Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette question béotienne (comme on dit) peut encore prêter à sourire tant d’un côté l’évidence crie « oui », à voir la propagande hygiéniste et ses diverses obligations juridiques qui explosent (malgré l’effondrement des indicateurs : les malades de diarrhée étant plus importants que ceux de la C19) tandis que de l’autre les puissants de l’heure expliquent que « non » puisque vous pouvez encore vous poser la question sans être enfermé et qu’il existe des « lois ».

Ce dernier point peut prêter à sourire tant ces « puissants » oublient volontairement que sous Staline il y avait de la presse assez critique sur les dysfonctionnements du quotidien, que sous Hitler le droit était prolifique et se voulait même « moral », et qu’en règle générale il y a toujours eu des élections avec des candidats divers au sein des régimes dits pourtant non démocratiques…

Or, lorsque la presse est de plus en plus aux ordres, lorsqu’elle ment (confondant « cas » et « malades », par exemple, ou assénant qu’aucun traitement ne marche hormis l’injonction de l’injection expérimentale), de même lorsque le conseil d’État, le Parlement, et dans une certaine mesure le Conseil Constitutionnel adoubent toutes les décisions de fond du Pouvoir qui empiète pourtant les libertés fondamentales, mais ce au nom d’une supposée urgence « sanitaire » alors qu’elle est disproportionnée en réalité au vu des chiffres réels et non pas projetés) lorsqu’enfin toute critique de fond signifie mort médiatique puis sociale du « questionniste » (lorsqu’il n’est pas taxé de « rassuriste », « platiste », « complotiste »), quelle est la différence, dans les faits, entre ce que sont et/ou deviennent peu à peu aujourd’hui la France, les USA par exemple et les (anciennes) dictatures ?…

Car il est possible en effet d’avancer que deux différences cruciales restent toujours probantes : d’un côté l’existence de conflits permanents au sein du Pouvoir et de ses institutions qui laissent penser qu’une « balance des pouvoirs » existe encore, de l’autre l’absence d’une répression brutale et l’enfermement puis l’assassinat.

La première différence apparaît pourtant de moins en moins évidente (surtout avec un taux d’abstention de plus en plus important) d’autant plus que le conflit entre les instances ou en leur sein ne semble pas décisif, comme on le voit de mieux en mieux en France (de plus, la dernière loi d’urgence a été votée par une poignée de « députés ») ; par ailleurs, il y a toujours eu des conflits au sein des dictatures (d’où les purges permanentes).

La seconde différence s’exprime dans le fait que l’on peut toujours manifester ; certes, mais dans quelles conditions ? Tout dépend du moment et du degré de stupeur. Il y a eu aussi des manifestations sous Lénine et Trotsky, en 1968 en Tchécoslovaquie, Pologne en 1980, en 1989 sous le régime maoïste, en Égypte, Tunisie, en Algérie ces derniers temps… Observons la manière dont les manifestations des Gilets Jaunes première mouture ou de la « manif pour tous » ont été peu à peu brutalement dénigrées, voire réprimées au bout d’un certain moment (et celles aussi que le Pouvoir a laissées dégénérer par milices dites « antifa » interposées…). Rien ne dit que celles qui se déroulent actuellement contre un « pass » plus politique que « sanitaire » (les chiffres démentant le discours officiel au niveau des réanimations et de la mortalité) ne subiront pas le même sort à la rentrée de septembre (2021).

En un mot, passé le moment de sidération, pensant aussi que le « soufflet » de la contestation s’essoufflera comme toujours, le Pouvoir actuellement préserve toujours l’apparence d’une démocratie même si cela devient de plus en plus un village Potemkine du moins pour le peuple, car du point de vue des élites consentantes cela ne se voit pas du tout : leurs institutions supérieures fonctionnent normalement. Ainsi les Académies pérorent (mais sous l’Union Soviétique aussi), publient, soutiennent même la politique hygiéniste au nom de « la » Science alors que la controverse salutaire au sein de celle-ci est muselée, mais rien n’y fait : l’aveuglement est la norme, comme sous Lyssenko ou la pensée hygiéniste eugéniste à l’amorce du 20e siècle.

Tout cela sera bien entendu balayé d’un revers de main par les Suffisants bien assis sur leur certitude en argile pourtant.

Finalement qui a écrit : « La souveraineté nationale appartient au peuple » ?  Un populiste, voire un complotiste ? Un souverainiste extrémiste de droite ?…

Bonjour chez vous N°6


[Voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »]




L’école à la maison, c’est fini

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

La consultation sur le passe sanitaire, – et adoption finale -, à vitesse grand V  dans une Assemblée nationale et un Sénat aux ordres, a occulté  l’adoption d’une autre loi inique, liberticide : celle qui met fin à l’instruction à domicile. Pourtant, le 23 juillet dernier, les scellées ont été posées sur le cercueil de l’école à la maison. Et les Français ont perdu une autre de leur liberté : celle concernant leur choix éducatif pour leurs enfants.

Dans un communiqué, la Fondation pour l’école revient sur cette interdiction qui s’est faite « au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions » :

« Lors de son vote du 23 juillet 2021, l’Assemblée nationale a définitivement adopté la loi confortant le respect des principes de la République.

Cette adoption a pour conséquence la suppression du régime déclaratif de l’instruction en famille (IEF) institué depuis fort longtemps et pourtant garanti par la Déclaration universelle des droits de l’homme[1].

Il est dorénavant remplacé par un régime d’autorisation préalable, soumis à des conditions aussi strictes que subjectives, privant de facto 62 398 enfants[2] d’un mode d’instruction parfaitement légal et régulièrement contrôlé par les services de l’État.

Comme elle l’avait annoncé précédemment, la Fondation ne peut se résoudre à la suppression d’une telle liberté fondamentale, et entamera donc lundi 26 juillet une procédure dite de « la porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel.

Rappelons que cette adoption du 23 juillet s’est faite au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions. Ainsi :

un premier avis du Conseil d’État sur cette loi, modifié in extremis sur pression du gouvernement[3], s’est prononcé en nette défaveur de la suppression de l’IEF en décembre 2020 ;

la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), après avoir auditionné la Fondation pour l’école, at rendu un avis défavorable le 28 janvier 2021[4] sur le projet de loi ;

le Sénat, où la Fondation a également été auditionnée, a supprimé l’interdiction de l’IEF lors de son examen du 19 mars 2021[5] et a fait part de ses plus vives inquiétudes sur la dimension liberticide d’une telle loi ;

les travaux de la Commission mixte paritaire n’ont, par la suite, pas abouti ;

le Sénat avait ensuite renouvelé ses inquiétudes devant la volonté manifeste des députés d’un passage en force, et leur refus réitéré de tenir compte des dispositifs alternatifs proposés[6].

Rappelons également que :

l’étude d’impact du projet de loi remis par le Gouvernement n’a fourni aucun chiffre permettant de démontrer les dérives séparatistes massives prétendument issues de l’IEF ;

la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO) a refusé de rendre publics et de communiquer à l’Assemblée deux rapports émis sur le sujet, obligeant ainsi les députés à voter « dans le noir »[7].

Ainsi, l’Assemblée nationale aura méprisé tous les avis rendus par les différentes institutions républicaines… au nom du respect des principes de la République : l’ironie de la situation n’échappera à personne.

Face à ce déni démocratique avéré, la Fondation pour l’école, associée aux collectifs L’école est la maison[8] et Liberté éducation[9], déposera une « contribution extérieure » communément appelée « porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel, par l’intermédiaire de son avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation, Maître Guillaume Valdelièvre.

Cette procédure vise à rétablir l’IEF telle qu’elle était inscrite dans la loi française. Elle a également pour objectif de s’opposer aux nouveaux contrôles et sanctions visant les établissements scolaires indépendants (dits hors contrat). Face à ces attaques particulièrement graves de nos libertés fondamentales, nous attendons du Conseil constitutionnel qu’il réponde rapidement et favorablement à nos demandes en déclarant ces atteintes aux libertés d’instruction et d’enseignement comme étant contraires à la Constitution.

Il est inconcevable que la liberté de 67 millions de français soit ainsi piétinée par les dérives de quelques-uns[10]. »

L’étau visant à supprimer, petit à petit, la majeure partie de leurs libertés fondamentales, se resserre autour des Français.

La France bascule inexorablement dans un régime tyrannique à la chinoise.

Francesca de Villasmundo 


[1] Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, article 26 alinéa 3 : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

[2] https://www.liberteeducation.com/quelques-chiffres-sur-lecole-a-la-maison/

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/suppression-de-l-instruction-en-famille-comment-le-conseil-d-etat-a-declare-son-inconstitutionnalite-avant-de-se-retracter-20210601

[4] https://www.cncdh.fr/sites/default/files/a_-_2021_-_1_-_pjl_principes_de_la_republique_janv_2021.pdf

[5] http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210329/cult.html

[6] https://www.senat.fr/amendements/2020-2021/734/jeu_complet.html

[7] https://association-unie.fr/petition-nous-voulons-les-rapports-de-la-dgesco/

[8] https://lecoleestlamaison.blogspot.com/

[9] https://www.liberteeducation.com/

[10] Vademecum sur l’IEF de l’Éducation nationale, page 38 : « Les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l’occasion du contrôle de l’instruction au domicile familial sont exceptionnels. ». En 2019, 179 enfants suivis en CPRAF (cellule de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles) pour des motifs de radicalisation étaient effectivement déscolarisés ou instruits en famille.




Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, 4 doses de vaccin sont prévues pour chaque européen de l’Union Européenne

[Source : myessentielles via profession-gendarme.com]

https://twitter.com/_LE_GENERAL_OF/status/1417216021778378752?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1417216021778378752%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.profession-gendarme.com%2Falexandra-henrion-caude-balance-du-lourd-en-direct-y-a-4-doses-qui-sont-prevues-pour-chacun-dentre-nous-y-compris-bebes%2F



Selon l’avocat Reiner Fuellmich, le front des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’avocat Reiner Fuellmich a pris la parole le 24 juillet lors de la manifestation pour la liberté au Trafalgar Square de Westminster, à Londres

L’avocat allemand, Reiner Fuellmich, a pris la parole par l’intermédiaire d’une vidéo préenregistrée lors de la manifestation pour la liberté qui se tint au Trafalgar Square de Westminster, à Londres. En effet, des milliers de personnes se sont rassemblées le samedi 24 juillet au Trafalgar Square pour protester contre les règles de verrouillage et les vaccinations COVID-19. Un large éventail d’intervenants ont participé à l’événement, dont Kate Shemirani, David Icke et Piers Corbyn qui se sont adressés à la foule. Les manifestants sont en colère contre la récente décision qui rendra les passeports vaccinaux obligatoires en Angleterre pour accéder aux boîtes de nuit et autres lieux bondés. Boris Johnson a déclaré que la nouvelle mesure entrerait en vigueur d’ici la fin septembre.

Des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs pays ont aussi protesté contre les mesures anti-COVID. En France, les citoyens sont descendus dans la rue pour protester à l’échelle nationale contre le laissez-passer sanitaire du président Emmanuel Macron qui réduira considérablement l’accès aux restaurants et aux espaces publics pour les personnes non vaccinées. « Liberté, liberté », scandaient des manifestants en France, portant des pancartes dénonçant « Macron, Tyran »« Big Pharma enchaîne la liberté » ou disant « Non à la passe de la honte ». Un programme similaire, appelé « laissez-passer vert », a déclenché des manifestations de colère dans toute l’Italie. Les habitants de Rome, Naples et Turin ont scandé « liberté » et « à bas la dictature » ​​contre les projets du soi-disant « pass vert ».

Vous remarquerez que dans son discours, Dr Reiner Fuellmich ne parle pas du tout d’un procès international de type « Nuremberg 2.0 » pour la simple et bonne raison qu’une telle procédure n’existe pas. L’avocat avait lui-même rétabli les faits auprès de FranceSoir concernant ce soi-disant « méga procès » qui n’est qu’une fausse rumeur propagée par des gens sans doute mal intentionnés, dans le but éventuel « de le discréditer » selon ses propres dires. C’est ce que j’avais moi-même révélé dans un article du 20 avril dernier dans lequel je faisais part d’une correspondance datant de la veille avec Me Reiner Fuellmich. Dans cette correspondance, l’avocat me confirmait que « malgré toutes les (fausses) rumeurs il n’a rien déposé auprès de la Cour pénale internationale ». Il espérait simplement rassembler les juristes de partout dans le monde qui remettent en question les mesures à la base : le test PCR Drosten. Le reste, dont le dépôt d’une plainte à la Cour pénale internationale, n’étant que des rumeurs.

Celles et ceux qui affirment qu’un procès de type « Nuremberg 2.0 » est en préparation mentent et profitent de la crédulité des gens, en propageant de faux espoirs parmi la population. Récemment, certaines personnes ont affirmé qu’elles organisaient un « Nuremberg 2.0 » devant le Palais de justice de Douglas sur l’île de Man. Elles disent avoir signifié cette procédure au procureur général John Quinn, au lieutenant gouverneur Richard Gozney et au greffier en chef Stuart Quayle. Selon cette rumeur, le rassemblement devrait avoir lieu le 1er septembre devant le tribunal de droit commun sur l’île de Man.

Je suis donc allé à la source et j’ai écrit au Palais de justice de l’île de Man pour leur demander si cette information était véridique ou non. Le directeur de la performance et des services judiciaires au Registre général, Colin Cowley. me répondit : « Cher Monsieur. Le greffe général n’a connaissance d’aucun document signifié comme indiqué et ne peut donc faire aucun commentaire à ce sujet. Salutations » Évidemment, certaines personnes diront que le procès Nuremberg 2.0 étant « secret » 🙂  le Tribunal de l’île de Man ne révélera aucune information à son sujet. Je laisse donc ce genre de commentaire aux adeptes des jeux de rôles et de fantaisie… Pour ma part, je reste dans le monde des adultes.

Colin Cowley - Isle of Man Courts of Justice

VEUILLEZ NOTER : Des dizaines de crimes contre l’humanité ont été perpétrés depuis très longtemps dans différentes régions du monde. Il n’y a qu’à regarder du côté des premiers mutants de l’espèce humaine, exposés pendant 40 ans aux essais nucléaires soviétiques, les habitants de la région du Kazakhstan ont servi de cobayes humains. La ville de Kourtchatov, base ultrasecrète où vivaient les scientifiques et techniciens avec leurs familles, n’était mentionnée sur aucune carte à l’époque. Aujourd’hui, elle abrite des êtres détruits : ils souffrent de cécité ou de faiblesse des os, ils ont parfois le visage complètement déformé. Le taux de cancer est 3 fois supérieur à la normale. Ici, les naissances monstrueuses sont légion depuis les années 50. Reconnues par l’État, ces victimes de l’atome touchent de modestes pensions. Mais les radiations ont marqué pour toujours leur patrimoine génétique.

Y a-t-il jamais eu un procès pour crimes contre l’humanité pour ces atrocités ? Non, jamais !

« C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création. »

Reiner Fuellmich



Le discours de l’avocat Reiner Fuellmich

Chers amis, il se passe quelque chose. Le front retranché des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre. Et cela, parce que notre pouvoir, le pouvoir de l’humanité, est plus grand que le pouvoir de ceux qui sont de l’autre côté. Mais chez les humains, l’humanité avec ses émotions l’emportera toujours sur la numérisation et l’intelligence artificielle. Je dis cela après que le Comité d’enquête sur le corona de Berlin (Comité Corona), et ce depuis sa création le 10 juillet, a entendu les témoignages de plus de 110 experts très respectés du monde entier sur les questions suivantes. Quel est le danger du virus ? Quel est le danger des mesures anti corona pour la vie et la santé humaine et pour l’économie ? Et quelle est la fiabilité du test PCR de Drosten qui sous-tend toutes ces mesures dans le monde ? Eh bien, entre temps, même l’OMS a concédé que le virus, qu’il soit entièrement ou semi-artificiel ou naturel, n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire, avec un taux de mortalité par infection de 1,4 %. Et en conséquence, Singapour est tombée d’accord et a supprimé toutes les mesures. Ces mesures sont aussi mortelles et destructrices que le serait une Troisième Guerre mondiale. Et le test PCR de Drosten, qui a été déclaré par l’OMS, qui est sous le contrôle de Bill Gates et des Chinois, comme étant l’étalon d’or pour détecter les infections, est une fraude scandaleuse.

Premièrement, un test PCR ne peut pas détecter les infections. Deuxièmement, le test PCR de Drosten, avec 45 cycles d’amplification, aurait donné 100 % de faux positifs pour les cas dits de Corona. Car à partir de 24 cycles, le test n’a rien de scientifique, et à 35 cycles il produit au moins 97 % de faux positifs, selon le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ce ne sont que ces soi-disant cas qui ont en réalité été truqués avec le test — à l’aide de ce test — qui ont servi de base à la détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale en février 2020. L’acronyme, d’ailleurs, de Public Health Emergency of International Concern est PHEIC, prononcé « feik » (fake / faux).

Cette détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale était à son tour nécessaire à l’Alliance mondiale des industries pharmaceutiques et technologiques afin d’atteindre l’objectif des soi-disant vaccinations qui étaient leurs véritables intentions déclarées dès le début. Uniquement sur la base de cette urgence de santé publique de portée internationale qui est à la base de cet état d’urgence, il est possible, selon les règles de l’OMS, d’utiliser des médicaments non testés sur des humains par le biais de cette approbation d’urgence. Toutes les autres mesures (la distanciation sociale, le confinement, le port du masque, etc.) n’ont servi qu’à donner à la population, d’une part, une raison visible à une panique par ailleurs illusoire, créée uniquement par des opérations psychologiques, et d’autre part à la subjuguer pour qu’elle accepte finalement même les soi-disant vaccinations.

En réalité, bien sûr, ces vaccinations sont des thérapies géniques expérimentales, sans aucune étude scientifique à la base. Elles n’ont aucune raison d’être et ne sont même pas nécessaires. Tout d’abord, il n’existe aucune preuve d’une pandémie. Seul le faux test PCR de Drosten, avec ses faux positifs, est responsable de l’urgence de santé publique de portée internationale, comme expliqué ci-dessus. Deuxièmement, il existe des méthodes de traitement alternatives, efficaces et, en règle générale, sur le système immunitaire humain et très bien équipé pour combattre les virus, même ceux créés par l’homme. En dehors de cela, les vaccinations manquent d’efficacité, comme vient de le prouver une étude très récente de dossier scientifique concernant Pfizer Biotech. Et pour couronner le tout, ces vaccins sont extrêmement dangereux, comme le prouvent les derniers chiffres officiels des États-Unis.

Selon le VAERS, le registre officiel des événements indésirables après vaccination, 45 000 personnes sont mortes après une vaccination en 180 jours depuis le début de ces soi-disant vaccinations. Cependant, comme notre collègue Tom Renz l’a appris d’un lanceur d’alerte, ces chiffres ont été tenus secrets, et de faux chiffres ont été donnés, à savoir seulement environ 11 000 décès après vaccination. Pire encore. En temps normal, on peut supposer qu’au maximum, entre 1 % et 10 % de tous les événements indésirables réels liés à la vaccination sont signalés. Mais nous ne sommes pas en temps normal.

Les médias grand public et les politiciens, qui sont tous deux sous le contrôle des entreprises mondiales et des ONG mondiales, font tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre l’enregistrement des événements indésirables liés à la vaccination aussi difficile que possible, de sorte qu’en réalité, il est fort probable que nous soyons confrontés à environ 500 000 morts après la vaccination, aux États-Unis seulement.

Cela fait paniquer l’autre camp, car cela ne fait pas partie de son plan. C’est pourquoi cet autre côté, sans empathie ni émotion, fait maintenant tomber tous les masques. En France, par exemple, le gouvernement menace de rendre la vaccination essentielle et d’introduire la vaccination obligatoire, et aux États-Unis le président veut censurer même les communications privées, même s’il s’agit de déclarations tout à fait correctes, dont le seul problème est qu’elles ne correspondent pas à la ligne officielle frauduleuse annoncée par le gouvernement.

Entre-temps, en Inde et en Afrique du Sud, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en France, de très importantes batailles juridiques ont été engagées ou sont en train de l’être. Au Portugal, en Autriche et en Allemagne, d’excellentes décisions de justice ont été rendues stipulant que le test de Drosten et le test PCR, totalement inadaptés, ne peuvent servir de base à aucune mesure anti corona.

Le Comité d’enquête Corona de Berlin a déjà accumulé des preuves extrêmement incriminantes qui prouvent qu’il n’a jamais été question de santé, mais que « Monsieur Global », comme l’ancienne banquière d’affaires et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, appelle les entreprises mondiales, les ONG et leurs bailleurs de fonds. Monsieur Global poursuit exclusivement ses objectifs avec ces mesures. La destruction des économies régionales pour rendre la population mondiale dépendante des chaînes d’approvisionnement mondiales. En déplaçant la richesse de la population mondiale du bas vers le haut, c’est-à-dire vers les super riches. Réduction de la population, ce qui signifie génocide. Et l’obtention d’un contrôle total sur la population restante.

Il est évident que nous avons affaire ici à des psychopathes et des sociopathes mégalomanes qui auraient dû être arrêtés il y a longtemps, mais le moment est venu de le faire. C’est pourquoi des millions de personnes manifestent aujourd’hui dans le monde entier.

Un autre aspect doit être souligné. En plus de notre travail juridique et de nos efforts pour mettre en lumière ces sombres vérités, il existe un troisième niveau, à savoir le niveau spirituel, religieux ou cosmique. Appelez-le comme vous voulez. Et ce niveau est crucial. C’est ce que nous montre une histoire qu’un médecin allemand nous a raconté la semaine dernière. Il voulait retirer de l’argent à un distributeur automatique de billets et s’est rendu dans le hall d’une banque à cette fin. Il y avait là une femme âgée portant un masque qui a reculé craintivement devant lui parce qu’il ne portait pas de masque. Elle a dit qu’il devait porter un masque parce que sinon, elle avait peur de se contaminer, ainsi que son mari. Le médecin lui a alors dit qu’elle ne devait pas avoir peur. Il s’est approché d’elle, a enlevé son masque et l’a prise dans ses bras. La femme s’est mise à pleurer et a dit que personne ne l’avait prise dans ses bras depuis plus d’un an. C’est de cela qu’il s’agit.

C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création.




