Christine Anderson, députée allemande : « Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental… »

[Source : nicolasbonnal.com (wordpress.com]

Par Nicolas Bonnal

Lucifer peut-il encore perdre la partie ? Des députés européens protestent contre les passeports vaccinaux. Christine Anderson, députée allemande : « Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental, et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, je serai libre. Soyons clairs sur une chose : personne ne m’accorde la liberté, car je suis une personne libre. Alors, je défie la Commission européenne et le gouvernement allemand : jetez-moi en prison, enfermez-moi et jetez la clé si vous voulez. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si la citoyenne libre que je suis choisit de ne pas l’être. » Cerise sur le bateau : « Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. »

Donc des députés se réveillent. Rassurez-vous, ils ne sont que cinq, dont Christine.

WATCH: MEPs Protest Vaccine Passports – OffGuardian (off-guardian.org)

Dans les dernières éditions de Cette semaine dans la nouvelle normalité , nous mentionnions un groupe de députés européens qui ont tenu une conférence de presse où ils s’opposaient à la vaccination obligatoire et au « Pass vert ».

Le 28, cinq de ces mêmes députés ont tenu une autre conférence de presse, et bien que tout cela mérite d’être regardé (intégré ci-dessus), le point culminant est sans aucun doute la députée allemande Christine Anderson qui parle pendant deux des minutes les plus vraies de l’histoire de l’UE :

Partout en Europe, les gouvernements se sont donné beaucoup de mal pour faire vacciner les gens. On nous avait promis que les vaccinations changeraient la donne et qu’elles restaureraient notre liberté… il s’avère que rien de tout cela n’était vrai. Cela ne vous rend pas immunisé, vous pouvez toujours contracter le virus et vous pouvez toujours être contagieux.

La seule chose que ce vaccin a fait à coup sûr était de déverser des milliards et des milliards de dollars dans les poches des sociétés pharmaceutiques.

J’ai voté contre le certificat vert numérique en avril, malheureusement il a néanmoins été adopté, et cela montre simplement qu’il n’y a qu’une minorité de députés européens qui défendent vraiment les valeurs européennes. La majorité des députés européens, pour des raisons que je ne connais pas, soutiennent évidemment l’oppression du peuple tout en prétendant – sans vergogne – le faire pour le bien du peuple.

Mais ce n’est pas le but qui rend un système oppressif, ce sont toujours les méthodes par lesquelles le but est poursuivi. Chaque fois qu’un gouvernement prétend avoir à cœur l’intérêt du peuple, il faut y réfléchir à deux fois.

Dans toute l’histoire de l’humanité, il n’y a jamais eu d’élite politique sincèrement préoccupée par le bien-être des gens ordinaires. Qu’est-ce qui nous fait croire que c’est différent maintenant ? Si le siècle des Lumières a apporté quelque chose, c’est bien ceci : ne prenez jamais pour argent comptant ce que vous dit un gouvernement.

Remettez toujours en question tout ce qu’un gouvernement fait ou ne fait pas. Cherchez toujours des arrière-pensées. Et demandez toujours « cui bono ? », à qui cela profite-t-il ?

Chaque fois qu’une élite politique pousse un programme aussi fortement et recourt à l’extorsion et à la manipulation pour obtenir ce qu’elle veut, vous pouvez presque toujours être sûr que votre intérêt n’est certainement pas ce qu’elle avait à cœur.

En ce qui me concerne, je ne me ferai pas vacciner avec quoi que ce soit qui n’a pas été correctement examiné et testé et qui n’a pas montré de preuves scientifiques solides que les avantages l’emportent sur la maladie elle-même en termes d’effets secondaires possibles à long terme, dont nous ne savons rien à ce jour.

Je ne serai pas réduite à un simple cobaye en me faisant vacciner avec un médicament expérimental, et je ne me ferai certainement pas vacciner parce que mon gouvernement me le demande et me promet qu’en échange, je serai libre.

Soyons clairs sur une chose : personne ne m’accorde la liberté car je suis une personne libre.

Alors, je défie la Commission européenne et le gouvernement allemand : jetez-moi en prison, enfermez-moi et jetez la clé si vous voulez. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à me faire vacciner si la citoyenne libre que je suis choisit de ne pas l’être.




Si Bill Gates était garagiste

[Source : lemediaen442.fr]

Vendre un vaccin ou vendre une huile de moteur, quelle est la différence ? Explication par « The Bantics Show ».




Ice Cube refuse de jouer dans un film où la vaccination est obligatoire et s’assoie sur 9 millions de dollars

[Source : lemediaen442.fr]

Ice Cube ne jouera pas dans la comédie Oh Hell No dans laquelle il aurait joué avec Jack Black. Selon Hollywood Reporterla légende du hip-hop de 52 ans de la côte Ouest – de son vrai nom O’Shea Jackson Sr.  a décliné une demande des producteurs de se faire vacciner contre le covid-19. Le vaccin étant le passage obligé pour travailler, nous passons de « no pain, no game » à « no jab, no job ».  Ice cube devait toucher pour ce film 9 millions de dollars.

Sony n’a fait aucun commentaire. Un représentant personnel de la star a refusé de commenter. WME, son agence, a refusé de commenter. Oh Hell No est produit par Matt Tolmach et Black, qui n’ont tous deux fait aucun commentaire.

Ice Cube live in Metro City Concert Club

Ice Cube et Black se sont associés sur le projet en juin. Le film de Sony devait être tourné cet hiver à Hawaï (premier État des États-Unis à administrer des vaccins covid-19 à 90 % de la population) avec Kitao Sakurai. Les producteurs de Oh Hell No ont demandé à ce que les acteurs du projet soient vaccinés.




Lettre ouverte du Docteur Hervé STAUB au gouvernement

Par Docteur Hervé STAUB

Le 27 octobre 2021
Docteur Hervé STAUB
68140 MUNSTER

Lettre ouverte à

Monsieur Jean CASTEX Premier Ministre
Monsieur Olivier VERAN Ministre de la Santé
Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs
Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs,

Dans le cadre de la crise actuelle et en tant que médecin, après m’être largement documenté à partir de nombreuses sources toutes vérifiables, je tenais à vous faire part de mes réflexions. Je souhaite que vous les considériez en toute objectivité, en faisant abstraction de toute tendance partisane quelle qu’elle soit, de sorte que vous ne puissiez plus dire ignorer les éléments ci-après exposés.

Depuis maintenant plusieurs mois, en raison de l’épidémie de SARS-COV-2, il a été préconisé comme seul traitement l’injection d’une substance qualifiée à tort de vaccin. Cette substance, selon les règles pasteuriennes, n’est en effet pas un vaccin mais une thérapie génique en phase 3 d’expérimentation, ayant reçu une autorisation de mise sur le marché provisoire. Cette AMM provisoire a été attribuée à la condition de l’absence de tout autre traitement efficace. Or, contrairement à toutes les déclarations officielles, reprises et diffusées par la plupart des médias, des traitements et des moyens de prévention efficaces existent. J’y reviendrai ultérieurement.

Vous n’ignorez pas que les substances injectées, dénommées vaccins, sont expérimentales (cf. le produit de Pfizer qui est en essai de phase 3 jusqu’en janvier 2023). Par conséquent, leur injection est contraire à la loi, si l’on se réfère à la Convention d’Oviedo, à la déclaration d’Helsinki et au Code de Nuremberg. Ce sont des traitements expérimentaux administrés en l’absence de consentement libre et éclairé de la part des personnes injectées. En effet, la majorité des sujets injectés ignore la composition de la soupe « vaccinale ». Plusieurs scientifiques dont le Docteur R. Young, ont mis en évidence dans le « vaccin » de Pfizer, de l’oxyde de graphène, des particules de Trypanosoma cruzi responsable du SIDA et de nombreuses nano particules de divers métaux. Dans le produit d’Astra Zeneca, outre l’oxyde de graphène, les scientifiques ont décelé des particules d’acier inoxydable, du poly-éthylène-glycol (PEG) et de l’alcool éthylénique, substances cancérigènes.

Les pseudo-vaccins actuels n’empêchent ni de contracter la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre, contrairement à ce qui est affirmé en boucle par les médias officiels. Vous avez comme exemples flagrants les pays champions de la vaccination » : Israël, la Grande Bretagne, l’Islande, Singapour ou encore Hong Kong.

Par ailleurs, plusieurs agences sanitaires dénoncent l’immunité collective obtenue par la « vaccination » et qui n’est qu’un mythe. Selon ces agences et plusieurs épidémiologistes, « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte ». D’ailleurs, il est à présent bien prouvé que l’immunité obtenue naturellement est nettement supérieure à celle donnée par la « vaccination ».

Ces traitements expérimentaux, qualifiés à tort de vaccin, représentent un danger réel en raison de leur composition, non seulement pour les adultes, mais aussi pour les enfants et les adolescents. Vous trouverez tous les chiffres des décès et des effets secondaires graves liés aux pseudo-vaccins sur les sites officiels du VAERS aux Etats-Unis et d’Eudravigilance pour l’Europe. À titre d’illustration, à la date du 10 septembre 2021, le VAERS a enregistré 14 925 décès sur plus de 3,1 millions d’accidents graves secondaires à l’injection. Il y a également eu 1 614 décès fœtaux chez les femmes ayant reçu un « vaccin » anti-covid, alors qu’aucun décès fœtal n’a été déploré en 2021 chez les femmes enceintes ayant reçu un vaccin anti-grippal.

Pourquoi alors continue t’on de recommander aux femmes enceintes de se faire injecter avec cette thérapie génique ? Pourquoi le déni des traitements peu coûteux dont l’Ivermectine, ayant prouvé leur efficacité sur de larges tranches de la population dans différents pays ? Ainsi, à titre d’exemple pour l’Ivermectine, voici quelques chiffres :

  • ce jour, il y a eu 31 essais contrôlés randomisés. Tous ont établi que l’ivermectine réduisait considérablement les taux de mortalité et d’hospitalisation, ainsi que le risque de contracter le covid. En Inde, dans l’Uttar Pradesh, avec une population de 241 millions d’habitants, au 10 septembre 2021, seulement 11 cas ont été enregistrés et pas un décès. Une réussite similaire fut notée en Indonésie après que le gouvernement ait autorisé en juillet 2021 l’usage du médicament, alors que le variant delta faisait des ravages. Mêmes réussites au Mexique et au Pérou.

Avec de telles preuves qui sont, je le répète, vérifiables, pourquoi ce type de traitement (et il en existe d’autres) n’est-il pas conseillé en France alors qu’il est inoffensif, pourquoi ne parle t’on en boucle que du pseudo-vaccin ? La réponse à cette question est simple : si l’on admettait l’existence de remèdes efficaces, l’AMM temporaire serait annulée et les injections géniques perdraient toute leur raison d’être. Je vous laisse tirer vos propres conclusions.

Pourquoi envisage-t-on d’injecter les enfants et les adolescents alors qu’ils ne constituent pas un facteur réel de transmission du virus (cf. des études de l’INSERM, notamment à propos de l’enfant des Contamines). Par conséquent, les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections, alors qu’en revanche ils ne sont pas à l’abri d’effets secondaires graves. Pourtant certains « experts », niant les faits établis, prétendent que la « vaccination » des enfants serait utile pour contrôler le covid et protéger leurs ainés. Alors qu’il n’en est rien.

Au total, et il est fondamental de le souligner, les pseudo vaccins de Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen sont des agrégats complexes de nano particules d’oxyde de graphène, composés de divers nano éléments fixés à des acides nucléiques génétiquement modifiés d’ARNm, provenant de cellules animales et de cellules fœtales avortées. Ces ingrédients sont hautement magnéto-toxiques, cytotoxiques et génotoxiques pour les membranes cellulaires des plantes, des insectes, des oiseaux, des animaux et des humains, ainsi que pour leur génétique. Ceci a déjà entrainé de graves accidents (estimés à plus de 500 millions de par le monde) et / ou la mort (estimée à plus de 35 millions).

En conclusion, il faut rejeter toute obligation « vaccinale » pour quelque raison que ce soit, en particulier chez les enfants, dont on ignore toutes les répercussions à moyen terme et a fortiori à long terme.

En revanche, il faut préconiser la stimulation des défenses immunitaires naturelles et des actions préventives, en plus des gestes barrières.

Pourquoi n’en parle-t-on jamais sur les médias officiels, pourquoi ne voit-on pas sur les plateaux télé officiels les scientifiques de haut niveau (et ils sont nombreux) pouvant prendre le contre-pied de ceux qui s’y retrouvent invariablement et qui n’ont d’autre discours que celui de la « vaccination » ?

[Note de Joseph Stroberg : parce que le but réel de cette campagne prétendument « vaccinale » n’est pas la protection contre une maladie dénommée bizarrement « Covid-19 » et dont les symptômes ont été définis de manière suffisamment large pour englober différentes causes autres qu’un virus SRAS-CoV-2 qui n’a par ailleurs jamais été physiquement et réellement isolé (voir ici, ici, ici et ici).
Le but réel est plutôt exposé dans les articles suivants :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
et
Obsession vaccinale et transhumanisme
Ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd nous met en garde contre les vaccins à ARNm anti-ADN Covid-19 qui nous rendront transhumains
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm.]

Probablement, pour un certain nombre d’entre vous, Mesdames et Messieurs, je vais être qualifié de « complotiste ». Que cela ne tienne, j’en serai honoré.

Mais pour les autres qui ne se voilent plus la face, je les laisse libres de leurs réflexions et des conclusions qu’ils en tireront en toute honnêteté.

Recevez, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé, Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs, l’expression de ma respectueuse considération.

Docteur Hervé STAUB




Une enseignante témoigne de la souffrance des enfants et vide son sac sur Sud Radio

[Source : reseauinternational.net]

Élisabeth, enseignante au collège et au lycée à Paris, a livré un témoignage édifiant sur le mal-être et la souffrance des enfants, le lundi 25 octobre 2021, sur Sud Radio.

« On est obligés de faire semblants, comme si les enfants ne souffraient pas. Derrière les masques, on voit leur regard désespéré. Le niveau a drastiquement chuté, je n’ai jamais vu ça. On ne peut pas tout accepter, on aurait du se battre ! », a-t-elle balancé au micro d’André Bercoff.

Et de poursuivre : « On est en train de massacrer nos gamins, en faire des pauvres psychopathes ! Ils deviennent schizophrènes, ils ont peur de tout et parlent du virus toute la journée ! ».






Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire

[Source : Nexus]

Entretien avec Alexandre Boisson, ex-policier, expert en sécurité, qui nous livre son analyse de la crise sanitaire et les pistes de solutions qu’il envisage pour anticiper et prévenir les troubles majeurs.

https://youtu.be/74GTZeuc_yI

Alexandre Boisson a été membre du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) de 2002 à 2011, sous Chirac et Sarkozy. Avec le déclenchement de la guerre en Libye, il a décidé de quitter ses fonctions parce qu’il n’était plus en accord avec le pouvoir qu’il défendait. Il nous explique dans cet entretien comment d’après lui les Français sont maltraités psychologiquement depuis 18 mois. Co-fondateur des associations SOS Maires et Existence B, conseiller des Brigades Dicrim, il milite aujourd’hui pour une résilience alimentaire et une autogestion individuelle et collective.

Il va bientôt commencer un tour de France pour aller à la rencontre des porteurs de solutions et partager avec nous leurs connaissances et savoir-faire, en plus de ses interventions auprès des élus qui souhaitent prévenir plutôt que guérir…

– Pour soutenir Alexandre Boisson dans son nouveau projet
– Découvrir la chaîne YouTube d’Alexandre Boisson
– Son site internet

Les associations qu’il cite :
– SOS Maires : https://sosmaires.org
– Brigade Dicrim : https://www.brigade-dicrim.fr
– Existence B : https://www.existenceb.fr
– Université francophone de l’autonomie alimentaire :
http://www.autonomiealimentaire.info

[Voir aussi
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Comment on manipule pour avoir le consentement
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Les mécanismes des régimes totalitaires
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse]




Le futur confinement du changement climatique

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : John Kerry, l’envoyé spécial du président des États-Unis pour le climat, prend la parole lors d’une conférence de presse à Séoul, en Corée du Sud, le 18 avril 2021. (Ambassade des États-Unis à Séoul via Getty Images)]

Par BILL TUFTS

On nous annonce déjà que le changement climatique risque d’amener une nouvelle crise sanitaire majeure. Comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été si impitoyable sur la question du Covid-19, on pourrait envisager que, peut-être, on lui confiera la gestion de la question du climat.

La brigade d’élites mondialistes, soutenue pas le Forum économique mondial de Davos, les Nations unies et autres organisations du « wokisme » voient une belle occasion de créer la même hystérie et la même panique autour du changement climatique qu’autour du Covid-19.

L’une des sources d’inspiration de nombreux militants du climat est une importante baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) qui a eu lieu lorsque le confinement du Covid-19 a été mis en place. Les alarmistes du changement climatique considèrent les émissions de CO2 comme un événement apocalyptique qui est en passe de détruire le monde au cours de la prochaine décennie. Ainsi, ils se sentent justifiés de prendre toutes les mesures possibles pour contrôler ce changement.

Cependant, la raison de la baisse des émissions à la suite du confinement du Covid-19 provient de l’énorme dévastation causée par l’arrêt de l’économie. Au Canada, la chute du PIB a été de 18 % seulement au cours des deux premiers mois du confinement au début de 2020.

Le Forum économique mondial a indiqué que le confinement avait entraîné une baisse des émissions mondiales estimée à 8 % en concluant que c’était un bon pas vers la réalisation des objectifs de l’accord de Paris sur le climat : « Nous devons réaliser une telle baisse chaque année au cours des 15 prochaines années pour atteindre l’objectif de 1,5 °C fixé par l’accord de Paris. »

Une partie de la dévastation économique créée par le confinement se manifestait en une importante réduction du déplacement par automobile et les transports publics. Comme les gens travaillaient à la maison et ne se rendaient pas au lieu habituel de leur travail, ils utilisaient beaucoup moins ces moyens de transport, ce qui a permis de réduire considérablement les émissions. Dans de grandes villes comme, par exemple, Calgary, les taux d’inoccupation des immeubles de bureaux dans les centres-villes étaient à des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression des années 1930.

Aujourd’hui, les alarmistes du changement climatique se dirigent vers une nouvelle conférence dans le cadre de l’accord de Paris – la COP26 qui se tiendra à Glasgow, en Écosse, à partir du 31 octobre. Elle réunira 30 000 personnes venues du monde entier – elles consommeront une quantité monstrueuse de carbone et émettront d’énormes quantités de CO2 pour s’y rendre. Les élites des gouvernements, de la finance et des sociétés mondialistes seront présentes pour expliquer que les personnes ne participant à leur conférence devront réduire considérablement leur utilisation de combustibles fossiles et leur consommation d’énergie. Ils diront au monde qu’il a besoin de réductions annuelles d’émissions, l’équivalent de ce que nous avons vu pendant le confinement du Covid-19.

Toutefois, il est intéressant de noter que les mesures prévues par l’accord de Paris ciblent surtout les pays occidentaux, tandis que la Chine – le principal pollueur mondial – pourra continuer d’accroître ses émissions et stimuler son développement en augmentant la production d’énergies fossiles bon marché jusqu’au moins 2030. Il est aussi intéressant de constater que les 30 000 personnes présentes à Glasgow seront exemptées des exigences prévues par le passeport vaccinal.

Certaines organisations climatiques nous proposent des stratégies et des tactiques qu’elles comparent à celles des temps de guerre. Comme dans une guerre, toutes les actions drastiques nécessaires pour gagner seront envisagées. Un bon nombre de ces recommandations ont déjà été formulées par le Forum économique mondial au cours des dernières années. Elles incluent, par exemple, l’arrêt de la consommation de viande, en affirmant que les flatulences des vaches détruisent le monde. Et les mesures qu’ils ont prises ont déjà fait grimper les prix des produits carnés dans certains pays.

Pour combattre le Covid-19, des lois accordant aux autorités des pouvoirs spéciaux similaires à ceux octroyés sous menace de guerre ont été mises en place dans de nombreux pays. Les croisés du changement climatique nous disent que nous avons besoin de mesures fortes et similaires à celles du Covid-19 pour mener une nouvelle guerre. Au Canada, l’ancienne Loi sur les mesures de guerre a déjà changé de nom pour devenir la Loi sur les mesures d’urgence et elle pourrait maintenant être renommée en la Loi sur les mesures relatives au changement climatique. Une telle loi permettra aux bureaucrates et aux grandes sociétés de mettre en place des mesures et des contrôles similaires à ceux que nous avons vus par rapport au Covid-19.

Michelle Stirling, directrice de la Friends of Science Society, a fait des recherches sur certains projets de guerre contre le changement climatique qui comprennent des mesures telles que la limitation des rassemblements et des voyages. Nous avons déjà vu des cas de prêtres envoyés en prison pour avoir tenu des services religieux et la fermeture de nombreux lieux de travail, ce qui obligeait les employés à travailler à domicile. Le télétravail fait partie des projets : les employés restent chez eux et n’ont pas besoin d’utiliser les moyens de transport pour se rendre au bureau. Bien sûr, il y aura des couvre-feux pour les voitures limitant les heures d’utilisation ou le nombre de kilomètres que vous pourrez parcourir chaque mois. Pour ceux qui ne font pas partie de la classe privilégiée, les voyages aériens internationaux seront également limités. À cause de la pandémie du Covid, les voyages aériens internationaux ont chuté de 60 % en 2020. C’est une tendance que les guerriers du changement climatique voudraient bien maintenir.

Une version du passeport vaccinal pourrait être un nouvel outil dans la lutte contre le changement climatique. Utilisé dans ce but, il permettrait de suivre constamment la consommation d’énergie des citoyens du monde. Autre nouveauté : les pays développés envisagent de créer des monnaies numériques mondiales qui permettront de suivre les transactions des gens et de les mesurer en fonction de leur empreinte carbone. MasterCard a déjà contribué au développement d’une carte de crédit spéciale, appelée DO Black. Elle permet de gérer vos dépenses en tenant compte de leur impact sur les émissions de carbone. Lorsque votre limite personnelle est atteinte, le crédit se ferme pour toute autre transaction.

Lorsque la COP26 arrivera à sa fin, il sera intéressant de voir combien d’actions seront prises et recommandées par les élites lors de cette conférence. Bien entendu, en tant que généraux dans la guerre contre le changement climatique, elles seront exemptées de toute mesure imposée à la population. En tenant compte de ce qui se passe actuellement en Chine avec le crédit social – un système de surveillance totale des citoyens qui leur attribue des notes continuellement mises à jour selon leur « conduite » – les nouvelles règles proposées à la COP26 pourraient ressembler à un système de crédit social lié au changement climatique. Un rapport de la Deutsche Bank a déjà suggéré qu’une « éco-dictature » devrait être nécessaire pour mettre en application les mesures à prendre – probablement sous le contrôle strict des élites, des Nations unies et des politiciens « woke ».

Entretemps, les élites ont créé l’hystérie de masse et on nous dit que tout cela va se terminer dans une boule de feu apocalyptique de changement climatique…

[À propos de l’auteur]

Bill Tufts est un commentateur politique canadien. Il est le fondateur de Fair Pensions For All, un groupe de plaidoyer qui se concentre sur les questions de retraite et de rémunération dans le secteur public, et il est l’auteur du livre Pension Ponzi.




La justice annule la suspension de 12 agents hospitaliers non vaccinés – Le CHU de Saint-Étienne et de Roanne réintègre 3 agents hospitaliers non vaccinés

[Source : profession-gendarme.com]

La justice annule la suspension de 12 agents hospitaliers non vaccinés contre le Covid-19

Le 26 octobre le tribunal administratif de Grenoble a annulé la suspension de 9 employés des hôpitaux de Saint-Vallier et de Romans-sur-Isère, dans la Drôme. Ils n’avaient pas présenté leur certificat de vaccination alors qu’ils étaient en arrêt maladie.

Les établissements Hôpitaux Drome Nord ont été condamnés à verser les salaires des agents concernés et sont dans l’obligation de les remettre à leur poste.

Le tribunal de Grenoble a donc considéré que ces agents non vaccinés du COVID-19 mais absents de fait du site de l’hôpital ne pouvaient être sanctionnés.

Le CHU de Saint-Étienne et de Roanne réintègre 3 agents hospitaliers non vaccinés contre le Covid-19.

Le CHU et le CH de Roanne déclarent prendre “acte des ordonnances prises par le juge des référés du TA de Lyon.
Ces ordonnances suspendent la décision de suspension prise pour trois agents hospitaliers ne satisfaisant pas à l’obligation vaccinale posée par la loi du 5 août 2021.”

Via:
https://www.francebleu.fr/infos/societe/le-chu-de-saint-etienne-reintegre-des-agents-hospitaliers-non-vaccines-contre-le-covid-19-1635411543?fbclid=IwAR2GRZvwKzwB8wehMKEZW0lXxgRUGUD_pMBH7O2CPBQqhv2ou7u-ER17RkI

https://francais.rt.com/france/92036-justice-annule-suspension-neuf-agents-hospitaliers-non-vaccines-contre-covid-19

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/obligation-vaccinale-la-justice-annule-la-suspension-de-neuf-agents-des-hopitaux-drome-nord-1635272830




La protestation contre le pass sanitaire et pour la liberté se généralise dans le monde

Par Nicole Delépine

ELLE PREND PLUSIEURS FORMES

Des manifestations, des défilés, des rassemblements

Manifestations du 30 octobre 2021

Grande convivialité entre les manifestants qui chantent, font de la musique

Mulhouse

https://twitter.com/i/status/1454452104672817160

Nice

https://twitter.com/i/status/1454460057475850241

Paris et les parapluies, mais toujours là, les Parisiens

Mais aussi Montbéliard et plein de petites villes

Des tables ouvertes favorisant rencontres, discussions, conseils

D’autres choisissent pour se faire entendre d’autres modes de contestation comme le blocage des péages répété par des gilets jaunes

LA RÉVOLTE EST INTERNATIONALE

Mais aussi dans d’autres pays la révolte gronde, comme EN ANGLETERRE contre l’obligation vaccinale des soignants qui pointe son nez

« Grâce à leurs manifestations massives au printemps, les Anglais avaient défait le projet de #PassSanitaire et obtenu le #FreedomDay. Ce jour ils sont descendus en nombre contre le projet d’#ObligationVaccinale pour les soignants, et Johnson pourrait bien encore manger son chapeau. »(([1] 𝗯𝗿𝘂𝗻𝗼lp30 vk.com/brunolp30vk
@brunolp30
Toutes les infos libres et non censurées sont sur le fil complet de mes publications sur VK
http://vk.com/brunolp30vk))

D’après les chiffres officiels de l’OMS la suppression des restrictions prétendument sanitaires n’a pas été suivie de l’hécatombe prédite par les covid terroristes

Et c’est partout le cas dans les pays qui ont abandonné les contraintes liberticides prétendument sanitaires ; montrons ici l’exemple de la Slovaquie

C’est l’occasion de rappeler l’efficacité des grandes manifestations comme celles de Londres ou celle des slovaques qui avaient fait sauté le pass sanitaire ou celle des Danois restés dix jours devant leur parlement contre la vaccination obligatoire et qui avaient finalement fait plier leur gouvernement.

Les manifestations ne sont pas aussi inefficaces que certains le croient, démoralisés de la lenteur des progrès.

Mais il ne tient qu’à nous tous d’informer mieux (tracts, porte à porte, etc.. ) pour contrer la sinistre propagande télévisuelle en train de se fissurer.

EN ITALIE le peuple ne lâche rien

La mobilisation en Italie contre le #GreenPass a encore été puissante dans toutes les villes du pays. Les italiens ne lâchent rien malgré l’entêtement de leur gouvernement. Le bras de fer continue donc…

Bologna

Le vendredi 29 octobre à Verone et d’autres villes d’Italie

Le 30 octobre à Trieste…

ET même en AUSTRALIE le 23 octobre

Au Luxembourg

En NOUVELLE-CALÉDONIE le pouvoir recule

@DubreuilhMarcel 23 oct.

L’obligation vaccinale en Nouvelle-Calédonie est reportée au 31 décembre en raison des manifestations, blocages et grèves

NON, LE NOUVEL ORDRE MONDIAL N’A PAS GAGNÉ

D’un côté de la terre à l’autre, des foules se lèvent malgré la répression parfois violente.

Le peuple ne pourra jamais tolérer cette image de la Honte ce jour 30 octobre au G20. Leur Hubris, versus le combat de milliards d’individus, les perdra. Ils ne savent pas ce qu’est l’humain.

Image de la Honte

LES AGENTS DITS DE SANTÉ MASQUÉS ET LES CHEFS D’ÉTAT SANS MUSELIÈRE TOUT UN SYMBOLE qui s’ajoute aux 200 jets privés venus à Rome pour vous empêcher de rouler en voiture… Il est beau le réchauffement climatique !!

Les soignants qui paradent avec les puissants de ce monde ont-ils tellement honte qu’ils cachent leur visage pour qu’on ne puisse pas les reconnaître ?





Une vache folle dans chaque vaccin ?

[Source : ripostelaique.com]

Un train peut en cacher un autre, disait-on. Mais une mixture vaccinale peut aussi cacher une vache folle. Ou du moins des prions. En plus de tous les éléments nocifs qu’elle contient. Des prix Nobel le pensent et dénoncent les apprentis sorciers.

Tout est parti d’un délire de science fiction : le transhumanisme ou recherche de « l’homme augmenté ». Demain des supermen et des wonder women comme au cinéma. Avec le NZT-48, la pilule qui rend intelligent. Mais vu les effets secondaires désastreux, les cerveaux lents ne changez rien à vos habitudes !

Pour le moment on a le Modafinil qui booste les capacités intellectuelles avec le risque de vous transformer ultérieurement en légume. Néanmoins, les armées française et américaine l’utilisent pour maintenir la vigilance des soldats sans dormir pendant 3 jours. Mais les militaires veulent mieux que cette amphétamine…

Depuis 20 ans, on traficote dans les laboratoires secrets des grandes puissances toutes sortes de mixtures bizarroïdes à base d’ARN messager dont on attend des miracles. Les rats et les cochons qui y ont été soumis n’ont pas survécu.  Alors on a décidé de passer aux humains. Avec l’alibi du covid.

Les prions kézako ?

Dans les années 1980 le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de physiologie, avait entrepris une grande étude des prions.

Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation est anormale et qui, au contraire d’agents infectieux tels que les virus ne dispose pas d’acide nucléique (ADN ou ARN) comme support de l’information infectieuse.

Comme la nature a horreur du vide, le prion (acronyme de PROteinaceous INfectious particle ou particule protéique infectieuse) va se servir dans l’organisme hôte. Parmi les cellules saines ou les virus déjà en place. Provoquant des  dégénérescences du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) liées à la propagation puis à la multiplication des prions chez l’hôte infecté.

On observe alors au niveau de l’encéphale la formation de « vacuoles » donnant un aspect spongieux au cerveau, d’où le nom de spongiforme, une mort des neurones et une déficience des glioses (cellules de soutien du système nerveux central) avec perte de contrôle des fonctions motrices et/ou intellectuelles.

Pour le grand public, c’est « la maladie de la vache folle ».

Une hypothèse inquiétante

Pour le moment, les spéculations intellectuelles s’appuient sur de troublantes observations. Des sommités scientifiques s’interrogent sur le rôle probable des brins d’ARN messager trafiqué dans la création de prions ou de néo-prions.

Étant donné l’évolution lente de ces dégradations, on ne dispose pas encore de suffisamment de cas d’étude dans la durée. Et quand on en aura, il sera trop tard.

On considère néanmoins que les grandes fatigues et les comportements débiles-agressifs des piqués et multipiqués ne seraient pas provoqués uniquement par une réponse aberrante et aléatoire de l’ADN à l’ARN messager, au niveau des neurotransmetteurs.

À ces dysfonctionnements peut s’additionner la dégénérescence provoquée par les prions. Mais alors, le fardeau est tellement lourd pour l’organisme que la paraplégie survient quand ce n’est pas la mort immédiate.

Et si on veut le bouquet complet, la protéine Spike ne se contente pas d’accroître la probabilité d’apparition de prions, elle y ajoute le taux anormalement élevé de micro-caillots sanguins qui affectent les tissus cérébraux, en plus de provoquer des myocardites et des AVC.

En clair, si vous étiez déjà un peu jobard avant de vous faire vacciner, vous serez complètement barjot après. Si toutefois vous survivez.

