Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »

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Ariane Bilheran est normalienne, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie et auteure de plus de vingt-cinq ouvrages. Ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel. Depuis le début de la crise Covid, elle fait partie de ceux qui ont tôt fait de déceler les incohérences et les abus des politiques mises en place. Depuis la Colombie, où elle réside, cette observatrice du psychisme humain a accepté de nous livrer son regard sur la situation actuelle.

Amèle Debey, pour L’Impertinent : En tant que docteure en psychopathologie, qu’est-ce qui vous frappe le plus dans la situation que nous vivons depuis 18 mois?

Ariane Bilheran : La violence des décideurs sur les populations, le harcèlement exercé sur les populations, à tous les niveaux. Idéologie, manipulation de masse, violence économique, violence sur les corps, censure, atteintes à la liberté d’expression.

Un de vos domaines d’expertise est les déviances du pouvoir. Ce qui se passe en ce moment à de quoi nourrir votre réflexion?

Oui. Dès avril 2020, j’ai écrit un article appelé Totalitarisme sanitaire: «c’est pour ton bien»… Le mal radical. C’était encore un gros mot, on n’avait pas le droit d’en parler. Mais depuis, cela a fait son chemin. Après, j’ai éprouvé le besoin d’écrire un autre article en août que j’ai appelé Le moment paranoïaque, où j’ai trouvé l’expression de «déferlement totalitaire» qui, depuis, a bien circulé. Et puis, en décembre, je me suis exprimée sur Radio Canada à propos du totalitarisme actuel dont on voit la manifestation.

Grâce à mon expertise, j’en ai repéré les symptômes très tôt: dans le caractère idéologique, c’est-à-dire le fait de présenter comme une vérité une fiction mensongère tout en demandant l’adhésion de la population à cette fiction. Le passage à l’acte: les obligations de confinement, la suppression des droits les plus élémentaires; les paradoxes permanents.

«La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt»

En Amérique du Sud par exemple, empêcher les gens d’aller travailler ne peut pas être dans l’intérêt de leur santé, parce que lorsqu’on n’a pas de source de revenus fruits de notre travail pendant plusieurs mois, et qu’on n’a pas d’aide, ce n’est à priori pas ce qui va nous mettre en bonne santé!

La souffrance engendrée sur les populations m’a frappée très tôt. De la même façon, il y a une notion qu’on appelle le clivage, en psychologie, qui consiste à diviser un collectif en deux populations irréductibles qui ne peuvent plus s’entendre entre elles. Car l’une étant sous perfusion idéologique. Elles ne peuvent plus communiquer.

J’ai travaillé pendant longtemps dans des organisations du travail. Quand elles devenaient pathogènes, créatrices de troubles psychosociaux au travail, j’en repérerais les mécanismes à différentes échelles. Que ce soient les manipulations émotionnelles, les contradictions, les mensonges, les paradoxes sur les discours, le fait de réduire la complexité du réel à un seul paradigme, à un seul paramètre, tout cela m’a paru quand même assez fou.

On voit que ce sont les pays les plus riches qui ont réagi de la façon la plus disproportionnée. N’étions-nous pas installés dans une sorte de confort?

Je ne sais pas si la première phrase est juste. Parce que la Colombie n’est pas un pays riche et nous avons eu six mois de confinement extrêmement sévère. Il y a eu beaucoup de pays pauvres où cela s’est également joué comme ça.

Par contre, dans les pays occidentaux, il y a eu beaucoup d’aides distribuées aux gens. Ils ont donc davantage eu l’impression que c’était pour leur bien cette affaire, puisqu’on les prenait en charge. Il y a donc eu moins de dissonances au départ sur ce point. La différence est sans doute là.

Certains pensent tout de même que ces mesures étaient tout à fait justifiées.

J’ai une seule question pour eux: on sait qu’en 2020, ne serait-ce que pour l’Amérique du Sud, les décisions politiques ont plongé dans la misère plus de 20 millions de gens. Près de 30 millions en 2021. Est-ce qu’on peut prendre soin de sa santé lorsqu’on est dans la pauvreté extrême? Est-ce vraiment justifié? Est-ce vraiment une politique tout à fait mesurée, équilibrée, qui prend en compte différents paramètres?

Est-ce que la docilité des gens vous a surprise?

Oui et non. D’abord, je pense que tous les peuples ne réagissent pas de la même façon par rapport à leur passé. Au niveau européen, il y a souvent une croyance naïve que les gouvernants sont là pour notre bien. Ce qui fait qu’il est très compliqué de remettre en question deux choses: les gouvernements ne nous veulent pas du bien, mais en plus ils nous veulent sciemment du mal.

Vous pensez vraiment que les gouvernements nous veulent sciemment du mal?

Peut-être pas tous. Mais je pense en effet que les décideurs à haut niveau et en particulier les soi-disant philanthropes qui, avec leurs milliards, auraient de quoi faire de la planète un paradis, nous veulent sciemment du mal.

Dans quel but?

A partir du moment où vous avez confisqué la majorité des richesses au détriment d’une plus grande population, cette population représente une menace pour vous.

C’est pourtant celle qui fait fonctionner le système, non? Ils ont forcément besoin de nous.

Dans quelle mesure ont-ils besoin de nous, je n’en sais rien. Ça ne me paraît pas évident. Nous sommes vus comme des pollueurs, des parasites. Je crois qu’à un moment donné, la question d’accumulation de richesses à un stade qu’on ne peut pas se représenter, ni vous, ni moi, fait tourner la tête si elle n’était déjà pas solide avant. Ça crée un gouffre incommensurable entre les pauvres et une toute petite minorité d’une classe extrêmement riche qui prétend dicter à la planète toutes sortes de choses. Et qui fait des gouvernants de simples exécutants.

On voit bien que si les gouvernements étaient autonomes, ce ne se serait pas passé comme ça. Or, la marche de manœuvre pendant la crise était assez réduite, puisque tout le monde a appliqué à peu près la même politique. Et pas dans l’intérêt des peuples.

Vous disiez récemment qu’il s’agissait d’une guerre des riches contre les pauvres?

Oui. Encore une fois je pense que l’on observe l’arbre à ses fruits. On a un appauvrissement toujours croissant de la pauvreté et un enrichissement toujours plus grand de l’autre côté. Il y a des gens qui s’enrichissent considérablement sur la crise. On a basculé l’immense majorité de la population mondiale dans une extrême pauvreté, sans se préoccuper des impacts sur la santé.

Il y a une intention de nuire, totalement assumée dans les discours d’ailleurs, dans les projets. Il y a un très fort déficit d’empathie de la part de cette micro-caste de très, très riches par rapport au reste de l’humanité. C’est à cela qu’on caractérise le harcèlement, d’ailleurs. Une partie des citoyens doit se sacrifier pour le bien commun. C’est une logique totalitaire. On se rend compte que ceux dont on exige le sacrifice sont à peu près toujours les mêmes.

Il semblerait qu’on ait amené les gens à confondre les conséquences des mesures prises avec les conséquences du Covid. On a donc créé le contexte pour qu’ils aient envie de cette servitude volontaire dont parlais La Boétie. Comment peut-on expliquer cette situation?

Sur le plan de la philosophie politique, on peut l’expliquer par le fait qu’a été mis en place de façon assez clair et un peu partout un régime totalitaire. Il rencontre de la résistance ça et là, mais c’est le projet.

Pourquoi totalitaire, parce qu’il vise la domination totale des individus, la rupture des classes, de l’appartenance sociale, des familles, jusqu’à l’intrusion dans l’intimité de la personne. Pour que le projet totalitaire fonctionne, il doit se maintenir au pouvoir grâce à la terreur, donc il faut un ennemi. Visible ou invisible. Auquel on va faire la guerre, pour justifier le terrorisme de l’État. Pour justifier aussi la suppression des libertés et des droits. Il faut une idéologie. Un discours qui mette en scène un ennemi contre lequel on va partir en guerre et qui, supposément, nous met en danger de mort. Il va falloir construire pour cela un discours mensonger, complètement déconnecté de la réalité de l’expérience. Mais afin qu’il puisse avoir une certaine légitimité, il faut qu’il évolue en permanence, pour empêcher qu’il soit figé et donc soumis à la critique.

Il faut que l’idéologie réussisse à modifier la réalité. Ce n’est donc plus la réalité de l’expérience qui fait foi. Avec l’idéologie, on va modifier l’expérience pour qu’elle corresponde à ce qu’on est en train de raconter.

Par exemple, si on désigne telle population comme paria, comme danger pour la nation, on va faire en sorte qu’elle devienne dangereuse. On va l’exclure économiquement, lui supprimer ses droits. Si on veut démontrer qu’elle met en danger la santé des individus, on va la mettre elle-même dans des conditions d’hygiène précaire, etc., etc. De telle sorte que le retour de la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

«On crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie»

En 2020, on n’a pas du tout pris les mesures nécessaires pour soigner. Au contraire, il y a eu une grande exposition des gens sur le plan de la santé. J’ai pris l’exemple économique tout à l’heure: quand vous n’avez plus à manger, que vous ne pouvez plus payer vos factures, comment faites-vous pour vous alimenter correctement, ne pas être dans l’angoisse et la précarité, vous protéger au niveau de votre santé et de votre immunité ainsi que vos enfants? Ce n’est donc pas du tout une politique en faveur de la santé, mais une politique de précarisation qui a eu lieu dans de nombreux pays du monde et qui a entraîné davantage de troubles de santé.

Quand on interdit à des médecins de prescrire ou de soigner, on crée des maladies. Quand on renvoie les gens chez eux avec du doliprane, on crée les conditions pour que la réalité finisse par correspondre à l’idéologie.

Comment peut-on expliquer que la majorité des gens ne se rendent pas compte de tout cela? N’y a-t-il pas un fonctionnement, au niveau du cerveau, qui fait que nous ne sommes pas capables d’envisager certaines réalités trop éloignées de notre ligne de pensées, au risque de devenir complètement fous?

Tout à fait. C’est lié à la violence. Il y a eu des chocs traumatiques répétés envoyés aux populations. De diverses manières, avec différents décors. Et ces chocs traumatiques ont été créés par les discours politiques, par les décisions prises, dont l’absurdité et l’arbitraire ont cassé tous les repères des gens. Il faut savoir que cette violence entraîne, pour le psychisme, la mise en place de mécanismes de défense. Le meilleur exemple: quand vous subissez un traumatisme grave, cela peut déclencher une amnésie. C’est un mécanisme de défense. Ou, encore une fois, on peut être dans le déni: le réel est tellement insupportable que je ne peux pas me le représenter.

Donc je pense que moins on s’attend à la violence, plus on est vulnérable, comme c’est le cas des pays occidentaux qui ont l’habitude de fonctionnement plus équilibrés. Nier la réalité de la violence, ou la justifier, dans la mesure où il y a en face un discours très séducteur du type «on fait ça pour votre bien»: c’est très tentant d’y entrer. Je pense que la majorité des gens, et c’est bien normal, ne parvenant pas à comprendre ni accepter l’existence de la violence que ça véhicule, régressent sur le plan psychologique et se laissent prendre en charge par le discours dominant.

Il y a également une bonne partie de gens qui préfère tout simplement ne pas s’interroger et suivre le mouvement, sans chercher à savoir si ce qu’il se passe est normal ou non.

Oui, alors là c’est le syndrome du fonctionnaire qui fonctionne. C’est-à-dire qui préfère restreindre son champ de pensée et le réduire à la tâche qu’il a à exécuter. Car s’il devait penser vraiment ce qu’il se passe, probablement qu’il pourrait en devenir fou.

Je pense que le psychisme protège, jusqu’à un certain point, les gens de ce basculement. De cette désintégration psychique.

On constate aussi que ce n’est pas une question d’intellect, de connaissances, ni de niveau d’éducation. L’autrefois philosophe Raphaël Enthoven en est le parfait exemple.

D’abord, c’est lié à une solidité psychologique et non pas à une intelligence. C’est lié à la capacité d’être ancré dans plusieurs choses et dans la capacité d’affronter la solitude, même si la majorité du groupe se désaxe. Ancré dans quoi? Dans le rapport à la réalité. Dans le désir de vérité. Dans la valeur morale de se rendre compte, dans le réel, qu’on fait du mal aux gens.

Il y a des profils très hétérogènes qui peuvent se retrouver dans une prise de conscience, mais tous sont caractérisés par plusieurs choses: d’abord, ils ont un fort ancrage dans la réalité, des gens qui ont plein de bon sens, des gens qui ont d’autres références, y compris chez leurs ancêtres, qui leur permettent d’apprécier d’une autre façon ce qu’il se passe, de sortir du discours dominant. Ensuite, ce sont des gens qui questionnent la légitimité de l’autorité; ils n’obéissent pas pour obéir, mais parce que le discours de l’autorité a du sens. Et enfin, la caractéristique commune à chaque fois, c’est de ne pas se satisfaire d’un à peu près au niveau de la vérité. Il y a une recherche de vérité, de compréhension. Et le quatrième point: ce sont des gens qui sont capables de faire face à l’isolement. Parce qu’en ce moment, penser au vent contraire, c’est être exposé au harcèlement, à l’isolement, à l’insulte, à la censure et pour cela, il faut avoir une sacrée solidité psychologique.

Il faut bien se dire que le système devient fou, mais que quand on fait partie du système parce qu’on y a des avantages, des privilèges et que remettre en question la doxa dominante impliquerait de perdre ces privilèges et sa place dans ces groupes d’appartenance (groupes de pairs notamment), tout le monde n’est pas prêt à le faire. Je connais des gens qui ont des doubles discours. Des discours publics et des discours privés. Donc ils ne sont pas si naïfs que ça.

Pourtant, j’avais tendance à penser que Raphaël Enthoven pouvait réunir ces caractéristiques.

Il fait sans doute partie de groupes d’appartenance (par exemple, l’intelligentsia parisienne) qu’il n’est pas prêt à quitter. Et ces groupes d’appartenance ont fait cette allégeance-là. Cela met tout le monde face à des conflits de loyauté.

C’est à dire?

On voit le prix qu’ont payé certains scientifiques, certains universitaires et certains chercheurs à dire leur vérité. Si l’on n’est pas prêt à payer ce prix-là et si son groupe d’appartenance exige de manière implicite ou explicite une adhésion au dogme, pour accéder aux privilèges du sérail, on est réduit à une forme de soumission, consciente ou non.

Quand Laurent Mucchielli se fait dédire par le CNRS, la question est de qui dépend le CNRS? Qui a peur de perdre sa place? Je ne suis pas sûre qu’il n’y ait que des endoctrinés là-dedans, si vous voulez. Je suis même sûre du contraire. Il y a des sommes d’intérêts, de corruptions, de peurs. Certains s’empêchent eux-mêmes de critiquer, de penser, pour ne pas perdre ces privilèges. Le plus ironique est que, souvent, ce sont les mêmes qui ont hurlé à la défense de la liberté d’expression en France.

De manière plus générale, la collaboration des intellectuels avec les régimes totalitaires n’est pas nouvelle. Hannah Arendt avait exprimé son dégoût des intellectuels dès le début des années 1930; Klemperer avait été sidéré par l’opportunisme de certains universitaires; Günther Anders avait dit son aversion pour la complaisance active d’Heidegger, en particulier car ce dernier avait tous les outils de philosophie politique pour penser ce qu’li se passait.

Vous disiez aussi que la crise sanitaire était un peu l’aboutissement d’une déliquescence qui a débuté il y a longtemps. Que vouliez-vous dire?

Le totalitarisme, c’est considérer que les individus sont des cellules interchangeables d’un même corps au sens propre, avec la suppression totale et l’éradication totale de toute singularité. La singularité c’est le fait qu’aucun individu n’est comparable à un autre sur Terre. Que tout le monde est unique, différent, avec l’humanité en partage, où «rien d’humain ne m’est étranger». Le totalitarisme est la proposition inverse.

Dans l’idée que nous sommes tous des cellules d’un même corps, il y a l’idée qu’il faut sacrifier les cellules cancéreuses, celles qui s’autonomisent du corps. Donc l’individu n’est pas sacré en soi, mais plutôt quelque chose qui peut être éliminé si on en a besoin. Et je pense que cela est en cours depuis très longtemps. C’est une perte à la fois de la transcendance, de la transmission, de valeurs morales et spirituelles. Et en même temps, c’est la profanation de tous les individus. «Vous ne pourrez plus rien cacher», c’est la proposition totalitaire: l’exact inverse de la pudeur, socle de la civilisation selon Hegel. On doit cacher notre intimité, c’est un devoir, elle ne peut pas être profanée sous peine de sombrer dans la barbarie.

C’est en cours depuis longtemps, on le voit dans l’évolution du management au travail, dans la prolifération des écrans pour les enfants: ce sont des façons d’abraser complètement le sujet et de le nier dans ses besoins propres pour en faire un bon consommateur. On va mettre les gens dans des cases, où ils vont devenir a minima des instruments de production, et quand ils ne servent plus, qu’ils sont inutiles du point de vue de la production capitalistique, on les jette.

Tout cela est le total inverse des valeurs qui ont été le socle de notre civilisation, mais ça fait longtemps que c’est à l’œuvre.

Mais qu’est-ce qui a déclenché tout ça? C’est à l’œuvre depuis combien de temps, selon vous?

C’est difficile à dire. Je pense qu’il y a une conjonction de plusieurs facteurs et ce n’est pas exhaustif: premièrement, le transhumanisme est la référence nazie par excellence, celle du surhomme. Cela veut dire que le nazisme, dans sa valeur première de recherche d’immortalité matérielle et de surhomme humain, qui en même temps est un humain modifié, n’est pas mort. L’idéologie de fond n’est pas morte. Le nazisme n’a pas été totalement pourchassé, il a fait des petits dans les sectes idéologiques de pouvoir qui ont pour vocation à s’étendre et visent l’expansion. Je pense que la question de la conquête idéologique d’un pouvoir mondial par des sectes occultes est rarement abordée, mais devrait être étudiée de très près. Mais ce n’est pas suffisant.

Le deuxième point, c’est le développement technologique. On arrive à une époque – on y est sans doute depuis Hiroshima – où on n’arrive pas à se représenter, ni imaginer ce que les outils que nous créons sont capables d’engendrer. L’humanité engendre des monstruosités qu’elle n’a pas forcément les moyens de freiner, comme l’illustrent la création des chimères, le clonage, les trafics génétiques… Je pense que cela est aussi à œuvre.

«Nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs»

Si on regarde du point de vue de l’instruction publique, il y a eu une volonté délibérée de supprimer l’apprentissage auprès des enfants. Ces sonnettes d’alarme ont été tirées par les enseignants. Il y a quand même un pouvoir qui orchestre le fait de rendre les citoyens dociles. Mais ça n’est pas nouveau. C’est la nature du pouvoir de comploter pour se maintenir. La question nouvelle, c’est que nous nous sommes laissé destituer des contre-pouvoirs.

Peut-être, mais ça n’est qu’une hypothèse, que l’ère de la jouissance et de la consommation à tout va a fait s’effondrer les individus moralement. Mais c’est compliqué de répondre à cette question et je pense que la nature est polyfactorielle. En même temps, c’est presque inéluctable.

La seule question qui aurait dû occuper l’humanité après la deuxième guerre mondiale, c’est: comment en est-on arrivé à un tel degré d’autodestruction? Les gens ne se sont pas tellement préoccupés de cette question. Ils ont voulu récupérer la vie; ils ont été incités à jouir de tout, mais cela aurait dû les préoccuper. Tout comme le fait que des chefs d’État aient aujourd’hui la possibilité de balancer des Hiroshima bis devrait nous préoccuper. Günther Anders n’a cessé de tirer la sonnette d’alarme. Pourquoi avons-nous la capacité de nous autodétruire? Pourquoi la majorité des gens préfère être dans la jouissance plutôt que dans cette conscience, qui est certes très austère? Parce que ce n’est pas très marrant de se poser la question de notre responsabilité. C’est plus confortable de se laisser régresser dans un statut de consommateur.

Vous avez des réponses à cette question ? Pourquoi en est-on arrivés là?

Il y a eu, en tout cas du point de vue du développement des technologies de masse, de la publicité, du marketing etc. un encouragement, une dérégulation qui ont fait que les individus n’ont plus été protégés, en particulier de l’émergence de ces nouvelles technologies, des écrans. Et à partir du moment où l’on contrôle un cerveau et le temps de cerveau disponible, on contrôle toute possible révolte de la part des citoyens. C’est un peu le monde de Huxley.

Ne pensez-vous pas que cette crise peut être une opportunité? Tout ce qui se passe est tellement gros que ça ne peut que déclencher une révolte et aboutir sur quelque chose de positif, non?

Je ne sais pas, peut-être. Il me semble que c’est un peu David contre Goliath pour l’instant. On peut toujours espérer un miracle.

Comment expliquer l’apathie totale de la gauche? Et qu’il faille finalement compter sur la droite, voire l’extrême-droite, pour s’opposer aux mesures?

Ma réponse est peut-être un peu trash, mais je pense que la politique n’est plus du tout représentative des aspirations des peuples. C’est une caste qui se reproduit entre elle, selon des codes d’initiation conférés, et qui a trahi les peuples depuis longtemps. Quelle qu’elle soit. Ils roulent pour leur pomme. Les États sont managés comme de grandes entreprises, avec des actionnaires de l’ombre et des gens qu’on va placer aux commandes. On les remplace lorsqu’ils ne conviennent plus. On va orienter des sondages, des votes, jusqu’à les trafiquer dans certains pays.

L’Impertinent a publié plusieurs articles sur la maltraitance des enfants, car l’état dans lequel se retrouve la génération de demain m’inquiète beaucoup. Quel est votre avis là-dessus ? A quoi vont ressembler les adultes dans 10 ans?

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que, du point de vue psychologique, la psychose paranoïaque produit des traumatismes en chaîne, des dissociations traumatiques et donc de la schizophrénie. On risque donc d’avoir, sur des esprits fragiles, une augmentation exponentielle des taux de suicides et une augmentation des pathologies de type schizophrène chez les enfants. C’est gravissime. Tous les totalitarismes s’en prennent systématiquement aux enfants, les endoctrinent, poussent à la délation, divisent les familles, tournent les enfants en opposition contre leurs parents, etc. On est dans cette politique-là.

J’observe que certains de mes collègues passent beaucoup plus de temps à dénoncer les complotistes qu’à enquêter sur les véritables sujets et je me demande s’ils n’ont pas une part de responsabilité dans la radicalisation de certaines minorités?

Pour la radicalisation des minorités, il faut comprendre que le régime totalitaire fonctionne sur un mode paranoïaque. Mais la paranoïa est partout. C’est une structure collective, non un psychisme seul. C’est la notion de la méfiance tous contre tous. Il va donc y avoir, dans l’opposition, des phénomènes en miroir de ceux qui sont dénoncés dans cette fameuse opposition. Finalement, pour certains, il peut y avoir aussi une vraie folie en miroir. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux assimilations qui sont faites.

Dans l’idéologie sur la santé qui nous occupe, il y a la création d’une nouvelle langue. Celle-ci inclut a minima plus de 60 nouveau mots et d’expressions détournées de leur sens. A partir du moment où cette nouvelle langue est acceptée (comme le terme «complotiste» d’ailleurs, avec lequel on croit faire allusion à une certaine réalité mais sans savoir exactement bien laquelle, chacun y met de sa subjectivité interprétative), cela crée une adhésion au système. Si les opposants à cette politique générale acceptent cette nouvelle langue, ils en deviennent les promoteurs. C’est donc très compliqué. On le voit déjà à un tout petit niveau avec les anglicismes. Le terme «narratif» n’existe en français que comme un adjectif. Le terme exact est «narration». Pourtant, moi comprise, nous avons souvent utilisé «narratif» au lieu de «narration». C’est de la colonisation linguistique.

Tout cela fait qu’on n’a plus la capacité de se représenter la réalité au travers de notre patrimoine, qui est une langue commune que nous partageons. Et, en prime, on n’a plus la capacité de communiquer avec les autres. Pour ce faire, il faudrait rentrer dans la nouvelle langue, mais elle n’a plus la capacité de désigner la réalité de l’expérience. Donc les dés sont pipés.

