Dossier vaccin enfants : poison ou protection ?

😳 Après avoir vu ça, je peux vous garantir que plus personne ne fera injecter un vaccin à son bébé.

Avec l’espoir évidemment que cette vidéo circule.

Et j’espère que le corps médical en prendra connaissance.

➡️ VACCINATION POUR LES ENFANTS :
9 choses à savoir sur la vaccination.

Tout le monde devrait être informé sur les vaccins, faites vos propres recherches et vérifiez ce que nous vous présentons !

1/ saviez-vous que la plupart des maladies avait déjà disparu grâce à une amélioration de l’hygiène ?

2/ Saviez-vous qu’aux États-Unis les bébés de la naissance à 15 mois, reçoivent 26 injections contre 14 maladies différentes ?

3/ Saviez-vous que parmi tous ces cocktails vaccinaux, aucune étude n’a été réalisée sur les effets secondaires ?

4/ Saviez-vous que le nombre de personnes atteintes d’autisme augmente de façon exponentielle chaque année ?
L’autisme touche 1 enfant sur 54.

5/ Saviez-vous qu’il n’y a pas d’autisme dans les communautés Amish ?

6/ Saviez-vous que le gouvernement américain a dû verser 4,5 milliards de dollars américains à titre de compensation financière à la suite de vaccinations qui ont mal tourné ?

7/ Saviez-vous que la même stratégie a été utilisée lors de la pandémie porcine en 2009 et la pandémie de Covid 19 ?

8/ saviez-vous que 58 % des décès de nourrissons sont survenus dans les 3 jours suivants la vaccination, et 75 % dans la semaine qui a suivi ?
Avez-vous déjà entendu parler du syndrome de mort subite du nourrisson ?

9/ Saviez-vous que les adjudants suivants sont utilisés dans les vaccins ?
Thiomersal, Formaldéhyde, Aluminium, Tissu foetal. (

)

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[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]




Note sur des apprentis sorciers chinois maltraiteurs de souris

Par Joseph Stroberg

L’article https://www.epochtimes.fr/des-scientifiques-chinois-revelent-leurs-experiences-menees-avec-un-virus-mortel-a-100-chez-les-souris-2514523.html mentionne une prétendue étude menée par de soi-disant « scientifiques » chinois qui démontrerait la fabrication d’un virus supposément très mortel.

Pour avoir une idée de la supposée valeur scientifique de ce genre d’expérimentation sordide et violente envers les animaux de laboratoire utilisés, voir C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

En gros résumé, ces apprentis sorciers utilisent une soupe chimique toxique supposée contenir des virus (par ailleurs jamais isolés et caractérisés avec la rigueur scientifique qui permettrait de valider la supposition. Voir UN ADIEU À LA VIROLOGIE [ÉDITION POUR EXPERT]) et l’injectent directement dans le corps de 4 malheureuses souris. Puis ils s’étonnent de les voir tomber malades et finissent par les euthanasier. Ils recommencent le même cirque avec huit nouvelles souris et charcutent leur cadavre pour attribuer les effets nocifs des poisons à de supposés virus.

Ils se sont bien gardés de pratiquer la moindre expérience de contrôle et surtout d’asperger une seule des souris au départ avec leur mixture (sans la lui injecter). En effet, dans les conditions naturelles, en dehors des vaccins, les supposés virus sont censés contaminer par simple contact ou par respiration. On s’attendrait donc logiquement à observer que si nous avions supposément affaire à un virus hypermortel créé à cet effet, la souris aspergée ne tarderait pas à contaminer les autres, et l’ensemble des animaux cobayes du labo tomberaient assez rapidement raides morts sans qu’il y ait besoin de les euthanasier.

Ces apprentis sorciers ont-ils testé cette approche beaucoup plus proche des conditions naturelles ? Ont-ils réalisé des expériences de contrôle pour notamment s’assurer que la mort des cellules de culture provenait bien d’un supposé virus, puis que les souris pouvaient se contaminer sans le recours à l’inoculation directe ? Niet ! Ils inoculent des poisons, euthanasient les empoisonnés qui avaient évidemment fini par en tomber malade, et établissent une généralité statistique sur la base de quelques spécimens euthanasiés ! Ceci n’a rien d’une démonstration scientifique, mais tout d’un rituel nocif ou d’une farce. Quel est le but de telles inepties ? Effrayer les gens ? Préparer une nouvelle « plandémie » basée sur une nouvelle hypothétique fuite de labo d’un virus mortel ?




Chloroquine, combien de morts ?

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Au tout début, nous y avons cru. À l’entame de l’année 2020, nous avons pensé que le Pr Didier Raoult faisait bien de « repositionner » l’hydroxychloroquine et de préconiser cette molécule en traitement de la nouvelle maladie venue de Chine. En découvrant rapidement qu’il s’agissait d’une fausse pandémie alimentée par une terreur irrationnelle, une méthode de dépistage bidon et des statistiques frauduleuses, nous avons cependant très vite remis en cause la nécessité de recourir à ce médicament non dénué de toxicité. Car oui, il faut le dire et le redire : l’HCQ n’est pas un bonbon pour la toux ni un banal remède à la malaria prescrit également contre le lupus érythémateux et la polyarthrite rhumatoïde. Dotée de dizaines d’effets indésirables potentiels, dont celui d’engendrer des détresses respiratoires (!), cette spécialité pharmaceutique chimique peut gravement léser ses consommateurs et peut même tuer ceux qui souffrent du cœur. On pense ce qu’on veut d’Agnès Buzin, mais l’ex-ministre française de la Santé n’a pas eu tort, fin 2019, de déclasser l’antipaludéen et de le ranger parmi les « substances vénéneuses » exigeant de sérieuses précautions d’usage. Depuis cette décision controversée, la recherche scientifique a encore mis en évidence que l’hydroxychloroquine avait des effets tératogènes et pouvait donc engendrer des malformations congénitales, tout comme la Thalidomide, le Distilbène ou la Dépakine de sinistre mémoire ! Les partisans inconditionnels du druide marseillais et de sa potion sont-ils bien conscients de prendre la défense d’un apprenti sorcier administrant à tour de bras un authentique poison ?

La potion n’était pas magique

En guise de plaidoirie pour sa molécule chérie, l’ancien patron de l’IHU phocéen invoque constamment des décennies de prescription sans conséquences sanitaires perceptibles. Mais en quoi cet argument est-il valable puisque des tas d’autres médicaments dangereux aujourd’hui interdits ont été longtemps prescrits avant qu’on ne découvre ou admette leurs ravages ? À juste titre, Didier Raoult a d’ailleurs accusé le paracétamol d’être une drogue plus dangereuse que sa protégée, or l’antalgique superstar vendu sans ordonnance est précisément un redoutable hépatotoxique qui mériterait d’être chassé des pharmacies ! Remède pire que le mal, l’HCQ est également soupçonnable d’occasionner plus de morts qu’elle ne sauve de vies, comme en atteste la nouvelle étude parue le 2 janvier dans la revue Biomedicine and Pharmacotherapy. Effectuée par des chercheurs lyonnais, cette étude arrive à la conclusion que l’hydroxychloroquine donnée en 2020 aux malades du covid a tué 17 000 d’entre eux, et ce seulement dans les six pays étudiés (Belgique, Turquie, France, Italie, Espagne et USA). Purement rétrospective et usant d’extrapolations hasardeuses, cette recherche a certes des faiblesses que n’ont pas manqué de pointer les défenseurs du Plaquenil et de son prescripteur-vedette. Le travail est notamment basé sur la méta-analyse parue en 2021 dans Nature Communications, alors que celle-ci avait inclus les deux études malhonnêtes de l’OMS (Recovery et Solidarity) recourant à des dosages trop élevés (quatre grammes sur trois jours au lieu de 2,4 grammes sur cinq jours). La récente étude française se base aussi sur des chiffres belges carrément erronés, ce qui a même suscité un « fact checking » du très covidiste et anti-Raoult journal Le Soir. Malgré ses erreurs et ses failles méthodologiques, la recherche en question ne mérite cependant pas d’être balayée d’un revers de main. Elle montre à tout le moins que le « remède miracle » n’en était pas un et qu’il a, plus que probablement, été contre-productif. Si la chloroquine avait performé au lieu de nuire, ce genre d’analyse aurait mis en lumière un impact favorable sur la mortalité au lieu d’indiquer l’inverse.

Des dégâts sous-estimés

Mais alors, comment expliquer que de nombreuses autres études, comme celle menée en Belgique par l’Institut Sciensano, ont bel et bien conclu à un effet positif de l’HCQ sur le taux de décès en hôpital ? Cela n’a rien de mystérieux à nos yeux. D’abord parce que les médecins hospitaliers savent que la dose fait le poison et qu’ils l’ont administré en respectant scrupuleusement la posologie conseillée. Ensuite parce que ces mêmes blouses blanches hospitalières sont parfaitement au courant de la cardiotoxicité du médicament et qu’ils ont prudemment évité de le distribuer aux insuffisants cardiaques. Et enfin, surtout, parce que les patients ont été soignés au lieu d’être laissés en plan ou directement mis sous respirateur artificiel ! Outre une action sur les états inflammatoires, cette prise en charge a permis d’activer l’effet placebo et de réduire drastiquement l’effet nocebo, comme je le postulais dès juin 2020 dans mon infolettre intitulée « Le vrai protocole Raoult ». Si le druide a fait cinq fois mieux dans son IHU-Méditerrannée qu’à Paris et dans l’est de la France, c’est certainement aussi parce que l’hydroxychloroquine a été employée en lieu et place des antiviraux comme le Redemsivir, médoc encore bien plus toxique et inapte, lui, à favoriser l’assimilation du zinc. Bref, la très iatrogène HCQ a fait illusion parce qu’elle a évité une iatrogénie encore plus prononcée. Mais seulement à l’hôpital ! Non sans raison, le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie au CHU de Bordeaux, a fait remarquer que l’étude lyonnaise ne tenait pas compte des malades mis sous chloroquine par leurs médecins traitants et décédés d’un arrêt cardiaque « en ville ». Leur nombre est inconnu. À ces victimes non comptabilisées, il faudrait aussi ajouter les patients qui se sont procuré le médicament sous le manteau et l’ont consommé « sauvagement » à leur détriment. Et comme l’étude menée à Lyon ne s’est pas penchée non plus sur les décès survenus en Inde et au Brésil, deux pays où la molécule antipalu s’achète à tous les coins de rue, le bilan humain global est sans doute bien plus lourd que redouté. Lorsque le Pr Molimard évalue le passif mondial de l’HCQ à « des centaines de milliers de morts excédentaires », je ne pense pas qu’il exagère et je trouve navrant que de nombreux résistants et lanceurs d’alerte crient au complot et à l’intox. Il tombe sous le sens que la potion meurtrière a contribué à autoréaliser la pseudo-pandémie et à remplir les cimetières.

L’éthique a trop bon dos

Dans son argumentaire, Didier Raoult fait systématiquement appel à l’éthique pour justifier sa décision de ne pas procéder à un essai clinique. Selon ce raisonnement louable, il était moralement inadmissible de ne pas traiter tous les covidés et de faire perdre aux malades des chances de guérison. Avec une rigueur toute soviétique, les patients admis ont donc été soumis au même protocole thérapeutique « compassionnel ». Personnellement, je trouve l’esquive un peu facile. Sans groupe contrôle ne recevant pas le médicament, il est impossible de discerner son effet réel et ses inconvénients. Sans randomisation (tirage au sort des participants) ni double aveugle (ni le patient ni le soignant ne savent qui reçoit quoi), il est vain d’espérer atteindre l’objectivité. À défaut de produit inactif, l’IHU aurait pu tester une autre molécule garantie inoffensive, voire une plante bienfaisante comme l’Artemisia. Contrairement à ce qu’a parfois suggéré Raoult, les essais cliniques contre placebo en double insu et randomisés offrent le plus haut niveau de preuve scientifique en « Evidence Based Medicine ». De son côté, l’épidémiologiste et chercheur émérite Michel de Lorgeril ne cesse de rappeler cette vérité élémentaire. La différence entre ces deux fortes têtes ? Le premier critique peu la vaccinologie tandis que le second l’a prise en grippe depuis qu’il en examine les fondements. Dans ses ouvrages sur les vaccinations, le Dr de Lorgeril dénonce en effet l’absence de véritable contrôle dans le développement des vaccins. Et c’est aussi ce que dénoncent les auteurs israéliens du livre « Des tortues jusqu’en bas » : selon leur remarquable enquête appuyée par des centaines de références, les vaccins ne sont JAMAIS comparés à de véritables placebos, ce qui permet de faire croire à leur efficacité et surtout de dissimuler leur insécurité. En agissant de la sorte, l’industrie vaccinale et les instituts de recherche qu’elle stipendie bafouent l’éthique médicale au lieu de la servir. D’une certaine manière, le Panoramix marseillais a commis un crime similaire en omettant de vérifier l’innocuité de sa potion prétendument miraculeuse. Lorsque l’histoire de la mascarade sera écrite, je crains malheureusement que son nom soit associé à une partie de l’hécatombe faussement imputée à un pathogène inexistant…




Explosion de turbo-cancers chez les médecins canadiens vaccinés à 99,9 %

[Source : @ledeclencheur]

L’oncologue William Makis qui a diagnostiqué plus de 20 000 patients atteints de cancer au cours de sa carrière, déclare :

« Je n’ai jamais rien vu de tel… je n’ai jamais vu de cancers du sein de stade 4 chez des femmes d’une vingtaine d’années. Je n’ai jamais vu de cancers du côlon au stade 4 chez des hommes et des femmes de 20 à 30 ans. Des leucémies qui vous tuent en quelques jours, voire en quelques heures, après le diagnostic. »






Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Bill Gates et Epstein : 30 ans de trafic, de chantage et d’espionnage avec les services secrets

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Et si le chantage lié à la prostitution de mineurs tenait tout le réseau du pouvoir global ? Cet article de Whitney Webb parcourt les liens de Jeffrey Epstein, un agent des services israéliens, avec le monde de la politique, de l’informatique et de la santé.

Whitney Webb est une journaliste américaine indépendante qui a un site nommé « Unlimited Hangout ». Elle a écrit 2 volumes majeurs intitulés « One Nation Under Blackmail ». Il y a près de 1000 pages décrivant le réseau de corruption et de criminalité qui gangrène la gouvernance américaine et mondiale par un système de chantage basé sur le trafic sexuel et l’espionnage informatique. Il s’agit d’un des plus longs articles publiés sur ma page, mais il est impératif de citer des détails et des sources dans ce genre de dossiers. Par ailleurs, on tombe à la renverse à chaque paragraphe.

Voici une photo de 2011 prise à l’appartement d’Epstein à Manhattan, publication du NY times :
À gauche c’est Larry Summers ancien secrétaire du Trésor et ancien Président l’université de Harvard (et non Leon Black, le directeur d’Apollo management, un fonds d’investissement de la CIA). Black a démissionné depuis la révélation de ses liens avec Epstein (à qui il a versé plus de 150 millions de $). Au milieu, Jeffrey Esptein, Bill Gates et à droite Boris Nicolic, un médecin qui a été conseiller scientifique de Gates qu’Epstein avait désigné comme exécuteur testamentaire.

Vous apprendrez dans cet article que :

  • Mélinda Gates a divorcé à temps par peur d’être impliquée dans le procès Epstein.
  • Bill Gates et Jeffrey Epstein se connaissaient depuis le début des années 1990, notamment par l’intermédiaire de Ghislaine et Isabelle Maxwell.
  • Jeffrey Epstein et toute la famille Maxwell sont au service du Mossad : Robert Maxwell, le magnat de la presse assassiné, Isabel et Christine, Ghislaine, leurs enfants.
  • Isabel Maxwell était propriétaire de Touchcomm, un logiciel d’espionnage qu’elle a vendu à Microsoft. Isabel Maxwell est aussi une « pionnière de la technologie », conseillère pour le Forum économique mondial.
  • Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990
  • Epstein et Bill Gates étaient « très liés » aux Clinton et ont beaucoup travaillé ou investi ensemble, avec leurs fondations.
  • Epstein s’est baladé avec le bras droit de Gates/Microsoft en Russie.
  • Epstein a été impliqué dans la recherche scientifique, la génétique et les neurosciences
  • Des clubs comme A Small World et Edge fund (financé par Epstein) ont réuni tout un petit monde que l’on cite beaucoup dans des dossiers pédophiles : Harvey Weinstein, Jeffrey Epstein, Lynn de Rotschild, Nicole Junkerman, Paul Allen (Microsoft), Naomi Campbell, Andnan Kashogghi… enfin tous les noms déjà cités dans les dossiers de pédophilie.

ET beaucoup d’autres choses encore…

Melinda Gates divorce à cause de la relation de Bill avec Epstein

Une série de révélations concernant les liens entre Bill Gates et Jeffrey Epstein ont été faites après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Cependant, des preuves substantielles suggèrent que l’association Gates-Epstein a en fait commencé des décennies avant 2011 et qu’elle est toujours censurée par les médias grand public.

Non pas dans le but de protéger Bill Gates, mais plutôt dans le but de protéger Microsoft.

Au début du mois de mai 2021, l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates, après vingt-sept ans de mariage, a choqué à la fois ceux qui louent et ceux qui détestent le couple de pouvoir « philanthropique ».

Moins d’une semaine après l’annonce initiale du divorce, le 7 mai, le Daily Beast a rapporté que Melinda Gates aurait été « profondément troublée » en apprenant la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein, responsable d’un trafic de mineurs et agent de renseignements. Le rapport suggère que Melinda a été l’une des principales raisons de la décision de son mari de prendre ses distances avec Epstein vers 2014, en raison de son malaise avec Epstein après qu’ils l’aient tous les deux rencontré en 2013. Cette rencontre, qui n’a jamais été rapportée, avait eu lieu dans le manoir d’Epstein dans l’Upper East Side de New York.

Le Daily Beast a également révélé que les détails du divorce des Gates avaient été décidés plusieurs semaines avant l’annonce officielle. Puis, le 9 mai, le Wall Street Journal a publié la nouvelle selon laquelle les plans de divorce remontaient encore plus loin, Melinda ayant consulté des avocats spécialisés en la matière depuis 2019. Cette consultation aurait eu lieu après que les détails de la relation de Bill Gates avec Jeffrey Epstein eurent attiré l’attention des médias grand public, notamment du New York Times.

Si les grands médias s’accordent apparemment pour dire que Jeffrey Epstein a probablement joué un rôle dans la séparation des Gates, ces mêmes médias refusent de parler de l’étendue réelle de la relation entre Bill Gates et Jeffrey Epstein. Selon la presse mainstream, les liens entre Bill Gates et Epstein remonteraient à 2011, alors que les preuves indiquent que leur relation a commencé des décennies plus tôt.

Ce refus général de rendre compte honnêtement des liens entre Gates et Epstein est probablement dû au rôle prépondérant de Gates dans l’actualité, tant en termes de politique de santé mondiale liée au COVID-19 qu’en tant que promoteur et bailleur de fonds majeur de « solutions » technocratiques controversées à un grand nombre de problèmes sociétaux. Il est cependant plus probable que la nature de la relation entre Gates et Epstein avant 2011 soit encore plus scandaleuse que ce qui s’est passé par la suite, et qu’elle ait des implications majeures non seulement pour Gates, mais aussi pour Microsoft en tant qu’entreprise et pour certains de ses anciens cadres dirigeants.

Cette dissimulation particulière s’inscrit dans la volonté évidente des médias d’appareil à ignorer l’influence manifeste qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell ont exercée et, sans doute, continuent d’exercer dans la Silicon Valley. En effet, les personnes qui ont fondé les géants de la technologie tels que Google, LinkedIn, Facebook, Microsoft, Tesla et Amazon ont toutes des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroits que d’autres.

Le présent article synthétise un ensemble de propos qui sont développés dans les deux tomes One Nation Under Blackmail que j’ai consacré au réseau de chantage international et américain qui lie le monde de la finance, de la politique, de la criminalité et des renseignements.

Le mystère de l’Evening Standard

En 2001, l’article sans doute le plus important qui ait jamais été écrit sur Jeffrey Epstein est paru en janvier 2001. Il portait principalement sur la relation de Ghislaine Maxwell et de Jeffrey Epstein avec le prince Andrew, a été publié dans l’Evening Standard de Londres. Cet article du journaliste Nigel Rosser n’a jamais été rétracté et a été publié bien avant la première arrestation d’Epstein et le début de sa notoriété publique. Il a néanmoins été retiré du site web de l’Evening Standard et ne peut plus être trouvé que sur les bases de données de journaux professionnels. En octobre 2019, j’ai mis à la disposition du public un PDF de cet article et de plusieurs autres articles relatifs à Epstein qui ont été supprimés.

On peut aussi le télécharger ici : Télécharger

Les principales déclarations faites dans l’article montrent clairement pourquoi il a été retiré d’Internet, apparemment à la suite de la première arrestation d’Epstein en Floride. Rosser présente Epstein comme « un promoteur immobilier et financier new-yorkais immensément puissant », un clin d’œil au passé d’Epstein sur le marché immobilier new-yorkais. Plus loin dans l’article, il note qu’Epstein « a un jour prétendu avoir travaillé pour la CIA, bien qu’il le nie aujourd’hui », l’une des nombreuses raisons probables pour lesquelles l’article a été retiré d’Internet bien avant la deuxième arrestation d’Epstein en 2019.

Une grande partie de l’article souligne la proximité d’Epstein et de Maxwell avec le prince Andrew et suggère que les deux exerçaient une influence considérable sur le prince, en grande partie en raison du rôle de Maxwell en tant « qu’entremetteur ». L’article indique que Maxwell « manipulait » le prince et qu’elle agissait probablement pour le compte d’Epstein ».

Une ligne se démarque cependant en tant que le premier indice majeur permettant de démystifier la véritable origine de la relation entre Gates et Epstein. Peu après avoir présenté Epstein dans l’article, Rosser déclare qu’Epstein « a gagné de nombreux millions grâce à ses relations d’affaires avec des personnes telles que Bill Gates, Donald Trump et le milliardaire de l’Ohio Leslie Wexner, dont il dirige le trust ».

Les relations de Wexner et de Trump avec Epstein avant 2001 sont bien connues et remontent respectivement à 1985 et 1987. Les médias grand public continuent toutefois de rapporter que Gates et Epstein se sont rencontrés pour la première fois en 2011 et ont refusé de suivre les pistes fournies par Nigel Rosser. Je suis personnellement au courant de cette rétention d’informations dans une certaine mesure, puisqu’un journaliste de la BBC m’a contacté en 2019 pour obtenir des détails sur cet article de 2001 de l’Evening Standard, que j’ai fournis. À ce jour, la BBC n’a jamais fait état du contenu de cet article. Il convient de noter que la BBC a reçu pendant des années des millions de dollars de financement de la part de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Non seulement l’article de Rosser n’a jamais été rétracté, mais ni Gates, ni Trump, ni Wexner n’ont contesté les affirmations contenues dans l’article à l’époque, c’est-à-dire bien avant qu’Epstein ne devienne célèbre. En outre, le fait que Gates soit cité aux côtés de deux proches associés d’Epstein connus à l’époque — Donald Trump et Leslie Wexner — suggère que les liens de Gates avec Epstein avant 2001 étaient suffisamment importants pour justifier sa mention aux côtés de ces deux autres hommes.

Outre l’article du Evening Standard, Maria Farmer, une victime d’Epstein qui a été employée par Epstein et Maxwell de 1995 à 1996, a déclaré se souvenir avoir entendu Epstein mentionner Bill Gates d’une manière qui laissait entendre qu’ils étaient des amis proches et qui lui donnait l’impression que le cofondateur de Microsoft pourrait bientôt se rendre dans l’une des résidences d’Epstein.

Microsoft, McKinley, et Isabel Maxwell

Outre ces deux éléments de preuve essentiels, il y a également le fait qu’avant l’article du Evening Standard, Gates avait déjà un lien documenté avec une entreprise dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell, dans laquelle Ghislaine avait une participation financière, ce qui peut donner un indice sur la nature des « liens commerciaux » auxquels Nigel Rosser a fait allusion. En outre, la nature étrange de la relation de Gates avec Isabel Maxwell, qui a des liens avec le scandale d’espionnage du logiciel PROMIS et avec les services de renseignement israéliens, est documentée dans un article publié en 2000 par le Guardian.

Les sœurs jumelles Christine et Isabel Maxwell, ainsi que leurs maris de l’époque, ont créé le groupe McKinley en janvier 1992. Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la société-écran Information on Demand, utilisée par leur père Robert Maxwell pour vendre au gouvernement américain le logiciel PROMIS, qui contenait une « backdoor » (ou logiciel d’espionnage). Après la mort de Robert Maxwell, Christine et Isabel « voulurent se diversifier et reconstruire » et voyaient en McKinley « une chance de recréer un peu de l’héritage de leur père ».

Le groupe McKinley n’était cependant pas seulement une entreprise d’Isabel, de Christine et de leurs maris, puisque Ghislaine Maxwell avait également « un intérêt substantiel » dans la société, selon un article du Sunday Times publié en novembre 2000. Ce même article notait également que Ghislaine, tout au long des années 1990, avait « construit discrètement un empire commercial aussi opaque que celui de son père » et qu’« elle est secrète au point d’en devenir paranoïaque et ses affaires sont profondément mystérieuses ». Elle a choisi de se décrire « comme une “opératrice Internet” » pendant cette période, même si « son bureau à Manhattan refuse de confirmer le nom ou la nature de son activité ».

Ghislaine Maxwell et sa famille, ses sœurs Isabel et Christine en 2019 à Londres.

Un autre article, paru dans The Scotsman en 2001, note séparément que Ghislaine « est extrêmement secrète sur ses affaires et se décrit comme une opératrice Internet ». Le degré d’implication de Ghislaine dans les affaires du groupe McKinley n’est pas clair. Toutefois, à cette époque, elle menait avec Jeffrey Epstein une opération de chantage sexuel liée aux services de renseignement, et leurs finances se chevauchaient considérablement, comme l’indiquent les rapports de presse de l’époque et ceux qui ont suivi.

McKinley a créé ce qui est devenu l’annuaire Internet Magellan, dont on se souvient comme du « premier site à publier de longues critiques et évaluations de sites web ». L’approche « contenu à valeur ajoutée » de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, ce qui a donné lieu à des « alliances majeures » avec AT&T, Time Warner, IBM, Netcom et le réseau Microsoft (MSN), qui ont toutes été négociées par Isabel Maxwell. L’alliance majeure de Microsoft avec McKinley s’est concrétisée à la fin de 1995, lorsque Microsoft a annoncé que Magellan alimenterait l’option de recherche du service MSN de l’entreprise.

Les efforts de McKinley pour devenir le premier moteur de recherche à entrer en bourse ont échoué, ce qui a déclenché un conflit entre Christine Maxwell et le mari d’Isabel, qui a également eu pour conséquence que l’entreprise s’est retrouvée derrière d’autres leaders du marché. En conséquence, McKinley n’a pas eu la possibilité de faire une deuxième tentative d’introduction en bourse. Excite, qui a ensuite été rachetée par AskJeeves, a finalement acheté le groupe McKinley et Magellan en 1996. On dit que c’est Isabel Maxwell qui a rendu l’opération possible, le PDG d’Excite à l’époque, George Bell, affirmant que c’est elle seule qui a sauvé l’achat de McKinley.

Malgré l’échec de McKinley, les jumelles Maxwell et d’autres actionnaires de la société, dont Ghislaine Maxwell, ont non seulement obtenu un paiement de plusieurs millions de dollars grâce à l’opération, mais ils ont également noué des liens étroits avec les flambeurs de la Silicon Valley. On ne sait pas si l’argent que Ghislaine a reçu de la vente a été utilisé pour poursuivre l’opération de chantage sexuel qu’elle menait alors aux côtés de Jeffrey Epstein.

Après la vente de McKinley/Magellan, les liens manifestes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignements américains et israéliens se sont considérablement renforcés. Les liens d’Isabel avec Microsoft ont également perduré après la vente du groupe McKinley. Elle est devenue présidente de l’entreprise technologique israélienne CommTouch, dont le financement était lié à des personnes et des groupes impliqués dans l’affaire d’espionnage nucléaire de Jonathan Pollard. CommTouch, un « obscur développeur de logiciels » fondé en 1991 par d’anciens officiers de l’armée israélienne, s’est concentré sur « la vente, la maintenance et l’entretien de logiciels clients de messagerie autonomes pour les ordinateurs centraux et personnels ». L’entreprise a spécifiquement courtisé Isabel parce qu’elle était la fille du « super-espion » israélien Robert Maxwell. Isabel avait des raisons similaires de rejoindre l’entreprise, déclarant à Haaretz que diriger l’entreprise lui donnait « une chance de poursuivre l’engagement de son père en Israël ».

De toutes les alliances et de tous les partenariats qu’Isabel a négociés au cours de ses premières années à CommTouch, ce sont ses relations avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch « sur la carte ». Les cofondateurs de Microsoft ont cependant fait bien plus que mettre CommTouch « sur la carte », puisqu’ils sont essentiellement intervenus pour empêcher l’effondrement de son introduction en bourse, un sort qui avait frappé la précédente entreprise d’Isabel Maxwell, le McKinley Group, peu de temps auparavant. En effet, CommTouch n’a cessé de repousser son introduction en bourse jusqu’à l’annonce, en juillet 1999, d’un investissement massif de la part d’entreprises liées au cofondateur de Microsoft, Paul Allen.

Selon un rapport de Bloomberg, les investissements de Vulcan et Go2Net d’Allen ont suscité un regain d’intérêt pour la vente d’actions et pour CommTouch, jusqu’à présent un obscur développeur de logiciels, et ont également gonflé le cours de leurs actions juste avant leur entrée en bourse. L’argent des sociétés liées à Allen a été spécifiquement utilisé « pour développer les ventes et le marketing et renforcer sa présence sur les marchés internationaux ». La décision d’Allen d’investir dans CommTouch semble étrange d’un point de vue financier, étant donné que l’entreprise n’avait jamais réalisé de bénéfices et qu’elle avait enregistré des pertes de plus de 4 millions de dollars l’année précédente. Pourtant, grâce à l’investissement opportun d’Allen et à sa coordination apparente avec les retards répétés de l’introduction en bourse de la société, CommTouch a été évaluée à plus de 230 millions de dollars lors de son introduction en bourse, contre 150 millions de dollars quelques semaines avant l’investissement d’Allen.

Paul Allen and Nicole Junkermann at Cinema Against AIDS
Cannes in Cannes, France. Source : Vocal Media

On ne sait pas exactement pourquoi Paul Allen s’est porté au secours de l’introduction en bourse de CommTouch et ce qu’il espérait tirer de son investissement. Il convient toutefois de souligner qu’Allen est devenu par la suite l’un des membres d’une communauté d’élite en ligne créée en 2004 et appelée A Small World, qui comptait également parmi ses membres Jeffrey Epstein et des personnalités liées à Epstein, telles que Lynn Forester de Rothschild et Naomi Campbell, ainsi que Petrina Khashoggi, la fille d’Adnan Khashoggi, un ancien client d’Epstein. Le principal actionnaire d’A Small World était Harvey Weinstein, le magnat des médias aujourd’hui en disgrâce, qui était un partenaire commercial d’Epstein et qui a depuis été condamné pour viol et abus sexuel. À peu près à la même époque, Paul Allen a été photographié avec Nicole Junkermann, une associée d’Epstein, qui était elle-même une agente des services de renseignement.

Moins de trois mois après les investissements d’Allen dans CommTouch, en octobre 1999, la société a annoncé qu’elle avait conclu un accord majeur avec Microsoft. En décembre 1999, Microsoft a annoncé qu’elle avait investi 20 millions de dollars dans CommTouch en achetant 4,7 % de ses actions. Cette annonce a fait passer le cours de l’action CommTouch de 11,63 dollars à 49,13 dollars en l’espace de quelques heures. Une partie de cette transaction avait été finalisée par Richard Sorkin, récemment nommé directeur de CommTouch. Sorkin venait de devenir multimillionnaire suite à la vente de Zip2, la première entreprise d’Elon Musk dont il était le PDG.

Il semble en outre que Bill Gates, alors à la tête de Microsoft, ait personnellement investi dans CommTouch sur insistance d’Isabel Maxwell. Dans un article publié en octobre 2000 dans le Guardian, Isabel « plaisante sur le fait d’avoir persuadé Bill Gates de faire un investissement personnel » dans CommTouch au cours de cette période.

L’article du Guardian note ensuite curieusement, à propos d’Isabel Maxwell et de Bill Gates :

« Dans un faux accent du sud [Isabel] ronronne : Il doit dépenser 375 millions de dollars par an pour continuer à échapper aux impôts, pourquoi ne pas m’autoriser à l’aider ? Elle éclate de rire ».

Étant donné que des personnes aussi riches que M. Gates ne peuvent bénéficier d’une « exonération fiscale » et que cet article a été publié peu après la création de la Fondation Bill & Melinda Gates, les déclarations d’Isabel suggèrent que c’est le Bill & Melinda Gates Foundation Trust, qui gère les fonds de dotation de la fondation, qui a réalisé cet investissement considérable dans CommTouch.

En outre, il convient de souligner la manière étrange dont Isabel décrit ses relations avec M. Gates (« en ronronnant », avec un faux accent du Sud), décrivant ses interactions avec lui d’une manière que l’on ne retrouve dans aucune des nombreuses autres interviews qu’elle a accordées sur une grande variété de sujets. Ce comportement étrange peut être lié aux interactions antérieures d’Isabel avec Gates et/ou à la relation mystérieuse entre Gates et Epstein à cette époque.

Isabel Maxwell as CommTouch President

Après 2000, les activités et l’influence de CommTouch se sont rapidement développées, Isabel Maxwell attribuant par la suite aux investissements de Microsoft, dirigé par Gates, et de Paul Allen la bonne fortune de l’entreprise et le succès de ses efforts pour pénétrer le marché américain. Maxwell, citée dans le livre Fastalliances publié en 2002, déclare que Microsoft considérait CommTouch comme un « réseau de distribution » essentiel, ajoutant que « l’investissement de Microsoft nous a mis sur la carte. Il nous a donné une crédibilité instantanée et a validé notre technologie et nos services sur le marché ». À cette époque, les liens entre Microsoft et CommTouch s’étaient renforcés grâce à de nouveaux partenariats, notamment l’hébergement de Microsoft Exchange par CommTouch.

Bien qu’Isabel Maxwell ait réussi à obtenir des investissements et des alliances lucratives pour CommTouch et qu’elle ait vu ses produits intégrés dans des composants logiciels et matériels clés produits et vendus par Microsoft et d’autres géants de la technologie, elle n’a pas pu améliorer la situation financière désastreuse de l’entreprise. En 2006, l’entreprise était endettée de plus de 170 millions de dollars. Isabel Maxwell a quitté son poste à CommTouch en 2001, mais a conservé pendant des années un nombre important d’actions CommTouch, évaluées à l’époque à environ 9,5 millions de dollars. Aujourd’hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une « pionnière de la technologie » du Forum économique mondial.

Le directeur technique de Microsoft visite la Russie avec Epstein (Myhrvold, 1998)

Visites au centre nucléaire et à l’école de la ville.

Autre indice d’une relation entre Epstein et Gates avant 2001 : les liens étroits d’Epstein avec Nathan Myhrvold, qui a rejoint Microsoft dans les années 1980 et est devenu le premier directeur de la technologie de l’entreprise en 1996. À l’époque, Myhrvold était l’un des conseillers les plus proches de Gates, sinon le plus proche, et il a coécrit le livre de Gates de 1996, The Road Ahead, qui visait à expliquer comment les technologies émergentes allaient influencer la vie dans les années et les décennies à venir.

En décembre de la même année où il est devenu directeur technique de Microsoft, Myhrvold a voyagé dans l’avion d’Epstein du Kentucky au New Jersey, puis en janvier 1997 du New Jersey à la Floride. Parmi les autres passagers qui accompagnaient Myhrvold sur ces vols figuraient Alan Dershowitz et « GM », vraisemblablement Ghislaine Maxwell. Il convient de garder à l’esprit que c’est à la même période que Gates a eu une relation documentée avec Isabel, la sœur de Ghislaine.

En outre, dans les années 1990, Myhrvold a voyagé avec Epstein en Russie aux côtés d’Esther Dyson, une consultante en technologie numérique qui a été qualifiée de « femme la plus influente du monde de l’informatique ». Elle entretient actuellement des liens étroits avec Google ainsi qu’avec la société de tests ADN 23andme et est membre du Forum économique mondial, auquel elle contribue également. Dyson a déclaré par la suite que la réunion avec Epstein avait été planifiée par Myhrvold. La rencontre semble avoir eu lieu en 1998, d’après les informations publiées sur les comptes de médias sociaux de Dyson. Une photo montre Dyson et Epstein, avec un horodatage indiquant le 28 avril 1998, posant avec Pavel Oleynikov, qui semble avoir été un employé du Centre nucléaire fédéral russe. Sur cette photo, ils se tiennent devant la maison de feu Andrei Sakharov, scientifique nucléaire et dissident soviétique, qui aurait eu des liens avec les services de renseignement américains. Sakharov et son épouse, Yelena Bonner, soutenaient les causes sionistes.

Les photos ont été prises à Sarov, où se trouve le centre nucléaire fédéral russe. Le même jour, une autre photo a été prise, montrant Epstein dans une salle de classe remplie d’adolescents, apparemment également à Sarov, compte tenu de la date sur les photos.

Une autre image de Dyson, sans horodatage visible, mais avec une légende indiquant que la photo a été prise « chez Microsoft Russie à Moscou » en avril 1998, montre Nathan Myhrvold. La légende de Dyson précise : « C’était le début d’un voyage de trois semaines au cours duquel Nathan et divers proches (y compris un garde du corps) ont exploré l’état de la science postsoviétique ». Epstein semble être l’un des « proches », compte tenu des photographies, des dates et de l’objectif décrit du voyage.

Myhrvold et Epstein avaient apparemment plus en commun qu’un intérêt pour les avancées scientifiques russes. Lorsque Myhrvold a quitté Microsoft pour cofonder Intellectual Ventures, Vanity Fair a rapporté qu’il avait reçu Epstein dans les bureaux de l’entreprise, accompagné de « jeunes filles » qui semblaient être des « mannequins russes ». Une source proche de Myhrvold, citée par Vanity Fair, a affirmé que Myhrvold avait ouvertement parlé d’emprunter le jet d’Epstein et de séjourner chez lui en Floride et à New York. Vanity Fair a également noté que Myhrvold a été accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs fournis par Epstein par nul autre que le professeur de droit de Harvard Alan Dershowitz, qui est accusé du même crime et qui avait déjà voyagé avec Myhrvold dans l’avion privé d’Epstein. (note Alan Dershowitz a été l’avocat qui défendu Epstein lors de ses premiers procès)

Les liens entre Jeffrey Epstein, Gates et le laboratoire du MIT.

En outre, une ancienne collègue de Myhrvold chez Microsoft a par la suite développé ses propres liens avec Epstein. Linda Stone, qui a rejoint Microsoft en 1993 et a travaillé directement sous la direction de Myhrvold, est devenue vice-présidente de Microsoft. Elle a présenté Epstein à Joi Ito du MIT Media Lab après la première arrestation d’Epstein. « Il a un passé douteux, mais Linda m’assure qu’il est génial », a déclaré plus tard Ito dans un courriel adressé à trois membres du personnel du MIT. Dans le célèbre petit livre noir d’Epstein, il y a plusieurs numéros de téléphone pour Stone, et son contact d’urgence est répertorié comme Kelly Bovino, un ancien mannequin et un co-conspirateur présumé d’Epstein. Après l’arrestation d’Epstein en 2019, il est apparu qu’Epstein avait « ordonné » à Bill Gates de faire un don de 2 millions de dollars au laboratoire du MIT en 2014. Epstein aurait également obtenu un don de 5 millions de dollars de Leon Black pour le laboratoire. Ito a été contraint de démissionner de son poste de directeur du laboratoire peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

La fondation Edge financée par Epstein « les dîners de milliardaires qui rassemblent l’élite » jusqu’au Pentagone

Nathan Myhrvold, Linda Stone, Joi Ito, Esther Dyson et Bill Gates étaient tous membres de la communauté de la fondation Edge (site web edge.org), aux côtés de plusieurs autres icônes de la Silicon Valley. Edge, qui est décrite comme une organisation exclusive d’intellectuels « redéfinissant qui nous sommes et ce que nous sommes », a été créée par John Brockman, qui se décrit lui-même comme un « impresario culturel » et un agent littéraire de renom. Brockman est surtout connu pour ses liens étroits avec le monde de l’art à la fin des années 1960, mais on connaît moins ses diverses missions de « conseil en gestion » pour le Pentagone et la Maison-Blanche au cours de la même période. Edge, que le Guardian a qualifié de « site web le plus intelligent du monde », est un symposium en ligne exclusif affilié à ce que Brockman appelle « la troisième culture ». Epstein semble avoir été impliqué dans les activités de Brockman dès 1995, lorsqu’il a aidé à financer et à sauver un projet de livre en difficulté qui était géré par Brockman.

Edge, cependant, est plus qu’un simple site web. Pendant des décennies, il a également contribué à réunir des cadres du secteur technologique, des scientifiques qui étaient souvent des clients de Brockman, et des financiers de Wall Street dans le cadre de son dîner des millionnaires, qui a eu lieu pour la première fois en 1985. En 1999, cet événement a été rebaptisé « dîner des milliardaires », et Epstein est devenu intimement impliqué dans ces événements et dans la Fondation Edge elle-même. Epstein a été photographié en train d’assister à plusieurs de ces dîners, tout comme Sarah Kellen, « assistante » principale de Ghislaine Maxwell et co-conspiratrice dans le trafic sexuel et le chantage mis en place par Epstein et Maxwell.

Nathan Myhrvold, Microsoft and Jeffrey Epstein at the 2000 Edge Billionaires’ Dinner
Source: https://www.edge.org/igd/1200

De 2001 à 2017, Epstein a financé 638 000 dollars sur un total de 857 000 dollars collectés par Edge. Au cours de cette période, Epstein a été pendant plusieurs années le seul donateur d’Edge. Epstein a cessé de donner en 2015, année au cours de laquelle Edge a décidé de mettre fin à la tradition de son dîner annuel des milliardaires. En outre, le seul prix décerné par Edge, le prix Edge of Computation d’une valeur de 100 000 dollars, a été attribué en 2005 au pionnier de l’informatique quantique David Deutsch, et a été entièrement financé par Epstein. Un an avant de commencer à faire des dons importants à Edge, Epstein avait créé la Fondation Jeffrey Epstein VI pour « financer et soutenir la science de pointe dans le monde entier ».

Depuis le scandale Epstein, les participants réguliers au dîner des milliardaires, parfois appelé dîner annuel Edge, ont qualifié l’événement d’« opération d’influence ». Si l’on suit l’argent, il apparaît qu’il s’agissait d’une opération d’influence bénéficiant largement à un homme, Jeffrey Epstein, et à son réseau. Tout porte à croire que Myhrvold et Gates faisaient partie intégrante de ce réseau, même avant que l’implication d’Epstein dans Edge n’augmente de manière significative.

Epstein et les fondations Gates et Clinton « santé globale et safe sex »

Il convient d’examiner les liens entre les activités « philanthropiques » de Bill Gates et de Bill Clinton au début des années 2000, compte tenu notamment des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative au cours de cette période. Selon l’ancien agent de renseignement israélien Ari Ben-Menashe, Bill Clinton a été le principal objet du chantage sexuel exercé par Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par le témoignage de la victime d’Epstein et par l’implication intime d’Epstein avec des personnes qui étaient proches de l’ancien président à l’époque.

Bill Gates à la conférence de la Maison Blanche sur la nouvelle économie en 2000
Source : LA Times

Malgré les tensions nées de la lutte de l’administration Clinton contre le monopole de Microsoft à la fin des années 1990, les relations entre Gates et Clinton se sont dégelées en avril 2000, lorsque Gates a assisté à la « Conférence sur la nouvelle économie » organisée par la Maison-Blanche. Outre M. Gates, Lynn Forester (aujourd’hui Lady de Rothschild), proche collaboratrice d’Epstein, et Larry Summers, alors secrétaire d’État au Trésor, ont assisté à la conférence, eux aussi critiqués pour leurs liens avec Epstein. Un autre participant était le chef de cabinet de la Maison-Blanche, Thomas « Mack » McLarty, dont l’assistant spécial, Mark Middleton, a rencontré Epstein au moins trois fois à la Maison-Blanche de Clinton. Middleton a été licencié après que des articles de presse ont fait état de ses liens avec des dons illégaux liés à des gouvernements étrangers qui avaient été versés à la campagne de réélection de Clinton en 1996. Janet Yellen, l’actuelle secrétaire au Trésor de M. Biden, a également participé à la conférence.

M. Gates a pris la parole lors d’une table ronde intitulée « Combler le fossé mondial : Santé, éducation et technologie ». Il a expliqué comment la cartographie du génome humain allait donner lieu à une nouvelle ère de percées technologiques et a évoqué la nécessité d’offrir un accès à l’Internet à tous afin de combler le fossé numérique et de permettre à la « nouvelle » économie basée sur l’Internet de prendre forme. À l’époque, Bill Gates soutenait, avec le milliardaire américain Craig McCaw, une société qui espérait établir un monopole mondial sur les fournisseurs d’accès à l’Internet grâce à un réseau de satellites en orbite basse. Cette société, Teledesic, a fermé ses portes entre 2002 et 2003 et est considérée comme la source d’inspiration de Starlink d’Elon Musk.

Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment, avec le lancement de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2000 et de la Fondation Clinton en 2001. Dans un article qui titre sur la santé global et le safe sex Wired a décrit les deux fondations comme étant « à l’avant-garde d’une nouvelle ère de la philanthropie, dans laquelle les décisions — souvent appelées investissements — sont prises avec la précision stratégique exigée des entreprises et des gouvernements, puis font l’objet d’un suivi minutieux afin d’évaluer leur succès ».

La clique des faux philanthropes

D’autres médias, comme le Huffington Post, ont toutefois contesté le fait que ces fondations pratiquent la « philanthropie » et ont affirmé que les qualifier ainsi entraînait « la déconstruction rapide du terme accepté ». Le Huffington Post a également noté que la Clinton Global Initiative (qui fait partie de la Fondation Clinton), la Fondation Gates et quelques organisations similaires « vont toutes dans le sens d’un effacement des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif ». Il note que ce modèle de « philanthropie » a été promu par le Forum économique mondial et l’Institut Milken. Il convient également de noter que plusieurs des véhicules « philanthropiques » d’Epstein ont été créés au moment même où cette nouvelle ère de la philanthropie commençait.

Le Milken Institute a été fondé par Michael Milken, le célèbre « roi des obligations à haut risque » de Wall Street, qui a été inculpé de 98 chefs d’accusation de racket et de fraude sur les valeurs mobilières en 1989. Il n’a fait que peu de prison et a été gracié par Donald Trump. Milken a commis ses crimes alors qu’il travaillait aux côtés de Leon Black et de Ron Perelman chez Drexel Burnham Lambert avant son effondrement scandaleux. Black était très lié à Epstein, dont il a même confié la gestion de sa fondation « philanthropique » personnelle à Epstein pendant plusieurs années, même après la première arrestation d’Epstein. Perelman était l’un des principaux donateurs de Clinton. En 1995, il a participé à une collecte de fonds pour le président de l’époque en présence d’Epstein et ses entreprises ont offert des emplois à Webster Hubbell et à Monica Lewinsky après leurs scandales respectifs au sein de l’administration Clinton. Comme Gates, Milken a transformé sa réputation d’impitoyable dans le monde des affaires en celle d’un « éminent philanthrope ». Une grande partie de sa « philanthropie » profite aussi à Tony Blair, l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée.

