La funeste illusion de Klaus Schwab pour sa Grande Réinitialisation

[Source : cultureetracines.com]

Modeste Schwartz : la funeste illusion de Klaus Schwab

En dépit d’une existence assez cosmopolite, Modeste Schwartz est citoyen français mononational, normalien et agrégé. Traducteur, linguiste, polyglotte, il a publié un premier essai politico-philosophique, intitulé YINl’Occident comme cunnicratie en 2020 aux éditions Culture & Racines. Il publie aujourd’hui chez le même éditeur Le magicien de Davos. Vérité(s) et mensonge(s) de la Grande Réinitialisation.



Cette thématique proche des préoccupations de l’Antipresse, il l’éclaire d’un point de vue et avec un style très différents. On est loin, ici, du ton diplomatique des analyses socio-économiques courantes. Schwartz est de toute évidence un essayiste d’assaut. Sa démarche nous a interpellés. Nous l’avons donc interpellé à notre tour.

Trois questions à Modeste Schwartz…

Pourquoi Klaus Schwab vous fascine-t-il tant?

A vrai dire, contrairement à mon « collègue d’écurie » chez Culture & Racines Éric Verhaeghe (qui lui travaille dans la veille stratégique et dans la prospective), avant 2020, j’avais à peine conscience de son existence (même si j’étais déjà bien conscient de l’existence et du rôle de Davos). C’est Schwab qui, comme le dit si bien son ami Gates, « a su capter notre attention » par l’instauration d’une dictature qui se voudrait planétaire, et à laquelle il fournit sans s’en cacher le moins du monde son programme officiel. J’imagine que les Russes de 1918, même peu politisés, s’intéressaient facilement au personnage de Lénine…

Pourquoi ce livre?

Aussi bien en français qu’en anglais, les premières réactions à la Grande Réinitialisation (celles de 2020) m’ont convaincu que j’avais une pierre à ajouter à l’édifice – notamment en répondant (avec, j’espère, plus de lucidité que d’autres) aux questions « à qui s’adresse Schwab? » et « Schwab est-il communiste et, si oui, de quel type? ». Or, pour vaincre le schwabisme, il faudra d’abord le comprendre.

Justement: pensez-vous que le schwabisme a une chance de s’imposer, et dans quelles conditions?

Si l’on entend par là l’utopie/dystopie décrite par son livre: en aucun cas (et surtout pas mondialement). Sans dérive du modèle, tout cela devrait capoter en un ou deux ans tout au plus. En revanche, à l’intérieur de cette tyrannie déjà constituée qu’est l’UE, le schwabisme pourrait (si nous manquons de chance et laissons faire) fournir son prétexte doctrinal à une «Union covidienne» bien moins futuriste. Un peu comme, sous Staline, le bolchevisme a mué en soviétisme – auquel cas cette monstruosité pourrait éventuellement tenir encore une décennie, plus ou moins.


EXTRAIT. Chapitre III — Hilferding, Huxley, Schwab VS Lénine, Orwell, Macron : essai de zoologie taxinomique du progressisme

Est-il normal de mentir au public pour le plus grand bien? » (K. Schwab, La Grande Réinitialisation, p. 179)

« Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur » (K. Schwab, La Grande Réinitialisation, p. 204)

« The beatings will continue until morale improves. » (Sagesse populaire)

Entre le judéo-viennois Hilferding (1877–1941), médecin et fils d’un riche marchand de cette capitale de l’Europe qu’est alors Vienne, et le russo-tatare provincial Lénine (1870–1924), il y a presque la même distance sociale qu’entre le *dandy upper class *Huxley (1894–1963) et le upwards mobility working class boy Orwell (1903–1950) – ou encore entre le Professeur Klaus Schwab (né en 1938), fondateur du Forum économique mondial, et le petit parvenu Macron.

Ce triple parallèle n’a rien d’accidentel.

Lénine, homme intelligent, mais provincial dans l’âme, s’est condamné à l’illogisme du jour où il a décidé de concilier le marxisme (et sa doctrine essentiellement centrifuge de propagation du progrès social depuis les centres industriels) avec le projet d’une révolution bourgeoise d’émancipation nationale (seule catégorie qu’un marxisme rigoureux soit en mesure d’attribuer aux événements russes de 1917). L’extermination des koulaks, les famines provoquées etc., tout ce lourd cahier des charges qu’il léguera, en crevant à l’anglaise, à son rude majordome caucasien, sont déjà présentes, en germe, dans cette contradiction originelle.

Macron, bourgeois de province, Rastignac dégénéré, produit typique de l’Éducation nationale française sous sa forme spécifiquement post-bonapartiste des khâgnes, rêve à 20 ans de souveraineté, vibre avec Chevènement (on vibre avec ce qu’on peut). Et puis finalement, il se rend compte que le dispositif xénocrate de la Ve République finissante ne peut porter au pouvoir que des serviteurs de Davos. Suivant les conseils du bon docteur Attali, il signe chez Rothschild. On ne connaît que trop la suite de cette triste histoire.

Orwell, un homo novus de la toute petite bourgeoisie britannique, qui n’a commencé à réellement réfléchir qu’en assistant à l’inévitable écrasement de sa chère révolution anarcho-gauchiste catalane par les staliniens, nous a laissé une vision dystopique inspirée de la société réellement créée par Lénine (et son successeur Staline), c’est-à-dire des conséquences d’une interprétation autoritaire/révolutionnaire du marxisme – passée à la postérité sous le nom de léninisme(1). On remarque que, comme Huxley comparé à Hilferding et Schwab(2), Orwell ne diffère des deux autres (Lénine et Macron) que par ce scrupule de dernier instant(3) qui le saisit au vu des cadavres de ses amis anars et trotskos allongés par le NKVD.

Pour les austromarxistes (courant dont Hilferding est issu, et dont il crée la synthèse théorique la plus achevée), en revanche, il était clair dès avant 1917 que la révolution russe ne pouvait qu’ouvrir une parenthèse historique locale(4) : ils savaient d’avance que ce à quoi le naïf Orwell assistait horrifié en Catalogne ne serait que le mopping-up(5) d’un échec consommé dès le moment où Lénine et sa poignée de fanatiques ont tenté d’appliquer les idées de Marx à une société périphérique et arriérée.

Huxley, fils gâté de l’aristocratie intellectuelle, à qui sa femme bisexuelle fournissait des maîtresses à tirer en triplette le soir venu(6), partageait très probablement l’intuition des austromarxistes concernant l’impasse soviétique; frère et cousin des Klaus Schwab de l’entre-deux-guerres, il savait bien mieux qu’Orwell ou que le jeune Macron ce que l’Occident (qui ne pouvait que gagner) nous préparait: un totalitarisme technologique, fondé non sur la crainte et la douleur, mais sur la manipulation et les menus plaisirs du lapin de laboratoire. Orwell ne voyait que tortures et prisons, qui n’ont d’utilité que pour mater des hommes libres. Huxley savait que les zombies que l’Occident aspire à produire n’auraient nul besoin de ce genre de traitement. Il avait, simplement, quelques scrupules (probablement issus d’un vieux fond chrétien) concernant la moralité de ces brillantes perspectives. C’est à ces scrupules – et à son ambition littéraire – que nous devons Le Meilleur des mondes. Dans lequel il décrit ce monde que les descendants (au moins intellectuels) de ses frères et cousins, réunis autour des grands-messes annuelles de Davos, s’emploient actuellement à créer, sous prétexte sanitaire – programme que résume (tout en l’embellissant un peu) Klaus Schwab, secrétaire du parti, dans sa Grande Réinitialisation de juillet 2020.

Or, le mécanisme d’apparition de ce meilleur des mondes, c’est la fusion de l’État et du grand capital financier, que Hilferding prédisait dès 1910, et que Schwab, 110 ans plus tard, nous «annonce» (comprendre: ordonne) pour un avenir, ce coup-ci, imminent. Schwab, comme Hilferding avant lui, présente cette fusion comme une appropriation démocratique: l’État devenu socialiste confisquant la superstructure finances/industrie (et désormais: finance/High Tech). En réalité, Hilferding (futur élu du SPD allemand au moment où il écrit…) se doutait bien de ce que Schwab ne peut que pertinemment savoir (mais s’abstient naturellement soigneusement d’écrire) : c’est, bien entendu, l’inverse qui se produit, l’oligarchie bancaire (et son avant-garde pseudo-technologique de la Silicon Valley) cooptant les élites démocratiques d’États transformés en shows par le Gestell médiatico-électoral. Huxley, écrivant sous le manteau de la fiction, n’avait pas ce genre de précautions oratoires à respecter – par ailleurs, les trois visions concordent parfaitement.

La version fictionnelle (celle de Huxley) est d’ailleurs aussi la seule dans laquelle ce projet – si profondément contraire aux instincts les plus enracinés de Sapiens Sapiens – réussit. Car régulièrement(7), cette belle locomotive transhumaine déraille. La République de Weimar (dont Hilferding a été ministre des Finances) débouche sur la misère, l’anarchie et, finalement, l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler. Hilferding, après avoir passé le plus clair des années 1920 à louvoyer entre l’aile centriste non-marxiste du SPD et les communistes (s’attirant pour cela les foudres du Lénine des dernières années), rejoint finalement le «socialisme révolutionnaire» dans les années 1930, «devant le péril fasciste». C’est-à-dire qu’il rejoint de facto le parti de Lénine (post mortem), et les assassins des amis anarchistes d’Orwell. Gageons (car on en voit déjà des signes très clairs) que l’utopie grand-réinitialisée du Hilferding de la carte à puces (j’ai nommé le camarade Schwab) tournera au moins aussi bien que celle de Weimar. Puisque, finalement, l’Occident où réussit ce brillant putsch covidien est, dans le monde de 2020, presqu’aussi périphérique déjà (du point de vue économique) que la Russie de Nicolas II en 1914; et l’exploit pseudo-sanitaire de 2020–21 le fera, soyons-en sûr, reculer suffisamment pour qu’on puisse, à terme, le comparer directement à la Russie de 1917 (une économie balbutiante, et qui déraille après trois ans de débâcle militaire), ou au moins à l’Allemagne de Weimar. Or c’est au début de ce genre d’époques – où le vert inclusif se tache soudain de rouge sang – que les Hilferding et les Schwab de ce monde tendent à se souvenir brusquement de leur affection (pourtant teintée de dégoût) pour des coreligionnaires plus frustes, moins frottés de Thèses sur Feuerbach, mais dotés d’un sens plus vif du flashball et du camp de concentration. Ce qui, par la suite, fournit des sujets littéraires aux Orwell de ce monde, et autres petits greffiers de l’horreur consommée.

Cette mise en perspective a pour but de faire comprendre au lecteur néophyte que Klaus Schwab – même s’il se doute bien que l’OMS nous ment, même s’il croit moins qu’il ne le prétend à la spontanéité des évolutions qu’il ordonne en faisant mine de les prédire – est sincère. Dans sa vision du monde(8), ces mensonges sont un moindre mal au service d’un plus grand bien. Il n’a pas de haine à l’encontre des anarchistes, des libertariens, des chrétiens et autres églises prêchant la méfiance face à l’État omniprésent: il les plaint. Et si les appels à frapper et emprisonner les «négationnistes» (qui doutent de la transsubstantiation de la grippe en peste) ne viennent jamais de lui, c’est bien sûr aussi le résultat d’un casting qui lui assigne un rôle de «bon flic»(9) – mais pas uniquement: s’il fait ce qu’il fait à cet âge vénérable, c’est parce que, comme son camarade Piketty, comme feu le camarade Hilferding, il pense sincèrement que sa Grande Réinitialisation correspond aux aspirations les plus profondes et les plus sain(t)es du genre humain, tel que sa secte le redéfinit. Il aura donc un pincement au cœur absolument sincère quand ses gouvernements covidiens commenceront à tirer dans la foule, et qu’il faudra, une fois de plus, laisser la place au léninisme. Nous l’aurons déçu.

NOTES
  1. A propos de cette habitude terminologique, voir la conclusion du présent texte.
  2. Ou encore comparé à ses propres frères et cousins de l’aristocratie britannique: ancêtres (au moins intellectuellement – parfois aussi biologiquement) des confrères de Schwab.
  3. Peut-être un peu favorisé par certaines largesses du MI6 dans le contexte du début de la Guerre froide – mais passons.
  4. Même s’il n’en prévoyaient pas forcément la longueur surprenante, due à des facteurs parasitaires – de même que Hilferding lui-même a visiblement «mal calculé» Hitler. C’est d’ailleurs un trait structural des hilferdingiens: trop habitués à raisonner en millénaires, ils ont du mal avec les décennies…
  5. Pour employer les mots d’un autre fils spirituel de l’(austro)marxisme: Alexandre Kojève.
  6. Comme la Beauvoir à Sartre, et presque à la même époque.
  7. Et de façon, soyons en sûrs, mystérieuse pour ces croyants plus ou moins enthousiastes de l’évangile occidental.
  8. Vision du monde qui est en réalité une religion – d’autant plus dangereuse qu’elle se conçoit elle-même comme pure immanence – cf. infra Chap. 8.
  9. Dans le dispositif davosien, même quand elle est la conséquence inévitable des instructions de la Centrale, la violence directement ressentie par les citoyens doit toujours venir d’autorités nationales. D’où la grande naïveté des rêveries conspirationnistes sur la proclamation imminente de je ne sais quel «Etat mondial» (naïveté encouragée par le vocable de «mondialisme»). Nous y reviendrons.

Antipresse
Samedi 10 avril 2021.




Ce que l’Europe nous prépare

[Source : Observatoire européen de la Transition (transition-europe.eu)]

COMMENT S’ALIGNER SUR UNE TRAJECTOIRE COMPATIBLE AVEC LES 1,5°C ?

Suite au rapport alarmant du GIEC paru en octobre 2018, le cabinet d’analyse B&L Évolution a présenté en décembre 2018 ses recommandations pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°. Ce document a pour objectif de mettre du concret sur ce que signifie une trajectoire compatible avec les 1,5°C, c’est-à-dire qui permette de limiter le réchauffement climatique à une augmentation de la température moyenne à la surface de la Terre de 1,5°C par rapport au niveau préindustriel. Le but de l’étude est d’aider à comprendre l’ampleur des efforts nécessaires, afin que chacun puisse juger de leur faisabilité ou de leur réalisme dans le contexte actuel. Si l’étude se focalise sur les mesures à prendre en France, elle peut servir d’exemple pour tous les pays européens.

Quel est le niveau d’ambition nécessaire pour parvenir à limiter le réchauffement climatique à une augmentation de 1,5°C ? Qu’est-ce que ça signifie en France ? Quels types de mesures doivent-être appliquées pour y parvenir ? Peut-on réellement suivre cette trajectoire ? Voici les questions auxquelles le cabinet B&L Évolution a décidé de répondre dans une étude qui s’appuie sur le scénario proposé par le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dans son rapport spécial d’octobre 2018. Intitulé « Comment s’aligner sur une trajectoire compatible avec les 1,5°C ? », le document analyse la faisabilité technique de ce scénario et met en perspective l’ampleur des mesures à mettre en place pour y arriver.

L’étude passe en revue l’ensemble des secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre (résidentiel, tertiaire, mobilité, agriculture, industrie de l’énergie, aménagement, émissions liées à l’aviation, services et bien de consommation dont l’industrie textile et le numérique) et explicite pour chacun d’eux des exemples de mesures types permettant de réduire suffisamment les émissions de GES pour s’inscrire dans une trajectoire compatible avec l’objectif de 1,5°C.

L’étude se concentre sur la faisabilité d’une telle trajectoire uniquementsans analyser les aspects sociaux et économiques de telles mesures. Pour les auteu.rice.s de l’étude, « il ne s’agit ni de proposer un programme réaliste économiquement, ni de proposer un programme souhaitable socialement, ni de proposer un programme jugé acceptable politiquement. Notre objectif est d’aider à comprendre l’ampleur des efforts à réaliser afin que chacun puisse juger de leur faisabilité ou de leur réalisme dans le contexte actuel. »

Il s’agit bien de montrer qu‘un tel changement ne se fera pas sans conséquences sur nos modes de vies« Malgré tout, ne rien faire serait pire […] Nous avons trop attendu, c’est une évidence et une transition douce ne pourra se faire. Nous sommes dans une véritable course contre la montre. ». C’est pourquoi les auteurs nous invitent à faire de la décarbonation de l’économie, un grand projet de société.

Pour mieux faire comprendre leur démarche, les auteurs de l’étude se proposent de répondre en direct aux questions des lecteur.rice.s le 12 mars sur leur plateforme web (inscriptions ici).

Novethic a résumé l’étude en une infographie des mesures phares préconisées par B&L Évolution.




L’utopie sociétale confrontée au principe de réalité du monde ultralibéral. L’illusion d’un nouveau monde post-Covid

Par Alain Tortosa

La dictature dans laquelle nous vivons est vécue par certains comme une opportunité inédite de changer le monde de demain…

Pour autant de nombreux projets me semblent totalement utopiques. Je ne suis en rien opposé à une utopie ou un idéal de société, mais j’ai l’intime conviction qu’il faudrait des dizaines, voire des centaines d’années pour y parvenir…

J’ai relevé ici plusieurs « solutions » qui sont parfois présentées pour prendre un nouveau départ :

La monnaie nationale

On a une forte tendance à associer la notion de souveraineté à la notion de monnaie. Elle est un outil qui permet de jouer sur les paramètres de la compétitivité ou de l’inflation. En augmentant votre masse monétaire, vous aurez une dévaluation de la monnaie et une inflation. Vos exportations seront facilitées et les importations plus chères.

Pour dire simplement :
Imaginons que votre pays possède 10 kg de blé et que la masse monétaire est de 100 euros. Si vous doublez la masse monétaire, comme la richesse matérielle du pays sera la même, vous aurez 10 kg de blé pour 200 euros. Donc pour 100 euros vous ne pourrez avoir que 5 kg de blé. Il y a eu dévaluation de la monnaie et une inflation de 100%. Vos produits seront donc deux moins chers à l’exportation, mais deux fois plus à l’importation.

Dans ce cas de figure extrême, c’est la population qui aura financé la relance de l’économie par l’inflation et donc la diminution du pouvoir d’achat.

De plus c’est une solution fort limitée dans le temps, car le bénéfice concurrentiel sera plus ou moins annihilé par le surcoût des importations qui se traduira par une augmentation des prix en interne et donc une diminution de l’avantage concurrentiel.

Il est important de noter que vous n’êtes pas libres de spéculer librement sur votre monnaie. Il faut des accords avec les autres pays… Si vous faisiez donc trop marcher la planche à billet les autres pays pourraient vous exclure du système monétaire international.

Cette solution est d’autant plus limitée que nous n’avons aucune indépendance économique. Ni énergétique, ni autosuffisance alimentaire, ni production industrielle…

Bref la monnaie est un petit levier qui permet de booster artificiellement une économie, mais à l’efficacité marginale dans le monde dans lequel nous vivons.

Les risques de récession, de crise économique mondiale sont très importants.

L’Europe

L’Europe est souvent désignée comme étant la cause de tous nos maux. Nous sommes effectivement soumis à de très nombreuses lois ou traités européens. Imaginer que nous serions libres en quittant l’Union Européenne est pour le moins naïf. Il existe des centaines, voire des milliers d’accords, de traités, de normes internationales qui entravent nos libertés au-delà du cercle européen. Les Britanniques ont quitté l’Union Européenne, non sans mal, car la négociation a duré des mois pour définir les accords commerciaux, administratifs, juridiques, etc. liant les deux.

Il était évidemment impossible pour eux de n’avoir aucun traité avec l’Union Européenne. Résultat des courses, les Britanniques ont des obligations aussi bien financières que normatives ou autres pour pouvoir pénétrer le marché européen. Le seul droit dont ils disposent est de se soumettre aux directives européennes ou de renoncer à ce marché, ce qui serait une catastrophe économique pour leur pays. De fait, j’ai l’intime conviction que la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne ne s’est pas traduite par une réelle augmentation de son indépendance. Nous sommes dans de la pure politique politicienne et électoraliste, dans du symbole, mais factuellement cela ne change probablement pas grand-chose.

Il faut voir aussi que l’Europe est le grand bouc émissaire.. Quand il y a une embellie en France, le gouvernement se l’attribue, mais dès lors qu’il y a problème sociétal ou économique, c’est toujours la faute à l’Europe en oubliant que la France a voté ces mêmes lois ou directives européennes. Les pro-frexit se servent aussi du Covid et des vaccins pour souligner l’avantage d’être en dehors alors même que la Hongrie a été totalement libre de négocier en direct l’achat de vaccins chinois.

Dès lors qu’un pays européen est contraint d’être en relation économique avec l’Europe, il est certainement plus en capacité de peser sur les décisions prises en Europe en étant membre de l’Union que s’il est un simple partenaire commercial.

J’ai donc l’intime conviction que la France pourrait accroître son indépendance en augmentant son pouvoir décisionnel sur l’Europe plutôt qu’en la quittant politiquement (maispaséconomiquement).

L’argent dette

Régulièrement le mythe de l’annulation de la dette revient sur le devant de la scène et encore plus avec la crise du Covid.

Avant d’aborder le sujet, je voudrais faire un rappel sur le fonctionnement de l’argent dette. L’argent dette, que les banques d’affaires peuvent pratiquer, permet de prêter de l’argent qu’elles ne possèdent pas. Le principe est simple et je vais l’illustrer par un exemple :

  1. Vous êtes une entreprise de travaux publics.
  2. Vous voulez construire un pont qui va relier 2 régions isolées.
  3. Vous demander un prêt de 1 milliard à une banque.
  4. La banque fabrique une ligne de dette de 1 milliard sans avoir cet argent.
  5. Vous payez des intérêts.
  6. Vous construisez votre pont et mettez en place un péage.
  7. Vous remboursez la banque.
  8. Lorsque la dette est remboursée, la banque supprime l’existence de cet argent dette.

L’intérêt de l’argent dette est double:

  • Permettre de financer des travaux dans le monde réel.
  • Ne pas augmenter la masse monétaire… Cet argent n’existe que pendant la durée du prêt.

Le problème principal se produit dès lors que la banque émet trop d’argent dette et qu’elle se retrouve avec trop d’impayés.

Quelles possibilités s’offrent pour l’annulation de la dette ?

Le mythe de tout le monde doit à tout le monde. C’est beaucoup plus compliqué, car des États, des banques, des entreprises, des particuliers (oudesfondsdepensions), prêtent de l’argent et s’attendent à le récupérer. Rappelez-vous de l’emprunt russe qui a ruiné de nombreux épargnants.

Quelles solutions ?