« Se croyant tout puissants, les comploteurs qui œuvrent sous le couvert du globalisme croient pouvoir soumettre toute l’humanité et la nature sous leur joug totalitaire, mais ils s’apercevront bientôt qu’ils ne sont pas les maîtres à bord et que leur imperium disparaîtra plus rapidement qu’il n’est apparu… »

Guy Boulianne




Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021

[Source : nicolasbonnal.com]

Totalitarisme fou et absolu. Les manifs ne les font surtout pas reculer [voir : Note sur les manifestations sous le règne du NOM] : manifestation obligatoire universelle pour septembre. Les enseignants doivent se vacciner. Aucune catastrophe sanitaire nulle part, déclare Florian qui rappelle que les libertés progressent ailleurs : il faudra donc se battre ou crever comme des rats numérotés. Râler et boycotter sont déjà dépassés.

Notez bien ce que je vous annonce en ce jour du 26/07/2021. Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre @JeanCASTEX affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021.

Blanquer annonce la vaccination obligatoire pour les enseignants – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

LA VACCINATION OBLIGATOIRE S’ÉTENDRA-T-ELLE AUX ENSEIGNANTS ? CETTE MESURE, QUI SERAIT LOGIQUE, MAIS QUI EST DIFFICILE À IMPOSER POLITIQUEMENT, SEMBLE ANNONCÉE PAR UNE MAIL ENVOYÉ PAR LE MINISTRE BLANQUER À TOUS LES PERSONNELS DANS UN MESSAGE QUE NOUS REPRODUISONS CI-DESSOUS. DANS LA PRATIQUE, IL EST TROP PROBABLE QUE, DÈS SEPTEMBRE, L’EDUCATION NATIONALE SOUMETTRA SES PERSONNELS À UNE OBLIGATION VACCINALE.

https://youtu.be/RJ9VvgRJFEI



Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





France : votre maire est-il un collabo? Vérifiez dans cette liste de 382 noms!

[Source : FL24.net]

Par Pascal Tenno

Dans une lettre ouverte publiée par Le Journal Du Dimanche, 382 élus de différents partis, dont le PS et LR, Estrosi en tête, applaudissent la tyrannie sanitaire mise en place par Emmanuel Macron lundi dernier, et saluent avec force courbettes et prosternations “le courage des décisions prises”.

Cette lettre ouverte est une déclaration de soumission totale au pouvoir élyséen. Personne ne l’attendait, personne ne la demandait… excepté Macron lui-même, afin d’asseoir toujours davantage sa domination, et de faire croire que la Nation entière approuve la destruction pseudo-sanitaire de nos droits fondamentaux. Et, sans aucun doute, Estrosi, qui est désormais la tête de pont officielle de la macronisation des esprits hors des frontières de LREM.

Le texte de la lettre est honteusement lâche et obséquieux, scandaleusement arriviste et hypocrite. “Dans l’intérêt du pays comme dans celui de nos territoires, nous, maires et responsables de collectivités territoriales, avons choisi d’agir ensemble pour l’avenir. D’agir ensemble pour la France. Voilà pourquoi nous soutenons les actions que vient d’annoncer le Président Emmanuel Macron.” . Etc., etc., etc.

Mais l’initiative a au moins un intérêt majeur: fournir une liste des 382 élus les plus prosternés et les plus consternants de France. Une liste utile, qui vous permet de savoir si votre élu local est un collabo. Puisqu’ils se dénoncent eux-mêmes, il n’y a aucun mal à vérifier. À vous de jouer!

  • Houssamoudine ABDALLAH, Maire de Sada (Mayotte)
  • Mouslim ABOURAHAMA, Maire de Boueni (Mayotte)
  • Bruno ACCIAÏ, Maire de La Robine-Sur-Galabre (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Olivier ALLAIN, Maire de Corlay (Côtes-d’Armor)
  • Tearii ALPHA, Maire de Teva I Uta (Polynésie française)
  • Christian AMIRATI, maire de Gignac-La-Nerthe (Bouches-du-Rhône)
  • Mahfoud AOMAR, Maire de Valravillon (Yonne)
  • François ARIZZI, Maire de Bormes-les-Mimosas (Var)
  • Alexis ARMANGAU, Maire de Fitou (Aude)
  • Jean AUBOURG, Maire de Saint-Ouen-du-Tilleul (Eure)
  • Fabien AUFRECHTER, Maire de Verneuil Sur Seine (Yvelines)
  • Philippe AUGIER, Maire de Deauville (Calvados)
  • Pierre AVOYNE, Maire de Norolles (Calvados)
  • Bruno Nestor AZEROT, Maire de Sainte-Marie (Martinique)
  • Dominique BAERT, Maire de Wattrelos (Nord)
  • Rolland BALBIS, Maire de Villecroze (Var)
  • François BARBIER, Maire de Contamines (Haute-Savoie)
  • Frédéric BARON, maire de Etriac (Charente)
  • Philippe BARRE, Maire de Sainte-Hermine (Vendée)
  • Annick BARRE, Maire de Laz (Finistère)
  • Catherine BARTHELET, Maire de Pelousey (Doubs)
  • Pascal BAUDELOT, Maire de Lenax (Allier)
  • Jean-François BAUDRY, Maire de Féron (Nord)
  • Marcel BAUER, Maire de Sélestat (Bas-Rhin)
  • Stéphane BEAUDET, Maire d’Évry-Courcouronnes (Essonne )
  • Jean-Michel BEAUGER, Maire de Tharoiseau (Yonne)
  • Christophe BÉCHU, Maire d’Angers (Maine-et-Loire)
  • Doriane BECUE, Maire de Tourcoing (Nord)
  • Bertrand BELLANGER, Président du conseil départemental de la Seine-Maritime
  • Thierry BELLONI, Maire de Staffelfelden (Haut-Rhin)
  • Laïthidine BEN SAÏD, Maire de Mtsamboro (Mayotte)
  • Joris BENIER, Maire des Trois-Lacs (Eure)
  • Florent BENOIT, Maire de Vulbens (Haute-Savoie)
  • Samuel BENOUDIZ, Maire de Aigremont (Yvelines)
  • Fabrice BERGER, Maire de Challuy (Nièvre)
  • Gérard BERHAULT, Maire de Le Hinglé (Côtes-d’Armor)
  • Eric BERLIVET, Maire de Roche-La-Molière (Loire)
  • Raphael BERNARDIN, Maire de Saint-Sulpice-La-Pointe (Tarn)
  • Michel BERNOS, Maire de Jurançon (Pyrénées-Atlantiques)
  • André BERTERO, Maire d’Aurons (Bouches-du-Rhône)
  • Bruno BERTHELIER, Maire de Charlieu (Loire)
  • André BEVILLE, Maire de Saint-Jean-de-Thouars (Deux-Sèvres)
  • Louis BISCARRAT, Maire de Jonquieres (Vaucluse)
  • Yves BLEUNVEN, Maire de Grand-Champ (Morbihan)
  • Thomas BLONSKY, Maire de Chapelle-Royale (Eure-et-Loir)
  • Laurent BONNATERRE, Maire de Caudebec-Lès-Elbeuf (Seine-Maritime)
  • Jean-Luc BONNET, Maire de Le Vigen (Haute-Vienne)
  • Patrice BONVOISIN, Maire de Freneuse-sur-Risle (Eure)
  • Yannick BORDE, Maire de Saint-Berthevin (Mayenne)
  • Jean-Charles BORGHINI, Maire de La Brillanne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Jean-Baptiste BORSALI, Maire du Bourget (Seine-Saint-Denis)
  • Georges BOTELLA, Maire de Théoule-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Luc BOUARD, Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée)
  • François BOUCHART, Maire de Roissy-en-Brie (Seinte-et-Marne)
  • Patrick BOUILLON, Maire de Lugny-Les-Charolles (Saône-et-Loire)
  • Laurent BOUQUET, Maire de Arrigny (Marne)
  • Monique BOURDIER, Maire de Bouleurs (Seine-et-Marne)
  • Arlette BRADAT, Maire de Welckolsheim (Haut-Rhin)
  • Didier BREMOND, Maire de Brignoles (Var)
  • Pierre BRETEAU, Maire de Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
  • Christian BRETIN, Maire de Cousance (Jura)
  • Christophe BRINGOUT, Maire de Labergement-lès-Auxonne (Côte-d’Or)
  • Thierry BRUN, Maire de Margency (Val-d’Oise)
  • Christophe BUHOT, Maire du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines)
  • Michel BUILLARD, Maire de Papeete (Polynésie française)
  • Marc CAGNARD, Maire de Croissy-sur-Celle (Oise)
  • Christiane CAILLIAU-DELEU, Maire de Martrin (Aveyron)
  • Dominique CAP, Maire de Plougastel-Daoulas, Président de l’association des maires du Finistère et de Bretagne
  • Philippe CASTERAN, Maire de Sédeilhac (Haute-Garonne)
  • Jean-Michel CATELINOIS, Maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme)
  • Laurent CATHALA, Maire de Créteil (Val-de-Marne)
  • Hugo CAVAGNAC, Maire de Fronton (Haute-Garonne)
  • Francois CAVALLIER, Maire de Callian (Var)
  • Caroline CAYEUX, Maire de Beauvais (Oise)
  • Florence CAYLA, Maire de Sébazac-Concourès (Aveyron)
  • Claude CENTLIVRE, Maire de Eguisheim (Haut-Rhin)
  • Laurence CHABAUD-GEVA, Maire de Saumane-de-Vaucluse (Vaucluse)
  • Richard CHAMARET, Maire de Méral (Mayenne)
  • Julien CHAMBON, Maire de Houilles (Yvelines)
  • Jean-Yves CHAPELET, Maire de Bagnols-Sur-Cèze (Gard)
  • Dominique CHAPPUIT, Maire de Rosoy (Yonne)
  • Maurice CHAUTANT, Maire de La Roche-des-Arnauds (Hautes-Alpes)
  • Vincent CHAUVET, Maire d’Autun (Saône-et-Loire)
  • Brigitte CHEVROT, Maire de La Bâtie-des-Fonds (Drôme)
  • Christophe CHOSEROT, Maire de Maxéville (Meurthe-et-Moselle)
  • Alain CHRÉTIEN, Maire de Vesoul (Haute-Saône)
  • Daniel CHRISTEL, Maire de Saint-Désert (Saône-et-Loire)
  • Thierry CIPIERRE, Maire de Coulouniers-Chamiers (Dordogne)
  • Philippe CLAUDOTTE, Maire de Villiers-aux-Bois (Marne)
  • Dominique CLAVERIE, Maire de Martillac (Gironde)
  • Cédric CLECH, Maire de Tonnerre (Yonne)
  • Philippe COLLAS, Maire de Val d’Hazey (Eure)
  • Didier COMBIS, Maire de Magrie (Aude)
  • François COMMEINHES, Maire de Sète (Hérault)
  • Loïc COMMUN, Maire de Marcy L’Etoile (Rhône)
  • Bruno CORADETTI, Maire du Vésinet (Yvelines)
  • Joelle CORDELETTE, Maire de Mont-Louis (Pyrénées-Orientales)
  • Thierry CORNIOT, Maire de Seignelay (Yonne)
  • Sandrine COSSERAT, Maire de Volonne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Cyril COTONAT, Maire de Ladevèze-Rivière (Gers)
  • Stéphane COTTY, Maire de Plounévézel (Finistère)
  • Bernard COUDRIAU, Maire de Saint-Lumine-de-Coutais (Loire-Atlantique)
  • Jean-Louis COUREAU, Maire de Puymirol (Lot-et-Garonne)
  • Xavier COURTOIS, Maire de Massangis (Yonne)
  • Jennifer COURTOIS-PERISSÉ, Maire de Rieumes (Haute-Garonne)
  • Yves COUSSAIN , Maire de Teissières-Lès-Bouliès (Cantal)
  • Yves CRISTIN, Maire de Lent (Ain)
  • Mathieu CUEL, Maire de Salles (Gironde)
  • Paulo DA SILVA MOREIRA, Maire de Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe (Yonne)
  • Jean-François DARDENNE, Maire de Nogent-Sur-Oise (Oise)
  • Jean-Paul DAVID, Maire de Guillaumes (Alpes-Maritimes)
  • Manuel DE JESUS, Maire de Sermoise-sur-Loire (Nièvre)
  • Jean-Jacques DE PERETTI, Maire de Sarlat-La-Canéda (Dordogne)
  • Michel DEBOUVERIE, Maire de Combas (Gard)
  • Laurent DEGALLAIX, Maire de Valenciennes (Nord)
  • Patrick DEHEN, Maire de Sorle-le-Château (Nord)
  • Hervé DELAGE, Maire de Monsaguel (Dordogne)
  • Jean DELALANDRE, Maire de Duclair (Seine-Maritime)
  • Guillaume DELBAR, Maire de Roubaix (Nord)
  • MICHEL DELEPAUL, Maire de Bois-Grenier (Nord)
  • Richard DELEPIERRE, Maire du Chesnay (Yvelines)
  • Yves DELOT, Maire de Saint-Florentin (Yonne)
  • Jean-Michel DERREY-HUE, Maire de Crasville (Eure)
  • Jérôme DESNOUE, Maire de Champmotteux (Essonne)
  • Manuel DESVERGNE, Maire de Saint-Laurent de Céris (Charente)
  • Valentin DETHOU, Maire de Champigneulles (Meurthe-et-Moselle)
  • Michel DIAZ, Maire de Saint-Jean-de-Barrou (Aude)
  • Arnaud DIAZ, Maire de L’Hospitalet-près-d’Andorre (Ariège)
  • Jean DIONIS DU SEJOUR, Maire d’Agen (Lot-et-Garonne)
  • Marc DITLECADET, Maire de Saint-Germain-Les-Belles (Haute-Vienne)
  • Didier DOUSSET, Maire du Plessis-Trévise (Val-de-Marne)
  • Alexandre DROGOZ, Maire de Saint-Chef (Isère)
  • Yves DU BUIT, Maire de Plouzané (Finistère)
  • Frédéric DUCHE, Maire des Andelys (Eure)
  • Michel DUFRANC, Maire de La Brède (Gironde)
  • Sylvain DUMAS, Maire de Farges-lès-Chalon (Saône-et-Loire)
  • Gervais EGAULT, Maire de Louannec (Côtes-d’Armor)
  • Xavier ELBAZ, Maire de Villedieu-Sur-Indre (Indre)
  • Youssef ERRAMMACH, Maire de Bois-Le-Roi (Eure)
  • Didier ESCARTIN, Maire de Escarmain (Nord)
  • Christian ESTROSI, Maire de Nice (Alpes-Maritimes)
  • Jean-René ETCHEGARAY, Maire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
  • Chantal EYMEOUD, Maire d’Embrun (Hautes-Alpes)
  • Hubert FALCO, Maire de Toulon (Var)
  • Dominique FAURE, Maire de Saint-Orens-De-Gameville (Haute-Garonne)
  • Sylvie FEREMANS, Maire de Cambremer (Calvados)
  • Thierry FEROTIN, Maire de Biviers (Isère)
  • Sébastien FINE, Maire de Villard-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes)
  • Bernard FLORENCE, Maire de Hohrod (Haut-Rhin)
  • Franck FONTAINE, Maire de Mézières (Yvelines)
  • Christian FOURNIER, Maire de Saint-Martin-Valmeroux (Cantal)
  • Jérôme FRANÇOIS, Maire de Meriel (Val-d’Oise)
  • Joëlle FREBAULT, Maire de Hiva Oa (Polynésie française)
  • Dominique FREYSSENET, Maire de Sainte-Sigolène (Haute-Loire)
  • Nicolas FRICOTEAUX, Président du conseil départemental de l’Aisne
  • Christian FRIES, Maire de Garrebourg (Moselle)
  • Edouard FRITCH, Président de la Polynésie française et maire de Pirae
  • Jean-Luc FRUCHART, Maire de Bromont-Lamothe (Puy-de-Dôme)
  • Michel GABAS, Maire de Eauze (Gers)
  • Catherine GABRELLE, Maire de Royer (Saône-et-Loire)
  • Cécile GALLIEN, Maire de Vorey (Haute-Loire)
  • Dominique GAMBIER, Maire de Déville-Lès-Rouen (Seine-Maritime)
  • Vincent GASSMANN, Maire de Chavannes-Sur-L’Etang (Haut-Rhin)
  • Willy GATUHAU, Maire de Païta (Nouvelle-Calédonie)
  • Benoît GAUVAN, Maire d’Oraison (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Philippe GENTY, Maire de Saint-Maurice-L’Exil (Isère)
  • Jean-Philippe GERAULT, Maire de Bellegarde-Adoulins (Gers)
  • NICOLAS GIRARDIN, Maire de Solliès-Ville (Var)
  • Marc GIROUD, Maire de Vallangoujard (Val-d’Oise)
  • Nathalie GODET, Maire de Loperhet (Finistère)
  • Yves GOEPFERT, Maire de Wittelsheim (Haut-Rhin)
  • Vai GOODING, Maire de Gambier (Polynésie française)
  • Marc GOUA, Maire de Trélazé (Maine-et-Loire)
  • Bruno GRANCOING, Maire de Saint-Auvent (Haute-Vienne)
  • Christophe GRAZIANI, Maire de Bigorno (Haute-Corse)
  • Elisabeth GRESSIER, Maire de Strazeele (Nord)
  • Morgan GRIFFOND, Maire de Saint-Pierre-La-Palud (Rhône)
  • Dominique GRIMPRET, Maire de Ahuy (Côte-d’Or)
  • Olivier GRIOCHE, Maire de Passel (Oise)
  • Roger GUCCIARDI, Maire de Ryes (Calvados)
  • Philippe GUERRIOT, Maire de Pins-Justaret (Haute-Garonne)
  • Rémy GUILLOU, Maire de Plouisy (Côtes d’Armor)
  • Nicolas HABARE, Maire de Bourgogne-Fresne (Marne)
  • Jean-Baptiste HAMONIC, Maire de Villepreux (Yvelines)
  • Marib HANAFI, Maire d’Acoua (Mayotte)
  • Mirelle HAOATAI-LIZ, Maire de Manihi (Polynésie française)
  • Christian HENRIET, Maire de Saint-Pierre-Le-Vieux (Vendée)
  • christophe HIGUET, Maire de Ry (Seine-Maritime)
  • Jean-Marie HOMBERT, Maire de Saint-Romain-Au-Mont-D’Or (Rhône)
  • Thierry HORY, Maire de Marly (Moselle)
  • Achille HOURDÉ, Maire de Jaignes (Seine-et-Marne)
  • Marie-Lise HOUSSEAU, Maire de Sorèze (Tarn)
  • Pascal HUBER, Maire de Chesny (Moselle)
  • Fabrice HUGELE, Maire de Seyssins (Isère)
  • Hervé HUNKELER, Maire de Montérolier (Seine-Maritime)
  • Laurent ILTIS, Maire de Pact (Isère)
  • Yann JACCAZ, Maire de Praz-Sur-Arly (Haute-Savoie)
  • Bernard JACOTIN, Maire de Beautheil-Saints (Seine-et-Marne)
  • Philippe JANICOT, Maire de Boisseuil (Haute-Vienne)
  • Marie-Christine JAOUEN, Maire de Saint-Hernin (Finistère)
  • Marie-Claude JARROT, Maire de Montceau-Les-Mines (Saône-et-Loire)
  • Danielle JEANNE, Maire de Aulnay-Sur-Iton (Eure)
  • Cyril JOBIC, Maire de Calanhel (Côtes-d’Armor)
  • Pascal JOLLY, Maire de Gasny (Eure)
  • Emmanuel JOULIE, Maire de Labastide-Saint-Georges (Tarn)
  • Bernard JULLIEN, Maire de Valencin (Isère)
  • Sébastien KARCHER, Maire de Villeneuve-L’Archevêque (Yonne)
  • David KAUFFER, Maire de Saint-Romain-Les-Atheux (Loire)
  • Benoît KAUTAI, Maire de Nuku Hiva (Polynésie française)
  • Alain KELYOR, Maire d’Émerainville (Seine-et-Marne)
  • Olivier KLEIN, Maire de Clichy-Sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
  • Jean LACHET, Maire de Camboulazet (Aveyron)
  • Philippe LACROIX, Maire d’Oadour-sur-Glane (Haute-Vienne)
  • Serge LADAN, Maire de Saint-Rémy (Calvados)
  • Sonia LAGARDE, Maire de Nouméa (Nouvelle-Calédonie)
  • Bernard LAMARY, Maire de Lorp-Sentaraille (Ariège)
  • Christophe LANGOUËT, Maire de Cossé-le-Vivien (Mayenne)
  • Roger LARS, Maire de Landévennec (Finistère)
  • Sylvain LAUNAY, Maire de Lonrai (Orne)
  • Thierry LAVIT, Maire de Lourdes (Hautes-Pyrénées)
  • Bruno LE BESCAUT, Maire de Loudéac (Côtes-d’Armor)
  • Thierry LE BIHAN, Maire de Mordelles (Ille-et-Vilaine)
  • Christophe LE BOULANGER, Maire de Caumont-Sur-Aure (Calvados)
  • Joël LE JEUNE, Maire de Trédrez-Locquémeau (Côtes-d’Armor)
  • Joseph LE MEROUR , Maire de Camaret-Sur-Mer (Finistère)
  • Frederic LE MEUR, Maire de Moustéru (Côtes-d’Armor)
  • Gwenn LE NAY, Maire de Plouay (Morbihan)
  • Olivier LE PICK, Maire de Carnac (Morbihan)
  • Jean Simon LEBLANC, Maire de Labastide-Monréjeau (Pyrénées-Atlantiques)
  • Alain LEBOUC, Maire de Amfreville-les-Champs (Seine-Maritime)
  • Nadine LEFEBVRE, Maire de Beuvry (Eure)
  • Nicolas LELEUX, Maire de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d’Oise)
  • Daniel LENOIR, Maire de Villaines-La-Juhel (Mayenne)
  • Franck LEROY, Maire d’Épernay (Marne)
  • Miguel LEROY, Maire de Auvillers-Les-Forges (Ardennes)
  • Jean-Philippe LHÔTELAIS, Maire de Crottet (Ain)
  • Gilles LIEBUS, Maire de Souillac (Lot)
  • Denis LINGLIN, Maire de Sergy (Ain)
  • Simplicio LISSANT, Maire de Punaauia (Polynésie française)
  • Ronan LOAS, Maire de Ploemeur (Morbihan)
  • Frédéric LOINARD, Maire de Colleville-Montgomery (Calvados)
  • Franck LONGO, Maire de Fontaine (Isère)
  • Jean-Luc LONGOUR, Maire du Cannet-des-Maures (Var)
  • Jean LOPES, Maire de Maizieres (Meurthe-et-Moselle)
  • Bruno LORENTZ, Maire de Sommerau (Bas-Rhin)
  • Guy LOSBAR, Président du conseil départemental de la Guadeloupe
  • Philippe LOYEZ, Maire de Noyelles-Sur-Escaut (Nord)
  • Michel LUCANTE, Maire de Coarraze (Pyrénées-Atlantiques)
  • Michèle LUTZ, Maire de Mulhouse (Haut-Rhin)
  • Mohamadi MADI OUSSENI, Maire de Chiconi (Mayotte)
  • Stéphane MAGUET, Maire de Janville-En-Beauce (Eure-et-Loir)
  • Chantal-Marie MALUS, Maire de Château-Chinon (Nièvre)
  • Christelle MANGE, Maire de Chéraute (Pyrénées-Atlantiques)
  • Tahuhu MARAEURA, Maire de Rangiroa (Polynésie française)
  • Laurent MARCANGELI, Maire d’Ajaccio (Corse)
  • Bruno MARIAGE, Maire de Warlus (Somme)
  • Jean-François MARY, Maire de Allaire (Morbihan)
  • René MAUTRAIT, Maire de Le Meix-Tiercelin (Marne)
  • Robert MEDINA, Maire de Mondouzil (Haute-Garonne)
  • Cyrille MELCHIOR, Président du conseil départemental de La Réunion
  • Eric MÉNASSI, Maire de Trèbes (Aude)
  • Nicolas METZDORF, Maire de La Foa (Nouvelle-Calédonie)
  • Jean-Paul MICHAUD, Maire de Thoraise (Doubs)
  • Vincent MINIER, Maire de Chanteloup (Ille-et-Vilaine)
  • Franz MOLET, Maire de Voulangis (Seine-et-Marne)
  • Damien MONNIER, Maire de Sathonay-Camp (Rhône)
  • Ralph MONPLAISIR, Maire de Case-Pilote (Martinique)
  • Raphaël MORETON, Maire de Viricelles (Loire)
  • Jean-Luc MOUDENC, Maire de Toulouse (Haute-Garonne)
  • Ali Moussa MOUSSA BEN, Maire de Bandrélé (Mayotte)
  • Yves MULLER, Maire de Marange-Silvange (Moselle)
  • David MUNIER, Maire de Chevry (Ain)
  • Philippe MURAT-DAVID, Maire de Vérignon (Var)
  • Ange MUSSO, Maire du Revest-Les-Eaux (Var)
  • Rémi MUZEAU, Maire de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine)
  • Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Jean-Lucien NETZER, Maire de Bischwiller (Bas-Rhin)
  • Raphaël NIVOIT, Maire de Gambais (Yvelines)
  • Karl OLIVE, Maire de Poissy (Yvelines)
  • Bertrand OLLIVIER, Maire de Joinville (Haute-Marne)
  • Said OMAR OILI, Maire de Dzaoudzi (Mayotte)
  • Jean-Charles ORSUCCI, Maire de Bonifacio (Corse)
  • François OUZILLEAU, Maire de Vernon (Eure)
  • Didier PAINEAU, Maire de Byans-sur-Doubs (Doubs)
  • Dominique PALLIER, Maire de Apprieu (Isère)
  • Patrice PANIS, Maire de Lédergues (Aveyron)
  • Elisa PANOFRÉ, Maire de Recurt (Hautes-Pyrénées)
  • Jacques PAUL, Maire de La Celle (Var)
  • Jean-Marc PEILLEX, Maire de Saint-Gervais-Les-Bains (Haute-Savoie)
  • Michel PELIEU, Président du conseil départemental des Hautes-Pyrénées
  • Cédric PEMBA MARINE, Maire du Port-Marly (Yvelines)
  • Alain PENOT, Maire de Saint Germain Les Vergnes (Corrèze)
  • Arnaud PERICARD, Maire de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)
  • Yannick PERON, Maire de Gargenville (Yvelines)
  • Jérôme PEYRAT, Maire de La Roque-Gageac (Dordogne)
  • Laurent PEYRONDET, Maire de Lacanau (Gironde)
  • Laurence PICARD, Maire de Coulommiers (Seine-et-Marne)
  • Laurent PIEN, Maire de Condé-Sur-Vire (Manche)
  • Christophe PIERRETON, Maire de Barby (Savoie)
  • Françoise PILLOY, Maire de Braye-En-Laonnois (Aisne)
  • Brigitte PISTRE, Maire de Frazé (Eure-et-Loir)
  • Franck POQUIN, Maire de Saint-Léger-de-Linières (Maine-et-Loire)
  • Daniel POUJAUD, Maire de Ports-sur-Vienne (Indre-et-Loire)
  • Dominique PROT, Maire de Junay (Yonne)
  • Jean-Luc QUEIRAS, Maire de Saint-Tulle (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascal RAGOT, Maire de Bonnieux (Vaucluse)
  • Georges RAMON, Maire de Belvis (Aude)
  • Christian RAPHA, Maire de Saint-Pierre (Martinique)
  • Monique RATINEAU, Maire de Brantôme (Dordogne)
  • François REBSAMEN, Maire de Dijon (Côte-d’Or)
  • Teddy REGNIER, Maire de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine)
  • Hervé RENAULD, Maire de Grandchamp (Yvelines)
  • Bernard RENOY, Maire de Venterol (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascale REQUENNA, Maire de Hagetmau (Landes)
  • Bernard REY, Maire de Saint-Bernard (Ain)
  • Jean-Pierre RICCO, Maire de Pérols (Hérault)
  • Jean-Michel RIGAULT, Maire de Druyes-Les-Belles-Fontaines (Yonne)
  • François RINGUET, Maire de Kourou, président de l’association des maires de Guyane (Guyane)
  • Gilles RIPERT, Maire de Caseneuve (Vaucluse)
  • Yves-Marie RIVEMAL, Maire de Verneuil-sur-Avre (Eure)
  • Frédéric RIVETA, Maire de Rurutu (Polynésie française)
  • Jacques ROBIN, Maire de Rospez (Côtes-d’Armor)
  • Arnaud ROBINET, Maire de Reims (Marne)
  • Ludovic ROCHETTE, Maire de Brognon et président de l’association des maires de Côte-d’Or
  • Pierre-Jean ROCHETTE, Maire de Boën-sur-Lignon (Loire)
  • Joëlle ROLLIN, Maire de Blaru (Yvelines)
  • Philippe RONDAT, Maire de Tronsanges (Nièvre)
  • Joel ROUDAIRE, Maire de Kembs (Haut-Rhin)
  • Michael ROUSSEAU, Maire de Jouy-Sur-Morin (Seine-et-Marne)
  • Daniel ROUSSEL, Maire de Saint-Samson (Calvados)
  • Frédéric ROUX, Maire de Mollans-Sur-Ouvèze (Drôme)
  • Catherine SADON, Maire de Semur-En-Auxois (Côte-d’Or)
  • Moudjibou SAIDI, Maire de Dembéni (Mayotte)
  • Jean Philippe SAULNIER ARRIGHI, Maire de Moulins-sur-Ouanne (Yonne)
  • Jean-Pierre SAVIGNAC, Maire de Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
  • Laurent SCHEMBRI, Maire de Recey-Sur-Ource (Côte-d’Or)
  • Gilles SCHMITT, Maire de Joganville (Manche)
  • Muriel SCOLAN, Maire de Deuil-La-Barre (Val-d’Oise)
  • Joseph SEGURA, Maire de Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)
  • Yves SEJOURNE, Maire de Mirecourt (Vosges)
  • Emmanuel SERRE, Maire de Beaufin (Isère)
  • Jean-Pierre SERRUS, Maire de La Roque d’Anthéron (Bouches-du-Rhône)
  • Agnès SIMON PICQUET, Maire de Les Junies (Lot)
  • Sylvie SIRI, Maire de Saint-Tropez (Var)
  • Serge SMOCK, Maire de Matoury (Guyane)
  • Madi Madi SOUF, Maire de Pamandzi (Mayotte)
  • Claude SOULLIER, Maire de Brié-Et-Angonnes (Isère)
  • Ambdilwahedou SOUMAILA, Maire de Mamoudzou (Mayotte)
  • Patrick SOUTIF, Maire de Le Horps (Mayenne)
  • Daniel SPAGNOU, Maire de Sisteron et président de l’association des maires des Alpes de Haute-Provence
  • Michel TARTIE, Maire de Saint Paul-de-Jarrat (Ariège)
  • Vincent TERRAIL-NOVÈS, Maire de Balma (Haute-Garonne)
  • Jean-François THERET, Maire de Frévent (Pas-de-Calais)
  • Thierry THIBAUD, Maire de Savoillan (Vaucluse)
  • Véronique THIEUX LOUIT, Maire de Lupiac (Gers)
  • Denis THURIOT, Maire de Nevers (Nièvre)
  • Jean-Paul TISSOT, Maire de Veauchette (Loire)
  • Gaston TONG SANG, Maire de Bora-Bora (Polynésie française)
  • Francoise TRELAT, Maire de Chaumont-la-Ville (Haute-Marne)
  • Samir TRIKI, Maire de Lavault Sainte Anne (Allier)
  • Stéphane TRIQUART, Maire de Mussidan (Dordogne)
  • Vincent TURPINAT, Maire de Jarnages (Creuse)
  • David VALENCE, Maire de Saint-Dié-Des-Vosges (Vosges)
  • Sylvie VALLADE, Maire de Saint-Hilaire-les-Places (Haute-Vienne)
  • Frédéric VALLETOUX, Maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne)
  • Bachil VALY, Maire de L’Entre-Deux (La Réunion)
  • David VARRONE, Maire d’Andon (Alpes-Maritimes)
  • Martine VASSAL, Présidente du conseil départemental des Bouches-du-Rhône
  • Jean-Marc VASSE, Maire de Terres-De-Caux (Seine-Maritime)
  • Joël VAUDEY, Maire de Verchaix (Haute-Savoie)
  • Bernard VERDIER, Maire de Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées)
  • Michel VERGOZ, Maire de Sainte-Rose (La Réunion)
  • Régis VIALLATTE, Maire de Clonas-Sur-Varèze (Isère)
  • Philippe VIGOUROUX, Maire de Coulangeron (Yonne)
  • Yannick VILLAIN, Maire de La Celle-Saint-Cyr (Yonne)
  • Marjorie VIORT, Maire du Thoronet (Var)
  • Louis VOGEL, Maire de Melun (Seine-et-Marne)
  • Martine VOIDEY, Maire de Voujeaucou rt (Doubs)
  • Christian VOLTZ, Maire de Fortschwihr (Haut-Rhin)
  • Benoît VUILLEMIN, Maire de Saône (Doubs)
  • François WERNER, Maire de Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
  • Florence ZITO, Maire de Saint-Nicolas-lès-Cîteaux (Côte-d’Or)

