Télématin fait la promotion de la puce sous-cutanée comme moyen de paiement

[Source : fawkes-news.com]

« ça va arriver en France » dit le chroniqueur (22:10-24:40) qui semble très enthousiaste…

Apparemment une startup polonaise va déployer ce système prochainement chez nous. Dans le contexte actuel, avouez que c’est troublant comme timing. La suite est cousue de fil blanc.




La belle et les truands

Par Lucien Samir Oulahbib

— Oh tu m’agaces à la fin ! Je t’ai dit que c’est fini ! J’en ai marre de toi et tes changements de veste tu avais juré que cette histoire de « passe » c’était oublié et voilà que je vais être obligé de me faire ramoner le nez à chaque entrée au resto !
— Mais chérie !…
— Ne m’appelle plus comme ça !
— Chérie chérie ! C’est juste une façon de parler…
— Même ! Elle se leva courroucée, plus belle encore que jamais, une taille de guêpe, et une morgue si seyante, un faux air aussi, si nonchalant d’actrice française des années 70 à vouloir se lover en elle pour l’éternité. V se mordit la lèvre jusqu’au sang tant il la voulait là maintenant comme J.C le faisait à même le bureau autrefois…
— Je vais être en retard… Tu me déçois V, tu m’as toujours déçu…
— Ce n’est pas avec ta petite paye de parlementaire que tu vas pouvoir tenir ton train de vie, reviens !
— Je rêve ! Et toi donc ?
— Moi ?… Avec ce passe voté jusqu’à fin juillet (et sa prolongation ensuite) j’ai eu les avances nécessaires bien au chaud pour dormir tranquille quand on va se faire jeter en avril… Si tu reviens, je te promets ton SPA perso dans cette résidence cossue près de Miami, tu sais…
— Ajaccio me suffirait…
— Ah ! Voilà… Il alla vers la fenêtre un brin soulagé quoique assombri lorsqu’il vit le père P hurler dans un crachoir que « nous sommes dans une dictature sanitaire », pff ! Pauvre tare ! Il alla vers elle prit son bras se serra, mais vivement S le repoussa lestement et s’enfuit…
— tu es en retard… Lui fit remarquer R (une montre de 12 000 € au poignet)
— C’est ce connard de V ! Il vient de me promettre un SPA et une villégiature ou je ne sais quoi à Miami…
— C’est un « relou » dirait M…
— Oh oui ! Ils s’esclaffèrent et R commanda un peu de caviar avec une Veuve Clicquot 1942… R prit la main de S et la serra très fort…
— Ne t’inquiète pas… Je sais qu’avril approche et que tu risques de ne pas être réélue, mais peu importe moi je suis là. Je t’aime si fort depuis le jour même où je t’ai vu derrière V à cette émission quand il se faisait allumer par cette journaliste de Présent. Tu étais si belle, attentionnée, sexy. Mon sang n’a fait qu’un tour, tu le sais…
— Cette émission était affreuse. J’ai vu sa limite. Cette journaliste avait raison en plus. Il dit n’importe quoi. Il ment comme il respire…
— C’est dans leur philosophie…
— J’en ai marre de lui et en plus il me tanne sans arrêt.
— T’inquiète… Et puis tiens, j’ai un cadeau pour toi… Il lui tend une enveloppe. Elle hésite, puis la prend, regarde et rougit…
— Mais… pourquoi ?… 2000 $ comme ça ?…
— Pour tes emplettes, demain, rue St Honoré, tu m’avais dit, non ? Mais comme je ne peux pas y aller avec toi, et puis « le cash c’est chic » tu sais…
— Tu ne m’achèterais pas un peu par hasard ?…
— Quoi ? Tu plaisantes j’espère ! Si je voulais t’acheter ce ne serait pas avec un vulgaire SPA à Miami tu le sais bien… Bon… Partons, le jet attend pour Hawaï, je te dépose…
— Ils sortent du restaurant. Il fait bon. S et R sont main dans la main, puissants, beaux…
— W les regarde, planqué dans une bagnole banalisée et hurle dans un phone : « c’est bon les gars, vous pouvez y aller »…
— À ces mots, une bande de malfrats déboule, bouscule le couple. L’un d’entre eux s’empare de la Rolex comme s’il savait depuis toujours qu’elle l’attendait. Un autre (ou plutôt une autre) arrache le sac de S et tout ce beau monde s’enfuit en scooter, ni vu ni connu.
— W sourit, il téléphone et dit : « C’est fait Monsieur, vous l’avez votre revanche ».
— Bien joué les gars !…
— Et la remise de peine ? Il y avait aussi cela dans la balance…
— Ne vous inquiétez pas.
— Oh ! vous savez, nous n’avons aucun sentiment d’insécurité avec vous…
— Ah ! Ah ! Merci encore !
— Tchao tchao !
— Au loin des sirènes hasardeuses tentent de dépoussiérer leur molle stridence de pantoufles fatiguées… En vain.

Toute ressemblance avec une actualité brûlante ne serait qu’une pure coïncidence.




Arrêtez d’obéir ! Sinon cela ne s’arrêtera jamais ! Devant des Mensonges d’État, désobéir est un devoir.

[Source : businessbourse.com]

BRAVO :

« Arrêtez d’obéir…Désobéir devient un devoir…ça suffit ! Il serait temps que le peuple se réveille…Je vous dis MERDE à vous tous. Enlevez vos masques, vous nous avez bien eu avec les médias !!! »

[Voir aussi : La clef de la libération]




Tout s’explique quand on réalise qu’ils veulent nous tuer

[Source : reseauinternational.net]

par Mike Whitney.

« Il est maintenant évident que ces produits dans la circulation sanguine sont toxiques pour les humains. Un arrêt immédiat du programme de vaccination est nécessaire pendant qu’une analyse de sécurité indépendante est entreprise pour étudier toute l’étendue des dommages, qui, selon les données de la carte jaune britannique, comprennent la thromboembolie, la maladie inflammatoire multisystème, la suppression immunitaire, l’auto-immunité et l’anaphylaxie, ainsi que l’augmentation dépendante des anticorps (ADE) »

 Tess Lawrie, cabinet de conseil en médecine fondée sur les preuves.

« Car nous ne luttons pas contre la chair et le sang, mais contre les dominateurs des ténèbres de ce monde, contre la méchanceté spirituelle dans les lieux élevés ».

Éphésiens 6:12

Question : Les vaccins à ARNm ont-ils été testés sur des animaux ?

Réponse : Oui, ils l’ont été.

Q : Les essais sur les animaux ont-ils été couronnés de succès ?

R : Oui et non.

Oui, les expériences sur les souris ont montré qu’une faible dose du vaccin induit une réponse anticorps robuste à l’infection.

Mais, non, les anticorps n’ont pas été capables d’attaquer la protéine spike d’une souche différente du virus.

Q : Je ne suis pas sûr de ce que cela signifie ? Voulez-vous dire que le vaccin fournit une protection limitée contre le virus original (Wuhan), mais ne fournit pas nécessairement une protection contre les variants ?

R : C’est exact, mais c’est un peu plus compliqué que cela car, lorsque le virus change, les anticorps qui ont aidé à combattre le virus original peuvent en fait renforcer « l’infectivité » du variant. En d’autres termes, les anticorps générés par le vaccin peuvent changer de camp et accroître la gravité de la maladie. En d’autres termes, ils peuvent vous rendre plus malade ou vous tuer. Les scientifiques le savent depuis longtemps. Regardez cet extrait d’un document de recherche de 2005 :

« Un vaccin contre une souche pourrait aggraver l’infection par d’autres…

Dans cette étude, Gary Nabel, de l’Institut national des Allergies et des Maladies infectieuses, a injecté à des souris la protéine spike d’un virus SRAS prélevé sur un patient humain infecté au début de 2003. Ils ont ensuite recueilli les anticorps produits par les animaux.

Lors d’expériences en laboratoire, ils ont montré que ces anticorps étaient incapables d’attaquer la protéine spike d’une autre souche de SRAS, isolée chez un patient infecté fin 2003… L’équipe a ensuite vérifié si les anticorps pouvaient attaquer les protéines spike de deux souches de SRAS isolées chez les civettes, à partir desquelles le virus aurait été transmis à l’homme. Dans ce cas, ils ont trouvé des indices montrant que les anticorps renforçaient en fait la capacité du virus à infecter les cellules…

Les résultats montrent que le virus évolue dans le temps, de sorte qu’une souche apparaissant dans une épidémie peut être très différente de celle d’une épidémie ultérieure. « Ce virus n’est pas immobile et nous devons en tenir compte », déclare Nabel.

Il est donc possible qu’un vaccin contre une souche du virus du SRAS se révèle inefficace contre d’autres. Pire encore, un vaccin contre une souche pourrait même aggraver une infection par le virus du SRAS provenant de civettes ou d’une autre espèce. « C’est évidemment une préoccupation », déclare Nabel.

Ce ne serait pas le premier cas où l’exposition à une souche d’un virus peut aggraver une infection par une autre ».(([1] « Caution raised over SARS vaccine », Nature))

Q : Je suis toujours confus. Pouvez-vous résumer ce qu’ils disent ?

R : Bien sûr. Ils disent que les scientifiques savent depuis près de deux décennies que les vaccins qui ne visent qu’une seule protéine sont voués à l’échec. Ils disent que la protéine spike est hautement adaptable et capable de changer de forme pour survivre. Ils affirment que les vaccins visant la protéine spike produiront inévitablement des variants qui échapperont aux anticorps générés par le vaccin. Ils affirment qu’en limitant le vaccin à la seule protéine spike, les entreprises pharmaceutiques ont fait en sorte que des anticorps auparavant utiles fassent volte-face, permettent au virus de pénétrer dans les cellules saines, de se répliquer à volonté et de provoquer la maladie ou la mort. Ils affirment que la gamme actuelle de vaccins perpétue en fait la pandémie. Et puisque la science est claire depuis 16 ans, nous pouvons ajouter une autre observation à la liste, à savoir que l’approche actuelle de la vaccination de masse n’est ni hasardeuse, ni bâclée, ni aléatoire. Elle est intentionnelle. Les responsables de la campagne de vaccination ignorent délibérément les données scientifiques afin de maintenir un état de crise permanent. La science est manipulée pour atteindre un objectif politique.

Q : Je pense que vous exagérez, mais j’aimerais revenir aux essais sur les animaux au lieu de discuter de politique. Comme vous le savez probablement, les rapports des médias ne correspondent pas à votre analyse. En fait, tous les articles des médias mainstream disent que les essais sur les animaux ont été un succès retentissant. Voici un court texte que j’ai trouvé aujourd’hui et qui confirme ce que je dis :

« … la vaccination de primates non humains avec le vaccin à ARNm a induit une activité neutralisante robuste du SRAS-CoV-2 et notamment une protection rapide dans les voies aériennes supérieures et inférieures… »

(Covid-19, NIH.gov)

Q : Suggérez-vous que les auteurs mentent ?

R : Non, ils ne mentent pas. Ils ne vous disent simplement pas toute la vérité, et vous devez connaître toute la vérité pour pouvoir prendre une décision éclairée. Les vaccins offrent une certaine protection (temporaire). Nous ne le contestons pas. Ils déclenchent également une forte réponse immunitaire. Nous ne le contestons pas non plus. Mais quelle différence cela fait-il ? Laissez-moi vous expliquer : Disons que vous avez un gros rhume et que vous prenez un nouveau médicament qui, selon vous, soulagera la douleur. Et, bien sûr, une heure après avoir pris les pilules, votre congestion et votre mal de tête ont complètement disparu. C’est fantastique, non ? Non, car vous ne vous rendez pas compte que le médicament contient de la strychnine à action lente qui vous tuera trois jours plus tard. Vous pensez toujours que c’était une bonne idée de prendre ce médicament ?

Bien sûr que non. Et la même règle s’applique à ces vaccins qui, en fait, renforcent vos anticorps et vous procurent une « immunité » éphémère. Mais ils peuvent aussi vous tuer. Ne pensez-vous pas que cela devrait être pris en compte dans votre décision ? N’oubliez pas que des personnes sont mortes 3, 4, 5 semaines après l’inoculation sans aucun avertissement préalable. Beaucoup d’entre eux auraient même pu être gorgés d’anticorps, mais ils sont quand même morts. Vous voyez le problème ?

Q : D’accord, mais il y a toujours cette question des essais sur les animaux. Les médias disent que les compagnies pharmaceutiques ont effectué les essais sur les animaux et qu’ils ont été couronnés de succès. Êtes-vous en désaccord avec cela ?

R : Ils n’ont pas été couronnés de succès et les « vérificateurs de faits » qui ont été engagés pour discréditer les critiques des vaccins comme moi, ont délibérément déformé ce qui s’est passé dans les essais. Par exemple, voici un article typique des « vérificateurs de faits » intitulé « Les vaccins COVID-19 n’ont pas sauté les essais sur les animaux à cause des décès d’animaux » par Reuters. En voici un extrait :

« Les articles affirmant que les producteurs de vaccins COVID-19 ont abandonné les essais sur les animaux en raison de la mort de ces derniers sont faux. Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson, qui ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, ont tous mené des essais sur des animaux et n’avaient aucun problème de sécurité important à signaler ».

Cela semble rassurant, non ? Mais ensuite, ils disent :

« En raison des contraintes de temps et de l’urgence de trouver un vaccin contre le COVID-19, Moderna et Pfizer ont reçu l’autorisation de mener simultanément les essais sur les animaux et les premiers essais sur les humains, au lieu de terminer complètement les essais sur les animaux avant de passer aux essais sur les humains. Cela ne signifie toutefois pas que les essais sur les animaux aient été ignorés ou que la sécurité des vaccins ait été compromise ».

Laissez-moi voir si j’ai bien compris : Les entreprises pharmaceutiques étaient tellement pressées qu’elles ont mené leurs essais minimaux sur les animaux en même temps que leurs essais sur les humains (ce qui est sans précédent), puis elles ont envoyé les résultats à la FDA pour qu’elle les approuve et les fasse passer en vertu de l’autorisation d’utilisation d’urgence ?

Est-ce ainsi que les choses se sont passées ?

Oui.

Mais si les résultats ont été transmis à la hâte en quelques mois, alors les « vérificateurs de faits » admettent tacitement qu’il n’y a pas de données de sécurité à long terme. Il n’y a pas de données de sécurité à long terme, et il n’y a pas non plus de tentative de réfuter les recherches des essais précédents où les furets, les souris et d’autres animaux sont morts après l’injection de vaccins à ARNm. Ils ne le nient pas, ils l’ignorent simplement comme si le fait de le balayer sous le tapis allait tout faire disparaître. Voici un extrait du document de recherche auquel Reuters fait référence dans son article :

« Nous démontrons que les vaccins candidats… induisent respectivement de fortes réponses immunitaires spécifiques de l’antigène chez les souris et les macaques… Les deux (vaccins) ont protégé des macaques âgés de 2 à 4 ans contre une infection par le SRAS-CoV-2, et la détection de l’ARN viral a été réduite chez les macaques immunisés par rapport à ceux qui ont reçu une solution saline ». (Note – Nous avons déjà reconnu que les vaccins produisent une forte réponse immunitaire)

« Les TGM neutralisants ont diminué au jour 56 (35 jours après la dose 2), ce qui correspond à la phase de contraction ; cependant, ils sont restés bien au-dessus des TGM du panel de sérums humains. La durée de l’étude n’était pas assez longue pour évaluer le taux de déclin pendant la phase de plateau de la réponse anticorps ».(([2] « Les vaccins BNT162b protègent les macaques rhésus contre le SRAS-CoV-2 », Nature))

Vous voyez ce qui se passe ? L’essai n’a duré que 56 jours, en fait, aucun des essais sur les animaux n’a dépassé 56 jours. Réfléchissez-y une minute. La raison pour laquelle les animaux sont morts lors des essais précédents est qu’ils ont été exposés à une version mutée du virus (sauvage) qui a fini par les tuer. C’est ainsi que fonctionne l’ADE (amélioration dépendante des anticorps). Cela ne se produit pas du jour au lendemain, ni en 56 jours. Il faut beaucoup plus de temps que cela pour qu’une version mutée du virus émerge et réinfecte l’hôte. Les compagnies pharmaceutiques le savent. Elles ne sont pas stupides. Donc le fait que les animaux aient eu une forte réponse immunitaire n’est absolument pas pertinent. Nous SAVONS qu’ils ont eu une forte réponse immunitaire. Nous savons également qu’ils sont morts quelques mois plus tard lorsqu’une souche différente du virus a émergé. Conclusion : La production d’anticorps ne signifie pas qu’un médicament est sûr.

Le but évident de ces essais était de faire passer les vaccins avant que quiconque ne comprenne ce qui se passait. C’est pour la même raison que les sociétés pharmaceutiques ont « levé l’insu » sur leurs essais sur l’homme après que les vaccins aient reçu le feu vert de la FDA. Peu après la fin des essais, les personnes du groupe placebo ont été autorisées à se faire vacciner.

Pourquoi ont-ils fait cela ? Pourquoi vacciner les personnes qui ont accepté d’être des cobayes pour le bien de la santé publique, pour ensuite les vacciner peu de temps après, éliminant ainsi toute chance de découvrir les problèmes de sécurité à long terme ? Cela n’a aucun sens, n’est-ce pas ?

Jetez un coup d’œil à ce court extrait du British Medical Journal, les scientifiques sont tout aussi déconcertés :

« Bien que la FDA ait accordé aux vaccins une autorisation d’utilisation d’urgence, deux années de données de suivi sont nécessaires pour obtenir une autorisation complète. Or, ces données risquent d’être peu nombreuses et moins fiables, étant donné que les essais sont effectivement réalisés en aveugle.

Le représentant des consommateurs, Sheldon Toubman, avocat et membre du comité consultatif de la FDA, a déclaré que Pfizer et BioNTech n’avaient pas prouvé que leur vaccin prévenait les cas graves de Covid-19. « La FDA dit que tout ce que nous pouvons faire, c’est suggérer une protection contre le Covid sévère ; nous devons savoir si c’est le cas », a-t-il déclaré.

Il a répondu aux affirmations selon lesquelles, d’après l’expérience acquise avec d’autres vaccins, un suivi de six semaines était suffisant pour détecter des signaux de sécurité. Six semaines ne sont peut-être pas suffisantes pour ce type entièrement nouveau de vaccin [ARNm] « non testé », a déclaré Toubman.

Goodman souhaite que toutes les entreprises soient tenues de respecter les mêmes normes et affirme qu’elles ne devraient pas être autorisées à inventer leurs propres règles. Il a déclaré au BMJ que, même s’il était « très optimiste » à propos des vaccins, « faire sauter les essais » en autorisant la levée de l’insu « établira une norme de facto pour tous les essais de vaccins à venir ». Et cela, a-t-il dit, « est dangereux ».(([3] « Covid-19 : Should vaccine trials be unblinded ? » The British Medical Journal))

Aimez-vous son choix de mots : « faire sauter les essais » ? Pensez-vous que c’est une description juste de ce que les compagnies pharmaceutiques ont fait ?

Oui, c’est exactement ce qu’elles ont fait.

Et quel motif possible aurait les compagnies pharmaceutiques pour faire sauter les essais ? Je ne vois que deux possibilités :

  • Ils pensent que leur vaccin est tellement génial qu’il sauvera la vie de nombreuses personnes du groupe placebo.
  • Ils s’attendent à ce qu’un pourcentage élevé des personnes du groupe vacciné tombent gravement malades ou meurent, et ils veulent donc cacher les preuves de dommages liés au vaccin.

Qu’est-ce que c’est ?

Vous connaissez la réponse. Tous ceux qui regardent cette farce connaissent la réponse.

Q : Ok, alors allons droit au but : Les vaccins sont-ils sûrs ou non ?

R : Non, ils ne sont pas sûrs. Pour décider si un médicament est sûr ou non, nous le soumettons à un processus rigoureux de tests et d’essais cliniques. Après les tests, les données sont transmises à des médecins, des statisticiens, des chimistes, des pharmacologues et d’autres scientifiques qui les examinent et formulent leurs recommandations ou leurs critiques. Cela ne s’est pas produit avec les vaccins Covid, en fait, toutes les normes et tous les protocoles normaux ont été suspendus au nom de « l’urgence ». Mais beaucoup pensent que « l’urgence » a été fabriquée pour faire passer des vaccins qui n’auraient jamais été approuvés sur leurs propres mérites. Il suffit de consulter les données sur les blessures causées par les vaccins (VAERS) pour se rendre compte qu’il s’agit de l’intervention médicale la plus meurtrière de tous les temps et, pourtant, les experts en santé publique, les médias et le gouvernement ne cessent de clamer qu’ils sont « sûrs et efficaces ». C’est absurde et les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles rejettent toute responsabilité pour les personnes qui vont être tuées par ces « injections mortelles ».

Savez-vous ce qui se passe dans votre corps après l’injection d’un de ces vaccins « à base de gènes » ?

Une fois que le vaccin pénètre dans la circulation sanguine, il pénètre dans les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, les obligeant à produire des protéines spike qui font saillie dans la circulation sanguine comme des millions d’épines microscopiques. Ces épines activent les plaquettes sanguines qui déclenchent la coagulation du sang, suivie peu après d’une réponse immunitaire qui détruit les cellules infectées, affaiblissant ainsi le système vasculaire tout en drainant la réserve de lymphocytes tueurs. De cette façon, le vaccin lance une double attaque contre l’infrastructure critique de l’organisme, causant des dommages tissulaires étendus dans tout le système circulatoire tout en laissant le système immunitaire moins apte à repousser une future infection.

Si vous pensez que vous pouvez avoir une vie longue et heureuse sans un système circulatoire fonctionnel, alors rien de tout cela n’a d’importance. Mais si vous êtes assez intelligent pour comprendre que faire des ravages sur votre système vasculaire est la voie rapide vers le cimetière, alors vous comprendrez probablement que l’administration de ces « injections de poison mortel » est une très mauvaise idée.

D’ailleurs, il est exagéré d’appeler ces injections hybrides des « vaccins ». Elles ont autant de points communs avec un vaccin traditionnel qu’un python avec une table basse. Rien. Le surnom de « vaccin » a été choisi pour renforcer la confiance du public, c’est tout. Cela fait partie d’une stratégie marketing. Il n’y a pas de réelle similitude. La majorité des gens font confiance aux vaccins et les considèrent comme un exemple brillant de réussite médicale. Les compagnies pharmaceutiques voulaient profiter de cette confiance et l’utiliser à leurs propres fins. C’est pourquoi ils l’ont appelé « vaccin » au lieu de « thérapie génique », qui décrit plus précisément ce qu’il fait. Mais comme nous l’avons dit, c’est juste une stratégie de marketing.

Vous êtes-vous déjà demandé comment les compagnies pharmaceutiques ont pu lancer leurs propres vaccins à quelques semaines d’intervalle ? C’est un sacré tour de passe-passe, ne pensez-vous pas, d’autant que le développement d’un vaccin prend généralement de 10 à 15 ans. Comment pensez-vous qu’ils y soient parvenus ? Voici un extrait d’un article qui fournit un peu d’information sur le sujet :

« Le virus à l’origine de l’épidémie qui a débuté à Wuhan, en Chine, a été identifié le 7 janvier. Moins d’une semaine plus tard – le 13 janvier – les chercheurs de Moderna et du NIH avaient une proposition de séquence pour un vaccin ARNm contre ce virus et, comme l’a écrit la société dans des documents gouvernementaux, « nous nous sommes mobilisés pour la fabrication clinique ». Le 24 février, l’équipe expédiait des flacons d’une usine de Norwood, dans le Massachusetts, au National Institute of Allergy and Infectious Diseases, à Bethesda, dans le Maryland, en vue d’un essai clinique destiné à tester l’innocuité du vaccin ».(([4] « Des chercheurs s’empressent de tester le vaccin contre le coronavirus chez l’homme sans savoir s’il fonctionne bien chez l’animal », Stat))

C’est noté ? « Le virus s’est déclaré à Wuhan… le 7 janvier, et moins d’une semaine plus tard, Moderna a proposé une séquence pour un vaccin à ARNm contre ce virus.

Vraiment ? S’agit-il de la même société Moderna qui s’est amusée avec l’ARNm pendant plus d’une décennie, mais qui n’a jamais réussi à mettre un vaccin sur le marché ?

Oui, la même société. Voici la suite :

« Et le 24 février, l’équipe expédiait des flacons depuis une usine à Norwood, Massachusetts… »

Wow ! Un autre miracle du Covid ! On a presque le tournis en voyant ces entreprises produire leurs « médicaments miracles » à une vitesse record.

N’oubliez pas qu’il y a une très forte probabilité que le virus ait été créé par l’homme (en d’autres termes, il s’agit d’une arme biologique) et que les personnes qui ont été impliquées dans le financement et la création de cette arme biologique sont également étroitement liées aux grandes entreprises pharmaceutiques qui ont produit l’antidote en un temps record, ce qui a déjà rapporté des dizaines de milliards de dollars de bénéfices pour un médicament pour lequel il n’y a eu aucun test fiable sur les animaux, aucune donnée de sécurité à long terme et aucune approbation réglementaire officielle.

