Pourquoi veulent-ils nous tuer ?

Par Jean-Michel Grau

« Pourquoi veulent-ils nous tuer? »

Tel est le cri du cœur entendu lors du meeting de Florian Philippot le 26 février dernier, pour protester contre le nouveau confinement le week-end à Nice et sur le littoral des Alpes-Maritimes.

Car le confinement tue. Il tue d’abord lentement mais sûrement tous les indépendants qui ne peuvent plus travailler, qu’ils soient restaurateurs, hôteliers, gérants de bar, de café, de discothèque, de cinéma, de théâtre, de salle de spectacles, de salle de sport, qui sont poussés inexorablement vers la faillite et la ruine. Quel est leur avenir ? Le chômage et la grande pauvreté. Car beaucoup ont déjà compris qu’ils ne rouvriront plus jamais.

Le confinement tue aussi les étudiants, claquemurés dans leur chambre, qui ne peuvent même plus suivre leurs cours autrement que devant le petit écran de leur ordinateur sans voir plus personne. Beaucoup abandonnent déjà leurs études ou songent même à se suicider quand ils ne passent pas carrément à l’acte. Combien ont-ils déjà mis fin à leurs jours à l’heure où sont écrites ces lignes ?

« Nous sommes en guerre. »

C’est une mort à petit feu de toute la classe moyenne qui est sournoisement en train de se mettre en place. Un génocide anonyme et aveugle, sous prétexte d’une guerre déclarée par notre chef d’État il y a bientôt un an.

Mais une guerre contre qui ? Contre un virus, comme il l’a affirmé dans son allocution martiale du 16 mars 2020(([1]youtube.com/watch?v=GPhReeA8oKs)),

ou bien alors contre son propre peuple ?

Son peuple qui l’a élu… pour lui faire la guerre ?

Car faire la guerre à un virus n’a aucun sens. Décréter la mobilisation générale contre un être vivant de 0,12 micron apparaît proprement surréaliste.(([2]abcdust.net/quelle-est-la-taille-dun-virion-covid-19-par-rapport-au-mp10-25/?lang=fr)) Doit-on rappeler à ce général de laboratoire autoproclamé qu’il existe sur terre plus d’un million de quadrillions de virus, dont 200 seulement sont capables de provoquer des maladies chez l’homme en s’introduisant dans les cellules humaines ?(([3]nationalgeographic.fr/sciences/2020/04/il-y-plus-de-virus-que-detoiles-et-pourtant-seulement-certains-nous-affectent))

En fait, c’est inutile, car bien évidemment, il sait tout cela.

Il le sait, tout comme son ministre de la santé qui déclarait il y a encore un an, que le port du masque est inutile pour les personnes en bonne santé.(([4]dailymotion.com/video/x7sh6ng)) Le même ministre, toujours en exercice, qui déclarait cinq jours plus tard que c’est le confinement qui provoque la circulation du virus.(([5]dailymotion.com/video/x7slnvs))

Mais alors, qu’est-ce qui a bien pu justifier depuis un an, ce déploiement délirant dans tout le monde occidental au même moment, de tant de mesures liberticides, depuis les confinements à répétition, les couvre-feux, les muselières obligatoires, les gestes barrière, la distanciation sociale, l’arrêt de pans entiers de l’économie ? Tout cet arsenal de guerre pour un simple virus ? Qui peut encore croire cela, aujourd’hui, mis à part les zombies abreuvés de la propagande H24 des médias mainstream qui entretiennent la peur permanente ?

« Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux ! »

Revenons au meeting de Nice de Florian Philippot, le seul qui fait encore entendre sa voix dans le silence assourdissant de toute la classe politique française qui semble s’accommoder fort bien des mesures toutes plus liberticides les unes que les autres de l’État d’urgence sanitaire à perpétuité.

Voici l’essentiel de ce que Florian Philippot déclarait à Nice ce vendredi 26 février : (([6]youtube.com/watch?v=0daTzm2pW5Y))

« On est là pour imposer un esprit de liberté et de résistance face à la folie.

Je tenais à être ici, à l’épicentre de cette dictature sanitaire qui est en réalité UNE DICTATURE POLITIQUE. Car les décisions qui sont prises n’ont plus rien de sanitaire, ce sont des décisions qui sont exclusivement POLITIQUES.

Véran, Macron, Castex ont annoncé qu’ils allaient faire ce qu’ils ont annoncé comme du « cousu main ». Du « cousu main », ça veut dire qu’ils vont à la fin nous reconfiner, mais ils le font département par département, territoire par territoire, et vous, vous êtes les premières victimes de cette dinguerie ! Mais le « cousu main », ce n’est pas que ça ! C’est aussi le pass sanitaire !

Ce pass sanitaire, ça n’est pas un instrument médical, ni même seulement en lien avec le seul Covid19. Le pass sanitaire, comme dit Macron, c’est UNE RUPTURE MAJEURE DE CIVILISATION ! C’est un problème éthique majeur ! C’est nous faire entrer dans une société profondément inhumaine, profondément diabolique, profondément infernale ! Une société de zombies, où vous devrez présenter un document numérique pour aller au restaurant, pour aller au cinéma, pour prendre le train, pour prendre le métro, pour prendre le tram !

C’est la fin du secret médical. Et c’est ensuite mettre le doigt dans un sacré engrenage : car demain, rien n’empêchera d’utiliser ce pass sanitaire pour interdire l’entrée à des lieux publics à des gens, selon telle ou telle maladie, selon telle ou telle pathologie. Et vous voyez bien, dans quelle société de discrimination « légale », dans quelle société profondément INHUMAINE, INÉGALITAIRE, INJUSTE, avec des citoyens de « huitième zone » nous entrons !

Eh bien, si l’essentiel de la classe politique française est, soit complice, soit soumise, soit endormie devant ce totalitarisme rampant, « les Patriotes » seront dans la résistance, avec vous !

Tout ce qu’ils annoncent : les confinements, les couvre-feux, les fermetures, les restrictions en tout genre, cela relève du charlatanisme ! Nous savons maintenant que ces couvre-feux et ces confinements ne servent à rien sinon à tout détruire ! Les confinements détruisent tout, sauf le virus. Et quand nous le disons, nous nous fondons, nous, sur la science ! Nous avons regardé l’étude de Stanford, celle du meilleur épidémiologiste au monde, M. Ioannidis. Nous avons regardé l’étude du CHU de virologie de Toulouse, qui a démontré, chiffres à l’appui, que le couvre-feu à 18 heures AGGRAVAIT l’épidémie !

… Croyez-vous que tous ces barons locaux qui confinent les gens vivent et subissent le confinement ? Bien sûr que non ! Ils ont la dérogation ! Ils ont l’attestation ! Ils ont le précieux sésame qui leur permet, eux, de continuer à vivre normalement ! Et surtout, eux, continuent d’être payés à 100 % ! Alors que ceux qui subissent les fermetures et les restrictions sont mis dans une panade sans nom ! Et ils n’en ont manifestement rien à faire !

… Il y a des traitements, et c’est cela le non-dit. Ce sont de vieilles molécules qui ne rapportent pas un rond aux laboratoires. Les seuls traitements qu’on a autorisés depuis le début, c’était le Remdésivir de Gilead, totalement inutile, voire dangereux, voire qui provoque des variants, comme l’a dit Raoult. Mais c’est vrai que ça coûte 2300 euros la semaine de traitement…

En revanche : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, colchicine : toutes ces vieilles molécules qui ont démontré leur efficacité contre le Coronavirus : systématiquement in-ter-dites ! INTERDICTION AUX MÉDECINS DE PRESCRIRE LIBREMENT, ce qui est une première, honteuse et scandaleuse dans l’histoire de notre pays ! »

C’est à ce moment qu’une voix se fait entendre dans le public, s’exclamant par deux fois :

« Pourquoi veulent-ils nous tuer ? Pourquoi veulent-ils nous tuer ? »

Florian Phillipot reprend:

«… Vous comprenez bien qu’on ne peut pas rester les bras croisés, à plat ventre, à nous taire!

Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux !

Nous ne sommes pas là pour être soumis à une politique qui nous traite moins bien que du bétail. Parce que nous sommes traités moins bien que du bétail ! C’est La Boétie qui disait :

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

Cessons d’être à genoux et levons-nous ! Soyons fiers, soyons libres, soyons dignes !

Alors, nous réclamons : la prévention, le traitement, qu’on arrête de fermer des lits et qu’on en rouvre, qu’on forme du personnel et :

NOUS DEMANDONS À CE QUE TOUT SOIT ROUVERT TOUT DE SUITE ! NOUS DEMANDONS ET NOUS EXIGEONS LE RETOUR DE TOUTES NOS LIBERTÉS TOUT DE SUITE ! ET NOUS EXIGEONS LA FIN DU MASQUE OBLIGATOIRE TOUT DE SUITE !

Revenons à l’humanité ! Revenons au bon sens ! Revenons à la raison !

Nous ne voulons pas de cette caste qui nous asservit depuis si longtemps et qui a trouvé dans ce virus le prétexte pour faire de nous des gens dominés, des gens obéissants, des gens soumis, c’est-à-dire l’inverse de ce que nous sommes, et surtout l’inverse de ce que nous voulons transmettre aux générations qui viennent. Nous n’avons pas le droit, au nom de nos ancêtres qui se sont battus pour nos libertés, nous n’avons pas le droit de leur laisser ce monde-là ! »

Et de conclure avec cette citation de Benjamin Franklin :

« Une société prête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Avec la mise en place du pass sanitaire pour créer une société d’alpha plus et de bêta moins, il y a clairement une volonté de tuer la classe moyenne de la part des adeptes de la secte de Davos menés par Klaus Schwab et l’Union européenne. Dans cette société, les seuls gagnants seront ceux qui nous auront imposé cet esclavage forcé, à savoir l’oligarchie financière et son bras armé, l’UE, devenue entretemps, l’Union de l’Enfermement avec les confinements avant de devenir l’Union Eugéniste avec le pass sanitaire.

Car c’est bien d’un programme eugéniste dont il est question avec l’imposition des piqûres géniques, via le pass sanitaire qui n’est qu’une énième supercherie. En effet, qui peut encore croire aujourd’hui que les restaurants auxquels auront le droit d’entrer les seuls « vaccinés » rouvriront un jour ? Même chose pour les musées, les salles de spectacles, les cinémas, les théâtres, les opéras, etc.

Car la fermeture généralisée de tout ce qui faisait le bonheur de vivre encore il y a un an doit se poursuivre pour réaliser le transfert de richesses des classes moyennes à la finance mondialiste afin de se refaire une santé sur notre dos après le krach mondial à venir.

Cette spoliation de tous nos biens avec le soutien des banques centrales ne peut se faire qu’en nous imposant un revenu universel, carotte de notre soumission, une fois que nous serons tous devenus « des gens qui ne sont rien »(([7]youtube.com/watch?v=mlxXW95qeK4)) qu’on pourra éliminer sans état d’âme, puisque telle sera la destinée voulue par le forum de Davos des gens qui ne sont rien.(([8]youtube.com/watch?v=Yx8DXGJi8r4))

NOUS DEVONS RÉAGIR DÈS MAINTENANT POUR GAGNER CETTE GUERRE EN NOUS RÉVOLTANT MASSIVEMENT CONTRE CETTE CASTE MONDIALISTE POUR L’EMPÊCHER PAR TOUS LES MOYENS DE BRISER NOS VIES À TOUT JAMAIS.

« Cette guerre, on va la gagner à la fin. On la gagnera tous ensemble. »

Florian Philippot

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Reiner Fuellmich





Quelle est l’opinion de Dieu sur la vaccination par ARN messager ?

[Source : Patriarcat Catholique Byzantin]

En ce moment, les chrétiens veulent être clairs en ce qui concerne la vaccination mondiale et forcée en termes de conscience.

Par l’autorité de l’office apostolique et prophétique, le Patriarcat Catholique Byzantin met en garde d’urgence contre l’autogénocide vaccinal.



Regardez cette vidéo sur: 
https://veni-domine.wistia.com/medias/lkok168edh   
https://rumble.com/vdnw7r-lopinion-de-dieu-sur-la-vaccination.html   
https://cos.tv/videos/play/25754064280653824 
https://ugetube.com/watch/FH3bRqCziLy1dCO   

Cependant, l’archi-hérétique Bergoglio, qui occupe la papauté, promeut notoirement la génocidaire « vaccination pour tous », en disant : « Cela doit être fait ! ». Aujourd’hui, chaque chrétien doit savoir que Bergoglio, qui adore le démon Pachamama, ne sert pas Dieu, mais s’oppose consciemment à Lui ! Si quelqu’un obéit à Bergoglio et est en unité intérieure avec lui, il ne peut pas être sauvé. Il se retrouvera dans l’étang de feu avec ce faux prophète de la sodomie, de la vaccination et du puçage effectué à l’aide de la marque de la bête apocalyptique.

Le Vatican apostat clame dans le monde entier qu’après la vaccination de Bergoglio, d’autres membres de l’État du Vatican sont en train de se faire vacciner, et il en va de même pour l’hôpital du Vatican tout entier, avec ses 3000 employés. Ils prétendent de façon absurde qu’après deux vaccins, ils ont atteint une immunité de 100% et des niveaux d’anticorps 1000 fois plus élevés. Les patriarches orthodoxes Bartholomew et Kirill s’associent à Bergoglio dans cette propagande de la vaccination. Les croyants orthodoxes ne doivent donc plus obéir à ces deux apostats qui promeuvent un péché qui crie jusqu’au ciel et constitue un crime contre l’humanité.

Le nouveau vaccin à ARNm modifie non seulement le génome humain, mais constitue également une forme de puçage et conduit au génocide à la fois temporel et éternel de l’humanité. Conformément à la Bible – Gal 1: 8-9 – et à la Bulle Cum Ex Apostolatus Officio, les catholiques ne doivent pas obéir à un hérétique. Bien qu’il se soit exclu de l’Église du Christ, l’archi-hérétique Bergoglio force avec autorité les croyants :

  1. À s’opposer à Dieu et à Ses lois,
  2. À agir de façon suicidaire contre la raison et la conscience,
  3. À ignorer les avertissements des courageux experts non corrompus en immunologie, virologie, etc.

Quelle devrait être l’attitude d’un chrétien responsable envers cette vaccination par ARNm ?

L’homme est obligé d’utiliser la raison pour rechercher la vérité. Qui peut nous transmettre la connaissance de la vérité dans le domaine de la virologie ? Cela ne peut, en aucun cas, être fait par Bergoglio, qui est analphabète en médecine et boycotte cependant tous les scientifiques solides et leurs avertissements. Cela ne peut pas non plus être fait par les experts médicaux qui connaissent la vérité mais la dissimulent pour des raisons d’avantages sociaux, de carrière, de corruption ou de peur, ou qui mentent même ouvertement et sans vergogne. Même les médias traditionnels corrompus, les politiciens stipendiés ou le clergé bergoglien ne peuvent nous dire la vérité.

La vaccination obligatoire peut aujourd’hui être qualifiée de crime contre l’humanité le plus grave ! Chaque chrétien doit résister au système génocidaire de la vaccination, tant qu’il en a le temps. Une fois le mécanisme déclenché, il ne restera plus que deux options : soit être le témoin de Satan, soit le témoin du Christ.

Quiconque reçoit le vaccin est régi par un système soutenu par les élites du Nouvel Ordre Mondial au service de Satan. On se libère ainsi de la subordination à Dieu et de Sa protection. Ce qui suit est une souffrance physique et mentale désespérée causée par le vaccin, la mort via le dépeuplement, et l’étang de feu après la mort. Ceux qui résisteront et rejetteront le vaccin, malgré les menaces de persécution, resteront sous la domination de Dieu. Dieu les protégera ou leur donnera le privilège du martyre. Après la mort, ils recevront la couronne de gloire éternelle.

Dix « NON » contre le vaccin à ARNm (ARN messager) :

  1. Ce vaccin n’est pas passé par la durée habituelle des tests.
  2. Le vaccin à ARNm modifie le génome humain.
  3. C’est un outil de puçage, qui transforme l’humain en robot biologique.
  4. En essence, ce n’est pas un véritable vaccin.
  5. Ce soi-disant vaccin est un instrument de génocide ou de dépopulation, comme l’a admis Gates.
  6. Le vaccin à ARNm est mis en œuvre sous une pression criminelle.
  7. On empêche les véritables experts de mettre en garde contre les dangers d’une telle vaccination.
  8. Le vaccin contre le Covid-19 est inefficace car le virus mute, et n’a jamais été isolé.
  9. On empêche les malades de recevoir les médicaments efficaces, et les personnes en bonne santé sont obligées de se faire vacciner.
  10. La nanopuce contenue dans le vaccin – la marque de la bête – signifie la perte du libre-arbitre et donc, l’incapacité de se repentir. La Bible avertit que la punition pour cela est l’étang de feu !

Conclusion : les vrais experts, mais aussi la raison, la conscience et la Parole de Dieu, mettent fortement en garde contre ce dangereux vaccin à ARNm ! Le Patriarcat Catholique Byzantin, au nom et en l’autorité du Dieu trinitaire, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, met en garde contre cet auto-génocide vaccinal. Dans le même temps, ce Patriarcat oblige, par la présente, tous les chrétiens et les personnes de bonne volonté, tant devant Dieu qu’en leur conscience, à offrir une résistance unifiée et catégorique.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr              + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Téléchargement: PCB : Quelle est l’opinion de Dieu sur la vaccination par ARN messager ? (4/2/2021)

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudopape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.




Appel à la désobéissance civile

[Source : liberanos.eu]

1793 personnes ont signé l’appel.

Sommaire

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Les signataires

Voir les signataires

L’appel

Mesdames,

Messieurs les Ministres, membres des conseils scientifiques, ministres-présidents et autres « décideurs »,

Par la présente, nous vous informons que nous avons désobéi, que nous désobéissons et que nous désobéirons encore.

Nous désobéirons encore parce que nous ne pouvons pas rester cloîtrés chez nous sans juste motif. Nous avons besoin de respirer sans peur et sans masque l’air plus pur de nos campagnes et celui pollué de nos villes. Nous demeurons, plus que jamais, dans le besoin d’entourer nos parents et grands-parents, d’embrasser et câliner nos enfants et petits enfants, d’enlacer et soutenir nos frères, nos sœurs, nos amis.

Nous ne nous arrêterons plus de chanter, de crier, de rigoler et d’aimer. Nous désobéirons encore parce que nous n’accepterons jamais que vous déclariez dangereuses et hors la loi les joies de la vie, les rencontres, les fêtes familiales et culturelles.

Nous nous engageons à ne pas mettre en danger la vie des autres, au contraire, nous respecterons des règles d’hygiène fondamentales à la vie en société, nous renforcerons notre immunité collective, sans devenir fous d’angoisse, ce qui comme vous le savez affaiblirait notre santé et celle d’autrui.

Nous continuerons à aider nos parents « vulnérables », nos proches, et aînés, à ne pas mourir de solitude ; nos femmes et nos enfants à ne pas être victimes de violence intrafamiliale, qu’elle soit physique, morale ou psychologique. Nous continuerons à faire découvrir en premier nos visages à nos nouveau-nés.

Nous avons décidé de désobéir parce que nous côtoyons chaque jour des femmes et des hommes extrêmement anxieux face à cette « nouvelle » maladie, et qui, parfois, ont souffert, eux-mêmes ou leurs proches. Nous respectons notre prochain et comprenons parfaitement leur légitime désarroi. Mais nous ne mourrons pas par peur de vivre. Nous prônerons le dialogue, ainsi que le bon sens. Nous sommes conscients que, parmi nos semblables, nombreux sont ceux qui doutent et ont, par conséquent, eux aussi, transgressé quelques interdits. A bout de souffle, il n’y a que ces « écarts » qui nous permettent une certaine forme de survie.

D’autant plus que les « flagrants délits » sont les vôtres en premier.

Nous désobéirons encore parce que nous ne supportons plus vos incohérences, vos mensonges, votre manque d’empathie, votre intolérance, votre censure et votre refus de répondre aux questions légitimes, votre manque de transparence et hostilité à tout débat démocratique.

Quand l’état que vous pilotez infantilise et condamne des pans entiers de sa population, qu’il conduit nos aînés, nos commerçants, nos restaurateurs, nos artisans, nos artistes, nos coiffeurs, nos étudiants, nos jeunes et leurs familles, à la ruine, à la misère, à la rue et au suicide !

Quand cet état s’érige en donneur de leçons, en sauveur, alors qu’il a détruit et détruit encore nos services publics, qu’il étrangle nos hôpitaux et nos soignants par des décennies de coupes budgétaires. Et un an de crise sanitaire n’a vu aucune amélioration de leur situation.

Alors que l’État se prétend à la hauteur de la situation, nous demeurons dubitatifs : où étiez-vous donc quand il aurait fallu agir contre ce qui nous rend malades ? … Les polluants qui saturent nos poumons, la malbouffe qui détruit notre santé au quotidien, le travail toujours plus abrutissant voué au bien-être des actionnaires, les écrans et jouets connectés qui nous empêchent de penser ? Vous allez maintenant nous faire croire que vous vous souciez du bien commun ?

Nous désobéirons encore parce que nous ne croyons pas aux coûteux remèdes miracles sortis des boites de Pandore des firmes pharmaceutiques, en lice pour celle qui touchera le pactole en premier, alors que ces multinationales se protègent préventivement contre les effets secondaires d’un vaccin que l’État nous vend comme inoffensif, tout en avouant qu’il ne sait même pas s’il nous protège.

Nous rejetons l’arrogance de ceux qui gèrent une maladie nouvelle à coup de protocoles d’interdictions et bannissent toute autre option, alors que l’absence de débat est flagrante et la censure sévit sans vergogne.

Nous pensons que l’écoute respectueuse d’opinions divergentes, tout comme les compétences acquises par les praticiens de terrain, l’utilisation de remèdes anciens, bon marché, la recherche indépendante et le débat public permettraient de gérer et d’anticiper de futurs développements de cette maladie, mais aussi de « sauver des vies » et d’éviter les « dégâts collatéraux », pour employer le vocabulaire guerrier que certains parmi vous affectionnent… Nous savons que nous avons une probabilité de 99 % de mourir d’un cancer, d’une maladie cardiovasculaire, cérébrovasculaire, et même, pourquoi pas, de vieillesse plutôt que de ce virus.

N’oublions pas ce qu’a répété toute sa vie Albert Jacquard, ce grand humaniste, généticien et biologiste français, mort en 2013 des suites d’une leucémie (époque où l’on pouvait mourir d’autre chose que du virus SARS-CoV-2…) : « Je suis les liens que je tisse avec les autres. Les autres ne sont pas notre enfer parce qu’ils sont autres ; ils créent notre enfer lorsqu’ils n’acceptent pas d’entrer en relation avec nous ».

Nous désobéirons donc pour ne pas être contaminés par votre enfer, vos muselières, vos anathèmes, vos diktats et vos discours relayés servilement par des médias aux ordres. Nous désobéirons pour que le monde de demain ne soit pas pire que celui d’avant et, surtout, qu’il soit meilleur, juste et décent, respectueux de la Terre et de tout ce qui y vit.

Nous appelons à boycotter tous ceux qui nous méprisent et nous précarisent sans complexe. Nous souhaitons vivement rendre la désobéissance contagieuse pour qu’ensemble nous prenions conscience de notre pouvoir de guérison. Que nous décidions ensemble de notre avenir commun, par des mesures prises en respectant les droits et nos institutions démocratiques, et non en les bafouant à coup d’état d’exception et autres.

Si l’argent et le pouvoir sont vos moteurs, les nôtres sont la liberté, ainsi que le droit, dans le respect du bien commun.

Comme le citait avec tant de justesse l’auteur Frédéric Gros, « À partir du moment où on obéit comme des machines, désobéir devient un acte d’humanité ».

Télécharger l’appel au format pdf.

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Appel à dons

Pour les dépenses déjà engagées (ce site web, son hébergement et le nom de domaine) et celles à venir, nous avons besoin de votre aide (le site étant notre propriété et ayant soigneusement choisi l’hébergeur, nous avons mis toutes les chances de notre côté pour ne pas être censurés). Par la suite, si l’appel se propage et que nous devenons un collectif défini autour de cet appel à la désobéissance, il y aura d’autres frais (diffusion, promotion, etc.). Il est probable que nous organiserons des actions, mais aussi que nous serons amenés à défendre certaines personnes.

Voir le bilan des dons reçus et de nos dépenses.

Notre compte bancaire dédié où verser les dons :
Francis Leboutte, IBAN : BE62 0636 9084 6361 (BIC : GKCCBEBB).

En savoir plus

En Français

Collectif Transparence-Coronavirus pour l’objectivité de l’information et la liberté thérapeutique (Belgique)

docs4opendebate.be (Belgique) :

« Nous demandons ici un débat ouvert, où tous les experts sont entendus sans aucune forme de censure… Nous plaidons pour l’arrêt immédiat de toutes les mesures et demandons le rétablissement immédiat de notre gouvernance démocratique normale et de toutes nos libertés civiles ».

Notre Bon Droit (Belgique) :

« Assurer nos droits aujourd’hui et demain »

La page covid du mpOC-Liège (Belgique) :

« La sélection d’articles et de vidéos ci-dessous a pour objectif objectif d’apporter un éclairage différent de celui monomaniaque du gouvernement et des médias dominants et ainsi de nourrir la pensée et le débat ».

Réaction19 (France) :

« Notre association a pour objet la défense de vos droits suite aux mesures prises par les autorités françaises et par l’Union européenne voire par les autorités mondiales pour lutter contre la pandémie de la Covid-19 ».

RéinfoCovid (France) :

« Nous sommes un collectif de soignants, médecins et scientifiques universitaires, réunis autour d’une idée : le besoin d’une politique sanitaire juste et proportionnée pour la France. Rejoints par des citoyens désirant jouer un rôle actif dans la résolution de la crise que traverse notre démocratie, la pluralité s’ajoute à l’expertise pour constituer nos plus grandes forces ».

In Dutch

docs4opendebate.be :

We vragen hier een open debat, waar alle experten aan bod komen zonder enige vorm van censuur… We pleiten voor een beëindiging van alle maatregelen en vragen een onmiddellijk herstel van onze normale democratische bestuurs- en rechtsstructuren en van al onze burgerlijke vrijheden.

International (multi-lingual)

Great Barrington Declaration :

« As infectious disease epidemiologists and public health scientists we have grave concerns about the damaging physical and mental health impacts of the prevailing COVID-19 policies, and recommend an approach we call Focused Protection ».

Qui sommes-nous ?

Cet appel a été rédigé à l’initiative d’Annie Thonon, réalisatrice retraitée de la chaîne publique belge (RTBF), et Alexandre Penasse, journaliste (Kairos). L’idée étant de donner de la visibilité à tous ceux qui s’opposent aux politiques anti-covid liberticides mises en place par nos États. L’appel a dans un premier temps été soumis à des proches, sans être rendu public. Nous avons ainsi obtenu le soutien d’une centaine de personnes de tout milieu et tout âge dont vous trouverez les noms ci-dessous. Nous espérons briser le spectacle de l’unanimité véhiculé par les médias, nous souhaitons créer de la solidarité et du débat. Chaque signataire se déclarant co-responsable, nous serons tous dans la défense de chacun.

Les premiers signataires

  • Annie Thonon, réalisatrice retraitée (Belgique)
  • Alexandre Penasse, journaliste, psychologue (Belgique)
  • Francis Leboutte, ingénieur civil (Belgique)
  • Valérie Tilman, enseignante et philosophe de formation (Belgique)
  • Bernard Legros, essayiste et militant associatif (Belgique)
  • Jean-Pierre Léon Collignon (Belgique)
  • Jean-Pierre Wilmotte (Belgique)
  • Muriel Dacq, artiste (Belgique)
  • Muriel Hubin, enseignante, infirmière (Belgique)
  • Jean-François Gava (Belgique)
  • Stéphane Résimont (Belgique)
  • Christophe Nottet (Belgique)
  • Charlotte Mansion, artiste (Belgique)
  • Nadia Delatte, secrétaire en éducation physique, retraitée (Belgique)
  • Valérie Hermans, graduat en communication d’entreprises et RH, yoga et herboristerie, aromathérapie  (Belgique)
  • Laurence Hubin, graduée en secrétariat de direction, employée dans une auto-école (Belgique)
  • Guy Huyghe, ingénieur civil (Belgique)
  • Janine Mayeres (Belgique)
  • Hélène Couvert (Belgique)
  • Seb Dlay (Belgique)
  • Agnès Tamignaux, musicienne, enseignante pensionnée (Belgique)
  • Titom Titom, dessinateur (Belgique)
  • Aurélien Van Trimpont, comédien, musicien (Belgique)
  • Philippe Tyberghein, ingénieur civil architecte retraité (Belgique)
  • Annick Dethis, accueillante en maison médicale (Belgique)
  • Xavier Simon, musicien, travailleur social (Belgique)
  • André Foguenne, professeur de sciences, retraité (Belgique)
  • Bernadette Lemin, assistante sociale retraitée (Belgique)
  • Marie-Claire Steffens, citoyenne (Belgique)
  • Thomas Lauwers, agriculteur (Belgique)
  • Corine Dehaes, enseignante et philosophe de formation (Belgique)
  • Julien Penasse, menuisier-ébéniste (Belgique)
  • Maxime Pauly, psychomotricien et sauveteur aquatique (Belgique)
  • Alain Jossart, assistant social (Belgique)
  • Vincent Verhaeren, photographe (Belgique)
  • Pierre Delmotte, ingénieur retraité (Belgique)
  • Béatrice Adam, kinésithérapeute-musicienne (Belgique)
  • Alain Van Muysewinkel, musicien, travailleur social (Belgique)
  • Jean-Pierre Eudier, chirurgien dentiste retraité (Luxembourg)
  • Jean-Luc Guilmot, ingénieur agronome (Belgique)
  • Sandro Provenzano, médecin (Belgique)
  • Annes Bouria, pharmacien (Belgique)
  • Marie-Rose Cavalier-Bohonk, cofondatrice d’Initiative Citoyenne (Belgique)
  • Andrée Vandenborre, dentiste généraliste (Belgique)
  • Fred Mastro, expert de self-defence, fondateur du Mastro Defence System (Belgique)
  • Liberato Nadia de filippis (Belgique)
  • Fatiha Aït Saïd, naturopathe et directrice d’un institut de formation professionnelle (Belgique)
  • Pirly Zurstrassen, musicien (Belgique)
  • Thierry Leloup, observateur de l’actualité (Belgique)
  • Philippe De Groote, expert-comptable certifié (Belgique)
  • Philippe Antoine, neuropsychiatre (Belgique)
  • Nicolas Bériot, ingénieur (France)
  • Theo Poelaert, libraire et photographe (Belgique)
  • François Daubé, professeur d’équitation et Directeur ONG IPSE (International Political & Scientific Ethics) (Suisse)
  • Michel Donceel, violoneux (Belgique)
  • Frédéric Keil (Belgique)
  • Evelyne Paulus, thérapeute (Belgique)
  • Christiane Hermans, biologiste (Belgique)
  • Françoise Père, citoyenne des plus ordinaires (Belgique)
  • Laurence Deproote, psychomotricienne relationnelle (Belgique)
  • Anastasia de Meüe, travel Designer (Belgique)
  • Charline Nocart, biologist naturopathe (France)
  • Arlette Fauvelle, pharmacienne retraitée (Belgique)
  • Nathalie Medialdea (Belgique)
  • Dominique Buffet, enseignant ou bucheron (Belgique)
  • Sophie Meulemans, cofondatrice de Initiative Citoyenne, master en éthique médicale et bioéthique (Belgique)
  • Nathalie Brouta, thérapeute en soins énergétiques (Belgique)
  • Antoine Thonon (Belgique)
  • Marc Henrion, fonctionnaire (Belgique)
  • Janne Klügling (Belgique)
  • Dorothée Lambinon, comédienne, animatrice, metteuse en scène, autrice, maman, grand-mère (Belgique)
  • Alexandre Furnelle, musicien (Belgique)
  • Michel Weber, philosophe (Belgique)
  • Guillaume Dendeau (Belgique)
  • Michel Boutemy, ingénieur technique (Belgique)
  • Charlotte Carret, kinésithérapeute (Belgique)
  • Isabelle de Fraipont (Belgique)
  • Nelly Chapelle, psychothérapeute (Belgique)
  • Jean-Claude Legros Pierre, musicien, enseignant (Belgique)
  • Sabine Carels (Belgique)
  • Anne-Marie Demesmaecker, médecin (Belgique)
  • Brigitte Steichen, médecin (Belgique)
  • Sophie Rétif (Belgique)
  • Janine Delatte, enseignante retraitée (Belgique)
  • Marc Van Eyck, musicien,compositeur, interprète,producteur (Belgique)
  • Sabine Carels Thunus, comédienne, animatrice, metteuse en scène, autrice, maman, grand-mère (Belgique)
  • Marie Delhez, ergothérapeute à la retraite (Belgique)
  • Natacha De Crom (Belgique)
  • Jean-Baptiste Mansion (Belgique)
  • Kenny Cadinu, rédacteur en chef de l’Escargot déchaîné (Belgique)
  • Thierry Tanghe, citoyen en résistance (Belgique)
  • Jean-Christophe Yu, cinéaste documentariste (Belgique)
  • Marie-Ange Herman, professeure à la retraite (Belgique)
  • Clément Triboulet, comédien et metteur en scène (Belgique)
  • Raphaël Rediger, assistant polyvalent en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (Belgique)
  • Maryvonne Duray, citoyenne (Belgique)
  • Giacomo Infantino, consultant en informatique (Belgique)
  • Sigrid Vandenbogaerde, musicienne (Belgique)
  • Tony Matagne, demandeur d’emploi (Belgique)
  • France Michel, citoyenne sans profession mais en action (Belgique)
  • Mikaël Stassen, bio-ingénieur (Belgique)
  • Ana-Bélen Montero, céramiste (Belgique)
  • Delphine Cheverry, comédienne (Belgique)
  • Pierre Rose, objecteur de croissance (France)
  • Simon Charbonneau, professeur honoraire de droit public, Université de Bordeaux (France)
  • Vincent Cheynet, rédacteur en chef de La décroissance (France)
  • Claire Danjou, musicienne (France)
  • Alain Dordé, objecteur de croissance (France)
  • Philippe Godard, directeur de collections de livres documentaires pour la jeunesse (France)
  • Alain Carpon, citoyen (France)
  • Marie-Noël Hauser, citoyenne (France)
  • Olivier Rouzet, psychothérapeute et essayiste (France)
  • Christine Poilly, enseignante et objectrice de croissance (France)
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Attention : nous ne serons probablement pas en mesure de répondre à tous les emails que vous nous enverrez. Dès que possible, nous ouvrirons sur le site une page web de réponses aux questions fréquentes.




Le vaccin contre le coronavirus de Pfizer a tué 40 fois plus de personnes âgées que le virus lui-même

[Source : Cogiito]

https://www.afinalwarning.com/500887.html

Les vaccins expérimentaux contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) de Pfizer, dont la production et la distribution ont été précipitées par le programme « Operation Warp Speed » de Donald Trump, tuent beaucoup plus de personnes âgées que le soi-disant « virus » lui-même ne l’aurait fait.

Une nouvelle analyse des données fournies par le ministère israélien de la santé a conclu que les injections de thérapie génique par ARN messager (ARNm) de Pfizer et BioNTech ont déjà tué « environ 40 fois plus de personnes (âgées) que la maladie elle-même n’en aurait tué » au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines.

S’appuyant sur des recherches menées en janvier dernier qui ont montré que les vaccins chinois contre les virus ne sont « pas plus sûrs » que le virus lui-même, cette dernière étude accuse les vaccins de causer plus de morts que de les prévenir de la mort.

Le Dr Hervé Seligmann, membre de la faculté de l’université d’Aix-Marseille en France, a démontré, à l’aide d’une analyse mathématique complète, que

« PARMI LES PERSONNES VACCINÉES ET ÂGÉES DE PLUS DE 65 ANS, 0,2% … SONT MORTES PENDANT LA PÉRIODE DE TROIS SEMAINES ENTRE LES DOSES, SOIT ENVIRON 200 PERSONNES SUR 100 000 VACCINÉES ».

« Ceci est à comparer aux 4,91 morts sur 100.000 qui sont morts de COVID-19 sans vaccination », a-t-il ajouté.

Le vaccin contre le coronavirus de Pfizer a tué 260 fois plus de jeunes que le virus lui-même n’aurait

le Dr Seligmann et ses collègues ont constaté que la situation est encore pire pour les jeunes qui sont vaccinés avec le virus chinois de Pfizer.

Parmi les moins de 65 ans, les vaccins ont tué 260 fois plus de personnes que le virus lui-même n’en aurait tué.

« Ce tableau effrayant s’étend également aux personnes de moins de 65 ans », ont écrit les chercheurs.

AU COURS DES CINQ SEMAINES DE VACCINATION, « 0,05 %, SOIT 50 PERSONNES SUR 100 000, SONT MORTES ».

« Ceci est à comparer au 0,19 pour 100.000 qui meurent de la COVID-19 (qui) ne sont pas vaccinés … Ainsi, le taux de mortalité de ce groupe d’âge a augmenté de 260 (fois) pendant cette période de cinq semaines du processus de vaccination, par rapport à leur taux de mortalité naturel de la COVID-19 », ont-ils ajouté.

Le Dr Seligmann, qui est également titulaire d’un diplôme de biologie de l’Université hébraïque de Jérusalem, a déclaré que lui et son équipe « n’ont aucun conflit ni intérêt autre que celui d’avoir des enfants en bonne santé en Israël ».

L e Dr Seligmann et son collègue ont poursuivi en précisant que ces chiffres sont probablement beaucoup trop bas car, ils ne tiennent compte que des décès survenus « sur cette courte période » et « n’incluent pas les accidents vasculaires cérébraux et les événements cardiaques (et autres) résultant des réactions inflammatoires ». Les chiffres ne tiennent pas compte non plus des complications à long terme », a-t-il expliqué.

En d’autres termes, il est tout simplement stupide d’obtenir un vaccin contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

La « maladie » ne présente pratiquement aucun risque de complications pour la grande majorité des personnes qui la « contractent », et pourtant des millions de personnes ont été convaincues de prendre des « vaccins » expérimentaux dont leurs fabricants ne sont pas responsables en cas de blessure ou de décès.

Gardez à l’esprit que ces blessures et décès signalés n’incluent que ceux qui sont survenus peu de temps après l’administration des vaccins. Il reste à voir comment ces vaccins affectent tous les autres à moyen et long terme.

Comme l’ont révélé les America’s Frontline Doctors (AFLDS), les effets d’amélioration dépendant des anticorps (ADE) de ces vaccins chinois ne fournissent aucune protection contre le virus et rendront en fait les personnes qui les reçoivent plus sensibles à la maladie plus tard.

« AU LIEU DE PROTÉGER LA PERSONNE, IL PROVOQUE UNE MALADIE PLUS GRAVE OU MORTELLE LORSQUE LA PERSONNE EST ENSUITE EXPOSÉE AU SRAS-COV-2 DANS LA NATURE », A DÉTERMINÉ L’AFLDS.

« LE VACCIN AMPLIFIE L’INFECTION PLUTÔT QUE DE PRÉVENIR LES DOMMAGES ».

Pour cette raison, l’AFLDS déconseille fortement aux gens de se procurer l’un de ces vaccins expérimentaux. Reconnaissant les dangers encourus, le Dr Seligmann et ses collègues chercheurs font de même, qualifiant cette campagne de vaccination de masse de « nouvel Holocauste ».

Pour en savoir plus sur les dernières nouvelles concernant l’arnaque du coronavirus de Wuhan (Covid-19), consultez le site Pandemic.news.

Les sources de cet article sont notamment les suivantes :

ChildrensHealthDefense.org

NaturalNews.com




Vaccins anticovid expérimentaux : essai thérapeutique déjà responsable de 2500 décès en UE

Par Dr Nicole Delépine*

Il paraît que des gens font la queue pour se faire vacciner après avoir fait la queue pour pratiquer un test PCR (non fiable et poursuivi en justice) (([1] COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) (([2] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) (([3] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques (nicoledelepine.fr) )), comme, paraît-il, les personnes juives firent la queue pour récupérer l’étoile jaune et se faire lister. Pourquoi l’homme se précipite-t-il au-devant des catastrophes ? Quel est cet instinct grégaire que nous évoquions récemment(([4] Sortir de l’instinct grégaire, N delepine, Nouveau-monde.ca)) pour tenter de comprendre, au-delà de la perversion sadique du pouvoir, qui amène un grand nombre d’entre nous à obéir, voire à aller au-devant du danger.

Le passeport sanitaire, une menace peu crédible pour l’instant

La menace du passeport sanitaire semble précipiter de nombreux réticents vers l’acceptation du vaccin pour pouvoir « voyager », etc. Mais nous n’en sommes pas là, le pouvoir teste nos réactions. Et de toute façon, il n’a pas résolu les problèmes d’approvisionnement, d’efficacité et sera bien obligé, à plus ou moins moyen terme, de stopper ces vaccins géniques et autres dont le nombre de décès et d’ accidents précoces dépasse toutes les craintes. Et c’est sans compter sur les décès possibles à moyen terme dans quelques mois qu’annoncent des généticiens spécialistes des virus ARN.(([5] Faire un #COVID vaccinal n’est pas une bonne chose ! 100 000 évènements dont 2500 décès en Europe | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Dans l’immédiat, le problème du passeport vaccinal ne se pose qu’en théorie. Mais soulignons l’importance de ne pas céder à la panique, à la pression des amis, des généralistes, de la pub à la télévision ou sur les panneaux publicitaires (illégaux pour ce médicament remboursé). Ne pas aller vous jeter dans la gueule du loup et en croyant sauver votre peau et en vous exposant aux effets secondaires et parfois la mort surtout chez les plus âgés fragiles et en particulier les centenaires. D’autant que tant qu’on sera officiellement en démocratie, il sera bien difficile au pouvoir d’imposer une obligation pour un médicament en essai thérapeutique. Ils menaceront, mais avant d’avouer ressembler à Mengele et aux autres médecins nazis, il y a une petite marge pour que nous tous réagissions (([6] https://docteur.nicoledelepine.fr/vaccins-obligatoires-et-ethique-medicale-quest-devenue-la-reference-au-code-de-nuremberg-dans-la-loi-soumise-au-parlement-en-novembre-2017/)) (([7] https://michelledastier.com/opposer-le-code-de-nuremberg-a-lobligation-vaccinale/))

Attention à nos aînés, ne les précipitons pas vers le tombeau

Chacun, même un petit enfant peut sentir que son arrière – arrière-grand-mère est fragile, même si elle va bien. Quelle idée de vacciner tous les doyens de département malgré l’alerte internationale lancée par l’agence sanitaire norvégienne ! Une course à la mort qui a déjà éliminé les doyens de nombreux départements comme Camille Lehoux, doyen des Bretons(([8] https://www.breizh-info.com/2021/02/04/158476/necrologie-le-doyen-de-la-bretagne-sest-eteint-4-jours-apres-setre-fait-vacciner-contre-le-covid-19/)), Marie-Claudine Fourrier doyenne de Saône-et-Loire(([9] https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes#))?

Essai phase 3 des vaccins utilisés en France (([10] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363))

Cette thérapie génique et les autres vaccins mis sur le marché sur AMM conditionnelle (c’est-à-dire sans résultats des essais thérapeutiques habituellement exigés) sont donc en cours d’essai de phase 3 ; ils entraînent des effets secondaires précoces qui devraient dissuader les plus demandeurs. S’ils ne le savent pas. Informez-les.

En France, tout va bien dans le meilleur des mondes. En 1938, on croyait trouver un arrangement avec Hitler. Le 6 mai 1986, un communiqué du ministère de l’Agriculture affirmait : « le territoire français », en raison de son éloignement, a été totalement épargné par les retombées de radionucléides consécutives à l’accident de Tchernobyl ». D’après l’agence du médicament, le Vioxx qui a fait plus de 30000 morts aux USA n’aurait tué personne chez nous. Ainsi va la France de déni en négation et en chute libre. (Une des seules choses qui reste libre aujourd’hui.)

En France, il est difficile d’avoir une idée exacte des complications des médicaments et encore plus des vaccins, car l’ANSM agence du médicament tarde à retenir comme liés aux vaccins beaucoup d’incidents. Restent les articles de journaux (([11] La presse de la Manche Covid-19. Dans la Manche, des soignants malades après l’injection du vaccin Astra Zeneca 11 février 2021)) (([12] La dépêche Covid-19 : des soignants bretons victimes de nombreux effets secondaires après le vaccin Astra Zeneca 12 février 2021)) (([13] BFM Covid-19 : face aux effets secondaires, le vaccin Astra Zeneca très critiqué par les soignants 17/2/2021)) qui informent sur tel ou tel hôpital qui stoppe ou étale la vaccination de son personnel, car les services sont désorganisés quand 25 à 50 % du personnel vacciné est au tapis, en arrêt de travail. Informations confirmées par l’agence du médicament qui a recommandé de vacciner « de façon échelonnée le personnel d’un même service ». Certes, le gouvernement clame qu’il ne s’agit que de troubles transitoires et pas graves, mais avouez que ce phénomène en soi est déjà très inhabituel et dissuasif.

Des témoignages sur les réseaux sociaux de telle aide-soignante en EHPAD, établissement que le covid avait épargné et qui a perdu 4 résidents dans les cinq jours suivant le vaccin. Pas de chance, ils étaient vieux et fragiles, ce qui est vrai, mais ils étaient vivants et en forme. Elle se dit anéantie comme de nombreuses autres sur tweeter ou FB.

Hasard ou nécessité ? Pour qui ?

Informations de l’Agence européenne Eudravigilance.

Statistiques officielles vérifiables par tous

Réveillez-vous : le ministre a osé interdire l’usage de la chloroquine utilisé depuis 70 ans sans prescription, et fait traîner l’accord pour l’ivermectine antiparasitaire complètement anodin, mais accepte de poursuivre une campagne de vaccination expérimentale, alors que l’UE aux dires même de son agence avoue déjà 2500 morts reconnus en lien avec le vaccin.

L’hystérie collective si bien créée et entretenue par le gouvernement et la censure dans les médias des opposants à sa politique depuis un an peut seule expliquer la sidération ambiante qui empêche d’hurler tout un chacun pour que stoppe cette expérimentation à grande échelle, manifestement un échec.

Presque 2500 morts officiels et le silence médiatique et politique. Pas d’infos dans les conférences de presse du Premier ministre ou d’O. Véran…

En tous cas, prudence !

Si vous souhaitez vraiment vous faire vacciner, assurez-vous ne pas être malade, de ne pas avoir eu le covid récemment et restez en quarantaine avant la deuxième injection.

La vaccination est un acte médical qui suppose de nombreuses précautions, interrogatoire, examen clinique qui passent en pertes et profits quand on rend cet acte banal et en n’avertissant pas des personnes mises en danger. La vaccination par des non-médecins prônée pour ce week-end de mars par le gouvernement montre que ce qu’est l’acte médical dont la vaccination est un exemple oublié par les dirigeants, mais aussi par ceux qui vont accepter la piqûre sans examen clinique ni entretien. La médecine en agonie.

Le modèle américain de la santé a failli, avant la crise du covid l’espérance de vie (77,8 ans) y est inférieure à celle de Cuba (79.92 ans), et comparable à celle de l’Algérie (77,2) …

La toute-puissance de Big Pharma, la disparition des médecins qui soignent, les études randomisées à la place de traitements connus actifs à trois sous, tout cela se paiera en millions d’années de vie perdues.

Risquer de modifier l’ADN des générations futures

ne pose apparemment pas de problème éthique ni moral aux militants du climat … Comment peuvent-ils être plus intéressés par la santé de la planète que par celle de l’espèce humaine ? Personne ne sait ce que pourraient être les modifications génétiques transgénérationnelles et on ose nous faire la leçon sur le pétrole tout en consommant le lithium extrait par des enfants pour nos voitures électriques.

Il faut espérer que la folie vaccinale cesse avant qu’une trop grande partie de la population ait reçu cette thérapie, pour que l’impact générationnel reste limité. Informons un maximum. C’est là notre seule arme contre ce désastre annoncé.

Les décès liés au vaccin, mais aussi les effets secondaires

Pour beaucoup, les effets secondaires seraient comparables à la maladie, nommés covid vaccinal.
L’agence européenne centralise les effets secondaires jugés suffisamment graves pour être remontés. À ce jour nous sommes à près de 2500 décès et 100 000 évènements pour toute l’UE. http://www.adrreports.eu/fr/index.html

Le plus dangereux, mais également le plus utilisé, serait le vaccin de Pfizer–BioNTech (Tozinaméran nom de code BNT162b2, vendu sous la marque Comirnaty) avec 78000 évènements et 2000 décès au 27/2/2021.

Astra Zeneca (CHADOX1 NCOV-19) fait une arrivée tonitruante avec 13983 évènements et plus de 200 décès et va être imposé (si le personnel est soumis) aux soignants de l’Est alors que refusé par l’Afrique du Sud …

Moderna (CX-024414) fait son entrée dans la liste avec 3,266 évènements graves au 27/02/2021.

Rappelons à tous les futurs vaccinés qu’ils sont libres d’être cobayes, mais que ces vaccins sont en phase d’essai thérapeutique et que l’obligation est un leurre qui ne pourra résister aux nombreux avocats qui se penchent en France et à l’étranger sur cette thérapie génique expérimentale. Nous ne sommes pas encore au temps de Mengele et des médecins nazis. Faisons le nécessaire tous ensemble pour ne pas en arriver là.


[*] Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France




Rosa Koire : « le parti communiste chinois utilisé par l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste pour prendre le contrôle complet de cette planète.»

[Source : Devenons tous journalistes via Profession Gendarme]

«Le Parti communiste chinois est le front par lequel l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste a mis en œuvre son plan pour prendre le contrôle complet de cette planète.»

Pensez à cela et pensez à la surveillance de masse inconstitutionnelle en cours de mise en œuvre, à l’Internet des objets, au réseau intelligent et aux villes intelligentes qui sont en développement depuis 20 ans et pensez au monde des passeports vaccinaux et du crédit social que les banksters. se préparent à déployer. Tout cela est vraiment l’Agenda 21, que Rosa Koire décrit ainsi: 

«Le développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies est le modèle global. C’est le «plan d’action», comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle.» 

L’Internet des objets cherche à créer un fac-similé numérique complet de tout sur la planète; pour créer une ombre numérique de vous, moi, tout le monde et tout. Déjà, il y a un homme de paille numérique parmi vous et, prétendument, les algorithmes vous «connaissent» mieux que vous ne vous connaissez et peuvent prédire vos prochaines étapes. Pour exécuter pleinement leur plan, les mondialistes doivent mettre fin à la République constitutionnelle américaine et imposer le modèle chinois dans le monde entier. Compte tenu de la désintégration complète de l’état de droit dont nous avons été témoins ces derniers mois et de la façon dont tous les niveaux de notre gouvernement sont sous l’emprise du chantage et de la corruption – comme en témoigne notre cadavre en chef – il semble qu’ils aient déjà gagné.

Notre gouvernement et les institutions auxquelles nous étions censés faire confiance ont été tellement corrompus par les mondialistes qu’ils sont passés de simples kleptocraties à des ministères de génocide de masse.

Des gens comme Andrew Cuomo et Gretchen Whitmer, dont les verrouillages illégaux ont normalisé l’autocratie, ont également servi à discréditer le système américain, aux yeux de ses citoyens. C’est exactement ce que voulaient les mondialistes et ces gouverneurs sont des idiots utiles.

La dette, les guerres sans fin, le déclin géré que nous avons vu pendant des décennies ont toujours consisté à éliminer les États-Unis et à déplacer le centre du pouvoir vers la Chine. L’horrible coup d’État continu et la guerre de l’information que nous avons vécus depuis le début de la présidence Trump concernaient la façon dont il nous éveillait à eux.


https://www.youtube.com/watch?v=q6y7GbQIZPw&feature=emb_logo&ab_channel=AdamPickering

TRANSCRIPTION de la vidéo

En cette période de stress, de colère, de peur, de séparation et de limitation, nous devons sortir de la paralysie et de la panique qui nous sont imposées et entrer dans un ensemble de solutions positives réalisables qui pourraient nous rapprocher, dans le respect et l’Amour. Donc, je sais que c’est ce à quoi nous sommes tous ravis de participer aujourd’hui, c’est la déclaration de reprendre le contrôle de la direction de notre vie…
Mon rôle aujourd’hui est de préparer le terrain pour la plus grande réinitialisation, en examinant la grande réinitialisation du Forum économique mondial, la quatrième révolution industrielle, l’Agenda 2030 des Nations Unies et, bien sûr, le plan plus large, dans lequel tout cela tourne, qui est uni Programme de développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies, où nous pouvons convenir que nous assistons à la grande purge. C’est la grande concentration de richesse et de pouvoir; la grande révélation des dictateurs consentants; la grande réaffectation des ressources; la grande révolution numérique de l’État de surveillance. Tel est le programme du XXIe siècle et au-delà. C’est la grande refonte de l’ancien plan, donc je vais commencer par là.

