La farce de la Nasa et la vraie mission des cosmonautes

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

[© Photo / Capture d’écran: Youtube]

Beaucoup de gens doutent de l’alunissage de 1969, autre opération de l’État US.

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[Voir aussi : L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?]
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Star Wars Episode IV (1977)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBEStar Wars Episode IV (1977)

En réalité il n’y a jamais eu de conquête spatiale, ni même de volonté de conquête spatiale. Et la soi-disant conquête spatiale n’avait que deux missions : contrôler l’espace proche de la terre transformé aujourd’hui en poubelle bourrée de satellites de surveillance et d’armes de destruction démocratique ; préparer notre vie à tous dans le monde simulateur du XXIe siècle. Mais si la conquête spatiale initiée par les nazis et poursuivie du fait de la guerre froide, cette guerre froide avec le monde qui n’en finit pas, et qui risque de nous coûter finalement cher, n’a pas servi à conquérir les galaxies et à exploiter les pétroles vénusiens en guerroyant avec les Aliens et les hommes verts, à quoi aura-t-elle donc servi ?

À nous conditionner et à nous préparer à des temps moins marrants, digne de la dystopie présente.

Oubliez les résultats inexistants de la pseudo-conquête et revoyez 2001 l’odyssée de l’espace, ou bien l’Étoffe des héros, ou bien même Solaris, et comparez votre vie urbaine et celle à venir de vos enfants avec celle d’un cosmonaute. Revoyez tous ces films de science-fiction et vous verrez que tout cela n’avait que ce seul but : nous préparer à vivre comme des cosmonautes, mais sans jamais aller dans l’espace. La simulation de vol spatial et de conquête des étoiles est allée de pair avec un contrôle mental et surtout, finalement, physique sans précédent dans l’histoire de notre occident vieillissant.

2001, l'Odyssée de l'espace
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE 2001, l’Odyssée de l’espace

Car, et réfléchissez bien, en quoi consiste la vie d’un cosmonaute ? Revoyez 2001, pas la Guerre des étoiles, qui sert à vendre des jeux vidéo. J’ai évoqué ce thème dans mon long livre sur Kubrick.

• Un cosmonaute passe sa vie devant des écrans, comme nos contemporains. Il a toujours un problème technique. Il est toujours dans un moyen de transport quelconque.

• Un cosmonaute a peu d’espace pour vivre. Pensez au parisien ou au newyorkais pauvre.

• Un cosmonaute se tient toujours dans la dépendance d’un moyen technologique. Il passe son temps à envoyer des messages codés et à se plaindre d’avoir un problème (Houston…). Il passe son temps à pousser des boutons et, s’il n’est pas très calé en réparations (et qui va réparer un gadget Apple ?), il se tient bien tranquille.

• Il est gros consommateur d’énergie et il ne se sert plus de son corps. Il en grignote, des friandises, comme dans un conte de fées ! Combien vous dites, un milliard trois d’obèses dans le monde ? Wall-E représente d’ailleurs un vaisseau d’obèses en lévitation permanente. Seuls les pouces travaillent sur le smartphone.

• Un cosmonaute est tenu de lire tout le temps des modes d’emploi et des règlements. Revoyez la pause-pipi, un des moments marrants de 2001 l’odyssée de l’espace. Et pensez au tableau de bord de votre BMW ou à votre vie quotidienne contrôlée par les ordinateurs et les clones d’Hal 9000.

Gravity (2013)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Gravity (2013)

Mais surtout, le cosmonaute annonce le troupeau mondialisé du citoyen anonyme et sans honneur.

• Le cosmonaute est sans racines. Il n’y a pas plus de terre, il n’y a plus de nation dans l’espace. Il n’y a que des vaisseaux et que des bases US, des stations, stations qui n’ont rien de christique. Dans l’espace, personne ne vous entendra prier ! Et pensez au temps que nous devons passer dans des endroits aseptisés (aéroports, hubs, échangeurs, supermarchés, stations-services, centres commerciaux, etc.). Le film Gravity avec Bullock et Clooney le montre bien d’ailleurs.

• Un cosmonaute plane, il est cool, il fait des voyages dans l’astral. Suspendu les quatre fers en l’air, il a perdu la notion du temps et de… l’espace. On avait comparé la vision ultime de 2001 à l’absorption de LSD. Le cosmonaute annonce l’individu blasé et déphasé, nourri aux benzodiazépines…

Solaris (2002)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Solaris (2002)

• Il perd aussi la notion de nourriture, en suçant à petites gorgées tout un tas de cochonneries baptisées « Science Food » par la fondation Rockefeller. On voit les enfants du monde se précipiter dessus, sur ces poisons chimiques et ces venins en plastique. Pensez aussi à la corvée du repas dans 2001 et à la méditation de Bruce Dern dans le très beau Silent running (Nietzsche pronostiquait un retour à l’enfance, il a été servi).

• En parlant de ce film, je dois rajouter qu’il est écologiste et que l’écologie est apparue avec la conquête spatiale, comme forme silencieuse et sophistiquée de notre eschatologique dictature humanitaire. Il faut défendre la « planète bleue » en contrôlant les populations et leur consommation. Qui devra-t-on sacrifier ? Un ou deux membres de l’équipage ! Voyez l’album d’Hergé : lui avait résolu le problème !

Alien (1979)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Alien (1979)

• Le cosmonaute est évidemment unisexe. Habillé en uniforme, éternel enfant en état d’apesanteur, il perdu toute virilité, toute féminité, ne rêvant comme dans Alien ou Species que de s’accoupler avec des incubes ou des succubes (les ET sont les simples démons de notre tradition chrétienne). Sa vie sexuelle est virtuelle et pornographique, ne dépendant que des fantasmes. Et cette révolution sexuelle est en cours : voyez les émissions du câble la nuit, vous comprendrez où l’avant-garde culturelle américaine veut nous mener. Les sorcières de Shakespeare et le bon Dracula n’ont qu’à bien se tenir.

• Condamné à une fausse vie, une existence minimale et formelle (le mètre carré est bien trop cher, comme à Paris, Séoul ou Manhattan), le cosmonaute compétent doit passer sa vie à se former, se recycler, et s’entraîner. Mais dans Wall-E, ce sont les robots qui ont ce beau rôle, comme dans Terminator et finalement dans 2001 ou I robot: à la fin de l’Histoire, l’ordinateur est le seul être libre.

I robot (2004)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE I robot (2004)

• Le cosmonaute est aussi condamné à s’ennuyer, faire des jeux vidéo, à contrôler son mental et son diabète sous le regard sévère du complexe militaro-médical et psychiatrique qui a pris le contrôle de nos identités bien menacées. Dans cette vie vidée d’essence, on le remplit de faux souvenirs comme dans une mauvaise nouvelle de Philip K. Dick (voyez Total recall, le meilleur Schwarzenegger). Vis-je, ou rêvé-je ma vie si vide ?

• La cybernétique a pris le contrôle de nos sociétés avec la guerre, la recherche nazie, soviétique, américaine. Lisez Chris Gray (le Cyborg Handbook) ou le chercheur soviétique, moins connu bien sûr, Slava Gerovitch (New soviet man) qui explique comment le programme d’entraînement des cosmonautes était sous le contrôle des centres de recherche cybernétique.

Pas très capable de nous envoyer dans l’espace, pas très capable de nous promettre la lune, la farce médiatique de la conquête spatiale et du cosmonaute US a permis la transformation des humains en transhumains. Presque tous les grands écrivains de SF américains, y compris le fondateur de la scientologie venaient de l’intelligence navale et militaire. Je vous laisserai vérifier.


Livres




L’histoire macabre des pensionnats autochtones au Canada : Une conséquence de la 3e conquête britannique en Amérique

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Robin Philpot

Image en vedette : murale, Canada. Source : Pixabay.com

En faisant tomber le monument à la Reine Victoria devant l’Assemblée législative à Winnipeg à la suite de la découverte de plus de mille corps d’enfants autochtones autour de 3 pensionnats, les Premières nations du Manitoba ont choisi la bonne cible.  Leur action a résonné un peu partout sur la planète, car ce qu’ils ont subi au nom de la Reine Victoria est exactement ce qu’ont subi d’autres peuples, souvent à la même époque et aux mains des mêmes militaires britanniques : conquête militaire, répression sanglante, colonisation massive et domination raciste. 

Au cimetière de la Première nation Cowessess, en Saskatchewan, où 751 corps de jeunes autochtones ont été identifiés, le premier enterrement a eu lieu en 1885. C’était l’année de la célèbre conférence de Berlin où les empires européens se sont rencontrés pour partager et diviser l’Afrique en vue de la colonisation. 

L’année 1885, loin d’être anodine, est aussi une date charnière dans l’histoire de l’Empire britannique et son nouveau dominion, l’Amérique du Nord britannique ou le Canada. C’est l’année où cet Empire scelle sa 3e conquête en terres d’Amérique, après celle de 1759-60 (appelée aussi Guerre de 7 ans ou French and Indian War), et celle de 1837-38, où il a maté la révolte les Patriotes républicains québécois.

Portrait de Louis Riel. Auteur inconnu.  
Crédit / Source Notman Studio.
Library and Archives Canada, PA-139073. 
Flickr.com

Le 16 novembre 1885, le gouvernement du Canada sous John A. MacDonald pend Louis Riel dans les quartiers de la North-west Mounted Police (ancêtre de la GRC), sous les applaudissements nourris du tout Toronto, dominé par les Orangistes, mais sous la condamnation bruyante et massive du Québec, y compris de son premier ministre Honoré Mercie

Le crime de Riel : avoir tenté de fédérer les Métis et des peuples autochtones sous un gouvernement provisoire opposé à la prise des terres et la colonisation des territoires du Nord-Ouest que peuples autochtones occupaient depuis toujours. 

Onze jours plus tard, Le 27 novembre 1885, le même gouvernement pend en public 6 guerriers cris et 2 guerriers nakotas à Battleford, en Saskatchewan. Ce sont Kah – Paypamahchukways (Wandering Spirit), Pah Pah-Me-Kee-Sick (Walking the Sky), Manchoose (Bad Arrow), Kit-Ahwah-Ke-Ni (Miserable Man), Nahpase (Iron Body), A-Pis-Chas-Koos (Little Bear), Itka (Crooked Leg), Waywahnitch (Man Without Blood). La pendaison publique et l’enterrement dans une fosse commune suivaient de quelques semaines des procès expéditifs devant un jury composé de colons anglo-protestants et un juge du nom de Charles Rouleau dont le conflit d’intérêts était flagrant : sa maison avait brûlée lors du conflit.

Pour enfoncer le message, on fait venir des membres des nations dont les guerriers sont issus pour qu’ils n’oublient jamais. Dans une lettre confidentielle écrite le 20 novembre, le premier ministre John A. MacDonald écrit : « les exécutions … devraient convaincre l’homme rouge que c’est l’homme blanc qui gouverne. » Ce message suivait de peu sa déclaration que « Louis Riel serait pendu même si tous les chiens du Québec aboient en sa faveur. »

Il s’agissait de la deuxième grande intervention militaire visant à imposer la souveraineté britannique sur les Territoires du Nord-Ouest. La première, celle de 1870, avait pour objectif d’éliminer le premier gouvernement provisoire du Manitoba dirigé aussi par Louis Riel. 

Une conquête coloniale parmi d’autres

Aux commandes des troupes britanniques en 1870, on trouve le maréchal Garnet Wolseley. Wolseley n’est pas un quidam. Il est le grand symbole de l’expansion planétaire, et sanglante, de l’Empire britannique au 18e siècle. Nommé Vicomte Sir Wolseley en 1885 par la Reine Victoria, Wolseley, avant sa confrontation avec Louis Riel, avait gagné ses galons aux guerres coloniales meurtrières en Inde en 1857 et en Chine en 1860, dont le pillage et la destruction du magnifique Palais d’été de Beijing, cette « merveille du monde », selon Victor Hugo. 

Après Riel, à titre de gouverneur de la Gold Coast (aujourd’hui le Ghana), il dirige les troupes britanniques dans la prise de la capitale du royaume Ashanti, Kumasi, qu’il incendie; il commande les troupes contre une rébellion en Égypte et à Khartoum et en Afrique du Sud. Ardent défenseur du général esclavagiste Robert E. Lee, Wolseley est toujours honoré par le Canada où des rues de Montréal-Ouest, de Toronto, de Thunder Bay, de Winnipeg portent son nom de même qu’une petite ville de la Saskatchewan … tout près de la Première nation Cowessess.

En 1885, c’est le Major-général britannique Frederick Middleton, autre vétéran des guerres coloniales britanniques, qui est aux commandes des troupes envoyées pour mater la résistance des Métis et des nations autochtones. Comme Wolseley, Middleton avait participé à titre d’officier à la répression de la révolte en Inde en 1857, mais aussi dans la guerre contre les Maoris en Nouvelle-Zélande. Écraser la résistance de peuples autochtones est dans ses cordes. En 1885, ses troupes sont composées de paramilitaires de la NWMP, de milices volontaires, surtout orangistes de l’Ontario. La Couronne britannique voulait éviter de provoquer la plus puissante armée du monde en y déployant l’armée britanniques. 

Sans saisir la nature et le contexte de cette 3e conquête britannique, on ne peut comprendre ce qui s’ensuit, de l’imposition des traités de dépossession – pudiquement qualifiés de traités numérotés – et de la Loi sur les Indiens jusqu’à la désolante situation actuelle où le gouvernement du Canada parle de « réconciliation » tandis que des dirigeants autochtones réclament justice.

« Frapper l’organisation tribale en plein cœur »

Comme dans toute conquête, tous les moyens sont bons pour faire en sorte que les peuples conquis ne se relèvent pas : déportation (comme les Acadiens dans le prélude de la première conquête), confinement dans des réserves, assujettissement, assimilation, ou un peu de tout ça. Les Britanniques s’y connaissent. 

Nous nous souvenons de la pendaison de Louis Riel en 1885, beaucoup moins de la pendaison publique des huit guerriers autochtones. Ces pendaisons sont des symboles incontournables à la compréhension de l’histoire du Canada, mais elles ne sont que la pointe de l’iceberg de la politique de conquérant pratiquée par l’Empire britannique et son rejeton l’État canadien.

À la suite de l’intervention militaire de 1870, on pourchasse les Métis du Manitoba, qui, avant l’arrivée de Wolseley, comptaient pour environ 80% de la population; on inonde la région de colons de l’Ontario ou des « Îles britanniques », dont un grand nombre sont des Orangistes, en leur donnant des terres en les refusant aux Métis. On impose rapidement des traités de dépossession – 7 traités en l’espace de 6 ans (1871-1877) couvrant presque tout le territoire de ce qui deviendra le Manitoba, la Saskatchewan et l’Alberta. Et on fait bien savoir aux nations autochtones que même si les chefs ne signent pas, le gouvernement canadien ira de l’avant sans leur accord.

En 1876, on adopte l’inique Loi sur les Indiens qui impose le statut de « pupilles de l’État fédéral » à tous les autochtones. Cette loi donne un pouvoir inouï aux fonctionnaires/agents sur la vie et la mort de milliers d’autochtones, mais aussi à la North-West Mounted Police. Et dans les années 1880, on commence à déployer sérieusement la politique des pensionnats, appelés aussi écoles résidentielles ou industrielles. 

À cette époque, le Commissaire aux Affaires indiennes et Lieutenant-gouverneur des territoires du Nord-Ouest, Edgar Dewdney, est l’homme de confiance de John A. MacDonald (il sera l’un de ses exécuteurs testamentaires) en plus d’être un « homme profondément attaché à l’Empire et à la tradition monarchique » selon le Dictionnaire biographique du Canada

Dès sa nomination en 1879, Dewedney se donne comme mission de « frapper l’organisation tribale en plein cœur » notamment en ouvrant rapidement davantage d’écoles industrielles ou techniques (pensionnats) et ainsi mettre fin à toute agitation des nations autochtones visant à obtenir plus d’autonomie et des améliorations aux termes des traités qui avaient été signés. Il y réussit … pour un certain temps. 

La petite loterie : « loyal » ou « disloyal »

Dès le 20 juillet 1885, quelques mois après l’arrestation de Riel, le Commissaire adjoint aux Affaires indiennes, Hayter Reed, soumet un rapport en 15 points sur « The Future Management of Indians ». Aussi, il soumet une liste de toutes les nations/bandes autochtones en les qualifiant de « loyal » ou « disloyal » avec force détails sur les chefs et les membres soupçonnés d’avoir participé de près ou de loin à la résistance. Son rapport devient la base de la politique canadienne à l’égard des premières nations pour les années à venir. 

Tout y est : peines exemplaires aux résistants (d’où les pendaisons); châtiments collectifs sévères, notamment par privation de nourriture et d’autres nécessités pour tous ceux qui, selon les agents, auraient manqué de fidélité à la reine; confiscation des chevaux, des armes, des outils des autochtones « non loyaux »; confinement aux réserves à moins d’avoir la permission écrite d’un agent du Ministère des affaires indiennes; séparation nécessaire des Métis et des nations autochtones et interdiction de communiquer entre eux, et la même chose avec les « Canadiens » résistants; distinction de « bons » Indiens (loyal), qui mériteraient des récompenses et des cadeaux, et des Indiens « mauvais et paresseux » (bad and lazy), qui méritent de perdre leur réserve. 

Cette « petite loterie » utilisée pour contrôler les Premières nations ressemble beaucoup à celle déployée avec un certain succès par la Couronne britannique après la répression des Patriotes québécois. L’objectif est de coopter une certaine élite canadienne-française avec des émoluments, des récompenses, des nominations et autres miettes. La petite loterie réussit à transformer un certain nombre de révolutionnaires patriotes en collaborateurs bien apprivoisés du nouveau régime. 

Quel rôle pour les églises ?

Dans toute conquête coloniale, les églises jouent un rôle important d’appui au pouvoir militaire et politique. C’est le cas en Afrique, en Asie, en Amérique latine et en Amérique du Nord. Dans le cas de l’Amérique du Nord britannique, l’Église anglicane est la préférée de la Couronne car le roi ou la reine est le gouverneur suprême de cette Église (toujours le cas en 2021). 

Mais l’Église catholique n’est pas en reste; elle s’accorde très bien avec cet Empire : lors de la révolte de 1837-38 dans le Bas Canada, l’Église catholique se range du côté des Britanniques en refusant aux Patriotes le droit d’être enterrés dans les cimetières catholiques, en les menaçant d’excommunication et en les ordonnant de se plier aux directives du gouvernement. 

C’est à ce titre que les églises sont amenées à réaliser pour l’État canadien sa promesse, écrite dans les traités de dépossession, de fournir des écoles aux nations autochtones. Les églises viendront en appui à une politique conçue par et pour la puissance conquérante, l’Empire britannique et son nouveau Dominion du Canada. L’État canadien doit en assurer le financement, mais il réduit constamment et arbitrairement le financement accordé, ce qui oblige les religieux de se débrouiller sans les fonds minimaux requis. 

Pour remplir ces pensionnats, ça prend une loi obligeant les familles autochtones à envoyer leurs enfants aux pensionnats. Le gouvernement autorise, par la loi, les agents des Indiens à prendre tout enfant d’âge scolaire et à l’envoyer aux pensionnats. Si les parents s’y opposent, les agents ont le pouvoir de leur couper leurs allocations. On rapporte aussi qu’on menaçait de mettre les parent récalcitrants en prison.

Ça prend aussi une force policière pour appliquer la loi. Ce rôle reviendra à la NWMP (aujourd’hui la GRC). Les témoignages sur le travail de la police sont ahurissants : 

« des enfants qui étaient attirés dans des bateaux et des avions à l’insu des parents, et qui, parfois, disparaissaient à jamais. Des agents de la GRC en uniforme arrachaient les enfants des bras de leur mère. De nombreux survivants ont décrit les camions à bétail et les wagons où ils étaient tassés chaque automne. Des coups à la porte la nuit, la maison envahie par des étrangers à la recherche d’enfants en fugue, tout cela évoque la guerre » 

« [les agents de la GRC] encerclaient les réserves pour empêcher les enfants de se sauver, et allaient de porte à porte pour prendre les enfants, faisant fi des protestations des parents et des enfants eux-mêmes. Les enfants étaient enfermés dans des postes de police locaux ou des enclos à bestiaux jusqu’à ce que le rassemblement soit terminé, puis on les conduisait à l’école en train » (Le rôle de la Gendarmerie royales du Canada sous le régime des pensionnats indiens, rapport réalisé dans le cadre de la CVR, 2011)

En somme, le Canada délègue aux Églises la responsabilité d’ouvrir des pensionnats; il les finance; ses agents des Indiens et sa police sont investis par la du pouvoir de contraindre les parents à envoyer les enfants à ces pensionnats sous des menaces de toutes sortes. 

Et le Canada a le pouvoir de mettre fin à ce système. Ce qu’il ne fait pas pendant environ 100 ans même s’il sait fort bien, parce qu’il en est informé par certains fonctionnaires, que ce régime est criminel.

L’État canadien savait tout

Le docteur P. H. Bryce est médecin en chef du Ministère des affaires indiennes de 1904 à 1921, année où on le contraint à prendre sa retraite. Lançeur d’alerte sur les conditions sanitaires des enfants autochtones dans les pensionnats, il publie, après son renvoi, un petit livre intitulé : The Story of A National Crime, An Appeal for Justices to the Indians of Canada, The Wards of the Nation: Our Allies in the Revolutionary War: Our Brothers-in-Arms in the Great War (James Hope, 1922, Ottawa).

Chaque année Dr. Bryce soumet à ses supérieurs, y compris au ministre responsable des Affaires indiennes, un rapport accablant sur les conditions de vie des autochtones, et surtout celles des enfants dans les pensionnats. Il y fait des recommandations urgentes pour y remédier, mais sans réponse.

La tuberculose est très grave à cette époque, le Dr. Bryce compare notamment le taux de mortalité des villes comme Hamilton et Ottawa à celui des réserves de l’Ouest. Alors que dans le premier cas le taux de mortalité baisse constamment, dans les réserves (y compris chez les enfants en pensionnat, ce taux est effarant. La population autochtone diminue constamment d’année en année en raison de la tuberculose. Chaque rapport de ce médecin est étouffé. Pire encore, des représentants du ministère font tout pour empêcher ce spécialiste de la tuberculose de parler en public, notamment à l’assemblée annuelle de la National Tuberculosis Association.

Biblioarchives : Écoliers et responsables à l’extérieur du Pensionnat indien [catholique] de Fort Providence, Fort Providence (Territoires du Nord-Ouest), vers 1920. Créateur :  F. H. Kitto. Prise vers 1920. F. H. Kitto. Library and Archives Canada, PA-101545. Source internet : Flickr.com

Et le Québec dans cette tragédie

Dans le débat qui suit la découverte des corps d’enfants sur les lieux des pensionnats, on s’interroge sur le rôle du Québec. D’aucuns y voient un lien par le biais de l’Église catholique ou des congrégations religieuses dont la maison mère est au Québec. D’autres pointent du doigt des politiciens ou des fonctionnaires québécois qui ont pris part aux décisions de l’État canadien ou des autorités britanniques ou qui ont participé à leur application ou encore des deux bataillions québécois envoyés dans l’ouest en 1885. 

Dans la mesure où des individus, des membres de partis politiques, ou des institutions ont souscrit à l’ordre britannique établi au Canada à la suite des deux premières conquêtes militaires et à la marche impériale et coloniale britannique vers l’ouest, ils en portent une responsabilité évidente. 

Toutefois, cet ordre a été contesté souvent et vivement par beaucoup de Québécois et de Canadiens français, tout au long de l’histoire. 

À titre d’exemple, la Déclaration de l’indépendance du Bas-Canada écrite en 1838 par le patriote Robert Nelson dit ceci au troisième article :

« Que sous le gouvernement libre du Bas-Canada, tous les individus jouiront des mêmes droits : les sauvages ne seront plus soumis à aucune disqualification civile, mais jouiront des mêmes droits que tous les autres citoyens du Bas-Canada. »

Il en est de même pour l’Église catholique. Adoubée par la Couronne et associée aux autorités britanniques et canadiennes dans l’espoir d’enrayer au Canada les idées républicaines inspirées de la France révolutionnaire, elle aussi a été vivement contestée.

En ce qui concerne les deux bataillons de Québec envoyés sous les ordres du Major-général Middleton pour mater la résistance en 1885, le naturel britannique est revenu au galop. Se méfiant de la loyauté de ces troupes devant des Métis qui parlaient le français, les autoritaires s militaires les ont éloignés du combat en les envoyant en Alberta. Les troupes québécoises ont vite compris qu’ils étaient encore et toujours des membres de deuxième ordre des institutions de l’Amérique du Nord britannique. Cette histoire se répéterait. 

Faire du Canada un pays anglais

À mesure que le Dominion du Canada impose sa souveraineté dans l’ouest après les deux interventions militaires, il fait disparaître la langue française de la carte politique et culturelle avec presqu’autant de zèle que dans le combat contre les langues et cultures autochtones. 

En 1890, le Manitoba abolit le français comme langue officielle et peu après l’éducation en français a été interdite. (Gabrielle Roy, née à Saint-Boniface, Manitoba, rappelle dans Détresse et enchantement comment les sœurs francophones à son école catholique enseignaient en anglais, mais parfois, en cachette, elles sortaient des livres en français, loin des yeux des inspecteurs gouvernementaux.)

En 1905, la Saskatchewan et l’Alberta deviennent des provinces du Canada mais on a éliminé le statut bilingue qu’avaient les Territoires du Nord-Ouest. Quelques années plus tard, l’utilisation du français au gouvernement, devant les tribunaux et à l’école est interdite. 

Carte du Canada (2001)

Plus ça change…

Dans leurs combats contre l’Empire britannique, les Premières nations du Canada et les Métis n’étaient pas seuls; les Canadiens-français/Québécois non plus. Pour les puissances européennes qui étendaient leur empire partout au monde, ils représentaient tous un obstacle au projet impérial. En cela, ils faisaient effectivement cause commune avec les Chinois, les peuples de l’Inde et des autres pays du sud asiatique, les Maoris en Nouvelle-Zélande, les peuples autochtones de l’Australie ou des États-Unis, les nations africaines. 

Cent cinquante ans plus tard, les mêmes puissances européennes et nord-américaines tentent, tant bien que mal, de rétablir leur hégémonie, notamment en faisant la morale, en imposant des sanctions et en menaçant militairement des pays et des peuples qui choisissent la voie de l’indépendance politique et économique. 

Aujourd’hui, comme hier, elles n’ont ni le droit ni l’autorité morale, mais cela ne les arrêtera pas. 

Si on tire une seule leçon de l’histoire macabre des pensionnats au Canada, ce serait de se garder de se faire embrigader aujourd’hui dans des interventions militaires ou autres campagnes impériales contre des pays étrangers.

Robin Philpot

Quelques sources

Bryce, P.H. The Story of A National Crime, An Appeal for Justices to the Indians of Canada, The Wards of the Nation: Our Allies in the Revolutionary War: Our Brothers-in-Arms in the Great War. James Hope, 1922.

Dictionnaire biographique du Canada.

LeBeuf, Marcel-Eugène. Au nom de la GRC. Le rôle de la Gendarmerie royales du Canada sous le régime des pensionnats indiens, rapport réalisé dans le cadre de la CVR, 2011

Momudu, Samuel. « The Anglo-Ashanti Wars (1823-1900). Black Past. 24 mars 2018.
https://www.blackpast.org/global-african-history/anglo-ashanti-wars-1823-1900/

Morton, Desmond. A Military History of Canada, From Champlain to Kosovo, Fourth Edition. M&S, 1999.

Ogg, Arden. An infamous anniversary: 130 years since Canada’s Largest Mass Hanging 27 November 1885. Cree Literacy Network.
https://creeliteracy.org/2015/11/26/130th-anniversary-of-infamy-canadas-largest-mass-hanging-27-november-1885/

Reed, Hayter. Memorandum for the Hon(ourable) the Indian Commissioner Relative to the Future Management of the Indians. 20 July 1885.  http://iportal.usask.ca/index.php?sid=168308311&id=33613&t=details

Stonechild, Blair; Waiser, Bill. Loyal Till Death, Indians and the North-West Rebellion. Fifth House Publishers, 2010

Wolseley, Garnet. “General Lee”. Lee Family Digital Archive.
https://leefamilyarchive.org/reference/misc/wolseley/index.html


La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Robin Philpot, Mondialisation.ca, 2021




Le dépeuplement et le vaccin à ARNm

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Le New York Times prévoit une réduction massive de la population

Étonnamment, le New York Times – 22 mai 2021 – prévoit une réduction massive de la population au cours des prochaines décennies.

« Les cris de bébés sont de la partie.
Plus de maisons abandonnées.
Vers le milieu de ce siècle, alors que les décès commenceront à dépasser les naissances, des changements difficiles à comprendre viendront. »

Capture d’écran de l’article du NYT

Et –

« Partout dans le monde, les pays sont confrontés à la stagnation démographique et à un effondrement de la fécondité, un renversement vertigineux inégalé dans l’histoire enregistrée qui rendra les fêtes de premier anniversaire plus rares que les funérailles, et les maisons vides une plaie oculaire commune. »

Et il continue,

« Les maisons de maternité ferment déjà en Italie. Des villes fantômes apparaissent dans le nord-est de la Chine. Les universités de Corée du Sud ne trouvent pas assez d’étudiants, et en Allemagne, des centaines de milliers de propriétés ont été rasées, et la terre a été transformée en parcs. »

Est-ce que tout cela est vrai ? Cela reste à vérifier. Un oubli ?

À aucun moment, l’article ne mentionne la nature eugéniste de la réduction délibérée de la population, en relation avec la pandémie de covidés, la campagne de vaccination forcée et, par de nombreux témoignages, toxique, avec un non-vaccin, mais plutôt une nouvelle « thérapie génique » de type ARNm totalement non testée que les CDC américains ont autorisée à appliquer comme « mesure d’urgence » dans ces circonstances désastreuses d’une pandémie, qui manque en fait toutes les caractéristiques d’une pandémie, mais doit être pompée pour la faire apparaître comme une pandémie – avec littéralement presque tous les décès provenant de toutes les causes – même les accidents de voiture – peuvent être – et « doit » être classé comme décès par covidé.

Aux États-Unis, les hôpitaux sont payés 13 000 dollars pour chaque patient diagnostiqué par covidé et 39 000 dollars pour chaque « patient covidé » mis sur un ventilateur. Plus tôt cette année, les médecins de New York sont arrivés à la conclusion que plus de 80 % des patients souffrant de ventilateur ne survivent pas au ventilateur. Voyez ceci.

Mais, quoi qu’il en soit – l’ « assouplissement » actuel des restrictions sur les covidés que connaissent les États-Unis et de nombreux pays européens, fait ressortir le bonheur, les sourires, la pensée festive et le sentiment joyeux de la population – dans l’espoir ferme que la pandémie est terminée. Ce n’est peut-être qu’une ruse et un prélude à bien pire à venir. J’espère que ce soupçon est faux.

Bien qu’il n’y ait pas de preuve concrète, on a l’impression qu’avec l’arrivée tardive de l’automne dans l’hémisphère nord, nous allons être frappés par une « nouvelle » variante fabriquée en laboratoire – beaucoup plus forte, qui nécessite des mesures gouvernementales de plus en plus oppressives et dictatoriales, davantage de vaccinations forcées avec une thérapie génique qui pourrait affecter le système neurologique de l’humanité. (Pour plus de détails, voir Confirmation que le vaccin Pfizer cause des maladies neurodégénératives)

Le NYT s’efforce d’expliquer pourquoi la population mondiale entre en recul et en déclin pur et simple, sans jamais mentionner la Covid et le programme mortel infâme.

« Bien que certains pays continuent de voir leur population augmenter, en particulier en Afrique, les taux de fécondité diminuent presque partout ailleurs. Les démographes prédisent maintenant que d’ici la seconde moitié du siècle ou peut-être plus tôt, la population mondiale entrera dans un déclin soutenu pour la première fois. »

Pourquoi le taux de fécondité diminuerait-il soudainement dans les pays « développés » ? Parce que les gens se rendent compte que pour sauver la planète, le monde a besoin de moins, beaucoup moins de « mangeurs » et de consommateurs ? – Ou plutôt a-t-il quelque chose à voir avec les faux « vaccins » Covid-19 largement contraints ? – voir Dr. La vidéo de Mercola ci-dessous.

N’est-ce pas précisément ce que le clan Gates-Rockefellers-Kissinger et al a à l’esprit ?

Est-ce la raison pour laquelle les injections de type ARNm – l’approbation d’urgence des CDC en tant que « thérapie génique » – comprennent des composants antifertilité et stérilisation ?

Et – pouvez-vous l’imaginer – les CDC ont récemment recommandé d’administrer cette « injection de génique non éprouvée et non testée aux femmes enceintes, alors que jamais auparavant et en aucun cas les femmes enceintes ne devraient recevoir de médicament « expérimental » non testé.

En fait, le taux d’avortement des femmes enceintes recevant l’inoculation de type ARNm peut atteindre 30 % – probablement considérablement plus élevé si l’on tient compte des cas non déclarés. Écoutez le Dr. Joseph Mercola.[en anglais]

Il y a la notion générale que le covid n’est pas une question de santé ou d’immunité, mais plutôt de dépeupler le monde ; un programme eugéniste, si vous préférez. Mike Whitney exprime une vision claire dans quelle direction va cette campagne inutile de vaccination contre la Covid-19. Cela n’a rien à voir avec la protection de la santé de la population. Au contraire. Il s’agit de dépeuplement. Ces deux citations disent tout.

« Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour éteindre la pandémie… Vous ne vaccinez pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une maladie. Vous ne prévoyez pas non plus de vacciner des millions de personnes en forme et en bonne santé avec un vaccin [expérimental] qui n’a pas été largement testé sur des sujets humains. »

Le Dr. Mike Yeadon PhD, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les maladies respiratoires. 

« Ce que nous savons sur le coronavirus grâce à 30 ans d’expérience, c’est qu’un vaccin contre le coronavirus a une particularité unique, c’est-à-dire que toute tentative de fabrication du vaccin a abouti à la création d’une classe d’anticorps qui rendent réellement les personnes vaccinées plus malades lorsqu’elles souffrent finalement d’une exposition au virus en question. » 

Robert F. Kennedy Jr.

Le NYT cite Frank Swiaczny, un démographe allemand qui était chef des tendances et de l’analyse démographiques pour les Nations Unies jusqu’à l’année dernière :

« Un changement de paradigme est nécessaire. Les pays doivent apprendre à vivre avec [un déclin démographique] et à s’y adapter. »

Pour renforcer ce changement de paradigme – et le faire apparaître – et vous convaincre, le lecteur, qu’il s’agit d’un phénomène normal et imparable, le NYT vous prédit, ou plutôt vous effraie, en spéculant / anticipant,

« Les ramifications et les réponses ont déjà commencé à apparaître, en particulier en Asie de l’Est et en Europe. De la Hongrie à la Chine, de la Suède au Japon, les gouvernements luttent pour équilibrer les demandes d’une cohorte vieillissante en plein essor avec les besoins des jeunes dont les décisions les plus intimes en matière de procréation sont façonnées par des facteurs à la fois positifs (plus de possibilités d’emploi pour les femmes) et négatifs (inégalité persistante entre les sexes et coût élevé de la vie). »

Nous savons qu’il s’agit d’un faux prétexte, et c’est un argument totalement fabriqué pour vous faire regarder dans l’autre direction, alors que dans deux à trois ans, vous pourrez voir mourir massivement de personnes bien en deçà de l’espérance de vie statistique moyenne.

Nous le savons tous, l’inégalité entre les sexes persiste dans l’Ouest depuis au moins 2000 ans. Et, bien que le coût de la vie n’ait cessé d’augmenter au cours des 50 premières années après la Seconde Guerre mondiale dans les pays industrialisés, il a plutôt stagné au cours des deux dernières décennies. Au contraire, dans certains cas – États-Unis, Europe – une tendance plutôt déflationniste est apparue. Un signe clair pour cela, ce sont les taux d’intérêt négatifs dans de nombreux pays industrialisés. Donc, le NYT essaie de vous faire croire ce qui est faux – tout cela pour justifier sa « prédiction » d’une réduction massive de la population ; pour vous habituer au diabolique plan Covid – et peut-être pour semer juste un peu de peur.

Comme les « vaccins » de l’ARNm sont expérimentaux, il n’y a pas d’antécédents sur la capacité du corps de se débarrasser des effets secondaires désastreux, comme la coagulation sanguine, conduisant à la thrombose, à une éventuelle paralysie et à la mort.

Selon les prévisions scientifiques, les injections d’ARNm affectent le génome humain et il est fort probable que le corps ne se désintoxique jamais de ce qui affecte l’ADN.

Si cette hypothèse est correcte, cela signifie, en bref, que vous ne serez plus jamais la même personne et que votre santé peut être affectée négativement pour le reste de votre vie. Il s’agit, sans aucun doute, d’un crime de génocide de masse contre l’humanité.  Cela coïncide avec les vues du Dr Joseph Mercola – voir ci-dessus, ainsi qu’avec celles du Dr. Sucharit Bhakdi sur la coagulation sanguine et ses conséquences désastreuses pour la santé, c’est-à-dire qu’elle peut entraîner des attaques cérébrales, des paralysies et la mort.

Dans le même ordre d’idées Vaccine Impact du 23 mai 2021 fait référence à cinq médecins réputés, qui discutent de la transmission du virus entre les personnes ayant reçu le vaccin à ARNm et celles qui n’ont pas été vaccinées. Ces scientifiques sont tous d’accord pour dire que si l’on ne réalise pas que ces vaccins sont conçus comme des armes biologiques dans le but de réduire la population mondiale, on ne comprendra jamais complètement ce que ces vaccins et Big Pharma sont capables de faire et comment prendre des mesures pour se protéger.

Le NYT nous prépare doucement à ce crime, qualifiant ce prochain « dépeuplement » de phénomène naturel, en raison d’un changement démographique – auquel on peut s’attendre en raison de notre « style de vie abondant » occidental, et du changement climatique causé par l’homme (mea-culpa, mea-culpa), entraînant une réduction des récoltes – famine – dans le monde en développement ou dans les pays du Sud global.

« Il s’agit d’une guerre mondiale intentionnelle contre le sang humain », selon le Dr. Sherri Tenpenny et la lauréate du prix Nobel, le Dr. Luc Montagnier, ainsi que le Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et chef de Pfizer Science – et d’autres.

« Les injections tueront et n’arrêteront jamais de tuer. »

Le Dr. Montagnier, parmi les meilleurs virologues du monde, prévoit une espérance de vie considérablement réduite pour beaucoup de ceux qui ont pris l’ »injection mortelle ».

Voir les dernières données officielles sur les décès et blessures [séquelles] par vaccin pour l’UE (de la fin décembre 2020 au 22 mai 2021)

Il y a des raisons et des causes à la fois médicales et économiques pour une population mondiale considérable sur lesquelles le NYT nous alerte.

Pourquoi feraient-ils cela ?

Pour nous préparer à l’un des crimes les plus horribles de l’histoire moderne de l’humanité. : Inventer (c’est-à-dire d’origine humaine) un coronavirus  invincible.

Après une décision du Forum économique mondial (FEM), en janvier 2020, l’OMS a appelé le virus en janvier 2020 d’abord le SRAS-CoV-2 – du nom du virus du SRAS qui a frappé la Chine à partir de 2002-2003, puis, quelques semaines plus tard, l’OMS a rebaptisé cette « bête » invisible – instrument de fabrication de la peur – Covid-19.

Le choc soudain d’être exposé à une épidémie mondiale et à une pandémie (selon les nouveaux critères soudains de l’OMS) a créé une pandémie de peur en vertu de laquelle les gens sont vulnérables et acceptent tout – pratiquement dans l’espoir que le danger mortel disparaisse.

C’est ainsi qu’en vertu d’une décision du FEM, l’OMS a déclaré cette maladie, en fait mineure, le 11 mars 2020 comme une pandémie, alors qu’il n’y avait que dans le monde entier, selon les statistiques de l’OMS, que 44 279 cas positifs et 1 440 décès en dehors de la Chine. La peur a augmenté et la « doctrine du choc » a fonctionné. Les 193 pays membres de l’ONU ont accepté le verrouillage total de la mi-mars 2020 – et ce sans justification médicale. 

« The Shock Doctrine » (2007), de Naomi Klein, décrivant comment le capitalisme du désastre profite des situations de choc, naturelles ou provoquées par le mandat, pour mettre en œuvre de nouvelles règles et réglementations, qui autrement n’auraient pas été facilement acceptées.

Un autre exemple est le Patriot Act américain qui était en préparation depuis des années, bien avant le 11 septembre ; il n’attendait qu’une catastrophe – c’est-à-dire le 11 septembre – pour être adopté à la hâte et accepté par le Congrès américain. Il a supprimé environ 80 % des libertés des personnes et a converti les lois du pays en une loi martiale permanente – et il est toujours applicable aujourd’hui, même avec quelques ajouts pratiques pour l’élite financière régnante.

Imaginez ! Les 193 pays membres de l’ONU à la fois – une impossibilité épidémiologique. Pourtant, les gens du monde entier ont accepté la nouvelle règle – qui a finalement détruit l’économie mondiale, l’a décimée au point où les petites et moyennes entreprises ont été littéralement anéanties, mettant les chômeurs dans la rue, se débrouillant pour survivre, augmentant les taux de pauvreté dans le monde de manière exponentielle.

Le chômage et la famine ont explosé.

La conséquence, en particulier dans les pays du Sud global, le désespoir, la souffrance d’être sans abri, sans nourriture – conduisant souvent au suicide et, sinon à la mort par famine. Cependant, ces quelques milliardaires au sommet, qui prétendent bientôt gouverner l’Ordre mondial unique, ont augmenté leur fortune combinée en quelques mois seulement de quelque 200 milliards de dollars.

Le Programme alimentaire mondial – le PAM a estimé que la population totale souffrant d’une famine aiguë était de plus d’un quart de milliard (265 millions) d’ici la fin de 2020, environ la moitié d’entre eux sont liés aux covidés – et augmentent régulièrement. « Ces nouveaux chiffres montrent l’ampleur de la catastrophe à laquelle nous sommes confrontés », déclare le PAM. Beaucoup d’entre eux ne survivront pas, mais les chiffres précis ne sont pas connus. Au fil du temps, ils deviendront catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de décès. C’est le résultat de la criminalité élevée de la supra-cabale diabolique qui a inventé l’Agenda ID2020, l’Agenda 2030 de l’ONU, la Grande Réinitialisation [The Great Reset] – une souffrance mondiale criminelle, en particulier pour les personnes déjà pauvres et vulnérables.

Selon le Dr. Sucharit Bhakdi, microbiologiste allemand, et comme le rapporte The New American le 16 avril 2021 dans un article intitulé « Covid shots to Decimate the World Population ».

Le Dr Bhakdi avertit que l’hystérie du COVID est basée sur des mensonges et que les « vaccins » COVID, en particulier le type ARNm, sont prêts à provoquer une catastrophe mondiale et une possible décimation de la population humaine.

Le Dr Bhakdi explique tout d’abord que le test PCR a été utilisé de manière abusive pour susciter la peur d’une manière non scientifique..

Ensuite, il explique ce que les vaccins à ARNm vont faire au corps humain.

Il s’attend notamment à une coagulation sanguine mortelle massive [déjà survenant] ainsi qu’à des réponses du système immunitaire qui détruiront le corps humain.

Enfin, Bhakdi, qui a nous mis en garde contre une « catastrophe » imminente lors d’une interview de Fox News, vidéo qui est devenue virale. Il en appelle à des poursuites pénales contre les responsables et à l’arrêt immédiat de cette expérience mondiale. Voir ce qui suit.

Cela fournit un certain contexte pour l’article du NYT – contexte que, bien sûr, le New York Times ne mentionne pas. Il semble que le souci du Times soit avant tout d’avertir et de préparer les gens à ce qui pourrait arriver, mais aussi de répandre la peur, de rendre les gens plus vulnérables, plus faibles, de briser encore plus le système d’autodéfense humain. Le type de langage utilisé dans l’article du NYT laisse un lecteur innocent sans défense, dans la crainte de « céder à ce qui pourrait arriver ». C’est précisément ce qu’ils veulent

Une perspective positive

Cependant, il y a de l’espoir. L’article du NYT ne mentionne pas l’ »Espoir ». La meilleure façon pour l’humanité de répondre à la menace planétaire Covid est de résister collectivement par tous les moyens à la vaccination et de s’opposer activement à la numérisation de vos données personnelles ainsi que de votre argent.

Vous résisterez ainsi à l’emprise de l’intelligence artificielle et à l’asservissement par une super élite financière.

Nous avons clairement en nous le pouvoir de vaincre cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans exception. Il s’agit de croire en nous-mêmes, en la force de la pensée collective positive et aimante – et en la puissance de la solidarité.

Nous avons clairement le pouvoir en nous de surmonter cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans faute. Il s’agit de croire en nous-mêmes, collectivement, en la force de la pensée positive et de l’amour  – et en la puissance de la solidarité.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Depopulation and the mRNA Vaccinele 15 juin 2021. Publié pour la première fois le 28 mai 2021.

Traduction par Maya pour Mondialisation.ca

Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et coauteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sternues: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1 novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Les technocrates du Grand Reset ont-ils vraiment réfléchi à tout cela ?

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Alors que le Programme alimentaire mondial des Nations unies annonce que quelque 270 millions de personnes dans le monde sont aujourd’hui menacées de famine, le débat actuel sur les véritables objectifs de la technocratie est profond. La question est de savoir si leur objectif tend plutôt vers une réduction majeure de la population, ou plutôt vers un nouveau type d’esclavage.

Il semble que les questions philosophiques et pratiques à long terme restent un mystère. Nous soutiendrons que le mal, et pas simplement l’influence de la base sur la superstructure, est au cœur de cette entreprise. Nous avons défini le mal comme le fait d’infliger le plus haut degré de douleur au plus grand nombre de sujets qui résistent. En bref, nous avons défini le mal comme un sadisme, qui consiste à infliger le mal parce qu’il apporte une satisfaction à ceux qui l’infligent.

Parce que le mal est fondamentalement une force destructrice, il ne peut rien créer : rien en lui n’est vraiment nouveau ni utile à l’humanité. Ses plaisirs sont éphémères et fallacieux. Il est insoutenable, autodestructeur et mène finalement à l’autodestruction.

Nous avons évalué de manière adéquate, à partir d’un certain nombre de sources, que des intérêts néfastes sont derrière ce processus, qui cherchent à faire en sorte que le processus concerne également l’exercice du pouvoir, en plus de plusieurs autres objectifs (rester au pouvoir, exercer le pouvoir d’une manière conforme à leurs croyances occultes sur le mal, etc.) Nous comprenons qu’ils sont « maléfiques » parce qu’ils impliquent un type de « pouvoir sur » (par opposition au pouvoir avec/consentement) qui tire ce pouvoir de l’apologie de la peur et du terrorisme sur la population. Le terrorisme est défini ici comme l’utilisation opérationnelle de la peur, de la douleur et d’autres blessures à des fins socio-politiques.

Si leurs plans n’avaient pas été ancrés dans le mal, ils auraient utilisé des tactiques de pouvoir doux, comme la fabrication du consentement, pour arriver à leurs fins.

Le but du Grand Reset est de transformer l’oligarchie ploutocratique au pouvoir en une oligarchie technocratique. La base de la ploutocratie est la finance, et l’introduction de l’IA et de l’automatisation élimine la base de la finance comme fondement d’une économie d’échelle. En effet, l’automatisation et la déflation évoluent en tandem, faisant des nouvelles technologies des perdants nets. Il faut donc introduire un nouveau paradigme qui tienne compte de cette « quatrième révolution industrielle » post-financière.

Comparaison côte à côte d’une chaîne de montage automobile : 1920 contre 2020 – « Les humains n’ont pas besoin de s’appliquer ».

Mais l’idéologie du Grand Reset est fondée sur le vieux paradigme financier, qui est celui de l’externalisation des coûts. Lorsque les êtres humains ne sont plus impliqués dans le processus de valorisation de la production de biens et de services, alors l’humanité elle-même est le coût qui doit être externalisé – éliminé.

Mais comment se fait-il que le sadisme soit devenu la religion occulte de la classe dirigeante, c’est une question du type « la poule ou l’œuf ». C’est-à-dire, est-ce que l’idéologie corporative a muté en sadisme occulte, ou est-ce que le sadisme occulte a trouvé son expression à travers l’idéologie corporative ? Cette question servira sans doute de base à une enquête ultérieure.