Donc je vous le redemande : Est-ce que tout cela ne semble pas un peu suspect ?

Est-il vraiment si difficile de voir l’ébauche d’un programme politique ici ? Après tout, les entreprises pharmaceutiques ne travaillent-elles pas avec les agences de réglementation, qui travaillent avec les responsables de la santé publique, qui travaillent avec les médias, qui travaillent avec les politiciens corrompus, qui travaillent avec les agences de renseignement, qui travaillent avec les milliardaires mondialistes qui se mêlent de tout, qui travaillent avec les sociétés de capital-investissement géantes qui supervisent l’ensemble de l’opération et tirent les ficelles appropriées chaque fois que cela est nécessaire ?

On dirait bien que oui.

Et les changements sociaux tectoniques auxquels nous avons assisté l’année dernière n’ont-ils pas plus à voir avec une vaste campagne de terre brûlée lancée par la « classe parasite » contre le reste de l’humanité qu’avec un virus relativement bénin qui tue principalement des personnes âgées et fragiles souffrant de multiples problèmes de santé ?

Oui, encore une fois. En fait, beaucoup ont remarqué les fissures dans l’artifice de la pandémie depuis le tout début, tout comme beaucoup ont souligné que le thème du virus n’est que le masque derrière lequel les parasites continuent de mener leur projet de restructuration mondiale. En bref, il s’agit de politique, de politique du Nouvel Ordre Mondial qui ne fait pas de quartier.

Vous avez posé un certain nombre de questions sur les essais sur les animaux, mais aucune sur les études de biodistribution et de pharmacocinétique qui ont été réalisées en même temps. Comment cela se fait-il ? (Note : la pharmacocinétique est la branche de la pharmacologie qui s’intéresse au mouvement des médicaments dans l’organisme).

Q : Je ne savais pas qu’il y en avait. Les médias en ont-ils parlé ?

R : Non, ils n’en ont pas parlé. Ils les ont complètement ignorés, bien qu’ils aient été réalisés par Pfizer et qu’ils fournissent des informations essentielles sur l’endroit où la substance contenue dans le vaccin se déplace dans le corps, en quelles quantités et pendant combien de temps. En sachant comment le médicament est distribué, il est possible de faire des hypothèses éclairées sur son effet sur les organes et autres tissus. En d’autres termes, ces études sont inestimables. Les Doctors for Covid Ethics ont effectué des recherches approfondies sur ces études et ont rédigé un rapport intitulé « Le vaccin ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité ». Voici quelques extraits qui permettent d’illustrer les dangers des vaccins :

« Comme pour tout médicament, un élément clé de la toxicité des vaccins à ARNm anti-covid est de savoir où ils se retrouvent exactement dans l’organisme et pendant combien de temps ils y restent. Ces questions, qui relèvent de la pharmacocinétique, font généralement l’objet d’une étude approfondie au cours du développement du médicament. Les études initiales sur la pharmacocinétique et aussi sur la toxicité sont effectuées sur des animaux… ce document a des implications assez importantes : il montre que Pfizer – ainsi que les autorités qui ont eu connaissance de ces données – devait avoir reconnu les risques graves d’effets indésirables après la vaccination avant même le début des essais cliniques. Néanmoins, les propres essais cliniques de Pfizer n’ont pas permis de contrôler les risques cliniques qui ressortaient clairement de ces données, et les autorités réglementaires n’ont pas appliqué les normes de surveillance appropriées. Ce double échec a causé le préjudice le plus grave au public…

Que présagent les données animales de Pfizer quant aux effets biologiques chez l’homme ?

  • Apparition rapide de la protéine spike dans la circulation.
  • Toxicité pour les organes dont on s’attend à ce que le taux de pénétration soit élevé, en particulier le placenta et les glandes mammaires en lactation.
  • La pénétration de certains organes pourrait être plus élevée avec le vrai vaccin qu’avec ce modèle à base de luciférase… L’entrée rapide du vaccin modèle dans la circulation signifie que nous devons nous attendre à ce que la protéine spike soit exprimée dans la circulation, en particulier par les cellules endothéliales (endothéliales – la fine couche de cellules qui tapisse les vaisseaux sanguins). Nous avons vu auparavant que cela conduira à l’activation de la coagulation du sang par l’activation directe des plaquettes et aussi, ce qui est probablement plus important, par l’attaque immunitaire des cellules endothéliales…

Résumé

Les données animales de Pfizer laissaient clairement présager les risques et dangers suivants :

  • coagulation du sang peu après la vaccination, pouvant entraîner des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des thromboses veineuses
  • atteinte grave à la fertilité féminine
  • grave préjudice pour les nourrissons allaités
  • toxicité cumulative après de multiples injections

À l’exception de la fertilité féminine, qui ne peut tout simplement pas être évaluée dans le court laps de temps pendant lequel les vaccins ont été utilisés, tous les risques susmentionnés ont été corroborés depuis que les vaccins ont été déployés – tous sont manifestes dans les rapports des différents registres d’événements indésirables. Ces registres contiennent également un nombre très important de rapports d’avortements et de mortinaissances peu après la vaccination, qui auraient dû susciter une enquête urgente…

L’élimination très lente des lipides cationiques toxiques est particulièrement préoccupante. Chez les personnes auxquelles on injecte de façon répétée des vaccins à ARNm contenant ces lipides… il en résulterait une toxicité cumulative. Il existe une réelle possibilité que les lipides cationiques s’accumulent dans les ovaires. Le risque grave pour la fertilité féminine qui en découle exige l’attention la plus urgente du public et des autorités sanitaires.

Les soi-disant essais cliniques ayant été menés avec une telle négligence, les véritables essais n’ont lieu que maintenant – à grande échelle et avec des résultats dévastateurs. … Il est grand temps de mettre fin à cette expérience ratée. La poursuite, voire l’obligation, de l’utilisation de ce vaccin toxique, ainsi que la délivrance apparemment imminente d’une autorisation totale pour celui-ci, sont des crimes contre l’humanité ».(([5] « Le vaccin à ARNm de Pfizer : pharmacocinétique et toxicité », The Doctors for Covid Ethics))

Ne pensez-vous pas que les gens ont le droit de savoir ce que le gouvernement veut injecter dans leur corps ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de savoir comment cela affectera leur système immunitaire, leurs organes vitaux et leur santé en général ? Ne pensez-vous pas qu’ils ont le droit de décider eux-mêmes des médicaments qu’ils prendront et de ceux qu’ils refuseront de prendre ?

Forcer quelqu’un à prendre un médicament qu’il ne veut pas, ce n’est pas seulement mal. C’est anti-américain. C’est pourquoi les gens devraient rejeter les mandats de vaccination par principe. Ils sont une attaque contre la liberté individuelle, le fondement de notre système constitutionnel. C’est un principe qui vaut la peine que l’on meure pour lui.

Quant à la campagne de vaccination de masse, c’est le projet le plus maniaquement génocidaire jamais concocté par l’homme. Il n’y a tout simplement aucun moyen de calculer la quantité de souffrance et de mort à laquelle nous sommes sur le point d’être confrontés pour avoir fait confiance à des personnes dont les politiques ont manifestement été façonnées par leur haine pure de l’humanité. Comme l’a dit le microbiologiste allemand Dr. Sucharit Bhakdi :

« Au final, nous allons assister à des maladies et des décès en masse parmi des personnes qui, normalement, auraient eu de merveilleuses vies devant elles ».

C’est une grande tragédie.

source : https://www.unz.com

traduit par Réseau International





La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)

Par Arthur Firstenberg,

auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]


En 1995, l’industrie des télécommunications se préparait à introduire un nouveau produit dangereux aux États-Unis : le téléphone cellulaire numérique. Les téléphones cellulaires existants étaient analogiques et coûteux. Ils appartenaient surtout à des personnes fortunées et n’étaient utilisés que quelques minutes à la fois. Nombre d’entre eux étaient des téléphones de voiture dont les antennes se trouvaient à l’extérieur de la voiture, pas dans la main ni à côté du cerveau. Les téléphones cellulaires ne fonctionnaient que dans les grandes villes ou à proximité. Les quelques tours cellulaires qui existaient se trouvaient pour la plupart au sommet de collines, de montagnes ou de gratte-ciel, et non à proximité des habitations.

Le problème pour l’industrie des télécommunications en 1995 était la responsabilité. Les rayonnements micro-ondes sont nocifs. Les téléphones cellulaires allaient endommager le cerveau de tout le monde, rendre les gens obèses et donner à des millions de personnes le cancer, des maladies cardiaques et le diabète. Et les tours de téléphonie cellulaire allaient endommager les forêts, anéantir les insectes, torturer et tuer les oiseaux et la faune.

Tout cela était connu. Des recherches approfondies avaient déjà été menées aux États-Unis, au Canada, en Union soviétique, en Europe de l’Est et ailleurs. Le biologiste Allan Frey, sous contrat avec la marine américaine, était tellement alarmé par les résultats de ses études sur les animaux qu’il refusait de faire des expériences sur les humains. « J’en ai trop vu », a-t-il déclaré à ses collègues lors d’un symposium en 1969. « J’évite très soigneusement de m’exposer moi-même, et ce depuis un certain temps déjà. Je n’ai pas l’impression de pouvoir emmener des gens dans ces champs et les exposer et, en toute honnêteté, leur indiquer qu’ils entrent dans quelque chose de sûr. »

M. Frey a découvert que les micro-ondes endommagent la barrière hématoencéphalique — la barrière protectrice qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le cerveau et maintient l’intérieur de la tête à une pression constante, empêchant ainsi les accidents vasculaires cérébraux. Il a découvert que les personnes et les animaux peuvent entendre les micro-ondes. Il a découvert qu’il pouvait arrêter le cœur d’une grenouille en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque. Le niveau de puissance qu’il a utilisé pour cette expérience n’était que de 0,6 microwatt par centimètre carré, soit des milliers de fois moins que le rayonnement des téléphones portables actuels.

L’ophtalmologiste Milton Zaret, qui avait des contrats avec l’armée, la marine et l’armée de l’air américaines, ainsi qu’avec la Central Intelligence Agency, a découvert dans les années 1960 que les micro-ondes de faible niveau provoquent des cataractes. En 1973, il a témoigné devant le Comité du commerce du Sénat des États-Unis. « Il existe un danger clair, présent et toujours croissant », a-t-il déclaré aux sénateurs, « pour l’ensemble de la population de notre pays en raison de l’exposition à toute la partie non ionisante du spectre électromagnétique. Les dangers ne peuvent être surestimés… » Zaret a parlé au comité de patients qui avaient non seulement des cataractes causées par l’exposition aux micro-ondes, mais aussi des tumeurs malignes, des maladies cardiovasculaires, des déséquilibres hormonaux, de l’arthrite et des maladies mentales, ainsi que des problèmes neurologiques chez leurs enfants. Ces patients allaient du personnel militaire exposé au radar aux ménagères exposées à leur four à micro-ondes.

« La norme de fuite des fours à micro-ondes fixée par le Bureau de la santé radiologique », a-t-il déclaré au comité, « est environ 1 milliard de fois supérieure à la totalité du spectre des micro-ondes émis par le Soleil. Il est consternant que ces fours soient autorisés à fuir, et encore plus que les publicités pour les fours encouragent nos enfants à s’amuser en apprenant à cuisiner avec eux ! » La norme de fuite des fours à micro-ondes, aujourd’hui en 2021, est la même qu’en 1973 : 5 milliwatts par centimètre carré à une distance de 5 centimètres. Et les niveaux d’exposition du cerveau aux micro-ondes de tous les téléphones portables utilisés aujourd’hui sont plus élevés que cela.

À l’époque, la marine exposait les soldats à des micro-ondes de faible intensité dans le cadre de recherches menées à Pensacola, en Floride. Faisant écho à Frey, Zaret a déclaré que ces expériences étaient contraires à l’éthique. « Je ne crois pas qu’il soit possible », a-t-il déclaré à la commission sénatoriale, « d’obtenir le consentement éclairé et sans réserve d’un jeune adulte qui accepte d’être exposé à une irradiation dont on ne sait pas exactement quel sera le résultat final… De plus, les enfants qu’il aura un jour pourront souffrir de cette irradiation ». Il a souligné à nouveau les problèmes éthiques que pose cette recherche : « Je pense que si on leur expliquait tout cela et qu’ils se portaient quand même volontaires pour ce projet, on s’interrogerait d’emblée sur leur capacité mentale. »

Les scientifiques qui faisaient des expériences sur les oiseaux étaient tout aussi alarmés par leurs résultats et ont émis des avertissements sur les effets environnementaux des radiations que notre société déversait sur le monde, qui étaient tout aussi terribles que les avertissements lancés au Congrès par Milton Zaret et les avertissements lancés à la marine par Allan Frey.

À la fin des années 1960 et tout au long des années 1970, John Tanner et ses collègues du Conseil national de la recherche du Canada ont exposé des poulets, des pigeons et des mouettes aux micro-ondes et ont constaté des effets effrayants à tous les niveaux d’exposition. Les poulets exposés à des doses comprises entre 0,19 et 360 microwatts par centimètre carré pendant neuf mois ont développé des tumeurs du système nerveux central et une leucose aviaire — également un type de tumeur — des ovaires, des intestins et d’autres organes qui, chez certains oiseaux, ont atteint des « proportions massives », à une « échelle jamais vue auparavant par les vétérinaires expérimentés dans les maladies aviaires ». La mortalité était élevée chez les oiseaux irradiés. Tous les oiseaux exposés, à tous les niveaux de puissance, avaient un plumage détérioré, avec des plumes perdues, cassées ou avec des tiges tordues et cassantes.

Dans d’autres expériences, au cours desquelles ces chercheurs ont irradié des oiseaux à une puissance plus élevée, les oiseaux se sont effondrés de douleur en quelques secondes. Cela se produisait non seulement lorsque l’oiseau entier était irradié, mais aussi lorsque seules les plumes de la queue étaient irradiées et que le reste de l’oiseau était soigneusement protégé. Au cours d’autres expériences, ils ont prouvé que les plumes des oiseaux constituaient d’excellentes antennes de réception pour les micro-ondes et ont émis l’hypothèse que les oiseaux migrateurs pouvaient utiliser leurs plumes pour obtenir des informations directionnelles. Ces scientifiques ont averti que l’augmentation des niveaux de micro-ondes ambiantes causerait de la détresse aux oiseaux sauvages et pourrait interférer avec leur navigation.

Maria Sadchikova, qui travaillait à Moscou, Václav Bartoniček et Eliska Klimková-Deutshová, qui travaillaient en Tchécoslovaquie, et Valentina Nikitina, qui a examiné des officiers de la marine russe, ont constaté, dès 1960, que la majorité des personnes exposées aux micro-ondes dans le cadre de leur travail — même celles qui avaient cessé de le faire cinq à dix ans auparavant — avaient un taux de sucre élevé dans le sang ou dans l’urine.

Les expériences sur les animaux ont montré que les rayonnements interfèrent directement avec le métabolisme et qu’ils le font rapidement. En 1962, V.A. Syngayevskaya, à Leningrad, a exposé des lapins à des ondes radio de faible intensité et a constaté que la glycémie des animaux avait augmenté d’un tiers en moins d’une heure. En 1982, Vasily Belokrinitskiy, à Kiev, a signalé que la quantité de sucre dans l’urine était directement proportionnelle à la dose de rayonnement et au nombre de fois où l’animal était exposé. Mikhail Navakitikian et Lyudmila Tomashevskaya ont rapporté en 1994 que le taux d’insuline diminuait de 15 % chez les rats exposés pendant une demi-heure seulement, et de 50 % chez les rats exposés pendant douze heures à un rayonnement pulsé d’une puissance de 100 microwatts par centimètre carré. Ce niveau est comparable au rayonnement qu’une personne reçoit aujourd’hui en s’asseyant directement devant un ordinateur sans fil, et nettement inférieur à ce que le cerveau d’une personne reçoit d’un téléphone portable.

Ce ne sont là que quelques-unes des milliers d’études menées dans le monde entier à l’époque, qui ont révélé les effets profonds des micro-ondes sur tous les organes humains, ainsi que sur le fonctionnement et la reproduction de toutes les plantes et de tous les animaux. Le lieutenant Zory Glaser, chargé par la marine américaine en 1971 de répertorier la littérature mondiale sur les effets des micro-ondes et des radiofréquences sur la santé, a rassemblé 5 083 études, manuels et actes de conférence en 1981. Il a réussi à trouver environ la moitié de la littérature existant à cette époque. Ainsi, environ 10 000 études avaient prouvé que les micro-ondes et les radiofréquences étaient dangereuses pour toute forme de vie, et ce dès avant 1981.

Cuire votre ADN et griller vos nerfs

Au début des années 1980, Mays Swicord, qui travaillait au National Center for Devices and Radiological Health de la Food and Drug Administration, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle l’ADN absorbe de manière résonante les micro-ondes et que même un très faible niveau de rayonnement, bien que ne produisant aucune chaleur mesurable dans le corps humain dans son ensemble, peut néanmoins chauffer votre ADN. Il a exposé une solution contenant une petite quantité d’ADN à un rayonnement micro-ondes et a constaté que l’ADN lui-même absorbait 400 fois plus de rayonnement que la solution dans laquelle il se trouvait, et que les différentes longueurs de brins d’ADN absorbent par résonance différentes fréquences de rayonnement micro-ondes. Ainsi, même si la température globale de vos cellules n’est pas augmentée à un degré détectable par le rayonnement, l’ADN à l’intérieur de vos cellules peut être énormément chauffé. Les recherches ultérieures de Swicord ont confirmé que cela endommageait l’ADN, provoquant des cassures d’ADN à simple et double brin.

Le professeur Charles Polk, de l’université de Rhode Island, a fait un rapport similaire lors de la vingt-deuxième réunion annuelle de la Bioelectromagnetics Society en juin 2000 à Munich, en Allemagne. Des mesures directes ont récemment montré que l’ADN est beaucoup plus conducteur d’électricité qu’on ne le soupçonnait : il a une conductivité d’au moins 105 siemens par mètre, soit environ 1/10 de la conductivité du mercure ! Un téléphone portable tenu à la tête peut irradier le cerveau à un débit d’absorption spécifique (DAS) d’environ 1 watt par kilogramme, ce qui produit un faible réchauffement global. Polk a cependant calculé que ce niveau de rayonnement augmenterait la température à l’intérieur de votre ADN de 60 degrés Celsius par seconde ! Il a déclaré que les tissus ne peuvent pas dissiper la chaleur aussi rapidement et qu’un tel échauffement romprait les liens entre les brins complémentaires d’ADN, ce qui expliquerait les ruptures d’ADN signalées dans diverses études.

En 2006, Markus Antonietti, de l’Institut Max Planck en Allemagne, s’est demandé si un type similaire d’absorption résonante se produisait dans les synapses de nos nerfs. Les téléphones portables sont conçus de manière à ce que les rayonnements qu’ils émettent ne chauffent pas votre cerveau de plus d’un degré Celsius. Mais que se passe-t-il dans le minuscule environnement d’une synapse, où des ions chargés électriquement participent à la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à l’autre ? Antonietti et ses collègues ont simulé les conditions régnant dans les synapses nerveuses avec de minuscules gouttelettes de graisse dans de l’eau salée et ont exposé les émulsions à un rayonnement micro-ondes à des fréquences comprises entre 10 MHz et 4 GHz. Comme prévu, les fréquences d’absorption résonantes dépendaient de la taille des gouttelettes et d’autres propriétés de la solution. Mais c’est la taille des pics d’absorption qui a choqué Antonietti.

« Et maintenant vient la tragédie », a déclaré Antonietti. « Exactement là où nous sommes les plus proches des conditions du cerveau, nous voyons le plus fort réchauffement. Il y a cent fois plus d’énergie absorbée que ce que l’on pensait auparavant. C’est une horreur. »

Les efforts de l’EPA pour protéger les Américains

Face à un barrage de résultats scientifiques alarmants, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) a créé son propre laboratoire de recherche sur les rayonnements micro-ondes qui a fonctionné de 1971 à 1985 avec jusqu’à 30 employés à temps plein exposant des chiens, des singes, des rats et d’autres animaux aux micro-ondes. L’EPA a été tellement troublée par les résultats de ses expériences qu’elle a proposé, dès 1978, d’élaborer des lignes directrices sur l’exposition humaine aux micro-ondes afin qu’elles soient adoptées et appliquées par d’autres agences fédérales dont les activités contribuaient à l’épaississement rapide du brouillard de pollution électromagnétique dans notre pays. Mais ces agences se sont montrées réticentes.

La Food and Drug Administration ne voulait pas que les limites d’exposition proposées s’appliquent aux fours à micro-ondes ou aux écrans d’ordinateur. La Federal Aviation Administration ne voulait pas avoir à protéger le public des radars de contrôle du trafic aérien et des radars météorologiques. Le ministère de la Défense ne voulait pas que les limites s’appliquent aux radars militaires. La CIA, la NASA, le ministère de l’Énergie, les garde-côtes et Voice of America ne voulaient pas avoir à limiter l’exposition du public à leurs propres sources de rayonnement.

Enfin, en juin 1995, alors que l’industrie des télécommunications prévoyait de mettre des appareils à rayonnement micro-ondes dans les mains et à côté du cerveau de chaque homme, femme et enfant, et d’ériger des millions de tours et d’antennes cellulaires dans les villes, villages, forêts, réserves naturelles et parcs nationaux de tout le pays afin de faire fonctionner ces appareils, l’EPA a annoncé qu’elle allait publier la phase I de ses directives d’exposition au début de 1996. La Commission fédérale des communications aurait été tenue d’appliquer ces directives, les téléphones cellulaires et les tours cellulaires auraient été illégaux, et même s’ils n’avaient pas été illégaux, les entreprises de télécommunications auraient été exposées à une responsabilité illimitée pour toutes les souffrances, les maladies et la mortalité qu’elles étaient sur le point de causer.

Mais il n’en a rien été. L’Electromagnetic Energy Association, un groupe de pression de l’industrie, a réussi à empêcher la publication des directives d’exposition de l’EPA. Le 13 septembre 1995, le Comité sénatorial des crédits a supprimé les 350 000 $ qui avaient été budgétés pour le travail de l’EPA sur ses directives d’exposition et a écrit dans son rapport : « Le Comité estime que l’EPA ne devrait pas s’engager dans des activités liées aux CEM. »

La Personal Communications Industry Association (CTIA), un autre groupe industriel, a également fait pression sur le Congrès, qui était en train de rédiger un projet de loi appelé Telecommunications Act, et une disposition a été ajoutée à la loi interdisant aux États et aux gouvernements locaux de réglementer les « installations de services sans fil personnels » sur la base de leurs « effets environnementaux ». Cette disposition a protégé l’industrie des télécommunications de toute responsabilité pour les blessures causées par les tours et les téléphones cellulaires et a permis à cette industrie de vendre au public américain la technologie la plus dangereuse jamais inventée. Les gens n’étaient plus autorisés à parler de leurs blessures à leurs élus lors d’audiences publiques. Les scientifiques n’étaient plus autorisés à témoigner devant les tribunaux sur les dangers de cette technologie. Tous les moyens permettant au public de découvrir que la technologie sans fil les tuait ont été soudainement interdits.

L’industrie des télécommunications a tellement bien réussi à vendre cette technologie qu’aujourd’hui, le foyer américain moyen contient 25 appareils différents qui émettent des micro-ondes et l’Américain moyen passe cinq heures par jour sur son téléphone portable, l’a dans sa poche à côté de son corps le reste de la journée et dort avec toute la nuit dans ou à côté de son lit. Aujourd’hui, presque tous les hommes, femmes et enfants tiennent un appareil à micro-ondes dans leur main ou contre leur cerveau ou leur corps toute la journée, sans se rendre compte de ce qu’ils font à eux-mêmes, à leur famille, à leurs animaux domestiques, à leurs amis, à leurs voisins, aux oiseaux dans leur cour, à leur écosystème et à leur planète. Ceux qui sont même conscients qu’il y a un problème ne voient que les tours comme une menace, et leur téléphone comme un ami.

(à suivre) 


[Voir aussi : dossier
5G et ondes pulsées]




Conflits d’intérêts et corruption à l’Agence européenne du médicament

[Source : Dr. Gonzo]

Rappel : Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie, entraînant la chute de six fonctionnaires corrompus et du Premier ministre australien Berejiklian

À qui le tour ?

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ?

https://formindep.fr/de-qui-se-moque-lagence-europeenne-du-medicament/

Formindep (« Association pour une formation et une information médicale indépendante »), le 19 septembre 2009.

L’European Medicines Agency (EMEA), ou Agence Européenne du Médicament est un organe de l’Union Européeenne, chargé de l’évaluation et de la supervision des produits de santé humaine et animale. Elle a été épinglée à différentes reprises pour sa politique de transparence pour le moins insuffisante et qui laisse la place à toutes les suspicions.

L’Agence du médicament et l’Autorité de sécurité alimentaire sont soupçonnées de conflits d’intérêts.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/14/les-autorites-sanitaires-europeennes-en-accusation_1603384_3244.html

Le Monde, le 14 novembre 2011.

