Covid-19 – Partager l’expérience ? Quelle idée…

[Source : mediapart.fr]

De façon assez manifeste, durant cette crise du Covid-19, un mécanisme brille par son absence : le partage d’expérience.

On aurait pu imaginer qu’un organisme international (OMS ou autre), une ONG ou un site Internet recueille les diverses mesures prise par chaque pays (les confinements, les ports de masque, mais aussi les traitements mis en œuvre, les surcroîts de ventes observés pour divers médicaments etc.), et que ces informations soient accessibles.

On aurait aussi pu s’attendre à ce que les médias s’intéressent à l’évolution de divers pays ayant adopté des mesures différentes.

Et pourtant, c’est le contraire qui se passe : il est extrêmement difficile de savoir ce qui se passe ailleurs, et plus encore ce que se fait ailleurs.

Inde

Parfois, cette absence d’information prend des proportions étranges. Ainsi, comme on l’a signalé, voilà plus d’un mois que l’Inde, en pleine flambée épidémique, a inclus deux médicaments (l’ivermectine et la budesonide) dans ses recommandations de traitement précoce, c’est-à-dire pour les patients atteints de formes légères de Covid-19 (Fig.1).

Fig.1 Extrait des recommandations du Ministère indien de la Santé © Ministry of Health and Family Welfare

(Ces recommandations, initialement publiées le 23 avril 2021, ont été mises à jour le 19 mai, sans changement sur l’ivermectine et la budesonide.)

En Inde déjà, plusieurs états avaient officiellement adopté l’ivermectine comme traitement précoce depuis le mois d’août 2020, en remplacement de l’hydroxychloroquine. C’est notamment le cas de l’état le plus densément peuplé de l’Inde, l’Uttar Pradesh, dont le bilan durant la vague épidémique qui a frappé l’Inde à partir de mars a été modéré : 18516 décès enregistrés entre le 1er mars et le 29 mai 2021, pour 237 millions d’habitants. (En comparaison, sur la même période, le bilan de l’état du Maharashtra est de 41846 décès, pour 123 millions d’habitants ; et la France a déclaré 22563 « décès Covid », pour 67 millions d’habitants.)

Médias aveugles ou muets

On ne peut pas reprocher aux médias français d’avoir trop parlé de cette politique de traitements précoces récemment adoptée en Inde.
On peut par exemple faire l’expérience de taper « Inde » et « ivermectine » sur un moteur de recherche…
On n’y trouvera pas cet article de France Info, qui signale le reflux spectaculaire de l’épidémie à New Delhi, sans mentionner le récent changement de position de l’Inde sur les traitements précoces.

Quant à l’OMS, elle réussit un exploit. Elle publie le 7 mai 2021 un article sur l’Uttar Pradesh, titré « l’Uttar Pradesh sur la dernière ligne droite pour arrêter le Covid-19 », décrivant la politique sanitaire mise en œuvre dans l’état avec l’aide de l’OMS : à partir du 5 mai 2021, 141.610 équipes mobiles devaient faire du porte à porte dans les villages de l’Uttar Pradesh pour dépister les habitats, donner un « kit de médicaments » aux personnes testées positives, et presser les autres de se faire vacciner. Et cet article parvient à ne pas mentionner les mots « ivermectine » ou « budesonide »…

Selon TrialSiteNews, la presse indienne elle-même semble ne pas connaître le nom des molécules recommandées par le Ministère indien de la Santé depuis avril, et chercher ailleurs des explications du spectaculaire retournement de situation en Inde.

Parce que l’Inde va mieux, indéniablement. Le nombre de cas détectés chute depuis le 8 mai (Fig.2), et le nombre de décès a commencé à suivre, depuis le 23 mai (Fig.3).

Fig.2 – Evolution du nombre de cas de Covid détectés en Inde © OurWorldInData.org
Fig.3 – Evolution du nombre de décès Covid en Inde © OurWorldInData.org
Fig.4 – Mortalité du Covid en Inde, état par état © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/

Il est intéressant d’examiner en détail la situation des différents états indiens, notamment pour ceux dont on connaît la politique spécifique en matière de lutte contre le Covid-19. Car les états indiens ont des politiques, des bilans et des évolutions contrastés (Fig.4). Bien qu’il manque un outil de partage des expérience, on peut trouver quelques informations. On sait par exemple que :

– l’état de Goa a décidé*, le 13 mai 2021, d’aller au-delà des préconisations du gouvernement central indien, et de distribuer de l’ivermectine non pas seulement en traitement précoce (aux personnes atteintes du Covid-19) mais en traitement préventif à tous les adultes. Quinze jours après, la Haute-Cour a validé le principe du traitement à l’ivermectine. (Autres sources.) Par ailleurs, l’état — qui a été l’un des plus touchés d’Inde lors de la reprise épidémique — vient de prolonger le couvre-feu jusqu’au 7 juin.

– l’état d’Uttarakhand a semble-t-il décidé de l’imiter, mais son site gouvernemental n’en fait pas mention — du moins pas en anglais. Il est intéressant de le suivre, car c’est dans cet état que se tient cette année le pèlerinage de Kumbh Mela, qui rassemble des millions de visiteurs venus de toute l’Inde.

– l’état du Maharashtra, comme le relate cet article, applique les directives du gouvernement central indien concernant l’utilisation de l’ivermectine en traitement précoce, mais la Haute Court rendra en juin sa réponse à une demande d’autoriser l’ivermectine en traitement préventif aux côtésde la vitamine D.

– l’état du Tamil Nadu, inversement, à refusé d’appliquer les directives de Ministère indien de la Santé, et en guise de traitement précoce, ne préconise que le zinc et la vitamine C. Le taux d’incidence du Tamil Nadu, qui était en dessous de la moyenne indienne, a dépassé cette moyenne dès le 7 mai, et en est le triple au 30 mai.

Pour plus de lisibilité, on a isolé ces états et quelques autres sur des graphiques représentant l’évolution des taux d’incidence (nombre de cas détectés par million d’habitants, Fig.5) et le taux de mortalité quotidien (nombre de « décès Covid » par million d’habitants, Fig.6).

Fig.5 – Taux d’incidence dans quelques états de l’Inde © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/
Fig.6 – Taux de mortalité dans quelques états de l’Inde © Enzo Lolo d’après https://www.covidindiastats.com/

Il faut se garder de considérer que la politique officielle d’un état s’applique à la population de façon immédiate et exhaustive, mais on peut commencer par supposer qu’il existe un lien entre les recommandations d’un état et la proportion de la population qui a recours aux traitements recommandés. Il est donc raisonnable (même si on ne dispose pas de preuve et qu’il conviendrait d’étudier d’autres facteurs explicatifs) de faire, en première hypothèse, le lien entre la hausse observée au Tamil Nadu et le refus des traitements précoces par son gouvernement local.