Nous nous référons souvent à des motivations ou à des processus néfastes en termes de « cupidité », d’« intérêt personnel », d’« obsession du pouvoir » ou de « crise de l’accumulation du capital », de « bulles spéculatives ».

Et cela ne suffit pas en dernière analyse, même si cela fournit un pouvoir explicatif. Le problème se pose en termes de pouvoir prédictif, car si nous sommes confrontés à une crise des rendements décroissants due à l’automatisation (comme la tendance croissante à la perte nette sur les nouveaux investissements en capital), les besoins psychologiques réels qui motivent la ploutocratie actuelle en tant que groupe de pouvoir sont en fait sapés par une réduction significative et soudaine de la population, ou par de nouvelles technologies post-coercitives qui éliminent l’action humaine. Cela peut sembler contre-intuitif, mais à la lumière d’une compréhension de la nature autodestructrice du mal, nous allons explorer cette question.

Lorsque nous établissons les probabilités de trois vecteurs politiques qui se croisent, nous pouvons encore mieux comprendre cette question. Ces vecteurs politiques sont
a.) le lien neuralink/l’IA/les implants neuraux/les protéines magnétiques et le transhumanisme qui y est associé,
b.) la dépopulation dans le cadre des objectifs déclarés de l’Agenda 2030,
c.) l’automatisation/la robotisation, le 4IR et l’IoT.

Cela fera suite à notre dernier article sur le sujet, La moralité du Grand Reset : L’euthanasie de l’inessentiel :

Implants neuronaux

Le développement et l’introduction d’implants neuronaux, de protéines magnétiques, etc. peuvent prendre de nombreuses directions. Certains de ces types d’implants promettent de donner aux élites des capacités cognitives « surhumaines ». Toutefois, une autre application très pratique consisterait à exiger que ces implants soient utilisés sur le grand public afin de les handicaper ou de contrôler leurs pensées d’une manière ou d’une autre.

En ce sens, les implants neuronaux peuvent fonctionner comme les produits pharmaceutiques utilisés en psychiatrie. Dans la création de cette sorte de « Meilleur des Mondes » huxleyien, nous pouvons facilement voir la continuation d’un paradigme qui existe déjà aujourd’hui. Il s’agit d’un paradigme où il est courant de trouver diverses dépressions, angoisses et névroses prévisibles causées par les conditions sociales contemporaines, mais traitées par la psychiatrie au lieu d’être résolues par la socio-économie.

Les implants neuronaux peuvent également remplir une fonction similaire, mais vont encore plus loin. Au-delà des émotions ou de l’effet de base sur la recapture de certaines hormones comme la sérotonine, etc., les implants neuronaux peuvent diriger les pensées ou modifier des processus cognitifs entiers. Au-delà des sentiments, des pulsions et des impulsions, les implants neuronaux promettent de produire des pensées réelles dans l’esprit du sujet.

Vanessa Tolosa, ingénieure au LLNL, présente un implant cérébral – crédit : Extreme Tech Magazine, juillet 2014.

Entre les deux, il existe une forme hybride – les nanotechnologies et la chimiogénétique travaillant avec l’optogénétique. Comme le système d’administration au cerveau peut se faire par injection, les nanolipides et autres composés peuvent se présenter sous forme de piqûres. Ils peuvent être administrés dans le cadre d’un régime de « vaccination » obligatoire (dans la mesure où ce terme a été redéfini), les nanotechnologies étant déjà présentes dans la piqûre du Covid-19.

Elles peuvent donc être incluses – qu’elles soient divulguées ou non au public – dans les vaccinations obligatoires.

Leur développement semble toutefois être une technologie qui soutiendrait l’esclavage, mais n’exclut pas le génocide. Il est certain que la capacité de contrôler les pensées d’une population atténuerait considérablement le risque aux yeux de l’appareil d’État, en particulier lorsqu’il s’oriente vers le génocide.

La dépopulation : Mythes et faits

Le contrôle et la réduction de la population font depuis longtemps partie des politiques de diverses institutions et groupes de réflexion engagés dans la gouvernance mondiale, de l’ONU au Forum économique mondial. Ils faisaient partie des objectifs du millénaire de l’ONU et, depuis l’aube du XXIe siècle, de l’Agenda 2030 de l’ONU.

Il est important d’introduire maintenant un cadre permettant de comprendre le problème de la population à la lumière du développement économique. On a longtemps pensé que le développement économique entraînait une stagnation, voire un déclin, de la population. L’idée ici est que l’éducation et l’urbanisation sont des processus qui conduisent à une meilleure connaissance de la planification familiale de base, parallèlement à un meilleur accès à l’avortement et au contrôle des naissances.

Le postulat sous-jacent est que les gens ne veulent naturellement pas être encombrés d’enfants, que les enfants sont un affront à la liberté dans l’abstrait. La formule est la suivante : à mesure que les gens sont mieux éduqués, qu’ils ont un travail plus intéressant et une vie plus riche, ils savent comment prévenir les grossesses et n’ont plus de penchant « primitif » pour les familles nombreuses.

Cette mythologie s’est construite autour de l’idée que les gens sont fondamentalement intéressés au sens le plus étroit du terme, à l’exclusion de tout autre désir, besoin ou impulsion. Ils sont présentés comme la norme afin de créer une culture plus large qui s’oppose à la procréation.

Au contraire, le véritable mécanisme qui pousse à la stagnation de la population dans le premier monde est la pression accrue du travail et l’augmentation du coût de la vie. Plutôt que d’attribuer la stagnation de la population à l’amélioration des conditions de vie, il s’agit plutôt de conditions austères imposées par la modernité tardive. Le coût de la propriété, des loyers, de la nourriture, ainsi que la baisse de la qualité des biens en raison de l’obsolescence planifiée accrue, ont accru la pression économique sur les individus et les couples. Elle a conduit à l’obligation pour les deux membres d’un ménage de travailler à temps plein. Et même avec cela, l’accession à la propriété dans les centres cosmopolites est pratiquement impossible pour la plupart. L’austérité a également entraîné une stagnation de l’espérance de vie.

Cette vérité est exposée dans de véritables documents d’orientation comme « Nouvelles stratégies pour ralentir la croissance démographique » (1995). Ici, le double langage est évident, avec des phrases facilement déchiffrables : « …réduire les grossesses non désirées en développant les services qui favorisent le choix reproductif et une meilleure santé, réduire la demande de familles nombreuses en créant des conditions favorables aux petites familles… ». Qu’est-ce que l’on peut bien entendre par « créer des conditions favorables aux petites familles » ?

Le développement économique ne réduit pas la population, mais si on y ajoute l’austérité et des obligations professionnelles exigeantes et rigides, on tombe sur une réponse. La prospérité économique, comme elle l’a fait depuis des temps immémoriaux, promet d’augmenter fortement la population en l’absence d’un programme de réduction de la population. Parce qu’un 4IR organique non introduit par la technocratie diminuerait les obligations de travail et augmenterait les marqueurs de qualité de vie, nous nous attendons à un boom démographique.

Par conséquent, les projections selon lesquelles la population atteindra un peu moins de 10 milliards d’habitants dans les années 2060 sont aussi erronées que linéaires. Sans une technocratie travaillant à réduire activement la population, comme ils le croient, une économie basée sur l’automatisation et l’IA verrait une explosion démographique.

Conclusion

Il est toujours probable que les technocrates en puissance ont effectivement réfléchi à la finalité et qu’il existe un grand nombre de possibilités qui leur permettront de récolter un plaisir sadique dans le cadre de l’exercice d’un pouvoir absolu, à perpétuité. Cela pourrait signifier augmenter la peur de l’extermination bien au-delà de la réduction réelle de la population. Cela pourrait signifier le maintien de nombreux aspects de l’agence pour la population contrôlée, de sorte que leurs douleurs soient intériorisées de manière multivariée et complexe, incluant des sentiments confus d’auto-culpabilité, d’identification à l’agresseur, de ressentiment, de regret, ainsi que des violations de la volonté et de la dignité. Encore une fois, si la volonté n’est pas un facteur, alors tous ces domaines potentiels de douleur psychologique ne sont pas présents.

Pour encadrer ce qui suit, il est fondamental de comprendre que dans une civilisation post-travail, le statut de l’humanité n’existe plus selon une mesure d’utilité. Soit la civilisation existe pour améliorer la condition humaine, soit pour augmenter la souffrance humaine. Il n’y a pas de compromis ou de coûts. La société est soit bonne, soit mauvaise.

Mais le mal est de courte durée et peu clairvoyant, et voici pourquoi : La réduction soudaine de la population est un pétard, il n’explose qu’une fois. Le plaisir que procure le processus d’éradication de milliards de personnes, ainsi que la peur, la douleur et la souffrance qui en découleraient, en l’espace de quelques années, ne peut être ressenti qu’une seule fois. C’est un rituel sacrificiel sur l’autel de Moloch qui ne peut être exécuté qu’une seule fois.

De même avec les technologies post-coercitives : Sans agence, contrôler les gens ne sert à rien en termes de violation de leur propre volonté ou désir. Faire souffrir un sujet qui ne résiste pas parce qu’il n’a pas de volonté donne au sadique beaucoup moins de plaisir que de faire souffrir un sujet contre sa volonté.

De plus, la position d’élite est relative à un certain nombre de facteurs tels que la distribution de la richesse, du pouvoir et/ou des privilèges, et le simple nombre en termes de population sur lequel on possède ces avantages.

S’il ne reste que des élites, elles n’auront fait qu’introduire un nouveau type de société égalitaire sur la base de la surabondance et d’une population humaine minuscule. Si les conditions de vie d’une humanité existante peuvent être considérablement réduites, alors le privilège et le luxe relatifs dont jouissent les élites augmentent dans la même proportion.

En l’absence d’une technologie radicale de prolongation de la vie, il est concevable que la science et la technologie aient déjà atteint le point zénithal auquel les privilèges et le luxe ne peuvent plus être améliorés. Une solution raisonnable consisterait à réduire les conditions de vie des autres afin d’améliorer leur propre privilège relatif. Plus le nombre de personnes qui vivent dans des conditions réduites est important, plus la position de privilège de chacun est réelle.

De même, il semblerait que le maintien d’une partie de la population humaine en tant que « possession » servirait à accroître la propriété des êtres humains, qui sont peut-être le type de possession le plus précieux, car ils sont conscients d’être possédés – mais seulement si cela les humilie. Car quel autre but pourrait avoir l’esclavage, dans un monde sans travail humain ?

A-t-il un sens, ou obtient-on une quelconque satisfaction, en gouvernant des personnes sans la possibilité d’avoir la volonté de consentir ou, au contraire, d’en vouloir au dirigeant ? Dans ce cas, nous pouvons le comprendre de la manière suivante : la possibilité de l’agence signifie que le gouvernement peut se faire avec leur soutien, ou contre leur volonté.

Mais le contrôle des processus cognitifs par les implants neuronaux élimine la possibilité de la volonté, ce qui priverait les technocrates du plaisir de gouverner avec ou contre la volonté des gouvernés.

Par conséquent, le cadre maléfique destructeur de ceux qui sont derrière la Grande Réinitialisation est révélé. L’utilisation de la stratégie, de la planification et de la ruse pour atteindre le résultat souhaité est prédominante. Mais ont-ils examiné les fondements de leurs désirs ? Comprennent-ils ce que leur victoire leur apporterait ?

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Pour ces raisons, il est probable que certaines élites ont vu le problème dans cette fin de partie. Cela expliquerait le conflit inter-élite que nous avons exploré précédemment, et sur lequel nous reviendrons dans un avenir proche.




Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID

[Source : reseauinternational.net]

par Thomaïe.

Qu’est-ce que la FEMA ? à quoi sert-elle, quelle est son ambition officielle et officieuse, y a-t-il des camps de concentration aux États-Unis, et si oui à quoi servent-ils ? Tout cela repose-t-il sur une réalité tangible, ou n’est-ce que de la paranoïa complotiste, propre à certains mouvements fondamentalistes, comme on veut nous le faire croire ? Séparer les faits de la spéculation, c’est ce que j’essaierai de faire, tout en essayant de répondre aux questions posées.

La FEMA (Federal Emergency Management Agency) est une agence gouvernementale née sous l’administration Carter le 1er avril 1979, et est rattachée au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis. L’objectif officiel est de parer à d’éventuelles catastrophes naturelles, et autres incidences sur le territoire national.

Cette agence s’est faite remarquer en ayant pris part à l’enquête pour le 11 septembre 2001, où elle a eu pour mission la recherche des survivants et autres missions civiles, mais s’est aussi occupée des restes matériels, qui on le sait, ont bénéficié d’un traitement illégal au regard de la réglementation des enquêtes des incendies en expédiant les matériaux rapidement, ce qui a fait dire à l’éditeur Bill Manning du périodique Fire Engineering Magasine qu’il avait été question de destruction de preuve et que l’on violait la réglementation des enquêtes sur les incendies, en ne respectant pas l’obligation de sauvegarde du matériel incendié, elle a aussi eu pour mission de faire un rapport concernant l’effondrement des tours jumelles (voir wiki FEMA).

Peter Dale Scott dans son livre le nouveau désordre mondial nous dit aussi que la FEMA a travaillé au côté du Pentagone, concernant des exercices militaires précédent le 11/09, simulant des attaques sur les USA.

Elle s’est aussi fait remarquer au passage de l’ouragan Katrina le 29 août 2005, concernant la gestion qui s’en est suivie, et qui a provoqué le mécontentement du peuple Américain.

Mais là n’est pas le sujet, je voulais juste situer cette agence, qui par rapport à son comportement et aux questions laissées lors du 11/09, ne peut qu’inciter à la vigilance, quant à sa crédibilité et ses réelles intentions.

Pour une petite mise en perspective historique, on peut se reporter aux camps de concentration américains, où on a parqué des familles entières et où environ 110 000 ressortissants japonais et américains d’origine japonaises, ont été amenés durant la Seconde Guerre mondiale, suite à l’attaque de Pearl Harbor.

Le rôle des camps FEMA

Le gestion d’urgence nationale pourrait être un prétexte pour instaurer la loi martiale, car peu importe la menace, si c’était le cas, la FEMA aurait la responsabilité de ce qu’ils appellent « la continuité du gouvernement » (l’appellation est trompeuse), se placerait donc à la tête du pays, et pourrait mettre en place des lois d’exceptions, adaptées à la situation, ce qui aurait pour effet d’enlever tout droits constitutionnels aux citoyens américains. Nous pouvons nous reporter à ce sujet a « l’Internal Security Act » de 1950 ou juste après la guerre, le congrès américain ratifia un système de détention, pour pouvoir emprisonner tout communiste infiltré. La FEMA en fit de même lors de sa création en 1979, et fut encore repris par le Département de la Sécurité intérieure en 2003 qui la supervise. La mise en place de ce plan d’urgence se nommant « Security Portfolio » aurait permis au président Truman de l’époque, de pouvoir placer en détention 20 000 personnes, sans passer par la case procès. Le danger est que ces plans pourraient être d’actualités et bien plus opérationnels depuis le temps.1

Pour les ambitions officieuses de cette agence, nous pouvons nous reporter a ce document là2 ainsi que celui-ci3 (documents officiels) ; j’y reviendrai plus loin. On peut aussi lire cet article du New York Times4, traitant d’un contrat de 385 millions de dollars avec une filiale de Halliburton, pour des centres de détention destinés a l’immigration. Pour le détail, l’ancien directeur de Halliburton est Dick Cheney…

Souvenons nous des propos de John Ascroft (procureur général) qui un an après l’attentat du 11/09, et dont le Los Angeles Times les avait rapportés, annonçait son désir d’avoir des camps de rétention pour les citoyens américains considérés comme « des ennemis combattants » et que son intention lui permettrait « d’ordonner la détention à temps indéterminé de citoyens américains et de les destituer sommairement de leurs droits constitutionnels et de l’accès aux tribunaux en les déclarants ennemis combattants »5. Voir aussi le lien 1 et la déclaration du conservateur Howard J Ruff sur le « manque d’une crise etc… »

Nous pouvons remarquer que loin d’être une lubie de « complotiste », en se reportant à des sites aussi sérieux que, Courrier internationalMondialisation.caSputnik newsl’HumanitéDedefensaMediapart ou bien a un auteur aussi consciencieux que Peter Dale Scott, eux aussi nous ont tous fait part de leurs doutes, concernant ces camps et leur fonctions.

Un article du Courrier International6, nous signale que le commentateur de Fox News, Glenn Beck a consacré trois émissions sur la théorie et l’hypothèse soulevée par ces camps, partant du fait qu’il voulait « la déboulonner » mais qu’il n’y était pas arrivé, et on peut le voir se contredisant, en nous signalant d’abord qu’« il n’arrive pas a la déboulonner » pour ensuite dire à Jones « aucune preuve de ces camps » ; courageux mais pas téméraire comme on dit, un petit rappel à l’ordre a du être fait à ce monsieur. On peut remarquer que le premier mot de l’article est « paranoïa », si on avait voulu avoir un doute sur la fonction de ces camps, on n’aurait pas pu s’y prendre mieux que ça ; rien de plus douteux qu’un tel titre de faussaire de « journaliste ».

Pour l’article de Mondialisation.ca7, nous avons un communiqué assez sobre nous faisant simplement état de ces camps, mais confirmant bel et bien leur existence.

L’article de Sputnik news est, (a l’instar de L’Humanité, de Mediapart etc..), assez interrogatif sur le pourquoi de ces camps, il nous dit qu’une équipe de télévision locale d’Atlanta est allée sur place et à constaté des centaines de cercueils noirs, de modèle militaire, stockés dans un ancien champ de blé… Pour les dimensions, trois personnes peuvent rentrer dans ces cercueils. On nous dit aussi que ces camps sont parfaitement opérationnels et sont déjà équipés de miradors, centrales électriques, barbelés, voie d’accès, et pour le détail assez glaçant, dans un camp en Arizona, nous avons un chemin de fer se déployant à l’entrée principale… ! Pour les voies d’accès, les camps sont tous desservis par des routes, installations ferroviaires, aéroport etc… Nous avons aussi des lieux de travail, baraques sans fenêtres, une cantine. On nous a vendu ces camps en prévision d’éventuelles catastrophes à venir, mais comme le souligne l’article, une question reste en suspens si c’est bien le cas ; pourquoi alors les zones de sécurités sont elles dirigées vers le périmètre intérieur comme si c’est l’évasion que l’on voulait éviter ? Mais aussi « pourquoi ces camps sont-ils si éloignés de la civilisation, et qui attendent-ils au juste ? ». À changer je ne sais combien de fois de raisons d’être, on ne sait plus qu’en penser.

Sputnik souligne aussi que l’on peut mettre en place la directive « PDD 51 » qui permettrait à la loi d’annuler toutes les libertés civiles et introduire l’état de siège. Nous pouvons appuyer cette supposition de loi martiale par cette vidéo : « We Are Under Martial Law ! As Declared By The Speaker Last Night », et chercher à se la confirmer par des personnalités politiques en avertissant tels que : Brad Sherman,Dennis kucinich, Mickael Herzong etc.., ou par une vidéo et deux articles tels que : « Martial Law Launch », et « États-Unis : Économie et loi martiale – La Sécurité intérieure se prépare-t-elle pour le prochain effondrement de Wall Street ? » et « Rex 84 : FEMA’s Blueprint for Martial Law in America ». La directive dont parle Sputnik permettrait globalement au président Bush l’ayant voté, de passer outre l’avis du congrès. Cet article de John Lloyds sur Agora Vox en 2009 nous explique clairement, quelle serait les dispositions que pourrait prendre la FEMA en cas d’urgence nationale de toutes sortes : « Futurs camps de concentration »

Le recours à la loi martiale et au camps de détention ne date pas d’hier, le livre de Peter Dale Scott nous en apprend beaucoup et je retirerai certains passages éclairant de son livre.

« Le 30 octobre 1969, le président Nixon signa un ordre exécutif 11 490 confirmant 21 ordre exécutifs et deux ordres de mobilisation de défense attribuant des fonctions de préparations aux situations de crise à des agences et des départements fédéraux. En 1976 a travers l’ordre exécutif 11 921, le président Ford renforça encore ces fonctions en faveur de la Féderal Emergency Preparedness Agency (FEPA)… Dés 1984, le journaliste Ross Gelbspan (journaliste réputé ayant travaillé au Boston Globe, Washington Post etc.) nous disait « le lieutenant colonel Olivier North travaillait avec des responsables de la FEMA (…) dans le but d’un plan secret de prévoyance afin de surveiller les dissidents politiques et d’assurer la détention de centaines de milliers d’étrangers sans papier dans le cas d’une urgence nationale indéterminée ». Le plan dont une partie portait le nom de code Rex 84, appelait à la suspension de la constitution conditionnée par un certain nombre de scénarios dont une invasion des États-Unis du Nicaruaga. Mais outre les groupes s’opposant aux États-Unis en Amérique centrale, ce plan de la FEMA aurait inclus les activistes gouvernementaux, les opposants à l’énergie nucléaire ainsi que les activistes favorables à l’assistance aux réfugiés ». Le plan Cable splicer traitait déjà de réactions en cas d’insurrection, d’exercices destinés à gérer ce genre de crise. « Sous Reagan ces responsables de Cable Splicer (sous la direction de Louis Giuffrida) intégrèrent la FEMA les plans de Giuffrida concernant la détention de dissidents devinrent si tentaculaires que même le ministre de la justice William French Smith émit des objections ».

Lors de Iran Countra, au cours d’auditions suite à ce scandale national le député Jack Brook interrogea Olivier North (militaire ayant travaillé avec les responsables de la FEMA) à propos de son travail sur « un plan en cas de crise qui suspendrait la constitution américaine » il n’eut pour seule réponse que c’était là « un sujet hautement sensible et classé secret » et qu’on ne pouvait donc pas l’aborder au cours d’une audience publique !

Le type d’urgence nationale mettant en place cette « continuité du gouvernement » est très vaste, et fut définie par l’ordre exécutif 12 656 de 1988 qui disait « toute survenance incluant les catastrophes naturelles, les attaques militaires, les urgences technologiques, ou toute autre situation de crise qui dégradent sérieusement ou mettent gravement en péril la sécurité nationale des États-Unis », nous pouvons voir là par ce décret, que les incidents pouvant mettre en place cela, sont très vastes et sujets à caution. James Bamfort dans son livre « Pretext Of War » nous spécifie que lors du 11/09, seule une partie du plan de continuité du gouvernement a été mise en place.

En 1982 un mémo rédigé par la FEMA et aujourd’hui rendu public déclara qu’« un programme civil de défense pleinement mis en oeuvre ne serait certainement pas considéré comme un substitut a la loi martiale, ni promu en tant que tel. Cependant si l’exécution de ce plan s’avérait une réussite,il pourrait avoir les mêmes effets que la loi martiale »8. Cette idée prit de l’ampleur lors de l’ouragan Katrina ou selon le Washington post, le conseiller à la maison blanche Karl Rove dit au gouverneur de Louisiane que l’on pourrait explorer des options légales pour, je cite : « aller aussi près [de la loi martiale] qu’il nous est permis d’aller ».

La source de ces paragraphes précédents vient du livre de Peter Dale Scott, « Le nouveau désordre mondial », j’ai sorti ces citations et divers extraits du livre (que j’invite tout le monde à lire) simplement pour souligner que la FEMA et sa « continuité du gouvernement » n’est pas un projet récent, ni une réponse à diverses catastrophes naturelles.

Cette note du congrès datant de 2007 n’est franchement pas rassurante, et pourrait être mise en corrélation avec tout ça : whatreallyhappened.com/concentration.

Par contre nous voyons que l’auteur Dominique Jacques Roth du journal L’Humanité, est un peu plus incisif, et pose cette question à la fin de l’article9 :

« À quel usage sont destinés les 600 camps de concentration disséminés sur le territoire américain pouvant recevoir 20 000 personnes chacun et les 100 000 wagons de prisonniers à trois étages munis de menottes et de chaînes, que la FEMA a commandés à des entreprises étrangères ? »

Le lien numéro un est un document militaire qui traite de programme de travaux forcés pour des détenus, pour faire les basses besognes de l’armée, comme nous l’explique l’auteur John Lloyds avec son article de 2009 (« Futur camps de concentration ; vol au dessus des nids de la FEMA », agora.fr).

Le document en lien 2 est un rapport datant du 12 février 2010, dont le titre est « FM 3-39. 40 opérations d’internement et réinstallation », il s’agit d’un manuel expliquant l’organisation de camps d’internement pour divers prisonniers de camp FEMA, mais le point assez troublant du document est que l’on parle de « rééducation de prisonniers », ce qui fera surement penser à tout le monde, le traitement des régimes totalitaires envers leurs prisonniers politique. Le site Dedefensa, qui nous fait part de divers extraits repris de la transcription intégrale du manuel, donnent plusieurs détails troublants, la partie extraite de la transcription montre clairement que ces détentions arbitraires s’appliquent aussi au territoire des États-Unis et aux citoyens américains. La partie la plus controversée se situe page 56 ou il est question d’équipe « PSYOPS » dont la responsabilité sera d’utiliser « des programmes d’endoctrinement pour réduire ou éliminer les attitudes antagonistes » ainsi que le ciblage de « militants politiques », avec des programmes pour fournir « la compréhension et l’appréciation des politiques et des actions américaines » ! L’aspect le plus choquant de ce manuel, est qu’il en ressort un moyen de rééducation et d’endoctrinement très peu approprié aux victimes civiles.

Cette dérive autoritaire concernant des troubles civils n’est pas nouvelle, le plan Garden Plot datant déjà de dizaines années, traité déjà de réaction en cas de troubles civils, des documents déclassifié en parle. Garden plot n’est qu’un sous programme de Rex 84, mais traite a peu près de la même chose : governmentattic.org/USArmyCivilDisturbPlanGardenPlot.

Defense, 3 August 1978 – Government Attic : governmentattic.org

Description of document : US Department of the Army Civil Disturbance Plan « GARDEN PLOT » prepared for the Department of Defense, 3 August 1978

Deux documentaires

On peut aussi se reporter a ce reportage : « Les camps de la FEMA » (ce n’est pas un documentaire de Alex Jones, il est simplement co-producteur et fait partie des intervenants, le réalisateur s’appelle William Lewis) Vous verrez dans le reportage que plusieurs projets de lois mentionnent clairement ces camps FEMA et que plusieurs personnalités politiques nous font part de leur doutes et peurs concernant ces camps et lois liberticides. Nous voyons aussi que la FEMA a fait un appel d’offre pour des emplois dans ces camps, où la publicité de l’offre explique clairement que les militaires auront en charge la conduite de prisonniers.

Mise en relation des camps de la FEMA avec les sans abris

Tout le monde a du se demander selon le titre de ce texte, quelle est le rapport entre les camps FEMA et les sans domiciles fixes, le voici :

Autre point douteux est la raison d’être de cette FEMA, qui a été maintes fois redéfinie par le gouvernement, il a d’abord été question d’attaque nucléaire, ensuite catastrophes naturelles, puis les attaques terroristes, et qu’apprend-on maintenant, qu’elle enferme… des SDF, en leur implantant des puces sous la peau en échange de leurs sorties !!

Je vous reproduis mot à mot la première ligne d’introduction d’un article de Mediapart :

« Des camps FEMA en Caroline du Nord , on n’en sort qu’en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau ».10

Il a été proposé aux sans abris de pouvoir sortir de ces prisons de la FEMA à condition qu’ils acceptent cette puce RFID sous la peau (Radio Frequency Identification). Elle servirait donc à les mettre sur monitorage, à les maintenir sous contrôle en échange de biens comme la nourriture, couvertures, vêtements et autres bénéfices pour leur survie. Sachez que ce pays enferme ses citoyens pour le seul motif d’être dans la précarité, tout cela sans raison aucune, sans tribunaux, sans procès et qui plus est, sans aucune indication sur la durée. (pour ceux qui doutent de cette affirmation, je le répète, sachez juste qu’elle n’est que la reproduction des dires d’un article de Mediapart, dont l’auteur s’appelle Massimo Bonatto)

En se reportant au lien 1, nous pouvons voir que le site livescience.com, nous annonçait en mai 2006 que la société VeryCHip Corporatation avait proposé au gouvernement américain d’implanter une puce aux immigrants pour pouvoir les suivre et les localisés.

Une simple question vient de suite à l’esprit au sujet de l’affirmation de Mediapart sur le puçage des SDF qui reste à première vue insoluble est pourquoi ?! Pour l’immigration, bien que le faire resterait inhumain, nous aurions l’argument un tant soit peu crédible, sur le fait de pouvoir les suivre mais des SDF… ! pourquoi pucer des gens dont ils n’ont aucune utilité, on ne suit pas des SDF pour savoir ou ils vont, alors que par définition de leur situation ils ne vont nulle part, nous voyons donc que l’argument de les pister ne tient pas. J’entrerai donc dans des spéculations à partir de maintenant, que j’essayerai d’appuyer non par des preuves, mais par des corrélations.

Hypothèses et spéculations sur la raison du pucage de sans abris

Voici d’abord la traduction d’extraits d’un article publié dans le numéro de juin-juillet 1994 de la revue Nexus. C’est le témoignage du Dr Carl W. Sanders, qui était chargé de concevoir la micro-puce électronique. Le Dr. Sanders est un ingénieur électronicien, inventeur et expert, conseiller auprès de nombreuses organisations gouvernementales et de compagnie telles que IBM, General Electric, Honeywell et Teledyn. Extrait du témoignage :

« J’ai consacré trente-deux années de ma vie dans la conception électronique, concevant des micro-puces dans le domaine bio-médical. En 1968, je devins impliqué, presque par accident, dans un projet de recherche et de développement concernant un pontage spinal pour une dame ayant l’épine dorsale rompue. Nous recherchions comment pouvoir relier les nerfs moteurs, etc » (…) « Nous avions remarqué que la fréquence de la micro-puce avait un grand effet sur le comportement humain, et on orienta alors nos recherches sur la possibilité de modifier le comportement humain avec la micro-puce. Le projet se transforma presque en acupuncture électronique, parce qu’il résulta à installer une micro-puce qui émettait un signal qui affectait certaines parties du cerveau. On démontra qu’on pouvait provoquer des changements de comportement avec cette micro-puce. Un de ces projets sur le comportement fut appelé le « Projet Phoenix », concernant les vétérans de la guerre du Vietnam » ( …) ;

(je vous laisse aller lire la suite de vous même) ; mais pour ceux qui veulent aller jeter un coup d’œil au site de ce monsieur, c’est par ici : trumpetministries.net

L’extrait que j’ai sortie du témoignage intégral n’est là que pour souligner que l’inventeur de cette puce, nous a dit qu’on lui avait demandé de s’en servir pour des raisons médicales au début, mais que les recherches se sont dirigées vers la modification du comportement. Le fait donc de pucer des gens sans aucune utilité s’éclaire déjà un peu plus, surtout en gardant en tête que ces gens là sont idéals pour subir des expérimentations, étant donné que personne ne le saura compte tenu de leur situation. Dites vous que ce témoignage date de plus de 20 ans.. ! Imaginez ce qu’il doivent arriver à faire a l’heure d’aujourd’hui, si la modification du comportement était déjà a l’étude a l’époque.

Pour celles et ceux qui auraient un doute quant à la possibilité d’influer sur le comportement avec ces puces, je les invite à lire cet article du Daily Mail : « All in the mind : The ‘telepathy’ chip that lets you turn on the TV using the power of thought ».

On peut aussi lire ce copier coller, de l’article du Boston Globe, de l’auteur Gareth Cook, ou vous verrez que le contrôle de l’esprit n’est en rien de la science fiction et qu’il a déjà été expérimenté sur des animaux comme nous le fait remarquer l’auteur : prisonplanet.com/defense_department_funding_brain_machine_work

Il y a aussi cette vidéo de Russia Today : « Mind Control – Remote Neural Monitoring »

José Delgado (neurophysiologiste, pionnier dans la technologie des implants cérébraux), auteur du livre « Contrôle Physique de l’Esprit – Vers une Société Psychocivilisée », a fait une déclaration intéressante a ce sujet dans le numéro du 24 février 1974 du Congressional Record, N° 262E, Vol. 118.

« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Toute personne qui dévie de la norme donnée peut être mutilée par chirurgie. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer son propre esprit. Ce type d’orientation libérale possède un grand attrait. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau ».

Que tout le monde comprennent bien que cette déclaration a été faites il y a plus de 40 ans, nous pouvons imaginer ce qu’ils savent faire a l’heure d’aujourd’hui, si nous avions des déclarations de la sorte il y a tant d’années, je me permets de supputer qu’elle se base sur des études et expérimentations, et que cette déclaration ne sort pas de nulle part.

Pour se pencher un peu plus sur ce que ce genre de puce sont capable de faire au niveau de comportement il y a ceci : ubergizmo.com/2015/04/27/en-2030-le-cerveau-humain-sera-devenu-une-telecommande-universelle, on peut y voir que le contrôle de l’esprit au travers de ces puces , n’est en rien quelque chose de futuriste et qu’il a déjà était expérimenté bon nombre de fois, quelques exemples de l’article. Miguel Nicolilis réalisa entre 2002 et 2005 a l’Université Duke une expérience qui permit a des singes de contrôler un bras robotisé par la pensée. Il réalisa aussi la prouesse de faire don de télépathie a des rats pour pouvoir résoudre des problèmes. Pour revenir au sujet de l’article qui est une manipulation du comportement et de l’état émotionnel, nous pouvons voir dans cet article qu’une étude française regroupant des chercheurs de l’École supérieure de Physique et de Chimie industrielles de Paros (ESPCI et de l’Université Pierre et Marie Curie (UPMC) a montré pour la première fois qu’il était possible de modifier le comportement de rongeurs en implantant de faux souvenirs complexes dans l’esprit de souris endormies ! Je ne pense pas trop m’avancer en affirmant que si de telle chose sont possibles sur des souris, il en est de même pour le genre humain, et je ne pense pas non plus enfoncer trop de porte ouverte, en supputant que la technologie militaire est toujours en avance par rapport a ce qu’on veut bien nous dire (projet Manhattan etc..) L’expérience sur ces souris a fait dire a Karim Benchenane à la tête de l’équipe ayant expérimenté tout ça :

« il est possible de fabriquer puis d’implanter un souvenir complexe qui peut être perçu consciemment par la souris, qui l’utilise dans un comportement dirigé vers un but ».

Pour revenir a José Delgado de la déclaration ci dessus, on nous cite plusieurs expériences. En 1963 il parvint à arrêter un taureau en pleine course en lui implantant des électrodes commandés à distance par un émetteur radio, à forcer un chat à lever la patte, etc.. mais il ne s’arrêta pas là, il parvint aussi déclencher des états émotionnels chez l’être humain a base d’un dispositif nommé « stimoceiver » et parvenant a provoquer certains états émotionnels comme : « la peur, la concentration et l’euphorie »… !

L’article a l’honnêteté de nous avertir des dérives que tout cela pourrait amener, en disant, « On imagine bien entendu sans peine les dérives et les dangers qu’un tel dispositif pourrait entraîner s’il était utilisé hors de tout contrôle médical ou de toute finalité thérapeutique, pour conditionner les individus et modifier leur personnalité », comme vu plus haut que le DARPA (défense) s’est intéressé a tout ça, devrait faire réfléchir tout le monde, sur cette avertissement innocent de l’article, et comprendre que la fonction médicale n’est plus tout à fait sollicité quand un organisme étatique pour la défense d’un pays s’y penche..

Cet article du Business insider parle aussi de puces « cérébrales », le directeur de l’Institut Allen Christoph Kock et le professeur de psychologie Gary Marcus explique ce qu’elles pourront peut être faire à l’avenir : « Brain implants will give us superpowers », il y est question de restaurer l’audition, la vue, mémoire et attention amélioré etc…

Quelque chose en rapport avec des camps et des expérimentations sur être humain, on peut trouver ceci :

  • « Expérimentation humaine à Guantanamo », c’est Le Guardian qui nous dit que de telles horreurs ont était pratiquées a Guantanamo, mais aussi cela :
  • « Des détenus cobayes à Guantanamo ». C’est un article du Nouvel Observateur qui est une interview de Jacques Debray, l’avocat de deux des quatre français ayant finit a Guantanamo, ou les prisonniers ont eu l’impression de subir des expérimentions médicales. Il n’y est mention d’aucune puce, que d’expérimentations.

Serge Monast journaliste d’investigation, et les camps de concentration américains

Le journaliste d’investigation Serge Monast, fondateur de l’Agence de Presse libre internationale a écrit un document dans les années 1990, du nom de « rex 64 camps de concentration » (je conseille vivement à tout le monde de le télécharger), où vous verrez que cette avertissement de camps de concentrations aux États-Unis ne date pas d’hier, et que l’une des premières dénonciations a été faite par le rédacteur en chef du Oakland tribune en 1976. Ce monsieur était tellement sur de l’illégalité de ces camps et de leurs fonctions qu’il a déposé une plainte au nom du peuple des États-Unis intitulé « Plainte contre le programme de camps de concentration du Département de la Défense ». Il y a aussi un autre avertissement pour ces camps, qui a été donné en 1991 par l’auteur Tony Blizzard du journal National Education en Californie, ou son article avait comme titre « Des camps de concentration secret ? »

Et pour que tout le monde comprenne bien aussi, que cette manipulation du comportement est un projet mûrement réfléchi depuis bon nombre d’années, voici une déclaration du psychologue James Mc Conell publié dans un numéro de Psychologie Today dans les années 1970 : « Le jour est arrivé ou nous pouvons combiné la privation sensorielle, avec des drogues, de l’hypnose, et de la manipulation astucieuse de la punition et de la récompense, tout cela pour parvenir au contrôle presque absolu d’un individu. Il devrait être possible de développer une méthode (…) qui permettrait d’effectuer des changements radicaux dans la personnalité et comportement d’un individu » ! Vous verrez aussi que le Dr William R Pabst, de Houston au Texas, a sorti un document de 21 pages11, il y a plus de 30 ans, dont le titre est « Concentration Camp Program/United States Department Of Justice », avertissant des ambitions officieuses de ces camps FEMA, traduit et reproduit en totalité dans ce livre du journaliste international Serge Monast.

Conclusions

Cette technologie peut amener a toutes sortes de dérives, nous avons vu les allemands refusé de breveter une invention saoudienne libérant du cyanure, par télécommande, avec cette puce sous cutanée ! : « Allemagne – Refus de breveter une invention saoudienne : puces sous-cutanées pouvant libérer du cyanure par télécommande ».

En tout cas, peu importe la fonction qu’a cette puce, et je conclurai ce texte comme ça, nous pouvons d’ors et déjà dire, que rien que de l’implanter est criminel, car reconnue cancérigène. L’organisation américaine CASPIAN a publié un rapport de 52 pages combinant différentes études, au sujet de cette puce et confirmant bel et bien la nocivité et les risques cancérigènes de celle ci : antichips.com/albrecht-microchip-cancer-full-paper

Alors bien qu’aucune preuve directe n’atteste de la volonté d’expérimentations sur SDF pour la modification du comportement, l’argument de suivre des gens, qui par définition, vagabondent, n’est pas très convaincant. Tout cela restent des spéculations pour l’instant, mais sachant ce qu’ont étaient capable ces différents organismes étatiques au cours de l’histoire, avec des projets tels que MK ultra, Artichock, BlueBird, Monarch, ou Stargate pour le moins négatif, démontrant tous un intérêt pour le contrôle de l’esprit, par le complexe militaro-industriel, ça ne devrait donc étonner personne, qu’une telle affirmation soit faite de Mediapart. Affaire à suivre…


  1. karmapolis.be/fema_secrets
  2. apd.army.mil/r210_35
  3. info.publicintelligence.net/USArmy-InternmentResettlement
  4. nytimes.com/2006/02/04/halliburton-subsidiary-gets-contract-to-add-temporary-immigration
  5. latimes.com/2002/oe-turley14
  6. « PARANOïA. La folle rumeur des camps de concentration fédéraux » Courrier international
  7. « 600 camps de concentration aux États-Unis », Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
  8. ReOpen911 – News, « Le programme secret de la FEMA pour supplanter la Constitution des États-Unis et établir un état d’urgence permanent »
  9. « Culture du malaise… au service des multinationales », L’Humanité
  10. « USA, Caroline du Nord. Les camps de concentration Fema pour les sans domicile fixe », Massimo Bonato, Le Club de Mediapart
  11. « Plans de camps de concentration pour les citoyens américains », bibliotecapleyades.net



Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé

[Source : anguillesousroche.com]

La plus grande entreprise alimentaire du monde, Nestlé, a reconnu dans un document interne que plus de 60 % de ses produits alimentaires et boissons grand public ne répondent pas à une « définition reconnue de la santé » et que « certaines de nos catégories et certains de nos produits ne seront jamais “sains”, quelles que soient nos rénovations ».

Une présentation diffusée auprès des cadres supérieurs au début de l’année, consultée par le Financial Times, indique que seuls 37 % des produits alimentaires et des boissons de Nestlé en termes de revenus, à l’exclusion de produits tels que les aliments pour animaux de compagnie et la nutrition médicale spécialisée, obtiennent une note supérieure à 3,5 selon le système australien d’évaluation par étoiles de la santé.

Ce système, qui note les aliments sur cinq étoiles, est utilisé dans les recherches menées par des groupes internationaux tels que Access to Nutrition Foundation.

Nestlé, le fabricant des KitKats, des nouilles Maggi et de Nescafe, décrit le seuil de 3,5 étoiles comme une « définition reconnue de la santé ».

Dans son portefeuille global d’aliments et de boissons, quelque 70 % des produits alimentaires de Nestlé n’ont pas atteint ce seuil, selon la présentation, ainsi que 96 % des boissons – à l’exception du café pur – et 99 % du portefeuille de confiseries et de glaces de Nestlé.

L’eau et les produits laitiers ont obtenu de meilleurs résultats, 82 % des eaux et 60 % des produits laitiers atteignant le seuil.

« Nous avons apporté des améliorations significatives à nos produits, mais notre portefeuille ne répond toujours pas aux définitions externes de la santé dans un contexte où la pression réglementaire et les exigences des consommateurs montent en flèche », indique la présentation.

Les données excluent les préparations pour nourrissons, les aliments pour animaux de compagnie, le café et la division des sciences de la santé, qui fabrique des aliments pour les personnes souffrant de problèmes médicaux spécifiques. Cela signifie que les données représentent environ la moitié des 92,6 milliards de francs suisses (84,35 milliards d’euros) de revenus annuels totaux de Nestlé.

Ces conclusions interviennent alors que les fabricants d’aliments doivent faire face à une pression mondiale pour combattre l’obésité et promouvoir une alimentation plus saine. Les dirigeants de Nestlé réfléchissent aux nouveaux engagements à prendre en matière de nutrition et comptent dévoiler leurs plans cette année.

Le groupe met également à jour ses normes nutritionnelles internes, connues sous le nom de Nestlé Nutritional Foundation, qui ont été introduites sous l’ancien directeur général Peter Brabeck-Letmathe, qui caractérisait Nestlé comme une « entreprise de nutrition, de santé et de bien-être ».

Une option pourrait consister à abandonner ou à remplacer ces normes pour les produits considérés comme des friandises, comme les confiseries, selon une personne au fait de la situation.

Mark Schneider, directeur général, a reconnu que les consommateurs souhaitaient une alimentation plus saine mais a rejeté les affirmations selon lesquelles les aliments « transformés », y compris ceux fabriqués par Nestlé et d’autres multinationales, ont tendance à être mauvais pour la santé.

Cependant, la présentation met en avant des produits Nestlé tels qu’une pizza DiGiorno à croûte de croissant aux trois viandes, qui contient environ 40 % de l’apport journalier recommandé en sodium, et une pizza Hot Pockets pepperoni qui en contient 48 %.

Un autre produit, une boisson San Pellegrino à l’orange, obtient un “E” – la pire note disponible dans le cadre d’un système de notation différent, Nutri-Score – avec plus de 7,1 g de sucre par 100 ml, indique la présentation, qui pose la question suivante : « Une marque de santé doit-elle porter une note E ? »

Par ailleurs, le Nesquik à la fraise de Nestlé, vendu aux États-Unis, contient 14 g de sucre dans une portion de 14 g, ainsi que de petites quantités de colorants et d’arômes, bien qu’il soit conçu pour être mélangé à du lait. Il est décrit comme « parfait au petit-déjeuner pour que les enfants soient prêts pour la journée ».

Nestlé a déclaré qu’elle « travaille sur un projet à l’échelle de l’entreprise pour mettre à jour sa stratégie pionnière en matière de nutrition et de santé. Nous examinons l’ensemble de notre portefeuille à travers les différentes phases de la vie des gens pour nous assurer que nos produits contribuent à répondre à leurs besoins nutritionnels et à soutenir une alimentation équilibrée ».

Une base solide

« Nos efforts s’appuient sur une base solide, fruit d’un travail de plusieurs décennies…. Par exemple, nous avons réduit de manière significative les sucres et le sodium dans nos produits au cours des deux dernières décennies, environ 14 à 15 % rien qu’au cours des sept dernières années. »

Marion Nestle (aucun lien de parenté), professeur invité de sciences nutritionnelles à l’université Cornell, a déclaré que Nestlé et ses rivaux auraient du mal à rendre leurs portefeuilles globalement sains.

« Le travail des entreprises alimentaires est de générer de l’argent pour les actionnaires, et de le générer aussi rapidement et en aussi grande quantité que possible. Elles vont vendre des produits qui touchent un public de masse et sont achetés par le plus grand nombre de personnes possible, que les gens veulent acheter, et c’est la malbouffe », a-t-elle déclaré.

« Nestlé est une entreprise très intelligente, du moins d’après les rencontres que j’ai eues avec des personnes travaillant dans leurs départements scientifiques… mais elle a un réel problème…. Les scientifiques travaillent depuis des années pour essayer de trouver comment réduire la teneur en sel et en sucre sans modifier le profil de saveur et, devinez quoi, c’est difficile à faire. »

Certains produits perçus comme sains, tels que les substituts de viande à base de plantes, sont des domaines de forte croissance pour les fabricants de produits alimentaires. Nestlé a vendu certaines de ses divisions qui fabriquaient des produits moins sains, comme une participation de 60 % dans la branche charcuterie de Herta en 2019.

Nestlé a été classé en tête des grands fabricants mondiaux d’aliments et de boissons dans un indice 2018 des efforts déployés pour encourager une meilleure alimentation, compilé par la Fondation pour l’accès à la nutrition, bien que la fondation ait averti que « toutes les entreprises doivent faire beaucoup plus ».

Nestlé a déclaré : « Ces dernières années, nous avons lancé des milliers de produits pour les enfants et les familles qui répondent à des critères de nutrition externes. Nous avons également distribué des milliards de doses de micronutriments via nos produits abordables et nutritifs. »

Et d’ajouter : « Nous pensons qu’une alimentation saine implique de trouver un équilibre entre bien-être et plaisir. Cela inclut d’avoir un peu de place pour les aliments indulgents, consommés avec modération. Notre direction n’a pas changé et est claire : nous continuerons à rendre notre portefeuille plus savoureux et plus sain. »

Source : The Irish Times – Traduit par Anguille sous roche




Révolution de 1789 : le détail qui tue…

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

[Ndlr : l’auteur perçoit une cause fondamentale unique derrière la situation. Est-ce réellement le cas ? Comme il le conseille, c’est à chacun de faire ses propres recherches. Cependant, Internet n’est probablement pas suffisant, car on y trouve de tout et son contraire et que certaines parties de cet univers virtuel manquent presque totalement de fiabilité, voire d’honnêteté. Il peut être alors utile de compléter des recherches virtuelles par la lecture d’ouvrages d’Histoire et d’autres domaines, d’auteurs variés et aux opinions éventuellement contradictoires afin de peser le pour et le contre et de faire la part des choses.]

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Il y a des moments où je m’interroge sur la passivité et la crédulité des Français. Je n’arrive pas à croire qu’il y ait une telle masse de dégénérés, incapables de réfléchir, incapables d’analyser, incapables de comprendre que nous vivons actuellement le plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

Alors je me dis qu’il faut qu’il en soit ainsi, il faut que des gens meurent en masse pour qu’une partie des endormis finisse par réaliser ce qui se passe vraiment. Et malgré ça, je suis certain que nombreux continueront à croire la télé ou le gouvernement qui leur diront : « ils sont morts du Covid, d’un variant particulièrement virulent… »

Nom de Dieu de nom de Dieu !! Mais quand allez-vous ouvrir les yeux ? Quand allez-vous comprendre qu’avec la vaccination, nous faisons l’objet d’un génocide programmé qui selon les propres mots de Bill Gates permettra de réduire la population mondiale de 10 à 15% ?