Prions et prétendus vaccins covidiens

Même s’ils disent à la télé que les risques présentés par les prions sont  exagérés par les complotistes, le 27 juillet 2021, sur ordre du  dictateur Macronescu, les laboratoires français ont interrompu leurs travaux sur les prions au nom du principe de précaution, car il y a eu des contaminations mortelles.

Approcher les prions est très dangereux si un contact cutané s’établit, ou s’ils prolifèrent en aérosol dans l’air que vous respirez.

Mais si on vous les inocule dans les veines, il n’y aurait aucun danger !

De la même manière cynique et assassine, après plus de 30 ans d’interdictions,  l’Eurocrature vient d’autoriser à nouveau les farines animales pour nourrir le bétail et les poissons. Et donc contaminer les humains qui mangeront de la vache carnivore sans se douter de rien.

Alors qu’on sait que les prions franchissent aisément la barrière des espèces, donc sont transmissibles à l’homme et font preuve d’une résistance  exceptionnelle à la chaleur, aux rayonnements ionisants ou aux traitements chimiques, ce qui rend très compliquée toute thérapie.

Selon Montagnier, la protéine spike des vaccins a ARNm été modifiée de telle manière qu’elle risque de se comporter comme un prion dit aussi néo-prion.

 En Angleterre le « journal of Medical & Clinical Research », dans un article du 25 juin 2021 annonce que les patients vaccinés avec Astra Zeneca sont 2,6 fois plus touchés par le Parkinson, qui est une maladie à prions.

On finira bien par s’interroger aussi sur les raisons de la recrudescence d’Alzheimer précoces et fulgurants chez des vaccinés de quelques mois, jeunes ou d’âge moyen pour la plupart, alors que dans « le monde d’avant » c’était une maladie de vieillesse.

Il y a pire : toute votre descendance peut être contaminée !

Le passage de fragments du code génétique du virus du covid dans le génome humain est relativement rare mais pas impossible, et s’accroît à chaque nouvelle injection par effet cumulatif. C’est carrément l’ADN qui est modifié, pouvant créer à terme une nouvelle espèce. Plus docile et plus stupide pour faire des moutons. Ou plus agressive et plus bornée pour produire des miliciens.

Les virus mélangent depuis toujours des fragments de leur code génétique au génome humain, avec transmission à la descendance. Ainsi une part du génome humain est constitué de résidus de virus.

Ces fragments sont appelés rétrovirus endogènes, et en règle générale, leurs effets ne sont pas forcément négatifs. Les uns sont inactifs. Les autres peuvent renforcer les protections naturelles ou faciliter les échanges biochimiques. Mais nos lointains ancêtres ont mis des centaines de milliers d’années pour s’y adapter. Et si quelques groupes y ont gagné, beaucoup n’y ont pas résisté.

On peut supposer que l’extinction de Neandertal, de Denisova ou de Florensiensis, qui furent contemporains des premiers Sapiens, et fusionnèrent en partie avec eux, fut une résultante de l’action des virus préhistoriques.

En toute hypothèse, ce genre de mutation génétique ne peut s’envisager sur quelques années, sauf chez les mabouls du transhumanisme.

L’avis d’une généticienne de classe internationale

Conspuée dans les médias du NWO, Alexandra Henrion Caude, neurobiologiste à la Harvard Medical School puis ex-directrice de recherche à l’INSERM, est une scientifique de haut niveau, spécialiste de l’ARN dont les travaux faisaient autorité jusqu’à sa mise à la retraite à 50 ans.

Sa formation, son expérience et la qualité reconnue de ses publications lui donnent une réelle crédibilité lorsqu’elle se prononce sur des sujets scientifiques très pointus et prend un recul suffisant pour évaluer de façon exhaustive une situation sanitaire.

Elle n’a aucun lien avec Big Pharma et ne brigue aucun mandat ou sinécure. Elle fait donc partie de ces rares scientifiques dont la parole est libre.

Ses pairs soumis et/ou vendus lui reprochent de s’interroger sur l’innocuité des vaccins ARNm. Or n’est-ce pas le rôle de tout scientifique digne de ce nom d’alerter s’il lui apparaît, sans son domaine d’expertise, que des pratiques mal maîtrisées peuvent s’avérer dommageables pour des patients qui ne se doutent de rien ?

« Administrer des vaccins ARN à des individus sains est une pure folie », a-t-elle déclaré. Risquant de faire perdre de gros profits à Big Pharma. La réponse fut immédiate : bannissement des médias, censure sur FB et YT, traitée d’« égérie des complotistes » avec toute la délectation perfide des journaleux vendus.

On lui reproche d’avoir évoqué une possibilité de transformation de l’ARN en ADN par l’action de la transcriptase inverse. On lui oppose que l’enzyme utilisée pour cette transcription n’existerait pas pour le coronavirus, en théorie. Mais elle n’est pas la seule scientifique à avoir observé que des mutations induites peuvent créer cette enzyme. En ajoutant que, si l’on a des raisons objectives, du fait des observations in vivo de ne pas douter du phénomène, on ignore pour le moment sa fréquence, sa répétition, l’étendue de son action et l’importance du rôle qu’il joue dans l’apparition de néo-prions dans un contexte multifactoriel. Mais les prions sont bien là. Avec les prétendus vaccins. Ce n’est pas le fait du hasard.

Conclusion empruntées à ces 2 savants :

1/ Les effets secondaires des mixtures ne sont pas uniquement les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quel vaccin, mais des réactions imprévisibles mettant en jeu la vie du destinataire comme le montre le test D-Dimère pour les caillots, ou les chocs anaphylactiques observés, ou une réaction auto-immune allant jusqu’à l’aplasie cellulaire (destruction des cellules cérébrales)

2/ Le manque de protection vaccinale est désormais patent puisqu’il est reconnu, même par une gaufre comme Blachier, que les vaccinés et polyvaccinés ne sont pas à l’abri d’une contamination et peuvent contaminer leur entourage. Pire, les anticorps produits par les pseudo-vaccins, fragiles et éphémères, peuvent annihiler les anticorps naturels, plus efficaces et durables, privant le sujet de toute défense.

3/ La production d’anticorps induits par la « vaccination » dans une population exposée au virus conduit à la sélection de variants résistants à ces anticorps, plus virulents et plus transmissibles que l’original. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin à vaccin-virus qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

4/ Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain.

En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes ayant la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. On ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et leur transmission aux générations futures.

Il ne vous reste plus qu’à prendre un billet à la loterie de la vache folle !

Vous pourrez y gagner des prions qui vous ramollissent le cerveau de suite, ou d’autres  en « stand by » qui ne se réveilleront que dans plusieurs années. Ou même jamais chez vous. Mais causeront des dégâts irréparables chez vos enfants à venir.

Tout est mis en œuvre pour étouffer ces questionnements légitimes.

La propaganda staffel (pardon les journalistes) applique l’omerta imposée par la mafia macronesque et interdit d’antenne quiconque aborde le sujet des neurotransmetteurs et des prions.

Les commissaires politiques (pardon les fact checkers) ratissent le web pour discréditer Alexandra Henrion Caudé et ridiculiser le professeur Luc Montagnier.

Les réseaux sociaux ne sont pas en reste. Évoquer ces risques est contraire à leur « charte de bonne conduire ». Les hérétiques sont bannis car il ne peut y avoir qu’une seule vérité : celle des médicastres stipendiés par Big Pharma.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Dhimmitude*, Covid-19, climat : la même engeance ignare

Par Lucien Oulahbib

Le niveau bac aujourd’hui en France est grosso modo l’équivalent du certificat d’études avant-guerre avec en plus une moins bonne syntaxe et orthographe à en lire les lettres de nos Poilus. Ce qui fait qu’un doctorat aujourd’hui en particulier dans les Humanités et Lettres atteint à peine un niveau bac avant-guerre. Sauf exception bien sûr où là peut-être le niveau d’une licence est sans doute approché (toujours avant-guerre).

À cela s’ajoute la malignité perverse de gens certes ignares donc, mais dont l’intelligence naturelle mise au service de certains réseaux (et faisceaux sectaires) permet de se hisser tout de même à des postes de pouvoir (instruction et intelligence différant) et, selon les circonstances, vont en abuser lorsque c’est possible à l’encontre de personnes ayant, elles, le bagage requis, mais dont les premiers sentent bien que dans ce cas elles les dépassent de cent coudées surtout si elles ont en plus une certaine classe et intelligence du monde elles aussi. Aussi s’agira-t-il, surtout si elles font preuve d’indépendance d’esprit conforme somme toute à une certaine tradition qui remonte à… Adam et Eve…, de les briser, de les accuser de « charlatanisme », également aujourd’hui de complotisme, de conspirationnisme, même si le fait qu’il y ait des complots est pourtant vrai par ailleurs, mais il sera interdit ne serait-ce que d’y songer, ce qui est le comble évidemment…

D’où l’impossibilité qu’un ex/futur commissaire politique comme un certain Joseph Plenelski puisse comprendre un Raoult à mille coudées au-dessus évidemment (ce qui est dur à avaler évidemment pour quelqu’un qui se croit, toujours, au niveau d’un Marx), d’où le désir de lui chercher les poux en optant pour des accusations puériles dévoilant en réalité cela même que l’on cherche à couvrir. Ainsi alors que nous sommes toujours en phase expérimentale massive totalement illégitime tout en étant couverte par des lois scélérates et dont l’efficacité est d’autant plus quasi nulle que le risque reste infime lorsque la maladie est soignée de façon précoce, l’ami commissaire politique va accuser l’Institut du second d’avoir fait des expériences « sauvages » sur des malades atteints de la tuberculose, ce qui est évidemment faux. Mais plus c’est gros… (idem pour les commissaires politiques confondant météo et climat).

C’est ce que de toute façon ne peuvent pas comprendre ces ignorants qui tout n’ayant jamais été du camp démocratique (marqué par l’esprit fraternel de liberté, soc de l’égalité) n’ont en plus sans doute jamais vu une expérience chimique ou physique de leur vie : lorsque la dose, la vitesse ou la résistance ne sont pas bonnes cela ne MARCHE PAS.

Il en est de même pour les affaires humaines : si les fondamentaux ne sont pas respectés — comme la liberté de penser et d’entreprendre — dans le cadre d’un système politico-juridique à la fois protecteur et flexible, les chances de réussir à « persister dans son être » sont très faibles.

C’est ce que ne comprennent également pas les représentants dits de ladite « communauté juive » en France, qui préfèrent somme toute la dhimmitude(*) au fait de persister à préserver la Nation française dont ils n’ont visiblement cure tant leurs attaques contre Zemmour (contre Trump aussi pour leurs équivalents états-uniens alors que Jérusalem a pu être reconnue par ce dernier…) relatent bien de cette tendance cherchant plutôt la soumission pour éviter « le déshonneur et la guerre » alors qu’au bout du compte…

Et sans aller jusqu’à indiquer que « les Juifs pessimistes ont fini à Hollywood et les optimistes à Auschwitz », les défaitistes ont toujours vanté les mérites de la soumission au Sultan ottoman ou marocain, tandis que les autres acceptant d’être enfants de leur nation d’accueil ont donné des Spinoza, Bergson, Einstein, Simone Weil, Edith Stein… Même Barrès a été obligé de s’en rendre compte durant la guerre de 14…

Cette ignorance (de plus en plus) crasse est telle qu’à l’instar des périodes totalitaires dans lesquels des bandes d’adolescents enfiévrés allaient casser du renégat « en chantant », aujourd’hui des « adulescent(e)s » viennent éructer dans les radios et TV pour clouer au pilori des sommités parce que la Propagande 1984 leur aura par exemple intimé l’ordre de confondre « cas » et « malades » et de ne faire aucun lien (aucun) entre absence de soins précoces, injonctions expérimentales hasardeuses exacerbées et aléas des résurgences épidémiques, ou encore d’insinuer que le 0,90 % d’impact français en matière de gaz à effet de serre serait la goutte d’H20 insupportable, tout en oubliant que sans C02 il n’y aurait plus de végétation sur Terre… et donc d’Humanité (ce qu’ils cherchent sans doute… par cette fuite en avant folle, non plus à l’instar de ces sectes allant se jeter, elles, dans les précipices en conformité à leur doctrine, mais en nous forçant à le faire alors qu’elles restent bien au chaud à nous regarder sombrer chacun petit Titanic individualisé).

Nous nageons donc en plein délire totalitaire de type paranoïaque, prélude aux répressions physiques à venir, déjà en interdisant à la partie adverse de parler, donc en la considérant comme « ennemie » avec laquelle en effet l’on se bat seulement physiquement, la joute « méta » (physique) ne suffisant pas (d’autant qu’ils ne sont pas au niveau, voire supra).

Nous en sommes donc . Le reste n’étant que billevesée.


(*) : Le terme est un néologisme français créé en ajoutant le suffixe -tude à dhimmi, un mot arabe qui signifie littéralement « protégé ». Historiquement, il a été utilisé pour désigner une personne vivant dans une région envahie par les musulmans, à qui l’on accordait un statut de protégé et qui était autorisée à conserver sa foi d’origine en échange du paiement de taxes.
Par généralisation ici, cela peut signifier le fait de se soumettre (notamment aux mesures sanitaires ou à la piqûre) en échange du maintien d’une partie de son confort cette fois physique (et non plus moral, psychique ou spirituel).




Gigantesque recrutement à l’échelle mondiale ? Sommes-nous en train de subir des tests d’embauche ?

Par Alain Tortosa

Tout être pensant sait qu’il n’y a pas eu de crise sanitaire.
Les statistiques INSEE prouvent que le nombre de décès est totalement classique.

De plus dans une crise sanitaire :

  • On n’investit pas des milliards pour contrôler les populations.
  • On investit les milliards dans la recherche, la prévention et l’hôpital.
  • On n’empêche pas les médecins de prescrire.
  • On n’interdit pas la vente de molécules inoffensives qui, au pire, ne fonctionnent pas.
  • On ne fait pas tout pour massacrer les défenses immunitaires des citoyens.
  • On ne commercialise pas un pseudo vaccin qui cible la protéine spike du sars-cov-2 qui est un virus ARN dont le métier est de muter et dont la spike est la plus à même de muter.

Mais surtout :

  • On stoppe les injections dès l’émergence des preuves de leur inefficacité et de leur dangerosité.
  • On ne se met pas à injecter en masse des enfants de plus en plus jeunes au péril de leur vie.

Bref nous savons qu’il n’y a pas de pandémie et nous savons que l’intention est de nuire.
En revanche, même si j’ai des indices, je ne sais pas pourquoi…

Il serait une erreur de désigner LE coupable, car dans l’affaire il est probable, pour ne pas dire certain, que des alliances de circonstance « contre nature » aient vu le jour :

  • Les « satanistes ».
  • Les fervents de la diminution de la population mondiale.
  • Les fervents de l’importation de la dictature chinoise et du contrôle des populations.
  • Les fervents de l’ultralibéralisme, du fric pour du fric.
  • Etc.

Ils ont tous des intérêts et il serait de fait logique qu’ils travaillent temporairement main dans la main.

Je me pose néanmoins la question suivante.
La stratégie mise en œuvre cible principalement les populations des pays riches, pourquoi ?

La thèse de l’extermination de la population par un virus expérimental

Échec

Cette thèse présente l’avantage de cibler tout le monde, pays riches et pays pauvres.
Répandu volontairement ou accidentellement ? Les preuves manquent.
Si ce virus a été mis au point pour tuer, le résultat est très décevant et même un échec cuisant !
Ils ont fabriqué au final un « tueur » moins méchant que la grippe saisonnière.
Pour valider la thèse du virus exterminateur d’une partie non négligeable de la population, il faut aussi partir du principe que ces pourritures disposaient d’un VRAI vaccin (qui n’a pas été commercialisé).

[Note de Joseph Stroberg :
L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires.

Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

L’explication alternative beaucoup plus logique est la suivante : la préparation effectuée pour prétendument permettre la multiplication du virus tend en fait à tuer rapidement les cellules du tissu biologique et lors de leur mort, elles se désagrègent progressivement en produisant de nombreux brins d’ADN et d’ARN qu’elles expulsent au départ avec une enveloppe lipidique sous forme d’exosome ou de virus.
Les cellules meurent pour les deux raisons suivantes :
– elles sont empoisonnées par les substances introduites dans la préparation ;
– elles ne sont plus alimentées par le corps en nutriments, puisqu’elles en sont désormais séparées.
Les millions de cellules du tissu supposément infecté produisent chacune un certain nombre de déchets viraux provenant des brins d’ADN endommagés et des brins d’ARN divers participants à la vie cellulaire, ceci jusqu’à ce que la cellule finisse par mourir.

Dans une telle préparation, au lieu de multiplier un prétendu virus infectant, on créée en fait des millions de virus à ARN et d’autres à ADN différents en multiples exemplaires.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour un scientifique pur tel qu’un physicien, cet ensemble d’opérations ne prouve rien, mais relève de « bullshit » (foutaise, conneries), d’escroquerie intellectuelle, ceci d’autant plus qu’elles sont accompagnées d’un grand nombre de suppositions qui n’ont finalement jamais été réellement démontrées dans selon une méthode scientifique rigoureuse qui doit inclure obligatoirement des contre-expériences. À aucun moment le supposé virus n’a réellement été isolé en entier et observé simultanément au microscope électronique. Changez le modèle viral recherché et dans toute la soupe génétique récupérée par l’opération, il y a de fortes chances que vous le trouviez aussi, surtout avec une méthode d’amplification telle que celle utilisée pour les tests PCR qui introduisent potentiellement des erreurs lors de chaque cycle d’amplification.

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présent.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.]

Cet échec aurait pu inciter à changer de plan et se focaliser finalement sur les « vaccins ».

La thèse de l’extermination massive de la population par l’injection

Échec

Si vous voulez exterminer une partie de la population mondiale pourquoi ne pas cibler principalement les Africains ou les Indiens ? (Les Chinois ce n’est pas possible, c’est leur dictature qui gère.)
Ces populations sont bien des « inutiles » pour reprendre le vocabulaire de ce cher Dr Alexandre.

[Note de Joseph Stroberg :
Pour ne pas être accusés d’extermination, les commanditaires et les agents de la procédure doivent éviter que ce soit trop visible. En conséquence, le génocide doit être lent, rendre stérile une partie de la population, et cibler en priorité les nations « éduquées » et « informées » pour s’occuper tranquillement ensuite, sans plus aucun gêneur, des nations « arriérées ».]

De plus, d’un point de vue capitalistique, les pauvres produisent et les classes moyennes consomment.
Les richesses colossales acquises par les entreprises tentaculaires le sont par la surconsommation des classes moyennes de biens produits par les pauvres.
Tuer la classe moyenne revient à tuer le consommateur sans tuer le producteur (les pauvres) et donc la poule aux œufs d’or.
En plus, les occidentaux ne se reproduisent plus alors que plus vous êtes pauvre et plus vous faites d’enfants, ce n’est donc pas logique si vous voulez lutter contre la surpopulation.
J’ai toujours dit que si vous vouliez diminuer la population mondiale, il suffit de donner un capital, un crédit et une voiture à tous les pauvres et ils cesseront de faire des enfants ou la grève.

[Note de Joseph Stroberg : les ressources minérales et énergétiques sont insuffisantes pour généraliser le mode de vie occidental à l’ensemble de la planète.]

Je ne suis donc pas séduit par la stratégie de l’injection de masse pour supprimer la majeure partie de la population occidentale mondiale.
J’aurais personnellement commencé par tuer un milliard d’Africains et d’Asiatiques avant de me retourner vers les classes moyennes occidentales.
J’aurais donc plus tendance à penser que les morts provoquées par les injections seraient plus une cerise sur le cadeau, un lot de consolation pour les exterminateurs, un bénéfice secondaire non quantifié… qu’un plan mûrement réfléchi. Les injections ne tuent pas (encore ?) assez et pas assez vite…

[Note de Joseph Stroberg :
La grande majorité des êtres humains, lorsqu’ils combattent, tendent à rechercher et viser le point faible de l’adversaire.
Les élites mondiales qui relèvent de pensée satanique visent au contraire le point fort. Lorsque la tête tombe, le corps ne survit pas longtemps. Alors qu’avec l’approche du point faible, l’adversaire peut encore résister. On peut continuer à combattre même avec un bras en moins.
(De manière allégorique).]

La thèse de l’injection purement capitalistique

Succès

Dans ce cas, « vacciner » des riches et non des pauvres a un sens.
Produire des injections inefficaces et qui plus est, favorisant des variants, a aussi un sens.
Cela expliquerait sans doute pourquoi les injections mises à jour ne sont pas présentes sur le marché.
Économies, attente de variants et on ne sortira les mises à jour que lorsqu’il ne sera plus possible de camoufler la totale inefficacité des injections.
Et avec un peu de chance, un nouveau variant un peu méchant arrivera, ce qui permettra de bien relancer le marché des « vaccins ».
Bien entendu il y aurait le risque de faire émerger un variant vraiment mortel, mais ça, l’industrie n’en a que faire. On peut bien prendre le risque de détruire l’espèce humaine si on peut en tirer 50 dollars.

Cette thèse présente néanmoins des contradictions.
Si le nombre de 80 % de vaccinés en France est réel, pourquoi s’acharner à vouloir vacciner les 20 % restants au lieu de se focaliser sur les 3e, 4e… 10e dose qui sont des rentes à vie ?
Vacciner dès la naissance, ça c’est bien, même si quelques enfants meurent on s’en tape…
Mais pourquoi se focaliser sur les irréductibles alors même qu’ils sont irréductibles et qu’ils pourraient finir par vraiment se fâcher ?
Ou alors c’est encore une fois l’appât du gain… j’ai 80 % du marché, j’aurai les 100 % !

[Note de Joseph : Bill Gates veut vacciner 7 milliards d’êtres humains et non pas 7,5 ni 8 milliards que l’Humanité est en passe d’atteindre. Et c’est lui qui est derrière toute cette plandémie par le biais notamment de l’OMS dont il est le principal donateur privé et de la GAVI qu’il contrôle aussi, sachant qu’il a aussi financé la plupart des fabricants de vaccins à ARN ou à adénovirus. Son but n’est pas l’extermination de l’Humanité, mais son contrôle (son asservissement), même si cela doit passer par l’extermination d’une partie de cette humanité.]

Le crédit social

Succès

Quand bien même l’objectif initial eut été d’éliminer une partie non négligeable de la population, l’opération est un succès sans précédent du point de vue de son contrôle.

Dans la vie, il y a souvent des galères, mais parfois de très bonnes surprises.
Qui aurait pu croire qu’il était si facile de se foutre de la gueule des gens et leur faire gober n’importe quoi ?
Au point qu’ils acceptent TOUT, sans limites !

  • Se confiner ? No problem.
  • Porter une muselière et la mettre à ses enfants ? No problem.
  • S’injecter des substances expérimentales dangereuses ? No problem.
  • Présenter un passeport vaccinal pour se rendre au cinéma ? No problem.

Si la dictature sanitaire était une mise en bouche pour la dictature climatique alors c’est un succès total.
Nous savons désormais qu’il suffit de faire croire en une menace mortelle imaginaire pour obtenir une obéissance sans limites.
Il y en a qui vont prendre leur pied et bien se marrer en nous regardant avec la nouvelle dictature climatique.
Dictature qui présente l’avantage d’être sans fin pour « sauver la planète » avec le concours d’une autiste au QI d’un singe qu’on exhibe comme au cirque et à qui l’on donne le prix Nobel sous les applaudissements des moutons terrorisés.

[Note de Joseph : Prise de conscience et autisme.]

Une campagne de recrutement à l’échelle mondiale ?

Pas impossible

Et si cette campagne de « vaccination » ciblée principalement dans les pays riches n’était qu’une campagne de recrutement ? Un test d’embauche ?
Des centaines de millions de personnes sont ainsi pucées. Pour l’instant avec leur smartphone, peut-être avec un système d’identification qui serait dans l’injection, mais qu’importe…
Et si les confinements, les masques, les injections, les pass sanitaires n’étaient que des épreuves de sélection ?
Avec ces tests à grande échelle, la dictature mondiale est en capacité de différencier précisément ceux qui acceptent tout et ceux qui refusent, ceux qui gobent et ceux qui réfléchissent !
Je ne doute pas que parmi ces maîtres du monde il y a de grands tarés qui ont des visions plus sataniques que chrétiennes.
Mais il y a aussi certainement des personnes sincères qui ont peur de la surpopulation, de l’évolution de la planète, de la destruction des écosystèmes, etc.

Les plus pessimistes (réalistes ?) d’entre nous pensent que les résistants termineront leur vie dans des camps et qu’ils seront exterminés petit à petit… On est idéaliste ou on ne l’est pas (sourire).

Mais si c’était le contraire ?
Et si nous étions en train de vivre une campagne de recrutement ?
Nous serions alors les recrutés sur des critères de volonté, d’indépendance, de réflexion, d’esprit critique, de curiosité, et donc d’intelligence instinctive.
Ceci pourrait aussi expliquer pourquoi l’Afrique n’est pas dans le plan, nous les Occidentaux étant si « supérieurs ».

Parce que si l’on se ramène au modèle des tarés qui veulent des surhommes, pensez-vous qu’ils vont les sélectionner parmi les moutons hypnotisés qui ont dit oui à tout ou parmi nous ?

[Note de Joseph Stroberg : pour l’instant, ceux qui mènent le jeu sont dans le camp génocidaire et de recherche de contrôle par coercition de Bill Gates. Eux ne recrutent que parmi les gens de leur caste et même de leur lignée sanguine. Si parmi le peuple certains les rejoignent à un relativement haut niveau, ce n’est alors qu’en tant que subalternes et parce qu’ils auront pu les contrôler d’une manière ou d’une autre. Le président actuel de l’OMS, un Africain, est là pour démontrer qu’ils ne s’occupent pas de la provenance, mettant tout le monde externe à leur caste dans le même paquet. Une condition presque indispensable pour travailler avec eux est d’être psychopathe.

S’il y a sélection d’êtres humains à l’échelle de l’Humanité, elle est d’un autre ordre, plus élevé.
Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie.]

Parce que je vous rappelle que tous les « grands » de ce monde n’ont respecté aucun confinement, qu’ils ne portaient pas de masque et ne les portent que devant les caméras. Qu’ils ne respectent les gestes barrières que face aux gueux, qu’ils ont fait semblant de s’injecter et ont des faux pass sanitaires !
Mis à part les faux pass (qui sont certainement légion dans le milieu médical), nous avons fait comme eux.
Ils sont libres et nous aussi !

Réfléchissez avant de jeter aux oubliettes ma théorie.
Nous sommes peut-être dans une campagne de recrutement et c’est nous qui serons embauchés dans ce nouveau monde.
(Ne me faites pas dire que nous allons accepter et ne pas leur cracher à la gueule.)
Là aussi, il y aurait prise de risque de leur part, car si nous n’adhérons pas à leur projet, nous serons debout pour décider du monde que nous voulons et il n’est pas dit qu’ils soient de la partie.

Merci.

Alain Tortosa.

29 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211029-dictarure-mondiale-cherche-cadres.pdf




Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ? Énorme fake à visée parlementaire ?

Par Gérard Delépine

Pourquoi faire croire à une efficacité à 90 % des pseudovaccins ?
Énorme fake à visée parlementaire ?
Epiphare(([1] « Créé fin 2018 par l’ANSM et la Cnam, EPI-PHARE réalise, pilote et coordonne des études de pharmaco-épidémiologie à partir des données complexes et massives du Système National des Données de Santé (SNDS), pour éclairer les pouvoirs publics dans leur prise de décision. » GIS EPI-PHARE )) et O. Véran

Nos gouvernants se plaignent du manque de confiance de la population dans leurs propos, accusent les réseaux sociaux et viennent de créer le ministère de la Vérité conseillé par Orwell (via la commission Bronner) pour tous les apprentis dictateurs. Mais pour mériter notre confiance, il faudrait qu’ils arrêtent de mentir et l’intervention récente de O. Véran, le ministre de la Santé, montre qu’ils n’en prennent pas le chemin.

Aujourd’hui la propagande pour les pseudos vaccins expérimentaux s’appuie sur une désinformation clamant sur tous les médias et même au Parlement : « les vaccins sont efficaces à 90 % contre les formes graves de Covid », « les personnes vaccinées ont 9 fois moins de risque d’être hospitalisées ou de décéder de la Covid-19 que les personnes non vaccinées » en s’appuyant sur un texte d’Epi-phare(([2] Une étude chez 15,4 millions de personnes âgées de 50 à 74 ans (7,7 millions vaccinées comparées à 7,7 millions non vaccinées) l’autre chez 7,2 millions de personnes âgées de 75 ans et plus (3,6 millions vaccinées comparées à 3,6 millions non vaccinées). Les deux cohortes ont été suivies jusqu’au 20 juillet 2021.)) aussi biaisée que le célèbre article du LancetGate affirmant que la chloroquine était très toxique.

Les études Epiphare, auto-validation truquée de la politique du ministère(([3] P Chaillot, V. Pavan, Xavier Azalbert. Epi-phare, une étude d’auto-validation du ministre de la Santé. France Soir 12/10/2021
https://www.francesoir.fr/societe-sante/epi-phare-une-etude-dauto-validation-du-ministre-de-la-sante))(([4] EPIPHARE/DES QUESTIONS A POSER SUR LA FAMEUSE ÉTUDE DE VÉRAN QUI JUSTIFIE VÉRAN
https://pgibertie.com/2021/10/11/epiphare-des-questions-a-poser-sur-la-fameuse-etude-de-veran-qui-justifie-veran/))(([5] https://nice-provence.info/2021/10/19/etude-epi-phare-autoratification-veran/))

Les auteurs de l’étude dont Mahmoud Zureik, directeur de la structure Epi-Phare dépendent des responsables de la campagne de vaccination (Assurance maladie et l’Agence du médicament).

La méthode des « études » Epiphare ne respecte pas les critères scientifiques.

Les données utilisées ne sont pas fiables. Les auteurs de l’étude n’ont ni suivi ni examiné aucun des sujets de l’étude, mais seulement compilé des déclarations du Système National des Données de Santé qui ne sont pas conçues pour ce type d’étude.

Il ne s’agit pas d’études prospectives, mais rétrospectives qui créent a posteriori des groupes vaccinés/non-vaccinés.

L’absence de tirage au sort (indispensable pour obtenir deux groupes comparables) aboutit à créer des groupes non comparables en attribuant (si besoin ?) les malades mauvais pronostic aux groupes non vaccinés. De fait, dans l’étude Epiphare, sur les plus de 75 ans, on remarque que les non-vaccinés sont beaucoup plus fréquemment en situation de grande pauvreté, obèses, diabétiques, fragiles, alcooliques, et/ou fumeurs tous facteurs de mauvais pronostiques démontrés. Les groupes comparés dans cette étude ne sont donc effectivement pas comparables !

Cette étude n’a pas été déclarée ni enregistrée sur le site clinical trials.gov avant inclusion des patients, ce qui devrait lui interdire d’être publiée dans les revues médicales les plus sérieuses. Ce n’est d’ailleurs manifestement pas son ambition.

Les non-vaccinés sont bien plus souvent testés que les vaccinés (du fait de l’absence de passe sanitaire qui les oblige à répéter les tests à chaque tentative de sortie). Ainsi, un non-vacciné a beaucoup plus de chance d’avoir un test positif (majoritairement faux, s’il n’a aucun signe clinique) qu’un vacciné qui n’est testé qu’en cas de maladie symptomatique déclarée.

Tester massivement les non-vaccinés qui ne sont pas malades va nécessairement entraîner des comptages de faux positifs qui les feront compter « asymptomatiques » augmentant ainsi faussement le risque de contamination apparente d’un non-vacciné.

De plus, dans une critique précédente sur les statistiques de la DREES, il a été démontré que les non-vaccinés sont beaucoup plus souvent inscrits à l’hôpital dans la case Covid-19 que les vaccinés, même en l’absence de test positif de confirmation. L’étude Epiphare se base sur 26 000 hospitalisés entre le 11 février 2021 et le 20 juillet 2021 pour cause de Covid. Au cours de cette même période, Geodes en signale huit fois plus pour les catégories concernées : 80 % des hospitalisations Covid ont disparu…

Ces pseudo études affirment des choses numériquement impossibles 

L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,2 

Ils auraient inventé un million d’habitants…

Dans l’étude des 50 à 74 ans, les auteurs prétendent avoir comparé 7,7 millions de vaccinés à 7,7 millions de non-vaccinés. Or l’Insee estime à 20 495 198 le nombre de personnes de 50 à 74 ans et le ministère affirme que 16 302 772 d’entre elles étaient vaccinées(([6] D’après le ministère en juillet 2021 date de fin de l’étude)) ne laissant que 4,192 millions non vaccinés dans cette tranche d’âge. Comment Mahmoud Zureik a-t-il pu en trouver 7,7 millions ?