Des années après avoir créé leurs fondations, Bill Gates et Hillary Clinton ont expliqué qu’ils étaient « depuis longtemps liés par leur mission commune » consistant à normaliser ce nouveau modèle de philanthropie. Gates a parlé à Wired en 2013 de « leurs incursions dans les régions en développement » et « cite les partenariats étroits entre leurs organisations ». Dans cette interview, Gates a révélé qu’il avait rencontré Clinton avant qu’il ne devienne président, déclarant : « Je l’ai connu avant qu’il ne soit président, je l’ai connu quand il était président, et je le connais maintenant qu’il n’est plus président. »

Toujours dans cette interview, M. Clinton a déclaré qu’après son départ de la Maison-Blanche, il souhaitait se concentrer sur deux choses spécifiques. La première est la Clinton Health Access Initiative (CHAI), qui existe « en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates », et la seconde est la Clinton Global Initiative (CGI), « où j’essaie de construire un réseau mondial de personnes qui font leur propre travail ».

La Clinton Health Access Initiative a reçu pour la première fois un don de 11 millions de dollars de la Fondation Gates en 2009. Au cours des douze dernières années, la Fondation Gates a versé plus de 497 millions de dollars à la CHAI. La CHAI a été fondée en 2002 avec pour mission de lutter contre le VIH/sida dans le monde entier en établissant des relations solides avec les gouvernements et en remédiant aux « inefficacités du marché ». Les dons importants de la Fondation Gates ont toutefois commencé peu de temps après l’expansion de la CHAI dans le domaine des diagnostics et des traitements contre le paludisme. Notamment, en 2011, Tachi Yamada, l’ancien président du programme de santé mondiale de la Fondation Gates, a rejoint le conseil d’administration de la CHAI aux côtés de Chelsea Clinton.

Bill Gates and Bill Clinton at the annual Clinton Global Initiative in 2010

Epstein, concepteur de la Clinton Global Initiative

En ce qui concerne la Clinton Global Initiative, les avocats de la défense d’Epstein ont soutenu devant le tribunal en 2007 qu’Epstein avait fait « partie du groupe original qui a conçu la Clinton Global Initiative », qui a été lancée pour la première fois en 2005. Les avocats d’Epstein ont décrit la CGI comme un projet « rassemblant une communauté de leaders mondiaux pour concevoir et mettre en œuvre des solutions innovantes à certains des défis les plus pressants du monde ». La Fondation Gates a donné à la CGI un total de 2,5 millions de dollars entre 2012 et 2013, en plus de ses dons massifs à la CHAI et de 35 millions de dollars supplémentaires à la Fondation Clinton elle-même. Outre les dons de la Fondation Gates, Microsoft a été intimement impliqué dans d’autres projets « philanthropiques » soutenus par Clinton.

Outre ces liens, Hillary Clinton a établi un partenariat entre la Fondation Clinton et la Fondation Gates en 2014 dans le cadre de l’initiative No Ceilings des Clinton. Ce partenariat visait à « rassembler et analyser des données sur le statut de la participation des femmes et des filles dans le monde » et impliquait que les deux fondations travaillent « avec des partenaires technologiques de premier plan pour collecter ces données et les compiler ». Selon le New York Times, plusieurs mois avant l’annonce du partenariat, M. Gates et M. Epstein se sont rencontrés lors d’un dîner et ont discuté de la Fondation Gates et de la philanthropie. Lors de la candidature infructueuse d’Hillary Clinton à la présidence en 2016, Bill et Melinda Gates figuraient tous deux sur sa courte liste d’options potentielles pour la vice-présidence.

En outre, Epstein a tenté de s’impliquer directement dans la Fondation Gates, comme en témoignent ses efforts pour convaincre la Fondation Gates de s’associer à JP Morgan dans le cadre d’un « fonds caritatif pour la santé mondiale » de plusieurs milliards de dollars, qui aurait donné lieu à des honoraires considérables versés à Epstein, qui était très impliqué dans JP Morgan à l’époque. Bien que ce fonds ne se soit jamais concrétisé, Epstein et Gates ont discuté de l’implication d’Epstein dans les efforts philanthropiques de Gates. Certains de ces contacts n’ont été rapportés par la presse qu’après l’annonce du divorce de Bill et Melinda Gates. Pourtant, comme nous l’avons mentionné, il était connu qu’Epstein avait « ordonné » à Gates de faire un don à au moins une organisation — 2 millions de dollars en 2014 au MIT Media Lab.

Epstein, le « ticket de Gates » pour gagner un prix Nobel

De récentes révélations sur les rencontres entre Gates et Epstein qui ont eu lieu entre 2013 et 2014 ont encore souligné l’importance qu’Epstein semblait avoir dans le monde de la « philanthropie » des milliardaires, Gates ayant déclaré qu’Epstein était son « ticket » pour gagner un prix Nobel. Les médias norvégiens ont toutefois rapporté en octobre 2020 que Gates et Epstein avaient rencontré le président du comité Nobel, ce qui n’a pas fait grand bruit dans les médias internationaux à l’époque. Il convient de se demander si Epstein a réussi à organiser de telles rencontres avec d’autres personnes qui convoitaient également des prix Nobel et si l’une de ces personnes a reçu ces prix par la suite. Si Epstein avait de telles relations, il est peu probable qu’il ne les ait utilisées qu’une seule fois dans le cas de Bill Gates, étant donné l’étendue de son réseau, en particulier dans le monde de la technologie et de la science.

C’est également en 2013 que Bill et Melinda Gates ont rencontré Epstein à sa résidence de New York, après quoi Melinda aurait commencé à demander à son futur ex-mari de prendre ses distances avec Epstein. Si la raison invoquée, dans le sillage de l’annonce du divorce des Gates, était que Melinda était rebutée par le passé et la personnalité d’Epstein, elle pourrait potentiellement être liée à d’autres préoccupations concernant la réputation de Melinda et celle de la fondation qui partage son nom.

En effet, 2013 a également été l’année où l’ingénieur système du manoir Gates, Rick Allen Jones, a commencé à faire l’objet d’une enquête de la police de Seattle pour sa collection de matériel pédopornographique et de viols d’enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir des Gates un an plus tard, il n’a pas été incarcéré après son arrestation, mais a simplement reçu l’ordre de « rester à l’écart des enfants », selon les médias locaux. Du point de vue de Melinda, ce scandale, combiné à l’association croissante de Bill Gates avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein, a pu constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates, bien avant l’arrestation d’Epstein en 2019.

Terramar : Ghislaine Maxwell, l’ONU et Clinton

2013 a également été l’année où les Maxwell ont été impliqués dans la Fondation Clinton. Cette année-là, le projet TerraMar de Ghislaine Maxwell, qui soutenait officiellement les objectifs de développement durable des Nations unies relatifs aux océans, s’est engagé à verser 1,25 million de dollars à la Clinton Global Initiative dans le cadre d’un effort visant à former une Alliance pour des océans durables. TerraMar a fermé ses portes peu après l’arrestation d’Epstein en 2019.

Isabel Maxwell et Al Seckel à la réunion annuelle 2011
du Forum Économique Mondial

Notamment, le projet TerraMar de Ghislaine a succédé à bien des égards à la Blue World Alliance d’Isabel Maxwell, qui a échoué et qui était aussi ostensiblement axée sur les océans de la planète. Blue World Alliance a été créée par Isabel et son mari Al Seckel, aujourd’hui décédé, qui avaient organisé une « conférence scientifique » sur l’île d’Epstein. L’Alliance Blue World s’est également fait connaître sous le nom de Globalsolver Foundation, et Xavier Malina, le fils de Christine Maxwell, a été désigné comme agent de liaison de Globalsolver avec la Fondation Clinton. Il avait auparavant été stagiaire à la Clinton Global Initiative.

Xavier Malina a ensuite travaillé dans l’administration Obama au Bureau du personnel de la Maison-Blanche. Il travaille aujourd’hui pour Google. Il convient également de noter qu’au cours de cette même période, le fils d’Isabel Maxwell, Alexander Djerassi, était chef de cabinet au Bureau des affaires du Proche-Orient du département d’État dirigé par Hillary Clinton.

(Notes de S.D. :
1. Le projet Terramar de Ghislaine Maxwell lui aurait permis d’avoir un réseau de sous-marins permettant de transporter des enfants et des clients vers l’île d’Epstein. Ces informations n’ont pas fait l’objet de vérification.
2. Terramar aurait été reconnu par l’ONU comme une organisation bénéficiant d’une immunité juridique. James Biden, le frère du président actuel aurait un terrain sur une île voisine à seulement 20 minutes de trajet. Cette info-ci a été vérifiée par Newsweek).

La science de Gates et la science d’Epstein

Mélanie Walker, la « neurochirurgienne » au parcours parfait : « cadeau » d’Epstein au prince Andrew — conseillère à la fondation Bill Gates — YGL/conseillère au WEF Davos et conseillère spéciale du président de la banque mondiale (et la bourse Rockefeller aussi)

Alors que la Fondation Gates et la Fondation Clinton s’entremêlent et que cette dernière a des liens avec Epstein et Maxwell, il apparaît également qu’Epstein a exercé une influence significative sur deux des plus éminents conseillers scientifiques de Bill Gates au cours des quinze dernières années, à savoir Melanie Walker et Boris Nikolic.

Capture d’écran d’une présentation de 2019 que Melanie Walker a faite
pour la Fondation Rockefeller, où elle est boursière. Source : YouTube

Melanie Walker, aujourd’hui célèbre neurochirurgienne, a rencontré Jeffrey Epstein en 1992, peu après avoir obtenu son diplôme universitaire, lorsqu’il lui a proposé un emploi de mannequin chez Victoria’s Secret. De telles offres étaient souvent faites par Epstein et ses complices lorsqu’ils recrutaient des femmes pour son opération et il n’est pas certain que Walker ait jamais travaillé comme mannequin pour la société appartenant à Leslie Wexner. Elle a ensuite séjourné dans un immeuble new-yorkais associé aux activités de trafic d’Epstein lors de ses visites à New York, mais on ne sait pas combien de temps elle a séjourné dans cet immeuble ou dans d’autres propriétés appartenant à Epstein. Après avoir obtenu son diplôme de médecine en 1998, elle est devenue la conseillère scientifique d’Epstein pendant au moins un an. En 1999, elle s’est tellement rapprochée du prince Andrew qu’elle a assisté à une fête d’anniversaire organisée par la reine au château de Windsor, en compagnie d’Epstein et de Ghislaine Maxwell. Pendant cette période, Melanie apparaît sur les carnets de vol d’Epstein sous son nom de naissance, Melanie Starnes, bien qu’il ressemble à « Starves » sur les carnets de vol.

La relation étroite entre le prince Andrew et Melanie Walker a fait l’objet d’un examen minutieux après que l’ancienne gouvernante d’Epstein au Zorro Ranch, Deidre Stratton, a déclaré dans une interview que le prince Andrew s’était vu « offrir » une « jeune et belle neurochirurgienne » lors de son séjour dans la propriété d’Epstein au Nouveau-Mexique. Étant donné qu’un seul neurochirurgien était à la fois proche du prince Andrew et faisait partie de l’entourage d’Epstein à l’époque, il semble très probable que cette femme « offerte » à Andrew était Melanie Walker. Selon Stratton, Andrew a « tenu compagnie » à cette femme pendant trois jours. L’arrangement a été mis en place par Epstein, qui ne se trouvait pas dans la propriété à ce moment-là. La date exacte du séjour est incertaine, mais il a probablement eu lieu entre 1999 et 2001.

Stratton a déclaré ce qui suit à propos du séjour :

« À l’époque, Jeffrey avait cette femme, soi-disant neurochirurgienne, assez jeune, belle, jeune et brillante, qui restait à la maison avec lui… À un moment donné, nous avions tous ces thés différents et vous pouviez choisir les thés que vous vouliez, et elle m’a demandé d’en trouver un qui rendrait Andrew plus excité.

Je suppose qu’elle a compris que son travail consistait à le divertir parce que je suppose que la peur, je ne sais pas, la peur serait qu’Andrew dise : “Non, je ne l’ai pas vraiment trouvée si attirante.”… Il le dirait à Jeffrey et elle serait alors sur la corde raide.

Je suppose que, selon une autre théorie, Jeffrey l’a probablement engagée et elle savait que son travail serait, devrait être, de rendre ces gens heureux… Ils ne pensaient qu’au sexe. Je veux dire, je sais avec certitude que Jeffrey aimerait idéalement trois massages par jour ».

Quelque temps plus tard, Walker a déménagé à Seattle et a commencé à vivre avec Steven Sinofsky, alors cadre chez Microsoft, qui est aujourd’hui associé au conseil d’administration de la société de capital-risque Andreesen Horowitz. Andreesen Horowitz soutient notamment Carbyne911, la start-up de lutte contre la criminalité liée au renseignement israélien financée par Epstein et son proche associé, l’ancien premier ministre israélien Ehud Barak, ainsi qu’une autre entreprise technologique liée au renseignement israélien dirigée par Barak, appelée Toka. Toka a récemment obtenu des contrats avec les gouvernements de Moldavie, du Nigeria et du Ghana par l’intermédiaire de la Banque mondiale, dont Melanie Walker est actuellement directrice et ancienne conseillère spéciale du président. On ignore quand, comment et dans quelles circonstances Melanie Walker a rencontré Sinofsky.

Après avoir déménagé à Seattle pour rejoindre Sinofsky et après un bref passage en tant que « praticienne dans le monde en développement » en Chine auprès de l’Organisation mondiale de la santé, Walker a été engagée en tant que responsable de programme senior par la Fondation Bill & Melinda Gates en 2006. Étant donné que la principale caractéristique du CV de Walker à l’époque était d’avoir été conseillère scientifique d’un autre « philanthrope » fortuné, Jeffrey Epstein, son embauche par la Fondation Gates pour ce rôle essentiel souligne encore davantage comment Bill Gates, à tout le moins, non seulement savait qui était Epstein, mais en savait suffisamment sur ses intérêts et ses investissements scientifiques pour vouloir embaucher Walker. Walker est ensuite devenu directeur adjoint du développement mondial et directeur adjoint des initiatives spéciales à la fondation. Selon la Fondation Rockefeller, dont elle est membre, Mme Walker a ensuite conseillé M. Gates sur des questions relatives à la neurotechnologie et à la science du cerveau pour la société secrète de M. Gates, bgC3, que M. Gates avait initialement enregistrée en tant que groupe de réflexion sous le nom de Carillon Holdings. Selon les documents fédéraux, les domaines d’activité de bgC3 étaient les suivants : « services scientifiques et technologiques », « analyse et recherche industrielles » et « conception et développement de matériel et de logiciels informatiques ».

Lorsqu’elle travaillait à la Fondation Gates, Melanie Walker a présenté Boris Nikolic, le conseiller scientifique de M. Gates, à M. Epstein. Aujourd’hui, Melanie Walker est coprésidente du Global Future Council on Neurotechnology and Brain Science du Forum économique mondial, après avoir été nommée Young Global Leader par le Forum économique mondial. Elle conseille également l’Organisation mondiale de la santé, qui est étroitement liée à la « philanthropie » de Bill Gates.

Au WEF, Mme Walker a écrit en 2016 un article intitulé « Healthcare in 2030: Goodbye Hospital, Hello Home-spital », dans lequel elle explique comment les dispositifs portables, les interfaces cerveau-machine et les « médicaments » robotiques injectables/avaleurs seront la norme d’ici 2030. Des années avant le COVID-19 et les efforts inspirés par la Grande Réinitialisation pour changer les soins de santé de cette manière, Walker a écrit que si le scénario dystopique qu’elle dépeint « semble fou […] la plupart de ces technologies sont soit presque prêtes pour le prime time, soit en cours de développement ». Bien entendu, nombre de ces technologies ont pris forme grâce au mécénat de ses anciens patrons, Jeffrey Epstein et Bill Gates.

Dans le cas de Boris Nikolic, après avoir été présenté à Epstein par l’intermédiaire de Walker, il a assisté à une réunion en 2011 avec Gates et Epstein où il a été photographié aux côtés de James Staley, alors cadre supérieur chez JP Morgan, et de Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et proche associé d’Epstein. À l’époque, M. Nikolic était le principal conseiller de Bill Gates en matière de science et de technologie et conseillait à la fois la Fondation Gates et bgC3. Selon le discours dominant, il s’agirait de la première rencontre entre Gates et Epstein. En outre, c’est peut-être à ce moment-là qu’Epstein a présenté le « fonds caritatif pour la santé mondiale » commun à la Fondation Gates et à JP Morgan.

La réunion de 2011 dans l’hôtel particulier de Jeffrey Epstein à Manhattan, à laquelle ont participé James E. Staley, Larry Summers, Jeffery Epstein, Bill Gates et Boris Nikolic.

En 2014, Nikolic s’est montré « enthousiaste » à propos du penchant supposé d’Epstein pour les conseils financiers avant l’introduction en bourse d’une société d’édition de gènes dans laquelle Nikolic détenait une participation de 42 millions de dollars. Notamment, Nikolic et Epstein étaient tous deux clients du même groupe de banquiers chez JP Morgan, et Bloomberg a rapporté par la suite qu’Epstein aidait régulièrement ces banquiers à attirer de nouveaux clients fortunés.

En 2016, Nikolic a cofondé Biomatics capital, qui investit dans des entreprises liées à la santé à « la convergence de la génomique et des données numériques » qui « permettent le développement de thérapies, de diagnostics et de modèles de prestation supérieurs ». M. Nikolic a fondé Biomatics avec Julie Sunderland, ancienne directrice du Fonds d’investissement stratégique de la Fondation Gates.

Au moins trois des entreprises soutenues par Biomatics — Qihan Biotech, eGenesis et Editas — ont été cofondées par George Church, un généticien de Harvard qui entretient des liens étroits avec Epstein et qui est également étroitement associé à la Fondation Edge. L’investissement de Biomatics dans Qihan Biotech n’est plus mentionné sur le site web de Biomatics. Qihan Biotech, qui appartient à Church, cherche à produire des tissus et des organes humains à l’intérieur de porcs pour les transplanter chez l’homme, tandis qu’eGenesis cherche à modifier génétiquement des organes de porcs pour les utiliser chez l’homme. Editas produit des « médicaments » d’édition génétique CRISPR et bénéficie également du soutien de la Fondation Gates et de Google Ventures.

Church qui a créé une appli de rencontre basée sur la génétique a été accusée de promouvoir l’eugénisme ainsi que des expériences humaines contraires à l’éthique. (note SD : il aurait notamment voulu recruter une femme pour lui faire naître un Néandertal).

L’intérêt marqué d’Epstein pour l’eugénisme a été rendu public après sa mort, et Bill Gates, ainsi que son père William H. Gates II, ont également été associés à des mouvements et des idées eugéniques.

Après la mort d’Epstein en 2019, il a été révélé que Nikolic avait été nommé « exécuteur testamentaire » de la succession d’Epstein, ce qui suggère des liens étroits avec Epstein, malgré les affirmations contraires de Nikolic. Après que les détails du testament d’Epstein ont été rendus publics, Nikolic n’a pas signé un formulaire indiquant sa volonté d’être exécuteur et n’a finalement pas servi dans ce rôle.

Le silence médiatique continue

Malgré le changement relativement brutal dans les médias grand public concernant ce qu’il est acceptable de discuter de la relation entre Jeffrey Epstein et Bill Gates, nombre de ces mêmes médias refusent de reconnaître une grande partie des informations contenues dans ce rapport d’enquête. C’est particulièrement vrai dans le cas de l’article de l’Evening Standard et de l’étrange relation de Bill Gates avec Isabel, la sœur de Ghislaine Maxwell, et CommTouch, la société qu’Isabel dirigeait auparavant.

La raison probable de la dissimulation de l’étendue réelle des liens entre Epstein et Gates est bien plus liée à la société Microsoft de Gates qu’à Bill Gates lui-même. S’il est désormais permis de faire état de liens qui discréditent la réputation personnelle de Bill Gates, les informations susceptibles de lier ses relations avec Epstein et les Maxwell à Microsoft ont été omises.

Si, comme l’a rapporté l’Evening Standard, Epstein a effectivement gagné des millions grâce à ses relations d’affaires avec Gates avant 2001 et si les liens de Gates avec Isabel Maxwell et la société CommTouch, liée à l’espionnage israélien, étaient rendus publics, il pourrait facilement en résulter un scandale comparable à celui de l’affaire du logiciel PROMIS. Une telle révélation pourrait être très préjudiciable à Microsoft et à son partenaire, le Forum économique mondial, car Microsoft est devenu un acteur clé des initiatives de la quatrième révolution industrielle du WEF, qui vont de l’identité numérique et des passeports-vaccins aux efforts visant à remplacer les travailleurs humains par l’intelligence artificielle.

Il est clair que des acteurs puissants ont tout intérêt à ce que l’histoire Epstein-Gates se concentre sur 2011 et les années suivantes, non pas nécessairement pour protéger Gates, mais plus probablement pour protéger l’entreprise elle-même et d’autres cadres supérieurs de Microsoft qui semblent avoir été compromis par Epstein et d’autres personnes appartenant au même réseau lié aux services de renseignement.

Il ne s’agit pas d’un incident isolé, car des efforts similaires ont été déployés pour dissimuler (ou faire disparaître) les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux dirigés par Jeff Bezos et Elon Musk. L’une des principales raisons en est que l’opération de chantage du réseau Epstein impliquait non seulement un chantage sexuel, mais aussi des formes électroniques de chantage, utilisées avec succès par Robert Maxwell pour le compte des services de renseignement israéliens dans le cadre de l’opération PROMIS. Compte tenu de leur nature, les formes électroniques de chantage par le biais de la surveillance illégale ou de logiciels piratés peuvent être utilisées pour compromettre les personnes au pouvoir qui ont quelque chose à cacher, mais qui n’étaient pas enclines à s’engager dans l’exploitation de mineurs, comme ceux qui ont été abusés par Epstein.

Le fait qu’Isabel et Christine Maxwell aient pu nouer des liens commerciaux étroits avec Microsoft après avoir fait partie de la société-écran qui a joué un rôle central dans l’espionnage lié à PROMIS et après avoir explicitement géré leurs sociétés ultérieures avec l’intention avouée de « reconstruire » le travail et l’héritage de leur père espion, indique fortement la probabilité qu’au moins certains produits Microsoft aient été compromis d’une manière ou d’une autre, probablement par le biais d’alliances avec des entreprises technologiques gérées par Maxwell. Le fait que les médias grand public ne se soient pas préoccupés des liens documentés entre le réseau Epstein et d’autres cadres supérieurs de Microsoft, tels que Nathan Myhrvold, Linda Stone et Steven Sinofsky, montre clairement que, si la saison des relations entre Bill Gates et Epstein est ouverte, il n’en va pas de même pour Microsoft et Epstein.

Les liens d’Epstein et des Maxwell avec la Silicon Valley, et pas seulement avec Microsoft, font partie d’une tentative plus large de dissimuler la forte composante d’intelligence dans l’origine des entreprises les plus puissantes de la Silicon Valley. Beaucoup d’efforts ont été déployés pour donner au public l’impression que ces entreprises sont des entités strictement privées, en dépit de leurs liens profonds et anciens avec les agences de renseignement et les armées des États-Unis et d’Israël. La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera jamais couverte par les médias traditionnels, car de nombreux organes d’information appartiennent à ces mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour l’engagement de leurs lecteurs en ligne.

La raison la plus importante pour laquelle les origines et les liens entre l’armée et le renseignement et l’oligarchie actuelle de la Silicon Valley ne seront jamais honnêtement examinés est peut-être que ces mêmes entités travaillent actuellement à une vitesse fulgurante à l’avènement de la quatrième révolution industrielle, qui fera de l’intelligence artificielle, de l’automatisation, de la surveillance électronique de masse et du transhumanisme des éléments centraux de la société humaine.

L’un des architectes de cette « révolution », Klaus Schwab, a déclaré au début de l’année que le rétablissement et le maintien de la confiance avec le public étaient essentiels à ce projet. Toutefois, si la véritable nature de la Silicon Valley, notamment ses liens étroits avec le violeur d’enfants en série et trafiquant de sexe Jeffery Epstein et son réseau, venait à être révélée, la confiance du public serait considérablement érodée, menaçant ainsi ce que l’oligarchie mondiale considère comme un projet essentiel à sa survie.




Comment la presse désinforme sur le Gardasil

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Gérard Delépine

Dans un article récemment publié dans Le Parisien, l’absence de neutralité de la journaliste Elsa Mari est évidente dans son analyse de l’actuel échec de la campagne scolaire de vaccination par Gardasil. Elle se contente de répéter les déclarations trompeuses d’experts étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.

Elle cite en exemple « l’Australie, qui table sur une quasi-disparition du cancer du col de l’utérus d’ici 2035 » sans préciser que l’article qui le prétend n’est qu’une simulation publicitaire établie sur des hypothèses fausses, et elle ne consulte pas non plus les données de l’agence officielle australienne.

Dans le monde réel, depuis la campagne de vaccination scolaire, le nombre annuel de cancers invasifs a augmenté de 25 % passant de 756 en 2007 à 942 en 2022 :

Et l’incidence globale standardisée, qui corrige les modifications liées au vieillissement et à l’augmentation de la population, ne diminue plus, se stabilisant autour de 7,2/100 000 :

Même dans le groupe d’âge des 25-34 ans, le plus vacciné, l’incidence des cancers invasifs est passé de 7,9/100 000 à 9,1 :

Sur la base de ces données, comment peut-on y voir une « quasi-disparition du cancer du col de l’utérus » ?

La journaliste prétend aussi que « l’annonce du président de vacciner les collégiens contre le papillomavirus à la rentrée avait fait briller les yeux des médecins », alors qu’elle ne réjouissait que les médecins liés au laboratoire et ceux qui vivent des vaccinations (pédiatres et gynécologues).

Cet article du Parisien prétend encore que « l’Australie fait rêver l’Hexagone » et nous décerne « un bonnet d’âne » pour notre réticence à cette vaccination qui nous placerait loin derrière l’Angleterre, l’Italie, le Portugal, l’Espagne, la Suède, les Pays-Bas.

Mais elle cache que l’incidence du cancer invasif du col dans tous ces pays apôtres du Gardasil dépasse celle de France (6/100000) : 7,1/100 000 en Australie, 6,4 en Italie (en 2017)1, 6,9 aux Pays-Bas.

Il est invraisemblable de la voir citer des pays où le risque de cancer invasif du col est de 67 % à 170 % supérieur au nôtre, tel que le Royaume-Uni (10/100000), la Suède (10,4/100 000), ou le Portugal, champion du Gardasil, mais aussi du cancer du col avec une couverture vaccinale dépassant les 80 % et une incidence de cancer du col atteignant 16,2/100 000.

Tout comme les lobbys pro-Gardasil et les médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique, la journaliste préfère prendre comme critère d’efficacité d’une campagne de vaccination le pourcentage de vaccinées à l’incidence du cancer du col dans la population !

Elle rapporte encore les regrets de Xavier Carcopino2 qui accuse « l’autorisation des deux parents d’avoir complexifié l’accès de leur enfant à la piqûre » sans rappeler qu’il ne s’agit que de l’application de l’autorité parentale qui instituent les parents coresponsables du bien-être de leur enfant mineur.

L’article répète mot pour mot le slogan des injections Covid : « Ce vaccin est efficace et sûr, on a un excellent recul » alors que le Gardasil, efficace contre les infections aux souches de HPV du vaccin (9 sur plus de 150 !), n’a toujours pas prouvé son efficacité contre le cancer 17 ans après sa mise sur le marché, et que de nombreuses manifestations dénonçant ses graves complications ont eu lieu dans de nombreux pays :

Et enfin que des procès en class action dénonçant les mensonges de Merck se tiennent actuellement aux USA, rassemblant les plaintes de centaines de victimes.

La parole est donnée à Daniel Floret 3 qui tente d’innocenter le vaccin anti-hépatite B des complications neurologiques marquées par une augmentation de 65 % de SEP après le pic de vaccination contre l’hépatite B en 1994. Vaccin dont la responsabilité a été reconnue par la justice française et européenne par les arrêts de la cour administrative d’appel de Lyon (du 4 mai 2016), de la Cour de cassation (9 Juillet 2009) et le pourvoi n° 08-11.073 de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 juin 2017.

Sans compter que ce vaccin anti-hépatite B, présenté comme moyen d’éviter le cancer du foie, a été suivi dans tous les pays occidentaux qui l’ont rendu obligatoire, du triplement (voire plus) de l’incidence du cancer qu’il était censé prévenir, comme en France :

Le dramatique résultat de la première vaccination présentée comme anti-cancéreuse justifie donc la plus grande prudence !

L’échec de la campagne de vaccination Gardasil ne provient pas de l’ignorance de la population mais, depuis la catastrophe Covid, de sa prise de conscience que les autorités sanitaires mentent fréquemment pour nous imposer par tous les moyens des vaccins et traitements aux bénéfices incertains et aux complications nombreuses qu’elles nient ensuite opiniâtrement.

La soi-disant « malédiction française » contre le Gardasil est la conséquence de la prise de conscience croissante des mensonges du gouvernement et de la presse.

Redonner confiance à la population nécessite une transparence complète. Créer des pseudo-comités scientifiques protégés par le secret-défense, refuser de rendre publics les contrats d’achat des vaccins et nier les complications reconnues dans les pays étrangers décrédibilise totalement la parole de l’État et la confiance dans les vaccins.

De même le plaidoyer pro-Gardasil d’Elsa Mari qui ne donne la parole qu’à des témoins pro-vax et ne se réfère pas aux faits établis, comme les chiffres publiés par l’OMS, décrédibilise le Parisien et participe à la chute des ventes.

Comme l’aurait affirmé le président Abraham Lincoln : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »


1 National burden of cancer in Italy, 1990–2017: a systematic analysis for the global burden of disease study 2017.

2 Président de la société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale dont les membres vivent en partie de l’administration du vaccin.

3 Qui a touché près de 80 000 euros, d’Alliance Healthcare, 43 900 euros, d’UTIP, 33 650 euros, du Collège des hautes études de Médecine 1600 euros, mais aussi de IP SC : BioMERIEUX, Sanofi, Pasteur MSD, Cemka Eval, Abbott Synagis…




Écoutons pleurer les bébés vaccinés !

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

Andrew Moulden, vous connaissez ? Personnellement, je n’avais jamais entendu parler de ce neuropsychologue canadien décédé en 2013. J’ai découvert récemment qui il était et ce qu’il avait fait à travers les écrits du Dr Midwestern (pseudonyme), un médecin américain qui promeut la médecine intégrative et qui ne tarit pas d’éloges sur l’œuvre « révolutionnaire » du disparu. Spécialiste du développement neurocognitif chez les enfants, mais aussi auteur d’une thèse de doctorat sur l’imagerie cérébrale fonctionnelle et la neuroélectrophysiologie (l’activité électrique dans le corps humain), ce scientifique surdoué et multirécompensé avait en effet conjugué ses trois compétences pour étudier l’autisme et tenter d’en comprendre les causes. Au fil de ses observations, il a fini par acquérir la conviction que les vaccinations infantiles étaient à l’origine de l’épidémie affolante de troubles autistiques et de bien d’autres affections neurologiques. Comment ? Selon Moulden, chaque vaccin administré endommage les minuscules capillaires du cerveau en raison de l’afflux de globules blancs générés par la réponse immunitaire aux antigènes vaccinaux. L’obstruction qui en résulte empêche la circulation des globules rouges et provoque l’asphyxie des cellules nerveuses. C’est la définition même d’un accident vasculaire cérébral !

Un désastre pour l’humanité

Certes, il ne s’agit en général que de mini, voire de micro AVC. Mais ces événements passant le plus souvent inaperçus seraient suffisants pour entraîner des conséquences pour la santé et des séquelles neurocomportementales. Nombreuses photos à l’appui, Moulden a montré que l’administration d’un vaccin était suivie de symptômes subtils (léger strabisme, petite paralysie faciale, légère aphasie motrice…) typiques des lésions cérébrales et d’atteintes aux nerfs crâniens. Mais le chercheur-découvreur allait encore beaucoup plus loin : pour lui, l’interruption de l’apport en oxygène et l’instabilité électrostatique du flux sanguin résultant de l’altération microcirculatoire étaient les dénominateurs communs de TOUTES les maladies non héréditaires. En dehors des vaccins et de leurs adjuvants, ce sont les polluants environnementaux qui provoquent l’anoxie et font ainsi office de déclencheurs pathologiques. Exemple-phare : la poliomyélite dont la symptomatologie est parfaitement compatible avec un empoisonnement aux pesticides et dans laquelle l’agent viral ne joue aucun rôle causal. Ce n’est donc pas à la seule vaccinologie que s’en prenait Moulden, mais au paradigme médical allopathique tout entier, et à la théorie du germe en particulier. Comme l’écrit Catherine Courson dans l’introduction de son dossier-hommage à Andrew Moulden (Néosanté de janvier), les découvertes de ce dernier sapaient les fondements mêmes de la médecine pasteurienne ! S’agissant des vaccins, le savant canadien les accusait d’être à l’origine des « dommages les plus lourds que l’Humanité se soit infligés à elle-même au cours de son Histoire ».

Disparition étrange

On imagine bien que pareil discours est assez mal passé. Dès que le neuropsychologue a commencé à faire connaître ses travaux, il a été censuré, ostracisé et mis au ban de la communauté scientifique. Du jour au lendemain, le brillant expert en neurodéveloppement de l’enfant a été relégué au rang de charlatan ou de « complotiste » comme on dirait aujourd’hui. L’écroulement de sa carrière l’aurait miné et poussé au suicide ? Selon une autre version de sa disparition mystérieuse à seulement 49 ans, il serait mort d’une crise cardiaque suspecte, c’est-à-dire probablement non naturelle. D’après un de ses collègues, Andrew Moulden s’apprêtait à rompre le silence qu’il s’était imposé et à publier de nouvelles recherches contenant de nouvelles preuves fatales pour l’industrie vaccinale. Sa mort subite et prématurée fut une aubaine pour Big Pharma, trop content de voir disparaître cet équivalent nord-américain du Dr Hamer. Concernant ce dernier, je n’ai jamais trop cru aux neuf tentatives d’assassinat auxquelles il prétendait avoir échappé. Scénario trop parano à mon goût. Si c’était vrai, il y en aurait au moins une qui aurait réussi alors que le médecin allemand est mort octogénaire dans son lieu d’exil norvégien. Pour Moulden, c’est différent. Les circonstances de son décès précoce sont plus qu’étranges, ses trouvailles nuisaient déjà à de puissants intérêts et ses révélations annoncées étaient susceptibles de déclencher un véritable séisme financier. Quitte à nous mettre nous-mêmes en danger, il est temps à nos yeux d’exhumer l’œuvre de ce gêneur oublié en publiant un dossier essentiellement constitué de ses déclarations publiques et explications scientifiques. À tout hasard, je signale que je n’ai aucun penchant suicidaire et que mon cœur semble en pleine forme. Pareil pour la collaboratrice qui a rédigé ce dossier explosif potentiellement dévastateur pour le business des vaccins.

Un bébé ne pleure pas pour rien

Le mensuel de janvier étant arrivé dans les boîtes mail et dans la plupart des boîtes aux lettres, j’ai déjà reçu quelques réactions négatives envers la photo que nous avons choisie pour annoncer en couverture l’article principal. Elle montre un nouveau-né qui hurle et une seringue prête à lui être enfoncée dans la peau. Choquées par cette image, les personnes qui la critiquent la trouvent inutilement « agressive » ou « sensationnaliste », certaines personnes m’accusant même de « jouer sur la peur » pour impressionner les lecteurs. Mais pourquoi diable s’en offusquer et ne pas regarder en face la cruelle vérité ? Ces griefs ne mettent-ils pas en relief l’emprise de la propagande vaccinaliste sur nos inconscients ? Il y a plus de 12 ans, en septembre 2011, nous avons suscité les mêmes reproches lorsque nous avons publié un dossier sur les pleurs des bébés et leur rapport plus que probable avec les vaccinations. Et voici ce que j’écrivais en préambule de l’article :

« Pour illustrer ce dossier, nous avons cherché des photos de bébés pleurant pendant une vaccination. Surprise : elles sont extrêmement rares, voire quasiment introuvables dans les banques d’images. Partout les mêmes clichés de jolies infirmières souriantes, de toubibs Pespsodent et de moutards rigolards. Or les parents d’enfants vaccinés le savent bien : dans la réalité, la réaction instinctive d’un nourrisson auquel on inocule le contenu d’une seringue est généralement faite de cris et de larmes. La rareté des illustrations objectives en dit long sur l’autocensure des photographes et l’ampleur de la désinformation sur ce sujet. Car les pleurs du bébé vacciné ne sont pas seulement un réflexe éphémère et anodin : ils se prolongent, augmentent en violence et se répètent souvent de manière anormale, jusqu’à devenir incessants. Ce dossier de Françoise de Joët vous révèle que la souffrance des bébés inconsolables est très probablement la conséquence fréquente de la maltraitance vaccinale. »

À l’époque, l’auteure de ce dossier n’avait pas connaissance des découvertes d’Andrew Moulden. Mais elle avait notamment rédigé cette sentence de pur bon sens :

« Quand un bébé pleure, c’est toujours parce qu’il y a quelque chose qu’il veut dire et qui le dérange. Un bébé ne pleure pas pour rien ».

Une douzaine d’années plus tard, il me semble important et opportun de méditer cette phrase compassionnelle. Un bébé qui pleure manifeste une indicible douleur et il est du devoir des adultes de ne pas y être sourds et insensibles. C’est donc par empathie et non pour « vendre du papier » que nous avons choisi d’illustrer le Néosanté de janvier avec une photo qui peut légitimement choquer. À nos yeux, l’enjeu exige de ne pas les détourner.




Totalitarisme onusien en vue si l’OMS obtient le contrôle total de la médecine

[Source : businessbourse.com]

Selon la Dr Meryl Nass, l’OMS, agence de l’ONU, est en train de concocter un « Règlement Sanitaire International » ABSOLUMENT DYSTOPIQUE !

La Dr Meryl Nass est une experte en vaccins. Elle a témoigné à plusieurs reprises devant le Congrès. La Dr Nass a mis en garde contre les dangers du vaccin contre le CV19. Des quantités massives de décès et d’invalidités ont été documentées dans le monde entier, causées par ce que de nombreux médecins considèrent comme de simples injections d’armes biologiques. Dès le début, la Dr Nass était partisane du traitement du Covid avec l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, avec des résultats exceptionnels pour ses patients. Pour cela, sa licence médicale a été suspendue dans l’État du Maine il y a deux ans. Cela n’a pas empêché la Dr Nass de se battre pour faire connaître le mal causé par les vaccins contre le CV19. Juste au moment où vous pensez que c’est fini et que nous pouvons tous revenir à la normale, la Dr Nass met en garde contre un projet mondial encore plus diabolique qui vise à prendre le contrôle de votre santé (et de votre vie) lors de la prochaine pandémie. L’ONU et l’OMS souhaitent le faire d’ici mai 2024. Voici ce que la Dr Nass explique : « L’OMS est une agence relevant de l’ONU. Un document, qui n’a jamais existé auparavant, s’appelle un “Traité sur la Pandémie”, et ils sont en train de le rédiger en ce moment. L’autre est un document ordinaire appelé “Règlement Sanitaire International”. Ce qui s’est passé, c’est qu’ils veulent utiliser ce document et le modifier massivement. Ils veulent changer complètement le contenu du document et le transformer en ordres auxquels toutes les nations du monde devront obéir. La personne qui donne les ordres est le Directeur général de l’OMS. Ce directeur peut déclarer une pandémie dans toutes les circonstances qu’il veut… Cela donne au directeur général de l’OMS un pouvoir énorme pour dicter les modalités de santé à suivre et surtout concernant n’importe qui dans le monde… Ils veulent avoir la possibilité de vous imposer des vaccins à l’avenir contre les pandémies qu’ils déclarent à volonté, sans aucune norme sur ce que cela implique. Ils veulent avoir la Droit de refuser des médicaments et de faire taire votre médecin. Ainsi, le directeur général de l’OMS, Tedros, qui n’a pas de diplôme en médecine, deviendrait le médecin du monde. »

La Dr Nass poursuit en avertissant que si l’OMS obtient ce pouvoir, elle pourra vous forcer à prendre n’importe quel vaccin qu’elle souhaite vous administrer. Les personnes blessées ou tuées n’auraient aucun recours, car toutes les personnes impliquées bénéficieraient d’une protection contre toute responsabilité. En outre, Nass soutient que l’OMS aurait la Droit de censurer toute personne, dans n’importe quel pays, qui donne un avis différent sur les vaccins ou les options de traitement utilisés pour la prochaine pandémie. En bref, aucune liberté d’expression ne sera autorisée si elle n’est pas un discours approuvé par l’ONU.

Lors de la prochaine pandémie, davantage de vaccins seront développés plus rapidement, sans essais sur les animaux. Au lieu de mettre au point un vaccin qui, ce qui prend plus de 10 ans, ils veulent un nouveau vaccin matérialisé en quatre mois seulement. C’est vrai, quatre mois !!! La Dr Nass (encore une fois, un expert en vaccins) prévient : « La FDA a effectivement accordé une licence à certains de ces vaccins contre le CV19, mais n’a utilisé aucune de ses normes normales. Ce fut un désastre total. Ce qu’ils veulent faire la prochaine fois, c’est créer un vaccin en 100 jours et le déployer auprès de l’ensemble de la population en 130 jours. Quatre mois et une semaine, et ils veulent déployer le prochain vaccin dans le monde entier. C’est complètement fou ! Il n’y aurait aucun moyen d’évaluer si cela fonctionne ou si c’est sûr en 130 jours. C’est ça le véritable projet. C’est le projet de l’OMS et du gouvernement américain, du G7, du G20, de l’UE et ils ont tous dit qu’ils voulaient un vaccin en 100 jours. Ils ont également mis en place tous ces documents pour mettre en place un système permettant de dégager la responsabilité des fabricants… Vous n’avez aucun moyen non plus de poursuivre l’OMS. Ils n’ont absolument aucun compte à rendre au public.

La Dr Nass ajoute que le gouvernement fédéral et l’administration Biden n’ont pas la Droit de superviser les soins de santé. Les soins de santé relèvent de la responsabilité des États, et la Dr Nass affirme que c’est là que l’OMS peut être arrêtée pour ses projets “désastreux”.

Source : usawatchdog.com




Stocks de vaccins anti-covid détruits en Europe

[Source : Ciel Voilé]






Bonne année ou bonne fin du monde ?!

Par Alain Tortosa

Bon-ne an-née… Ces deux mots sonnent-ils comme une prière, un mantra, un mensonge à soi-même, une manière de conjurer le mauvais sort ou ont-ils la valeur d’un « bon appétit » ?
Le fameux « bon appétit » que nous, riches occidentaux, nous lançons pour nous motiver ? Il faut dire que nous ne savons pas ce qu’est la faim, la vraie, et qu’il faut bien s’encourager pour supporter l’excès de calories que nous nous apprêtons à ingérer.

Mais je m’éloigne du sujet de ce fameux « bonne année ».
À en croire ceux qui vous le souhaitent avec légèreté (ou inconscience), la « bonne année » se définirait comme une année durant laquelle nous ne rencontrions pas de mésaventures, pas de problèmes de santé, et une certaine « réussite ».
Typiquement le genre de phrases où l’usage veut que vous mentiez à celui qui vous la souhaite. Un peu comme le « ça va ? » du quotidien où celui qui vous bombarde avec cette phrase veut tout entendre sauf la vérité !

Avec le « bonne année », nous sommes au top du mensonge et de l’hypocrisie bienveillante.
Il ne serait pas de bon ton de gâcher l’illusion de celui qui vous transmet le message et qui espère en retour des ondes positives dont il pourra bénéficier à son tour, afin sans doute de lui porter chance.
Imaginez-vous lui répondre sincèrement, lui exprimer votre état d’esprit, vos craintes, vos interrogations, vos désillusions, votre noirceur et j’en passe.

Si on sort du mantra pour pénétrer le monde réel, il va devenir très très compliqué d’avoir une « bonne année 2024 » !

Attention je ne dis pas que c’est de l’ordre de l’impossible, mais quand même relativement peu probable. Disons que si le scénario des derniers siècles, des dernières décennies, des dernières années, des derniers mois ou des dernières semaines n’évolue pas, alors je vous garantis que la nouvelle année sera pire que la précédente !
Disant cela je suis peut-être « optimiste », car ils nous ont tellement gâtés les dernières années que cela va être difficile de faire pire. Difficile, mais pas impossible.

Il est d’usage de faire un bilan en fin d’année alors ne nous privons pas :

  • La fausse pandémie, pardon la vraie pandémie de tests avec son lot de lois dictatoriales, de passe sanitaire « pour notre bien et nous sauver du fléau (informatique) ».
  • Le faux vaccin « sûr et efficace » censé nous protéger du fameux « virus ». Injection qui n’a pas d’effets secondaires, bien entendu, et n’a tué strictement aucune personne jeune et en bonne santé.
  • « L’odieux psychopathe méchant Poutine » qui ne rêve que de marcher sur les Champs-Élysées et dont le pays a été ruiné grâce à nos sanctions économiques et qui est totalement isolé sur la scène internationale. Heureusement le preux, le courageux, l’honnête président Zelensky est là pour faire barrière au « camp du mal ».
  • Les « enculés du Hamas » qui, par « chance », ont pu tranquillement commettre leurs odieux méfaits permettant à Israël de parfaire un juste nettoyage ethnique dans la bande de Gaza.
  • Le « dérèglement climatique » qui devra nous empêcher de manger de la viande, de nous chauffer, de voyager, d’utiliser notre propre argent grâce à l’euro numérique afin de sauver la planète. Tandis que les gens importants utiliseront des jets privés pour faire des réunions sur comment prendre le peu d’argent qui reste aux gueux et construire des palais au niveau de la mer qui montera inexorablement dans les pays pauvres, mais pas devant leur plage privée.

J’ai sans doute oublié de nombreux sujets, mais l’esprit est là. Terroriser le peuple, le ruiner le plus possible, détruire l’Europe, l’Occident, ses valeurs, son mode de vie, sa civilisation, son économie et bien entendu accroître les lois dictatoriales plébiscitées par ce même peuple ignorant et apeuré.

L’ultralibéralisme a tué Dieu, a créé le protestantisme1 pour faire croire qu’il pouvait être juste de devenir immensément riche et aller au paradis grâce à la théorie du ruissellement.

Oublions donc le fameux :

« Il est plus facile à un chameau de passer par un trou d’aiguille
qu’à un riche d’entrer dans le royaume des Cieux. »

Théorie assez simple à comprendre, le riche se construit une piscine olympique d’argent gagné sur le dos des esclaves et pour réduire les coûts de production a de petites fuites dans le réservoir, Les gueux en dessous récupèrent les maigres gouttes, c’est ce que l’on appelle la théorie du ruissellement.

Il n’est aucunement question de distributisme qui prônerait une juste réparation des richesses, mais seulement du riche qui vole les pauvres puis leur rend quelques miettes qu’il pourra récupérer grâce aux achats de « biens » de consommation.
De nos jours l’argent ne coule plus du tout des riches vers les pauvres, mais c’est l’inverse. Comme il est vital d’amasser le plus possible et d’être plus riche que certains États, il est important de piquer aux pauvres le peu qui leur reste. De toutes les façons, ils sont tellement cons qu’on arrive à leur vendre 100 euros une paire de baskets à 3 euros.

Le sens du courant a donc été inversé et le ruissellement est désormais
du pauvre vers le riche jusqu’à la dernière goutte.

La preuve en est de l’explosion du nombre de milliardaires durant le plan Covid et de l’augmentation de la pauvreté.
La guerre en Ukraine n’est que la continuité du même plan avec le sabotage de Nordstream par les Russes eux-mêmes (dire qu’il y a des Occidentaux pour le croire, ça fait peur), l’explosion totalement artificielle du prix de l’énergie et une inflation tout aussi artificielle.
Ce que j’ignore c’est s’ils ont prévu un plan intermédiaire entre l’Ukraine et le dérèglement climatique.
Vous pourriez me citer le Hamas, mais je pense que ce n’est qu’une opération (de trop ?) des sionistes messianiques pour créer le grand Israël, mais aussi camoufler la défaite de l’OTAN face à la Russie. Russie dont personne ne pouvait douter sinon de sa victoire, au moins de sa non-défaite.
Ce que je ne sais pas c’est si Blackrock ou Goldman Sachs ont déjà transféré leurs avoirs chez les BRICS.