Source: Le Journal Du Dimanche




Manipulation au sommet de l’État — Macron pris en flagrant délit de mensonge

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Quand on constate que sur le site de l’Élysée le premier responsable de l’État ose afficher ceci : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19  », on peut se dire que seuls les débiles et les ignorants(([1] « Le plus con des veaux est celui qui court après le boucher. »)) ne peuvent se rendre compte que le dénommé Macron nous prend tous pour des imbéciles.

Il sait pertinemment que d’autres solutions existent. N’a-t-il pas été soigné en décembre avant que ne soit produit le « vaccin » ?!

Comment se fait-il que le Président de la République se permette une telle déclaration contraire à la vérité, si ce n’est parce qu’il se croit tout permis ?

Son affirmation est entièrement mensongère et, de plus, malveillante, comme le rappelle ce qui s’est passé en Inde(([2] extrait de N’ayez pas peur du variant delta, c’est un tigre de papier – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )):

L’épidémie a été rapidement jugulée par la reprise des traitements précoces par Hydroxychloroquine et Ivermectine recommandés par la task force indienne contre le covid.

La responsable locale de l’OMS qui avait appelé à l’arrêt des traitements précoces a été mise en accusation pour mise en danger de la vie d’autrui et risque la prison à vie.

Trois parmi les médicaments efficaces face à la covid-19 :

Hydroxychloroquine

Les scientifiques du monde entier contre l’escroquerie du Lancet, la macronie mise au pied du mur, doit retirer les mesures anti Raoult | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

Ivermectine

Le traitement du Covid existe 2) : Ivermectine, efficace à 100% ? – blog de Gérard Maudrux

Plitidepsine

Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Aucune voix dans son gouvernement n’a mis en doute l’affirmation de Macron selon laquelle la vaccination serait la seule solution contre ce virus. Cette contrevérité, sciemment dite et répétée, a des conséquences incalculables pour toute la population.

Surtout que les injections en question posent un grave problème. Ce ne sont pas des vaccins 
L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Encore plus grave, voici lautopsie d’un vacciné
Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : “ARN viral trouvé dans chaque organe du corps” – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le mensonge de Macron « La vaccination est la seule solution. » est la preuve absolue d’une gigantesque manipulation.

C’est tenter le diable, car il n’est pas sans risques dans le pays de la Révolution française et des Droits de l’Homme, de se permettre de mentir aussi effrontément. 

C’est tenter le diable d’avoir des comportements qui vont à l’encontre du Bien commun, et de la devise républicaine Liberté – Égalité – Fraternité inscrite sur tous les bâtiments publics.


Ici, nous tenons à faire un rappel historique.

Extrait du discours de Robespierre prononcé à la Société des Amis de la Constitution, le 18 décembre 1791 :

« L’amour de la justice, de l’humanité, de la liberté est une passion comme une autre : quand elle est dominante, on lui sacrifie tout, quand on a ouvert son âme à des passions d’une autre espèce, comme la soif de l’or et des honneurs, on leur immole tout, et la gloire, et la justice, et l’humanité, et le peuple, et la patrie. Voilà le secret du cœur humain ; voilà toute la différence qui existe entre le crime et la probité, entre les tyrans et les bienfaiteurs de leur pays. »(([3] Voilà comment un média bien connu traite les informations qui ne font pas partie de sa ligne éditoriale : COVID: Sur BFMTV, Jean Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dénonce un « Mensonge d’état »… Où est la Maladie ?))

Conclusion

Soyez en sûr, devant des manipulations aussi flagrantes et des mensonges aussi grossiers, la population de ce pays, quelle que soit son origine et ses idées politiques, va vous demander des comptes d’une manière ou d’une autre. C’est légitime, elle en a parfaitement le droit. Mais ce n’est pas tout : COMME TOUT EST LIÉ, TOUT VA EXPLOSER :
Automatiquement, le coronacircus allume la mèche qui va faire exploser Babylone – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Sociétés secrètes, État profond, lobbies, Covid-19

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Aujourd’hui, partage d’informations sur un sujet qui me parait important et d’une actualité brûlante sur les sociétés secrètes et l’État profond aux USA, et ailleurs

La première vidéo proposée est un document d’archive de 5 minutes qui me paraît essentiel pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Il s’agit d’un discours (sous titré en français) du président Kennedy prononcé le 27 avril 1961, peu avant son assassinat. Ce président disposait, pour étayer son discours, d’énormes moyens pour savoir ce qui se passait vraiment dans les coulisses de son pays et dans celles du monde. S’il dénonçait avec autant de force l’influence maléfique de « sociétés secrètes », c’est qu’il savait de quoi il parlait.

Son propos n’est donc pas anodin. Il doit être pris au sérieux aujourd’hui comme hier, aujourd’hui peut être plus qu’hier.



Kennedy n’est pas le seul président US à avoir évoqué ces sociétés « secrètes », ces lobbies souvent transnationaux, qui influencent le cours des événements sur la planète.

Avant lui, le président Eisenhower avait mis en garde son pays, le 17 janvier 1961, contre l’influence potentiellement néfaste de ce qu’il appelait alors : « le complexe militaro-industriel ».



Après lui, le président Trump a, lui aussi combattu ce qu’il a appelé : « l’État profond », contre lequel il a mené une lutte sans merci, lutte qui n’est probablement pas terminée.

Pour les anglophones moins pressés, une émission télévisée d’enquête sur « l’État profond » ou « deep state » permet d’aller au fond des choses :

Bien sûr, on ne peut évoquer sereinement ces sujets sans être accusé de « complotisme » par la meute des médias mainstream occidentaux, devenue une auxiliaire fidèle et privilégiée de cet « État profond » qui en a pris progressivement le contrôle, et qui fait et défait aujourd’hui les présidents des grands pays occidentaux.

Ce sujet est d’une importance capitale et d’une actualité brûlante. Il doit constituer l’arrière plan de toute réflexion sur les grands événements qui concernent aujourd’hui la planète qu’ils relèvent de la géopolitique, de l’économie, de la crise sanitaire, de l’espionnage des grands dirigeants de ce monde.

Le pouvoir des lobbies transnationaux et mondialistes, renforcé par la technologie et la corruption des élites nationales promues et « tenues » par ces même lobbies, atteint aujourd’hui un niveau inégalé, à ce jour, dans l’histoire de l’humanité.

Aux USA, les évènements du 11 Septembre 2001 avaient permis à l’exécutif, surfant sur la peur entretenue par les médias, de mettre en place des mesures liberticides au prétexte d’une meilleure « Sécurité nationale » (Patriot Act). Prévues pour une durée initiale de 4 ans, nombre de ces mesures ont été prolongées et restent encore en vigueur aujourd’hui. …. vingt ans après.

En France, la « pandémie de la Covid-19 » constitue aujourd’hui, un prétexte pour un exécutif qui surfe également sur la peur entretenue par les médias, pour imposer, en force, des mesures toujours plus liberticides allant jusqu’à l’instauration d’un pass sanitaire permettant un meilleur contrôle d’une population réputée « indocile ». Nul ne connaît vraiment aujourd’hui la durée pour laquelle ce pass sera établi (En Israël, ce « green pass » a duré trois mois avant d’être abandonné …) ; Et jusqu’où iront les mesures privatives de liberté qui lui sont attachées…

Le lecteur notera que l’importance donnée à l’affaire de la Covid-19 n’est évidemment pas sans lien avec la corruption, les conflits d’intérêt et l’incompétence qui caractérisent l’élite autoproclamée qui gouvernent certains pays et certaines organisations internationales et les lobbies complices qui contrôlent la meute des médias mainstream dans ces mêmes pays.

La bonne nouvelle, c’est que certains pays savent encore raison garder (ou retrouver) en s’écartant résolument du mauvais exemple donné par la gouvernance française.

Israël l’a fait dès le 1er juin dernier : 
Israël: À Partir Du 1er Juin Toutes Les Restrictions Liées Au Coronavirus Seront Levées Et Le Passeport Vert Sera Annulé – I24news

Le Royaume Uni a suivi le 19 juillet : 
Covid-19 : le Royaume-Uni se prépare à lever les dernières restrictions (francetvinfo.fr)

Quant aux USA, la quasi totalité des 50 États de l’Union s’opposent à l’instauration d’un pass sanitaire : 
Vaccine passports: 50 states with bans, limitations & green lights (beckershospitalreview.com)

Seul l’État de New York a tenté l’expérience du pass sanitaire sur la base du volontariat. Notons que cet État s’est distingué par une gestion calamiteuse de l’épidémie, gestion qui le place sur la 2ème marche du podium US pour le taux de mortalité par million d’habitants…

S’agissant des grandes organisations internationales, l’OMS et le Conseil de l’Europe se sont prononcés clairement et fermement contre toutes les mesures de coercition visant à imposer la vaccination.

En France, de nombreux vaccinés « sous contraintes gouvernementales » se joignent aujourd’hui aux vaccino-sceptiques dans les manifestations contre le passeport vaccinal. Ils feront probablement payer électoralement ces mesures disproportionnées, à ceux qui aimeraient bien se présenter en « sauveur de la patrie », dans leur pari fou du pass sanitaire, comme ce fut le cas en Israël pour le malheureux Benyamin Netanyahou et son green pass, à la fin de mars dernier.

Wait and See.

Dominique Delawarde




Retour sur les manifestations du 24 juillet en France (plus de 200) par LaUneTv

Source : LaUneTv






Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon (France)

[Source : nicolasbonnal.com)]

Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon… No comment (voyez à partir de la 28′)




Naissance d’un mouvement citoyen visant en priorité à sa réelle qualité de vie

Par Lucien Samir Oulahbib

La qualité des soins de la fraternité, de la solidarité, la liberté, l’égalité est sans doute et de plus en plus le dénominateur commun de cette vaste mobilisation qui s’amorce cette fin de juillet 2021 dans le monde avec ampleur, et ce, en France, particulièrement en province, ce qui en prouve déjà la profondeur. C’est vraisemblablement un mouvement de fond qui enfin émerge durablement, tapi dans l’ombre depuis des décennies, au-delà des tiraillements et des étiquetages partisans, et visant à la réelle qualité de vie, point de départ des révoltes des années 60 (à ne pas confondre avec les révoltes gauchistes petites-bourgeoises des années 70, aujourd’hui supplétifs du Pouvoir hygiéniste/scientiste/affairiste) et celles ayant débuté en novembre 2018 avec les « gilets jaunes » ce mouvement hétéroclite qui a été hélas parasité pour une part par les variants néo-gauchistes recyclés dans le relativisme culturel et le terrorisme intellectuel aujourd’hui de plus en plus visible.

D’ailleurs, ce néo-léninisme encore bien placé dans des rouages décisifs de la machine étatico-médiatique croit toujours que ce mouvement disparate visant à la qualité rechercherait en fait et uniquement à préserver ou à augmenter les points de retraite, le salaire, le « niveau » de vie, alors qu’il s’agit — on le voit de mieux en mieux — d’un effort politique au sens fort, cherchant d’abord à asseoir spirituellement une pensée qualitative de notre présence sur Terre, ou la vie effective.

Car au départ, la qualité de pensée prime, s’imprime dans les corps puis s’exprime. Mais c’est parce qu’elle devient qualitativement supérieure que cette expression devient quantitative, fait nombre, donc masse, ce qui fait basculer les gravitations symboliques et physiques telles par exemple ces policiers et soldats qui ne peuvent plus tirer, littéralement paralysée par ce souffle (pneuma).

Du moins si cette supériorité permet aussi de rendre visible l’incompétence de plus en plus manifeste de l’élite au pouvoir, car l’écrasement des révoltes au 20e siècle (et encore maintenant…) contredit en apparence cette idée du basculement se voulant d’abord qualitatif pour pouvoir être quantitatif. Certes. Cependant, les écrasements n’ont qu’un temps, mais l’époque des martyrs n’est pas révolue (voir tous ces héros en mort sociale). L’URSS s’est effondrée, l’Allemagne nazie écrasée, de même que le Japon militariste. Des citoyens tombent certes sous les balles (« ami, entends-tu ? »), mais la « Vieille Taupe » creuse (disait Karl M lisant Hamlet de Shakespeare).