Concernant l’étude des 75 ans et plus, les auteurs prétendent suivre une cohorte de 3,6 millions de vaccinés et une cohorte de 3,6 millions de non-vaccinés en France, représentant 7,2 millions de personnes. Ce qui est contraire aux chiffres de l’Insee qui estime la population de plus de 75 ans à 6,4 millions de personnes.

Il y aurait donc 1,1 million de Français comptés 2 fois. Ce double comptage illogique crée un biais majeur dans les durées de suivi des deux groupes.

Ces articles proclament seulement que les vaccinés ont 90 % moins de chance d’être déclarés malades de la Covid-19 ou déclarés décédés de la Covid-19. Rien ne démontre que les vaccinés sont réellement moins hospitalisés (80 % des hospitalisations de la période n’ont pas été prises en compte) ou moins décédés que les non-vaccinés, d’autant que les considérables erreurs relevées ci-dessus sèment le doute sur la crédibilité des études Epiphare.

PROPAGANDE GROSSIÈRE

Méthodologie peu scientifique, auteurs liés aux responsables de la vaccination, critères de comparaison non pertinents, ces études n’ont pas été revues par des pairs…. Il s’agit d’un simple argument de propagande de circonstances, sans aucune valeur scientifique, destiné à tromper les parlementaires avant un vote important et la population.

SI ON VOULAIT CONNAÎTRE LA RÉALITÉ

Si le ministère voulait comparer le devenir des vaccinés et des non vaccinés, il pourrait très facilement publier les chiffres bruts de mortalité globale de ces deux groupes depuis la vaccination.

La CPAM connaît l’intégralité du statut vaccinal de ses administrés(([7] Qu’elle transmet aux médecins traitants et aux directeurs des établissements scolaires en rompant ainsi le secret médical)) et la date de décès des vaccinés et non vaccinés. Pourquoi ne les publie-t-elle pas ?

Ses conclusions sont de plus incompatibles avec les résultats officiels des autres pays.

Les résultats officiels de Grande-Bretagne démentent les affirmations d’O. Véran

Les responsables sanitaires britanniques, beaucoup plus transparents que le ministère de la santé français, publient chaque mois leurs constatations détaillées selon le statut vaccinal.

Leur dernier rapport (Public Health England technical briefing 23 du 17/9/2021) précise que sur les 2532 morts du Covid (variant delta) recensés entre le 1er février et le 12 septembre 2021, 78 % étaient vaccinés (dont 1613 plus de 14 jours après la deuxième dose) et seulement 722 (28 %) étaient non vaccinés. Comme environ 70 % de la population britannique était vaccinée mi-septembre, ces chiffres démontrent qu’en Angleterre la vaccination n’est pas efficace à 90 % et ne diminue pas le risque de mourir du Covid. Alors comment le feraient-ils en France ?

Les résultats officiels d’Israël démentent aussi les dires d’O. Véran

Israël champion de l’injection Pfizer n’est pas protégé du Covid et chaque nouvelle vague compte davantage de contamination que les précédentes.

Cette augmentation des contaminations s’accompagne d’une augmentation de la mortalité, ainsi que le montre ce graphique de l’université Johns Hopkins commenté par nos soins en rouge.

Dans les neuf premiers de l’épidémie (sans injection Pfizer) Israël comptabilisait 3015 décès attribués au Covid. Depuis la vaccination, en 9 mois ce chiffre atteint 8050 (+160 %).

Cette mortalité atteint préférentiellement les vaccinés, ainsi que l’objective ce schéma exposant les données officielles du ministère israélien. Dans ce pays la vaccination constitue un facteur aggravant le risque de mort.

En Israël la vaccination ne diminue pas le risque de mourir du Covid ; on peut même craindre qu’elle ne l’aggrave.(([8] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270811))(([9] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?t=270873))

Ceux qui prétendent(([10] eight among ten co authors got funds from Pfizer, as detailed in there disclosure PDF, hence, most of the authors are in a situation of conflicts of interests, especially Professor Ran Balicer, the research team’s leader.)) le contraire biaisent leurs résultats,(([11] https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-vaccination-en-israel-le-diable-est-dans-les-details)) en ne considérant la mortalité des vaccinés que 15 jours après la deuxième injection, ignorant ainsi la poussée de mortalité qui suit la première injection.

Mais pour recevoir la 2e (ou 3e) injection, il faut avoir reçu la première ; la mortalité des vaccinés doit donc être calculée dès la première injection.

Les mensonges passés du gouvernement ont entraîné des conséquences sanitaires lourdes pour les populations. Les mensonges sur la pseudo vaccination sont encore plus dangereux

Ceux qui ont plus de 50 ans se souviennent de la catastrophe de Tchernobyl et de la campagne intense de désinformation du gouvernement de l’époque. « les retombées radioactives de Tchernobyl, en France, ne représentent aucun danger sanitaire ».

Et la télévision, carte à l’appui, montrait que les « vents chassent le nuage toxique vers le nord ». Depuis les chirurgiens corses ont déclaré avoir observé 4 fois plus de cancers de la thyroïde en Corse que sur le continent.(([12] https://www.amessi.org/4-fois-plus-de-cancers-de-la-thyroide-en-Corse-que-sur-le-continent))

Même désinformation organisée pour le Chlordécone, insecticide utilisé massivement aux Antilles dans la culture des bananes jusqu’en 1993, alors qu’il avait été interdit dès 1976 aux USA car augmentant par 2,5 le risque d’apparition et de récidive du cancer de la prostate.

Et que dire de l’agence du médicament qui a prolongé l’autorisation de vente du Médiator alors que sa toxicité connue l’avait fait interdire dans de nombreux pays voisins plusieurs années auparavant ?

Les mensonges sur la prétendue efficacité(([13] Il est maintenant reconnu par tous qu’ils n’empêchent pas d’être malade ni de transmettre la maladie)) et supposée innocuité des pseudo vaccins antiCovid et le chantage du passe sanitaire pour extorquer un consentement contraint auront bien plus de conséquences sanitaires que les précédents, car ils exposent l’ensemble de la population à des risques précoces lourds et des risques inconnus à moyen et long terme, particulièrement graves chez l’enfant.

Véran prétendant que les vaccins nous diminueraient le risque de mourir nous refait le coup du nuage de Tchernobyl, du chlordécone, du médiator, des masques ! Il sera responsable des complications des vaccins que les Français subissent déjà et subiront dans les années à venir et d’une perte de confiance de la population en les vrais vaccins.





Robert F. Kennedy : Appel à une grève mondiale le 3 novembre !

[Source : zonefr.com]

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Robert F. Kennedy Jr. appelle à une grève mondiale pour le 3 novembre.

Le neveu du Président John F. Kennedy, fils de l’ex Ministre de la Justice Bob Kennedy, tous deux assassinés par la Cabale, fondateur de Children’s Health Defense appelle à une « grève mondiale » pour le 3 novembre, contre la perte de libertés, pour le retour aux principes démocratiques, contre les mandats illégaux et les gouvernements tyranniques.

La situation est grave, nous ne pouvons plus attendre de ces gouvernements d’assassins qu’ils répondent à nos demandes car ils sont missionnés pour le génocide vaccinal et la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Nous ne sommes ni des complotistes ni des illuminés mais des Éveillés plus informés que la masse des hypnotisés par les médias mainstream, chargés de désinformer et manipuler l’opinion publique. Nous pourrions publier la longue liste de leurs mensonges, nous pouvons prouver et démontrer ce que nous affirmons car leurs propres déclarations les condamnent.

Le Système tyrannique qui nous est imposé depuis bientôt 2 ans n’a rien à voir avec la crise sanitaire car comment expliquer que des médecins et des infirmiers ayant gérée l’épidémie à ses débuts, sans moyens, sans masques, sans aucune aide de l’Etat, soient aujourd’hui mis à pied alors qu’on nous fait croire à une fausse pandémie ?

Les chiffres des morts décédés du Covid publiés par l’Istituto Superiore della Sanità italien (ISS – Institut Supérieur de la Santé) prouvent que le gouvernement italien ment à son peuple en lui faisant croire que plus de 130.000 personnes seraient mortes du Covid alors qu’elles ne sont « que » 3783 !!

Et même si la même campagne de diffamation qu’a vécue le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine quand il a déclaré que le virus est un « produit de laboratoire » est maintenant déclenchée par les médias terroristes contre l’ISS considéré jusqu’à hier comme LA référence absolue en matière de santé, ils ne pourront plus cacher la vérité très longtemps car partout le narratif officiel se fissure, prouvant que l’ensemble des gouvernements des pays de l’OTAN, du Canada jusqu’à l’Australie et la Nouvelle Zélande en passant par la France et l’Italie, mentent à leurs peuples !

Tous les jours des êtres humains meurent à cause des faux vaccinsLes effets secondaires sont dramatiques, des personnes jeunes et en bonne santé deviennent soudain paralysées. Des jeunes meurent de crises cardiaques ! Des familles et des vies sont brisées et nos gouvernements font semblant de croire que tout va bien, s’appuyant sur un « bénéfice/risque » totalement mensonger et criminel !

Les plus grands virologues, chercheurs, biologistes, infectiologues mondiaux lancent des cris d’alerte et jugent cette campagne vaccinale au mieux « irresponsable » et au pire criminelle, parlant même de « crimes contre l’humanité«  !

Des collectifs d’avocats internationaux se sont constitués pour dénoncer ce génocide programmé mais malgré leurs efforts, toutes les instances internationales comme la Cour Européenne des Droits de l’homme ou même nos tribunaux corrompus, se refusent à appliquer le droit et répondre à la demande de justice de groupements de citoyens déposant plainte sur plainte. 

Comment ne pas faire le lien avec le discours historique du Président John Kennedy quand il a voulu avertir l’Amérique et le monde d’une « conspiration monolithique et sans merci » ayant pour objectif de mettre l’humanité en esclavage ?

Comment ne pas faire le lien avec les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial gravés dans presque toutes les langues sur les Georgia Guidestones et prévoyant de ramener la population mondiale à 500 millions d’individus ?

Comment ne pas se souvenir que de Sarkozy en passant par AttaliRockefeller, le Duc d’EdimbourgBill GatesKlaus Schwab et d’autres tarés de la même espèce, tous ont en commun l’obsession de la surpopulation et la nécessité de la réduireAttali écrivant même que « les idiots iront à l’abattoir de leur plein gré« .

Et c’est exactement ce qui se passe car l’individu moyen maintenu dans l’ignorance et manipulé par la désinformation, ne parvient pas à croire que le gouvernement puisse lui vouloir du mal. Erreur fatale car tous ceux qui gouvernent en ce moment l’Occident, proviennent tous des Young Global Leaders, formés et formatés par le Forum Economique Mondial du transhumaniste fou Klaus Schwab, temple et guru de la mondialisation et du Nouvel Ordre Mondial collectiviste et dictatorial ! Nous sommes gouvernés par des fous !

Ce Klaus Schwab qui ose déclarer : « Dans 10 ans vous ne posséderez plus rien et vous en serez heureux.« 

Réveillons-nous frères humains avant qu’il ne soit  trop tard !

Ces élites sûres de leur puissance, ne se cachent même plus. Leur conspiration se déroule devant les yeux de tous car malheureusement la masse des ignorants est telle, qu’ils peuvent agir sans même être inquiétés !

Si nous réagissons pas, si nous restons passifs, le pire est devant nous. En nous limitant à des manifestations pacifiques encadrées par la police, nous n’obtiendrons rien car ce pouvoir s’amuse de nous voir déambuler tous les samedis. La police est le rempart, leur bouclier protecteur, leur garde rapprochée. Cette milice « républicaine«  dirigée par des Francs Maçons, ne réalise pas qu’on lui ment, qu’on la conditionne, qu’on la dresse contre le peuple pour protéger les intérêts de cette élite sans morale, sans scrupule, sans foi ni loi. On leur fait croire qu’elle protège la République alors qu’elle assure la sécurité des corrompus, des traîtres et des assassins qui sont en train de détruire notre pays, notre économie et nos vies !

Cette première grève mondiale doit être le premier signal d’une mobilisation globale. Nos amis italiens manifestent tous les jours, bloquent les ports, décrètent des grèves surprises, harcèlent députés et sénateurs, publient les vrais chiffres de cette fausse pandémie et exercent une pression massive sur Mario Draghi qui envisagerait même sa démission.

Nous, Français, sommes trop modérés. Nous ne réalisons pas que face à ce pouvoir criminel, nous sommes en danger de mort et que la légitime défense est désormais la dernière alternative pour sauver nos vies !

MOBILISATION !

Nous avons le devoir moral de protéger nos vies et la vie de nos enfants !

Commençons par paralyser l’économie et si cela ne suffit pas, que Dieu nous garde, nous aviserons !!

En 7 mn, vous allez tout comprendre…




Alain de Benoist : « Aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin »

[Source : breizh-info.com]

Nous n’avions pas eu l’occasion de recueillir les analyses d’Alain de Benoist au sujet de la percée d’Éric Zemmour dans la bataille présidentielle, mais aussi de son affrontement probable avec Marine Le Pen et Emmanuel Macron notamment. C’est chose faite, ci-dessous.

Nous en avons également profité pour l’interroger sur la continuité de la politique de tyrannie sanitaire mise en place par les autorités, mais également sur le rôle de l’Europe centrale dans le sauvetage de la civilisation européenne.

Alain de Benoist, tout d’abord, quel regard portez-vous sur l’ascension médiatico-politique d’Eric Zemmour à quelques mois de l’élection présidentielle ? Cette ascension n’est-elle pas le signe de l’échec définitif du Rassemblement national en politique ?

Toute campagne présidentielle en France a ses coups de théâtre et ses événements imprévus. Cette année, c’est le phénomène Zemmour. Je le regarde avec curiosité – mais aussi avec détachement, tant je reste convaincu qu’aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin.

Éric Zemmour est un ami, dont je connais la vaste culture politico-historique et dont j’admire la posture réfractaire et la pugnacité, ce qui ne m’empêche d’être en désaccord avec lui sur des points nombreux (son jacobinisme, sa critique de l’idée d’Empire, son parti-pris sans nuances pour l’assimilation, son hostilité aux prénoms régionaux, pour ne rien dire de la question des « racines chrétiennes »). Son ascension de « presque candidat » a été remarquable, puisqu’il semble être aujourd’hui en mesure d’empêcher Marine Le Pen d’arriver en tête au premier tour, voire de l’empêcher d’être présente au second. Cela dit, à six mois du scrutin, rien n’autorise à faire un pronostic. Zemmour peut très bien continuer à progresser, comme Macron en 2017, ou s’effondrer brusquement, comme Chevènement en 2002.

Au départ, la candidature Zemmour a été soutenue, d’un côté par des républicains d’accord avec Marine Le Pen sur l’immigration, mais qui trouvent trop extrémistes ses positions en matière sociale, et par une farandole de déçus du Rassemblement national qui lui reprochent au contraire d’avoir excessivement voulu se dédiaboliser au risque de « banaliser » son discours, leur grand objectif étant, non pas d’empêcher la réélection de Macron, mais de « dégager définitivement Marine ». Le problème est évidemment qu’il est difficile de séduire durablement des gens qui trouvent cette dernière trop radicale et d’autres qui trouvent qu’elle ne l’est pas assez…

Je pense par ailleurs que l’on aurait tort d’enterrer trop vite Marine Le Pen. En dépit de l’état lamentable du RN (mais à une présidentielle, on vote pour une personne, pas pour un parti), elle reste la candidate préférée des classes populaires. Zemmour, tout à son désir de « réinventer le RPR », dit vouloir réconcilier les classes populaires et la « bourgeoisie patriote » (ou fusionner la sociologie de la Manif pour tous et celle des Gilets jaunes), mais pour l’instant il ne touche pratiquement pas les premières, qui le connaissent en outre assez peu. Il l’a indirectement reconnu lorsqu’il a déclaré, le 22 octobre, que « Marine Le Pen n’a pour elle que des classes populaires, elle est enfermée dans une sorte de ghetto ouvrier et chômeur, qui sont des gens tout à fait respectables et importants, mais elle ne touche pas les CSP+ et la bourgeoisie ». Zemmour, lui, connaît surtout du succès auprès des anciens électeurs de Fillon et de Bellamy, des CSP+ et des cathos versaillais, c’est-à-dire auprès de cette petite et moyenne bourgeoisie qui craint pour son avenir et son identité parce qu’elle s’inquiète de son insécurité culturelle, mais très peu d’une insécurité économique qui est au contraire l’une des préoccupations majeures d’une « France périphérique » qui, comme l’a dit Marine Le Pen, « n’acceptera pas d’être sacrifiée à une vision ultralibérale de l’économie ».

Il y a en fait deux façons bien différentes de concevoir la formation d’un nouveau bloc historique à vocation hégémonique : l’« union des droites » et ce que Christophe Guilluy ou Jérôme Sainte-Marie (Bloc contre bloc, 2019, Bloc populaire, 2021) appellent le « bloc populaire ». La première s’appuie sur un clivage droite-gauche qui n’a plus grand sens aujourd’hui, l’autre sur un rapport de classe qui s’affirme au contraire de plus en plus, au fur et à mesure que diminue le pouvoir d’achat et que se généralise la précarité. Ces deux manières de voir ne sont guère conciliables. A un moment où toutes les institutions qui fabriquaient hier du consentement sont entrées en état de crise systémique, il est difficile de prendre en compte les revendications des classes populaires, confrontées à la fois à la misère sociale et une immigration devenue immaîtrisable, et qui savent très bien que la question de l’identité nationale est indissociable de la question sociale, tout en s’employant à donner des gages aux patrons du CAC 40.

Attendons donc encore six mois. On saura alors si Zemmour est parvenu à autre chose qu’à faire réélire Macron.

Alain de Benoist

La politique tyrannique (officiellement sanitaire) mise en place par les autorités françaises se poursuit. La population française, dans sa majorité, semble avoir capitulé, tout du moins accepté, d’être réduite à présenter un code barre et une preuve de vaccination pour dîner en ville, aller au cinéma, etc. La soumission généralisée d’une population est-elle de tendance à vous inquiéter ?

Vous oubliez quand même qu’au cœur même de l’été dernier, à une période de l’année où aucun syndicat n’a jamais osé organiser une manifestation, on a vu des centaines de milliers de Français défiler semaine après semaine pour protester contre le passe sanitaire. Du jamais vu.

D’un autre côté – je crois que nous en avons déjà parlé – il est clair qu’un grand nombre de gens sont prêts à abandonner leurs libertés quand ils croient leur sécurité ou leur santé menacée. La peur est le moteur premier de la servitude volontaire. Mais ce que vous interprétez en termes de soumission peut aussi s’interpréter en termes de résilience ou de pouvoir d’adaptation, sans que cela empêche la colère de gronder. La soumission généralisée, personnellement, je la verrais plutôt dans l’acceptation par les masses d’un système capitaliste qui est en passe de les déposséder de leur humanité.

Alain de Benoist

Vous avez publié récemment « Survivre à la désinformation », livre qui compile et reprend vos entretiens donnés à Nicolas Gauthier sur le site « Boulevard Voltaire ». Comment s’informer correctement dans une société ouverte qui produit de l’information à chaque seconde ?

Il y a évidemment des sources d’information qui sont meilleures que d’autres. Inutile d’en faire l’énumération (Breizh-Info y aurait bien sûr sa place). Mais l’important n’est pas tant de savoir quelle quantité d’informations on absorbe que de savoir en évaluer l’importance. Le drame est que les médias actuels, du fait même de leur structure, interdisent de plus en plus de hiérarchiser les informations, et surtout d’en comprendre le sens et la portée. Montrer que les événements susceptibles d’avoir une véritable portée historique ne sont pas nécessairement (et sont même rarement) ceux dont on parle le plus est précisément l’un des objectifs de ce recueil.

Alain de Benoist

Finalement, quelle différence peut-on faire entre la personne sous-informée – c’est-à-dire celle qui ne regarde que le JT de 20 h ou ne lit que quelques extraits d’un quotidien régional – et la personne qui a la tête dans l’information toute la journée, à ne plus pouvoir prendre du recul dessus ?

En fin de compte aucune. La première ne sait pas grand-chose, la seconde a entendu parler de tout mais n’y comprend rien. L’excès d’informations est parfaitement équivalent à l’absence d’informations, du fait d’un phénomène de contre-productivité dont Ivan Illich a donné bien d’autres exemples.

Alain de Benoist

Pour s’élever un peu et évoquer l’Europe et son avenir, comment analysez-vous les offensives de plus en plus violentes des commissaires de Bruxelles vis-à-vis des pays d’Europe centrale, Pologne et Hongrie en tête ? Pensez-vous que l’Union européenne puisse possiblement exploser, ou se scinder en deux ?

La Commission de Bruxelles ne supporte pas ce qu’elle présente invariablement comme des « atteintes à l’Etat de droit ». Cela n’a rien d’étonnant, puisqu’elle est l’un des vecteurs d’une idéologie dominante qui voit dans l’Etat de droit un moyen de soumettre le politique à l’autorité des juges et la souveraineté populaire à la morale des « droits de l’homme ». Les pays de l’Est, de leur côté, ont découvert que le « monde libre » qui les avait fait rêver à l’époque communiste est d’autant moins un exemple à suivre qu’il peut aussi constituer une menace. Dans la polémique que vous évoquez, la Pologne et la Hongrie ne sont pas isolées puisque le 7 octobre, pas moins de douze pays-membres (Autriche, Bulgarie, Chypre, Danemark, Estonie, Grèce, Hongrie, Lituanie, Lettonie, Pologne, République tchèque et Slovaquie) ont tenté de faire adopter un texte visant à ce que la Commission finance la construction de murs ou de clôtures de barbelés aux frontières extérieures de l’Union. Cette demande a bien entendu été rejetée, mais elle n’en reste pas moins significative.

On pourrait certes voir dans le groupe de Visegrád l’amorce d’une « autre Europe ». C’est un espoir raisonnable, mais il ne faut pas se dissimuler que les pays qui en font partie sont loin d’être d’accord sur tout. En matière de politique étrangère, par exemple, la Pologne continue de s’aligner aveuglément sur les Etats-Unis et professe une russophobie que la Hongrie ne partage pas. Il ne faut pas oublier non plus que la Pologne a beaucoup à perdre dans une épreuve de force avec l’Union européenne, car elle est actuellement la principale bénéficiaire des fonds européens. Plus qu’à une explosion, j’ai tendance à croire à une implosion de l’UE qui aboutirait à une dislocation de fait.

Alain de Benoist

En France, dans cette hypothèse, nous nous retrouverions alors sans doute dans le camp occidental… c’est-à-dire pas franchement le camp des défenseurs de l’Europe civilisation… Que faire alors demain pour maintenir les ponts fondamentaux ?

Le risque de se retrouver dans le « camp occidental » me semble surtout considérable dans le bras de fer qui oppose actuellement Washington et Pékin, et qui pourrait très bien aboutir un jour ou l’autre à un conflit armé entre une hyperpuissance américaine déclinante et une puissance montante chinoise qui ne cesse de s’affirmer. Les Etats-Unis manœuvrent déjà pour reconstituer contre la Chine une « coalition occidentale » semblable à celle qui visait à contenir l’Union soviétique à l’époque de la guerre froide. En cas de guerre, la plus grande erreur pour les Européens consisterait à s’aligner sur Washington, au lieu d’adopter pour le moins une attitude de neutralité. L’Europe n’a pas vocation à faire la guerre aux Chinois !

Alain de Benoist

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Ultradroite : Rémy Daillet mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste et écroué

[Source : profession-gendarme.com]

[Photo : Le gourou ultra-complotiste est soupçonné d’être impliqué dans un projet d’attentat contre une loge maçonnique et diverses autres cibles. DR]

Déjà incarcéré dans l’affaire de l’enlèvement de la petite Mia, le complotiste a été présenté ce vendredi à un juge d’instruction pour des soupçons cette fois-ci de projets d’attentat.

Déjà incarcéré dans l’affaire Mia, Rémy Daillet, figure des milieux complotistes, a été extrait de sa cellule mardi pour être placé en garde à vue dans un autre dossier, suivi par le pôle antiterroriste du tribunal judiciaire de Paris. Ce vendredi, il a été mis en examen et écroué pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placé en détention provisoire, selon une source judiciaire.

Cette fois, il est soupçonné d’avoir envisagé des « projets de coups d’État et d’autres actions violentes », dont un attentat contre une loge maçonnique de l’est de la France. Ce qu’il conteste. Sa secrétaire, Ginette M., âgée de 67 ans, a elle aussi été mise en examen vendredi, mais elle a été placée sous contrôle judiciaire.

Au cours de leur garde à vue, tous deux ont été interrogés dans les locaux de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure). Selon des sources proches du dossier, Rémy Daillet, 54 ans, est soupçonné d’être « le cerveau » d’un groupe projetant des actions violentes.

Cela porte à quatorze le nombre de personnes appartenant à l’ultradroite mises en examen dans cette affaire. Les précédentes mises en examen datent du 8 octobre. Il s’agit de quatre hommes, dont deux militaires. Convaincus qu’ « Emmanuel Macron est au service de l’argent et qu’il faut en finir avec le grand capital », ces hommes avaient « l’idée d’un coup d’État, d’un renversement du gouvernement français », avait alors relaté une source proche du dossier.

Selon une source proche du dossier, l’information judiciaire, ouverte en mai après les premières interpellations liées au groupuscule « Honneur et nation », s’est élargie, et les projets visés par la justice dépassent désormais ce cercle, mais tous les mis en cause semblent avoir le même inspirateur, Rémy Daillet. L’enquête devra déterminer ses responsabilités. Parmi les cibles des mis en cause dans ce dossier figuraient entre autres des antennes 5G, des centres de vaccination, des journalistes et des personnalités, avaient détaillé deux sources proche de l’enquête.

Mis en cause dans l’enlèvement de la petite Mia

Parmi les quatre suspects arrêtés début octobre, deux sont également poursuivis dans l’affaire de l’enlèvement de la petite Mia. Dans cette enquête, Rémy Daillet a été mis en examen mi-juin pour « complicité d’enlèvement d’un mineur de 15 ans commis en bande organisée » et « association de malfaiteurs ».

Ancien cadre du MoDem dont il a été exclu en 2010, installé en Malaisie depuis plusieurs années, Rémy Daillet ignorait « l’existence de ce mouvement et de ses activités, sans lien avec son organisation politique », assure son avocat. Il avait été arrêté fin mai avec sa compagne et leurs trois enfants puis avaient été expulsés par les autorités malaisiennes en raison de leurs visas expirés.

Source : Le Parisien




France — Passe sanitaire : le Sénat s’oppose en partie au projet de loi du gouvernement

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

C’est une version du projet de loi « vigilance sanitaire » largement détricotée qui a été votée hier par le Sénat. Comme c’était attendu, la chambre haute, dominée par la droite, s’est prononcée pour une prolongation de l’état d’urgence, mais jusqu’au 28 février seulement et non jusqu’au 31 juillet, comme le prévoyait le texte voté par l’Assemblée nationale la semaine dernière. « Trois mois et demi ça va, huit mois c’est trop », a commenté le rapporteur LR au Sénat Philippe Bas.

Le texte adopté par le Sénat — avec 156 voix pour (LR et centristes) et 106 contre — propose aussi de supprimer le passe sanitaire dans les départements où la population éligible est vaccinée à plus de 80 %. « De fait, [cet] amendement a pour conséquence de supprimer le passe sanitaire sur le territoire métropolitain, où l’ensemble des départements ont dépassé le taux de vaccination complet de 80 % au sein de leur population », expliquent les sénateurs. « Si l’objectif est de supprimer la passe sanitaire, pourquoi ne pas le supprimer tout simplement », s’interroge le sénateur Loïc Hervé (UDI).

Une exception toutefois : il restera obligatoire pour accéder aux établissements accueillant des personnes fragiles. Mais il sera possible de recourir aux autotests, peut-être pour éviter de trop débourser dans les tests PCR ; « L’outil le moins onéreux pour identifier la maladie », notent les parlementaires. Et de poursuivre :

« S’il a été reconnu comme valable et sûr pour accéder aux ERP, l’autotest ne saurait se voir ainsi écarté, au risque de susciter l’interrogation légitime des Français quant à l’objectif premier du gouvernement, qui doit rester le maintien d’une situation sanitaire et non le développement d’outils de coercition à l’encontre des Français qui ne souhaitent pas se faire vacciner. »c

Enfin, le Sénat souhaite que les personnes vaccinées hors de France puissent bénéficier, elles aussi, d’un passe sanitaire. Y compris celles qui ont reçu une injection du vaccin russe Spoutnik.

Bien que largement remanié, le texte adopté par les sénateurs est loin de faire l’unanimité. « Au mois de mars, on nous a juré que le passe sanitaire ne serait appliqué que pour les grands rassemblements. Ensuite, on nous a dit que ce n’était que pour l’été. Et maintenant, le gouvernement veut le prolonger de neuf mois. Il faut arrêter », s’est insurgée la sénatrice Sylviane Noël, interrogée par France Soir.

Une analyse partagée par plusieurs figures de l’opposition radicale au passe sanitaire.

Sept députés et sept sénateurs se retrouveront la semaine prochaine en commission mixte paritaire afin de trouver un compromis. Un scénario auquel ne croit pas Loïc Hervé, « à moins que le gouvernement fasse des pas en direction du Sénat, ou que le Sénat se renie ». En cas de désaccord, le dernier mot reviendra à l’Assemblée nationale.




Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

« En contexte totalitaire, les pervers sont autorisés à assouvir leurs pulsions de contrôle et de domination »

Ariane Bilheran

Ariane Bilheran est diplômée de l’École Normale Supérieure (Ulm), psychologue clinicienne et Docteur en psychopathologie.

Spécialiste de la psychologie du pouvoir, elle a prononcé des conférences en France et à l’étranger sur les thèmes de la paranoïa, de l’emprise, du harcèlement, de la manipulation et de l’autorité.

Elle a également publié de nombreux ouvrages consacrés à la littérature, la poésie, la philosophie ou la psychologie.

Au cours de sa carrière, Ariane Bilheran est intervenue en tant que consultante et a dispensé des formations dans différentes entreprises ou institutions. Elle a aussi été amenée à produire des expertises judiciaires dans le cadre de procès portant sur des cas de harcèlement ou d’emprise devant les juridictions civiles et pénales.

Depuis 2015, Ariane Bilheran réside en Amérique du Sud où elle poursuit son activité clinique ainsi que son travail de recherche et d’écriture, tout en consacrant une part de son temps à des actions agricoles et humanitaires.

Nous l’avons rencontrée afin d’évoquer la crise sanitaire sous un autre angle, au croisement de la psychologie, de la psychopathologie et de la philosophie.

Que dit cette crise de notre société ? Les mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre l’épidémie participent-elles d’une logique totalitaire ?

Comment expliquer le fait qu’une grande part de la population française se soit accommodée des différentes politiques restrictives de liberté adoptées ?

Quelle peut-être l’issue des divisions et des fractures engendrées par les mesures prises pendant la crise sanitaire ? Quelles vertus cultiver pour retrouver le chemin de l’harmonie ?

Découvrez le point de vue d’Ariane Bilheran dans la vidéo.

Retrouvez les articlesateliers et conférences d’Ariane Bilheran sur son site : https://www.arianebilheran.com/

[Voir aussi :
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




À quoi pourrait ressembler votre avenir si vous continuez à obéir au Système ?

[Source : L’Échelle de Jacob]






Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)

[Source : @DocteurGonzo4]

Par Dr Gonzo

La Santé des français mérite mieux que cette association de malfaiteurs.