Pour en revenir au climat, au fameux « dérèglement », j’adore ce mot comme si dans l’histoire le climat avait été un jour « réglé », l’unique objet est la mise à mort de l’Europe.
Tandis que les émissions de CO2 baissent en Europe, preuve de la destruction de l’économie, elles augmentent sur toute la planète et explosent en Asie.
Il faut dire que faire croire que le CO2, gaz totalement naturel qui sort de notre bouche et qui est source de vie sur la planète, 0,04 % de l’atmosphère (si je ne m’abuse), désormais un poison mortel, relève du génie du mal et de l’ignorance et de la naïveté du peuple. Le taux de CO2 était 20 fois supérieur durant l’ère des dinosaures.

Bref, Satan n’est pas près de prendre des vacances, il a un boulot fou en ce moment.

Bonne année ?

Alors l’année sera-t-elle bonne pour nous les gueux, les sans-dents, les inutiles dont la technologie fait qu’un robot et bientôt un androïde coûteront moins cher qu’un ouvrier occidental qui peut tomber en panne et avoir des putains de droits sociaux de merde ?

Je vais essayer de ne pas être totalement pessimiste et fournir quelques éléments objectifs positifs.

Si, si, je peux, ne soyez pas cruels…

L’État profond, les maîtres du monde, l’Église de Satan, appelons-les comme nous voulons du moment que nous n’écrivons pas « qui »…
« Eux », la secte des méchants, ont commis de graves erreurs en voulant trop accélérer leur agenda messianique. Ils ont aussi cru qu’ils pourraient contrôler Internet et les médias sociaux grâce à la censure massive, aux trolls et autres « vérificateurs de l’information ».
De ce point de vue c’est un échec total, la censure, la parole unique, la décrédibilisation systématique de toute dissidence, ont réveillé des millions, que dis-je des centaines de millions d’endormis quand bien même la masse demeure aujourd’hui sur une planète diamétralement opposée à la notre.

Il faut dire que les gouvernants ont été très cons comme par exemple nous autoriser à être assis sans masque au restaurant, mais interdit d’être debout, de même que les plages où il était interdit de marcher puis interdit de s’asseoir à moins que ce ne fût l’inverse. Cela a permis à certains de se demander si on ne se foutait pas un peu de notre gueule.
Pour les injections, nombreux ont vu que cela n’empêchait pas d’avoir la grippe en hiver et que les effets secondaires ne manquaient pas dans leur entourage.

Celui qui veut savoir, celui qui veut avoir accès à une information alternative et sourcée,
peut trouver très rapidement son chemin dans les méandres d’Internet.

Ce n’est pas ou plus une question de possibilité, mais de volonté !
Telegram, pourtant créé par un « méchant russe », est devenu un outil de liberté d’expression qui ne pourra pas disparaître ou sera remplacé par un autre. Espace de liberté au point que des groupes totalement hostiles à Poutine peuvent s’exprimer librement.

Nous traiter de « complotistes » est l’arme de ceux qui ont perdu la bataille, c’est le degré zéro de l’argumentaire.
Nous pouvons disposer de nos jours d’informations dans quasi tous les domaines et nous forger notre propre opinion en la comparant à celle des médias mainstream qui ne parlent que d’une voix.

Quiconque s’autorise à modifier ses croyances, prend le risque d’accepter qu’il puisse y avoir une autre vérité. Raison pour laquelle les mainstream font tout pour décourager l’innocent de lire des « désinformations complotistes ».

N’importe quel individu « sain et éduqué » peut avoir son monde totalement bouleversé en quelques semaines dès lors qu’il ne se contente plus des affirmations des médias, mais investit le temps nécessaire.
Autant il est facile de mentir, autant démontrer le mensonge prends plus de temps.

Il en est des sujets suivants :

  • La Lune où nous irons peut-être un jour.
  • JFK, la CIA et le Mossad.
  • La plandémie Covid.
  • Le 11 septembre.
  • Les guerres mondiales, le Vietnam, l’Irak, etc.
  • La théorie virale et l’arnaque de Pasteur.
  • Les « vaccins ».
  • La guerre en Ukraine.
  • La « victoire » de Biden vs Trump.
  • Le conflit israélien.
  • Le « réchauffement climatique » et la secte du Giec.
  • La mort de Diana.
  • La famille royale d’Angleterre
  • Les réseaux pédophiles et les élites, Epstein, Pizzagate, Sound of Freedom.
  • Les « énergies renouvelables ».
  • Les attentats de Nice, etc.
  • L’économie et la destruction de l’Europe.
  • L’illusion de démocratie.
  • Jean-Michel Trogneux et Mickaël.
  • Le sabotage de Nordstream.
  • L’État profond, Blackrock.

J’ai volontairement omis certains sujets, mais cette liste est déjà totalement délirante pour le commun des mortels.
Le mieux que vous pourrez obtenir d’un normie qui vous est proche est un sourire où un ricanement plus ou moins amical, soulignant que l’auteur de ces lignes est un original. Bref rien qui ne justifierait un investissement personnel pour vérifier si telle ou telle partie mériterait que l’on si attarde.

Dès lors que vous quittez le discours officiel sur les sujets précédents vous êtes au mieux qualifié de « complotiste » pour ne pas dire « d’extrême-droite » ou « antisémite » par la « bonne » société.
N’espérez pas que la parole soit donnée à des personnes compétentes sur ces sujets qui défendraient une thèse diamétralement opposée à la doxa.

Le fait est que celles et ceux qui ont pris la pilule rouge (c’est bien la rouge ? Je ne me rappelle plus) ne peuvent plus faire marche arrière et ont ouvert les yeux sur un monde, plutôt horrible, qu’ils ne pouvaient pas imaginer « à ce point ».

Jamais vous ne croiserez un « complotiste » regretter de ne pas s’être injecté le produit expérimental BioNTech ou faire son Mea culpa en déclarant son erreur et que l’homme a bien marché sur la Lune.
Ouvrir la boîte de Pandore c’est mettre un vers dans le fruit qui non seulement ne pourra plus jamais être retiré, mais ne fera que grandir pour se transformer en chrysalide.

À ce titre je pense que les missions Apollo sont les plus intéressantes pour une « initiation au complotisme » ça facilitera l’ingestion de la pilule « 11 septembre ».
Pour autant il est nécessaire d’avoir en face de soi un public qui se pose des questions ou qui tout du moins n’est pas à l’aise avec les vérités officielles.
C’est loin d’être évident, une majorité de la population ne veut ABSOLUMENT PAS savoir, ne veut PAS écouter, apprendre et veut rester dans ce monde imaginaire décrit par les médias.

Si d’aventure vous avez face à vous un « client » qui est prêt à prendre le risque alors le simple bon sens permettra de mettre à mal le discours officiel.

  • Imaginez que vous arriviez à l’intime conviction que l’homme n’est jamais allé sur la Lune, grâce à un ensemble de faits objectifs !
  • Imaginez que l’on vous mente sur ce sujet depuis 1969, soit plus de 50 ans !
  • Imaginez que le mensonge perdure encore et encore !
  • Imaginez l’énergie déployée pour vous convaincre du contraire et décrédibiliser la thèse « complotiste » !
  • Imaginez la complicité active des politiques, des scientifiques, de TOUS les médias mainstream pour vous maintenir dans l’ignorance !
  • Imaginez que la NASA soit, non pas une usine à rêve, mais, une usine de fabrique du mensonge !

Dans cette hypothèse qui serait désormais le « fou » ?

  • Celui qui imaginerait qu’ils disent la vérité sur les autres sujets ?

Ou

  • Celui qui se demanderait s’il faut mettre en doute 100 % des « vérités » qui nous sont enseignées pour se forger sa propre opinion ?

J’ai lu il y a quelques jours une publication sur Telegram dont j’ignore l’auteur. Le titre en était « Comment savoir si une information est vraie ? »
Il est bien évident que cela ne vaut pas loi, mais pour autant mérite réflexion. Les réponses étaient les suivantes :

  • « Facebook la bloque. »
  • « Twitter la supprime. »
  • « Google la cache. »
  • « YouTube l’interdit. »
  • « Les médias la qualifient de théorie du complot. »

Je pourrais rajouter :

  • Les auteurs sont bannis, moqués, disqualifiés, discrédités, calomniés, rejetés, interdits de médias, victimes d’attaques ad hominem.

Rappelons que la notion de « complotiste » a été médiatisée par la CIA lors de l’assassinat de JFK afin de décrédibiliser tout questionnement qui mettrait à mal la thèse officielle rocambolesque.

« Si tout le monde le dit, c’est vrai ! »

Dans nos sociétés, la vérité n’est qu’une question de statistique. Si la majorité dit que ou pense que… c’est que c’est vrai. On peut faire gober n’importe quoi à un normie qui a la mémoire courte.
Le simple fait que l’on ait dit au début de la plandémie que les masques étaient inutiles, inefficaces, extrêmement difficiles à bien mettre (et aussi dangereux), bref un ensemble de vérités scientifiques prouvées depuis des décennies. Puis quelques semaines plus tard, ce même objet devenait indispensable, efficace, sans la moindre contre-indication et obligatoire, aurait dû en toute logique provoquer un scandale planétaire. Mais non, la première « Vérité » de la totale inefficacité était oubliée et le caractère Vital de son utilisation devenait la nouvelle « Vérité ». Celles et ceux qui avaient quelques démangeaisons anales ont alors pensé que la première « Vérité » était un gentil mensonge qui était justifié par le manque de masques tandis qu’ils ne se disaient pas que c’était peut-être la deuxième « Vérité » qui était le vrai mensonge.
Et c’est ainsi pour tous les sujets.
Pendant des années on nous a dit que la voiture à essence polluait et qu’il fallait la remplacer par un diesel (Peugeot étant le leader européen du diesel et notre capacité de production était trop importante du fait de la fermeture de centrales thermiques au pétrole). Le quidam a alors vendu sa voiture essence en parfait état de fonctionnement pour acheter un diesel. Et là le diesel est devenu un assassin de la planète et le quidam achète une voiture électrique ou hybride pour sauver encore la planète. Il n’est pas impossible que la voiture électrique soit bientôt désignée comme une aberration écologique (ce qui est vrai) pour être remplacée par je ne sais quoi, par exemple une voiture à hydrogène qui, de bien entendu, « sauvera la planète ».

Il est tout aussi drôle, mieux vaut en rire, que des centaines de millions de normies se soient injecté une substance expérimentale, dont les précédents essais avaient été un échec retentissant, pour se prévenir d’une maladie qui n’a jamais tué les personnes en bonne santé. C’est quand même fou qu’ils aient pu gober (et c’est encore le cas pour nombreux d’entre eux) que le produit était sans danger alors que sa commercialisation a été permise sur les SEULES données du vendeur, en l’occurrence Pfizer pour ne parler que de lui.
Ici encore le normie a TOTALEMENT oublié les différents scandales, les milliards de dollars de condamnation de Pfizer pour mensonges, escroquerie, corruption et j’en passe. Le plus fou est que nous étions en France en plein scandale du laboratoire Servier et du Médiator.
Oublié que l’industrie pharmaceutique est un ramassis de voleurs sans conscience, d’un coup, par miracle, pour le Covid nous pouvions leur faire confiance au point d’injecter nos enfants et même des femmes enceintes alors qu’un médecin hésite à lui donner de l’aspirine tant cela peut être dangereux.
Ne nous étonnons pas qu’un Breton soit intimement convaincu du réchauffement climatique et du manque d’eau quand bien même il pleuvait tous les jours en Bretagne cet été !
C’est dans la nature humaine de suivre et de croire ce qui est répété jour après jour.

Néanmoins :

Mathématiquement, le nombre de personnes « complotistes »
ou « éveillées » ne peut que croître inexorablement.

Chaque jour, heure, minute, seconde, le nombre ne fait qu’augmenter, car trop c’est trop.
À cela vous pouvez ajouter que les hommes politiques, les médecins, les juges, les scientifiques et les journalistes ne sont pas tous des moutons, des naïfs, des égoïstes, des lâches, des débiles, des criminels ou des corrompus. Certains ouvrent les yeux et commencent à faire parler leur conscience. Nous voyons de nombreuses fissures dans le mur des forces du mal.

La question est donc de savoir si le mur va céder ou pas, et quand ?

2024 sera-t-elle une « bonne » année ? 

Je crains que cela ne dépende pas de gens comme vous et moi en ce qui concerne la bascule.

  • La version probable, logique, réaliste, pessimiste, voudrait que la dictature mondiale poursuive sa marche inéluctable, que nous perdions encore plus de libertés et que nous allions de plus en plus vers la pauvreté matérielle et spirituelle.

Et

  • La version utopique, optimiste, réaliste, voudrait que l’État profond soit démasqué et que les honnêtes gens ouvrent les yeux sur la réalité de l’horreur et de la manipulation.

L’année 2024 sera-t-elle lumineuse :

  • L’année où l’on dira « STOP » au sionisme messianique et au génocide des Palestiniens et autres minorités ?
  • L’année où l’est de l’Ukraine rejoindra naturellement la Fédération de Russie et l’Ouest deviendra neutre, sans présence de l’OTAN ?
  • L’année où Trump aura le droit d’être réélu ?
  • L’année où débuteront les premiers procès contre Pfizer ?
  • L’année où les scientifiques du climat pourront prendre la parole face aux corrompus ?
  • L’année où les agriculteurs, les entrepreneurs et le peuple européen (et occidental) diront « stop » à la destruction de notre vie ?
  • Etc.

Je voudrais y croire, je veux y croire, mais je n’ose y croire.

La question qui se pose est de savoir si le monde pourra basculer du bon côté sans notre intervention active. Les réseaux sociaux sont une mine d’informations salutaires et vitales, mais aussi notre prison.
Nous, peuples européens et occidentaux, pourrons-nous nous opposer activement sans descendre massivement dans la rue ? Je crains que non.

Je réserverai donc mon « bonne année 2024 » à la fin de l’année, sachant que le début n’a pas grand-chose de bon, et le remplacerai alors par « l’année 2024 a-t-elle était bonne ou moins mauvaise que la 2023 ? »

Alors, s’il vous plaît, ne me souhaitez pas une « bonne année », mais fabriquez là.

Merci

Alain Tortosa2

8 janvier 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240108-bonne-annee-ou-fin-du-monde.pdf


1 Libre interprétation

2 Groupe Telegram « Stop état urgence » https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o
Groupe Telegram « Docus qui dérangent » https://t.me/+Vb2slUv5Lk9hZmZk




« S’opposer aux récits “officiels” du COVID, c’est comme affronter Goliath »

[Source : Business Bourse]

Par Tyler Durden

17 MILLIONS DE DÉCÈS À CAUSE DES VACCINS CONTRE LE COVID-19 : « C’est comme un bilan de guerre mondiale… L’OMS va imposer des contrôles TOTALITAIRES sur toutes les nations ! »

Tucker Carlson s’est entretenu avec le biologiste évolutionniste Bret Weinstein, et les deux ont disséqué le réseau complexe de récits autour du COVID-19, l’industrie pharmaceutique et les changements mondiaux en matière de gouvernance et de politique de santé publique.

Selon Weinstein, s’opposer aux récits « officiels » du COVID, c’est comme affronter Goliath — avec des experts compétents et courageux dans divers domaines qui ont été agressivement censurés pendant la pandémie. Cela a conduit à la formation d’une « Dream Team » de dissidents.

« J’appelle la force que nous affrontons Goliath. Goliath a commis une terrible erreur et l’a commise de la manière la plus flagrante pendant la période du COVID, c’est-à-dire qu’il a pris toutes les personnes compétentes, toutes les personnes courageuses, et les a chassées des institutions, là où elles s’accrochaient. Et cela a créé, ce faisant, la “Dream Team”. Cela a créé tous les joueurs que vous pourriez souhaiter dans votre équipe pour mener une bataille historique contre un mal terrible », a-t-il déclaré, suggérant que la « Dream Team » est particulièrement qualifiée, pour lutter contre ceux qui ont bâclé la stratégie médicale face à la pandémie, avec des conséquences mortelles.

Weinstein a également discuté de la diabolisation des traitements alternatifs tels que l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine, et a affirmé qu’il y a eu 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID-19.

« Donc, je ne suis pas un génie en mathématiques, mais une injection sur huit cents multipliée par milliards, cela représente beaucoup de gens… 17 millions de décès dus au vaccin contre le COVID ? » demanda Tucker. « Juste pour mettre en perspective. Je veux dire, c’est comme le bilan d’une guerre mondiale. »

Ce à quoi Weinstein a répondu : « Oui, absolument. C’est une grande tragédie de l’histoire. Donc on est vraiment dans cette proportion. Et étonnamment, il n’y a aucune chance que cela soit fini. Je veux dire, ils nous recommandent toujours ces choses pour les enfants en bonne santé. »

Weinstein et Carlson ont également discuté de ce qu’ils perçoivent comme un changement de pouvoir mondial orchestré par les politiques de santé publique. Ils ont discuté du plan de préparation à une pandémie proposé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exprimant leurs inquiétudes quant à d’éventuelles atteintes à la souveraineté nationale. Weinstein a mis en garde contre une « planète totalitaire clé en main », dans laquelle l’OMS serait en mesure d’imposer des contrôles sans précédent sur les nations et leurs citoyens.

Source : zerohedge




« À l’hôpital, j’étais isolé. En privé, on venait me demander si leur pathologie avait un lien avec la vaccination »

[Source : francesoir.fr]

Alors que depuis deux ans, de nombreux patients attestent que leurs médecins leur disent en privé que leur pathologie est probablement liée à la vaccination contre le Covid-19, ils sont encore très peu à oser prendre la parole, de peur d’être convoqués par l’Ordre. Le docteur ZL a accepté de témoigner sous couvert d’anonymat. Chercheur en neurosciences et médecin en CHU, fort d’une quinzaine d’années d’expérience en milieu hospitalier, il évoque sa réintégration et les problèmes rencontrés alors dans ses rapports sociaux.






Après le Lancet Gate, le France Info Gate ?

Par le Dr Gérard Delépine

Le 04/01/2024, Anne Le Gall sur Radio France a encensé une étude française actualisant les thèses et les méthodes du Lancet Gate1 2 pour prétendre que l’hydroxychloroquine utilisée contre le covid aurait causé « près de 17 000 décès dans six pays (en Belgique, en Espagne, en France, en Italie, en Turquie et aux États-Unis) », que « le nombre de victimes est probablement bien plus grand. » et ajoutait que plusieurs travaux de recherche auraient souligné « son inefficacité dans cette indication ».

Peut-on reprocher à une journaliste non-médecin d’affirmer de telles bêtises, mais elle aurait dû se rendre compte que la prétendue étude n’était pas une étude de faits avérés, mais seulement une simulation biaisée3 basée de plus sur des données en partie inventées comme l’a très bien démontré Gibergie dans son excellente analyse4. Elle aurait pu aussi vérifier les résultats publiés par l’OMS et les agences sanitaires qui ont utilisé ce traitement et demander des commentaires au professeur Raoult qu’elle accuse de tous les maux.

Pour tenter de l’instruire, nous lui rappellerons quelques faits indiscutables qu’elle paraît ignorer alors qu’ils sont authentifiés par les données de L’OMS, par des agences sanitaires et les déclarations de ministres de la Santé de nombreux pays.

Dans le monde réel, l’hydroxychloroquine n’est guère toxique

C’est l’un des médicaments qui a été le plus utilisé dans le monde. Depuis 1945, il a été administré contre le paludisme à des milliards d’adultes, d’enfants et de femmes enceintes pendant de très longues périodes sans accident toxique notable au prix de quelques précautions chez les cardiaques, les malades de porphyrie ou de rétinopathie. Ce médicament est si peu toxique qu’on pouvait, avant le Covid, se le procurer en France sans ordonnance.

Et brutalement, à l’occasion du covid, il se serait transformé en médicament tueur ? Il faut ne rien connaître à la médecine, n’avoir aucune mémoire, ou être de mauvaise foi pour croire pareille sornette.

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop qui a largement utilisé le traitement Raoult contre le Covid, a confirmé la faible toxicité de ce traitement lors d’une interview à Marianne sur le sujet 5 :

« On a constaté des effets secondaires, mais bénins, qui ont tous disparu sans qu’il y ait de traitement supplémentaire, notamment des diarrhées… … On a eu à constater quelques cas de troubles du rythme cardiaque, qui ont cessé sans traitement, ainsi que quelques cas de palpitations cardiaques. Globalement le traitement est bien supporté. ».

Cette bonne tolérance habituelle chez les sujets sains et aux doses recommandées est confirmée par tous les manuels de thérapeutique.

Le traitement Raoult a prouvé son efficacité en Algérie

Le 31 mars 2020, le ministre de la Santé algérien, Abderrahmane Benbouzid, annonçait à la radio :

« Le Comité scientifique installé auprès du ministère de la Santé a décidé de démarrer le traitement à la chloroquine sur tous ceux qui sont déclarés positifs au Covid-19 ainsi que sur tous ceux qui auront des signes de contamination ».

Très rapidement des médecins d’Alger et d’Oran signalent les excellents résultats de ce protocole.

Le 31 mai 2020, lors de la réunion du Conseil algérien des ministres présidée par le chef de l’État, le ministre de la Santé déclarait que le protocole de traitement à la chloroquine avait prouvé « son efficacité avec le rétablissement de 98,2 % des patients atteints, sur un total de plus de 16 000 cas traités. La situation sanitaire du pays se stabilise. Ce qui a permis “une reprise des activités sanitaires au niveau des hôpitaux, y compris les interventions chirurgicales non urgentes”. »

Depuis janvier 2022, l’épidémie Covid est terminée en Algérie, et en octobre 2022 la mortalité Covid globale y était 22 fois moindre que celle de la France pour une population des 2/3 (44M vs 67M) soit, par million d’habitants, 15 fois moindre.

Une telle différence n’est pas expliquée par leurs facteurs de mauvais pronostic: mêmes pourcentages de plus de 60 ans6 7, et un peu plus d’obèses en Algérie (23 % vs 17 %)8 9.

Le climat algérien, différent de celui de la France pourrait être invoqué, mais la comparaison avec la Tunisie permet de l’exclure. En effet, Algérie et Tunisie partagent le même climat, des populations et des habitudes de vie communes. Mais la Tunisie a, comme la France, appliqué la stratégie de l’OMS « pas de traitement précoce et tout vaccin » et comme la France compte 16 fois plus de morts par million que l’Algérie.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité au Sénégal

Le docteur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar et professeur titulaire de la chaire d’infectiologie de l’université Cheikh Anta Diop, expliquait à Marianne10 :

« J’ai choisi au départ, en mars 2020, d’utiliser cette combinaison thérapeutique après lecture d’articles scientifiques sur l’effet de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine ainsi qu’après avoir étudié les analyses préliminaires du Professeur Raoult. Par ailleurs, ces molécules étaient connues en Afrique, pas très coûteuses et accessibles rapidement. C’était une urgence, une question de santé publique. On ne pouvait pas rester sans rien faire. Dès les premières études, nous avons remarqué que l’azithromycine associée à l’hydroxychloroquine faisait mieux que l’absence de traitement ou que l’hydroxychloroquine seule. »

« Nous avons depuis réalisé une analyse multivariée 11 ; le résultat reste constant : l’association de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine pour soigner est bénéfique. »

Au 31/12/2023 le Sénégal comptait 113 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (22 fois moins)12.

Le président sénégalais Macky Sall a d’ailleurs remercié le professeur Raoult en l’élevant à la dignité de commandeur dans l’ordre national du Lion.

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité en Côte d’Ivoire

La directive du ministère de la Santé, édictée le 4 avril 2020, a recommandé l’utilisation de l’hydroxychloroquine associée à une antibiothérapie pour les cas sévères. Les espoirs portés sur l’arrivée des vaccins ont été tempérés par la réticence d’une partie de la population à adhérer à la campagne nationale de vaccination et à peine 40 % de la population du pays était injectée en décembre 22, lorsque l’épidémie s’est arrêtée.

Grâce au traitement Raoult, au 31/12/2023, la Côte d’Ivoire comptait 29 morts attribuées au Covid par million d’habitants contre 2590/M en France (89 fois moins !).

Le traitement Raoult a aussi prouvé son efficacité dans de nombreux autres pays africains

En Guinée, le docteur Noël Tordo, grand virologue et responsable de l’Institut Pasteur à Conakry a rapporté sur sud radio 13 :

« En Guinée, nous donnons de la chloroquine et cela a ses effets sur les premières phases »

En RD Congo, le président Félix Tshisekedi a estimé en 2020 qu’il était « urgent que soit produite une quantité industrielle de chloroquine »14.

Mais aussi au Bénin, Burkina Faso, Cameroun où les gouvernants ont généralisé le traitement à base de chloroquine bien connue sur le continent, peu chère et vendue en pharmacie sans ordonnance. Cette utilisation massive de la chloroquine explique en partie la très faible mortalité Covid (30 à 200 fois inférieure à celle des USA ou de l’Europe) tout à fait inattendue dans ces pays pauvres où les systèmes de santé sont quasi inexistants :

La pauvreté de ces pays africains leur a épargné la corruption et la propagande pro vaccination et leur a permis d’utiliser les traitements bon marché qui ont sauvé leurs populations. Mais peut-être que Anne Le Gall et Radio France ignorent-ils l’Afrique…

L’ensemble des médias français a repris ces désinformations sur la prétendue toxicité de la chloroquine et sa supposée inefficacité du traitement Raoult, sans même émettre des réserves sur leur méthodologie, ni leurs hypothèses fausses. Leurs conclusions ne sont plus crédibles aujourd’hui avec le recul et les chiffres de mortalité Covid dont on dispose. Honte à eux et aux auteurs lyonnais de ce torchon pseudo-scientifique qui les discrédite.

On peut même se demander si leur responsabilité pénale ne serait pas engagée pour diffusion de fausses informations mettant en danger la vie d’autrui. L’avenir nous le dira.

Sortie désespérée de l’impasse dans laquelle les mondialistes se trouvent ?

De nombreux tweets commentent cette attaque en piqué de tous nos médias le même jour à la même heure… grotesque et pitoyable :

et bien d’autres… bonne lecture.





Vœux du Professeur Christian Perronne

[Source : bonsens.info]

Vœux 2024

Chers résistants, chers éveillés,

Voilà bientôt quatre ans que notre beau pays est tombé bien bas par la volonté d’un petit groupe de personnes ultrariches et ultrapuissantes qui ne nous veulent pas du bien. L’Union européenne a renié toutes ses valeurs démocratiques en se laissant diriger par une Commission qui outrepasse ses droits. C’est le cas notamment pour l’achat par dizaines de milliards de produits expérimentaux que les médias aux ordres nous ont fait passer pour des vaccins et pour la dépense de dizaines de milliards pour des guerres injustes et perdues d’avance. Le peuple de France souffre, comme beaucoup de peuples en Europe. On attaque la protection sociale et on détruit le système de santé. Les urgences des hôpitaux ferment faute de personnel. Les médecins sont en voie de raréfaction et même de disparition pour certaines spécialités. On profite de la répression Covid pour pourchasser les médecins qui soignent la maladie de Lyme chronique qui touche des millions de personnes en Europe et en Amérique du Nord, dont beaucoup meurent à petit feu, abandonnées par le système de santé, pour protéger des intérêts militaires. Une rare bonne nouvelle en 2023 a été la reconnaissance par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention), centre de surveillance des maladies aux États-Unis, de l’existence de la forme chronique de la maladie de Lyme, déniée depuis des décennies. Mais l’élite est à des années-lumière de la souffrance des citoyens, elle profite dans son monde. Il y a un feu d’artifice de personnalités politiques mises en examen pour des scandales sexuels ou financiers, mais personne n’est condamné. On dirait que c’est devenu la norme pour avoir des responsabilités républicaines. Le parlement est piétiné. La liberté d’expression est bâillonnée et l’on va profiter des Jeux Olympiques pour renforcer, de façon pérenne, le contrôle sur les citoyens. La mortalité augmente de façon très inquiétante depuis les campagnes « vaccinales » Covid, y compris chez les jeunes avec beaucoup de crises cardiaques, d’accidents vasculaires et de cancers d’évolution fulgurante. Cette surmortalité est reconnue, mais officiellement la cause est inconnue et l’on nous bloque l’accès aux données de santé qui sont devenues secret d’État ! La fertilité est en baisse, et cela depuis quelques mois après le début des campagnes d’inoculation. La France, par nature optimiste, qui avait un des taux de natalité les plus élevés en Europe, fait beaucoup moins d’enfants. Jamais depuis la Deuxième Guerre mondiale, l’horizon n’a été aussi sombre. Les jeunes sont tristes, rivés à leur smartphone, et préfèrent se soumettre sans se poser de questions, plutôt que d’affronter la réalité de plein fouet. Pourtant je vois une immense lueur d’espoir. Après la phase d’abnégation où les Français ont été terrorisés par des messages de peur incessants, de plus en plus de personnes se réveillent de ce cauchemar et ne lisent plus ou n’écoutent plus les médias de grand chemin. Ces médias n’existeraient plus aujourd’hui sans les milliards de subventions donnés par le gouvernement. Les Français apprennent à se prendre en charge sans compter sur l’État qui n’est plus là pour les protéger ni les aider. Les Français apprennent à dire non aux diktats injustes. Un immense esprit de solidarité parcourt à nouveau le pays. Les valeurs familiales n’ont jamais été aussi fortes. Il faut parfois surmonter des épreuves pour connaître le meilleur. La crise Covid et les manipulations de masse ont provoqué des fractures graves dans les familles et parmi les amis. Il est très difficile pour une personne qui s’est soumise aux injonctions brutales de l’autorité, en pensant bien, d’accepter l’idée de s’être laissée abuser et de le reconnaître. La conséquence peut être la colère, mais c’est encore souvent le déni. La réalité est trop violente à regarder en face. Il faut donc faire preuve de bienveillance et de patience pour retrouver nos liens si chers. Ces milliardaires qui nous organisent ces crises auront permis à des millions de Français de découvrir que nous ne vivons plus en démocratie. L’éveil a déjà touché des milliards d’habitants sur la planète et ce mouvement est inarrêtable. Alors tous ensemble, marchons avec le cœur au ventre vers la libération et une ère nouvelle pleine d’humanité. Je vous remercie infiniment pour votre soutien constant et si chaleureux et vous souhaite pour vous, votre famille et vos proches une excellente année 2024.

Christian PERRONNE




Les consommateurs rejettent le « Great Reset »

[Source : epochtimes.fr]

Par Jeffrey A. Tucker

Mon ami a loué une Tesla pendant les vacances. C’est sans aucun doute la référence pour les voitures électriques (VE) et c’est un vrai plaisir de la conduire. Mais il y a un problème  : ce n’est pas du tout une voiture pratique. L’ami roulait dans le froid et sa batterie était presque vide au bout de deux heures. La recherche d’une recharge n’a pas été une mince affaire. La première ne fonctionnait pas. La deuxième indiquait qu’elle pouvait charger en 10 heures, le temps que mon ami n’avait pas. La troisième a chargé la voiture en une heure, mais c’était quand même une heure entière de perdue (heureusement qu’il ne fallait pas attendre la fin du chargement d’autres voitures).

La conclusion de mon ami : il s’agit bel et bien d’une voiturette de golf couverte d’éloges, mais conçue pour vous maintenir à la maison et sous la coupe du fabricant. Et ce n’était qu’un test. Les réparations et leurs coûts, en particulier du remplacement de la batterie, sont des surprises bien pires. N’oubliez pas qu’il s’agit d’une Tesla — ce que l’industrie des VE a de mieux à offrir. Les autres fabricants de ces engins produisent des véhicules qui sont loin d’être aussi bien notés, ce qui explique pourquoi tant d’entre eux restent invendus et pourquoi leurs commandes sont en chute libre.

Il semble que l’engouement pour les VE ait déjà atteint son apogée. En Amérique, la croissance de la demande pour des voitures à essence est aujourd’hui bien supérieure à celle des voitures électriques, inversant la tendance d’il y a 12 mois. Les consommateurs ont enfin compris. C’est une bonne deuxième voiture, à condition de rouler dans sa propre ville, d’avoir un branchement à la maison et de pouvoir la recharger pendant la nuit, et de ne pas devoir soudain quitter la ville. C’est un jouet, parfois amusant, mais pas une vraie voiture. Pour cela, il faut de l’essence.

L’idée que la VE va permettre de passer à une « énergie propre » est absurde. Si toutes les voitures étaient électriques, le réseau électrique s’effondrerait et le rationnement serait la norme. Et c’est peut-être là tout l’intérêt. Vous ne conduirez que si vous en avez la permission. Vous n’aurez aucun contrôle sur vos déplacements. Les autorités décideront de tout à votre place. C’est une stratégie parfaite pour créer une société de dépendants.

Heureusement, les consommateurs ne jouent pas le jeu. Nous vivons encore avec les vestiges d’un système capitaliste dans lequel les fabricants doivent faire des bénéfices. C’est donc un grave problème pour l’ensemble de l’industrie des VE qui pourrait faire face à une vraie crise en 2024.

Bien sûr, Tesla continuera à fabriquer des voitures de luxe pour les citadins aisés. Mais ce n’est pas pour tout le monde. Et ce n’est même pas pour ceux qui ont encore un long chemin à parcourir.

Puisque nous parlons d’échecs, pensons à la fausse viande. Vous vous souvenez qu’elle allait remplacer la vraie viande ? Eh bien, jetez un coup d’œil dans les épiceries américaines aujourd’hui. C’est un autre produit qui a atteint son apogée. L’action du fabricant de la fausse viande « Beyond Meat » était à 196 dollars en 2019. Elle n’a cessé de chuter. Actuellement, elle est offerte à environ 8 dollars, sans que personne n’y soit particulièrement intéressé. Il semble que cette société ne restera pas non plus sur le marché pour longtemps, ce qui amène à se demander pourquoi tous ces magouilleurs continuent à nous faire avaler leurs trucs. Les consommateurs commencent à en avoir marre.

Il en va de même pour les vaccins contre le Covid-19, payés par vos impôts. Les sociétés pharmaceutiques ont effectué de grandes ventes, ont obtenu des brevets et ont vu une demande publique apparente. Mais il y a un problème : ces vaccins ne fonctionnent pas. Ils sont également très dangereux. Il s’agit d’un vrai désastre pour Moderna et Pfizer. En deux ans, l’action Pfizer est passée de 59 à 28 dollars. Moderna a chuté de 384 à 100 dollars au cours de la même période. Les deux entreprises possèdent d’énormes stocks de ces vaccins, alors qu’il ne reste pratiquement plus de demandes de la part des gens malgré leurs interminables rappels. Ces sociétés font également l’objet de poursuites judiciaires pour avoir exagéré les avantages qu’ils procurent. En tout état de cause, ces vaccins n’ont jamais été nécessaires pour la grande majorité de la population et certainement pas pour les enfants.

Une fois de plus, nous devons remercier les vestiges du capitalisme pour cela. Le gouvernement a essayé de forcer tout le monde à se faire vacciner. Et il y est parvenu auprès de certains segments de la population pendant un certain temps. Il a également fait appel à des stars d’Hollywood et à toutes sortes « d’influenceurs » pour inciter les gens à se faire vacciner. En Amérique, des villes entières (New York, Nouvelle-Orléans, Chicago et Boston) ont même été fermées aux personnes non vaccinées. À tout le moins, les entreprises et les responsables gouvernementaux qui ont coopéré devraient présenter des excuses pour ce désastre.

En même temps, pensons aussi à Threads, l’alternative de Mark Zuckerberg à X (ex-Twitter). Ce média social a été lancé en début de 2023 en grande pompe. Il a démarré avec 4 millions d’utilisateurs, principalement en repêchant les utilisateurs d’Instagram. Aujourd’hui, il n’en compte plus qu’un million, mais même eux sont à peine actifs.

Pour ma part, lorsque j’ai vu comment on abusait d’Instagram, j’ai immédiatement supprimé mon compte et un millier d’images avec. Quel soulagement ! Il se trouve que je détestais ce truc de toute façon. Bon débarras !

Threads a été un désastre qui s’est ajouté aux problèmes de l’espace virtuel partagé (métavers) de M. Zuckerberg qui est vide et ennuyeux. Il s’avère qu’il n’est pas du tout un bon homme d’affaires. En ce qui concerne le Facebook, lancé également par Zuckerberg, il n’est plus qu’une plateforme publicitaire qui commercialise vos données. Il n’est vraiment utile que pour son propre marché. Il est étonnant que le cours de son action n’ait pas encore été touché, pas pour le moment.

Vous voyez une tendance ? Les marchés du monde réel rejettent le « Great Reset » (Grande réinitialisation), ce plan radical international socialiste conçu pour formater l’économie mondiale. Que l’on mange des insectes, que l’on conduise des voitures électriques, que l’on mange de la fausse viande ou que l’on vive dans le monde du métavers censuré, rien de tout cela ne marche. Nous ne pouvons qu’espérer que cette tendance se poursuive en 2024 et qu’elle entraîne la faillite des sociétés qui se sont lancées dans ces affaires bien douteuses. Espérons que le marché des consommateurs puisse rendre son jugement final avant que tous ces trucs ne deviennent obligatoires — ce qui est le véritable objectif.

En attendant, soyons reconnaissants pour tout ce qui reste de capitalisme, car les marchés libres sont synonymes de choix pour les consommateurs. Et lorsqu’ils ont le choix, nous pouvons constater aujourd’hui que les consommateurs n’aiment pas les projets envisagés pour notre vie par Klaus Schwab, même s’ils sont soutenus par Bill Gates.




Culte des vaccins et déclin de la spiritualité 

Par Nicolas Bonnal

On n’a pas assez relié le développement des vaccins avec la disparition des génies artistiques et littéraires en occident : à partir des années 1880, ils se raréfient au niveau de naissances, ensuite vers 1930 (totalitarismes…) ils disparaissent. Qui a succédé à Broch, Musil, Strauss, Ravel, Céline, Bernanos, Bartok ou Ives ? La disparition de la grande culture pressentie par Zweig dans les années trente est une donnée du monde d’après 1945. On entre dans l’ère du citoyen superflu dont parle Nietzsche dans Zarathoustra, citoyen tellement superflu qu’il se laisse emprisonner et exterminer sans réagir. La culture devient du savoir congelé (Debord) ou de la pensée et de la musique jetable. La poésie a disparu : tout ce qui importe c’est de jouir et survivre. La panique Covid et le code QR n’ont pas d’autre cause.

Le déclin de la spiritualité accompagna aussi la modernité et ses vaccins (voyez ce pape et ces cathos) ; et c’est là que je vais reprendre Rudolf Steiner et ses conférences de 1917. Steiner est un grand esprit qui n’est pas ma tasse de thé, pas plus que Lévi-Strauss. Je les cite ici parce qu’ils ont raison ou ouvrent une vraie question sur un certain point de la monstruosité moderne. Quod verum est meum est, comme dit Sénèque à Lucilius (lui oui est un de mes maîtres).

Steiner voit donc le vide spirituel arriver avec son cortège de démons :

« En fait, rien ne reste tout à fait vide. Et dès lors que l’âme de l’homme se retire de plus en plus de son corps, celui-ci est de plus en plus exposé au danger d’être habité par autre chose. Si les âmes ne veulent pas faire effort pour s’ouvrir à des impulsions spirituelles qui ne peuvent prendre naissance que dans la connaissance du spirituel, le corps sera habité par des êtres démoniaques. Voilà le sort vers lequel marche l’humanité ; les corps peuvent être entièrement habités par des puissances ahrimaniennes démoniaques. »

Il est bon, disait Léon Bloy (qui redoutait Pasteur comme la peste) d’exaspérer les imbéciles et de rafraîchir l’imagination des bons chrétiens ; alors poursuivons dans la même veine :

« La nostalgie du diable qu’a ressentie Ricarda Huch a vraiment un lien avec ce qui se prépare. Les institutions, les concepts, les idées sociales que conçoivent aujourd’hui les gens sont des abstractions grossières par rapport aux conditions complexes qui vont se créer. Et parce que les humains ne sont pas capables de saisir à l’aide de leurs concepts, de leurs représentations, la réalité qui est là, ils glissent de plus en plus au chaos, comme le révèlent suffisamment les évènements de cette guerre. »

Car on est en 1917. Steiner ajoute :

« Autrefois, au concile de Constantinople, l’esprit a été éliminé, on a institué un dogme : l’homme n’est fait que d’une âme et d’un corps, parler d’esprit est une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l’âme, la vie de l’âme. »

Si un christianisme déjà dévoyé a éliminé l’esprit, le scientisme moderne élimine, lui, l’âme ; c’est là que le vaccin va l’aider :

« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une “saine vue des choses”, on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. »

Seul le corps doit rester, l’âme et l’esprit doivent disparaître :

« Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps “sains”, c’est-à-dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront “sains”, des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le Soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. »

Rôle du médecin moderne :

« On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. Oui, ceux qui croient qu’on peut prévoir l’avenir à l’aide d’idées qui jouent avec la réalité sont bien dans l’erreur. »

La liquidation spirituelle des enfants est déjà à l’ordre du jour :

« Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie, à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les “folies” de la vie spirituelle, “folie” dans la perspective matérialiste, bien entendu. »

C’est à cette époque très freudienne qu’on cherche à traiter chimiquement ou cliniquement les génies :

« La chose a déjà commencé, dans le domaine littéraire du moins, où elle est moins nocive. Des écrits de médecins très savants ont déjà paru qui traitent de la pathologie de différents génies. Conrad Ferdinand Meyer, Victor Scheffel, Nietzsche, Schopenhauer, Goethe, on a essayé de les comprendre tout en faisant état de tel ou tel trait pathologique avéré. Et ce qui est le plus bouleversant dans ce domaine, c’est qu’on a aussi essayé de comprendre le Christ Jésus et les Évangiles en se plaçant au point de vue de la pathologie. »

Les siècles du totalitarisme et des camps de concentration arrivent. Dans un esprit proche de Guénon et de Bernanos, Steiner écrit :

« Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. »

Cela explique très certainement la faible résistance à la tyrannie sanitaire et au Reset. Les peuples abêtis et grégaires ont été anesthésiés (cf. Payne et aussi Ortega Y Gasset) par le consumérisme, la massification, les médias mais aussi par les vaccins. Le culte obligatoire des vaccins actuels, promu par 99 % des élites mondiales et par ce pape monstrueux, n’est certes pas fortuit.

Sources

RUDOLF STEINER : La chute des esprits des ténèbres — Quatorze conférences faites à Dornach du 29 septembre au 28 octobre 1917.

https://transfert.meybeck.net/bd/cosmobacchus/docs/steiner/Steiner%20Rudolf%20-%201917%20-%20La%20chute%20des%20esprits%20des%20t%C3%A9n%C3%A8bres.pdf




En France les militaires ne meurent plus sous les balles, mais par les injections

L’intervenante est le Dr Typhaine Pinsolle que l’on peut voir aussi ci-dessous
[qu’elle ne remette pas en question l’existence de virus pathogènes est une autre affaire. Comme beaucoup de personnes travaillant dans le milieu médical, elle nest probablement pas informée de la réfutation de la pseudo théorie virale ou na pas voulu se pencher sérieusement sur la question.] :

Dr Typhaine Pinsolle au Sénat sur les effets secondaires du Covid19. Paris/France – 07 Novembre 2023
Autre lien pour la vidéo, en cas de censure : https://crowdbunker.com/v/98a1USuQom

Une autre vidéo sur cette intervention :





La grippe et son vaccin

[Premier vaccin prétendument efficace réalisé par Jonas Salk en 1944-1945]



Pierre Chaillot : « L’OMS est un passe-plat, financée par des névrosés bourrés de fric ! »

[Source : putsch.media]

Pierre Chaillot, statisticien et auteur de « Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels » publié aux éditions de l’Artilleur était l’invité dans le grand entretien de Nicolas Vidal. Il est revenu sur les effrayantes statistiques des effets secondaires des vaccins concernant les décès et la baisse fulgurante de la natalité. Il a abordé également le rôle obscur de l’OMS sur cette épidémie.

[À partir de 0:59]





ADN dans les vaccins ? Les médecins allemands en colère

[Source : covidhub.ch]

En Allemagne, la révélation d’importantes quantités d’ADN dans les vaccins a créé la foire d’empoigne dans le monde médical. Début décembre, l’association des praticiens de la médecine (MBV) a adressé un courrier à tous les médecins généralistes pour les avertir de ce danger pour la santé et de ses conséquences légales. L’institut fédéral responsable du contrôle des vaccins a immédiatement démenti ces accusations, parlant de données inexactes et de « fake news ». Mais ses arguments ont aussitôt été démontés par un groupe de scientifiques, le MWGFD, qui a confirmé les dangers liés à l’ADN dans les vaccins Covid. L’affaire les a même poussés à porter de lourdes accusations contre l’Institut Paul Ehrlich, qui est responsable de la pharmacovigilance en Allemagne, et qui conseille l’Agence européenne des médicaments.

Le « Plasmidgate »

La tentative de l’Institut Paul Ehrlich (IPE) de faire passer les informations concernant la présence d’ADN dans les vaccins pour des « fake news » a suscité un véritable tollé et lancé le débat sur la place publique. C’est tout d’abord la chaîne de télévision allemande MDR qui a réalisé un reportage sur le sujet. Peu après, le magazine en ligne Focus a lui aussi publié un dossier sur ce que l’on appelle aujourd’hui « le Plasmidgate ». À présent, le scandale prend de l’ampleur, car il apparaît que l’Institut Paul Ehrlich n’a jamais effectué de véritables contrôles des vaccins Covid. Il s’est seulement limité à vérifier les documents fournis par les fabricants. Cet aveu est un véritable choc pour de nombreux médecins et pour le public. Comment imaginer que l’autorité responsable de la sécurité des médicaments donne de facto carte blanche aux fabricants, en se fiant à leurs propres affirmations sur la qualité du produit ?

[Note de Joseph :

Cette affaire de supposé ADN contaminant des vaccins est probablement du même ordre que celle du prétendu ARNm, à savoir un écran de fumée pour cacher le vrai problème : la nanotechnologie à base de graphène. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/next-dose-3-faut-il-encore-des-preuves/.

C’est quand même bizarre que des médias mainstream (allemands dans le présent cas) ébruitent cette affaire d’ADN et que d’autre part des laboratoires vraiment indépendants qui ont analysé le contenu de plus d’une dizaine de sortes de vaxins anticovid n’aient pas trouvé trace de matériel biologique (pas de présence des éléments chimiques typiques du vivant, notamment azote et phosphore). Voir https://nouveau-monde.ca/dr-david-a-hughes-quy-a-t-il-dans-les-soi-disant-vaccins-covid-19-preuves-dun-crime-mondial-contre-lhumani/.

Si les analyses supposément génétiques reposent sur le même genre de cuisine que la virologie (notamment avec la PCR et l’usage de logiciels de séquençage qui ne font que mouliner dans le virtuel et inventer au final des séquences dont il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de leur existence dans la nature. Voir https://nouveau-monde.ca/un-adieu-a-la-virologie-edition-pour-expert/), alors il n’est pas étonnant que des labos officiels puissent trouver de l’ADN ou de l’ARNm là où des indépendants sans conflits d’intérêts n’ont rien trouvé de tel.

En réponse à la peur génétique (ADN, ARNm, Spyke), il existe maintenant suffisamment d’indications (d’après l’épigénétique) que le code génétique n’est naturellement pas fixe, mais se modifie selon l’environnement et selon le psychisme de l’individu (Voir Génétique : Le génome en dissolution, Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus et Vos pensées contrôlent votre ADN !). On pourrait répondre que l’affaire du graphène peut aussi engendrer la peur, mais on sait que celui-ci est naturellement éliminé du corps en quelques mois et que l’élimination peut être accélérée par des antioxydants, même si sous forme d’hydroxyde il est plus difficile à éliminer.