Mexique

Un phénomène semblable plonge l’expérience du Mexique dans l’ombre . On a certes beaucoup entendu parler du Mexique lors de la vague qui l’a frappé cet hiver, mais on a moins entendu parler du fait que l’ivermectine a été adoptée par plusieurs états et par la sécurité sociale mexicaine à partir de fin décembre 2020. Un article de Capital, mentionnant l’expérience du Chiapas, fait figure d’exception.

L’étude de Merino et al., menée avec la Ville de Mexico, sur plus de 230.000 patients testés positifs, dont 77.000 ont reçu un kit de traitement (ivermectine + azithromycine) et faisant état de son expérience, selon laquelle le traitement a réduit de 75 % le risque d’hospitalisation chez les personnes testées positives, n’a pas eu énormément d’écho dans les grands médias.

Faisant suite à plusieurs billets précédents (iciici ou ), on poursuivra ici la veille sur l’évolution du Covid-19 au Mexique, à partir des données officielles du gouvernement mexicain, reprises de façon plus maniable sur cette page.

Fig.7. Extrait de la page « Coronavirus » du gouvernement central mexicain, 30 mai 2021 © Gouvernement du Mexique

Rappelons que le gouvernement central mexicain continue à considérer qu’aucun traitement n’existe (Fig.7) et que les seuls médicaments à prendre sont destinés à alléger les symptômes. Il est suivi par la plupart des états qui composent le Mexique, avec quelques exceptions : le Chiapas dès Juillet 2020, suivi à partir de fin décembre par la Ville de Mexico, puis par l’état d’Aguascalientes et celui de Guanajuato, mais surtout par l’IMSS (la sécurité sociale du secteur privé), qui ont inclus l’ivermectine et l’azithromycine dans leurs recommandations de traitement précoce. L’IMSS, qui a des centres de dépistage dans tous les états et qui y distribue des kits de traitement à toute personne recevant un test positif, a donc un impact potentiel sur tout le pays — sans pour autant avoir la maîtrise de la politique sanitaire. Les Mexicains ont d’ailleurs d’autres centres de dépistage que ceux de l’IMSS, et contrairement à ces derniers, certains centres ne leur fourniront pas de kit de traitement précoce en cas de tests positif.

Qu’observe-t-on au Mexique ?

Une tendance est manifeste : depuis la mi-janvier, « ça baisse » (Fig.8).

Fig.8 – Taux d’incidence au Mexique, état par état © Enzo Lolo, d’après les données du gouvernement mexicain. Source : https://github.com/mariorz/covid19-mx-time-series/commits?author=mariorz

Ce graphique représente le taux d’incidence pour chaque état du Mexique et permet devoir que la baisse est continue, et particulièrement marquée pour la Ville de Mexico, qui a quitté sa place de pire état du Mexique depuis quelques semaines. C’est encore plus net pour la mortalité (Fig.9), qui a atteint son plus bas niveau depuis les prémisses de l’épidémie en mars 2020. On est bien plus bas qu’au moment « d’accalmie » de l’automne 2020. Pourtant deux ou trois états semblent moins profiter de cette baisse générale.

En particulier, l’état de Quintana Roo, au Sud Est du Mexique, est en hausse depuis 3 mois.

Fig.9 – Mortalité au Mexique, état par état © Enzo Lolo, d’après les données du gouvernement mexicain. Source : https://github.com/mariorz/covid19-mx-time-series/commits?author=mariorz

Il faudrait se pencher en détail sur ce qui s’y passe. On sait que le gouvernement local de cet état ne préconise pas les traitements précoces, qu’il y a même des campagnes de désinformation sur l’ivermectine, comme par exemple ce message (Fig.10)*

Fig.10 – Message du groupe Facebook « Covid Quintana Roo » © « Covid Quintana Roo »
Fig.11 – Compte Twitter de l’IMSS du Quintana Roo © Twitter

publié par un groupe Facebook se présentant comme émanant de pneumologues et cardiologues ; on sait aussi que le compte de l’IMSS du Quintana Roo a été suspendu par Twitter (Fig.11) ; mais il serait hasardeux d’affirmer que seuls les habitants du Quintana Roo seraient sujets à de telles pressions. Une évaluation de la part des patients recevant (et prenant) un traitement précoce dans chaque état serait une information précieuse, mais elle ne semble pas disponible.

Ce serait d’autant plus précieux que les médias mexicains ne sont pas très diserts sur le fait qu’un traitement précoce a été largement mis en œuvre. D’après un article de TrialSiteNews, les médias mexicains ne font même pas état de la spectaculaire amélioration de la situation ! On trouve par ailleurs une dépêche de Bloomberg attribuant le recul rapide de l’épidémie à l’immunité post-infection, à la vaccination (bien qu’environ 16% des mexicains aient reçu une dose de vaccin), au réchauffement météorologique et… à la proximité avec les USA. Les traitements ne sont même pas mentionnés comme hypothèse.

On gardera donc le doute sur ce qui se passe au Quintana Roo. Et pour rester rigoureux, on précisera que le lien entre le recul de l’épidémie et les traitements précoces, que ce soit au Mexique, en Inde ou ailleurs, reste une hypothèse. Mais que cette hypothèse est cohérente avec toutes les observations faites dans divers pays, mais surtout avec les preuves scientifiques, apportées par des méta-analyses et des revues systématiques publiées, concluant à la grande efficacité de l’ivermectine face au Covid-19, notamment en traitement précoce.

Brésil

Suite à deux précédents billets (ici et ), voici un aperçu de la situation au Brésil (Fig.12).

Fig.12 – Mortalité du Covid-19 au Para, en Amazonas et dans les autres états brésiliens © Enzo, Lolo, d’après les chiffres du gouvernement brésilien. Source : https://covid.saude.gov.br/

L’étude d’Emmmerich s’était arrêtée au 15 mars 2021. Depuis, même si les chiffres ont évolué et partiellement atténué l’effet qu’il décrivait, le constat reste le même : l’état du Pará a traversé la deuxième vague brésilienne avec nettement moins de pertes que l’état voisin de l’Amazonas. Le Pará a fait une deuxième vague plus tardive que l’Amazonas (ce qu’Emmerich n’avait pas pu voir), mais nettement moins haute. Et, si le bilan de cette vague n’est plus 5 fois pire, il est encore 2,2 fois plus élevé en Amazonas qu’au Pará : 1949 décès par million d’habitants entre le 1er décembre et le 29 mai en Amazonas, contre 879 au Pará. Un indice supplémentaire : depuis juin 2020, après l’organisation de la mise en œuvre des traitements précoces, le Pará n’est plus jamais repassé au-dessus de la moyenne brésilienne en termes de mortalité.