Initialement, l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) appartenaient à chaque État membre. Un règlement de 1993, remplacé par un règlement de 2004 régulièrement modifié a institué une agence d’évaluation, l’Agence européenne des médicaments (@EMA_News). L’EMA se compose d’un conseil d’administration de 36 membres dont la plupart représentent les États membres (le plus souvent le directeur ou président de leur agence nationale). Le conseil d’administration nomme un directeur exécutif entouré de 7 comités d’experts. L’Agence fait partie de la vaste catégorie des organismes plus ou moins décentralisés, aux dénominations elles-mêmes variables (agence, office, observatoire, etc.) créées pour conseiller la Commission européenne sur des sujets techniques. La Commission, en sa qualité d’institution politique, reste libre de suivre ou non ces conseils, et octroie l’AMM. Mais l’Agence, disposant de la compétence d’expert, surtout dans le domaine médical, joue un rôle préparatoire crucial. Ça semble invraisemblable mais le budget de fonctionnement de l’EMA (346 millions €) provient à 85,70% de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et a seulement 14,29% de financements publics de l’UE.

PR_Dec_Agencies (europa.eu)

En tant qu’agence de la Commission Européenne, les obligations de l’EMA en matière de transparence et d’accès aux documents découlent de directives stipulant que tout document détenu par l’EMA dans le cadre de ses activités est de fait un document public. Dans les faits, la revue Prescrire a montré que l’EMA refuse de communiquer de nombreux documents et que ceux sur qui sont transmis, le caviardage intensif y est la règle.

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ? – Formindep

Son manque de transparence a été dénoncé lors de son refus d’indiquer aux députés sur quelles bases les laboratoires à l’origine des vaccins #Covid diffusés dans l’UE ont été choisis, et le montant des prix payés pour ces vaccins.

Achats européens des vaccins : un secret très bien gardé (franceinter.fr)

La “prévisibilité” de l’EMA est si grande que l’industrie étatsunienne nous l’envie, notamment le think tank néoconservateur Pacific Research Institute, financé par l’industrie des biotech, et qui milite pour toujours moins d’intervention des pouvoirs publics. Et pour cause. 

Dès le lendemain de son départ de l’EMA en 2011, le Directeur exécutif, Thomas Lönngren, rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’”influenceur de premier plan“.

Scandale à l’Agence Européenne du Médicament – Formindep

Le pantouflage ou « revolving doors » est un fléau. Dans un secteur de la santé à la fois très lucratif et très réglementé, les firmes ont un grand intérêt à placer leurs hommes dans les agences publiques et à mettre en place cette stratégie d’entrisme.

L’EMA ou le Royaume des Bisounours – Formindep

L’italien Guido Rasi a ensuite été nommé directeur de l’EMA en 2011, puis forcé a démissionné par la Justice européenne pour conflit d’intérêt non déclaré, avant d’être renommé à nouveau directeur de l’EMA en 2015.

Head of European Medicines Agency suspended – POLITICO

L’actuel directrice, Emer Cooke, a passé 7 ans au sein de l’EFPIA, le principal lobby de l’industrie pharma en UE qui organise des rencontres au Parlement européen avec des représentants de GSK, Roche, Novartis, Pfizer…

Lobbying : comment l’industrie pharmaceutique prend d’« assaut » les institutions européennes – Basta!

Un audit européen de la Cour des comptes de 2012 confirme de graves problèmes de conflits d’intérêt au sein de l’EMA (et de 3 autres agences : l’EASA (sécurité aérienne) l’EFSA (sécurité alimentaire) et l’ECHA (sécurité vis à vis des produits chimiques)).

Management of conflict of interest in selected EU Agencies. Special Report No 15, 2012 – Publications Office of the EU (europa.eu)

Le rapport pointe de graves irrégularités, la direction de l’EMA favorisant la présence, dans les comités scientifiques, d’experts en conflit d’intérêts avec les compagnies pharmaceutiques dont ils évaluent les produits.

Dans un rapport, la Cour des Comptes de l’UE estime que les agences de l’UE qu’elle a auditées « ne géraient pas les situations de conflit d’intérêts de manière appropriée » – Europaforum Luxembourg – Octobre 2012 (public.lu)

Le @canardenchaine a révélé que certains experts de l’EMA sont salariés ou possèdent des actions dans les entreprises pharmaceutiques dont ils sont censés évaluer les produits lucratifs.Des lanceurs d’alerte ont dénoncé ce problème :

« Depuis des mois, notre entreprise rémunère discrètement un expert pour qu’il fasse le lobbying de notre produit. La rémunération est exorbitante, mais le plus grave est qu’il officie comme expert à l’EMA. »

Un médecin, ex-cadre de l’industrie pharmaceutique, dénonce les pratiques de ses employeurs | Le Quotidien du Médecin (lequotidiendumedecin.fr)

Dans l’affaire du Mediator, l’Inspection générale des affaires sociales a mis en cause plusieurs experts français, qui siégeaient à l’Agence européenne du médicament, dans l’interdiction tardive du Mediator et le drame sanitaire consécutif.

Mediator : une enquête sur d’éventuels conflits d’intérêt à l’Agence européenne du médicament (lemonde.fr)

L’EMA propose elle même en toute opacité aux firmes pharmaceutiques des «conseils scientifiques» facturés pour les aider à faire passer leur dossier de demande d’AMM, notamment conditionnelles (AMMc).

Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes

Or, les médicaments mis sur le marché de manière accélérée le sont souvent au détriment de la qualité de l’évaluation clinique. Pire, cette évaluation n’est pas suffisamment complétée non plus après commercialisation.

Des médicaments mis sur le marché avec très peu d’évaluation

Un rapport de 2017 note «une acceptation générale de la corruption» au sein de l’EMA et :

-une acceptation générale de la corruption
-des structures de gestion inefficaces
-des mécanismes de financement inappropriés
-une répartition inégale des ressources

EU Study on Corruption in the Healthcare Sector 2017 (globalcompliancenews.com)

« L’industrie pharmaceutique tient fermement les rênes d’une vaste machine de lobbying, richement dotée, qui dispose d’un accès presque systématique aux décideurs de la Commission […] et des institutions bruxelloises, y compris l’EMA »

Un rapport pointe l’influence excessive du secteur pharmaceutique à Bruxelles (lemonde.fr)

En juin 2020, l’EMA prend la décision d’autoriser le remdesivir de Gilead.

La revue Prescrire commente : “Une fois de plus, l’EMA a manqué de rigueur dans sa relation avec les firmes, aux dépens des patients et soignants, laissés dans l’incertitude.”Au mois d’octobre, suite à cette décision a priori insensée, la Commission signe un contrat mirobolant avec Gilead, alors que l’industriel vient de prendre connaissance de la dernière étude de l’OMS qui invalide l’efficacité de son traitement.

Le scandale Remdesivir, ou comment l’Europe s’est fait délester de plusieurs dizaines de millions d’euros | L’Humanité (humanite.fr)

La Santé des français mérite mieux qu’une dictature sanitaire, elle mérite un pôle public des médicaments, une expertise publique transparente et indépendante, un processus décisionnel démocratique, et des politiques de santé intelligentes, bienveillantes et non-coercitives. 




L’idéologie woke saborde l’identité culturelle du Canada

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Une statue sans tête de la Vierge Marie est vue à l’extérieur de l’église Our Lady of Lebanon à Parkdale, à Toronto, le 30 août 2020. (Facebook)]

Par SHANE MILLER

En 2002, John Fonte, membre de l’Institut Hudson, présentait l’analyse d’une nouvelle idéologie émergeant au sein des institutions nationales et internationales. Il qualifiait cette idéologie de « progressisme transnational ». Selon lui, cette idéologie donnait la priorité au groupe sur l’individu et tenait pour acquis que la société repose sur un conflit inhérent entre oppresseurs et victimes. De ce fait, les institutions avaient pour obligation morale d’agir en faveur des dites « victimes ». Aujourd’hui, nous savons qu’il s’agissait du wokisme à ses premiers stades, avant d’être définitivement adopté par les institutions et de devenir irréfutable.

Le bilan de M. Fonte établissait qu’en démantelant les narratifs et les symboles nationaux, cette idéologie constituait une réelle menace. Pousser les populations à acclamer une diversité aussi abstraite qu’irréalisable, c’était les mener à perdre progressivement confiance envers leur patrie. Le Canada, en bon élève, a parfaitement assimilé tous ces principes et les a exacerbés dans des proportions redoutables.

De fait, aujourd’hui, dans bien des secteurs, le pays s’adonne à l’autocritique continue, au désaveu de ses valeurs fondamentales. Le vandalisme et la destruction des statues, dont celle de Sir John A. Macdonald, sont légitimés ou approuvés. Il s’agit, avance-t-on, d’une étape nécessaire pour tirer les leçons du passé.

De même, la série d’incendies criminels visant les églises autochtones cet été a été qualifiée par un responsable politique d’outrage compréhensible au vu de la discrimination dont souffre la population autochtone. Sur ce point, selon le gouvernement actuel, l’heure est venue de reconnaitre que le Canada perpétue un génocide, et constitue donc, par définition, un État illégitime. De ce fait, selon le leader du groupe des sénateurs indépendants (ISG), le pays n’est en aucun cas en position de critiquer la Chine communiste pour sa répression des Ouïghours.

En termes de politique intérieure, la « diversité » entraine le clivage culturel. Sur la scène mondiale, le Canada se retrouve sans identité ni réalisations à défendre. Le pays est donc particulièrement fragilisé en cette période de conflits idéologiques entre grandes puissances, car Pékin n’hésitera pas à exploiter cette perplexité à son avantage.

L’émergence de l’idéologie woke n’est pas sans rappeler celle de la contre-culture des années 1960, en pleine guerre froide. La Nouvelle Gauche constituée en force politique contestait alors la légitimité de l’Occident de l’intérieur, tout en défendant ou en atténuant les crimes perpétués par les gouvernements communistes.

L’ancien secrétaire d’État américain Henry Kissinger a décrit la contre-culture comme un mouvement qui résultait d’un renouveau radical établi pour nuire à ceux même qui le défendaient. Essentiellement axée sur la condamnation du monde libre du fait de ses insuffisances, elle entravait, sous couvert de dénoncer l’arrogance occidentale, les actions concrètes de résistance au communisme.

Ainsi, dans son ouvrage intitulé Diplomacy, Henry Kissinger a mis en évidence que le mouvement engendrait un certain état d’esprit, celui-ci « mettait l’accent sur les insuffisances américaines et celles des amis qu’il soutenait ; sur une équivalence morale entre l’Amérique et ses adversaires communistes ; sur la proposition selon laquelle l’Amérique n’avait aucune obligation de défendre une quelconque région du monde contre des menaces largement imaginaires ; sur l’idée que l’opinion mondiale était un meilleur guide en termes de politique étrangère que des concepts géopolitiques ».

L’idéologie constituait une menace concrète durant la guerre froide pour l’Occident, comme l’ont montré les années qui ont immédiatement suivi la fin de la guerre du Vietnam. Cependant le courant dominant s’est maintenu, l’Amérique et ses alliés sont restés, malgré tous leurs défauts, les protagonistes et forces du bien dans l’opinion publique.

Mais aujourd’hui, au Canada, force est de constater que le courant dominant ne s’est pas maintenu et que les institutions évoluent dans un climat d’autodépréciation. Ceux qui estiment qu’il faut défendre la grandeur du Canada sont mis au rebut et la vertu du citoyen semble être proportionnelle au mépris qu’il affiche pour son pays.

De ce fait le Canada est très amoindri face au Parti communiste chinois de plus en plus hostile. Face à ce constat, le député conservateur Michael Chong a exhorté les Canadiens à retrouver leurs esprits : « La politique étrangère commence par ce que nous sommes », a-t-il rappelé. Peut-être que l’escalade rapide vers une autre guerre froide permettra à ce pays de redécouvrir ce qui le rend exceptionnel, par contraste avec le totalitarisme infernal du PCC.




Une journée ordinaire… Brève revue de presse des dernières heures dans ce monde de folie

Par Alain Tortosa

Noam Chomsky(([1] https://lemediaen442.fr/noam-chomsky-les-non-vaccines-doivent-etre-isoles-de-la-societe-et-se-debrouiller-pour-se-nourrir/))

Ce (ex-) maître étalon de la liberté nous dit désormais :

« Les gens qui refusent d’accepter les vaccins, la réponse pour eux n’est pas de les forcer, mais plutôt d’insister pour qu’ils soient isolés. Si les gens décident d’être prêts à être un danger pour la communauté en refusant un vaccin, ils doivent avoir la décence de s’isoler. Ils n’ont pas le droit de courir partout en faisant du mal aux gens. »

« Si cela atteint vraiment le point où ils mettent gravement en danger les gens, alors bien sûr, il faudra faire quelque chose. Si la “variole” s’avère à nouveau endémique et que certaines personnes insistent pour courir dans tous les lieux publics, alors il faudra faire quelque chose avec eux. »

Celui-ci précise dans Primo Radical :

« Si les gens ne respectent pas la vaccination et sont isolés chez eux, est-ce qu’ils devront se faire livrer de la nourriture ? »

La réponse lapidaire du philosophe :

« Ces personnes doivent avoir la décence de se retirer de la communauté. Si elles refusent de le faire, alors des mesures doivent être prises pour protéger la communauté. En ce qui concerne la question pratique que vous posez “Comment pouvons-nous pour leur fournir de la nourriture ?” En fait, c’est leur problème. Bien sûr s’ils deviennent vraiment démunis, alors oui, nous devrons assurer leur survie comme on le fait avec les gens en prison. »

Maxime Beltra(([2] https://fb.watch/8W1oWbMW39/))

Fin juillet, Maxime, 22ans, est décédé quelques heures après son injection.
Les médias se précipitent pour affirmer que c’est à cause de ses allergies (connues et traitées).
Le 23 octobre Checknews(([3] https://www.liberation.fr/checknews/maxime-beltra-est-il-finalement-decede-dune-pericardite-liee-au-vaccin-contre-le-covid-19-20211023_3FBGUSTTIZEEFP2PQ653JT6YL4/)) de libération en rajoute une couche :

« Il n’est mention à aucun moment d’une péricardite dans la conclusion du rapport (d’autopsie). »

Il y a quelques heures, le père de Maxime dit avoir eu les résultats de l’autopsie qui indiquent qu’il y a bien eu une myocardite, et ce pour un enfant qui n’avait aucun problème cardiaque connu.
Il est logique de penser qu’il était suivi depuis des années par le corps médical du fait de ses graves problèmes allergiques et que ce type de fragilité aurait été détecté depuis bien longtemps s’ils préexistaient.
Que va répondre Libération dans les prochains jours pour nous affirmer encore qu’il est décédé en mangeant des cacahuètes ?
Comment peuvent-ils encore se regarder dans un miroir ?!

France Bleu(([4] https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/nord-isere-un-gardien-de-decede-d-un-arret-cardiaque-a-la-mi-temps-d-un-match-1635141400))

« C’est un fléau qui se multiplie sur les terrains de football amateurs : les arrêts cardiaques. Et malheureusement dimanche, c’était en Isère, près de La Tour-du-Pin, à la Bâtie Montgascon. Un gardien de but a fait un malaise cardiaque à la mi-temps, il n’a pas pu être réanimé. »

Pas un mot sur la vaccination.
Ce n’est plus l’année du buffle ou du cochon, mais l’année de la crise cardiaque !

Olivier Véran, checknews Libération(([5] https://www.liberation.fr/checknews/olivier-veran-peut-il-affirmer-quil-ny-a-aucun-deces-imputable-a-la-vaccination-contre-le-covid-19-en-france-20211025_WUX4X43XIVEUJK4IVVSVSMMOBQ/))

« Olivier Véran peut-il affirmer qu’il n’y a aucun décès “imputable à la vaccination” contre le Covid-19 en France ? »

« Selon la pharmacovigilance, 1 224 cas de décès ont été signalés suite à l’injection d’un vaccin contre le Covid-19 depuis le début de la vaccination. Mais leur imputabilité aux vaccins n’est pas avérée. » CQFD.

Je vous rappelle que pour imputer le décès aux injections la procédure est simplissime :
Vous ressuscitez la personne vaccinée, puis vous regardez si elle décède à nouveau dans les jours suivants.
Si elle ne meurt pas une deuxième fois, alors c’était bien le vaccin qui avait causé le décès !
Exactement l’inverse que pour les cas de Covid.
Si vous êtes positif au Covid ou qu’il y a soupçon de Covid, si vous décédez alors le décès est OBLIGATOIREMENT causé par le Covid quand bien même vous avez été écrasé par un camion.

Olivier Véran commande des médicaments.(([6] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/traitement-contre-le-covid-19-cinq-choses-a-savoir-sur-le-molnupiravir-dont-la-france-a-commande-50-000-doses_4823367.html))

« Selon Olivier Véran, la France a commandé 50 000 traitements de Molnupiravir »

Silvano Trotta de préciser « à 700 dollars la dose, d’un cancérigène connu par les études, dont le fabricant donne, 50 % d’efficacité contre le Covid et ne veut toujours pas entendre parler d’Ivermectine, à 4 dollars. »

Baisse de fréquentation des lieux culturels. LCI(([7] https://www.lci.fr/culture/coronavirus-covid-19-selon-une-etude-devoilee-mercredi-27-octobre-par-roselyne-bachelot-de-nombreux-francais-sont-toujours-reticents-a-reprendre-le-chemin-des-lieux-culturels-cinema-musees-theatre-2200122.html))

« Covid-19 : de nombreux Français toujours réticents à reprendre le chemin des lieux culturels »

J’ai suivi les débats sur LCI imaginant naïvement que les « journalistes » parleraient du pass sanitaire qui serait un frein… mais non !
Et de préciser que contrairement à cette croyance (stupide), cette baisse n’était nullement due au pass sanitaire mais au fait que les Français avaient peur de mourir du virus et qu’ils préféraient de fait rester chez eux.
Et moi de me demander pourquoi les Français ne semblent pas terrorisés au supermarché…

RIP journalisme.

CHU de St Étienne — LCI.

Le CHU de Saint-Étienne refuse la réintégration de deux agents non vaccinés suite à une décision de justice.
Précisons que ces agents ne sont pas en contact direct avec le public, mais travaillent aux cuisines.
Cela ne semble pas traumatiser les journalistes… si on plus il fallait accepter les décisions de justice, où irait-on ?!

Professeur Caumes — LCI(([8] https://www.lci.fr/sante/video-covid-19-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans-contre-le-coronavirus-pour-le-professeur-eric-caumes-on-manque-encore-de-recul-2200240.html))

« Je pense que si l’on veut prendre le maximum de précautions et atténuer le plus possible la circulation du virus, oui il faut vacciner les enfants »

« “Penser que l’hiver sera serein n’engage que lui”, rétorque le professeur,“personnellement je n’en suis pas du tout sûr”. “Pour que l’hiver soit serein, il faudra que les Français se vaccinent, non seulement contre le Covid-19, mais aussi contre la grippe”, note-t-il. Sinon, “on risque d’avoir une épidémie très sévère” »

Et(([9] https://twitter.com/LCI/status/1453435630550126592)):

« “Probablement que le #passsanitaire sera amené à évoluer, surtout s’il doit se prolonger pendant encore 1 an. Je pense que la 3e dose, on en aura besoin.” Pour tous ? “On va y venir”, estime le Pr Éric Caumes »

Primum non nocere ? Sauf si c’est des enfants et pour sauver des vieux grabataires.

Décès des garçons vaccinés au Royaume-Uni(([10] https://theexpose.uk/2021/10/27/deaths-among-male-children-increased-by-89-percent-since-given-covid-19-vaccine/))

« Les décès chez les enfants de sexe masculin sont 83 % plus élevés que la moyenne sur 5 ans depuis qu’ils ont reçu le vaccin Covid-19., la semaine la plus récente a vu une augmentation aussi élevée que 200 %. »

Un hasard de plus, la saison de la crise cardiaque bat son plein.

Canada, un prêtre arrête la messe.(([11] https://vk.com/wall430568862_22606))

« Canada : Impressionnant : le prêtre arrête la messe en raison de la présence d’un fidèle sans masque. L’homme revendique son droit de rester dans la maison de Dieu »

Une bagarre générale se déclenche dans l’église. Si, si, et l’homme est expulsé. Amen mes frères.

Économie(([12] https://actu.orange.fr/france/covid-19-faut-il-rendre-le-pass-sanitaire-obligatoire-en-entreprise-pour-enlever-le-masque-magic-CNT000001FKdMc.html))

« Elisabeth Borne s’est réjouie de la bonne reprise économique du pays. “On a une reprise économique qui est très dynamique, on voit une baisse du nombre de demandeurs d’emploi sans activité, donc c’est une bonne nouvelle.” »

« Faut-il imposer le pass sanitaire en entreprise et permettre aux salariés d’enlever le masque ? “Il est logique que cette question se pose” “à l’heure où une écrasante majorité des Français est vaccinée et que le pass sanitaire est accepté de tous”, “les conditions ne sont pas encore réunies”. »

« L’épidémie n’est pas derrière nous. (…) Le nombre de cas repart à la hausse et le taux d’incidence s’approche à nouveau de son seuil d’alerte au niveau national » »

« Le pass nous a permis d’affronter la quatrième vague de Covid-19 tout en gardant ouverts les cafés et restaurants ». »

Inceste :

« La Commission Inceste recommande de suspendre l’exercice de l’autorité parentale et les droits de visite d’un parent poursuivi pour inceste pour “mieux protéger les enfants” »

La commission « recommande »… voilà, voilà… mieux vaut tard que jamais ?

Hiver catastrophique. G. Pialoux sur BFM.

« Covid-19 : Gilles Pialoux prédit “un hiver catastrophique” si les gestes barrières ne sont plus respectés ».

Donc les autorités nous répètent que 80 % des personnes sont vaccinées avec un vaccin « efficace » à 90 %.
Elles ajoutent que 90 % des personnes à risque sont vaccinées.
De plus ce vaccin est tellement « efficace » qu’il faut un rappel tous les 6 mois…
Mais si on ne respecte pas les gestes barrières on va à la catastrophe !
Où est passé le cerveau des moutons hypnotisés et terrorisés ???
Le Covid est vraiment une maladie neurologique, aucun doute….

5e vague(([13] https://www.letelegramme.fr/coronavirus/cinquieme-vague-de-covid-19-a-quoi-faut-il-s-attendre-25-10-2021-12855187.php))

« Malgré la vaccination, une cinquième vague n’est pas évitable.
Mais son ampleur dépendra du maintien des gestes barrières.
Si les spécialistes se veulent plus optimistes face au risque de cinquième vague, la vigilance reste de mise.
Peut-on échapper à une cinquième vague ?

Selon l’Institut Pasteur, il faudrait que les plus de 60 ans soient entièrement vaccinés à 95 % pour éviter une nouvelle vague de contamination. Le taux devrait atteindre les 90 % chez les 19-59 ans et les 70 % chez les adolescents. La France s’approche de l’objectif, mais n’y est pas encore : 90 % des 60 ans et plus sont vaccinés ; 86 % des 19-59 ans et 71 % des ados. Éviter une 5e vague sera donc difficile, surtout avec un variant Delta qui n’empêche pas les contaminations. Olivier Véran note d’ailleurs une “petite poussée” des cas ces derniers jours, avec près de 5 000 nouveaux malades quotidiens. »

Vous noterez que le reporter précise que la vaccination n’empêche pas les contaminations et qu’il faudrait 95 % de vaccinés pour prévenir les contaminations et une nouvelle vague.

La routine…

LCI 5e vague(([14] https://www.lci.fr/sante/en-direct-france-covid-19-coronavirus-vaccination-pandemie-pass-sanitaire-le-senat-veut-imposer-une-clause-de-revoyure-2196156.html))

« Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, note une “hausse de 16 %” des contaminations “sur une semaine”. “L’épidémie gagne du terrain même si nous partons d’un niveau faible”, rappelle-t-il en sortie du Conseil des ministres.

Le seuil d’alerte a été franchi dans une quarantaine de départements”, poursuit le ministre, qui note que dans les “Pays de la Loire, le taux d’incidence a augmenté d’un tiers en une semaine.”

Le porte-parole assure également que les hospitalisations ne diminuent plus, et que les admissions dans les services de soins augmentent. »

Le réseau Sentinelle n’est toujours pas au courant d’une épidémie de Covid et la seule épidémie existante serait une épidémie de gastro !

Épinal, patient de 95 ans refoulé à l’hôpital(([15] https://epinalinfos.fr/2021/10/vosges-patient-de-95-ans-pass-sanitaire-refoule-a-lentree-de-lhopital/))

« Vosges : un patient de 95 ans sans “Pass sanitaire” refoulé à l’entrée de l’hôpital

Notre oncle, âgé de 95 ans parti de La Bresse en VSL pour une consultation d’urologie, à l’hôpital Emile Durckeim d’Épinal, se voit interdire l’accès dans les services au motif qu’il ne peut présenter un passe sanitaire. Notre oncle qui venait déjà de passer plus de 5 semaines dans deux hôpitaux, porteur d’une sonde urinaire, avait rendez-vous afin d’évaluer le traitement qui lui avait été prescrit, l’urologue devant décider si la sonde devait être maintenue en place ou non. La consultation n’était donc pas sans conséquence, et le refus de voir ce patient s’apparente à un refus de soin. Un acte incompréhensible de la part d’un médecin spécialiste. Le patient a donc dû rebrousser chemin, 120 km aller-retour pour rien ! Le conducteur VSL qui l’accompagnait a eu beau insister auprès de l’hôpital et du médecin, mettre en avant l’âge de la personne qu’il transportait, sa fatigue et le stress généré : rien n’y a fait. Cet homme de 95 ans en situation de faiblesse fut renvoyé chez lui sans le moindre égard, comme un malpropre. »

No limit, où est passée l’humanité ?

Si demain une loi oblige à placer les non-vaccinés dans des camps, ces mêmes monstres qui ont refusé l’entrée à ce vieil homme le feront monter dans un train sans le moindre problème de conscience.

Voilà pour ma (sale) revue de presse qui, hélas, ne représente qu’un petit extrait des dernières heures.
Les nouvelles sont les mêmes tous les jours.
Les mêmes horreurs, à moins que cela n’empire… oui c’est cela en fait ça empire. Champagne !

Merci

Alain Tortosa.

28 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211028-journee-comme-les-autres.pdf





Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning

[Source : Kla.TV]

Le médecin et officier de réserve Heiko Schöning prouve dans son nouveau livre « GAME OVER » les machinations criminelles autour du COVID-19. Comme dans un copier-coller, dix-huit ans plus tôt, les auteurs d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax. Les détails criminels et le pouvoir de déduction de Heiko Schöning l’ont conduit à la conclusion suivante : les mêmes entreprises et clans sont encore et toujours impliqués dans ce jeu diabolique. Même l’ex-Président Trump y joue un rôle… Dans son interview exclusive avec Kla.TV, Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives.



Transcription :

Heiko Schöning :

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où il y avait déjà des mensonges de guerre qui ont mené des millions de personnes à la mort, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia ! Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »

Présentatrice :

Heiko Schöning, fondateur de la Commission d’enquête de l’affaire Covid et vice-président de la « World Freedom Alliance », vient de publier un nouveau livre. Le titre est « Game Over ». Fidèle aux détails tout en étant compréhensible, il prouve sur environ 500 pages que le COVID-19 est un crime planifié. Dix-huit ans plus tôt, les auteurs du crime d’aujourd’hui ont commis un crime similaire avec la bactérie mortelle de l’anthrax (ANTRAX-01), comme s’il s’agissait d’un copié-collé.

Kla.TV a fait une émission au sujet de l’attaque à l’anthrax (en français :/www.kla.tv/16694). En 2001 également, la panique a été attisée, des lois d’urgence ont été promulguées et des vaccinations de masse ont été effectuées. Le suicide étrange de l’unique coupable désigné, le Dr Bruce Ivins, et son lien avec le fabricant du vaccin contre l’anthrax, Emergent BioSolutions, ont attiré l’attention du médecin Schöning. Cela l’a incité à mener des années de recherches discrètes. Les connaissances qu’il en a tirées lui ont permis de prédire publiquement en septembre 2019 qu’une autre panique liée aux agents pathogènes était à prévoir pour 2020 – quelques mois avant le COVID-19.

Les détails criminels et son pouvoir de déduction l’ont conduit à la conclusion suivante : Emergent BioSolutions et ses décideurs préparent des choses bien plus grandes. Mais le crime organisé joue le tout pour le tout et perdra la partie lorsque les criminels seront dévoilés, ce sera « Game Over » pour eux !
Dans son interview exclusif avec Kla.TV, M. Schöning donne un premier aperçu de ses révélations explosives. Aidez-nous à faire connaître les criminels qui se cachent dans l’ombre, en diffusant cette interview brûlante d’actualité !

Intervieweur :

M. Schöning, bonjour !
Je suis heureux que nous puissions faire aujourd’hui cette interview ensemble. Il sera question aujourd’hui de votre nouveau livre, qui s’appelle « Game Over ». Un livre qui cite les auteurs et les actes, c’est ainsi que vous l’avez décrit et vous avez dit au préalable que vous donneriez des indications pour que les gens puissent savoir de quoi il s’agit.
Mais tout d’abord, faisons un peu connaissance avec M. Heiko Schöning. Vous n’êtes pas seulement un auteur mais aussi un médecin et donc du côté gagnant du système actuel. En termes de réputation et d’avantages financiers, vous avez donc les bonnes cartes en main.
Qu’est-ce qui pousse une personne comme vous à se dire maintenant c’est « Game Over » et il y a peut-être eu un événement clé qui vous a conduit à suivre ce chemin, qui n’est pas facile ?

Heiko Schöning :

Oui, merci beaucoup ! Eh bien, nous sommes en septembre 2021 et ma motivation de base n’est pas seulement la profession de médecin, mais c’est aussi le fait que je suis un père, donc que j’ai la responsabilité de mes enfants, et en plus de cela, je suis aussi un officier de réserve dans les forces armées allemandes et j’ai aussi prêté serment à un moment donné pour protéger les gens. Nous devons simplement savoir que ce que ce qui se passe est un crime organisé mondial.

Intervieweur :

Et pour en revenir à cet événement clé, est-ce qu’il y a quelque chose qui vous a préoccupé, où vous avez déduit que quelque chose ne colle pas ?

Heiko Schöning :

Oui exactement, Je vais vous dire simplement, comment j’en suis arrivé à cette constatation. J’ai moi-même travaillé sur trois continents au cours de ma formation. J’ai étudié à la Charité de Berlin, ainsi qu’en Australie et en Angleterre. J’ai traité des suicides au paracétamol sur trois continents, c’est-à-dire des personnes qui ont délibérément pris une surdose de l’analgésique paracétamol. Et en 2008, il y a eu un suicide présumé d’un assassin qui se serait tué avec du paracétamol et c’était le criminel de l’arme biologique anthrax, de septembre 2001. Et pour faire court, j’ai suivi cette affaire parce que je me suis dit : « Attends une minute, un tel microbiologiste se tuerait avec du paracétamol ? » C’est comme si un pilote de Formule 1 tel que Sebastian Vettel, prenait un vélo pour foncer contre un arbre avec l’intention de se tuer. J’ai alors fait des recherches plus approfondie et j’ai vu que ce suicide n’en était en fait pas un, et ainsi j’ai découvert une chose après l’autre.

Intervieweur :

Donc c’est quelque chose où vous avez dit que d’une certaine façon ça ne peut pas être, ce n’est pas plausible, le paracétamol n’est pas une drogue particulièrement puissante pour se tuer. Avec l’exemple du vélo, c’est facile à comprendre, et au cours de votre carrière de conférencier, il est également arrivé qu’on vous a empêché de parler.
J’ai appris qu’en septembre 2020, vous avez été interrompu et arrêté à Hyde Park à Londres, au célèbre Speakers Corner, alors que vous vouliez faire un discours. Il s’agit d’un endroit, comme nous l’avons appris en cours d’anglais, où depuis 900 ans, même les plus grands dissidents et critiques du gouvernement ont pu dire ce qu’ils voulaient sans en être empêchés. Est-ce un signe d’une société et d’un gouvernement hyper nerveux ?

Heiko Schöning :

C’est malheureusement le signe d’un crime mondial et vous avez raison, cette bonne tradition de 900 ans de liberté d’expression au Royaume-Uni, à Londres, à Speakers Corner, a pris fin le 26 septembre 2020 lorsque j’ai été arrêté, emmené avec des menottes parce que j’ai parlé, sur un banc, tout à fait pacifiquement, devant des gens, au sujet du Covid-19, donc sur le Coronavirus. Et ces images ont fait le tour du monde. Et ce que j’ai dit là c’étaient des informations importantes, c’étaient des preuves qu’il n’y a pas de virus mortel. Il s’agit plutôt d’une grippe saisonnière normale et toutes les mesures qui existent, là-derrière se cache un crime organisé mondial.