Le développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies est le modèle global. C’est le «plan d’action», comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle. Tel est le programme du 21e siècle. C’est un plan pour 100 ans et il y a des jalons à 2020, 2030, 2035 et 2050. L’Agenda 2030 n’est qu’un jalon dans le principal plan de 100 ans. Ainsi, l’Agenda 21 du développement durable est le plan mondial d’inventaire et de contrôle, il englobe tous les aspects de votre vie et il est destiné à être une transformation déchirante de votre vie. C’est ce que le sénateur Al Gore a appelé lorsqu’il a emmené le groupe des États-Unis au plus grand rassemblement de chefs d’État et de représentants nationaux qui ait jamais été convoqué jusqu’à ce moment-là. C’était à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992, pour la Conférence Agenda 21. Les représentants de 178 nations plus le Vatican ont accepté ce «plan d’action».

Je sais que vous allez voir sur Wikipédia qu’il s’agit d’un «accord volontaire non contraignant», sauf que l’Agenda 21 vous lie.
Cela a été inscrit dans les lois de vos pays depuis la Chine, toutes les nations occidentales et du Moyen-Orient, partout dans le monde, grâce à une collaboration de gouvernements, d’entreprises, d’organisations et de fondations. C’est un plan mondial mais ce n’est pas un plan international. «International» signifie «entre les nations» mais ce plan efface les nations. C’est mondial. C’est un plan global qui est mis en œuvre localement, donc il a un nom différent partout mais c’est le même plan. Chaque aspect de votre vie est touché, donc c’est dans vos programmes scolaires, c’est dans votre département de planification et de construction, c’est dans votre système judiciaire, dans votre système de santé. C’est partout mais on ne l’appelle jamais «Agenda 21». Vous allez le voir comme des plans régionaux. On les appelle souvent «Plan Bay Area» ou «Four States, One Vision» ou «Mexico 2030» ou «Hanoi 2030» ou «Horizon 2050» au Canada, par exemple. Ils sont tous sur le même plan. Ils élèvent les principaux centres de pouvoir économique à un statut supra-gouvernemental qui est en dehors et au-dessus du modèle traditionnel de gouvernement représentatif. Ce sont les méga-régions. Ils sont le moteur de l’économie et dominent l’État-nation. Ils combinent des parties de villes, d’États, ils combinent même des morceaux de nations ensemble.

Ils détruisent les frontières et ignorent les juridictions légales en créant de nouvelles principes économiques. Ce sont de nouveaux fiefs. Ce n’est pas le gouvernement. C’est la gouvernance.

Gouvernance: c’est un système composé d’agences du secteur public, d’organisations à but non lucratif, d’organisations commerciales, de groupes de défense, de fondations et d’entreprises. Qu’est-ce qu’ils ont en commun? Vous ne votez pour rien de tout cela. Plus l’entité est grande, plus elle est éloignée de vous, moins vous avez de pouvoir. Vous êtes littéralement sorti de l’image.

C’est le nouvel État mondial, dans lequel vous êtes un citoyen du monde, d’accord? Ainsi, le nouvel État est le moyen par lequel vous devez servir les autres pour le «bien commun» et c’est défini par l’État. C’est censé être de bas en haut. C’est quelque chose que vous voulez, mais c’est vraiment une course finale contre vous, autour de votre souveraineté. Votre souveraineté est érodée, pièce par pièce.

La question est: «Quel est le plan d’Action 21?» Quand on le voit dans le public, c’est avant tout un plan d’aménagement du territoire. C’est le cri de ralliement du «développement durable». Qu’est-ce-qu’ils disent? Que nous «tuons la planète» avec nos émissions de CO₂. Le plan est conçu pour enfermer les populations dans ce que l’ONU appelle des «îles d’habitation humaine». Établissements humains.

Bien sûr, une fois que vous êtes dans cette «île d’habitation humaine» concentrée autrefois appelée «ville», vous êtes plus facilement géré, contrôlé et surveillé. Ce pourrait être une ville, comme celle que Sidewalk Labs, une filiale de la société mère de Google, Alphabet, une ville comme ils l’avaient prévu pour un quartier de Toronto. Cette ville devait avoir des capteurs intégrés partout, littéralement. Et les résidents verraient leurs services limités, à moins qu’ils ne dévoilent numériquement tous les aspects de leur vie

Si, par exemple en tant que résident, vous refusiez que vos données soient liées à votre identité, vous auriez moins de droits que les autres. C’est une ville intelligente. C’est une ville où je pense que la réalité virtuelle et augmentée remplacera la vie réelle et sera en fait plus attrayante. En fin de compte, les gens peuvent passer leur vie entière à vivre virtuellement et ces vies vont être courtes.

Alors, quelle est la justification de cette dystopie? L’histoire est que vos émissions de gaz à effet de serre seront réduites en regroupant les populations dans ces centres-villes denses, où la consommation d’énergie et d’eau peut être limitée. Cela va vous faire sortir des régions rurales, où vous pouvez essentiellement faire ce que vous voulez, élever votre bétail, faire pousser de la nourriture avec l’eau de votre puits, conduire votre camion agricole et posséder une arme à feu.

Mais pour mettre en œuvre l’Agenda 21, votre pays, état, comté, paroisse, canton, ville – peu importe – impose ce plan d’aménagement du territoire localement, car pensez à ceci: où vous vivez a beaucoup à voir avec votre façon de vivre et votre vie sera.

Votre ancienne vie doit donc être transformée. C’est le code pour «détruire et reconstruire». C’est la nouvelle norme. Cela comprend à la fois ce qu’ils appellent «l’environnement bâti» et la façon dont vous utilisez cet espace physique. Vos croyances et vos attentes doivent être transformées et reconstruites, ainsi que votre consommation d’énergie, votre consommation d’eau, votre consommation alimentaire, votre structure sociale, votre travail, votre santé et vos vues sur l’espérance de vie – tout cela doit être transformé. Et une grande partie de cela est déterminée dans le plan régional que vous avez, là où vous vivez. Je vous suggère de le vérifier.

Alors, comment détruisent-ils vos droits? Vous ne votez pas pour cela. Vous payez cependant pour cela. Ce plan régional est financé par des subventions fédérales et étatiques qui paient des consultants, qui s’engagent essentiellement à faire passer cela dans la communauté. Et les quelques citoyens concernés qui se présentent aux «réunions de vision» et aux «charettes», comme ils les appellent à s’opposer, les consultants sont là pour bloquer l’opposition. Ils sont essentiellement là pour endoctriner le public. Les consultants sont des «agents du changement» formés et des responsables organisationnels. Ils sont là pour donner l’impression qu’ils ont écouté le public et que le public approuve le plan.

C’est tout un acte. Je pense que vous allez convenir que c’est vraiment un gros problème. C’est une vente difficile et un énorme problème de gestion, même avec la tromperie et la collusion des médias d’entreprise. Je devrais dire le partenariat, la propriété. Il n’est pas facile de détruire près de 500 ans de l’État-nation, il faut donc le faire progressivement, en utilisant tout le pouvoir et l’influence des entreprises et organisations gouvernementales, y compris toutes les technologies, les divertissements, les médias et l’éducation.

C’est un plan totalement méga-corporatif. C’est un partenariat conjoint. Il s’agit d’un partenariat public-privé entre le gouvernement, les plus grandes entreprises du monde, les conglomérats bancaires, les grandes fondations financières, comme les fondations Ford et Rockefeller, des groupes comme le World Wildlife Fund et le National Religious Partnership for the Environment. C’est un cercle fermé. Cela ne vous inclut que lorsque vous êtes d’accord avec leur plan.

Bien sûr, c’est ce que signifie obtenir l’approbation de «la communauté». «La communauté» est toute personne qui est d’accord avec le plan. Si vous n’êtes pas d’accord, vous n’êtes pas «la communauté». La dissidence n’est pas autorisée. Ces fondations majeures, elles accordent des subventions à des milliers d’organisations de démarrage. Ils forment et financent des groupes dérivés qui ressemblent à des associations de quartier et à but non lucratif bienveillantes.

Tout ce système, il agit comme la bureaucratie inférieure pour le nouveau système et c’est fondamentalement l’ennemi ultime de l’individu. Donc, pour concrétiser l’Agenda 21, il faut une intégration complète des systèmes afin de les contrôler de manière centralisée. C’est la standardisation de tous les systèmes et la nouvelle monnaie est l’information et l’énergie.

Pour avoir un contrôle centralisé, une mondialisation totale, il est nécessaire d’uniformiser toute loi, toute éducation, toute culture, toute finance. Pour fusionner, il doit être normalisé. Cela était impossible jusqu’à l’avènement de l’ère de l’informatique. Maintenant, c’est inévitable. C’est pourquoi chaque écolier reçoit un ordinateur et Internet se trouve désormais dans de minuscules villages de chaque nation. Votre système éducatif est utilisé pour vous inciter à vous considérer comme un «citoyen du monde». J’espère que non, car un citoyen du monde n’est pas du tout un citoyen et n’a aucun droit. Dans le cadre de l’Agenda 21 du développement durable des Nations Unies. Ce qu’on appelle un «droit» est en réalité un «privilège» et il peut être retiré ou accordé à tout moment.

Bien entendu, à l’inverse, une sanction peut être infligée sans réparation. Cela explique donc comment l’ONU peut appeler la connectivité Internet universelle un «droit de l’homme». Pendant COVID, Unicef ​​du Fonds pour l’éducation des enfants des Nations Unies, ils ont créé un projet appelé GIGA et le but est d’amener toutes les écoles du monde à faire des cours en ligne et le terme pour cela est «instruction directe». Rien ne s’interpose entre l’enfant et l’ordinateur. Cela rend l’endoctrinement standardisé vraiment facile.

Et bien sûr, vous savez tous qu’en tant que startup, Google a été financé par la communauté du renseignement, afin d’espionner les personnes qui recherchaient des sujets spécifiques sur Internet. Alors, ils pourraient identifier ces personnes. Fondamentalement, nous renverse les rôles et nous expose à la surveillance. Désormais, des milliards de personnes portent volontairement à tout moment un appareil de surveillance.

Lorsque vous entendez le terme «Smart», qu’il s’agisse d’un smartphone, d’une smartcar, d’une smarthome ou autre, c’est un acronyme: SMART: Sustainability, Monitoring, Assessment, Rating and Tracking. 

GIGA, le projet de connectivité universelle pour les enfants, s’est numérisé davantage pendant 10 semaines de convoitise qu’au cours des 10 dernières années. Pour cela, ils ont besoin de la 5G et pour cela, ils ont besoin d’une production d’énergie décentralisée qui permet l’expérimentation numérisée et l’espionnage de grandes populations sans leur consentement ou leur connaissance. Une sorte de colonisation numérique.

Les méga-sociétés sont là-bas, elles recherchent des personnes qui ajoutent de la valeur, qui sont des innovateurs. Les entreprises veulent s’approprier l’innovation. Tout le monde n’a pas de valeur dans ce système, ce nouveau système. La plupart d’entre vous ne le font pas. Très probablement, vous valez moins que votre prêt étudiant. Votre valeur, votre pointage de crédit social est basé sur le fait que vous produisez plus que ce que vous consommez et que vous serviez ou gêniez l’État.

Le gouvernement a surmonté nos droits constitutionnels en fusionnant avec des sociétés privées qui peuvent opérer sans retenue en secret, punissant, purgeant et faisant disparaître des dissidents, comme Facebook et Google et Twitter et Amazon l’ont fait virtuellement; c’est la mondialisation.

La mondialisation efface les frontières, allant de la ville jusqu’à la nation. C’est la fin du gouvernement représentatif.

Maintenant, je sais que vous pourriez penser que le gouvernement est un obstacle, c’est un danger et il ne vous représente pas, de toute façon, alors qui s’en soucie, n’est-ce pas? Eh bien, je sais à qui je parle, ici et en fait, je suis d’accord. Mais au moins aux États-Unis, le gouvernement était à l’origine conçu comme représentatif. C’était comme si vous étiez un agriculteur ou un commerçant très occupé et que vous aviez élu un représentant qui avait accepté de céder quelques années de sa vie à la gestion de ce genre de choses, vous n’étiez donc pas obligé de le faire.

Maintenant, des gens comme Pelosi et McConnell sont au gouvernement depuis 50 ans. Eh bien, pourquoi ? C’est parce qu’ils continuent à être votés. L’argent qui les élit les maintient là-bas. Au sommet, le pouvoir n’a pas de parti.

Alors, que veulent les contrôleurs mondialistes? L’Agenda 21 est conçu pour une gestion efficace. les méga-sociétés veulent avoir des lois et des règlements harmonisés et intégrés, le moins possible, afin de ne pas avoir à changer d’activité ou à se réorganiser pour vendre sur différents marchés. Ils ne veulent pas de frontières et des marchés ouverts. Ils veulent tuer la concurrence, aussi petite soit-elle et la demande des ingénieurs. Ils veulent traiter avec le moins de décideurs possible, idéalement, un seul. Ils veulent fusionner avec le gouvernement. Ils veulent des travailleurs adaptés au travail requis et facilement jetés. Ils veulent posséder l’innovation, donc ils veulent un lien direct avec les universités. Ils veulent contrôler toutes les ressources, humaines et naturelles, car vous savez, les humains sont une ressource – ou plus probablement, vous êtes un obstacle.

Les méga-entreprises ont besoin d’un contrôle total et d’une information totale. C’est la révolution numérique. C’est la quatrième révolution industrielle. C’est la grande réinitialisation. Les trois révolutions industrielles précédentes se sont principalement concentrées sur l’énergie et le matériel. Qu’il s’agisse de vapeur, de gaz ou d’électronique, ces nouvelles énergies ont radicalement restructuré la société, de la famille au travail, des villes au gouvernement – tout, complètement restructuré.

C’est maintenant la quatrième révolution industrielle, la révolution numérique. C’est l’explosion de la technologie qui progresse plus vite que la vitesse de l’éthique et de la surveillance et elle éclipse les trois révolutions précédentes. De l’intelligence artificielle ayant le potentiel de changer la nature de l’être humain, à la robotique utilisée pour la police, aux bâtiments intelligents et aux capteurs qui nous surveillent en permanence.

Cette révolution permet un avenir incertain. La quatrième révolution industrielle, dans le contexte des trois premières, représente une accélération phénoménale, en termes de temps et de capacité à contrôler les masses, à transformer et à perturber, «Build Back Better». Lorsque vous entendez cela, sachez que vous ne pouvez pas le reconstruire à moins de le casser, d’abord.

Ils l’appellent le «nouveau contrat social» – celui que vous n’avez pas accepté! Le concept Great Reset, que «vous ne posséderez rien», vous louerez tout ce dont vous avez besoin, vous devez regarder cela à travers le prisme de la propriété privée. * Vous * êtes votre propriété privée la plus importante. Perdre la propriété de votre liberté de parole, de mouvement – fondamentalement, de votre libre arbitre – cela signifie que vous perdez ce qui est le plus important pour vous. Cela réduit vos attentes d’une vie bien remplie et vous force à entrer dans une nouvelle ère d’austérité, de rareté. Ce n’est pas facile de faire ça. La perte de liberté de la manière la plus vitale, l’indépendance et l’intimité du corps et de l’esprit qui exigent ce qu’ils appellent la «nouvelle normalité», vous ne venez pas à cet endroit sans une crise majeure.

Les contrôleurs mondialistes autoproclamés qui avaient l’intention de perturber totalement l’avenir, ont-ils considéré quel genre de crise serait nécessaire pour faire d’une gouvernance mondiale une réalité? Celui qui s’étend au-delà des entreprises dans nos maisons et nos corps? À mon avis, la crise mondiale nécessite une réponse mondiale – et cela justifie la gouvernance mondiale.

Il faut vraiment une crise majeure – une crise mondiale – pour rompre l’identification avec votre nation et votre culture – quelque chose comme le changement climatique, n’est-ce pas? Cela crée une terreur existentielle selon laquelle «nous détruisons la planète» et notre mode de vie tout entier est une menace pour son existence continue. Hé, ce n’est pas de la science! La science est faite pour s’adapter au résultat souhaité, dans cette situation, c’est le masque vert. Donc, derrière ce masque de préoccupation environnementale, vous trouvez la soif d’un contrôle global, centralisé et totalitaire.

La menace du changement climatique est une étape, c’est une phase. Il est conçu pour nous préparer à plus de restrictions et de limitations et nous sommes maintenant confrontés, bien sûr, à une menace beaucoup plus omniprésente et restrictive. Ils ont sorti le Big Gun, la nouvelle menace existentielle est C19.

En fait, le World Wildlife Fund affirme que le COVID est, citation «La réponse de la nature à l’abus de l’environnement par l’homme» sans citation. Sont-ils sérieux? La nature est un terroriste. Ainsi, invisible, incolore, inodore, à peine détectable, le COVID est le nouveau masque de la Nouvelle Norme.

Le 11 septembre était la justification de l’État sécuritaire. le COVID active l’état de surveillance. Le COVID justifie une application globale. Vraiment taillé sur mesure pour le Nouvel Ordre Mondial, le  COVID a émis en assignation à résidence des purges de diseurs de vérité, l’effondrement économique, la pleine autonomisation de ces méga-entreprises.

Et bien sûr, comment pourrais-je oublier? La liste des dictateurs volontaires, de Macron en France, à Ardern en Nouvelle-Zélande, à Trudeau au Canada à Harris aux États-Unis, à Cuomo, Newsom, Whitmer, Garcetti, Lightfoot et des dizaines d’autres, partout dans le monde.

Dans la compétition pour le règne des méga-régions, les collaborateurs volontaires se mobilisent aussi localement, bien sûr et c’est vraiment ce que ces quatre dernières années ont été: séparer le bon grain de l’ivraie, les fidèles des dissidents . C’est comme ça que c’est fait. Mao Zedong l’a fait en Chine, avec sa campagne «Let 100 Flowers Bloom». Il a encouragé ses fidèles à critiquer ses programmes, afin de les améliorer, mais il l’a fait pour identifier et purger ses critiques – ce qu’il a fait.

Alors. ce dont je parle ici, c’est le pouvoir. Ceux qui ont du pouvoir veulent le garder. Ceux qui n’en ont pas le veulent. Il y a toujours eu des gens qui voulaient contrôler le monde. Ce qui a changé, c’est que la capacité de contrôle a augmenté en vitesse et en portée, d’une manière qui n’a jamais été possible auparavant.

Alors maintenant, en conclusion, je veux vous encourager. Je veux vous encourager à être courageux; pour trouver la joie d’être simplement en vie. Demandez-vous: «Qu’est-ce que j’apprécie?» Reconnaissez-vous, vous-même faites partie de la raison pour laquelle nous sommes dans cette situation. Allez-vous préféré la commodité à la Liberté? Le monde Libre exige la Liberté avec la responsabilité, cela demande du travail. Le travail que nous faisons peut être semé d’embûches, plein d’oppositions contrôlées, ce qui semble être la réponse, mais plutôt une sorte de cercle tordu de propagande lavé en vert et enrobé de bonbons qui remonte au masque vert. Alors vous devez vous arrêter et réfléchir. Ne vous méprenez jamais. Sachez qu’il n’y aura pas de Suisse dans ce Nouveau Monde, pas d’endroit où se cacher. Il est donc temps de résister. Refusez de collaborer. Ne portez pas de smartphone. Ne vous portez pas volontaire pour donner votre biométrie ou votre ADN. Ne coopérez pas. Désactivez, tant que vous le pouvez et s’il vous plaît, préparez-vous à travailler pour rester Libre. Il faut que nous travaillions tous pour que cela se produise.

Par-dessus tout, mes amis, rappelez-vous qui vous êtes, riez, dansez et aimez et rejoignez-nous. 

Merci beaucoup.


Rosa Koire est une évaluatrice de l’immobilier commercial médico-légal à la retraite spécialisée dans l’évaluation de domaines éminents. Ses vingt-huit ans de carrière au ministère des Transports de Californie (chef de la branche de district) en tant que témoin expert sur l’utilisation des terres ont abouti à la révélation des impacts du développement durable sur les droits de propriété privée et la liberté individuelle.


[Voir aussi :




Sauvez les enfants des vaccins anticovid inutiles et dangereux

Par Gérard et Nicole Delépine

Luttez contre une propagande insidieuse véhiculée par un quotidien pour enfants en toute illégalité

Tout médicament ou vaccin ne doit être prescrit que si les avantages espérés sont supérieurs aux complications possibles pour celui qui le reçoit.

Aucun traitement expérimental ne doit être proposé sans le consentement libre et éclairé du cobaye.

Ces deux règles fondamentales d’éthique médicale (serment d’Hippocrate) et d’éthique de la recherche (déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale) sont totalement bafouées lorsqu’on propose un vaccin anticovid et singulièrement aux enfants.

Mais une revue pour enfants, le petit quotidien, n’hésite pourtant pas à en faire la promotion !

Pour un enfant, le vaccin anticovid ne peut pas offrir de bénéfice personnel

Chez l’enfant, le covid est moins dangereux que la grippe ordinaire !

Au 2 mars 2021, 10 009 articles traitant du covid chez l’enfant sont référencés dans la base de données PubMed, lorsque l’on tape « Children Covid », dont 3124 si on précise « severe children covid ».

Tous ces articles s’accordent sur la faible fréquence de la virose chez l’enfant de moins de 15 ans, et sa bénignité habituelle(([1] Parc Hayne Cho Résultats cliniques des patients initialement asymptomatiques atteints de COVID-19 : une étude de cohorte nationale coréenne Med 2021 décembre ; 53 (1) : 357-364. doi : 10.1080 / 07853890.2021.1884744)), plus de la moitié des infections ne donnant aucun signe de maladie.

Dans les trois dernières années, les grippes saisonnières ont causé entre 7 et 10 décès parmi les presque 7,5 millions de Français de moins de 15 ans. En 2020, le covid19 n’a été mis en cause que pour 3 décès dans ce groupe d’âge et il s’agissait d’enfants à très lourdes maladies préexistantes. Chez l’enfant, le Covid est environ trois fois moins mortel que la grippe pour laquelle aucune vaccination antigrippale n’est actuellement recommandée.

On ne sait même pas si les vaccins sont efficaces chez l’enfant

Nous nous contenterons ici de citer l’avis de la Haute Autorité de Santé de décembre 2020 (([2] HAS Vaccination contre la Covid-19 : la HAS définit la stratégie d’utilisation du vaccin Comirnaty ®
PRESS RELEASE — Posted on Dec 24 2020)) : « l’efficacité vaccinale n’a pu être évaluée chez les jeunes de moins de 16 ans ».

Au 3/3/2021 le Registre des essais cliniques de l’UE(([3] Disponible à https://www.clinicaltrialsregister.eu/ctr-search/search?query=Covid-19+enfants)) ne recensait aucun essai de vaccin anticovid chez l’enfant.

On ignore totalement les risques des vaccins anticovid chez l’enfant

Les quelques éléments des essais publiés montrent qu’ils n’ont pas été testés chez l’enfant, ni chez les enfants à risques (prématurés, immunodéficients, mucoviscidose) la sélection des participants aux essais excluant, en autres, les moins de 18 ans et ceux souffrant de pathologies respiratoires, cardiaques, d’obésité ou de diabète…

La durée moyenne de surveillance des participants à l’essai est actuellement inférieure à six mois, alors que les plus graves complications (dont les narcolepsies) des vaccins anti grippe H1N1 sont apparues majoritairement après ce délai.

Aucun bénéfice envisageable versus complications possibles : chez l’enfant, la balance avantage /risque est à l’évidence défavorable.

D’ailleurs l’HAS ne recommande pas ces vaccins chez l’enfant et on peut se demander si la publicité pour un vaccin qui n’a pas reçu une AMM (même conditionnelle) dans ce groupe d’âge ne constitue pas une infraction pénale.

Vacciner les enfants ne protégerait pas les adultes, car ils ne sont pas vecteurs

Lorsqu’aucun bénéfice personnel n’est attendu, la publicité incite à la vaccination altruiste « pour protéger les autres », ce que fait le quotidien pour enfant. Noble motivation, mais sans aucune justification médicale ici, puisque les vaccins paraissent actuellement incapables d’empêcher la transmission de la maladie et que, de toute manière, les enfants ne contaminent personne.

Tous les articles publiés montrent que les enfants ne participent pas à la transmission du coronavirus.

Au début de l’épidémie, on croyait que le covid19 se propageait comme la grippe en passant par les enfants. Mais toutes les études épidémiologiques sérieuses ont prouvé qu’il n’en était rien. Les enfants ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes.

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois (([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville(([6] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)), du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec COVID-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n’y a pas de cas d’enfants décédés du COVID-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans (([7] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD)) et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande(([8] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.)), avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants and 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([9] D’après l’Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.bing.com/search?q=l%E2%80%99Australian+National+Centre+for+Immunisation+Research+and+Surveillance&form=QBLH&sp=-1&pq=&sc=0-0&qs=n&sk=&cvid=4D88315372394AACB2AA964A03900C84)) (([10] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020 Google Scholar)), 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse : sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande,(([11] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)) un enfant de 12ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce (([12] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece : a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ;10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394.)) l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour(([13] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19 : cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-singapor)), deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Le lobby de la peur, pour imposer des vaccins chez l’enfant, n’a pas d’études épidémiologiques sérieuses à présenter.

Il n’exhibe que des études virologiques ou des études basées sur des tests affirmant que les enfants ont parfois une charge virale élevée et que lorsqu’ils sont symptomatiques, ils excréteraient autant que les adultes et donc qu’ils seraient susceptibles d’être contaminants.

Et plus récemment des foyers dans un camp de vacances ou des crèches, mais jamais des études épidémiologiques de la qualité de celles réalisées, au début de l’épidémie lorsque la faible prévalence du covid19 permettait de remonter avec certitude la piste des contaminations. Des hypothèses, des supputations au conditionnel, pas de preuves !

Restons factuels.

Toutes les études épidémiologiques publiées concluent que l’enfant ne contamine personne ou presque. Et aucune étude épidémiologique sérieuse n’a jusqu’à présent montré que le variant anglais en serait capable. Si davantage d’enfants anglais sont des cas positifs, c’est peut-être parce qu’ils sont actuellement exposés à davantage de personnes contaminées depuis le début de la vaccination, ainsi que le montrent les courbes de l’OMS.

Les vaccins sont expérimentaux ; leur utilisation chez les enfants viole le code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki

Les résultats des essais des vaccins anti covid chez l’enfant n’ayant été ni établis, ni publiés, leur utilisation constitue un essai thérapeutique. Or le code de Nuremberg(([14] Le Code de Nuremberg — rédigé en 1947 est une liste de dix critères contenue dans le jugement du procès des médecins de Nuremberg (décembre 1946 — août 1947). Ces critères indiquent les conditions que doivent satisfaire les expérimentations pratiquées sur l’être humain pour être considérées comme « acceptables http://www.frqsc.gouv.qc.ca/documents/10191/186011/Code_Nuremberg_1947.pdf/d29861b8-30a7-456e-9a83-508f14f4e6d5)) identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains.

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition.

Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée, et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle, afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision.

Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience. »

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants qui n’ont pas la capacité légale de consentir viole donc le code de Nuremberg.

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki(([15] Déclaration d’Helsinki de l’Association Médicale Mondiale https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants :

« La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ».

Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Mais que vient faire le « Petit Quotidien » dans cette galère de propagande vaccinale inappropriée ?

Faire la promotion directe aux enfants d’un vaccin qui ne leur est pas destiné est quasi délictueux et relève de la Justice comme les promotions vaccinales par des mairies dont une est déjà poursuivie.(([16] Voir la mise en demeure de l’association reaction19fr à BFMTV de supprimer sa campagne publicitaire du vaccin ANTICOVID Mise-en-demeure-BFMTV-du-2.02.2021.pdf)) (([17] Brusa Carlo Alberto (@cab2626) a tweeté : La Ville de Saint Quentin en Yvelines qui fait la promotion illégale du poison ! Mise en demeure immédiate de cesser cette promotion illicite ! 😡😡😡 https://t.co/ydvdP0etVp))

Violer le code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki, bases de l’éthique médicale et de la recherche médicale constitue des fautes morales majeures.

Comment le petit quotidien, qui prétend rapporter « 100 % de faits 0 % d’opinion » a-t-il pu tomber aussi bas ?

Comment ses rédacteurs ont-ils été si mal renseignés ?

Si le « petit quotidien » ne corrige pas rapidement ses erreurs en rappelant dans un prochain numéro l’histoire du procès des médecins nazis et les bases éthiques élaborées à son occasion, il montrera qu’il n’a agi que comme militant des firmes pharmaceutiques et pourra être poursuivi pour publicité illégale.





Irresponsabilité spatiale ? Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace

[Source : reporterre.net]

Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace

ENQUÊTE 1/3 — Le projet du milliardaire Elon Musk se concrétise. Son offre d’une connexion haut-débit à internet sur toute la planète via une constellation de satellites est déjà en fonctionnement aux États-Unis. Et ses antennes domestiques sont désormais disponibles en France en précommande.

550 kilomètres nous séparent des premiers satellites de SpaceX, la société d’Elon Musk. En plus de les voir rayonner parmi les vraies étoiles de notre ciel une fois la nuit tombée, les 12.000 satellites prévus à terme vont pouvoir transmettre une connexion haut débit en France et en Europe à partir du milieu de l’année 2021.

Les précommandes pour la version bêta sont déjà disponibles sur le site de SpaceX pour s’offrir l’antenne, de la taille «d’une pizza médium», qui recevra le signal des satellites et permettra une connexion internet. Le prix du forfait est pour l’instant «la principale préoccupation» d’Elon Musk puisqu’il serait d’environ 82 euros par mois (99 dollars). Il faut ajouter à cela plus de 410 euros pour le kit Starlink, qui comprend un trépied de montage, un routeur Wifi et un terminal pour se connecter aux satellites. Une application mobile permet de choisir le meilleur angle et la meilleure position pour l’antenne.

Un acompte est demandé pour la précommande, qui sera ensuite déduit des 410 euros à payer pour le kit.

L’Arcep, l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse, a donné son feu vert à Starlink le 9 février, pour exploiter les fréquences qui transmettront le signal du satellite à l’antenne domestique.

Comment ça marche?

Concrètement, si on lance une recherche internet via Starlink, l’information sera envoyée au routeur Wifi, puis à l’antenne domestique placée sur le toit ou le balcon. Cette antenne dirigée vers le ciel va envoyer l’information au satellite le plus proche, qui va lui-même envoyer l’information à une station au sol pour la connexion. L’information va ensuite effectuer le chemin inverse jusqu’au routeur Wifi de l’utilisateur.

Ce projet hors-norme fait appel à une technologie qui n’est pas nouvelle. Se connecter à internet par satellite est possible depuis la fin des années 1990. Les bateaux, les avions, les trains ou les zones très reculées sont pourvus de l’internet satellitaire depuis de nombreuses années pour permettre un accès à haut débit indépendamment des antennes terrestres. Au milieu de l’océan Pacifique par exemple, un navigateur peut avoir accès à une connexion en envoyant sa requête au satellite le plus proche, plutôt qu’à une antenne terrestre inaccessible.

Un nombre de satellites inédit

Les fournisseurs d’internet par satellite, comme NordNet en France, proposent ce genre de services. Ce qui différencie le projet Starlink de ce qui existe, c’est avant tout le nombre de satellites et l’ampleur des infrastructures. NordNet, qui appartient au groupe Orange, utilise un seul satellite en orbite géostationnaire (qui ne bouge pas) à 36.000 km d’altitude ce qui lui permet de couvrir une zone très large. La latence — la durée que prend l’information pour aller jusqu’au satellite — et le ping — la durée du voyage aller-retour —, sont bien plus longs que ce qu’annonce l’offre de Starlink.

La société Iridium propose quant à elle une couverture mondiale avec quatre-vingt-dix satellites en orbite basse. Cette constellation s’approche de celle d’Elon Musk mais à une échelle bien plus minime puisque le milliardaire étasunien prévoit d’envoyer 12.000 satellites. «C’est une technologie révolutionnaire dans le sens où c’est la première fois qu’il existe une constellation suffisamment maillée pour que les satellites puissent communiquer entre eux», confirme Christophe Bonnal, chercheur au Cnes, le Centre national d’études spatiales.

Pour Daniele Pitrolo, président de franciliens.net, une association qui fournit un accès au réseau et œuvre pour un internet neutre et transparent, «la connexion satellitaire, c’est un fantasme dans le milieu des bidouilleurs et des informaticiens depuis des décennies!»

Des performances prometteuses…

Pour l’instant la version test, baptisée «Better than nothing» («Mieux que rien»), de Starlink est loin des objectifs annoncés par Elon Musk, mais n’est pas non plus ridicule. Les quelque 10.000 utilisateurs aux États-Unis déjà connectés au service notent un débit de 100 Mb/s en moyenne et une latence d’environ 40 millisecondes.

Ce sont ces performances que peuvent attendre les premiers utilisateurs français entre le milieu et la fin de l’année 2021. La fibre optique, disponible avec les opérateurs classiques demeure cependant encore loin devant avec un débit pouvant aller jusqu’à 1 Gb/s et 17 ms de latence.

Starlink développe également la transmission laser entre ses satellites pour que l’information circule plus vite. Cette technique permettrait à sa constellation d’être encore plus indépendante des structures terrestres et améliorerait le temps de latence.

…et vouées à s’améliorer

Sur le site web communautaire Reddit, des ingénieurs de SpaceX répondent durant des heures à certains utilisateurs étasuniens et se montrent confiants dans l’amélioration du service. «Nous nous mettons au défi chaque jour de pousser Starlink vers les limites fondamentales de la physique. Les satellites Starlink actuels fonctionnent à 550 km, et le temps de trajets vers la terre est de 1,8 milliseconde avec la vitesse de la lumière. Le trajet aller-retour entre votre maison et un serveur de jeu est au mieux de 4 fois 1,8 milliseconde à ces altitudes, soit moins de 8 millisecondes. […] On va travailler pour s’approcher de ce ping.»

Cette vitesse peut également varier en fonction de la météo et des fréquences utilisées. Pour Daniele Pitrolo, c’est la faille majeure de cette technologie. 

«La connexion par satellite n’est pas aussi stable que la fibre ou le câble. Vous devez communiquer avec un objet extérieur à la terre via un signal qui peut être perturbé par tout ce qui passe devant. Cela fonctionne moins bien quand il y a beaucoup de brouillard, par exemple.»

Selon un sondage du service de consommateurs Reviews.org, 51% des Étasuniens disent vouloir souscrire à l’offre de Starlink, et 55% se disent prêt à changer d’opérateur internet si la connexion est plus rapide. Reviews.org rappelle que la vitesse de connexion moyenne aux États-Unis est de 57,2 mégabits par seconde alors que Starlink propose une vitesse d’environ 103,1 Mb/s.

Un village dans la Manche s’oppose à Starlink

Annoncé pour la première fois en 2015, le projet semble se concrétiser en France à la surprise générale, sans informations précises quant à l’utilisation des antennes domestiques. Mardi 16 février, soixante nouveaux satellites ont été déployés par SpaceX. Avec 1.145 satellites, Starlink constitue désormais la constellation la plus importante de l’histoire de l’aéronautique.

Au début de l’année, la mairie de Saint-Senier-de-Beuvron, dans la Manche, a refusé l’installation de neuf antennes relais Starlink. Le manque d’informations et de garanties a poussé les élus de la commune de 350 habitants à se montrer méfiants.

La municipalité a transmis à Reporterre les documents justifiant l’installation de ces antennes. «On a sollicité différentes analyses, ils nous ont renvoyé des documents en anglais, avec des normes étasuniennes. Nous, on n’acceptera pas d’antenne si on n’a pas des documents qui justifient la non-dangerosité d’une telle installation avec des normes françaises», justifie Valentin Quéhin, le secrétaire de mairie.

Une puissance comparable aux antennes des camions de télévision

Pourtant une autorisation avait été délivrée par l’Arcep en décembre dernier. «On n’a pas d’inquiétude sur ces antennes terrestres. Sur cet équipement, la puissance est à peu près équivalente à des antennes dont disposent les camions de télévision», assure Gilles Brégant, directeur général de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), qui veille au respect des valeurs limites d’exposition aux ondes électromagnétiques. D’autres antennes de ce type sont prévues à Gravelines, dans le Nord, et une est déjà installée à Villenave-d’Ornon, juste à côté de Bordeaux (Gironde).

C’est Starlink France SARL, visiblement la filiale française du groupe étasunien, qui a fait la demande d’autorisation à l’Arcep. Starlink France est dirigé par David Anderman, avocat général de SpaceX, et Lauren Dreyer, directrice des ressources humaines de la même société, tous les deux Étasuniens. Le siège social de la filiale, qui se situe dans une rue parallèle aux Champs-Élysées, n’est pas en ébullition. Le rez-de-chaussée est tenu par un ancien magasin de déblocage et de réparation de téléphones «Clope and Phone», et les locaux sont indiqués comme étant à louer. Impossible de s’entretenir avec un interlocuteur physique. Même en ligne, aucune adresse électronique ou numéro français n’est disponible pour échanger. La société Sipartech, qui collabore avec Starlink France SARL pour la mise en place des antennes, n’est pas plus renseignée. «On a un accord de confidentialité avec eux, mais pour tout vous dire, je n’ai pas de contact direct ni de mail», affirme la directrice de la communication de Sipartech.

L’adresse du siège social de Starlink France à Paris.

Cette absence d’interlocuteur contraste avec la surmédiatisation et l’incarnation du projet par Elon Musk. Toutes les informations quant à l’utilisation du service doivent être glanées sur des forums ou des sites spécialisés. Sur le site Reddit, un utilisateur demande : «Y a-t-il un service client ou quoi que ce soit? Je voudrais parler à un humain avant d’acheter. J’ai de nombreuses questions.»

«On ne peut pas prendre Elon Musk au sérieux, il est fou!»

Le manque d’informations que constate la mairie de Saint-Senier-de-Beuvron et certains utilisateurs vient sans doute du fait que même les autorités de régulation françaises ont été prises de court. Sophie Pelletier est présidente de l’association Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques) et elle est membre du Comité national de dialogue des fréquences, qui réunit des chercheurs, des scientifiques et des membres des différentes autorités de régulation comme l’Arcep ou l’ANFR.

«Ça fait au moins deux ans qu’on questionne les membres du comité de dialogue là-dessus. On nous répond : “On ne peut pas prendre Elon Musk au sérieux, il est fou! Il fait beaucoup d’annonces et il n’y en a aucune qui se concrétise!” Finalement, maintenant que cela arrive en France, j’ai l’impression d’être la gamine qui criait au loup et que personne ne croit.»

Pour le déploiement de la 4G et de la 5G, les autorités de régulation françaises demandent aux opérateurs de nombreux justificatifs. Des études sont menées en parallèle sur l’exposition aux champs électromagnétiques, l’utilité du projet ou encore sur le coût environnemental par le Haut Conseil pour le climat.

Pour Starlink, c’est autre chose. Les satellites sont envoyés depuis les États-Unis et la régulation ne semble pas ou très peu s’appliquer dans l’espace. Elon Musk peut envoyer des satellites et les faire graviter au-dessus de l’Hexagone sans réel contrôle préalable. Plusieurs milliers, qui plus est, qui émettent en permanence des ondes électromagnétiques vers le sol français.


Avec Starlink, Elon Musk innove dans la pollution

ENQUÊTE 2/3 — Avec l’envoi envisagé de 42.000 engins dans l’espace, dont 12.000 en orbite constante, l’offre de réseau internet haut-débit par satellite d’Elon Musk enserre la Terre. Cette profusion d’objets produit une énorme pollution lumineuse dans l’espace et met également en danger l’environnement terrestre.

«La 5G a au moins le mérite d’avoir fait émerger les problématiques climatique et énergétique, mais là, avec Starlink, on balance 42.000 satellites dans l’espace dans l’indifférence générale.» 

La question écologique n’est certes pas la première interrogation lorsqu’on évoque le projet Starlink. Mais Sophie Pelletier, présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), tente d’obtenir des informations sur ce projet depuis plusieurs années.

Elle fait partie du Comité national de dialogue des fréquences, qui réunit plusieurs experts et scientifiques du secteur des télécommunications. Reporterre a eu accès aux comptes-rendus de ces comités depuis 2018, qui réunissent notamment les autorités de régulations françaises comme l’Agence nationale des fréquences (ANFR) et l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep). Les questions de Sophie Pelletier butent régulièrement sur la méconnaissance du projet Starlink par ces régulateurs et sur ses potentiels conséquences environnementales et sanitaires.

Durant une séance du Comité de dialogue en 2019, un participant s’exclamait : 

«Il faudra bien un jour demander à tous ces organismes qui travaillent dans les développements technologiques qu’avant de multiplier les satellites, il faut se poser la question de la répercussion de leurs inventions sur nos organismes humains, sur les animaux et sur la biodiversité.»

Un lot de soixante satellites Starlink encore attachés à leur fusée, sur le point d’être mis en orbite.

Le coût écologique du projet Starlink n’est pas chiffré, mais on peut estimer que notre consommation de données numériques et d’objets connectés pourrait exploser. Elon Musk a d’ailleurs annoncé, lors d’une conférence le 9 mars 2020, que «les clients pourront regarder des films en haute définition, jouer à des jeux vidéo et faire tout ce qu’ils veulent», et tout cela «avec des performances qui dépassent celles d’internet par satellite traditionnel avec un réseau mondial sans limite d’infrastructure au sol», peut-on lire sur le site de Starlink.

Selon un rapport de France Stratégie d’octobre 2020, la consommation globale du numérique a augmenté de 50% entre 2013 et 2017. De plus, «l’adjonction d’une fonction de connexion à une multitude d’objets devrait avoir une incidence sur l’évolution de la consommation globale du numérique», peut-on lire dans le rapport. L’Ademe (Agence de la transition écologique) souligne que le secteur informatique est responsable aujourd’hui de 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Des millions d’antennes à venir

Pour réceptionner le signal des satellites, Elon Musk va devoir s’atteler à la construction de millions d’antennes domestiques. Dix mille Étasuniens en sont déjà pourvus, et la moitié du pays se dit déjà prête à basculer vers cette nouvelle offre. Ces antennes ne seront pas produites aux États-Unis mais seront «Made in Taiwan». Elles devront bien entendu être alimentées constamment en électricité chez le client. Ce qui signifie une consommation nouvelle de matières premières et tout autant de déchets à venir.

SpaceX continue aussi de produire des satellites à un rythme industriel, environ 120 par mois. Elle les envoie ensuite en orbite par lots, à des coûts relativement bas puisque l’entreprise réutilise ses propres lanceurs spatiaux. Ces satellites pèsent 227 kilogrammes chacun pour une taille équivalente à celle d’une grosse machine à laver.

Au total, le patron de Tesla souhaite produire 42.000 satellites, du jamais-vu dans l’histoire de l’aéronautique. Là-encore, la prédation en ressources terrestres et en énergie pour produire des millions de composants pourrait être gigantesque.

Un train de satellites dans le ciel

L’autre pollution générée par Starlink est celle de l’espace. Les satellites nouvellement envoyés sont régulièrement visibles dans le ciel nocturne. En effet, lors de la première phase de la mise en orbite, les engins se suivent et forment une ligne de points lumineux très visibles avant de se disperser et de rejoindre leur orbite finale.

Ce phénomène inédit a entraîné une levée de boucliers des astronomes et des amoureux de l’espace, qui voient leur instrument de travail ou plaisir visuel, le ciel, irrémédiablement dégradé.

Cliché à 333 secondes d’exposition du téléscope Blanco (4 mètres) du CTIO, les lignes sont issues de la pollution lumineuse des satellites Starlink.

«Les objets célestes étudiés par les astrophysiciens sont très peu lumineux, toute autre source de lumière peut être une gêne considérable. Cela les oblige à s’éloigner des zones urbaines et de la pollution lumineuse pour observer le ciel , dit à Reporterre Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay.  Avec les satellites Starlink, surtout à leur lancement quand ils sont encore relativement groupés, ils forment des traînées lumineuses qui polluent toutes les observations ou photos du ciel et qui rend impossible le travail des astronomes», déplore-t-il. Vouloir observer des objets célestes à ce moment-là, c’est comme si vous tentez d’observer une flamme de bougie et qu’un phare maritime vous éclaire en même temps.»

Elon Musk a proposé d’équiper ces satellites de pare-soleil et de les peindre en noir pour diminuer la gêne occasionnée. Mais, selon Roland Lehoucq, «peindre les satellites en noir, c’est de l’enfumage. C’est prendre le risque qu’il s’échauffe considérablement en absorbant la lumière du soleil. Pour préserver son équilibre thermique, un satellite doit avoir des parties peu absorbantes, donc réfléchissantes. Cette solution ne résout pas le problème, les satellites resteront toujours visibles par les instruments astronomiques modernes.» D’autant plus que la durée de vie de ces satellites est extrêmement courte (de cinq à sept ans) et fait naître une inquiétude quant aux débris spatiaux.

De dangereux débris spatiaux

À l’heure actuelle, «on a environ 34.000 débris de dix centimètres ou plus, environ 900.000 qui font un centimètre, et 135 millions qui font moins de un millimètre», selon Christophe Bonnal, spécialiste des débris spatiaux au Centre national d’études spatiales (CNES). 

«Tous ces débris sont engagés dans une spirale descendante jusqu’à ce qu’ils brûlent dans l’atmosphère. Il y a tout de même 10 ou 20% du débris qui ne brûle pas et qui fait courir un risque aux populations. Mais c’est également à tempérer, puisque seulement 3% de la surface de la Terre est densément peuplée.»

Ces débris représentent parfois une menace pour les satellites et les engins spatiaux. «Un débris à 800 km d’altitude va rester 200 ans avant de se désintégrer dans l’atmosphère. Durant ces 200 ans, il va poursuivre son orbite à environ 30.000 km/h. La probabilité d’une collision est donc assez importante», dit Christophe Bonnal.

Pour donner un ordre de grandeur, la plateforme LeoLabs a réalisé un impressionnant travail pour recenser les débris spatiaux et les matérialiser sur une carte interactive disponible en ligne.

Instantané de déchets spatiaux, en violet, au-dessus de l’ouest de l’Europe.

Anticipant les critiques, Elon Musk a mis au point une nouvelle technologie pour ses satellites. «L’avantage de Starlink, c’est son orbite basse. Il n’y a quasiment personne à 550 km d’altitude. Et ces satellites sont conçus pour fondre dans l’atmosphère sans générer de débris. C’est quelque chose de très rusé»,observe l’expert des débris spatiaux du CNES.

Cette mesure n’est pas suffisante, selon Roland Lehoucq : 

«Elon Musk peut argumenter qu’il fera redescendre les satellites en fin de vie, qu’ils fondront dans l’atmosphère ou que sais-je, mais, sur ces 12.000 satellites, si on estime qu’il y aura seulement 1% d’entre eux qui rencontrent un problème, ça fait tout de même 120 débris orbitaux supplémentaires.»

Pour Christophe Bonnal, ce risque de collision et cette pollution spatiale sont le prix à payer pour le progrès technologique. «Dans l’esprit d’Elon Musk, il est logique de développer cette technologie puisqu’elle est là, on ne peut pas rester au tam-tam.» C’est le même esprit que la diatribe d’Emmanuel Macron sur les amishs et le développement de la 5G. Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay, propose une approche différente. : 

«Est-ce que c’est un progrès technologique qui permettra à la Terre de rester habitable? La réponse est non.»

Incertitudes sanitaires

Avec sa constellation de satellites, la plus importante de l’histoire de l’aéronautique, Starlink fait également naître des questionnements autour des fréquences utilisées. Ces satellites vont constamment émettre et recevoir des ondes électromagnétiques et les conséquences sanitaires de ces rayonnements, surtout à long terme, sont peu connues.

Gilles Brégant, président de l’ANFR, tempère cette inquiétude. «Vu la distance de ces satellites, ces rayonnements auront une incidence infinitésimale sur le niveau d’exposition aux ondes électromagnétiques, même si on y est exposé constamment», dit-il à Reporterre.

Même s’il est faible, le niveau d’exposition constant imposé par ces satellites inquiète. En premier lieu, les personnes qui se disent électrosensibles, comme Sophie Pelletier. En 2017, lors d’un Comité de dialogue auquel elle participe avec des experts du secteur des télécommunications, l’un des membres souligne que 

«la multiplication des réseaux, qu’ils soient satellites ou autres, va entraîner une pollution partout : l’électrosmog». 

Ce terme traduit la densification du champ électromagnétique dans lequel nous baignons constamment. Cette «pollution» non visible à cependant des effets sur la santé de personnes qui se disent sensibles aux ondes électromagnétiques.

Ce qui pose question également, ce sont les valeurs d’exposition des antennes domestiques pour communiquer avec les satellites en orbite. «Il faudra peut-être mettre en place une zone d’exclusion autour de l’antenne domestique, comme il en existe pour les antennes 5G», dit Guy Pujolle, professeur émérite au Laboratoire d’informatique de Sorbonne Université (Lip6) et auteur de Faut-il avoir peur de la 5G? (Larousse, septembre 2020).

Le train des satellites Starlink vu depuis Buenos Aires, en Argentine.

Ces antennes déjà disponibles en précommande recevront, mais surtout émettront un signal vers l’espace. Dans un échange de courriels avec l’ANFR, un responsable a répondu à Sophie Pelletier : 

«La difficulté est que nous n’avons, a priori, pas d’éléments chiffrés pour l’exposition créée par une installation radioélectrique chez un particulier qui pointe vers les satellites.»

Gilles Brégant justifie cette absence d’information : «Starlink n’a pas à nous transmettre de documents ou de justificatifs. En Europe, on a un système d’autocertification, c’est-à-dire que n’importe quel importateur peut apporter sur le marché européen des appareils émissifs (comme les antennes domestiques Starlink). C’est après leur importation et leur mise en circulation que l’ANFR va effectuer des mesures pour voir si tout est conforme. Ce système mise sur la responsabilité des fabricants. Nous prélèverons sans doute une antenne Starlink pour voir si elle répond aux normes », indique-t-il.

Même son de cloche chez l’Anses, qui réalise des mesures des taux d’expositions près des antennes 5G par exemple. 

«On n’a pas encore assez d’éléments concrets sur ces antennes pour fournir des réponses à vos questions, mais nous travaillerons prochainement là-dessus.»

Pour Guy Pujolle, «avec les satellites, les fréquences sont moins surveillées, il y a moins d’études. Je pense que c’est un vrai problème.» Ce spécialiste des réseaux insiste : 

«La 3G et la 4G, on commence à maîtriser, à être documenté à leur sujet; la 5G, c’est déjà un peu plus compliqué, mais Starlink… on a très peu d’informations.» 

Un déficit d’informations critique alors que Starlink va engendrer une pression considérable sur l’environnement terrestre et spatial.


Starlink vise la conquête marchande de l’espace

ENQUÊTE 3/3 — Le réseau de satellites Starlink doit rendre l’accès à internet haut-débit possible partout sur la planète. Les militaires et les particuliers isolés — s’ils en ont les moyens — pourraient en bénéficier mais ce ne sera pas le cas d’une grande partie de la population mondiale. Ce déploiement servira en revanche d’appui pour les projets de conquête marchande de l’espace.

«Je me sens désormais comme une personne normale, Starlink est ma bouée de sauvetage.» Sur le site de Starlink, les commentaires des clients ne tarissent pas d’éloges sur la croisade d’Elon Musk contre les zones sans internet. Mais le fournisseur d’accès à internet par satellite du milliardaire n’est pas un projet philanthropique. Avec un forfait mensuel à plus de 80 euros, et 410 euros de frais d’installation, «Elon Musk ne vise pas les Inuits ou les tribus dans le désert mais les gens qui ont beaucoup d’argent», rappelle Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA Paris-Saclay.

Selon la banque américaine Morgan Stanley, la valeur de Starlink pourrait exploser dans les prochaines années. Évaluée à 42 milliards de dollars en juillet 2020 puis à 81 milliards en octobre, la valeur de l’entreprise devrait continuer à grimper. Morgan Stanley estime que Starlink pourrait attirer 364 millions de clients à l’horizon 2040, environ 5% de la population mondiale. Pour amasser plus de fonds, Gwynne Shotwell, présidente de SpaceX – l’entreprise américaine du domaine de l’astronautique fondée par Elon Musk -, a annoncé vouloir rapidement introduire Starlink en bourse.

Elon Musk peut également compter sur des financements publics massifs. Le 7 décembre 2020, SpaceX a bénéficié de 885 millions de dollars de subvention de la Commission fédérale des communications (FCC), pour développer internet dans des zones rurales aux États-Unis grâce à son offre de haut-débit satellitaire.

Lancement de satellites Starlink.

Les 12.000 satellites que Starlink veut envoyer en orbite autour du globe ne cibleront pas seulement les zones blanches mais l’intégralité de la planète. Les zones urbaines équipées en fibre optique avec un réseau internet terrestre en général plus rapide et moins cher risquent d’avoir plus de mal à voir l’intérêt de la liaison satellitaire.

«Qui en a besoin? Pas nous clairement, le réseau terrestre continue de se déployer, même l’Aveyron ou le Gers ont la fibre maintenant»,

dit Roland Lehoucq à Reporterre.

Mais permettre à de nouvelles populations d’accéder à Internet, c’est également la possibilité d’élargir le marché et de trouver de nouveaux clients. Dans son livre Le Nouvel impérialisme (Oxford University Press, 2003) le géographe économiste David Harvey estime que 

«la tendance générale de toute logique capitaliste du pouvoir n’est pas de laisser des territoires à l’écart du développement capitaliste, mais de les ouvrir continuellement à celui-ci».