L’onde de choc du scandale du Mediator, qui aurait provoqué jusqu’à 2 000 morts, a atteint l’Agence européenne du médicament (AEM), déjà mise en cause pour son manque de transparence, ses carences en matière de pharmacovigilance et ses insuffisances dans la lutte contre les conflits d’intérêts. Aiguillonnée par sa tutelle, la Commission européenne, l’AEM tente désormais de redresser la barre.

Agence européenne du médicament : trop de conflits d’intérêts.

https://www.prescrire.org/Fr/3/31/47913/0/NewsDetails.aspx

Revue Prescrire, le 1er juillet 2012.

Un audit réalisé par la Commission européenne a porté sur la gestion par l’Agence européenne du médicament (EMA) des conflits d’intérêts des personnes impliquées dans ses activités. Il a fallu deux ans de procédures et l’intervention du Médiateur européen pour que l’association Formindep obtienne la copie de cet audit, que l’EMA refusait de transmettre. Les résultats sont accablants…

Question avec demande de réponse écrite à la Commission européenne.

Objet: Indépendance de l’Agence européenne des médicaments.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001644_FR.html

Parlement européen, le 24 mars 2021.

Dans son dernier rapport en date, l’EMA indique elle-même que sur les 4 010 experts auxquels elle a fait appel en 2019, 926 avaient des liens directs ou indirects avec l’industrie pharmaceutique. Des spécialistes pointent également le mode de financement de l’EMA, ainsi que les « allers-retours » de membres de l’agence, y compris hauts placés, entre public et privé. Des « pantouflages et rétro-pantouflages » problématiques, selon Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire, cité par Le Figaro (31/12/2020).

Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence européenne du médicament.

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/conflits-dinteret-et-corruption-lagence-europeenne-du-medicament

France Soir, le 13 octobre 2021.

Cela semble invraisemblable, mais le budget de fonctionnement de cette agence (346 millions d’euros) provient à 85,70 % de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et à seulement 14,30 % de financements publics de l’Union européenne.

Budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf

Parlement européen, le 30 mars 2021. Page 7/21 :




Explosion de la science et de la morale

Par Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Les médias produisent chaque jour des nouvelles de plus en plus choquantes : il doit y avoir un passeport de vaccination et cela à cette date ; le Ministre de la Santé rapporte « la population, y compris les nouveau-nés, doit aussi avoir un passeport génétique… », etc., etc.

Personne ne demande quelle est la menace, qui la fait progresser et quel est son objectif. On sait seulement que quiconque désobéira sera expulsé de la société. Les mesures insensées et pénales prises par le gouvernement sont acceptées sans examen de leurs conséquences.

Les armes nucléaires constituent la plus grande menace de destruction massive. Ce qui se passe aujourd’hui, cependant, est un moyen encore plus efficace d’autodestruction massive et totale de l’humanité.

À quoi bon la science et la technologie lorsqu’elles sont entre les mains de criminels intelligents et cyniques qui cherchent non seulement à exterminer l’humanité, mais aussi à perturber la nature humaine en tant que telle ? Sans conscience et sans principes moraux, la science et la technologie conduisent à l’autodestruction de l’humanité. Le puçage est introduit afin de contrôler les gens de façon totale, et pas seulement pour contrôler, mais aussi pour dégrader les gens dans les médias du système, ou en robots biologiques. Il s’agit vraiment de diaboliser l’humanité et de créer un enfer sur Terre, qui culminera dans un enfer après la mort.

La question de la moralité interpersonnelle dépend de la pureté morale. La promotion de l’immoralité ne conduit pas à la liberté, mais à l’esclavage des passions et, finalement, au crime. Le paradoxe est que c’est le Concile de Vatican II qui a ouvert la porte à ce processus de démoralisation en établissant le respect du paganisme. Les hérésies du modernisme ont perturbé une relation vivante avec Dieu. Sans cette relation, la moralité décline. La moralité est la base d’une famille saine, et donc de la société saine. Elle conduit à la vraie liberté.

Dans les années 1960, le boom du yoga et des arts martiaux entraîna l’expansion du paganisme. Leurs méditations sont intrinsèquement liées à l’hindouisme et au bouddhisme païens. Ces méditations incluent la conscience et nient Dieu le Créateur et Son salut, qui est en Christ. Dans les cultes païens, il n’y a ni amour pour Dieu, ni amour pour le prochain. Le paganisme est fondamentalement basé sur l’occultisme, c’est-à-dire diverses formes de divination, de magie et de spiritualisme, qui ouvrent les âmes aux démons et conduisent au satanisme. Cela entraîne un déclin complet de la conscience et de toute morale.

Dans les années 1970, Kinsey commença à promouvoir la pédophilie et l’homosexualité. Pendant cette période d’invasion de l’immoralité, l’institution de la famille fut bouleversée. Les divorces se produisaient en masse parce que les principes moraux et les racines à partir desquelles la moralité se développait avaient été sapés. Un boom de la télévision commença dans les années 1960, et bientôt, il n’y eut presque plus de film sans contenu immoral.

Le tournant du millénaire a été marqué par une propagande gay extrême, et ces dernières années, nous avons été témoins d’une idéologie du genre qui entraîne la légalisation de toutes sortes de perversions, et en même temps d’un changement massif dans l’esprit humain. L’irréalité est considérée comme une réalité, le bon sens est punissable et la conscience est complètement éliminée. La distinction entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge est floue, et l’existence de normes morales objectivement valides est niée, même par le soi-disant pape François.

Les paradigmes ont été changés. Le but caché est l’autodestruction de l’humanité et, après la mort, la damnation de chaque individu en enfer. Dans cette situation, chacun doit résister au système d’autodestruction, même au prix du martyre.

Cette idéologie de la bête apocalyptique, qui a le pouvoir entre ses mains, abuse de toutes les réalisations de la science et de la technologie pour la programmation globale du mal. L’application de cette voie de mort est basée sur des mensonges et des manipulations professionnels. La guerre autodestructrice actuelle est guidée par le principe : croyez en vous, mentez et détruisez ! Nous devons savoir que ce programme compte sur la racine génétique du mal – si — qui est en chaque être humain. Par conséquent, Dieu s’est fait homme afin d’obtenir pour nous le pardon des péchés et de nous délivrer de cette source du mal, le péché originel — l’ancien moi (Rm 6, 6). Il est nécessaire que nous recevions le Sauveur et sa voie de vérité et d’amour désintéressé pour Dieu et le prochain.

Connaître la vérité est profondément lié aux principes moraux. Une personne qui mène une vie immorale devient spirituellement aveugle et cynique. Elle commettra elle-même des crimes et les légalisera, se faisant ainsi du mal à elle-même et aux autres. Ce n’est pas une chose innocente. La morale est la base de la véritable autocritique, qui rend une personne capable d’admettre la racine du mal en elle-même, ainsi que son système d’auto-tromperie, et de s’y opposer. Ce n’est qu’alors qu’elle pourra accepter le plan de Dieu pour sa vie et son accomplissement dans le bonheur éternel après la mort.

Aucune responsabilité, aucune justice, aucun comportement honnête ne peut être attendu d’une personne immorale. L’immoralité va de pair avec le déclin des vertus. Le canal vers la plus grande immoralité est le retour au paganisme — c’est-à-dire le retour au culte des démons et du diable, et en même temps à la perversion morale, et même au sacrifice humain. C’est ce à quoi nous sommes parvenus aujourd’hui. C’est de la cruauté envers les enfants à grande échelle. Tout est-il en train d’être adopté ? Ces crimes sont appelés « droits de l’enfant ». Pour être moral et consciencieux, il faut acquérir l’abnégation : le sacrifice. Le sens et le but de la vie humaine ne sont pas authentiques : cela ne se termine pas avec la mort.

Quel changement de mentalité a eu lieu au cours du dernier demi-siècle ? Cela a commencé avec la popularisation de l’immoralité, qui a progressivement conduit à la promotion de la perversion (Kinsey : pédophilie et homosexualité), et cela a finalement été suivi d’un passage de la réalité à l’irréalité (idéologie transgenre). La distinction entre le bien et le mal a cessé d’exister. La société post-chrétienne a alors pu accepter le système colossal du mensonge, tel que nous le voyons aujourd’hui. Un autogénocide de masse est en cours sous couvert de la « santé ».

Quelle est la solution ? Pas la foi dans les mensonges ou les menteurs, mais la Metanoe : un changement d’avis et une croyance en l’Évangile ! (Matthieu, 1:15).

Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Le 9 juillet 2021

Explosion de la science et de la morale

Abonnez-vous aux newsletters du PCB https://forms.sendpulse.com/ef46bd8937/




« L’islamophobe » n’est-ce pas le non-musulman ?…

Par Lucien Samir Oulahbib

That is the question. Ou cela revient au même au-delà du fait de répondre « mais non bien sûr », car la logique derrière paraît imparable : si vous n’êtes pas islamophobe pourquoi ne pas être musulman pour le prouver ? Répondre que ce n’est pas nécessaire apparaîtra ambigu, d’autant plus que si « islam » veut dire aussi paix et que vous êtes pour la paix, si cela veut dire aussi protéger les femmes du regard sale des hommes, tous les lgbtistes sont d’accord avec ça, donc il n’y a aucune raison de ne pas le devenir, d’autant plus que concernant l’environnement la couleur de l’islam est le vert, donc tout va bien. Pourquoi attendre ?…

Le même raisonnement prévaut aussi ailleurs :

  • être climatoréaliste (c’est-à-dire se baser sur les faits et donc les observations et non pas sur les corrélations modélisées) n’est-ce pas être « négationniste », « platiste », n’est-ce pas refuser d’ouvrir les frontières pour les « réfugiés climatiques » (stade suprême du sans-frontiérisme ?) et donc être « d’extrême droite »?…
  • être « rassuriste » s’agissant de C19 (c’est-à-dire se baser sur les faits et donc les observations concernant l’efficacité comparative des traitements et non pas sur les corrélations modélisées) n’est-ce pas être « anti-science » et donc « conspirationniste » ?…

On le voit, ces trois exemples, islam, climat, injections expérimentales, fonctionnent sur le même schéma logique du syllogisme banal (qui est antirationnel) : si vous n’êtes pas ceci, traduisez « comme nous » alors vous êtes cela donc « contre nous », c’est la formule « ami/ennemi » de Carl Schmitt qui avait remarquablement résumé la manière dont Lénine renversa la formule de Clausewitz (reprise par Foucault et tout le mouvement déconstructionniste actuel) :

« la guerre c’est la politique continuée par d’autres moyens » devient « la politique c’est la guerre continuée par d’autres moyens » autrement dit la guerre (de classe, de race…) est permanente (alors que même chez Hobbes elle ne l’est pas) tant que vous n’acceptez pas la « paix » proposée par la partie adverse soit votre soumission (reddition)….

C’est ce qui est proprement antirationnel en ce sens où la raison se distingue de la logique parce qu’elle pose la question du sens : si a alors b si et seulement si a « doit » aller vers b, cela dépend donc de l’objet visé : technique, affectif, politique… Ainsi une jeune fille de neuf ans pourrait physiologiquement si elle est « réglée » être « mariée », le devrait-elle pour autant ? C’est un choix dans ce cas non plus logique, mais rationnel au sens où cela engage l’avenir psychique du développement humain propre à cette enfant. Et concernant alors son « impression » de sentir « garçon », ne va-t-on pas interroger au préalable cette « impression » pour voir s’il s’agit d’un sentiment profond ou juste fugace ? Ce sont des types de questions propres à notre civilisation judéo-chrétienne ayant affiné ici la pensée gréco-romaine au sens de mettre au centre la liberté jusqu’à même défier Dieu (Adam et Eve, Moïse) Jésus lui-même assumant la trahison de Judas, refusant de jeter la première pierre, discutant avec la Samaritaine, chassant certes les marchands du Temple (mais ne les tuant pas).

Ces questions, , ne font pas partie du lexique de ceux qui fonctionnent façon ami/ennemi : aussi les déconstructionnistes (de plus en plus néoléninistes) sont bien les alliés objectifs des djihadistes et bien entendu leur servent d’idiots utiles alors que même dans les pays dominés par l’apparence pourtant « diplomatique » de ces derniers, les femmes, les homosexuels, les libres-penseurs sont pourchassés et assassinés s’ils ne se soumettent pas à la « paix » exigée.

Aussi faut-il être très méfiant devant de telles injonctions :

  • être non-musulman ne veut pas dire antimusulman, mais, comme son nom l’indique, être en dehors de sa conception du monde, que l’on peut cependant critiquer, car telle est par contre l’un des fondements de notre civilisation : le fait de mettre tout en doute et d’avoir la liberté de le faire ; si l’on refuse ce trait-là, eh bien oui, c’est dans ce cas l’affrontement y compris lorsque Jacob se bat contre l’Ange jusqu’au matin (sauf que ce dernier ne le tue pas non plus…).
  • être climatoréaliste ne veut pas dire que l’on nie les changements climatiques, mais que l’on souligne que le climat change toujours et que l’on confond souvent cela avec le phénomène de la pollution, par exemple le CO2 et le CO ce qui veut dire par exemple qu’il a été fait beaucoup d’efforts pour réduire ce dernier parmi les particules dites fines jusqu’à 98 % pour le diesel dernière époque par exemple ; d’où le constat qu’au bout du compte le moteur thermique s’avère être bien plus « propre » que le moteur électrique, surtout dans les pays peu nucléarisés…
  • être enfin plutôt « rassuriste » en matière de santé c’est observer que le renforcement du système immunitaire naturel et la lutte contre la syndémie (les maladies dites « chroniques ») le tout dans une revalorisation du système de soins, s’avère être une action pratique rationnelle au sens de prendre en compte toutes les données, pas seulement logique (« l’urgence » supposée), mais aussi civilisationnel au sens où l’on fait politiquement et techniquement la part des choses parce que la liberté ne peut être sacrifiée au nom de la « sécurité », surtout lorsque cela ne se justifie pas objectivement (« proportionnellement »).

La campagne présidentielle française à venir ne peut alors pas ne pas tourner autour de ces questions fondamentales ; ce qui fait qu’au-delà de ce que l’on peut penser de la candidature d’un Éric Zemmour, ce dernier a déjà le mérite de les poser au niveau nécessaire et suffisant : il s’agit désormais d’un choix de civilisation et non plus seulement de « société »… To be or not to be. A-t-il les « bonnes » réponses ? Sinon qui ?…

That is (also) the question




Le secrétaire adjoint au Trésor américain menace les Américains que les pénuries continueront jusqu’à ce que tout le monde soit vacciné

[Source : QuebecNouvelles.com]

Le secrétaire adjoint au Trésor américain a averti les Américains que la seule façon de mettre fin au fléau des rayons vides dans le pays est que chaque habitant se fasse vacciner. Cet avertissement franc est apparu comme une menace pour beaucoup.

Wally Adeyemo, le deuxième plus haut fonctionnaire du département du Trésor de l’administration Biden, a semblé faire du chantage à la partie encore considérable des Américains qui n’ont pas été vaccinés contre le Covid-19 lors d’une interview jeudi sur ABC, semblant les rendre responsables des pénuries continues de biens de consommation qui ont conduit de nombreuses personnes à se moquer du président en le surnommant « Joe des rayons vides ».

Les étagères vides du CVS (une société de vente au détail américaine ayant près de 10 000 magasins) de Minneapolis illustrent la pénurie de la chaîne d’approvisionnement.


Malgré les photos virales montrant des milliers de cargos alignés dans le port de Los Angeles, prêts à décharger leurs marchandises, M. Adeyemo a affirmé que les problèmes de chaîne d’approvisionnement qui touchent tant de détaillants américains sont un problème international et ne se résorberont que lorsqu’un pourcentage suffisant du pays aura été vacciné.

Décrivant les conditions économiques désastreuses comme « une économie en transition », Adeyemo a reconnu que « nous voyons des prix élevés pour certaines des choses que les gens doivent acheter. » S’il a fait l’éloge des mesures de relance de l’administration, il a également rejeté la faute sur les personnes non vaccinées.

La réalité, c’est que la seule façon de réussir cette transition, c’est que tous les Américains et tous les habitants du monde se fassent vacciner.

Alors que le journaliste d’ABC a suggéré à plusieurs reprises que les pénuries de papier toilette et d’autres articles achetés en urgence dans le pays pouvaient être attribuées à des perturbations de la chaîne d’approvisionnement internationale, un nombre croissant d’Américains demandent des réponses concernant la nature étrangement spécifique de certains produits manquant dans les rayons des magasins. Certains ont même exprimé des doutes quant à la possibilité que les pénuries soient introduites délibérément, soit pour attiser la haine contre les personnes non vaccinées, soit pour maintenir les Américains dans une situation économique déséquilibrée alors qu’ils s’habituent aux perturbations sauvages de la pandémie.

Adeyemo n’a pas rendu service au cabinet Biden en ajoutant de l’huile sur le feu de la conspiration, expliquant que la raison principale pour laquelle Biden continuait à faire pression pour que tout le monde soit vacciné était que ce n’est qu’alors que la Maison Blanche pourrait « fournir les ressources dont le peuple américain a besoin » pour résoudre le problème de la chaîne d’approvisionnement.

Bien qu’ils accusent le secteur du transport maritime international d’être à l’origine de l’inoccupation des rayons aux États-Unis, les médias ont reconnu que les ports de Los Angeles et de Long Beach, qui traitent à eux deux 40 % des importations nationales, ont connu l’année dernière les années les plus chargées de leur histoire, ce qui contredit l’idée que les produits qui manquent dans les rayons américains n’existent tout simplement pas. Cependant, de nombreux camionneurs travaillant pour des sociétés de transport maritime se sont opposés à l’idée d’une vaccination obligatoire, laissant les flottes de leurs entreprises en sous-effectif, et d’autres se sont mis en grève pour réclamer de meilleures conditions de travail.

L’administration Biden a tenté de résoudre le problème de la chaîne d’approvisionnement en demandant que le port de Los Angeles fonctionne 24 heures sur 24, mais alors qu’il a fait l’éloge de sa propre promesse en la qualifiant de  » changement de donne « , le directeur exécutif du port a clairement indiqué qu’aucun calendrier n’avait été établi pour le changement d’horaire promis. Pendant ce temps, le cabinet de Biden est apparu comme étant terriblement déconnecté de la réalité – le chef de cabinet de la Maison Blanche, Ron Klain, a par exemple qualifié la question des étagères vides de problème de « grande envergure » en début de semaine, suscitant des critiques tant à gauche qu’à droite. Et le secrétaire aux transports, Pete Buttigieg, est discrètement en congé de paternité depuis la mi-août, laissant le pays sans même un semblant de supervision logistique alors que l’engorgement des cargaisons ne montre aucun signe de dissipation.

La pénurie de main-d’œuvre se fait sentir bien au-delà des États-Unis, mais souvent pour des raisons similaires. En Italie, des milliers de manifestants ont bloqué le déchargement des cargos en début de semaine. Les manifestants étaient outrés par l’adoption par le pays d’une politique de vaccination obligatoire pour le travail, semblable à celle de l’administration Biden. Le gouvernement britannique a supplié les chauffeurs routiers de reprendre le travail, allant même jusqu’à attirer des chauffeurs étrangers avec des visas temporaires, alors que le pays s’inquiète de ses propres problèmes d’étagères vides.

Les routiers australiens se sont unis à d’autres syndicats pour faire pression sur le gouvernement, qui a maintenu des villes comme Melbourne en état d’urgence pendant des mois malgré le nombre infime de cas de Covid-19 signalés. Il y a plus d’un an, le gouvernement mettait déjà en place des politiques du type « pas de vaccin, pas de travail » et a montré la voie en exploitant la pandémie pour transformer les « démocraties » des « Five Eyes » en États policiers.


[Voir aussi :
Que se cache t-il derrière LES PÉNURIES MASSIVES ?
Comment la pénurie d’électricité en Chine menace le monde
Économie mondiale : les pénuries freinent toutes les chaînes d’approvisionnement
Pénuries alimentaires en vue ?
Pénuries massives et généralisées à tous les secteurs : pourquoi ?
Bill Holter : « Je pense que nous sommes réellement à 72H de l’ANARCHIE TOTALE ! »
La crise mondiale du transport maritime est bien plus grave qu’on ne l’imagine]




CNN a accidentellement permis à quelqu’un de dire la vérité à l’antenne

[Source : Aube Digitale]

[Illustration : « CNN, le réseau (télévisé) des clowns des nouvelles »]

PAR JADE

Moins d’une semaine après que CNN a dû limiter les dégâts lorsque son correspondant médical en chef s’est fait démolir par Joe Rogan à cause de mensonges sur l’Ivermectine, la chaîne pourrait avoir un autre incendie à éteindre…

En effet, quelques jours après que le présentateur Don Lemon a essayé de « mettre en réseau » l’argument de Rogan, l’animateur Brian Stelter a fait l’erreur de laisser l’ancienne rédactrice en chef du NYT, Bari Weiss, discuter à l’antenne d’exemples expliquant pourquoi le monde est devenu fou.

La première erreur de Stelter, bien sûr, a été d’inviter Weiss dans son émission.

Sa deuxième erreur a été de supposer qu’elle n’avait pas de preuves lorsqu’elle a dit que le monde était devenu fou.

« Par où puis-je commencer ? Eh bien, quand vous avez la journaliste en chef du New York Times chargée de l’enquête COVID qui dit que le fait de remettre en question ou de poursuivre la question de la fuite du laboratoire est raciste, le monde est devenu fou. » »

Lorsque vous n’êtes pas en mesure de dire à haute voix et en public qu’il existe des différences entre les hommes et les femmes, le monde est devenu fou. »

« Lorsque nous ne sommes pas autorisés à reconnaître que les émeutes sont des émeutes et qu’elles sont mauvaises, et que le silence n’est pas une violence, mais que la violence est une violence, le monde est devenu fou », a déclaré Mme Weiss.

« Quand on n’est pas capable de dire que l’ordinateur portable de Hunter Biden est une histoire qui vaut la peine d’être poursuivie, le monde est devenu fou. »

« Lorsque, au nom du progrès, de jeunes écoliers, dès la maternelle, sont séparés dans les écoles publiques en raison de leur race, et qu’on appelle cela le progrès plutôt que la ségrégation, le monde est devenu fou. Il y a des dizaines d’exemples. »

La troisième et dernière erreur de Stelter a été de demander à Weiss « qui » est à blâmer ?

« Les gens qui travaillent dans des chaînes comme, franchement, comme celle dont je parle en ce moment, qui essaient de prétendre qu’il était raciste d’enquêter sur la théorie de la fuite du laboratoire », a répliqué Weiss, ajoutant plus tard que les actions de CNN et des grands médias étaient de la « désinformation par omission. »

Voir le visage de Stelter vaut à lui seul la peine.




De nombreux députés et des millions de citoyens refusent la prolongation du pass liberticide, sans aucune justification sanitaire

Par Nicole Delépine

Loi de vigilance sanitaire, en direct de l’Assemblée nationale. Quelques extraits

Le gouvernement exige une nouvelle fois les pleins pouvoirs pour bloquer nos libertés et ce enjambant les élections. Il appelle cela une boite à outils ! Mais comme répond un député, cette boite à outils devrait être dans les mains du parlement et non de l’exécutif d’autant que l’épidémie en France a disparu et que personne ne le nie plus, même pas le pouvoir.

Les citoyens devant l’assemblée :

https://twitter.com/KARIMAMARKHODJ1/status/1450486392778276866

Des députés au parlement exigent des limites

Aurélien Pradié LR : la société du pass sanitaire n’est pas la société que vous voulez. NOUS DEVONS NOUS INQUIÉTER AUTANT DE LA SANTE DE LA DEMOCRATIE QUE DE CELLE DE NOS CONCITOYENS

le député José Evrard proteste contre cette politique d’atteinte aux libertés et rappelle la protestation importante dans le même temps devant l’Assemblée nationale que les médias ignorent !

https://twitter.com/Joseevrard62/status/1450503878147969024

« Vous massacrez les Français ! »

Prolongation de l’état d’urgence sanitaire, grosses tensions. le 1er article est adopté

par le député Ratenon : dénonciation de la violence
du gouvernement et rappel du gazage des soignants en Martinique.

également en commission

« Nous les pas plus, nous les pas moins ». Il est très choqué, car le ministre de la Santé est parti sans même lui répondre. Indifférence aux gueux, indifférence aux députés, des gueux comme les autres, probablement.

Lors de la commission des lois, le député JH Ratenon (LFI La Réunion) a interpellé O. Veran sur le pass sanitaire et les revirements du gouvernement.

O. Véran est parti sans avoir pris la peine de lui répondre.

« Le ministre de la Santé vient de faire la démonstration d’un total mépris des députés d’outre-mer, il refuse de répondre à nos questions, nos remarques, peut-être est-il en flagrant délit de mensonges ou tout simplement est-ce un réflexe colonial, et je dénonce cela avec la plus grande fermeté.

Aujourd’hui nous pouvons nous exprimer pour défendre l’intérêt de nos citoyens, des citoyens qui souffrent énormément de la politique de ce gouvernement et notamment du comportement sectaire de ce ministre de la Santé.