La raison pour laquelle ils poussent autant les rappels anticovid et de nouveaux vaccins, ce n’est pas pour booster l’immunité (dont le concept lui-même est probablement erroné si la théorie des germes et sa fille virale sont fausses. Il faudrait alors par exemple parler de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage), mais pour renouveler le stock de nanotechnologie graphénisée dans le corps des vaccinés. Le graphène lui-même pourrait être renouvelé notamment par l’ingestion alimentaire, infection médicale (sur les masques et les écouvillons de tests PCR [cela a été observé]), cosmétique, aqueuse (dans les boissons ou l’eau du robinet) ou aérienne (par les chemtrails) de cette substance.

On peut aussi se poser la question du pourquoi de la présence du graphène. Eh bien pour transformer l’Homme en transhumain, selon les vœux de sieur Schwab et de psychopathes milliardaires, afin de mieux l’asservir :

Nanotechnologie à base de graphène (contenant l’identifiant universel sous forme d’adresse MAC)
+ 5G/6G + CBDC + Crédit social
= Marque de la Bête

Voir Nanotechnologie et « vaccins »

]

L’association des praticiens de médecine pose aujourd’hui des questions fort embarrassantes :

Qu’est-ce qui pousse l’agence de contrôle à vouloir mettre fin à une action qui contribue à la sécurité des médicaments ? L’IPE part-il du principe que les connaissances sur les impuretés de l’ADN peuvent devenir un problème pour la sécurité des vaccins ? Plusieurs travaux d’analyse ont démontré que les vaccins à ARNm présentent d’importantes contaminations de l’ADN. L’IPE n’est-il pas au courant de ces publications scientifiques ? Des spécialistes avaient pourtant alerté l’agence dès les premières publications des chercheurs américains sur ce sujet. À présent, ils sont maintenant encore plus irrités et alarmés.

Collusion avec BioNTech

La MVB a aussi souligné que le professeur Cichutek, président de l’Institut Paul Ehrlich, est un des plus grands chercheurs allemands en matière de thérapie génique et qu’il avait lui-même décrit en détail les dangers des thérapies géniques, dans les années 90. Selon ses propres termes, la vaccination avec des vaccins contenant des acides nucléiques équivaut à « une forme particulière de transfert de gènes/thérapie génique ». Et,

une conséquence génétique indésirable des vaccinations avec des vaccins contenant des acides nucléiques pourrait être une mutagenèse par insertion de gènes cellulaires… entraînant un risque accru de cancer.

Au vu du contenu inquiétant de cette publication du professeur Cichutek datant de 1994, la MBV exige des explications publiques ! Quand, où et comment les risques qu’il a lui-même énumérés ont-ils été étudiés plus en détail ? Jusqu’à présent, l’IPE a refusé de fournir la moindre réponse à ces questions.

Selon un ancien directeur de la caisse des assurances-maladie (KVB), le Dr Krimmel, un spécialiste en médecine générale, l’attitude de l’Institut Paul Ehrlich a « aggravé la situation ». Elle est « de nature à ôter au public ses dernières illusions quant au bon fonctionnement de la surveillance de la production de vaccins à ARNm ».

Pourquoi l’Institut ne veut-il pas dissiper ce « terrible soupçon » de contamination massive par de l’ADN ? Que sait l’IPE sur ce sujet, étant donné qu’il avait lui-même conseillé la société productrice BioNtech d’obtenir l’autorisation du vaccin ?

En juin 2023, le ministre de la santé allemand a tweeté depuis la salle « de contrôle des vaccins » de l’Institut Paul Ehrlich que « grâce au Prof. Cichutek et à l’IPE les vaccins Covid ont été approuvés plus rapidement »

Trompés par les agences

La MBV a rappelé qu’il existe deux procédés de fabrication différents pour les vaccins à ARNm, comme l’Agence européenne des médicaments l’a bien mentionné dans son rapport d’évaluation du 19.02.2021 (concernant Comirnaty, EMA/707 383/2020, CHMP).

Le produit soumis à l’évaluation des agences sanitaires était un vaccin produit par qPCR. Mais pourla production de masse des vaccins Covid, on a ensuite utilisé un procédé nettement plus « rapide » en produisant de l’ARNm à partir de plasmides d’ADN.

Dans sa lettre initiale aux généralistes, la MBV a aussi accusé l’IPE d’avoir trompé les médecins et les pharmaciens en affirmant que les avantages des vaccins à ARNm Covid-19 l’emportaient nettement sur les risques éventuels. D’innombrables études l’ont prouvé, mais les autorités allemandes persistent dans leur politique de désinformation.

Il est très problématique que l’IPE ne soit pas encore intervenu en lançant ses propres enquêtes pour évaluer la qualité des produits. Mais le fait qu’il s’arroge le droit d’interdire, sans base juridique et de manière totalement inappropriée, une initiative privée visant à remédier à la situation, n’est en aucun cas compréhensible. En fin de compte, l’action de l’Institut de contrôle semble avoir pour seul objectif d’empêcher délibérément les initiatives visant à établir la sécurité des médicaments. L’Institut Paul Ehrlich agit donc manifestement à l’encontre de sa mission légale !

Chaos dans le génome

Le Plasmidgate pourrait bien être le coup de grâce à la politique du « tout-vaccin » menée par les autorités sanitaires de différents pays. Plusieurs équipes de chercheurs indépendants ont montré les différentes manières dont le génome est attaqué par les vaccins Covid. En premier lieu, la présence d’ADN contaminant les injections Covid dans des quantités qui dépassent de mille fois les résidus autorisés par l’Agence européenne des médicaments peut entraîner une modification du génome de la personne injectée.

Mais il y a encore d’autres raisons pour lesquelles les injections Covid peuvent avoir des conséquences gravissimes sur la génétique humaine. La protéine Spike codifiée dans les vaccins n’est pas la protéine Spike d’origine, mais une version ayant subi une modification génétique. Ce sont donc d’autres protéines qui sont produites par les vaccinés. Récemment, une étude italienne a d’ailleurs permis de différencier les protéines Spike naturelles des protéines Spike vaccinales dans le sang des sujets infectés.

Une découverte récente est le fait que cette « Spike modifiée » entraîne des erreurs de lecture du génome, avec comme conséquence la production de toute une série de protéines différentes, connues ou inconnues, dont on ignore l’action sur l’organisme.

Au stade actuel, « c’est un plongeon dans l’inconnu ». Il est pratiquement impossible d’en prédire les effets à court et à long terme et ceux-ci peuvent très bien varier d’une personne vaccinée à l’autre. Conscients du danger que cela représente, scientifiques et médecins sont de plus en plus nombreux à penser que poursuivre l’utilisation de technologies à base d’ARNm s’apparente à de la folie. Tous plaident pour un arrêt immédiat de ces expériences et pour le retrait immédiat des vaccins encore sur le marché.

(…)




Notre Terre changeante

[Illustration : ©Adobestock]

Par Arthur Firstenberg

Le 19 décembre 2023, dans la revue New Phytologist, des chercheurs français ont publié une étude sur un autre aspect du déclin de la vie sur Terre. Les populations d’abeilles et d’autres pollinisateurs ont tellement diminué que les plantes à fleurs qui avaient besoin d’insectes pour se reproduire efficacement ont évolué en moins de 25 ans pour devenir de meilleures autogames et n’avoir plus besoin d’insectes pour se reproduire.

Des pensées des champs issues de graines collectées à la fin des années 1990 et au début des années 2000 ont été cultivées à côté de pensées issues de graines collectées en 2021. Les taux d’autopollinisation étaient 27 % plus élevés chez les plantes cultivées à partir des graines les plus récentes. Les fleurs étaient plus petites. Les pétales étaient plus courts. Les labelles — les plates-formes d’atterrissage qui attirent les insectes — étaient plus petites. La période de floraison était plus courte. Moins de fleurs ouvertes par jour. Les éperons nectarifères étaient plus courts, il y avait moins de guides de nectar et les fleurs produisaient moins de nectar. Plus de bourdons ont visité les fleurs issues des anciennes graines que celles issues des nouvelles graines.

Les auteurs mettent en garde contre des effets en cascade sur les populations d’insectes :

« Ces diminutions de la production de nectar pourraient alors renforcer le déclin des pollinisateurs si les niveaux de nectar tombent en dessous de ceux nécessaires au maintien des populations d’abeilles sauvages. Les changements environnementaux peuvent donc présenter un double danger pour les populations de pollinisateurs, car elles deviennent victimes à la fois des changements eux-mêmes et de l’évolution des caractéristiques des plantes. »

Les auteurs n’ont cité que la pollution, la destruction de l’habitat et les espèces exotiques comme causes de l’effondrement des pollinisateurs. J’ai envoyé aux auteurs une lettre, avec des liens vers des revues de littérature, les informant que les rayonnements radioélectriques sont la principale cause du déclin des insectes. Je les ai invités à rejoindre la coalition de scientifiques, d’organisations et d’individus que nous formons pour faire face à l’urgence radiologique mondiale.

D’autres rapports du monde entier sur le déclin des oiseaux et des insectes, etc.

Jean écrit depuis le Queensland, en Australie :

« Je vis dans un village de retraités et j’ai remarqué moins d’insectes cette année qu’avant. Je vois rarement une abeille. »

Leroi écrit depuis la France :

« Là aussi, le nombre d’insectes et d’oiseaux a diminué de manière significative (des 2/3), alors que la 5G n’est pas encore installée… ! Le nombre de naissances d’animaux et d’êtres humains handicapés est en augmentation depuis les années 1990, début de l’utilisation généralisée de l’informatique. »

Chrisleine écrit depuis l’Andalousie en Espagne :

« Beaucoup des symptômes que vous décrivez se ressentent ici aussi : presque plus d’oiseaux ; pas de colombes. Cette année, pas une seule abeille dans mon jardin. »

Emma écrit d’Afrique du Sud :

« La première tour 5G a été érigée en 2019, à 50 mètres de chez moi. Quelques jours plus tard, j’ai eu une pneumonie fongique. Quelques semaines plus tard, j’avais des palpitations qui ne s’arrêtaient pas. Passons à maintenant… animaux malades, perte d’insectes, je suis encore plus malade. Il y a aussi une épidémie de “grippe aviaire” et de grippe du lapin (ouais, c’est vrai !). Beaucoup d’oiseaux morts, mais toute la population de lapins est morte dans la région de Kyalami. Je prie pour que cette planète soit libérée des radiations. »

Tammy écrit du Nouveau-Brunswick, Canada :

« Les tours de téléphonie cellulaire ont tué tous les oiseaux et insectes à Kings Place où je travaillais. Nous avions un problème d’oiseaux là-bas, nichés sur les toits, mais plus maintenant. Tous les oiseaux sont partis. Je ne reste plus dans les zones urbaines, car elles sont désormais toxiques à cause des micro-ondes. Et en tant que tel, je vis depuis 4 ans sans médicaments contre l’asthme, sans médicaments contre les allergies, sans vaccins, et je n’ai eu aucun rhume, grippe, COVID, rien. C’est bien. Une vie à faible CEM est une vie plus saine. Point. Les Amish avaient raison depuis le début. »

Doug écrit depuis North Hollywood, Californie :

« J’ai remarqué moins d’oiseaux dans mon quartier. Nous en entendions beaucoup ici le matin. Maintenant, je n’en entends presque plus. »

Charles écrit depuis l’Himalaya :

« Je vis dans un ashram isolé et la faune et la flore se portaient bien, même la 2G était possible, mais lorsque la 2G est passée à la 4G, la décimation des populations d’oiseaux et d’insectes a été remarquée par les villageois et les habitants de l’ashram, mais comme vous le dites, tout le monde est trop occupé à écouter la musique pour faire quoi que ce soit à ce sujet. »

Karl écrit d’Allemagne :

« J’ai 74 ans et je suis informaticien. Cela fait 20 ans que j’observe comment les grues passent au-dessus de notre maison chaque automne lors de leur vol vers le sud. Il y a maintenant une grande tour de transmission à environ 20 kilomètres avec une liaison radio qui passe directement devant notre maison. Si les oiseaux migrateurs arrivent dans cette zone, leur navigation est interrompue. Ils ne savent pas quoi faire et se retrouvent ici, dans la prairie. Souvent, ils parviennent à retrouver leur chemin plus tard ou le lendemain.

Cette année, comme le réseau radio s’est considérablement étendu ici, comme partout ailleurs, notamment grâce à la 5G, un certain nombre d’oiseaux se sont de nouveau retrouvés ici. Mais tout au long de la journée, j’ai pu observer des volées qui faisaient demi-tour et revenaient en volant, parce qu’elles ne trouvaient plus leur chemin ! Les oiseaux débarqués sont encore là depuis quelques semaines et passeront probablement l’hiver ici s’ils survivent, car il fait trop froid ici et il n’y a presque pas de nourriture disponible. »

Linda écrit de Tucson, en Arizona :

« Une tour de téléphonie cellulaire a été installée à 1 000 pieds de chez moi. Je ne savais même pas qu’elle était là, car elle était cachée par les arbres. TOUS les insectes, à l’exception des coléoptères et des punaises du sureau, ont chuté de 1/3. Ils ne s’en sont pas remis, année après année. 10 ans plus tard, des compteurs électriques intelligents étaient installés. Les populations de TOUS les insectes ont diminué de moitié et ont continué de diminuer d’année en année. Même les scarabées ont disparu. »

Pieter écrit des Pays-Bas :

« La haie de hêtres devant notre maison reçoit l’intégralité du rayonnement d’une tour de télécommunications située à 300 mètres de distance, sur laquelle deux sociétés de télécommunications nous envoient leur rayonnement (nous envoyant ainsi apparemment la double portion). Cette tour cellulaire a été construite en décembre 2020. Petit à petit, la haie de hêtres s’est détériorée et cette année, il est devenu évident que la croissance s’est presque complètement arrêtée et que presque toutes les feuilles sont beaucoup plus petites et mal formées. Le feuillage dense d’autrefois s’est transformé en de nombreuses trouées dans la haie. »

Richard écrit depuis Vancouver, Colombie-Britannique, Canada :

« Je suis né en 1952 en Tchécoslovaquie et vers l’âge de dix ans, j’ai décidé de faire une collection de papillons qui abondaient dans notre jardin — toutes sortes de variétés pour stimuler mon intérêt. Rien n’en est sorti et je l’ai oubliée. Vers l’âge de 18 ans, je me suis souvenu de mon “projet” de quand j’étais plus jeune et j’ai réalisé que quelque chose avait radicalement changé, car le seul papillon que je pouvais voir était le papillon blanc commun et presque aucune autre espèce. Je n’avais aucune idée de ce qui s’était passé. J’ai deviné que l’éventuelle utilisation accrue de pesticides/herbicides y était pour quelque chose.

Mais il fut encore une époque où il fallait nettoyer le pare-brise de divers insectes plusieurs fois par jour. Cette année, après une semaine de voyage sur l’île de Vancouver, je n’ai pas eu besoin de nettoyer le pare-brise du tout : il n’a réussi à “attraper” qu’un insecte ou deux.

Ici à Vancouver, le très populaire lilas de Californie fleurit deux fois par an. Vous l’avez toujours entendu bourdonner d’abeilles et de bourdons. Les papillons sont désormais réduits à quelques-uns des “blanchâtres/jaunâtres”, les mêmes qu’en Europe. Il y a peut-être un an, j’ai remarqué que je ne pouvais plus “entendre” les lilas, car les abeilles mellifères ont pratiquement disparu et seuls quelques bourdons sont visibles.

L’année dernière et cette année, je suis allé au parc Queen Elizabeth, ici à Vancouver, au printemps, alors que tout était en fleurs. À l’exception d’une mouche ou deux, il n’y avait AUCUN insecte — pas d’abeilles, pas de bourdons, pas de papillons. Personne n’a rien remarqué, mais pour moi c’était presque irréel. Sentiment apocalyptique.

Il y a un an, je suis allé dans un parc à Surrey, au bord du fleuve Fraser, là où la civilisation était à une certaine distance — on pouvait presque se sentir dans la nature. J’ai remarqué qu’aucun insecte n’était visible, pas même sous les rochers. J’en ai parlé à quelqu’un du parti avec lequel j’étais, et il ne m’a pas cru et est allé faire ses propres recherches, avec le même résultat : rien. Il n’a pas dit grand-chose, mais je voyais que cela le dérangeait, je suppose qu’il était sous le choc.

Le niveau de déni est vraiment incroyable. »

Gloria écrit de Caroline du Nord :

« Quelqu’un aux États-Unis a pensé que ce serait une bonne idée d’installer des dispositifs de radiolocalisation sur les papillons monarques. Je suis horrifiée. Comme si cette espèce en voie de disparition ne souffrait pas déjà assez de l’exposition aux rayonnements. Combien ont péri en volant dans un faisceau multiéléments provenant d’une antenne 5G ? J’ai élevé des papillons monarques dès le stade de l’œuf (à partir de papillons mères monarques passant par et visitant mon buffet d’asclépiades) et ces créatures sont plus complexes et incroyables que beaucoup de gens ne le pensent. Cela me rend malade d’avoir entendu cette nouvelle. Je ne vais pas rester silencieuse à ce sujet. »

Gloria a envoyé ce lien vers l’article qu’elle venait de lire : le ciel est la limite pour les monarques portant des étiquettes radio à énergie solaire. Celui-ci décrit le marquage radio des papillons au Cape May Point Science Center dans le New Jersey pour « la collecte de données sur les mouvements migratoires des monarques ». Ils lançaient le « Projet Monarch ». Pour une démonstration­, ils ont placé une radio-étiquette sur un monarque qu’ils nomment Xerces et ont suivi ses mouvements. L’article continue :

« Xerces a effectivement fini par revenir au CMPSC au bout de quelques jours et c’est le dernier endroit où il a été détecté. »

Gloria écrit :

« En examinant la carte de l’île de Cape May et les observations représentées, le papillon qui avait reçu la balise radio fixée sur son thorax a eu du mal à s’orienter. C’est absolument cruel. Ce papillon était très probablement mort. Cela a duré quelques jours. Un monarque en migration aurait pu vivre plus de six mois. Aucune créature ne devrait être étiquetée ainsi, encore moins un insecte. Les transmissions radiofréquences ne gênent-elles pas la magnétoréception des monarques ? Les papillons ne sauront pas où ils vont avec cette balise radio émettant des rayonnements en continu, mais pire encore, les monarques sont tués aux micro-ondes.

Extrait de l’article : “Lorsqu’une étiquette reste exposée au soleil, elle continuera à transmettre environ une fois par seconde, indéfiniment !” Les papillons dépendent de l’énergie solaire pour alimenter leurs ailes. Bien que les papillons soient mobiles, être au soleil signifie que les transmissions sont incessantes et je le crains, contribuant à la mort prématurée de tout papillon équipé de l’un de ces horribles appareils. »

Laurie de Californie a transmis cette histoire de sa voisine :

« Nous avons adopté notre chien, Rowdy, dans un refuge il y a 5 ans. C’est l’âme la plus douce et mon meilleur ami. Depuis une semaine, il n’est plus lui-même. Il a léché une plaie sur sa patte. Il haletait constamment. Il faisait les cent pas. Dimanche matin, les allées et venues et les halètements se sont aggravés, et j’étais VRAIMENT inquiète que quelque chose n’aille pas chez lui. Pendant 45 minutes, il a haleté comme un fou et a constamment fait les cent pas. Il gardait la queue constamment baissée. Ses oreilles étaient rabattues vers l’arrière. Il ne se calmait pas et ne mangeait pas. J’ai essayé de lui donner du trazadone qu’il prend parfois lorsqu’il va chez le toiletteur. Cela a semblé le soulager un peu, mais pas beaucoup. Il ne mangeait toujours pas et ne se calmait toujours pas.

J’ai quitté le travail lundi et je l’ai emmené chez le vétérinaire. Nous avons fait des analyses de sang et des radiographies. Ses analyses de sang étaient excellentes, à l’exception de certaines enzymes hépatiques élevées. Les radiographies n’ont montré aucun problème majeur. Il a reçu une injection anti-nausée et de la gabapentine pour, espérons-le, le garder calme. Quand nous sommes rentrés à la maison, il allait bien pendant un petit moment, mais a finalement recommencé à faire les cent pas et à haleter. Nous nous sommes promenés longtemps dans le quartier et il utilisait beaucoup les toilettes. Il semblait plutôt content de cela et était de bonne humeur jusqu’à ce que nous rentrions à la maison et qu’il refuse de revenir dans la maison. Chaque fois que je l’emmenais dehors ce soir-là, il s’accroupissait comme s’il ne voulait pas revenir dans la maison.

Lorsque mon vétérinaire a appelé et que je lui ai donné les dernières nouvelles, elle a suggéré qu’il y avait peut-être un nouvel appareil électronique dans la maison qui émettait un bruit à haute fréquence qui lui faisait mal aux oreilles. Nous venons d’installer de nouvelles prises intelligentes dans la maison il y a environ une semaine. Les prises intelligentes vous permettent d’allumer vos appareils électroniques à l’aide d’une application ou d’Alexa. Nous utilisons les nôtres pour allumer et éteindre toutes nos lampes en même temps. Son rythme et ses halètements étaient pires lorsque les lampes étaient allumées, alors j’ai débranché toutes les prises intelligentes. Il a cessé de haleter et de faire les cent pas, et il a mangé sa nourriture. Sa queue s’est même relevée et a recommencé à remuer. Lorsque j’ai rebranché toutes les prises intelligentes et demandé à Alexa d’allumer les lampes, il a immédiatement recommencé à haleter et à faire les cent pas. Nous avons laissé les prises débranchées pendant deux jours et avons confirmé que ce sont bien les prises intelligentes qui causent son stress et son inconfort. Il est redevenu un chien tout à fait normal. »

Andrea écrit du Panama :

« Je vis au Panama, originaire d’une région rurale du Canada où la voisine la plus proche était à 700 pieds, mais j’ai quand même reçu des radiations provenant du Bluetooth de son imprimante ! Lorsque je vivais temporairement à West Palm Beach, en Floride, entourée de Wi-Fi et de 5G, je ressentais des douleurs sur le palais entre mes deux amalgames au mercure, et mon chien est tombé gravement malade, anorexique, a commencé à avoir plusieurs crises focales par jour et une infection respiratoire sévère. Nous étions en train de faire une randonnée de 4 heures dans le parc national quand il a eu un de ses épisodes bizarres qu’il avait eus 4 fois au cours de l’année précédente, différent des crises focales qui venaient de commencer : il bave, tombe presque à la renverse, ne mange pas et ne boit pas, sa personnalité change du tout au tout — il est nerveux et a peur de nous. Au même moment, mon ovaire droit est devenu douloureux et j’ai eu mal aux deux cuisses, je me suis sentie étourdie, nauséeuse et tout simplement horrible. Nous avons vu une tour de téléphonie mobile derrière les arbres vers lesquels nous marchions. Après avoir marché pendant 10 minutes, nous nous sommes tous les deux rétablis. »

Eileen écrit depuis Liverpool, en Angleterre :

« Ma ville natale, Liverpool, est la ville qui possède le plus grand réseau maillé 5G du Royaume-Uni et le deuxième au monde. https://liverpool5g.org.uk/about5g/. Les habitants de Liverpool font partie d’une vaste expérience 5G sans aucune consultation ni consentement. C’est honteux ! On s’interroge sur le titre suivant : Les hôpitaux de Liverpool sont “débordés” alors que les patients sont traités sur des fauteuils. Les médecins travaillant dans les hôpitaux du NHS [le service de Santé de Grande-Bretagne] du Merseyside traitent des patients sur des chaises et dans des couloirs dans des scènes “terribles” décrites comme “faire de la médecine dans un pays en développement”. »

Un autre correspondant écrit :

« J’ai dû faire piquer mes deux chats à cause des CEM [champs électromagnétiques] de notre routeur. Ils ont présenté les mêmes symptômes que moi. Ils n’étaient qu’à l’intérieur et ne pouvaient pas s’échapper. L’une d’entre elles a perdu la tête (Maine Coon pure race) et ne reconnaissait plus sa nourriture et commençait à tomber des comptoirs. L’autre a eu un cancer de l’œil. Il a tenu 8 mois et j’ai dû l’abattre. C’était trop triste. Il a fallu 4 ans pour que cela m’affecte et j’ai eu 4 fois un cancer plus 21 autres symptômes. J’ai compris tout cela après 18 ans d’empoisonnement par les radiations. »




Le Canada fait état d’une augmentation de 300 % des décès de « causes non spécifiées »

[Source : childrenshealthdefense.org via zejournal.mobi]

Un nouveau rapport du gouvernement canadien révèle une augmentation de 300 % des « causes non spécifiées » de décès entre 2019 et 2022, les causes inconnues devenant la cinquième cause de décès au Canada. Certains experts de la santé ont déclaré que cette augmentation brutale devrait déclencher une enquête pour déterminer si les décès sont liés aux vaccins Covid-19.

Alors que l’espérance de vie s’effondre au Canada, un nouveau rapport du gouvernement affirme que les « causes non spécifiées » sont devenues la cinquième cause de décès dans le pays, après le cancer, les maladies cardiaques, le Covid-19 et les accidents.

D’après Statistique Canada les « causes non spécifiées » en 2022 ont dépassé les accidents vasculaires cérébraux, les anévrismes, la bronchite chronique, l’emphysème, l’asthme, le diabète, la grippe et la pneumonie, les maladies chroniques du foie et la cirrhose, la maladie d’Alzheimer et le suicide en tant que causes de décès.

Statistique Canada, également connu sous le nom de StatCan, a publié le rapport le 27 novembre dans Le Quotidien, le bulletin d’information en ligne de l’agence.

Le rapport a donné lieu à une série de titres presque identiques — fournis par le service national d’information du Canada — dans les principaux journaux du pays, à l’instar de celui-ci dans le Toronto Sun : « L’espérance de vie des Canadiens a chuté pour la troisième année consécutive en 2022, selon StatCan », suivi du sous-titre : « Plus de personnes sont mortes du Covid-19 en 2022 qu’en toute autre année depuis le début de la pandémie, selon le rapport ».

André Picard, chroniqueur santé au Globe and Mail à Toronto, le journal de référence du Canada, a qualifié la baisse de l’espérance de vie, de 82,3 ans en 2019 à 81,3 ans en 2022, d’ » énorme ».

« C’est seulement la deuxième fois qu’une baisse aussi importante se produit au Canada au cours du siècle dernier », a déclaré M. Picard. « En effet, l’espérance de vie ne cesse de progresser depuis des décennies : 71 ans en 1960, 75 ans en 1980, 79 ans en 2000 et 82,3 ans en 2019. »

Le nombre de décès dus au Covid-19 [NDLR ou plus exactement « attribués au Covid-19 », alors que dans le même temps la grippe disparaissait mystérieusement] au Canada a diminué, passant de 16 313 en 2020 à 14 466 en 2021, selon le rapport. Le Canada devrait enregistrer environ 7 000 décès dus au Covid-19 en 2023, a déclaré M. Picard.

Les décès du Covid-19 ne peuvent expliquer l’augmentation de 7,3 % du nombre total de décès au Canada en 2022 par rapport à 2021, ni l’augmentation de 17 % du nombre total de décès par rapport à la norme historique de 2019, ni la baisse historique de l’espérance de vie, ni la baisse de l’espérance de vie au Canada et dans le monde, a déclaré M. Picard.

Comme de nombreux journalistes grand public et les responsables de la santé publique aux États-Unis qui examinent la baisse de l’espérance de vie aux États-Unis, M. Picard a blâmé les maladies chroniques, les surdoses de médicaments, les décès dus aux opioïdes, le tabagisme, les régimes alimentaires malsains et » l’indifférence » comme étant les causes du déclin de la population au Canada. « Il n’existe pratiquement plus de mesures d’atténuation telles que le masquage, et les taux de vaccination ont fortement diminué », écrit-il.

Mais les Drs Pierre Kory et Peter McCullough ont déclaré à The Defender que le fait le plus important et le plus surprenant contenu dans le rapport est l’augmentation de 300 %, entre 2019 et 2022, des « causes non spécifiées » de décès au Canada. (…)

[NDLR Les « causes non spécifiées » sont-elles vraiment autre chose que les vaxins anticovid ?]




SMSGATE : un lanceur d’alerte gênant mis hors jeu par l’UE

[Source : blast-info.fr]

Frédéric Baldan, le citoyen belge qui a porté plainte contre Ursula von der Leyen dans l’affaire du SMSGate fait-il l’objet de représailles de la part de la Commission européenne ? Son accréditation en tant que lobbyiste lui a en effet été retiré sous un prétexte apparemment sans fondement et d’une façon peu scrupuleuse du droit. Ce qui arrive à M Baldan en dit long sur des institutions européennes qui n’œuvrent plus que pour elles-mêmes, dans l’intérêt de ceux qui la dirigent. Que contiennent les SMS échangés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, le PDG de Pfizer ? On ne le sait toujours pas malgré les nombreuses exhortations.






La vie sans passeport (sanitaire ou autre) avant 1914

[Publication initiale : Le Saker Francophone]

[Illustration : Stephan Zweig et Georges Bernanos]

Par Nicolas Bonnal

Zweig et Bernanos : la vie sans passeport (sanitaire ou autre) avant 1914

Le cataclysme totalitaire qui nous tombe dessus a des précédents dans notre Europe si démocratique et lumineuse qui aura inventé toutes les monstruosités du monde moderne. À l’heure où le pass sanitaire est imposé à tous, où les comptes des non-vaccinés, et leur téléphone, et leur eau, et leur électricité sont en passe d’être coupés, il est bon de le rappeler.

On va reprendre deux de nos écrivains favoris qui sont frères d’âme : le « juif libéral » et pacifiste Stephan Zweig, ami de Romain Rolland, et le catholique monarchiste Georges Bernanos qui il y a un siècle dénonçaient la montée de l’étatisme totalitaire en Occident. Les deux grands esprits à cette époque remarquent l’émergence de deux contraintes : le passeport et le visa… Nos lecteurs pourront retrouver aussi nos écrits sur Chesterton et son détestable voyage en Amérique dans les années vingt. Contrôle et obsession anticommuniste au programme.

On commence par Zweig et son fastueux Monde d’hier (le plus grand livre du monde selon nous sur le vingtième siècle, ce siècle tué en 1914 et partiellement survivant dans les années vingt) :

La chute de l’Autriche a produit un changement dans ma vie privée que j’ai d’abord considéré tout insignifiant et purement formel : j’ai perdu mon passeport autrichien et j’ai dû demander aux autorités britanniques un document de substitution, un passeport apatride. Dans mes rêves cosmopolites, j’avais souvent imaginé dans mon cœur combien splendide et conforme à mes sentiments serait de vivre sans État, de n’être obligé à aucun pays, et, par conséquent, appartiennent à tous sans distinction. Mais encore une fois, j’ai dû reconnaître à quel point le fantasme humain et dans quelle mesure nous ne comprenons pas les sensations les plus importantes jusqu’à ce que les ayons vécues nous-mêmes.

Ce que nous allons vivre avec la dictature sanitaire de Macron-Schwab-Leyen nous allons bientôt le comprendre. Zweig poursuit :

Tout consulat ou officier de police autrichien avait le droit ou l’obligation de me le prolonger en tant que citoyen à part entière. Au lieu de cela, le document pour étranger que les Anglais m’ont donné, j’ai dû le demander. C’était une faveur, mais une faveur qu’ils pouvaient retirer à tout moment. Du jour au lendemain, il avait descendu un échelon de plus. Hier, il était encore un invité étranger et, en quelque sorte, un gentleman qui avait des revenus internationaux et payé ses impôts, et aujourd’hui j’étais devenu un émigré, un « réfugié ».

Préparez-vous, non-vaccinés, à ce statut de réfugié sur votre sol ; on est à 45 % de vaccinés, attendez 51 puis 60 % ; et arrêtez de dire que les chiffres sont truqués, de toute manière ils s’en moquent.

Zweig décrit l’entrée dans un monde pré-totalitaire en 1919 :

En effet : rien ne démontre peut-être de façon plus palpable la terrible chute que le monde de la Première Guerre mondiale a connu comme limitation de la liberté de mouvement de l’homme et la réduction de son droit à la liberté. Avant 1914, la Terre appartenait à tout le monde. Tout le monde allait où il voulait et y restait aussi longtemps qu’il le voulait. Il n’y avait pas de permis ou autorisations ; Je m’amuse de la surprise des jeunes chaque fois que je leur dis qu’avant 1914 j’ai voyagé en Inde et en Amérique sans passeport et je n’en avais jamais vu de ma vie.

L’auteur d’Amok décrit ensuite ce monde d’avant la guerre mondiale éternelle voulue par les banquiers mondialistes :

Là les gens montaient et descendaient des trains et des bateaux sans demander ou être invités, ils n’avaient pas à remplir un seul des cent papiers qui sont requis aujourd’hui. Il n’y avait pas de sauf-conduits ou les visas ou l’un de ces tracas ; les mêmes frontières qu’aujourd’hui les douanes, la police et les gendarmes se sont transformés en fil de fer barbelé, à cause de la méfiance pathologique de tous vis-à-vis de tous, ils ne représentaient que des lignes symboliques qui croisaient la même nonchalance que le méridien de Greenwich.

La laisse électronique et même psychologique (désolé, il y a ou aura 80 ou 90 % de volontaires extatiques) a perfectionné cette horreur. Zweig poursuit en n’oubliant pas les vaccins, conséquence du militarisme, des guerres, et aussi cause partielle du génocide planifié et faussement nommé grippe espagnole :

Toutes les humiliations qui avaient été autrefois inventées uniquement pour les criminels, ils étaient maintenant infligés à tous les voyageurs, avant et pendant le voyage. L’un devait être représenté de droite et de gauche, visage et profil, coupé ses cheveux pour qu’on puisse voir ses oreilles, laisser ses empreintes digitales, d’abord celles du pouce, puis ceux de tous les autres doigts. De plus, il fallait présenter des certificats de toutes sortes : de santé, de vaccination et de bonne conduite, lettres de recommandation, invitations et adresses de parents, garanties morales et économiques, remplir des formulaires et signer trois ou quatre exemplaires, et si un seul de cette pile de papiers manquait, tout était perdu. Cela ressemblait à des bagatelles, mais…

Bernanos va utiliser le même mot : bagatelle. C’est le même en allemand. Zweig évoque ensuite notre avilissement qui en découle surnaturellement :

Nous, les jeunes, avions rêvé d’un siècle de liberté, de l’âge futur du cosmopolitisme. Quelle part de notre production, de notre création et de notre pensée s’est perdue à cause de ces singeries improductives qui avilissent en même temps l’âme ?

C’est dans le chapitre l’Agonie de la paix.

Voyons Bernanos, réfugié au Brésil comme Zweig, de six ans son cadet, et qui défendit la liberté comme personne, ce qui le rend peu lisible par les temps qui courent. Il fait les mêmes observations avec les mêmes mots que Zweig sur cette volonté médicale et donc pathologique de tout contrôler et de tout vérifier :

Ce que vos ancêtres appelaient des libertés, vous l’appelez déjà des désordres, des fantaisies. « Pas de fantaisies ! disent les gens d’affaires et les fonctionnaires également soucieux d’aller vite, le règlement est le règlement, nous n’avons pas de temps à perdre pour des originaux qui prétendent ne pas faire comme tout le monde… », comme ne pas se vacciner, par exemple.

Après Bernanos évoque le passeport :

Cela va vite, en effet, cher lecteur, cela va très vite. J’ai vécu à une époque où la formalité du passeport semblait abolie à jamais. N’importe quel honnête homme, pour se rendre d’Europe en Amérique, n’avait que la peine d’aller payer son passage à la Compagnie Transatlantique. Il pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille.

Oui, cela sonne un peu rustique et bucolique au temps des commissaires politiques et sanitaires, pas vrai ? Puis on parle des empreintes digitales, autre bagatelle :

Les philosophes du XVIIIe siècle protestaient avec indignation contre l’impôt sur le sel — la gabelle — qui leur paraissait immoral, le sel étant un don de la Nature au genre humain. Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats. Oh ! oui, je sais, vous vous dites que ce sont là des bagatelles. Mais en protestant contre ces bagatelles le petit bourgeois engageait sans le savoir un héritage immense, toute une civilisation dont l’évanouissement progressif a passé presque inaperçu, parce que l’État moderne, le Moloch technique, en posant solidement les bases de sa future tyrannie, restait fidèle à l’ancien vocabulaire libéral, couvrait ou justifiait du vocabulaire libéral ses innombrables usurpations.

Après on arrive au siècle des intellectuels qui comme les BHL ou Onfray vont tout justifier :

Au petit bourgeois français refusant de laisser prendre ses empreintes digitales, l’intellectuel de profession, le parasite intellectuel, toujours complice du pouvoir, même quand il paraît le combattre, ripostait avec dédain que ce préjugé contre la Science risquait de mettre obstacle à une admirable réforme des méthodes d’identification, qu’on ne pouvait sacrifier le Progrès à la crainte ridicule de se salir les doigts.

Et là comme Zweig, esprit peu religieux s’il en fut, Bernanos évoque l’avilissement de nos âmes :

Erreur profonde ! Ce n’était pas ses doigts que le petit bourgeois français, l’immortel La Brige de Courteline, craignait de salir, c’était sa dignité, c’était son âme.

Depuis ces temps nous n’avons fait que descendre. On va voir maintenant qui est prêt à payer pour la liberté.

Nicolas Bonnal

Sources



Les soignants ont compris que les vaccins covid étaient inutiles mais pas B. Davido

Par Gérard Delépine

Dans une interview récente sur BFM1 Benjamin Davido tente de nous gâcher les fêtes de Noël 2023 en angoissant la population pour qu’elle accepte de nouvelles injections Covid et constate avec dépit que les soignants ne sont plus dupes.

D’après B. Davido :

« Les fêtes de Noël sont placées sous le signe de la maladie pour de nombreux Français. Au moins quatre épidémies sont en cours ; le véritable enjeu, c’est le retour de cette période de vacances, notamment avec le brassage et le fait qu’après le petit effort consenti, il y a souvent un relâchement qui donne justement du sang frais à tous ces virus et ces bactéries. »

Avant Noël 2022, la même propagande terrorisante avait été créée et entretenue par l’Institut Pasteur, santé publique France et certains académiciens2 3 qui ne parlaient alors que de 3 épidémies simultanées. Leur message n’a pas été cru, les taux de rappel sont restés très bas, les gens ont fait la fête sans précautions particulières et les prédictions alarmistes des experts ont été démenties par la chute brutale des contaminations journalières passées de plus de 61 000 le 17 décembre 2022 à 6615 le 13 janvier2023.

Et curieusement Benjamin Davido ajoute :

« Le risque, ce n’est pas tellement que ces malades ne soient pas pris en charge, c’est que ceux qui avaient rendez-vous le 10 janvier pour un suivi de chimiothérapie, ou un suivi auprès de leur cardiologue, soient retardés et décalés et qu’il y ait une perte de chance ».

Cette crainte actuelle de B. D. est très étonnante puisqu’en 2020 ce même médecin était un chaud partisan du plan blanc4 qui a précisément imposé ces retards de traitement et de consultations et l’arrêt des dépistages alors que la plupart des cliniques privées qui avaient annulé leurs activités restaient vides faute d’hospitalisés Covid.

Il reconnaît tout de même que « la communication sur la vaccination n’a peut-être pas été idéale :

« On a dit au début, peut-être un peu avec excès, que la vaccination des soignants allait protéger les personnes les plus fragiles. On sait qu’elle ne peut pas suffire à protéger les plus fragiles. »

De fait les soignants et une grande partie de la population ont compris que les injections étaient incapables de prévenir les transmissions et donc de protéger les personnes fragiles. Les soignants l’ont constaté dans leurs services et dans les données publiées par l’OMS pour le monde où les populations les plus vaccinées souffrent de taux de contaminations par million 30 à 100 fois plus élevés que celles qui ont échappé aux injections :

Échec également patent en France où 90 % des contaminations ont été observés après le début des campagnes de vaccination et avec une recrudescence toute particulière en février 2023 alors que le taux de vaccinés frôlait les 80 %.

Prétendre comme Benjamin Davido que « la communication sur la vaccination n’a pas été idéale » vise à éluder la responsabilité des médecins de plateau dont il fait partie : la communication sur la vaccination covid a été totalement mensongère.

Il ne faut donc pas s’étonner si les soignants qui ont été contraints de se vacciner pour travailler et ont vu trop de collègues ignominieusement exclus de leur sacerdoce sur des arguments totalement mensongers n’ont plus confiance dans les mises en garde d’experts qui ne précisent même pas leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales.

Les soignants comme la très grande majorité des populations ont pris conscience de l’inefficacité et des risques des pseudos vaccins et n’en veulent plus. Les pays de l’Union européenne ont jeté au moins 215 millions de doses de vaccins contre le Covid, pour une valeur estimée à plus de 4 milliards d’euros5 et il faut s’attendre à de plus grandes destructions dans les mois à venir. Pour la France, l’info récente donne sept milliards d’euros perdus 6 selon la députée européenne Virginie Joron.

Les faits ont tranché : les pseudo vaccins covid ont constitué une gigantesque arnaque qui a coûté plus de 150 milliards de dollars au budget des états qui les ont imposés pour le seul bénéfice des actionnaires et leurs complices corrompus. Les drames secondaires à ces injections sont majeurs et traités ailleurs7. Pourquoi n’a — ton pas consacré cet argent à renforcer nos systèmes de santé tellement en souffrance ?





Le FÉM veut contrôler tous les aspects de la vie publique

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus Schwab font pression pour mettre en place leur programme mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu’un modeste rassemblement d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life », suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

La capitalisation boursière des principaux membres du FEM — des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer — dépasse les 10 000 milliards de dollars.

Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

Les contrôligarques tirent le rideau et révèlent en détail les systèmes et tactiques dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nations unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

Il ne s’agit toutefois pas de projets pour un avenir lointain, car la campagne du FEM est déjà en cours.

La Banque des règlements internationaux, qui est le banquier central des banques centrales, travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Selon Agustin Carstens, président de la BRI, les CBDC offrent un « contrôle total » sur la masse monétaire et le public, comme le rapporte Slay News.

Avec une CBDC, le système financier mondialiste peut annuler financièrement (ou « débanquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

Le FEM proclame que l’exploration des CBDC a connu une « croissance exponentielle ».

Le mois dernier, l’Atlantic Council a confirmé que la « dynamique en faveur » des CBDC « restait forte » jusqu’en 2023.

Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-ci sont vantées pour leur commodité.

Le FEM et Larry Fink, de BlackRock, ont tous deux vanté le fait que les migrants peuvent réduire la durée de leurs transactions transfrontalières lorsqu’ils envoient de l’argent dans leur pays d’origine.

Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

Mais le lien est aujourd’hui évident.

L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

En Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui est étroitement aligné sur le FEM, a sermonné ses électeurs en leur disant que leur comportement devait changer et que leur confort et leur liberté devaient être sacrifiés pour « le plus grand bien ».

Les méthodes de Newsom consistent à limiter l’accès aux thermostats domestiques, à réduire les déplacements sur de longues distances et, bientôt, à éliminer les véhicules et les cuisinières à gaz.

La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer-Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans.

Pourquoi ? Les cartes d’identité numériques liées aux dossiers médicaux numériques stockés sur votre téléphone portable sont un moyen incroyablement efficace de suivre votre statut vaccinal.

De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent un système d’identification numérique obligatoire depuis plus de dix ans.

Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

Le FEM dissimule souvent les plans dystopiques que ses partenaires sont en train d’élaborer.

Cependant, Controligarchs a passé au crible des centaines d’heures de vidéos oubliées et des milliers de pages — dont beaucoup ont été supprimées d’Internet — pour révéler que des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

Qu’on ne s’y trompe pas, les cartes d’identité numériques plus les CBDC équivalent à un score de crédit social de facto.

Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a convaincu les gens d’ » accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde.

À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialistes et d’un pouvoir centralisé.

Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

Pourtant, la soi-disant quatrième révolution industrielle proposée par Schwab donnera naissance à un nouveau système de castes dans lequel les pauvres continueront à mourir.

Les élites riches du monde, quant à elles, « en plus de toutes les autres choses qu’elles obtiennent, bénéficient également d’une exemption de la mort », se réjouit Harari.

Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui-même.

Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure », l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation », et bien d’autres encore.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Convoquée par la police, le Dr Jade Allègre attaquée pour son travail sur l’argile

[Source : lemediaen442.fr]

par Yoann

Le monde de la santé alternative et naturelle est secoué par l’affaire du Dr Jade Allègre, une praticienne renommée en naturopathie. Son implication dans une controverse judiciaire, convoquée par la préfecture de police de Paris pour des accusations d’exercice illégal de la médecine, d’usurpation de titre de médecin, et de faux et usage de faux, met une nouvelle fois en évidence les frictions entre les approches conventionnelles et non conventionnelles en matière de santé.

Les fondements de cette affaire reposent sur le fait que bien qu’elle détienne un diplôme d’État de docteur en médecine obtenu à la Faculté de médecine Paris 13, ainsi que des qualifications en médecine générale et d’urgence, Jade Allègre pratique la naturopathie, mettant en avant son intérêt pour l’argilothérapie. Pourtant, l’accusation d’usurpation de titre de médecin découle du non-paiement de la cotisation à l’ordre des médecins, une condition pour pouvoir exercer sous le titre de médecin en France.

Cette affaire va au-delà des simples aspects administratifs. Elle soulève des questions plus profondes sur la coexistence des approches médicales, la reconnaissance des pratiques alternatives et les limites imposées aux professionnels de la santé. Le différend juridique autour du Dr Allègre sert de catalyseur à un débat plus large concernant la pluralité des méthodes thérapeutiques et l’intégration des médecines alternatives dans le paysage médical actuel.

Les partisans de la médecine intégrative plaident en faveur d’une approche inclusive, reconnaissant la diversité des pratiques et la nécessité de mieux comprendre les bénéfices des thérapies alternatives. Ils remettent en question les formalités administratives strictes imposées aux praticiens non conventionnels et soulignent l’importance d’une réglementation qui tienne compte de cette diversité sans restreindre les choix thérapeutiques des patients.

Le projet de loi sur les dérives sectaires risque, s’il est adopté, de contraindre les médecins à mettre en danger leurs patients. Il suffit de rendre obligatoires les produits à l’ARNm qui détruisent les codes génétiques et dont les effets létaux sont reconnus. Le dernier en date est le vaccin Covid, mais les laboratoires ne vont pas s’arrêter en si bon chemin. Avant la pseudo pandémie, l’hydroxychloroquine avait été classée produit vénéneux. Aujourd’hui ce sont les onze vaccins obligatoires qui viennent d’être classés produits vénéneux. À quand les vaccins ARNm obligatoires ? À quand l’obligation — via la loi dite antisectes — pour les médecins de les prescrire ?




STOP INJECTIONS POISONS, ET SINGULIÈREMENT CHEZ LES ENFANTS !

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

Il faut interdire les pseudovaccins covid chez l’enfant (et toute la population) inutiles et toxiques. Examen des faits au 15/12/2023.

Les seuls à se réjouir de la distribution du poison :

Il faut le redire encore et encore, car le ministre continue à faire une publicité mensongère largement diffusée (via nos impôts !). Craignons encore que l’argument d’autorité ne soit toxique et parfois fatal à trop de petits en influençant leurs parents !

Un beau cadeau de Noel : leur éviter les injections, poisons de degré très important et avec un long terme inconnu.

Et pourtant le ministère de la Santé, toutes les agences gouvernementales, l’Académie de médecine et les médias continuent de recommander les pseudo-vaccins anti-covid aux enfants de 6 mois à 4 ans. Ils continuent de prétendre qu’ils seraient utiles, efficaces et sûrs.