L’armée des États-Unis intéressée

Lors d’une session du Comité de dialogue des fréquences qui réunit des experts du secteur des télécommunications, Sophie Pelletier, présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques), a demandé : 

«Quel est l’intérêt de développer des constellations qui vont couvrir l’ensemble du monde et modifier de manière durable, grâce à des investissements de long terme, la composition électromagnétique de notre atmosphère, pour me connecter à internet en plein désert?» «Il ne faut pas oublier un point : dans le désert se déroulent aussi des opérations militaires»,

lui a répondu l’un des membres.

Le Pentagone n’a en effet pas caché son intérêt pour le projet qui ouvre de nouvelles perspectives pour l’armée étasunienne sur ses terrains de guerre. L’US Army a signé un contrat de trois ans avec l’entreprise d’Elon Musk. L’objectif est d’utiliser les satellites Starlink pour obtenir une connexion internet plus stable avec moins de latence qu’une connexion satellitaire traditionnelle, et tester une nouvelle technologie de GPS.

Une jeep de l’armée étasunienne.

Fin 2020, l’armée américaine a également signé un contrat avec SpaceX de 149 millions de dollars afin de construire quatre satellites de détection de missiles balistiques dans l’usine où sont produits ceux de la constellation Starlink.

Selon Daniele Pitrolo, président de franciliens.net, une association qui fournit un accès au réseau et œuvre pour un internet neutre et transparent, un autre département de la Défense américaine pourrait être intéressé par Starlink. 

«Le rêve de la NSA (National Security Agency, qui pratique une surveillance électronique massive), c’est de n’avoir plus qu’un opérateur à surveiller pour avoir accès aux données de millions de personnes.»

Daniele Pitrolo a toujours en tête les révélations d’Edward Snowden en 2013. Cette année-là, le lanceur d’alerte américain avait fourni aux journaux Der Spiegel et The Intercept des documents d’archives de la NSA, qui comportaient un programme top secret, Treasure Map. Cette mission de la NSA et de l’agence d’espionnage britannique, le GCHQ, visait à cartographier l’Internet mondial, à identifier et localiser chaque appareil connecté à Internet dans le monde — chaque smartphone, tablette et ordinateur — «n’importe où, tout le temps», selon les documents de la NSA. Un opérateur était notamment ciblé, Stellar PCS, fournisseur d’accès à internet par satellite.

«Les grandes entreprises capitalistes transforment les utilisateurs en clients»

«Que Starlink puisse gérer autant d’informations d’utilisateurs n’est pas du tout compatible avec une garantie de nos droits», poursuit le président de franciliens.net, 

«c’est un pas de plus vers la mondialisation d’une certaine vision d’internet. Le réseau doit être considéré comme un bien commun, un outil citoyen qui peut amener le changement. Ce n’est pas possible de laisser cela dans les mains de grandes entreprises capitalistes qui détournent cet outil et transforment les utilisateurs en clients. Ces entreprises finiront toujours par léser le droit des utilisateurs.»

Daniele Pitrolo est également membre de la Fédération des fournisseurs d’accès à internet associatifs (FFDN) qui regroupe des opérateurs «alternatifs», mobilisés pour construire des réseaux Internet communautaires «conçus pour la communication des humains (plutôt que celle des objets ou des machines); des réseaux construits et gérés en commun, par et pour les populations locales».

Pour contrer Starlink, la Russie a annoncé vouloir infliger des amendes allant de 110 à 350 euros à toute personne utilisant le service. Une mesure qui rappelle le rôle primordial d’Internet dans la souveraineté et la volonté de contrôle des flux de données par les gouvernements.

Starlink attire aussi la finance

Le secteur de la finance pourrait lui aussi être intéressé par les satellites Starlink, en particulier pour le «trading automatique» appelé également «trading hautes-fréquences». Ces transactions financières sont réalisées à grande vitesse par des ordinateurs suivant des algorithmes précis. La technologie Starlink, si elle s’avère plus rapide que les solutions classiques en termes de latence, comme l’espère Elon Musk, pourrait assurer un sérieux avantage aux entités financières qui l’adopteront suffisamment tôt.

Dans ce secteur, certains acteurs déboursent aujourd’hui des millions de dollars dans des câbles sous-marins en fibre optique pour réduire de quelques millisecondes la latence de leurs communications.

L’autre objectif de Starlink, moins évident à première vue, est la conquête de Mars. «Soit on devient une espèce multiplanétaire là-bas parmi les étoiles, soit une espèce qui vit uniquement sur Terre, en attendant un évènement provoquant notre extinction,», disait déjà Elon Musk en 2016. Il a depuis déclaré vouloir bâtir une colonie humaine sur Mars d’ici à 2050. Le patron de Tesla voit dans Starlink la «clé» pour financer ses expéditions spatiales vers Mars et le développement de ses fusées Starship.

«Donner une nouvelle chance à l’humanité»

La présidente de SpaceX, Gwynne Shotwell, rejoint Elon Musk dans sa vision de la conquête spatiale. «Il s’agit en fait de donner une nouvelle chance à l’humanité au cas où il y aurait un événement horrible sur Terre : de déplacer les gens et de sauver l’humanité en leur permettant de vivre sur une deuxième planète, une deuxième Terre», a-t-elle déclaré.

Une navette spatiale SpaceX.

Mais pourquoi alors développer un réseau de communication aussi massif, si le milliardaire n’a plus d’espoir pour la planète Terre? Dans un entretien vidéo pour le magazine Time, la présidente de SpaceX explique qu’une fois que les humains auront colonisé Mars, «il leur faudra un moyen de communiquer», et qu’une constellation Starlink autour de la planète rouge pourrait être une solution.

Dans les conditions d’utilisations de Starlink, un utilisateur a relevé des informations intrigantes, aussitôt reprises par plusieurs médias comme The Independent. À la section neuf des conditions, Starlink explique que les services fournis autour de la Terre ou de la Lune suivront la loi régie par l’État de Californie. Jusque-là rien d’anormal, mais la partie suivante laisse songeur : «Pour les services fournis sur Mars, ou en transit vers Mars via un vaisseau spatial, de colonisation ou non, les parties reconnaissent que Mars est une planète libre et qu’aucun gouvernement basé sur Terre n’a d’autorité ou de souveraineté sur les activités martiennes. En conséquence, les différends seront réglés par des principes d’autogestion, établis de bonne foi, au moment de l’installation.»

«Fantasmes libertariens»

Pour Daniele Pitrolo, ces projets sont révélateurs de la vision politique d’Elon Musk : «La conquête de l’espace, c’est le fantasme des libertariens Starlink est d’ailleurs loin d’être le seul acteur de cette nouvelle conquête spatiale. Jeff Bezos, avec son projet Kuiper et Gregory Wyler, milliardaire de l’informatique avec son projet OneWeb veulent eux aussi envoyer à eux deux environ 8.500 satellites en orbite basse, et commercialiser un service de haut-débit.

Dans leur livre La finance autoritaire (Raisons d’agir, 2021), les sociologues Marlène Benquet et Théo Bourgeron écrivent que cette philosophie politique «correspond à un nouveau moment de la pénétration par les logiques capitalistes de territoires extérieurs à elles-mêmes, les espaces naturels».

Les auteurs rappellent également l’émergence du mouvement libertarien Free Market Environmentalism («Écologie de marché») en 1979, qui portait l’idée que personne n’avait intérêt à préserver des ressources possédées en commun, et qu’en conséquence, le moyen le plus sûr de protéger la nature était de la privatiser intégralement «de façon que chaque portion de la planète possède un propriétaire et un protecteur». Elon Musk, avec son entreprise SpaceX, se positionne comme «propriétaire» et «protecteur» de l’espace, persuadé, avec sa constellation Starlink, d’être le garant d’une gestion qui va dans le sens du progrès et de l’évolution humaine.


C’est maintenant que tout se joue…

La communauté scientifique ne cesse d’alerter sur le désastre environnemental qui s’accélère et s’aggrave, la population est de plus en plus préoccupée, et pourtant, le sujet reste secondaire dans le paysage médiatique. Ce bouleversement étant le problème fondamental de ce siècle, nous estimons qu’il doit occuper une place centrale dans le traitement de l’actualité.
Contrairement à de nombreux autres médias, nous avons fait des choix drastiques :

  • celui de l’indépendance éditoriale, ne laissant aucune prise aux influences de pouvoirs. Le journal n’appartient pas à un milliardaire ou à une entreprise; Reporterre est géré par une association d’intérêt général, à but non lucratif. Nous pensons qu’un média doit informer, et non être un outil d’influence de l’opinion au profit d’intérêts particuliers.
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En résumé, Reporterre est un exemple rare dans le paysage médiatique : totalement indépendant, à but non lucratif, en accès libre, et sans publicité.
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Huit personnes ont tenté de vivre dans une biosphère pendant deux ans — puis tout s’est mal passé

[Source : anguillesousroche.com]

[photo : www.CGPGrey.com]

Si nous voulons survivre sur d’autres planètes, nous devrons trouver des moyens efficaces et durables de ne pas mourir.

À moins de terraformer une planète entière, il nous reste à créer nos propres biosphères artificielles pour que les spationautes puissent les habiter — des écosystèmes clos avec leur propre oxygène, leurs propres plantes et tout ce dont nous avons besoin pour maintenir la vie. Des essais ambitieux ont eu lieu sur Terre, dont la tristement célèbre Biosphère 2.

D’un coût de 150 à 200 millions de dollars, Biosphère 2 (Biosphère 1 est la Terre, au cas où vous vous poseriez la question) est un centre de recherche situé dans le désert qui, pendant un certain temps, a eu pour objectif de devenir un écosystème clos, recréant de nombreux aspects de la Terre elle-même. À l’intérieur de ce complexe de 2,75 acres, entouré d’acier et de verre comme le dôme du film Les Simpsons, 3 800 espèces de plantes et d’animaux étaient enfermées avec huit humains (quatre femmes et quatre hommes) qui dépendraient de la nourriture cultivée et de l’oxygène circulant pour survivre.

Il était prévu que le projet dure deux ans, mais il a connu des difficultés dès le début.

Deux semaines après le début de la mission, l’une des occupants, Jane Poynter, s’est prise la main dans la batteuse de riz, perdant le bout d’un de ses doigts. Le médecin résident a pu le rattacher, mais a rapidement décidé qu’elle devait être opérée à l’extérieur du dôme. Lorsqu’elle est revenue plus tard dans la journée, des provisions ont été glissées avec elle, qui se sont avérées ne pas être les seuls stocks secrets dans lesquels les « Biosphériens » allaient puiser.

La nourriture à l’intérieur de la sphère n’a pas poussé assez vite pour subvenir aux besoins des résidents, et ils ont tous commencé à perdre du poids. Les cultures étaient trop lentes et exigeaient trop de travail. Les caféiers, par exemple, mettaient des semaines à produire suffisamment de café pour que les Biosphériens puissent s’asseoir et réfléchir au problème « nous n’avons pas d’autre nourriture non plus ». En quelques mois, ils ont été contraints de s’approvisionner en nourriture d’urgence dont le monde extérieur n’avait pas conscience.

Les pollinisateurs – colibris et abeilles – sont morts, ce qui a aggravé leurs problèmes agricoles. Dix mois après le début du projet, le conseil consultatif a publié un rapport accablant sur la situation, ainsi que sur le fait que les membres de l’équipage impliqués avaient peu d’expertise scientifique. Le conseil consultatif a ensuite démissionné, ce qui n’est jamais un signe que les choses se passent bien.about:blankCliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Le pire était encore à venir, car les niveaux d’oxygène dans la biosphère commençaient à baisser, et personne ne pouvait à l’époque comprendre précisément pourquoi. En janvier 1993, alors qu’il restait neuf mois d’expérience, le niveau d’oxygène était tombé à environ 15 % – l’équivalent de vivre à 3 660 mètres d’altitude.

« C’était comme de l’alpinisme »a déclaré un participant au Guardian« Une partie de l’équipage a commencé à souffrir d’apnée du sommeil. J’ai remarqué que je ne pouvais pas finir une longue phrase sans m’arrêter et prendre une bouffée d’air. Nous avons travaillé dans une sorte de danse au ralenti, sans gaspillage d’énergie. Si le niveau d’oxygène avait baissé plus bas, il aurait pu y avoir de sérieux problèmes de santé. »

Pour ajouter à leur stress, la biosphère est devenue une destination touristique afin de récupérer le coût élevé que cela implique. Alors qu’ils mouraient de faim, qu’ils luttaient pour respirer, les cafards ont commencé à prendre le dessus, et les acariens ont attaqué leurs cultures, ils étaient surveillés comme s’ils étaient dans un zoo.

Le groupe s’est fracturé, se lançant des gobelets et se crachant dessus. Le moral étant aussi bas que le niveau d’oxygène (principalement ce dernier), il a été décidé que l’équipage devait recevoir de la nourriture, ainsi que les graines et les vitamines secrètes qui étaient introduites dans le complexe tous les quinze jours.

La moitié de l’équipage voulait continuer sans provisions extérieures, tandis que l’autre moitié tenait à des choses telles que « la nourriture » et « pouvoir respirer ». Il a été décidé de fournir de l’oxygène et de la nourriture à l’équipage, qui vivait le reste du temps dans son habitat durable coupé du monde en… recevant des provisions et de l’air respirable de la Terre.

Le plus grand avantage du projet était essentiellement de pouvoir s’attendre à l’inattendu. Lorsqu’ils sont entrés, l’équipe n’avait pas prévu de problèmes tels que des chutes d’oxygène (il s’est avéré que le sol était infesté de bactéries avaleuses d’oxygène), peut-être parce que l’ensemble du projet avait été lancé par une troupe de théâtre hippie plutôt que par des scientifiques.

Mais le projet n’était pas encore tout à fait terminé, et il restait encore un étrange rebondissement à venir. Steve Bannon a repris la direction du projet en 1993. Une deuxième équipe était déjà entrée dans le dôme lorsque Bannon a renvoyé l’ensemble de la direction.

Lorsque les membres de la première mission en ont entendu parler, leurs inquiétudes quant à la sécurité de ceux qui se trouvaient à l’intérieur se sont accrues. Le 4 avril 1994, deux anciens biosphériens – Abigail Alling et Mark Van – se sont rendus au dôme aux petites heures du matin, ouvrant les portes et brisant les panneaux de verre pour permettre à l’air extérieur de pénétrer dans la Biosphère 2, obligeant l’expérience à prendre fin.

Depuis lors, personne n’a vécu dans Biosphère 2. Ce qui, vu le manque d’oxygène et de nourriture à l’intérieur, est probablement une bonne chose.


[NdNM : peut-être que les êtres humains qui aiment jouer à Dieu devraient méditer sur les causes de l’échec de cette expérience avant de chercher à en entreprendre de nouvelles.]




Séquestration et extorsion criminelles — Le journaliste de Rebel News, Keean Bexte, est dans une prison canadienne COVID illégale

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Vous vous souvenez quand le radiodiffuseur d’État de la CBC de Trudeau a déclaré que les installations de quarantaine obligatoires étaient de la « désinformation » ? J’ai moi-même couvert la mise en place de ces installations de quarantaine depuis des mois.

Maintenant, ils forcent des voyageurs innocents et en bonne santé à se mettre en quarantaine dans ces installations gouvernementales à un coût énorme — jusqu’à 2000 $ pour une détention de trois nuits. Pour aggraver encore les choses, des agressions sexuelles auraient été commises dans certaines des installations de quarantaine approuvées par le gouvernement. En effet, une femme aurait été agressée sexuellement alors qu’elle était hébergée dans un établissement de quarantaine COVID-19 géré par le gouvernement fédéral.

S’adressant à la ministre canadienne de la Santé Patty Hajdu, la députée Michelle Rempel Garner s’est enquis des remarques de la vice-première ministre Chrystia Freeland selon lesquelles « les gens ne devraient pas voyager » lorsqu’ils sont poussés à des rapports d’agression sexuelle dans un établissement de quarantaine fédéral, demandant si cela signifiait que la victime le méritait.

« À son entrée au Canada, son passeport a été saisi et elle a été forcée de monter dans un taxi sans savoir où elle serait emmenée », a déclaré Rempel Garner. « Elle a été forcée dans un établissement géré par le gouvernement fédéral en vertu d’une obligation fédérale de diligence par le gouvernement libéral. Et elle a été agressée sexuellement. C’est de la misogynie et une violation flagrante de ses droits. »

« La vice-première ministre et la ministre de la Santé ont laissé entendre que la victime n’aurait pas dû voyager », a poursuivi Rempel Garner. « Ont-ils suggéré qu’elle méritait ce qui lui était arrivé en vertu de leur devoir de diligence? »

« M. Monsieur le Président, chaque femme mérite de vivre une vie sans violence et une vie digne », a répondu Hajdu. « Mais je le répète, ces mesures à la frontière sont en place pour protéger les Canadiens et elles le resteront jusqu’à ce que la science et les preuves indiquent qu’il est sécuritaire de les libérer », a déclaré Hajdu. « Le député d’en face sait que cette affaire fait l’objet d’une enquête… »

Le week-end dernier, le journaliste le Rebel News, Keean Bexte était sur le terrain en Floride pour rendre compte de l’approche de cet État axée sur la liberté face à la pandémie. Maintenant qu’il revient au Canada, il n’est que le dernier citoyen canadien à être contraint de se retrouver dans ces prisons COVID de Justin Trudeau. Keean est en bonne santé — il a passé plusieurs tests COVID ces derniers jours, au Canada et aux États-Unis. Mais Trudeau veut juste fléchir ses muscles et conditionner les Canadiens à accepter ces restrictions comme la « nouvelle norme ».

Justin Trudeau attrape les Canadiens dans nos derniers aéroports internationaux. De la même manière que l’interdiction de voyager de Donald Trump a obligé des ressortissants étrangers à se retrouver bloqués dans les aéroports des États-Unis, Trudeau a fait de même – mais envers ses propres citoyens.

Le problème supplémentaire dans le dossier canadien en cours est que le premier ministre a recours à des entrepreneurs de sécurité privés pour kidnapper des Canadiens, après qu’ils ont réussi à passer la douane. Plus précisément, Trudeau utilise les entreprises de mercenaires G4SGardaWorld et Paladin Risk Solutions pour vous attraper lorsque vous atterrissez et vous escorter jusqu’à une cellule de détention approuvée par le Parti libéral dans un complexe hôtelier sécurisé occupé par le gouvernement.

C’est grave, mais les groupes de défense des droits civiques canadiens et internationaux sont absents. Quand c’était Trump, tout était sur le pont des avocats de la justice sociale et des groupes de défense des libertés civiles. Quand c’est Justin « Great Reset » Trudeau – plus personne ne dit rien.

Le journaliste Keean Bexte écrit sur le site internet de Rebel News :

« J’ai été détenu dans une prison COVID. Ce n’est pas une surprise pour moi – nous savions que Trudeau faisait cela à des Canadiens innocents, même si la société Radio-Canada a menti et a dit que c’était un complot. Je suis entré dans le ventre de la bête pour documenter de première main ce que c’est que dans ces installations.

« Des gens auraient été agressés, privés d’eau et traités comme des animaux. Il semble que la situation soit plus désastreuse dans l’Est, mais là où je suis, ce n’est pas non plus une promenade. »

Ce qui unit l’expérience de chacun dans ces goulags COVID, c’est que la détention est illégale. Les Canadiens ici n’ont commis aucun crime et le gouvernement n’a pas le pouvoir de les détenir — surtout lorsque le virus est plus propice à la propagation à l’intérieur des murs du goulag qu’il ne le serait si les voyageurs étaient autorisés à rentrer directement chez eux.

Trudeau s’en fiche — il a besoin d’un bouc émissaire. Il a besoin que les médias se détournent de son déploiement désastreux de vaccins, qui a vu le Canada supplier les pays du tiers monde de se faire vacciner.

Ils forcent des voyageurs innocents et en bonne santé à se mettre en quarantaine dans ces installations gouvernementales à un coût énorme – jusqu’à 2000 $ pour une détention de trois nuits. Pour aggraver encore les choses, des agressions sexuelles auraient été commises dans certains de ces établissements.


« Voici ce qui se passe lorsque j’appelle la réception de mon Goulag. Je suis ici depuis 4 heures et je ne peux pas manger. Je ne sais pas quoi faire … Je peux supporter d’être affamé, d’autres ont pire. Au moins, je n’ai pas été agressé sexuellement. C’est criminel, Justin. »

« Regardez ce qui vient d’arriver! On dirait que je suis le détenu préféré du directeur. »

« Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles ces prisons COVID sont erronées. C’est une violation de plusieurs libertés personnelles, c’est outrageusement cher, c’est moins sûr que de rentrer directement à la maison aussi — mais la nourriture … C’est exceptionnellement mauvais. Glacé et rassis. » NoCovidJails.com

« Après que mes bagages aient été perdus par United, je n’ai plus rien. Pas de vêtements de rechange, pas de brosse à dents et, pire que tout, pas de médicaments. Je prends une dose quotidienne de médicaments contre le cancer. J’ai appelé pour voir si je pouvais partir en chercher — rien. Trudeau répondra de cela. »


Si vous avez été ou connaissez quelqu’un qui a été légalement kidnappé, veuillez remplir le formulaire pour raconter votre histoire. Si vous voulez aider Rebel News dans cette lutte pour protéger nos compatriotes contre les ravisseurs sanctionnés par l’État de Trudeau, veuillez faire un don ici.




Dans la crise sanitaire, l’État joue sa survie

[Source : Contrepoints.org]

Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.

Par Patrick de Casanove

La véritable inquiétude de l’État est que les Français réalisent enfin qu’il leur a menti et les a effrayés pour les manipuler. Ils ont été enfermés, ruinés, mal soignés, poussés au suicide, dressés les uns contre les autres pour une maladie contrôlable et peu mortelle, pourvu que l’État cesse de se mêler de tout et laisse les médecins faire leur travail.

Il leur a été interdit d’accompagner leurs proches dans leurs derniers instants et de leur donner de dignes funérailles.

Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.

La justice est détournée de sa mission qui est de « rendre à chacun le sien »

Les forces de l’ordre sont détournés de leur mission qui est de protéger les biens et les personnes. Lors de la répression pour non-respect des mesures de coercition sociale, elles font parfois preuve d’un zèle mal venu et inhumain.

C’était vrai lors du premier confinement. C’est encore, hélas, vrai aujourd’hui. Lors des obsèques d’un maraîcher qui s’est suicidé par désespoir, ou lors de la distribution de repas aux personnes dans la détresse.

La loi est pervertie, elle sert à détruire les droits naturels au lieu de les protéger ; l’emploi des forces de l’ordre, de la justice, est perverti. Cela participe à la grande déstabilisation des populations.

Le lien social s’effrite. L’autre est un contaminateur potentiel donc un danger, peut être mortel. Ainsi une personne qui n’est pas malade est traitée comme une pestiférée. Cette peur de l’autre engendre le retour de la délation.

La Covid est une infection virale n’ayant aucun pouvoir d’oppression des individus. Ce pouvoir est politique. Le seul responsable du désastre est le politique. En France on connaît précisément la date et l’heure du forfait.about:blank

Si cette prise de conscience avait lieu l’État perdrait son pouvoir d’imposer la grande réinitialisation et il devrait rendre des comptes.

CRISE SANITAIRE : L’OCCASION FAIT LE LARRON

Il est peu probable que cette affaire de crise Covid soit pilotée depuis le départ et préméditée. Le gouvernement en a plutôt saisi l’opportunité.

Dans cette épidémie, ce n’est pas la science qui domine, c’est la pensée magique et l’émotionnel. Le gouvernement fait peur et culpabilise les gens. Grâce à quoi il contrôle la gestion de la crise sanitaire.

Celle-ci est un outil de pouvoir. L’État s’en est emparé, a étendu son contrôle des populations et n’a pas l’intention de relâcher son étreinte. La Covid ne doit pas disparaître, ou pas avant d’avoir rempli sa mission.

EN TEMPS DE CRISE, BÂTIR L’HOMME NOUVEAU DANS UN MONDE NOUVEAU

La gestion de la Covid a été faite en dépit du bon sens. Elle n’a jamais eu aucune rationalité médicale, humaine, économique, sociale, aucune rationalité au sens de vouloir résoudre véritablement le problème.

Persister à ce point dans l’erreur ne peut être que délibéré. La prise en charge a été et reste tellement incohérente que bien des gens sont perdus. Quand tout le monde est perdu, y compris les professionnels de santé, l’irrationnel fait partie du quotidien au point de devenir la norme. Grâce à quoi l’État commande et oriente sans difficulté.

Même si leur gestion est irrationnelle, il est évident que nos gouvernants ne sont pas eux irrationnels. Mais ils peuvent être pervers et manipulateurs. Ils poursuivent rationnellement leur objectif.

Grâce à la Covid les politiciens font passer des réformes qui n’avaient aucune chance de passer : état d’urgence dit sanitaireflicage numérique, mais surtout l’écologisme appuyé par un plan de relance :

« Un plan de relance exceptionnel de 100 milliards d’euros […] Ce plan de relance, […] représente la feuille de route pour la refondation économique, sociale et écologique du pays. »

Plan qui fait écho à :

« La solution pour résoudre les grands problèmes environnementaux et sociaux existe, selon le Forum de Davos, et elle se résume en une phrase : transformer l’économie. Pour y parvenir, l’organisation propose d’orienter l’économie vers des résultats plus équitables, canaliser les investissements pour construire mieux, développer des infrastructures et techniques de construction qui ne dégradent pas l’environnement et se servir de la quatrième révolution industrielle pour notre bien. Cette quatrième révolution industrielle est celle de l’automatisation des machines par l’intelligence artificielle et la généralisation des énergies vertes. C’est elle qui, en grande partie, mènerait à un monde plus vert, plus juste et plus prospère. »

Il y a une rationalité étatique à faire durer le problème. Tant que la Covid persiste, ou simplement sa peur, cela permet à l’État non seulement de survivre, mais de s’épanouir. Il étend son autorité au détriment de la vie privée et de la liberté de chacun. Il instaure le totalitarisme, construit une société nouvelle, pour un monde nouveau, avec un Homme nouveau… et il ne rend pas de comptes.

RENDRE DES COMPTES

Ça commence à sentir le roussi !

Jean-François Delfraissy et quatre autres membres du Conseil dit scientifique  signent une tribune dans The Lancet.

Ils écrivent :

« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire, stop-start, comme principale réponse à la pandémie […] Nous, scientifiques qui travaillons contre le Covid-19, devons avoir le courage de nous adresser à ceux qui sont au pouvoir, qui portent la responsabilité ultime des politiques choisies et de leurs conséquences. Si cette responsabilité est esquivée ou retardée, le jour inévitable où il faudra rendre des comptes pourrait être terrible. »

Reniant sans honte aucune ce qu’ils ont préconisé depuis un an, ils ont l’admirable courage de se défausser sur les politiciens.

La demande de comptes a déjà commencé. Des dépôts de plaintes ont eu lieu au début de l’épidémie.

D’autres procédures ont lieu aujourd’hui au niveau national :

pour obtenir réparation des pertes liées au confinement ou de ses préjudices au sens plus large :

https://youtu.be/Hz2xA-Ktg-A

Des initiatives semblables ont lieu dans d’autres pays.

Pour l’instant, elles ont peu d’écho. Il pourrait en être différemment si la crise covid était terminée. Mais la faire durer évite à l’État de rendre des comptes, lui donne des arguments pour l’heure des comptes.

Si la crise dure c’est que cette épidémie est sévère. Si elle dure très longtemps c’est qu’elle est très sévère. Si elle est très sévère, la gestion étatique coercitive s’en trouve justifiée, ses détracteurs relégués au rang de complotistes, à qui l’on peut contester toute liberté d’expression.

Les conséquences dramatiques des décisions étatiques s’estompent avec la peur et le temps. L’État est sanctifié dans son rôle de sauveur. Il a gagné la partie. Il survit et en sort renforcé.

IL FAUT REVENIR À LA RAISON

Il est difficile d’empêcher les gens d’avoir peur ou d’être inquiets. Mais il faut garder son sang-froid, rester raisonnable et faire face.

99,5 % voire 99,9 % des personnes infectées survivent, et parfois davantage :

Une bonne prise en charge de l’épidémie consisterait à donner :

  • sa place à la médecine, en particulier de ville,
  • la responsabilité de leur vie et de leurs libertés aux Français,
  • l’attention aux personnes à risques.

Si la prise en charge devient médicale, sans état d’urgence sanitaire qui n’est pas médical mais politique, les individus retrouveront la responsabilité de leur existence et la liberté d’accomplir leur projet de vie. L’État sera minimal. Mais il ne le veut pas.

La grande escroquerie consiste à faire croire aux Français que si l’État ne prend pas de mesures coercitives et n’insiste pas pour parvenir à une vaccination de masse on ne fait rien. C’est faux. On fait quelque chose : de la médecine et pas de la politique.

FAIRE FACE À LA CRISE SANITAIRE

La médecine a toujours fait face aux épidémies, même avec peu ou pas de moyens. Aujourd’hui, alors que l’humanité n’a jamais eu autant d’outils pour lutter contre les infections, en Occident les politiciens mettent la médecine sur la touche et prennent en charge le problème de manière politique.

Il faut être bien conscient que cette pathologie est une pathologie de médecin généraliste. L’implication de la médecine de ville ne se limite pas à l’hospitalisation à domicile ou à la télésanté.

L’implication de la médecine c’est plus que ça.

C’est la responsabilité individuelle et la liberté pour chacun de mener sa vie comme il l’entend sans nuire à autrui. Cela implique de choisir et gérer ses risques. Cela implique le respect des gestes barrière à bon escient ; de vacciner à bon escient ; de respecter les indications vaccinales et la balance bénéfice/risque ; de laisser les gens sans risques vivre leur vie et de faire très attention aux personnes à risques ; de travailler l’immunité naturelle.

C’est la confiance en la médecine générale. Le gouvernement doit arrêter de faire peur aux médecins, et délivrer des autorisations temporaires d’utilisation pour des traitements précoces, (hydroxychloroquine, ivermectine) qui certes ne sont pas recommandés ni validés officiellement, mais qui sont efficaces dans la vraie vie, qui sauvent des vies, évitent des cas graves, des hospitalisations et des décès.

Il doit, en résumé, les laisser prescrire, le tout basé sur le colloque singulier unissant le patient et son médecin.

C’est le soin précoce prodigué aux personnes malades. C’est, entre autres, pour avoir saboté cette étape de la prise en charge dès février/mars 2020, que la France a connu une crise sanitaire bien plus dramatique qu’elle aurait dû être.

C’est le bon diagnostic. Le traitement précoce et le diagnostic rigoureux sont les grands absents de cette prise en charge étatique.

Il est possible de prendre en charge une maladie de manière probabiliste.

Il n’empêche que le diagnostic rigoureux permet de traiter, isoler, spécifiquement les personnes contagieuses et les malades. Il ne repose pas uniquement sur la multiplication des tests RT-PCR, qui ne sont pas des tests diagnostic. Il est utile de tester massivement, mais pas n’importe comment, pour rompre la chaîne de contamination, protéger les personnes à risques, traiter  précocement. Il permet de protéger correctement les personnes à risques, de ne pas transformer quelqu’un de sain en malade, voire en assassin potentiel.

Cette robuste médecine de première ligne s’adosse à une médecine de seconde ligne solide avec des hôpitaux performants, des lits en nombre suffisant, des services de réanimation étoffés et une réserve dépendant du service de santé des armées.

En finir avec la crise ne repose pas sur la disparition de l’épidémie, encore moins du virus. Elle ne dépend que d’une décision politique : celle, pour l’État, de libérer les Français pour ce qui est de la vie économique, sociale, culturelle, privée, et de passer la main aux professionnels de terrain pour ce qui est de l’infection.

Elle peut être prise demain, si le bon sens revient en France.




Avis de décès massifs après pandémie de lâchetés

Par Jean-Michel Grau

La France a l’immense tristesse de vous informer du décès de 576 de ses 577 députés, suite à la contraction massive du virus de lâcheté 21 qui sévit actuellement dans notre pays.

Seule la courageuse députée alsacienne Martine Wonner a échappé à l’hécatombe.

Ce virus, hélas, n’en est pas à son premier méfait.

Après avoir décimé l’ensemble des 348 sénateurs, l’entièreté des 431 membres du Conseil d’État, l’exclusivité des 9 membres du Conseil constitutionnel, aujourd’hui le virus de lâcheté 21 vient de s’attaquer à presque tous les députés de notre Assemblée. (([1] https://nouveau-monde.ca/fr/les-dix-commandements-de-jupiter-aux-playmobil/))

Il est franchement désolant qu’un banal virus arrive à décimer la quasi-totalité des corps constitués de ce pays. Ce virus, communément appelé lâcheté 21 depuis qu’il a muté, a succédé à ses nombreux variants qui ont sévi pendant toute l’année 2020 :

  • Le variant bassesse 20
  • Le variant frousse 20
  • Le variant trouille 20
  • Le variant couardise 20
  • Le variant veulerie 20
  • Le variant pusillanimité 20
  • Le variant inertie 20
  • Le variant faiblesse 20
  • Le variant mollesse 20
  • Le variant peur 20
  • Le variant terreur 20
  • Le variant pleutrerie 20
  • Le variant agenouillement 20
  • Le variant indignité 20
  • Le variant trahison 20
  • Le variant abdication 20
  • Le variant démission 20

Il est à noter qu’aucun parti politique n’a été épargné par cette épidémie de trouille généralisée, à l’exception du petit parti «Les patriotes» de Florian Philippot qui résiste vaillamment en bravant tous les variants sous les fenêtres du sinistre de la Santé tous les samedis à Paris.

Il en est de même pour tous les syndicats, dont aucun n’a résisté à cette pandémie de lâcheté personnifiée, de la CGT à FO, en passant par la CFDT, la CGC, SUD, et bien sûr le MEDEF comme on devait s’y attendre.

Les syndicats étudiants, lycéens et de parents d’élèves ne sont pas non plus épargnés par cette pandémie de lâcheté tous azimuts, de l’UNEF à l’UNI, de la FIDL à l’UNL, de la FCPE à la PEEP.

Aujourd’hui apparemment, personne ne s’offusque que les écoliers bâillonnés s’asphyxient à petit feu 8 heures par jour avec leur propre gaz carbonique. (([2] https://nouveau-monde.ca/fr/effets-nocifs-des-masques/))

Tout comme personne ne semble se révolter que de plus en plus d’étudiants claquemurés en sont réduits à survivre par la soupe populaire quand ils ne tentent pas de mettre fin à leurs jours dans l’indifférence générale. (([3] https://nouveau-monde.ca/fr/le-gouvernement-des-voleurs-de-vies/))

Pas plus que l’État français par ses consignes, laisse mourir voire même exécute au Rivotril les pensionnaires des EHPAD jugés indignes de vivre plus longtemps, faute de lits disponibles dans les hôpitaux.(([4] Nicole et Gérard Delépine, autopsie d’un confinement aveugle, p. 98))

Jusqu’où cette hécatombe de lâcheté généralisée ira-t-elle ?

Existe-t-il un remède efficace contre le trouillomètre à zéro ?

Le célèbre professeur Raoult semble pourtant avoir trouvé la réponse de bon sens qui va de soi :

« Nous avons le droit d’être intelligents »

Arrivera-t-on à réveiller enfin les élus de ce pays, contaminés par tant de lâchetés au bout d’un an de confinements, de couvre-feux, de gestes barrière et de muselière obligatoire, avant d’être anesthésiés à coup de piqûre ARN pour devenir définitivement des morts-vivants ?





Sortir de l’instinct grégaire ?

Par Dr Nicole Delépine

« Ce n’est pas d’un vaccin pour s’immuniser contre les infections virales dont l’humanité a besoin, mais d’un vaccin contre la peur afin de s’immuniser contre la stratégie du choc et les manipulations politiques qui sont en train de l’asservir. »

Vincent Mathieu, Ph.D.

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées. »

« Dociles, maladifs, médiocres » disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Instinct nous poussant tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, « de manière aveugle et sans réflexion ». Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage.(([1] Extrait de « à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde » par Agnès Beaufeuil.))

Le plus fascinant dans la période que nous vivons est l’enthousiasme des foules et pas seulement françaises, pour se précipiter se faire tester, et pire se faire vacciner. Pourtant il faut vraiment vouloir ne pas savoir que le coronavirus de l’année 2019 est très peu mortel et en tous cas pas plus que la grippe qui n’a jamais entraîné un tel délire collectif.

Une hystérie mondiale qui continue malgré les preuves accumulées de la faible nocivité du virus, l’existence de traitements précoces efficaces, de la mascarade des tests PCR faux positifs à 97% quand ils sont utilisés en dépistage chez des gens sains, des doutes majeurs sur l’efficacité et la toxicité des vaccins dont l’expérimentation (phase 3) ne se terminera qu’en 2023.

Bizarre, bizarre, la ruée vers l’or (transformée en plomb) qui se poursuit malgré le défilé quotidien d’informations sur tel EHPAD allemand, puis norvégien ou espagnol dans lesquels un tiers des résidents autrefois bien portants sont morts très vite dans les jours ou semaines qui ont suivi l’injection vaccinale miraculeuse. Pour rejoindre le ciel plus vite ? Et bien sûr, sans recul suffisant, on ne sait que très peu de choses de ce qui pourrait se passer chez les vaccinés rencontrant le coronavirus d’ici quelques semaines. On peut être inquiet quand on connaît les expériences sur les animaux dans la tentative de vaccin contre les précédents coronavirus pathogènes, SRAS et le Mers et les décès des animaux vaccinés. Évidemment on aurait pu penser que cela rendrait prudents expérimentateurs apprentis sorciers, et citoyens cobayes, mais il n’en est rien. La puissance des médias répétant inlassablement les mêmes mensonges est fascinante et surtout inquiétante pour l’avenir de notre démocratie. Après les députés godillots (qui prolongent indéfiniment l’état d’urgence), de trop nombreux juges français qui valident sans examen réel tout ce qui vient de l’exécutif, les médias, dernier pilier de la démocratie se sont à leur tour agenouillés devant l’exécutif, empêchant le pluralisme de s’exprimer.

Pourtant les scientifiques et médecins réunis résument bien les éléments importants sur cette crise covid (suivre par exemple collectif ISOFIA sur Telegramm pour infos en temps réel).

Voici une petite synthèse.

1. Nous n’avons JAMAIS dans le passé, réussi à vacciner contre un coronavirus

Un vaccin efficace contre un coronavirus n’a jamais été mis au point. Les scientifiques ont essayé pendant des années de fabriquer un vaccin contre le SRAS et le MERS, toujours sans succès. En fait, certains des vaccins anti-SRAS ont causé une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement faire la maladie plus sévèrement que les souris non vaccinées.

2. ll faut habituellement de 5 à 10 ans pour qu’un vaccin soit entièrement mis au point, processus lent et ardu et de nombreuses années entre le développement et les essais jusqu’à l’approbation à l’usage public. Les différents vaccins pour Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Bizarre ?

Aucun des vaccins n’a encore fait l’objet d’études appropriées. Beaucoup d’entre eux ont complètement sauté les premières études (animales en particulier), n’ont pas publié leurs données, et les études humaines tardives n’ont pas été évaluées par des pairs, ne se termineront pas avant 2023, ou ont été annulées après des « effets indésirables graves ».

3. Le « vaccin » Covid est basé sur une nouvelle technologie jamais approuvée pour utilisation sur l’homme. Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Théoriquement, les vaccins contre l’ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique dans les cellules et stimule l’organisme à reconnaître les protéines spike du virus et à produire des antigènes contre eux. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais aucun vaccin contre l’ARNm n’a jamais été approuvé avant 2020.

4. Si le vaccin entraîne des accidents ou tue, les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être poursuivies. Dès le printemps 2020, de nombreux gouvernements du monde entier ont accordé aux fabricants de vaccins l’immunité contre la responsabilité civile en se référant aux lois existantes ou en rédigeant de nouvelles lois.

La Loi de préparation au public et de préparation aux situations d’urgence (PREP) des États-Unis accorde l’immunité au moins jusqu’en 2024.

La loi UE sur l’approbation des produits fait de même, et des clauses de responsabilité confidentielle ont été signalées dans les contrats conclus par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, donnant au gouvernement et à ses employés une indemnité juridique permanente pour tout préjudice causé par le traitement d’un patient pour Covid19 ou « covid19 présumé ».

Or rappelons que 99,8% des gens survivent à Covid19.

Le taux de mortalité par infection par le Sars-Cov-2 est certainement beaucoup plus faible que tous les modèles initiaux prévus. À l’origine, il était massivement excessif, l’OMS a supposé 3,4%. Des études ultérieures ont montré qu’il est beaucoup plus faible, dans certains cas même en dessous de 0,1%. Un rapport publié dans le propre bulletin de recherche de l’OMS en octobre a révélé un CFR de 0,23 %, « ou peut-être significativement inférieur »

Cela signifie que même selon l’OMS, au moins 99,77 % des personnes infectées par le virus survivront.

Pourquoi tant de hâte ?

Nous sommes enfermés de fait depuis onze mois et l’obsession de tout un chacun est de sortir de prison. L’emprise des mondialistes qui ont concocté et appliqué ce plan terrible explique probablement les réactions tout à fait extravagantes envers les tests PCR et surtout les vaccins auxquelles nous assistons.

Une grande partie de la planète a subi cet enfermement doublé de bourrage de crâne pluriquotidien, transformant des milliards d’individus en adeptes d’une « secte covid19 » dont il est terriblement difficile de s’extraire comme de toute secte. Il nous faudrait des psychiatres efficaces et compétents pour une immense thérapie de groupe.

Jusqu’où courberons-nous l’échine ?

« En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai entendu maintes histoires de personnes qui se sont mises à genoux devant leur intimidateur en pensant retrouver la paix et la vie d’avant. La peur, la culpabilisation et l’emprise sont les armes des manipulateurs pervers. Elles mènent les gens à faire bien des courbettes et les ingénieurs sociaux le savent très bien.

Telle une personne abusée, la population se trouve-t-elle présentement tétanisée et soumise devant le harcèlement brutal du gouvernement ? »

(([2] Ces éduqués non cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Serions-nous atteints d’un syndrome de Stockholm ?(([3] Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique s’observant chez des otages qui vivent pendant une période prolongée avec leur(s) ravisseur(s). Le syndrome s’exprime par une sympathie et un sentiment de confiance grandissants de l’otage envers le ravisseur et une certaine hostilité ressentie à l’égard de ceux qui cherchent à combattre le ravisseur. Ce serait une manifestation inconsciente de l’instinct de survie permettant de se sentir hors de danger, mais aussi d’influer sur ses réelles chances de survie par cette fraternisation avec le ravisseur.)) Eric Fromm décrit un phénomène semblable dans son livre « la peur de la liberté ».

« Il élabore sur la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation du régime politique. L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue ».

Un silence abyssal

On peut s’étonner et s’effarer de l’absence de réactions construites et raisonnées sur la gestion de cette pseudo-crise sanitaire construite depuis le début avec la mise sur le marché des tests PCR non spécifiques par le conseiller de Mme Merkel, C. Drosten actuellement poursuivi pour fausses déclarations médiatiques et conseils politiques inadaptés en Allemagne.

Les fausses prévisions des prophètes Ferguson en Angleterre et alter ego en Allemagne sur des modélisations mathématiques adaptées à la demande des politiques ont été dénoncées relativement tôt dans l’année 2020 et n’ont recueilli aucun écho ni des politiques de tous bords, ni des « intellectuels », artistes, universitaires en dehors de quelques exceptions dénommées curieusement lanceurs d’alerte.

Citons ici les révélations « colossales » de « Slobodan Despot, (8/02/2021 COVID-19)

Kolossale ! Les politiques dictaient les analyses « scientifiques » !

« La Welt-am-Sonntag du 7 février révèle qu’en mars 2020, un groupe de juristes du ministère fédéral de l’Intérieur allemand a pris contact avec diverses institutions scientifiques et médicales — dont le Robert-Koch-Institut de Berlin — et leur a demandé d’élaborer un modèle de propagation de l’épidémie sur la base de laquelle le ministère d’Horst Seehofer pourrait justifier les mesures les plus dures dans la lutte contre le coronavirus.

Dans les plus de 200 pages d’échanges par e-mail, on découvre par exemple que le secrétaire d’État Markus Kerber lui-même demande aux chercheurs de travailler à un modèle qui permette de justifier des « mesures préventives et répressives ». Selon ces échanges, les scientifiques ont rédigé, en étroite collaboration avec le ministère et en moins de quatre jours, un document astucieusement classifié « SECRET », que l’on a ensuite laissé filtrer dans la presse. La cerise sur le gâteau fut le scénario du pire prédisant un million de morts en Allemagne.

A Paris, comme à Berlin et ailleurs, pourtant, les politiques nous ont assuré qu’ils s’appuyaient sur les analyses des spécialistes — en particulier des médecins — pour prendre leurs décisions. Mais que faudra-t-il penser si l’on découvre que les analyses « scientifiques » ont été dictées — au sens propre — par les politiques eux-mêmes ? »

Idem au Québec :

« En date du 9 décembre 2020, le directeur de santé publique québécois, Dr Horacio Arruda, nous a confirmé que les directions de santé publique (DSP) au Québec n’ont pas recommandé la fermeture des lieux publics comme les restaurants et les cinémas. Ces décisions ont été totalement prises par le politique alors qu’on prétendait se baser sur des données scientifiques ».

Ces démonstrations de la tromperie monumentale changent-elles quelque chose ? Non, aujourd’hui circulent des pétitions afin que les vaccins soient accessibles à tous ! Mais ceux qui diffusent cette demande se rendent-ils compte qu’ils sont complètement captés par la « propagande vaccinale », comme pour n’importe quel objet commercial et font le jeu du gouvernement mondial qui veut nous soumettre, ne serait-ce que par le passeport vaccinal ?

« Nos intellectuels gradés semblent en effet vivre dans un monde désincarné du réel. Un monde où le simulacre est pris pour le vrai. C’est à croire qu’ils sont inconscients de l’impact des coteries oligarchiques sur la géopolitique internationale ».

(([4] Ibid. 2))

ET POURTANT il serait temps que les populations se réveillent de cette immense sidération organisée et discutent du but réel de cet abrutissement généralisé et organisé.

Ce n’est évidemment pas ce pauvre virus, mais bien le plan des milliardaires pour sortir de leur crise endémique depuis de nombreuses années et nous réduire en esclaves obéissants, pucés, dépossédés, sagement cloîtres dans des appartements loués (fin de la propriété individuelle) en échange du revenu universel minimal proposé par Hamon et cie.

« L’insécurité et l’impuissance propres à l’individu le mènent souvent à calquer sa pensée sur les idées dominantes. Sentir faire partie du groupe est parfois plus fort que le désir de trouver la vérité ».

La citation suivante de Bertrand Russell résume tout :

« Là où les enfants vont à l’école et que les écoles sont contrôlées par le gouvernement, les autorités peuvent fermer les esprits à tout ce qui est contraire à l’orthodoxie ». On leur apprend à parler et à penser pour ne blesser personne, utilisant un langage pauvre, non genré et carboneutre ».

Est-ce que le choc traumatique de la réalité va les réveiller alors que ce Grand Reset se met en place ?

Pour se remémorer le projet, écouter l’économiste Verhaeghe parler de son livre « le Grand Reset mythes et réalité ». Great Reset : mythes et réalités par Eric Verhaeghe (Vidéo) – Terre et Peuple – Résistance Identitaire Européenne

https://youtu.be/c2yfii_deGY

Petit résumé de la vidéo :

« Klaus Schwab a fondé le forum de Davos dans les années 1970 qui est une entreprise, initialement think tank de management. Thierry Malleret, le coauteur, est dans la sphère de la 2e gauche qui prétend vouloir une gauche libérale. (il cite Rocard).

Leur principe est que les grandes entreprises ont besoin de têtes pensantes. Le « soft power » est un pouvoir d’influence, ces gens n’imposent rien de fait. Ils font se rencontrer entre eux des gens qui ont besoin de se rencontrer, construisent un « mainstream » avec des personnes qui influencent les décisions des décideurs de façon feutrée.

Les idées du Great Reset : l’épidémie de coronavirus est l’occasion de mettre en place les idées qu’ils concoctaient et en particulier les idées de la quatrième révolution numérique. (voir livre de Schwab de 2017.)

On trouve dans le livre de Schwab et Malleret une compilation détaillée de toutes les technologies utilisées pour changer les comportements individuels. La surveillance généralisée, comme à Singapour, des promeneurs.

De façon explicite, les auteurs pensent que l’épidémie doit légitimer les outils de privation de la vie privée, traçage permanent savoir qui rencontre qui et en relation avec outils de reconnaissance faciale. Ce qui est prôné est Orwell 1984, la surveillance de l’individu au sens de la protection de la collectivité prioritaire sur l’individu.

Schwab prône la suppression de la propriété privée et veut imposer la location généralisée. L’économie circulaire est l’expropriation généralisée. Quelques grandes multinationales vont louer la TV, la machine à laver. Rien ne vous appartiendra plus. Outil de mort sociale, expropriation, collectivisation des biens.

Fascination de Schwab avec le dirigeant chinois invité à Davos en 2017 et cette année. Quelle est la relation d’intérêt entre KS et le président chinois ? Il faudrait investiguer dit Verhaeghe.

Néanmoins, les milliardaires et dirigeants à la tête du gouvernement mondial en gestation ne sont pas tous d’accord. Soros désapprouve les liens de KS avec le président chinois. Soros est pour la suppression des États-nations. Il finance les militants de décolonisation en France, mais reste très hostile au rapprochement avec la Chine et à l’inclination de l’Europe pour la stratégie chinoise.

Nous sommes dans une phase de décroissance du rendement du capital et donc il y a une dynamique économique du capitalisme à la suppression des frontières ; dans les syndicats des riches, il y a des divergences entre des puissants plus morcelés.

La Chine parie sur le multilatéralisme et certains pays pensent que les partenariats avec la Chine sont plus intéressants.

La question du Great Reset : où ferons-nous du profit demain ?

L’essentiel du profit est fondé sur la surconsommation, biens à obsolescence programmée et gaspillage. Cela ne pourra pas durer. Et donc, comment faire si on arrête de gaspiller ?

Chercher des substituts : transformer l’écologie en business. Ainsi, au lieu de les vendre, on va louer les biens aux gens, comme le font déjà Microsoft pour certains de ses programmes informatiques et de nombreux constructeurs de voitures. On va influencer par la pensée dominante l’économie circulaire, surveiller les gens. Œuvre d’une stratégie de faiblesse. Chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Ce n’est pas un modèle durable, car le totalitarisme des GAFAM est inacceptable pour les peuples.

En France, combat entre mondialistes et souverainistes ? Savoir si notre avenir passe par l’État-nation ou par une organisation comme l’UE.

Revenir à l’état nation, cela veut dire être compétitif. Il faudra 560 milliards d’euros dépensés pour le système de protection sociale en 2020. Il devrait être réduit à 400 milliards. Et pourtant ce qui a apporté la liberté est bien l’État-nation.

Ce qui est vraiment étonnant, c’est dans quelle mesure, nous, en tant que sociétés, permettons aux politiciens qui n’ont pas de qualifications en médecine de déployer des décrets draconiens.

Ces mesures sont vraiment l’intention de diviser la population pour prévenir les troubles civils parce que le système socialiste s’effondre et qu’ils avaient besoin d’une excuse pour jeter toutes les restrictions économiques par la fenêtre ».

Quand les gens se réveilleront-ils et se rendront-ils compte que tout cet ensemble de règlements, des masques(([5] Aucune preuve scientifique que les masques obligatoires pour tous diminuent les contagions et la seule étude prospective randomisée sur le sujet (pourtant réalisée par ses partisans) a été incapable de prouver qu’il servait à quelque chose !)) aux confinements(([6] Toutes les études dans le monde réel des résultats sanitaires des confinements, couvre-feux et autres restrictions concluent qu’ils n’empêchent guère la propagation des virus, n’évitent au total aucune mort virale, mais causent infiniment plus de victimes par défaut de soins, anxiété, suicide, famine…)), n’est vraiment qu’un moyen de suppression des libertés pour faire avancer le programme de l’oligarchie ?

Il ne s’agit pas de santé. Même le Washington Post, qui déteste le capitalisme, a dû admettre que les masques n’ont pas fonctionné pendant l’épidémie de grippe espagnole de 1918 où près de 3% de la population est morte(([7] Toutes les études sur les causes de mort de cette pandémie et, en particulier, celle d’Antony Fauci, ont prouvé que la « deuxième vague » n’était pas virale, mais bactérienne.)).

Voilà quelques mots extraits de la vidéo à écouter en totalité pour tous les détails. De plus en plus de personnes expriment des avis souvent différents sur le net et même parfois maintenant sur les radios et TV.

Diffusons-les en espérant faire sortir les covidiens de leur secte et pouvoir tous ensemble refaire société civilisée.


Notes




Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes

[Source : Sott.net]

Par Dr Joseph Mercola

En avril 2020, j’ai interviewé Judy Mikovits, médecin, sur le rôle potentiel que joue dans le Covid-19 les gamma-rétrovirus humains. Judy Mikovits est biologiste moléculaire[1] et chercheuse, et a été la directrice de recherche fondatrice du Whittemore Peterson Institute au Nevada.