Et même si l’on n’est pas d’accord avec « lui » (qui ne se disait pas marxiste), en particulier le fait que le feu permanent et inégal du conflit humain pourrait être définitivement éteint par l’eau tiède de l’égalitarisme, comme on le voit encore avec ce scientisme voulant substituer les fonctions immunitaires naturelles par des artificielles, il semble bien pourtant qu’il y ait en effet de plus en plus une contradiction désormais insurmontable entre le mouvement de fond de toutes ces nouvelles forces spirituelles et sociales qui aspirent cette fois à la réelle qualité de vie (ce que je nomme la néo-modernité) et l’ancienne architecture politique. Celle-ci n’a, au fond, que raffermi l’État absolutiste — au sens non républicain du terme (politeia) — à savoir la tyrannie non plus provisoire, mais se voulant perpétuelle, celle d’une ploutocratie globalisée qui veut profiter de la mondialisation des échanges multiformes pour imposer une société de plus en plus désunie, fragmentée, segmentée, avec d’un côté une élite cooptée, purifiée et éternellement jeune, et de l’autre le « peuple » — ces porteurs de sandales (étymon de piétons) —, piétaille, bétail à marquer au fer technologique instrumentalisé, parce que la nouvelle matière première est devenue le corps humain, son esprit aussi, l’élite autoproclamée scientiste hygiéniste affairiste ayant un ego démesuré et un appétit féroce (avoir des appartements partout dans le monde, du personnel, des mignon(ne)s, des jets et des hélicoptères, cela coûte).

D’aucuns cependant balaient d’un revers de main tout ceci en parlant encore de démocratie et de crise sanitaire à « gérer », critiquable sans doute, mais c’est tout, ce qui frise non seulement l’irréalité, mais bascule, sans le savoir pour certains tant ils sont aveuglés par la propagande scientiste, dans l’idéologie du 2+2=5 de 1984. Car la démocratie ce n’est toujours pas agir par état d’urgence reconductible et surtout disproportionné au vu des chiffres réels et des traitements et préventions réels à disposition.

Voilà ainsi l’enjeu, semble-t-il : la « crise » actuelle s’avère d’ampleur, mais elle court depuis plusieurs siècles, et ce sans doute en effet aura surgi en amplitude durant ladite Renaissance en Europe lorsque d’aucuns ont cru qu’il suffisait soit de revenir au Même des Anciens soit de basculer résolument dans le seul fleuve du Nouveau ; d’où la critique dernière du Romantisme, puis de tous les « ismes » à sa suite ; alors qu’il s’agit d’un « mixte » des deux, car le nouveau tout en se voulant toujours autre ne peut faire l’impasse sur la nécessité d’une durée, à moins de croire que cette dernière ne serait qu’un songe et partant la vie également, comme tentent de nous le faire croire les scénaristes actuels de la réalité virtuelle devenant de plus en plus, pour certains, la seule vie réelle qu’ils cherchent à imposer (contredisant le mot attribué à Voltaire).

Il semble bien cependant que cet hyperréalisme-là (modélisé) devienne insoutenable, au sens où précisément la prise de conscience issue de la Révélation christique fut de penser qu’il n’est point possible de vivre par procuration : admirer, oui, imiter le plus possible sans doute les Héros, Saints, Mythes, toutes ces matrices du beau, du bien et du vrai se déclinant en contes et légendes ; mais de là à passer son temps à les copier et servir, non (telle fut sans doute d’ailleurs le fond de cette Révélation comme je l’explique dans Rhombe en considérant qu’elle provient bien plus de Moïse que d’Abraham).

Être ou ne pas être pleinement citoyen au sens grec du terme devenu aujourd’hui universel grâce au christianisme (d’origine juive) à leur métaphysique fondamentale (Maïmonide, Descartes, Pascal, Bergson…) présuppose la liberté comme fondement (le défi d’Eve prenant le Fruit et l’offrant à Adam). C’est elle qui nous anime en qualité, et qui cherche aujourd’hui à atteindre une nouvelle forme plus adéquate à son développement en expansion (tout comme l’Univers). Tel est l’enjeu à la fois local et mondial aujourd’hui (ou l’Universel, morphologique, qui n’impose rien puisqu’il est pour qui veut comme je l’indique aussi dans Être et vérité du réel humain).




Le bouclier du lanceur d’alerte

[Source : jbl1960blog]


[De la même source, piqûre de rappel sur l’inutilité des masques :
etude-denis-rancourt-sur-les-masques-faciaux-traduction-guy-boulianne-version-pdf-de-jbl-juin-2021.pdf
à voir aussi sur Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]




Dérive liberticide : des avocats montent au front en France

[Source : reseauinternational.net]

par Jean-Dominique Michel.

La situation en France a quelque chose de terrifiant : nous voyons basculer dans l’abjection et l’ignominie une nation qui a été une référence mondiale en termes de droits de l’homme et de défense des libertés.

Je sais combien la comparaison agace, mais combien cela fleure-t-il bel et bien l’Allemagne des années 30. Les quelques lucides à cette époque virent basculer une nation de culture, de pensée, de littérature, de grande musique dans cet état barbare, emportés par les diableries d’un vrai psychopathe. En ce qui concerne Emmanuel Macron, la question se pose désormais…

Comment peut-on en effet pareillement maltraiter, violenter, truander, asservir et même (selon les définitions prévalant en la matière) torturer son peuple sans la moindre vergogne ni le sens de la parole donnée ?

Faut-il rappeler les assurances que l’autocrate donnait encore il y a peu, la bouche en cœur, sur le fait qu’il ne saurait y avoir de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire dans le pays des Lumières, ajoutait-il, qu’était la France ?

Au même moment où il proférait ces fieffés mensonges, ses équipes travaillaient sur les projets qui nous sont maintenant imposés au mépris de la parole présidentielle et de tout état de droit comme de toute éthique. Comme cette inique obligation du pass sanitaire pour se faire soigner à l’hôpital public…

Faudra-t-il rappeler un fois de plus la parole de Racamier, le psychiatre qui a conceptualisé le profil de « manipulateur pervers » décrivant celui-ci comme quelqu’un « pour qui un mensonge réussi vaut une vérité » ?!

Les quelques penseurs et scientifiques intègres qui s’épuisent à nommer cette ignominie sont enfin rejoints par de plus en plus de citoyennes et citoyens de plus en plus choqués par cette violence et ce mépris.

Un front se lève, un front citoyen, patriotique, mais aussi des corps et des métiers. Comment oser en effet faire une telle brutalité aux soignants héroïques au printemps et à l’automne, dont on ne cesse de détruire l’outil de travail tout en ne cessant de les mépriser ?

Pourquoi ce vent de folie face à un virus comme il y en a eu des centaines de plus graves et dangereux dans l’histoire de l’humanité, qui n’a pas changé la mortalité en 2020, qu’on saurait soigner précocement et qui ne représente un danger que pour les gens n’ayant plus en moyenne que quelques mois d’espérance de vie ?!

C’est toute l’étendue d’une manipulation qui n’en finit pas. On continue d’empêcher tout ce qui aurait pu et pourrait aider à traiter une épidémie qui aurait été parfaitement gérable, à provoquer des catastrophes inutiles (et heureusement malgré tout limitées) pour pouvoir continuer de faire avancer à la baguette vers l’abime un peuple traumatisé à force de propagande et de mensonges médiatiques.

Des voix continuent de se faire entendre comme celle, bouleversante de courage, de sensibilité au sens le plus sacré du terme et d’intelligence de Me Virginie de Araujo-Recchia. Les lectrices et lecteurs de ce blog sont familiers de cette grande dame, qui me donna à publier sa remarquable analyse sur les qualifications des agissements du gouvernement français au regard du droit pénal international et humanitaire. Et qui accepta à ma grande reconnaissance d’être mon avocate face aux attaques débiles et hideuses que j’ai subies de la part de groupes ou d’individus spécialisée dans le harcèlement en ligne et la diffamation

Elle vient de lancer un appel solennel aux forces armées qui force le respect et l’admiration, en nommant la réalité du Mal auquel nous sommes confrontés… de la part de nos gouvernants, ce qui en fait la singularité face à l’Histoire. Et c’est bien tout l’enjeu aujourd’hui : jusqu’à quand les élus, les médecins, les scientifiques, les journalistes, les fonctionnaires accepteront-ils de rester au service de la « banalité du mal » qui maltraite, abuse, traumatise et torture en particulier les catégories les plus fragiles de la population ?

À la suite de cette remarquable prise de parole, je relaye ici la tribune signée par déjà une centaine d’avocats à travers la France intitulée « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

C’est le temps de la bascule totalitaire. C’est donc aussi le temps de la résistance, de l’héroïsme banal et quotidien auquel nous sommes toutes et tous appelés pour mettre en échec, avec toute notre détermination imperturbable, dans la sérénité et la non-violence, ce cauchemar collectif qu’on nous impose au mépris de l’honnêteté et du droit.

https://youtu.be/TgT9xaU7KXc

Des avocats pour le respect du droit et des libertés

Plus d’une centaine d’avocats à travers le territoire se sont réunis pour écrire et signer une tribune : « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

Nous ne sommes ni PRO ni ANTI VACCIN, mais pour le respect des libertés

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

  • rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;
  • obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public.

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique des vaccins « COVID-19 ». Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus.6

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponibles »7, la Commission européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins ne permet pas, aujourd’hui, de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non à se faire vacciner. Rendre la vaccination obligatoire est par conséquent inconcevable.

À ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.8

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9 et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

Rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et, comme le rappelle le Conseil d’État, que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

  • nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;
  • introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;
  • porter atteinte à la liberté de circulation ;
  • augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter le chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

____________

Cette tribune est ouverte à la signature de ceux de nos confrères qui souhaitent nous rejoindre. Adressez vos souhaits de signature en commentaire ou à l’adresse : avocats.libertes@gmail.com

AVOCATS SIGNATAIRES

  • Besma MAGHREBI, barreaux de PARIS et MARSEILLE
  • Stéphane MAUGENDRE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Marine ROGÉ, barreau de PARIS
  • Samir KAHOUL, barreau du VAL DE MARNE
  • Flavie De MEERLEER, barreau de TOULOUSE
  • Hadjar KHRIS-FERTIKH, barreau de PARIS
  • Mélody OLIBÉ, barreau de PARIS
  • Christine CLAUDE-MAYSONNADE, barreau de TARBES
  • Shirley DEROO, barreau de PARIS
  • Agnès ASCENSIO, barreau de PARIS
  • Helena BONDO, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Karine SHEBABO, barreau de PARIS
  • Sophie MAZAS, barreau de MONTPELLIER
  • Loreleï VITSE, barreau de DUNKERQUE
  • Agnès TEISSEDRE, barreau de PARIS
  • Julie MAIRE, barreau de PARIS
  • Anaïs GALLANTI, barreau de PARIS
  • Anne MILEO, barreau de PARIS
  • Sarah SCALBERT, barreau de PARIS
  • Anne LASSALLE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Alima BOUMEDIENE THIÉRY, barreau du VAL D’OISE
  • Hicham ABDELMOUMEN, barreau de PARIS
  • Marianne PIEROT, barreau de PARIS
  • Marie Noëlle SPINELLA, barreau de PARIS
  • Michael NEUMAN, barreau de PARIS
  • Nadine REY, barreau de PARIS
  • Sabrina BOUAOU, barreau de l’ESSONNE
  • David LIBESKIND, barreau de PARIS
  • Anna CHERIF HAUTECOEUR, barreau de PARIS
  • Laura ROUSSEAU, barreau de PARIS
  • Armide REY-QUESNEL, barreau de DUNKERQUE
  • Corinna KERFANT, barreau de VERSAILLES
  • Arnaud LIBAUDE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Maria Del Pilar MOROTE ARCE, barreau de PARIS
  • Audrey AVRAMO-LECHAT, barreau de PARIS
  • Cynthia BYRAM, barreau de PARIS
  • Sabrina ABDENNOUR, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Laure LAYDEVANT, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Lauriane BUNOMANO, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Aline BRIOT, barreau de CHAMBERY
  • Jean-Marc ANDRE, ancien bâtonnier, barreau de VERSAILLES
  • Stéphanie TOURE-JENNI, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Valérie LEPAGE-ROUSSEL, barreau de PARIS
  • Nathalie WOROCH, barreau de BETHUNE
  • Séverine MANNA, barreau de PARIS
  • Fabien GRECH, barreau de NICE
  • Sandra MACKAYA, barreau de MARSEILLE
  • Stéphane SCHONER, barreau de BETHUNE
  • Hugo BOUILLET, barreau de TOULOUSE
  • Camille DIRE, barreau de NICE
  • Pierre ROUANET, barreau de PARIS
  • Mehdi BOUZAIDA, barreau de PARIS
  • Dominique GANTELME, barreau de PARIS
  • Norbert GRADSZTEJN, barreau de PARIS
  • Hakima SLIMANE, barreau de PARIS
  • Marine GRINSZTAJN, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Sophia ALBERT-SALMERON, barreau d’AVIGNON
  • Jason BENIZRI, barreau de PARIS
  • Éric TAVENARD, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Caroline MECARY, barreaux de PARIS et du QUEBEC
  • Aurélie NGUYEN, barreau de PARIS
  • Laura WESLING, barreau de MARSEILLE
  • Nacima DJAFOUR,  barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Mihidoiri ALI, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Laetitia RIGAULT, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Sendegul DARRAS, barreau de STRASBOURG
  • Berenger TOURNEK, barreau de PARIS
  • Stephan DENOYE, barreau de PARIS
  • Marie-Hortense MORTON HAMILL, barreau de NICE
  • Carine ZIMMER, barreau de LILLE
  • Gaëtan BACHELIER, barreau d’ANGOULÊME
  • Grégory THUAN DIT DIEUDONNE, barreau de STRASBOURG
  • Thibault GEFFROY, barreau de PARIS
  • Hans-Christian KAST, barreau de PARIS
  • Hélène TEYSSEYRÉ, barreau de MARSEILLE
  • Nicole FOULQUIER, barreau de BEZIERS
  • Chloé SERGENT, barreau de PERPIGNAN
  • Lou GODARD, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Anne-Sophie BASTIN, barreau de LILLE
  • Delphine SAVIGNY, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Fabian GORCE, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Madeleine BIZOT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Laurent ROBERVAL, barreau de LILLE
  • Delphine ZOUGHEBI, barreau de PARIS
  • Jamel MALLEM, barreau de ROANNE
  • Hélène SEGURA, barreau de l’EURE
  • Laurence ALZIARI, barreau de NICE
  • Julie HABARES, barreau de PARIS
  • Samantha GRUOSSO, barreau de PARIS
  • Julien DRAY, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Philippe de la GATINAIS, barreau de PARIS
  • Ouadie ELHAMAMOUCHI, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Rochane NEMATOLLAHI-GILLET, barreau de PARIS
  • Claire LEGRAND, barreau de PARIS
  • Judith BAZIN, barreau de MONTPELLIER
  • Marguerite SCHAETZ, barreau de PARIS
  • Manon BEAUCARNE, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Elie LIONS, barreau de NICE
  • Clotilde PAUVERT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Nina PETER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Pascale FEUILLEE-KENDALL, barreau de VERSAILLES
  • Jérôme CAMPESTRINI, barreau de NICE
  • Nabila ASMANE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Sabrina HACHOUF, barreau de MARSEILLE
  • Julie FÉVRIER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Constance MACHICOTE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Mohamed FELLOUAH, barreau de MARSEILLE
  • Claire MELIANDE, barreau de BORDEAUX
  • Olivia MONTEIL, barreau de PARIS
  • Florence JOURNIAC, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Louis LAÏ-KANE-CHEONG, barreau de PARIS
  • Alex VARDIN, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Alexandre BRAUD, barreau de BETHUNE
  • Adil SAHBAN, barreau de PARIS
  • Emilie VERGNE, barreau de PARIS
  • Natacha BRITSCH, barreau de PARIS
  • Viviane SOUET, barreau de PARIS
  • Morgan POULY, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Fanny OLIVIER, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • David SILVA, barreau de PARIS
  • Perle GOBERT, barreau de BORDEAUX
  • Hélia DA SILVA, barreau de LYON
  • Ludivine BOISSEAU, barreau de LYON
  • Mélissa MASSERON, barreau de LYON
  • Myriam KERNEIS, barreau de DAX
  • Estelle CAMPANAUD, barreau de NANTES
  • Christophe GUILLAND, barreau de CHAMBERY
  • Nathalie NOEL, barreau de BORDEAUX
  • Nathalie BEURGAUD BONADA, barreau de NICE, Vice Bâtonnier
  • Christophe ROSA, barreau de GRASSE
  • Ingrid JOLET, barreau de DIJON
  • Stéphane ROUSSET-ROUVIERE, barreau de TOULON
  • Romain GUERINOT, barreau de NICE
  • Jennifer GUINARD, barreau de BERGERAC
  • Béatrice TRARIEUX, barreau de BERGERAC
  • Najet MALLEM, barreau de BOURGOIN-JALLIEU
  • Delphine GUENIER, barreau de MARSEILLE
  • Ingrid BLAMEBLE, barreau de Saint-Denis de la Réunion
  • Pascal JACQUOT, barreau de PARIS
  • Alexandra MANCHES, barreau de PARIS
  • Sarah CAMINITI-ROLLAND, barreau de NICE
  • Anne-Marie DUVIVIER, barreau de LA ROCHELLE-ROCHEFORT
  • Hélène ROBEIN, barreau des HAUTES-ALPES
  • Bilgehan ERCOK, barreau de LYON
  • Emilie OLIVIER, barreau des HAUTES-ALPES
  • Zoé GUILBAUD, barreau de NANTES
  • Eva-Belin AMADOR, barreau de TOULOUSE

  1. Site du gouvernement : gouvernement.fr/info-coronavirus
  2. Article 8 CEDH
  3. Article 16-1 code civi
  4. L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants
  5. Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national
  6. Dite : balance bénéfice/risque
  7. Site ANSM : ansm.sante.fr/covid-19-vaccins-autorises
  8. Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et pace.coe.int/29004
  9. L.1111-2 du Code de la santé publique
  10. CCNE avis du 21 décembre 2020
  11. QPC n°458 du 20 mars 2015
  12. CEDH 2 mars 2021
  13. CE 6 mai 2019 n°419242



Devinez qui dicte les ordres à vos autorités sanitaires…

[Source : lilianeheldkhawam.com via Sott.net]

Par LHK

Rome, le 27 janvier 2021 – Les membres du G20 ont convenu d’établir un groupe d’experts indépendant de haut niveau (HLIP) sur le financement des biens communs mondiaux pour la préparation et la riposte aux pandémies . La décision a été prise par les membres lors des premières réunions des Délégués des Finances et de la Banque centrale du G20, le mardi 26 janvier. La pandémie de Covid-19 a créé une crise sanitaire mondiale, qui entraîne des crises économiques et sociales à travers le monde. Malgré les réponses sanitaires et économiques rapides des pays, les coûts humains, économiques et sociaux restent sans précédent dans l’histoire récente.

Le monde dans lequel nous vivons est celui de la convergence. D’ailleurs, le concept transhumaniste fait lui-même converger différentes disciplines pour finir par déboucher un jour sur un produit high-tech dérivé de l’humain, et par extension de la société digitalisée.

Si quelqu’un essaie de vous faire croire que les industriels ont développé ces dernières semaines sous la pression d’un virus des produits basés sur la nanotechnologie/la biotechnologie/la technologie de l’information et de la communication/de la science cognitive, c’est que c’est un menteur. Ces différents domaines de la technoscience travaillent main dans la main depuis près de 100 ans. Et ce qu’ils font, c’est faire converger les connaissances pour:

  1. Apprivoiser la mort et s’offrir la vie éternelle pour les uns
  2. Améliorer les performances de ceux qui vont servir pour qu’ils donnent un maximum, en un minimum de temps, sans que la chose ne leur coûte trop en matière de soins, prise en charge des familles, etc. comme cela fut le cas du temps de l’esclavage. L’hygiène des pauvres n’étant pas extraordinaire, elle peut engendrer des épidémies qui remettraient en question le souci soulevé sous le point 1.

Pourtant le nouveau monde n’est pas que celui de la convergence technologique. Il est aussi celui du centrage et de l’ancrage de la société non plus sur une identité collective, une constitution nationale, une croyance théologique, ou autre, mais sur les flux financiers.

Le coeur du nouveau modèle de société est financier.

L’économiste, membre du Club de Rome, star de la planète médiatico-économique du moment Kate Raworth l’a magnifiquement représenté dans son célèbre beignet.

Les humains, tout comme les Etats, n’ont plus à posséder des biens (casés dans la catégorie commons) sont coincés entre les flux financiers, coeur du système, et l’économie . Ils ne sont que des ressources parmi d’autres livrés à la toute-puissance finance qui subitement détient un rôle essentiel, et même vital.

La haute finance est ainsi devenue l’Alpha et l’Omega d’une société dépossédée, démotivée, mais surtout déshumanisée. En voie de robotisation. Et la micro-élite financière compte bien mener à son terme cette transmutation de l’humanité.

Eugénisme actif mais requalifié, pour les besoins de la cause, de libéral.

C’est donc avec une envie d’exploser de rire, si cela n’avait été tragique, que j’ai découvert les têtes du panel indépendant de haut niveau sur le financement de la préparation et de la réponse à une pandémie mondiale. Voici les membres du panel. Si vous suivez ce blog, vous ne devriez pas être surpris de découvrir que les cordons de la bourse en matière de santé ont été centralisés et remis à des financiers. Ce petit monde de banquiers, banquiers centraux, ministres de la santé, et autres représentants des investisseurs se réjouit très certainement de ce nouveau jalon historique qui les rapproche tous les jours un peu plus de ce monde-entreprise préparé depuis de nombreuses décennies… Grand moment d’émotion donc.

Cette équipe a la charge de proposer des solutions concrètes pour combler ces lacunes de manière systématique et durable, et pour tirer le meilleur parti des ressources des secteurs public, privé et philanthropique et des institutions financières internationales.

Vous constaterez aussi au passage que le logo de cette aréopage inclut l’appellation « Commons » puisque le faux libéralisme n’est rien d’autre qu’un pillage généralisé des ressources qui doit se terminer lorsque ces personnages et leurs mandants auront mis la main sur les dernières miettes de propriétés encore privées. Et dans notre cas, il s’agit d e la santé de l’humanité, un bien commun indispensable à la Compagnie mondiale qui est en train de se mettre en place en lieu et place des États.