  • Augmenter votre masse monétaire.
    Dans ce cas de figure, cela va se traduire par une dévaluation et une forte inflation.
    Cela revient à ponctionner de façon invisible l’argent des épargnants. Ils ont toujours 10000 euros sur leur livret, mais celui-ci a le pouvoir d’achat de 5 000 euros.
    En fait la dette est remboursée par l’épargne privée ponctionnée par l’inflation.
  • Ne rembourser que les intérêts.
    Cette option présente l’inconvénient de laisser de l’argent dette jamais remboursé.
    Plus cette masse monétaire augmente et plus le risque d’insolvabilité du préteur augmente. Dans l’hypothèse où une banque a prêté trop d’argent, elle ne pourra plus en prêter et donc sera condamnée à mort.
    Plus il y aura d’argent dette non remboursé et plus la valeur de l’argent s’effondrera. Cette solution n’est pas viable à long terme surtout en grande quantité.
  • Négocier un troc pour annuler la dette.
    « J’efface ta dette, mais en échange tu me donnes tes ports pour 40 ans. »
    «Tu me donnes 10000 hectares de terres que j’utiliserai pour nourrir ma population. »
    «Tu seras obligé de m’acheter mon pétrole pendant 40 ans. »
    « Tu m’autorises à installer mes missiles dans ton pays .»…
    L’annulation se traduira par une vente des biens de la famille ou une perte d’indépendance.
  • Refuser de rembourser la dette sans négociation.
    Imaginons qu’un fond de pension américain ait prêté de l’argent à l’état français moyennant intérêts. Un paysan du Dakota du Sud n’aura plus de pension de retraite ni de capital, il sera obligé de vendre sa maison et ses biens et sera ruiné…
    Au-delà du fait que ce n’est pas moral, cela va entraîner une récession dans le pays. Et si c’est une banque, la banque va peut-être faire faillite.
    Le risque de crise économique mondiale sera d’autant plus important que la dette effacée sera importante.
    D’autre part, la note de confiance de votre pays va s’effondrer… ici encore les représailles peuvent être multiples.
    • Vous n’aurez plus le moindre prêt ou à un taux délirant avec des garanties délirantes. C’est d’autant plus une folie que votre budget annuel est (toujours)en déficit.
    • Les autres pays vont mettre en place des droits de douane pour les produits que vous exportez, ainsi vous serez contraint de baisser vos prix de vente et donc la dette sera supportée par les entreprises qui exportent.
    • Il est possible qu’il y ait des embargos sur les importations.

Bref ce serait la solution rêvée pour amener le pays à la ruine ou la perte d’autonomie.

Le référendum ?

Là encore de quoi parlons-nous ? Dès lors qu’il s’agit de poser une question au peuple alors même que la marge de manœuvre du pays est quasi nulle, cela n’est que démagogie politique. Comme je l’ai rappelé, aucun pays n’a la moindre liberté décisionnelle dans ce monde ultra-libéral. J’en reviens à la question du « frexit»… cela ne se traduirait dans les faits par aucune augmentation de marge de manœuvre dans un pays sans la moindre indépendance économique ou productive. Alors parlons-nous de référendum qui donnerait un pouvoir au peuple ou d’une parodie et d’un simulacre de démocratie participative.

La parole à quel peuple ?

La crise du Covid a illustré à quel point le peuple était servile et demandait à être « irresponsable ». Il est visiblement prêt à gober n’importe quel mensonge du moment qu’il est répété par des autorités. Pour le faire taire, il n’y a qu’à acheter son silence à coups de milliards.
« Du pain et des jeux » cela ne date pas d’hier.

Dès lors qu’une majorité du peuple n’a pas le moindre sens critique, pas la moindre éducation aux droits de l’homme et à l’importance des libertés. Ajoutons le fait qu’il n’a aucune éducation économique et ne connaît absolument pas les rouages de l’ultralibéralisme et de l’économie internationale… Comment espérer le voir faire des choix libres et éclairés ? Nous avons vu à quel point il a été facile à la finance internationale de faire élire notre pantin de président…

De fait, il me semblerait totalement irresponsable de donner au peuple le pouvoir de décider sans auparavant lui fournir une éducation et un sens critique… et donc j’affirme que le référendum d’initiative populaire est à la fois une illusion, une manipulation, mais aussi extrêmement dangereux.

Le vrai pouvoir dans les mains des lobbys et de la corruption

Nous sommes politiquement paralysés et quiconque accéderait demain au pouvoir n’aurait strictement aucune marge de manœuvre au-delà du symbolique ou de la manipulation des masses.

Quitter l’Euro, l’Europe ou vouloir effacer la dette sont des chimères qui conduiraient à faire un simple échange standard de nos chaînes et probablement pas à notre avantage.

Le pouvoir a toujours été et est toujours dans les mains de l’argent. Il est dans les mains des banques d’affaires et d’entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse le PIB de plusieurs États.

C’est aujourd’hui uniquement le lobbyisme et la corruption généralisée qui dirigent le monde.

Lobbying contre lobbying

Retrouver de la démocratie et du pouvoir politique ne peut se faire qu’en luttant contre la corruption. Nous devons donc créer un lobbying « propre » dont l’objet serait de contrer le lobbying ultra- libéral au niveau mondial, européen, et français. Le problème du lobbying « propre » est qu’il ne lutte pas à armes égales, ne disposant pas de réseaux ni des milliards de dollars dédiés à la corruption qui est présente à TOUS les niveaux. Et c’est là que le politique peut et doit intervenir en imposant des règles éthiques et des lois pour lutter efficacement contre la corruption. Ne pensons pas que cela serait facile étant donné qu’il est impossible d’accéder à des responsabilités sans disposer de la puissance financière d’un appareil et des lobbys.

Je ne suis pas certain qu’il soit possible pour un français d’accéder au poste de Président de la République sans bénéficier de l’argent de la corruption et des cercles. En revanche je ne doute pas que les puissances de l’argent feraient tout pour empêcher une personne intègre de pouvoir y accéder…

Merci.

Alain Tortosa.

24 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210423-economie-utopie.pdf




Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament

[Source : CTIAP ctiapchcholet.blogspot.com]

Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA)

Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.

Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.

Dans le domaine du médicament (dont les vaccins), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.

Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vaccins contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.

Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.

La présente réflexion présente d’abord ce qu’est une AMM « conditionnelle » (I). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées puisqu’elles s’étalent de « 2021 à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.

I- En premier lieu, il est important de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »

L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques. L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.

En l’espèce, dans le cas de ces vaccins contre la Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d’études en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.

Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les 30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.

Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours en cours.

II- En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »

L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.

Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

À titre d’exemple, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.

Le vaccin Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « mars 2024 ».

Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Mais, à ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 vaccins. Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions de gens.

III- En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.

C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et vendu) est fixé aux mois de :

« juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;

« juin 2021 » pour Moderna ;

« juin 2022 » pour Astra Zeneca ;

« août 2021 » pour Janssen.

En effet, pour ces 4 vaccins, le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :

Pour le vaccin BioNTech/Pfizer (pages 18-19)

À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».

À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;

« renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l’efficacité et la sécurité » de ce vaccin, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».

Pour le vaccin Moderna (page 15)

Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;

« confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini (tailles de lot initiale et finale) (échéance « avril 2021 ») ;

« fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2021 ») ;

« soumettre le rapport final de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 Vaccine Moderna » (échéance « décembre 2022 »).

Pour le vaccin Astra Zeneca (pages 14-15)

Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :

« fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;

« fournir l’analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;

« soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;

« fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;

« soumettre la synthèse et les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour l’étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).

Pour le vaccin Janssen (page 18)

Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :

« fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;

« déposer le rapport final de l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518COV3001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la sécurité du vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).

Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.

Conclusion

Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre la Covid-19.

L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.

D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

Le changement du nom commercial de l’un de ces vaccins, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vaccin du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.

Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament (dont les vaccins), la « libération » du produit fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.

Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé notamment) peut également être engagée.

À notre avis, ces études cliniques n’auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces vaccins.

Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vaccin administré peut varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à l’autre… ?

Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.

Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.

Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.

La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd’hui vaccinées.

Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).

L’« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».

Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.

La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) est la première des pauvretés et des inégalités.

D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité de ces vaccins, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État change de position et admet « l’incertitude qui demeure sur l’efficacité réelle du vaccin quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que ces vaccins permettent de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).

Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021 – mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces vaccins. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces décès) : « 311 décès » après l’administration du vaccin BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l’administration du vaccin Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vaccin Astra Zeneca ; (pas de données pour l’instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé). En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.

Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.

D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».




Pourquoi l’empire du chaos est paralysé

[Source : reseauinternational.net]

par Pepe Escobar.

Attachez vos ceintures.

Ce que vous êtes sur le point de lire fait partie d’un rapport interne rédigé par l’une de mes meilleures sources dans le monde des affaires et des renseignements depuis une quinzaine d’années. Parmi les lecteurs qui l’ont reçu figurent Jamie Dimon de JP Morgan, Evelyn de Rothschild et sa femme Lynn, Larry Fink de Blackrock, Michael Bloomberg – qui ne m’engagerait jamais comme chroniqueur de Bloomberg… – Stephen Schwartzman de Blackstone, Jeff Bezos d’Amazon et d’autres Maîtres de l’Univers. J’ai reçu une copie avec toutes leurs adresses – que je ne peux pas rendre publiques pour des raisons évidentes.

C’est une bombe MAJEURE – dans le sens où les Maîtres de l’Univers financiers sont maintenant pleinement conscients des informations sensibles qui ne sont pas partagées avec les acteurs non militaires. La question est de savoir ce qu’ils vont faire à ce sujet.

La section des rapports commence ici :

« Alors que Rome brûle, ce que j’utilise comme une métaphore étendue sur les centaines de villes américaines qui ont brûlé l’été dernier, et que les États-Unis font face à une désintégration interne, le Pentagone admet que les États-Unis ne peuvent pas faire face à une guerre sur deux fronts.

Les États-Unis ne peuvent pas faire face seuls à une guerre sur un front en Europe et seraient vaincus en cinq à dix minutes. Il est peu connu que le moyen clé que les États-Unis ont choisi pour défendre l’Europe de manière conventionnelle était leur puissance aérienne supérieure qui surclasse les Russes. Cependant, ce qui n’est pas non plus connu du grand public, c’est que les États-Unis seront vaincus en Europe par les Russes en cinq à dix minutes par des missiles hypersoniques russes détruisant tous les aérodromes commerciaux de l’OTAN et de l’Europe, y compris ceux de l’Angleterre, alors qu’ils envoient allègrement leurs navires de guerre vers la péninsule de Kerch.

La question de savoir si tous nos avions F-35, qui coûtent des milliards de dollars, seront également détruits en cinq minutes dépend de la rapidité avec laquelle les États-Unis pourront les mettre hors de danger sur un rivage étranger. La question clé qui reste alors est de savoir si les États-Unis peuvent évacuer l’Europe assez rapidement via une sortie de Dunkerque pour s’échapper vers l’Angleterre ou si toutes les forces américaines rejoindront leurs camarades de l’OTAN dans un camp de prisonniers de guerre russe.

La réponse est qu’ils ne peuvent pas s’échapper car il leur faudrait plus de deux semaines pour évacuer. Cela m’a été confirmé par les plus hautes autorités militaires américaines ».

L’utilisation par les États-Unis des récentes sanctions contre la Russie visait à faire passer le message que le tueur de nation qu’ils appellent SWIFT-CHIPS est dans la boîte à outils des États-Unis comme réponse américaine à une invasion de l’Ukraine. (Il va sans dire que Nord Stream 2 serait terminé et que le pipeline actuellement en service de la Russie vers l’Europe serait fermé). Les États-Unis restent donc assis dans cette partie de poker, avec la certitude que les Russes n’oseront pas envahir l’Ukraine, ce qui les amènerait à appuyer sur la gâchette pour éjecter la Russie du système de paiement SWIFT-CHIPS, ce qui les conduirait à leur perte à l’iranienne.

Mais les États-Unis n’ont pas encore vu les cartes russes en main, qui seraient d’exercer leur super arme financière de fermeture du détroit d’Ormuz avec leur allié l’Iran qui est prêt à coopérer, selon nos meilleures sources de renseignement.

Nous avons discuté de ce scénario avec les spécialistes en produits dérivés de Goldman Sachs, qui prédisent que le prix du pétrole atteindrait 500 à 1 000 dollars le baril lors d’une telle fermeture, ce qui déclencherait l’implosion du marché des produits dérivés, qui représente entre 600 billions et 2,5 trillions, et détruirait l’ensemble du système financier mondial.

Le cataclysme qui frapperait les États-Unis conduirait, comme en Allemagne en 1933, à un taux de chômage de 50% ou plus, provoquant le renversement complet du gouvernement américain qui ne tient plus qu’à un fil après les émeutes de l’été dernier, lorsque l’armée américaine a refusé d’intervenir par crainte que ses forces, comme en Russie en 1918, ne se désintègrent selon des critères raciaux.

La défaite des États-Unis en Europe sonnerait le glas de l’empire américain, comme lorsque Rome a été mise à sac par Alaric, et le monde entier applaudirait.[Voici maintenant la partie qui tue, et qui m’a laissé, eh bien, sans voix].

« Le mythe des fissures entre la Russie et la Chine devrait être dissipé par l’article suivant, paru dans l’Asia Times, où l’on voit sur le bureau de Poutine une offre importante d’une grande société pour financer la réorientation de tout le pétrole et du gaz naturel allant vers l’Europe vers la Chine via un pipeline.

Il s’agirait de la plus grande transaction commerciale de l’histoire mondiale. La Chine pourrait alors compter sur le fait de recevoir de la Russie les ressources naturelles qui viennent actuellement par la mer et la Russie pourrait remplacer toutes les importations européennes en Russie par substitution et là où ce n’est pas possible depuis la Chine. Cet article très profond doit être lu très attentivement. Les centaines de milliards de dollars pour ce projet sont disponibles aujourd’hui selon les plus hautes sources de renseignement ».

Voici une citation importante de l’article :

« Un secret bien gardé à Moscou est que juste après les sanctions allemandes imposées en relation avec l’Ukraine, un grand opérateur énergétique mondial a approché la Russie pour lui proposer de détourner vers la Chine pas moins de 7 millions de barils par jour de pétrole plus du gaz naturel. Quoi qu’il en soit, cette proposition étonnante est toujours sur la table de Shmal Gannadiy, l’un des principaux conseillers du président Poutine en matière de pétrole et de gaz ».[Et ensuite, le rapport renvoie à mon article] : « L’alliance eurasiatique définitive est plus proche que vous ne le pensez ».

CODA : L’armée de drones perse

Le général Frank McKenzie, chef du CENTCOM – responsable des forces américaines en Asie occidentale – a fait un aveu surprenant lors d’un témoignage écrit devant la Commission des Services armés de la Chambre des Représentants.

Il a admis l’impuissance totale du Pentagone face à un essaim de drones iraniens de petite et moyenne taille utilisés pour la surveillance et les attaques : « Pour la première fois depuis la guerre de Corée, nous opérons sans une supériorité aérienne totale ».

Et il a ajouté, de manière inquiétante – pour l’Empire, bien sûr : « Tant que nous ne serons pas en mesure de développer et de mettre en service une capacité en réseau pour détecter et vaincre les UAS (systèmes aériens sans pilote), l’avantage restera à l’attaquant ».

Dites bonjour à l’armée de drones perse : un facteur de déstabilisation réel, 24/7, pour l’Empire et ses caniches dans le golfe Persique et au-delà.

Pepe Escobar

source : https://vk.com/pepeasia

traduit par Réseau International




Covid 19 : ceci n’est pas une crise !

[Source : Le Journal du Médecin.com (lejournaldumedecin.com)]

Par Dr Daniel Murillo et Caroline Watillon

(Le Dr Daniel Murillo, gynécologue dans un hôpital public et Caroline Watillon, militante de la société civile et professionnelle dans le secteur du social-santé, posent une série de questions qui fâchent…)

"Covid 19 : ceci n'est pas une crise !"
© belga

Partie 1 : notre santé est-elle une priorité ?

Quotidiennement les médias de masse déversent les chiffres macabres du Covid. Au 28 décembre 2020, un an après le début de l’épidémie, 1.829.800 décès ont été attribués au virus à l’échelle mondiale[1], pourtant aucun body count journalier pour les 2,8 millions de personnes qui décèdent d’obésité sur une année – l’OMS parle d’épidémie mondiale[2] ; les 7 millions de décès dus à La pollution atmosphérique[3] ; les 7 autres millions de faim et de malnutrition – David Beasley parle de pandémie à venir[4] ; ou des 8 millions de morts de l’industrie du tabac, dont 1,2 millions sont dus au tabagisme passif[5]. Pour ces risques, la fabrique de l’ignorance[6] a fait son travail et personne n’a jamais fermé les chaînes de malbouffes ou réglementé le contenu des cigarettes[7]. Alors, comment sont définies et évaluées les politiques en matière de santé ? Si 2 millions de morts ponctuels Covid justifient la mise en place de mesures qui limitent les droits et libertés, pourquoi les 8 millions de morts annuels du tabac restent sans réaction ? Cela suggère que c’est davantage le risque de saturation des services de santé, que les taux de mortalité, qui guident les politiques sanitaires. Et il est, certes, plus commode d’avoir un virus comme ennemi, que les grands groupes industriels, les habitudes de consommation ou la qualité de vie des personnes.

Pour les risques liés aux  » maladies de civilisations  » – cancers, diabète, maladies cardio-vasculaire, obésité, etc. – il n’y a pas d’investissement à la hauteur des enjeux. Pire, cela fait 30 ans que les politiques privatisent et sous-financent les soins de santé[8]. Alors que notre pyramide des âges est de plus en plus vieillissante et que l’espérance de vie ne cesse d’augmenter[9], les lits aigus ont été fermés par milliers[10] ; le travail des soignant.es minuté, officiellement pour être rentable, officieusement par la saturation des services ; les fonctions d’infirmières et d’aides-soignantes sont dévalorisées et sous-payées en regard des conditions de travail – la prise en charge des patients se veut la moins chère possible.

Ce désinvestissement dans la santé est d’autant plus dangereux que, sous couvert de croissance et des libertés individuelles – d’entreprendre et de consommer – nos modèles économiques impactent négativement notre santé à bien des égards, piétinent l’environnement naturel et favorisent l’émergence de maladies. En rejoignant le concept du One Health , la Belgique reconnaît pourtant que la bonne santé doit être humaine, animale et environnementale pour un meilleur contrôle des maladies à risque pandémique au sens large. Pourtant les politiques générales, en matière de santé ou de gestion de l’épidémie, ne répondent pas à la globalité de la situation.

Partie 2 : le confinement – une mesure temporaire et archaïque

En 2015, Anna Salvetti et Sylvain Baize lançaient déjà l’alerte :  » On observe depuis les dernières décennies une amplification de ces phénomènes – les zoonoses NDLR. […] Il ne reste qu’à souhaiter que les agences de financement nationales, européennes et internationales donneront les moyens aux chercheurs de relever ce défi, sans attendre qu’une nouvelle émergence défraie la chronique. « Face à cette menace prévisible, sans doute par mimétisme, notre pays nous a d’abord confinés. C’était sans compter qu’il n’allait pas construire des hôpitaux en 10 jours, réquisitionner l’armée, du personnel et du matériel médical, généraliser le testing ou mener une campagne de vaccination un rien rigoureuse [5,4 % de la population était complètement vaccinés au 12/4/2021] Depuis un an, alors que le confinement est une mesure par définition temporaire, c’est devenu l’une des principales politiques pour aplatir les courbes. À ce sujet, Jean-Loup Bonnamy, interviewé par Eddy Caekelberghs, critique une gestion trop émotionnelle et se demande comment des sociétés aussi développées en viennent à faire l’usage de cette méthode moyenâgeuse – cf. la gestion des épidémies de peste ou de choléra. Pendant ce temps-là, nos gouvernements continuent à fermer ou ouvrir les robinets de l’enseignement, de la culture, de l’HoReCa, des métiers de contacts et se justifient par un discours froid, statistique qui joue sur nos peurs et nos émotions. Si dans l’urgence on peut comprendre les restrictions des libertés individuelles et le lockdown économique pour prévenir les défaillances de notre système de soins, cette approche est inaudible quand elle reste la même après plus d’un an de présence du virus. En février 2021, Le Vif nous donne la facture Covid pour la Belgique, elle est sans appel : déjà 33 milliards d’euros[16] ! Ne serait-il pas temps d’investir dans des mesures pertinentes et pérennes ? Il existe des pistes alternatives sérieuses à étudier avant que la confiance avec les citoyen.nes ne soit définitivement rompue. À titre d’exemple, Jean-Loup Bonnamy et Renaud Girard, dans l’ouvrage Quand la psychose fait dérailler le monde, incitent les autorités à lever les mesures de confinement et à identifier et surprotéger les personnes à risques : testing 2x/semaine, distribution gratuite de FFP2, quarantaine des personnes contaminées, traitements précoces…[17] ; chez nous, Caroline Vandermeeren propose encore d’autres pistes[18] ; encore hier, trois experts remettent en cause la stratégie belge de gestion de crise et plaident pour une réouverture contrôlée de tous les secteurs[19]. La créativité ne serait-elle pas un meilleur ressort que la peur ?

Ceci n’est pas une crise mais le symptôme d’une société malade de son développement

Soulignons que les mesures Covid sont à l’avantage des grands acteurs de l’économie mondiale – à l’heure où la crise a jeté un million de français de plus dans la pauvreté[20], les milliardaires sont plus riches que jamais[21]. Par contre elles dictent nos vies dans un sens que nous n’aurions jamais imaginé accepter. Il y a un an dans une première carte blanche, nous nous disions prêts à nous confiner pour protéger les autres mais nous avons aussi questionné le gouvernement sur sa gestion à moyen et à long terme de la crise sanitaire[22]. Force-nous est de constater que nous en sommes aujourd’hui au même point, ne comptant que sur le providentiel vaccin pour sortir de l’impasse.

Partie 3 : vers quelle loi pandémie ?

Il n’est pas trop tard pour changer de cap, mais cela devient urgent à l’heure où nous nous enfonçons dans une crise de société profonde, teintée d’autoritarisme sanitaire. Aujourd’hui nous souhaitons éviter que cette gestion improvisée ne fasse jurisprudence après le vote d’une loi pandémie, aux demandes de cette pétition citoyenne, nous y ajoutons :

  1. Un travail d’évaluation indépendant des responsabilités des autorités dans la gestion liée au Covid et la publication de résultats. Le silence assourdissant de la commission spéciale Covid-19 du Parlement fédéral instaurée en septembre 2020 est indécent alors que la population est polarisée et seule responsabilisée ;
  2. Une gestion de la crise contrôlée par le Parlement[23] et la constitution d’un organe de concertation représentatif de la société civile pour la gestion de la crise ;
  3. Un bilan factuel des coûts humains, sociétaux et financiers des mesures depuis mars 2020 ;
  4. Un refinancement structurel, adapté et pérenne des soins de santé, aujourd’hui même les banques en appellent au refinancement[24] ;
  5. La revalorisation financière et statutaire des fonctions soignantes ;
  6. Comme pour d’autres secteurs[25], que nos élus – a minima nos ministres – soient formés à la gestion en temps de crise en prévention des autres grands défis qui nous attendent sur le plan du développement humain ;
  7. La prise en charge des questions de santé publique dans toute leur transversalité, y compris celle de notre écosystème, sur le long terme et non en fonction du temps de mandat – not in my term ;
  8. Une transparence des contrats européens avec les industries pharmaceutiques et une position en faveur de la levée des brevets vaccinaux[26] ;
  9. Une communication adaptée aux différents publics qui tienne compte des déterminants de la santé. Plutôt que l’infantilisation des populations[27], nous demandons une stratégie positive de santé publique basée sur la sensibilisation des citoyens comme acteurs de leur santé.

Ceci n’est pas une crise mais le symptôme d’une société malade de son développement.

C.W. et Dr D.M.

