Pourquoi les intellectuels de gauche ont-ils eux aussi viré hygiénistes totalitaires ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La riposte de Jean-Paul Bourdineaud(([1] Professeur à l’Université de Bordeaux, où il enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale tout en étant chercheur dans ces divers domaines)) à l’attaque en dessous de la ceinture de Charlie Hebdo et de Libération qui ont franchi allègrement le point Godwin (« à droite d’Hitler » en gros) en présentant les contestataires de l’actuelle politique dite « sanitaire » comme étant(([2] selon ce qu’en rapporte Bourdinaud)) « une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum) » en dit long sur les prétentions (non étonnantes à vrai dire) de toute une frange de pseudo-intellectuels tels Enthoven, Naulleau, Onfray, BHL, Ferry (le journal Marianne et le site Mediapart ostracisant on l’a déjà dit ici Mucchielli) et cherchant obstinément à continuer de donner le La (malgré leurs échecs retentissants dans tous les domaines), comme ils l’ont toujours fait en réalité, y compris et surtout en matière de santé si l’on entend par là (suivant ici Descartes dans la 6° partie du Discours de la Méthode, 192-193*) une certaine manière de penser notre corps dans le monde.

Ils en sauraient plus, en soi, comme ça, et c’est dit, un point c’est tout, en tout cas bien plus, mais oui, que tout le monde, en particulier à « droite » (qui a trop confiance en la « nature », en son système immunitaire, car celui-ci semble être [pour ces intellectuels] une relique, un dernier terrain vague…). D’où cette prégnance présente d’histrions et d’écrivaillons qui bien qu’étant complètement incompétents en matière de santé (ne parlons pas d’économie, de politique étrangère, mais aussi de philosophie, de littérature, d’arts…) viendront railler un Raoult, un Perronne, une Henrion-Caude, parce que pour eux, mais oui, la messe est dite face à ce virus présenté façon nouveau conte de Grimm comme étant effroyablement monstrueux, pire que la peste, bien sûr ma bonne dame, qui ravage jusqu’aux jeunes (un ici et là), d’où la nécessité « vaccinale », solution unique au-dessus de tout (über alles), alors que pour les corona aux variants innombrables, même les vétérinaires ont abandonné, par exemple s’agissant des chats, tant l’hécatombe des effets secondaires s’avérait pire que le mal. Mais que nenni ! mon bon monsieur. Taïaut, taïaut, à cheval sur son baudet, Don Quichotte armé de sa seringue bionique vient ainsi épauler les nouveaux dragons déguisés en moulins à paroles. Peu importe si cela touche plutôt certaines catégories et les pays dits « développés » (l’hécatombe prévue en Afrique et en Asie ne vient pas. qu’à cela ne tienne, fourguons-leur le Remdesivir et les « vaccins » quitte à graisser la patte de dirigeants déjà corrompus) et en avant pour l’injection des… bambins (nouveaux babouins) !…

Cette génération « je sais tout », à force de réagir dans les émissions d’opinion sur n’importe quoi, s’est (dé)construit un ego si hypertrophié que toiser de haut un spécialiste critique s’avère être une billevesée, une chiquenaude, surtout lorsque l’on trône dans les Salons qui comptent sur des milliers de « followers » (ex-groupies). Et puis une piquouse de plus ou de moins, entre deux shoots de coke, d’amphé, d’opioïdes et quelques bidouillages « high tech », tous azimuts (insémination, blocage hormonal…), what a big deal my dear fellow… [« quelle grosse affaire mon cher ami !… »]

Si l’on creuse un peu maintenant, quoique toujours trop rapidement, vers quelques profondeurs analytiques, il s’avère que toutes ces prétentions en matière de santé sont la continuité quasi directe de toutes les vieilles railleries possibles et inimaginables sur lesdites bondieuseries « réactionnaires, obscurantistes » — aujourd’hui « complotistes » — (telles les méditations, recherches de sérénité via la sophrologie, l’homéopathie) et autres « remèdes de bonne femme » dans lesquels sont de plus en plus catalogués ces savoirs ancestraux (jusqu’à traquer la lavande désormais) qui soignaient bon an mal an les maux physiques et mentaux (au-delà des manques évidents en matière de conservation de la nourriture, de lutte contre les mauvaises moisissures, contaminations liées aux égouts à ciel ouvert). Tous ces remèdes ressurgissent aujourd’hui cependant depuis les années « new Age » par toute une naturopathie et autres « médecines douces », les ayant désormais triés avec le bon dosage. Or la pensée dite « logique » (puis « matérialiste ») et se prétendant issue des « Lumières » a toujours choisi les remèdes académiques normés (que raillèrent Molière et Romains…) et écarté les gêneurs (Pasteur [Ndlr : Pasteur semble pourtant, au contraire d’un Béchamp tombé dans l’oubli, être très encensé par le côté académique ou matérialiste.], Mendel, Einstein…) suivant ici les « scolastiques » (Galilée, Bruno…), hormis un très bref intermède de sympathie avec les mouvements « romantiques » à la suite de Rousseau et Goethe (alliant Poésie et Science) et autres « symbolistes (les Parnassiens), jusqu’aux « surréalistes », alors que la plupart de ces « éclairés » aura peu à peu arrimé son supposé « réalisme » (pétri de biais idéalistes) vers un naturalisme physicaliste qui circonscrit les phénomènes charnels, y compris « inconscients », a des « forces » forcément obscures qu’il s’agit de dompter, canaliser, éradiquer, aseptiser, telles ces eaux sauvages que les barrages savants des « castors » labellisés made in Science viennent domestiquer

Le tout en reproduisant tous les travers pourtant dénoncés par une innombrable littérature à propos de « l’absolutisme », de « l’ordre moral », de la « dictature bourgeoise » sur les cœurs, les corps et leurs esprits, déployant ainsi sous nos yeux toute une panoplie inquisitrice que l’on croyait révolue à l’heure du « relativisme post-moderne ». Aujourd’hui celui-ci s’avère encore pire que l’absolutisme d’antan (y compris au niveau « écologique », sommant certaines tribus africaines d’abandonner leurs coutumes afin de sauver des « espèces en danger » — ne parlons pas du climat ni des rapports politiques du GIEC, nouveaux contes de Grimm là aussi), ayant cependant, il est vrai, substitué la mort sociale à la mort physique, cette dernière étant cependant pourtant là, mais cela ne se voit pas, tant les corps réduits aux choix « multiplex » manifestent encore leur « esprit critique » par des variations insignifiantes au sein d’une culture de plus en plus réduite à l’état de ruines, mais illuminées (dernier « cri » de l’Aufklärung)…

Au fond, que serait une « riposte laïque » dans sa profondeur de champ sinon renouer avec cet esprit que la gauche comme la droite ont « détruit » ? Ou comment permettre à tout un chacun d’avoir l’audace de penser hors des tutelles thuriféraires ? Sapere aude ! disait le vieux Kant, ce « questionniste » complotiste avant l’heure, selon nos grands penseurs (de TPMP à l’Institut)…

Descartes, Discours de la Méthode, 192/193 :

« (…) sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusques à présent, j’ai cru que je ne pouvois les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer autant qu’il est en nous le bien général de tous les hommes : car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connoissances qui soient fort utiles à la vie ; et qu’au lieu de cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connoissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux, et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connoissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une infinité d’artifices, qui feroient qu’on jouiroit sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusques ici, je crois que c’est dans la médecine qu’on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable : mais, sans que j’aie aucun dessein de la mépriser, je m’assure qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir ; et qu’on se pourroit exempter d’une infinité de maladies tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affoiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (…) »




Manifestation du 14 août en France : encore plus de rassemblements prévus

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Ce samedi 14 août encore une fois, des manifestations contre le pass sanitaire sont prévues à Paris et partout en France. Celles-ci ont commencé le 17 juillet suite aux annonces d’Emmanuel Macron et continueront sans doute tant que le pass sanitaire sera d’actualité.

Ces manifestations sont inédites par leur densité et leur multiplicité partout sur le territoire, alors que nous sommes en plein été et que de nombreux français sont en vacances. À Paris, Lyon, Toulouse, Lille, mais aussi dans des petits villages… Ceux qui refusent le pass sanitaire et le contrôle social que celui-ci instaure, peuvent presque toujours trouver un point de manifestation proche de chez eux.

Pour connaître les lieux de rassemblements proches de chez vous, cette liste peut vous aider :

À Paris samedi dernier, 17 000 manifestants se sont rassemblés selon les chiffres du gouvernement. Avec quatre manifestations différentes, il est difficile de se rendre compte de l’ampleur de la foule, mais une compilation aérienne de celles-ci permet de se faire une idée et de constater que l’influence était très largement supérieure : 

https://www.youtube.com/embed/U6gB4uO4mbI

Pour ce samedi, trois manifestations sont prévues.

Une manifestation des Gilets jaunes partira à 13h30 de la place de la Bourse et rejoindra la place du palais royal. Elle est organisée par Sébastien Philippart, figure des Gilets jaunes depuis 2018. Sa manifestation, apartisane et apolitique, est un rassemblement simple de citoyens protestant contre une « tyrannie à usage sanitaire » selon le déclarant de cet évènement. Joint par téléphone, il appelle tous les Français présents sur la capitale à le rejoindre. L’intéressé se distingue des autres déclarants de la manifestation Gilets jaunes, au départ de la Porte Dorée, qu’il juge sortir de chez eux « maintenant que les caméras sont présentes » et rappelle qu’il manifestait déjà cet hiver quand ils étaient « 30 ou 40, dans la neige, on marchait dans le froid. »

L’autre manifestation organisée par les Gilets jaunes partira dès 11h30 au métro Porte Dorée, et prévoit un départ à 13h en direction de Place de Clichy, en passant par la place de la Nation et place de la République.

Pour Florian Philippot, ces manifestations montrent qu’il « se passe quelque chose de puissant au sein du peuple français ». Celle qu’il organise partira de la place de Catalogne à 14h30 :

Le collectif Paris pour la liberté n’organise pas de manifestation ce samedi, mais en prévoit de grande ampleur le 28 août. 

Le nombre de manifestants continue de grandir chaque semaine. Ils étaient 237 000 samedi dernier selon les chiffres du gouvernement. Sûrement beaucoup plus en réalité, et ils seront encore plus nombreux ce week-end.

Les services de renseignements annoncent 250 000 manifestants ce samedi en France, soit 13 000 de plus que la semaine dernière. On n’arrête pas le progrès : désormais, les médias annoncent les chiffres officiels avant même les manifestations, ont grincé certains observateurs.

Un calcul simple nous permet de nous questionner légitimement sur la précision de ces chiffres : les renseignements comptabilisent eux-mêmes 200 lieux de rassemblements, soit une moyenne prévisionnelle de 1250 participants par manifestation. Si certains rassemblements mobilisent effectivement quelques dizaines ou centaines de manifestants, il est plus qu’improbable à voir l’impressionnante compilation des cortèges de manifestations partout en France, que la moyenne réelle soit aussi basse. Ce genre d’indiscrétion semble donc bien davantage politique que mathématique… À confirmer ce week-end !

À voir aussi : Chiffres des manifestations : entre manipulation et communication

Le récapitulatif à l’heure où nous publions : (à retrouver ici)

SAMEDI 14 AOUT

  • Abbeville – Samedi 14 – 14H – Mairie
  • Agen – Samedi 14 – 14H – Gravier
  • Aix-En-Provence – Samedi 14 – 10H – place de Général de Gaulle (Fontaine de la Rotonde)
  • Albertville – Samedi 14 – 10H – Parking du pénitencier (Palais de justice)
  • Albi – samedi 14 – 14h – place du Vigan
  • Alès – Samedi 14 – 17H – Sous-préfecture
  • Amiens – Samedi 14 – 14H – Maison de la culture
  • Angers – Samedi 14 – 15H – Place du Ralliement
  • Angouleme – Samedi 14 – 14H – Place New York
  • Annecy – Samedi 14 – 14h – Le Pâquier
  • Annonay-Davézieux – Samedi 14 – 10h > 18h30 Rond-Point d’Annonay-Davézieux
  • Argentan – samedi 14 – 8h45 – gare SNCF
  • Arras – Samedi 14 – 15H – Place des héros
  • Aubenas tous les samedis à 14h, place du château
  • Autun – samedi 14 – 15h – place de la mairie
  • Auxerre – Samedi 14 – 14H – Place de l’arquebuse
  • Avignon – Samedi 14 – 14H – Place de l’Horloge
  • Bar-le-duc – samedi 14 – 14H – Gare SNCF
  • Bayonne – Samedi 14 – 14H – Devant la mairie
  • Beauvais – Samedi 14 – 14H – Mairie ???
  • Bédarieux – (34400) samedi 14 – 9h30 – square schumann
  • Belfort – Samedi 14 – 16H – préfecture
  • Bellac– samedi 14 – 10h au marché de Bellac , place du 138e RI (Place du Champ de Foire). Rendez-vous au fond du marché, côté parking
  • Bergerac – Samedi 14 – 10h30 – palais de justice
  • Besançon – samedi 14 – 14H – Place de la révolution
  • Bessèges – Samedi 14 – 14H – Mairie (à 100m de la mairie sous le cèdre)
  • Béziers – Samedi 14 – 10H30 – place du 14 juillet
  • Blois – Samedi 14 – 14H – Place Louis XII
  • Bordeaux – samedi 14 -motards ANTI-PASSE SANITAIRE 13H centre routier pour rejoindre les manifestants piétons place de la bourse à 14h https://fb.me/e/4PviJOOWm
  • Bordeaux – Samedi 14 – 13H30 – Place de la bourse
  • Bouillante (Guadeloupe) – Samedi 14 – 8H – Mairie ?
  • Boulogne Sur Mer – Samedi 14 – 17H – Parvis de Nausicaa
  • Bourges – samedi 14 – 15H – place seraucourt
  • Bourg-en-Bresse – Samedi 14 – 14h – préfecture
  • Brest Samedi 14 – 14H Place de Strasbourg https://fb.me/e/2xhJmJtlm
  • Bretenoux Tous les samedis 14H > 20H Parking du rond-point de la Cèré https://fb.me/e/Jkytg713
  • Briançon – Samedi 14 – 14H – Champs de Mars
  • Brignoles (83) – samedi 14 – 15h – devant l’Hôpital en bas du Cours des Ursulines
  • Caen – Samedi 14 – 14 h – Place du Théâtre
  • Cahors – Samedi 14 – 14H – tribunal
  • Calais – Samedi 14 – 14H – Théâtre de Calais
  • Châlons-En-Champagne – Samedi 14 – 14H – kiosque du grand jard
  • Chalon-sur-Saône – Samedi 14 – 15H – Place de Beaune
  • Chambéry – Samedi 14 – 14h – palais de justice
  • Cherbourg – chaque samedi – 14h – place du Général de Gaulle
  • Cannes – samedi 14 – 10h30 – Rond-Point de la Victoire https://fb.me/e/dyd5e58Ab
  • Carcassonne – Samedi 14 – 14H30 – Square Gambetta
  • Cavaillon – Samedi 14 – 11H – Place du Clos
  • Châteauroux – Samedi 14 – 14h – palais de justice
  • Chaumont – Samedi 14 – 14H – Mairie ?
  • Chauny – Samedi 14 – 14H – place bouzier
  • Clermont-Ferrand – Samedi 14 – 14H – place de Jaude
  • Colmar – Samedi 14 – 14H – Place Rapp
  • Compiègne – Samedi 14 – 14h30 – place de l’hôtel de ville
  • Coulommiers – Samedi 14 – 14H – RV est sur le parking de feu vert dans la ZI
  • Dax – Samedi 14 – 10H – parc de la mairie
  • Denain (59) – Samedi 14 – 10H – place du marché
  • Digne-les-Bains – Samedi 14 – 14H – Place du General de Gaulle
  • Dijon – Samedi 14 – 14H – Place de la république
  • Dole (39) – Samedi 14 – 14H – Avenue De Lahr
  • Draguignan – Samedi 14 – 14H – Sous-Préfecture
  • Dunkerque – Samedi 14 -14 h – Place Jean Bart
  • Epinal – Samedi 14 – 14h – préfecture
  • Evreux – Samedi 14 – 14h30 – Devant la mairie
  • Ferney voltaire – samedi 14 – 16h – rdv sur le parking du bijou
  • Figeac – Samedi 14 – 10H – Lycée Champollion
  • Flers – samedi 14 – 14h – parking de la mairie
  • Foix – samedi 14 – 10h – hall aux grains
  • Fréjus – Samedi 14 – 14H – Base Nature > Mairie
  • Gap – Samedi 14 – 14H – parc de la pépinière
  • Grenoble – samedi 14 – 14h30 – Hôtel de préfecture de l’Isère place Verdun https://fb.me/e/YlARPksG
  • Guéret – Samedi 14 – 14H – Place Bonnyaud
  • Hendaye – Samedi 14 – 15H>18H Rond point du palmier Hendaye plage
  • La Ciotat – Samedi 14 – 11H>14H – Port-vieux (Apéro suivi de manif à 14H)
  • La Rochelle – Samedi 14 – 13H – Parvis de l’aquarium
  • La roche-Sur-Yon – Samedi 14 – 13H30 – Place Napoléon
  • Le Havre – Samedi 14 – 14H – Hotel de Ville
  • Le Mans – Samedi 14 – 14h30 – place du marché de Pontlieue
  • Le Palais (Belle-Île-en-Mer) – Tous les samedis – 11H – Place de la république ?
  • Le-Puy-En-Velay – Samedi 14 – 14H – Place de Breuil
  • Le Touquet – samedi 14 – 14h – place du centenaire (front de mer)
  • Lamballe – Samedi 14 – 10h – devant la gare
  • Lannion – Samedi 14 – 10h – Quai de l Aiguillon
  • Lens – Samedi 14 – 10H – Rendez-vous devant la gare de Lens
  • Lille – Samedi 14 – 14H – Place de la République
  • Limoges – Samedi 14 – 14H Place Jourdan
  • Lons-le-Saunier – Samedi 14 – 14H – Place de la liberté
  • Lunel – Samedi 14 – 9H – Mairie
  • Lyon – Samedi 14 – 11H-14H – La confluence/esplanade François Mitterrand
  • Lyon – Samedi 14 – 14h – Gare des Brotteaux: Manifestation à destination de Jean Macé, [autorisée par la préfecture]
  • Marseille – Samedi 14 – 14H – Vieux-Port
  • Melun – Samedi 14 – 14h – devant la préfecture
  • Metz – Samedi 14 – 14H – Place de la république
  • Montauban – samedi 14 – 14h – devant la préfecture
  • Mont-de-Marsan – Samedi 14 – 10h – Place st rock
  • Montélimar – samedi 14 – 14h-16H – départ place de la mairie
  • Montluçon – Samedi 14 – 10H – Rue Porte-Saint-Pierre
  • Montmorillon (86) – Samedi 14 – 14H – Mairie
  • Montpellier – Samedi 14 – 14h – Place de la comédie
  • Montréal (Quebec) Samedi 14 14h et/ou 20H 100 Boulevard René-Lévesque O
  • Morlaix – Samedi 14 – 10H – Mairie
  • Mougins – Samedi 14 – 10h30 – Rond Point de la Victoire https://fb.me/e/dyd5e58Ab
  • Mulhouse – Samedi 14 – 14H – Square de la Bourse
  • Nancy – Samedi 14 – 14h – place Maginot
  • Nantes – tout les samedis – 14h – à la croisée des trams
  • Nevers – samedi 14 – 15h30 – place de la résistance (devant préfecture) (déclaré)
  • Nice – samedi 14 – 14h – garibaldi
  • Nîmes – Samedi 14 – 16H – Jardins de La Fontaine
  • Niort – Samedi 14 – 10H – Place Pierre Semard
  • Orléans – Samedi 14 – 14h30 – place de la République
  • Paris – samedi 14 – Rassemblement dès 11h30 au métro porte Dorée ligne 8 et départ en manif à 13h00 en direction de place Clichy en passant par la place de la nation et place de la république https://fb.me/e/13fHHHn8V
  • Paris – samedi 14 – 14H – Gare de Noisy-le-Grand – Mont d’Est (Conférence)
  • Paris – Samedi 14 – 14H30 – Quartier Montparnasse place de Catalogne
  • Paris – samedi 14 – 13H30 14H30 – Place de la bourse > Place du palais royal
  • Pau – Samedi 14 – 10H – Place Verdun
  • Périgueux – samedi 14 – 10h – palais de justice
  • Perpignan – samedi 14 – 14h – place catalogne
  • Pertuis – samedi 14 – 10H – Place Jean Jaurès
  • Poitiers – samedi 14 – 14h – place d’armes (devant la mairie)
  • Quimper – samedi 14 – 14h – place de la Tourbie
  • Redon – samedi 14 – 14h – sous pref
  • Reims – samedi 14 – 14h – Parking René Tys
  • Rennes – samedi 14 – 14 H – place république
  • Roanne – (42) samedi 14 – 14h – place hôtel de ville
  • Rodez – Samedi 14 -14h – Esplanade des Rutènes
  • Rouen – Samedi 14 – 14H – Place de l’hôtel de ville
  • Royan – Samedi 14 – 15H – Rond-point de l’aérodrome de Médis
  • Saint-Brieuc – Samedi 14 – 10h>14H place de la liberté>place du Guesclin
  • Saint-Brieuc – samedi 14 – 14h – Place du Guesclin ( Philippot )
  • Saint-Gaudens – Samedi 14 – 18H – Place Jean Jaurès (collégiale)
  • Saint-Dié-des-Vosges – Samedi 14 – 14h30 – Place du Gl de Gaulle (Cathédrale)
  • Saint-Etienne – Samedi 14 – 14H – Centre commercial géant Espace Monthieu ( convergence avec manif place du bicentenaire )
  • Saint-Etienne – Samedi 14 – 14H – place du bicentenaire ( convergence avec manif espace monthieu )
  • Saint-lo ( 50 )- samedi 14 – 14 h – plage verte
  • Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (83) – Samedi 14 – 14h – place Jean de Lattre
  • Saint-Nazaire (44) – Samedi 14 – 14H – Place de la Mairie
  • Saint-Pierre ( Réunion ) – samedi 14 – 10h – Marché Forain
  • Saint-Pierre-d’Oléron – Samedi 14 – 15H30 – Kiosque/place gambetta
  • Saintes – samedi 14 – 14H – devant le tribunal (Picnic à 13H)
  • Saumur – Samedi 14 – 15H30 – Place du Chardonnet
  • Sélestat – Samedi 14 – 14H – Place de Lattre de Tassigny
  • Strasbourg – Samedi 14 – 14H – place Kléber
  • Tarbes – Samedi 14 – 14h – Place de la mairie
  • Terrasson – Samedi 14 – 13H45 – Place de la libération
  • Thonon-les-Bains – Samedi 14 – 14H30 – Place des Arts
  • Toulon – Samedi 14 – 13H/14H – Place de la Liberté
  • Toulouse – Samedi 14 – 14H – Métro Jean-Jaurès https://fb.me/e/335F30Je8
  • Tours – Samedi 14 – 14H – Place Jean Jaurès
  • Troyes – Samedi 14 – 15H Préfecture (13H Picnic géant vers le restaurant la péniche)
  • Valence – Samedi 14 – 12h – Devant la préfecture
  • Vannes – Samedi 14 – 14 h – Esplanade du Port
  • Versailles – samedi 14 – midi – Place d’Armes https://fb.me/e/2jcgmQW7C
  • Vésoul (70) – Samedi 14 – 14h – Hotel de ville
  • Vichy – Samedi 14 – 14H – Place de la Mairie
  • Vienne – Samedi 14 – 16h – Jardin des Cybeles
  • Villefranche sur Saône – samedi 14 – 10H – devant la mairie
  • Villeneuve sur lot ( 47 ) – samedi 14 – h ?? – devant la prefecture
  • Viriat – samedi 14 – 10h – La neuve
  • Voiron (38) – Samedi 14 – 14H – Cathédrale

DIMANCHE 15 AOUT

  • Belfort – Dimanche 15 – 12H – Place-d’armes (Picnic)
  • Brive-La-Gaillarde – Dimanche 15 – 15H30 – Théâtre
  • Châlons-en-Champagne – Dimanche 15 – 12H – Jard Anglais (Picnic)
  • Nice – Dimanche 15 – 14h30 – Place Masséna/coulée verte
  • Paris – dimanche 15 – 13h30 – Les Champs Elysées https://fb.me/e/Ql2Z9gzf
  • Saint Malo – Dimanche 15 – 15 H – porte de Dinan
  • Sallanches – Dimanche 15 – 14H – Pré de Foire

Auteur(s): FranceSoir




«Vous tuez la France»

[Source : RT en français]

[Photo : © Frédéric Scheiber Source: Reuters.
Le Premier ministre Jean Castex dans le centre de Carcassonne le 11 août 2021 avec le maire Gérard Larrat lors d’une visite axée sur l’application du pass sanitaire.]