Son livre, Plague of Corruption [« Le fléau de la corruption », non traduit en français, et (préfacé par Robert Jr. F. Kennedy – NdT], a fini par être en 2020 un best-seller dans les listes du New York Times, de USA Today et du Wall Street Journal. Son nouveau livre, Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT], sera, espérons-le, un grand succès aussi. Il est disponible en précommande sur Amazon.

Elle est peut-être à l’heure actuelle l’une des chercheuses les plus censurées de la planète, notamment en raison de sa large participation au documentaire Plandemic, qui a largement été diffusé (plandemicseries.com) [voir notre article avec la vidéo sous-titrée en anglais archivée par nos soins, et celui incluant Plandemic II — Indoctornation, avec la vidéo sous-titrée en français – NdT].

Cas concret : YouTube a suspendu notre compte pendant une semaine dès que nous avons mis en ligne l’interview d’aujourd’hui — même si la vidéo n’était ni encore RÉPERTORIÉE ni accessible au public. Pire encore, le troisième et dernier livre de Judy Mikovits, The Case Against Masks: Ten Reasons Why Mask Use Should Be Limited [« Le dossier contre les masques — Dix raisons pour lesquelles l’utilisation des masques devrait être limitée », non traduit en français – NdT], est si fortement censuré que personne ne peut l’acheter. Judy Mikovits a déclaré ce qui suit :

« Je n’ai même pas de copie. J’ai ici avec moi deux exemplaires des autres livres, mais je ne peux même pas l’acheter [le dernier – NdT]. Les vendeurs de livres, comme Amazon, les ont tous achetés à Skyhorse, l’éditeur, et ils en bloquent désormais l’expédition depuis l’entrepôt. »

Note du traducteur : Retrouvez l’interview complète sur Bitchute ICI et la transcription en anglais au format Pdf ICI.

Il est clair que Judy Mikovits est considérée comme une grave menace pour le statu quo technocratique, et une fois que vous aurez entendu ce qu’elle a à dire sur les « vaccins » Covid-19 — qui, comme vous le verrez, constitue une appellation complètement erronée — vous commencerez peut-être à comprendre pourquoi.

Les « vaccins » Covid-19 ne sont pas des vaccins

Le « vaccin » Covid-19 n’est pas vraiment un vaccin au sens médical du terme. Il n’améliore pas votre réponse immunitaire à l’infection, ni ne vous empêche de contracter l’infection. Il s’agit en fait d’une thérapie génique expérimentale qui pourrait tuer prématurément une grande partie de la population et entraîner une augmentation exponentielle du nombre d’invalidités. Judy Mikovits déclare ce qui suit :

« Je suis juste hors de moi, en colère contre cette « thérapie » génique synthétique, ce poison chimique, et ce qu’ils font dans le monde entier. Nous voyons déjà des décès dus à cette injection. C’est illégal. Cela ne devrait pas être fait. Il faut y mettre fin tout de suite. Elle n’aurait jamais dû être autorisée, et pourtant nous voyons qu’elle est imposée aux populations les plus à risque. »

En effet, les informations et les récits des médias sociaux suggèrent que les personnes qui ont reçu l’injection commencent à tomber comme des mouches. Beaucoup meurent de causes inconnues en quelques jours, parfois quelques heures après avoir reçu la première ou la deuxième injection.

La légende du baseball Hank Aaron est décédée deux semaines après avoir reçu le vaccin, mais cela n’a jamais été mentionné dans sa nécrologie du New York Times. S’il avait été testé positif pour le Sras-CoV-2, il aurait certainement été déclaré mort du Covid-19, que le virus ait eu un rapport avec sa mort ou pas.

Mais dès lors qu’il s’agit du « vaccin », la connexion qui devrait nous sauter aux yeux est considéré comme une coïncidence et sans importance. Maintenant, tout d’un coup, les personnes âgées qui meurent peu après la vaccination sont ignorées sous prétexte qu’elles sont vieilles et qu’elles auraient pu mourir n’importe quand. Il faut cependant tout faire et à n’importe quel prix pour empêcher les personnes âgées de mourir du Sras-CoV-2. Cette façon de voir les choses est plutôt singulière.

Le problème de l’ARN synthétique

L’ARN messager (ARNm) utilisé dans de nombreux « vaccins » Covid-19 n’est pas naturel. Ils sont synthétiques. Comme l’ARNm produit de manière naturelle se dégrade rapidement, des lipides ou des polymères doivent lui être ajoutés pour éviter que cette dégradation ne se produise. Les « vaccins » Covid-19 utilisent des nanoparticules lipidiques PEGylées, et le PEG est connu pour provoquer l’anaphylaxie[2]. Les nanoparticules lipidiques peuvent également causer d’autres problèmes.

En 2017, Stat News a évoqué les difficultés rencontrées par Moderna pour mettre au point un médicament à base d’ARNm pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui peut entraîner la jaunisse, la dégénérescence musculaire et des lésions cérébrales[3] :

« Afin de protéger les molécules d’ARNm des défenses naturelles de l’organisme, les développeurs de médicaments doivent les envelopper dans une gaine protectrice. Pour Moderna, cela signifie intégrer sa thérapie Crigler-Najjar dans des nanoparticules faites de lipides.

Et pour ses chimistes, ces nanoparticules représentaient un défi de taille : dosez trop peu, et vous n’obtenez pas assez d’enzyme pour affecter la maladie ; dosez trop, et le médicament est trop toxique pour les patients.

Dès le début, les scientifiques de Moderna savaient que l’utilisation de l’ARNm pour stimuler la production de protéines serait une tâche difficile, ils ont donc parcouru la littérature médicale à la recherche de maladies qui pourraient être traitées avec seulement de petites quantités de protéines supplémentaires.

« Et cette liste de maladies est très, très courte », a déclaré l’ancien employé […] Crigler-Najjar constituait l’enjeu le moins complexe. Pourtant, Moderna n’a pas pu faire fonctionner sa thérapie […] Le dosage sans danger était trop faible, et des injections répétées d’une dose suffisamment forte pour être efficace ont eu des effets troublants sur le foie lors d’études sur des animaux. »

Note du traducteur : Un « vaccin » pour le syndrome de Crigler-Najjar, une maladie qui touche 1 personne sur 1 million de naissances :

« Cette maladie est due au déficit d’une enzyme du foie, qui doit normalement convertir la bilirubine en une forme pouvant être éliminée par le corps. Chez les personnes Crigler-Najjar cette enzyme ne fonctionne pas ou très peu.

La bilirubine s’accumule donc dans l’organisme, provoquant un ictère intense et chronique, marqué par la coloration jaune de la peau et du blanc des yeux. A un taux élevé, la bilirubine devient toxique et peut atteindre le cerveau et l’ endommager : c’est alors l’ictère nucléaire provoquant de graves troubles neurologiques, menant rapidement au décès. »

L’article susmentionné de Stat News publié en janvier 2017 se termine sur la déclaration suivante du P.D.G. de Moderna, le français Stéphane Bancel :

« Je suis sûr que dans cinq ans, nous considérerons 2017 comme le point d’inflexion où Moderna a pris son envol. Nous avons une chance de transformer la médecine, et nous n’abandonnerons pas tant que nous n’aurons pas fini et que nous n’aurons pas eu d’impact sur les patients. »

Les lecteurs apprécieront tout le sens qui peut être donné au mot « impact ». Stéphane Bancel a été nommé « Global Leader » par le Forum économique mondial en 2009, alors qu’il était directeur général délégué du laboratoire Mérieux. Il est par ailleurs dès le début du mois d’avril 2020 devenu milliardaire grâce aux montées en bourse de son entreprise dont il détient 9 pour cent, et ce dès l’annonce en mars des essais du « vaccin » à ARNm anti-Covid.

Cependant, en qualifiant leurs « médicaments » de « vaccins », ils peuvent contourner les études sur leur innocuité. S’attendent-ils à ce que nous croyions subitement que toutes les étapes permettant de prouver leur innocuité ont été réalisées avec succès ? La durée pendant laquelle l’ARNm reste stable dans votre système constitue un autre problème. Pour l’empêcher de se dégrader trop rapidement, il est encapsulé dans un nano-lipide ; mais que se passe-t-il si l’ARNm se dégrade trop lentement, ou pas du tout ?

Le concept derrière les vaccins à ARNm anti-Covid est le suivant : en incitant votre corps à créer la protéine Spike du Sras-CoV-2, votre système immunitaire produira alors des anticorps. Mais que se passe-t-il lorsque vous transformez votre corps en une usine à protéines virales, ce qui implique que la production d’anticorps sera en permanence activée sans aucun moyen de l’interrompre ?

En outre, votre corps considère ces particules synthétiques comme des corps étrangers et une grande partie de la réponse anticorps perpétuelle sera constituée d’auto-anticorps qui attaqueront vos propres tissus. Mikovits explique :

« Normalement, l’ARN messager ne circule pas librement dans votre corps, et s’il le fait, c’est un signal de danger. En tant que biologiste moléculaire, le dogme central de la biologie moléculaire stipule que notre code génétique, l’ADN, est transcrit, écrit, en ARN messager. Cet ARN messager est traduit en protéines ou utilisé à des fins de régulation […] pour réguler l’expression des gènes dans les cellules.

Ainsi, prendre un ARN messager synthétique et le rendre thermostable — ce qui l’empêche de se décomposer — [est problématique]. Nous possédons un grand nombre d’enzymes (ARNases [ribonucléases – NdT] et ADNases [désoxyribonucléases – NdT]) qui dégradent les ARN et ADN libres circulant [dans le plasma sanguin – NdT] car, là encore, ce sont des signaux de danger pour votre système immunitaire. Ils sont littéralement à l’origine de maladies inflammatoires.

Ensuite, il y a le PEG, le polyéthylène glycol et la PEGylation, et une nanoparticule lipidique qui lui permettra de pénétrer dans toutes les cellules du corps et de modifier la régulation de nos propres gènes par le biais de cet ARN synthétique, dont une partie correspond en fait au message du gène syncytine […]

La syncytine est l’enveloppe endogène du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain […] Nous savons que si la syncytine […] est exprimée de manière aberrante dans le corps, par exemple dans le cerveau, dans lequel ces nanoparticules de lipides vont entrer, cela signifie que vous avez la sclérose en plaques.

L’expression de ce seul gène suractive la microglie, ce qui littéralement enflamme et dérègle la communication entre les cellules microgliales cérébrales, qui sont essentielles à l’élimination des toxines et des agents pathogènes présents dans le cerveau, et à la communication avec les astrocytes.

Elle dérègle non seulement le système immunitaire, mais aussi le système endocannabinoïde, qui est le variateur d’intensité de l’inflammation. Nous avons déjà vu d’après les essais cliniques que la sclérose en plaques constitue un effet indésirable, et on nous ment lorsqu’on nous dit : « Oh, ces gens avaient [déjà] cette maladie. » Non, ils ne l’avaient pas.

Il y a aussi l’encéphalomyélite myalgique. L’inflammation du cerveau et de la moelle épinière, qui est [associée aux] gamma-rétrovirus exogènes, les XMRVs. »

Notes du traducteur : Pour ce qui concerne le PEG (ou polyéthylène glycol) et la syncytine (présente dans le placenta mais aussi dans le sperme), nous renvoyons le lecteur à notre Focus « Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses ».

La microglie est une population de cellules gliales — population qualitativement hétérogène et quantitativement importante du système nerveux central — qui comprennent notamment les astrocytes et les oligodendrocytes. On les appelle aussi cellules de Hortega, du nom du chercheur qui les a découvertes en 1920. Ces cellules gliales jouent un rôle important dans l’homéostasie cérébrale, notamment en assurant une fonction réparatrice lors de lésions ou d’infections. Ce sont des macrophages qui orchestrent les réactions inflammatoires consécutives à des lésions du système nerveux central ou à certaines maladies neurodégénératives et influencent l’issue de ces pathologies. Source

Le système endocannabinoïde (ECS) est un système biologique composé d’endocannabinoïdes, qui sont des neurotransmetteurs rétrogrades à base de lipides endogènes qui se lient aux récepteurs cannabinoïdes (CBR), et de protéines de récepteurs cannabinoïdes qui sont exprimées dans tout le système nerveux central des vertébrés (y compris le cerveau) et le système nerveux périphérique. Le système endocannabinoïde fait encore l’objet de recherches préliminaires, mais pourrait être impliqué dans la régulation des processus physiologiques et cognitifs, y compris la fertilité, la grossesse, le développement pré et postnatal, diverses activités du système immunitaire, l’appétit, la sensation de douleur, l’humeur et la mémoire, et dans la médiation des effets pharmacologiques du cannabis. Source

L’encéphalomyélite myalgique est peut-être plus connue du lecteur sous le nom de Syndrome de fatigue chronique. Plus d’informations ICI.

L’XMRV est un virus apparenté au virus xénotropique de la leucémie murine qui dériverait de deux rétrovirus endogènes murins non décrits auparavant, les PreXMRV-1 and PreXMRV-2. Ces deux derniers ont également été séquencés [source], et c’est certainement la raison pour laquelle Judy Mikovits en parle au pluriel, les XMRVs.

Ces groupes à haut risque devraient éviter le « vaccin » Covid-19

Selon Judy Mikovits, des recherches montrent que depuis plus de trois décennies, 4 à 6 % des Étasuniens ont déjà été infectés par des gamma-rétrovirus XMRV par le biais de vaccins et de réserves de sang contaminés, ce qui favorise un certain nombre de maladies chroniques. Aujourd’hui, en déclenchant l’encéphalomyélite myalgique, ces thérapies géniques synthétiques (les « vaccins » dits anti-Covid-19) vont aggraver encore davantage le problème des maladies chroniques.

Pire encore, l’ARNm synthétique contient également une enveloppe du VIH, ce qui peut provoquer un dérèglement du système immunitaire. Judy Mikovits déclare que « C’est un cauchemar. Je suis en colère, car cela ne devrait jamais être permis. »

Comme nous l’avons mentionné lors de précédentes interviews, le Sras-CoV-2 a été mis au point en laboratoire avec une recherche de gain de fonction qui comprenait l’introduction de l’enveloppe du VIH dans la protéine Spike.

Note du traducteur : Un gain de fonction est un processus qui consiste à ajouter une fonction spécifique à une cellule via une mutation de la structure moléculaire. Il est bien entendu que ce gain de fonction — forcément créé par l’homme — peut être soit bénéfique, soit néfaste. Dans le cadre du Sras-CoV-2, ce gain de fonction fournirait à ce « virus Frankenstein », comme l’a appelé le professeur Luc Montagnier, une propagation efficace dans la population humaine. Rappelons que ce gain de fonction n’est pas le seul élément à avoir été ajouté :

« L’adjonction artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d’un site de clivage de type furine, l’introduction de quatre acides aminés supplémentaires, la modification d’un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l’être humain… Tous ces éléments prouvent qu’il s’agit d’un virus conçu par des êtres humains. Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit là que des preuves présentées par les rares scientifiques qui ont osé s’exprimer. »

Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

L’hypothèse de Judy Mikovits veut que les personnes les plus sensibles aux effets secondaires neurologiques graves et au décès dus aux « vaccins » Covid-19 soient celles-là mêmes qui ont déjà reçu des injections de XMRV, borreliababesiamycoplasma, par le biais de vaccins contaminés, entraînant une maladie chronique (son livre, Plague of Corruption dont la lecture est fascinante, détaille la science et l’histoire des XMRV) :

« Oui, absolument. Il s’agit de l’une de nos hypothèses. Mais aussi, toute personne souffrant d’une maladie inflammatoire comme l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Parkinson, la maladie chronique de Lyme, ou encore quiconque présente une déficience immunitaire acquise due à des agents pathogènes et à des toxines environnementales.

Ce sont ces mêmes personnes qui seront tuées, assassinées, par ce vaccin, et Anthony Fauci le sait […] Je ne peux même pas dormir [à cause] de la gravité de la situation. C’est tellement mortel, je ne le dirais jamais assez. »

Le tableau ci-dessous énumère 35 maladies associées à l’infection par le XMRV. Si vous êtes atteint de l’une de ces maladies, vous devriez réfléchir longuement avant de faire la queue pour recevoir un « vaccin » Covid-19 à ARNm, car vos risques d’effets secondaires graves ou de décès sont probablement beaucoup plus élevés que chez une personne qui n’est atteinte d’aucune de ces maladies.

Les 35 maladies associées à l’infection par le XMRV

Note du traducteur : De gauche à droite et de haut en bas :

Cancer de la prostate — Cancer du sein — Myélome multiple — Lymphome non hodgkinien — Leucémie lymphocytaire chronique — Lymphome à cellules du manteau — Leucémie à cellules chevelues — Cancer de la vessie — Cancer colorectal — Cancer du rein — Cancer de l’ovaire — Maladie de Crohn — Thyroïdite de Hashimoto — Polymyosite — Syndrome de Gougerot Sjögren — Maladie de Behçet — Cirrhose biliaire primitive — Maladies inflammatoires de l’intestin — Psoriasis et dermatites — Diabètes — Maladie cardiovasculaire — Encéphalomyélite myalgique/Syndrome de fatigue chronique — Lupus — Syndrome de la guerre du Golfe — Autisme — Sclérose en plaques — Maladie de Parkinson — Sclérose latérale amyotrophique — Fibromyalgie — Maladie de Lyme — Trouble obsessionnel compulsif — Trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité — Syndrome de stress post traumatique — Psychoses — Arthrite rhumatoïde

Cette liste n’est pas exhaustive. Il peut exister de nombreuses autres conditions qui peuvent vous placer dans une catégorie à haut risque. Un exemple est la thrombocytopénie idiopathique, un trouble hémorragique mortel. Selon Judy Mikovits, ses travaux montrent que 30 pour cent de toutes les thrombocytopénies idiopathiques sont associées aux XMRV.

Notons qu’un exemple existe avec celui du médecin de Floride de 58 ans qui a récemment reçu le « vaccin » Covid-19 et qui est mort deux semaines plus tard des suites d’une apparition soudaine d’une thrombocytopénie idiopathique. Le Dr Jerry L. Spivak, expert en troubles sanguins à l’université Johns Hopkins, a déclaré au New York Times qu’« il est médicalement certain » que le « vaccin » Covid-19 de Pfizer a causé la mort de cet homme[4] [5]. Pfizer a, bien sûr, démenti toute connexion.

Les altérations génétiques peuvent durer toute la vie

Alors, combien de temps l’ARN synthétique des « vaccins » Covid-19 qui provoque la production par vos cellules de cette protéine aberrante restera-t-il dans votre corps ? Judy Mikovits pense qu’il échappera à la dégradation pendant des mois, des années, voire dans certains cas, à vie.

Tout ceci évoque de manière sinistre les précédentes tentatives de créer un vaccin contre les coronavirus, tentatives qui ont toutes échoué parce que les vaccins provoquaient des réactions immunitaires paradoxales, ou une facilitation de l’infection par des anticorps. Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. Judy Mikovits poursuit :

« J’ai une belle-fille de 41 ans qui a un cancer du côlon très agressif. Nous assistons à une explosion de maladies chroniques et ces patients ne sont pas découragés de se faire vacciner. En fait, les médecins leur font peur pour qu’ils se fassent vacciner.

Comment réveiller les gens ? Faudra-t-il que des millions d’Américains et de personnes dans le monde entier meurent ? La mort de Hank Aaron aidera-t-elle la communauté noire ? […] Nous connaissons les mécanismes. Nous savons que les Noirs et les Hispaniques ne peuvent pas dégrader les virus à ARN aussi rapidement que les Caucasiens. Nous le savons grâce à des études qui remontent jusqu’au ROR. Le vaccin ROR est associé à la thrombocytopénie idiopathique. C’est indiqué sur la notice d’utilisation.

Si vous présentez un polymorphisme nucléotidique unique dans une de ces ARNases appelée ARNase-L, vous êtes plus susceptible de contracter des cancers du sein agressifs, des cancers de la prostate et d’autres cancers dus à une infection par le XMRV (alors pourquoi injecter de l’ARNm de syncytine, une enveloppe de gamma-rétrovirus ?) »

Note du traducteur : Hank Aaron était un joueur de base-ball étasunien, un des trois plus grands de l’histoire des États-Unis. Il est décédé ce 22 janvier à l’âge de 86 ans, deux semaines après avoir reçu le vaccin Moderna. Comme souvent, les fact-checkers s’en donnent à cœur joie pour nier tout lien possible entre l’injection et son décès.

L’ARNase ou RNase est une ribonucléase dont le rôle est de dégrader l’ARN lorsqu’il n’est plus nécessaire. Il en existe différentes classes au sein de tous les organismes, ce qui montre que la dégradation de l’ARN est un processus très ancien et important.

À propos de la syncytine, rappelons aussi ce qui suit :

« L’infertilité sera probablement un autre effet secondaire « inattendu » à long terme puisque la protéine Spike ciblée est très similaire à la syncytine, une protéine impliquée dans le développement du placenta [la syncytine est également présente dans le sperme – NdT]. Lorsque Pfizer a testé ses « vaccins » sur des rats, il a constaté une baisse de 50 pour cent du comportement reproductif par rapport aux rats non vaccinés. C’est probablement pour cacher cet effet secondaire que Pfizer a exclu les femmes enceintes de son essai. »

L’ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19

Une avancée de la génomique pourrait sauver des millions de vies

Selon Judy Mikovits, une solution consiste à utiliser des technologies de génomique fonctionnelle comme le fait Breakthrough Genomics, une entreprise qui utilise l’apprentissage automatique [de l’anglais « machine learning », encore appelé apprentissage artificiel ou apprentissage statistique – NdT] pour examiner les séquences complètes du génome afin de déterminer quels polymorphismes de nucléotides uniques dans les récepteurs ACE2, les voies antivirales comme RNaseL et les interférons peuvent prédisposer une personne à subir les dommages de ces « vaccins » à thérapie génique :

« Nous possédons la technologie pour déterminer qui est susceptible de subir des effets graves. Il s’agira d’une grande partie de la population »

Bien qu’il soit évident qu’une stratégie de vaccination ne puisse pas être universelle, imposer une thérapie génique à toute une population alors que l’on peut prévoir que des millions de personnes mourront et développeront des maladies mortelles comme la thrombocytopénie idiopathique est tout simplement inadmissible. Pourtant, toute personne qui ose en parler, comme le sait Judy Mikovits, risque de voir sa carrière et sa vie détruites.

Symptômes des dommages causés par le « vaccin » Covid-19

De nombreux symptômes actuellement signalés suggèrent des dommages neurologiques. Ils présentent une dyskinésie grave (altération des mouvements volontaires), une ataxie (manque de contrôle musculaire) et des crises intermittentes ou chroniques. De nombreux cas détaillés dans des vidéos personnelles sur les médias sociaux sont assez choquants.

Tout aussi choquant est le fait que ces vidéos sont rapidement retirées par les plateformes de médias sociaux, soi-disant pour violation d’une des conditions d’utilisation [qui changent tout le temps – NdT]. Il est difficile de comprendre comment une expérience personnelle peut être considérée comme une « fausse information ». Judy Mikovits explique ces dommages neurologiques de la façon suivante :

« C’est la neuroinflammation qui en est la cause. C’est le cerveau en feu. On verra des tics, on verra la maladie de Parkinson, on verra des scléroses latérales amyotrophiques, des choses comme celles-ci vont se développer à un rythme extrêmement rapide, et elles sont toutes en lien avec l’inflammation du cerveau. »

Les effets secondaires suggèrent également un dérèglement de la réponse immunitaire innée et une perturbation du système endocannabinoïde, qui agit comme un variateur d’intensité sur votre système immunitaire.

Note du traducteur : Le système endocannabinoïde — souvent abrégé en SEC — est un acteur majeur de l’homéostasie cellulaire qui fut découvert il y a trente ans, et tous les processus physiologiques de notre corps peuvent a priori impliquer son intervention. Il constitue un système de communication du corps parmi les plus importants et les plus complexes, et sa fonction principale est de réagir à des stress pour permettre au milieu interne de conserver son homéostasie. L’altération de son fonctionnement et des niveaux de ses médiateurs lipidiques (endocannabinoïdes) dans certains tissus, peut contribuer à l’installation ainsi qu’à la progression de différentes pathologies.

Judy Mikovits ajoute ce qui suit :

« Nous voyons des syndromes d’activation mastocytaire. Les symptômes cliniques seront ceux des maladies inflammatoires. On entend tout le monde les qualifier de « persistance du Covid » — la fatigue extrême, profonde et invalidante, l’incapacité à produire de l’énergie à partir des mitochondries.

Il ne s’agit pas d’un Covid persistant. C’est exactement ce qu’il en a toujours été : l’encéphalomyélite myalgique, l’inflammation du cerveau et de la moelle épinière. Ce qu’ils sont intentionnellement en train de faire, c’est de tuer [certaines] populations, celles à qui ils ont déjà fait du tort. »

Selon ce que l’on peut observer, les réactions allergiques, y compris le choc anaphylactique, constituent un autre effet secondaire courant du « vaccin ». Le PEG, auquel environ 70 % des Étasuniens sont allergiques, est probablement responsable de ces réactions. Selon Judy Mikovits,

« Ces effets immédiats sont presque certainement causés par le PEG [polyéthylène glycol – NdT] et cette nanoparticule lipidique, la particule toxique même qui est injectée. »

À plus long terme, elle pense que nous assisterons à une augmentation significative des migraines, des tics, de la maladie de Parkinson, des troubles microvasculaires, de différents cancers, dont le cancer de la prostate, des syndromes de douleur sévère comme la fibromyalgie et l’arthrite rhumatoïde, des problèmes de vessie, des maladies rénales, des psychoses, des maladies neurodégénératives comme la maladie de Lou Gehrig (SLA) et des troubles du sommeil, dont la narcolepsie. Elle pense aussi que des symptômes semblables à ceux de l’autisme sont également susceptibles de se développer chez les jeunes enfants.

Nous finirons par tuer les plus à risque

Outre les maladies chroniques énumérées plus haut, d’autres personnes sont très exposées à ces « thérapies » géniques anti-Covid-19, notamment celles qui ont reçu le vaccin contre la grippe saisonnière, les Noirs et les Hispaniques. Ces derniers sont particulièrement prédisposés au risque de facilitation de l’infection par des anticorps, notamment en raison de la génétique. Tragiquement, sous couvert d’une justice raciale et sociale, ces vaccins sont administrés aux personnes qui sont les plus à risque. Judy Mikovits ajoute :

« Ce programme pour vacciner en premier lieu les minorités ethniques et les handicapés mentaux a été présenté par Johns Hopkins il y a quelques mois. Si votre cerveau est déjà en feu, si vous souffrez déjà d’une maladie inflammatoire neurale, pourquoi diable injecteriez-vous cette toxine inflammatoire neurale ? Cela revient à tuer les personnes qui sont les plus à risque. »

Les femmes en âge de procréer peuvent également être exposées à un risque de stérilité, car la syncytine (l’enveloppe du gamma-rétrovirus codée dans le génome humain dont l’expression peut être dérégulée par l’ARN synthétique de la syncytine présente dans le vaccin) est nécessaire à la bonne fusion du placenta dans l’utérus et à l’implantation de l’ovule. En effet, l’Organisation mondiale de la santé affirme aujourd’hui que les femmes enceintes ne devraient pas recevoir les « vaccins » Moderna ou Pfizer en raison de signalements faisant état de fausses couches tardives[6].

Que faire si vous avez reçu le vaccin et que vous avez des problèmes ?

La principale raison pour laquelle je voulais interviewer Judy Mikovits était de connaître ses recommandations pour ceux qui ont choisi de se faire vacciner et qui le regrettent aujourd’hui. Il est intéressant de noter que j’ai appris que les stratégies sont les mêmes que celles que vous utiliseriez pour traiter l’infection par le Sras-CoV-2.

J’ai écrit de nombreux articles au cours de l’année dernière, détaillant des stratégies simples pour améliorer votre système immunitaire. Avec un système immunitaire sain, vous vous en sortirez sans incident, même si vous tombez malade. Je vais résumer ci-dessous certaines des stratégies que vous pouvez utiliser pour prévenir le Covid-19 et traiter les effets secondaires que vous pourriez rencontrer avec le vaccin.

Tout d’abord, vous voudrez avoir une alimentation « saine », idéalement biologique. Évitez les aliments transformés de toutes sortes, car ils sont chargés d’acide linoléique oméga-6 nuisible qui détruit votre fonction mitochondriale. Pensez également à la cétose nutritionnelle et à une alimentation limitée dans le temps, qui vous aideront à optimiser votre machinerie métabolique et la fonction mitochondriale. Comme l’a noté Judy Mikovits :

« Nous devons penser à se détoxifier des métaux, nous devons penser au glyphosate […] Nous devons prévenir l’inflammation dans tous les sites tissulaires et nous devons maintenir notre système immunitaire en bonne santé […] Pour lutter contre la neuroinflammation, il faut brûler des cétones plutôt que du sucre [des glucides – NdT], donc il faut pratiquer un régime cétogène et enlever le stress de la voie mTOR [affaiblir sa probable stimulation – NdT]. »

Note du traducteur : L’alimentation limitée dans le temps consiste à réduire l’espace entre les repas, de façon à les ramener sur une plage d’environ 8 heures, de 10h00 et 18h00, par exemple. Le jeûne intermittent constitue aussi une pièce maîtresse de ces stratégies.

Voir aussi notre Focus Covid-19 et vaccination expérimentale massive — Protégez-vous du pire grâce à ce protocole sanitaire et la liste suivante d’articles sur le régime cétogène et une alimentation pauvre (voire nulle) en sucre/glucide :

En ce qui concerne le glyphosate, un moyen simple d’en bloquer son absorption est de prendre de la glycine. Environ 3 grammes, soit une demi-cuillère à café, quelques fois par jour, devraient suffire, en plus d’une alimentation biologique, afin de ne pas ajouter plus de glyphosate à chaque repas.

Pour améliorer la désintoxication, je vous recommande d’activer votre production naturelle de glutathion avec des comprimés d’hydrogène moléculaire. Toutes ces stratégies devraient vous aider à améliorer votre résistance contre le Sras-CoV-2, et pourraient même aider votre corps à se désintoxiquer si vous avez fait l’erreur de suivre cette « thérapie » génique expérimentale.

Une autre stratégie utile consiste à maintenir un pH neutre [communément appelé équilibre acido-basique – NdT]. Votre pH doit se situer autour de 7 et vous pouvez le mesurer avec une bandelette urinaire peu coûteuse. Plus votre pH est bas, plus vous êtes acide.

Un moyen simple d’augmenter votre pH s’il est trop acide (et c’est le cas pour la plupart des gens) est de prendre un quart de cuillère à café de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) ou de potassium dilué dans l’eau plusieurs fois par jour. L’amélioration de votre pH renforcera la résistance de votre système immunitaire et réduira la perte de minéraux de vos os, diminuant ainsi votre risque d’ostéoporose.

Compléments alimentaires bénéfiques

Une supplémentation nutritionnelle peut également se révéler précieuse. Parmi les plus importantes, on peut citer :

  • Vitamine D — Les suppléments de vitamine D sont facilement disponibles et sont parmi les moins chers du marché. Tout bien considéré, l’optimisation de la vitamine D est probablement la stratégie la plus facile et la plus bénéfique que chacun puisse adopter pour minimiser son risque Covid-19 tout comme celui d’autres infections, et peut en quelques semaines renforcer votre système immunitaire.
  • N-acétylcystéine (NAC) — La NAC est un précurseur de la réduction du glutathion, qui semble jouer un rôle crucial dans le Covid-19. Selon une analyse de la littérature[7], la carence en glutathion pourrait en fait être associée à la gravité du Covid-19, ce qui amène l’auteur à conclure que la NAC pourrait être utile à la fois pour sa prévention et son traitement.
  • Zinc — Le zinc joue un rôle très important dans la capacité de votre système immunitaire à repousser les infections virales. Comme la vitamine D, le zinc aide à réguler votre fonction immunitaire[8] — et il a été démontré en 2010 qu’une combinaison de zinc avec un ionophore de zinc, comme l’hydroxychloroquine ou la quercétine, inhibe in vitro le coronavirus du Sras. En culture cellulaire, elle a également bloqué la réplication virale en quelques minutes[9]. Il est important de noter qu’il a été démontré que la carence en zinc altère la fonction immunitaire[10].
  • Mélatonine — Elle stimule la fonction immunitaire de diverses manières et aide à réprimer l’inflammation. La mélatonine peut également prévenir l’infection par le Sras-CoV-2 en rechargeant le glutathion[11] et en améliorant la synthèse de la vitamine D, entre autres choses.
  • Vitamine C — Un certain nombre d’études ont montré que la vitamine C peut être très utile dans le traitement des maladies virales, de la septicémie et du syndrome de détresse respiratoire aiguë[12] , toutes ces maladies étant applicables au Covid-19. Ses propriétés de base comprennent des propriétés anti-inflammatoires, immunomodulatrices, antioxydantes, antithrombotiques et antivirales. À fortes doses, elle agit en fait comme un médicament antiviral, en inactivant activement les virus. La vitamine C agit également en synergie avec la quercétine[13].
  • Quercétine — Puissant stimulant immunitaire et antiviral à large spectre, la quercétine a d’abord été considérée comme offrant une protection à large spectre contre le coronavirus du Sras à la suite de l’épidémie de Sras de 2003[14] [15] [16], et des éléments indiquent qu’elle pourrait également être utile pour la prévention et le traitement du Sras-CoV-2.
  • Les vitamines B — Les vitamines B peuvent également influencer plusieurs processus pathologiques spécifiques au Covid-19, notamment[17] la réplication et l’invasion virales, l’induction de tempêtes de cytokines, l’immunité adaptative et l’hypercoagulabilité.

Judy Mikovits recommande également les interférons de type 1.

« L'[interféron] de type 1 — la source primaire d’interféron, alpha et bêta — est la cellule dendritique plasmacytoïde. Nous savons qu’elle est dérégulée chez les personnes atteintes du VIH, d’XMRVs, ou d’une expression rétrovirale aberrante. Ces personnes ne peuvent pas produire d’interféron.

Les interférons de type 1 peuvent être fournis dans un spray que vous pouvez vaporiser directement dans votre gorge, votre nez, et qui vous donnera la protection dont vous avez besoin pour que le virus ne se [réplique] pas. Il sera immédiatement dégradé […] Si vous avez de la toux, de la fièvre ou des maux de tête, augmentez immédiatement votre taux d’interféron de type 1. Deux pulvérisations par jour de cet interféron à titre prophylactique réduiront la charge virale.

Nous savons que le [Sras-CoV-2] n’est pas un virus naturel, nous savons qu’il a été créé en laboratoire, mais [l’interféron en] calmera l’expression, il dégradera l’ARN pour ceux qui ne peuvent pas le faire, et c’est son travail — faire en sorte que vos macrophages soient ces petits Pac-Man qui dégradent simplement l’ARNm viral. »

Note du traducteur : Voir aussi notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

Peroxyde nébulisé — Mon choix thérapeutique préféré



Mon choix personnel pour le traitement des symptômes du Covid-19 est le peroxyde nébulisé. C’est un remède maison que tout le monde devrait selon moi connaître, car dans de nombreux cas, il peut améliorer les symptômes en quelques heures seulement. Vous pouvez également l’utiliser comme stratégie préventive si vous savez que vous avez été exposé à une personne malade.

La nébulisation de peroxyde d’hydrogène dans les sinus, la gorge et les poumons est un moyen simple et direct d’augmenter l’expression naturelle du peroxyde d’hydrogène dans votre corps pour combattre les infections et elle peut être utilisée à la fois en prophylaxie après une exposition connue au Covid-19 et comme traitement pour les maladies légères, modérées et même graves.

Le Dr David Brownstein, qui a traité avec succès plus de 100 patients Covid-19 avec du peroxyde nébulisé, a publié un article de cas[18] sur ce traitement dans le numéro de juillet 2020 de Science, Public Health Policy and The Law. Il examine également ses avantages dans « Comment le peroxyde en nébulisation aide à lutter contre les infections respiratoires » [en anglais – NdT].

Le peroxyde d’hydrogène nébulisé est extrêmement fiable, et tout ce dont vous avez besoin est d’un nébuliseur individuel et du peroxyde d’hydrogène de qualité alimentaire, que vous devrez diluer avec une solution saline à 0,1 pour cent. Je vous recommande d’acheter ces articles à l’avance afin que vous ayez tout ce dont vous avez besoin et que vous puissiez commencer le traitement à la maison dès les premiers signes d’une infection respiratoire.

Recette de peroxyde d'hydrogène nébulisé

Dans la vidéo ci-dessus, je passe en revue les bases de ce traitement. Il est préférable d’acheter un nébuliseur qui se branche sur une prise électrique, car les nébuliseurs à piles sont trop faibles pour être vraiment efficaces. Assurez-vous également que votre nébuliseur est équipé d’un masque facial, et pas seulement d’un embout buccal. S’il n’est pas fourni avec un masque facial, vous pouvez en acheter un séparément. Il vous suffit de chercher sur Amazon « masque de nébulisation pour adultes » [cherchez les produits accessoires – NdT].

Note du traducteur : Voir aussi l’article en français sur le site French Mercola Le protocole au peroxyde d’hydrogène contre le coronavirus :

« Le peroxyde de qualité alimentaire est généralement disponible à des concentrations de 12 %. Vous devrez donc le diluer à 1 % pour l’utiliser comme je le décris dans la vidéo et le tableau [ci-dessus].

Les virus ne sont pas « vivants » en soi. Ils ont besoin d’un hôte vivant dans lequel ils peuvent infecter des cellules vivantes qui répliquent ensuite l’ADN et l’ARN viraux. Une fois qu’une cellule est infectée, les virus nouvellement répliqués quittent la cellule et passent à la cellule suivante pour dupliquer le processus.

Donc, quand on parle de « tuer » un virus, il est vraiment question de l’inactiver en brisant sa structure. C’est pourquoi le savon fonctionne si bien. Les coronavirus sont consolidés par un revêtement lipidique (gras). Le savon, étant amphipathique (ce qui signifie qu’il peut dissoudre la plupart des molécules), il dissout cette membrane graisseuse, ce qui fait que le virus se désagrège et devient inoffensif.

Plus spécifiquement, les substances grasses du savon sont structurellement similaires aux lipides trouvés dans la membrane virale, de sorte que les molécules de savon rivalisent avec et remplacent les graisses de la membrane. Ce faisant, la « colle grasse » qui consolide le virus se dissout.

Le peroxyde d’hydrogène fonctionne de manière similaire.
[…]
Vos cellules immunitaires produisent en fait du peroxyde d’hydrogène. C’est en partie ainsi que le système immunitaire tue les cellules infectées par un virus. En tuant la cellule infectée, la reproduction virale est arrêtée. Ainsi, la thérapie au peroxyde d’hydrogène aide essentiellement les cellules immunitaires à remplir plus efficacement leur fonction naturelle. »

Informations additionnelles

Nous espérons avoir fourni suffisamment d’informations pour vous faire reconsidérer le « vaccin » à « thérapie » génique Covid-19. Au minimum, faites des recherches supplémentaires avant de prendre votre décision. La simple vérité est que vous n’en avez pas besoin, et qu’il s’agit donc d’un risque inutile.

Pour en savoir plus, n’oubliez pas de commander à l’avance un exemplaire de Ending Plague: A Scholar’s Obligation in an Age of Corruption [« Mettre fin au fléau — Le devoir d’un universitaire à l’ère de la corruption », non traduit en français – NdT]. À bien des égards, nous traversons une crise et il est absolument essentiel de s’instruire, puis d’éduquer les autres. La vie de millions de personnes est en jeu. Alors, s’il vous plaît, prenez le temps d’assimiler ces informations, de les comprendre et de les partager avec ceux que vous aimez.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui seraient intéressés, ce livre en anglais de Judy Mikovits est, sur Amazon, en rupture de stock au format papier au moment où nous publions. Il est par contre disponible au format Kindle.

Une des vidéos les plus puissantes que j’ai jamais vues

La vidéo suivante de Barbara Loe Fisher est l’une des plus puissantes que j’ai jamais vues. J’espère que le fait de la regarder vous incitera à vous engager et à vous joindre à la lutte pour la liberté et l’indépendance en matière de vaccins.

Il existe une guerre culturelle et une collusion entre de nombreuses industries et les agences de régulation fédérales qui ont pour conséquence la suppression de la vérité sur des questions de santé vitales et importantes. Si cette suppression se poursuit, nous éroderons graduellement et progressivement nos droits individuels privés pour lesquels nos ancêtres se sont battus si durement. Veuillez prendre quelques minutes pour regarder cette vidéo.

https://youtu.be/xEcYQydhY9E

Protégez votre droit au consentement éclairé et défendez les exemptions de vaccin

Avec toutes les incertitudes qui entourent l’innocuité et l’efficacité des vaccins, il est essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination. Il est urgent que tout le monde aux États-Unis se lève et se batte pour protéger et étendre les protections du consentement éclairé à la vaccination dans les lois des États en matière de santé publique et d’emploi. La meilleure façon d’y parvenir est de s’impliquer personnellement auprès des législateurs de votre État et d’éduquer les dirigeants de votre communauté.

Penser globalement, agir localement

Les recommandations en matière de politique nationale sur les vaccins sont faites au niveau fédéral, mais les lois sur les vaccins sont faites au niveau des États. C’est au niveau des États que votre action visant à protéger vos droits en matière de choix de vaccins peut avoir le plus grand impact.

Il est essentiel que TOUT LE MONDE s’implique dès maintenant pour défendre le droit légal de choisir volontairement un vaccin aux États-Unis, car ces choix sont menacés par les lobbyistes représentant les sociétés pharmaceutiques, les associations professionnelles médicales et les responsables de la santé publique, qui tentent de persuader les législateurs de supprimer toutes les exemptions relatives aux vaccins des lois sur la santé publique.

En vous inscrivant sur le portail gratuit du NVIC sur la défense des droits, à l’adresse www.NVICAdvocacy.org, vous aurez un accès immédiat et facile aux législateurs de votre État sur votre smartphone ou votre ordinateur, ce qui vous permettra de faire entendre votre voix. Vous serez tenu au courant des derniers projets de loi de l’État qui menacent votre droit de choisir un vaccin et vous obtiendrez des informations pratiques et utiles pour vous aider à devenir un défenseur efficace du choix des vaccins dans votre propre communauté.

En outre, lorsque des questions relatives aux vaccins nationaux se poseront, vous aurez à portée de main les informations actualisées et les éléments d’appel à l’action dont vous avez besoin. Dans un premier temps, veuillez donc vous inscrire sur le portail de sensibilisation du NVIC.

Note du traducteur : Bien que ce qui précède (tout comme le dernier point ci-dessous) concerne les États-Unis, l’information pourrait bénéficier à des francophones sur ce territoire. Les lois outre-Atlantique ne sont pas les mêmes que dans les pays francophones, mais il y est tout aussi essentiel de protéger votre droit à faire des choix de santé indépendants et d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination, notamment en vertu du Code de Nuremberg : Covid-19 — La campagne vaccinale expérimentale à venir constitue un viol du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui

Partagez votre histoire avec les médias et les personnes que vous connaissez

Si vous ou un membre de votre famille avez subi une réaction grave à un vaccin, des dommages ou un décès, vous devriez en parler. Si nous ne partageons pas les informations et les expériences entre nous, tout le monde se sent seul et a peur de parler. Écrivez une lettre au rédacteur en chef si vous avez un point de vue différent sur une histoire de vaccin qui paraît dans votre journal local. Appelez une émission de radio qui ne présente qu’un seul aspect de l’histoire du vaccin.

Je dois être franc avec vous : il vous faudra être courageux car vous pourriez être fortement critiqué pour avoir osé parler de « l’autre facette » de l’histoire du vaccin. Préparez-vous à cela et ayez le courage de ne pas reculer. Ce n’est qu’en partageant notre point de vue et ce que nous savons être vrai au sujet de la vaccination que la conversation publique sur la vaccination s’ouvrira si bien que les gens n’auront pas peur d’en parler.

Nous ne pouvons pas permettre que les entreprises pharmaceutiques et les associations commerciales médicales financées par les entreprises pharmaceutiques ou les responsables de la santé publique qui encouragent l’utilisation forcée d’une liste croissante de vaccins dominent la conversation sur la vaccination.

Une personne affectée par un vaccin ne peut pas être balayée sous le tapis et traitée comme rien d’autre qu’un « dommage collatéral statistiquement acceptable » des politiques nationales de vaccination obligatoire universelles qui mettent beaucoup trop de gens en danger d’en être victimes et de mourir. Nous devrions traiter les gens comme des êtres humains et non pas comme des cobayes.

Ressources Internet où vous pouvez en apprendre davantage

Je vous encourage à visiter le site web de l’organisation caritative à but non lucratif, le National Vaccine Information Center (NVIC), à l’adresse www.NVIC.org :

  • Exigences et exemptions en matière de vaccins par État — Les lois sur les vaccins varient aux États-Unis d’un État à l’autre. En connaissant les politiques spécifiques de votre État, vous apprendrez comment obtenir des exemptions et mieux protéger votre droit à faire des choix éclairés en matière de vaccins.
  • NVIC Mémorial des victimes de vaccins — Consultez les descriptions et les photos d’enfants et d’adultes qui ont subi des réactions aux vaccins, des blessures et des décès. Si vous ou votre enfant êtes victime d’un effet indésirable d’un vaccin, pensez à poster et à partager votre histoire ici.
  • Si vous vous faites vacciner, posez 8 questions — Apprenez à reconnaître les symptômes des réactions aux vaccins et à prévenir les blessures dues aux vaccins.
  • Mur de la liberté vaccinale — Consultez ou affichez des descriptions de harcèlement et de sanctions par des médecins, des employeurs et des responsables scolaires et sanitaires pour avoir choisi un vaccin de manière indépendante.
  • Mur de l’échec vaccinal — Consultez ou affichez des descriptions de vaccins qui n’ont pas fonctionné et qui protègent les personnes vaccinées contre la maladie.

Sources et références

[1] MJforMDs.org Judy Mikovits Bio

[2] Bioregulatory Medicine Institute December 28, 2020

[3] Stat News January 10, 2017

[4] New York Times January 12, 2021

[5] The Defender January 13, 2021

[6] Wall Street Journal January 27, 2021

[7] A Hypothesis Based on Literature Data and Own Observations, preprint

[8] « COVID-19: Poor Outcomes in Patients with Zinc Deficiency, » International Journal of Infectious Disease 100 (November 2020): 343-49

[9] te Velthuis AJ, van den Worm SH, Sims AC, et. al . PLoS Pathog. 2010 Nov 4;6(11):e1001176. doi: 10.1371/journal.ppat.1001176

[10] « Zinc Fact Sheet for Health Professionals, » U.S. Department of Health & Human Services, National Institutes of Health, updated July 15, 2020

[11] Grazyna Swiderska-Kołacz, Jolanta Klusek, and Adam Kołataj, Neuro Endocrinology Letters 27, no. 3 (June 2006): 365-8

[12] JAMA 2019 Oct 1; 322(13): 1261-1270

[13] Frontiers in Immunology June 19, 2020 DOI: 10.3389/fimmu.2020.01451

[14] Journal of Virology Sep 2004, 78 (20) 11334-11339, Antiviral activity of an analog of luteolin

[15] Bioorg Med Chem. 2006 Dec 15;14(24):8295-306

[16] Maclean’s February 24, 2020

[17] Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print]

[18] Science, Public Health Policy and The Law July 2020; 1: 4-22 (PDF)


Source de l’article initialement publié en anglais le 31 janvier 2021 : 
Mercola.com
Traduction : Sott.net




Effets nocifs des masques

Transmis par Baryton

« L’utilisation prolongée du N95 et des masques chirurgicaux par les professionnels de la santé pendant le COVID-19 a provoqué des effets indésirables tels que des maux de tête, des éruptions cutanées, de l’acné, des lésions cutanées et une altération de la cognition chez la majorité des personnes interrogées. »

Source: 2020–Rosner : Elisheva Rosner E (2020)
https://clinmedjournals.org/articles/jide/journal-of-infectious-diseases-and-epidemiolo…

« Il a été démontré que le port de masques faciaux avait des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Ceux-ci incluent l’hypoxie, l’hypercapnie, l’essoufflement, l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, l’activation de la peur et de la réponse au stress, l’augmentation des hormones de stress, l’immunosuppression, la fatigue, les maux de tête, la baisse des performances cognitives, la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, le stress chronique, l’anxiété et dépression. Les conséquences à long terme du port d’un masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et la mort prématurée. »

Source: 2021–Vainshelboim : Vainshelboim B
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7680614/

« Le port du masque peut provoquer des tensions de céphalée musculaire [soit des tensions au niveau du crâne]. Avec le masque sur le visage, on force sur les muscles faciaux sans forcément s’en rendre compte, et on crée une tension à l’origine du mal de tête. Pour celles et ceux déjà sujets aux migraines, ces tensions peuvent provoquer des crises plus régulières. »

Source: Dominique Valade, neurologue
https://madame.lefigaro.fr/bien-etre/masque-boutons-demangeaisons-respiration-migraines…

« Le fait d’avoir une barrière collée près de la bouche et du nez permet aux bactéries inoffensives qui se trouvent dans notre organisme de proliférer à l’aide du niveau d’humidité, leur permettant de devenir dans certains cas des pathogènes menant à des infections sérieuses ou des maladies chroniques. »

Source: Antoine Khoury, microbiologiste et président-directeur général de l’entreprise Vacci-Vet à Saint-Hyacinthe
https://www.lecourrier.qc.ca/une-mesure-dangereuse-selon-un-microbiologiste/

« Les revues de la littérature ont confirmé que le port d’un masque pendant la chirurgie n’a aucun impact sur les taux d’infection des plaies pendant une chirurgie propre. Un rapport récent de 2014 déclare catégoriquement qu’aucun essai clinique n’a jamais montré que le port d’un masque prévient la contamination des sites chirurgicaux. »

Source: Why Face Masks Don’t Work: A Revealing Review. John Hardie, BDS, MSc, PhD, FRCDC
http://archive.is/My2jr
Initialement publié sur Oral Health Group.

« C’est une véritable pandémie de problèmes de peau liés au port du masque! Lorsqu’on porte le masque, une sorte de microclimat chaud se développe dans la zone couverte, avec une prolifération de microbes et de bactéries, ce qui peut provoquer des symptômes, des rougeurs ou des éruptions cutanées. Quand la peau n’est pas bien oxygénée, il y a un excès de production de sébum, ce qui mène à l’obstruction des pores de peau et des boutons. »

Source: Joseph Doumit, dermatologue à la clinique Union MD de Montréal
https://www.lapresse.ca/societe/sante/2020-08-28/que-faire-pour-eviter-le-mascne.php

« Nous savons que le port d’un masque à l’extérieur des établissements de santé offre peu de protection, voire aucune, contre les infections. »

Source: M Klompas, C Morris, et al. Universal masking in hospitals in the Covid-19 era. N Eng J Med. 2020
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372

« On a constaté que les chirurgiens avaient une saturation en oxygène plus faible après des chirurgies, même aussi courtes que 30 minutes. »

Source: A Beder, U Buyukkocak, et al. Preliminary report on surgical mask induced deoxygena on during major surgery.
http://scielo.isciii.es/pdf/neuro/v19n2/3.pdf
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)

« Les masques chirurgicaux se sont également avérés être un réservoir de contamination bactérienne. Il a été déterminé que la source de la bactérie était la surface corporelle des chirurgiens, plutôt que l’environnement de la salle d’opération. »

Source: L Zhiqing, C Yongyun, et al. J Orthop Translat. 2018 Jun 27; 14:57- 62
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30035033/
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)

« Divers agents pathogènes respiratoires ont été trouvés sur la surface extérieure des masques médicaux usagés, ce qui pourrait entraîner une auto-contamination. Le risque s’est avéré plus élevé avec une durée d’utilisation plus longue du masque. »

Source: A Chughtai, S Stelzer-Braid, et al. Contamination by respiratory viruses on our surface of medical masks used by hospital healthcare workers.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31159777/
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)

« Les chercheurs s’inquiètent du fardeau possible des masques faciaux pendant l’activité physique sur les systèmes pulmonaire, circulatoire et immunitaire, en raison de la réduction de l’oxygène et du piégeage de l’air réduisant les échanges substantiels de dioxyde de carbone. En raison de l’hypercapnie, il peut y avoir une surcharge cardiaque, une surcharge rénale et un passage à une acidose métabolique »

Source: B Chandrasekaran, S Fernandes. Exercise with facemask; are we handling a devil’s sword – a physiological hypothesis
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32590322/
La citation provient de la revue systématique Borovoy et al.
(https://pdmj.org/papers/masks_are_neither_effective_nor_safe/index.html)

« Les masques faciaux bloquent la signalisation émotionnelle entre les enseignants et les élèves »

Source: 2020–Spitzer : Spitzer M
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7417296/

« Les déficiences causées par le port du masque ont été rapportées par 68% des parents. Celles-ci comprenaient l’irritabilité (60%), les maux de tête (53%), la difficulté à se concentrer (50%), moins de bonheur (49%), la réticence à aller à l’école / à la maternelle (44%), le malaise (42%), les troubles d’apprentissage (38%) et somnolence ou fatigue (37%) »

Source: 2021–Shwarz
https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v2




Bilan de la vaccination au Royaume-Uni au 75e jour

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

La Grande-Bretagne est le second champion de la vaccination. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela explique l’intérêt d’une nouvelle analyse avec 2 mois et demi de recul.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

Aujourd’hui la campagne de vaccination progresse avec près de 11 millions de Britanniques qui auraient reçu au moins une dose de vaccin, dont la majorité des personnes âgées de 70 ans et plus auraient reçu leurs deux doses.