Références

[1] https://covid19.who.int/, page consultée le 4 avril 2021

[2] https://www.who.int/features/factfiles/obesity/fr/, page consultée le 4 avril 2021

[3] https://www.who.int/mediacentre/news/releases/2014/air-pollution/fr/, page consultée le 4 avril 2021

[4] https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/12/16/la-pandemie-de-covid-19-menace-de-declencher-une-autre-pandemie-celle-de-la-faim_6063532_3232.html, page consultée le 4 avril 2021

[5] https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/tobacco, page consultée le 4 avril 2021

[6] https://www.youtube.com/watch?v=6IGVqsnxCE0, page consultée le 5 avril 2021

[7] https://www.tabac-stop.net/composition.html, page consultée le 4 avril 2021

[8] https://www.cadtm.org/IMG/pdf/les_soins_de_sante_en_belgique___de_la_privatisation_a_la_socialisation___def.pdf, page consultée le 6 avril 2021

[9] https://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php?title=Population_structure_and_ageing/fr, page consultée le 6 avril 2021

[10] https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation, page consultée le 6 avril 2021

[11] En effet, depuis un siècle, au moins 70 % des maladies émergentes ou réémergentes graves sont presque toujours des maladies zoonotiques qui peuvent être favorisées par des déséquilibres écologiques et/ou climatiques – https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(10)70312-1/fulltext , page consultée le 6 avril 2021

[12] https://www.sciensano.be/fr/sujets-sante/one-health#qu-est-ce-que-one-health-, page consultée le 5 avril 2021

[13] https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/pdf/2015/13/medsci20153112p1055.pdf, page consultée le 6 avril 2021

[14] https://datastudio.google.com/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/hOMwB , page consultée le 4 avril 2021

[15] https://www.rtbf.be/auvio/detail_au-bout-du-jour?id=2741993, page consultée le 3 avril 2021

[16] https://www.levif.be/actualite/belgique/la-facture-corona-23-452-milliards-pour-le-federal/article-normal-1388169.html, page consultée le 4 avril 2021

[17] Bonnamy et Girard, Quand la psychose fait dérailler le monde, Collection Tracts (n° 21), Gallimard, 2020

[18] https://www.facebook.com/carovdm/posts/10164725897785058, page consultée le 13 avril 2021

[19] https://plus.lesoir.be/365823/article/2021-04-12/un-label-covid-safe-pour-sortir-du-yo-yo-des-fermetures, page consultée le 13 avril 2021

[20] https://www.rtbf.be/auvio/detail_au-bout-du-jour?id=2741993, page consultée le 13 avril 2021

[21] https://www.nouvelobs.com/economie/20210214.OBS40209/milliardaires-gafam-chine-ce-sont-eux-les-grands-gagnants-du-covid.html, page consultée le 6 avril 2021

[22] https://www.rtbf.be/info/opinions/detail_covid-19-confinement-de-la-population-oui-mais-encore-que-fait-le-gouvernement?id=10470757344 signataires dont 91 médecins, 20 membres du personnel hospitalier, 20 psychologues, page consultée le 3 avril 2021

[23] En novembre dernier, Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, prestigieuse revue médicale britannique, faisait le constat de notre échec :  » Ce système typiquement belge n’a rien donné de bon, il a échoué. Nous aurions pu éviter la plupart de ces 14 000 morts – en novembre 2020 ndlr. Des gens sont décédés à cause de l’organisation politique, il faut y réfléchir  » https://www.lalibre.be/belgique/societe/le-redacteur-en-chef-de-la-revue-the-lancet-pointe-du-doigt-la-belgique-beaucoup-des-14-000-morts-auraient-pu-etre-evitees-des-gens-sont-decedes-a-cause-de-l-organisation-politique-5fb3b3e27b50a6525b634066, page consultée le 3 avril 2021

[24] https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/la-crise-doit-amener-une-reforme-structurelle-du-financement-des-soins-de-sante/article-normal-1358975.html, page consultée le 5 avril 2021

[25] L’aviation, le secteur bancaire, les soins de santé, l’armée, etc. préparent leurs équipes en les soumettant à des simulations de crise et à des stress tests

[26] http://europe-health-network.net/spip.php?article323?=en&fbclid=IwAR07d-bS3yxX-iLO1o1Xu3DGOLpIlfNuQxezIGD33x50-m_tQBIgMtbrnxo, page consultée le 12 avril 2021

[27] https://www.rtbf.be/auvio/detail_la-plume-de-gunzig?id=2729523&utm, page consultée le 3 avril 2021




Le GOUVERNEMENT SOMMÉ de s’EXPLIQUER sur ses ERREURS

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

SYNDICATS ET PROFESSIONNELS ATTAQUENT LE GOUVERNEMENT

Récemment, les professionnels se sont manifestés à travers le Collectif de Syndicats et Associations de Professionnels Européens (CSAPE).
Le CSAPE a construit un dossier juridiquement et scientifiquement très argumenté. Il démontre que la population est mise en danger par des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle. Est également souligné le fait que les populations du monde ont servi de cobayes aux expérimentations des laboratoires. Les gouvernements ont voulu les presser à n’importe quel prix dans l’espoir d’arrêter la pandémie très vite, ce qui, dans le cas de plusieurs pays – la France en tête – est un fiasco monumental puisqu’au bout de plus d’un an, on en est toujours au même point. De plus, le choix s’est porté de préférence sur des modificateurs de génome nouveaux et sans recul expérimental, technique dont les effets secondaires mal anticipés et méconnus commencent seulement à apparaître.

LA GRAVE ACCUSATION  DES PROFESSIONNELS

« La population est à l’évidence confrontée à une expérimentation généralisée, sur son intégrité physique et mentale, sans son consentement avisé en violation du droit international avec participation complaisante et active du gouvernement qui de surcroît abuse de mesures liberticides sur fond de situations anxiogènes répétitives, de manipulations par la peur en travestissant les faits, et de maltraitance par l’empêchement de la médecine d’Hippocrate.

Les dernières déclarations gouvernementales relatives à de prétendus « variants », (principe mutagène de tout type de corona), relèvent de la même stratégie de tromperie envers la population pour maintenir à des fins inavouables une urgence sanitaire dont la nécessité n’est délibérément pas démontrée.

Cette expérimentation généralisée sur une population maintenue dans l’ignorance par tromperie constitue un crime contre la dignité humaine et un crime contre l’humanité.

Elle vous (les membres du gouvernement) expose personnellement à des poursuites gravissimes, dont il ne saurait être fait état d’une quelconque immunité aussi bien pour le chef de l’Etat que pour son administration« .

C’est en résumé l’accusation portée par le CSAPE.

Le 3 mars, il a donné quinze jours au gouvernement pour se justifier par des documents, et non par des déclarations lénifiantes et larmoyantes, faute de quoi des plaintes seront déposées auprès d’organismes internationaux (ONU et Cour Pénale Internationale), européens (Cour Européenne des Droits de l’Homme et Cour Européenne de Justice), ainsi qu’en France, auprès de la Cour de Justice de la République (qui pourra mettre le président en accusation s’il n’est pas réélu en 2022).

La mise en demeure faite au gouvernement lui permettra de se justifier s’il peut prouver sa bonne foi et sa compétence dans le traitement de la pandémie, mais cela peut aussi se retourner contre lui car CSAPE a des arguments  bien documentés par des preuves écrites et des faits incontestables comme le bilan de la France en morts par million d’habitants, l’un des plus élevés au monde.

LE GOUVERNEMENT DOIT RÉPONDRE À DES QUESTIONS PRÉCISES :

  • A-t-il recherché les responsables français et leur niveau de responsabilité dans l’invention du virus ?
    L’étude des brevets pris par l’Institut Pasteur dès les années 2000 montre que l’on y travaillait sur le coronavirus qui a donné SARS puis Covid. Avaient-il à cette période en stage des chercheurs chinois qui auraient pu voler des souches, comme ils l’ont fait à l’Institut de Recherche de Winnipeg au Canada, pour créer le coronavirus MERS, cause de 800 morts en Arabie saoudite puis, véhiculé par des chameaux en Syrie ?
  • Seront-ils poursuivis en justice pour négligence ou corruption ?
  • Va-t-il poursuivre le Conseil scientifique où siègent une majorité de gens ayant des liens financiers avec les laboratoires industriels et qui ont donné de fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les libertés fondamentales ?
  • Va-t-il poursuivre l’OMS et l’Institut Pasteur pour fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les droits inaliénables et fondamentaux de la population ?
  • Va-t-il poursuivre tous les responsables à l’origine de ce crime en tant qu’expérimentation générale sur la population ?
    Le gouvernement est soupçonné d’avoir voulu expérimenter le degré de résistance de la population à des ordres stupides comme le port du masque en plein air, le confinement –inefficace comme l’a dit Macron au JDD-, ou la vaccination des bébés, et son acceptation pour mettre en circulation de pseudos vaccins contenant des nanoparticules métalliques  comme en ont Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Pour le moment, le résultat montre que les Français anesthésiés sont prêts à accepter n’importe quelle mesure totalitaire.
  • Va-t-il procéder à l’abrogation immédiate des contraintes liées au test RT-PCR ?
    Contraintes sociales et médicales alors que tous les pays asiatiques ont informé qu’ils étaient mal dosés en France (40% au lieu de 15%) et donc très imprécis. Exception faite de la Chine, qui fournit à la France les produits nécessaires à leur fabrication.
  • Va-t-il cesser d’imposer l’obligation du port du masque ?
    De nombreuses études ont démontré qu’il est totalement inutile en bord de mer, en montagne, en zones rurales excepté conversation rapprochée ; inutile en famille où les rapprochements sont inévitables et de toute façon, s’il y a des virus, tout le monde les porte déjà ; peu utile en général car aucun masque à l’exception des masques professionnels FFP3 n’est vraiment étanche (étude du M.I.T), les masques chirurgicaux n’étant faits que pour protéger le patient opéré des postillons du personnel médical.
  • La dernière question n’en est pas une. Nous demandons l’abrogation immédiate du couvre-feu et tout autre type de mesure de confinement qui ne sont en réalité qu’une mise en résidence surveillée spécifiquement restrictive des libertés.

Pour importer le document complet du CSAPE => CLIQUEZ ICI

Le CSAPE a envoyé cette mise en demeure le 2 mars par L.R.A.R. à Jean Castex, premier ministre. Il lui donnait quinze jours pour répondre et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de réponse. Le gouvernement a donc choisi de faire la sourde oreille. Il fallait s’y attendre, il ne veut surtout pas que sa politique sanitaire absurde soit remise en cause et s’il tient bon un an, la présidentielle de 2022 réglera le problème.

LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ET EUROPÉENNES NE BOUGERONT PAS

Mais le CSAPE pourrait bien mettre sa menace à exécution : alerter l’ONU, la CPI, l’Europe etc.

Hélas, l’ONU est solidement verrouillée par Bill Gates. Il la finance, et la Chine la contrôle grâce aux pays qu’elle tient à la gorge par les prêts remboursables qu’elle leur a consenti et font qu’elle détient la majorité à l’ONU.

L’Europe ne réagira pas non plus, l’Europe et sa Commission de fonctionnaires est dominée par l’Allemagne d’Angela Merkel.  Sa consigne est « Suivons la Chine« .

Tous les pays qui ont suivi la Chine sont dans une situation aussi mauvaise que la France : la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, les USA…
Tous ces pays ont eu un taux de mortalité par million d’habitants supérieur à ceux qui ont en quelque sorte « laissé faire », comme les pays d’Afrique, l’Inde… Mais aussi la Suède et la Biélorussie où le confinement a été refusé et qui n’ont pas plus de morts que la moyenne de l’U.E. Il y a eu chez les Occidentaux un très net manque de réflexion intelligente et d’organisation à tous les niveaux, France, U.E, ONU.

D’autres pays s’y sont pris d’une façon beaucoup réfléchie que les Occidentaux : les pays d’Asie du Sud-Est comme le Vietnam, Singapour, Taïwan et plusieurs autres, qui ont un nombre de morts inférieur à mille quand nous dépassons les cent mille, et ce sans arrêter leur économie.

Finalement  la plainte du CSAPE, si elle n’aboutit pas, aura servi à alerter avec des arguments solides les Français sur la corruption de plus en plus voyante de leur administration et du gouvernement.

LA PRESSE EST DIVISÉE

Sur le reste, la presse est divisée. Yuval Noah Harari, historien israélien constate dans Le Courrier de l’UNESCO, que Covid est une épidémie des plus bénignes avec un taux de mortalité inférieur à 1 % (0,2 % en France) quand la grippe de 1918 a tué 10% de la population et la peste noire de 1347-1351 au minimum 25%.

CSAPE a raison de reprocher au gouvernement d’avoir surdramatisé Covid pour apeurer la population et en tirer profit en édictant des mesures liberticides qui renforcent son pouvoir d’oppression et de contrôle.

Mais aussi d’avoir donné à l’administration l’autorité sur des domaines où elle est totalement incompétente, voire nuisible quand elle n’est pas de surcroit vendue au secteur privé international (en Europe elle est classée au 15ème rang pour la corruption, pas rouge mais orangée). Elle a interdit des médicaments antiviraux efficaces pour privilégier les tests géniques expérimentaux baptisé à tort « vaccins », beaucoup plus chers et non validés par les essais de niveau 3 sur l’homme en principe obligatoires, les « vaccins » de Pfizer, Moderna et d’AstraZeneca. Leurs méfaits secondaires commencent seulement à se manifester et leur degré de nocivité réel ne pourra être connu que dans quelques années.

Un article de Valeurs Actuelles (le seul hebdomadaire libre parce que non subventionné) souligne qu’en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments connus pour être efficaces contre les virus, et en obligeant à une vaccination aléatoire, l’administration et le gouvernement ont pris la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui n’auraient pas dû être.

Et personne ne se soucie de ce que ces pseudos vaccins  contiennent des nanoparticules métalliques dont Bill Gates a dit qu’il suffira de les programmer pour prendre le contrôle des individus « vaccinés ». Comme voulait le faire la Chine pour compléter son arsenal de surveillance permanente de ses citoyens. Elle a, dans ce sens heureusement pour les Chinois, raté sa campagne de vaccination avec Sinovac. Non que Sinovac soit un mauvais vaccin, au contraire. Mais à vouloir donner ou vendre en priorité des vaccins à deux milliards Africains et à l’Inde (qui a les siens), plus 1,3 milliard de Chinois, le Parti communiste a vu trop grand et les usines n’arrivent pas à fournir.

(…)

L’Imprécateur
19 avril 2021




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




Pour une lecture souverainiste de l’histoire de France

Par Henri TEMPLE (Co-fondateur et précédent Directeur du Centre du droit de la consommation et de la concurrence)

Napoléon, Jeanne d’Arc, Charles de Gaulle… Les analphabètes, les traîtres et les nationalistes nostalgiques, s’écharpent sur le jugement à avoir sur les grandes figures de l’histoire de France. Voir cette dernière à travers le prisme souverainiste semble pourtant la seule qui soit dans l’intérêt de la nation.

Il doit y avoir une lecture souverainiste de l’histoire. C’est-à-dire que, par delà les lectures affective, romanesque ou marxiste, il existe aussi une appréciation des faits et des hommes historiques selon qu’ils ont apporté le plus de liberté, de paix, de prospérité, de grandeur à une nation. Ne parlons même pas de la lecture dite « décoloniale » de l’histoire, épiphénomène d’une mode passagère, racialiste, « genrée », spécieuse et volontiers totalitaire, tentée par le lynchage. On oubliera sous peu ces divagations délirantes d’une « basse intelligentsia », pour reprendre les mots de Régis Debray..

L’approche de la commémoration le 5 mai prochain du deux centième anniversaire de la mort de Napoléon à Sainte-Hélène suscite les agitations attendues dans les médias, le monde politique français, les écrivains, historiens et l’opinion publique. Ma dernière rubrique sur ce sujet (Napoléon et les chances gâchées de la France : une uchronie souverainiste) m’a valu certes des approbations, mais aussi une volée de bois vert, notamment de lecteurs qui n’avaient pas bien lu ce texte, et notamment ma précaution préliminaire (le terme d’« uchronie »).. Il est vrai que si le courrier des lecteurs permet parfois (heureusement) l’échange fructueux, il est aussi souvent un défouloir anonyme pour personnalités tendues.

Je reviens donc ici, d’une façon plus large, à la question de savoir s’il est permis d’avoir une opinion dissidente sur les grandes figures de l’histoire de France, selon le seul critère de leur contribution à l’intérêt général de la nation. Ou bien si l’on est sommé d’avoir nécessairement à choisir un camp : celui des zélateurs absolus ou celui des détracteurs impénitents ? Pour Napoléon, comme pour Jeanne d’Arc, Richelieu, Pétain ou de Gaulle. Or le jugement que l’on porte sur telle ou telle figure nationale a une grande importance : d’une part, car cela peut renforcer ou, au contraire, affaiblir, la cohésion des Français derrière leur histoire. Et surtout, d’autre part, si ce jugement est faux en tout ou partie, c’est que son auteur pratique des mécaniques de raisonnement fausses ou mal maîtrisées. S’il remplace la raison par la passion irrationnelle, peut-il être un citoyen utile et efficace pour servir son pays ? Ne faut-il pas tirer les leçons de l’histoire pour éviter de retomber dans les mêmes erreurs ? Durant la guerre de Cent Ans, les Français ont reproduit, durant plus de 80 ans, les mêmes fautes fatales. Ressemblant à s’y méprendre à celles que commettront ensuite nos généraux, politiciens ou chefs d’État : en 1759 (Québec), 1870, 1914, 1939/40, 1954 (Diên Biên Phu), 1962 (Accords d’Évian)…

Voulons-nous continuer ainsi, encore et encore ? Préférons-nous imputer tous nos malheurs aux Anglais ? Puis aux Allemands ? Aux USA ? Un bien commode défaussement. Ou ne faut-il pas mieux se demander pourquoi et comment on perd, du fait de nos propres carences d’intelligence, ainsi que des méthodes supérieures de l’adversaire ? Puis corriger ces erreurs butées et s’inspirer des méthodes qui gagnent ? Et enfin, y rajouter la touche de génie français (ça existe aussi) qui fait la différence à notre avantage. Vercingétorix et César, Clovis, Charlemagne, Guillaume le Conquérant, Raymond IV, Saint Louis, Philippe le Bel, Jeanne d’Arc, Henri IV, Richelieu, Colbert et Louis XIV, Louis XVI-Marie Antoinette et Robespierre, Napoléon, Thiers, Pétain et de Gaulle. 15 situations historiques majeures et tragiques sont incarnées par ces hommes (et deux femmes). Et elles ont provoqué, a posteriori, des divisions souvent passionnelles entre historiens et entre Français, des jugements majoritairement politiques : royalistes contre républicains, jacobins contre girondins, droite contre gauche, et, désormais, extrême gauche « cannabis-woke » contre la nation. Des jugements qui d’ailleurs varient du tout au tout dans le temps. Les grandes figures nationales les plus tiraillées d’un bord à l’autre seront Vercingétorix ou Jeanne d’Arc. Les plus contestées sont les plus récentes : Napoléon, Thiers, Pétain et de Gaulle. Les plus clivantes : Louis XVI et Robespierre ; Pétain et de Gaulle. Les plus oubliées : Raymond IV, Montcalm. Mais seulement trois émergent comme de sacro-saintes icônes : Jeanne, Napoléon et de Gaulle.

L’histoire de France est particulièrement tendue. C’est que la Gaule, puis la France, est à la fois un pays vaste et riche, et un lieu de passage entre le Nord et le Sud, l’Est et l’Ouest. Un isthme européen sans cesse menacé, envahi. Quelques rares peuples ont pu conserver, à travers les millénaires — nonobstant des vicissitudes — la continuité de leur héritage culturel originel : notamment les Scandinaves, les Germaniques ; Israël, l’Irlande, la Grèce, l’Arménie, l’Éthiopie, la Russie… Mais la France, un territoire trop vaste peut-être, a, en moins de 18 siècles, subi au moins trois acculturations. Des Gaulois aux Gallo-Romains, puis de ces derniers aux Francs, et enfin de la féodalité et la monarchie franques à la République, qui a affirmé le concept de nation comme ciment d’un ensemble disparate.

Les clivages régionaux, politiques, sociaux, identitaires (religieux, raciaux, « souchistes ») peuvent exciter les jugements portés sur les grandes figures de l’histoire. On en a une récente illustration avec les fanatismes dirigés, en général, contre les « mâles blancs », et en particulier contre leurs statues : Colbert en France, Churchill au Royaume-Uni… Une iconoclastie de crétins névrotiques. Or une nation se reconnaît elle-même au travers de son histoire, portée par ses héros, les « grands hommes » de son panthéon.

Est-il permis d’avoir une opinion dissidente sur Bonaparte et Napoléon ? Ou bien est-on sommé d’avoir nécessairement à choisir un camp : celui des zélateurs absolus ou celui des détracteurs impénitents ? Comme d’ailleurs pour Jeanne d’Arc, Richelieu, Pétain ou de Gaulle ? Il faut guérir de ce terrible mal intellectuel des Français de vouloir tout diviser en un simpliste « noir ou blanc ». Et rejeter cette assignation d’avoir à se soumettre à l’opinion de X, Y ou Z parce qu’il est un « spécialiste » de tel ou tel sujet et donc de devoir se taire… Comme Audrey Pulvar, journaliste antillaise, tête de liste socialiste aux régionales d’Île-de-France en 2021, qui appelle aussi les mâles blancs à se taire, reprenant à vil prix les psychoses des « décoloniaux », « woke », et autres sécrétions de cerveaux taraudés par des complexes. De vieilles rancœurs enfouies, et polluées par des constructions mentales rudimentaires et revanchardes.

Un livre très récent de Thierry Lentz (Pour Napoléon, éd. Perrin, 2021), saisissant l’opportunité du bicentenaire, s’affirme clairement en avocat de Napoléon. Mais est-il permis de porter des jugements a posteriori, favorables comme hostiles, sur un homme célèbre et son bilan ? Y aurait-il des critères permanents pour le faire sans risque d’anachronisme ? Non s’il s’agit de juger les mots et les moyens qui sont à comprendre dans leur époque ; et oui pour les résultats qui échappent à la patine du temps, car les effets demeurent souvent durant des siècles. Or les résultats de Napoléon, s’ils sont remarquables jusqu’à Austerlitz, en termes militaires et administratifs, sont désastreux à la fin : une France occupée (deux fois) et territorialement diminuée.

Bien sûr il faut commémorer Napoléon (Villepin avait refusé de célébrer Austerlitz et préféré commémorer Trafalgar…), car c’est notre histoire, glorieuse certes, mais douloureuse aussi et nous devons l’assumer. Mais pas comme des groupies ni, inversement, comme des décoloniaux : plutôt à la façon intelligente et nuancée de Thucydide pour Périclès, ou de Bainville sur le traité de Versailles, à l’aune de la raison et surtout en fonction de l’intérêt supérieur de la Cité. Thucydide fut un historien cherchant impartialement la vérité des faits, et à comprendre les causes profondes des événements, en écartant mythes et sentiments. De cette compréhension, il tente — il est le premier dans l’histoire du monde — de bâtir une philosophie de l’histoire en discernant les lois générales qui gouvernent le monde : pour réussir, l’action de l’homme politique ou militaire doit être intelligente et morale, au regard de la patrie. Thucydide a ainsi, à cette aune, jugé le bilan de Périclès et érigé une méthode historique d’une étonnante modernité, toujours actuelle. Pour lui, « comprendre le passé permet de voir clair dans les faits qui, à l’avenir, en vertu du caractère humain qui est le leur, présenteront des similitudes et des analogies » (Thucydide. Péloponnèse). Marx a bien compris Thucydide lorsqu’il écrit que « qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre ».