En visite dans l’Aude, le Premier ministre a été interpellé de vive voix par une passante bien décidée à lui signifier son opposition aux restrictions et au pass sanitaire, qui, selon elle, tuent la France, les restaurateurs et les artisans.

Lors de sa visite à Carcassonne (Aude) ce 11 août, le Premier ministre s’est fait interpeller par une passante visiblement très remontée contre la gestion de la crise par le gouvernement, et notamment la mise en place du pass sanitaire. La scène a été captée par les caméras de BFM TV. 

« Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là,
on est traités comme des chiens »

« Vous tuez la France monsieur, vous tuez la France et les commerçants. Et vous tuez aussi tous les artisans qui sont en train de mourir, voilà ce que vous faites», a lancé la femme en croisant le cortège du Premier ministre qui déambulait dans les rues de la ville. Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là, on est traités comme des chiens », poursuit la passante, véhémente. 

« Je ne parade pas, et je n’ai tué personne, au contraire, j’en ai sauvé. On essaye d’en sauver », se défend alors le chef du gouvernement.

Pas de quoi convaincre son interlocutrice, qui insiste : 

« Je ne pense pas, demandez aux restaurateurs, ils sont en train d’essayer de survivre ici. On peut quand même manger sur une terrasse sans pour autant infecter qui que ce soit je crois, qu’on soit vaccinés ou pas. »

« De toute façon, votre vaccin c’est pas un vaccin », conclut-elle, dans ce qui s’apparente à une référence aux vaccins à base d’ARN messager.

La scène s’est déroulée après le Conseil de défense sanitaire auquel le Premier ministre a assisté depuis la préfecture de l’Aude. Le but de sa visite dans la ville de Carcassonne était notamment de défendre le pass sanitaire le cas échéant, et d’en constater l’application sur le terrain.




Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Fakurian Design sur Unsplash — Fakurian Design]

Application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de covid

Par Samuel Fitoussi.

Face au covid, il existe un dilemme fondamental entre liberté et santé, entre la sévérité des restrictions et le nombre de vies sauvées. Le rôle des pouvoirs publics est de trouver le bon compromis, à la faveur d’analyses coûts-bénéfices.

Or, depuis dix-huit mois, un certain nombre de biais et d’erreurs systématiques de raisonnement faussent la rationalité des décisions et favorisent la mise en place de restrictions excessives.

Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie.

LE BIAIS D’ANCRAGE

29 janvier 2020. Donald Trump annonce la suspension de tous les vols en provenance de la Chine. La décision est condamnée unanimement : on trouve choquant qu’un homme bafoue avec tant de légèreté la liberté de voyager de millions de personnes.

En juillet 2021, Joe Biden annonce que tout voyageur – même vacciné – provenant de Chine, du Royaume-Uni, d’Irlande, du Brésil, d’Afrique du Sud, d’Inde, d’Iran et de n’importe quel pays membre de l’Union européenne, se verra refuser l’entrée sur le sol américain. Aucune condamnation.

Que s’est-il passé entretemps ?

Dans un magasin, si le premier t-shirt que vous voyez coûte 9 euros, le second à 25 euros vous paraîtra cher. Si le premier t-shirt coûte 50 euros, le second à 25 euros vous paraîtra bon marché.

C’est le biais d’ancrage, mis en lumière pour la première fois en 1974 par Daniel Kahneman et Amos Tversky, psychologues israéliens. Une première information vous fournit un référentiel arbitraire en fonction duquel vous raisonnez ensuite.

Au printemps 2020, face à une situation d’urgence absolue – hôpitaux débordés, pénuries d’équipements et de tests, méconnaissance du virus – la plupart des pays occidentaux se tournent vers une solution de dernier recours : le confinement. Survenu très tôt dans la crise, le confinement crée ce référentiel, ce cadre cognitif par lequel nous évaluons depuis toutes les autres restrictions.

À l’annonce de chaque nouvelle mesure, nous nous souvenons que nous avons accepté pire et en concluons que la nouvelle mesure (restrictions de voyages, couvre-feux à 21 heures, à 20 heures, à 19 heures, à 18 heures, masque à l’extérieur, QR codes pour s’assoir en terrasse) est acceptable.

Et donc, pour en revenir aux États-Unis : en comparaison avec l’interdiction de dépasser les frontières de nos appartements, l’interdiction de franchir certaines frontières nationales nous paraît être un non-évènement.

[Ndlr : ici, il y a un autre facteur probablement aussi déterminant dans l’absence de réactions négatives face à l’annonce de Biden en comparaison du tollé contre celle de Trump, c’est la très forte disproportion de soutien médiatique entre les deux personnages. Trump avait 97 % des médias dominants contre lui, alors que Biden dispose d’un fort support.]

LE BIAIS D’ACTION

Évoqué pour la première fois par les économistes Richard Patt et Anthony Zeckhauser en 2000, le biais d’action désigne la croyance – plutôt logique en apparence – que face à un problème, il est toujours préférable d’agir que de ne pas agir. Le biais explique par exemple pourquoi l’homéopathie plait tant pour soigner des petits maux et pourquoi au football, les gardiens choisissent presque toujours, face à un penalty, de plonger plutôt que de rester au milieu, solution qui leur offrirait pourtant une meilleure chance d’arrêter le ballon.

En janvier 2021, lorsque le gouvernement décale le couvre-feu de 19 heures à 18 heures, l’impact sanitaire est probablement nul (voire négatif puisque l’on incite aux rassemblements intérieurs) mais au moins, on ne reste pas les bras croisés.

En juillet 2021, les maires ou préfets qui rétablissent l’obligation du port du masque en extérieur ne sauvent aucune vie, mais peuvent mieux se regarder dans la glace : ils agissent.

Dans les deux cas, la perte de bien-être pour les Français est en revanche bien réelle. On peut se demander combien de restrictions, depuis 18 mois, répondent uniquement au besoin instinctif de « faire quelque chose ».

Le biais d’action explique aussi pourquoi le principe de précaution est toujours évoqué de manière asymétrique. On entend que par précaution, il faut confiner 66 millions de personnes 6 semaines (agir), car on connait mal la maladie, [Ndlr : et peut-être pour signer une fois de plus le 666 ?] alors qu’on entend moins que par précaution il ne faut pas confiner 66 millions de personnes six semaines (ne pas agir) car on connait mal les effets du confinement.

LE BIAIS D’ILLUSION DE CONTRÔLE

Théorisé par Ellen Langer, psychologue américaine, ce biais désigne notre tendance à sous-estimer l’importance des facteurs externes et à surestimer l’importance des facteurs internes, à n’expliquer une situation donnée que par des causes sur lesquelles on possède un levier d’action.

Pendant les périodes de sécheresse, certaines tribus sacrifiaient des enfants pour apaiser les dieux. Si la sécheresse prenait fin, c’était grâce au sacrifice, sinon il fallait sacrifier d’autres enfants. Au bout d’un moment, la situation finissait toujours par s’améliorer, validant la stratégie des chefs de tribu.

En France depuis 18 mois, quand les courbes descendent c’est grâce aux restrictions, quand elles montent c’est parce qu’on n’a pas assez restreint.

C’est le biais d’action qui encourage la tribu à sacrifier des enfants, c’est le biais d’illusion de contrôle qui conduit à s’en féliciter. C’est le biais d’action qui nous encourage à fermer les remontées mécaniques, c’est le biais d’illusion de contrôle qui nous conduit à nous en féliciter.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ AUX ORDRES DE GRANDEUR

En 1992, William Desvousges, économiste américain, demande à trois groupes de participants combien chacun serait prêt à payer pour sauver un certain nombre d’oiseaux de la noyade.

Résultat : les participants qui peuvent sauver 20 000 oiseaux souhaitent payer moins (78 dollars) que ceux qui peuvent en sauver 2000 (80 dollars), tandis que ceux qui peuvent en sauver 200 000 ne donnent que 88 dollars. Conclusion : l’importance que nous accordons à un problème n’est quasiment pas affectée par le nombre de personnes que le problème affecte.

Daniel Kahneman – lauréat du prix Nobel d’économie en 2002 pour ses travaux sur les biais cognitifs – donne l’explication suivante : puisqu’il est impossible de se représenter un très grand nombre d’éléments, nous réduisons le problème à une seule image mentale, un prototype. Pour évaluer la souffrance de 2000 ou de 200 000 oiseaux, les participants imaginent un oiseau se débattant dans l’eau – image indépendante du nombre d’oiseaux concernés.

Lorsque l’on cherche à estimer ce qui est plus grave entre, par exemple, 5000 morts supplémentaires du covid ou l’instauration du port du masque obligatoire dans les écoles, on imagine, d’un côté, une personne âgée en détresse respiratoire et de l’autre, un écolier masqué. La première image étant infiniment plus dramatique que la seconde, on en conclut que la seconde option est préférable à la première. Le fait qu’ils soient 5000 à être concernés par la première et 12,9 millions par la seconde n’entre pas en considération.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ À LA DURÉE

En 1993, Kahneman diffuse à des sujets plusieurs vidéos désagréables, d’intensités et de longueurs variables. Il leur demande ensuite de classer les vidéos des plus déplaisantes aux plus plaisantes. L’unique facteur qui influence le classement : l’intensité des images. La longueur de la vidéo ne joue aucun rôle. C’est le biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons la valeur d’une expérience en fonction du plaisir moyen qu’elle nous apporte sans égard pour le temps qu’elle dure et donc pour la somme de bien-être ou de mal-être qu’elle nous fournit.

En octobre 2020, lorsque le gouvernement choisit de mettre en place un couvre-feu, il est prévu qu’il durera six semaines. Au fil des mois, alors que le couvre-feu ne cesse d’être reconduit, presque tous ceux qui approuvaient sa mise en place le 17 octobre continuent d’approuver sa reconduction, comme si le prolongement de la mesure dans le temps n’exerçait aucune influence sur sa balance coût-bénéfice.

Nous succombons au biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons « le couvre-feu », pas « un couvre-feu d’une durée de… ». Le processus mental à l’œuvre est semblable à celui du biais précédent : qu’il s’agisse d’un couvre-feu de six semaines ou de huit mois, l’image mentale que nous utilisons pour estimer son coût est la même : une soirée moyenne sous couvre-feu.

LE BIAIS DE VICTOIRE DES POSITIONS LES MOINS COÛTEUSES SOCIALEMENT

Il a imposé l’idée que la saturation des réanimations avait un coût infini.

En mars 2020, il est décidé que nous n’accepterons pas la saturation des réanimations et les désastres qu’elle impliquerait (décès, tri des patients, déprogrammations, soignants exténués, chaos…). Sauf qu’à ce stade, nous croyons que l’alternative à la saturation des réanimations est un confinement de un mois, pas trois confinements et 8 mois de couvre-feux. Peu importe, nous ne remettrons plus jamais en cause l’idée que la non-saturation des réanimations doit être la ligne rouge guidant les politiques publiques et acceptons donc l’hypothèse implicite suivante : la saturation des réanimations possède un coût infini.

Pourquoi cette hypothèse s’est-elle imposée comme une évidence ?

Octobre 2020. Arguez qu’il faut re-confiner le pays, on risque de vous rétorquer que vous ne savez pas mener d’analyse coût-bénéfice. Arguez qu’on peut accepter la saturation des réanimations, on risque de vous traiter d’égoïste sans âme.

Une des deux positions plus coûteuse socialement est donc moins exprimée. Puisque notre cerveau associe les idées beaucoup répétées avec ce qui est vrai (biais de vérité illusoire) la seconde position perd des adhérents, elle est repoussée à la marge du débat. Il devient donc de plus en plus coûteux de la tenir (puisqu’en plus d’être un égoïste vous devenez un extrémiste), elle est donc encore moins exprimée, perd d’autres adhérents, est repoussée davantage à la marge. Elle finit par disparaître complètement des cerveaux. Cercle vicieux, généralisable à un tas de sujets, qui montre que ce n’est pas uniquement la validité d’une position qui la rend dominante mais aussi (et parfois surtout) son acceptabilité sociale.

Notez que je n’écris pas qu’il fallait accepter la saturation des réanimations, simplement que le choix de ne pas l’accepter a été effectué pour les mauvaises raisons, puisqu’il qu’il a été admis arbitrairement qu’on n’optimiserait pas la balance santé (y compris réanimations) – liberté, mais la balance santé – liberté sous contrainte de non-saturation des réanimations. De façon toute aussi arbitraire, il aurait pu être décidé qu’on optimiserait la balance santé – liberté sous contrainte de ne pas imposer à 66 millions de Français 8 mois d’affilée sous couvre-feu et confinement. Ce qui aurait impliqué une ligne rouge et donc un élément au coût infini : irrationnel aussi.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE ON NE PEUT PAS LAISSER DES GENS MOURIR

Nous faisons chaque année des choix de société qui impliquent que la vie humaine a un prix. Par exemple, les 10 000 à 15 000 morts annuels de la grippe sont évitables, mais on choisit de ne pas les éviter car on considère que le différentiel de liberté entre une situation avec des restrictions anti-grippe et une situation sans restrictions possède un coût social plus élevé que celui des décès.

Ainsi, il existe un nombre de décès X que l’on préfère à la suppression d’un degré de liberté Y, un ratio décès évités/bien-être supprimé X/Y en dessous duquel une restriction n’est plus acceptable.

C’est à la lumière de cette réalité qu’il faut évaluer le bien-fondé de chaque nouvelle restriction, plutôt qu’au nom de principes abstraits.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE LA LIBERTÉ DES UNS S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES

Depuis 18 mois, cette formule est brandie pour justifier toute nouvelle mesure. Elle est fausse, dangereuse, et porteuse de projets de sociétés totalitaires. Dans le cadre du covid, la liberté de faire x ou y s’arrêterait là où commencerait la liberté d’un autre de ne pas se faire contaminer.

D’abord, la formule est disqualifiée par le fait qu’on peut, en toute situation, la renverser :

La liberté de l’un de ne pas se faire contaminer s’arrête là où commence la liberté de l’autre de faire x ou y.

Ensuite, pour la grippe, on constate chaque année que la liberté des uns de prendre le métro sans masque (par exemple) ne s’arrête pas là où commence celle des autres de ne pas être contaminés. Il y a un donc un niveau de risque que l’on est en droit de faire courir aux autres. Le covid étant plus létal et contagieux que la grippe, il est possible que ce soit, dans la plupart des situations, la liberté des uns à ne pas être contaminés qui mérite de primer par rapport à celle des autres de vivre librement. Mais l’exemple montre que la formule n’est pas absolue et qu’il faut raisonner au cas par cas, en balance liberté supprimée pour l’un, liberté obtenue (santé) pour l’autre.

En outre, il faut noter que l’accessibilité d’un vaccin modifie complètement la balance car il atténue les bénéfices liés à la réduction de la probabilité de contamination (une contamination entraîne 90 % moins de formes graves aujourd’hui), alors qu’il ne change pas le coût des restrictions.

Toutes choses égales par ailleurs, une restriction justifiée par la balance liberté supprimé-liberté obtenue il y a 6 mois n’est donc plus forcément justifiée aujourd’hui.

LE BIAIS DES COÛTS IRRÉCUPÉRABLES

En 1973, les gouvernements français et britannique découvrent que Le Concorde, leur projet d’avion supersonique, ne pourra pas être rentable. Pour ne pas « perdre » les 300 millions d’euros déjà investis, ils décident de mener le projet à son terme. Bilan : 1,5 milliard d’euros dépensés pour un retentissant échec commercial. Influencés par une décision prise antérieurement, les gouvernements français et britannique ont succombé au biais des coûts irrécupérables.

Octobre 2020. Alors que le nombre de cas de covid explose, le gouvernement est confronté à un dilemme : confiner la France à nouveau ou accepter des milliers de décès supplémentaires ? Un élément complique l’analyse : choisir la deuxième option, ce serait rendre, a posteriori, le premier confinement vain, puisque la plupart des décès évités au printemps surviendraient à l’automne. C’est donc en partie la volonté irrationnelle de ne pas « avoir fait tous ces efforts pour rien » qui guide le choix de re-confiner, plutôt qu’une analyse mettant en balance les coûts et bénéfices futurs des différentes options.

Lors de guerres déclenchées par des rois trop orgueilleux, il fallait ne jamais capituler pour que les soldats ne soient pas morts en vain.

Aujourd’hui, il faut restreindre éternellement la liberté pour que les confinements n’aient pas été vains.

LE BIAIS DE PENSÉE DÉSIDÉRATIVE

Il s’agit du biais qui nous pousse à former nos croyances non pas en fonction de la réalité mais en fonction de ce qu’il est agréable d’imaginer.

Depuis 18 mois, beaucoup sont tombés sous l’emprise d’une pensée désidérative : nous n’avons à compromettre ni notre santé ni notre liberté puisque nous pouvons éradiquer le virus.

Prenant leurs désirs pour des réalités, ces commentateurs passent à côté du fait que la situation des pays zéro-covid n’est en rien comparable avec la situation française : ces pays ont agi tôt, n’ont pas six frontières terrestres, ne font pas partie d’une union politique de 447 millions d’habitants, et surtout, il n’est pas donné qu’ils s’en sortent mieux que la France sur la durée. Tant pis, cette pensée désidérative a beaucoup d’influence dans le débat public, puisqu’elle motive consciemment ou inconsciemment la position de beaucoup de partisans d’un durcissement des mesures : pourquoi laisser traîner le problème alors qu’il suffirait de taper un grand coup pour en finir ?

En 2011, Christopher Booker, écrivain britannique, décrit ce qu’il nomme le cycle du fantasme (les parenthèses sont les miennes) :

Lorsque nous nous lançons dans une ligne de conduite inconsciemment motivée par une pensée désidérative (nous pouvons vaincre le virus), tout peut sembler aller bien pendant un certain temps : c’est l’étape du rêve (le confinement). Mais ce faux-semblant ne peut jamais être réconcilié avec la réalité et cela conduit à une étape de frustration dès que les choses commencent à mal tourner (la remontée des courbes), ce qui incite à un effort plus déterminé pour maintenir le fantasme en vie (re-confinement).

Le biais de pensée désidérative nous pousse aussi à sous-estimer la durabilité de ce qui nous affecte négativement.

En mars 2020, nous sommes persuadés que le confinement n’est qu’une courte parenthèse et que la vie normale (le monde d’après, encore mieux que le monde d’avant) ne tardera pas à reprendre. Aujourd’hui, une des raisons du large soutien au passe sanitaire est la certitude qu’il disparaîtra dans quelques mois. Personne n’a envie de présenter pendant plusieurs années un QR code pour s’asseoir en terrasse et donc personne ne s’imagine qu’il faille pendant plusieurs années présenter un QR code pour s’asseoir en terrasse. Pourtant, les vaccins nécessiteront sûrement des rappels.

LE BIAIS DE CONFORMISME

En 1951, Salomon Asch, pionnier de la psychologie sociale, pose à plusieurs participants une question simple.

Certains répondent seuls : ils se trompent dans moins de 1 % des cas.

D’autres, soumis à la même question, observent d’abord six autres participants (des complices de l’expérimentateur), choisir, unanimes, une mauvaise réponse. Ceux-ci se conforment, dans 37 % des cas, au choix des six complices.

C’est l’illustration du biais de conformisme : nous avons tendance à adopter sans fondements rationnels les comportements de ceux qui nous entourent.

Plusieurs raisons l’expliquent.

Premièrement, nous considérons que si les autres modifient leur comportement, ils possèdent peut-être des informations que nous n’avons pas et/ou comprennent mieux la situation que nous. C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence informationnelle.

En février, lorsque l’Italie est frappée par le virus, la seule région qui a connu une tension hospitalière comparable est la région de Wuhan. Incertaine de la voie à suivre, l’Italie se conforme donc à la méthode chinoise : le 9 mars, elle confine ses 60 millions d’habitants. Les dirigeants italiens auraient-ils même eu l’idée d’employer une telle méthode sans le précédent chinois ?

Deuxièmement, dès lors que face à un problème, certains agissent, la charge de justification est modifiée : ce n’est plus à ceux qui adoptent le comportement d’expliquer pourquoi ils agissent, mais à ceux qui n’agissent pas de justifier leur inaction. Il s’agit d’une forme de pression sociale. Dans les jours qui suivent la décision italienne, dans les pays touchés par la maladie il devient plus difficile de justifier de ne pas confiner que de justifier de confiner. Preuve de la modification de cette charge de justification : depuis 18 mois, c’est le choix suédois de ne pas confiner qui est scruté et interrogé.

Enfin, (surtout ?) il est toujours beaucoup moins coûteux de se tromper avec les autres (diffusion de la responsabilité) que seul (s’exposer, cible unique, aux critiques).

Ainsi, il sera souvent rationnel de préférer la quasi-certitude d’avoir tort avec la majorité au petit risque d’avoir tort seul (voire au risque d’avoir raison seul). C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence normative.

En mars 2020, Boris Johnson attend sept jours avant de se conformer à la décision des autres grandes nations européennes (la France confine le 17, le Royaume-Uni le 24) : il subit encore, dans l’opinion publique, les répercussions de ce choix.

Phénomène de mimétisme qui soulève une question intéressante : que ce serait-il passé si le virus n’était pas né en Chine, dictature qui par essence accorde moins de poids à la liberté, mais dans une démocratie libérale ?

LE BIAIS D’INDUCTION

Le problème de l’induction désigne le fait d’utiliser le passé pour prédire le futur et donc de surestimer la probabilité que le futur ressemble au passé.

Une idée énoncée dès le XVIIIe siècle par le philosophe David Hume :

Ce n’est pas la raison mais l’habitude qui permet de supposer que le futur sera conforme au passé.

Et reprise de façon amusante par Bertrand Russell, qui ironise sur la mauvaise surprise qui attend le poulet raisonnant par induction :

L’homme qui l’a nourri tous les jours finit par lui tordre le cou.

Dans le cadre politique, le biais d’induction nous pousse à sous-estimer la probabilité de chamboulements majeurs dans les 10, 20 ou 50 prochaines années. Ainsi, lorsque nous évaluons les conséquences à long terme des restrictions, nous projetons ces conséquences dans une France semblable à celle d’aujourd’hui et accordons peu d’égard aux coûts liés à la constitution d’un précédent.

Par exemple, le fait que les confinements et les couvre-feux soient devenus des outils de politique publique conventionnels augmente la probabilité d’utilisation de ces outils dans le futur. Problème auquel nous accordons peu d’égard puisque le biais d’induction nous projette dans un monde où nous serons toujours d’accord (ou pas trop en désaccord) avec les justifications des confinements.