Je voudrais dire que ce comportement n’a pas sa place dans la République Française. »

Le député Ratenon

Via :

Le député François Ruffin se révolte contre cette nouvelle loi :

Et l’irrespect permanent pour nos représentants après la fête sans masque ni distanciation à l’Élysée il y a quelques jours, pourquoi nos députés devraient porter cette muselière tellement symbolique de leur interdiction de parler, d’exister.

Ainsi cette fois, des élus de droite comme de gauche dénoncent la perte de nos libertés

Enfin ils critiquent le projet de maintien du régime transitoire de sortie de l’État d’urgence sanitaire. Ils évoquent un « chèque en blanc », dans un « état d’exception » qui devient « la norme ».

« C’est le passe sanitaire à vie », a critiqué la candidate du RN à la présidentielle Marine Le Pen,

La communiste Karine Lebon a dénoncé un « déni de démocratie » et l’insoumise Mathilde Panot des décisions prises au gré « des ordres et des contre-ordres de Jupiter ».

le LR Philippe Gosselin a défendu en vain une motion de rejet contre cette « banalisation de l’état d’urgence ».

la député Emmanuel Ménard confirme : Des mesures d’exception sanitaire jusqu’à cet été ? Non, ça suffit !

https://www.facebook.com/watch/?v=4772197916138416

Mais trop d’absents, même si certains se battent avec conviction. Comparez à quelques minutes près :

Le SECRET MÉDICAL ÉCRASÉ

À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés.(([1] Marcel D.@DubreuilhMarcel))

Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. De quoi laisser rêveur Kim Jong-un. Mais peut-on envisager un amendement qui dévoile le statut vaccinal des sénateurs, députés et membres du gouvernement… ou bien tout ce beau monde restera-t-il exempté ?(([2] Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné (lemediaen442.fr) ))

Si certains se battent pour nos libertés, d’autres en rajoutent, voire se ridiculisent comme la députée MODEM Sophie Mette, qui a osé déclarer :

« Pourtant, en dépit des critiques souvent stériles et excessives, jamais nous n’avons dévié de cette ligne — exigeante — qui porte pleinement ses fruits : la campagne de vaccination et le passe sanitaire sont une réussite. On compte 5 000 nouvelles contaminations par jour, en baisse régulière, et la décrue des hospitalisations, ainsi que des décès, est considérable. »

Ou comment confondre la confiance dans le vaccin et l’obligation d’être vacciné pour garder son emploi. Les 300 000 soignants qui ont refusé l’injection dangereuse (devant les nombreux accidents rencontrés depuis janvier) sont bannis de l’hôpital qui ne peut plus fonctionner, bannis de leurs amis qui ne comprennent pas, devant la publicité honteuse des médias. Combien de dépressions et de suicides, de soignants, de pompiers ?

Le député de Paris Pierre-Yves Bournazel en a rajouté une couche et commis cette phrase historique :

« Quelle est la raison d’être du passe sanitaire ? Il ne vise pas à restreindre nos libertés. Au contraire, c’est le seul moyen de retrouver notre liberté de déplacement en toute sécurité et de préparer sereinement l’avenir. »

Montrer ses papiers pour prendre un café ou assister à un concert, ça s’appelle retrouver sa liberté de déplacement ! La paix c’est la guerre, on commence à connaître Orwell par cœur !

LREM se défend curieusement alors que l’épidémie est terminée et de nombreux autres périls même sanitaires guettent les Français comme la dépression (voir le taux d’antidépresseurs prescrits) ou la tuberculose renaissante.
Le ministre a justifié cette proposition de loi par la nécessité de « rester vigilants, acteurs, actifs pour ne pas laisser la moindre prise au virus ».

Le gouvernement a insisté sur l’importance de la troisième dose du vaccin, « fondamentale » pour les plus fragiles, plus de 65 ans et personnes malades. « À terme, 22 millions de nos concitoyens sont appelés à recevoir ce rappel », a-t-il précisé. Donc un pseudovaccin qui ne protège pas, mais qu’il faut éternellement renouveler… Cela ne vous pose-t-il pas de question ?

Rappelons qu’il y a moins de vingt morts par jour de covid contre plus de cinq cents décès de cancer. Il laisse bien la moindre prise au crabe, mais aussi aux suicides qui se multiplient. Ensuite le ministre s’est échappé. Pourquoi répondre aux députés qui finalement sont traités honteusement comme des riens comme tous les autres français.

La validité du passe pour les plus de 65 ans et les plus fragiles pourrait aussi être soumise à l’injection d’une troisième dose de vaccin. « C’est une possibilité », a confirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

La prorogation du passe sanitaire est discutée dans une précipitation inouïe — POURQUOI UNE PROCÉDURE D’URGENCE ? — à l’Assemblée nationale

On notera les propos hallucinés du rapporteur Jean-Pierre Pont… et l’amendement courageux porté par le macroniste parisien Pacôme Rupin.(([3] Passe sanitaire : quand les députés macroniens mangent des champignons hallucinogènes – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il faut absolument lire l’extravagant rapport sur le passe sanitaire rendu par le député LREM du Pas-de-Calais Jean-Pierre Pont, rapporteur de la loi scélérate qui proroge le passe sanitaire sans raison… sanitaire ! Ce texte digne de la propagande stalinienne à ses meilleures heures (..)

On récapitule : passe sanitaire grande réussite, qui a permis d’endiguer la quatrième vague, et de rendre aux Français la liberté que le virus leur avait volée.

Pas un mot sur la société de surveillance, pas un mot sur le crédit social, pas un mot des manifestations qui se déroulent chaque samedi en France, pas un mot sur les milliers de suspensions prononcées dans les hôpitaux.

Mais il est vrai que si l’on oublie ce point de détail, où 30 % des soignants n’ont accepté le vaccin que sous la menace de perdre leur emploi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

LE PROJET DE LOI CONTINUE À ÊTRE DISCUTÉ CE JOUR ET DEMAIN AU PARLEMENT

Joignons nos députés dont certains répondent rapidement. Écrivez-leur votre propre missive ou envoyez-leur une lettre ouverte

Participez à leur information. Comme beaucoup de nos familles, ils ont été désinformés par le gouvernement, les médias et ont reçu très peu d’éléments de réflexion véritables. Certains comme le ministre qui répond aux députés craignent encore ce virus mythique, quand ils feraient mieux de craindre le cancer ou des effets secondaires de l’injection génique.


Notes




Coronacircus — Plus on est intelligent, moins on se vaccine

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Thomas T. Siler, M.D. American Thinker

Il y a une campagne de propagande massive contre ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre Covid-19 avec les vaccins expérimentaux à ARNm. Les médias grand public, les grandes entreprises technologiques et nos gouvernements ont combiné leurs efforts pour récompenser la conformité et pour humilier et marginaliser la non-conformité. Leur mantra dit qu’il s’agit d’une pandémie causée par les non-vaccinés. Ces derniers sont décrits comme des personnes inintelligentes, égoïstes et paranoïaques qui ne lisent pas beaucoup et vivent isolées dans un parc à roulottes dans des banlieues paumées. Jamais, de mémoire d’Homme, il n’y a eu un tel effort pour les manipuler par la peur et les pénaliser afin de les obliger à suivre un traitement médical expérimental.

Cependant, au fur et à mesure que le temps passe avec cette pseudo pandémie et que de plus en plus de données s’accumulent sur le virus et le vaccin, les non-vaccinés semblent de plus en plus intelligents chaque semaine qui vient. Il a été démontré maintenant que les vaccinés attrapent et propagent le virus encore plus que les non-vaccinés.[1] Les données sur les effets secondaires des vaccins continuent de s’accumuler, ce qui rend le risque de prendre le vaccin prohibitif à mesure que la pandémie diminue.[2] Les médicaments oraux et intraveineux qui fonctionnent tôt dans le traitement du Covid-19 sont beaucoup plus attrayants à prendre maintenant, car les risques du vaccin sont de plus en plus connus, en particulier parce que les vaccinés auront besoin de rappels sans fin tous les six mois.

Tout d’abord, abordons l’intelligence des non-vaccinés. L’hésitation à la vaccination est multifactorielle et varie avec le niveau d’éducation ou d’intelligence. L’Université Carnegie Mellon a réalisé une étude évaluant l’hésitation à la vaccination à tous les niveaux d’éducation. Selon l’étude, quel est le niveau d’éducation avec le plus d’hésitation à la vaccination ?doctorat niveau Ph. D.! De toute évidence, les scientifiques capables de lire les données et d’évaluer les risques sont parmi les moins susceptibles de prendre les vaccins à ARNm.

L’affirmation selon laquelle il y a une pandémie chez les non-vaccinés est donc manifestement fausse. Comme l’a récemment demandé une infirmière à la retraite de Californie : « Pourquoi les protégés doivent-ils être protégés des non-protégés en forçant les non-protégés à utiliser la protection qui ne protége pas les protégés en premier lieu ? ». Si le vaccin agit pour prévenir l’infection, alors les vaccinés n’ont rien à craindre. Si le vaccin ne prévient pas l’infection, les vaccinés restent exposés à un certain risque et les non-vaccinés seraient moins susceptibles de choisir un vaccin qui ne fonctionne pas bien.

L’efficacité du vaccin à ARNm est très étroite et se concentre sur la souche alpha originale de Covid-19. En ciblant un groupe d’antigènes sur la protéine de pointe, cela aide la souche alpha d’origine, mais il est clair maintenant qu’elle ne protège pas contre la souche Delta et ne protège probablement pas contre les futures souches qui pourraient circuler. Il semble également que l’efficacité diminue en 4 à 6 mois, ce qui conduit à des discussions sur les boosters (rappels).

Plusieurs auteurs ont souligné que la vaccination avec un vaccin « qui fuit » lors d’une pandémie pousse le virus à s’échapper et à créer des variantes. Si le rappel n’est qu’une autre itération du même vaccin, il n’aidera probablement pas contre la nouvelle souche, mais produira plutôt une pression évolutive sur le virus pour produire encore plus de variantes et nous exposer à plus d’effets secondaires. Pourquoi, alors, cette stratégie de rappel pour tout le monde est-elle poursuivie ?

Ce vaste essai clinique de phase 3 de vaccins à ARNm auquel les Américains participent principalement par peur ne se passe pas bien. Il est tout à fait clair pour quiconque défend la santé publique que le programme de vaccination doit être arrêté. L’Islande vient de cesser de donner le vaccin Moderna, ce qui est un bon pas dans la bonne direction. La Suède, le Danemark et la Finlande ont interdit le vaccin Moderna à toute personne de moins de 30 ans.
VAERS, notre système de déclaration des effets indésirables des vaccins, a révélé au début de cette semaine 16 000 décès, 23 000 invalidités, 10.000 IM/myocardite, 87 000 visites de soins d’urgence, 75 000 séjours à l’hôpital et 775 000 événements indésirables au total. Le système VAERS est bien connu pour sous-déclarer les événements, avec environ 90 à 99 % des événements qui n’y sont pas signalés.[3]

Eudravigilance, le système de déclaration européen associe désormais 26 000 décès (chiffre réel entre 2,3 et 2,6 millions) à proximité immédiate de l’administration du vaccin. Les données des lanceurs d’alerte du système CMS (graphiques Medicare) ont montré près de 50 000 décès dans le groupe Medicare peu de temps après le vaccin (chiffre réel entre 4,5 et 5 millions).

Un programme de suivi basé sur l’IA appelé Project Salus suit également la population de Medicare et montre que les bénéficiaires de Medicare vaccinés ont de moins bons résultats semaine après semaine, dans le type d’amélioration de la dépendance aux anticorps (ADE Antibody Dependent Enhancement). Cela se produit lorsque les anticorps du vaccin accélèrent réellement l’infection, entraînant une aggravation des résultats de l’infection au Covid-19. L’amélioration dépendante des anticorps a déjà eu lieu avec des essais d’autres vaccins contre le coronavirus chez les animaux. Le CDC et la FDA suppriment ces données ; et les personnes qui reçoivent le vaccin n’ont pas un véritable consentement éclairé.

La déclaration de Rome compte 6700 signataires médicaux attestant que la gestion de la pandémie constitue des crimes contre l’humanité pour avoir refusé le meilleur traitement médical et pour avoir continué à plaider en faveur de vaccins nocifs. Les preuves sont juste devant les Américains pour mettre fin à la propagande et à la psychose des masques de masse.

Le récit médiatique de la peur perpétuelle s’effondre. La Norvège, la Suède et le Danemark ont mis fin à toutes les restrictions liées au Covid et se portent bien mieux que les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël, trois pays qui continuent de vacciner pendant la pandémie. Le Mexique, le Guatemala, l’Indonésie, la quasi-totalité de l’Afrique et certaines parties de l’Inde ont de faibles taux de vaccination et se portent bien mieux que les États-Unis, ce qui est attribué à leur gestion de la pandémie en utilisant l’ivermectine.

Plus de 500 000 personnes ont assisté au rallye de motos Sturgis en août et il n’y a pas eu de super propagation de Covid-19. La saison de football a commencé en août et les stades à travers le pays sont remplis de 80 000 fans hurlant sans masques. Il n’y a pas eu d’événements de super contamination, mais les étudiants sont obligés de retourner au masquage en classe. Cela n’a aucun sens.

Si le vaccin est si important, pourquoi nos chefs de gouvernement n’ont-ils pas à le prendre ? Actuellement, 13 États démocrates avec des taux de vaccination élevés ont les taux de «cas» les plus élevés (en utilisant un test PCR défectueux), tandis que les États républicains s’en sortent tous mieux. Comment cela peut-il arriver ?

Il devrait être clair que le gouvernement a manipulé Covid pour créer une peur perpétuelle, afin que nous lui laissions donc notre liberté. Dans cette bataille géante entre notre gouvernement et les non-vaccinés, j’espère que suffisamment de gens refuseront de se conformer comme des moutons pour que nous puissions nous unir pour arrêter cette folie.

Source : The Unvaccinated Are Looking Smarter Every Week

by Thomas T. Siler, M.D. American Thinker


NOTES de H. Genséric

[1] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe
Témoignage d’un directeur de Pompes funèbres. Covid est un vaste programme d’euthanasie des vieux et de mutilation des jeunes
Bulletin mensuel de la terreur Covid planétaire et de la vaccination au 25 Septembre 2021
La « chasse aux sorcières » contre les médecins honnêtes s’intensifie

[2] Le vaccin Covid. Sourds, aveugles, morts cérébrales : 5 640 décès et 780 000 effets secondaires
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
La dangerosité des nouveaux vaccins anti-Covid est un fait historique

[3] Si VAERS ne déclare que de 1 % à 10 % des cas réels, nous pouvons conclure que les chiffres réels sont les suivants :

ChiffresOfficiels VAERS Chiffres réels (en millions)
minimum Maximum
Décès 16 000 1,44 1,6
Invalidités 23 000 2,07 2,3
IM/Myocardites 10 000 0,9 1,0
Urgences 87 000 7,83 8,7
Hospitalisations 75 000 6,75 7,5
Évènements indésirables 775 000 69,75 77,5

http://
http://

Hannibal Genséric




L’église évangélique sous les restrictions ?

Par Paul Gosselin

Depuis le début de la crise du covid, les restrictions cognent fort au niveau de la vie des individus, de la vie sociale, mais aussi dans le vécu des églises. Eh oui, ces circonstances nous forcent à réfléchir sérieusement au rapport entre l’Église et l’État. Examinez un moment la citation de Patrick Poole, décrivant les circonstances de la montée du nazisme en Allemagne et réfléchissons aux parallèles avec notre époque, autant pour la société en générale que pour l’Église.

Alors que le parti nazi allemand gagnait en puissance au cours des années 1930, il s’est nourri de l’idéologie anti-chrétienne qui avait fleuri en Europe au cours du XIXe siècle. La domination politique des nazis en Allemagne et le règne personnel d’Adolf Hitler étaient le résultat direct des idées qui n’avaient cessé de croître dans le sol de la pensée allemande moderne. Les philosophies d’Emmanuel Kant, George Hegel, Ludwig Feuerbach, Karl Marx et Frédéric Nietzsche ont ouvert la voie au régime nazi en érodant la vision chrétienne du monde qui avait soutenu la culture allemande pendant des siècles. Mais cette révolution ne s’arrêta pas à la philosophie ; elle se refléta dans la musique, le cinéma et les arts ; elle s’exprima dans le système éducatif qui produisait désormais des légions de jeunes Allemands acquis aux principes du nazisme ; elle supprima l’Église chrétienne, la contraignant à la clandestinité ou la corrompant et la mettant au service du Troisième Reich ; et elle opprima tous les groupes ethniques et sociaux qui ne satisfaisaient aient pas aux critères de la race maîtresse aryenne de Hitler. Cette hégémonie culturelle était appliquée par les troupes de choc idéologiques du nazisme, les chemises brunes SA, qui exerçaient une violence sur tous ceux qui n’acceptaient pas le joug de l’idéologie nazie.

Traduction de
POOLE, Patrick (2006) Christian Worldview and Changing Culture. pp. 4-13 Christianity & Society – Vol. xvi, no. 1 (page 5)
https://static1.squarespace.com/static/54257f24e4b070e908068067/t/58383dd9d1758eee1e732aa3/1480080863631/Volume+16+No+1.pdf

En effet on voit dans notre époque la même intolérance qui s’installe en Occident (ce qu’on appelait « le monde civilisé »), le même refus de dialogue, refus qui conduit aux menaces et diverses formes d’intimidation (sans exclure la violence) à l’égard de ceux qui ne partagent pas l’idéologie officielle… particulièrement à l’égard de ceux qui oserait la critiquer.

Et après avoir digéré ces parallèles entre 2021 et les années 1930 en Allemagne, prenez le temps de digérer ce sondage (proposé par Caldron Pool, un site évangélique néo-zélandais) qui examine la réaction des églises en Australie (et ailleurs…) aux restrictions liées au Covid :

Report and Commentary: Church and COVID Vaccination Survey: « Our survey shows that many people will subject themselves to a medical treatment that they consider potentially unsafe, in order to win back political freedom. This ought to send chills down the spine of anybody who cherishes the ideals of liberal democracy. » (Caldron Pool – 19/10/2021)
https://caldronpool.com/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/

Et pour une traduction sommaire Ggl :

https://caldronpool-com.translate.goog/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui


Mon nom est Paul Gosselin. Je vis au Québec. Puisque je refuse de me convertir à la religion Covidiste, on m’interdit de manger dans les restaurants, de voyager en avion et en train, d’assister aux événements culturels et généralement de participer à la vie sociale. Je ne peux même pas sortir du pays ou visiter mes vieux parents dans un foyer. Bientôt on va m’interdire d’assister aux cérémonies religieuses et me coller une étoile jaune ?? Mais, même si on me réduit au statut de citoyen de seconde classe, sans doute on ne va pas hésiter à continuer de me taxer à 100 %…

Site :
https://www.samizdat.qc.ca




Le Frexit : une nécessité aussi stratégique que tactique

[Source : AgoraVox]

Par Laurent Herblay

Fin août, Henri Temple a publié un papier intéressant sur le site de Front Populaire se demandant si, finalement, nous ne pouvions pas retrouver notre souveraineté sans passer par le Frexit. Si le mécanisme qu’il propose est précis et élégant, je pense malheureusement qu’il serait insuffisant pour reprendre le plein contrôle de notre destin. En outre, je crois que seul un discours clair et ferme de Frexit unilatéral et immédiat pourra un jour rassembler une majorité des Français.

Retourner l’arme du droit contre l’Union Européenne

Après avoir rappelé les étapes clés de la déconstruction de notre souveraineté, il souligne que la Cour de Karlsruhe mène déjà une forme de guérilla juridique avec l’ordre de l’UE, contestant le bien-fondé des programmes de création monétaire de la BCE, ce que la cour constitutionnelle polonaise fait également. Comme un certain nombre de candidats à la présidentielle, Zemmour, LR, Le Pen, ou Mélenchon, Il propose de pousser le combat sur le terrain juridique en « tranchant la question de la hiérarchie des normes  », en remettant notre Consitution au-dessus des traités, lois et jurisprudences de l’UE à travers une réforme constitutionnelle qui serait soumise à référendum, et qui contiendrait des verrous pour protéger la souveraineté de notre pays. L’objectif est de « libérer la France du carcan bruxellois (…) sans pour autant tenter l’aventure du Frexit qui serait fatale à la belle idée européenne  ».

Non seulement il propose de rendre « coupable de crime contre la Nation ou trahison quiconque porterait atteinte aux principes du préambule de la Constitution  » mais il propose d’imposer un référendum sur tout « traité qui ne serait pas applicable sans une modification ou une atteinte à la Constitution  », tout en abaissant le seuil de saisie du Conseil constitutionnel. Il propose d’ajouter que « la constitution est la loi suprême du peuple français. Aucune règle, même internationale ou européenne ne peut s’imposer à la constitution du peuple français. Tout manquement à cette règle entraîne la nullité ou l’inexistence de plein droit de tout acte contraire, la mise en cause pénale du chef de l’état, des membres du gouvernement, ainsi que toute autorité institutionnelle, y compris judiciaire, ou étrangère ».

Dans l’absolu, cette démarche peut sembler séduisante. Après tout, cela revient à répondre au droit par le droit, les modifications proposées, même si elles parlent de forfaiture, semblent pouvoir recueillir un large assentiment des Français. De manière étonnante, cette démarche rappelle le « bouclier constitutionnel » que propose Michel Barnier sur les questions migratoires pour mettre en place son moratoire sur l’immigration. Un souverainiste et un ancien commissaire européen proposent aujourd’hui des démarches similaires pour desserrer la camisole juridique européenne. Mais même en supposant que ces dispositifs juridiques puissent être mis en place, et soient acceptés par nos partenaires européens, je persiste à penser que cela est encore largement insuffisant sur le fond, et aussi sur la forme.

Le besoin d’une rupture complète avec l’UE

Car même s’il est sans doute possible de défaire par le droit une partie de ce que l’UE a fait, je crains que le parapluie constitutionnel proposé par Henri ne nous protège que d’une petite partie du déluge réglementaire, législatif et jurisprudentiel de l’UE. La Constitution ne pourrait sans doute pas nous protéger de l’ensemble des mauvaises idées poussées par l’UE, comme la privatisation du transport ferroviaire, ou les innombrables alinéas nocifs d’un traité commercial comme le CETA. Les mailles du filet constitutionnel ne sont, logiquement, pas très serrées, puisqu’elles ont permis des politiques radicalement différentes, du programme commun de la gauche en 1981, aux privatisations qui ont suivi. Or, tout le problème de l’UE est justement d’avoir construit un ordre juridique aux mailles beaucoup plus fines.

Je crains qu’un tel dispositif laisse une trop grande partie des politiques néfastes menées depuis plus de 30 ans en place, à moins de sombrer dans les mêmes travers que l’UE, et graver dans notre Constitution de nombreuses politiques contradictoires avec l’UE mais qui pourraient alors être protégées. Et de même que je dénonce la quasi-constitutionnalisation d’une ligne politique que je refuse dans les traités européens, je refuse de constitutionnaliser les politiques que je souhaite. C’est une démarche antidémocratique, et je refuse d’avoir recours à ces mêmes instruments. En outre, il serait probablement très long et difficile de créer assez de boucliers constitutionnels contre les politiques de l’UE…

Car en s’en tenant à notre Constitution actuelle, on pourrait craindre que si quelques politiques néfastes de l’UE pouvaient être refusées, on risquerait d’en conserver la grande majorité ? La remise en cause d’un accord commercial par ce biais ne serait-elle pas aussi lente que hasardeuse, d’autant plus que cela donnerait un immense pouvoir d’interprétation à des juges qui pourraient décider de trancher dans le sens de l’UE. En outre, en répondant au droit par une couche supplémentaire de droit, cela revient à légitimer la prise de pouvoir de la légalité juridique sur la légitimité politique. Bref, sur le principe, comme pratiquement, une telle voie me semble dangereuse. En outre, qu’y a-t-il à perdre à couper totalement et rapidement avec l’UE ? Pour un pays comme la France, avec un lourd déficit commercial avec ses partenaires, une monnaie trop chère pour notre économie, et une forte contribution financière à l’ensemble, il n’y a aujourd’hui strictement rien à perdre à emprunter le chemin d’un Frexit unilatéral et immédiat.

L’UE ne nous a jamais apporté le moindre poids sur la scène internationale, du fait de ses contradictions profondes, et de sa soumission à l’agenda étatsunien. Aucune des politiques mises en place ne profite à notre pays, le dernier plan de relance trouvant le moyen de nous coûter près de deux fois plus qu’il nous rapporte tout en nous infligeant de nouvelles contraintes. Avec l’UE, la France est toujours perdante et nous avons besoin de revenir à une monnaie nationale sous l’autorité démocratique du politique pour retrouver des marges de manœuvre. Il serait également illusoire de vouloir lutter contre la désertion fiscale au sein d’une UE qui compte 3 des 5 premiers parasites de la planète selon Gabriel Zucman. Seul le Frexit permet de rayer aisément toutes les règles ou normes qui nous déplaisent.