Vérifiez-le si vous ne me croyez pas. Internet est là pour ça !!

Ce plan criminel est planifié depuis des dizaines d’années ! Et pour l’avoir dénoncé, le Président John F. Kennedy l’a payé de sa vie, il a été assassiné !!!

Si vous n’avez pas de la merde à la place du cerveau, vous parviendrez très rapidement à identifier ceux qui ont conçu ce plan criminel. Et c’est facile !!!
Qui sont ceux qui rêvent de nous réduire en esclavage ? Qui sont ceux qui prétendent qu’ils sont nés pour dominer le monde ? Qui sont ceux qui nous décrivent comme étant du bétail né pour les servir ?

Il faut vous faire un dessin ?

Faites vos propres recherches, fouillez, et vous verrez que ce que Kennedy qualifiait de « conspiration monolithique » a un seul et unique lien, un seul et unique point commun. Et si vous ne comprenez pas ce que le mot « monolithique » signifie, ouvrez un dictionnaire bordel !!

Savez-vous que la Révolution française a été démarrée par 300 ou 400 personnes à Paris ? Ils n’étaient pas des milliers, pas des dizaines de milliers, pas des millions mais quelques centaines de gens payés par les usuriers !!

Savez-vous que la première loi votée par l’Assemblée Constituante en octobre ou novembre 1789 a été la légalisation de l’usure ? La légalisation du prêt avec intérêt ?

Pendant qu’on mettait le pays à feu et à sang, les faux révolutionnaires agissaient pour le compte des banquiers en faisant voter une loi que des siècles de monarchie ont refusé, à cause de son immoralité et du danger qu’elle représente pour un pays, pour un peuple, pour une nation !

Français ignorants et endormis, nos ancêtres ont fait la révolution pour faire de nous les esclaves des banquiers !! Le saviez-vous ça ? Et vous continuez à croire ce que les livres d’histoire nous racontent ?

Nathan Rothschild a déclaré :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je me fiche de qui fait ses lois. »

Ses descendants possèdent désormais plus de 193 banques nationales dans 193 pays du monde. Vous comprenez ce que cela signifie ? Ils possèdent la planète ! Nos gouvernements sont leurs employés, leurs serviteurs, leurs domestiques !! Et maintenant ils considèrent que nous sommes trop nombreux et qu’il faut nous éliminer par la maladie, par le test, par le vaccin après nous avoir empoisonnés par la nourriture industrielle qui est à l’origine de l’explosion des cancers, des maladies cardiaques et cardio-vasculaires !

Alors réveillez-vous, car si Klaus Schwab et les gens de sa tribu réussissent leur coup, nous gémirons et pleurerons toutes les larmes de notre corps en nous demandant comment nous avons fait pour être aussi abrutis, pour être les responsables de nos malheurs, les fossoyeurs de nos propres vies, les idiots qui sont allés à l’abattoir de leur plein gré…

Nous n’avons pas besoin d’être des millions pour renverser cette tyrannie mais quelques centaines de milliers d’hommes courageux et déterminés. N’attendons rien des faibles, des soumis et des ignorants !! Il en va de nos vies, de nos familles, de nos enfants, de notre peuple et de l’avenir de cette nation !

Et pour ce qui me concerne, je suis prêt à sacrifier ma vie !




Nanoparticules dans l’alimentation : où se cachent-elles ?

[Source : agirpourlenvironnement.org]

OÙ SE CACHENT LES NANOPARTICULES ?

La liste des produits* contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée.
Interpellons les industriels !

Liste imprimable : liste-nano-imprimable.pdf (apeorg.com)


*Pour la France




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




L’Albanie teste l’agromine, la dépollution des sols par les plantes

[Source : reporterre.net]

En Albanie, des paysans cultivent avec enthousiasme une plante jugée autrefois indésirable. Car en puisant des métaux lourds comme le nickel, l’Alysson des murs, «hyperaccumulatrice», dépollue les terres. L’expérimentation est portée par des scientifiques locaux et français.

Pogradec (Albanie), reportage

Les paysans de la région ont beau s’échiner depuis des générations, les champs ensoleillés qui bordent les eaux profondes du lac d’Ohrid donnent peu. Sur cette terre rouge et sèche, située à quelques kilomètres de la frontière macédonienne, il faut assurer la nourriture du bétail. «La terre est peu productive. C’est à cause du nickel qu’il y a dans le sol…, résume Dalip Gaxho, un paysan de 60 ans, casquette sur la tête. Il n’y a que la culture fourragère qui fonctionne. C’est une terre peu fertile qui n’est pas adaptée à d’autres cultures.» Ici ou là, sur les collines à la végétation rase, on aperçoit les vestiges des mines de la période communiste.

Pauvres en nutriments, les terres de l’Albanie orientale sont naturellement riches en métaux lourds. Zinc, cobalt, et surtout nickel sont présents en fortes quantités sur ces sols dits ultramafiques. Cette concentration élevée en métaux n’est pas sans danger pour la santé humaine, mais est fort appréciée par une plante qui fleurit en ce mois de mai : l’Alysson des murs. Alyssum murale, de son nom latin, la famille Alillari la connaît bien : cette plante vert clair aux multiples fleurs jaunes s’épanouit autour de son village, Pojska. «Cette plante nuit aux cultures qui me font vivre! Si je veux cultiver et vendre du maïs ou des haricots, je dois l’arracher de mes champs!» s’agite Dalip Alillari, un fermier de 58 ans. «Pour nous, c’était une plante inutile, reconnaît plus posément Vahit, le fils. Elle nous paraissait même dangereuse, car quand tu veux cultiver quelque chose, tu es obligé de l’enlever quand elle apparaît dans tes champs…»

Si Vahit parle au passé, c’est que la famille regarde aujourd’hui d’un tout autre œil cette voisine appréciée des abeilles mais naguère indésirable. Ces cinq dernières années, les Alillari ont même recouvert certaines de leurs parcelles avec cette plante touffue qui peut atteindre un mètre de hauteur. À l’origine de ce changement inédit de culture : Aida Bani. Voilà plus de quinze ans que les recherches en phytoextraction de cette scientifique albanaise se concentrent sur l’Alysson des murs. «Alyssum murale est une plante hyperaccumulatrice. Ses racines puisent le nickel contenu dans le sol et elle peut stocker jusqu’à 2% de ce métal dans ses tissus, s’enthousiasme cette agronome de l’Université de Tirana. Elle peut extraire les métaux de deux types de sols : des sols naturellement riches en métaux lourds, et des sols qui ont été contaminés par l’activité industrielle et minière.» Grâce au soutien financier du projet «Life agromine» puis du programme de microfinancements du Fonds pour l’environnement mondial (GEF SGP), la chercheuse cultive aujourd’hui près de huit hectares d’Alysson des murs dans l’est de l’Albanie.

La chercheuse Aida Bani étudie les plantes «hyperaccumulatrices» depuis plus de quinze ans.

C’est à Nancy que s’est joué une partie des expérimentations actuelles autour de l’Alyssum albanaise. Avec ses collègues et professeurs de l’Université de Lorraine, Jean-Louis Morel, Guillaume Echevarria et Marie-Odile Simonnot, Aida Bani s’est intéressée aux vertus dépolluantes de l’Alysson des murs, ainsi qu’à son potentiel économique. Une fois récoltées et séchées, les plantes cultivées en Albanie sont expédiées dans l’est de la France au laboratoire d’Econick, une entreprise fondée par sept chercheurs lorrains. Après l’incinération de la biomasse et divers procédés chimiques, les scientifiques récupèrent du sel et de l’oxyde de nickel. Ces biominéraux de haute qualité permettent des utilisations variées : pour la coloration de céramique ou des verres de lunettes, ou comme composants de batterie et autres catalyseurs. Si le coût de fabrication n’est pas encore en mesure de concurrencer l’extraction minière traditionnelle, la démarche résonne avec l’urgence écologique. L’entreprise espère séduire des industriels désireux de se fournir en matériaux issus de pratiques plus saines pour l’environnement.

L’agromine offre de nouvelles perspectives aux agriculteurs albanais.

La culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols en à peine cinq à dix ans.

Question rendements, les expériences menées jusque-là semblent prometteuses. En quelques années, le Centre de gestion économique et agro-environnemental d’Aida Bani a réussi à doubler la quantité de nickel récupérée grâce aux plantes. «De cent kilos par hectare en 2015, nous sommes arrivés à en récolter deux cents l’an dernier, se félicite la chercheuse, en inspectant une parcelle que vient d’irriguer Dalip Gaxho, le paysan. Nous avons doublé les rendements en jouant avec la distance, la densité des plantes, la fertilisation minérale et organique, le temps et la manière de récolter, mais aussi en l’associant avec d’autres plantes comme les légumineuses.» On recense de par le monde près de quatre cents plantes hyperaccumulatrices. Encore expérimentale, la culture des amatrices de métal permettrait de dépolluer les sols des métaux lourds en à peine cinq à dix ans.

Des champs de ces plantes hyperaccumulatrices ont ainsi fait leur apparition sur d’anciens sites industriels lorrains. Et en Albanie où les sols ultramafiques représentent près de 11% de la superficie du pays, «l’agromine» pourrait ouvrir de nouveaux horizons à un secteur agricole en souffrance et apporter des revenus bienvenus dans des campagnes qui souffrent de la pauvreté et du manque de perspectives. «Les opportunités qu’offre la phytoextraction intéressent beaucoup les paysans du coin, assure Aida Bani. En cultivant ces plantes hyperaccumulatrices, ils peuvent gagner bien plus d’argent qu’avec les plantes fourragères : deux, trois, voire même quatre fois plus.» La vente à Econick des plantes récoltées améliorent déjà un peu le quotidien des paysans qui participent aux expérimentations.

L’«Alyssum murale» pousse naturellement sur l’ancien site industriel de Prrenjas en Albanie.

L’opération sols propres que mène l’Alyssum murale autour du lac d’Ohrid semble ainsi satisfaire les Alillari, qui appliquent la rotation des cultures à leurs parcelles. Lentement vidés de leurs métaux par l’Alysson des murs, leurs champs gagnent en qualité et pourraient se montrer plus généreux dans le futur. «En retirant le nickel qui nuit à nos cultures, cette plante permet à nos terrains d’être plus productifs, se réjouit Vahit Alillari. Avec cette plante, tout le monde est gagnant : la professeure avec son expérimentation, et nous, les fermiers.» Pour l’instant, les métaux contenus dans la terre rouge de Pogradec paraissent inépuisables, et l’Alyssum murale a encore de beaux jours devant elle. Aida Bani compte en récolter plus de treize tonnes cette année. Afin d’améliorer le bilan carbone de l’expérience, et dans une perspective d’économie circulaire, la chercheuse discute avec ses collègues de Lorraine pour pouvoir un jour récupérer le métal stocké dans les plantes directement en Albanie.




Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID

[Source anglaise : The Last American Vagabond]

[Traduction : MIRASTNEWS]

Alors que les communautés autochtones du Mexique rejettent le vaccin COVID-19, l’effort international pour convaincre le public de prendre l’injection est pleinement effectif.

Début mars, CNN a rapporté que «des villes entières refusent les vaccins Covid-19 au Mexique», dressant le profil de deux des plus d’une douzaine de municipalités qui ont rejeté les vaccins contre la COVID-19 [en anglais, Coronavirus Desease 2019 ou en français, Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS] pour une raison ou une autre. CNN a rendu compte des déclarations des habitants d’Aldama et de San Juan Cancuc, petites villes autochtones situées dans les hauts plateaux du centre de l’État mexicain du Chiapas.

«Pourquoi me faire vacciner? Je ne suis pas malade. Ce ne serait pas bien s’ils essayaient de nous forcer à nous faire vacciner. Je ne sais pas»,

a déclaré à CNN María Magdalena Lopez Santís, une résidente d’Aldama.

Les communautés autochtones du Mexique (et de nombreux Mexicains en général) ont une histoire de méfiance envers le gouvernement fédéral. Après des générations d’ignorance ou de colonisation, les communautés sont largement autonomes et fonctionnent selon leur propre état de droit. C’est cette histoire qui a poussé plusieurs communautés du Chiapas et d’autres régions du Mexique à rejeter complètement les injections COVID-19.

Bien sûr, CNN rapporte que « le manque d’informations et les théories du complot qui se sont répandues dans la région comme une traînée de poudre sont à blâmer pour l’hésitation à la vaccination. » Le secrétaire municipal d’Aldama, Tomás Lopez Pérez, a déclaré à CNN que parce que son peuple «ne sait pas vraiment de quoi sont faits les vaccins, nous pensons qu’ils contiennent le virus [SRAS-CoV-2 de la Covid-19] et c’est la principale raison pour laquelle les gens ne veulent pas se faire vacciner.» 

Le 1er février, José Lopez Lopez, maire de San Juan Cancuc, a publié une lettre aux autorités sanitaires de l’État expliquant pourquoi sa ville n’accepterait pas le vaccin COVID. Lopez Lopez a déclaré que les habitants de San Juan Cancuc rejetteraient en fait tous les vaccins de l’État mexicain.

Le Département de la santé de l’État du Chiapas a déclaré qu’il respecterait l’autonomie des populations autochtones.

Je me suis récemment rendu à San Juan Cancuc pour découvrir par moi-même pourquoi ces communautés autochtones rejettent les vaccins. Les indigènes de San Juan Cancuc parlent un dialecte spécifique de la langue indigène Tseltal connue sous le nom de San Juan Cancuc Tseltal. Avec l’aide d’un homme local interprétant de l’anglais à l’espagnol et de l’espagnol au Tseltal, j’ai pu communiquer avec les membres du conseil de San Juan Cancuc. Bien qu’ils ne s’expriment pas devant la caméra sans la présence de José Lopez Lopez, ils ont partagé une mine d’informations sur la façon dont leur communauté a réagi à la COVID-19.

Pour commencer, le conseil de San Juan Cancuc a déclaré n’avoir vu aucun cas de COVID-19 dans sa communauté. Ils ont également déclaré que la ville n’avait jamais imposé de masques ni de distanciation sociale. Le conseil a déclaré qu’il disposait de ses propres méthodes de guérison des malades qui ne correspondent pas aux politiques du gouvernement mexicain.

Le conseil a déclaré qu’avant la publication de la lettre de février, la communauté avait rejeté les camions apportant des vaccins et d’autres soutiens du gouvernement. La communauté a rejeté les camions à deux reprises avant de finalement publier la lettre faisant savoir publiquement qu’elle rejetait les injections COVID. Le conseil a déclaré que les médecins qui tentaient de venir en ville pour administrer des vaccins se sont fait dire par les autorités de l’État qu’ils ne pourraient pas garantir leur sécurité s’ils entraient à San Juan Cancuc. 

Le conseil a également noté que des lois avaient été adoptées pour garantir que la politique «pas un vaccin de plus» ne puisse pas être modifiée une fois qu’un nouveau maire est élu. Lorsqu’on leur a demandé quel message ils aimeraient partager avec le reste du monde, le conseil a déclaré que «tout le monde devrait faire ce qu’il sait être juste». Ils ont également dit qu’ils croyaient que leur communauté avait prospéré parce qu’ils étaient organisés et unifiés. 

J’ai également parlé avec deux habitants du village indigène de Betania, à environ 30 minutes au sud de San Cristobal de las Casas, au Chiapas. Les habitants ont déclaré que toute leur ville avait également rejeté les injections COVID-19. Ils ont également noté que le gouvernement de l’État offre 950 pesos (environ 50 USD) aux résidents qui reçoivent les vaccins, avec des paiements supplémentaires par enfant dans certains cas. La femme autochtone à qui nous avons parlé a déclaré que les autorités sanitaires locales appellent les résidents et tentent de les persuader de prendre le vaccin. Dans certains cas, on dit aux résidents qu’ils ne peuvent pas continuer à recevoir des soins de santé sans le vaccin. Pourtant, les habitants de Betania ont rejeté les injections.

Burgers, frites, beignets et pots-de-vin

L’idée que les gouvernements pourraient littéralement soudoyer les citoyens avec de l’argent peut sembler choquante ou immorale, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones des petits villages du Mexique. Cependant, cette pratique est de plus en plus courante aux États-Unis et en Europe.

Il y a quelques mois, Krispy Kreme a fait la une des journaux après avoir offert des beignets quotidiens gratuits aux clients avec une preuve de vaccin. Maintenant, les gouvernements des États interviennent avec des offres de hamburgers, de frites, de billets pour des événements et d’argent liquide. 

Dans l’Illinois, 50 000 résidents vaccinés se voient offrir des billets gratuits pour les parcs à thème Six Flags. Les billets sont évalués à un coût de 4 millions de dollars. Dans le Maine, les personnes vaccinées se voient offrir n’importe quoi, des cartes-cadeaux gratuites aux permis de chasse et de pêche. Les résidents vaccinés de l’Ohio sont désormais éligibles pour participer à une loterie avec un prix de 1 million de dollars pour cinq personnes vaccinées de l’Ohio.

L’Ohio donnera à cinq résidents 1 million de dollars chacun à la loterie des vaccins https://t.co/ClsDIHEEpL  

CBS News (@CBSNews) 13 mai 2021

Certaines villes métropolitaines des États-Unis offrent également des prix à ceux qui souhaitent soumettre leur corps et leur esprit au traitement médical expérimental. À Detroit, les résidents sont corrompus avec des cartes de débit prépayées de 50 $ s’ils conduisent une autre personne à un site de vaccination. Il n’y a actuellement aucune limite sur le montant d’argent qu’une personne peut gagner avec ce programme. Dans la région de Houston, le comté de Harris a récemment annoncé 250 000 $ à utiliser pour des cartes-cadeaux, des événements et d’autres incitations.

Les résidents de New York se voient offrir des cartes de métro gratuites de 7 jours, des billets pour des événements sportifs, le zoo du Bronx, le jardin botanique de Brooklyn et le Lincoln Center. Jeudi, le maire de Blasio a annoncé que ceux qui prennent la piqûre peuvent recevoir des bons pour des hamburgers et des frites gratuits de Shake Shack. «Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner», a déclaré le maire de Blasio dans une démonstration dégoûtante incitant les habitants de New York à obtenir un traitement expérimental et non approuvé en échange d’un, généralement, repas malsain.

« Mmmm! … vaccination. » Le maire de New York annonce que Shake Shack donnera de la nourriture gratuite aux New-Yorkais vaccinés.
«Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner.»
– Breaking911 (@ Breaking911) 13 mai 2021

Alors que les pots-de-vin d’argent et de nourriture sont offerts pour inciter les gens à se faire vacciner contre la COVID [Coronavirus Desease ou Maladie à Coronavirus – MIRASTNEWS], l’aspect le plus dérangeant est la tentative de convaincre le public que la seule façon de «revenir à la normale» est de se soumettre à une injection et / ou un passeport vaccinal. En fait, plus tôt cette semaine, le président Joe Biden a annoncé de nouvelles règles relatives au port du masque, déclarant«La règle est désormais simple: faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez.» Le message diffusé au public est clair: si vous n’obtenez pas de vaccin, vous continuerez à être soumis aux restrictions COVID-19. Si vous ne vous conformez pas, vous ne pouvez pas revenir à la «normale».

De plus, ceux qui choisissent d’attendre pour se faire vacciner (ou de ne pas tout obtenir) subissent des pressions, sont diabolisés et censurés en ligne pour avoir exprimé leurs préoccupations et leurs raisons d’hésiter. Alors que les habitants de Betania et de San Juan Cancuc sont unifiés dans leur opposition aux traitements, les résidents des États-Unis sont moins unifiés et moins organisés. Les communautés autochtones du Chiapas peuvent continuer à vivre leur vie comme elles sont habituées, mais les habitants de Houston, New York, Detroit et ailleurs sont confrontés à un environnement de plus en plus totalitaire. 

La seule façon d’avancer est que le peuple des États-Unis et au-delà s’organise et s’oppose directement et rejette les mandats de vaccination forcée et les appels à des passeports vaccinaux. Rien de moins qu’une opposition unifiée ne parviendra à arrêter la marche de la COVID-1984.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : The Last American Vagabond




La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?

[Source : Cogiito]

[Ndlr : l’utilisation du mot « thé » dans la traduction originale a été remplacée ici par le terme plus approprié de « tisane ».]


par Mike Adams
https://www.afinalwarning.com/517717.html

La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ? Découvrez la suramine, l’acide shikimique et comment fabriquer vos propres extraits

Avis de non-responsabilité : les informations présentées dans cet article et ce podcast sont uniquement destinées à des fins d’information.

Rien de ce qui est présenté ici n’est destiné à diagnostiquer ou à traiter une quelconque maladie, et aucun supplément ou produit n’est proposé à la vente en relation avec ces informations.

Il semblerait que la tisane aux aiguilles de pin pourrait offrir une solution contre l’« excrétion » ou la transmission du vaccin contre le covid, qui semble être un phénomène où les personnes vaccinées propagent des particules ou des substances nocives à leur entourage.

https://www.naturalnews.com/2021-05-07-salk-institute-reveals-the-covid-spike-protein-causing-deadly-blood-clots.html

Voir cet article d’un site de blog WordPress appelé « Ambassador Love » :
PINE TEA: Possible Antidote for Spike Protein Transmission

Cet article déclare :

Il existe un antidote potentiel à la contagion actuelle de la protéine Spike qui s’appelle Suramin. On la trouve dans de nombreuses forêts du monde, dans les aiguilles de pin.

La suramine a des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation et sur la réplication et la modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds.

La tisane aux aiguilles de pin est l’un des antioxydants les plus puissants qui soient et elle est connue pour traiter le cancer, les inflammations, le stress et la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La tisane aux aiguilles de pin tue également les parasites.

Vous trouverez ci-dessous un podcast et une vidéo complets qui révèlent deux méthodes d’extraction, qui sont toutes deux des méthodes simples, de faible technicité et peu coûteuses, pouvant être utilisées presque partout.

Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, puisque le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C.

Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires. (Voir les sources scientifiques publiées ci-dessous).

Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme aliment et comme médicament depuis des milliers d’années. Nombreux sont ceux qui pensent aujourd’hui que les aiguilles de pin peuvent offrir une protection contre les protéines Spike du covid – qui sont des armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid – ainsi que contre les particules d’excrétion du vaccin contre le covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour parvenir à une dépopulation mondiale.

Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes savent parfaitement que la tisane d’aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement covidien, et ils utilisent secrètement la tisane d’aiguilles de pin pour se protéger du fléau qu’ils ont lâché sur le monde, explique Mikovitz.

Fouiller dans la science derrière les aiguilles de pin et les covidés

En tant que scientifique de laboratoire, j’ai décidé de creuser cette question à l’aide de mes connaissances et de mon expérience en laboratoire. Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour en faire une tisane [ou infusion] est une méthode d’extraction couramment utilisée en science alimentaire et en médecine traditionnelle chinoise (MTC).

L’eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l’eau, ce qui donne une tisane aux aiguilles de pin. (C’est ainsi que toutes les infusions sont fabriquées).

En parcourant les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, je me suis posé deux questions principales :

1) Quelles sont les molécules que l’on trouve dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions en ce qui concerne l’arrêt de la formation de caillots sanguins ou la protection des personnes non vaccinées contre l’excrétion du vaccin covid ?

2) Quelle est la meilleure méthode d’extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d’extraction à faible technicité que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d’un laboratoire ?

Grâce à mes recherches, j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux, mais aussi de l’acide shikimique.

L’acide shikimique est à la base du Tamiflu, et c’est la molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé, une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes.

Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l’acide shikimique, la même molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les pestes et les maladies respiratoires.

En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.

http://archive.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2010/11/07/maine_pine_needles_yield_valuable_tamiflu_material/

Extrait de cette histoire :

Des chercheurs de l’université du Maine à Orono affirment avoir trouvé une nouvelle méthode relativement facile pour extraire l’acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – des aiguilles de pin.

L’acide shikimique peut être extrait des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.

Mais l’acide extrait pourrait être précieux car, le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière. La principale source d’acide shikimique est actuellement l’anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d’étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.

Les recherches ont été financées par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le ministère américain de l’agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l’université.

Une étude publiée dans ResearchGate confirme que l’acide shikimique présente une activité antiagrégante plaquettaire, ce qui signifie qu’il aide à stopper la formation de caillots sanguins : Analyse du contenu de l’acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité antiagrégante plaquettaire.

Extrait de l’étude :

L’acide shikimique, lorsqu’il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l’agrégation plaquettaire induite par l’adénosine diphosphate et le collagène chez les lapins. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité antiagrégante plaquettaire de l’acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source potentielle d’acide shikimique.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

(…)ont obtenu un rendement d’environ 6% d’acide shikimique à partir d’aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement le plus élevé extrait de toute espèce de pin jusqu’à présent (Chen et al. 2014). Puisque les aiguilles de pin sont peu coûteuses et facilement disponibles en Asie du Nord, en Amérique du Nord et en Europe, il est fort possible de les utiliser pour fabriquer des médicaments contre les espèces d’anis étoilé moins disponibles.

Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ deux tiers de l’acide shikimique de l’herbe d’anis étoilé :

Aiguilles de pin de Masson = 5,71% d’acide shikimique
Anis étoilé = 8,95% d’acide shikimique

Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement répandues en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l’acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui pourrait s’avérer incroyablement utile pour arrêter la formation de caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.

Des recherches plus approfondies m’ont conduit à une étude qui a utilisé la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d’extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin : 17 Optimization of Extraction Conditions of Shikimic Acid in Pine Needles Based on Artificial Neural Network.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

Cette étude propose la recette suivante pour optimiser l’extraction :

Utiliser environ 75 % d’alcool (comme la vodka) et 25 % d’eau.
Utilisez une machine à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable.
Réglez la température à 65 degrés C.
Utilisez 280 ml de solution d’extraction pour 10 grammes d’aiguilles de pin.
Utilisez une durée de 25 minutes pour l’extraction par ultrasons.
Cette infusion terminée doit être filtrée à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d’éliminer les grosses particules. Le liquide obtenu contiendra de l’acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.

Regardez cette vidéo pour voir comment j’ai utilisé un appareil de nettoyage à ultrasons pour créer un extrait aqueux d’herbe de romarin :



Comment extraire l’acide shikimique à l’aide d’une machine à expresso ordinaire ?

Le résultat le plus intéressant de cette recherche a été la découverte d’un article scientifique publié qui décrit l’utilisation d’une machine à expresso ordinaire pour effectuer une extraction très efficace de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

Cet article est publié dans Science Direct :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352554116300493

Quantification totale et extraction de l’acide shikimique de l’anis étoilé (llicium verum) en utilisant la RMN à l’état solide et des solutions aqueuses d’hydroxyde dissolvant la cellulose.

L’article a été publié dans Organic Letters en 2015, et apparaît également sous forme de PDF sur le site de l’université de l’Oregon. (Ce lien peut poser problème dans certains navigateurs car il contient des espaces dans l’URL).

Extrait du résumé de cette étude :

RÉSUMÉ :

Un nouveau processus pratique, rapide et à haut rendement pour l’extraction à l’eau chaude sous pression (PHWE) de quantités de plusieurs grammes d’acide shikimique à partir d’une plante.

L’acide shikimique de l’anis étoilé (Illicium verum) à l’aide d’une machine à expresso domestique non modifiée. Cette méthode, simple et peu coûteuse, permet d’isoler de manière efficace et directe l’acide shikimique et de préparer facilement une série de dérivés synthétiques.

Préparation facile d’une série de ses dérivés synthétiques :

En d’autres termes, ils profitent de la chambre pressurisée d’une machine à expresso pour effectuer une extraction chaleur + pression de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

D’après mon expérience, on peut remplacer l’anis étoilé par des aiguilles de pin fraîches moulues (vertes, pas brunes) pour obtenir un résultat similaire, en extrayant l’acide shikimique des aiguilles de pin. Pour une extraction efficace, il est conseillé de broyer d’abord les aiguilles de pin, en utilisant un broyeur à herbes bon marché.

J’ai l’intention de reproduire ce résultat dans mon propre laboratoire, mais j’ai pensé que je devais le partager publiquement dès que possible en raison de la menace mortelle que représentent actuellement pour l’humanité les vaccins covidés armés.

Les auteurs de l’étude confirment également que l’acide shikimique est une molécule antivirale efficace qui inhibe également la réplication virale dans l’organisme :

Il a également été démontré que les dérivés de l’acide shikimique présentent une activité biologique utile. Plus particulièrement, le célèbre médicament antiviral oseltamivir (Tamiflu), qui agit comme un inhibiteur de la neuraminidase virale, est utilisé pour traiter la grippe saisonnière et a été déployé pendant les épidémies de grippe H1N1.

En outre, il a été démontré que les analogues fluorés du shikimate inhibent P. falciparum et ont été testés comme médicaments antipaludiques. En outre, la zeylénone (3) dérivée de l’acide shikimique présente un comportement anticancéreux, antiviral et antibiotique, et l’acide triacétylshikimique présente des propriétés anticoagulantes et antithromiques.

Une activité anticoagulante et antithrombotique

Remarquez le terme clé « anticoagulant » dans la phrase ci-dessus.

L’étude, qui a été réalisée en Tasmanie, en Australie, a délibérément cherché une méthode peu coûteuse et peu technologique pour extraire l’acide shikimique de plantes communes (aiguilles de pin) :

Cette méthode est une extraction rapide et peu coûteuse à l’eau chaude sous pression (PHWE)… le premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de l’acide shikimique.
premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de produits naturels (autres que la caféine) à partir de matériel végétal.

Nous avons cherché à utiliser spécifiquement un équipement relativement bon marché, peu sophistiqué et disponible dans le commerce pour réaliser l’extraction de quantités de plusieurs grammes d’anis étoilé.21 Par conséquent, étant donné que la pompe d’une machine à expresso permet l’écoulement continu d’eau à des températures allant jusqu’à 96 °C et à des pressions de 9 bars, nous avons pensé qu’un tel système serait adapté à nos besoins.

En effet, cette idée est purement géniale dans sa simplicité. Et les auteurs de l’étude ont réussi à extraire puis à purifier les cristaux d’acide shikimique par un procédé relativement simple.

Cela pourrait signifier que le « remède » contre le covid est disponible gratuitement et se développe sur de nombreux continents.

Le résultat de tout ceci est qu’un éventuel « remède » contre le covid – ou du moins une défense contre l’excrétion/la transmission du covid – semble être déjà fourni par Mère Nature et est facilement disponible sur plusieurs continents.

Sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés, contrôlés et des vaccins armés qui sont clairement conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse, les personnes qui veulent survivre à l’holocauste du vaccin contre le covid peuvent simplement récolter et traiter les aiguilles de pin en utilisant des machines à expresso, et ils peuvent potentiellement fabriquer leur propre médicament anti-peste.

Naturellement, nous aimerions voir plus de recherches sur tout cela – et s’il vous plaît tenez compte des précautions de sécurité ci-dessous – mais il est clair que l’establishment de la science et de la médecine a perdu toute crédibilité ou intérêt à protéger l’humanité et travaille maintenant délibérément à exterminer des milliards d’êtres humains.

Par conséquent, attendre que cette industrie étudie les plantes médicinales communes est une course folle. Il n’y aura jamais de financement disponible pour de telles recherches, car ces découvertes n’augmentent pas les profits de Big Pharma en matière de vaccins et de médicaments.

Pourtant, pour ceux qui sont en mesure d’accéder aux bons types d’aiguilles de pin – et qui ne sont pas enceintes ou ne prévoient pas de l’être, voir ci-dessous – ce remède simple et naturel pourrait finalement s’avérer être un traitement « miracle » qui sauve des vies contre les vaccins contre le covid et le covid.

Pour information, nous ne vendons pas d’aiguilles de pin ou d’extraits d’aiguilles de pin, donc les régulateurs qui cherchent à interdire cet article devront aller harceler quelqu’un d’autre. Nous offrons ces informations telles quelles, sans garantie, dans un souci de « publication d’autorisation d’urgence » pour le bien de l’humanité et dans l’intention de sauver des vies de ce vaccin mortel.

Écoutez mon podcast complet ici pour en savoir encore plus sur ce sujet passionnant et sur le remède possible contre les vaccins covidés [en anglais] :



https://www.brighteon.com/7c129e86-7e2b-47a7-bc74-dd19621e4042

Précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin

Avant de consommer une tisane ou un extrait fabriqué à partir de plantes, assurez-vous de savoir quelles plantes vous utilisez. Tous les pins ne conviennent pas, et certains conifères – comme l’if – sont toxiques.

Le bétail est connu pour avoir subi des avortements spontanés après avoir consommé des aiguilles de pin fraîches comme source de nourriture. Par conséquent, toute personne qui prévoit une grossesse (ou qui est déjà enceinte) devrait évidemment éviter de consommer de la tisane aux aiguilles de pin, par simple précaution.

Tous les crétins de la science « réveillée » en Amérique et dans le monde ont oublié que seules les femmes peuvent tomber enceintes, donc cette précaution particulière ne s’applique évidemment pas aux hommes. Si vous pensez que les hommes peuvent tomber enceintes, vous avez peut-être déjà subi des dommages cognitifs dus aux vaccins covidés et vous devriez consulter immédiatement un médecin.

Le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa sont également soupçonnés de provoquer des avortements spontanés et devraient probablement être évités.

Nous ne connaissons pas la composition complète des diverses espèces de pins, et nous ne pouvons donc pas, en toute conscience, dire à qui que ce soit de boire de la tisane faite à partir d’aiguilles de pin. Si vous décidez de le faire, faites preuve de bon sens et prenez toutes les précautions nécessaires, et travaillez avec un naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatible avec votre propre biologie et vos objectifs de santé particuliers.

Sachez également que la tisane d’aiguilles de pin peut interagir de manière inattendue avec des médicaments sur ordonnance, dont la plupart sont toxiques en soi.

Nous allons confirmer ce processus d’extraction à l’aide d’une machine à expresso et d’un instrument de spectrométrie de masse quadruple à CWC Labs.

La bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’il semble que les gens ordinaires peuvent récolter l’acide shikimique à partir des aiguilles de pin en utilisant une machine à expresso ordinaire.

Ou, pour une extraction plus approfondie d’un large spectre de terpènes, les gens peuvent utiliser un appareil à ultrasons pour réaliser de telles extractions (voir ma vidéo ci-dessus).

En tant que service public, je suis en train de lancer un projet de laboratoire dans mon laboratoire privé pour reproduire cette méthode d’extraction de l’acide shikimique, mais en utilisant des aiguilles de pin au lieu de l’anis étoilé :

Nous achetons des standards d’acide shikimique et recherchons une méthode HPLC / Mass spec pour la quantification de l’acide shikimique.
Nous sommes en train d’acheter un simple moulin à herbe et une machine à expresso neuve et propre pour tester l’extraction.
Une fois terminé, nous prévoyons de diffuser une vidéo de notre laboratoire, vous montrant les résultats de nos tentatives d’extraction.
Nous allons probablement utiliser des aiguilles de pin loblobby, car c’est ce qui est commun dans la région centrale du Texas. Je ne connais pas la teneur en acide shikimique des pins loblobby.

Restez à l’écoute de NaturalNews.com et de ma chaîne Brighteon.com pour d’autres mises à jour sur ce sujet extrêmement important pour l’humanité :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport




Bill et Melinda divorcent, on ne nous dit pas tout !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Que Bill et Melinda divorcent, on s’en fout, me direz-vous. C’est d’ailleurs ce que j’ai répondu à Marcel quand il a proposé de faire un papier là-dessus. Sournoisement, il n’a pas manqué de me rappeler ce que je lui avais dit des « faits divers à la con » qui, mine de rien, offrent un tas informations sur la société.

Les médias ont annoncé l’« événement ». Vous avez remarqué leur unanimité ? Je ne vous donne que les titres — question de place —, mais vous pouvez vérifier, les articles sont tout aussi insipides.  « Bill et Melinda Gates annoncent leur divorce après 27 ans de mariage » titrent mot pour mot Le PointVoici20minutesFranceInfo et Ouest-France.  Une autre tournure : « Bill Gates et sa femme Melinda annoncent leur divorce », titre dont la sobriété reflète le sérieux du Monde, mais aussi des Échos, du Courrier International et même de La Provence. Certains audacieux osent tourner la phraseras légèrement différemment. « Bill et Melinda Gates mettent fin à 27 ans de mariage » annonce Le Dauphiné et Le Parisien : « Le milliardaire Bill Gates et son épouse Melinda divorcent après 27 ans de vie commune ». On sent qu’ils marchent sur des œufs. Faut faire attention à ce qu’on écrit, surtout ne pas contrarier Bill. Il peut être très généreux quand c’est son intérêt (Le Monde a reçu 4 millions).
Pourtant « la liberté d’expression n’a été aussi totale qu’aujourd’hui »,  nous dit François Busnel en présentant La Grande Librairie sur France5, ajoutant « c’est au nom de la liberté d’expression précisément que certains jouent les apprentis censeurs, se défoulent, et que des extrémismes se font entendre ».

Bill subventionne sa liberté d’expression

La liberté d’expression totale dont parle Busnel s’est pleinement manifestée à l’occasion du divorce de Bill et Melinda. « On » ne parle pas de Bill, ou seulement pour dire ce qu’il nous demande de dire. Et avec les mêmes phrases, sans déborder. Le « on », ce sont les milliardaires (Niel, Pinault, Arnaud, Dassault , Drahi, Bouygues…) propriétaires de médias. Ces milliardaires qui obéissent à Google, Facebook et… Bill Gates.

Les dessous d’une success story

Il faut chercher sur BBC News pour apprendre que lorsqu’ils se sont mariés en 1994 sur l’île hawaïenne de Lanai, ils auraient loué tous les hélicoptères locaux pour empêcher les invités indésirables de passer. Une ébauche, très ténue, de critique, car dans nos médias français, la vie de ce couple heureux — on se demande pourquoi ils divorcent — qui se consacre à la philanthropie et qui a des enfants magnifiques, ne souffre que d’une ombre : « Comment vont-ils se partager leur fortune ? » On cherche en vain comment ce couple le plus riche du monde, qui a distribué son argent aux pauvres via sa Fondation, a pu augmenter sa fortune. Elle est passée de 90 milliards de dollars en 2016 à 146 milliards de dollars en 2021. On peut se poser des questions. Les médias non. Tout est lisse dans la présentation de ce couple sympathique.
Allez ! on va fouiner dans cette  success story en commençant par le début. Par Microsoft.

Bill vole son associé 

Bill débute sa carrière en volant son associé, Paul Allen, un génie de l’informatique à l’origine de Microsoft, mais qui, malade, n’est pas en état de se défendre.

Des procès à la pelle

En 1998 Microsoft est attaqué par le gouvernement américain pour abus de position dominante.
Les motifs : 1. absence d’informations aux concurrents pour que leurs logiciels serveurs puissent s’intégrer aux systèmes Windows ; 2. vente incluant le logiciel Windows Media Player, intégré d’office dans Windows.

En 2000 le démantèlement de Microsoft est le « remède » proposé par le juge Jackson pour sanctionner cet abus. En 2004 : Verdict 497,2 millions d’euros d’amende. Bill, coriace, fait appel à la Cour de justice européenne. 2006 : 280 M€ d’amende. 2008 : 860 M€ d’amende. 2013 : 560 M€. On se cite pas tous les procès que ce procédurier de Bill Gates fait traîner d’appel en appel (violation de brevet, contrefaçon…). Un honnête homme.

Le loup se déguise, mais c’est pour mieux nous manger

Bill a senti le danger de la mauvaise publicité autour de son procès. Il va donc se construire une image de philanthrope, grâce à sa fondation  Bill et Melinda Gates au budget communication colossal et grâce à l’autocensure des médias (il leur distribue beaucoup d’argent). Cette image dure encore, on l’a vu à l’occasion de son divorce.

Bill Gates devient un pur philanthrope

Après avoir démissionné de son poste de PDG de Microsoft (en 2008), renoncé à son poste de président du conseil d’administration (en 2014), Bill Gates démissionne du conseil d’administration de Microsoft. Il veut se consacrer entièrement à la philanthropie, expliquent les médias qu’il paie. Le divorce arrive quand Bill Gates s’est complètement dépouillé, comme un moine cistercien, en tong et robe de bure. Il ne détient plus que 1,37 % des actions de Microsoft, ce qui représente… 26 milliards de dollars. 

Une fondation caritative, pour investir

Les actions Microsoft que Bill Gates a vendues ont été investies dans la société Cascade qu’il a créée en 1995. Cascade rapporte du 11 %. Les dividendes alimentent la Fondation ou plutôt son fonds d’investissement, Berkshire Hathaway, dirigé par Warren Buffett. Bill Gates détient 45,4 % du capital (9,76 milliards de dollars). Les investissements préférés de Berkshire Hathaway sont l’industrie de l’armement (BAE Systems au Royaume-Uni), les industries d’extraction minière, les OGM (Monsanto/Bayer), la malbouffe (McDonald’s, Coca-Cola),  les énergies fossiles (Total, BP…). Comptez sur eux pour protéger la santé des populations et l’environnement — c’est pourtant ce que veut officiellement la fondation.

Une fondation, pour l’« optimisation fiscale »

Faire partie d’une fondation, c’est payer moins d’impôts. Le site de la Fondation Bill et Melinda Gates l’explique très bien. Le montant de l’évitement fiscal est souvent supérieur à ce qui est donné par la fondation. 

Une fondation peut ouvrir des marchés

Les entreprises dont la fondation a des actions reçoivent des dons. CocaCola a reçu 538 millions d’euros de placement du trust de la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2014. Il profite de programmes destinés à former 50 000 agriculteurs à la culture de fruits de la passion au Kenya.

Monsanto a au Kenya un centre de recherche sur les OGM, financé par la fondation dont fait partie un des ex-dirigeants de Monsanto. 

Bill Gates aide seulement les ONG dont le siège est aux États-Unis. Seuls 5 % de l’argent arrivent en Afrique. Les Africains sont obligés d’accepter les missions de l’ONU et ne peuvent développer leurs recherches sur place.

Une fondation, oui mais pour des médicaments rentables

La fondation choisit les maladies qui peuvent faire appel à des vaccins et non à des remèdes naturels locaux. La revue scientifique britannique The Lancet relève par exemple que la fondation lutte prioritairement contre les maladies qui appellent la diffusion de vaccins et néglige les autres maladies. Ainsi, l’organisation finance relativement peu la recherche sur la pneumonie, la diarrhée et la sous-nutrition maternelle et infantile, responsables de 75 % des morts d’enfants. Ces maladies ne nécessitent pas la création de nouveaux vaccins mais la mise en place de mesures de préventions efficaces déjà connues… 

Les vaccins sont la bonne affaire

La fondation a beaucoup œuvré pour le développement des vaccins. Financée principalement par des subventions publiques, Covax est menée par deux ONG internationales, Cepiet Gavi, que M. Gates finance, ainsi que par l’OMS. Il est le plus gros donateur de l’OMS (250 millions de dollars versés  en 2005) et prend la main sur l’environnement, la santé. Sa fondation a investi plus de $16 milliards dans différents programmes de vaccins, dont un quart est allé à Gavi.

Des liens entre Jeffrey Epstein et la Fondation de Bill et Melinda

Melanie Walker a travaillé pour Jeffrey Epstein en 1998, avant de rejoindre la fondation en 2006. Elle aurait joué un rôle important dans la relation Gates-Epstein. Melanie Walker a ensuite rencontré le conseiller scientifique de la fondation, Boris Nikolic, à qui elle a présenté Jeffrey Epstein. Boris Nikolic est ensuite devenu l’exécuteur testamentaire de ce dernier, rôle qu’il a ensuite refusé.

Bill Gates fait un faux pas : Jeffrey Epstein le fait chanter

Gates a rencontré Epstein à six occasions, selon une enquête du New York TimesBill Gates figure sur le carnet de vol d’un des avions d’Epstein le 1er mars 2013.

En tant que personne qui investit de manière maniaque dans la sécurité opérationnelle, n’épargnant aucune dépense au point d’avoir des gardes armés, quatre jets, un hélicoptère, un hydravion, des yachts, et du sang de son type l’attendant à beaucoup de ses destinations, vous pouvez être sûr que Bill Gates ne saute pas dans l’avion de n’importe qui. Il doit donc être désespéré pour abandonner un élément majeur de sa sécurité et risquer sa réputation en prenant l’avion d’Epstein avec lui. En tout cas cela explique son don au MIT.

Le MIT reçoit de l’argent de Bill Gates via Jeffrey Epstein

En 2014 le MIT reçoit 2 millions de dollars de Gates par l’intermédiaire de Jeffrey Epstein. Un agent de Gates a écrit à la direction du Media Lab, indiquant que Gates souhaitait que son nom ne soit pas mentionné dans toute discussion publique sur ce don.

Melanie investit dans une société à elle

En 2015 Melanie a fondé la société Pivotal Ventures à but lucratif pour promouvoir les femmes de couleur, dans le secteur informatique. Toujours la charité qui rapporte. Peut-être une façon prudente d’acquérir une certaine autonomie…

En 2015, Bill prédit une pandémie

Lors d’une conférence en 2015, Bill Gates a prédit que des millions de personnes seraient tuées par des « microbes, pas des missiles » lors d’une future pandémie.

En 2020, Bill prédit le passeport vaccinal 

8 mai 2020 : « Il y aura donc un jour cette preuve d’immunité numérique qui facilitera la réouverture mondiale. »https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Flec.deb1%2Fvideos%2F2592371447748720%2F&show_text=false&width=560

Bill veut des vaccins pour toute la planète

14 décembre 2020 : la fondation investit des millions de dollars pour financer la recherche d’un vaccin Covid-19 ainsi que pour les tests et la logistique. La fondation promet 70 millions de dollars pour que le vaccin atteigne tout le monde, y compris les nations pauvres. 

Bill prédit le réchauffement climatique et ses remèdes

Les biocarburants

Bill Gates est le premier propriétaire de terres agricoles des États-Unis. C’est toujours pour notre bien : « On ne sait pas à quel point les biocarburants peuvent être bon marché, mais s’ils sont peu coûteux, ils peuvent résoudre les émissions des avions et des camions. » Les achats de terres agricoles ont été réalisés par sa société d’investissements Cascade Investments. 

Les OGM (nourrir la planète grâce à Monsanto)

« J’ai également bon espoir que le travail de notre fondation sur l’agriculture jouera un rôle clé pour aider les agriculteurs à résister au changement climatique. Il y a plus de dix ans, nous avons commencé à financer la recherche de variétés de cultures de base, comme le maïs et le riz, tolérant la sécheresse et les inondations. Ces nouvelles variétés aident déjà les agriculteurs à produire davantage de nourriture dans certaines régions d’Afrique et d’Inde, et d’autres options de cultures intelligentes du point de vue climatique seront disponibles dans davantage d’endroits dans les années à venir. » En bon partenaire de Davos, Bill Gates mise sur des terres résistantes aux effets du réchauffement climatique et même des cultures de substituts de viande à base de végétaux.

Pendant le réchauffement, le business des vaccins continue

Toujours dans la lettre de la Fondation : « Des organisations comme Gavi et le Fonds mondial vont jouer un rôle important dans ce domaine en améliorant la santé dans les endroits les plus vulnérables. Si nous voulons prévenir une catastrophe climatique, les interventions et solutions spécifiques au climat ne suffisent pas. Nous devons également penser aux effets indirects, comme la façon dont une planète plus chaude affectera la santé mondiale. »

Le nucléaire, énergie sûre

Bill Gates estimé que malgré les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), le nucléaire restait plus sûr que n’importe quelle autre source d’énergie. Déclaration faite en mars 2021. On peut compter sur le dynamisme de Bill pour sauver la planète !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Changement climatique – Les hommes pris entre connaissance et croyance

[Source : www.kla.tv via cielvoile]

Le climat est-il aussi facile à influencer qu’on nous le présente sans cesse à travers la politique et les médias ?
Pour beaucoup de personnes, l’avis prémâché des lobbyistes est tout à fait suffisant, tandis que pour d’autres, ce sujet semble trop complexe pour qu’ils puissent le traiter eux-mêmes de manière approfondie.