On entend régulièrement, depuis près de deux ans, les gens nous dire que cette crise est bientôt finie. Comment est-ce que vous voyez les choses se terminer?

Mal. Le problème c’est qu’une fois qu’on est entrés dans l’idéologie, elle ne va pas lâcher le morceau. Cette histoire, je la vois se terminer de deux façons possibles: soit en guerre, soit en autodestruction qu’il ne va pas être possible de cacher. Ou les deux. Pour sortir de l’idéologie, il faut que la réalité soit suffisamment difficile pour que les gens se réveillent. Un peu comme dans les sectes desquelles les endoctrinés parviennent à se sortir lorsqu’un événement suffisamment grave est survenu.

Tout ceci va mal se terminer. Par une recrudescence de violence. Y compris dans l’opposition qui fera qu’elle pourra même ressembler à ce qu’elle dénonce. Ceux qui n’ont pas compris en théorie devront comprendre en pratique. À partir du moment où vous niez qu’il y a une porte devant vous, vous allez devoir vous la prendre en pleine figure pour accepter son existence. Hannah Arendt disait que le totalitarisme s’effondre quand les masses cessent de croire. Le problème c’est qu’on n’y est pas.

Et si cela s’arrêtait simplement, dans quelques mois, avec la levée totale de toutes les mesures et qu’on décidait enfin de vivre avec ce virus?

Non, parce que le sanitaire est un prétexte à une gouvernance mondiale de type totalitaire. À une mise sous contrôle totale de l’individu, dans ses mouvements, dans ses réflexions, dans ses faits et gestes. Ça ne marchera pas parce que ce n’est pas compatible avec la nature humaine. Mais ça ne veut pas dire que ça ne va pas créer des dégâts immenses. C’est déjà le cas.

Le site d’Ariane Bilheran, c’est par ICI!

[Voir aussi :
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Les mécanismes des régimes totalitaires
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Le contrôle mental au temps du Covid]




Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent

Par Alain Tortosa

Chaque nouveau mensonge couvre le mensonge précédent.

La somme des mensonges rend l’émergence de la vérité de plus en plus difficile.

Jusqu’au jour où le château de cartes s’effondrera.

Les médias et les politiques ont menti de tout temps, ce qui est probablement dans leur ADN.

Mais depuis début 2020, nous battons tous les records.

Même lors du premier confinement, les sondages indiquaient déjà (et ceux-ci n’ont pas été infirmés par une révolte de la rue) que plus de 90 % des Français approuvaient la mesure.

Je vous rappelle qu’il y a avait officiellement à ce moment-là 7 000 morts présumés (car non testés) sur la planète et 149 en France. Les Français avaient forgé leur intime conviction non pas sur une réalité épidémique et des cadavres dans la rue, mais sur un modèle mathématique (frauduleux ?) relayé par tous les médias et les médecins de plateau.

Si le 17 mars vous disiez à votre voisin : « Ce virus n’est rien d’autre qu’une grippe et les confinements sont inefficaces et dangereux », votre discours était déjà, à ce moment-là, totalement inaudible.

Alors imaginez-vous entrer en discussion aujourd’hui avec un convaincu triplement injecté (hypothèse délirante, car il refuse tout échange).

Mais imaginons que vous alliez vers lui pour lui dire :

« L’étude gouvernementale qui confirme l’efficacité à 90 % des injections géniques est un faux grossier qui va à l’encontre des protocoles et de toutes les données internationales connues sur la vaccination Covid. »

Interrogé par votre affirmation il pourrait alors vous répondre par une série d’autres questions :

« Et le fait que le vaccin soit efficace contre les formes graves c’est un mensonge ? »

Question à laquelle vous répondriez par l’affirmative et lui de poursuivre :

  • « Et le fait que la vaccination a permis de contrôler le virus et éviter une 4e vague terrible, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les hospitalisés sont majoritairement non vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination limite la propagation du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la 3e dose va protéger les plus faibles et permettre de ralentir encore plus le virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la vaccination entraîne très peu d’effets secondaires, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin n’a entraîné aucun décès et que les vaccinés décédés ne le sont que de leurs comorbidités, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour les enfants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les enfants ont un bénéfice propre à se faire vacciner au-delà de l’acte solidaire, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne présente aucun danger pour la femme enceinte et le fœtus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ne peuvent pas favoriser les variants, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les pays qui ont une mauvaise couverture vaccinale ont plus de morts, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les vaccins ont subi toutes les étapes de sécurité, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que nous avons la garantie que les vaccins sont sans danger, car inoculés à plus d’un milliard de personnes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’ARNm est déjà utilisé sans problème depuis des années, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin ne puisse absolument pas interagir avec notre ADN et/ou créer des maladies auto-immunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que seul le vaccin nous permettra de venir à bout du virus, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que si 100 % des personnes sont vaccinées le virus disparaîtra, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il faille absolument vacciner les enfants pour parvenir à l’immunité vaccinale de masse, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le vaccin est vraiment efficace, mais que les non-vaccinés sont dangereux pour les vaccinés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on connaît parfaitement la composition des vaccins, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les couvre-feux d’une population en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le passe-sanitaire sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la fermeture des commerces non essentiels sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le confinement de la population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’État a fait ce qu’il pouvait et ouvert de nouveaux lits, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les gestes barrières en population générale en bonne santé sauvent des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port du masque en population générale en bonne santé sauve des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le port prolongé du masque est inoffensif y compris pour les enfants les plus jeunes, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’existe aucun traitement efficace contre le Covid, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que la Chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces, mais surtout dangereux, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que toutes les études sérieuses prouvent que ces molécules sont inefficaces c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait d’avoir interdit les médecins de prescrire a sauvé des vies, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on a jamais empêché de soigner et que l’on n’a jamais terminé des vieux au Rivotril, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que l’on ne disposait que du paracétamol sous la main, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que le Sars-cov2 est extrêmement dangereux, largement plus que la grippe, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que tout le monde peut en mourir ou avoir de graves séquelles y compris les enfants et les personnes en parfaite santé, c’est un mensonge ? »
  • « Et sur le nombre de cas, d’hospitalisés, de personnes en réanimation, de morts… c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait qu’il n’y a pas de censure en France, que seuls les propos dangereux sont supprimés, c’est un mensonge ? »
  • « Et le fait que les prétendus bons résultats d’autres pays que la France ne sont pas comparables, c’est un mensonge ? »
  • Etc. (j’en ai certainement oublié).

Oui, oui, oui… et encore oui… pour TOUT !

(Il y a bien eu quelques bribes de vérité durant la crise.
Par exemple lorsque M. Véran, emporté dans son élan, affirmait que telle ou telle mesure ne servait à rien, mais se ressaisissait par la suite en balayant ses propos de la veille.)

Et mon interlocuteur convaincu qu’il n’y a pas eu de mensonges systématiques, de me demander :

« Alors pour toi tout est faux, on nous ment sur tout, toute l’OMS est corrompue, tous les médecins sont corrompus, tous les politiques sont corrompus et tous les journalistes sont complices ? »

M’obligeant à répondre : « Oui, les autres n’ont pas la parole, sont poursuivis ou sont terrorisés ».

Alors bien sûr, il a pu arriver que pour telle ou telle mesure, le convaincu hypnotisé ait ressenti quelques doutes sur une mesure. Quand on lui disait qu’il ne pouvait pas y avoir de clusters dans une rame de métro bondée, mais qu’il ne fallait pas dépasser 4 personnes dans une boutique, ça a pu quand même interroger le plus aveugle des non-voyants… comme le fait d’interdire de se promener sur une plage déserte en plein hiver, mais avoir le droit d’aller dans un supermarché.

Sa bouée de sauvetage prenait alors une des formes suivantes :

  • « Les humains sont idiots et nous assistons à une accumulation de bêtise humaine. »
  • « On apprend tous les jours du virus, on ne savait pas. »

Mais rien qui puisse laisser supposer qu’il pourrait y avoir quelque intention de nuire de la part de nos dirigeants ou de Big Pharma.

Afin de pouvoir échapper à ces interrogations sans réponse, la personne « intelligente » va poser la fameuse question bateau suivante, pour balayer toute argumentation d’un revers de manche.

« Pourquoi feraient-ils cela ? »

N’ayant pas de réponses (ou de preuves par rapport à des hypothèses), le convaincu s’autorise alors à jeter aux oubliettes le bébé avec l’eau du bain.

C’est comme si un inspecteur arrivait sur les lieux d’un crime et, en consultant la scène, voyait un cadavre, des traces de lutte, du sang partout et un couteau ensanglanté…
Bref qu’il ait sous les yeux des preuves qu’il y a bien eu un assassinat.
Puis soudain une personne « censée » (donc non-complotiste) arrivait et posait la question suivante :

« Mais qui, mais pourquoi, dans quel but ? »

[Note de Joseph Stroberg : bien des « complotistes » peuvent proposer des réponses.
À la question « Qui ? », ils pourraient répondre : les élites psychopathes qui détiennent les leviers de la finance mondiale.
À « Pourquoi ? », ils pourraient répondre : pour liquider 90 % de l’Humanité sans se faire accuser du crime et pour asservir les survivants.
À la question « Dans quel but ? », ils pourraient répondre : pour nettoyer la planète, sachant qu’aux yeux de ces élites, nous ne sommes que des « sans-dents », des « vaux », des quantités et des qualités négligeables. Maintenant qu’ils développent grâce à nous des robots et qu’ils rêvent eux-mêmes à l’immortalité qu’ils croient promise par les machines sous forme de surhumains transgéniques ou de cyborgs, ils pensent pouvoir se passer de 90 % des êtres humains pour continuer à exploiter la planète à leur profit.
De telles réponses paraîtraient bien sûr particulièrement délirantes aux yeux d’un convaincu vacciné.
Sont-elles pour autant fausses ?]

Et l’inspecteur de répondre bien évidemment qu’il n’a pas, en tous les cas pas encore, la réponse.
Et donc d’en déduire qu’il n’y a eu ni décès ni meurtre !

C’est exactement ce processus utilisé pour jeter aux oubliettes la réalité des faits dans la crise du Covid.

« Tu ne sais pas pourquoi et par qui tous ces mensonges ont été mis en œuvre au niveau mondial, c’est donc qu’ils n’existent pas et que tu es dans le délire en énumérant tous ces prétendus mensonges. »

Le fait de disposer d’indices concordants et de preuves pour chacun des mensonges n’est pas de nature à les rendre réels en l’absence de mobile.

Il est extraordinaire de voir à quel point il est facile de tromper le public.

Prenons l’exemple de l’HCQ et du Remdesivir.

  • Tout part de scientifiques chinois qui affirment, étude à l’appui, que l’hydroxychloroquine couplée à un antibiotique montre une efficacité.
  • Le professeur Raoult annonce en janvier sur l’IHU l’existence des essais pratiqués par des Chinois.
  • Immédiatement les médias et les médecins corrompus donnent la paternité de l’annonce non pas aux Chinois, mais au professeur Raoult. Premier mensonge.
  • Ces mêmes corrompus corrupteurs répandent l’idée que Raoult est un irresponsable incompétent, que la molécule est non seulement inefficace, mais dangereuse. Mensonge au moins sur la 1re et 3e assertion.
  • Le Remdesivir (hors de prix) est commandé en masse par l’Union Européenne et la promotion en est faite (alors même que son efficacité n’est pas prouvée et que sa dangerosité est prouvée). Mensonges.
  • La fameuse étude du Lancet annonce la mise à mort de l’HCQ (alors que cette étude est un FAUX). Mensonges.
  • Le Ministre de la Santé fait interdire le produit sur la base de l’étude qui est un faux. Mensonges.
  • L’escroquerie sur le faux éclate au grand jour dans l’indifférence des médias et des politiques…

Dans un monde « normal », la molécule est, au minimum, réautorisée et les chercheurs du monde entier se mettent à l’étudier avec neutralité.
Et bien là non ! C’est l’inverse !
Tout ceci pour dire que même lorsque l’on amène la preuve d’un mensonge (une fausse étude dans l’illustre Lancet), cette preuve n’est pas de nature à réviser les croyances.

Toutes les études qui par la suite diront que la molécule est inoffensive et efficace à divers degrés seront étiquetées non fiables et toutes les autres avec des conflits d’intérêts concluant à son inefficacité seront validées par les scientifiques médiatiques et le gouvernement.

La science ne sert plus à RIEN, elle est corrompue, un simple outil au service de la manipulation des peuples.

Et je le redis encore, ils arrivent à transmettre leurs mensonges parce que le commun des mortels est foncièrement gentil et qu’il ne peut imaginer à quel point il existe des méchants.

Réfléchissons un peu sur la « vaccination » des enfants.

  • Les autorités SAVENT (et reconnaissent) que le Covid ne concerne pas les enfants en bonne santé.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le Covid long chez des enfants en bonne santé n’est que légende.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les « vaccins » n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant.
  • Les autorités SAVENT (l’ANSM le dit) qu’il y a des effets secondaires rares (à court terme), mais graves sur des enfants injectés en pleine santé.
  • Les autorités SAVENT qu’il y a des décès « étranges » chez des enfants injectés sans problèmes de santé connus.
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que les effets à long terme sont totalement inconnus, notamment pour la procréation (ils ont connaissance des problèmes sur les règles).
  • Les autorités SAVENT (et peuvent dire) que le rapport bénéfice vs risque d’une injection pour un enfant ne peut qu’être défavorable.
  • Les autorités SAVENT qu’elles manipulent et mentent quand elles comparent ces injections expérimentales en phase III aux vaccins obligatoires, vaccins qui ont plus de 20 ans et qui sont là pour prévenir des maladies qui tuent des enfants (à la différence du Covid).
  • Les autorités de l’Alberta SAVENT qu’un enfant de 14 ans avec une tumeur au cerveau de stade 4 n’est pas décédé du Covid. Alors, pourquoi le tester (et positif) deux jours avant son décès et le déclarer mort du Covid ?

Ils fabriquent sciemment de la peur et mettent en place un pass sanitaire pour les enfants afin de les contraindre à se faire injecter. Cet acte n’est pas de la bêtise ni de l’incompétence. Au regard de l’ensemble de ces faits connus, non-complotistes, publiés notamment par l’ANSM, nous pouvons affirmer qu’il y a une volonté objective de nuire aux enfants !

Les autorités décident sciemment de menacer la santé de millions d’enfants (de plus en plus jeunes).
Ils prennent sciemment le risque que des enfants aient des effets secondaires graves ou à vie.
Ils prennent sciemment le risque d’effets secondaires dans les prochaines années.
Ils prennent sciemment le risque que des enfants meurent de ces injections expérimentales.
Ils mentent sciemment aux enfants et aux parents en cachant volontairement ces faits.
Ils font taire ou dénigrent sciemment tous les scientifiques, médecins et lanceurs d’alertes qui rapportent ces faits.

Et ce alors qu’ils SAVENT que ces injections chez les enfants (et les autres) ne seront PAS de nature à réduire ou éradiquer le virus et que l’immunité vaccinale de masse est une chimère.

Ne me posez pas la question du « pourquoi » pour tenter d’occulter à nouveau ces vérités.

Pourquoi ces instigateurs qui sont des êtres humains, des parents, des grands-parents agiraient volontairement de façon aussi immonde ?
Je n’ai pas la réponse.
Mais regardez l’histoire du monde et des bourreaux, ceux-ci avaient bien souvent une famille, des enfants et cela ne les empêchait pas de commettre les pires horreurs.

Nous voyons bien une fois encore, que plus il y a de mensonges et plus il est impossible pour le commun des mortels de les voir, les débusquer et les remettre en question.

[Note de Joseph Stroberg : certaines hypothèses et certains faits exposés notamment dans l’article
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial laissent présager qu’il existe un plus gros mensonge chapeautant le tout, celui de la théorie virale qui veut que les virus soient de méchantes et minuscules bestioles qui pourtant ne répondent pas à tous les critères pour être qualifiées de « vivantes », puisqu’ils ne peuvent pas se répliquer seuls. Et au-dessus, il existerait même le mensonge de la théorie des germes qui veut qu’aussi les bactéries soient de méchantes micro bestioles, alors que dans le même temps le corps humain contient naturellement environ un million de milliards de virus dans son « virome » et des dizaines de milliers de milliards de bactéries dans son « microbiote ».

Si en réalité, les bactéries ne sont que des symbiotes des corps vivants végétaux, animaux et humains et si les virus ne sont que des composants naturels du corps participant au fonctionnement cellulaire (dans certains cas comme éboueurs, dans d’autres cas comme déchets, dans d’autres cas comme messagers, etc. selon leur forme et leurs spécificités, sachant notamment que les virus sont similaires aux « exosomes » ou aux « endosomes »), alors ils ne sont en fait pas contagieux, ni la cause véritable des maladies dont on les accuse, mais la simple conséquence d’empoisonnements du corps par diverses causes.

Sous l’effet des poisons et toxines que sont les pesticides, les additifs alimentaires, les adjuvants vaccinaux, les produits ménagers, les cosmétiques artificiels, les polluants atmosphériques, les matières plastiques, les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique, les thérapies géniques, mais aussi la peur et d’autres émotions négatives, le stress, les pensées négatives, et les ondes électromagnétiques pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), ainsi que par les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables, les cellules corporelles sont agressées en permanence. Il suffit alors de dépasser le seuil de tolérance par la dose de trop ou aussi par l’affaiblissement du corps (par le froid ou le manque de soleil en hiver, ou encore par la malnutrition et le manque de nutriments essentiels à son fonctionnement) pour que la maladie apparaisse.

Pour peu que les causes d’empoisonnement et/ou de déficience soient endémiques ou communes à un endroit donné (village, région, pays…), elles procurent l’illusion d’une contagion et même d’une contagion fulgurante dans certains cas.

Dans une telle perspective qui est peut-être la vérité et qui renverra alors un jour aux oubliettes les mensonges que sont la théorie virale et celle des germes, les prétendus « variants » ne sont que l’observation des variations génétiques virales entres ethnies et individus d’une part et selon les conditions de l’agression du corps d’autre part, ainsi que selon le modèle viral pris comme base de contrôle dans les processus d’analyse. De même, le prétendu affaiblissement des virus lors de nouvelles vagues épidémiques traduit seulement le fait que le corps est déjà habitué à réagir à certains poisons lorsqu’il s’y trouve de nouveau exposé et qu’il se nettoie plus vite dans le processus qui se traduit sous forme apparente de maladie.]

Le mensonge est en danger d’être dévoilé lorsqu’il est tout seul alors qu’il se renforce via l’apport des autres mensonges.
Dans ces conditions ma liste de faits sur les mensonges du Covid ou de la vaccination des enfants n’est peut-être pas exhaustive, mais tellement « délirante », pour quiconque nourri aux médias classiques, qu’il ne peut l’entendre.

Médias qui passent en plus leur temps à faire du « fact checking » en prenant bien soin de n’être qu’à charge et en ne donnant la parole qu’aux auteurs et complices des mensonges.

Plus les mensonges sont nombreux et délirants, plus ils passent et plus il s’ancre dans l’imaginaire que tout n’est que vérité.
Faire tomber ne serait-ce qu’un seul mensonge n’est pas possible pour le manipulé.
Cela l’obligerait à les regarder tous, un par un, et prendre le risque d’ouvrir une boîte de pandore.

Le risque pour la dictature est bien là et c’est bien pour cela qu’elle verrouille le système au maximum.
Si la vérité sort publiquement sur les morts dus aux injections alors le château de cartes s’effondrera.

[Note de Joseph Stroberg : si la théorie des germes et son corollaire la théorie virale sont un jour reconnues fausses par suffisamment de scientifiques, puis de politiciens et d’hommes ordinaires, alors les mensonges subséquents comme tous ceux liés à la crise Covid s’effondreront à leur tour, vaccination comprise (y compris pasteurienne).]

Merci.

Alain Tortosa.

22 octobre 2021, https://7milliards.fr/tortosa20211022-les-mensonges-se-nourrissent-de-mensonges.pdf




Explosion de la science et de la morale

Par Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Les médias produisent chaque jour des nouvelles de plus en plus choquantes : il doit y avoir un passeport de vaccination et cela à cette date ; le Ministre de la Santé rapporte « la population, y compris les nouveau-nés, doit aussi avoir un passeport génétique… », etc., etc.

Personne ne demande quelle est la menace, qui la fait progresser et quel est son objectif. On sait seulement que quiconque désobéira sera expulsé de la société. Les mesures insensées et pénales prises par le gouvernement sont acceptées sans examen de leurs conséquences.

Les armes nucléaires constituent la plus grande menace de destruction massive. Ce qui se passe aujourd’hui, cependant, est un moyen encore plus efficace d’autodestruction massive et totale de l’humanité.

À quoi bon la science et la technologie lorsqu’elles sont entre les mains de criminels intelligents et cyniques qui cherchent non seulement à exterminer l’humanité, mais aussi à perturber la nature humaine en tant que telle ? Sans conscience et sans principes moraux, la science et la technologie conduisent à l’autodestruction de l’humanité. Le puçage est introduit afin de contrôler les gens de façon totale, et pas seulement pour contrôler, mais aussi pour dégrader les gens dans les médias du système, ou en robots biologiques. Il s’agit vraiment de diaboliser l’humanité et de créer un enfer sur Terre, qui culminera dans un enfer après la mort.

La question de la moralité interpersonnelle dépend de la pureté morale. La promotion de l’immoralité ne conduit pas à la liberté, mais à l’esclavage des passions et, finalement, au crime. Le paradoxe est que c’est le Concile de Vatican II qui a ouvert la porte à ce processus de démoralisation en établissant le respect du paganisme. Les hérésies du modernisme ont perturbé une relation vivante avec Dieu. Sans cette relation, la moralité décline. La moralité est la base d’une famille saine, et donc de la société saine. Elle conduit à la vraie liberté.

Dans les années 1960, le boom du yoga et des arts martiaux entraîna l’expansion du paganisme. Leurs méditations sont intrinsèquement liées à l’hindouisme et au bouddhisme païens. Ces méditations incluent la conscience et nient Dieu le Créateur et Son salut, qui est en Christ. Dans les cultes païens, il n’y a ni amour pour Dieu, ni amour pour le prochain. Le paganisme est fondamentalement basé sur l’occultisme, c’est-à-dire diverses formes de divination, de magie et de spiritualisme, qui ouvrent les âmes aux démons et conduisent au satanisme. Cela entraîne un déclin complet de la conscience et de toute morale.

Dans les années 1970, Kinsey commença à promouvoir la pédophilie et l’homosexualité. Pendant cette période d’invasion de l’immoralité, l’institution de la famille fut bouleversée. Les divorces se produisaient en masse parce que les principes moraux et les racines à partir desquelles la moralité se développait avaient été sapés. Un boom de la télévision commença dans les années 1960, et bientôt, il n’y eut presque plus de film sans contenu immoral.

Le tournant du millénaire a été marqué par une propagande gay extrême, et ces dernières années, nous avons été témoins d’une idéologie du genre qui entraîne la légalisation de toutes sortes de perversions, et en même temps d’un changement massif dans l’esprit humain. L’irréalité est considérée comme une réalité, le bon sens est punissable et la conscience est complètement éliminée. La distinction entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge est floue, et l’existence de normes morales objectivement valides est niée, même par le soi-disant pape François.

Les paradigmes ont été changés. Le but caché est l’autodestruction de l’humanité et, après la mort, la damnation de chaque individu en enfer. Dans cette situation, chacun doit résister au système d’autodestruction, même au prix du martyre.

Cette idéologie de la bête apocalyptique, qui a le pouvoir entre ses mains, abuse de toutes les réalisations de la science et de la technologie pour la programmation globale du mal. L’application de cette voie de mort est basée sur des mensonges et des manipulations professionnels. La guerre autodestructrice actuelle est guidée par le principe : croyez en vous, mentez et détruisez ! Nous devons savoir que ce programme compte sur la racine génétique du mal – si — qui est en chaque être humain. Par conséquent, Dieu s’est fait homme afin d’obtenir pour nous le pardon des péchés et de nous délivrer de cette source du mal, le péché originel — l’ancien moi (Rm 6, 6). Il est nécessaire que nous recevions le Sauveur et sa voie de vérité et d’amour désintéressé pour Dieu et le prochain.