De même, si on n’est pas anti-vaccin, on aura tendance à sous-estimer la probabilité que l’on puisse un jour se retrouver dans la frange de la population qui refuse une pratique sociale ou médicale encouragée par le gouvernement.

Ainsi, lorsque l’on analysera les coûts du passe sanitaire, on accordera un poids insuffisant aux conséquences de la normalisation du procédé d’exclusion d’une partie de la population possédant certaines convictions (ici, convictions anti-vaccin).

LE BIAIS DE DICTATURE DES MINORITÉS INTRANSIGEANTES

Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le processus, prend l’exemple d’un dîner où deux invités sur vingt sont des juifs pratiquants. Asymétrie fondamentale : les non-juifs peuvent manger de la nourriture casher alors que les juifs pratiquants ne peuvent pas ne pas manger casher. L’hôte préparera donc un dîner casher. La préférence d’une minorité est imposée à tous.

Dans le cadre du covid, il existe de nombreuses asymétries de ce type.

Par exemple : une personne ne craignant pas le virus accepte de porter un masque, alors qu’une personne craignant le covid refusera certaines interactions avec des interlocuteurs non-masqués. Imaginez qu’un vendeur préfère interagir sans masque mais ne connaisse pas les préférences du client qui entre dans sa boutique. Le client préfère lui aussi interagir sans masque mais ne connaît pas les préférences du vendeur.

Dans le doute, les deux garderont leur masque : le coût potentiel de ne pas le porter (l’autre peut refuser l’interaction ou formuler une remontrance) est supérieur au coût de le porter (buée dans les lunettes). La préférence d’une minorité intransigeante est imposée alors même qu’aucun membre de cette minorité n’est présent.

Limitée au phénomène ci-dessus, la dictature de la minorité est plutôt bénéfique, le covid étant une maladie contagieuse. Le problème, c’est qu’il s’agit d’un processus sans fin. Lorsque le port du masque devient la norme, une nouvelle minorité intransigeante naît, exigeant qu’on s’écarte de la situation en place pour aller vers une nouvelle norme permettant encore davantage de limitation des risques. Et de cette nouvelle norme naissent encore d’autres intransigeants…

L’important est donc de garder en tête que les codes de conduite en vigueur ne reflètent pas toujours les préférences de la majorité. La loi, puisqu’elle permet de renforcer ou d’affaiblir ces normes, doit tenir compte de ce biais.

LE BIAIS DE MÉCONNAISSANCE DE L’EFFET NOCEBO

Il conduit à une surestimation de l’ampleur du problème posé par le covid long.

Le 24 juin 2021, The Guardian publie un article abondamment repris affirmant que 37,7 % des malades du covid développent un covid long, c’est-à-dire des séquelles persistant plus de 12 semaines après leur rétablissement.

La méthodologie de l’étude : on présente à 508 707 anciens malades une liste de 29 symptômes (variant d’insuffisance respiratoire à simple fatigue) et on leur demande s’ils souffrent encore d’au moins l’un de ces symptômes. Il y a 37,7 % de réponses positives.

Le 31 décembre 2020, Pfizer publie les résultats d’efficacité de son vaccin. Chez les 2298 participants du groupe contrôle (ceux à qui on n’a rien injecté, mais qui ne le savent pas) 33,4 % déclarent ressentir, suite à l’injection, de la fatigue, 33,7 % des maux de tête, 11,7 % des coups de froid, et 10,8 % des douleurs musculaires. C’est l’effet nocebo : lorsque l’on s’attend à souffrir, le cerveau peut anticiper la douleur et déclencher par lui-même des symptômes psychologiques ou même réels. Dans l’estimation de l’ampleur du covid long, en plus de l’effet nocebo, s’ajoute un autre biais : la fausse attribution de maux réels (fatigue, dépression…) au fait d’avoir eu le covid.

Ainsi, il est évident que :

  1. La plupart des études qui visent à estimer la réalité du covid long, puisqu’elles ne comparent pas avec un groupe contrôle (idéalement, des patients qui croiraient avoir eu le covid mais ne l’auraient pas eu, ce qui est impossible à trouver en pratique), surestiment massivement l’ampleur du phénomène.
  2. Plus les médias reprendront ces études sans esprit critique en alarmant sur les prétendus dangers du covid long, plus les gens souffriront du covid long.

Ce biais peut sembler mineur mais il devient important de le pointer du doigt car à mesure que la couverture vaccinale progresse et que sont éliminées la plupart des formes graves de la maladie, le danger du covid long sera de plus en plus évoqué pour justifier la poursuite de certaines restrictions.

LE BIAIS DE CONFIRMATION

Le biais de confirmation est le fait de remarquer de manière disproportionnée ce qui permet de confirmer ses opinions pré-existantes.

Si, par exemple, l’auteur d’un texte sur les biais cognitifs pense que les restrictions sanitaires ont été excessives, il risque de s’intéresser uniquement aux biais ayant conduit à trop restreindre la liberté, oubliant que d’autres biais ont pu avoir l’effet inverse.




Climat et GIEC : la crosse de hockey frappe encore

[Source : Contrepoints]

[Photo par Jarosław Kwoczała sur Unsplash — Jarosław Kwoczała]

Par Michel Negynas.

Nous avons vu dans une série d’articles, via le prisme de la saga des moyennes mondiales des températures, combien l’affolement devant une éventuelle « catastrophe climatique » a des fondements scientifiques discutables.

LE GIEC, UNE INSTITUTION INDESTRUCTIBLE

La courbe de l’évolution des températures mondiales fait partie de tous les scandales dont le GIEC est entaché sans que cela n’ait le moins du monde remis en cause sa domination scientifico-politico-idéologique sur la science. On nous affirme encore «  the science is settled » (la science est établie) alors que tous les éléments prédictifs contenus dans les 5 précédents rapports sont démentis par les faits.

Il ne s‘agit pas ici de contester la théorie de l’effet de serre lui-même (bien que cette dénomination soit trompeuse) : il rend notre planète habitable. Il s’agit de mettre en garde sur notre insuffisance de connaissances et de données pour pouvoir prédire notre avenir d’ici à la fin du siècle. Nous avons encore à beaucoup travailler pour en être capable, si tant est que ce soit possible.

Les modèles climatiques sont des outils de recherche, ils ne sont pas des boules de cristal. À ce titre, ils n’auraient jamais du sortir des laboratoires. Ce sont les démocrates américains, lors des élections de 1988, qui ont ouvert la boîte de Pandore et le reste a suivi : conflits d’intérêt, alliance du business et de l’écologie radicale, action amplificatrice des media dans des démocraties d’opinion…

L’hystérie a conduit à la fondation du GIEC, qui fut très vite noyauté par un petit nombre de scientifiques extrémistes, fondant par là même une nouvelle science, la « climatologie », qui n’existait pas jusqu’alors. Les climatologues se distinguent de leurs collègues, qui étudient les sciences de la Terre depuis toujours, par le fait qu’ils font essentiellement du retraitement de données existantes et du moulinage de ces données dans des modèles informatiques. Dès le début, les scientifiques « modérés » et rationnels, comme Pierre Morel, qui fonda le laboratoire français de modélisation du climat, furent éjectés.

Conflits d’intérêt, non vérification des articles, erreurs typographiques sur des sujets primordiaux, procédures contraires à l’éthique scientifique, et même scandale sexuel… N’importe quel organisme n’aurait pas survécu à cette avalanche de dysfonctionnements. Pas le GIEC. En 2010, il a subi un audit de l’Inter Academy Council, l’organisme adéquat de l’ONU. Ses recommandations dévoilent, en creux, toutes les insuffisances. Mais rien n’a été changé depuis dans son fonctionnement.

LA CROSSE DE HOCKEY

Un des scandales révélés en 2009 concerne la courbe d’évolution des températures mondiales depuis 2000 ans. Retracer cette courbe est important pour décider de la crédibilité des études en cours. Si on montre que le réchauffement actuel est unique dans l’histoire, la probabilité que nos émissions en soient l’origine est grande. Dans le cas contraire, le réchauffement peut être la somme de l’effet de nos émissions et de phénomènes naturels, dans des proportions à définir, mais cela relativise notre « culpabilité ».

En 1998, un scientifique a publié une nouvelle reconstruction de température effrayante : elle était plate jusqu’en 1960, et montait presque verticalement ensuite.

Cette courbe a été très vite invalidée, y compris par une commission d’experts officielle, mandatée par le Sénat américain. En outre, nous avons en Occident et en Chine des centaines de références, littéraires, artistiques et techniques, pour savoir que le climat a varié au cours des siècles précédents. Devant l’évidence, le GIEC a fini par ne plus la publier dans son rapport AR5 d’ici il y a quelques années.

RAPPORT DU GIEC : LA CROSSE DE HOCKEY RÉAPPARAÎT

Mais ô surprise, la voilà qui réapparaît dans le sixième rapport, celui qui vient de sortir !

On remarquera d’abord la « performance » scientifique : connaître avec moins de +/- 0,25 degré d’incertitude la température moyenne mondiale il y a 2000 ans, c’est d’autant plus méritoire que même maintenant, nos stations météo ne font guère mieux de +/- 1 degré d’incertitude !

Évidemment, le statisticien qui avait en son temps dévoilé la supercherie de la première courbe a tenté de comprendre d’où vient celle-ci.

D’abord, malgré son habitude des rapports du GIEC, il ne l’a trouvée que dans le « résumé pour décideur », la partie notoirement politique du rapport, pas dans la partie scientifique.

Ensuite, il démontre que la courbe a été obtenue en choisissant soigneusement les études à moyenner, « celles qui vont bien ». Or, il existe des milliers d’études, dans le monde entier, qui disent le contraire… Pour approfondir le sujet, très technique, il faut aller ici.

En outre, les données ne sont en général pas disponibles, ou même, on ne connaît pas d’où viennent les études…

UN SIXIÈME RAPPORT EXTRÉMISTE

Cet épisode est représentatif d’une fuite en avant du GIEC devant les difficultés qu’il rencontre :

  • Toutes les prévisions antérieures sont invalidées, les modèles « chauffent » trop.
  • Les nouveaux résultats issus de modèles encore plus sophistiqués, « chauffent » encore plus, même leurs auteurs le reconnaissent.
  • Il s’avère évident que les scenarios d’émission de CO2 à long terme sont pour la plupart irréalistes.
  • Si on s’en tient aux scenarios « plausibles », l’élévation de température, même avec ces nouveaux modèles, n’est pas catastrophique.

Il fallait donc trouver des leviers nouveaux pour conforter la terreur. Le GIEC insiste maintenant davantage sur la fréquence des évènements exceptionnels cataclysmiques que sur les températures. Et réinvente la crosse de hockey.

Premières réactions au nouveau rapport ici.

Mais gageons que le rapport occasionnera encore beaucoup d’articles sur Contrepoints.




Capitaine Alexandre Juving-Brunet : « Beaucoup de personnes au pouvoir devraient commencer à s’inquiéter »

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

Alexandre Juving-Brunet est chef d’entreprise et capitaine dans la réserve de la gendarmerie nationale.

Reçu au concours de l’École spéciale militaire (ESM) de Saint-Cyr en 2002 (promotion Général de Galbert), il intégrera la gendarmerie nationale en qualité d’officier à l’issue de ses trois années de formation.

Au cours de sa carrière dans la gendarmerie, Alexandre Juving-Brunet a exercé différents postes opérationnels qui lui ont permis de se confronter aux problématiques de sécurité publique et de maintien de l’ordre, avant d’évoluer au sein de l’État-major puis de terminer sa carrière dans le renseignement militaire en qualité d’officier de liaison détaché à la Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD).

Un dernier poste dans le cadre duquel il a pu appréhender les problématiques liées au terrorisme, à l’espionnage, à la subversion et au sabotage, mais aussi au crime organisé.

Après avoir quitté la gendarmerie en 2013 au grade de capitaine, Alexandre Juving-Brunet a fondé plusieurs entreprises en lien avec ses passions. Ces dernières années, il a mis au point et breveté des technologies parfumantes (ingénierie olfactive) à destination des industriels évoluant dans les secteurs de l’alimentation, de la beauté ou du divertissement.

Ces dernières semaines, Alexandre Juving-Brunet a participé aux manifestations contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants et des professions en contact avec un public vulnérable organisées à Toulon (Var).

Sommes-nous face à un tournant historique, un défi de civilisation ? La rupture est-elle consommée entre le peuple et la classe politique ? Le gouvernement a-t-il pris la mesure de l’ampleur du mécontentement exprimé par les manifestants ?

Quel avenir pour nos institutions et notre démocratie ? Comment restaurer la confiance entre le peuple et ses élites ?

Quel est l’état d’esprit des forces de l’ordre vis-à-vis des manifestations ? Quelles conséquences pour le pouvoir si la force publique venait grossir les rangs des manifestants ?

Existe-t-il un risque d’infiltration d’éléments perturbateurs dans les cortèges, voire de récupération politique ?

Retrouvez les réponses d’Alexandre Juving-Brunet à ces questions dans la vidéo :




Je suis Djamel

Par Ahmed Bensaada

#Je_Suis_Djamel*

La foule était là, tapie dans la forêt, en feu
La foule était là, avec sa queue et ses cornes
La foule était là avec ses sabots et son odeur de soufre
La foule était là, attendant sa proie, avide de sang et de miasmes

Lui est venu pour aider, guitare en bandoulière
Lui était guilleret, troubadour des temps modernes
Lui était heureux, le cœur au bout des doigts
Lui était la bonté, un ange au milieu des ténèbres

Lui était joyeux, la foule était lugubre
Lui chantait, la foule hululait
Lui riait, la foule éructait
Lui était gracieux, la foule était laide

La foule a bondi, agrippé, trainé, tabassé
La foule l’a piétiné, lynché, brulé, égorgé
La foule s’est rassasiée de chair brulée
La foule s’est repue de son sang, de son âme, de son utopie

Lui c’est la beauté portée par son nom
La foule c’est la laideur des arbres calcinés
Lui est au paradis, la foule est en enfer
Et moi, moi, pauvre moi, #Je_Suis_Djamel

Ahmed Bensaada

12/08/2021
https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=567%3Ajesuisdjamel&catid=46%3Aqprintemps-arabeq&Itemid=119&fbclid=IwAR0WD99qXe4GB57XSfbjd92L3ys99shVVktKVwzs0HQ61JXrjUQvG3haoQU


Citoyen lynché et brulé vif à Larbaa Nath Irathen : le parquet ordonne l’ouverture d’une enquête

Le procureur de la République, près le tribunal de Larbaa Nath Irathen (Cour de Tizi Ouzou), a ordonné jeudi l’ouverture d’une enquête sur les circonstances de décès d’un citoyen lynché et brulé vif dans la région de Larbaa Nath Irathen, suite aux soupçons sur son implication dans les feux de forêts qui ont ravagé la région.

« Suite aux vidéos relayées, mercredi 11 août 2021 sur les réseaux sociaux, montrant l’assassinat d’un citoyen (mortellement brûlé et lynché), le procureur de la République près le Tribunal de Larbaâ Nath Irathen informe l’opinion publique, conformément à l’article 11 du code de procédure pénale, de ce qui suit : Un groupe de citoyens a arrêté trois personnes qui se trouvaient à bord d’une voiture, suite à leurs soupçons d’être impliqués dans les feux de forêts qui se sont déclarés dans la région de Larbaâ Nath Irathen.

Après les avoir agressés, les services de police sont intervenus pour les secourir et les ont transférés au commissariat », lit-on dans le communiqué du procureur de la République près le tribunal de Larbaa Nath Irathen « Cependant, le même groupe a continué à attaquer le siège de la police avec violence, et a réussi à faire sortir l’un des trois individus du commissariat et à le traîner à l’extérieur, le battant et le brûlant, ce qui a conduit à sa mort.

Les policiers qui sont intervenus pour protéger la victime et la secourir ont également subi des blessures », a ajouté la même source.

« Le Parquet a ordonné à la police judiciaire d’ouvrir une enquête sur les circonstances de cette affaire, et ce, dans l’objectif d’identifier les auteurs et de les traduire devant la justice, pour qu’ils soient sévèrement punis, conformément à la loi, et ce afin que ce crime odieux ne reste pas impuni. L’opinion publique sera informée des résultats de l’enquête », a conclu la même source.




« Lettre ouverte aux non vaccinés »

[Source : Les 7 du quebec]

À l’heure où la France a basculé dans la tyrannie suite à la démission de son «Conseil constitutionnel» (sic) de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens..

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vaccination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant :

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[Voir aussi : Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »]

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vaccin COVID-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vaccinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vaccin contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vaccinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vaccinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vaccinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vaccins insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vaccination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vaccin est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vacciner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vaccin, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vaccinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vaccin expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vaccins.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vaccin laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD
Denis Rancourt, Ph.D.
Claus Rinner, PhD
Laurent Leduc, PhD
Donald Gallois, PhD
John Zwaagstra, PhD
Jan Vrbik, PhD
Valentina Capurri, PhD




Pourquoi les employeurs n’ont pas intérêt à appliquer la loi sur le passe sanitaire

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Les employeurs ont-ils intérêt à appliquer la loi sur le passe sanitaire ? Un président de section prud’homal nous explique pourquoi cette loi est un piège à employeurs, qui n’ont rien à perdre à ne pas appliquer la loi, et même tout à y gagner. Une contribution essentielle, qui apportera de nombreuses précisions de notre part dans les jours à venir.

Le Conseil Constitutionnel ayant validé une bonne partie de la nouvelle loi sur le passe sanitaire, la question se pose maintenant de savoir ce qu’elle change pour les employeurs.

Pour tous les employeurs, le texte ne change rien à ce qui existe aujourd’hui

Tout d’abord, alors que le gouvernement avait annoncé des sanctions pour les employeurs qui refuseraient de suspendre, voire à l’époque de licencier, leurs salariés qui n’auraient pas de pass sanitaire ou de vaccin obligatoire, selon les cas,  en fait cette loi ne crée aucune sanction pour ces cas là !

Si donc un employeur de la restauration suspend un salarié pour absence de pass sanitaire, ou si en employeur du milieu médical suspend un salarié pour absence de vaccination, il ne pourra pas se cacher derrière une contrainte : il n’y en a aucune dans cette Loi !

Et c’est normal, et c’était prévisible : le contrat de travail de droit privé a force de Loi, et si un tiers s’immisce dans la relation pour la bloquer par la contrainte, alors il doit en assumer toutes les conséquences pour les deux autres parties. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’État avait pris en charge les salaires de tous les salariés qu’ils avait empêchés de travailler pendant le confinement. Ce n’était pas par gentillesse, c’est juste parce que c’était une obligation légale.

La subtilité de l’article 16

Une petite subtilité cependant pour les employeurs des milieux médicaux et paramédicaux dans l’article 16 :

«  La méconnaissance, par l’employeur, de l’obligation de contrôler le respect de l’obligation vaccinale » est passible  d’une sanction, en l’espèce une contravention de 5eme classe, soit 1500 euros maximum.

C’est la seule sanction prévue pour les employeurs,  et une lecture rapide laisserait penser qu’elle s’applique pour ceux qui ne sanctionne pas leur salarié. Tel n’est pas le texte.

L’obligation qui est faite à ces employeurs est de contrôler le respect de l’obligation vaccinale. Ce qui n’est pas du tout la même chose que de sanctionner un salarié pour absence de respect de l’obligation vaccinale.

Le deuxième piège de la loi

Et ce qui amène au deuxième piège.

Un employeur ne peut pas interroger un salarié sur sa santé, et encore moins le sanctionner pour ce motif. C’est très explicitement interdit par l’article L1132-1 du Code du Travail

Pour faire court : «  aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte…. en raison de son état de santé »

La suspension du contrat de travail étant une sanction, si elle est prononcée « en raison de son état de santé », elle est nulle. C’est-à-dire que si l’employeur suspend le contrat de travail pour tout motif de santé, l’application de cet article suffira à annuler la sanction. Et comme il s’agit d’une discrimination, c’est l’un des seuls cas avec le harcèlement où il n’y a ni barème ni plafond en cas de rupture du contrat. Les condamnations peuvent donc être très lourdes.

Le troisième piège de la loi pour les employeurs

Enfin, le troisième piège : la suspension du contrat de travail, qui est en fait une sanction disciplinaire qui prive le salarié de son salaire, est soumis à une procédure particulière, qui est décrite dans les articles L 1332-1 et suivants du Code du Travail.

Il faut notamment convoquer le salarié en respectant des délais, permettre l’assistance par un membre de l’entreprise, respecter encore un délai avant de prononcer la sanction. Le non respect de cette procédure peut invalider la sanction.

Pour résumer les pièges tendus, un employeur qui voudrait suspendre le contrat de travail de son salarié devra :

  • respecter le formalisme et la procédures propres aux sanctions disciplinaires
  • ne pas interroger le salarié sur sa santé
  • ne pas le sanctionner sur un motif de santé.

Si l’employeur ne respecte pas ces éléments, le risque de sanction devant un Conseil de Prud’hommes est maximal, et s’agissant de discrimination, sans limite.

Que faire ?

Alors, comment l’employeur peut-il s’accorder avec la nouvelle Loi ?

Pour tous ceux qui ne relèvent pas de l’article 12 (les restaurateurs, bars, lieux culturels ou de loisirs…), la meilleure chose à faire est : RIEN

Il n’y a aucune sanction prévue si l’employeur ne fait rien, en revanche il risque très gros en sanctionnant son salarié.

Pour les employeurs particuliers de l’article 12, qui sont exclus des sanctions, là encore, la meilleure chose à faire est : RIEN

Pour les autres employeurs de l’article 12 (les professions de santé et assimilées), ils ont l’obligation sous peine d’amende, de contrôler le respect de l’obligation vaccinale. Comme ils ne peuvent pas interroger leur salarié sur leur situation vaccinale, qui relève du secret médical, ils doivent suivre la procédure normale en cas de question sur un élément de santé : ils doivent organiser une visite d’examen par le Médecin du Travail indépendamment des examens périodiques, ainsi qu’il est prévu par l’article R4624-17 du Code du Travail.

Le Médecin du Travail ne communiquera aucune information à l’employeur sur l’état de vaccination, mais seulement l’aptitude ou pas du salarié à travailler à son poste. Et l’employeur aura satisfait à son obligation de contrôle du respect de l’obligation vaccinale sans enfreindre aucune Loi.  

Finalement, loin des effets d’annonce tonitruants du 12 juillet 2021, cette Loi a été vidée de sa substance en ce qui concerne le Droit du Travail, qui n’a pas été remis en cause. Elle ne produit que très peu, voire pas du tout, d’obligations contraignantes pour les employeurs. Elle vise manifestement plutôt à mettre en place une pression psychologique sur les employeurs. Malheur cependant à ceux qui cèderaient à cette pression et mettraient ainsi eux-mêmes leur tête sur le billot judiciaire.




L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !

Par Alain Tortosa

Au commencement du capitalisme, le modèle n’était pas forcément mauvais… Une valorisation de la réussite, une égalité des chances, la prise de risque récompensée…

N’étant pas un écolo défenseur de la bougie et de l’âge de pierre, j’ai la croyance que de nombreuses inventions humaines n’auraient pu voir le jour sans un système permettant la recherche, le dépassement, la récompense ou la compétition.

Et même si je ne suis pas un adepte de la compétition, reconnaissons qu’elle peut avoir certains bons côtés, par exemple dans le sport.

De l’autre côté de l’échiquier, le début du 20e siècle a connu la dictature du prolétariat, étape censée nous conduire à une espèce d’Éden communiste. Nous avons vu l’enfer que cela a pu produire dans les faits.