Cette campagne de vaccination n’a été réalisée que grâce à une propagande massive prétendant que les résultats des vaccins sont connus et rassurants, alors que l’essai pivot n’incluait qu’une poignée de personnes très âgées avec comorbidité.

Pertinence des critères d’évaluation

Les médias proclament le succès d’après les pourcentages de vaccinés ou les taux prétendus de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des organismes chargés de la vaccination.

Mais un examen objectif d’une campagne de vaccination doit se focaliser uniquement sur deux points précis : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

On dispose pour ces critères d’une source fiable, accessible par internet et indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/. Il précise chaque jour, pour chaque pays, le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd-19. C’est donc sur ces données que nous baserons notre analyse.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

D’après les courbes OMS du 25 février 2021, la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations. En deux mois et demi post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 134 843 (+150 %).

Cette évolution immédiatement très défavorable après vaccination, avec augmentation considérable des contaminations quotidiennes, suggère que le vaccin est incapable de diminuer la transmission de la maladie.

La chute des contaminations depuis janvier pourrait faire croire à l’efficacité de la vaccination après six semaines, mais cette diminution du nombre quotidien de contaminations n’a été observée que depuis le reflux mondial de l’épidémie apparue le 8 janvier 2021 dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Évolution de la mortalité quotidienne

En Grande-Bretagne, malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En deux mois et demi post-vaccination, ce chiffre a doublé passant à 121 305 (+100 %).

Les mois de décembre 2020 et janvier 2021 ont établi les records mensuels de la mortalité, regroupant à eux deux plus de 50 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé !

Ce phénomène paraît très inquiétant chez les seniors en institution.

Lorsqu’on a reçu la première dose de vaccin, le Covid-19 paraît se révéler plus grave et plus susceptible d’entraîner la mort. Heureusement, le franc recul mondial de l’épidémie depuis janvier diminue le risque d’attraper la maladie après la première injection de vaccin et donc minore le risque d’en mourir.

Cette décrue mondiale de l’épidémie ne paraît due ni à au confinement ni à la vaccination, puisqu’elle est plus intense dans les pays non confinés et peu vaccinés tels que la Suède.

Que peut-on conclure pour l’instant ?

En Grande-Bretagne, les suites immédiates de la vaccination ont été marquées par une recrudescence très importante des contaminations et de la mortalité quotidiennes alors que c’est une franche diminution qui en était espérée.

En février, il y avait plus de nouveaux cas de Covid-19 par jour qu’avant le début du confinement et de la vaccination. L’émergence de différents variants du Covid-19 l’explique peut-être, mais cette émergence a peut-être elle-même été favorisée par la vaccination.

Dans une lettre au BMJ [1] le Pr Delfraissy s’inquiète :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus… voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’accroissement important de la mortalité depuis la vaccination est peut-être dû à un phénomène d’anticorps facilitants [2] dont le risque, illustré par la catastrophe vaccinale récente du Dengvaxia aux Philippines, avait été rappelé par l’Académie de médecine [3].

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique (…) le risque individuel d’aggravation par anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. » 

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible en Grande-Bretagne car complètement pollué par des considérations politiques.

Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à Boris Johnson et aux autorités sanitaires anglaises qui l’ont très fortement conseillée et qui viennent d’annoncer « une première injection de vaccin Pfizer réduirait de 57 % le risque de souffrir de Covid-19 chez les plus de 80 ans », sans expliquer ni les hausses d’incidence et de mortalité observées, accusant seulement des variants, ni les apparitions de clusters mortels dans les Ehpad de nombreux pays rapportés dans les journaux peu de temps après la vaccination Pfizer [4].

Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement, les organismes qui ont conseillé et réalisé la campagne de vaccination et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le virus, de refuser d’expliquer les chiffres d’incidence et de mortalité post-vaccination et de traiter ceux qui émettent des doutes de complotistes.

Car comme le remarquait un panel de scientifiques dans le BMJ [5], quel que soit le pays, « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

La démocratie en danger

En absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement les conséquences de la vaccination, nous ne pouvons que conseiller aux Français d’attendre pour se faire vacciner.

Il n’y a en effet aucune urgence au vaccin, le risque de la maladie étant infime pour les moins de 65 ans. La vaccination altruiste ne peut être conseillée puisque le vaccin paraît incapable d’empêcher la transmission de l’épidémie. Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées.

C’est certainement ce que veut éviter le ministre de la Santé, avec sa volonté d’imposer le port d’un passeport vaccinal sur le modèle israélien pour obliger nos compatriotes à se faire vacciner.[6]

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou bien des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, l’obligation du port d’un badge de couleur (heureusement ni étoile, ni jaune !) est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable et les héritiers du grand Churchill doivent se retourner dans leur tombe. Il est vrai que certains veulent déboulonner sa statue, donc on ne peut s’étonner de rien. Le passeport vaccinal prévu est néanmoins plus discret mais tout autant liberticide.

Il ne faut jamais oublier les avertissements des survivants de la Seconde Guerre mondiale et singulièrement de la Shoah : la mise en garde de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans la résistible Ascension d’Arturo Ui « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal.

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population, qui n’a probablement pas la mémoire courte, saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Alors que de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérerait des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour pour nous faire accepter l’insupportable, rappelons que l’épidémie disparaît partout dans les pays peu ou pas vaccinés indépendamment des mesures liberticides imposées ou pas. Sur l’ensemble de la planète le nombre de contaminations a régressé de 60 % durant les 5 dernières semaines.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid-19, n’ayant laissé aux labos ni le temps de trouver ni d’imposer un vaccin.

Espérons que la poursuite de cette évolution spontanément favorable du virus viendra clore cet épisode funeste à tous égards et en particulier de la vaccination avec son cortège de nombreux effets secondaires dont des cécités, des troubles oculaires bien détaillés dans le site du gouvernement anglais (gov.UK) [7] [8].

Le passeport vaccinal ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire. L’accepter serait signe de soumission au projet de société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels. Mais si ce modèle leur convient, qu’en penseront les Français une fois réveillés de leur cauchemar covidien ?  Les camps d’internement, passeport vaccinal, isolement autoritaire auxquels nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?

Méditons la tirade d’Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU devant le Conseil des droits de l’homme :

Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG”. ” Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures – ou le manque de mesures – prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.”

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés fondamentales ignoblement confisquées ?

Et à l’occasion de cette revue du vaccin au Royaume-Uni qui pose les mêmes questionnements dans le monde occidental dont la France, rappelons la conférence de Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU au sujet de l’opportunité de la vaccination obligatoire chez l’enfant.

Elle rappelle en 2016 : ” en 2005, l’UNESCO (Éducation Science et Culture) qui a abordé cette question a adopté la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays. Les pays participants ont espéré que cette Déclaration, comme la Déclaration universelle des droits de l’homme, devienne un ensemble de principes directeurs.

 Sur la question du consentement, la Déclaration stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que « le seul intérêt de la science ou de la société » ne doit pas prévaloir.

Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal.  Sous forme abrégée « D’abord ne pas nuire », ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du « troupeau ».

Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « c’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

Elle paraphrase le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel », substitue le terme « médico-industriel » aux paroles du Président parce que ce « complexe médico-industriel » présente de nombreux risques que le Président avait prédits dans son discours :

« Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

Dr Gérard Delépine


https://twitter.com/Infirmier00/status/1365286996105650180

Notes

[1] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online February 18, 2021 https://doi.org/10.1016/ S2468-2667(21)00036-0

[2] déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus

[3] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021

[4] Mark Hodge COVID TRAGEDY Nine care home residents dead and 69 infected in mass Covid outbreak six days after getting vaccine The Sun 2 Feb 2021

[5] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.n314

[6] Passeport vaccinal sur TV liberté https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0

[7] VACCIN COVID-19 : EFFETS INDÉSIRABLES ET LA POSSIBILITÉ DE RENDRE « LES VACCINÉS AVEUGLES » – JEMINFORMETV.COM

[8] Coronavirus vaccine – weekly summary of Yellow Card reporting – GOV.UK (www.gov.uk)




Il faut défendre les enfants, exiger la suppression du port du masque

Par Dr Nicole Delépine

Les reniements des intervenants sur les TV bien briefés

Le Pr Douste Blazy, ancien ministre, qui avait courageusement défendu la chloroquine en avril 2020 ne parle brutalement plus de traitement, mais prône des camps d’internement pour les testés positifs récalcitrants. Que lui est-il arrivé ? Faut-il voir dans ses derniers propos honteux et discordants l’effet de rumeur de dossiers compromettants, ou l’espoir d’un poste mirobolant au gouvernement ou à l’OMS ?

Autre très choquante surprise : Madame Le Guen pédiatre et représentante sur les médias de la société française de pédiatrie (les fameuses sociétés dites savantes) : retournement à 180° sur le port des masques chez l’enfant. Retournements jamais argumentés par des études scientifiques.(([1] La seule étude randomisée sur l’intérêt du port du masque, la Danmasq19 n’a pas mis en évidence d’efficacité significative du masque pour éviter la contagion.))

Mr Alain Tortosa en est sorti de son silence devant tant de mauvaise foi contre les enfants qu’elle devrait, en tant que pédiatre, défendre contre vents et marées.

Quand la pensée unique, la quête de notoriété, une bêtise sans limite, la corruption ou, pourquoi pas, des menaces, mènent à l’immonde ?

Les enfants sont innocents du COVID

Notons que les pédiatres jusqu’à une période récente avaient donné des avis raisonnables en accord avec l’état de la science sur l’absence de danger de contamination par les enfants.

Avis conforme à toutes les études internationales dont nous avons souvent parlées confirmant TOUTES depuis février 2020 que les enfants ne font jamais de formes graves (sauf de grands malades immunodéprimés) (([2] Rappelons que selon Santé Publique France le covid n’a tué que 3 enfants de moins de 15 ans tous souffrant au préalable de maladie mortelle alors que chaque année la grippe fait entre 7 et 10 victimes dans ce groupe d’âge.)), ne contaminent jamais, ni les adultes, ni les enfants. Quand ils sont contaminés, ils l’ont toujours été par un adulte ou un très proche, surtout si confinés ensemble.

Rappelons ces évidences confirmées par la littérature internationale revue régulièrement, édictées alors par cette pédiatre renégate aujourd’hui :

« En juin 2021, Mme le Guen (je précise « Mme » et non « docteur », car comment pourrais-je lui accorder la légitimité de se nommer docteur ou professeur en pédiatrie. Un pédiatre est un médecin au service des enfants, primum non nocere). Elle a été corédactrice d’un texte appelé « Primum non nocere : tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! (([3] Société Française de Pédiatrie Primum non nocere : Tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! 11/06/2020 https://snmpmi.org/IMG/pdf/tribune_societe_francaise_pediatrie_11juin_2020.pdf)) »

Primum non nocere qui veut dire « en premier, ne pas nuire ».

Texte dans lequel il était possible de lire notamment :

« Les enfants qui n’ont que très peu été concernés par cette infection sont pourtant aujourd’hui ceux qui font l’objet des mesures les plus coercitives. »
« Aujourd’hui, en dépit des données scientifiques internationales qui s’accumulent et confirment que les enfants sont moins souvent infectés et moins contaminants que les adultes, force est de constater que les enfants, les adolescents et les spécialistes de leur santé physique, psychique et sociale n’ont pas encore été entendus. »

« Quatre semaines après la réouverture progressive des écoles, fixée par le Président de la République au 11 mai, les conditions d’accueil des enfants en collectivité sont très disparates et parfois coercitives lorsqu’elles sont appliquées à la lettre, voire conduisent à des maltraitances institutionnelles »

Le 26 avril, dans un document « Propositions de la société française de pédiatrie et des sociétés de spécialités pédiatriques pour favoriser le retour des enfants avec maladie chronique dans leur établissement scolaire » (([4] 1 20h00 du 23 février 2021
https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/2264029-edition-du-mardi-23-fevrier-2021.html)) il était précisé :

« Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les enfants sans pathologie sous-jacente grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni raisonnable. 

En revanche, le port de masque pour les adolescents ainsi que pour les
adultes en charge d’enfants peut être envisagé. »
« De plus, et si l’usage du masque se généralise, la SNP veut attirer l’attention sur le respect des gestes barrière et le « bon usage du masque chez l’enfant » pour bien signifier que ce n’est pas d’avoir un masque qui protège, tant que la manière de l’utiliser et de le porter, et le lavage des mains est tout aussi important. »

 Alors, comment aujourd’hui oser prétendre que le masque chez l’enfant n’a pas de danger, alors que s’accumulent les données tant sur les conséquences psychologiques majeures que sur l’hypoxie importante chez les petits soumis à un port sectaire du masque (prolongé sans échappement de quelques minutes ou laissés gentiment sous le nez).

La peur instillée aux enseignants qui ont pourtant la littérature internationale à leur disposition reste incompréhensible, mais en tous cas ils n’ont, pour trop d’entre eux, pas protégé leurs élèves, pas plus que les parents qui ont préféré se soumettre.

De nombreuses procédures sont en cours dans lesquelles vous retrouverez tous les inconvénients du masque chez l’enfant, comme le site de Maître Brusa reaction19fr, mais aussi dans la procédure judiciaire mise en ligne le 23 février

Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire
Date : 23/02/2021 22 :44 :43 Europe/Paris

Associez-vous à cette procédure   pour la suppression du masque obligatoire !

Tous documents explicites dans l’article du site à télécharger Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire

Télécharger : REQUETE PDT T.J. avec Pièces

#stopconfinement, #stopmasques il faut exiger réouverture de tout, et suppression de toutes les mesures liberticides avant qu’il ne soit trop tard.

Il faut dire stop MAINTENANT avant qu’il ne soit trop tard, car de renoncements en renoncements qui paraissent à chaque fois petit, excusable, pas si grave, on passe doucement à l’irréversible. Relisons l’expérience des Allemands durant l’irrésistible ascension d’Hitler sans bruit en Allemagne, mais aussi en France ou en Angleterre. On pourra négocier avec Hitler …croyaient certains alors. Eh bien non on n’a pas pu…

« Et vous êtes un alarmiste. Vous vous écriez que ceci mènera à cela, mais vous ne pouvez rien prouver. C’est un commencement, mais savez-vous ce que réserve la finalité, et comment elle se présentera ? D’une part, vos ennemis, la loi, le régime, le Parti, vous intimident. De l’autre, vos collègues vous accusent d’être pessimiste ou névrotique. Il ne vous reste que vos amis proches, qui pensent naturellement comme vous l’avez toujours fait.

Mais vous en avez de moins en moins. Certains se sont déplacés, d’autres sont submergés par le travail. Vous n’en voyez plus autant aux réunions et aux sorties habituelles. Les groupes informels deviennent plus petits, et eux-mêmes se désintègrent. Parmi le petit groupe d’amis qu’il vous reste, vous avez l’impression de parler entre vous, d’être isolés de la réalité des choses. Cela ne fait que contribuer à votre incertitude et vous retient davantage — mais de faire quoi ? Il est clair que, si vous décidez de faire quelque chose, vous devez en faire un évènement, et devenez un fauteur de trouble. Alors vous attendez, toujours plus longtemps.

Mais le grand choc, qui fera affluer des centaines, des milliers d’autres dans vos rangs, ne se produit jamais. C’est là le paradoxe.

Si le premier et le dernier des actes affreux commis par le régime étaient survenus en même temps, des millions de personnes auraient été suffisamment secouées et se seraient soulevées — disons si l’extermination de Juifs en 1943 était survenue juste après le placardage d’autocollants ‘Juif’ sur les fenêtres des magasins juifs en 1933. Mais ce n’est pas ainsi que les choses se sont déroulées. Entre les deux, des centaines d’autres actions ont été entreprises, certaines imperceptibles, chacune visant à vous désensibiliser à la prochaine. L’étape C est toujours plus violente que l’étape B, mais si vous ne vous soulevez pas à l’étape B, alors pourquoi le faire à l’étape C ? Et ainsi de suite…

Et puis un jour, il est trop tard ; vos principes, si vous y étiez sensibles, vous sautaient au visage. La déception de vous-même est devenue trop lourde à porter, et un incident mineur, dans mon cas mon petit garçon, pas plus âgé qu’un bébé, prononçant les mots ‘porc juif’, fait tout s’effondrer autour de vous.

Et puis vous voyez tout, tout ce qui a changé sous votre nez. Le monde dans lequel vous vivez, votre nation, votre peuple, n’est plus celui dans lequel vous avez grandi. Ses formes sont toujours là, identiques et rassurantes, les maisons, les magasins, les emplois, les pauses repas, les visites, les concerts, le cinéma, les vacances… Mais l’esprit, auquel vous n’avez jamais prêté attention parce que vous avez fait l’erreur de l’identifier avec la forme, a changé. Vous vivez dans un monde de haine et de crainte, et ceux qui haïssent et qui craignent ne le savent pas eux-mêmes. Quand tout le monde a changé, personne n’a changé. Vous vivez désormais dans un système qui règne sans aucune responsabilité, pas même devant Dieu. Le système lui-même n’y était pas destiné, mais pour survivre, il a dû aller jusqu’au bout »(([5] Quand les Nazis sont arrivés : le peuple qui se croyait libre par Charleston Voice (24hgold.com) )) (([6] L’Histoire se répète parce que la nature humaine ne change pas… Lecture recommandée par Ron Paul.
Un extrait de : They Thought They Were Free The Germans, 1933-45 Milton Mayer, 1955))

CHANGEMENTS PERVERS INSIDIEUX ACCUMULÉS PENDANT DES MOIS OU DES ANNÉES

Alors oui prêtons attention aux changements insidieux que nous acceptons de fait, à chaque fois parce que « pas si terrible » et pas envie de se prendre un LBD dans l’œil. Ce fut l’enfermement et la fermeture des écoles pour frapper les esprits et montrer que la situation était grave(([7] En réalité beaucoup moins grave qu’annoncée par Ferguson dans sa prophétie cataclysmique puisque les suédois qui ont refusé ce mauvais scénario de film catastrophe et n’ont été confinés n’ont pas vu leurs hôpitaux débordés et ne comptent pas plus de morts que nous et ont préservé leurs enfants, leurs travailleurs et leur économie.)), nous séparer de notre famille et amis, puis ce fut l’interdiction de rassemblements de plus de x personnes selon les petits capos locaux trop contents d’avoir un peu de pouvoir. Interdiction aussi sotte que de se promener à deux (souvenez-vous au début du confinement n°1). Une femme promenant ses deux filles dont une handicapée verbalisée parce que 3 au lieu de 2. Et ça a continué, interdiction du surf, des promenades à cheval, de la promenade sur la plage cadenassée. Fin juin alors que l’épidémie était terminée on l’a remplacé par l’épidémie de tests trompeurs qui ne dépistent que des bouts de virus qui ne permettent pas d’affirmer que l’on est porteur de virus actif, ni malade, ni contagieux. Les moutons ne sont pas encore montés dans les camions, mais ils font la queue, sagement masqués, pendant des heures pour un test non significatif pour le virus, mais seulement pour l’obéissance. Et cette épidémie de masques y compris en montagne ou seul dans sa voiture ou sur la plage pendant que les transports en commun parisiens sont bondés.

Chacun peut écrire la suite, de petits faits « supportables » parfois même rigolos … danger du bain de mer seul, de la promenade seul en forêt ou en montagne, verbalisé aussi… Mais soyons lucides, c’est exactement ce que raconte l’excellent Milton Meyer. Alors oui peut-être faut-il prendre son courage à deux mains, rejoindre les manifestations prévues sans peur de l’immédiat, le futur menaçant d’être bien pire si on laisse faire.

Rappelez-vous que la grenouille qui ne saute pas de sa casserole parce que la température augmente doucement finit cuite.

Méditez le poème écrit à Dachau en 1942 par le Pasteur Martin Niemöller

« Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas communiste.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas juif.

Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n’ai rien dit ; Je n’étais pas catholique.

Puis ils sont venus me chercher, Et il ne restait plus personne pour protester. »

L’histoire se répète parce que l’homme ne change pas. Essayons de faire mentir cette triste évidence.


Notes




La clef de la libération

Par Joseph Stroberg

Un nombre croissant d’êtres humains ne supportent plus la condition d’asservissement dans laquelle ils se trouvent plongés sous le prétexte de pandémie. Plusieurs en profitent pour sortir de l’hypnose(([1] Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. MàJ)) produite par les élites par le biais des médias dominants et se mettent éventuellement à participer à des démarches collectives d’ordre judiciaire(([2] Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours)). D’autres se résignent, entre la peur de mourir et l’espoir qu’un vaccin viendrait les libérer et leur redonner leur vie d’avant, alors même que leurs maîtres dirigeants leur ont pourtant bien martelé que leur condition actuelle serait désormais la nouvelle normalité(([3] Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”)). De fait, presque tout le monde, à part les maîtres esclavagistes, se trouve emprisonné chez lui ou dans un espace bien plus restreint que celui connu auparavant. Existe-t-il alors une clef pour ouvrir la porte de cette prison ?

La première condition pour sortir d’une prison est de prendre conscience de l’existence de cette dernière, puis de réaliser que nous nous y trouvons enfermés. Certaines personnes pourraient penser que si on ne voit pas une prison, c’est qu’elle n’existe pas. Ont-elles demandé aux victimes de sectes ce qu’elles en pensent ? Les pires des geôles ne sont pas nécessairement faites de pierre, de béton ou de métal. Leurs murs peuvent au contraire être construits d’émotions, de pensées ou de croyances. Les geôliers le savent. Les maîtres, encore plus. Il existe de nombreux moyens pour enfermer émotionnellement, mentalement ou psychiquement un être humain et actuellement nos dirigeants esclavagistes les utilisent pratiquement tous.(([4] Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes))

Sur le plan émotionnel, l’outil le plus puissant est l’instillation de la peur, particulièrement la peur ultime, celle de la mort. Quoi de mieux, pour cela, qu’un ennemi létal et pratiquement invisible, une menace mortelle qui pèserait sur nous depuis n’importe où et même n’importe quoi ou n’importe qui ? Eh bien, les élites ont trouvé un coronavirus particulier — une des variétés de virus qui peuplent habituellement notre virome (constitué de centaines de milliers de milliards d’entre eux) — et ils l’ont peut-être même boosté génétiquement dans l’espoir d’en faire un super soldat. Malheureusement, celui-ci a fait pschitt !… Il s’est dégonflé ! À côté des 65 millions de morts prévus, il n’en a atteint qu’environ un million, du moins officiellement. Le nombre réel pourrait être nettement moindre. Qu’à cela ne tienne ! Les tests PCR sont venus à la rescousse, permettant de faire passer des personnes saines pour des malades et ainsi faire retrouver au piteux microbe son épouvantable aura. La peur était ainsi toujours au rendez-vous.(([5] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation))

L’autre émotion fondamentale sur laquelle jouent les élites pour parvenir à leurs fins est paradoxalement une émotion positive : l’espoir ! Celle-ci est particulièrement utile contre ceux qui se sont rendu compte de leur incarcération. Il faut alors leur donner l’espoir qu’ils auront une remise de peine ou bien qu’ils parviendront à s’évader. L’alternance entre la peur et l’espoir(([6] La peur et l’espoir comme outils politiques)) engendre une condition psychologique analogue à celle subie par des rats de laboratoire qui subissent aléatoirement des chocs électriques et ceci sans nécessairement de raison(([7] Nous, rats de laboratoire)). Les êtres humains qui reçoivent ce genre de traitement, fait d’alternance de durée variable entre des périodes de peur et d’autres d’espoir (comme lorsqu’ils oscillent entre le confinement et l’espoir que le vaccin leur permettra de sortir) finissent par se retrouver en état hypnotique, brisés, soumis, prostrés au fond de leur cage. Les rats ne savent jamais lorsqu’ils vont recevoir leur prochaine décharge électrique ni leur prochaine portion de nourriture. Les êtres humains masqués ne savent jamais lorsqu’ils auront une aggravation de peine (plus de confinement, moins d’entreprises et de magasins ouverts, obligation du port d’un second masque sur le premier…) ni lorsqu’on va supposément les soulager (par le vaccin, par la livraison de nourriture à domicile, par une subvention, par une baisse d’impôts…).

Sur le plan mental, les principales armes sont connues des propagandistes depuis un siècle.(([8] Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19)) (([9] Une brève histoire de la propagande)) (([10] Le quatrième pouvoir ou propagande ?)) Il est d’autant plus facile de les utiliser que l’individu ou le groupe ciblé aura auparavant été adéquatement « préparé », comme par la Gestapo nazie avant un interrogatoire, avec un bon conditionnement émotionnel conduisant à son hypnose ou à sa destruction psychologique et psychique. L’individu devient alors une éponge prête à absorber toutes les idées voulues, toutes les croyances utiles au Système, toutes les illusions que seul un bon discernement mental serait capable de percer à jour. En d’autres termes, il a subi un lavage de cerveau et celui-ci est alors rempli de poison idéologique et de pensées creuses. Il est désormais incapable de penser par lui-même et croit devoir se reposer sur ses maîtres (paternalistes ou despotiques) pour vivre.

La plupart des individus qui n’ont pas déjà été brisés par la propagande médiatique autour de la Covid-19 ou ceux qui se sont sortis de leur état hypnotique léthargique grâce à un choc salutaire qui a pu leur arriver n’ont cependant pas encore découvert la clef qui pourrait ouvrir la porte de leur prison ni le moyen d’en briser les murs. S’ils l’avaient fait, ils n’auraient pas besoin de placer de l’espoir dans les démarches judiciaires ou législatives, car celles-ci restent intimement liées au Système qui a permis, grâce à leur participation, leur emprisonnement. Est-ce que beaucoup d’esclaves ont été libérés juste en le demandant à leur maître ? Les avocats et les députés, aussi bien intentionnés soient-ils, ne peuvent agir que dans le cadre des lois établies par les maîtres. Du moins, les croyances largement diffusées par le Système sont tellement ancrées que presque personne ne songe à se passer des premières ni de celui-ci.(([11] Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir))

Si la libération de l’Humanité est collective, elle devra néanmoins passer par une prise de conscience individuelle. Car la clef réside à ce niveau. Chacun de ceux qui veulent se libérer doit trouver la clef pour que tous puissent sortir. L’individu détient la clef et il l’utilise au bénéfice de tous. Celui qui compte seulement sur les autres restera en cage. En effet, la prison est avant tout d’ordre invisible, construite par les peurs et les croyances. Dépasser nos propres peurs et voir nos croyances pour ce qu’elles sont ne relève que de nous-mêmes, pas des autres. Si nous ne sommes, individuellement, pas prêts à sortir sans masque, sans certificat de vaccination, sans autorisation écrite, sans test PCR…, à refuser de payer des amendes, à nous retrouver dans une cellule (capitonnée ou non) pour refus de payer, à voir notre salaire saisi, à voir notre maison saisie, à voir nos enfants saisis… par peur de la mort de faim ou de maladie ou du ridicule ou de ne pas faire comme les autres… alors nous resterons enfermés dans ces murs.

L’ironie du sort de ceux qui ne dépasseront pas leurs peurs, pour ne pas risquer de perdre leurs biens matériels, leurs enfants, leur illusoire sécurité ou encore leur santé est que pourtant ils perdront tout si le plan des élites va jusqu’au bout.(([12] Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux)) Et, pour l’instant, rien n’arrête ce dernier. Il ne s’arrêtera que lorsque suffisamment d’êtres humains auront trouvé la clef.(([13] Note sur l’avenir)) Celle-ci est une vibration, un Son, le Verbe, la parole, des pensées, idées ou prières, les trompettes de l’Apocalypse(([14] Regard sur l’Apocalypse)), à l’image des trompettes qui ont détruit les murailles de Jéricho, la note spécifique de notre âme, de notre conscience… Nous seuls pouvons détruire les murs de notre prison émotionnelle et psychique individuelle, par l’éveil de notre conscience, par la réalisation de notre nature qui n’est pas seulement de chair et de sang. Le Nouvel Ordre Mondial ne s’effondrera pas avant qu’un nombre suffisant d’entre nous, êtres humains sur la planète Terre, ayons trouvé la clef vibratoire de notre prison pour en faire tomber les murs ou pour en ouvrir la porte.





Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours

Par Jean-Michel Grau

[Les inscriptions sont closes depuis le 22 février.]

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19

  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

Àpartir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un « populicide » qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5)Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.
.


Notes

(1) https://youtu.be/T3DNV7v5i74

(2) 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/

(3) corona-ausschuss.de

(4) nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/

(5) francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris


Pour vous associer aux recours collectifs français

Vous aviez le choix entre :

Sur le site, voir aussi les articles correspondants :

Me de Araujo-Recchia — Illégalité des mesures Covid, action collective contre l’état. Mise à jour

Maître Fabrice Di Vizio et Louis Fouché : recours en indemnisation pour les 2 confinements




MESSAGE D’ALERTE INTERNATIONAL SUR LA COVID19 AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Source : United-Health-Professionals-France.pdf depuis Le collectif United Health Professionals lance une campagne d’alerte internationale sur l’épidémie de COVID-19 (reseauinternational.net)

Transmis par Nicole Delépine.

Document complet en version PDF :

Document international en anglais, version PDF :


Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses, impact horrible sur l’économie mondiale… autodestruction et suicide collectif. Il faut lire l’intégralité de cette lettre au président de la République, et pour les plus courageux ouvrir les liens et articles qui démontrent leurs dires.

Très Urgent :
message d’alerte international sur la COVID-19
12 FÉVRIER 2021

Mr Emmanuel Macron : Président de la France,
Mr Jean Castex : Premier Ministre
et Mr Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé,

EXTRAITS

Nous sommes des professionnels de santé du collectif international : United Health Professionals,

composé de plus de 1 500 membres (y compris des professeurs de médecine, des anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et

d’Océanie, et nous avons adressé le 26 août 2020 aux gouvernements et aux citoyens des pays du monde entier un message d’alerte concernant l’épidémie de COVID. Tout d’abord, commençons par les conclusions du rapport de 2010 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de l’épidémie de H1N1 (…)

Les conclusions majeures sont les suivantes

1– Levez toutes les restrictions :

supprimez les mesures illégales, non scientifiques et non sanitaires suivantes : confinement, port du masque obligatoire pour les sujets sains, distanciation sociale d’un ou deux mètres.

Ces mesures folles et stupides sont des hérésies inventées en 2020 qui n’existent ni en médecine ni en santé publique et qui ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Ce n’est pas comme ça qu’on gère une épidémie :

« Le monde est devenu fou » en mettant en place les confinements qui « vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus »

(Dr Anders Tegnell, épidémiologiste en chef de la Suède, 24 juin 2020)

« Le taux de létalité réel semble être à peu près le même que pour la grippe, mais nous n’avons jamais introduit ces mesures drastiques auparavant, lorsque nous avons eu des pandémies de grippe »

(Pr Peter Gøtzsche, 1er décembre 2020)

« La décision du confinement comme la décision des masques…ne reposent pas sur des données scientifiques… »

(Pr Didier Raoult, 24 juin 2020)

« L’histoire naturelle du virus [le coronavirus] n’est pas influencée par des mesures sociales [confinement, masques, fermeture des restaurants, couvre-feu, etc.]… Le confinement n’a pas enclenché la décroissance des cas…Quant à la fermeture des restaurants qui avaient mis en place des protocoles sanitaires très stricts… je n’ai, bien entendu, aucun moyen de le défendre… il n’a pas du tout influencé l’épidémie… Le confinement n’a rien changé… »

(Pr Philippe Parola, 3 décembre 2020)

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous »

(Professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, 19 juin 2020)

« Mesures grotesques, absurdes et très dangereuses… un impact horrible sur l’économie mondiale… Autodestruction et suicide collectif… »

(Pr Sucharit Bhakdi, mars 2020. Il a aussi envoyé, à l’époque, une lettre à la Chancelière allemande Angela Merkel)

Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme
dans ses articles : 3, 5, 9, 12, 13, 17, 18, 20, 26, 27, 28, 30
et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF
dans ses articles : 28, 29, 32, 37.

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme… Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas »

(Pr Peter Gøtzsche, 4 décembre 2020)

Obliger des gens non malades à porter des masques est non seulement une hérésie mais c’est aussi nuisible à la santé ainsi qu’à l’écologie et une maltraitance évidente :

« Dictature des masques totalement infondée »

(Pr Christian Perronne, 22 septembre 2020)

« Le couvre-feu… c’était pendant l’occupation allemande où la milice et la Gestapo venaient à la maison. Et maintenant on va avoir la police débarquée à la maison pour voir s’il y a plus de six personnes à table ! C’est quoi ce délire ?! »

(Pr Christian Perronne, 15 octobre 2020)

« Tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Nous transférons des patients…tous les hivers, en temps normal »

(Pr Bruno Mégarbane, anesthésiste-réanimateur, 27 septembre 2020)

« Dans aucune des deux vagues… toutes les réanimations n’ont été saturées, c’est faux ! »

(Pr Michaël Peyromaure, 18 janvier 2021)

2– Ouvrez l’économie, les écoles, les universités, le transport aérien et les services hospitaliers

3– Écartez vos experts et vos conseillers qui ont des liens ou des conflits d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques

4– Exigez une enquête internationale et indépendante

et que les responsables de cette escroquerie soient jugés : Le 1er octobre 2020, Reiner Fuellmich — un avocat allemand — annonce qu’un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps :

« Les mesures anti coronavirus ont causé et continuent de causer des dommages si dévastateurs à la santé et à l’économie de la population mondiale que les crimes commis par (…) l’OMS doivent être légalement qualifiés de véritables crimes contre l’humanité tels que définis dans la section 7 du Code pénal international ».

Il a dit aussi qu’on doit parler d’un

« scandale du coronavirus et les responsables doivent être poursuivis pénalement et pour dommages civils ».

Les effets du confinement

« ont été absolument délétères. Ils n’ont pas sauvé les vies qu’ils avaient annoncé pouvoir être capables de sauver… C’est une arme de destruction massive dont on voit les effets sanitaires… sociaux… économiques… qui forment la réelle deuxième vague »

(Pr Jean-François Toussaint, 24 septembre 2020)

Emprisonner son peuple est un crime contre l’humanité que même les nazis n’ont pas commis !

« Ce pays vit une erreur dramatique… qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ! … on est en train de mettre le feu à la planète »

(Pr Didier Raoult, 27 octobre 2020)

« C’est un grand délire, mais qui est instrumentalisé par Big Pharma et aussi les politiciens… C’est une peur qui est organisée pour des raisons politiques et économiques »

(Pr Christian Perronne, 31 août 2020)

« Il ne s’agit que d’une arnaque mondiale pour générer des profits monstrueux, renflouer les banques et pendant ce temps ruiner les classes moyennes au nom d’une épidémie…rendue destructrice p par des mesures liberticides prétendument sanitaires »

(Dr Nicole Delépine, 18 décembre 2020)

« Nous avons des preuves médicales qu’il s’agit d’une escroquerie »

(Dr Heiko Schöning, juillet 2020)

5– Ne suivez plus aveuglément les recommandations de l’OMS et exigez qu’elle soit totalement réformée

6– Utilisez les mesures reconnues pour la gestion des épidémies

7– Responsabilisez les médias

Ils doivent, par exemple, arrêter de parler du coronavirus.

8– Supprimez l’obligation de tests

Les gens qui incitent à rendre ces tests obligatoires escroquent les gouvernements et visent uniquement des objectifs économiques. Rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. La grippe infecte chaque année un milliard de personnes, soit beaucoup plus que le SARS-CoV-2, se propage plus rapidement et comporte plus de populations à risque et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9– Arrêtez les campagnes de vaccination et refusez l’escroquerie du passeport pseudo-sanitaire qui est en réalité un projet politico-commercial

« On n’en a aucun besoin [le vaccin]… Tout ça, c’est une histoire purement commerciale »

(Pr Christian Perronne, 16 juin 2020)

Le vaccin COVID est

« tellement, tellement inutile »

(Pr Sucharit Bhakdi, 2 décembre 2020)

« Je n’ai jamais vu dans l’histoire de la médecine qu’on développe en urgence des vaccins pour vacciner des millions, des milliards d’individus pour un virus qui ne tue plus sauf des personnes à risque qu’on peut identifier, qu’on pourrait traiter… Je n’ai jamais vu un vaccin comme ça sortir du chapeau en deux mois ! Il faut des années ! »

(Pr Christian Perronne, 2 décembre 2020)

À la question : « On n’a pas besoin d’un vaccin général pour l’humanité entière avec 0,05% de morts ? », le Pr Christian Perronne a répondu : « C’est une évidence ! ».

Le 30 novembre 2020 : le Pr Christian Perronne rédige une lettre où il alerte sur le danger des vaccins à base de génie génétique :

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins », sont des apprentis sorciers et prennent (…) les citoyens du monde pour des cobayes ».

Si les gens acceptent le vaccin, ça sera :

« une erreur parce qu’on risque d’avoir des effets absolument imprévisibles : par exemple, des cancers… On joue à l’apprenti sorcier totalement… Il ne faut pas que l’homme serve de cobaye, il ne faut pas que les enfants servent de cobayes, c’est absolument non éthique. Il ne faut pas qu’il y ait des morts à cause des vaccins »

(Pr Luc Montagnier, Virologue et prix Nobel de médecine, 17 décembre 2020)

En Suisse, un collectif de 700 médecins et professionnels de la santé a demandé le 15 janvier 2021 d’interrompre la campagne de vaccination.

Le virus est totalement innocent dans ce qui se passe (la pauvreté, les pertes d’emploi, les suicides, les morts, la récession économique, le chômage, etc.) et les vrais coupables sont ceux qui ont poussé le monde à utiliser ces mesures et les gouvernements qui continuent d’appliquer ces mesures malgré les alertes et les avertissements.

« La Banque mondiale vient d’estimer que la pandémie de coronavirus a provoqué une augmentation d’environ 100 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Ce n’est pas à cause du COVID-19. C’est à cause des mesures draconiennes que nous avons mises en place. »

(Pr Peter Gøtzsche, 1er décembre 2020)

La discordance et la disproportion entre le niveau de dangerosité du virus et l’importance des mesures prises (qui sont en plus totalement hérétiques) sont tellement flagrantes que ça pousse inéluctablement à la conclusion qu’il y a d’autres objectifs derrière.

Le collectif insiste pour que le président lise la lettre et ses annexes de près pour éviter ce qui est arrivé par exemple au gouvernement philippin.

Ne faites pas l’erreur de sous-estimer notre lettre ou de l’ignorer

Voici 2 exemples de ce qui se passe lorsqu’un gouvernement fait cette erreur

  • Malgré les alertes de plusieurs experts sur le danger du Dengvaxia (vaccin contre la dengue), le gouvernement philippin a décidé en 2016 de lancer une campagne de vaccination qui s’est terminée, plus tard, par un scandale d’état. En effet, selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades.
    Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables. Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire.

  • Le 2e exemple est celui du scandale du vaccin H1N1 qui a été acheté par plusieurs pays malgré les alertes du Dr Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, alerte : « Fausses pandémies ») .Le vaccin a fait, rien qu’en Europe, 1500 victimes de narcolepsie, dont 80% d’enfants, à tel point que le 24 novembre 2013, le ministre des Affaires sociales de la Suède, Göran Hägglund, s’est dit prêt à présenter des excuses publiques aux victimes du vaccin contre la grippe A.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer nos salutations respectueuses.
Le collectif international : United Health Professionals


VOILÀ QUELQUES PISTES DE RÉFLEXION POUR LE PRÉSIDENT, nos élus, vos voisins et amis et ennemis qui accepteraient de lire…

Diffusons largement.




Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir

[Source : Guy Boulianne]

« La désobéissance civile devient un devoir sacré lorsque l’État est devenu sans loi ou corrompu. Et un citoyen qui courtise avec un tel État partage sa corruption et son anarchie. »

Mahatma Gandhi. “The Essential Gandhi: An Anthology of His Writings on His Life, Work, and Ideas”, p.144, Vintage

[Un article écrit par Gary D. Barnett]  Nous sommes maintenant au seuil de l’enfer concernant nos droits naturels et notre liberté. Ce gouvernement pervers et ses contrôleurs ont détruit nos vies sacrées par le mensonge, la tromperie, le vol, des politiques de division, la torture, l’isolement, des mandats dystopiques, des ordres paralysants par décret de l’exécutif et des meurtres. Ce n’est pas caché. C’est ouvert et exposé, mais les gens ont ignoré la nature flagrante de cette conspiration pour prendre le contrôle de l’humanité, et ont plutôt, comme prévu par leurs maîtres, acquiescé à chaque ordre donné. Après toute cette tyrannie imposée à cette société, ils mendient maintenant des miettes de la racaille même qui les a réduits en esclavage. Cette réponse collective et pathétique ne peut aboutir à rien de moins qu’un asservissement de masse.

Face à cette injustice immorale évidente et extrême contre tous les Américains, le peuple réclame réparation en adressant une requête à ceux qui revendiquent faussement l’autorité au lieu de compter sur eux-mêmes et le droit inhérent de vivre librement. Cela revient à demander à votre maître d’être votre esclave et à s’attendre à ce qu’il se conforme volontairement. Cette attitude est non seulement dénuée de sens; cela enhardit votre oppresseur et renforce sa position sur vous. La faiblesse face à la tyrannie ne peut qu’apporter plus de tyrannie.

Pour comprendre comment s’est produite la domination totale du peuple par l’État, il suffit d’accepter la réalité. La population dans son ensemble a accepté à ce jour presque toutes les mesures de contrôle exigées par ceux qui revendiquent le pouvoir sur eux.

Cela a commencé par des quarantaines obligatoires, des verrouillages et l’isolement, alors que les abus continuaient de s’aggraver au cours de l’année écoulée. Ensuite, la plupart des petites entreprises du pays ont été invitées à fermer leurs portes, les employés dépendants de leur emploi ont été invités à rentrer chez eux et à ne pas travailler, le chômage et la pauvreté se sont généralisés et les lieux et événements où les gens pouvaient se rassembler ont été interdits.

Ensuite, le gouvernement a créé et financé des groupes terroristes criminels comme BLM et Antifa, ils ont été lâchés sur la société, ils ont été autorisés à émeuter, incendier et piller des entreprises, et ils ont été autorisés à attaquer et assassiner des citoyens, tout en étant protégés par la classe dirigeante.

Les gouverneurs d’État et leurs ministres corrompus de la « santé » ont alors exigé une « distanciation sociale » et un port de masque mortel pour simplement se déplacer, fonctionner et survivre. En outre, ces règles néfastes et insensées ont été élargies dans de nombreux cas pour restreindre la capacité de profiter de la lumière vitale, de faire de l’exercice et de la plupart des autres activités de plein air, et dans certains cas, les gens se sont fait dire qu’ils ne pouvaient pas du tout quitter leur prison d’origine. Cela a bien sûr entraîné la destruction délibérée de notre capacité innée à repousser la maladie en détruisant notre système immunitaire.

https://youtu.be/xQVBn6DWJwI?list=PLfLa1ucYOKtZmEbzXlEHVObPaMzCDC9P6
Agrippeur
Oui, ils peuvent nous vacciner avec des écouvillons nasaux et cibler le cerveau. Les images ci-haut proviennent du site internet de l’Université Johns-Hopkins : « Inspirés par un ver parasite qui creuse ses dents acérées dans les intestins de son hôte, les chercheurs de Johns Hopkins ont conçu de minuscules microdispositifs en forme d’étoile qui peuvent s’accrocher à la muqueuse intestinale et libérer des médicaments dans le corps. » À GAUCHE: Un agrippeur a à peu près la taille d’un grain de poussière. Cet écouvillon contient des dizaines de petits appareils. À DROITE: Lorsqu’un agrippeur ouvert, à gauche, est exposé à des températures corporelles internes, il se referme sur la paroi intestinale. Au centre de la pince se trouve un espace pour une petite dose de médicament. Consultez l’étude sur Science Advances.

Les voyages n’étaient pas seulement limités, mais dans certains cas, les voyages internationaux étaient complètement interdits. Cette parodie a non seulement empiré, mais a également forcé des tests pour un faux « virus » qui n’a jamais été prouvé une seule fois pour se déplacer ou retourner dans le pays, ont été méthodiques. Ces tests sont extrêmes et sont apparemment utilisés pour ne pas prélever d’échantillons, mais pour insérer des agents pathogènes dans les personnes saines et malsaines.

Les tactiques policières de l’État ont régulièrement augmenté, et les autorités chargées de l’application de la loi ont non seulement protégé les comportements criminels réels tout en abusant de leur pouvoir contre des innocents, mais ont également imposé des mandats complètement illégaux par les hommes de main de l’État.

Des injections expérimentales faussement appelées « vaccins », des concoctions qui contiennent des armes biologiques, des toxines et des agents pathogènes synthétiques altérant les gènes, et qui créent des systèmes d’exploitation par injection de nanoparticules et de technologie de changement ARN / ADN, sont maintenant dans de nombreux cas, nécessaires pour fonctionner normalement. Ils sont également propagés en tant que médicaments alors qu’en fait ils ne peuvent pas freiner, arrêter ou prévenir la maladie et la mort, mais en fait causer la maladie et la mort.

Les premiers ciblés étaient les personnes âgées, les infirmes, les travailleurs de la « santé », les handicapés mentaux, les sans-abri et les enfants. Cela devrait alerter quiconque est capable de penser, même marginalement, que le meurtre prémédité des personnes âgées et malades, et le contrôle des jeunes et des générations futures sont les principaux agendas des monstres de l’État.

Les gens ont d’horribles réactions indésirables à ces injections expérimentales, beaucoup meurent à travers ce pays et dans le monde à cause de ces coups de feu, et la dissimulation de cette parodie est en pleine vitesse par le gouvernement, ses partenaires commerciaux fascistes et les médias dominants contrôlés. C’est un crime au-delà de l’imagination et qui ne peut être perpétré que par des démons psychopathes, pervers et sans conscience en position de pouvoir.

En plus de tout cela, la branche exécutive de ce gouvernement meurtrier est maintenant devenue le fabricant de toutes les lois recherchées par les « élites » dominantes par le biais de décrets dictatoriaux. Biden a signé (quoi qu’il ait été chargé de signer) plus de 60 décrets exécutifs depuis le 20 janvier 2021. Ce n’est pas une surprise, mais le Congrès n’a absolument rien fait pour contester cette atrocité, et est en fait pleinement d’accord avec cette prise de contrôle dictatoriale.



Le 2 décembre 2020, Jana Bennun a réalisé une entrevue avec Dr Lorraine Day à l’émission “Israel News LIVE”. Le Dr Lorraine Day est l’une des lanceuses d’alerte les plus intrépides au monde. Les sujets incluent la fraude Covid-19, le brevetage du Covid et le brevetage à venir des êtres humains, le maintien en bonne santé, les vaccins et les injections Covid-19 à venir, le génocide de la population chrétienne blanche, l’influence satanique dans l’Agenda imposée au monde, l’interprétation historique de la vie de Jésus, la réécriture de la Bible au service d’un agenda, et bien plus…

Ces commandes incluent, mais sans s’y limiter, la création de 1,9 billion de dollars supplémentaires à partir de rien pour le soi-disant secours « Covid », le retour au faux accord sur le « changement climatique » artificiel et l’utilisation de ce mensonge pour faire progresser la politique de contrôle des terres agricoles, créant ainsi des racistes. « L’équité en tant qu’objectifs politiques », les mandats de masque fédéral, le retour et le financement de l’OMS, et l’inclusion de tous les étrangers illégaux dans le recensement afin de modifier les élections futures. Il a signé des ordres pour fermer le pipeline Keystone XL, couper l’approvisionnement énergétique du pays, imposer son programme transgenre à tous les sports féminins, imposer le port d’un masque sur tous les vols intérieurs et financer toute la Garde nationale de l’État pour toutes les activités liées à Covid, ce qui incluent certainement les efforts de loi martiale. Il a signé des ordres pour forcer les lieux de travail privés à se conformer aux règles « Covid », faire du faux « changement climatique » une question de sécurité nationale et de politique étrangère, forçant le recours aux partenariats fascistes avec la science et la technologie financées par le gouvernement afin d’étouffer tous les faits dissidents de la surface, et promouvoir tous les programmes homosexuels, transgenres et tous les « LGBTQI ». Il a également prolongé les ordonnances selon lesquelles les locataires et les propriétaires n’ont pas à payer leur loyer ou leur hypothèque jusqu’en juin de cette année, créant davantage de faillites et de confiscations de propriétés par les acteurs soutenus par l’État au sommet.

En plus de tout cela et bien plus encore, Biden vient de signer un décret pour permettre au gouvernement fédéral, aux frais des contribuables bien sûr, de contrôler plus de 30% de toutes les terres américaines et 30% de ce que l’on appelle les « océans américains ». Les effets de cette situation sont incompréhensibles, car cela sera utilisé pour détruire les terres agricoles, pour mettre les agriculteurs et les éleveurs à la faillite, pour jeter les bases de la destruction des aliments naturels pour les OGM et les sources alimentaires chimiques qui peuvent être utilisées pour nuire, rendre malade et contrôler toute la population.

Gardez à l’esprit qu’il s’agit d’une très courte liste d’atrocités commises par décret au niveau exécutif. Et ce n’est qu’après un mois en fonction. Le contrôle des armes à feu, la confiscation des armes à feu, les ordonnances de blocage des munitions, plus de restrictions de voyage, de mandats d’injection et 1000 mesures plus restrictives par un coup de stylo seront dans notre avenir si les gens ne se rebellent pas et ne s’opposent pas à cette attaque contre tous les Américains par le régime désormais totalitaire qui a pris le contrôle de ce pays. Ce n’est en aucun cas spécifique à un parti, car toute la classe politique n’est rien de plus que des agents criminels complices de l’État et travaillent tous contre le peuple dans cette guerre contre la liberté.

Faire une requête au gouvernement, voter, envoyer des lettres à la racaille du Congrès, les procédures judiciaires gérées et contrôlées par des agents de l’État corrompus, et demander des secours aux pourvoyeurs de la tyrannie, est une réponse sans valeur et pathétique à ce que l’on ne peut appeler qu’une agression violente contre les citoyens, et une guerre contre l’humanité.

Ne vous conformez jamais, ne soumettez jamais, ne fermez jamais aucune entreprise, ne portez jamais de masque, ne vous isolez jamais et ne croyez jamais un seul mot venant de ce gouvernement ou des médias traditionnels. Désobéissez à tous les mandats de l’État en masse à chaque moment ou affrontez la maladie, l’esclavage, la pauvreté, la famine, la perte d’accès au pouvoir, la censure totale et la destruction de la liberté d’expression, l’isolement et la destruction finale de ce pays. Si vous continuez à vous conformer et à ne rien faire, la mort certaine de millions de personnes se produira.


« La désobéissance civile n’est pas notre problème. Notre problème est l’obéissance civile. Notre problème est que des gens du monde entier ont obéi aux diktats des dirigeants… et des millions de personnes ont été tuées à cause de cette obéissance… Notre problème est que les gens sont obéissants partout dans le monde face à la pauvreté, à la famine, à la stupidité et à la guerre, et la cruauté. Notre problème est que les gens sont obéissants alors que les prisons sont pleines de petits voleurs… (et) les grands voleurs dirigent le pays. C’est notre problème. »

— Discours de Howard Zinn en 1970, “Le problème est l’obéissance civile”


À propos de Gary D. Barnett

Gary Barnett est un conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, et il a géré l’argent des clients de son entreprise pendant plus de trente ans. Il a également possédé deux autres entreprises au cours de sa vie et a parfois eu une course folle.

Gary a écrit sur une gamme complète de sujets concernant la liberté pendant de nombreuses années, et a écrit pour lewrockwell.comThe Future of Freedom Foundation et plusieurs autres publications au cours de cette période. Il considère que c’est une grande passion dans la vie d’apprendre et de continuer à s’éduquer, de promouvoir et de diffuser les idées de liberté à tous ceux qui sont prêts à écouter. La liberté n’est pas due à la politique ou aux constitutions, elle ne peut exister que dans l’esprit des individus.

Gary est apparu en tant qu’invité dans plusieurs émissions de radio Internet et nationales, notamment Freedom Watch avec le juge Andrew Napolitano, le Brian Wilson Show, Antiwar Radio, le Karen Kwiatkowski Radio Show, Liberty News Radio et Radio Liberty.

Il vit actuellement à Lewistown, dans le Montana, avec sa merveilleuse épouse Yoshie et son fils Leo. Il aime le plein air, la cuisine et la gastronomie, les chiens, les plages, la musique, la pêche à la mouche et les voyages exotiques.

En ce qui concerne sa philosophie, c’est un anarchiste pacifique qui croit en la loi naturelle sans restriction de l’État. Bien que Gary comprenne le scepticisme de la plupart concernant la mise en œuvre de ce type de structure politique individuelle, c’est le seul système où la liberté peut être pleinement atteinte. L’anarchie pacifique est basée sur la responsabilité individuelle, l’autonomie, l’échange volontaire sur les marchés libres, la non-agression et la liberté individuelle; tout ce qui est nécessaire pour atteindre la paix et l’harmonie. Le collectivisme, le gouvernement central et la guerre ne sont pas et ne seront jamais la réponse.