Connaître la vérité est profondément lié aux principes moraux. Une personne qui mène une vie immorale devient spirituellement aveugle et cynique. Elle commettra elle-même des crimes et les légalisera, se faisant ainsi du mal à elle-même et aux autres. Ce n’est pas une chose innocente. La morale est la base de la véritable autocritique, qui rend une personne capable d’admettre la racine du mal en elle-même, ainsi que son système d’auto-tromperie, et de s’y opposer. Ce n’est qu’alors qu’elle pourra accepter le plan de Dieu pour sa vie et son accomplissement dans le bonheur éternel après la mort.

Aucune responsabilité, aucune justice, aucun comportement honnête ne peut être attendu d’une personne immorale. L’immoralité va de pair avec le déclin des vertus. Le canal vers la plus grande immoralité est le retour au paganisme — c’est-à-dire le retour au culte des démons et du diable, et en même temps à la perversion morale, et même au sacrifice humain. C’est ce à quoi nous sommes parvenus aujourd’hui. C’est de la cruauté envers les enfants à grande échelle. Tout est-il en train d’être adopté ? Ces crimes sont appelés « droits de l’enfant ». Pour être moral et consciencieux, il faut acquérir l’abnégation : le sacrifice. Le sens et le but de la vie humaine ne sont pas authentiques : cela ne se termine pas avec la mort.

Quel changement de mentalité a eu lieu au cours du dernier demi-siècle ? Cela a commencé avec la popularisation de l’immoralité, qui a progressivement conduit à la promotion de la perversion (Kinsey : pédophilie et homosexualité), et cela a finalement été suivi d’un passage de la réalité à l’irréalité (idéologie transgenre). La distinction entre le bien et le mal a cessé d’exister. La société post-chrétienne a alors pu accepter le système colossal du mensonge, tel que nous le voyons aujourd’hui. Un autogénocide de masse est en cours sous couvert de la « santé ».

Quelle est la solution ? Pas la foi dans les mensonges ou les menteurs, mais la Metanoe : un changement d’avis et une croyance en l’Évangile ! (Matthieu, 1:15).

Patriarcat Catholique Byzantin (PCB)

Le 9 juillet 2021

Explosion de la science et de la morale

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Le secrétaire adjoint au Trésor américain menace les Américains que les pénuries continueront jusqu’à ce que tout le monde soit vacciné

[Source : QuebecNouvelles.com]

Le secrétaire adjoint au Trésor américain a averti les Américains que la seule façon de mettre fin au fléau des rayons vides dans le pays est que chaque habitant se fasse vacciner. Cet avertissement franc est apparu comme une menace pour beaucoup.

Wally Adeyemo, le deuxième plus haut fonctionnaire du département du Trésor de l’administration Biden, a semblé faire du chantage à la partie encore considérable des Américains qui n’ont pas été vaccinés contre le Covid-19 lors d’une interview jeudi sur ABC, semblant les rendre responsables des pénuries continues de biens de consommation qui ont conduit de nombreuses personnes à se moquer du président en le surnommant « Joe des rayons vides ».

Les étagères vides du CVS (une société de vente au détail américaine ayant près de 10 000 magasins) de Minneapolis illustrent la pénurie de la chaîne d’approvisionnement.


Malgré les photos virales montrant des milliers de cargos alignés dans le port de Los Angeles, prêts à décharger leurs marchandises, M. Adeyemo a affirmé que les problèmes de chaîne d’approvisionnement qui touchent tant de détaillants américains sont un problème international et ne se résorberont que lorsqu’un pourcentage suffisant du pays aura été vacciné.

Décrivant les conditions économiques désastreuses comme « une économie en transition », Adeyemo a reconnu que « nous voyons des prix élevés pour certaines des choses que les gens doivent acheter. » S’il a fait l’éloge des mesures de relance de l’administration, il a également rejeté la faute sur les personnes non vaccinées.

La réalité, c’est que la seule façon de réussir cette transition, c’est que tous les Américains et tous les habitants du monde se fassent vacciner.

Alors que le journaliste d’ABC a suggéré à plusieurs reprises que les pénuries de papier toilette et d’autres articles achetés en urgence dans le pays pouvaient être attribuées à des perturbations de la chaîne d’approvisionnement internationale, un nombre croissant d’Américains demandent des réponses concernant la nature étrangement spécifique de certains produits manquant dans les rayons des magasins. Certains ont même exprimé des doutes quant à la possibilité que les pénuries soient introduites délibérément, soit pour attiser la haine contre les personnes non vaccinées, soit pour maintenir les Américains dans une situation économique déséquilibrée alors qu’ils s’habituent aux perturbations sauvages de la pandémie.

Adeyemo n’a pas rendu service au cabinet Biden en ajoutant de l’huile sur le feu de la conspiration, expliquant que la raison principale pour laquelle Biden continuait à faire pression pour que tout le monde soit vacciné était que ce n’est qu’alors que la Maison Blanche pourrait « fournir les ressources dont le peuple américain a besoin » pour résoudre le problème de la chaîne d’approvisionnement.

Bien qu’ils accusent le secteur du transport maritime international d’être à l’origine de l’inoccupation des rayons aux États-Unis, les médias ont reconnu que les ports de Los Angeles et de Long Beach, qui traitent à eux deux 40 % des importations nationales, ont connu l’année dernière les années les plus chargées de leur histoire, ce qui contredit l’idée que les produits qui manquent dans les rayons américains n’existent tout simplement pas. Cependant, de nombreux camionneurs travaillant pour des sociétés de transport maritime se sont opposés à l’idée d’une vaccination obligatoire, laissant les flottes de leurs entreprises en sous-effectif, et d’autres se sont mis en grève pour réclamer de meilleures conditions de travail.

L’administration Biden a tenté de résoudre le problème de la chaîne d’approvisionnement en demandant que le port de Los Angeles fonctionne 24 heures sur 24, mais alors qu’il a fait l’éloge de sa propre promesse en la qualifiant de  » changement de donne « , le directeur exécutif du port a clairement indiqué qu’aucun calendrier n’avait été établi pour le changement d’horaire promis. Pendant ce temps, le cabinet de Biden est apparu comme étant terriblement déconnecté de la réalité – le chef de cabinet de la Maison Blanche, Ron Klain, a par exemple qualifié la question des étagères vides de problème de « grande envergure » en début de semaine, suscitant des critiques tant à gauche qu’à droite. Et le secrétaire aux transports, Pete Buttigieg, est discrètement en congé de paternité depuis la mi-août, laissant le pays sans même un semblant de supervision logistique alors que l’engorgement des cargaisons ne montre aucun signe de dissipation.

La pénurie de main-d’œuvre se fait sentir bien au-delà des États-Unis, mais souvent pour des raisons similaires. En Italie, des milliers de manifestants ont bloqué le déchargement des cargos en début de semaine. Les manifestants étaient outrés par l’adoption par le pays d’une politique de vaccination obligatoire pour le travail, semblable à celle de l’administration Biden. Le gouvernement britannique a supplié les chauffeurs routiers de reprendre le travail, allant même jusqu’à attirer des chauffeurs étrangers avec des visas temporaires, alors que le pays s’inquiète de ses propres problèmes d’étagères vides.

Les routiers australiens se sont unis à d’autres syndicats pour faire pression sur le gouvernement, qui a maintenu des villes comme Melbourne en état d’urgence pendant des mois malgré le nombre infime de cas de Covid-19 signalés. Il y a plus d’un an, le gouvernement mettait déjà en place des politiques du type « pas de vaccin, pas de travail » et a montré la voie en exploitant la pandémie pour transformer les « démocraties » des « Five Eyes » en États policiers.


[Voir aussi :
Que se cache t-il derrière LES PÉNURIES MASSIVES ?
Comment la pénurie d’électricité en Chine menace le monde
Économie mondiale : les pénuries freinent toutes les chaînes d’approvisionnement
Pénuries alimentaires en vue ?
Pénuries massives et généralisées à tous les secteurs : pourquoi ?
Bill Holter : « Je pense que nous sommes réellement à 72H de l’ANARCHIE TOTALE ! »
La crise mondiale du transport maritime est bien plus grave qu’on ne l’imagine]




« Primum non nocere » : la suite de « Hold-up » va faire du bruit

[Source : francesoir.fr]

[illustration : La citation de Soljenitsyne est le fil rouge de la bande-annonce.
Z_caricature, à retrouver sur instagram.com/z_caricature]

Auteur(s): FranceSoir

Un collectif d’anciens journalistes de grands médias se rassemble pour donner un second souffle au documentaire « Hold-up ». « Primum non nocere » sortira officiellement le 11 novembre prochain, un an jour pour jour après le film dénonçant la gestion de la crise sanitaire. Dans la continuité de « Hold-up », la bande-annonce de onze minutes frappe déjà fort.



Selon les réalisateurs, « tout ce que « Hold-up » avait initié et suspecté sous forme de questionnement est maintenant révélé et prouvé ». Il n’y a qu’à voir le titre du documentaire (premier principe du Serment d’Hippocrate, « d’abord, ne pas nuire ») pour comprendre que ce ne sont pas des bonnes nouvelles. Effets secondaires des vaccins, cris d’alarme des médecins, mensonges d’État, chiffres falsifiés, tout va y passer. En somme, une crise dite sanitaire passée au peigne fin par « d’anciens journalistes de TF1, France Télévisions, Canal +, et de l’AFP ».

Comme pour « Hold-up », il ne s’agit pas de passer par quatre chemins. Dès les premières secondes de la bande-annonce, on nous donne à voir des chiffres alarmants quant à la vaccination :

– Avant vaccination (jusqu’à décembre 2020) : 1,57 million de morts par covid-19 selon l’OMS (sur douze mois)
– Après vaccination (après décembre 2020) : 3,23 millions de morts par covid-19 selon l’OMS (sur neuf mois)

Ensuite, on devine que le documentaire suivra le même modèle que son prédécesseur : de nombreux invités qui feront part de leur expérience avec leur expérience professionnelle ou leur engagement citoyen. Ainsi, on retrouve, entre autres, Amine Umlil, docteur en pharmacologie et juriste, Pierre Jovanovic, journaliste et écrivain, John O’Looney, thanatopracteur, Rui Fonseca e Castro, juge au Portugal… mais également de nombreux Français venus témoigner des effets secondaires qu’ils ont subis. Un casting qui doit à n’en pas douter déjà faire saliver certains médias qui s’étaient échinés à discréditer « Hold-up », dont le succès retentissant avait été alimenté par les censures et dénigrements multiples subis.

Voir aussi : Le « Hold up » de l’AFP : « debunk » de leur « debunk »

Le message est évidemment de souligner les incohérences des politiques sanitaires, les mensonges médiatiques ou étatiques, et les conséquences que tout cela a, ou aura, sur la société. D’aucuns pourront certainement leur reprocher le parti pris franchement assumé du documentaire. Toujours est-il que « Primum non nocere » aura sans nul doute le mérite de souligner ce que d’autres essaient de cacher.

La propagande gouvernementale, y compris télévisée, a fait bondir certains – on se rappelle les clips incitant à la vaccination, que de nombreux Français ont jugé révoltants… Ici, les témoignages poignants, le montage léché et la musique élégiaque élaborent un « contre-poison » du discours mais à trop jouer sur ce registre émotionnel, le film prend peut-être le risque de « nuire d’abord » à son propos en se coupant de ceux qui jugeront l’enrobage un peu racoleur.

Reste que cette bande-annonce intrigue et suscite l’attente : que ce soit par les conquis d’avance, les détracteurs attendus, les réservés qui attendent de voir, cette « suite » sera très attendue et risque de faire du bruit.




La police de plusieurs grandes villes des USA dit non à l’obligation vaccinale

Par Diane Vincero

LA POLICE DE PLUSIEURS GRANDES VILLES DES USA DIT NON À L’OBLIGATION VACCINALE

Enfin les consciences s’éveillent !!

Ces magnifiques policiers ont compris comment il faut réagir face à ces gamins capricieux en colère (qui font pipi par terre et se roulent dedans si on ne leur donne pas leur bonbon), tout ça parce qu’on ne veut pas obéir à leurs ordres complètement déraisonnables, chaotiques, bref, ces psychopathes pervers paranoïaques qu’on appelle des manipulateurs destructeurs.

Parce que la réalité est bien celle-là : cette poignée de dirigeants est constituée de réels malades psychiatriques, incurables qui voient le monde par le prisme de leur folie, qui se sont construits de cette manière pendant leur enfance et sont restés bloqués sur cette période de leur vie, d’où leur profonde immaturité qui transpire dans tous leurs comportements pathologiques.

Ils jouent à faire semblant d’être des grands, des adultes, et sont constamment dans des jeux de rôles parce que, au fond d’eux-mêmes, ils n’ont aucune construction stable et adaptée au monde réel. D’où leur comportement chaotique inadapté et changeant, comme des caméléons, en fonction des situations.

Pendant leur enfance, on les a laissés « grandir » sans les cadrer, sans les guider dans une direction saine et solide.

En accédant à tous leurs caprices, on leur a donné l’illusion que le Monde devait obtempérer à leurs ordres, d’où leur totale intolérance à la frustration passée et actuelle QUI N’ADMET AUCUNE LIMITE, QUI NE RESPECTE RIEN NI PERSONNE — en dehors de celles qui ont plus de pouvoir qu’eux et savent leur marquer des limites, comme dans les cercles fermés dans lesquels ils évoluent — au point de ne pas hésiter à commettre l’irréparable : des meurtres….

Le fait de se regrouper (dans ces cercles fermés) permet de les rassurer et entraîne un phénomène d’amplification (classique dans tout regroupement).

Mais attention : à l’inverse de certains criminels qui ont pu commettre l’irréparable dans un moment d’aveuglement émotionnel, ces dirigeants psychopathes, pervers et paranoïaques n’ont aucun affect, aucun état d’âme, ce qui leur permet d’agir froidement.

Cela signifie qu’ils AGISSENT EN PLEINE CONSCIENCE et sont donc TOTALEMENT RESPONSABLES DE LEURS ACTES.

Ils veulent pourtant faire croire le contraire, en faisant voter une loi les dégageant de toute responsabilité dans leur politique covid (c’était bien tenté…), et en voulant en urgence que la peine de mort soit interdite à l’échelle internationale (ils sentent le vent tourner…) ou, pour les dirigeants de lobbies, notamment pharmaceutiques, en faisant voter en 2003, une loi les dégageant de toute responsabilité dans les effets secondaires de leurs vaccins…

Ainsi, ils font rentrer le Monde dans le moule de leur vision déformée, par incapacité à s’adapter à ce même Monde depuis l’enfance, et ce, sans aucun scrupule…

D’où un décalage abyssal entre leur mode de fonctionnement et celui qu’on inculque à nos enfants dès la maternelle : la responsabilité de leurs actes : « tu as fait telle bêtise, tu auras telle sanction ». Plus tard, c’est : « tu as fait du 140 km/h au lieu de 130 km/h, tu es sanctionné » (amende et retrait de point), ou, pour certains, « tu as tué, tu feras de la prison à perpétuité. »

D’ailleurs, il est « amusant » de voir la jouissance qu’ont ces dirigeants manipulateurs destructeurs à imposer des ordres et des sanctions aux autres : « tu refuses de te faire vacciner », ou « tu refuses le passe vaccinal », « et bien tu vas payer » (amende, voire emprisonnement)… et tout un chapelet de sanctions en tout genre, bien réfléchies, bien programmées pour forcer les réfractaires…

La violence extrême à laquelle nous sommes arrivés actuellement est entre autres, le fruit du décalage entre le monde normal, « sain » (ou à peu près…) et l’excès pharaonique des comportements pathologiques de ces dirigeants…

Tout dans leur programme est dans la disproportion, la démesure totale, montrant à quel point ils sont en décalage total avec la réalité…

Aussi, pour eux, se retrouver face à un corps d’État qui était censé leur obéir au doigt et à l’œil, obéir à tous leurs caprices et faire obéir le peuple à tous ces caprices est déstabilisant pour eux : ils ont trouvé la voix de leur maître, celui qui sait, enfin…, leur opposer ce NON qu’ils n’ont jamais expérimenté jusque-là…

Merci et un immense bravo à ces policiers : ils méritent qu’on les salue tous les soirs à 20 heures, mais pas sur un mode manipulatoire, comme cela a été le cas pour les soignants un jour (…), qui n’était qu’une pitoyable mise en scène de plus, pour faire croire « qu’il y avait vraiment une pandémie » et entretenir le mythe…

La réalité est toute autre et on le voit bien aujourd’hui : ces mêmes soignants sont foutus à la porte, sans salaire, comme des pestiférés, parce qu’ils ne veulent pas se soumettre à une des exigences de ces manipulateurs destructeurs qui est de se faire injecter le poison vaccinal… « Comment ça, ils osent ne pas nous obéir !!! Ils vont voir !!! »…

Les dirigeants manipulateurs destructeurs ont même poussé la perversion jusqu’à leur interdire……. les consultations par visioconférence : où est la logique ??? Mais on a bien compris que ce n’est nullement une affaire de logique, pas plus que de covid. Le virus du covid passerait par les écrans d’ordinateur ???? 😆 On se fout de qui??? Le ridicule ne tue pas, mais surtout, le crime paie. Cela serait drôle, si ce n’était pas aussi tragique!!

Là encore, on voit le peuple, des lois, etc. être foulés aux pieds, et ce, de façon pharaonique, dantesque!!!… « Tu veux pas te faire vacciner, ben tu vas voir, NA !!! »

Mais, malheureusement ce n’est pas un jeu, et ces manipulateurs destructeurs détruisent la vie de milliers de soignants en leur interdisant la possibilité de travailler, même par téléconsultations (…), et de gagner de quoi nourrir leur famille……

S’il y a 17 000 suicides par an liés au chômage, là, étant donné la disproportion et l’INJUSTICE folle de cette interdiction de travailler (fut-ce par visuoconsultations) qui fait sombrer dans le néant les victimes de cette mesure, on peut imaginer l’augmentation du nombre de suicides à la clé et ça, ce sont ni plus ni moins que des meurtres dont ces manipulateurs destructeurs devront répondre!!…

Diane Vincero.




Effondrement : la phase douloureuse de la démence collective

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Selfie à l’Élysée après la partie de foot “triomphale” du président.
NB : seul le personnel de service est masqué (au fond entouré en vert),
mais pas le ministre de la Santé (en rouge),
ni aucun autre convive (au premier plan, deux “vieilles gloires” :
Marcel Desailly et Arsène Wenger).

L’épilogue d’un effondrement systémique passe inévitablement par une phase douloureuse de démence collective que plus rien ne saurait freiner. Nous y sommes désormais en plein.

Trois exemples récents viennent encore de nous le démontrer.

Scène d’incontinence hystérique à l’Élysée

Il y eut d’abord ces scènes de libations inconsidérées filmées à l’Élysée après un match de foot grotesque organisé à la gloire de l’occupant immature des lieux.

Cet étalage obscène d’une hystérie incontinente, bien sûr sans masque ni précaution de distanciation, exposé sans la moindre pudeur au public, en dit long sur le dérèglement mental de la classe dominante, encore plus sur son irresponsabilité (rappelons que la vidéo ne fut pas tournée par un opposant malintentionné, mais par un des invités, et diffusée sur les chaînes mainstrean en toute inconscience).

103 % de vaccinés

Il y eut ensuite cette information officielle du gouvernement français révélant que le taux de vaccination de la population majeure parisienne atteignait désormais le pourcentage inédit de… 103,09 % !

Répétée à l’envi (on se rappelle les pataquès sur le port ou non du masque, les approximations aussitôt démontées du premier ministre Castex au fil de ces interventions en forme de sketch, les mensonges éhontés et vite éventés d’un Véran…), ce genre de bourde absurde est surtout révélatrice d’une totale perte de contrôle dans la communication, donc dans la maîtrise de la situation.

Un Great reset qui en rappelle fâcheusement un précédent

Sur un autre registre, on rappellera les élucubrations hallucinantes d’un Klaus Schwab sur le mythe du Great reset et de ses manipulations génétiques même plus dissimulées.

https://twitter.com/LeGrandReveilfr/status/1449855419309076487?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1449855419309076487%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fyetiblog.org%2Farchives%2F33535

L’ennui, c’est que ce Great reset du suprématisme blanc occidental en rappelle fâcheusement un précédent : celui de la race aryenne ! Et on sait de quelle fâcheuse façon l’aventure se termina pour ses promoteurs.

Les dictateurs déments tiennent rarement sur la durée

Que les clowns hallucinés de l’empire occidental décadent aient des vélléités d’autoritarisme totalitaire est incontestable. Mais n’est pas dictateur qui veut, en tout cas pas sur la durée. Les régimes autoritaires durables doivent leur pérennité à la puissance et à l’intelligence (même maléfique) de leurs dirigeants, qui savent imposer leur main de fer tout en assurant un minimum matériel suffisant à leurs sujets.

Mais que dire de ces dirigeants grotesques qui commencent par mettre leurs médecins, leurs soignants, leurs pompiers sur la paille, qui sont bien sûr incapables d’assurer le fonctionnement d’une économie en voie de délabrement, qui se ridiculisent en rafales aux yeux de leurs populations ?

Les phases de démence collective d’un pays ou d’un empire sont certes fort douloureuses, mais finalement assez brèves au regard de l’Histoire. Voyez comment s’acheva brutalement le règne des fous furieux que furent les Napoléon, Hitler, Mussolini, Ceaucescu…




Comment Astra-Zeneca a-t-elle réussi à produire le “vaccin COVID-19” en juillet 2018 avant même que la maladie ne soit découverte ou nommée ?

[Extrait de : profession-gendarme.com]

Par Alessia C. F. (ALKA)

Beaucoup de gens ont beaucoup d’explications à donner. Les boîtes du vaccin COVID-19 d’AstraZeneca indiquent une date de production du 15 juillet 2018. Mais “COVID-19” n’a été découvert qu’en 2019 et n’a été NOMMÉ que le 11 février 2020.

Voici la preuve irréfutable : Une boîte de vaccin COVID-19 d’AstraZeneca, avec la date de fabrication du 15 juillet 2018 imprimée par ordinateur sur le rabat de la boîte :




Encore un mort du cancer étiqueté Covid-19 par les autorités

[Source : @trottasilvano]



[Ndlr : au Québec, les médias relayent des cas de prétendus morts de la Covid qui s’avèrent avoir été vaccinés quelques jours avant un test PCR positif.]




Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




Comment on manipule pour avoir le consentement

[Source : Contrepoints]

[Transmis par Françoise Joët]

[Ndlr : emphases visuelles dans le texte (caractères gras et couleurs), par Christine Côte…]

Par Yannick Harrel.

L’époque des années 1950 et 1960 en sciences comportementales est fascinante puisque leurs résultats continuent d’irriguer nos sociétés : ainsi tant les expériences de Asch que celles de Bateson ou de Milgram sont essentielles pour comprendre comment les sociétés actuelles peuvent réagir ou sont forcées de réagir suite à des stimuli spécifiques. Un apport scientifique que de nombreux dirigeants se sont empressés d’expérimenter à grande échelle au sein des démocraties libérales jusqu’à les pervertir de l’intérieur, a fortiori en temps de crise.

Il y a eu bien entendu des recherches, des analyses et des pratiques sur la manipulation des foules antérieurement à ces études.

Rappelons par exemple La psychologie des foules de Gustave Le Bon (1841-1931), Le viol des foules par la propagande politique de Serge Tchakhotine (1883-1973) ou la Commission Creel avec son plus éminent spécialiste, Edward Bernays (1891-1995), par ailleurs neveu et lecteur assidu des travaux de Sigmund Freud (revoir à bon escient le document Propaganda : la fabrique du consentement diffusé sur Arte).

Toutefois, les trois chercheurs précités ont œuvré dans un cadre spécifique : celui de la démocratie libérale. Le principal obstacle dans une démocratie libérale c’est précisément l’obtention d’un consentement, pas obligatoirement exprès, mais tout aussi bien tacite. Et c’est précisément sur ce point central que les trois maîtres du consentement moderne vont œuvrer.