Le besoin d’un discours et d’un mandat clair

Plus globalement, comme le montre la surprenante proximité de proposition entre Henri Temple et Michel Barnier, se pose également la question de la clarté du mandat obtenu. Si les souverainistes optent pour un discours moins clivant en rejetant le Frexit, et en tentant d’utiliser d’autres outils pour retrouver des marges de manœuvre, il y a le risque de finir par tenir le même discours que celui des partisans de l’UE, dont le bilan calamiteux les contraint toujours à prendre des distances en campagne, même s’ils rentrent dans le rang après les élections. Ce faisant, entre des euro-béats s’affichant un peu sceptiques et des sceptiques ne se voulant pas trop clivants, la différence devient ténue, ce qui pose un double problème, stratégique, sur la réalité du changement possible, et tactique, sur lequel je reviendrai après.

Stratégiquement, le problème de la démarche moins clivante, c’est qu’elle revient aussi à obtenir un mandat moins fort de rupture avec l’UE, à peine différent des mandats un peu critiques que sollicitent les partis traditionnels. Dès lors, surtout dans une démarche reposant sur le droit, cela risque de ne pas permettre de rassembler une majorité de vrai changement, en permettant d’inclure des critiques trop légers de l’UE, tout en laissant aux juges la capacité de ne remettre en cause qu’à la marge la direction de l’UE, puisque le droit repose sur des interprétations qui n’iraient pas forcément dans le sens d’une profonde remise en question de la direction prise par l’UE. Cela ressemble beaucoup à la voie prise par Alexis Tsipras, qui, sans mandat de rupture clair, a fini par mener les politiques qu’il dénonçait avant

Bien sûr, dans un raisonnement classique, on peut classer les citoyens d’un soutien sans faille à l’UE jusqu’à une volonté de rupture immédiate. Et dans cette vision, adopter un discours plus modéré semble le seul moyen pour réunir une majorité, en réunissant partisans du Frexit et critiques de l’UE qui ne souhaitent pas en partir. Mais un tel raisonnement me semble avoir deux limites. Je ne suis pas du tout convaincu par le caractère plus rassembleur d’une ligne plus modérée. L’expérience Trump, ou le Brexit, montrent aussi que la radicalité d’une idée peut être le moyen de mobiliser des personnes particulièrement critiques des politiques menées depuis des années. Une position plus modérée, c’est aussi un discours proche de ceux qui ont été au pouvoir, ce qui pourrait aboutir à perdre les citoyens les plus radicaux, tout en ayant du mal à convaincre les modérés tant le discours finit par se rapprocher de celui des partisans de l’UE.

Aujourd’hui, je pense que stratégie et tactique se rejoignent. Il y a un besoin stratégique d’obtenir un mandat clair de rupture, pour le Frexit, afin ne pas être englué pendant des mois ou des années dans des négociations sans pouvoir véritablement changer les choses. Mais je pense également qu’une ligne forte et dure, un Frexit unilatéral et rapide, est aussi la meilleure chance pour les souverainistes de parvenir à émerger en 2022, surtout alors que Mélenchon, Le Pen et Zemmour ont enterré l’idée. Car comment espérer exister face à ces poids lourds sans l’axe fort et différenciant que peut être le Frexit. Entre des alternatifs critiques de l’UE et des partis traditionnels eux aussi critiques, la modération est un piège qui revient à renoncer à émerger pendant la campagne, à moins d’avoir une autre grande idée.

En outre, pour que 40 % des Français aient dit vouloir voter « oui » à un Frexit à froid en 2019 dans un sondage, et près de 50 % aient voté au premier tour de la présidentielle 2017 en faveur d’un candidat proche de l’idée, il faut croire que cette idée n’est pas si marginale, et peut au contraire rassembler très largement, pour peu qu’elle soit portée par la bonne personne, dans les bonnes conditions, sans doute un rassemblement souverainiste. Il y a largement assez de Français très favorables au Frexit pour émerger dans la campagne de 2022. Et il ne faut pas croire que les 60 % qui disaient qu’ils voteraient « non » sont perdus à jamais. Il y a probablement chez une part significative une forme de résignation à l’UE, perçue comme à peine moins pire que le Frexit. Mais ceux qui sont insatisfaits des politiques menées depuis longtemps pourraient sauter le pas en 2022, surtout dans un combat face à Emmanuel Macron.

Bien sûr, aujourd’hui, la perspective d’un partisan du Frexit qui bouleverse l’élection de 2022 peut sembler très peu probable. Le temps qui passe n’aide pas et il faut reconnaître que ce n’est pas le scénario le plus probable. Mais c’est probablement parce que cette idée semble hors du jeu qu’elle est forte, car l’attachement à l’UE est aujourd’hui très faible. Et derrière la petite minorité de fanatiques, il y a une grande majorité de déçus, dont une frange qui ne souhaite pas encore sortir pourrait être convaincue. Le chemin de l’autre Europe ne mènera pas loin : il a trop été pris dans le passé et a trop déçu. Si le chemin du Frexit dur semble plus difficile, c’est parce que le sujet semble très impopulaire, ce qu’il n’est pas en réalité. Et c’est le seul chemin qui nous permettrait un changement fort et rapide, en s’appuyant sur un mandat clair des Français.




Bravo à ce jeune député qui ose dire la vérité

[Source : Ma France]




Le système économique occidental touche à sa fin

[Source : voltairenet.org]

[Illustration : © Chappatte dans Le Temps (Suisse)]

Produire ne permet plus de vivre en Occident, tandis que la Chine est devenue « l’atelier du monde ». Seuls les détenteurs de capitaux font de l’argent, et beaucoup d’argent. Le système est sur le point de s’effondrer. Les grands capitalistes peuvent-ils encore sauver ensemble leur fortune ?

Par Thierry Meyssan

La famine se répandit en Occident
à la suite de la crise de 1929.
Toutes les institutions furent menacées.
Elles ne survécurent qu’à la faveur
de la Seconde Guerre mondiale.

Déjà, au XVIIIème siècle, les économistes britanniques du capitalisme naissant s’interrogeaient autour de David Ricardo sur la pérennité de ce système. Ce qui rapportait énormément au début, finirait par devenir commun et par ne plus enrichir son homme. La consommation ne pourrait pas éternellement justifier la production de masse. Plus tard les socialistes, autour de Karl Marx,(([1] Critique de l’économie politique, Karl Marx (1867).)) prédisaient l’inéluctable fin du système capitaliste.

Ce système aurait du mourir en 1929, mais à la surprise générale, il a survécu. Nous nous approchons d’un moment analogue : la production ne rapporte plus, seule la finance fait maintenant de l’argent. Partout en Occident, nous voyons le niveau de vie de la masse des gens baisser, tandis que le patrimoine de quelques rares individus atteint des sommets. Le système menace à nouveau de s’effondrer pour ne plus se relever. Les super-capitalistes peuvent-ils encore sauver leurs avoirs ou assistera-t-on à une redistribution aléatoire des richesses à la suite d’un affrontement généralisé ?

Ce n’est qu’après avoir expulsé Léon Trotsky
et son rêve de révolution mondiale
que Joseph Staline put construire l’URSS
sans avoir à affronter les armées blanches.

LA CRISE DE 1929 ET LA SURVIE DU CAPITALISME

Lorsque survint la crise de 1929 aux États-Unis, la totalité des élites occidentales fut persuadée que la poule aux œufs d’or était morte ; qu’il fallait immédiatement trouver un nouveau système, faute de quoi, l’humanité périrait par la faim. Il est particulièrement instructif de lire la presse US et européenne de l’époque pour saisir l’angoisse qui étreignait l’Occident. D’immenses fortunes avaient disparues en un jour. Des millions d’ouvriers se retrouvaient au chômage et connaissaient non seulement la misère, mais souvent la famine. Les peuples se révoltaient. Les polices tiraient à balles réelles sur les foules en colère. Personne n’envisageait que le capitalisme puisse s’amender et renaitre. Deux nouveaux modèles furent proposés : le stalinisme et le fascisme.

Contrairement à l’image que nous en avons un siècle plus tard, à ce moment là tout le monde avait conscience des tares de ces idéologies, mais le problème le plus important, vital, était de savoir qui parviendrait au mieux à nourrir sa population. Il n’y avait plus ni droite, ni gauche, juste un sauve-qui-peut général. Benito Mussolini, qui avait été le directeur du principal journal socialiste italien avant la Première guerre mondiale, puis un agent du MI5 britannique pendant la guerre, devint le leader du fascisme, alors vécu comme l’idéologie qui allait donner du pain aux ouvriers. Joseph Staline, qui avait été bolchevik durant la révolution russe, liquida presque tous les délégués de son parti et les renouvela pour construire l’URSS, alors vécue comme une concrétisation de la modernité.

Aucun des deux leaders ne put faire aboutir son modèle : en définitive, les économistes doivent toujours céder leur place aux militaires. Les armes ont toujours le dernier mot. Ce fut donc la Seconde Guerre mondiale, la victoire de l’URSS et des Anglo-Saxons d’un côté, la chute du fascisme de l’autre. Il se trouve que seuls les États-Unis ne furent pas dévastés par la guerre et que le président Franklin Roosevelt, en organisant le secteur bancaire, donna une seconde chance au capitalisme. Les États-Unis reconstruisirent l’Europe sans écraser la classe ouvrière de peur de la voir se tourner vers l’URSS.

Klaus Kleinfeld est le directeur du projet Neom.
Il siège aux conseils d’administration
du Groupe de Bilderberg (Otan)
et du Forum de Davos (NED/CIA).

LA CRISE APRÈS LA DISPARITION DE L’URSS

Cependant lorsque l’URSS disparut, fin 1991, le capitalisme, privé de rival, retrouva ses vieux démons. En quelques années, les mêmes causes provoquant les mêmes effets, la production commença à décroitre aux États-Unis et les emplois furent délocalisés en Chine. La classe moyenne commença sa lente déchéance. Les détenteurs US de capitaux se sentirent menacés. Ils tentèrent successivement plusieurs approches pour sauver leur pays et maintenir le système.

 La première fut de transformer l’économie des États-Unis en exportatrice d’armes et d’utiliser les Forces armées US pour contrôler les matières premières et les sources d’énergie de la partie non-globalisée de la planète utilisées par le reste du monde. C’est ce projet, l’adaptation au « capitalisme financier » (si cet oxymore a un sens), la doctrine Rumsfeld/Cebrowski,(([2] « La doctrine Rumsfeld/Cebrowski », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 mai 2021.)) qui conduisit l’État profond US à organiser les attentats du 11-Septembre et la guerre sans fin au Moyen-Orient élargi. Cet épisode donna vingt ans de répit au capitalisme, mais les conséquences intérieures furent désastreuses pour les classes moyennes.

 La seconde tentative fut le frein aux échanges internationaux et le retour à la production US de Donald Trump. Mais il avait déclaré la guerre aux hommes du 11-Septembre et personne ne le laissa tenter de sauver les États-Unis.

 Une troisième évolution a été envisagée. Il se serait agi de laisser tomber les populations occidentales et de déplacer les quelques multi-milliardaire dans un État robotisé d’où ils auraient pu sans crainte diriger leurs investissements. C’est le projet Neom que le prince Mohamed ben Salmane a commencé à construire dans le désert saoudien avec la bénédiction de l’Otan. Après une période d’intense activité, les travaux sont aujourd’hui au point mort.

 L’ancienne équipe de Donald Rumsfeld (dont les docteurs Richard Hatchett(([3] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) et Anthony Fauci(([4] « Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci », Réseau Voltaire, 7 octobre 2021.))) a décidé de lancer une quatrième option à l’occasion de la pandémie de Covid-19. Il s’agit de poursuivre et de généraliser dans les États développés ce qui a été initié en 2001. Le confinement massif des populations saines à poussé les États à s’endetter. Le recours au télétravail a préparé la délocalisation de dizaines de millions d’emplois. Le passe sanitaire a légalisé une société de surveillance de masse.

Klaus Schwab organise le Forum de Davos
comme Louis XIV sa cour de Versailles :
il y surveille tous les multi-milliardaires
pour le compte de la NED/CIA.

KLAUS SCHWAB ET LA GRANDE RÉINITIALISATION (GREAT RESET)

C’est dans ce contexte que le président du Forum de Davos, Klaus Schwab, a publié Covid-19 : The Great Reset. Il ne s’agit aucunement d’un programme, mais d’une analyse de la situation et d’une anticipation sur les évolutions possibles. Ce livre a été écrit pour les membres du Forum et donne une idée de leur niveau intellectuel lamentable. L’auteur enfile des poncifs en citant pêle-mêle de grands auteurs et les chiffres abracadabrantesques de Neil Ferguson (Imperial College).(([5] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.))

Dans les années 70-80, Klaus Schwab fut l’un des directeurs de la société Escher-Wyss (absorbée par Sulzer AG) qui joua un rôle important dans le programme de recherche atomique de l’Afrique du Sud de l’apartheid ; contribution qui eut lieu en violation de la résolution 418 du Conseil de sécurité des Nations unies. Il n’a donc aucune morale et peur de rien. Par la suite, il créa un cercle de chefs d’entreprise qui devint le Forum économique mondial. Ce changement de nom fut opéré avec l’aide du Centre pour l’entreprise privée internationale (CIPE) ; la branche patronale de la National Endowment for Democracy (NED/CIA). C’est pourquoi il était enregistré en 2016 au Groupe de Bilderberg (organe d’influence de l’Otan) comme fonctionnaire international, ce qu’il n’a jamais été officiellement.

Dans son livre, Klaus Schwab prépare son auditoire à une société orwellienne. Il envisage tout et n’importe quoi jusqu’au décès par la Covid-19 de 40 % de la population mondiale. Il ne propose rien de concret et ne semble préférer aucune option. On comprend juste que lui et son public ne décideront rien, mais ils sont prêts à tout accepter pour conserver leurs privilèges.

CONCLUSION

Nous sommes à l’évidence au seuil d’un énorme chambardement qui balayera toutes les institutions occidentales. Ce cataclysme pourrait être évité d’une manière simple, en changeant l’équilibre des rémunérations entre le travail et le capital. Cette solution est pourtant improbable car elle impliquerait la fin des super-fortunes.

Si l’on garde ces données à l’esprit, la rivalité Ouest-Est n’est que superficielle. Pas seulement parce que les Asiatiques ne pensent pas en termes de compétition, mais surtout parce qu’ils voient agoniser l’Occident.

C’est pourquoi la Russie et la Chine édifient lentement leur monde, sans espoir d’y intégrer l’Occident qu’elles considèrent comme un prédateur blessé. Elles ne veulent pas l’affronter, mais le rassurer, lui prodiguer des soins palliatifs et l’accompagner sans le forcer lors de son suicide.





« Primum non nocere » : la suite de « Hold-up » va faire du bruit

[Source : francesoir.fr]

[illustration : La citation de Soljenitsyne est le fil rouge de la bande-annonce.
Z_caricature, à retrouver sur instagram.com/z_caricature]

Auteur(s): FranceSoir

Un collectif d’anciens journalistes de grands médias se rassemble pour donner un second souffle au documentaire « Hold-up ». « Primum non nocere » sortira officiellement le 11 novembre prochain, un an jour pour jour après le film dénonçant la gestion de la crise sanitaire. Dans la continuité de « Hold-up », la bande-annonce de onze minutes frappe déjà fort.



Selon les réalisateurs, « tout ce que « Hold-up » avait initié et suspecté sous forme de questionnement est maintenant révélé et prouvé ». Il n’y a qu’à voir le titre du documentaire (premier principe du Serment d’Hippocrate, « d’abord, ne pas nuire ») pour comprendre que ce ne sont pas des bonnes nouvelles. Effets secondaires des vaccins, cris d’alarme des médecins, mensonges d’État, chiffres falsifiés, tout va y passer. En somme, une crise dite sanitaire passée au peigne fin par « d’anciens journalistes de TF1, France Télévisions, Canal +, et de l’AFP ».

Comme pour « Hold-up », il ne s’agit pas de passer par quatre chemins. Dès les premières secondes de la bande-annonce, on nous donne à voir des chiffres alarmants quant à la vaccination :

– Avant vaccination (jusqu’à décembre 2020) : 1,57 million de morts par covid-19 selon l’OMS (sur douze mois)
– Après vaccination (après décembre 2020) : 3,23 millions de morts par covid-19 selon l’OMS (sur neuf mois)

Ensuite, on devine que le documentaire suivra le même modèle que son prédécesseur : de nombreux invités qui feront part de leur expérience avec leur expérience professionnelle ou leur engagement citoyen. Ainsi, on retrouve, entre autres, Amine Umlil, docteur en pharmacologie et juriste, Pierre Jovanovic, journaliste et écrivain, John O’Looney, thanatopracteur, Rui Fonseca e Castro, juge au Portugal… mais également de nombreux Français venus témoigner des effets secondaires qu’ils ont subis. Un casting qui doit à n’en pas douter déjà faire saliver certains médias qui s’étaient échinés à discréditer « Hold-up », dont le succès retentissant avait été alimenté par les censures et dénigrements multiples subis.

Voir aussi : Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Le message est évidemment de souligner les incohérences des politiques sanitaires, les mensonges médiatiques ou étatiques, et les conséquences que tout cela a, ou aura, sur la société. D’aucuns pourront certainement leur reprocher le parti pris franchement assumé du documentaire. Toujours est-il que « Primum non nocere » aura sans nul doute le mérite de souligner ce que d’autres essaient de cacher.

La propagande gouvernementale, y compris télévisée, a fait bondir certains – on se rappelle les clips incitant à la vaccination, que de nombreux Français ont jugé révoltants… Ici, les témoignages poignants, le montage léché et la musique élégiaque élaborent un « contre-poison » du discours mais à trop jouer sur ce registre émotionnel, le film prend peut-être le risque de « nuire d’abord » à son propos en se coupant de ceux qui jugeront l’enrobage un peu racoleur.

Reste que cette bande-annonce intrigue et suscite l’attente : que ce soit par les conquis d’avance, les détracteurs attendus, les réservés qui attendent de voir, cette « suite » sera très attendue et risque de faire du bruit.




Les anti-Zemmour se déchaînent

Les hyènes anti-Zemmour se déchaînent

Par Lucien Samir Oulahbib


L’une d’entre-elles, gorgée, gavée, (n)anti(e), l’insulte en le traitant de « bougnoule des blancs », n’étant elle-même pourtant pas franchement une « oie blanche » une de ces natives fières de pérorer l’air du temps, mais plutôt le vulgaire rejeton d’une espèce (de fin de « race » au sens métaphysique) venue du néant tant ce propos reflète seulement leur côté bas du front que l’on retrouve également du côté de TPMP avec les Yassinemais aussi des adeptes anti « Bounty » desquels on a bien du mal cependant à savoir ce que serait du noir sur noir sinon la nuit nuisible des nihilistes façon tyranneaux à la Mélenchon.

Du moins à première vue. Car lorsque l’on creuse, c’est bien plutôt la réaction agacée de gens qui se savent dominateurs et qui pensent avoir gagné partout : ils s’irritent donc, et ce à juste titre, de voir ici et là quelques « villages gaulois » résister encore non, mais !!!.

En effet, qu’il s’agisse des médias de l’enseignement du Pouvoir légal et officieux en général, tout concourt à paver leur domination de bonnes intentions (« lutte contre le racisme/colonialisme dans les têtes : “hétérosexualité étroite” : avec le fameux fantasme taulard de “l’étroit”…).

Cette soumission ambiante de la Gentry médiatico-enseignante sert en effet la soupe à ces orcs agissant de plus en plus en milice genre black blocs de la diversité coupe-jarrets de la Secte au Pouvoir.

Tout cela illustre, banalement dit, ce refus opiniâtre de voir le réel tel qu’il est, du moins si la mesure pour le toiser reste encore disponible (ce qui n’est plus le cas sauf exception…) ; c’est d’ailleurs ce qui aggrave la situation plutôt que le contraire, tant cette guerre civile spirituelle permanente (et larvée ici et là) encourage cette montée aux extrêmes en effet déjà .

Lorsque par exemple dans le métro une bande de CPLF prend toute la place en hurlant sur la moindre remarque, suscitant une réaction véhémente sinon plus (insultes, crachats, puis coups), c’est surtout parce que l’atmosphère ambiante fait que cette bande se sent en terrain conquis et que personne ne bougera ou presque. Je me rappelle il y a quelques années à la Défense voir une bande déambuler sous la Canopée entre les tables des innombrables terrasses comme si elle surveillait « son » territoire, concurremment à une patrouille de police…

Il est aisé bien sûr d’observer qu’il y a cinq cents ans à l’époque de la Cour des Miracles et des Chauffeurs, c’était « pis » ou alors que les « blousons noirs » et autres « Hells Angels » faisaient régner leur loi. Et alors ? Où est le « progrès » tant promis dans ce cas ? D’autant que tous ces gens ne cherchaient pas spécialement une partition, une sédition que d’ailleurs les néoléninistes prônent de plus en plus ouvertement, rêvant également à des fractionnements ayant existé naguère avant la formation du Royaume de France : pourquoi ne pas y revenir dans une hypothétique « Europe » et « planète » de la « diversité », vaste jardin fleuri en « fluidités de genre », puisque tout devient folklore et mode d’un instant ?…

Il n’est dans ce cas pas étonnant d’observer que certains orcs agissant pour le compte de la Secte prétendent se servir uniquement de leur origine « raciale » pour imposer leur légitimité et, partant, leur conception naze de l’ordre social et symbolique, le tout sous les applaudissements des courtisans et concubines agissant dans les nouveaux Salons médiatiques en poissons-pilotes de la Secte hygiéniste affairiste, celle-là même qui vient en France de prolonger l’onction du passe totalitaire jusqu’à… la Saint-Glinglin.




La police de plusieurs grandes villes des USA dit non à l’obligation vaccinale

Par Diane Vincero

LA POLICE DE PLUSIEURS GRANDES VILLES DES USA DIT NON À L’OBLIGATION VACCINALE

Enfin les consciences s’éveillent !!

Ces magnifiques policiers ont compris comment il faut réagir face à ces gamins capricieux en colère (qui font pipi par terre et se roulent dedans si on ne leur donne pas leur bonbon), tout ça parce qu’on ne veut pas obéir à leurs ordres complètement déraisonnables, chaotiques, bref, ces psychopathes pervers paranoïaques qu’on appelle des manipulateurs destructeurs.

Parce que la réalité est bien celle-là : cette poignée de dirigeants est constituée de réels malades psychiatriques, incurables qui voient le monde par le prisme de leur folie, qui se sont construits de cette manière pendant leur enfance et sont restés bloqués sur cette période de leur vie, d’où leur profonde immaturité qui transpire dans tous leurs comportements pathologiques.

Ils jouent à faire semblant d’être des grands, des adultes, et sont constamment dans des jeux de rôles parce que, au fond d’eux-mêmes, ils n’ont aucune construction stable et adaptée au monde réel. D’où leur comportement chaotique inadapté et changeant, comme des caméléons, en fonction des situations.

Pendant leur enfance, on les a laissés « grandir » sans les cadrer, sans les guider dans une direction saine et solide.

En accédant à tous leurs caprices, on leur a donné l’illusion que le Monde devait obtempérer à leurs ordres, d’où leur totale intolérance à la frustration passée et actuelle QUI N’ADMET AUCUNE LIMITE, QUI NE RESPECTE RIEN NI PERSONNE — en dehors de celles qui ont plus de pouvoir qu’eux et savent leur marquer des limites, comme dans les cercles fermés dans lesquels ils évoluent — au point de ne pas hésiter à commettre l’irréparable : des meurtres….

Le fait de se regrouper (dans ces cercles fermés) permet de les rassurer et entraîne un phénomène d’amplification (classique dans tout regroupement).

Mais attention : à l’inverse de certains criminels qui ont pu commettre l’irréparable dans un moment d’aveuglement émotionnel, ces dirigeants psychopathes, pervers et paranoïaques n’ont aucun affect, aucun état d’âme, ce qui leur permet d’agir froidement.

Cela signifie qu’ils AGISSENT EN PLEINE CONSCIENCE et sont donc TOTALEMENT RESPONSABLES DE LEURS ACTES.