Zimbabwe

On n’a pas encore abordé le cas du Zimbabwe sur ce blog. Il est singulier : l’ivermectine, qui y était interdite, a été autorisée fin janvier, après la mort de trois ministres emportés par le Covid-19 lors d’une vague inédite. La chute des décès dus au Covid a dès lors été plus rapide et plus durable que pour ses voisins (Fig. 13).

Fig.13 Mortalité du Covid au Zimbabwe et chez ses voisins © OurWorldInData.org

Pourquoi le Zimbabwe a-t-il été plus touché, en janvier 2021 que la Zambie et le Mozambique, mais moins que le Botswana et l’Afrique du Sud, cela mériterait une enquête poussée (quelle fiabilité des données, quelles politiques de santé publique, quels traitements distribués, contre le Covid ou contre d’autres maladies avec un possible effet sur le Covid…) Sauf éléments concrets permettant d’en douter, une chose semble lisible : à partir de janvier, le Zimbabwe a rejoint le groupe des pays voisins les moins touchés par le Covid-19 et y est resté.


*le document provient du site du gouvernement de Goa, sous le lien « Pro-Active Measures Adopted By Govt On Covid-19 »

** Sur ce post, on peut lire « Non à l’ivermetine« , puis « La publication qui a tout commencé, sur l’effet in vitro de l’Ivermectine contre SARS-CoV-2 est officiellement RETRACTÉE« . Ce qui est faux : l’image reproduite est tirée d’une autre étude, effectivement rétractée avant même d’être publiée, mais sans lien avec l’étude de Caly et al. qui a « tout commencé ».




Interview de Zach Bush par Robert F. Kennedy, Jr. : « Nous devons nous éloigner du paradigme Santé de Big Pharma »

[Source : Miss Red Pill — InfoVF]

Dans le dernier épisode de la deuxième saison de « TRUTH » avec Robert F. Kennedy Jr, ce dernier a interviewé le Dr Zach Bush, de renommée internationale. https://childrenshealthdefense.eu/?lang=…

Kennedy et Bush abordent un large éventail de sujets, notamment :

– le rôle crucial de l’inflammation dans la maladie ;
– comment le glyphosate perturbe le microbiome intestinal ;
– l’histoire largement incomprise du virus de la polio ;
– la prise de contrôle par l’industrie pharmaceutique du système de réglementation de la santé ;
– Bill Gates et ses amis scientifiques qui jouent sur un échiquier en 2 dimensions alors que notre microbiome est un système tridimensionnel ;
– la Covid-19.

Zach Bush MD est un médecin spécialisé en médecine interne, en endocrinologie et en soins palliatifs. C’est un éducateur de renommée internationale et un leader d’opinion sur le microbiome en relation avec la santé, la maladie et les systèmes alimentaires. Le Dr Zach Bush a fondé le *Seraphic Group et l’organisation à but non lucratif Farmer’s Footprint afin de développer des solutions pour la santé humaine et écologique.

◾Vidéo Originale : https://youtu.be/r6oQwNx65os

◾A voir aussi sur le site Children’s Health Defense EU : https://childrenshealthdefense.eu/aiovg_…






France : comment l’Éducation Nationale flique ses profs pour installer la cancel culture

[Source : ]

C’est un aspect peu connu de l’Éducation Nationale et de sa bureaucratie pédagogique, qui vaut pourtant le détour. Depuis l’inénarrable Luc Peillon, rien n’a bougé : le mammouth impose un « référentiel de compétences » des enseignants qui constitue une véritable arme de guerre pour faire régner la police de la pensée dans les rangs, et pour rétrécir au maximum les espaces de liberté des profs vis-à-vis de la bien-pensance vivre-ensembliste et snessienne. Ou comment une armée d’1 million de profs est équipée pour broyer toute forme d’esprit critique dans ses effectifs et pour imposer au goutte-à-goutte la cancel culture dominante dans la caste.

En 2013, le ministre socialiste de l’Éducation, Luc Peillon (qualifié de cerf-volant à piloter depuis le sol par l’un de ses proches collaborateurs) a imposé un « Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation » que Jean-Michel Blanquer n’a pas modifié. Ce texte, publié au Bulletin Officiel, sert aujourd’hui d’arme d’intimidation contre les enseignants qui refusent le diktat de la Cancel Culture et de la bien-pensance à outrance. Il faut absolument lire ce texte hallucinant, qui participe au naufrage éducatif dont nous sommes quotidiennement les témoins. 

Pourquoi un référentiel du métier de prof ?

En soi, l’édiction d’un « référentiel des compétences professionnelles » est une bonne idée, assez courante d’ailleurs dans le monde contemporain, qui permet de clarifier les attentes d’un employeur vis-à-vis de ses employés. C’est une démarche de transparence et d’explication sur qu’on attend d’un enseignant pour le considérer comme « un bon enseignant ». 

Dans le domaine éducatif, cette logique est salutaire. 

Ce qui est très instructif, c’est de détailler ce que la bureaucratie éducative y a rangé et consigné sous le quinquennat Hollande, et que personne n’a remis en cause depuis lors. 

Aux origines du référentiel français

Il faut lire attentivement le référentiel français pour noter qu’il découle d’un référentiel européen un peu mystérieux, contenu dans un avis du Parlement européen datant de 2006 ! La lecture de cet avis ne manque d’ailleurs pas d’intérêt, car le texte du Parlement est assez concis, plein d’ambitions, et empreint d’idées que nous pouvons assez facilement partager. 

Pour le comprendre, on lira ici les compétences clés attendues d’un enseignant selon le Parlement européen :

Les compétences sont définies en l’occurrence comme un ensemble de connaissances, d’aptitudes et d’attitudes appropriées au contexte. Les compétences clés sont celles nécessaires à tout individu pour l’épanouissement et le développement personnels, la citoyenneté active, l’intégration sociale et l’emploi.

Le cadre de référence décrit huit compétences clés:

  1. Communication dans la langue maternelle;
  2. Communication en langues étrangères;
  3. Compétence mathématique et compétences de base en sciences et technologies;
  4. Compétence numérique;
  5. Apprendre à apprendre;
  6. 6Compétences sociales et civiques;
  7. Esprit d’initiative et d’entreprise; et
  8. Sensibilité et expression culturelles.

Les compétences clés sont considérées comme étant aussi importantes les unes que les autres, dans la mesure où chacune d’entre elles peut contribuer à la réussite de l’individu vivant dans une société de la connaissance.

On peut évidemment contester le jargon communautaire. Mais il a le bon goût de mettre en avant des compétences comme l’esprit d’initiative et d’entreprise qui font cruellement défaut à l’enseignement français, et dont il aurait bien besoin de s’inspirer. 