L’écriture est la passion de Gary, et maintenant qu’il est à la retraite, il peut se concentrer à plein temps sur cette entreprise. Écrire depuis une plage chaude serait préférable, mais vivre dans le Montana ne permet pas ce luxe. Il peut cependant, enfiler son short et ses tongs assis devant son ordinateur pendant les blizzards et le froid brutal des hivers du Montana, et rêver.




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021

Par Dr Gérard Delépine

Israël représente actuellement le champion de la vaccination Pfizer en nombre de citoyens vaccinés sur un temps court, et sa campagne de vaccination un magnifique essai de phase 3 en population réelle. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela explique l’intérêt d’une nouvelle analyse avec 2 mois de recul.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

Aujourd’hui le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec près de 3,8 millions de personnes (44% de la population israélienne) qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais ce modèle de campagne éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’une surfacturation des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer sans limites à Pfizer les données de santé des Israéliens.

De plus, il est le résultat d’une propagande mensongère dans la population et d’un chantage au confinement qui n’ont guère respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki et les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour les traitements expérimentaux.

Quoiqu’il en soit, cette vaccination massive représente le modèle d’un essai phase 3 et remplace avantageusement les maigres données que Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination alors qu’un examen objectif doit se focaliser sur deux points précis : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

On dispose pour ces critères d’une source indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. La vaccination ne paraît donc pas diminuer la contagiosité des vaccinés.

Cette évolution défavorable avec augmentation des contaminations quotidiennes après vaccination suggère que le vaccin Pfizer est incapable de diminuer la transmission de la maladie. L’augmentation des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays. La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé.

Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Comment expliquer cet échec cuisant ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021[1] :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

ce qui soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ [2].

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue…. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens israéliens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme en Israël, car complètement pollué par la situation politique actuelle. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la campagne électorale de B Netanyahou. Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement et les médias qui lui sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ[3] , quel que soit le pays
« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller aux Israéliens d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la santé israélien, avec sa volonté d’imposer le port d’un badge de couleur pour forcer ses compatriotes à se faire vacciner.

Alors que les boutiques sont accessibles à tous, les accès aux salles de sport ou encore aux salles de spectacles seront limités aux personnes ayant un « pass vert » (un passeport vaccinal), un sésame délivré par une application, destiné aux personnes ayant reçu les deux doses du vaccin. Disponible dès le 23 février, ce passeport vaccinal permettra aussi les voyages vers Chypre, à la suite d’un accord entre les deux pays. La mise en place d’un droit de passage, et d’accès à certains services, lié à la vaccination est dénoncée par pas mal d’experts, qui y voient une atteinte dangereuse à la liberté.[4]

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge de couleur (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement juif est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population israélienne qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des survivants de la Shoah, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire à la population fragilisée par la sidération liée à la grande mascarade Covid, que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît partout et complètement indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

“Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG.

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Site de l’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

“Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.”

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?


Notes

[1] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021

[2] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0

[3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314

[4] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0




La théorie des germes : Une erreur fatale

[Source : Recherches Covid-19]

La plupart des gens dans le monde pensent que le système de santé promu par les agences responsables de la santé publique, en particulier l’OMS, est solidement fondé sur des “données scientifiques fiables”. Ce système, connu sous le nom de “médecine moderne”, est perçu comme représentant une branche “d’élite” de la science, ce qui laisse entendre que toute autre approche des soins de santé et de la médecine doit être une pseudo-science ou un charlatanisme. Cette attitude élitiste est inculquée aux étudiants en médecine au cours de leur formation, comme l’a vécu le Dr Carolyn Dean, qui explique dans son livre intitulé Death by Modern Medicine [Mort par la médecine moderne] que,

“En fait, on nous a souvent dit que si nous ne l’apprenions pas à l’école de médecine, ce devait être du charlatanisme.”

Dans son livre intitulé Confessions of a Medical Heretic [Confessions d’un hérétique médical], le docteur Robert Mendelsohn indique que la croyance dans l’”autorité” médicale est injustifiée. Il développe sa réflexion sur les problèmes de la “médecine moderne” en faisant référence aux similitudes entre les croyances, la religion et la “médecine moderne”. Il décrit le corps médical comme “l’église de la médecine moderne” et justifie cette description par l’affirmation suivante

La médecine moderne ne peut pas survivre sans notre foi, parce que la médecine moderne n’est ni un art ni une science ; c’est une religion… Il suffit de demander “pourquoi ?” suffisamment de fois et, tôt ou tard, vous atteindrez la limite de la foi.

Ce sera sans doute un choc pour les gens de découvrir que la “médecine moderne” n’est pas fermement établie sur la base de la véritable “science”. L’expérimentation en laboratoire est certainement utilisée dans la médecine moderne, mais ce serait une erreur d’assimiler ces expériences à la “science”, comme l’explique le Dr Peter Duesberg dans son livre intitulé “Inventing the AIDS Virus“ [Inventer le virus du SIDA],

“Le passage de la petite à la grande science a créé un ensemble de techniciens qualifiés mais de scientifiques médiocres, qui ont abandonné la véritable interprétation scientifique et qui assimilent même leurs expériences à la science elle-même”.

La vraie science est un processus ; c’est un processus qui implique l’étude de différents aspects du monde afin d’élargir le niveau des connaissances humaines ; elle implique également la création d’hypothèses et de théories pour expliquer les différents phénomènes observés au cours de ces investigations scientifiques. Au fur et à mesure que les différentes études progressent et que l’ensemble des connaissances s’accroît, elles peuvent révéler de nouvelles informations ou mettre en évidence des anomalies et des contradictions dans les hypothèses et les théories existantes. Dans de tels cas, il est essentiel pour les scientifiques, quel que soit le domaine qu’ils étudient, de réévaluer ces hypothèses et théories à la lumière des nouvelles découvertes ; un processus qui peut nécessiter des révisions ou des adaptations des théories en vigueur. Il peut même être nécessaire d’abandonner une théorie s’il est démontré qu’elle n’est pas étayée par des preuves empiriques.

L’une des principales théories sur lesquelles repose la “médecine moderne” est la “théorie des germes”, une théorie qui prétend que les micro-organismes, en particulier les bactéries et les virus, envahissent et infectent le corps, provoquant ainsi des maladies. Cette théorie, qui est généralement attribuée à Louis Pasteur au début des années 1860, est à la base d’une grande et très importante partie des pratiques médicales ; sans elle, la plus grande partie de la médecine moderne devient superflue, ce qui explique pourquoi le corps médical refuse de reconnaître ses défauts majeurs. Le maintien de la théorie n’est pas une preuve irréfutable qu’elle est pleinement établie et représente la vérité. En fait, les recherches que nous avons menées pour notre livre, What Really Makes You Ill ? Why Everything You Thought You Knew about Disease Is Wrong [Qu’est qui vous rend malade en fait ? Pourquoi tout ce que vous pensiez savoir sur les maladies est faux.] [traduction française en cours], nous ont permis de découvrir qu’il n’y a pas de preuve pour soutenir les affirmations de la communauté médicale en ce qui concerne la “théorie des germes”. Le terme “communauté médicales” fait référence à toutes les personnes, organisations, industries et institutions universitaires et de recherche qui pratiquent, recherchent, enseignent, promeuvent et soutiennent de toute autre manière le système de la médecine moderne.

Il existe un principe fondamental selon lequel il incombe à ceux qui proposent une théorie d’en apporter la preuve. Or, dans le cas de la “théorie des germes”, la “preuve” n’existe pas ; il n’y a pas de preuve scientifique originale qui prouve définitivement qu’un “germe” provoque une maladie infectieuse spécifique. Bien que cette affirmation soit considérée comme très controversée et même scandaleuse, sa véracité peut être démontrée.

Un certain nombre de sources corroborent l’affirmation selon laquelle la “théorie des germes” ne repose sur aucune preuve scientifique originale. L’une de ces sources est le docteur M.L. Leverson, qui, en mai 1911, a donné une conférence à Londres dans laquelle il a parlé de ses enquêtes qui l’avaient amené à la conclusion que,

“Toute la structure de la théorie des germes repose sur des hypothèses qui non seulement n’ont pas été prouvées, mais qui sont impossibles à prouver, et beaucoup d’entre elles peuvent être prouvées comme étant le contraire de la vérité. L’hypothèse de base de ces hypothèses non prouvées, entièrement due à Pasteur, est celle selon laquelle tous les troubles dits infectieux et contagieux sont causés par des germes”.

Le Dr M Beddow Bayly a également exposé l’absence de fondement scientifique de la “théorie des germes” ; dans son article de 1928 publié dans le journal London Medical World, il déclare que

“Je suis prêt à soutenir, avec des faits scientifiquement établis, qu’en aucun cas il n’a été prouvé de façon concluante qu’un micro-organisme quelconque est la cause spécifique d’une maladie”.

Il est clair que les preuves à l’appui de la “théorie des germes” ont brillé par leur absence plusieurs décennies après qu’elle ait été proposée par Louis Pasteur. Cependant, la situation n’a pas été rectifiée ; la théorie des germes reste non prouvée et des preuves accablantes démontrent qu’elle reste également une erreur.

Bien que les affirmations de la communauté médicale selon lesquelles les “germes” provoquent des maladies fassent autorité, il n’existe aucune explication des mécanismes par lesquels les micro-organismes produisent la grande variété de symptômes, à des degrés d’intensité variables, qui sont censés se produire lorsqu’une personne est “infectée”. Cela représente une immense lacune dans les connaissances, bien que ce ne soit pas la seule que nous ayons découverte.

On prétend que les “germes” se multiplient dans les cellules de l’hôte et que cela peut précipiter un niveau excessif de “mort cellulaire” qui serait un indicateur de maladie. Il est communément admis que c’est le “germe” qui a provoqué la mort de la cellule ; mais c’est une hypothèse erronée. Il existe de véritables raisons pour lesquelles les cellules meurent après avoir été soumises aux procédures de préparation utilisées dans les expériences de laboratoire, comme l’expliquent Torsten Engelbrecht et le Dr Claus Köhnlein, docteur en médecine, dans leur livre intitulé Virus Mania,

“Ce phénomène est particulièrement virulent dans la recherche bactérienne et virale (et dans l’ensemble du développement pharmaceutique des médicaments) où les expériences de laboratoire sur des échantillons de tissus qui sont traités avec une variété de produits chimiques souvent très réactifs permettent peu de conclusions sur la réalité. Et pourtant, des conclusions sont constamment tirées – puis transmises directement à la production de médicaments et de vaccins”.

Cette explication expose l’erreur fondamentale qui consiste à mener des recherches en laboratoire sans une compréhension adéquate de l’organisme vivant qu’est le corps humain, comme ils l’affirment par la suite,

“Une autre question importante doit être soulevée : même lorsqu’un virus présumé tue des cellules dans une éprouvette (in vitro) … peut-on conclure sans risque que ces résultats peuvent être transmis à un organisme vivant (in vivo) ?

L’hypothèse selon laquelle un “germe” particulier provoque une “infection” particulière repose uniquement sur l’affirmation que certains anticorps ont parfois été trouvés dans des échantillons prélevés sur des personnes présentant certains symptômes ; en d’autres termes, il semble y avoir une corrélation entre les symptômes et les anticorps.

Cependant, les anticorps, qui sont des protéines, sont décrits comme des particules qui neutralisent les “agents pathogènes” et aident à les éliminer de l’organisme, ce qui signifie qu’ils sont définis uniquement dans le contexte de la “théorie des germes”. Mais cette explication est très problématique. On prétend qu’un système immunitaire fort et pleinement fonctionnel est capable de détruire tous les envahisseurs ; les “agents infectieux” ne devraient donc pas se trouver dans le corps d’une personne ayant un système immunitaire fort. Pourtant, des micro-organismes dits “pathogènes” ont été découverts dans le corps de personnes en bonne santé. Cette situation s’explique notamment par le fait que certains agents pathogènes peuvent exister dans l’organisme à l’état “dormant”. Mais un système immunitaire fort ne devrait pas permettre la présence d’un quelconque agent pathogène, même à l’état “dormant”.

Dans une interview réalisée en 2005 pour le journal allemand en ligne Faktuell, le Dr Stefan Lanka a fait référence à ses études en biologie moléculaire et a affirmé avec audace que

Au cours de mes études, moi et d’autres n’avons pu trouver nulle part la preuve de l’existence de virus pathogènes”.

Au moment où nous écrivons ces lignes, en avril 2020, le monde serait en proie à une pandémie “mortelle” causée par un virus. Mais comme cet article et notre livre le révèlent clairement, il n’existe aucune preuve pour étayer ces affirmations.

L’objectif principal de cet article, est de montrer que l’on fait craindre aux gens quelque chose dont il n’a jamais été prouvé qu’il puisse causer du tort. C’est pour cette raison que nous invitons tous ceux qui lisent cet article à comprendre que la “théorie des germes” n’a aucun fondement scientifique réel. Il est maintenant temps que la vérité l’emporte et que la “théorie des germes” soit reconnue comme une erreur fatale qui doit être reléguée aux oubliettes de l’histoire.

Par Dawn Lester

References:

DEAN, C. – Death by Modern Medicine
DUESBERG, P. – Inventing The AIDS Virus
ENGELBRECHT, T & Köhnlein, C. – Virus Mania
LESTER, D. & Parker D. – What Really Makes You Ill? Why Everything You Thought You Knew About Disease Is Wrong (Traduction française à venir dans l’année)

MENDELSOHN, R. – Confessions of A Medical Heretic

Dr ML Leverson MD May 1911 lecture http://www.whale.to/vaccine/shea1.html#Hume_
M Beddow Bayly MD MRCS LRCP, 1936 booklet The Case Against Vaccination
Dr Stefan Lanka – 2005 Interview in Faktuell http://www.whale.to/b/lanka.html


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Quand la pensée unique, la quête de notoriété, une bêtise sans limite, la corruption ou, pourquoi pas, des menaces, mènent à l’immonde ?

[Source : https://7milliards.fr/tortosa20210224-le-guen-masques-vomir.pdf]

Par Alain Tortosa

Au « 20 heures » de France 2 du 23 février 2021, la présidente de la Société Française de Pédiatrie. le docteur Christèle Gras-Le Guen[1] qui a changé de discours depuis le mois d’octobre affirmait :

« Le masque ne présente aucun danger pour les enfants bien au contraire. »

Rappelons qu’il est indispensable de défendre le récit du fléau du Covid qui n’épargnerait personne, des rues jonchées de cadavres, des enfants fauchés par le virus…

Quoiqu’il en coûte, il faut « vendre » du geste barrière, du port du masque et surtout du vaccin «libérateur » (selon le discours officiel) et c’est ainsi qu’on en arrive à affirmer des conneries monumentales, comme le fait que porter un masque toute la journée ne présenterait strictement aucun risque, et ce alors même que l’OMS énumère largement ses dangers.

Cela pourrait faire sourire tant le discours est caricatural et déconnecté de toute réalité, aussi bien scientifique que dénué de toute logique, mais c’est sans compter que des millions de personnes manipulées gobent ce message « rassurant ».

Message qui par ailleurs les dispense de réfléchir et du moindre sentiment de culpabilité.

Mme Le Guen précise aussi dans son intervention, de toute évidence purement politique, que les symptômes induits par le masque et rapportés par une étude allemande.

Étude relayée notamment par Reinfocovid, Réaction19 ou Enfance et libertés, pour ne citer qu’eux…

ces symptômes, donc, pourraient être induits « uniquement » par la situation épidémique ou le stress et non par le port du masque !

En juin 2021, Mme le Guen (je précise « Mme » et non « docteur », car comment pourrais-je lui accorder la légitimité de se nommer docteur ou professeur en pédiatrie ?. Un pédiatre est un médecin au service des enfants, primum non nocere) était corédactrice d’un texte appelé « Primum non nocere : tous les enfants doivent retourner dès aujourd’hui en collectivité ! »

Primum non nocere qui veut dire « en premier, ne pas nuire ».

Texte dans lequel il était possible de lire notamment :

«Les enfants qui n’ont que très peu été concernés par cette infection sont pourtant aujourd’hui ceux qui font l’objet des mesures les plus coercitives. »

«Aujourd’hui, en dépit des données scientifiques internationales qui s’accumulent et confirment que les enfants sont moins souvent infectés et moins contaminants que les adultes, force est de constater que les enfants, les adolescents et les spécialistes de leur santé physique, psychique et sociale n’ont pas encore été entendus. »

«Quatre semaines après la réouverture progressive des écoles, fixée par le Président de la République au 11 mai, les conditions d’accueil des enfants en collectivité sont très disparates et parfois coercitives lorsqu’elles sont appliquées à la lettre, voire conduisent à des maltraitances institutionnelles »

Le 26 avril, dans un document « Propositions de la société française de pédiatrie e t des sociétés de spécialités pédiatriques pour favoriser le retour des enfants avec maladie chronique dans leur établissement scolaire[2] » il était précisé :

«Le port d’un masque dans les crèches, les écoles maternelles et primaires pour les enfants sans pathologie sous-jacente grave n’est ni nécessaire, ni souhaitable, ni raisonnable. En revanche, le port de masque pour les adolescents ainsi que pour les adultes en charge d’enfants peut être envisagé. »

«De plus, et si l’usage du masque se généralise, la SNP veut attirer l’attention sur le respect des gestes barrière et le « bon usage du masque chez l’enfant » pour bien signifier que ce n’est pas d’avoir un masque qui protège, tant que la manière de l’utiliser et de le porter, et le lavage des mains est tout aussi important. »

Le 2 septembre, dans une interview pour 20 minutes[3], elle déclarait :

«Le Covid-19 est-il dangereux pour les enfants ? »

«C’est une maladie que l’on connaît de mieux en mieux, certainement mieux qu’au moment du confinement. Et ce que l’on sait, c’est que ce virus concerne vraiment très peu les enfants. Il y a deux aspects à ça. Le premier : la proportion d’enfants infectés est très faible par rapport aux adultes, autour de 1 à 5 % parmi les cas positifs. Le second : lorsque les enfants s’infectent, ils font des formes bénignes dans l’immense majorité des cas. Près de la moitié n’ont même pas de symptômes. Donc ils s’infectent rarement et lorsqu’ils s’infectent, ce n’est pas grave. Ce sont des données confirmées par tous les pays concernés par cette pandémie. »

«Et, malheureusement, cette idée d’enfants transmetteurs persiste comme une idée reçue. Les informations récoltées depuis, lors de l’étude des clusters notamment, démontrent que l’enfant est très peu en cause dans les contaminations. Un enseignant a plus de risque de contaminer un élève que l’inverse. »

«… Il faut éviter les mesures de distanciation qui peuvent être stressantes pour l’enfant, contraires au déroulement d’une journée normale, et qui ne s’appuient pas sur des données scientifiques. Les mesures barrière et la distanciation doivent concerner surtout les adultes. Il faut que les enfants puissent reprendre une vie d’enfant, qu’ils jouent entre eux, qu’ils interagissent entre eux, sans que ça génère d’inquiétude excessive de la part de leurs encadrants ou de leurs parents. Je constate que ces derniers sont encore très inquiets alors qu’on aurait dû être en mesure de les rassurer beaucoup plus tôt. »

Le 24 septembre, elle était officiellement interrogée par la « Commission d’enquête pour mesurer et prévenir les effets de la crise du Covid-19 sur les enfants et la jeunesse[4] » à l’Assemblée Nationale.

«Cette maladie n’est pas une maladie pédiatrique au sens virologique du terme. J’entends par là que le virus infecte très peu les jeunes enfants, et [ceci] d’autant moins qu’ils sont jeunes. »

«les enfants qui sont infectés développent, dans l’ immense majorité des cas, des formes bénignes de la maladie »

«Enfin, les enfants ne contribuent que très peu aux chaînes de contamination. Avec le recul, riches de l’analyse des clusters, nous savons que les enfants sont exceptionnellement à l’origine de la contamination d’adultes. »

«Avec nos connaissances actuelles, nous sommes rétrospectivement en mesure de considérer que certaines mesures prises durant la première phase de l’épidémie étaient manifestement excessives »

«Si nous parvenons à rassurer les enseignants, les parents et les enfants, nous pourrons faire reprendre aux enfants leur vie en collectivité et en milieu scolaire avec une meilleure sérénité, tout en respectant des mesures barrières bien entendu »

«Je considère que la représentation de la voix de l’enfant durant la crise sanitaire a été très modeste. Nous avons eu du mal à faire entendre les besoins spécifiques de l’enfant. Les mesures de distanciation sociale qui ont été appliquées étaient totalement déraisonnables. Elles n’étaient pas adaptées aux besoins des tout-petits en particulier. »

«Quant au caractère anxiogène des informations brutes délivrées au grand public, je viens de recevoir sur mon téléphone une information émanant d’un journal que je ne citerai pas, qui fait état en gros titre de quatre enfants en réanimation à Bordeaux, concluant que « le Covid touche tout le monde ». Pourquoi communiquer des informations aussi anxiogènes ? À qui profite le crime ? Nous n’avons jamais prétendu que les enfants ne développaient jamais de formes graves de la maladie, mais ces cas graves sont rares. Plus le virus circulera, plus nous verrons de cas chez les enfants, bien évidemment, mais en proportion, ils représenteront toujours une part fortement minoritaire. Je me demande réellement où réside l’intérêt à entretenir ainsi le sentiment de peur des Français. Les parents risquent, en lisant de telles informations, de remettre en cause le discours des épidémiologistes et des scientifiques. »

«Lorsque je vois à la télévision un film mettant en scène un adolescent qui embrasse une amie, l’anniversaire de la grand-mère puis cette même grand-mère en réanimation, je pense que ce mode de communication n’aidera pas nos concitoyens à traverser les mois qui viennent »

«Pour répondre à votre question sur les masques, les tout-petits sont peu souvent infectés et participent peu à la transmission du virus, mais cela devient de moins en moins vrai à mesure qu’ils grandissent. C’est ce qui explique pourquoi un seuil à onze ans a été défini. Cela correspond au passage au collège. C’est donc la raison pour laquelle le masque est introduit au collège. Toutefois, le port du masque ne doit pas être source de conflits . »

«Mme Maud Petit. Des élèves reçoivent des avertissements pour non-port du masque. »

Mme Christèle Gras-Le Guen. « Tout à fait. Nous avons affaire à des enfants qui sont excédés, car ils ont été convoqués cinq fois par le proviseur depuis la rentrée. Le port du masque doit rester une préconisation et doit être expliqué aux enfants, mais nous savons que certains enfants auront du mal

à respecter ces consignes . Si un enfant est déjà sujet à un comportement difficile à l’école, le port du masque pourra difficilement lui être imposé en permanence. Il faudra donc s’adapter et apprendre à vivre avec sa ns que ce soit une source de tensions. »

Essayez alors de m’expliquer ce qui suit au regard de ses déclarations précédentes.

Comment Mme Le Guen qui affirme que le Covid n’est pas une maladie pédiatrique, qui affirme sous serment devant une commission d’enquête de l’Assemblée Nationale que les enfants ne sont pas des contaminateurs d’adultes.

Qui de plus considère que les enfants ont été victimes des protocoles et qu’ils avaient le droit de vivre une vie d’enfant… peut oser dire aujourd’hui que le masque est utile, bénéfique et sans danger pour des enfants ?!!

A-t-elle été soudoyée, payée, menacée par la dictature sanitaire ?? Je suis en quête de sens…

Le 30 octobre 2020 dans une interview à France Info[5], changement donc de cap.

Il n’y a que les imbéciles ou les personnes intègres ou courageuses qui ne changent pas d’avis ?

France-info :

« Port du masque dès 6 ans à l’école. »

Christèle Gras Le Guen :

«C’était une MESURE IMPORTANTE À PRENDRE POUR PROTÉGER les enseignants, LES ENFANTS ET QUI DEVRAIT CERTAINEMENT RASSURER L’ENSEMBLE DES FAMILLES ET LES PROFESSIONNELS DE L’ENFANCE », estime jeudi 30 octobre sur France-info la professeure Christèle Gras Le Guen, cheffe du service de pédiatrie au CHU de Nantes, secrétaire générale de la société française de pédiatrie. »

France-info : Le port du masque pour les élèves dès six ans, est-ce une bonne mesure ?

Christèle Gras Le Guen :

«C’ÉTAIT LA BONNE IDÉE, QUI NOUS PARAISSAIT ABSOLUMENT INDISPENSABLE, à la lumière de ce qu’on avait vécu pour le premier confinement et des effets secondaires qui avaient pu être observés. Le fait de pouvoir retourner à l’école , c’est la bonne nouvelle de ce nouveau confinement. »

«Avant l’efficacité de la mesure, cela va mathématiquement augmenter le nombre d’enfants infectés et susceptibles de transmettre, MÊME SI LES ENFANTS RESTENT TRÈS PEU CONCERNÉS PAR CETTE MALADIE, TRÈS PEU CONTAMINÉS, ET SURTOUT TRÈS PEU CONTAMINATEURS. C’ÉTAIT UNE MESURE IMPORTANTE À PRENDRE POUR PROTÉGER LES ENSEIGNANTS, LES ENFANTS ET QUI DEVRAIT CERTAINEMENT RASSURER l’ensemble des familles et les professionnels de l’enfance. »

«On ne demande pas aux enfants d’appliquer à la lettre le port du masque comme on pourrait l’exiger de collégiens ou de lycéens, pour autant on a vu l’efficacité du port du masque sur la transmission entre adultes. CE PORT DU MASQUE, MÊME S’IL N’EST PAS APPLIQUÉ DE FAÇON PARFAITE PAR LES PLUS JEUNES, SERA CERTAINEMENT INTÉRESSANT À ÉVALUER ET À OBSERVER. »

Merci de bien noter les mots « intéressant à évaluer et à observer » concernant le masque pour les

jeunes enfants…

France-info :

« Est-ce que ça reste l’école pour des enfants qui doivent porter le masque, et limiter les contacts les uns avec les autres ? »

Christèle Gras Le Guen :

« On a vu des images convaincantes de tout petits, de 3-4 ans, qui appliquaient de façon très rigoureuse les solutions hydroalcooliques. Nos enfants sont extrêmement attentifs aux informations qu’ils reçoivent. Ils sauront porter ce masque comme on leur demande.

Ça a été très très bien appliqué dans les collèges e t les lycées. Je n’ai pas d’inquiétude quant au fait que les plus petits puissent eux aussi porter ce masque.

Pour ce qui est des relations, on est confrontés toute la journée à des gens masqués et on communique, on a des relations. Je sais que les enfants en auront aussi. »

Tout ceci pour finir par affirmer le 23 février sur le 20 h de France 2 devant des millions de familles, exactement le contraire de la pensée et de ses affirmations qu’elle avait avant le mois d’octobre.

« Le masque ne présente aucun danger pour les enfants bien au contraire.»

Vivons-nous sous le règne de la terreur et de la corruption ?

Comment cette femme, qui plus est présidente de la société française de pédiatrie, qu’elle soit corrompue ou menacée, peut-elle encore se regarder dans un miroir avec de telles affirmations délirantes ?

Comment fera-t-elle pour vivre en ayant connaissance du sang d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes déprimés qui mettront fin à leur jour ?

Comment qualifier autrement que de « criminel » ce type d’annonces politiques et de manipulation des masses dans un journal de grande écoute ?

Sans compter la piètre image qu’elle offre de sa profession et qui éclabousse ses collègues intègres.

Comment ne pas dire que cette femme est une complice active de cette dictature aux mains des maîtres du monde et de cette industrie pharmaceutique dénuée de la moindre conscience ?

J’espère que la justice finira par passer et j’assisterais avec satisfaction à son procès, sinon judiciaire, tout du moins médiatique.

Je sais que « je suis dur », « je ne suis pas gentil », « je ne suis pas diplomate »

Et j’imagine que cette femme a probablement de nombreuses raisons comme sa carrière, ses peurs,

son compte en banque… ou je ne sais quoi…

Mais il y a des limites infranchissables, dont la santé et l’avenir de nos enfants.

On ne transige pas avec certaines valeurs…

À titre personnel, je n’en veux pas aux maîtres du monde, aux exploiteurs de la misère, ils ne font

que dérouler leur tapis macabre…

Non c’est à tous ces soignants, ces médecins complices ou silencieux, tous ces enseignants, tous ces

petits chefs qui obéissent et se taisent par lâcheté o u par opportunisme…

Il faudrait être fou ou irresponsable pour faire une confiance aveugle à un soignant dans ce premier quart du 21e siècle.

Comment faire confiance à tous ces moutons, ces corrompus ou ces lâches qui ne prennent même pas le temps de réfléchir pour enfin ouvrir les yeux et agir pour le bien de tous.

Je vous invite à prendre la santé de vos enfants à bras le corps !

Soutenez la campagne « oxychild » lancée par Carlo Alberto Brusa, président de réaction19.

Mesurez le taux d’oxygène de vos enfants masqués à l’aide d’un oxymètre.

Au-delà des troubles psychologiques ou des troubles de l’apprentissage induits de façon certaine par le port du masque.

Au-delà de la dangerosité certaine d’inhaler toute la journée des produits chimiques des masques synthétiques ou des produits chimiques de la lessive des masques en tissu.

Au-delà de la pouponnière à bactérie certaine qu’ils représentent quand on observe leur utilisation.

Ils sont de plus probablement extrêmement dangereux pour le cerveau par la baisse d’oxygénation

induite par un port prolongé des heures et des jours durant…

Testez l’oxygénation de vos enfants et n’écoutez plus ces médecins-là qui ont perdu toute dignité !

Merci

Alain Tortosa. Révolté !

24 février de l’an II de la dictature sanitaire.

https://7milliards.fr/tortosa20210224-le-guen-masques-vomir.pdf


Notes

[1] 20 h du 23 février 2021 https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/2264029-edition-du-mardi-23-fevrier-2021.html

[2] propositions_sfp_pathologies_chroniques.pdf (sfpediatrie.com)

[3] https://www.20minutes.fr/societe/2851419-20200902-coronavirus-enfant-positif-justifie-fermeture-classe-second-non-plus

[4] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/opendata/CRCANR5L15S2020PO773514N007.html

[5] Port du masque dès 6 ans à l’école : « Une mesure importante à prendre pour protéger les enseignants et les enfants », estime la société française de pédiatrie (francetvinfo.fr)




Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR

[Source : Belgian Alternative Media]

Par Stéphane Dumonceau-Krsmanovic

Lettre ouverte à Yves Coppieters*

Lettre ouverte à Yves Coppieters

Cher Monsieur Coppieters,

C’est en tant qu’ancien de l’ULB [Université Libre de Bruxelles], collaborateur scientifique ISEPK-ULB, chercheur en neurosciences et auteur de nombreuses études scientifiques dans le cadre d’un doctorat à l’ULB que je vous interpelle.
C’est aussi en ma qualité de citoyen que j’interviens, ce bref résumé mentionnant simplement ma relative capacité à savoir lire des chiffres, des études scientifiques et à interpréter des tests statistiques adéquats
ou non. J’attire votre attention sur la lecture toute relative des chiffres révélés par l’utilisation du test PCR. J’entends tous les jours l’annonce de «cas» positifs à la radio ou la télévision.

Or, le test PCR n’est PAS un test révélant directement une infection mais une trace infinitésimale de segments d’un virus amplifié plus de mille milliards de fois ([à] CT40).
Une infection ne se teste pas à partir d’un test génétique. On teste plutôt d’habitude une charge virale dans le sang. Le test PCR, qui convient bien pour déceler la présence ou non d’un individu sur une scène de crime (1 ou 0), ne convient pas pour mesurer le développement d’une épidémie. Il ne mesure pas la quantité de virus présent sur l’échantillon et comme il en est incapable, il amplifie la trace trouvée éventuellement jusqu’à ce que celle-ci devienne significative!  
Il s’agit carrément d’une forme de fraude.

Ici, il n’y a pas un consensus scientifique précis et/ou international entre l’importance de l’amplification et la preuve d’une infection. Les labos ont donc libre appréciation et cela n’a rien de scientifique, de cartésien. Les labos n’ont pas testé une population de symptomatiques covid-19 en vérifiant une moyenne d’amplification nécessaire pour déclencher leur réactif. Ils ont donc fait un choix arbitraire qui ne veut rien dire. Or ce choix ne reposait pas sur une estimation logique.
En effet, voyons en détail pourquoi le protocole fixé à CT40 ou CT45 est absurde dans le nombre d’amplifications.

Après modification d’un ou deux segments d’ARN en ADN, celui-ci est dupliqué à nouveau en deux exemplaires (CT2). Et ainsi de suite, chaque nombre étant dupliqué en deux. Concrètement, cela donne ceci :

  • CT10 cycles : 2 segments, 4 segments, 8, 16, 32, 64, 128, 256, 500 (pour faire simple), 1000 segments
  • CT20 cycles : 2000, 4000, 8000, 16000, 32000, 64000, 128000, 250000, 500.000, 1 million
  • CT30 cycles : 2M, 4 M, 8 M, 16M, 32M, 64M, 128M, 256M, 500 M, 1 milliard de segments
  • CT40 cycles : 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128, 500 milliards, mille milliards de segments
  • CT45 cycles : 1000 milliards, 2000 milliards, 4000 milliards, 8000 milliards, 16.000 milliards de segments.

L’amplification à CT40 ou CT45 est tellement exagérée que les «cas» testés positifs s’avèrent dans [au moins] 97% des cas asymptomatiques ! 

[Voir aussi : L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade et Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs]

Force est de constater que le test est donc un échec tellement il est inexact.
Soit la quantité de virus fut insuffisante pour créer une infection chez le cas positif asymptomatique, soit il est immunisé: dans les deux cas, il n’y a pas lieu de citer au JT et tout au long de la journée qu’ «aujourd’hui on recense encore 200 (ou que sais-je?), cas infectés»… Car c’est tout simplement FAUX à [plus de] 97%. Or ce test a été cautionné par tous les experts jusqu’ici…

Je vous propose donc de saisir cette opportunité et de proposer l’arrêt immédiat de l’utilisation des tests PCR, qui trompent la population quant à la réalité de l’épidémie. L’analyse des égouts donne une idée plus précise pour les pouvoirs publics et tester une population immunisée ou non «contaminée», au sens réel de ce mot, est absurde. Comme vous le savez, un test doit servir à préciser le diagnostic d’un malade et ne convient pas à des gens en bonne santé. A moins de passer sa vie à faire les milliers de tests existants sur tout le corps…

Je précise que, malgré ce qu’affirme le journal Le Monde (visiblement un média non objectif), il existe bien une interview en live de l’inventeur du test PCR (Karry Mullis), dans laquelle il précise que son test n’est pas fiable pour déceler des infections. Il décèle uniquement des traces infinitésimales (1).

Les virus se trouvent par milliards dans l’air respiré et si on utilisait ce test PCR pour repérer d’autres virus, on en trouverait donc aisément toute une quantité dans le nez (le filtre à air du corps) de la population.

Je me permets de préciser aussi que la Cour pénale de Lisbonne a rejeté l’usage de ce test. Idem en Allemagne. Je précise aussi que le Dr Drosten, expert auprès d’Angela Merkel pour la crise sanitaire, a fait l’objet de poursuites en justice en Allemagne pour avoir configuré le protocole PCR du covid-19 à 45 CT, alors que la profession considère qu’au-delà d’un certain nombre de cycles d’amplification, établir une corrélation avec une infection est déraisonnable et inadéquat.

Quand on pense aux conséquences économiques et sociales de l’utilisation de ces tests, et aussi aux conséquences sur les soins de santé, on ne peut plus tolérer l’utilisation de ces résultats faussés. Plusieurs associations en Belgique ont d’ailleurs vu le jour pour lutter notamment contre cette aberration, telles que www.parents2021.com ou encore https://docs4opendebate.be/ (730 médecins, 2580 professionnels de la santé, 19789 citoyens belges) (2), qui ont toutes deux tenté d’attirer l’attention sur l’incroyable invalidité de ce test. Pourquoi ne les écoute-t’on donc pas?

Je vous encourage à lire le rapport envoyé à Eurosurveillance par un consortium de scientifiques
à ce sujet (3).

En vous remerciant pour votre lecture et en espérant avoir attiré votre attention sur le plan scientifique, j’espère avoir un retour de votre part et pouvoir bénéficier de votre expertise dans le domaine.

Cordialement,

Stéphane Dumonceau-Krsmanovic


[Notes]

  1. Textuellement les paroles de l’inventeur : «Le {PCR} est un procédé qui ne dit pas si vous êtes malade»  (ni à fortiori contagieux). «Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire…»; «Avec le test PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui…»; «Je veux dire, si vous pouvez amplifier une seule molécule jusqu’à obtenir quelque chose de vraiment mesurable – ce que le test PCR peut faire – alors il n’y a que très peu de molécules que vous n’ayez pas au moins en un seul exemplaire dans votre corps. On pourrait donc considérer ça comme un usage détourné…» Kary Mullis – interview (tout le monde peut la trouver via GOOGLE:
    https://www.youtube.com/watch?v=57YQjM5_30E&feature=share&fbclid=IwAR2EKSANU_D_F8mJb5Z2JJv7hyufDw0-cX0PWziCbsirw0ZqdximfEPxf6E
  2. Lien vers l’argumentaire du collectif «docs4opendebate»: 
    https://docs4opendebate.be/wp-content/uploads/2020/12/PCR-fr.pdf
  3. Un consortium de scientifiques a déposé le 27 novembre un rapport et une demande de rétractation du test PCR auprès du Comité de rédaction d’Eurosurveillance («Eurosurveillance is an open-access medical journal covering epidemiology, surveillance, prevention and control of communicable diseases with a focus on topics relevant for Europe. The journal is a non-profit publication and is published by the European Centre for Disease Prevention and Control»).
    https://cormandrostenreview.com/report/

Source photo :
https://www.qwant.com/?q=test%20pcr&t=images&license=public


[*] : épidémiologiste belge.




La vaccination mondiale : le véritable objectif de l’opération COVID-19

[Source : Mondialisation.ca]

« Entre dépeuplement planifié et cynisme financier, l’humanité doit se réveiller »

Nous sommes-nous trompés ?

La vaccination contre le SARS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, a été lancée dans le monde alors que les essais cliniques ne sont ni complets ni terminés.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des produits qui sont toujours en phase d’évaluation des effets secondaires et de l’efficacité sont injectés à des êtres humains sans que ceux-ci ne soient correctement informés et sans obtenir leur consentement éclairé, sous couvert d’urgence et de déclarations des autorités sanitaires influencées par des firmes pharmaceutiques comme en témoigne ce document de l’Agence Européenne du Médicament (EMA-AEM) [1].

Même la revue Prescrire, après son article partial et critique en défaveur de l’ivermectine [2] -voir la réponse du docteur Gérard Maudrux [3], sur le vaccin ADN d’Astra Zeneca et Oxford le souligne :

  • Le niveau de preuves des données est globalement faible, entre autres parce que les essais ne se sont pas déroulés comme prévu, et que les données d’efficacité clinique rendues publiques ne portent que sur environ la moitié des participants aux essais.
  • Dans les essais, la diminution relative du risque d’être atteint d’une maladie covid-19 a été d’environ 70 % dans les groupes vaccin ChAdOx1 nCoV19, avec une incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité plus grande qu’avec les deux vaccins à ARNm déjà autorisés. Une réduction de la fréquence de covid-19 grave est vraisemblable mais non démontrée.
  • 36 % des participants avaient au moins un facteur de risque de covid-19 grave autre que l’âge, mais l’incertitude autour de l’ampleur de l’efficacité chez eux est encore plus grande que pour l’ensemble des participants. Seulement 6 % environ des participants étaient âgés de 65 ans ou plus.
  • Les effets indésirables connus du vaccin ChAdOx1 nCoV19 sont surtout des réactions locales et systémiques très fréquentes. Il existe encore de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation, notamment de ce vecteur viral chez les êtres humains.

Des niveaux de preuve globalement faibles, de nombreuses inconnues inhérentes au faible recul d’utilisation.

Toute mise sur le marché d’un produit, d’un médicament, à fortiori d’un vaccin destiné à des personnes non malades, nécessite plusieurs phases d’évaluation, étalées sur plusieurs années, principe de précaution court-circuité dans cette crise avec tous les dangers que cette précipitation peut engendrer.

Le principe de précaution violé

Quoi qu’en disent, sans preuves, les firmes productrices des vaccins nouvelle génération (ARNm ou ADN avec vecteur viral modifié génétiquement), l’introduction d’ARNm ou d’ADN avec vecteur viral dans nos cellules comporte le risque potentiel de modifier notre ADN. La sécurité génétique de cette technique n’a pas pu être évaluée puisque plusieurs décennies seraient nécessaires pour le faire.

Ces « vaccins géniques » au mécanisme d’action très particulier exposent l’humanité à des risques inconnus, non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution pourtant si cher à nos autorités sanitaires.

Le principe de précaution est à la base de la plupart des mesures liberticides imposées par nos gouvernements : port du masque obligatoire même en rue, distances sociales, fermeture des lieux publics tels que restaurants ou bars, interdiction de se rassembler ou de manifester, fermeture des cinémas, des piscines et des parcs de loisirs.

Pour les vaccins, le principe de précaution est violé, bafoué.

Délai normal de mise sur le marché d’un vaccin

Ce qui suit est encore plus vrai avec les coronavirus comme le SARS-CoV-2.

La journaliste Céline Deluzarche, dans un article sur Futura Sciences (Futura Santé) du 19 mars 2020 revu le 15 juin, le dit :

« Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte.

Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer au mieux, contre-productive, au pire causer des morts.

Normalement, obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin  chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. » [4]

« Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le SIDA où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). » [5]

Pour avoir l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament ou d’un vaccin, les essais doivent franchir plusieurs étapes ou phases. 

Ces étapes et ce délai sont la clé de la sécurité du produit.

La phase préclinique consiste à faire des tests sur animaux : cette étape préclinique animalière est très importante pour la sécurité.

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir.

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de l’aggravation de la maladie par la vaccination, ce risque est connu depuis 30 ans [6-7].

Ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV-1, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du MERS, les lapins ont développé des anticorps mais leur pathologie pulmonaire s’est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus. [8]

Cette complication est appelée VAED.

Avec les vaccins, « le plus gros problème est la crainte d’un ADE (Antibody-Dependant Enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines » [9-10]

Le 5 mars 2020, devant le congrès états-unien, Peter Hotez (expert vaccinal – Peter Hotez, Wikipédia) met en garde contre la facilitation de l’infection par les anticorps, et sa relation avec la vaccination :

« Il faut être très prudent et aller doucement avec les essais cliniques, les essais sur animaux ont montré la facilitation » !

Peter Hotez nous conseille la plus grande prudence :

« Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hotez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-Dependent Enhancement ou «ADE en anglais) » 

Vaccination COVID et VAED

Pour le VIDAL, organe de référence médical français, la question est posée :

Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s’inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées ? [11]

Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus.

« À ce jour, il n’y jamais eu de vaccin efficace contre les coronavirus, en raison de la nature de ces virus. En plus, les tentatives passées de créer un vaccin anti-coronavirus ont eu comme seul résultat des personnes vaccinées avec un plus grand risque de maladie sévère et de décès une fois à nouveau exposées à une autre souche du virus. » [12-13]

La phase pré-clinique, animale, a été laissée de côté par les firmes et la vaccination, lancée sans s’assurer de l’absence de VAED.

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats, le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

Les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Après la phase pré-clinique sur les animaux, le produit doit traverser la phase I (évaluation de la toxicité à court terme chez l’humain et du taux d’anticorps produits), la phase II (en moyenne 4 ans) qui doit confirmer l’absence de danger, l’efficacité et déterminer la dose optimale et le schéma d’administration, et enfin la phase III (durée 3 à 5 ans) sur un groupe représentatif de la population cible, comportant des milliers de personnes. Le succès de la phase III fournit le dossier indispensable à l’autorisation de mise sur le marché, analysé par des experts indépendants des firmes pour le compte de l’Agence du médicament.

Tout ceci explique pourquoi cette mise sur le marché prend normalement plusieurs années, dans l’intérêt de la population qui va recevoir ce médicament ou ce vaccin.

Il faut être sûr de l’efficacité ET d’un danger acceptable au regard des risques de la maladie ciblée.

Cela permet surtout de pouvoir informer correctement la population afin qu’elle fournisse un consentement éclairé au traitement ou à la vaccination.

La mise sur le marché en moins d’un an des vaccins COVID n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais, et non des moindre, les essais sur les animaux.

Ceci est d’autant plus vrai en matière de vaccins contre les coronavirus, comme l’ont montré les tentatives désastreuses de vaccination contre le SRAS-CoV-1 et le MERS.

En matière de vaccination contre le COVID, les firmes PFIZER-BioNTech, Astra Zeneca, Moderna ont court-circuité ou bâclé toutes les étapes qui permettent de s’assurer de la sécurité :

  • Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.
  • Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.
  • Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 de 2009 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).
  • Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées. [14]
  • La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement, comme le détaille Pfizer, dans sa publication sur clinicaltrials.gov : première analyse en aout 2021 et fin de l’essai en janvier 2023.

« Le miracle de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses.

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles. » [15]

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit d’une négativation de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [16].

De toute façon, la capacité d’interrompre la transmission du virus par les vaccins (immunité stérilisante) n’est pas étudiée dans les essais cliniques, comme le dit l’éditorialiste du British Medical Journal Peter Doshi [17] :

Le monde a parié sur la production de vaccins comme solution à la pandémie, mais les essais ne visent pas à répondre aux questions que beaucoup pourraient se poser.

Peter Doshi a montré que les essais cliniques « randomisés » ne montreront pas si les vaccins sont capables d’éviter les formes graves chez les personnes fragiles ni s’ils auront un effet sur la mortalité globale.

Les essais cliniques sont conçus pour déterminer si les futurs vaccins seront capables d’éviter une maladie bénigne ou même asymptomatique, pas pour éviter une maladie grave ou le décès par COVID-19. Les essais ne montreront pas que les vaccins peuvent éviter la transmission interhumaine.

Précautions bafouées par les médecins vaccinateurs

Le font-ils exprès ? Savent-ils ce qu’ils font ?

La vaccination n’est pas un traitement, mais une prévention dont l’efficacité dépend de la bonne santé du système immunitaire de la personne vaccinée. Si ce système immunitaire (immunités spécifiques à mémoire via les lymphocytes B producteurs d’anticorps et les lymphocytes T) est compromis, non seulement la vaccination sera inutile, mais aussi potentiellement dangereuse, pouvant provoquer la maladie qu’elle est censée prévenir !

Avant de vacciner, il est conseillé d’évaluer le statut immunitaire de la personne : sérologies anticorps, mesure des taux de lymphocytes par un laboratoire spécialisé.

Les médecins ou autres personnes qui vaccinent sont-ils en mesure d’informer correctement leurs patients en droit d’être informés avant de donner leur consentement éclairé à tout traitement, toute prévention ?

Ces vaccinateurs connaissent-ils les études sur les effets toxiques des adjuvants, aluminium, nanoparticules, poly-éthylènes glycols (PEG) ou autres ?

« Des vaccins sont à l’étude pour les effets secondaires possibles qu’ils peuvent provoquer. Afin de fournir de nouvelles informations, une méthode d’investigation par microscopie électronique a été appliquée à l’étude des vaccins, visant à vérifier la présence de contaminants solides au moyen d’un microscope électronique à balayage environnemental équipé d’une microsonde à rayons X. Les résultats de cette nouvelle enquête montrent la présence de particules micro et nanométriques composées d’éléments inorganiques dans les échantillons de vaccins qui ne sont pas déclarées parmi les composants et dont la présence indûment est, pour le moment, inexplicable. Une partie considérable de ces contaminants particulaires a déjà été vérifiée dans d’autres matrices et signalée dans la littérature comme non biodégradable et non biocompatible. » [18]

Les nanoparticules traversent le placenta [19].

Les nanotubes pénètrent dans les poumons [20].

Les nanoparticules bouchent les vaisseaux sanguins et capillaires [21].

Les nanoparticules endommagent l’ADN [22].

Il y a des risques d’allergies graves et de maladies auto-immunes liées à la présence de PEG (polyéthylène glycol) utilisés dans les nanoparticules vectrices des vaccins à ARNm [23].

Il existe des anticorps contre les PEG chez 72% des Américains [24]. Cet adjuvant peut provoquer des maladies auto-immunes et c’est une molécule très toxique [25].

Le risque de maladies auto-immunes notamment neuronales est très sérieux du fait notamment du mimétisme entre épitopes de la protéine Spike et certaines protéines neuronales humaines [26].

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils la recombinaison ?

Ce risque est indépendant du vecteur utilisé, plasmides, nanoparticules ou virus génétiquement modifié.

Les VIRUS oint une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès que les génomes des virus sont de même nature, ADN ou ARN, et qu’ils partagent des séquences de gènes qui se ressemblent.

Ces virus recombinants peuvent être beaucoup plus virulents que le virus d’origine et peuvent donc aggraver la situation.

Le phénomène de recombinaison a été démontré chez des plantes transgéniques dans le génome desquelles un gène viral avait été volontairement introduit.

Exemple de virus recombinant : H1N1, recombinant 3 souches de virus de la grippe, porcine, humaine et aviaire.

Les médecins vaccinateurs connaissent-ils le risque de cette vaccination COVID avec la grippe ou du COVID avec la vaccination antigrippale ?

La vaccination antigrippale est fortement suspectée de favoriser les infections à coronavirus chez l’adulte ! [27]

Cela a été montré également chez l’enfant [28]. 

Et le risque de maladie déclenchée par la vaccination (VAED) a également été documenté pour le vaccin antigrippal [29].

Effets secondaires graves voire décès déjà documentés

La FDA (USA) a signalé à la suite de la vaccination COVID la survenue d’effets secondaires, indésirables graves appelés effets systémiques de grade III, c’est-à-dire empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale [30].

Le CDC (haute autorité de santé aux USA) a rassemblé les réactions indésirables au vaccin Pfizer entre le 14 et le 18 décembre 2020 au Royaume-Uni et a recensé presque 3% d’effets secondaires graves. 3%  :  c’est énorme ! Pour contrer une maladie qui a un taux de mortalité de seulement 0,23%, pour l’ensemble de la population ! [31]

L’Agence norvégienne du médicament établit un lien entre plusieurs décès et les effets secondaires du vaccin ARNm.

Selon le médecin en chef de l’autorité sanitaire, « les effets secondaires courants des vaccins à ARNm, tels que la fièvre et les nausées, ont pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Le gouvernement norvégien est préoccupé par le décès de 29 personnes âgées qui ont été soumises au vaccin COVID-19 de Pfizer.

La Norvège a émis le 15 janvier 2021 une alerte après la constatation de 29 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. »

« Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet [32-33].

En Espagne, après « vaccination génétique », 7 morts et 100% des résidents infectés dans une maison de retraite espagnole avec le « vaccin » expérimental à ARNm de Pfizer [34].

De très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d’Ehpad après vaccination.

24 morts dans une maison de retraite aux USA suite à la vaccination en pleine flambée épidémique : les décès ont commencé à se produire 7 jours après le début de la campagne de vaccination (80% des résidents et 50% du personnel a été vacciné). Il n’y avait pourtant eu aucun décès dû au Covid dans les maisons de retraite de la région ! [35]

Comme souligné et prouvé dans les points précédents, vacciner en pleine période épidémique comporte les risques de recombinaison virale avec virus recombinants plus virulents (variants) comme nous le verrons plus loin avec les cas d’Israël ou de la Grande-Bretagne, d’interférence virale et de VAED (aggravation de l’infection par la vaccination).

Malgré ces données, les pays continuent à vacciner à tour de bras !

Floride, décès d’un médecin, attribué au vaccin par un expert [36].

Les responsables de la santé publique et les porte-parole de l’industrie aiment à dire que les risques de blessures graves liés à la vaccination sont de « un sur un million ».

Le ministère de la santé a prétendu, en 2010, que le VAERS (Vaccination Adverse Effects Reporting System) avait recueilli « moins de 1% des effets graves » dus aux vaccins.  Les taux réels de blessures dues aux vaccins obligatoires étaient en réalité plus de 100 fois supérieurs à ce que le ministère de la santé avait dit au public ! [37]

Dans la vaccination anti-COVID, au cours de la première semaine de distribution des vaccins, les Américains ont pris 200 000 doses de vaccins COVID et ont signalé 5 000 effets « graves » (c’est-à-dire des journées de travail manquées ou une intervention médicale nécessaire).

Cela représente un taux de blessure de 1 sur 40 piqûres. 

Cela signifie que les 150 piqûres nécessaires pour éviter un cas bénin de COVID causeront des blessures graves à au moins trois personnes. 

L’analyse de l’étude de 2010 du HHS a révélé que le risque réel d’événements indésirables graves était de 26/1000, soit un sur 37 [38].

Déjà 132 décès déclarés dans Eudravigilance seulement 26 jours après l’autorisation de mise sur le marché du vaccin Pfizer [39].

Les autorités masquent la vérité.

Réactions allergiques graves documentées

Des allergies sévères sont causées par les vaccins ARNm [40-41].

Que se passe-t-il en Israël, en Grande Bretagne et à Gibraltar, champions de la vaccination génétique ?

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.

La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie (VAED).à

Vaccination en Grande-Bretagne

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. 

Depuis, la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Après presque un an d’épidémie, Gibraltar ne comptait que 15 décès attribués au COVID-19. En 3 semaines de vaccination, le nombre total de morts a été multiplié par 5 !