En mettant la main sur la santé de manière aussi ostentatoire, ces personnes vont pouvoir modifier la sphère médicale dans le sens de la nanomédecine et de l’hôpital du futur. Qui paie, commande…

L’enjeu ultime va être celui de transformer l’humanité non pas en un Common d’esclaves, mais en une machine humaine connectée en permanence à leur système « d’exploitation » grâce auquel ils peuvent la surveiller 24/24, 7 jours/7. Jacques Attali expliquait déjà fort bien certains aspects de la chose en 2008.



Merci à l’équipe de Nouveau-Monde d’avoir rappelé cet entretien…

LHK

Je vous laisse lire ce que mon ami Bruno Bertez a écrit sur le sujet :

https://brunobertez.com/2021/07/10/les-elites-fabiennes-semparent-de-la-sante-votre-sante-vers-une-refonte-majeure-de-linfrastructure-mondiale-de-gouvernance-de-la-sante-depossession/

LES ÉLITES FABIENNES S’EMPARENT DE LA SANTÉ, VOTRE SANTÉ! VERS UNE REFONTE MAJEURE DE L’INFRASTRUCTURE MONDIALE DE GOUVERNANCE DE LA SANTÉ. DÉPOSSESSION.

Les élites fabiennes, après avoir pris le contrôle de la finance mondiale en 2008 après la crise qu’ils ont eux même créée se proposent de prendre le contrôle de la santé mondiale après la crise sanitaire de 2020.

Les peuples et leur pseudo gouvernements démocratiques sont une nouvelle fois privés de leurs pouvoirs. Dépossession!

Un groupe d’experts mondial coprésidé par Larry Summers indique que d’autres pandémies suivront et que la communauté internationale doit se mobiliser maintenant.

Même si le monde lutte toujours pour vaincre la pandémie de COVID-19, il doit agir maintenant pour renforcer sa préparation aux pandémies à venir, selon un rapport publié vendredi par un groupe d’experts nommé par le groupe du G-20. nations riches et en développement.

Le panel, coprésidé par l’économiste de Harvard Larry Summers, professeur à l’Université Charles W. Eliot, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine. « Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération. »

Le rapport du panel repose sur des bases effrayantes.

Premièrement, que la pandémie de COVID-19 représente « le plus grand revers en termes de vie et de moyens de subsistance dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale », replongeant des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, tuant environ 4 millions de personnes et entraînant des pertes cumulatives qui ont été prévues à 22 000 milliards de dollars.

Deuxièmement, que nous sommes entrés dans «l’ère des pandémies» et que des événements comme la pandémie actuelle pourraient se reproduire avec une régularité effrayante dans les années à venir.

Elle repose également sur l’impératif moral et pratique d’une action collective, aidant tous les pays, y compris les plus pauvres, à se défendre contre cette pandémie et les futures.

Le panel, composé principalement d’experts économiques et financiers, a été créé en janvier par le G-20 pour déterminer comment organiser au mieux les finances de la communauté internationale pour se préparer aux futures pandémies.v

Son rapport détaillé identifie quatre domaines majeurs de prévention, de préparation et de réponse qui doivent être abordés :

  • un réseau mondial de surveillance et de recherche pour prévenir et détecter les menaces futures ;
  • des systèmes de santé nationaux plus résilients ;
  • la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux, pour raccourcir radicalement le temps de réponse à une pandémie et offrir un accès mondial équitable ;
  • une gouvernance mondiale qui assure la coordination et un financement adéquat.

Le prix de 75 milliards de dollars ne représente qu’une petite fraction – 700 fois moins, selon l’estimation du panel – de ce que la pandémie a coûté aux gouvernements nationaux. Le panel suppose également que les investissements, initialement prévus sur une période de cinq ans, devraient se poursuivre.

Cet argent comprendrait un fonds annuel de 10 milliards de dollars pour les menaces pour la santé mondiale, plus 5 milliards de dollars supplémentaires par an en financement supplémentaire pour les institutions internationales, y compris l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les organisations financières internationales, telles que la Banque mondiale, qui leur permettraient de débourser des fonds rapidement en cas de nouvelle pandémie.

La surveillance financière et une fonction de coordination clé seraient assurées par un Conseil des menaces pour la santé mondiale composé des ministres de la Santé et des Finances du G-20 et d’autres pays, ainsi que des chefs des principales organisations régionales. Il s’inspire du Conseil de stabilité financière, qui a été créé par le G-20 à la suite de la crise financière mondiale de 2008.

« Les investissements collectifs que nous proposons, avec des contributions équitables de toutes les nations, sont abordables », indique le rapport. « Ils sont également minuscules par rapport aux 10 000 milliards de dollars américains que les gouvernements ont déjà engagés dans la crise du COVID-19. Nous devons investir sans tarder. Ce sera une énorme erreur d’économiser à court terme et d’attendre encore une fois qu’il soit trop tard pour éviter qu’une pandémie ne nous submerge. La prochaine pandémie pourrait en effet être pire. »

Le panel comprend plus de 20 experts financiers et économiques ayant une expérience au sein du gouvernement, des organisations internationales et du secteur privé.

Summers a été secrétaire au Trésor des États-Unis sous le président Clinton et a dirigé le Conseil économique national du président Obama, et est Weil directeur du Mossavar-Rahmani Center for Business and Government à la Harvard Kennedy School. Les deux autres coprésidents sont Ngozi Okonjo-Iweala, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce et ancien Angelopoulos Global Public Leaders Fellow à la Harvard Kennedy School, et Tharman Shanmugaratnam, ministre principal et ancien vice-Premier ministre et ministre des Finances de Singapour.


Voici 2 extraits de Dépossession où nous retrouvons:

1.- M Summers qui lutte pour la suppression du Cash

L’alliance banco-financière veut, voire exige, la suppression du cash. Evalué à environ 10% de la masse monétaire en circulation. La suppression de la prérogative de battre monnaie rendra ainsi obsolète la principale raison d’être constitutionnelle des banques centrales nationales. Ça tombe bien, la technologie dite du « blockchain », qui a émergé de nulle part au lendemain de la crise des subprimes (notamment avec le bitcoin), ne nécessite pas de supervision par un « tiers de confiance ». Normalement, cette technologie devrait être amenée à remplacer, à terme, le système bancaire classique. Pour ce faire, la suppression du cash est indispensable.

En 2016[1], le thème du World Economic Forum (WEF)  portait sur la suppression du cash. Klaus Schwab, fondateur du WEF y avait fait référence à « la quatrième révolution industrielle », en parlant de la révolution digitale[2]… Mais c’est lapublication sur le site de l’organisation qui attire l’attention. Dans « Qui sera le roi de ce monde sans cash», un nouveau monde nous est présenté avec moult références à un roi, une couronne dormante, une révolution globale et un nouvel ordre mondial. Une terminologie qui a tout de même de quoi interpeller.Et l’article de nous faire entendre que les petits acteurs auraient une chance de remporter la mise… « La révolution sans cash est en marche. Les gouvernements, les entreprises, les start-ups et les consommateurs peuvent avoir des motivations différentes pour détrôner le cash mais le résultat final sera probablement le même. Mais avec la mondialisation où « gros » est traditionnellement « beau », ce sont les plus petits acteurs — start-ups, petites entreprises et consommateurs — qui vont en définitive façonner le nouvel ordre mondial. Et pour ceux qui aiment l’innovation et les idées nouvelles ce ne peut être qu’une bonne chose »[3]Le texte n’indiquait en revanche pas les sources de financement desdites startups…

Les plus grands acteurs de la haute finance internationale vont défiler lors de cette rencontre : Bill Gates (Microsoft), Blythe Masters (ex. JP Morgan et inventrice des produits dérivés qui sont à l’origine de la crise des subprimes, reconvertie depuis dans la promotion du Blockchain[4]), Michel Sapin (alors ministre de l’Économie), Christine Lagarde (FMI) ou William White (OCDE). Leurs discours étaient convergents et militaient en faveur de la société sans cash.

Mme Blythe Masters, qui prône la suppression du K, fut accusée par The Guardian d’être la femme qui a inventé les armes financières de destruction massive, et même de manipulation des prix du marché de l’énergie. Son parcours est d’autant plus intéressant pour nous qu’elle est une double ambassadrice du nouveau monde qui se met en place. Une fois en tant que militante de la suppression du cash, et une autre fois en tant que promotrice de la blockchain et des actifs digitalisés.

Blythe ne quitta la JP Morgan qu’en 2014, mettant un terme à 27 ans de carrière. La crise des subprimes à cause de laquelle, elle fut pointée du doigt, ne fut pas source de rupture de collaboration. En fait, JP Morgan devient un client de la nouvelle société Digital Asset dont elle est CEO depuis 2015.

Selon le site web de la société, la plateforme d’actifs digitalisés, que développe l’entreprise de Mme Blythe, serait la seule à avoir été développée en fonction des besoins de production des plus grandes institutions financières de la planète. Vous ne serez donc pas étonnées de trouver certaines références sur son site, telles que : Goldman Sachs, JP Morgan, Accenture, IBM, Santander, ABN_AMRO, Price Waterhouse Coopers (un des partenaires mondiaux). Le client IBM a par exemple dévoilé récemment son « Blockchain as a service » basé sur la technologie open source « Hyperledger fabric », qui a servi à développer la version 1.0 de Linux Foundation (Info Hightech). Dans ce monde si petit de la haute finance et de la haute technologie, nous découvrons que Mme Masters[5] est aussi présidente du conseil de Linux Foundation, dont les produits sont le fruit de l’open source,et donc de « l’économie de partage » prônée par l’élite de la finance internationale… C’est par cette technologie de la Blockchain que le cash devrait être remplacé.

Des économistes américains qui font autorité au sein du monde académique international, se joignent à ces voix du WEF pour imposer la suppression du cash. On peut compter sur l’ancien Secrétaire au Trésor américain [6], le professeur [7]Lawrence Summers et l’ancien économiste en chef du FMI et professeur à Harvard Kenneth Rogoff, qui préconisent le retrait progressif des grosses coupures. « Selon Rogoff, éliminer les gros billets pourrait également servir la politique monétaire : en période de déflation, les banques centrales auraient alors plus de latitude pour imposer des taux d’intérêt négatifs, puisque la menace d’une ruée vers les banques pour récupérer les dépôts en numéraire aurait ainsi disparu. » (Alan Wheatley[8]). Mais voilà que MM Summers et Rogoff sont des membres du G30, le think tank dont nous avons déjà parlé[9]. Ils siègent donc avec de nombreux banquiers centraux (y compris MM. Paul Volcker, Ben Bernanke, et Jean-Claude Trichet), certains patrons des grandes banques too-big-to-fail, ainsi que des principaux gestionnaires d’actifs concentrateurs des  richesses planétaires…

Dans les faits, une méga alliance qui regroupe des gouvernements, des entreprises et des fondations globales a vu le jour. Better than cash alliance fut fondée par Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. On y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative…

Le Fonds d’équipement des Nations Unies (United Nations Capital Development Fund, UNCDF), qui vise à accompagner la réalisation des « objectifs du Millénaire » des Nations-Unies dans les pays les moins avancés, sert de secrétariat à Better Than cash alliance. Le Fonds héberge d’ailleurs l’Alliance dans ses locaux de New York. Enfin, celle-ci travaille étroitement avec les organisations supranationales. Elle représente même un outil d’implémentation du G20 Global Partnership for Financial Inclusion.


2.- La menace que font courir les partenariats multipartites à la démocratie et aux États en général

Le puissant partenariat multipartite « banques-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » se retrouve dans le Group of Thirty, Groupe des Trente ou G30. Ce think tank est une organisation privée qui traite des affaires économiques internationales et monétaires. Il rassemble de prestigieux membres de la corporation « banquiers-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » sous la présidence d’une personnalité dont le CV est impressionnant. Nous en retiendrons juste que M Frenkel est à la fois président et CEO du G30, tout en étant président de la JP Morgan Chase International et qu’il est aussi un ancien banquier central.(([1] Gouverneur de la Banque d’Israël entre 1991 et 2000.))

A côté de lui, figurent des banquiers centraux tels que: MM Draghi et Trichet, actuel et ancien patron de la BCE ou M Dudley, patron de la Réserve fédérale de New York. Nous y trouvons un autre banquier central reconverti en banquier commercial présidant au sort d’UBS qui est M Weber. M P Hildebrand, ancien président de la banque centrale suisse, devenu vice-président de Blackrock, ainsi que M Fischer, ancien vice-président de la Réserve fédérale et ancien gouverneur de la Banque d’Israël font partie des trente. Relevons encore au passage la présence de professeurs d’économie, dont certains sont d’ardents défenseurs de la suppression du cash.

Nous voyons ainsi une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien-être sociétal. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement.(([2] L’article 99 de la Constitution suisse dit : « En sa qualité de banque centrale indépendante, la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération. »))

Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financière et monétaire planétaire, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont concentrés entre les mains de finalement peu de personnes. La politique des banques centrales de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la haute finance de l’argent frais à profusion, ainsi que les garanties des États et de l’économie réelle. Partant de ce constat, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus !





L’épouse du Machiah sera une Française

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]

L’épouse du Machiah sera une Française — 20 juin 2021

En substance et résumé, notamment :

« Les Français referont la Révolution Française à l’envers, redonnant la couronne au Machiah fils de David alors que France et Israël seront réunis, ceci par le réveil du peuple et de la femme. »



[Voir aussi :
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La France revivra-t-elle?]




Le Guerrier Pacifique, François Amalega, préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Je vous invite à regarder le reportage de Mathieu Laflamme réalisé en collaboration avec l’organisme Courage Québec / Fearless Canada, intitulé : « L’esprit d’un guerrier pacifique ». Brillant professeur de mathématiques, François Amalega Bitondo parle avec son cœur et explique pourquoi il a tout sacrifié pour défier la tyrannie. Il décrit comment il a dû quitter le Collège de Jean-de-Brébeuf (Montréal) et renoncer à sa profession pour assumer pleinement sa responsabilité sociale. Intègre, il défend pacifiquement la liberté de penser et ouvre courageusement la voie d’une désobéissance intelligente et pacifiste. Depuis des mois, il sensibilise les individus sur l’absurdité des mesures sanitaires, aux dépens de sa liberté et de sa vie : il dit être « prêt à mourir » pour assurer un monde plus juste et libre pour les générations futures.

Le 20 juillet 2021, lors d’une soirée sombre et tonitruante à Montréal, la légende locale et militant intransigeant François Amalega a rencontré Mathieu Laflamme de Courage Québec / Fearless Canada. Amalega a parlé des raisons pour lesquelles il a rejoint le mouvement de la résistance au Québec et précisément combien il a sacrifié pour rester fidèle à ses convictions les plus profondes.



À l’été 2020, alors que ses collègues tentaient en vain de le forcer au silence, Amalega a renoncé à son poste de professeur titulaire de mathématiques au Collège Brébeuf, à Montréal. Il a été confronté à ses positions, accusé d’épouser des croyances complotistes et on lui a demandé de fermer ses profils de médias sociaux s’il voulait conserver son emploi. Bien sûr, Amalega a refusé et a plutôt présenté sa démission. Depuis, il lutte sans relâche et de manière pacifique dans les rues de nombreuses villes du Québec contre les mesures de confinement inconstitutionnelles, contre l’obligation du port du masque et, plus récemment, contre les passeports vaccinaux discriminatoires et diviseurs.

Ayant reçu 37 constats à ce jour et ayant été arrêté à de nombreuses reprises, l’esprit guerrier pacifique d’Amalega l’oblige à continuer. Comme il l’explique dans l’interview, il préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides, en l’absence de tout débat, lorsqu’ils sont complètement déconnectés de la science et de la raison. Alors que ses positions sont principalement contre les mesures gouvernementales autoritaires, Amalega refuse également d’acquiescer à une société moralement et intellectuellement en faillite qui préfère accepter un mensonge que de débattre des faits et risquer d’arriver à une vérité plus que dérangeante.



Le 22 juillet 2021, François Amalega Bitondo s’est fait arrêter pour la seconde fois par les policiers lors d’une action devant le magasin Canadian Tire de Joliette. Il s’est rendu le lendemain au palais de justice de Joliette. Il devait comparaître pour quatre accusations déposées contre lui. 

« Il a été arrêté et libéré mercredi avec une promesse de comparaître et il a eu une accusation pour avoir troublé la paix. Jeudi, il a encore essayé de rentrer dans le Canadian Tire sans masque, alors qu’il n’avait pas le droit d’y retourner. Il a donc été arrêté une seconde fois », explique le lieutenant Benoît Richard, de la Sécurité du Québec (SQ).

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) confirme que François Amalega a été libéré le lendemain sous promesse de comparaître à nouveau le 15 septembre prochain.



Comme l’explique l’avocat André Lafrance : 

« Le sensationnalisme du Journal de Montréal, un journal abrutissant s’il en est. Au Québec il [François Amalega] est anti-masque, ailleurs il est un citoyen normal. Malheureusement, les règles sanitaires liberticides de Legault doivent être respectées même si elles ne font plus de sens, et surtout que l’efficacité de ce bidule a été remis en question par plusieurs experts internationaux. En fait, plusieurs provinces n’exige plus le port du masque de même que la presque totalité des États-Unis et la majorité des pays d’Europe. Cela veut dire que si Francois Amalega avait fait son geste en Colombie-Britannique, il aurait agit légalement. Le Journal de Montréal est pro dictature, point barre. »



Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs.
[8 juillet 1942] — Ordonnance allemande interdisant aux Juifs la fréquentation des salles de spectacle et leur interdisant l’accès aux magasins en dehors de la période de 15 à 16 heures. Document ci-haut : Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs. Ce texte dresse la liste des lieux désormais interdits aux Juifs (mesures prises par le gouvernement de Vichy).

[Voir aussi :
Mourir libre ou vivre esclave et
La clef de la libération]




Ce n’est pas de passe sanitaire ni de pseudo vaccins dont la France a besoin, mais de LIBERTÉ !

Par Gérard Delépine

Les pseudo vaccins actuels sont gravement inefficaces

Un « vrai vaccin » contient des antigènes spécifiques du virus ou de la bactérie suscitant une réaction immunitaire spécifique, et il est efficace. Les vaccinés contre la diphtérie ou la fièvre jaune sont protégés à vie de la maladie, ne peuvent donc pas la transmettre et n’ont aucun risque d’en mourir.

Mais ceux qui ont reçu les pseudo vaccins anti-covid peuvent attraper la maladie, la transmettre et en mourir.

Les données acquises de la science montrent que se « vacciner anticovid » ne protège ni de la maladie, ni du risque de faire une forme grave, ni d’en mourir.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la maladie

À Chavagnes-en-Paillers en Vendée,(([1] https://by-jipp.blogspot.com/2021/06/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute.html)) entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères, malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires.(([2] Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([3] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([4] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([5] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([6] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))

Quatre des neuf navires du groupe aéronaval de la Royal Navy dont le HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, ont été touchés par une épidémie de Covid(([7] https://www.lorientlejour.com/article/1268472/epidemie-sur-le-porte-avions-hms-queen-elizabeth-apres-une-escale-a-chypre.html)) avec plus de 100 cas, alors que tous les marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.

En Israël, les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas,mais les décodeurs du monde ont le culot d’affirmer que c’est une bonne nouvelle.(([8] Gary Dagorn Covid-19 : les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël (et c’est une bonne nouvelle) le 02 juillet 2021)) « C’est pourtant là, chose tout à fait normale et attendue. » Craignait-il que les vaccins soient totalement inefficaces pour se réjouir d’un pareil échec ? Toute contamination d’un vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins classiques (qui n’existent pas pour le covid19 dans nos contrées).

Contrairement aux annonces des labos et de nos gouvernants, recevoir l’injection anticovid ne protège pas non plus des formes graves

Actuellement en Israël les vaccinés sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés.

Cela démontre de manière formelle que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la mort par Covid

Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées ».(([9] https://www.gov.uk/government/publications/investigation-of-novel-sars-cov-2-variant-variant-of-concern-20201201))

Constatation confirmée par O. Véran dans sa réponse au Conseil d’État en mars 2021 : « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant ».

Un vrai vaccin efficace empêche d’être malade et encore plus de faire des formes graves et d’en mourir. Ce n’est pas le cas des injections géniques actuelles présentées comme de vrais vaccins.

Certains fastcheckers(([10] https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/plus-de-personnes-vaccinees-meurent-de-covid-en-angleterre-que-de-personnes-non-vaccinees-voici-pourquoi.html)) pour désamorcer la bombe que constituent ces faits établis n’hésitent pas à se ridiculiser en concluant : « le fait que plus de personnes vaccinées meurent que de personnes non vaccinées ne compromet en rien l’efficacité des vaccins. En fait, c’est exactement ce que l’on attend des excellents vaccins ».

Est-ce de l’humour noir qui a échappé aux correcteurs ? J’espère que l’auteur, Christian Yates, non-médecin, a quand même été payé pour proférer de pareilles stupidités dignes des pires antivax. Ont-ils oublié que les vaccins contre la variole, la fièvre jaune ou la diphtérie protègent tous les vaccinés à vie et complètement contre les maladies cibles ?

Alors, pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent de répéter la propagande des labos en prétendant que la vaccination protégerait à 95 % de la maladie et en particulier des formes graves ?

Les pseudo vaccins n’empêchent pas la transmission aux contacts ni la propagation de la maladie dans la population

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes — officiels — des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData, montre le contraire.

Les exemples — britannique, israélien et espagnol — montrent l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations ; ces champions des pseudos vaccins sont actuellement confrontés à une forte reprise de l’épidémie avec des variants dont ils ont favorisé l’émergence.

Et même Olivier Véran l’a d’ailleurs reconnu dans sa réponse au Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Alors pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent-ils de prétendre que la vaccination serait le meilleur moyen de lutte contre l’épidémie ?

Les pseudos vaccins actuels ne sont pas dépourvus de risques

Le site d’Eudravigilance comptabilise plusieurs centaines de milliers d’effets secondaires et près de 19 000 décès post injectons anti-covid.

La majorité des effets secondaires sont relativement bénins, mais imposent souvent des arrêts de travail de quelques jours du personnel des hôpitaux (au point de justifier la recommandation de la Haute Autorité de santé de ne pas vacciner en même temps les membres d’un même service).

Les myocardites et les péricardites (inflammation du cœur et de son enveloppe) post vaccination sont des complications sévères maintenant reconnues par la FDA qui touchent principalement les hommes de moins de trente ans et plus encore les adolescents vaccinés.