Le Parlement européen contre la cancel culture

Au passage, il n’est pas inintéressant (bien au contraire) de relever les affirmations du parlement européen sur le « Vivre Ensemble » et sa façon de l’aborder à l’école. Par exemple cette citation riche de sens :

La connaissance culturelle suppose d’avoir conscience du patrimoine culturel local, national et européen et de sa place dans le monde. Elle inclut une connaissance élémentaire des œuvres culturelles majeures, dont la culture populaire contemporaine. Il est essentiel de comprendre la diversité culturelle et linguistique en Europe et dans d’autres régions du monde, la nécessité de la préserver et l’importance des facteurs esthétiques dans la vie de tous les jours.

Loin d’occulter les patrimoines locaux, le Parlement européen a donc appelé à en préserver l’apprentissage et la transmission. Cette idée est saisissante, car elle contraste singulièrement avec ce que la machine éducative a pu en déduire en 2013, comme nous allons le voir.

Comment l’Éducation Nationale a « traduit » le référentiel

Ce qui frappe à la lecture du référentiel français, c’est qu’il simplifie, appauvrit et amenuise fortement toutes les affirmations gênantes du référentiel français, pour en faire un document manifestement « téléguidé » pour mettre au pas les enseignants. 

La reprise de la table des matières permet de mesurer la distance qui sépare l’ambition européenne et sa réduction française :

1. Faire partager les valeurs de la République
2. Inscrire son action dans le cadre des principes fondamentaux du système éducatif et dans le cadre réglementaire de l’école
3. Connaître les élèves et les processus d’apprentissage
4. Prendre en compte la diversité des élèves
5. Accompagner les élèves dans leur parcours de formation
6. Agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques
7. Maîtriser la langue française à des fins de communication
8. Utiliser une langue vivante étrangère dans les situations exigées par son métier
9. Intégrer les éléments de la culture numérique nécessaires à l’exercice de son métier
10. Coopérer au sein d’une équipe
11. Contribuer à l’action de la communauté éducative
12. Coopérer avec les parents d’élèves
13. Coopérer avec les partenaires de l’école
14. S’engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel

Et encore, ces compétences s’entendent pour « tous les professeurs ». Il faut ensuite distinguer les compétences spécifiques pour chaque catégorie d’enseignants (CPE, documentalistes, lycée, collège, etc.). Rien qu’à ce stade, on s’interroge sur la profusion de compétences attendues, et sur le glissement de sens d’un certain nombre d’expressions européennes. 

Par exemple, le Parlement européen recommandait d’être compétent dans la communication dans la langue maternelle. Cette compétence est devenue « maîtriser la langue française à des fins de communication » sous la plume de Peillon et de ses acolytes. Les deux expressions ne se valent pas : l’Europe préconise de communiquer, la France préconise de maîtriser la langue pour pouvoir communiquer. La nuance est de taille. 

Comment la Cancel Culture est introduite par Peillon

Ce qu’il faut surtout, c’est le détail de chacune de ces compétences, qui illustre comment la Cancel Culture a fait son introduction subreptice dans les programmes éducatifs, sous couvert de bienveillance et de bienpensance. 

Qu’il nous soit permis d’en donner une illustration précise et méthodique. 

Le lavage de cerveau commence dès le premier item, où il faut « faire partager les valeurs de la République ». Le petit livre rouge-vert de Luc Peillon détaille ainsi cet objectif :

Savoir transmettre et faire partager les principes de la vie démocratique ainsi que les valeurs de la République : la liberté, l’égalité, la fraternité ; la laïcité ; le refus de toutes les discriminations.

On comprend donc que le « refus de toutes les discriminations » est une valeur républicaine aussi importante que la liberté ou la laïcité. Cet ajout curieux en dit long sur le fourre-tout dans lequel l’imagination pédagogique contemporaine a organisé le « refus de toutes les discriminations », et la suite du texte illustre parfaitement ce que cette expression suggère à demi-mots. 

On découvre plus loin « qu’agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques » (compétence étrange, au demeurant, comme si respecter l’éthique était une compétence…), signifie notamment :

Se mobiliser et mobiliser les élèves contre les stéréotypes et les discriminations de tout ordre, promouvoir l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes.

Autrement dit, ne pas adhérer à la théorie du genre, et autres élucubrations à la mode relève de la faute professionnelle. Peu à peu se dessine la fourberie avec laquelle, sous couvert de déterminer les compétences des enseignants, le ministre pratique une reductio ad opinionem temporis [= position de réduction dans le temps de l’annonce]. 

Cancel culture jusqu’au bout des ongles

Mais l’injonction donnée aux enseignants (sur de très nombreuses pages) de refuser toutes les discriminations ne s’arrête pas à quelques mots creux. Elle est déclinée jusqu’aux pratiques pédagogiques elles-mêmes. 

Par exemple, les professeurs « praticiens experts des apprentissages », doivent savoir toiletter leur discipline pour :

Prendre en compte les préalables et les représentations sociales (genre, origine ethnique, socio-économique et culturelle) pour traiter les difficultés éventuelles dans l’accès aux connaissances.

Traduction : on oubliera soigneusement de préciser, en cours d’histoire, que le monde arabo-musulman a largement pratiqué l’esclavage des Noirs, car il faut tenir compte des « représentations sociales » de chacun dans l’enseignement. 

Ce point de doctrine est complété par la compétence suivante : 

Sélectionner des approches didactiques appropriées au développement des compétences visées.

Voilà un principe simple posé : il faut utiliser des « approches didactiques appropriées ». Tout un programme…

Bien entendu, ces exigences ne visent pas nommément la « Cancel Culture ». Elles permettent seulement de poser le cadre disciplinaire dans lequel les enseignants sont piégés s’ils refusent la culture de la discrimination positive, de la lutte contre les stéréotypes (cheval de bataille de tous les décolonialistes et racialistes du monde), et du Vivre Ensemble tel qu’il est conçu par la caste au pouvoir.

Comment la machine éducative met les profs au pas

Sans surprise, ces « compétences », dont le mot d’esprit critique est si terriblement absent (elle n’est utilisé que deux fois dans la liasse d’instructions données), permettent une véritable mise sous pression de tous les enseignants récalcitrants. Il nous a ainsi été donné de lire un rapport d’inspection où le rappel permanent du référentiel de compétences montre l’étendue des dégâts. 

Ces dégâts sont de deux ordres. 

Les premiers portent sur l’interdiction officielle de conduire des cours magistraux. L’enseignant qui expose un savoir pendant une heure est désormais en faute. Il doit préférer la « différenciation pédagogique »,  et « mettre en œuvre et animer des situations d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte la diversité des élèves ». Bref, tirer tout le monde vers le bas. 

Les seconds portent sur les contenus d’enseignement eux-mêmes, et nous touchons ici au cœur de la Cancel Culture. Par exemple, punaiser des affiches de péplum américain pour illustrer l’histoire de Rome est devenu une faute professionnelle. Il s’agit d’une façon de contester les principes fondamentaux du système éducatif. 

