PCB : Mensonges et manipulations de Bergoglio à Lisbonne et Fatima

PCB : Mensonges et manipulations de Bergoglio à Lisbonne et Fatima (2-6 août 2023)

Par Patriarcat Catholique Byzantin

(ou https://bcp-video.org/fr/mensonges-bergoglio/
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https://cos.tv/videos/play/46725668349710336
https://ugetube.com/watch/EqmMDEgqbnnsMLv
https://www.bitchute.com/video/Wg3zjBfZXumO/
https://vkpatriarhat.org/fr/?p=16819)

Citation de Bergoglio du 3 août 2023 :

« … si nous voyons la structure de l’histoire de la Création, qui est une histoire mythique, dans le vrai sens du mot “mythe”, car les mythes sont une forme de connaissance ».

Commentaire : le mythe, tel qu’on l’entend généralement, est un grand conte et un non-sens, un conte de fées. La mythologie représente l’irréel. Bergoglio relativise consciemment la foi en Dieu le Créateur — à savoir, la foi justifiée par une connaissance raisonnable de la réalité — et la place dans le domaine des mythes, c’est-à-dire de la mythologie et des contes de fées. Ce faisant, il remet en cause le premier article du Credo :

« Je crois en Dieu, Créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles ».

Citation de Bergoglio du 2 août 2023, à Lisbonne :

« Selon la mythologie classique, Océan est fils du ciel (Ouranos) : son immensité conduit les mortels à regarder vers le haut et à s’élever vers l’infini. Mais, en même temps, Océan est fils de la terre (Gaia) qu’il étreint, invitant ainsi à envelopper de tendresse l’ensemble du monde habité ».

Commentaire : Bergoglio utilise des tactiques de manipulation verbale pour éveiller la sympathie envers la mythologie, c’est-à-dire pour les contes de fées et l’ouverture à l’irréel. Son but est d’ouvrir le cœur des jeunes à accepter cette pseudo-foi à travers laquelle le paganisme vénère la création comme étant divine. Ce faisant, il rejette la véritable foi en Dieu le Créateur et commet un syncrétisme.

L’Apôtre condamne cette pseudo-foi et avertit que Dieu punit de telles personnes. Ils tombent dans la dépravation morale.

« La colère de Dieu est révélée depuis le ciel contre toute l’impiété et contre la méchanceté des hommes qui suppriment la vérité par leur méchanceté… Ils ont échangé la vérité de Dieu contre un mensonge, et ont adoré et servi les choses créées plutôt que le Créateur… À cause de cela,Dieu les a livrés à des convoitises honteuses.Même leurs femmes échangeaient des relations naturelles contre des relations contre nature.De la même manière, les hommes ont également abandonné les relations naturelles avec les femmes et ont été enflammés de désir les uns pour les autres, les hommes commettant des actes éhontés (dépravés) avec les hommes ».

(Rom 1:18-27)

Citation de Bergoglio du 3 août 2023, à Lisbonne : « N’oubliez pas que nous avons besoin d’une écologie intégrale, d’écouter la souffrance de la planète ».

Commentaire : La veille, Bergoglio affirmait qu’Océan est l’enfant de la Terre Mère (Gaia). Son langage ambigu vise à remplacer les vérités chrétiennes claires se référant à la foi et à la morale par des mythes païens, et à adopter cette mythologie au cours de la messe. Il a déjà essayé de le faire lors du synode amazonien. Là, il a proclamé la soi-disant conversion écologique, ce qui signifie s’unir à ce que l’on appelle des démons territoriaux sur un territoire particulier. Cette année, en réponse à la demande discrète de Bergoglio, l’un de ses partisans au Mexique a préparé et instauré le soi-disant rite maya de la messe contenant des éléments païens. Celui qu’on appelle le principal — qui peut aussi être une femme — et l’encensoir paraissent parfois plus importants que le prêtre. La question est de savoir s’il s’agit d’une situation sacrilège ou de l’expulsion complète de l’Esprit Saint et donc de l’invalidité d’une telle pseudo-messe. Le partisan de Bergoglio a alors manipulé les autres évêques mexicains, qui ont acquiescé inconsidérément à cette diabolisation de la messe sans se rendre compte de ses conséquences tragiques. À présent, ils doivent se repentir, sinon ils sont passibles de la peine d’excommunication, d’expulsion de l’Église !

Citation de Bergoglio du 2 août 2023, à Lisbonne :

« S’il vous plaît, ne faites pas de l’Église une douane. … Non. L’Église, ce n’est pas cela. Les justes et les pécheurs, les bons et les mauvais, tout le monde, tout le monde, tout le monde ».

Commentaire : par qui cela est-il dit, et dans quel but ? C’est ce que dit le pape François non valable, lui qui a nié tous les piliers fondamentaux de la foi qui ont toujours fourni une garantie de salut. Ce faisant, il s’est attiré l’anathème de Dieu, la malédiction et l’expulsion de l’Église. Il va de soi que celui qui est excommunié pour crimes contre Dieu et contre l’Église ne peut pas être le Vicaire de Jésus-Christ. C’est un usurpateur exploitant la mentalité catholique d’obéissance aveugle au Pape, ce qui contredit la révélation de Dieu.

« Si quelqu’un, même un ange du ciel, prêche un autre évangile, qu’il soit maudit (anathème, exclus) ».

(Ga 1:8-9)

Quel est le but de Bergoglio ? En abusant de l’autorité suprême, il cherche à transformer l’Église du Christ en une anti-église satanique du Nouvel Âge. Oui, à force de tromperies et de mensonges, il veut entraîner avec lui des évêques, des prêtres et des croyants : tout le monde, tout le monde, tout le monde. Dans une telle pseudo-Église, il n’y a plus de distinction entre le bien et le mal, entre ce qui est juste et ce qui est injuste. Cette secte de Bergoglio conduit tout le monde, tout le monde en enfer.

Citation de Bergoglio du 5 août 2023, à Fatima :

« … c’est la maison de la Mère, et une mère a toujours le cœur ouvert à tous ses enfants, tous, tous, tous, tous, sans aucune exclusion ».

Commentaire : C’est exactement à Fatima que la Mère de Jésus a appelé tous ses enfants, tous, tous, tous, à se repentir, car elle, en tant que notre Mère, veut que ses enfants soient sauvés. Mais il y a le mystère de la liberté humaine, que Dieu respecte. Dieu aime aussi tout le monde et veut que tout le monde soit sauvé. Et c’est pourquoi la repentance doit être prêchée. Jésus, qui est mort pour tous, chacun d’entre nous, savait que Sa souffrance serait vaine pour beaucoup. C’est parce que beaucoup de gens n’aiment pas la vérité et la rejettent à cause de leur orgueil. Ils seront éternellement condamnés. Ils ont choisi de s’unir au mal et ont définitivement refusé de se repentir. Conformément à l’Évangile, Notre-Dame de Fatima met en garde tous ses enfants, tous, tous, contre l’enfer ! Jésus met également en garde à plusieurs reprises, mais Bergoglio fait taire ou déforme cette voix afin que tous, tous, tous soient trompés par ses phrases super religieuses inspirées par l’esprit de l’antéchrist, et finissent par aller en enfer.

Citation de Bergoglio du 2 août 2023, à Lisbonne :

« Lorsqu’un mouvement ecclésial, ou un diocèse… fait du prosélytisme, ce n’est pas chrétien. Ce qui est chrétien, c’est d’inviter, d’accueillir, d’aider, mais sans faire de prosélytisme ».

Commentaire : Bergoglio utilise le mensonge et la manipulation. Il se réfère à la véritable mission d’une manière péjorative, comme étant du prosélytisme. Jésus dit aux apôtres :

« Allez par tout le monde et prêchez l’évangile à toute créature.Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé ;mais celui qui ne croira pas sera condamné ».

(Mc 16)

Avec sa démagogie, Bergoglio met fin à la véritable mission. Il remplace l’évangile par un anti-évangile, adoptant la culture dite païenne et la pratique de la dévotion aux démons. Il a lui-même créé un précédent sous la direction d’un chaman au Canada. Cette diabolisation de l’Église est aussi au cœur de son parcours synodal, menant à la destruction éternelle.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 10 août 2023




« VACCINS » Covid-19 : Des milliers de handicapés et de morts

Erreurs, ou mensonges ?
Vous avez refusé d’entendre, ou même de vérifier ce que nous disons depuis 3 ans !
La lâcheté et la soumission ne sont-elles pas en partie responsables d’une hécatombe de plus en plus visible ?

« Un peuple qui se met à genoux est davantage responsable de la tyrannie que le tyran lui-même »

La Boétie

Par Jean-Pierre JOSEPH
Avocat au Barreau de Grenoble,
Doyen de l’Ordre
auteur de « Vaccins on nous aurait menti ? » (Testez éd. — 6° éd. 2021)

Depuis 2021, des centaines de jeunes sportifs de haut niveau s’effondrent en pleine action. De nombreuses publications en font état. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Depuis 2021, des acteurs, chanteurs, musiciens du monde occidental, sont terrassés, soit par un arrêt cardiaque, soit par un AVC, soit encore par un cancer, dit « turbo cancer » dont l’évolution est rapide et foudroyante, et dont la particularité est que la chimiothérapie se révèle inefficace. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Nous avons presque tous dans notre entourage, des personnes qui apparemment étaient en bonne santé, et qui sont décédées brutalement. Leur nombre interpelle.

Tous ces gens avaient 2 points communs :

  • – le même type de symptômes ;
  • – une ou plusieurs injections du « vaccin » anti-Covid. Malgré le fait que la cause soit de plus en plus évidente, le discours officiel continue de nier totalement la responsabilité de ces injections. Même les médecins à qui les familles des victimes posent la question, répondent avec une détermination hystérique que « ce n’est pas le vaccin… ». Mais lequel d’entre eux prend la peine de vérifier ? Leur soumission, ainsi que la soumission révoltante des grands médias qui se taisent, alors que même les chiffres officiels de la pharmacovigilance montrent que ces « vaccins » ont fait en seulement quelques mois, au moins 20 fois plus de victimes qu’en 50 ans de surveillance de tous les autres vaccins, n’est-elle pas synonyme de complicité ?

En 1999, dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau), j’indiquais que pour construire la mondialisation, les hauts financiers mondiaux « conseillant » les gouvernements devaient suggérer de :

a) supprimer les indépendants : les agriculteurs ne représentent plus que 3 % de la population, alors qu’en 1950 la France était un pays agricole, les liquidations des commerçants et artisans se comptent par milliers, les professions libérales glissent de plus en plus vers le salariat. Objectif : une population de salariés de la grande distribution et de chômeurs.

b) créer une dépendance par la santé, parfois à vie, en promotionnant une médecine symptomatique et non préventive, rendant la population passive dans l’attente du remède miracle.

« … Un peuple en mauvaise santé rapporte gros, et ne se révolte pas. »

À la suite de la publication de cet ouvrage, j’ai été qualifié de « secte » (à moi tout seul).

Pourtant ce que je prédisaiss’est révélé exact !

Dès l’annonce de la 2e vague, nous avons dit « Il y en aura une 3e, puis une 4e, et même une cinquième, et vous verrez que le but de ce cirque est la sortie d’un vaccin… »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes », car « … Il faut des années pour mettre au point un vaccin…. » nous avaient toujours affirmé les grands pontes de la Santé Publique.

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination, nous avons dit « 2 doses ? Il y en en aura une 3e, puis une 4e, etc. »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce du port du masque obligatoire, nous avons indiqué que cette mascarade ne protégeait pas les populations, mais entretenait la peur, par le fait qu’en voyant toute la journée des visages masqués, l’on repensait sans arrêt au virus. D’ailleurs le masque n’a pas empêché la 2e, 3e, 4e vague, etc.

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination obligatoire pour les soignants, nous leur avons dit « Patience, le temps travaille pour vous. Il arrivera un jour où il y aura tellement de victimes qu’ils ne pourront plus le cacher… »

Comment pouvions-nous en être aussi sûrs ?

Pour un esprit logique non terrorisé, les contradictions et les incohérences ne pouvaient avoir qu’une seule explication : nous vivions une opération préméditée, dans le cadre de laquelle les « erreurs » étaient en fait des actes volontaires.

Ainsi, quand un automobiliste qui a renversé et tué un piéton plaide l’homicide involontaire, on le croit, sauf si l’on apprend qu’il était stationné depuis des heures à 50 mètres du lieu de « l’accident », et que le piéton était l’amant de sa femme…

Nous sommes dans le même cas de figure : N.B. Il faut rappeler que les connaissances scientifiques disponibles ne sont pas limitées aux connaissances des seuls membres du Conseil Scientifique, ou de la H.A.S., d’autant plus que l’on sait aujourd’hui que les membres du Conseil scientifique étaient essentiellement des médecins non spécialistes de virologie, à l’exception du Pr RAOULT, l’un des virologues les plus réputés au monde, qui a quitté ce Conseil dès la 1re séance, étant en désaccord avec les décisions. Les mesures prises étaient loin d’avoir l’approbation de l’ensemble du corps médical. Malheureusement, les Français ont été trompés par le fait que les médias ne donnaient la parole qu’à ceux qui étaient d’accord avec une sorte de pensée unique.

Or, il apparaît que :

I — DES FAITS (et non pas des théories) QUI INTERPELLENT :

1— Avant même l’arrivée du virus en France, 15 000 lits d’hôpitaux avaient été progressivement supprimés,

2— Avant même l’arrivée du virus en France, toutes les thérapeutiques existantes et reconnues efficaces dans le monde entier étaient interdites en France sous des prétextes fallacieux : l’interdiction la plus caricaturale fut celle de l’hydroxychloroquine, médicament connu et utilisé depuis 70 ans, et classé en janvier 2020 parmi les substances vénéneuses, par un arrêté ministériel.

Parmi les thérapeutiques efficaces, l’on peut également citer :

  • – la vitamine C en perfusion et à haute dose : des milliers de publications du monde entier, depuis des années, vantaient les résultats de cette méthode sur les infections virales. Aux USA, le Pr MARIK, indiquait que dans son service, l’intégralité des patients hospitalisés avec le diagnostic de Covid 19 avaient été guéris par cette méthode associée à un antibiotique.
  • – l’artemisia annua, utilisée en Afrique et à Madagascar,
  • – l’Ivermectine.

Ce ne sont là que des exemples, et il est consternant d’apprendre que les médecins qui prescrivaient l’une de ces thérapeutiques (et qui avaient d’excellents résultats) étaient poursuivis devant le Conseil de l’Ordre !

Résultat logique : les malades devaient attendre l’aggravation de leur état pour être hospitalisés, alors que s’ils avaient été soignés tout de suite, ils auraient presque tous guéri.

3— Dès l’arrivée officielle du virus en France, l’on nous disait que le masque et le confinement seraient inutiles. Mais 15 jours plus tard, le discours avait complètement changé !

Or, nos scientifiques savaient très bien que n’importe quel virus passe au travers des masques, car les petits trous microscopiques nous permettant respirer (mal), sont au moins 40 fois plus gros que le virus. Les masques ont été conçus pour filtrer les bactéries, bien plus grosses que le virus. D’ailleurs c’était écrit sur les 1res boîtes de masques : « Ne protège pas du virus… »

En outre, un chercheur de l’équipe du Pr RAOULT avait découvert que le virus ne pouvait se répliquer qu’en présence de bactéries. L’humidité provoquée par la respiration multipliait les bactéries restant accrochées au masque. Ainsi le fait de le porter est exactement ce qu’il fallait faire pour que le virus se multiplie !

4— Les tests PCR ont identifié 80 % de faux positifs, à cause du procédé qui identifiait n’importe quelle bribe de virus, y compris un virus ancien.

5— Le nombre des décès dus au Covid 19 a été énormément surévalué.

L’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (A.T.I.H.), site officiel gouvernemental, a publié le rapport de l’année 2020, laissant apparaître que :

« … Au cours de l’année 2020, 218 000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020… Parmi l’ensemble des décès hospitaliers survenus au cours de l’année 2020, 11 % ont concerné des patients Covid… »

Ainsi, l’on a terrorisé la France entière, en faisant croire que les hôpitaux étaient surchargés à cause du Covid 19, alors que la panique de 2020 était due à une mauvaise organisation des hôpitaux, et aussi au fait que même les accidentés de la route qui décédaient de leurs blessures, s’ils avaient été testés positif entre temps, étaient déclarés « morts du Covid »

M. Pierre CHAILLOT, statisticien indique, dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », seuls 38 hôpitaux étaient au départ habilités à recevoir des malades « covid » sur plus d’un millier d’établissements hospitaliers. Et l’on n’a surtout pas fait appel aux cliniques privées. Cherchez « l’erreur »…

6— Les produits qualifiés de « vaccins » n’empêchent ni de contracter la maladie ni de la transmettre.

Pour la 1re fois, dans l’histoire des épidémies, les produits qualifiés de « vaccins », selon les fabricants, ne confèrent une immunité que pendant 3 ou 4 mois, ce qui a pour conséquence l’injection d’une 3e, puis une 4e, et pourquoi pas une 5e dose, etc., et ceci pour de nombreuses années !

Alors qu’au moment de leur mise conditionnelle sur le marché, les fabricants des vaccins Pfizer et Moderna avaient affirmé que leurs produits étaient efficaces à 95 % et l’autorisation de mise sur le marché leur avait été accordée sur leur seule déclaration selon laquelle leurs « vaccins », trouvés en un temps record, et encore en phase d’essai clinique, étaient à la fois efficaces et sûrs.

Or il n’en était rien !

En effet, le 10 octobre 2022, lors d’un échange entre les eurodéputés et les représentants des laboratoires pharmaceutiques, un député néerlandais a interpellé Mme Janine Small cadre supérieure chez Pfizer (dont le PDG M. Bourla n’avait pas cru bon de se déplacer) pour savoir si, l’efficacité du vaccin contre la Covid fabriqué par ce laboratoire, pour réduire la transmission, avait été testée avant sa mise sur le marché.

Mme Small a répondu par la négative.

Ainsi Pfizer indiquait ne pas savoir si grâce à son « vaccin », le virus se transmettait ou pas.

Pourtant tout au long de la campagne vaccinale on n’a cessé de dire à la population française que se faire vacciner était la seule façon de se protéger et de protéger les autres.

On a vu partout le slogan : « tous vaccinés, tous protégés ».

Ainsi, on a imposé à certains personnels de se vacciner contre la covid 19 pour qu’ils ne transmettent pas la maladie, alors qu’il est démontré que les « vaccins » n’empêchent pas la contamination.

Les fabricants, tout comme de nombreux médias, véritables carpettes, ont alors indiqué que les « vaccins » protégeaient des formes graves, et empêchait de transmettre les formes graves. Quel mensonge !!

De nombreux « vaccinés » se sont retrouvés aux urgences, ou au cimetière…

7— le nombre d’effets indésirables est colossal !

Dès le début de la campagne de vaccination, le nombre de déclarations d’effets indésirables a été alarmant ! Et très curieusement, l’Agence Nationale de sécurité du médicament (A.N.S.M.), site officiel gouvernemental, qui publiait presque chaque mois, un rapport concernant les effets indésirables, a cessé très vite de publier le nombre de décès. Le dernier rapport faisait état de 1 200 décès.

Aujourd’hui, l’on constate un nombre inquiétant de myocardites, arrêts cardiaques, AVC, cancers dits « turbo-cancers », embolies pulmonaires, femmes n’ayant plus de règles, fausses couches, etc.

Le dernier rapport de l’A.N.S.M. du 11 mai 2023 indique que sur 156 711 100 injections, 193 571 cas d’effets indésirables ont été déclarés, soit 1 déclaration sur 809 injections.

Ces chiffres sont incroyables. (une proportion 1 236 fois plus élevée que pour le vaccin contre la grippe pour lequel on remarque 1 déclaration sur 1 000 000 d’injections !)

Vu que l’A.N.S.M. est un site officiel, il va être difficile pour nos dirigeants, nos élus, ainsi que pour nos journalistes, de dire qu’ils ne le savaient pas.

C’est donc en connaissance de cause que les responsables de la Santé Publique ont menti, en indiquant que les « vaccins » nous protégeaient efficacement et induisaient très peu d’effets indésirables, alors que parallèlement, déjà courant septembre 2021, une proposition de résolution était déposée au Parlement Européen pour la « … création d’un fonds Européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la Covid-19 »

Cette proposition indique notamment :

« Considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la Covid-19… »

N.B. Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, et l’ANSM elle-même, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5 à 10 % en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés. (Un exemple parmi d’autres  : en juillet 2020, la Food and Drug Administration [FDA] américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès)

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A & M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que :

« La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ».

De nombreux médecins (pas ceux que l’on invitait sur les plateaux qui, comme par hasard, croulaient sous les liens d’intérêts) prononçaient en public le terme de « génocide » ou encore « hécatombe ».

Il est un fait indéniable : Les courbes de mortalité, surtout chez les jeunes ont monté de manière inquiétante, dans tous les pays, depuis que l’on vaccine en masse.

Pierre CHAILLOT, dans son ouvrage : « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », indique qu’il n’y a pas en France, d’accès aux données sur les morts dus à la vaccination, lesquelles montreraient, comme c’est le cas en Angleterre, que les vaccinés meurent plus que les non-vaccinés par classe d’âge.

Un article publié le 20 novembre 2021 dans la revue The Lancet indique qu’une étude allemande a démontré que les personnes vaccinées ont plus de probabilité d’être de nouveau infectées du Covid-19 que les non-vaccinés. Elles sont aussi une source de transmission du SARS-CoV2.

II— UNE LISTE IMPRESSIONNANTE D’ANOMALIES :

En outre, nous avons assisté à de nombreuses anomalies. Quelques exemples :

– Fin 2020, les masques étaient devenus obligatoires, même en plein air, ce qui est scientifiquement aberrant, alors que :

– dès le 1er jour du 1er confinement, Jérôme SALOMON, Directeur Général de la Santé, sur BFM TV, déclare :

« … Je vois énormément de masques dans la rue, des personnes qui n’ont aucune raison d’en porter et d’être exposés à des malades (…) ne portez pas de masques… »

– Sur le site officiel de l’OMS, courant mai 2020, on peut lire :

« … Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid 19 (…) Il n’existe aucune preuve que le port du masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infectée par des virus respiratoires… »

– Quelle que soit la composition du masque (en papier, en tissu, etc.) il était accepté. L’essentiel était de cacher son visage.

– Les enfants ne risquaient rien, mais il fallait quand même porter le masque à partir de 11 ans. Avec quelle hystérie, les chefs d’établissements ont veillé au respect de cette directive inutile et créatrice de stress, de mauvaise respiration, de pathologies respiratoires, etc. ! On dit que le niveau intellectuel des élèves a baissé. Mais il semblerait que celui de beaucoup d’enseignants aussi, car les rares résistants (qui d’ailleurs ne sont pas tombés malades) ont été dénoncés par leurs collègues, véritables collabos soumis comme des carpettes.

– Tous les soirs, on égrenait des chiffres en utilisant un vocabulaire stupide : ainsi les porteurs sains sont devenus « malades asymptomatiques ». Jusqu’à cette époque, la définition d’un malade était quelqu’un qui présente des symptômes… Il fallait faire croire que tout être testé positif était malade. Comme on a testé 80 % de faux positifs, on a donc identifié 80 % de faux « malades asymptomatiques ».

– Les masques s’enlevaient au restaurant pour manger, dès que l’on se levait, il fallait le remettre, comme si le virus planait à 1,50 mètre du sol…

– Les heures du couvre-feu changeaient, comme si le virus avait des horaires d’activité variable ;

– Pendant le 1er confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais pourquoi a-t-on installé, parfois même la nuit, des milliers d’antennes 5G ? En quoi cela constituait-il des activités essentielles ?

– Les soignants non vaccinés étaient suspendus. Mais les vaccinés, même malades, avec le diagnostic Covid (donc contagieux par définition) venaient travailler, s’ils n’étaient pas trop malades, alors que la quasi-totalité des suspendus n’étaient pas malades et demandaient leur réintégration, en vain.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les contrats qui avaient été signés avec la Commission Européenne, prévoyaient :

– une exclusion de responsabilité des laboratoires, en cas d’effets indésirables,

– une clause indiquant clairement que les parties au contrat indiquent que l’efficacité et les effets indésirables à long terme ne sont pas connus !

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un vaccin a été réalisé en quelques mois, et mis sur le marché encore en période d’essai clinique.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, on n’avait pas le droit de savoir quelle était la composition des produits : « Secret de fabrication »

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » ne protégeait (soi-disant) que pendant quelques mois. Il faudrait donc une 3e dose, puis une 4e. On parle déjà de la 5e…

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contracter la maladie, de développer des formes graves et d’en mourir.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contaminer les autres,

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les médecins qui vaccinaient contre le Covid-19, percevaient de la CPAM des honoraires plus élevés. Dans les vaccinodromes, ils pouvaient percevoir environ 1 000 € par jour. Il est donc facile de comprendre pourquoi aujourd’hui, de nombreux médecins, devant un grave problème consécutif à un vaccin, hurlent hystériquement que « ça ne peut pas venir du vaccin ».

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un certain nombre de personnes injectées depuis quelques heures étaient l’objet de phénomène d’aimantation : à l’endroit de l’injection, elles pouvaient faire tenir des pièces de monnaie, des cuillères, etc. Ce phénomène s’estompait au bout de quelques jours.

Un de mes confrères a donc fait faire un constat d’huissier, et à sa grande surprise, l’huissier constatait également que lorsqu’il s’approchait de la personne fraîchement vaccinée, un code s’affichait sur son téléphone portable, et disparaissait s’il s’éloignait de la personne.

Qu’y avait-il donc dans ces produits dont l’entière composition n’était pas connue ?

Un groupe de juristes de plusieurs pays ont alors fait analyser les fioles par plusieurs laboratoires, en Espagne, en Suisse, aux U.SA.

Tous ont trouvé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène, dans des quantités inquiétantes. Quelle peut être l’utilité de ce métal dans les injections ? L’oxyde de graphène est connu des électroniciens : c’est l’un des meilleurs conducteurs des ondes électromagnétiques actuellement connus. Il est extrêmement toxique. Mais, s’il n’a pas handicapé, ou tué la personne injectée, il s’élimine en 4 à 6 mois. Tiens donc ! les certificats de rétablissement, étaient valables 6 mois au début, puis 4 mois ! quelle coïncidence !

À moins qu’on ne nous donne une autre explication concernant la présence massive de ce métal toxique dans les injections, l’on ne voit pas quelle pourrait en être l’utilité, si ce n’est que de connecter l’être humain. On comprend alors mieux pourquoi on s’est dépêché d’installer des antennes 5G en 2020.

On comprend mieux pourquoi il fallait une 3e dose, puis une 4e, etc.

L’objectif n’aurait il pas été 2 injections par an à vie ?

Ainsi, outre la protéine Spike et ses dégâts à long terme sur l’organisme, le graphène ajoutait une couche.

III— DES SCIENTIFIQUES DE RENOMMÉE INTERNATIONALE CONFIRMENT CE QUE NOUS DISIONS DEPUIS 3 ANS

Dans une vidéo récente, le Dr David MARTIN nous donne une explication claire : (https://crowdbunker.com/v/AwaWDwgmxh



)

N.B. David MARTIN est ancien professeur adjoint à l’École de médecine de l’Université de Virginie, PDG fondateur de M∙CAM Inc. leader international de la gestion des risques financiers basée sur la propriété intellectuelle.

Porte-parole de la responsabilité mondiale en matière de propriété intellectuelle et de la réforme de la qualité, le Dr Martin a travaillé en étroite collaboration avec le Congrès des États-Unis et de nombreux organismes de réglementation du commerce et de la finance aux États-Unis, en Europe et en Asie, pour défendre et déployer une infrastructure visant à soutenir la dépendance croissante aux droits de propriété.

Il a été membre fondateur de l’Institut japonais pour la science et la technologie des interfaces. Il a fondé et occupé le poste de directeur exécutif du Charlottesville Venture Group. Il a été membre du conseil d’administration du Research Institute for Small and Emerging Business (Washington DC), de l’Academy for Augmenting Grassroots Technological Innovations (Inde), de l’IST (Japon), de la Chambre de commerce régionale de Charlottesville (Virginie).

Ce médecin indique :

« … Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui est livrée à une cellule.

Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour amener la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes… 

Rappelez-vous que 80 % des personnes soi-disant exposées au SARS CoV 2 ne présentent aucun symptôme.

80 % des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable.

On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie et non pour induire une réponse immunitaire contre la transmission.

Rien de tout ça ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade et que vos propres cellules soit la chose qui vous rende malade.

Donc cela va déclencher une réponse auto-immune, et cela peut directement causer la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, car c’est ce que l’expression de cette enveloppe pathogène, cela peut provoquer un cancer accéléré.

C’est le résultat de l’expression de ce morceau de virus, ce seul incident, c’est connu depuis des décennies.

On injecte directement la maladie… »

Le 9 mai 2023, le même médecin est venu s’exprimer au Parlement Européen. Il révèle des faits extrêmement graves :

(https://crowdbunker.com/v/X8Lo4AoAZH#:~:text=L



)

« Tous les commentaires que j’ai faits sont basés sur des documents publiés.

En 1966, le 1er COV modèle de coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine…

Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps…

En 1967, nous [NDLR : Les USA] avons réalisé les premiers essais d’inoculation de Coronavirus modifiés à des êtres humains. N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans !

En 1975,76 et 77, nous [NDLR : Les USA] avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.

Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus en tant qu’agent infectieux était un problème industriel pour principalement deux industries : les industries du chien et du porc ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux.

C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du 1er vaccin à base de protéine de pointe (Spike) déposé en 1990, opération Warp Speed (Vitesse grand V)…

N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème ?

En fait, nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990 et nous avons déposé le 1er brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du coronavirus…

Et, en 1990, ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Savez-vous pourquoi ils ne fonctionnaient pas ? Il s’avère que le Coronavirus est un modèle très malléable qui se transforme, change et mute au fil du temps.

Et toutes les publications sur le vaccin contre le Coronavirus, de 1990 à 2018, absolument chaque publication a conclu que le Coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science qui a été publiée. C’est ce que l’on appelle, suivre la science.

Suivre la science, c’est leur propre mise en accusation de leurs propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Et il existe des milliers de publications à ce sujet, pas quelques centaines, et qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques.

Il s’agit de publications, issues de recherches scientifiques indépendantes qui montrent sans équivoque, y compris les efforts de modification des chimères, réalisées par Ralph Baric à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le Coronavirus. C’est la science qui le dit. Et cette science n’a jamais été contestée.

Cependant, une évolution intéressante s’est produite en 2002. Cette date est très importante. En effet, en 2002, l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill a breveté, je cite “Un clone infectieux de Coronavirus dont la réplication est défectueuse”. Écoutez ces mots : “Infectieux à réplication défectueuse”. Que signifie cette phrase ?

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec ce langage, permettez-moi de vous le décrypter. Le terme infectieux à réplication défectueuse signifie qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. C’est la signification du terme infectieux à réplication défectueuse. Et ce brevet a été déposé en 2002 sur la base de travaux financés par le NIAID de Anthony FAUCI de 1999 à 2202.

Ces travaux brevetés en Caroline du Nord à Chapell Hill ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS1.0…

Je ne suggère rien, je vous dis que ce sont les faits. Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippale. Il s’agit de la gastro-entérite, c’est le coronavirus naturel. Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains et ils l’ont breveté en 2002 et en 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain, en violation une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États-Unis…

Lorsque le CDC a déposé le brevet en avril 2003, sur le modèle de coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux États-Unis.

Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation. C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente… »

« Vous pouvez vous demander : Le Coronavirus était-il prêt à émerger chez l’homme ? C’était le WIV1 : Wuhan Institut Of Virology Virus 1 prêt à émerger chez l’homme en 2016 dans le cadre des travaux de l’Académie Nationale des Sciences. Si bien qu’arrivant à 2017 et 2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire »

Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé 4 fois en avril 2019, 7 mois avant le soi-disant patient numéro 1.

4 demandes de brevets de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « Libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas.

C’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène de sorte qu’en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un vaccin universel. Ce sont leurs mots juste devant vous à l’écran. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le Coronavirus pour y parvenir. Lisons ceci :

« En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignorée pour maintenir la base de financement au — delà de la crise », ils ont déclarés “Nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, tel qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un moteur essentiel et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer au vrai problème. Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus. »

Il s’agit donc d’un terrorisme domestique prémédité, déclaré dans les écrits de l’Académie Nationale des Sciences en 2015. Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine et il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un holdup financier et d’une fraude financière. Je rappelle « Les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus. »

Quels médias ont publié son intervention ?

b) Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche au CNRS, au cours du Printemps 2023, déclare au Parlement Européen :

« Quel est le consensus, en tout cas, il ne peut pas être scientifique. S’il y a consensus scientifique, c’est de l’obscurantisme, car le consensus chez nous est la preuve d’un refus de progrès et de nouvelles découvertes.

On m’oppose le succès en me disant “oui, mais des milliards d’individus ont été injectés.” Ça c’est un succès business, ça c’est un succès administratif d’avoir forcé des pays à injecter des populations. Ça, c’est un succès de manipulation des populations à prendre un produit dont ils ne savent rien.

Mais en tout cas, ils n’ont pas réussi à traiter le mal qu’ils voulaient traiter.

Si jamais les médecins ne sont pas capables de monter au créneau en disant :

On nous a menti, on nous a fait injecter un produit qu’on nous a dit qu’on maîtrisait et qu’on connaissait depuis longtemps.

C’est faux,

On nous a menti, on nous a dit que l’ARN messager se dégradait tout de suite.

C’est faux.

On nous a menti. On nous a dit que l’ARN messager allait rester dans le muscle.

C’est faux.

On nous a dit qu’on allait injecter que 2 fois ces doses.

C’est faux.

On nous a dit qu’ils étaient sûrs et efficaces,

C’est faux. Ils ne sont ni sûrs ni efficaces.

On nous a dit que la phase 3 était terminée.

C’est faux.

Donc ces médecins ont le droit et l’obligation déontologique, de dire : on nous a menti sur ces injections à ARN messager.

Donc on sait que les suivantes, ça sera la même chose. En 2030 ils prévoient toute une batterie d’ARN messager pour tout un tas de maladies, qu’elles soient infectieuses ou pas infectieuses… »

IV— ON NOUS AURAIT MENTI ? MAIS POURQUOI ?

Le fait d’affirmer que nos dirigeants nous ont menti, n’est pas une théorie : dès le départ, ils ont été largement informés par les chiffres officiels, et par des centaines de médecins qui les interpellaient. C’est donc une évidence.

On peut donc se demander quelles sont les raisons.

Nous préférons que le lecteur déduise par lui-même la réponse à ces questions. Donc, nous n’avancerons aucune théorie, mais nous rappellerons des faits qui, mis bout à bout, amèneront (peut-être) à de logiques déductions :

1er fait : Le rôle d’un multimilliardaire

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale ‘avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins’.

Dans le numéro de juin 2011, le magazine britannique The Sovereign Independant, affichant une photo de Bill Gates, cite une de ses déclarations faites à l’issue d’une conférence : LA DÉPOPULATION GRÂCE À LA VACCINATION FORCÉE : LA SOLUTION AU CARBONE ZÉRO… Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Ceci va nous conduire à environ 9 milliards. Si nous faisons un bon travail concernant les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, nous pouvons aboutir à une baisse de 10 à 15 %…

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’OMS (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut ministre de la Santé en Éthiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multivaccination avec des puces RFID à la terre entière.

Bill Gates est l’un des principaux promoteurs des campagnes de vaccinations dans le monde. Multimilliardaire, il aurait versé des subventions à de nombreux dirigeants politiques dans le monde, ainsi qu’à l’OMS.

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites dans le corps humain par des injections, d’être identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World Integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit’ : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus’.

Dès que cette information a filtré, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation avait été une coïncidence…

À l’automne 2019, a lieu aux USA, sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’OMS, une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180 m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE, 1er ministre français de l’époque.

Les faits suivants ne sont que des rappels de ce que nous venons d’expliquer, et la liste n’est pas exhaustive :

-2e fait : suppression progressive de 15 000 lits d’hôpitauxet « oubli » de faire appel aux cliniques privées (alors que beaucoup d’entre elles l’avaient proposé)

-3e fait : interdiction de toutes thérapeutiques avant l’arrivée du virus.

-4e fait : masques d’abord officiellement inutiles, puis brusquement obligatoires, confinement de la population = entretien de la panique

-5e fait : gonflement des chiffres.

-6e fait : vocabulaire angoissant sur les médias(« malades asymptomatiques »).

-7e fait : vaccins mis sur le marché en période d’essai clinique, à la suite de contrats aux clauses étranges.

8e fait : Déni total de l’inefficacité et de la toxicité des « vaccins ».

9e fait : Poursuites disciplinaires contre les médecins dénonçant toutes ces anomalies.

10e fait : Parole donnée sur les grands médias quasi-exclusivement aux médecins, qui ne remettaient rien (ou presque) en question et qui (comme par hasard) faisaient l’objet d’importants liens d’intérêts avec les laboratoires, à l’exclusion de ceux qui n’avaient rien à vendre, donc aucun intérêt à mentir.