Immunité juridique pour les fabricants de vaccins

Les commandes de vaccins engendrent des bénéfices pour les actionnaires de l’entreprise et un coût pour le public. Mais le plus grave est la mise en danger des populations qui paient pour cela !

Les fabricants de vaccin ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits.

Aux USA, les fabricants de vaccins sont protégés de toute poursuite légale en cas de dommages causés par les vaccins, ce coût sera supporté par l’état, donc ses contribuables [42].

En Europe, les fabricants de vaccins font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique [43].

Astra Zeneca organise son exemption juridique [44].

L’Union Européenne (UE) indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus [45].

Vaccins obligatoires ?

D’après l’OMS et le Conseil de l’Europe, les vaccins ne devraient pas être obligatoires, et dans le même temps, des gouvernements parlent ouvertement d’imposer un passeport vaccinal avec discrimination certaine des non-vaccinés :

Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020 [46].

Pourtant, d’autres gouvernements plus avisés et qui protègent vraiment leurs populations ont décidé de faire un moratoire sur ces vaccinations aux effets inconnus, grevées d’effets secondaires et décès de par le monde, dont on nous dit qu’elles ne sont pas destinées à nous protéger des formes graves ni de la contagion et pour lesquelles toutes les étapes de sécurité ont été court-circuitées, foulant au sol le principe de précaution le plus élémentaire.

Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

Le premier ministre thaïlandais a déclaré dimanche qu’il ne permettrait pas aux Thaïlandais d’être utilisés comme cobayes pour tester l’efficacité des vaccins Covid-19. Tous les vaccins déployés en Thaïlande doivent être sans danger [47].

De même, Madagascar et les Suédois refusent ces vaccins [48-49].

Y avait-il vraiment urgence ?

L’urgence est pourtant toute relative, avec un taux de mortalité (IFR-Infection Fatality Rate) dans toute la population mondiale, selon l’OMS, de 0,23%, soit un taux de survie au COVID-19 de 99,77% ! [50]

L’argument pour justifier une mise sur le marché à la hâte d’un vaccin anti-COVID est l’ampleur de la pandémie COVID-19 ayant imposé l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible.

Pourtant, toutes les prévisions catastrophiques ont été revues à la baisse [51].

Les projections de décès faites par l’Imperial College de Londres (Neil Fergusson) en l’absence de confinement étaient très exagérées [52].

Les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial » [53].

N’y avait-t-il rien d’autre à faire ?

D’autres solutions plus naturelles, moins dangereuses, pour lesquelles nous disposons de dizaines d’années de recul sur les éventuels effets secondaires, existent, rendant encore plus relative cette notion d’urgence vaccinale avec des produits expérimentaux, dont les phases d’évaluation (efficacité et dangers) ne sont pas terminées, vaccinations grevée de dangers graves pour la santé humaine, en particulier en matière de coronavirus !

Beaucoup de médecins soutiennent ces solutions alternatives :

  • Ivermectine [54] associée à un antibiotique
  • Antibiotique (Azithromycine) [55]
  • Hydroxychloroquine [56] associée à un antibiotique [57]
  • Vitamine D3 [58]
  • Vitamine C [59]
  • ZINC [60] 
  • Sélénium [61]
  • Artemisia Annua [62]
  • Mélatonine [63]
  • Colchicine [64]

Pour certains de ces produits, le nombre de références et de preuves d’efficacité et surtout de sécurité est impressionnant, et les tentatives des autorités pro-vaccinales et des médias écrits et parlés qui répètent leurs mantras comme des perroquets sont de plus en plus ridicules. Cela ne serait que risible, si ces dénis et mensonges n’entraînaient pas autant de morts et de maladies évitables.

Épilogue

L’humanité est l’objet d’une expérimentation à grande échelle.

Tout cet article, références à l’appui, montre que :

  • L’urgence sanitaire utilisée comme prétexte à une telle prise de risque avec nos santés, nos libertés et nos patrimoines génétiques ne tient pas la route, avec un taux de survie spontanée au COVID-19 (en ne faisant rien) de 99,77 % pour toute la population. Le taux de survie et la qualité de survie seraient encore plus élevés en permettant aux médecins de prescrire les traitements efficaces dont l’ivermectine.
  • Les vaccins, surtout les formes génétiques, ADN et ARNm, préparées en moins d’un an en court-circuitant toutes les étapes de sécurité habituelles dont les essais sur animaux, et sans attendre un recul indispensable, sont de petites bombes à retardement dans nos cellules, et les effets secondaires graves, les décès déjà rapportés montrent que le remède est pire que le problème.
  • Des solutions alternatives, efficaces et surtout plus sûres, existent. Seulement elles ne rapportent rien aux firmes pharmaceutiques qui ont déjà empoché des milliards de dollars et d’euros, et ce n’est rien à côté des milliards de dollars que les maladies auto-immunes et autres fléaux engendrés par ces vaccins préparés à la hâte leur promettent, tout en ayant fait attention à échapper à toute poursuite pénale pour tous les dommages que leurs vaccins ne manqueront pas de causer. C’est déjà commencé.

Humanité ! Est-ce vraiment ce que tu veux ?

Sinon, il faut se réveiller.

Dr Pascal Sacré


Notes (sources) :

[1] Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments : 
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html

[2] https://www.prescrire.org/Fr/203/1845/60820/0/PositionDetails.aspx 

[3] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/livermectine-victime-dattaques-malhonnetes 

[4] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

[5] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363 

[6] Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

[7] Hohdatsu, T & al, A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3335060/ , 2012, PloS One
Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus

[9] Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry, Journal of Virology

[10] SARS vaccines : where are we ?, Expert Rev Vaccines 2009 Jul ; 8(7) :887-98. Doi : 10.1586/erv.09.43.

[11] https://www.vidal.fr/actualites/26105/vaccins_contre_la_covid_19_doit_on_s_inquieter_du_risque_de_maladie_aggravee_chez_les_personnes_vaccinees/

[12] https://fort-russ.com/2020/05/were-conspiracy-theorists-right-bill-gates-supported-moderna-inc-prepares-mid-stage-trials-for-covid-19-vaccine/ , 8 mai 2020

[13] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31607599/ , Vaccine, 10 janvier 2020, Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season.

[14] https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-we-need-more-details-and-the-raw-data/ 

[15] https://www.mondialisation.ca/insuffisances-methodologiques-des-essais-des-vaccins-anti-covid-19/5653363

[16] PCR : Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :
http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[17] Will covid-19 vaccines save lives ? Current trials aren’t designed to tell us  
BMJ  2020
https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037

[18] https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro–and-nanocontamination.html  New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- and Nanocontamination, par Antonietta M Gatti et Stefano Montanari, 23 janvier 2017

[19] https://www.santelog.com/actualites/grossesse-et-pollution-les-microparticules-traversent-le-placenta :  GROSSESSE et POLLUTION : Les microparticules traversent le placenta

[20] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-nanotubes-carbone-trouves-poumons-petits-parisiens-60199/ : Des chercheurs de l’université de Paris-Saclay ont trouvé des nanotubes de carbone dans les cellules des voies respiratoires d’enfants asthmatiques vivant en région parisienne. Ces nanotubes pourraient provenir d’émissions de gaz d’échappement et entrer dans les poumons de chacun d’entre nous.

[21] https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-pollution-air-fait-mal-coeur-26390/#xtor=RSS-8 : La pollution de l’air modifie le diamètre des microvaisseaux et augmente ainsi les risques de maladies cardiovasculaires.

[22] https://changera.blogspot.com/2014/04/les-nano-particules-endommagent-ladn.html : Les nanoparticules dans les produits de consommation courante et leurs actions sur l’ADN pouvant mener au cancer !

[23] https://www.sciencemag.org/news/2020/11/fever-aches-pfizer-moderna-jabs-aren-t-dangerous-may-be-intense-some

[24] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27804292/

[25] Szabó, G., Jr., Kiss, A. and Trón, L. (1982), Permeabilization of lymphocytes with polyethylene glycol 1000. Discrimination of permeabilized cells by flow cytometry. Cytometry, 3 : 59-63. 
https://doi.org/10.1002/cyto.990030113,Shiraishi K, Yokoyama M. Toxicity and immunogenicity concerns related to PEGylated-micelle carrier systems : a review. Sci Technol Adv Mater. 2019 ;20(1):324-336. Published 2019 Apr 15. Doi :10.1080/14686996.2019.1590126

[26] Lucchese G, Flöel A. Molecular mimicry between SARS-CoV-2 and respiratory pacemaker neurons. Rev. 2020 ;19(7) :102556. Doi : 10.1016/j.autrev.2020.102556
Lucchese, G., Flöel, A. SARS-CoV-2 and Guillain-Barré syndrome : Molecular mimicry with human heat shock proteins as potential pathogenic mechanism. Cell Stress and Chaperones 25, 731–735 (2020). 
https://doi.org/10.1007/s12192-020-01145-6

[27] https://peerj.com/articles/10112/ : Positive association between COVID-19 deaths and influenza vaccination rates in elderly people worldwide
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31607599 : Influenza vaccination and respiratory virus interference among Department of Defense personnel during the 2017-2018 influenza season

[28] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22423139 : Increased risk of non influenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine Benjamin J. Cowling & al.

[29] https://www.aimsib.org/2020/09/27/vaccin-anti-grippal-et-facilitation-de-linfection-par-les-anticorps/

[30] Toxicity Grading Scale for Healthy Adult and Adolescent Volunteers Enrolled in Preventive Vaccine Clinical Trials : 
https://www.fda.gov/media/73679/download 

[31] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf

[32] https://lesakerfrancophone.fr/effets-secondaires-du-vaccin-pfizer

[33] https://www.mondialisation.ca/de-plus-en-plus-de-deces-decoulent-de-la-reussite-du-vaccin-pfizer/5653321

[34] https://twitter.com/pacharlotte3/status/1356609473054453760

[35] https://www.syracuse.com/coronavirus/2021/01/covid-19-outbreak-at-auburn-nursing-home-infects-137-residents-kills-24.html

[36] https://www.nytimes.com/2021/01/12/health/covid-vaccine-death.html

[37] https://childrenshealthdefense.org/defender/death-by-coincidence/
Comment les nombreux effets secondaires graves et les décès suite au vaccin sont masqués malgré les rapports dans les fichiers de recueil
Par Robert F Kennedy Jr

[38] https://childrenshealthdefense.org/defender/thousands-covid-vaccine-injuries-13-deaths-reported-december/

[39] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-ndeg48-deja-132-deces-declares-dans-eudravigilance-seulement-26-jours 

[40] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2775646
Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine, 21 janvier 2021, Tom Shimabukuro & al.

[41] Allergic Reactions Including Anaphylaxis After Receipt of the First Dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine — United States, December 14–23, 2020 : 
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7002e1.htm 
PDF à télécharger : 
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-12/slides-12-19/05-COVID-CLARK.pdf 

[42] https://www.hrsa.gov/vaccine-compensation/index.html, The National Vaccine Injury Compensation Program (VICP) is a no-fault alternative to the traditional legal system for resolving vaccine injury petitions.
https://www.bclplaw.com/en-US/insights/immunity-from-liability-under-the-us-prep-act-for-medical-countermeasures-during-the-sars-cov-2covid-19-pandemic.html , 22 mai 2020
Key Points

  • HHS Declaration Provides Immunity : During a public health emergency, the Secretary of HHS can issue a Declaration providing broad tort immunity for “Covered Persons” engaging in “Recommended Activities” with “Covered Countermeasures.”
  • Covered Persons : The entities covered include, among others, manufacturers and distributors.

[43] 26 août 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d

[44] 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN

[45] 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072

[46] https://lecourrier-du-soir.com/covid-19-le-vaccin-sera-obligatoire-pour-obtenir-un-emploi-voyager-aller-au-resto-ou-assister-a-un-evenement-sportif-ou-culturel/ 

[47] Le Premier ministre thaïlandais déclare qu’il n’y aura pas de vaccination pour les Thaïlandais

[48] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201127-covid-19-%C3%A0-madagascar-le-gouvernement-refuse-les-vaccins-et-pr%C3%A9f%C3%A8re-les-rem%C3%A8des-locaux

[49] https://www.lematin.ch/story/echaudes-les-suedois-refusent-le-vaccin-du-covid-371594447544?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0IHlw8J-voxhA3TdwD4dYlYaDix21nnF43Uh2RTcFEL4sX3zAyUO9Gk-s#Echobox=1606467567

[50] https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

[51] https://www.newswire.ca/news-releases/new-cdc-data-on-covid-19-828847530.html

[52] https://www.nytimes.com/2020/03/17/world/europe/coronavirus-imperial-college-johnson.html : It wasn’t so much the numbers themselves, frightening though they were, as who reported them : Imperial College London. The report, which warned that an uncontrolled spread of the disease could cause as many as 510,000 deaths in Britain, triggered a sudden shift in the government’s comparatively relaxed response to the virus. American officials said the report, which projected up to 2.2 million deaths in the United States from such a spread, also influenced the White House to strengthen its measures to isolate members of the public.

[53] Neil Ferguson’s Imperial model could be the most devastating software mistake of all time (telegraph.co.uk) 

[54] IVERMECTINE

1- FLCCC Front Line Covid-19 Critical Care Alliance
https://covid19criticalcare.com/flccc-ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-covid-19/

https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/faq-on-ivermectin/
https://www.youtube.com/watch?v=MEk-VOufVGQ

https://youtu.be/n2MlliaLC0Ahttps://www.youtube.com/watch?v=blpV5QDJrn4                                        
Dr Pierre Kory :  » Nous avons un traitement qui marche ! « 

2- Dr Tess Lawrie  

https://www.researchgate.net/profile/Theresa_Lawrie

https://www.e-bmc.co.uk/

Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance.

PDF : https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_1b1399cb64514dc4bdcbef0cd15f7878.pdf 

Ivermectin is an essential drug to reduce morbidity and mortality from COVID-19 infection.  Placebo-controlled trials of ivermectin treatment among people with COVID-19 infection are no longer ethical and active placebo-controlled trials should be closed.

Baisse de 83% de la mortalité
Une médecin et chercheuse britannique, la Doctoresse Tess Lawrie, qui dirige une entreprise spécialisée dans l’évaluation indépendante de données médicales et qui est régulièrement mandatée par l’OMS, a repris et vérifié consciencieusement toutes les études présentées dans le rapport de la FLCCC pour publier sa propre méta-analyse, disponible sur son site (rapport) (EtD Framework).  

Elle arrive exactement aux mêmes conclusions : “Nous avons maintenant des preuves solides de l’existence d’un traitement efficace de la covid-19”.

3- Swiss Policy Research

Covid-19 : WHO-sponsored preliminary review indicates Ivermectin effectiveness

4 – https://www.youtube.com/watch?v=eu61dtsSLrk 

Dr. Andrew Hill’s Ivermectin meta-analysis, from University of Liverpool, England
https://www.researchgate.net/publication/348610643_Meta-analysis_of_randomized_trials_of_ivermectin_to_treat_SARS-CoV-2_infection

5- https://c19ivermectin.com/

6-  https://ivermectine-covid.ch/quattend-on-pour-utiliser-livermectine-en-suisse-romande/

Un traitement efficace contre le Covid existe, selon un nombre croissant d’experts. Il réduit la mortalité de près de 80%, est bon marché et sans danger.

7-https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/un-traitement-efficace-existe-mais-il-est-ignore

8- https://nouvelle-page-sante.com/ne-renoncez-pas-trop-vite-a-livermectine/

9- https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/10428194.2020.1786559

Continuous high-dose ivermectin appears to be safe in patients with acute myelogenous leukemia and could inform clinical repurposing for COVID-19 infection

Le Dr Kory et son collectif (FLCCC) ne sont pas les seuls à penser que l’ivermectine peut jouer un rôle déterminant dans la lutte contre la covid-19. Le Dr Thomas Borody, inventeur de la trithérapie contre le H. Pylori, la bactérie responsable des ulcères, l’affirmait également cet été à tous les médias qui voulaient bien l’écouter (c’est-à-dire quelques-uns seulement): l’ivermectine est une “vraie tueuse de coronavirus”.

Médicament sûr :

Kircik, LH, Del Rosso, JQ, Layton AM, Schauber J. Over 25 Years of Clinical Experience With Ivermectin : An Overview of Safety for an Increasing Number of Indications. J Drugs Derm 2016 ; 15 :325-332. 

Médicament essentiel :

World Health Organization. 21st Model List of Essential Medicines. Geneva, Switzerland. 2019. 
https://www.who.int/publications/i/item/WHOMVPEMPIAU2019.06.  Accessed 29 December 2020.

[55] ANTIBIOTIQUE – AZITHROMYCINE

https://papers.ssrn.com/sol3/Delivery.cfm/SSRN_ID3712423_code4425108.pdf?abstractid=3712423&mirid=1, PDF : The Role of Macrolide Antibiotics in the Prevention of Severe COVID-19 Disease Progression Via the Disruption of Bacteria/virus Co-Operation. The use of Azithromycin (ATM) to prevent the adverse effects of the COVID-19 represents a potential avenue for further research. This article reviewed the clinical evidence and specialised molecular research to describe the dual antiviral and antibacterial role of ATM, and the potential co-operation between mycoplasmas and SARS-CoV-2.

[56] HYDROXYCHLOROQUINE HCQ :

IN VITRO – https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32150618/   28 juillet 2020

In Vitro Antiviral Activity and Projection of Optimized Dosing Design of Hydroxychloroquine for the Treatment of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2)

Clinique :

Prof. Harvey Risch, Yale University : 
Early Outpatient Treatment of Symptomatic, High-Risk COVID-19 Patients That Should Be Ramped Up Immediately as Key to the Pandemic Crisis – PubMed (nih.gov)

The American Journal of Medicine : 
Pathophysiological Basis and Rationale for Early Outpatient Treatment of SARS-CoV-2 (COVID-19) Infection – The American Journal of Medicine (amjmed.com)

Un professeur d’épidémiologie de Yale recommande la généralisation du traitement Raoult aux Etats-Unis (covexit.com)

HCQ for COVID-19 : real-time analysis of all 248 studies (c19study.com) 

Covid-19 : Quel est le traitement standard ? Inclut-il l’hydroxychloroquine ? MAJ le 4/08/2020 (francesoir.fr)

Le petit livre blanc au sujet de l’hydroxychloroquine (francesoir.fr)

L’hydroxychloroquine, du rationnel scientifique au traitement des patients – YouTube 

Use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italian CORIST study – European Journal of Internal Medicine (ejinme.com) : European journal of internal medicine 25 août 2020, use of hydroxychloroquine in hospitalised COVID-19 patients is associated with reduced mortality : Findings from the observational multicentre Italia. HCQ use was associated with a 30% lower risk of death in COVID-19 hospitalized patients. Within the limits of an observational study and awaiting results from randomized controlled trials, these data do not discourage the use of HCQ in inpatients with COVID-19.  33 hôpitaux italiens rapportent une réduction de mortalité de 30% avec l’hydroxychloroquine dans une grande étude rétrospective bien menée.

Risk of hydroxychloroquine alone and in combination with azithromycin in the treatment of rheumatoid arthritis : a multinational, retrospective study – The Lancet Rheumatology : 1 million de patients traités à l’HCQ, pas d’effets secondaires cardiaques en usage de moins de 30 jours. En parallèle, le Lancet rapporte que l’HCQ n’accroît pas le risque cardiaque quand elle est prescrite pour moins de 30 jours, donc, il ne devrait plus y avoir de problème pour l’administrer en médecine de ville…pour les médecins qui y voient un bénéfice pour leurs patients.

Un argument pour l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prophylaxie du SRAS-CoV-2 : 
Hydroxychloroquine : stop mensonges ! – Anthropo-logiques (tdg.ch)

Meta-analysis on chloroquine derivatives and COVID-19 mortality – October, 20, 2020 Update – IHU (mediterranee-infection.com) : META-ANALYSIS ON CHLOROQUINE DERIVATIVES AND COVID-19 MORTALITY – OCTOBER, 20, 2020 UPDATE.

En cas de conflit d’intérêts avec Gilead, 73 pour cent des articles affirment que l’hydroxychloroquinene fonctionne pas, et s’il n’y a pas de conflit d’intérêts, 83 pour cent des articles concluent que l’hydroxychloroquinefonctionne.

Influence of conflicts of interest on public positions in the COVID-19 era, the case of Gilead : 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2052297520300627?via%3Dihub 

Étude frauduleuse du Lancet : 
Hydroxychloroquine : les auteurs de l’étude publiée par le Lancet ont tous un conflit d’intérêt… (entelekheia.fr)

Coronavirus : Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée – IHU (mediterranee-infection.com), avec tous leurs protocoles de traitement

Résultats de terrain : 
Lorraine | Coronavirus. Chloroquine : le bilan très positif d’un praticien lorrain (estrepublicain.fr)

[57] HYDROXYCHLOROQUINE + ANTIBIOTIQUE

Azithromycin and Hydroxychloroquine Accelerate Recovery of Outpatients with Mild/Moderate COVID-19

PDF : https://www.journalajmah.com/index.php/AJMAH/article/view/30224/56706

https://fortunejournals.com/articles/revisiting-a-metaanalysis-shows-that-hydroxychloroquine-with-azithromycin-may-be-efficient-in-covid19-patients.html : Revisiting a Meta-analysis Shows that Hydroxychloroquine with Azithromycin may be Efficient in Covid-19 patients

[58] VITAMINE D3

In patients hospitalized with COVID-19, calcifediol treatment at the time of hospitalization significantly reduced ICU admission and mortality : 
https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3771318# 

“Effect of calcifediol treatment and best available therapy versus best available therapy on intensive care unit admission and mortality among patients hospitalized for COVID-19 : A pilot randomized clinical study” – ScienceDirect

Vitamin D for COVID-19 : real-time analysis of all 65 studies (c19vitamind.com)

The role of vitamin D in the prevention of coronavirus disease 2019 infection and mortality : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7202265/

Vitamin D and Inflammation : Potential Implications for Severity of Covid-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32603576/

COVID-19 severity and mortality appear related to vitamin D deficiency : 
COVID-19 ’ICU’ risk – 20-fold greater in the Vitamin D Deficient. BAME, African Americans, the Older, Institutionalised and Obese, are at greatest risk. Sun and ‘D’-supplementation – Game-changers ? Research urgently required. | The BMJ

Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès : 
Coronavirus : le taux de vitamine D influerait sur les risques d’infection et de décès (trustmyscience.com)

Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? : 
Vitamin D deficiency and co-morbidities in COVID-19 patients – A fatal relationship ? (Nih.gov)

The mortality of COVID-19 (cases/ million population) shows a clear dependence on latitude. Below latitude 35, mortality decreases markedly. 

These comorbidities, together with the often concomitant vitamin D deficiency, increase the risk of severe COVID-19 events. Much more attention should be paid to the importance of vitamin D status for the development and course of the disease. Particularly in the methods used to control the pandemic (lockdown), the skin’s natural vitamin D synthesis is reduced when people have few opportunities to be exposed to the sun. The short half-lives of the vitamin therefore make an increasing vitamin D deficiency more likely. Specific dietary advice, moderate supplementation or fortified foods can help prevent this deficiency. In the event of hospitalisation, the status should be urgently reviewed and, if possible, improved : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276229/pdf/main.pdf

Vitamin D deficiency and the COVID-19 pandemic : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7256612/

Analysis of vitamin D level among asymptomatic and critically ill COVID-19 patients and its correlation with inflammatory markers : 
https://www.nature.com/articles/s41598-020-77093-z 

Vitamin D insufficiency is prevalent in severe COVID-19 : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20075838v1

Evidence that Vitamin D Supplementation Could Reduce Risk of Influenza and COVID-19 Infections and Deaths : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7231123/#B93-nutrients-12-00988

Vitamin D Supplementation Associated to Better Survival in Hospitalized Frail Elderly COVID-19 Patients : The GERIA-COVID Quasi-Experimental Study : 
https://www.mdpi.com/2072-6643/12/11/3377

[59] VITAMINE C 

La carence en vitamine C est fréquente dans les populations à risque (hommes seuls, personnes âgées, sans domicile fixe, troubles psychiatriques…) et sous-évaluée dans la population générale. : 
Carences en vitamine C – EM consulte (em-consulte.com) 

Vitamin C for COVID-19 : real-time analysis of all 4 studies (c19vitaminc.com) 

https://www.evms.edu/media/evms_public/departments/internal_medicine/EVMS_Critical_Care_COVID-19_Protocol.pdf

Virologiste Anne-Mieke Vandamme KUL : fortes doses de vitamine C

La vitamine C aide-t-elle à résister au coronavirus COVID-19 ? : 
https://frankdelsaert.wordpress.com/2020/03/14/helpt-vitamine-c-weerstand-tegen-covid-19-coronavirus/ 

https://efsa.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdfdirect/10.2903/j.efsa.2009.1226

De la Vitamine C hautement dosée pour prévenir et traiter le COVID-19 ? (Pressenza.com)

Quercetin and Vitamin C : An Experimental, Synergistic Therapy for the Prevention and Treatment of SARS-CoV-2 Related Disease (COVID-19) : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7318306/ 

[60] ZINC

Rôles du zinc dans l’immunité

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov)

Oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.

https://academic.oup.com/advances/article/10/4/696/5476413 , dans cet article paru le 22 avril 2019, dans la revue internationale « Advances in Nutrition », intitulé « The Role of Zinc in Antiviral Immunity », il y est dit que le Zinc joue un rôle essentiel dans la santé humaine : « The role of zinc as an antiviral can be separated into 2 categories : 1) zinc supplementation implemented to improve the antiviral response and systemic immunity in patients with zinc deficiency, and 2) zinc treatment performed to specifically inhibit viral replication or infection-related symptoms. »

Traduction : « Le rôle antiviral du Zinc peut être séparé en deux catégories : 1) Le Zinc comme prévention : une supplémentation en Zinc pour améliorer la réponse antivirale et l’immunité systémique chez les patients déficitaires en zinc, et 2) Le Zinc comme traitement spécifique pour inhiber la réplication virale ou les symptômes liés à l’infection. » 

Carences en ZINC :

OLIGO-ELEMENTS – IBC – ULB % (ulb-ibc.be) PDF à télécharger. Page 3/6 :

➢ Déficits en zinc et sélénium liés aux habitudes alimentaires (aliments à densité calorique élevée pauvres en micronutriments) et à l’augmentation des besoins liée au stress oxydant et à l’inflammation.

➢ Si le déficit en zinc est important et si la couverture des besoins est difficile, le recours à des formes orales de zinc est parfois justifié.

➢ Déficit en zinc plus fréquent chez les personnes institutionnalisées : apports alimentaires insuffisants, polymédication fréquente (IEC/ARA II). Associé à une incidence accrue d’infections, un défaut de cicatrisation des plaies (escarres) et une dysfonction du système immunitaire.

The immune system and the impact of zinc during aging – PubMed (nih.gov) Immun Ageing. 2009 Jun 12 ;6 :9. Doi : 10.1186/1742-4933-6-9 : The immune system and the impact of zinc during aging.

 “The trace element zinc is essential for the immune system, and zinc deficiency affects multiple aspects of innate and adaptive immunity.

Many studies confirm a decline of zinc levels with age.

Even marginal zinc deprivation can affect immune function.

Consequently, oral zinc supplementation demonstrates the potential to improve immunity and efficiently downregulates chronic inflammatory responses in the elderly. These data indicate that a wide prevalence of marginal zinc deficiency in elderly people may contribute to immunosenescence.”

Zinc et infections respiratoires :

OMS | Supplémentation en zinc visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires (who.int), 2011

Zinc contre infections virales (in vitro) :

Zn2+ Inhibits Coronavirus and Arterivirus RNA Polymerase Activity In Vitro and Zinc Ionophores Block the Replication of These Viruses in Cell Culture (nih.gov) Une expérience conduite in vitro indique que lorsque les limitations à la pénétration intracellulaire du Zn2+ étaient levées, celui-ci inhibe efficacement, à des doses équivalentes à 2.0 μmol/L, l’activité de synthèse de l’ARN viral par le complexe de réplication et de transcription multiprotéique du SARS-CoV, poussant certains auteurs à considérer le zinc comme une option thérapeutique chez les patients atteint par le SARS-CoV-2

Zinc contre COVID-19 :

Zinc for COVID-19 : real-time analysis of all 9 studies (c19zinc.com)

Zinc for the prevention and treatment of SARS-CoV-2 and other acute viral respiratory infections : a rapid review (nih.gov)

[61] SELENIUM

An exploratory study of selenium status in healthy individuals and in patients with COVID-19 in a south Indian population : The case for adequate selenium status : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7657009/ 
Selenium Deficiency Is Associated with Mortality Risk from COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32708526/ 
Early Nutritional Interventions with Zinc, Selenium and Vitamin D for Raising Anti-Viral Resistance Against Progressive COVID-19 : 
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32784601/ 
Selenium and selenoproteins in viral infection with potential relevance to COVID-19 :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32992282/
Coronavirus : mise en évidence d’un lien entre les niveaux de sélénium et l’évolution de l’infection (trustmyscience.com) 
What about incorporating selenium in the therapeutic regimen of SARS-CoV-2 ? : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7744964/ 

[62] ARTEMISIA ANNUA :

L’ArtemisiaAnnua (armoise annuelle) est un antipaludéen de la pharmacopée traditionnelle africaine et chinoise ayant une action contre le COVID.
Covid-19 : Quel sort pour l’Artemisia ? – Entelekheia.fr
Pas assez chère ? L’Artemisia, mal aimée de la lutte contre la malaria (entelekheia.fr)

Artemisia annua L. extracts prevent in vitro replication of SARS-CoV-2 : 
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.01.08.425825v1 

Artemisia annua : Trials are needed for COVID‐19 : 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7276816/

Artemisia Spp. Derivatives for COVID-19 Treatment : Anecdotal Use, Political Hype, Treatment Potential, Challenges, and Road Map to Randomized Clinical Trials : 
https://www.ajtmh.org/view/journals/tpmd/103/3/article-p960.xml?tab_body=fulltext 

Artemisia Annua Could Be Promising Treatment for COVID-19 : 
https://med.uky.edu/news/artemisia-annua-could-be-promising-treatment-covid-19 

Recent lab studies by chemists at the Max Planck Institute of Colloids and Interfaces (Potsdam, Germany) in close collaboration with virologists at Freie Universität Berlin have shown that extract from the medicinal plant Artemisia annua, also known as Sweet Wormwood, is active against SARS-CoV-2

[63] MELATONINE :

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7574268/

Melatonin is significantly associated with survival of intubated COVID-19 patients, 18 octobre 2020 Preprint medRixv, Vijendra Ramlall & al
Complete version : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1 

PDF : 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.15.20213546v1.full.pdf 

Melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 and non-COVID-19 patients. Additionally, melatonin exposure after intubation is significantly associated with a positive outcome in COVID-19 patients requiring mechanical ventilation.
COVID-19 : La mélatonine est également incorporée dans les protocoles préventifs et thérapeutiques de la FLCCC Alliance et du professeur Paul Marik, aux USA.

I-MASK + : 
https://covid19criticalcare.com/i-mask-prophylaxis-treatment-protocol/i-mask-protocol-translations/ 

I-MATH + : 
https://covid19criticalcare.com/math-hospital-treatment/pdf-translations/ 
https://www.youtube.com/watch?v=bJZcDBTEGio  

A master-class comprehensive review by Dr. Paul E. Marik (FLCCC Alliance) of the most current scientific insights into the origin, replication, transmission, infectivity, pathophysiology, and treatment of COVID-19.

[64] COLCHICINE :

https://www.icm-mhi.org/fr/salle-presse/nouvelles/linstitut-cardiologie-montreal-icm-annonce-que-letude-clinique-colcorona-patients-atteints-covid-19

Étude COLCORONA
La colchicine, un médicament connu pour traiter la goutte, est évaluée comme traitement potentiel dans la lutte au coronavirus

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021




Procédure judiciaire de Maître JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire

Par Dr Nicole Delépine

Une action judiciaire de demande d’Ordonnance sur Requête sera diligentée cette semaine sur 4 tribunaux. L’objectif est de solliciter auprès de Juges Judiciaires (et non administratif) l’autorisation pour les requérants et leurs enfants de respirer normalement dans l’espace public, en conséquence, d’autoriser les requérants et leurs enfants, à circuler dans l’espace public, et notamment en milieu scolaire, sans porter de masque.

« Cette procédure doit être diligentée auprès du Tribunal Judiciaire dont dépend le demandeur. C’est pourquoi, afin de permettre à nos concitoyens de dupliquer notre procédure sur leurs territoires géographiques respectifs, nous souhaitons mettre nos écrits judiciaires à disposition en téléchargement pour les Avocats locaux en charge de ces dossiers. »

Dans une Interview sur France soir Maître Jean Pierre Joseph expose le but de sa nouvelle action judiciaire  (lire le détail sur le site de France soir : Me Joseph, défenseur des « victimes d’un régime qui pourrait s’appeler la Scientocratie » (francesoir.fr)).

Télécharger : REQUETE PDT T.J. avec Pièces

.

Quel est l’objectif de votre action judiciaire imminente ?

JPJ : L’objectif de notre action judiciaire d’ordonnance sur requête est de solliciter auprès d’un Juge Judiciaire (et non administratif) l’autorisation pour les requérants et leurs enfants à respirer normalement dans l’espace public, en conséquence, d’autoriser les requérants et leurs enfants, à circuler dans l’espace public, et notamment en milieu scolaire, sans porter de masque.

L’action sera tout d’abord lancée auprès du Tribunal judiciaire de Grenoble et, en même temps devant les tribunaux de Valence, Privas, et Lyon… L’ensemble de nos concitoyens peuvent diligenter cette action auprès de la juridiction judiciaire (ex TGI) dont ils dépendent géographiquement. Il leur suffira de télécharger notre modèle de demande d’Ordonnance sur Requête sur l’un des sites internet qui suivent et de contacter un Avocat local afin de diligenter cette procédure.

Nous citerons ici ce qui concerne les enfants et le caractère insupportable du port du masque

Le port du masque pour les enfants :

« Si le port du masque est inutile pour les personnes saines, il relève de l’absurde pour les enfants qui ne sont pas porteurs et ne transmettent pas la maladie.

1- Le taux d’incidence quasi nul chez les enfants de moins de 15 ans

En ce sens, nombre de médecins crient au scandale, tel que le Docteur Louis Fouché, médecin anesthésie-réanimation au CHU de Marseille, lequel affirme dans une vidéo visionnée près de 75.000 fois et rendue publique le 31 octobre 2020 :

« Quand on dit de masquer les enfants à six ans c’est juste un scandale en fait. Les enfants ne sont pas porteurs, ne sont pas vecteurs, ne sont pas malades, pourquoi vous les masquez en fait ? Donc là il y a vraiment une espèce de perversion. C’est quelque chose qui est du domaine, à mon avis, de la psychiatrie et qui devrait faire réagir les gens. »

Or, les propos de ce médecin n’ont jamais été contredits et n’ont fait l’objet d’aucun démenti par une quelconque instance sanitaire.

En ce sens, dans un courrier du 13 novembre 2020, la direction des services départementaux de l’éducation nationale Loir-et-Cher a affirmé :

« Les dernières études ont établi que la contagiosité des jeunes enfants atteints de COVID 19 est tout à fait minime vis-à-vis des autres enfants. De ce fait, votre enfant n’est pas considéré comme ayant eu un contact à risque élevé à l’école, il n’y a donc pas de mesure particulière à prendre suite à ce signalement et notamment ni isolement ni dépistage systématique. »

En outre, La Société Française de Pédiatrie a déclaré dans un article « Rentrée scolaire et COVID19 : propositions actualisées de la SFP » du 14 septembre 2020″ :

« …Il est urgent de rappeler combien les bénéfices éducatifs et sociaux apportés par l’école sont très supérieurs aux risques d’une éventuelle contamination COVID19 de l’enfant en milieu scolaire »

(Article « Rentrée scolaire et COVID19 : propositions actualisées de la SFP » publié le 14 septembre 2020 par la société française de pédiatrie)

Il est d’autant plus incohérent d’imposer le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans la mesure où cette obligation est circonscrite par le décret du 29 octobre 2020, à la seule enceinte de l’établissement sous l’argument tiré d’une prétendue protection collective.

Or, il est scientifiquement et indiscutablement démontré que le taux d’incidence chez les enfants de moins de 15 ans est, depuis le début de l’épidémie, extrêmement faible, voire néant.

Ainsi, le 28 octobre 2020, soit la veille de l’adoption du décret imposant le port du masque chez les enfants en milieu scolaire, SANTÉ PUBLIQUE FRANCE indiquait dans son rapport hebdomadaire que le taux d’incidence de la Covid-19 chez les enfants de moins de 15 ans, était de 0,122 %.

Plus encore, compte tenu de ces chiffres officiels, imposer le port du masque aux enfants de moins de 11 ans dans les seuls établissements scolaires est une incongruité scientifique et va à l’encontre de toute logique.

Si l’établissement scolaire est effectivement le lieu de vie le plus important pour les enfants, il est incontestable que l’on entend imposer le port du masque dans l’unique lieu fréquenté en grande majorité par des sujets qui sont extrêmement peu touchés par le virus que l’on entend combattre !

En conséquence, il n’existe aucune justification sanitaire d’imposer le port du masque aux enfants.

Au surplus, les dispositions du décret du 29 octobre 2020 vont à l’encontre des rapports d’une institution internationale spécialisée de l’ONU en santé publique. »




Info vérifiée : La pandémie est utilisée comme un prétexte… selon l’ONU

[Source : ici]

C’est une confirmation importante que les médias français ont encore peu relayée pour le moment. Nous citons le Secrétaire Général de l’ONU en personne :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG.« 

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Site de l’ONU [1]

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Nous ne sommes donc plus seuls à essayer de réfléchir, loin du bruit et de la fureur des chaînes d’information en continu.
 

Vos très dévoués,

Christophe Lèguevaques & Arnaud Durand
Avocats au Barreau de Paris


Note

[1] https://news.un.org/fr/story/2021/02/1089912




Voilà 11 mois que les Français sont privés de liberté : ça suffit !

Par Dr Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

Ne laissons plus le président et les apôtres de la tyrannie sanitaire être les maitres des horloges et imposer les sujets dont on parle aux JT, sur les chaines d’info continue mais aussi malheureusement beaucoup trop sur les réseaux sociaux et les médias alternatifs.

La première des priorités est de briser nos chaînes.

Les sujets aussi importants qu’ils soient, mis en première ligne par le pouvoir par la décision de dissoudre une association comme Génération identitaire ou les victimes réveillés par me too ou encore les universités dévoyées, vont pouvoir occuper des heures les médias, mais tristement aussi les réseaux sociaux et les journaux web. Ces derniers médias relativement libres ne consacrent plus assez de place à l’agonie de la France et des français étranglés par la peur (qui n’a plus de raison d’être) et les mesures prétendument sanitaires (stupides et mortifères).

Et pendant ce temps là les Français sont toujours en prison, les étudiants se suicident et les internes des hôpitaux, les pauvres sombrent dans la misère extrême, les enfants sont masqués de plus en plus perturbés mais « tout le monde s’en fiche ». Parlez-moi d’autre chose. Eh bien NON.

Il est urgent de parler de ce qu’occultent des dissertations sans fin sur des faits divers sordides[1]la maltraitance permanente des Français par un pouvoir tyrannique dont une grippe un peu sérieuse n’est que le prétexte.

VOILA PRESQUE 11 MOIS QUE TOUS LES FRANÇAIS SONT VICTIMES DE VIOLENCES PSYCHOLOGIQUES MAJEURES, PRIVÉS DE LIBERTÉ, ENFERMÉS PRESSURÉS PAR DES CONTRAVENTIONS ABUSIVES

L’URGENCE EST DE SE BATTRE POUR SUPPRIMER MAINTENANT TOUTES LES MESURES LIBERTICIDES TOTALEMENT INEFFICACES ET GRAVEMENT DÉLÉTÈRES

Elles bloquent toute contestation véritable et forte.  Tant que le pays n’est pas libéré, les autres sujets ne peuvent qu’être effleurés et sûrement pas approfondis, ni résolus, ni débattus avec l’ensemble du peuple.

Ne lit-on pas que la manifestation de GI a réuni 3000 personnes dont beaucoup masquées et que ce n’est pas mal pendant la période de couvre-feu !

Impression de soumission au pouvoir qui doit bien s’amuser de voir ses opposants muselés et en nombre limité par obéissance à Jupiter et ses demi-dieux, médecins des plateaux télé.

Impossible de compter ses troupes, d’agir en force tant que nous ne combattons pas le préalable à toute revendication populaire, la sortie de prison des Français innocents.

Le sort des sportifs, des jeunes masqués ou des vieillards emprisonnés et vaccinés sous promesse de liberté jamais tenue, n’intéressent évidemment guère les médias aux ordres, mais guère plus les médias alternatifs qui se font mener par le bout du nez par le pouvoir qui dicte les sujets.

Ils deviennent le bon opposant répondant au tac au tac aux choix immédiats du pouvoir et laissent de côté l’enfermement généralisé qui devrait être le titre de tous les sites d’opposition permettant secondairement que l’ensemble du peuple se réveille et puisse manifester etc…

N’oublions pas que la fin des manifestations contre la réforme des retraites a été sonnée par Edouard Philippe le 29 février un samedi à l’assemblée pour parler de la loi et qui a finalement imposé un 49-3 et dans la même séance les premières mesures liberticides. Et la loi sur les retraites ? Grâce à cet artifice, elle continue tranquillement son chemin dans le brouillard des autres sujets, certes importants, mais qui ne touchent pas des millions de français et ne présentent aucun caractère d’urgence.

L’enfermement des Français et ses résultats catastrophiques ne doivent pas être discutés.  Sujet tabou ! Et les opposants obéissent !! Ils restent hypnotisés par la musique du pouvoir : « Nous sommes au bord du précipice, restons soudés et tous ensemble faisons un grand pas en avant ». Je refuse cette attitude de moutons de panurge.

L’immigration, la pédophilie, les viols même anciens, les procès politiques sont certes des sujets majeurs, mais comment les résoudre alors que nous sommes, de fait, en prison.

COMMENT MANIFESTER ALORS QUE LE MASQUE RESTE IMPOSE ET COUTEUX en cas de désobéissance ?

COMMENT SUPPORTER LE COUVRE-FEU imposé et malheureusement respecté alors qu’aucune étude n’a montré qu’il était efficace, sauf pour mettre en faillite bars, restaurants, monde du spectacle et détruire la vie amicale et de famille, en un mot ce qui nous rend heureux et humain et témoigne de notre civilisation.

Le pouvoir, ses communicants et ses mercenaires sont malins. Ils imposent leur rythme : les procès médiatiques de telle personnalité et les émissions tv y sont consacrées pendant que nous restons enfermés ; puis lorsque le sujet ne monopolise plus les médias, les viols datant de trente ans ressortent au bon moment.

Pourtant on se pose rarement les bonnes questions urgentes pour l’enfermement : qui a fait taire le Pr Douste Blazy qui regrette brutalement d’être dans Hold up, lui qui prônait courageusement l’hydroxychloroquine en avril et maintenant justifie toutes les mesures aberrantes de Veran, y compris un nouveau confinement ? La carotte ou le bâton ?  Le plomb ou l’or ? Une promesse de poste de ministre de la santé au nouveau gouvernement mondial ou la publication de rapports sur ses visites à Marrakech en compagnie d’un certain Jack Lang ?  Mauvaise langue direz-vous, mais on en parle moins que de PPDA et de ses amours … Pourquoi ? Cela devrait intéresser Pascal Praud ce revirement soudain…

Il ne faut pas nous laisser imposer nos combats et leur laisser le choix du terrain et de l’agenda comme a toujours dit Emmanuel Macron, le maitre des horloges.

Il ne faut pas rester scotché sur nos anciennes priorités, et oublier le plexiglas qui nous sépare de la caissière ou de notre grand-mère en EHPAD, ni accepter la muselière qui nous sépare de nos compatriotes et ne nous permet plus de discerner ce qui est essentiel aujourd’hui, et pour demain après la Libération. Seule la reconquête de nos libertés nous permettra d’aborder les autres priorités sociétales importantes. Sans liberté de parole, mais aussi de manifestation et de réflexion non perturbée par l’enfermement.

Et effectivement alors qu’il n’y a plus aucun péril sanitaire (s’il n’y en a jamais eu), récupérons nos libertés en privilégiant le combat prioritaire : suppression de TOUTES les mesures liberticides, confinement, couvre-feu, masques, tests PCR imposée et pression pour les vaccins Covid.

Nous devons sortir de cette prison psychologique en urgence avant que nous ayons cesser de penser, sans nous en apercevoir en acceptant de fait les privations de liberté imposées et fassions semblant vis -à vis de nous-mêmes, de nous battre encore pour ce qu’il nous occupait il y a 15 mois… Mais pour cela, il nous faut reconquérir toutes nos libertés.

La classique méthode du bon opposant pour bloquer le fond des problèmes : l’exemple du Mediator

Le drame du médiator explosa après 18 années de guerre de quelques médecins pour le faire interdire. Mais finalement c’était probablement le moment de faire sauter ou de racheter à bas bruit, le labo que possédait un vieux monsieur. Une lanceuse d’alerte eut enfin l’opportunité de se faire entendre. Finalement elle fit interdire ce médicament dont le tableau de chasse n’est pas un des pires de la pharmacopée. Il bénéficia d’une grosse publicité comme si l’agence du médicament et les politiques voulaient s’offrir une virginité à cette occasion. On eût même droit à un film et de très nombreuses interviews de la bonne opposante.

Certes, elle avait à juste titre dénoncé après d’autres ce vilain médicament, mais on put regretter à l’époque que le système de corruption pharmaco-politique ne fut guère attaqué. Les gens prirent cela comme un « accident » de parcours et cela continua. On changea le nom de l’agence du médicament et son directeur. Une loi dite Bertrand vit le jour mais sans ses décrets d’application caviardés par le ministre suivant. Le business pouvait continuer et les récalcitrants se faire exclure du système.

Et les scandales généralisés sur les nouvelles drogues commercialisées après des essais thérapeutiques courts, sur peu de patients et sans recul sur les effets secondaires (comme pour les vaccins actuels) passèrent inaperçus.
A tel point que des livres comme ceux Pr Debré et Even furent critiqués, diffamés. Ce furent eux, les professeurs, lanceurs d’alerte qui furent poursuivis par le conseil de l’ordre et interdits d’exercice : un député chef de service d’urologie de Cochin et médecin du président le Pr Debré, et le Pr Philippe Even doyen de la plus réputée fac de médecine, Necker enfants malades et président de l’institut de recherches adossé à cette prestigieuse fac.

Peu importe, ils décrivaient des errements médicamenteux et des agences de sécurité sanitaires trop complaisantes. Ils se firent descendre par les généralistes et bien d’autres pour dénoncer la surconsommation de médicaments. Puis le Pr Even s’attaqua aux médicaments nouveaux peu testés en particulier en son domaine, la cardiologie dans un livre « corruption ou crédulité » qui ne plut pas non plus à notre cher milieu de l’entre-soi bien élevé où les trafics se font dans les salons feutrés arrosés de champagne, autour de petits fours avec des gens bien élevés évidemment.

Alors leurs livres furent ignorés comme beaucoup d’autres dont celui de l’ancienne rédactrice en chef du NEJM en 2003, Marcia Angell ou du Pr Peter Goetsche sur « médicaments dangereux et crime organisé » en 2014. Le rachat par Bill Gates de l’honorable et indépendante fondation Cochrane que Goetsche avait fondé, fut largement passé sous silence malgré la perte majeure pour les médecins et universitaires d’une organisation indépendante étudiant les publications mondiales. Quant à nous, nos livres furent globalement cachés et le pouvoir choisit la date de ma retraite pour en finir en 2014 avec le dernier bastion de liberté thérapeutique en oncologie pédiatrique (Garches), dans le silence ou presque.

Peu importe, le pouvoir avait donné avec le médiator et le livre d’Irène F.  un os à ronger à jeter aux râleurs qui imaginaient bien la corruption du milieu médical, mais « pas à ce point-là ». La liberté de soigner fut attaquée ouvertement et largement par les plans cancer imposant dorénavant les médicaments à utiliser, ringardisant les anciens schémas de traitement et virant progressivement les docteurs qui soignaient autrement qu’en obéissant aux ordres.

Réussite médiatique, puisque nous eûmes la surprise d’entendre des collègues encore jeunes et résistants sincères et courageux au corona Circus actuel, dire que c’était la première fois en France qu’on interdisait aux médecins de soigner librement et d’utiliser tel ou tel médicament.

Erreur, chers collègues, depuis l’application de plus en plus à la lettre des directives des plans cancer, surveillée par les ARS qui donnent ou non l’accréditation (autorisation d’exercer aux services), le cancérologue n’a plus depuis plus de quinze ans le droit de donner à son patient « le meilleur traitement en fonction des données actuelles de la science » (arrêt mercier 1936).  Tant pis pour le malade, tant mieux pour l’industrie et affidés car c’est trop souvent la dernière molécule sortie (et donc la plus chère) que les recommandations prônent, peu importe qu’elle fût peu testée et peu efficace. Précurseur de l’histoire actuelle des vaccins dans le silence complet.

Bien sûr il y eu x émissions sur les chaines tv à l’occasion des journées du cancer annuelles ; mais là aussi la technique désormais bien rodée du bon opposant conduisant à inviter tel ou tel cancérologue un peu râleur mais dans l’axe général, et à annuler la venue et médecins et d’associations conscientes de la privation de liberté de traitements.

Le chaos du corona Circus et les interdictions de traitement ne sont que prolongation d’une situation installée insidieusement depuis une vingtaine d’années, expliquant probablement l’absence de réaction d’une profession déjà largement soumise.

Ajoutons que le décret incitant les médecins à pratiquer des euthanasies passives par Rivotril chez les vieillards « suspects de covid 19 », si elle est scandaleuse, ne fut pas non plus une première ; cela fait au moins 15 ans que les oncologues pédiatres sont incités à « soulager » leurs petits patients supposés incurables. Pratique courante, bien rodée, protocole écrit à l’appui à appliquer par l’hospitalisation à domicile, toujours en vigueur comme le témoignage désespéré d’une maman d’un petit de 6 ans me l’a rappelé il y a quelques heures. Elle attend son décès depuis septembre comme on le lui a prédit et proposé d’accélérer, pour son bien…Mais comme il ne va pas si mal elle ne comprend pas qu’on ne continue qu’à lui proposer cinq mois plus tard, que l’injection létale. Telle est la nouvelle médecine du nouveau monde. Mais là aussi sujet majeur, mais à reprendre dès notre sortie commune de l’enfermement, impossible à traiter à travers les murs de nos prisons au moins psychologiques.

En conclusion, il me semble que nous devons tous nous y mettre pour faire passer d’abord et avant tout notre LIBERATION de toutes les mesures liberticides, pour pouvoir ensuite nous battre avec toutes nos forces pour les sujets qui nous sont chers, de l’identité, à la liberté d’expression, de soigner, de juger etc.

Une seule priorité : LIBÉRATION

INONDONS LES RÉSEAUX ET LES BLOGS DE PAPIER SUR NOS ENFANTS MALTRAITES, NOS AÎNÉS EN PRISON, NOS ÉTUDIANTS PRIVÉS DE FACS, DE FÊTES et de JOBS, les CHÔMEURS EN ERRANCE ET BIENTÔT SDF, les SUICIDES DES INTERNES EN MÉDECINE, ETC.

N’OCCULTONS PAS LA PRISON À MI-TEMPS, VOIRE PLUS, ET L’ISOLEMENT VIA LA MUSELIÈRE.

N’OCCULTONS PAS LES DÉCISIONS ABERRANTES QUOTIDIENNES COMME LE CONFINEMENT DE WE A NICE ALORS QU’IL N’Y A PAS DE MALADES ET QUE DELFRAISSY EN MÊME TEMPS DIT QU’IL FAUT ARRÊTER LES CONFINEMENTS ! (voir notre papier de ce jour :
L’échec du confinement et des vaccins, reconnu par ceux qui les ont conseillés, le Pr Delfraissy et coll.)

Il faut en parler encore et encore afin que chacun derrière son masque ne se sente pas seul et ni honteux de ne pas le supporter, afin que chacun puisse refuser un test PCR pour accoucher ou subir une coloscopie.   Ces actes médicaux ne peuvent pas selon la loi être imposés sans notre consentement vraiment éclairé et le refus de soin secondaire à notre refus de test est une non- assistance à personne en danger.  IL FAUT QUE CHACUN RACONTE ET QUE NUL NE PUISSE IGNORER LES CONSÉQUENCES MULTIPLES DE L’ENFERMEMENT DE LA NATION ET DE SES CITOYENS.

Nicole Delépine


Note

[1] qu’il s’agisse du procès Daval, du livre de Camille Kouchner, ou de l’acteur Richard Berry




Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants

[Source : santeglobale.world]

Michel Dogma

« J’ai déjà dit et je confirme :

  • Que des masques antiviraux, ça n’existe pas ! – les plus petites mailles font quelques microns (millièmes de millimètres), alors que les virus font quelques nanomètres (millièmes de microns)
    – pourtant il faut mettre le masque ! 
     
  • Que même les masques de blocs opératoires ne sont efficaces que pour les bactéries, les levures, les micro champignons
    – pourtant il faut mettre le masque ! 
     