LES TROIS MAÎTRES DU CONSENTEMENT MODERNE

Il convient de rappeler, même brièvement à quoi correspondent les travaux de cette trinité dans l’étude sociocomportementale.

Solomon Asch (1907-1996) a travaillé sur le conformisme des individus en manipulant plusieurs paramètres psychologiques afin que le réfractaire de départ se convertisse peu à peu à la directive initiale.

Gregory Bateson (1904-1980) a analysé le phénomène des injonctions paradoxales, appelées aussi contradictoires ou double contrainte, plongeant le sujet dans un état d’incapacité à atteindre les objectifs fixés, le rendant ainsi plus malléable et corvéable.

Stanley Milgram (1933-1984) est le plus connu du public puisque son expérience a eu un large retentissement en établissant un lien entre la désinhibition d’individus obéissant à des ordres pourtant contraires à la morale et à leurs valeurs, mais couverts par l’autorité officielle.

Or dans une démocratie libérale, animée théoriquement par le respect des libertés fondamentales, le respect d’autrui, la transition apaisée et loyale du pouvoir, ces travaux prennent une valeur inestimable. Comme il n’est pas possible de procéder de la même manière qu’un régime totalitaire qui réclame prioritairement l’obéissance, le consentement, théoriquement libre et éclairé, doit être obtenu par un procédé détourné.

L’INFORMATIQUE CONNECTÉE COMME ADJUVANT

La grande nouveauté dans l’application de ces études à notre époque contemporaine se situe dans l’utilisation massive des métadonnées couplées à des traitements automatisés à grande échelle pour obtenir des baromètres de l’état de l’opinion et des prédictions quant à l’évolution probable de celle-ci (ainsi qu’une surveillance de masse, mais ce sujet, doit être traité à part). Dans les années 1950 et 1960, les ordinateurs étaient uniquement des super-calculateurs occupant une immense pièce entière sécurisée, il était alors hors de question de les employer pour des problématiques autres que la sphère militaire ou la recherche stratégique comme le nucléaire.

Du reste, la simple puissance de calcul n’aurait pas été suffisante. Deux éléments complémentaires ont contribué à l’amplification des techniques de fabrication du consentement :

  • la démocratisation d’Internet dans les années 1990,
  • l’émergence des réseaux sociaux dans les années 2000.

Ainsi, l’accumulation des métadonnées devenait possible pour établir rapidement une cartographie de la population selon son âge, son statut professionnel, son statut marital, ses loisirs, ses relations amicales, ses partenaires d’affaires et même des données autrefois taboues comme sa religion, son appartenance politique, sa localisation géographique, son origine ethnique et même son état médical. Nanti de ces données formant à leur tour un ensemble informatif, le bénéficiaire était en mesure de moduler un discours afin de plaire à différentes communautés et viser a minima la majorité relative, désormais suffisante pour gouverner dans les régimes démocratiques.

Loin de rendre obsolète lesdites études, l’informatique connectée leur fournit une capacité démultipliée de contrôle encore plus fine que dans un régime usant de méthodes autoritaires et grossières, facilitée en outre par l’abandon volontaire par les intéressés de toute donnée de nature privée en contrepartie d’une mise en réseau : la crainte d’une déconnexion sociale par toute une partie de la population raffermit cet afflux de données.

CRISE SYSTÉMIQUE ET CONSENTEMENT

La survenance d’une crise d’importance peut dans un premier temps bouleverser les plans originaux d’un dirigeant, mais les accélérer dans un second pour peu qu’il sache l’exploiter à escient en travaillant sur son magistère (l’autorité), sur la confusion mentale (la peur) et sur le fait majoritaire (le consentement progressif).

Dans le cas d’une pandémie par exemple, la population peut être abreuvée d’informations tantôt alarmantes tantôt rassurantes, de statistiques pléthoriques et invérifiables, de semonces gouvernementales, le tout par des relais médiatiques complaisants ou forcés par lesquels défilent des experts certifiés conformes. L’objectif est de maintenir la population sous contrôle, avec un impératif d’efficacité maximum (l’optimum est la norme hors contexte de crise), lequel peut être obtenu avec le renfort volontaire de la population acquise aux mesures décidées. Telle est l’acmé de tout système de conditionnement social : lorsque la majorité de la population enjoint les réfractaires à se conformer à la norme présentée comme celle qui ramènera la sécurité (sanitaire dans le cas présent, mais qui peut tout aussi bien être environnementale, économique, financière, routière, etc.). Le pouvoir en place doit à terme pouvoir se décharger partiellement de son contrôle sur les esprits en le déléguant à la partie de la population la plus zélée avec l’approbation silencieuse de la majorité.

La terminologie est de ce point de vue essentielle : le terme de menace est préféré à celui de danger, car il justifie par ses vagues temporalité et matérialité la perpétuation de mesures dans le temps et l’espace, jusqu’à l’intégration desdites mesures dans le droit commun.

Si le conditionnement est habilement mené, vous obtenez un peuple zombie et des libertés du même acabit. Rappelons que le cheminement en est d’autant plus facilité dans les esprits que dans une démocratie, la majorité de la population est acquise au principe de bénéficier du meilleur des régimes et de la bienveillance naturelle du dirigeant. Ces présomptions facilitent l’avènement de ce qu’Alexis de Tocqueville craignait le plus, le despotisme démocratique assuré par ce fameux pouvoir immense et tutélaire.

Nombre de lecteurs et commentateurs ne manqueront pas d’y ajouter leurs propres références. Cependant les invariants de l’exposé demeurent : le contrôle des foules nécessite de procéder obligatoirement par le canal émotionnel, et non le canal rationnel. Ce dernier est entièrement inefficace pour disposer à sa guise d’une population, et encore moins pour les opposants de la modifier.

FAIBLESSES DU CONTRÔLE ET CONTRE-MESURES

Le contrôle des populations nécessite un certain doigté, un équilibre permanent entre carotte et bâton pour simplifier. Or, plus le temps passe, plus l’équilibre devient complexe et coûteux, surtout avec le changement générationnel. L’inflation du contrôle produit un effet pervers qui accroît les risques de dysfonctionnement et les moyens alloués.

D’autres éléments internes peuvent rendre l’équation plus précaire : le comportement du dirigeant ou du cercle dirigeant (exemple : une tentation vers l’hybris, la tentation de la démesure) ou le remplacement imprévu du dirigeant (exemple : dans le cas d’une maladie foudroyante).

Des éléments externes peuvent aussi y contribuer : une pression étatique étrangère (exemple : par la création d’un mouvement d’opinion concurrent ou la subversion d’une fraction de la population) ou une catastrophe remettant radicalement en cause le narratif du pouvoir (exemple : la catastrophe de Tchernobyl en Union soviétique).

L’autre limite est celle de l’emploi des algorithmes. Si ceux-ci peuvent fournir une bien utile cartographie de l’état de l’opinion, les prédictions issues de ceux-ci sont sujettes à des variations de plus en plus conséquentes au fur et à mesure qu’elles visent une ligne temporelle plus tendue. Pour simplifier : il y a érosion de la fiabilité de toute prédiction algorithmique sur le temps long. Or, les dirigeants ont rapidement tendance à se soumettre eux-mêmes à une addiction aux algorithmes. D’utilisateurs, ils en deviennent esclaves, les employant de plus en plus régulièrement et intensivement pour envisager les effets des mesures et les décisions à imposer afin d’obtenir la soumission de la population. Cette addiction est une faiblesse inhérente à la technophilie des dirigeants actuels.

Les contre-mesures sont existantes, elles réclament de la constance et de l’aplomb pour leur mise en place.

La première d’entre elles, et la plus économique, est le Non. L’adverbe signifiant la négation est en effet particulièrement efficace dès lors que le ton est posé de façon adéquate. L’homo democraticus next gen est en effet conditionné pour dire Oui à tout. Or, lui signifier frontalement et fermement son opposition, c’est un choc émotionnel (rappelons-nous que le rationnel n’est pas efficace sur les personnes déjà conditionnées, il le reste toutefois sur les personnes hésitantes ou curieuses). Dire Non, c’est effriter sa confiance d’être dans le sens de l’autorité juste et bienveillante.

La seconde est plus pernicieuse, elle consiste à réfléchir en oblique. L’idée est d’être moins frontal et de faire dysfonctionner le consentement. Cela passe généralement par une méthodologie que l’on peut retrouver dans les techniques managériales et qui puise ses origines dans la pensée aristotélicienne, que l’on peut déterminer comme Q3OPC2 (Qui, Quand, Quoi, Où, Pourquoi, Comment, Combien). Nous la retrouvons aussi sous la dénomination d’analyse de cause racine (ACR en français, RCA en anglais). Approuvez les dires de la personne, mais répliquez-y par une question. Le but est de pousser jusqu’aux retranchements et faire disjoncter la programmation mentale.

La troisième, et non exhaustive, contre-mesure implique de manier l’ironie socratique. Bien employée, celle-ci agit comme un dissolvant puisqu’elle raille les mesures et les arguments adverses tout en permettant à l’auditoire de s’en amuser. Nul pouvoir n’apprécie la raillerie qui est un signe de défiance, et dans le cas du conditionnement social, un risque de perdre le contrôle. Se différenciant du procédé scolastique, le principe est de tourner en dérision les mesures prises. Le laconisme se mariant à merveille à cette méthode afin de porter un coup bref, mais tranchant dans la certitude d’autrui.

L’AVANT-GARDE ÉCLAIRÉE

Il n’en reste pas moins que le meilleur rempart contre les tentatives de manipulation psychosociale est la culture : se cultiver demeure le meilleur antidote face à ce type de contrôle (à ce titre, ne jamais confondre le diplôme et la culture, comme le diplôme et l’intelligence). Reste qu’au-delà de cette thématique, il est impératif de déterminer quelle société désirent les citoyens/les sujets eux-mêmes. Le savent-ils eux-mêmes et pis, sont-ils encore capables de l’exprimer distinctement ? Comme le problème récurrent des régimes politiques tient plus aux hommes qu’aux structures (la meilleure des organisations finira toujours pas être corrompue par des hommes animés de mauvaises intentions tandis que les hommes bienveillants finiront toujours par bonifier une organisation même dépravée).

Il est assez judicieux à ce titre de relire La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952), et de le parcourir jusqu’à la dernière ligne (et je souligne cette phrase), pour constater que ce sont en réalité les forces illibérales qui ont pris possession des centres de pouvoir : n’est-il pas temps que l’avant-garde éclairée se mette en ordre de bataille ?


[À propos de l’auteur]

Yannick HARREL : De formation supérieure en sociologie, droit et ingénierie minière, il est expert-chercheur sur les problématiques liées aux stratégies de la donnée et sur l’écosystème des mobilités 3.0. Outre de nombreux articles et interventions pour journaux et radios, il tient des conférences thématiques en France et à l’étranger, il a publié trois ouvrages devenus des références sur la cyberstratégie russe, les cyberstratégies économiques et financières et les automobiles 3.0 aux éditions Nuvis. Il intervient pour le compte d’administrations, d’entreprises et d’instituts d’enseignement supérieur.


[Ajouté par Christine Côte :]

L’expérience de Milgram :

La Fin du Covid -- Expérience de Milgram : Comment transformer sa  population en bourreaux sans scrupules (tunnel)

Expérience de Milgram : définition, utilité, conséquences – Ooreka

Vidéo: (1’50’’)

Livre : La fin de l’Histoire et le dernier homme de Francis Fukuyama (1952)

LA FIN DE L’HISTOIRE ET LE DERNIER HOMME : FUKUYAMA,FRANCIS: Amazon.ca: Livres




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Lettre ouverte à Éric Zemmour

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Vous souvenez-vous de cette époque, début 2000, où nous devisions sur un banc devant l’Eglise et la fontaine de la place Saint Sulpice à Paris ? Nous avions le même éditeur, les Editions du Rocher.

Je me battais à l’époque pour rétablir mon honneur et ma dignité, et le fusible que j’étais dans la plus énorme affaire de corruption politique, tentait de sauver sa peau en dénonçant leurs turpitudes ! Je fus une des premières à oser dire des vérités sur la classe politique et les coups étaient terribles en retour !  Vous n’étiez alors qu’un jeune journaliste désargenté… qui ramait !

Je vous faisais confiance car vous m’aviez un soir soutenue sur un plateau TV d’invités politiques et vous aviez pris ma défense… Rare à l’époque car sonnait l’hallali de toutes parts contre le fusible désigné que j’étais.

Puis quelques années plus tard sur un plateau TV  dans « On n’est pas couchés« , vous m’avez, avec des mots de serpent, laminée… sans doute pour démontrer à quel point vous êtes fidèle à vos convictions. Ruquier lui-même à la fin est venu vers moi étonné et s’est excusé que vous ne soyez même pas venu me serrer la main. Avec un « ami » comme vous, on n’a plus besoin d’ennemis…

Quel changement radical !

Si l’on est un journaliste honnête et intègre on conserve une éthique. On informe proprement et on a le courage de mettre en lumière les malversations et dérives de notre classe politique. Il me semblait alors que vous faisiez partie de ces  gens courageux qui font l’honneur de cette  profession. Mais ce n’était qu’une illusion car vous n’êtes pas différent des autres, vous seriez même pire.

Les autres, ceux qui oublient la déontologie et la morale et qui servent leur ambition et intérêts propres en usant de contre vérités et de mensonges.

« Mentir c’est pisser contre le vent, » dit-on. Attention au boomerang car depuis quelques mois nous reconnaissons clairement ceux qui ont totalement tourné leur veste et font fi de l’éthique et servent leurs maitres : les mondialistes ! Quelle débâcle !

Appât du gain et corruption ! Devant les gratifications douteuses, l’homme, hélas, est souvent  lâche, fragile et veule !

Et puis en approchant le sommet du pouvoir, il y en a qui sentent pousser leurs ailes et perdent tout contrôle. Grisant, n’est-ce pas  d’approcher la cour du prince ? La place du roi ?

Et vous, Eric Zemmour la girouette versatile qui dit une chose et son contraire, vous êtes en train de vendre votre âme au diable et l’attrait maléfique du pouvoir vous a grisé.

Aujourd’hui, en plein marasme, écroulement économique, tyrannie sanitaire, pertes d’emplois, perte de liberté, misère, vaccins dangereux devenus obligatoires, y compris pour  les enfants… vous venez nous parler d’immigration ? Mais combien vous paie-t-on pour détourner l’attention des vrais problèmes ?

Pourquoi ne dites-vous pas que l’immigration est souhaitée et favorisée par votre ami Jacques Attali qui déclare que l’Europe a un « besoin vital de 150 millions de nouveaux immigrés » ? Pourquoi ne désignez-vous pas la source plutôt que la conséquence ? Qui favorise le « Grand Remplacement » que vous dénoncez ?

Vous vous partagez le travail pour alimenter la haine raciale et religieuse ? Chacun joue son rôle ? Dans quel but ? Provoquer une guerre civile dans notre pays et faire de la France un nouveau Liban, en désignant toujours les éternels boucs émissaires que sont les Musulmans ?

Vous croyez vraiment que les Français vont être dupes de cette machination abjecte ?

Par ailleurs, il y a quelques mois, vous étiez favorable à un durcissement des mesures sanitaires mais en campagne pré-électorale, vous affirmez sans honte bue que vous seriez opposé à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire ?

Vous n’aviez pas de mots assez durs pour désigner l’Europe comme source de tous nos malheurs, mais aujourd’hui pour servir les intérêts de ceux qui vous financent, vous affirmez qu’il faut y rester ?

Vous décriviez l’euro comme la source de l’appauvrissement des Français mais maintenant que le mirage élyséen s’approche, vous décrétez qu’il faut le garder ?

Mais quand dites-vous la vérité Éric Moïse Zemmour ?

Quels intérêts défendez-vous vraiment, vous qui vous prétendez plus Français que les Français ? Vous qui rêvez de transformer notre pays en un nouvel Israël européen, citant le pays de l’apartheid en exemple à suivre ?

Croyez-vous que les Français vont être dupes de vos mensonges et de votre stratégie machiavélique minable qui consiste à nous dresser les uns contre les autres ? En quoi êtes-vous différent de ceux que vous vilipendez ?

Votre apparition en pages des couvertures de cette presse malhonnête et vendue et votre présence massive dans les médias de vos amis milliardaires, avec des sondages truqués à la clé, tentent de nous faire croire que vous seriez le « nouveau phénomène » et fait grimper votre popularité d’une manière insensée et artificielle. Même schéma qu’avec E. Macron…! Un nouveau produit, une nouvelle lessive censée laver plus blanc que blanc. Une nouvelle arnaque !

Et vous nous croyez assez naïfs pour ne pas le voir ? Vous êtes pourtant bien placé pour savoir que les sondages ne sont que des instruments de manipulation de l’opinion publique ! Et vous vous y vautrez sans aucune pudeur, contribuant ainsi à tromper les Français.

Vous ne seriez donc qu’une vulgaire marionnette populiste dans les mains de l’Ordre mondial comme les autres ?

Méfiez-vous car le peuple français se réveille et n’est plus dupe, et les retours de bâtons seront terribles. Bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer car vous ne réalisez pas la colère qui gronde contre cette élite globaliste responsable de tous nos malheurs et de toutes nos souffrances. Cette élite que vous rêvez de rejoindre à n’importe quel prix.

Lorsque les gens auront perdu leur travail et  leurs êtres chers, lorsqu’ils verront leur vie finir en lambeaux à cause des politiciens corrompus, de cette médecine marchande et immorale, de ces menteurs professionnels que sont devenus les journalistes domestiques du pouvoir, et face à cette folie mondialiste meurtrière, leur colère sera à la hauteur de ce qu’ils subissent. N’en doutez pas.

Et les ors de la République ne constitueront une protection pour personne, même pas vous.

Depuis trop longtemps notre pays sombre de Charybde en Scylla avec des gouvernements successifs de plus en plus nocifs et médiocres. S’il vous plait ne rallongez pas cette triste liste. Le constat est acté : Le peuple de France veut reprendre son destin en mains et éliminer les fripouilles. Jamais comme aujourd’hui les Français n’ont eu autant besoin d’honnêteté comme de l’air pur pour respirer. Jamais comme aujourd’hui les Français n’ont eu autant besoin de dirigeants intègres et loyaux car cela fait trop longtemps qu’ils sont trahis, trompés, pillés.

La sagesse Eric Zemmour, c’est quand le Bien embrasse le Mal, quand l’Amour séduit la haine, quand la Force séduit la Faiblesse, quand le Pouvoir protège la Vie.

Et il est évident que vous n’avez pas cette Sagesse là…

A bon entendeur !

CDJ




Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN… MàJ

[Source : crashdebug.fr]

Vous trouverez dans ces articles plus d’informations sur le vaccin de Gates et de la DARPA,

https://youtu.be/2MGXePjIzXE [Vidéo censurée]

[Mise à jour : ]

[anglais]

Et dans cette autre vidéo,

[anglais]

Bill Gates explique tranquillement, sans aucun état d’âme, ça semble même le faire marrer, qu’il pourrait y avoir un effet de bord toutes les 10.000 vaccinations, ce qui ferait 700.000 personnes potentiellement impactées [anglais], et pour lui c’est une bagatelle. Ces gens sont des psychopates….

Plutôt que d’enseigner aux gens comment améliorer leur état de santé général ou renforcer leur immunité grâce à des aliments sains, des compléments de qualité et une activité physique, les pouvoirs en place disent au monde que la seule façon de survivre à la crise du Coronavirus est de hâter le développement d’un vaccin et de l’injecter ensuite à chaque être humain sur la planète.

Le gouvernement américain, ainsi que de grandes villes comme Chicago, vont déjà de l’avant avec des plans visant à utiliser les ressources gouvernementales et l’armée pour distribuer des centaines de millions de doses de vaccins aux Américains d’ici la fin de l’année.

Au premier plan de cette conversation se trouve Bill Gates, qui est devenu en quelque sorte le plus grand expert mondial en matière de pandémies et de vaccins. Par le biais de sa fondation, il soutient l’OMS et le développement de nouveaux vaccins, et soutient actuellement un certain nombre de sociétés pharmaceutiques dans leur course à l’invention du produit qui sauvera le monde du Covid-19.

En règle générale, le processus de développement, d’essai et de production de masse des vaccins prend des années, mais grâce à la nouvelle technologie expérimentale émergente, M. Gates espère pouvoir vacciner « 7 milliards de personnes en bonne santé » en un temps record.

Une nouvelle génération de vaccins est en train d’émerger à l’heure où nous parlons. Pour l’instant, il n’existe pas de vaccins à ADN et à ARN approuvés pour l’usage humain, mais comme le dit M. Gates dans le post suivant de son blog personnel, le moment est venu de les essayer sur tout le monde. Dans le commentaire suivant, il explique la différence entre les vaccins traditionnels et les vaccins à ADN/ARN, qui, une fois encore, n’ont jamais été approuvés pour un usage humain :

Enseigner à votre corps comment vaincre un agent pathogène sans jamais tomber malade. Les deux types les plus courants – et ceux que vous connaissez probablement le mieux – sont les vaccins inactivés et les vaccins vivants. Les vaccins inactivés contiennent des agents pathogènes qui ont été tués. Les vaccins vivants, en revanche, sont constitués d’agents pathogènes vivants qui ont été affaiblis (ou « atténués »). Ils sont très efficaces, mais plus sujets aux effets secondaires que leurs homologues inactivés.

Les vaccins inactivés et vivants sont ce que nous considérons comme des approches « traditionnelles ». Il existe un certain nombre de candidats vaccins COVID-19 des deux types, et pour une bonne raison : ils sont bien établis. Nous savons comment les tester et les fabriquer.

L’inconvénient est que leur fabrication prend du temps. Il y a une tonne de matière dans chaque dose d’un vaccin. La plupart de ce matériel est biologique, ce qui signifie que vous devez le cultiver. Cela prend du temps, malheureusement.

C’est pourquoi je suis particulièrement enthousiaste à l’égard de deux nouvelles approches adoptées par certains des candidats : Les vaccins à ARN et à ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se révèle efficace, nous serons probablement en mesure de diffuser les vaccins dans le monde entier beaucoup plus rapidement (par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, mais avec un type de matériel génétique et un mode d’administration différents).

Notre fondation – à la fois par son propre financement et par l’intermédiaire de la CEPI – soutient le développement d’une plateforme de vaccins à ARN depuis près de dix ans. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre des maladies qui touchent les pauvres comme la malaria, mais aujourd’hui, elle semble être l’une des options les plus prometteuses pour le COVID. Le premier candidat à entamer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

Voici comment fonctionne un vaccin à ARN : plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins.

Comme les vaccins à ARN laissent votre corps faire la plus grande partie du travail, ils n’ont pas besoin de beaucoup de matériel. Cela les rend beaucoup plus rapides à fabriquer. Mais il y a un hic : nous ne savons pas encore avec certitude si l’ARN est une plate-forme viable pour les vaccins. Étant donné que le COVID serait le premier vaccin à ARN à sortir, nous devons prouver à la fois que la plateforme elle-même fonctionne et qu’elle crée une immunité. C’est un peu comme si vous construisiez votre système informatique et votre premier logiciel en même temps ». ~ Bill Gates

Ainsi, le vaccin Covid-19 ne sera pas un vaccin traditionnel. Il ne sera pas testé de manière significative ou standard étant donné l’état d’urgence actuel. Il sera administré par les militaires, et tout le monde sur la planète devra le prendre.

Comme l’a fait remarquer le journaliste d’investigation Jon Rappoport :

« Deux nouvelles technologies sont dans la filière de test COVID au moment où nous parlons : Les vaccins à ADN et à ARN. Ils n’ont jamais été mis en circulation pour un usage public. La technologie de l’ADN est en fait une thérapie génique. Des gènes sont injectés dans le corps et modifient de façon permanente et inconnue la composition génétique du receveur. Les vaccins à ARN comporteraient le danger de déclencher des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que l’organisme se mettrait en guerre contre lui-même.

Le vaccin qui est exploité par le gouvernement américain… sous l’égide de ses National Institutes of Health… par le biais de la société pharmaceutique Moderna… n’a JAMAIS été utilisé sur le marché avant.