11e fait : Installation de milliers d’antennes 5G, à une période où seules les activités essentielles étaient autorisées.

12e fait : Présence de nano particules d’un métal réagissant aux ondes.

La juxtaposition de ces faits est suffisante pour que le lecteur comprenne.

Avec plusieurs juristes et avocats, nous avons déposé des plaintes pour empoisonnement et tentative d’empoisonnement dans plusieurs départements français. Nous avons également déposé une plainte contre le Président de l’Ordre National des médecins pour avoir appuyé les directives gouvernementales, et donc empêché de soigner, ce qui a provoqué des états graves et des décès.

Nous avons défendu de nombreux soignants suspendus.

Il est malheureusement fort possible que nous subissions à l’avenir de nouvelles tentatives d’injections. Quel virus anodin sera-t-il brusquement classé dangereux ?

V — POURQUOI LA PLUPART D’ENTRE NOUS ONT-ILS ACCEPTÉ CELA SANS RÉSERVE ?

Début 2020, M. Olivier VERAN déclarait que le confinement était ce qui risquait de faire flamber une épidémie. Plusieurs ministres nous disaient à la même époque que les masques étaient inutiles en plein air.

On connaît la suite.

L’on peut s’interroger sur l’absence de réaction populaire, devant les mesures liberticides, contraires à ce qui avait été affirmé auparavant, contraires aux conventions internationales que la France avait signées auparavant.

Il y a 2 raisons à cela :

1— Le vaccin, depuis des décennies, est une véritable religion en France : ainsi les produits retirés des médicaments, des cosmétiques ou même des jeux pour les enfants, à cause de leur toxicité (l’aluminium) ne l’ont pas été des vaccins. Lorsque l’on pose la question, il nous est répondu « Oui, mais c’est un vaccin… » Nous sommes bien dans la religion, avec une extraordinaire particularité : Pour la gauche, la vaccination est un acquis social. Il est donc impensable de la remettre en question. Cette religion entraîne une logique sacrificielle, dans laquelle « … On sauve des vies » (soi-disant). Tant pis pour ceux qui sont morts pour (peut-être) en sauver d’autres.

La gauche, dans ce domaine, se trouve dans une incroyable contradiction : D’un côté, elle dénonce le pouvoir de l’argent sur l’économie, la médecine, la presse, etc., et paradoxalement, elle gobe inconditionnellement ce que disent les autorités et les médias, en fustigeant hystériquement quiconque oserait contredire des « certitudes », estimant qu’il n’est pas possible que l’on nous mente. Critiquant les religions, elle se retrouve… dans une véritable religion composée de postulats, dogmes, certitudes, qu’il est hors de question de vérifier. Même les militants de la France Insoumise, ont été totalement soumis, certains d’entre eux proposant même l’obligation vaccinale pour tous, se comportant comme de véritables « Kapos »…

2— Au procès de Nuremberg, le Gruppenführer SS KALTENBRUNNER, à la question « Comment avez-vous pu faire accepter cela à la population ? » a répondu : « On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur »

Ainsi, devant :

  • – la privation de la liberté d’aller et venir résultant du confinement,
  • – l’interdiction d’avoir le droit de respirer normalement (le masque),
  • – la discrimination dans les bars et restaurants n’acceptant pas ceux qui ne possédaient pas le pass vaccinal,
  • – l’obligation vaccinale pour les soignants,

Très peu ont réagi. Même les syndicats, ce qui est incroyable. Cette soumission n’est-elle pas en partie responsable de ces milliers de personnes, malades à vie, ou décédées ?

Cette soumission ne serait-elle pas synonyme de complicité ?

Comment réagirons-nous si cela recommence ?




Nouvelles révélations covidiennes

[Source : Cercle Aristote]

« Le vaccin rend fou. »

Pierre Jovanovic (vidéo à 1:38:20)






Révolution culturelle aux USA : comment la gauche radicale a tout conquis

[Source : causeur.fr]

Christopher Rufo est chercheur au Manhattan Institute for Policy Research. Son nouveau livre décortique au scalpel les théories radicales développées dans les années 1960 et 1970 qui ont progressivement capturé les institutions américaines. L’analyse de Michèle Tribalat [Démographe].


Par Michèle Tribalat

Marcuse, le prophète

Christopher Rufo consacre de longs développements aux précurseurs des théoriciens critiques d’aujourd’hui. Pour Herbert Marcuse, la précondition à la révolution était la démolition de la culture, de l’économie et de la société existante. Sa théorie eut un succès immédiat à la fin des années 1960 des deux côtés de l’Océan. S’il fut parfois chahuté, ce fut par de jeunes militants nourris de sa philosophie et impatients d’en découdre. La Nouvelle Gauche, à travers toutes sortes de groupements (Weather Underground Organization, Black Liberation Army), se lança dans une guérilla, espérant ainsi soulever les masses opprimées. Pendant 15 mois en 1969-70, la police enregistra 4330 attentats à la bombe et 43 morts. C’est Nixon qui siffla la fin de la partie.

Constatant la défaite de cette stratégie violente, Marcuse conseilla aux militants de se retirer dans les universités et de pratiquer la stratégie formulée par Rudi Dutschke : « une longue marche à l’intérieur des institutions ». À l’université, pour s’emparer des moyens de production du savoir, il fallait former des étudiants qui deviendraient les cadres potentiels d’un nouveau mouvement révolutionnaire, lequel s’étendrait, par contagion, à la société toute entière. Le manifeste Prairie Fire de Bernardine Dohrn, Bill Ayers et Jeff Jones, paru en 1974, s’il fut un peu le chant du cygne des Weathermen, allait devenir le dictionnaire de la vie intellectuelle américaine et l’état d’esprit de Marcuse allait s’incruster et dominer sur les campus. Ajoutons, au triomphe posthume de Marcuse, le rôle joué par Erica Sherover-Marcuse, sa troisième épouse, qui fut une figure centrale du maquillage stratégique de la théorie critique en DEI (Diversité, Équité, Inclusion), « équivalent d’un bulldozer moral ». Aux oppressions cataloguées dans la théorie critique, DEI offrait le remède. De 1987 à 2012, Le nombre d’employés de l’administration des collèges et universités s’accrut de 500 000 et, en 2015, il était proche du million. Dans l’université californienne, devenue le « royaume d’un parti unique », le secteur DEI comprend 400 employés pour un budget annuel de 35 millions. Le rêve de Marcuse s’y est accompli. L’université y est devenue la première institution révolutionnaire. Une révolution quasiment invisible, réalisée d’en haut et formulée dans le vocabulaire des sciences sociales, allait s’étendre aux médias. La capture du New York Times, qui s’était autrefois moqué de Marcuse et de ses adeptes, fut un moment décisif. Les autres grands journaux de gauche suivirent. Vint ensuite la conquête des rouages de l’État qui s’opéra sans grande difficulté. Les programmes DEI ont constitué une manne pour les militants de gauche et sont devenus la culture dominante des organismes publics. La dernière conquête fut celle des grandes entreprises. Autrefois des cibles, elles sont devenues le véhicule des théories critiques. Les programmes DEI financent les organisations militantes, mais sont, pour les patrons, une police d’assurance. Lors des émeutes qui ont suivi la mort de George Floyd, cinquante grandes entreprises s’engagèrent ainsi à verser 50 milliards de dollars en faveur de l’équité raciale. Elles auraient autrefois payé les syndicats. Aujourd’hui, elles paient les organisations militantes engagées sur les questions raciales en espérant les amadouer.

À lire aussi : Médine sur Rachel Khan : pas d’islamo-gauchisme sans antisémitisme

D’Angela Davis aux Black Studies

Angela Davis, disciple de Marcuse, représentait l’union de l’intelligentsia blanche et du ghetto noir. Elle était favorable à l’action violente, si nécessaire, et, pour elle, le vrai combat contre le racisme ne pouvait commencer que lorsque serait détruit tout le système. Angela Davis ajouta à son parcours universitaire brillant aux États-Unis une formation à l’Institut de recherche sociale de Francfort, berceau des théories critiques. De retour aux États-Unis, elle prépara sa thèse sur Kant tout en donnant des cours. Communiste déclarée, son contrat de professeur assistant ne sera pas renouvelé en 1970. Elle fut membre du groupe qui participa à la prise d’otages dans le Palais de justice visant la libération des Soledad Brothers, prisonniers à San Quentin, et qui se termina par la mort de trois preneurs d’otages et du juge. Elle fut arrêtée, puis conduite à la prison pour femmes de New York où elle fut acclamée comme une star. Lors de son procès, Angela Davis réussit à mettre la société américaine au banc des accusés et à convaincre les jurés qu’elle en était victime. Elle fut déclarée innocente sous les acclamations de la salle. Davis devint ainsi une star internationale, accueillie comme telle dans les régimes communistes, de Cuba à Moscou en passant par Berlin-Est. Elle aimait se décrire comme une néo-esclave dans un pays dérivant vers le fascisme, à l’image de l’Allemagne avant l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Dans la même veine, la rhétorique du Parti des Black Panthers (BPP), qui avait popularisé le slogan « Kill the pigs » (pigs pour policiers), avait déchaîné une vague de violences qui s’acheva dans une zizanie, à l’intérieur du mouvement, inspirée par les infiltrations du FBI. Au lieu d’entraîner les quartiers noirs dans la révolte, les actions violentes y déclenchèrent la réprobation lorsque des policiers noirs furent tués. La révolution se termina par une attrition ne laissant subsister qu’une poignée de militants marchant à la cocaïne et dévalisant des magasins et des banques. Si Angela Davis les soutint jusqu’au bout en les présentant comme des combattants de la liberté, elle avait perdu de son influence. Elle ne réunit, avec son colistier Gus Hall, que 45 000 voix aux élections présidentielles de 1980, pour le parti communiste.

Angela Davis se réfugia à l’université et son combat changea de nature. Professeur et conférencière à l’UCLA, elle fit preuve d’un grand talent pour obtenir le soutien d’institutions qu’elle combattait. Son programme radical — faire de l’identité raciale et sexuelle le fondement de l’action politique — est devenu celui des sciences humaines. C’est un groupe de lesbiennes noires militantes, s’inspirant des travaux de Davis — Combahee River Collective — qui employa, pour la première fois, l’expression « identity politics » (politiques d’identité). Angela Davis et ses disciples ne demandaient plus la libération des prisonniers, mais l’abolition du système tout entier.

Ce mouvement, visant à connecter l’idéologie Black Panther au pouvoir administratif, essaima rapidement au-delà de San Francisco. Au milieu des années 1970, on dénombrait 500 programmes de Black Studies dans les universités américaines. Aujourd’hui, 91 % des universités publiques ont un programme de Black Studies.

Black Lives Matter (BLM) renoue avec la révolution

La grande victoire de BLM a été de s’assurer le soutien d’institutions prestigieuses. BLM n’a rien inventé sur le fond, mais sur le langage et la présentation. BLM chercha ainsi à se concilier les élites afin de les mobiliser sur les questions raciales et sexuelles. Les enquêtes du Pew Research Center retracent l’évolution anachronique des perceptions de la question noire à gauche. En 2017, 76 % des Américains proches des Démocrates disaient que le racisme était un gros problème aux États-Unis contre 32 % en 2009. La mort de George Floyd aux mains d’un policier en 2020 déclencha une révolution culturelle, en marche depuis des décennies, et qui suivait à la lettre les propos d’Angela Davis à ses étudiants à l’UCLA : « Effacez le passé, démolissez le présent et contrôlez l’avenir ».

À lire aussi : La police n’est pas à plaindre

Des chaînes de magasins ont commencé à afficher des banderoles en faveur de BLM. Avec un parfum soviétique, les médias américains ont présenté BLM comme une marche vers la libération, les exactions et les crimes n’étant, comme le clamaient les militants dans les années 1960, qu’une réaction à l’oppression. Seattle fut sans doute la ville qui exhiba la plus grande complaisance à l’égard des débordements violents et des prises de pouvoir locales, notamment dans la zone autonome CHAZ (Capitol Hill Autonomous Zone). Dans la CHAZ, les factions les plus armées et agressives devinrent la police de facto, avec un taux d’homicide 50 fois supérieur à celui de Chicago et dont toutes les victimes étaient noires, jusqu’à ce que la CHAZ soit reprise par la police du centre-ville.

Pédagogie critique : la révolution éducative

Le livre fondateur de la pédagogie critique est celui du Brésilien Paulo Freire. Il fut traduit en anglais en 1970 aux États-Unis où Freire avait trouvé refuge. Avec plus d’un million de copies vendues, c’est le 3e livre le plus cité dans les sciences sociales. Sur la fin de sa vie, il collectionna les hommages et 27 doctorats honorifiques dans le monde.

D’après Paulo Freire, fidèle jusqu’au bout aux régimes communistes, la révolution doit commencer dans la salle de classe et se terminer dans la rue. En 1974, il qualifia la révolution culturelle chinoise de « solution la plus géniale du siècle » et c’est en Guinée-Bissau qu’il alla, à l’invitation du président Luis Cabral, l’expérimenter. Ce fut un fiasco. Après trois ans d’application de son programme auprès de 26 000 adultes, aucun n’en sortit alphabétisé. Ce qui n’empêcha pas la réactivation de son projet… aux États-Unis, pays qui, pour lui, incarnait le summum de l’oppression. Il y rencontra notamment Henry Giroux avec lequel il coédita une série de Critical Studies in Éducation. Ils comptaient, eux aussi, sur la capture des universités pour que les théories critiques ruissellent jusque dans les salles de classe. Et c’est ainsi qu’en 40 ans les théoriciens critiques réussirent à dominer le champ éducatif et introduisirent les idées et les concepts qui formatent aujourd’hui les discours sur la justice sociale. Des milliers d’écoles publiques forment ainsi des enfants à voir le monde à travers le prisme de la pédagogie critique. On prétend mettre à mal la domination de la culture chrétienne blanche, par exemple, en apprenant aux enfants des chants indigènes, y compris les chants des Aztèques qui pratiquèrent le sacrifice humain et le cannibalisme. En Californie, la pédagogie critique est devenue obligatoire. Il s’agit de décoloniser l’éducation (y compris les mathématiques dites occidentales) par un transfert de pouvoir des parents vers une classe bureaucratique, tout en offrant un débouché aux universitaires théoriciens critiques. De 1970 à 2010, dans les écoles publiques californiennes, le nombre d’élèves a augmenté de 9 % quand celui du personnel, dont la moitié n’enseigne pas, progressait de 130 %.

Les pédagogues critiques prônent une pédagogie différentiée à l’égard des oppresseurs et des opprimés. Aux « oppresseurs » est dédiée une pédagogie de la « blanchité » qui est censée les convaincre qu’ils sont « infectés » par « l’ignorance blanche », la « complicité blanche », le « privilège blanc », le « déni blanc » et la suprématie blanche ». Les Blancs doivent donc confesser leur racisme et subir un traitement de choc pour se purger. Ces pédagogues critiques voient dans la manipulation de l’identité raciale le moyen de faire advenir la révolution attendue à gauche : reformater la psychologie de l’enfant pour le conduire à militer et participer à la reconstruction d’un ordre social favorable à l’opprimé. Par exemple, en maternelle, on va montrer aux enfants une vidéo dans laquelle des enfants noirs morts leur parleraient, de leur tombe, et les mettraient en garde contre la police capable de les tuer à tout moment. En fin de lycée, les enfants ont exploré tous les secteurs de la domination du régime de blanchité. On encourage les élèves à imaginer un système de justice traditionnel africain qui se préoccuperait non de punir, mais de réparer, privilégierait les valeurs collectives sur les droits individuels, interdirait la propriété privée. Une sorte de communisme primitif qui aurait existé avant tout contact avec les Européens. Cette pédagogie critique ne semble pas avoir eu de meilleurs résultats qu’en Guinée-Bissau. Elle a capitalisé sur les théories de Paulo Freire en y mêlant une politique raciale manipulant la culpabilité, la honte, l’envie, la fierté pour induire les enfants dans un activisme identitaire. Même les enseignants d’anglais seconde langue pour immigrants doivent apprendre à ces derniers, qu’« aux États-Unis, le racisme est omniprésent comme l’air qu’on respire » et qu’il faut relativiser la victoire de la mobilisation des Noirs des années 1960. Cette pédagogie critique joue avec le feu. On a des enseignants et des administrateurs qui condamnent les enfants qu’ils sont censés éduquer à une vision du monde si pessimiste que le seul recours possible semble être la violence. Les institutions de Portland se sont ainsi enferrées dans le paradoxe d’un État dont le système éducatif concourt à sa propre destruction. Elles ont façonné le caractère éruptif de la jeunesse sans être sûres de pouvoir en supporter les conséquences.

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Du pessimisme radical de Derrick Bell à l’intersectionnalité

Derrick Bell est l’un de ceux qui plantèrent le décor des politiques raciales de notre temps. Il fut, en 1971, le premier professeur noir recruté à la faculté de droit de Harvard. Dans les années 1980, il abandonna son travail académique pour des fictions horrifiques sur le sort des Noirs et devint la star de l’intelligentsia blanche. Pour lui, la condition des Noirs était pire que durant l’esclavage. Les émules de Derrick Bell participèrent activement à la capture des institutions, laquelle était complète dix ans après la mort de ce dernier en 2011. Leur idéologie est devenue l’idéologie par défaut des universités, du gouvernement fédéral, des écoles publiques et des départements de ressources humaines des entreprises. Derrick Bell, lui aussi, pensait que la réforme ne viendrait pas d’un processus démocratique, mais d’un remodelage des mœurs des élites. Il fut rejoint par des collègues dans ce qu’on appela les « critical legal studies ». Son activisme finit par lasser l’administration et, après deux ans de congé sans solde, il fut congédié de Harvard. D’après Thomas Sowell, Bell fut un des premiers à souffrir de l’Affirmative Action. Conscient d’avoir été recruté à Harvard parce que noir, Bell n’avait que deux options : vivre dans l’ombre de juristes plus accomplis ou se lancer dans un militantisme racial déchaîné. Un petit groupe des disciples de Bell firent des perceptions du maître un programme de recherche et d’action, la Théorie critique de la race (TCR), qui a changé le visage de la société américaine.

Le concept de TCR fut élaboré, lors d’une réunion de Derrick Bell et de ses disciples dans un ancien couvent — St Benedict — du Wisconsin, pendant l’été 1989 et dont Kimberlé Crenshaw fut l’une des organisatrices. De nombreuses publications suivirent. Un élément central de la TCR est une reconceptualisation de la vérité dans la ligne des postmodernistes. En rabaissant la rationalité à une forme de colonialisme académique dominé par les normes blanches et dont l’universalisme prétendu n’est qu’une forme de domination des minorités raciales. D’où la nécessité de redistribuer le pouvoir en faveur des minorités. Un autre élément central de la TCR est l’intersectionnalité (terme inventé par Crenshaw) qui étend la vision marxiste à une multiplicité d’oppressions hiérarchisées. L’oppresseur ultime est le mâle blanc non handicapé hétérosexuel, et la victime par excellence, la femme noire, qui devient une source d’autorité. La TCR appelle à l’action. Il faut ébranler l’hégémonie blanche par la subversion des institutions de l’intérieur et la création une contre-hégémonie dans la structure du pouvoir. Une fois le programme de la TCR connu, il reçut des critiques argumentées, mais qui restèrent sans effet, tout en détruisant la réputation de leurs auteurs, notamment celle des auteurs noirs traités d’esclaves copiant leurs maîtres blancs.

DEI ou la perversion du langage

À l’université, les méthodes des promoteurs de la TCR (vendettas, dénonciations…) leur permirent de gagner un statut dans les établissements d’élite. La tête de pont fut les facultés de droit. Puis, la TCR devenant un prérequis pour avancer sa carrière, elle conquit discipline après discipline. Le tout sous l’appellation DEI, apparemment moins provocante que TCR, mais qui reste une perversion du langage. Ainsi, diversité signifie l’inversion de la hiérarchie. L’équité recherche l’égalité réelle entre groupes. Quant à l’inclusion, elle prend un sens opposé à son sens réel, soit la régulation du discours et du comportement pour protéger le bien-être subjectif de la coalition intersectionnelle. Les programmes DEI ont été imposés dans tous les organes du gouvernement fédéral, tout en faisant la fortune de quelques consultants spécialisés. Que veulent-ils ? Pour y répondre, Christopher Rufo recommande de retourner aux tout premiers textes de la TCR qui proposent une révision globale du système de gouvernance américain en trois points :

1) abandonner la notion d’égalité indifférente à la couleur. Le 14e amendement ayant échoué à accomplir une égalité raciale substantielle, il faut l’étendre pour y inclure des droits économiques, ce qui suppose un système d’affirmative action, de quotas raciaux, de réparations et de droits fondés sur les groupes et non plus les individus ;

2) redistribuer la richesse en fonction de la race, y compris les propriétés privées confisquées puis redistribuées selon une répartition raciale ;

3) ce nouveau système fondé sur le droit des groupes serait appliqué grâce à une régulation du discours jugé haineux. Pour cela, il faudrait drastiquement restreindre le 1er amendement. Le sens des 1er et 14e amendements et les protections de la propriété privée seraient détruits. Une forme de tyrannie contrôlerait, à la soviétique, la distribution des ressources matérielles, les comportements et les discours. Le tout serait supervisé, selon Ibram Kendi, par un Department of Antiracisme (DOA), composé d’experts aux pouvoirs quasi illimités, une sorte de 4e branche du pouvoir, n’ayant pas de comptes à rendre aux électeurs.

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La stratégie contre-révolutionnaire que propose Christopher Rufo

La grande vulnérabilité de la révolution culturelle américaine réside dans le fait qu’elle vit sous perfusion de financements publics. La tâche la plus urgente pour ses adversaires est d’exposer la nature de l’idéologie, la manière dont elle opère et monter un plan pour riposter et l’abolir par un processus démocratique. Ils doivent camper sur la brèche creusée entre les abstractions utopiques de la révolution culturelle et ses échecs concrets, élaborer une stratégie visant à libérer les institutions de son influence et protéger le citoyen ordinaire de valeurs imposées d’en haut. Il leur faut soumettre le régime actuel à des tests simples : les conditions de vie se sont-elles améliorées ou détériorées ? Les villes sont-elles plus sûres ? Les enfants savent-ils lire ?…

Au lieu de libérer le militant noir de son complexe d’infériorité et de son désespoir, la révolution raciale l’a enfoncé dans cet état psychologique. Les théories critiques, comme idéologie dominante, risquent de conduire les États-Unis dans un cercle vicieux d’échec, de cynisme et de désespoir. Les théoriciens critiques qui revendiquent la représentation des opprimés ne sont en fait qu’une classe bureaucratique entièrement protégée des contraintes du secteur privé. « Ils pensent être les intellectuels organiques à la Gramsci alors qu’ils ne sont que des tigres de papier ». Ils devront finir par se confronter à des questions difficiles. Qu’ont-ils à offrir aux opprimés ?

Les professeurs de Harvard, Columbia et UCLA ne sont pas des guerriers. Ils ne menacent pas le système, ils en dépendent. Si le ressentiment est utile pour obtenir le pouvoir, il ne l’est pas pour l’exercer utilement. Ce qui laisse un espace pour affronter la révolution sur son terrain avec une force au moins égale et la vaincre politiquement. La contre-révolution doit commencer par redonner du sens aux souhaits basiques des Américains. Elle doit être une force positive visant à restaurer ce qui a été démoli. Pour y parvenir, il lui faut faire le siège des institutions qui ont perdu la confiance du public. Son but n’est pas de contrôler l’appareil bureaucratique, mais de le briser. Pour réussir, les architectes de la contre-révolution doivent développer un nouveau vocabulaire politique capable de percer le récit racialiste bureaucratique. Pour ce faire, il leur faut puiser dans le réservoir du sentiment populaire afin de recueillir un soutien massif et construire ainsi des politiques qui coupent tout lien entre les idéologies critiques et le pouvoir administratif. La contre-révolution doit armer la population d’un ensemble de valeurs, exprimé dans un langage qui dépasse les euphémismes idéologiques actuels, et restaurer un sens de l’histoire plus sain qui inspire au lieu de faire honte. Le conflit le plus profond n’est pas un conflit de classes, de races ou d’identités, mais une opposition entre les institutions d’élite et le citoyen ordinaire. La contre-révolution doit éclairer ce dernier sur le nihilisme qui menace de l’ensevelir et contribuer à restaurer le rôle de l’exécutif, du législatif et du judiciaire au détriment de l’ingénierie sociale qui sévit aujourd’hui.

Christopher F. Rufo, America’s Cultural Revolution: How the Radical Left Conquered Everything (Broadside Books, 2023), 352 pp, 29,28€

Source : Le blog de Michèle Tribalat



La PSYOP « Liberté d’expression sur Twitter »

Par CJ Hopkins

Faire face au fait que vous avez été trompé n’est jamais une expérience très agréable. Réaliser que vous avez été la proie d’une escroquerie élaborée, ou PYSOP(([1] Opération psychologique de manipulation)), est douloureux. C’est gênant. Les gens ont honte. Personne n’aime se voir comme un pigeon. C’est humiliant. Cela met les gens en colère. Cela leur donne envie de s’en prendre à quelqu’un.

Le plus drôle, c’est que ce n’est généralement pas à la personne qui les a escroqués qu’ils veulent s’en prendre. Faire cela ne ferait que les rendre encore plus honteux. Non, généralement, ceux à qui les gens veulent s’en prendre, quand ils réalisent enfin qu’ils ont été embobinés, sont ceux qui n’ont pas été embobinés comme eux et qui ont essayé de les avertir qu’ils étaient embobinés.

Ce phénomène se produit actuellement. Je le sais, car un certain nombre de mes lecteurs se désabonnent avec colère de mon site sur Substack et ne me suivent plus sur Twitter, etc. Cela se produit plus ou moins à chaque fois que les gens commencent à se rendre compte que j’avais raison à propos d’une PSYOP ou d’une escroquerie dont je les avais avertis… Russiagate, Covid, et maintenant « Liberté d’expression sur Twitter », ou « X », ou quel que soit le nom qu’on lui donne aujourd’hui.

Oui, c’est vrai, la fête est finie. La rose a perdu son éclat. Le chat est sorti du sac. La fête est finie. L’excitation a disparu. Les gens commencent enfin à se rendre compte que le « Twitter de la liberté d’expression » était une escroquerie élaborée (ou une PSYOP, selon votre degré de paranoïa), et ils ne sont pas très heureux de cette prise de conscience.

Donc, ils s’en prennent à des blasphémateurs comme moi qui ont essayé de les avertir de l’empereur Elonicus et du fait que les fichiers Twitter étaient un lieu de rencontre limité aux manuels et qui ont souligné comment Musk l’a fermé dès qu’il a atteint son objectif, et qui ont qualifié certains d’entre eux de « cultistes de Musk » et de « pigeons », et qui ont tweeté des tweets sarcastiques comme celui-ci…

Mais je n’écris pas cette colonne pour pleurnicher à ce sujet. Cela fait partie de la nature humaine. Je comprends.

J’écris cette chronique parce que, peut-être, maintenant que les gens commencent à se rendre compte que toute cette histoire de « liberté d’expression sur Twitter » était une escroquerie élaborée, un piège ou une PSYOP, peut-être, maintenant, peuvent-ils arrêter les conneries du type « Elon est notre sauveur » et essayer de prêter attention à ce qui se passe réellement.

Voici un exemple de ce qui se passe réellement…

Linda Yaccarino, PDG de Twitter/X :
Nous avons introduit une nouvelle politique appelée « Liberté d’expression, pas de porter atteinte ».
« Si vous postez quelque chose qui est légal, mais qui est horrible, vous êtes étiqueté. Vous êtes désamplifié, ce qui signifie que vous ne pouvez pas le partager. Et il est certainement démonétisé ».

Voici un lien vers ce Tweet avec un enregistrement de l’affaire Spaces. C’est Linda Yaccarino, PDG de X, qui explique comment fonctionne le nouveau système de censure. Et voici ma citation préférée de Yaccarino :

Depuis l’acquisition, nous avons mis au point des outils de sécurité de la marque et de modération du contenu qui n’avaient jamais existé auparavant dans cette entreprise. Et nous avons introduit une nouvelle politique pour [répondre ?] à votre point spécifique concernant les discours haineux, appelée « Liberté d’expression, pas de porteratteinte ».

Ce dont elle parle, c’est de l’avenir de la censure sur Internet. Pas la censure insensée initiée par le gouvernement à laquelle les gens ont tendance à penser lorsqu’ils pensent à la censure. Censure corporative. Censure « libérale ». Ce dont elle parle, c’est de la manipulation quasi imperceptible à chaque instant du contenu des médias sociaux, des résultats des moteurs de recherche, des plateformes de « référence » comme Wikipédia, de tout ce que la plupart des gens voient sur Internet. Le terme corporatif est « filtrage de la visibilité ».

Désormais, au lieu d’être suspendues ou déclassées — ce qui est une mauvaise communication et ne fait qu’attirer davantage l’attention sur le parti déclassé — les voix dissidentes seront « désamplifiées ». Nous serons « libres » de publier ce que nous voulons, mais nous ne parlerons à personne, nous serons dans un vide numérique dont la plupart des gens ne sauront même pas qu’il existe. Les contenus « rouge/bleu », les contenus de guerre culturelle et les autres divertissements inoffensifs qui maintiennent les masses en colère et à la gorge les unes des autres, seront bien sûr autorisés et seront « amplifiés » et « monétisés ». Mais toute forme grave de dissidence politique ou de déviation par rapport aux récits officiels sera qualifiée de « discours de haine », de « désinformation », de « mésinformation » ou simplement de « malsaine ». Des sociétés comme X, Meta, Alphabet et Tencent décideront de ce qui est « sain ». Ils le feront avec des algorithmes, mais pas seulement avec des algorithmes.

Voici à nouveau Linda Yaccarino, parlant à CNBC cette fois…

« … X s’engage à encourager un comportement sain… 99,9 % de toutes les impressions sont saines…et nous avons une équipe extraordinaire de personnes qui supervisent, les mains sur le clavier, surveillent, toute la journée, tous les jours, pour s’assurer que 99,9 % des impressions restent à ce nombre. »

Je ne sais pas à quel point elle pourrait rendre les choses plus claires. Une équipe. De personnes. Surveillant tout. Instant après instant. Tous les jours. Pas un algorithme mal écrit. Pas une cabale secrète de Wokesters mutins sabotant la vision d’Elon. Pas le FBI. Pas la CIA. Pas le WEF. Pas les Rothschild. Juste Twitter. Juste X.

Ce n’est pas une de mes « théories du complot». Il n’y a absolument rien de secret à ce sujet. Tout est expliqué ici, et ici, et ici, et ici, sur le blog Twitter Safety.

Voici l’une des étiquettes interstitielles que Twitter pourrait mettre sur votre Tweet «malsain» avant de le «désamplifier» dans l’oubli.

Vous voyez, Twitter est totalement engagé dans la transparence !

Bien sûr, vous n’avez rien à craindre si vous tweetez (ou Xez ?) un contenu « sain ». Cette « extraordinaire équipe de sécurité de Twitter » qui surveille tout « toute la journée, tous les jours » ne pourrait jamais « désamplifier », ou « filtrer la visibilité », ou censurer de quelque manière que ce soit les discours politiques qui ne sont pas des « discours de haine », ou…. vous savez, utiliser l’une de ces étiquettes interstitielles pour diffamer malicieusement un auteur gênant en faisant croire aux gens qu’il tweete de la pornographie enfantine ou des contenus violents et graphiques, comme la bestialité ou la nécrophilie, ou d’autres types de « contenus pour adultes limités par l’âge », comme Twitter me l’a fait jusqu’au mois de mai de cette année.

Je plaisante, bien sûr. Ils vont continuer à faire ça. Plus pour moi, plus comme ça. (Après que j’aie embarrassé Ella Irwin publiquement, ils ont enlevé les fausses étiquettes et m’ont simplement désamplifié.) Mais ils vont continuer à le faire avec d’autres personnes. Et pas seulement X. Toutes les sociétés. Ils vont continuer à « filtrer la visibilité », à « désamplifier » et à vaporiser la dissidence, et nous ne pouvons actuellement rien y faire.

Pendant ce temps, nous (c’est-à-dire, le « Mouvement pour la liberté d’expression ») célébrerons notre « victoire » sur les brebis galeuses du gouvernement qui forçaient les pauvres entreprises mondiales impuissantes à censurer tout le monde jusqu’à ce que nous les poursuivions en justice et que nous les obligions à cesser de porter atteinte à nos droits démocratiques ! Nous vivrons alors heureux pour toujours !

Je n’ai pas l’intention de dénigrer mes amis et collègues qui luttent avec acharnement contre la censure gouvernementale. Au moins, ils accomplissent quelque chose, alors que je reste assis ici à me lamenter. Et la lutte contre la censure gouvernementale est importante. C’est d’une importance vitale. Et il faut la combattre. Je les soutiens de tout cœur et je les félicite de la combattre. Mais cela ne changera rien à ce qui se passe.

Ce qui se passe, c’est GloboCap, ou Corporatisme, ou tout ce que vous voulez appeler le réseau d’entreprises mondiales, de gouvernements, de médias, d’entités gouvernantes non gouvernementales, de banques d’investissement, d’autorités sanitaires mondiales, d’universités, de l’industrie de la culture et d’autres entités similaires qui ensemble comprennent le système décentralisé de pouvoir et d’idéologie qui dirige actuellement la planète entière… Quel que soit le nom que vous lui donnerez, il devient totalitaire.

[Note de Joseph : si décentralisation il y a, elle n’existe que dans l’apparence, car en réalité le Système repose sur des hiérarchies pyramidales de contrôle qui trouvent au final toujours les mêmes décideurs au sommet, quel que soit leur éparpillement géographique. Décentralisation géographique, mais centralisation fonctionnelle avec les ordres qui descendent d’étage en étage jusqu’aux exécutants de la base.]

Il est devenu totalitaire, plus ou moins ouvertement, pendant la majeure partie des trois dernières années. Je couvre cette transition depuis un certain temps déjà, et j’ai réitéré mon analyse dans nombre de mes essais, et j’ai publié un livre à ce sujet, ce qui me vaudra peut-être d’être envoyé en prison ici en Allemagne. Je ne vais donc pas tout ressasser ici (ce qui devrait soulager mes lecteurs habituels). Si vous ne connaissez pas encore mon travail, vous pouvez lire le livre ou mes essais, qui se trouvent tous sur mon blog et mon Substack.

Pour l’instant, croyez-moi, nous devenons totalitaires. C’est à cela que sert tout le « filtrage de la visibilité ». C’est la raison d’être de la « culture de l’annulation ». C’est la raison d’être de l’hystérie de masse aveugle, de la diabolisation et de la criminalisation de la dissidence.

C’est de cela qu’il s’agit dans la PSYOP « Liberté d’expression sur Twitter ». En fin de compte, peu importe qu’Elon Musk sache ce qu’il fait. Le système dont il fait partie intégrante évolue. Musk l’aidera à évoluer ou il sera remplacé par quelqu’un qui l’aidera à évoluer. Musk, Yaccarino, Zuckerberg, Pichai, Gates, Klaus Schwab, Wang Zhonglin, ou choisissez votre cerveau maléfique ! Ces gens, malgré leur pouvoir bien réel, ne sont que des composants d’un système, un système global, un système qui évolue vers le totalitarisme, parce qu’il n’a vraiment rien d’autre à faire.

Je ne sais pas comment empêcher cela de se produire, cette évolution du capitalisme mondial vers une nouvelle forme de totalitarisme, mais une chose qui me vient à l’esprit, c’est que cela pourrait aider les choses si nous ralentissions un peu et essayions de comprendre réellement ce qui se passe, comme dans un sens plus large, historique, et peut-être si nous n’avalions pas chaque petit appât rouge que l’on nous tend, pour ensuite nous attiser frénétiquement à propos de ce que l’équipe de filtrage de la visibilité de Twitter, ou de X, ou de Meta, ou d’Alphabet, ou d’une autre société, veut que nous battions à ce sujet.

Oh, et peut-être que la prochaine fois qu’un entrepreneur militaire capitaliste mondial et imbu de sa personne viendra en ville, tel un Jésus milliardaire, pour nous sauver de ses copains du proverbial Grand Club — vous savez, celui dont vous ne faites pas partie — peut-être que les gens pourraient prendre un moment et au moins m’écouter avant de commencer à se prosterner à ses pieds.

Je n’ai pas raison sur tout, bien sûr, mais il semble que je me débrouille bien avec cette histoire de PSYOP.




Trafic d’enfants, le film Sound of Freedom… et les 6 documentaires incontournables sur les réseaux

Reparler des réseaux, des dangers qui menacent les enfants et prendre action

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Depuis sa sortie le 4 juillet, l’on ne cesse de m’interpeller à propos du film Sound of Freedom, un film qui dénonce les réseaux pédocriminels. Faut-il le voir (s’il sort chez nous) ? Y a-t-il une manipulation derrière ce succès ?