Le Prof. Werner Kirstein, écrivain, climatologue et physicien expérimenté, étudie scientifiquement depuis plus de 40 ans comment évoluent les fluctuations climatiques régionales et mondiales.
Dans son nouveau livre « LE CHANGEMENT CLIMATIQUE – Réalité, Erreur ou Mensonge ? Les hommes pris entre connaissance et croyance », il explique d’une manière compréhensible pour tous, les faits concernant les « points principaux » du changement climatique. Il est démontré en particulier que le changement climatique est une réalité, que le changement climatique est une erreur et que le changement climatique est un mensonge.
Malgré ces contradictions évidentes, chacune de ces trois affirmations est vraie. Comment est-ce possible ? Dans son livre d’environ 200 pages, de lecture facile, Werner Kirstein répond à ces questions et à bien d’autres. Certains de ces « points principaux » sont mis en évidence dans ce documentaire.
À cette fin, certains extraits sont tirés directement du livre de Werner Kirstein ou sont reproduits avec ses propres mots, sous forme abrégée.

Le changement climatique est une réalité
Le climat de la Terre a toujours changé, ce qui signifie concrètement : Le changement climatique est une réalité, nous parlons de changement climatique naturel !
Les traces de changements ou de fluctuations climatiques sont recherchées depuis longtemps par les climatologues et les géologues et elles ont été prouvées, entre autres, par l’évaluation des cernes des arbres, l’analyse des sédiments et les modifications du relief de la surface terrestre.
Pendant l’alternance des périodes chaudes et froides, la concentration de CO2 dans l’atmosphère a également évolué avec un décalage dans le temps. La température a toujours augmenté en premier, suivie beaucoup plus tard par une augmentation de la concentration de CO2.
Les différences de température pouvaient atteindre 10°C. Par exemple, la température actuelle est inférieure d’environ 10 degrés à celle des périodes chaudes de l’histoire de la Terre ! De plus, la concentration de CO2 était souvent beaucoup plus élevée qu’aujourd’hui. Les changements de température ont toujours été basés sur des causes naturelles, telles que l’activité solaire et les paramètres orbitaux de la Terre, et l’homme n’a jamais été en aucune façon responsable des changements climatiques.

Le changement climatique est une erreur
En 1986, la Société allemande de physique a lancé un avertissement concernant une « catastrophe climatique mondiale imminente » sur la base d’une statistique erronée, la courbe de Mauna Loa. La courbe de Mauna Loa montre une corrélation trompeuse entre l’augmentation de la température et l’augmentation du CO2.
On a alors affirmé que la température de la Terre dépendait de la teneur en traces de gaz, comme le CO2, dans l’air. Les simulations informatiques et les calculs de modèles climatiques basés sur cette erreur fatale ont donc toujours prédit un réchauffement. De même, l’évolution du climat dans le passé ainsi que la dynamique du développement des nuages et des courants océaniques ne peuvent être correctement saisies dans les modèles climatiques. Cela a conduit à des prédictions complètement erronées.
Même le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a admis en 2001 : « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé. Par conséquent, les prévisions des tendances climatiques à plus long terme ne sont pas possibles. »

Le changement climatique est un mensonge
C’est ainsi que la menace politique du « réchauffement climatique » a pu se transformer en un monstre mensonger incroyablement grand, et que le Parlement européen a déclaré fin 2019 une « urgence climatique ».
Mais de plus en plus de scientifiques et même certains hommes politiques se détournent des déclarations apocalyptiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Il a été démontré que plusieurs études et courbes de température étaient mensongères et falsifiées.
Par exemple, le changement réel de température correspondant à la longue période chaude du 12e siècle a été aplani dans le graphique en crosse de hockey ce qui donne l’apparence d’un climat quasi stable de 800 ans, pour pouvoir attribuer ensuite l’augmentation de la température à partir de 1900 aux émissions de CO2 dues à l’industrialisation.
En dépit de ces mensonges reconnus, des fonds gouvernementaux sont alloués spécifiquement à cette recherche « politiquement prioritaire ». Le prétendu changement climatique dû à l’homme est devenu un credo qui vise à supprimer la vérité par tous les moyens.

Météo n’est pas synonyme de climat
Il y a plus de cent ans, la climatologie a convenu d’évaluer les événements et les paramètres météorologiques enregistrés sur une période d’au moins trente ans dans le but de faire des déclarations sur le climat. Le climat n’est en fait rien de plus qu’une gigantesque collection de données météorologiques du passé ; par conséquent, le climat ne peut être protégé. Le climat peut seulement être observé sur le long terme et à grande échelle.
Les météorologues payés par l’État dans les médias de masse interprètent même certains jours chauds et secs comme des conditions météorologiques extrêmes et comme la preuve qu’une catastrophe climatique est déjà présente. Cependant, ce ne sont que les phénomènes météorologiques temporaires et locaux qui sont présentés aux citoyens comme une catastrophe climatique.
Les termes météo et climat sont-ils délibérément brouillés par les politiciens et les médias pour confondre et tromper le public ?
Un peuple qui a peur de l’avenir peut être beaucoup plus facilement convaincu des « objectifs climatiques » et accepter plus aisément les contributions climatiques et les nouvelles augmentations de prix.
Les climatologues de l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l’impact du climat (PIK) aiment également utiliser la confusion entre la météo et le climat pour semer la panique. Est-ce l’argent que rapporte l’alarmisme climatique qui est au premier plan pour ces chercheurs en climatologie ?

Le rôle du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC)

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été fondé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation météorologique mondiale (OMM). L’ancien chancelier allemand Helmut Schmidt a exprimé sa méfiance à l’égard du GIEC en 2011, lors de son discours sur le réchauffement climatique à Berlin : « Les documents livrés jusqu’à présent par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) suscitent le scepticisme, d’autant que certains des chercheurs impliqués se sont révélés être des fraudeurs. »

Sur les 2 500 experts initiaux du GIEC, il n’en restait que 5 qui soutenaient l’hypothèse d’un changement climatique d’origine humaine.

Néanmoins, les politiciens qui façonnent aujourd’hui le GIEC font aveuglément confiance aux modèles climatiques purement hypothétiques et à la pensée idéologique. Ce n’est qu’au début des années 1990 que le GIEC comptait réellement des experts en climatologie. La question est de savoir pourquoi ce travail est si peu scientifique et si propagandiste. Les intérêts financiers sont de plus en plus évidents dans ce mythe de la catastrophe climatique provoquée par l’homme, comme le confirment ceux qui connaissent bien le sujet.

Parmi les profiteurs de ces sommes astronomiques figurent des particuliers tels que Al Gore, l’ancien vice-président des États-Unis, Warren Buffet, Elon Musk, qui a reçu 1,5 milliard de dollars de l’argent des contribuables, Vinod Khosla et James Cameron. Mais les groupes de recherche et les instituts qui reçoivent des fonds, ainsi que des industries et des banques, comme la Banque mondiale, profitent également de ce mythe.

L’aveu d’un alarmiste

On peut voir de manière impressionnante comment un climato-croyant est passé de Saul à Paul à la suite d’une « expérience de Damas » avec l’exemple de James Lovelock, qui explique dans une interview qu’il s’est trompé dans ses prévisions alarmistes. Il a réfléchi plus attentivement aux modèles climatiques sur la base desquels la catastrophe climatique était prédite.

Ces modèles climatiques, dit Lovelock, ne le convainquent plus.
« Le problème c’est que nous en savons encore beaucoup trop peu sur le climat. Il y a seulement 20 ans, nous pensions avoir tout sous contrôle. Cela a ensuite donné lieu à des livres alarmistes, dont le mien, car cela semblait très clair. Mais ça ne s’est pas produit. Le climat suit son cours habituel. En fait, rien d’extraordinaire n’est arrivé. Nous avions supposé qu’aujourd’hui nous devrions être à mi-chemin d’un monde surchauffé. Toutefois, le monde s’est à peine réchauffé depuis le début du millénaire. […] La température est restée presque constante alors qu’elle aurait dû augmenter. Pourtant, les niveaux de dioxyde de carbone ont continué à augmenter au cours de la même période, cela ne fait aucun doute. »

Changement climatique : croyance contre connaissance
Le travail de Werner Kirstein illustre comment l’homme est pris entre « croyance » et « connaissance ». En voici trois exemples :

  1. Croyance : Les anciennes photos montrent de vastes glaciers alpins, alors que les photos plus récentes montrent en comparaison des glaciers en recul. Un signal d’alarme de l’approche d’une catastrophe climatique ?
    Connaissance : On a pu prouver au moyen de restes d’arbres et de plantes dans des zones aujourd’hui libres de glaciers que les glaciers n’existaient pas à cet endroit dans des temps plus anciens. Ces preuves permettent de conclure que pendant 65 % des 10 000 dernières années, les glaciers alpins étaient plus petits et les températures plus élevées, sans intervention humaine !
  2. Croyance : La population d’ours polaires est gravement menacée par le réchauffement climatique causé par l’homme.
    Connaissance : Les ours polaires sont présents dans l’océan Arctique depuis 600 000 ans. Cela signifie qu’ils ont survécu à toutes les périodes chaudes (entre les périodes glaciaires). Pendant les périodes plus chaudes, ils mangent également de l’herbe, des buissons et des baies et sont donc considérés comme des chasseurs intelligents. Depuis que le gouvernement canadien a interdit de les chasser, leur nombre est passé d’environ 5 000 à 25 000.
  3. Croyance : La glace aux pôles fond de façon ininterrompue. La célèbre plate-forme glaciaire Larsen B a perdu les trois quarts de sa masse de glace. Ce n’est qu’une question de temps avant que l’Arctique et l’Antarctique ne soient complètement libres de glace.
    Connaissance : On sait depuis quelques décennies que les températures de l’Arctique et de l’Antarctique présentent des fluctuations opposées. Cela signifie que pendant que les températures au pôle Sud baissent, elles augmentent simultanément au pôle Nord. Ce phénomène est également appelé « oscillation bipolaire » du couplage Arctique-Antarctique.

Il s’avère qu’un examen plus approfondi peut donner une image différente d’une situation.

Dans le débat actuel sur le climat, en revanche, la persuasion émotionnelle semble être plus importante, même si elle contredit les connaissances factuelles.
Qu’est-ce que le nihilisme écologique ?
Le nihilisme, selon Albert Camus, écrivain, philosophe français et lauréat du prix Nobel de littérature, ne signifie pas « ne croire en rien », mais signifie « ne pas croire en ce qui existe ». Souvent, les nihilistes se donnent à fond pour réaliser quelque chose de prétendument bon, mais ne prêtent aucune attention aux conséquences.
Celles-ci peuvent être graves et contreviennent totalement aux principes de la pensée scientifique et logique. Le nihilisme accepte, dans un but prétendument bon, la violation de la dignité humaine.
Une volonté obstinée et très exagérée de sauver l’environnement est au premier plan de la philosophie de vie du nihilisme écologique. Il s’agit d’une idéologie parfois caractérisée par un nihilisme écologique impitoyable.
Edgar Gärtner, auteur du livre « Le nihilisme écologique : une critique de l’écologie politique », n’est pas le seul à considérer la protection du climat comme la forme de nihilisme la plus dangereuse actuellement.

Gärtner : « Qu’est-ce que le nihilisme écologique ? Le suicide économique par petits bouts, car on mise tout sur une seule carte sans penser aux frais. »

La « politique climatique » accepte, sans y réfléchir, la famine avec l’augmentation (intentionnelle) du prix des sources d’énergie et de la nourriture, afin de protéger son édifice statistique.
La « protection du climat », en limitant les émissions de CO2, à l’aide d’énergies « renouvelables », est une notion stupide qui n’a pas été mûrement réfléchie. L’énergie solaire et l’énergie éolienne ne sont pas gratuites, les coûts de mise en œuvre technique sont extrêmement élevés et elles sont tout sauf neutres en termes de CO2.

Démanteler la démocratie par l’urgence climatique
L’UE a déjà déclaré l’urgence climatique depuis un certain temps et de nombreuses villes allemandes sont déjà dans état antidémocratique. Avec le droit d’urgence, les opposants politiques doivent être éliminés. Ce ne sont plus les meilleurs arguments qui doivent prévaloir, mais l’orientation idéologique.
Mais ces exigences extrêmes recèlent un énorme potentiel de conflits sociaux et économiques. Les inquiétudes concernant le concept d’état d’urgence sont plus que justifiées, car cela peut ouvrir la porte à la remise en question de l’état de droit.

Le Manifeste pour le climat
Au début de l’année 2020, l’association « Die Bayrische WerteUnion » a publié un Manifeste pour le climat.
Voici les principales déclarations en bref :

  1. Le soleil contrôle notre climat, pas le CO2.
  2. Les mesures de protection du climat, comme la transition énergétique qui a échoué, sont une aberration politique.
  3. L’Allemagne a besoin d’un approvisionnement énergétique stable et abordable.

Ces points sont développés plus en détail dans le Manifeste pour le climat 2020. Entre autres, l’association rejette fermement le « Pacte vert » et le prix carbone inclus dans le « Paquet climat-énergie du gouvernement fédéral ».
Le Manifeste pour le climat exige la fin du mythe climatique et une offensive éducative sur le thème « climat, cycles solaires et dioxyde de carbone ». Pour en savoir plus, consultez le Manifeste 2020 sur le climat de l’association « Die Bayrische WerteUnion ».
Ce n’est qu’avec les peurs et l’alarmisme que la politique peut rendre les gens obéissants et dociles.
La menace d’une catastrophe climatique en est actuellement l’instrument.
Mais, alors que la nouvelle petite ère glaciaire ne pourra plus être niée dans quelques années, on ne peut donner qu’une seule réponse aux « climatologues », aux politiciens du réchauffement climatique et aux journalistes de la propagande climatique : « Celui qui appelle dans la forêt doit aussi supporter l’écho, même si celui-ci est alors tout à fait différent. »
Prof. Werner

de w.i.e.



Sources / Liens :

Livre de Prof. Dr. Werner Kirstein: „KLIMAWANDEL – Realität, Irrtum oder Lüge? Menschen zwischen Wissen und Glauben“

https://konservativer-aufbruch.bayern/




De qui dépend ma santé ?

[Source : Le blog de Bien-être-soi (tdg.ch)]

Par Marie-France de Meuron.

En fait, qui est le souverain de ma santé ? Qui la construit instant après instant ? Qui choisit ma nourriture, mes activités motrices, mon sommeil, mes situations affectives, sociales, professionnelles ? Nous sommes l’unique habitant de notre corps. Évidemment, nous sommes en interrelation constante avec moult facteurs extérieurs à nous. La question est : qui va nous forger ? Nos pulsions de vie, nos forces innées, nos goûts, nos aspirations, nos intuitions, nos qualités, nos missions de vie ? Le cadre extérieur va-t-il nous permettre de nous révéler à nous-mêmes, de développer nos potentiels et nos qualités ou va-t-il faire de nous des animaux dans un zoo, allant jusqu’à être rassemblés dans des lieux prédéterminés, ou animés par les pulsions imposées par divers dirigeants ? Sommes-nous destinés à vivre dans des cadres limités, réduisant nos capacités humaines, allant jusqu’à n’être plus que des zombies ou des robots obéissants aux commandes à distance ?

Après un an où les gouvernements ont décidé des mesures sanitaires globales, dépendantes de mesures de laboratoire ou de chiffres permettant des modélisations, n’est-il pas temps de revivre les poumons déployés au printemps qui s’annonce, de nous épanouir comme les primevères à la lumière, nous activant en tous lieux qui correspondent à nos dynamiques vitales ?

Ce qui m’anime aujourd’hui, c’est mon empathie pour les restaurateurs qui aspirent à revivre leurs désirs d’animer un espace de vie où il vaut la peine de se poser et de découvrir des saveurs nouvelles, dans un lieu offrant un cadre hors de nos habitudes.

Les dirigeants politiques sont partagés entre la pression du peuple – une population impatiente soutient le Conseil fédéral – et la prudence inspirée par les chiffres statistiques relayant les résultats de tests sujets à caution. Le même écartèlement se manifeste entre les médecins conformes aux dogmes scientifiques et ceux qui prennent en compte les paramètres les plus larges possibles. De ce fait, deux voies sont possibles, chacune apportant quelques nuances qui ne changent rien au fond.

N’est-il pas temps d’ouvrir une troisième voie ? Ce qu’ont fait beaucoup de professionnels indépendants, enrichis de leurs expériences médicales et de leurs consciences des êtres humains dans leurs globalités en relation avec de multiples facteurs de santé. Ces praticiens aident les individus à réveiller le médecin qui sommeille en eux et les accompagnent sur le chemin pour y parvenir du fait des multiples moyens offerts par leurs connaissances profondes de l’être humain, de diverses thérapies et des produits de la nature, cette nature qui offre bien des ressources pour se maintenir en bonne santé ou se soigner au stade précoce des maladies plutôt que d’être confinés aux mesures sanitaires qui amoindrissent notre énergie vitale sur différents plans !

Cela fait un an que notre santé est tenue en laisse par des lois, des calculs de modélisateurs, des études scientifiques dépendantes des investissements alloués. N’est-il pas temps de vivre une réelle mutation ? Nous sommes en temps de carême ; or cette période dure 40 jours alors que nos restrictions de vie dure depuis un an. À quelle résurgence est-il judicieux de nous préparer ? Vers où tourner notre attention afin de considérer l’être humain dans toute son amplitude et trouver un réel mode de vie sanitaire plutôt que de focaliser – et de contraindre la population à en faire de même – sur un microorganisme avec l’illusion de pouvoir l’éradiquer à force de tests, de masques et de vaccins ? Cela ne fait qu’affaiblir l’énergie vitale et n’apporte pas de réelles solutions puisque les virus suivent les impulsions de la vie en créant des mutants qui nous précéderont toujours. De plus, brandir l’espoir d’une solution avec un produit vaccinal est un leurre qui ne fait qu’aggraver la situation dans plusieurs dimensions.

Comme l’USAM le déclare : « La stratégie du Conseil fédéral manque d’un objectif clair, à savoir la normalisation de la vie sociale, et ne présente aucune perspective pour l’économie et la société »… Un compromis n’est pas une solution : « quelle décision prendre demain ? Poursuivre sur une ligne sanitaire stricte ou lâcher du lest ? La réponse est sans doute dans un compromis, qui manifestement ne pourra pas satisfaire les partisans d’un retour à la normale ».

Et pourtant, le verdict est tombé : Face à la dégradation de la situation épidémiologique, le Conseil fédéral n’a finalement pas adopté les mesures envisagées. Une seule carotte octroyée : Un seul assouplissement sera effectif dès lundi : les réunions privées à domicile passeront de 5 à 10 personnes maximum, enfants compris. La justification présentée montre à quel point un seul facteur compte pour la gestion globale de la santé de la population : Cet allégement a été décidé en prévision de Pâques, explique le gouvernement dans un communiqué. Mais aucune mesure transmise à la population pour renforcer son système immunitaire ! En revanche, il se dédouane avec une recommandation passe-partout : Il recommande toutefois de limiter le nombre de ménages présents et de se faire tester avant de retrouver famille et amis.

En réalité, un compromis ne peut mener qu’à une impasse comme nous la percevons maintenant. Par conséquent, il nous reste donc à réaliser une grande réinitialisation de la médecine, avec la reprise de l’enseignement – déjà à partir des facultés de médecine – de l’être humain dans sa globalité et dans toutes les interrelations entre ses différentes dimensions. Ainsi, le corps médical sera beaucoup moins fracturé et pourra se dresser face aux pouvoirs dirigeants et non se soumettre pareillement à la technoscience ou aux modélisations qui se coupent de la substance vivante et complexe qui constitue les êtres humains.


[Voir aussi :




Un pas de plus au Canada vers l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial — Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

Tel qu’annoncé par le consultant Jean-Claude Larochelle, le 22 février 2021, la députée Julie Dzerowicz a présenté le Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien visant à instaurer un revenu de base national garanti.(([1] Jean-Claude Larochelle : « Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien pour un revenu de base universel ». Bourse technique, 7 mars 2021.)) Comme il est expliqué sur la plateforme UBI Works, c’est la première étape pour le gouvernement canadien afin de créer un revenu de base national en répondant à des questions importantes sur la meilleure façon de le mettre en place et de l’appliquer partout au Canada.

Le Projet de loi C-273 prévoit que la ministre des Finances Chrystia Freeland crée une stratégie nationale pour un revenu de base garanti, en incluant des partenariats potentiels avec les provinces, afin de déterminer la meilleure façon de structurer et de mettre en œuvre un revenu de base. Le projet de loi prévoit de soutenir des recherches spécifiques sur le revenu de base afin de déterminer comment il affecterait l’efficacité du gouvernement, comment il pourrait encourager l’esprit d’entreprise, la création d’emplois et les initiatives civiques dans une nouvelle économie, et comment il impacterait les Canadiens et nos communautés. Le projet de loi prévoit également un ensemble de normes nationales pour guider la conception et la mise en œuvre du revenu de base à travers le Canada.(([2] Chambre des communes du Canada : « Projet de loi C-273 – Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti ». Deuxième session, quarante-troisième législature, 69-70 Elizabeth II, 2020-2021. Première lecture le 22 février 2021. [PDF]))

Julie Dzerowicz s’exprime ainsi dans un communiqué de presse en date du 23 février :

« Le monde du travail est en constante évolution, nombre d’entre eux passant à l’économie des petits boulots de contrats temporaires et à court terme; et d’autres étant touchés par l’effet de l’automatisation et de l’Intelligence Artificielle. Il est important pour notre système de protection sociale de mieux refléter les besoins des Canadiens d’aujourd’hui et de demain et d’être beaucoup plus flexible dans la gestion des changements, des interruptions et des transitions de main-d’œuvre. (…) Alors que le Canada traverse cette pandémie, il planifie le post-COVID avec l’intention de dépenser 70 à 100 milliards de dollars sur trois ans pour relancer l’économie canadienne. C’est le moment idéal pour résoudre les problèmes structurels, tester des idées novatrices et mieux reconstruire nos fondements économiques et sociaux. »

(([3] Jessie Cooke : « La députée Julie Dzerowicz présente le projet de loi d’initiative parlementaire C-273 – Loi instituant une stratégie pour un revenu de base garanti ». Bureau de la députée Julie Dzerowicz, Toronto, 23 février 2021. Courriel: julie.dzerowicz.a2@parl.gc.ca | Tél.: 416-525-1949.))

Le terme revenu de base garanti est parfois utilisé de manière interchangeable avec un revenu vital garanti ou un revenu annuel garanti pour désigner un programme d’assistance sociale conçu pour aider les plus bas revenus de la société à vivre au-dessus du seuil de pauvreté en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de base de la vie comme la nourriture, les vêtements et le logement. Le revenu de base universel est un autre terme utilisé par ses défenseurs. Ce terme est synonyme de « démogrant », qui englobe un modèle où tout le monde est éligible à un chèque.

La députée libérale Annie Koutrakis a déclaré que s’il y avait quelque chose à apprendre de la pandémie COVID-19, c’est qu’il fallait un programme de revenu de base.(([4] Zi-Ann Lum : « Liberal MP Says Some Cabinet Ministers ‘Very Supportive’ Of Basic Income ». HuffPost, February 25, 2021.))

Le revenu de base est une idée utopique qui remonte à 500 ans et qui a toujours été promue par des Socialistes et des Fabiens de la première heure tels que Charles FourierJohn Stuart MillBertrand RussellGeorge D.H. ColeJames MeadeJames Tobin et John Kenneth Galbraith. Elle est fondée sur l’idée que donner de l’argent à ceux qui vivent dans la pauvreté serait un moyen plus efficace de prévenir le crime qu’en punissant des individus. Floyd Marinescu est le fondateur de UBI Works, un groupe à but non lucratif qui préconise le soutien d’un revenu de base universel. Rejoignant la conférence de presse de Dzerowicz, il a déclaré : 

« Chaque crise est une tendance accélérée. Et ce que COVID nous a montré, en accéléré, aurait pu prendre de cinq à dix ans en termes d’impacts des progrès technologiques sur le marché du travail — ce qui profite à certains, mais en nuit à beaucoup d’autres. »



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L’auteur de la chaîne Grand Angle, Richard Détente, écrit : 

« Le déclin des pays de l’Occident​ n’est plus à démontrer. Les États-Unis​ et l’Europe​ sont des économies appauvries dont les systèmes politiques sont régulièrement mis à mal par les élans démocratiques des peuples. Les élites d’en haut sont en recherche active de nouvelles stratégies destinées à ré-établir une vision progressiste et solide digne de concurrencer la Chine. » 

(([5] Richard Détente : « Great Reset & Théorie monétaire moderne | Moins de liberté contre un revenu universel ? ». Grand Angle, Youtube, 7 décembre 2020.))

Le soutien au revenu de base a pris un nouvel élan pendant la pandémie avec le déploiement par le gouvernement fédéral de l’Allocation canadienne d’intervention d’urgence (CERB) de 2000 $ par mois comme moyen de fournir de l’argent aux Canadiens dont les moyens de subsistance ont soudainement été touchés par le COVID-19. Ce programme, qui a été exécuté à la fois par l’Agence du revenu du Canada et le système d’assurance-emploi, a versé 81,6 milliards de dollars à 8,9 millions de personnes entre le 15 mars et le 3 octobre, selon les données gouvernementales.

Liliane Held-Khawam écrivait le 3 septembre 2019 sur son site internet : 

« Les néolibéraux d’hier et d’aujourd’hui prônent d’une seule et même voix le revenu universel. Après les taux négatifs confiscatoires, il s’agit donc d’une nouvelle étape du concept néolibéral. Probablement l’ultime avant le reset global. Avant de vous réjouir trop de cette supposée manne, dites-vous bien que quelqu’un va payer cette masse financière. Il s’agira très certainement de nouveaux gages que votre gouvernement et/ou des dirigeants de votre collectivité territoriale vont offrir contre cette création monétaire. A moins qu’il ne s’agisse tout bêtement de la redistribution de votre épargne (y compris assurances-vie, retraites, etc.). Dans tous les cas, la Dépossession entre dans sa dernière phase. »

(([6] Liliane Held-Khawam : « Revenu universel, dernière phase avant le reset global ? Vincent Held ». Publié le 3 septembre 2019.))

L’auteure et économiste écrivait plus récemment :

« A l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale. »

« Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national. Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents “officiels” émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation. Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr. »

« Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods. »

(([7] Liliane Held-Khawam : « Un passeport vert pour un Etat mondial numérisé ». Publié le 5 mars 2021.))

La dernière lubie des ultra-riches, réunis à Davos, est le “Great Reset”, la « grande réinitialisation ». Derrière les démonstrations d’amitié habituelles, c’est un programme mondial pour surveiller et contrôler le monde grâce à la surveillance numérique. Klaus Schwab a annoncé le Great Reset en juin 2020. Selon le journaliste William Kergroach, cela consistera à nous dépouiller de tous nos actifs privés. Le Great Reset propose une identification électronique liée à votre compte bancaire et à vos dossiers de santé, qui finira, tout simplement, par vous dicter votre vie. Mais ils préfèrent nous dire qu’il faut se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise. Il faut les remplacer par du « développement durable » et du « capitalisme des parties prenantes », où l’entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de ses employés autant que de ses clients.

« La réinitialisation affectera tout, du gouvernement, de l’énergie et des finances à l’alimentation, à la médecine, à l’immobilier, à la police, et même aux interactions entre individus. La protection de la vie privée, bien sûr, est un obstacle majeur dans ce plan. C’est pourquoi ils font tout pour nous amener à renoncer à notre vie privée. Le transhumanisme, qui nous “améliorera” avec des machines, permettra également d’orienter nos pensées. Les mondialistes ont déclenché la pandémie covid-19 pour passer outre les oppositions et nous imposer ces réformes. » 

(([8] William Kergroach : « Leur “Great Reset”, c’est quoi ? ». Riposte Laïque, 16 décembre 2020.))

La dissidence est impensable et la soumission à ce système sera obligatoire. Les Chinois expérimentent déjà ce système. On punit, là-bas, un “mauvais” citoyen en bloquant ses accès à certains endroits ou en bloquant son compte bancaire. Dans un article daté du 12 décembre 2020, William Kergroach va jusqu’à écrire : 

« Plutôt que de mettre en place un revenu minimum garanti pour des masses désœuvrées, les élites mondialistes ont décidé de faire diminuer la population mondiale. La covid n’est que le début d’une guerre bactériologique engagée contre l’humanité. On s’attaque aujourd’hui aux plus âgés, demain, on attaquera dans la masse. Pourquoi ? Parce que les ressources de la planète diminuent, parce que l’on aura de moins en moins de travail à donner aux masses, parce que cela coûte cher et que l’alternative consisterait à ce que les plus riches partagent leurs richesses. »

(([9] William Kergroach : « L’avenir est au chômage mondial, sauf si on diminue la population… ». Riposte Laïque, 12 décembre 2020.))

J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma « méritocratique ».

L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total.


Projet de loi C-273 — Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

SOMMAIRE

Le texte prévoit l’obligation pour le ministre des Finances d’établir une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans le cadre de la stratégie du Canada en matière d’innovation et de croissance économique. Il prévoit aussi l’obligation de faire rapport relativement à cette stratégie.

2e session, 43e législature,
69-70 Elizabeth II, 2020-2021

CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

PROJET DE LOI C-273

Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

Préambule

Attendu :

que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins essentiels satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d’emploi;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et autres disparités dans les collectivités partout au pays;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer la main-d’œuvre du 21e siècle grâce à des structures de prestation de programmes et de services qui répondent mieux aux perturbations touchant la main-d’œuvre, ainsi qu’à un système d’aide sociale souple et adaptable;

que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que le système d’aide sociale réponde aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à rééquilibrer ses structures de prestation de programmes et de services afin d’optimiser la capacité des Canadiens à innover;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait accroître la capacité de croissance de l’économie et améliorer sa productivité;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait permettre à de nombreux Canadiens d’échapper à la pauvreté et leur offrirait la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à des programmes d’études, obtenir des occasions d’emploi et réaliser leur plein potentiel,

Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

Titre abrégé

Titre abrégé

1 Loi sur la stratégie nationale sur le revenu de base garanti.

Définition

Définition de ministre

2 Dans la présente loi, ministre s’entend du ministre des Finances.

Stratégie nationale

Établissement de la stratégie

3 (1) Le ministre établit une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti au Canada.

Consultation

(2) Pour établir la stratégie, le ministre consulte le ministre de l’Emploi et du Développement social, le ministre de l’Industrie, les représentants des gouvernements provinciaux responsables de l’emploi et du développement social, les chefs des collectivités et des gouvernements autochtones, les représentants des administrations municipales, des experts en matière de projets pilotes sur le revenu de base garanti, des universitaires et des intervenants clés, y compris des représentants d’organisations qui œuvrent dans les domaines du travail et de l’emploi et de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Contenu

(3) La stratégie comprend des mesures visant :

a) à lancer un projet pilote dans une ou plusieurs provinces afin de mettre à l’essai divers modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti;

b) à créer un cadre de normes nationales pour guider la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans toute province;

c) à appuyer les programmes de recherche qui généreront des données pour guider la conception et la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans chaque province, notamment par voie de collaboration avec des organisations et des institutions internationales qui possèdent de l’expérience en la matière;

d) à recueillir et à analyser des données afin d’évaluer, pour chaque modèle mis à l’essai, les éléments suivants :

(i) l’effet sur l’administration publique, notamment en ce qui concerne l’efficacité, la souplesse, le coût, la pérennité et la capacité d’adaptation des modèles de prestation de programmes et de services, de même que le potentiel d’un programme de revenu de base garanti pour ce qui est de réduire la complexité des programmes sociaux existants ou de les remplacer, de faire reculer la pauvreté et de soutenir la croissance économique,

(ii) l’effet sur les bénéficiaires et leur famille, notamment en ce qui concerne leur qualité de vie, leur santé physique et mentale, leur recours aux services de santé, de même qu’en ce qui concerne la stabilité du logement, le niveau de vie, l’alimentation, l’épargne, l’éducation, les relations sociales et la participation au marché du travail,

(iii) les bienfaits, directs ou indirects, pour le milieu de vie des bénéficiaires, notamment en ce qui concerne l’entrepreneuriat, la création d’emplois et l’action citoyenne;

e) à développer des paramètres permettant de mesurer les effets et bienfaits mentionnés aux sous-alinéas d)‍(i) à (iii).

Accords fédéro-provinciaux

4 Avec l’agrément du gouverneur en conseil, le ministre peut conclure avec le gouvernement d’une province un accord sur la collecte, l’analyse et l’échange de données dans le but de déterminer la meilleure manière de structurer et de mettre en œuvre un programme de revenu de base garanti dans la province.

Rapports au Parlement

Dépôt de la stratégie nationale

5 (1) Dans les deux ans suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le ministre établit un rapport énonçant la stratégie nationale et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.

Publication

(2) Le ministre publie le rapport sur le site Web du ministère des Finances dans les dix jours suivant la date de son dépôt devant les deux chambres du Parlement.

Rapport

6 Dans les deux ans suivant la date du dépôt du rapport visé à l’article 5 devant les deux chambres du Parlement, le ministre établit, en consultation avec les parties mentionnées au paragraphe 3(2), un rapport faisant état des résultats de la mise en œuvre de la stratégie nationale dans chaque province et énonçant ses conclusions et recommandations, et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.



RÉFÉRENCES :



Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse

[Source : Guy Boulianne]

Voici un texte du naturaliste, géographe, explorateur, anthropologue et biologiste britannique Alfred Russel Wallace, intitulé « To Members of Parliament and Others. Forty-five Years of Registration Statistics, Proving Vaccination to be Both Useless and Dangerous », publié sous forme de brochure de trente-huit pages en 1885; une deuxième édition révisée, éditée par Alexander Wheeler, a été imprimée en 1889 sous le titre « Vaccination Proved Useless & dangerous, From Forty-five Years of Registration Statistics ». À la fin de cet ouvrage se trouve une lettre à l’éditeur, « Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement. Une correction », qui a été publiée dans The Vaccination Inquirer du 1er février 1895.

Au début des années 1880, Wallace participa au débat sur l’obligation de la vaccination contre la variole. Il pensait à l’origine que c’était une question de choix personnel mais après avoir étudié certaines des statistiques fournies par les militants anti-vaccination, il en vint à mettre en doute l’efficacité du vaccin.

La théorie des microbes, sources de maladies, était alors très récente et loin d’être universellement acceptée ; d’autre part personne n’en savait suffisamment sur le système immunitaire humain pour comprendre pourquoi la vaccination fonctionnait. Quand Wallace enquêta, il découvrit des cas où les défenseurs de la vaccination avaient utilisé des statistiques plus que discutables. Toujours méfiant vis-à-vis de l’autorité, il devint convaincu que la diminution des cas de variole ne devait pas être attribuée à la vaccination elle-même mais à une meilleure hygiène et que les médecins avaient un intérêt particulier à vouloir promouvoir le vaccin. Wallace et d’autres opposants signalèrent que la vaccination, souvent effectuée dans de mauvaises conditions sanitaires, pouvait être dangereuse.

Il témoigna en 1890 devant une commission royale qui enquêtait sur la polémique. Quand les membres de la commission examinèrent la documentation qu’il avait fournie pour appuyer ses dires, ils trouvèrent des erreurs, dont quelques statistiques hasardeuses. The Lancet déclara que Wallace et les autres opposants à la vaccination avaient été très sélectifs dans le choix des statistiques utilisées et n’avaient pas tenu compte de la grande quantité de données qui allaient à l’encontre de leur position. La commission conclut que la vaccination antivariolique était efficace et devrait rester obligatoire, mais elle recommanda que des changements soient opérés dans les procédures afin de les rendre plus sûres et que les pénalités contre ceux qui refusaient de s’y soumettre soient moins sévères.

Bien des années après, en 1898, Wallace écrivit un pamphlet dans lequel il attaquait les conclusions de la commission ; celui-ci fut attaqué à son tour par The Lancet qui déclara qu’il contenait bon nombre des mêmes erreurs que celles énoncées devant la commission.



Alfred Russel Wallace : « Aux parlementaires et autres. Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse » (1885)

Partie I. Mortalité et vaccination contre la variole.

Ayant été amené à me renseigner moi-même sur les effets de la vaccination sur la prévention ou la diminution de la variole, je suis arrivé à des résultats aussi inattendus qu’ils me paraissent concluants. La question en est une qui affecte notre liberté personnelle ainsi que la santé et même la vie de milliers de personnes; il devient donc un devoir de s’efforcer de faire connaître la vérité à tous, et spécialement à ceux qui, sur la foi de déclarations fausses ou trompeuses, ont imposé la pratique de la vaccination par des lois pénales.

Je propose maintenant d’établir les quatre énoncés de fait suivants, au moyen des seules statistiques officielles disponibles; et j’adopterai un mode de présentation de ces statistiques dans leur ensemble, qui les rendra intelligibles à tous. Ces déclarations sont :

  1. Que pendant les quarante-cinq ans de l’enregistrement des décès et de leurs causes, la mortalité de la variole a très légèrement diminué, tandis qu’une épidémie de variole extrêmement sévère s’est produite au cours des douze dernières années de la période.
  2. Qu’il n’y a aucune preuve pour montrer que la légère diminution de la mortalité par variole est due à la vaccination.
  3. Que la gravité de la variole en tant que maladie n’a pas été atténuée par la vaccination.
  4. Que plusieurs maladies inoculables ont augmenté à un degré alarmant en même temps que la vaccination forcée.

Les première, deuxième et quatrième propositions seront prouvées à partir des rapports du registraire général de 1838 à 1882; et je rendrai les résultats clairs et incontestables, en présentant les chiffres pour toute la période sous forme de courbes schématiques, de sorte qu’aucune manipulation de celles-ci, en prenant certaines années pour comparaison, ou en divisant la période de manière spéciale, ne sera possible.

Les diagrammes montrent, dans chaque cas, non pas la mortalité absolue mais les décès par million d’habitants, une méthode qui élimine l’augmentation de la population et donne de vrais résultats comparatifs.

La vaccination n’a pas diminué la variole.

Le diagramme I. montre les décès dus à la variole, à Londres, pour chaque année de 1838 à 1882, tandis qu’une ligne supérieure montre les décès des autres principales maladies zymotiques données dans le résumé annuel du registraire général pour 1882, (sauf le choléra, qui n’est qu’une épidémie occasionnelle,) à savoir, — Scarlatine et diphtérie, rougeole, coqueluche, fièvre typhoïde et autres, et diarrhée. Une ligne pointillée entre ceux-ci montre la mortalité due aux fièvres de la classe des typhoïdes.

La première chose clairement apparente dans ce diagramme, c’est la très faible diminution de la variole correspondant aux époques de la vaccination pénale et obligatoire; tandis que l’épidémie de 1871 fut la plus destructrice de toute la période. La diminution moyenne de la mortalité due à la variole de la première à la seconde moitié de la période est de 57 décès par million et par an. En regardant maintenant la courbe supérieure, nous voyons que la mortalité due aux principales maladies zymotiques a également diminué, plus particulièrement au cours des 35 dernières années; mais la diminution de ces maladies n’est pas, proportionnellement, si grande, du fait que les décès par diarrhée ont considérablement augmenté dans la seconde moitié de la période. D’autre part, le typhus et les fièvres typhoïdes ont diminué dans une bien plus grande mesure que la variole, comme le montre la ligne pointillée sur le diagramme, la réduction de la mortalité due à cette seule cause étant de 382 par million, soit plus de six fois plus comme celui de la variole. Chacun admettra que cette remarquable diminution du typhus, etc., est due à un assainissement plus efficace, à une plus grande attention personnelle aux lois de la santé, et probablement aussi à des méthodes de traitement plus rationnelles. Mais toutes ces causes d’amélioration ont certainement eu leur effet sur la variole; et comme la mortalité due à cette maladie n’a pas également diminué, il y a probablement une cause contrebalancée au travail. Jusqu’à présent, par conséquent, à partir de la preuve que la vaccination a diminué la variole à Londres, la tendance des faits du registraire général (et il n’y a pas d’autres faits qui sont dignes de confiance) est de montrer qu’une cause contraire a empêché l’assainissement général d’agir sur cette maladie comme il a agi sur le typhus, et cette cause peut, éventuellement, être la vaccination elle-même.

Nous allons maintenant passer au diagramme II., qui donne une représentation de statistiques similaires pour l’Angleterre et le Pays de Galles, sauf que malheureusement, il y a un blanc dans le dossier pour 1843-46, années pendant lesquelles le registraire général nous informe, « les causes de la mort n’ont pas été distingués. » Ici aussi, nous percevons une diminution similaire de la mortalité par variole, interrompue par l’énorme épidémie de 1871-2, tandis que les autres principales maladies zymotiques représentées par la ligne supérieure, montrent plus d’irrégularité, mais une diminution récente considérable. Pour toute l’Angleterre, comme pour Londres, les tableaux nous montrent que les fièvres typhoïdes ont diminué beaucoup plus que la variole, (mais pour plus de clarté la courbe de typhus est omise,) et nous n’avons donc, encore une fois, aucune raison pour imputer la diminution de la variole à la vaccination. Mais nous pouvons aller plus loin que cette affirmation négative, car nous disposons, heureusement, d’un moyen de tester directement l’efficacité alléguée de la vaccination. Le onzième rapport annuel du Conseil du gouvernement local donne un tableau du nombre de vaccinations réussies, aux dépens des pauvres, en Angleterre et au Pays de Galles, de 1852 à 1881. À partir des chiffres de ce tableau, j’ai calculé les nombres en proportion à la population de chaque année, et ont montré le résultat en pointillé sur mon diagramme II; et je prie pour cela d’attirer l’attention du lecteur, car cela dissipe aussitôt certaines déclarations erronées souvent répétées.

En premier lieu, nous voyons qu’au lieu que la vaccination ait augmenté depuis l’application des lois pénales, elle a en fait diminué; de sorte que la déclaration si souvent faite par les apologistes officiels de la vaccination, et répétée par Sir Lyon Playfair dans son discours à la Chambre des communes l’année dernière, — que l’efficacité progressive de la vaccination légale a diminué la variole, est absolument fausse, car il y a eu une diminution plutôt qu’une augmentation de la « vaccination efficace ». Une augmentation temporaire du nombre de vaccinations a toujours lieu lors d’une épidémie de variole, ou lorsqu’une épidémie est à craindre; mais un examen de la courbe de vaccination ne corrobore pas l’affirmation selon laquelle elle contrôle l’épidémie. Après une inspection minutieuse, on verra qu’à trois reprises, une augmentation considérable des vaccinations a été suivie d’une augmentation de la variole. Laissez le lecteur regarder le diagramme et notez qu’en 1863 il y a eu un très grand nombre de vaccinations, suivies en 1864 par une augmentation de la mortalité par variole. Là encore, le nombre de vaccinations augmenta régulièrement de 1866 à 1869, mais en 1870-71, la mortalité due à la variole augmenta; et encore une fois, en 1876, une augmentation des vaccinations a été suivie d’une augmentation des décès dus à la variole. En fait, si la ligne pointillée indiquait l’inoculation au lieu de la vaccination, elle pourrait être utilisée pour prouver que l’inoculation a provoqué une augmentation de la variole. Je soutiens seulement, cependant, que cela ne prouve pas que la vaccination diminue la mortalité due à la maladie. Au cours de la panique provoquée par la grande épidémie de 1871-2, les vaccinations ont augmenté énormément et ont diminué aussi rapidement que l’épidémie s’est arrêtée, mais rien ne montre que l’augmentation des vaccinations a eu un effet sur la maladie, qui a suivi son cours. puis s’éteignit comme d’autres épidémies.

Il a maintenant été prouvé à partir de la seule série complète de documents officiels qui existent :

  1. Cette petite vérole n’a pas diminué autant ou aussi régulièrement que le typhus et les fièvres alliées.
  2. Que la diminution de la mortalité due à la variole coïncide avec une diminution, au lieu d’une augmentation de l’efficacité de la vaccination officielle.
  3. Que l’une des épidémies de variole les plus graves jamais enregistrées, dans la période de statistiques précises, s’est produite après 33 ans de vaccination officielle, obligatoire et pénale.

Ces trois groupes de faits ne corroborent pas l’affirmation selon laquelle la vaccination a réduit la mortalité due à la variole; et il faut toujours se rappeler que nous n’avons en fait aucun autre corps de statistiques sur lequel fonder notre jugement. L’utilité ou non de la vaccination est purement une question de statistiques. Il nous reste à décider si nous serons guidés par les seules statistiques fiables que nous possédons, ou si nous continuerons à accepter aveuglément les dogmes d’un corps d’hommes professionnels intéressés et certainement pas infaillibles, qui ont autrefois soutenu l’inoculation aussi fermement qu’ils soutiennent maintenant la vaccination. .

La variole n’a pas été atténuée par la vaccination.

On affirme souvent que, bien que la vaccination ne soit pas une protection complète contre la variole, elle diminue cependant la gravité de la maladie et la rend moins dangereuse pour ceux qui la prennent. Cette affirmation est suffisamment répondue par la preuve donnée ci-dessus, qu’elle n’a pas diminué la mortalité due à la variole; mais des preuves plus directes peuvent être apportées.

Les meilleurs enregistrements disponibles montrent que la proportion de décès par rapport aux cas de variole est la même aujourd’hui, bien qu’une grande majorité de la population soit vaccinée, comme c’était le cas il y a un siècle avant que la vaccination ne soit découverte. Dr Jurin, en 1723; les rapports de l’hôpital de la variole de Londres, 1746-1763; Dr Lambert, 1763; et la Cyclopædia de Rees, 1779; donner des nombres variant de 16,5 à 25,3 comme pourcentage de mortalité parmi les patients atteints de variole dans les hôpitaux, — la moyenne de l’ensemble étant de 18,8%.

Passons maintenant à l’époque de la vaccination. M. Marson, 1836-51, et les rapports des hôpitaux de la variole de Londres, Homerton, Deptford, Fulham et Dublin, entre 1870 et 1880, donnent des chiffres variant de 14,26 à 21,7 en pourcentage de décès. des patients atteints de variole, la moyenne étant de 18,5. Et cela, rappelons-le, sous le traitement et l’hygiène améliorés du XIXe par rapport au XVIIIe siècle.

Ces chiffres démontrent non seulement le mensonge de l’affirmation souvent répétée selon laquelle la vaccination atténue la variole, mais ils vont loin pour prouver le contraire — que la maladie a été rendue plus intraitable par elle; ou comment expliquer que la mortalité des patients atteints de variole soit presque exactement la même qu’il y a un siècle, malgré les progrès considérables de la science médicale et les améliorations des hôpitaux et des traitements hospitaliers?

La variole dans l’armée et la marine.

Nous avons ici un test crucial de l’efficacité ou de l’inutilité de la vaccination. Nos soldats et marins sont vaccinés et revaccinés conformément aux réglementations officielles les plus strictes. Ce sont des hommes exceptionnellement forts et en bonne santé, dans la fleur de l’âge, et si la vaccination est d’une quelconque utilité, la variole devrait être presque inconnue parmi eux, et aucun soldat ou marin ne devrait jamais en mourir. Ils sont en fait souvent qualifiés de « population parfaitement protégée ». Voyons maintenant quels sont les faits.

Un rapport vient d’être publié à la Chambre des communes, « Small-pox (Army and Navy) », daté de “août 1884”, donnant la force moyenne, le nombre de décès dus à la variole et le rapport pour mille en chaque service pendant les vingt-trois années 1860-82. Un examen de ce retour nous montre qu’il n’y a pas eu une seule année sans deux morts ou plus dans l’armée, et seulement deux ans sans décès dans la marine. En comparant le rendement de la « vaccination, mortalité », n ° 433, publié par la Chambre des communes en 1877, nous constatons que, dans les vingt-trois années 1850-1872, (la dernière en date,) il y eut de nombreuses années au cours desquelles aucun décès de variole adulte n’a été enregistré pour un certain nombre de grandes villes de 100 000 à 270 000 habitants. Liverpool n’en a eu aucun en 3 des années, Birmingham et Sunderland en 7, Bradford et Sheffield en 8, Halifax en 9, Dudley en 10, tandis que Blackburn et Wolverhampton étaient chacun totalement sans mortalité adulte de petite vérole pendant 11 des 23 années !

Il est vrai que les cas ne sont pas strictement comparables, car pour ces villes, nous n’avons que les décès de personnes âgées de 20 ans et plus donnés séparément, alors que les âges de l’armée et de la marine varient principalement d’environ 17 à 45 ans. Mais, compte tenu de l’état extrêmement insalubre de nombre de ces villes, et de leur grande prépondérance dans la liberté de la variole, il n’y a manifestement plus de place pour l’effet allégué de la revaccination pour assurer à nos soldats et marins l’immunité contre la maladie.