Pour les analphabètes, les pénitents, et les traîtres à la nation, Napoléon est, au choix, un mâle blanc (et donc à l’origine de tous les maux), un macho, un esclavagiste ou un tyran totalitaire. Pour les nationalistes nostalgiques, il est le génie absolu, capable par ses victoires militaires éclatantes de sauver la patrie, d’inspirer l’admiration au monde entier encore à ce jour ; le chef d’une épopée magnifique, le libérateur des peuples, l’organisateur de la France moderne, mais la victime des Anglais perfides. Il me semble que pour les souverainistes, Bonaparte ne doit pas être confondu avec Napoléon. Ce dernier rate les chances de paix que lui donne la victoire d’Austerlitz. La France perdra de nombreux territoires, près d’un million de jeunes sont tués (dont les descendants manqueront en 1870), et Paris est occupée deux fois.

Se demander si la liberté, la dignité, et la grandeur de la France ont été accrues par Jeanne d’Arc, Richelieu, Napoléon ou de Gaulle, relève d’un légitime bilan souverainiste. La France a-t-elle évité sa disparition ou sa sujétion ? A-t-elle été plus grande, plus prospère, plus libre, plus juste ? Les historiens dressent les constats, et les philosophes, les citoyens intelligents, peuvent et doivent alors se former leur libre jugement, non seulement pour le bilan du passé, mais aussi pour s’aider aux choix du temps présent qui féconderont l’avenir. « Il n’est pas de bonheur sans liberté — j’ajouterais sans souveraineté — ni de liberté sans courage » disait Périclès. Et particulièrement la liberté et le courage de considérer son histoire avec lucidité.

[Ndlr : en observant l’histoire de France sous l’angle souverainiste ainsi proposé par l’auteur Henri Temple, de prime abord, et sans recourir à une analyse fine de leurs actions et des conséquences de ces dernières, il apparaît que Napoléon a contribué effectivement à la grandeur, la liberté et la dignité de la France jusqu’à Austerlitz, mais que lorsqu’il s’est mué en empereur, il a plutôt nettement inversé la tendance et contribué à l’amoindrir, à lui redonner des chaînes et à favoriser son déshonneur. Charlemagne a probablement réussi jusqu’au navrant choix du processus d’héritage qui a ensuite séparé la France en trois États. Le sacrifice de Jeanne d’Arc n’en aura pas moins permis de chasser plus tard les Anglais hors du pays, voire du continent. De Gaulle a contribué à la grandeur de la France jusqu’aux solutions choisies lors des guerres d’indépendance dans les colonies. Louis XIV a fait rayonné, notamment par Versailles, la France sur l’Europe. Etc.. L’auteur aurait-il dû se prêter à ce type d’exercice et ceci de manière un peu moins succincte et schématique pour parachever sa démonstration ?]




COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ?

Par Nicole Delépine

Selon R. Fuellmich, la lumière est au bout du tunnel.

Acceptons-en l’augure !

https://2020news.de/rede-dr-fuellmich-auf-der-kassler-demo/

Le 20 mars 2021, une grande manifestation contre les mesures anticorona du gouvernement a eu lieu à Kassel. Selon les rapports de presse, 20 000 personnes étaient présentes, plutôt 100 000 d’après les participants.

Avocat et fondateur membre du comité Corona créé à berlin en juillet 2020, Reiner Füllmich a pris la parole lors de la manifestation.

2020News publie le texte de son discours ici.

EXTRAITS LIBRES

« Comment auriez-vous réagi début 2020 si on vous avait dit que de la mi-mars à aujourd’hui 

  • non seulement les gens partout en Allemagne mais dans de grandes parties du monde porteraient des masques, y compris les enfants ?
  • En raison de soi-disant confinement, la classe moyenne allemande, ainsi que la classe moyenne de tout le monde occidental, est menacée de faillite ?
  • Des millions d’opérations, d’examens de dépistage du cancer, de mesures de rééducation et d’autres mesures médicales ont été reportés, avec des conséquences sanitaires imprévisibles pour les personnes touchées ?
  • Des milliers de personnes en phase terminale en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont obligées de mourir isolées et toutes seules sans le soutien de leurs proches ?
  • Des gens partout en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont privés de leur liberté pendant des jours et des semaines sans ordonnance du tribunal en raison de soi-disant ordonnances de quarantaine ?
  • Des gens en Allemagne et dans de grandes parties du monde sont poursuivis pour avoir fêté leur anniversaire, assis sur un banc de parc, faire du jogging, chanter ?
  • Les parlements occupés par des représentants du peuple que nous élisons sont de facto impuissants et les gouvernements fédéral et des États ont adopté une série ingérable de règlements arbitraires sans aucune légitimation du peuple, dont personne ne comprend le contenu et les limites ?
  • Tous les droits démocratiques fondamentaux ont en fait été suspendus, y compris le droit démocratique fondamental le plus important, la liberté d’expression ? »

Et oui c’est ce qui est arrivé dans de nombreux pays occidentaux dont l’Allemagne et la France et de trop nombreux pays à quelques exceptions comme la Suède ou la Biélorussie en Europe qui ont résisté aux pressions du FMI (sonnantes et trébuchantes d’après le président biélorusse).

Au nom de quoi avons-nous perdu nos droits fondamentaux dans un silence sidérant ou une sidération conduisant à la soumission devant l’énormité des mensonges ne pouvant pas en être selon le citoyen de base ? Une décision commune de nombreux pays obéissants à l’OMS et au conseil sanitaire international de l’OMS[1] signé par 194 pays conduit au désastre mondial comparé par certains à une troisième guerre mondiale

Les pays signataires s’étaient mis d’accord pour appliquer les mesures décidées par l’OMS en cas de pandémie mondiale. Restait à décider qu’il y avait pandémie, ce qu’a fait l’OMS sans vergogne en changeant les critères 12 ans plutôt. Le tour était joué et les partisans d’un gouvernement mondial influencés par Bill Gates via l’OMS qu’il finance en grande partie et les puissants de ce monde occidental comme Mme Merkel que les autres pays de l’UE dont la France suivent, ont pu imposer un temps leur scénario tragique.

Combien de temps, ce sera aux peuples d’en décider.

A ce jour, il n’y a pas de réponse à cette question de la part des gouvernements, fédéral et des États, sauf l’injonction : « il y a une pandémie corona, alors faites ce que nous vous disons de faire sans poser de questions ». 

Aucune question ne peut être posée, a expressément déclaré le chef du RKI, un vétérinaire nommé Wieler, RKI soi-disant autorité fédérale supérieure qui doit suivre les instructions des gouvernements ou du ministère fédéral de la Santé.

Qu’en pense donc Maitre Reiner Fuellmich ?

La démocratie vit de manière cruciale sur la compétence morale, et la compétence morale nécessite deux choses : la capacité de poser des questions au lieu d’obéir aveuglément aux ordres, et la capacité de discuter d’autres opinions au lieu de les diffamer à tous les niveaux.

La capacité de poser des questions et la capacité de discuter sont au cœur de la liberté d’expression et donc au cœur de la démocratie.

Dans l’intérêt de qui cette attaque de notre propre gouvernement contre la démocratie, c’est-à-dire le gouvernement du peuple a -t-elle eu lieu ?  « Qui a intérêt à détruire le pouvoir du peuple, la démocratie, et à le remplacer par quelque chose qui, comme les développements de l’année dernière l’ont montré, est un régime fasciste-totalitaire ? »

Commençons par la question centrale : sur quelles conclusions reposent ces ordres destructeurs de démocratie et extrêmement préjudiciables ?

Ces trois questions spécifiques auraient dû être posées devant les parlements !

  • À quel point le prétendu nouveau virus est-il vraiment dangereux ?

Conformément à l’OMS (quoique controversée) et au respecté Prof. Dr. John Ioannidis de l’Université de Stanford : pas plus dangereux que la grippe saisonnière avec un taux de mortalité par infection de 0,14-0,26%)

  • Quels sont les effets sanitaires et économiques des mesures anti-coronavirus ?

La réponse très détaillée et précise à cette question est à la disposition du ministère fédéral allemand de l’Intérieur depuis mai 2020, sous la forme de ce que l’on appelle désormais le «papier de fausse alerte», document  rédigé par un spécialiste du ministère de l’Intérieur bien formé à l’évaluation des risques pour la protection de la population.

Et tout le monde connaît maintenant la réponse, comme décrit ci-dessus :

les effets des mesures anti-corona sont comme une troisième guerre mondiale, mais sans guerre ouverte.

  • Quelle est la fiabilité du test PCR

pour la détection des infections que C. Drosten conseiller de A.Merkel pour la santé, a développé début janvier 2020 (à un moment où lui, Wieler et les autres déclaraient encore publiquement qu’il n’y avait rien à craindre du virus corona) et l’a fait recommandé par l’OMS dans le monde entier. Fabuleuse efficacité dramatique pour trop de peuples du monde entier !

Or

« un test PCR ne peut donner aucune information sur une infection, il n’est même pas approuvé à cet effet. C’est pourquoi ce test ne dispose que d’une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis et non d’une véritable autorisation complète. »

Réponses à ces trois questions selon R. Fuellmich

« Issu des travaux du Comité Corona, que ma collègue Viviane Fischer et moi avons fondé avec deux autres avocats le 10 juillet 2020 et qui a été constamment dirigé par le pneumologue et ancien chef d’un service de santé de longue date, le Dr. Wolfgang Wodarg, le biologiste Prof. Dr. Ulrike Kämmerer de l’Université de Würzburg et le professeur de droit Dr. Martin Schwab de l’Université de Bielefeld. »  Ce comité a depuis interrogé une centaine de scientifiques, médecins, avocats, économistes, psychologues, psychiatres et autres respectés et de renommée mondiale.

Les dégâts sont monstrueux dignes d’une guerre mondiale

Même l’OMS a admis que le danger réel du virus ne va pas au-delà de celui de la grippe saisonnière, qui a un taux de mortalité par infection de 0,14%, et s’épuise.

Et l’écrasante majorité de ceux qui meurent ont plus de 80 ans et souffrent de maladies préexistantes graves et multiples.

Des dizaines de scientifiques ont aujourd’hui confirmé que le test de Drosten, ne permet pas de tirer des conclusions sur les infections.

Même l’OMS et l’homologue américain du RKI[2] allemand, le CDC[3], l’ont admis et ont souligné qu’un test positif ne dit rien sur le caractère infectieux de la personne testée.[4]

C’est parce que le test ne peut pas faire la distinction entre le matériel vivant et mort

Il ne peut pas non plus dire si les symptômes d’une personne ne sont pas causés par un autre agent pathogène, comme un virus du rhume ou de la grippe. Plus précisément, le CDC dit :

« La détection de l’ARN viral n’indique pas la présence d’un virus infectieux ou que Covid 19 est l’agent causal des symptômes cliniques ».  Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.

Habituellement, au moins jusqu’à l’apparition de Coronavirus sras cov 2, les personnes sans symptômes étaient considérées comme en bonne santé et se sentaient également en bonne santé.

Soulignons que l’affirmation mensongère selon laquelle il existe des infections asymptomatiques vient également de M. Drosten. En fait, il n’y a pas du tout d’infections asymptomatiques, comme ce fut récemment une nouvelle fois démontré avec une étude de 10 millions de participants à Wuhan, provenant de partout.. La Chine l’a montré à la fin de l’année dernière[5].

Les deux affirmations (validité des tests PCR et infections asymptomatiques) sont contraires aux faits établis :

  1. a) l’affirmation selon laquelle il y a des infections asymptomatiques
  2. b) l’affirmation selon laquelle le test Drosten PCR peut détecter des infections

viennent de Drosten le conseiller d’A. Merkel et de l’OMS. Au début de 2020, il les a publiés dans deux articles qui ne répondent même pas aux normes scientifiques.

Il a publié ces fausses déclarations : or, ​​au moment de la publication sur les infections asymptomatiques, il savait que le cas cité comme exemple d’une femme chinoise visitant l’Allemagne n’était pas du tout asymptomatique. Elle avait antérieurement traité ses symptômes avec un médicament commun contre la grippe.

Et selon une interview qu’il a donnée en 2014 à Wirtschaftswoche, C. Drosten savait également qu’un test PCR positif n’a aucune valeur informative sur les infections.[6]

Reiner Fuellmich signale de surcroit en plus de graves conflits d’intérêts financiers, Drosten a un autre problème avec sa crédibilité (doutes massifs s’il est autorisé à utiliser son doctorat et poursuites judiciaires en cours). Drosten a d’autres problèmes de crédibilité car pendant la grippe porcine de 2009, comme le prophète anglais Neil Ferguson, il a averti des conséquences désastreuses et des millions de décès si une vaccination de masse n’avait pas lieu.

Ces prédictions se sont révélées complètement fausses et la grippe porcine s’est avérée être une grippe bénigne. Cependant, des vaccins avaient déjà été achetés dans de nombreux pays du monde dans des conditions qui étaient gardées secrètes jusqu’à aujourd’hui, et ils ont ensuite été utilisés (avant que tout ne soit détruit) avec pour résultat que 1300 enfants, en particulier en Scandinavie, sont gravement handicapés à vie. et souffrez de narcolepsie.

Ajoutons qu’il est remarquable que ces fausses prophéties sont identiques en Grande-Bretagne et en Allemagne et formulés par les plus hauts conseillers des états et de l’OMS. Difficile de croire à de l’incompétence.

L’avocat se demande pourquoi le gouvernement fédéral a suivi les conseils et les demandes de confinements massifs de Drosten et de son institut, qui « sans même un soupçon d’empathie ou de pitié  a ordonné ces mesures dévastatrices qui, entre autres, ont forcé les personnes en phase terminale à être isolées et seules sans soutien de leurs proches à mourir ? »

« Et pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas seulement pris note des autres opinions, mais les a-t-il rejetées comme des théories d’extrême droite, antisémites et du complot sans même les examiner, encore moins en discuter ».

Comment le gouvernement fédéral (et les gouvernements des États qui le suivent aveuglément) ont-ils sciemment et volontairement ordonné des ordonnances mortelles et dévastatrices, exigé que personne ne pose de questions, et au-delà, toutes les autres opinions scientifiques et médicales (y compris l’un des scientifiques les plus cités) dans le monde, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford) a ignoré et délibérément dénigré ».

Ce dernier a déclaré 

« – que le soi-disant nouveau virus ne représente pas une menace plus grande que le virus de la grippe,
– qu’il existe des traitements efficaces qui ne coûtent pratiquement rien,
– et que les mesures dans leur ensemble causeraient les dommages les plus dévastateurs pour la santé et l’économie ? »

En résumé: quels intérêts le gouvernement fédéral représente-t-il lorsqu’il ordonne de telles mesures destructrices ?  Au nom de qui le gouvernement fédéral agit ainsi, et pour quelle raison ?

Reiner Fuellmich

« Si vous considérez que les conseillers les plus importants du gouvernement fédéral – en plus de Drosten – le Wellcome Trust et la Fondation Bill et Melinda Gates, des représentants de haut rang de l’industrie pharmaceutique de production de vaccins et de l’industrie technologique appellent tous à l’introduction d’un carte de vaccination numérique, on soupçonne qu’ici et de manière totalement irrespectueuse et empathique leurs intérêts sont représentés et non ceux du peuple allemand ».

« Un groupe d’avocats en réseau international en constante augmentation – en particulier avec le droit anglo-américain – travaille en étroite coordination pour faire la lumière et trouver des réponses aux questions de savoir qui est derrière tout cela et qui est tenu responsable.

Parce que, comme mon héros juridique Louis D. Brandeis l’a dit, la lumière du soleil est le meilleur de tous les désinfectants. Et cette lumière du soleil est la lumière au bout du tunnel que nous pouvons tous voir, et elle devient de plus en plus brillante ».

 Selon une autre interview [7] :

Il y a quelques jours, Fuellmich s’est entretenu à nouveau avec Jerm Warfare :  « Il y a de la lumière au bout du tunnel », a-t-il déclaré. « Nous avons gagné des procès et nous allons en gagner beaucoup d’autres ».
Au cours de l’interview, il a déclaré à propos de l’approche Corona : « Ce sont les pires crimes contre l’humanité jamais commis. » Les quelques personnes qui peuvent encore penser de manière indépendante, soit environ 10 à 20 % de la population, savent qu’il n’a jamais été question d’un virus ou de la santé, mais bien de la réduction de la population mondiale et de son contrôle, a-t-il déclaré.
Nuremberg 2

Les vaccins corona n’ont donc rien à voir avec la vaccination, mais font partie d’expériences génétiques, a-t-il déclaré. Fuellmich a ajouté que les joueurs en coulisses commettent de nombreuses erreurs. Par exemple, il pense que les fabricants de vaccins ne s’attendaient pas à ce que tant d’effets secondaires se produisent à ce jour.

Il a parlé à un dénonciateur qui a déclaré qu’ils avaient initialement prévu de déployer tout ce scénario seulement en 2050. Puis les personnes qui tiraient les ficelles sont devenues avides et ont décidé de mettre en œuvre les plans beaucoup plus tôt, a déclaré le dénonciateur. « Je pense que c’est la raison pour laquelle ils font tant d’erreurs », a déclaré M. Fuellmich, qui a recueilli les déclarations de plus de 100 scientifiques et experts.

L’avocat a poursuivi en disant qu’un tribunal spécial, Nuremberg 2, pourrait être nécessaire parce que l’affaire est désormais si importante qu’elle pourrait être hors de portée des tribunaux nationaux. « Nous avons les preuves. »

L’Europe : principal champ de bataille

Qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? Selon Fuellmich, il s’agit d’un groupe de quelque 3 000 super-riches. La clique de Davos de Klaus Schwab, entre autres, appartient à ce groupe.

 Que veulent-ils ? Un contrôle total sur le peuple. « Ils corrompent les médecins, les travailleurs hospitaliers et les politiciens. Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens. »

Fuellmich s’est également entretenu avec un autre lanceur d’alerte, qui a expliqué pourquoi l’Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. « L’Europe est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C’est pourquoi ils veulent contrôler l’Europe avant que les gens ne découvrent ce qui se passe. »

Les médias grand public prétendent qu’une majorité de personnes sont en faveur de ces mesures. Selon l’avocat, ce n’est certainement pas le cas. Presque tous ses interlocuteurs en Allemagne savent que les masques, par exemple, ne sont d’aucune utilité et sont informés par les médias alternatifs. « Les vieux médias sont en train de mourir. »

Son conseil ? Diffusez la vérité et les faits autant que possible et ne gaspillez pas votre énergie avec des personnes qui tiennent absolument à être vaccinées. « Nous ne pouvons pas sauver tout le monde. Beaucoup de gens vont mourir. »

https://youtu.be/jFOb2xqqcU0
CRIME CONTRE L’HUMANITÉ Covid Dr Reiner Fuellmich Action collective Poursuite – Bing video

[1] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[2] Robert Koch Institute

[3] Centers for Disease Control and Prevention – CDC  américain

[4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur la validité des tests PCR et

[5] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] C. Drosten l’heure des comptes France soir N Delépine

[7] Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel (ninefornews.nl)  Homepagina » Mens en Dier » Advocaat Reiner Fuellmich geeft update over ‘Neurenberg 2’: Er is licht aan het einde van de tunnel
in Mens en Dier 12 april 2021




Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Cher(e) ami(e) de la Santé,

La désinformation fait rage, depuis le premier jour de l’épidémie.
Dans mes lettres, je vous ai beaucoup parlé : 

  • Des traitements oubliés ou diabolisés, malgré leur efficacité (vitamine D, ivermectine, protocole Raoult, etc.)
  • Des vaccins, de leurs effets indésirables et de l’efficacité (peu convaincante) de l’expérimentation israélienne.

Aujourd’hui, je voudrais encore vous parler d’autres mensonges.
En commençant par l’expérience suédoise :

Mensonge 1 : l’expérience suédoise serait une “catastrophe” 

Ce qui s’est passé en Suède est un énorme caillou dans la chaussure des idéologues de la Covid-19.
Car la Suède a pris le contre-pied de la plupart des autres pays occidentaux : 

  • La Suède n’a jamais confiné sa population ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses écoles (ni imposé de masque aux enfants) ;
  • La Suède n’a jamais fermé ses restaurants ;
  • La Suède n’a jamais imposé le masque dans les magasins, et encore moins à l’extérieur.

Résultat ? 

  • Un peu moins de morts de la Covid-19 par habitant qu’en France et beaucoup de pays européens ; 
  • Moins de morts, toutes causes confondues, que la moyenne européenne (7,7 % de surmortalité contre 16 % en Belgique)
  • Et une économie deux fois moins dévastée : – 3 % du PIB en 2020, contre -7 % dans la zone euro [1] ;

Bien sûr, les Suédois ont respecté les consignes générales de distanciation sociale. Ils se sont moins déplacés et ont beaucoup télé-travaillé.
Certes, il y avait aussi quelques restrictions obligatoires. En décembre dernier, les rassemblements de plus de 8 personnes ont été interdits et les masques introduits dans les transports en commun. Récemment, certains restaurants ont dû fermer un peu plus tôt que d’habitude, à 20h30.

Mais globalement, les Suédois ont continué à vivre une « vie normale », tout au long de l’épidémie.

Ils n’ont pas eu à subir d’absurdes consignes totalitaires, comme les masques à l’extérieur, le confinement obligatoire à domicile, ou la fermeture des écoles primaires.
Et le résultat est là. Sur l’épidémie, la Suède est dans la moyenne de la plupart des pays européens.

Regardez, par exemple, l’évolution du nombre de morts par habitant en Suède (en rouge) et en Allemagne (en bleu) depuis octobre dernier – l’Allemagne ayant confiné cet hiver, contrairement à la Suède :

Vous voyez que l’évolution est très similaire, alors que les restrictions étaient très différentes, notamment en termes de masques et de fermeture des restaurants et des commerces.
Au total, le bilan sanitaire de la Suède est « moyen », comme les autres, faute d’avoir fait de la prévention et du traitement précoce.
Mais socialement, économiquement et mentalement, la Suède a fait beaucoup mieux.
Certains objecteront que la Suède a eu beaucoup plus de morts que ses voisins norvégiens et finlandais, qui ont imposé de lourdes restrictions. C’est vrai, mais la Suède est culturellement plus proche de nombreux pays européens que de ses voisins – et en termes d’urbanisation, Stockholm est comparable à Marseille. 
La Suède est aussi beaucoup plus ouverte aux vents internationaux : au moment de la première épidémie, lorsque la Norvège et la Finlande ont confiné, le nombre d’infections était déjà environ 10 fois supérieur en Suède ! [2]
Bref, à tous points de vue, la Suède s’en est globalement mieux sortie que les pays européens qui ont imposé des mesures restrictives ou qui ont confiné. 
Et pourtant, la situation suédoise a été systématiquement caricaturée.
Prenez le « soit-disant » journal de référence, Le Monde, le 1er janvier dernier : « Les choix faits par la Suède et leur bilan humain catastrophique suscitent l’incompréhension des voisins du pays et la stigmatisation des Suédois. » [3]

Autre exemple similaire, dans le très populaire journal 20 minutes : « Chiffres catastrophiques, comparaison douloureuse avec les voisins nordiques, aveu d’échec royal… Le modèle suédois résonne aujourd’hui comme une défaite pour le pays. » [4]
C’est le refrain mensonger qu’on a entendu à la télé et à la radio, 24h sur 24.
J’ai même entendu plusieurs fois Cyril Hanouna dire dans son émission de grande écoute que « la Suède a essayé l’immunité collective et cela a été une catastrophe ».
C’est de la désinformation pure et simple.
Et cela rejoint celle d’Emmanuel Macron, à l’automne dernier.