Il y a quelques semaines, ce film « ultra-censuré » a cartonné au box-office américain en dépassant Indiana Jones. La nouvelle a inondé les réseaux sociaux, chez nous, Karl Zero spécialiste des sujets de pédocriminalité en a parlé dans l’émission d’André Bercoff sur Sud Radio et chez Idriss Aberkane. Les annonces et commentaires autour du film ont circulé dans des milliers de posts et vidéos (celle de Florian Philippot a récolté 280 000 vues). Peu après les médias autorisés se sont aussi emparés du sujet Le Parisien et Le Monde reprenant le sempiternel refrain du « complotisme », car les réseaux sont un fantasme.

À côté de cela, ladite complosphère est elle-même divisée. Certains estiment qu’il s’agit d’une opération destinée à manipuler l’opinion en faveur de Trump ou qui vise à faire accepter de nouvelles « mesures » liberticides, et d’autres voient dans ces suspicions une tentative de censure supplémentaire, à coups d’accusations « d’opposition contrôlée ». Au milieu de ce dilemme, on se demande : que faire de ce film et comment parler des réseaux ? Ce sont de bonnes questions !

Image du film Sound of Freedom

À propos du film

Sound of Freedom (bande-annonce ici) est une fiction qui s’inspire de l’histoire d’un ancien agent du FBI qui a démissionné de ses fonctions pour se lancer dans des opérations secrètes de sauvetage d’enfants, esclaves sexuels modernes, en dehors du territoire américain. Le film se base notamment sur les documents réalisés par Tim Ballard et ses commandos de l’Opération Underground Railroad, parmi lesquelles « l’Opération Toussaint ».

C’est Jim Caviezel qui interprète le rôle du sauveur, dans une histoire où il tente tout pour retrouver une petite fille enlevée par des trafiquants. Son enquête le mène finalement à libérer des dizaines d’enfants, esclaves de factions rebelles, au fin fond de la jungle en Colombie.

Sans être un chef d’œuvre du cinéma, le film est touchant et captivant et il a la délicatesse de ne pas exposer inutilement le spectateur à des images choquantes. Son mérite principal est de faire parler du fléau de la pédocriminalité et de l’existence des réseaux. Mais, si la bande-annonce est prometteuse en révélations en annonçant que « c’est le réseau criminel en expansion le plus rapide que le monde ait jamais vu. Il a déjà dépassé le trafic d’armes illégal et bientôt, il dépassera celui de la drogue », l’on n’en apprendra pas un mot de plus sur le sujet.

À côté du film, l’acteur principal a également donné de nombreuses interviews dans lesquelles il a soulevé d’autres sujets, accusant les stars d’Hollywood de se livrer à des actes pédocriminels et d’utiliser de l’adrénochrome, un sérum de jouvence dont l’existence est contestée et qui serait obtenu en récoltant le sang d’enfants sous l’effet de la torture. Il s’est aussi montré très émotionnel, dans le registre du sacrifice héroïque et de ses convictions religieuses. Ces déclarations ont évidemment été au centre des critiques des médias mainstream qui préfèrent fact-checker l’adrénochrome que de parler de l’existence d’un business criminel censé représenter 150 milliards de dollars.

Censure ou promotion ?

Cela fait 7 ans que je m’emploie à faire connaître des sujets tabous avec des films (ea. Vaxxed, La face cachée des vaccins, l’Affaire Wakefield, la série Plus Jamais Ça) et que je me heurte à la censure, avec des pressions sur la salle pour annuler la projection, etc. dans 90 % des cas. Derniers exemples : au mois de mai la projection de Plus Jamais Ça, c’est maintenant et mondial a provoqué l’annulation de la salle lors de l’Assemblée Générale de la LNPLV et au mois d’avril il y a eu des plaintes déposées auprès du bourgmestre de Stockel pour faire annuler le film « La face cachée des vaccins ». (tant le directeur que le bourgmestre ont tenu bon, je les en remercie).

Il n’y a pas de « renversement » spontané de l’opinion des médias, ni du monde du cinéma. Robert Kennedy Jr qui est candidat à la présidence n’est JAMAIS interviewé par les médias mainstream. À l’heure actuelle il est toujours en procès contre la censure de Google Facebook et YouTube et le consortium médiatique le « Trusted News Initiative ».

Croire qu’un film « tabou » a pu détrôner Indiana Jones par miracle, c’est avoir la nostalgie du père Noël. Ces histoires de censure et les vidéos de spectateurs bouleversés ont surtout créé le buzz d’une extraordinaire campagne de pub. Le fait que l’on en ait parlé sur tous les réseaux sociaux, sur CNN, CBS, ABC, Fox News, tous les journaux mainstream et que même Elon Musk s’en saisisse confirme qu’il y a manifestement anguille sous roche.

Pourquoi donc ? Tout en ayant des réserves par rapport à ce type de présentation de contenu, voici une vidéo qui réalise une première enquête sur la question.

L’envers du décor

Comme toujours, il faut se demander : qui sont les héros de la fable ? D’où vient et où va l’argent ? Quelles sont les solutions vers lesquelles on pousse le public ? Voici les éléments les plus significatifs :

Tim Ballard a tout d’abord loyalement servi la CIA et le département de la sûreté américain dans des missions de lutte contre le terrorisme. En 2013, lorsqu’il quitte, en apparence, les services du gouvernement, Tim Ballard crée l’Opération Underground Railroad (OUR) une organisation caritative a engrangé 47 millions de dollars de revenus. Manifestement ça rapporte et personne ne s’y oppose. Du côté de ses fréquentations, il est ordonné chevalier de l’ordre souverain militaire du temple de Jérusalem en 2015. Il fait partie du board [comité directeur] de l’organisation caritative américaine « Afghanistan World Foundation » aux côtés d’Henry Kissinger, d’Albert de Monaco et d’une brochette de stars comme Céline Dion, Anne Heche (assassinée ?) et de tout le gratin qui travaille avec la CIA. En 2019, sous l’administration Trump, il est nommé à la tête d’un service dépendant du DHS (un « ministère » intimement lié à la CIA, à la NSA et au FBI) : le partenariat public privé pour mettre fin au trafic d’êtres humains. L’image qu’il « opère tout seul dans son coin » pour pallier au manque d’action du gouvernement semble donc peu convaincante. Il semble au contraire chouchouté par les élites.

L’argent du film, selon Tim Ballard en personne, viendrait principalement de Carlos Slim et John Paul DeJora, deux milliardaires louches, proches des familles Gates et Clinton, justement accusés d’être impliqués dans les réseaux de pédocriminalité. A priori, cela semble plutôt surprenant…

Où vont les dons ? Dans la vidéo ci-dessus, Greg Reese affirme qu’Angel Studios encourage les gens à « aider à combattre le trafic d’enfants » en les renvoyant vers le Projet Polaris, qui est lié à John Podesta et aux Clinton, et qui financerait en fait le trafic d’enfants, en rapportant plus de 150 milliards de dollars par an. Neil Harmon, le patron d’Angel Studio est un mormon qui a œuvré pour les missions de l’église des derniers jours au Mexique, une institution qui a été accusée de servir de plaque tournante à toutes sortes de trafics.

On remarquera aussi que l’on ne donne jamais la parole aux victimes dans les interviews ou les projections cinéma. Cathy O’Brien, Anneke Lucas et tant d’autres femmes qui ont dénoncé les réseaux pédocriminels depuis 30 ans sont absentes de toute cette opération. Au point qu’un certain nombre de survivantes dénoncent le fait que ce film ne les aide en rien et l’estiment même contre-productif.

[Voir aussi :
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin]

Hypothèses

Toute la question est donc de savoir pourquoi ce film sort aujourd’hui avec une telle promotion du « système ». On peut faire les suppositions suivantes :

  • Face à l’éveil général du public quant à l’existence du trafic d’enfants et de l’implication des hautes sphères de pouvoir, l’on tente de détourner l’attention du public du dossier Epstein qui prend une tournure particulièrement gênante pour des gros bonnets tels que Bill Gates, Sergey Brin (Google) ou Jamie Dimon (banque JP Morgan) ou encore Woody Allen (à nouveau), Noam Chomsky, etc.
  • De manière générale, il y a une fatigue du public concernant les sujets sur le Covid et l’Ukraine, l’enlèvement d’enfants renouvelle l’angoisse du public pour le maintenir dans l’état d’hébétude nécessaire à la poursuite de l’Agenda 2030 (avec le climat).
  • En finançant le film, les personnages accusés d’être liés au réseau pédophile espèrent rétablir leur image et éliminer les accusations portées contre eux.
  • Le film et les opérations de Tim Ballard ne concernent que des réseaux qui opèrent à l’étranger. On va rechercher les enfants au fond de la jungle, alors qu’en réalité, ils se trouvent dans toutes les grandes cités. « Ça se passe ailleurs ».
  • Faire du trafic d’êtres humains une question de politique « bi-partisane » pour influencer les élections en faveur de Trump.
  • Introduire plus de contrôle ou de surveillance. Plus de 500 millions de personnes ont lancé des recherches sur le net pour savoir si l’objectif du film ne serait pas de promouvoir les puces d’identification pour les enfants. Tim Ballard s’est pour sa part défendu de jamais vouloir faire une telle chose. Mais si la puce est souvent agitée comme un épouvantail, c’est peut-être pour faire oublier la mise en place d’un système de surveillance par l’enregistrement des données biométriques et par d’autres moyens de traçage.
  • La Digital Crimes Unit de Microsoft serait prêt à déployer un attirail de solutions qui proposent par exemple de monitorer les téléphones, les plateformes internet et les réseaux sociaux et d’opérer avec des outils de surveillance par géolocalisation. (voir son « white paper pour lutter contre le trafic d’êtres humains.) Microsoft travaille avec le National Center for Missing and Exploited Children, une organisation fondée par les époux Clinton et Blair, la Child Rescue Coalition, le réseau de police international et le bureau du crime et de la drogue de l’ONU.

Il y a fort à parier que le public, hanté par l’idée du kidnapping d’enfants finisse par accepter l’une ou l’autre forme de traçage renforcé et que l’on en profite pour raboter à nouveau la protection des données privées.

9 MILLIONS DE PHOTOS, et toujours pas de réseau

Pour revenir au début de l’article où nous avons mentionné la réaction des journaux autorisés, les réseaux pédocriminels sont des fantasmes complotistes. En effet, depuis que le dossier bis de l’affaire Dutroux a été enterré, vu l’importance des noms qui y ont été cités et la trentaine ou plus de personnes décédées durant l’enquête, cette notion a définitivement disparu de nos contrées. Un exemple récent donne pourtant de quoi s’interroger à nouveau :

En mars 2020 (en pleine hystérie Covid) 5 hommes, dont 3 Belges, ont été condamnés pour détention de 9 MILLIONS de photos de pornographie enfantine, principalement de jeunes garçons.

Selon l’article de La libre Belgique : « Une grande partie de ces images étaient par ailleurs inconnues des enquêteurs, laissant imaginer qu’elles étaient l’œuvre des suspects eux-mêmes dont certains n’auraient pas hésité à se servir de leurs propres enfants. » On reste pantois !

Surtout ne pas laisser l’existence d’un réseau pédophile effleurer l’esprit des lecteurs. Avec un peu de chance, l’idée que 5 types sont parvenus à collecter 9 millions d’images avec les quelques enfants qu’ils sont parvenus à contacter individuellement finira par passer. Sur le site de Pédopolis, un média moins plébiscité, l’on parlait à la même date d’un réseau qui touche 40 pays. L’affaire a fait peu de bruit, les condamnations n’ont pas traîné. Il reste les questions principales : où sont les dizaines de milliers de victimes qui constituent ce fichier ? Qui d’autre est impliqué ?

Parler de ce qui se passe chez nous !

Nul besoin d’attendre la sortie de Sound of Freedom pour parler de ce sujet. Il faut saisir l’occasion pour revenir sur ce qui se passe chez nous. Avec l’affaire Dutroux, l’affaire Outreau, le fichier Zandvoort ou les abominations qui ont lieu en Ukraine (voir Eyes of the Devil) tout le monde sait qu’en réalité le trafic d’enfants est étroitement lié aux milieux du pouvoir dans tous les pays d’Europe.

Le fait qu’un enfant sur cinq est victime de pédocriminalité doit être une de nos priorités, d’autant que les politiques actuelles d’hypersexualisation de l’enfance aggravent les risques de violence.

Je vous invite à consulter ma lettre précédente sur les actions à mener dans votre entourage et à attirer aussi l’attention sur les films et documentaires qui en disent plus long que Sound of Freedom.

6 DOCUMENTAIRES À VOIR

  1. Innomable (2021) Retour en archives sur l’effroyable « affaire Dutroux », qui suscita au milieu des années 1990 l’émoi puis la colère du peuple belge face aux dysfonctionnements de la justice. Document en quatre parties des disparitions jusqu’au procès.

  1. L’affaire Dutroux, affaire de réseau ? » (2021) Un film qui plaide pour la réouverture du dossier bis, celui de concerne « l’élite » du pays.
    L’affaire « Dutroux » contient de nombreuses zones d’ombres, des enquêtes interrompues, beaucoup de décès étranges. Dossier wikileaks ici
  2. Outreau, l’autre vérité Outreau, un symbole de l’erreur judiciaire ? Que treize des dix-sept accusés aient été acquittés après un ou deux procès, n’est-ce pas le fonctionnement normal de la justice ? Outreau, un fiasco judiciaire ? Oui, mais ce n’est pas celui qui a été dit.
  3. Zandvoort, le fichier de la honte Dans tous les dossiers de pédocriminalité et de disparitions d’enfants, le nom de « Zandvoort » n’est jamais très loin, telle une hydre, un serpent de mer… Fantasme ? Non. Contrairement au Loch Ness, les CD Rom de Zandvoort ont l’affreux mérite d’exister. Preuve irréfutable d’un trafic épouvantable de photos et de vidéos d’enfants violés, martyrisés.
  4. Trance, l’histoire de Cathy O’Brien Tiré du livre ce documentaire retrace la vie de Cathy O’Brien, esclave sexuelle durant 30 ans, au service des présidents Ford, Reagan et Bush. Échappant à la mort in extremis et luttant pour protéger sa vie durant les années qui ont suivi, elle a dénoncé devant le congrès américain les réseaux pédocriminels liés au gouvernement et aux opérations de la CIA, notamment le programme de contrôle de l’esprit MK Ultra.
  5. 1 sur 5, le film contre la pédocriminalité Selon les chiffres officiels en France, 1 mineur sur 5 est victime de pédophilie. Voici un documentaire de Karl Zero pour expliquer la réalité des chiffres et l’urgence à agir. Cela fait environ 13 millions de victimes, il est urgent de se saisir de cet enjeu de société.



La prochaine génération est préparée à la destruction — Voici pourquoi elle est vulnérable

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 3 aout 2023 − Source Alt-Market

La semaine dernière, la National Education Association (NEA), le plus grand syndicat d’enseignants des États-Unis, a publié des conseils sur l’utilisation de symboles militants gauchistes dans les salles de classe des écoles publiques. Dans le cadre de ses conseils aux enseignants, elle recommande d’enfreindre les règles du district et de l’État et d’accrocher des objets tels que des drapeaux de la fierté et des drapeaux BLM. Cette pratique est généralement citée comme un moyen de “démarrer une conversation”, un moyen pour les enseignants de contourner les règles de l’école. Ils ne sont peut-être pas en mesure de consacrer chaque jour à des leçons sur les concepts de la guerre, mais si un enfant pose une question sur les drapeaux présents dans la salle, ils peuvent alors fournir un “contexte”.

La NEA a été l’une des principales forces motrices de l’intrusion de l’idéologie “woke” dans le cadre de l’école publique. Environ 97 % de ses collectes de fonds politiques vont aux candidats Démocrates. Elle semble obsédée par la préparation des enfants au bercail gauchiste, avec des leçons axées sur la théorie critique de la race, la propagande sexiste et le socialisme. Si vous voulez savoir d’où vient la soudaine montée du culte de la justice sociale chez les enfants américains, c’est aux enseignants gauchistes et à la NEA qu’il faut s’en prendre.

N’oubliez pas que les syndicats d’enseignants encouragent leurs membres à enfreindre la loi et à perdre leur emploi, dans le seul but d’intensifier l’endoctrinement politique. Contrairement à la croyance populaire, les enseignants n’ont PAS le droit de s’exprimer librement sur leur lieu de travail. Les enseignants “Woke” peuvent se prendre pour Robin Williams dans Le Cercle des Poètes Disparus en luttant contre le système, mais la vérité, c’est qu’ils SONT le système. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles il est nécessaire d’établir des règles de comportement pour les enseignants.

Les enseignants narcissiques sont des parasites qui considèrent la salle de classe comme un lieu où ils doivent s’affirmer. Ils considèrent les enfants de leur classe comme un public captif dont ils peuvent se nourrir pour obtenir de l’attention, de l’admiration et des justifications. Ils considèrent les parents comme des inférieurs et traitent les élèves comme leurs marionnettes personnelles à modeler et à contrôler.

Dans leur esprit, les enfants n’appartiennent pas aux parents, mais à la “société”. Les éducateurs progressistes se considèrent comme les bergers bienveillants choisis par la collectivité pour conditionner les esprits de la prochaine génération. L’enseignement académique est secondaire – fabriquer de nouvelles recrues gauchistes est plus important pour eux. C’est sur cette colline qu’ils ont choisi de mourir et ils ne reculeront pas. Ils ont clairement fait savoir que le ciblage des enfants était leur principale préoccupation.

Il est vrai que la secte “Woke” est en perte de vitesse ces derniers temps. Même les enfants commencent à s’y opposer, avec le plus grand pic de conservatisme parmi les lycéens que les États-Unis aient connu depuis longtemps. Ils en ont assez. Mais il y a certainement de bonnes raisons pour que les gauchistes mettent en place une guerre psychologique contre la jeunesse américaine. Examinons les trois principales raisons…

Raison n° 1 : les jeunes sont les plus vulnérables sur le plan économique

La gauche politique s’appuie sur l’exploitation des disparités économiques pour se maintenir au pouvoir. Plus la situation financière du pays est bonne, moins elle a de moyens de pression pour maintenir la population dans le droit chemin. Ils s’insurgent sans cesse contre des questions telles que “l’inégalité des classes”, mais en réalité, plus l’écart de richesse est grand, plus les gauchistes ont de pouvoir.

La génération Z, par exemple, est convaincue depuis l’enfance qu’elle est née à une époque de désespoir économique historique que les générations qui l’ont précédée n’ont jamais eu à affronter. Beaucoup de ces jeunes ont une vingtaine d’années et viennent de sortir de l’université pour découvrir qu’ils ont un diplôme inutile dans un domaine où les perspectives d’emploi sont faibles, et qu’en plus, ils doivent des dizaines de milliers de dollars de prêts étudiants. Ils ont l’impression d’avoir été escroqués, et d’une certaine manière, ils l’ont été.

Ils ont été nourris d’un discours qui leur dit qu’une fois arrivé à l’âge adulte, ils ont droit à un salaire décent et à de solides perspectives de carrière, et qu’un diplôme universitaire est un billet d’or pour la prospérité. Ils pensent qu’ils sont censés accéder rapidement à la propriété et que la vie s’adapte simplement à leurs besoins. Ils pensent que c’est ainsi que les baby-boomers et la génération X ont vécu, et qu’ils ont reçu les maigres restes d’une époque plus prospère que les générations précédentes ont dilapidée.

C’est un non-sens.

Le fait est que les jeunes de toutes les générations sont économiquement vulnérables simplement parce qu’ils n’ont pratiquement aucune expérience de la vie et qu’ils n’ont pas eu le temps d’accumuler des économies et des biens. La plupart des jeunes d’une vingtaine d’années ne se lancent pas immédiatement dans une carrière, n’achètent pas de maison et ne gagnent même pas un salaire décent. Chaque génération a dû faire face à des difficultés financières. La génération Z n’est pas spéciale.

Mais qu’en est-il de l’inflation ? Qu’en est-il de la crise économique ? Oui, de nombreuses menaces fiscales pèsent depuis plusieurs années et la stagflation rend la vie difficile à tout le monde, pas seulement aux jeunes. Ces conditions ne sont toutefois pas sans précédent.

Les baby-boomers et la génération X ont connu une décennie de crise stagflationniste dans les années 70 et au début des années 80, en même temps que la guerre du Viêt Nam. Mon propre grand-père a perdu des millions dans son entreprise de transport de marchandises en raison de l’explosion des taux d’intérêt au début des années 1980. La plus grande génération a connu la Grande Dépression, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée. Les jeunes d’aujourd’hui doivent prendre conscience de la réalité et comprendre qu’ils ne savent pas ce qu’est la véritable lutte, du moins pas encore.

Au fond, certains d’entre nous sont nés dans une période d’incertitude. Les générations précédentes ont cherché à relever le défi. La génération Z (et les milléniaux) sont les premières générations à suggérer qu’on leur doit une compensation pour leur inconfort. Il ne s’agit pas de diminuer leurs problèmes, mais de les replacer dans une perspective historique. Les gauchistes utilisent des tactiques de prédation pour attirer les jeunes en prétendant que leur vie est injuste – mais le fait est que la vie est injuste et le sera toujours.

On n’entre pas dans le monde du travail sans compétences, sans expérience et avec un diplôme universitaire sans valeur en s’attendant à une réussite immédiate. On vit d’un salaire à l’autre, on grandit en tant que personne et on finit par trouver sa voie. Si vous êtes intelligent, débrouillard, responsable et prêt à faire des efforts, vous trouverez votre voie. Dans le cas contraire, vous ne méritez pas la prospérité.

Raison n° 2 : Les jeunes adultes sont guidés par le sexe et les impulsions, et non par l’accomplissement.

Je dois préciser que les jeunes du monde occidental sont plus orientés vers le sexe que vers l’accomplissement. Dans de nombreuses autres sociétés, les jeunes sont poussés à rechercher la réussite personnelle AVANT d’avoir des relations, de se marier ou d’avoir des relations sexuelles. Dans les pays occidentaux, le sexe est purement récréatif et constitue la force motrice des adolescents, des jeunes de 20 à 30 ans et des trentenaires. Plus précisément, le sexe sans conséquences.

Je soupçonne que c’est la raison pour laquelle l’innovation, l’éthique du travail et l’excellence académique américaines sont en perpétuel déclin. La technologie a rattrapé une partie du retard en termes de productivité, mais les nouvelles générations semblent être les moins impressionnantes en termes d’ambition et d’excellence. La génération Z ne produira pas d’Albert Einstein, de Richard Feynman, de Kurt Godel, de Nikola Tesla ou même de Steve Wosniak.

La gauche politique est parfaitement consciente de cette dynamique. Elle sait que l’esprit des jeunes est facilement distrait par des pensées de révolution sexuelle, généralement parce qu’ils pensent que cela signifie un accès plus facile au sexe sans responsabilité. Pour cette raison, les adolescents et les jeunes adultes sont plus enclins à soutenir les politiques sexualisées et, ce qui n’est pas surprenant, ils sont plus enclins à soutenir l’avortement. Les gauchistes savent que le sexe fait vendre et que faciliter l’élimination des grossesses non désirées est un moyen de vendre du sexe.

Ce qui est intéressant ces derniers temps, c’est que la gauche politique devient de plus en plus hostile à la sexualité hétérosexuelle. L’amour libre pour tous était le mantra des progressistes, mais ce n’est plus le cas.

La masculinité est désormais dénoncée comme prédatrice et les femmes sont encouragées à considérer les avances masculines comme une menace. La gauche désexualise systématiquement les hétérosexuels. Dans le même temps, elle hyper-sexualise les LGBT, au point que les parades des fiertés sont applaudies pour leurs exhibitions grotesques dans les rues, devant les enfants. Les jeunes hommes hétérosexuels entrent dans un monde de rencontres qui leur dit que s’ils ne s’intéressent pas aux “femmes trans”, ils sont bigots et méchants.

L’objectif est d’amener les jeunes à se rallier aux LGBT, seul endroit où la “liberté” sexuelle est acceptée. Tant que vous ne voulez pas d’enfants ou que vous ne pouvez pas en avoir, l’establishment gauchiste est heureux de promouvoir un monde sans contrainte. Ils parlent souvent de liberté, mais ce qu’ils veulent vraiment dire, c’est l’hédonisme – la recherche du plaisir aux dépens de la conscience et du sens moral.

Raison n° 3 : Les jeunes sont désespérément à la recherche d’un sens à leur vie

Pour ceux qui se souviennent de leur adolescence et de leur vingtaine, il est courant d’être obsédé par son destin personnel presque autant que par le sexe. Dans la société occidentale, on accorde beaucoup d’importance à la célébrité et à l’héritage social. Tout le monde rêve d’être connu, apprécié, d’être à la tête d’un mouvement qui change les choses pour le mieux, de laisser sa marque. La vérité est que, statistiquement parlant, la grande majorité des gens ne feront pas grand-chose pour marquer le monde de la manière dont ils l’imaginent.

L’une des prises de conscience les plus terrifiantes pour l’adolescent et le jeune homme d’une vingtaine d’années est probablement le fait qu’il n’est pas spécial. Ils ne sont pas nés avec une grandeur innée et ne sont pas destinés à devenir des messies. S’ils veulent faire quelque chose d’extraordinaire en tant qu’individus, ils devront travailler dur pour y parvenir. En fait, la plupart des personnes qui accomplissent de grandes choses ne sont pas nécessairement plus intelligentes que le commun des mortels, elles font simplement le travail que d’autres refusent de faire.

Et puis il y a ceux qui font des économies de bouts de chandelle. L’attrait d’un but et d’une attention instantanés n’a jamais été aussi puissant qu’aujourd’hui, à l’ère numérique. Les rebelles sans cause étaient autrefois isolés les uns des autres et donc moins enclins à faire des bêtises. Aujourd’hui, ces personnes sont connectées les unes aux autres en l’espace de quelques microsecondes et peuvent s’organiser en foules abrutissantes en un clin d’œil.

Les gauchistes facilitent la recherche d’un but – vous n’avez rien à accomplir. Vous n’avez pas à lutter ou à persévérer. Vous n’avez pas à être créatif ou inventif. Il n’est pas nécessaire de rivaliser ou de se hisser au sommet de la hiérarchie. Tout ce que vous avez à faire, c’est de détruire. Tout ce que vous avez à faire, c’est de vous tenir au-dessus des structures que d’autres ont construites et de les réduire en cendres. C’est tout. C’est simple.

Un mouvement politique qui n’a pas honte est un mouvement difficile à vaincre, ne serait-ce que parce que le bien et le mal ne sont plus un facteur de participation. Lorsque la justification est fondée sur des sentiments subjectifs, des impulsions et l’enrichissement personnel plutôt que sur la raison et la conscience, il n’y a aucun moyen de dissuader ces militants d’atteindre leurs objectifs. Lorsque la destruction est le seul idéal, la diplomatie et le débat sont impensables. C’est comme essayer de négocier avec une bombe à retardement ou une tumeur au cerveau.

La destruction est la motivation la plus facile pour un mouvement. La création et la conservation sont difficiles. Les gauchistes savent que les jeunes ne sont pas enclins à réfléchir aux dix coups à venir sur l’échiquier. Ils préfèrent jeter l’échiquier par terre et se pavaner ensuite comme s’ils avaient gagné la partie.

Le problème, c’est que si le sens ne se trouve que dans le déraillement et l’incendie, et que l’héritage ne se trouve que dans la vanité, alors l’incendie criminel doit se poursuivre à l’infini. Que se passe-t-il lorsqu’il n’y a plus rien à détruire ? Il n’y a que deux issues possibles : Les gauchistes, dans leur ferveur aveugle, se détruisent les uns les autres, ou bien l’establishment pousse la prochaine génération à construire son propre goulag. Cette dernière solution semble être la finalité des élites progressistes et des globalistes : utiliser les jeunes idiots utiles comme une arme pour introduire de force un bouleversement social massif, puis les enfermer dans un camp d’esclaves et appeler cela Utopie.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




« C’était Pelosi » — L’ancien chef de la police du Capitole révèle le « coup monté » derrière le 6 janvier

[Source : zerohedge.com]

Par Tyler Durden

Tucker Carlson a publié mercredi une interview choc de l’ancien chef de la police du Capitole, Steven Sund, au cours de laquelle ce dernier explique dans les moindres détails ce qui s’est passé le 6 janvier 2021.

Carlson et Sund avaient notamment enregistré une interview complète sur Fox News, qui n’a jamais été diffusée.

Le plus accablant est peut-être l’affirmation de Sund selon laquelle la présidente de la Chambre des représentants de l’époque, Nancy Pelosi (D-CA), a refusé d’autoriser le déploiement de la Garde nationale au Capitole malgré les supplications de Sund, et que les agences fédérales ont dissimulé des informations et des signes avant-coureurs de dangers potentiels avant l’émeute.

« Il ne semble pas que les gens veuillent vraiment aller au fond des choses », a déclaré M. Sund, ajoutant : « Ce n’est vraiment pas le cas. Et la situation ne fait qu’empirer. Les choses ne font qu’empirer. »

Sund a reçu l’autorisation de faire intervenir la Garde nationale à 14 h 9. Avant d’obtenir cette autorisation, il aurait supplié plusieurs généraux, dont le général Michael Flynn, de faire intervenir la Garde nationale. Les fonctionnaires ont dit à Sund qu’ils “n’aimaient pas l’image de la Garde nationale” alors qu’il aurait supplié leur aide pour intervenir dans la violence. — Daily Caller

« Cela ressemble à un coup monté », a déclaré Carlson, ajoutant : “Je suis désolé, c’est le cas”.

Ce à quoi Sund a répondu :

« C’est de mieux en mieux. J’ai donc supplié et supplié, et il m’a dit “bon, je vais aller dans le couloir et nous parlerons au secrétaire à la défense ou à qui que ce soit d’autre”. C’est alors que je reçois une notification, oh, je suis toujours en ligne, nous avons la fusillade d’Ashli Babbitt. Et j’ai dit que des coups de feu avaient été tirés, je me souviens encore d’avoir crié au téléphone. Des coups de feu ont été tirés sur le Capitole, est-ce assez urgent pour vous ? »

Selon Sund, la Garde nationale n’est arrivée qu’à 18 heures, soit plusieurs heures après les tirs mortels sur Babbitt. Il a également affirmé que le Pentagone avait déployé des ressources aux domiciles des généraux, mais pas au Capitole.




Feu ! Feu ! Feu ! … Mais attendez un instant…

Le CO2 et la tromperie climatique

[Source : mondialisation.ca]

[Source illustration : mideastdiscourse.com]

Par Julian Rose

Les maîtres potentiels du contrôle totalitaire ont fait augmenter la température dans un but précis, afin de s’assurer que la responsabilité des incendies de brousse et de forêt qui se sont produits dans la région méditerranéenne pendant la récente vague de chaleur soit clairement attribuée au « réchauffement climatique ».

Il n’y a pas eu un seul jour en juillet où « l’horreur » de ces événements n’a pas fait les gros titres de la presse mainstream britannique et d’autres médias conformes à la politique du sommet.

L’horreur est sans aucun doute très réelle là où les incendies sont devenus incontrôlables, mettant des vies et des biens sous une menace directe — et nous devrions avoir une pensée pour ceux qui en sont victimes.

Mais la répétition incessante de gros titres annonçant « Record de chaleurs ! », « Des incendies dévastateurs ! », « L’Enfer sur Terre ! » sont devenus des expressions courantes pour ceux qui ont vu venir les escroqueries alarmistes de Covid en 2020/2021. Un public de plus en plus méfiant n’est plus aussi facilement séduit par les manipulations médiatiques contrôlant l’esprit utilisées pour faire accepter au public le « grand canular du réchauffement climatique [anthropique] ».

Les choses ne se sont pas si bien passées pour le lobby « Net Zero » [zéro émission nette] récemment. Le grand public ne veut plus de ces gros titres simplistes « à l’emporte-pièce » » spécialement conçus pour provoquer la peur et la panique ; surtout lorsque l’agenda des médias mainstream entièrement isolé supprime complètement toute tentative d’exprimer une autre opinion.

Les îles grecques de Rhodes et de Corfou suivent le modèle d’une grande partie de la Grèce continentale. Ils ont des étés chauds et secs. Il n’est pas rare que les températures atteignent les 30 ou 40 degrés centigrades.

C’est Vanessa Beeley, du journal britannique Column News, qui a souligné que les incendies signalés à Rhodes ont en fait causé des dégâts importants dans trois villages seulement et sur les terres agricoles environnantes, dont certaines ont été gravement brûlées par les incendies provoqués par le vent, ce qui a entraîné de graves pertes de revenus pour les agriculteurs concernés, sans aucun doute pour les années à venir.

Les dirigeants du Forum économique mondial ont déclaré qu’ils n’aimaient pas les petites exploitations agricoles (fermes) produisant de la « vraie » nourriture. Son Pacte Vert (Green Deal) veut que de telles fermes soient remplacées par des laboratoires synthétiques. Ce point de vue est maintenant partagé par tous les gouvernements qui adhèrent à la Grande réinitialisation (« The Great Reset »).

La Grèce compte le plus grand nombre de petites exploitations agricoles de tous les pays d’Europe occidentale. Ses agriculteurs ont souvent apporté leur aide au « peuple » pendant les crises politiques, en vendant des aliments de base directement dans leurs remorques à des prix dérisoires. Cependant, ils dépendent fortement du commerce touristique pendant les mois d’été, car les ventes pendant cette saison leur permettent de survivre pendant l’hiver.

La campagne de peur de la BBC et des médias mainstream en général a fait fuir les visiteurs cet été, avec des rapports fabriqués de toute pièce indiquant que les températures dépassaient régulièrement la norme.

Le sud de la Grèce semble avoir été la cible d’un traitement spécial de la part de ceux qui définissent le « programme d’action » imposé aux pays qui ne veulent pas se conformer aux règles de l’insidieux programme de lutte contre le changement climatique « net zéro » du Forum économique mondial (FEM).

Ajoutant au dilemme d’un pays déjà sec selon la plupart des normes européennes, s’ajoute la récente ruée vers l’installation d’éoliennes « vertes » dans les campagnes.

Comme cela a été le cas dans le nord de l’Allemagne et le nord de la Pologne ces dernières années, les pales de ces éoliennes génèrent un flux d’air unique dont l’effet est de réduire les précipitations et de modifier subtilement les conditions météorologiques locales, rendant ainsi les zones dans lesquelles elles sont situées plus sèches que la normale. Les incendies, dont certains sont rapportés par la presse grecque comme des cas probables d’incendie criminel, se sont propagés plus rapidement et ont fait plus de dégâts en raison de cet assèchement.

Je suis convaincu que les forces hostiles à la vie derrière le dogme du réchauffement climatique anthropique sont en train d’intensifier leur projet via un programme coordonné à l’échelle mondiale de perturbations météorologiques délibérées et de la diffusion simultanée d’informations biaisées de manière critique.

Pour maintenir l’escroquerie « Stop CO2 » Net Zero [Zéro émission nette] sur la bonne voie, les pouvoirs en place au sein du Forum économique mondial, des Nations Unies et des institutions commerciales et bancaires affiliées doivent proposer un menu régulier de catastrophes apparemment causées par un excès de CO2. Ils doivent promulguer des histoires de hausse des températures menaçant l’avenir de la vie sur terre.

C’est une politique que la cabale d’élite mène depuis plus de trois décennies. Cette politique est gravée dans la pierre — et toutes les autres activités/problèmes lui sont subordonnés. « Arrêter le réchauffement climatique » est tout simplement l’alibi concocté pour imposer toutes les formes imaginables de restriction aux droits fondamentaux de toute l’humanité.

Considérez le fait que les récentes éruptions volcaniques émettant du CO2 dans un certain nombre de pays sont tenues à l’écart de l’actualité. Comment cela se fait-il ? Les volcans sont-ils désormais classés dans la catégorie des « théories du complot », qu’il convient de vérifier et de soustraire à l’attention du public ?

Cela pourrait-il être dû au fait que la quantité de CO2 libérée dans l’atmosphère par ces éruptions est plus importante que celle produite par les activités humaines ? Et si les citoyens devaient prendre conscience du fait que l’activité volcanique n’est pas considérée comme une menace sérieuse pour la réalisation du grand programme Net Zero/Zéro émission nette d’ici 2045 ? De la même manière que la « guerre » a été éliminée de la contribution au carbone.

Nous devrions être à l’affût d’une « nouvelle découverte scientifique » ; quelque chose du genre « Il a été récemment établi que l’analyse précédente de la matière libérée lors des éruptions volcaniques était incorrecte. Les scientifiques ont analysé de nouveau des données récentes et découvert que le CO2 ne constitue qu’une partie minime des éléments libérés lors des éruptions. »

N’est-il pas étrange que la composition de la haute atmosphère contienne une si petite proportion de CO2 — seulement 0,04 % selon la recherche scientifique. Mais peut-être pas si étrange, si l’on tient compte du fait que le CO2 est 1,5 fois plus lourd que l’air (oxygène). Quelle est la quantité de CO2 qui parvient à atteindre la haute atmosphère ?

Je répète souvent ces observations dans mes articles, car nous avons besoin que chaque mortel encore capable de pensée rationnelle et d’éprouver une réaction émotionnelle saisisse la signification de cette vaste tromperie climatique.