Cela a aussi mis en exergue le besoin (vital ?) pour l’homme d’avoir sa « carotte » directe ou indirecte. La production agricole s’est effondrée en URSS, car non seulement le paysan ne tirait aucun bénéfice à travailler mieux et avoir de meilleures récoltes, mais l’État lui volait quasi tout au point de crever de faim… Et impossible aussi pour lui de se reconnaître dans un « grand tout »…

De son côté, le capitalisme « terrien » et productif, créateur de richesses, s’est petit à petit éloigné de ses valeurs pour basculer dans la jungle de l’ultralibéralisme. Ne me faites pas dire que la révolution industrielle n’a pas été un enfer pour les paysans devenus ouvriers et ainsi dépossédés de leurs biens. Mais cette richesse financière accumulée, même si elle était sur le dos du travail d’esclaves, produisait néanmoins de la richesse productive…

Jusqu’au bouleversement total dans les années 80 qui ont été « formidables » pour aller à fond dans la dérégulation et nous faire croire que les marchés allaient s’autoréguler et qu’il fallait un minimum d’interventionnisme des États sous peine de gripper la machine et produire de la pauvreté.

Aujourd’hui 1 % des plus riches possèdent deux fois plus que 90 % du reste de la planète ! Et quoiqu’en disent certains politiques ou banquiers il n’y a plus aucun contrôle sur les marchés. L’argent dette(([1] https://7milliards.fr « 7 milliards d’esclaves et demain ? »)) est roi et les bulles spéculatives sont plus grosses que des nations.

Les entreprises tentaculaires, des lobbies, des banques privées ont une puissance financière et de corruption auquel aucun politique au pouvoir ne peut résister sous peine d’être broyé.

En fait c’est l’inverse, personne ne peut accéder aux manettes sans l’aide et le feu vert des maîtres du monde. La démocratie, comme certains osent encore l’appeler, n’est qu’une mascarade visant à illusionner le peuple et l’empêcher de prendre les armes !

Pour les pourritures à la tête du monde ultralibéral, l’ennemi c’est le peuple. Imaginez des lois sociales, des ascenseurs sociaux, de la justice, de la morale ou, pire encore, des projets au service du peuple…

Bref tout ceci est détestable pour eux et c’est avec bonheur qu’ils voient enfin arriver l’ère de la robotisation et de l’intelligence artificielle de masse qui va signer l’arrêt de mort du travail et rendre l’humain inutile pour produire (mais utile pour consommer).

Quant à ceux qui croient que des milliards de travailleurs manuels non qualifiés et rendus volontairement analphabètes seront les ingénieurs de demain, je ne sais pas encore si ils sont payés, s’ils vivent sur la planète des bisounours ou si leur QI est plus proche de celui du singe ou de l’huître.

Et ne croyons pas que nous, les « conscients », soyons les « bons » de l’affaire. Notre confort d’Occidentaux est uniquement bâti sur la sueur et le sang de travailleurs esclaves dans les pays pauvres.

Cet ultralibéralisme, avec la complicité des médias et d’écolos incultes, a réussi à nous vendre la voiture électrique dont la pollution pour produire les moteurs et les batteries rendrait jaloux le pire pollueur de la planète. Et ce sans compter l’esclavagisme des adultes et des enfants qui extraient les terres rares qui ravagent la planète et leur santé. Ces pourritures ont même transformé une pauvre fille autiste et illettrée en égérie de l’écologie, inconsciente de travailler pour les pires saloperies de l’ultralibéralisme et du profit maximal à court terme. Elle est l’étendard de la dictature écologique qui fera passer la dictature sanitaire comme une gentille parenthèse.

Pour revenir aux deux systèmes, les psychopathes maîtres du monde étaient rendus à deux impasses :

  • L’impasse de l’ultralibéralisme qui n’est pas totalement libre de détruire les humains et la planète à cause de ces foutus droits de l’homme et des lois sociales.
  • L’impasse de la dictature communiste qui détruit les humains, mais limite fortement la production et les profits. Le système étant économiquement non viable…

Et c’est la que la Chine communiste est intervenue, permettant de concilier le « meilleur » des deux mondes ultralibéral et communiste !

L’ère d’une dictature, du parti unique, du contrôle total de la population associé à une dérégulation totale du marché et un ultralibéralisme sans la moindre conscience !

Alors personnellement je n’ai pas les éléments de preuve pour savoir si la situation sanitaire actuelle est en partie le fruit du hasard, une « chance » formidable qui s’est présentée à ces fils de putes (pardon pour la profession qui, elle, mérite du respect) ou totalement planifiée…

Il n’en demeure pas moins vrai que c’est la Chine qui a proposé en 2020 les confinements à la surprise générale. Et (quasi) tous les pays riches et l’OMS ont suivi alors que TOUS savent et savaient que le confinement d’une population en bonne santé alors qu’un virus circule est voué à l’échec comme cela a été confirmé depuis des centaines d’années et par toutes les études sérieuses.

Les QR codes, la reconnaissance faciale, le pass sanitaire et bientôt le crédit social sont désormais en voie d’adoption et de normalisation par de nombreuses « démocraties » occidentales.

Et comme dirait le con de service plus concerné par le dernier iPhone que les droits de l’homme :

« Si on n’a rien à se reprocher en quoi est-ce gênant d’être espionné 24 heures sur 24 ? »

Nous vivons ainsi les premiers mois de la mise en œuvre de la dictature ultralibérale qui est basée sur exactement le mémé modèle que la dictature communiste chinoise !

Mais comme nous ne sommes pas des pourris, que nous sommes les « gentils », que nous ne sommes pas la Corée du Nord, nous demeurerons une « démocratie » dans laquelle le peuple n’a qu’un seul droit, c’est de fermer sa gueule, regarder Hanouna et acheter des Nike !

Pour autant, nous voyons bien qu’une écrasante majorité du peuple n’est plus dupe, il n’y a qu’à voir que 70 % des inscrits (et non des personnes en âge de voter) ne prennent plus le temps de participer à cette mascarade électorale parce qu’elle est convaincue que cela ne sert à rien. Hélas, une majorité de cette majorité a renoncé, car cet ultralibéralisme a réussi à tuer Dieu, le communisme, les valeurs, la famille, pour laisser croire qu’il n’y avait que la voie de la croissance infinie dans un monde fini. Et comme je l’ai rapidement évoqué, « l’écologie » n’est qu’un marché à la croissance infinie qui a réussi à transformer le « jeter », qu’ils appellent le recyclage, en acte écolo !

Demain, le vote électronique va être mis en œuvre en France et comme aux USA, il ne sera même plus la peine d’aller sur son clavier pour voter, le résultat des élections sera connu bien avant le début du scrutin. Nos maîtres du monde psychopathes auront déterminé à l’avance qui sera l’heureux esclave « élu » et à leurs bottes.

Il est encore temps de dire NON, il est toujours temps de dire NON !

À nous de récupérer une conscience politique, à nous de réclamer une justice sociale, à nous de refuser la redistribution des miettes qui n’est qu’aumône. C’est ce principe tordu de la redistribution qui vante le modèle ultralibéral de la réussite. « Le riche redonne au pauvre » (des miettes) notamment dans le système américain. Riche qui a obtenu sa richesse grâce au labeur des travailleurs pauvres ou en exploitant des ressources de la planète qui devraient être un bien commun ou en vendant une fortune des produits inutiles à l’obsolescence programmée à ces mêmes travailleurs pauvres !

À nous de réclamer un système distributif dans lequel la répartition des richesses est inscrite dans la constitution, dans lequel chaque humain viendrait au monde avec un capital ! Dans lequel tout un chacun pourrait s’enrichir, mais « raisonnablement » ! Que penser d’un Elon Musk qui gagne 300 000 dollars par minute (24 heures sur 24, 365 jours par an) ? Ce type tant admiré pour ses voitures qui détruisent la planète et ses fusées voit sa richesse augmenter chaque minute l’équivalent de 17 années de travail d’une caissière au salaire minimum… Elle même nantie comparé aux esclaves des pays pauvres payés 3 dollars par jour qui mettraient 235 ans pour arriver à la minute de revenus d’Elon Musk !

Vous avez dit « monde de merde ? », je suis d’accord !

Mais Rome ne s’est pas faite en un jour. Pour reprendre notre dignité, nous devons avancer pas à pas et commencer à dire NON au pass sanitaire, non à l’obligation vaccinale pour quiconque et non au crédit social. Ensuite ce sera l’heure des réformes politiques et de l’éducation des citoyens.

… Sans quoi demain nous nous réveillerons en République Populaire de France !

Alain Tortosa.

11 août 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210811-republique-populaire-de-france.pdf




Les Racines de nos Maladies

[Source : Elke Arod]

Autisme, hyperactivité, allergies, intolérances, maladies auto-immunes, tous ces fléaux se répandent aujourd’hui dans des proportions déconcertantes.

À l’heure où l’industrie alimentaire relayée par les grandes surfaces propose en standard quasi-incontournable de la nourriture dénaturée, où la composition des médicaments reste incomplète même pour les médecins, où le moindre objet de notre quotidien contient des substances chimiques, il est urgent de s’interroger sur la véritable origine des pathologies contemporaines.

Entre témoignage et exposé scientifique, Elke Arod nous fait part dans son ouvrage d’un véritable chemin de croix : celui d’une mère qui tente de comprendre d’où viennent les maux de son fils malade, alors que la médecine semble incapable de l’aider. Un ouvrage qui dénonce, révèle et propose une nouvelle approche de l’individu et de la nutrition basée sur une expérience réussie depuis plus de vingt ans auprès de nombreuses personnes touchées par diverses pathologies de civilisation.

L’importance de la nutrition, bien plus qu’un effet de mode

Des bonbons contenant des parfums synthétiques dangereux au poulet à la dioxine, en passant par le poisson au mercure, cet ouvrage lève le voile sur la composition nocive de la plupart des aliments proposés à la consommation. Elke Arod en profite pour mettre fin à de trop nombreuses idées préconçues sur la base de notre alimentation : par exemple, il faut savoir que le lait contient moins de calcium que certains autres nutriments. Il s’avère par ailleurs être un facteur d’aggravation du diabète. Est également dénoncée la présence de métaux lourds et de nanoparticules dans notre nourriture, nos cosmétiques et la majorité des produits dont nous nous servons quotidiennement. Une omniprésence dont les dangers sont expliqués par l’auteure, d’une plume fluide et sans détour.

Le corps, ses maux et les troubles du métabolisme

Comment fonctionne notre intestin ? En quoi les protéines, notamment les enzymes (Matrix Metallo Protéase) qui nous constituent sont-elles importantes ? Mercure, aluminium, que penser de la présence de ces métaux toxiques dans certains vaccins et amalgames dentaires toujours utilisés ? Connaître son métabolisme pour faire face aux mécanismes toxiques auxquels il est soumis, tel a été la démarche d’Elke Arod et celle qu’elle nous propose d’adopter à notre tour. Son parti pris est clair: en synergie avec les médecines traditionnelles, c’est la médecine nutritionnelle individualisée qui doit être priorisée de manière incontournable contre ces troubles. Il en va de notre santé et de celle de nos enfants.

L’AUTEURE

Elke Arod est la présidente de l’Association STELIOR, Centre international de recherches et d’études sur les troubles du métabolisme et du comportement de l’enfant et de l’adulte. Elle a mis à profit sa rude expérience personnelle pour élucider les causes des principales pathologies de notre époque. Ses recherches approfondies lui ont permis de mieux comprendre plusieurs mécanismes physiologiques fondamentaux et de pointer du doigt le mercure, en partie responsable de la plupart des maux qui affligent nos contemporains (autisme, allergies, intolérances, cancers…).

C’est en 1993 qu’elle crée la première Association qui est devenue ensuite le Centre STELIOR à Genève, entourée d’un Collège de nombreux scientifiques et de spécialistes internationaux reconnus tels que le Pr Boyd Haley, le Pr Karl L. Reichelt…

Par la suite, sur l’insistance du Conseiller d’État de la Santé du Canton de Genève de l’époque, elle crée la première école de nutri-détoxicologie, délivrant un diplôme reconnu par l’ASCA Suisse. Les thérapeutes peuvent ainsi pratiquer sa méthode sous l’égide de l’Académie de nutri-détoxicologie de Genève. Dans cet ouvrage, vous découvrirez comment ce centre propose d’informer et de venir en aide à tous ceux auxquels la médecine traditionnelle n’a pu apporter qu’une réponse fragmentaire à leurs problèmes toxicologiques et nutritionnels de santé.


Un exemple de source toxique :

Sur 1.000 bambins vaccinés, Elke Arod, nutri-détoxicologue, avance le chiffre effarant de 808 nourrissons touchés par de multiples maladies




[Voir aussi :
Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris
Prendre sa santé en main
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
Le Dr Gaétan Brouillard et l’importance de la pensée dans la santé
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans]




France : la fin de l’État ?

Par Valérie Bugault

À propos du détournement des fonctions étatiques, et de l’abus de droit international s’agissant d’un organisme étatique

[Source : valeriebugault.fr]

Le 16 mars 2020, Emmanuel Macron fait une « déclaration de guerre », dans laquelle aucun « ennemi » n’est clairement identifié, dans la mesure où l’on veut bien reconnaître qu’un virus ou une maladie n’est pas un « ennemi de type militaire » (https://youtu.be/5wYyJckGrdc).

En conséquence de cette « Déclaration de guerre », apparaît la 1ère loi d’urgence sanitaire en date du 23 mars 2020. Nous ne reviendrons pas sur l’inconstitutionnalité de cette loi. Loi qui a, par ailleurs, engendré, généré, une incapacité du parlement à se réunir dans des conditions normales (ou même simplement satisfaisantes), et correspond donc à une loi d’exception institutionnelle, ayant mis entre parenthèse nos institutions nationales.

Mais ce n’est pas tout, car, parallèlement à l’édiction de cette loi dérogatoire, d’exception institutionnelle, le « pouvoir exécutif français » s’est senti justifié à instaurer, sur l’initiative d’un « conseil scientifique », dont la composition est en soi extrêmement contestable – et à ce titre dument contesté par le professeur Didier Raoult comme étant en réalité un « Conseil des amis du professeur Delfraissy » (écouter vers la 11ème minute de la vidéo suivante : https://m.youtube.com/watch?v=Ld1kpIDzmLE)-, un « Conseil de Défense sanitaire » (https://www.elysee.fr/la-presidence/le-conseil-de-defense-sanitaire). Depuis lors, les décisions du gouvernement français sont soit initiées directement, soit passent par le prisme, de ce Conseil de Défense sanitaire, lequel agit comme un « usurpateur » du pouvoir politique français.

Or, ce Conseil de Défense repose sur un fondement extrêmement discutable :
“les recommandations d’un Conseil scientifique Covid-19 créé en mars 2020 à la demande du ministère de la Santé, formation autonome et indépendante composée de treize experts scientifiques.”

Il faut encore préciser que le président de ce conseil scientifique a, dès le 25 mars 2020, entretenu une correspondance amicale et politique, sinon strictement professionnelle, avec l’américain Anthony Fauci (cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci) en charge des intérêts sanitaires américains. Correspondance dont on ne perçoit pas très bien la pertinence au regard des intérêts français ; pour dire les choses autrement, cette correspondance pourrait très bien être analysée au regard de la collusion d’intérêts avec une puissance étrangère.

En résumé, le pouvoir politique français est désormais, en quelques sortes, accaparé par (dans le pire des cas) ou soumis à (dans le meilleur des cas) un Conseil de Défense, lequel a été institué à l’initiative d’un organisme, le conseil scientifique, dont la forme juridique n’est pas clairement établie, organisme réuni par le seul ministère de la santé, et dont la composition est hautement suspecte au regard des intérêts politiques français.

Quoiqu’il en soit de sa qualité intrinsèque, en l’occurrence très douteuse, un « conseil scientifique » ne saurait en aucun cas avoir l’autorité et/ou la légitimité politique de décider de la création d’un organisme, un Conseil de Défense, qui prendra désormais les décisions stratégiques au lieu et place du gouvernement français !

Il y a, fondamentalement, un problème juridique initial avec l’instauration de ce Conseil de Défense.

Et ce n’est pas tout !

Étant en guerre, la France désormais régit par un Conseil de Défense est, par voie de conséquence, soumise à la propagande qui accompagne toute guerre ! Or, à l’évidence, cette « propagande de guerre » n’est pas franco-française, elle sévit au niveau européen et même international et concerne particulièrement les pays développés, eux-mêmes réunis au sein de l’OTAN.
Dès lors, la question juridique à poser est la suivante : un organisme international est-il légitime à diligenter et à gérer une propagande de guerre Nationale ? Alors qu’aucune « déclaration de guerre » officielle visant un ennemi militaire n’a officiellement eu lieu… Un virus n’ayant a priori pas de nature militaire (encore que nous ayons de plus en plus d’informations allant dans le sens d’un virus fabriqué en laboratoire et frôlant donc la qualification de « guerre bactériologique », mais c’est encore une autre histoire…).

La déclaration d’Emmanuel Macron selon laquelle « nous sommes en guerre » a eu pour objectif et pour effet de lancer toutes ces manœuvres de nature politico-militaires sans qu’aucun ennemi, au sens militaire du terme, n’ait réellement été déclaré ! Une déclaration de guerre ne doit-elle pas nécessairement désigner un ennemi militaire ? En tout état de cause, la situation étatique et militaire traditionnelle, antérieure à l’actuelle suspension de nos institutions politiques, était qu’une « déclaration de guerre » était accompagnée de la désignation d’un « ennemi militaire ».

On ne compte plus les vices, de fond et de forme, qui entourent les décisions politiques françaises depuis que nous sommes, de facto, dans un état de suspension de nos institutions.

Il résulte de cet état de fait, que le gouvernement français a, de facto, perdu toute fonction réelle, qu’il est aujourd’hui concentré dans les mains d’un Conseil de Défense dépourvu de tout fondement juridique sérieux et surtout de toute légitimité politique.

Du point du vue du droit international, l’État français, qui a été vidé de sa substance politique pour être mis au service d’organismes dominés par des intérêts non formellement identifiés, se trouve dans une situation de détournement institutionnel, d’abus de droit international public.

Il importe aujourd’hui d’agir au niveau international afin de faire reconnaître la scission entre le gouvernement français et sa population ; scission entraînant la fin de toute légitimité publique des décisions d’un gouvernement qui a, de facto, démissionné au profit d’un Conseil de Défense illégal et politiquement illégitime.

Les Français sont dans une situation de détournement de leur État et des fonctions étatiques régaliennes y afférentes. Non seulement le pouvoir globaliste a déclaré la guerre à notre système de droit continental traditionnel mais il a désormais également usurpé notre État, dont la qualification elle-même relève de ce système de droit.


Olivier Renault – Entretien (partie.1) avec Valérie Bugault pour Observateur Continental, le 6 Août 2021

[Source : valeriebugault.fr]

Observateur Continental a demandé à Valérie Bugault, auteure notamment des « Raisons cachées du désordre mondial », de préciser son appel récemment fait à tout le monde mais essentiellement aux forces de l’ordre pour agir et sauver la France et son peuple.

1°) Est-ce que votre appel signifie que nous sommes en Troisième Guerre mondiale ?

Valérie Bugault : On pourrait présenter les choses comme cela mais il faut alors immédiatement préciser qu’il s’agit d’une Guerre d’une nature nouvelle. Cette guerre n’est pas menée militairement par un ou des États contre un ou plusieurs autres États. Cette guerre est conduite, au sein même de chacun des États, par une oligarchie compradore accapareuse – elle-même menée par le modèle défini par les dirigeants globalistes de la City of London (mélange de banques globales, de multinationales à leurs ordres sous anonymat, d’anciennes familles régnantes et de grands industriels ralliés à la banque) – contre les populations desdits États.

Il faut immédiatement ajouter, à des fins de clarté du débat, que les populations constituent, en elles-mêmes, historiquement le concept d’État ; c’est-à-dire que les populations sont intrinsèquement les éléments constitutifs de la notion politique d’État. Il en résulte qu’un État accaparé par une caste compradore n’est, du point de vue juridique et institutionnel, qu’une coquille vide, un détournement de la notion d’État, en d’autres termes, un « abus de droit public international ».

2°) Sur quels éléments de preuves pouvez-vous affirmer que tout ce qui est décision stratégique sur la communication, la politique, la santé publique, la stratégie sanitaire et militaire a échappé aux forces françaises ?

Valérie Bugault : Je vous renvoie à mon dernier article (https://valeriebugault.fr/a-propos-du-detournement-des-fonctions-etatiques-et-de-labus-de-droit-international-sagissant-dun-organisme-etatique-2). En réalité, l’État Français n’existe plus car les institutions officielles sur lequel il repose sont suspendues depuis la création du Comité de Défense sanitaire ; lequel comité ne repose sur aucune base juridique satisfaisante et ne dispose d’aucune légitimité politique.

3°) De qui est quoi est constitué ce contrôle globaliste qui commande aujourd’hui la France ?

Valérie Bugault : Il est constitué par la prise de contrôle, au niveau mondial – via le contrôle du système économique global – de :

  • La force de travail des individus ;
  • Des ressources matérielles et financières par les multinationales et les grandes banques globalistes ;
  • Des systèmes politiques via le « parlementarisme » (prétendument représentatif), lequel repose sur la captation de la vie politique par les partis politiques qui dépendent de leurs fournisseurs de capitaux.

Cette prise de contrôle mondiale opère à partir des armes développées par l’empire britannique que sont le droit anglo-saxon (y compris le concept de soft law) et le système des banques centrales. Anonymat et secret (notamment des affaires, mais aussi d’État…) ont été de puissants moyens pour accroître, en toute discrétion et impunité, leur accaparement des richesses et du pouvoir.

Au-delà de ces armes de pointes, les globalistes en ont développé de nouvelles : à savoir les institutions internationales dont ils ont, initialement ou au fil du temps, pris le contrôle plus ou moins officiellement : ONU (accompagnée de sa multitude d’agences qui se sont octroyé une compétence sur toutes les thématiques de la vie), OMC, OMS, OCDE, FMI, Banque des règlements internationaux, Banque mondiale, Club de Rome, Davos, Bilderberg, Union Européenne…

4°) Quelle est cette organisation qui est derrière les armées secrètes de l’Otan ?

Valérie Bugault : Les armées secrètes de l’OTAN ont été parfaitement renseignées par l’universitaire suisse Daniele Ganser, qui a fait un remarquable et difficile travail d’investigation et de synthèse. Je vous renvoie à ses nombreux travaux sur le sujet : livre réédité, (« Les armées secrètes de l’OTAN »), très nombreuses conférences que tout un chacun peut retrouver, écouter et visualiser sur Youtube notamment.

Ces armées secrètes ont été organisées dès la 2nde Guerre Mondiale afin de lutter contre Staline mais leur mission première était, à l’image de son instigateur Allan Dulles, d’être mise au service exclusif des multinationales et des banques globalistes qui opéraient, à l’époque, à partir de l’empire américain.

Cette superstructure opaque s’est développée en toute indépendance vis-à-vis des États membres de l’OTAN tout en disposant de la capacité de ponctionner, en secret, dans les ressources de l’OTAN. Cette organisation occulte s’est, en particulier, spécialisée dans les attentats sous faux drapeaux. Encore une fois, je renvoie les lecteurs intéressés à en savoir plus aux formidables travaux de Daniele Ganser.

à suivre


[Source : https://odysee.com/@valeriebugault:c]






Le Dr Ryan Cole au sujet des myocardites vaccinales: « une fois qu’une cellule cardiaque est endommagée, elle l’est pour toujours »

[Source : fawkes-news.com]






La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie

Par Gérard Delépine

[Illustration : imgscan contrepoints 2013-2433 santé.]