  • Que le Covid ne vit pas et ne se déplace pas dans l’air, mais par voie humide – donc que le masque n’intervient pas dans la transmission
    – pourtant il faut mettre le masque ! 
     
  • Qu’après seulement quelques minutes d’utilisation des masques ils deviennent à l’intérieur des cloaques microbiens que l’on reprend à chaque inspir en circuit fermé, la chaleur humide des bronches présentant un lit de surinfection idéal
    – pourtant il faut mettre le masque ! 
     
  • Que des femmes enceintes professionnellement obligées de porter le masque, en sous oxygénant leur bébé risquent de porter atteinte au développement de son cerveau
    – pourtant il faut mettre le masque ! »

Mais ce n’est pas tout :

Voici en gros ce que dit radicalement la Dr Margareta Griesz-Brisson virologue, docteur en pharmacologie, spécialiste en neurotoxicologie :

La ré-inhalation partielle de l’air en continu

Cette ré-inhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène O² et une saturation en dioxyde de carbone CO². Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d’oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre.

Les symptômes d’alerte aiguë sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction – qui sont des réactions du système cognitif.
Cependant, lorsque vous souffrez d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.
Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer et s’amplifier sans cesse jusqu’au stade de la sénilité.

Un autre problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sous oxygénées sont incapables de se diviser normalement. Même si nous étions autorisés à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement quelques mois après, les cellules nerveuses perdues ne seront pas régénérées. Ce qui est perdu est perdu.

Effets catastrophiques pour les enfants et les ados

Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène. Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement très actif.

Restreindre le cerveau d’un enfant ou d’un adolescent en oxygène, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d’oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne pourront pas être réparés.

On est en train de fabriquer une génération de crétins facile à diriger.

Lorsque dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel normal, cela ne servira à rien d’avouer que « nous n’avions pas besoin des masques ».

Une étude scolaire  allemande édifiante
(relayée à partir de la Minute de Ricardo)

Atteinte physique
  • Céphalées 53%
  • Fatigue 37%
  • Gorge sèche 22%
  • Mauvais sommeil 31%
  • Nausées 16%
  • Somnolence 37%
  • Vertiges 26%
Atteinte comportementale
  • Angoisses 25%
  • Difficulté d’apprentissage 38%
  • Difficulté de concentration 50%
  • Humeur maussade 49%
  • Irritabilité 60%
  • Mal dans la peau 49%
  • Réticence à aller à l’école 44%
  • Réticence à bouger 18%
  • Sensations passagères de pré-syncope 20%

La guerre des masques

Nous avons connu toutes sortes de guerres : guerres tribales, guerres politiques, guerres de religions, guerres économiques, guerres du pétrole, guerres raciales, même guerres des sexes – maintenant voici pour nous occuper « la guerre des masques » où comme d’habitude il y a deux camps adverses : les PRO masques et les ANTI masques.

A savoir maintenant qui a tort et qui a raison.

Pour le savoir, essayons de faire une étude comparative de chaque profil d’individu.

Le PRO masque
  • Il se sent plus en sécurité avec un masque.
  • Il a même une certaine fierté civique à porter le masque.
  • Il considère les anti-masques comme de dangereux irresponsables.
  • Il pense même que les dissidents du masque sont des ennemis potentiels.
  • Il a très peur de la maladie et du Covid en particulier.
  • Il ne remet pas en question des habitudes alimentaires toxiques.
  • Il ne fait pas confiance à la sagesse de son corps.
  • Il fait confiance totale à la médecine officielle (elle-même aux ordres).
  • Il est addicte à la télé et en fait sa référence absolue.
  • Il obéit aveuglément aux injonctions officielles.
  • Il rejette tout ce qui ne correspond pas aux allégations de la télé.
  • Il n’a aucun sens critique face aux lois intolérables.
  • Il compte sur l’assistanat protecteur du gouvernement.
  • Il ne cherche pas à se renseigner sur des sites d’Internet.
  • Il n’essaye pas de faire le point par lui-même.
  • Il sélectionne surtout les infos qui lui font peur.
  • Il ne condamne pas les incohérences du système et les excuse.
  • Il écoute religieusement les menteurs corrompus par les labos.
  • Il se détourne des sommités médicales de valeur et indépendantes.
  • Il refuse d’admettre les résultats des remèdes interdits.
  • Il pense être un acte civique de dénoncer les insoumis du masque aux autorités.
  • Il pense que le gouvernement lui veut du bien.
L’ANTI masque
  • Il respecte la liberté de croyance et d’option des PRO masques.
  • Il n’a pas peur de la maladie et du Covid en particulier.
  • Il fait confiance à l’intelligence de son corps.
  • Il entretient ses défenses naturelles par une alimentation la plus saine possible.
  • Il consomme de préférence des remèdes alternatifs naturels non dangereux.
  • Il refuse toute proposition ou allégation illogique.
  • Il opte pour des comportements cohérents même à contrecourant.
  • Il peut être entièrement autonome et non assisté.
  • Il ne s’occupe pas de la télé et ne tient pas compte de ce qu’on y dit.
  • Il se renseigne sur de nombreux sites Internet de ré-information.
  • Il confronte les données les mieux documentées.
  • Il réfléchit par lui-même.
  • Il ne se réfère qu’à des professionnels non sponsorisés par des labos.
  • Il prête surtout attention à ceux qui n’ont pas accès aux grands médias.
  • Il est attentif aux alerteurs persécutés.
  • Il suit ses instincts de conservation.
  • Il affirme être le protecteur attitré de ses enfants.
  • Il refuse de livrer ses enfants à des règlementations irresponsables.
  • Il est farouchement contre toute obligation sanitaire suspecte.
  • Il n’a pas peur de s’afficher insoumis face à la privation arbitraire des libertés.
  • Il interprète le port du masque comme un signe de soumission d’esclaves.
  • Il pense que les autorités ne lui veulent pas du bien.

Masques anti PV (135€)

Oui je sais, je connais cet argument de soumission face à des décrets illégaux inadmissibles qui piétinent la Constitution, et çà ne fait rien avancer.

Citation : « Quand des lois sont iniques, les combattre est un devoir civique et citoyen ».

Il suffit de ne pas sortir seuls sans masques, mais toujours en groupe et sans papiers sur soi (comme font les arabo-musulmans). Vous voyez bien que face au nombre la police est démunie, et au fond elle est aussi victime que vous par cette mesure stupide et malveillante, en outre dénoncée par toutes les sommités médicales mondiales indépendantes.

Conclusion :

Sachant que l’évolution a toujours pris un coup d’accélérateur par la confrontation de deux pôles adverses en présence, présageons que cette guerre des masques aboutisse à la construction d’un avenir plus intelligent, plus tolérant, et plus heureux.




L’échec du confinement et des vaccins, reconnu par ceux qui les ont conseillés, le Pr Delfraissy et coll.

Par le Dr Gérard Delépine

Mieux vaut tard que jamais

Après nous avoir chanté les vertus des confinements, des autres mesures prétendument sanitaires et des vaccins pendant presque un an, cinq membres du comité scientifique, dont le président, reconnaissent que le confinement est nocif et que les vaccins ne résoudront vraisemblablement pas la crise, voire l’aggraveront !

Dans une courte lettre au Lancet [1] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy et Denis Malvy proclament :

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire… »

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale»

« Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Constats courageux, mais terribles et bien trop tardifs de ceux qui ont promu ces mesures liberticides pendant dix mois et joué aux apprentis sorciers avec nos vies !

Il n’était pas nécessaire d’être réputé scientifique pour le prévoir d’emblée fin mars 2020

Nous sommes de simples médecins, mais dès le 21 mars 2020 nous dénoncions dans une tribune[2] le caractère non scientifique, médicalement stupide, socialement et économiquement désastreux d’une telle mesure. Le 27 mars, nous récidivions[3] espérant ainsi réveiller les réflexions d’une population tétanisée par la peur créée par une propagande d’une intensité jusque-là inégalée en France. En vain.

L’expérience marseillaise de l’an 1720

Nous rappelions que le confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants) n’avait jamais fait la preuve de son efficacité dans le monde réel et qu’enfermer ensemble malades et bien portants avait un grand risque d’accélérer les contagions.

Cela avait été démontré lors de la grande peste de Marseille de 1720[4] où le confinement militaire strict avait abouti à la mort de la moitié de la population de la cité, sans empêcher la propagation de l’épidémie à la Provence et à l’Italie. La comparaison, d’après les chiffres de l’OMS, des évolutions de l’épidémie en Belgique confinée et aux Pays-Bas non confinés a malheureusement confirmé nos craintes.

Et pendant toute cette terrible année, nous avons dénoncé chiffres à l’appui dans un livre[5] et de nombreuses tribunes dans les quelques médias qui sauvaient l’honneur de la profession[6], et acceptaient la parole non officielle, les mesures tyranniques et médicalement infondées qu’ils nous imposaient et imposent encore contre toute logique.

Au début, nous n’étions qu’une poignée de médecins à analyser les faits (en tous cas ouvertement), à démentir la désinformation forcenée des gouvernements et des médias et à réclamer la transparence sur les liens d’intérêt et les décisions dont le Dr Peter El Baze, le pharmacien Serge Rader, et à l’étranger le Pr Denis Rancourt, le Pr Jean-Dominique Michel[7]. Le Pr Toussaint[8] [9] chez André Bercoff, fut un des premiers en avril 2020 à dénoncer l’enfermement des Français sur une radio.

Dans un article de « la Recherche » appelé « confinement aveugle » et oublié des médias officiels, il prévenait dès le 20 avril 2020 :

« Il faudra, après le confinement, également prendre en compte son impact sur les patients souffrant d’une leucémie non diagnostiquée, d’un infarctus pris en charge trop tardivement, d’une drépanocytose mal suivie, parmi toutes les pathologies qui manquent à l’appel. Les mesures à n’importe quel prix ont un coût. Il est élevé. Et, si tout cela n’a servi qu’à réduire de dix pour cent la hauteur de la vague, il faudra oser rapporter ces totaux ahurissants au nombre d’années de vies réellement gagnées pour obtenir une évaluation sincère de nos choix.

D’autant que les effets psychologiques (refus de tout déplacement par peur de la contamination) ou contre-productifs (réduction ou arrêt des consultations) de ces mesures devront se confronter aux choix des Néerlandais et des Suédois qui continuent de vaquer, prudemment certes, mais librement, à leurs occupations. La perte de chance risque d’être lourde.

Les auteurs de ces simulations, tout à la charge de démontrer la qualité de leurs modèles, auront toutes les peines du monde à accepter d’inclure ces dégâts collatéraux auxquels s’ajouteront les conséquences sur la recherche, l’annulation des grands rendez-vous scientifiques, culturels ou climatiques, mais aussi l’abattement des personnes seules qui se seront laissé glisser lentement dans l’abandon.

Paradoxe que de tenter de sauver des vies par des moyens qui en auront peut-être tout autant détruit. »

Tout était déjà écrit.

Il continua régulièrement sur les ondes, lorsqu’on l’invitait, jusqu’à parler d’arme de destruction massive. [10] (septembre 2020).

« “En réalité le confinement est un instrument sociétal majeur, c’est la seule arme de destruction massive qui a été utilisée au 21e siècle puisque c’est la seule qui a concerné quasiment la moitié de l’humanité. […] Les conséquences socio-économiques qui vont maintenant se dégager vont concerner non pas les conseillers qui sont assis sur leurs certitudes, mais les jeunes générations qui vont devoir ramer. […] Et quand on n’est pas capable d’assumer ces conséquences, alors on continue à faire croire à une crise sanitaire qui n’est plus présente.”

Les effets du confinement qui effondre l’économie […] ont aussi retiré 30 à 40% des moyens de la recherche… »[11]

Au fil du temps, certains trompés au début de l’épidémie, se sont réveillés devant l’évidence des faits constatés et les tribunes des contestataires et ont rejoint les dissidents. Et maintenant, sur le confinement, même le conseil scientifique confirme ce que nous disions !

D’autres universitaires se sont regroupés pour publier des tribunes, en particulier sous l’incitation de Laurent Muchielli[12], 29 octobre 2020.

« Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française

Plus de 500 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement ».

Inquiétude majeure sur la toxicité des vaccins ARN et le risque génétique[13] et les effets secondaires inconnus

Et sur les vaccins, le Pr Delfraissy et coll. partagent certaines de nos inquiétudes et celles de très nombreux collègues maintenant regroupés dans divers collectifs internationaux comme ISOFIA (sur Telegramm) ou « laissonslesprescrire », le collectif de 30000 médecins et le manifeste des médecins engagés (et leurs noms pour les joindre sur le site du même nom), le collectif Reinfocovid et ses antennes en Province, etc.

Les gouvernements, médias et lobbys ont tenté de museler les médecins et chercheurs libres de leur parole

Les médias ont presque tous refusé de relayer les informations que nous diffusions comme celles de nos collègues qui lançaient l’alerte. Comme le Monde et Libération et leurs « décodeurs », certains ont même tout fait, au mépris de leur déontologie de journalistes[14], pour décrédibiliser nos informations qu’ils qualifiaient de « fake news » et pour nous discréditer en nous traitant de « complotistes », d’extrême droite et/ou de « rassuristes ». Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ[15] « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical » et ces calomnies répétées n’ont pas épargné les plus connus et reconnus comme les PR Raoult, Perronne, Toussaint, etc. qui furent rarement invités sur les chaînes de TV, privées comme publiques.

Le conseil de l’ordre s’est érigé en collabo du pouvoir

Création de Vichy, l’ordre des Médecins s’est illustré dès sa naissance en dénonçant les médecins juifs à la Gestapo, et en demandant aux confrères de rompre le secret médical pour signaler à la police les blessés par balle. Rien n’a changé apparemment.

Poursuivis pour soigner !

En 2020, il a traduit pour charlatanisme devant son tribunal d’exception les médecins qui osaient traiter leurs malades comme, entre autres, les Drs Denis Gastaldi, généraliste à Morhange, et son confrère Jean-Jacques Erbstein[16], généraliste à Créhange qui a relaté son expérience dans un livre à lire absolument[17].

Il n’a pas défendu l’indépendance du médecin, fondement essentiel du serment d’Hippocrate. II n’a pas non plus protesté lorsque le gouvernement a interdit aux médecins de prescrire la chloroquine et a poursuivi ceux qui ont osé administrer des antibiotiques comme dans toutes les pneumopathies des grippes antérieures et pire oser le dire. Convocations devant leur ordre régional, lettres de menaces se sont multipliées pour faire taire et obéir la grande majorité des médecins libéraux. Certains ont continué à soigner selon leur âme et conscience et le serment d’Hippocrate, mais de plus en plus dans le silence jusqu’à la période récente et le manifeste des médecins engagés. L’impossibilité de prescrire en fonction de chaque malade et de façon indépendante a été et reste un des plus grands scandales de la gestion de cette crise sanitaire, aggravée par la forte injonction de prescrire du Rivotril pour sédation irréversible chez les personnes âgées « suspectes » de Covid (décret de mars 2020, renouvelé en octobre).

Pas de poursuite pour non-respect de la loi

Le même conseil a refusé de rappeler à l’ordre, comme la loi l’en a pourtant chargé, les médecins vantant dans les médias le Remdesevir puis les vaccins, sans préciser leurs liens d’intérêt[18] alors que la loi française les y oblige et calomniant leurs collègues y compris les plus éminents.

Poursuite pour délit d’opinion

Le conseil de l’ordre des médecins a réinventé le « délit d’opinion » aboli lors de la révolution et contraire à l’article 10 de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 qui proclame :

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi ».

L’article 11 ajoute : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi ». La Déclaration de 1789 a valeur constitutionnelle. Elle possède donc une véritable portée juridique contraignante.

Mais l’ordre des médecins n’en a cure et poursuit ceux qui dénoncent les mensonges des médias et du gouvernement comme le Dr Maudrux[19] accusé « d’affirmations à propos de certains traitements controversés » ou le Pr Raoult pour « charlatanisme, promotion de traitement controversé, essai thérapeutique non déclaré » et cinq autres médecins, dont le Pr Joyeux et les Drs N Delepine, N Zeller, médecin généraliste, et Rezeau-Frantz, également généraliste.

Les autorités sanitaires se comportent en tyran en éliminant professionnellement les opposants qui osent parler. En Belgique, le Dr Pascal Sacré a été viré de son poste de médecin hospitalier pour avoir énoncé des vérités qui dérangent. A Paris le Pr Péronne a été démis de sa chefferie de service parce qu’il a osé parler…

Rendons hommage à ces militants de l’éthique et de la vérité qui ont sauvé l’honneur de la médecine et battons-nous pour que justice leur soit rendue. Il en apparaît beaucoup d’autres chaque jour.

Mais la vérité est têtue

La promotion des confinements est progressivement devenue insoutenable, car toutes les études sérieuses prouvent qu’il est au mieux inefficace[20] [21] [22] [23] [24] et plus habituellement délétère[25] [26] [27] [28] [29] ce que reconnaissent à demi-mot les membres du conseil scientifique qui le qualifie d « aléatoire » et détaille ses dégâts collatéraux.

Mais leur mea culpa est incomplet. C’est l’ensemble des mesures restrictives médicalement infondées qu’il faut abroger : les tests de dépistage chez les personnes saines (dites asymptomatiques), le port généralisé des masques (qu’il faut réserver aux malades et aux médecins qui les soignent)[30], les couvre-feux (aucune preuve du moindre intérêt médical), et les distanciations sociales dans leur ensemble.

La Suède et les Pays-Bas ont amplement démontré qu’en respectant les libertés fondamentales des populations et en leur donnant des conseils fondés sur la vraie science, on obtenait de bien meilleurs résultats sanitaires, sociaux et économiques qu’en utilisant la coercition à la chinoise. Mais est-ce l’objectif ?

Qui peut encore croire que les vaccins sont la solution ?

À court terme, les résultats des campagnes de vaccination sont franchement mauvais avec un doublement, voire un triplement des nombres quotidiens des contaminations et des décès comme le montrent les courbes d’incidence et de mortalité publiées par l’OMS.

Ainsi en Israël dont près de 70% de la population a été vaccinée depuis le 20 décembre le mois de janvier a été le plus meurtrier depuis le début de l’épidémie, totalisant à lui seul 30% de la mortalité globale.

Même phénomène en Grande-Bretagne. Depuis que la vaccination a été entreprise, les contaminations et la mortalité journalières se sont considérablement accrues dépassant les pics du plus fort de l’épidémie.

La régression mondiale actuelle de l’épidémie, observée en même temps dans les pays confinés ou pas, vaccinés ou pas est heureusement venue limiter l’hécatombe en stabilisant la mortalité au niveau d’avant les vaccinations.

Le vaccin a déçu ses plus fervents défenseurs

Même les signataires du comité scientifique ne croient plus beaucoup à la solution vaccinale :

« l’arrivée rapide des variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une évasion immunitaire dite naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue.

Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels offriront probablement encore un certain bénéfice aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Alors pourquoi nous a-t-on confinés aveuglément ?

Les membres du comité scientifique expliquent le choix du confinement d’E. Macron comme : « une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant une responsabilité juridique pour des réponses nationales lentes ou indécises ».

Cette hypothèse est corroborée par la déclaration très courageuse et honnête de la ministre norvégienne à la télévision nationale en mai dernier : « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

Nos responsables devraient peut-être aussi prendre en compte le risque de plaintes des familles des morts du confinement et changer radicalement de stratégie.


Notes

[1] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[2] Delépine « Confinement, mesure sanitaire ou politique ? » Agoravox samedi 21 mars 2020

[3] Delépine « Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine » Agoravox » https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712

[4] L’Histoire Marseille en quarantaine : la peste de 1720 Le vendredi 17 avril 2020 https://www.lhistoire.fr/marseille-en-quarantaine%C2%A0-la-peste-de-1720

[5] Nicole Delépine, Gérard Delépine Autopsie d’un confinement aveugle Edition Fauve septembre 2020

[6] Dont Agoravox, France Soir, Riposte laïque, Economie matin, Nouveau-Monde Ca, Sud radio, Tv libertés, Putsch, mondialisation.ca

[7] Anatomie d’un désastre — Jean-Dominique Michel — 2020 — Bing video 27 AVRIL 2020

[8] professeur de physiologie à Université de Paris, directeur de l’Institut de Recherche bioMédicale et d’Épidémiologie du Sport, Jean-François Toussaint

[9] Sortir d’un confinement aveugle | larecherche.fr 22 AVRIL 2020

[10] “Le confinement a été une arme de destruction massive” selon le Pr Jean-François Toussaint | Covid Infos

[11] Sud radio 17 sept 2020 : Pr. Jean-François Toussaint au micro d’André Bercoff – Le face-à-face

[12] TRIBUNE. Le confinement constitue un remède pire que le mal pour la société française — regards.fr

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1 ;
  • Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
  • Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France
  • Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des États Généraux de la Prévention
  • Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
  • Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et Sociales (DRASS) honoraire
  • Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Éthique à l’Université de Paris
  • Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
  • Et all.

[13] Voir les vidéos du Pr alexandra Henrion Caude généticienne, trop souvent censurées par FB et YouTube, mais qu’on peut retrouver sur Viméo

[14] Un journaliste digne de ce nom ne doit pas prendre parti, mais relater les faits le plus objectivement possible et laisser s’exprimer des opinions différentes. Sur le Covid ils se sont comportés en mercenaires des lobbys.

[15] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314

[16] Qui a raconté son expérience dans son livre « Je ne pouvais pas les laisser mourir »

[17] France soir Deux médecins ont soigné et guéri leurs patients Covid, menacés par le conseil de l’ordre. Une honte ? Publié le 13/06/2020

[18] Alors que le code de santé publique a expressément chargé le conseil de l’ordre de faire respecter la loi transparence santé de 2011

[19] Debriefing Dr Gérard Maudrux : « les médecins ont peur, ils se taisent » Publié le 02/01/2021 à 15 :33
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/video-debriefing-dr-gerard-maudrux

[20] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090

[21] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.

[22] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic. medRxiv preprint doi :
https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;

[23] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936

[24] Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19
Eran Bendavid

[25] Joseph Stroberg Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28 https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/

[26] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260

[27] Philip Thomas Written evidence submitted by, Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563

[28] Bendavid1, Christophe Oh | Jay Bhattacharya John P. A. Ioannidis Assessing mandatory stay- at- home and business closure effects on the spread of COVID- 19Eran Eur J Clin Invest. 2021 ;00 : e13484

[29] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[30] Le docteur Patrick Bellier a été suspendu cinq mois pour refus du port du masque. Il a besoin de voir le visage de ses malades, une évidence pourtant. Finalement il a renoncé, encore un médecin clinicien de moins.




Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu’elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19

[Source : AIM SIB]

Quand a débuté la maladie Covid-19, vraiment? D’où vient ce virus? Et ces mesures de restrictions de liberté, de confinements, la ruine des petits commerces, la mise à l’arrêt des transports internationaux, la traque systématique de toute information qui ne cadre pas avec la communication mainstream, toutes décidées en un bel ensemble mondial, un hasard? Et cette efflorescence de vaccins anti-Covid qui sont commercialisés dans le monde entier en moins d’un an, heureux hasard, ou plutôt… Belle préparation? Emma Kahn signe probablement ici son article le plus polémique, le plus dérangeant et le plus utile. De la théorie à la possible pratique des pandémies sur ordonnance, bonne lecture…

Introduction

Après la pandémie de grippe H1N1 en 2009 et à l’occasion du centenaire de la grippe espagnole de 1918 des scénarios de pandémie ont été publiés par les grands organismes supra-nationaux tels le Forum Economique Mondial (WEF en anglais) ou de grands instituts de recherche comme le John Hopkins Institute. Ces scénarios ont été publiés dans le contexte de la crise économique et bancaire de 2007-2008 ou crise des « subprimes » : Les brèches ont été colmatées mais la crise n’a pas été résolue.

Je n’aborderai pas les aspects économiques ou technologiques car je n’en ai pas les moyens. Je me limiterai aux aspects politico-sanitaires. En 2009 est déclarée la pandémie de grippe H1N1 qui s’avère beaucoup moins sévère qu’escompté et qui fait surtout des dégâts parmi les obèses: 477 décès aux USA entre avril et août 2009. (1)
C’est l’occasion pour le CDC (Center of Diseases Control, USA) d’affiner ses méthodes de surveillance des pandémies. Un vaccin classique spécifique de la souche pandémique est élaboré et fabriqué rapidement, il est disponible début 2010.

Sans vouloir donner la moindre prise aux complotistes qui interprètent ces scénarios comme des preuves que la pandémie à SARS-CoV-2 a été programmée par ces organismes, il est quand même intéressant de se pencher sur la chronologie de ces tentatives de préparation. Il ne faut pas confondre anticipation (l’objet de ces scénarios) et programmation d’une pandémie (ce qui est clairement complotiste).

Extrait de « The Great Reset » de K. Schwab et T. Malleret, Forum Economique Mondial, juillet 2020:
-« De nombreux experts ont assimilé à tort la pandémie de COVID-19 à un évènement de type « cygne noir » simplement parce qu’elle présente toutes les caractéristiques d’un système adaptatif complexe. Mais en réalité, il s’agit d’un évènement de type « cygne blanc » quelque chose d’explicitement présenté comme tel par Nassim Taleb dans Le Cygne noir publié en 2007 : quelque chose qui se produirait finalement avec beaucoup de certitude. En effet ! Depuis des années, des organisations internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), des institutions comme le Forum Économique Mondial et la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI – lancée lors de la réunion annuelle de 2017 à Davos), et des personnes comme Bill Gates nous avertissent du risque de pandémie à venir, en précisant même qu’elle 1) émergerait dans un endroit très peuplé où le développement économique force les gens et la faune à cohabiter 2) se répandrait rapidement et silencieusement en exploitant les réseaux de voyage et de commerce humains 3) atteindrait plusieurs pays en déjouant les mesures d’endiguement. » (2)

Les cinq simulations connues depuis 2010

Première simulation, 2010 : The Rockfeller Fundation

Global Business Network, Scenarios for the future of technology and International Developpement (3)
Cette simulation insiste sur les aspects technologiques selon quatre scénarios dont le premier commence par une pandémie en 2012. Cette pandémie est décrite comme très mortelle (8 millions de morts en qq mois). Les pays pauvres sont plus touchés que les riches. Les confinements et mesures autoritaires sont appliquées partout. Les peuples abandonnent facilement beaucoup de leurs libertés mais commencent à se rebeller ensuite. Cette simulation n’est pas axée uniquement sur la pandémie mais évalue tous les enjeux technologiques futurs.

Seconde simulation, 2017 : The Spars pandemic

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health (4)
Ce scénario insiste beaucoup sur les erreurs de communication à ne pas commettre et sur les moyens de contrer les fake-news sur l’inefficacité et la toxicité du traitement. Il s’agit d’une pandémie à coronavirus originaire d’Asie qui est identifié grâce à des RT-PCR (tests diagnostiques par polymerase chain reaction avec reverse transcriptase). Les malades sont infectieux avant la déclaration des symptômes rendant leur isolement difficile et facilitant la diffusion de la maladie. Les enfants sont plus atteints que les adultes et la mortalité est plus élevée chez eux.
Un antiviral développé contre le SARS de 2003 (responsable de la première pandémie à coronavirus connue) est approuvé comme traitement bien que non dénué d’effets secondaires. Il est bientôt prouvé que ce médicament ne réduit pas la transmission, la communication officielle est remplie de contradictions sur l’efficacité de l’antiviral. La pandémie fait surtout des ravages dans les pays pauvres où les systèmes de santé sont défaillants.

Le CDC reconnaît que la létalité est beaucoup plus faible qu’annoncée. Le public commence à se désintéresser de la maladie. Les agences de santé préparent une campagne mondiale de communication pour contrer ce désintérêt en attendant l’arrivée du vaccin : des célébrités et des scientifiques participent à cette campagne.

Peu après la FDA (Food and Drug Administration, USA) publie les résultats d’une étude clinique montrant que les antiviraux sont finalement peu efficaces sur le virus.
Le vaccin est censé arriver bientôt et les gouvernements ne doivent pas rater aussi leur communication à ce sujet. Les premiers vaccins seront rares et il faut donc désigner des personnes prioritaires (enfants adolescents et femmes enceintes).
Le rapport décrit comment des effets secondaires indésirables ont commencé à apparaître à mesure que de plus en plus d’Américains recevaient le vaccin. Les parents ont affirmé que leurs enfants présentaient des symptômes neurologiques.

En mai 2027, les parents ont commencé à intenter des poursuites et à exiger la suppression de la responsabilité protégeant les sociétés pharmaceutiques qui ont développé le vaccin « Corovax ».

La simulation indique que « les théories du complot ont également proliféré sur les réseaux sociaux, suggérant que le virus avait été créé et introduit à dessein dans la population par des sociétés pharmaceutiques ou qu’il s’était échappé d’un laboratoire gouvernemental testant secrètement des armes biologiques« .

Troisième simulation, « Un monde en danger », par l’OMS

Septembre 2019;Conseil de surveillance de la préparation mondiale: (5)
Il s’agit d’une simulation de pandémie à virus respiratoire qui aurait pu être fabriqué en laboratoire et être plus dangereux qu’un virus naturel.

Extraits:
– » Le monde est insuffisamment préparé particulièrement en ce qui concerne la mise au point et la fabrication de vaccins innovants, d’antiviraux à large spectre, d’interventions non pharmaceutiques appropriées (comme le port du masque, les confinements,…), de thérapies ciblées (y compris les anticorps monoclonaux), de systèmes de partage des séquences de tout nouvel agent pathogène et de moyens pour partager équitablement des contre-mesures médicales limitées entre les pays. De nouvelles thérapies et des antiviraux à large spectre sont largement disponibles pour traiter et réduire la mortalité due à une série de virus ; les nouveaux agents pathogènes sont systématiquement identifiés et séquencés, et les séquences sont partagées sur un site web accessible dans le monde entier (c’est ce qui s’est réellement passé avec la création du GISAID qui recense les séquences du virus déposées par les scientifiques). La fabrication décentralisée de vaccins, y compris les types de vaccins à acides nucléiques commence dans les jours qui suivent l’obtention des nouvelles séquences et les vaccins efficaces sont pré-testés et leur utilisation est approuvée dans les semaines qui suivent (c’est ce qui s’est passé avec le début de fabrication en janvier et février 2020 pour Pfizer et Moderna). Il est nécessaire de coordonner la réponse au niveau planétaire avec une direction bien identifiée. Outre le risque accru de pandémie dû aux agents pathogènes naturels, les progrès scientifiques permettent de concevoir ou de recréer en laboratoire des micro-organismes pathogènes. Si des pays, des groupes terroristes ou des individus scientifiquement avancés créent ou obtiennent puis utilisent des armes biologiques présentant les caractéristiques d’un nouvel agent pathogène respiratoire à fort impact, les conséquences pourraient être aussi graves, voire plus graves, que celles d’une épidémie naturelle, tout comme une libération accidentelle de micro-organismes susceptibles de provoquer une épidémie. »

Quatrième simulation : « Event 201 » par John Hopkins

Center for Health Security : John Hopkins Bloomberg School of Public Health, -Bill et Melinda Gates Fundation-WEF (Forum Economique Mondial), Octobre 2019: (6)
L’événement 201 simule une épidémie d’un nouveau coronavirus transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, entraînant une grave pandémie. L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS de 2003, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins. Pas de vaccin disponible au cours de la première année. Il existe un médicament antiviral fictif (sic!) qui peut aider les malades, mais qui ne limite pas de manière significative la propagation de la maladie.
À mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.
Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès. La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie continuera à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. À partir de ce moment, il est probable qu’il s’agisse d’une maladie infantile endémique.

Recommandations:
-Renforcer les stocks de contre-mesures médicales (masques, gants, surblouses, etc…)
-Soutenir le développement et à la fabrication accélérée de vaccins, de produits thérapeutiques et de diagnostics.
-Donner la priorité à la réduction des impacts économiques des épidémies et des pandémies.
-Lutter contre la désinformation.

Cinquième simulation : Forum Economique Mondial

19 novembre 2019, Global Health Security: Epidemics Readiness Accelerator: (7)
Liste des partenaires sur le site. Le WEF a été chargé de gérer les risques associées aux pandémies.

Extrait:
– » Faire face aux risques biologiques émergents: L’avènement de puissantes biotechnologies et l’accessibilité croissante de l’information augmentent la possibilité que les biosciences soient utilisées à mauvais escient, intentionnellement ou non. Pour se prémunir contre ce risque, certains gouvernements et entreprises ont mis l’accent sur le dépistage des commandes et des clients de la synthèse d’ADN en vue d’une éventuelle utilisation illicite. Mais les normes sont encore suffisantes. La récente synthèse du virus de la variole chevaline par des scientifiques canadiens, avec un financement rapporté (d’une société privée de biotechnologie américaine) de seulement 100 000 dollars, a soulevé de nouvelles questions de la part des décideurs politiques, du public et de la communauté des chercheurs sur l’avenir de la synthèse de l’ADN ainsi que sur la force des mécanismes mondiaux existants pour filtrer les commandes et les clients. Pour préserver un accès sûr et sécurisé aux outils de synthèse de l’ADN qui alimentent la révolution biotechnologique, il est devenu essentiel de revoir et d’améliorer le filtrage des commandes de synthèse de gènes contre les abus. Le Forum cherche à contribuer à empêcher que les technologies de synthèse de l’ADN ne soient utilisées pour fabriquer des agents biologiques dangereux.  »

Comment interpréter ces simulations

Ces travaux deviennent au fil du temps de plus en plus précis concernant une pandémie à coronavirus, alors qu’en 2010 la première concernait tous les aspects économiques et technologiques du futur. C’est peut-être le reflet de l’emprise de plus en plus forte sur ces organismes supra-nationaux du complexe des entreprises impliquées dans la santé et les nouvelles technologies (agro-alimentaire, pharmacie, GAFAM, …) : celles-ci dominent les autres secteurs économiques.

En 2019 il devient question clairement d’une pandémie à coronavirus et les risques liés à la synthèse devenue récemment possible de virus à partir de séquences d’ADN sont soulignés.

En ce début 2021, il est maintenant assez probable pour les virologistes qualifiés que le SARS-CoV-2 ait été fabriqué lors d’expériences de gain de fonction dans un laboratoire chinois en collaboration avec des scientifiques et des financements américains.

Il est beaucoup question dans les médias du laboratoire P4 (P4 = le plus haut niveau sécurité) de Wuhan. Mais il est très probable que ce laboratoire n’y soit pour rien : Les principales fonctions potentiellement dangereuses sur les CoV ont dû être ajoutées en P2 ou P3. Ceci servant actuellement beaucoup les Chinois, pour disqualifier l’hypothèse de fuite du labo, car effectivement, la fuite du P4 est très difficile et peu probable, contrairement a une fuite d’autre labos non-sécurisés.

Le fait que dans sa description de la séquence du SARS-CoV-2 de mars 2020 dans Nature (8)Shi Zhengli s’arrête juste avant le site furine en comparant la séquence du SARS-CoV-2 avec celle du RaTG13 dont il est censé avoir dérivé naturellement est une sorte d’aveu qui n’a pas échappé aux coronavirologistes, la description s’arrête à l’aminoacide 675 alors que le site furine se trouve à la position 680… (9)

C’est ce site polybasique qui permet au virus d’utiliser les furines, enzymes ubiquitaires, pour cliver la protéine spike. Cela lui permet d’entrer dans de nombreux types cellulaires, lui permet d’infecter l’homme et lui confère sa contagiosité. (10)
Des essais d’insertion de site furine (gains de fonction) étaient en cours depuis quelques années sur les coronavirus et ceci en collaboration avec les américains, Ralph Baric travaille depuis longtemps avec Madame Shi et le labo P4 de Wuhan.

D’après Etienne Decroly, la question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement :
-« Reste la 4e insertion qui fait apparaître un site de protéolyse furine chez le SARS-CoV-2 absente dans le reste de la famille des SARS-CoV. On ne peut donc pas exclure que cette insertion résulte d’expériences visant à permettre à un virus animal de passer la barrière d’espèce vers l’humain dans la mesure où il est bien connu que ce type d’insertion joue un rôle clé dans la propagation de nombreux virus dans l’espèce humaine. » (11)

À nouveau, Etienne Decroly et Jacques Van Helden ne rejettent pas du tout l’hypothèse d’une origine artificielle du virus, ainsi dans un article de début 2021 ils mentionnent en conclusion: (12)
– » En conclusion, les arguments en faveur de l’origine proximale naturelle ne sont pas encore concluants et, bien que cette hypothèse ait été largement soutenue par la communauté scientifique, d’autres hypothèses sur une possible origine en laboratoire ne peuvent être formellement écartées. Cette question devrait donc être rouverte, et toutes les hypothèses devraient être évaluées et pondérées en fonction des différents éléments d’information dont nous disposons. »

De plus, les études qui tentent de prouver l’origine naturelle du SARS-CoV-2 manquent de données fiables. (13)

Conclusions

On peut donc penser que ces instances internationales savaient que le virus existait et qu’il s’était déjà échappé du laboratoire en 2019 puisque beaucoup d’indices laissent penser que la pandémie a commencé en Chine dès l’été 2019 et dès octobre 2019 en Europe.

Il est même possible que le virus ait déjà été présent dès 2017 puisque la simulation de la pandémie « SPARS » évoque la possibilité d’un virus échappé d’un laboratoire. Les autorités auraient pu être au courant de ce risque imminent.

Elles ont donc tenté de préparer les Etats à cette pandémie du point de vue économique et sanitaire.

Entre autres, Pfizer a signé un accord avec la B&M Gates Fundation en septembre 2019, le développement du vaccin a commencé le 10 janvier 2020 (14), le vaccin Moderna a commencé à être développé début février 2020 (15), on rappelle que la déclaration d’état de pandémie n’a été proclamée par l’OMS que le 11 mars 2020. Il est difficile de soutenir, comme c’est encore le cas actuellement, que les gouvernements ont été confrontés par surprise à cette pandémie !

L’OMS semble bien à la peine dans la prise de décisions et la gestion de la crise avec la visite seulement en janvier-février 2021 du laboratoire de Wuhan : La mission arrive un an après le début de la pandémie avec une commission pétrie de conflits d’interêt, dont le principal expert officiel chinois des coronavirus (16).  Le résultat officiel de cette mission semble exclure l’hypothèse du virus sorti d’un laboratoire cependant à la lecture de l’interview de Peter Ben Embarek (), chef de la mission d’enquête de l’OMS à Wuhan sur l’origine du virus on comprend que contrairement à ce qui est annoncé cette enquête a permis de ne plus exclure une origine articifielle du virus, bien que cette hypothèse soit qualifiée de « très peu probable » : il est dit qu’avant cette mission cette hypothèse était inenvisageable. (17)

On comprend aussi que l’émergence du virus bien avant décembre 2019 n’est pas exclue : les Chinois ont recueilli 72 000 cas de syndrômes grippaux apparus au cours de 2019 et qui auraient pu être dus à la Covid-19, mais seuls 92 cas ont été retenus pour être contrôlés au niveau sérologique et seuls 67 cas ont été testés négatifs pour le SARS-CoV-2. On ne sait pas assez précisément comment les Chinois sont passés de 72 000 à 92 et sur quels critères : il faudrait réexaminer ces 72 000 cas de Covid suspects.

En bref, rien n’est exclu !

Les prévisions anticipent une pandémie plus sévère que celle que nous connaissons avec 65 millions de décès pour « Event 201 ». Elles ne prévoient pas que les pays développés seraient plus touchés que les pays émergents et n’anticipent pas le principal problème qu’est le délabrement des systèmes de santé de ces pays riches. Ceci montre que des zones d’ombres persistent toujours dans ces simulations : Les prévisionnistes ne prennent pas en compte l’état général sanitaire d’une population face à une agression virale ; ils n’imaginent pas que le mode de vie des pays riches puisse être délétère et rende une certaine partie de la population plus sensible à un virus respiratoire (et pourtant la pandémie de 2009 à grippe H1N1 avait touché plutôt les enfants et adultes jeunes mais avait été particulièrement grave pour les obèses).

Concernant la prévision de 2017 « Spars pandemic », il est anticipé une compétition entre différents pays pour placer leurs antiviraux malgré leur faible efficacité. Ce qui s’est passé réellement est plutôt une tentative de la part de la Société Gilead de placer son antiviral (Remdesivir) en bonne position sur toute la planète malgré sa toxicité (18) et son absence d’efficacité connues (19).

Il était anticipé aussi que la létalité de la pandémie serait surévaluée au départ ; quand cela devient assez évident le public commence à se désintéresser de la maladie et la communication officielle doit combattre ce désintérêt jusqu’à l’arrivée du vaccin.

Sans donner de grain à moudre aux complotistes, la leçon a été retenue et l’intérêt pour la Covid-19 n’a pas faibli : les mesures restrictives sous forme de stop-and-go et la communication ininterrompue sur la gravité de la maladie ont maintenu la peur et l’attente du vaccin.

Conformément à ce qui était anticipé dans l’Event 201Melinda Gates a récemment affirmé que la vie « normale » ne pourrait pas reprendre tant que toute la population mondiale n’aura pas été vaccinée. (20)

Emma Kahn
Février 2021

Notes et sources

(1) https://www.cdc.gov/h1n1flu/cdcresponse.htm
(2) Extrait de « La Grande Réinitialisation« , point 1.1.3., complexité du monde actuel, 4° paragraphe.
(3) https://www.fichier-pdf.fr/2020/04/13/rockefeller/
(4) https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/pubs_archive/pubs-pdfs/2017/spars-pandemic-scenario.pdf
(5) https://apps.who.int/gpmb/assets/annual_report/GPMB_annualreport_2019.pdf
(6) https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
(7) https://www.weforum.org/projects/managing-the-risk-and-impact-of-future-epidemics
(8) Zhou, P., Yang, XL., Wang, XG. et al. A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin. Nature579, 270–273 (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2012-7
(9) https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7/figures/6
(10)  The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade , B. Coutard, C. Valle, X. de Lamballerie, B. Canard, N.G. Seidah, E. Decroly, 10 février 2020 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32057769
(11) https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-question-de-lorigine-du-sars-cov-2-se-pose-serieusement
(12) Sallard, E., Halloy, J., Casane, D. et al. Tracing the origins of SARS-COV-2 in coronavirus phylogenies: a review. Environ Chem Lett (2021). https://doi.org/10.1007/s10311-020-01151-1
(13) https://childrenshealthdefense.org/defender/flawed-studies-covid-origin/
(14) https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2034577
(15) https://investors.modernatx.com/node/10841/pdf
(16) https://www.who.int/multi-media/details/who-media-briefing-from-wuhan-on-covid-19-mission—9-february-2021
(17) https://www.sciencemag.org/news/2021/02/politics-was-always-room-who-mission-chief-reflects-china-trip-seeking-covid-19-s
(18) https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-remdesivir-gilead-idUSKBN27T13W
(19) https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMoa2023184
(20) https://www.lejdd.fr/International/exclusif-melinda-gates-pas-de-vie-normale-tant-que-le-monde-entier-ne-sera-pas-vaccine-4021956

Auteur de l’article : Emma Kahn




Dissimulation d’un scandale de dimension mondiale : le gouvernement de Trudeau a aidé la Chine à cacher les origines de la Covid-19

[Source : Guy Boulianne]

[Voici un article de Keean Bexte en date du 14 janvier 2021] — L’histoire qui a été racontée et généralement acceptée sur les origines du COVID-19 n’est pas vraie. D’où vient le virus qui cause cette maladie? Et tout aussi important, quand précisément est-il arrivé au Canada?

Keean Bexte a obtenu des documents militaires secrets distribués par les plus hauts rangs des Forces armées canadiennes pour tenter de dissimuler un scandale de dimension mondiale. Le document, intitulé « Exposition potentielle au nouveau coronavirus de 2019 lors des 7e Jeux mondiaux militaires tenus en octobre 2019 à Wuhan, dans la province du Hubei en Chine », a été rédigé par le chirurgien général du Canada, A.M.T. Downes, major général.

La position de Downes relève du ministre de la Défense de Trudeau, Harjit Sajjan, et lui obéit. Quelques semaines après avoir envoyé cette lettre explosive à chaque soldat canadien qui était à Wuhan pour les Jeux militaires, le major général Downes a démissionné.

Keean Bexte partage avec nous tous les détails cruciaux de cette lettre, ainsi qu’une entrevue exclusive avec un haut soldat des Forces armées canadiennes. Afin de protéger la sécurité et l’identité du brave soldat qui a fourni cette information, RebelNews a remplacé sa voix par un doubleur.

La source détaille la réponse de dissimulation du Canada à une épidémie critique de pneumonie dans un contingent de 176 soldats canadiens stationnés à Wuhan, plus de deux mois avant que la République populaire de Chine ne rapporte des éclosions dans la même ville, mais quelques semaines seulement avant le premier cas officiellement reconnu le 17 novembre 2019.

Alors que le contingent rentrait au Canada à bord d’un avion Polaris, un tiers des membres ont été mis en quarantaine à l’arrière de l’avion. Ils ont peut-être été les premiers Canadiens à être mis en quarantaine contre le virus de Wuhan. Étrangement, à leur retour au Canada, les hauts gradés des forces armées ont décidé de mettre fin à la quarantaine des soldats et de les renvoyer chez eux à travers le pays.

Quelle a été la réaction du chirurgien général de Justin Trudeau à cela? Et ne vous y trompez pas, le chirurgien général relève directement du ministre de la Défense de Trudeau – il est un soldat politique.

Naturellement, le gouvernement a décidé de le cacher. Lorsque les soldats ont commencé à demander à être testés, la réponse a été non. Voyez, si plusieurs dizaines de soldats canadiens étaient testés positifs aux anticorps COVID-19 en janvier 2020, après avoir été infectés en octobre 2019, les Chinois seraient dans de l’eau très, très chaude. Preuve irréfutable qu’ils avaient menti sur les origines du virus.



La lettre a été envoyée le 22 janvier, à peu près au moment où le gouvernement canadien s’est rendu compte que la crise du virus de Wuhan allait prendre tout l’air de la pièce pendant très longtemps. Pendant que la Dre Theresa Tam, médecin hygiéniste en chef, demandait aux Canadiens de se calmer et de cesser d’être raciste envers les Chinois, l’armée se démenait pour contenir cette nouvelle.

« À notre connaissance, aucun participant aux Jeux mondiaux militaires du Conseil international du sport militaire (CISM) n’a été infecté par le 2019-nCoV », lit-on dans la lettre.

« Nous estimons que le nombre de cas soupçonnés d’infection au 2019-nCoV ainsi que le nombre de pays signalant des cas soupçonnés augmenteront au cours des 30 prochains jours. L’augmentation du nombre de cas continuera de susciter une attention importante des médias et nourrira l’inquiétude du public, plus particulièrement pendant la première semaine de février alors que le Nouvel An chinois donne lieu à de nombreux déplacements. »



L’armée, en consultation avec les dirigeants politiques, a refusé de tester les soldats gravement malades pour la COVID-19, ce qui pourrait expliquer pourquoi ils n’étaient au courant d’aucun cas confirmé de COVID, lorsque le contingent a été balayé par des cas extrêmes de pneumonie.

Le premier cas de COVID-19 que les journalistes ont pu confirmer était un homme de 55 ans le 17 novembre. Il aurait pu être infecté 14 jours avant cela, ce qui signifie que la première infection confirmée aurait pu être aussi peu que cinq jours après le départ définitif des athlètes de Wuhan. Trudeau veut nous faire croire que nos soldats viennent d’être infectés par un autre virus aléatoire à Wuhan, provoquant une pneumonie critique et une toux d’un an.

Pourquoi pensez-vous que le gouvernement canadien a décidé de cacher ce secret? Ignorer les implications géopolitiques de renverser le récit sanctionné par l’État chinois? Pire encore, pourquoi refuseraient-ils de donner aux soldats canadiens l’accès aux meilleurs soins de santé disponibles?

Nos soldats mettent leur vie en jeu pour le Canada, et Trudeau a trop peur pour leur faire passer un test COVID? N’importe quoi pour protéger ses amis chinois, je suppose.


Leslie kenderesi, membre des Forces Canadiennes depuis 25 ans, a osé parler et se soucier de l’intérêt du peuple en appelant ses camarades à ignorer les ordres de distribution du vaccin COVID : « Je demande aux militaires, actuellement en service, aux camionneurs, aux médecins, aux ingénieurs, quoi que vous soyez, de ne pas prendre cet ordre illégal (pour) la distribution de ce vaccin ». Kenderesi a été présenté comme « le premier patriote canadien » et comme un élève-officier avec 25 ans d’expérience.



Le gouvernement des voleurs de vies

Par Jean-Michel Grau

La honte intersidérale. Voici les témoignages poignants de désespoir d’étudiants confinés, reconfinés, et maintenant sous couvre-feu. Ils sont extraits d’une vidéo qui déchire le coeur (1) :

«J’ai l’impression que ça sert à rien, que tout ça, ça va jamais se terminer. J’ai plus d’espoir. Plus d’espoir de m’en sortir, plus d’espoir de me dire qu’un jour ce sera fini. Et voilà, on n’a plus d’espoir, plus rien. C’est terminé, c’est terminé.»

Alexis, 18 ans

« C’est un sentiment de ras-le-bol en fait, on n’en peut plus. On voit tous nos rêves s’effondrer…»

Marie, 24 ans

«Y’a énormément d’étudiants qui abandonnent dans ma licence, et qui disparaissent… On ne sait pas où ils sont et on ne sait pas ce qu’ils font. Je suis sous anti-dépresseurs. Quand est-ce que notre détresse va être prise en compte à sa juste mesure ?»

Léann, 18 ans

«J’ai eu pour la première fois des pensées suicidaires. Je me sens seule, et en fait, je me rends compte qu’à part ma volonté, plus rien ne me retient de passer à l’acte. Donc, ça fait peur de se dire que c’est seulement ma force mentale, qui n’est pas très élevée, qui me retient de vivre.»

Grâce, 20 ans

« Je suis tombé dans l’alcool, je suis entré dans les médicaments et les anxiolythiques. »

Maxime, 17 ans

«J’ai vécu les deux confinements seule, et s’il y en a un troisième, je vais le vivre seule, et pour ma santé mentale en fait, je pense que ce sera la ligne de non retour. Et c’est terrible de vivre dans cette incertitude. »

Mylène, 22 ans

«C’est juste plus possible pour les étudiants de continuer comme ça, et c’est vraiment alarmant de voir la situation des étudiants, il faut vraiment réagir maintenant. »

Bertille, 18 ans

Selon l’enquête Ipsos du 28/01/2021 :

40 % des jeunes font état d’un trouble anxieux généralisé

30 % avouent avoir déjà eu des idées suicidaires ou songé à se mutiler. Combien d’entre eux sont déjà passé à l’acte?

Le sort de ces centaines d’étudiants en détresse suite aux confinements aveugles et maintenant obligés d’aller à la soupe populaire est une honte absolue. (2) Quel est le qualificatif d’un État qui massacre ainsi l’avenir de ses propres enfants si ce n’est celui d’un État terroriste ?

Qu’attend le gouvernement pour lever ce confinement destructeur de vies ? Que sa jeunesse batte le record du taux de suicides occidental ?

Ce même gouvernement qui impose le port du masque obligatoire huit heures par jour à l’école à des enfants à partir de six ans dont les pathologies mortifères ne sont plus à démontrer. (3) Qu’attend le Conseil d’État pour l’interdire aux mineurs comme son homologue italien ? Qu’ils finissent définitivement par s’asphyxier à force de respirer leur propre gaz carbonique ?

Ce même gouvernement qui a autorisé dans les EHPAD, par le décret du 29 mars 2020, les injections de Rivotril pour accélérer la fin de vie des patients qu’ils estimaient ne pas pouvoir prendre en charge, faute de lits disponibles dans les hôpitaux, résultat des 100.000 lits supprimés depuis 20 ans. Sans le consentement du patient, ni de sa famille qui ne le reverra pas. (4)

De l’Allemagne aux USA, de la Grande Bretagne au Canada et de la France à l’Australie, une class action de milliers d’avocats est en train de se constituer au sein de collectifs citoyens pour mettre en place ce qui va devenir le plus grand tribunal de Nuremberg de tous les temps. Afin de juger pour crimes contre l’humanité tous ceux qui auront participé à cette gigantesque prise d’otages des peuples occidentaux, instrumentalisée avec le Covid 19 par le Forum de Davos, avec l’Union européenne à la manœuvre et ses gouvernements les plus serviles. Pour installer une dictature sanitaire par la peur et le chantage aux vaccins, en détruisant les libertés et l’économie. Pour asservir et déposséder les peuples, afin de permettre à l’oligarchie financière de faire main basse sur toutes les richesses de la classe moyenne.

Mais la propagande de la peur assénée depuis un an sur tous les médias occidentaux se lézarde de jour en jour. La vérité crue commence à apparaître avec les actions judiciaires internationales, dévoilant sous le masque sanitaire, le visage hideux du grand reset génocidaire mondialiste.

La peur est en train de changer de camp. Dans ce scandale sanitaire international, tous les voleurs de vie devront très bientôt répondre de leurs actes devant la justice des peuples.


Notes

(1) https://youtu.be/9XzBeUUATbE

(2) https://youtu.be/VbE-3tE_Sec :

(3) nouveau-monde.ca/fr/les-masques-tombent-sur-la-cruaute-des-mondialistes/

(4) Nicole et Gérard Delépine, autopsie d’un confinement aveugle, p. 98