Une tromperie dont la perpétuation réussie forme la masse critique dont dépend actuellement toute la mainmise mondialiste de l’État profond sur la planète.

Il suffit de détruire cette fabrication mondiale trompeuse — ce mensonge hypertrophié — pour que s’effondre le faux programme sur lequel repose l’ensemble de la « Grande réinitialisation » du Nouvel Ordre Mondial.

Incendies au Canada, incendies aux États-Unis ; incendies en Chine et incendies en Europe. Maintenant, il faudra que de tels incendies fassent la une des journaux chaque année. Ils devront devenir plus extrêmes, n’est-ce pas ? Sinon, l’histoire des catastrophes causées par le « réchauffement climatique » anthropique continu cessera de tenir et l’humanité cessera d’être envoûtée par son horreur.

Compte tenu de ces enjeux exceptionnellement importants, les auteurs ne pourraient-ils pas se tourner de plus en plus vers la technologie avancée des CEM [Champs électromagnétiques], des armes scalaires et des instruments de violence similaires pour déclencher des incendies et les entretenir ?

Depuis combien de temps de telles armes — comme HAARP — sont-elles déjà utilisées pour provoquer des tremblements de terre et modifier les conditions météorologiques ?

Jusqu’où la cabale d’élite psychopathe ira-t-elle pour atteindre sa planète transhumaine « Net Zero »/« Zéro émission nette » ?

Vous connaissez la réponse.

Mais, comme je le souligne aussi toujours dans mes écrits, nous qui sommes éveillés avons le pouvoir de mettre un terme à cette émeute diabolique de destruction. Nous devons juste nous mettre dans la tête qu’« ils » ne reculeront devant rien pour réaliser leur cauchemar luciférien.

Ils effaceront l’œuvre de Dieu et la remplaceront par leur version, comme l’a récemment déclaré le professeur Yuval Noah Harari. Eh bien, n’est-ce pas la meilleure incitation possible pour lui prouver le contraire ?

Pourrait-il y avoir une raison plus importante pour canaliser nos énergies vitales dans la défense inébranlable de la création de Dieu ?

Y a-t-il une cause plus importante à laquelle s’engager que celle de libérer ce merveilleux monde, qui nous est offert comme notre maison physique, des griffes mortelles d’un petit groupe de psychopathes obsédés ?

Pour moi, il n’y en a pas.

Julian Rose

Lien vers l’article original :
Fire! Fire! Fire! … But Wait a Moment, 7 août 2023

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca


Julian Rose est l’un des premiers pionniers de l’agriculture biologique au Royaume-Uni, un écrivain, un diffuseur et un activiste international. Il est co-directeur de la Coalition internationale pour la protection de la campagne polonaise et un militant de longue date pour la survie des petites exploitations agricoles à travers le monde. Voir son site www.julianrose.info.
Il contribue régulièrement à Global Research.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Julian Rose, Mondialisation.ca, 2023




La désurbanisation ou la reconquête de soi et de la liberté

Par Iurie Roșca

Confessions d’un optimiste chrétien

19 octobre 2020

L’article ci-dessous a été écrit il y a presque trois ans, mais il me semble qu’il est toujours d’actualité. Je l’ai sélectionné pour mon livre à paraître « La chute du libéralisme à la technocratie. Notes d’un dissident sous le Nouvel Ordre Mondial ».


Aujourd’hui, je n’aborderai pas de front le sujet incendiaire qui dévaste le monde entier depuis le mois de mars de cette année. Ceux d’entre vous qui ont dû comprendre ont déjà saisi les enjeux de cette opération spéciale à l’échelle mondiale, drapée de prétextes médicaux. Et ceux qui ont accepté toute l’histoire de la soi-disant pandémie, je crains qu’ils ne se réveillent jamais de leur léthargie. Je continuerai à me référer aux causes profondes qui ont déterminé l’efficacité de la manipulation et de la prise de contrôle de peuples entiers à l’échelle planétaire. Il s’agit du déracinement, de la rupture avec le milieu naturel, de la déruralisation du monde au profit de l’industrialisme, du productivisme, de la concentration et de la massification des dépossédés et des prolétarisés dans les nouvelles agglomérations urbaines. Toute l’histoire économique des siècles précédents, associée à l’ère moderne, a signifié non seulement la liquidation de la civilisation rurale traditionnelle, mais aussi la suppression de l’indépendance alimentaire, ainsi que de la foi et de tout le système axiologique de ce monde.

Notons au passage que les régimes communistes, comme les régimes libéraux en Occident, ont réussi à inoculer un mépris généralisé pour la condition paysanne et, en même temps, une admiration inconditionnelle pour tout ce qui touche à la ville avec toutes ses prérogatives de civilisation prétendument supérieure. La fuite des villages vers la ville s’est répandue dans le monde entier. C’est ainsi qu’est né le phénomène de la haine de soi, de la négation de sa propre identité sociale, culturelle et religieuse, de l’obsession de l’abandon du passé rural au profit d’un avenir urbain. Sur tous les continents, l’esprit collectif est profondément marqué par la perception du village comme inférieur, arriéré, archaïque et donc détestable par rapport à la ville. La « religion du progrès » et la fascination de la ville nous séduisent irrémédiablement par l’illusion de gravir un échelon social supérieur qui procure une « estime de soi » exagérée et une vie plus facile.

Ainsi, pas à pas, décennie après décennie, de peuples dotés d’une identité propre, nous nous sommes transformés en masses dépersonnalisées. Et une fois rassemblés dans de grandes agglomérations urbaines, nous sommes devenus une masse de manœuvres pour les manipulateurs de l’ombre, pour les maîtres de l’argent, pour ceux qui nous préparent actuellement à une incarcération permanente dans un camp de concentration mondial sous une tyrannie technocratique.

Ces réflexions me sont venues à l’esprit en lisant un livre du philosophe français Jean-Claude Michéa, « La double pensée. Retour sur la question libérale » (2008), qui est une puissante critique de toutes les dérives du libéralisme culturel, politique et économique, c’est-à-dire de l’enveloppe idéologique qui drape le système capitaliste. Le titre est inspiré du terme double-pensée utilisé par George Orwell dans son célèbre roman-antiutopie « 1984 ».

Je n’ai extrait de ce volume que quelques lignes d’une note que j’ai trouvée très appropriée au moment critique que nous vivons. Si nous comprenions toute la dimension apocalyptique des temps actuels et des terribles épreuves qui nous attendent, nous courrions aussi vite que nos jambes nous porteraient, sans regarder en arrière, de ces prisons à ciel ouvert que sont les villes vers les villages d’où nous-mêmes ou nos parents sommes partis. Voici donc la note de ce livre :

« Ce siècle sera celui de la sur-urbanisation totale (au sens de marchandisation totale, informatisation totale, déracinement total…). Les foires et les villes ont été relativement viables, humainement, historiquement, intellectuellement, tant qu’elles dépendaient des villages, de la nature qui les entourait. Mais l’urbanisation à outrance tend à concentrer les populations en les détachant de leurs bases antérieures (alimentaires, biologiques, sociales, historiques, culturelles, spirituelles…) On pourrait aussi parler d’un accaparement généralisé des terres (…). Vous savez que je n’ai pas de recettes magiques, encore moins de programmes précis, mais vous conviendrez qu’il est impératif de chercher et d’explorer quelques pistes (…)

Pour commencer, défendons tout ce qui n’a pas encore été détruit, défiguré, empoisonné, éradiqué… Pensons à une certaine reconquête (qui sera aussi une fantastique aventure) à partir du local, de sa géographie, de son histoire. L’avenir appartient aux villages, et non aux méga-polices, ni aux villages-dortoirs (c’est-à-dire les banlieues où les citadins se retirent à la fin de la journée de travail — ma remarque…). La reconquête, dont le corollaire inévitable passe par la désurbanisation, moins pour récupérer les villes (dont beaucoup ont été belles et émancipatrices) et les villages, que pour réoccuper les espaces et les écosystèmes en ruine »(p.188).

Cette citation est tirée par notre auteur de l’article d’un autre auteur nommé Jean-Pierre Courty.

En conclusion, je vous invite à réfléchir à ce qui suit. La situation au niveau mondial est désastreuse. Tout est sur le point de s’effondrer dans un chaos généralisé et bien orchestré. Le monde se dirige vers un effondrement économique total, qui engendrera chômage de masse, famine et violence de la part des forces de terreur étatique et des gangs criminels qui apparaissent toujours dans les périodes troublées. Une crise alimentaire majeure est inévitable. Et cela signifie la famine.

Et seuls les naïfs vivent encore avec hier, avec l’illusion que la crise actuelle est temporaire et réversible et que tout va plus ou moins revenir à la normale. Mais toute interprétation profonde, qu’elle soit théologique (c’est le plus important en toutes circonstances !), géopolitique, politique ou économique, démolit sans appel ces illusions.

De grandes souffrances et persécutions, des cataclysmes et des catastrophes de toutes sortes nous attendent. C’est pourquoi ceux qui veulent résister, se battre pour eux-mêmes et leurs familles, survivre… n’ont d’autre choix que d’assumer la condition de survivaliste. Non pas par jeu stupide ou pour se ridiculiser, mais parce qu’ils n’acceptent pas la condition de bétail conduit à l’abattoir par la mafia mondialiste et ses complices des gouvernements (anti) nationaux.

La devise de toute personne saine d’esprit devrait donc être « Retournons dans les villages ! ».

Les vrais rebelles, les vrais non-conformistes, les vrais caractères ne seront pas piétinés et conduits à des vaccinations forcées et à des puces électroniques imposées.

C’est maintenant que l’on choisit le bon grain plutôt que l’ivraie.




L’industrie des droits de l’homme

[Source : schweizer-standpunkt.ch via arretsurinfo.ch]

Alfred de Zayas : Réflexions d’un spécialiste de longue date de la défense des droits de l’homme

Par Hans Köchler, président, International Progress Organization, www.i-p-o.org, Autriche

(Vienne, juillet 2023) « The Human Rights Industry » (L’industrie des droits de l’homme), rédigé par Alfred de Zayas, est l’évaluation et la critique les plus complètes et les plus honnêtes à ce jour des performances des institutions mises en place par la communauté internationale pour contrôler le respect des principes qui sous-tendent la justice et l’État de droit au niveau mondial.

Que ce soit dans son propre pays ou dans les relations entre États souverains, la politique doit être conforme à la dignité humaine et le pouvoir de l’État ne doit être utilisé que pour faire respecter le droit, et non pour le saper au nom du simple pouvoir.

C’est l’idée de base de tous les institutions et instruments internationaux créés dans le cadre de la Charte des Nations Unies et, en particulier, en réponse à la Déclaration universelle des droits de l’homme adoptée par l’Assemblée générale de l’organisation en 1948.

L’auteur de cet ouvrage soigneusement documenté nous a fait prendre conscience de l’importance de comprendre les procédures et les mécanismes souvent cachés par lesquels ces institutions exercent leur mandat. Il le fait avec une extrême authenticité, ayant occupé pendant plusieurs décennies diverses fonctions au sein des Nations Unies, dont celle de premier Expert indépendant des Nations Unies sur la promotion d’un ordre international démocratique et équitable de 2012 à 2018.

Au vu de son expérience de première main et de son engagement dans l’« industrie » des droits de l’homme, le point central de son étude peut être décrit avec justesse par le dicton de Juvénal « Quis custodiet ipsos custodes? » (Qui va garder les gardiens ?) Le résultat de l’enquête de l’auteur est un diagnostic sans illusion, qui aidera néanmoins le lecteur à saisir certaines des subtilités de la diplomatie internationale, à l’intersection du droit et du pouvoir.

Alfred de Zayas. L’industrie des droits de l’homme :
Reflections of a Veteran Human Rights Defender.
Atlanta, GA (USA): Clarity Press, 2023 xx + 329 p.,
ISBN 978-1-949762-52-5

L’ouvrage examine l’« industrie des droits de l’homme » dans quelques-uns des projets et réalisations les plus importants, tant sous l’égide de l’ONU qu’en dehors du cadre institutionnel de cette organisation. L’auteur fournit une évaluation et une analyse détaillées du travail et des méthodes du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (jusqu’en 2006 : Commission des droits de l’homme) et du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH). Il se penche également sur la Cour pénale internationale (CPI) et brièvement sur l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC), en soulignant les cas d’ingérence politique dans le travail de ces deux institutions importantes pour l’application du droit international humanitaire.

Il aborde de manière critique le comportement de vote des États en matière de droits de l’homme ainsi que le rôle de la société civile — organisations non gouvernementales et médias — dans la promotion des droits de l’homme. Le travail se conclut par une multitude de recommandations concrètes visant à améliorer la surveillance et l’application des droits de l’homme, mais aussi à mieux définir la doctrine des droits de l’homme dans le contexte des relations de pouvoir mondiales.

En accord avec la philosophie de la Charte des Nations Unies, l’auteur souligne la priorité de la paix comme condition sine qua non de la réalisation des droits de l’homme. Il critique vivement la dilution de la « Déclaration sur le droit à la paix » du Conseil des droits de l’homme de 2016 et attire l’attention sur le fait que le document — bien que les États aient édulcoré le texte au point de rendre la déclaration presque insignifiante — a été rejeté par tous les États occidentaux membres du Conseil. Selon l’auteur, cela soulève la question de la crédibilité de ceux qui se considèrent comme les principaux défenseurs des droits de l’homme dans le système mondial actuel.

En ce qui concerne la paix, il fait également référence aux déclarations unilatérales du Haut-Commissaire aux droits de l’homme sur le conflit persistant en Ukraine et déplore ce qu’il appelle « nommer et dénoncer en portant un jugement de valeur » (judgmental naming and shaming), sans aborder les véritables problèmes. Son évaluation franche, basée sur son expérience vécue en tant que responsable des droits de l’homme, le fait douter de l’intégrité de l’approche du Bureau des droits de l’homme.

Commentant une autre déclaration du Haut-Commissaire adjoint sur le conflit ukrainien, il qualifie la manière dont le Bureau traite cette question d’« exercice de confirmation des préjugés occidentaux ». L’auteur déplore la pratique des Nations Unies consistant à nommer des représentants politiques à des postes de haut niveau, souligne la « politisation croissante » du HCDH et critique la sélectivité des enquêtes lancées par l’Office.

Il constate en outre que de nombreux éléments prouvent que le HCDH « cède aux pressions politiques des gouvernements et des donateurs ». Selon lui, « il ne fait guère de doute que le HCDH s’est vu attribuer un rôle de soutien dans la guerre hybride que les États-Unis mènent pour maintenir un monde unipolaire » (p. 30). En ce qui concerne l’indépendance et l’intégrité du travail en matière de droits de l’homme, l’auteur souligne à maintes reprises que le Haut-Commissariat ne devrait pas accepter de « contributions volontaires ».

En évaluant l’état de l’industrie des droits de l’homme dans son ensemble, de Zayas diagnostique ce qu’il appelle une « prise de contrôle hostile » de nombreuses organisations de droits de l’homme par des gouvernements, des services secrets et des intérêts (cachés) d’entreprises. Il attire notamment l’attention sur l’infiltration de la Cour pénale internationale, mais aussi des médias grand public et sociaux par les services secrets.

Tout cela a contribué à l’instrumentalisation politique et à l’utilisation abusive des droits de l’homme comme arme, ce qui, dans la constellation mondiale actuelle, implique de plus en plus une approche binaire du « bien » versus le « mal » et sape les efforts de dialogue et de règlement pacifique des différends.

Les statistiques du chapitre 8 du livre, « The Voting Record of States », sont particulièrement révélatrices du rôle de la politique de force dans le discours mondial actuel sur les droits de l’homme et l’État de droit.

Qu’il s’agisse du « droit des peuples à la paix » (Assemblée générale des Nations Unies, 1984), de la « Déclaration sur le droit à la paix » déjà mentionnée (par le Conseil des droits de l’homme), d’une résolution sur la « Promotion de la paix en tant que condition essentielle du plein exercice par tous de tous les droits de l’homme » (2022) ou des résolutions répétées du Conseil des droits de l’homme sur « l’impact négatif des mesures coercitives unilatérales sur la jouissance des droits de l’homme » : les États, notamment occidentaux, qui se considèrent comme des pionniers en matière de respect des droits de l’homme ont soit voté contre, soit se sont abstenus. Dans l’analyse de l’auteur, ces États sont toutefois plutôt à classer dans la catégorie des « saboteurs des valeurs humaines » ou des « vandales des droits de l’homme » (p. 252).

La description sans fioritures de De Zayas du statu quo des droits de l’homme dans le système international actuel sert un objectif constructif. Il rappelle au lecteur qu’il faut d’abord identifier les problèmes pour pouvoir ensuite les corriger. Il décrit sa position comme celle d’un « humanisme survivaliste » (survivalist humanism) et évoque une « lacune significative » dans l’application des pactes et des résolutions sur les droits de l’homme, due à la politique internationale de puissance et à la pratique de la double morale qui en résulte.

S’appuyant sur des décennies d’étude de l’appareil des droits de l’homme des Nations Unies, il présente une série de recommandations précises visant à rendre plus crédible et plus efficace l’engagement de la communauté internationale en faveur des droits de l’homme et de l’État de droit. Parmi les priorités de la politique globale, il cite notamment la « paix mondiale », le passage de la « sécurité militaire » à la « sécurité humaine », l’abandon des mesures coercitives unilatérales (qu’il considère comme faisant partie d’une guerre hybride), la pleine reconnaissance du droit à l’autodétermination et une approche holistique des droits de l’homme.

Sur la base de ces critères, l’auteur élabore un « plan d’action » qui prévoit notamment la ratification par tous les États des principaux traités des Nations Unies relatifs aux droits de l’homme, l’adoption d’un accord international sur la responsabilité sociale des entreprises et le renforcement des tribunaux régionaux et internationaux chargés des droits de l’homme.

En ce qui concerne le fonctionnement du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, il présente l’idée d’un « rapportage préventif », la mise en place de procédures visant à prévenir le harcèlement et les attaques ad hominem contre les représentants et les militants des droits de l’homme, ainsi que l’adoption d’une « Charte des droits des lanceurs d’alerte ».

Il propose en outre que le Conseil inscrive le droit à l’autodétermination comme point permanent à son ordre du jour et qu’il se penche spécifiquement sur les dangers de la propagande de guerre. En ce qui concerne le poste de Haut-Commissaire aux droits de l’homme, l’auteur estime que des mesures doivent être prises pour éviter complètement le financement dit « volontaire » et pour mettre fin à la pratique consistant à nommer d’anciens hommes politiques au poste de Haut-Commissaire.

Dans l’évaluation globale de l’auteur, l’Assemblée générale des Nations Unies a une responsabilité particulière en ce qui concerne la crédibilité de la politique mondiale des droits de l’homme. Les États membres devraient rejeter les tentatives persistantes de diviser le monde en « bons » et « mauvais » pays.

En outre, l’Assemblée devrait faire un meilleur usage de l’article 96 de la Charte des Nations Unies, qui l’autorise à demander des avis consultatifs à la Cour internationale de justice, et elle devrait accorder un statut spécial aux représentants des peuples autochtones lors des sessions de l’Assemblée. Elle devrait également envisager de nommer un conseiller spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour le droit à l’autodétermination. Selon l’auteur, le principe d’intégrité territoriale n’est pas absolu et doit être interprété dans le contexte du droit à l’autodétermination.

En ce qui concerne la participation de la société civile internationale au travail des Nations Unies en matière de droits de l’homme, il convient de s’assurer que les pays puissants n’exercent pas de pressions déraisonnables pour accorder un statut consultatif aux organisations non gouvernementales ou pour les bloquer. En outre, la science et les médias ne doivent pas céder à la « cancel culture » ou imposer de manière dogmatique le « politiquement correct ». Ils devraient s’engager à laisser une place à la pluralité des points de vue. En ce qui concerne Internet et les médias sociaux, l’auteur propose entre autres de punir la censure du secteur privé et la manipulation de l’opinion publique par les algorithmes des moteurs de recherche.

La richesse des analyses et des critiques, combinée à des propositions concrètes de réforme, fait des idées rassemblées dans ce volume un véritable antidote à l’autojustification des « gestionnaires de récits » (narrative managers, selon l’expression de l’auteur), qui ont trop souvent détourné et manipulé l’agenda mondial des droits de l’homme pour servir des intérêts politiques étroits. L’ouvrage est en effet un plaidoyer convaincant pour que la communauté internationale revienne à ce que de Zayas appelle la « spiritualité » de la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Hans Köchler est né le 18 octobre 1948 dans la ville de Schwaz, au Tyrol, en Autriche. Il a obtenu un doctorat en philosophie (Dr. phil.) avec les plus hautes distinctions (sub auspiciis praesidentis rei publicae) à l’Université d’Innsbruck (Autriche). De 1982 à 2014, il a été professeur universitaire de philosophie (avec une spécialisation en philosophie politique et en anthropologie philosophique). Il est titulaire de doctorats honorifiques de l’Université d’Etat de Mindanao (Philippines) et de l’Université pédagogique d’Etat d’Arménie, ainsi que d’une chaire honoraire de philosophie de l’Université de Pamukkale (Turquie). De 1990 à 2008, il a été président du département de philosophie de l’université d’Innsbruck. Dans son université, le professeur Köchler a également été président de l’Arbeitsgemeinschaft für Wissenschaft und Politik (groupe de travail pour les sciences et la politique) de 1971 à 2014. De 1974 à 1988, il a été membre du conseil d’administration du Österreichisches College (Collège autrichien, Vienne) et membre du comité de programme du Forum européen d’Alpbach. En 1998, il a été professeur invité à l’Université de Malaya à Kuala Lumpur (Malaisie). En 2004, il a été nommé professeur invité à l’Université polytechnique des Philippines, à Manille. Après avoir été élu membre à vie en 2006, il a été élu coprésident de l’Académie internationale de philosophie en 2010. De 2019 à 2021, il a été membre du conseil universitaire de l’Université des sciences numériques (Berlin). En 2018, il a rejoint la faculté de l’Académie de la diplomatie culturelle à Berlin, en Allemagne.

(Traduction de l’anglais par «Point de vue Suisse»)




Le Pr Perronne admet s’être fait manipuler pendant 15 ans sur les vaccins

[Source : PG]

Le Pr Perronne (NDLR, qui dirigea en France les campagnes de vaccination [avant Covid], la commission infectio du Haut Conseil Santé publique et le service infectio du CHU de Garches [APHP]… admet s’être fait manipuler pendant 15 ans sur les vaccins… La vidéo a déjà sauté partout… C’est sur un compte non officiel d’odyssée qu’elle est encore disponible.

[À partir de 1:10]






La promotion de pseudo-maladies par l’industrie pharmaceutique et la surmédicalisation

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

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Connaissez-vous l’expression « disease mongering », le « façonnage de maladie » ?

Selon une édition spéciale de la revue médicale PLOS sur ce sujet en 2018, il s’agit de pratiques consistant à « “vendre des maladies” afin de promouvoir la vente de médicaments ».

Sur les comprimés :
Conquérez la timidité, améliorez votre mémoire, bonheur, meilleur sexe, pas de sautes d’humeur.

Dans l’article La stratégie de Knock, publié en 2017, le Collectif Formindep dénonce ces techniques lucratives qu’il décrit comme « un ensemble de pratiques destinées à accroître le marché d’un produit de santé par la création ou la modification d’entités nosographiques », ces dernières étant mieux connues sous le nom de « maladies ».

Créé en 2004, Formindep est une association française regroupant « des professionnels de santé, des patients et des citoyens soucieux de favoriser une formation professionnelle et une information, auprès du public, indépendantes, c’est-à-dire dégagées de toute influence d’organismes pouvant avoir d’autres finalités que l’intérêt seul des patients ».

Le Collectif ajoute dans l’article de 2017 :

« Ces pratiques visent à étendre le domaine de la maladie. Elles orientent les plans de recherche, soutiennent des actions de communication grand public, incitent les autorités sanitaires à lancer des campagnes de dépistage systématisé et biaisent la formation médicale continue et les recommandations de bonnes pratiques. » (Soulignements ajoutés)

Déjà-vu ?

Formindep écrit que ces pratiques prenaient une telle ampleur il y a une dizaine d’années que le Parlement européen a commandé un rapport à ce sujet en 2012 : Disease Mongering (Pseudo-Disease Promotion) (Le façonnage de maladie (la promotion de pseudo-maladies).

Voici le résumé du rapport :

« Le façonnage de maladies est la promotion des pseudo-maladies par l’industrie pharmaceutique dans le but d’en tirer des avantages économiques. Les fabricants d’équipement médical, les compagnies d’assurance, les médecins ou les groupes de patients peuvent également l’utiliser pour réaliser des gains monétaires ou exercer une influence.Cette pratique a augmenté parallèlement à la “médicalisation” de la société et à la croissance du complexe pharmaceutique. En raison des investissements massifs dans le marketing et le lobbying, de l’utilisation abondante d’Internet et des médias, et de l’émergence de nouveaux marchés, la question devient préoccupante, et les décideurs devraient être conscients de ses dangers et de ses conséquences. » (Soulignements ajoutés)

Par croissance du complexe pharmaceutique, on précise plus loin que cela comprend « son pouvoir et son influence ». Un exemple cité de pseudo-maladie est le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Les auteurs du rapport notent plus loin que ce phénomène date des années 1990 :

« Un nombre croissant de publications médicales et scientifiques (en grande partie datant du début des années 90, mais plus particulièrement des dix dernières années) prouve l’émergence de ce phénomène. » (Soulignements ajoutés)

Ils concluent :

« Le façonnage de maladie (promotion des pseudo-maladies) est une réalitécompte tenu de la littérature scientifique disponible, en particulier dans les économies développées, les États-Unis, l’Australie et l’UE. » (Soulignements ajoutés)

Chez nous, on le sait, l’industrie est vénérée et les pilules ont la cote.

En avril 2021, TVA rapportait que les Québécois sont « les champions des médicaments » au pays :

En 2019, un média de l’UQAM, Pourquoi. media affirmait que le Québec était surmédicamenté en ce qui a trait au TDAH :

« Le Québec est un champion incontesté en ce qui a trait à la proportion d’adolescents qui consomment des médicaments reliés au trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Dans les faits, le taux de prévalence de consommation au Québec est trois fois plus élevé que dans le reste du Canada.Le taux de prévalence du TDAH chez les adolescents québécois, lui, est de deux à trois fois plus élevé que celui observé dans la population mondiale. » (Soulignements ajoutés)

On explique ce phénomène, entre autres, par l’accès plus facile aux médicaments en raison des assurances et à « une panoplie de professionnels de la santé […] en droit de porter un diagnostic selon leur propre grille d’analyse ».

Parmi les types de façonnages de maladie, le Collectif Formindep cite ceux-ci :

  • « la transformation de facteurs de risque (hypercholestérolémie, hypertension artérielle, glycémie) en maladie définie par le franchissement de seuils de marqueurs (exemples : cholestérolémie, tension artérielle), indépendamment des caractéristiques cliniques du sujet. L’abaissement continu des valeurs considérées normales fait basculer mécaniquement un nombre croissant de personnes de l’état de santé à celui de malade et de client potentiel, et l’intensification des traitements accroît le marché par patient traité ;
  • l’élargissement de la définition des maladies par l’élargissement des critères diagnostiques, la création de pré-maladies (exemples : trouble cognitif léger, pré-diabète, ostéopénie) ;
  • la création de nouvelles entités nosographiques par le rassemblement de symptômes en syndromes et maladies (exemples : syndrome métabolique, fatigue chronique, fibromyalgie, maladie de Lyme chronique) ;
  • la pathologisation de conditions normales (exemple : ménopause, ostéoporose liée à l’âge, timidité, fluctuations de la libido). » (Soulignements ajoutés)

Les auteurs ajoutent que les campagnes de sensibilisation des maladies sont des campagnes de marketing déguisées, permettant « aux firmes pharmaceutiques d’atteindre directement le consommateur, contournant ainsi l’interdiction qui leur est faite de communiquer sur leurs produits ». C’est ainsi que, selon eux, le mois d’octobre est devenu le mois rose de la sensibilisation au cancer du sein et que novembre est devenu Movember, un mois bleu dédié à la santé masculine.

« Le message délivré suit un schéma invariable : il existe une maladie sournoise, avançant sans symptômes ou sous des symptômes anodins et peu spécifiques, beaucoup plus répandue et grave qu’on ne le croit, qu’il faut dépister et traiter tôt. Nombre de ces campagnes s’accompagnent de pseudo-tests (questionnaires) de dépistage qui se caractérisent par leur faible valeur prédictive positive, multipliant les faux positifs et alarmant à tort la population [4]

Si les bénéfices d’un dépistage et d’une prise en charge précoce sont indéniables dans certains cas, de nombreux travaux ont remis en question l’utilité de ces campagnes et ont permis de mettre en évidence les problèmes de santé publique liés au surdiagnostic, au surtraitement et à la iatrogénèse qu’elles entraînent [5].

Toutes ces pratiques concourent à multiplier le nombre de personnes étiquetées “malades”, la proportion des personnes à traiter parmi elles, et pour chacune à accroître l’intensité du traitement. Il s’agit d’un disease mongering à visée purement quantitative, jouant sur la définition des maladies pour accroître les volumes de ventes. » (Soulignements ajoutés)

On ne peut faire autrement que penser aux « malades asymptomatiques » à la lecture de ces pratiques de façonnage de maladies.

Ce phénomène, le Dr Sauveur Boukris l’avait déjà exploré dans son livre paru en 2013, La Fabrique de malades : Ces maladies qu’on nous invente.

Le résumé de ce livre regorge de parallèles avec la crise covid :

« Cholestérol, hypertension, cancer, dépression, ostéoporose, ménopause, etc. : et si l’on en faisait un peu trop ?L’excès de médecine nuirait-il à la santé ?

“Tout bien portant est un malade qui s’ignore”, disait le docteur Knock. Aujourd’hui, “tout bien portant est quelqu’un qui n’a pas eu de dépistage”. Des centaines de milliers de Français consultent à l’hôpital ou en cabinet pour pratiquer un bilan médical, radiologique ou biologique. Inquiets et prudents, ils pensent qu’il vaut mieux prévenir que guérir et comptent ainsi éviter une maladie silencieuse.

Dans ce livre, le docteur Boukris évoque la “médecine marketing” et montre comment on manipule médecins et malades en jouant sur les peurs, comment on médicalise nos vies pour pratiquer davantage d’examens biologiques, de radiographies et faire consommer toujours plus de médicaments.

Transformer des sujets bien portants en malades potentiels, tel est l’objectif de certains secteurs médicaux, privés ou publics, qui transmettent un message trompeur, lequel engendre de l’anxiété et génère un gâchis financier.

Surmédicalisation, surdiagnostic, surtraitement, ce document nous ouvre les yeux sur des pratiques du monde médico-industriel qui peuvent être nuisibles pour la santé et bouleverse de nombreuses idées reçues. » (Soulignements ajoutés)

Malgré toute la littérature pré-covid sur le façonnage de maladies, les journalistes n’ont pas abordé ce sujet pourtant révélateur des mécanismes trompeurs employés par une industrie qui commande la foi et envers laquelle trop de critiques sont qualifiées d’« antiscience » et de complotisme.

Douter des motivations profondes d’une industrie à but hautement lucratif n’a rien de complotiste. Au contraire, ces doutes sont fondés sur des phénomènes très bien documentés et répétitifs de manipulation, de fraude, de mensonges et de corruption, au point de satisfaire les critères du racket dans la loi américaine Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act (RICO) de 1970, comme l’explique Pete Gøtzsche dans Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, un livre publié aux Presses de l’Université Laval :

« Le racket consiste à commettre un certain type d’offense à plus d’une reprise. La liste des offenses qui constituent du racket inclut l’extorsion, la fraude, les infractions fédérales liées à la drogue, la corruption, les détournements de fonds, l’obstruction de la justice, l’obstruction de l’application de la loi, la subornation de témoins et la corruption politique. Les grosses pharmaceutiques s’adonnent si souvent à tout cela constamment qu’il ne peut y avoir aucun doute que son modèle d’affaires satisfait aux critères du crime organisé. » (Soulignements ajoutés)

Dans sa recension du livre, publiée sur le site de L’association canadienne de justice pénale, partenaire de la Société de criminologie du Québec, André Normandeau, criminologue et professeur à l’Université de Montréal écrit :

« Un rare livre criminologique écrit à la fois de façon populaire tout en étant bien assis sur la recherche de la vérité. Un jour, nous aurons besoin d’un autre Peter Gotzsche pour faire le procès scientifique de la pandémie du coronavirus, dit le Covic-19 (sic), en pensant aux lacunes “peut-être de nature criminelle” du monde médical et du monde politique qui n’ont pas prévu de façon satisfaisante la crise sanitaire que nous avons vécu en 2020 et qui n’ont pas préparé la réponse médicale à cette crise de façon appropriée, me semble-t-il. »

(Soulignements ajoutés)

Alors que bon nombre de citoyens se retrouvent devant les tribunaux pour avoir désobéi aux règles arbitraires et antiscientifiques mises en place en 2020, l’industrie s’en tire avec des profits records et quelques questions embarrassantes sur leurs injections de la part de députés qui font leur travail, comme on l’a vu en Australie le 3 août dernier (audiences intégrales).

Les représentants de Pfizer n’ont jamais répondu à la question « Pfizer a-t-il testé l’efficacité de son vaccin covid pour arrêter ou baisser la transmission du virus ? » :

En 2023, le slogan « sûr et efficace » a perdu énormément de crédibilité et les représentants des pharmaceutiques ne font pas bonne figure lorsqu’ils tentent de le justifier… en répétant que leurs injections sont sûres et efficaces, malgré les preuves du contraire établies par de nombreux chercheurs indépendants qualifiés, comme le World Council for HealthDoctors for Covid Ethics et un groupe de chercheurs danois, ayant découvert des différences considérables dans l’incidence d’effets secondaires entre les lots d’injections, dont un provoquant des effets secondaires 1 fois sur 20.

Cette étude est bien vulgarisée par le Dr John Campbell dans cette vidéo :

Comme l’explique Lynn Payer dans un livre avant-gardiste sur le sujet publié en 1992, Disease-Mongers : How Doctors, Drug Companies, and Insurers Are Making You Feel Sick (Les façonneurs de maladies : Comment les médecins, les sociétés pharmaceutiques et les assureurs vous font sentir malade) :

“Essayer de convaincre les gens qu’ils sont malades ou ceux qui sont légèrement malades qu’ils sont très malades est très lucratif.”

Essayer de convaincre les gens qu’ils risquent d’être malades l’est peut-être encore plus.




Le passage du libéralisme à la technocratie mondiale

Entretien d’Edward Slavsquat avec le journaliste moldave Iurie Rosca

[Source : edwardslavsquat.substack.com]

[Illustration :
Le président exécutif du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, s’exprime lors de la cérémonie d’ouverture de la 14e réunion annuelle des nouveaux champions, également connue sous le nom de Davos d’été, dans la municipalité de Tianjin, dans le nord de la Chine, le 27 juin 2023.
(crédit photo : Xinhua)]

J’ai eu le grand honneur d’interviewer le journaliste moldave Iurie Rosca, dont le travail s’est concentré sur la dénonciation de l’infiltration occidentale dans l’ex-monde soviétique, tout en soulignant les dangers qui nous attendent tous à mesure que l’hégémonie américaine est remplacée par une technocratie mondiale basée sur le « modèle chinois ».

Outre son travail dans le journalisme et l’édition, M. Rosca a dirigé le parti populaire chrétien-démocrate de Moldavie et a été député au parlement de son pays pendant quatre mandats entre 1994 et 2005. Il a été nommé à deux reprises vice-président du Parlement moldave et a occupé le poste de vice-premier ministre chargé des agences de sécurité.

Chrétien orthodoxe dévot, Rosca est un anticommuniste convaincu et, après la chute de l’Union soviétique, il est devenu un antilibéral opposé à l’Occident collectif.

Il a dirigé plusieurs sites web qui ont été fermés en mars 2022 sur ordre du service de sécurité et d’information de Moldavie. Il anime actuellement une chaîne Telegram très populaire où il publie des textes et des vidéos traduits en plusieurs langues. Rosca est également l’auteur de plusieurs livres en roumain, en russe et en français.

Son dernier essai, « Bientôt disponible : La phase apocalyptique de la technocratie et du transhumanisme », a été publié par Technocracy News en juin.

C’est parti !

Edward Slavsquat


Iurie, parlez-nous de votre parcours et de votre approche du journalisme. Vous êtes l’organisateur d’une conférence annuelle en Moldavie, est-ce exact ?

J’ai commencé mon combat pour la liberté il y a 35 ans contre l’empire soviétique et je continue à me battre contre l’empire américain jusqu’à aujourd’hui. Pour moi, il est inacceptable d’être affilié à un quelconque centre de pouvoir. Sinon, je ne peux pas être un journaliste libre et faire des analyses politiques honnêtes. Je publie des livres écrits par des amis étrangers (en particulier des dissidents français). Certains de ces livres sont les miens. Je travaille également comme traducteur.

Mes critiques incessantes des réseaux d’influence occidentaux et du mondialisme sataniste ont fait de moi une cible des États-Unis et de Bruxelles. Je critique ouvertement l’occupation économique, politique, culturelle, informationnelle et, plus largement, civilisationnelle imposée par la corporatocratie occidentale à l’espace ex-communiste.