On croit rêver, et pourtant c’est vrai, nous l’avons lu dans un rapport ! Le flicage des enseignants au nom de la bienpensance est poussé jusqu’à cette extrémité de la Cancel Culture qui est de ne plus recommander un péplum hollywoodien à des collégiens pour les intéresser à l’histoire. Trop violent ! trop guerrier ! trop stéréotypé !

Nous serions d’ailleurs curieux de recevoir d’autres rapports d’inspection de ce genre. 

Éducation Nationale ou propagande pour la Cancel Culture

Après l’affaire Samuel Paty, on a pu nourrir certains doutes sur la place de la Cancel Culture (et de l’une de ses ramifications consistant à ne pas qualifier « d’islamistes » les attentats survenus en France depuis plusieurs années. Il semblait en effet que le rectorat de Versailles n’avait pas été complètement carré dans son soutien à l’enseignant. 

Dans la pratique, ce rectorat (où Emmanuel Macron a placé l’une de ses camarades promotion, après avoir adapté le décret sur l’emploi de recteur à sa situation), dispose d’un service chargé de pister les enseignants les moins dociles : le SAPAP. Ce service d’accompagnement personnalisé illustre une fois de plus la capacité de la bureaucratie à utiliser les moyens de l’enseignement public pour poursuivre d’autres fins que l’éducation. 

Et c’est peut-être ce qu’on peut reprocher aujourd’hui à Jean-Michel Blanquer : ne pas voir déconstruit les errements de l’ère Hollande, et avoir conforté un système où apprendre passe bien après formater les esprits. 




Les pirouettes des médias sur la provenance du virus montrent ce qui ne va pas dans le journalisme d’aujourd’hui

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Candice Malcolm

Tout ce qui ne va pas dans le journalisme d’aujourd’hui peut se résumer à un seul fait divers remarquable : la théorie de la fuite du COVID-19 d’un laboratoire en Chine.

Au cours des sept derniers jours, cette histoire a connu un incroyable virage à 180° en termes de crédibilité. Après avoir été discréditée et démystifiée pendant près de 18 mois par toutes les personnalités de la politique, des médias et des grandes entreprises technologiques, cette théorie est soudainement devenue une théorie dominante.

Remontons jusqu’en janvier 2020, date à laquelle le tout premier cas de coronavirus a été signalé au Canada. À l’époque, le COVID-19 était encore une histoire locale en Chine. Nous avons commencé à voir en ligne des images de la brutalité avec laquelle on traitait les personnes infectées et de l’odieuse pratique courante consistant à faire “disparaître” les journalistes et les dénonciateurs chinois.

Le récit de la Chine communiste était que ce mystérieux nouveau virus provenait d’un marché noir. À l’époque, j’ai noté le fait évident que Wuhan est le siège du seul laboratoire de haute sécurité pour les maladies infectieuses en Chine, l’Institut de virologie de Wuhan. Je pensais que c’était évident, en tout cas.

J’ai posé des questions simples sur ce laboratoire controversé, connu pour ses normes de sécurité laxistes et l’étude de maladies dangereuses, qui était situé à seulement 300 mètres du marché humide où le patient zéro a été infecté.

N’est-ce pas suspect ? On pourrait penser que les scientifiques, les chercheurs et les journalistes du monde entier commenceraient à examiner ce lien.

Après tout, la Chine est dirigée par une dictature communiste connue pour mentir et dissimuler les faits gênants. Il est certain que les penseurs éclairés de l’Occident remettraient en question leur récit et tenteraient de percer des trous dans leur théorie.

Imaginez donc ma surprise lorsque la totalité des grands médias – au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier – ont complètement ignoré ce lien. Pire encore, une campagne a été menée pour diffamer et discréditer toute personne soulevant des questions sur le laboratoire controversé de Wuhan.

La brigade des médias au Canada a systématiquement commencé à “démystifier” cette théorie. Des journalistes malhonnêtes ont écrit des articles qualifiant la théorie de la fuite du laboratoire de “non-sens”, de “désinformation” et de “canular”.

Ces journalistes, à qui le récent revirement de situation a prouvé qu’ils avaient tout faux, n’admettent pas leurs erreurs. Au lieu de cela, ils essaient d’assurer à leurs lecteurs qu’ils avaient raison depuis le début.

À ce stade, vous vous dites peut-être que ce ne sont pas des journalistes.

Les journalistes posent des questions, examinent les liens et agissent avec scepticisme face aux informations diffusées par les partisans, les politiciens et les régimes communistes.

Ce que nous avons vu à la place, ce sont les actions des anti-journalistes. Il y a eu trop d’exemples de journalistes intellectuellement malhonnêtes, moralement corrompus ou agissant comme des propagandistes de mauvaise foi qui méritent d’être raillés, ridiculisés et ignorés.

Mais cela ne s’arrête pas là. Certains scientifiques, que beaucoup considèrent comme exempts de toute influence politique, ont admis qu’ils avaient délibérément évité d’examiner plus tôt la théorie de la fuite en laboratoire simplement parce que d’éminents conservateurs la remettaient en question.

Et, pour ajouter l’insulte à l’injure, des géants des médias sociaux comme Facebook ont admis qu’ils cachaient de leur algorithme les publications qui parlaient du lien avec le laboratoire dans le but d’arrêter la propagation de la “désinformation”.

Il y a quelque chose de pourri dans l’État danois. Et toutes les grandes institutions – gouvernements, journalistes, scientifiques et big tech – sont complices de cette corruption.

Un simple mea culpa ne suffira pas. La vérité est là.

Pour en lire davantage :




Michel Onfray compare les non-vaccinés à des contaminateurs du Sida et des violeurs de jeunes filles

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D.

Mes amis, Michel Onfray continue sa cavalcade. Après avoir trahi ceux qui l’ont rejoint sur Front Populaire, accompagné par son acolyte et producteur Stéphane Simon, rien ne va plus. Si t’as mis tes billes dans sa boutique alors que tu pensais sauver la France face à la dictature sanitaire qui pointait son blair via le Covid-19, tu dois certainement te dire que tu t’es fait enfiler sévèrement. Alors je vais pas te menti : oui, et bien profond. T’aurais mieux fait d’mettre tes billes chez moi, elles n’auraient pas servi à faire la promotion de la vaccination ou du Pass sanitaire. On en voit d’la trahison, mais il faut avouer que celle-là est costaud. 

Le philosophe s’est mis du jour au lendemain avec le camp d’en face en se positionnant pour la picouse et le Pass sanitaire et critique désormais ceux qui ne se soumettent pas à la dictature sanitaire, comme étant des capricieux « d’enfants rois ».