[Voir aussi sur economiematin.fr]

Il y a vingt ans notre système de soins était reconnu comme l’un des meilleurs du monde. Maintenant nous sommes au-delà du 20e rang mondial. Et la surcharge prétendue des services de réanimation constitue le prétexte à des contraintes liberticides qui achèvent l’économie mise à mal, non pas par l’épidémie, mais par les mesures inutiles censées la combattre.

Certes le gouvernement Macron n’est pas le seul responsable de la destruction de notre système de santé, mais toutes ses actions n’ont fait qu’aggraver considérablement la situation.

La diminution du nombre de lits et la prise de contrôle de la médecine par la bureaucratie

Toutes les politiques sanitaires depuis plus de vingt ans sont décidées par des non-médecins(([1] Un médecin est une personne qui traite non pas des maladies mais des malades en tenant compte de leur nature unique (antécédents, besoins…) )) qui considèrent que la santé a uniquement un coût qu’il faut absolument abaisser. Ils ont drastiquement diminué le nombre de lits. Entre 2000 et 2015, « le nombre de lits d’hôpitaux en France a diminué de 15 %,(([2] Gaëtan Lafortune économiste à l’OCDE. Diminution du nombre de lits à l’hôpital mais hausse de la population selon un rapport de l’OCDE France info 24/11/2017. 
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/diminution-du-nombre-de-lits-a-l-hopital-mais-hausse-de-la-population_2483265.html)) alors que la population a augmenté de 10 % et a fortement vieilli. Le nombre de lits pour 1000 habitants est ainsi descendu de 8 à 6,1 tandis que les besoins de soins d’une population plus nombreuse et plus âgée grandissaient.(([3] https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/salaires-des-infirmiers-nombre-de-lits-niveau-de-la-dette-neuf-graphiques-pour-comprendre-la-situation-des-hopitaux-avant-les-annonces-d-edouard-philippe_3709593.html))

Et malgré la pandémie, Gouvernement et autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits d‘hospitalisation temps plein dans les hôpitaux. En mai 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran affirmait qu’il fallait « sortir du dogme de la fermeture des lits » mais c’est une promesse reniée de plus.(([4] Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés – Basta ! (bastamag.net) ))
 

Une gestion dispendieuse qui oublie la raison d’être de l’hôpital

Un hôpital devrait être conçu pour répondre aux besoins de la population. Mais la gestion uniquement financière a détourné le système hospitalier de sa mission fondatrice. Les directeurs favorisent systématiquement les activités rentables, poussent les soignants à multiplier les actes intrusifs et abandonnent celles qui le sont moins dans le système de paiement à l’acte (tout ce qui relève de la clinique. C’est l’une des raisons de l’abandon des services des urgences au profit des actes de chirurgie réglée, plus rentables.

Les services de gestion ont été considérablement hypertrophiés aux dépens des services de soin. En trente ans, dans certains hôpitaux de l’AP-HP, le rapport nombre de gestionnaires/ nombre de lits a été multiplié par 10 tandis que celui soignants/lits stagnait.

Et cette gestion n’est pas efficace : lorsque le ministère constatant l’état déplorable des ordinateurs du service nous a alloué un budget dédié pour y remédier la direction nous a imposé le service d’achat centralisé qui a acquis le matériel à un prix nettement supérieur à celui du marché de l’époque, matériel qui ne nous ait d’ailleurs pas parvenu car il aurait été volé le soir même de sa livraison à l’hôpital !

Ce n’est pas seulement d’argent que l’hôpital a besoin mais d’une gestion peu couteuse, transparente et efficace, recentrant les moyens disponibles vers le soin et les soignants et limitant, comme à l’armée en temps de crise, les effectifs de « l’arrière » à un pourcentage réduit de l’effectif total. Donner plus de ressources à l’hôpital pour augmenter le nombre de non soignants est inutile, voire malfaisant.

Les politiques ont limité fortement le nombre de médecins car former des médecins revient cher d’autant que le temps de formation d’un médecin est long (10 ans). Augmenter le numérus clausus nécessiterait d’augmenter les moyens des facultés de médecine qui sont aujourd’hui au maximum de leurs capacités d’accueil. Un rapport de l’OCDE note que si entre 2000 et 2015, le nombre de médecins en France est resté stable (3,3 médecins pour 1000 habitants), « il a augmenté presque partout » en Europe. La France qui affichait un niveau « plus élevé que la moyenne européenne en 2000 », se situe désormais en-dessous. Et la baisse est particulièrement marquée pour les médecins généralistes qui constituent les soignants de première ligne contre le Covid19 entre autres maladies.

Ces médecins français sont en outre relativement âgés : plus de 50 % d’entre eux ont plus de 55 ans, En 2025, la France aura perdu un médecin généraliste sur quatre en vingt ans.(([5] https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html)) Actuellement plus de 5,4 millions de personnes, soit 8 % de la population, vivent dans des zones où l’accès à un médecin généraliste est limité. Sans alternative, ils se tournent alors régulièrement vers les urgences constamment débordées.

La démotivation des soignants culmine avec l’obligation d’un pseudovaccin expérimental

Bien avant la crise du Covid les soignants criaient à l’aide par des tribunes, une grève des urgences qui durait depuis près d’un an et des manifestations réprimées avec violence. Pour un représentant syndical, « à force de ronger l’hôpital public, on en a atteint l’os ». Depuis le début de la crise Covid le gouvernement a affiché son mépris des soignants en leur interdisant de traiter les malades selon leur expérience, le ministre dictant leur ordonnance : pas d’antibiotiques ni de chloroquine, Doliprane seul pour les formes bénignes, Rivotril pour achever les vieux. Maintenant il veut leur imposer une injection expérimentale inefficace suscitant des préavis de grève dans de nombreux hôpitaux. Les soignants ne sont pas des antivax, mais ils savent que l’inefficacité du traitement expérimental Pfizer se confirme chaque jour davantage comme le montrent les données officielles de l’état hébreux, et ils en constatent chaque jour directement les effets secondaires aux urgences, dont certains mortels

« La France est en guerre » a déclaré le président en mars 2020. Mais quel général peut espérer gagner une guerre en réduisant le nombre de ses soldats de première ligne, en les désarmant ? en fermant les lits d’hospitalisation temps plein, en leur interdisant de traiter précocement, et en cassant le moral des troupes par le mépris qu’il affiche à leur égard en voulant leur imposer des pseudo-vaccins qu’ils savent inefficaces et dangereux.

Et quel soldat peut encore avoir confiance en un général qui s’est parjuré après son allocution du 24 novembre 2020 où il déclarait « Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire » ?

Au total, il aurait suffi d’une dizaine de milliards et d’écouter les soignants pour remettre l’hôpital au niveau de 2000 et redonner confiance aux personnels. Macron a répondu qu’il n’y a « pas d’argent magique » à leur consacrer, mais les mesures prises en urgence parce que l’hôpital risquait d’être débordé ont déjà couté 400 milliards. Et l’hémorragie financière continue à saigner la France et à détruire l’économie.

Le mirage de la sanctuarisation par la vaccination

Le ministre prétend pouvoir transformer les hôpitaux en sanctuaire sans covid par la vaccination. Mais sait-t-il vraiment de ce qui se passe dans le monde réel où un taux de 100 % de vaccinés ne protège pas des reprises de l’épidémie ?

Un exemple récent d’échec de sanctuarisation par les pseudovaccins est celui du porte avion britannique Queen Elizabeth. 1300 marins à bord, tous complètement vaccinés depuis plus de 4 mois. Une escale. Et trois jours plus tard une épidémie éclate avec plus de 100 cas.

L’exemple de Gibraltar démontre qu’un taux de vaccination record est loin de protéger la population. Ce micro-état de 34000 habitants a commencé l’injection d’Astra Zeneca en décembre2020 et, au terme d’une campagne éclair, est parvenu à une couverture vaccinale de 115 % (car elle concernait aussi les travailleurs espagnols).

Malheureusement cette couverture vaccinale record a été suivie d’une dissémination colossale de la maladie, d’une mortalité record (95 morts soit 2794/Million contre 1049/M aux Pays-Bas et 189/M en Norvège) et n’a pas empêché la reprise récente de l’épidémie par le variant delta.

Un plus petit exemple, plus proche de nous, est celui des moines retraités de Vendée. À Chavagnes-en-Paillers, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

Le mirage de la création de sanctuaires par les vaccins, né de simulations virtuelles, n’existe pas dans le monde réel.

L’inefficacité des pass sanitaires

L’inefficacité des pseudo-vaccins actuels expliquent l’inefficacité des pass sanitaires que la loi scélérate récente instaure. Donnons-en quelques exemples :

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht se sont crus protégés par leur pass sanitaire vérifié à l’entrée via l’application CoronaCheck. Mais quelques jours après le festival, plus de mille d’entre eux participants ont été infectés dont une majorité de vaccinés. Au moins 448 festivaliers auraient été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour.

Les 50 000 participants des festivals tests Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté à l’entrée des pass valides ou des tests négatifs et porté des masques. Dans les jours qui ont suivi 2300 personnes se sont révélés contaminés : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla, soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents.

L’Autriche a instauré un pass sanitaire obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport le 1er juillet 2021 alors que l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières).

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant passe (479 cas/jour).

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters : 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

L’inefficacité sanitaire du pass et son caractère discriminatoire inédit l’ont fait abandonner dans la plupart des pays qui l’ont essayé : après un mois à Moscou, deux mois en Israël, quatre mois au Danemark…Et de nombreux pays démocratiques l’ont jugé anti constitutionnel : les USA, la Grande-Bretagne, la Suède, les Pays-Bas…

Alors pourquoi la loi scélérate impose-telle une discrimination majeure attentatoire aux libertés fondamentales, inefficace et abandonnée par presque tous ceux qui l’ont essayé ?

Les mesures dites sanitaires tuent la population, mais aussi l’économie

Ces mesures prétendument sanitaires(([6] Aucune des contraintes majeures (masque en extérieur, confinement, couvre-feux, fermeture des restaurants et café en terrasse, pseudovaccin) n’a scientifiquement prouvée qu’elle était efficace)) visent à masquer la responsabilité de nos gouvernants dans la destruction de notre système de santé. Mais elles aggravent considérablement la situation du pays en rajoutant aux victimes directes de la maladie les victimes collatérales des mesures sanitaires, une crise sociale, scolaire, et économique et politique majeure.

Le confinement et le plan blanc ont aggravé la mortalité globale par les refus et retards de soins, des maladies aigues et chroniques, l’arrêt des programmes de prévention, multiplié les troubles psychiatriques, multiplié les décrochages scolaires, aggravé la pauvreté et le chômage et détruit inutilement une partie de notre économie.

Les pertes financières ont touché plus fortement les pauvres aggravant d’autant leur pauvreté.(([7] Annie Firlej, Émilie Pawlowski Insee Des conséquences financières du premier confinement plus ou moins marquées selon les territoires))

Au deuxième trimestre de l’année 2020, l’INSEE indique une baisse de 13,7 % du PIB par rapport au trimestre précédent (dont -31 % en avril) ce qui constitue un des plus gros chocs économiques qu’a connus la France depuis 1945. L’impact du 2e confinement a été moins violent (-11,6 % de PIB en novembre) grâce à des mesures moins drastiques et la réouverture des commerces non-essentiels deux semaines avant la levée du confinement. Au total, d’après l’INSEE, l’économie française a subi une chute du produit intérieur brut de 8 % en 2020,(([8] Victor Amoureux, Jean-Cyprien Héam, Thomas Laurent (Insee Les comptes de la Nation en 2020 No 1860
Paru le : 28/05/2021 
https://www.insee.fr/fr/statistiques/5387891)) bien supérieure à celle observée dans les pays qui n’ont pas subi de confinement (tel que la Suède où la chute du PIB n’a atteint que 2,8 %(([9] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/suede/apprehender-le-contexte-economique)) ou les Pays-Bas où elle est d’environ 3,8 %(([10] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/pays-bas/apprehender-le-contexte-economique)))

La responsabilité des restrictions sanitaires dans ce désastre économique sans précédent est confirmée par la proportionnalité de la chute des PIB et l’intensité des restrictions imposées aux populations selon le schéma ci-après publié par le Monde. Ceux qui ont fait pire que nous sont ceux qui ont appliqué les mesures ls plus restrictives de liberté (Italie, Espagne, Grande-Bretagne :

La poursuite d’une propagande covid terroriste et de mesures restrictives comme le pass sanitaire continue d’entraver la reprise économique et risque de condamner une grande partie des secteurs les plus durement touchés comme le spectacle, le tourisme, les restaurateurs,(([11] https://www.youtube.com/watch?v=kdQUxa1VaB0)) les transports. l’hôtellerie qui ne peuvent redémarrer sans le retour de la clientèle internationale et des voyageurs d’affaires que le pass qui n’existe pas dans leurs pays rebute.

L’incertitude a forcé les Français qui le pouvaient à économiser. Mais pour qu’ils reprennent le chemin des commerçants et relancent l’économie, il faut leur redonner confiance dans la parole de l’état et dans le futur.

Cela nécessite de reconnaitre que les pseudovaccins actuels et le pass ne sont pas efficaces contre le variant delta puisqu’il a d’abord prospéré dans les pays qui les ont utilisés.

Dire enfin la vérité : qu’il est plus contagieux mais très peu dangereux et qu’il n’y donc aucune raison pour que la vague en cours submerge les hôpitaux. Reconnaître enfin que la suppression de toutes les mesures sanitaires en Grande-Bretagne le 19 juillet par B. Johnson a été suivie d’une forte baisse es contaminations et qu’il ne faut donc pas en avoir peur en France.

La poursuite de la propagande de terreur par le gouvernement et les médias covid terroristes nous condamne à une stagnation économique sans fin.





GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !

[Source : zonefr.com]



[Source originale en anglais : W.H.O. WHISTLEBLOWER CONNECTS THE DOTS | The HighWire]




Ricardo : « Nous allons gagner la guerre »

[Source : La Minute de Ricardo]

Urgent: programme et vision !



Nous les résistants du peuple de France allons gagner la guerre !

Première bataille à gagner: stopper le pass sanitaire car il est contraire :
Aux droits de l’homme, article 2
À la constitution française, article 55
Au code civil, article 16
Au code pénal, article 225
Au code du travail, article 11.32
Au code de santé publique, article R27.31
Au code de déontologie médicale, article 36
Au serment d’Hippocrate
À la loi du 13 Juillet 1983
À la loi nᵒ 2002-3032 appelée loi Kouchner
Au Conseil de l’Europe, résolution 97 article 5
À la déclaration d’Helsinki de 1996
À la déclaration de Genève de 1948
À la déclaration de Nuremberg de 1945
Si quelqu’un vous empêche d’allez où que ce soit, relevez l’identité des personnes qui entravent votre liberté de circulation, elles seront punies le jour venu, condamnées pour non respect de toutes ces lois et surtout pour discrimination!

Deuxième bataille à gagner: stopper l’injection des wax !

On ne lâchera rien ! Même si Macron ne le veut pas, nous on sera là ! Vive la France !




Non, Louis Fouché ne s’est pas couché

[Source : Matthieu Lebrac]

[Ndlr : la vidéo suivante peut représenter une réponse à Louis Fouché s’est-il couché ?
Jean Robin envisage une résistance guidée par un ou plusieurs leaders qui peuvent avoir un rôle de sauveur, alors que Louis Fouché évoque une résistance bien davantage basée sur l’action, éventuellement souterraine (à l’image de la résistance lors de la Seconde Guerre mondiale), avec création de réseaux de différents ordres pour préparer la société de demain. Jean Robin se définit comme Chrétien et il se trouve sans doute marqué par le concept d’un Christ sauveur, alors que pour Louis Fouché, le Christ est déjà venu et il ne s’agit plus de l’attendre en tant que sauveur. Une certaine interprétation de textes bibliques prophétiques le montre d’ailleurs plutôt comme une sorte de Juge-Roi destiné à mettre en place une forme de société directement inspirée du divin.]




Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »

[Source : Bas Les Masques]

https://youtu.be/gWzGQruMXO0



Un médecin de Rennes affirme qu’elle ne voit pas de cas COVID dans son hôpital mais beaucoup d’effets indésirables des vaccins

[Source : fawkes-news.com]




L’avocat maître Prigent rappelle à la télévision que les traités internationaux priment le droit français et que le Passe sanitaire est illégal

[Source : rumble.com]






Le faux combat contre « l’antisémitisme » de pompiers pyromanes

Par Lucien Samir Oulahbib

À lire la pancarte incriminée, il s’avère en préambule que la pantalonnade de certains dirigeants du RN et ex-FN (réaction très décevante de Philippot, par exemple — repassant la patate chaude) reste incompréhensible tant il n’y a pas écrit sur celle-ci une once d’antisémitisme, pas une, à moins d’établir là aussi et là encore un lien mécanique de cause à effet entre ladite appartenance politique de cette enseignante, porteuse de cette pancarte qui dénonce les principaux acteurs de la situation post-démocratique actuelle (régie de fait par un Conseil occulte dit de défense ce qui est anticonstitutionnel comme l’indique Valérie Bugault) et des positions idéologiques supposées être affiliées en général à ce qui lui est reproché ce qui reste à démontrer déjà juridiquement.

D’autant plus que les accusateurs, et, parmi eux les officiels, sont, par contre, profondément engagés dans le discrédit de plus en plus permanent de l’État d’Israël, du fait de prises de position très pro-palestinistes de facto, par exemple en participant à nombre de condamnations promues par l’UE ou l’ONU (voire en s’abstenant de prendre position. Or même là c’est s’engager, en renvoyant ainsi dos à dos). Ceci découle non pas d’une critique recevable d’État à État (par exemple lorsqu’il s’agit de crimes dépassant l’entendement), mais d’une tournure idéologique a priori, d’un parti pris de fait, certes sournois (depuis 1967), mais antisioniste effectif et donc, par quelques biais, antisémite. Ne tournons pas autour du pot (quoique d’un nouveau genre) puisque continuer à toujours nier ce qui s’est réellement passé depuis 1947 (lire à ce propos le numéro été de Dogma, en particulier les articles de Shmuel Trigano et la recension du livre de Pierre Lurçat) revient à faire pencher toujours la balance plutôt d’un seul côté et donc de facto à avaliser un discours unilatéral qui s’auto-alimente aujourd’hui via certaines officines françaises aux ordres, stipulant par exemple qu’il existerait sous nos yeux un « apartheid » effectif en Israël ce qui est, bien entendu, strictement faux.

Rappelons juste quelques faits avant de poursuivre sur cette pancarte.

Commençons déjà par lesdits « arabes israéliens » : ils vont et viennent, enseignent, soignent, vivent tout simplement et sont même représentés au Parlement, et ensuite concernant également les populations régies par l’OLP et le Hamas qui, elles, ne vivent pas non plus une situation façon Ouïghours en Chine communiste (guère condamnée par les officiels Français sur ce point précis), alors que leurs organismes qui les dirigent (OLP, Hamas) les empêchent par contre de vivre ne serait-ce que le dixième de droits que détiennent les Arabes israéliens (qui pourtant les avalisent tout en refusant de vivre sous leur joug).

Pourquoi ? Parce que ce sont des instances non démocratiques, pourtant reconnues, de fait, par les officiels français et internationaux (les mêmes qui condamnent cette enseignante, Cassandre Fristot), alors que l’OLP et bien sûr le Hamas ont refusé d’appliquer le second volet des accords d’Oslo, en l’occurrence le plan Clinton (qui allait dans leur sens pourtant), tandis qu’aujourd’hui ils réclament des choses qui ne leur ont jamais appartenu, comme Jérusalem (inconnue dans leur Livre) ou le fait de vouloir, obstinément, le rapatriement de tous les « réfugiés » de leur guerre déclenchée suite à leur refus de la séparation entre deux États ainsi que de leurs descendants (soit entre 4 et 7 millions si l’on s’en tient aux chiffres de l’OLP et du Hamas) et qu’ils « rentrent » en Israël même et non pas dans leur futur État, ce qui est un non-sens. Et en plus, ils oublient le sort de ces centaines de milliers de juifs pourtant non israéliens expulsés des pays dits « arabes » (Algérie comprise).

Ne rentrons même pas ici dans la question de « l’annexion » ou pas des « territoires » « occupés » pour les palestinistes, « libérés » pour les Israéliens de « canal historique », « contestés » pour les plus aptes à des compromis. Ce qui importe ici est de comprendre qu’il y a bien deux poids et deux mesures produits par une supposée lutte antisémite et antiraciste (qui en même temps soutient les discours antijuifs des dirigeants palestinistes, puisque pour eux un juif ne peut pas être souverain sur une terre devenue musulmane). C’est un fait, au-delà des discours somnifères en direction de dirigeants occidentaux soumis ou toujours sous domination idéologique de toute cette antienne stipulant que les « juifs » gouvernent le monde alors que tous les métiers qu’ils exercent aujourd’hui étaient méprisés ou interdits pour les non juifs naguère…

Certes, un certain discours eugéniste et racialiste a encore pignon sur rue, mais il a été supplanté depuis longtemps par la phraséologie issue de ce djihadisme qui s’est lié (non pas opportunément, mais foncièrement) avec le nazisme par exemple, puis avec les courants altermondialistes (tel Ramadan), d’où les accointances progressives au fil du temps, et actuelles, avec l’extrême gauche proudhonienne et bakouninienne qui entraînent les néoléninistes (Plenel, Mélenchon) et poststaliniens (Autain, Haas) vers un antisionisme exacerbé qui enflamme les cours d’histoire dans les écoles occidentales, en particulier celles situées au sein des territoires non plus seulement « perdus », mais « conquis » désormais par le djihadisme officialisé de fait, dans maints endroits, via un clientélisme forcené et sous les effets de boutoir des lobby wahhabite qatari saoudien et turc.

Aussi est-il réellement affligeant et en même temps ironique d’observer des officiels se vautrer dans l’indigence de la fausse dénonciation afin de casser un mouvement qui récuse leur coup d’État de fait, puisqu’en effet nous sommes désormais sortis de l’État de droit, malgré les apparences du contraire.




Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

Par Nicole Delépine

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »…

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir, mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien…

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio…

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les événements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs.

LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC LES VACCINS ANTI-Covid A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTÉS, DEPUIS LA CRÉATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUÉS.(([1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/))

L’Étude d’Enzololo(([2] https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/Covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance
Covid-19 — Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo — Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.
Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 août : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours “les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS” (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle :
https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins »)) de début août rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-Covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins de 1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin Covid. Les données VAERS publiées début août par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la Covid, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.(([3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.))

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la Covid avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la Covid.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.(([4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/)) Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

•15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la Covid, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021, et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1 505 250), décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

•Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1 406 840 et 1 431 289), décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans, décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1 463 061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1 187 918, 1 382 906 et 1 242 573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1 420 630, 1 466 009, 1 225 942, 1 475 434 et 1 386 841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1 199 455, 1 388 042 et 1 420 762).

• 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

• 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.

• 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid :
AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITÉ

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

Selon les CDC les chiffres sont comparables(([5] Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.))

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.(([6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :
« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.
Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque. »))

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC,(([7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine: 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine,(([8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic)) une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PÉRICARDITE SIGNALÉS PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP(([9] Advisory Committee on Immunization Practices.
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis.)) le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la Covid à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la Covid l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de Covid pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la Covid. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la Covid aux États-Unis à demander une approbation complète.

ACCIDENTS PRÉOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le Covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide — idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique.

« Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… »

Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832(([10] Le 1 er août 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale — en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours)) sur twitter.

FERTILITÉ ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.(([11] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale))

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. »

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse”(([12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid — Résumé. (wordpress.com) ))

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du Covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTÉINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes, etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation.