Mais que nous enseignent les données publiées par l’OMS sur les risques médicaux que la maladie fait courir aux enfants et sur l’efficacité des vaccins pour empêcher les contaminations et prévenir les formes graves ?

Le covid représente-t-il une menace réelle pour les enfants sains ?

L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant sain. Les enfants sont plus rarement infectés que les adultes ; ils ne font habituellement que des formes asymptomatiques et ne constituent pas un facteur notable de transmission du virus. Cela a été constamment démontré dans tous les articles médicaux, rappelé par la société française de pédiatrie, la presse internationale et l’OMS.

La bénignité du covid chez l’enfant est d’ailleurs illustrée par ce graphique de Santé Publique France :

Le covid menace moins les enfants que la grippe saisonnière contre laquelle la Haute Autorité de Santé n’avait jamais conseillé de vacciner les enfants jusqu’à cette année1. Cette recommandation antigrippale, fort mal justifiée, reconnaît d’ailleurs « l’absence de données de bonne qualité sur l’efficacité de la vaccination sur les hospitalisations ou les décès notamment chez les enfants âgés de moins de 2 ans ». La Haute Autorité de Santé n’hésite donc pas à conseiller un traitement en ne sachant pas vraiment s’il est efficace !

Les pseudo-vaccins Covid ne protègent pas des formes graves ni de la mort

Les essais randomisés n’ont pas recherché ni prouvé significativement un effet des injections sur les formes graves et les décès. Mais les données de l’OMS sur les populations vaccinées démentent les affirmations des agences françaises et prouvent que la généralisation des injections n’a pas permis de diminuer la mortalité attribuée au covid. La courbe de la mortalité mondiale n’a en effet pas été infléchie par les pseudo-vaccins administrés aux populations à risque :

En France, en septembre 2022, la quasi-totalité des personnes à risque étaient vaccinées contre le covid ; cela ne les a pas protégées des formes graves ni de la mort.

Le gouvernement, les agences sanitaires et les médias français ont prétendu que seuls les non injectés mourraient. Mais la saisine de l’autorité de la transparence pour obtenir les données brutes de mortalité par statut vaccinal s’est vue répondre « de telles données n’existent pas ». Comment peut-on encore croire les affirmations gouvernementales basées sur l’absence de données ? D’autant que la comparaison des mortalités covid observées dans les pays riches (les plus vaccinés) et les pays africains pauvres (peu ou non vaccinés) montrent que ce sont les pays apôtres du tout vaccin qui souffrent des mortalités les plus fortes.

Un risque de formes graves quasi nul chez l’enfant, des pseudo vaccins incapables de prévenir les formes graves… Comment peut-on imaginer qu’un enfant pourrait espérer le moindre bénéfice personnel de cette injection ?

Les enfants porteurs du sars-cov-2 ne constituent pas des vecteurs notables de transmission

Les articles médicaux publiés dans les grandes revues, les enquêtes épidémiologiques réalisées en France et à l’étranger, la Société Française de Pédiatrie, la presse internationale et l’OMS affirment tous que les enfants sont contaminés par les adultes et ne transmettent guère le virus.

L’expérience personnelle de chacun de covid transmis autour de soi par des vaccinés et les données de l’OMS démontrent que les vaccins sont incapables d’empêcher les transmissions.

Les personnes fragiles ne peuvent donc espérer aucun bénéfice de l’injection aux enfants de produits n’empêchant pas les transmissions !

Vacciner son enfant contre le covid l’expose à de multiples complications

Aucun traitement actif n’est exempt de complications, mais les risques des injections covid sont particulièrement élevés déjà à court et moyen terme et le futur reste encore plus flou et inquiétant.2

Les myocardites

Les atteintes cardiaques du cœur survenant brutalement chez l’enfant en bonne santé étaient devenues exceptionnelles depuis la disparition du rhumatisme articulaire aigu grâce au traitement par pénicilline des angines à streptocoque.

Mais depuis les vaccinations des enfants, les myocardites réapparaissent, ainsi que l’ont signalé les médecins israéliens dès octobre 20213.

Les analyses aux USA ont confirmé que le nombre de cas observés après vaccin covid dépassait le nombre attendu de cas dans le groupe d’âge des 16-24 ans : 32 fois plus de myocardites qu’escompté chez les garçons de 12-17 ans, 27 fois plus chez les 18-24 ans4. Ces cas s’observent principalement chez les hommes et se développent peu de temps après l’administration de la 2e dose5.

L’étude du ministère de la Santé d’Israël, pays avec l’un des taux de vaccination les plus élevés au monde, évalue le risque de myocardite après avoir reçu la 2e dose de vaccin entre 1 sur 3 000 et 1 sur 6 000 chez les hommes de 16 ans à 24 ans et 1 sur 120 000 chez les hommes de moins de 30 ans.

Une étude stratifiée du VAERS montre que le risque de myocardite avec troponine élevée chez les adolescents de 12 à 17 ans après vaccin est de 2,6 à 6,1 fois plus élevé que le risque d’hospitalisation à 120 jours pour la maladie Covid en août aux USA.

Le CDC estime le risque d’accidents cardiaques nécessitant une hospitalisation à 62 par million d’injections chez les garçons de 12 à 15 ans et à 94 cas/million chez les 15-17 ans.

En se limitant aux seuls effets cardiaques (myocardites et péricardites en particulier), on peut conclure que la vaccination contre la Covid-19 chez les adolescents américains en bonne santé est plus dangereuse que le risque de la maladie elle-même.

La myocardite aiguë est l’une des causes de mort subite à l’effort chez les sportifs et les médecins et cardiologues recommandent de ne pas effectuer d’efforts physiques intenses dans la semaine qui suit la vaccination. Comme les myocardites sont aggravées par l’effort, elles sont fortement soupçonnées d’être responsables de nombreuses pertes de connaissance et de morts brutales des sportifs.

L’agence de presse allemande a dressé une liste de 75 athlètes européens décédés « soudainement » au cours des 5 derniers mois depuis qu’ils ont été complètement vaccinés. F-Dagoury, meilleur plongeur en apnée du monde, a souffert d’une myocardite et d’une péricardite 40 jours après sa deuxième dose Pfizer. Le plongeur a consulté un cardiologue qui lui a dit que c’était un effet secondaire courant du Pfizer.

Non, avant les injections covid les crises cardiaques qui tombent du ciel n’étaient pas habituelles chez les jeunes qui jouaient au foot dans la cour. Nous avons tous des enfants à l’école ou des petits-enfants. Combien de fois par le passé récent (avant la mascarade Covid), avez-vous entendu parler de décès brutal au cours d’un cours d’éducation physique selon le vieux terme ? Jamais ! Cessez de croire aux balivernes tragiques de journalistes corrompus ou ayant perdu tout bon sens depuis la coronafolie. Si vous avez des vaccinés autour de vous, surveillez leur cœur en particulier par des dosages sanguins de D-dimères et CPK MB et des consultations cardiologiques.

D’autres complications moins dramatiques affectent les performances des sportifs en affectant particulièrement le métabolisme anaérobie particulièrement utile lors des épreuves de haut niveau. Les Belges ont été les premiers à remarquer une baisse de 10 à 20 % des performances de leurs footballeurs6 7 particulièrement dans les dernières minutes du match, souvent les plus cruciales pour le résultat final. Depuis, de nombreux athlètes ont dû déclarer forfait à des compétitions pour lesquelles ils s’étaient préparés, ou interrompre leur saison sportive (Jérémy Chardy, Antoine Méchin ou Christophe Lemaitre…). On peut même se demander si les performances exceptionnelles actuelles de Djokovic ne seraient pas en partie facilitées par le fait qu’il a opiniâtrement refusé cette vaccination Covid que ses concurrents ont été contraints d’accepter pour pouvoir continuer à jouer durant la crise covid.

Des troubles neurologiques post vaccinaux divers ont été recensés par l’OMS. Au 29 juin 2021, 1,256 « polyneuropathies aigues » ont été signalés (422 États-Unis, 387 UK, 328 Europe [40 France) et 119 ailleurs). Les paralysies faciales8 et syndromes de Guillain Barré post vaccinaux initialement observés en Inde et en Angleterre9 10 et en Australie 11 marqués par des paralysies d’étendue et de gravité variable pouvant entraîner la mort.

Selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin Janssen de Johnson & Johnson serait lié à un « risque accru » de développer le syndrome de Guillain Barré12. Il s’agit d’un effet secondaire rare, mais possible observé chez 100 personnes sur près de 12,5 millions de doses administrées du vaccin Johnson & Johnson. Sur les 100 cas, 95 étaient graves nécessitant une hospitalisation d’urgence.

Cette complication a été également reconnue par l’agence européenne du médicament dont Le Comité d’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance de l’EMA a conclu « qu’une relation causale entre Vaxzevria et le syndrome de Guillain-Barré est considérée au moins comme une possibilité raisonnable »13. Ajoutant : « Le syndrome de Guillain-Barré devrait donc être ajouté aux informations sur le produit en tant qu’effet secondaire de Vaxzevria ».

Au Pérou, dont plus de 85 % de la population est vaccinée, l’explosion récente des cas de Guillain Barré a même fait déclarer l’état d’urgence sanitaire !

Risques de myocardite, de paralysie, et toute autre complication neurologique cognitive, thrombocytopénie, hémorragie cérébrale, etc.. Nous avons récemment insisté sur l’épidémie de turbocancers14 qui n’épargnent pas les enfants. Chez ces derniers on verra surtout des leucémies et lymphomes et surtout des tumeurs cérébrales d’évolution rapide et résistantes à tout traitement. Pourra-t-on longtemps à parler de coïncidence ?

Quel parent censé pourrait faire courir de tels risques à son enfant pour un vaccin qui ne peut lui apporter aucun bénéfice personnel, ni protéger les personnes fragiles qu’il côtoie ? Juste par obéissance ou déni ?

Les preuves de la dangerosité et de l’inefficacité s’accumulent15, mais nos ministres successifs dans le déni continuent de recommander le poison au prix d’énormes mensonges et de dégâts dans la population. Ne réalisent-ils même pas qu’ils se mettent eux-mêmes en danger au moins juridique (car ne sont pas forcément réellement injectés16) comme le ministre italien sous le coup d’une enquête judiciaire ?17

NE VACCINEZ PAS VOS ENFANTS, ils vous en seront reconnaissants.





UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)

https://drsambailey.com/wp-content/uploads/2023/09/A-FAREWELL-TO-VIROLOGY-Expert-Edition-English.pdf

[Traduction Jean Bitterlin]

UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

Dr Mark Bailey

Publié le 15 septembre 2022

Sommaire

  • Résumé
  • 1re PARTIE

    • Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé
    • Le Dr Siouxsies Wiles – L’acolyte de « l’isolement » en virologie
    • Pourquoi l’isolement a de l’importance
    • C’est quoi la Virologie
    • L’absence de contrôle en Virologie signifie que ce n’est pas de la recherche scientifique
    • Maltraitance animale et étude d’anticorps
    • Le paradoxe de la quantité de virus

  • 2e PARTIE

    • Fan Wu et coll. Deus ex Machina
    • Des tortues jusqu’en bas
    • Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2
    • Les divulgations de Peng Zhou et coll.
    • Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?
    • L’amorçage par le Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

  • 3e PARTIE

    • « Petit Chien de Montagne » — Naïf ou s’éclairant au gaz ?
    • La diversion « Fuite du laboratoire »
    • Virologie et société close
    • Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?
    • Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre

  • POST-SCRIPTUM

    • Au sujet de l’Auteur
    • Index

Un Adieu à la virologie

(Édition pour expert)

Résumé

La virologie a inventé le modèle du virus, mais a toujours échoué à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que les humains, et cependant les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots des dictionnaires afin de soutenir leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas l’existence physique des particules pour se voir attribuer le statut d’« isolat ».

Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les « virus » tels que le SARS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées censées être « virales ». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des « pandémies » entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement soutenues par des réactions moléculaires in vitro (« en éprouvette »).

Cet essai contient trois parties.

La 1re partie décrit une partie de l’histoire de la virologie et les échecs des virologues à suivre la méthode scientifique. Les nombreuses et vastes affirmations des virologues peuvent toutes être démontrées comme étant erronées pour les raisons suivantes : (a) l’absence de preuves directes et (b) l’invalidation des « preuves » indirectes en raison de l’absence d’expériences de contrôle. Les exemples fournis couvrent tous les aspects majeurs de la fraude virologique, y compris l’isolement présumé, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et les études de pathogénicité animale.

La 2partie examine la fraude utilisée pour propager la « pandémie » COVID-19. Une analyse de la méthodologie utilisée par les inventeurs originaux, Fan Wu et coll., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été « créé » par des méthodes anti-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie permanente où l’on prétend que les virus existent en les calquant sur des modèles de « virus » antérieurs. Si l’on prend l’exemple du SRAS-CoV-2, la piste des modèles génomiques de « coronavirus » remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques provenait de l’intérieur d’une particule virale — les arbres phylogénétiques sont des fantaisies. L’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase a propagé cet aspect de la fraude virologique et créé les « cas » permettant de maintenir l’illusion d’une pandémie.

La 3partie fournit une analyse de la manière dont certains participants clés, les institutions de « santé » et les médias grand public maintiennent l’illusion du virus par le contrôle de l’information et des récits qui reprennent les affirmations de la virologie. Par le plus grand des hasards, la fraude virologique se retrouve aujourd’hui au cœur de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut enfin être démantelé et enterré. L’objectif de cet essai est de réfuter les différentes affirmations selon lesquelles les virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SARS-CoV-2 a été utilisé comme principal exemple, mais les principes s’appliquent à tous les prétendus virus. Ce qui suit aborde la littérature souvent obscure de la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai un peu lourdes à lire. Cependant, nous espérons que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur qui recherche une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer le fondement même des prétendues pandémies et des pratiques médicales frauduleuses. La menace que représente la virologie pour l’Humanité s’accroît, il est donc temps de faire nos adieux à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de nous libérer de nos peurs inutiles.

1re partie

Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé

La première preuve que la théorie des virus pathogènes est problématique est peut-être le fait qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels d’un homme ou d’un animal malade. Si l’on se réfère à la définition communément admise du terme « isolement », qui consiste à séparer une chose de toutes les autres, tout le monde s’accorde à dire que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie.

Dr Thomas Cowan et coll., The « Settling the Virus Debate » Statement (Déclaration sur « Trancher le Débat sur les Virus »), 20221.

À la date du 11 septembre 2022 et à la suite d’enquêtes approfondies menées dans le cadre de demandes de liberté d’information (en anglais FOI pour Freedom of Information) coordonnées par Christine Massey, aucune des 209 (([1] NdT : à ce jour plus de 300)) institutions scientifiques ou de santé importantes, réparties dans plus de 35 pays, n’a été en mesure de fournir des preuves directes de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2.2 Il a été demandé aux institutions de produire tout document démontrant « la purification du “SARS-CoV-2” » qui aurait causé la maladie chez l’homme (par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelée parfois par certains « isolement »), directement à partir d’un être humain malade… ». À de nombreuses reprises, après avoir admis l’absence de telles preuves, des institutions telles que le ministère néo-zélandais de la Santé suggèrent ensuite qu’« il existe plusieurs exemples d’isolement et de culture du virus en laboratoire » 3.

Cependant, les exemples cités sont universellement des expériences de culture de tissus par procuration, dans lesquelles le mot « isolement » a perdu sa signification et il n’a pas été démontré qu’une particule, imagée (([2] NdT : une image)) ou imaginée, possède les propriétés d’un virus pathogène. En tout état de cause, il s’agit d’une diversion par rapport au problème plus large mis en lumière par les demandes de FOI (([3] NdT : dans les pays anglo-saxons existent des lois appelées Freedom of Information Act — loi sur la liberté de l’information — qui stipulent que le contribuable qui finance les instituts publics [ici de santé] a le droit de savoir ce qui est fait avec ses impôts. Ces instituts doivent donc répondre à toutes les demandes d’éclaircissements)), à savoir que les particules prétendument virales ne peuvent jamais être trouvées sur des sujets humains. La virologie a trouvé des excuses à cette absence de preuves, mais même en tenant compte de cette lacune embarrassante, elle n’a plus d’endroit où se cacher, car ses diverses méthodologies sont de plus en plus examinées par des personnes extérieures au domaine. Cet essai décrit les nombreux aspects de l’antiscience de la virologie qui ont été utilisés pour maintenir l’illusion de l’existence de virus pathogènes. La situation est devenue de plus en plus dangereuse et, depuis le début de l’année 2020, « la pandémie » COVID-19 a été utilisée comme cheval de Troie pour mettre l’Humanité à genoux.

Le Dr Siouxsie Wiles L’acolyte de l’« isolement » de la Virologie

La centrifugation à gradient de densité est la technique standard scientifiquement requise pour démontrer l’existence d’un virus. Bien que cette méthode soit décrite dans tous les manuels de microbiologie comme la « technique d’isolement des virus », elle n’est jamais appliquée dans les expériences visant à démontrer l’existence de virus pathogènes…

Dr Stefan Lanka, 2015. 4

La défense des méthodologies de la virologie est évidemment tentée par ses promoteurs, dont la microbiologiste préférée du gouvernement néo-zélandais et des médias financés par l’État, Siouxsie Wiles5. Son employeur, l’université d’Auckland, fait partie des institutions qui ont désormais confirmé qu’elles n’avaient « effectué aucun travail de purification du virus Covid-19 » 6 et que, par conséquent, elles n’avaient ni trouvé ni isolé chez un sujet humain le soi-disant virus appelé SARS-CoV-2. Cette professeure agrégée, qui a déclaré au pays que « le Monde est en feu » en mars 20207, a été nommée Néo-Zélandaise de l’année en 2021 pour avoir « aidé des millions de personnes dans le Monde à dépasser la peur et la complexité de la pandémie… et contribué à notre sécurité » 8. Dans son article de novembre 2020 intitulé « Koch’s postulates, COVID, and misinformation rabbit holes » (Postulats de Koch, COVID et trous de lapin de la désinformation) (([4] NdT : un trou de lapin est une expression utilisée pour désigner une situation bizarre, déroutante ou absurde dont il est généralement difficile de se sortir)), Wiles affirme que « les personnes qui demandent des preuves de l’existence du virus SARS-CoV-2 responsable de COVID-19 formulent spécifiquement leur demande de manière à exclure l’obtention de toute preuve de l’existence du virus » 9. Son article a rapidement pris la tangente sur le fait que les postulats de Koch n’étaient pas adaptés aux virus et elle les a donc déclarés invalides dans ce contexte. On ne sait pas exactement pourquoi elle n’a pas mentionné les postulats de Rivers10, qui ont été conçus spécifiquement pour inclure les virus, mais peut-être parce qu’elle devrait admettre que ces postulats n’ont jamais été satisfaits non plus. Et si les postulats de Koch concernent l’établissement de la cause de la maladie et de la contagion, plutôt que la question spécifique de savoir si des particules virales peuvent être trouvées dans ou à partir de sujets humains, elle aurait pu simplement expliquer que les virologues ont passé une grande partie du 20siècle à essayer, sans succès, d’identifier des virus directement à partir d’êtres humains malades. Wiles a ensuite introduit de manière fallacieuse les postulats moléculaires de Falkow11 dans son argumentation, sans expliquer comment ils pourraient être utilisés pour démontrer l’existence physique du prétendu SARS-CoV-2 chez l’homme ou ailleurs.

Fait gênant pour Wiles, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré en 2003 qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-1, « l’identification concluante d’un (agent) causal doit répondre à tous les critères du postulat de Koch (sic). Les expériences supplémentaires nécessaires pour remplir ces critères sont actuellement en cours dans un laboratoire aux Pays-Bas » 12. L’article de l’OMS a été retiré de son site Web sans explication en 2021, mais il est toujours possible d’y accéder par le biais d’Internet Archive13 (([5] NdT : organisme à but non lucratif consacré à l’archivage du Web qui agit aussi comme bibliothèque numérique)). L’affirmation fantaisiste selon laquelle les postulats de Koch ont été respectés en 2003 par Fouchier et coll. avec le SARS-CoV-1 a été réfutée ailleurs14. Leur expérience sur les singes n’a pas seulement été invalidée par l’absence d’expériences de contrôles et par une voie d’exposition non naturelle, mais, comme dans toutes les publications sur la virologie, ils n’ont pas réussi à mettre en évidence une particule répondant à la définition d’un virus. Wiles semblait également en désaccord avec Na Zhu et coll., l’une des premières équipes à avoir prétendu avoir découvert le SARS-CoV-2, car ils ont admis que « bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV (appelé plus tard “SARS-CoV-2”) dans l’épidémie de Wuhan. D’autres éléments confirment l’importance étiologique du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan, notamment… des expériences sur des animaux (singes) qui apportent la preuve de la pathogénicité » 15.

Cependant, que les virologues veuillent ou non considérer la validité des postulats de Koch, il s’agit simplement d’une autre diversion, car les postulats exigent l’isolement physique d’un microbe plutôt que l’affirmation qu’il existe par des moyens tels que les simulations informatiques, l’imagerie de vésicules dont la fonction biologique est inconnue, ou l’affirmation que les soupes biologiques non purifiées administrées à des animaux contiennent des « virus ».

Wiles a également décidé de défendre la mauvaise utilisation flagrante par la virologie du mot « isolement » en déclarant : « quant à l’utilisation de l’isolement dans le sens courant du terme, plutôt que la définition pertinente pour la question posée ? Eh bien, c’est tout simplement ridicule et c’est un signe clair que ces demandes de preuves ne sont pas faites de bonne foi » 16 Elle semblait incrédule que d’autres aient souligné que la définition d’un mot utilisé scientifiquement avait été unilatéralement changée par les virologues pour impliquer qu’une certaine preuve avait été obtenue. Cependant, si leur utilisation du terme « isolement » ne signifie pas ce que la plupart des gens pensent qu’il signifie, alors il est probable que la majorité du public soit mal informée. À ce titre, Wiles participe activement à la désinformation, qu’il s’agisse d’un acte d’aveuglement volontaire ou non. Wiles doit faire preuve d’expertise et expliquer au public ce que signifie la définition de l’isolement en virologie, en particulier lorsqu’il s’agit de démontrer l’existence supposée de virus. Elle pense peut-être l’avoir expliqué lorsqu’elle a écrit que « lorsque les virologues veulent isoler un virus à partir d’un échantillon, ils prennent l’échantillon ou une partie de celui-ci et l’ajoutent à des cellules — généralement des cellules qui sont relativement faciles à cultiver en laboratoire — et regardent ensuite si les cellules meurent et/ou si des particules virales sont libérées dans le bain nutritif liquide dans lequel les cellules se développent » 17 Il n’est pas clair si Wiles sous-entend que l’« isolat de virus » est établi par : (a) le prélèvement de l’échantillon, (b) la mort de certaines cellules in vitro, (c) la libération de « particules virales » revendiquées dans la culture de tissus, ou (d) tous ces éléments ou une combinaison de ceux-ci. Cependant, rien de ce qu’elle a décrit n’exige l’existence de virus — il s’agit d’un jeu de tromperie, qu’il soit délibéré ou non. Il s’agit simplement d’affirmer qu’un virus se trouve dans l’échantillon, d’imputer au virus imaginé l’effondrement des cellules soumises à un stress expérimental dans l’éprouvette, puis de déclarer que certaines vésicules (dont la composition et la fonction biologiques n’ont pas été établies) étaient des virus. Cet exercice présente une autre faille fatale. Comme cet essai le détaillera, les affirmations selon lesquelles l’existence du SARS-CoV-2 a été démontrée par cette méthodologie sont toutes scientifiquement invalides, car aucune des expériences n’a été réalisée avec des contrôles valables.

Ceci est exemplaire de la manière dont Wiles a agi dans son rôle d’influenceur clé de la campagne de désinformation du gouvernement néo-zélandais et de son programme de déploiement meurtrier d’un produit injectable appelé ComirnatyTM — affirmant que des expériences non spécifiques de culture de tissus vérifient l’existence du virus alors que rien de tel n’a été démontré. Le problème ne se limite pas au SARS-CoV-2 : tous les virus dont on affirme l’existence s’appuient sur une pseudoscience similaire. L’histoire de la virologie révèle que les types de cellules finalement sélectionnées pour ces expériences sont celles qui ont une propension à s’effondrer en raison des « effets cytopathiques » (ECP) induits par le virus, plutôt que celles qui sont « relativement faciles à cultiver en laboratoire », comme l’affirme Wiles dans son article. Par exemple, les cellules de singe Vero E618 sont depuis longtemps privilégiées par les virologues, soi-disant en raison de leur « aptitude » à héberger de nombreux virus, mais aussi, de manière suspecte, parce que la lignée rénale aneuploïde19 est plus sensible aux agressions toxiques provoquées par des ingrédients supplémentaires tels que les antibiotiques et antifongiques néphrotoxiques omniprésents qui sont ajoutés au mélange de culture. Lorsqu’un groupe a tenté de cultiver le SARS-CoV-2, il n’a pas obtenu les résultats escomptés avec des cellules d’adénocarcinome humain (A549), des cellules hépatiques humaines (HUH7.0), des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T) et une lignée de cellules rénales de grande chauve-souris brune (EFK3B), mais il a ensuite déclaré qu’il disposait d’un « isolat viral » après avoir observé des ECP dans des cellules Vero E620. Comme à l’accoutumée, ils n’ont pas ressenti l’ironie du fait que le prétendu virus respiratoire humain ne puisse pas « infecter » le type de cellule concerné, et encore moins l’espèce concernée. Et leurs expériences ont été une fois de plus invalidées par l’absence de cultures de contrôle appropriées.

Pourquoi l’isolement est-il important

Celui qui contrôle le langage contrôle les masses

Saul Alinsky21

Un autre embarras pour la virologie est que les particules virales présumées qui ont été purifiées avec succès ne se sont pas révélées capables, par elles-mêmes, de se répliquer ou de provoquer des maladies. En d’autres termes, ce qui a été physiquement isolé ne peut être considéré que comme des vésicules extracellulaires (VE). En mai 2020, une publication parue dans la revue Viruses affirmait que « de nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen des méthodes canoniques d’isolation des vésicules, telles que l’ultracentrifugation différentielle, parce qu’ils sont souvent coagulés en raison de leur dimension similaire » 22. « Aujourd’hui » signifie par opposition au passé et l’on ne voit pas comment un tel changement technique observé peut être concilié avec les lois biologiques. Il semble plus probable que les virologues se distancient de leurs propres techniques afin d’éviter la réfutation de leurs propres postulats. Ils devront peut-être accepter que la raison pour laquelle l’ultracentrifugation différentielle n’est pas capable de séparer les virus des autres vésicules est que leur affirmation selon laquelle les virus sont présents dans l’échantillon est mal fondée.

Les virologues détournent manifestement l’attention de la question fondamentale de l’isolement, car ils n’ont pas été en mesure d’agir sur ce front. Au lieu d’aborder le problème honnêtement et scientifiquement, ils ont brouillé les pistes. En 2017, le Groupe de Perth (([6] NdT : scientifiques australiens qui ont dès le début dénoncé le narratif du SIDA et en particulier les méthodes non scientifiques de Montagnier)) a souligné dans son opus magnum, « Le VIH — un virus à nul autre pareil », qu’« en virologie, alors que la purification conserve son sens dans le langage courant, l’“isolement” est un terme expéditif que les virologues attribuent à des données qui, selon eux, prouvent l’existence d’un virus particulier » 23. En d’autres termes, il est commode et pratique, mais en ce qui concerne les affirmations qui sont faites et les actions subséquentes qui sont menées contre l’Humanité, il devrait être considéré comme inapproprié et immoral. Dans le même essai, le Groupe de Perth a documenté les exemples suivants de virologues qui adaptent le langage scientifique, comme il convient, à leurs propres fins.

Jay Levy, spécialiste du VIH, définit l’isolement d’un virus comme un « échantillon d’un virus provenant d’une source définie », White et Fenner comme la capacité d’« identifier un virus totalement imprévu, voire de découvrir un agent entièrement nouveau ». Montagnier et Weiss comme la « propagation (des virus) dans des cellules en culture ». La sixième édition de 2013 de Fields Virology définit l’isolement comme suit : « Les virus peuvent être isolés d’un hôte infecté en prélevant des matières excrétées ou sécrétées, du sang ou des tissus et en recherchant l’induction des symptômes originaux chez l’hôte identique ou l’induction d’une pathologie anormale chez un hôte de substitution ou dans une culture cellulaire… Une fois que la présence d’un virus a été établie, il est souvent souhaitable de préparer un clone génétiquement pur ». Il va sans dire que si l’isolement d’un virus consiste à « prélever un échantillon d’un virus à partir d’une source définie » ou à « le propager dans des cellules en culture », il faut d’abord avoir la preuve que le virus existe dans « une source définie » ou « dans des cellules en culture ». L’isolement d’un virus ne consiste pas non plus à « induire une pathologie anormale » ou « une fois que la présence d’un virus a été établie ». 24

C’est une farce que cet état de fait existe et cette pratique grossièrement trompeuse rend les nombreuses affirmations d’isolement de la virologie non fondées. Mais les virologues eux-mêmes donnent-ils une explication à leur abus incessant de la langue anglaise ? En 2021, le professeur Vincent Racaniello, virologue chevronné, a expliqué, même en ce qui concerne la définition de termes fondamentaux tels que « isolat », que « ce qui se passe, c’est que vous êtes formé dans le laboratoire de quelqu’un et vous les entendez dire des choses, vous leur associez une signification et c’est ce que vous faites, et il se peut qu’ils aient raison ou non » 25. Dans la même présentation, Racaniello a expliqué qu’il n’y avait pas d’explication à cette pratique trompeuse. Dans la même présentation, Racaniello lui-même n’a pas semblé remarquer un problème avec sa propre définition de ce qui est censé être des termes scientifiques lorsqu’il a poursuivi en disant : « un isolat est un virus que nous avons isolé à partir d’un hôte infecté et que nous avons propagé en culture ». Ironiquement, dans un article de 2015 concernant la terminologie scientifique appropriée et le mot « transfection » 26, Racaniello a déclaré : « si vous considérez la langue anglaise comme un moyen de communication dynamique qui évolue continuellement et donne aux mots de nouvelles significations, alors cette utilisation incorrecte de transfection ne vous dérange probablement pas. Mais les scientifiques doivent être précis dans leur utilisation du langage, sinon leur capacité à communiquer sera compromise » 27. Une analyse de la présentation de Racaniello sur l’isolement viral et l’utilisation abusive du langage en science a été traitée précédemment par le Dr Samantha Bailey dans « The Truth About Virus Isolation » 28 (La vérité au sujet de l’isolement des virus). Elle illustre le problème où plusieurs générations de virologues semblent piégées dans un monde de raisonnement sémantique circulaire, bien qu’avec des degrés de perspicacité différents.

La virologie a inventé l’hypothèse des virus ; par conséquent, quelle que soit la méthode employée pour tenter de prouver leur existence, elle doit répondre à cette définition. Au cœur de la question se trouve un concept simple et nous avons besoin de voir la preuve que les particules supposées responsables de la maladie provoquent de nouvelles particules qui sont des clones des premières. Il n’est pas possible d’affirmer que les protéines et les acides nucléiques détectés sont d’origine virale spécifique à moins que les particules virales présumées n’aient été véritablement isolées par purification et qu’il n’ait été démontré qu’elles possédaient ces caractéristiques biologiques clés. Comme le souligne le Groupe de Perth dans « Le VIH, un virus à nul autre pareil », la purification est nécessaire pour prouver l’existence des virus pour plusieurs raisons, dont les suivantes :

  1. Les virus ne se répliquent que dans les cellules vivantes. Étant donné que les cellules et les virus sont composés des mêmes éléments biochimiques, la séparation des particules du matériel cellulaire est essentielle pour déterminer quels acides nucléiques et quelles protéines appartiennent aux particules virales.
  2. Afin de prouver que les particules sont infectieuses. En d’autres termes, ce sont les particules, et non d’autres facteurs, qui sont responsables de la production de nouvelles particules. Cela nécessite la purification des deux ensembles de particules.
  3. Afin de démontrer leurs effets biologiques et pathologiques.
  4. Afin d’obtenir des antigènes (protéines) et des acides nucléiques pour les utiliser respectivement dans les tests d’anticorps et de génomique29.

Bien que cela soit moins courant, les virologues obscurcissent aussi parfois le sens du terme « purification ». Le 23 mai 2022, le professeur belge de virologie Marc Van Ranst30 a affirmé qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-2, « dans un autre article (https://europepmc.org/article/pmc/pmc7122600), ils ont purifié davantage le virus par ultracentrifugation dans de la bêta-cyclodextrine » 31. Van Ranst faisait référence à un article de 2008 décrivant « la préparation à grande échelle de virions de coronavirus du SARS activés par les UV », qui concernait le prétendu virus du SARS-CoV-132. Toutefois, cet article décrit simplement un protocole prétendant purifier les virions et aucune partie de l’article ne démontre l’existence d’une particule capable de réplication — tout ce qui a été montré, ce sont des images de mauvaise qualité censées montrer des cellules Vero E6 « infectées ». (Voir la section suivante concernant les « effets cytopathiques »). En ce qui concerne le « contrôle des virions purifiés » après centrifugation, aucune image n’a été fournie, mais il a été affirmé que « la concentration des virions purifiés est déterminée par le test BCA (acide bicinchoninique) (([7] NdT : acide utilisé en chimie analytique pour quantifier la quantité de protéine en solution)), avec la BSA (albumine de sérum bovin) comme étalon ». Cette conclusion n’est pas fondée, car le dosage BCA mesure simplement la concentration totale de protéines dans une solution — la technique n’est pas en mesure de fournir la preuve de la présence de « virions » dans un échantillon.

La figure 1 ci-dessous est une image censée montrer des virions purifiés de « coronavirus de type SARS de chauve-souris » et publiée dans Nature en 2013 — la légende explique pourquoi une telle déclaration est ridicule. (La variation pratique de la taille des particules est apparemment due au fait que « [les coronavirus] ont généralement un diamètre, hors projections, compris entre 80 et 120 nm, bien que dans les cas extrêmes le diamètre puisse varier entre 60 et 220 nm » 33). De même, l’affirmation de l’article cité de Van Ranst selon laquelle « il est préférable de confirmer la quantité de virion par SDS-PAGE à 10 % » 34 est tout aussi erronée, car il s’agit simplement d’un processus d’électrophorèse sur gel permettant de séparer les protéines en fonction de leur masse moléculaire — cela ne peut pas fournir la preuve que les protéines appartiennent à un virus. Van Ranst a également déclaré : « Nous pouvons déjà détecter l’ARN viral dans les échantillons cliniques. Nous pouvons achever le déchiffrage du génome viral. Nous pouvons cultiver le virus dans des cellules, l’inoculer à des modèles animaux et induire la maladie » 35. On ne sait pas si Van Ranst a compris que les méthodologies non contrôlées employées dans toutes ces expériences ne fournissent pas la preuve requise de l’existence d’un quelconque « virus ». Ainsi, lorsque Van Ranst affirme qu’« aucun scientifique ne doute de l’existence du SRAS-CoV-2 » 36, on peut se demander si les virologues ne vont pas devoir modifier la définition du terme « scientifique » pour maintenir leurs pratiques illusoires ?

Figure 1. Cette image a été décrite comme « (une) micrographie électronique de virions purifiés », obtenue par « ultracentrifugation dans un coussin de saccharose à 20 % (5 ml) à 80 000 g pendant 90 minutes à l’aide d’un rotor Ty90 (Beckman) ». Outre le fait que les propriétés biologiques de ces vésicules imagées n’ont pas été établies, rien n’indique que quoi que ce soit dans la culture cellulaire Vero E6 ait été purifié et aucune autre image contextuelle n’a été fournie. En outre, aucune micrographie de culture témoin n’a été documentée. Source : Xing-Yi Ge, et coll. : Xing-Yi Ge, et coll., « Isolation and caractérisation d’un coronavirus de chauve-souris de type SARS qui utilise le récepteur ACE 2 », Nature, 30 octobre 2013 : https://doi.org/10.1038/nature12711 (Voir également la page 56 en ce qui concerne l’affirmation selon laquelle Ralph Baric et coll. ont utilisé ces « virus » pour en créer de nouveaux).

Van Ranst n’était cependant pas le seul virologue à prétendre avoir purifié des virus. En réponse à un courriel, le Dr Marica Grossegesse37 de l’Institut Robert Koch a répondu que « nous avons purifié des particules de SARS par gradient de densité. Cependant, seulement à partir du virus dérivé de la culture cellulaire, comme vous l’avez écrit. Le problème de la purification du SARS à partir d’échantillons de patients est que vous n’obtiendrez pas de bande visible » 38. Outre la terminologie imprécise consistant à substituer le nom d’un syndrome (« SARS » pour syndrome respiratoire aigu sévère) à un virus hypothétique, aucune autre preuve n’a été fournie quant à la manière dont ces affirmations ont été établies. On peut supposer que Grossegesse utilise également les définitions de « purification » et de « virus » telles qu’elles figurent dans la figure 1 ? Quoi qu’il en soit, lorsqu’on lui a demandé plus de détails sur la manière dont les expériences ont été contrôlées, elle a répondu : « Nous ne sommes pas autorisés à partager des protocoles avec une personne privée. Je ne peux que renvoyer à nos publications, où les expériences d’infection sont décrites en détail ». Il semble que le terme « détail » ait également pris un sens différent, puisque les publications n’ont pas divulgué les réponses directes concernant les contrôles recherchés.

Le domaine de l’isolement est l’un des domaines où la virologie est complètement déstabilisée et, comme cet essai le soulignera, le SARS-CoV-2 n’est rien d’autre qu’une construction informatique hypothétique, assemblée à partir de fragments génétiques dont la provenance n’a pas été prouvée. Il n’a jamais été démontré qu’une particule physiquement isolée (c’est-à-dire purifiée) était responsable de la production de particules identiques ou qu’une particule était à l’origine d’effets pathologiques chez l’homme ou dans un modèle animal expérimental. Ainsi, la déclaration de virologues tels que Van Ranst, ainsi que de l’OMS et de ses adhérents, selon laquelle une particule infectieuse appelée « SARS-CoV-2 » est à l’origine d’une pandémie, s’avère être une fraude scientifique et intellectuelle patente.

C’est quoi la virologie ?

Lorsqu’il est surpris, l’oiseau s’envole et vole en décrivant des cercles de plus en plus petits jusqu’à ce qu’il parvienne à voler sur son propre dos et à disparaître complètement, ce qui ajoute à sa rareté.

Le mythique « oiseau oozlum » 39 (([8] NdT : oiseau mythique des contes populaires australiens et anglais))

Il est difficile de savoir exactement comment appeler la virologie, mais ce n’est pas de la science. Les praticiens actuels se livrent à une forme de spéculation algorithmique ou statistique, à laquelle s’ajoutent le raisonnement circulaire et le biais de confirmation, avec une absence totale de ce qui devrait être le processus correspondant de réfutation qui se trouve au cœur de la méthode scientifique. Si l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur, il est presque certain qu’il existe des motivations conspiratrices aux niveaux supérieurs de la hiérarchie mondiale. Par exemple, l’OMS, les Centres de contrôle des maladies (CDC) et l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni sont tous impliqués dans les pratiques trompeuses de la virologie, comme nous le verrons dans cet essai. Toutefois, les pratiques anti-scientifiques sont reproduites dans la plupart des autres pays, qu’il s’agisse des allégations d’isolement de virus et de l’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) pour les diagnostics cliniques40, ou de l’absence de divulgation des détails de contrôle cruciaux impliqués dans la culture du virus et la création du génome, ce qui est l’objet d’une grande partie de cet essai.

Comment tester une théorie scientifique ? Karl Popper a exprimé la centralité de la réfutation d’une théorie ou d’une hypothèse de la manière suivante :

C’est donc, selon moi, la possibilité de la renverser, ou sa réfutabilité, qui constitue la possibilité de la tester, et donc le caractère scientifique d’une théorie ; et le fait que tous les tests d’une théorie soient des tentatives de réfutation des prédictions dérivées avec son aide, fournit l’indice de la méthode scientifique. Cette conception de la méthode scientifique est corroborée par l’histoire des sciences, qui montre que les théories scientifiques sont souvent infirmées par des expériences, et que l’infirmation des théories est en fait le vecteur du processus scientifique. L’affirmation selon laquelle la science est circulaire ne peut être soutenue41.

Historiquement, la virologie s’est caractérisée par un manque d’expériences de contrôle valables et aucune de ses affirmations fondamentales n’a été établie par l’application correcte de la méthode scientifique. Le premier virus présumé à avoir été découvert est le virus de la mosaïque du tabac, dont l’une des preuves serait contenue dans le traité de 1903 de Dmitri Ivanovsky intitulé « Über die Mosaikkrankheit der Tabakspflanze » (À propos de la maladie mosaïque du tabac) 42. Cependant, il est évident que les expériences décrites par Ivanovsky n’ont pas fait l’objet de comparaisons de contrôle valables et qu’elles étaient donc non scientifiques et non concluantes. Il a même déclaré que « cette maladie ne trouve des conditions d’existence favorables que dans les régions côtières ». Cette conclusion concorde parfaitement avec les observations ci-dessus concernant l’influence de l’humidité sur le développement de la maladie. La maladie mosaïque semble être propre aux climats humides et chauds43. Cependant, comme la théorie des germes était en train de devenir l’idéologie prédominante en matière de causes des maladies à cette époque, au lieu de conclure que la maladie mosaïque était causée par les conditions environnementales, Ivanovsky a conclu qu’il avait découvert un virus invisible.

Il est peut-être tentant de pardonner aux premiers pionniers que leurs méthodologies non contrôlées et non scientifiques étaient simplement des pratiques typiques de l’époque. Cependant, Claude Bernard, critique de la théorie des germes, a donné l’aperçu suivant de l’importance des contrôles dans l’adhésion à la méthode scientifique des décennies plus tôt, en 1865 : « Si nous caractérisons l’expérience par une variation ou une perturbation apportée à un phénomène, c’est seulement dans la mesure où nous impliquons que la perturbation doit être comparée à l’état normal. Comme les expériences ne sont en fait que des jugements, elles nécessitent nécessairement une comparaison entre deux choses ; et l’élément intentionnel ou actif d’une expérience est vraiment la comparaison que l’esprit a l’intention de faire44. Bernard soulignait la nécessité de disposer d’un contrôle valide ou d’une comparaison appropriée pour s’assurer que seul le nouvel élément expérimental était à l’origine d’un résultat. Ainsi, le plus charitable que nous puissions être serait de suggérer que certains des premiers chasseurs de virus n’étaient peut-être pas conscients de l’importance de la méthode scientifique dans leur poursuite enthousiaste et effrénée d’ennemis invisibles.

Continuons avec une autre découverte revendiquée, le manuel Rétrovirus nous informe qu’« en 1911, Peyton Rous, de l’Institut Rockefeller à New York, a signalé la transmission sans cellule d’un sarcome chez les poulets… Le virus isolé par Rous porte le nom de son découvreur » 45. Cependant, un examen de l’article de Rous, « A Sarcoma of the Fowl » 46 (le sarcome du poulet) révèle qu’il n’a pas prétendu isoler quoi que ce soit, et encore moins quelque chose qui corresponde à la définition d’un virus. Sa méthodologie consistait à broyer du matériel tumoral de poulet, à le filtrer et à l’injecter directement à d’autres poulets, en observant que certains d’entre eux développeraient également des tumeurs. Il a indiqué que les expériences « de contrôle » consistaient à injecter du matériel tumoral non filtré à des poulets, ce qui tendait à produire des tumeurs beaucoup plus importantes. Rous a postulé la présence d’un organisme ultramicroscopique causal, mais a admis qu’« un organisme d’une autre sorte n’est pas exclu ». En effet, l’expérience n’a pas permis de prouver l’existence d’une particule infectieuse et réplicative. Elle a simplement montré qu’un tissu malade introduit par une voie non naturelle et invasive dans un autre animal pouvait provoquer chez ce dernier un processus pathologique similaire.

L’affirmation selon laquelle, en 1925, le pathologiste William Gye a démontré que Rous avait trouvé un virus est également fausse. Il a simplement affirmé qu’un virus était à l’œuvre dans ces expériences et a déclaré ostensiblement : « Je souhaite particulièrement souligner un aspect de la recherche des virus invisibles, à savoir que l’expérimentation animale est la preuve finale de la présence de l’organisme dans un inoculum » 47. Une fois de plus, la « preuve finale » n’impliquait pas l’identification réelle d’un organisme infectieux dans l’inoculum — elle démontrait simplement la formation d’une tumeur à la suite de l’injection de tissus malades. En outre, il a été établi en 1927 que le sarcome de la volaille pouvait être induit par l’injection d’acide arsénieux dilué et de pulpe embryonnaire étrangère48. Les effets cancérigènes ont également été reproduits après la filtration bactériologique équivalente à celle effectuée par Rous et il a été démontré que la maladie provenait du tissu étranger et non des tissus de l’hôte. L’hypothèse virale aurait dû être abandonnée, mais un demi-siècle plus tard, l’establishment l’a maintenue en vie et a récompensé Rous par un prix Nobel en 1966 pour « sa découverte des virus inducteurs de tumeurs » 49.

En 1954, lorsque John Enders et Thomas Peebles ont affirmé avoir propagé le virus de la rougeole dans des cellules rénales humaines et de singe50, aucune tolérance supplémentaire n’aurait dû être accordée aux expériences non scientifiques de la virologie. Enders et Peebles ont ajouté des lavages de gorge et du sang à leurs cultures cellulaires et, après avoir observé des ECP (Rappel : Effet Cytopathique, changement structurel dans une cellule hôte résultat d’une infection virale — en anglais CPE pour Cytopatic Effect), c’est-à-dire des cellules mourantes et décomposées dans leurs tubes à essai, ils ont conclu que les manifestations in vitro « pouvaient être associées au virus de la rougeole ». Ils ont averti que « les effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant d’une infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par des facteurs inconnus », mais ils ont poursuivi en concluant de manière inappropriée que « ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole ». Enders et Peebles n’ont effectué aucune expérience de contrôle pour vérifier si la procédure de culture elle-même, c’est-à-dire le stress des cellules dans un tube à essai, produirait les mêmes ECP, invalidant ainsi les preuves de leur conclusion. Idéalement, plusieurs expériences de contrôle auraient dû être réalisées : certaines sans ajout d’échantillons d’origine humaine, d’autres avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en bonne santé et d’autres encore avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en mauvaise santé, mais dits ne souffrant pas cliniquement de la rougeole51 ou d’une autre affection « virale » présumée.

Les virologues ont cependant continué à répéter la méthodologie non contrôlée d’Enders et prétendent encore aujourd’hui que ces ECP sont des preuves incontestables de la présence de virus. Le Dr Stefan Lanka a documenté l’histoire de ces pratiques non scientifiques52 et, en 2021, a démontré que les ECP pouvaient être induits dans des cultures cellulaires par le processus de laboratoire lui-même53. Les résultats des expériences du Dr Lanka sont illustrés à la figure 2. Dans de nombreuses publications sur la virologie, il est fait mention d’une expérience de contrôle ou d’une « infection fictive », mais les détails de ces expériences brillent par leur absence. Une page Web de l’Université Northwestern (Illinois) indique qu’une infection factice est « un contrôle utilisé dans les expériences d’infection. Deux spécimens sont utilisés, l’un est infecté par le virus/vecteur en question et l’autre est traité de la même manière, mais sans le virus. »54 La définition est déjà problématique, car des termes tels que « virus » et « infecté » ont été introduits et sont donc présumés exister avant d’être établis. En tout état de cause, comme on le verra, les personnes impliquées dans l’isolement présumé du virus et la création du génome ne traitent certainement pas le spécimen faussement infecté de la même manière sans le « virus », et peuvent faire preuve de mauvaise foi ou d’obstruction flagrante lorsqu’on les presse d’admettre ce fait.