Mais regardons maintenant les moyennes pour toute la série d’années, comme offrant le meilleur et le seul test fiable. En les travaillant soigneusement, je trouve que la mortalité moyenne de la variole pour les 23 ans est, dans l’armée 82,96, que nous pouvons appeler 83 par million, et dans la marine 157 par million. Malheureusement, aucun matériel n’existe pour une comparaison exacte de ces taux avec ceux de la population civile; mais avec beaucoup de travail, j’ai fait la meilleure comparaison possible. À partir du rapport général du recensement, 1881, et des rapports du registraire général pour les mêmes 23 ans que ceux inclus dans le retour de l’armée et de la marine, j’ai pu déterminer la mortalité de la variole chez les hommes en Angleterre et au Pays de Galles entre le les années 15 et 55, considérées comme représentant le mieux celles des deux services; et le résultat est un taux moyen de mortalité due à la variole de 176 par million.

On remarquera que ce n’est guère plus que la mortalité de la marine, bien que plus du double de celle de l’armée, et la question se pose de savoir quelle est la différence due. Et d’abord, pourquoi la mortalité de la variole dans la marine est-elle près du double de celle de l’armée ? Les règlements concernant la revaccination sont les mêmes dans les deux, et sont dans les deux rigoureusement appliqués, et les hommes sont assez égaux en endurance et en santé générale. La cause doit donc être dans les conditions de vie différentes des deux services; et il me semble probable que la différence provient principalement de la ventilation et de l’isolement moins efficaces qui sont possibles à bord des navires par rapport aux hôpitaux de l’armée.

La mortalité générale de la marine par maladie semble (d’après le rapport du registraire général, 1882, tableaux 59 et 65,) être considérablement inférieure à celle de l’armée, de sorte que la plus grande mortalité due à la variole doit être due à une certaine conditions. Mais quels qu’ils soient, les conditions de la population civile sont certainement bien pires. Les deux tiers des familles habitant Glasgow vivent dans des maisons d’une ou deux pièces seulement, et de nombreuses autres villes, y compris Londres, ne sont probablement pas beaucoup mieux. Dans de telles conditions, et avec la faible vitalité induite par une alimentation insuffisante, le surmenage et le mauvais air, nous devrions nous attendre à ce que la mortalité due à la variole de notre population civile soit bien supérieure à celle de la classe choisie des marins qui jouissent d’une nourriture abondante, air frais et assistance médicale. Où est donc la prétendue « sécurité totale » offerte par la revaccination, et comment caractériser les déclarations diffusées aux dépens du public, selon lesquelles « la variole est presque inconnue dans l’armée et la marine ». Si nous voulons tirer une conclusion légitime des faits, c’est que la revaccination à laquelle sont soumis nos soldats et marins rend la variole plus mortelle lorsqu’elle les attaque, car c’est ainsi que nous pouvons expliquer la grande mortalité parmi les hommes en bonne santé choisis sous surveillance médicale constante et vivant dans des conditions sanitaires bien meilleures que la masse de la population civile.

Un autre mode de comparaison peut être fait, montrant que même le taux de mortalité de la variole dans l’armée n’est guère meilleur que celui de certaines grandes villes, au cours de la même période. Le taux par million de la population adulte, entre 15 et 55 ans, sur une moyenne des années 1860-82 pour cinq très grandes villes était le suivant :

Bien sûr, il existe de nombreuses autres villes qui ont une mortalité beaucoup plus élevée, mais très peu sont bien pires que la marine. La pire grande ville que je puisse trouver dans les rapports est Newcastle-on-Tyne, qui, pour la même période, avait une mortalité de la variole adulte de 349 par million. Mais le fait que cinq de nos villes les plus peuplées aient considérablement moins de mortalité de la variole adulte que la marine, et l’une d’elles à peine plus que l’armée, équivaut à une démonstration de l’inutilité de la revaccination la plus complète.

La mortalité générale de notre population adulte est bien supérieure à celle de l’armée et de la marine. D’après les sources officielles d’information déjà citées, je trouve que la mortalité moyenne de la population adulte d’Angleterre, âgée de 15 à 55 ans, pour les années 1860 à 1982, était d’environ 20 000 par million. [[Note de l’éditeur: Wallace néglige ici de prendre en compte le fait qu’il ne traite que de la population masculine adulte de l’Angleterre; cette erreur a été corrigée dans l’édition de 1889 pour réduire le taux par million à 11 300.]]

Celle de la marine, pour la même période, était de 11 000 par million toutes causes confondues, et seulement 7 150 maladies.

Celle de l’armée, chez nous, était de 10 300 par million. À l’étranger, il était presque le double (19400), mais cela incluait tous les décès dus aux victimes, à l’exposition, etc., dans les guerres abyssiniennes, afghanes, zoulou, du Transvaal et autres petites guerres.

Ainsi, le physique supérieur de nos soldats et marins, ainsi que les conditions sanitaires dans lesquelles ils vivent, se manifestent pleinement dans une mortalité par maladie seulement environ la moitié de celle de la population civile adulte d’âge comparable. Si l’on tient compte de la même manière de l’influence de ces causes dans le cas de la variole, il ne reste absolument rien de l’influence protectrice alléguée de la revaccination.

Nous n’entendrons sûrement plus parler des infirmières re-vaccinées dans les hôpitaux de variole, (sur lesquelles nous n’avons pas de statistiques, mais seulement des affirmations vagues et généralement inexactes,) quand nous avons une grande expérience officiellement enregistrée à laquelle se référer, s’étendant sur 23 ans et s’appliquant à plus de 200 000 hommes, dont les résultats contredisent directement toute déclaration professionnelle et officielle quant à la sauvegarde de la revaccination.

La vaccination elle-même est une cause de maladie et de décès.

Comme on l’a maintenant montré, la vaccination est tout à fait impuissante, ni pour prévenir ni pour atténuer la variole. Mais ce n’est pas tout, car il y a de bonnes raisons de croire qu’elle est elle-même la cause de nombreuses maladies et d’une mortalité grave.

Les médecins ont longtemps nié que la syphilis puisse être transmise par la vaccination; mais ceci est maintenant universellement admis, et pas moins de 478 cas de syphilis vaccinale ont déjà été enregistrés. Mais il y a aussi de bonnes raisons de croire que de nombreuses autres maladies du sang sont transmises et augmentées par les mêmes moyens, car il y a eu depuis de nombreuses années une augmentation constante de la mortalité due à ces maladies, ce qui est terrible à envisager. Le tableau suivant donne l’augmentation de cinq de ces maladies du rapport annuel du registraire général pour 1880, (page lxxix., Tableau 34,) et il est très intéressant de noter que, dans la longue liste de maladies qu’il y a tabulée, pas d’autres, (à l’exception de la bronchite, qui suit souvent la vaccination, bien qu’elle ne soit probablement pas transmise par elle,) montrent une telle augmentation frappante et continue, tandis que la grande majorité sont soit stationnaires, soit décroissantes.

Décès annuels en Angleterre par million de vie.

On observe ici une augmentation constante de la mortalité due à chacune de ces maladies, augmentation qui, dans la somme de celles-ci, est régulière et continue. Il est vrai que nous n’avons pas et ne pouvons pas avoir de preuve directe que la vaccination est la seule cause de cette augmentation, mais nous avons de bonnes raisons de croire que c’est la cause principale. En premier lieu, il s’agit d’une vera causa, puisqu’elle inocule directement les nourrissons et les adultes, à une échelle énorme, avec toute maladie du sang qui peut exister sans que l’on s’en doute dans le système des nourrissons dont le pus vaccinal est prélevé. En second lieu, aucune autre cause adéquate n’a été invoquée pour l’augmentation remarquablement continue de ces maladies spéciales, que la diffusion de l’assainissement, de la propreté et des connaissances médicales avancées aurait dû rendre à la fois moins fréquentes et moins mortelles.

L’augmentation des décès dus à ces cinq causes, de 1855 à 1880, dépasse le total des décès dus à la variole au cours de la même période ! De sorte que même si cette dernière maladie avait été totalement abolie par la vaccination, la mortalité générale aurait été augmentée, et il y a de nombreuses raisons de croire que l’augmentation peut avoir été causée par la vaccination elle-même.

Partie II. Mortalité comparée des vaccinés et des non vaccinés.

Dans son discours à la Chambre des communes, le 19 juin 1883, Sir Lyon Playfair a fait la déclaration suivante : « Une analyse de 10 000 cas dans les hôpitaux métropolitains montre que 45% des patients non vaccinés meurent, et 15% seulement. des patients vaccinés » ; et il a en outre montré que des statistiques d’un caractère similaire avaient été publiées dans d’autres pays. Mes lecteurs objecteront sans doute que ces statistiques, si elles sont exactes, sont une preuve complète de la valeur de la vaccination; et on s’attendra à ce que je montre qu’ils sont incorrects ou que j’abandonne toute l’affaire. C’est ce que je suis prêt à faire; et je m’engage maintenant à prouver — premièrement, que les chiffres donnés ici ne sont pas fiables; et, deuxièmement, que ces statistiques donnent nécessairement de faux résultats à moins qu’elles ne soient classées en fonction de l’âge des patients.

Les pourcentages de vaccinés et non vaccinés ne sont pas fiables.

Le simple fait de la mort de la variole est facilement établi et a été enregistré avec précision pendant de nombreuses années.

Mais, que la personne décédée ait été vaccinée ou non, est un fait difficile à déterminer, car la variole confluente (qui seule est généralement mortelle) efface les marques de vaccination dans la plupart des cas, et le décès est alors généralement enregistré parmi les non vaccinés ou douteux. Pour cette seule raison, le dossier officiel — vacciné ou non vacciné — n’est pas du tout digne de confiance et ne peut faire l’objet d’une enquête statistique précise.

Mais il y a d’autres raisons pour lesquelles la comparaison des décès de ces deux classes est sans valeur. Les décès enregistrés comme non vaccinés comprennent :

  1. Nourrissons qui meurent avant l’âge de la vaccination, et qui, par conséquent, n’ont pas de classe correspondante parmi les vaccinés, mais parmi lesquels la mortalité par variole est la plus élevée.
  2. Enfants trop faibles ou malades pour être vaccinés, et dont la faible vitalité rend toute maladie grave mortelle.
  3. Un nombre important mais inconnu de la population criminelle et nomade qui échappe aux agents de vaccination. Ceux-ci sont souvent mal nourris et vivent dans les conditions les plus insalubres; ils sont donc particulièrement susceptibles de souffrir d’épidémies de variole ou d’autres maladies zymotiques.

C’est par l’union aveugle de ces trois classes, ainsi que de celles classées à tort comme non vaccinées en raison de l’effacement de marques ou d’un autre défaut de preuve, que le nombre de décès enregistrés « non vaccinés » est gonflé bien au-delà de ses véritables proportions, et la comparaison avec ceux enregistrés « vaccinés » rendus totalement indignes de confiance et trompeurs.

Il ne s’agit pas d’une simple déduction, car il existe de nombreuses preuves directes que les enregistrements « non vaccinés » et « aucune déclaration » dans les rapports du Greffier général sont souvent erronés. Comme l’argument principal en faveur de la vaccination repose sur cette classe de faits, il convient de donner ici quelques exemples des preuves auxquelles il est fait référence.

  1. M. A. Feltrup, d’Ipswich, donne le cas d’un garçon âgé de 9 ans, décédé de la variole, et a été enregistré dans le certificat comme « non vacciné ». Une recherche dans le registre des vaccinations réussies a révélé que le garçon, Thomas Taylor, avait été vacciné avec succès le 20 mai 1868 par W. Adams. (Suffolk Chronicle, 5 mai 1877.)
  2. Dans « Notes sur l’épidémie de variole à Birkenhead, 1877 ». Par Fras. Vacher, M.D., (p. 9.,) nous trouvons ce qui suit : « En ce qui concerne les patients admis à l’hôpital de la fièvre ou traités à domicile, ceux entrés comme vaccinés présentaient des cicatrices incontestables, comme l’attestent des témoins médicaux compétents, et ceux inscrits comme non vaccinés étaient admis non vaccinés ou sans la moindre marque. ou leurs amis qu’ils avaient été vaccinés ne comptaient pour rien, car environ 80 pour cent des patients inscrits dans la troisième colonne du tableau («inconnu») ont été signalés comme ayant été vaccinés dans l’enfance.  »
  3. Compte tenu de cet aveu important, nous avons la déclaration suivante dans le Dr Russell’s Glasgow Report, 1871-2 (p. 25) : « On disait parfois que des personnes étaient vaccinées, mais aucune marque n’a pu être vue, très fréquemment en raison de l’abondance de l’éruption. Dans certains cas de ceux qui ont récupéré, une inspection avant renvoi a révélé des marques de vaccin, parfois très bonnes ».
  4. Dans le retour des naissances et des décès du registraire général pour Londres, pour la semaine se terminant le 13 octobre 1883, trois décès de variole sont enregistrés au Metropolitan Asylums Hospital à Homerton, et ils sont déclarés être sur trois enfants non vaccinés — un, quatre et neuf ans respectivement — tous de 3, Medland Street, Stepney. Sur ce, la mère de deux des enfants a déclaré que le retour n’était pas vrai. Elle déclare : « Tous mes cinq enfants ont été magnifiquement vaccinés. Mes trois fils ont été attaqués par la variole; les deux plus jeunes sont morts, l’aîné va mieux. » (Signé) Ann Elizabeth Snook, 3, Medland Street, Stepney, 23 octobre 1883. Un compte rendu complet de cette affaire a été publié dans le Bedfordshire Express par M. A. Stapley, ainsi que dans le Vaccination Enquirer de décembre 1883.
  5. En 1872, M. John Pickering, de Leeds, a soigneusement enquêté sur un certain nombre de cas déclarés « non vaccinés » par les médecins de l’hôpital de la variole de Leeds, recherchant les parents, examinant les patients s’ils étaient vivants, ou obtenir le certificat de vaccination s’ils étaient décédés. Le résultat a été que 6 patients, inscrits comme « non vaccinés » et encore vivants, se sont avérés avoir de bonnes marques de vaccination; tandis que 9 autres qui étaient décédés et dont le décès avait été enregistré comme « non vaccinés » se sont avérés avoir été vaccinés avec succès. En plus de ceux-ci, il a été prouvé que 8 cas avaient été vaccinés, certains trois ou quatre fois, mais sans succès, et 4 autres ont été déclarés « inaptes à être vaccinés », mais tous ont été déclarés comme « non vaccinés ». Les détails complets de cette enquête se trouvent dans une brochure de M. Pickering, publiée par F. Pitman, 20 ans, Paternoster Row, Londres.
  6. Comme autre preuve corroborante de la non-fiabilité de tous les dossiers sur le sujet émanant de médecins, la citation suivante d’un article sur les « Certificats de décès », dans le Birmingham Medical Review de janvier 1874, est importante; les italiques sont les miens : « Dans les certificats que nous délivrons volontairement, et auxquels le public a accès, il n’est guère à prévoir qu’un médecin donnera des opinions qui peuvent se prononcer contre lui-même ou se refléter de quelque manière que ce soit. dans de tels cas, il dira très probablement la vérité, mais pas toute la vérité, et attribuera un symptôme important de la maladie à la cause du décès. Comme exemples de cas pouvant être opposés au médecin lui-même, je mentionnerai l’érysipèle de la vaccination, et la fièvre puerpérale. Un décès de la première cause est survenu il n’y a pas longtemps dans ma pratique, et bien que je n’avais pas vacciné l’enfant, pourtant dans mon désir de préserver la vaccination de tout reproche, j’en ai omis toute mention de mon certificat de décès. »

Les faits illustratifs maintenant donnés ne peuvent être supposés être exceptionnels, surtout si l’on considère la grande quantité de temps et de travail nécessaire pour les mettre en lumière; et pris en rapport avec les admissions stupéfiantes d’hommes médecins, dont des exemples viennent d’être donnés, ils prouvent qu’aucune dépendance ne peut être placée sur les registres officiels des proportions de vaccinés et non vaccinés parmi les malades de la variole; tandis que, si la méthode d’enregistrement de M. Vacher est habituellement suivie, environ 80 pour cent. parmi ceux classés par le Greffier général sous la rubrique « aucune déclaration », leurs parents ou amis ont réellement déclaré avoir été vaccinés.

Nos statistiques hospitalières donnent nécessairement de faux résultats.

Mais une question encore plus grave reste à considérer, et c’est une preuve frappante de la preuve brute et imparfaite sur laquelle la question importante de la valeur de la vaccination a été décidée, que le point en question a été entièrement ignoré par tous les avocats anglais de la vaccination, bien qu’elle implique un principe élémentaire de la science statistique.

Ce point est que même si les registres de nos hôpitaux, « vaccinés » et « non vaccinés », étaient strictement corrects, il peut être démontré que de vrais résultats ne peuvent en être déduits sans une comparaison de la mortalité des vaccinés et des non vaccinés à âges correspondants, et ces informations ne sont pas fournies par nos déclarations officielles.

Cependant, la comparaison requise a été faite sur une population d’environ 60 000 habitants, composée des fonctionnaires et des ouvriers employés sur les chemins de fer impériaux autrichiens, par le médecin-chef, le Dr Leander Joseph Keller; et ses résultats au cours des années 1872-3 sont si importants qu’il est nécessaire d’en donner un bref résumé.

  1. Il est démontré que le taux de mortalité des patients atteints de variole est le plus élevé au cours de la première année de vie, diminue ensuite progressivement entre la 15e et la 20e année, puis remonte à la vieillesse; suivant donc exactement la même loi que la mortalité générale.
  2. Le taux de mortalité par variole, parmi plus de 2 000 cas, était de 17,85%. des cas, en étroite concordance avec l’avarie commune. Celui des non vaccinés était de 23,20%, tandis que celui des vaccinés n’était que de 15,61%.
  3. Ce résultat, apparemment si favorable à la vaccination, se révèle être entièrement dû à l’excès de non-vaccinés au cours des deux premières années de la vie, et être un fait purement numérique sans aucun rapport avec la vaccination. Ceci est prouvé comme suit : En prenant, tout d’abord, tous les âges au-dessus de 2 ans, le taux de mortalité des vaccinés est de 13,76, et des non vaccinés 13,15, presque exactement les mêmes, mais avec un léger avantage pour les non vaccinés.

En prenant maintenant les deux premières années, le taux de mortalité est le suivant :

Première année de vie —— Vacciné: 60,46 / Non vacciné: 45,24
Deuxième année de vie —– Vacciné: 54,05 / Non vacciné: 38,10

Ainsi, le taux de mortalité de la variole est en fait moindre pour les non-vaccinés que pour les vaccinés chez les nourrissons, et égal pour tous les âges supérieurs; pourtant la moyenne de l’ensemble est plus élevée pour les non-vaccinés, simplement en raison de la plus grande proportion de non-vaccinés aux âges auxquels la mortalité est la plus élevée universellement.

Il est donc clair que toute comparaison de la mortalité par variole des vaccinés et des non vaccinés, sauf à des âges strictement correspondants, conduit à des conclusions entièrement fausses.

Ce fait curieux et important peut peut-être être rendu plus facilement intelligible par une illustration. Prenons l’ensemble de la population jusqu’à 20 ans et divisons-la en deux groupes : ceux qui vont à l’école et ceux qui ne le font pas. Si la mortalité par variole de ceux-ci était enregistrée séparément, elle serait beaucoup plus élevée chez les non-scolarisés, — composé principalement de nourrissons, et d’enfants trop faiblement pour être envoyés à l’école, parmi lesquels la mortalité est toujours très bon, à tel point qu’un médecin de grande expérience — le Dr. Vernon, de Southport — a déclaré qu’il n’avait jamais vu un enfant de moins d’un an se remettre de la variole. Mais nous devrions sûrement penser à une personne stupide ou folle qui prétend, à partir de ces statistiques, que la scolarité est une protection contre la maladie et que les écoliers forment une « population protégée ». Pourtant, cela est exactement comparable au raisonnement de ceux qui invoquent la plus grande mortalité chez les patients de tous âges non vaccinés contre la variole, comme l’argument le plus fort en faveur de la vaccination !

Les bonnes statistiques et les bons arguments ne peuvent pas être contrariés, ni même affaiblis, par ceux qui sont mauvais. J’ai maintenant montré que l’argument principal invoqué par nos adversaires repose sur des statistiques tout à fait erronées, inexactes au départ et mal interprétées par la suite. Celles que j’ai utilisées, en revanche, sinon absolument parfaites, sont pourtant les meilleures et les plus dignes de confiance qui existent. Je demande aux statisticiens et aux hommes au jugement sans faille de choisir entre eux.

Conclusion de la preuve.

Le résultat de cette brève enquête peut être ainsi résumé :

  1. La vaccination ne diminue pas la mortalité de la variole, comme le montrent les 45 années de statistiques du Greffier général, et les décès dus à la variole de nos soldats et marins « re-vaccinés » étant aussi nombreux que ceux de la population masculine du même âge de plusieurs de nos grandes villes, bien que les premiers soient des hommes cueillis et en bonne santé, tandis que les seconds comprennent plusieurs milliers de personnes vivant dans les conditions les plus insalubres.
  2. Bien qu’ainsi totalement impuissante pour de bon, la vaccination est une certaine cause de maladie et de décès dans de nombreux cas, et est la cause probable d’environ 10000 décès par an par cinq maladies inoculables du caractère le plus terrible et le plus dégoûtant, qui ont augmenté à cette ampleur, régulièrement, d’année en année, depuis que la vaccination est imposée par les lois pénales !
  3. Les statistiques hospitalières, montrant une plus grande mortalité des non-vaccinés que des vaccinés, se sont avérées non fiables; tandis que les conclusions qui en sont tirées se révèlent nécessairement fausses.

Si ces faits sont vrais ou quelque chose de proche de la vérité, l’application de la vaccination par amende et l’emprisonnement des parents réticents est un despotisme cruel et criminel, qu’il appartient à tous les vrais amis de l’humanité de dénoncer et de s’opposer à chaque occasion.

Une telle législation, impliquant comme elle le fait, notre santé, notre liberté et notre vie même, est une question trop grave pour pouvoir dépendre des inexactitudes des fonctionnaires intéressés ou des dogmes d’une clique professionnelle. Certaines des inexactitudes et une partie de l’ignorance sur lesquelles vous vous êtes appuyés ont été exposées ici. La preuve statistique sur laquelle seul un jugement vrai peut être fondé est aussi ouverte à vous qu’à n’importe quel médecin du pays. Par conséquent, nous exigeons que vous, nos représentants, vous acquittiez de votre devoir solennel à notre égard dans cette affaire, en y consacrant une enquête personnelle et des recherches minutieuses; et si vous trouvez que les principaux faits tels qu’énoncés ici sont substantiellement corrects, nous vous demandons de réparer sans délai le mal que vous avez fait.

PAR CONSÉQUENT, NOUS EXHORTONS SOLENNELLEMENT L’ABROGATION IMMÉDIATE DES LOIS PÉNALES INITIALES PAR LESQUELLES NOUS ONT FORCÉ UNE OPÉRATION DANGEREUSE ET INUTILISABLE — UNE OPÉRATION QUI A CERTAINEMENT CAUSÉ BEAUCOUP DE DÉCÈS, QUI EST PROBABLEMENT LA CAUSE D’UNE MORTALITÉ PLUS GRANDE QUE LA VARIOLE ELLE-MÊME, MAIS QUI NE PEUT PAS ÊTRE PROUVÉ AVOIR JAMAIS SAUVÉ UNE SEULE VIE HUMAINE.

Statistiques d’enregistrement de quarante-cinq ans. Une correction. (1895)

Monsieur, – Tout en remerciant mon ami M. Alex. Wheeler pour ses références trop élogieuses au peu que j’ai fait pour la cause de la liberté en ce qui concerne la tyrannie des lois de vaccination, je souhaite faire une remarque sur une partie de son article qui donne une impression erronée. M. Wheeler dit qu’il ne pouvait pas être d’accord avec ma conclusion selon laquelle « la vaccination a peut-être causé plus de décès que la variole elle-même ». Cela ne m’étonne pas, car je n’accepte pas moi-même une telle déclaration, qui n’est certainement pas la mienne. Mes mots, soigneusement choisis, sont : « une opération qui a causé de nombreux décès, qui est probablement la cause d’une mortalité plus grande que la variole elle-même » — et j’attire l’attention sur le changement par rapport au passé dans la première partie de la passage au présent — « est probablement la cause » — dans la dernière partie. Cela signifie clairement, non pas que « la vaccination a peut-être causé plus de décès que la variole » — comme le dit M. Wheeler, sans aucune limitation de temps, ce qui serait bien sûr une absurdité — mais que, à l’heure actuelle, résultat de la vaccination générale depuis une cinquantaine d’années, il est peut-être à présent la cause de plus de décès que la variole. Cette conclusion est tirée du tableau de la mortalité en augmentation constante due à certaines maladies inoculables (page 24 de ma brochure), dont l’augmentation, en trente ans (1850-1880), était de 357 par million (augmentation qui se poursuit depuis), tandis que les décès dus à la variole n’ont pas, depuis de nombreuses années, représenté en moyenne plus d’un cinquième de ce montant. Si, par conséquent, un quart seulement de l’augmentation importante et régulière de ces maladies est dû à la vaccination, alors ma conviction que la vaccination est maintenant la cause d’une mortalité plus grande que la variole elle-même est pleinement justifiée; et dans l’affirmation que c’est « probablement » le cas, je ne pense pas que je me trouverai en minorité parmi les lecteurs de l’Inquirer. Cet effet indirect de la vaccination est encore accru par ses effets directs, qui sont maintenant connus pour être beaucoup plus terribles et pour produire une mortalité bien plus grande que ce qui était auparavant soupçonné ou admis.

Je souhaite profiter de l’occasion pour demander à ceux de vos lecteurs qui pourraient avoir des exemplaires de ma brochure d’effacer de la ligne 11 à la page 21, à la ligne 9 à la page 22, 2e édition (ou, dans la première édition, à partir de la ligne 8 à la page 20 à la ligne 4 de la page 21 – Ed. VI), car les chiffres et les conclusions y figurant sont erronés.




Rosa Koire : « le parti communiste chinois utilisé par l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste pour prendre le contrôle complet de cette planète.»

[Source : Devenons tous journalistes via Profession Gendarme]

«Le Parti communiste chinois est le front par lequel l’aristocratie bancaire totalitaire mondialiste a mis en œuvre son plan pour prendre le contrôle complet de cette planète.»

Pensez à cela et pensez à la surveillance de masse inconstitutionnelle en cours de mise en œuvre, à l’Internet des objets, au réseau intelligent et aux villes intelligentes qui sont en développement depuis 20 ans et pensez au monde des passeports vaccinaux et du crédit social que les banksters. se préparent à déployer. Tout cela est vraiment l’Agenda 21, que Rosa Koire décrit ainsi: 

«Le développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies est le modèle global. C’est le «plan d’action», comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle.» 

L’Internet des objets cherche à créer un fac-similé numérique complet de tout sur la planète; pour créer une ombre numérique de vous, moi, tout le monde et tout. Déjà, il y a un homme de paille numérique parmi vous et, prétendument, les algorithmes vous «connaissent» mieux que vous ne vous connaissez et peuvent prédire vos prochaines étapes. Pour exécuter pleinement leur plan, les mondialistes doivent mettre fin à la République constitutionnelle américaine et imposer le modèle chinois dans le monde entier. Compte tenu de la désintégration complète de l’état de droit dont nous avons été témoins ces derniers mois et de la façon dont tous les niveaux de notre gouvernement sont sous l’emprise du chantage et de la corruption – comme en témoigne notre cadavre en chef – il semble qu’ils aient déjà gagné.

Notre gouvernement et les institutions auxquelles nous étions censés faire confiance ont été tellement corrompus par les mondialistes qu’ils sont passés de simples kleptocraties à des ministères de génocide de masse.

Des gens comme Andrew Cuomo et Gretchen Whitmer, dont les verrouillages illégaux ont normalisé l’autocratie, ont également servi à discréditer le système américain, aux yeux de ses citoyens. C’est exactement ce que voulaient les mondialistes et ces gouverneurs sont des idiots utiles.

La dette, les guerres sans fin, le déclin géré que nous avons vu pendant des décennies ont toujours consisté à éliminer les États-Unis et à déplacer le centre du pouvoir vers la Chine. L’horrible coup d’État continu et la guerre de l’information que nous avons vécus depuis le début de la présidence Trump concernaient la façon dont il nous éveillait à eux.


https://www.youtube.com/watch?v=q6y7GbQIZPw&feature=emb_logo&ab_channel=AdamPickering

TRANSCRIPTION de la vidéo

En cette période de stress, de colère, de peur, de séparation et de limitation, nous devons sortir de la paralysie et de la panique qui nous sont imposées et entrer dans un ensemble de solutions positives réalisables qui pourraient nous rapprocher, dans le respect et l’Amour. Donc, je sais que c’est ce à quoi nous sommes tous ravis de participer aujourd’hui, c’est la déclaration de reprendre le contrôle de la direction de notre vie…
Mon rôle aujourd’hui est de préparer le terrain pour la plus grande réinitialisation, en examinant la grande réinitialisation du Forum économique mondial, la quatrième révolution industrielle, l’Agenda 2030 des Nations Unies et, bien sûr, le plan plus large, dans lequel tout cela tourne, qui est uni Programme de développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies, où nous pouvons convenir que nous assistons à la grande purge. C’est la grande concentration de richesse et de pouvoir; la grande révélation des dictateurs consentants; la grande réaffectation des ressources; la grande révolution numérique de l’État de surveillance. Tel est le programme du XXIe siècle et au-delà. C’est la grande refonte de l’ancien plan, donc je vais commencer par là.

Le développement durable de l’Agenda 21 des Nations Unies est le modèle global. C’est le «plan d’action», comme l’appelle l’ONU, pour inventorier et contrôler toutes les terres, l’eau, les minéraux, les plantes, les animaux, la construction, les moyens de production, l’énergie, l’éducation, les transports, l’information et tous les êtres humains dans le monde. C’est un plan d’inventaire et de contrôle. Tel est le programme du 21e siècle. C’est un plan pour 100 ans et il y a des jalons à 2020, 2030, 2035 et 2050. L’Agenda 2030 n’est qu’un jalon dans le principal plan de 100 ans. Ainsi, l’Agenda 21 du développement durable est le plan mondial d’inventaire et de contrôle, il englobe tous les aspects de votre vie et il est destiné à être une transformation déchirante de votre vie. C’est ce que le sénateur Al Gore a appelé lorsqu’il a emmené le groupe des États-Unis au plus grand rassemblement de chefs d’État et de représentants nationaux qui ait jamais été convoqué jusqu’à ce moment-là. C’était à Rio de Janeiro, au Brésil, en 1992, pour la Conférence Agenda 21. Les représentants de 178 nations plus le Vatican ont accepté ce «plan d’action».

Je sais que vous allez voir sur Wikipédia qu’il s’agit d’un «accord volontaire non contraignant», sauf que l’Agenda 21 vous lie.
Cela a été inscrit dans les lois de vos pays depuis la Chine, toutes les nations occidentales et du Moyen-Orient, partout dans le monde, grâce à une collaboration de gouvernements, d’entreprises, d’organisations et de fondations. C’est un plan mondial mais ce n’est pas un plan international. «International» signifie «entre les nations» mais ce plan efface les nations. C’est mondial. C’est un plan global qui est mis en œuvre localement, donc il a un nom différent partout mais c’est le même plan. Chaque aspect de votre vie est touché, donc c’est dans vos programmes scolaires, c’est dans votre département de planification et de construction, c’est dans votre système judiciaire, dans votre système de santé. C’est partout mais on ne l’appelle jamais «Agenda 21». Vous allez le voir comme des plans régionaux. On les appelle souvent «Plan Bay Area» ou «Four States, One Vision» ou «Mexico 2030» ou «Hanoi 2030» ou «Horizon 2050» au Canada, par exemple. Ils sont tous sur le même plan. Ils élèvent les principaux centres de pouvoir économique à un statut supra-gouvernemental qui est en dehors et au-dessus du modèle traditionnel de gouvernement représentatif. Ce sont les méga-régions. Ils sont le moteur de l’économie et dominent l’État-nation. Ils combinent des parties de villes, d’États, ils combinent même des morceaux de nations ensemble.

Ils détruisent les frontières et ignorent les juridictions légales en créant de nouvelles principes économiques. Ce sont de nouveaux fiefs. Ce n’est pas le gouvernement. C’est la gouvernance.

Gouvernance: c’est un système composé d’agences du secteur public, d’organisations à but non lucratif, d’organisations commerciales, de groupes de défense, de fondations et d’entreprises. Qu’est-ce qu’ils ont en commun? Vous ne votez pour rien de tout cela. Plus l’entité est grande, plus elle est éloignée de vous, moins vous avez de pouvoir. Vous êtes littéralement sorti de l’image.

C’est le nouvel État mondial, dans lequel vous êtes un citoyen du monde, d’accord? Ainsi, le nouvel État est le moyen par lequel vous devez servir les autres pour le «bien commun» et c’est défini par l’État. C’est censé être de bas en haut. C’est quelque chose que vous voulez, mais c’est vraiment une course finale contre vous, autour de votre souveraineté. Votre souveraineté est érodée, pièce par pièce.

La question est: «Quel est le plan d’Action 21?» Quand on le voit dans le public, c’est avant tout un plan d’aménagement du territoire. C’est le cri de ralliement du «développement durable». Qu’est-ce-qu’ils disent? Que nous «tuons la planète» avec nos émissions de CO₂. Le plan est conçu pour enfermer les populations dans ce que l’ONU appelle des «îles d’habitation humaine». Établissements humains.

Bien sûr, une fois que vous êtes dans cette «île d’habitation humaine» concentrée autrefois appelée «ville», vous êtes plus facilement géré, contrôlé et surveillé. Ce pourrait être une ville, comme celle que Sidewalk Labs, une filiale de la société mère de Google, Alphabet, une ville comme ils l’avaient prévu pour un quartier de Toronto. Cette ville devait avoir des capteurs intégrés partout, littéralement. Et les résidents verraient leurs services limités, à moins qu’ils ne dévoilent numériquement tous les aspects de leur vie

Si, par exemple en tant que résident, vous refusiez que vos données soient liées à votre identité, vous auriez moins de droits que les autres. C’est une ville intelligente. C’est une ville où je pense que la réalité virtuelle et augmentée remplacera la vie réelle et sera en fait plus attrayante. En fin de compte, les gens peuvent passer leur vie entière à vivre virtuellement et ces vies vont être courtes.

Alors, quelle est la justification de cette dystopie? L’histoire est que vos émissions de gaz à effet de serre seront réduites en regroupant les populations dans ces centres-villes denses, où la consommation d’énergie et d’eau peut être limitée. Cela va vous faire sortir des régions rurales, où vous pouvez essentiellement faire ce que vous voulez, élever votre bétail, faire pousser de la nourriture avec l’eau de votre puits, conduire votre camion agricole et posséder une arme à feu.

Mais pour mettre en œuvre l’Agenda 21, votre pays, état, comté, paroisse, canton, ville – peu importe – impose ce plan d’aménagement du territoire localement, car pensez à ceci: où vous vivez a beaucoup à voir avec votre façon de vivre et votre vie sera.

Votre ancienne vie doit donc être transformée. C’est le code pour «détruire et reconstruire». C’est la nouvelle norme. Cela comprend à la fois ce qu’ils appellent «l’environnement bâti» et la façon dont vous utilisez cet espace physique. Vos croyances et vos attentes doivent être transformées et reconstruites, ainsi que votre consommation d’énergie, votre consommation d’eau, votre consommation alimentaire, votre structure sociale, votre travail, votre santé et vos vues sur l’espérance de vie – tout cela doit être transformé. Et une grande partie de cela est déterminée dans le plan régional que vous avez, là où vous vivez. Je vous suggère de le vérifier.

Alors, comment détruisent-ils vos droits? Vous ne votez pas pour cela. Vous payez cependant pour cela. Ce plan régional est financé par des subventions fédérales et étatiques qui paient des consultants, qui s’engagent essentiellement à faire passer cela dans la communauté. Et les quelques citoyens concernés qui se présentent aux «réunions de vision» et aux «charettes», comme ils les appellent à s’opposer, les consultants sont là pour bloquer l’opposition. Ils sont essentiellement là pour endoctriner le public. Les consultants sont des «agents du changement» formés et des responsables organisationnels. Ils sont là pour donner l’impression qu’ils ont écouté le public et que le public approuve le plan.

C’est tout un acte. Je pense que vous allez convenir que c’est vraiment un gros problème. C’est une vente difficile et un énorme problème de gestion, même avec la tromperie et la collusion des médias d’entreprise. Je devrais dire le partenariat, la propriété. Il n’est pas facile de détruire près de 500 ans de l’État-nation, il faut donc le faire progressivement, en utilisant tout le pouvoir et l’influence des entreprises et organisations gouvernementales, y compris toutes les technologies, les divertissements, les médias et l’éducation.

C’est un plan totalement méga-corporatif. C’est un partenariat conjoint. Il s’agit d’un partenariat public-privé entre le gouvernement, les plus grandes entreprises du monde, les conglomérats bancaires, les grandes fondations financières, comme les fondations Ford et Rockefeller, des groupes comme le World Wildlife Fund et le National Religious Partnership for the Environment. C’est un cercle fermé. Cela ne vous inclut que lorsque vous êtes d’accord avec leur plan.

Bien sûr, c’est ce que signifie obtenir l’approbation de «la communauté». «La communauté» est toute personne qui est d’accord avec le plan. Si vous n’êtes pas d’accord, vous n’êtes pas «la communauté». La dissidence n’est pas autorisée. Ces fondations majeures, elles accordent des subventions à des milliers d’organisations de démarrage. Ils forment et financent des groupes dérivés qui ressemblent à des associations de quartier et à but non lucratif bienveillantes.

Tout ce système, il agit comme la bureaucratie inférieure pour le nouveau système et c’est fondamentalement l’ennemi ultime de l’individu. Donc, pour concrétiser l’Agenda 21, il faut une intégration complète des systèmes afin de les contrôler de manière centralisée. C’est la standardisation de tous les systèmes et la nouvelle monnaie est l’information et l’énergie.

Pour avoir un contrôle centralisé, une mondialisation totale, il est nécessaire d’uniformiser toute loi, toute éducation, toute culture, toute finance. Pour fusionner, il doit être normalisé. Cela était impossible jusqu’à l’avènement de l’ère de l’informatique. Maintenant, c’est inévitable. C’est pourquoi chaque écolier reçoit un ordinateur et Internet se trouve désormais dans de minuscules villages de chaque nation. Votre système éducatif est utilisé pour vous inciter à vous considérer comme un «citoyen du monde». J’espère que non, car un citoyen du monde n’est pas du tout un citoyen et n’a aucun droit. Dans le cadre de l’Agenda 21 du développement durable des Nations Unies. Ce qu’on appelle un «droit» est en réalité un «privilège» et il peut être retiré ou accordé à tout moment.

Bien entendu, à l’inverse, une sanction peut être infligée sans réparation. Cela explique donc comment l’ONU peut appeler la connectivité Internet universelle un «droit de l’homme». Pendant COVID, Unicef ​​du Fonds pour l’éducation des enfants des Nations Unies, ils ont créé un projet appelé GIGA et le but est d’amener toutes les écoles du monde à faire des cours en ligne et le terme pour cela est «instruction directe». Rien ne s’interpose entre l’enfant et l’ordinateur. Cela rend l’endoctrinement standardisé vraiment facile.

Et bien sûr, vous savez tous qu’en tant que startup, Google a été financé par la communauté du renseignement, afin d’espionner les personnes qui recherchaient des sujets spécifiques sur Internet. Alors, ils pourraient identifier ces personnes. Fondamentalement, nous renverse les rôles et nous expose à la surveillance. Désormais, des milliards de personnes portent volontairement à tout moment un appareil de surveillance.

Lorsque vous entendez le terme «Smart», qu’il s’agisse d’un smartphone, d’une smartcar, d’une smarthome ou autre, c’est un acronyme: SMART: Sustainability, Monitoring, Assessment, Rating and Tracking. 

GIGA, le projet de connectivité universelle pour les enfants, s’est numérisé davantage pendant 10 semaines de convoitise qu’au cours des 10 dernières années. Pour cela, ils ont besoin de la 5G et pour cela, ils ont besoin d’une production d’énergie décentralisée qui permet l’expérimentation numérisée et l’espionnage de grandes populations sans leur consentement ou leur connaissance. Une sorte de colonisation numérique.

Les méga-sociétés sont là-bas, elles recherchent des personnes qui ajoutent de la valeur, qui sont des innovateurs. Les entreprises veulent s’approprier l’innovation. Tout le monde n’a pas de valeur dans ce système, ce nouveau système. La plupart d’entre vous ne le font pas. Très probablement, vous valez moins que votre prêt étudiant. Votre valeur, votre pointage de crédit social est basé sur le fait que vous produisez plus que ce que vous consommez et que vous serviez ou gêniez l’État.

Le gouvernement a surmonté nos droits constitutionnels en fusionnant avec des sociétés privées qui peuvent opérer sans retenue en secret, punissant, purgeant et faisant disparaître des dissidents, comme Facebook et Google et Twitter et Amazon l’ont fait virtuellement; c’est la mondialisation.

La mondialisation efface les frontières, allant de la ville jusqu’à la nation. C’est la fin du gouvernement représentatif.

Maintenant, je sais que vous pourriez penser que le gouvernement est un obstacle, c’est un danger et il ne vous représente pas, de toute façon, alors qui s’en soucie, n’est-ce pas? Eh bien, je sais à qui je parle, ici et en fait, je suis d’accord. Mais au moins aux États-Unis, le gouvernement était à l’origine conçu comme représentatif. C’était comme si vous étiez un agriculteur ou un commerçant très occupé et que vous aviez élu un représentant qui avait accepté de céder quelques années de sa vie à la gestion de ce genre de choses, vous n’étiez donc pas obligé de le faire.

Maintenant, des gens comme Pelosi et McConnell sont au gouvernement depuis 50 ans. Eh bien, pourquoi ? C’est parce qu’ils continuent à être votés. L’argent qui les élit les maintient là-bas. Au sommet, le pouvoir n’a pas de parti.

Alors, que veulent les contrôleurs mondialistes? L’Agenda 21 est conçu pour une gestion efficace. les méga-sociétés veulent avoir des lois et des règlements harmonisés et intégrés, le moins possible, afin de ne pas avoir à changer d’activité ou à se réorganiser pour vendre sur différents marchés. Ils ne veulent pas de frontières et des marchés ouverts. Ils veulent tuer la concurrence, aussi petite soit-elle et la demande des ingénieurs. Ils veulent traiter avec le moins de décideurs possible, idéalement, un seul. Ils veulent fusionner avec le gouvernement. Ils veulent des travailleurs adaptés au travail requis et facilement jetés. Ils veulent posséder l’innovation, donc ils veulent un lien direct avec les universités. Ils veulent contrôler toutes les ressources, humaines et naturelles, car vous savez, les humains sont une ressource – ou plus probablement, vous êtes un obstacle.

Les méga-entreprises ont besoin d’un contrôle total et d’une information totale. C’est la révolution numérique. C’est la quatrième révolution industrielle. C’est la grande réinitialisation. Les trois révolutions industrielles précédentes se sont principalement concentrées sur l’énergie et le matériel. Qu’il s’agisse de vapeur, de gaz ou d’électronique, ces nouvelles énergies ont radicalement restructuré la société, de la famille au travail, des villes au gouvernement – tout, complètement restructuré.

C’est maintenant la quatrième révolution industrielle, la révolution numérique. C’est l’explosion de la technologie qui progresse plus vite que la vitesse de l’éthique et de la surveillance et elle éclipse les trois révolutions précédentes. De l’intelligence artificielle ayant le potentiel de changer la nature de l’être humain, à la robotique utilisée pour la police, aux bâtiments intelligents et aux capteurs qui nous surveillent en permanence.

Cette révolution permet un avenir incertain. La quatrième révolution industrielle, dans le contexte des trois premières, représente une accélération phénoménale, en termes de temps et de capacité à contrôler les masses, à transformer et à perturber, «Build Back Better». Lorsque vous entendez cela, sachez que vous ne pouvez pas le reconstruire à moins de le casser, d’abord.

Ils l’appellent le «nouveau contrat social» – celui que vous n’avez pas accepté! Le concept Great Reset, que «vous ne posséderez rien», vous louerez tout ce dont vous avez besoin, vous devez regarder cela à travers le prisme de la propriété privée. * Vous * êtes votre propriété privée la plus importante. Perdre la propriété de votre liberté de parole, de mouvement – fondamentalement, de votre libre arbitre – cela signifie que vous perdez ce qui est le plus important pour vous. Cela réduit vos attentes d’une vie bien remplie et vous force à entrer dans une nouvelle ère d’austérité, de rareté. Ce n’est pas facile de faire ça. La perte de liberté de la manière la plus vitale, l’indépendance et l’intimité du corps et de l’esprit qui exigent ce qu’ils appellent la «nouvelle normalité», vous ne venez pas à cet endroit sans une crise majeure.

Les contrôleurs mondialistes autoproclamés qui avaient l’intention de perturber totalement l’avenir, ont-ils considéré quel genre de crise serait nécessaire pour faire d’une gouvernance mondiale une réalité? Celui qui s’étend au-delà des entreprises dans nos maisons et nos corps? À mon avis, la crise mondiale nécessite une réponse mondiale – et cela justifie la gouvernance mondiale.

Il faut vraiment une crise majeure – une crise mondiale – pour rompre l’identification avec votre nation et votre culture – quelque chose comme le changement climatique, n’est-ce pas? Cela crée une terreur existentielle selon laquelle «nous détruisons la planète» et notre mode de vie tout entier est une menace pour son existence continue. Hé, ce n’est pas de la science! La science est faite pour s’adapter au résultat souhaité, dans cette situation, c’est le masque vert. Donc, derrière ce masque de préoccupation environnementale, vous trouvez la soif d’un contrôle global, centralisé et totalitaire.

La menace du changement climatique est une étape, c’est une phase. Il est conçu pour nous préparer à plus de restrictions et de limitations et nous sommes maintenant confrontés, bien sûr, à une menace beaucoup plus omniprésente et restrictive. Ils ont sorti le Big Gun, la nouvelle menace existentielle est C19.

En fait, le World Wildlife Fund affirme que le COVID est, citation «La réponse de la nature à l’abus de l’environnement par l’homme» sans citation. Sont-ils sérieux? La nature est un terroriste. Ainsi, invisible, incolore, inodore, à peine détectable, le COVID est le nouveau masque de la Nouvelle Norme.

Le 11 septembre était la justification de l’État sécuritaire. le COVID active l’état de surveillance. Le COVID justifie une application globale. Vraiment taillé sur mesure pour le Nouvel Ordre Mondial, le  COVID a émis en assignation à résidence des purges de diseurs de vérité, l’effondrement économique, la pleine autonomisation de ces méga-entreprises.

Et bien sûr, comment pourrais-je oublier? La liste des dictateurs volontaires, de Macron en France, à Ardern en Nouvelle-Zélande, à Trudeau au Canada à Harris aux États-Unis, à Cuomo, Newsom, Whitmer, Garcetti, Lightfoot et des dizaines d’autres, partout dans le monde.

Dans la compétition pour le règne des méga-régions, les collaborateurs volontaires se mobilisent aussi localement, bien sûr et c’est vraiment ce que ces quatre dernières années ont été: séparer le bon grain de l’ivraie, les fidèles des dissidents . C’est comme ça que c’est fait. Mao Zedong l’a fait en Chine, avec sa campagne «Let 100 Flowers Bloom». Il a encouragé ses fidèles à critiquer ses programmes, afin de les améliorer, mais il l’a fait pour identifier et purger ses critiques – ce qu’il a fait.

Alors. ce dont je parle ici, c’est le pouvoir. Ceux qui ont du pouvoir veulent le garder. Ceux qui n’en ont pas le veulent. Il y a toujours eu des gens qui voulaient contrôler le monde. Ce qui a changé, c’est que la capacité de contrôle a augmenté en vitesse et en portée, d’une manière qui n’a jamais été possible auparavant.