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. »

Dr. Byram Bride

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la Covid-19 et aux vaccins.

2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)

3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques

4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels.(([13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin Covid-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe/Par le Dr Joseph Mercola))(([14] Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif- (covid19) — (post%C3%A9-par-Dr-Perronne) — (1) : 7?src=embed))

Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60 % des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements, etc. et pas à l’aveugle.

Enfin citons simplement les inquiétudes des cancérologues devant la multiplication des cancers nouveaux et des rechutes y compris chez des patients en rémission depuis longtemps. Une veille à ce sujet s’impose pour le moins de même que sur l’apparition de maladies neurodégénératives chez les vaccinés. L’histoire est loin d’être écrite.

VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFÈRE

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent ni les vaccinés ni les autres. Voyez les expériences à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

En Israël,

« 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !(([15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive))

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que

« sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4 % ».

LE REMÈDE CONTRE L’HYSTÉRIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace, car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs-Élysées à la Bretagne, etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides ait la même efficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.(([16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! — Boris Karpov (tvs24.ru)
« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres “standard” de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !
Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de “trahison”, au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée. »))





NOUS SOMMES UN !

Par Alain Tortosa

Je voudrais m’adresser au gouvernement, aux médecins arrosés, aux médias corrompus et lâches qui disent que nous sommes une bande de paumés, débiles, décérébrés, non informés ou illettrés.

Nous ne sommes pas une assemblée hétéroclite de manifestants ne vous en déplaise !

Nous ne sommes ni d’extrême gauche, ni d’extrême droite, ni d’extrême centre !

Nous sommes UNIS, nous sommes UN,

pour lutter contre la dictature sanitaire et défendre une valeur commune, la liberté !

Nous ne voulons pas d’une obligation vaccinale pour quiconque !

Nous ne voulons pas d’une société à plusieurs vitesses avec des citoyens de seconde zone !

Nous ne voulons pas appartenir à la caste des INTOUCHABLES !

Nous ne voulons pas que nos enfants soient parqués à l’école comme des parias !

Nous refusons de présenter un passeport de la honte pour nos activités de loisir et du quotidien !

Arrêtez de nous vendre de la peur, de nous diviser pour nous monter les uns contre les autres !

Nous disons stop aux mensonges !

Vous nous dites que nous sommes tous menacés par le variant Delta qui risque de provoquer quoi ? Une épidémie mondiale de Rhume !

Monsieur le Premier Ministre, vous affirmez que la Martinique est au bord de l’abîme parce qu’elle est un des départements les moins vaccinés de France (et je les félicite pour ça d’ailleurs).

Vous mentez ainsi sciemment à tous les Français !

Citez-vous la Guyane qui a le même pourcentage de vaccinés et un taux d’incidence 4 fois inférieur et même inférieur aux départements « noirs » de la métropole ?

Le taux d’incidence des départements les moins vaccinés est deux fois inférieur à celui des Alpes Maritimes qui est un des départements les plus vaccinés !

Les Pyrénées-Orientales ou les Alpes-Maritimes ont plus d’admissions à l’hôpital par habitant que des départements largement moins vaccinés comme l’Essonne !

Vous nous matraquez de « vaccin solidaire et efficace », de « devoir civique » quand Israël reconnaît que le Pfizer n’est efficace qu’à 39 % et tandis que le Dr Fauci déclare que la charge virale des vaccinés est désormais la même que celle des non-vaccinés !

Vous osez parler d’obligation vaccinale pour nos enfants, vous assumez de mettre en danger leur vie par « solidarité » envers des personnes en fin de vie ou gravement malades !

Qu’avez-vous fait de vos valeurs et de votre dignité ?

Sachez que nous ne renoncerons jamais et que nous continuerons semaine après semaine à dire NON aux mensonges et OUI à la liberté !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/liberte




La nouvelle escroquerie du variant Delta. Pourquoi arrêter de mentir et manipuler si cela fonctionne si bien ?

Par Alain Tortosa

Taux d’incidence

Nous sommes inondés tous les jours sur les médias par le taux d’incidence qui ne fait qu’exploser à cause du fameux variant Delta…

Je vous avoue humblement ne pas avoir encore compris comment cette nouvelle vague serait aussi terrible, voir plus que les précédentes, alors même que 80 % des personnes à risque sont vaccinées d’un vaccin « efficace » et que les vaccinés d’un vaccin « efficace » sont menacés par les non-vaccinés !

Voici l’évolution quotidienne officielle de ce taux d’incidence.

Nous voyons sur ces courbes qu’il est en hausse depuis le 24 juin où il était de 3 pour 100 000 habitants pour passer à 33,7 au 19 juillet.

Il est depuis en légère baisse à 32,3 au 23 juillet… étrange…

Petit cours de rattrapage pour celles et ceux qui se réveillent d’un an de coma :

  • Le taux d’incidence est le pourcentage de personnes positives pour 100 000 habitants ! Si lundi vous testez 100 personnes et mardi 200, à épidémie constante, vous aurez deux fois plus de positifs et donc un taux d’incidence doublé !
  • C’est le nombre de personnes positives à un test PCR qui détermine le taux, test PCR dont il suffit de régler le nombre de cycles d’amplification pour le rendre positif [à volonté]. [Ndlr : Plus le taux est élevé et plus le pourcentage de faux positifs est important, atteignant presque 100 % de faux positifs à partir de 40 cycles d’amplification].
  • Le taux d’incidence du réseau sentinelle qui comptabilise les personnes symptomatiques et non uniquement positives est généralement 10 fois plus faible.

Je retiendrai donc de cette courbe que le taux d’incidence est complètement bidon.

Il est pour autant « bizarre » de constater une légère diminution depuis peu alors qu’il est impossible de corréler aux dernières vaccinations ou au retour massif de l’obligation de masques dans la rue.

Nombre de tests

Cette courbe est absolument vitale pour prouver l’escroquerie de la fameuse terrible vague que « nous sommes en train de subir ».

Cela pourrait faire rire si cette « vague » n’était pas l’outil utilisé pour rendre pass sanitaire et vaccination obligatoires sans compter le retour de couvre-feux et masques obligatoires pour le plus grand plaisir des vaccinés qui doivent commencer à constater que le gouvernement s’est foutu d’eux.

Les chiffres du nombre de tests parlent d’eux-mêmes !

Nous sommes passés de 315 000 tests quotidiens le 21 juin à 715 000 le 23 juillet.

  • L’explosion du taux d’incidence est donc mathématiquement impactée par ce doublement du nombre de tests quotidiens. Si vous cherchez de vraies courbes exponentielles, vous êtes servis !
  • Il n’y a JAMAIS eu autant de tests quotidiens en France hormis pour le pic de Noël dernier où il ne fallait surtout pas contaminer grand-mère qui a mangé seule dans la cuisine.
  • Le Premier ministre ose dire que 95 % des positifs sont non vaccinés (et jeunes) alors même que ce sont les personnes non vaccinées (et statistiquement plus jeunes) qui font des tests PCR pour aller au spectacle et aller en Corse ! Pourquoi des vaccinés se feraient tester, même symptomatiques, « protégés » par leur vaccin !

Nombre de patients en soin critique

Nous constatons une très légère hausse des patients en soin critique qui était en baisse depuis le 24 avril.

Elle était de 859 au 21 juillet pour passer à 952 au 28 juillet.

  • Je vous rappelle qu’il suffit d’être positif au Covid pour rentrer dans ces statistiques quand bien même vous auriez un cancer en phase terminale.
  • 1500 personnes décèdent environ par jour, le gouvernement dispose donc d’un réservoir conséquent de personnes pour faire une fausse vague comme il l’a déjà fait.
  • 952, c’est le nombre de personnes en soin critique (et non en réanimation comme les médias corrompus aiment à le dire). Il y a environ 19 000 lits de soin critique en France ce qui veut dire que les personnes positives au Covid utilisent 5 % des lits de soin critique… Quelle panique !
  • Le taux d’incidence était de 2 au 19 juin et il augmenterait depuis plus d’un mois ! Où sont les morts ? Je vous rappelle qu’en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était de 21 jours.
  • Si cette épidémie de positifs dus au méchant Delta était une épidémie de malades, nous aurions dû voir une explosion du nombre de personnes en réanimation et de décès, preuve que c’est une fausse épidémie et qu’ils vont devoir mentir sur les hospitalisations, les réanimations et les décès pour nous faire croire à la nouvelle « vague ». Et ce avec le concours des pourritures de chefs de service qui passent à la télé et mentent sciemment !

Taux de positivité

Celui-ci peut présenter un intérêt, car il mesure le pourcentage de personnes positives ramené au nombre de personnes testées.

Il est donc indépendant du nombre de tests effectués.

  • Le fait que le gouvernement et les médias utilisent systématiquement le taux d’incidence de personnes positives (et non le taux de positivité) pour qualifier l’épidémie est une PREUVE que l’objectif est de mentir et manipuler.
  • Le taux de positif est relativement neutre, mais influencé par l’échantillon testé. Si on pratique des tests dans des clusters, on va automatiquement le fausser. Il faudrait tester le même échantillon pour pouvoir comparer.
  • Le taux de positif est aussi totalement influencé par le nombre de cycles des tests PCR. Il peut donc aussi être manipulé.
  • Fait intéressant, le taux de positivité vient d’avoir un pic de 4,9 le 20 juillet. Si on le compare à la troisième « vague », lorsque celle-ci a débuté il était de 5,8, soit supérieur au pic actuel !
  • Le dernier pic de positivité était le 20 juillet, mais le 21 juillet, le 22 juillet et le 23 juillet qui sont en semaine (non influencés par les données du We), le taux de positivité a sensiblement diminué.

Alors que nous sommes en « pleine vague » avec une « augmentation exponentielle du nombre de cas », pouvez-vous m’expliquer comment le taux de positivité pourrait diminuer 3 jours de suite ?

La réponse est simple, nous sommes à nouveau victimes d’une escroquerie pour nous faire consentir à la vaccination de masse.

Cette vague est tellement bidon que le gouvernement n’aura pas de choix que de tricher encore plus pour nous « prouver » « l’horreur qui nous attend » !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210727-escroquerie-nouvelle-vague.pdf




France : mensonges et manipulation pour faire croire à l’efficacité de la vaccination anti-covid

Par Alain Tortosa

Les départements les plus touchés seraient les moins vaccinés ?

Mensonge d’État !

Le Premier ministre a déclaré(([1] https://www.europe1.fr/politique/covid-19-jean-castex-juge-dramatique-la-situation-en-outre-mer-4060057))

« Il y a vraiment une différence nette, visible entre les populations qui se vaccinent et celles qui ne se vaccinent pas »

« L’état d’urgence sanitaire dans un certain nombre de territoires d’outre-mer où la situation est dramatique, car ils sont rétifs à la vaccination ».

Depuis quelques jours, politiques, médecins médiatiques arrosés et journaleux martèlent que le regain d’épidémie se situe dans les pays qui ont le moins vacciné !

C’est un mensonge !

Regardez les données officielles fournies par les autorités sanitaires ci-après :

Comme vous pouvez le constater, il n’y a strictement AUCUNE corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination d’une région !

Il n’y a qu’à regarder La Guyane, Saint-Martin ou la Martinique et il en est de même en métropole.

D’autre part, même si c’est moins net, nous pouvons constater que les départements avec fort taux d’incidence ont, dans ces exemples, un taux de dépistage (nombre de tests) important !

Nous sommes donc face à un nouveau mensonge, mais de taille.

Les Français sont manipulés pour leur faire croire que les départements les moins vaccinés sont les plus exposés, mais c’est un mensonge !

Nous avons ici la preuve que la vaccination est de ce point de vue un échec et qu’elle n’est pas de nature à protéger de cette épidémie de « cas » [Ndlr: personnes testées positif au test PCR, mais étant le plus souvent en bonne santé (considérées alors comme « asymptomatiques ».] de la « 4e vague ».

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210730-mensonge-efficacite-vaccination.pdf


Mensonges et manipulations, non la vaccination ne protège pas !

« Entrées hospitalières et décès de patients Covid-19 selon le statut vaccinal et la présence de la mutation L452R »(([2] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf))

L’étude de la DRESS conclut que

« Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques. »

Un bon coup de poing dans la gueule pour ceux qu’on nomme les « antivax », non ?

Pas si sur !

Petite précision… les auteurs précisent que

« les enseignements à en tirer sont plus fragiles, en raison de la faiblesse du nombre de cas identifiés sur cette première période d’étude ».

Il est bien entendu que ni les politiques, ni les médecins médiatiques corrompus ou illettrés et encore moins les médias putalopes ne tiendront compte de cette remarque et feront de cette étude une VÉRITÉ !

Parlons d’abord de quelques biais :

  • La Dress, direction de l’administration centrale des ministères sanitaires et sociaux est un organisme public sous la tutelle de différents ministères. Quand votre ministère vous dit depuis des mois que la vaccination est non seulement efficace, mais aussi la seule voie, je ne suis pas certain que vous puissiez pondre une étude à charge. Et ce d’autant plus quand son directeur, Fabrice Lenglart, a été nommé fin 2019 par Macron.
  • La légende urbaine veut que les vaccinés soient censés ne pas faire de formes graves. Sans être des extrémistes manipulés, des médecins de base et non informés vont avoir une tendance naturelle à largement hospitaliser des non-vaccinés par peur de formes graves…
  • Imaginons que ces données bidons soient vraies… Je vous rappelle qu’une personne positive au Covid avec un cancer en phase terminale qui décède est considérée décédée du Covid. J’imagine aussi qu’il reste quelques médecins intègres qui ne s’amusent pas à vacciner pour le plaisir ou pour l’argent des personnes en fin de vie qui n’auraient aucun bénéfice à être vaccinées hormis le risque de les précipiter plus vite dans la mort..

Imaginons que l’affirmation de cette étude soit exacte et qu’une écrasante majorité des hospitalisés soient non vaccinés…

De fait, plus il y aurait de vaccinés dans une région et moins il y aurait d’hospitalisations !

Les départements les plus vaccinés devraient donc avoir le plus faible taux d’hospitalisation…

Voyons quelques chiffres officiels :

(Source geodes.santepubliquefrance.fr, données au 26 juillet 2021)

Je vous rappelle (voir plus haut) qu’il n’y a AUCUNE corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination.

Par exemple la Guyane avec son taux de vaccination de 20,9 % devrait avoir un taux d’incidence identique à celui de la Martinique dont le taux est de 1000 alors même que le taux en Guyane est seulement de 240 !

Il en est de même en métropole avec l’Essonne qui a 15 points de moins pour la vaccination que les Alpes-Maritimes avec un taux d’incidence de 153 pour l’Essonne versus 585 pour les Alpes-Maritimes.

Mais quid des hospitalisations qui devraient être moindres dans les départements les plus vaccinés ?

Si l’on compare le taux de personnes hospitalisées pour 100 000 habitants en Guadeloupe et en Martinique qui ont un taux de vaccination assez proche, nous constatons que la Martinique, officiellement au bord du gouffre, compte 38 personnes hospitalisées Covid pour 100 000 habitants versus 29 pour la Guadeloupe qui a pourtant un demi-point de moins en vaccination.

Leurs taux d’hospitalisation devraient être proches et pourtant il y a 28 % de plus d’hospitalisations en Martinique.

Pour la métropole, la Haute-Corse et le Haut-Rhin sont à moins de 6 personnes hospitalisées pour 100 000 habitants alors que les Pyrénées-Orientales et les Alpes-Maritimes sont à plus de 13 personnes hospitalisées pour 100 000 habitants (plus de deux fois plus) malgré leurs 10 points de plus de vaccinés.

Vous pourriez alors critiquer ces chiffres en disant que les personnes hospitalisées l’étaient déjà en partie ou largement avant la vaccination.

J’ai donc comptabilisé le nombre de personnes entrant à l’hôpital entre le 1er juillet et le 26 juillet.

Ici encore la Guadeloupe avec un demi-point de moins de vaccination que la Martinique compte 35 admissions pour 100 000 habitants versus 56 pour la Martinique.

En métropole, L’Essonne ou la Haute-Corse sont à moins de 8 admissions pour 100 000 habitants tandis que les Pyrénées-Orientales ou les Alpes-Maritimes sont à plus de 11 admissions pour 100 000 habitants malgré environ 10 points de plus de vaccination pour ces derniers !

On pourrait multiplier les exemples à l’infini comme l’Aude, entre Pyrénées-Orientales et l’Hérault qui est moins vacciné, a un taux d’incidence plus faible, et moins d’hospitalisations que ses voisins !

Nous avons ici la preuve d’une absence TOTALE de corrélation (tantôt plus, tantôt moins) entre le taux de vaccination d’un département et le nombre d’admissions à l’hôpital !

Cette étude n’a donc strictement aucune valeur scientifique et est de nature à manipuler une fois de plus la population pour lui faire croire que la vaccination réduit drastiquement les hospitalisations.

C’est tout simplement FAUX ! La réalité des chiffres prouve le contraire, l’inefficacité de la vaccination !

Je vous rappelle que le gouvernement s’appuie sur ces études erronées ou frauduleuses pour rendre la « vaccination » de produits expérimentaux obligatoire !

Nous devons continuer à éclairer le public sur ces mensonges !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210801-mensonge-vaccination-hospitalisations.pdf





Le Dr Zelenko qui a soigné 6000 patients de la Covid alerte sur les « vaccins »

[Source : odysee.com]






Ressources contre les mesures Covid

Par Joseph Stroberg

Récapitulatif des articles du site qui mentionnent les ressources juridiques et d’autres natures contre les mesures prétendument « sanitaires », mais en fait sociopolitiques. (Essentiellement pour le Québec et/ou pour la France, selon les cas)

Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

Comment surseoir à la vaccination : les clés pour défendre ses droits

LETTRE-TYPE À ADRESSER À VOTRE DÉPUTÉ et AUX SÉNATEURS DE VOTRE DÉPARTEMENT pour lui demander d’être contre le Pass Sanitaire

Outils juridiques contre les dispositions “anti covid”

Contraventions COVID : ressources (au Québec)

Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

NO PASS : POURQUOI UN RECOURS CEDH ? – NO PASS !!! (en provenance d’un commentaire)

Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester :

Ne paniquez pas ! Il n’est pas forcément nécessaire d’être un héros pour échapper à l’injection expérimentale forcée !

Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

Déclaration à faire signer au médecin qui voudrait vous vacciner de force

« Je n’ai pas accepté le test PCR à l’aéroport et j’étais dans mon droit »

Une association française contre les mesures Covid-19

Voir aussi la rubrique Avocats dans le menu en haut du site.

Sur un plan intérieur :

La clef de la libération




Contraventions COVID : ressources (au Québec)

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Voici des ressources pour ceux et celles qui ont reçu des contraventions en lien avec les mesures sanitaires.

Vous trouverez :

A- L’avis juridique de Me Dominic Desjarlais, l’avocat de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple.

En résumé, vous pouvez demander une remise pro forma de l’audition (reporter à une date ultérieure) afin de faire des démarches pour vous trouver un avocat ou produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure.

B- Autres ressources et liens utiles.

A- RÉSUMÉ DE L’AVIS JURIDIQUE DE ME DOMINIC DESJARLAIS

1. Contester la contravention

Pour contester une contravention, vous avez 30 jours. Demandez la divulgation de la preuve.

Exemple :

« Bonjour,

J’ai reçu le constat d’infraction 100400 5000******.

Je souhaite plaider non coupable.

Veuillez s’il-vous-plaît me transmettre la divulgation de la preuve.

Merci de confirmer la réception de ce courriel.

Cordialement,

VOTRE NOM »

Voici l’information du Bureau des amendes:

« Vous voulez plaider non coupable et contester votre constat d’infraction

Vous pouvez enregistrer votre plaidoyer de non-culpabilité :

Par courriel à l’adresse amendes@justice.gouv.qc.ca , en indiquant votre nom, votre numéro de constat d’infraction et votre choix de plaidoyer.

Par la poste à l’adresse apparaissant sur votre constat ou par télécopieur au 418 644-8486, en utilisant le coupon-réponse de votre constat d’infraction ou de la correspondance reçue.

Vous serez alors avisé par la cour du Québec de la date prévue pour la tenue du procès. »

2. Si vous recevez un avis d’audition, présentez-vous à l’endroit, la date et l’heure indiquée.

– Si vous ne pouvez pas vous présenter :

  • Contactez la partie poursuivante (le Bureau des infractions et des amendes du Ministère de la Justice, toutes les informations sont sur la 2e page du constat). Cliquez ici pour le site web, les coordonnées et la FAQ.
  • Demandez de reporter l’audition en expliquant votre motif.
  • Confirmez par écrit toute remise de l’audition.

– Si vous n’arrivez pas à communiquer avec la partie poursuivante :

  • Présentez-vous devant le tribunal à la date et l’heure convenues, sinon un jugement par défaut pourrait être prononcé contre vous.

3. Lorsque vous vous présentez devant le tribunal pour une première date d’audition, dites si vous êtes prêt à procéder ou non. Vous pouvez demander une remise pro forma.

  • Représentation :
  • Représenté par un avocat : Si vous souhaitez être représenté par un avocat, notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander une remise d’audition afin de faire des démarches en ce sens. Vous pouvez demander un délai de 60 à 90 jours.
  • Représenté seul : Si vous souhaitez vous représenter seul et souhaitez attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander de reporter le dossier en indiquant le délai nécessaire pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du Code de procédure civile, requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

4. La suite dépendra des démarches entreprises. Une date d’audition devra éventuellement être fixée une fois que toutes les parties seront prêtes à procéder.


B- AUTRES LIENS UTILES

Extrait pertinent :

« À cet égard, la Cour suprême du Canada a établi le principe judiciaire voulant qu’il faille impérativement une habilitation législative expresse pour imposer ou créer, par règlement ou une taxe, des infractions et des pénalités. En d’autres termes, il faut que la loi prévoie expressément le pouvoir d’adopter des sanctions pénales. Or la LSP ne le prévoit pas dans le chapitre XIV relativement aux sanctions pénales (articles 138 à 142). Son pouvoir de réglementation de l’article 136 ne saurait non plus lui permettre.

Ainsi, rien dans la Loi sur la santé publique n’autorise le gouvernement à adopter des mesures conférant des pouvoirs discrétionnaires aux policiers ou à imposer des sanctions pénales. »

Extrait pertinent :

« Le décret dispose ensuite qu’il est « interdit à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’y admettre une personne qui ne porte pas un couvre-visage ou de tolérer qu’une personne qui ne porte pas un couvre-visage s’y trouve ». Des exceptions sont toutefois prévues pour une personne qui :

2. déclare que sa condition médicale l’en empêche […]

2.2 Le droit à l’égalité Selon les circonstances, certains enjeux liés au caractère discriminatoire de l’obligation prévue au décret pourraient par ailleurs être soulevés. Ainsi, la Commission avait souligné dans la FAQCOVID-19 présentée sur son site Internet que l’obligation du port du masque pourrait, par exemple, constituer un fardeau important pour des personnes en situation de handicap.

En l’espèce, précisons que le décret prévoit cependant une exception, permettant à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’admettre ou de tolérer la présence d’une personne ne portant pas de couvre-visage si cette personne « déclare que sa condition médicale l’en empêche ».

Aux termes du décret, il ne repose donc pas sur l’exploitant du lieu public ou sur le commerçant de vérifier le bien-fondé de cette déclaration. De fait, toute démarche intrusive menée par le responsable du lieu public concerné, visant à vérifier si la personne en situation de handicap qui invoque l’exception présente réellement une condition médicale qui l’empêche de porter un couvre-visage, serait susceptible de porter atteinte au droit au respect de sa vie privée (article 5 de la Charte) ainsi qu’au droit d’avoir accès aux moyens de transport ou aux lieux publics et au droit de conclure, en pleine égalité, un acte juridique ayant pour objet des biens ou des services ordinairement offerts au public sans discrimination, en lien avec un handicap (articles 10, 12 et 15).