Beaucoup de sportifs qui se vaccinent et voient ensuite leurs performances baisser de 10 % à 20 %. L’alerte pour les sportifs de haut niveau vient de la Belgique. Elle a été relayée en France par Christophe Lemaitre, forfait pour les Championnats de France à Angers comme Jimmy Vicaut et le demi-fondeur Pierre-Ambroise Bosse non qualifiés pour les JO. Au lendemain des annonces similaires de Quentin Bigot et de Pascal Martinot-Lagarde, la cascade de forfaits de grands noms de l’athlétisme français après vaccination continue

Mais l’injection peut être aussi suivie de décès. Comme ce médecin âgé de 55 ans, sportif et alpiniste, mort d’une thrombose après une injection de Pfizer/BioNtech, ou cet agent hospitalier de 54 ans à La Garde ou Carole Petit, une assistante sociale de 38 ans qui travaillait à Albi, morte de thromboses cérébrales fin mars, à l’hôpital Purpan, trois semaines après vaccination.

Les décès n’épargnent pas les jeunes comme ce jeune interne en médecine nantais en excellente santé et sportif dont l’autopsie « indique que la cause du décès est une thrombose abdominale (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents »

Les décès n’épargnent pas les sportifs de haut niveau. Ainsi Lise Vidal, double championne d’Europe de planche à voile, propagandiste de la vaccination est décédée brutalement à l’âge de 43 ans d’une hémorragie cérébrale après vaccination.

La ségrégation par le passe ne peut avoir aucun effet positif sur l’épidémie

Le passe constitue un moyen totalitaire de chantage brutal « vacciné ou enfermé » destiné à imposer l’injection par une voie détournée(([11] Imposer par la loi un médicament expérimental serait contraire au droit et en particulier à la convention d’Oviedo que la France a signée)) en nous promettant qu’ensuite nous retrouverons nos libertés scandaleusement confisquées. Mais quel crédit peut-on accorder à cette promesse compte tenu des reniements habituels des promesses de Macron ? D’autant que beaucoup des covid-terroristes font actuellement campagne dans les médias pour toujours plus d’enfermement.

Mais on ne voit pas comment l’obligation d’un pseudo vaccin (qui n’empêche pas d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni d’en mourir) pourrait améliorer la situation de l’épidémie. Les vaccins actuels sont tout bonnement trop inefficaces pour être utiles.

Et comme les titulaires de passe se croient protégés et prennent moins de précautions, on peut même craindre que l’instauration de passe entraîne une augmentation des contaminations.

C’est la tendance observée en Autriche qui a instauré ce système de ségrégation le 1/7/21 et qui se trouve depuis avec une forte poussée de nouvelles contaminations.

Les organisateurs du festival Verknipt à Utrecht en ont aussi fait la triste expérience. Ils croyaient protéger les participants en subordonnant l’entrée du festival à l’utilisation d’un passe sanitaire. Les visiteurs ont dû en effet démontrer, via l’application CoronaCheck, qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente.

Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus(([12] RTBF Malgré l’obligation d’un pass sanitaire, plus de 1000 participants à un festival contaminés par le Covid-19)) (dont une majorité de vaccinés !). La porte-parole des services de santé de la région d’Utrecht n’exclut pas la possibilité que le nombre d’infections augmente encore dans les prochains jours. « Nous espérons que le pic a été atteint, mais avec la variante delta plus contagieuse, ce n’est pas évident. » Cet incident démontre que ni la vaccination ni le passe ne protègent réellement.

Alors pourquoi veut-on nous imposer encore des contraintes inefficaces ?

Pour une tout autre politique sanitaire

La politique totalitaire du mensonge-confinement-vaccination sans traitement a fait la preuve de sa nocivité sanitaire, sociale, économique et politique. Il est temps de suivre l’exemple des pays qui ont parié sur l’emploi de traitements précoces comme l’Inde et de nombreux pays africains qui comptent 5 à 10 fois de moins de morts par million d’habitants que nous. Et d’appliquer la recette du ministre de la santé de Taiwan qui a rappelé dès avril 2020 que la « démocratie et la transparence gouvernementale étaient essentielles pour vaincre l’épidémie. »

Stop au mensonge et à la dictature ! Libérons le pays.

Que le gouvernement cesse de nous mépriser en des termes orduriers tels que ceux qu’utilise G Attal :

« les non-vaccinés doivent se bouger le cul sinon ils auront une vie de merde »

ou Castaner :

« On va vraiment vous pourrir la vie »

Rassurons la population en rappelant que le variant delta ne nécessite qu’exceptionnellement l’hospitalisation et ne tue presque jamais et qu’il est de plus très sensible au traitement précoce par Ivermectine/chloroquine et antibiotiques, zinc et vitamines.

Reconstruisons l’hôpital en arrêtant les suppressions de lits qui se sont poursuivies durant la crise et en en créant de nouveaux.

Que le gouvernement arrête de menacer ceux qui sont en première ligne du combat, comme les pompiers ou les soignants dont trop envisagent de démissionner, alors que nous en manquons déjà si les menaces perdurent. Remotivons les soignants en ne leur imposant rien qui heurte leurs connaissances et leurs convictions, en les libérant du carcan administratif et en les payant mieux.

Encourageons enfin les médecins à utiliser les traitements précoces tellement efficaces, si une poussée entraînait des hospitalisations. Ils ont parfaitement le droit de les prescrire (en mettant hors AMM) tant que ce n’est pas le traitement « recommandé » par les instances. Mais en aucun cas ils ne sont interdits de prescription.

Si ceux qui sont censés nous représenter au parlement ne défendent plus nos libertés, faisons-le à leur place en manifestant partout et tous les jours et en organisant des grèves nationales jusqu’au retrait des mesures liberticides et à la démission des responsables.

Retrouvons nos racines du pays des lumières et des droits de l’homme. Donnons ainsi l’exemple du combat pour la liberté aux autres populations européennes qui commencent elles aussi à se réveiller telle qu’en Italie.





Google censure la vérité plandémique parce qu’il est fortement investi dans les « vaccins » Covid

[Source : NaturalNews.com]

Traduction : MIRASTNEW

Par Ethan Huff

L’une des principales raisons pour lesquelles Google, et par extension YouTube, censure agressivement toute la vérité sur la « pandémie » du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)] est que la société est directement investie dans l’injection de virus chinois d’AstraZeneca et de l’Université d’Oxford.    

En d’autres termes, Google profite directement de la vente de vaccins contre la grippe Fauci, ce qui explique pourquoi l’une des sociétés les plus diaboliques au monde supprime les vidéos YouTube et censure les résultats de recherche qui attirent l’attention sur toute la science démystifiant la plandémie en tant que fraude manufacturée.  

Le Dr Reiner Fuellmich de la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss) s’est récemment entretenu avec la journaliste d’investigation indépendante Whitney Webb au sujet de la collusion entre Google et AstraZeneca, et de la façon dont le monde est trompé par celle-ci.

Malgré les affirmations selon lesquelles son jab est «à but non lucratif», AstraZeneca a développé son injection de virus chinois via Adrian Hill et Sarah Gilbert du Jenner Institute for Vaccine Research. Les brevets et les droits de redevance sont également détenus par une société privée connue sous le nom de Vaccitech, cofondée par Hill et Gilbert.

Parmi les investisseurs les plus importants de Vaccitech figurent Google Ventures, le Wellcome Trust, le gouvernement britannique, une société d’investissement en capital de la Deutsche Bank connue sous le nom de BRAAVOS et diverses sociétés chinoises communistes, dont Fosun Pharma.

« Tous ces investisseurs devraient profiter de ce « vaccin » à un moment donné dans un proche avenir, et Vaccitech a été assez ouvert sur le potentiel de profit futur avec ses actionnaires, notant que le vaccin COVID-19 deviendra très probablement un vaccin annuel qui est mis à jour chaque saison un peu comme le vaccin contre la grippe saisonnière », explique le Dr Joseph Mercola.

« Bien sûr, AstraZeneca a promis qu’il ne tirerait aucun profit de ce vaccin COVID-19, mais il y a une limite de temps pour cet engagement. Le vœu à but non lucratif expire une fois la pandémie terminée, et AstraZeneca elle-même peut décider à quel moment. »

Les mondialistes veulent un contrôle total de votre argent et de votre corps

En censurant toutes les informations et la vérité qui menacent la poussée d’injection du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)], Google protège ses enjeux financiers, ainsi que ceux de ses alliés et partenaires.

Google essaie également de se plonger dans le secteur des soins de santé avec la création de nouveaux programmes de « télémédecine » et d’intelligence artificielle (IA) qui, espère-t-il, seront éventuellement mis en œuvre en remplacement des médecins humains.

« Ils ont commencé à réinventer en quelque sorte les soins de santé comme un moyen de prendre le contrôle de la vie des gens, en leur disant que c’est pour le bien du public, du collectif et aussi de leur santé personnelle, alors que c’est vraiment un moyen de mettre en œuvre ces technologies transhumanistes ou technocratiques sous le couvert d’une entreprise liée à la santé », déclare Webb à propos du programme.

Le but ultime est de supplanter toutes les formes traditionnelles de médecine et de les remplacer par un système centralisé, contrôlé par les mondialistes et géré par les grandes technologies, fondé sur l’asservissement total de l’humanité.

L’armée américaine serait impliquée dans l’opération, s’étant associée à Google pour agir en tant que force pour sa mise en œuvre – ce qui signifie une conversion obligatoire au culte du Covidisme sous la menace d’une arme.

Il semble y avoir un élément transhumaniste dans le complot d’injection de virus chinois, suggérant que quelque chose dans les flacons jette les bases de la «marque de la bête», qui transformera les corps humains créés à l’image de Dieu en corps transhumanistes recréés dans le image de Satan.

« La DARPA est fortement investie dans les technologies transhumanistes à utiliser chez les soldats, y compris les interfaces cerveau-machine et d’autres idées encore plus extrêmes », prévient Webb. « Ils se sont récemment associés au Wellcome Trust pour créer quelque chose appelé » Wellcome Leap « , un mouvement plutôt troublant pour inaugurer le transhumanisme. »

Plus d’informations sur le complot mondialiste visant à conquérir la planète et à injecter à tout le monde des coups mortels contre le virus chinois peuvent être trouvées sur Corruption.news.

Les sources de cet article incluent :

Mercola.com

NaturalNews.com




Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

[Source : henrymakow.com]

Traduction : MIRASTNEWS

Par Steven Fishman

On me pose souvent la question : « Si j’ai pris le « vaccin », combien de temps vivrai-je ?

J’ai renvoyé cette question à un de mes amis, le Dr Mylo Canderian, Ph.D. [né Milos Iskanderianos, Corfou, Grèce, 1938], qui a développé le brevet pour l’oxyde de graphène à utiliser comme arme biologique hématologique en 2015.

En toute transparence, le Dr Canderian est ce que j’appellerais un « mondialiste génocidaire », qui suit le précepte dix des Georgia Guidestones, qui est très rarement discuté, déclarant « Ne soyez pas un cancer sur la Terre ; Laissez place à la nature. »

Le Dr Canderian est un contributeur médical de l’Organisation mondiale de la santé et soutient également Klaus Schwab et la « grande réinitialisation », inaugurant une monnaie numérique mondiale qui est un objectif secondaire de l’OMS pour 2022.

Le Dr Canderian est d’avis que 95 % de la population mondiale sont des « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés le plus rapidement possible.

« Regardez le centre-ville de Chicago, Baltimore ou Los Angeles », a-t-il déclaré, « et vous verrez clairement pourquoi les mangeurs inutiles doivent être réprimés comme des chiens enragés. »

Il a exprimé son dédain pour les « éducateurs infectieux » qui promeuvent la théorie critique de la race, et est convaincu que le « vaccin » mettra fin au « cancer humain sur la Terre ».

Le Dr Canderian est un ardent partisan du devoir et de l’obligation de la franc-maçonnerie de débarrasser le monde de la « peste de l’humanité ».

Pourtant sur le plan personnel, lui et moi partageons une passion pour le même plat exotique servi à L’émince de Veau à Genève : la Crème de Colibri suivi de Elk Tongue.

Nous sommes tous les deux fans du Chef Gaston Sere de Rivières, qui est un génie culinaire.

Alors, j’ai demandé à Mylo : « Comment les « vaccinés » peuvent-ils savoir avec certitude combien de temps ils doivent vivre une fois qu’ils ont été piqués ? »

Il m’a présenté l’information, appelée la «Formule de fin de cycle».

Il a expliqué à quel point il est facile de calculer.

« Le pouvoir de la simplicité », a-t-il déclaré. « Il y a un cycle maximum de dix ans entre l’injection et la fin du cycle », [ou la mort], a-t-il précisé. « Et c’est extrêmement facile à déterminer. »

Il a déclaré que tout hématologue peut le voir en quelques secondes au microscope, et encore plus facilement au microscope électronique. « Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l’oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle », a-t-il divulgué.

En d’autres termes, un « inoculé » [comme il appelle toute personne ayant reçu l’autorisation d’utilisation expérimentale de l’eugénisme pour l’injection mortelle par injection biologique] ayant une détérioration de 20 % d’oxyde de graphène dans son sang vivra, à l’exception de tout autre critère d’entrée, pendant 8 ans. [10 ans moins 20%].

Quelqu’un avec une détérioration de 70% d’oxyde de graphène ne vivra pas plus de 3 ans. [10 ans moins 70%].

ruby-peters.jpg

Le Dr Jane Ruby a récemment été interviewé par Stew Peters sur son podcast et a montré des exemples de ce à quoi ressemble le sang détérioré lorsqu’il est exposé à l’oxyde de graphène.

L’oxyde de graphène, pour ceux qui ne le savent pas, est le composant des protéines de pointe de l’ARN messager et des prions, qui est en guerre avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang pour l’oxygène.

L’oxyde de graphène est une éponge à oxygène qui prive le corps de l’oxygène nécessaire et provoque de nombreuses complications, y compris, mais sans s’y limiter, un choc anaphylactique, une coagulation sanguine toxique, une paralysie pulmonaire mortelle, un cancer mitochondrial et un cancer endothélial.

Le point de vue du Dr Mylo Canderian est à peu près le même que celui de Klaus Schwab, Bill Gates et du PDG de Big Pharma : LAISSEZ-LES TOUS MOURIR !

J’ai demandé à Mylo quel était l’effet des deuxième et troisième injections et des boosters et comment cela changeait le tableau de fin de cycle.

Mylo a répondu : « Tout est mesurable par des tests hématologiques. Plus les imbéciles reçoivent de piqûres et de boosters, plus leur sang sera mauvais au microscope, et plus vite ils se transformeront en engrais.

Enfin, je lui ai demandé comment le complot visant à tuer autant de milliards de personnes pouvait être tenu secret par un tel groupe d’élites.

Sa réponse fut : « Tu ne connais pas grand-chose à la franc-maçonnerie, n’est-ce pas, Steve ? Et voilà.


[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Le directeur du programme de vaccination du Royaume-Uni reconnaît que le « vaccin » Pfizer affaiblit le système immunitaire inné

[Source : businessbourse.com]




Les vaccins Pfizer « Détruisent tous les systèmes du corps humain », avertissent des experts israéliens de la santé

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Le Comité du peuple israélien (IPC), un groupe d’experts israéliens de la santé dirigé par des citoyens, a publié son rapport d’avril émettant un avertissement urgent selon lequel le vaccin Pfizer / BioNTech endommage pratiquement tous les systèmes du corps.
Alors que la majeure partie de l’attention entourant le vaccin a été concentrée sur AstraZeneca, qui est lié à des caillots sanguins mortels, l’injection de Pfizer est en réalité encore beaucoup plus dangereuse, d’après les dernières données.

Pfizer: The Vaccine In Demand Will Be Available Through ...

Le rapport d’avril de l’IPC avertit que l’injection du vaccin Pfizer pourrait entraîner des problèmes de santé catastrophiques, comme en témoignent les innombrables vies israéliennes qui ont été endommagées par le vaccin.
Le rapport précise : « Jamais un vaccin n’a fait autant de blessés (effets secondaires néfastes)! Nous avons reçu 288 rapports de décès survenus à juste après la vaccination (90 % jusqu’à 10 jours après la vaccination), dont 64% sont des hommes. »

Cependant, les chiffres du ministère israélien de la Santé affirment que seulement 45 décès sont survenus juste après  la vaccination. Comme l’indique le rapport, cet « écran de fumée » gouvernemental, le manque de transparence et la tromperie ne font qu’indiquer que le nombre de morts est beaucoup plus élevé.
Si les chiffres contenus dans le rapport IPC sont valides, alors il y a plus d’Israéliens morts du vaccin Pfizer que  d’Européens morts par le vaccin AstraZeneca dans toute l’Europe.

Le rapport met en garde : 

« Selon les données du Bureau central des statistiques (CBS), en janvier-février 2021, au milieu de l’opération de vaccination, il y a eu une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à la moyenne bimensuelle de mortalité de l’année précédente.
« En fait, la période de janvier-février 2021 est la plus meurtrière de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globaux les plus élevés, par rapport aux mois correspondants au cours des 10 dernières années. »

Le rapport souligne que les jeunes âgés de 20 à 29 ans semblent être le groupe démographique qui a connu l’augmentation la plus spectaculaire de la mortalité après le déploiement du vaccin Pfizer.

Dans ce groupe, la vaccination au cours de la même période, janvier-février 2021, il y a eu une augmentation de 32% de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne bimensuelle en 2020.
L’analyse statistique des informations du Bureau central des statistiques, combinées aux informations du ministère de la Santé, conduit à la conclusion que le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à environ 1 pour 5000 (1 pour 13000 les 20-49 ans, 1pour 6000 pour les 50-69 ans, 1 pour 1600 pour les 70 ans et plus).

Sur la base de ces données, l’IPC estime que le nombre de décès survenus en Israël, juste après la piquouse du vaccin Pfizer, est d’environ 1 000 à 1 100 personnes. Le rapport indique que le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé que le risque de décès après la vaccination.

« Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour allant jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge.
« Pour les 20-49 ans – une plage de 9 jours à partir de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 50-69 ans – 5 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 70 ans et plus – 3 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès
. »

En publiant ce rapport, l’IPC espère que le gouvernement israélien et les gouvernements du monde entier reconnaîtront qu’« un manque de transparence tue des gens ».

L’IPC conclut que :

« La tromperie et la dissimulation conduisent les gens à l’invalidité et à la mort. Supprimer toute confidentialité, créer des mécanismes de signalement transparents et contrôlés ; Ce n’est qu’alors que des vies peuvent être sauvées et que d’autres dommages peuvent être évités grâce à l’outil même censé préserver la santé. »

« Est-ce un cas où le médicament est plus mortel que la maladie ? »

Source : Pfizer Covid Vaccines “Destroy Every System of the Human Body” Warns Israeli Health Experts




Les personnes ayant reçu un placebo lors d’essais de vaccins seront considérées comme « totalement vaccinées » par le gouvernement britannique

[Source : anguillesousroche.com]

[Ndlr : ceci tend à confirmer que la moitié de la population mondiale vaccinée aurait reçu en fait un placebo et expliquerait la disparité entre les personnes n’ayant ressenti absolument aucun symptôme et celles ayant eu des effets secondaires plus ou moins graves, en proportion des dizaines de fois plus importantes que lors des campagnes vaccinales réalisées avec de vrais vaccins. Nous rappelons que les prétendus « vaccins » anti-covid sont en réalité des thérapies géniques et qu’ils sont encore en phase d’essai. Or, lors d’essais médicamenteux et normalement aussi lors d’essais de vrais vaccins, il est d’usage d’avoir un groupe témoin qui reçoit un placebo au lieu du vrai médicament ou du vrai vaccin.]

Le ministre britannique des vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré : « En ce qui concerne le Royaume-Uni, ils seront considérés comme pleinement vaccinés, qu’ils aient reçu le placebo ou le vaccin. »




Outils juridiques contre les dispositions « anti covid »

Par Me DE ARAUJO-RECCHIA

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui serait rendue obligatoire dans le cadre du projet de loi en cours de discussion au Parlement.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés:

Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Netcomparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPEEN:

Une action soutenue par la LNPLV est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italien et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/? toc=OJ%3AL%3A2021%3A211%3ATOC&uri=uriserv%3AOJ.L_.2021.211.01.0001.01.FRA)

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)


(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. » 

– Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

– Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.

2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:

a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;

b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;

c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;

d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte

juridique, ils méritent un examen approfondi.

Article très instructif:

https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

***

Le 23 juillet 2021

Me DE ARAUJO-RECCHIA

Avocat à la Cour de Paris




Pass sanitaire : message d’un habitant d’Israël

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

À tous ceux qui sont résignés, qui ont peur et qui sont prêts à céder, à se résigner… Voici le message d’un Israélien:
Guillaume Saehr, [Jul 13, 2021].

« Je vous partage mon expérience du pass sanitaire que nous avons vécu en Israël avant vous :

  • C’est un moyen de pression pour vous décourager, vous angoisser, vous déprimer.
  • Le but est de créer du désespoir.
  • Ce désespoir amène à la colère.
  • Cette colère a pour but de créer de la haine, soit une haine vers ceux qui se sont fait vacciner ou alors si ce désespoir vous a poussés à faire la piqûre elle créera de la colère vers ceux qui ne se sont pas fait vacciner alors que vous étiez réveillés.
  • En réalité d’un point de vue juridique, ça ne peut pas tenir, comme en Israël.
  • En réalité la pression n’est pas sur vous mais sur ce gouvernement qui est en retard dans son timing. N’oubliez pas que la rhétorique covid est de plus en plus bancale et qu’elle dépend des saisons et d’autres événements à venir.
  • Vos gouvernements sont dans la merde alors ils essayent de vous créer le sentiment que vous êtes dans la merde.
  • Ici de plus en plus de gens se réveillent, nous avons refusé la vaccination pour les enfants et nous ne voulons pas de la 3e dose.
  • Ils ne veulent pas que vous sachiez.
  • Restez sereins, dans le dialogue , ne laissez pas la panique diriger vos conversations , il y aura toujours ceux qui feront les malins à vous provoquer soit dans votre famille ou amis ou collègues de travail : résistez !
  • Nous avons ici en Israël une épidémie de Myocardites, de crises cardiaques , mini AVC ou AVC, thromboses ou décès. Explication des médecins : le stress 🥶.

Les gens se réveillent.

Tenez bon ! Soyez Unis ! Buvez un petit coup ! Acceptez que les prochaines semaines soient plus compliquées ! Organisez-vous !

CA NE VA PAS DURER INDÉFINIMENT.

On doit tenir bon, ils mettent autant la pression parce qu’ils savent que leurs plans ne fonctionnent pas comme ils le voudraient. »




Les inondations, une fatalité ?