J’ai dit cela aussi là-bas et j’ai été arrêté, en toute illégalité. Cela a fait le tour du monde, mais bien sûr, le contenu est beaucoup plus important, et comme je viens de le dire, une fois j’ai résolu un suicide, l’affaire du meurtrier de l’anthrax de 2001 qui se serait soi-disant tué avec du paracétamol et qui a ensuite été stigmatisé comme seul coupable, alors j’ai rassemblé les preuves pour dire : Premièrement, cet homme ne s’est pas suicidé, et deuxième, il n’est pas le seul responsable.

Il était employé d’Emergent BioSolutions, une entreprise américaine de vaccins qui avait le monopole du vaccin contre l’anthrax, 20 ans auparavant.
Ces attaques qui ont tué des gens ont déclenché une telle panique ! Comme aujourd’hui c’est le Covid, Covid, Covid, à l’époque c’était l’anthrax, l’anthrax, l’anthrax.

Et quel est le lien maintenant ? Le lien est qu’aujourd’hui, la plupart des vaccins sont également produits à nouveau – comme je peux le prouver – par cette société criminelle Emergent BioSolutions. Nous connaissons donc les marques AstraZeneca, Johnson & Johnson, Janssen, Novavax et autres. Et pour toutes ces marques, c’est la société Emergent BioSolutions des États-Unis qui produit le vaccin pour eux.

Et le Dr. Bruce Ivins était un employé direct d’Emergent BioSolutions de 2000 à 2002, au moment du crime. Cette société a gagné des milliards de dollars avec ça et aujourd’hui à nouveau avec le Covid-19. C’est juste un bref résumé. C’est ce que j’avais essayé de dire à Londres. J’ai été invité à prendre la parole devant des dizaines de milliers de personnes à Trafalgar Square, à Londres. Au milieu de cette manifestation pacifique, la police l’a interrompue alors que j’avais le micro et quelques heures plus tard – comme vous l’avez déjà dit – j’étais encore une fois arrêté à Speakers Corner.

Intervieweur :

Et c’est peut-être cet événement qui vous a motivé à continuer à travailler sur votre livre. C’est de cela que nous voulons parler. Nous en arrivons au livre « Game Over ». Dans votre interview avec la chaine « Auf1 », vous avez dit que vous avez été empêché de parler à plusieurs reprises lors de manifestations dans toutes sortes d’endroits, et pas seulement à Speakers Corner. Finalement, votre livre comprend 500 pages – presque 500 pages. Et puis je lis ici que c’est le premier volume. Donc, de votre point de vue, il y a encore beaucoup de choses qui doivent être dites, même si on ne veut pas les entendre. Parlez-nous en.

Heiko Schöning :

Je ne peux que dire très sérieusement une chose : c’est que ce nous vivons actuellement – le Covid – est une supercherie, une illusion. Et cela dans le monde entier. C’est très sérieux. Et de nombreuses personnes sont déjà mortes à cause de ces mesures. Avec les mesures de confinement, des gens meurent en Inde et aussi en Afrique parce qu’ils sont affamés. Nous voyons ici aussi, bien sûr, les mesures répressives, notamment en matière d’économie. Et c’est, pour ainsi dire, l’objectif principal, c’est-à-dire l’économie de taille moyenne, qui est détruite, par un crack économique délibérément provoqué. Et quel est le prétexte, le stratagème ? C’est un virus, qui a été épandu – j’avais déjà averti en septembre 2019 lors d’une longue interview – virus déversé en septembre 2019. Et à ce moment-là j’ai pu prédire que des criminels planifiaient pour 2020 une grande panique avec des agents pathogènes. C’était 4 mois avant le début de la crise du Covid.

Intervieweur :

C’est intéressant, donc ça veut dire que vous étiez capable de prédire quelque chose qui s’est réellement produit ? Quel genre de preuve circonstancielle aviez-vous pour pouvoir dire ça ?

Heiko Schöning :

Oui, cette interview de septembre 2019, qui avait alors été diffusée, est également incluse dans le livre. Le livre comporte aussi deux DVD, ce qui signifie que la vidéo originale s’y trouve également. À l’époque, j’enquêtais sur les attaques à l’anthrax de septembre 2001 et je pouvais déjà affirmer que certains des mêmes auteurs planifiaient une panique pathogène majeure pour 2020 et qu’elle est à nouveau liée à la société Ermergent BioSolutions. Parce qu’ils ont aussi dit, par exemple, qu’ils allaient doubler leur chiffre d’affaires en deux ans. Et oui, ils ont plus que réalisé cela.

Intervieweur :

Maintenant peut-être que beaucoup de gens se demandent : « Comment pouvez-vous appeler cela un crime organisé international ? » De nombreuses personnes s’intéressent maintenant aux virus, aux protéines spike, à toutes sortes de choses et c’est comme ça que, comme il y a une grande confusion, les gens pensent : « Pour l’amour de Dieu, nous allons tous mourir ». Et d’autres pensent : « Ça ne peut pas être vrai, ils sont fous ».
Et on prétend dans de nombreux endroits – comme vous pouvez le lire dans les médias – que c’est ainsi, que tout est déjà correct. Cela signifie que vous devez expliquer de manière concluante pourquoi vous pensez qu’il s’agit d’un crime et non d’une pandémie mondiale, comme on dit.

HeikoSchöning :

Oui, exactement. Et c’est exactement ce qui a été fait. Nous avons créé une commission d’enquête extraparlementaire sur l’affaire du coronavirus lorsque celle-ci a éclaté, et ce livre « Game Over » présente le rapport final, pour ainsi dire, avec deux DVD, qui contiennent également les faits médicaux, où vous pouvez écouter les auditions d’experts avec des professeurs et des médecins de renommée internationale, c’est-à-dire que toute l’histoire de ce qui s’est passé y est inclus.

Vous pouvez entendre cela de la bouche des experts. Mais il est bien plus important de comprendre que nous avons affaire à des criminels. Des criminels dont on peut clairement prouver qu’ils ont commis des crimes il y a 20 ans. C’est ce que démontre le livre et le lien à faire c’est de dire : « Si nous savons déjà que c’est un quasi Al Capone de Chicago ou le Dr Josef Mengele qui a commis des crimes terribles pendant la Seconde Guerre mondiale, on ne fera plus confiance à ces personnes. » Et ce sont exactement les mêmes auteurs qui sont à nouveau actifs aujourd’hui autour du Covid-19.

Et tous les liens entre les personnes de cette organisation criminelle sont décrits dans le livre. Et ce qui est bien, c’est que ce n’est pas seulement du texte, mais aussi plus d’une centaine d’infographies, de sorte que vous pouvez aussi comprendre visuellement comment l’ensemble est relié.

Intervieweur :

Et maintenant voici encore ce jeu de cartes sur la table. C’est une autre approche que j’ai trouvée spéciale. Vous pourriez peut-être en dire plus à ce sujet.

Heiko Schöning :

C’est rendu très confus, bien sûr. Quand il y a un crime, les gens essaient toujours de le camoufler et de tromper. C’est similaire dans l’armée, camoufler et tromper. C’est pourquoi c’est relativement compliqué. Pour représenter quelque chose, il faut ensuite le placer dans un ordre déjà connu. Et un jeu de cartes, ici avec 52 cartes, c’est connu. Vous pouvez y jouer au skat, au poker et à bien d’autres jeux. Et là, les 52 personnages principaux, notamment les auteurs, sont représentés, et vous comprenez l’ordre. Vous avez le cœur, le pique, le trèfle, le carreau, vous comprenez l’ordre, tout comme si vous avez l’as ou le sept ou la reine et le roi. Et j’ai également placé ces mafiosi individuels dans cet ordre afin que vous puissiez comprendre quels sont les différents clans à l’œuvre ici.

En plus du livre nous avons également inclus ce jeu de cartes en allemand et en anglais, afin que vous puissiez vous faire une image de ces personnes. Car lorsque vous entendez un nom, il est bien plus facile de s’en souvenir, si vous avez un visage correspondant. Et c’est ce que tout ce jeu de carte peut faire.
Dans le livre également, ces criminels sont toujours représentés, dessinés. C’est ce qui est important et ce qui est nouveau. Ce livre ose non seulement appeler les auteurs par leur nom, mais aussi montrer les visages et les liens criminels.

Intervieweur :

Si nous avons maintenant affaire à une mafia, comme vous le dites, ne prenez-vous pas un grand risque ?

Heiko Schöning :

On me l’a déjà demandé en septembre 2019, car le projet de livre « Game Over » était déjà sur la table il y a deux ans, et j’ai pu brandir quelques preuves devant la caméra et j’ai également mentionné les connexions. Beaucoup de gens qui l’ont vu ont été choqués. Cette vidéo a ensuite été également censurée, elle a été supprimée de YouTube et bien d’autres choses encore. Et comme vous l’avez dit au début, j’ai souvent été empêché de parler, pas seulement à Londres, mais aussi à Berlin, le 1er août 2020, il y avait plus d’un million de personnes dans les rues, six heures de manifestation pacifique, et ensuite, nous, les médecins, étions censés parler sur scène. Et puis la police a pris la scène d’assaut. Le 1er août 2020 à Berlin.
Et oui, malheureusement, encore plein d’autres choses que nous voyons : la censure règne ici.

Intervieweur :

Bien, ce livre est disponible dès maintenant, si j’ai bien compris, ou est-il encore en phase de planification ?

Heiko Schöning :

Non, le livre est terminé maintenant. Beaucoup d’autres choses ont encore été intégrées en plus. Au lieu de le publier immédiatement, auquel cas il aurait principalement fait référence à l’anthrax de 2001, j’ai décidé de dire que les nouveaux crimes, qui sont beaucoup plus importants maintenant, qui sont beaucoup plus grands comme le Covid-19, doivent être inclus afin de montrer que ce sont les mêmes criminels qui l’ont planifié. Et la préconnaissance criminelle est la clé pour prouver que le Covid-19 est une fraude.

Et ce livre prouve simplement que certains des principaux responsables avaient une préconnaissance criminelle du Covid-19. Ce n’était pas une surprise, tout était prévu. Et nous voyons aussi que tout est orchestré, au niveau mondial !

Intervieweur :

Nous parlons du monde entier. Ainsi, en tant qu’observateur, on se demande, par exemple, l’Australie a mis en place l’une des stratégies anti-covid les plus rigides : « Zéro Covid » – extrêmement rapide, extrêmement dur dans les confinements et on se demande : Pourquoi l’Australie ?

Heiko Schöning :

Oui, il faut comprendre, enfin, j’ai dit, dans le jeu de cartes, les différents clans mafieux sont rassemblés, pour ainsi dire. Et il y a un clan mafieux qui est maintenant nouveau, que j’ai appelé la mafia techno. Et il faut bien voir que les entreprises qui se cachent derrière ont une grande connaissance du comportement des gens grâce aux stratégies publicitaires et autres. Et vous devez penser au Covid-19 comme à un produit. Ce sera comme un lancement d’un nouveau produit.

Et cela ne se fait pas partout et soudainement de façon égale à 100%, mais des zones tests sont d’abord créées. Et malheureusement, l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des marchés tests occidentaux pour ces criminels, pour tester jusqu’où ils peuvent aller avec ces mesures, avec ce confinement, avec ces mesures répressives. Et maintenant, l’armée est également utilisée contre le peuple pour faire appliquer les mesures coercitives. Et c’est exactement ce qui nous attend en Europe et aux États-Unis.

Intervieweur :

C’était ma prochaine question : Vous dites que si les choses continuent comme ça, il y aura des scènes comme celle que nous voyons actuellement en Australie.

Heiko Schöning :

Absolument. Nous l’avons vu au préalable, et c’est évident. Et c’est ce que j’ai également dit au début de l’année 2020. Et cette fois-ci aussi à Berlin le 29 août 2020, lors de cette grande manifestation de millions de personnes, où j’ai pu parler devant plus d’un million de personnes. Dans ce discours à Berlin, j’ai dit :
En Australie la phase de confinement est comme une démonstration de ce déroulement. Et exactement ces mesures seront appliquées en Europe. Et ces mesures sont effectivement arrivées. Comme je l’ai déjà clairement dit dans des interviews, nous sommes confrontés à une loi martiale médicale .Et c’est ce que nous vivons ici.

Intervieweur :

Eh bien, la question est : Que peut-on faire maintenant ? C’est une question qui préoccupe de nombreuses personnes. Il y avait et il y a des gens qui, sur la base de discussions sur Internet, avaient de très grands espoirs dans les États-Unis, dans le président Trump, et finalement rien n’en est sorti.
On peut donc dire que finalement l’attentisme n’est plus de mise. Alors, que conseillez-vous aux gens et comment peuvent-ils vous soutenir, par exemple ?

Heiko Schöning :

D’une part, je dois dire que tous ceux qui ont réellement mis leur espoir dans le président Trump ont été trompés. Parce que c’est un coup monté. M. Trump est également l’un des criminels, l’un des membres d’un petit clan mafieux. La vieille mafia de Reagan est derrière tout ça, les « Reaganites ». Et ils sont en concurrence avec un grand clan mafieux, appelé « l’establishment », que vous pouvez consulter en détail. Mais aussi dans ce livre il est clairement déclaré que Donald Trump est en contact avec l’un des principaux criminels, et son nom est Edwin Meese, qui a reçu une médaille en octobre 2019 dans le Bureau ovale de Donald Trump. Et c’est l’un des principaux criminels. En bref, Donald Trump est aussi l’un d’entre eux.

Et nous devons également nous rendre compte que nous, les humains, nous sommes en train d’être divisés en deux camps : les vaccinés et les non-vaccinés. Et les États-Unis risquent aussi maintenant de ne plus être les États-Unis, mais de devenir les États-non-unis. Il est donc très, très important que nous restions pacifiques, que nous restions dans un dialogue, que nous vainquons la censure et que nous ne nous laissions pas divisés. Parce que c’est précisément ça leur calcul. Parce que : « Quand deux se disputent, le troisième est content ».

Edwin Meese, en tant que bras droit de Ronald Reagan, a également fourni des armes aux deux camps : L’Iran contre des affaires, par exemple, est l’un de ses principaux crimes. Et l’Iran et l’Irak, les deux côtés, ont été livrés en armes pendant huit ans, massacrés et, à la fin, les sociétés américaines ont pris le contrôle d’un Irak affaibli. Et l’Iran sera confronté à une situation similaire.

Je ne peux que dire que c’est un coup monté. Et ce livre montre également les grandes structures, les structures historiques, comment on en est arrivé là. C’est pourquoi il est si important de comprendre ce qui se passe au début. C’est la raison pour laquelle le livre est structuré de cette manière ; pour passer de l’actualité et de la simplification à l’intemporel et à l’approfondissement. Cela vaut donc vraiment la peine d’avoir le courage de lire ce livre. Il contient de nombreuses illustrations originales, de nombreuses sources et vous pouvez également le vérifier par vous-même.

Intervieweur :

Oui, c’est également très important. Il y aura certainement une personne ou une autre qui fera des recherches. Mais vous avez dit que c’est un jeu orchestré, c’est international. C’est pourquoi nous allons peut-être retourner au niveau international. Il est certainement avantageux de ne pas continuer à réinventer la roue, mais de regrouper les initiatives et associations existantes, d’apprendre et de profiter les unes des autres. Vous êtes membre et vice-président de la « World Doctors Alliance » (« Alliance mondiale des médecins »), puis de l’« ACU 2020 » et de la « World Freedom Alliance » (« Alliance mondiale pour la paix »). Ce sont toutes des organisations que vous soutenez ou que vous avez fondées. Parlez-nous de l’importance de ces réseaux internationaux.

Heiko Schöning :

Une chose est la connaissance. En fait, je dis que nous devons faire cinq actions.
La première : nous devons montrer qu’ils sont des criminels – et c’est ce que ce livre montre, que ce sont des criminels et que c’est aussi le crime organisé et maintenant la question est aussi : Que faisons-nous – comment entrons-nous en action ? Et là il est important que nous nous réunissions ; nous, ensemble et que nous prenions des mesures contre tout ça. Et à cet égard, j’avais déjà créé la « Commission extraparlementaire d’enquête Covid19 » en mai 2020 et en juin nous avons déjà eu la première réunion de lancement avec les premières auditions. C’est aussi sur les DVD ici, donc là les preuves sont aussi intégrées pour qu’on puisse les consulter. Et en peu de temps, nous avons également rassemblé plus de 1 000 médecins en Allemagne, qui ont également affiché ouvertement leur nom sur le site web, afin de dire :

« Les mesures qui sont prises ici, sont absolument exagérées ! ». Et en fait, encore plus – nous le disons aussi avec la « World Freedom Alliance », c’est-à-dire l’organisation faîtière des mouvements de liberté mondiaux qu’il s’agit d’un crime orchestré, mondial, et nous allons même au-delà pour offrir une meilleure alternative. Car il ne s’agit pas seulement de présenter les problèmes, mais aussi la solution en même temps. Et là, j’ai eu l’honneur, comme vous l’avez dit très justement, de devenir également le vice-président de cette association médicale mondiale et aussi… de cette fédération du mouvement pour la liberté « The World Freedom Alliance.org ».

Intervieweur :

M. Schöning – merci beaucoup d’avoir pu discuter de votre livre aujourd’hui !
Je vous souhaite beaucoup de succès, que le plus grand nombre de personnes possible le lise, que ce soit quelque chose qui fasse avancer les gens, qui les rassemble. Je ne peux que souscrire à ces propos. Nous ne résoudrons le problème qu’ensemble, ou pas du tout.
C’est la chance du siècle. Vous l’avez également dit dans le discours préliminaire, c’est quelque chose qui donne de l’espoir, que nous voulons aussi transmettre aux gens.
Y a-t-il encore quelque chose que vous aimeriez dire au téléspectateurs, en conclusion ?

Heiko Schöning :

Oui, absolument ! Parce que vous avez tout à fait raison. Il est vrai que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système. Ce système criminel dans lequel nous vivons et de ne pas simplement accepter cette « nouvelle normalité » criminelle et oligarchique, mais de créer une « meilleure normalité ». C’est ce que défend l’Alliance mondiale pour la liberté et c’est aussi ce que défend le programme économique « Wirkraft » – « wirkraft.org ».

« C’est effectivement ainsi que nous avons maintenant la meilleure chance depuis plus de cent ans de surmonter ce système, ce système criminel dans lequel nous vivons.
La véritable différence par rapport aux années et décennies précédentes, où les mensonges de guerre qui existaient déjà, ont entrainé la mort de millions de personnes, c’est que maintenant, ici en Occident, on y prête attention. Parce que trop de gens, dont moi-même, ont trop détourné le regard de ce crime organisé au fil des décennies. Des millions de morts au Vietnam, en Irak. Est-ce qu’on s’en souciait vraiment ? Avons-nous fait tout ce qui était possible ? Et maintenant, c’est notre tour. Et c’est là le principal message. Nous devons maintenant, en tant que pères, fonctionnaires, officiers, médecins responsables – tout le monde, nous devons maintenant nous rassembler et dire : Non à la mafia !

Parce que tôt ou tard, ce sera notre tour et c’est ce que nous réalisons maintenant, sur le plan économique et sur le plan physique. Non seulement nous sommes traités avec mépris, contrôlés, endoctrinés, mais nos vies sont en danger, ainsi que celles de nos familles. »
Par conséquent, unissons-nous maintenant ! Transmettez les preuves, elles sont résumées, dans le rapport final de la commission d’enquête Covid-19. Transmettez-le ! Merci beaucoup.

Intervieweur :

Oui, merci beaucoup. Kla.tv vous remercie pour cette journée ! Au revoir.

de s.l.

Sources / Liens

Livre de Heiko Schöning:
„GAME OVER. COVID-19 I ANTHRAX-01“, Septembre 2021.




Le Pr Didier Raoult répond aux mensonges de Mediapart

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline pour Le Média en 4-4-2

Les chiens sont lâchés contre le Pr Raoult. Avant-garde de Big Pharma, Médiapart montre les crocs. Mais pourquoi la loi Avia ne s’applique-t-elle pas à tant de haine ? Et d’ailleurs pourquoi tant de haine ? Ah ! elle est belle l’attaque sans argument, le scud sans munition ! On vous a déjà montré l’embrouille dans cet article .

Sans l’OMS pas de salut, et pourtant…

Quels sont les « arguments » de Médiapart ? La première banderille : sulfadiazine et minocycline, deux composants du cocktail utilisé à l’IHU de Marseille pour soigner la tuberculose, ne sont pas approuvés par l’OMS.
Sur le site de l’OMS, p 108, les médicaments préconisés pour la tuberculose sont l’isoniazide, la rifampicine, la pyrazinamide, l’éthambutol et la streptomycine. Ce sont les premiers à avoir été découverts en 1946-1948. Ils se sont révélés soit inefficaces contre la tuberculose pulmonaire (streptomycine), soit trop longs à administrer pour être efficaces (18 mois dans les années 60), car les patients des pays pauvres ne suivent pas le protocole jusqu’au bout (voir la conférence du Pr Jacques Grosset). Et quand on dit pas efficaces, cela veut dire 1,2 à 1,6 million de morts par an.

Sulfadiazine et minocycline, utilisés à l’IHU de Marseille, ont pourtant été approuvés par l’ANSM : la sulfadiazine dans le traitement de la toxoplasmose et la minocycline contre l’acnée.
Outre la liberté de prescription du médecin (fort mise à mal actuellement), l’ordre des Médecins prévoit qu’il est licite d’utiliser des médicaments hors AMM. Rien n’interdit de les utiliser pour une autre maladie que celle qu’ils ont traitée à l’origine.
Le Pr Chabrière signale une étude de 2013 du Pr Drancourt (IHU de Marseille) sur la sulfadiazine concluant à l’efficacité de cette sulfamide comme alternative aux antibiotiques antituberculeux.

Des médicaments connus de tous, sauf de Médiapart

Deuxième banderille : les deux autres médicaments faisant partie de cette « expérimentation », affirme Médiapart, sans se soucier ni de prouver qu’il y a eu expérimentation ni de préciser les noms des médicaments, ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose. Le Pr Raoult est certainement moins compétent que la journaliste de Médiapart, mais lui, il connaît le nom de ces médicaments. Il s’agit de deux traitements de la lèpre, la moxifloxacine et la clofazimine. Quant à une pseudo expérimentation, il s’en explique. La journaliste de Médiapart n’est pas outillée intellectuellement pour faire la différence entre expérimentation et traitement. Les explications psychologiques de Didier Raoult des méfaits de lobbies qui brassent des milliards et interdisent la recherche en France sont moins convaincantes que ses arguments scientifiques. Disons qu’il se refuse à hausser le ton.

Le Pr Jacques Grosset était le numéro 1 mondial du traitement de la tuberculose. Ses recherches à La Pitié-Salpêtrière, puis à l’université John Hopkins, avaient deux objectifs :

  • réduire la durée du traitement de la tuberculose
  • traiter les bactéries résistant aux antibiotiques actuels à cause de traitements interrompus. Les deux problèmes sont liés : des traitements sont interrompus parce que leur durée est très longue et créent des bactéries qui leur résistent.

Premier objectif des médecins et chercheurs : réduire la durée du traitement

Dans une étude en 2015, il a réanalysé la clofazimine, un antibiotique très bon antituberculeux, découvert dans les années 50 et utilisé des centaines de millions de fois. Titre de l’étude : « La clofazimine raccourcit la durée du régime de traitement de première intention pour la chimiothérapie expérimentale de la tuberculose ». La clofazimine (ou Lamprène®) est le traitement le plus efficace de la tuberculose et réduit la durée de l’infection. Ce médicament anodin, connu dans le monde entier, associé à un antituberculeux traditionnel, la pyrazinamide, est le meilleur de tous les traitements de la tuberculose.

La clofazimine reste efficace quand les autres antibiotiques sont devenus inefficaces. Il y a très peu de résistance à la clofazimine (0,22 %). Nouvelle référence du corps médical, Médiapart, la classait sans rire dans les médicaments qui « ne sont pas considérés comme les plus performants contre la tuberculose ».

À l’IHU, en revanche, on sait de quoi on parle quand on parle de tuberculose. Le premier des « publiants », en dehors de Harries, est Michel Drancourt, un collègue de Raoult. Pour nous, ajoute ce dernier, la bactérie la plus proche de celle de la tuberculose, c’est celle de la lèpre. Les médicaments utilisés depuis des décennies contre la lèpre (moxifloxacine et clofazimine) marchent pour la tuberculose. Inutile donc de mettre au point des nouvelles molécules qui vont coûter cher.

Deuxième objectif : traiter les bactéries résistant aux antibiotiques

Le Pr Raoult ajoute : 

« Est-ce qu’on peut traiter une tuberculose multi résistante avec la moxifloxacine et la clofazimine ? La réponse est oui. C’est pas de la recherche, c’est de la médecine. et c’est sur le site de l’OMS. La tuberculose fait partie des maladies en deuxième intention qu’on peut soigner avec les médicaments contre la lèpre. »

Attention ! soigner, c’est de l’expérimentation illégale

A l’accusation de Médiapart d’avoir pratiqué de l’expérimentation illégale, le Pr Raoult explique : 

« Est-ce que en associant la clofazimine à la pyriméthamine, on peut raccourcir le traitement chez les populations dont on sait qu’elles vont avoir de grandes difficultés à prendre le traitement ? Pour cela, on a demandé à faire un essai thérapeutique. Deux fois un comité des personnes nous a donné un avis favorable, puis on a eu une interdiction de l’ANSM fondée sur on ne sait quoi, qui nous a dit il n’y a pas assez de bibliographie là-dessus. Pourtant il est sorti 411 publications dans les 25 dernières années. Est-il normal que pour des recherches menées par des chercheurs reconnus sur des médicaments qui sont utilisés depuis des années avec succès, soient interdites par des gens n’ayant aucune compétence ? Il y a dix pays qui font des essais pour savoir si on peut raccourcir le traitement en ajoutant de la clofazimine. Résultats : on peut réduire le traitement des tuberculoses résistantes à neuf mois en ajoutant clofazimine et pyriméthamine ! »

Recherche ? interdit ! danger !

« Donc on n’a pas fait de recherches, car on a bien assez d’ennuis comme ça. Sur près de 300 tuberculose qui ont été diagnostiquées, 85 ont été traitées ici, dont 17 ont reçu de la clofazimine et pyriméthamine, 13 avaient des bacilles résistants qui correspondaient à une des recommandations de l’OMS, 3 SDF (on sait qu’ils n’arriveront pas à appliquer pendant 6 mois le traitement). Ce sont des décisions qui sont prises, comme le dit la loi sur la prescription et délivrance des médicaments hors AMM. »

Un médecin de plateau complotiste se lâche contre Raoult

Si le Pr Gilbert Deray n’a pas déclaré ses conflits d’intérêts (160 649 € versés par les labos), en revanche il a déclaré sur France 5 : « Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Didier Raoult finalement, dans l’HCL, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Bolsonaro, Trump et Narendra Modi (NDLR : Premier ministre de l’Inde) qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal à leurs populations. Vous avez vu ce qui se passe au Brésil avec l’affaire de cette chaîne de pitou (sic) qui ont donné des kits de chloroquine à des vieilles personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que l’épidémie était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

Un vrai cas d’école de « projection mentale » ! Définition : opération par laquelle une personne place sur quelqu’un d’autre ses propres sentiments, afin de se sortir d’une situation émotionnelle vécue comme intolérable. Ou plus simplement : « c’est celui qui l’dit qui l’est ». Muni de cet éclairage hautement psychanalytique, on comprend mieux le vrai message délivré par Gilbert Deray :

« Quand vous rajoutez là-dessus de la politique, Olivier Véran finalement, dans la vaccination covid, moi, ce que je dis, n’a été qu’un pantin dont les fils ont été tirés par des gens bien plus puissants que lui : Vanguard, Pfizer et Bill Gates qui se sont servis de ce qui leur a été offert pour faire du mal aux populations. Vous avez vu ce qui se passe en Israël avec l’affaire de cette troisième dose à des personnes qu’ils ont laissé mourir parce qu’ils ne voulaient pas que l’on puisse dire que la vaccination était un problème. Quand vous mélangez l’ubris et la politique, vous avez un désastre. »

La Timone : un état des lieux désolant

Didier Raoult, de son côté, ne peut que constater les dégâts de la gestion politico-bureaucratique : 

« Des dossiers personnels de patients diffusés dans la presse, des taupes partout, de l’hostilité, du mensonge, des réactions immédiates sur des rumeurs fausses. Notre directeur général devrait nous protéger au lieu de nous harceler. Quelqu’un veut détruire l’IHU. Me foutre dehors et Chabrière aussi. La Timone est moins bien gérée que l’hôpital général à Dakar. C’est un hôpital du tiers-monde. Il y a un peu de jalousie parce que, ici, on a refait les peintures et qu’on marche bien. A La Timone les prof s’en vont. Que le directeur général s’en occupe ! Que les administratifs retournent à leur métier. Quant aux journalistes, ils perdent toute crédibilité. » 

S’ils l’ont jamais eue, peut-on ajouter. Il faut dire que Pascale Pascariello, c’est pas Albert Londres et qu’il faut bien qu’elle gagne sa croûte. Pourquoi ne pas essayer de trouver un métier honnête, hein Pascale ?




Les Vérités laides de l’État Profond !

[Source : changera.blogspot.com via profession-gendarme.com]

Ce qui est constaté par cet avocat américain vaut en grande partie pour la France et il est temps d’en prendre conscience. Que ce soit les agressions et viols dans les trains de banlieues jusqu’aux abus de l’état policier envers les citoyens sans histoires tant par les policiers stricto sensu que par les institutions étatiques comme le fisc et autres services bureaucratiques contraignants obéissant à une caste qui veut garder le pouvoir, droite comme à gauche, complices dans une fausse opposition dont le seul but est de tromper le peuple qui a du mal à ouvrir les yeux sur le sort qui l’attend s’il persiste à n’être que spectateur de son malheur.
« “Quelle est la différence entre un politicien et un psychopathe ?” La réponse, hier et aujourd’hui, reste la même : aucune. »


Par John et Nisha Whitehead

L’empire des mensonges s’effondre : des vérités laides que l’État profond veut garder cachées !

« Le monde est un endroit dangereux, non à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et ne font rien. »

Albert Einstein

L’Amérique s’effondre ! Cette rupture déclenchée par la politique polarisante du cirque, l’hystérie de masse alimentée par les médias, le racisme, le classisme, le fascisme, la peur, le politiquement correct, l’assainissement culturel, la signalisation de la vertu, un sentiment de désespoir et d’impuissance face à la corruption et à la brutalité croissantes du gouvernement, une fracture économique croissante qui fait qu’une grande partie de la population a du mal à s’en sortir, et la militarisation et le « militainment » (la vente de la guerre et de la violence comme divertissement) – se manifeste dans la folie, le chaos et un mépris total pour les principes et les libertés mêmes qui ont gardé nous sortir des griffes du totalitarisme depuis si longtemps.

À New York, par exemple, une statue vieille de 200 ans de Thomas Jefferson tenant la Déclaration d’indépendance sera retirée de la salle du conseil municipal où il préside depuis 1915. Malgré les nombreuses réalisations importantes de Jefferson, sans lesquelles nous n’aurions peut-être pas les droits que nous faisons aujourd’hui, il sera banni pour avoir été, comme beaucoup de ses jours, un propriétaire d’esclaves. Curieusement, cette même attente brutale d’infaillibilité n’a pas encore été appliquée à de nombreux autres modèles de rôle politiquement corrects mais tout aussi imparfaits et faillibles de l’époque.

À Washington, DC, un tribunal de neuf hommes et femmes a parlé d’une seule voix pour affirmer que le gouvernement et ses hommes de main peuvent littéralement s’en tirer avec un meurtre et ne pas être tenus responsables de leurs actes répréhensibles. Les derniers arrêts de la Cour suprême sont une autre douloureuse leçon de conformité, un rappel que dans l’État policier américain, « nous, le peuple » sommes à la merci des forces de l’ordre qui ont un pouvoir discrétionnaire presque absolu pour décider qui est une menace, ce qui constitue une résistance, et à quel point ils peuvent traiter durement les citoyens qu’ils ont été nommés pour « servir et protéger ».