Alors maintenant, en conclusion, je veux vous encourager. Je veux vous encourager à être courageux; pour trouver la joie d’être simplement en vie. Demandez-vous: «Qu’est-ce que j’apprécie?» Reconnaissez-vous, vous-même faites partie de la raison pour laquelle nous sommes dans cette situation. Allez-vous préféré la commodité à la Liberté? Le monde Libre exige la Liberté avec la responsabilité, cela demande du travail. Le travail que nous faisons peut être semé d’embûches, plein d’oppositions contrôlées, ce qui semble être la réponse, mais plutôt une sorte de cercle tordu de propagande lavé en vert et enrobé de bonbons qui remonte au masque vert. Alors vous devez vous arrêter et réfléchir. Ne vous méprenez jamais. Sachez qu’il n’y aura pas de Suisse dans ce Nouveau Monde, pas d’endroit où se cacher. Il est donc temps de résister. Refusez de collaborer. Ne portez pas de smartphone. Ne vous portez pas volontaire pour donner votre biométrie ou votre ADN. Ne coopérez pas. Désactivez, tant que vous le pouvez et s’il vous plaît, préparez-vous à travailler pour rester Libre. Il faut que nous travaillions tous pour que cela se produise.

Par-dessus tout, mes amis, rappelez-vous qui vous êtes, riez, dansez et aimez et rejoignez-nous. 

Merci beaucoup.


Rosa Koire est une évaluatrice de l’immobilier commercial médico-légal à la retraite spécialisée dans l’évaluation de domaines éminents. Ses vingt-huit ans de carrière au ministère des Transports de Californie (chef de la branche de district) en tant que témoin expert sur l’utilisation des terres ont abouti à la révélation des impacts du développement durable sur les droits de propriété privée et la liberté individuelle.


[Voir aussi :




Huit personnes ont tenté de vivre dans une biosphère pendant deux ans — puis tout s’est mal passé

[Source : anguillesousroche.com]

[photo : www.CGPGrey.com]

Si nous voulons survivre sur d’autres planètes, nous devrons trouver des moyens efficaces et durables de ne pas mourir.

À moins de terraformer une planète entière, il nous reste à créer nos propres biosphères artificielles pour que les spationautes puissent les habiter — des écosystèmes clos avec leur propre oxygène, leurs propres plantes et tout ce dont nous avons besoin pour maintenir la vie. Des essais ambitieux ont eu lieu sur Terre, dont la tristement célèbre Biosphère 2.

D’un coût de 150 à 200 millions de dollars, Biosphère 2 (Biosphère 1 est la Terre, au cas où vous vous poseriez la question) est un centre de recherche situé dans le désert qui, pendant un certain temps, a eu pour objectif de devenir un écosystème clos, recréant de nombreux aspects de la Terre elle-même. À l’intérieur de ce complexe de 2,75 acres, entouré d’acier et de verre comme le dôme du film Les Simpsons, 3 800 espèces de plantes et d’animaux étaient enfermées avec huit humains (quatre femmes et quatre hommes) qui dépendraient de la nourriture cultivée et de l’oxygène circulant pour survivre.

Il était prévu que le projet dure deux ans, mais il a connu des difficultés dès le début.

Deux semaines après le début de la mission, l’une des occupants, Jane Poynter, s’est prise la main dans la batteuse de riz, perdant le bout d’un de ses doigts. Le médecin résident a pu le rattacher, mais a rapidement décidé qu’elle devait être opérée à l’extérieur du dôme. Lorsqu’elle est revenue plus tard dans la journée, des provisions ont été glissées avec elle, qui se sont avérées ne pas être les seuls stocks secrets dans lesquels les « Biosphériens » allaient puiser.

La nourriture à l’intérieur de la sphère n’a pas poussé assez vite pour subvenir aux besoins des résidents, et ils ont tous commencé à perdre du poids. Les cultures étaient trop lentes et exigeaient trop de travail. Les caféiers, par exemple, mettaient des semaines à produire suffisamment de café pour que les Biosphériens puissent s’asseoir et réfléchir au problème « nous n’avons pas d’autre nourriture non plus ». En quelques mois, ils ont été contraints de s’approvisionner en nourriture d’urgence dont le monde extérieur n’avait pas conscience.

Les pollinisateurs – colibris et abeilles – sont morts, ce qui a aggravé leurs problèmes agricoles. Dix mois après le début du projet, le conseil consultatif a publié un rapport accablant sur la situation, ainsi que sur le fait que les membres de l’équipage impliqués avaient peu d’expertise scientifique. Le conseil consultatif a ensuite démissionné, ce qui n’est jamais un signe que les choses se passent bien.about:blankCliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Le pire était encore à venir, car les niveaux d’oxygène dans la biosphère commençaient à baisser, et personne ne pouvait à l’époque comprendre précisément pourquoi. En janvier 1993, alors qu’il restait neuf mois d’expérience, le niveau d’oxygène était tombé à environ 15 % – l’équivalent de vivre à 3 660 mètres d’altitude.

« C’était comme de l’alpinisme »a déclaré un participant au Guardian« Une partie de l’équipage a commencé à souffrir d’apnée du sommeil. J’ai remarqué que je ne pouvais pas finir une longue phrase sans m’arrêter et prendre une bouffée d’air. Nous avons travaillé dans une sorte de danse au ralenti, sans gaspillage d’énergie. Si le niveau d’oxygène avait baissé plus bas, il aurait pu y avoir de sérieux problèmes de santé. »

Pour ajouter à leur stress, la biosphère est devenue une destination touristique afin de récupérer le coût élevé que cela implique. Alors qu’ils mouraient de faim, qu’ils luttaient pour respirer, les cafards ont commencé à prendre le dessus, et les acariens ont attaqué leurs cultures, ils étaient surveillés comme s’ils étaient dans un zoo.

Le groupe s’est fracturé, se lançant des gobelets et se crachant dessus. Le moral étant aussi bas que le niveau d’oxygène (principalement ce dernier), il a été décidé que l’équipage devait recevoir de la nourriture, ainsi que les graines et les vitamines secrètes qui étaient introduites dans le complexe tous les quinze jours.

La moitié de l’équipage voulait continuer sans provisions extérieures, tandis que l’autre moitié tenait à des choses telles que « la nourriture » et « pouvoir respirer ». Il a été décidé de fournir de l’oxygène et de la nourriture à l’équipage, qui vivait le reste du temps dans son habitat durable coupé du monde en… recevant des provisions et de l’air respirable de la Terre.

Le plus grand avantage du projet était essentiellement de pouvoir s’attendre à l’inattendu. Lorsqu’ils sont entrés, l’équipe n’avait pas prévu de problèmes tels que des chutes d’oxygène (il s’est avéré que le sol était infesté de bactéries avaleuses d’oxygène), peut-être parce que l’ensemble du projet avait été lancé par une troupe de théâtre hippie plutôt que par des scientifiques.

Mais le projet n’était pas encore tout à fait terminé, et il restait encore un étrange rebondissement à venir. Steve Bannon a repris la direction du projet en 1993. Une deuxième équipe était déjà entrée dans le dôme lorsque Bannon a renvoyé l’ensemble de la direction.

Lorsque les membres de la première mission en ont entendu parler, leurs inquiétudes quant à la sécurité de ceux qui se trouvaient à l’intérieur se sont accrues. Le 4 avril 1994, deux anciens biosphériens – Abigail Alling et Mark Van – se sont rendus au dôme aux petites heures du matin, ouvrant les portes et brisant les panneaux de verre pour permettre à l’air extérieur de pénétrer dans la Biosphère 2, obligeant l’expérience à prendre fin.

Depuis lors, personne n’a vécu dans Biosphère 2. Ce qui, vu le manque d’oxygène et de nourriture à l’intérieur, est probablement une bonne chose.


[NdNM : peut-être que les êtres humains qui aiment jouer à Dieu devraient méditer sur les causes de l’échec de cette expérience avant de chercher à en entreprendre de nouvelles.]




Devant le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, Moscou dénonce la manipulation de l’opinion et la censure des points de vue alternatifs

[Source : RT France]

Le ministre russe des Affaires étrangères a pris la parole lors du Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Prônant la coopération internationale en cette période de pandémie, il a appelé à un cadre mondial pour réguler l’action des réseaux sociaux.

Le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s’est exprimé lors de la 46e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDH) par visioconférence. Dans son allocution, le chef de la diplomatie russe a appelé à une approche multilatérale pour traiter les problèmes mondiaux, souligné les conséquences économiques et sociales désastreuses du Covid-19, regretté l’égoïsme de certains Etats occidentaux, appelé de ses vœux à une régulation mondiale des grandes entreprises des réseaux sociaux et condamné fermement les discriminations faites aux populations russophones.

Rappelant l’implication de la Russie dans les travaux du CDH et sa volonté de préserver une approche multilatérale sur les problèmes mondiaux, Sergueï Lavrov a débuté son intervention en soulignant les conséquences néfastes du Covid-19 avec un fort creusement des inégalités dans le monde. «Le Covid-19 a causé des dommages importants aux fondements socio-économiques des Etats et aux droits des citoyens. L’essentiel, le droit à la vie, est menacé. La récession de l’économie mondiale due à la pandémie a entraîné une augmentation significative du chômage et une insécurité sociale accrue. L’inégalité dans le développement des différents Etats et régions augmente. Les inégalités se creusent dans certains pays distincts, y compris dans les pays relevant du « milliard d’or », c’est-à-dire la population aisée des pays occidentaux. C’est sur ces problèmes que nous devons nous concentrer aujourd’hui, en recherchant ensemble les moyens de les résoudre et en utilisant, entre autres, le potentiel du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU» a-t-il déclaré.

Évoquant ce contexte, qui, d’après lui, devrait pousser à une collaboration toujours plus étroite entre les pays, le diplomate a souligné : «Certains collègues occidentaux n’ont toujours pas l’intention de reconsidérer leur vision égoïste, d’abandonner les stratégies fondées sur l’usage de la force, les méthodes illégitimes de chantage et de pression», et a fait remarquer : «Les appels du Secrétaire général des Nations unies et du Haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme de suspendre les sanctions unilatérales concernant l’approvisionnement en nourriture, médicaments et équipements nécessaires pour lutter contre le virus et les transactions financières associées ont été ignorés». Le diplomate en a profité pour rappeler l’initiative du président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, de créer des «couloirs verts» dans le commerce international, libres de sanctions et d’autres barrières artificielles.

Moscou dénonce la «censure politique» dans de nombreux pays

Le diplomate a poursuivi son intervention en regrettant que l’«espace médiatique mondial» devienne «un lieu de promotion d’intérêts géopolitiques mercantiles». Avec des propos qui font étonnamment écho à ceux qui ont été prononcés la veille, par Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU, Sergueï Lavrov a regretté que «ceux qui donnent des leçons de liberté de parole et d’expression au monde entier depuis des décennies [aient fait] preuve d’une intolérance envers les points de vue alternatifs». «Dans un certain nombre de pays, il existe une politique déterminée de mise en place de censure politique et de restriction de l’accès à l’information en violation des engagements pris au sein des Nations unies, de l’OSCE et du Conseil de l’Europe», avant de rappeler la fermeture récente de chaînes de télévision russophones en Ukraine.

Les «censures» et les «manipulations» faites, selon Sergueï Lavrov, par les réseaux sociaux sont également au cœur des préoccupations de la Russie. Le diplomate russe a condamné les «politiques non transparentes des médias sociaux qui interdisent ou censurent le contenu des utilisateurs, manipulent ouvertement l’opinion publique, suscitent une inquiétude croissante». À cet égard, la Russie appelle de ses vœux à une régulation des réseaux sociaux aux niveaux national et international, cette nécessité devenant «cruciale».

Enfin, le diplomate s’est fortement inquiété de la discrimination faite aux populations russophones dans les pays Baltes et en Ukraine en dénonçant des idéologies «extrémistes». Il a notamment rappelé que depuis septembre 2020, l’Ukraine avait commencé à exclure les langues des minorités ethniques du domaine social et de celui de l’enseignement alors que la langue russe est la langue maternelle de 30 à 50% de la population.

Le chef de la diplomatie russe a conclu son intervention en rappelant que la Russie était en faveur du «renforcement de principe de coopération dans les activités du Conseil, tout comme pour un dialogue honnête, respectueux et égal sur des sujets d’actualité». L’Etat russe continuera, d’après lui, à défendre les priorités telles que la lutte contre la discrimination envers les minorités linguistiques et religieuses ainsi que contre l’apatridie, ou l’intégrité du système judiciaire, la protection des groupes de population vulnérables et de leurs droits sociaux et économiques. «D’une manière générale, nous allons faire le maximum pour que les droits de l’Homme soient considérés en tant que facteur favorisant le rapprochement et non la désunion des Etats, renforçant le climat de confiance et de respect mutuel», a-t-il conclu.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/84145-serguei-lavrov-exprime-lors-46e-session-conseil-droits-homme-nations-unies-russie




Séquestration et extorsion criminelles — Le journaliste de Rebel News, Keean Bexte, est dans une prison canadienne COVID illégale

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Vous vous souvenez quand le radiodiffuseur d’État de la CBC de Trudeau a déclaré que les installations de quarantaine obligatoires étaient de la « désinformation » ? J’ai moi-même couvert la mise en place de ces installations de quarantaine depuis des mois.

Maintenant, ils forcent des voyageurs innocents et en bonne santé à se mettre en quarantaine dans ces installations gouvernementales à un coût énorme — jusqu’à 2000 $ pour une détention de trois nuits. Pour aggraver encore les choses, des agressions sexuelles auraient été commises dans certaines des installations de quarantaine approuvées par le gouvernement. En effet, une femme aurait été agressée sexuellement alors qu’elle était hébergée dans un établissement de quarantaine COVID-19 géré par le gouvernement fédéral.

S’adressant à la ministre canadienne de la Santé Patty Hajdu, la députée Michelle Rempel Garner s’est enquis des remarques de la vice-première ministre Chrystia Freeland selon lesquelles « les gens ne devraient pas voyager » lorsqu’ils sont poussés à des rapports d’agression sexuelle dans un établissement de quarantaine fédéral, demandant si cela signifiait que la victime le méritait.

« À son entrée au Canada, son passeport a été saisi et elle a été forcée de monter dans un taxi sans savoir où elle serait emmenée », a déclaré Rempel Garner. « Elle a été forcée dans un établissement géré par le gouvernement fédéral en vertu d’une obligation fédérale de diligence par le gouvernement libéral. Et elle a été agressée sexuellement. C’est de la misogynie et une violation flagrante de ses droits. »

« La vice-première ministre et la ministre de la Santé ont laissé entendre que la victime n’aurait pas dû voyager », a poursuivi Rempel Garner. « Ont-ils suggéré qu’elle méritait ce qui lui était arrivé en vertu de leur devoir de diligence? »

« M. Monsieur le Président, chaque femme mérite de vivre une vie sans violence et une vie digne », a répondu Hajdu. « Mais je le répète, ces mesures à la frontière sont en place pour protéger les Canadiens et elles le resteront jusqu’à ce que la science et les preuves indiquent qu’il est sécuritaire de les libérer », a déclaré Hajdu. « Le député d’en face sait que cette affaire fait l’objet d’une enquête… »

Le week-end dernier, le journaliste le Rebel News, Keean Bexte était sur le terrain en Floride pour rendre compte de l’approche de cet État axée sur la liberté face à la pandémie. Maintenant qu’il revient au Canada, il n’est que le dernier citoyen canadien à être contraint de se retrouver dans ces prisons COVID de Justin Trudeau. Keean est en bonne santé — il a passé plusieurs tests COVID ces derniers jours, au Canada et aux États-Unis. Mais Trudeau veut juste fléchir ses muscles et conditionner les Canadiens à accepter ces restrictions comme la « nouvelle norme ».

Justin Trudeau attrape les Canadiens dans nos derniers aéroports internationaux. De la même manière que l’interdiction de voyager de Donald Trump a obligé des ressortissants étrangers à se retrouver bloqués dans les aéroports des États-Unis, Trudeau a fait de même – mais envers ses propres citoyens.

Le problème supplémentaire dans le dossier canadien en cours est que le premier ministre a recours à des entrepreneurs de sécurité privés pour kidnapper des Canadiens, après qu’ils ont réussi à passer la douane. Plus précisément, Trudeau utilise les entreprises de mercenaires G4SGardaWorld et Paladin Risk Solutions pour vous attraper lorsque vous atterrissez et vous escorter jusqu’à une cellule de détention approuvée par le Parti libéral dans un complexe hôtelier sécurisé occupé par le gouvernement.

C’est grave, mais les groupes de défense des droits civiques canadiens et internationaux sont absents. Quand c’était Trump, tout était sur le pont des avocats de la justice sociale et des groupes de défense des libertés civiles. Quand c’est Justin « Great Reset » Trudeau – plus personne ne dit rien.

Le journaliste Keean Bexte écrit sur le site internet de Rebel News :

« J’ai été détenu dans une prison COVID. Ce n’est pas une surprise pour moi – nous savions que Trudeau faisait cela à des Canadiens innocents, même si la société Radio-Canada a menti et a dit que c’était un complot. Je suis entré dans le ventre de la bête pour documenter de première main ce que c’est que dans ces installations.

« Des gens auraient été agressés, privés d’eau et traités comme des animaux. Il semble que la situation soit plus désastreuse dans l’Est, mais là où je suis, ce n’est pas non plus une promenade. »

Ce qui unit l’expérience de chacun dans ces goulags COVID, c’est que la détention est illégale. Les Canadiens ici n’ont commis aucun crime et le gouvernement n’a pas le pouvoir de les détenir — surtout lorsque le virus est plus propice à la propagation à l’intérieur des murs du goulag qu’il ne le serait si les voyageurs étaient autorisés à rentrer directement chez eux.

Trudeau s’en fiche — il a besoin d’un bouc émissaire. Il a besoin que les médias se détournent de son déploiement désastreux de vaccins, qui a vu le Canada supplier les pays du tiers monde de se faire vacciner.

Ils forcent des voyageurs innocents et en bonne santé à se mettre en quarantaine dans ces installations gouvernementales à un coût énorme – jusqu’à 2000 $ pour une détention de trois nuits. Pour aggraver encore les choses, des agressions sexuelles auraient été commises dans certains de ces établissements.


« Voici ce qui se passe lorsque j’appelle la réception de mon Goulag. Je suis ici depuis 4 heures et je ne peux pas manger. Je ne sais pas quoi faire … Je peux supporter d’être affamé, d’autres ont pire. Au moins, je n’ai pas été agressé sexuellement. C’est criminel, Justin. »

« Regardez ce qui vient d’arriver! On dirait que je suis le détenu préféré du directeur. »

« Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles ces prisons COVID sont erronées. C’est une violation de plusieurs libertés personnelles, c’est outrageusement cher, c’est moins sûr que de rentrer directement à la maison aussi — mais la nourriture … C’est exceptionnellement mauvais. Glacé et rassis. » NoCovidJails.com

« Après que mes bagages aient été perdus par United, je n’ai plus rien. Pas de vêtements de rechange, pas de brosse à dents et, pire que tout, pas de médicaments. Je prends une dose quotidienne de médicaments contre le cancer. J’ai appelé pour voir si je pouvais partir en chercher — rien. Trudeau répondra de cela. »


Si vous avez été ou connaissez quelqu’un qui a été légalement kidnappé, veuillez remplir le formulaire pour raconter votre histoire. Si vous voulez aider Rebel News dans cette lutte pour protéger nos compatriotes contre les ravisseurs sanctionnés par l’État de Trudeau, veuillez faire un don ici.




La clef de la libération

Par Joseph Stroberg

Un nombre croissant d’êtres humains ne supportent plus la condition d’asservissement dans laquelle ils se trouvent plongés sous le prétexte de pandémie. Plusieurs en profitent pour sortir de l’hypnose(([1] Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. MàJ)) produite par les élites par le biais des médias dominants et se mettent éventuellement à participer à des démarches collectives d’ordre judiciaire(([2] Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours)). D’autres se résignent, entre la peur de mourir et l’espoir qu’un vaccin viendrait les libérer et leur redonner leur vie d’avant, alors même que leurs maîtres dirigeants leur ont pourtant bien martelé que leur condition actuelle serait désormais la nouvelle normalité(([3] Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”)). De fait, presque tout le monde, à part les maîtres esclavagistes, se trouve emprisonné chez lui ou dans un espace bien plus restreint que celui connu auparavant. Existe-t-il alors une clef pour ouvrir la porte de cette prison ?

La première condition pour sortir d’une prison est de prendre conscience de l’existence de cette dernière, puis de réaliser que nous nous y trouvons enfermés. Certaines personnes pourraient penser que si on ne voit pas une prison, c’est qu’elle n’existe pas. Ont-elles demandé aux victimes de sectes ce qu’elles en pensent ? Les pires des geôles ne sont pas nécessairement faites de pierre, de béton ou de métal. Leurs murs peuvent au contraire être construits d’émotions, de pensées ou de croyances. Les geôliers le savent. Les maîtres, encore plus. Il existe de nombreux moyens pour enfermer émotionnellement, mentalement ou psychiquement un être humain et actuellement nos dirigeants esclavagistes les utilisent pratiquement tous.(([4] Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes))

Sur le plan émotionnel, l’outil le plus puissant est l’instillation de la peur, particulièrement la peur ultime, celle de la mort. Quoi de mieux, pour cela, qu’un ennemi létal et pratiquement invisible, une menace mortelle qui pèserait sur nous depuis n’importe où et même n’importe quoi ou n’importe qui ? Eh bien, les élites ont trouvé un coronavirus particulier — une des variétés de virus qui peuplent habituellement notre virome (constitué de centaines de milliers de milliards d’entre eux) — et ils l’ont peut-être même boosté génétiquement dans l’espoir d’en faire un super soldat. Malheureusement, celui-ci a fait pschitt !… Il s’est dégonflé ! À côté des 65 millions de morts prévus, il n’en a atteint qu’environ un million, du moins officiellement. Le nombre réel pourrait être nettement moindre. Qu’à cela ne tienne ! Les tests PCR sont venus à la rescousse, permettant de faire passer des personnes saines pour des malades et ainsi faire retrouver au piteux microbe son épouvantable aura. La peur était ainsi toujours au rendez-vous.(([5] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation))

L’autre émotion fondamentale sur laquelle jouent les élites pour parvenir à leurs fins est paradoxalement une émotion positive : l’espoir ! Celle-ci est particulièrement utile contre ceux qui se sont rendu compte de leur incarcération. Il faut alors leur donner l’espoir qu’ils auront une remise de peine ou bien qu’ils parviendront à s’évader. L’alternance entre la peur et l’espoir(([6] La peur et l’espoir comme outils politiques)) engendre une condition psychologique analogue à celle subie par des rats de laboratoire qui subissent aléatoirement des chocs électriques et ceci sans nécessairement de raison(([7] Nous, rats de laboratoire)). Les êtres humains qui reçoivent ce genre de traitement, fait d’alternance de durée variable entre des périodes de peur et d’autres d’espoir (comme lorsqu’ils oscillent entre le confinement et l’espoir que le vaccin leur permettra de sortir) finissent par se retrouver en état hypnotique, brisés, soumis, prostrés au fond de leur cage. Les rats ne savent jamais lorsqu’ils vont recevoir leur prochaine décharge électrique ni leur prochaine portion de nourriture. Les êtres humains masqués ne savent jamais lorsqu’ils auront une aggravation de peine (plus de confinement, moins d’entreprises et de magasins ouverts, obligation du port d’un second masque sur le premier…) ni lorsqu’on va supposément les soulager (par le vaccin, par la livraison de nourriture à domicile, par une subvention, par une baisse d’impôts…).

Sur le plan mental, les principales armes sont connues des propagandistes depuis un siècle.(([8] Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19)) (([9] Une brève histoire de la propagande)) (([10] Le quatrième pouvoir ou propagande ?)) Il est d’autant plus facile de les utiliser que l’individu ou le groupe ciblé aura auparavant été adéquatement « préparé », comme par la Gestapo nazie avant un interrogatoire, avec un bon conditionnement émotionnel conduisant à son hypnose ou à sa destruction psychologique et psychique. L’individu devient alors une éponge prête à absorber toutes les idées voulues, toutes les croyances utiles au Système, toutes les illusions que seul un bon discernement mental serait capable de percer à jour. En d’autres termes, il a subi un lavage de cerveau et celui-ci est alors rempli de poison idéologique et de pensées creuses. Il est désormais incapable de penser par lui-même et croit devoir se reposer sur ses maîtres (paternalistes ou despotiques) pour vivre.

La plupart des individus qui n’ont pas déjà été brisés par la propagande médiatique autour de la Covid-19 ou ceux qui se sont sortis de leur état hypnotique léthargique grâce à un choc salutaire qui a pu leur arriver n’ont cependant pas encore découvert la clef qui pourrait ouvrir la porte de leur prison ni le moyen d’en briser les murs. S’ils l’avaient fait, ils n’auraient pas besoin de placer de l’espoir dans les démarches judiciaires ou législatives, car celles-ci restent intimement liées au Système qui a permis, grâce à leur participation, leur emprisonnement. Est-ce que beaucoup d’esclaves ont été libérés juste en le demandant à leur maître ? Les avocats et les députés, aussi bien intentionnés soient-ils, ne peuvent agir que dans le cadre des lois établies par les maîtres. Du moins, les croyances largement diffusées par le Système sont tellement ancrées que presque personne ne songe à se passer des premières ni de celui-ci.(([11] Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir))

Si la libération de l’Humanité est collective, elle devra néanmoins passer par une prise de conscience individuelle. Car la clef réside à ce niveau. Chacun de ceux qui veulent se libérer doit trouver la clef pour que tous puissent sortir. L’individu détient la clef et il l’utilise au bénéfice de tous. Celui qui compte seulement sur les autres restera en cage. En effet, la prison est avant tout d’ordre invisible, construite par les peurs et les croyances. Dépasser nos propres peurs et voir nos croyances pour ce qu’elles sont ne relève que de nous-mêmes, pas des autres. Si nous ne sommes, individuellement, pas prêts à sortir sans masque, sans certificat de vaccination, sans autorisation écrite, sans test PCR…, à refuser de payer des amendes, à nous retrouver dans une cellule (capitonnée ou non) pour refus de payer, à voir notre salaire saisi, à voir notre maison saisie, à voir nos enfants saisis… par peur de la mort de faim ou de maladie ou du ridicule ou de ne pas faire comme les autres… alors nous resterons enfermés dans ces murs.

L’ironie du sort de ceux qui ne dépasseront pas leurs peurs, pour ne pas risquer de perdre leurs biens matériels, leurs enfants, leur illusoire sécurité ou encore leur santé est que pourtant ils perdront tout si le plan des élites va jusqu’au bout.(([12] Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux)) Et, pour l’instant, rien n’arrête ce dernier. Il ne s’arrêtera que lorsque suffisamment d’êtres humains auront trouvé la clef.(([13] Note sur l’avenir)) Celle-ci est une vibration, un Son, le Verbe, la parole, des pensées, idées ou prières, les trompettes de l’Apocalypse(([14] Regard sur l’Apocalypse)), à l’image des trompettes qui ont détruit les murailles de Jéricho, la note spécifique de notre âme, de notre conscience… Nous seuls pouvons détruire les murs de notre prison émotionnelle et psychique individuelle, par l’éveil de notre conscience, par la réalisation de notre nature qui n’est pas seulement de chair et de sang. Le Nouvel Ordre Mondial ne s’effondrera pas avant qu’un nombre suffisant d’entre nous, êtres humains sur la planète Terre, ayons trouvé la clef vibratoire de notre prison pour en faire tomber les murs ou pour en ouvrir la porte.





Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux

[Source en italien : Blondet et amis]

[Photo : ThinkstockPhotos]

Par Roberto PECCHIOLI

L’Agenda 2030 pour le développement durable est un programme d’action pour les peuples, la planète et la prospérité signé en septembre 2015 par les gouvernements des 193 pays membres de l’ONU. Il intègre 17 objectifs de développement durable dans un important programme d’action pour un total de 169 objectifs. Ceci est écrit sur le site officiel des Nations Unies. Promesse ou menace ? Plutôt la deuxième hypothèse. La Grande Réinitialisation — grande annulation et redémarrage — n’est pas la même chose, mais les objectifs coïncident et ont en commun la proximité avec les politiques du Forum Économique Mondial, du soi-disant « parti de Davos », du cartel des grandes multinationales et des hommes les plus puissants de la planète.

La dernière réunion s’est tenue en ligne fin janvier 2021, en attendant la réunion plénière « en chair et en os », prévue à Singapour en mai prochain. Tous ensemble les différents aspects de l’agenda mondial s’inscrivent dans un immense projet de reconfiguration anthropologique, économique, environnementale et existentielle à moyen terme (2030 n’est certainement pas loin) dont il n’est pas hasardeux de définir l’époque [d’achèvement], en ce sens que son succès — s’il intervient — va changer l’existant, l’Humanité et son être (l’être là — « Dasein » dans le lexique de Martin Heidegger) dans le monde, comme jamais cela n’est arrivé dans l’Histoire.

Il faut détourner le regard du scénario crucial du virus et tenter une première approche avec le plan mondialiste, qui vise à bouleverser, peut-être à submerger, nos vies. Il s’agit d’une action gigantesque et coordonnée à plusieurs niveaux — politique, économique, sanitaire, technologique, environnementale — conçue pour renforcer l’empire du néocapitalisme et à ouvrir une nouvelle ère pour l’humanité.

Essentiellement, c’est l’établissement d’un techno-féodalisme pour lequel le jugement du philosophe Giorgio Agamben s’applique.

« Le capitalisme qui se consolide à l’échelle mondiale n’est pas le capitalisme sous la forme qu’il avait prise en Occident : c’est plutôt le capitalisme dans sa variante communiste, qui a apporté un développement extrêmement rapide de la production avec un régime politique totalitaire. (…) Ce qui est certain, cependant, c’est que le nouveau régime combinera l’aspect le plus inhumain du capitalisme avec l’aspect le plus atroce du communisme étatiste, combinant l’aliénation extrême des relations entre les hommes avec un contrôle social sans précédent. »

L’une des vidéos diffusées en marge du tout récent Forum Économique Mondial montre l’image d’un jeune homme au sourire radieux et au titre emblématique : « en 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Cela ressemble à un programme communiste et ça l’est, en fait. La vidéo a été critiquée sur les réseaux sociaux et le Forum l’a supprimée de Twitter, mais elle est toujours visible sur la page Facebook. Les écrits de Karl Marx émettent l’hypothèse d’un monde parfait dans lequel — propriété privée abolie — il y aurait des entrepôts remplis de marchandises dans lesquels tout le monde se servirait librement.

Communisme impitoyable en bas, capitalisme tout aussi écrasant au sommet, pour ces messieurs la variante néo-féodale est que la grande majorité de l’Humanité ne possédera rien, pendant que la propriété privée — non plus seulement les « moyens de production », mais [absolument] tout, tout ce qui existe dans le monde (biens, services, technologies, argent) restera à la charge d’une minorité avec la puissance de fer. Un Moyen Âge postmoderne dépourvu de la spiritualité et de la hauteur morale du Moyen-âge. Au sommet, une poignée d’empereurs — les maîtres universels — aidés par diverses castes de seigneurs féodaux, vassaux, valvasseurs et valvassins. En bas, nous tous, les serfs à qui donner une existence animale.

Dans cette réflexion, nous nous limiterons à analyser cet aspect de la réinitialisation — ce qui, nous le répétons — signifie annulation. Les maîtres du monde prédisent un avenir proche dans lequel la propriété privée généralisée ne sera pas pertinente et pourra être éliminée.

En 2016, le Forum économique mondial a publié un article décrivant une société apparemment utopique dans laquelle tous les besoins matériels fondamentaux seraient satisfaits. L’auteur en est Ida Auken, membre éminente du Forum et ancienne ministre de l’Environnement au Danemark. La nouvelle Cité du Soleil sera-t-elle un paradis — ou un enfer ? — où en quelques minutes quelqu’un livrera toutes sortes de marchandises : le monde d’Amazon. Plus personne n’aura de voiture, remplacée par un réseau de transport public (mais privé…). Vous ne paierez pas de loyer pour le logement, qui sera utilisé par d’autres en votre absence. Une vie animale, nomade ou transhumante parfaite — mieux vaut dire liquide ? — en traînant un chariot [de courses, comme certains « sans domicile fixe »] pour chasser ça et là des « opportunités », une sorte de projet Erasmus perpétuel pour une humanité déracinée.

Même la nourriture dans ce cauchemar de rêve sera gratuite : les ordures seront livrées par de pauvres employés par le biais de plates-formes dédiées; personne ne possédera plus de vaisselle et de couverts. Il sera plus « pratique » de les recevoir à la maison au moment de l’utilisation. L’insistance sur le « confort », le même permis par l’utilisation de cartes de crédit (ou de débit), fournies ou contrôlées par la puissance financière au détriment de l’argent comptant, est terrible. « Vous pourrez louer n’importe quoi et vous serez heureux. » Des millions, des milliards de vies louées. Mais si nous payons le loyer, cela signifie que les biens et les services appartiennent à quelqu’un qui conserve fermement la propriété et peut choisir à qui et dans quelles conditions accorder éventuellement son utilisation.

Est-il possible que vous ne remarquiez pas l’immense tromperie? Possible, parce que les maîtres universels ont atteint la capacité technologique d’entrer dans nos vies et nos esprits. L’appel extrême de George Orwell à la liberté dans 1984 devient anachronique : « Ils peuvent vous forcer à dire n’importe quoi, mais il n’y a aucun moyen qu’ils vous le fassent croire. Ils ne peuvent pas entrer en vous ». Faux : maintenant, ils peuvent. Les technologies de surveillance et l’immense appareillage de programmation neuronale, les puces sous-cutanées, les médicaments imposés, y parviennent.

Même le travail n’existera plus, remplacé par « le temps de penser, de créer et de développer ». Penser à quoi, à la consommation matérielle et triviale ? Puis créer? Dans quel but, puisque rien ne sera « à nous » et que nous ne serons pas en mesure de profiter des fruits et de les transmettre aux enfants? En ce qui concerne le développement de la personnalité, nous pensons plutôt à un nombre infini de névroses, qui ne pourront être corrigées que par une nouvelle médicalisation de la vie, l’administration massive de substances psychotropes capables de faire supporter une vie d’homo sapiens en captivité, en tant qu’animal de ferme.

Vous n’aurez pas besoin de sortir faire du shopping, « l’algorithme le fera pour vous. » L’immense expérience de l’ingénierie sociale sous-jacente au coronavirus est très bien expliquée : tout le monde à la maison, espacé « socialement », atomes solitaires et méfiants qui reçoivent l’alimentation du maître. Serfs : dans l’économie de Curtense, les agriculteurs et leurs familles avaient l’obligation de rester à vie dans le fief vassal du seigneur et de travailler pour lui. En retour, ils bénéficiaient d’une protection et d’une garantie de subsistance matérielle minimale. Tout sauf quelques outils et quelques meubles, appartenait au seigneur féodal.

Nietzsche avait-il raison avec sa théorie cyclique de l’histoire, « l’éternel retour »? Auken conclut : « Je n’ai pas de propriété. Je n’ai pas de voiture. Je n’ai pas de maison. Je ne possède pas de vêtements ni d’équipement. Cela peut sembler étrange, mais dans cette ville, cela a du sens ». La propriété privée est un accessoire inutile, presque une nuisance. Étrange que les hyper-maîtres, propriétaires de tout, les seigneurs néo-féodaux, ne s’en débarrassent pas. Nous n’aurons plus de vie privée : « Je n’ai pas de véritable intimité. Je ne peux aller nulle part sans être inscrit. Tout ce que je fais, je pense et rêve reste enregistré. En fin de compte, c’est une bonne vie ». C’est fou, mais des idées comme celles-ci sont l’avant-garde visible de ce qui nous attend, et il est de peu de valeur que le Forum ait expliqué que les idées exprimées sont d’Auken et non du WEF [FEM – Forum Économique Mondial], qui les publie cependant et les diffuse dans d’autres documents, tels que la vidéo mentionnée plus haut, dans lequel, entre autres choses, il y a une prédiction que d’ici 2030, nous allons manger des aliments artificiels.

C’est l’un des objectifs de Bill Gates, mais il achète prudemment des fonds agricoles fertiles. Il possède déjà plus de cent mille hectares. Les ordures alimentaires sont pour nous, pas pour ces messieurs. En attendant, aussitôt dit, aussitôt fait : l’UE impose l’étiquetage de la viande et d’autres aliments avec l’indication qu’ils peuvent causer le cancer. Ils ont vérifié avec le virus que la peur fait du quatre-vingt-dix, dans l’Ouest matérialiste et décadent. La civilisation alimentaire changera également, modifiant profondément non seulement les habitudes de vie, mais submergeant des secteurs économiques entiers et le panorama même que nous avons sous les yeux. Vous mangerez moins de viande, intime le Forum, indiquant les insectes, les algues et la viande artificielle comme alternatives. Pour le bien de l’environnement et de notre santé : Big Brother est végétarien et qui sait si nous pourrons encore choisir notre alimentation? Par pur hasard, Bill Gates est l’un des grands financiers de la recherche sur les produits Frankenstein, à travers des entreprises comme Beyond Meat et Impossible Foods. Il a également investi dans la biologie dite synthétique, une technologie dont le but est de produire artificiellement toutes sortes d’aliments.

Nous tenons à souligner à quel point les contrastes politiques et idéologiques sont futiles, en ce qui concerne l’immense portée des thèmes réels du présent et du proche avenir. L’Agenda 2030 stipule qu’«un milliard de personnes devront émigrer en raison du changement climatique. Nous devrons mieux accueillir et intégrer ces réfugiés. Pourquoi consacrer des ressources à la lutte contre le changement climatique si nous savons à l’avance qu’il y aura un exode biblique de cette ampleur? »

Les entreprises paient pour le dioxyde de carbone. Il y aura un prix mondial normalisé. Cela permettra d’accélérer la disparition de l’utilisation des combustibles fossiles. Qui fixera le prix? Peut-être le Soviet suprême du parti monopoliste mondial.

« L’humanité pourra se rendre sur Mars ». Pour faire quoi, et qui paie? Et puis, pourquoi aller sur Mars, si nous sommes si heureux ici? Pendant ce temps, nous nous organisons pour un monde dans lequel vous ne bougerez presque plus, la réédition parfaite du féodalisme. Le télétravail nous gardera cloués au bureau à la maison, télécommandés par un superviseur qui dépend également d’un niveau supérieur.

Ils disent ouvertement qu’il faut oublier les voyages, le tourisme et les vols low cost [à bas prix] : l’avion leur sera à nouveau réservé, ces quelques heureux et éclairés. Pour nous, les voyages court-courriers : le retour des voitures-lits, la revanche du cher et vieux chemin de fer, est déjà à l’ordre du jour. Ô machiniste, mettez le charbon, faites démarrer cette grosse voiture. C’est la réalisation parfaite de ce que Tocqueville avait imaginé au milieu du XIXe siècle, une tyrannie qui dégrade, efface l’âme sans torturer le corps, « immense pouvoir qui se conservera dans l’adolescence éternelle, à la recherche constante de plaisirs vulgaires ». Ajoutons l’avènement d’un matérialisme plus lourd que le marxiste et plus absolu que le libéral.

L’épidémie a été providentielle pour l’oligarchie, car elle a permis de tester avec succès la relation verticale entre les sujets et le souverain, sans plus de médiations sociales, politiques et de valeur, avec l’élimination de « toute relation étrangère à l’échange individuel entre la protection et l’obéissance » (Roberto Esposito). L’Agenda 2030 peut donc être présenté, comme l’a annoncé le Forum, car « les citoyens sont maintenant préparés ». C’est pourquoi ils ont imposé le masque et nous ont fait cacher le visage.

Eux ne se cachent pas du tout. C’est ainsi que Klaus Schwab, le grand chambellan du forum, a écrit dans le programme de cette année :

« L’aspect positif de la pandémie, c’est qu’elle nous a appris que nous pouvons apporter des changements radicaux à notre mode de vie très rapidement. Les citoyens ont amplement démontré qu’ils sont prêts à faire des sacrifices pour le bien des soins de santé. Il est clair qu’il y a une volonté de construire une société meilleure et nous devons en profiter pour assurer la Grande Réinitialisation. »

Le bien d’un pour cent de l’humanité, le féodalisme techno postmoderne, est transmis comme un intérêt commun, au point de critiquer grotesquement le capitalisme mondialisé. Ils organisent l’avenir et aussi l’opposition paradoxale à eux-mêmes, conscients qu’une grande partie de l’humanité, malgré l’endoctrinement colossal, ne pense pas comme eux. Bill Gates prévient, pour sa part, que« le transport aérien doit être réduit de plus de la moitié. Les avions contaminent beaucoup. »

Étrange mondialisation sédentaire, avec la population terrée dans des maisons louées travaillant à la pièce. Le Forum annonce sans un mot que nous devrons retourner voyager en train. Dans un message de propagande, ils nous expliquent à quel point « c’est merveilleux de voyager en train de nuit ». L’avion sera le privilège des riches : le glas de Ryanair. Nous, dans la plèbe, retournerons au train solaire. Tout au plus, nous aurons le retour de l’Orient Express, payable en plusieurs fois avec retrait direct par virement bancaire. Les fortunes magnifiques et progressistes des peuples que « le capitalisme actuel a conduit à de grandes inégalités économiques ». Des mots effrontés de la part de ceux qui ont causé l’incendie.

C’est, au contraire, une grande contre-offensive hégémonique face à la crise du consensus qui a affecté le capitalisme financier (Luciano Gallino) et qui touchera bientôt le capitalisme techno féodal et panoptique des GAFA.

Une réflexion de Geminello Preterossi, auteur de Contro Goliath, est éclairante :

« s’il y a un besoin de réorientation, pour les oligarques de Davos, cela devra être réalisé par le capitalisme lui-même, c’est-à-dire par ceux qui ont produit la catastrophe. Avec une sorte de faux mouvement illusionniste, s’opposant à l’existant, ils exploitent l’occasion de la pandémie pour immuniser le pouvoir absolutiste du capital de tout changement réel qui vient d’en bas et représente une alternative organisée : pour ce faire, il faut changer de récit, prétendre liquider le néolibéralisme pour sauver et relancer le capitalisme (dont le noyau du pouvoir néolibéral reste intact), en renforçant ses possibilités de domination. Cette domination des esprits va jusqu’au projet excessif de contrôle total et algorithmique sur les vies, dont les résidus de différence et d’autonomie doivent être mis à zéro ou neutralisés avec des modes automatiques. »

La passivité sociale soutenue par la surveillance bloque les conflits et minimise la socialité, devenue synonyme de danger. La Réinitialisation détruit les petites et moyennes entreprises et la grande muraille du tissu social et communautaire, abolit les traditions historiques et perturbe l’autonomie de l’être humain. C’est la fin de la liberté au nom d’une sinistre égalité que Pasolini aurait qualifiée d’homologation féroce et de conformisme forcé d’Orwell. Tout cela est assaisonné avec une sauce indigeste que Preterossi appelle « rhétorique insensée du bien commun, du vert, de l’inclusion, dans laquelle la novlangue s’exempte de cohérence pour mystifier toute situation, en la faisant apparaître à l’opposé de ce qu’elle est réellement. »

Le but ultime est l’anti-société post-humaine. Ce qui est en jeu, c’est une transformation anthropologique dont l’Agenda 2030 n’est qu’une étape. Le but ultime est de vaincre l’homme, le tournant du transhumanisme dans un horizon où la technologie est la sage-femme de l’histoire et le capitalisme devient religion, comme Walter Benjamin l’a deviné. La nouvelle normalité consistera en des relations sociales réduites au minimum, la majeure partie de l’humanité (occidentale) enfermée dans le terrier, reliée à des appareils artificiels, supervisée par par le nouveau Panopticon [NdNM : en français « panoptique » — établissement, souvent correctionnel, conçu de façon à pouvoir en voir tout l’intérieur à partir d’un point donné], avec des comportements prévus et pré ordonnés par le système technologique, en attendant devenir un composant de nouveaux appareils sophistiqués. L’exploitation de l’homme deviendra encore plus répandue, jusqu’à ce qu’elle produise deux espèces humaines distinctes : les maîtres féodaux; et les serfs qui seront amenés à aimer leurs chaînes, par ignorance, par la peur, par de mystérieuses substances pharmacologiques introduites dans le corps physique grâce à une puissance devenue bio-puissance.

De nombreuses activités économiques, artistiques et culturelles disparaîtront. L’appauvrissement — matériel et spirituel — sera immense, tandis que la numérisation des relations humaines sera le summum du délire anti-humain et en viendra à un nihilisme glaçant dirigé d’en haut. Le totalitarisme mélodieux de Davos et de la Silicon Valley est la réponse d’un libéralisme handicapé par son incapacité à obtenir légitimité et consentement.

La vie est ailleurs et on ne dit pas que la gigantesque opération de reconfiguration réussira. L’homme a des reflets de la vie. Il s’agit de savoir si l’ancienne réalité désuète sera vaincue par la vie désincarnée préparée, avec un mouvement uniformément accéléré, par l’oligarchie sociopathe de l’argent et de la technologie. Cependant, même d’une manière très différente de tout passé, la dialectique demeure celle indiquée par Hegel : serviteur contre Seigneur. On n’est rien, donc on ne peut rien avoir. La conscience de la condition des serviteurs, non plus des gens, mais du matériel humain, est la première étape pour sortir de la grotte et attaquer les Seigneurs.

Une histoire de Covid
La grand-mère de la femme de mon physiothérapeute en 2020 avait 99 ans et était au Trivulzio dans une maison de retraite. Covid: négatif. Cependant, comme dans toutes les maisons de retraite, les familles ne sont plus admises. Au téléphone, vous êtes informatisé, les personnes âgées ne sont plus obligées de se lever. Il est inutile de protester, c’est le protocole. Demande de reprise de la grand-mère: impossible à cause du protocole. Coup de fil en août: elle n’a plus que quelques heures à vivre, mais pas à cause de la Covid. Visite pour le dernier adieu? Non, [à cause du] protocole. Grand-mère meurt. Pas à cause de la Covid. Dossier médical: Covid.
Annalia Martinelli

Ils tuent avec des protocoles. Plus propre que le vieux coup [du lapin] à l’arrière de la tête.




Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva

[Source : Ciel voilé]

Dans une interview avec le président de la CHD, Vandana Shiva avertit les auditeurs que si nous ne nous battons pas contre Gates et son empire, « Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien… pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées. »

Équipe de Défense de la Santé des Enfants ( CHD) – Le 8 février 2021

Dans une interview avec Robert F. Kennedy Jr, Vandana Shiva explique comment Bill Gates, ainsi que Big Ag, Big Chemical, Big Food, Big Tech et Big Pharma détruisent l’écosystème de la Terre et, avec lui, notre santé.

Transcription :

RFK Jr : Voici mon héroïne, Vandana Shiva, que je connais depuis de nombreuses années, qui a été un modèle pour moi, vraiment. Elle a environ 40 points de QI de plus que moi. J’ai découvert cela en lisant votre biographie aujourd’hui, et je ne savais pas que vous aviez fait votre thèse de doctorat sur la physique quantique. Est-ce que c’est ce que vous avez étudié à l’école à un moment donné ?

Vandana Shiva : Oui, c’est toujours ce qui guide mon travail, la non-séparation et le potentiel. Ce sont les deux idées qui vont nous libérer de la pensée mécaniste du monde. Oui, nous sommes connectés, et nous avons tous un potentiel, y compris la désobéissance civile.

RFK, Jr : Donc Vandana Shiva : Shiva est actuellement à la tête de Navdanya, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Navdanya, ce qui signifie neuf graines.

RFK, Jr : Mais je vous ai rencontrée pour la première fois lorsque vous dirigiez le mouvement Chipko dans les années 1980, c’est alors que j’ai entendu parler pour la première fois de vous, et de ce leader extraordinaire en Inde qui organisait les femmes pour protéger les forêts et les arbres et tout cela.

Vandana Shiva : Bobby, je n’étais pas une leader. J’étais étudiante, et je faisais du bénévolat, et les leaders étaient les femmes et elles étaient mes professeurs. Je dis toujours que je suis allée à l’Université de Western Ontario pour mon doctorat afin de mieux comprendre la théorie quantique, mais je suis allée à l’Université de Chipko pour comprendre la biodiversité. Et Bobby, l’autre jour, la mafia s’est emparée de David Attenborough pour lancer la gestion de portefeuilles sur la biodiversité, comme les portefeuilles sur la propriété foncière, comme si la valeur de la biodiversité n’était pas reconnue par les femmes de Chipko. Je pense que c’est le conflit que nous vivons. Les milliardaires qui veulent tout transformer en portefeuille, et les gens ordinaires qui disent : « Non, nous voulons protéger notre terre ». Nos agriculteurs protestent maintenant depuis six mois pour la terre. C’est ce qu’ils disent.