La Commission retient néanmoins que l’exception relative à la condition médicale prévue au décret doit viser à permettre l’exercice, en pleine égalité, des droits des personnes en situation de handicap dont la condition les empêche effectivement de porter le masque. Pour ce faire, la mise en œuvre de l’obligation pourrait nécessiter, pour les exploitants des lieux publics visés, une recherche d’accommodement afin de ne pas porter atteinte indument au droit des personnes en situation de handicap d’exercer leurs droits et libertés en toute égalité – que ce handicap soit visible ou non. » (Soulignements ajoutés)

  • Tweet du Gouvernement du Québec à propos du billet médical, 3 août 2020 :

« Une personne exemptée doit seulement déclarer : « j’ai une condition médicale qui m’empêche de porter le masque ». Elle n’a pas à nommer la condition ou à présenter un billet médical. Nous travaillons à transmettre l’information le mieux possible. Merci pour votre commentaire! » (Soulignements ajoutés)

  • Vidéo de Me Dominic Desjarlais et Stéphane Blais (juillet 2021) : Le point sur le juridique

Sur Rumble :

https://rumble.com/vkvbou-crise-sanitaire-au-qubec-le-point-juridique.html



Sur Facebook :



  • Vidéo de Lily Monier, vers 4 minutes elle parle des contraventions :



  • Avis juridique (intégral) de Me Dominic Desjarlais :

Extraits pertinents de l’avis juridique de Me Dominic Desjarlais :

« Tout d’abord, si une personne veut contester un constat d’infraction qu’elle a reçu, elle doit transmettre un plaidoyer de non-culpabilité par la poste à l’adresse indiquée sur ce constat sur le constat et ce, dans les 30 jours de la réception du constat.

Par la suite, lorsqu’une personne reçoit un avis d’audition elle doit se présenter à l’endroit la date et l’heure indiquée dans l’avis d’audition.

Si une personne ne peut se présenter pour un motif quelconque à la date indiquée dans l’avis d’audition, il est important qu’elle contacte dès que possible avant cette date la partie poursuivante afin de demander le report de l’audition en expliquant son motif et de confirmer par écrit avec le poursuivant toute remise de l’audition convenue.

Si une telle communication n’est pas possible avec le poursuivant il est important que la personne se présente devant le tribunal à la date et à l’heure indiquée dans l’avis d’audition, à défaut de quoi un jugement par défaut pourrait être prononcée contre elle.

Lorsqu’une personne se présente devant le tribunal pour une première date d’audition elle doit indiquer au tribunal si elle est prête à procéder ou non.

Il se peut qu’une personne qui se présente devant le tribunal pour la première fois désire être représenté par un avocat pour la suite du dossier notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et de la mesure en vertu de laquelle elle a reçu un constat d’infraction auquel cas elle doit alors en informer le tribunal et demander une remise pro forma de l’audition à une date ultérieure afin d’effectuer les démarches nécessaires pour se trouver un avocat. Elle doit alors indiquer le délai raisonnable dont elle aurait besoin pour se trouver un avocat qui la représenterait dans le dossier selon notre expérience un délai minimal de 60 ou même de 90 jours pourrait être demandé pour ce faire.

Par ailleurs si une personne désire se représenter seule il se peut qu’elle ne soit pas prête à procéder lors de la première date d’audition: par exemple dans le cas des infractions aux mesures COVID-19 une personne pourrait vouloir attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret en vertu duquel l’infraction dont elle est accusée a été édictée et/ou attaquer la constitutionnalité de la mesure (port du masque, couvre-feu, etc.) à laquelle elle est accusée d’avoir contrevenu. Dans un tel cas, la personne pourrait demander le report du dossier pro forma à une date ultérieure en indiquant le délai dont elle estime avoir besoin pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du code de procédure civile qui est requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

Quant à la suite possible d’un dossier donné cela dépendra des démarches qui pourraient être/seront entreprises. Ultimement une date d’audition de la cause au mérite devra éventuellement être fixée dans le cours du dossier une fois que toutes les parties auront déclaré être prête à procéder. »

BONNE CHANCE À TOUS!

Et n’oubliez jamais ceci :




« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson

[Source : Sott.net]

« Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu’aujourd’hui nous savons que ce n’est « pas pire qu’une mauvaise grippe saisonnière. »

Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. » Professeur en pathologie, ancien PDG d’un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l’Alberta, actuellement dirigeant d’une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu’ils s’agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

Dans la vidéo qui suit, il explique :

« Je n’ai plus rien à prouver, j’ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l’éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s’ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

« […] L’échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l’échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c’est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n’est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l’Histoire de la médecine, c’est tout simplement scandaleux. Et c’est pourquoi je me lève et je m’exprime.
[…]
Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c’est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n’y jamais eu d’urgence de santé publique. Il n’y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu’ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n’est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
[…]
La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n’ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n’y a pas de raison de les utiliser tant qu’il n’aura pas été prouvé qu’ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
[…]
Les gouvernement n’écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »

Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :



Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

La version originale de cette vidéo (en anglais) est disponible ici.

Source partielle de l’article : FranceSoir
Doublage en français : Quantum Leap




Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Mike Adams.

Dans cet article :

  • Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus « Covid-19 ».
  • Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs » pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
  • La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
  • La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
  • Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
  • Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC n’a jamais isolé Covid-19.
  • L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
  • La directrice  du CDC, Walensky, admet que le vaccin contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
  • Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à la tyrannie covidienne.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas]

L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.

Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast public.)

Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?

Je vais partager cette histoire ici, mais en bref, les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :

1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.

2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes sous forme de « injection  de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.

3) Un schéma PCR « casdémique »(([1] « “Casdémie” Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda »)) entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir « positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des années précédentes.(([2] « Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays »))

Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.

Aucun matériel de référence certifié pour le virus SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé

En tant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)

Voici comment le processus fonctionne normalement dans un laboratoire scientifique légitime :

Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.

Étape 2) Exécutez le CRM en tant qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte.(([3] Dans le domaine de la métrologie et plus particulièrement de la chimiométrie, un analyte est une substance ou un produit chimique constituant le centre d’intérêt d’une procédure d’analyse chimique, toxicologique ou écotoxicologique.)) Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.

REMARQUE : Les instruments « correspondront » à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une « correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.

Étape 3) Faites passer des échantillons inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.

C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid », vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie 101.

Alors, quel est le problème ?

Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :

Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des « isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».

Exemple concret: BEI Resources, qui propose ce qu’ils appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19 « isolat : »

… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du virus.

En d’autres termes, la plupart du matériel génétique de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet « isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses propres séquences de matériel génétique.

Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :

Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils ont truqué le virus Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.

Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM, vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.

Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.

Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit » ( succès/coup ) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des « pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.

Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le graphique suivant.

Il montre des résultats de spécification de masse sur un spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la masse des molécules ou des particules détectées.

Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment, etc.

Il est important de noter que si je devais augmenter l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.

Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.

En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.

Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.

L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)



Dr. Judy Mikovitz confirme tout dans une récente interview

Dr. Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague (PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le Dr. Fauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.

En d’autres termes, le Dr. Fauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.

Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de pointe augmentée.

Surtout, le Dr. Mikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée  dans le développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;



Dr. Jane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de Covid lors d’une récente émission Stew PETERS

Dans une autre vidéo accablante, Dr. Jane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :



Les documents FOIA(([4] Loi sur la liberté d’information (FOIA) – Comme toutes les agences fédérales, le CDC est tenu de divulguer les dossiers demandés par écrit par toute personne, à moins que les dossiers (ou une partie des dossiers) ne soient protégés contre la divulgation par l’une des neuf exemptions contenues dans la loi.)) du CDC ne révèlent aucun « Covid-19 » isolé du virus existant.

Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant que le CDC n’a jamais isolé de virus covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé de multiples demandes auprès du CDC, en vertu de la loi sur la liberté d’information :

Toutes les études et/ou rapports en possession, sous la garde ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19″ (y compris B.1.1.7, B.1.351, P.1 et toute autre « variante ») (via la macération, la filtration et l’utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelé parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a pas été préalablement combiné avec une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire des cellules rénales de singe alias cellules Vero ; du sérum bovin fœtal).

Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, le CDC a répondu :

Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Disease informe que le CDC ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite par le demandeur.

La demande FOIA est identifiée sous le numéro 21-01075-FOIA.

En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé ni purifié aucun virus COVID-19, point final.

Le site web du Dr Robert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.

(Nous nous efforçons d’entrer en contact avec Christine Massey pour confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à une interview).

Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait son autorisation pour le test PCR actuel pour le covid-19, déclarant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de cette année. Il est ensuite indiqué qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test actuel — celui qui a été utilisé pour pousser l’hystérie mondiale de la pandémie de covid — ne permet pas une telle différenciation.

En fait, il semble que le CDC ait fabriqué la science derrière les « pandémies » mondiales pendant des décennies, en utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie n’existait. L’un des meilleurs cas, et le plus récent, est celui du virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de nouvelles mères en Floride naîtraient avec des têtes réduites (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme dans le cas du covid, des milliards de dollars ont été versés à des sociétés pharmaceutiques pour la recherche d’un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un battage publicitaire.

La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin contre le Covid n’empêche pas l’infection ou  la transmission du variant Delta du Covid

Pour ajouter au démantèlement de ce canular du vaccin contre le covid-19, le directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant sur CNN : Les vaccins contre le covid-19 ne préviennent PAS les infections au covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante Delta » de ce que le CDC appelle le virus covid.

En fait, Walensky vient d’admettre que les passeports vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « totalement vaccinée » peut quand même attraper et transmettre le covid, alors le passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, et non une preuve d’immunisation.

Voici le Dr Walensky qui dit tout cela sur CNN, et non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est aveu clair :



Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine Spike est très réelle et assez meurtrière comme arme.

Alors que le virus covid-19 semble n’être rien d’autre que des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la nanoparticule toxique de protéine spike — qui est maintenant injectée par le biais de vaccins — est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan en utilisant l’argent des contribuables américains.

Il semble maintenant évident que l’objectif de l’hystérie des covidés était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines spike, intentionnellement mal étiquetées « vaccins ». Ces protéines, à partir desquelles le vaccin covid est maintenant appelé « piqûre de coagulation », provoquent des caillots sanguins, des lésions neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des lésions vasculaires universelles, même selon le Salk Institute, un organisme à vocation généraliste. Extrait de leur article sur la protéine spike et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire humain :

Aujourd’hui, une nouvelle étude majeure montre que les protéines spike du virus (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même.

… Le document fournit pour la première fois une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires. On s’accorde de plus en plus à dire que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprenait pas exactement comment il le faisait. De même, les scientifiques qui étudient d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine spike contribue à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que ce processus est documenté.

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike seule suffit à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires.

La protéine spike a été développée en tant qu’arme biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid », puis cités pour promouvoir encore plus d’injections de vaccins contenant davantage d’armes biologiques à base de protéine spike. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine spike – qui est la cible antigénique des vaccins – provoque des lésions vasculaires, des problèmes d’infertilité, des dommages au système immunitaire, etc.

Quel est l’objectif de tout cela ? La dépopulation, bien sûr.

C’est une arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive de la race humaine.

La protéine spike est une arme de dépeuplement. Le « vaccin » est une piqûre d’extermination/suicide à la Soleil vert qui a été reconditionnée en « médicament ». La « pandémie » était une hystérie médiatique montée en épingle pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux piqûres d’extermination.

Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont pris le vaccin seront bientôt morts parce que le but de cette fausse pandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.

https://youtu.be/3TGqLsnao5o
Preview du film Soleil vert avec Charlton Heston

Cela signifie également que toute personne qui suit ce mouvement est complice d’un meurtre génocidaire et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et les infirmières locaux qui administrent ces injections mortelles à des hommes, des femmes, des enfants et même des personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font passer l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale pour un jeu d’enfant en comparaison. L’holocauste des vaccins covidés risque de massacrer des milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient arrêtés.

En fait, vous assistez à une campagne mondiale d’extermination massive déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.

Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre et la plus diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. Il s’agit, en toute honnêteté, d’une tentative mondialiste d’extinction de l’homo sapiens, d’une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » visant à débarrasser le monde des humains et à faire place à un scénario insensé qu’ils espèrent voir se réaliser.

Il est temps pour tous les êtres humains qui souhaitent préserver la race humaine de se lever pacifiquement et de résister à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.

C’est pourquoi le sénateur américain Rand Paul appelle maintenant les Américains à résister aux verrouillages et aux mandats de masquage, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter les mandats, les verrouillages et les politiques nuisibles des petits tyrans et des bureaucrates sans cervelle. Nous pouvons simplement dire non, pas encore. » Il poursuit :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas empêcher vos enfants d’aller à l’école. Ils ne peuvent pas fermer tous les bâtiments gouvernementaux — bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient fermer. Nous ne sommes pas obligés d’accepter les mandats, les fermetures et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates incompétents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

Monsieur le Président Biden, nous n’accepterons pas les mandats de vos agences ni les mesures de confinement que vous avez annoncées », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats de masque anti-science du CDC.

Nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants cette année encore. »

Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à voir avec la santé publique, le sauvetage de vies ou l’arrêt d’une quelconque pandémie. Il s’agit d’une mise en scène élaborée et coordonnée visant à inciter les gens à se suicider par des injections d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent éliminer quelques milliards de personnes de la planète et faire progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.

Il peut également s’agir d’une couverture pour leur plan de réinitialisation financière, qui fera s’effondrer les monnaies fiduciaires du monde, détruira tous les actifs monétaires des moutons et consolidera la propriété de tout dans les mains de l’élite mondialiste.

C’est pourquoi les gouvernements du monde entier retiennent maintenant leurs propres citoyens en otage, exigeant que des quotas de vaccins soient atteints afin de débloquer une « liberté » limitée qui sera bien sûr complètement révoquée une fois que la prochaine « variante » sera identifiée.

J’explique tout cela dans ce podcast puissant et urgent qui a été publié pour la première fois vendredi dernier :



Toute l’arnaque des covidés est en train de s’effondrer. Restez à l’écoute pour en savoir plus. Regardez les vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour apprendre la vérité que Big Tech ne permet à personne de partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon :
brighteon.com/hrreport


source : https://www.naturalnews.com





Nouvelle étude: Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

J’ai reçu aujourd’hui même,— par courriel —, une autre étude qui démontre qu’il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020. Cette nouvelle étude a été préparée par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier. Je partage avec vous la version courte telle que je l’ai reçue. Vous pouvez aussi la télécharger ci-dessous. La version intégrale peut être consultée sur le site Web du Pr Denis Rancourt.

Lundi le 9 août 2021

Chers amis, collègues, scientifiques, lanceurs d’alerte et citoyens,

Nous venons de publier avec Jérémie Mercier et Denis Rancourt un nouvel article démontrant qu’aucune pandémie n’a eu lieu au cours de la dernière décennie au Canada, y compris en 2020.

L’article est accessible au lien suivant: https://denisrancourt.ca/entries.php?id=104.

Veuillez trouver ci-dessous (version courte) et en pièce jointe (version longue) le communiqué de presse relatif à cette étude.

N’hésitez pas à partager nos travaux autour de vous.

Contacts presse :
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com – +33 6 52 66 67 02
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com




Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès chez les personnes âgées et chez les jeunes hommes en 2020

Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin and Dr Jérémie Mercier publié sur denisrancourt.ca démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues au Canada depuis 2010 (chiffres de StatCan) que :

  • Il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020.
  • Un « pic-covid » d’environ 12 000 morts est arrivé tardivement, à un moment jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie canadienne (maximum du pic à fin avril 2020). Ce « pic-covid », présent dans certaines juridictions de moyenne latitude de l’hémisphère Nord (mais pas toutes et avec des intensités très variables d’une juridiction à l’autre) ne peut pas être simplement une épidémie, et selon l’hypothèse la plus probable a été généré par les mesures politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
  • Les mesures politiques mises en place supposément pour juguler la propagation du SARS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, ont été responsables, selon l’étude, d’une accélération de la mortalité des plus de 85 ans de mars à mai 2020 et d’une mortalité inédite (environ 2 000 morts en plus) des jeunes hommes canadiens (moins de 45 ans) à l’été 2020.

La médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques mises en place supposément pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les nouvelles politiques « sanitaires » et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité.

Pas de mortalité inhabituelle sur la décennie 2010-2021

Tout d’abord, le COVID-19 n’a pas généré de mortalité inhabituelle sur la dernière décennie au Canada. Au regard de la mortalité toutes causes confondues analysée depuis 2010 au Canada, aucune différence statistique n’est observée pour la saison 2020. La charge de mortalité suit la tendance normale depuis dix ans.

Les réponses gouvernementales - 01

Une anomalie de mortalité : le « pic-covid » de mars-mai 2020

Cependant, en comparant les données de mortalité par province sur la période 2010-2021, on observe une première anomalie :

  • Un « pic-covid », arrivé tardivement dans la saison hivernale et jamais vu au Canada depuis au moins une décennie, centré sur la fin du mois d’avril 2020. Ce pic est extrêmement intense dans certaines provinces comme le Québec et l’Ontario, et complètement absent dans d’autres (Alberta et Saskatchewan par exemple).
Les réponses gouvernementales - 02

Les auteurs démontrent que le « pic-covid » présent dans les données de mortalité toutes causes confondues de certaines juridictions de l’hémisphère Nord à moyenne latitude, y compris au Canada, ne peut pas être un événement épidémiologique qui serait survenu de façon naturelle, en l’absence d’une perturbation non pathogène.

Ce « pic-covid » est artificiel car :

  • Dans les juridictions où il est présent, il apparaît de manière synchrone juste après la déclaration de pandémie par l’OMS.
  • Il s’est produit brusquement (temps de base au point d’inflexion d’environ 3 semaines) à une date sans précédent dans le cycle saisonnier de mortalité toutes causes confondues (milieu du pic à la fin avril).
  • Il est extrêmement hétérogène : absent dans de nombreuses juridictions (7 des 10 provinces canadiennes n’ont pas de « pic-covid »), son amplitude varie considérablement d’une juridiction à l’autre où il est présent (faible en Colombie Britannique, large au Québec).

Les auteurs suggèrent que les mécanismes à l’origine du « pic-covid » impliquent :

  • La réponse médicale : des protocoles de traitement et de soins palliatifs, adoptés au début de la pandémie proclamée et médiatisée.
  • La réponse gouvernementale : mesures de santé publique, protocoles institutionnels (en particulier écoles, maisons de soins et hôpitaux), bouleversements économiques, confinements, couvre-feux, quarantaine, isolement social, etc.
  • Des politiques de refus de traitement médical, telles que le refus d’admettre les personnes âgées en soins hospitaliers, ou les transferts de patients hors de l’hôpital.

Selon les calculs des auteurs, ces mesures ont provoqué environ 12 000 décès au Canada entre mars et mai 2020. Cependant, même en incluant le « pic-covid », la charge hivernale de mortalité toutes causes confondues pour l’hiver 2019-2020 n’est pas statistiquement supérieure aux charges hivernales habituelles, ce qui permet d’affirmer qu’il n’y a eu aucune pandémie à cette saison.

Une autre anomalie de mortalité : la saison estivale 2020

D’autre part, en comparant les données de mortalité par âge et par sexe sur la période 2010-2021, on observe d’autres anomalies :

  • Une sous-mortalité pour la classe d’âge des 85 ans et plus à l’été 2020 comparé à la tendance estivale observée de 2013 à 2019.
  • Une surmortalité pour la classe d’âge des 44 ans et moins (et dans une moindre mesure la classe d’âge des 45-64 ans) essentiellement pour les hommes de mai à décembre 2020.
Les réponses gouvernementales - 03

Les auteurs avancent que le déclin de mortalité observé chez les 85+ à l’été 2020 est le résultat d’une accélération de la mortalité de cette classe d’âge dans le « pic-covid », classe d’âge beaucoup plus fragile, la plus sensible aux causes de mortalité hivernale et la plus susceptible de succomber à des perturbations fondamentales de la société, de ses institutions et du système de santé.

D’autre part, selon les calculs des auteurs, les mesures gouvernementales mises en place après la déclaration de la pandémie ont provoqué environ 2 000 décès excédentaires chez les jeunes canadiens (classe d’âge inférieure à 45 ans), principalement des hommes, à l’été 2020. Ces décès ne peuvent être imputables au COVID-19 sachant que cette classe d’âge est peu touchée par la maladie et que la transmission virale est faible à la saison estivale.

Les réponses gouvernementales - 04

Pour conclure, la médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée de façon objective. L’importance de cette maladie sur la mortalité des canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques supposément mises en place pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les politiques « sanitaires » mises en place après le 11 mars 2020 et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité

Par ailleurs, la non-médiatisation de la forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues chez les jeunes hommes (moins de 45 ans) entre mai et décembre 2020 au Canada interpelle. Ce phénomène est pourtant bien plus préoccupant pour la santé des canadiens que le COVID-19 et devrait être considéré comme une catastrophe nationale de santé publique de portée historique.

Contacts presse : 
Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ;
Marine Baudin : marine@jeremie-mercier.com ;
Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com.




Et si l’injection ARN marchait seulement négativement ?

Par Lucien Samir Oulahbib

Ce n’est pas seulement en regardant le travail méticuleux fait par la biostatisticienne Christine Cotton pour FranceSoir et aussi en compilant d’autres travaux établis par beaucoup d’autres que cette hypothèse de l’efficacité négative de l’injonction ARN affleure, puisqu’il est possible de la relier à ce fait très officiel cette fois stipulant non seulement que certains injectés restent contaminants (d’où le retour du « masque » aux USA, en Israël, en France…), mais finissent également hospitalisés (d’autant qu’ils ne prennent pas de traitements, ni en thérapie ni en prévention) et sont à même de mourir (par exemple en Angleterre) d’où la fuite en avant actuelle vers la nième dose…

Mais que nenni ! Nous dit-on : quid en effet de tous ces millions et millions d’injectés ARN qui se portent très bien (pour l’instant) ? Et comment se fait-il que la grande majorité des actuels hospitalisés soient des non injectés (ce qui pourtant se discute : Israël, Angleterre, voir ci-dessus) ?…

Cette hypothèse stipulant l’efficacité négative de l’injection ARN permet de répondre à ces deux questions et peut être formulée de la façon suivante : vu l’extrême sophistication du système immunitaire humain, au moins deux arborescences peuvent être établies :

1/ soit la personne injectée possède un système solide ce qui fait que le contenu de l’injection est immédiatement détruit par les premières lignes de défense, d’où plutôt un effet placebo, mais la personne se croit protégée alors qu’elle continue à contaminer si elle a été touchée (sans pour autant être malade) comme on le constate de plus en plus (d’où le retour du « masque », mais aussi a contrario de la nécessité des traitements préventifs dès les premiers symptômes, du moins pour une vraie politique sanitaire)…

2/ soit la personne injectée possède en fait des failles inconnues dans son système immunitaire ce qui fait que l’injection ARN loin d’être détruite s’avère « facilitante », se propage alors comme « amie/ennemie » au sens où le Soi loin de détruire d’emblée la substance la laisse aller où elle veut, d’où les effets secondaires qui aujourd’hui sont bien plus importants (et sous-estimés) que pour n’importe quelle autre thérapie.

D’où alors l’idée (à vérifier encore plus bien sûr) que cette injection aurait bien plus d’effets négatifs que positifs en réalité ; et, concernant la seconde question, il s’avère que la présence de bien plus de non injectés parmi les hospitalisés ne peut pas être directement corrélée avec le fait de n’avoir pas été injecté.