Partout dans le pays, de la Californie au Connecticut et à chaque point intermédiaire, des hommes et des femmes qui ont travaillé fidèlement et avec diligence à leur travail pendant des années sont licenciés pour avoir osé croire qu’ils ont droit à l’intégrité physique ; qu’ils ne devraient pas être contraints, contre leur conscience ou un meilleur jugement, de choisir entre la liberté individuelle et la survie économique ; et qu’ils — et non le gouvernement, ou la FDA, ou le CDC, ou l’État corporatif — ont la domination sur leurs corps. Assez commodément, cette pandémie de COVID-19 a créé un autre double standard dans la façon dont « Nous, le peuple » naviguons dans ce pays : alors que « nous, les classes moyennes » sommes soumis à des mandats de vaccination et se voient refuser même le droit d’être sceptique quant aux origines du virus COVID, sans parler de l’efficacité du soi-disant remède, le gouvernement, à l’abri de toute responsabilité grâce à des lois générales sur l’immunité qui garantissent que nous ne sommes guère plus que des cobayes pour leurs expériences douteuses.

Et puis en Pennsylvanie, un homme voyageant dans un train de banlieue a harcelé, agressé puis violé une femme pendant 40 minutes et plus de deux douzaines d’arrêts de train alors que d’autres voyageurs, regardant et filmant l’attaque, ne faisaient rien. Pas un seul témoin n’a appelé le 911. Pas un seul passant n’est intervenu pour aider la femme. Malgré le fait que l’homme était en infériorité numérique et aurait pu être dépassé par les passagers du train, aucun effort collectif n’a été fait pour parer à l’attaque. Ce n’est que lorsqu’il était trop tard, lorsque les dégâts avaient été causés et que le train avait atteint son dernier arrêt, que la police s’est présentée pour intervenir. Il y a ici une allégorie de ce qui arrive à notre pays et à ses citoyens, qui ont également été attaqués par un fou (l’État Profond), dépouillés de leurs filets de sécurité (leurs droits sapés et érodés) et sauvagement un démon (l’État policier américain et ses nombreux agents — les tribunaux, les législatures et leurs diverses armées) qui est dépourvu d’humanité tandis que ceux qui ne sont pas dans le collimateur immédiat regardent en toute sécurité à distance sans faire un geste pour aider. C’est de la folie, mais il y a une méthode à cette folie. C’est ainsi que la liberté tombe et que la tyrannie monte. N’oubliez pas que les régimes autoritaires commencent par des étapes progressives : surcriminalisation, surveillance de citoyens innocents, emprisonnement pour crimes non violents – sans victime, etc. Petit à petit, les citoyens voient leurs libertés restreintes et sapées au nom de la sécurité nationale. Et lentement, la population commence à se soumettre. Personne ne défend les personnes ciblées. Personne ne résiste à ces actes mineurs d’oppression. Personne ne reconnaît l’endoctrinement à la tyrannie pour ce qu’il est.

Historiquement, cet échec à dire la vérité au pouvoir a conditionné des populations entières à tolérer une cruauté tacite envers leurs semblables, un syndrome du spectateur dans lequel les gens restent silencieux et désengagés — de simples spectateurs — face aux horreurs abjectes et à l’injustice. Le temps nous a isolés de la violence perpétrée par les régimes passés dans leur quête du pouvoir : la crucifixion et le massacre d’innocents par les Romains, la torture de l’Inquisition, les atrocités des nazis, la boucherie des fascistes, l’effusion de sang par les communistes , et les machines de guerre à sang froid gérées par le complexe militaro-industriel. Nous pouvons nous dissocier d’une telle violence. Nous pouvons nous convaincre que nous sommes en quelque sorte différents des victimes d’abus du gouvernement. Nous pouvons continuer à débiter une rhétorique politique creuse sur la grandeur de l’Amérique, malgré les preuves du contraire. Déclarez votre Souveraineté ! Profitez en dehors du système truqué ! Protégez-vous de la tyrannie et de l’effondrement économique. Apprenez à vivre libre et répandez la paix ! Nous pouvons éviter la responsabilité de tenir le gouvernement responsable.

Service de drainage du marais par Trump face à l’État profond (CIA, NSA…)

Nous pouvons fermer nos bouches, lier nos mains et fermer nos yeux. En d’autres termes, nous pouvons continuer à exister dans un état de déni. Pourtant, on ne peut nier les vérités laides et dures qui deviennent plus évidentes chaque jour qui passe. Le gouvernement n’est pas notre ami. Cela ne fonctionne pas non plus pour « Nous, le peuple ». Nos soi-disant représentants du gouvernement ne nous représentent pas réellement, nous, les citoyens. Nous sommes maintenant gouvernés par une élite oligarchique d’intérêts gouvernementaux et corporatifs dont l’intérêt principal est de perpétuer le pouvoir et le contrôle. Les républicains et les démocrates aiment agir comme s’il y avait une énorme différence entre eux et leurs politiques. Cependant, ils ne sont pas tant des ennemis jurés que des complices, unis dans un objectif commun, celui de maintenir le statu quo . Le moindre de deux maux reste le mal. Il y a quelques années, un titre de journal posait la question : « Quelle est la différence entre un politicien et un psychopathe ? » La réponse, hier et aujourd’hui, reste la même : aucune. Il n’y a pratiquement aucune différence entre les psychopathes et les politiciens.

Plus que le terrorisme, plus que l’extrémisme domestique, plus que la violence armée et le crime organisé, le gouvernement américain est devenu une menace plus grande pour la vie, la liberté et les biens de ses citoyens que n’importe lequel des soi-disant dangers contre lesquels le gouvernement prétend protéger nous Le gouvernement sait exactement sur quels boutons appuyer pour manipuler la population et obtenir la coopération et la conformité du public. Si le vote faisait une différence, ils ne nous laisseraient pas le faire. Le gouvernement fantôme des États-Unis — qui est composé de bureaucrates gouvernementaux non élus, d’entreprises, d’entrepreneurs, de pousse-papiers et de boutons-poussoirs qui prennent actuellement la tête dans les coulisses et opèrent au-delà de la portée de la Constitution sans véritable responsabilité envers les citoyens — est la vraie raison pour laquelle « nous, le peuple » n’avons aucun contrôle sur notre gouvernement. Vous n’avez plus besoin d’être pauvre, noir ou coupable pour être traité comme un criminel en Amérique. Tout ce qu’il faut, c’est que vous apparteniez à la classe suspecte, c’est-à-dire les citoyens, de l’État policier américain. En tant que membre de facto de cette soi-disant classe criminelle, chaque citoyen américain est désormais coupable jusqu’à ce que son innocence soit prouvée.

« Nous, le peuple » ne sommes plus protégés par la primauté du droit. En rognant progressivement nos libertés – liberté d’expression, de réunion, de procédure régulière, vie privée, etc. aucune déclaration des droits pour nous protéger du bras long du gouvernement. La propriété privée ne signifie rien si le gouvernement peut prendre votre maison, votre voiture ou votre argent sous le prétexte le plus fragile, qu’il s’agisse de plans de confiscation d’actifs, de domaine éminent ou d’impôts fonciers en souffrance. De même, la propriété privée signifie peu à un moment où les équipes SWAT et autres agents gouvernementaux peuvent envahir votre maison, enfoncer vos portes, tuer votre chien, vous blesser ou vous tuer, endommager votre mobilier et terroriser votre famille .

Nous nous trouvons maintenant pris dans la ligne de mire d’une confrontation entre les droits de l’individu et l’état dit « d’urgence », et « nous, le peuple », sommes en train de perdre. Toutes ces libertés que nous chérissons — celles inscrites dans la Constitution, celles qui affirment notre droit à la liberté d’expression et de réunion, à une procédure régulière, à la vie privée, à l’intégrité corporelle, le droit de ne pas laisser la police saisir nos biens sans mandat, ou de perquisitionner et nous détenir sans cause probable – cela ne vaut rien lorsque le gouvernement et ses agents sont autorisés à ignorer ces interdictions sur les excès du gouvernement à volonté. S’il y a une maxime absolue selon laquelle le gouvernement fédéral semble fonctionner, c’est que le contribuable américain se fait toujours arnaquer.

Nos libertés, en particulier le quatrième amendement, continuent d’être étouffées par l’opinion dominante parmi les bureaucrates du gouvernement selon laquelle ils ont le droit de fouiller, de saisir, de dépouiller, de scanner, d’espionner, de sonder, de palper, d’utiliser un pistolet Taser et d’arrêter n’importe quel individu à n’importe quel moment pour la moindre provocation. Vaccinations forcées, fouilles forcées des cavités, coloscopies forcées, prélèvements sanguins forcés, alcootests forcés, extractions forcées d’ADN, scans oculaires forcés, inclusion forcée dans les bases de données biométriques : ce ne sont là que quelques-unes des façons dont les Américains continuent de se rappeler que nous avons aucun contrôle sur ce qui arrive à notre corps lors d’une rencontre avec des représentants du gouvernement. Enfin, la liberté n’est jamais gratuite. Il y a toujours un prix, toujours un sacrifice, qu’il faut faire pour sauvegarder ses libertés.

Nous ne pouvons pas rester silencieux face aux excès continus du gouvernement, aux prises de pouvoir et aux crimes contre l’humanité. Le mal déguisé en bureaucratie est toujours le mal. En effet, c’est ce que Hannah Arendt appelait la banalité du mal. Comme je le précise dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, un tel mal se produit lorsque des bureaucrates (gouvernementaux et privés) exécutent sans poser de questions des ordres immoral et inhumain ; obéir à des instructions immorales sans réfléchir ; marchez au pas des tyrans ; perpétuer sans réfléchir des actes de terreur et d’inhumanité ; et justifiez tout simplement comme « faire son travail ». Un tel mal prévaut lorsque les hommes et les femmes de bien ne font rien. En ne faisant rien, en gardant le silence, en étant témoins de l’injustice, de la haine et des méfaits, les bonnes personnes deviennent aussi coupables que l’auteur. Il y a un terme pour ce phénomène où les gens se tiennent debout, regardent et ne font rien — même lorsqu’il n’y a aucun risque pour leur sécurité — pendant qu’un acte horrible a lieu (quelqu’un est agressé ou violé ou intimidé ou laissé mourir) : on l’appelle le spectateur effet. Cela fonctionne de la même manière, qu’il s’agisse d’enfants regardant des intimidateurs tourmenter un camarade de classe sur une aire de jeux, de passants regardant quelqu’un mourir sur un trottoir, de passagers d’un train filmant un compagnon de voyage se faire violer sans intervenir pour les aider, ou de citoyens gardant le silence dans le face aux atrocités gouvernementales. Nous devons cesser d’être des spectateurs silencieux. Il est temps de défendre la vérité, la justice, la liberté, pas seulement pour nous-mêmes, mais pour toute l’humanité. Demain ce sera trop tard !

À PROPOS DE JOHN W. WHITEHEAD

L’avocat constitutionnel et auteur John W. Whitehead est le fondateur et président du Rutherford Institute . Ses livres Battlefield America: The War on the American People et A Government of Wolves: The Emerging American Police State sont disponibles sur www.amazon.com . Il peut être contacté à johnw@rutherford.org . Nisha Whitehead est la directrice exécutive du Rutherford Institute. Des informations sur l’Institut Rutherford sont disponibles sur www.rutherford.org.

https://www.activistpost.com/2021/10/the-empire-of-lies-breaks-down-ugly-truths-the-deep-state-wants-to-keep-hidden.html




Vers l’abolition de vos droits fondamentaux

Par Thibaux de Santé Non Censurée

Chère lectrice, cher lecteur,

La semaine dernière, lors d’une conférence de presse1, les membres du Parlement européen ont tiré la sonnette d’alarme.

Selon eux, “les droits civiques sont de plus en plus restreints2” suite à la mise en place du pass sanitaire. Le Pass sanitaire : un puissant outil de discrimination. Confrontés, comme vous et moi, au besoin de montrer patte blanche pour accéder à leur lieu de travail, les membres du Parlement européen dressent un constat inquiétant :

“Les droits humains fondamentaux tels que les droits humains à la liberté individuelle, à l’emploi, l’égalité, l‘éducation, la santé, la libre expression de la pensée sont gravement violés. Et dans toute l’Europe, des protestations pacifiques sont violemment réprimées3.” 

Destiné à l’origine à faciliter la circulation au sein de l’Europe, le pass sanitaire s’est transformé en un puissant outil de discrimination.

Nos droits les plus élémentaires sont aujourd’hui devenus des privilèges accordés par l’État sous la forme d’un… QR code !

Jamais il n’avait été question de restreindre l’accès à un lieu ou à une activité aux personnes non vaccinées… et pourtant !

Ce que les pires complotistes imaginaient… nos Gouvernements élus démocratiquement sont en train de le faire ! Des confinements pour les non vaccinés. Il faut croire que les pays de l’Union Européenne n’ont pas compris le problème. 

Puisque quelques jours après cette conférence, voilà que le chancelier autrichien, Alexander Schallenberg, annonce la potentielle mise en place d’un confinement pour les non vaccinés en cas de dégradation de la situation sanitaire actuelle4.

“Je ne permettrai pas que le système de santé soit surchargé parce qu’il y a encore trop d’hésitants et de procrastinateurs qui ne peuvent se résoudre au vaccin5.” assène-t-il. 

Donc faire un choix libre et éclairé concernant sa santé personnelle, ce qui, rappelons-le, est le droit le plus strict des citoyens, c’est faire preuve de procrastination ?

En Russie, de nouvelles mesures drastiques ont d’ores et déjà été prises dans ce sens. 

Les autorités ont ordonné un confinement pour “tous les plus de 60 ans non vaccinés” et ce pendant 4 mois6 ! 

Idem en Colombie, où une municipalité a imposé un confinement obligatoire sous peine d’amende à ses habitants “récalcitrants”7. Vite, ma 3ème dose… En France, la situation n’est pas plus rose pour les anti-pass (abusivement traités “d’anti-vax” par les médias).

Si un confinement n’est pas à l’ordre du jour, les employés non vaccinés sont la première cible de la dictature sanitaire, mettant à mal le droit à l’emploi. Pour rappel :

“Si un professionnel soumis au pass sanitaire ou à la vaccination obligatoire ne respecte pas cette règle, il ne sera pas forcément licencié, mais ne pourra toucher ni son salaire, ni d’indemnité chômage8.”

Tels étaient les mots de la ministre française du Travail et de l’Emploi, Elisabeth Borne, en août dernier.

En résumé, l’employé ne perd pas son emploi, mais ne touche pas un centime et se retrouve à la rue s’il ne suit pas la norme sanitaire. 

Je ne sais pas vous, mais moi j’appelle cela de l’asservissement par la contrainte.

En octobre, cette même ministre annonçait ne pas “exclure la perte du pass sanitaire pour ceux qui refuseraient la 3e dose9.”Fini la marelle à l’école sans QR code. Pire encore, les discriminations se propagent également dans les collèges et les lycées ! 

Les jeunes non vaccinés décelés cas contact sont “évincés” (dixit le Ministre de l’Éducation) pendant 7 jours, contrairement à leurs camarades vaccinés ou immunisés10.

Comble de l’absurde, cette mesure est également en vigueur pour les sixièmes, qui n’ont pourtant pas tous 12 ans et ne sont donc pas éligibles pour le vaccin11.

Et le tout sans assurance que l’enfant contraint de rester à domicile puisse continuer à suivre les cours.

C’est une véritable atteinte au droit à l’éducation !

Et dire que tout ceci part du postulat erroné que les non vaccinés sont les uniques porteurs du virus. NON !

Les personnes vaccinées peuvent toujours être porteuses du virus, elles peuvent toujours être malades ! Le vaccin n’assure qu’une potentielle protection, mais celle-ci n’est pas infaillible… sans parler des effets secondaires.

Pourtant… “Les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés12”. Encore tout récemment, un rapport de surveillance de l’Agence de santé publique britannique a illustré que désormais, “les personnes vaccinées sont testées positives à un taux plus important que les non vaccinés, et ceci pour toutes les tranches d’âge à partir de 30-39 ans13.”

Ce qui est parfaitement normal dans une population majoritairement vaccinée et prouve bien que le vaccin n’empêche pas une contamination.

Alors pourquoi, partout dans le monde, observe-t-on de telles discriminations ?

Quels autres droits fondamentaux allons-nous voir disparaître au nom de la “santé publique” ?

Prenez soin de vous,

Thibaud de Santé Non Censurée

P.S. : Je viens d’apprendre dans le journal Libération que l’hôpital est à nouveau en “surchauffe”. Apparemment 20 % des lits d’hôpitaux seraient fermés faute de soignants14. Un chiffre nié par le Ministre Olivier Véran15, bien qu’il convienne d’un absentéisme inhabituel lié à une augmentation des démissions et de l’épuisement du personnel (rien à voir bien sûr avec les soignants suspendus parce qu’ils ne veulent pas du vaccin…). Comme en 2020, l’histoire se répète : face à la surcharge d’hospitalisation, les hôpitaux craquent de toutes parts et la seule solution viable que nous présente le gouvernement est de vacciner à tour de bras, sinon gare au reconfinement !! Je prépare activement un projet de résistance à ce choix infâme. Je vous en parle très vite.

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Sources

https://www.youtube.com/watch?v=MuVguEJA-tU
idem
idem
https://www.lematin.ch/story/lautriche-envisage-de-confiner-les-non-vaccines-746575434886
idem
https://www.capital.fr/economie-politique/face-au-boom-du-covid-19-en-russie-4-mois-de-confinement-a-moscou-pour-les-seniors-non-vaccines-1417681
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_confinement-pour-les-non-vaccines-dans-une-ville-de-colombie-objectif-atteint-aux-etats-unis-le-point-sur-la-pandemie-de-coronavirus-dans-le-monde?id=10816979
https://www.capital.fr/votre-carriere/pass-sanitaire-un-salarie-suspendu-ne-touchera-pas-dallocation-chomage-1411587
https://www.europe1.fr/politique/borne-nexclut-pas-la-perte-du-pass-sanitaire-pour-ceux-qui-refuseraient-la-3e-dose-4071491
10 https://www.liberation.fr/societe/education/aux-colleges-et-lycees-on-aboutit-a-une-discrimination-des-eleves-par-rapport-a-leur-statut-vaccinal-20210902_PNP2OFXGKJECDDL7ODO4VBFC3U/
11 https://www.midilibre.fr/2021/07/29/nouveau-protocole-sanitaire-dans-les-colleges-quelles-regles-pour-les-moins-de-12-ans-non-soumis-a-la-vaccination-9701179.php
12 https://www.lefigaro.fr/sciences/les-personnes-vaccinees-ont-elles-plus-de-risque-d-etre-contaminees-que-les-autres-20211020
13 idem
14 https://www.leparisien.fr/societe/sante/hopital-public-un-lit-sur-cinq-ferme-dans-le-public-faute-de-soignants-selon-une-etude-menee-par-jean-francois-delfraissy-27-10-2021-HPUOXBFRZRDH5OLIAVN36KBMXM.php
15 https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/olivier-v%C3%A9ran-met-en-doute-le-chiffre-de-20-de-lits-ferm%C3%A9s-dans-les-h%C3%B4pitaux/ar-AAQ1GU5




La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)

Par Arthur Firstenberg

Auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]

Il n’y a pas de réponse à la dose pour le rayonnement des micro-ondes

La vente des téléphones portables est, et a toujours été, basée sur des mensonges et des tromperies. Le plus gros mensonge est que ce sont des appareils de « faible puissance » et que cela les rend sûrs. C’est un double mensonge. C’est un mensonge parce qu’ils ne sont pas de faible puissance. Si vous mettez un téléphone portable — n’importe lequel — dans votre main ou à côté de votre corps, vous êtes bombardé par plus de micro-ondes provenant de votre téléphone que vous n’en recevez de n’importe quelle tour de téléphonie cellulaire, et par dix milliards de fois plus de micro-ondes que vous en recevez du soleil, de la Voie lactée ou de toute autre source naturelle. Les directives d’exposition établies par la Federal Communications Commission reflètent cette réalité : les tours de téléphonie cellulaire sont autorisées à exposer votre corps à un taux d’absorption spécifique de 0,08 watt par kilogramme, tandis que les téléphones cellulaires sont autorisés à exposer votre cerveau à un taux d’absorption spécifique de 1,6 watt par kilogramme, soit vingt fois plus.

Et c’est un mensonge, car les appareils de faible puissance ne sont pas plus sûrs que les appareils de forte puissance. La raison en est que les champs électromagnétiques ne sont pas des toxines au sens ordinaire du terme, et que la règle de toxicologie selon laquelle une dose plus faible est une dose plus sûre ne s’applique pas aux micro-ondes. Comme l’a écrit Allan Frey en 1990 :

« Les champs électromagnétiques ne sont pas une substance étrangère aux êtres vivants comme le plomb ou le cyanure. Avec les substances étrangères, plus la dose est grande, plus l’effet est grand – une relation dose-réponse. Les êtres vivants sont plutôt des systèmes électrochimiques qui utilisent les CEM de basse fréquence dans tous les domaines, du repliement des protéines au fonctionnement du système nerveux, en passant par la communication cellulaire. Pour modéliser la façon dont les CEM affectent les êtres vivants, on peut les comparer à la radio que nous utilisons pour écouter de la musique… Si l’on impose à la radio un CEM ou une harmonique convenablement accordée, même s’il est très faible, il perturbera la musique. De même, si nous imposons un signal CEM très faible à un être vivant, il a la possibilité d’interférer avec une fonction normale s’il est correctement accordé. C’est le modèle que de nombreuses données et théories biologiques nous disent d’utiliser, et non un modèle toxicologique. »

L’étude la plus approfondie de l’effet de la barrière hématoencéphalique, découvert par Frey en 1975, a été menée à l’université de Lund, en Suède, à partir de la fin des années 1980, avec diverses sources de rayonnement micro-ondes et, plus tard, dans les années 1990 et 2000, avec de véritables téléphones portables. Ils ont découvert que non seulement il n’y a pas de relation dose-réponse, mais qu’il existe une relation dose-réponse inverse pour ce type de lésion. Ils ont exposé des rats de laboratoire à ce qu’on appelle aujourd’hui le rayonnement des téléphones cellulaires 2G, puis ils ont réduit le niveau de puissance du rayonnement de dix fois, cent fois, mille fois et dix mille fois. Et ils ont constaté, à leur grande surprise, que les dommages les plus importants à la barrière hématoencéphalique ne se produisaient pas chez les rats exposés à la puissance maximale, mais chez les rats exposés à des téléphones dont le rayonnement avait été réduit par un facteur de dix mille ! Cela équivaut à tenir un téléphone portable à plus d’un mètre de distance de son corps. Le chef de l’équipe de recherche, le neurochirurgien Leif Salford, a averti que les non-utilisateurs de téléphones cellulaires subissaient les dommages causés par les téléphones cellulaires de leurs voisins, et que cette technologie était « la plus grande expérience biologique jamais réalisée dans le monde. »

Dans une autre série d’expériences, publiée en 2003, l’équipe de Salford a exposé de jeunes rats à ce qu’on appelle aujourd’hui un téléphone cellulaire 2G, une seule fois pendant deux heures, soit à pleine puissance, soit à deux niveaux différents de puissance réduite, et les a sacrifiés 50 jours plus tard pour examiner leur cerveau. Ils ont constaté qu’une seule exposition à un téléphone cellulaire ordinaire fonctionnant à la puissance normale avait détruit de façon permanente jusqu’à 2 % de presque tous les rats. Les neurones endommagés dominaient l’image dans certaines zones de leur cerveau. Lorsque la puissance du téléphone a été divisée par dix, elle a provoqué des lésions cérébrales chez tous les rats. Lorsque la puissance du téléphone a été divisée par cent, ce type de lésions cérébrales permanentes a été observé chez la moitié des animaux exposés.

Dans des expériences encore plus poussées, publiées en 2008, les chercheurs ont exposé des rats à un téléphone portable pendant deux heures une fois par semaine pendant un an, en utilisant toujours ce qu’on appelle aujourd’hui un téléphone portable 2G. Les rats exposés souffraient de troubles de la mémoire, qu’ils aient été exposés à un niveau de DAS de 60 milliwatts par kilogramme ou de 0,6 milliwatt par kilogramme. En d’autres termes, la réduction du niveau de puissance par un facteur de cent n’a pas rendu le téléphone portable moins dangereux.

L’absence de relation dose-effet a été signalée à maintes reprises. Le physicien Carl Blackman a passé une grande partie de sa carrière à l’Agence pour la protection de l’environnement à déterminer pourquoi non seulement des fréquences particulières, mais aussi des niveaux de puissance particuliers des rayonnements de radiofréquences provoquent l’écoulement du calcium hors des cellules du cerveau. Ross Adey, de l’UCLA, Jean-Louis Schwartz, du Conseil national de recherches du Canada, et Jitendra Behari, de l’université Jawaharlal en Inde, ont fait le même constat. Le généticien Sisir Dutta, qui a étudié le même phénomène à l’université Howard en 1986, a constaté des pics de flux de calcium à des niveaux de DAS de 2 W/kg et 1 W/kg, ainsi qu’à 0,05, 0,002 8, 0,001, 0,000 7 et 0,000 5 W/kg, avec un certain effet jusqu’à 0,000 1 W/kg. L’effet à 0,000 7 W/kg de DAS était quadruple de l’effet à 2,0 W/kg, en d’autres termes, une réduction de 3 000 fois du niveau de puissance a entraîné une augmentation de 4 fois de la perturbation calcique. La fréquence était de 915 MHz, la même que celle qui sera utilisée plus tard pour les téléphones portables.

Dans les années 1960 et 1970, Maria Sadchikova et ses collègues soviétiques ont examiné des centaines de travailleurs exposés à des micro-ondes sur leur lieu de travail et ont systématiquement constaté que les travailleurs les plus malades étaient ceux qui étaient exposés aux niveaux de puissance les plus faibles et non les plus élevés.

Igor Belyaev, de l’université de Stockholm, a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec le niveau de puissance sur 16 ordres de grandeur, jusqu’à 0,000 000 000 000 000 001 watt par centimètre carré, un niveau qui est un quadrillion de fois inférieur à ce qu’un téléphone portable envoie au cerveau.

Dimitris Panagopoulos, de l’université d’Athènes, a constaté que les mouches des fruits exposées à un téléphone portable pendant une minute par jour pendant cinq jours avaient une progéniture 36 % moins nombreuse que les mouches qui n’étaient pas exposées du tout. Lorsqu’il les a exposées au téléphone pendant six minutes par jour pendant cinq jours, le nombre de leur progéniture a diminué de 50 à 60 %. Et l’effet maximal s’est produit lorsque le téléphone cellulaire se trouvait à environ 30 cm des mouches, et non lorsqu’il touchait la fiole dans laquelle se trouvaient les mouches. Dans des recherches plus poussées, il a montré que l’effet était dû aux dommages causés à l’ADN et à la mort consécutive des cellules par le rayonnement.

Dans une autre expérience, le collègue de Panagopoulos, Lukas Margaritis, a exposé des mouches à fruits à diverses fréquences de rayonnement RF à des niveaux d’exposition allant de 0,000 1 watt par kilogramme à 0,04 watt par kilogramme, et a constaté que même une seule exposition à l’une de ces fréquences, à l’un de ces niveaux de puissance, pendant seulement 6 minutes, entraînait la mort d’un nombre important de cellules ovariennes.

Dans le cadre d’une autre étude, l’équipe de Margaritis a exposé des mouches à fruits à un téléphone portable pendant 6 minutes, 12 minutes, 6 minutes par jour pendant 3 jours ou 12 minutes par jour pendant 3 jours. Dans chaque cas, le téléphone a triplé ou sextuplé le nombre de cellules ovariennes mortes. L’équipe a ensuite testé d’autres sources de micro-ondes pendant 10 à 30 minutes par jour, pendant 9 jours au maximum, et a constaté que chacune d’entre elles réduisait le nombre de descendants de 11 à 32 %. Le téléphone cellulaire et le téléphone sans fil ont eu l’effet le plus important, mais le WiFi, le babyphone, le Bluetooth et le four à micro-ondes ont également réduit considérablement la fécondité des mouches.

Les effets sur les insectes sont si évidents que même un lycéen peut facilement les démontrer. En 2004, Alexander Chan, élève de deuxième année au lycée Benjamin Cardozo de Queens (New York), a exposé quotidiennement des larves de drosophiles à un haut-parleur, un écran d’ordinateur et un téléphone portable dans le cadre d’un projet scientifique et a observé leur développement. Les mouches qui ont été exposées au téléphone portable n’ont pas développé d’ailes.

Que faisons-nous à la nature ?

Nous perturbons et désorientons non seulement les oiseaux, mais aussi, comme on le découvre actuellement, les insectes. Il semble que toutes les petites créatures dotées d’antennes les utilisent pour envoyer et recevoir des communications électroniques — des communications qui sont perturbées et noyées par les communications beaucoup plus puissantes de nos appareils sans fil.

Lorsque les abeilles domestiques exécutent leur danse de l’agitation pour s’informer mutuellement de l’emplacement des sources de nourriture, il ne s’agit pas seulement d’une danse visuelle, mais aussi d’une danse électromagnétique. Pendant la danse, elles génèrent des signaux électromagnétiques avec une fréquence de modulation comprise entre 180 et 250 Hz. Ils envoient également un autre type de signal, appelé signal « stop », d’une durée pouvant atteindre 100 millisecondes, à une fréquence de 320 Hz. Le signal d’arrêt est utilisé lorsque la colonie a déjà trop de nourriture, et il amène les danseurs à s’arrêter de danser et à quitter la piste. Uwe Greggers, de la Freie Universität Berlin, a découvert que les abeilles se mettent à marcher et à bouger activement leurs antennes en réponse à des champs électromagnétiques générés artificiellement qui imitent ces signaux naturels, même en l’absence de tout repère visuel ou auditif. Les abeilles dont il avait retiré les antennes ou qu’il avait enduites de cire ne répondaient pas à ces signaux.

La pollinisation dépend également de la communication électromagnétique — entre les abeilles et les fleurs. Les abeilles portent une charge positive sur leur corps du fait qu’elles volent dans le champ électrique atmosphérique global, tandis que les fleurs, étant reliées à la terre, portent une charge négative. Dominic Clarke, de l’université de Bristol, a prouvé que cela facilite non seulement le transfert du pollen des fleurs aux abeilles, mais aussi que les abeilles sentent et sont attirées non seulement par les couleurs des fleurs, mais aussi par les modèles distincts de leurs champs électriques. Le champ électrique d’une fleur diminue immédiatement après avoir été visitée par une abeille, et les autres abeilles « voient » cela et ne visitent que les fleurs dont le champ électrique est robuste. Alors que les abeilles mellifères voient les champs avec leurs antennes, les bourdons les voient plutôt avec les poils qui recouvrent leur corps et qui font d’eux des créatures si particulières, mais qui fonctionnent aussi comme une sorte d’antenne.

En 2007, le biologiste allemand Ulrich Warnke a publié une importante brochure en anglais et en allemand intitulée Bees, Birds and Mankind : Destroying Nature by “Elektrosmog” (Bienen, Vögel und Menschen : Die Zerstörung der Natur durch ‘Elektrosmog’). Il y rappelle qu’il n’y a que deux forces à longue portée — la gravité et l’électromagnétisme — qui façonnent tout dans l’univers, y compris nos corps, et que nous ignorons ce fait à nos risques et périls. L’électricité est le fondement de la vie, a-t-il averti, et « cette destruction du fondement de la vie a déjà anéanti à jamais de nombreuses espèces. » Nous ne pouvons pas immerger notre monde, a-t-il dit, dans une mer de rayonnements électromagnétiques jusqu’à 10 000 000 000 fois plus puissants que les rayonnements naturels avec lesquels nous avons évolué sans détruire toute la vie. Il a résumé les recherches que lui et d’autres ont effectuées sur les abeilles à miel. Il n’est pas étonnant, écrit Warnke, que les abeilles disparaissent partout dans le monde.

