus, eux cherchent plutôt à se maintenir eux-mêmes, à nos dépens s’il le faut.

La dérive liberticide actuelle est bien documentée par de nombreux observateurs, même si le camp de l’Establishment tente de les faire taire par tous les moyens. Je ne vais pas y revenir. D’ailleurs, j’ai décidé d’ignorer désormais ce gouvernement et ses folies criminelles pour protéger ma santé mentale et ma paix intérieure. Ce qui m’intéresse ici, c’est d’essayer, à partir du présent, de nous projeter dans l’avenir.

Un des effets les plus inattendus de l’opération-Covid a été, à mon sens, de rebattre les cartes des alliances sur le terrain. Des gens et des groupes ont carrément changé de camp. Les Socialistes, certains écologistes, quelques Gilets jaunes et beaucoup de gens qu’on croyait tolérants et de bon sens ont révélé leur vrai visage en soutenant les mesures mises en place par les apprentis Big Brother, ou en en exigeant d’encore plus liberticides. On dirait qu’ils veulent passer de la libre circulation des personnes et des capitaux à la prison électronique pour tous (sauf pour eux évidemment).

De l’autre côté, des gens qu’on avait l’habitude de considérer comme des fashos comme Florian Philippot, ou qu’on tenait pour de nuisibles capitalistes ou des suppôts de la Caste, se sont révélés des défenseurs de la liberté tout à fait extraordinaires. Les irréductibles gauchistes diront que ces gens-là déguisent leur pensée pour tirer un profit personnel de la crise, mais moi j’ai tendance à croire que ceux qui risquent leur statut, leur emploi, leur vie, pour défendre la liberté, sont au moins aussi sincères que ceux qui hurlent avec les loups…

Et donc il n’est pas question que, pour plaire aux censeurs de tout bord, je me prive des analyses, des expériences et des enseignements de qui que ce soit.

Et je commence  derechef, ma descente aux enfers avec le conspirationniste, Giorgio Agamben, qui pose la question que beaucoup se posent :

Et si le passe sanitaire n’était pas une conséquence, mais la finalité ?

Auditionné par le Sénat italien le philosophe Giorgio Agamben a d’abord souligné une énorme contradiction dans la loi italienne:

 « Vous savez que le Gouvernement, avec un décret-loi spécial numéro ddl 44/2021 appelé « bouclier pénal » désormais converti en loi, s’est exonéré de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin. 

Et la gravité de ces dommages résulte du fait que l’article 3 du décret en question mentionne explicitement les articles 589, 590 du Code pénal qui se réfèrent à l’homicide involontaire et… aux blessures par négligence (…)

Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier, formellement, toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? »

Puis il a répondu à la question soulevée plus haut :

 « Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le passe sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.

Je crois plutôt que l’on peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un passe sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre, une mesure sans précédent, leurs mouvements.

Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondée sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme.

Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? »

Thalès et la société de surveillance

J’enchaîne avec le libéral libertaire Éric Verhaeghe qui est lui aussi épinglé par le pape de la bien pensance comme « proche de la sphère conspirationniste ». Si son amour de la liberté peut le rendre aveugle aux méfaits de la propriété privée des moyens de production, il fait merveille dans la lutte contre l’hystérie covido-politico-sécuritaire. Interviewé par Rachel Marsden, Verhaeghe nous révèle que Thalès, le marchand d’armes, a énormément investi dans l’énorme marché d’avenir de l’identité numérique à travers sa filiale Idémia, avec les encouragements de l’État. Le passe sanitaire, que les gens sont soi-disant très heureux d’avoir, est, selon cette entreprise elle-même, la première étape de la construction d’une identité numérique à travers un wallet qui se terminera par les moyens de paiement (ce qui permettra à l’État et aux banquiers centraux de disposer de notre argent comme si c’était le leur !) Dans le monde dystopique qu’ils nous promettent, il faudra montrer ses papiers (enfin son code QR !) pour aller prendre un café ou l’autoroute, bref nous serons surveillés sans cesse et partout.

 Selon Éric Verhaeghe, le Brexit et tous les mouvements souverainistes inquiètent la caste libérale occidentale mondialisée. Elle a donc décidé de neutraliser les effets du suffrage universel en utilisant des technologies numériques pour pérenniser sa domination sur nos sociétés. Le passe sanitaire est la première expérience de Crédit social dans le monde occidental. Il punit les dissidents et récompense les obéissants sous couvert de nous protéger, l’argument des castrateurs de tous les temps. En Chine, il est d’ailleurs prévu que les paysans, qui sont d’éternels mauvais payeurs, règlent leurs impôts à travers la reconnaissance faciale, efficace à 80/95%.