IL N’EST PAS AUTORISÉ À ÊTRE UTILISÉ PAR LE PUBLIC.

LES VACCINS ARN ET LA TECHNOLOGIE QU’ILS UTILISENT SONT ENTIÈREMENT EXPÉRIMENTAUX.

ET C’EST LE TYPE DE VACCIN QUI EST MIS EN PLACE À LA HÂTE EN 90 JOURS.

Qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner dans le monde ?

Une façon de le découvrir est de le lancer sur des millions de personnes, de prendre du recul et de voir ». ~Jon Rappoport

Vous êtes prêts à ce que votre famille et vos enfants servent de cobayes dans le cadre de la plus grande expérience de santé mondiale jamais menée ?

Alex Pietrowski est un artiste et un écrivain soucieux de préserver une bonne santé et la liberté fondamentale de jouir d’un mode de vie sain. Il est rédacteur pour WakingTimes.com. Alex est un étudiant passionné de yoga et de vie.

Cet article (Bill Gates explique que le vaccin Covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN), créé et publié à l’origine par Waking Times, est publié ici sous une licence Creative Commons avec mention d’Alex Pietrowski et de WakingTimes.com.

Source : Dcdirtylaundry.com

Informations complémentaires :


Source : https://www.santeglobale.world :

« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. »

Professeur RAOULT : La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion

Youtube : (sud radio) J.D Michel – « Les courbes épidémiques des pays confinés et des pays non confinés sont les mêmes ! »

Le confinement était la dernière chose à faire !!

DAVID ICKE SANS CENSURE !! LA FIN DU CONTRÔLE, LE TRIOMPHE DE L’AMOUR !

Troisième interview de David Icke par Brian Rose sur ©London Real (mai 2020) :



(en anglais)

David Icke montre avec clarté toute la folie de la « pandémie » créée par le technocrates pour nous asservir :

Tony Robbins interroge des médecins sur la pseuodo épidémie de coronavirus, décapant !

(audio, en anglais)




15 octobre 2021 : radiation des soignants = autodafé du Serment d’Hippocrate

Par Lucien Samir Oulahbib

À écouter le dernier Conseil Scientifique indépendant (CSI) qui avait invité un spécialiste du SARS-CoV-2, il semble bien que, selon lui, les Autorités en place aient échoué, d’une part en employant imprudemment une technologie mal maîtrisée (d’où les doses à répétition par ailleurs périmées au bout de six mois), d’autre part en écartant des techniques préventives comme la vitamine D ; elles ont donc aggravé la situation. Alors que cette prévention articulée à une thérapie précoce pour les malades effectifs aurait pu représenter une barrière puissante évitant l’aventurisme affairiste auquel nous assistons actuellement.

Le second exposé, relatif au déni de l’existence de relations de causalité entre injections et effets secondaires, était également d’autant plus intéressant qu’il rappelait en effet que les industries du tabac avaient pendant longtemps rigoureusement nié les corrélations causales entre tabac et cancer du poumon. L’exposé se fragilise cependant inutilement en indiquant aussi comme exemple lesdites négations de « climato-sceptiques » concernant les liens entre hausse des températures (1,5 % sur 150 ans) et élévation de gaz dits à « effet de serre » (CO2, méthane, vapeur d’eau…) liée à l’activité humaine, car là, pour le coup, la démonstration n’est pas faite comme l’a indiqué François Gervais, spécialiste du CO2, en signalant d’une part que les 3/4 de l’augmentation du CO2 a émergé avant les années 1940 (donc avant le boom industriel des années 50-60) et que d’autre part l’on confond CO2 et CO. Le premier est bénéfique pour la végétation, à la différence du second qui du fait d’une combustion non aboutie sécrète des toxines toxiques qui sont cependant éliminées de mieux à mieux (ainsi les nouveaux pots catalytiques les éliminent à 98 %).

Ce qui fait que les relations causales dépendent de l’objet étudié et surtout de l’angle choisi : si l’on adopte par exemple un point de vue purement arithmétique, il est sûr qu’en lissant sur 500 ans le nombre d’incidences criminelles l’on peut trouver que la Cour des Miracles pouvait être plus dangereuse que Place Stalingrad aujourd’hui. Mais cette constatation académique ne vaut rien au niveau politique lorsqu’il s’agit de subir pour tout un chacun des perturbations vitales qui statistiquement pèsent peu alors qu’elles sont si importantes pour les personnes les vivant au quotidien. Il en est évidemment de même pour ces quartiers qui voient les « natifs » être réellement chassés par les nouveaux arrivants comme l’indiquent ces derniers temps ces nombreux exemples relatés par des maires courageux, même si cela ne forme encore qu’une poignée en ratio avec le nombre d’étrangers aux quartiers concernés ; mais dans ce cas, et si cela était si infime que cela, ce serait identique à ce qui est dit aujourd’hui concernant les effets secondaires des injections qui, comparés aux trois milliards de personnes en phase expérimentale, pèseraient peu au vu de leurs remontées encore infimes. Alors que cependant, l’on sait d’une part que des médicaments ont été arrêtés pour moins que cela et que d’autre part l’on ne connaît pas encore les effets à long terme de ces injections à AMM conditionnelle (et qui n’a pas été renouvelée aux dernières nouvelles), comme la prolifération actuelle des maladies auto-immunes et des cancers. C’est du moins ce que relatent plusieurs membres du CSI (à cette même séance) ; tout en espérant, à décharge, que les fonctions immunitaires naturelles des personnes en bonne santé ont en fait éliminé d’emblée cette inoculation (alors que celle-ci accentuerait la fragilité des personnes plus à risques ce qu’il faut creuser).

En tout cas, ce qui est à retenir et ce qui est très grave, c’est que l’on a adopté une technologie qui n’a guère d’effets positifs, car si l’on compare l’été 2020 et l’été 2021 l’écart létal n’est pas significatif avec ou sans injection. En effet, en juin 2020 avant l’arrivée de ce que l’on a appelé plus tard des « variants », causes des remontées de cas et de malades, la courbe était retombée sans injection (voir d’autres comparaisons ici dans l’étude animée par Laurent Toubiana). D’autre part, le fait d’avoir empêché les médecins de prescrire, y compris lorsqu’il n’y avait pas d’injections, est bien la preuve que le Serment d’Hippocrate aura été piétiné et, aujourd’hui mis au feu, puisqu’en cette date désormais maudite du 15 octobre 2021 (au même titre que celles du 5 août et du 12 juillet 2021), les soignants non injectés sont non seulement suspendus, mais interdits de pratiquer, ce qui est un scandale immense, inouï, inédit qui fera date.

Jamais en effet, pour une maladie si peu létale qui plus est, et alors que ces soignants savent prendre leurs précautions, une politique aussi brutale et cruelle, n’a été adoptée, montrant par là toute l’inhumanité d’une Secte sûre de son fait, prétentieuse, alors qu’elle s’est trompée sur toute la ligne (y compris sur l’efficacité supposée des « confinements », battue en brèche), croyant tout savoir sur l’immense complexité de la vie humaine. Alors qu’il faut toujours rester modeste, tant nous savons encore si peu de choses sur ce que le mot « santé » veut dire, du moins si l’on cherche à aller plus loin que cette remarque de Claude Bernard lorsqu’il indiquait pour celle-ci qu’il s’agissait déjà du « silence des organes », ce qui n’est pas rien, certes, mais nécessiterait sans doute de continuer à les sonder, tant le silence, surtout lorsqu’il est abyssal, décèle des causalités insoupçonnées, ce qui peut cependant permettre d’en prévenir les effets à venir si on laisse précisément les médecins faire librement leur travail.

Mais Claude Bernard est oublié. La médecine, les médecins, leurs longues, très longues années d’études et de pratiques, tout est jeté à la « poubelle de l’Histoire » au profit d’une vaste machinerie pseudo scientifique (scientiste en réalité) façon Frankenstein, Folamour, voire Menguele, tant expérimenter par exemple sur des enfants — qui ne font pas partie des catégories à « risques » (censées être par ailleurs « protégées » par l’injection) — s’avère être de plus en plus un crime contre l’Humanité, à tendance génocidaire. Ceci devra être bien sûr durement sanctionné, à commencer par tous ces sophistes de plateau qui sont les premiers responsables à avoir par exemple décrié les traitements précoces et surtout, comme l’indique Didier Raoult dans son dernier ouvrage, sont restés minutieusement silencieux devant ces manipulations de données dignes de pratiques cyniques nihilistes et en fait mafieuses.

C’est ce silence, plus que celui des « organes » qui est devenu inadmissible et doit donc être très durement sanctionné.




La prison électronique ou rien?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dominique Muselet

J’ai participé autrefois à une expérience grâce à laquelle j’ai découvert un des principes fondamentaux de ce qu’on appelait la Création quand Dieu dirigeait nos vies.

L’animateur a mis toutes sortes d’instruments à la disposition d’un groupe de personnes n’ayant aucune connaissance musicale, puis il nous a demandé de jouer ensemble, a enregistré notre performance et nous l’a fait écouter. A la cacophonie du début, s’est substituée, en deux jours, une belle harmonie…

Et c’est là que j’ai compris que l’harmonie est le cœur de la Création. Il me semble que tout dans l’univers aspire à l’harmonie et que sans harmonie rien ne fonctionnerait. Ou du moins, il doit y avoir davantage d’harmonie que de désordre pour que ça marche.

Bon, je crois que nul ne niera qu’en ce moment l’harmonie est particulièrement mise à mal dans notre société. La polarisation, la « fracture » qui est le fonds de commerce des commentateurs stipendiés, a atteint des sommets. Au niveau international, le conflit s’intensifie entre l’Occident déclinant et le bloc eurasiatique montant. La guerre nucléaire menace. Les multinationales financiarisées et les politiciens qu’elles ont fait élire mènent une guerre impitoyable aux peuples, les riches aux pauvres, les covidistes aux réfractaires à l’ordre sanitaro-politique, les mondialistes au communautarisme, et au niveau local, les tribus nouvellement formées, se livrent de cruelles guerres de territoire et d’influence…

L’histoire de la création chez les Iroquois

La recherche d’harmonie est ce que personnellement j’appelle Dieu. Dans un ashram, en Inde, j’ai lu, dans la traduction d’un livre de prières sanskrites, que Dieu, c’est « ce qui tient tout ensemble ». Quand Jésus dit que Dieu est amour, il dit la même chose. L’amour n’est pas un sentiment, c’est l’action de créer ou de maintenir l’harmonie, l’unité, la paix. Le diable, c’est l’incarnation de tout ce qui divise. Jusqu’ici, l’univers est toujours là et nous aussi. Cela semble indiquer que, même si des morceaux de l’univers se désagrègent sans cesse, Dieu, la force « qui tient tout ensemble », triomphe encore, peut-être de justesse, mais il triomphe.

C’est ce qu’ont tenté de nous enseigner Jésus, Gandhi, Martin luther King et tant d’autres. Malheureusement, les États, nos nouveaux dieux, n’ont pas à leur disposition de grandes réserves d’amour. Du coup, ils choisissent le contrôle, la menace, la manipulation, la coercition, la punition, la prison, pour tenter de tenir tout ensemble. Il est vrai que leur but n’est pas non plus aussi désintéressé que celui du Dieu de Jésus, eux cherchent plutôt à se maintenir eux-mêmes, à nos dépens s’il le faut.

La dérive liberticide actuelle est bien documentée par de nombreux observateurs, même si le camp de l’Establishment tente de les faire taire par tous les moyens. Je ne vais pas y revenir. D’ailleurs, j’ai décidé d’ignorer désormais ce gouvernement et ses folies criminelles pour protéger ma santé mentale et ma paix intérieure. Ce qui m’intéresse ici, c’est d’essayer, à partir du présent, de nous projeter dans l’avenir.

Un des effets les plus inattendus de l’opération-Covid a été, à mon sens, de rebattre les cartes des alliances sur le terrain. Des gens et des groupes ont carrément changé de camp. Les Socialistes, certains écologistes, quelques Gilets jaunes et beaucoup de gens qu’on croyait tolérants et de bon sens ont révélé leur vrai visage en soutenant les mesures mises en place par les apprentis Big Brother, ou en en exigeant d’encore plus liberticides. On dirait qu’ils veulent passer de la libre circulation des personnes et des capitaux à la prison électronique pour tous (sauf pour eux évidemment).

De l’autre côté, des gens qu’on avait l’habitude de considérer comme des fashos comme Florian Philippot, ou qu’on tenait pour de nuisibles capitalistes ou des suppôts de la Caste, se sont révélés des défenseurs de la liberté tout à fait extraordinaires. Les irréductibles gauchistes diront que ces gens-là déguisent leur pensée pour tirer un profit personnel de la crise, mais moi j’ai tendance à croire que ceux qui risquent leur statut, leur emploi, leur vie, pour défendre la liberté, sont au moins aussi sincères que ceux qui hurlent avec les loups…

Et donc il n’est pas question que, pour plaire aux censeurs de tout bord, je me prive des analyses, des expériences et des enseignements de qui que ce soit.

Et je commence  derechef, ma descente aux enfers avec le conspirationniste, Giorgio Agamben, qui pose la question que beaucoup se posent :

Et si le passe sanitaire n’était pas une conséquence, mais la finalité ?

Auditionné par le Sénat italien le philosophe Giorgio Agamben a d’abord souligné une énorme contradiction dans la loi italienne:

 « Vous savez que le Gouvernement, avec un décret-loi spécial numéro ddl 44/2021 appelé « bouclier pénal » désormais converti en loi, s’est exonéré de toute responsabilité pour les dommages causés par le vaccin. 

Et la gravité de ces dommages résulte du fait que l’article 3 du décret en question mentionne explicitement les articles 589, 590 du Code pénal qui se réfèrent à l’homicide involontaire et… aux blessures par négligence (…)

Comment l’État peut-il accuser d’irresponsabilité ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner, alors que c’est le même État qui décline le premier, formellement, toute responsabilité pour les éventuelles conséquences graves ? »

Puis il a répondu à la question soulevée plus haut :

 « Il a été dit par des scientifiques et des médecins que le passe sanitaire n’a aucune signification médicale en soi, mais sert à forcer les gens à se faire vacciner.

Je crois plutôt que l’on peut dire le contraire : c’est-à-dire que le vaccin est un moyen de forcer les gens à avoir un passe sanitaire. C’est-à-dire un dispositif qui vous permet de contrôler et de suivre, une mesure sans précédent, leurs mouvements.

Les politologues savent depuis longtemps que nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondée sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme.

Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? »

Thalès et la société de surveillance

J’enchaîne avec le libéral libertaire Éric Verhaeghe qui est lui aussi épinglé par le pape de la bien pensance comme « proche de la sphère conspirationniste ». Si son amour de la liberté peut le rendre aveugle aux méfaits de la propriété privée des moyens de production, il fait merveille dans la lutte contre l’hystérie covido-politico-sécuritaire. Interviewé par Rachel Marsden, Verhaeghe nous révèle que Thalès, le marchand d’armes, a énormément investi dans l’énorme marché d’avenir de l’identité numérique à travers sa filiale Idémia, avec les encouragements de l’État. Le passe sanitaire, que les gens sont soi-disant très heureux d’avoir, est, selon cette entreprise elle-même, la première étape de la construction d’une identité numérique à travers un wallet qui se terminera par les moyens de paiement (ce qui permettra à l’État et aux banquiers centraux de disposer de notre argent comme si c’était le leur !) Dans le monde dystopique qu’ils nous promettent, il faudra montrer ses papiers (enfin son code QR !) pour aller prendre un café ou l’autoroute, bref nous serons surveillés sans cesse et partout.

 Selon Éric Verhaeghe, le Brexit et tous les mouvements souverainistes inquiètent la caste libérale occidentale mondialisée. Elle a donc décidé de neutraliser les effets du suffrage universel en utilisant des technologies numériques pour pérenniser sa domination sur nos sociétés. Le passe sanitaire est la première expérience de Crédit social dans le monde occidental. Il punit les dissidents et récompense les obéissants sous couvert de nous protéger, l’argument des castrateurs de tous les temps. En Chine, il est d’ailleurs prévu que les paysans, qui sont d’éternels mauvais payeurs, règlent leurs impôts à travers la reconnaissance faciale, efficace à 80/95%.

Cette surveillance répressive est déjà utilisée en entreprise grâce à la télémétrie, selon la Quadrature du cercle, qui échappe, on ne sait pourquoi, à la vindicte de Conspiracy Watch :

« l’employé·e data-driven n’a pour seule fonction que de maximiser ses performances et la plus-value qu’il ou elle produit pour le bénéfice d’une entreprise qui aspire à une omniscience quasi-divine (…) Amazon se distingue régulièrement en la matière, par exemple avec la surveillance des conducteur·ice·s de camions de livraisons par un logiciel d’intelligence artificielle aux États-Unis, l’usage d’un logiciel qui suit automatiquement l’activité de chaque personne en mesurant le nombre de colis scannés et qui peut décider de licencier automatiquement les moins productives ou encore, en 2018, le dépôt de deux brevets pour un bracelet permettant de surveiller les mouvements des mains des employé·e·s dans les entrepôts. »

Y a-t-il un antidote à la dérive totalitaire de la Caste ?

En principe tout excès génère son antidote, pas toujours pour le mieux d’ailleurs. Par exemple, la caste mondialiste a supprimé les frontières des États, résultat, les frontières se sont rapprochées au point d’envahir notre intimité (codes d’accès, codes secrets, passe sanitaire et autres passes, caméras, surveillance électronique, etc.)

C’est le sociologue Michel Maffesoli, dûment vilipendé par Street Press (dans la grande famille des gardiens du discours convenu, on se répartit les rôles) pour ses soi-disant liens avec l’extrême-droite, qui nous apporte ici des éléments de réponse dans un article intitulé : Comment l’idéal démocratique a été remplacé par l’idéal communautaire.

A la question de Durkheim :

« Comment tient une société que rien ne transcende mais qui transcende ses membres ? » 

Maffesoli répond :

« Par le sentiment partagé. Le partage du sentiment est le vrai ciment sociétal ; il peut conduire au soulèvement politique, à la révolte ponctuelle, à la lutte contre l’exclusion, à la grève par solidarité, il peut également s’exprimer par ou dans la banalité courante. Dans tous les cas, il constitue un ethos qui fait que contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques ».

Selon lui, « la standardisation mondiale » engendre une « accentuation des valeurs particulières » qui permettent de se « réapproprier son existence ». Les « petits réseaux fédérant de petits groupes existentiels » se multiplient. On constate une « émergence de l’idéal communautaire que la modernité s’emploie à nier ».

La réponse et l’antidote à la déshumanisation totalitaire que veut nous imposer la Caste, c’est de l’ignorer autant que possible et de s’unir et de se réunir partout avec ceux qui partagent notre sentiment, pour défendre des terres, des bâtiments, des idées, des acquis, des droits, des idéaux, ou pour échapper à l’esclavage de l’emploi et de la consommation, à l’isolement, à la précarité, à la robotisation, à la surveillance, ou pour expérimenter d’autres façons de vivre.

Bien sûr tout cela sera combattu pied à pied par la Caste au pouvoir, mais le mouvement est irréversible. Le balancier est reparti dans l’autre sens. Rien n’empêchera les liens de se tisser, les communautés de se former et la société de se régénérer, d’autant plus qu’il suffit que le positif l’emporte d’un iota sur le négatif pour que le désordre (la haine, l’envie, la division, l’exploitation) cède la place à l’ordre (l’harmonie, la coopération, la paix).

C’est ainsi que, comme le dit Maffesoli, 

« contre vents et marées, au travers des carnages et des génocides, le peuple se maintient en tant que tel, et survit aux péripéties politiques  ». 

Dominique Muselet, Montreuil, le 13 octobre 2021

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dominique Muselet, Mondialisation.ca, 2021




La décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

La manipulation scientiste-hygiéniste-affairiste actuelle ayant échoué (les dizaines de millions de morts ne sont pas au rendez-vous malgré le refus de remettre les compteurs annuels à zéro et malgré la jungle féroce des manips statistiques), cette forfaiture dévoile bien comment ce carcan fait office de camisole de force étouffant les esprits libres, mais aussi les corps sevrés en drogues mentales et expérimentales diverses ; sans que ceux-ci ne se demandent un seul instant comment se fait-il qu’il soit encore possible d’accepter de se les faire injecter tous les six mois, et pour les autres à chaque instant (drogue médiatique), alors que pour les vaccins « classiques » (réactionnaires ?) il suffisait d’un rappel tous les dix ans ou alors une fois pour toutes ?…

Pourquoi tant d’injections pour un virus « syndémique » au sens de ne toucher que la partie fragilisée de la population par une génétique et un vieillissement donnés et des modes de vie sédentaires peu favorables à dynamiser une immunité naturelle ?

Ne serait-ce pas parce que ce serait cette dernière qui a été désignée commeétant le but de cette manip triptyque (scientiste-hygiéniste-affairiste) ? Ainsi, par « crainte de voir l’immunité diminuer », clame hypocritement la prothèse holographique faisant office de Premier Ministre en France, le piétinement minutieux forcené paranoïaque des libertés fondamentales est désormais acté comme salvateur, impliquant prolongement des inepties et autres incuries.

En fait et plus généralement le hiatus grandissant entre une réalité annihilant toutes les exponentielles — confondant fantasmes statistiques et historicité des épidémies aux courbes fonctionnant toujours en cloche et jamais en hausse infinie — montre bien que nous sommes gouvernés à la fois par des monstres qui sont en même temps des Lilliputiens.

Tempête dans un verre d’eau ?…

Les peuples ont cependant du mal à l’admettre, tant ils ont été en effet hypnotisés durant bientôt deux ans — ce qui laisse des traces — surtout lorsque la perception est affadie, le cerveau embrumé, un QI sans doute réduit à la portion congrue, les consciences ayant perdu leur âme depuis longtemps (soit cette capacité de clairvoyance instantanée), réduites à n’être que des vitrines encore « vivantes », des hublots de viandes trouées, tatouées que les Maîtres/ses S.M viennent dompter quand cela leur chante via les flux électro-symboliques quadrillant la planète Terre.

Nous sommes de nouveau en pleinemétaphysique des fluides, d’aucuns parlant même de « fluidité de genre ». Ainsi une minorité autoproclamée par définition (les M.S.M : Maîtres/ses Sado-Maso des M.M ou médias mainstream), mais ayant l’aval des Puissants globalistes (et leur manip triptyque) vient en effet reconstruire en grand la République de Salò, tant ils sont tous (les Puissants globalistes et leurs Outils M.S.M) désireux de « faire l’Histoire » et non pas seulement la lire au coin du saladier de coke tout en se faisant fourrer par la « diversité » (comme le conseillait déjà Henri Miller dans Tropique du Cancer, sans oublier Edouard Nabe de l’autre côté du courant thélémite, mais tendance Drumont voyant par exemple dans les origines de la Première Guerre mondiale un complot juif). Aussi tentent-ils par tous les moyens de malaxer à distance et dans les alcôves (payées également par l’argent public) nos corps et esprits afin d’assouvir leur désir ultra-narcissique de psychopathes invétérés visant à nous transformer en tains de leur miroir afin de nous demander inlassablement « qui est la plus belle » traquant alors nos « Blanche-Neige » pour leseffacer.

Pour les contrer il nous faut déc(h)anter. Arrêter de les citer, d’en parler, de s’étonner en employant leurs mots. Ce sont, tous, des suppôts néo-léninistes affairistes, Nouvelle Milice en action agissant pour le compte de La Secte Globale.

Et il faut en effet faire respecter les dénivellements du champ de bataille actuel : comme leurs prothèses intellectuelles et manuelles tentent de nous attirer avec des artefacts langagiers, il ne faut surtout pas employer leur vocabulaire, ne pas leur répondre là où elles le désirent, mais par contre les attaquer sans relâche frontalement et en quinconce, sans oublier les pièges à l’ancienne, mais aussi l’artillerie longue distance dont le martèlement incessant devrait à terme déblayer le terrain pour les bombardements lourds à venir prélude à l’assaut : sans pitié (ou alors celle de King Kong).