RFK Junior : J’ai vu dans les nouvelles internationales ces énormes, vastes rassemblements de fermiers qui marchent maintenant sur les villes en Inde. Alors dites-nous, parce que je sais que vous êtes en plein milieu de tout ça… laissez-moi vous présenter un peu plus. Shiva est l’une des grands leaders du peuple sur Terre aujourd’hui. Elle a remporté tous les prix que vous pouvez gagner auprès de personnes qui se soucient des droits des femmes à la base, de la propriété intellectuelle et des semences, en particulier, des OGM, de la protection des forêts, de l’agriculture chimique par rapport à l’agriculture pour laquelle Vandana Shiva se bat, et elle nous a tous conduits dans les guerres contre Monsanto. Je ne me souviens même pas de la première fois que nous nous sommes rencontrés, mais c’est une dirigeante extraordinaire, extraordinaire. Je voudrais donc vous parler de Bill Gates et de son achat de terres, et de son action pour créer un nouveau féodalisme sur cette planète, et pour faire sortir les agriculteurs de leurs terres, et les milliardaires de leurs terres. Et parlons d’abord des événements actuels et de ce qui se passe en Inde avec ces marches auxquelles vous participez.

Vandana Shiva : Alors Bobby, ma vie a tourné autour de la physique et de la physique quantique, et bien sûr, du mouvement Chipko. J’ai été, dès mon plus jeune âge, une militante écologiste. Mais c’était en 1984 …

RFK Junior : Ton père était forestier, non ?

Vandana Shiva : Mon père soignait les forêts. Oui, j’ai beaucoup appris de lui. Et ma mère était une réfugiée de la partition. Quand l’Inde a été divisée par une ligne tracée sur une carte, elle a dit : « Eh bien, j’ai tout fait. J’ai brisé tous les plafonds de verre pour les femmes, et maintenant je serai agricultrice. » Alors elle est devenue agricultrice, et mon père était dans la forêt, et nous vivions entre la ferme et la forêt. Et c’étaient des gens merveilleux. Je veux dire, leurs valeurs, leur vie m’a donné toutes les valeurs que je vis, d’intrépidité, de vérité, de ne jamais abandonner, et d’aimer la nature très profondément. Mais mon engagement dans l’agriculture commence en 1984, lorsqu’il y a eu des manifestations similaires contre la révolution verte. Aujourd’hui, la révolution verte a été mise en œuvre pour la première fois au Pendjab…

RFK, Jr : C’était un programme des Rockefeller, à l’origine, des Rockefeller, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Exactement, et de la Banque Mondiale. Donc la Banque mondiale, l’USAID [Agence américaine pour le développement international], les Rockefeller. Ils avaient un programme qui a fonctionné pendant un certain temps sur la façon dont vous pouvez déplacer ces énormes quantités de produits chimiques, les engrais, les pesticides après les guerres. Ces usines auraient dû simplement fermer, et à la place, les Rockefeller, qui étaient très impliqués dans les expériences de l’IG Farben et d’Hitler. Je veux dire, il y a tellement d’articles à ce sujet. Le pétrole provenait des Rockefeller. L’agriculture chimique est une agriculture de combustibles fossiles. Ils ont fourni le pétrole, les Allemands ont fourni la science et les Rockefeller, ainsi que les banquiers privés, ont fourni le financement. Et donc, après la guerre, cela aurait dû être la fin de la guerre chimique sur cette planète, et au lieu de cela, ils ont travaillé à dire : « Comment changer l’agriculture pour la rendre plus adaptée aux produits chimiques ? Nous avons donc de grands blés, de grands riz et même des animaux à double usage.

Les taureaux tireront la charrue et les vaches vous donneront du lait. En Inde, nous ne faisons donc jamais de pensée unidimensionnelle. Et pourtant tant d’indiens dirigent tant d’institutions en vivant sur les restes de la pensée multidimensionnelle, mais en poussant le monde vers une pensée unidimensionnelle de l’intelligence artificielle. Mais à ce moment-là, Barlow a été récupéré dans les laboratoires de la défense de DuPont pour travailler sur le changement des plans. Les États-Unis avaient volé du blé au Japon pendant la guerre, et il y avait du riz d’Indonésie, et ils ont modifié la plante, qui est devenue minuscule… J’appelle cela la désobéissance civile de la plante. Les plantes disaient : « Je ne veux pas de produits chimiques. Partez », et ils ont changé la plante. Et tout cela a été fait par Norman Borlaug, qui a reçu le prix Nobel de la paix. En 1984, des agriculteurs sont fusillés. Des agriculteurs sont tués, et je vois que c’était sur le point de… C’est censé être une question de paix. Il a reçu le prix Nobel de la paix. 20 000 personnes sont mortes au Pendjab.

Les protestations d’aujourd’hui s’inscrivent donc dans la continuité de celles que nous avons eues depuis 1991, qui est un tournant pour cette mondialisation néolibérale imposée par la Banque mondiale, qui nous a d’abord endettés. Je veux dire, c’est comme ça que fonctionnent les « amortisseurs » du monde, n’est-ce pas ? On s’endette, puis on s’endette sur le « sang du peuple ».

Et les lois contre lesquelles les agriculteurs se battent, veulent le « sang du peuple » que la Banque mondiale avait déjà exigé en 1991, sauf qu’elles ont été repoussées, et repoussées et repoussées. En ce moment, les protestations sont énormes. Les agriculteurs ne sont pas stupides. Les agriculteurs savent contre quoi ils se battent et ils disent : « Nous nous battons pour l’âme et le sol de l’Inde, parce que si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette civilisation mourra. Si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette terre mourra. Ils ont vu à quel point le sol a été dégradé par la révolution verte chimique.

Ils ont été témoins de la monoculture de produits de base pour Pepsi, qui est un modèle. Pepsi est donc arrivé en Inde après 1984 et le suicide a commencé parmi les producteurs de pommes de terre. Pepsi, pour un paquet de pommes de terre de 20 roupies de valeur, payait l’agriculteur 0,04 paisa, ce qui est une somme insignifiante. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’agriculture chimique, de semences OGM et de commerce mondialisé par l’agrobusiness et l’industrie agroalimentaire, les agriculteurs reçoivent en moyenne 0,5 à 4 % de ce que paie un consommateur. Mais le consommateur ne paie pas seulement le prix de la malbouffe contenue dans l’emballage, il paie le prix de la malbouffe pour sa santé.

Et c’est pourquoi le travail que vous faites Bobby, sur la question de la santé, en particulier la santé des enfants est si primordial. Je considère l’agriculture industrielle et la transformation industrielle ainsi que l’esprit industriel comme des invasions dans notre corps. Auparavant, cela se produisait indirectement, les cancers par le biais des produits toxiques. Vous vous êtes battus sur les cas de cancer de Monsanto. Tout cela est une invasion dans le corps. Mais maintenant, on nie consciemment qu’il y a une harmonie entre la santé des sols, la santé des plantes et notre santé. Le microbiome de notre intestin est une forêt tropicale de diversité. Et s’il ne reçoit pas de nourriture diversifiée et fraîche, c’est comme une guerre contre notre microbiome intestinal, qui représente 90% d’entre nous en termes de biodiversité. Nous sommes 10 % d’êtres humains, 90 % d’autres êtres qui nous maintiennent en bonne santé, qui nous font. Et la guerre contre notre corps en est à ses derniers stades.

Mais elle se déroule à un moment où la prise de conscience sur la santé est de plus en plus importante. Où la prise de conscience de la biodiversité est si importante. Et maintenant, ils se disent : « Oh, ce que nous avons fait quand le colonialisme a commencé, il suffit de changer les mentalités, de les traiter de barbares, de les civiliser ». Je veux dire qu’ils continuent à faire le récit d’une mission civilisatrice. Et c’est pourquoi j’ai écrit mon livre, L’Unité contre le 1%. J’ai dit, Bill Gates, continue de parler d’innovation, tout ce qu’il fait c’est de la colonisation. Et j’ai montré en gros comment c’est la colonisation.

RFK, Jr : Oui, c’est ça. Et c’est de cela que je veux vous parler. Et j’ai un article pour lequel je vous ai interviewé longuement et qui est publié dans The Defender cette semaine, sur le nouveau féodalisme de Bill Gates. Les journaux américains ont finalement reconnu la partie émergée de l’iceberg de ce qui se passe parce qu’ils ont découvert soudainement qu’il était désormais le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis d’Amérique. Il a fait cette campagne de santé pour s’approprier nos terres agricoles. Personne ne savait qu’il le faisait. Il l’achetait par le biais de sociétés écrans, d’investissements en cascade et d’autres moyens. Et ce que je fais dans cet article, avec votre aide, c’est faire le lien avec ce qu’il fait dans ce pays.

Il investit également dans Alphabet, une société de Google, et développe des robots agricoles qui remplaceront les agriculteurs. Il développe l’intelligence artificielle et vole le savoir, comme il l’a fait en Inde, au petit paysan. Il a mis des caméras dans leurs maisons, dans leurs champs. Il a mis des capteurs partout pour savoir comment ils utilisaient les semences.

Et puis il a pris les banques de semences, il y a 15 banques de semences dans le monde qui stockent toutes les semences du patrimoine de l’humanité, 786 000 espèces de semences. Elles sont là pour l’humanité, pour le bien commun, et il a pris le contrôle de cette banque de semences, l’a consolidée et est en train de la privatiser et de modifier la composition génétique de ces semences, en les rendant chimiquement dépendantes, afin de pouvoir breveter toute la vie qui a été développée pendant 20 000 ans d’agriculture sur cette planète.

Je veux commencer à raconter cette histoire sur ce qui s’est passé pendant la révolution verte, qui a été lancée par les Rockefeller, principalement en Inde et au Mexique. Gates l’a déplacée au début des années 2000 en Afrique. Gates et la Fondation Rockefeller. Et ils ont commencé à faire la même chose là-bas. Et c’est la même chose qu’il a fait avec les vaccins. Il y a un problème humain, qu’il dit être la faim ou la maladie, et je vais le résoudre avec ma technologie, qui est les cultures OGM, les semences brevetées, les aliments synthétiques, l’agriculture chimique, les pesticides, les monocultures fertilisantes à base de pétrole.

Il s’est rendu dans 13 pays africains et les a forcés à pratiquer l’agriculture intensive, à accepter ses intrants, à construire la chaîne d’approvisionnement et aujourd’hui, 131 millions de personnes meurent de faim dans ces pays. Le taux de famine a augmenté de 30 %. Et il essaie maintenant de faire la même chose au reste du monde. Et je sais que vous êtes actifs en Afrique et que vous les combattez depuis de très nombreuses années. Et cela a vraiment contribué à alerter le monde à ce sujet. Il ne s’agit pas d’agriculture, il ne s’agit pas de nourriture, il s’agit de s’emparer de nos terres et de nous donner une nourriture vraiment malsaine.

Vandana Shiva : Bobby, tu sais mieux que quiconque que nous sommes témoins des deux schémas de l’ancienne colonisation d’il y a 500 ans. Et je pense qu’il est très important que Black Lives Matter se réveille face à l’empire Gates, qui est un empire raciste. Ils peuvent nommer à leur tête ou donner quelques emplois, mais c’est la mentalité et les processus structurels qui décident des systèmes.

Alors qu’il utilise cette vieille mentalité, il utilise bien sûr de nouveaux outils, et ces nouveaux outils sont essentiellement le génie génétique. Et j’avais commencé Navdanya, qui signifie neuf graines, ce qui est la diversité, lorsque j’ai été convoquée à une réunion en 1987 avec l’ancien cartel du poison. « Maintenant, nous possédons les semences, nous ne gagnons pas assez d’argent en vendant des produits chimiques, nous devons rendre illégal pour les agriculteurs le fait d’avoir des semences.

Nous posséderons les semences en tant que propriété intellectuelle et nous aurons un manteau international appelé propriété intellectuelle liée au commerce de l’OMC pour obliger les agriculteurs à acheter des OGM brévetés. J’ai dit : « Mais c’est vraiment mal. C’est un empire sur la vie ». Et j’ai pris un engagement, je vais sauver les semences. Je veux travailler avec notre gouvernement sur des lois qui disent que les plantes, les animaux et les semences ne sont pas brevetables.

RFK, Jr : Laissez-moi vous interrompre une seconde parce que beaucoup de gens qui écoutent ça ne comprendront pas pourquoi les semences OGM sont liées aux produits chimiques. Et laissez-moi vous expliquer très brièvement ce qui s’est passé, lorsque le DDT a été interdit en 1974, et c’était le produit de Monsanto, ils ont acheté un autre produit appelé glyphosate. Quelqu’un l’avait pris, c’était un nettoyant de réservoir, quelqu’un l’avait jeté dans le jardin et avait vu qu’il tuait toute l’herbe. Et Monsanto a dit : « Ce serait un bon désherbant. » Il en a fait un désherbant, l’a commercialisé comme un petit désherbant. Des centaines d’ouvriers agricoles portaient des pulvérisateurs à dos et pulvérisaient les mauvaises herbes dans les champs de maïs avant que le maïs ne devienne trop gros.

Puis, en 1994, quelqu’un a mis un peu de ce glyphosate sur le sol, et il y a eu une mauvaise herbe qui n’est pas morte. Monsanto a retiré de cette mauvaise herbe le gène qui la rendait résistante au glyphosate et l’a mise dans le maïs. Et maintenant ils avaient du maïs, qui ne mourrait pas si on le pulvérisait avec du glyphosate. Maintenant, vous pouvez virer tous ces ouvriers agricoles et vous louez un avion qui sature tout le paysage de glyphosate, et la seule chose qui vit, c’est ce maïs OGM.

Et c’est maintenant le pesticide le plus répandu au monde. Je pense que 80 % des pesticides dans le monde sont des OGM et ils ont cultivé toutes sortes de nos céréales. Et tous nos aliments et nos fruits sont maintenant génétiquement modifiés pour résister au Roundup, pour que vous puissiez les répandre dans tout le paysage. Ce que nous constatons, c’est que la façon dont il tue les plantes est qu’il aspire tous les minéraux et détruit les éléments constitutifs de la vie. Les déchets que vous recevez n’ont pas les minéraux dont vous avez besoin, vous pouvez avoir le ventre plein, mais vous pouvez mourir de malnutrition. Et c’est l’une des choses que vous avez vraiment démontrées mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Vous avez raison. Que ce soit la révolution verte en Inde, où Borlaug a marié les engrais chimiques à des variétés de plantes naines, ou les vols de Monsanto, qui a pratiquement déjà fabriqué le glyphosate Roundup, en fait du Roundup. Et puis ils ont poursuivi en justice toutes les entreprises qui faisaient du génie génétique pour pouvoir les racheter. Ils n’ont jamais rien fait. Monsanto, aucune de ces entreprises n’a fait de travail. Ils ont juste poursuivi, et poursuivi, et poursuivi. Et le génie génétique, les brevets et les produits chimiques vont ensemble.

Et maintenant, les mêmes Rockefeller qui ont lancé l’industrie chimique avec l’IG Farben, et qui ont également lancé l’ensemble des produits pharmaceutiques irresponsables. Vous savez, nous avons la médecine depuis toujours. Et Hippocrate a dit : « Que la nourriture soit ta médecine ». L’Ayurveda dit « que la bonne nourriture est le seul médicament, et que la mauvaise nourriture n’a pas de médicament pour guérir les maladies qu’elle provoque ». Tout cela est connu. Cent ans de mauvaise … comment s’appelle-t-elle ? Il y a un joli mot pour ça, l’huile de serpent ? Vendre de l’huile de serpent.

Et maintenant, les grandes entreprises pharmaceutiques, technologiques, informatiques et financières l’appellent FinTech. C’est en gros utiliser des mesures et des portefeuilles spéculatifs numériques, transformer la terre en portefeuille, la biodiversité en portefeuille, et penser que c’est de l’économie intelligente. Et malheureusement, le pauvre Attenborough est allé dire : « Les écologistes ne connaissent pas la biodiversité. Et Aristote avait dit : « L’économie est l’art de vivre ». La chrématistique est l’art de faire de l’argent.

Donc maintenant, dans l’art de faire de l’argent, il y a le Big Ag, le Big Food, le Big Tech, le Big Everyone qui veut devenir plus grand comme une cellule cancéreuse. Et le nouveau Gates Ag One est cette convergence. Elle a un an. L’année dernière, en janvier, il l’a annoncée. Et comme il le dit, le temps est l’ennemi. Quand seuls des gens stupides pensent que le temps est l’ennemi. Les gens sages savent que le temps est votre ami qui met à l’épreuve le meilleur de vous-même. Après tout, M. Gates nous a tous enfermés pendant un an, et le temps nous a appris ce que sont les merveilleuses amitiés et l’amour. Il nous a appris la suffisance et la simplicité, ce dont nous pouvons nous passer. Ils ne se rendent pas compte qu’il y a un monde vivant dehors. Et je pense que M. Gates, en plus d’avoir la maladie de la cellule cancéreuse, ne sait pas quand s’arrêter de croître… Les cellules saines savent comment s’arrêter de croître. Je pense qu’il a une maladie du pouvoir et une maladie de la peur parce que… J’ai dit : pourquoi cet homme a-t-il si peur du moindre microbe et si peur du moindre petit fermier qui proteste dans les rues indiennes aujourd’hui ? Pourquoi a-t-il si peur d’une plante qui se reproduit gratuitement ? Et pourquoi a-t-il si peur de la démocratie que si l’Inde dit non au riz OGM, le riz doré, une fausse solution à la cécité de l’or, ou l’aubergine Bt, que nous avons jetée en 2001 par l’intermédiaire de notre ministère, lors de sept audiences publiques, où le gouvernement a écouté les agriculteurs, et a écouté les citoyens et les scientifiques.

RFK, Jr : Et il s’agissait de cultures OGM qu’il a essayé d’imposer à l’Inde, et l’Inde les a rejetées. Mais il s’est installé au Bangladesh et au Pakistan avec son coton OGM. Il ne veut rien d’autre que les OGM.

Vandana Shiva : Mais il a aussi déplacé le riz doré aux Philippines, pour lequel il y a un énorme mouvement, pas de riz doré. Et cela revient à la question des semences. Donc, quand la révolution verte a commencé et que les Rockefeller et la Banque mondiale ont pris toutes les semences des agriculteurs pour les forcer à avoir des semences de la révolution verte avec des produits chimiques, ces 15 banques de semences ont été créées, et toutes nos semences se trouvent là-dedans.

Aujourd’hui, Gates a pris le contrôle de ce système public de semences. Et la banque de semences de riz aux Philippines, où l’on travaillait sur le riz doré, le riz doré OGM, la raison pour laquelle il est important de suivre cela est une, toutes les semences de riz sont là. Nous avons toutes les 200 000 variétés de riz. Et nos meilleurs scientifiques ont refusé de se séparer des semences. Ils ont dit : « C’est notre héritage. C’était notre civilisation. Nous ne pouvons pas laisser la Banque mondiale s’en emparer ». La Banque mondiale a fait en sorte qu’il soit démis de ses fonctions de meilleur scientifique de son temps, le Dr Richharia. C’est mon professeur. Et donc, quand Gates s’empare de la banque de semences aux Philippines, et qu’il fait du riz doré, il se prépare maintenant. Et c’est là que nous avons besoin de la désobéissance civile, Bobby. Nous devons tous nous donner la main. Cette année, le 16 octobre, Journée mondiale de l’alimentation, ou avant le Sommet de l’alimentation, qu’il a détourné, faisons une désobéissance civile contre l’alimentation forcée de la mauvaise nourriture. Qu’il s’agisse d’aliments de laboratoire, comme l’Impossible Burger, ou de riz doré, car il prépare la biofortification qui sera rendue obligatoire. Et nous avons vu comment il peut rendre les choses obligatoires.

RFK, Jr : Laissez-moi vous expliquer ce que Vandana Shiva dit à propos du Sommet de l’alimentation. La plupart des gens qui regardent cette émission savent qu’en 2010, 2009, Bill Gates est allé devant les Nations Unies, a promis 10 milliards de dollars à l’Organisation mondiale de la santé, et la plupart de ces fonds ont fini par venir du gouvernement, pas de lui, mais il a versé quelques milliards. Et il a déclaré une décennie de vaccins. Personne ne lui a prêté beaucoup d’attention. Mais il a été le premier fonctionnaire non élu, sans portefeuille diplomatique, à se présenter devant les Nations unies et il a fait cette déclaration.

Immédiatement, il a commencé à faire tourner toutes ces roues. Il a créé tous ces groupes qui luttent contre la vaccination, et il a commencé à promouvoir les vaccins dans le monde entier … et il a créé toutes ces organisations quasi-gouvernementales, la CEPI [Coalition for Epidemic Preparedness], PATH et GAVI [Alliance pour les vaccins] que tout le monde croit être des gouvernements, mais ce n’est que Bill Gates. Il a pris la tête de l’Organisation mondiale de la santé au cours de cette décennie.

Même le Financial Times a déclaré qu’aucune décision n’est prise à l’Organisation mondiale de la santé qui ne soit d’abord gérée par la Fondation Gates. Et en 2019, l’Organisation mondiale de la santé sort en janvier, et déclare que le refus des vaccins est l’une des 10 plus grandes menaces pour la santé mondiale. A-t-elle proposé une étude scientifique pour le prouver ? Non. Ils l’ont juste déclaré. Immédiatement, le monde s’est mis en ordre. Dans 150 pays, les législatures, les politiciens qui sont à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques et qui font pression pour obtenir des obligations vaccinales et abolir les exemptions.

Aux États-Unis, en l’espace de trois mois, 100 projets de loi dans 50 États ont été introduits dans le processus législatif pour rendre les vaccins obligatoires et pour interdire les exemptions… Adam Schiff, qui avait reçu de l’argent de Gates, le chef du Comité des renseignements, se présente et dit aux PDG des médias sociaux, Pinterest, Facebook, Google, tous, Instagram, YouTube, « Vous devez commencer à censurer la désinformation sur les vaccins ».

Et puis nous avons eu le rouleau compresseur jusqu’en 2020, et 2020 en janvier, juste à temps pour sa décennie de vaccins, nous avons eu le Covid. Et Fauci, qui est son partenaire, investit 48 milliards de dollars dans la promotion des vaccins. Chaque jour, M. Gates passe à la télévision en disant : « Tant que tout le monde n’est pas vacciné, nous devons rester enfermés. Nous allons faire s’effondrer l’économie mondiale jusqu’à ce que vous fassiez tous ce qu’on vous dit et que vous soyez tous vaccinés ».

Il a payé des études pour tuer l’ivermectine, pour tuer l’hydroxychloroquine, pour les discréditer. Nous avons dépensé dans notre pays 0 dollar pour des antiviraux, des antiviraux disponibles sur le marché, pour la recherche, pour la vitamine D, pour toutes les choses que nous savons qui réduisent le nombre de décès dus au COVID. Rien de tout cela n’a été étudié. Rien de tout cela n’a été recommandé. Au lieu de cela, tout l’argent, 48 milliards de dollars, a été consacré aux vaccins.

Maintenant, il reproduit cela. Il a réussi avec sa Décennie des vaccins au-delà des rêves les plus fous. Et maintenant, il est passé à la deuxième partie, qu’il a déclarée Décennie de l’alimentation, et il fait la même chose. Il s’agit d’aliments chimiques. C’est de la nourriture synthétique. Il possède les « Impossible Burgers », « Beyond Beef », toutes ces choses qui sont chargées de pesticides, et il essaie de faire sortir les agriculteurs des fermes, il prend le contrôle des fermes avec ses robots et son intelligence artificielle en Inde, en Afrique, et maintenant aux États-Unis, et il nous donne des aliments malsains, et il contribue aux maladies chroniques qui vont nous rendre dépendants de ses médicaments. Oh, vous connaissez la suite de cette histoire, Vandana Shiva, et vous la racontez mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Eh bien, je pense que ce à quoi les gens qui aiment la vie et la liberté devraient se préparer maintenant, c’est, A, le fait que oui, avec ce Gates Ag One, il veut une agriculture unique sur une planète avec tant de diversité. Nos zones humides avec le riz sont très différentes de nos terres arides avec le mil. Nos systèmes de granges du Bengale sont très différents des systèmes désertiques de Rogerstown. Et la seule agriculture qu’il souhaite est ce système qui est dirigé de l’extérieur, où deux des produits chimiques d’après-guerre sont ajoutés, les OGM, qui sont devenus après les années 1990 avec l’OMC et leur diffusion et le brevetage. Et maintenant, il veut ajouter l’agriculture numérique, l’agriculture sans les agriculteurs. Et bien sûr, le récit d’aujourd’hui, tout comme celui de l’époque, c’est que nous nous développons bien grâce à l’air car nous fixons l’azote en brûlant des combustibles fossiles. Eh bien, c’était un mythe. Ils ont ruiné la terre. Ils ont ruiné les océans. Ils ont ruiné le climat, 300 fois plus mortel que le dioxyde de carbone, l’oxyde nitreux qui est émis par les engrais azotés.

Ils ont donc dit que le sol est vide. Je l’appelle terra nullius. C’était la jurisprudence de l’époque coloniale. Puis ils ont breveté la semence et fait croire que la vie est vide. Je l’ai appelé bio nullius. Et M. Gates était en train de créer son nouvel empire. Je l’appelle mente nullius, les esprits vides. Nous allons vider les esprits en exploitant les données et en les brevetant, en transformant tout le monde en zombie, en les évaluant et en leur attribuant une valeur. Et comme l’a dit la recherche, vous ne posséderez rien. Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien. Et tout sera à eux. Donc pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées, juste de l’argent, de l’argent, de l’argent entre leurs mains, et eux étant une machine d’extraction.

Parce que depuis 1991, tout a été essayé à l’époque qui a créé Gates. Il n’était pas aussi riche qu’il l’était jusqu’à la déréglementation de la finance et de l’informatique. Lors de la première réunion de l’OMC, il est parvenu à faire en sorte que le commerce de l’information soit exonéré de droits et de taxes. C’est ainsi que tous ces géants de la technologie sont devenus si riches.

Alors pour comprendre ce qu’il se passe maintenant, rappelons qu’ à l’époque, l’OMC disait que les semences seraient brevetées. Et la plupart des semences ne le sont pas. La deuxième chose, c’est que les Cargill veulent faire du commerce agricole et qu’il n’y aura plus de système de souveraineté nationale pour protéger les droits à l’alimentation. C’est contre cela que les agriculteurs arméniens se battent en ce moment. Et la troisième, c’est ce qu’ils ont appelé des mesures sanitaires et phytosanitaires, c’est-à-dire interdire la bonne nourriture et faire de la malbouffe la seule option. C’est pourquoi nous avons des maladies chroniques.

Aujourd’hui, M. Gates fait passer tout cela à l’étape suivante. Oh, il y a eu des lois créées pour m’empêcher de voler. Je vais faire de la cartographie génomique numérique et contourner toutes les lois internationales. Et en ce qui concerne le commerce international de la nourriture, si des mouvements se développent pour la vraie nourriture et la souveraineté alimentaire, laissez-moi créer de la fausse nourriture dans les laboratoires et créer la famine et la faim par le confinement. Il n’y a donc pas de nourriture, les agriculteurs sont détruits et l’agriculture se fait sans les agriculteurs. Et pourquoi se préoccuper uniquement du Pepsi, de la malbouffe et du Coca-Cola ? Nous sommes aussi les plus grands pollueurs de plastique au monde. Non, non, non. Ce que nous faisons maintenant, c’est fabriquer de la nourriture totalement fausse et nous ferons du droit à une bonne alimentation un crime, tout comme le droit de connaître sa santé, le droit d’avoir les bons médicaments, le droit pour des sociétés entières d’avoir des connaissances médicales approfondies, que tout cela se transforme en crime. Nous avons vu cela se produire.

RFK, Jr : Laissez-moi vous donner un exemple de ce dont vous parlez. Gates possède une grande participation dans Philip Morris, qui est propriétaire de Kraft Foods et de General Foods. Et ils font des aliments transformés et ils fabriquent des fromages américains simples et du Cheez Whiz. Ces produits sont tellement dénués de valeur nutritive que le gouvernement oblige ces entreprises à y ajouter des vitamines, de la vitamine A, de la vitamine C, etc. Il y a des vitamines dans ces produits. Ce que Gates fait maintenant dans toute l’Afrique, dans le monde entier, c’est qu’il fait passer des lois, il achète des politiciens et impose des obligations pour des aliments enrichis afin que vous ne puissiez pas vendre des aliments sur les marchés africains, à moins qu’ils ne soient enrichis. Eh bien, la nourriture, le fromage de chèvre que l’agriculteur fabrique dans le Masai Mara au Kenya n’a pas besoin d’être fortifié. Il contient déjà tous les nutriments que nous voulons, mais cet agriculteur ne pourra pas vendre ce fromage de chèvre sur son marché local. Au lieu de cela, Cheez Whiz aura le monopole sur ce marché. Et c’est l’une des façons dont il utilise les propos de Vandana Shiva sur l’illégalisation de la santé ou la mise au ban des aliments sains pour ouvrir ces marchés et nous obliger à manger ses aliments sales et toxiques.

Vandana Shiva : Deux petites choses, Bobby. Phillip Morris est également responsable du sirop de maïs à haute teneur en fructose, qui se présente sous la forme d’un sucre synthétique. Ce sirop a provoqué une cirrhose du foie chez les bébés et est ajouté à tous les aliments parce qu’il crée une dépendance. Deuxièmement, l’Inde est une terre de diversité et de richesse. Nous avons toujours dit, en Hindoustan, que la diversité est notre voie. Nous avons tellement d’en-cas et d’aliments qu’on ne peut pas goûter la même chose à trois endroits. Tout cela est unique. Ils ont interdit tout cela. J’ai vu tout cela disparaître. Ils ont interdit nos moulins à huile vierge à pression à froid. Cinq millions d’entre elles ont été fermées en 1998 quand Cargill et Monsanto ont voulu nous inonder de musoya génétiquement modifié. Nous avons vu cela se produire. Il est donc important de tirer les leçons de la révolution verte de la mondialisation. Et maintenant, voyez comment la concentration de tout cela entre les mains d’un Bill Gates accélère ce qui a été mis en place et nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour empêcher une prise de contrôle totale de nos semences, de notre nourriture, de notre liberté.

RFK, Jr : Vandana Shiva, nous n’avons plus le temps. Merci beaucoup. Dites aux gens comment ils peuvent vous soutenir dans votre travail.

Vandana Shiva : Eh bien, pour tous ceux qui écoutent, la première est que, plus tôt à la ferme, nous avons eu des expériences d’apprentissage sur la façon d’apprendre de la terre et de faire pousser de la bonne nourriture. Mais en ce moment, nous avons ces cours comme des cours de zoom. Et vous pouvez aller sur le site web de navdanya N-A-V-D-A-N-Y-A.org. Vous pouvez devenir un guerrier des semences, un guerrier de la nourriture.

Écrivez-moi à Vandana Shiva : shiva@gmail.com. Et nous avons aussi un programme international appelé Navdanya International, où nous venons de faire un reportage, Gates to a Global Empire. Si vous voulez en savoir plus sur les activités de Gates, lisez ce rapport. Il est disponible en téléchargement gratuit. Et faisons de cette année l’année de la transition de l’empire Gates vers la liberté de toute vie sur cette planète et de tous les habitants de cette planète dans toutes leurs libertés et dans toute leur diversité.

Et au fait, je m’appelle Shiva parce que mes parents ont combattu le système des castes. Et ils ont dit : « Nous voulons prendre un nom qui n’est pas un nom de caste. » Et donc ils ont pris le nom d’une divinité et dans le christianisme, il y a une trinité, mais nous avons des millions de divinités. L’herbe est une divinité, le sol est une divinité, les rivières sont des divinités et la mère Gange est notre mère. Et c’est beau. L’Inde est si belle en reconnaissant les forces divines dans toute vie, et vous devez donc les protéger. Mais nous avons aussi une Trinité et il y a Brahma le créateur, Vishnu, le mainteneur, et Shiva, qui détruit les mauvais systèmes pour en créer de nouveaux. Joignons nos mains pour créer de nouveaux systèmes.

RFK, Jr : Un nom parfait pour vous, Vandana Shiva. Merci de vous joindre à moi. Suivez Vandana Shiva et vous pouvez lire mon article dans The Defender cette semaine sur notre collaboration avec Vandana Shiva. Merci beaucoup de vous joindre à nous.




Citations médicales sur les vaccinations

[Source : L’école à la maison]

Le Dr SALK​ a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50). Il dit:

« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. »

« J’ai découvert que tout le business des vaccins était en fait un énorme canular. La plupart des médecins croient à l’utilité des vaccins, mais si vous vous donnez la peine d’étudier les statistiques correctes, ainsi que les circonstances au cours desquelles sont apparues les diverses maladies, vous réaliserez que les choses ne sont nullement comme on nous les présente. »

Dr A. KALOKERINOS, M.D., Juin 1995

« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »

Dr Paul-Emile CHEVREFILS

« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’elles contractèrent après avoir été vaccinées. »

Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)

« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. »

British Medical Journal 1967

« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui. »

Dr. MOSKOWITZ

« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. »

Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society

« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ? »

Dr MENDELSOHN

« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. »

Medical Journal of Australia 1978

« L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. »

Center for Control Diseases 1977

« C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. »

Dr Bernard RIMLAND directeur et fondateur du Autism Research Inst. of San Diego

« Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffrent plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. »

Dr Philip INCAO

« Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants — ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. »

Dr Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)

« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent à le vendre tout de même. »

Dr Anthony MORRIS anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis

« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. »

Nicholas REGUSH, journaliste médical

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné »

« …Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudoscientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l’appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit… financé par le contribuable. Tout cela ne sort pas de l’ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c’est l’ultime manœuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le Conseil de la République, l’obligation vaccinale pour le B. C. G. »

(La Médecine retrouvée, Dr Jean ELMIGER)

« … Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d’enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes… La poule aux œufs d’or de l’Institut P… finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé… » « …Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l’autopsie a confirmé le diagnostic classique d’« encéphalite virale > foudroyante… » « …Si le médecin responsable d’une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n’avoir pas parlé. S’il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau… On utilise tout d’abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l’effet protecteur du vaccin avec d’autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l’ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l’acte vaccinal. »

Dr Alain SCOHY

« La quasi-totalité des cas de poliomyélite recensés aux USA, de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué.»

Dépêche AFP, 1er février 1997

«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger… Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.»

Dr Louis DE BROUWER (Vaccination erreur médicale du siècle)

« Le système immunitaire s’avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine… » « …Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.»

Le Concours Médical (20 janvier 1974)

« …Ce n’est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d’éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais. »

Dr Kris GAUBLOMME

« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain. »

Dr TORCH (« Neurology 1982 »)

« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio… »

Science et Vie (décembre 1996)

« …Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies… »

Dr Yves COUZIGOU

« …Les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu… Qui parle ici d’ingestion ? …Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle… Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Depuis1957, l’O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu’avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d’être la vérité. »

Dr SCHEIBNER (Expert Australien)

« …Après l’échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou davantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l’industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida de nouvelles normes pour l’établissement du diagnostic de la polio. »

Pr GREENBERG

« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20e siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d’individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l’échelle planétaire. »

(Sida, le vertige, Dr Louis de Brouwer)

« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c’est violer y collaborer est meurtrier. »

Dr Guylaine LANCTOT

« La vaccination est le modèle de l’incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l’esprit scientifique. »

Dr Jacques KALMAR

« L’ânerie humaine est la source des pires catastrophes… » (Montaigne)
« …Mais aussi une mine d’or inépuisable pour qui sait l’exploiter. »

Dr Toulet

« L’effet patent des vaccins est de favoriser la mort. »

Pr Louis Claude Vincent

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination.»

Pr Lépine ( Médecine praticienne n°467)

« Quand les scientifiques et les médecins s’attribuent la gloire d’une évolution qui est due en réalité aux plombiers et aux paysans! C’est grâce à eux que s’est développée une meilleure hygiène et que l’on a pu avoir une meilleure nourriture. (…) Avec une bonne nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n’êtes plus la proie des maladies. »

Peter Duesberg, Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Berkeley

« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence — c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus. » « Il n’existe aucune souche vaccinale issue des singes qui soit dépourvue de virulence neurologique.»

Dr Garcia Silva ( le Maroc Médical n° 43)

« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection. […] Le mal qui est fait est incalculable. »

Pr R. Delong, Virologue et immunologue de l’université de Toledo aux États-Unis.

« En 1945, la Hollande était le pays d’Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. À l’inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué »

Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécuritésociale (n° 1 de 1974)

« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (…) Il est responsable d’un grand nombre de morts et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »

Dr Kalokerinos (24 mai 1987 Sunwell Tops)

« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! »

Pr Alain Fisch

« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur culpabilité repose sur le fait qu’ils ont en main toutes les informations sur le système actuel. Ils savent parfaitement que l’expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants politiques ont des comptes à rendre. »

Dr Lacaze

« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de chœur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. »

Dr René DUFILHO

« Si l’on pouvait mettre à jour tous les cas de décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

G. Bernard SHAW

« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinations. »

Dr Hubert BOENS

« Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science, mais sur l’argent. »

G. Bernard SHAW

« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. »

Pr Jules TISSOT

« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique.»

Dr Jacques KALMAR

« La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. »

Dr Jane ORIENT Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens

« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. »

Dr Jacques KALMAR

« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. »

Dr. Harris COULTER (Vaccination Social Violence and Criminality)

« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. »

Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971)

« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur IGNORANCE. »

Dr Jacques KALMAR

« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

Pr R. Bastin (Concours médical, Ier février 1986)

« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale. »

Dr Jacqueline Bousquet

« Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le jour. »

Pr . P. DELOGE Tendance de la médecine contemporaine 1962)

« Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison. »

Pr . André LWOFF (Prix Nobel de médecine )

« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. »

Drs H. BUTTRAM et J. HOFFMANN

« Certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. »

Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)

« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. »

Dr. William FROSEHAVER

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »

Bibliographie (Liste non exhaustive)
  • Vaccinations, les vérités indésirables, Pr. M. GEORGET, Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny.
  • L’apport des vaccinations à la santé publique. Pr Michel GEORGET.
  • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, F. DELARUE, LNPLV.
  • Vaccination, le marché de l’angoisse, Dr G. BUCHWALD, ALIS.
  • La mort subite du nourrisson, Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
  • La mafia médicale, Dr G. LANCTOT, Ed. Voici la clé.
  • La dictature médico-scientifique, Sylvie SIMON, Ed. Filipacchi.
  • Vaccination, erreur médicale du siècle, Dr L. De BROUWER, Ed. Louise Courteau.
  • Les vaccins, racket et poisons ? Dr P.E. CHEVREFILS, Librairie Transatlantique.
  • Danse avec le diable, G. SCHWAB, Ed. Courrier du livre.
  • La guerre des virus, L. HOROWITZ, Ed. Félix.
  • Au cœur du vivant, J. BOUSQUET, Ed. Saint Michel.
  • Vaccination ; la grande illusion, R. BICKEL, auto-édité.
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, R. BICKEL, auto édité.
  • Vaccinations : l’Overdose, Sylvie SIMON, Ed.Déjà.
  • Vaccins, mensonges et propagande, Sylvie Simon, Édit. Thierry Souccar.
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, F. JOET, Ed. Alis.
  • Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • La santé confisquée, Mirko et Monique BELJANSKI, Ed. Compagnie.
  • La lumière médicale, Dr Norbert BENSAÏD, Ed. le Seuil.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • On peut tuer ton enfant, Dr P. CHAVANON, Ed. Médicis.
  • Les vérités indésirables, Le cas Pasteur, Archives Internationales Philippe DECOURT, Ed. La Vieille Taupe, 1989.
  • L’intoxication vaccinale, F. DELARUE, Ed. Le Seuil, 1977.
  • La rançon des vaccinations, Simone DELARUE, Ed. LNPLV, Ed 1988.
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, Dr. Bruno DONATINI, Ed. MIF.
  • Des lobbies contre la santé, Roger LENGLET, Ed. Syros
  • La médecine retrouvée, Dr. J. ELMIGER, Ed. Léa
  • Maladies auto-immunes, Dr J. ELMIGER, Biosophie.
  • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. QUENTIN, Ed. Vivez Soleil.
  • Des enfants sains même sans médecin, Dr R. MENDELSOHN, Ed. Soleil 1987.
  • Immunologie et vaccinations, D. Jacques KALMAR, Edit Les Bardes.
  • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Tal Schaller, Edit. Testez.
  • La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? Dr. Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde.
  • La catastrophe des vaccins obligatoires, Pr. TISSOT, Ed. de l’Ouest, 1950.
  • Les dessous des vaccinations, Dr. A. SCOHY, Ed. Cheminements.
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., Pr GRIGORAKI.
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, Miller Schär MANZOLI.
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr A. BANOIS — Sylvie SIMON.
  • Vaccinations : le droit de choisir, Dr. F. CHOFFAT, Ed. Jouvence.
  • 12 balles pour un veto, Dr. QUIQUANDON, Ed. Agriculture et Vie, 1978.
  • Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?L’avis d’un Avocat, Jean-Pierre JOSEPH, Edit.Testez.
  • Les radis de la colère, J.-P. JOSEPH, Ed. Louise Courteau.
  • Nous te protégerons, Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt.
  • La faillite du B.C.G., Dr. Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps.
  • La Santé Publique en otage, Eric GIACOMETTI, Ed. Albin Michel.
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE, Ed. Marco Pietteur. Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • Vaccination, Social Violence and Criminality, Dr H.COULTER, North Atlantic Books, Berkley 1990.
  • A shot in the dark, Dr. H. COULTER et B. Loe FISHER, Avery Publishing group.
  • Live viral vaccine, biological pollution, Pr. R. DELONG, Cartlon Press Corp, New York, 1996
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996.
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991
  • Etc.



La liberté mise en pièces par la peur

[Source : h16free.com via Réseau International]

S’il y a bien une émotion particulièrement commode pour diriger la foule, c’est bien la peur. Cela fait passer presque instantanément la grande majorité des individus en mode « réflexes ».

Or, un réflexe simple lorsqu’on a peur est de simplement suivre le groupe parce qu’en moyenne, le groupe se trompe peu. [NdNM : du moins c’est ce que peuvent croire les gens apeurés]. Et si l’on a correctement orienté le groupe en lui faisant peur et en lui fournissant en même temps des solutions (de groupe, évidemment) qui répondent (fortuitement) à un agenda pratique pour celui qui manipule, le groupe fonce alors tête baissée vers la solution présentée, bonne ou mauvaise.

Bien utilisée, la peur fait en effet complètement oublier la liberté aux individus : la liberté, en laissant les possibilités ouvertes, n’apporte jamais de réponse immédiate, émotionnelle, instinctive et définitive aux dangers qu’on croit percevoir. Elle est toujours une réponse argumentée, raisonnée, pondérée et ne fait pas le poids devant les réponses instantanées, toutes faites et rassurantes par leur immédiateté.

Les adversaires de la liberté utilisent donc habilement la peur en multipliant les messages anxiogènes et les solutions toutes faites qui vont dans leur sens à eux : « La planète se réchauffe, vite, réduisons nos besoins en énergie, réduisons la population ! » ou encore « Vous allez mourir et atrocement en plus, vite barricadez-vous, ne bougez plus, taisez-vous, laissez l’État tout prendre en charge ! »…

Le besoin (pas nécessaire en réalité) de répondre vite, le caractère d’urgence (créé artificiellement) finissent par désarmer ceux qui ont l’habitude de la liberté lorsque le cadre se prête à la réflexion et à la pondération. Rapidement, les objections réfléchies sont complètement écrasées par les émotions et à la fin il ne reste plus qu’un groupe à peu près homogène d’individus qui se ruent vers les solutions proposées. Peu importe qu’elles n’ont de solution que le nom : ça marche pour diriger la foule et ça accroît sans cesse le pouvoir de ceux qui les proposent.

Le résultat très concret peut s’observer actuellement et il n’est pas beau à voir.

Assez rapidement, toujours en utilisant le prétexte de l’urgence et du caractère soi-disant exceptionnel, et grâce à l’intervention des médias qui, eux aussi, utilisent la peur d’autant mieux qu’elle fait vendre, on a mis en place une succession de confinements et de couvre-feux. Si leurs bénéfices sont parfaitement hypothétiques (« sans, il y aurait eu plus de morts patati patata »), les effets économiques, sociaux, politiques et même médicaux sont maintenant visibles (pas du tout hypothétiques) et catastrophiques.

Cependant, chaque nouveau confinement accepté par la foule apeurée brise un peu plus la résistance de ceux qui étaient auparavant indépendants, et qui deviennent de plus en plus soumis aux bons soins des dirigeants et de l’État à leur botte.

De façon habile, la réduction drastique, catastrophique même, de l’activité économique sera présentée comme bénéfique pour le climat. C’est faux, mais peu importe puisqu’il s’agit, là encore, de manipuler les foules, pas de les aider.

La suite logique a déjà été évoquée, sortie des cartons et la mise en musique ne tardera pas : la peur a fait des miracles et l’introduction d’un traçage permanent passe comme une lettre à la poste. Bien sûr, au début, on l’appellera « passeport médical » (pour ne pas effrayer le troupeau), puis « passeport vert » (qui permettra de vérifier l’adéquation comportementale avec l’agenda écologiste) puis enfin, ce sera le contrôle permanent des faits et gestes pour vérifier qu’ils sont en ligne avec la doxa officielle. Le procédé est transparent, simple, souple et cette doxa peut évoluer sans souci : le cheptel s’adaptera.

Bien évidemment, pour éviter la dissension, on laissera se développer la censure, le déplateformage et plus efficace encore, l’auto-censure (par pression sociale, depuis les groupes de Social Justice Warrior jusqu’aux fachos antifa pour taper du récalcitrant). Est-il vraiment besoin de revenir sur les derniers mouvements au sein de Facebook, Twitler et autres pour préciser ce point ?

L’accroissement de la pauvreté et la mise sous tutelle étatique d’un nombre croissant d’individus permet l’introduction d’un Revenu universel, magnifique étape dans l’asservissement le plus abject puisque ce principe est exactement équivalent à la distribution de nourriture « gratuite » aux animaux du zoo. On peut d’ores et déjà parier que la mise en place de ce système sera applaudi des deux mains par une proportion stupéfiante de Français.

Parallèlement, on continuera le grignotage de la propriété privée (en France, ça va à un rythme galopant ; il en ira de même partout ailleurs). Notez qu’on favorise déjà la location de tout et la possession de rien, la propriété privée étant maintenant de plus en plus ouvertement honnie, dans les médias, les discours politiques et les pensées jalouses de toujours plus d’individus.

Dans ce cadre, l’humain et ses services deviennent atomiques, parfaitement remplaçables. Les communistes, qui nient la notion même d’individu, se réjouiront – et se feront broyer à leur tour en devenant eux-mêmes des petits rouages anonymes d’une immense machine devenue folle.

Cette disparition de la propriété ne peut se faire sans une disparition complète de l’argent liquide anonyme. Cette disparition de toute transaction privée entraînera la disparition de toute possibilité de faire des affaires sans être fiscalisé, et surtout sans échapper au jugement permanent, à la scrutation de tous par tous : chaque transaction devenant publique, cela veut dire que tout le monde est jugé en permanence par tout le monde. La transparence totale que certains abrutis applaudissent des deux mains est évidemment un cauchemar abominable mais il faudra que ces abrutis la subissent pour comprendre pourquoi.

Ça tombe bien, on y va droit.

L’année passée nous a fourni une bien sévère leçon, celle que tous les efforts des libéraux sont vains s’ils ne parviennent pas à communiquer et amoindrir les sentiments de peur qui s’emparent de ceux qui connaissent mal la liberté.

Pire encore : on se rend compte qu’à mesure des progrès qui nous garantissent une diminution constante des dangers réels (guerres, catastrophes naturelles et même épidémies), les individus ont de plus en plus peur, de leur ombre, du changement, des autres, des frémissements de l’actualité ou de la liberté elle-même.