Cette surveillance répressive est déjà utilisée en entreprise grâce à la télémétrie, selon la Quadrature du cercle, qui échappe, on ne sait pourquoi, à la vindicte de Conspiracy Watch :

« l’employé·e data-driven n’a pour seule fonction que de maximiser ses performances et la plus-value qu’il ou elle produit pour le bénéfice d’une entreprise qui aspire à une omniscience quasi-divine (…) Amazon se distingue régulièrement en la matière, par exemple avec la surveillance des conducteur·ice·s de camions de livraisons par un logiciel d’intelligence artificielle aux États-Unis, l’usage d’un logiciel qui suit automatiquement l’activité de chaque personne en mesurant le nombre de colis scannés et qui peut décider de licencier automatiquement les moins productives ou encore, en 2018, le dépôt de deux brevets pour un bracelet permettant de surveiller les mouvements des mains des employé·e·s dans les entrepôts. »

Y a-t-il un antidote à la dérive totalitaire de la Caste ?

En principe tout excès génère son antidote, pas toujours pour le mieux d’ailleurs. Par exemple, la caste mondialiste a supprimé les frontières des États, résultat, les frontières se sont rapprochées au point d’envahir notre intimité (codes d’accès, codes secrets, passe sanitaire et autres passes, caméras, surveillance électronique, etc.)

C’est le sociologue Michel Maffesoli, dûment vilipendé par Street Press (dans la grande famille des gardiens du discours convenu, on se répartit les rôles) pour ses soi-disant liens avec l’extrême-droite, qui nous apporte ici des éléments de réponse dans un article intitulé : Comment l’idéal démocratique a été remplacé par l’idéal communautaire.

A la question de Durkheim :

« Comment tient une société que rien ne transcende mais qui transcende ses membres ? » 

Maffesoli répond :

« Par le sentiment partagé. Le partage du sentiment est le vrai ciment sociétal ; il peut conduire au soulèvement politique, à la révolte ponctuelle, à la lutte contre l’exclusion, à la grève par solidarité, il peut également s’exprimer par ou dans la banalité courante. Dans tous les cas, il constitue un ethos qui fait que contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».

Selon lui, « la standardisation mondiale » engendre une « accentuation des valeurs particulières » qui permettent de se « réapproprier son existence ». Les « petits réseaux fédérant de petits groupes existentiels » se multiplient. On constate une « émergence de l’idéal communautaire que la modernité s’emploie à nier ».

La réponse et l’antidote à la déshumanisation totalitaire que veut nous imposer la Caste, c’est de l’ignorer autant que possible et de s’unir et de se réunir partout avec ceux qui partagent notre sentiment, pour défendre des terres, des bâtiments, des idées, des acquis, des droits, des idéaux, ou pour échapper à l’esclavage de l’emploi et de la consommation, à l’isolement, à la précarité, à la robotisation, à la surveillance, ou pour expérimenter d’autres façons de vivre.

Bien sûr tout cela sera combattu pied à pied par la Caste au pouvoir, mais le mouvement est irréversible. Le balancier est reparti dans l’autre sens. Rien n’empêchera les liens de se tisser, les communautés de se former et la société de se régénérer, d’autant plus qu’il suffit que le positif l’emporte d’un iota sur le négatif pour que le désordre (la haine, l’envie, la division, l’exploitation) cède la place à l’ordre (l’harmonie, la coopération, la paix).

C’est ainsi que, comme le dit Maffesoli, 

« contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques  ». 

Dominique Muselet, Montreuil, le 13 octobre 2021

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dominique Muselet, Mondialisation.ca, 2021




Pseudo-vaccins ou Artémisine ? Les Seychelles versus Madagascar

Par Gérard Delépine

Depuis 20 mois, nos gouvernants et les médias prétendent qu’il n’y aurait pas de traitement du Covid et que le seul espoir de sortie de crise résiderait dans l’injection génique appelée fallacieusement vaccin.

Deux îles de l’Océan indien éloignées seulement de 1800 kilomètres ont choisi des stratégies anticovid différentes : les Seychelles ont opté, comme la France, pour le tout vaccin.

Madagascar a choisi les traitements précoces et tout particulièrement le CVO+, composé de plantes locales, entre autres d’artémisinine et de ravintsara. La comparaison de l’évolution de ces deux îles semblables par leurs populations, leurs climats et leur mode de vie permet d’évaluer l’efficacité des deux approches.

Les Seychelles

La population des Seychelles avait été épargnée par le Covid, mais son activité touristique principale source de devises, était paralysée par les restrictions des voyages et la peur des touristes potentiels.