Mensonge 2 : « 400 000 morts si on ne fait rien » (Emmanuel Macron)

Souvenez-vous de son allocution du 3 novembre 2020. Pour justifier le reconfinement, Emmanuel Macron avait sorti un argument hallucinant :

« Nous pourrions – certains le préconisent – ne rien faire, assumer de laisser le virus circuler. C’est ce qu’on appelle la recherche de « l’immunité collective » c’est-à-dire lorsque 50, 60% de la population a été contaminée.

Le Conseil Scientifique a évalué les conséquences d’une telle option. Elles sont implacables : d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer. »

Ce chiffre farfelu venait de modélisations mathématiques totalement déconnectées de la réalité [1], et qui se sont révélées fausses systématiquement.
On l’a d’ailleurs vu en février dernier, quand le président Macron a refusé de reconfiner, à juste titre.
Contrairement aux prédictions apocalyptiques, il n’y a pas eu d’explosion du nombre de cas et de décès dans la France entière.
Certes, il y a en ce moment une circulation soutenue du virus dans quelques départements précis, mais pas d’augmentation exponentielle ou d’explosion insoutenable pour l’hôpital.
Et surtout, répétons-le : il n’y a pas en ce moment plus de morts que d’habitude en France !

Je sais que cela paraît difficile à croire, vu le discours catastrophiste ambiant.
Mais en janvier, il y a eu moins de morts qu’en janvier 2017 (mois de grosse grippe).
En février, il y a eu moins de morts qu’en février 2019 (pic de grippe cette année-là).
Bref, les premiers mois de cette année sont totalement comparables à des mois de grosse grippe. 
Il n’y a donc aucune surmortalité démesurée, en ce moment, qui justifierait le catastrophisme politique et médiatique.

Il faut dire qu’environ 30 % de la population française a déjà été infectée, ce qui empêche toute forme d’explosion exponentielle des contaminations.
C’est un fait : quand une personne sur trois ne peut plus être infectée, cela freine énormément les contaminations.
Quand beaucoup de personnes vulnérables ont déjà été hospitalisées, cela diminue fortement la charge sur l’hôpital.
C’est ce qu’on appelle « l’immunité collective » ou « l’immunité de troupeau ».

Quand beaucoup de personnes ont été infectées, l’épidémie risque peu de s’emballer.
C’est comme cela qu’a disparu la grippe espagnole, sans vaccin, ni masque : après une grande vague à l’automne-hiver 1918-1919, la saison suivante a été beaucoup plus épargnée :

[Ndlr : ceci dans le cadre de la théorie virale. Mais l’on peut opposer à celle-ci la théorie du « terrain » pour laquelle il est naturel qu’une « épidémie » disparaisse d’elle-même lorsque le corps des êtres humains affectés par des éléments toxiques (y compris éventuellement des ondes électromagnétiques, surtout pulsées, ou des déficiences nutritionnelles qui en sont les causes réelles) n’y est plus confronté ou parce qu’il parvient à s’y adapter au moins partiellement. Dans le cadre de cette autre théorie que la virale, il n’y a donc pas du tout d’immunité de groupe, mais seulement une disparition des causes de la maladie ou une relative adaptation au moins temporaire à ces causes. Et la « grippe » refaisait régulièrement son apparition chaque hiver, jusqu’à ce qu’on la rebaptise « covid-19 », parce que le froid fait partie des causes agressives contre le corps et ses cellules. Le seul fait indubitable dans les « épidémies » est l’existence d’une relative simultanéité dans le temps (mais pas nécessairement proximité dans l’espace géographique) de symptômes similaires (ou parfois même pas similaires ou très nombreux et variables d’un individu à l’autre, comme dans le cas de la « Covid-19) que l’on regroupe sous le terme d’une maladie particulière. Le reste relève essentiellement de l’interprétation de ce fait. La théorie virale l’explique par une prétendue contagion de virus, mais celle-ci n’a jamais été réellement démontrée, puisque notamment l’on n’a jamais eu le moyen d’isoler le moindre virus, sachant que lorsque les virologues disent « isoler » un virus, ils ne font que réaliser une opération de séquençage informatique à partir d’une soupe génétique de tissus prétendument infectés. Voir :
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des germes : Une erreur fatale
La théorie des exosomes contre celle des virus
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Dr Thomas S Coman (anglais)
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?
5G, virus et covid-19.]

Et en 1920, le virus de la grippe espagnole n’a plus fait de dégât particulier : il n’a pas disparu, mais il a rejoint les virus hivernaux habituels, parce que les populations avaient largement acquis une immunité.
De même, après deux grosses vagues de la Covid-19, il est évident que nous sommes largement immunisés, et que les pics exponentiels sont derrière nous.
Mais presque personne ne vous le dit. On dirait qu’il faut absolument continuer à vous angoisser.
Serait-ce parce qu’il y a des vaccins à vous vendre ?

À propos de vaccins, voici l’un de mensonges les plus extravagants qu’on ait entendu :

Mensonge 3 : les vaccins produiraient une immunité supérieure à l’infection

D’abord, on a essayé de vous faire croire que l’infection n’était pas forcément immunisante.
Il serait donc possible d’avoir des ré-infections, notamment à cause des variants.
C’est faux.
Les ré-infections sont extrêmement rares, même avec les variants britanniques ou sud-africains.
Et même en cas de réinfection, il y a toutes les raisons de penser que la deuxième infection est moins sévère que la première.
Bref, une infection crée une immunité solide et durable.

Grâce à de nombreuses publications scientifiques parues en janvier 2021, cela a fini par être reconnu largement.
Mais étrangement, on a continué à vacciner ceux qui ont déjà été infectés.
Alors que cela ne sert à rien.
Alors qu’on nous répète matin et soir qu’on manque de doses de vaccin.
Alors que cela pourrait même causer de gros risques pour la personne vaccinée (j’y reviendrai dans une prochaine lettre).

Donc, vacciner les personnes déjà infectées n’a strictement aucun sens… à part remplir les poches des laboratoires pharmaceutiques.
Mais cela permet de maintenir une illusion : celle que les vaccins seraient plus efficaces que l’infection elle-même.
Cette idée a été largement propagée, alors qu’elle est absurde. 

Je rappelle que les vaccins ne portent que sur une seule protéine du virus, alors que l’infection permet de créer une mémoire immunitaire sur tous ses éléments (épitopes, en termes virologiques).
L’infection crée aussi une immunité mucosale (dans le nez) alors que le vaccin injecté ne peut créer qu’une immunité humorale (dans le plasma et la lymphe). 
Il est donc évident que, sauf exception, l’infection produit une immunité plus importante et plus durable que la vaccination.
C’est encore plus évident face aux variants : avec les vaccins actuels, il suffit que la protéine visée par le vaccin mute, pour qu’ils deviennent inefficaces.

C’est ainsi qu’on sait désormais avec certitude que le vaccin AstraZeneca est totalement inefficace contre le variant sud-africain.
Alors que l’infection naturelle, elle, reste très efficace contre tous les variants connus.
Il est donc ahurissant qu’on vaccine les personnes déjà infectées, et qu’on ait pu mentir sur l’efficacité de l’infection naturelle.

Avec les vaccins, on est même arrivé à un mensonge encore plus énorme :

Mensonge 4 : les vaccins permettront le « zéro covid », via une « immunité collective »

C’est la cerise sur le gâteau de la désinformation.
D’abord, on a diabolisé l’idée « d’immunité collective », acquise naturellement.
Puis, avec l’arrivée des vaccins, on vous a promis une « immunité collective » vaccinale
Et on vous a promis la « sortie du cauchemar » et le « retour à la vie normale » grâce à la vaccination. 
Mais c’est totalement faux.

Même si les vaccins étaient aussi efficaces qu’on le dit (ce qui est loin d’être avéré), ils ne peuvent pas produire d’immunité collective solide.
Ce n’est pas (seulement) moi qui le dit, mais la prestigieuse revue scientifique Nature, qui vient de publier un éditorial cinglant à ce sujet. [6]

Selon Nature, l’immunité collective vaccinale est impossible pour 5 raisons : 

  • « Il n’est pas avéré que les vaccins empêchent la transmission » : je vous le dis depuis le début, et le « Monsieur vaccin » du gouvernement (Pr Fischer) l’a reconnu, il n’y a aucune preuve que les vaccins empêchent les contaminations – il y a même plutôt des preuves que les vaccins accroissent les transmissions, dans les 2-3 premières semaines après la première dose ;
  • « La distribution des vaccins est inégale dans le monde » : comme il n’y a pas assez de doses pour tout le monde, beaucoup de pays en développement ne sont pas près d’être vaccinés. Donc même si les vaccins étaient efficaces, ils ne pourraient stopper la transmission mondiale du virus ;
  • « Les nouveaux variants changent l’équation de l’immunité collective » : oui, les variants mettent à mal l’immunité collective vaccinale, mais beaucoup moins l’immunité collective naturelle, pour les raisons déjà évoquées ;
  •  « L’immunité ne durera pas éternellement » : c’est vrai pour l’immunité naturelle, qui a probablement une efficacité de plusieurs années (comme pour les autres coronavirus), mais c’est encore plus vrai pour l’immunité acquise par la vaccination, qui pourrait ne durer que quelques mois ;
  • « Les vaccins pourraient changer les comportements » : selon Nature, il sera difficile d’expliquer aux vaccinés qu’ils doivent continuer à porter le masque et à se distancier socialement – et pourtant, d’après les auteurs de l’article, ce serait nécessaire, pour atteindre le zéro Covid puisque les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %.

Conclusion de l’épidémiologue Stefan Flasche, cité par Nature : « il est très peu probable d’atteindre l’immunité collective avec les vaccins seuls ».

Et il ajoute : « Il faut donc apprendre à vivre avec le virus », qui n’est pas près de disparaître.

C’est évident – et c’est ce que je vous dis depuis le début. 
La Covid-19 n’est pas la peste. Il faut vivre avec. 
Il faut la prévenir avec la vitamine D, et la soigner avec l’ivermectine.
Il faut rouvrir le pays, et arrêter de vivre cloîtré.

Souvenez-vous de cette intervention magistrale du Pr Raoult, à l’automne dernier : 

« Je pense que ce pays vit une erreur dramatique, qui est la dramatisation perpétuelle. 
Qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a un virus ?
Mais vous êtes tous fous, vous êtes devenus tous cinglés ». [7]

Oui, les autorités sont devenues folles. Les médias ont suivi, comme un troupeau bêlant. Et leur irrationalité a contaminé la moitié de la population, placée dans un état de psychose.
Mais cette « folie » fait les affaires des fabricants de vaccin, qui se préparent à nous vacciner et revacciner, de la naissance à la mort, tous les 6 mois. 
Sous la contrainte du fameux « passeport vert » à venir.

Bonne santé,

Xavier Bazin

PS : Il est de plus en plus clair que les mensonges de l’épidémie de grippe A H1N1 de 2009 étaient une sorte de « répétition générale » de la folie actuelle.

Je vous en avais déjà parlé au printemps dernier, au moment où le scandale du remdésivir de Gilead commençait à rappeler celui du Tamiflu : https://www.sante-corps-esprit.com/roselyne-bachelot-se-moque-de-nous/

Mais la preuve la plus manifeste porte sur les vaccins, avec cette vidéo incroyable de Roselyne Bachelot en 2009, face au Dr Marc Girard.

Regardez-là vite avant qu’elle ne soit censurée, c’est édifiant : https://www.dailymotion.com/video/xb5jdz

J’en profite, bien entendu, pour souhaiter de tout cœur à Mme Bachelot une très rapide convalescence. 
Mais on ne m’empêchera pas de dire que son cas est révélateur du drame de la vaccination à outrance et irréfléchie !

Figurez-vous que Mme Bachelot a été vaccinée le 17 mars, trois jours avant d’annoncer qu’elle était positive à la Covid-19.[8]

Cela veut dire qu’elle était en train d’incuber le virus au moment de la vaccination, ce qui est la pire des configurations possibles !
Car on sait bien qu’il ne faut surtout pas donner de vaccin pendant une infection !
Cela s’applique aux humains… et même aux chevaux, comme le montre ce communiqué récent de spécialistes, à propos d’un autre vaccin :

« Pour les chevaux exposés qui peuvent être en phase d’incubation, la vaccination est déconseillée et n’aurait que peu d’effet ; sur un cheval malade, la première injection risque de n’entrainer aucune réponse immunitaire, voire de déclencher plus rapidement la maladie. » [9]

Dans le cas des nouveaux vaccins contre le coronavirus, on a même la preuve incontestable que la vaccination en cours d’infection est dangereuse.
Car la première dose des vaccins ARN supprime temporairement une partie du système immunitaire (les lymphocytes T), celle qui nous protège contre l’aggravation de la maladie ! 
Si vous ne me croyez pas, regardez ce graphique tiré des phases 1 et 2 de test du vaccin de Pfizer – la suppression des lymphocytes T est évidente aux jours 1 à 3, par rapport au placebo en bleu [10] :

Bref, je suis vraiment désolé pour Madame Bachelot, mais son cas est malheureusement représentatif de ce qu’il ne faut surtout pas faire : se vacciner sans faire de test PCR préalable ! 

Au passage, c’est une des explications de l’explosion de décès dans les pays qui ont vacciné très rapidement [11] : ceux qui étaient en « incubation » au moment du vaccin ont eu des formes plus graves que s’ils n’avaient pas été vaccinés.
Il est fou qu’une ancienne ministre de la Santé ait été aussi mal informée.
Mais c’est aussi le signe qu’il n’y a peut-être pas de « malice » au sommet de l’Etat : les ministres comme Olivier Véran pourraient être eux aussi victimes de l’énorme désinformation orchestrée par Big Pharma !

Sources

[1] https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-europe-mortality-idUSKBN2BG1R9

[2] necpluribusimpar.net/why-did-more-people-die-of-covid-19-in-sweden-than-in-other-nordic-countries-it-probably-had-little-to-do-with-policy/

[3] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/12/31/en-suede-les-habitants-ont-la-coronaskam-la-honte-de-la-strategie-du-pays-face-au-covid-19_6064872_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1609489405

[4] https://www.20minutes.fr/monde/2948915-20210109-coronavirus-fin-definitif-modele-suedois

[5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32908300/

[6] https://www.nature.com/articles/d41586-021-00728-2

[7] https://www.lalibre.be/international/europe/echange-tendu-entre-didier-raoult-plus-que-jamais-sur-de-lui-et-david-pujadas-mais-vous-etes-devenus-tous-cingles-5f996efd7b50a6525b9bc594

[8] https://www.24heures.ch/hospitalisee-roselyne-bachelot-est-sous-oxygenotherapie-renforcee-964349822758

[9] https://respe.net/foyers-dherpesviroses-type-1-hve1-communique-de-presse-03-03-2021/

[10] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2639-4

[11] www.sante-corps-esprit.com/loccident-est-il-en-train-de-se-tirer-une-balle-dans-le-pied-avec-les-vaccins-anti-covid/




La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ».

[Source : Le Saker Francophone]

Par Alastair Crooke – Source [anglaise] Strategic Culture

L’Art de la guerre de Sun Tzu (vers 500 avant J.-C.) conseille : « Se prémunir contre la défaite est entre nos mains ; mais l’occasion de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même… C’est pourquoi le combattant intelligent impose sa volonté et ne permet pas que la volonté de l’ennemi lui soit imposée ».

Telle est l’essence de la résistance chinoise – une stratégie qui a été pleinement dévoilée à la suite des pourparlers d’Anchorage ; des pourparlers qui ont fait taire toute personne qui, à Pékin, pensait encore que les États Unis trouverait un modus vivendi avec Pékin dans sa quête effrénée de primauté sur la Chine.

Même si c’était déjà visible auparavant, ce n’est qu’aujourd’hui, après Anchorage, que l’on voit la Chine se permettre de répondre durement et que les États-Unis ont la ferme intention de bloquer l’ascension de la Chine.

Si l’on suppose que cette initiative de « résistance » se résume à une sorte de « coup de poing » contre Washington – en sapant les ambitions iraniennes de Biden, pour se venger de l’Amérique qui crie haut et fort aux « crimes de guerre » (« génocide » au Xinjiang) -, on passe totalement à côté de son importance. La portée du pacte avec l’Iran dépasse de loin le commerce et l’investissement, comme l’a souligné un commentateur des médias d’État chinois : « En l’état actuel des choses, cet accord (le pacte avec l’Iran) va totalement bouleverser le paysage géopolitique dominant dans la région ouest-asiatique, soumise depuis si longtemps à l’hégémonie des États-Unis ».

Voici donc l’essence de la formule « un combattant intelligent cherche à imposer sa volonté » : la Chine, la Russie ou l’Iran n’ont pas besoin d’entrer en guerre pour y parvenir ; ils se contentent « d’appliquer cela ». Ils vont le faire – tout simplement. Ils n’ont pas besoin d’une révolution pour le faire, et ils n’ont aucun intérêt à combattre l’Amérique.

Qu’est-ce donc que ce « cela » ? Il ne s’agit pas seulement d’un pacte de commerce et d’investissement avec Téhéran, ni d’une simple entraide entre alliés. La « résistance » réside précisément dans la manière dont ils essaient de s’entraider. Il s’agit d’un mode de développement économique. Il représente la notion selon laquelle toute ressource génératrice de rente – monopoles bancaires, fonciers, ressources naturelles et infrastructures naturelles – devrait appartenir au domaine public afin de répondre aux besoins fondamentaux de tous – gratuitement.

L’alternative consiste simplement à privatiser ces « biens publics » (comme en Occident), où ils sont fournis à un coût maximal financiarisé – y compris des taux d’intérêt, des dividendes, des frais de gestion et des manipulations pour optimiser le gain financier.

« Cela » veut alors dire une approche économique véritablement différente. Pour donner un exemple : L’extension du métro de la Deuxième Avenue à New York a coûté 6 milliards de dollars, soit 2 milliards de dollars par mile – le transport urbain de masse le plus cher jamais construit. Le coût moyen des lignes de métro souterraines en dehors des États-Unis est de 350 millions de dollars par mile, soit un sixième du coût de celui de New York.

En quoi ce « cela » change-t-il tout ? L’élément le plus important du budget d’une personne est aujourd’hui le logement, à hauteur de 40 % du budget, ce qui reflète simplement le prix élevé des maisons, basé sur un marché alimenté par la dette. Imaginez que cette proportion soit plutôt de 10 % (comme en Chine). Supposons également que l’enseignement public soit peu coûteux. Dans ce cas, vous êtes débarrassé de la dette liée à l’éducation et de ses intérêts. Supposons que vous ayez des soins de santé publics et des infrastructures de transport à bas prix. Vous aurez alors la capacité de dépenser. Vous deviendrez une économie à faible coût et, par conséquent, vous connaîtrez la croissance.

Un autre exemple : Le coût de l’embauche de personnel de R&D en Chine représente un tiers ou la moitié du coût comparable aux États-Unis, de sorte que les dépenses technologiques de la Chine sont plus proches de 1 000 milliards de dollars par an (en termes de parité de pouvoir d’achat), alors que les États-Unis ne consacrent que 0,6 % de leur PIB, soit environ 130 milliards de dollars, à la R&D fédérale.

À un certain niveau, « cela » est donc un défi stratégique pour l’écosystème occidental. Dans un coin du ring, les économies stagnantes de l’Europe et de l’UE, hyper-financiarisées et axées sur la dette, dans lesquelles l’orientation stratégique et les « gagnants et perdants » économiques sont déterminés par les grands oligarques, et dans lesquelles les 60% luttent et les 0,1% prospèrent. Dans l’autre coin du ring, une économie très mixte dans laquelle le Parti fixe un cap stratégique pour les entreprises d’État, tandis que d’autres sont encouragés à innover et à faire preuve d’esprit d’entreprise dans le moule d’une économie dirigée par l’État (quoique avec des caractéristiques taoïstes et confucéennes).

Socialisme contre capitalisme ? Non, il y a longtemps que les États-Unis ne sont plus une économie capitaliste ; c’est à peine encore une économie de marché aujourd’hui. C’est devenu, de plus en plus, une économie rentière, depuis qu’elle a quitté l’étalon-or (en 1971). Cette sortie forcée des États-Unis de la « fenêtre de l’or » leur a permis, grâce à la demande mondiale de titres de créance américains (obligations du Trésor), de se financer gratuitement (à partir de l’excédent économique mondial). Le Consensus de Washington garantissait en outre que les afflux de dollars à Wall Street, en provenance du monde entier, ne seraient jamais soumis à des contrôles de capitaux, et que les États ne pourraient pas utiliser leur propre monnaie, mais devraient emprunter en dollars à la Banque mondiale et au FMI.

Et cela signifiait essentiellement emprunter au Pentagone et au Département d’État en dollars américains, qui étaient en fin de compte les « exécutants » du système, comme le note le professeur Hudson. L’évolution du système financier américain vers une entité qui privilégie les actifs « réels », tels que les hypothèques et les biens immobiliers qui offrent un certain « loyer », plutôt que d’investir directement dans des entreprises spéculatives, signifie également que les jubilés de la dette sont interdits. (Les Grecs peuvent raconter l’expérience de ce que cela implique, dans les moindres détails).

Le fait est que, sur le plan économique, la sphère hyper-financiarisée des États-Unis se rétrécit rapidement, car la Chine, la Russie et une grande partie de l’« île mondiale » se tournent vers les échanges dans leur propre monnaie (et n’achètent plus de bons du Trésor américain). Dans une « guerre » entre systèmes économiques, l’Amérique commence donc du mauvais pied.

Il y a un siècle, Halford Mackinder affirmait que le contrôle du « Heartland », zone qui s’étend de la Volga au Yangtze, permettrait de contrôler « l’île du monde », terme qu’il utilisait pour désigner l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Plus d’un siècle plus tard, la théorie de Mackinder résonne alors que les deux principales nations à l’origine de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) la transforment en un système d’interrelations reliant un bout de l’Eurasie à l’autre. Ce n’est pas si nouveau, bien sûr. Il s’agit simplement de la renaissance de l’ancienne économie basée sur le commerce du cœur de l’Eurasie, qui s’était finalement effondrée au 17e siècle.

Alastair Macleod note que les commentateurs ne parviennent généralement pas à comprendre « pourquoi » cet essor en Asie occidentale : « Ce n’est pas dû à la supériorité militaire, mais à la simple économie. Alors que l’économie américaine souffre d’un résultat inflationniste post-blocage et d’une crise existentielle pour le dollar – l’économie chinoise va connaître un boom grâce à l’augmentation de la consommation intérieure … et à l’augmentation des exportations, conséquence de la stimulation de la demande des consommateurs par l’Amérique [grâce au plan de relance économique de Biden, d’une valeur de 1900 milliards, NdT] et de l’explosion du déficit budgétaire ».

Voilà, explicitement dit, l’argument de Sun Tzu ! « L’opportunité de vaincre l’ennemi est fournie par l’ennemi lui-même ». Il y a à Washington (et dans une certaine mesure en Europe aussi), une faction qui entretient un désir émotionnel pathologique de guerre contre la Russie, provenant en grande partie de la conviction que les Tsars (et plus tard Staline), étaient antisémites. Leur émotion est celle de la haine et de la colère, et pourtant ce sont eux qui sont en grande partie responsables du rapprochement entre la Russie et la Chine. Cette situation, ainsi que la propension de l’Amérique à sanctionner le monde, a donné leur chance à la Chine et à la Russie.