Ils veulent pourtant faire croire le contraire, en faisant voter une loi les dégageant de toute responsabilité dans leur politique covid (c’était bien tenté…), et en voulant en urgence que la peine de mort soit interdite à l’échelle internationale (ils sentent le vent tourner…) ou, pour les dirigeants de lobbies, notamment pharmaceutiques, en faisant voter en 2003, une loi les dégageant de toute responsabilité dans les effets secondaires de leurs vaccins…

Ainsi, ils font rentrer le Monde dans le moule de leur vision déformée, par incapacité à s’adapter à ce même Monde depuis l’enfance, et ce, sans aucun scrupule…

D’où un décalage abyssal entre leur mode de fonctionnement et celui qu’on inculque à nos enfants dès la maternelle : la responsabilité de leurs actes : « tu as fait telle bêtise, tu auras telle sanction ». Plus tard, c’est : « tu as fait du 140 km/h au lieu de 130 km/h, tu es sanctionné » (amende et retrait de point), ou, pour certains, « tu as tué, tu feras de la prison à perpétuité. »

D’ailleurs, il est « amusant » de voir la jouissance qu’ont ces dirigeants manipulateurs destructeurs à imposer des ordres et des sanctions aux autres : « tu refuses de te faire vacciner », ou « tu refuses le passe vaccinal », « et bien tu vas payer » (amende, voire emprisonnement)… et tout un chapelet de sanctions en tout genre, bien réfléchies, bien programmées pour forcer les réfractaires…

La violence extrême à laquelle nous sommes arrivés actuellement est entre autres, le fruit du décalage entre le monde normal, « sain » (ou à peu près…) et l’excès pharaonique des comportements pathologiques de ces dirigeants…

Tout dans leur programme est dans la disproportion, la démesure totale, montrant à quel point ils sont en décalage total avec la réalité…

Aussi, pour eux, se retrouver face à un corps d’État qui était censé leur obéir au doigt et à l’œil, obéir à tous leurs caprices et faire obéir le peuple à tous ces caprices est déstabilisant pour eux : ils ont trouvé la voix de leur maître, celui qui sait, enfin…, leur opposer ce NON qu’ils n’ont jamais expérimenté jusque-là…

Merci et un immense bravo à ces policiers : ils méritent qu’on les salue tous les soirs à 20 heures, mais pas sur un mode manipulatoire, comme cela a été le cas pour les soignants un jour (…), qui n’était qu’une pitoyable mise en scène de plus, pour faire croire « qu’il y avait vraiment une pandémie » et entretenir le mythe…

La réalité est toute autre et on le voit bien aujourd’hui : ces mêmes soignants sont foutus à la porte, sans salaire, comme des pestiférés, parce qu’ils ne veulent pas se soumettre à une des exigences de ces manipulateurs destructeurs qui est de se faire injecter le poison vaccinal… « Comment ça, ils osent ne pas nous obéir !!! Ils vont voir !!! »…

Les dirigeants manipulateurs destructeurs ont même poussé la perversion jusqu’à leur interdire……. les consultations par visioconférence : où est la logique ??? Mais on a bien compris que ce n’est nullement une affaire de logique, pas plus que de covid. Le virus du covid passerait par les écrans d’ordinateur ???? 😆 On se fout de qui??? Le ridicule ne tue pas, mais surtout, le crime paie. Cela serait drôle, si ce n’était pas aussi tragique!!

Là encore, on voit le peuple, des lois, etc. être foulés aux pieds, et ce, de façon pharaonique, dantesque!!!… « Tu veux pas te faire vacciner, ben tu vas voir, NA !!! »

Mais, malheureusement ce n’est pas un jeu, et ces manipulateurs destructeurs détruisent la vie de milliers de soignants en leur interdisant la possibilité de travailler, même par téléconsultations (…), et de gagner de quoi nourrir leur famille……

S’il y a 17 000 suicides par an liés au chômage, là, étant donné la disproportion et l’INJUSTICE folle de cette interdiction de travailler (fut-ce par visuoconsultations) qui fait sombrer dans le néant les victimes de cette mesure, on peut imaginer l’augmentation du nombre de suicides à la clé et ça, ce sont ni plus ni moins que des meurtres dont ces manipulateurs destructeurs devront répondre!!…

Diane Vincero.




Passe sanitaire : quand les députés macroniens mangent des champignons hallucinogènes

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La prorogation du passe sanitaire est d’ores et déjà discutée (dans une précipitation inouïe) à l’Assemblée Nationale. Le débat donne lieu à des renoncements et une démonstration de soumission qui illustre le rôle désormais accessoire que joue la représentation nationale dans le débat démocratique. On notera les propos hallucinés du rapporteur Jean-Pierre Pont… et l’amendement courageux porté par le macroniste parisien Pacôme Rupin.

Il faut absolument lire l’extravagant rapport sur le passe sanitaire rendu par le député LREM du Pas-de-Calais Jean-Pierre Pont, rapporteur de la loi scélérate qui proroge le passe sanitaire sans raison… sanitaire ! Ce texte digne de la propagande stalinienne à ses meilleures heures comporte de nombreuses perles dont nous citerons quelques-unes ici :

Le bilan qui peut être dressé de la gestion de la quatrième vague montre que la mise en œuvre du passe sanitaire, combinée au déploiement de la campagne de vaccination, a fonctionné et qu’elle a rempli les objectifs qui lui ont été assignés : il a permis de préserver la reprise des activités à laquelle les Français aspiraient cet été, tout en limitant les risques de propagation du virus dans un contexte épidémique défavorable.

Le déploiement du passe, qui s’est fait sans heurts et ni difficultés, ainsi que la formidable accélération de la vaccination au cours de l’été — 85 % de la population française éligible est désormais vaccinée — ont permis de dissiper les craintes, parfois légitimes, et les vives critiques, souvent infondées, qui avaient été émises à l’encontre du passe lors de la discussion de la loi du 5 août 2021. Les Français se sont incontestablement appropriés cet outil précieux, sésame de leur liberté retrouvée.  

Donc, on récapitule : le passe sanitaire est une grande réussite, qui a permis d’endiguer la quatrième vague, et de rendre aux Français la liberté que le virus leur avait volée. Ceux-ci disposent désormais d’un « sésame » qui est un « outil précieux ». Pas un mot sur la société de surveillance, pas un mot sur le crédit social, pas un mot des manifestations qui se déroulent chaque samedi en France, pas un mot sur les milliers de suspensions prononcées dans les hôpitaux. On est frappé par la cécité, réelle ou d’emprunt, qui peut s’emparer d’un député de la majorité vis-à-vis de la réalité du pays qu’il est supposé représenter. 

Une chose est sûre avec le passe sanitaire : c’est qu’il a segmenté les perceptions. Il y a ceux qui se convainquent que tout va bien, quoiqu’il arrive, et il y a ceux, plus rares, qui s’interrogent sur une gouvernance qui procède par des coercitions plus ou moins ouvertes où ne pas être vacciné condamne à une dégradation sociale ou au chômage.

Mais il est vrai que si l’on oublie ce point de détail, où 30 % des soignants n’ont accepté le vaccin que sous la menace de perdre leur emploi, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

La propagande de Véran a fait son effet

Lors de l’audition du ministre de la Santé, qui a suivi la présentation du rapport, Olivier Véran n’a pas mâché ses mots pour répéter la propagande dont Jean-Pierre Pont s’est inspiré (ça simplifie le travail). On précisera que Jean-Pierre Pont est médecin, de formation… Normal qu’il ait besoin de nègres pour écrire des discours politiques. 

Voici donc le code source, en quelque sorte, du rapport parlementaire. Ce sont les propos du ministre Véran :

« Parce que nous avons mené une campagne massive de vaccination, puisqu’en métropole près de 90 % des adultes sont désormais vaccinés, mais aussi grâce aux outils de gestion de la crise sanitaire, notamment le passe sanitaire et le respect des gestes barrières, nous avons réussi à écrêter cette quatrième vague épidémique en métropole et donc à éviter de trop fortes conséquences sanitaires.

Les courbes comparatives des quatre vagues montrent bien la corrélation entre la mortalité, les hospitalisations, les cas graves et le nombre de cas : elle a totalement explosé au cours de la quatrième, dans le bon sens du terme, c’est-à-dire qu’il y a eu beaucoup moins de cas graves proportionnellement au nombre de contaminations une fois la population vaccinée.

D’ailleurs la plus grande étude mondiale sur l’efficacité des vaccins, qui est française, publiée la semaine dernière, qui a comparé onze millions de Français vaccinés avec onze millions de Français non vaccinés confirme une réduction de 92 % du risque d’hospitalisation chez les personnes âgées de 50 ans et plus lorsqu’elles ont été vaccinées.»

On est forcément frappé par la proximité des « éléments de langage » entre le rapport parlementaire et le discours du ministre. On remarque aussi que la grande étude sur « onze millions de Français vaccinés » est sortie au bon moment. Juste quand il fallait justifier le maintien du passe sanitaire ! Comme c’est bizarre…

Nos lecteurs se souviendront des chiffres de mortalité pour 2021 qui nous avons donnés, qui relativisent très très fortement les déclarations triomphalistes du gouvernement. Rappelons que, en 2021, l’été a été plus meurtrier en France qu’en 2020. Et pourtant le vaccin n’existait pas il y a un an !

Mais plus personne n’en est à ces approximations près… L’essentiel est que les pions majeurs de l’Assemblée Nationale répètent ad libitum la propagande officielle. 

La députée MODEM Sophie Mette se ridiculise

Au rang des meilleures perles, on citera les propos bouffons de la députée MODEM Sophie Mette (Gironde), qui a osé déclarer :

« Pourtant, en dépit des critiques souvent stériles et excessives, jamais nous n’avons dévié de cette ligne — exigeante — qui porte pleinement ses fruits : la campagne de vaccination et le passe sanitaire sont une réussite. Les chiffres sont plus qu’éloquents : il y a environ un an, seuls 44 % des Français avaient confiance dans le vaccin ; ils sont désormais presque 70 % à avoir achevé leur schéma vaccinal. On compte 5 000 nouvelles contaminations par jour, en baisse régulière, et la décrue des hospitalisations, ainsi que des décès, est considérable. »

Ou comment confondre la confiance dans le vaccin et l’obligation d’être vacciné pour garder son emploi. Là encore, les députés qui prennent leur désir pour des réalités, et qui imaginent que la coercition ne se paiera pas cash tôt ou tard. Mais au fond, devons-nous apitoyer sur le sort d’une caste politique aussi médiocre, qui baigne dans une propagande stérile et coupée des réalités ?

Nouvelle trahison du parisien Bournazel

Habitué aux circonvolutions politiques, le député de Paris Pierre-Yves Bournazel a pour sa part commis cette phrase historique :

 « Quelle est la raison d’être du passe sanitaire ? Il ne vise pas à restreindre nos libertés. Au contraire, c’est le seul moyen de retrouver notre liberté de déplacement en toute sécurité et de préparer sereinement l’avenir. »

Bien évidemment, montrer ses papiers pour prendre un café ou assister à un concert, ça s’appelle retrouver sa liberté de déplacement !

L’amendement salvateur de Pacôme Rupin

Seul motif de satisfaction : l’amendement porté par le député LREM Pacôme Rupin, encadrant de façon plus stricte la mise en œuvre du passe sanitaire. On notera les considérants de l’amendement :

Cet outil, s’il a favorisé le déploiement de la vaccination au sein de la population depuis l’été, reste un outil très problématique en ce qu’il va à l’encontre de la liberté́ de conscience et de choix de chacun (en instaurant une forme d’obligation vaccinale déguisée), surtout dès lors que les tests de dépistage sont rendus payants. Cette mesure porte en elle-même une forme de discrimination pour l’accès à des lieux essentiels à la vie quotidienne. C’est un risque supplémentaire de division de la société et d’opposition des citoyens entre vaccinés et non-vaccinés.

Pacôme Rupin sauve l’honneur de l’Assemblée Nationale en étant le seul à dire les choses : le passe sanitaire est un outil de discrimination qui porte atteinte aux libertés et qui fracture la société française. 

Cet amendement prévoit ceci :

Le présent amendement propose donc que le recours au passe sanitaire soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

Triste consolation pour un Parlement godillot.




Scandinavian Airlines déclare que les gens n’ont pas à porter de masque sur les vols de Scandinavian Airlines

[Source : https://www.aubedigitale.com]

Par Jade.

Les gens disent que le mot « fou » est surutilisé de nos jours. J’aurais tendance à être d’accord. Je l’utilise trop moi-même.

Mais quel est le mot que vous êtes censé utiliser lorsque vous regardez l’Australie, puis la Scandinavie ?

Via Yahoo News :

« Scandinavian Airlines n’exigera plus de masques sur les vols en Scandinavie.
Les masques seront toujours exigés sur les vols en dehors de la Suède, du Danemark et de la Norvège.
La Suède, où se trouve le siège de Scandinavian Airlines, a adopté une approche de pandémie sans confinement ».

Pour être clair, les Australiens sont toujours brutalement enfermés dans leurs maisons, et ils sont poursuivis par des hommes à cheval et battus à coups de matraque télescopique s’ils essaient de sortir.

Voici un clip récent montrant des personnes arrêtées dans un cimetière (en plein air) pour avoir rendu hommage à un défunt.

L’Australie est passée d’une démocratie à un état policier complet en un an.
Si cela peut arriver là-bas, cela peut arriver partout.
Soyez attentifs les gens…
(La police australienne a arrêté quelques personnes qui se rendaient au
cimetière pour rendre hommage à des proches décédés)

Des femmes sont carrément étranglées parce qu’elles ne portent pas de masque dehors.

C’est l’Australie.
Une femme a été étranglée par un officier de police parce qu’elle ne portait pas de
masque (elle avait une exemption).
L’officier de police a été innocenté de tout acte répréhensible.
La femme a été accusée de résistance à l’arrestation et d’agression contre la police.
QU’EST-CE QUI SE PASSE ?!?!

« Qu’est-ce qui se passe ? » est une très bonne question.

Ce sont des images plus récentes – on vérifie les tasses à café des gens.

https://twitter.com/EliseiNicole/status/1449298169884549121
Brisbane « Le peuple uni ne sera jamais divisé ! Mon corps, mon choix !
L’Australie a une voix ! » 16/10/2021

Un commentateur de SKY a eu une réaction très vive récemment – c’est comme les nazis.

SKY News Australia, une fois de plus, le seul média qui n’a pas peur
de défier l’agenda mondialiste.

Clairement, ce n’est pas à propos d’un virus. Ça ne peut pas être à propos d’un virus. S’il s’agissait d’un virus, alors il serait impossible pour la Scandinavie de dire simplement « ouais, ok, bien, nous ne le ferons plus ».

Mais un avion est l’endroit numéro un où vous porteriez un masque, si vous deviez en porter un quelque part, car vous êtes entassés comme des sardines et vous respirez tous le même air.

Et pourtant, une partie entière du monde refuse de porter des masques dans les avions, et rien ne se passe.

Il ne s’agit pas d’un virus. Il ne peut pas s’agir d’un virus.

Bravo à la Scandinavie.

Il sera intéressant de voir comment les mondialistes vont réagir cet hiver, alors qu’ils essaient de mettre tout le monde en cage au niveau mondial. Ils veulent amener l’Occident au même que l’Australie.

La solution de base en ce moment est que les médias ne parlent pas de ce qui se passe dans les autres pays.




Effondrement : la phase douloureuse de la démence collective

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Selfie à l’Élysée après la partie de foot “triomphale” du président.
NB : seul le personnel de service est masqué (au fond entouré en vert),
mais pas le ministre de la Santé (en rouge),
ni aucun autre convive (au premier plan, deux “vieilles gloires” :
Marcel Desailly et Arsène Wenger).

L’épilogue d’un effondrement systémique passe inévitablement par une phase douloureuse de démence collective que plus rien ne saurait freiner. Nous y sommes désormais en plein.

Trois exemples récents viennent encore de nous le démontrer.

Scène d’incontinence hystérique à l’Élysée

Il y eut d’abord ces scènes de libations inconsidérées filmées à l’Élysée après un match de foot grotesque organisé à la gloire de l’occupant immature des lieux.

Cet étalage obscène d’une hystérie incontinente, bien sûr sans masque ni précaution de distanciation, exposé sans la moindre pudeur au public, en dit long sur le dérèglement mental de la classe dominante, encore plus sur son irresponsabilité (rappelons que la vidéo ne fut pas tournée par un opposant malintentionné, mais par un des invités, et diffusée sur les chaînes mainstrean en toute inconscience).

103 % de vaccinés

Il y eut ensuite cette information officielle du gouvernement français révélant que le taux de vaccination de la population majeure parisienne atteignait désormais le pourcentage inédit de… 103,09 % !

Répétée à l’envi (on se rappelle les pataquès sur le port ou non du masque, les approximations aussitôt démontées du premier ministre Castex au fil de ces interventions en forme de sketch, les mensonges éhontés et vite éventés d’un Véran…), ce genre de bourde absurde est surtout révélatrice d’une totale perte de contrôle dans la communication, donc dans la maîtrise de la situation.

Un Great reset qui en rappelle fâcheusement un précédent

Sur un autre registre, on rappellera les élucubrations hallucinantes d’un Klaus Schwab sur le mythe du Great reset et de ses manipulations génétiques même plus dissimulées.

https://twitter.com/LeGrandReveilfr/status/1449855419309076487?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449855419309076487%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fyetiblog.org%2Farchives%2F33535

L’ennui, c’est que ce Great reset du suprématisme blanc occidental en rappelle fâcheusement un précédent : celui de la race aryenne ! Et on sait de quelle fâcheuse façon l’aventure se termina pour ses promoteurs.

Les dictateurs déments tiennent rarement sur la durée

Que les clowns hallucinés de l’empire occidental décadent aient des vélléités d’autoritarisme totalitaire est incontestable. Mais n’est pas dictateur qui veut, en tout cas pas sur la durée. Les régimes autoritaires durables doivent leur pérennité à la puissance et à l’intelligence (même maléfique) de leurs dirigeants, qui savent imposer leur main de fer tout en assurant un minimum matériel suffisant à leurs sujets.

Mais que dire de ces dirigeants grotesques qui commencent par mettre leurs médecins, leurs soignants, leurs pompiers sur la paille, qui sont bien sûr incapables d’assurer le fonctionnement d’une économie en voie de délabrement, qui se ridiculisent en rafales aux yeux de leurs populations ?

Les phases de démence collective d’un pays ou d’un empire sont certes fort douloureuses, mais finalement assez brèves au regard de l’Histoire. Voyez comment s’acheva brutalement le règne des fous furieux que furent les Napoléon, Hitler, Mussolini, Ceaucescu…




France — La loi bioéthique montrée en 12 secondes

[Source : France Fidèle Reconquista]




Comment Astra-Zeneca a-t-elle réussi à produire le “vaccin COVID-19” en juillet 2018 avant même que la maladie ne soit découverte ou nommée ?

[Extrait de : profession-gendarme.com]

Par Alessia C. F. (ALKA)

Beaucoup de gens ont beaucoup d’explications à donner. Les boîtes du vaccin COVID-19 d’AstraZeneca indiquent une date de production du 15 juillet 2018. Mais “COVID-19” n’a été découvert qu’en 2019 et n’a été NOMMÉ que le 11 février 2020.

Voici la preuve irréfutable : Une boîte de vaccin COVID-19 d’AstraZeneca, avec la date de fabrication du 15 juillet 2018 imprimée par ordinateur sur le rabat de la boîte :




Au secours ! Le Réel revient !

Par Lucien Samir Oulahbib

En France, les « chiens » aboient, la caravane « Zemmour » semble bien passer (au grand désarroi d’Alain Duhamel) ; même Robert Ménard en convient au bout du compte ; pourquoi ? Bruno Le Maire « ne veut pas » le savoir, malgré les requêtes de Sonia Mabrouk qu’une hyène a immédiatement rangée dans le camp zemmourien parce qu’elle a fait (benoîtement) remarquer que le réel cognait (de plus en plus fort) à la porte…

Pourquoi Le Maire ne « veut pas le savoir “? C’est ‘l’aveu’ : il ne veut pas savoir parce qu’il préfère la Croyance ; la ‘conviction’, dit-il, en soi ? Peu importe le réel ? N’oublions pas qu’il est membre (éminent) de la Secte au Pouvoir qui prétend que sa Modélisation du Monde est le seul Réel admissible. Le ‘vrai’ réel lui est de (plus en plus) interdit de séjour (une Commission a même été nommée pour ce faire).

Mais cela se voit, par exemple dans la manière dont les chiffres C.19 sont manipulés. Mais, ‘en même temps’, cela ne se voit pas. Magie de la propagande. Alors que (tous) les traitements qui marchent sont bien sûr (de plus en plus pourchassés) par les Orcs de la Secte.

D’ailleurs même Zemmour ne s’en mêle pas tant cette dernière est puissante (une force de frappe inouïe) et qu’ajouter cet aspect à sa diatribe pourrait encore plus effrayer les populations inquiètes par nature, et dont les plus apeurées font souvent le second tour d’une Présidentielle en France… Alors… (‘Paris vaut bien une messe’…).

Mais cela ne veut cependant pas dire qu’il n’a pas vu l’état délétère du système sanitaire en France et qu’il existe de plus en plus un hiatus entre une Suède qui n’a guère confiné et un Israël qui a hyper-injecté : où est le Réel ici ? Il serait bon de le demander à un Didier Raoult avant qu’il ne parte sous d’autres cieux plus cléments non ?…

Pendant ce temps, la France, en dessous des 1 % en matière carbone (le nouveau diable malgré les analyses d’un François Gervais) est ‘condamnée’ à plier un peu plus les genoux (avec toujours la muselière sur la gueule) pour se faire… tatouer ce qu’il faut (injections expérimentales, y compris pour être plus ‘fluide en genres’, avec injections de ‘réfugiés’ divers…) le tout en silence (Voltaire étant oublié, sa tête roule même sur le bitume compatissant par inertie d’un monde devenu sans pesanteur).

Alors ? Mais rien. Circulez ! Il n’y a rien à voir.




France — Contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence : lettre ouverte d’universitaires aux députés

[Source : enseignementrecherchelibertes.fr]

Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence

Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

https://enseignementrecherchelibertes.fr/

enseignementrecherchelibertes@protonmail.com


Objet : Lettre ouverte aux députées et aux députés de la République Française

Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné le Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, présenté par M. Jean Castex, Premier ministre, enregistré le 13 octobre et qui doit être discuté prochainement par l’Assemblée Nationale. En ce qui suit, notre syndicat propose une analyse des implications de l’« Exposé des motifs » censé justifier ce projet de loi. Nous comptons ainsi enrichir le débat autour de ce projet qui devrait s’ouvrir publiquement le 19 octobre 2021. Un tel sujet, qui affecte l’ensemble de la communauté nationale ne saurait se dérouler dans un cercle étroit : en citoyennes et citoyens, nous entendons faire valoir notre opinion et notre expertise dans ce domaine. Étant donné que nous avons traité plus en détail la dimension médicale et sanitaire de la crise épidémique que nous traversons dans la lettre ouverte adressée au Sénat le 7 octobre 2021, nous la mettons ici en annexe afin de nous concentrer à présent surtout sur les implications juridiques et politiques du présent Projet de loi.

1. Un passe socio-économique sans aucune pertinence sanitaire  

Le premier ministre M. Jean Castex, à peine quelques mois après la mise en place du système du passe, dit « sanitaire », se présente devant les élus de la Nation pour demander – ou plutôt exiger – la prolongation de l’état d’urgence et la poursuite de l’implémentation de ce système. Revenir sur ces questions en « procédure accélérée » n’est pas sans évoquer une sensation de déjà vu des scènes déroulées en juillet 2021. Après le débat orageux à l’Assemblée et au Sénat, le ministre de la Santé, M. Olivier Véran n’avait pas hésité à déclarer alors que : «À l’heure où certains taxent le gouvernement de faire preuve d’autoritarisme, parlent de dérive autocratique voire pourquoi pas de dictature, la meilleure réponse que vous pouvez apporter, c’est celle (…) qui consiste à avoir recueilli la majorité tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat». Il n’a pas hésité à se féliciter de « l’union nationale retrouvée ». Maniant ainsi à son habitude la désinformation, il oubliait de mentionner que la loi avait été votée avec 156 voix pour, 60 voix contre et 14 abstentions, avec non moins de 60 % d’absentéisme sur un total de 557 députés. Dans le rythme effréné imposé alors par l’agenda du gouvernement, le texte a été arraché, selon l’expression des sénateurs, « avec un pistolet sur la tempe »[1]. Faisant usage de fausses informations scientifiques, entretenant un climat de peur par les médias autour de l’explosion de cas du variant Delta (alors que l’on faisait à l’époque entre 4 et 5 millions de tests par semaine), et mettant une incroyable pression sur les parlementaires, l’exécutif avait précisément éveillé les spectres de « l’autoritarisme », de la « dérive autocratique » voire « pourquoi pas la dictature » que le ministre de la Santé voulait conjurer par sa rhétorique.

Malgré ce passage en force et les problèmes posés par rapport aux valeurs de la République, le Conseil Constitutionnel avait néanmoins validé le projet de loi, avec à peine quelques modifications à la marge, le 5 août 2021[2]. Selon la décision de la haute juridiction, cela était justifié par « l’existence d’une catastrophe sanitaire et du risque qu’elle persiste dans les deux prochains mois », prémisse que le Conseil, loin de vérifier par ses propres spécialistes, acceptait sur la foi de l’exécutif. Le dispositif du passe dit « sanitaire » s’était donc mis en place dans un contexte d’urgence habilement entretenu par la propagande de l’exécutif. De sorte que les mises en garde de l’opposition et de la Défenseure des Droits, Madame Claire Hédon, quant aux risques démocratiques que comportait ce dispositif sans précédent dans l’histoire de notre République, n’ont pas été véritablement prises en compte. (Nous y reviendrons dans la partie finale de notre analyse).   