Mais contrairement à la grande majorité des dissidents qui s’opposent à l’hégémonie occidentale, je ne suis pas affecté par la soviétolatrie, la nostalgie du régime communiste, et je ne pratique pas non plus la poutinomanie comme une forme d’adoration néo-païenne et d’aveuglement intellectuel. Ce type de syndrome est parfois promu par des personnes intelligentes qui cherchent à se faire sponsoriser par des groupes affiliés à Moscou. Mais de tels compromis moraux ne sont pas pour moi. Le clientélisme et l’esprit mercenaire peuvent se draper de nobles intentions, cela ne change rien à leur essence.

En 2017, avec un groupe d’amis occidentaux et russes, j’ai organisé une conférence internationale appelée le Forum de Chisinau. Cette plateforme est devenue une sorte de think tank, ce qui a donné lieu à une coopération étroite dans la presse alternative internationale.

Le Forum organise des conférences publiques dans différents pays et a publié plusieurs livres d’auteurs souverainistes. Malheureusement, au cours des trois dernières années, nous avons dû annuler notre conférence en raison de la fausse pandémie. Mais j’espère que nous pourrons reconduire le Forum de Chisinau en septembre de cette année. Le thème de l’événement de cette année sera : « L’AGENDA 21 de l’ONU et la GRANDE RÉINITIALISATION : La chute du libéralisme vers la technocratie et le transhumanisme ».

En mai, vous avez publié un essai vraiment fascinant intitulé « Comment sortir de l’impasse paradigmatique » [que tout le monde devrait lire — c’est une véritable révélation — Edward]. Vous commencez cet article par une déclaration très provocatrice : « Malgré des conflits majeurs entre différents pays, tous suivent docilement le même agenda mondialiste ». Pouvez-vous expliquer comment vous êtes parvenu à cette conclusion ? En quoi les puissances mondiales suivent-elles le « même agenda mondialiste » ?

En 2020, surtout après que la Russie a condamné le coup d’État de 2014 à Kiev et pris le contrôle de la Crimée, j’espérais que l’administration Poutine avait décidé de mettre fin au statut troublant de la Russie en tant que colonie occidentale, république bananière de la corporatocratie mondialiste, fournisseur de matières premières pour les pays riches de l’Occident.

Je m’attendais même à ce qu’il y ait une purge de ceux qui contrôlaient le bloc économique et financier du gouvernement, y compris la banque centrale, depuis plus de 30 ans, et que Moscou offre une alternative géopolitique claire et distincte au monde.

Mais mes espoirs sont restés vains. La « cinquième colonne » (le vaste réseau d’agents soutenus par l’Occident) est restée intacte dans l’administration de l’État, et le réseau mafieux des oligarques a continué d’exploiter les vastes ressources naturelles de la Russie à leur profit personnel, au détriment du pays.

Le Donbass a été abandonné pendant huit ans, l’assassinat de la population pacifique de cette région s’est poursuivi quotidiennement, et les accords de Minsk ont confirmé ma crainte que la Russie ne dispose pas d’un leadership capable de se manifester comme une alternative réelle et efficace à l’Occident.

L’évolution des événements en Russie a montré que l’administration Poutine n’est en fait que l’exécutant docile des ordres de la « ploutocratie russe ». Sous le régime actuel, le pays pourrait être qualifié sans exagération de « xénocratie » (domination par des étrangers). Et, comme dans tous les pays capitalistes, le facteur économique a subjugué le facteur politique, les hommes d’État n’étant que des marionnettes du capital.

La fausse pandémie lancée en 2020 a confirmé sans conteste que la Russie, la Chine et les autres pays du BRICS sont soumis à un seul centre de commandement.

Ce gouvernement mondial de l’ombre impose des directives contraignantes à tous les États par l’intermédiaire de ses centres de commandement tels que l’OMS et GAVI. Génocide mondial, destruction de l’économie mondiale, assassinat par le vaccin, imposition de masques, distanciation sociale, enfermement et isolement, ces politiques n’ont rencontré de résistance que dans quelques pays africains, dont les dirigeants ont payé de leur vie. La Biélorussie et la Suède ont aussi partiellement résisté.

À l’été 2020, Klaus Schwab a publié son livre tristement célèbre « Covid-19 : The Great Reset », un manifeste sur la réorganisation de l’économie mondiale par la technocratie démoniaque, la liquidation de la propriété privée, la modification génétique et la surveillance totale de l’humanité. J’ai appelé cette nouvelle réalité au niveau international « la fin de la géopolitique classique ».

La fausse pandémie a révélé l’obéissance totale des faux centres de pouvoir qui prétendent être une alternative à l’« Occident collectif », il y a beaucoup plus d’indications que ces conflits économiques, diplomatiques et même militaires entre les États n’annulent pas, mais détournent seulement l’attention du public de l’existence d’un agenda international unique, valable pour tous les pays sans exception. Le nom de cet agenda est bien connu depuis le Sommet de la Terre de Rio en 1992, qui a établi une stratégie de développement unique pour tous les pays du monde. Mais même après trois décennies, beaucoup d’entre nous n’ont pas détecté cette nouvelle réalité géopolitique.

Depuis, les milieux mondialistes ont imposé à l’humanité entière le mythe du changement climatique, le piège de la biodiversité et le détournement technocratique du « développement durable ». Toutes ces initiatives ont été lancées contre nous avec la force d’un tsunami, surtout après 2020. J’ai parlé de cet agenda commun à l’ensemble de l’humanité dans mon dernier essai, publié par Technocracy News.

Ainsi, alors que les forces satanistes leur ont subordonné le monde entier, promouvant leur agenda à travers l’ONU, il faut être aveugle ou mercenaire pour ne pas voir que même après le début de la guerre en Ukraine, il n’y a pas eu de changement dans la politique interne de l’administration Poutine en ce qui concerne la mise en œuvre continue par Moscou de l’Agenda 2030 pour le développement durable — sans parler de la numérisation massive de la société, de la supervision et du contrôle total des citoyens, de l’élimination de l’argent liquide, et de la politique de mise en œuvre de la monnaie numérique, etc.

Une perception superficielle du conflit Ouest-Est nous place du côté des pays de l’Est. Mais il est important de rappeler que l’Occident est devenu global, parvenant à coloniser le monde entier. Les États subissent actuellement un processus dramatique de désouverainisation, et les véritables dirigeants du monde sont rassemblés au sein d’entités extraterritoriales (Big Money, Big Tech, Big Pharma, Big Media, etc.).

C’est pourquoi je soutiens que nous sommes dans une impasse géopolitique, dont seule une guerre pourrait nous aider à sortir. Personne ne souhaite une guerre, mais les mondialistes ont concentré un arsenal technologique massif qui pourrait facilement contrôler tous les pays et tous les êtres humains dans le monde. Seule une rupture majeure peut donner une chance de détruire le système actuel de domination mondiale. Tout le reste n’est que propagande pour les imbéciles et occasion pour les profiteurs de gagner plus d’argent.

Dans ce même essai, vous décrivez Pékin comme une puissance économique et politique émergente. Mais vous soulignez également que la Chine est « un projet pilote, un modèle de société qui serait imposé à tous les États ». Comment décririez-vous le « modèle chinois » ?

Pour comprendre le rôle assigné à la Chine par l’élite mondialiste, il faut revenir à la visite secrète d’Henry Kissinger à Pékin en juillet 1971, suivie de la visite officielle du président Richard Nixon en février 1972.

Ce n’est pas un hasard si Kissinger est connu pour être un fidèle allié de l’un des personnages les plus sinistres du XXe siècle, David Rockefeller. C’est lui qui a fondé en 1968 le célèbre Club de Rome, qui a produit en 1972 l’odieux rapport « Les limites de la croissance ». Ce document est la clé pour comprendre la stratégie malthusienne de dépopulation, mais aussi pour comprendre la désindustrialisation des pays occidentaux. Avec la pénétration des mondialistes en Chine, une opération spéciale d’une ampleur colossale visant à détruire la force économique de l’Occident, à travers la fameuse politique de dérégulation, a été lancée.

La fuite des capitaux et des industries des pays occidentaux vers la Chine et d’autres pays asiatiques, à la suite de transformations majeures des politiques économiques, a affaibli l’Occident et produit le « miracle chinois ». Rappelons que les élites mondialistes n’ont de loyauté envers aucun État, étant extraterritoriales par excellence et poursuivant une seule stratégie : la domination du monde. L’Empire britannique, puis l’Empire américain ont été utilisés dans ce même but, et maintenant l’ère du triomphe mondial de la Chine est arrivée.

Pour mieux comprendre comment la Chine est un instrument géopolitique entre les mains des élites mondialistes de la « marque Rockefeller », nous pouvons consulter un document clé : le rapport annuel 2010 de la Fondation Rockefeller, qui constitue un excellent exemple de programmation prédictive en prophétisant avec précision la pandémie de Covid-19 une décennie avant qu’elle n’arrive.

Ce rapport, intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », contient un chapitre très intéressant, Lock Step, qui a été cité des milliers de fois depuis le début de l’escroquerie Covid-19 (si vous ne l’avez pas encore fait, veuillez lire les pages 18 à 26). Ce rapport prévoit, dans les moindres détails, la plupart des événements dont nous avons été témoins dix ans plus tard, y compris le fait que le « virus » est apparu en Chine. Et le rapport a correctement prédit que la tyrannie médicale chinoise (masques, fermetures, quarantaines, etc.) serait saluée pour son « efficacité ».

Les louanges du syndicat criminel Rockefeller pour la gestion par la Chine de l’« urgence médicale » peuvent être décrites comme l’apothéose de Pékin. La Chine était et reste à ce jour l’outil le plus important pour la mise en place de la gouvernance mondiale et du nouvel ordre mondial.

Quelques autres exemples de « l’utilité et de l’efficacité » du régime chinois dit communiste, mais en fait technocratique : Vous souvenez-vous de l’Event 201 ? Comme par hasard, le Johns Hopkins Center for Health Security — université instrumentalisée par le clan Rockefeller depuis un siècle — en partenariat avec le Forum économique mondial (principale entité des mondialistes) et la Fondation Bill et Melinda Gates (acteur clé du massacre vaccinal au niveau international, et acteur principal de Big Pharma, dont GAVI) a organisé cet « exercice pandémique » de haut niveau le 18 octobre 2019, à New York. Il s’agissait de la dernière séance d’entraînement de l’élite démoniaque mondialiste avant l’opération spéciale Covid-19. Encore une fois, comme par hasard, les autorités sanitaires des États-Unis et de la Chine étaient présentes.

[Voir aussi :
Simulations de pandémies depuis 2010 : ce qu’elles nous apprennent de très déplaisant sur la Covid-19]

Et une fois de plus, par pur hasard (prédit au moins deux fois, en 2010 et en 2019), la sinistre escroquerie du Covid-19 a commencé en Chine. Et comme prévu, la Chine a été félicitée par des mondialistes tels que Soros, Gates et Schwab pour son efficacité dans la lutte contre la fausse pandémie.

Encore un exemple de la prétendue souveraineté de la Chine et de son miracle économique : Récemment, Pékin a reçu la visite d’un ami bien-aimé du peuple chinois, Bill Gates. Comme l’a rapporté Reuters :

Le président chinois Xi Jinping a qualifié Bill Gates de « vieil ami » et a déclaré qu’il espérait qu’ils pourraient coopérer d’une manière qui bénéficierait à la fois à la Chine et aux États-Unis, lors de la première rencontre de M. Xi avec un entrepreneur étranger depuis des ans.

[Voir aussi :
Xi salue son « vieil ami » Bill Gates alors que les tensions entre les États-Unis et la Chine ne cessent de s’aggraver]

Mais en réalité, l’événement le plus récent qui confirme le rôle principal de Pékin dans l’agenda mondialiste a été la réunion annuelle des nouveaux champions du WEF, qui s’est tenue du 27 au 29 juin à Tianjin, en Chine.

Compte tenu de tout ce qui précède, il est essentiel de comprendre le rôle que l’élite mondialiste-sataniste assigne à la Chine dans le nouvel ordre mondial. La Chine est le projet pilote de la tyrannie technocratique mondiale, qu’ils espèrent imposer à absolument tous les pays, sous un centre de pouvoir unique qui contrôle le monde — très probablement d’ici 2030, comme indiqué dans l’Agenda de l’ONU adopté en 2015 à Paris, qui impose finalement le mythe du changement climatique, l’idée draconienne du « développement durable », et met fin à toute souveraineté nationale restante et aux libertés personnelles.

Contrôle total de chaque personne, fin de toute liberté politique, économique ou idéologique, transhumanisme, totalitarisme numérique, vaccination obligatoire, modification génétique de tous les humains, manipulation du climat.

Il s’agira d’un régime dystopique à l’échelle internationale, dominé par des forces démoniaques qui prétendent mieux organiser nos vies.

La partie humoristique de ce plan inquiétant avec un bonheur modelé par la Chine pour toutes les nations — embrassé par les dirigeants et les propagandistes russes — est le projet dit « One Belt One Road » (une ceinture et une route).

Tout cela peut-il être une occasion de se réjouir pour un patriote, pour un intellectuel familiarisé avec l’idée de la domination économique comme condition préalable à la domination politique, culturelle et civilisationnelle ? Si la Chine, et non les États-Unis, est le vecteur de l’imposition d’un nouvel ordre mondial, cela signifie-t-il que nous devons renoncer à notre indépendance, à notre identité nationale, à notre culture et à nos traditions ? Devons-nous renoncer à l’espoir d’une souveraineté nationale, de la création de blocs régionaux axés sur des idées civilisationnelles communes plongeant leurs racines dans la même tradition religieuse ?

Alors que nous assistons à cette tragicomédie sans précédent dans l’histoire de l’humanité, je plains ceux qui prétendent que la Chine serait une alternative positive à l’hégémonie américaine et occidentale, qui incarne manifestement l’un des plus grands maux que le monde ait connus. Mais imaginez ce qui se prépare : un goulag numérique mondial sur le modèle chinois, avec une surveillance totale, des prisons remplies de dissidents, des notes sociales et un terrorisme d’État — je ne pense pas que ce soit une alternative souhaitable pour une personne normale qui ne s’est pas prostituée aux mondialistes de l’Occident, de la Russie ou de la Chine.

Il est d’ailleurs amusant de constater que le Kremlin prétend sérieusement être l’« allié » de Pékin. La Russie pourrait être décrite plus précisément comme le vassal de la Chine.

Il suffit d’observer les échanges commerciaux entre les deux pays. Nous pouvons déterminer que la Russie a échappé à son rôle de semi-colonie occidentale en faveur du même type d’arrangement avec la Chine, et en partie avec l’Inde et la Turquie.

Quelle est la situation actuelle en Moldavie en ce qui concerne la technocratie et la tyrannie médicale introduites par la « pandémie » ? Existe-t-il des efforts de la part du grand public ou de la base pour résister aux initiatives défendues par l’OMS, le FEM et d’autres organisations mondialistes ?

Actuellement, le régime politique de la Moldavie est entièrement contrôlé par les Américains, plus précisément par le réseau Soros. Des poupées gonflables sans personnalité, sans biographie, sans aucune capacité politique ou administrative, mais fidèles aux maîtres occidentaux. Les dirigeants promeuvent une politique agressive à l’égard de Moscou, se posant en fidèle allié du régime sioniste de Kiev.

Lorsque la fausse pandémie a été lancée en 2020, les soi-disant socialistes dirigés par le président Igor Dodon, favori de l’administration Poutine, étaient au pouvoir. Et tout comme Poutine et son régime ont fait preuve d’une subordination totale aux satanistes de l’OMS, le régime fantoche de Chisinau a imposé violemment la même terreur, y compris des injections forcées, sous un prétexte médical.

Après que le régime pro-russe a été remplacé par le régime pro-occidental dirigé par Maia Sandu, qui a été président en novembre 2020, la même politique de terreur médicale a été promue sous le prétexte de la fausse pandémie. Il n’y a pas eu de différence.

D’une manière générale, l’ensemble du spectre politique, de la gauche à la droite, a adhéré à l’agenda de l’OMS. La même homogénéité existe avec les politiques économiques imposées par le FMI, la Banque mondiale, l’OMC, l’UE, etc.

Les hommes politiques d’aujourd’hui sont les captifs irrémédiables du paradigme économique libéral, avec le mythe du libre-échange, du contrôle de l’inflation, des prêts, des politiques douanières, fiscales et budgétaires dictées de l’extérieur par le « Consensus de Washington ».

D’autre part, le processus politique lui-même n’existe pas. Il n’y a que de l’argent sale, provenant soit de centres de pouvoir extérieurs, soit de groupes mafieux locaux, qui se transforment en projets médiatiques et politiques réussis. Si vous avez de l’argent, vous êtes un « politicien » prospère, sinon, vous êtes un perdant.

Vous êtes assez critique à l’égard de Moscou. De quel « côté » vous situez-vous dans la guerre en Ukraine ? Qui porte la responsabilité ultime de ce conflit et que faut-il faire ?

Cette guerre n’est que le maillon d’une longue chaîne d’événements historiques. Les racines du conflit remontent à l’obsession bien connue de la See Power, de la thalassocratie ou des Anglo-Saxons, de détruire la Russie en tant que puissance terrestre, en tant que Tellurocratie — un État dont la puissance découle d’une domination militaire ou commerciale basée sur la terre (Carl Schmitt).

Ce conflit fait partie de ce que l’on appelle les constantes géopolitiques. Et peu importe qui est au pouvoir en Russie — Tsar Nicolas II, Staline ou Poutine.

Les ennemis de la Russie ont trois objectifs :

1. Spirituel — la destruction de l’orthodoxie.

2. Économique : prendre le contrôle des vastes ressources naturelles de la Russie.

3. Militaire — dominer l’Eurasie.

Comme l’a expliqué Sir Halford J. Mackinder :

« Celui qui contrôle l’Europe de l’Est contrôle le Heartland ; celui qui contrôle le Heartland dirige l’île mondiale ; celui qui dirige l’île mondiale dirige le monde ».

Bien sûr, la Russie est engagée dans une guerre défensive et l’Ukraine est utilisée par l’OTAN dans cette guerre par procuration. Mais la façon dont l’administration de Poutine se présente montre que la Russie a un leadership gérontocratique, inerte et dépassé, dominé par des oligarques et massivement influencé par des agents étrangers. En bâclant ce qui aurait pu être une guerre éclair réussie, la Russie est maintenant coincée dans une guerre prolongée qui entraîne des sacrifices humains colossaux de part et d’autre.

La succession au pouvoir à Moscou par le biais d’élections est impossible, un coup d’État n’est pas souhaitable, le réveil de Poutine et de Shoigu de leur léthargie collective est inimaginable, et l’apparition de sentiments patriotiques au sein de la classe dirigeante est très difficile à croire.

Et comme toujours dans l’histoire de la Russie, tout espoir repose sur Dieu. Je sais que le ciel est rempli de saints, de martyrs et de héros russes qui prient pour le salut de la Russie. Je sais que la Russie n’a pas entièrement perdu sa virilité et que cette guerre forme une nouvelle génération de héros, qui auront aussi leur mot à dire dans les grands changements politiques qui suivront en Russie.

Je continue à espérer la défaite des ennemis de la Russie et le triomphe de l’esprit chrétien et patriotique, malgré tous les événements déprimants.




Pierre-Antoine Plaquevent et la conspiration ploutocratique

Par Nicolas Bonnal

Voici un travail sensationnel, formidablement documenté et référencé. Il commence par un long rappel de la catastrophe vaccinale à travers non pas les âges, mais les mois et les années, catastrophe miraculeusement passée sous silence. On citera encore Guy Debord qui notait alors dans ses Commentaires :

« Jamais censure n’a été plus parfaite. Jamais l’opinion de ceux à qui l’on fait croire encore, dans quelques pays, qu’ils sont restés des citoyens libres, n’a été moins autorisée à se faire connaître, chaque fois qu’il s’agit d’un choix qui affectera leur vie réelle. Jamais il n’a été permis de leur mentir avec une si parfaite absence de conséquence. Le spectateur est seulement censé ignorer tout, ne mériter rien. »

L’excellence du travail de Pierre-Antoine Plaquevent permettra à tous les béotiens en la matière de maîtriser la plupart des paramètres de cette globalisation devenue folle et dangereuse. Le livre insiste aussi sur le péril chinois qui s’est manifesté lors de la crise du Covid et qui a démontré la collusion entre l’empire totalitaire chinois et l’OMS de l’effrayant Bill Gates. La progression de la tyrannie numérique et de la gouvernance totale — par-delà l’inconstante et bien vague gesticulation des Brics — n’échappe qu’aux aveugles qui en sont restés aux enfantillages des camps des bons et des méchants, à un manichéisme de théâtre. La réalité que montre la situation actuelle est totalement orwellienne : il y a une élite technocratique et politique qui se renforce partout et un troupeau politique qui se renforce partout dans son acceptation aberrante de la situation (servitude volontaire, que de crimes ne commettra-t-on pas en ton nom ?).

La gouvernance est rendue possible par les progrès de la science et de la technologie. Plaquevent invente un néologisme dans ce domaine : la technosophie.

« La volonté de transcender les capacités humaines par la technoscience et l’ingénierie génétique est un fil conducteur de sa pensée, une véritable gnose de la technique. J’emploie pour ma part le terme de technosophie pour designer cette croyance quasiment religieuse dans les capacités de transformation du genre humain et même de l’ensemble du vivant par la science et la technique. »

Pierre-Antoine rappelle les hauts faits de la famille Huxley dotée d’un pouvoir formidable après la Guerre grâce à l’UNESCO :

« En 1939, Julian Huxley était déjà à l’origine du Manifeste des généticiens, un écrit collectif qui s’intéressait aux moyens nécessaires pour l’amélioration sociale et biologique de l’humanité dans son ensemble. Parmi ceux-ci, était déjà envisagée l’idée d’une fédération. »

Le mondialisme est un humanisme et un transhumanisme !

Mais parlons d’un point de vue de lecteur : en tant que recenseur du présent permanent j’ai particulièrement apprécié l’aperçu historique qui dans ce livre montre l’ancienneté de cette conspiration essentiellement anglo-américaine. Les allusions à Galton notamment sont excellentes. J’ai parlé plusieurs fois de termites et de la hiérarchie de castes et de la resucée sacerdotale (cf. Abellio). Sur Galton Plaquevent écrit :

« Mais Galton lui donne un second sens : la race désigne une classe sociale. Les différences entre les classes sociales, visibles par la réussite sociale, s’expliquent par des facteurs héréditaires. C’est la démarche initiale à partir de laquelle il construira l’eugénisme. Il divise la “race anglaise” en trois classes sociales : l’aristocratie, à laquelle il s’identifie, qui correspond à l’élite et qu’il appelle les “désirables” (the gifted class), la bourgeoisie encore acceptable, mais sans talent particulier et une classe importante de pauvres qu’il appelle les “indésirables”. Selon Galton et ses contemporains, la pauvreté correspond à un état biologique : le pauvre est pauvre, car il est déterminé biologiquement ainsi. »

Le pauvre devient un indigne. On ne le sait que trop maintenant. Au fur et à mesure que les riches ne sont plus accablés d’impôts, les pauvres le sont. Et la dette de la nation savamment augmentée par chaque gouvernement est là pour les emprisonner puis les réduire.

Ces lignes sur Galton me semblent essentielles pour expliquer la situation française actuelle. Par exemple : on n’a plus de droite ni de gauche (au sens d’une vision culturelle ou idéologique du monde : il n’y a plus non plus de religion catholique). Par contre on a un président (vive cette constitution de la cinquième république, tant vantée par les imbéciles, et qui devait tôt ou tard nous mener à cette catastrophe dictatoriale) pour les riches ou, comme disait le peu regretté Hollande, les très riches. La mise en place de la ploutocratie progressiste avait été sentie par des esprits comme Drumont, Bernanos ou Céline (voyez mes textes sur cette question) ; et là, explique Plaquevent, elle a été mise en place dans le cadre d’une gouvernance technique, bancaire et sanitaire du monde. Dès les années 1910 Jack London en parle dans le Talon de fer en dénonçant une élite de businessmen qui désire bien faire (la philanthropie milliardaire) ; et Chesterton dans son roman à clés Un nommé Jeudi parle de cette conspiration milliardaire contre laquelle nations et policiers ne peuvent déjà plus rien. Les grands initiés et autres prédateurs (le Horla de Maupassant) ont gagné la partie.

Sur ce point précis de la conspiration milliardaire progressiste Plaquevent explique que :

« C’est en fait tout un milieu eugéniste de “gauche” libéral au sens anglo-saxon de ce terme) qui sera à l’origine de la fondation des grands organismes culturels, politiques et sanitaires de la gouvernance mondiale. Avec l’appui de grands argentiers mondialistes comme la famille Rockefeller, les bases d’une planification démographique globaliste et eugéniste furent élaborées et mises en place à cette époque, dans l’immédiat après-guerre. »

Les objectifs restent certains de ceux du nazisme, mais il va falloir s’y prendre of course autrement :

« Après la défaite militaro-politique de l’hérésie politique du socialisme internationaliste que fut le national-socialisme, l’eugénisme prenait désormais la forme unique et décomplexée d’un eugénisme humanitaire, projeté à l’échelle planétaire et cosmopolitique. »

Relire Smedley Butler sur cette proximité idéologique et comportementale entre nazisme et gouvernance dictatoriale-démocrate aux USA.

La dangerosité de ce monde moderne dominée par de progressistes forces d’argent n’est plus à démontrer ; la littérature populaire s’en est saisie (que l’on pense à Fantômas…) au début du vingtième siècle quand les 300 qui dirigent le monde (Rathenau) se connaissent déjà tous ; la guerre facilitera la gouvernance mondialiste une fois écrasée l’Allemagne (First we take Manhattan then we take Berlin comme dit la chanson du contre-initié Léonard C.). Gustave Le Rouge a publié un livre nommé la Conspiration des milliardaires… tous américains.

Mais restons à la nôtre d’époque. Plaquevent rappelle l’incroyable :

« Le 15 mai 2009, se réunissait à New-York un groupe restreint de milliardaires parmi les plus influents afin de débattre des “problèmes de la planète” selon l’expression consacrée. »

Comme on sait le problème de la planète, c’est nous, les huit milliards moins riches ! Pierre-Antoine ajoute :

« Parmi ceux-ci on retrouvait : Bill Gates, George Soros, Warren Buffett, David Rockefeller, Ted Turner et Oprah Winfrey. Mais aussi d’autres personnalités moins connues du grand public francophone comme le couple d’affairistes Eli et Edythe Broad. »

Le dernier nommé semble avoir été un contre-initié de haut vol notamment dans le domaine de l’architecture. On reverra à ce sujet l’œuf du serpent de Bergman dont le message implicite est le suivant : « toutes les villes et constructions nouvelles n’avaient qu’un but de contrôle psychologique et social. »

Passons à la fameuse « bombe démographique », brandie par ceux-là mêmes qui remplissent nos villes de migrants pour aboutir à leurs fins.

Le livre évoque bien sûr ces menaces, notamment celles des démographes catastrophistes des années 60-70 (les Ehrlich) dont toutes les prédictions se sont révélées fausses. On lit, car c’est édifiant (cf. notre planète en ébullition) :

« Bien que ses vues restent inchangées en matière de démographie planétaire, Paul Ehrlich semble quelque peu obligé de refréner ses anxiétés compte tenu des nombreuses prophéties catastrophistes qu’il annonçait dans les années 70 et qui ne se sont pas réalisées. Parmi ces prédictions, on peut citer les suivantes dont certaines sont assez étonnantes :

« Dans dix ans, toute vie animale importante dans la mer aura disparu. De vastes zones côtières devront être évacuées à cause de la puanteur des poissons morts. »
« La chute des températures ferait s’enfoncer les calottes glaciaires dans l’océan, produisant “un raz-de-marée mondial qui pourrait anéantir une grande partie de l’humanité” et faire “monter le niveau de la mer de 60 à 100 pieds”. »

Soixante ans donc de tartines Rousseau relayées par Al Gore. Il semble que la montée non pas des océans, mais de l’imbécillité médiatique rende la croisade de ces fous possible aujourd’hui. Ici on retrouve le R.P. Bruckberger et cette obsession suicidaire de la race blanche rendue possible par une déchristianisation massive et totale (Notre-Dame, es-tu là ?).

Pierre-Antoine rappelle nûment :

« Surtout, comme nous le verrons plus loin, ce type de discours catastrophistes servira de prétexte à des formes d’ingérences dépopulationnistes à travers le monde entier. Interventions dont l’habillage humanitaire-sanitaire camoufle mal des objectifs très concrets de domination géopolitique. »

La dépopulation est déjà là en Europe, de la France à l’Allemagne en passant par la Pologne. Effondrement de la natalité et explosion de la mortalité. Sous Hollande et Macron (vive les socialos que dénonçait Trotski justement, toujours alliés des milliardaires et du capital américain depuis les années vingt), la natalité française est passée de 800 000 à 600 000. Ce dépeuplement voulu et coordonné est en bonne marche, accompagné d’une invasion migrante extravagante.

C’est Tocqueville qui écrit quelque part (je cite de mémoire) :

« Je pense, qu’à tout prendre, l’aristocratie manufacturière que nous voyons s’élever sous nos yeux, est une des plus dures qui aient paru sur la terre… c’est de ce côté que les amis de la démocratie doivent sans cesse tourner avec inquiétude leurs regards ; car, si jamais l’inégalité permanente des conditions et l’aristocratie pénètrent de nouveau dans le monde, on peut prédire qu’elles y entreront par cette porte. »

Et l’objet de cette manufacture aujourd’hui c’est la biomasse humaine qu’il faut à la fois réduire et transformer. C’est nous.

On vous laisse découvrir ce merveilleux ouvrage immense et protéiforme (le tome deuxième est plus techno-scientifique et orienté sur les manipulations climatiques), véritable encyclopédie des conspirations ploutocratiques et génocidaires en cours. J’ai bien sûr insisté sur les points qui m’étaient le plus familiers (tout le monde n’est pas encyclopédiste !).




L’UNESCO met en garde contre l’utilisation des puces cérébrales comme « armes de modification de la personnalité »

[Source : cogiito.com]

Par Ramon Tomey

Une agence des Nations unies a mis en garde contre les implants cérébraux tels que le Neuralink d’Elon Musk, qui pourraient être utilisés comme « armes de modification de la personnalité ».

L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a lancé cet avertissement par l’intermédiaire de son Comité international de bioéthique (CIB). Selon le CIB, les neurotechnologies pourraient conduire à « de nouvelles possibilités de surveillance et de manipulation de l’esprit humain par le biais de la neuro-imagerie [et] de [programmes] d’altération de la personnalité ».

C’est pourquoi l’agence des Nations Unies élabore actuellement un « cadre éthique » mondial destiné à protéger l’humanité des abus potentiels de la technologie des puces cérébrales. L’UNESCO craint que ces abus ne soient accélérés par les progrès de l’intelligence artificielle (IA).

« Nous sommes sur la voie d’un monde dans lequel les algorithmes nous permettront de décoder les processus mentaux des gens »

a fait remarquer Gabriela Ramos, sous-directrice générale de l’UNESCO pour les sciences sociales et humaines. Elle a ajouté que les percées en neurotechnologie qui pourraient « manipuler directement les mécanismes cérébraux [des êtres humains], qui sous-tendent leurs intentions, leurs émotions et leurs décisions » ont des implications « considérables et potentiellement dangereuses ».

L’économiste Mariagrazia Squicciarini, qui dirige le bureau exécutif du secteur des sciences sociales et humaines de l’UNESCO, partage le même sentiment. Elle a fait remarquer que la capacité des algorithmes d’apprentissage automatique à extraire rapidement des modèles de données complexes (telles que celles des scanners cérébraux IRMf) accélérera l’accès des puces cérébrales à l’esprit humain.

« C’est comme si on mettait les neurotechnologies sous stéroïdes », a déclaré M. Squicciarini, spécialiste des questions liées à l’intelligence artificielle.

Le CIB de l’UNESCO a organisé une conférence le 13 juillet, à laquelle ont participé 1 000 personnes. Les résultats de la conférence ont été publiés dans un rapport de 91 pages le 18 juillet.

« Le développement spectaculaire des neurotechnologies — ainsi que des nouvelles biotechnologies, nanotechnologies et [technologies de l’information et de la communication] — rend les machines de plus en plus humanoïdes », indique le rapport. « Les gens sont de plus en plus connectés aux machines et à l’IA.

« Il est nécessaire d’anticiper les effets de la mise en œuvre des neurotechnologies. Il existe un lien direct entre la liberté de pensée, l’État de droit et la démocratie. »

Musk décrit les implants comme une sorte de « remplacement d’un morceau de crâne par une montre intelligente »
Selon le rapport du CIB, les neurotechnologies remettent en cause « certains aspects fondamentaux de la dignité humaine, tels que la confidentialité de la vie mentale ou l’autonomie individuelle ». Pour y remédier, le comité a appelé à une plus grande transparence de la recherche en neurotechnologie dans l’industrie et le monde universitaire. Elle a également appelé à l’élaboration de « neurodroits » à inclure dans la législation internationale sur les droits de l’homme.

La mise en garde de l’UNESCO concernant les neurotechnologies fait suite à l’approbation fédérale accordée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à Neuralink de Musk pour la réalisation d’essais sur l’homme. Les implants Neuralink connecteront le cerveau au nuage par l’intermédiaire d’électrodes filiformes cousues dans certaines zones du cerveau. Ces électrodes communiqueront avec une puce pour lire les signaux produits par les neurones du cerveau. (Voir aussi : La FDA approuve les implants cérébraux Neuralink d’Elon Musk qui visent à CONTRÔLER l’esprit humain).

« Comme les signaux des neurones sont directement traduits en commandes motrices, Neuralink pourrait permettre aux humains de contrôler des technologies externes […] [et de retrouver] des fonctions corporelles ou des mouvements musculaires perdus grâce à leur esprit », note le Daily Mail.

Musk lui-même a décrit les implants comme une sorte de « remplacement d’un morceau de crâne par une montre intelligente ».

[Voir aussi :

Blackrock ou Rockfeller aux manettes de la fusion cerveau-cloud. Bientôt l’internet des pensées

Par SENTA DEPUYDT

Juin 2023, Precision Neuroscience lance sa 1ère étude sur le cerveau et la technologie d’interface neurale.

Article publié le JUILLET 31, 2023 par Liliane Held Khawam sur son blog que je vous conseille de visiter ! www.lilianeheldkhawam.com (ne manquez pas non plus son e-book « Dépossession » téléchargeable gratuitement en fin de post).

FIGURE 1. Représentation artistique des neurones (avec des processus bleus) et des cellules gliales (blanches).
[Crédit image : Yuriy Svidinenko, Nanobotmodels Company].

]

Alors que le magnat de la technologie s’est concentré sur les avantages potentiels de Neuralink, les autorités fédérales de réglementation des États-Unis ont mis l’accent sur sa capacité de nuisance. L’entreprise a fait l’objet d’une enquête de l’inspecteur général du ministère américain de l’Agriculture pour violation potentielle de la loi sur le bien-être des animaux (Animal Welfare Act). L’enquête, lancée à la demande d’un procureur fédéral, s’est concentrée sur les « souffrances extrêmes » subies par les singes sur lesquels les implants cérébraux ont été testés.

Le rapport du CIB attire particulièrement l’attention sur les risques posés par les technologies de puces cérébrales à « double usage », qui peuvent être facilement reprogrammées à des fins malveillantes. Selon le rapport, ces technologies ont « le potentiel d’aggraver les inégalités sociales, de porter atteinte à la vie privée des individus et de fournir des méthodes de manipulation des individus ».

« Les progrès révolutionnaires de la neurotechnologie offrent un potentiel sans précédent », a finalement fait remarquer M. Ramos.

« Mais nous devons rester conscients de ses effets négatifs si elle est utilisée à des fins malveillantes. Nous devons agir maintenant pour nous assurer qu’elles ne sont pas utilisées à mauvais escient et qu’elles ne menacent pas nos sociétés et nos démocraties. »

Visitez FutureTech.news pour d’autres articles sur les neurotechnologies sous forme d’implants cérébraux.

Regardez cette vidéo qui explique pourquoi la neurosurveillance et les armes de modification de la personnalité — sous forme d’implants cérébraux — inaugurent la prochaine étape du transhumanisme.



Cette vidéo provient de la chaîne RogueRunnerRanch sur Brighteon.com.

Des sujets en rapport :

Neuralink brain implants are ready for injection into humans, says Elon Musk.

Elon Musk’s Neuralink wants to start implanting their own brain chips in people.

Ethical questions raised after Elon Musk’s Neuralink company implants chip in monkey’s brain.

Sources:

GlobalResearch.ca

DailyMail.co.uk

Brighteon.com




1ᵉʳ août 2023 : les nouvelles mesures vexatoires du gouvernement français, pour remplacer celles d’avant

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

[Illustration : photo BERTRAND GUAY / AFP]

Par Pierre-Emile Blairon

Les nouvelles mesures gouvernementales sont édictées, comme d’habitude, en plein été, un 1ᵉʳ août, quand tout le monde est en vacances, s’apprête à y aller, ou sur la route, en chemin de retour, de telle manière que ces mesures impopulaires passent inaperçues.