[Source : Investig’Action (investigaction.net)]

Par Michel Collon

Je reviens de Liège. Trois jours près de ma fille. Heureusement, elle habite en hauteur mais nombre de ses amis et collègues vivent près des rives. Trois jours d’émotions intenses à suivre anxieusement les messages et les réseaux, à réconforter et proposer des coups de main. « Fatalité imprévisible », disent nos responsables. Faux : dès 1990, le GIEC (groupe d’experts internationaux sur l’évolution du climat) annonçait un quadruplement des canicules et des « précipitations extrêmes ». Qu’a-t-on fait pour se préparer ?

Des pas de fourmis pour freiner la pollution par les entreprises. On continue d’abattre des forêts précieuses. On continue à développer le transport des marchandises par camions au lieu de favoriser le rail et le transport fluvial. Rien pour créer des zones inondables de protection, rien pour renforcer l’absorption des pluies par les sols. Le nord du pays a solennellement proclamé un « Béton stop » , mais on n’a jamais autant construit (y compris sur des terres agricoles) et c’est plutôt « Béton flop ». Et très peu de mesures protectrices dans les zones qu’on savait à risques.

 « On avait bien le temps » ? Que nos responsables osent aller le dire aux sinistrés. Pire : le gouvernement belge a démantelé la Protection civile, chargée des secours en cas de catastrophe. La Belgique comptait six casernes, il n’en reste que deux, le personnel a été réduit. Or, ces sauveteurs héroïques ont sauvé des vies mais le manque d’effectifs, et parfois d’équipements, n’a pas permis d’en sauver davantage. Le ministre Jan Jambon qui a imposé cette réforme et le gouvernement Charles Michel ont donc, littéralement, tué des gens. L’an passé, la même rage néolibérale contre les services publics coûtait la vie à de nombreux malades. Leur Covid n’a pu être soigné parce que nos divers gouvernements avaient supprimé des dizaines de milliers de lits d’hôpitaux (En France, 110.000 lits sous Sarkozy, Hollande et Macron).

 « Ce n’est pas l’heure de la polémique », écrivait hier le quotidien Le Soir. Mais bien sûr que c’est le moment de poser la question essentielle : « Aurions-nous pu diminuer fortement le nombre des victimes ? » C’est bien le moment de redire que, face au Covid, certains pays ont fait cent fois mieux que nous en termes de [faible nombre de] victimes grâce à un ensemble de mesures radicales et énergiques plaçant, dès le premier jour d’alerte, la protection des vies au centre des stratégies. Parmi ces mesures, des équipes sociales se rendant de maison en maison pour former aux gestes protecteurs, détecter les cas, assister les plus fragiles et limiter ainsi la propagation. Face aux inondations, de même, de telles équipes auraient pu sauver de nombreuses vies en passant de maison en maison dès que l’alerte fut donnée le mercredi 14, pour repérer les personnes fragiles et les protéger ou les évacuer ! Un des pays les plus riches du monde est-il incapable d’assurer un véritable service de protection sociale à ses vieux et ses handicapés ?

C’est aussi le moment de réfléchir avec le remarquable livre Quand le dernier arbre aura été abattu, nous mangerons notre argent, où Ludo De Witte démontre comment le système capitaliste, par sa soif de profit, mène au gaspillage, au pillage des ressources, à la destruction de la Nature et de nos conditions de vie. Inondations, virus ou autres catastrophes : ce n’est pas la Nature qui est violente mais cette société qui place l’argent au-dessus de tout.

Cependant, dans ce flot de souffrances, une grande lueur d’espoir. La solidarité admirable entre les habitants sinistrés et dans toute la région. Les sauvetages risqués, les dons de nourriture, de vêtements et de matériel, les hébergements, les coups de main pour déblayer les boues, les messages de sympathie. Comme lors de la première vague du Covid, la solidarité des simples citoyens a été magnifique et émouvante. L’homme n’est pas un loup pour l’homme.

Et donc les gens d’en bas méritent de meilleurs dirigeants. Et surtout un meilleur système économique où la santé et la vie l’emportent sur les profits d’une minorité. N’attendons pas la prochaine catastrophe pour imposer le changement.

Source : Investig’Action




France : bracelet électronique — comment le Sénat et l’Assemblée veulent nous pourrir la vie

[Source : lemediaen442.fr]

« Alors que la pandémie de Covid-19 n’est pas terminée, et qu’il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. »

Rapport du Sénat du 21 juillet 2021

Le Pass, on ne s’en passera pas !

Nos sénateurs, pleins d’imagination, ont trouvé un autre prétexte au cas où l’épidémie viendrait à manquer : la chute de débris spatiaux. Fallait y penser ! Bref, on n’est jamais trop prudents, le Ciel peut nous tomber sur la tête. Parallèlement, nos députés ont rejeté un amendement qui envisageait de supprimer le Pass sanitaire dès que la circulation du virus ne représenterait plus de danger suffisamment grave ou que la population serait vaccinée à 80 %.

Le Pass à l’Assemblée ? Amendement rejeté !

Il est bien naturel que l’amendement suivant ait été rejeté : « Dans un souci d’exemplarité, il est normal que nous soyons également soumis aux mêmes règles que nos concitoyens. De plus, l’Assemblée Nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. »

Des sanctions pour une meilleure efficacité

Et nos charmants sénateurs d’imaginer un monde merveilleux de repérage des déplacements, des fréquentations, des transactions : « Et c’est précisément là que le numérique pourrait être le plus efficace. » Le tout payé par une hausse des cotisations sociales pour les contrevenants. Ce ne serait pas une sanction, mais une juste répartition des coûts « du fait de l’épidémie ». Ah ! on l’avait oubliée, celle-là.

Afin de repérer les dissidents, nos sénateurs envisagent le Safety Check de Facebook ou l’Amber Alert. Il suffit d’utiliser :

  • les données génétiques, les dossiers médicaux : un portique d’entrée dans le métro se mettrait à sonner très fort au passage d’une personne contagieuse ou censée être confinée,
  • les objets connectés : un boîtier connecté, porté autour du cou, qui sonnerait (avec un son de 85 décibels) en cas de non-respect des règles de distanciation par les salariés d’une entreprise— un smartphone peut faire la même chose avec son Bluetooth, et un son de 100 décibels , 
  • les données de mobilité pour aider la populace égarée à retrouver le droit chemin : en Corée du Sud, les habitants positifs d’un quartier pouvaient être géolocalisés sur une carte accessible à tous, et en Chine, on a vu d’honnêtes citoyens prendre eux-mêmes en charge la « police sanitaire » de leur immeuble.

Contrôler quoi ?

Nos sénateurs veulent tout connaître de vous : 

  • votre santé tout d’abord, que vous devrez obligatoirement contrôler avec des thermomètres connectés, des caméras thermiques détectant les symptômes fiévreux…
  • vos déplacements : avec un bracelet électronique pour vérifier le respect de la quarantaine, auparavant le pass pour les transports en commun aura été désactivé, avec des radars pour détecter votre plaque d’immatriculation, des portiques de contrôle dans les magasins, des caméras thermiques dans les restaurants. Tout est prévu !
  • vos fréquentations : par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que vous êtes contagieux, ça va vous coûter cher ;
  • vos transactions commerciales avec amende automatique en cas d’achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie) ou en cas de poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.)  malgré des restrictions.

Le pouvoir d’interdire, c’est le Pass !

Dans la foulée, nos sénateurs avouent tout bonnement le but du Pass sanitaire :

« Même s’ils sont rarement présentés comme tels, des dispositifs tels que le pass sanitaire ou le passeport sanitaire relèvent bien de la catégorie des outils contraignants, car ils conditionnent, de facto ou de jure selon les cas, l’accès à certains lieux et à certaines activités. En soi, cela n’a rien d’exceptionnel : le “vrai” passeport, le carnet international de vaccination ou le permis de conduire font la même chose, c’est-à-dire autoriser ou interdire, soit l’une des fonctions principales de la puissance publique. »

Marcel n’aurait pas dit mieux !

Pendant ce temps-là, à l’Assemblée…

A l’assemblée, députés LREM et Cie s’efforcent de rendre l’abus de pouvoir légal, le coup d’État démocratique. Le Pass sanitaire sera obligatoire un peu partout, mais avec des nuances pour montrer qu’il ne s’agit pas d’un abus. Il sera cependant impossible de bouger une oreille sans pouivoir le présenter aux autorités. D’où un nouveau texte hallucinant qui nous le détaille, pour qu’on comprenne bien. Accrochez-vous ! Ça décoiffe ! Allez ! quelques exemples.

Une bonne nouvelle : les cimetières sont ouverts sans limitation de rassemblement

Les visites de biens pour l’achat ou la location d’une résidence principale sont autorisées, mais… la résidence secondaire ne pourra être visitée.
En intérieur comme en extérieur, les chorales professionnelles sont autorisées, mais… les chorales amateurs uniquement en extérieur.
A la maison, les règles barrières, dont le port du masque en intérieur, restent nécessaires après… la vaccination.
A partir de début août, et si cela est bien voté dans la loi, le seuil de 50 personnes sera supprimé, et le pass sanitaire s’appliquera dans les cafés, les restaurants, les centres commerciaux, ainsi que dans les hôpitaux, les maisons de retraite, les établissements médico-sociaux. Les déplacements pour les longs trajets en avion, train et car seront également concernés. Et tout cela y compris pour les 12-18 ans, mais… ils ne sont pas obligés de se faire vacciner.

Un rassurant effort pédagogique

« Les contrôles des mesures sanitaires sont assurés par les 250 000 policiers et gendarmes répartis sur l’ensemble du territoire national. Autant que de besoin, à la demande des préfets, des effectifs supplémentaires de forces mobiles seront déployés pour appuyer les forces locales dans cette mission spécifique. Les 24 000 policiers municipaux répartis dans 8 000 communes viennent appuyer l’action des forces de l’ordre. » 

On espère qu’ils seront assez nombreux. Ne faudrait-il pas augmenter les effectifs de police ? C’est une question.

Les lendemains ne chantent pas du tout

Au moment où la France macronienne va légaliser la distinction entre les bons citoyens (vaccinés) et les mauvais (non-vaccinés), les sénateurs préparent notre avenir. Ils nous dirigent vers une société qui semble de science-fiction, mais qui est très réelle. C’est la Chine qui leur sert de modèle. Ce pays où les habitants, contrôlés par des caméras à reconnaissance faciale, sont classés en fonction d’un permis de vivre à points. Le pays où les mauvais citoyens n’ont pas les mêmes droits que les bons, c’est l’avenir de la France en Marche !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Bigard ne s’oppose plus au Pass sanitaire, les non-vaccinés seront refoulés à l’entrée de son spectacle

[Source : lemediaen442.fr]

Quand on investit dans la grande gueule et la bistouquette, faut avoir de la remorque et une bonne paire de baloches pour aller jusqu’au bout… Du coup BFMTV se fait un malin plaisir de titrer « Opposé au pass sanitaire, Jean-Marie Bigard l’accepte finalement pour se produire » et ils ont bien raison de se tirer sur le haricot face à l’humoriste qui ne voulait pas — à une époque — imposer à son public un protocole strict. Il déclarait sur Instagram le 7 juillet. « Moi, c’est le 23 juillet ! Et il n’y aura aucun pass sanitaire ! Je refuse catégoriquement ! »

Mais l’époque est à la soumission. « Avoir des couilles » n’est plus qu’une expression. Donc les non-vaccinés, ceux qui ont soutenu Jean-Marie et salué son courage jusqu’au bout lors des manifestations contre le pass sanitaire et autres restrictions, vont malheureusement être refoulés à la porte de son spectacle Bigard and Friends où le rire sera encadré, confiné.

« Les amis, je me suis battu jusqu’au dernier moment mais il y aura bien un test sanitaire le 23 juillet à Fréjus et le 24 juillet à la Comédie de Nice. J’en suis désolé. Je vous attends nombreux. »

Autre information, Jean Marie BIGARD nous  annonce l’annulation de son spectacle à Nice pour cause des manifestation contre le Pass Sanitaire… et son lot d’extrême droite et gauche qui pourrait venir perturber l’évènement.




Les failles de la stratégie anti-liberticide

Par Lucien Samir Oulahbib

Mettre les traitements et la prévention à disposition systématiquement en avant à la première seconde de n’importe quels interview et/ou billet/article doit être l’impératif, catégorique, stratégique, sans appel pour cette guerre atypique, puisque c’est leur manque supposé qui justifie tout(([1] voir aussi le point 3 de la phase 3 de l’AMM)):

  • autorisation conditionnelle de l’essai,
  • passe dit « sanitaire » (alors qu’il n’y en a pas pour le HIV transmissible et bien plus létal),
  • couvre-feu,
  • confinement,
  • confusion entre « cas » et « maladie »,
  • contagion et virulence létale, 

prévoyant à chaque fois des centaines de milliers de morts.

Même si nous ne connaissons pas à 100 % ce « virus » pourtant bien catégorisé dans une « famille » donnée et sur lequel des expérimentations médicamenteuses ont été faites avec succès surtout avec le recul à disposition maintenant (fin juillet 2021).

Or, le fait de miser plutôt en priorité sur la « liberté de choix » ne tient pas juridiquement, car sur les questions d’infection à tendance endémique la notion « d’état d’urgence » par défaut de traitements prévaut systématiquement sur la liberté individuelle dans la hiérarchie des normes, surtout lorsqu’elle est validée par une loi le Conseil d’État derrière et le Conseil Constitutionnel en surplomb (qui, en matière d’urgence sanitaire, a toujours validé la contrainte de « l’état d’urgence »).

Donc il serait plus judicieux tactiquement de mettre en avant la prévention et les traitements en l’articulant éventuellement avec le principe de précaution (bafoué par l’essai clinique en cours) plutôt que de s’appuyer prioritairement sur la notion de « liberté ». Même si cependant cela semble avoir mobilisé. Mais il semble bien que pour toucher les millions de gens apeurés et/ou ayant une confiance aveugle envers « la » technologie (puisque leur téléphone est de plus en plus savant. Pourquoi pas le reste, mon bon monsieur ?) il va bien falloir mettre stratégiquement en avant des arguments qui doivent répondre point par point à ceux d’un gouvernement qui balaie d’un revers de main les cris et les pleurs (le ministre français de la Santé désignant dernièrement ceux d’une infirmière comme étant de la « propagande »).

Enfin, il faudrait demander à ce que chaque soir soit également mis en avant le nombre des effets secondaires et des morts liés à l’essai clinique en les ventilant au-dessus et en dessous de cinquante ans.

On peut certes rêver d’avoir à disposition une telle information, ce serait si honnête… Mais certains réseaux se permettent cependant de la censurer: ils ne veulent visiblement pas comprendre que les libertés d’expression et de s’informer tout en étant distinctes partent d’un même principe constitutionnel : celui d’émettre des pensées validées à diverses échelles par des cercles compétents, mais non pas triées de manière arbitraire par des personnes qui n’ont aucune compétence en la matière, tels ces « journalistes » prétendant trancher sur la fiabilité des traitements pourtant validés par nombre de pays il est vrai considéré comme « inférieurs » scientifiquement, une sorte de racisme intellectuel comme l’indique le docteur Guillaume (Emmanuel Macron envoyant ses doses de Remdisivir en Inde alors qu’elles ont été jugées inopérantes, voire nocives et même « facilitantes »…).

Si « racisme systémique », il y a, ce serait plutôt dans cette idée que les pays et les pratiques n’employant pas les méthodes biotechnologiques aujourd’hui de plus en plus imposées seraient « inférieurs », alors que l’analyse de la complexité d’une cellule humaine en est toujours à ses balbutiements…

Et où sont les organes de remplacement promis ? Où en est le cœur dit « artificiel »? Ils devaient être opérationnels au début du 21e siècle, nous en sommes si loin… D’où l’outrecuidance de la position obséquieuse des dites « Autorités » officielles actuelles à propos de ce virus qui n’est ni le premier ni le dernier.




France : l’Assemblée nationale vote l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants

[Source : RT en français]

L’Assemblée nationale a adopté ce 23 juillet en première lecture le nouveau projet de loi anti-Covid qui prévoit l’extension controversée du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour les soignants au bout d’une nuit marquée par d’âpres débats.

Les députés ont voté dans la nuit du 22 au 23 juillet le controversé pass sanitaire, l’une des mesures phares du nouveau projet de loi anti-Covid dont l’examen a joué les prolongations. 

Peu avant 0h40, les députés ont adopté par 132 voix contre 106 l’article 1 du projet de loi gestion de la crise sanitaire qui étend le champ d’application de cet outil présenté par le gouvernement comme la meilleure arme face au rebond de l’épidémie du Covid-19.

Les débats qui se sont achevés vers 5h40 furent âpres et rugueux, avec des oppositions chauffées à blanc par un calendrier contraint. Près de 1 200 amendements ont été passés en revue depuis l’après-midi du 21 juillet.

Une «brutalité» et une «monstruosité» selon l’opposition

Les passes d’armes entre le gouvernement et les oppositions se sont poursuivies pendant toute la soirée du 22 juillet avec comme point d’orgue une disposition de ce neuvième texte «Covid» depuis mars 2020, ouvrant la voie à un licenciement pour des travailleurs d’établissement recevant du public qui refuseraient d’obtenir un pass sanitaire (parcours vaccinal complet ou test récent).

Un amendement du gouvernement avec l’objectif affiché d’adoucir cette disposition polémique n’a pas convaincu gauche et droite qui ont dénoncé une «brutalité» voire une «monstruosité». «L’esprit n’est pas de renvoyer les gens mais d’encourager à la vaccination», a justifié le ministre de la Santé Olivier Véran. 

Contre l’avis de l’exécutif et dans un scrutin serré, les députés s’étaient opposés dans l’après-midi au pass sanitaire pour l’ensemble des patients et visiteurs dans les hôpitaux et maisons de retraite. Le gouvernement est revenu sur ces amendements avec un nouveau vote qui a notamment remis l’obligation du passe sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et les maisons de retraite.

Le groupe socialiste a également fait adopter peu avant minuit un amendement supprimant la peine sanctionnant l’utilisation frauduleuse du pass sanitaire de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Très pressé, le gouvernement veut faire adopter le pass sanitaire encore élargi et la vaccination obligatoire pour certaines professions d’ici à la fin du week-end du 25 juillet, après quatre jours de débat parlementaire. «Il y a une urgence à légiférer», a ainsi déclaré Olivier Véran.

Une opposition y compris au sein de la majorité

Mais dans un hémicycle où malgré l’heure tardive les bancs sont restés garnis, les discussions patinent. A l’inflexibilité du gouvernement, le regard fixé sur les courbes des contaminations, répond la pugnacité des oppositions qui défendent pied à pied leurs amendements.  

La majorité fait bloc mais des voix dissonantes se font entendre comme celles des marcheurs Pacôme Rupin ou Stella Dupont. Le 20 juillet, le député de Paris en charge de la coordination du groupe parlementaire LREM à la Commission des Lois avait estimé que le pass sanitaire allait «fracturer notre pays», et qu’il s’agissait d’une «atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé».

«Les mesures doivent s’accompagner de souplesse, de solidarité», a quant à elle déclaré la députée LREM le 22 juillet.

Le groupe Les Républicains – qui s’est majoritairement abstenu – n’a pas souhaité donner de «blanc-seing» et a mis en garde contre la volonté de mettre le «pays sous cloche» en regrettant que les débats n’aient pas permis de «lever les ambiguïtés» sur un pass sanitaire assimilable à «un passeport du quotidien», selon le député Philippe Gosselin.  

La session d’examen «fut une vaste blague», a estimé la socialiste Lamia El Aaraje. Celle-ci a plaidé en vain pour la vaccination obligatoire, tout en taclant le «retard permanent» du gouvernement. PS, LFI et PC ont voté contre le texte.  

Le pass sanitaire au cœur des critiques

Si l’obligation vaccinale étendue aux soignants, sapeurs-pompiers ou encore professionnels auprès des personnes âgées fait à peu près consensus, ce n’est pas le cas de l’extension du pass sanitaire, prévue pour début août dans les cafés-restaurants, objet de vives critiques de part et d’autre de l’hémicycle.

«Nous avons deux choix : réussir le pass, vite, très vite […] ou nous exposer au risque de devoir reconfiner notre pays», a justifié Olivier Véran devant la Commission des Lois du Sénat. «Les chiffres d’aujourd’hui ne sont pas bons», a poursuivi le ministre de la Santé. Près de 22 000 nouveaux cas ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France publiés dans la soirée du 22 juillet, au plus haut depuis le 5 mai.

Devant les sénateurs le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a déclaré craindre «une situation complexe, très complexe» dans les hôpitaux fin août.

En Martinique où la population est très peu vaccinée, les autorités sanitaires redoutent une «déferlante» dans les hôpitaux. Pour la Guadeloupe, où la situation est très dégradée, l’Assemblée a voté un amendement gouvernemental visant à réinstaurer l’état d’urgence sanitaire. Celui-ci devrait être mis en œuvre par décret d’ici la promulgation de la loi. 

De nouvelles mesures comme le retour au masque obligatoire en extérieur ont été prises pour des communes du Var, de Meurthe-et-Moselle, de l’Hérault et de Vendée. Dans les Pyrénées-Orientales, le port du masque sera même obligatoire à partir du 24 juillet dans les lieux assujettis à un pass sanitaire. 

Le taux d’incidence progresse surtout chez les 12-17 ans et les 18-29 ans, deux tranches d’âge où le nombre de vaccinés reste très faible. L’exécutif prévoit des campagnes de vaccination spécifiques pour les jeunes, notamment dans les établissements scolaires à la rentrée.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88944-assemblee-nationale-vote-extension-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-des-soignants





Référé-Liberté de Me Krikorian : passe sanitaire, ou comment fracturer un peu plus la société française

[Source : francesoir.fr]

[Voir Philippe KRIKORIAN, Avocat à la Cour, a déposé un REFERÉ-LIBERTÉ auprès des juges des référés du Conseil d’État]

Auteur(s): FranceSoir

Me Krikorian a écouté l’allocution du président et comme beaucoup de Francais s’est interrogé sur la portée des décisions liberticides sur le passe sanitaire ou la vaccination obligatoire des soignants. Le projet de loi est en cours de discussion à l’Assemblée nationale et Me Krikorian a déposé sa requête hier afin d’obtenir réponse au plus vite. 