Pour tenter de sauver sa saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner l’ensemble de la population. La campagne de vaccination a débuté le 10 janvier 21 avec l’injection télévisée du président et a depuis touché près de 80 % des habitants.

Depuis la « vaccination », le nombre de cas a été multiplié par 40 et celui des morts par plus de cent. La mortalité cumulée globale au 17/10/2021 atteint 1120 par million (112/100000) ainsi que le montre ce graphique publié par l’OMS(([1] À consulter sur l’OMS Covid Dashboard en choisissant sur la carte du monde les Seychelles)) et annoté par nos soins en rouge.

Localisation des Seychelles (îles entourées en rouge)
En zoomant

L’explosion du nombre des contaminations et la forte augmentation de la mortalité apparus après le début de la campagne de vaccination censée stopper l’épidémie font craindre que celle-ci ait paradoxalement facilité l’épidémie.

Madagascar

À Madagascar, le président a refusé de suivre les recommandations de l’OMS et de confiner sa population. Il a fortement milité pour les traitements précoces par les plantes traditionnellement utilisées avec succès contre le paludisme, distribuées et contenues dans le CVO+.

« La formulation de la gélule CVO+ a suivi les normes et protocoles sanitaires internationaux en vigueur », a affirmé la présidence de la République en octobre 2020 dans le cadre du lancement de la formule produite par la société Pharmalagasy. Ses recommandations, raillées par les médias dominants et critiquées par l’OMS, ont été largement suivies par son peuple avec succès, comme l’objective ce schéma de l’évolution de l’épidémie publié par l’OMS.

Le 20 mars 2021, le président malgache s’est montré prudent sur la vaccination dans son intervention télévisée, en indiquant que lui et sa famille n’avaient pas l’intention de se faire vacciner, et préfèrent encore toujours le Covid Organics maintenant distribué en gélules. En réponse aux critiques de ses adversaires, il leur a proposé de servir de cobayes. « Si on commande un vaccin, on va d’abord le tester sur l’opposition ».

Le 5 juillet 2021, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu qu’elle avait décidé d’étudier les données scientifiques fournies par les épidémiologistes et les hôpitaux malgaches concernant le Covid-Organics en s’intéressant plus particulièrement au médicament appelé CVO.

Au 13 octobre 2021, Madagascar ne recense que 43 610 cas de Covid (1615 par million soit 125 fois moins que les Seychelles) et pleure 960 morts, mortalité cumulée de 35 par million, soit trente fois moindre que celle des Seychelles.

Dans l’Océan indien, le match traitements précoces/pseudo-vaccin a été gagné par KO par Madagascar et ses traitements précoces !




Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique

[Source : qactus.fr]

VICTOIRE DES SOIGNANTS EN MARTINIQUE !!

Le Pass sanitaire a été annulé à l’hôpital de Trinité en Martinique. VICTOIRE des soignants en Martinique contre le Pass sanitaire.

Le directeur de l’hôpital de Trinité en Martinique vient d’annuler le Pass sanitaire face à la résistance des soignants. Le Pass sanitaire devait être applicable à partir d’aujourd’hui pour les salariés du CHUM de Trinité en Martinique.

Bravo  !





Voilà comment la Martinique se défend contre l’obligation vaccinale et voilà pourquoi la Martinique a gagné la bataille

Cette vidéo devrait être envoyé à la direction de tous les établissements de santé concernés :




Lapsus révélateur sur un plateau de télé

« Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue » !

Ce monsieur est le directeur du CHU Martinique :




Liza – figure de la résistance – Martinique

Suite à la censure de la vidéo sur Youtube, Liza est de retour sur Viméo.

https://player.vimeo.com/video/623558728?h=f3c78cf83b
Liza – figure de la résistance – Martinique from MAWONAJ on Vimeo.

Le 11/10/2011 en MARTINIQUE

Les syndicats hospitaliers, opposés à l’obligation vaccinale, ont rencontré la direction du CHU de Martinique contre le Pass sanitaire obligatoire dans les hôpitaux.

Le personnel hospitalier, opposé à l’obligation vaccinale, a été reçu par Benjamin Garel, le directeur du CHU de Martinique hier matin (lundi 11 octobre).

Les syndicats hospitaliers ont érigé des barrages devant les entrées des différents hôpitaux de l’île (Fort-de-France, Lamentin, Trinité…).

Benjamin Garel a proposé la mise en place d’un test antigénique à compter de ce mercredi (13 octobre 2021) pour les soignants qui ne veulent pas se faire vacciner.