Nous allons détailler ces nouvelles mesures, mais il en est une qui détermine le calendrier, dès l’abord, c’est la fin du pass sanitaire, mesure entérinée par le Parlement le 26 juillet 2023, le gouvernement se donnant toutefois la possibilité d’y recourir encore en cas d’émergence d’un nouveau variant, par exemple, on n’est jamais trop prudent.

Cependant, la suppression de cette contrainte n’a rien de réjouissant : elle annonce simplement que nos « élites » ont trouvé encore mieux pour nous « emmerder », comme dit si bien le président de ce qui reste de notre pays : il s’agit des mesures concernant le pseudo-réchauffement climatique, qui vient remplacer dans la panoplie des mesures liberticides celles qui concernaient la pseudo-pandémie et autres fariboles. Le dessin qui accompagne ce texte est tout à fait parlant : en 2020, la pseudo-pandémie, en 2021, les pseudo-vaccins, en 2022, la pseudo-invasion russe (en réalité, la guerre déclenchée en Ukraine par l’OTAN et ses vassaux européens) et, en 2023, le pseudo-réchauffement climatique. Tout est « pseudo », tout est mensonge !

Toutes les décisions vexatoires qui vont désormais restreindre encore les libertés fondamentales des Français seront produites par cette nouvelle manipulation.

Vous avez aimé le Covid, le vaccin, la guerre en Ukraine ? Vous allez adorer l’urgence climatique. On dit que le diable se cache dans les détails, le pseudo-réchauffement climatique se cache dans chacune de ces nouvelles dispositions édictées à la sauvette.

Augmentation du prix de l’électricité de 10 %

En 2019, la France était le premier exportateur d’électricité au monde (17,3 % des exportations mondiales) grâce à la production de ses 56 centrales nucléaires. En août de l’année dernière, elle n’avait plus que 30 réacteurs en état de marche, notre gouvernement ayant stupidement (ou, pire et plus probable, en toute connaissance de cause) cédé aux injonctions pseudo-écologistes européennes et surtout allemandes de désactiver 14 réacteurs d’ici à 2035, les deux réacteurs de la centrale de Fessenheim étant désormais fermés et les 14 autres étant inactifs pour cause de « maintenance ». C’est désormais la Suède, suivie de l’Allemagne (quelle coïncidence !), qui sont les plus importants producteurs européens d’électricité.

Les Espagnols et les Portugais, eux, se sont séparés du système européen pour devenir indépendants sur ce point en ayant pour objectif de réduire la facture électrique des ménages et des entreprises de 30 %.

Et en France ? Eh bien, la même facture qui va baisser pour la péninsule ibérique va augmenter en France de 10 % pour les ménages et les toutes petites entreprises, ce qui entraînera un coût supplémentaire annuel de 160 euros en moyenne par ménage ou TPE.

Comment EDF explique-t-elle une telle situation ? En partie, par « une moindre disponibilité en 2022 des moyens de production d’électricité en France en raison de deux principaux facteurs : la sécheresse qui impacte la capacité de production des centrales hydrauliques », et par les opérations de maintenance sur les réacteurs nucléaires « qui cumulent celles reportées à la suite des contraintes liées à la crise sanitaire Covid et les nouvelles opérations nécessaires apparues entre-temps ».

On voit que le rédacteur de ce texte évoque une sécheresse (à venir ?) qui est tout aussi « pseudo » que le reste, de même que la pseudo-« crise sanitaire Covid ».

En réalité, le PDG d’EDF en poste alors, Jean-Bernard Levy, a vivement critiqué le projet du gouvernement de démanteler la filière nucléaire, c’est pour cette prise de position qu’il a été « remercié » : « On n’a pas de problèmes d’expertise, les compétences, les experts, on les a […]. On a beaucoup de chantiers en parallèle et, d’une certaine manière, on manque de bras, parce qu’on n’a pas assez d’équipes formées […]. Un soudeur, un tuyauteur, il faut deux, trois ans pour le former », dit-il. « Et pourquoi on n’a pas assez d’équipes formées ? Parce que l’on nous a dit que le parc nucléaire va décliner, “préparez-vous à fermer des centrales”. Évidemment, on n’a pas embauché des gens pour en construire 12, on a embauché des gens pour en fermer 121 ».

Merci qui ? Merci, Macron !

La pseudo-sécheresse

Il a plu en Provence, fait exceptionnel, trois semaines durant, tous les jours, pendant une période à cheval entre mai et juin 2023. Nous sommes donc le 1ᵉʳ août 2023, et il pleut en France un peu partout comme vous le voyez sur cette capture d’image de Météo-France, sauf sur la Provence qui a déjà eu sa part. Rien de plus habituel. Mais la réalité importe peu à nos « élites » ; vous pouvez toujours prétendre que l’herbe est verte, vos dirigeants feront tout pour vous faire croire qu’elle est rouge.

J’ai vainement tenté de consulter les cartes proposées par le Ministère de la Transition écologique (propluvia.developpement-durable.gouv.fr) concernant l’emplacement géographique des restrictions d’eau et les arrêtés préfectoraux régissant ces restrictions, je tombe inévitablement sur le code 404 not found, ou sur les cartes éditées en 2022.

Beaucoup de fontaines en Provence ont été asséchées par décret préfectoral l’année dernière et leur débit n’a pas été rétabli alors que nos fontaines constituent un atout touristique indéniable dans le pays qui est le plus visité au monde.

Nombre de questions sur le sujet resteraient en suspens, et l’omerta gouvernementale aurait pu perdurer, si le sénateur Alain Houpert, au micro d’Alain Bercoff sur Sud-Radio le 12 avril 2023, ne nous avait alertés sur les raisons véritables de cette nouvelle manipulation. Il nous apprend, en effet, que le gouvernement français aurait signé un accord avec les pays du Golfe échangeant l’eau du territoire français contre des hydrocarbures à raison de 4 milliards de m³ par an, soit la totalité de la consommation des Français2. Cette eau serait acheminée par 66 tankers au départ de Fos et de Martigues, puisée dans la Durance et le Verdon via l’étang de Berre pour 800 millions de m³ et le reste… dans les nappes phréatiques ! alors, Français, évitez de vous doucher tous les jours, de laver votre voiture et d’arroser votre jardin pour que les magnats du pétrole puissent faire pousser des villes nouvelles dans le désert, comme ce projet titanesque dont les travaux ont déjà débuté, et dont Ouest-France du 14 janvier 2023 nous communique quelques caractéristiques :

« Imaginez un mélange des Los Angeles futuriste du film Blade Runner et de la Cité radieuse de Le Corbusier, en version écolo… “The Line”, un long immeuble monolithe recouvert de miroirs, large de 200 m et qui s’étire sur 170 km (et haut de 500 m, ndlr) abritant une ville futuriste, est le projet fou de Mohammed ben Salmane, dit “MBS”, prince héritier d’Arabie Saoudite3. »

[Voir aussi :
NEOM]

Mais on peut se demander, avec le sénateur Houpert, pourquoi Ben Salmane ne construit pas des usines de désalinisation à un prix bien inférieur à ce projet, au lieu de vouloir priver d’eau nos compatriotes, avec la complicité (pleine de duplicité) du gouvernement français ?

Les tickets de caisse supprimés

C’est le volet « amusant » de notre article par son absurdité et par son impréparation totale, si ce n’est que, depuis un an, les caissières de supermarché nous ont demandé systématiquement si nous voulions le ticket de caisse à la fin de nos achats. C’est comme pour un mariage : « oui, je le veux ». Les caissières ont bien appris de leurs supérieurs qu’il fallait promouvoir les mesures de « progrès », même si ça devait leur coûter leur emploi (là-dessus, leurs supérieurs sont restés muets) ; c’est ainsi qu’elles ont accepté avec enthousiasme de vous diriger vers les caisses automatiques qui constituent la mort certaine de leur activité au bénéfice des robots, mais surtout des patrons qui n’auront plus à gérer le personnel humain et ses inévitables complications.

Dans le même esprit, « par mesure d’économie », à partir de ce 1ᵉʳ août 2023, les tickets de caisse (ainsi que les reçus de carte bancaire) ne seront plus distribués automatiquement aux clients.

« À la caisse, il faudra dorénavant demander explicitement au vendeur l’impression du ticket de caisse pour tout achat. Cette mesure fait suite à la loi relative à la lutte contre le gaspillage votée en février 2020. Cette mesure doit permettre de faire des économies de papier, alors que 12 milliards de tickets de caisse sont imprimés chaque année dans l’Hexagone. »

(Les Échos, 29 juillet 2023.)

12 milliards de tickets, vu comme ça, ça paraît beaucoup. Mais mettons en parallèle ce nombre extravagant de 12 milliards avec la quantité de publicité papier déposé dans nos boîtes aux lettres, laquelle quantité ne souffre, elle, d’aucune restriction.

Il est distribué chaque année environ 1 million de tonnes de prospectus publicitaires dans les boîtes aux lettres françaises, au nombre d’environ 20 millions, ce qui correspond à 40 kg de prospectus par an et par boîte, soit 12 millions d’arbres abattus. Et savez-vous quelles entreprises distribuent massivement ces prospectus ? Oui, vous le savez : ce sont les super et hypermarchés à plus de 90 %. Comparez donc ces 40 kg de prospectus, c’est-à-dire 40 000 gr, dans votre boîte avec le poids de vos tickets de caisse pour une année, 100 gr, 150 gr, 200 gr ?

Voilà donc où se situe l’absurdité, on s’empressera de sourire, voire de rire franchement, sachant que le deuxième volet de cette loi permettra de « limiter l’exposition de la population aux substances dangereuses pour la santé présentes sur la majorité des tickets imprimés »

En revanche, vous pouvez manger sans problème les 40 kg de papier distribués dans votre boîte aux lettres pour les faire disparaître, tout comme il nous est recommandé de manger des insectes, ce qui n’est pas dangereux non plus ? À vrai dire, nos décideurs n’ont que faire de notre santé.

Et comment prouver, comme cela arrive très souvent, et toujours au bénéfice du vendeur, que vous avez acheté un produit qui s’avère défectueux, ou facturé à un prix qui ne correspond pas au prix vu sur l’étalage ? Eh bien, vous devrez laisser vos coordonnées, messagerie électronique, numéro de téléphone, et on vous enverra la note, si vous la demandez. Bien compliqué, n’est-ce pas ? Et, bien sûr, vos données personnelles seront « sauvegardées », ben voyons…

Enfin, et nous revenons au problème de l’eau, il faut savoir que la fabrication du papier est très consommatrice en eau puisqu’il faut environ 500 litres d’eau pour fabriquer 1 kg de papier. Là aussi, comparons les 40 000 gr de prospectus avec les 150 gr de tickets…

Il reste au consommateur un joker : nous pouvons demander à la caissière le ticket de caisse en papier, sur le champ, qui ne peut pas nous être refusé, même si l’on vous dit le contraire.

La chambre d’agriculture des Pyrénées-Orientales informe ainsi ses membres :

« Si le client en fait expressément la demande, vous ne pouvez pas refuser l’impression de son ticket, et ce, même si un ticket dématérialisé lui a été transmis. Vous n’avez pas, en tant que professionnel, l’obligation de demander formellement au client s’il souhaite ou non son ticket. C’est au consommateur qu’il revient de vous le réclamer. »

Tenez-vous le pour dit.

Déblocage du plan épargne logement

Dernière mesure édictée ce 1ᵉʳ août et qui ne semble pas concerner ce pseudo-réchauffement climatique, il s’agit de l’assouplissement des conditions d’usage du Plan d’épargne logement (PEL).

« Désormais, ce livret pourra être partiellement débloqué pour financer la rénovation thermique d’un logement. Jusqu’alors, le retrait des encours d’un PEL signifiait de facto la clôture du livret puisqu’il permettait uniquement l’achat d’un bien immobilier. Le gouvernement veut ainsi encourager la transition écologique au niveau des logements par la rénovation thermique, souvent très coûteuse, mais efficace en termes d’économies d’énergie. Grâce à ce mécanisme, les détenteurs d’un PEL pourront débloquer une partie des fonds pour financer des travaux thermiques sans clôturer le livret. » (Les Échos, 29 juillet 2023)

Eh bien oui, cette mesure concerne directement les « économies d’énergie » et va permettre la disparition plus rapide de nos villages. Il faut s’en reporter à notre article du 27 décembre 2022 sur ce même site : Comment faire disparaître radicalement le patrimoine français ?

Conclusion : Une pseudo-science journalistique massive

Il nous reste à conclure en citant les propos du prix Nobel de physique 2022, John Clauser (photo), qui lui a valu l’annulation de la conférence qu’il devait donner devant les membres du FMI, conférence intitulée Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en.

« Le narratif commun sur le changement climatique, explique-t-il, constitue une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive. À son tour, celle-ci s’est fait bouc émissaire de quantité de maux qui n’ont aucun rapport. »

Difficile d’être plus clair.

« Il n’y a pas de crise climatique », insiste le spécialiste mondial de l’intrication quantique, usant ainsi d’une formulation qui fait un écho (sans doute volontaire) à la déclaration Clintel du même nom, qui rassemble plus de 1500 signatures, dont celle d’un autre prix Nobel de physique, Ivar Giaever.

« En revanche, ajoute Clauser, il y a un problème bien réel celui-là, qui est de fournir un niveau de vie décent à une large part de la population mondiale ». Le scientifique conclut sa déclaration en soulignant que la crise énergétique actuelle est « inutilement exacerbée par ce qui, à mon sens, est une science climatique incorrecte. »

(Valeurs actuelles du 10 mai 2023.)

Notes :

1 La Dépêche du 7 septembre 2022

2 « La consommation d’eau en France — essentiellement pour l’agriculture et l’eau potable — s’établit à 4,1 milliards de m³ en moyenne par an sur la période 2010-2019, selon la nouvelle estimation publiée mercredi par le Service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. » (ICI, France bleu, 30 mars 2023).

3 « The Line », ville futuriste de 170 km de long, verra-t-elle le jour en Arabie saoudite ?




« Pass carbone » : leur plan dévoilé et c’est explosif !

[Source : @FLORIANPHILIPPOT1]

[À partir de 3:40]




Vidéo explosive de Trump pour les élections 2024




Mgr Viganò : « Pour ou contre Notre-Seigneur Jésus-Christ »

[Source : medias-presse.info]

Par Carlo Maria Viganò, Archevêque

Et inimici hominis domestici ejus
[Et les ennemis de l’homme seront ceux de sa maison.]

Conférence de S. Exc. Mgr Carlo Maria Viganò

Université d’été organisée par le mouvement politique Civitas

Combattre le satanisme du Nouvel Ordre : Les clés de la victoire

– Version de cette conférence en anglais
– Version de cette conférence en espagnol
– Version de cette conférence en italien
– Vidéo de la conférence en français

Pontmain, samedi 29 juillet 2023

34 Ne croyez pas que Je sois venu apporter la paix sur la terre ;
Je ne suis pas venu apporter la paix, mais une épée.
35 Car je suis venu séparer le fils du père,
la fille de la mère, la belle-fille de la belle-mère :
36 et les ennemis de l’homme seront ceux de sa maison.

(Mt 10, 34-36)

Permettez-moi, chers Amis, d’adresser mon salut à tous les organisateurs de cette nouvelle édition de l’Université d’été de Civitas, en particulier au Président Alain Escada ; aux conférenciers qui, par leurs interventions, clarifient les différents aspects de la crise civile et ecclésiale actuelle ; aux participants qui, par leur présence, confirment la détermination des bons Catholiques à mener le bonum certamen — le bon combat — sous la bannière du Christ-Roi. Ces rencontres de formation doctrinale, culturelle et sociale sont le signe d’un réveil des consciences et des cœurs : Quia hora est jam nos de somno surgere. Nunc enim propior est nostra salus, quam credidimus ; il est maintenant temps de nous réveiller du sommeil, car notre salut est plus proche maintenant que lorsque nous sommes devenus croyants (Rm 13, 11).

La cohérence du Bien

Comme il y a une cohérence du Bien, il y a aussi une cohérence du Mal. Le Bien, attribut substantiel de Dieu, a sa propre cohérence aussi en ce qui y participe : est cohérent avec le Bien l’amour de la mère qui prépare le goûter pour ses enfants ; la sollicitude du chef d’entreprise envers ses employés ; la préparation des leçons par le professeur ; le dévouement du médecin envers ses patients ; la disponibilité du prêtre dans le soin des âmes qui lui sont confiées. Même repasser une chemise, cultiver le jardin, organiser une conférence, célébrer un anniversaire avec des êtres chers devient cohérent avec ce que nous sommes, car nous nous comportons selon ce que nous sommes : Agere sequitur esse (l’agir suit l’être).

Ceux qui vivent dans le Bien et donc dans le Vrai ; ceux qui « respirent » le Bien — des célébrations à l’église aux fréquentations de personnes partageant les mêmes idées et à l’éducation en famille — n’ont pas besoin de vouloir faire le Bien, parce que cela vient spontanément dans une âme bonne. Et c’est exactement ce que la Grâce accomplit en nous, en rendant des actions en elles-mêmes moralement neutres — ou seulement humainement bonnes — des œuvres vertueuses, où l’habitude dans le Bien devient Vertu et imprègne toute notre vie ; et en ajoutant aux actions qui sont bonnes dans l’ordre naturel ce quid, ce quelque chose qui les élève dans l’ordre surnaturel en les dirigeant vers un but supérieur.

D’un autre côté, quand on aime le Seigneur, que peut-on désirer de plus beau et de plus épanouissant que de faire Sa Volonté ? Et quoi de plus motivant, dans nos relations avec le prochain, que de lui faire connaître ce Saint Vrai, qui est aussi suprêmement Bon et Juste ? Bonum diffusivum sui, selon l’adage scolastique : le bien est diffusif de soi, enclin à se répandre. Cela nous est démontré par l’œuvre du Créateur, qui à partir de rien fait naître toutes choses visibles et invisibles ; cela nous est confirmé par l’œuvre du Rédempteur, qui retire de l’abîme de l’offense à la Majesté divine l’homme rebelle en Adam, par le Sacrifice de l’Homme-Dieu.

La cohérence du Mal

Mais comme il y a une cohérence dans le Bien, il y a une cohérence dans le Mal. Et ces actions que nous jugeons apparemment sans gravité — si nous ne les contextualisons pas — se révèlent être les rouages d’un engrenage, peut-être insignifiants, mais qui lui permettent de fonctionner, et sans lesquels la machine se bloquerait.

C’est pourquoi le Mal – qui ontologiquement est un non-être, une absence de Bien — cherche à s’infiltrer dans nos âmes par petits pas, provoquant des chutes progressives, en s’assurant qu’il ne suscite en nous aucune inquiétude ni aucun remords ; puis il grandit et se développe comme un cancer. Et là où le Bien apporte plus de bien, le Mal appelle plus de mal, nous accoutumant à lui, et à tout ce vers quoi il nous entraîne.

Les plans infernaux de l’élite mondialiste — dont nous avons découvert la malice intrinsèque — sont eux aussi cohérents les uns avec les autres, parce qu’ils sont mus par la haine de l’Adversaire envers le Christ. Le projet de Bill Gates d’obscurcir le soleil et vacciner la population mondiale ; celui de George Soros de faire envahir les pays occidentaux par des hordes de musulmans et saper la famille naturelle en finançant les mouvements woke et LGBTQ ; le plan de Klaus Schwab pour nous forcer à manger des insectes ou à nous confiner dans les smart city de 15 minutes ; celui de Harari d’effacer l’idée d’un Dieu transcendant et réécrire une Bible « politiquement correcte » ; le projet de l’état profond de centraliser le contrôle des citoyens avec l’identité numérique, la monnaie électronique et la manipulation du vote ; celui de Bergoglio de transformer l’Église en une agence de l’ONU et du Forum Économique Mondial de Davos, ne sont pas des plans autonomes mis en œuvre sans aucun lien les uns avec les autres.

Dans tout ce qui s’est passé au cours des dernières décennies sous une forme plus souterraine et plus récemment de manière beaucoup plus évidente, nous pouvons reconnaître un esprit, une intelligence capable de donner une organisation apparemment infaillible et implacable. Car il nous faut l’admettre : ceux qui ont construit cette machine infernale, dans laquelle tous les engrenages semblent tourner parfaitement, font preuve d’une intelligence supérieure, angélique, voire : satanique.

La victoire apparente des méchants

Le constat de l’efficacité organisationnelle des méchants ne doit pas nous effrayer, ni nous faire renoncer à combattre leurs plans. En effet, je crois que c’est précisément cette « perfection », presque mécanique, sans âme, dans le camp ennemi qui finira par constituer sa propre condamnation : Simul stabunt, simul cadent [Ils se tiendront ensemble, ils tomberont ensemble], récite l’adage latin. Et il en sera exactement ainsi, car le triomphe du Mal est une fiction, une simulation, une mise en scène basée — comme tout ce qui vient de Satan — sur l’apparence et le mensonge.

Revenons un instant à Pâques de l’an 33. Plaçons-nous parmi ceux qui, à Jérusalem, furent témoins de la crucifixion de Jésus, après L’avoir vu accomplir miracles et guérisons. Même sur le Golgotha, en l’absence des Apôtres, la mise en scène de Lucifer devait marquer la défaite du Messie, la dispersion de Ses disciples, l’oubli de Son enseignement, le désaveu de Sa divinité. Mais précisément sur la Croix, instrument de mort et d’infamie, le destin de l’humanité est inversé par Celui qui, avec la mort du corps, a restauré la vie de l’âme, et qui, Se laissant clouer à ce bois, y clouait l’enfer. O mors, ero mors tua. Notre nature, blessée par le péché originel, ne se résigne pas à comprendre que la victoire du Christ s’accomplit selon la logique de la Charité et non de la haine, et qu’elle est d’autant plus inexorable et définitive qu’une plus grande marge d’action est laissée à Dieu, et combien moindre de la part de Ses enfants la confiance dans les moyens humains.

Satan l’illusionniste

Ne jugeons donc pas l’apparent « viver lieto de’ maligni » [la vie apparemment heureuse des méchants] du Psaume 36 comme un signe de défaite inévitable. Ce déploiement impressionnant de forces, cette scénographie si réaliste, ces chorégraphies impressionnantes constituent la seule ressource dans laquelle le grand Menteur peut puiser, et le seul moyen pour nous faire croire qu’il est puissant et invincible. Un grand magicien, c’est certain : mais en tant que tel, il peut nous étonner en tant qu’illusionniste, nous tromper avec ses tours, qui en dehors de la scène et à la lumière du soleil se montrent dans leur inconsistance pathétique. Le jeu du lapin extrait du chapeau — à savoir : le respect de l’environnement, la santé des citoyens, la fraternité universelle — ou le spectacle de la femme sciée en deux fonctionnent tant que le public reste à distance et se laisse tromper par la pénombre et les gestes théâtraux du magicien. En revanche, qui parmi les spectateurs d’un spectacle de « magie » ou parmi les passants qui s’attardent dans les couloirs du métro pour observer le jeu des trois boîtes pourrait croire que c’est la réalité ? Qui donnerait crédit à un Dr Dulcamara qui propose, comme dans l’œuvre de Donizetti, une drogue « odontalgique, liqueur admirable, puissant destructeur de souris et de punaises de lit ? » (Felice Romani, L’elisir d’amore, scène V, Dulcamara).

La fiction — ou plus précisément : la fraude à la vente, parce qu’il s’agit d’une vente frauduleuse — est la marque de fabrique du commerce de Satan. Achetez mon spécimen, je vous en fais presque cadeau. Ce marchand de pacotille, cet escroc — et avec lui tous ses serviteurs, non moins occupés à vendre leurs concoctions — fait penser à certains personnages qui, jusqu’à il y a quelque temps, sur les parkings des restaurants autoroutiers, offraient aux imprudents un magnétoscope pour quelques euros, qui s’avérait être un boîtier alourdi par une brique ; ou ceux qui, en échange d’une somme pour l’instruction notariale, promettent par courriel l’héritage d’un millionnaire africain à peine décédé. Mais si nous savons tous parfaitement que derrière ces promesses ronflantes ne se cache qu’une fraude contre nous, pourquoi y en a-t-il encore pour y croire ? L’efficacité du sérum expérimental à ARNm inoculé en vrac n’était-elle pas tout aussi manifestement fausse ? Le récit de la crise énergétique, obtenue en imposant des sanctions au plus grand exportateur européen de gaz naturel, n’est-il pas tout aussi ridicule ? La fraude environnementale n’est-elle pas grotesquement infondée ? Pourtant, en regardant autour de soi, il semble que beaucoup, voir une large majorité soit plus que disposée à croire les mensonges de ces Dulcamara [Doux-amers], de ces bonimenteurs qui du Forum Économique Mondial ou de la Bill & Melinda Gates Foundation, de l’Union Européenne ou de l’Organisation Mondiale de la Santé vantent les vertus de leurs filtres miraculeux : revenu universel, abolition de la pauvreté, défaite des maladies, paix mondiale. Pour ensuite découvrir que nous devons payer ce revenu universel en nous endettant et en renonçant à la propriété privée, que leur « abolition de la pauvreté » conduit à la misère des individus et des Nations, que Big Pharma veut que nous soyons des patients chroniques, que la paix du Nouvel Ordre Mondial signifie la guerre perpétuelle.

Comment cela a-t-il été possible ?

Beaucoup, ces dernières années, se sont demandés : Comment a-t-il été possible qu’une si grande partie de l’humanité ait pu consentir à tout cela ? Si nous regardons en arrière – en remontant aux années Quatre-vingt, par exemple, avant que la haute finance ne décide d’attaquer les nations européennes avec la privatisation des biens de l’État et avec la destruction définitive de la société et de la famille, déjà commencée bien avant – il nous semble presque impossible qu’en si peu de temps l’Ennemi ait pu avancer de façon aussi impressionnante sans susciter de réactions et de résistances significatives. Et si nous écoutons les paroles de ceux que Roncalli appelait prophètes de malheur, qui, dès les premières sessions de Vatican II, ont annoncé l’apostasie à laquelle le Concile conduirait, il semble impensable que leurs avertissements faisant autorité aient pu être ignorés et aient même mérité la condamnation et l’ostracisme de ceux qui les ont lancés, de la part des Pasteurs suprêmes.

Et nous revenons ici à la fraude, à l’adultération de la Foi, de la Morale, de la Liturgie, à la tromperie coupable de ceux qui, constitués en autorité, se révèlent les ennemis de ceux qu’ils devraient plutôt protéger, et les amis de ceux qu’ils devraient combattre ou convertir. Tromperie que la chimère d’une fraternité dépourvue de la paternité commune de Dieu ; tromperie que l’actuosa participatio qui a détruit le culte public en le protestantisant ; tromperie que le sacerdoce commun des fidèles, insinué frauduleusement au Concile pour affaiblir le Sacerdoce hiérarchique ; tromperie que la prétendue démocratisation de l’Église, que le divin Fondateur a voulu monarchique et qu’aucune autorité humaine ne pourra jamais changer ; tromperie que l’œcuménisme par lequel la divine Majesté est humiliée au niveau des prostitutions, comme l’Écriture appelle éloquemment les fausses religions. Tous les dieux des païens sont des démons (Ps 96, 5) et les sacrifices des païens sont offerts aux démons et non à Dieu (1 Co 10, 20).

La bonne question

Essayons de reformuler la question plus clairement : Comment a-t-il été possible que des peuples qui ont grandi dans l’héritage de la pensée grecque et romaine, à la lumière de la Révélation chrétienne et de la civilisation que celle-ci a engendrée, aient décidé de croire à un mensonge manifeste, à savoir que la paix, la concorde, la prospérité et le bonheur sont possible loin de Dieu, plus encore en se rangeant ouvertement du côté d’un Ennemi que le Christ a déjà défait et vaincu ?

En y regardant de plus près, nous aurions pu poser cette question aussi à Adam et Ève : Vous étiez dans le Paradis terrestre ; vous jouissiez de la familiarité du Seigneur et vous conversiez avec Lui ; vous ne souffriez ni la maladie ni la mort ; vous aviez une intelligence agile dans l’apprentissage et la compréhension ; vous n’étiez pas soumis à la convoitise de la chair… vous aviez tout, parce que vous aviez Dieu. Eh bien, comment avez-vous pu croire le Serpent, vous promettant qu’en désobéissant au commandement du Seigneur vous obtiendriez ce que vous aviez déjà ? quand il était évident qu’une créature rampante n’aurait jamais pu rivaliser avec la toute-puissance du Créateur ?

Nous trouvons des promesses similaires dans les tentations auxquelles Notre-Seigneur a voulu Se soumettre au désert : même dans ce cas, Satan offre au Maître de toutes choses les domaines de la terre qui Lui appartiennent déjà, osant Lui demander en échange un acte idolâtre d’adoration aussi absurde qu’impossible. Tout cela sera à toi, si en te prosternant tu m’adores (Lc 4, 7). A ces absurdités dictées par un esprit dévoyé et obstiné dans une volonté pervertie, le Seigneur répond en citant l’Écriture, sans même daigner argumenter leur fausseté. Parce qu’avec le diable il n’y a pas de discussion : c’est du temps perdu. Satan doit être chassé et tenu à l’écart.

Le péché de l’homme moderne et contemporain

La fraude colossale qui a été ourdie contre l’homme moderne n’est en rien différente de celle qui a marqué la chute de nos premiers parents : croire au mensonge en tant que tel, subvertissant l’ordre divin. Nous-mêmes n’avons pas vraiment été trompés, car la tromperie était évidente dès le début : devenir sicut dii — comme des dieux — en mangeant l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal ou prétendre que les amputations chirurgicales peuvent transformer un homme en femme ; offrir les premiers-nés à Baal ou les tuer dans le ventre de leur mère pour ne pas augmenter l’empreinte carbone est pratiquement identique. Ce que Satan nous demande, ce n’est pas tant d’accomplir une action répréhensible, mais de nous la faire faire en acceptant comme vrai que cela n’a pas de conséquences : jetez-vous de cette tour, et vos anges viendront vous soutenir. Faites-vous vacciner avec ce sérum expérimental, et vous ferez un geste d’amour. Achetez un enfant avec la gestation pour autrui, et vous serez parent. Renoncez à votre liberté, et vous serez libre. Achetez ce que vous ne pouvez pas vous permettre : cela vous endettera pour toujours, et vous serez heureux. Enfermez votre mère âgée dans un hospice, et elle sera prise en charge par le personnel qui la fera se sentir bien. Laissez votre enfant changer de sexe et il sera comblé. Laissez que l’État soit laïc et légifère sans conditionnements de la part de l’Église, et l’harmonie régnera entre les fidèles de toutes les religions.

Aucune de ces promesses n’a même un semblant de vérité : ce sont toutes des mensonges, et en tant que tels, le Prince du mensonge veut que nous les acceptions, parce qu’avec elles nous acceptons la subversion de l’ordre divin. C’est pourquoi ce n’est pas une erreur, mais un péché dont nous sommes moralement responsables.

Les conséquences de l’acceptation du mensonge

Le concept de tolérance du mal – qui, dans les sociétés encore chrétiennes, pouvait en quelque sorte permettre des exceptions limitées en vue d’un bien supérieur — a été effacé par la société civile et par l’Église quand, ayant perdu la référence transcendante du Bien suprême et de la Vérité absolue — le Seigneur Dieu — il n’y a plus de mal à tolérer, ni aucun bien à protéger. Parce que l’acceptation simultanée de la Vérité et de sa négation — le mensonge — sont une contradiction logique, avant même que théologique. Et c’est le résultat d’un processus qui, je crois, mérite d’être analysé très attentivement.

La subversion par le moyen de l’autorité

Le processus auquel je me réfère est cette séquence d’événements liés entre eux qui a conduit l’Église Catholique — et avec elle les Nations dans lesquelles les Catholiques sont présents et socialement influents — à personnaliser la relation des fidèles avec Dieu là où elle était publique (le culte, la liturgie) et à collectiviser, pour ainsi dire, la relation des fidèles avec Dieu, là où elle était personnelle (conversion, prière, méditation, expérience ascétique et mystique). Cette inversion — empruntée aux Protestants — fait en sorte que l’action du culte public de l’Église devient un moment d’autocélébration des individus et des groupes, et non la voix chorale de l’Épouse ; et en même temps elle annule l’union intime de l’âme avec son Seigneur — qui s’accomplit seulement dans le recueillement individuel — pour exalter une « communauté », pour lui donner consistance et attractivité en raison d’un « marcher ensemble », sans but.

La normalité hiératique, au-dessus du temps et de l’espace, cède la place au caractère temporaire de l’expérience, à l’inconnu du résultat, à la créativité pathétique ou à l’improvisation sacrilège. Et cela, nécessairement, s’étend à la vie civile, où le témoignage du Catholique non seulement n’est pas nécessaire, mais doit même être déploré ; et où les hommes politiques, même s’ils sont nominalement catholiques, peuvent légiférer contrairement à la Loi de Dieu et de l’Église. Parce que chacun d’eux est convaincu qu’il peut penser d’une manière et agir dans le sens opposé, alors qu’en réalité il finit par penser sur la base de la façon dont il agit.

Le rôle de l’« église profonde »

Tant que la Hiérarchie de l’Église a été fidèle à son mandat, chaque persécution des gouvernements anticatholiques et révolutionnaires a été affrontée avec honneur et fermeté, souvent même avec l’héroïsme du martyre, comme en Vendée, au Mexique, en Espagne, en Union Soviétique, en Chine… Mais dès que Vatican II a « réinitialisé » la Hiérarchie dans un sens libéral et progressiste, c’est elle-même qui a promu la sécularisation de la société et l’exclusion volontaire de l’Église et de la Religion de toute sphère de la vie civile, allant jusqu’à appeler à la révision des Concordats. En l’espace de quelques générations, la civilisation chrétienne construite grâce à l’Église Catholique a été reniée et oubliée, jusqu’à saper les fondements du pacte social. Il ne s’agit pas de statistiques ou de chiffres — qui peuvent néanmoins être documentés — mais d’un changement radical dans la société, dans les principes qui animent ses citoyens, dans l’espérance que nourrissent les grands-parents et les parents pour les générations futures. Je parle de la capacité de nos grands-parents et de nos parents à renoncer à tant de conforts pour garantir les études ou un foyer à leurs enfants ; je parle de la désintégration de la famille avec le divorce, avec la création délibérée d’une crise économique qui rend impossible d’être autonome, de pouvoir se marier et d’éduquer les enfants, de savoir que les autorités civiles et religieuses sont amies et non hostiles et opposées l’une à l’autre.

Cela a également conduit les générations à perdre progressivement, mais inexorablement tout cet héritage de comportements quotidiens, d’idiomes, d’habitudes qui étaient la traduction pratique de la manière d’être d’un Catholique ; un abandon qui a été encouragé par ceux qui ont instillé chez les citoyens et dans les fidèles un sentiment de honte pour leur passé, pour leur Histoire, leurs traditions, leur Foi. Il est déconcertant que cette trahison ait été consommée sans réaction, après avoir été imposée d’en haut à la fois dans le domaine civil et — chose inouïe — dans la sphère ecclésiale.

La laïcité de l’État, avec laquelle les Nations se débarrassent de la Seigneurie du Christ, constitue la base philosophique et théologique sur laquelle la dissolution de la société chrétienne a pu être théorisée. Sans le principe de la laïcité de l’État, le divorce, l’avortement, l’euthanasie, la sodomie, la manipulation génétique et le transhumanisme n’auraient jamais pu être introduits dans les législations nationales. Et cela s’est produit avec le soutien décisif de l’Église profonde depuis les années Soixante, et plus récemment avec l’asservissement total de la hiérarchie catholique à l’Agenda 2030 : même Mgr Hector Aguer, ancien archevêque de La Plata en Argentine l’a reconnu lui aussi (ici).