Car dans ce cas les hospitalisations auraient été encore plus fortes avec ce dernier « variant » (bien moins létal que les précédents) parmi les non injectés. N’oublions pas en plus que les personnes touchées ne sont de toute façon toujours pas traitées en amont puisque les médecins ont été éjectés du processus préventif de soin (hormis aspirine et aujourd’hui injection) à l’exception des plus courageux, fidèles au Serment d’Hippocrate et qui soignent quasi clandestinement avec les traitements qui marchent.

Par ailleurs, même si ces personnes se retrouvent hospitalisées ce n’est pas parce qu’elles n’ont pas été injectées (puisqu’il existe des personnes hospitalisées injectées, même en nombre inférieur, mais pas partout), mais parce que leur système immunitaire est déficient. Or rien ne dit que l’injection aurait permis de contrebalancer cette faille et ne l’aurait pas plutôt aggravée (facilitée). Plus encore, rien ne dit que cette injection stimule les systèmes immunitaires déficients au vu des effets secondaires perçus, y compris chez les personnes âgées (nombreux exemples dans des maisons de retraite, des monastères, et aussi chez les jeunes comme les moins jeunes, supra…).

On peut certes balayer cette hypothèse et ses conclusions d’un revers de main, en particulier le fait de douter de la corrélation entre hospitalisation et non injection.

Concernant les effets secondaires (thromboses, embellies, hémorragies…), remarquons cependant que lorsque certains forgent des corrélations avec l’injection ARN, celles-ci se trouvent immédiatement balayées par les mêmes qui insistent à l’inverse lourdement sur la corrélation automatique entre non-injection et hospitalisation ce qui devrait être pourtant également analysé dans le détail non ?…

Mais comme nous sommes bien loin de l’approche « scientifique » tant vantée, mais plutôt dans la croyance scientiste de plus en plus fanatique (à la manière soviétique du temps de Lyssenko, ou de l’hygiénisme eugéniste raciste toujours en vigueur), il s’avère que la pression idéologique va plutôt aller en s’accentuant sur les non injectés au fur et à mesure que les résultats s’avéreront pourtant de plus en plus négatifs, stipulant toujours que ce serait à cause du facteur exogène (non injecté) comme naguère (étrangers, riches, paresseux) que la Chose, la réalisation du monde parfait (sans virus) capoterait.

En tout cas, leur échec de plus en plus patent (mais qui ne se voit pas encore pleinement) permet d’ouvrir d’autres hypothèses… : quel est le rôle effectif du « passe » (alors que cette maladie, au-delà de toutes les hypothèses, reste bien moins létale par exemple que les maladies cardiaques — huit millions par an dans le monde) sinon celui de domestiquer la population en vue de la diriger vers une médicalisation permanente corrélée à la bio-numérisation, la distanciation, la fragmentation pyramidale des sociétés — avec, en paravent, l’apparence de la démocratie (le simulacre des votes automatisés, les agitations diverses dans les médias et les institutions, le blablabla sans conséquences ou comment la « culture » est devenue, depuis longtemps, un folklore que l’on vient visiter telle la ville de Pompéi) — à la seule différence que les habitants de celles-ci restent vitrifiés et le sont devenus sans le savoir… ?




Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid

[Source : cv19.fr]

Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, présente une documentation factuelle sur la possible présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid, une substance toxique à l’origine du rappel massif de masques FFP2 en France.

Voir l’interview complète ici :



[Mise à jour 26/08/2021]

Transcription par Michel Dogna

Stew Peters (présentateur) : Nous avons eu de nombreuses  discussions polémiques avec les « pacts checker » et des chercheurs indépendants qui ont tenté de discréditer les conclusions de chercheurs espagnols, présentées dans le Stew Peter Show, par le Dr Jane RUBY. Cette vidéo révélait que l’oxyde de graphène, une substance toxique, un poison, a été trouvé en quantité dans le vaXX Pfizer… Ces chercheurs espagnols ont ensuite découvert qu’il en est de même pour les vaXXs Moderna et AstraZénéca.

USA Today, Lead Story, tous financés par la Cabale, étaient tous contre moi et le Dr Jane Ruby – ils nous traitent de menteurs pour avoir révélé cette découverte au monde, dans une vidéo maintenant vue, je pense 1 million de fois sur Rumble.

Nous avons depuis demandé l’avis de nombreux experts médicaux, de médecins de renommée mondiale comme Dr Jane Ruby, Dr Tenpenny, Dr Judy Micovitz, Dr David Martin ; ils ont tous confirmé ce rapport – mais malgré toutes ces confirmations, les attaques contre notre vérité continuent sur Tweeter. Nous voulons donc savoir de quoi il s’agit, si c’était planifié, qui est derrière tout cela.

Karen Kingston : (ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et de matériels médicaux.)

« C’est extrêmement difficile de trouver les informations et de les relier entre elles, mais j’ai un éventail unique de compétences, c’est mon métier. Dans le secteur, j’analyse la propriété industrielle et le contexte juridique, tant pour les médecins, les pharmas que les consommateurs, et je suis également rédacteur scientifique. Donc, vous ne pouvez pas vous attendre à ce que tout le monde ait ces compétences pour trouver ces informations.

La réalité est que les médias grands publics nous mentent, et que les Big Tech et les médias sociaux bloquent la vérité. Cela viole le premier amendement de notre constitution (US). »

Question – Alors, dites-nous est-ce que l’oxyde de graphène est dans ces injections ?

Réponse – A 100% OUI ! Je vais vous le démontrer. Ce qu’il est vraiment important de savoir, c’est que tous les vaXXs ARNm contiennent ce que l’on appelle une nanoparticule de lipide Pegylée (PEG). C’est ce que nous allons expliquer. Si vous regardez le brevet de Moderna, il est écrit qu’il contient une composition de nanoparticules lipidiques, et au fur et à mesure que vous parcourez le document ça parle spécifiquement de divers ingrédients et formulations Pegylée qui ont des codes alpha numériques. Vous pouvez également les trouver dans le dossier de dépôt à la FDA, avec l’IND (Investigational New Drug) dans les essais de phase 3 de Pfizer et Moderna. Vous pouvez également les trouver à travers le formulaire de dépôt de l’EPA (Environnemental Protection Agency).

Alors voici la chose la plus importante avec le brevet que j’ai lu. Il y a 193 pages, plus les pièces jointes. J’ai lu le brevet pour trouver de l’oxyde de graphène. Il n’est pas listé dans le brevet, parce que c’est un secret commercial. Vous souvenez-vous de B. Gates qui disait qu’il y avait un secret commercial ? Les secrets commerciaux ne sont pas destinés à être divulgués au public. Ils ne peuvent donc pas être dans le dossier. Donc l’oxyde de graphène n’est pas dans le brevet. Tout est listé sauf ça, mais je vais vous montrer la preuve que ceci contient de l’oxyde de graphène dans le brevet déposé en Chine.

Q – Laissez-moi juste vous demander : Pourquoi auraient-ils mis tous les autres ingrédients dans le brevet à l’exception du graphène ?

R – Je dirais que la première raison est que c’est un poison pour les humains. L’autre raison est que c’est l’ingrédient principal de l’hydrogel, qui est le liquide. C’est le modèle IA (intelligence artificielle) qui est utilisé pour certaines recherches d’Elon Musc et B. Gates, en ce qui concerne une interface entre l’humain et l’Internet.

Q – Donc il existe une théorie légitime que ces injections sont en fait conçues pour créer une sorte de connectivité entre les humains, la 5G ou peu importe ce que c’est pour contrôler vos pensées et votre mémoire. Ce sont des possibilités réalistes et plausibles ?

R – Ce n’est pas possible au stade actuel. Ils se précipitent pour sortir ce truc, ils essaient de voir combien ils peuvent en injecter aux gens avant qu’ils ne meurent. Je pense honnêtement que c’est une recherche de dosage en direct. Ceux qui meurent ont : SEP, Guillain Barré, des tremblements, du magnétisme… rappelez-vous que nous sommes censés avoir des rappels tous les 6 mois, pour voir combien on peut en accumuler dans ce système. On va voir ça parce que quand vous voyez les nations qui sont injectées, nous (USA) sommes des cobayes de cette technologie, je pense qu’il y aura un deuxième plan.
Je ne suis pas vraiment à l’aise pour vous parler de ce genre de choses parce que je n’aime pas donner mon avis et faire des hypothèses ; je préfère en rester aux données. Donc si vous regardez les nouvelles sur l’ingénierie et la chimie, il y a des journaux d’articles de recherches non révisés par des Pairs que nous appelons RAAG (Ressource Available After Graduation) dans le secteur, toutes les industries en ont.
Ce sont en fait les gros bonnets de l’industrie, les acteurs principaux, et ils se vantent de ce qu’ils font. Or cet article parle des nanoparticules (ajout de PEG) qui sont dans les vaXX C19.
Il y a 4 lipides :
• Le premier est le cholestérol, c’est un élément moins crucial, ça le fait passer dans le sang.
• Ensuite il y a un phospholipide qui est là pour les membranes cellulaires, cela permet la perméabilité pour entrer dans les membranes cellulaires.
Il y a un lipide ionisable ce qui donne une charge ionique positive, pour faciliter la pénétration de l’ARNm dans la cellule.
• Enfin les lipides Pegylés. La raison pour laquelle ils ont créé ça est que l’ARNm est très instable qu’il soit synthétique ou zoonique, donc qui provient d’un animal ou d’un humain. C’est très instable.
Une température de 80°F (27°C) le détruit, la lumière du soleil le détruit, si vous respirez dessus il meurt, les chercheurs disent tout cela, il arrive rarement à franchir la zone isotherme d’un individu sain, votre salive le détruit, il ne peut pas survivre par lui-même.

Donc, il avait besoin de cette biosphère qu’ils ont créée. C’est pour cela que nous avons ces quatre lipides et ensuite ils ajoutent de l’oxyde de graphène. Alors, ce qui est intéressant avec l’oxyde de graphène, c’est qu’il est 4.000 fois plus résistant que le Titane et peut résister à une température de 17.000° F (7700°C).
Donc ils ont pris ce virus très instable et l’ont rendu indestructible.  Or le lipide Pegylé, si vous regardez « PEG » est fabriqué par une entreprise qui s’appelle SinoPeg, qui sont basés en Chine.

Maintenant, comment ai-je découvert ceci ? (accrochez-vous)

Eh bien si vous jetez un coup d’œil à l’EUA (Emergency News Autorisation) de Pfizer, ils citent les quatre lipides. Ils ont deux lipides, chacun d’entre eux contenant quatre lipides. Et il y a Moderna et Moderna les a appelés, ça s’appelle la fiche de données de sécurité MSDS. C’est ce qu’ils utilisent pour les produits industriels. Il y a un numéro CAS et il y a le SM-102 pour Moderna – et ensuite si vous allez au dossier de Pfizer au Royaume Uni, les numéros des deux lipides sont là : A LC 0315 et ALC 0159.

Donc, quand j’ai cherché sur Google : MSDS CAS, (ne me demandez pas comment je connais toutes ces informations), quand j’ai mis certains de ces numéros, j’ai trouvé SinoPeg. Or je n’ai pas trouvé SinoPeg en cherchant SinoPeg sur Google. Alors j’ai simplement mis le numéro MSDS. Et si vous allez sur le site internet, vous verrez des centaines de noms alphanumériques de ces liquides. Et vous verrez un onglet sur les excipients pour le vaXX Covid 19. Et l’on voit : polyéthylène glycol 2000. Ici, vous verrez, c’est ALC 0159 et cette entreprise est basée en Chine !

Et puis, si vous prenez le brevet Moderna, il y est répertorié tous les différents polyéthylènes : alcool 200PEG, PEG 2000 et vous les trouverez dans l’onglet : excipients pour le Covid 19 de SinoPeg. Donc, c’est juste là : c’est fabriqué en Chine.

Il y a d’autres vaxxs ARNm qui ne sont pas vendus au USA, vous pouvez trouver ces excipients ici aussi avec le numéro CAS que vous chercherez dans la fiche de données de sécurité MSDS.
Donc, si vous voulez savoir ce qu’est le graphène, ce qu’ils expliquent sur SinoPeg est qu’il s’agit d’une structure centrale, fonctionnalisée par du polyéthylène, pour le stockage d’énergie diélectrique polymère combinée avec des performances mécaniques et diélectriques.

Ce que cela veut dire, c’est que le graphène est un conducteur – il peut être un conducteur d’électricité. Si le graphène a une charge positive, cela annihile tout ce qui entre en contact avec lui (c’est dans toutes les études du NIH, Moderna, etc.). A cet instant, ils ne sont pas chargés, ils sont juste neutralisés.

Q – Comment une charge positive entre-t-elle dans vos cellules ?

R – C’est l’autre lipide – celui qui est ionisable – qui donne la charge positive pour la pénétration cellulaire, mais ce n’est pas le cas actuellement. Ils sont neutres. Mais s’il y a un champ électromagnétique qui active les charges positives, potentiellement, il y aura des dégâts et probablement des morts, selon où ces nanoparticules vont se retrouver dans le corps des gens et quelle quantité s’y trouvera. Il est évident pour moi qu’ils mentent au monde entier. Ils essaient de cacher cela, c’est l’ingrédient secret.

Q – LEAD Story, USA today, toutes ces publications qui fact-checkent ce programme, il me semble bien aussi qu’ils mentent. Nous verrons qui est impliqué dans tout ça, dans une minute, car je vais vous le demander, mais… pourquoi utilisent-ils cela ?

R – L’oxyde de graphène est une substance toxique, un poison. Pourquoi l’utilisent-ils ? Parce que c’est un formidable conducteur d’électricité ! Et il peut héberger un champ magnétique, il peut littéralement vous connecter à Internet.

Q – OK, je voulais juste m’assurer que c’était clair, parce que je sais que vous n’êtes pas à l’aise pour donner votre avis. Je voulais juste être sûr que c’est ce qu’il peut faire dans les faits.

Oui, je n’ai pas eu l’occasion, mais je pourrais probablement aller sur des publications techniques sur l’IA et trouver plus d’informations sur : comment l’oxyde de graphène est un problème. La conclusion est que c’est un poison ! Ça annihile tout ce qui entre en contact avec lui s’il a une charge positive. C’est toxique pour les humains, ça ne devrait pas être là-dedans et ça l’est !

Q – Qui est derrière ça ?

R – Une société qui s’appelle Shangai Nanotechnologies a déposé un brevet pour l’oxyde de graphène en vue de son utilisation dans les excipients du Covid 19. Et ils ont eu une réunion à leur siège social, et je crois qu’il y a Tal Zachs, le directeur technique de Moderna, et si vous allez sur le site de l’OMS, il y a une page où ils expliquent que le monde entier doit travailler ensemble sur ces vaXXs Covid 19. C’était l’an dernier !
On y trouve les suspects habituels, comme Peter Daszak, d’autres noms de Moderna et plusieurs acteurs du NIH et NIAID.

Q – Il existe donc un grand groupe de milliardaires et de millionnaires très coordonnés pour le développement et l’exécution de ces produits ? Donc comme vous parlez et confirmez cela, pourquoi quand il s’agit de donner votre opinion, dites-moi si vous ne vous sentez pas de le faire, si pour des gens comme le Président Trump, Ron de Santis, Sean Hamity, quel est leur intérêt là-dedans ? Comment ne peuvent-ils pas être au courant de cela ?

R – Non, impossible qu’ils puissent savoir ce genre de choses ! Désolée ! Quand j’ai découvert ces informations, je ne savais pas qu’une femme puisse pleurer autant que j’ai pleuré.

Donc, j’ai envoyé un mail le 26 mai à une trentaine de supports avec toutes infos résumant qu’il s’agissait d’armes biologiques, j’ai même parlé à America’s Frontline Doctors, et après leur avoir parlé, certains docteurs ont continué de dire que si vous avez moins de 30 ans, vous devriez vous faire vacciner. Je les ai appelés pour leur dire : « Mais que faites-vous ?… Ce sont des armes biologiques !!! On ne peut pas dire ça !!! »

La dissonance cognitive face à la perversion et au caractère diabolique de ces injections fait qu’il est très difficile pour les gens de comprendre, et il faut aussi réaliser que pendant ces 18 mois où ils ont été développés, quiconque disait : eh, ce virus n’est pas si grave ! se faisait moquer de lui, ridiculiser, marginaliser. Des médecins se sont vus menacés de se faire retirer leur licence, pour que la vérité ne puisse pas sortir. Quiconque s’interrogeait sur la rapidité de la mise sur le marché de ces vaXX, sur leur nécessité, même les documents de la FDA disent : « On ne pense pas que les moins de 18 ans devraient se faire injecter, nous sommes inquiets de la diffusion virale. »

Personne, en bonne conscience n’aurait dû approuver cela, mais le lavage de cerveau est ce que le contrôle des Big Tech voulait que nous sachions comme étant la vérité. En comparaison si votre conjoint vous trompe, vos amis peuvent vous dire qu’il vous trompe, qu’il y a des tonnes de preuves, vous n’y croyez pas ! Là, tous vos conseillers de confiance vous ont dit que ce truc était sûr. Tous les médias vous disent que c’est sûr, mais si quelqu’un arrive et vous  dit : « Non ! C’est mortel ! C’est un génocide planifié ! » C’est impossible d’y croire ! Vous comprenez ?

Q – Oui c’est difficile, essayer de déterminer ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas, ce qu’il manque, déceler les informations venant de l’Etat Profond qui essaye par tous les moyens de nous embrouiller. J’essaie juste de digérer tout que vous dites. Je pense aux gens des médias, je pense aux gens qui ne réalisent pas qu’il y a des milliards de vies en jeu.
Ou peut-être que si, ce qui est encore pire, parce que ça fait d’eux des complices qui font perdurer la situation. Je pense à tous ceux à qui on va imposer ces injections.

[………………………………………………………………………………..]

R – Pour en finir, l’étiquetage des flacons est faux et trompeur parce que cette chose n’est pas un vaxxin. Il n’y a aucun bénéfice pour votre santé quand vous vous faites injecter. La seule chose que ça peut faire c’est empoisonner, blesser, tuer !

Nano-vaccin recombinant contre le coronavirus avec oxyde de graphène comme support
Google Patent [archive]

Page 10 : https://patentimages.storage.googleapis.com/ef/0c/d4/2ed14dae3576f1/CN112220919A.pdf

La présence d’oxyde de graphène ne serait pas mentionnée dans les brevets des vaccins Pfizer et Moderna en tant que secret industriel, ce qui reste possible légalement.

Également une étude sur le graphène pour les vaccins Covid : Graphene Oxide Nanosheets Interact and Interfere with SARS-CoV-2 Surface Proteins and Cell Receptors to Inhibit Infectivity

Le Dr Astrid Stuckelberger évoque aussi la présence de cette toxine dans une interview récente.

En attendant plus d’informations sur la composition complète de ces vaccins, Ricardo Delgado de La Quinta Columna propose une solution simple pour dégrader l’oxyde de graphène.


[Voir aussi :
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]




Injonction aux autorités : rendre publique la liste complète des composants des vaccins anti-covid-19 qui ont reçu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en Europe comme l’exige la Loi !

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, pour vaincre la résistance face à la vaccination obligatoire due à la création du Passe Sanitaire, il vous faut impérativement rendre publique la liste les ingrédients de ces vaccins puisque les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit, et ne sont donc pas conforme à la Loi.

Source Légi France :

Étiquetage et informations sur le médicament (spécialité pharmaceutique)

publié le13.06.16.

Médicaments 

Conditionnement

Le conditionnement primaire est celui en contact avec le médicament. Le conditionnement secondaire, ou extérieur, est l’emballage dans lequel est placé le médicament. L’étiquetage du conditionnement secondaire mentionne notamment le nom du médicament, le dosage, la composition qualitative et quantitative en substances actives par unité de prise, la forme pharmaceutique, les mises en garde spéciales, le numéro de lot de fabrication, la date de péremption, le nom et l’adresse du titulaire de l’autorisation de mise sur le marché.

Consulter les articles R. 5121-137 à R. 5121-142 du Code de la santé publique

Notice

La notice est le document d’information accompagnant le médicament et destiné spécifiquement à l’utilisateur.

Elle décrit notamment le nom du médicament, le dosage, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, les informations relatives aux contre-indications, précautions d’emploi et interactions médicamenteuses, la posologie, le mode et la voie d’administration, la description des effets indésirables.

Consulter les articles R. 5121-147 à R. 5121-149 du Code de la santé publique

RCP (résumé des caractéristiques du produit)

Le RCP est le document qui précise les caractéristiques du médicament, notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, la posologie et le mode d’administration, les contre-indications, les mises en garde spéciales et précautions particulières d’emploi, les interactions médicamenteuses et autres, l’utilisation en cas de grossesse et d’allaitement, les effets indésirables.

Consulter l’arrêté du 6 mai 2008 pris pour l’application de l’article R. 5121-21 du code de la santé publique

En parallèle, dans le Code de la Consommation il est indiqué que le moindre produit industriel doit avoir affiché sur son emballage sa composition comme l’indique le site Légi France. Celui qui reçoit sa vaccination n’est-il pas lui aussi un consommateur à qui l’on doit la considération et donc de l’information objective ?

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Source Légi France

Code de la consommation.

Chapitre Ier : Obligation générale d’information

Chapitre II : Modes de présentation et inscriptions (Articles R112-1 à R112-33)

Article R112-1

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

Au sens du présent chapitre, on entend par :

1° Denrée alimentaire : toute denrée, produit ou boisson destiné à l’alimentation de l’homme ;

2° Denrée alimentaire préemballée : l’unité de vente constituée par une denrée alimentaire et l’emballage dans lequel elle a été conditionnée avant sa présentation à la vente, que cet emballage la recouvre entièrement ou partiellement, mais de telle façon que le contenu ne puisse être modifié sans que l’emballage subisse une ouverture ou une modification ;

3° Étiquetage : les mentions, indications, marques de fabrique ou de commerce, images ou signes se rapportant à une denrée alimentaire et figurant sur tout emballage, document, écriteau, étiquette, bague ou collerette accompagnant ou se référant à cette denrée alimentaire.

Liens relatifs

Article R112-2

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

On entend par ingrédient toute substance, y compris les additifs, utilisée dans la fabrication ou la préparation d’une denrée alimentaire et qui est encore présente dans le produit fini, éventuellement sous une forme modifiée.

Lorsqu’un ingrédient d’une denrée alimentaire a été élaboré à partir de plusieurs ingrédients, ces derniers sont considérés comme ingrédients de cette denrée.

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Complément concernant l’obligation d’informations, source Union Européenne :
https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/product-safety-and-requirements/eu-product-requirements_fr
Exigences de l’UE concernant les produits | Commission européenne (europa.eu)

Notice du vaccin Pfizer :
https://nouveau-monde.ca/la-notice-complete-du-vaccin-pfizer/
Combien de vaccinés en ont eu connaissance ?

Compte tenu de la notice précédente, comment expliquer ceci :
https://nouveau-monde.ca/waccins-covid-aimantes-lincroyable-scandale-arrive/ ?

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, notre demande étant parfaitement légitime, nous vous demandons de répondre sans tarder. Il va de soi que votre refus sera considéré dans le pays des Droits de l’Homme et de la Révolution française comme une attaque directe contre le bien commun : un refus vous mettra hors la Loi et sera considéré comme une provocation.

TANT QUE VOUS NE PUBLIEREZ PAS LA COMPOSITION EXACTE ET COMPLÈTE DES VACCINS ANTI COVID-19 COMME L’OBLIGE LA LOI, VOUS SEREZ CONSIDÉRÉS COMME DES HORS LA LOI.