L’idée sous-jacente est toutefois que, même pour l’UE, la périphérie du Rimland est moins importante que l’île-monde de Mackinder. Il fut un temps où la primauté britannique, puis américaine, l’emportait sur son importance, mais ce n’est peut-être plus le cas. Ce qui se passe ici est le plus grand défi jamais lancé à la puissance économique et à la suprématie technologique américaines.
Pourtant, cette Realpolitik économique n’est que la moitié de l’histoire du lancement par la Chine et la Russie d’une « économie mondiale de résistance ». Elle a également un cadre géopolitique parallèle.

C’est à ce dernier aspect, très probablement, que le responsable chinois faisait référence lorsqu’il a déclaré que l’accord avec l’Iran « bouleverserait totalement le paysage géopolitique dominant dans la région de l’Asie occidentale qui a si longtemps été soumise à l’hégémonie des États-Unis ». Notez qu’il n’a pas dit que l’accord bouleverserait les relations de l’Iran avec les États-Unis ou l’Europe, mais l’ensemble de la région. Il a également laissé entendre que les initiatives de la Chine libéreraient l’Asie occidentale de l’hégémonie américaine. Comment cela ?

Dans une interview accordée la semaine dernière, le ministre des affaires étrangères Wang Yi a exposé l’approche de Pékin vis-à-vis de la région de l’Asie occidentale :

Le Moyen-Orient a été un haut lieu de brillantes civilisations dans l’histoire de l’humanité. Pourtant, en raison de conflits et de troubles prolongés dans l’histoire plus récente, la région a sombré dans une dépression sécuritaire… Pour que la région sorte du chaos et jouisse de la stabilité, elle doit s’affranchir de l’ombre de la rivalité géopolitique des grandes puissances et explorer indépendamment des voies de développement adaptées à ses réalités régionales. Elle doit rester imperméable aux pressions et aux ingérences extérieures et suivre une approche inclusive et réconciliatrice pour construire une architecture de sécurité qui tienne compte des préoccupations légitimes de toutes les parties … Dans ce contexte, la Chine souhaite proposer une initiative en cinq points pour assurer la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient :

Premièrement, prôner le respect mutuel … Les deux parties doivent respecter la norme internationale de non-ingérence dans les affaires intérieures des autres … il est particulièrement important que la Chine et les États arabes fassent front commun contre la calomnie, la diffamation, l’ingérence et la pression au nom des droits de l’homme … [l’UE devrait prendre note].

Deuxièmement, défendre l’équité et la justice, s’opposer à l’unilatéralisme et défendre la justice internationale… La Chine encouragera le Conseil de sécurité à délibérer pleinement sur la question de la Palestine afin de réaffirmer la solution à deux États… Nous devons défendre le système international centré sur les Nations unies, ainsi que l’ordre international fondé sur le droit international, et promouvoir conjointement un nouveau type de relations internationales. Nous devrions partager notre expérience en matière de gouvernance … et nous opposer à l’arrogance et aux préjugés.

Troisièmement, la non-prolifération … Les parties doivent … discuter et formuler une feuille de route et un calendrier pour que les États-Unis et l’Iran recommencent à respecter le JCPOA. Il est urgent que les États-Unis prennent des mesures substantielles pour lever leurs sanctions unilatérales à l’encontre de l’Iran, ainsi que leur juridiction de longue durée sur des tiers, et que l’Iran reprenne le respect réciproque de ses engagements nucléaires. Dans le même temps, la communauté internationale devrait soutenir les efforts des pays de la région en vue d’établir au Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires et d’autres armes de destruction massive. [Y compris et surtout Israël, NdT]

Quatrièmement, favoriser conjointement la sécurité collective… Nous proposons d’organiser en Chine une conférence de dialogue multilatéral pour la sécurité régionale dans le Golfe (Persique)….

Et cinquièmement, accélérer la coopération pour le développement… ».

Eh bien, la Chine fait une entrée spectaculaire au Moyen-Orient, et défie les États-Unis avec un programme de résistance. Le ministre des affaires étrangères, Wang, lorsqu’il a rencontré Ali Larijani, conseiller spécial du guide suprême Khamenei, a tout formulé en une seule phrase : « L’Iran décide en toute indépendance de ses relations avec les autres pays, et n’est pas comme certains pays qui changent de position en un coup de fil ». Ce commentaire résume à lui seul la nouvelle éthique du « guerrier loup » : les États doivent conserver leur autonomie et leur souveraineté. La Chine prône un multilatéralisme souverainiste pour secouer « le joug occidental ».

Wang n’a pas limité ce message politique à l’Iran. Il venait de tenir les mêmes propos en Arabie saoudite, avant d’arriver à Téhéran. Il a été bien accueilli à Riyadh. En termes de développement économique, la Chine avait auparavant associé la Turquie et le Pakistan au plan du « corridor » – et maintenant l’Iran.

Comment les États-Unis vont-ils réagir ? Ils vont ignorer le message d’Anchorage. Ils vont probablement poursuivre leurs efforts. Ils testent déjà la Chine à propos de Taïwan et préparent une escalade en Ukraine, pour provoquer la Russie.

Pour l’UE, l’entrée de la Chine dans la politique mondiale est plus problématique. Elle tentait de tirer parti de sa propre « autonomie stratégique » en érigeant les valeurs européennes en porte d’entrée de son marché et de son partenariat commercial. En réalité, la Chine dit au monde de rejeter toute imposition hégémonique de valeurs et de droits étrangers.

L’UE est coincée au milieu. Contrairement aux États-Unis, elle n’est pas en mesure d’imprimer l’argent qui lui permettrait de relancer son économie contaminée par le virus. Elle a désespérément besoin de commerce et d’investissement. Or, son principal partenaire commercial, et sa source de technologie, vient de lui dire (comme elle l’a dit aux États-Unis) d’abandonner son discours moralisateur. Dans le même temps, le « partenaire sécuritaire » de l’Europe vient d’exiger le contraire : que l’UE le renforce. Que peut-elle faire ? sinon s’asseoir et observer… (en croisant les doigts pour que personne ne fasse quelque chose d’extrêmement stupide).

Alastair Crooke

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie

[Source : MIRASTNEWS]

La plupart d’entre nous n’ont entendu parler des «passeports de vaccins» qu’après la pandémie, lorsque différents gouvernements ont commencé à insister sur l’exigence de «passeports pour les vaccins» pour voyager dans d’autres pays ou même pour se rendre dans des lieux publics.

Cependant, la planification de l’exécution du concept de «passeport de vaccins» a commencé 20 mois avant le déclenchement de la pandémie. Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.

Contenus

     1 Feuille de route des passeports de vaccins

     2 Sommet mondial sur la vaccination 2019

         2.1 Les 3 tables rondes

         2.2 Membres notables du panel

         2.3 Planification en cas de pandémie

     3 À qui profitent réellement les passeports de vaccins?

     4 projets en développement

         4.1 Microchip COVID du Pentagone

         4.2 Sceau de santé pour les entreprises

         4.3 Propagande vaccinale

         4.4 Seringues volantes

         4.5 Pas de vaccin Pas de salaire

         4.6 Passeports de liberté basés sur le code QR

         4.7 Projet Commons

         4.8 Tatouage de vaccin quantique invisible

         4.9 Carte santé numérique

         4.10 Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale

         4.11 Tomates GM comme vaccin comestible contre le coronavirus

         4.12 Timbre de confiance

         4.13 COVI PASS basé sur la RFID

Vaccine Passports Were Planned Even Before The Pandemic Began

Feuille de route des passeports de vaccins

La proposition initiale de «passeports de vaccins» a été publiée pour la première fois le 26 avril 2018 par la Commission européenne. La proposition, ignorée par les médias mainstream, a été profondément enfouie dans un document (lire ci-dessous) traitant du «renforcement de la coopération contre les maladies évitables par la vaccination».

Conformément à la feuille de route initiale (publiée au début de 2019) pour mettre en œuvre la proposition de la Commission européenne, l’action principale consistait à «examiner la faisabilité de développer une carte / passeport de vaccination commun» pour les citoyens européens qui soit «compatible avec les systèmes électroniques d’information sur la vaccination et reconnu pour une utilisation au-delà des frontières.»

Il était prévu de faire émettre une proposition législative d’ici 2022, en Europe.

Des termes – tels que «contrer l’hésitation à la vaccination», «flambées inattendues» – qui n’étaient pas si courants avant l’épidémie étaient également mentionnés dans la proposition.

Parmi les autres points du document de feuille de route figuraient le soutien à l’autorisation de «vaccins innovants, y compris pour les menaces sanitaires émergentes».

Déclarant que «l’industrie de la fabrication des vaccins» a un «rôle clé» dans la réalisation des objectifs décrits dans le document de la feuille de route, il énumère «l’amélioration de la capacité de fabrication de l’UE» et le stockage des vaccins comme d’autres points d’action à mettre en œuvre.

La feuille de route met également l’accent sur le renforcement des «partenariats existants» et de la «collaboration avec les acteurs et initiatives internationaux» et fait référence au Sommet mondial sur la vaccination qui s’est tenu en 2019. Les participants et l’agenda de ce sommet sont également révélateurs.

Sommet mondial de la vaccination 2019

Les 3 tables rondes

Le sommet s’est tenu le 12 septembre 2019, à Bruxelles, en Belgique, à peine 3 mois avant l’épidémie de COVID-19. Le sommet n’a pas été rapporté par la plupart des grands médias. Il a été organisé par la Commission européenne en coopération avec l’OMS.

Le sommet s’est structuré autour de trois tables rondes intitulées:

  • Dans les vaccins auxquels nous faisons confiance
  • La magie de la science
  • Les vaccins protègent tout le monde, partout

Membres notables du panel

Les participants à ce sommet étaient des dirigeants politiques, des représentants de haut niveau des ministères de la santé, des Nations Unies, des universitaires de premier plan, des professionnels de la santé et des scientifiques, des secteurs non gouvernementaux et privés.

Parmi les membres notables de ces tables rondes figuraient le Dr Seth Berkley, PDG de GAVI, Nanette Cocero, présidente mondiale de Pfizer Vaccines, la Global Vaccine Alliance – une organisation qui a reçu d’énormes montants de financement de la Fondation Bill & Melinda Gates; et Joe Cerrell, directeur général de la Fondation Bill & Melinda Gates pour la politique mondiale et le plaidoyer.

Lanceur d’alerte de l’OMS, le Dr Astrid Stuckelberger, dans une confession stupéfiante, a dénoncé les activités suspectes de Bill Gates et de GAVI.

Lors de la 41e session du Comité d’enquête Corona, elle a déclaré que les règles en vertu desquelles les pays collaborent avec l’OMS placent pratiquement l’OMS en charge de toutes les règles et édits et annonces formels – Gates étant juste là en tant que membre du conseil exécutif comme un État membre non officiel, prendre des décisions qui affectent le monde entier.

Planification en cas de pandémie

La planification de la pandémie était clairement mise en évidence lors de cette réunion au sommet. Les principaux documents distribués aux participants comprenaient des rapports sur:

  • Planification de la préparation à la grippe pandémique
  • Un exercice de grippe pandémique pour l’Union européenne
  • Planification de la préparation à la grippe aviaire et à la pandémie de grippe
  • Préparation et planification de la riposte à la grippe pandémique
  • Vers une suffisance des vaccins contre la grippe pandémique dans l’UE
  • Un «partenariat public-privé» sur les vaccins européens contre la grippe pandémique

Dans tous ces documents, l’objectif de renforcement de la collaboration avec l’industrie pharmaceutique est souligné à maintes reprises, tout comme le message selon lequel une pandémie mondiale était désormais inévitable.

Selon de nombreux échanges de courriers électroniques obtenus par un groupe d’avocats dans le cadre d’un litige juridique, le ministère allemand de l’Intérieur a engagé des scientifiques pour développer un faux modèle de coronavirus afin de justifier un verrouillage strict.

À qui profitent réellement les passeports de vaccins?

Le principal bénéficiaire de ces projets de passeport de vaccins sera l’industrie pharmaceutique multinationale et non l’homme ordinaire.

En plus de cela, les gens ordinaires devront partager leurs dossiers médicaux afin de prouver qu’ils sont aptes à voyager à l’étranger ou même à regarder un film.

L’activité estimée que visent ces géants pharmaceutiques vaut 1500 milliards de dollars rien qu’en 2021.

Dès que le nouveau président américain a été installé, un décret a été signé imposant de nouvelles restrictions de voyage et de commencer à tester la faisabilité des passeports vaccinaux COVID-19.

Projets en développement

[Ndlr : la plupart de ces projets dignes de docteurs Folamour et autres psychopathes ne verront pas nécessairement le jour, ceci dépendant de leur degré de faisabilité, notamment à grande échelle.]

Ce dont parlent ces feuilles de route, ce n’est pas seulement un document qui restreindrait votre entrée ou votre mouvement à certains endroits. Ce qu’ils envisagent est un écosystème COVID complet, un avenir où chaque aspect de votre vie est surveillé et réglementé selon les caprices et la fantaisie de ces Pharma Overlords.

Ci-dessous, nous mentionnons quelques projets qui vous donneraient une idée de ce à quoi ressemblerait cet avenir.

Microchip COVID du Pentagone

Les scientifiques du Pentagone ont créé une micropuce qu’ils veulent injecter dans votre corps pour détecter le coronavirus dans votre corps avant même que vous ne présentiez des symptômes. Ils ont également créé un filtre pour extraire le virus de votre sang.

Sceau de santé pour les entreprises

Après les passeports de vaccins pour les personnes, Hollywood propose maintenant le sceau de santé COVID-19 pour les entreprises. Des célébrités comme Lady Gaga et Robert De Niro utilisent Covid-19 pour promouvoir un système coûteux de «sceau de santé» qui certifiera l’emplacement de votre entreprise comme étant exempt de COVID-19.

Ces célébrités prêchent aux gens d’acheter ce sceau de santé qui pourrait vous coûter plus de 12 000 $ et qui «ne garantit pas qu’un espace est sûr ou exempt d’agents pathogènes». La norme de construction WELL est alignée sur les Nations Unies.

Propagande vaccinale

Avec l’augmentation des cas de réactions indésirables multiples au vaccin COVID-19, des vidéos de propagande de vaccination désormais épuisées et sans base scientifique apparaissent pour vous inciter à aimer les vaccins et à ne poser aucune question et à continuer à injecter les vaccins année après année après année .

Seringues volantes

Flying Syringes est une expression utilisée pour désigner un projet proposé financé par Bill Gates pour créer des moustiques génétiquement modifiés qui injectent des vaccins aux personnes lorsqu’elles les piquent.

Pas de vaccin Pas de salaire

Une ordonnance controversée de Pas de vaccination Pas de salaire a été émise par les autorités sanitaires de l’État indien de Jharkhand, qui a été forcée d’être retirée après la réaction des employés.

Ce n’est pas un événement aléatoire. C’est un aperçu de ce qui est à venir.

Passeports de liberté basés sur le code QR

La Grande-Bretagne pourrait bientôt déployer le Coronavirus Freedom Passport basé sur QR pour déterminer si vous êtes innocent COVID-19. Si la COVID-19 est positive, vous pouvez être interdit d’entrer dans les pubs, les écoles et les lieux de travail.

Projet Commons

La Fondation Rockefeller et la Fondation Clinton ont développé une série d’applications COVID qui contrôleront étroitement votre vie post-Covid.

L’initiative est lancée par la fondation à but non lucratif Commons Project Foundation, qui fait partie du Forum économique mondial.

Le projet Commons comprend trois applications COVID – CommonHealthCOVIDcheck et CommonPass.

Ensemble, ils collecteront, stockeront et surveilleront vos données de santé en fonction desquelles les applications décideront si vous êtes éligible pour voyager, étudier, aller au bureau, etc.

Tatouage de vaccin quantique invisible

Un projet financé par Bill Gates vise à fournir un tatouage quantique invisible caché dans le vaccin contre le coronavirus pour stocker votre historique de vaccination.

Les chercheurs ont montré que leur nouveau colorant, constitué de nanocristaux appelés points quantiques, peut rester au moins cinq ans sous la peau, où il émet une lumière proche infrarouge qui peut être détectée par un smartphone spécialement équipé.

Carte santé numérique

Le gouvernement indien envisage de lancer une carte santé numérique obligatoire inspirée du concept de Bill Gates.

Dans le cadre du programme «One Nation One Health Card», les antécédents médicaux d’une personne, y compris tous les traitements et tests qu’elle a subis, seront enregistrés numériquement sur cette carte.

Les hôpitaux, les cliniques et les médecins seront tous reliés à un serveur central. Le mouvement vise à cartographier les dossiers de santé de chaque citoyen du pays dans un format numérique.

Balises électroniques pour le suivi de l’activité comportementale

Après que les robots IA appliquent les règles obligatoires des masques faciaux, Singapour a déployé des balises électroniques COVID-19 pour suivre l’activité comportementale afin de mettre en quarantaine.

Si vous tentez de quitter votre domicile, il alertera les autorités, à la suite de quoi il y aura peut-être une amende de 10 000 dollars singapouriens ou six mois de prison ou les deux.

Les tomates GM comme vaccin comestible contre le coronavirus

Des scientifiques mexicains cultivent des tomates génétiquement modifiées comme vaccin comestible contre le coronavirus.

Un groupe de recherche d’une université mexicaine utilise la bioinformatique et le génie génétique informatique pour identifier des antigènes candidats pour un vaccin qui peut être exprimé dans les plants de tomates.

Manger les fruits de ces plantes conférerait alors une immunité contre la COVID-19, affirment les scientifiques.

Timbre de confiance

Trust Stamp est un programme d’identité numérique basé sur la vaccination financé par Bill Gates et mis en œuvre par Mastercard et GAVI, qui reliera bientôt votre identité numérique biométrique à vos dossiers de vaccination.

Le programme dit «évoluer à mesure que vous évoluez» fait partie de la guerre mondiale contre l’argent liquide et a le potentiel d’un double usage à des fins de surveillance et de «police prédictive» en fonction de vos antécédents de vaccination.

Ceux qui ne souhaitent pas être vaccinés peuvent être exclus du système en fonction de leur score de confiance.

COVI PASS basé sur RFID

Le gouvernement britannique se prépare à déployer COVI PASS – Les passeports de santé numériques à coronavirus compatibles avec la RFID biométrique pour surveiller presque tous les aspects de la vie des citoyens au nom du renforcement de la gestion de la santé publique.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : GreatGameIndia




Allemagne : l’institut Robert Koch, la Fondation Gates et l’OMS

[Source : Kla.tv]

L’émission qui suit apporte des révélations sur le Professeur Lothar Wieler, président de l’Institut allemand Robert Koch. Elles portent principalement sur la tromperie gigantesque des tests PCR. Étant donné les interrelations du Prof. Wieler avec plusieurs organismes dont l’OMS, il est fort probable que cette fraude n’est pas seulement un cas isolé en Allemagne, mais qu’elle concerne la plupart des pays, en particulier la France.

Ce documentaire met à la lumière une grosse fraude statistique dont Lothar Wieler, en tant que directeur de l’institut Robert Koch, porte la responsabilité.



Le dossier Wieler : interrelations et révélations

Depuis 2015, le Pr. Lothar Wieler est président de l’Institut allemand Robert Koch, ou RKI en abrégé. Cet institut est l’institution centrale du gouvernement fédéral allemand pour la surveillance et la prévention des maladies. Ses tâches principales sont la détection, la prévention et le combat contre les maladies, en particulier les maladies infectieuses, ainsi que l’élaboration de résultats scientifiques servant de base aux décisions de politique de santé. En sa qualité de président du RKI, le Dr Wieler rend compte directement au ministère fédéral de la santé et influence considérablement de nombreuses décisions politiques par ses évaluations. Ses déclarations ont donc du poids !

Wieler est également responsable de tous les chiffres clés relatifs au Covid, tels que les chiffres dits d’infection et le taux d’incidence. Ces chiffres, qui sont rapportés quotidiennement, fournissent aux politiciens la justification pour des restrictions de grande envergure des droits fondamentaux, jamais vues auparavant dans toute l’histoire de la République fédérale d’Allemagne.
Etant donné l’énorme responsabilité que cela représente, Lothar Wieler doit également affronter l’examen critique.
C’est pourquoi dans cette émission nous allons d’abord nous intéresser de plus près à ses interrelations étendues. Ensuite, des déclarations centrales de Wieler – qui constituent des révélations incroyables – seront examinées :

I. Les interrelations étendues de Lothar Wieler

Le Pr.Wieler est membre de comités nationaux et internationaux très influents :

  • 1. L’Académie nationale allemande des sciences Leopoldina
    Dans un rapport dont Wieler est le coauteur, il a demandé un confinement dur au début du mois de décembre 2020, ce que la chancelière et les chefs de gouvernement des lands ont ensuite également décidé le 13 décembre 2020. Le Pr. Michael Esfeld, lui-même membre de la Leopoldina, a protesté publiquement et de manière très véhémente contre ce détournement politique de la science. Il reprochait à ses collègues : « Ces scientifiques se sont laissé prendre par le gouvernement pour faire de la propagande. »
    Le Pr. Thomas Aigner de Tübinger a quitté l’Académie des Sciences de Mayence à cause de l’expertise de la Léopoldina, « parce qu’il ne pouvait plus le concilier avec sa conscience », car « l’expertise ad hoc n’était pas digne d’une science honnête. »
  • 2. Le Conseil consultatif scientifique du GloPID-R (Collaboration mondiale en matière de recherche pour la préparation aux maladies infectieuses)
    Les organisations membres de GloPID-R sont souvent concernées par la distribution des vaccins. Les principaux donateurs sont la Fondation Bill et Melinda Gates et l’OMS, qui est également cofinancée par Gates.
  • 3. L’IANPHI (Bureau exécutif de l’Association internationale des instituts nationaux de santé publique)
    L’IANPHI a été fondé et est financé par la Fondation Rockefeller et la Fondation Bill et Melinda Gates.
  • 4. L’EACHR (Comité consultatif européen pour la recherche en santé (Le CCERS)
    Cet organe de 24 membres conseille le directeur régional de l’OMS pour l’Europe.
  • 5. Le STAG-IH (Groupe consultatif stratégique et technique sur les risques infectieux) de l’Organisation mondiale de la santé, OMS)
    Le STAG-IH évalue le contexte mondial des maladies infectieuses et conseille l’OMS dans la définition de ses priorités. Le principal donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a également transféré 253 000 dollars à l’Institut Robert Koch, que dirige Wieler.

Ces interrelations soulèvent trois questions importantes :

  1. En tant que membre de la Leopoldina, Wieler, qui est subordonné au ministre fédéral de la Santé, prépare-t-il des expertises de complaisance pour le gouvernement fédéral ?
  2. Wieler, en tant que chef du RKI, s’appuie-t-il sur ses propres recommandations alors que, dans le même temps, il agit en tant que conseiller de l’OMS sur les questions de pandémie et applique ensuite lui-même ces directives de l’OMS ?
  3. Dans quelle mesure M. Wieler peut-il être indépendant et objectif alors que presque toutes ses interrelations sont directement ou indirectement cofinancées par la Fondation Bill et Melinda Gates ?