Le jour suivant, le 6 août 2021, le Conseil Constitutionnel a néanmoins acté sur une « Proposition de loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité ». Cette proposition de loi était portée par l’association « Notre hôpital, c’est vous », composée de collectifs de soignants et ONG caritatives, et soutenue par plus de 200 députés et sénateurs issus de 11 groupes politiques d’opposition, tant de gauche que de droite. Son objectif était de mettre « la question de l’hôpital au centre de la grande explication démocratique qui vient », à savoir les élections de 2022 et, concrètement, d’augmenter les moyens des hôpitaux, en particulier « en termes de lits et de soignants »[3]. En pleine pandémie, on aurait pu croire qu’un tel objectif était pourtant essentiel. Mais malgré toutes les attentes, butant sur un petit détail technique, le Conseil Constitutionnel, qui n’avait trouvé que peu à redire sur le passe dit « sanitaire », a considéré une si opportune proposition de loi comme étant tout simplement « contraire à la Constitution »[4].

Nous rappelons cette succession des faits qui soulève trois questions de fond. Pourquoi ce n’est pas le gouvernement Jean Castex qui a élaboré une loi en faveur d’un hôpital public de qualité ? Pourquoi, si l’opposition l’a initiée en fin de compte, le gouvernement n’a pas appuyé une si généreuse initiative ? Et quelles ont été les véritables priorités du Conseil Constitutionnel s’il a pu signer l’échec d’une initiative sincèrement dédiée à la santé publique et à l’urgence de la crise sanitaire, tout en donnant feu vert aux mesures liberticides et sans pertinence sanitaire dudit passe ?

Les deux décisions du Conseil Constitutionnel du 5 et du 6 août 2021 doivent donc se lire comme la face et le revers d’une seule et même médaille. Promouvant l’un et interdisant l’autre, le Conseil Constitutionnel a fait malgré tout le choix conscient de favoriser une certaine ligne politique fidèle à l’agenda de l’exécutif, dont la dimension sanitaire et le sort de l’hôpital n’étaient que le cadet de ses soucis.

Le principe du passe dit « sanitaire » s’appuyait toutefois sur deux prémisses de base concernant les vaccins : une efficacité réputée exceptionnelle d’environ 95 %, avec pour résultat l’empêchement de la transmission de la maladie une fois le schéma vaccinal de deux doses accompli par le patient. Selon les déclarations publiques répétées du ministre de la Santé, les personnes doublement vaccinées seraient devenues « complètement immunisées ». Qui pourrait en effet s’opposer à une perspective aussi prometteuse ?

Pourtant, ce fut précisément durant la discussion du passe dit « sanitaire » que des nouvelles préoccupantes parvinrent en France depuis Israël et d’autres pays connaissant une forte vaccination et qui subissaient en juillet-août 2021 une forte hausse des contaminations due à la progression du variant Delta[5].

En effet, on l’a appris alors que : 

  • 1)    Les vaccins n’empêchent les personnes vaccinées ni de se contaminer ni d’être contagieuses.
  • 2)    L’immunité qu’ils confèrent se réduit comme peau de chagrin en six mois : baissée devant le variant Delta à seulement 39 %, elle arrive après six mois à environ 16 %. C’est précisément de ce constat qu’il apparut très vite la nécessité d’introduire une troisième et une quatrième dose[6]

Ainsi, en vertu du point 2), il apparut de manière claire que les assertions du ministre Olivier Véran, qui se référait aux personnes doublement vaccinées comme étant « complètement immunisées » étaient au mieux une forte exagération et au pire une fausse publicité. Mais, ce qui était encore plus inquiétant, le point 1) révélait que le dispositif du passe dit « sanitaire » était en fait dépourvu de toute véritable efficacité sanitaire. Questionné à ce sujet, le professeur Éric Caumes a reconnu le 6 septembre que les vaccins n’empêchaient pas les infections, voire des formes graves de la maladie. De ce fait, il concédait que le passe dit « sanitaire » était en réalité plutôt un « passe socio-économique »[7].

2. Le passe socio-économique : un dispositif éphémère et limité juridiquement

Malgré son penchant certain en faveur du gouvernement, le Conseil d’État n’a validé le dispositif du passe « sanitaire » que d’une manière extrêmement circonscrite. Il faut relire attentivement son Avis du 19 juillet 2021 relatif à l’adaptation des outils de gestion de la crise sanitaire, qui est loin du résumé que l’on veut en donner[8].

D’abord le Conseil d’État reconnaît que ce dispositif porte une grave atteinte aux libertés fondamentales :

« cependant une telle mesure, en particulier lorsqu’elle porte sur des activités de la vie quotidienne, est susceptible de porter une atteinte particulièrement forte aux libertés des personnes concernées ainsi qu’à leur droit au respect de la vie privée et familiale ».

Ensuite, il reconnaît qu’une telle mesure pourrait avoir pour conséquence d’entraîner une « obligation de soins » :

« le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soin ».

De surcroît, le Conseil rappelle que le passe « sanitaire » ne doit pas être un outil de contrainte à la vaccination. La formule est incisive :

« l’application du passe sanitaire à chacune des activités pour lesquelles il est envisagé de l’appliquer doit être justifiée par l’intérêt spécifique de la mesure pour limiter la propagation de l’épidémie, au vu des critères mentionnés précédemment et non par un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner ».

Enfin, pour justifier la légalité de la mesure, le Conseil d’État analyse minutieusement les indicateurs de l’épidémie à la date de sa saisine et rappelle les modélisations de l’Institut Pasteur : diffusion du variant Delta (80,2% de tests révélant sa présence), transmissibilité du virus accru de 60%, taux d’incidence de 96% pour 100.000 habitants, admission à l’hôpital (+ 57%) et en soins critiques (+67%), couverture vaccinale de 46,4%…

Pourtant, il est apparu très vite que les modélisations de l’Institut Pasteur, qui ont servi comme base du discours du 12 juillet 2021 et de l’action du gouvernement étaient tirées d’une étude non publiée et non revue par les pairs produite à l’occasion. Ces informations ont été soumises à une critique par le professeur Peter McCullough, de l’université Baylor du Texas, une des autorités mondiales en matière de Covid-19[9] et par le mathématicien Vincent Pavan[10]. Non seulement les données se révèlent fausses, mais il apparaît même qu’elles auraient été consciemment manipulées. Il est digne de noter que, après ces critiques, l’équipe de l’Institut Pasteur a rétracté l’étude concernée… mais les décisions politiques extrêmes prises sous son influence, elles, sont restées en place, affectant la vie de 67 millions de Français. Cela évoque un parfum de scandale politico-scientifique, comme la célèbre étude frauduleuse du Lancet, qui avait permis au même ministre Olivier Véran d’interdire en été 2020 les traitements de la Covid-19 en France. La fraude a été alors vite démontrée par les scientifiques, l’étude publiée retirée avec un grand retentissement (Lancetgate) ; nonobstant la décision d’Olivier Véran est restée en vigueur, avec des conséquences catastrophiques sur le nombre de morts en France durant la pandémie (118 000, comparé au Japon, qui n’a eu que 18.000 morts de Covid-19 pour une population deux fois plus nombreuse, plus dense et plus âgée)[11].

En matière de libertés fondamentales, les plus hautes juridictions de la République Française ne contestent donc pas que le passe socio-économique dit « sanitaire » constitue une atteinte grave aux droits des citoyens. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État n’ont pas manqué de le souligner, tout en précisant que ce système était acceptable, soit du fait de sa limitation dans le temps, soit du fait de sa proportionnalité avec la situation sanitaire au moment de son adoption. L’instauration, le maintien et surtout la prolongation de ce dispositif soulèvent toutefois de nombreuses interrogations juridiques.

3.  Obligation vaccinale détournée et discriminations scandaleuses

 Aucune étude ne permet de démontrer l’efficacité de ce dispositif. Il est en effet impossible de mesurer spécifiquement l’efficacité d’une mesure sanitaire donnée, notamment parce qu’elle n’est pas appliquée de manière exclusive mais associée à un panel de mesures incluant notamment la vaccination massive et les mesures barrières. Au surplus,

« la circulation virale est également influencée par des paramètres sociologiques tels que la mobilité, la fréquentation des transports, commerces, entreprises, et leur densité de population, les brassages associés aux vacances, la rentrée scolaire » [12].

Nos représentants politiques l’avouent d’ailleurs : il s’agissait en fait d’un moyen pour « inciter fortement » les Français récalcitrants à se faire vacciner, comme le rappelait même le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbari[13]. Les conséquences du refus de cette vaccination, accentuées par le non-remboursement des tests et la fin des autotests constituent les prémisses d’une véritable mort sociale. Les personnes non vaccinées sont exclues directement ou indirectement d’une partie des transports publics, des cafés, des restaurants, des bibliothèques et autres lieux culturels, des associations sportives…  Aussi surprenant que cela puisse être, nous avons affaire à des instances gouvernementales qui assument de travailler activement pour la persécution des citoyennes et des citoyens de France, qui entre autres bénéfices considérables, leur paient le salaire.  Au-delà de cette aberration démocratique de fait, les actions du gouvernement contreviennent frontalement à la législation nationale et européenne. 

Le Conseil d’État a souligné, à deux reprises, l’obligation vaccinale que pouvait entraîner l’instauration du passe dit « sanitaire » :

« Il rappelle, ainsi qu’il l’avait relevé dans son avis n° 401741 du 17 décembre 2020 sur le projet de loi relatif au régime pérenne de gestion des crises sanitaires, que le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soins[14] ».

En ce sens, le passe dit « sanitaire » est un outil de contrainte plus qu’un outil sanitaire et, incontestablement il est vecteur de discriminations. Or, ces deux aspects ont été fermement condamnés par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dans ses Considérations éthiques, juridiques et pratiques sur la vaccination contre la Covid 19. Ainsi au point 7.3 du texte :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » [15].

Force est donc de constater que le système mis en place par le gouvernement Jean Castex est l’exact contraire de ce texte.

4. Un régime de privation de libertés hors cadre et déconnecté de la réalité de l’épidémie

Ce système entraîne au surplus une privation de liberté doublement incompréhensible. Ainsi qu’a pu le souligner Guillaume Zambrano, maître de conférences à la faculté de droit de Nîmes, cette restriction de liberté est décidée de manière arbitraire, par simple effet mécanique d’un texte et sans aucun débat contradictoire alors que « toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès ». Qui plus est, cette restriction ne repose que sur une simple présomption de contagion. Autrement dit, on applique une sanction très lourde et significative sur de simples suppositions. Il s’agit d’une forme d’application d’un principe de précaution dont on laisse le soin aux citoyens de contrôler l’application[16].

Le Conseil d’État, saisi en référé de plusieurs requêtes visant à suspendre le passe dit « sanitaire », n’a pas estimé qu’il existait un doute suffisamment sérieux sur sa légalité l’autorisant à faire droit aux demandes. Il a cependant expressément lié ces décisions aux données scientifiques existantes permettant d’établir un tableau de l’épidémie en temps réel. Dans une série d’ordonnances en date du 26 juillet 2021, le juge des référés du Conseil d’État a ainsi insisté sur la dégradation de la situation sanitaire en France,

« avec une diffusion croissante du variant Delta, particulièrement transmissible. À la date du 19 juillet, le nombre de personnes infectées par la covid-19 a augmenté de 111 % par rapport à la semaine précédente et de 244 % par rapport à la semaine du 3 juin. Le nombre d’hospitalisations a quant à lui augmenté de 57 % voire 67 % pour les admissions en service de soins critiques. Par ailleurs, les modélisations de l’Institut Pasteur font craindre une aggravation encore plus importante en août, avec une couverture vaccinale encore insuffisante pour permettre un recul durable de l’épidémie[17] ».

Même dans la décision du Conseil Constitutionnel du 5 août on trouve également cette délimitation par le principe de proportionnalité :

« 23. Les mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ne peuvent en tout état de cause être prises qu’aux seules fins de garantir la santé publique. Selon le paragraphe III du même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

24. En dernier lieu, quand la situation sanitaire le permet, il doit être mis fin à l’état d’urgence sanitaire par décret en conseil des ministres avant l’expiration du délai fixé par la loi le prorogeant »  [18].

Par rapport à ce cadre législatif contraignant, il faut remarquer que l’ « Exposé des motifs » du projet de Loi par lequel le gouvernement entend justifier une décision de prorogation du passe « sanitaire » et de l’état d’urgence, n’avance au total que deux arguments, qui sont tous les deux d’une pauvreté surprenante.

Premièrement, il est affirmé que les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique. Bien au contraire, une étude toute récente publiée par S.V. Subramanian et A. Kumar, comparant les États-Unis avec d’autres pays hautement vaccinés souligne que « les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est totalement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ». Croire ainsi qu’une vaccination massive de la population aurait conféré une protection générale s’avère être une chimère, contraire aux études les plus récentes, car les personnes vaccinées continuent d’être porteuses, malades et vectrices du virus[19].

Deuxièmement, dans le même « Exposé des motifs », le gouvernement affirme qu’il y aurait malgré tout un « risque » de rebond épidémique. Ainsi, c’est le gouvernement qui, après avoir « fortement incité » – pour utiliser une litote – à la vaccination de plus de 70% de la population, doute lui-même des résultats de sa propre politique sanitaire ? Néanmoins, il est impossible de fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des divinations de cette nature. Il y aura toujours à l’avenir un risque quelconque : à ce compte-là, le passe et l’état d’urgence devraient être éternels.

En revanche, l’ « Exposé des motifs » est complètement muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie. Or selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence de la Covid-19 est de 3 cas pour 100 000 habitants : « Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021 s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 5]), ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste[20]. L’ « Exposé des motifs » du premier ministre Jean Castex n’apporte à cette réalité aucun démenti.

Or, dans la mesure où tant le Conseil d’État que le Conseil Constitutionnel lient l’existence et non simplement l’application du passe dit « sanitaire » à la réalité de l’épidémie, et non aux divinations doctes qui se sont tant de fois trompées jusqu’à présent, au regard des mêmes indicateurs, il résulte que le maintien du passe socio-économique ne devrait même pas être débattu… Et cela d’autant moins que le Conseil scientifique, dans son avis du 5 octobre, reconnaît que l’on ne peut lier passe « sanitaire » et amélioration de la situation épidémique[21].

5. Un projet de loi d’inspiration totalitaire chinoise

Il y a ainsi un très grand écart entre les objectifs sanitaires affichés par l’exécutif, validés sur la foi du gouvernement par les hautes juridictions de la République, et le « passe socio-économique » qui a finalement été mis en œuvre. Ce qui devient encore plus inquiétant désormais est l’utilisation politique du passe dit « sanitaire » pour exercer un contrôle généralisé de la population et la priver, comme c’est déjà le cas, de vie sociale (voire, comme en Italie ou en Israël, de vie professionnelle). Cela constitue une atteinte insupportable aux droits fondamentaux que rien, et surtout pas une maladie au taux de mortalité comparable à celui de la grippe dont le taux d’incidence est négligeable depuis plusieurs mois, ne saurait justifier[22].

Le grand philosophe italien Giorgio Agamben, un disciple de Michel Foucault et spécialiste de la question du biopolitique, a admirablement expliqué récemment devant le Sénat italien, le 7 octobre 2021, le problème politique (non médical) posé par une vaccination assortie à un « Green Pass » :

« nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? Est-il possible que les citoyens d’une société prétendument démocratique soient dans une situation pire que les citoyens de l’Union soviétique sous Staline ? Vous savez peut-être que les citoyens soviétiques étaient obligés de présenter une propiska, un laissez-passer pour tout déplacement d’un endroit à un autre. Mais on est aussi obligé de montrer un passe sanitaire pour aller au restaurant, voire même pour aller au musée ou au cinéma. Et maintenant —ce qui est encore plus grave avec le décret que vous devez transformer en loi— même à chaque fois que vous allez travailler »[23].

Si l’on essaie de faire la généalogie intellectuelle des mesures du gouvernement Castex, on peut noter que leur inspiration remonte directement au rapport du Sénat du 3 juin 2021, intitulé Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés[24]. Défendant le principe selon lequel « si une dictature sauve des vies pendant qu’une démocratie pleure ses morts », les auteurs du rapport invitaient à adopter « la bonne attitude [qui] n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs » (sic !)[25]. À cet effet, ils saluaient le principe de passe(port) sanitaire comme une « bonne nouvelle », et ceci même au prix de prendre le contre-pied de la critique sévère de la Défenseure des droits[26] qui, déjà dans son avis du 17 mai adressé au Parlement, avait sévèrement jugé le dispositif présenté par le Gouvernement[27]. On réalise ainsi que ce rapport opposait sans sourciller les valeurs de la République, incarnées par la Défenseure des droits, à un dispositif directement inspiré – comme le reconnaissent les auteurs eux-mêmes – du modèle chinois, pays qui a vu, selon leur analyse, la mise en place des premiers passes sanitaire et vaccinal[28].

Reconstituer la généalogie de l’idée et du système de passe « sanitaire », fait ainsi remonter les origines intellectuelles du présent projet de loi jusqu’au modèle totalitaire chinois, que le gouvernement Jean Castex a adopté, une rhétorique habile à l’appui, presque intégralement, sans faire beaucoup de cas des mises en garde de la Défenseure des Droits en faveur de la défense des valeurs de la République Française. Mais le premier ministre n’est pas le seul à pouvoir s’attribuer ce mérite. Il faut également reconnaître que, dans la mise en place de ce système inspiré de la Chine communiste, le ministre de la Santé M. Olivier Véran a joué aussi un rôle capital. Comme le révèle l’enquête du Monde publiée en mai 2020 par les journalistes Solenn de Royer et Harold Thibault sur le réseau tentaculaire de la Fondation France – Chine, l’actuel ministre de la Santé en était une des plus brillantes recrues, bien que loin d’être le seul.  

« Le monde est tout petit », reconnaît l’ambassadeur de France en Afrique du Sud Aurélien Lechevallier, ex-conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, qui a, pour sa part, rencontré M. Macquin à HEC et M. Lenain à Washington, où ils ont été tous deux en poste. Intégré à la promotion 2017-2018, M. Lechevallier a aidé le trio à repérer les valeurs montantes de la Macronie, comme les ministres Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher ou la députée (La République en marche, LRM) Coralie Dubost, qui a coopté l’année suivante Olivier Véran, son compagnon et futur ministre de la Santé »[29].

Les assertions des journalistes du Monde sont d’ailleurs confirmées par les données publiques de la Fondation France – Chine, qui a en effet l’honneur de compter M. Olivier Véran parmi les membres de la promotion 2019[30]. Selon l’analyse du Monde, ce « réseau puissant » où « se fabrique l’influence » est un réseau « sous le contrôle total du Parti Communiste Chinois ». Selon l’ambassadeur Aurélien Lechevallier, ce réseau de soft power « offre aux Chinois un accès privilégié à des responsables politiques de haut niveau et à des PDG dans des secteurs stratégiques. Certes pas à des secrets d’État, mais à un niveau d’interlocuteurs inégalé ». Or, force est de constater que, à force de côtoyer les Young Leaders chinois et les hauts responsables de la République Populaire de Chine, le gouvernement Jean Castex, où les ministres Olivier Véran, Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher jouent un rôle déterminant dans la construction du programme sanitaire, est en train de mettre en place précisément un système de contrôle socio-économique inspiré du modèle totalitaire chinois.

À la lumière de ce constat, les dix points d’alerte de la Défenseure des Droits ne font que gagner encore plus une brûlante actualité[31]. Sous le rouleau compresseur de ce modèle d’inspiration totalitaire, on constate plus que jamais « la nécessité d’un débat démocratique » qui fait défaut en raison de la sourde oreille que le gouvernement prête à l’opposition et à la population qui, depuis plus de 14 semaines, manifeste dans la rue contre la mise en œuvre de ce système. Avançant masqué, ce projet totalitaire se décline dans une avalanche de documents normatifs, rédigés dans une novlangue qui pose des problèmes d’« intelligibilité du texte », laissant de « nombreuses zones d’ombre » qui confèrent une énorme marge d’action au gouvernement. Nous avons tous pu constater à quel point les mesures élaborées depuis début août 2021 par le gouvernement ont provoqué des « restrictions d’accès aux transports publics et aux biens et services ». La « mise en œuvre des restrictions d’accès » a incité « le contrôle d’une partie de la population par une autre », situation typique d’un régime totalitaire qui rompt décisivement avec l’idée même de fraternité de la République française.

Cette société de surveillance est en même temps également une société de discriminations, qui n’en sont que la conséquence naturelle. Ainsi La Défenseure des droits avait souligné « les risques de discriminations dans l’emploi », rappelant « qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l’article 1er de la loi du 27 mai 2008 ». Toutefois les « mesures d’isolement étendues » et la « vaccination obligatoire pour certaines professions » ont conduit au licenciement de dizaines de milliers de médecins et de soignants, ordonné de manière autoritaire par le ministre Olivier Véran, ce qui n’a fait que donner justice à cet avertissement formulé par Madame Claire Hédon. Cela marque une rupture radicale avec le système de protection du travail mis en place par le Préambule de la Constitution de 1946, qui fait partie de notre socle constitutionnel.

Mais ce qui est encore plus grave c’est que le passe socio-économique, prétendument « sanitaire » a entraîné « des risques considérables d’atteinte aux droits de l’enfant ». Se fondant sur les données scientifiques, la Défenseure des droits était « favorable à ce que, pour les mineurs de 12 à 18 ans, la vaccination reste uniquement encouragée et ne tombe pas sous le coup d’une obligation déguisée. Elle considère en outre que, pour les mineurs de moins de 12 ans, le projet de loi devrait indiquer de manière expresse qu’ils sont exemptés de la vaccination ». Allant à l’encontre de ces recommandations, le gouvernement a incité fortement la vaccination massive des jeunes, en conditionnant leur vie sociale à la possession d’un passe « sanitaire ». Dans le pays des Droits de l’Homme, non seulement les vies des adultes mais aussi celles des enfants et des adolescents sont désormais conditionnées par la possession de cet artefact d’inspiration chinoise.

Ensuite, le passe socio-économique contribue à exclure « Les personnes en situation de pauvreté », qui « pourraient (en) être doublement victimes ». Comme par la politique catastrophique des trois confinements ordonnés de manière autoritaire par le président Emmanuel Macron un million de personnes ont basculé dans la catégorie des pauvres, ces mesures doublement discriminatoires affectent plus de 10 millions de personnes. Enfin, « les risques liés au traitement des données » ont été prouvés par les fuites de données de santé de millions de citoyens : si même les passes « sanitaires » du premier ministre Jean Castex et du président Emmanuel Macron se sont retrouvés en accès libre sur les réseaux sociaux, quelle protection du secret de la santé peut dès lors espérer le citoyen commun ? Jamais en reste de décliner sa responsabilité, l’Elysée a fustigé « une faille déontologique » et « la négligence ou la malveillance de professionnels de santé ». Alors qu’en réalité, c’était au responsable de la mise en place de ce système de surveillance généralisée que le président de la République aurait dû s’en prendre… en se regardant dans le miroir.

Désormais cependant, c’est un 11e point d’alerte que la Défenseure des droits devrait ajouter dans sa liste. Il s’agit d’une alerte suprêmement politique. Car le gouvernement Jean Castex, en tentant de nouveau d’imposer en force la prorogation du passe « sanitaire » jusqu’en été 2022, ne cache même plus ses velléités de biaiser fortement le déroulement des élections présidentielles et législatives de l’année prochaine en faveur du président Emmanuel Macron et de sa future majorité. Parmi les nombreuses déclarations en ce sens, celle du ministre de l’Intérieur, M. Gérald Darmanin, sont peut-être les plus inquiétantes. Dans son entretien dans le JDD, il n’a pas caché son plan de « vouloir peser sur le scrutin » présidentiel de 2022.

« Ce qu’ambitionne le ministre de l’Intérieur c’est avant tout d’être le ministre de l’Intérieur de la réélection d’Emmanuel Macron. « Je suis candidat à ça : montrer la force du Président sur le régalien », confie Darmanin, qui y voit sa « responsabilité dans la campagne » et se dépeint en « garant, en partie » de ce front » [32].

Ces déclarations sont d’une gravité sans précédent et nous tenons à avertir les députés de leur signification : dans tous les régimes autoritaires ou dictatoriaux, les ministres de l’intérieur contribuent à faire élire le président sortant, tout en sauvant les apparences du contraire. Alors que, en France, le ministre de l’Intérieur proclame haut et fort son projet dans ce sens ! C’est donc une alerte démocratique d’une extrême urgence que pose, en fin de compte, le projet de loi présenté par le gouvernement.

En conclusion de cette analyse, le syndicat « ERL ! » attire l’attention sur le manque d’arguments scientifiques et juridiques du projet du passe socio-économique, faussement nommé « sanitaire ». De surcroît, ce projet dont nous épinglons l’inspiration totalitaire, pose un grave problème démocratique durant une année électorale qui a déjà commencé. À ce titre, le livre récent d’enquête publié par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, a révélé une série de détails sur l’origine du mouvement. En particulier, nous retenons la signification du nom « En Marche ! », que d’ailleurs le parti LREM a conservé jusqu’à présent :

« C’est Brigitte Macron qui choisit finalement En Marche ! En effet, l’unanimité n’est pas immédiate ; l’avocat François Sureau, membre de la bande quoique proche de François Fillon (en macronie, tout devient possible), n’est franchement pas fan. Au cours d’un déjeuner, il s’emporte : « C’est pas possible que ça s’appelle En Marche ! Ça rappelle la Grande Marche sur Rome de Mussolini ! La définition du fascisme, c’est le mouvement, sans direction… » L’avocat, homme de culture, jette un froid, ses objections portent. « À ce moment-là, pour nous, le nom est flingué, opine [Stanislas] Guerini. Et là, Brigitte dit : “Moi, j’aime bien.” L’argument historico-intellectuel est balayé. »[33].