Figure 2. Expériences du Dr Stefan Lanka : Les ECP (flèches blanches) ont été induits en stressant les cellules épithéliales par des passages et des antibiotiques. L’ajout d’ARN de levure (4e colonne) a induit encore plus d’ECP. Aucun « virus » n’a été ajouté et les expériences ont été réalisées en trois exemplaires. Source : Stefan Lanka et coll., « Präliminäre Resultate der Kontrollversuche – Die Reaktion primärer humaner Epithelzellen auf stringente Virusamplifikations-Bedingungen widerlegen die Existenzbehauptungen aller Viren und von SARS-CoV-2 » (Résultats préliminaires des essais de contrôle — La réponse des cellules épithéliales humaines primaires à des conditions d’amplification virale strictes réfute les affirmations d’existence de tous les virus et du SRAS-CoV-2), 25 mars 2022 : https://coldwelliantimes.com/eilmeldung/kontrollexperiment

En juin 2022, en réponse à une demande formulée au titre de l’Official Information Act (OIA) (([9] NdT : l’équivalent néo-zélandais du FOIA des pays anglo-saxons)) concernant l’article intitulé « Characterization of the First SARS-CoV-2 Isolates from Aotearoa New Zealand as Part of a Rapid Response to the COVID-19 Pandemic » 55 [Caractérisation des premiers isolats de SARS-CoV-2 en Aotearoa (Nouvelle-Zélande) dans le cadre d’une réponse rapide à la pandémie de COVID-19], l’université d’Otago a déclaré que « l’article publié par le professeur Quiñones-Mateu et ses collègues était un article descriptif… Cela signifie qu’il n’y avait pas d’hypothèse à prouver ou à réfuter. »56 En bref, la réponse résume peut-être involontairement la situation générale en matière de virologie. En 2008, la revue Infection and Immunity a publié un commentaire intitulé « Descriptive Science » qui expliquait pourquoi « la recherche descriptive en elle-même est rarement concluante » et peut simplement servir de point de départ pour orienter les recherches ultérieures57. Les auteurs ont souligné que « la microbiologie et l’immunologie sont désormais des sciences expérimentales et que, par conséquent, les chercheurs peuvent aller au-delà de la simple description des observations et formuler des hypothèses, puis réaliser des expériences pour les valider ou les réfuter ». Comme le souligne cet essai, l’establishment de la virologie refuse de divulguer ou de réaliser les expériences requises, apparemment pour ne pas se réfuter lui-même. Il se limite intentionnellement à des expéditions de pêche opportunistes permanentes soutenues par un biais de confirmation, se disqualifiant ainsi lui-même de la méthode scientifique en raison de son incompatibilité avec l’approche basée sur les hypothèses et falsifiable décrite par Popper.

L’auteur a déjà écrit, dans un post-scriptum tiré du livre de A. F. Chalmers intitulé « What is this thing called Science » (Quelle est cette chose appelée Science), que l’un des principaux problèmes de la virologie est qu’elle s’est inventée elle-même en tant que domaine avant d’avoir établi si les virus existaient réellement. Elle a essayé de se justifier depuis ses débuts :

En l’occurrence, une particule virale n’a pas été observée en premier et par la suite la théorie et la pathologie virales se sont développées. Les scientifiques du milieu et de la fin du XIXe siècle étaient préoccupés par l’identification d’entités pathogènes contagieuses imaginaires. Les observations de l’inductionniste naïf n’ont pas permis d’identifier un virus a priori, puis d’étudier ses propriétés et ses caractéristiques. Le présupposé de l’époque était qu’il existait une très petite particule de germe susceptible d’expliquer la contagion. Ce qui est venu par la suite est apparu pour répondre à ce présupposé58.

Parce qu’une théorie scientifique exige des preuves qui ont été testées et corroborées à plusieurs reprises selon la méthode scientifique, il est clair que les « virus » n’ont jamais atteint le stade d’une théorie59. Selon la science, ils restent de simples spéculations.

L’absence de Contrôles en Virologie signifie qu’il ne s’agit pas d’une Activité Scientifique

Les requêtes OIA ont révélé que l’Institute of Environmental Science and Research (ESR) de Nouvelle-Zélande (Institut des Sciences de l’Environnement et de la Recherche de Nouvelle-Zélande), qui a revendiqué l’isolement et le séquençage génomique de la particule SARS-CoV-2 dans les Antipodes, est également coupable de ne pas avoir effectué de contrôles valables60. Dans la tradition d’Enders, ils n’ont pas pris le temps de vérifier si les ECP dont ils ont été témoins, ou les génomes qu’ils ont assemblés par le biais de simulations informatiques, pouvaient également être créés dans le cadre de comparaisons de contrôle valables. C’est-à-dire en réalisant des expériences avec d’autres spécimens d’origine humaine, provenant à la fois de sujets bien portants et de sujets malades qui ne seraient pas atteints de la prétendue maladie COVID-19. Au lieu de cela, ESR a décrit son « contrôle négatif » insuffisant dans lequel « le flacon est soumis aux mêmes conditions que les flacons utilisés pour la culture virale, mais nous n’utilisons que le milieu d’Infection ».

Le chef d’orchestre de ces poursuites anti-scientifiques est l’OMS. Il est très révélateur que dans son document de 94 pages intitulé « Genomic sequencing of SARS-CoV-2 » (Séquençage génomique du SARS-CoV-2, quatre phrases seulement traitent des « échantillons de contrôle » :

6.4.2. Échantillons de Contrôle

Les échantillons de contrôle négatif, tels que le tampon(([10] NdT : une solution tampon permet de maintenir le pH)) ou l’eau, doivent toujours être inclus dans tout cycle de séquençage contenant plusieurs échantillons. Ils doivent être inclus le plus tôt possible et accompagner les échantillons à toutes les étapes du séquençage. Cela est extrêmement important pour exclure toute contamination au cours d’un séquençage effectué en laboratoire ou au cours du traitement bio-informatique. Les échantillons de contrôle positif avec des séquences génétiques connues peuvent être utiles pour valider les pipelines bio-informatiques nouvellement adoptés ou adaptés pour l’appel de consensus, mais ne doivent pas nécessairement être inclus dans chaque cycle de séquençage61.

Cependant, aucun de ces contrôles n’est suffisant pour valider les « génomes » que les virologues produisent grâce à ces techniques, car ils ne peuvent servir qu’à calibrer le pipeline. Comme cela est devenu évident, l’OMS ne peut pas citer une seule expérience de contrôle positif valable, et pourtant, le 11 février 2020, elle a baptisé la nouvelle maladie qu’elle avait inventée « COVID-19 » en affirmant qu’elle était causée par un nouveau coronavirus62. Ils ont donné le feu vert à n’importe qui dans le monde pour « trouver » le SARS-CoV-2 dans son jardin sans qu’il soit nécessaire de procéder à des expériences de contrôle valables. Pourtant, il est manifestement nécessaire de procéder à des contrôles comparatifs dans lesquels des échantillons de patients similaires, mais sans le virus présumé, sont traités de la même manière, de sorte qu’une seule variable est testée. La comparaison des résultats d’un échantillon supposé contenir le virus avec l’un des contrôles négatifs décrits dans le document de l’OMS ci-dessus ne peut pas valider le processus, car ces derniers échantillons ne contiennent pas la soupe génétique qui fait partie du premier. En tout état de cause, même selon ses propres termes, le contrôle négatif mentionné par l’ESR en Nouvelle-Zélande n’est pas en mesure de fournir une validation de la méthodologie utilisée pour créer ces génomes de virus, car, comme l’indique l’OMS, il s’agit simplement d’un contrôle de précaution en cas de contamination.

Compte tenu de tous les échecs de culture des virus postulés, la virologie moderne privilégie désormais la métagénomique63 directe d’échantillons bruts, souvent avec un séquençage par injection64 et l’assemblage artificiel ultérieur de ces fragments génétiques pour créer de nouveaux « virus » in silico 65 (([11] NdT : in silico signifie à partir de programmes informatiques)) à partir de rien. Cette invention fournit ensuite à d’autres chasseurs de virus des panels d’amorces PCR prédéfinis66 afin qu’ils puissent également découvrir les mêmes séquences et prétendre qu’il s’agit du même virus. L’ESR a participé à une publication dans laquelle elle a proclamé la découverte du SARS-CoV-2 chez neuf sujets grâce à cette méthodologie67. Mon collègue leur a demandé de fournir « tous les détails du groupe de contrôle utilisé pour comparer les résultats du séquençage », mais au lieu de répondre à la question, l’ESR s’est excusé de ne pas être impliqué dans la « génération de nouvelles données » et a fourni des liens vers des protocoles de séquençage du SARS-CoV-268. Si l’ESR utilise de tels protocoles, tels qu’ils sont détaillés sur le site protocol.io, alors nous pouvons voir qu’ils approuvent des contrôles insuffisants qui sont décrits comme « (un) contrôle négatif d’eau exempte de nucléase », tandis qu’un « contrôle positif facultatif peut également être inclus, qui peut être une construction d’ARN synthétique ou un échantillon clinique à haut titre qui peut être dilué » 69. Une fois de plus, ces types de contrôles ne peuvent servir que de techniques d’étalonnage de pipeline, et non de validation ou de signification clinique de quelque « génome » que ce soit qu’ils assemblent.

Malgré les ressources dont elle dispose, l’ESR ne croit apparemment pas à la nécessité de vérifier par elle-même si l’existence du SARS-CoV-2 peut être démontrée. Le 19 juillet 2022, en réponse à une demande de l’OIA, l’ESR a déclaré : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement l’existence du virus SARS-COV-2 et ne peut donc vous fournir aucun document » 70. Le 17 août 2022, en réponse à une autre demande, l’ESR a admis : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement que le virus SARS-COV-2 cause le COVID-19 et ne peut donc vous fournir aucun document » 71. Personne d’autre n’a non plus effectué ces expériences scientifiques requises.

Maltraitance animale et études sur les « Anticorps »

Incapables de démontrer l’isolement physique d’une particule pathogène répondant à la définition d’un virus, les virologues se sont lancés dans l’expérimentation animale pour convaincre les non-initiés de l’existence de telles particules pathogènes. La caractéristique de ces publications est qu’elles manquent de contrôles valables, de sorte que même en partant du principe non établi qu’elles manipulent des « virus », elles révèlent un autre aspect de l’antiscience de la virologie. L’article intitulé « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS, and SARS in a nonhuman primate model » (Pathogenèse comparative du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain), publié en mai 2020 par une équipe comprenant Christian Drosten et Ron Fouchier72, en est un bon exemple. L’absurdité de ce qui a été publié dans Science peut être résumée comme suit :

  1. Les huit singes cynomolgus participant aux expériences ont été « inoculés avec le SRAS-CoV-2 sous anesthésie par une combinaison de voies intratrachéale (4,5 ml) et intranasale (0,25 ml par narine)… » 73 — Il ne s’agit pas d’une voie d’exposition naturelle et 4. 5 ml versés dans les poumons d’un petit singe (3,5 – 5,0 kg) équivalent à verser environ 80 ml (⅓ de tasse) de matériel biologique étranger dans les poumons d’un être humain endormi. Ce volume de matière suffit à lui seul à provoquer des lésions et des inflammations dans les tissus pulmonaires.
  2. L’inoculum versé dans leurs poumons était constitué de « SARS-CoV-2 (isolat BetaCoV/Munich/BavPat1/2020) obtenu à partir d’un cas clinique en Allemagne » et « le virus a été propagé jusqu’au troisième passage sur des cellules Vero E6 dans Opti-MEM I (1X) + GlutaMAX (Gibco), supplémenté en pénicilline (10 000 UI/mL) et en streptomycine (10 000 UI/mL) ». — Ils ont affirmé qu’ils avaient un « isolat » viral alors que ni eux ni leur fournisseur74 n’ont démontré l’existence d’un virus dans l’échantillon. Tout ce que l’on peut dire, c’est que l’échantillon contient du matériel biologique étranger provenant de l’échantillon clinique humain et de cellules rénales de singe, ainsi que des produits de dégradation cellulaire et deux antibiotiques.
  3. « Aucun signe clinique manifeste n’a été observé chez les animaux infectés, à l’exception d’un écoulement nasal séreux chez un animal âgé le 14e jour après l’inoculation. Aucune perte de poids significative n’a été observée chez les animaux au cours de l’étude ». — En d’autres termes, malgré l’entrée directe dans les poumons de ce qu’ils prétendent être le virus SARS-CoV-2, aucun des singes n’a été malade de manière significative.
  4. « Au 14jour après inoculation, tous les animaux restants ont séroconverti, comme le révèle la présence dans leur sérum d’anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 contre le domaine S1 du virus et les protéines de la nucléocapside ». — Il n’a pas été démontré que les protéines S1 et de la nucléocapside étaient d’origine virale, qu’elles induisent ou non la détection (par un test in vitro) d’autres protéines appelées « anticorps » chez un hôte. Les virologues recourent une fois de plus au raisonnement circulaire pour affirmer que la détection d’un anticorps prouve l’existence d’un virus parce que l’anticorps est déclaré spécifique du prétendu virus.
  5. « Pour mesurer l’excrétion du virus, des écouvillons nasaux, pharyngés et rectaux ont été analysés par transcription inverse — réaction en chaîne de la polymérase quantitative (RT-qPCR)… » — Il n’y a pas eu d’« excrétion du virus », mais simplement la détection des mêmes séquences qui avaient été récemment introduites dans les voies respiratoires des singes. Ces séquences d’acides nucléiques étrangers ont, sans surprise, disparu de l’organisme des singes au cours des quelques jours qui ont suivi, par le biais de mécanismes naturels d’élimination.
  6. « L’ARN du SARS-CoV-2 n’a été détecté que dans un écouvillon rectal d’un animal au 14jour après injection, et aucun ARN viral n’a été détecté dans le sang total à aucun moment de l’étude ». — Une fois de plus, cela indique qu’ils n’ont trouvé le matériel génétique introduit qu’aux endroits où il avait été introduit. (L’unique écouvillon rectal positif peut avoir été un faux positif ou le singe a avalé une partie du matériel biologique introduit). Dans aucun cas, ils n’ont pu démontrer que le « virus » supposé présentait des caractéristiques invasives.
  7. Quatre des singes ont été tués et autopsiés quatre jours après l’inoculation de la soupe biologique étrangère. Deux d’entre eux présentaient de petits foyers de consolidation dans les poumons et les auteurs ont déclaré que « la principale lésion histologique dans les tissus pulmonaires consolidés des animaux jeunes et âgés concernait les alvéoles et les bronchioles et consistait en des zones présentant des lésions alvéolaires diffuses (([12] NdT : en anglais DAD pour “diffuse alveolar damage”)) aiguës ou plus avancées ». Les caractéristiques histologiques ont été déclarées caractéristiques du « SARS-CoV-2 » — voir la figure 3 ci-dessous pour une explication de la raison pour laquelle ces affirmations sont totalement dénuées de fondement.
  8. L’expression de l’antigène SARS-CoV-2 a été détectée dans un nombre modéré de pneumocytes de type I et dans quelques pneumocytes de type II à l’intérieur des foyers de DAD. — Ce résultat a été obtenu grâce à une technique de coloration immunohistochimique (IHC) basée sur « un anticorps polyclonal de lapin contre la nucléoprotéine du SARS-CoV (40143-T62, Sino Biological, Chesterbrook, PA, USA) ». Malheureusement pour eux, le fournisseur de ce produit déclare que « les applications IHC, FCM, IF, IP et autres n’ont pas été validées. (Les applications de l’anticorps n’ont pas été validées avec des échantillons correspondants positifs au virus) » 75. Quoi qu’il en soit, cet exemple peut être utilisé pour exposer l’erreur plus générale concernant les anticorps en tant que « preuve » de la présence de virus. Sino Biological déclare que les anticorps résultent de l’injection de son produit « SARS-CoV Nucleocapsid Protein (son étiquette) » 76 à des lapins. Cette protéine de nucléocapside a été à son tour produite à partir d’une « séquence d’ADN codant pour la nucléoprotéine du SARS-CoV (isolat : Tor2) ». Nous verrons à la page 30 que la séquence « Tor2 » était l’un des deux modèles in silico utilisés par Fan Wu et coll. pour inventer le SARS-CoV-2, un autre modèle in silico. En résumé, il s’agit encore d’un raisonnement circulaire : il n’a pas été démontré qu’une protéine provenait d’un virus, y compris la protéine de la nucléocapside dans ce cas. Il a simplement été affirmé que des protéines « virales » avaient été injectées à des animaux et que ceux-ci avaient réagi en produisant d’autres protéines qui sont censées être des « anticorps ». Cependant, l’existence d’un virus n’a pas été démontrée, ni exigée pour ce genre d’exercice. (Autre exemple, la production d’« anticorps anti-VIH » chez 100 % des volontaires sains auxquels on a injecté un vaccin candidat COVID-19 de l’université du Queensland est une source d’embarras pour les promoteurs de l’industrie du VIH et des anticorps) 77.
Figure 3. Certaines des images présentées dans le document « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS(([13] NdT : MERS pour Middle East Respiratory Sybdrom — syndrome respiratoire du Moyen-Orient qui a donné le SARS-CoV-1.)), and SARS in a nonhuman primate model » (pathogenèse comparée du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain) et présentées comme des « changements pathologiques caractéristiques » du SRAS-CoV-2. Les modifications pulmonaires (A) à (C) correspondent à une pneumopathie, causée par l’introduction d’un liquide contenant du matériel biologique étranger directement dans la trachée du singe alors qu’il était anesthésié. Les changements histologiques (D) — (F) représentent simplement des cellules inflammatoires telles que des macrophages et des neutrophiles, comme on pourrait s’y attendre dans une pneumonie infligée de la sorte. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée.

Cependant, l’aspect le plus défectueux de l’expérience sur les animaux est qu’elle n’a pas suivi la méthode scientifique, car il n’y avait pas d’expériences de contrôle. En d’autres termes, un groupe comparable de singes n’a pas été soumis à une agression interne, avec la même composition et le même volume de soupe biologique, sans le prétendu « virus », ayant été versés directement dans leurs poumons. Pour être clair, l’auteur n’approuve pas une telle expérience, car il s’agit d’une procédure cruelle qui n’a rien à voir avec les voies d’exposition naturelles — il s’agit simplement de souligner le concept d’une expérience contrôlée de manière adéquate. Malheureusement, ces méthodologies non scientifiques sont reproduites dans toutes les études animales examinées. Aucune d’entre elles ne démontre : (a) une méthode naturelle d’exposition utilisant les échantillons censés contenir des virus, (b) des « infections fictives » valables (par exemple, l’utilisation fallacieuse d’une solution saline tamponnée au phosphate uniquement), ou (c) la transmission de maladie d’animal à animal. Cela s’ajoute bien sûr à la question fondamentale selon laquelle aucune des études ne démontre l’existence réelle d’une particule infectieuse qu’elles sont censées tester.

En outre, si les « virus » sont si infectieux, pourquoi ne pas simplement aérosoliser un échantillon dans les cages des animaux pour qu’ils l’inhalent ? Une fois de plus, ces expériences sont évitées afin que les virologues ne se réfutent pas eux-mêmes en ce qui concerne les allégations de contagion impliquant les particules imaginées.

Le paradoxe de la quantité de virus

On nous fait croire qu’à l’intérieur d’un hôte tel que l’homme, les particules virales sont produites en si grand nombre qu’elles peuvent briser les cellules mêmes qui les contiennent, alors qu’en même temps elles sont présentes en quantités si infimes que les virologues affirment qu’elles ne peuvent être observées dans aucun échantillon de patient. Apparemment, en ce qui concerne la prétendue particule SARS-CoV-2, il a été calculé qu’« un éternuement d’un patient atteint de COVID-19 contient 200 millions de virus ». 78 Cependant, si l’on prélève un échantillon (physiquement plus grand) directement dans le nez ou les poumons d’un sujet, on n’en trouve précisément aucun. Pour dissimuler ce problème gênant, les virologues ont eu recours à des « preuves » indirectes par le biais de cultures de tissus pour tenter de sortir le virus manquant du chapeau. Comme nous l’avons souligné dans The COVID-19 Fraud & War on Humanity (La Fraude Covid-19 et la guerre contre l’Humanité), cela implique la deuxième partie de la double tromperie de la virologie qui est « la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (ECP) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro (([14] NdT : dans une éprouvette)) à la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo afin d’établir la causalité entre le prétendu pathogène et la maladie »79. Nous sommes donc censés croire que les voies respiratoires humaines, qui sont tapissées de cellules hôtes prétendument parfaites, ne produisent pas suffisamment de virus pour qu’ils soient visibles, mais qu’une expérience en éprouvette impliquant des tissus d’une autre espèce et d’un autre type de cellules en produit suffisamment ?

Selon la définition de la virologie, les particules supposées sont passives et ne produisent aucun déchet, de sorte que la façon dont elles infligent une mauvaise santé à un hôte humain reste un mystère. Pfizer a suggéré au profane que « le système immunitaire réagit à la blessure de ces cellules corporelles en s’activant », mais n’a cité aucune preuve scientifique pour cette affirmation imaginative80. La 4e édition de Medical Microbiology s’est aventurée plus loin et a déclaré que :

Les dommages cellulaires directs et la mort dus à l’infection virale peuvent résulter (1) du détournement de l’énergie de la cellule, (2) de l’arrêt de la synthèse macromoléculaire de la cellule, (3) de la compétition de l’ARNm viral pour les ribosomes cellulaires, (4) de la compétition des promoteurs viraux et des activateurs de transcription pour les facteurs de transcription cellulaires tels que les ARN polymérases, et de l’inhibition des mécanismes de défense de l’interféron. Les dommages cellulaires indirects peuvent résulter de l’intégration du génome viral, de l’induction de mutations dans le génome de l’hôte, de l’inflammation et de la réponse immunitaire de l’hôte. 81 (c’est moi qui souligne)

En fait, les virologues ont proposé de multiples mécanismes pathogènes hypothétiques pour une particule supposée exister dans un organisme tel que l’homme. Encore une fois, même si ces mécanismes spéculatifs étaient en jeu, il faudrait qu’un nombre énorme de cellules soient affectées pour produire des symptômes. Or, un nombre énorme de cellules donnerait lieu à des quantités astronomiques de particules virales — alors pourquoi ne trouve-t-on jamais de particules virales ? La virologie a l’habitude de détourner l’attention des aspects qui soulèvent des doutes sur son modèle fantasmatique.

2e Partie

Fan Wu et al Deus Ex Machina

Ils étaient déterminés à trouver un virus comme cause(([15] NdT : de la maladie)) de ce gars. Ils ont donc recherché tous les ARN, des millions de petits brins d’ARN chez cette personne, à l’aide d’une technologie appelée méta-transcriptomique. Il s’agit de l’une de ces choses qui étudie les gènes… ils peuvent examiner tout l’ARN, tout l’ADN, le séquencer, l’amplifier… Ils ont obtenu une séquence et ont décidé qu’ils avaient découvert un « virus », bien qu’ils n’aient jamais touché à un virus, et ils ont dit que c’était la cause de la pneumonie de ce gars.
Dr David Rasnick, à propos de la « découverte » du SARS-CoV-2 par Fan Wu et coll.82

Dans La Fraude COVID & la Guerre contre l’Humanité83 nous avons documenté l’invention du SARS-CoV-2 par l’équipe de Fan Wu qui a assemblé un « génome » in silico à partir de fragments génétiques de provenance inconnue, trouvés dans les lavages pulmonaires bruts d’un seul « cas » (([16] NdT : à partir d’un seul malade supposé être infecté par un nouveau virus)) et documentés dans « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » 84 (Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine). Une analyse plus approfondie de cet article semble indiquée, car elle montre comment la pandémie frauduleuse COVID-19 a été créée au moyen d’un « génome » inventé par le biais d’un séquençage méta-transcriptomique profond, qui visait simplement à détecter tout l’ARN dans un échantillon brut, et comment il a été utilisé à mauvais escient pour inventer un agent pathogène inexistant. L’affirmation selon laquelle n’importe qui peut déclarer : « (ils) ont identifié une nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae, qui est désignée ici comme le coronavirus WH-Human 1 » 85, à partir d’un seul sujet humain chez qui une pneumonie a été diagnostiquée, est en soi grotesque. Les auteurs ont tenté de se justifier en déclarant que « bien que l’isolement du virus chez un seul patient ne soit pas suffisant pour conclure qu’il a causé ces symptômes respiratoires, nos résultats ont été corroborés de manière indépendante chez d’autres patients dans une étude séparée ». Premièrement, il n’y a pas eu d’isolement physique d’un quelconque virus, comme nous le verrons en détail dans un instant. Deuxièmement, leur affirmation selon laquelle cela a été « corroboré de manière indépendante » fait référence à l’article de février 2020 de Peng Zhou et coll., un article qui ne peut rien corroborer du tout et dont la fraude est discutée à la page 43. Tout ce que l’on peut dire, c’est que si l’on utilise un raisonnement circulaire, le fait de trouver des séquences génétiques similaires à plusieurs reprises est considéré comme une confirmation de l’existence d’un virus. La base de données GISAID est le coffre au trésor de ces absurdités virologiques et, au 29 août 2022, elle comptait plus de 12,8 millions de déclarations de « découverte » du SARS-CoV-286. Cependant, aucune d’entre elles ne peut indiquer un virus réel, elles appellent simplement « bingo » en assemblant des séquences similaires qu’elles ont alignées avec Fan Wu et coll. et d’autres assemblages antérieurs, sans qu’un virus réel soit nécessaire.

Il convient également de noter que si l’auteur ne se prononce pas sur la cause des cas de pneumonie ou de syndromes respiratoires fébriles aigus, la communauté médicale générale reconnaît qu’aucun « agent pathogène » n’est identifié dans près de la moitié des cas.87,88 Quelle raison Fan Wu et coll. avaient-ils donc de soupçonner que leur patient était porteur d’un tout nouveau virus ? Apparemment parce que « les enquêtes épidémiologiques menées par le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan ont révélé que le patient travaillait dans un marché couvert local de fruits de mer » 89. Cette raison semble bien faible étant donné que ces marchés couverts sont extrêmement courants en Chine et que, malgré les théories sur l’origine (du SARS-CoV-2) chez les chauves-souris, Fan Wu et coll. ont indiqué « qu’aucune chauve-souris n’était disponible à la vente ».

Quoi qu’il en soit, ils ont obtenu un peu de liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA) de leur patient et, avec ce spécimen brut, ont rapporté que « l’ARN total a été extrait de 200μl de LBA » (([17] NdT : 200 microlitres soit 0,2 cm3 ou 0,2 millilitre)). La partie sur les méthodes précise que cette extraction a été réalisée « à l’aide du kit RNeasy Plus Universal Mini (Qiagen) », c’est-à-dire par centrifugation sur colonne d’essorage. Ils ont affirmé que « l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué pendant la construction de la bibliothèque », mais la page 43 [correspondant dans l’article original à la partie « Plus de tromperie en provenance de Wuhan ? », NDLR] explique pourquoi cette affirmation est douteuse, car les séquences d’ARN humain connues correspondent toujours à un grand nombre d’entre elles. Ils ont ensuite procédé au séquençage par shotgun de l’infusion, en commençant par la fragmentation aléatoire du matériel génétique en courtes longueurs de 150 nucléotides en moyenne et la conversion de l’ARN en ADN à l’aide d’une enzyme transcriptase inverse90. (([18] NdT : l’ARN est un brin, comme une échelle coupée en deux dans le sens de la longueur, chaque barreau comporte un acide aminé. L’enzyme transcriptase inverse — en anglais reverse transcriptase ou RT — permet de reconstituer cette échelle en mettant en face de chaque acide aminé qui se trouve sur le demi barreau l’acide aminé correspondant, fabriquant ainsi l’ADN)). 56 565 928 lectures courtes (([19] NdT : les séquences)) ont été générées et ces informations ont été introduites dans Megahit et Trinity, des plates-formes logicielles pour l’assemblage de novo basé sur des algorithmes (([20] NdT : c’est l’ordinateur qui à partir de ces millions de séquences cherche maintenant — à l’aide de programmes fabriqués — à faire que ces séquences se suivent et produisent le génome du « virus » tel que les concepteurs du programme l’ont imaginé)). Megahit a permis de générer 384 096 contigs, ou séquences hypothétiques se chevauchant, dont la plus longue (30 474 nucléotides) a été déclarée comme ayant une « identité nucléotidique de 89,1 % » avec la chauve-souris SL-CoVZC45 (([21] NdT : ils auraient choisi le poulpe ils auraient eu le même résultat)), une autre construction fictive dont il sera question ultérieurement. (Trinity a généré plus de 1,3 million de contigs, mais le plus long n’était que de 11 760 nucléotides — en d’autres termes, ils n’auraient pas trouvé le « génome » s’ils s’étaient contentés d’utiliser cette plate-forme logicielle). Le mot « virus » apparaît soudain lorsqu’ils déclarent que « la séquence du génome de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR de transcription inverse ». Il s’agit d’un tour de passe-passe, car la PCR ne fait qu’amplifier des séquences présélectionnées et n’a pas la capacité de confirmer un génome précédemment inconnu.

Comme l’a expliqué l’expert en PCR Stephen Bustin, « la PCR exige que vous connaissiez la séquence de votre cible… donc une fois que vous savez qu’il y a quelque chose dans votre échantillon, vous essayez de l’isoler, oui. Une fois que vous l’avez isolée, vous la séquencez à nouveau, ou vous faites une PCR91. En d’autres termes, la PCR elle-même ne peut pas identifier les origines des séquences et la méthodologie de Fan Wu et coll. n’a pas permis d’établir l’origine des séquences qu’ils ont décrites. Cependant, dans la phrase suivante, ils annoncent au monde que « cette souche virale a été désignée comme le coronavirus WH-Human 1 (WHCV) ».

– Nous devons nous arrêter sur ce point, car c’est là que le virus frauduleux, bientôt rebaptisé SARS-CoV-2, a été inventé de toutes pièces. Un virus dont l’OMS affirme, sans la moindre preuve, qu’il est l’agent causal du COVID-19.

Car c’est ce « génome ») qui a été soumis à GenBank le 5 janvier 202092 qui a été saisi par Drosten et coll. pour produire leurs fausses séquences d’essai du protocole PCR93, lesquelles ont été publiées avec une hâte indécente par l’OMS à l’intention du Monde entier, faisant ainsi de WH Human 1 le génome de référence mondial d’un prétendu agent pathogène. C’est cette invention qui est à l’origine de toute la panoplie destructrice imposée au Monde à la suite de l’annonce de la pandémie par l’OMS le 11 mars 202094.

Cependant, toute personne attentive peut constater qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus dans l’article de Fan Wu et coll. Un virus est censé être un minuscule parasite intracellulaire obligatoirement capable de se répliquer, constitué d’un génome entouré d’une enveloppe protéique : il s’agit d’une particule infectieuse qui provoque une maladie chez un hôte. Fan Wu et coll. ne disposaient que d’un homme de 41 ans atteint de pneumonie et d’un modèle de « génome » assemblé par logiciel à partir de séquences d’origine non établie trouvées dans les lavages de poumons de l’homme. Pour faire croire que tout cela est légitime, ils ont déclaré que « l’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par alignement des séquences sur deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SARS-CoV Tor2, numéro d’accès GenBank AY274119) et un coronavirus associé aux chauves-souris (bat SL-CoVZC45, numéro d’accès GenBank MG772933) ». Ces prétendus génomes sont également de simples constructions in silico dont on n’a jamais prouvé qu’elles existaient dans leur intégralité dans la Nature, et encore moins qu’elles provenaient de l’intérieur d’un virus. Par exemple, le SL-CoVZC45 de chauve-souris a été inventé en 2018 par le processus de « 19 paires d’amorces PCR dégénérées […] conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du SL-CoV de chauve-souris déposées dans GenBank » 95.

Les génomes de virus sont devenus ce qui est peut-être la plus grande illusion de la virologie, une illusion qui propage la croyance que l’on est en train de démontrer l’existence des virus. Les virologues eux-mêmes ne semblent pas se rendre compte de la faille fatale de leur méthodologie, même lorsqu’ils l’affirment eux-mêmes :

Trois méthodes principales basées sur le HTS (en anglais high-throughput sequencing) (séquençage à haut débit) sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage amplicon PCR (([22] NdT : les virologues prétendent pouvoir analyser des variations génétiques dans des régions spécifiques du génome grâce à cette méthode)), chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et coll., 2017). Lors du séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte, mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. Il s’agit d’une approche simple et rentable, et c’est la seule qui ne nécessite pas de séquences de référence. En revanche, les deux autres approches HTS, l’enrichissement de la cible et le séquençage d’amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour la conception des appâts ou des amorces. La limite du séquençage métagénomique est qu’il nécessite une profondeur de séquençage très élevée pour obtenir suffisamment de matériel génomique viral96.

La limite la plus importante du séquençage « viral » est que le processus lui-même ne détermine pas la provenance des fragments génétiques, donc comment est-il possible de l’utiliser pour établir la séquence d’un génome inconnu jusqu’alors ? Pour être clair, nous ne parlons pas de situations où la provenance des séquences peut être vérifiée de manière indépendante, par exemple des cellules bactériennes isolées physiquement. En outre, il est absurde de déclarer arbitrairement que des séquences sont virales par un processus d’élimination, c’est-à-dire en se basant sur le fait qu’elles n’ont pas d’assignation précédemment conflictuelle dans les banques de données génétiques (([23] NdT : c’est-à-dire qu’elles n’ont pas été assignées à un autre corps précédemment)). Aucun virologue ne démontre que les séquences sont de nature virale lorsqu’il assemble le tout premier modèle et déclare avoir découvert un virus pathogène. À aucun moment, ils ne purifient de prétendues particules virales pour prouver leur relation avec les séquences. Et pourtant, le premier génome de novo inventé devient le critère sur lequel d’autres chasseurs de virus aligneront leurs propres génomes in silico ou concevront des protocoles PCR « de confirmation ».

Pour autant que l’auteur le sache, les virologues ne disposent d’aucune technique de laboratoire permettant de vérifier directement s’il existe un brin d’ARN complet de 30 kilobases dans l’un quelconque de leurs échantillons. La technologie actuelle d’électrophorèse sur gel en champ pulsé (([24] NdT : technique permettant de séparer des constituants en les faisant migrer — ils ne migrent pas tous à la même vitesse — dans un gel grâce à un champ électrique)) ne peut différencier de manière fiable que les brins d’ADN de cette taille97. Quoi qu’il en soit, ces simulations restent une diversion, car même dans l’éventualité où l’existence physique d’un génome SARS-CoV-2 in silico — une séquence complète d’ARN de 30 kilobases — pourrait être démontrée comme existant dans la Nature, les virologues auraient encore beaucoup de travail à faire. Avant tout, ils devraient démontrer que cette séquence appartient à une particule capable de se répliquer et de provoquer une maladie, et non pas simplement prétendre qu’elle le fait.

À cet égard, l’auteur a eu un échange de courriel avec un biologiste évolutionniste du Wellcome Sanger Institute qui a suggéré que le séquençage de l’ARN à lecture longue (par opposition au séquençage à lecture courte) fournissait la preuve nécessaire de l’existence du « SARS-CoV-2 » 98. Il a fait référence à une publication d’avril 2022 portant sur le séquençage de l’ARN à l’aide de séquences longues d’Oxford Nanopore Technologies (ONT) 99, affirmant qu’elle confirmait la validité des génomes du « virus » qui avaient été construits précédemment par séquençage à l’aide de la méthode « shotgun » (([25] NdT : voir ci-dessus)). L’étude présentée décrivait une expérience comparant les réponses de diverses lignées cellulaires « infectées par le SRAS-CoV-2 » et « infectées fictivement ». Les cellules expérimentales étaient prétendument “infectées par le virus SARS-CoV-2 Australia (Australia/VIC01/2020, NCBI : MT007544.1)” — que l’auteur Leon Caly et coll. qualifie d’« isolat » 100, alors que l’isolement d’un virus n’a jamais été démontré, comme l’explique la figure 4 ci-dessous et comme nous l’avons souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité101.

L’argument du biologiste évolutionniste repose donc sur la comparaison du produit frauduleux d’une expérience frauduleuse avec une « infection factice », alors que la première est invalidée par la déclaration trompeuse d’« isolement du virus » et que la seconde s’invalide elle-même puisque les virologues ont modifié sa définition pour permettre la modification d’autres variables. L’obtention de lectures plus longues ne change rien à ces questions fondamentales. Le biologiste évolutionniste affirmait que les variations dans les séquences et les protéines surveillées au fil du temps constituaient la preuve de l’évolution d’un virus102. Il est une autre victime de la tromperie de la virologie par l’attribution spécieuse du mot « viral » à ces entités. Lorsque toutes ces séquences et protéines ont été initialement détectées dans des expériences de culture de tissus, il n’a pas été démontré qu’elles appartenaient à des virus pathogènes, mais l’affirmation selon laquelle elles sont « virales » se poursuit encore aujourd’hui.

Dans le même ordre d’idées et quelques mois après cet échange, le pathologiste/virologue Dr Sin Hang Lee a affirmé que son article préimprimé103 fournissait “des preuves irréfutables par séquençage Sanger que le virus [SARS-CoV-2] existe et continue de muter”, en invitant ouvertement à contester son travail104. Une fois encore, le présent auteur a fourni une réponse détaillant l’utilisation abusive de la terminologie scientifique par la virologie ainsi que le problème sous-jacent de la provenance non établie des séquences génétiques analysées :

Pour exposer les problèmes de la virologie, il est essentiel d’examiner la section méthodologique de toute publication et, dans ce cas, ce n’est pas différent… Ceux d’entre nous qui contestent la théorie du virus soulignent qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune séquence d’ARN (ou d’ADN) provenait de l’intérieur d’une particule spécifique identifiable répondant à la définition d’un virus. Ainsi, tous les ARN ne peuvent être considérés que comme exprimés par un organisme connu, introduits artificiellement (par exemple par des injections d’ARNm synthétique) ou de provenance inconnue. Les « mutations » n’existent que dans des modèles in silico qui ne se sont pas révélés être des entités indépendantes dans la Nature. Il existe d’autres raisons pour lesquelles les séquences d’ARN peuvent varier et varient effectivement dans les systèmes biologiques dynamiques et je ne peux imaginer qu’un virologue puisse être en désaccord avec ce fait. La simple détection des ARN ne suffit pas pour tirer des conclusions sur leur provenance. D’autres expériences sont nécessaires pour faire cette détermination. 105

En effet, aucune technologie génomique ou protéomique ne peut échapper au fait qu’en ce qui concerne ces données supposées être des preuves de la présence de virus, il s’agit de tortues jusqu’en bas.

(([26] NdT : Cette expression provient d’une histoire — donc inventée — au sein de la communauté scientifique des années 1870 qui raconte ceci :

Une vieille dame s’approcha un jour d’un célèbre savant peu après la fin de sa conférence sur la cosmologie et la structure du système solaire et lui dit :

« Votre belle théorie sur la Terre qui est ronde et qui tourne autour du Soleil est très intéressante, jeune homme. Malheureusement, elle est aussi très fausse. J’ai une meilleure théorie », lui dit la femme.
« Et quelle est cette théorie, Madame ? », lui demanda le scientifique.
« Eh bien, ce que vous appelez la “planète Terre” n’est pas ronde du tout. En fait c’est une sorte de grand disque plat qui repose sur les épaules de quatre éléphants géants. »
« Et sur quoi reposent ces quatre éléphants ? », lui rétorqua-t-il.
« Ils sont sur le dos d’une tortue géante », répondit la vieille dame.
« Et sur quoi s’appuie cette tortue ? » demanda le scientifique avec un sourire interrogatif.
« Sur une autre tortue, plus grosse. »
« Et sur quoi s’appuie cette deuxième tortue ? »
« Eh bien, mon cher, » dit la vieille dame avec un sourire victorieux, « il y a des tortues jusqu’en bas ! »
[Citation tirée du livre « Des tortues jusqu’en bas » Ed. Résurgences]
NdT : Ce livre est complètement dans l’hypothèse virale. Il montre néanmoins de façon remarquable que les essais de sécurité des vaccins reposent sur ce principe « des tortues jusqu’en bas », car pour la plupart (tous ?) leur sécurité est comparée non avec un véritable placébo, mais avec un vaccin précédent prétendument « sûr et efficace » qui lui-même a été autorisé sur le marché car comparé à un autre vaccin prétendument sûr et efficace, etc.. Quant à leur « efficacité » elle ne peut donc être « démontrée » que de la même manière : des tortues jusqu’en bas et jamais en comparant un groupe « vacciné » avec un groupe « non vacciné ».))

Des tortues jusqu’en bas

Figure 4. Caly et coll. « isolement » du SARS-CoV-2. Les micrographies électroniques sont celles d’un surnageant de culture de cellules Vero/hSLAM : (A) a été déclaré « virion », alors qu’il s’agit simplement d’une particule de provenance inconnue. En outre, les « pointes » capsulaires ont été produites après que l’enzyme trypsine a digéré les protéines externes pour créer l’apparence souhaitée. (B) nous informe simplement de la taille des particules dans un mélange de tissus. Il n’y a pas eu d’expérience de contrôle valide réalisée avec un spécimen similaire d’origine humaine.

Comme on l’a vu, le « bat SL-CoVZC45 » était un génome in silico de 29 802 nucléotides, inventé en 2018106, qui a été utilisé par Fan Wu et coll. comme génome modèle pour l’invention du génome du SARS-CoV-2. Il était censé provenir du tissu intestinal d’une chauve-souris (([27] NdT : en anglais « bat » d’où le nom attribué au « génome »)) capturée dans la province de Zhejiang, en Chine. Dans cette étude, les auteurs ont indiqué que « toutes les chauves-souris semblaient en bonne santé et ne présentaient pas de signes cliniques évidents au moment de la capture », mais ont déclaré qu’un virus avait été détecté chez 89 des 334 chauves-souris sur la base d’un « test de transcription inverse (RT) — PCR pan-coronavirus ». La folie de prétendre « isoler » un virus en provoquant des ECP (([28] NdT : rappel ECP pour effet cytopathique)) a déjà été soulignée, mais dans ce cas, ils n’ont même pas observé ce phénomène dans les cultures de cellules Vero E6. Au lieu de cela, ils ont essayé une autre méthode pour « tester la pathogénicité de l’agent ZC45 ». Cela a consisté à prélever 20 μL de tissu intestinal de chauve-souris broyé et de l’injecter directement dans le cerveau de rats BALB/c âgés de 3 jours. (En poids, cela équivaudrait à injecter plusieurs centaines de millilitres de matière dans un cerveau humain107). L’absurdité de l’injection d’un tel tissu biologique directement dans le cerveau d’animaux néonataux consanguins et compromis ne devrait pas nécessiter d’explications supplémentaires. Comme c’est souvent le cas dans les expériences de virologie, il n’y avait pas de groupe de contrôle où du matériel biologique similaire, censé ne pas contenir le virus, avait été injecté directement dans le cerveau d’autres bébés rats. Les chercheurs ont indiqué que des « particules virales présumées » avaient été observées dans certains cerveaux de rats, mais ils n’ont à aucun moment démontré la composition ou la fonction biologique des « particules virales présumées » observées dans leurs diapositives. En outre, l’« infection » a été déclarée sur la base de tests RT-PCR positifs qui détectaient les mêmes séquences d’ARN chez les bébés rats au moment de leur sacrifice que celles qui leur avaient été injectées récemment — ce qui n’exige évidemment pas l’existence d’un virus.

Ainsi, sans isoler physiquement de prétendues particules virales, ils ont procédé à l’homogénéisation, à la centrifugation et à la filtration des échantillons intestinaux avant de déclarer que « l’ARN viral a été extrait à l’aide d’un mini kit d’ARN viral (Qiagen, Hilden, Allemagne) conformément aux recommandations du fabricant ». (Voir page 49 [dans le paragraphe contenant la note 157, NDLR] pour une explication de l’impossibilité pour ce type de kit d’extraire sélectivement l’ARN en fonction de sa provenance, indépendamment de l’existence ou non de virus). Une étape de transcription inverse a ensuite lieu avant l’amplification par PCR de leur brin. Ils ont prétendu séquencer le génome complet du [SL-CoVZC45] grâce à 19 paires d’amorces PCR dégénérées, « conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du bat SL-CoV déposées dans GenBank ». En d’autres termes, leur déclaration de découverte d’un génome viral n’était pas fondée sur la preuve directe de l’existence d’un virus, mais sur la détection de séquences de provenance non établie alignées sur d’autres modèles fictifs de « virus ». Le degré d’amplification de la PCR à cette étape n’a pas été divulgué, mais l’étape de « criblage par RT-PCR » comportait un premier cycle de 40 cycles, suivi d’un second cycle de 30 cycles. Une amplification aussi ridicule entraînerait des artefacts, c’est-à-dire que les séquences cibles sont « trouvées » simplement à la suite du processus lui-même et ne sont pas nécessairement présentes physiquement dans les échantillons.

(([29] NdT : La demi-échelle (l’ARN extrait des échantillons intestinaux) a été complétée par une autre demi-échelle où 19 demi-barreaux étaient composés d’amorces tirées elles-mêmes d’une banque de données (appelée GenBank) ; ces 19 demi-barreaux ont « matché » avec 19 demi-barreaux de l’ARN extrait. Le problème c’est que ces amorces sont « attribuées » au soi-disant virus SARS-CoV-1 et au virus SL-CoV sans que ces derniers n’aient jamais été isolés et donc sans que l’on puisse dire qu’elles sont spécifiques à ces « virus ». C’est le procédé « des tortues jusqu’en bas ».))

(([30] NdT : Les cellules Véro sont des cellules immortelles (cellules de rein de singe, de poumon de fœtus de bébé avorté…) qui lorsqu’elles sont nourries (du sérum de veau par exemple) se multiplient. Elles servent ensuite à être infectées par les soi-disant « virus ». Les virologues oublient de mentionner qu’avant d’être « infectées » on arrête de les nourrir, on les « noie » d’antibiotiques (pour tuer d’éventuelles bactéries) et de poisons divers. La mort des cellules qui s’en suit, et qui est assez évidente, est ensuite attribuée aux « virus ». Les expériences de contrôles ne sont jamais faites [voir ce qui se passe sans que l’on rajoute les soi-disant « virus »].))

Il convient de noter que l’histoire du virus de la chauve-souris est en cours depuis l’« épidémie » de SARS (([31] NdT : en français SRAS pour syndrome respiratoire aigu sévère)) de 2003 et qu’apparemment, après des milliers d’années, l’espèce humaine est maintenant sous la menace constante de virus percolant dans les grottes de chauves-souris chinoises. En 2005, le président de l’EcoHealth Alliance, le Dr Peter Daszak, a cosigné un article paru dans Science intitulé « Bats Are Natural Reservoirs of SARS-Like Coronaviruses » 108 (les chauves-souris sont des réservoirs naturels de coronavirus de type SARS). Dans cette étude, Daszak et ses collègues n’ont pu trouver aucun « coronavirus » dans leur sélection de chauves-souris grâce à la technique frauduleuse habituelle d’observation des ECP in vitro, déclarant qu’« aucun virus n’a été isolé à partir d’écouvillons fécaux d’échantillons positifs à la PCR en utilisant des cellules Vero E6 ».

Cependant, ils étaient heureux de déclarer qu’ils avaient la preuve de l’existence de ces virus grâce à leurs produits PCR à cycle absurdement élevé (35-45) obtenus à partir d’échantillons bruts de chauves-souris. Ils ont prétendu qu’il s’agissait de « séquences virales » parce que, dans le cadre du raisonnement circulaire de la virologie, ils ont « trouvé » les séquences « virales », celles-là mêmes que leur protocole PCR était censé détecter. Ils ont dûment averti le monde que « la diversité génétique existe parmi les virus zoonotiques chez les chauves-souris, ce qui augmente la possibilité que des variantes franchissent la barrière des espèces et provoquent des épidémies dans les populations humaines ». Malheureusement, ce folklore zoonotique est passé de la littérature virologique à l’imagination du public. Daszak est un fervent promoteur et bienfaiteur de l’histoire du virus de la chauve-souris et, en 2015, il a conseillé à ses collègues, afin de continuer à engranger des recettes, de « mieux faire comprendre au public la nécessité des MCM (contre-mesures médicales) telles qu’un vaccin antigrippe ou anti-coronavirus » 109.