L’Absurdistan, dans un commerce près de chez vous

Par NATHALIE ELGRABLY-LÉVY

[Source : Journal de Montréal]

La pandémie exige que l’on repense le fonctionnement de la société. On comprend le port du masque, la distanciation et le télétravail. La logique derrière l’interdiction d’ouvrir les cinémas, alors que l’on peut prendre un avion bondé est déjà beaucoup moins évidente. Mais il suffit d’une visite dans une pharmacie ou une grande surface pour se sentir téléporté en Absurdistan.

Subjectif

Dans son arsenal anti-COVID, Québec a savamment élaboré une liste des produits « essentiels » que nous pouvons acheter. Le hic, c’est que l’égalitarisme des besoins et des préférences n’existe pas. L’essentiel étant invariablement subjectif, vouloir en délimiter les pourtours relève de l’interprétation arbitraire de la liste. 

Ainsi, Québec insiste pour garder les écoles ouvertes. Mais il est impossible d’acheter des crayons, du papier d’imprimante ou un agenda dans une pharmacie. 

On peut se procurer un sac de chips, mais non un livre. Il semblerait que les calories vides soient plus essentielles que la nourriture de l’esprit.

On peut acheter des contenants en plastique, mais non des contenants similaires en verre, même s’ils sont disposés sur la même tablette. 

On peut acheter du café, mais non une cafetière. Une boîte de thon, mais non des mitaines pour le four. De l’écran solaire, mais non des chaussettes. Des assiettes en carton blanc, mais non d’une autre couleur. Une crème antirides, mais non du fil à coudre. Des chandelles parfumées, mais non des cartes de vœux. 

Certes, on peut tout commander en ligne. Mais entre les frais de livraison, les délais imposés et les prix quelquefois supérieurs, les consommateurs se trouvent souvent perdants.  

Confiance

Dans sa lutte contre la COVID, l’État nous demande de lui faire aveuglément confiance et de respecter toutes ses consignes. Soit ! Mais ce serait tellement plus facile si, de son côté, il inspirait la confiance et la crédibilité avec des mesures logiques et cohérentes !




Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux

[Source : cv19.fr]

Par Sayer Ji

Des recherches révolutionnaires indiquent que la plupart des croyances concernant les propriétés prétendument mortelles de virus comme la grippe ne sont en fait pas fondées sur des preuves mais sur des mythes…

La théorie des germes est une force extrêmement puissante sur cette planète, qui affecte les interactions quotidiennes, de la poignée de main jusqu’aux programmes nationaux de vaccination et aux campagnes mondiales d’éradication.

Mais qu’en est-il si la recherche fondamentale sur ce que sont exactement ces “agents pathogènes”, comment ils nous infectent, n’a même pas encore été effectuée ? Et si une grande partie de ce que l’on suppose et croit sur le danger des microbes, en particulier des virus, avait été complètement remise en cause à la lumière de nouvelles découvertes radicales en microbiologie ?

Certains de nos lecteurs savent déjà que, dans mes précédents écrits, j’explique pourquoi le concept de “germes comme ennemis” a été décimé par la découverte relativement récente du microbiome. Pour en savoir plus sur ce sujet, lisez mon article précédent, “How The Microbiome Destroyed the Ego, Vaccine Policy, and Patriarchy“. Vous pouvez également lire “Profound Implications of the Virome for Human Health and Autoimmunity“, pour mieux comprendre comment les virus sont réellement bénéfiques pour la santé des mammifères.

Dans cet article, je vais adopter une approche moins philosophique et me concentrer sur la grippe comme exemple plus concret du changement de paradigme au niveau copernicien dans le domaine de la biomédecine et des sciences de la vie dans lequel nous sommes tous actuellement plongés, même si l’establishment médical ne l’a pas encore reconnu.

Virus mortels de la grippe : Se vacciner ou mourir ?

De la manière hyperbolique dont en parlent aujourd’hui les responsables de la politique de santé et les grands médias, le virus de la grippe (ou COVID-19) est une force mortelle inexorable (remarque : les virus sont des parasites involontaires, au pire, sans force motrice interne pour “infecter” activement les autres), contre laquelle tous les citoyens, de tous âges, doivent se protéger par le vaccin annuel contre la grippe, de peur (dit-on) de subir des conséquences mortelles. Pire encore, les personnes qui ont des convictions religieuses ou philosophiques, ou qui s’opposent en toute conscience à la vaccination, sont caractérisées comme des personnes qui font du mal aux autres en leur refusant l’immunité collective (un concept qui a été complètement démenti par une étude minutieuse des preuves, ou de leur absence). Par exemple, dans l’interview ci-dessous, Bill Gates dit à Sanjay Gupta qu’il pense que les non-vaccinés “tuent les enfants” :

https://www.youtube-nocookie.com/embed/EFlhBYwLbf8

Mais si je vous disais qu’il n’existe même pas de “virus de la grippe”, au sens d’un vecteur de maladie autonome et monolithique, conçu comme une relation de prédateur à proie ?

Tout d’abord, considérez que la collaboration Cochrane, qui fait figure de référence, reconnaît qu’il existe de nombreux virus de la grippe différents qui ne sont pas, en fait, la grippe A – contre laquelle les vaccins antigrippaux sont ciblés – mais qui peuvent néanmoins contribuer à des symptômes identiques à ceux attribués à la grippe A :

“Plus de 200 virus provoquent la grippe et les affections pseudo-grippales qui produisent les mêmes symptômes (fièvre, maux de tête, douleurs, toux et écoulement nasal). Sans tests de laboratoire, les médecins ne peuvent pas distinguer les deux maladies. Les deux durent plusieurs jours et entraînent rarement la mort ou une maladie grave. Au mieux, les vaccins pourraient être efficaces uniquement contre les grippes A et B, qui représentent environ 10 % de tous les virus en circulation”. (Source : Cochrane Summaries)”. [c’est nous qui soulignons]

Cela donne une image de la complexité qui mine puissamment les politiques de santé qui présupposent que la vaccination équivaut à une immunité véritable et, par conséquent, nécessite que le groupe participe collectivement au rituel des campagnes de vaccination de masse par nécessité sociale de vie ou de mort.

Même l’utilisation du mot “immunisation” pour décrire la vaccination est très trompeuse. Dès l’instant où le mot est utilisé, il présuppose déjà l’efficacité et donne l’impression que les non-vaccinés sont anti-immunitaires, au lieu de ce qu’ils sont en réalité : pro-immunitaires (via l’air pur, la nourriture, l’eau et le soleil), mais peu enclins à se soumettre ou à soumettre leurs enfants en bonne santé à des procédures médicales “inévitablement dangereuses” dont les bénéfices sont seulement théoriques.

Pourquoi le virus de la grippe n’existe pas (comme on nous l’a appris)

Mais le sujet devient encore plus intéressant lorsque l’on considère les conclusions d’une étude de 2015 intitulée “Conserved and host-specific features of influenza virion architecture” (Caractéristiques conservées et spécifiques à l’hôte de l’architecture du virion de la grippe). Il s’agit de la première étude jamais réalisée pour déterminer la profondeur moléculaire de la composition réelle du virus de la grippe. Étonnamment, étant donné la longue histoire de l’utilisation et de la promotion du vaccin, la caractérisation complète des protéines qu’il contient et de leur origine n’avait jamais été réalisée auparavant. Il est difficile de comprendre comment nous investissons des milliards de dollars par an dans les vaccins antigrippaux et comment nous avons créé une campagne mondiale pour contrer un ennemi viral dont les éléments de base n’étaient même pas connus il y a quelques années encore. Mais c’est néanmoins vrai.

Le résumé de l’étude s’ouvre sur cette ligne très provocatrice :

“Les virus utilisent les virions pour se propager entre les hôtes, et la composition des virions est donc le principal déterminant de la transmissibilité et de l’immunogénicité virales”.

Les virions sont également connus sous le nom de “particules virales”, et ils sont les moyens par lesquels les acides nucléiques viraux sont capables de se déplacer et “d’infecter” les organismes vivants. Sans la particule virale (taxi) pour transporter l’ADN du virus (passager), il serait inoffensif ; en fait, les virus sont souvent décrits comme existant quelque part entre les objets vivants et inanimés pour cette raison : ils ne produisent pas leur propre énergie, ni ne sont transmissibles sans un hôte vivant. Ainsi, dans cette première ligne, les auteurs précisent que la composition du virion est également le principal déterminant de la manière dont un virus est infectieux ou non (transmission) et des effets qu’il aura sur le système immunitaire de l’hôte infecté.

Particules virales influenza

Cette distinction est importante car nous considérons souvent les virus comme de simples chaînes d’ADN ou d’ARN pathogènes. L’ironie, bien sûr, est que les choses auxquelles nous attribuons tant de létalité – les acides nucléiques viraux – ne sont même pas vivants, et ne peuvent pas infecter un organisme sans que tous les autres composants (protéines, lipides, acides nucléiques extraviraux) qui, techniquement, ne sont pas d’origine virale, participent au processus. Et donc, si les composants non viraux sont essentiels pour que le virus puisse causer des dommages, comment pouvons-nous continuer à soutenir que nous sommes confrontés à une entité monolithique de la maladie “dehors” qui nous “infecte”, une victime passive ? C’est fondamentalement insensé, compte tenu de ces conclusions. Cela sape aussi clairement la rhétorique incessante, fondée sur la peur, que tiennent les partisans de la vaccination pour contraindre les masses à se soumettre au rite de la vaccination, largement fondé sur la foi.

Plongeons plus profondément dans les conclusions de l’étude.

La ligne suivante du résumé porte sur le fait avec lequel nous avons commencé cet article : à savoir qu’il existe une grande complexité au niveau de la profonde variabilité de la composition du virion :

“Cependant, les virions de nombreux virus sont complexes et pléomorphiques, ce qui les rend difficiles à analyser en détail”

Mais ce problème de la grande variabilité de la composition virionique de la grippe est exactement la raison pour laquelle l’étude a été menée. Ils expliquent :

“Ici, nous abordons ce problème en identifiant et en quantifiant les protéines virales par spectrométrie de masse, ce qui permet de produire un modèle complet et quantifiable des centaines de protéines virales et codées par l’hôte qui constituent les virions pléomorphiques du virus de la grippe. Nous montrons qu’une architecture conservée de virions de la grippe, qui comprend des quantités substantielles de protéines de l’hôte ainsi que la protéine virale NSI, est élaborée avec d’abondantes caractéristiques dépendantes de l’hôte. En conséquence, les virions de la grippe produits par les hôtes mammifères et aviaires ont des compositions protéiques distinctes”.

En d’autres termes, ils ont découvert que le virus de la grippe est autant constitué de matériel biologique provenant de l’hôte que le virus “infecte” que de matériel génétique viral du virus en soi.

Comment alors différencier le virus de la grippe comme étant totalement ” étranger ” ? Étant donné qu’il n’existerait pas sans les protéines ” propres “, ou celles d’autres animaux hôtes comme les oiseaux (aviaires) ou les insectes, il serait impossible de le faire avec une honnêteté intellectuelle parfaite.

Il y a aussi le problème important que pose la production de vaccins antigrippaux. Actuellement, l’antigène du vaccin contre la grippe humaine est produit par l’intermédiaire d’insectes et d’œufs de poule. Cela signifie que les particules virales extraites de ces hôtes contiendraient des protéines étrangères, et produiraient donc des réponses immunologiques différentes et/ou imprévisibles chez l’homme, par rapport à ce que l’on attendrait de particules virales de la grippe humaine. Une possibilité est que les douzaines de protéines étrangères présentes dans la grippe aviaire pourraient théoriquement produire chez l’homme des antigènes qui réagiraient de manière croisée avec les auto-structures, ce qui entraînerait une auto-immunité. Actuellement, les tests de sécurité ne permettent pas de détecter ces réactions croisées. Il est clair que cette découverte ouvre une boîte à pandores de problèmes potentiels qui n’ont jamais été suffisamment analysés, car on n’a jamais compris jusqu’à présent que la “grippe” dépend aussi complètement d’un hôte pour sa transmissibilité et son immunogénicité.

Les virus de la grippe sont-ils vraiment des exosomes “détournés” ?

Enfin, l’étude a mis en évidence quelque chose d’encore plus étonnant :

“Enfin, nous notons que les virions de la grippe partagent une composition protéique sous-jacente avec les exosomes, ce qui suggère que les virions de la grippe se forment en détournant la production des micro-vésicules”.

Ce dont ces chercheurs parlent, c’est de la découverte que les particules de virion partagent des similarités étonnantes avec les particules de type viral produites naturellement par toutes les cellules vivantes appelées exosomes. Les exosomes, comme de nombreux virus (c’est-à-dire les virus enveloppés), sont enfermés dans une membrane et ont une taille comprise entre 50 et 100 nanomètres, comme les virus (20 à 400 nm). Ils contiennent également des molécules biologiquement actives, telles que des protéines et des lipides, ainsi que des molécules contenant des informations, comme pour l’ARN, qui sont exactement, ou très similaires, aux types de contenus que l’on trouve dans les particules virales.

Regardez cette vidéo de base sur les exosomes pour vous faire une idée :

https://www.youtube-nocookie.com/embed/sE2krsErbwI

Lorsque nous commençons à examiner les virus à travers la perspective de leur interaction avec les exosomes, qui en tant que porteurs d’ARN sont essentiels pour réguler l’expression de la grande majorité du génome humain, nous commençons à comprendre comment leur fonction pourrait être considérée comme neutre en tant que “porteurs d’informations”, voire bénéfique. Les exosomes et les virus peuvent en fait être responsables de la communication et de la régulation inter-espèces ou inter-régions au sein de la biosphère, étant donné la manière dont ils sont capables de faciliter et de médier le transfert horizontal d’informations entre les organismes. Même la consommation d’un fruit contenant ces exosomes peut altérer l’expression de gènes d’une importance vitale dans notre corps.

Exosomes

À la lumière de cette perspective post-théorie des germes, les virus pourraient être décrits comme des éléments d’information à la recherche de chromosomes ; pas intrinsèquement “mauvais”, mais, en fait, essentiels pour la médiation de la relation génotype/phénotype au sein des organismes, qui doivent s’adapter en temps réel à des conditions environnementales toujours changeantes pour survivre ; ce que le rythme extrêmement lent des changements génétiques dans les séquences nucléotidiques primaires de notre ADN ne peut pas faire (par exemple, il peut falloir environ 100 000 ans pour qu’une séquence de gène codant pour une protéine change, contre quelques secondes pour que l’expression d’un gène codant pour une protéine soit modifiée par modulation via des ARN viraux ou exosomaux).

Cela ne signifie pas non plus qu’ils sont “tous bons”. Parfois, compte tenu de nombreuses conditions échappant à leur contrôle, leurs messages pourraient présenter des défis ou des informations erronées aux cellules auxquelles ils sont exposés, ce qui pourrait entraîner un ” symptôme de maladie “. Ces symptômes de maladie sont souvent, voire invariablement, des tentatives d’autorégulation de l’organisme, qui finit par s’améliorer et se guérir lui-même.

En d’autres termes, la composition virionique des virus semble être le sous-produit de la machinerie de production et du trafic de l’exosome normal de la cellule (également appelé microvesicule), bien qu’elle soit influencée par l’ADN de la grippe. Et comme les exosomes, les virus peuvent être un moyen de communication extracellulaire entre les cellules, au lieu d’être simplement une entité pathologique de la maladie. Cela pourrait expliquer pourquoi une accumulation de recherches sur le rôle du virome dans la santé humaine indique que les agents dits infectieux, y compris les virus comme la rougeole, confèrent des avantages importants pour la santé. [voir : the Health Benefits of Measles et The Healing Power of Germs ?]

D’autres chercheurs ont fait des découvertes similaires sur la relation entre les exosomes et les virus, décrivant parfois le détournement viral des voies d’accès aux exosomes comme une hypothèse de “cheval de Troie”. Le VIH peut fournir un tel exemple.

Remarques finales

La découverte remarquablement récente de la nature dépendante de l’hôte de la composition du virion du virus de la grippe n’est en fait que la partie émergée d’un iceberg intellectuel qui n’a pas encore été pleinement mis en lumière, mais qui fait déjà “couler” des navires ; des navires paradigmes, si vous voulez.

Un de ces paradigmes est que les germes sont des combattants ennemis, et que les virus ne jouent aucun rôle fondamental dans notre santé, et devraient être éradiqués de la terre avec des médicaments et des vaccins, si possible.

Cette croyance est cependant intenable. Avec la découverte du rôle indispensable du microbiome, et de la sous-population de virus qu’il contient – le virome – nous sommes entrés dans une vision entièrement nouvelle, basée sur l’écologie, du corps et de son environnement, qui sont fondamentalement inséparables. Ironiquement, la seule chose que la grippe peut être capable de tuer est la théorie des germes elle-même.

Pour une exploration approfondie de cette question, regardez la conférence ci-dessous sur le virome. Je vous promets que si vous le faites, vous ne pourrez plus maintenir la théorie des germes comme une vérité monolithique. Vous commencerez peut-être même à comprendre comment nous pouvons considérer certains virus comme “nos amis” et pourquoi nous avons peut-être bien plus besoin des virus qu’ils n’ont besoin de nous.

https://www.youtube-nocookie.com/embed/TRVxTBuvChU

Source : https://www.greenmedinfo.com/blog/why-only-thing-influenza-may-kill-germ-theory
Traduction par https://cv19.fr


[Voir aussi :




Retour à la nature

Par Joseph Stroberg

Une portion croissante des domaines de la construction et de l’agriculture prend conscience de la nécessité du respect de la nature. Parler d’environnement est déjà un début, même si ce concept peut aussi bien évoquer un environnement artificiel très éloigné des conditions naturelles.

Il sera plutôt ici question de nature que d’environnement, et notamment de toutes les initiatives qui favorisent une régénération de la nature plutôt que l’entretien d’un statu quo propice à aggraver la situation planétaire par épuisement des ressources et généralisation des pollutions.

Le mode de vie moderne basé sur la consommation et sur la croissance économique a largement démontré son impact destructeur sur la vie planétaire. Pour un avenir sain sur tous les plans, l’Humanité devra probablement effectuer un virage radical et chacun devra accepter de diminuer une part non négligeable du confort matériel au profit d’un retour vers la vie rurale.

Les connaissances et expérimentations modernes en matière agricole (avec notamment la permaculture), d’urbanisation et de construction tendent à démontrer que même avec la population humaine actuelle nous pourrions construire un avenir beaucoup plus harmonisé avec la nature au point de la guérir totalement des maux actuels. À cette fin, les grandes villes gagneront à être progressivement démantelées et abandonnées et la race humaine devra se fondre dans la nature en ordre dispersé.

On a découvert récemment que la vie végétale s’associant naturellement à des champignons microscopiques et à des bactéries pouvait s’installer sur les terrains les plus incultes, que l’utilisation de composts provenant à la fois de feuilles mortes, de brindilles et de déchets végétaux divers permettait de régénérer les sols et qu’il n’était nullement nécessaire (et au contraire néfaste) de retourner ces derniers. Avec une telle base et un partage équitable des terrains (qui appartiennent à la planète et non à l’Homme), chaque famille ou chaque petite communauté pourrait devenir autonome sur le plan alimentaire, en presque tout lieu non couvert de glace.




Un système presque gratuit

Par Joseph Stroberg

En attendant un monde de gratuité totale, de don désintéressé et de partage des ressources (dans dix mille ou cent mille ans, peut-être), sortons malgré tout du moule de l’économie et de la finance modernes. Envisageons un monde réalisable à plus brève échéance, dans lequel presque tous les biens et services pourraient être gratuits. Comment cela pourrait-il être facilement possible ?

Si l’on considère l’argent comme une forme d’énergie pouvant faciliter les échanges, alors le plus logique est d’en mesurer la valeur en unités d’énergie, par exemple en joules ou en Calories. Lorsqu’un être humain effectue un travail (que ce soit au sens scientifique ou au sens social), il dépense évidemment une certaine quantité d’énergie pour le mener à bien, selon sa puissance de travail et selon le temps qu’il met pour l’accomplir. Pour continuer à vivre, il a alors besoin de se ravitailler, de manger une quantité d’aliments ayant un nombre de Calories équivalent à ce qu’il a perdu par le travail. Ce dernier peut aussi bien être de nature créatrice (artisanale, artistique, productive, etc.) que de service (soin, assistance, direction, etc.). Dans chaque cas, il s’épuise (physiquement, émotionnellement et/ou mentalement) pour mener à bien sa tâche. Il dépense des Calories et aura besoin d’en manger une quantité équivalente. On peut résumer cette proposition par la formule suivante :

ARGENT = ÉNERGIE (mesurée en Calories).

Considérons maintenant un groupe dont les membres souhaitent utiliser cet argent pour échanger des produits et des services. Il peut à cette fin créer une réserve énergétique virtuelle basée sur son potentiel combiné de travail annuel, réserve éventuellement augmentée des ressources énergétiques et matérielles concrètes dont le groupe dispose déjà (terrains cultivables ou non, immobilier, meubles, machines, mines, rivière, etc.). Ces ressources gagnent d’ailleurs à être mises à la disposition de tous et non pas thésaurisées par quelques individus du groupe. Que ce soit le cas ou non, elles demandent une certaine dépense d’énergie pour être exploitées, et certaines d’entre elles peuvent en retour fournir de l’énergie (par exemple de l’énergie électrique fournie par un moulin à eau ou à vent). La combinaison de la capacité annuelle de travail du groupe et de ses ressources fournit un montant total de Calories qui peut servir de réserve. Résumons ainsi :

Capacité annuelle de travail + Ressources matérielles = Réserve monétaire du groupe

Établissons ensuite que tout travail, toute tâche ou toute création nécessitant une quantité Q de Calories pour être mené à bien ajoute le montant correspondant dans la réserve lorsqu’il est effectué, mais réclame ce même montant pour vivre le temps de le mener à bien. En d’autres termes, il faut manger pour travailler, et donc puiser préalablement un certain nombre de calories dans la réserve monétaire, puis en travaillant, on rembourse le nombre de calories (qui sont automatiquement replacées dans cette dernière). Il vient donc :

Avant le travail : retrait d’un montant de la réserve (= emprunt)

Par le travail : remboursement de l’emprunt à la réserve.

Ceci n’explique toujours pas comment presque tout pourrait être gratuit. Nous y venons, en utilisant quelques exemples de travaux usuels. Un petit agriculteur et ses deux ou trois commis parviennent à produire dans l’année suffisamment de viande, de légumes ou de fruits pour nourrir une centaine ou un millier de personnes. Ce qu’il rembourse par son travail ne dépend pas de la quantité de viande, de légumes ou de fruits qu’il produit avec ses commis, car de toute manière, c’est la nature qui effectue le plus gros du travail, mais de l’énergie que lui-même a dépensée. Il en est de même pour ses commis. Ils remboursent leur propre emprunt par l’énergie qu’ils ont dépensée dans l’année. Notons que nous pouvons faire le même raisonnement sur un mois au lieu d’un an. Le principe est le même. L’agriculteur et ses commis ont donc ainsi reçu en quelque sorte le salaire pour leur travail. Pourquoi devraient-ils alors vendre les légumes, fruits et animaux à viande produits ? Ils n’ont pas besoin de le faire pour vivre, puisque pour ceci, le simple fait d’avoir travaillé le leur assure. Ils peuvent donc au contraire les mettre à la libre disposition des membres de leur groupe.

De même, un médecin ou un chirurgien rembourse son propre emprunt annuel ou mensuel par le simple fait d’offrir ses services de guérison à des malades pendant la période correspondante. Pour cela, il n’a pas besoin de faire payer en plus à ces derniers ses interventions ni ses conseils. Ceux-ci peuvent au contraire être gratuits. Il en est encore de même pour un écrivain ou un créateur de musique. Il rembourse son propre emprunt par le simple fait d’écrire un roman ou de composer un morceau de musique, selon le cas. Il n’a donc nullement besoin à cette fin de recevoir des droits d’auteur et peut au contraire mettre ensuite ses productions artistiques à la libre disposition des membres de son groupe.

Avec une telle approche, les seules productions qui peuvent demander un petit investissement supplémentaire par rapport à la gratuité, ceci pour l’individu qui voudrait les acquérir, sont celles qui épuisent certaines ressources matérielles ou énergétiques du fond commun du groupe. L’ensemble des personnes qui ont contribué par exemple à construire un ordinateur ont été payées de leur travail par le simple fait de travailler, mais cet ordinateur à prélevé une quantité de ressources qui elles ne sont pas remplacées. Il faut donc un investissement monétaire (ou calorique) supplémentaire de la part de l’acquéreur potentiel, pour compenser cette perte si l’on veut que le montant de la réserve monétaire reste globalement fixe et ne finisse pas par s’épuiser lui aussi. Cependant, un individu donné devra faire en quelque sorte pas mal d’heures de travail supplémentaires pour acquérir certains biens matériels demandant beaucoup de ressources concrètes. Le mieux alors est de partager ce type de produits entre plusieurs usagers du groupe plutôt que de tenter d’en obtenir chacun un exemplaire. Ceci peut être notamment le cas des camions, des voitures, et même des téléviseurs 4k à grand écran. On épuisera moins vite les ressources terrestres par leur partage, et donc par une production réduite, à l’inverse de celle pratiquée dans une société de consommation.

Les soins, les productions agricoles, les conseils juridiques, les créations d’artistes, etc. peuvent être totalement gratuits avec un tel système de fonctionnement. Une telle réserve monétaire que celle ainsi évoquée devrait bien sûr être contrôlée par l’ensemble des membres du groupe concerné et non pas par seulement certains d’entre eux. La transparence est alors de mise, chacun pouvant avoir libre accès aux comptes. Enfin, la puissance de travail des différents êtres humains ne variant probablement pas plus que du simple au double ou du simple au décuple pour les cas extrêmes, il n’y aurait ainsi pas d’aussi grosses disparités de richesse matérielle que de nos jours.




Les élémentaux de la nature

Par Joseph Stroberg

Nous pouvons considérer les élémentaux de la nature (comme les elfes, les fées, les gnomes, les sylphes, les ondines, les salamandres ou encore les deva du feu) comme des créatures imaginaires, folkloriques ou légendaires. Certains chamanes et des clairvoyants affirment pourtant les avoir perçus par un ou plusieurs sens (souvent la vision, mais aussi le toucher ou l’ouïe) et dans certains cas avoir quelque peu interagi avec eux. Même si la neurologie tend à considérer que de telles sensations sont le seul fruit du travail du cerveau, ces êtres habituellement invisibles pourraient avoir une existence objective. La science est probablement loin d’avoir découvert tous les secrets de la nature.

Considérons ici que l’existence des élémentaux de la nature est avérée, que leur plan de manifestation est aussi objectif que le nôtre, même s’il semble plus subtil, et que le chamanisme ne relève pas seulement de mythes. Quels peut alors être l’impact des premiers sur la nature, et particulièrement sur les cultures?

Les chamanes et les individus sensibles aux élémentaux ne cherchent pas ces derniers dans les villes, ni même dans les villages, mais dans les endroits les plus sauvages, loin même des surfaces agricoles industrielles et des plages surpeuplées. En de tels lieux, ils peuvent alors les voir, les sentir ou les entendre, selon leurs prédispositions parapsychiques. Ils y trouvent une grande variété d’insectes, de petits animaux et de plantes, même lorsque ces dernières sont asséchées par le soleil d’été.

Assez récemment, des jardiniers et des cultivateurs de diverses origines et nationalités, notamment au Japon et en France, ont adopté une approche que l’on pourrait facilement qualifier de chamanique pour produire fruits et légumes les plus divers. Ils ne retournent jamais la Terre, n’enlèvent aucune prétendue mauvaise herbe, n’arrosent qu’au moment de la transplantation de semis ou de graines, et ne font en général que protéger leurs jeunes pousses par du paillis et du compost de feuillus, d’épineux ou de résineux. Ces derniers semblent d’ailleurs particulièrement efficaces pour non seulement maintenir un sol humide, mais aussi pour éloigner certaines variétés d’insectes de plantes vulnérables. En dehors du compost et de l’arrosage initial, ils n’interviennent généralement plus que pour la récolte.

De tels fermiers se mettent en quelque sorte en harmonie avec la nature. Ils l’écoutent et tiennent compte des cycles naturels. Ils l’observent. Et surtout, ils l’aiment et cultivent avec joie et sans effort superflu. Ils s’épuisent beaucoup moins qu’un agriculteur conventionnel, n’empoisonnent pas les sols, n’y ajoutent aucun engrais artificiel (le compost se révélant suffisant pour enrichir la terre), et n’épuisent pas non plus les nappes phréatiques. Et pourtant, ils parviennent à avoir des légumes et des fruits dont la beauté, la grosseur, la santé, le goût et la valeur nutritive défient l’industrie! Comment est-ce possible? Nous dirons ici que leur approche de synergie avec la nature attire les élémentaux et que ces derniers, créatures probablement chargées de l’agencer et de la valoriser, sont les véritables agents du succès du jardinier ou du cultivateur « chamanique ».

Alors que l’agriculture industrielle a épuisé et empoisonné les sols et les nappes phréatiques, fait disparaître des centaines de milliers d’espèces animales et végétales, empoisonné au passage les êtres humains eux-mêmes, les nouveaux « jardiniers de la Terre » lui permettent en certains lieux privilégiés (à l’écart des villes et de la technologie) de la régénérer et de lui faire produire une nourriture saine à moindres ressources. Comme des chamanes, ils se sont allié les élémentaux de la nature. Ils sont des précurseurs donnant un avant-goût de ce que sera après-demain.




L’immigration

Par Joseph Stroberg

Depuis les origines de l’Humanité, le mouvement éventuel des différents groupes humains a été surtout conditionné par la présence ou non des ressources indispensables à sa survie, spécialement les ressources alimentaires. Le nomadisme avait plutôt lieu dans les régions désertiques, semi-arides ou périodiquement couvertes de neige. Les autres connaissaient une vie plus sédentaire. Les grandes migrations ou invasions ont pu aussi être provoquées par certains chefs avides de s’emparer de ressources étrangères. Depuis un ou deux siècles, la découverte de nouvelles ressources énergétiques et la création de nouveaux moyens de transport à base de moteurs énergivores ont favorisé une nouvelle tendance : les déplacements touristiques, modèles de gaspillage dans une société oisive et irresponsable.

Parallèlement à la surconsommation énergétique et alimentaire occidentale, particulièrement par le biais d’un commerce maritime et aérien excessif (produit des délocalisations industrielles massives en Orient), des pays voient leurs populations affamées ou en proie à la guerre. Si elles ne veulent pas mourir, ces dernières n’ont guère d’autre choix que de chercher le salut dans des pays réputés pour avoir une vie plus confortable, souvent d’ailleurs ceux qui sont à l’origine de leur misère. Que ferions-nous à leur place ? Nous laisserions mourir de faim ? Ou tenterions-nous le tout pour le tout, au besoin sur des rafiots de fortune ?

Qui est donc l’immigrant qui vient — quel culot ! — envahir les peuples confortablement installés depuis des siècles en Europe et ayant décimé les Amérindiens pour vivre encore plus confortablement en Amérique du Nord ? Qui est-il donc cet enfant de…? Cet immigrant, c’est nous ! C’est nous si nous avions eu la malchance de naître à sa place. Sa mère, c’est la nôtre si elle avait eu elle aussi la malchance de vivre dans ces contrées riches en pétrole, en gaz ou en d’autres ressources, mais pauvres en moyens de se défendre face à la violence et à l’absence de conscience, d’empathie et de compassion de ceux qui viennent les voler, les violer, les affamer et les tuer.

Que peut donc faire l’immigrant qui cherche à sauver sa vie et celle de ses enfants survivants ? Que peut-il faire d’autre que de chercher refuge dans les pays qui ne connaissent pour l’instant ni la guerre ni la faim ? Que ferions-nous à la place de ce frère qui n’a pas eu notre chance ?

Maintenant, nous, dans nos pays que nous sentons envahis par des mécréants ou par de dangereux terroristes, que pouvons-nous faire pour réparer les torts que notre passivité a largement contribué à créer ? Que pouvons-nous entreprendre face au phénomène d’immigration visiblement entretenu par nos gouvernements ou par ceux qui les financent via le système de la dette ?

Jusqu’à maintenant, la réaction des peuples occidentaux a été alimentée par la peur, savamment stimulée par nos médias qui se veulent pourtant des modèles de journalisme et non de propagande. Et on peut les comprendre au moins partiellement (les peuples, pas les médias) lorsque l’on voit qu’à peine arrivés chez nous, les immigrants, ces étrangers généralement pas du tout bienvenus, sont parqués dans des camps de concentration ou qui en ont tout l’air. Comment nous sentirions-nous à leur place ? Serions-nous ravis de l’accueil chaleureux reçu ? Ou bien plutôt quelque peu… en colère ? Ou encore prêts à tout pour recevoir les dons de la terre promise ?

La solution à rechercher ne devrait idéalement léser ni les uns ni les autres. L’une des plus simples serait de s’arranger pour offrir aux immigrés la possibilité de retourner chez eux et de retrouver leurs racines, plutôt que de s’imaginer qu’ils vivront mieux chez nous quand de plus en plus des nôtres s’enfoncent sous le seuil de pauvreté pendant que nos élites deviennent riches à milliards. Cependant, pour cela, il faudrait peut-être commencer par cesser de détruire leur pays pour s’en approprier les ressources. Le seul petit pouvoir qu’il nous reste pour une telle direction, la seule once de souveraineté dont nous disposons généralement dans nos pays « démocratiques » est le vote de nos représentants, ou du moins de ceux qui sont censés nous représenter. Le plus difficile alors est de trouver un candidat qui a vraiment a cœur le bien des peuples et pas seulement sur le plan matériel. C’est ici que le discernement devient indispensable.

Une autre solution consiste à s’efforcer d’intégrer au mieux les arrivants, pour qu’ils se sentent le plus rapidement possible comme chez eux, ou au moins comme une partie intégrante de ce qui pour eux sera comme une nouvelle famille d’accueil. Souhaiterions-nous autre chose que l’une de ces deux voies si la situation était inversée ?

L’immigration est un phénomène de friction entre un mouvement — celui de ceux qui fuient la mort — et la résistance face à ce mouvement, ne serait-ce que par l’inertie ou la non-action. Et toute friction engendre de la chaleur, physique, émotionnelle ou sociale, selon le type de friction. Un bon moyen de réduire la friction est d’utiliser un lubrifiant, comme l’huile ou le beurre sur le plan physique, ou comme l’amour sur le plan affectif ou sociétal. Un tel amour peut se manifester de différentes manières, comme la recherche de conciliation et d’harmonie. Dans ce cas, les individus de type conciliateur ont un rôle à jouer. Cependant, la situation engendrée par l’immigration est devenue assez complexe pour que sa résolution complète demande la bonne volonté et la coopération de tous les types d’individus.

Maintenant, que préférons-nous ? Laisser la friction se poursuivre au risque de mettre le feu à nos différents pays et d’y amener révolutions sanglantes ou guerres civiles ? Ou bien, à notre petit niveau, orienter nos actes et nos choix vers l’utilisation du lubrifiant, l’amour et la compassion, pour favoriser soit l’assimilation des immigrants, soit leur retour chez eux dans les meilleures conditions ?




Coup de froid

Par Joseph Stroberg

Le climat pourrait-il avoir un lien avec certains de nos ennuis de santé, spécialement avec les rhumes et la grippe? La science matérialiste, cherchant généralement des causes immédiates et bien tangibles a conclu ces dernières années par la négative. Pour elle, des maladies telles que le rhume et la grippe ne doivent qu’aux microbes quand ce n’est pas aux quarts de crobes (mauvais jeu de mots).

Est-ce que la science a toujours raison? Ne s’est-elle jamais trompée? N’a-t-elle pas déjà, et même en de nombreuses occasions, abandonné ou transformé ses théories? N’a-t-elle pas déjà, spécialement dans le domaine de la santé, fait parfois demi-tour? Considérons seulement les exemples des matières grasses et du sucre par rapport aux maladies cardio-vasculaires, pour avoir une idée du caractère non définitif des affirmations scientifiques. Comme beaucoup de domaines et d’individus, la science évolue. Ne pas le faire implique d’ailleurs souvent la disparition ou la mort. Si un individu ou une science veut survivre, ils doivent s’adapter, évoluer en fonction des nouvelles conditions et des nouvelles données.

Pour en revenir plus spécifiquement au problème des rhumes et de la grippe, beaucoup d’êtres humains ont malheureusement constaté qu’ils tendaient à les attraper surtout en hiver ou après un coup de froid, ou encore en période de grande fatigue ou de surmenage. Est-ce que la présence de microbes serait à elle seule l’explication? Ou bien est-ce que le terrain, l’état physique (voire émotionnel) de l’individu, pourrait aussi avoir sa part de responsabilité dans l’apparition de telles maladies? Si le corps subit une période prolongée ou vive de fatigue ou de froid, peut-on s’attendre à ce que son système immunitaire, par exemple, soit aussi efficace qu’en temps normal ou clément?

Les spécialistes des épidémies parlent d’individus porteurs sains. Il s’agit d’individus porteurs des virus ou des bactéries responsables d’une maladie épidémique, mais qui n’en sont pas affectés. Par ailleurs, le corps humain contient plus de bactéries qu’il a de cellules, notamment dans le « microbiote » intestinal. Mais il en a aussi en permanence sur la peau, dans la bouche, et dans d’autres parties de son anatomie. Et il n’en est généralement pas malade. Se pourrait-il d’ailleurs que le corps porte en fait la plupart des bactéries et des virus connus, ne serait-ce qu’en nombre réduit? Si tel est le cas, il sera sans doute difficile à la science de le prouver, car si leur nombre est habituellement faible, cela serait plus difficile que de chercher une aiguille dans une botte de foin. Et il serait presque impossible de prouver le contraire, car ceci nécessiterait d’explorer macroscopiquement et méthodiquement la totalité des organes et des composants du corps.

Si le corps est naturellement porteur de presque tous les virus et de presque toutes les bactéries, ce qui fait alors la différence entre la maladie et son absence est l’état de santé et de vitalité du corps en général et du système immunitaire en particulier. Ce dernier ne serait pas alors chargé d’éliminer toute trace des microbes, mais seulement d’en modérer la quantité.

Dans la nature, lorsque l’Homme a éliminé artificiellement certains prédateurs, il a permis du même coup la prolifération excessive des espèces dont celui-ci se nourrissait. Et il a fortement contribué de cette manière à rendre la biosphère malade, de nombreuses espèces étant au bord de  l’extinction et d’autres en état de maladie chronique.

Les dégâts engendrés par l’Homme dans la nature sont comparables aux dégâts engendrés par les bactéries et par les virus dans un corps humain en mauvaise santé. L’être humain est de ce point de vue un virus de la Terre. Et de la même manière que l’Homme existait sur notre planète dans les temps préhistoriques sans l’avoir rendue malade, les bactéries et les virus peuvent coexister avec le corps humain sans le rendre malade. La maladie apparaît alors lorsqu’il existe un déséquilibre provoqué par un facteur extérieur au corps physique lui-même.

Dans le cas de la Terre, l’Homme peut être considéré comme facteur extérieur lorsqu’il fait usage de ses propres créations (en particulier les machines, l’industrie pétrochimique et l’industrie nucléaire). Par ces créations, il a rendu la planète malade en la déséquilibrant fortement.

Dans le cas de l’Homme lui-même, ses pensées et ses émotions font partie des facteurs extérieurs au corps physique lui-même, au même titre que les poisons chimiques (dont les adjuvants des vaccins), les micro-ondes pulsées (wi-fi, cellulaires…), les radiations nucléaires, les additifs alimentaires nocifs, etc.

À chacun de déterminer si cette vision des choses lui paraît réaliste ou s’il préfère s’en remettre aux théories scientifiques actuelles en la matière.




Note sur l’effondrement des civilisations

Par Joseph Stroberg

Les civilisations, comme les individus, sont confrontées à divers besoins et cherchent à les combler en accédant à des ressources pouvant les satisfaire.

Les besoins Les ressources
minéraux minérales
végétaux végétales
animaux animales
matériels matérielles
énergétiques énergétiques
affectifs affectives
psychologiques psychologiques
mentaux mentales
psychiques (para)psychiques
spirituels spirituelles
(pro)créateurs (pro)créatrices

Pour maintenir adéquatement le lien entre leurs besoins et les ressources disponibles, les individus et les groupes humains doivent pouvoir entretenir et conserver un certain état, aussi bien intérieurement qu’entre eux, caractérisé notamment par :

  • l’équilibre (harmonie, justice…) ;
  • l’organisation (ordre) ;
  • la capacité d’action (impliquant puissance et liberté) ;
  • la volonté ;
  • le courage moral et physique ;
  • l’intelligence ;
  • l’amour (de soi, des autres, de ce que l’on crée…).

Plus il existe d’individus déséquilibrés, désorganisés, impuissants (paralysés, bridés ou incarcérés…), faibles, lâches, stupides, indifférents ou haineux… et plus ceci se répercute sur les groupes, jusqu’au niveau des nations et même du monde. Ces divers groupes deviennent à leur tour déséquilibrés, désorganisés, impuissants, faibles, etc.

Le potentiel d’une civilisation dépend du potentiel moyen d’un individu et du nombre de ses représentants. Il peut être supérieur au produit de ces deux données, si les ressources sont partagées équitablement ou justement. Mais il peut être inférieur à ce produit si les ressources sont accaparées par une seule partie des membres de la civilisation au détriment du reste. Plus la partie qui accapare est réduite et moins le potentiel de la civilisation est important, mais plus cette civilisation risque l’auto-destruction. Une minorité thésauriseuse est comparable à une tumeur cancéreuse. Elle accapare le sucre et multiplie l’insanité (les cellules cancéreuses, semblables aux ressources accumulées de manière éhontée) au détriment de la santé du reste du corps.

Une civilisation survit d’autant mieux qu’elle partage ses ressources entre ses membres et les échange avec d’autres civilisations sur une base équitable et juste.

Si certaines ressources viennent à manquer pour un nombre important des représentants de la civilisation ou pour la totalité de ces derniers, alors elle peut péricliter ou même s’effondrer. Elle le fera d’autant plus vite, ou de manière d’autant plus dramatique, que le nombre de ressources indisponibles et que la proportion d’individus affectés sont importants.

La culture plus ou moins élaborée et sophistiquée d’une civilisation représente la résultante et la combinaison des différents systèmes et moyens qu’elle a mis en œuvre pour accéder aux ressources dont elle a besoin, pour les partager entre ses membres et pour les utiliser de manière plus ou moins appropriée et judicieuse.

Une culture rigide, très hiérarchisée et/ou fortement compartimentée est moins apte à faire face à des situations imprévues, spécialement lorsqu’elles sont d’ordre cataclysmique.

Plus une civilisation dépend d’intermédiaires – particulièrement mécaniques, artificiels, matériels ou même financiers – pour la recherche et l’exploitation des ressources ou d’une partie d’entre elles, et plus elle est vulnérable (aux conditions naturelles comme à des attaques d’autres civilisations)

La civilisation la plus réactive, la plus souple, et donc la plus pérenne, est celle qui sait se passer de structures fortes et plus ou moins définitives ou cristallisées, notamment de gouvernements, de constitutions, d’administrations, etc. Elle est fluide, voire aérienne. Les échanges de ressources y sont essentiellement conditionnés par les besoins réels (et non pas superflus), la spontanéité, l’altruisme et le respect autant des autres que de l’environnement, l’absence d’intermédiaires, etc. Elle n’est pas coulée dans le béton et ne repose pas sur des textes de lois plus nombreuses que les étoiles visibles dans un ciel nocturne.

La civilisation moderne a engendré un Système complexe reposant sur ce qu’elle a dénommé « Économie », elle-même étroitement dépendante d’un système financier presque virtualisé et propre à enrichir artificiellement une très petite minorité d’individus au détriment de tous les autres. Ces deux secteurs de l’activité humaine ont pris une telle prépondérance qu’ils tendent maintenant à contrôler et conditionner tous les autres : éducation, santé, politique, recherche scientifique, industrie, artisanat, services publics, etc. jusqu’aux religions établies depuis plusieurs siècles. Autrement dit, le petit nombre de ceux qui contrôlent l’argent (virtuel ou plus tangible) ou en d’autres termes la masse monétaire (basée essentiellement de nos jours sur le crédit et la « dette »), contrôlent de plus en plus toutes les ressources, y compris psychologiques, psychiques et spirituelles.

Cependant, de nombreuses ressources en viennent quantitativement ou qualitativement à manquer. Quantitativement, c’est le cas de nombreuses ressources minérales, végétales, animales et énergétiques, étant donné le grand gaspillage de ces mêmes ressources depuis plus d’un siècle par une civilisation devenue surconsommatrice à cause de l’avidité croissante de ses « élites ». Qualitativement, c’est particulièrement le cas des ressources mentales et spirituelles, par la dégradation des systèmes éducatifs (davantage propres à fabriquer des clones de la pensée unique qu’à produire des libres penseurs) et par celle des religions qui se sont enfoncées dans le matérialisme, bien loin de leur vocation fondatrice, au point de perdre presque entièrement leur pouvoir de guidance morale et spirituelle sans avoir été remplacées par quoi que ce soit d’autre de viable en la matière.

En conséquence, le seul moyen pour les élites de permettre la survie de cette civilisation dont elles ont pu prendre le contrôle est de réduire d’une manière ou d’une autre la consommation des ressources afin de retrouver un équilibre entre leur besoin et leur disponibilité. Et pour cela, il n’y a pas trente-six manières possibles. Soit on diminue drastiquement le niveau de vie moyen par habitant, soit on réduit considérablement la population des consommateurs de ressources, au besoin par une guerre mondiale thermonucléaire, ou par une voie plus lente et moins visible consistant à stériliser et/ou empoisonner cette population à petit feu (par les pesticides, par les campagnes massives de vaccination, par les matières plastiques en tant que perturbateurs endocriniens, par les nombreux additifs alimentaires, par des graisses alimentaires et des sucres artificiels, par les toxines issues de la pétrochimie, par l’uranium appauvri sur les nombreux champs de bataille, par les micro-ondes pulsées, etc.).

La politique n’est qu’un des systèmes utilisés dans l’exploitation et la distribution des ressources. Si le système politique d’une civilisation s’effondre, c’est que des ressources viennent à manquer pour la totalité ou pour un trop grand nombre des membres de la civilisation. Actuellement, la politique est contrôlée par la finance et contrôle à son tour les armées. Cependant, son rôle n’est plus indispensable aux élites qui peuvent se permettre de financer directement leurs armées privées.

Les armées sont un des moyens de voler des ressources ou d’empêcher de les voler. Elles sont utilisées dans les civilisations primitives dont le niveau de conscience n’est pas encore suffisamment avancé pour connaître le partage équitable et l’absence de gouvernements. Pour tenter de perpétuer la civilisation terrestre qui leur a tant servi, les élites au vingt et unième siècle gagnent à détruire les nations, pour ainsi démanteler les armées dont ces dernières disposent. Et parallèlement, elles financent leurs propres armées de mercenaires et/ou de terroristes et leurs propres services secrets.

Au vu des données et conditions précédemment évoquées, il n’y a probablement que trois grandes voies pour que la civilisation actuelle ne s’effondre pas plus ou moins complètement et ne retourne pas à l’âge des cavernes ou au Moyen-âge.

  • La première est la finalisation du Nouvel Ordre Mondial par
    les élites, de manière à s’assurer définitivement (ou presque) le
    contrôle sur les armées et sur les ressources, après avoir déjà pris le
    contrôle des autres systèmes dans la plupart des pays du monde :

    • politiques (par la corruption presque généralisée et les
      nombreux squelettes dans les placards, par le financement des
      principaux partis politiques, toutes tendances confondues)…;
    • économiques (OMC, multinationales privées, banques
      centrales);
    • médiatiques (grands médias contrôlés par quelques
      poignées de magnats de la finance ou de l’économie);
    • de santé (OMS, financement des facultés de médecine,
      multinationales de la pharmacie)…;
    • judiciaires (CPI);
    • éducatifs (financement des grandes universités,
      orientation des lois scolaires par la corruption politique, etc.);
    • etc.

  • La seconde est une prise de conscience spontanée d’une
    masse critique d’individus capables d’infléchir la dérive
    surconsommatrice et les aberrations du Système actuel (hypothèse très
    peu probable).
  • La troisième est l’intervention d’une civilisation
    supérieure de manière suffisamment habile et subtile pour éviter que le
    contact ne soit un facteur additionnel de l’effondrement (hypothèse
    guère plus probable), car dans un tel cas, un impact majeur pourrait
    avoir lieu sur les ressources psychologiques, mentales, psychiques et
    spirituelles.