La désagrégation de la famille

Tout cela a disparu : aucun jeune membre d’une famille moderne n’a jamais entendu parler de comment on vivait autrefois, de ce que l’on croyait, de ce que l’on espérait. D’autre part, où sont les grands-parents, qui jadis s’occupaient de leurs petits-enfants et leur transmettaient les souvenirs de leurs ancêtres, leur sagesse, leur simple religiosité ? C’étaient les grands-parents qui emmenaient leurs petits-enfants prier devant l’image de Notre-Dame, leur enseignaient les prières, comment faire l’examen de conscience, comment réciter un Requiem en passant devant le cimetière, leur enseignant la signification de l’obéissance aux parents, de l’honnêteté, de la parole donnée. La Franc-Maçonnerie a éliminé les personnes âgées, les transformant en marchandises pour l’activité des cliniques ou en les exterminant avec un sérum génique ou par la ventilation forcée. Leur absence, depuis des décennies, s’est accompagnée d’une attaque frontale contre la femme, dans son rôle d’épouse et de mère : un autre élément de cohésion de la famille démoli, un autre rempart abattu. L’attaque contre la figure paternelle — jusque-là calquée sur l’autorité et la bonté de Dieu le Père — a été menée avec la corruption des mœurs, avec la pornographie, avec la promiscuité et enfin — ayant rompu le cordon ombilical qui lie la sexualité à la relation conjugale visant à la procréation — l’homme, le mari, le père, le citoyen a été davantage détruit, en stigmatisant sa masculinité comme « toxique », en l’efféminant, en le castrant dans la volonté et l’intellect ; en plaçant le moyen (le plaisir légitime de l’acte conjugal) avant la fin naturelle (la procréation), puis en substituant le moyen à la fin. Et les enfants, séparés de leurs parents qui travaillent, trouvent à la télévision, sur Internet, sur les réseaux sociaux, ou des applications, à l’école et partout un nouvel oracle, une entité qui les décharge de la responsabilité de choisir en leur disant quoi penser, quoi vouloir et contre qui diriger leurs frustrations. Et inimici domini domestici ejus [Et l’homme aura pour ennemis les gens de sa maison.] (Mt 10, 36). Cette entité — à laquelle le pouvoir voudrait reconnaître des caractéristiques presque divines, simulant les facultés de l’intelligence humaine — propose un nouveau credo écologiste, exalte de nouvelles vertus green et woke, désigne de nouveaux maîtres, célèbre ses liturgies. Parce qu’elle se présente comme une religion et en tant que telle elle exige l’assentiment de ses fidèles et l’obéissance à ses ministres.

La religion d’État

Le système d’endoctrinement est expérimenté, et tout au long de l’Histoire, il n’a changé que quelques détails en raison de l’époque ou du progrès technologique, mais il a toujours préservé le schéma original. Et c’est ce schéma qu’il faut connaître, si l’on veut s’y opposer sous toutes ses formes : sanitaire, énergétique, climatique, militaire, financière, religieuse. Un schéma qui s’inspire indéniablement non seulement de l’abolition de la seule vraie Religion, mais aussi de son remplacement par la religion luciférienne du progrès, de l’humanité, de la fraternité, de la Terre Mère. Ne soyons donc pas surpris si le prétexte initial avec lequel la Franc-Maçonnerie a sapé l’autorité de l’Église Catholique au nom de la liberté religieuse échoue, pour laisser la domination incontestée — également reconnue au niveau institutionnel — à la seule religion compatible avec l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial : le culte de Satan. Qui, après s’être caché pendant deux siècles derrière Prométhée et la déesse Raison, se manifeste aujourd’hui publiquement au grand jour et revendique pour lui-même cette exclusivité qu’il avait reprochée et niée à la véritable Église, au point de devenir « religion d’État », pour imposer ses dogmes absurdes et ses fausses croyances à la communauté internationale, pour endoctriner les enfants et les jeunes dans les écoles, pour obliger les citoyens à se conformer à ses préceptes.

Il semble qu’on assiste à un renouveau mondial du paganisme comme sous le règne de Julien l’Apostat : une sorte de revanche des cultes idolâtres sur la Religion du Christ, une revanche des ténèbres sur la Lumière. Mais cela, comme nous le savons, est ontologiquement impossible.

Un site web a été activé — exsurgedomine.org — sur lequel il est possible de suivre et de soutenir les projets en cours.

« Exsurge Domine » defende Ecclesiam Tuam
[« Lève-toi, Seigneur », défends Ton Église]

Face à l’abdication de l’autorité civile, de nombreux groupes à travers le monde s’organisent pour s’opposer aux violations des libertés fondamentales, les dénoncer là où c’est possible, coordonner l’aide à ceux qui sont ostracisés en raison de leur résistance. Ce n’est pas une substitution du pouvoir, ni une forme de sédition : c’est la réponse nécessaire — en attendant des temps meilleurs — de ceux qui voient menacés leur avenir, leurs biens, leur vie même.

J’ai considéré qu’il était de mon devoir de Pasteur de prendre une initiative similaire dans le domaine ecclésial, en donnant vie à l’Association Exsurge Domine, pour contrer la persécution que les prêtres et les religieux traditionnels souffrent aux mains de la secte bergoglienne en raison de leur fidélité à l’Église du Christ, aujourd’hui infestée de traîtres, de corrompus et de mercenaires. Exsurge Domine, sous mon patronage et mon contrôle personnels, veut aider les clercs, les religieux, les moines et les moniales privés de moyens de subsistance, expulsés de leur monastère, persécutés par les supérieurs parce qu’ils sont liés à la Liturgie apostolique ou parce qu’ils ne veulent pas renier le charisme de leur Ordre. Curés qui, du jour au lendemain, sont écartés de leur paroisse ; moniales auxquelles Rome impose une abbesse moderniste ; clercs réduits à l’état laïc sans procédure régulière et avec des accusations infamantes : toutes ces bonnes âmes, amoureuses du Seigneur et fidèles à l’Église, ont besoin d’aide matérielle, de soutien spirituel, d’assistance juridique et canonique.

Je demande à tous d’être les promoteurs de cette initiative auprès de vos connaissances et amis, et de contribuer selon vos possibilités au financement de notre premier projet : la construction d’un village monastique dans la province de Viterbe, où accueillir la communauté de moniales bénédictines de Pienza, lourdement persécutée par le Saint-Siège et leur Évêque. Votre soutien, également par la prière, permettra à tant de bons prêtres et religieux de ne pas succomber aux purges bergogliennes et de pouvoir exercer le ministère ou suivre le charisme qu’ils ont généreusement choisi selon la volonté de Dieu.

www.exsurgedomine.org

Banque : Banca di Credito Cooperativo di Roma, Via Sabotino 612 – Roma
Titulaire : Associazione Exsurge Domine
IBAN: IT19I0832703399000000026930
SWIFT/BIC: ICRAITRRROM

Banque : Poste Italiane Spa, Piazza Matteotti, 37 – Siena
Titulaire : Associazione Exsurge Domine
IBAN: IT31V0760114200001065628511
SWIFT/BIC : BPPIITRRXXX

Conclusion

Je voudrais conclure mon intervention en me référant précisément à ce lieu, Pontmain, où apparut le 17 janvier 1871 la Vierge Marie, invoquée sous le titre de Notre-Dame de France.

Peu de temps après, le 18 mars, la guerre franco-prussienne allait se terminer, avec la défaite de Napoléon, et les émeutes du mois de mars suivant donneront naissance à la Commune de Paris. Dans cette circonstance, la Franc-Maçonnerie française (d’inspiration socialiste et liée aux centres du pouvoir culturels) a organisé une révolution (ici) qui fut cependant noyée dans le sang au mois de mai suivant par l’intervention du gouvernement de Versailles, sur ordre de la Franc-Maçonnerie anglaise (qui est plutôt libérale et liée au pouvoir institutionnel). Aujourd’hui, ce fossé entre les différentes franc-maçonneries a été surmonté par un pactum sceleris qui les unit — concilium fecerunt in unum (Ps 70, 10) — dans le but commun de mener à bien l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, prémisse nécessaire au règne de l’Antéchrist.

La Sainte Vierge, lors de l’apparition à Pontmain, n’a rien dit. À ses pieds se déploie un rouleau en lettres d’or : Priez, mes enfants. Dieu vous répondra très bientôt. Mon Fils se laisse toucher le Cœur. Eh bien, aujourd’hui encore, ces paroles de réconfort restent valables et vraies : le Seigneur répondra très bientôt, parce qu’il y a beaucoup de bonnes âmes qui, dans cette phase d’apostasie et de crise de l’autorité, se réveillent de la torpeur dans laquelle elles sont restées trop longtemps.

La fraude infernale du mondialisme est vouée à l’échec total : il n’y a pas le moindre doute là-dessus. La Babel du Nouvel Ordre Mondial sombrera sous le poids de ses mensonges, marque indubitable de l’œuvre du diable. Il est de notre devoir de proclamer la Vérité, de rappeler au monde que le seul salut vient du Christ, Prince de la Paix, à qui doit être restituée la Seigneurie sur les Nations et sur l’Église qui Lui a été usurpée par une autorité rebelle et corrompue. Que la Très Sainte Vierge, Reine des Victoires et Médiatrice de toutes les Grâces, hâte la fin de cette tribulation, afin que ses paroles prononcées à Fatima en 1917 s’accomplissent : À la fin, mon Cœur Immaculé triomphera.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò




Les autorités et les médias accusent la « crise climatique » d’être à l’origine des incendies volontaires

[Source : frontline.news]

Par Yudi Sherman

Les autorités grecques et les médias accusent le « changement climatique » d’être à l’origine des incendies de forêt en Grèce, alors qu’ils admettent que la majorité des incendies ont été provoqués par des incendies criminels ou des négligences criminelles.

Depuis plus d’une semaine, les médias rendent compte des incendies de forêt qui touchent les îles de Rhodes, de Corfou et d’Evia, avec une montée en puissance de l’alarmisme climatique.

« Les incendies de Rhodes sont un signal d’alarme pour le climat, déclare le ministre britannique », a rapporté le Guardian la semaine dernière.

Incendies en Grèce : la crise climatique va « se manifester partout par de plus grandes catastrophes », déclare le Premier ministre grec — comme cela s’est produit », peut-on lire dans un autre titre.

« Les vagues de chaleur meurtrières sont indéniablement le résultat de la crise climatique, selon des scientifiques », a rapporté mardi le Guardian.

Cependant, le ministre grec de la crise climatique et de la protection civile, Vassilis Kikilias, a déclaré vendredi que la plupart des 667 incendies auraient pu être évités, car ils ont été provoqués par la « main de l’homme ».

« Pendant cette période, 667 incendies ont éclaté, soit plus de 60 incendies par jour, presque partout dans le pays. Malheureusement, la majorité d’entre eux ont été allumés par la main de l’homme, soit par négligence criminelle, soit par intention », a déclaré M. Kikilias.

Malgré cet aveu, le responsable du climat a néanmoins tenté de prétendre que le « changement climatique » était le véritable coupable, car les conditions météorologiques ont favorisé la propagation des incendies.

« La différence avec les autres années réside dans les conditions météorologiques. Le changement climatique, qui a donné lieu à une vague de chaleur historique et sans précédent, est là. Il y a eu très peu de jours où les conditions météorologiques extrêmes n’ont pas été accompagnées de vents forts. »

Le « changement climatique » est devenu l’explication privilégiée des incendies de forêt dans le monde entier, quelle qu’en soit la cause. L’année dernière, un incendie de forêt en Californie a été décrit par les autorités comme étant « le résultat direct du changement climatique », malgré l’arrestation, le mois dernier, de l’incendiaire présumé.

Une analyse réalisée par Frontline News a révélé que tous les articles publiés par les grands groupes de presse sur les incendies de forêt du mois dernier au Canada utilisent l’expression « crise climatique », « changement climatique » ou les deux, faisant écho à des personnalités telles que Joe Biden, le Premier ministre canadien Justin Trudeau et d’autres.

Mais les experts soulignent des failles irréconciliables dans ce récit.

Le directeur de l’Institut d’évaluation environnementale du gouvernement danois, Bjørn Lomborg, a écrit en 2021 que depuis que les incendies de forêt ont commencé à être enregistrés en 1900, la superficie mondiale brûlée chaque année par les incendies de forêt est en baisse, malgré l’augmentation des émissions de carbone. Même en supposant que le réchauffement climatique provoque davantage d’incendies, ceux-ci consomment moins de terres que jamais en raison de l’augmentation de la population et du développement économique.

Selon la base de données nationale canadienne sur les incendies (BDNC), le nombre d’incendies de forêt n’a cessé de diminuer depuis 1990, première année d’enregistrement.

L’auteur et écologiste Jim Steele, qui a été directeur du Sierra Nevada Field Campus de l’université d’État de San Francisco, a dénoncé le discours des médias sur le « changement climatique ».

« Je n’ai pas l’impression que les médias nous informent sur les aspects scientifiques des incendies. Ils essaient simplement de nous faire croire à une catastrophe qui dure depuis trop longtemps », a déclaré M. Steele au Cowboy State Daily.

Selon M. Steele, les incendies étaient encore plus importants aux XVIIe et XVIIIe siècles, lorsque le climat mondial était plus froid, ce qui jette un froid sur les théories selon lesquelles les incendies de forêt au Canada sont dus au réchauffement de la planète.

Steele attribue plutôt les incendies féroces à l’oscillation décennale du Pacifique, une fluctuation à long terme de la température de l’océan Pacifique sur des périodes de 20 à 30 ans. Pendant les phases négatives de ce phénomène naturel, de nombreuses régions des États-Unis connaissent un climat plus sec que d’habitude, ce qui est directement lié aux incendies de forêt.

Un autre facteur contribuant aux incendies de forêt, ajoute M. Steele, est, ironiquement, la suppression des incendies. Les tactiques de gestion forestière permettent aux arbres morts, aux herbes et aux combustibles de s’accumuler, ce qui fait que les incendies brûlent plus vite et plus longtemps.

« Je ne pense pas qu’il y ait suffisamment de preuves pour affirmer qu’un effet CO2 est apparu dans les données », a déclaré M. Steele.

Cliff Mass, professeur de sciences atmosphériques à l’université de Washington, note également que les incendies de forêt sont en baisse au Canada. Les incendies les plus importants ont eu lieu dans les années 1980, et M. Mass estime que le mois de mai est la période de prédilection pour les incendies de forêt.

« Il n’y a aucune preuve qu’un tel schéma soit le résultat du changement climatique », a écrit M. Mass sur son blog.




Enquête de Scott Ritter sur Volodymyr Zelensky

[Source : @FranceTraductions]

« En tant qu’ancien officier de renseignement, je me suis demandé pourquoi personne n’avait mené d’enquête sur Vladimir Zelensky, le président de l’Ukraine. Son accession au pouvoir représente, à mon avis, une incroyable manipulation de l’opinion mondiale qui restera dans l’histoire comme une étude de cas classique d’ingénierie psychologique sociale : un comédien ordinaire qui est arrivé au pouvoir parce qu’il avait promis une paix longtemps attendue, et qui a ensuite entraîné ses concitoyens dans une guerre sanglante qui ne peut être décrite que comme un massacre. Avec l’aide de collègues et d’experts ayant une connaissance directe de Zelensky, j’ai épluché des documents et des vidéos pour produire un film qui rende compte de cette enquête. Cette histoire est tellement riche en rebondissements que j’ai dû la diviser en 2 parties. Dans le premier épisode, présenté ici, je répondrai à la question de l’improbable ascension de Zelensky au pouvoir, et comment le président ukrainien a accumulé son immense fortune, une somme qui n’a fait que croître depuis le début de la guerre avec la Russie. Et, peut-être plus important encore, pourquoi j’ai décidé d’intituler ce film “Agent Zelensky”. »

Scott Ritter

Enquête de Scott Ritter, ceci est la première partie, vidéo originale ici :
https://www.youtube.com/watch?v=HLeBb6hPUC8



« Dans le domaine du renseignement, chaque agent se voit confier des tâches par ses supérieurs. Dans le cas de l’agent Zelensky, j’ai identifié 10 obligations qui définissent sa relation avec ses maîtres du renseignement étranger. Une fois que vous avez examiné chacune de ces obligations, vous comprenez pourquoi Zelensky le comédien a dit une chose et Zelensky le président en a fait une autre. Quelles sont les véritables raisons de la situation actuelle en Ukraine ? Quel type d’opération la CIA mène-t-elle en Ukraine depuis de nombreuses années ? Vous trouverez les réponses à ces questions et à bien d’autres dans la deuxième partie de mon documentaire d’investigation, “Agent Zelensky”. »

Scott Ritter






La détermination sans faille de Me Virginie Araujo-Recchia

[Source : lemediaen442.fr]

Par Frantz

Big Pharma et ses injections expérimentales, c’est un peu comme si un carrossier automobile installé pas loin d’un carrefour y versait de l’huile tous les matins, histoire de s’assurer d’une certaine clientèle… Dans le camp opposé, puisque c’est bien là que nous en sommes, remettons en avant une fois de plus le courage et la détermination de Me Araujo-Recchia.

De par ses interventions depuis fin 2020, elle a été, comme d’autres personnes légitimes, dans leurs professions respectives, moteur pour les citoyens qui se sont engagés dans ce combat disproportionné. Initialement, ce combat pour le respect de sa propre personne physique et morale était alors de s’opposer à Big Pharma et sa prise de pouvoir sur les populations. Dans les faits, ce n’était que la pointe du navire mondialiste…

De bien viles personnes contre le courage d’une seule femme, Virginie de Araujo-Recchia

Ariane Bilheran, avec la participation de l’hebdo Antipresse sur les numéros 398 et 399, reçoit Maître Virginie de Araujo-Recchia pour revenir sur les faits de son arrestation en mars 2022. Ariane Bilheran est philosophe spécialisée en philosophie morale et politique, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie spécialisée dans l’étude de la manipulation, de la déviance du pouvoir, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme. Virginie de Araujo-Recchia est donc une avocate française et notamment auteure du rapport « Dictature 2020, terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et crime contre l’humanité ». Elle a aussi participé au Grand Jury, tribunal d’opinion public international organisé comme modèle de procédure, afin d’informer au plus grand nombre les populations de la dérive totalitaire s’infiltrant dans tous les gouvernements des pays dits « démocratiques ».

Son arrestation en 2022 est faite par la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), qui a entre autres pour mission la lutte contre le terrorisme, la répression.

Source Antipresse n° 398, quelques extraits :

Tout a été passé au peigne fin : dossiers de comptabilité, documents personnels, banque, photographies de famille, archives, carnets, articles de la presse alternative, qu’un des juges d’instruction a estimé être à charge et qu’il a conservés. En principe, et étant donné la faiblesse du dossier, je pouvais tout simplement être convoquée afin de répondre aux questions des enquêteurs de la DGSI. Il n’était pas utile de dépêcher une douzaine de personnes à mon domicile, de perquisitionner l’avocat que je suis, et de me mettre en garde à vue pendant soixante heures afin de m’interroger.

Ainsi, une fois dans les sous-sols de la DGSI, j’ai souffert différentes techniques d’humiliation destinées à me faire perdre mes repères et mon amour-propre ; je ne rentrerai pas dans tous les détails, mais j’ai notamment subi le sac sur la tête lors des déplacements constants entre lesdits locaux et le Tribunal judiciaire de Paris. J’ai également passé une partie de ma garde à vue dans une cellule froide équipée de néons et de caméra, sans aucune hygiène, malgré mes demandes. J’alternais entre la cellule, les menottes et les interrogatoires ubuesques, qui ont duré une dizaine d’heures.

Étant donné que l’on ne me reproche pas autre chose que d’avoir produit des analyses juridiques et uniquement des analyses juridiques, par quel miracle aurais-je pu commettre ou être complice d’un acte de terrorisme au sens de l’article 421-1 du Code pénal ? Où est donc la logique, n’y a-t-il pas là une contradiction fondamentale ?

Source Antipresse n° 399, quelques extraits :

Nous vivons aujourd’hui dans le cadre d’un régime manifestement totalitaire. Il est donc parfaitement logique que des spécialistes élèvent leurs voix afin de rappeler quels sont les valeurs, les principes, les règles applicables, et que de nombreux Français relèvent les irrégularités, les infractions commises et tentent d’alerter le reste de la population, sachant que les médias grand public font office de modèle de propagande au sein de ce monde occidental putréfié.

Ainsi, étant donné que la qualification de terrorisme est désormais de plus en plus couramment mise en avant, et que les opposants au totalitarisme mondialiste sont considérés de toute façon comme étant des criminels tant au niveau national que d’après les organisations internationales telles que l’OMS, le glissement n’est pas uniquement hypothétique.

Quelle en sera la résultante ? Les avocats ne souhaiteront vraisemblablement pas prendre le risque de défendre un opposant au régime (ou du moins aux mesures prises), de peur de subir le même sort que le mien. Il s’agissait d’ailleurs probablement d’un signal adressé à mes confrères, afin que chacun rentre dans le rang, même si les constats sont évidents, et que l’avocat par son métier a toujours participé aux débats d’intérêt public, tout simplement parce qu’il est l’un des mieux placés pour faire l’exégèse des textes.

Me Virginie de Araujo-Recchia
Le 30 mars 2022

Maitre Virginie de Araujo Recchia, septembre 2022, au colloque Lisbonne, ou « l’inversion de la norme juridique »

Maître Virginie de Araujo-Recchia rappelle et énumère ce qui s’est juridiquement passé dès 2020 :

  • Atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes
  • Violation de la liberté individuelle
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité humaine contre toutes formes d’asservissement et de dégradations
  • Violation de la liberté de circuler et de liberté d’aller et venir
  • Violation du principe général de mener une vie familiale normale par l’interdiction de rendre visite à un proche en EHPAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toutes possibilités de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitements
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler
  • Violation de la liberté de culte
  • Violation du droit à l’éducation
  • Manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public
  • Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en matière
  • Épidémie de tests PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade
  • Interdiction de traitement contre la covid19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire
  • Homicide par administration du Rivotril dans les EHPAD
  • Crime contre l’humanité et rappel du Code de Nuremberg
  • Acte de maltraitance et torture à l’égard des enfants

Tout juriste doit être stupéfait de ce qui s’est passé dans nos pays.

Maître Virginie de Araujo-Recchia décrit la situation géopolitique actuelle et son organisation autour d’un axe fait de corruption systémique

Nous constatons que les sociétés transnationales forment une structure géante de nœud papillon et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies. Lorsque les institutions d’un État dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des Droits des Peuples ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression. Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux, ce qui il y a de plus bas sur la pyramide des normes juridiques, ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel, c’est-à-dire ce qu’il y a de plus élevé sans que ces textes ne soient remis en cause ou invalidés, alors que lesdites mesures étaient disproportionnées et contraires à bons nombres de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprêmes du Corpus Constitutionnel. L’Etat de Droit a donc cédé à l’arbitraire.

À ce titre, les chefs d’accusation suivants sont énumérés :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des Français en état de suggestion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement
  • Complicité d’extorsion et de tentatives d’extorsion de consentement
  • Tromperie aggravée et tentatives de tromperies aggravées commises en bandes organisées
  • Escroqueries et tentatives d’escroqueries
  • Complicité d’empoisonnement et tentatives d’empoisonnement
  • Participation à une association de malfaiteurs
  • Crime contre l’humanité
  • Génocide et complicité de génocide

Les 10 plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22 000 milliards de dollars comme avec BlackRock ou Vanguard, il y a alors une situation d’oligopole. Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion. Le forum de Davos (le WEF) et son pouvoir illégitime est aussi développé avec Le Great Reset, ses Young Global Leaders et sa 4e révolution industrielle promue par Klaus Schwab, son fondateur. Macron met en œuvre Le Great Reset depuis 2021, les corrélations sont frappantes. Les cabinets de conseil sont cités comme Mac Kinsey dont son « narratif sanitaire » s’est factuellement répandu dans le monde.

Il semble donc que Mac Kinsey a un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé, toujours parmi les 5 principaux prestataires de services professionnels de la fondation Gates… La fondation Gates a dépensé au total plus de 300 millions de dollars en cabinet de conseil Mac Kinsey et BCG entre 2006 et 2017. Un rapport Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées. Le média grand public reçoit les informations de Reuters ou de l’AFP, l’Agence France-Presse. Cette dernière aurait reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital de sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech, Moderna, etc.. Les investissements des diverses sociétés autour de Gates le positionnent en cumulé 1er financeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna…

Conclusion de Maître Virginie de Araujo-Recchia :

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples. En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène leurs peuples au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amenés à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.

Retrouvez Maitre Araujo-Recchia sur son site juridique.




L’injonction de la Secte SHAA en mode rouleau compresseur

Par Lucien SA Oulahbib

Malgré son côté abracadabrantesque, le rouleau Scientiste Hygiéniste Affairiste Alarmiste (SHAA) broie, brise, assassine en ciseaux façon Psychose et Les oiseaux en même temps, mais avec le sourire d’ange grand média qui cache la misère derrière les caméras alors qu’il suffirait d’aller dans les studios pour observer le côté peu ragoûtant de la tambouille : un peu d’info, beaucoup de manip à coup de chiffres, annonceur façon bateleur des grands magasins d’autrefois ou encore aujourd’hui chez les commissaires priseurs à Drouot — « approchez mesdames et messieurs du jamais vu depuis 100 000 ans ! 150 000 à droite, une fois, deux fois, 200 000 à gauche, tâtez de mon incendie exceptionnel ! Et ma tornade vous en prendrez bien une part ?… »

Mais si les écoles brûlent en sus des bus et des piscines pendant que cela surine au moindre regard fier (car les autochtones en France n’ont plus droit de l’être), la Secte s’empressera plutôt de s’acharner sur les citoyens qui portent secours, jusqu’à SOS éducation considéré comme n’ayant rien d’éducatif, alors que des millions d’euros sont déversés pour soutenir les Azertiens (des TQ+ ayant pris le pouvoir sur les LGB et les hétéros bien sûr) afin de promouvoir non pas la lutte contre la discrimination, mais l’effacement des sexes considérés comme étant seulement des rôles que l’on peut venir habiter à sa convenance.

Sans parler de cette attaque méprisable, canaille, sur l’autre face de l’habitation, la propriété, celle des biens (en principe inaliénable selon l’article 2 de la DDHEC, bafoué de plus en plus) que des « députés » nihilistes et sansfrontièristes néoléninistes osent désigner comme étant prenables (comme dans une orgie échangiste) par qui veut, à partir du moment où un juge (entre deux sursis pour un viol ou un meurtre fait sur un autochtone nouvelle chair à canon) en donnera la permission. Même le Conseil Constitutionnel en a perdu son latin. Sans oublier également tout ce qui se prépare le 25 août 2023 qui va être encore pis que le 5 août 2021 lorsque les droits fondamentaux avaient été abolis en pratique via le fameux passe qui les a trépassés, même si formellement et comme le fait l’architecture restauratrice la façade restera intacte avec avis « positif » des Conseils (État, Constitutionnel…) pour faire croire que tout va pour le mieux monsieur la Marquise, alors que l’incitation à la « révolte » est pourtant protégée par le même article 2 lorsqu’il s’agit de « résister à l’oppression »

Et qui décidera ce qui « est » haineux ou pas ? Et en quoi la haine devrait-elle être mise au même rang que l’injure raciale à partir du moment où il s’agit de repousser ce qui fait mal, blesse, assassine ? La haine est naturelle. Elle fait partie du phénomène de répulsion qui permet aux anticorps de faire leur travail de protection. Mais comme aujourd’hui même la possession de ses « propres » anticorps est considérée comme « égoïste », « capitaliste », on préfèrera acheter avec l’argent public de vrai/faux anticorps qui, à la différence de l’amour drugstore, dure trois mois au lieu de trois ans…

Mais comment cette piétaille, cette mélasse, réussit encore à vendre sa salade faite de niaiseries (inflation, guerre gagnée contre les Russes, mais oui) avec ses chiffres gonflés à l’hélium idéologique à coup de 60 degrés ici et là, jusqu’à annuler la conférence d’un prix Nobel de physique sur la question climatique, jusqu’à aussi considérer que la lutte contre la pédocriminalité serait de caractère antisémite, amalgamant tout pour mieux noyer le poisson (d’où le boycott lamentable en France du film Sound of freedom) et le soutien sans failles à cette peintre mettant pourtant en équivalence les corps de tortionnaires et d’enfants violés alors que JAMAIS un violeur ne se mettra nu devant sa victime (JAMAIS). On voit donc bien que cette Secte à l’esprit canaille de gangsters avides est prête à tout. Elle sent ce fumet SS ou tchékiste allant voler ces tableaux de maître parce qu’ils étaient la propriété des maudits.




Elon Musk, l’homme de main des mondialistes

Par @rybar

Elon Musk est un projet de relations publiques des élites mondialistes. Dans l’espace médiatique, y compris en Russie, une image positive d’Elon Musk a été formée. Il est un entrepreneur prospère et propriétaire de TESLA, SpaceX et STARLINK, un conquérant de l’espace visionnaire et un vendeur excentrique de lance-flammes contre les zombies. Mais derrière cette façade colorée se cache un empire technologique profondément intégré au complexe de l’industrie militaire américaine.

L’entrepreneur ambitieux s’est fait connaître en 2001 lorsqu’il a exprimé l’idée de conquérir l’espace et de voler vers Mars. Ceci était en soi très inhabituel pour une personne qui n’a aucune expérience spécialisée et aucun financement approprié.

L’étape suivante était encore plus intrigante, Musk est venu en Russie pour acheter un moteur-fusée. Les négociations ont abouti à une impasse, même si le but de la visite était probablement de se faire une belle image médiatique. Après la visite, Musk a annoncé la nécessité de créer son propre moteur.

Encore plus intéressant : en 2002, SpaceX est créée, dont la direction est transférée à Tom Muller, qui dirigeait auparavant le développement d’un moteur à hydrogène dans la société militaire TRW, qui devint plus tard une partie de la géante entreprise militaire Northrop Grumman. Le public est convaincu que le dirigeant d’entreprise, travaillant sur le projet de moteur à hydrogène très prometteur, financé par la NASA et l’armée US, se rendait dans le « garage » d’Elon Musk pour y travailler sur un moteur oxygène-kérosène basique.

Tom Mueller n’arrive pas seul dans le prétendu garage de Musk. Il apporte avec lui une équipe d’ingénieurs talentueux autorisés à consulter des informations classifiées, il amène également une technologie secrète et des brevets appartenant à son ancienne entreprise. Et tout cela se passe facilement et naturellement sans conséquences graves pour SpaceX.

L’équipe SpaceX dirigée par Tom Muller a réussi à fabriquer son moteur Merlin en moins de 4 ans. Pour référence : la création d’un moteur-fusée à partir de zéro nécessite environ 10 ans de développement scientifique, la fabrication de centaines de prototypes et la réalisation de nombreux essais. Mais le public est convaincu que Musk travaille presque seul dans son garage par pur enthousiasme.

Par la suite, Musk a déclaré que la conception du moteur russe RD-180 était sans faille, alors que les géants comme Boeing et Lockheed Martin rencontraient des difficultés à développer leurs propres moteurs similaires. Les reproches publics aux géants américains ont été exprimés par le propriétaire de la petite startup de l’époque. Les reproches étaient néanmoins justifiés, le Congrès américain a interdit l’achat de moteurs russes en 2014, mais un an plus tard, l’interdiction a été levée en raison de l’absence d’alternative aux États-Unis. Cela suggère que la création d’un moteur-fusée est extrêmement difficile, même avec les ressources matérielles, humaines et financières « illimitées » des géants de l’industrie aéronautique US.

Musk ne s’est pas arrêté à cela. Il a rapidement présenté au public le moteur Merlin, le lanceur Falcon et un système de contrôle entièrement compatible avec les systèmes de Cap Canaveral et les systèmes de lancement de la base aérienne de Wanderberg. Concevoir un système de contrôle comprenant des centaines de canaux via une interface électronique, des canalisations, des systèmes pneumatiques et hydrauliques sans avoir un accès complet à la documentation militaire secrète est irréaliste.

Cela a été suivi de deux lancements réussis de fusées Falcon 1 qui ont été financés par le centre de recherche de l’armée US.

Suite au départ de Tom Mueller et au rachat de TRW, le géant de la défense Northrop Grumman a enfin poursuivi SpaceX pour avoir volé ses brevets et débauché une équipe d’ingénieurs qui travaillaient auparavant chez TRW et qui utilisaient leur expérience et leurs connaissances. Mais la petite startup inconnue a réussi à défendre sa position devant le tribunal et à régler le procès. Compte tenu du déséquilibre du rapport de force entre les deux entreprises, une telle issue à ce procès semble extrêmement inhabituelle.

Autres projets de Musk :
Nous avons déjà abordé le projet de Musk d’implantation de puces dans le cerveau.

Le projet Starlink ne semble pas moins intéressant. Le réseau de satellites peut être utilisé à des fins militaires. À l’avenir, ce système est prévu pour nécessiter un accès à Internet à l’aide d’une carte d’identité numérique (digital ID). Une autre application de Starlink est son intégration dans le système de défense antimissile américain.

Les projets civils et moins réussis de Musk, tels que Tesla, la maison intelligente à énergie solaire SolarCity, le système de voyage à grande vitesse Hyperloop et les systèmes de production et de stockage d’énergie « verte », s’intègrent bien dans l’agenda « écologique » et peuvent non seulement attirer l’attention du public, mais aussi des financements de la part des grands fonds intéressés à établir un contrôle sur la production mondiale par le contrôle des autorisations de consommation d’énergie.

Que se cache-t-il derrière Musk ?
Il est évident qu’Elon Musk est un projet de marketing réussi de la DARPA, du renseignement américain, des fonds d’investissement mondiaux et des élites financières, y compris le WEF.

La figure de Musk en tant qu’entrepreneur « indépendant » permet de masquer les financements de la NASA, de l’armée US et des grands investisseurs.

L’image positive qui est habilement créée dans les médias, notamment par l’achat de réseaux sociaux et la manipulation publique de cryptomonnaies, est une nouvelle forme de couverture idéale dans le monde numérique moderne.

Linda Iaccarino, nommée par Musk au poste de directrice de Twitter, travaille en parallèle au WEF. Iaccarino est présidente du groupe de travail du WEF sur l’avenir du travail et membre du comité directeur du WEF pour les médias, le divertissement et la culture. Elle est également activement impliquée dans l’initiative Value in Media. Ainsi, l’absence de censure dans le réseau social repris par Musk est très probablement une simple illusion.

Elon Musk lui-même était, il n’y a pas si longtemps, en 2008, l’un des Young Global Leaders du WEF. Ceci est confirmé par les données de Bloomberg et de l’Université d’Oxford.

Avec ce niveau de soutien, il n’est pas surprenant qu’Elon Musk obtienne « de manière inattendue » des projets qui dépassent les capacités des vétérans de l’aérospatiale, de la défense et des médias américains.

Sources :

https://t.me/actualiteFR/21431
https://rybar.ru/ilon-mask-pr-proekt-globalnyh-elit/
https://t.me/actualiteFR/21432




Canicule et Climat : le grand mensonge des « fact-checkers »

[Source : reinformation.tv]

Par Pauline Mille

Les religionnaires du réchauffement du climat par l’homme sont les premiers à dire, quand l’Amérique du Nord gèle, qu’il ne faut pas confondre météo et climat. Mais dès que le soleil paraît, ils s’en rendent coupables. Et sous prétexte qu’il a fait un peu chaud sur la Côte d’Azur et en Corse, nos médias crient à la canicule exceptionnelle. Mais deux événements ont mis à mal ce pharaonique travail de propagande : la reprise virale du tweet d’un architecte italien signalant un record de chaleur à Rome en 1841 (qui contredit évidemment les jérémiades sur le faux record actuel), et une bévue de Mathilde Panot. L’élue de la France insoumise a en effet assuré à la télévision que le 7 juillet avait été la journée la plus chaude « depuis cent mille ans ». Aussitôt la presse a fait donner ce qu’on nomme ses « fact-checkers », ses vérificateurs de faits. La lecture de leur littérature édifiante : sous prétexte de rectifier la vérité, elle renforce le mensonge.

Les fact-checkers marquent contre leur camp

L’analyse exhaustive en demanderait un livre, mais la conclusion qui s’impose est que, sous couleur de « vérifier des faits », ces « fact-checkers » s’emploient au contraire à les travestir, tout en avouant maladroitement qu’ils n’ont pas les moyens de contredire la thèse qu’ils ont pour mission de démolir. Les vérificateurs de France Info, qui jugent « peu probable » le record romain de 1841 au terme d’un plaidoyer alambiqué, affirment tout bonnement qu’un « tel événement ne remet pas en cause la réalité du réchauffement climatique », CQFD. Quant aux vérificateurs de 20 Minutes, tout en jugeant « trompeur » le record de 1841, ils apportent des arguments et des données qui vont dans le sens contraire.

Le climat romain a toujours été chaud

Les voici. Une température de 33,6 degrés Réaumur, soit 42 degrés Celsius, a été observée le 27 juillet 1841 à la station météo du Collegio Romano située dans le centre de Rome. C’est ce qu’a confirmé aux Fact-checkers de 20 Minutes Luigi Iafrate, du CREA, le centre de recherches dépendant du ministère de l’agriculture italien qui gère la station, laquelle enregistre les températures depuis 1782. Alors ? Iafrate précise : « L’absence, à cette époque, d’un hangar météorologique de conception moderne (introduit dans l’utilisation des relevés météorologiques après 1850), me fait penser que la donnée devrait être révisée et soumise à validation. »

La canicule dans tous ses records

En somme, quand une donnée ne plaît pas, on l’écarte. Mais une observation du collège romain le 4 juillet 1905, a été « validée » et constitue un record, qui, selon Iafrate, du CREA, « n’a pas encore été battu », puisque la température enregistrée au Collegio Romano le 18 juillet 2023 n’a été que de « 39,3 degrés ». Le record absolu de chaleur à Rome vanté par les médias (41,8) a été enregistrée dans une autre station, CSOA Forte Prenestino, dans l’est de la ville, qui n’est pas la station de référence internationale pour Rome. On peut en tirer deux leçons. 1. La presse s’est emballée sur une mesure qui n’a rien d’officiel. 2. Si l’on observe la situation toutes choses égales par ailleurs, il a fait moins chaud à Rome, officiellement, en 2023 qu’en 1905. Peut-être a-t-il fait un peu plus chaud dans l’est de la ville, mais il faudrait pour l’affirmer produire la mesure de 1905. Tout cela mène, de l’aveu même des gens payés pour défendre la thèse officielle, à ce que parler de record de chaleur comme on le fait n’a pas de sens.