Manipulations artificielles du climat et autres armes

[Source : Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]



Site de Jean-Pierre Petit, astrophysicien (jp-petit.org)




PCB : Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Il a été rapporté que :

« les évêques mexicains ont publié le 30 août quatre cas dans lesquels leur service de santé ne paiera pas les factures que le prêtre ne peut pas payer lui-même :

– lorsqu’un prêtre s’est exposé imprudemment au Covid ; »

Commentaire : De facto, tout peut être considéré comme imprudent : par exemple, le fait que le prêtre n’oblige pas les fidèles à porter des masques. Ainsi, tout opposant idéologique à la corona-psychose peut être innocemment puni.

« – quand il est testé positif au Covid-19, mais ne prend pas de mesures ; »

Commentaire : le Dr Montanari déclare que les tests PCR sont à 80 % peu fiables et utilisés à des fins de manipulation publique. Le virologue tchèque S. Pekova ajoute qu’un test positif ne signifie pas qu’une personne est malade. De plus, ces tests se sont avérés très dangereux. Ils endommagent les muqueuses, introduisent même des parasites et des nanoparticules dans l’organisme, et il y a eu des cas de rupture de la barrière hématoencéphalique. Les médecins mettent en garde contre ces tests.

– Dr Petrella : « Ne vous faites pas tester ! Une fois testé, vous serez obligé de vous faire vacciner. »

« – quand il n’utilise pas de masques [inutiles] ; »

Commentaire : Les médecins disent : Les personnes en bonne santé n’ont jamais été obligées de porter un masque. Le masque ne protège pas contre le virus ; au contraire, l’immunité chute rapidement. En portant un masque, une personne respire ses propres émissions et souffre d’un manque d’oxygène, ce qui a un impact négatif sur le fonctionnement du cerveau.

Idéologiquement, si un prêtre masqué fait face au peuple pendant la messe, tout cela n’est qu’un coup publicitaire pour tout ce système frauduleux, qui se poursuit avec des tests peu fiables et une vaccination expérimentale. C’est une parodie de Dieu et une manipulation des personnes qui mettent leur confiance dans les prêtres.

« – quand il refuse la « vaccination » [controversée et dangereuse]. »

Commentaire : Les évêques mexicains ont-ils au moins une connaissance élémentaire du vaccin à ARN messager ? Rappelons quelques faits :

  • 1) Qui fait la promotion du vaccin ? Le vaccin est promu par les pouvoirs en place. Pourquoi ? Pas pour le bien de la santé humaine; c’est tout le contraire, comme l’a révélé Bill Gates : « Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % » (dans la première étape). Les évêques mexicains, ainsi que le pseudo-pape Bergoglio, appliquent ce programme de mort à tous leurs prêtres, sous la terreur.
  • 2) Le vaccin à ARN modifié change le génome humain, et c’est un crime contre Dieu le Créateur ! Les évêques mexicains sont-ils conscients qu’ils forcent les prêtres et les croyants à cette rébellion ? À qui servent ces évêques ? Dieu ou Satan ?
  • 3) Le vaccin possède, comme base biologique, des tissus arrachés à un enfant vivant à naître avant qu’il ne soit tué. En imposant des vaccins à ARNm, les évêques mexicains promeuvent le meurtre sadique d’enfants à naître. Sous la morale catholique, ils sont sujets à l’excommunication – l’expulsion de l’Église.
  • 4) Les évêques mexicains savent-ils que le vaccin contient des nanoparticules et fait partie du processus de puçage de l’humanité ? L’Écriture met en garde contre cela, parlant de l’étang de feu. Ces Judas mexicains portant la mitre obligent les prêtres, ainsi que toute la nation mexicaine, à suivre le chemin qui aboutit à l’étang de feu. C’est une tragédie que la hiérarchie catholique apostate soit devenue la meneuse de la nation, et s’oppose au président du Mexique, qui s’oppose à la vaccination obligatoire et aux restrictions de liberté qui y sont associées.
  • 5) Ces loups épiscopaux mexicains déguisés en mouton savent-ils que la vaccination est une expérience interdite sur l’être humain en vertu du Code de Nuremberg, et qu’elle vise la réduction ou le génocide de l’humanité ? Ici, les imposteurs et les criminels religieux, qui vivent en parasites du Corps mystique du Christ, se sont clairement exposés. Ils travaillent astucieusement avec Bergoglio pour détruire l’Église ; non seulement afin de perpétrer un génocide physique, mais aussi pour jeter beaucoup d’âmes qui ont reçu la marque dans l’étang de feu.

Que disent les véritables experts, plutôt que le pseudo-pape Bergoglio ou les médias mensongers, à propos de la vaccination ?

Dr Vladimir Zelenko, États-Unis :

« Le ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. La vaccination nationale a commencé le 20 décembre. Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle et empoisonnée… C’est une arme biologique. Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », son corps devient une usine de production de protéines spike. »

Dr Dolores Cahill, Irlande :

« 90 % des vaccinés mourront dans les deux ans. »

Dr Ryan Cole, États-Unis :

« Le vaccin (à ARNm) est une toxine. Il provoque des micro-caillots, des réponses inflammatoires dans le cerveau, le cœur, les poumons… »

Pr Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et virologue :

« Après la vaccination contre le Covid-19, des caillots sanguins ont été retrouvés dans les vaisseaux. Lorsque vous faites vacciner votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins expérimentaux comme des expériences menées sur les êtres humains, expériences qui sont interdites. » (Voir Code de Nuremberg)

Le Dr Luc Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel de la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse :

« C’est le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. »

Nous demandons de quel droit et sur quelle base les évêques mexicains font du chantage et imposent des sanctions aux prêtres guidés par le bon sens, la conscience et les avertissements d’experts incorruptibles et honnêtes en virologie. Ces clercs sont-ils des experts en médecine ? S’ils scandent « le vaccin pour tous » comme un mantra, faisant appel au pseudo-pape Bergoglio, rappelons que Bergoglio s’est attiré une malédiction multiple, un anathème, pour crimes spirituels commis contre le Christ, l’Église et l’humanité. Il a intronisé le démon Pachamama, violant ainsi le Premier Commandement et introduisant l’idolâtrie païenne, ce qui conduit à l’apostasie du Christ vivant qui est le seul Sauveur. En promouvant la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les homosexuels, Bergoglio non seulement abolit les lois morales, mais attire le châtiment du feu temporel et éternel (2Pt 2:6; Jud 1:7) sur ceux qui se soumettent à lui. Quant au vaccin à ARNm, le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements urgents des meilleurs experts médicaux, et est consciemment impliqué dans le génocide sournois de l’humanité.

Posons une question à ces Judas mexicains : Bergoglio est-il un hérétique et est-il expulsé de l’Église, ou est-il un pape légitime ? « Si quelqu’un prêche un autre évangile, qu’il soit maudit (anathème) ! »(Gal 1:8-9) Bergoglio prêche un anti-évangile sodomite et du Covid, et donc, il est maudit, expulsé.

Chers évêques mexicains, nous vous demandons de vous repentir publiquement, de vous excuser auprès des prêtres et d’appeler la vérité la vérité, l’hérésie, l’hérésie et un crime, un crime. Si vous n’êtes pas disposés à vous repentir, laissez les prêtres et les croyants se séparer de vous en tant que plus grands ennemis du Christ et de l’Église, sur base des enseignements de l’Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 29 septembre 2021

Les évêques mexicains font chanter des prêtres afin qu’ils se fassent vacciner

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Concernant la prière et les vaccins (vidéo)




L’heure de la justice

[Source : rumble.com ou odysee.com]

Le Symposium interdisciplinaire sur le covid-19 s’est tenu le 29 et 30 Juillet 2021. À travers une réunion d’experts en médecine, en économie ou encore en journalisme, ce symposium cherche à rétablir la vérité sur les événements auxquels nous assistons depuis bientôt 2 ans. Il essaye de répondre à des questions telles que : D’où vient le SARS-Cov-2 ? Est-il d’origine naturelle ou fabriqué par l’homme ? S’il est fabriqué par l’homme, par qui et pourquoi a-t-il été fabriqué ? Quelle est la réelle efficacité des vaccins ? Y a-t-il un agenda dissimulé derrière ce vaste théâtre « sanitaire » ? Quelles sont les conséquences économiques et sociales des mesures restrictives ? Ont-elles réellement été prises pour des raisons sanitaires ? Quelles solutions avons-nous pour sortir de cette situation catastrophique ?
Des figures comme celles de Reiner Fuellmich, Vera Sharav, Sucharit Bhakdi, Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Denis Rancourt ou Richard Werner nous fournissent des interventions de grande qualité et nous apportent des éléments clefs.

✨ Ce symposium a été réalisé grâce à un partenariat entre :
Doctors for Covid Ethics : https://doctors4covidethics.org
Children’s Health Defense : https://childrenshealthdefense.eu
UK Column :https://www.ukcolumn.org

📝 La traduction a été réalisée par :
Jeanne Traduction : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Mention spéciale à Elo, qui depuis des mois nous apporte son aide précieuse dans la traduction ♥️




































Pourquoi deviendrait-il si urgent de faire abolir la peine de mort à l’échelle internationale ??

Par Diane Vincero

Est-ce qu’au vu des milliers de plaintes pour crimes contre l’Humanité, déposées dans tous les pays (à l’échelle nationale, comme européenne, comme internationale), les dirigeants français (entre autres) ne pendraient pas conscience que leur tête est mise à prix, au sens littéral du terme ??

Donc, voilà un abus supplémentaire, une volonté supplémentaire de la part des dirigeants d’aménager les lois dans le sens qui les arrange. Tout cela présenté, une fois de plus, de façon très mielleuse, très onctueuse, en mettant en avant que « la peine de mort est une peine honteuse », et bla-bla…

Et les centaines de milliers de morts et de handicaps graves provoqués par l’obligation vaccinale covid, c’est quoi ??? N’est-ce pas pire qu’un meurtre « habituel », dans le sens où ces meurtres là, par la vaccination, ont été commis SCIEMMENT, sous une apparence mielleuse, onctueuse, de « vouloir protéger le peuple » alors que partout ont été soulevés ces effets catastrophiques de cette vaccination !!!! 

Lorsque les procès éclateront, tous ces dirigeants voudront encore se cacher, comme d’habitude, derrière de « beaux principes, bien mielleux » qui seront : « nous ne savions pas que les vaccins pouvaient entraîner tous ces effets secondaires, on nous l’avait caché. », « Nous avons pris soin de nous appuyer sur la HAS », etc., etc.. 

Mais, ce manège ne tient pas, puisqu’eux et nous savons les liens TRÈS étroits entretenus DEPUIS DES DÉCENNIES entre Big Pharma et toutes ces « autorités de santé », ces conseils de l’ordre des médecins, ces personnalités politiques, etc., etc., etc. qui montrent bien que l’intérêt de toutes ces personnes n’était certainement pas dans la protection du peuple (et ce à l’échelle mondiale). 

D’ailleurs, première décision extrêmement honteuse, scandaleuse qui est d’avoir accordé à Big Pharma, et ce dès 2003 (environ) que les laboratoires pharmaceutiques soient dégagés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires engendrés par leurs vaccins !!!!!! Qui les a dégagés de ces responsabilités ??? Les politiques…….

Mais encore une fois, qui parmi les citoyens ordinaires est dégagé de toute responsabilité sur les conséquences de ses actes ??????!!!! Vous n’avez qu’à regarder la tornade d’amendes qui s’abat actuellement sur les automobilistes qui osent dépasser légèrement les limitations de vitesse drastiques qui viennent d’être mises en place : pour le « moindre clignement d’œil de travers », le citoyen lui est sanctionné. 

Il est question par ailleurs d’augmenter les sanctions pour les non-vaccinés avec des amendes lourdes.

Donc, les dirigeants sont excellents quand il s’agit de donner des leçons, de sanctionner à tout va, en se cachant systématiquement derrière le masque de prétextes onctueux « pour le bien du peuple », mais comme ils devront répondre de leurs actes et décisions, ils anticipent déjà la levée de toute responsabilité….

D’ailleurs, il vient d’être question de dégager les dirigeants français de toute responsabilité dans la campagne covid !!!

Mais arrêtez !!!!!!!!! Cela dépasse l’entendement !!!!! 

Dans les corps de métier régaliens, il y a des devises comme « Force et Honneur », « Honneur et Patrie », etc., etc.  

Donc, on bourre le mou des policiers, gendarmes, militaires, de devises vertueuses, de valeurs, ALORS QUE PENDANT CE TEMPS, LES DIRIGEANTS EUX, BAFOUENT TOUTE ÉTHIQUE, TOUTES LES VALEURS FONDAMENTALES, etc., etc. SOUS NOS YEUX !!!!!!!!!!!! 

Où est leur force ? Où est leur probité ? Où est leur honneur ??? Ils ont été jusqu’à obliger les médecins à ne pas utiliser des traitements qui guérissent du covid, et les ont amenés à vacciner, alors que la devise des médecins est « Primum non nocere » (« d’abord, ne pas nuire »).

Au passage, on peut lire dans Wikipedia que

« Un ministère régalien est un ministère qui répond aux fonctions régaliennes de l’État, c’est-à-dire les fonctions dont la responsabilité doit normalement être prise par l’État et qu’il ne doit pas déléguer à des sociétés privées1. »

Alors pourquoi certaines amendes, etc., etc. sont-elles confiées à des sociétés privées ???

STOP !!! STOP !!!

Dirigeants, vous avez dépassé les bornes depuis plus de 18 mois !!!

En conclusion : cessez de vous cacher derrière de prétendues bonnes intentions et assumez vos responsabilités, comme l’éducation nationale l’enseigne aux enfants dès la maternelle….. Vous n’êtes pas des enfants de maternelle, et, vous n’en avez aucunement l’innocence… Si vous avez pu leurrer une catégorie de population, les autres voient clair dans votre jeu !!!! 

La manipulation destructrice fonctionne en 3 étapes : mettre en avant de « beaux principes » avec des arguments tellement onctueux qu’on pourrait y croire. Ensuite, on culpabilise à tout va « vous êtes de mauvais citoyens, des non-vaccinés, des délinquants routiers, vous coûtez cher à la SS, etc., etc., etc. », et enfin, il y a l’argent, le nerf de la guerre ; ici en l’occurrence, les milliards que gagne Big Pharma avec ses vaccins, ses médicaments, etc., etc., etc.

Un exemple, quand on parle du « trou de la SS » : comment expliquer que les médicaments déjà anciens qui ne coûtent plus rien sont retirés du marché, alors qu’ils fonctionnaient très bien chez les patients, et ce, au profit de « nouvelles » molécules qui coûtent très cher ??????? Si on regardait de près ce mode de fonctionnement entre Big Pharma, les dirigeants de la SS et les dirigeants politiques, on serait certainement très surpris de tout ce qui se passe depuis des décennies…




Fact checkers ou désinformateurs ? Trois questions à Jean-Yves Le Gallou

[Source : Observatoire du journalisme (Ojim.fr)]

“Fact checkers”, vérificateurs, décodeursdésintox… Pas un média ne fait désormais l’économie de ces spécialistes, chargés de “débunker” (démystifier) les “fake news” (fausses nouvelles), que ce soit sur internet ou dans la bouche des politiques (de préférence à droite de l’échiquier). Derrière ces anglicismes se cache un appareillage militant où la neutralité passe souvent au second plan. Le dernier exemple en date, lors du débat Zemmour-Mélenchon sur BFMTV, a mis en lumière certaines de leurs pratiques mais également leurs limites.
Jean-Yves Le Gallou est essayiste, haut fonctionnaire et ancien Député européen. Depuis bientôt 10 ans, il dirige la fondation Polémia, “réservoir à idées” particulièrement actif dans le domaine de la critique média. Il anime également depuis plusieurs années l’émission I Média sur TV Libertés, offrant un décryptage de l’actualité médiatique. L’un des derniers épisodes d’I Média portait justement sur le “fact-checking”. L’Ojim a voulu en savoir plus.

Voir aussi : Franceinfo : le Vrai du Faux décode à pleins tubes – Ojim.fr

Vous vous êtes exprimé récemment à propos du “fact checking” réalisé par les équipes de BFMTV à l’occasion du débat Zemmour-Mélenchon. Selon vous, ces “vérificateurs” sont des désinformateurs. Pouvez-vous développer ce point ?

Le « fact checking », la « vérification »  des informations telle qu’elle est effectuée par les journalistes des grands médias a un double objectif :

  • permettre aux journalistes de reprendre le pouvoir et le contrôle de l’information aux dépens de leurs invités, en particulier les politiques,
  • sauver le point de vue politiquement correct des attaques qu’il subit et le protéger des assauts du réel.

J’ajouterais que tous ces anglicismes (“fact checking”, “fake news”, “debunkage”) sont à l’image du salmigondis prétentieux en usage dans les agences de communication, pour donner une impression de sérieux, « un vocabulaire de spécialistes qui ne peuvent se tromper ».

Le « fact checking »  présente un triple biais :

  • dans le choix des personnalités dont on vérifie ou non les affirmations : à ce propos combien de « fact checking » sur les déclarations de Véran, régulièrement approximatives  et non sourcées, sinon carrément mensongères ?
  • dans le choix des questions et des sujets,
  • dans le choix des « experts » : ainsi sur la question de l’immigration pourquoi faire appel à Hervé Le Bras qui prétendait déjà il y a 30 ans que « l’immigration était stable » et « qu’il n’y avait pas de baisse de la fécondité des Françaises » et non à Michèle Tribalat plus lucide et plus rigoureuse, sinon pour tromper l’opinion ?

Qu’est-ce qu’un bon expert ? Ce n’est pas quelqu’un qui dit des choses justes, c’est quelqu’un qui présente de manière pseudo scientifique les affirmations politiquement correctes qu’on attend de lui. Et qui lui permettent d’être réinvité, d’avoir un accès régulier aux grands médias et donc de trouver des éditeurs et des sponsors pour ses travaux.

Voir aussi : Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Première partie – Ojim.fr

Cela pose la question plus large de l’objectivité et du devoir de neutralité : un mythe ?

Il n’y a pas d’objectivité possible car tout article, tout reportage, tout documentaire est « anglé » : il analyse les faits depuis un point de vue. Et celui-ci est par nature subjectif et partiel, sinon partial ! Le point de vue de la victime n’est pas le même que celui du délinquant. Et un chiffre même exact n’a de sens qu’en rapport avec d’autres chiffres.

J’ajoute que dans la pensée européenne – et en dehors des dogmes religieux – il n’est possible d’approcher les vérités que par la libre confrontation des points de vue. La logique du « fact checking » n’est pas celle-là, c’est celle du MINIVER, le ministère de la vérité dans 1984 d’Orwell. Les « fact checkers » sont au service de la vérité officielle de Macron.

Il faut les dénoncer avant qu’ils n’arraisonnent le débat démocratique : imaginez le rôle qu’ils pourraient jouer dans un débat de deuxième tour de l’élection présidentielle où ils ne manqueraient pas de confirmer les dires du candidat « gentil » et de désavouer les affirmations du candidat « méchant ».

Derrière la guerre de l’information, la guerre culturelle ?

Bien sûr : c’est une guerre des représentations. La propagande vise à faire croire des affirmations contradictoires : ainsi « le Grand Remplacement n’existe pas »  mais « la créolisation, c’est formidable ».

Voir aussi : Loi sur les fake news, le point de vue de François-Bernard Huyghe : une loi idéologique – Ojim.fr

Voir aussi : I‑Média n° 364 — Fact-checkers : Les désinformateurs

Ce contenu est mis à disposition selon les termes
de la Licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International.


[Voir aussi :
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
La Presse-Système
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?]




Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites

Par Alain Tortosa

Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites.
Nous devons nous préparer activement à contrer le fameux « on ne savait pas ».
Quand la dictature va tomber, les responsables
et les complices vont plaider l’obéissance aux ordres et l’ignorance.

Comme après la Deuxième Guerre mondiale : « On savait pas qu’il y avait des camps, si on avait su… ».

J’en appelle à moi-même et à tous les résistants qui œuvrent depuis des mois pour le rétablissement de la vérité scientifique et des droits de l’homme. Lors de la prochaine débâcle nous allons assister à une destruction massive des preuves, à la suppression d’archives et à une tentative inédite de réécriture de l’histoire. À ce titre je voudrais saluer l’initiative de Crowdbunker, parmi d’autres, qui archive de nombreuses vidéos déjà censurées ou qui le seront bientôt. Quand la dictature va se fissurer, un maximum de « collabos » vont retourner leur veste, mentir, détruire des preuves, pour tenter de passer pour des « résistants ». Il est encore temps, car ils se croient invincibles et pensent être à l’abri de toute démocratie.

Nous devons donc archiver toutes les interviews écrites et audiovisuelles qui les incriminent, mais aussi toutes les preuves qui attestent que les données étaient connues depuis le mois de mars 2020 et même avant pour certaines.

Le travail est titanesque, ne serait-ce qu’en France, quand on pense au nombre de médecins, ministres, politiques, personnes d’influences (artistes…), enseignants, journalistes, préfets, juges, policiers, gendarmes, juristes, fonctionnaires, enseignes commerciales… qui ont manipulé, menti, traqué, condamné, pour contraindre les honnêtes gens à accepter l’inacceptable. Nous allons devoir réécouter et relire toutes les interventions télévisuelles ou écrites et archiver toutes les prises de paroles de chacun.

Il y a probablement des dizaines de milliers de complices en lumière ou de l’ombre qui devront répondre devant la justice quand elle sera enfin de retour.

La méthode de défense des personnes incriminées sera double, comme d’habitude…

  • L’obéissance à la hiérarchie. Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette défense des lâches. Les textes de loi existent déjà et nul ne peut se réfugier derrière sa hiérarchie avec son « je n’ai fait qu’obéir aux ordres ». Nous pourrons d’ailleurs amener la preuve que de nombreux « collabos » sont allés bien au-delà des ordres et des lois scélérates. Ils ont fait du zèle dans tous les échelons de l’administration.
  • Le manque de données. C’est là le gros du travail d’archives. Toutes les pourritures de la plus insignifiante à la plus corrompue, de la plus débile à la plus décorée, ne manqueront pas de dire « on ne savait pas » pour l’ensemble des horreurs qu’ils ont imposé ou encouragé. Il va donc falloir apporter tous les éléments de preuves attestant des mensonges. Ils auront beau chercher, ils n’arriveront pas à prouver l’agissement par ignorance. Soit nous amènerons la preuve que l’on savait, soit nous amènerons la preuve qu’il y avait doute sans consensus. Pour les sujets où il pouvait demeurer ce doute, pourquoi le principe de précaution a-t-il été systématiquement balayé au profit de la mesure la plus dictatoriale possible et dont les conséquences néfastes étaient connues par avance pour un bénéfice hypothétique ? Si nous — résistants, lanceurs d’alerte, soignants, scientifiques, hommes de loi, simples citoyens — savions… alors eux aussi pouvaient disposer des mêmes connaissances et ceci d’autant plus qu’ils étaient proches du pouvoir et des sphères d’influence.

Et les mensonges ne manquent pas !