II. Les incroyables révélations sur Lothar Wieler

Révélation 1 – Les vaccinations :

Le 15 octobre 2020, interviewé par Phoenix, Wieler fait une déclaration sur l’honneur :

« Nous supposons tous que les vaccins seront approuvés l’année prochaine. Nous ne savons pas exactement comment ils fonctionnent, à quel point ils sont efficaces, ce qu’ils font, mais je suis très optimiste quant aux vaccins. »

Wieler révèle ainsi que le RKI n’a pas du tout compris comment fonctionnent les nouveaux vaccins à ARN. Ces vaccins ont été introduits après une procédure d’approbation accélérée, ils sont recommandés sans aucune indication de risque ni étude à long terme et de manière irresponsable, ils sont même décrits comme sûrs !

Révélation 2 : Le test PCR :

« L’essentiel est que nous identifiions le plus grand nombre de personnes possible avec le PCR ! Et puis le séquençage est une technologie séquentielle en aval qui nous donne encore plus d’informations. Mais tout d’abord, toute l’essence du contrôle de la pandémie repose sur l’identification des personnes… »

Wieler révèle ainsi que le test PCR n’est qu’une question d’identification. Là où la déclaration de M. Wieler est particulièrement inquiétante, c’est que cette « pandémie de tests » semble maintenant être utilisée pour pousser à l’identification et la numérisation. Même en 2019, avant la première épidémie de Covid, il avait demandé une meilleure identification et un stockage numérique des données pour pouvoir augmenter les taux de vaccination.

Révélation 3 – les chiffres quotidiens du RKI :

1.) Le nombre de personnes qui sont mortes à cause du Covid.

« Dans notre pays, on considère qu’une personne est morte du Covid si l’infection par le Covid a été détectée. »

Wieler révèle ainsi que le RKI ne permet pas de distinguer si le coronavirus est la cause du décès d’une personne. Une personne souffrant d’un cancer en phase terminale qui a été testée positive peu de temps avant sa mort est comptée comme une mort Covid, tout comme un accidenté de la route, testé positif avant l’accident. La clinique universitaire de Hambourg-Eppendorf a effectué les autopsies de plus de 600 personnes qui, selon les statistiques officielles, sont mortes du Covid ; ces examens ont montré que 99 % d’entre elles souffraient déjà d’une grave maladie antérieure. Cela montre que les chiffres de mortalité du Covid publiés par Wieler ne reflètent en rien la mortalité réelle causée par le Covid 19.

2.) Le nombre de personnes prétendument infectées par le Covid

« La référence absolue du diagnostic primaire reste le PCR ! »

Wieler révèle ici, contrairement à tous les faits, que pour lui le test PCR est la référence absolue du diagnostic. La notice de ce test PCR indique que le test n’est pas du tout adapté au diagnostic :

« A des fins de recherche uniquement. Ne convient pas aux procédures de diagnostic. »

L’inventeur de la méthode PCR, Kary Mullis, décédé en 2019, s’opposerait également avec véhémence à cette déclaration de Lothar Wieler. Mullis a déclaré à ce sujet :

« Avec le PCR, vous pouvez trouver – si vous le faites bien – presque n’importe quoi chez n’importe qui […] Le test ne vous dit PAS si vous êtes malade ; ou si ce qui a été trouvé vous cause vraiment du tort. »

Le Sénat de Berlin a également dû confirmer en octobre 2020, suite à une demande d’information du député Luthe, que le test PCR ne permet pas de distinguer un virus capable de se reproduire d’un virus incapable de se reproduire ! Il s’agit toutefois d’une condition préalable à la détection d’une maladie.
Pourquoi Wieler parle-t-il néanmoins « d’infections avérées » et non de « tests PCR positifs » (comme il serait correct de le dire) ? Wieler est conscient de cette différence. Néanmoins, lui et les médias répandent la peur dans la population en répétant sans cesse le terme terrifiant de « nouvelles infections ».

3.) Le taux d’incidence [nombre de personnes prétendument infectées pour 100 000 habitants].

« …une incidence de dix, ce serait un bon chiffre, (…) et j’avais déjà dit au printemps qu’avec ce chiffre nous pouvons vraiment bien réguler et contrôler ce qui se passe, et là mon estimation n’a pas changé. »

Wieler révèle là un « but recherché » inatteignable. Le taux d’incidence requis de 10 de Wieler signifie que sur 100 000 personnes, seuls 10 peuvent être testées positifs sur une période de 7 jours !
Même si le test PCR ne présentait que 2 % de résultats faussement positifs, le taux d’incidence de 10 serait déjà atteint à partir de 500 tests effectués pour 100 000 habitants. Si on les testait tous, on obtiendrait un taux d’incidence « catastrophique » de 2 000, rien que par le taux d’erreur du test !
En ne tenant pas compte du « taux de faux positifs » du test PCR lors de la détermination du taux d’incidence, Wieler est capable de tromper la population en lui faisant croire à une « situation d’infection » complètement fausse !

La stratégie actuelle du gouvernement fédéral, avec un taux d’incidence requis de 50, voire de 35, et l’augmentation simultanée du nombre de tests PCR, permet de maintenir aussi longtemps que ce sera souhaité le confinement par cette « pandémie de test » auto-créée. Et cela, bien que la majorité de ces résultats montrent des personnes simplement testées positives, mais en aucun cas des personnes qui sont tombées malades !
Et c’est là que le RKI viole sa propre recommandation du 3 novembre 2020 :

« En règle générale, les diagnostics de laboratoire ne doivent être effectués que s’il existe des signes de maladie et que les critères du test sont remplis. »

L’OMS souligne également que la valeur informative des tests est largement inutile si les personnes testées ne présentent aucun symptôme.
Étant donné que cela s’applique à la grande majorité des personnes testées, il faut cesser immédiatement les tests PCR sur les personnes ne présentant pas de symptômes ! Sinon, le taux d’incidence actuellement requis de 50 ou moins, ne permettra aucunement de sortir du confinement !

Révélation 4 : Les consignes Covid

« Nous devrons nous conformer à ces consignes pendant des mois encore. Celles-ci doivent être la norme. Elles ne doivent jamais être remises en question. Garder la distance, l’hygiène des mains et, lorsqu’il n’est pas possible de garder la distance, porter en plus des masques tous les jours ou des protections bucco-nasales, et ce, à l’intérieur comme à l’extérieur. Donc c’est la règle de base, personne ne devrait et ne doit plus remettre en question cela, nous devrions simplement le faire. »

Wieler révèle-t-il ici le commandement numéro un de la pandémie : interdiction de remettre en questions !? Pourquoi essaie-t-il d’empêcher toute remise en question ?

CONCLUSION :

Sous la direction de Wieler, le RKI utilise toutes les astuces possibles pour gonfler les données statistiques sur le nombre de décès dus au covid, le nombre de personnes prétendument infectées et le taux d’incidence actuel.
Une discussion critique basée sur les faits est empêchée.

Chers téléspectateurs, ce documentaire a mis en lumière une fraude statistique indéniable, dont le Dr. Lothar Wieler est responsable en tant que directeur du RKI. Cette fraude pèse lourd car elle fournit aux politiciens une justification pour un confinement continu avec des restrictions sévères de la liberté des citoyens. Il n’y aura pas de levée fondamentale des lourdes restrictions actuelles concernant les droits fondamentaux des citoyens tant qu’une grande partie de la population ne sera pas informée de cette fraude.

Comme depuis des mois, les principaux médias n’ont pas rempli leur devoir de reportage critique et d’information complète de la population, il faut maintenant un « tsunami d’informations » de la part du peuple !
Faites partie d’un grand mouvement populaire où chacun informe dès maintenant son entourage sur ces liens de cause à effet !
Faites donc suivre cette vidéo explicative à autant d’amis, de collègues de travail et de parents que possible ! Pensez en particulier aux personnes qui s’informent principalement par le biais des médias principaux ! Utilisez tous les moyens disponibles, par exemple les mails, WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook. Le lien de cette émission s’affiche à l’écran.

Sources / Liens :

Allgemeine Infos zu Dr. Lothar Wieler https://www.rki.de/DE/Content/Service/Presse/Pressemitteilungen/2015/01_2015.html
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/institut_node.html;jsessionid=47280A3647889057D2968D7DC0361C80.internet121
https://de.wikipedia.org/wiki/Robert_Koch-Institut
Wielers Verflechtungen
https://www.leopoldina.org/mitgliederverzeichnis/mitglieder/member/Member/show/lothar-heinz-wieler/
https://de.wikipedia.org/wiki/Lothar_H._Wieler#Mitgliedschaften
https://www.rki.de/SharedDocs/Personen/Mitarbeiter/W/Wieler/Wieler_Lothar_H.html
https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/11/OPP1216026
Leopoldina-Gutachten
https://www.leopoldina.org/uploads/tx_leopublication/2020_12_08_Stellungnahme_Corona_Feiertage_final.pdf
Beschluss zum Lockdown im Dezember
https://www.bundesregierung.de/resource/blob/997532/1827366/69441fb68435a7199b3d3a89bff2c0e6/2020-12-13-beschluss-mpk-data.pdf
Protest von Prof. Michael Elsfeld
https://www.merkur.de/politik/corona-angela-merkel-soeder-deutschland-wissenschaft-leopoldina-lockdown-kuba-syndrom-aktuell-90204364.html
Prof. Thomas Aigner
https://www.kla.tv/17942
https://www.akanthos-akademie.de/2020/12/28/protest-gegen-leopoldina-ad-hoc-gutachten-t%C3%BCbinger-professor-verl%C3%A4sst-akademie-der-wissenschaften/
https://www.rundschau.info/prof-dr-thomas-aigner-ich-kann-es-mit-meinem-gewissen-nicht-vereinbaren-ein-teil-dieser-art-von-wissenschaft-zu-sein/
Mitgliedschaften GloPID-R:
https://www.glopid-r.org/about-us/members/
IANPHI:
https://en.wikipedia.org/wiki/International_Association_of_National_Public_Health_Institutes
EACHR:
https://www.rki.de/SharedDocs/Lebenslauf/EN/Wieler_Lothar_H_EACHR_en.html
STAG-IH:
https://www.who.int/emergencies/diseases/strategic-and-technical-advisory-group-for-infectious-hazards/en/
https://www.rki.de/DE/Content/Institut/Leitung/Wieler_STAG-IH.html
Wielers unglaubliche Enthüllungen
1. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=_CpcIUov-1Q
2. Enthüllung
https://dein.tube/watch/rWi7Yzyo6kPYuSk
https://www.pharma-fakten.de/news/details/782-digitalisierung-der-schluessel-zu-besseren-impfquoten/
3. Enthüllung
1.https://www.facebook.com/tagesschau/videos/243812243453095/?v=243812243453095¬if_id=1584694894382298¬if_t=live_video
ab Min. 17:47
https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/id_87636856/coronavirus-hamburg-will-nur-echte-covid-19-tote-zaehlen.html
https://www.n-tv.de/wissen/Fast-alle-Corona-Toten-waren-vorerkrankt-article22371530.html
2. https://www.youtube.com/watch?v=wO_F0UrHKxY
(ab min.13.00)
https://www.kla.tv/17530
https://www.youtube.com/watch?v=Xc0Kysti6Kc
ExpressZeitung Ausgabe 38/2021
https://www.epochtimes.de/assets/uploads/2020/11/Antwort-des-Berliner-Senats.pdf
https://www.creative-diagnostics.com/pdf/CD019RT.pdf
3. https://www.youtube.com/watch?v=iN5BIcgZQqU&t=2506s
(ab Min 41:46)
https://reitschuster.de/post/rki-chef-wieler-entlarvt-corona-versagen-der-regierung-und-keiner-merkt-es/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32133832/
https://impf-info.de/82-coronoia/314-coronoia.html#falsch_positiv
(update 12.6.20)
https://www.nordbayern.de/politik/streit-um-den-inzidenzwert-ist-nun-die-35-die-neue-50-1.10832878
https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/NCOV2019/FAQ_Liste_Diagnostik.html
https://reitschuster.de/post/unglaublich-who-warnt-vor-unzuverlaessigkeit-von-pcr-test/
https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
4. Enthüllung
https://www.youtube.com/watch?v=HGZpv9iB-Qg




On en sait plus sur l’efficacité du masque… Elle ne dépasse pas celle d’un placebo. MàJ

[Source :Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

(…)Presque un an après – le premier pays européen à l’avoir imposé est l’Autriche, le 6 avril 2020 – nous disposons enfin d’un recul sur l’effet réel de cette mesure.(…)

Des courbes accablantes

Voici ce que montrent les graphiques qui associent l’évolution du nombre d’infections au Covid et l’introduction de l’obligation du port du masque[1].

Ces graphiques existent pour la plupart des pays d’Europe.

Ici je vais m’en tenir à la France et à ses voisins.

Les données viennent du très sérieux Our world in data et sont consultables librement. Vous trouverez, en source de ma lettre sur mon site, l’entrée pour « France » – mais vous pouvez effectuer la même opération pour n’importe quel autre pays[2].

En France, le masque est devenu obligatoire en mai 2020. Après une accalmie des infections en été, celles-ci sont reparties à la hausse dès la mi-août, avec la flambée que l’on connaît en septembre-octobre.

[NDLR (Mise à jour) : en fait, ce n’est qu’à partir de 28 août que le masque est devenu obligatoire en France, et ceci seulement dans une partie du territoire
(cf. Covid-19 : où en est-on du port obligatoire du masque en France? (lejdd.fr)). Son inutilité est encore plus flagrante.]

En Espagne, le masque est devenu obligatoire peu de temps après, au plus bas des infections. L’accalmie a été plus courte, et la flambée plus rapide.

La Belgique et la Grande-Bretagne ont imposé la mesure à peu près au même moment, durant la seconde quinzaine de juillet. Leurs courbes se ressemblent : 


On voit, dans les deux cas, que la mesure n’a pas empêché une nette reprise des infections dès la fin de l’été.

L’Italie a été, concernant le port du masque, bonne dernière. Voici le résultat :

Le port du masque a été décrété en octobre, en pleine reprise de l’épidémie, et ne l’a en aucune manière ralentie.

Toutes les courbes se ressemblent, sauf…

J’ai encore deux graphiques à vous montrer.

Le premier, c’est celui de l’Allemagne :

L’Allemagne a été l’un des premiers pays européens à imposer le port du masque. Sur ce graphique, on pourrait croire que la mesure a d’abord été efficace : on observe une diminution des infections… entamée un mois avant.

Mais comparez ce graphique aux précédents, et vous comprendrez immédiatement que cette introduction très tôt n’a pas « sauvé » l’Allemagne du destin de ses voisins : la courbe est rigoureusement la même d’un pays à l’autre… quelle que soit le moment où le port du masque a été rendu obligatoire.  

On pourrait tenter objecter ceci à ce stade : « mais enfin, sans le masque obligatoire, sans doute la hausse des contaminations aurait été bien pire ».

Eh bien non.

Ce dernier tableau le prouve : 

Ce graphique compare les courbes des infections dans les pays européens : les courbes noires représentent les pays ayant imposé le masque, les rouges celles ne l’ayant pas fait (la Suède, la Norvège et le Danemark).

On constate un peu plus d’infections durant la grande accalmie de l’été 2020 dans l’un des pays n’ayant pas imposé le masque.

Mais par la suite… ces pays n’ont pas connu la même flambée spectaculaire d’infections des pays « masqués ».

Le port du masque obligatoire semble bel et bien avoir été non seulement inutile, mais contre-productif.

Et pourtant, nous savions

L’été dernier, je dénonçais dans l’une de mes lettres le miroir aux alouettes que constituait le port du masque obligatoire[3].

Et vous vous souvenez des communications du gouvernement au sujet du masque, déclarant d’abord qu’il était parfaitement inutile avant de le décréter obligatoire… sans qu’aucune étude scientifique sérieuse n’ait entretemps changé la donne. 

En réalité les études sérieuses ne trouvent aucun « intérêt » au port du masque face au SARS-CoV-2. 

Comme d’ailleurs face aux autres virus du même type.

La plus « célèbre » de ces études est l’étude randomisée danoise menée sur 6000 personnes, et publiée en novembre 2020 dans Annals of Internal Medecine : les chercheurs avaient découvert que le risque d’être infecté était le même…

…que l’on porte un masque ou non[4]

Je rappelle, à toutes fins utiles, que les particules du SARS-CoV-2 mesurent environ 0,12 microns – c’est-à-dire 0,12 millième de millimètre.

C’est 10 000 fois plus fin que l’épaisseur d’un cheveu. 

Or n’importe quel masque en tissu laissent passer des particules jusqu’à 0,3 microns d’épaisseur.

Autrement dit : les mailles sont deux à trois fois plus grandes que les particules du virus.

Pour mémoire les particules des virus de la grippe (Influenza A et B) font à peu près la même taille et de nombreuses études ont, depuis longtemps, conclu à l’inefficacité des masques pour s’en protéger, comme l’a montré la vaste méta-analyse effectuée par des chercheurs de l’université de Hong Kong, publiée en mai 2020[5].

Une autre étude randomisée, encore plus récente et menée sur 8000 personnes, a été publiée dans la prestigieuse revue Plos One et livre une conclusion sans ambiguïté : « L’étude a échoué à apporter une preuve définitive de l’efficacité du port du masque » contre les infections virales respiratoires[6].

Est-ce nouveau ?

Non.

Une étude de grande ampleur du British Medical Journal publiée en 2015, alertait déjà sur les « faibles pouvoirs filtrants » de ces masques… mais aussi de leurs dangers, concluant que leur usage répété augmentait le risque d’infection[7] !

Le masque, un « lobbying politique »

Pour être « modérément efficace », il faudrait changer tout le temps de masque, le plaquer au-dessus du nez, etc. Peu de gens le font, et l’emploi répété de masques jetables est d’ores et déjà un désastre écologique.

Les masques FFP2 sont réputés plus efficaces que les masques classiques. 

Et cela reste vrai.

Il y a quelques jours, une enquête suisse, basée sur des tests, le montrait encore, précisant toutefois qu’il « est moins confortable, moins respirable et plus difficile à porter correctement »[8].

Ce masque est même déconseillé par l’ECDC (European Centre for Disease Prevention and Control).

Dans ce même document, agence émanant de l’Union Européenne, il est écrit noir sur blanc que « la preuve de l’efficacité des masques dans la prévention du Covid-19 est limitée ».

Cette phrase ahurissante n’est pas cachée dans les profondeurs du rapport. Elle figure en première page et vous pouvez la consulter en source[9]

Alors… pourquoi diable l’obligation de porter un masque persiste-t-elle ??

La réponse a été donnée par des responsables de l’OMS à une journaliste médicale britannique, Deborah Cohen (BBC). Ils ont admis que, en l’absence de preuve scientifique, le port du masque n’est rien d’autre que… du « lobbying politique »[10].

Mais oui. Un gouvernement, c’est fait pour agir.

Et même si son action est inutile, au moins… il a agi.

Obliger les gens à porter un masque fait partie de ces actions absurdes, effectuées pour « donner le change » et donner à la population l’illusion, fausse, qu’elle se protège.

La troisième vague qui bat son plein en est une illustration supplémentaire.

Portez-vous bien,

Rodolphe


[1] Weiss, Y. 27.10.2020. 
https://twitter.com/yinonw/status/1321177359601393664

[2] https://ourworldindata.org/coronavirus/country/france

[3] Bacquet, R. 19.08.2020. L’été masqué. 
https://alternatif-bien-etre.com/coronavirus/lete-masque/

[4] Bundgaard, H., Bundgaard, J. S., et al. (2021). Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers. Annals of Internal Medicine. DOI: 
https://doi.org/10.7326/M20-6817

[5] Xiao, J., Shiu, E. Y. C., Gao, H. et al. (2020). Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerging Infectious Disease 26(5) 967-975. DOI : 
https://dx.doi.org/10.3201/eid2605.190994

[6] Alfelali, M., Haworth, E. A., Barasheed, O. et al. (2020). Facemask against viral respiratory infections among Hajj pilgrims : A challenging cluster-randomized trial. Plos One. DOI : 
https://doi.org/10.1371/journal.pone.0240287

[7] MacIntyre, C. R., Seale, H., Dung, T. C., et al. (2015). A cluster randomised trial of cloth masks compared with medical masks in healthcare workers. BMJ Open 5:e006577. doi: 10.1136/bmjopen-2014-006577. 
https://bmjopen.bmj.com/content/5/4/e006577

[8] Rtsinfo. 23.03.2021. Les masques en tissu sont trop peu efficaces, montre un nouveau test. 
https://www.rts.ch/info/sciences-tech/12066642-les-masques-en-tissu-sont-trop-peu-efficaces-montre-un-nouveau-test.html

[9] European Centre for Disease Prevention and Control, Stockhlom. (2021). Using face masks in the community : first update. Effectiveness in reducing transmission of COVID-19. 
https://www.ecdc.europa.eu/sites/default/files/documents/covid-19-face-masks-community-first-update.pdf

[10] Cohen, D. 12.07.2020. 
https://twitter.com/deb_cohen/status/1282244773030633473




Les criminels, ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît

Par Jean-Michel Grau

La « Haute autorité de Santé » (HAS) vient de recommander que les personnes de moins de 55 ans ayant reçu une première dose du vaccin Astra-Zeneca reçoivent un vaccin à ARN messager en deuxième dose. L’OMS, à ce stade, n’a pas fait de recommandation à ce sujet.

Comme on les comprend !

En effet, prendre le risque d’administrer en deux temps à un même patient deux « vaccins » expérimentaux aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral (Astra-Zeneca) et un « vaccin » à ARN messager (Pfizer/ Moderna), c’est un peu comme vouloir compléter son réservoir d’essence sans plomb par du diesel. Ce qui s’avère d’ailleurs impossible vu que les orifices des réservoirs sont différents selon le carburant utilisé pour éviter l’erreur.

Les précautions que l’on a prises pour le bon fonctionnement des moteurs de nos voitures sont apparemment le cadet des soucis de la HAS pour la santé des humains avec ces « vaccins » qui n’ont, rappelons-le, qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, parce qu’expérimentaux.

Face à une telle décision, on reste sans voix. Est-on en présence d’une bêtise crasse de la HAS, dont il apparaît clairement désormais que l’autorité prévaut sur la santé, ou bien d’une absence totale d’empathie face à la vie humaine ?

Il est hélas! fort à craindre que l’on soit dans le deuxième cas. Car il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour se rendre compte que l’administration successive de deux types de « vaccins » aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral et un « vaccin » à ARN messager peut s’avérer explosive pour la santé des personnes qui auront encore l’innocence et la candeur de se laisser piquer en toute confiance sur le conseil de ces charlatans.

Combien de morts suite à ces administrations vaccinales mortifères faudra-t-il encore compter avant de stopper définitivement ce génocide qui n’ose pas encore dire son nom ?

Il faut ajouter qu’ici encore, on nage en plein Absurdistan. En effet, alors que l’OMS déclare ne pouvoir faire une telle recommandation « à ce stade » en l’absence de « données adéquates », la HAS reconnaît le manque d’études également !(([1] francais.rt.com/france/85520-haute-autorite-sante-recommande-vaccin-arn-messager-apres-premiere-dose-astrazeneca)) Ce qui ne l’empêche pas en même temps de prendre la décision de recommander d’administrer successivement aux Français deux « vaccins » à la composition aussi différente. Sur la base de quoi ? On cherche encore…

Malgré tout, au risque d’apparaître comme un brin provocateur, on peut considérer que la recommandation de la HAS est une excellente nouvelle.