En tant que scientifiques, nous mettrons au contraire devant les députés de la Nation précisément cet argument historico-intellectuel. Nous nous permettons de vous rappeler que vous n’êtes pas les élus d’un président, ni d’un parti, mais d’abord et avant tout celles et ceux de la Nation française. Nous vous appelons, toutes et tous, membres de l’opposition tout comme de la majorité, à un véritable sursaut démocratique. Vous ne voudrez pas rester dans l’histoire comme les garants de la mise en place définitive d’un programme de contrôle de la population française et, partant, de la démocratie de notre République, inspiré du modèle totalitaire du Parti Communiste Chinois ou d’autres régimes du passé. Pour toutes ces raisons, le syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! » s’adresse à tous les parlementaires pour les persuader de rejeter cette proposition de loi au nom des valeurs suprêmes de la République Française : Liberté, Égalité et Fraternité que le système du passe socio-économique bafoue au point qu’il finit par menacer désormais l’existence même de notre République.

Recevez, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés, y compris de la majorité présidentielle, les meilleures salutations des membres du syndicat « Enseignement, Recherche et Libertés ! » et de ses sympathisants.

Paris – Aix-en-Provence – Poitiers

17 octobre 2021





Des journalistes mainstream se rebiffent-ils contre la propagande vaccinale ?

Par Diane Vincero

Appel à témoins sur CNews

🚨📢🔴🇲🇫 Sur CNEWS ce soir, Pascal Praud invite toutes les personnes victimes d’effets secondaires du vaccin à venir témoigner sur son plateau.

Faites tourner partout pour inonder la chaine.
Pascal Praud attend vos appels.
Soyez nombreux pour témoigner et dénoncer.

Pascal Praud ne croyant pas ce que vient de dire Yvan Rioufol sur Cnews à savoir qu’il y a de nombreux effets secondaires suite aux vaccins et qu’il suffisait de lire les témoignages sur les réseaux sociaux…
Praud met en doute les réseaux sociaux et affirme qu’il n’y a pas d’effets secondaires car personne n’en témoigne sur les plateaux TV.

Rioufol repond que c’est normal car personne n’invite les victimes à témoigner !

Praud lance donc un appel à témoignages pour inviter des personnes à témoigner sur le plateau appeler Cnews.

Numéros de CNews :
0171355555
0146964433

S’ils ne vous répondent pas, vous avez le mail Yvan Rioufol : irioufol@lefigaro.fr

N’hésitez pas à relayer au maximum

Rejoignez la Vérité Censurée
https://t.me/LaveriteCensure

Vidéo d’un collectif de journalistes

[Source : https://www.bitchute.com/video/fbmeXnSvUKYR/]






Encore un mort du cancer étiqueté Covid-19 par les autorités

[Source : @trottasilvano]



[Ndlr : au Québec, les médias relayent des cas de prétendus morts de la Covid qui s’avèrent avoir été vaccinés quelques jours avant un test PCR positif.]




Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




Les données : l’« or noir » du XXIe siècle

[Source : Kla.TV]

Au printemps 2020, Bill Gates a annoncé son soutien financier à un projet d’un milliard de dollars visant à quadriller la Terre de satellites de vidéosurveillance. Le projet, appelé EarthNow, vise à surveiller en direct chaque « recoin » de la terre. Selon Wikipedia, les gouvernements et les grandes entreprises sont le public ciblé de ce projet. Bill Gates avait déjà acquis des actions auprès de l’entreprise Crown Castle par l’intermédiaire de sa Fondation Bill & Melinda Gates. Cette entreprise possède l’infrastructure 5G nécessaire pour pouvoir réaliser ce projet de surveillance.

Si les Américains sont amenés à croire, à coup de millions de publicités télévisées, que la 5G est installée pour des vitesses de téléchargement plus rapides, la réalité est qu’elle sera principalement utilisée pour collecter des données.

Le véritable « or noir » du XXIe siècle, ce sont les données recueillies par des dizaines de milliards d’appareils „intelligents », tels que les téléphones portables, les ordinateurs, les voitures, etc., et transmises sans fil via la 5G au Big Data pour être collectées et ensuite vendues.

Dans le monde de demain, les humains seront non seulement totalement surveillés, mais aussi totalement conditionnés. Cela signifie que toute personne qui sort du rang se verra privée de services, d’offres d’achat, de liberté de mouvement et de droits.

Par pg

Sources / Liens :

https://childrenshealthdefense.org/News/the-brave-new-world-of-bill-gates-and-big-telecom/




L’homme politique britannique George Galloway a averti que Facebook est secrètement de connivence avec le « Nouvel ordre mondial » pour éradiquer la liberté d’expression et tuer à jamais les éditeurs indépendants

[Source : anguillesousroche.com]

Dans une tribune pour RT, M. Galloway a souligné que la récente vague de « dénonciations » de Facebook, qui survient au moment même où Big Tech a promis de « réduire la présence de la politique » sur le site, fait partie d’un plan coordonné visant à contrôler davantage la liberté d’expression en ligne.

Galloway écrit :

« Si vous m’aviez dit, pendant les années où j’ai siégé avec Nick Clegg au Parlement britannique, que le député douloureusement libéral de Sheffield Hallam – qui deviendra plus tard vice-premier ministre du Royaume-Uni et Sir Nick – deviendrait le censeur en chef de la plus grande place publique de la planète, Facebook, je ne l’aurais jamais cru.

Lors des élections générales de 2010, lorsque Clegg a fait décoller les libéraux-démocrates lors des débats télévisés, « Je suis d’accord avec Nick » est devenu le slogan de ses adversaires. Ce qui n’était au départ qu’un expédient est aujourd’hui devenu obligatoire.

Car si vous êtes sur Facebook et que Sir Nick Clegg n’apprécie pas ce que vous avez à dire, vous ne serez pas entendu longtemps.

Je déclare un intérêt. Je suis très investi dans la liberté d’expression sur Facebook. J’y ai 600 000 abonnés – plus que la quasi-totalité des personnalités politiques britanniques – et un public de plusieurs millions de personnes pour mes discours, mes clips, etc.

Lorsque j’ai lu récemment le pronunciamento de Clegg selon lequel il allait réduire le contenu politique sur la plateforme, je l’ai perçu comme une menace. Les photos de mon petit-déjeuner ne sont qu’une petite partie de mon œuvre sur Facebook ».

Rt.com rapporte : Selon Clegg

« L’une des choses que nous avons entendues de la part des utilisateurs américains et du monde entier depuis l’élection est que les gens veulent voir plus d’amis, moins de politique. Nous avons donc testé des moyens de réduire la présence de la politique dans les expériences des gens sur Facebook. »

Puis j’ai observé avec fascination les manœuvres orchestrales dans l’obscurité d’une enquête du Congrès sur Facebook où une lanceuse d’alerte, Frances Haugen, sifflait un air très commode pour les puissants – dans l’entreprise et dans les centrales de l’establishment – et j’ai réalisé que nous étions tous joués. Et que Nick Clegg n’est plus un libéral.

Facebook se battra jusqu’à la mort pour empêcher ceux qui ont de « mauvaises » opinions d’être entendus. Signal : il faut faire quelque chose !

Le lanceur d’alerte A de Facebook a été entendu dans le monde entier. Un autre lanceur d’alerte, Julian Assange, n’a pas été entendu depuis plusieurs années en raison de son incarcération dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres, et il risque de passer le reste de sa vie sous terre dans un Guantanamo américain.

Le lanceur d’alerte A était préoccupé par le body-shaming sur Instagram et d’autres éphémères de ce genre. Le lanceur d’alerte Assange s’inquiétait des corps, bien morts, aux mains de ceux qui, comme le public du Congrès, fredonnaient avec une horreur feinte les récits du lanceur d’alerte A.

Et voilà qu’arrive de l’Ouest la nouvelle d’un lanceur d’alerte B. Une autre ex-employée de Facebook, Sophie Zhang, a fait part de ses histoires d’horreur sur les fausses nouvelles de Facebook qui influencent les élections dans le monde entier.

Mme B, une tribune de San Francisco, n’a pas encore été nommée, mais il est peu probable que les élections en question soient celles – en Russie par exemple – où une presse d’ONG à fond de train a été filmée pour tenter de réduire la victoire du parti parlementaire du président Vladimir Poutine, quitte à favoriser les communistes !

Il est plus probable qu’elle ait en tête des personnes comme Donald Trump, alors que les dirigeants américains commencent à montrer des signes d’effondrement face à l’éventualité de la résurrection de l’homme orange.

Il ne fait aucun doute que Mme Chang parviendra à citer les mystérieux Ivans et Lis qui continuent de travailler sans relâche pour installer des candidats favorables au pouvoir d’une manière dont l’ENSEMBLE des médias de masse et de la classe politique occidentaux ne pourrait jamais rêver.

La musique d’ambiance est claire. Les mauvaises personnes ont réussi à persuader le public que nos dirigeants et leurs principaux récits sont tout à fait nus. Ils n’ont pas de vêtements.

Il faut les arrêter. Et comme le fameux village du Vietnam qu’il a fallu détruire pour le sauver, la liberté d’expression doit être éteinte pour la préserver. C’est la voie libérale…




« Neo Kosmo » vous explique la mafia des laboratoires pharmaceutiques

[Source : lemediaen442.fr]

Neo Kosmo :

« Le fonctionnement du système de santé français peut être un peu flou pour beaucoup de gens. Alors, on va prendre le temps d’éclaircir tout ça. Dans un premier temps, je vais faire un schéma pour expliquer comment ça fonctionne. Ensuite je vous dirai pourquoi c’est un système super malsain et pour finir, j’exposerai une solution pour éradiquer définitivement le problème. »

Mediator, Levothyrox, Dépakine ont obtenu une autorisation de mise sur le marché. Un autre exemple des dérives causées par le lobbying des laboratoires (il se compte en milliards, comme leurs profits). En 2013, le CEPS (Comité économique des produits de santé) a accordé une AMM au Sovaldi, un médicament de Gilead contre l’hépatite C. Si on tient compte d’un prix de vente au plus haut, le traitement complet devrait coûter 600 €, mais… la sécu accepte de le rembourser à 100 % au tarif de 56 000 € ! Un peu cher ? Pas de problème, l’État n’en achète que pour la moitié des malades. Devant les protestations des associations, les négociations reprennent et finalement, en 2014, le prix du traitement est baissé à 41 000 € ! On voit comment est creusé le trou de la sécu.

SOMMAIRE :

  • 0:00 Introduction
  • 0:41 Comment marche le système de santé ?
  • 4:04 Les dérives du système
  • 10:15 La solution
Neo Kosmo



Martinique : des gendarmes patrouillent à l’intérieur de l’hôpital pour arrêter les soignants non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Nous sommes en Martinique, à l’hôpital Pierre Zobda-Quitman (Fort-de-France), la vidéo (voir ci-dessous) , a été filmée à l’intérieur de l’hôpital. Des gendarmes parcourent les couloirs, afin de débusquer des soignants —  médecins, infirmières, brancardiers — sans le passeport sanitaire. La scène est surréaliste et digne d’un film de science-fiction ou d’horreur.

Rappelons que deux brancardiers avaient été arrêtés et menottés au sol par la police. Suite à cela, des heurts avaient eu lieu à l’extérieur de l’établissement, et se sont soldés par l’arrestation de trois soignants.

https://twitter.com/LE_GENERAL___/status/1449491742793797635?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449491742793797635%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmartinique-des-gendarmes-patrouillent-a-linterieur-de-lhopital-pour-arreter-les-soignants-non-vaccines%2F

L’entrée de l’hôpital Pierre Zobda-Quitman ressemble à un checkpoint en zone de guerre, l’accès est réservé aux vaccinés. Benjamin Garel, directeur du CHU de Martinique, nous fait une confidence pour le moins intrigante. Selon lui « Les chiffres sont évidents, il y a un vaccin qui tue ! » On n’en demandait pas tant, mais on salue la franchise.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2




Comment on manipule pour avoir le consentement

[Source : Contrepoints]

[Transmis par Françoise Joët]

[Ndlr : emphases visuelles dans le texte (caractères gras et couleurs), par Christine Côte…]

Par Yannick Harrel.

L’époque des années 1950 et 1960 en sciences comportementales est fascinante puisque leurs résultats continuent d’irriguer nos sociétés : ainsi tant les expériences de Asch que celles de Bateson ou de Milgram sont essentielles pour comprendre comment les sociétés actuelles peuvent réagir ou sont forcées de réagir suite à des stimuli spécifiques. Un apport scientifique que de nombreux dirigeants se sont empressés d’expérimenter à grande échelle au sein des démocraties libérales jusqu’à les pervertir de l’intérieur, a fortiori en temps de crise.

Il y a eu bien entendu des recherches, des analyses et des pratiques sur la manipulation des foules antérieurement à ces études.

Rappelons par exemple La psychologie des foules de Gustave Le Bon (1841-1931), Le viol des foules par la propagande politique de Serge Tchakhotine (1883-1973) ou la Commission Creel avec son plus éminent spécialiste, Edward Bernays (1891-1995), par ailleurs neveu et lecteur assidu des travaux de Sigmund Freud (revoir à bon escient le document Propaganda : la fabrique du consentement diffusé sur Arte).

Toutefois, les trois chercheurs précités ont œuvré dans un cadre spécifique : celui de la démocratie libérale. Le principal obstacle dans une démocratie libérale c’est précisément l’obtention d’un consentement, pas obligatoirement exprès, mais tout aussi bien tacite. Et c’est précisément sur ce point central que les trois maîtres du consentement moderne vont œuvrer.

LES TROIS MAÎTRES DU CONSENTEMENT MODERNE

Il convient de rappeler, même brièvement à quoi correspondent les travaux de cette trinité dans l’étude sociocomportementale.

Solomon Asch (1907-1996) a travaillé sur le conformisme des individus en manipulant plusieurs paramètres psychologiques afin que le réfractaire de départ se convertisse peu à peu à la directive initiale.

Gregory Bateson (1904-1980) a analysé le phénomène des injonctions paradoxales, appelées aussi contradictoires ou double contrainte, plongeant le sujet dans un état d’incapacité à atteindre les objectifs fixés, le rendant ainsi plus malléable et corvéable.

Stanley Milgram (1933-1984) est le plus connu du public puisque son expérience a eu un large retentissement en établissant un lien entre la désinhibition d’individus obéissant à des ordres pourtant contraires à la morale et à leurs valeurs, mais couverts par l’autorité officielle.

Or dans une démocratie libérale, animée théoriquement par le respect des libertés fondamentales, le respect d’autrui, la transition apaisée et loyale du pouvoir, ces travaux prennent une valeur inestimable. Comme il n’est pas possible de procéder de la même manière qu’un régime totalitaire qui réclame prioritairement l’obéissance, le consentement, théoriquement libre et éclairé, doit être obtenu par un procédé détourné.

L’INFORMATIQUE CONNECTÉE COMME ADJUVANT

La grande nouveauté dans l’application de ces études à notre époque contemporaine se situe dans l’utilisation massive des métadonnées couplées à des traitements automatisés à grande échelle pour obtenir des baromètres de l’état de l’opinion et des prédictions quant à l’évolution probable de celle-ci (ainsi qu’une surveillance de masse, mais ce sujet, doit être traité à part). Dans les années 1950 et 1960, les ordinateurs étaient uniquement des super-calculateurs occupant une immense pièce entière sécurisée, il était alors hors de question de les employer pour des problématiques autres que la sphère militaire ou la recherche stratégique comme le nucléaire.

Du reste, la simple puissance de calcul n’aurait pas été suffisante. Deux éléments complémentaires ont contribué à l’amplification des techniques de fabrication du consentement :

  • la démocratisation d’Internet dans les années 1990,
  • l’émergence des réseaux sociaux dans les années 2000.

Ainsi, l’accumulation des métadonnées devenait possible pour établir rapidement une cartographie de la population selon son âge, son statut professionnel, son statut marital, ses loisirs, ses relations amicales, ses partenaires d’affaires et même des données autrefois taboues comme sa religion, son appartenance politique, sa localisation géographique, son origine ethnique et même son état médical. Nanti de ces données formant à leur tour un ensemble informatif, le bénéficiaire était en mesure de moduler un discours afin de plaire à différentes communautés et viser a minima la majorité relative, désormais suffisante pour gouverner dans les régimes démocratiques.

Loin de rendre obsolète lesdites études, l’informatique connectée leur fournit une capacité démultipliée de contrôle encore plus fine que dans un régime usant de méthodes autoritaires et grossières, facilitée en outre par l’abandon volontaire par les intéressés de toute donnée de nature privée en contrepartie d’une mise en réseau : la crainte d’une déconnexion sociale par toute une partie de la population raffermit cet afflux de données.

CRISE SYSTÉMIQUE ET CONSENTEMENT

La survenance d’une crise d’importance peut dans un premier temps bouleverser les plans originaux d’un dirigeant, mais les accélérer dans un second pour peu qu’il sache l’exploiter à escient en travaillant sur son magistère (l’autorité), sur la confusion mentale (la peur) et sur le fait majoritaire (le consentement progressif).

Dans le cas d’une pandémie par exemple, la population peut être abreuvée d’informations tantôt alarmantes tantôt rassurantes, de statistiques pléthoriques et invérifiables, de semonces gouvernementales, le tout par des relais médiatiques complaisants ou forcés par lesquels défilent des experts certifiés conformes. L’objectif est de maintenir la population sous contrôle, avec un impératif d’efficacité maximum (l’optimum est la norme hors contexte de crise), lequel peut être obtenu avec le renfort volontaire de la population acquise aux mesures décidées. Telle est l’acmé de tout système de conditionnement social : lorsque la majorité de la population enjoint les réfractaires à se conformer à la norme présentée comme celle qui ramènera la sécurité (sanitaire dans le cas présent, mais qui peut tout aussi bien être environnementale, économique, financière, routière, etc.). Le pouvoir en place doit à terme pouvoir se décharger partiellement de son contrôle sur les esprits en le déléguant à la partie de la population la plus zélée avec l’approbation silencieuse de la majorité.

La terminologie est de ce point de vue essentielle : le terme de menace est préféré à celui de danger, car il justifie par ses vagues temporalité et matérialité la perpétuation de mesures dans le temps et l’espace, jusqu’à l’intégration desdites mesures dans le droit commun.

Si le conditionnement est habilement mené, vous obtenez un peuple zombie et des libertés du même acabit. Rappelons que le cheminement en est d’autant plus facilité dans les esprits que dans une démocratie, la majorité de la population est acquise au principe de bénéficier du meilleur des régimes et de la bienveillance naturelle du dirigeant. Ces présomptions facilitent l’avènement de ce qu’Alexis de Tocqueville craignait le plus, le despotisme démocratique assuré par ce fameux pouvoir immense et tutélaire.

Nombre de lecteurs et commentateurs ne manqueront pas d’y ajouter leurs propres références. Cependant les invariants de l’exposé demeurent : le contrôle des foules nécessite de procéder obligatoirement par le canal émotionnel, et non le canal rationnel. Ce dernier est entièrement inefficace pour disposer à sa guise d’une population, et encore moins pour les opposants de la modifier.

FAIBLESSES DU CONTRÔLE ET CONTRE-MESURES

Le contrôle des populations nécessite un certain doigté, un équilibre permanent entre carotte et bâton pour simplifier. Or, plus le temps passe, plus l’équilibre devient complexe et coûteux, surtout avec le changement générationnel. L’inflation du contrôle produit un effet pervers qui accroît les risques de dysfonctionnement et les moyens alloués.

D’autres éléments internes peuvent rendre l’équation plus précaire : le comportement du dirigeant ou du cercle dirigeant (exemple : une tentation vers l’hybris, la tentation de la démesure) ou le remplacement imprévu du dirigeant (exemple : dans le cas d’une maladie foudroyante).

Des éléments externes peuvent aussi y contribuer : une pression étatique étrangère (exemple : par la création d’un mouvement d’opinion concurrent ou la subversion d’une fraction de la population) ou une catastrophe remettant radicalement en cause le narratif du pouvoir (exemple : la catastrophe de Tchernobyl en Union soviétique).

L’autre limite est celle de l’emploi des algorithmes. Si ceux-ci peuvent fournir une bien utile cartographie de l’état de l’opinion, les prédictions issues de ceux-ci sont sujettes à des variations de plus en plus conséquentes au fur et à mesure qu’elles visent une ligne temporelle plus tendue. Pour simplifier : il y a érosion de la fiabilité de toute prédiction algorithmique sur le temps long. Or, les dirigeants ont rapidement tendance à se soumettre eux-mêmes à une addiction aux algorithmes. D’utilisateurs, ils en deviennent esclaves, les employant de plus en plus régulièrement et intensivement pour envisager les effets des mesures et les décisions à imposer afin d’obtenir la soumission de la population. Cette addiction est une faiblesse inhérente à la technophilie des dirigeants actuels.

Les contre-mesures sont existantes, elles réclament de la constance et de l’aplomb pour leur mise en place.

La première d’entre elles, et la plus économique, est le Non. L’adverbe signifiant la négation est en effet particulièrement efficace dès lors que le ton est posé de façon adéquate. L’homo democraticus next gen est en effet conditionné pour dire Oui à tout. Or, lui signifier frontalement et fermement son opposition, c’est un choc émotionnel (rappelons-nous que le rationnel n’est pas efficace sur les personnes déjà conditionnées, il le reste toutefois sur les personnes hésitantes ou curieuses). Dire Non, c’est effriter sa confiance d’être dans le sens de l’autorité juste et bienveillante.

La seconde est plus pernicieuse, elle consiste à réfléchir en oblique. L’idée est d’être moins frontal et de faire dysfonctionner le consentement. Cela passe généralement par une méthodologie que l’on peut retrouver dans les techniques managériales et qui puise ses origines dans la pensée aristotélicienne, que l’on peut déterminer comme Q3OPC2 (Qui, Quand, Quoi, Où, Pourquoi, Comment, Combien). Nous la retrouvons aussi sous la dénomination d’analyse de cause racine (ACR en français, RCA en anglais). Approuvez les dires de la personne, mais répliquez-y par une question. Le but est de pousser jusqu’aux retranchements et faire disjoncter la programmation mentale.

La troisième, et non exhaustive, contre-mesure implique de manier l’ironie socratique. Bien employée, celle-ci agit comme un dissolvant puisqu’elle raille les mesures et les arguments adverses tout en permettant à l’auditoire de s’en amuser. Nul pouvoir n’apprécie la raillerie qui est un signe de défiance, et dans le cas du conditionnement social, un risque de perdre le contrôle. Se différenciant du procédé scolastique, le principe est de tourner en dérision les mesures prises. Le laconisme se mariant à merveille à cette méthode afin de porter un coup bref, mais tranchant dans la certitude d’autrui.

L’AVANT-GARDE ÉCLAIRÉE

Il n’en reste pas moins que le meilleur rempart contre les tentatives de manipulation psychosociale est la culture : se cultiver demeure le meilleur antidote face à ce type de contrôle (à ce titre, ne jamais confondre le diplôme et la culture, comme le diplôme et l’intelligence). Reste qu’au-delà de cette thématique, il est impératif de déterminer quelle société désirent les citoyens/les sujets eux-mêmes. Le savent-ils eux-mêmes et pis, sont-ils encore capables de l’exprimer distinctement ? Comme le problème récurrent des régimes politiques tient plus aux hommes qu’aux structures (la meilleure des organisations finira toujours pas être corrompue par des hommes animés de mauvaises intentions tandis que les hommes bienveillants finiront toujours par bonifier une organisation même dépravée).

Il est assez judicieux à ce titre de relire La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952), et de le parcourir jusqu’à la dernière ligne (et je souligne cette phrase), pour constater que ce sont en réalité les forces illibérales qui ont pris possession des centres de pouvoir : n’est-il pas temps que l’avant-garde éclairée se mette en ordre de bataille ?


[À propos de l’auteur]

Yannick HARREL : De formation supérieure en sociologie, droit et ingénierie minière, il est expert-chercheur sur les problématiques liées aux stratégies de la donnée et sur l’écosystème des mobilités 3.0. Outre de nombreux articles et interventions pour journaux et radios, il tient des conférences thématiques en France et à l’étranger, il a publié trois ouvrages devenus des références sur la cyberstratégie russe, les cyberstratégies économiques et financières et les automobiles 3.0 aux éditions Nuvis. Il intervient pour le compte d’administrations, d’entreprises et d’instituts d’enseignement supérieur.


[Ajouté par Christine Côte :]

L’expérience de Milgram :

La Fin du Covid -- Expérience de Milgram : Comment transformer sa  population en bourreaux sans scrupules (tunnel)

Expérience de Milgram : définition, utilité, conséquences – Ooreka

Vidéo: (1’50’’)

Livre : La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952)

LA FIN DE L’HISTOIRE ET LE DERNIER HOMME : FUKUYAMA,FRANCIS: Amazon.ca: Livres