  • Mensonges et manipulation de l’opinion publique en usant systématiquement de la peur.
  • Mensonges sur l’honnêteté des laboratoires pharmaceutiques, du lobbying et de la corruption.
  • Mensonges en niant la corruption des médecins, soignants, artistes, restaurateurs, entreprises, politiques, fonctionnaires, etc. dont on a acheté le silence à coup de milliards d’euros.
  • Mensonges sur la « certitude » de l’origine du virus.
  • Mensonges sur la prétendue indépendance de l’OMS.
  • Mensonges sur l’ampleur de la crise et son aspect prétendument « exceptionnel ».
  • Mensonges sur les publics touchés, les personnes à risque.
  • Mensonges sur la dangerosité intrinsèque du virus.
  • Mensonges sur le taux d’incidence.
  • Mensonges sur le nombre de vrais malades du Covid..
  • Mensonges sur le nombre d’hospitalisations pour Covid.
  • Mensonges sur le nombre et le pourcentage de personnes en réanimation (soin intensif).
  • Mensonges sur le nombre de morts imputés au Covid.
  • Mensonges sur l’absence de traumatismes chez les enfants.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des gestes barrières.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue innocuité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des confinements.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du couvre-feu.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité de la fermeture des commerces dits non-essentiels.
  • Mensonges sur l’absence affirmée de traitements.
  • Mensonges sur la dangerosité de molécules inoffensives.
  • Mensonges et omerta sur les personnes âgées interdites de traitements et tuées au Rivotril.
  • Mensonges pour promouvoir l’interdiction d’accès aux soins.
  • Mensonges pour interdire aux médecins de prescrire.
  • Mensonges sur la prétendue ouverture de lits d’hospitalisation quand on les fermait.
  • Mensonges pour tuer la réputation de médicaments efficaces et « gratuits ».
  • Mensonges sur l’absence de conflits d’intérêts des « spécialistes ».
  • Mensonges pour promouvoir des molécules dangereuses (et inefficaces).
  • Mensonges sur le mythe de l’immunité vaccinale de masse.
  • Mensonges sur la prétendue impossibilité d’une immunité naturelle de masse.
  • Mensonges pour dénigrer l’AstraZeneca au profit de l’ARN Messager.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des thérapies dites vaccinales.
  • Mensonge sur la prétendue innocuité de ces substances expérimentales et ARNm.
  • Mensonges pour faire croire au public que les tests de sécurité avaient été conduits.
  • Mensonges pour camoufler ou interdire la remontée des effets secondaires graves des injections.
  • Mensonges sur la prétendue absence de mortalité post-vaccinale.
  • Mensonges pour vendre de la 3e dose de vaccins non mis à jour.
  • Mensonges sur les annonces disant qu’il n’y aurait jamais de passe sanitaire.
  • Mensonges identiques concernant l’obligation vaccinale.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du passe-sanitaire qui ne vise que l’obligation vaccinale et l’extorsion du consentement.
  • Mensonges sur le fait que le passe-sanitaire serait devenu naturel et entré dans les mœurs.
  • Mensonges pour dénigrer toute parole autre.
  • Mensonges sur un prétendu consensus scientifique qui n’a JAMAIS existé.
  • Mensonges pour transformer l’annonce et la parole médiatique en « loi ».
  • Mensonges pour faire du résistant un être asocial, débile, complotiste ou antisémite.
  • Mensonges sur le nombre de personnes opposées aux lois liberticides ou sur le nombre de manifestants.
  • Etc.

Pour amener la vérité factuelle historique et scientifique, nous devons mener de front plusieurs travaux majeurs, mais nous devons surtout créer et centraliser :

  • Un fichier des données scientifiques et statistiques par thème (masque, confinement, traitements, vaccins…) Répertorier et dater les données. Ce travail a d’ores et déjà était largement mené notamment par Reinfocovid.
  • Un fichier de lanceurs d’alertes, de scientifiques, de médecins honnêtes et de juristes. Répertorier et dater les déclarations de chacun qui ont été censurées ou dénigrées.
  • Un fichier d’acteurs et de complices de la dictature. Répertorier et dater les affirmations mensongères, tromperies, manipulations, demandes de privations de liberté, conflits d’intérêts de tel ou tel, etc. C’est probablement le plus gros du travail. Ne serait-ce que pour répertorier tous les acteurs.

C’est par recoupement et corrélation des données scientifiques ou statistiques connues à la date de l’affirmation que nous pourrons prouver le mensonge ou la manipulation et contrer le « on ne savait pas ».

Prenons quelques exemples :

  • Le témoignage d’un « médecin » qui à la date du X affirme que sa hiérarchie lui interdit de signaler les effets secondaires des vaccins.
  • Le témoignage d’un médecin qui affirme traiter ses patients avec succès avec les molécules dénigrées ou interdites.
  • Le témoignage d’un soignant menacé par l’ordre des médecins ou l’ARS.
  • Un maire qui lors du 1er confinement va au-delà de la loi et interdit à ses citoyens de sortir à plus de 100m de chez eux.
  • Un préfet qui rend le masque obligatoire dans des écoles alors même que le protocole sanitaire ne l’impose pas.
  • Un directeur d’école qui ne fait pas enlever les masques lorsqu’ils ne sont plus obligatoires ou qui parque des élèves, les punit s’ils portent mal la muselière.
  • Un rectorat qui n’accepte pas les certificats médicaux d’exemption de port du masque.
  • Un journaliste qui dit que la situation est catastrophique en Suède et que l’absence de confinement est un échec.
  • Un enseignant de sport qui oblige ses élèves à porter un masque durant l’activité sportive.
  • Un commerce qui propose des offres aux clients vaccinés.
  • Un médecin qui incite son patient qui n’est pas à risque à se vacciner alors même que les risques de l’injection sont déjà connus et qu’il ne l’informe pas.
  • Un commerce qui impose le masque à l’intérieur alors même que la loi ne l’oblige pas.
  • Une entreprise qui fait pression pour la vaccination de ses employés en dehors de tout cadre légal.
  • Une entreprise qui licencie un employé pour non-port du masque.
  • Un ministre qui affirme que 80 % des hospitalisés sont non vaccinés.
  • Tel journaliste qui le répète comme étant une vérité.
  • Un médecin qui dénigre une molécule inoffensive et qui fait la promotion d’une autre molécule dangereuse et hors de prix.
  • Un enseignant qui harcèle un enfant pour qu’il porte parfaitement la muselière et ignore ses maux.
  • Un médecin qui est invité des centaines de fois dans les médias alors qu’il a des conflits d’intérêts.
  • Un politique qui vote le confinement, la vaccination obligatoire ou l’urgence sanitaire.
  • Un médecin qui affirme que le port du masque en population générale a prouvé son efficacité.
  • Un journaliste qui reprend à son compte les dépêches AFP sans la moindre vérification.
  • Un membre du conseil scientifique qui ment sur des chiffres.
  • Un épidémiologiste qui promet 400 000 morts dont les prévisions sont systématiquement erronées et qui est réinvité à l’infini.
  • Un politique qui affirme que le confinement a sauvé des vies.
  • Un média qui supprime de ses archives une publication ou une interview en fonction des propos « complotistes » qui ont été tenus.
  • Un « vérificateur » de l’information qui se contente d’interroger uniquement les personnes qui affirment La Vérité Officielle pour « prouver » que l’affirmation contraire est donc une « fake news ».
  • Un journaliste qui affirme que le vaccin est la seule voie vers une immunité vaccinale de masse.
  • (Liste non exhaustive).

Ces quelques exemples montrent à quel point l’entreprise est titanesque à l’échelle d’un pays alors imaginez toute la planète.

Mais c’est en listant les faits scientifiques, en listant les déclarations des résistants et en listant les déclarations des incriminés que nous pourrons acquérir les éléments de preuve. Ainsi à la libération nous serons prêts, nos dossiers seront prêts pour les dizaines de milliers de plaintes individuelles et collectives qui seront déposées. Ce n’est pas à nous de les déclarer coupables ni de les juger ou les condamner, mais c’est à nous d’amener et de faire en sorte qu’aucun complice ne soit oublié et que les preuves ne soient pas « égarées ».

J’invite donc toutes les forces de la résistance à se réunir et commencer à travailler d’arrache-pied sur le sujet. Il faudra sans doute créer une plate-forme commune participative pour mener à bien ce juste projet.

Merci.

Alain Tortosa.

8 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211008-collecter-et-sauvegarder-les-preuves.pdf




Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups. 

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie STEVENS

À La Hulpe

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.(([1] « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation)) En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »(([2] Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Joseph
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire)) est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1— Fiabilité des études préliminaires :

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts(([3] Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniques
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4)) leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2— Efficacité du vaccin :

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3— L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4— Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.

5— De la vaccination obligatoire et généralisée.

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans,
il est non nul pour l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités
de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.(([4] http://youtu.be/Vdg4vVmFy5g)) Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).





Les mécanismes des régimes totalitaires

[Extrait de Viol des esprits et psychose de masse – Anthropo-logiques]

Audition donnée devant la Commission Corona de l’avocat allemand Reiner Fuellmich par le Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires.

Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes.

Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique diffuses, amplifiées par la perte de liens sociaux. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable que tout facteur obvie apparaissant porte en lui le risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation.

Un agent comme le coronavirus peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse : grâce au Covid, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés.

La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas), les gens s’éprouvent victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié (le redoutable virus, auquel se retrouvent agglutinés ceux qui contestent le narratif officiel -complotistes et antivaxx selon les étiquettes de circonstance- désignés eux aussi comme des « dangers publics » ) et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).

Dans ce processus, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples renoncent actuellement à leurs droits et libertés.

Une fois cet « engoncement » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance implique nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante, perspective psychiquement insupportable. Ce qui explique pourquoi les « covidistes » (autorités et population) sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer.

Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile pour elle l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend à l’inverse les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes.

Les chiffres insensés que continue à produire la Task Force scientifique suisse dans ses hallucinations modélisatoires en est un bon exemple : après avoir prétendu à l’encontre de toute réalité que les confinements avaient sauvé des dizaines de milliers de vies (là où la vraie science montre qu’il n’ont pas eu d’impact favorable) sa vice-présidente Samia Hurst est venue il y a peu expliquer aux médias complaisants que le pass sanitaire allait permettre maintenant d’éviter des dizaines de milliers d’hospitalisations, là où les meilleurs épidémiologistes ont montré son inutilité en ce sens. A part aligner les « 0 » après un nombre entier dans de parfaits fantasmes pseudoscentifiques, les élucubrations de la Task Force ne sont rien d’autre depuis le début de l’épidémie de Covid que des productions proprement délirantes au regard des critères de la vraie science.

Symptôme d’un mal plus profond : comme le problème n’est pas intellectuel ou logique, les données véridiques ne peuvent rien pour ces psychismes azimutés. Qui se tiennent parmi hélas dans une grande bouffée psychotique pour le plus grand malheur de la population.

Alors comment sortir de l’ornière ?! Mattias Desmet souligne qu’il y a toujours dans les formations de masse une répartition inégale de la population : à peu près 30% est captive de l’hypnose collective et ne dispose pas de la ressource nécessaire à la remettre en question. 40% de la population est simplement emportée par le mouvement, mais tout en conservant la ressource latente de se questionner et de sentir intuitivement que quelque chose ne joue pas. En particulier dans la présentation absurde des données. Enfin, de 20 à 30% de la population est constituée de personnes qui ont une immunité psychique face à la formation de masse. Elles ont vocation à être des gardiens des valeurs humaines et du bon sens, avec pour objectif principal de garder le dialogue ouvert avec les 40% de personnes « récupérables ».

Cette audition est si éclairante, si fondamentale, que je ne peux qu’en recommander vivement le visionnement. Fuellmich et son équipe poussent évidemment les questions plus loin, notamment quant à la possible « ingénierie » délibérée et impliquant donc une responsabilité pénale de certains acteurs. La suite est à découvrir ici :



  • Article « Masse und Macht renommées « La formation de masse » par Mattias Desmet » par Valoloz sur son blog de Mediapart : cliquer ici.
  • Dr. Mattias Desmet – psychological crisis and mass formation, podcast (en anglais) : cliquer ici.

[Voir aussi :
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




En octobre 2019, Rick Bright et Fauci évoquaient déjà un nouveau virus chinois pour faire accepter rapidement un vaccin à ARNm

[Source : ]

https://twitter.com/LMarchal3/status/1445390348977573897

Pour plus de détails, voir :
En 2019, Anthony Fauci proposait de contourner les essais cliniques de vaccins à ARNm et, avec l’aide d’une crise perturbatrice, de les lancer sur le marché sans avoir besoin de dix ans de tests – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant




L’école en famille

[Source : Nexus]

Par Nexus Magazine

Reportage : une famille nous raconte son expérience de l’instruction en famille

En plein cœur de la Creuse, nous avons rencontré  Sarah et Adrien avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, qui ont accepté de se prêter au jeu de la caméra pour partager avec nous leur expérience de l’instruction en famille. Ils ont passé 5 ans à la maison, mais sont aujourd’hui scolarisés au collège pour une troisième année d’école.

Friperie, bibliothèque associative partagée, journées de la gratuité trimestrielles, grand potager communautaire, le tout autour d’une belle maison en pierre que Sarah et Adrien prennent le temps de retaper. Quand on arrive sur le lieu de vie de cette petite famille, on s’y sent tout de suite à l’aise et bien accueilli, par les plus grands, comme par les plus petits. Un contact se crée facilement avec les parents, mais également avec leurs deux enfants, Eden et Zenayah, âgés respectivement de 13 ans et 11 ans et demi. Leur âge nous étonne, quand on voit l’aisance et le vocabulaire avec lesquels ils communiquent avec leurs comparses, mais aussi nous autres, les « vieux ». Les quatre membres de cette famille nous confieront chacun avec leurs propres mots et ressentis leur expérience de l’instruction en famille, qui sera bientôt soumise à une demande d’autorisation plutôt qu’à une simple déclaration auprès des instances publiques.

◆ L’instruction en famille vue par les enfants

Avant le témoignage des parents, découvrez tout d’abord en vidéo comment ont vécu l’instruction en famille Eden et Zenayah :

https://www.youtube.com/embed/R_D0VLve5Vk

◆ Respecter le rythme familial et individuel

Eden et Zenayah ont bénéficié de l’instruction en famille à partir de leurs 6 ans, puisqu’à leur époque, l’instruction était obligatoire à partir de cet âge-là, et non pas à partir de 3 ans.

« C’est avant tout pour respecter notre rythme de vie et le leur que nous avons choisi l’instruction en famille », nous expliquent Sarah et Adrien. « Nous nous déplacions beaucoup, à la recherche d’une propriété que nous voulions transformer en lieu de vie ouvertDe plus, le rythme scolaire à l’école est très réglé, dense et mouvementé, et le fait de les instruire à la maison nous a permis de transmettre des connaissances à nos enfants lorsqu’ils étaient prêts à les recevoir. »

◆ Une vision différente de l’école

Sarah et Adrien reconnaissent ne  pas leur avoir donné une image très réjouissante de l’école, même si Sarah a beaucoup aimé y aller, ainsi que « l’ambiance copains » sur place.  Il n’en a pas été ainsi pour Adrien. Pour lui, elle génère des « pseudo-relations sociales » éphémères, tout comme les connaissances qu’on y acquiert. Il nous confie que c’est après avoir quitté le lycée qu’il détestait et où il a l’impression de ne rien avoir appris d’essentiel à part lire et compter, qu’il est tombé bien bas. Et que c’est à ce moment-là qu’il est tombé de haut, en se relevant tout seul et en acceptant parfois l’aide de personnes inattendues. Les quelques souvenirs qu’il garde de l’école lui semblent secondaires.
Sarah évoque les matières enseignées : « Tout ce qu’on a appris nous sert aujourd’hui rarement, à part les bases. Dans l’enseignement secondaire, à moins d’avoir choisi une profession très spécifique en lien avec les études choisies, on ne se souvient pas de grand-chose. Certes, tu apprends à l’école. Certes, tu peux te faire des copains, mais tu peux aussi être mis de côté, montré du doigt. Tu peux apprendre, mais pas forcément à ton rythme. Je pense que l’école a encore beaucoup de travail pour être adaptée à l’enfant. Elle oublie souvent que l’enfant est un adulte en devenir et qu’il se doit d’être autonome, et pas que sur son travail scolaire. »

◆ De l’autonomie guidée

Sarah poursuit : « Ça n’est pas nous qui leur avons appris à lire, à compter, ou les bases nécessaires. C’est eux qui ont appris, seuls, en étant accompagnés par nous, parents. Nous leur avons donné des outils et eux les ont utilisés. » Jusqu’à 7-8 ans, les parents d’Eden et Zenayah les ont beaucoup laissés se débrouiller en autonomie, principalement par le jeu et avec un accès à l’extérieur assez grand, avec une parenthèse d’un an et demi en école Montessori qui leur a permis de découvrir le concept de l’école et de la collectivité lorsqu’ils n’avaient pas encore 6 ans.
Les initier également à la vie du quotidien dans une famille a été très important pour Adrien et Sarah. « Nos enfants, depuis qu’ils ont 3 ou 4 ans, participent aux tâches de la maison, et on y tient encore, maintenant qu’ils sont scolarisés. Il n’y a pas de raison qu’ils mettent les deux pieds sous la table ou restent derrière leur écran. Dans certaines écoles alternatives, les enfants participent au ménage et à la cuisine, et je trouve cela très bien. » Adrien complète : « On a voulu leur apprendre que ça n’est ni au système, ni à leurs parents de tout prendre en charge pour eux et qu’ils ont leur propre chemin à trouver. »

◆ Un niveau adapté au cadre scolaire classique, pour les enfants… et les parents !

Ces années n’ont posé aucun problème à Eden et Zenayah pour entrer au collège. « Bien sûr, lorsqu’ils ont exprimé la demande de changer de mode d’instruction, on a veillé à faire un bilan de là où ils en étaient, et de là où ils devaient en être pour rentrer dans leurs classes respectives, et ça allait. » Pour pouvoir instruire ses enfants, les parents eux-mêmes doivent avoir certaines compétences. « Comment enseigner la grammaire à ses enfants si soi-même on ne la comprend pas ? Ça veut dire qu’il faut réviser avec nos enfants à des moment donnés et se replonger dans certaines règles qu’on applique quand on écrit et auxquelles on ne réfléchit plus. Je pense que jusqu’à dix ans, on a tous le niveau pour faire ça, mais au-delà, il y a des matières dans lesquelles on n’a peut-être pas envie de se replonger ou qu’on ne souhaite pas intégrer. »

◆ Un apprentissage mutuel

« J’estime avoir appris énormément grâce à mes enfants et à tout ce temps passé avec eux. L’instruction  n’est pas allée que dans un sens », reconnaît Adrien. Pour lui, avec leur  cerveau en formation et évolutif, les enfants sont plus intelligents que les adultes très souvent « butés » selon lui. Il est épaté par leur capacité à trouver des solutions pour réaliser certains objectifs que lui n’avait pas entrevues. Il ne prend pas cela pour de l’insolence, mais pour de l’ingéniosité et de l’ouverture d’esprit dont il veut s’inspirer. « Ils m’ont également appris à reconnaître et accepter mes émotions, à accepter l’autre dans ses différences, malgré mon impatience ».

◆ Un besoin de prendre son envol à un moment donné

Entre 6 et 10 ans, l’instruction en famille s’est plutôt bien passée dans cette famille selon les dires de chacun de ses membres.. « On avait un temps quotidien de travail scolaire, mais parfois, eux comme nous, n’avions pas envie de le prendre. Il nous est donc arrivé de laisser couler. » Même s’ils avaient des copains dans le village qui eux allaient à l’école, ainsi que des activités à l’extérieur du foyer familial comme les sorties culturelles, la piscine et le cirque, les deux enfants d’un tempérament très sociable ont exprimé le besoin de ne plus être tout le temps avec leurs parents. Sarah souligne qu’« être 24h sur 24 ensemble, ça peut être contraignant. Il faut que les enfants et les parents aient les épaules pour ça. Même si on a choisi d’avoir des enfants, on n’a pas choisi leur personnalité, tout comme ils n’ont pas choisi la nôtre. Je crois que l’être humain a besoin d’un contact autre que celui avec sa famille, et ce contact, on le trouve majoritairement à l’école dans un premier temps ».

◆ D’autres formes d’instruction à trouver et peaufiner

Pour Adrien, il n’existe aucune école idéale, mais uniquement des expériences éducatives qui peuvent être bonnes, mais  toujours à parfaire. Il a la conviction qu’à partir du  moment où l’enfant est à l’école, les parents n’ont plus un mot à dire sur ce qu’il y vit. Que l’administration, froide et impersonnelle, s’accapare en quelque sorte le pouvoir sur les jeunes et infantilise complètement les parents. Ce qui est dommage pour Sarah, c’est qu’on ne propose pas de réelle alternative à l’école : « Soit on va à l’école, soit on n’y va pas. Certes il existe d’autres écoles que les écoles classiques, mais ça reste des écoles. Et instruire nos enfants aux côtés d’autres enfants est aujourd’hui non recevable auprès de l’académie lors du contrôle annuel. » Les enfants d’Adrien et Sarah ont d’ailleurs pendant un an et demi intégré une école Montessori. « Je pense qu’il y aurait d’autres possibilités pour permettre aux enfants de se retrouver, car c’est important qu’ils le fassent, dans des cadres différents, où ils pourraient s’instruire et progresser. Heureusement il existe actuellement des écoles parentales qui se créent et de petites structures entre particuliers, et je trouve ça bien qu’on aille dans ce sens-là. Qu’on permette davantage à l’enfant de choisir ce qu’il peut faire de ses journées, qu’il soit autonome et responsable tout en étant bien accompagné me semble fondamental. C’est un être intelligent, qui se rend compte de ce dont il a besoin pour son bonheur, et ce, dès le plus âge. »

◆  Une nouvelle loi qui met des bâtons dans les roues

Adrien et Sarah ne sont foncièrement pas d’accord avec la nouvelle loi sur le séparatisme qui vient de sortir et qui risque de limiter sérieusement la possibilité de faire l’instruction en famille. Mais Sarah reste confiante et déterminée : « Cette loi va encourager les parents à faire des pieds et des mains pour pouvoir y arriver. Ce qu’ils veulent donner, c’est une autorisation. Est-ce que ça va changer grand-chose ? Est-ce qu’ils vont la donner à tous ? Qui va donner cette autorisation ? Est-ce que l’Éducation nationale va se pencher sur tous les dossiers de demande d’instruction en famille pour déterminer les spécificités de l’enfant ? Ce qui me met en  rogne, c’est que ça va peut-être pousser certains parents à trouver des stratagèmes pour pouvoir instruire leurs enfants en famille, alors qu’à la base, ils n’ont pas envie d’être malhonnêtes. Mais pense que des parents déterminés trouveront une façon ou une autre de parvenir à leur fin. »

Adrien pense que grâce à ces années en famille, ses enfants vivent davantage l’instant présent, ont la capacité de savourer les liens relationnels qu’ils peuvent avoir, en faisant preuve de discernement et sans s’attacher à tout le monde. Quant à Sarah, elle ne peut pas encore dire si elle leur a permis d’acquérir des valeurs différentes de celles qu’ils auraient acquises à l’école. Avec un grand sourire, elle conclue : « C’est encore trop tôt. Je pourrai peut-être vous dire quand ils auront dix ans de plus ! »

🗞 Découvrez notre dernier article intitulé « Instruction en famille : incohérence et manipulation gouvernementales » dans notre dernier numéro en kiosque et en ligne : https://magazine.nexus.fr/n136




Comment asservir un peuple ?

[Source : breizh-info.com]

« Vous voulez connaître le secret pour asservir un peuple ? Prévoir les comportements, contrôler les actions ? Déterminer les pensées ? Comment faire ? Certains ont tenté la coercition. Notre méthode est bien plus efficace, bien plus durable, bien plus profonde. Voulez-vous la connaître ? Écoutez bien.

Choisir un peuple en perte de repères, perdu, la suite sera d’autant plus efficace. Guerre longue, disparition de la tradition et de la foi, déclin civilisationnel, sentiment de déclassement : tout est bon à prendre. Ces peuples sont confrontés à un vide. C’est le moment parfait pour mettre en place notre système d’asservissement. La nature a horreur du vide. Les individus n’ont plus de repères ? À nous de leur en proposer : la valeur de l’argent, le goût du confort, le sens du matériel ; attractif et séduisant. Adhésion à ces valeurs : rapide et totale. L’avoir prend le dessus sur l’être. Les gens sont fiers de ce qu’ils possèdent, les gens commencent à se définir parce qu’ils possèdent. Et pour posséder, il faut acheter. Mais rapidement, l’achat des objets du quotidien ne suffit plus. La machine s’essouffle. Il faut posséder plus, toujours plus. On fait naître chez tous des nouveaux désirs, des désirs de plus en plus récurrents. Le désir devient besoin, le peuple devient marché, l’individu devient consommateur, la consommation devient reine… mais l’emprise est encore trop superficielle. Il faut rendre la dynamique plus durable, faire de cet attrait pour la consommation… une addiction. L’addiction, c’est quoi ? Une perte du libre arbitre qui découle d’une habitude.