Comme notre anarchiste du dimanche patauge dans sa trahison la plus crasse et ayant conscience que ses soutiens prennent leur cliques et leur claques après leur avoir fait miroiter une révolution qui s’est terminée à servir Macron et les élites — on est loin, très loin du libertarien anarchiste proudhonien —, c’est donc au tour de la philosophie du bégaiement et du non-sens de faire surface (à découvrir dans les vidéos ci-dessous). Car, comprenez bien une chose, quand tu mens, que tu trahis les tiens, que tu persistes dans le mensonge, tu auras beau nous sortir toutes tes histoires à la con, ça sentira comme dans les ruelles où tout le monde pisse pas loin d’la boîte de nuit. Mon pauvre Onfray, t’auras beau t’laver les mains quinze fois à l’hydroalcoolique, y’aura toujours cet arrière goût d’pisse.

Heureusement, cette époque malheureuse est révélatrice, nous pouvons contempler nos alliés et nos ennemis d’un seul coup d’œil… tout remonte à la surface et voici à quoi ressemblent aujourd’hui les non-vaccinés pour Onfray : « Des racailles, des contaminateurs conscients d’avoir le Sida ou des violeurs de jeunes filles. » Rien que ça !

https://twitter.com/Apolline095/status/1397290511359221772?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1397290783385006081%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es2_&ref_url=https%3A%2F%2Flemediaen442.fr%2Fmichel-onfray-compare-les-non-vaccines-a-des-contaminateurs-du-sida-et-violeurs-de-jeunes-filles%2F

Point Godwin atteint.

Pour terminer sur une anecdote sympatoche, le producteur Stéphane Simon m’avait contacté à plusieurs reprises pour rejoindre l’équipe d’Onfray et le joli casting en devanture — le p’tit Marcel du peuple qui a la gouaille pour faire rire, c’est le bon plan pour ratisser large —, mais voilà, j’avais refusé pour une simple et bonne raison, je savais que le « très radical » Michel, allait faire volte-face et dévier la colère populaire afin de la canaliser pour, au final, la trahir et rejoindre le camp ennemi. Pile-poil ce qui s’est passé ! Pour faire clair, le Front Populaire c’est clairement de la merde, c’est la « Résistance » contrôlée par le pouvoir. Barrez-vous de là et rejoignez Le Média en 4-4-2, là où la liberté n’est pas d’avoir un Qr-code ou un pass vaccinal pour bouffer une andouillette dans le resto du coin.

Marcel D.




Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé

[Source : anguillesousroche.com]

La plus grande entreprise alimentaire du monde, Nestlé, a reconnu dans un document interne que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons grand public ne répondent pas à une « définition reconnue de la santé » et que « certaines de nos catégories et certains de nos produits ne seront jamais “sains”, quelles que soient nos rénovations ».

Une présentation diffusée auprès des cadres supérieurs au début de l’année, consultée par le Financial Times, indique que seuls 37 % des produits alimentaires et des boissons de Nestlé en termes de revenus, à l’exclusion de produits tels que les aliments pour animaux de compagnie et la nutrition médicale spécialisée, obtiennent une note supérieure à 3,5 selon le système australien d’évaluation par étoiles de la santé.

Ce système, qui note les aliments sur cinq étoiles, est utilisé dans les recherches menées par des groupes internationaux tels que Access to Nutrition Foundation.

Nestlé, le fabricant des KitKats, des nouilles Maggi et de Nescafe, décrit le seuil de 3,5 étoiles comme une « définition reconnue de la santé ».

Dans son portefeuille global d’aliments et de boissons, quelque 70 % des produits alimentaires de Nestlé n’ont pas atteint ce seuil, selon la présentation, ainsi que 96 % des boissons – à l’exception du café pur – et 99 % du portefeuille de confiseries et de glaces de Nestlé.

L’eau et les produits laitiers ont obtenu de meilleurs résultats, 82 % des eaux et 60 % des produits laitiers atteignant le seuil.

« Nous avons apporté des améliorations significatives à nos produits, mais notre portefeuille ne répond toujours pas aux définitions externes de la santé dans un contexte où la pression réglementaire et les exigences des consommateurs montent en flèche », indique la présentation.

Les données excluent les préparations pour nourrissons, les aliments pour animaux de compagnie, le café et la division des sciences de la santé, qui fabrique des aliments pour les personnes souffrant de problèmes médicaux spécifiques. Cela signifie que les données représentent environ la moitié des 92,6 milliards de francs suisses (84,35 milliards d’euros) de revenus annuels totaux de Nestlé.

Ces conclusions interviennent alors que les fabricants d’aliments doivent faire face à une pression mondiale pour combattre l’obésité et promouvoir une alimentation plus saine. Les dirigeants de Nestlé réfléchissent aux nouveaux engagements à prendre en matière de nutrition et comptent dévoiler leurs plans cette année.

Le groupe met également à jour ses normes nutritionnelles internes, connues sous le nom de Nestlé Nutritional Foundation, qui ont été introduites sous l’ancien directeur général Peter Brabeck-Letmathe, qui caractérisait Nestlé comme une « entreprise de nutrition, de santé et de bien-être ».

Une option pourrait consister à abandonner ou à remplacer ces normes pour les produits considérés comme des friandises, comme les confiseries, selon une personne au fait de la situation.

Mark Schneider, directeur général, a reconnu que les consommateurs souhaitaient une alimentation plus saine mais a rejeté les affirmations selon lesquelles les aliments « transformés », y compris ceux fabriqués par Nestlé et d’autres multinationales, ont tendance à être mauvais pour la santé.

Cependant, la présentation met en avant des produits Nestlé tels qu’une pizza DiGiorno à croûte de croissant aux trois viandes, qui contient environ 40 % de l’apport journalier recommandé en sodium, et une pizza Hot Pockets pepperoni qui en contient 48 %.

Un autre produit, une boisson San Pellegrino à l’orange, obtient un “E” – la pire note disponible dans le cadre d’un système de notation différent, Nutri-Score – avec plus de 7,1 g de sucre par 100 ml, indique la présentation, qui pose la question suivante : « Une marque de santé doit-elle porter une note E ? »

Par ailleurs, le Nesquik à la fraise de Nestlé, vendu aux États-Unis, contient 14 g de sucre dans une portion de 14 g, ainsi que de petites quantités de colorants et d’arômes, bien qu’il soit conçu pour être mélangé à du lait. Il est décrit comme « parfait au petit-déjeuner pour que les enfants soient prêts pour la journée ».

Nestlé a déclaré qu’elle « travaille sur un projet à l’échelle de l’entreprise pour mettre à jour sa stratégie pionnière en matière de nutrition et de santé. Nous examinons l’ensemble de notre portefeuille à travers les différentes phases de la vie des gens pour nous assurer que nos produits contribuent à répondre à leurs besoins nutritionnels et à soutenir une alimentation équilibrée ».