Quoi qu’il en soit, une branche de l’une des pistes de modèles de coronavirus imaginaires nous ramène à l’une des premières affirmations concernant le génome du SARS-CoV, prétendument à l’origine de la première « épidémie » de SARS. En avril 2003, Yijun Ruan et coll. ont soumis à GenBank leur « génome complet de coronavirus SARS Sin2500 », qui est devenu le numéro d’accès AY283794.1.110 Cependant, ce génome a été inventé non pas en séquençant directement de prétendues particules virales, bien sûr, mais en séquençant l’ARN dans une expérience de culture de cellules Vero par « des approches d’amorçage spécifiques et par shot-gun », avec un alignement sur « la séquence du génome du virus de l’hépatite de la souris (NC_001846) en tant que colonne vertébrale » 111. Le génome NC_001846.1 a été inventé à son tour en 1997 et a été revendiqué comme dérivé d’un virus « obtenu à l’origine auprès du Dr Lawrence Sturman » et séquencé « en utilisant comme modèles l’ARN cytoplasmique extrait de monocouches de cellules L2 infectées par les virus MHV-A59, C12, C3, C5, C8, B11 ou B12 de type sauvage » 112. L’affirmation selon laquelle ils ont commencé avec un virus semble être basée sur l’assurance du Dr Sturman que l’échantillon qu’il a fourni contenait une telle chose.

Il devrait être clair à ce stade que chaque génome de coronavirus a été comparé à d’autres soi-disant génomes sans que les virologues ne démontrent qu’aucune des séquences ne provient d’un virus. Il est donc instructif de revenir au prétendu premier génome complet de coronavirus à être publié, qui était le « virus de la bronchite infectieuse aviaire » (en anglais IBV pour avian Infectious Bronchitis Virus) par Boursnell et coll. en 1987113, et qui a ensuite été utilisé par d’autres comme l’un des modèles d’origine. Ils n’ont pas séquencé directement les particules virales supposées, mais ont utilisé « dix-sept clones d’ADNc couvrant les 27 569 kb les plus importants du génome », en notant que les clones « ont été dérivés de l’ARN isolé à partir du virus purifié par gradient de la souche Beaudette » (Beaudette & Hudson, 1937 ; Brown & Boursnell, 1984). L’article cité de Brown et Boursnell indique que « la préparation des clones d’ADNc a été décrite précédemment (Brown et Boursnell, 1984) »114. Cette citation ultérieure correspond à leur publication intitulée « Avian infectious bronchitis virus genomic RNA contains sequence homologies at the intergenic boundaries » (L’ARN génomique du virus de la bronchite infectieuse aviaire contient des homologies de séquence aux frontières intergéniques).115 Dans cet article, ils affirment que « la souche IBV Beaudette a été cultivée dans des œufs embryonnés de 11 jours. Les virions ont été isolés du liquide allantoïdien et purifiés par centrifugation isopycnique116 sur des gradients de saccharose ». Cependant, aucun de ces articles ne fournit de preuve : (a) qu’ils avaient purifié quoi que ce soit, et encore moins des « virions », sous la forme de micrographies électroniques de confirmation, ou (b) qu’ils avaient réalisé des expériences de contrôle valables. Tout ce que nous pouvons voir, c’est qu’ils ont supposé que des virus étaient présents dans leur mélange de cultures et qu’après centrifugation, ils ont affirmé que les séquences d’ARN détectées provenaient de ces virus imaginaires.

Figure 5. L’arbre phylogénétique du SARS-CoV-2 sur GISAID – Fiocruz, au 15 juillet 2022. Il n’a jamais été démontré que le premier « génome » de décembre 2019 (Fan Wu et coll.) provenait d’un virus, mais grâce au raisonnement circulaire de la virologie, des séquences similaires trouvées à d’autres endroits sont présentées comme la preuve de l’évolution d’un « virus ». Cependant, les méthodologies non contrôlées utilisées en font un arbre généalogique fictif in silico. La détection, ou la prétendue détection, de séquences génétiques sélectionnées dans l’environnement ne confirme pas l’existence d’un virus, étant donné que la provenance des séquences n’a pas été établie ou a été mal attribuée. Il en va de même pour les protéines détectées.

L’affirmation initiale selon laquelle il s’agissait d’un virus (IBV) (rappel : Avian Infectious Bronchitis Virus — virus de la grippe aviaire) remonte aux années 1930 et reposait sur les mêmes conclusions erronées tirées de la méthodologie employée dans les expériences de 1911 sur le « virus » du sarcome de Rous (voir page 12). Dans le cas de l’IBV, du matériel a été prélevé sur des poulets malades, passé à travers des filtres bactériens de Berkefeld et ensuite introduit dans les voies respiratoires d’autres poulets117. En se basant sur le fait que cela pouvait également rendre les oiseaux receveurs malades, il a été déclaré que « ces résultats démontrent que la maladie est causée par un virus filtrable ». Cependant, aucune expérience n’a jamais démontré qu’une particule infectieuse était responsable des effets toxiques. En bref, les arbres phylogénétiques des « coronavirus » qui ont été créés depuis les années 1980 ne sont pas la preuve de « l’évolution des virus », mais d’un système de commercialisation à plusieurs niveaux qui n’a pas de produit physique établi.

Le danger pour l’Humanité réside dans le fait que les génomes putatifs des coronavirus issus des spéculations des virologues sont désormais utilisés comme modèles pour créer et injecter des produits à des destinataires malchanceux qui ont été trompés et incités à croire que la dernière invention de la virologie était réelle. En d’autres termes, les inventions génomiques fictives de la virologie ont été utilisées pour créer des interventions médicales et politiques totalement inutiles. La biotechnologie dangereuse et hautement expérimentale de l’ARNm et des nano lipides a tué plus de personnes que tous les autres vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et nous commençons à peine à en faire le compte118.

Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2

Avec une lenteur désormais familière, les CDC ont mis huit mois à répondre à une demande de liberté d’information concernant leur affirmation selon laquelle ils avaient « isolé le SRAS-CoV-2 » dans leur publication de juin 2020 sur les maladies infectieuses émergentes, « Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States » (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère Coronavirus 2 provenant d’un patient ayant la maladie Coronavirus), par Jennifer Harcourt et coll.119. Les questions posées aux CDC par ma collègue (([32] NdT : Il s’agit de la Canadienne Christine Massey)) étaient simples et comprenaient ce qui suit :

« Le scientifique qui a rédigé cet article a-t-il utilisé des groupes de contrôle ? Si oui, les groupes de contrôle ont-ils utilisé les mêmes formulations de mélanges de cultures cellulaires que les groupes expérimentaux sans l’échantillon contenant les virus présumés ? … En résumé, si des groupes de contrôle ont été utilisés, veuillez donner des détails sur les groupes de contrôle »120. Au lieu de demander à Jennifer Harcourt ou à l’un des membres de son équipe de répondre à cette simple demande, le CDC a répondu, le 29 mars 2022, qu’il avait « localisé 37 pages de documents pertinents et une feuille de calcul Excel », prétendument en rapport avec les documents demandés121. En résumé, les « documents pertinents » du CDC comprenaient les éléments suivants122

Figure 6. Dans leur réponse FOIA du 29 mars 2022 CDC-Harcourt-mock-infected-MS-PACKAGE-redacted.pdf (fluoridefreepeel.ca), les détails de la diapositive de l’expérience « fictive » n’ont pas été fournis par le CDC, bien qu’ils aient été spécifiquement demandés. Les autres diapositives sont censées prouver les effets cytopathiques (et donc l’existence implicite) du SARS-CoV-2.

  1. Des courriels internes du CDC ont partagé des images telles que la figure 6, censées montrer « des photos de la portée du N-CoV 2019 potentiel du premier cas américain ». Les microbiologistes chercheurs des CDC, Azaibi Tamin, espèrent que « certains de ces 7 lysats montrent que l’ECP (rappel : effet cytopathologique — effet sur les cellules de culture) est causé par le N-CoV 2019 », tandis que Stephen Lindstrom commente qu’il s’agit de « très belles cellules malheureuses ». Natalie Thornburg, chef de l’équipe d’immunologie des virus respiratoires, a ensuite demandé « s’ils pouvaient envoyer les fichiers JPEG ou TIFF originaux de leurs images d’ECP ? Je veux commencer à travailler sur une figure de qualité pour la publication. »
  2. Les numéros d’accès GenBank MT020880 et MT020881, qui figuraient dans la publication Harcourt et coll./CDC et étaient déjà accessibles au public.
  3. L’article de Na Zhu et coll. publié dans le New England Journal of Medicine, « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019, »123 qui, selon la microscopiste électronique du CDC Cynthia Goldsmith, « présente deux très belles images ME (de microscopie électronique) dans la figure 3, l’une provenant d’un “épithélium des voies respiratoires humaines” ». Nous avons traité des folies de cet article dans La Fraude COVID-19 et la Guerre contre l’Humanité, Na Zhu et coll. étant également coupables d’expériences incontrôlées de décomposition de cultures de tissus au cours desquelles ils ont baptisé « 2019-nCoV » des micrographies électroniques de vésicules extracellulaires dont la composition et la fonction biologique n’ont pas été prouvées124 (L’un des coauteurs de l’article, Wenjie Tan, a déclaré à Torsten Engelbrecht le 18 mars 2020 qu’ils avaient « une image de particules virales sédimentées, pas de particules purifiées »125. Ainsi, l’affirmation selon laquelle il s’agit de « particules virales » n’est qu’une affirmation, car aucune partie de l’article ne démontre la composition ou la fonction biologique de ces vésicules imagées).
  4. Une feuille de calcul contenant les résultats non informatifs du seuil de cycle de la PCR pour « 4 virus » qui ont été soumis au laboratoire de diagnostic des virus respiratoires des CDC.
  5. Une page commençant par « pour des raisons de commodité administrative et pour répondre pleinement à votre demande, le personnel du programme a fourni les informations suivantes avec les liens Internet correspondants », qui ne fournit absolument aucune information sur la manière dont les expériences d’« isolement viral » du CDC ont été convenablement contrôlées.

Le 23 décembre 2021, Christine Massey a également soumis une demande au CDC afin d’obtenir tous les détails de l’expérience de Harcourt et coll. « simulant une infection », y compris « la quantité de matériel provenant d’échantillons d’écouvillons nasopharyngés et oropharyngés non infectés qui a été ajoutée au groupe de contrôle de la culture cellulaire » 126. Le CDC a finalement répondu à la demande de Massey le 10 mai 2022 avec 36 pages d’informations tout aussi inutiles et l’excuse suivante :

En ce qui concerne certaines parties de votre demande, une recherche dans nos archives n’a pas permis de trouver de documents relatifs à votre demande. Ces parties concernent votre demande concernant spécifiquement « … des cultures cellulaires — des détails du groupe expérimental : » et « des cultures cellulaires — des détails du groupe de contrôle infecté fictif » et « le séquençage du génome entier — détails de la pureté et du contrôle : » Votre demande a été envoyée au Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires (en anglais National Center for Immunization and Respiratory Diseases ou NCIRD) pour recherche. Ils ont répondu que certains détails de votre demande n’étaient pas disponibles en tant qu’enregistrements contrôlés ou conservés par le CDC127.

En d’autres termes, les CDC semblent ignorer totalement qu’ils ne suivent pas la méthode scientifique ou ils ont compris que la partie était perdue et s’engagent dans des réponses fallacieuses. Dans les deux cas, ils ne peuvent être pris au sérieux en tant que source d’information scientifique fiable s’ils promeuvent également des expériences non contrôlées comme preuve de l’existence de virus.

Les divulgations de Peng Zhou et coll.

Il est arrivé que des chercheurs fournissent des réponses concernant leurs méthodologies et que, intentionnellement ou non, ils soient étonnamment francs au sujet de leurs expériences non scientifiques. Le 3 février 2020, Peng Zhou et coll. ont publié dans Nature leur article intitulé « A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin » (Une épidémie de pneumonie associée à un nouveau coronavirus d’origine probable de chauve-souris), affirmant « l’identification et la caractérisation d’un nouveau coronavirus (2019-nCoV) » 128. Dans leur expérience d’« isolement », les auteurs ont produit des images montrant des ECP apparents dans les cellules Vero E6 prétendument « infectées par le 2019-nCoV » (([33] NdT : nom transformé par la suite en SARS-CoV-2)), mais aucun ECP dans les « cellules infectées de manière fictive » 129, ces dernières étant censées être (le groupe) « contrôle ». Mais quelle était la nature de cette apparente expérience de contrôle ? Les détails n’ayant pas été fournis dans l’article publié, ils ont été contactés par l’un de mes collègues en août 2021, qui a obtenu des aveux surprenants de l’un des coauteurs de l’article, Xing-Lou Yang. Tout d’abord, outre le fait qu’il n’y avait pas d’expériences de contrôle positif (c’est-à-dire avec des échantillons humains comparables sans le prétendu virus), Yang a déclaré qu’ils avaient doublé la dose de pénicilline et de streptomycine dans le groupe expérimental130. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi cette variable avait été modifiée, la réponse a été la suivante : « l’intention de l’Anti-Anti (les deux antibiotiques) est d’empêcher la contamination par des bactéries ou des champignons pendant l’isolement du virus, donc une concentration de 1 % ou 2 % n’a pas affecté la croissance cellulaire. La concentration de 2 % dans la première génération visait simplement à empêcher la contamination des échantillons »131.

Mon collègue a suggéré de refaire l’expérience de « contrôle » avec une dose plus élevée d’antibiotiques pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’un des facteurs induisant des ECP dans la lignée de cellules rénales. Yang a ensuite fourni une réponse évasive : « si vous pouvez vous assurer que vous pouvez empêcher la contamination par des bac (bactéries) ou des champignons, vous n’aurez pas besoin d’utiliser l’Anti-Anti » 132, semblant ignorer le point crucial selon lequel les antibiotiques supplémentaires eux-mêmes pourraient être toxiques pour les cellules (en particulier parce que la streptomycine est connue pour être néphrotoxique). À tout le moins, ils avaient modifié d’autres variables par rapport à leurs contrôles et avaient donc invalidé encore davantage leurs résultats.

Une autre révélation stupéfiante des auteurs est que dans leur groupe expérimental, seul un puits sur 24 contenant des cultures de cellules rénales Vero E6 présentait des signes d’ECP133. Ainsi, ce qui devrait être considéré comme une marge d’erreur expérimentale constitue la base de l’une des déclarations d’un nouvel agent pathogène prétendument mortel, décrit dans un article qui, en juillet 2022, a été consulté 1,34 million de fois et cité plus de 10 000 fois134. Les autres auteurs qui citent cet article se rendent-ils compte de l’étroitesse des « preuves » sur lesquelles est construit ce château de cartes appelé COVID-19 ? Peut-être ne seraient-ils pas perturbés par une telle révélation, étant donné que les expériences biologiques sont de plus en plus abandonnées tandis que les « génomes » in silico sont de manière absurde prétendus fournir des preuves adéquates de l’existence des virus. Dans le cas de Zhou et coll., leur simulation informatique a été fièrement proclamée « être identique à 96 % au niveau du génome entier à un coronavirus de chauve-souris ». Ils ont décidé de mettre en forme leur nouvelle invention virale par rapport à cette séquence, en se basant sur l’absurdité que « des études antérieures ont montré que certains SARS-CoV de chauve-souris ont le potentiel d’infecter les humains »135. Leur logiciel a assemblé ce qui est devenu les numéros d’accès GenBank MN996527-MN996532 et cette forme de fausse « preuve », qui manque également de contrôles valides, a été documentée dans le présent essai.

Figure 7. L’étude de Peng Zhou et coll. et sa méthodologie précédemment non divulguée : doubler les antibiotiques dans le groupe expérimental pour observer des ECP dans seulement un puits sur 24. Il est déclaré que cela constitue une preuve de l’existence d’un nouvel agent pathogène viral, le « 2019-nCoV », qui sera plus tard rebaptisé SARS-CoV-2.

Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?

Début 2022, un mathématicien travaillant avec le Dr Stefan Lanka a publié une analyse des données de séquences associées produites par Fan Wu et coll.136 La conclusion en est surprenante :

Une répétition de l’assemblage de novo avec Megahit (v.1.2.9) a montré que les résultats publiés ne pouvaient pas être reproduits. Nous avons peut-être détecté des acides ribonucléiques (ribosomiques) d’origine humaine, contrairement à ce qui a été rapporté (par Fan Wu et coll.)… Il n’est pas prouvé que seuls des acides nucléiques viraux ont été utilisés pour construire le génome viral revendiqué pour le SARS-CoV-2. En outre, en ce qui concerne la construction du brin de génome viral revendiqué, aucun résultat d’éventuelles expériences de contrôle n’a été publié. Ceci est également vrai pour toutes les autres séquences de référence prises en compte dans le présent travail. Dans le cas du SARS-CoV-2, un contrôle évident consisterait à s’assurer que le génome viral revendiqué ne peut pas être assemblé à partir de sources d’ARN insoupçonnées d’origine humaine ou même autre.

(([34] NdT : Megahit est un assembleur (programme informatique) de séquences génétiques qui permet — à partir de bribes attribuées au « virus » — de construire le génome complet du « virus » (!!!) en remplissant les vides entre les bribes. C’est un peu comme si à partir de 3 ou 4 mots on demandait à un ordinateur de « reconstruire » une œuvre d’un grand auteur. L’ordinateur à l’aide du programme cherchera à mettre un mot après l’autre de telle manière qu’il retombe sur un des 3 ou 4 mots choisis et continuera ainsi jusqu’au mot choisi suivant et pour enfin arriver à l’intégralité de l’œuvre. En fonction du choix de l’œuvre que l’on désire obtenir, les suites de mots seront donc différentes alors qu’au départ les 3 ou 4 mots (ou plus peu importe) sont les mêmes. Voilà ce que dit l’Université Claude Bernard de Lyon sur cette technique : https://www.dtamb.univ-lyon1.fr/ngs/sequencage-de-novo ))

Outre le fait que les méthodes actuelles de la virologie pour trouver des virus devraient être rejetées, le manque de reproductibilité de leur propre expérience soulève instantanément des questions sur les circonstances dans lesquelles les inventeurs originaux du SARS-CoV-2 ont annoncé leur nouveau virus au Monde. En effet, cette analyse indépendante n’a permis d’obtenir que 28 459 contigs, soit nettement moins que le nombre (384 096) décrit par Fan Wu et coll. En outre, le contig le plus long obtenu indépendamment était de 29 802 nucléotides, soit 672 nucléotides de moins que celui de Fan Wu, ce qui signifie que « les données de séquence publiées ne peuvent pas être les lectures originales utilisées pour l’assemblage ». L’analyse du mathématicien a également conclu que :

L’alignement avec la base de données de nucléotides le 05/12/2021 a montré une correspondance élevée (98,85 %) avec “l’ARN de l’Homo sapiens, 45 S préribosomal N4 (RNA45SN4), ribosomal ARN” (GenBank : NR_146117.1, daté du 04/07/2020). Cette observation contredit l’affirmation de [1] selon laquelle l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué et les lectures de séquences humaines ont été filtrées à l’aide du génome humain de référence (human release 32, GRCh38.p13). Il convient tout particulièrement de noter que la séquence NR_146117.1 n’a été publiée qu’après la publication de la bibliothèque de séquences SRR10971381 examinée ici. Cette observation souligne la difficulté de déterminer a priori l’origine exacte des fragments d’acide nucléique individuels utilisés pour construire les séquences génomiques virales revendiquées.

Quoi qu’il en soit, les problèmes ne se sont pas arrêtés là. La distribution de la couverture de certains contigs était extrêmement inhomogène et, compte tenu du taux d’erreur élevé, on s’est demandé si certaines des séquences n’étaient pas simplement générées par les conditions d’amplification de la PCR elles-mêmes. Là encore, il s’agit d’une méthode anti-scientifique, car des expériences de contrôle appropriées (avec des échantillons similaires provenant de l’homme) ne sont pas réalisées pour examiner ces possibilités. L’analyse indépendante a révélé que Fan Wu et coll. auraient pu trouver de meilleures correspondances consensuelles in silico pour le « VIH » et le « virus de l’hépatite D » que pour un « nouveau coronavirus » chez leur homme de 41 ans de Wuhan, qui a présenté une pneumonie comme l’un des premiers cas déclarés de COVID-19. Si les virologues veulent trouver un virus, tout dépend de la manière dont ils conçoivent leurs protocoles et de ce qu’ils demandent à l’ordinateur de rechercher — et comment ces diseurs de bonne aventure sauraient-ils ce qu’il faut rechercher ?

L’amorçage du Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

Les scientifiques ont tendance à supposer que tout ce qui n’est pas de leur ressort est vrai et qu’ils peuvent s’y fier.

David Crowe après son interview de Stephen Bustin en avril 2020. 137

(([35] NdT : David Crowe est décédé peu après cette interview (le 12 juillet 2020), emporté par un cancer dont la fulgurance a étonné le Dr David Raznik (cité également dans cet article, les deux faisant partie du groupe de réévaluation du SIDA « Rethinking AIDS »). Le traducteur a eu de multiples contacts (mails, téléphone) avec David Crowe dans l’année précédant son décès. Ce dernier lui a maintes fois répété qu’on ne pourrait éventuellement parler de pandémie qu’en 2023 ou 2024 et que pour lui il ne s’agissait, en 2020, que d’une épidémie de tests. Les faits lui ont donné raison (lire à ce sujet l’excellent livre de Pierre Chaillot « Covid-19 — ce que révèlent les chiffres officiels »))

Pour entretenir l’illusion de la « pandémie » de COVID-19, il fallait des cas. Ceux-ci ont été fournis par le plus vaste programme de « dépistage » humain jamais mis en œuvre, impliquant des milliards de kits PCR distribués dans le monde entier. Nous ne comprenons toujours pas pourquoi Stephen Bustin, qui est un « expert de renommée mondiale en matière de PCR quantitative et dont les recherches portent sur la transformation des techniques moléculaires en outils pratiques, robustes et fiables à usage clinique et diagnostique » 138, n’a pas souligné de manière décisive l’utilisation inappropriée du processus de PCR. Bustin était l’auteur principal de la publication de 2009, « The MIQE Guidelines: Minimum Information for Publication of Quantitative Real-Time PCR Experiments » 139 (Informations minimales pour la publication d’expériences de PCR quantitative en temps réel), dans laquelle les considérations conceptuelles clés pour les expériences de PCR en temps réel sont décrites comme suit :

  1. 2.1 La sensibilité analytique fait référence au nombre minimum de copies dans un échantillon qui peut être mesuré avec précision par un test, tandis que la sensibilité clinique est le pourcentage de personnes atteintes d’un trouble donné que le test identifie comme étant positives pour ce trouble…
  2. 2.2 La spécificité analytique fait référence au test qPCR qui détecte la séquence cible appropriée plutôt que d’autres cibles non spécifiques également présentes dans un échantillon. La spécificité diagnostique est le pourcentage de personnes ne souffrant pas d’une affection donnée et que le test identifie comme étant négatives pour cette affection.

Si Bustin était resté fidèle à la science, il aurait dû mettre un terme à la pandémie de PCR en janvier 2020, lorsque les protocoles PCR de Corman-Drosten ont été publiés140. Le mot « spécificité » n’apparaît qu’une seule fois dans l’article de Corman-Drosten et il n’avait rien à voir avec le diagnostic d’un état clinique, et encore moins d’une infection virale. Il n’y a pas eu de « détection du 2019-nCoV » comme le prétend l’article, tout ce qui a été établi est la spécificité analytique de leur test pour détecter des séquences cibles sélectionnées. Il s’agissait d’une expérience de réaction moléculaire in vitro avec une technologie d’acide nucléique synthétique qui ne nécessite pas l’existence d’un virus. En outre, il n’a pas été établi comment le résultat de la PCR était lié à un état clinique, c’est-à-dire qu’il n’a jamais été démontré que les kits PCR COVID-19 permettaient de diagnostiquer quoi que ce soit chez un sujet humain. Une maladie inventée basée sur un virus fictif.

(([36] NdT : Contrairement à ce qu’on peut lire si souvent dans les articles du mouvement de « résistance » au narratif Covid, les tests ne « crachent » pas des faux positifs (ce qui signifierait d’ailleurs qu’ils « crachent » aussi des vrais positifs), les tests n’ont ABSOLUMENT aucune signification. Quand on pense à toutes les conséquences (les décès, les pertes de liberté et d’emplois…) suite à la mise en œuvre de ces tests on est saisi d’effroi !))

Outre la question de la spécificité, le fait, qui n’a pas été très médiatisé, que l’expert mondial en PCR ait déclaré à David Crowe en avril 2020 que (même selon les propres termes de la virologie) qualifier un résultat de PCR de coronavirus de « positif » après 36-37 cycles, comme c’était le cas partout dans le Monde, était « un non-sens absolu. Cela n’a aucun sens » 141. Cependant, la fraude de la PCR est apparue encore plus clairement lorsque Eric Coppolino (([37] NdT : un autre membre du groupe « Rethinking AIDS », animateur d’une radio libre aux États-Unis)) a interviewé Bustin sur Planet Waves FM en février 2021142. L’intention de Coppolino était d’obtenir plus de détails sur l’étape problématique de la transcription inverse (RT) du processus de RT-PCR, mais il a été stupéfait, après l’interview, de réaliser que ce qu’il pensait être un test parfois inexact était complètement frauduleux143. Bustin a semblé mal à l’aise lorsque Coppolino a fait remarquer que tous les résultats positifs de la PCR étaient qualifiés de « cas d’infection confirmé », même s’ils ne présentaient aucun symptôme144. Au lieu d’admettre que la spécificité diagnostique des kits PCR n’avait jamais été établie, Bustin a proposé des explications périphériques telles que l’affirmation que « les unités de soins intensifs sont débordées en ce moment ».

Il a ensuite défendu les protocoles PCR utilisés en affirmant que « cette pneumonie était causée par ce virus. Ce virus a commencé à apparaître et de plus en plus de personnes présentaient les mêmes symptômes. Et ces amorces détectaient ce virus ». Lorsque Coppolino l’a interrogé sur l’absence d’isolement du virus pour pouvoir faire ces affirmations, Bustin a répondu que « la manière dont la séquence a été établie en prélevant des échantillons sur le patient original, en cultivant quelque chose et en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SARS. Malheureusement, M. Bustin a confirmé le mauvais usage que fait la virologie du mot « isolement » et la terminologie floue utilisée pour détecter un « virus ». La question cruciale est que la qualité de la conception des amorces importe peu — si la provenance ou l’importance des séquences génétiques amplifiées par la PCR sont inconnues, on ne peut tirer rien d’autre comme conclusion que leur simple présence. Bustin peut rassurer le monde sur les performances analytiques potentiellement très élevées d’un protocole PCR, mais c’est au niveau de l’établissement de ses performances diagnostiques que le bât blesse. Même si l’existence physique du SARS-CoV-2 avait été démontrée et que la PCR était acceptée comme un outil de diagnostic valable, Bustin devrait admettre qu’aucun des tests PCR n’a été développé comme le précisent ses lignes directrices MIQE (voir ci-dessus) et qu’aucun ne peut être considéré comme cliniquement validé.

Il est surprenant qu’au cours de cette même interview, il ait nié toute connaissance préalable de la fausse épidémie de coqueluche à Dartmouth-Hitchcock, dans le New Hampshire, en 2006, lorsque le kit PCR mis en place a donné lieu à un taux de faux positifs de 100 % 145. Bustin a déclaré en avoir pris connaissance juste quelques jours avant l’entretien, quelques 15 ans après les faits, en lisant sur le site Web de Coppolino un article qui lui avait été fourni pour les besoins de l’entretien. Pourtant, l’incident était bien connu et avait fait l’objet d’une couverture dans le New York Times, avec des commentaires de nombreux professionnels de la santé publique et des professionnels des tests de diagnostic146. En 2006, Bustin était professeur de biologie moléculaire et il n’est pas étonnant que le spécialiste de la PCR n’ait reçu aucune demande de renseignements de la part de collègues médicaux en 2006, lorsque l’incident s’est produit. En effet, à l’époque, il y avait très peu d’experts en PCR à contacter et c’était une première indication de la manière dont la PCR pouvait être utilisée de manière catastrophique comme outil de diagnostic clinique. Comme si cela ne suffisait pas, il s’agissait d’un incident où le microbe prétendument responsable (la bactérie Bordetella pertussis) peut être physiquement isolé et ses séquences génétiques confirmées pour que la PCR puisse être calibrée à son encontre. En revanche, les protocoles PCR SARS-CoV-2 sont simplement calibrés sur des fragments génétiques d’origine inconnue. Lorsque Coppolino a insisté sur ce point, Bustin a répondu : « Eh bien, vous savez, il s’agit d’une méthode standard, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, si ce n’est que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de procéder » 147.

Au moment où Bustin a été interrogé par Coppolino, il avait déjà coécrit et soumis un article intitulé « COVID-19 and Diagnostic Testing for SARS-CoV-2 by RT-qPCR-Facts and Fallacies » (Covid-19 et les tests de diagnostic pour le SARS-CoV-2 par RT-qPCR et erreurs) qui a été publié plus tard en février 2021148. Dans cet article, Bustin et ses collègues déclarent que “le test (de Corman-Drosten) a fonctionné et était spécifique, et a démontré la sagacité et l’altruisme stupéfiants des scientifiques impliqués, ainsi que la vitesse remarquable avec laquelle les tests basés sur la PCR peuvent être développés et mis en pratique”. Si l’on ne tient pas compte de l’éloge flatteur, la question évidente demeure, spécifique à propos de quoi ? Bustin et ses collègues veulent-ils dire que les tests PCR sont spécifiques (a) de courtes séquences d’ARN ciblées, (b) d’un coronavirus connu sous le nom de SARS-CoV-2, ou (c) de la maladie inventée par l’OMS et connue sous le nom de COVID-19 ? L’article de Corman-Drosten n’a fait qu’établir la spécificité analytique pour l’amplification de certaines séquences d’ARN sélectionnées, il n’avait rien à voir avec l’établissement d’un virus ou le diagnostic d’une maladie. Le concepteur des lignes directrices MIQE sait certainement que, sur les trois, seule la première a été scientifiquement établie et que rien n’était, ou n’a été, validé pour une application clinique. Et pourtant, son article poursuit avec un non sequitur ridicule que : « Le test PCR est parfaitement adapté aux tests à grande échelle, comme le démontrent chaque jour les millions de tests effectués à ce jour ». Bustin aurait-il oublié que les « tests » ne sont qu’un outil d’amplification moléculaire ? Comme l’inventeur de la PCR, le Dr Kary Mullis, l’a mis en garde en 1993 : « Je ne pense pas que l’on puisse utiliser la PCR à mauvais escient, non, les résultats, l’interprétation qu’on en fait (sont utilisés à mauvais escient) » 149.

La PCR amplifie simplement des séquences génétiques sélectionnées et la réaction moléculaire elle-même n’a pas la capacité de déterminer leur provenance ou la pertinence de leur présence. Si un protocole PCR particulier est exécuté correctement et que sa sensibilité et sa spécificité analytiques sont connues à 100 %, on peut dire qu’un résultat positif n’a rien fait d’autre que de confirmer la présence d’une séquence cible. Toutefois, si l’on prétend que la PCR est un outil de diagnostic, il devrait être évident que des études de validation clinique devraient être réalisées avant que le test ne soit introduit dans la pratique clinique. L’article de Corman-Drosten a sauté cette étape et l’OMS a accepté la fraude en plaçant des versions du protocole PCR sur son site Web le 13 puis le 17 janvier 2020, avant même la publication de l’article150. Après cela, la PCR a simplement été utilisée par le biais d’un raisonnement circulaire pour prétendre diagnostiquer des « infections » chez les personnes.

La phase suivante, aux premiers stades de la prétendue pandémie, a impliqué des « experts » tels que le professeur associé Sanjaya Senanayake, spécialiste australien des maladies infectieuses, qui a diffusé auprès du public des affirmations infondées sur l’exactitude des tests. Dans une interview accordée le 26 avril 2020, il a déclaré qu’en ce qui concerne le test COVID-19, « il n’y a pas de véritable étalon-or auquel le comparer… pour le COVID-19, nous n’avons pas de test étalon, donc les tests actuels que nous utilisons, les tests PCR… sont notre étalon-or, mais en essayant de contourner ce problème, nous pensons qu’ils détectent probablement environ 70 % des cas » 151. Senanayake a laissé entendre que si vous n’avez pas d’étalon-or, vous pouvez simplement supposer qu’un nouveau test PCR peut se valider de lui-même. Cependant, cela va à l’encontre de toutes les connaissances en matière de validation des tests. Cette entorse aux principes établis de la logique de validation ne permet pas de savoir comment il a calculé que le test fonctionnait « environ 70 % » du temps, sans parler de la gymnastique mentale qu’implique un « étalon-or » qui ne se détecte lui-même que 70 % du temps. On pourrait admettre, comme il l’a fait par inadvertance, qu’« il n’y a pas de véritable étalon-or » dans les tests COVID-19, car le véritable étalon-or est quelque chose qui n’existe pas, à savoir l’isolement physique et la preuve de la présence d’une particule virale.

L’OMS ne s’est pas préoccupée de l’absence d’étalon-or ou de preuve de l’existence d’un virus et a cimenté l’escroquerie de la PCR en déclarant qu’un cas de COVID-19 était « une personne dont le laboratoire (en 2020, typiquement la PCR) confirme l’infection par le COVID-19, indépendamment des signes et symptômes cliniques » 152. Dans cette seule phrase, elle proclame que les tests PCR non validés cliniquement ont une spécificité diagnostique de 100 % et déforme de façon absurde le sens du mot « infection » pour y inclure des personnes qui n’ont aucun signe ou symptôme. L’étymologie du mot « infection » provient du latin inficere, qui signifie « souiller ». Le Mosby’s Medical Dictionary 2009 définit l’infection comme « (1) l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes qui se reproduisent et se multiplient, provoquant une maladie par des lésions cellulaires locales, la sécrétion d’une toxine ou une réaction antigène-anticorps chez l’hôte, et (2) une maladie causée par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes »153. Bien que l’auteur ne se prononce pas sur le caractère pathogène ou non des microbes, le sens établi du terme « infection » se rapporte à un état pathologique — sinon, un terme tel que « commensalisme » 154 devrait être utilisé. L’OMS a inventé une nouvelle définition absurde de la « pandémie » 155 et subvertit à présent la définition de l’infection — qui la déconnecte du concept de maladie par la seule utilisation des résultats de la PCR. Kary Mullis n’aurait pas pu dire plus simplement que la PCR n’est « qu’un processus utilisé pour faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose » 156 Malheureusement, à plusieurs reprises au cours de l’ère COVID-19, des personnalités influentes telles que Bustin et Senanayake ont soutenu l’utilisation par les virologues d’un outil de fabrication moléculaire pour faire toutes sortes d’affirmations infondées, y compris la capacité non ratifiée de diagnostiquer une nouvelle infection et la détection d’un prétendu virus.

Il convient de noter qu’une interprétation erronée et biaisée de la PCR semble commencer avant même que le processus d’amplification n’ait commencé. Par exemple, le « High Pure Viral RNA Kit » (Kit d’acide nucléique viral de haute pureté) de Roche, utilisé pour préparer les échantillons pour la PCR, indique qu’il « isole rapidement l’ARN viral du plasma, du sérum, des fluides corporels et des surnageants de culture cellulaire des mammifères » 157. Les informations fournies sur le produit n’indiquent pas clairement comment le kit sépare l’ARN viral présumé des autres ARN présents dans l’échantillon158. Le processus comprend une étape additive de liaison de l’« ARN porteur poly (A) », mais les séquences polyadénylées ne sont pas spécifiques159, et les étapes suivantes de tamponnage et de centrifugation décrites ne permettraient pas non plus de différencier la provenance de l’ARN. Malgré cela, la section « protocoles » proclame que le produit final est un « ARN viral purifié » 160, de sorte que toute personne croyant cette affirmation infondée pense que son résultat RT-PCR positif ultérieur est la preuve de l’existence d’un virus. Il en va de même pour le « High Pure Viral Nucleic Acid Kit » de Roche, utilisé par des équipes telles que celles de Na Zhu et de Peng Zhou, qui affirment avoir découvert le SARS-CoV-2 dans des échantillons de patients et des expériences de culture cellulaire. Une fois de plus, Roche affirme de manière fallacieuse que les étapes décrites dans la section « protocoles » permettraient d’obtenir des « acides nucléiques viraux purifiés » 161.

Incidemment, Bustin a été interrogé spécifiquement sur les affirmations de Roche lorsque la question suivante lui a été posée : « Je suppose que le kit doit être capable de distinguer les AN (acides nucléiques) viraux de tous les autres. Les acides nucléiques viraux ont-ils une propriété chimique unique ? » Il a répondu : « Le processus d’extraction n’est pas spécifique à un acide nucléique particulier, mais il peut être spécifique à certains types d’acides nucléiques. Certains kits peuvent extraire l’ADN ou l’ARN de manière différentielle (sic), mais cela signifie que n’importe quel ADN et ARN sera présent dans l’échantillon extrait (je souligne)… Une petite quantité du matériel extrait est ensuite soumise à la réaction PCR. C’est ce qui assure la spécificité. »162 En d’autres termes, Bustin n’a pas tenté d’expliquer les allégations frauduleuses de Roche, mais a brouillé les pistes en remplaçant la spécificité de la provenance des acides nucléiques par la spécificité des séquences sélectionnées pour la PCR. Il s’agit là d’un tour de passe-passe linguistique qui a permis l’apparition d’un « virus » à partir de rien.

3e Partie

Petit Chien de Montagne — Naïf ou éclairant au gaz ?

Je ne l’aurais jamais vu si je n’y avais pas cru

Ashleigh Brilliant163

Nous connaissons l’allégation selon laquelle il serait impossible que la majorité de la communauté médicale et scientifique soit sciemment complice des méthodologies non scientifiques de la virologie dans la fraude COVID-19. L’auteur n’avance pas une telle hypothèse, bien que l’on se demande si et pendant combien de temps l’ignorance peut être utilisée comme moyen de défense ? En effet, c’est la raison pour laquelle il a été suggéré plus tôt dans cet essai (dans « Qu’est-ce que la virologie ? ») que « l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur ». Les virologues fraîchement émoulus sont formés pour suivre les méthodologies de leurs aînés et il est peu probable qu’ils aillent loin dans la carrière qu’ils ont choisie, et bien sûr dans leur financement, s’ils contestent la base du travail de leur laboratoire.

Le 29 janvier 2020, un scientifique chinois en virologie connu sous le nom de « Winjor Little Mountain Dog » (Winjor Petit Chien de Montagne) a posté un texte intitulé « Documentation de la première expérience de découverte d’un nouveau coronavirus » 164. Ce texte décrit l’histoire passionnée d’un initié déterminé à faire éclater la vérité sur ce qui s’est passé à Wuhan au cours du mois précédent et qui a réellement « découvert » WH-Human 1 alias « WH-01/2019 », plus tard rebaptisé « SARS-CoV-2 ». Pour ceux d’entre nous qui sont conscients de la tromperie qui a eu lieu dans le cadre de la charade COVID-19, le texte est certainement suspect de faire partie d’une opération d’éclairage au gaz. Par ailleurs, la relative facilité avec laquelle on peut déduire de quel laboratoire provient l’histoire fait apparaître l’auteur comme extrêmement naïf pour un habitant de l’État communiste chinois. Cependant, le document sera présenté tel qu’il est décrit, c’est-à-dire avec le narrateur croyant découvrir des virus dans les passages sélectionnés suivants.

Je viens de me mettre au travail le 26 décembre 2019. Comme d’habitude, je vais d’abord parcourir les résultats de l’interprétation automatique des micro-organismes pathogènes mNGS pour ce jour.

Ici, l’auteur a décrit son laboratoire effectuant des NGS métagénomiques sur des échantillons bruts de patients, comme indiqué dans les sections précédentes de cet essai. Il a défini le thème du texte de l’auteur, qui a décrit les « virus » en termes de séquences génétiques pouvant être détectées dans l’environnement et assemblées par un logiciel informatique.

De manière inattendue, il a été constaté qu’un échantillon présentait un agent pathogène sensible — le coronavirus du SARS, avec des dizaines de séquences, et que seul cet échantillon présentait un tel agent pathogène significatif.

Il s’agit là d’un saut incroyable : à partir de diverses séquences détectées dans un spécimen brut, on passe à la description d’un « agent pathogène », apparemment sur la base du fait qu’un programme informatique peut l’établir. Non seulement ça, mais l’ordinateur a trouvé un « coronavirus du SARS », dont on sait qu’il est associé à l’état clinique du « syndrome respiratoire aigu sévère ».

ce pathogène est le plus similaire au coronavirus Bat SARS (([38] NdT : celui de la chauve-souris)), avec une similarité globale d’environ 87 % et une similarité avec le SARS [SARS-CoV-1] d’environ 81 %. Le nombre de séquences dans l’alignement est passé de quelques dizaines à plus de 500. En outre, 5 contigs ont été assemblés, ce qui représente plus de 1 200 pb (([39] NdT : bp signifie base pairs ou paires de bases)). À l’heure actuelle, on peut essentiellement confirmer qu’il s’agit d’un coronavirus… Dans une situation aussi urgente, on n’a pas le temps de faire des recherches dans la littérature et on ne dispose pas de beaucoup de données… Nous avons ensuite analysé des milliers de génomes de coronavirus à la manière d’un tapis et les avons évalués en termes de similarité, de couverture et même de distribution des génomes, pour finalement trouver les deux génomes les plus similaires, bat-SL-CoVZC45 et bat-SL-CoVZXC21.

Et c’est ainsi qu’il est « confirmé » que le virus a existé sur la base de la comparaison de certains nouveaux assemblages in silico avec d’autres assemblages in silico précédemment soumis à des bases de données génétiques. L’auteur poursuit en décrivant l’activité suivante, à savoir l’analyse de l’arbre phylogénétique et la construction d’un chemin évolutif pour le dernier ajout à l’arbre généalogique fictif de la virologie. Il y a une absence totale de quelque appréciation que ce soit du fait qu’un virus doit avoir une existence physique réelle en tant que particule distincte avec des caractéristiques biologiques spécifiques, y compris la capacité d’infecter des hôtes et de provoquer des maladies. L’auteur se contente d’affirmer que « l’analyse a essentiellement confirmé la présence d’un virus dans l’échantillon de ce patient ». Plus loin dans le texte, ils font preuve d’une certaine prudence en ce qui concerne la pathogénicité clinique, mais restent convaincus de son existence en faisant le commentaire suivant : « si la pneumonie a été causée par ce virus, nous ne l’avons pas analysé ni ne pouvions pas l’analyser. La détection du virus ne signifie pas que la pneumonie a été causée par le virus ».

le 30 décembre, j’ai entendu dire qu’un certain nombre de patients présentaient des symptômes similaires… Ce qui m’a vraiment rendu nerveux, c’est qu’un ami et un homme d’affaires ont partagé la séquence pour que nous l’analysions. Je l’ai analysée et il s’agissait bien du même virus ! La première pensée du subconscient est « ce virus est contagieux » !

Il n’est pas certain que l’auteur savait que les « symptômes similaires » affligeant les patients décrits à Wuhan étaient tous des symptômes respiratoires non spécifiques. À ce jour, COVID-19 n’est pas une maladie clinique définie de manière officielle, les cas « confirmés » faisant simplement référence au résultat d’un processus de détection moléculaire165. En outre, nous avons déjà traité du raisonnement circulaire et du processus autoréférentiel consistant à inventer un « génome de virus » par le biais de la méthodologie de la virologie, puis à prétendre que la détection d’assemblages presque identiques dans d’autres endroits confirme que « le même virus » a été trouvé166.

La nervosité est due au fait que ce virus inconnu pourrait être aussi terrifiant que le SARS ; l’excitation est due au fait que nous avons détecté et confirmé cet agent pathogène à un stade précoce grâce à la technologie mNGS et que nous avons mis le patient en quarantaine ; il est peut-être possible de prévenir et de contrôler le virus avant qu’il ne se propage largement, étranglé dans le berceau ! … J’espère également qu’après ce nouvel incident lié au coronavirus, la capacité du pays à gérer des événements majeurs en matière de santé publique a fait de grands progrès… Pour autant que je sache, nous aurions dû être les premiers à découvrir ce virus, car c’est après que nous avons communiqué les résultats que le système de contrôle des maladies a commencé à intervenir.

Il appartient au lecteur de décider si l’auteur croit vraiment qu’il a été le premier à découvrir le SARS-CoV-2 et que les experts en santé publique ont ces capacités, ou si ce texte a été conçu et « divulgué » comme un autre élément de la propagande du COVID-19. Il n’y a jamais eu de virus à propager. La seule chose qui s’est répandue dans le monde, à part la peur, c’est le « génome » fictif de WH-Human 1 et les tests PCR qui ont été calibrés sur ses séquences. La « pandémie » aurait pu être stoppée net par le rejet de ces tests ; au lieu de cela, des « experts » en santé publique ignorants ont adhéré à l’antiscience de la virologie et participent depuis à la fraude COVID-19.

Petit Chien de Montagne aurait voulu que l’on sache que son laboratoire était « le premier à découvrir le virus », après la collecte de son échantillon de Wuhan le 24 décembre 2019 et la soumission ultérieure à la base de données GISAID le 11 janvier 2020 sous l’ID d’accès (([40] NdT : Chaîne de caractères alphanumériques unique utilisée pour identifier sans ambiguïté un enregistrement particulier dans une base de données)) « EPI_ISL_402123 ». Avec la séquence in silico de Fan Wu et coll., EPI_ISL_402123 a été utilisé dans la conception des protocoles PCR par l’équipe de Christian Drosten (voir la figure 8 ci-dessous). Cependant, comme l’a souligné David Rasnick, « ils n’ont jamais touché à un virus ». Cela confère un élément d’ironie à l’hypothèse de la « fuite du laboratoire », un récit qui est apparu dans les médias grand public dès début février 2020. 167 Le « virus » a certainement été inventé dans un laboratoire, mais il s’agissait d’un laboratoire informatique et la seule entité qui a été divulguée intentionnellement était une simulation informatique. Les résultats de la simulation ont été envoyés dans le monde entier sous forme de code numérique sur Internet et les amorces PCR qui en ont résulté, déployées en masse dans des kits, ont créé les « cas » de la fraude COVID-19.

Figure 8. Le dépôt GISAID « EPI_ISL_402123 » de Petit Chien de Montagne. Il est apparu aux côtés du dépôt « WH-Human_1|China|2019-Dec » de Fan Wu et coll. pour le protocole RT-PCR de Corman-Drosten, où il est indiqué que « l’alignement [WH-Human_1|China|2019 — Dec] a été complété par des séquences supplémentaires publiées indépendamment sur GISAID ». Source : « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

L’histoire de Petit Chien de Montagne s’est poursuivie avec un éditorial intitulé « Alors que la pandémie explosait, un chercheur a vu le danger. Les dirigeants chinois ont gardé le silence », paru dans le Washington Post le 22 avril 2022168. On y apprend que Petit Chien de Montagne travaillait dans un laboratoire commercial, « Vision Medicals », à Guangzhou, dans le sud de la Chine, et que « son histoire met en évidence une dissimulation aux conséquences tragiques d’une ampleur historique. Un grave danger a été dissimulé jusqu’à ce qu’il soit trop tard ». L’éditorial présente toutes les allégations virologiques comme valables et déclare ironiquement que « l’épisode sert à souligner une fois de plus pourquoi une enquête sérieuse est nécessaire pour faire toute la lumière sur la façon dont la pandémie a commencé ». Une enquête sérieuse sur ce sujet démontre qu’au fond de cette « pandémie », il n’y a rien d’autre que des absurdités, inventées par les virologues et publiées par des organes tels que le Washington Post.