Pour y arriver encore plus sûrement, s’appuyer sur la science : sociologie, ethnologie, sciences olfactives, neurosciences, toutes viennent renforcer encore plus les mécanismes d’addiction. Le progrès technique vient nourrir la dynamique ; on introduit alors le monde numérique. Tout est accessible plus vite, plus proche. Les notifications affluent à toute heure, donnant l’illusion du plaisir, l’illusion du bonheur. Le temps de cerveau disponible devient alors marchandise. Plus ça avance, plus le cerveau reptilien prend le dessus. Plus ça avance, plus l’emprise est totale. Les centres commerciaux sont devenus des prisons dans lesquelles les gens rentrent volontairement. Désormais, l’addiction est totale, la pathologie reconnue. Les individus en portent même les stigmates : depuis 2000, les gens qui naissent ont un QI inférieur à celui des générations antérieures. C’est la première fois. Un peuple millénaire fier est vaincu, asservi, se mettant lui-même aux chevilles les chaînes qui assurent sa servitude. Par leur addiction à la consommation, les Européens ont perdu la maîtrise de leur destin. Vous pensez avoir échappé à notre entreprise ? En êtes-vous vraiment sûr ? »

https://youtu.be/M9wGM49u2o0

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Le train est en marche

Par Diane Vincero

[Photo : bahnbilder.ch]

Sachant que le monde entier se retrouve actuellement soumis au pouvoir infini et écrasant des GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon), des grands lobbies pharmaceutiques (Pfizer etc.) et chimiques (Monsanto etc.), l’action doit se porter directement au niveau de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) — dépassées par — soumises aux grands lobbies.

En ce sens, le CSAPE, syndicat anti-corruption, a pris maintenant une position de force à l’échelle mondiale en rassemblant des acteurs de tous les pays :

CSAPE SYNDICATS ET ASSOCIATIONS anti-corruption

Plainte personnalisée CSAPE

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<object class="wp-block-file__embed" data="https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2021/10/RESUME-PLAINTE-CSAPE-soutien-plainte-CPI.pdf" type="application/pdf" style="width:100%;height:600px" aria-label="Contenu embarqué <strong>RESUME-PLAINTE-CSAPE-soutien-plainte-CPIRESUME-PLAINTE-CSAPE-soutien-plainte-CPITélécharger
<object class="wp-block-file__embed" data="https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2021/10/PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITE.pdf" type="application/pdf" style="width:100%;height:600px" aria-label="Contenu embarqué <strong>PLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITEPLAINTE-CSAPE-FRA-CRIME-CONTRE-HUMANITETélécharger

LE TRAIN EST LANCÉ : 7,8 milliards d’habitants face à… une poignée de possédants (politiques et lobbyistes)…

Cette poignée de dirigeants table sur l’asservissement, à son unique profit, de l’armée, de la gendarmerie et de la police, pour détruire l’Humanité et engranger toujours plus de richesses. 

Projet manifestement totalement délirant et machiavélique puisque dores et déjà, 1 % de l’Humanité détient… 99 % des richesses!! 

Ce besoin pathologique d’asservir le monde entier, est en fait, une position de faiblesse de la part de cette poignée de dirigeants. 

En effet, quand on est normalement constitué, on n’a nul besoin d’asservir qui que ce soit …

Mais, ce besoin coûte que coûte d’asservir et de manipuler l’armée, la gendarmerie et la police… montre également et surtout, une peur intense des 7,8 milliards de membres de l’Humanité que nous sommes.

Des milliers de personnes sont mortes du Covid à la suite d’un refus de traitement précoce salvateur.
La Déclaration ci-dessous est un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements — sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des instances ordinales (conseils de l’ordre des médecins, des avocats, etc.), des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies.

Si vous êtes médecin ou scientifique et que vous souhaitez signer la déclaration :

https://doctorsandscientistsdeclaration.org/ (traduction en français : Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19).

En n’oubliant pas que l’action du CSAPE sera celle qui prévaudra sur l’ensemble, d’où l’intérêt que toutes ces différentes actions et groupements ci-dessus et ci-dessous se fédèrent. 

Lettre pour les médecins de l’enfant – Collectif de santé pédiatrique (collectifdesantepediatrique.fr)

LETTRE OUVERTE A NOS CONSOEURS ET CONFRERES MEDECINS DE L’ENFANT, Pédiatres, Généralistes, Médecins Scolaires, Médecins de PMI, Pédopsychiatres…
Cher(è)s Collègues, Nous sommes à l’aube d’une vaccination de masse des enfants contre une maladie qui ne les concerne quasiment pas, qu’ils transmettent peu et cela avec une technique expérimentale dont les […]

Hallucinant! Qui sont les victimes ? Les parents et ceux décédés après vaccin : Mélanie Macip 15 ans, Maxime Beltra 22 ans, Anthony Rio 24 ans? Ou bien, ces messieurs en costume qui refusent de discuter? Je n’ai jamais menacé. Ils ont peur de la vérité.

Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

Pause avec Olivier Soulier, venu nous présenter le Syndicat Liberté Santé :

« En 2021, la médecine est passée totalement sous le joug de l’industrie pharmaceutique […] asservie à des objectifs qui ne sont plus la santé. »

Article :

« On nous ment encore sur les chiffres des soignants non-vaccinés » Olivier Soulier (francesoir.fr)

🧭 Après l’obligation vaccinale, le retour du confinement et l’arrestation du Dr Théron [Voir La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid], entretien avec RéinfoCovid Nouvelle-Calédonie pour faire un point sur la situation sanitaire : « Que le monde ouvre l’œil » 👇

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis.

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » (francesoir.fr)

Une fois de plus, il faut que toutes ces actions, collectifs, associations, se fédèrent et rejoignent le CSAPE pour avoir enfin LE poids indispensable et qu’elles portent ainsi leur action au niveau suprême de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) soumises aux GAFA, Big Pharma, Monsanto, etc.

UNE CHOSE IMPORTANTE ENFIN : 

la poignée de dirigeants fonctionne sur le mode de la manipulation perverse : ils tablent entre autres, sur de la violence de la part des peuples, pour justifier du lancement de l’armée, de la gendarmerie et de la police contre eux. 

Ces dirigeants n’hésiteront pas non plus à payer des individus pour semer le début de la violence, comme une sorte de détonateur…

Coupons-leur l’herbe sous les pieds : ne marchons pas dans leur stratagème. Et si par malheur, quelques personnes commencent à faire preuve de violence, la règle d’or sera alors de s’en écarter immédiatement, pour bien scinder les choses et éviter l’amalgame…

En termes de manipulation, n’oublions jamais que le principe est de mettre en avant un « beau principe » (« prendre telle décision pour soi-disant le bien du peuple »), pour mieux cacher derrière, des actions destructrices et financières… 

N’oublions jamais que les états ne sont pas philanthropes (ils ne sont pas là dans l’intérêt des peuples), c’est même écrit dans les manuels scolaires de philo!!!…

Voici un exemple de l’absence de philanthropie, parmi tant d’autres, à réfléchir : pourquoi et de quel droit, un agriculteur n’a-t-il pas le droit de vendre des semences originelles de fruits et de légumes (!!!!), alors qu’en Norvège, dans un bunker, toutes les semences originelles sont stockées, ne laissant aux peuples que les semences OGM qui détruisent la santé de milliards d’individus et les rendent tributaires de Big Pharma ?? 

Où est le lézard ??? Etc., etc.

DIFFUSEZ LARGEMENT


Site pour l’organisation de mobilisations

Les clés de la mobilisation citoyenne (accelerateurdelamobilisation.org)




Cancers et « vaccins » anti-Covid

Par Nicole Delépine

COÏNCIDENCES ? LE MOT CLEF

Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l’injection génique sur l’immunité. Plusieurs généticiens avaient d’ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l’activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.

Les mois ont passé, et la folie vaccinale s’est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c’est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.

Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l’ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu’il soit expliqué en détail) si le patient refuse l’injection expérimentale, d’effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c’est comme cela », et nous l’avons bien accepté !

Silence sur les collègues suspendus faute d’obéissance et encore plus sur les raisons objectives qui leur ont fait préférer perdre leur emploi, leur rémunération, leur maison, leur famille intolérante à ces décisions aussi plutôt que de soumettre à l’ukase présidentiel d’accepter des médicaments expérimentaux…

Plus de trois cent mille soignants (chiffre probablement fortement sous-estimé vu le nombre d’hôpitaux et cliniques actuellement obligés de fermer des lits et de reporter des interventions faute de personnel) seraient-ils fous, complotistes ou délirants au point de se mettre en grand danger personnel, social, familial, professionnel, psychologique ? Les médecins qui affirment que se vacciner est sans danger ont-ils pris le temps de regarder les statistiques des effets signalés et acceptés par les agences officielles ? Les FDA EMA MHRA sont-elles aussi « complotistes quand elles affichent comme le VAERS :

Le VAERS au 26 septembre 2021

Plus de 726 000 effets indésirables liés au vaccin Covid signalés au VAERS alors que le CDC et la FDA annulent les recommandations des comités consultatifs sur le troisième vaccin de Pfizer.

Les données VAERS publiées par le CDC comprenaient un total de 726 965 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge suivant les vaccins contre la Covid, dont 15 386 décès et 99 410 complications graves entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.(([1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees’ Recommandations on Third Pfizer Shot • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Ou Eudra Vigilance organisme de pharmacovigilance de l’agence européenne du médicament

Ou même l’ANSM notre agence française qui affiche plus de 1200 décès acceptés comme en lien au moins possible avec ces injections expérimentales

Tous les essais thérapeutiques depuis cinquante ans étaient stoppés après quelques morts pour enquête (53 morts ont fait stopper le vaccin H1N1). Ici des milliers de décès par le monde et on s’attaque aux enfants sans vergogne.(([2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants — Docteur Nicole Delépine)) Comment peut-on continuer à croire que c’est une politique sanitaire ?

Pourquoi ce déni digne des sectes les plus solides de la part de médecins théoriquement instruits, capables de s’informer directement aux sources fiables et dotés d’un cerveau ? La peur du chef, du patron, du directeur, qui d’ici quelques mois seront inéluctablement mis en cause, puisque de nombreux pays rétropédalent et même l’Allemagne veut sortir du terrorisme vaccinal peut-être à l’occasion du départ de Mme Merkel.(([3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de « la politique de la panique »
le 27/09/2021 Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel
KBV Lopata/axentis.de     France-Soir
Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de « la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ».
Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l’assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites « anti-Corona » en Allemagne et la fin de la « politique de la panique et la rhétorique de l’horreur ».
Le communiqué de presse de la KBV déclare : « tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n’est plus une décision qui revient à l’État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même. » Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. « C’est une confusion malsaine », a-t-il dit en exigeant que l’on arrête cette politique de la peur.))

« Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de ‘la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ». Manifestement les médecins hospitaliers français parisiens, et d’ailleurs, ne lisent pas les journaux allemands et sont terrorisés par les menaces de leur Conseil de l’Ordre, leur ministre, et deviennent des kapos(([4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages, devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumains que leurs bourreaux.)) et terrorisent leurs patients.

DES TÉMOIGNAGES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX SE RAPPROCHENT DE TOUS

Quoi qu’il en soit de leurs inacceptables raisons, les témoignages se multiplient.

Une jeune fille accompagne son amie à l’enterrement de sa mère… telle maman, mère d’une amie de lycée, de 34 ans, en rémission d’un cancer du sein depuis deux ans qui se fait injecter la fameuse piquouse et s’écroule quelques jours plus tard dans le coma et meurt après trois jours d’hospitalisation… Explication politiquement correcte : le cancer a explosé et l’a emportée. Fermez le chapitre et le cercueil.

Qu’en aurait dit Maigret ?

Mais trop de coïncidences choquent les enquêteurs de la police devant un cadavre. Seuls les médecins n’auraient pas le droit de réfléchir aux coïncidences de temps, par exemple : « temporalité » est leur mot clef…

Comme le slogan trompeur, « les chiffres ont toujours raison ». Oui s’ils sont vrais et observés dans le monde réel. Mais quelle confiance peut-on accorder à ceux des simulations truquées dont nous abreuvent le gouvernement et les médias sans jamais préciser qu’il ne s’agit que de prédictions ou d’estimation ?(([5] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine)) Mais on fait ce qu’on veut avec les chiffres, lorsqu’on les choisit, ou les crée pour justifier l’hypothèse choisie, et le téléspectateur ne peut y voir que du feu.

En tous cas, en ce qui concerne « cancer et injection génique », le flou se dissipe malheureusement devant la multitude de récits terribles.  De la collègue qui voit apparaître des « boules » multiples sous ses aisselles, que des bilans dans tous les sens à l’hôpital n’expliquent pas… Évidemment aucun lien possible avec le vax. Et pourtant les ganglions qui apparaissent quelque temps après l’injection sont une observation fréquente après ces vax.

Alors clairement il semble bien exister trois situations :

  • L’apparition d’un cancer rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et très évolutif, chez une personne jusque-là indemne de pathologies carcinologiques connues.
  • La reprise évolutive d’un cancer chez un patient en rémission complète depuis plusieurs mois ou années.
  • L’évolution rapide, voire explosive, d’un cancer encore non contrôlé.

Au-delà des témoignages qui affluent chez des proches ou leurs amis et sur les réseaux sociaux, un journal suisse a enfin abordé le sujet de façon plus large.

Voici quelques extraits de leur article(([6] Covid Vaccines and Cancer – Swiss Policy Research (swprs.org) )) et de leurs références(([7] The Testimonies Project – Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded)):

“Les vaccins covid peuvent-ils causer le cancer ?

Dans certains cas, la réponse semble être oui. Certes, il n’y a aucune preuve que les vaccins covid eux-mêmes sont cancérigènes. Cependant, il a été démontré que chez jusqu’à 50 % des vaccinés, les vaccins covid peuvent induire une immunosuppression temporaire ou un dérèglement immunitaire (lymphocytopénie) qui peut durer environ une semaine ou peut-être plus.

En outre, il a été démontré que les vaccins à ARNm covid “reprogramment” (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives et innées et, en particulier, qu’ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses”.

Ainsi les auteurs en concluent qu’il est bien possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique.  Question de bon sens de fait !

« Ainsi, s’il y a déjà une tumeur quelque part — connue ou inconnue —, ou s’il y a une prédisposition à un certain type de cancer, un tel état de suppression immunitaire induite par le vaccin ou de dérèglement immunitaire pourrait potentiellement déclencher une croissance tumorale soudaine et un cancer dans les semaines suivant la vaccination. Il est à noter que la lymphocytopénie a également été fréquemment observée dans les cas de covid sévère ».

Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite.

« L’immunosuppression temporaire induite par le vaccin est également un facteur susceptible de contribuer au pic post-vaccination des infections à coronavirus, observé dans de nombreux pays ».

FRÉQUENCE DES ÉVÉNEMENTS LIÉS AU VACCIN EN CANCÉROLOGIE : INCONNUE

Il existe déjà quelques milliers d’observations dans les rapports officiels de déclaration des événements indésirables et dans les groupes de patients en ligne. Il y a certainement de véritables coïncidences ou des retards diagnostiques en raison d’un diagnostic retardé lié au confinement. Mais nous ne devrions pas rayer d’un revers de manches les énormes problèmes que posent ces vraies personnes affectées dans leur quotidien et plus encore la responsabilité que prennent les médecins cancérologues en imposant l’injection avant tout traitement ou toute poursuite de protocole. Leur principal argument : « nous, on l’a bien fait, sans discuter » ne paraît pas digne d’une profession autrefois pensante.

En août 2021, le Dr Ryan Cole,(([8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination :
Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica)) américain, anatomopathologiste depuis de très longues années a décrit une augmentation significative de certains types de cancer (par exemple le cancer de l’endomètre, utérus) depuis le début de la campagne de vaccination de masse covid. Plus récemment, les pathologistes allemands ont également noté le problème de la dérégulation immunitaire post-vaccination et de la croissance tumorale soudaine chez certains patients.

Sur les réseaux français, plusieurs témoignages coïncident avec la réapparition d’hémorragies vaginales chez des femmes âgées de plus de 85 ans aboutissant au diagnostic de cancer de l’endomètre et au décès rapide… La protéine spike fabriquée par l’organisme à la suite de l’injection est particulièrement attirée par les organes génitaux, et c’en serait une nouvelle démonstration.

Alors en attendant d’en savoir plus, soyons prudents, tant médecins que soignants, et ne jouons pas à l’apprenti sorcier !

La prudence s’impose avec tous les traitements expérimentaux et encore plus lorsqu’ils sont le fruit d’une technique jamais utilisée auparavant en pathologie infectieuse. D’abord ne pas nuire doit guider les décisions de tout médecin fidèle à son serment d’Hippocrate.





L’acteur Keanu Reeves dit prier pour « que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre »

[Source : ]

L’acteur américain Keanu Reeves, qui a le courage de témoigner sa foi, a publié sur son compte Telegram un message intéressant :

« Beaucoup de gens ont essayé de me poignarder dans le dos au moment où j’ai décidé de dire la vérité ! Il est même impossible de visualiser les sombres secrets qu’ils nous cachent. Lorsque vous êtes dans la bonne direction, vous devez être prudent et dur en même temps car les requins n’attendent qu’une goutte de sang et ils viendront droit sur vous, impitoyablement motivés pour vous déchirer. Juste parce que vous avez découvert la VÉRITÉ.

Ma prière est que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre, nous devons leur montrer le bon chemin ! Il faut se battre et ne pas reculer ! »




Les simulations, alibi pseudo-scientifique de la vaccination des enfants

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir

TRIBUNE – Volet II de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid-19.

[NDLR Volet I : Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid]

Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements, et des articles fallacieux écrits ultérieurement pour les justifier [1].

Dans ce second volet, nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid-19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

Les enfants sont innocents et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements de la planète, en particulier occidentaux, repose seulement sur la foi et/ou l’obéissance en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid-19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2-3], et qu’il ne transmet pas la maladie [4-17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très « pro vaccin » précise :

« les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection, et qu’il n’y a plus aucun scientifique indépendant pour croire encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid-19

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait :

« Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or, la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur [18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19-22].

De plus, si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions :

« les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère que la population générale [23].

Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid-19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général [24].

Une autre étude, portant sur 57 000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants. 

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 :

« Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le Premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie, en Irlande, en Grande-Bretagne, en Corée du Sud, ou en Israël, contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire [25-29].

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique, B. Lina, ou Vittoria Colizza, co auteure d’une simulation Pasteur aussi fausse que les précédentes [30-34].

Tenir compte des chiffres réels et non d’hypothèses

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30 % des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5 % des contaminés de la première vague [35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020.

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale surestimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à sept, ce qui est également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission, et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants, qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales, dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

Le Pasteur Gate

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vagueà la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficié [36] constituent une illustration du phénomène des propagandistes professionnels, déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière, tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire globale est en effet en constante amélioration en France depuis août, avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieur à 7 000, soit huit fois moins par million d’habitant qu’en Israël, et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne, champions historiques de la pseudo vaccination massive.

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit quatre fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne), et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (- 50 % en un mois) qui est très proche de celui d’Israël, à la population huit fois moins élevée.

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants, que le covid-19 a totalement abandonnés, ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle :« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0 % »

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants, ainsi que les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France, constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

Voir aussi : Faire vacciner les enfants, vraiment ?

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochages scolaires massifs, en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici).

« L’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et directeur du centre collaborateur OMS Éducation et Santé constate [37] :

« la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles [38-39] :

« chaque semaine de fermeture des classe freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que

« les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie, à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles » [40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales, qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.


Références :

[1] Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la « plandémie » covid-19 – Docteur Nicole Delépine

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9.

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648.

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2.

[6] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371.

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics en 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020.

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com.

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ;146(2).

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198.

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879.

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020.

[14] Christèle Gras-Le Guen

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020.

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021 ; 9 : 720084.doi : 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19.

[20] FR24 Seulement 0,01 % des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers. 24 aout 2020.

[21] Tadatsugu Imamura. Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr. 10 août 2021.

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23] Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021 : population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1 ;374 : n2060. doi : 10.1136/BMJ. e2020. PMID : 34470747 ; PM CID : PMC8408959.

[24] ONU info

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un 2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046. doi : 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26] Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi : 10.1542/peds.2020-0702.

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020.

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre septembre 2021 ;110(9) :2567-2573. doi : 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur France Info que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique ».

[33] « les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34] P Bosetti1, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies.

[36] M. Blachier : La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur.

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020.

[40] https://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir




Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




Enquête indépendante du DRASTIC sur l’origine du SRAS-CoV-2

[Sources : yetiblog.org, 20minutes.fr, drasticresearch.org]

yetiblog

La création du virus du Covid-19 est bien d’origine humaine !

Par Pierrick Tillet

Ce que nous n’osions pas imaginer est en train de se transformer un réalité. Le virus du Covid-19 résulte bien de manipulations humaines impliquant l’administration US et le labo chinois de Wuhan.

[NDLR Autre capture du site que celle proposée par le Yéti :]

Une collusion avérée entre l’administration US et le labo de Wuhan

En 2018, une ONG américaine, EcoHealth Alliance (EHA), financée principalement par l’administration US (et les grands labos pharmaceutiques), a demandé un financement de 14 millions de dollars pour un projet consistant à créer un virus Sars-CoV à partir de coronavirus de chauves-souris.

Dès 2014, 600 000 dollars de subventions avaient déjà été versés par un sous-traitant de l’EHA à l’ Institut de virologie de Wuhan pour poursuivre les travaux de séquençage et d’échantillonnage des coronavirus dans les régions rurales du sud de la Chine.

L’affaire est suffisamment sérieuse pour que les médias mainstream ne puissent se priver de la reprendre (en France, Le Point). Que ceux-là tentent par tous les moyens de dédouaner l’administration US (celle-ci aurait refusé la demande de subvention) n’est guère surprenant, mais apparaît comme une manoeuvre dérisoire et bien insuffisante. Car le constat est accablant :

  • il y avait bel et bien collusion entre l’EHA et le labo chinois de Wuhan ;
  • ceux-ci travaillaient à la création d’un virus Sars-CoV du même type que celui du Covid-19 ;
  • l’administration US ne pouvait pas l’ignorer, ni les autorités sanitaires, ni les grands labos pharmaceutiques.

De la “théorie du complot” à sa réalité

Laissons à l’état d’hypothèses ce qui n’est pas encore démontré : fuite accidentelle du virus ? virus plus agressif qu’escompté par ses créateurs ? Il n’en demeure pas moins que les mensonges répétés des responsables politiques, sanitaires (Dr Fauci) et médiatiques occidentaux apparaissent dans toute leur cruelle vérité.

N’ont-ils pas condamné comme “théorie du complot”, notamment à travers un article du Lancet publié en 2020, ce qui apparaît aujourd’hui comme une réalité indéniable ? N’ont-ils pas essayé de traîner dans la boue le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui lui aussi affirmait que le virus du Covid-19 ne pouvait être que d’origine humaine ? Le film Hold-Up n’avait-il pas raison avec un peu d’avance et des conclusions qui n’entraient pas dans leurs plans ?

Mais pourquoi cette manipulation de virus ? Pourquoi ces mensonges ? Pourquoi ces tentatives de discréditer aussi salement celles et ceux qui portaient la vérité ? Là encore, les réponses ne peuvent être clairement affirmées, mais elles ne tarderont pas à l’être, comptez-y. Elles éclaireront alors nos questions du moment :

  • comment qualifie-t-on la création artificielle de virus à des fins aussi possiblement mercantiles ?
  • pourquoi ont-ils si obstinément interdit la prescription de vieux médicaments (sans valeur lucrative) comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine… en attendant que leurs produits géniques arrivent sur le marché et soient imposé massivement à toutes les populations sans même attendre leur validation définitive ?
  • comment appelle-t-on une interdiction artificielle de soins pour une maladie qui a causé à ce jour 4,7 millions de morts ?
  • que méritent les responsables de telles exactions lorsque celles-ci sont avérées ?


D.R.A.S.T.I.C. Research