Une base solide

« Nos efforts s’appuient sur une base solide, fruit d’un travail de plusieurs décennies…. Par exemple, nous avons réduit de manière significative les sucres et le sodium dans nos produits au cours des deux dernières décennies, environ 14 à 15 % rien qu’au cours des sept dernières années. »

Marion Nestle (aucun lien de parenté), professeur invité de sciences nutritionnelles à l’université Cornell, a déclaré que Nestlé et ses rivaux auraient du mal à rendre leurs portefeuilles globalement sains.

« Le travail des entreprises alimentaires est de générer de l’argent pour les actionnaires, et de le générer aussi rapidement et en aussi grande quantité que possible. Elles vont vendre des produits qui touchent un public de masse et sont achetés par le plus grand nombre de personnes possible, que les gens veulent acheter, et c’est la malbouffe », a-t-elle déclaré.

« Nestlé est une entreprise très intelligente, du moins d’après les rencontres que j’ai eues avec des personnes travaillant dans leurs départements scientifiques… mais elle a un réel problème…. Les scientifiques travaillent depuis des années pour essayer de trouver comment réduire la teneur en sel et en sucre sans modifier le profil de saveur et, devinez quoi, c’est difficile à faire. »

Certains produits perçus comme sains, tels que les substituts de viande à base de plantes, sont des domaines de forte croissance pour les fabricants de produits alimentaires. Nestlé a vendu certaines de ses divisions qui fabriquaient des produits moins sains, comme une participation de 60 % dans la branche charcuterie de Herta en 2019.

Nestlé a été classé en tête des grands fabricants mondiaux d’aliments et de boissons dans un indice 2018 des efforts déployés pour encourager une meilleure alimentation, compilé par la Fondation pour l’accès à la nutrition, bien que la fondation ait averti que « toutes les entreprises doivent faire beaucoup plus ».

Nestlé a déclaré : « Ces dernières années, nous avons lancé des milliers de produits pour les enfants et les familles qui répondent à des critères de nutrition externes. Nous avons également distribué des milliards de doses de micronutriments via nos produits abordables et nutritifs. »

Et d’ajouter : « Nous pensons qu’une alimentation saine implique de trouver un équilibre entre bien-être et plaisir. Cela inclut d’avoir un peu de place pour les aliments indulgents, consommés avec modération. Notre direction n’a pas changé et est claire : nous continuerons à rendre notre portefeuille plus savoureux et plus sain. »

Source : The Irish Times – Traduit par Anguille sous roche




Le fondateur d’un chapitre de Black Lives Matter démissionne et déclare que BLM ne se soucie pas vraiment des Noirs

[Source : anguillesousroche.com]

« Ils se soucient peu de la reconstruction des familles noires. »

Le fondateur d’un chapitre de Black Lives Matter à St. Paul dit qu’il a démissionné après avoir découvert la « vilaine vérité » sur l’organisation, à savoir qu’elle ne se soucie pas des Noirs.

Rashad Turner a publié une vidéo révélant la vérité sur BLM après avoir passé un an au sein de l’organisation.

Turner a expliqué comment il s’est efforcé de s’éduquer et de devenir une réussite personnelle malgré une naissance dans des circonstances extrêmement difficiles.

« Ma mère n’était pas en mesure de s’occuper de moi, alors j’ai été élevé par mes grands-parents. Ils m’ont dit que si je voulais changer ma vie pour le mieux, l’éducation était la solution. J’ai donc travaillé dur à l’école. Je suis entré à l’université Hamline et j’ai obtenu un diplôme universitaire, le premier de ma famille. J’ai ensuite obtenu une maîtrise en éducation à l’université St. Mary’s du Minnesota. Je suis la preuve vivante que, quel que soit votre départ dans la vie, une éducation de qualité est la voie de la réussite”, a-t-il déclaré.

Turner a ensuite expliqué que cette éthique de l’éducation des jeunes Noirs était non seulement absente de BLM, mais qu’elle s’y opposait activement.

« En 2015, j’ai été l’un des fondateurs de Black Lives Matter à St. Paul. Je croyais que l’organisation défendait exactement ce que son nom implique, les vies noires comptent », explique Turner. « Cependant, après un an à l’intérieur, j’ai appris qu’ils se souciaient peu de la reconstruction des familles noires, et qu’ils se souciaient encore moins de l’amélioration de la qualité de l’éducation pour les étudiants de Minneapolis.

« Cela est apparu clairement lorsqu’ils ont dénoncé publiquement les écoles à charte, aux côtés du syndicat des enseignants. J’étais un initié de Black Lives Matter, et j’ai appris la vilaine vérité : le moratoire sur les écoles à charte ne soutient pas la reconstruction de la famille noire, mais il crée des obstacles à une meilleure éducation pour les enfants noirs. »

Comme nous l’avons fait valoir de manière exhaustive, bien que la plus grande menace violente pour les Noirs soit les criminels noirs, BLM élude activement et met à l’index toute discussion sur ce sujet.

Cela s’est à nouveau produit au début du mois, lorsqu’un leader de BLM au Royaume-Uni a été abattu d’une balle dans la tête par quatre membres d’un gang noir.

La cofondatrice de Black Lives Matter, Patrisse Cullors, a également été récemment contrainte de quitter son poste de directrice exécutive de la Black Lives Matter Global Network Foundation après avoir utilisé l’argent généré par son activisme pour acheter de nombreuses demeures, dont l’une était située dans l’une des régions les plus blanches de Californie.

Un récent sondage a révélé que le soutien de l’opinion publique américaine à Black Lives Matter est au plus bas depuis deux ans.




La parabole de l’arbre pour comprendre ce qui nous arrive

[Source : Académie du gaullisme (academie-gaullisme.fr)]

Il faut d’abord remercier l’armée française d’avoir généré ceux qui font le constat précis de notre délitement général avant de solliciter une réaction rapide et réelle :

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, assez d’atermoiements, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Il faut la remercier aussi d’avoir généré ceux qui préfèrent en souligner les causes profondes :

Ce qui met mortellement en péril la France, c’est tout simplement le libéralisme effréné qui est inscrit dans le marbre des traités dits européens se traduisant par la désindustrialisation du pays tout autant que par l’abaissement de notre langue, l’emploi du globish par les médias, la publicité envahissante et … le chef de l’État lui-même. C’est aussi la destruction de l’outil de l’énergie nucléaire et la politique d’auto-flagellation au plus haut niveau et en toute occasion, c’est encore le délitement de l’éducation nationale et de la politique de santé publique, c’est enfin la mise en résidence surveillée de 66 millions de Français avec port obligatoire de la muselière.

Les uns soulignent la ramure, les autres, les racines. Ils ont évidemment tous raison et regretter la forme d’un arbre ne s’oppose pas à en chercher les causes dans ses racines.