La diversion « Fuite du laboratoire »

Vous supposez ici que la variole est une chose, une entité. Cette erreur est commise par presque tous les adeptes de la soi-disant « école régulière », et ce sera probablement une nouvelle idée pour vous que de vous dire que ni la variole ni aucune autre maladie n’est une entité, mais un état.

Dr Montague R. Leverson, 1909. 169

Le 19 mai 2022, Jeffrey Sachs, président de la Commission COVID-19 du Lancet, a rédigé avec Neil Harrison un article intitulé « A call for an independent inquiry into the origin of SARS-CoV-2 virus170 ». (Appel à une enquête indépendante sur l’origine du virus du SARS-CoV-2). La publication s’ouvre sur le cadrage suivant de la situation COVID-19 :

Depuis l’identification (sic) du SARS-CoV-2 à Wuhan, en Chine, en janvier 2020, l’origine du virus a fait l’objet d’un débat scientifique intense et de spéculations publiques. Les deux principales hypothèses sont que le virus est apparu à la suite d’une exposition humaine à un animal infecté (« zoonose ») ou qu’il est apparu lors d’un incident lié à la recherche.

Toutefois, l’affirmation selon laquelle il existe « deux hypothèses principales » repose sur l’acceptation du fait que « l’identification du SARS-CoV-2 » signifie que la particule a à la fois une existence physique et les propriétés biologiques spécifiques requises pour répondre à la définition d’un virus. C’est-à-dire un parasite intracellulaire transmissible, capable de se répliquer, qui provoque la prétendue nouvelle maladie « COVID-19 ». Comme cela a été souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité, il n’existe aucune preuve de l’existence de la particule ni de la nouvelle maladie proposée171. De plus, dans cet essai, il y a eu une analyse plus détaillée de l’article de Fan Wu et coll. et de leur fausse affirmation concernant « l’identification » d’un virus à Wuhan au début de l’année 2020. D’autre part, les partisans de la fuite des laboratoires, tels que Sachs et Harrison, commencent leur analyse en acceptant sans réserve les prémisses non établies de la virologie.

Dans leur article, ils citent des aspects tels que « la collecte de CoV de chauve-souris similaires au SARS sur le terrain… (et)… l’analyse et la manipulation de ces virus », se plaignant que « la nature précise des expériences qui ont été menées, y compris la gamme complète de virus collectés sur le terrain et le séquençage et la manipulation ultérieurs de ces virus, reste inconnue ». Ils ne se rendent manifestement pas compte que les « CoV de chauve-souris similaires au SARS » ne sont rien d’autre que des intestins de chauve-souris broyés, prétendument « pathogènes » par l’injection de la bouillie directement dans le cerveau de rats nouveau-nés. La manipulation de ces échantillons peut être un moyen d’obtenir des subventions et d’impressionner les non-initiés, mais elle ne change rien à la réalité biologique. De telles expériences ne permettent pas d’établir que leurs échantillons contiennent des virus ou qu’ils ont des propriétés pathogènes dans le monde naturel. S’ils ne peuvent même pas démontrer l’existence de virus dans leurs tentatives publiques, il n’y a pas lieu de s’inquiéter — ce qui se passe derrière des portes closes n’a pas d’importance puisqu’il n’y a pas de virus au départ.

En ce qui concerne le « génome du SARS-CoV-2 » proposé par les virologues, Sachs et Harrison déclarent qu’ils « ne savent pas si l’insertion du FCS (site de clivage de la furine172) est le résultat d’une évolution naturelle — peut-être par le biais d’un événement de recombinaison chez un mammifère intermédiaire ou un humain — ou si elle est le résultat d’une introduction délibérée du FCS dans un virus de type SARS dans le cadre d’une expérience de laboratoire ». Ils seraient mieux avisés d’examiner comment il a été établi que les séquences ou les protéines qu’ils analysent appartiennent à un virus pathogène. Le débat de ces dernières années sur les subtilités du FCS n’est qu’un microcosme dans le paradigme erroné plus large de la génomique et de la protéomique « virales ».

De même, leur mention de prétendues recherches sur les virus menées à l’Université de Caroline du Nord (UNC) ou de propositions de subventions ayant fait l’objet de « fuites », telles que « DEFUSE », adressées à la Defense Advanced Research Projects Agency des États-Unis (Agence des Projets de Recherche Avancée de Défense) ne constitue pas une preuve de l’existence de virus173. (([41] NdT : le soi-disant financement par la DARPA de programmes de recherches dans un laboratoire de Wuhan n’est pas la preuve de l’existence du virus)). Pour être clair, il n’est pas contesté que des institutions telles que l’UNC expérimentent depuis des décennies des entités telles que les protéines de pointe. Certaines de ces séquences ont été brevetées et utilisées dans le développement d’agents biologiques injectables, récemment imposés à de nombreuses personnes sous la forme de vaccins COVID-19174. Cependant, rien de tout cela n’exige l’existence de particules qualifiées de virus.

Malheureusement, le livre des revendications de la virologie est devenu si alambiqué que la plupart des lecteurs ne se rendent pas compte qu’il est en grande partie composé d’absurdités. Quelques jours après la publication de l’article de Sachs et Harrison, The Intercept a pensé qu’il était également sur une piste d’investigation concernant « la théorie intrigante de l’ingénierie virale » 175. Il a fait état d’une étude de 2016 de l’UNC Chapel Hill176 associé à Ralph Baric déclarant que « les scientifiques ont créé un nouveau virus en utilisant la pointe d’un coronavirus de chauve-souris qui avait été isolé et caractérisé par l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV — pour Wuhan Institute of Virology) ». On peut supposer que l’auteur ne comprend pas à quel point les virologues utilisent le mot « isolé » de manière trompeuse. En outre, la figure 1 de la page 10 met en évidence l’affirmation absurde selon laquelle le WIV aurait « purifié des virions » qui auraient ensuite été utilisés par Baric et coll. pour « créer un nouveau virus ». Rien ne prouve que l’un ou l’autre laboratoire disposait d’autre chose qu’une soupe anormale de culture de cellules rénales de singe.

L’hypothèse de la fuite de laboratoire n’est qu’un autre récit de l’ère COVID-19 qui entretient dans l’imagination du public l’illusion de l’existence matérielle du SARS-CoV-2, ainsi que des virus pathogènes et de la contagion liée aux microbes en général. Au cours des derniers mois, le récit fondé sur la peur s’est poursuivi avec des déclarations d’épidémies de variole du singe, la détection présumée de « virus » de la polio à Londres, et la théorie de la fuite du laboratoire COVID-19 a même reçu le soutien du directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en faveur de la maladie et de la pandémie fantômes qu’il a nommées177. Il semble probable qu’il y aura d’autres histoires de « fuites de laboratoire » à l’avenir si elles continuent à capter l’attention de manière aussi efficace.

Comme l’histoire de Petit Chien de Montagne », l’histoire de la fuite du laboratoire repose sur aucune démonstration scientifique de l’existence d’un virus, mais simplement sur la croyance en l’existence d’un virus, à l’aide de quelques preuves apparentes. Dans le même ordre d’idées, en novembre 2020, l’Institut Lowy, qui se décrit comme un « groupe de réflexion sur la politique internationale » australien, a publié un article contenant l’introduction suivante :

En avril 2020, le Dr Ai Fen, chef du service des urgences de l’hôpital central de Wuhan, a accordé une interview au magazine chinois Renwu. Elle a décrit avec force détails comment, fin décembre 2019, elle avait commencé à recevoir aux urgences de nombreux patients présentant des symptômes grippaux qui résistaient aux traitements habituels. Elle a raconté comment elle a « eu des sueurs froides » lorsque le premier rapport sur le virus de l’un de ces patients est revenu. Elle s’est empressée d’entourer les mots « coronavirus du SARS », a fait une capture d’écran du rapport et l’a envoyé à ses collègues. Très vite, son rapport a fait le tour des cercles médicaux de Wuhan. Mais au lieu de mobiliser l’hôpital et les autorités, le Dr Ai a été réprimandée par le comité disciplinaire de l’hôpital pour « propagation de rumeurs » et « atteinte à la stabilité ». Plutôt que d’avertir le personnel et le public, les autorités de l’hôpital ont demandé au personnel de ne pas porter d’équipement de protection individuelle et ont relayé les instructions du comité local de protection de la santé selon lesquelles, pour éviter de semer la panique, il était interdit aux médecins de partager des messages et des rapports relatifs au virus178.

Pour les crédules, cela peut ressembler à une tentative des autorités de dissimuler le début de la « pandémie virale », mais ceux qui sont familiers avec les absurdités de la virologie peuvent voir clair dans les faussetés — aucun de ces cadres ne nécessite un véritable virus. Entourer d’une mention « coronavirus du SARS » dans un « rapport sur les virus » ne repose sur rien d’autre que sur les simulations dans un bureau de Fan Wu et d’autres équipes.

Un autre médecin, Li Wenliang, salué par la BBC comme un « lanceur d’alerte » 179, aurait également été censuré par les autorités chinoises après avoir partagé le rapport du Dr Ai. Le Dr Li, âgé de 33 ans, serait mort du COVID-19 après avoir « contracté le virus alors qu’il travaillait à l’hôpital central de Wuhan ». La promotion somptueuse de cette « dissimulation » par les médias corporatistes et Wikipédia180 serait comique si elle ne faisait pas partie d’une guerre contre l’Humanité. Toutes ces histoires nous ramènent au même récit de peur impliquant un virus contagieux et « mortel ». Cela permet à cette fraude de se propager et ouvre la voie à d’autres fraudes similaires à l’avenir. L’auteur est stupéfait de constater qu’un si grand nombre de membres de la communauté des « défenseurs de la santé » ne font confiance à aucune des affirmations des médias institutionnels concernant le COVID-19, à l’exception de la déclaration selon laquelle un virus mortel est en liberté, ce qui constitue le plus grand mensonge de tous.

L’affirmation selon laquelle les dépôts de brevets relatifs aux « coronavirus » constituent une preuve de l’existence des virus peut être traitée rapidement. En 2021, le Dr David Martin de M-CAM® International a publié le « Dossier Fauci/COVID-19 » 181 dans le cadre des activités de la société :

surveiller les violations éventuelles du protocole de 1925 concernant la prohibition d’emploi à la guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et de moyens bactériologiques (protocole de Genève) et de la convention de 1972 sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques ou à toxines et sur leur destruction (BTWC).

Malgré les nombreux brevets portant sur des « méthodes de production de coronavirus recombinants » et les subventions fédérales accordées à des spécialistes du gain de fonction comme le Dr Ralph Baric et son équipe de l’UNC Chapel Hill, aucun de ces documents ne contient de preuve scientifique de l’existence des virus. Le personnel des offices de brevets et ceux qui approuvent les subventions de recherche ne sont pas les arbitres de la plausibilité biologique et ne font que reprendre les affirmations des virologues. Le dossier n’était pas une preuve irréfutable de l’existence d’activités de « gain de fonction » impliquant des virus pathogènes. Peut-être que ceux qui pensaient qu’il l’était n’ont pas tenu compte de l’avertissement de Martin qui dit que « tout au long de ce document, l’utilisation de termes communément acceptés dans la littérature médicale et scientifique n’implique pas l’acceptation ou le rejet du dogme qu’ils représentent ».

Virologie et société close

Je ne suis pas un scientifique, mais c’est le droit et le devoir de chaque citoyen de regarder et de voir ce que les scientifiques ont dit, de l’analyser par lui-même et d’en tirer des conclusions sensées. Nous sommes tous parfaitement capables de le faire, et il n’y a aucune raison particulière pour que la nature scientifique du problème nous oblige à remettre notre liberté entre les mains des scientifiques.

Lord Sumption, 2020. 182

C’est l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA pour United Kingdom Health Security Agency) qui a fourni l’une des réponses les plus étranges jamais vues en ce qui concerne la dissimulation de la véritable nature des contrôles supposés dans leurs prétendues « expériences d’isolement et de séquençage du SRAS-CoV-2 ». Le 27 octobre 2021, en réponse à une demande de liberté d’information concernant l’isolement du virus, ils ont suggéré que l’image représentée dans la figure 9 ci-dessous constituait une « preuve » du virus SARS-CoV-2183. Mon collègue, qui avait fait la demande, n’a pas du tout été dupe d’une image générée par ordinateur qui n’était accompagnée d’aucune information sur la source de l’image ou sur la manière dont elle avait été produite. L’UKHSA a continué à tâtonner sur le plan scientifique, déclarant que les virus « ont besoin d’un substrat cellulaire hôte pour se répliquer. L’isolement d’un virus sans milieu n’est donc pas possible… Ces milieux et tous les produits ajoutés sont tous stériles et ne contiennent pas de matériel génétique supplémentaire » 184. Nous ne pouvons que spéculer sur ce que l’UKHSA pense que les cellules hôtes contiennent, si ce n’est du matériel génétique ! À l’instar des CDC, l’équipe d’intervention a également semblé laisser entendre que l’article de Na Zhu et coll. intitulé « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019 » (Un nouveau coronavirus provenant de patients atteints de pneumonie en Chine, 2019) permettait de confirmer que la particule de virus SARS-CoV-2 imaginée avait une existence physique.

Figure 9: The https//uksa.blog.gov.uk/2021/02/05/what do we know about the new COVID-19 variants/
L’affirmation farfelue de « preuve » du SARS-CoV-2 du 27 octobre 2021.

Mon collègue a fait remarquer à l’UKHSA qu’elle n’avait aucune preuve de l’existence d’un virus et que, de ce fait, elle s’impliquait elle-même en « blessant inutilement des personnes en leur inspirant de la peur, en leur retirant sommairement leurs droits et en les contraignant à suivre un traitement inutile et nuisible, ce qui est moralement répréhensible185 ». Sans se décourager, il a écrit à nouveau à l’UKHSA quelques mois plus tard pour demander la divulgation de la méthodologie complète des expériences de culture cellulaire et de tout contrôle comparatif dans le document de Public Health England, « Duration of infectiousness and correlation with RT-PCR cycle threshold values in cases of COVID-19, England, January to May 2020 » (Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020) 186. La lettre de réponse de l’UKHSA datée du 25 mars 2022 contenait un texte qui représentait soit une conspiration entre l’OMS et des États-nations souverains pour ne pas divulguer les détails de la tromperie de la « culture virale » qui est au cœur de la fraude du COVID-19, soit une profonde ignorance de la part de l’UKHSA en décrivant le SRAS-CoV-2 comme un « virus à haut risque » 187.

Conformément à la section 1 (1) (a) de la loi, l’UKHSA peut confirmer qu’elle détient les informations demandées concernant les questions ci-dessus. Toutefois, les informations demandées ne peuvent être divulguées en vertu de l’article 24 (1) — Exemption pour Sécurité Nationale. La section 24 (1) prévoit que les informations sont exemptées si l’exemption de la section 1 (1) (b) est nécessaire pour sauvegarder la sécurité nationale. Par « nécessaire », on entend que le recours à l’exception est raisonnablement nécessaire…

Les facteurs qui justifient le maintien de l’exemption sont les suivants :

La divulgation de ces informations constituerait une information technique très détaillée, un transfert de savoir-faire, qui irait directement à l’encontre d’une demande explicite de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Santé Publique Angleterre (Public Health England ou PHE, aujourd’hui UKHSA) en 2020 de ne pas divulguer ou diffuser largement les détails de l’amplification de la culture du SARS-CoV-2 ;

La divulgation de ces informations consisterait à détailler la méthodologie exacte utilisée dans l’amplification du virus pour un virus désigné à haut risque, nécessitant un confinement de niveau 3, et pourrait constituer une menace pour la biosécurité nationale et mondiale si elle était communiquée à un membre du public non identifié ou non vérifié ou à des agents mal intentionnés

La divulgation de ces informations permettrait d’acquérir un important savoir-faire qui pourrait, dans certaines circonstances, être considéré comme une menace pour la biosécurité188.

Un réexamen de cette décision a été demandé par mon collègue, mais la décision a été confirmée par l’UKHSA le 3 mai 2022, au motif que la communication des détails de l’expérience de culture cellulaire « a été compensée par la menace que la divulgation fait peser sur la sécurité nationale » 189. On ne voit pas très bien en quoi le fait de garder secrets les détails de leur méthodologie expérimentale est nécessaire aux efforts du Royaume-Uni pour « sauvegarder la sécurité nationale ». Il a été révélé que les virologues n’effectuent pas d’expériences de contrôle valables et que leurs affirmations concernant « l’isolement de virus » n’ont pas été établies dans la littérature scientifique. Les autorités craignent-elles que, si elles admettent cela officiellement, il y aura une révolte lorsque le grand public réalisera les crimes qui ont été commis sur la base d’affirmations provenant d’expériences virologiques frauduleuses ? Leur obstruction officielle à la divulgation de ces informations au public, invoquant la « biosécurité », est paradoxale étant donné que l’existence du prétendu « virus à haut risque » n’a pas été démontrée.

Maggie Throup, sous-secrétaire d’État parlementaire chargée des vaccins et de la santé publique, est peut-être la seule à avoir surpassé les réponses complètement folles de l’UKHSA. Dans un courriel adressé à sa collègue députée Rachael Maskell le 27 juin 2022, Mme Throup a déclaré que,

« L’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) n’utilise pas les postulats de Koch dans le COVID-19, car ils sont trop restrictifs et suggèrent une association plutôt qu’une causalité. Koch a également abandonné ses postulats lorsqu’il a découvert un portage asymptomatique. Les critères de Bradford-Hill sont plus couramment utilisés lorsqu’il s’agit d’associer un virus à une maladie. Il convient toutefois de noter que le SARS-CoV-2 répond aux postulats de Koch, comme le démontre l’article suivant, où un modèle animal a été utilisé » 190.

Comme cela a été souligné plus haut dans cette section de l’essai, il est absurde de prétendre que les postulats pourraient être satisfaits alors que l’existence du microbe postulé n’a jamais été établie. En outre, l’article de 2020 auquel Throup fait référence est « The pathogenicity of SARS-CoV-2 in hACE2 transgenic mice » 191 (La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2). Cet article n’a jamais établi qu’il y avait un virus dans ses échantillons, n’avait pas de contrôles valides, ne suivait pas les postulats de Koch et présentait d’autres aspects de la fraude192. Cependant, Throup a continué à promouvoir des absurdités virologiques en prétendant qu’une autre étude193 « démontre l’évolution de la maladie COVID-19, à partir du moment où une personne rencontre pour la première fois le SRAS-CoV-2, tout au long de l’infection jusqu’au moment où le virus est apparemment éliminé ». Une fois de plus, l’article affirmait simplement qu’il y avait un virus dans leurs échantillons et n’avait aucun contrôle valide, sans parler des autres aspects non scientifiques de l’étude qui ont été traités ailleurs, y compris la réfutation complète de l’article par ViroLIEgy alors qu’il s’agissait d’un avant-tirage194 (([42] NdT : tirage avant publication officielle ou grand public)). En d’autres termes, les politiciens tels que Throup répètent les absurdités de la virologie et soumettent ainsi leurs électeurs à une gamme obscène de conséquences inutiles et parfois mortelles.

Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?

L’ambition réductionniste de la biologie moléculaire ne risque-t-elle pas d’être contrariée par le volume des données qu’elle produit, voire par l’intérêt passionnant de leur collecte ?

Sir John Maddox195

Le coût du séquençage a chuté de façon spectaculaire depuis 2001, lorsqu’il s’élevait à plus de 5 000 $ US par mégabase brute (Mb), jusqu’en 2007, lorsqu’il était d’environ 500 $ US par Mb, après quoi il a chuté précipitamment à 0,005 $ US par Mb vers le milieu de l’année 2021196. En outre, l’émergence du séquençage de nouvelle génération (NGS) vers 2005 a entraîné une réduction massive du temps nécessaire au séquençage des génomes. Comme l’indique un article paru en 2017 dans Biology and Medicine,

Le génome humain, par exemple, est constitué de 3 milliards de paires de bases… le séquençage du génome humain à l’aide du séquençage Sanger a pris près de 15 ans, a nécessité la coopération de nombreux laboratoires dans le monde entier et a coûté environ 100 millions de dollars US, alors que le séquençage par des séquenceurs NGS à l’aide du 454 Genome Sequencer FLX a pris deux mois et a coûté environ un centième de ce coût197.

Le même document poursuit en indiquant que « malheureusement, les NGS sont incapables (sic) de lire la séquence d’ADN complète du génome, ils sont limités au séquençage de petits fragments d’ADN et génèrent des millions de lectures. Cette limite reste un point négatif, en particulier pour les projets d’assemblage du génome, car elle nécessite des ressources informatiques importantes. »

Il est souligné qu’en ce qui concerne la virologie, une préoccupation bien plus importante que les « ressources informatiques » est qu’un processus qui peut être utilisé pour le séquençage du matériel génétique de provenance connue (par exemple les cellules humaines, bactériennes et fongiques) s’est transformé en un assemblage algorithmique de fragments génétiques de provenance inconnue. C’est sur cette base que les chasseurs de virus identifient ce qu’ils prétendent être des virus. Les ressources informatiques ne sont plus un problème pour les virologues, car ils extraient des informations de leurs méthodologies totalement anti-scientifiques de « pipeline de laboratoire humide » impliquant des échantillons bruts et introduisent ces lectures non filtrées générées dans leur « pipeline de laboratoire sec » théorique et ses modèles in silico. (([43] NdT : le « laboratoire humide » est le laboratoire habituel utilisé par les biologistes et qui comporte donc des arrivées d’eau, des fioles, etc.. Le « laboratoire sec » c’est tout simplement une salle qui contient des ordinateurs.))

Il semblerait que la combinaison de coûts de séquençage massivement réduits et de délais raccourcis ait accéléré la descente de la virologie vers une antiscience supplémentaire, pour laquelle l’humanité paie un prix très élevé pour des virus inexistants qui sont inventés à volonté et utilisés comme excuses pour des interventions fallacieuses et la réduction en esclavage. Une publication d’octobre 2019 dans Critical Reviews in Microbiology (Revisions critiques en microbiologie) affirme que « le mNGS (NGS métagénomique) donne de bons résultats dans l’identification de pathogènes rares, nouveaux, difficiles à détecter et coinfectés directement à partir d’échantillons cliniques » 198. Cependant, « donne de bons résultats » en ce qui concerne l’identification de nouveaux « pathogènes viraux » n’a pas de sens, car ils sont également tombés dans le tourbillon du raisonnement circulaire de la virologie. La plupart des « nouveaux agents pathogènes » qu’ils ont énumérés dans leur article étaient des virus dérivés de la technique moderne « indépendante de la culture » prétendument avantageuse de la mNGS. Cependant, une fois de plus, si personne ne peut cultiver ou isoler physiquement de prétendus virus, comment peut-on prétendre que les diverses séquences génétiques présentes dans les échantillons environnementaux proviennent de ces virus ? Comme cela a été souligné, la déclaration de Fan Wu et coll. d’un « nouveau coronavirus » à Wuhan était entièrement basée sur de telles séquences génétiques. La tentative de la virologie de faire passer cette méthodologie pour une preuve de l’existence de particules virales a introduit une hypothèse non réfutable qui n’est pas conforme à la méthode scientifique.

Figure 10. Le système MiniSeq d’Illumina — comment l’équipe de Fan Wu et d’autres chercheurs trouvent des « virus » in silico au 21e siècle grâce à des algorithmes informatiques. Ce processus se déroule dans le cadre d’un laboratoire sec, sans qu’il soit nécessaire de démontrer l’existence d’une particule infectieuse à l’origine d’une maladie.

La spécialisation (et l’automatisation croissante) du processus génomique conduit à une situation où peu de personnes peuvent apprécier le tableau d’ensemble, depuis l’évaluation clinique d’un patient jusqu’aux séquences de nucléotides générées sur un écran d’ordinateur. Les virologues invalident le processus du « génome du virus » dès la première étape en n’établissant jamais qu’ils disposent d’une particule répondant à la définition d’un virus. Ils ne démontrent certainement jamais que les séquences qu’ils prétendent être « virales » proviennent de l’intérieur d’une telle particule imaginaire. Au lieu de cela, ils prétendent que de telles déclarations peuvent être faites par consensus, que les séquences soient qualifiées de « non humaines » ou de « nouvelles » et qu’elles correspondent à des séquences « virales connues » qui ont été précédemment déposées dans les banques de données génétiques. Cependant, la Nature n’obéit pas aux histoires créées par l’homme.

Le processus métagénomique permet l’invention de novo de telles séquences virales et a permis au manège de la virologie de continuer à tourner au 21e siècle. Cependant, en raison de l’incapacité de la virologie à respecter ses propres postulats au cours du siècle dernier, il est presque certain que son avenir sera entièrement construit autour de cette mauvaise utilisation, ou du moins de cette mauvaise application, de la métagénomique. On peut espérer que l’incapacité récente de plusieurs organisations à prouver qu’elles effectuent des expériences de contrôle valables indique que les pandémies virales sont à bout de souffle sur le plan scientifique. Elles ne pourront se propager qu’aussi longtemps que cette dernière fraude sera cachée au public. On peut s’attendre à ce que, dans le dernier souffle de la virologie, la métagénomique continue d’être vendue de manière trompeuse comme un « progrès technologique » et prétendant, de manière commode, comme ayant rendu obsolètes les preuves scientifiques appropriées.

Comme nous l’avons souligné, les folies de ces « avancées technologiques » peuvent généralement être mises en évidence en posant une simple question pour vérifier si elles respectent la méthode scientifique. Par exemple, en 2020, une équipe canadienne a affirmé qu’elle comparait diverses techniques pour « le séquençage du génome entier du SRAS-CoV-2 » à partir d’écouvillons nasaux prélevés sur deux personnes prétendument atteintes du COVID-19199. L’un des auteurs était le Dr Andrew McArthur, professeur agrégé de biochimie et de sciences biomédicales à l’université McMaster, au Canada. Il lui a été demandé s’ils avaient « (essayé) d’extraire l’ARN de témoins sains (personnes saines ou échantillons PCR négatifs) ou de surnageants non infectés, mais exempts de virus », pour voir s’ils pouvaient également assembler un « génome SARS-CoV-2 » grâce à leur méthodologie ?

McArthur a répondu que « nous n’avions pas d’écouvillons de témoins sains, mais l’étude comprenait des contrôles négatifs pour les applications/bibliothèques, c’est-à-dire qu’aucun échantillon d’ARN n’était inclus » 200. En effet, il n’y avait qu’une seule mention d’un « contrôle » dans l’article où il était dit : « une bibliothèque de contrôle négatif sans extrait d’ARN du SARS-CoV-2 a été incluse en utilisant l’amplification de l’ARTIC ». Une fois de plus, l’absence d’un contrôle valable, à savoir un échantillon d’origine humaine dépourvu du prétendu « virus », place cet article dans les vastes archives des absurdités métagénomiques de la virologie. Ironiquement, leur article affirme également que « COVID-19 est causé par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2), un nouveau coronavirus apparu en décembre 2019 », en citant l’article de Peng Zhou et coll. dont la fraude a été exposée plus haut dans cet essai.

Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre ?

L’auteur a observé et a été en contact avec un certain nombre de personnes du mouvement « Health Freedom » (([44] NdT : mouvement pour la Liberté de la Santé, coalition libertaire qui s’oppose à la réglementation des pratiques de santé et plaide pour un accès accru aux soins de santé « non traditionnels »)) qui soutiennent qu’il est inutile de discuter de la question de savoir si l’existence du SRAS-CoV-2 ou de tout autre virus pathogène a été démontrée. Parmi les arguments avancés, on peut citer le fait que cela détourne l’attention des crimes commis contre l’Humanité, qu’il s’agit d’une erreur stratégique, car cela crée davantage de divisions, et que si l’hypothèse virale (ou la « théorie » des germes au sens large) est contestée, une théorie alternative doit être présentée. Il n’est pas nécessaire de dresser une liste exhaustive des personnes qui avancent de telles affirmations, mais le Dr Roger Watson, universitaire britannique, a déclaré en mars 2022 : « Il est difficile de comprendre comment Sam Bailey parvient à ses opinions et il n’est pas nécessaire de nier l’existence du virus pour critiquer vivement la façon dont la pandémie a été gérée » 201. La critique de Watson illustre ce que l’on espère avoir démontré comme étant une opinion mal informée qui repose sur la répétition des affirmations de la virologie. Notre point de vue ne devrait pas être difficile à comprendre pour ceux qui ont mené des enquêtes approfondies sur l’histoire, les méthodologies anti-scientifiques et les déclarations des virologues, y compris la déclaration d’un « nouveau coronavirus » en 2020, et qui se sont efforcés de communiquer cette fraude au public dans un langage clair.

Dans certains cas, ces critiques affirment que tout ce qui concerne la pandémie est une fraude, à l’exception de l’affirmation des virologues (et de l’OMS) selon laquelle le SARS-CoV-2 a une existence physique en tant que particule pathogène. Ils ne voient pas que la base même de la fraude est également une fraude. La difficulté pour certains, même ceux qui font partie du mouvement pour la liberté, pourrait être que la répudiation de l’existence du virus se ferait au prix de la remise en question d’une grande partie du travail de toute une vie. Cependant, au cours d’une enquête, il ne faut pas s’arrêter pour des raisons de commodité ou parce que l’état actuel des connaissances ne permet pas d’aller plus loin. Au contraire, c’est une grave erreur de laisser les « faits » fondamentaux être dictés par l’establishment de la virologie. Le cœur de la fraude du COVID-19 repose sur les affirmations de la virologie. Ce n’est pas une erreur stratégique que d’orienter notre énergie vers la mise en évidence des faiblesses de la virologie, sinon le fait de mettre en échec les réponses au COVID-19 tout en laissant intactes les absurdités de la virologie ouvre la porte à toutes sortes de « pandémies virales » à l’avenir. La compréhension de l’ensemble de la fraude élimine la peur infondée de la contagion et permet d’emprunter une voie plus solide vers une liberté durable.

Post-scriptum

Quelle que soit la longueur d’un essai sur ce sujet, il y aura toujours plus de questions sous la forme de « mais qu’en est-il de… ? ». Le désir d’adapter les phénomènes observés au modèle viral est fortement programmé à de nombreux niveaux. Cet essai n’avait pas pour but d’expliquer les observations périphériques ou la cause de diverses maladies dans des organismes tels que l’homme. Comme cela a été détaillé, il suffit de démontrer que l’hypothèse virale s’est réfutée d’elle-même. Les virologues n’ont fourni aucune preuve directe de l’existence de virus pathogènes et ont eu recours à des observations indirectes qui ne sont pas valables en raison de la nature incontrôlée des expériences (([45] NdT : Sans faire les expériences de contrôle)). De plus, en adhérant à la méthode scientifique, nous ne sommes pas obligés de fournir une autre explication à ces phénomènes — lorsqu’une hypothèse a été réfutée, ne serait-ce qu’une seule fois, c’en est fini d’elle. Tragiquement, les explications à de nombreuses questions du type « mais qu’en est-il de… ? » ont déjà trouvé une réponse ailleurs, mais la séduction du « virus » et le poids des intérêts qui l’entourent ont créé une barrière de connaissances artificielle pour de nombreuses personnes. Dans cette optique, je me suis efforcé de servir le but le plus élevé que je connaisse et j’espère que mes contributions aideront l’Humanité à se débarrasser une fois pour toutes des chaînes virales imaginaires.

Le progrès consiste non pas à accroître la vérité, mais à la libérer de ses enveloppes. La vérité s’obtient comme l’or, non pas en la faisant grossir, mais en la débarrassant de tout ce qui n’est pas de l’or.

Léon Tolstoï202

Au sujet de l’auteur

Dr Mark Bailey MB ChB, PGDipMSM, MHealSc (Otago), est un chercheur en microbiologie, en industrie médicale et en santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Traduction Jean Bitterlin 24 décembre 2023

INDEX




Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

[via santeglobale.world]

Rien de biologique dans les vaxxins, que des nanotechnologies métalliques. L’être humain est « hacké », implanté, hybridé avec des matériaux synthétiques… on fabrique des transhumains ! La pandémie de graphène est en route.

À 1 h 15 Dominique GUILLET (Xochipelli) apporte sa vision du danger de la graphénisation de l’humanité. Depuis un siècle, les vaxxins sont des armes léthales. Il montre que Raoult, Fouché, Henrion-Caude et d’autres n’ont rien compris au vrai problème : le graphène et autres particules métalliques qui sont partout et ont pour but de génocider l’humanité (avec la 5G).

Delgado (Quinta Columna) : il y a des « prédateurs invisibles », des « entités énergétiques » (les Archontes) qui se nourrissent des émotions négatives et de la souffrance humaine et agissent à travers la franc-maçonnerie et les gouvernements. Il s’agit d’une « lutte pour les âmes ». Les prédateurs passent inaperçus en contrôlant les institutions et en traitant de « non scientifiques » ceux qui leur résistent.

Ceux qui occultent le graphène sont les jouets des forces sataniques… Graphène et 5G sont des outils pour neuromoduler ou tuer les êtres humains.

D’autres civilisations avant la nôtre ont été implantées, domestiquées, manipulées, parasitées…

Tout le monde a été trompé, sur toute la planète, avec la supercherie vaxxinale.

Combien faut-il de millions de gens conscients pour lever enfin le « Secret Défense » qui règne encore ?

Chacun, ayant reçu ces informations capitales, doit se repositionner et sortir de cette « usine du mensonge ». Aucune entité ne peut vous dominer si vous vous reliez à votre souveraineté pour dire NON à leur domination.

Note de TAL : cette vidéo est IMPORTANTE, faites circuler !! Le temps est venu de montrer la vérité du combat titanesque entre les forces de l’ombre et les forces de la lumière, qui ne peuvent que gagner lorsque les consciences s’éveillent !

[NDLR En complément,
voir les dossier 5G et ondes pulsées
et Vaccins et virus]

Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet




[Source : xochipelli.fr]




Comment l’UE nous prend pour des imbéciles

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

« Lorsque des petits enfants de quatre ans assistent à un spectacle de marionnettes, ils sont tellement embarqués dans l’histoire qu’ils oublient le monde qui les entoure. Plus rien n’existe autour d’eux. Ils sont pris dans le récit. Le récit devient la réalité, leur réalité. Eh bien, il se passe la même chose pour la plupart des gens quand ils se retrouvent devant les informations. Ainsi, si les médias veulent que les gens aient peur, ils inondent les esprits de récits anxiogènes. S’ils veulent que les humains soient heureux, ils inondent les esprits de récits joyeux. S’ils veulent qu’ils soient divisés, ils les montent les uns contre les autres. S’ils veulent qu’ils aillent en guerre, ils leur vendent un ennemi commun. Bref, les gens sont croyants, mais ils ne le savent pas. Leur attitude est si religieuse vis-à-vis des médias, ils croient tellement à leurs récits, au “Dieu-média”, que j’oserais presque dire que l’athéisme n’existe presque nulle part sur terre. »

Texte d’Alexis Haupt, écrivain et philosophe.

Ceux qui prennent pour argent comptant tout ce que nous rats-conte les médias (TV, radio, journaux, magazine…), ceux pour qui les médias sont les Tables de la Loi ne sont en fait que les dindons et les victimes d’une farce sordide.

Aussi le déclenchement par Thierry Breton, Commissaire européen au marché intérieur (Remarque : non élu par les citoyens) d’une procédure d’infraction contre Elon Musk et X est la preuve flagrante que l’Union Européenne a beaucoup de choses importantes à cacher au grand public.

Si en effet des contenus de X peuvent être critiqués, beaucoup ont le très grand désavantage pour l’EU, et ses fonctionnaires, de révéler des vérités soigneusement dissimulées à l’ensemble de la population. Ce que ne faisait pas précédemment Twitter qui filtrait, disons plutôt censurait, une part importante des informations essentielles et indispensables à notre compréhension de ce qui se passe dans le monde.

Nous en donnerons que quatre exemples parmi une multitude.

1)

2)

https://www.francesoir.fr/societe-sante/tweet-musk-vaccins-desinformation-video

3)

https://www.businessbourse.com/2023/12/18/vaccins-ils-trouvent-de-la-proteine-spike-dans-les-cellules-cancereuses/

4)

https://www.businessbourse.com/2023/12/20/et-vous-continuez-a-les-croire-encore-plus-de-6700-lits-dhospitalisation-complete-ont-ete-fermes-en-2022-poursuivant-la-baisse-constatee-ces-vingt-dernieres-annees/

Médias et UE hors la Loi !

https://planetes360.fr/elon-musk-declare-la-guerre-a-thierry-breton-un-combat-explosif-pour-la-liberte-dexpression-article-19-nation-unies/

Bonus

Conclusion :

Bizarrement à part de rares exceptions très peu de politiques réagissent à cet état de fait. Sont-ils corrompus, incapables ou ignorants ? Ce qui est maintenant certain, c’est que ces individus-là ne méritent pas de représenter le peuple.

Prenez garde, le très informé et toujours en avance Jacques Attali sentant le vent tourner vient de publier en cette fin d’année 2023 son dernier ouvrage :

* La députée européenne Europe Ecologie-Les Verts Michèle Rivasi, née le 9 février 1953 à Montélimar est morte le 29 novembre 2023 subitement à Bruxelles d’une crise cardiaque.




La santé internationale selon l’Organisation mondiale ou morbide de la Santé ?1

Par Claude Janvier

« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les états signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. »

Extrait d’un article de Réinfo-Québec.

Depuis la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.

Selon sa constitution, l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples des États membres et partenaires à un niveau de santé le plus élevé possible ; la santé étant définie comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

L’OMS est donc devenue incontournable dans le domaine de la santé mentale et physique, dictant ses recommandations à la planète entière.

Aucun État ne songe à remettre en cause ses décisions émanant de spécialistes éminents ou se faisant paraître comme tels. Cette « chasse gardée » de la santé rapporte des milliards de dollars aux puissants laboratoires pharmaceutiques, censés nous vouloir du bien.

Financée par les États membres et par la fondation Gates, il apparaît nécessaire de s’interroger sur l’efficacité réelle de cette organisation au vu, entre autres, du nombre grandissant des effets secondaires des liquides expérimentaux appelés frauduleusement « vaccins » pour soigner la Covid-19, qui ont occasionné « 2 600 effets secondaires graves par semaine en France2 ».

À peine sortis des essais cliniques non concluants, les vaccins Covid-19 continuent d’être injectés à grand renfort de publicité à quasiment toute la population, y compris les jeunes enfants, provoquant beaucoup de décès et d’innombrables effets secondaires dans l’Union européenne et aux États-Unis.

Dans la base de données de l’Union européenne sur les effets indésirables des vaccins anti-Covid, appelée « EudraVigilance », 1 509 266 blessures ont été signalées, dont 15 472 décès, au 19 juin 2021. EudraVigilance n’accepte que les rapports des membres de l’UE et ne couvre donc que 27 des 50 pays européens3.

L’OMS est assurément un outil bien pratique pour asseoir une suprématie planétaire au service d’une poignée d’individus. Le 13 mars 2018, cette organisation a publié comme chaque année, la liste des maladies prioritaires à étudier d’urgence, coïncidant avec l’apparition de la mystérieuse maladie X causée par un hypothétique virus ! John Arne Røttingen, directeur exécutif du Conseil norvégien de la recherche et conseiller de l’OMS, précise au média Telegraph, à propos de cette maladie encore inconnue, que :

« … L’Histoire nous enseigne qu’il est probable que la prochaine grande épidémie sera quelque chose que nous n’avons pas connu auparavant […]. Cela peut 30 paraître étrange d’ajouter un X, mais le but est de s’assurer que nous nous préparons et que nous planifions de manière flexible des tests de vaccins et de diagnostics. Nous voulons mettre au point des plateformes prêtes à l’emploi qui fonctionneront pour n’importe quelle maladie ou pour un large nombre de pathologies, des systèmes qui nous permettront de créer des contre-mesures rapidement4 »

Étonnant ! D’une part, parce qu’une déclaration comme celle-ci est une insulte à la science et, d’autre part, comment et sur quels critères l’OMS a-t-elle pu classer la mystérieuse maladie X dans la liste Blueprint regroupant les maladies et les pathogènes qui représentent la menace la plus importante pour la santé publique par leur potentiel épidémique, au même titre que l’Ebola, Marburg, Zika, alors qu’il ne s’agit que d’une pure hypothèse ?

Dès lors, on peut légitimement se poser un certain nombre de questions sur la Covid-19, dont l’émergence, la propagation et le déferlement mondial auront été attendus, voire conjecturés, par l’OMS. Auquel cas, cette Organisation mondiale de la santé, agence spécialisée de l’ONU pour la santé publique, dont dépend directement le Conseil économique et social des Nations unies, a donc osé épouvanter la population avec une prospective terrifiante par une maladie inconnue qui s’abattra sur la planète tout entière.

Partant de ce constat, l’OMS, avec ses satellites tentaculaires, s’avère être bel et bien une organisation pervertie et corrompue aux ordres de l’oligarchie financière mondiale apatride.

La liste des bienfaiteurs et pourvoyeurs de fonds de cette organisation présidée par l’Éthiopien, Tedros Adhanom Ghebreyesus, depuis le 23 mai 2017, est longue. Parmi les plus grands contributeurs (en millions de dollars US) pour l’exercice 2020-20215, retenons la fondation Bill & Melinda Gates, la Gavi Alliance, où siègent en permanence Bill & Melinda Gates, Baxter international, inc. (contributeur volontaire), la Commission européenne, le Rotary International ou encore l’Unicef.

Que du « beau » monde ! L’OMS dépendant, comme souligné, de l’ONU, voici une déclaration étonnante émanant de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) et ayant pour titre :

« Échapper à l’ère des pandémies : les experts mettent en garde contre de pires crises à venir » :

(Bonn, le 29 octobre 2020)

« Des pandémies futures vont apparaître plus souvent, se propageront plus rapidement, causeront plus de dommages à l’économie mondiale et tueront plus de personnes que la Covid-19, à moins que l’approche globale de la lutte contre les maladies infectieuses ne soit modifiée, avertit un nouveau rapport clé sur la biodiversité et les pandémies (en anglais6) rédigé par 22 experts de premier plan du monde entier. »

Alice Desbiolles, épidémiologiste, le 5 janvier 2022, citait une déclaration de l’OMS sur Europe 1 dans l’émission de Sonia Mabrouk :

« Le coronavirus n’est qu’un “amuse-gueule” de ce que nous allons vivre ces prochaines années… Nous rentrons dans l’ère des pandémies, on peut parler d’épidémie de pandémie… »

Vous êtes prévenus ! Il est encore temps de dire stop aux diktats de l’oligarchie financière mondiale apatride.

Claude Janvier. Ecrivain, essayiste, chroniqueur. Auteur du livre « Les Démasqués, Qui dirige réellement le monde ? » KA Editions

Notes




Turbos cancer et surmortalité mondiale : ne vous faites plus ou pas injecter !

Le point le 18 décembre 2023

Par Nicole Delepine

Les autorités françaises continuent à inciter la population à se faire injecter les pseudovaccins anticovid, éventuellement associées au vaccin contre la grippe (ce qui aggrave le risque d’AVC) y compris chez les enfants. Aberrant (aucun risque du Covid et très faible risque de la grippe).

Ils n’hésitent pas à falsifier les résultats actuels en France et à nier les effets dévastateurs des injections démontrés dans de nombreux autres pays. Ils reprennent ainsi le vieux mythe du temps de Tchernobyl : « grâce à nos frontières qui existent encore pour nous protéger des virus et des complications des vaccins, pas de problème ».

Ne pouvant plus nier les multiples accidents cardiaques ni l’augmentation de la mortalité constatés chez nos proches ou amis, l’inénarrable Libération prétend qu’ils seraient liés au vilain virus qui tuerait à retardement et même peut être au « port du masque tombé en désuétude » ! Mais n’espérez pas que les injections qui ont été incapables de vous protéger hier vous protégeraient demain. Elles sont déjà responsables de nombreuses victimes par le monde, et il n’est pas nécessaire d’en rajouter !

Il semble donc opportun de rappeler à tous, y compris ceux qui croient que la plandémie covid 1 est terminée, que le risque de ces injections expérimentales est élevé à moyen terme et encore impossible à estimer à long terme.

En effet, après l’apparition des accidents cardiaques y compris brutaux, puis des atteintes neurologiques, des troubles des règles et de la fertilité et des turbocancers depuis quelques mois, chacun doit s’inquiéter et surtout éviter de s’injecter à nouveau ou de faire injecter les enfants ou les personnes âgées qui nous font confiance. L’apparition de dissonances cognitives plus tardive fait craindre que nous ne soyons pas au bout de nos découvertes post-poison.

En attendant, un seul mot d’ordre devrait inonder la planète à la suite des spécialistes comme Alexandra Henrion Caude2, Robert Malone ou le Dr Makis pour n’en citer que trois mondialement connus :

STOP AU POISON PARTOUT DANS LE MONDE !

Ainsi les turbocancers que nous évoquions il y a déjà deux ans se sont multipliés depuis quelques mois par centaines laissant craindre une explosion de cancers à distance des injections.

Voici par exemple la distribution des cancers au Royaume-Uni rapporté par le cancérologue William Makis3 :

Alors Pfizer veut nous rassurer et certainement aussi améliorer ses perspectives de ventes : il achète les labos fabriquant les remèdes contre le cancer. Ainsi Makis, le 14 décembre 2023 dans un nouvel article, met en exergue l’acquisition par Pfizer de la firme Seagen pour 43 milliards de dollars pour une petite entreprise de médicaments contre le cancer qui gagne à peine 2 milliards de dollars par an. Cherchez la raison. D’autant que Pfizer émettra également 31 milliards de dollars de dette pour l’acquérir.

Que se cache-t-il dans ces détails si ce n’est le fait que les vaccins anticovid provoquent de nombreux turbocancers, ce qui permettra, Pfizer l’espère, de traiter les maladies qu’on a créées ?

Dans la description de Makis 5 principaux cancers apparaissant chez les injectés à l’ARNm

La nouvelle acquisition de Pfizer permettra de traiter deux de ces cancers et Bourla le PDG annonce, au cours d’une tournée publicitaire, que 33 % des gens auront un cancer. C’est un bon commerçant et il continue ses pronostics morbides, tout en vantant l’efficacité de ses futurs produits ciblés et sa capacité grâce à son réseau mondial de « disposer de moyens rapides de finir les essais cliniques ! » Pourquoi a-t-il besoin de tant d’antipoison si ce n’est qu’il SAIT ce qu’ils ont fait ?4

Ces nouveaux traitements seraient « des missiles » contre le cancer. Et quoi encore ? En tous cas tout est bien planifié. Un bien portant n’est pas un client, alors les rendre malades puis produire des médicaments pour guérir des maladies induites par les poisons et ainsi de suite, le rêve de tout patron d’entreprise de médicaments.

Malheureusement, nous ne pouvons actuellement que constater la surmortalité démontrée depuis 2021 dans de nombreux pays plus transparents que le nôtre. Cette surmortalité, toutes causes confondues, est probablement liée en grande partie aux complications du poison injecté, car ce sont les pays les plus injectés qui ont la surmortalité la plus forte.

Voici quelques tableaux d’information afin de vous faire votre propre opinion :

Sources :
@felicittina #Surmortalité @HMDatabase continue à produire ces chiffres de surmortalité sans qu’aucun des grands instituts qui l’ont créée (Berkeley, Max Planck, @InedFr il ne semble s’en intriguer. On y trouve pourtant les plus prestigieux démographes…]

Sur l’ensemble des 26 pays, la surmortalité « post-ARNm » représente 2,4 fois celle constatée précédemment :

Et ça continue :

Les chiffres sont malheureusement très parlants et BFM Tv est encore actuellement en train de nier les effets secondaires du poison-vaccin.

Écoutez pour conclure la dernière interview de Didier Raoult :