Il a répondu à nos questions :



Entretien

FS : Maître Krikorian, vous venez de déposer un référé-liberté devant le Conseil d’Etat par lequel vous demandez la suspension d’exécution de l’allocution télévisée du Président de la République en date du 12 juillet 2021 et une mesure d’injonction concernant le nouveau dispositif du passe sanitaire. Pourriez-vous nous en dire plus ? 

PK : Très volontiers ! Ce référé-liberté valeur de test démocratique. Il est fondé sur l’article L. 521-2 du Code de justice administrative ( CJA ) aux termes duquel : 

« Saisi d’une demande en ce sens justifiée par l’urgence, le juge des referes peut ordonner toutes mesures necessaires a la sauvegarde d’une liberte fondamentale a laquelle une personne morale de droit public ou un organisme de droit prive charge de la gestion d’un service public aurait porte, dans l’exercice d’un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illegale. Le juge des referes se prononce dans un delai de quarante-huit heures. » 

Je considère, en effet, qu’en présentant le futur vote comme un fait irrévocablement acquis et en ne précisant pas, lors de son allocution télévisée du 12 juillet 2021, que le dispositif dit passe sanitaire ne s’appliquerait pas aux situations suivantes : 

1) groupe familial au sein duquel l’un, au moins, des membres justifie d’une vaccination, d’un rétablissement ou d’un dépistage récent ne concluant pas à une contamination ;
2) réservation de l’activité par une ou plusieurs personnes avant l’entrée en vigueur du nouveau dispositif.
3) port du masque et respect de la distanciation physique par les personnes ne justifiant pas de l’une des trois modalités du passe sanitaire, 

Le Président de la République a d’ores et déjà, sans considération aucune du texte qui sera définitivement voté et promulgué, porté à la liberté d’aller et de venir ( articles 2 et 4 DDH ), ainsi qu’au droit au respect de la vie privée et familiale ( article 8 CEDH ), une atteinte grave et manifestement illégale, au sens et pour l’application de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative.

Imaginez, en effet, une famille au sein de laquelle deux membres sont vaccinés et les deux autres ne le sont pas. Que devra faire le restaurateur auquel s’appliquerait le nouveau dispositif ? Leur refuser l’accès à son établissement ou admettre seulement les deux membres vaccinés, scindant en deux cette famille d’estivants ? 

Devrons-nous, dès lors, nous en remettre à la Providence en espérant que le Parlement rejettera le projet gouvernemental ou agir selon les voies de droit ? 

C’est cette seconde option que j’ai choisie. Mon recours part du principe que le Président de la République n’a pas voulu mal faire, mais que l’absence de précisions dans son message aux Français du 12 juillet 2021 porte immédiatement atteinte aux libertés fondamentales susvisées, sans qu’on ait besoin d’attendre le vote définitif de la loi prévu début août. 

S’agissant d’une décision d’une autorité de l’Etat, sa justiciabilité ne devrait pas faire difficulté. On peut, en effet, raisonnablement apprécier l’allocution télévisée comme le vecteur d’une véritable norme juridique, à valeur de décret. Le Chef de l’Etat entend, ainsi, conditionner les Français, les préparer à respecter docilement le nouveau dispositif que le Premier ministre est chargé de mettreen œuvre. 

S’il devait être interprété littéralement, le projet de loi déposé ce mardi 20 juillet 2021 heurterait de front les motifs de l’ordonnance rendue le 6 juillet 2021 dernier par le juge des référés du Conseil d’Etat. 

Ainsi, pour rejeter la demande de suspension de la mise en œuvre du passe sanitaire, le juge des référés du Conseil d’Etat a énoncé, dans son ordonnance du 6 juillet 2021 (n°453505 – pièce n°4 de mon référé-liberté ) : 

« ( … ) 

13. Enfin, le passe sanitaire est de nature a permettre, par la limitation des flux et croisements de personnes qu’il implique, de reduire la circulation du virus de la covid-19 dans le pays. Son usage a ete restreint aux deplacements avec l’etranger, la Corse et l’outre-mer, d’une part, et a l’accès a des lieux de loisirs, d’autre part, sans que soient concernees les activites quotidiennes ou l’exercice des libertes de culte, de reunion ou de manifestation. En outre, l’usage de l’application TousAntiCovid demeure facultatif, les justificatifs pouvant etre produits par voie papier ou sur tout autre support numerique, au choix de la personne concernee. ( … ) », prenant soin de préciser que ce dispositif n’était pas manifestement illégal « ( … ) à la date de la presente ordonnance ( … ) », réservant, ainsi, l’avenir. 

Auteur(s): FranceSoir




Similitudes entre l’obligation des pseudos vaccins anti-covid et l’obligation faite aux déportés de subir des essais de vaccins

Par Gérard Delépine

Similitudes entre l’obligation des pseudos vaccins anti-covid(([1] Ce ne sont pas des vaccins, car un vaccin contient des antigènes obtenus à parti du virus ou de la bactérie ; ces médicaments n’en contiennent aucun, mais un ARN destiné à obliger nos cellules à en fabriquer ; il s’agit en réalité d’une thérapie génique préventive.)) et l’obligation faite aux déportés de subir des essais de vaccins

L’obligation d’injections anti-covid expérimentales aux soignants est inutile, car elles n’empêchent pas d’être malade, ni de faire des formes graves, ni de transmettre la maladie. Elle rappelle les tristes expériences vaccinales qu’ont imposées les médecins nazis aux déportés.

On reproche parfois à certains de faire le parallèle entre les médecins nazis et ceux qui imposent l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux actuels.

On reproche aux Français de comparer le QR code à l’étoile jaune, mais quand les Israéliens le font, va-t-on les traiter d’antisémites ?(([2] En Israël, les manifestants comparent le Pass sanitaire à l’étoile jaune (lemediaen442.fr) ))(([3] On n’a pas entendu Goldnadel insulter les Israéliens à étoile jaune — Riposte Laïque (ripostelaique.com) ))

Pourtant la mémoire du passé est nécessaire à l’analyse du présent et, manifestement, certains faits et enseignements de la Seconde Guerre mondiale ont été oubliés. Un petit rappel historique s’impose pour souligner les similitudes entre les crimes commis entre 1940 et 1945 contre nos grands-parents déportés, résistants, tziganes, communistes et juifs et l’obligation actuelle d’un médicament expérimental, affublé du nom trompeur de vaccin.

Les pseudos vaccins actuels sont expérimentaux

Leur création repose sur une technique jamais utilisée chez l’homme, sauf dans un essai de traitement des maladies génétiques, interrompu, car il causait des leucémies.

Ce qu’on veut vous injecter n’est pas des vaccins : ils ne contiennent aucun antigène, mais une protéine (ARN messager) — Pfizer et Moderna — ou des virus non humains génétiquement modifiés — (Johnson et Astra Zeneca) — ce sont des médicaments génétiques à visée préventive.

Aucun n’a terminé les essais phase 3, préalables habituellement indispensables à l’autorisation de mise sur le marché. C’est pour cette raison qu’ils n’ont reçu qu’une autorisation dite « conditionnelle ». Ceux qui en doutent peuvent le vérifier sur le site officiel gouvernemental américain clinicaltrials.gov(([4] ClinicalTrials.gov est une base de données d’études cliniques financées par des fonds privés et publics et menées dans le monde entier.)) qui recense les essais en cours dans 220 pays. Ils verront ainsi que les essais phase 3 les plus avancés ne se termineront qu’en 2023 comme le montrent ces captures d’écran agrémentées de nos commentaires en rouge.

Ceux qui prétendent que les pseudos vaccins actuels ne seraient pas expérimentaux et qu’ils auraient terminé leurs essais sont donc mal informés ou mentent délibérément.

Imposer une obligation d’un médicament ou « vaccin » expérimental est totalement contraire au code de Nuremberg qui affirme que le consentement éclairé indispensable d’un être humain avant l’administration d’un traitement expérimental est indispensable.

Ce code que certains considèrent comme dépassé (!) est pourtant le fondement des conventions internationales qui ont donné lieu à la déclaration d’Helsinki et à la convention d’Oviedo en 1997. Les accords signés à Oviedo sont opposables aux pays signataires, dont la France. Plusieurs juristes ont rappelé ces bases éthiques et légales internationales que trop voudraient piétiner.(([5] Daniel Antoine : Petit point de droit concernant l’ensemble des textes à opposer, si la vaccination devenait « obligatoire » (ou, obligée, indirectement, par un « Pass Sanitaire » ; ce qui revient à peu de chose près au même…). /PETITPOINTDEDROIT.pdf))

Les médecins nazis ont réalisé beaucoup d’essais criminels de vaccin.
Les essais concernant les vaccins ne sont pas une première

Essais criminels, car réalisés sans le consentement de ceux qu’ils considéraient comme des sous-hommes : déportés, juifs, tziganes, des objets !

Un tiers des expériences réalisées par les nazis sont des essais de vaccins : contre le paludisme, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, l’hépatite, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse principalement à Buchenwald, mais aussi dans les camps de concentration de Sachsenhausen, Dachau, Natzweiler, Struthof, et Neuengam.

Le tribunal militaire américain de Nuremberg(([6] https://fr.wikipedia.org/wiki/Proc%C3%A8s_des_M%C3%A9decins))(([7] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne –
Vuibert, 2007))(([8] Yves TERNON LE PROCÈS DES MÉDECINS. ACTUALISATION
http://www.memorialdelashoah.org/wp-content/uploads/2016/05/texte-reference-memorial-shoah-ternon-proces-medecins.pdf)) en 1947 reste, aujourd’hui, la référence majeure des normes juridiques et déontologiques visant l’expérimentation sur l’être humain. Cette décision historique réaffirme le caractère universel du fondement de l’éthique médicale, en même temps qu’elle impose l’idée que le consensus universel dans ces matières n’allant plus de soi, il revient au droit international d’en garantir le contenu et l’effectivité.

Dix crimes à charge contre les médecins jugés à Nuremberg ont été retenus, dont une expérience de vaccination contre le paludisme à Dachau (février 1942 — avril 1945), celle contre le typhus et autres maladies infectieuses à Buchenwald et Natzweiler (décembre 1941 — février 1945) et celle contre l’hépatite virale réalisée à Sachsenhausen et Natzweiler.

C’est l’absence de consentement libre et éclairé des victimes de ces essais qui a justifié la condamnation des médecins responsables de ces expériences qu’ils estimaient faire « pour la science et le bien de l’humanité ». Et la moitié des condamnés l’ont été à la pendaison.

Les soignants ne sont pas des antivax

Ils ont été les premiers à se faire vacciner et aussi les premiers à en subir les effets secondaires. Si les résultats réels des vaccins étaient ceux que le gouvernement et les médias prétendent, les soignants continueraient à se précipiter pour se faire vacciner.

S’ils refusent, c’est qu’ils sont mieux informés que la population des complications post-vaccinales qu’ils voient arriver aux urgences, dont plusieurs décès de soignants (dont un interne en médecine, nantais, sportif et en parfaite santé avant la vaccination, et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))) qui n’avaient aucun bénéfice personnel à espérer du pseudo vaccin.

Les injections anti-covid sont inefficaces

Elles ne vous protègent ni de la maladie ni d’en mourir. La Grande-Bretagne et Israël ont été confrontés après la « vaccination » à de véritables explosions de cas et des hécatombes pendant 2 mois. Ils sont actuellement confrontés à une croissance exponentielle du variant delta et près de la moitié des morts Covid actuels ont reçu deux injections. Heureusement, ce dernier variant est peu mortel et se traduit le plus souvent par un rhume.

Ils ne protègent pas vos contacts. Le dernier exemple démonstratif est celui du porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth, où une épidémie de plus de 100 cas atteint les 1600 marins de l’équipage qui ont pourtant tous reçu leurs deux doses il y a plus de 3 mois.(([10] Épidémie sur le porte-avions HMS Queen Elizabeth après une escale à Chypre
AFP / le 14 juillet 2021))

Cette obligation est totalement illogique.

Si vous croyez que ces injections vous protègent, vaccinez-vous, mais vous n’aurez alors aucune raison d’avoir peur des autres et de leur imposer un pass ou une injection expérimentale. Et si vous avez des doutes sur l’efficacité de ces injections, vous devez vous méfier tout autant des vaccinés que des non-vaccinés et n’avez aucune raison d’imposer aux autres une injection expérimentale qui ne vous protégera pas plus.

Ne reproduisez pas les crimes des médecins nazis, dites non au fascisme pseudo vaccinal !

Relisez les attendus du procès de Nuremberg des médecins nazis. Manifestez pour vos libertés si durement conquises par nos ancêtres. Soutenez l’action de Reinhart Füllmich et de ses associés pour la tenue d’un second procès de Nuremberg et des nombreux avocats qui multiplient référés, plaintes, etc. (Fabrice Divizio, Virginie Araujo, JP Joseph, A Durand, Emmanuel Ludot, Carlo Brusa et bien d’autres).

Joignez vos députés et sénateurs, montrez-leur les vrais chiffres actuels de l’épidémie (aucun nouveau cas clinique en médecine de ville et aux urgences malgré la flambée du variant delta et la totale disproportion entre une menace virtuelle (une simulation !) et des mesures gravement attentatoires aux droits fondamentaux.

Ne laissez pas la France, anciennement pays des lumières et des droits de l’homme, devenir la risée du monde en rejoignant les deux théocraties islamiques qui sont les seules à appliquer une telle obligation.

Interrogée sur l’obligation vaccinale qui va être imposée en France au personnel soignant, Angela Merkel s’est montrée catégorique : « Nous n’avons pas l’intention de suivre la voie que la France vient de proposer. »





Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 JOEL SAGET]

Le projet de loi sur le pass sanitaire est actuellement examiné à l’Assemblée nationale. Et ce malgré les réserves de la CNIL et du Défenseur des droits. Pour l’avocat en santé publique Fabrice Di Vizio, très présent sur le front du mouvement anti-pass sanitaire, le gouvernement «assied un pouvoir totalitaire». Rien que cela.

300 amendements discutés en 10 heures de débat: à l’Assemblée nationale, les nuits sont courtes pour les députés chargés d’examiner en urgence le millier d’amendements déposés pour le projet de loi relatif à «la gestion de la crise sanitaire».

Un texte rédigé par le gouvernement dans la foulée de l’allocution d’Emmanuel Macron du 12 juillet. Il prévoit notamment l’obligation vaccinale pour les soignants et personnels d’établissements recevant du public, l’extension du pass sanitaire à ces mêmes lieux (cafés, restaurants, musées, etc.) et l’isolement forcé des cas positifs.

Ce mercredi 21 juillet, la présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été entendue par les membres de la commission des Lois du Sénat. De manière générale, Marie-Laure Denis invite les parlementaires à s’assurer que la restriction des libertés individuelles est «proportionnée». Une proportionnalité qui, selon la CNIL, dépend «grandement du caractère gratuit ou payant des tests de dépistage.» Or, le gouvernement avait déjà annoncé que les tests antigéniques et PCR allaient devenir payants à l’automne. Même son de cloche du côté du Défenseur des droits, Claire Hédon. Dans un avis rendu le 20 juillet dernier, celle-ci relève «dix points d’alerte» et s’interroge «tant sur la méthode que sur la proportionnalité de la plupart des dispositions et restrictions présentes dans le texte.»

«L’État de droit s’est éteint»

Pour l’avocat en droit de la santé publique Fabrice Di Vizio, en tête de cortège à Paris lors de la manifestation du 17 juillet dernier contre le pass sanitaire, l’heure est plus que jamais à la «mobilisation». Interview.

Sputnik: La présidente de la CNIL a estimé que le nouveau dispositif prévu par le gouvernement est une atteinte «particulièrement forte aux libertés et aux droits fondamentaux». Partagez-vous ce point de vue?

Fabrice Di Vizio: 

«Est-ce que la CNIL est complotiste et “antivax” quand elle dit cela? Cela fait un an et demi que l’on est nombreux à dire qu’il y a une inflation dans les mesures liberticides. 150.000 personnes à Paris [18.000 selon le ministère de l’Intérieur, ndlr] ont dit la même chose dans la manifestation du 17 juillet dernier. On se fait pointer du doigt comme des irresponsables. La CNIL et le Défenseur des droits s’inquiètent de cette atteinte particulièrement sévère aux libertés. J’aimerais bien que l’on me donne la définition d’un régime dans lequel les libertés sont à ce point menacées. Comme je suis soi-disant le fer de lance des “antivax”, je n’ai peut-être pas le droit de le dire. Pourquoi le ministre de la Santé n’a pas chassé cette dame qui a osé de venir traiter le gouvernement de liberticide devant les sénateurs? Et le Défenseur des droits, qu’attend-on pour le supprimer? Selon la logique du Président de la République, il faudrait chasser toutes ces voix discordantes!»

Contrôle des populations, «le rêve de la société moderne»

«Le gouvernement s’assied avec allégresse sur les institutions censées être gardiennes de l’équilibre des droits et des devoirs. Et ensuite, lorsque j’ose utiliser le terme de “tyrannie”, on me traite de tous les noms. Nous avons un renversement total des valeurs: l’État de droit s’est éteint. Le variant delta a été une circonstance bien commode pour venir asseoir un pouvoir totalitaire. Ceux qui ne sont pas d’accord n’ont qu’à reprendre le sens des mots! Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie.»

Sputnik: La CNIL recommande aussi aux parlementaires de contraindre le gouvernement à fournir une évaluation de l’efficacité des «différents dispositifs numériques» que celui-ci a mis en place pour lutter contre la pandémie. N’avez-vous pas le sentiment que l’on assiste plutôt à des lourdeurs bureaucratiques dont le sens échappe parfois aux citoyens?

Fabrice Di Vizio: 

«Les tyrannies technocratiques, ça existe aussi. La machine administrative, quand elle est au service d’une idéologie unique, fonde une tyrannie. Dans un État de droit, c’est le Parlement (donc la représentation nationale) qui décide. Dans la tyrannie, la bureaucratie nommée par le Prince s’auto-entretient sans aucun contrôle du Parlement et c’est elle qui décide de tout. N’est-ce pas ce qui se passe en ce moment?»

Sputnik: On pourrait vous rétorquer que le motif invoqué par le gouvernement est la santé publique et la protection de la population face à la pandémie.

Fabrice Di Vizio: 

«Quand on considère que les vaccinés ne sont plus cas contact, c’est encore de la santé publique? Face à un variant qu’on nous décrit comme plus contagieux, pour quelle raison les vaccinés seraient exonérés d’isolement s’ils sont cas contact? L’OMS et le CDC [agence gouvernementale américaine en matière de protection de la santé publique, ndlr] disent pourtant le contraire. Israël ferme ses frontières aux vaccinés et aux non-vaccinés, la quarantaine est obligatoire pour les gens qui arrivent en Angleterre en provenance de la France. Qui décide alors?

Ce n’est plus de la science, c’est de la tyrannie. Et la tyrannie naît quand la cause finale n’est plus la recherche du bien commun. Le pass sanitaire étendu à tous a-t-il jamais fait la preuve de son efficacité? A-t-on un exemple dans l’Histoire où une pandémie s’est arrêtée grâce à un dispositif pareil? Nous avons érigé le mensonge en règle de gouvernement. La vérité, c’est que la santé des Français est devenue une variable d’ajustement.»

Sputnik: L’Assemblée nationale a rejeté un amendement de la députée Emmanuelle Ménard qui visait à mettre fin au pass sanitaire une fois la pandémie sous contrôle. Pensez-vous vraiment que ce dispositif est voué à perdurer?

Fabrice Di Vizio: 

«Bien sûr. C’est le rêve de la société moderne que d’exercer un contrôle sur les populations! Connaissez-vous une mesure temporaire qui n’est pas devenue définitive avec le temps? Il suffit de voir le Patriot Act aux États-Unis [loi antiterroriste votée dans la foulée du 11 septembre 2001 et qui permet notamment aux autorités américaines de détenir sans limites et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste, ndlr]. La loi était censée être temporaire et limitée aux seuls cas de terrorisme. En définitive, le Patriot Act a été utilisé par les Américains pour asseoir leur pouvoir dans le monde.»

Vers une société à deux vitesses?

«On nous parle de l’équilibre entre une société de droits et une société de devoirs. Sauf qu’aujourd’hui, des droits, j’en vois très peu. Le seul droit que les citoyens aient depuis un an et demi, c’est de se taire et de subir les vicissitudes de ce gouvernement incapable de gérer la crise. L’heure n’est plus à discuter, elle est à se mobiliser et à récupérer un pouvoir qui nous a été retiré depuis maintenant un an et demi. Nous allons lutter avec les armes du droit et de la démocratie.

Au titre de ces armes figure le fait de bloquer le pays, s’il le faut. Il y a une abdication totale des contre-pouvoirs et de toute forme d’opposition dans ce pays. Pardonnez mon indignation, mais il faut arrêter de faire de la liberté une discussion de salon. Des gens sont morts pour la liberté. La tyrannie prend toujours le même chemin: celui d’une abdication de l’opposition, du bon sens et de la critique du pouvoir.»

Sputnik: Pensez-vous que nous sommes à l’aube d’un nouveau mouvement social, de l’ampleur des Gilets jaunes, voire plus large encore?

Fabrice Di Vizio: 

«C’est aux Français de savoir dans quel monde eux et leurs enfants veulent vivre. J’en profite pour dire que le traitement médiatique de la manifestation du 17 juillet a été indigne.

Le problème, au fond, c’est que l’on va créer une société de classes. Vous pensez que les gens qui ont de l’argent vont se laisser intimider et pénaliser? Concrètement, ce sont ceux que l’on qualifie avec mépris de “petites gens” qui subissent la crise. C’est une lutte des classes, rien d’autre. On se demande encore ce qu’attendent les syndicats, visiblement apeurés à l’idée de froisser le pouvoir. Rappelez-vous Péguy: “Il faut toujours dire ce que l’on voit; il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit”. Est-ce qu’on ne voit pas que c’est une société à deux vitesses que l’on est en train de créer?»


[Voir aussi : Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]




« C’est une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience » : Le député LREM Pacôme Rupin s’oppose au “pass sanitaire”

[Source : Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie]

Par Olivier Demeulenaere

« Je crois que le pass sanitaire va fracturer notre pays. C’est un changement majeur de société. Des millions de citoyens vont devoir surveiller le statut sanitaire de millions de citoyens. Les convictions différentes sur le vaccin vont partager les Français en deux, entre ceux qui auront des autorisations et ceux qui auront des interdictions pour aller et venir dans un certain nombre d’établissements recevant du public. Des milliers de citoyens vont potentiellement perdre leur emploi s’ils ne veulent pas se faire vacciner et je ne peux donc me résoudre à cet extrême qui créera un précédent qui est pour moi une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé ».



pacome rupin