Mais il n’y aurait ni ramure ni racines s’il n’y avait pas de sève pour fabriquer l’une à partir des autres, Or la sève de cet arbre dont les branches, les feuilles, les fruits et les racines posent problème, pour ne pas dire qu’ils sont quasiment pourris, cette sève vitale et empoisonnée est la véritable cause du désastre actuel que l’on peut voir en effet sous différents angles. Cette sève, c’est l’argent qui pour la première fois dans toute l’histoire de l’humanité n’a pas très rapidement disparu lorsqu’il n’a plus été lié à une richesse préexistante. Il y aura exactement 50 ans le 15 août prochain, le dollar auxquelles quasiment toutes les monnaies étaient liées, a été décroché de l’or, richesse préexistante à laquelle il était lié. Les Européens, oubliant Bretton Woods, ont créé l’euro en le liant consciencieusement (ou perfidement, ou bêtement) aux anciennes monnaies qui n’étaient liées à plus rien. Toutes les monnaies mondiales ont suivi et doivent donc disparaitre comme ont disparu les billets de Law, les assignats et tous les papiers-monnaies puisque les politiciens en fabriquent systématiquement toujours plus que le constat de la richesse préexistante ne l’autorise. Ils sont tellement sensibles, pour rester en place, aux demandes de « moyens » qui leur arrivent de partout, qu’ils ne savent que céder en faisant fonctionner la « planche à billets » qui est simplement devenue digitale.

Les banques centrales comme les banques commerciales sont devenues aujourd’hui les fabricants incessants de monnaies fondées uniquement sur une confiance aussi claironnée que mensongère. On dissimule au peuple que toutes les banques, ayant un bilan équilibré, inscrivent toujours, en même temps, en créance à recouvrer, ce qu’elles inscrivent comme argent créé et distribué. Les créances des banques centrales sont toujours de futurs impôts. Les Politiques sont donc écartelés entre leur discours racoleur de baisse d’impôts toujours promise et leur autre discours du « quoi qu’il en coûte » et du « déblocage » d’argent inexistant qui est mathématiquement une annonce masquée d’impôts futurs nouveaux.

La création monétaire actuelle est exclusivement fondée sur des impôts futurs ou du travail humain futur, ce qui signifie en clair l’appauvrissement du peuple, sa mise en esclavage ou un retour à l’esclavage des autres. Le jeu de glaces pervers du PIB que l’on présente comme une création de richesse alors qu’il n’est que la somme des dépenses, ne peut faire longtemps illusion.

Illusion ! Le mot est lâché. Il décrit tout cet arbre dont la sève est illusoire comme sa ramure et ses racines. Seule l’avalanche de monnaie devenue fausse donne l’illusion que les folies sont réalistes, voire même réalisables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le libéralisme serait ce qu’il devrait être, un échange véritable et libre, reconnu comme utile par les deux parties. Mais le libre-échange est devenu un échange illusoire entre des biens et des services véritables et des monnaies frelatées forçant à la désindustrialisation des uns et à l’esclavage des autres.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais on aurait inventé le prêt sur richesses futures alors que dans toutes les civilisations il n’y avait jamais eu que des échanges que sont les prêts sur gage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais l’Union Européenne ne serait ce monstre de milliers de fonctionnaires bruxellois non élus et surpayés dans leur paradis fiscal. Ils imposent aux autres un enfer qu’ils ignorent et qui est composé de restrictions de libertés et d’anesthésies par distribution d’argent.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, le dieu dollar et sa mère la City, ne régneraient pas en maîtres imposant le « globish » l’abaissement des langues qui ne sont pas la leur et le matraquage publicitaire cherchant à récupérer à leur profit le travail des peuples.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, l’immobilier, les actions en bourse et les œuvres d’art, tout ce que les puissants recherchent en ayant accès à la monnaie, n’auraient pas doublé voire triplé de prix en 20 ans en créant non seulement une crise du logement mais une crise de la natalité dans les classes moyennes.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais Emmanuel Macron n’aurait été élu monarque républicain, ce que furent tous les rois de France puisque la république n’est que la chose commune. Le monarque républicain Louis XIV avait moins de pouvoirs qu’Emmanuel 1er pénalement irresponsable et décidant secrètement en conseils de défense où personne n’a pénalement le droit de dévoiler ce qui s’y dit vraiment. Va-t-on déconstruire l’histoire pour que la fausse monnaie lui fasse une place honorable dans une vérité reconstruite ?

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, on ne fausserait pas le jeu des énergies avec des énergies renouvelables subventionnées sans limites pour casser une source nucléaire que le monde entier nous enviait et nous imite aujourd’hui en souriant de notre soumission à des écologistes irresponsables.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne nous pourrions pas vivre l’équilibre actuel imbécile de nous flageller nous-mêmes sur ce que nous avons apporté à nos anciennes colonies pendant que nous recevons sans limites tous ceux qui préfèrent vivre chez nous que chez eux grâce à la fausse monnaie qu’on leur distribue si généreusement et qui en attire chaque jour davantage.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous n’aurions pas une éducation nationale avec plus d’administratifs que d’enseignants. Les premiers domestiquent les seconds pour un résultat de plus en plus mauvais en dépit d’un temps de plus en plus long passé par la jeunesse à leur faire apparemment confiance.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, c’est toute l’administration non régalienne qui perdrait son obésité et le peuple pourrait contribuer à une administration régalienne actuellement pressurée et méprisée alors qu’elle est la seule utile.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les gouvernements n’auraient pu avoir la politique sanitaire stupide d’interdire de vivre pour empêcher de mourir en laissant une situation inextricable aux suivants. Interdire l’énergie humaine et la remplacer par l’énergie monétaire, ce qui est le principe du confinement, c’est ne pas savoir que l’énergie monétaire n’existe que par l’énergie humaine qu’elle véhicule et qu’il faudra trouver.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, jamais les associations de minorités ethniques, sexuelles ou religieuses, n’aurait pu être aussi visibles sans les subventions qu’on leur octroie pour faire vivre ces minorités les faire croitre croitre et parader au mépris de la majorité.

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne pourrions pas piller la Terre et nous fabriquer une vie facile avec une énergie et des matières premières payées avec une monnaie de singe inépuisable. Jean-Marc Jancovici s’attriste du pillage mais ne voit pas qu’il l’alimente lui-même en disant : « Du pognon, il y en a ».

Si la fausse monnaie ne coulait pas à flots, nous ne discuterions pas pour savoir si la monnaie est une marchandise, un signe ou une institution. Le seul point commun de toutes ces définitions distantes et médiocres est de négliger l’essentiel, à savoir l’origine de la force de l’argent qui n’est que la force humaine.

Quand on s’intéresse à un arbre, c’est à sa sève qu’il faut s’intéresser en premier. Elle est toujours le résultat du passé et le porteur de l’avenir. Elle nait de ses racines et génère sa ramure.

Marc Dugois, auteur
de L’inéluctable révolution : ne plus être les victimes consentantes des idéologies


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