Elles ont commencé à disparaître à l’aube de l’ère de la radio. Sur la petite île située au large de la côte sud de l’Angleterre, où Guglielmo Marconi a envoyé la première transmission radio longue distance au monde en 1901, les abeilles ont commencé à disparaître. En 1906, l’île, qui accueillait alors la plus grande densité de transmissions radio au monde, était presque vide d’abeilles. Des milliers d’entre elles, incapables de voler, ont été retrouvées rampantes et mourantes sur le sol à l’extérieur de leurs ruches. Des abeilles saines importées du continent ont commencé à mourir dans la semaine suivant leur arrivée. Au cours des décennies suivantes, la maladie de l’île de Wight s’est répandue, en même temps que la radio, dans le reste de la Grande-Bretagne, ainsi qu’en Italie, en France, en Suisse, en Allemagne, au Brésil, en Australie, au Canada, en Afrique du Sud et aux États-Unis. Dans les années 1960 et 1970, son nom est devenu « maladie de la disparition ». Elle est devenue urgente à la fin des années 1990, avec la révolution du sans-fil, et est devenue une urgence mondiale en 2006, lorsqu’elle a été rebaptisée « syndrome d’effondrement des colonies ». Aujourd’hui, non seulement les abeilles domestiques, mais aussi toutes les abeilles sauvages sont en danger d’extinction.

Non seulement les amphibiens disparaissent, mais un grand nombre d’espèces d’amphibiens se sont déjà éteintes, même dans les régions les plus éloignées et les plus vierges du monde — vierges, bien sûr, à l’exception des tours de communication et des stations radars émettant des micro-ondes. Les amphibiens sont les plus vulnérables de toutes les catégories d’animaux de la planète aux rayonnements électromagnétiques, et leur nombre diminue et s’éteint depuis les années 1980. Lorsque j’ai étudié la question en 1996, toutes les espèces de grenouilles et de crapauds du parc national de Yosemite étaient en train de disparaître. Dans la réserve de la forêt nuageuse de Monteverde, au Costa Rica, le célèbre crapaud doré, très protégé, s’était éteint. Huit des treize espèces de grenouilles d’une réserve de forêt tropicale brésilienne avaient disparu. La célèbre grenouille gastro-intestinale d’Australie a disparu. Soixante-quinze espèces de grenouilles arlequin colorées qui ornaient autrefois les cours d’eau des régions tropicales de l’hémisphère occidental ont disparu. Aujourd’hui, plus de la moitié des espèces connues de grenouilles, salamandres et caeciliens (amphibiens ressemblant à des serpents), soit 4 300 espèces, ont disparu ou sont menacées d’extinction.

En 1996, lorsque les tours de téléphonie mobile ont envahi les régions reculées des États-Unis, des grenouilles mutantes ont commencé à apparaître par milliers dans les lacs, les cours d’eau et les forêts du Midwest américain. Leurs pattes déformées, leurs pattes supplémentaires, leurs yeux manquants, leurs yeux mal placés et autres erreurs génétiques effrayaient les écoliers en excursion.

En 2009, Alfonso Balmori, biologiste de la faune sauvage, a réalisé une expérience simple et évidente sur le balcon d’un appartement de Valladolid, en Espagne, non loin d’une antenne relais, une expérience qui a permis de prouver ce qui se passait : il a élevé des têtards dans deux réservoirs identiques, sauf qu’il a drapé sur l’un d’eux une fine couche de tissu tissé de fibres métalliques, qui laissait passer l’air et la lumière, mais empêchait les ondes radio. Les résultats ont choqué même Balmori : en l’espace de deux mois, 90 % des têtards dans le réservoir sans blindage étaient morts, contre seulement 4 % dans le réservoir blindé.

Des expériences similaires de blindage ont confirmé, à la pelle, ce qui arrive aux oiseaux et à nos forêts.

Des scientifiques de l’université d’Oldenburg, en Allemagne, ont été choqués de constater, à partir de 2004, que les oiseaux chanteurs migrateurs qu’ils avaient étudiés n’étaient plus capables de s’orienter vers le nord au printemps et vers le sud-ouest en automne. Soupçonnant que la pollution électromagnétique pouvait en être responsable, ils ont fait pour leurs oiseaux ce que Balmori a fait pour ses têtards quelques années plus tard : ils ont protégé la volière des ondes radio pendant l’hiver avec des feuilles d’aluminium. « L’effet sur les capacités d’orientation des oiseaux a été profond », ont écrit les scientifiques. Au printemps suivant, les oiseaux se sont tous orientés vers le nord.

En 2007, dans un laboratoire d’arrière-cour situé au pied des montagnes Rocheuses du Colorado, Katie Haggerty a décidé de réaliser la même expérience avec des plants de tremble. Elle voulait savoir si les ondes radio étaient responsables du déclin des trembles dans tout le Colorado, qui avait commencé en 2004. Elle a fait pousser 27 peupliers : neuf sans aucun écran, neuf avec un écran de fenêtre en aluminium autour de leurs pots qui empêchait les ondes radio, et neuf avec un écran en fibre de verre qui empêchait autant de lumière, mais laissait entrer toutes les ondes radio. Deux mois plus tard, les nouvelles pousses des trembles protégés par un écran radio étaient 74 % plus longues et leurs feuilles 60 % plus grandes que celles des trembles protégés par un écran factice ou sans écran. Et à l’automne, les arbres protégés avaient de grandes feuilles saines aux couleurs d’automne brillantes pour lesquelles les trembles sont célèbres : orange vif, jaune, vert, rouge foncé et noir. Les arbres sans bouclier et avec bouclier factice avaient de petites feuilles d’un jaune et d’un vert ternes, couvertes de zones grises et brunes de pourriture. La seule chose qui avait changé dans les montagnes Rocheuses du Colorado en 2004 était l’installation d’un nouveau système de communication d’urgence appelé Digital Trunked Radio System, composé de 203 tours radio dont les transmissions couvraient chaque centimètre carré de l’État.

(à suivre) 




Le nouveau monde orwellien, basé sur le contrôle et la surveillance

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Sonja van den Ende − Source OneWorld Press

J’ai déjà beaucoup écrit à ce sujet, nous le voyons progresser, mais uniquement dans le monde dit développé. Une société dystopique, vouée en fin de compte à l’échec. Un monde de surveillance, de dictature sanitaire, de QR-codes, de paiements électroniques, invivable pour la plupart des gens, qui ressemble aux anciens systèmes comme le fascisme ou le communisme totalitaire, simplement paré de nouveaux atours. On peut désigner ce monde comme technocratique, et fondé sur un système totalitaire à base d’Intelligence Artificielle. Reste que l’histoire nous a enseigné que tous les systèmes et idéologies qui sont devenus totalitaires ont échoué.

Les preuves affluent pour illustrer la nouvelle société dystopique, sur la vague de la soi-disant pandémie. J’aurais tendance à la considérer comme un nouveau système dictatorial et technocrate, et sanitaire également, mis en place dans de nombreuses régions du monde. Les tests de ce nouveau système mondial, intégrant un composant de crédit social, ont été menés en Afrique pour mettre en place ce système de crédit social, sur la base d’une pandémie, avec la coopération du GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, et en coopération avec le Forum Économique Mondial. Non sans ironie, ils l’ont baptisé « passe pour le bien-être », attention Afrique, on va voir le niveau d’utopie que vous allez atteindre! Comme chacun le sait désormais (j’espère sincèrement que nombre d’entre nous se sont enfin éveillés), il ne s’est jamais agi d’un virus. Il s’agit d’une problématique de contrôle, de villes connectées, de véhicules électriques, où l’Afrique va de nouveau se trouver exploitée pour le Lithium, ainsi que l’Afghanistan ; c’est la raison pour laquelle l’occident a dû quitter ce pays, un conflit géopolitique est en cours, avec pour enjeu non pas l’Afghanistan comme territoire, et encore moins son peuple, mais son lithium. Build Back Better, ainsi que la dépopulation du monde, choses en lesquelles Bill Gates et son père sont des experts, sont autant de composantes de ce nouveau monde dystopique.

Même l’Église Catholique trempe dans cette grande expérience, bien entendu en Afrique depuis de nombreuses années, mais également en Occident, après des années d’abus commis sur des enfants et de scandales pédophiles, ils ne font que poursuivre leurs politiques non-chrétiennes. Il ne faut pas oublier que l’Église Catholique est une excroissance de l’Empire romain, ou de ce que nombre de personnes appellent de nos jours l’Empire britannique ; c’est fondamentalement la même chose : l’idéologie unipolaire occidentale, et le colonialisme dans tous leurs excès. Donc, l’Église Catholique est impliquée dans ce nouveau monde dystopique, car elle possède beaucoup de richesses, et dispose de son propre État, le Vatican. L’Église protestante ne jouit pas de cette position et est désormais vue comme « ennemie » de l’État, surtout aux Pays-Bas. Le gouvernement hollandais vient d’entamer l’« approche douce » pour persécuter les Protestants, un sentiment de déjà-vu se fait sentir, qui rappelle l’époque des Huguenots. Ce sont bien les descendants des Huguenots qui vont subir le même sort, mais cette fois-ci dans les pays qu’ils avaient élus domicile il y a des siècles, pour y mener une vie de liberté, en jouissant de la tolérance des peuples. Aux Pays-Bas, ces Protestants vont être contraints à rester confinés, car nombre d’entre eux, pour des raisons religieuses, refusent de se laisser vacciner. Le gouvernement hollandais a également lancé un projet de recherche (en partenariat avec des organisations) pour établir si l’Église protestante fut impliquée dans l’esclavage aux Indes néerlandaises orientales. Bien évidemment que oui, c’est l’ensemble de la société qui l’était à l’époque, mais les plus grands criminels, et cela n’a pas changé, étaient l’élite, la famille royale hollandaise, qui feignent d’être chrétiens, mais leur religiosité n’est qu’un spectacle, joué pour duper le citoyen ignorant.

Le parlement hollandais a rejeté une motion qui avait été introduite par plusieurs partis, y compris le Forum for Democracy (FVD), qui énonçait le refus d’un système de crédit social aux Pays-Bas. Le gouvernement peut désormais introduire le système de crédit social, qui a déjà été lancé, bien entendu, avec le soi-disant passe Corona à QR-code. La prochaine étape sera le niveau d’émission en CO2, et la mesure de la quantité de viande consommée, pour en arriver à une censure de l’Internet, avec l’introduction d’un passe digital pour accéder à internet. Le système de crédit social de l’union européenne sera bien pire que l’expérience menée en Chine, qui n’a été menée que dans quelques villes. Le système de crédit social de l’UE vise à un contrôle absolu de votre corps, de votre comportement, de votre vie privée et en fin de compte de votre vie physique. Si vous ne vous soumettez pas, il n’y aura ni pitié ni recours, votre vie sera celle d’un marginal, sans aucun des avantages que vous vous êtes habitué à connaître. Préparez-vous.

Dans d’autres régions du monde occidental, comme en Australie, la société dystopique est d’ores-et-déjà une réalité. L’Australie a par le passé, et continue en ce moment, en tant que membre de l’Empire britannique, et sous influence des États-Unis, à préparer un conflit contre la Chine. L’Australie est le pays occidental le plus proche de la Chine, et nous connaissons tous son nouvel « AUKUS », présenté comme un nouveau pacte de sécurité entre le Royaume-Uni, les États-Unis et l’Australie ; c’est une tentative de contrer la Chine. Pour se préparer et doubler la Chine, ils ont déjà lancé leur système de crédit social draconien, et pire encore, leur État de surveillance constitue déjà une réalité. Des rapports alarmants pointent du doigt ce pays, qui fut jadis appelé terre des hommes libres, et qui constitue désormais le pays le plus répressif du monde occidental. Vous vous demandez ce que font Amnesty International ou les Droits de l’Homme? Bien évidemment qu’ils ne vont pas en parler, ils ne sont qu’un outil dans la main du même monde occidental, et ils ne parlent que des pays non-soumis, comme la Russie, la Syrie, ou bien les pays sous-développés. Mais l’Australie a toujours été un pays « raciste », basé sur le principe du meurtre des Aborigènes, et l’envoi des criminels sur la terre conquise. Le Canada en est un autre exemple, d’une manière différente de l’Australie, mais avec la même idéologie sous-jacente. Bien sûr, le pays le pire du monde est la soi-disant démocratie d’Israël, où la vie est un « enfer » pour la plupart des citoyens. C’était déjà le cas pour les Palestiniens, c’est en train de le devenir également pour les Juifs orthodoxes.

CONCLUSION

J’aimerais produire une conclusion, mais pouvons-nous en établir une? Je ne crois pas, le monde que nous connaissons désormais est instable, bourré de conflits et ultra-polarisé, avec de nombreux différends géopolitiques. Je crains que nous soyons revenus, comme les rugissantes années vingt du siècle passé, qui avaient débouché sur les terribles années trente, au chômage, à l’introduction (par la force) d’un nouveau système, conçu par les élites du monde occidental. Ce monde semble à présent mûr pour un conflit, et très probablement la guerre, par une guerre comme la seconde guerre mondiale, mais une guerre différente, une guerre biologique (nous en subissons peut-être déjà les effets), un agenda de dépopulation, mis en œuvre par les vaccinations et l’introduction de l’intelligence artificielle. L’eugénisme (qui n’est pas une nouveauté) est nécessaire aux yeux de l’élite, comme au cours des deux guerres mondiales, où l’eugénisme fut produit par la mort des soldats sur les champs de bataille, et bien sûr l’holocauste. À présent, à en croire la même élite, il y a trop de bouches à nourrir, et pas de travail (intelligence artificielle), et bien évidemment l’élite n’a aucune intention de partager ses richesses avec les pauvres. Les heures sombres de l’histoire de l’humanité sont de retour.

Sonja van den Ende

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone




« Panique aux USA. Les gens ne veulent plus travailler ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Insolentiae]

Par Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

C’est un article des Echos.fr ici qui revient sur un mouvement qui panique aux Etats-Unis. Bon cela ne panique pas tout le monde. Disons que cela panique le patronat américain.

La « Grande Démission », le mouvement qui inquiète aux Etats-Unis

Voilà ce qui fait peur aux Etats-Unis.

En effet :

« 5 millions de personnes sont sorties du marché du travail depuis le début de la pandémie, notamment grâce aux performances de la Bourse qui ont permis aux plus âgés d’anticiper leur départ en retraite. Conjuguée à la reprise et à la transformation des emplois, « The Great Resignation » dope les salaires et accélère aussi les démissions dans les emplois de services ».

Je ne sais pas si c’est une grande démission, car je crois que c’est plutôt une grande évasion !

Les gens sont de plus en plus nombreux à rejeter ce système économique devenu fou, cette pression psychologique d’un « management » devenu insupportable ou encore la vie en ville épouvantable.

En réalité que propose le système au sens large.

Je vous en fait un résumé.

Un boulot mal payé, qu’il faut exercer dans une ville bondée, où les loyers sont hors de prix. Il faut donc s’entasser loin, au mieux loin, de son travail, utiliser des transports en commun qui sont inconfortables tant on on est serré et compressé comme des sardines, pour aller faire un boulot sans grand intérêt où l’on se fait pourrir par un chef sous pression des chiffres, pour un reste à vivre minable. Lorsque le voisin tire la chasse d’eau il vous réveille.

Alors, oui.

C’est la grande évasion, car beaucoup commence à prendre conscience qu’une autre vie est possible, loin de la ville et de « l’intensité heureuse » comme le dit en novlangue notre ministre du logement.

Ce mouvement n’est pas propre aux Etats-Unis.

Il est mondial .

Parce que les méthodes de management sont mondiales.

Parce que la pression qui s’impose à nous est mondiale de New-York à Paris c’est la même.

Parce que les grandes villes mondialisées sont toutes devenues tellement chères qu’elles contribuent à la ruine des classes moyennes censées faire tourner la machine.

Parce qu’Internet et les outils de télétravail abolissent en grande partie la distance.

Parce que nous n’avons presque plus d’usines.

Parce que le système a tellement tiré sur la corde qu’elle a cassé.

Ce n’est pas une « grande démission », c’est encore plus grave que cela.

C’est une grande grève.

Ce sont les gens qui, naturellement, ne veulent plus jouer le jeu que le système veut leur imposer.

C’est une grande évasion, pour plus de liberté.

C’est en réalité une excellent nouvelle.

Peut-être mauvaise pour le patronat, mais en réalité une très bonne nouvelle.

Le système ne peut fonctionner que parce que nous en sommes ses esclaves volontairement soumis, croyants à une fiction imaginaire imposée.

Ne plus jouer est suffisant pour entraîner ce système dans la chute.

Ce mouvement est également profondément favorable à l’environnement car il s’accompagne d’une volonté de vivre autrement, plus simplement, de façon plus sobre pour être plus libre et moins aliéné par la nécessité de la consommation.

Vive la grande évasion. Vive la liberté.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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Pour écrire à ma femme helene@insolentiae.com

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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes »

(JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




L’intellectuel Noam Chomsky préconise la stratégie de l’Holodomor 2.0 : Affamer les non-vaccinés pour les soumettre

[Source : reseauinternational.net]

Par Chris Menahan.

« Comment pouvons-nous leur fournir de la nourriture ? Eh bien, c’est en fait leur problème ».

Dans une récente interview, l’intellectuel de gauche Noam Chomsky a approuvé la mise à l’écart de la société des personnes non vaccinées et le refus de leur fournir de la nourriture dans le cadre d’une stratégie néo-bolchévique de type Holodomor 2.0 visant à les affamer pour les soumettre.

« Ces personnes doivent être… elles devraient avoir la décence de se retirer de la communauté, si elles refusent de le faire, alors des mesures doivent être prises pour préserver la communauté vis-à-vis de ces personnes », a déclaré Chomsky à l’émission Primo Radical sur YouTube ce week-end. « Vient ensuite la question pratique que vous avez posée : comment pouvons-nous leur fournir de la nourriture ? Eh bien, c’est en fait leur problème ».

« Bien sûr, s’ils deviennent vraiment indigents, alors oui on doit intervenir avec des mesures pour assurer leur survie, tout comme on le fait avec les personnes en prison », a ajouté Chomsky.

source : https://www.informationliberation.com

traduit par Avic pour Réseau International




France — Une croix pour faire tomber le régime

Par Joseph Stroberg

Comme l’a brièvement mentionné Alexandra Henrion-Caude dans une vidéo récente (voir Alexandra Henrion-Caude : « Le temps de la manifestation est révolu »), les chaînes humaines présentent un meilleur potentiel démonstratif et de concrétisation que des manifestations.
Lorsque les êtres humains se tiennent par la main, ils échangent directement leurs énergies vitales, émotionnelles et même mentales et psychiques. Ils se mettent à l’unisson, vibrent sur une note unique, se trouvent en symbiose, leurs énergies tournées dans la même direction. Si leur intention commune a été suffisamment définie au départ, cela représente un bien plus grand potentiel de concrétisation de leur projet que par le biais de manifestations même lorsque ces dernières sont organisées à l’échelle du pays dans plusieurs centaines de villes.

Comme rappel historique, la France représente la Fille aînée de l’Église chrétienne et l’esprit chrétien l’a marquée dès le baptême de Clovis. Sur un plan occulte, elle est gardienne du christianisme. Comme il a été évoqué dans l’article La France revivra-t-elle?, la France ne retrouvera sa grandeur passée qu’en puisant dans ses racines. Le symbole de la croix christique est puissant par l’égrégore qui le soutient, par le sang des nombreux saints et martyrs qui ont donné leur vie dans ce pays et pour cette nation. En réalisant deux immenses chaînes humaines, l’une du nord au sud de la France (de Dunkerque à Perpignan) et l’autre d’ouest en est (entre Brest et Strasbourg), chaînes se croisant à Paris, la capitale intellectuelle et spirituelle du pays, les Français participants, à condition de le faire dans un esprit chrétien, seraient en mesure de faire tomber le régime et le Système dans son ensemble.

Note

En comptant approximativement 1200 kilomètres par croix, compte tenu du kilométrage routier non linéaire, et 1 mètre cinquante par individu, il faut réunir environ 800 000 Français par croix, et donc 1 600 000 au total.
Une telle double chaîne humaine en croix peut se réaliser sur une journée à partir notamment de toutes les villes et bourgades situées sur le parcours routier ou au voisinage (jusqu’à 50 ou 100 kilomètres éventuellement).




Dictature, démocratie et liberté d’expression

Par Alain Tortosa

[Illustration : dessin d’Hector]

Aucune censure en France ?!

Les autorités et les Gafa tentent de nous museler
pour notre « bien » et « protéger la démocratie ».

Une limite à l’expression d’opinions est-elle compatible avec la démocratie ?

J’imagine que ce débat est aussi vieux que la politique. Notons que dans le domaine de la dictature, certains ont plus le droit de cité que d’autres. Il n’existe pas un jour sans un documentaire sur Hitler et les nazis sur les chaînes spécialisées. En revanche, vous verrez très rarement des documents sur Staline et strictement jamais sur la dictature chinoise et Mao. Il faut dire qu’il serait bien étrange de parler de cette dictature chinoise alors même qu’elle est importée dans notre pays chaque jour un peu plus. Les médias français ne manquant pas d’éloges sur la gestion et le contrôle de l’épidémie par les autorités chinoises.

Je vais donc me rabattre sur Pinochet, un dictateur de droite qu’il nous est permis de détester.

Sous son règne, un opposant qui prenait la parole était censuré, emprisonné, potentiellement torturé puis exécuté. Nous occidentaux criions avec justesse devant l’horrible censure de la dictature (et la cruauté du régime). Quand un opposant exilé écrivait un pamphlet dans lequel il appelait à renverser le régime, celui-ci avait toutes les louanges des « bons » occidentaux démocrates que nous sommes et pouvait même être couronné d’un prix Nobel de la paix. Au point que nul n’était choqué par un appel au meurtre du dictateur ou tout du moins que l’auteur se réjouirait de le voir mort.

Transposez exactement le même discours par le même opposant dans notre grande « démocratie ». L’opinion publique, les médias et les politiques trouveront totalement légitime de censurer l’auteur d’un texte visant à renverser notre Président. Et imaginez s’il appelait au meurtre de celui-ci ou du fait de se réjouir s’il venait à mourir… Pensez-vous un seul instant qu’il pourrait échapper à la condamnation morale, au matraquage médiatique, au procès et à la prison ferme ?

Même texte, même auteur, mais lieu ou régime « différent »…

Faire taire cet opposant en pleine « dictature » serait donc de la censure et en ferait un prisonnier politique à nos yeux. En revanche le faire taire en « démocratie » serait de la légitime défense et viserait à protéger notre système et nos valeurs pour le « bien commun »…

Cela ne vous ébranle pas ? Cela ne vous ébranle pas qu’un réseau social puisse censurer un président des États-Unis en exercice, un président brésilien ou une députée de la République française pendant son mandat ? Cela ne vous ébranle pas que nos médias nationaux (et publics) s’acharnent sur eux et les traîne dans la boue alors même qu’ils sont démocratiquement élus ?

Alors qui décide si nous vivons en dictature ou en démocratie ?

Il suffit de l’écrire sur un papier à en-tête ? Rappelez-vous de la RDA, République Démocratique Allemande !

Connaissez-vous des dictatures joyeuses qui clament leur statut haut et fort ? Le fait est que seul le vainqueur décide du vocabulaire adéquat.

Durant la 2e guerre mondiale (et dans tous les pays dans lesquels il y a opposition politique et/ou guerre civile), celui qui provoquait des attentats sur son propre sol était qualifié de « résistant » ou de « terroriste » selon le camp de chacun :

  • Les alliés ont gagné la guerre, l’auteur des attentats est donc devenu un « résistant » que l’on adule et que l’on célèbre. « Résistant » qui appelait à la révolte, « résistant » qui appelait au meurtre et « résistant » qui a assassiné « héroïquement ».
  • Si les nazis avaient gagné, l’auteur des attentats serait resté un « terroriste » que l’on déteste pour ses propos et ses meurtres odieux.

Prenons l’exemple un peu plus récent des brigades rouges en Italie. Ces antifascistes ont décidé de poursuivre la guerre et en sont arrivés à détruire des biens puis enlever et exécuter des personnes de pouvoir ou leurs proches. Ils ont terrorisé l’Italie pendant des années et fait couler du sang. Ils n’ont pas gagné, ils n’ont pas fait tomber le pouvoir en place et sont donc automatiquement décrits comme des « terroristes » qui ont provoqué des « attentats sanguinaires » et des « assassinats ».

Si ils avaient gagné, ils seraient fêtés comme des « héros de la révolution » pour leurs actes de « résistance » et « d’héroïsme ». Et ne croyez pas que si nous étions venus au monde juste après leur victoire nous aurions pensé qu’ils étaient des « criminels sanguinaires ». Nous les penserions « héros » comme tout le monde.

Ceci prouve à quel point notre vision est sous le prisme d’une idéologie et d’un formatage.

La censure n’existe que dans les dictatures tandis que dans les démocraties il n’y a que la protection de l’idéal démocratique et des personnes.

Nous sommes face à un dogme.

La censure ne peut donc PAS exister en démocratie, car si elle existait ce ne serait plus une démocratie.

Et comme il a été décidé que nous vivions en démocratie, il ne peut y avoir de censure. CQFD.

La « censure » ou la « protection de la démocratie » que nous subissons ou que nous vivons aujourd’hui est ainsi exactement du même ordre que durant la Deuxième Guerre mondiale ou les brigades rouges.

Revenons à notre présent…

S’il ne s’opère pas de changement majeur dans la gouvernance de notre pays et la gouvernance mondiale alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de parole demeureront des « complotistes », des « personnes d’extrême droite » ou des « antisémites » tels que décrits exclusivement et abondamment par les médias classiques.

Et tout naturellement si une nouvelle gouvernance et un nouveau modèle voyaient le jour alors les personnes qui sont actuellement privées de liberté de paroles deviendront des « résistants » et des « garants des droits de l’homme et des libertés » avec l’approbation des médias qui auront alors retourné leur veste sans le moindre éclair de conscience.

Toujours la même rengaine, même discours, mêmes actes, mais vocabulaire qui est défini par le vainqueur.

D’aucuns penseraient que la démocratie est l’expression du « bien » et du « sens moral »… Nous vivons en « démocratie » et nous sommes donc les « gentils ».

Avez-vous la naïveté de croire que la majorité du peuple allemand se sentait du côté des forces du mal et qu’il avait le sentiment de vivre en dictature durant la 2e guerre mondiale ? Avez-vous cette même naïveté concernant le peuple sous Staline ? Rappelez-vous la chanson de Sting « The Russians Love Their Children Too ».

Seuls les habitants des USA ou de l’Europe se pensaient être les « gentils » ? »

Demandez aux Français qui se confinent, portent des masques, s’injectent trois doses de médicaments expérimentaux, doivent présenter un passe-sanitaire pour aller au restaurant et voient d’autres Français interdits de voyages ou de sport, s’ils se sentent vivre en dictature ?

Pour autant, tout « démocrate » que nous sommes, tout adhérent à la doctrine des élections libres à scrutin majoritaire que nous sommes, nous demeurons viscéralement opposés à une démocratie qui autoriserait VRAIMENT le peuple à décider de la politique de son pays, et ce, quelle qu’elle soit.

Nous avons la naïveté ou l’aveuglement de croire que nos lois sont l’expression de la majorité alors même que nous dénions à la majorité le droit de décider librement des orientations du pays.

Vous voulez quelques exemples ?

  • Demain 70 % des Français décident que l’état islamique doit s’appliquer en France.
  • Demain 70 % des Français décident que toutes les personnes d’une certaine ethnie doivent être déportées et placées dans des camps pour « leur sécurité ». (Notons que cette annonce ferait scandale sauf si cette « ethnie » représentait les non-vaccinés comme cela est désormais proposé dans plusieurs pays.)

Vous êtes d’accord, vous acceptez la décision démocratique issue de cette majorité de français ? Au nom de quel principe aurions-nous le droit de refuser cette décision librement issue des urnes ? Ce ne serait « que » l’expression de la démocratie ! Ici encore, vous pourriez vous réfugier derrière la légendaire « moralité de la démocratie ».

Iriez-vous jusqu’à dire que tous les crimes odieux ou discriminations perpétrés dans le monde par des gouvernements n’étaient pas légaux ? Il y a toujours eu des lois pour autoriser des discriminations et même des meurtres ou des génocides. Je vous rappelle que l’assemblée a librement donné les pleins pouvoirs à P. Pétain en 1940 et qu’elle a donné les pleins pouvoirs à E. Macron en 2020.

Vous voyez, on veut bien d’une liberté, mais « encadrée ». Dès que l’on commence à parler de liberté d’expression… celui qui veut la limiter « pour notre bien » s’empresse de dire que ne pas mettre de limites reviendrait à avaliser l’anarchie et l’appel au meurtre. Trop facile comme pirouette !

Je vous rappelle que toutes les mesures de diminution de nos libertés sont systématiquement mises en œuvre pour le « bien commun ». Limitations de vitesse, contrôle technique, ceintures de sécurité, interdictions de fumer, vaccins obligatoires, normes en tout genre, passeports pour les déplacements, interdiction de véhicules anciens, etc. La prétendue sécurité grignote chaque jour un peu plus nos libertés depuis des dizaines d’années. Regardez les panneaux d’interdictions à l’entrée d’une plage ou d’un parc !

La crise Covid en est une apothéose avec les interdictions de déplacements, de loisirs, d’obligation d’une muselière, de passeport avec vaccination obligatoire pour aller au restaurant, et bientôt sans doute, un abonnement à vie à une injection expérimentale et dangereuse tous les 6 mois ! Le pire est que cette dictature Covid est d’une douceur extrême au regard de la dictature dite « écologique » en préparation qui va battre tous les records de suppression des droits de l’homme ad vitam æternam pour « sauver la planète » !

« Condamner l’humain pour sauver l’humanité ! » Tel pourrait être le slogan de Skynet dans Terminator.

Mais revenons à la liberté d’expression, le « démocrate » utilise des exemples extrêmes pour justifier la censure. En novlangue chère à Georges Orwell, « l’interdit c’est la liberté ».

Dans ce délire sécuritaire fantasmagorique, si une liberté sans limites n’est pas soutenable alors la limite devient légitime et souhaitable.

Bien entendu dès lors qu’il y a une limite, c’est la porte ouverte à l’arbitraire. Qui va décider du bon curseur ? Selon que vous êtes considéré comme « résistant » ou « complotiste » vous voyez bien que le réglage est totalement différent.

Mais suis-je bête ! Je n’ai toujours rien compris ! Dès lors que la limite est instaurée par un État démocratique, aucune limite ne peut être arbitraire ! Encore une fois, voyez comment nos libertés ne sont qu’un lointain souvenir dans le cadre de la dictature pseudo-sanitaire que nous subissons sans broncher.

Et une majorité de Français se révolte ou en redemande ?

Question pour un champion :

« Je ne veux pas mourir du méchant virus. Je suis un vieil obèse avec du diabète. »
« Je me suis éclaté pendant les années 60. »
« Ma maison a été payée par l’inflation. »
« J’ai une retraite indécente que la moitié des Français ne pourra pas toucher même durant sa période active… »
« Je ne veux pas mourir du méchant virus. »
« Je veux continuer à faire des croisières sur des paquebots géants au personnel réduit en esclavage, tandis que vous serez obligé d’aller au boulot en vélo ou dans un RER bondé ! »
« Je pense qu’il faut généraliser le pass sanitaire, rendre la vaccination obligatoire, masquer mes petits-enfants, enfermer les non-vaccinés dans des camps et piquer tous les nourrissons dès leur naissance tous les 6 mois ! »

Qui suis-je ?

« Je suis, je suis… »
« … Un enculé d’Occidental ! »

Mais bon, ce n’est pas parce que de nombreuses personnes sont absolument opposées à la liberté d’expression et à la liberté tout court que cela doit m’empêcher de poursuivre ma réflexion.

Une liberté totale d’opinion et d’expression est-elle viable sans tomber dans le chaos et la barbarie ?

Prenons un exemple extrême… Une démocratie peut-elle autoriser un individu ou un groupe d’individus à exprimer son désir de voir disparaître un autre individu ou un autre groupe d’individus ? Pour le législateur ou pour des millions de Français, cette question n’a pas de sens, mais poursuivons.

En premier lieu, il ne faut pas confondre l’interdiction de l’expression avec l’interdiction de la pensée. Vous pourrez empêcher (plus ou moins) une personne de s’exprimer publiquement, beaucoup moins en privé, mais vous ne pourrez pas l’empêcher de penser. Quel serait le but d’interdire l’expression d’une pensée ?

Sommes-nous plus protégés si nous ignorons que X ou Y veut tuer Z ?

Aux USA, le parti nazi a le droit d’exister, de s’exprimer et de défiler… Personnellement je pense que je me sentirais plus en sécurité si je pouvais comptabiliser mes ennemis. Ça m’intéresse de savoir s’ils sont 10 ou 10 millions ! Et comment le savoir s’ils doivent cacher leur pensée ?