Le mensonge des médias dit la vérité des politiques

Dans ces conditions, les vaticinations de Mathilde Panot sont bien évidemment, du point de vue de la raison, une absurde rigolade. Mais en même temps, elles disent la « vérité » politique du moment, l’ardente obligation qui nous est faite de croire à l’incroyable, cette menace de catastrophe qui doit guider l’action des politiques, des collectivités et des particuliers. C’est pourquoi, là encore, les fact-checkers, avec un sens du devoir digne de meilleures causes, sont venus à son secours. TF1, dans un article de plusieurs dizaines de lignes dont la conclusion était que l’affirmation selon laquelle il n’avait jamais fait aussi chaud en 100 000 ans que le 7 juillet 2023 était « vraie », a réussi à établir, en tout et pour tout, que les températures relevées ce 7 juillet étaient supérieures à celles du 16 août 2016. France Info, quant à elle, se lançait dans une série « d’estimations » fuligineuses à travers la dernière glaciation et l’Holocène, en omettant tous les optima climatiques connus pour conclure sans trembler que l’assertion de Mathilde Panot était « très probable ». Notre système politique, dont les médias ne sont qu’une déclinaison, se caractérise par un déni systématique de la réalité, au profit d’une injonction politique et morale édictée par la révolution mondialiste.




La vente incitative du vaccin contre le VRS

[Source : @TheAmir]

Par Dr Samantha Bailey

Il n’y a rien de tel qu’un acronyme de trois lettres pour attirer l’attention du public, et le « VRS » (virus respiratoire syncytial) est l’une des dernières craintes en date.

L’hypothèse du virus est une impasse scientifique et pourtant le VRS est plus que jamais accusé d’être à l’origine de décès chez les jeunes enfants et les personnes âgées.

Quel type de maladie le VRS est-il censé provoquer et qu’ont découvert les scientifiques chez les chimpanzés dans les années 1950 ? Tous les chemins mènent à Big Pharma, un autre scandale médical allopathique…

Références

[À partir de 1:45]






Répression accentuée à venir contre la critique scientifique sur l’alarmisme catastrophiste

Par Lucien SA Oulahbib

L’alliance NUPES-Renaissance enfin révélée au grand jour : ces deux faces de la même médaille sectaire veulent accentuer leur emprise sur la perception en général du monde en tentant d’échafauder une perception particulière celle d’une énième loi scélérate visant à bannir toute critique lucide réaliste sur leurs élucubrations dites « climatiques » qu’ils confondent d’ailleurs désormais sans précaution avec les aléas météo (alors qu’il faut trente ans pour établir une tendance).

C’est abject (mais pour la « bonne cause » dirait l’ex GPT Pain…). Alors qu’aucune corrélation n’a été établie entre augmentation du CO2 (qui est bon pour la planète) et activités humaines (les 3/4 du CO2 dans l’atmosphère étant déjà là avant les années 1940 au dire d’un François Gervais… spécialiste du… CO2…)

Et puis le Sahel reverdit, la croissance céréalière en résultant devient de plus en plus un bienfait contre la famine, toujours endémique. Mais les pyromanes restent à l’affût, profitant des hautes températures estivales dans certains endroits (car il a toujours fait très chaud l’été en Grèce, Italie, Californie, et c’est pour cela que les touristes en particulier provenant du Nord y vont…) pour sévir, permettant ainsi à des prophétesses catastrophistes illuminées de prédire la « fin des temps », comme dans Tintin et l’Étoile mystérieuse…

Ainsi la Secte (SHAA) sévit, loin de tout doute pourtant à la base de l’esprit scientifique comme l’indiquait Descartes (pas étonnant qu’il ait été écarté tout comme Molière du Panthéon…). La République (la politeia) française ne commençant pas en 1789, mais — du moins formellement — en 987 avec Hugues Capet, les courants sectaires qui n’ont jamais compris cet esprit pas plus que la démocratie ni même sa constitution moderne (exit l’article 2 de la DDHEC par exemple) profitent de leur position hégémonique dans les médias et les institutions académiques (grâce à leur manipulation des chiffres et la pratique léniniste d’éliminer tout concurrent : ainsi Bourdieu promu par Aron qui s’en mordit les doigts comme il l’explique dans ses Mémoires…) pour cette fois jeter le masque voltairien et adopter en plus du masque hygiéniste la main de fer, mais toujours dans un gant de velours (rapiécé) afin de tromper le bac +3 (voire 4 ou 5, soyons généreux) socle d’une génération urbaine avide de se voir plus grande qu’elle n’est dans le déformant miroir médiatique, pas étonnant qu’elle vote pour l’une ou l’autre des deux faces de cette médaille sectaire (NUPES/Renaissance) dont les porteurs sont devenus, mais sans le dire, les plus fanatiques avec un seul mot d’ordre : « fanatiques de tous les pays et obédiences unissez-vous ! ».

Décidément le débat est clos, de leur part. Reste donc plus que la guerre : see you in the field [sur le terrain, ou sur le champ de bataille.]




Coup d’État Mondial de l’OMS — Première Partie

[Source : AGORA TVNEWS]

Introduction et présentation de la conférence du 13.05.2023 avec le Professeur Christian Perronne, le Dr Astrid Stuckelberger, le Dr Geert Vanden Bossche et l’avocat suisse Philipp Kruse organisée par Réinfo Santé Internationale. Présentation de l’OMS par Delphine Héritier de Barros et Shehnaz.

Avec l’apparition du nouveau traité pandémique contraignant pour les pays signataires et des modifications du Règlement Sanitaire International qui prévoient des décisions au-dessus de l’autorité des pays et qui impacteraient les libertés de la population, quels sont les réels enjeux pour les 194 états membres de l’OMS et comment sortir d’un totalitarisme qui se précise avec le suivi des populations ?

[À partir de 5:00]




Défis de santé publique mondiale avec l’OMS et l’ONU : De la biologie à la population

[Source : Réinfo Santé Suisse International]

L’expérience de la structure et des systèmes complexes des Nations unies (dont l’Organisation mondiale de la santé est le chef de file en matière de santé mondiale) de la Dr Astrid Stuckelberger lui permet de mettre clairement en évidence les incohérences de l’urgence de santé publique Covid-19. Elle nous détaille :
– ce qui a été fait contrairement aux normes précédemment établies dans la gestion d’une épidémie
– ce qui aurait dû être fait pour préserver la santé de la population

Dr Stuckelberger nous partage divers plans de contrôle de l’OMS tels que :
– la numérisation de la santé
– l’édition du génome à l’intelligence artificielle

Elle mentionne également les conflits d’intérêts de l’organisation ainsi que l’influence de l’industrie dans la politique de santé publique. Bien au-delà de la politique et de l’argent, elle affirme qu’il s’agit d’une guerre physique et spirituelle contre l’humanité, et que la réponse la plus dangereuse est de rester silencieux.

[Voir aussi :
Déclaration sur l’isolement des virus
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
et plus généralement les nombreux articles des dossier Vaccins et virus, 5G et ondes pulsées, Climat et Implants numériques qui apportent des informations complémentaires par rapport à ce que mentionne Astrid dans sa conférence.]

www.astridstuckelberger.com
www.reinfosante.ch

[À partir de 5:00]






Restaurer le noyau spirituel de l’Église

Informations pour les évêques des cinq continents

Par Patriarcat Catholique Byzantin

Restaurer le noyau spirituel de l’Église

Par Patriarcat Catholique Byzantin

vidéo :



Dans la seconde moitié du XIXsiècle, sous l’influence des Lumières, du darwinisme athée et de courants philosophiques négatifs, un courant hérétique appelé Modernisme s’est introduit dans l’Église. Les mots « science » et « démarche scientifique » deviennent magiques, mais le Dieu vivant n’a pas sa place dans le modernisme. En 1907, le pape saint Pie X a été contraint d’expulser près de la moitié des séminaristes et des professeurs. Bien que le modernisme ait été interdit, les crypto-modernistes ont réussi, en l’espace d’un demi-siècle, à promouvoir Jean XXIII comme pape, en collaboration avec les francs-maçons. Jean XXIII a convoqué un concile et a choisi ces mêmes personnes comme modérateurs du concile, qui a complètement ouvert l’Église au monde. Aujourd’hui, le fruit de cette tendance hérétique est le pseudo-pape Bergoglio, qui a même légalisé le péché d’homosexualité et intronisé le paganisme par un rituel public avec le démon Pachamama.

Sous le couvert de la méthode historico-critique, le modernisme a nié l’inspiration divine des Écritures. Après le Concile de Vatican II, ces hérésies cachées ont pénétré dans toutes les facultés de théologie.

S’adressant aux théologiens libéraux, le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, a déclaré :

« … Je m’étonne de l’habileté des théologiens qui parviennent à représenter l’exact opposé de ce qui est écrit dans des documents clairs du Magistère pour ensuite présenter cette inversion, avec d’habiles procédés dialectiques, comme le “véritable” sens des documents en question ».

Après sa conversion, le professeur Linnemann, élève de Bultmann, a commenté cette pseudo-science comme suit :

« La théologie historico-critique (THC) est basée sur un mensonge. La science n’est donc pas synonyme de vérité, mais une rébellion contre Dieu qui supprime injustement la vérité. Si quelqu’un veut servir Dieu (et étudie la théologie hérétique contemporaine), son esprit doit s’abandonner à l’athéisme. Les sentiments pieux lui sont gracieusement permis, mais son esprit doit accepter l’axiome athée essentiel selon lequel Dieu n’existe pratiquement pas. C’est une perversion ».

En résumé, ces experts théologiques autoproclamés ne connaissent pas du tout l’essence spirituelle des Saintes Écritures et n’admettent pas que l’auteur principal de la Bible soit le Saint-Esprit. Ils n’ont pas été et ne sont pas d’humbles hommes de foi et de prière. Ils n’expliquent pas la Bible, mais détournent les croyants de son essence par des hérésies cachées. Ils ont créé de fausses théories sur le Christ de l’histoire et le Christ du mythe. La motivation de leur soi-disant recherche est l’effort consistant à adapter les Écritures à l’esprit du monde.

« Une exégèse dans laquelle la Bible ne vit plus et n’est plus comprise dans l’organisme vivant de l’Église devient de l’archéologie : les morts enterrent leurs morts »

(Card. Ratzinger, 1984).

Où cette soi-disant théologie scientifique allemande a-t-elle abouti ? Dans le parcours synodal allemand qui promeut le mariage gay et queer. Cette théologie a été publiquement condamnée par le Card. Müller :

« Tout cet établissement de l’ecclésiologie catholique allemande est trompeur et suicidaire ».

La racine de la soi-disant science historico-critique doit être clairement identifiée comme étant empoisonnée :

« Il a été décidé de s’opposer à la parole de Dieu en tant que vérité révélée… Cette méthode n’est pas scientifique, mais démagogique »

(Prof. Eta Linnemann).

Prétendre que les Évangiles sont nés longtemps après le Christ est une manipulation évidente. Une personne raisonnable qui transmet un enseignement important à d’autres, et qui veut que ceux-ci le transmettent avec exactitude, utilise toujours une base écrite. Il existe d’ailleurs un dicton bien connu :

« La lettre écrite demeure ».

3 000 Juifs se sont convertis le jour de la Pentecôte. Ils ont été baptisés et remplis du Saint-Esprit. Beaucoup d’entre eux étaient des pèlerins de différentes nations (Actes 2). Afin d’éviter les contradictions, il fallait donner un fondement écrit clair, sur lequel ils avaient déjà construit pendant la mission et à l’autorité duquel ils faisaient appel. Deux évangiles ont été rédigés immédiatement après la Pentecôte. L’apôtre Jean et l’apôtre Matthieu furent chargés de cette tâche. Quelque temps plus tard, Marc a abrégé l’Évangile de Matthieu, et Luc a omis quelque chose et ajouté quelque chose. Mais avant tout, il est nécessaire de comprendre que c’est le Saint-Esprit qui est l’auteur des Saintes Écritures. L’Écriture est la parole de Dieu qui nous est donnée pour notre vie, afin que nous suivions le Christ dans le but d’obtenir la vie éternelle.

Aujourd’hui encore, pour que la parole de Dieu soit une véritable nourriture spirituelle et qu’elle soit interprétée correctement, le prédicateur a besoin de l’inspiration de l’Esprit de Dieu : le don de prophétie. Sans cet Esprit de vérité, le ministère de la parole de Dieu ne serait qu’un discours creux. Une telle prédication n’amènerait personne à la conversion et ne donnerait à personne la force de lutter contre le péché. C’est pourquoi le serviteur de la parole de Dieu doit être une personne qui a un contact avec Dieu dans la prière personnelle, et qui s’efforce de vivre ce qu’il prêche. Une telle personne reçoit alors une force spirituelle pour prêcher la parole.

La période de crise que traverse actuellement l’Église exige une nouvelle formation du futur sacerdoce. Les principes de base suivants sont nécessaires :

1) Le premier principe est de passer par des exercices spirituels

Dès le début, les étudiants doivent être conduits à une profonde conversion personnelle et à une relation avec le Christ. Il est également nécessaire qu’ils reçoivent spirituellement la Mère de Jésus, comme le disciple près de la croix. En outre, ils doivent s’ouvrir à l’Esprit de vérité et renoncer aux fausses voies. Ces fausses voies sont les hérésies et la pseudo-spiritualité New Age avec l’ésotérisme, l’occultisme et la vénération du paganisme. Cette purification spirituelle est tout à fait d’actualité.

2) Le deuxième principe est la théologie à genoux.

Les étudiants ont besoin d’être enracinés dans le Christ. Mais cela demande beaucoup d’efforts. Cela signifie que les étudiants doivent devenir des hommes de prière. Dans la prière intérieure, la vraie sagesse de Dieu leur sera révélée pour la connaissance des Écritures, mais aussi pour l’orientation dans le combat spirituel de la vie pour le salut de l’âme.

3) Le troisième principe spirituel est la fraternité (koinonia)

Une fraternité vivante nous aide à nous purifier de l’orgueil incarné par notre ego. Saint Basile explique que le moyen le plus efficace de se purifier de notre égoïsme caché et profond n’est pas l’ascèse hermétique, mais plutôt une petite communauté.

Si cette base est construite, il suffit de connaître quelques principes pour commencer à étudier la Bible. Tout d’abord, les étudiants doivent connaître les Saintes Écritures, c’est-à-dire qu’ils doivent les lire. Ensuite, ils doivent être initiés à la profondeur de la parole de Dieu. La prière intérieure, la volonté de suivre le Christ et une véritable autocritique, c’est-à-dire l’humilité, jouent ici un rôle important. Ensuite, c’est l’auteur des Écritures Lui-même, le Saint-Esprit, qui les introduira dans cette profondeur (de la parole de Dieu). Il est également important de consacrer du temps ensemble, après la prière, à l’interprétation, avec la participation d’autres personnes, afin de se préparer au ministère de la parole.

Les cellules bibliques et de prière doivent être composées de quatre à sept séminaristes. Ils doivent y faire l’expérience personnelle de Dieu et se former personnellement à la parole de Dieu dans le vrai repentir, c’est-à-dire dans la purification spirituelle. Les saints parlent du chemin de la purification, de l’illumination et de l’union. Après une telle étude de la théologie, les séminaristes seront capables de prêcher des principes sains, une dogmatique et une doctrine solides, ainsi qu’une foi vivante qui les rendra prêts à affronter le martyre pour l’amour du Christ. Ils transmettront alors la vie spirituelle et renforceront plus tard d’autres cellules saines et renaissantes de l’Église. Par la force de la parole et de l’Esprit, ils transformeront les chrétiens tièdes en disciples du Christ, en martyrs (Mt 28,19). Ils poursuivront eux-mêmes leur formation sacerdotale dans les cellules vivantes des communautés sacerdotales.

Cela signifie que les prêtres mèneront une vie semi-religieuse. Deux jours par semaine, ils se réuniront pour prier, se consacrer à la parole de Dieu et à la communion fraternelle, afin de puiser lumière et force pour les jours suivants de leur ministère. Là où ils se trouvent, ils feront des hommes des disciples pour construire leur église d’origine. Les disciples et leurs épouses pourront alors témoigner du Christ de manière authentique au contact des autres. Les familles converties se réuniront et s’encourageront mutuellement dans la fidélité au Christ face à la forme moderne de la persécution. Elles partageront leur expérience de l’éducation des enfants et de leur protection contre la pression extrêmement destructrice de l’esprit de ce monde. Elles se donneront mutuellement l’exemple de la suite du Christ.

Les prêtres qui auront aussi leur fraternité sacerdotale transmettront leur expérience aux communautés laïques : comment lutter contre l’orgueil de son propre égoïsme, comment s’humilier, comment se priver, comment vaincre l’esprit de mensonge, comment unir sa douleur au Christ crucifié dans la prière intérieure. Ce ferment spirituel imprégnera alors toute la chrétienté. Le christianisme redeviendra le pilier de la vérité et le sel du monde.

L’Église chrétienne primitive de Jérusalem avait quatre principes de base : la prière, l’enseignement des apôtres, la communion fraternelle et l’eucharistie (cf. Ac 2,42). Si les communautés vivantes sont construites sur ce fondement, tous feront l’expérience de la promesse de Jésus :

« Si vous demeurez dans Ma parole, vous êtes vraiment mes disciples. Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres »

(Jn 8,31s).

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 30 juin 2023

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« Elle est encore ma fille, elle restera à jamais ma fille » : une mère se fraye un chemin à travers le mouvement transgenre

[Source : epochtimes.fr]

« Pourquoi prendre un corps sain et en faire un patient médical à vie ? »

Telle est la question qu’Amy s’est retrouvée à poser à sa fille adolescente, aux communautés médicales et scientifiques, et à la société dans son ensemble. Pour une mère qui n’a pas pu empêcher la transition de genre de sa fille, c’est plus qu’une question : c’est un cri de détresse.

Amy, comptable à Long Island, menait une vie normale avec son mari et ses deux enfants, un fils et une fille. Puis son monde a basculé. Elle a parlé de son épreuve à Epoch Times.

Une annonce qui a fait trembler la terre

En novembre 2019, la cadette d’Amy, Sage, une étudiante en deuxième année d’université âgée de 19 ans, a choqué ses parents en leur révélant qu’elle s’identifiait non pas à leur fille, mais à leur fils.

[Voir aussi :
Une mère récupère sa fille des griffes du programme Trans d’un collège]

Encore plus choquant et perplexe, elle s’identifiait désormais comme un homme gay.

« Le monde a changé », se souvient Amy. Alors qu’elle prononçait ces simples mots, il était clair qu’elle parlait d’un changement monumental : rien ne serait plus jamais pareil pour sa famille.

Sage n’était plus une enfant mineure et disposait donc de l’autonomie juridique nécessaire pour tracer sa propre voie. Contrairement aux parents d’enfants plus jeunes, « le seul recours que j’avais était de poser des questions », explique Amy.

Sa fille voyait un psychologue depuis qu’elle était en première année de lycée, et l’une des premières questions qu’Amy lui a posées a donc été de savoir si elle avait abordé la question lors de la consultation. Sa fille a répondu qu’elle n’était pas à l’aise pour le faire, et Amy a donc trouvé un thérapeute spécialisé dans les questions de genre.

À la consternation d’Amy, après une brève discussion, le thérapeute a commencé à s’adresser à Sage en utilisant le nom et les pronoms masculins qu’elle avait choisis. Le thérapeute a assuré à Amy que sa fille avait pleinement réfléchi à sa décision et lui a conseillé de soutenir Sage dans son choix.

Il suffit d’entrer et nous nous en occuperons

Dix jours plus tard, Sage a fait part de son intention de commencer un traitement à la testostérone, en prenant rendez-vous en ligne avec le Planning familial.

Considérant la crise de sa fille comme une crise psychologique, Amy s’est inquiétée des implications à long terme de ce choix. En tant que parent, elle s’est sentie obligée de prendre en compte l’avenir à long terme de son enfant.

En désespoir de cause, elle a contacté le Planning familial dans l’espoir de mieux comprendre le processus de la clinique. Elle a découvert un système qui prescrivait de la testostérone facilement et rapidement, sans évaluation psychologique. « Il suffit de venir et nous nous en occupons », lui a-t-on dit.

Sage a pris ses distances avec les conseils de ses parents.

Amy savait qu’elle avait besoin de quelqu’un d’autre pour persuader Sage de reconsidérer l’hormonothérapie. « J’ai contacté tous ceux qui pouvaient m’aider à ralentir le processus », explique Amy.

Amy a appelé l’ex-petit ami de Sage. Sa relation avec Sage avait pris fin à cause de sa confusion de genre.

« J’ai appelé le petit ami avec lequel elle avait rompu parce que je savais qu’il l’aimait et qu’ils se parlaient encore. Quoi qu’il ait dit, il lui a fait annuler ce [rendez-vous] », raconte Amy. Ce fut un sursis temporaire.

D’autres questions

La réaction d’Amy à la crise de sa fille reflète son propre penchant pour la pensée critique.

Elle interroge Sage sur sa nouvelle identité. Comment Sage pouvait-elle être certaine de se sentir un homme, étant donné qu’elle n’avait aucun cadre de référence en tant qu’homme biologique ?

Elle a incité Sage à explorer ses pensées et ses émotions intérieures plutôt que d’avoir recours aux hormones, ce qui risquerait de nuire à son corps et nécessiterait un suivi médical à vie.

Elle a présenté à Sage diverses méthodes d’exploration de soi, lui suggérant l’hypnose, les retraites, le yoga, la randonnée et les cures thermales.

Au grand désarroi de sa mère, Sage n’a manifesté aucun intérêt, ignorant ses suggestions ou accusant sa mère d’essayer de l’embrouiller. Parfois, elle réagit avec véhémence, recourant à la violence verbale et aux injures.

Douleur et impuissance

Amy se rend compte qu’elle ne fait qu’aggraver sa relation avec sa fille. Néanmoins, elle préférait risquer le mécontentement de ses enfants plutôt que de les voir prendre des décisions qui auraient de graves conséquences sur leur santé.

« En tant que parent, j’ai été très perturbée par le fait que je ne pouvais pas contrôler mes enfants, mais que je devais leur faire savoir ce que je voyais », avoue-t-elle.

Sa détresse a été aggravée par l’assentiment de son mari à la transition de genre de Sage. « Mon mari était plus fragile que moi », confie Amy, et il avait peur des menaces suicidaires de Sage. « Elle nous criait que si elle se tuait, ce serait de notre faute.

Selon Amy, son mari « vient d’un endroit différent et a besoin d’être aimé ». Il avait besoin de la sécurité que lui procurait l’amour de ses enfants. Bien que cela soit compréhensible, elle pense que cela l’a rendu plus sensible à la manipulation émotionnelle.

En conséquence, le mari d’Amy lui faisait souvent des reproches à la suite de disputes verbales avec Sage. Elle se sentait de plus en plus isolée.

Faire le deuil d’un enfant

Un jour d’avril 2020, après une série d’échanges houleux, Amy a pris la décision déchirante de demander à Sage de quitter la maison, plutôt que d’endurer sa violence verbale continue.

Sage s’est installée chez un ami, Owen. « Owen est en fait une jeune femme qui prend de la testostérone depuis un certain temps et qui, comme Sage, s’identifie comme un homosexuel. »

Amy a été bouleversée lorsque sa fille a quitté la maison. Elle s’est sentie émotionnellement à la dérive et a pleuré la perte de son enfant.

« Je pleure encore au lit tous les soirs. Je pleure encore la perte d’un enfant qui m’a été arraché », admet-elle. De plus, son mari ne la soutenait pas.

« J’étais très seule. Les seules personnes qui me soutenaient étaient mes parents. »

La mère d’Amy a tenté de décourager Sage de procéder à la transition, ayant été témoin des graves implications d’une telle décision. Sage a réagi en coupant toute communication avec sa grand-mère, en bloquant son numéro de téléphone et son mail.

Amy a également cherché de l’aide au sein de la communauté, en participant à des réunions de soutien familial suggérées par un conseiller.

Ces réunions étaient organisées par PFLAG, une organisation nationale « dédiée au soutien, à l’éducation et à la défense des personnes LGBTQ+ et de leurs familles », selon le site Internet de l’organisation.

Amy a rapidement conclu que l’intérêt principal de PFLAG était d’obtenir des financements publics en fonction du nombre de parents participants, et non de soutenir véritablement les familles confrontées à des situations difficiles. Après deux réunions, elle a décidé que le soutien sans faille à la transition de genre offert par de nombreux membres de PFLAG ne lui était d’aucune utilité.

Votre ordonnance est prête

En mai 2020, Amy a reçu un SMS de la pharmacie l’informant qu’une ordonnance était prête. Lorsqu’elle a réalisé que « TES » signifiait « testostérone », elle a décidé d’intercepter l’ordonnance. Il s’en est suivi une confrontation avec Sage, qui était furieuse.

Sage a finalement commencé à prendre de la testostérone et a légalement changé son nom pour un nom qui correspond à son identité masculine. Elle a également entamé une relation avec Owen, qu’Amy qualifie de « vraiment bizarre ».

« C’est une relation lesbienne, mais ils pensent qu’ils sont deux hommes gays », explique Amy.

Tout au long des sept mois que Sage a passés avec Owen, Amy a fait de son mieux pour maintenir un lien avec sa fille. « Il est toujours important pour moi de faire savoir à mes enfants que je les aime », convient Amy. Elle a régulièrement envoyé des mèmes ou de brefs messages à Sage et a même remis du courrier en main propre au domicile d’Owen. Malgré ses efforts, la relation est restée distante. Amy se sentait profondément seule.

En novembre 2020, Sage a soudainement décidé de rentrer chez elle. Lorsqu’Amy a demandé pourquoi, Sage a répondu qu’Owen l’avait trompée avec une autre femme.

Bien qu’elles soient à nouveau sous le même toit, la relation entre Sage et Amy ne s’est pas améliorée. Sage ne voulait pas être là, mais il était évident pour Amy qu’elle n’avait pas d’autre endroit où aller. Il y a eu une « trêve silencieuse dans la maison pendant de nombreuses semaines ».

En avril 2021, la tension dans la relation entre Amy et son mari était devenue si forte qu’ils ont commencé à envisager le divorce.

Elle est toujours ma fille

Sage a maintenant 23 ans, a obtenu son diplôme universitaire l’année dernière et vit avec son père. Elle est sous testostérone depuis plus de deux ans.

Amy décrit la transformation physique de Sage comme étant frappante : « Son corps n’est plus le même. Ses organes génitaux se sont transformés en quelque chose d’autre. Elle bande ses seins. Elle a des poils sur le visage et sur le corps ».

Néanmoins, Sage est « encore ma fille », reconnaît Amy. « Elle restera à jamais ma fille ».

Amy exprime de profondes inquiétudes quant à la permanence des choix de Sage.

« Elle n’a plus ses règles. Elle ne pourra peut-être jamais concevoir d’enfant ; qui sait ? Et si elle se coupe les seins, elle ne pourra jamais allaiter un enfant », soupire Amy.

Même si elle sait que Sage ne comprend pas tout à fait ce qu’elle abandonne, elle est impuissante : « Je serai toujours sa mère. [Mais] c’est son chemin. C’est son voyage. Je ne peux rien y faire ».

« Par contre, je peux faire quelque chose dans ma vie, sensibiliser les autres, parler à tous ceux qui veulent avoir une conversation. Je suis prête à discuter. [Je sais] ce qui est en jeu. »

Bien que Sage semble avoir réussi la transformation physique souhaitée, Amy note que le cercle d’amis de sa fille ne s’est pas élargi et qu’elle ne semble pas plus heureuse. Elle a « rétréci la route », constate sa mère. « Quel est le but recherché ?

Pièges en ligne

Bien que l’annonce de Sage ait semblé être un coup de tonnerre, avec le recul, Amy peut mettre le doigt sur un coupable évident : l’Internet. Comme beaucoup d’adolescents, dans les moments de doute et de malaise, Sage avait recours à Google pour trouver des réponses, disparaissant souvent dans « un trou de lapin ».

« Je pense vraiment qu’Internet a eu une très grande influence sur elle », estime Amy.

Amy s’inquiète des nombreux pièges qui attendent les adolescents en ligne, affirmant qu’Internet, les moteurs de recherche comme Google et le mouvement transgenre posent collectivement des risques importants pour la sécurité des femmes et des enfants.

Elle pense que la confusion des genres et l’insatisfaction actuelle de sa fille sont liées à la diffusion insidieuse de la pornographie dans la société, facilitée par l’Internet.

Elle cite l’exposition croissante des jeunes Américains à des contenus malsains, les enfants tombant involontairement sur du matériel explicite en ligne. Cette exposition conduit souvent à la dépendance et désensibilise les jeunes aux représentations violentes et abusives des femmes, souligne-t-elle.

Elle se demande si de telles influences ont joué un rôle dans la décision de Sage de changer de sexe. Dans une relation précédente, Sage aurait-elle pu être poussée dans des situations inconfortables par quelqu’un qui utilisait la pornographie ? Amy ne le saura probablement jamais.

Amy a souligné la dépendance de nombreux jeunes à l’égard de leurs smartphones, de l’Internet et du monde numérique, notant que ces obsessions peuvent fausser la perception des relations saines. Elle estime que la recherche d’une gratification instantanée par le biais des médias numériques a fait oublier à beaucoup de gens comment établir des liens significatifs avec les autres.

Autres influences

Les influences en ligne ne sont qu’une partie du problème, note Amy. Il semble que, quel que soit l’endroit où se tourne sa fille, il y a des influences qui promeuvent agressivement un certain programme.

Elle a exprimé sa frustration à l’égard des politiques qui permettent aux transgenres d’accéder librement aux toilettes des femmes, aux vestiaires et aux sports.

Elle se lamente : « Pourquoi donner à un prédateur — comme un loup déguisé en agneau — pourquoi laisser quelqu’un qui n’a pas de bonnes intentions entrer dans les toilettes [des femmes], dans les vestiaires des filles, jouer dans les sports féminins… Pourquoi faciliter les choses ? »

Amy pense que Sage a été endoctrinée au lycée, principalement par l’intermédiaire de la Gay-Straight Alliance (GSA). Malgré ses doutes quant à l’implication de sa fille dans la GSA, elle supposait que le club était simplement destiné à favoriser la compréhension. Plus tard, elle a conclu qu’il s’agissait en fait d’un moyen d’endoctrinement et de contenu explicite.

Un chemin vers la compréhension de soi

Malgré les difficultés, Amy a déclaré qu’à certains égards, sa vie s’est améliorée et qu’elle a grandi.

D’une part, après une année de « flottement », elle a trouvé une communauté de soutien composée de « parents partageant les mêmes idées, de parents qui se posaient également des questions ». Aujourd’hui, elle anime deux groupes de soutien aux parents à Long Island et à New York.

Ces groupes, qui fonctionnent par l’intermédiaire de Parents of Rapid-Onset Gender Dysphoria Kids (PROGDK), se réunissent tous les mois et offrent aux parents une plateforme pour partager leur histoire et leur peine, et se sentir moins isolés face aux problèmes de transsexualité de leurs enfants.

PROGDK est une organisation composée de parents confrontés à la décision soudaine et inattendue de leurs enfants de s’identifier au sexe opposé, un phénomène appelé par les chercheurs « dysphorie de genre à apparition rapide » (ROGD).

Amy a récemment participé à Dead Name. Ce documentaire indépendant n’est ni conflictuel, ni sensationnel, ni politique, dit-elle. Il offre plutôt un aperçu profondément personnel de la vie de trois parents dont la vie a été bouleversée à jamais lorsque leurs enfants se sont déclarés transgenres.

Amy participe également à diverses manifestations. Elle s’est imposée comme défenseur de la liberté d’expression et exprime ouvertement ses inquiétudes quant à l’impact généralisé du mouvement transgenre sur la société.

Progrès scientifiques et conséquences sociales

Amy estime qu’il est essentiel de réfléchir aux implications plus larges de ce qu’elle qualifie de phénomène social « néfaste ».

Pourquoi tant d’adolescents acceptent-ils d’échanger leur corps sain contre ce qu’elle considère comme une maladie à vie ? Elle suppose que les motivations financières des grands laboratoires pharmaceutiques, des hôpitaux et de l’industrie médicale au sens large pourraient être en jeu.

« Il n’y a qu’une seule réponse. Elle s’appelle ‘argent’ ! Alors, qui a intérêt à ce que les choses se passent ainsi ? Les grandes sociétés pharmaceutiques, l’industrie médicale et les hôpitaux ».

Elle s’interroge également sur les effets à long terme des traitements hormonaux substitutifs à grande échelle et de la modification chirurgicale des êtres humains, en particulier dans le contexte de la chute des taux de fertilité et de la baisse des niveaux de testostérone chez les hommes.

« Que se passera-t-il si tout le monde commence à se couper des parties de son corps ? Où cela nous mènera-t-il en tant qu’êtres humains ? » demande Amy. « Les gens perdent leur capacité à procréer. Nous sommes en fait en train de faciliter notre propre extinction. Ce sont de grandes questions auxquelles personne ne veut penser. »

Amy estime qu’il existe des phénomènes nocifs à grande échelle dans la société qui sont totalement immoraux, le transgendérisme chez les adolescents étant l’un d’entre eux.

« Il se passe quelque chose qui nuit à l’humanité, énormément, énormément. »




Coromanipulus : malgré les mensonges médiatiques, les choses avancent

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Par Hubert Boeltz

Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.

De belles choses se passent… sous les radars médiatiques :

Dans mon billet de mardi dernier, j’évoquais le rôle « convenu » des syndicats des personnels de la banque de France. Il y a plus désolant. La Française Virginie JORON, députée européenne, membre de la « Commission spéciale sur la pandémie de COVID 19 », nous apprend que grâce aux votes de certains de ses collègues français et non des moindres, les laboratoires pharmaceutiques n’indemniseront pas les victimes des « injections forcées » de ces derniers mois.

Il est des faits à garder en mémoire… jusqu’aux prochaines élections !!!

Dans l’indifférence des élites mondiales, une « surmortalité inexpliquée » ne cesse d’augmenter. Nous sommes actuellement dans une situation, où d’une part, le syndrome de « la servitude volontaire » touche une grande partie de la population. D’autre part, beaucoup de médecins se rendant compte de leurs erreurs « d’appréciation Corocambolesques » n’osent pas publiquement le reconnaître.

Et pourtant… les effets secondaires existent officiellement. Une partie est même indemnisée… dans le silence assssourdissant des « merdias de grand chemin » !!!

Heureusement, certains résistent et n’hésitent pas à témoigner, tel le cardiologue Jean STEVENS… vacciné et victime d’effets indésirables. Tel aussi, le docteur Amine UMLIL, qui relaie des décisions de justice désavouant le ministre de la Santé sur certaines de ses décisions.

Du côté des militaires, l’Association Professionnelle Nationale de Militaires-Militaires libres (APNM) n’hésite pas à « ferrailler » avec le gouvernement, pour faire cesser les mesures illégales prises à l’encontre des militaires.

Cette vague de fond se développe partout dans le monde. J’ai déjà relaté aux abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert », la naissance de « l’ordre universel des praticiens de la santé » (OUPS), en Belgique.

Aux pays bas, la Fondation Recht Oprecht a entamé des procédures judiciaires demandant des dommages et intérêts à seize personnalités politiques du gouvernement hollandais, ainsi qu’à Bill GATES et le PDG de Pfizer, Albert BOURLA !!!

Au Canada, ce sont plus de trois cents militaires qui assignent l’armée canadienne et le chef d’état-major de la défense pour « abus de pouvoir » de la part du commandement des forces armées canadiennes. Ils estiment avoir subi de « graves conséquences » comme la perte de leur carrière ainsi que leurs droits. Ils réclament un dédommagement à hauteur de… 500 millions de dollars !!!

En Autriche, un fonds d’indemnisation est en cours de mise en place pour « la compensation Corona » au profit des victimes de cette campagne. Un avocat se concentre sur la responsabilité des « médecins vaccinateurs ». Pas moins de 1 851 demandes d’indemnisation en raison des dommages causés par le vaccin corona ont été soumises au ministère autrichien de la Santé. Quatre-vingt-huit d’entre eux ont été reconnus à ce jour. Dans soixante-douze cas, il y a eu un paiement unique de deux mille euros, les seize personnes restantes reçoivent une pension mensuelle de 700 euros !!!

Comme vous le constatez, le temps travaille au bénéfice de la vérité.

« Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition.
Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence »
(Arthur Schopenhauer)

Chers lecteurs résistants, de la première heure ou plus tardivement rallié à cette noble cause, je vous aime et vous salue.




Le Réchauffement Chromatique

[Source : AVATAR Media ou Nicolas Bonnal]




Le traité pandémies de l’OMS n’est pas fait pour améliorer la santé des populations, mais celle de Big Pharma

[Source : @Cielvoile]

Maria Zeee interviewe l’avocat Roguski sur le traité pandémies de l’OMS