Une soignante a exigé de Benjamin Garel qu’il s’engage et ‘assume sa responsabilité pour les effets secondaires du vaccin… mais il n’a pas assumé!!






La décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

La manipulation scientiste-hygiéniste-affairiste actuelle ayant échoué (les dizaines de millions de morts ne sont pas au rendez-vous malgré le refus de remettre les compteurs annuels à zéro et malgré la jungle féroce des manips statistiques), cette forfaiture dévoile bien comment ce carcan fait office de camisole de force étouffant les esprits libres, mais aussi les corps sevrés en drogues mentales et expérimentales diverses ; sans que ceux-ci ne se demandent un seul instant comment se fait-il qu’il soit encore possible d’accepter de se les faire injecter tous les six mois, et pour les autres à chaque instant (drogue médiatique), alors que pour les vaccins « classiques » (réactionnaires ?) il suffisait d’un rappel tous les dix ans ou alors une fois pour toutes ?…

Pourquoi tant d’injections pour un virus « syndémique » au sens de ne toucher que la partie fragilisée de la population par une génétique et un vieillissement donnés et des modes de vie sédentaires peu favorables à dynamiser une immunité naturelle ?

Ne serait-ce pas parce que ce serait cette dernière qui a été désignée commeétant le but de cette manip triptyque (scientiste-hygiéniste-affairiste) ? Ainsi, par « crainte de voir l’immunité diminuer », clame hypocritement la prothèse holographique faisant office de Premier Ministre en France, le piétinement minutieux forcené paranoïaque des libertés fondamentales est désormais acté comme salvateur, impliquant prolongement des inepties et autres incuries.

En fait et plus généralement le hiatus grandissant entre une réalité annihilant toutes les exponentielles — confondant fantasmes statistiques et historicité des épidémies aux courbes fonctionnant toujours en cloche et jamais en hausse infinie — montre bien que nous sommes gouvernés à la fois par des monstres qui sont en même temps des Lilliputiens.

Tempête dans un verre d’eau ?…

Les peuples ont cependant du mal à l’admettre, tant ils ont été en effet hypnotisés durant bientôt deux ans — ce qui laisse des traces — surtout lorsque la perception est affadie, le cerveau embrumé, un QI sans doute réduit à la portion congrue, les consciences ayant perdu leur âme depuis longtemps (soit cette capacité de clairvoyance instantanée), réduites à n’être que des vitrines encore « vivantes », des hublots de viandes trouées, tatouées que les Maîtres/ses S.M viennent dompter quand cela leur chante via les flux électro-symboliques quadrillant la planète Terre.

Nous sommes de nouveau en pleinemétaphysique des fluides, d’aucuns parlant même de « fluidité de genre ». Ainsi une minorité autoproclamée par définition (les M.S.M : Maîtres/ses Sado-Maso des M.M ou médias mainstream), mais ayant l’aval des Puissants globalistes (et leur manip triptyque) vient en effet reconstruire en grand la République de Salò, tant ils sont tous (les Puissants globalistes et leurs Outils M.S.M) désireux de « faire l’Histoire » et non pas seulement la lire au coin du saladier de coke tout en se faisant fourrer par la « diversité » (comme le conseillait déjà Henri Miller dans Tropique du Cancer, sans oublier Edouard Nabe de l’autre côté du courant thélémite, mais tendance Drumont voyant par exemple dans les origines de la Première Guerre mondiale un complot juif). Aussi tentent-ils par tous les moyens de malaxer à distance et dans les alcôves (payées également par l’argent public) nos corps et esprits afin d’assouvir leur désir ultra-narcissique de psychopathes invétérés visant à nous transformer en tains de leur miroir afin de nous demander inlassablement « qui est la plus belle » traquant alors nos « Blanche-Neige » pour leseffacer.

Pour les contrer il nous faut déc(h)anter. Arrêter de les citer, d’en parler, de s’étonner en employant leurs mots. Ce sont, tous, des suppôts néo-léninistes affairistes, Nouvelle Milice en action agissant pour le compte de La Secte Globale.

Et il faut en effet faire respecter les dénivellements du champ de bataille actuel : comme leurs prothèses intellectuelles et manuelles tentent de nous attirer avec des artefacts langagiers, il ne faut surtout pas employer leur vocabulaire, ne pas leur répondre là où elles le désirent, mais par contre les attaquer sans relâche frontalement et en quinconce, sans oublier les pièges à l’ancienne, mais aussi l’artillerie longue distance dont le martèlement incessant devrait à terme déblayer le terrain pour les bombardements lourds à venir prélude à l’assaut : sans pitié (ou alors celle de King Kong).