En France, celui qui pense et dit qu’il faudrait exterminer X ou Y peut et même « doit » être condamné selon les lois en vigueur. Celui qui pense et dit que X ou Y est inférieur peut et « doit » aussi être condamné Et celui qui pense et dit qu’il n’y a pas eu de crime contre X ou Y par le passé peut et « doit » être condamné.

Toutes ces censures protègent-elles une victime potentielle d’une éventuelle agression ou d’un crime ?

Prenons l’exemple récent du pauvre Samuel Paty. Je ne me suis pas vraiment penché sur l’affaire, mais voilà ce que j’en ai retenu.

La légende voudrait que le malade mental en « mission divine » ait décapité cet homme grâce à la « complicité » ou tout du moins le « laisser faire » des réseaux sociaux. Nous avons donc « machin le taré » qui se balade sur Facebook, voit qu’un prof a « blasphémé » et va donc aiguiser sa hache pour lui couper la tète. Et toutes les bonnes âmes de penser que s’il n’avait pas disposé de l’information, il n’y aurait pas eu de victime. Permettez-moi d’en douter, car je peux supposer que son désir de couper des têtes avait débuté avant d’avoir accès à cette information sur Samuel Paty. Il n’est pas totalement illogique de supputer que son crime était en gestation et que s’il n’avait pas assassiné Paul, il eut été probable qu’il eut assassiné Jacques.

On peut donc se poser la question suivante :

« Qui a mis dans la tète de ce taré qu’il était juste de couper des têtes et que cela permettait d’aller au paradis ? »

Et là je marque un premier point… Tout simplement parce qu’il sera plus facile de repérer et suivre l’individu s’il a toute liberté de publier sur les réseaux sociaux son désir de couper des têtes que s’il garde l’information en lui ou dans son carnet planqué sous son matelas.

Vient alors le dernier argument « massue » de la « contagiosité de la folie ». Parce que notre taré a bien été influencé par d’autres tarés pour avoir cette idée de taré dans la tête. Et d’imaginer que si le taré qui lui a mis dans la tète n’avait pas pu lui communiquer l’idée tarée, notre exécuteur n’aurait pas été contaminé et ne serait pas passé à l’acte.

La « censure » ou « protection de la nation » viserait donc à empêcher le « taré penseur » de pouvoir répandre son fiel. (je n’aborderai pas le fait que le « taré penseur » est lui-même nourri par le « taré penseur précédent », etc.)

Nous arrivons là sur le seul argument qui pourrait tenir un peu la route pour justifier de la censure : « La contamination ! »

Empêcher un meurtrier d’annoncer son meurtre avant de le commettre me paraît complètement idiot. Si un gars écrit que demain il va buter Marcel, c’est plutôt une bonne chose qu’il l’annonce et que les forces de l’ordre enquêtent ou aillent l’interroger pour savoir si le gars fait « œuvre littéraire » ou qu’il a déjà la mitraillette chez lui. Bref un argument de plus en faveur de la liberté d’expression.

C’est donc principalement au nom de la « contamination » que tous les résistants à la dictature sanitaire sont entravés dans leur expression.

Questions :

  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement des réseaux sociaux ?
  • Les crimes de masse existent-ils uniquement depuis l’avènement de la télévision ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement du téléphone ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de la radio ?
  • Les crimes de masse existent-ils depuis l’avènement de l’imprimerie ?

Et bien non… Peut-être n’existaient-ils pas avant l’invention du langage, et encore, je n’en suis pas sûr.

Je poserai donc la question suivante pas moins inintéressante :

« Ces outils de communication toujours plus “efficaces” ont-ils été de nature à pouvoir prévenir ces crimes ? »
La réponse est tout aussi négative.

Donc si ces outils de communication ne sont pas de nature à pouvoir prévenir des crimes de masse, comment pourraient-ils être de nature à pouvoir les encourager ou les autoriser ?

La censure, la bonne arme pour prévenir et combattre les idées nauséabondes ?

A-t-on évalué l’efficacité des lois qui « encadrent » (limitent) la liberté d’expression afin de lutter contre le racisme, l’antisémitisme ou tous les « ismes » que vous voulez ? Ces lois qui ont juridicisé la prise de parole ont-elles été de nature à faire reculer ces idées (nauséabondes) dans l’opinion publique ? Peut-on dire que la France d’aujourd’hui (censurée) est moins raciste qu’il y a 30 ans grâce à ces lois ?

Alors le racisme a-t-il reculé grâce à ces lois ou l’iceberg est-il plus immergé ?

Je pense que l’on doit combattre les idées par les idées et non par la censure. Pour cela on doit pouvoir s’exprimer sur tout et débattre de tout.

Si nos valeurs humanistes sont les « bonnes », pourquoi devrions-nous penser qu’il nous est impossible de gagner le combat ? Si notre discours est vérité historique, pourquoi devrions-nous craindre le débat ? Pourquoi ne pourrions-nous pas éduquer, former, expliquer, pour convaincre que l’autre en face à tort ou que ce qu’il pense est mal.

À moins de penser que l’homme est foncièrement mauvais, je ne vois pas pourquoi il faudrait lui interdire d’exprimer ses pensées, ce qui au demeurant relève de l’utopie.

La censure n’est probablement pas de nature à tuer l’idée, mais au contraire un terreau fertile !

L’adhésion sera toujours plus efficace et durable que la contrainte qui ne fait que renforcer son opposition et fait grandir les rangs des « anti ».

Être en permanence, dans des propos victimaires, prêt à dégainer l’arme juridique est sans doute le meilleur moyen d’entretenir un fond de commerce d’un statut de victime.

Expression sans limites ? Probablement, car c’est cela la démocratie ET la méthode présente probablement le meilleur « rendement » en termes de paix sociale et de sécurité.

  • Au risque qu’un individu énonce qu’il serait justice que je sois mort ? Oui je préférerais en avoir connaissance avant qu’il ne passe à l’acte si telle était son intention.
  • Au risque qu’un groupe d’individus exprime qu’il serait juste que les blancs mâles hétérosexuels dont je fais partie n’existent plus ? Oui je préfère en avoir connaissance et combattre leurs idées.

Qui n’a jamais souhaité la mort de tel ou tel en se disant que le monde serait plus beau ou que si par le passé tel ou tel avait été éliminé alors cela aurait évité des massacres ?

Si ce groupe demeure au stade de la pensée « ce serait mieux si », alors il est libre de le dire. Si ce groupe bascule dans l’organisation et la mise en œuvre de l’idée, alors il est du ressort de la justice et condamnable. Aux forces de l’ordre de faire leur travail et d’enquêter sur les individus dangereux plutôt que de traquer des enfants sans pass sanitaire !

Le mot juste a son importance capitale…

Reprenons les exemples suivants avec monsieur X :

Il ne peut y avoir de limite à l’expression d’une idée :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X n’existait pas » est l’expression d’une idée que je ne partage peut-être pas, mais qui peut s’entendre et se contre-argumenter.

Et même que :

« Je pense que le monde serait plus beau si M. X était mort » est toujours l’expression d’une idée sur laquelle je n’ai pas vraiment évolué depuis la ligne précédente.

En revanche :

« Je pense qu’il faudrait tuer M. X ou tous ses frères » ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté affichée de nuire. Nous sortons du domaine de la liberté d’expression, du domaine de la pensée, du domaine de l’opinion, pour passer dans le domaine du projet qui vise à nuire.

Expression de la pensée versus mise en œuvre de la pensée.

Une justice indépendante avec à sa tète un collège de magistrats élus par le peuple et représentant les principaux courants politiques et de pensée, serait garante de la liberté d’expression. Le juge élu, contrôlé et sanctionné par ses pairs en cas de manquement, serait là pour statuer si le propos de tel ou tel relève de l’opinion, de la liberté d’expression ou s’il préconise une mise en œuvre, une action visant à nuire à autrui.

Alors suis-je pour la démocratie ?
Encore faudrait-il la définir…

Chaque individu est pour la « démocratie », au sens de l’expression de la majorité, uniquement lorsqu’il peut adhérer à cette expression. Je ne peux adhérer à l’actuelle « démocratie » française faite de privations de liberté de mouvement, de travailler, etc. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui prône l’obligation d’injections qu’elles soient expérimentales ou pas, efficaces ou pas, inoffensives ou pas. Je ne peux adhérer à cette « démocratie » qui valide le crédit social, met en œuvre un passe-sanitaire, la discrimination et entérine une forme d’apartheid.

Je confirme ainsi être contre toute forme de censure et que la liberté d’expression est sans limites.

  • Je reconnais le droit à un professeur de médecine médiatique de penser que l’injection d’enfants avec le risque d’en voir mourir, pour sauver officiellement des vieux grabataire, serait une bonne chose. Je lui reconnais le droit d’avoir cette pensée, de l’exprimer, mais pas de me l’imposer.
  • Je me reconnais le droit de combattre sa pensée et que ma parole ne soit pas censurée.

En revanche :

  • Promouvoir l’injection chez des enfants alors même qu’il aurait connaissance des risques de décès et de l’inefficacité de la mesure ne relève plus de la liberté d’expression, mais d’une volonté de nuire, ce qui pourrait être interdit de publication, mais aussi relever du pénal.

On ne peut pas condamner une personne pour l’expression de ses pensées, mais uniquement sur ses actes répréhensibles commis ou pour lesquels il n’y a aucun doute sur le fait qu’il allait passer à l’acte, l’organiser avec des complices ou entraîner autrui à passer à l’acte…

J’ai bien conscience que ma vision de la liberté d’expression est actuellement totalement illégale en France et que toute personne qui en userait pourrait être poursuivie et condamnée.

Raison pour laquelle je pense (et il y en a d’autres) que nous vivons dans une dictature que l’on nomme « démocratie ».

Et le fait que je puisse écrire ces mots sans être a priori inquiété ne prouve en rien que nous sommes en démocratie, mais prouve uniquement que la dictature me pense inoffensif ou « utile ».

Je me retrouve malgré moi dans le rôle involontaire d’une opposition contrôlée, un alibi qui montrerait à ceux qui doutent :

« Il a le droit de s’exprimer, c’est bien la preuve que nous ne vivons pas en dictature ».

Le corollaire serait la censure ou la condamnation politique comme « ennemi du peuple » qui permettrait à la dictature de se protéger tout en présentant l’inconvénient de la faire apparaître au grand jour.

Est-il dans ces conditions « logique » que des « complotistes » soient interdits de réseaux sociaux, que leurs discours soient supprimés, voire même qu’ils soient condamnés dans notre belle « démocratie » ?

Bien évidemment, car leurs propos s’opposent à la politique sanitaire, la seule, l’unique qu’il soit possible de mettre en œuvre selon le Ministère de la Vérité. Par leurs propos ou leurs actes, ils « menacent » la politique gouvernementale et sont de fait un danger pour cette « démocratie ».

Pourquoi en est-il encore ainsi aujourd’hui ?
Parce qu’à ce jour tous les résistants sont encore les perdants.

Nous demeurerons donc des « complotistes » jusqu’à que nous fassions tomber la dictature et que l’on soit alors considérés comme des résistants. Mais pour cela, il faut faire tomber de nombreux murs du mensonge qui demeurent debout même si ils sont de plus en plus lézardés par des vérités de plus en plus difficiles à dissimuler.

Vive la liberté d’expression sans limites.

Merci

Alain Tortosa.

26 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211026-liberte-expression-censure-democratie.pdf

[Voir aussi : Effets de la censure]




La Belle et les truands (partie III)

Par Lucien Oulahbib

[Voir La belle et les truands
et La belle et les truands (Partie 2)]

Le déplacement à Drancy lui sembla bien instructif, alors que la voiture filait tant bien que mal entre les 30 et 50 à l’heure le long de murs gris laissés à l’abandon, avec de temps à temps une « griffe », mais plutôt des tags épars, suintant la crasse, mais aussi comme gardant en creux les souffrances humaines transportées dans cette patine sombre tant il lui semblait entendre encore (comme Proust le décrit si bien dans « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ») leurs « murmures » enfouis en atomes de son implantés ainsi par les passants, en particulier lorsqu’il s’agissait de ces murs d’anciennes usines que tous ces travailleurs avaient croisés en 3/8 ; illusions perdues…

Aujourd’hui, leurs représentants ayant échoué à construire ne serait-ce qu’une contre-société tant les individus étaient de plus en plus « seuls » dans leur « existé » (disait Lévinas), tentaient encore de se rattraper aux branches du clientélisme le plus rance en fomentant l’idée par exemple qu’il était plus juste d’aider financièrement et de fournir un logement à une famille étrangère fraîchement débarquée qu’à un jeune couple de Français attendant depuis plusieurs années une même aide pour pouvoir s’installer et procréer. Certes, cette famille étrangère avait pu arracher une sorte de permis de séjour provisoire le temps d’étudier son dossier, mais tout le monde savait bien qu’il suffisait de placer ses enfants à l’école et d’en fabriquer un dans la foulée pour que cette famille ne soit plus expulsable. Or l’on mélangeait deux choses : le droit humanitaire qui doit relever d’instances communautaires mondiales (comme en bénéficient lesdits réfugiés palestiniens) et le droit national qui ne peut être réservé qu’aux citoyens et aux personnes ayant de réels permis de séjour.

L’appartement était douillet et silencieux, et alors qu’il mangeait sur le pouce, Z en profita pour se lover au coin du feu dans le fauteuil qu’il affectionnait pour feuilleter un ouvrage « collectif » (avec Éric Fassin en maître d’œuvre) que venait de lui conseiller un ami, et qui exprimait parfaitement cet esprit-là rencontré à Drancy imprégnant de plus en plus fortement les élites dites françaises, à savoir cette confusion des genres (entre problèmes internationaux — qui relèvent strictement de la solidarité internationale — et problèmes nationaux) présupposant dans ce cas à terme la suppression effective de la distinction juridique puis politique et donc électorale entre nationaux et non-nationaux.

Tandis qu’il prenait donc ce livre (intitulé « Cette France-là », 01 07 2008/30 06 2009 volume 2, diffusion la Librairie la Découverte, 2010), il apprit au même moment que le Groupe Sud Ouest avait décidé de ne plus faire état de sondages dans ses journaux, et que la gauche et l’extrême gauche avaient donné le feu vert au nom de la « lutte contre les violences d’extrême droite » à diverses milices Black bloc et autres Antifa afin de semer la terreur néo-léniniste façon année 30 lorsque les milices communistes staliniennes allemandes faisaient quasiment cause commune avec les milices nationales-socialistes pour aller casser sinon ensemble du moins parallèlement les meetings sociaux-démocrates considérés depuis 14 comme des sociaux-traîtres, voire comme pire que les nazis ; comme si aujourd’hui les patriotes nationalistes français étaient considérés bien plus dangereux que les djihadistes, ceux-ci étant au fond méprisés ou alors évalués de manière condescendante comme étant manipulés par le « sionisme » international provenant soit du « Mossad », soit du « néo-libéralisme ». C’était d’ailleurs la parfaite jonction entre les vieux courants drumontistes et maurrassistes — plutôt que maurrassiens — n’ayant d’un côté jamais rien compris à la chute de la Monarchie française, et de l’autre des histrions genre Vieille Taupe ramassis d’anarchistes se réclament à la fois de Proudhon et de Bakounine façon CNT espagnole bien implantée à nouveau parmi Sud et autres « Solidaires ». Tout ce beau monde formait ce remugle hérétique d’antijuifs congénitaux entremêlant des éléments illuministes christiques luttant contre les francs-maçons et le peuple « déicide » et tout un fatras « alter » post tiers-mondistes recyclé dans la « deep ecology » et supportant la matrice des ZAD et « intersectionnalistes » néo-léninistes (adeptes de l’écriture inclusive forçant à signifier masculin et féminin alors que la théorie queer du genre insistait à les effacer), chair à canon des affairistes, djihadistes et mélenchonistes en chambre (eux-mêmes idiots utiles des deux premiers).

À la page 4 de l’ouvrage, il est fait état d’une question écrite (dans un langage diplomatique et soumise au Premier Ministre de l’époque — fin 2009 — François Fillon) qui exprimait le souci suivant (suite à la crise de 2008 dite des « subprimes ») : » 

C’est ainsi que nous écrivions :

« (…) si la crise fait ressurgir le spectre d’un protectionnisme digne des années 1930, ceux qui s’en inquiètent aujourd’hui auraient tort d’oublier comment la xénophobie le suivait alors comme son ombre ; il serait donc illusoire de prétendre conjurer le premier en s’accommodant de la seconde. »

Dans un courrier reçu le 20 mars (2009) le Premier ministre nous répondait avec courtoisie : « vous affichez dans cet ouvrage l’intention de soumettre la politique de l’immigration conduite par le gouvernement à un examen argumenté. J’en prends acte et m’en remets à l’objectivité de votre travail. Je salue le caractère méthodique et l’ambition du premier volume paru. » Son courrier dépassait toutefois les exigences de la politesse, puisque François Fillon entreprenait de conjurer nos inquiétudes en s’y associant. « Quant aux craintes que votre lettre exprime, je peux vous assurer que j’en partage les principes et qu’aucun effort ne sera ménagé pour en écarter la menace : la République ne tolérera pas que la crise serve de prétexte au rejet, à la discrimination ou à la haine raciale. Le gouvernement que je dirige condamne avec une entière fermeté toute démarche visant à faire des immigrés, légaux ou illégaux, des boucs émissaires de difficultés économiques dont ils sont souvent les premières victimes. » (…) Un an plus tard, qu’en est-il ? Si les propos du Premier ministre se voulaient rassurants, l’action menée par son nouveau ministre de l’Immigration est au moins de nature à jeter le trouble. (…) Éric Besson n’hésite pas à aller plus loin que son prédécesseur (Brice Hortefeux) par exemple avec le « démantèlement de la jungle » de Calais ou l’expulsion d’étrangers vers des pays en guerre comme l’Afghanistan. (…) Ainsi parler de « mariages gris » ou de « supermarché de l’asile », c’est s’en prendre, en pratique, aux couples binationaux ainsi qu’aux réfugiés. (…) Avec la crise, le nationalisme et la xénophobie ne reviennent-ils pas en force, dans la société comme dans le monde politique, ainsi qu’on a pu le constater dans les dérapages qu’a encouragés le débat sur l’identité nationale et comme me montrerait l’acharnement de l’État français à l’encontre des étrangers ? (…) » 

(pages 4 et 5).

Tout y est dit pensa Z en fermant l’ouvrage. Et alors que son chat sautait sur ses genoux, il prit un grog, regardant les flammes éternelles dévorer la nouvelle bûche, et songea aux dégâts incommensurables exprimés par ce qu’il venait de lire. D’un côté, l’aveuglement tenace du pouvoir en place à l’époque qui n’a pas réussi à hisser le débat au niveau adéquat, à savoir cette confusion des genres entre un problème mondial, celui des flux migratoires liés pour une grande part à la faillite idéologique de la gauche, et la droite dite progressiste. À croire que la division internationale du travail et les fameux « avantages comparatifs » étaient la solution à tout, y compris aux corruptions locales (Wilson en 14 avait fait la même erreur avec l’Allemagne en forçant la France à ne pas faire en sorte que la première paye rubis sur l’ongle les dégâts de la guerre). Et de l’autre côté, la pression idéologique immense d’une gauche et d’une extrême gauche qui ne s’avouaient pas vaincue à faire de telles injonctions confusionnistes, alors que par ailleurs tous leurs modèles de « société socialiste » avaient échoué soit dans la misère, soit dans les massacres, soit dans la combinaison des deux, sans que pour autant il n’y ait eu de procès international pour juger ces millions d’assassinés aux divers Goulag staliniens et maoïstes, ces luttes internes qui ont vu des liquidations par dizaines de milliers comme en Algérie, à Cuba, au Venezuela, au Mozambique, actuellement en Afrique du Sud, voire des millions comme au Cambodge…

Sans que pour autant également ces gens ne se remettent en cause en tentant de se demander ce qui a pu échoué dans leur analyse, un peu comme Marx qui après avoir publié le premier tome du Capital, hésita à publier les deux autres tomes (sur la paupérisation généralisée et l’accélération de la baisse tendancielle du taux de profit liées à la mécanisation, ce qui était déjà faux comme Marx le pressentait), les confiant à son ami Engels qui les remit ensuite à Bebel et puis Kautsky (ennemi déclaré de Lénine, celui-ci n’ayant par ailleurs rien compris à l’attachement affectif à la notion de Nation). Or ces gens qui avaient écrit ce livre « Cette France-là » persistaient dans cette même engeance pédante des post-jacobins, celle de croire que si les Russes, les Chinois, les Vietnamiens, les Cubains, les Algériens avaient échoué c’est qu’ils avaient mal lu les textes, mais qu’eux, révolutionnaires « républicains » tendance remugle sauraient mieux réaliser. Sans oublier le fait que les centrales à charbon tournent au maximum en Chine et en Allemagne, mais que guère d’opposants viennent assombrir la quiétude de leurs ambassades feutrées nichées dans les quartiers cossus des grandes capitales occidentales.

Z toussa. Le chat maugréa et sauta vers le canapé à côté. À vrai dire, il réfléchit encore à cette lancinante tension à Drancy, celle de personnes se satisfaisant de cette espèce de no man’s land ambiant (tels ces vociférations quasi guerrières permanentes de femmes et ces « sale juif » relatés par Christine Kelly de C News) dans lequel le délitement se fait pratiquement par effet d’usure et superposition d’actions volontaires et involontaires. Ainsi cette vieille association d’habitants de Drancy aussi dépassée que les « patronages » pour occuper une génération biberonnée aux jeux vidéo et aux clips affriolants des raps à l’ambiance gangestérisée, sans oublier ces élus venus le toiser avec moult chiffres sur les retraites des étrangers et leur taux de chômage, ou même cette dame et son fichu fichu qui expliquait qu’elle paye ses impôts alors qu’il ne s’agit pas du tout de cela, mais d’abord de savoir si l’on partage un « être ensemble » et non seulement « un vivre ensemble ». Il ne s’agit pas seulement d’une cohabitation, mais aussi d’un « être » fait d’attributs divers. Ceci signifie que l’on a du bonheur à être là, définition même de la Cité selon Aristote et de la République pour Platon qui se traduit par Politeia et non pas Res publica (qui n’en est qu’un aspect) ou la distinction entre Le Politique (l’être singulier d’un Peuple ou Nation : ainsi la Nation cheyenne) et La Politique (les institutions permettant de gérer un régime nécessairement mixte dirait Aristote, car absorbant les conflits permanents et nécessaires entre l’Élite et le Peuple comme l’avait théorisé Machiavel).

Z soupira. Toutes ces choses n’étaient plus apprises à SciencePo. Bien au contraire. Au loin une sirène retentit. Il reconnut celle d’un camion de pompier et se rappela ce mot d’enfant qui dit tout de l’ambiance d’une époque : « tu vois Papa, quand c’est un camion de pompiers, la sirène veut dire “tiens bon, tiens bon”, mais quand c’est celle d’une ambulance elle veut dire “t’es foutu t’es foutu”. Il eut les larmes aux yeux : les camions de pompiers se faisaient plus fréquemment caillasser qu’admirer, sans oublier maintenant leur mise à l’index s’ils ne se faisaient pas injecter… Z se gratta la tête à cette idée. Il fallait bien pourtant dire quelque chose bientôt dessus tant cette hystérie sanitaire se doublait d’une frénésie à la fois affairiste et sécuritaire, une drôle d’atmosphère de plus en plus dilatée entre d’un côté le monde feutré des médias et des institutions qui vivaient dans une bulle semblable à celle des stations orbitales ou des nouveaux bordels échangistes dans lesquels amis et ennemis se croisaient et toisaient un moment, et de l’autre, le monde de la troisième étape des moments insurrectionnels lorsque la guérilla d’usure se superpose à la formation d’îlots fonctionnant sinon en enclaves du moins en isolats

Le temps était compté. Mais de plus en plus très mal conté. L’horloge sonna avec ce carillon de la cathédrale de Reims qu’il affectionnait. Quoique celui de Big Ben n’était pas mal non plus…

À suivre.

[Voir aussi L’immigration]




Le Molnupiravir est une molécule vieille de plus de 40 ans, mutagène, cancérigène qui ne sert à rien, mais qui rapportera 700 $ par malade

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

VÉRAN VIENT DE COMMANDER 50 000 DOSES DE POISON pour 30 millions d’euros

Poison ? C’est bien ainsi que de nombreux scientifiques considèrent cette molécule et que la France vient d’acheter sans la moindre autorisation d’autorités scientifiques.

Merck aura sa part du gâteau avec la patate chaude de Big Pharma, le Monulpiravir présenté comme la pilule anticovid par la presse qui ne sait pas lire.

Elle existait, mais sa réputation exécrable fit que même Giléad refusa de l’utiliser. En 2003, la tentation de le refiler contre l’hépatite fut abandonnée par peur de créer des mutants

Le biologiste Jean François Lesgard fut un des premiers à alerter sur l’impasse du Molnulpiravir après le Remdesivir

https://t.co/eeBNEqoOAk?amp=1

« Oui c’est comme le remdésivir : ça vient bloquer (in vitro).. la réplication de l’ARN du virus

Donc c’est mutagène, car ça peut le faire avec nos cellules aussi ! En plus, se limiter à cela n’est pas efficace, ce virus se développer trop facilement, il faut bloquer en même temps l’inflammation qui arrive très vite. L’Ivermectine fait les 2 sans s’insérer dans l’ARN

…des inquiétudes quant au risque potentiel de tumorigenèse induite par le Monulpiravir et émergence de mutations néfastes dans les cellules génératrices précurseurs de spermatozoïdes et le développement de l’embryon. »

Le virologue Bruno Canard abonde dans le même sens

BrunoCanard Virology

@canardbruno

RNA Viruses. Dengue, Zika, SARS/MERS-Cov, Ebola, Arenas y otros bitchos. Drug-design, viral enzymes — wild river lover — & Pics of the Calanques of Cassis!

Marseille-Cassis, France afmb.univ-mrs.fr/viral-replicas…

Un mutagène viral, est 1 usine a création de variant si le virus n’est pas éliminé, mais juste « aidé à muter ». Personne n’a répondu à cette question cruciale : personne ne veut voir des nouveaux variants arriver à cause…d’un traitement.

TOUS les antiviraux (lorsqu’ils sont sub-optimaux, ex : le Favipiravir, le Remdesivir) ayant un mécanisme antiviral par mutagenèse (possible ou démontré) devraient être évalués en labo de recherche sur leur capacité à créer des nouveaux variants

*Monulpiravir Médicament de MERCK, demande de mise sur marché en Europe. Mécanisme : c’est un analogue de la base C de l’ARN du virus. Il ressemble à la cytosine C, mais sa capacité de codage est ambiguë.

@SFV_France
@franceinfo
@lemonde_science
@FRM_officiel
@MarcGozlan

Lorsque la polymérase virale recopie son ARN, elle est leurrée par le Monulpiravir M et ne le distingue pas du C. Le M est incorporé à la place d’un C, mais au lieu de coder pour un G, il code quelquefois pour un A aussi, c’est ce codage ambigu qui crée la mutation.

https://academic.oup.com/jid/article/224/3/415/6272009

Le Monulpiravir est arrivé à Merck grâce à un partenariat avec une entreprise privée appelée Ridgeback Biotherapeutics, qui a autorisé le médicament à une entreprise de biotechnologie à but non lucratif appartenant à l’Université Emory. Le Monulpiravir est ce qu’on appelle un promédicament, qui se métabolise dans le corps pour créer le NHC, qui a été étudié pendant des décennies.

Schinazi, qui est professeur à Emory, mais n’a pas travaillé sur le Monulpiravir, a une longue histoire avec le NHC et a écrit un certain nombre d’articles sur le composé. Il a été l’un des fondateurs de la biotech Pharmasset, qui, selon lui, a envisagé de développer le NHC comme traitement de l’hépatite C en 2003, mais a choisi de ne pas le faire en raison du risque qu’il puisse provoquer des mutations. Pharmasset a créé le médicament contre l’hépatite C Sovaldi et Gilead Sciences (GILD) a finalement acheté la société pour 11 milliards de dollars.

Schinazi a déclaré à Barron’s qu’il ne pensait pas que le Monulpiravir devrait être administré aux femmes enceintes ou aux jeunes en âge de procréer, jusqu’à ce que davantage de données soient disponibles. Les essais de Merck sur le Monulpiravir ont exclu les femmes enceintes ; les scientifiques qui dirigent l’essai ont demandé aux participants masculins de « s’abstenir de rapports hétérosexuels » pendant qu’ils prenaient le médicament, selon le site Web du gouvernement fédéral qui suit les essais cliniques.

Un article publié dans le Journal of Infectious Diseases en mai par Schinazi et des scientifiques de l’Université de Caroline du Nord a rapporté que le NHC a provoqué des mutations dans les cultures de cellules animales dans un test de laboratoire conçu pour détecter de telles mutations. 

« Les risques pour l’hôte peuvent ne pas être nuls », ont conclu les auteurs. « L’évaluation de l’utilité de ce médicament doit être effectuée chez ceux qui sont susceptibles de bénéficier le plus d’avantages, avec une surveillance permettant d’évaluer les effets secondaires génotoxiques potentiels à long terme. »

L’un des auteurs de l’article, le Dr Shuntai Zhou, scientifique au Swanstrom Lab de l’UNC, a déclaré que lui et ses collègues avaient signalé leurs premières conclusions à Merck en juillet 2020, environ un an avant la publication de son article.

« On craint que cela provoque des effets de mutation à long terme, même le cancer », a déclaré Zhou.

Zhou dit qu’il est certain que le médicament s’intégrera dans l’ADN des hôtes mammifères. « La biochimie ne mentira pas », dit-il. « Ce médicament sera incorporé dans l’ADN. »

L’impact que cela aura lorsqu’il sera là est inconnu, étant donné les différents systèmes utilisés par les cellules humaines pour limiter l’impact des mutations.

Les scientifiques de Merck ont répondu à l article de l UNC dans un numéro ultérieur du Journal of Infectious Disease, affirmant que leurs tests de Monulpiravir chez les animaux n avaient pas trouvé de taux de mutation plus élevés. Les scientifiques de Merck ont ​​également contesté les détails des méthodes des auteurs de l’UNC. Dans une réponse, les scientifiques de l’UNC ont maintenu leurs méthodes et ont écrit qu’ils pensaient que le Monulpiravir ne devrait être utilisé que chez les personnes à haut risque de maladie grave de Covid-19 jusqu’à ce que ses risques à long terme soient mieux compris.

Certains experts ont conseillé la prudence de la part de Merck et des régulateurs.

« Étant donné la possibilité que le médicament puisse être incorporé dans l’ADN cellulaire, il sera très important de démontrer l’absence de cancer chez les modèles animaux et chez l’homme », explique Nathaniel Landau, professeur au département de microbiologie de la NYU Grossman School of Médecin qui n’est impliqué dans aucune recherche sur le NHC ou le Monulpiravir. « Même si cela semble bon dans les modèles animaux préliminaires, il sera important de ne pas précipiter cette utilisation en clinique avant d’être très sûr qu’elle ne provoque pas de cancer, même à de très basses fréquences. »

Le premier contact du Monulpiravir avec l’attention du public, bien avant que Merck ne commence sa collaboration avec Ridgeback, est survenu en mai 2020, lorsque l’ancien chef de la Biomedical Advanced Research and Development Authority du gouvernement américain a déclaré dans une plainte de dénonciation qu’il avait été contraint de fournir un financement pour le Monulpiravir., alors connu sous le nom d’EIDD-2801, mais s’était opposé, en partie pour des raisons de sécurité.

https://www.barrons.com/articles/merck-covid-pill-risks-51633398722?redirect=amp

https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6538115/lema-annonce-le-lancement-de-lexamen-accelere-de-la-pilule-anti-covid-de-merck.html

Merck vend des millions de doses au moment où nous parlons. Mais avec chaque ordonnance, ils perdent 697 $ de Monulpiravir pour chaque 3 $ d’ivermectine vendu.

L’éventuelle autorisation du médicament Monulpiravir de Merck, représenterait une réévaluation très importante de la société. En cas de non-approbation, l’entreprise diminuera sa valeur à court terme (événement binaire). #Monulpiravir#RidgebackBiotherapeutics#medicamento#sapiens