Tout simplement, parce que cette solution eugéniste qui ne dit pas son nom, est l’ultime tentative désespérée de Big Pharma de sauver ce qui reste des « vaccins ». Pour la simple raison que les cobayes volontaires s’avèrent de moins en moins nombreux à se porter candidats à la vaccination Covid généralisée qui s’avère d’ores et déjà être un monumental échec.

– Échec d’Astra-Zeneca tout d’abord, suite aux multiples cas de thromboses, mais aussi de décès de par le monde de ceux qui se sont vu injecter cette piqûre mortifère d’adénovirus de chimpanzé. Échec ensuite de la production, de la logistique et de la distribution du même « vaccin ».(([2] francais.rt.com/international/85513-astrazeneca-retard-sur-moitie-livraisons-vaccins-union-europeenne-semaine)) Pour Astra-Zeneca, ça sent la fin, le changement de nom n’y changera rien.(([3] reseauinternational.net/astrazeneca-ca-sent-la-fin/)) Un responsable de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a d’ailleurs officiellement confirmé dernièrement un lien entre le « vaccin » d’Astra-Zeneca et les thromboses.(([4] francais.rt.com/international/85412-responsable-ema-confirme-lien-entre-vaccin-astrazeneca-thrombose)) La conséquence directe en est que plus personne ne veut de ce « vaccin » assassin.(([5] lavoixdunord.fr/975576/article/2021-04-04/gravelines-faute-de-candidats-au-vaccin-astrazeneca-le-centre-sportica-doit))

– Échec de même pour Johnson & Johnson dont le « vaccin » commence à subir les mêmes déboires que celui d’Astra-Zeneca avec les caillots sanguins, vu que le principe est similaire.(([6] francais.rt.com/international/85510-caillots-sanguins-apres-astrazeneca-vaccin-johnson-johnson-collimateur-ema))

– Échec enfin des « vaccins » Pfizer et Moderna à ARN messager qui ne sont pas en reste, en termes de collection d’effets secondaires et de cas graves suite à l’administration des piqûres comme le montre l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) dans son rapport du 25 mars 2021 dans le tableau ci-dessous :(([7] sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2686947-effets-secondaires-indesirable-vaccin-covid-ansm-france-pfizer-moderna-astrazeneca-cas-graves/))

Au début, le « vaccin » d’Astra-Zeneca était recommandé pour les personnes de moins de 65 ans. Aujourd’hui, en Angleterre, le « vaccin » est recommandé pour les personnes de plus de 30 ans, en Belgique et en France pour les personnes de plus de 55 ans et en Italie et en Espagne pour les personnes de plus de 60 ans.

En combinant toutes ces recommandations, il ne reste plus que les personnes entre 60 et 65 ans à qui l’on peut encore « recommander » ce « vaccin »…

Il apparaît indéniable que les promoteurs du Grand Reset qui repose entièrement sur des vaccins qui n’en sont pas, sont en fait aujourd’hui aux abois. Ils ne savent plus à quel vaccin se vouer pour mettre encore en œuvre leur plan chimérique de domination mondiale qui s’avère de plus en plus compromis par le refus des peuples de servir de cobayes pour un génocide qui apparaît désormais au grand jour.





Alertez votre maire sur la dérive autoritaire du gouvernement et la propagande médiatique du covid

[Source : TextUp]

[Transmis par Philippe Loubière]

La lettre à copier (n’oubliez pas de signer avec votre nom et prénom à la fin) : 

https://docs.google.com/document/d/1peJXqZg6wg0_pXMePXXAF6GNLJnaJoLmYvtUHA64wIc/edit?usp=sharing

Le fichier PDF téléchargeable ci-dessus permet d’imprimer la lettre (avec les liens et les sources) sur 3 pages recto verso.

Madame le maire, Monsieur le Maire, chers Élus,

Depuis plus d’un an, les français vivent une situation particulièrement difficile liée à la crise sanitaire. Vous n’en ignorez rien, cette crise vous touche tout autant que vos administrés. Les confinements et couvre-feu successifs ont eu un très fort impact sur l’activité économique du pays. À l’échelle nationale, cela se traduit par une récession de 8 % (une des plus importantes en Europe et dans le monde)(1). À l’échelle locale ou individuelle, nous avons assisté en 2020 à la faillite de milliers de PME, commerces dits « non-essentiels », restaurants, lieux culturels(2). Le maintien par le gouvernement des mesures sanitaires ne laisse entrevoir, hélas, qu’une aggravation de la situation et la destruction toujours plus prononcée du tissu économique en 2021. À court terme, il engendre la paupérisation des ménages, la baisse immédiate du pouvoir d’achat et la dégradation des conditions de vie. À long terme, il aboutira à une austérité nécessaire face à des services publics hors de nos moyens (hôpital, éducation, sécurité sociale,…).

Au-delà encore de l’aspect économique, les mesures dites de « distanciation sociale » ont eu un profond impact psychologique sur les français. De l’aveu de tous les spécialistes, l’année 2020 a vu exploser les cas de dépression, les suicides également, dans des populations jeunes et autrefois épargnées par ces fléaux(3). La dureté des règles, leur modification permanente, le flou quant à leur durée, leur utilité et efficacité, additionnées à la rupture du lien social, la privation de loisirs et la détresse économique ont jeté les français dans la peur et l’atrophie. Les jeunes générations ne sont aucunement épargnées, elles sont mêmes en première ligne puisque les enfants, dès l’âge de 6 ans, sont contraints de porter le masque à longueur de journée, privés du contact de leurs camarades à l’école, et soumis à des règles de distanciation d’une grande sévérité.

Un an après l’instauration des premières mesures sanitaires, la situation ne s’est pas améliorée en France. Selon les chiffres officiels du gouvernement, les hôpitaux sont toujours saturés, les cas ne diminuent pas , les décès non plus, et l’heure n’est donc pas au relâchement.

De nombreux experts(4) ont pourtant l’impression de voir dans cette crise non pas la virulence d’un virus encore méconnu, mais l’action irraisonnée du gouvernement qui, croyant combattre un danger sanitaire, occasionne bien plus de mal que la maladie elle-même.

Un an après l’instauration des premières mesures sanitaires, aucune étude ne vient confirmer une quelconque efficacité de la distanciation sociale, du confinement, du couvre-feu ou du port du masque. Les chiffres des contaminations et des décès ne témoignent pas non plus d’un effet salvateur. La comparaison des pays pratiquant ou non la distanciation sociale est également sans appel : ces mesures ne démontrent aucune efficacité. En Suède(5), la situation est meilleure que la nôtre malgré une absence totale de mesures sanitaires. En Espagne(6), la réouverture des lieux de vie n’a engendré aucune hausse des cas ainsi que du nombre de morts. Aux États-Unis(7) où de nombreux états ont abandonné toutes les mesures sanitaires, la situation est meilleure de jour en jour. En ce début d’année, en écho aux travaux de l’éminent professeur Ioannidis démontrant l’inutilité des mesures de distanciation sociale(8), l’Organisation Mondiale de la Santé a confirmé ce dont les chercheurs se doutaient déjà : la non-contagiosité des porteurs asymptomatiques du covid-19(9), rendant inutile toute distanciation sociale, tout port du masque chez les individus en bonne santé.

Compte tenu de son faible taux de mortalité(10), comparable à celui de la grippe, et du risque quasi-nul qu’il représente pour une population saine (l’essentiel des décès se trouvant chez les personnes très âgées ou présentant de graves comorbidités), le covid-19 ne saurait être sérieusement considéré comme une menace pour la population. Il semble par ailleurs se combattre très efficacement par l’utilisation de traitements communs et peu dangereux : hydroxychloroquine, ivermectine, azythromycine, zinc, artemisia, vitamine D(11), pourvu qu’il soit pris en charge à un stade précoce. Ces traitements ayant suscité de nombreuses polémiques en France sont utilisés librement et massivement dans la plupart des pays du monde(12), où se multiplient les études attestant leur efficacité. Parallèlement à cela, l’interdiction de ces traitements en France est poussée par des acteurs de la santé dont les liens d’intérêts questionnent, ainsi que par un conseil de médecins sur lequel aucune transparence n’est faite, et dont l’impartialité ne peut donc être vérifiée.

Enfin, la promotion massive de la vaccination en France par nos autorités, excluant tout principe de précaution (aucun des vaccins utilisés en France n’a achevé ses phases de tests, ils reposent par ailleurs pour la plupart sur la technologie ARNm, inédite et également non-testée sur l’homme) finit de jeter le doute sur la justesse de la stratégie sanitaire du gouvernement. Elle expose l’État à de futurs scandales sanitaires pour n’avoir pas suspendu, à l’instar d’autres pays européens, le vaccin Astrazeneca reconnu responsable de thromboses mortelles. Cette vaccination, hasardeuse selon beaucoup d’experts, connaît une forte désapprobation auprès des français, et la menace permanente d’un « pass vaccinal », ou d’une restitution des libertés soumise à un vaccin plus ou moins obligatoire, questionnent une fois de plus sur la stratégie gouvernementale et son refus de traiter la maladie par des protocoles sûrs et éprouvés à l’étranger.

Nous vous écrivons aujourd’hui car, outre la crise sanitaire sur laquelle beaucoup reste à dire, nous assistons en France à ce que l’on pourrait qualifier de dérive autoritaire, les mesures sanitaires et leur application privant plus que jamais le peuple français de ses libertés les plus fondamentales : liberté de travailler, liberté de déplacement, liberté d’expression même. Écartés de cette crise, les élus du peuple, maires et députés, ne peuvent ni représenter les intérêts des français, ni s’assurer du respect de leurs droits. Alors qu’une opposition populaire de plus en plus marquée s’élève contre l’action gouvernementale et contre ce qui s’apparente à des mesures autoritaires abusives, les français ne recherchent pas la création d’un contre-pouvoir, mais la simple protection que leurs élus leurs doivent.

En votre qualité d’élu, il est de votre droit, mais aussi de votre responsabilité, de protéger vos administrés contre des mesures économiquement, sanitairement et socialement destructrices. Nous vous demandons donc d’user de vos compétences, comme de nombreux maires avant vous, pour alléger le poids de la crise sur vos administrés. Il vous appartient de dispenser ces derniers des mesures sanitaires les plus contraignantes, de mettre fin aux contrôles et aux amendes abusives, et de rendre aux français une qualité de vie décente. Ils vous en seront plus que reconnaissants tant le gouvernement français peine à les entendre depuis un an.

En espérant vous avoir sensibilisé aux grandes difficultés que les français subissent actuellement, ainsi qu’aux espoirs que nous mettons dans votre action, nous joignons à notre requête des liens d’informations susceptibles de vous intéresser. 

Dans l’attente d’une réponse de votre part, veuillez recevoir, Madame le Maire, Monsieur le Maire, chers Élus, l’expression de notre considération.

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Liens et sources :

  1. Récession économique : 
  1. Faillites :
  1. Suicides et dépression :
  1. Experts en France : Christian Perronne, Laurent Toubiana, Alexandra Henrion-Caude, Didier Raoult, Jean-François Toussaint, Pascal Sacré (Belgique), Louis Fouché, Luc Montagnier, Violaine Guérin, Martine Wonner, le collectif Laissons Les Médecins Prescrire, Gérard Maudrux, Bernard Kron
    Experts à l’étranger : Dolores Cahill (Irlande), Heiko Schöning (Allemagne), Hector Carvallo (Argentine), Femi Babalola (Nigéria), Waheed Shouman (Egypte), Tess Lawrie (Angleterre), la FLCCC (Etats-Unis), Pierre Kory (Etats-Unis) Satoshi Oruma (Japon)
  1. La Suède vs la France (La Suède n’a jamais confiné ni imposé le port du masque) : 
  1. Espagne (qui a rouvert fin-Février. Depuis, le nombre de mort est en chute libre) : 
  1. Etats-Unis (Texas, plus de port du masque et réouverture totale depuis 3 semaines et depuis le nombre de mort est en chute libre) :
  1. Les doutes sur l’efficacité du confinement et John Ioannidis : 
  1. Asymptomatiques : 
  1. Taux de mortalité du virus :

    Au 09/04/2021, le nombre de décès dus au covid-19 est de 98 065 pour une population de 67,06 millions d’habitants. Le taux de mortalité du covid-19 est de 98 065 / 67 060 000 x 100 = 0,15 %, ou 15 morts pour 10 000 habitants.

  1. Hycroxychloroquine/Azythromycine : 
  1. Pays utilisant l’hydroxychloroquine : 
  1. Les tests potentiellement dangereux : 

La liste des adresse e-mail des mairies : 

https://docs.google.com/spreadsheets/d/14IOECDKxJRcvTcbCy0lrLzDMP8sjTLtfh1oSJzQtKPQ/edit?usp=sharing

Code postal Commune Adresse courriel
01000 Bourg-en-Bresse courrier@bourgenbresse.fr
01100 Oyonnax administration.generale@oyonnax.fr
01504 Ambérieu-en-Bugey secretariat@mairie-amberieuenbugey.fr
02100 St-Quentin mairie@saint-quentin.fr
02140 Vervins mairie@vervins.fr
02209 Soissons contact@ville-soissons.fr
02400 Château-Thierry contact@ville-chateau-thierry.fr
03016 Moulins accueil.hotel-ville@ville-moulins.fr
03106 Montluçon contact@mairie-montlucon.fr
03201 Vichy mairie@ville-vichy.fr
04000 Digne-les-Bains cabinet.mairie@dignelesbains.fr
04101 Manosque accueil@dlva.fr
04200 Sisteron mairie@sisteron.fr
04400 Barcelonnette mairie@ville-barcelonnette.fr
05000 Gap mairie@ville-gap.fr
05100 Briançon affaires.generales@mairie-briancon.fr
06131 Grasse info@ville-grasse.fr
06160 Antibes mairie@ville-antibes.fr
06414 Cannes mairie@ville-cannes.fr
06502 Menton mairie@ville-menton.fr
06800 Cagnes-sur-Mer nous-contacter@cagnes.fr
07006 Privas mairie.privas@privas.fr
07104 Annonay accueil@annonay.fr
07110 Largentière contact@largentiere.fr
07200 Aubenas contact@aubenas.fr
08109 Charleville-Mézières interieur@amcmz.fr
08200 Sedan sedan.contact@mairie-sedan.fr
08300 Rethel contact@villederethel.fr
08400 Vouziers ville@ville-vouziers.fr
09000 Foix secretariat@mairie-foix.fr
09100 Pamiers contact@ville-pamiers.fr
09201 Saint-Girons contact@ville-st-girons.fr
10026 Troyes mairie@ville-troyes.fr
10100 Romilly-sur-Seine infos@ville-romilly-sur-seine.fr
10202 Bar-sur-Aube mairie@barsuraube.fr
10400 Nogent-sur-Seine communication@ville-nogent-sur-seine.fr
11000 Carcassonne lemaire@mairie-carcassonne.fr
11108 Narbonne accueil.hdv@mairie-narbonne.fr
11300 Limoux mairie@limoux.fr
11491 Castelnaudary contact@ville-castelnaudary.fr
12000 Rodez contact@mairie-rodez.fr
12101 Millau dgs@millau.fr
12203 Villefranche-de-Rouergue mairie@villefranchederouergue.fr
13000 Marseille maire-de-marseille@mairie-marseille.fr
13616 Aix-en-Provence communication@mairie-aixenprovence.fr
13657 Salon-de-Provence accueil.hotelville@salon-de-provence.org
13692 Martigues le-maire@ville-martigues.fr
13310 Saint-Martin-de-Crau mairie@stmartindecrau.fr
14027 Caen dec@caen.fr
14100 Lisieux contact@ville-lisieux.fr
14402 Bayeux cabinetdumaire@mairie-bayeux.fr
14500 Vire Normandie contact.vire@virenormandie.fr
15005 Aurillac administration@aurillac.fr
15102 Saint-Flour mairie@saint-flour.fr
15200 Mauriac mairie@mauriac.fr
16016 Angoulême angouleme@mairie-angouleme.fr
16025 Soyaux mairie@mairie-soyaux.fr
17086 La Rochelle mairie@ville-larochelle.fr
17107 Saintes info@ville-saintes.fr
17205 Royan mairie@mairie-royan.fr
17301 Rochefort mairie@ville-rochefort.fr
17415 Saint-Jean-d’Angély ville@angely.net
18020 Bourges elections-s@ville-bourges.fr
18100 Vierzon info@ville-vierzon.fr
18200 Saint-Amand-Montrond direction.generale.services@ville-saint-amand-montrond.fr
19012 Tulle admin@ville-tulle.fr
19208 Ussel mairie@ussel19.fr
19312 Brive-la-Gaillarde contact@brive.fr
19361 Malemort mairie@malemort.org
20410 Bastia mairie@bastia.corsica
20304 Ajaccio mairie@ajaccio.fr
21033 Dijon contact@ville-dijon.fr
21205 Beaune beaune@mairie-beaune.fr
21500 Montbard mairie.montbard@wanadoo.fr
22023 Saint-Brieuc contact@saint-brieuc.fr
22205 Guingamp mairie@ville-guingamp.com
22303 Lannion contact.mairie@lannion.bzh
23006 Guéret mairie@ville-gueret.fr
23200 Aubusson secretariat@ville-aubusson.fr
24019 Périgueux contact@perigueux.fr
24108 Bergerac contact@bergerac.fr
24206 Sarlat-la-Canéda info@sarlat.fr
25034 Besançon besancon@besancon.fr
25205 Montbéliard contact@montbeliard.com
25304 Pontarlier mairie.pontarlier@ville-pontarlier.com
26110 Nyons mairiedenyons@nyons.com
26150 Die administration@mairie-die.fr
26216 Montélimar dgs@montelimar.fr
27001 Evreux proximite@evreux.fr
27106 Val-de-Reuil mairie@valdereuil.fr
27140 Gisors direction.generale@mairie-gisors.fr
27307 Bernay mairie@bernay27.fr
27207 Vernon mairie@vernon27.fr
27406 Louviers accueil@ville-louviers.fr
27504 Pont-Audemer info@ville-pont-audemer.fr
27700 Les Andelys contact@ville-andelys.fr
28000 Chartres contact@ville-chartres.fr
28103 Dreux contact@ville-dreux.fr
28200 Châteaudun cabinetdumaire@mairie-chateaudun.fr
28400 Nogent-le-Rotrou contact@ville-nogent-le-rotrou.fr
29107 Quimper contact@quimper.bzh
29238 Brest contact@mairie-brest.fr
29671 Morlaix secretariatgeneral@villedemorlaix.org
30100 Ales contact@ville-ales.fr
30123 Le Vigan service.accueil@levigan.fr
31040 Toulouse dircom@mairie-toulouse.fr
31600 Muret accueil@mairie-muret.fr
31806 Saint-Gaudens secretariatgeneral@stgo.fr
32007 Auch accueil@mairie-auch.fr
32100 Condom mairie.condom@condom.org
33505 Libourne contact@mairie-libourne.fr
33260 La-Teste-de-Buch mairie@latestedebuch.fr
33210 Langon contact@langon33.fr
34267 Montpellier mairie@ville-montpellier.fr
34200 Sète contact@ville-sete.fr
34306 Agde contact@ville-agde.fr
34500 Béziers contact@ville-beziers.fr
34702 Lodève mairie@lodeve.com
35031 Rennes ville.rennes@ville-rennes.fr
35301 Fougères mairie@fougeres.fr
35418 Saint-Malo secretaire-maire@saint-malo.fr
35506 Vitré info@mairie-vitre.fr
35601 Redon communication@mairie-redon.fr
36012 Châteauroux communication@ville-chateauroux.fr
36200 Argenton-sur-Creuse contact@mairie-argenton-sur-creuse.fr
36105 Issoudun mairie@issoudun.fr
36300 Le Blanc maire@ville-leblanc.fr
37402 Amboise courrier@ville-amboise.fr
37500 Chinon nmartin@ville-chinon.com
37926 Tours webmestre@ville-tours.fr
38021 Grenoble contactville@grenoble.fr
38080 L’Isle-d’Abeau contact@mairie-ida.com
38120 Saint-Egrève cabinetdumaire@mairie-st-egreve.fr
38209 Vienne accueil@mairie-vienne.fr
39000 Lons-le-Saunier contact@lonslesaunier.fr
39102 Dole moyens-generaux@dole.org
39206 Saint-Claude info@saint-claude.fr
39302 Champagnole mairie@champagnole.com
40000 Mont-de-Marsan mairie@montdemarsan.fr
40100 Dax information@dax.fr
40230 Saint-Vincent-de-Tyrosse contact@tyrosseville.com
40800 Aire-sur-l’Adour mairie@aire-sur-adour.fr
41100 Vendôme courrier@territoiresvendomois.fr
41300 Salbris cabinet-du-maire@salbris.fr
41350 Vineuil mairie.vineuil@vineuil41.fr
41206 Romorantin-Lanthenay info@romorantin.fr
41500 Mer contact@mer41.fr
42007 Saint-Etienne courriermairie@saint-etienne.fr
42328 Roanne accueil@mairie-roanne.fr
42600 Montbrison mairie@ville-montbrison.fr
43011 Le Puy-en-Velay contact@lepuyenvelay.fr
43101 Brioude accueil@ville-brioude.fr
43120 Monistrol-sur-Loire dgs@monistrol.fr
43201 Yssingeaux mairie@yssingeaux.fr
43600 Sainte-Sigolène contact@ville-sainte-sigolene.fr
44000 Nantes contact@mairie-nantes.fr
44130 Blain mairie@ville-blain.fr
44146 Châteaubriant mairie@ville-chateaubriant.fr
44156 Ancenis-Saint-Géréon mairie@ancenis.fr
44190 Clisson contact@mairie-clisson.fr
44350 Guérande accueil.mairie@ville-guerande.fr
44390 Nort-sur-Erdre accueil@nort-sur-erdre.fr
44500 la Baule-Escoublac accueil@mairie-labaule.fr
44600 Saint-Nazaire contact@mairie-saintnazaire.fr
45040 Orléans info@ville-orleans.fr
45190 Beaugency accueil@ville-beaugency.fr
45207 Montargis secretariat.dgs@montargis.fr
45250 Briare mairie-de-briare@wanadoo.fr
45307 Pithiviers mairie@pithiviers.fr
45330 Les Malesherbois courrier@ville-lemalesherbois.fr
45500 Gien mairie@gien.info
46005 Cahors communication@mairie-cahors.fr
46106 Figeac secretariat.general@ville-figeac.fr
46300 Gourdon contact@gourdon.fr
47110 Saint-Livrade-sur-Lot mairie.livrade@ville-ste-livrade47.fr
47207 Marmande mairie@mairie-marmande.fr
47307 Villeneuve-sur-Lot mairie@mairie-villeneuvesurlot.fr
47400 Tonneins contact@mairie-tonneins.fr
47500 Fumel accueil@mairiefumel.fr
47600 Nérac mairie.nerac@ville-nerac.fr
47700 Casteljaloux accueil@mairie-casteljaloux.fr
47916 Agen mairie.agen@agen.fr
48000 Mende etatcivil@mende.fr
48100 Marvejols contact@ville-marvejols.fr
49020 Angers mairie.angers@ville.angers.fr
49290 Chalonnes-sur-Loire mairie@chalonnes-sur-loire.fr
49321 Cholet adc@choletagglomeration.fr
49408 Saumur contact@ville-saumur.fr
49500 Segré-en-Anjou Bleu segre@segreenanjoubleu.fr
49602 Beaupréau-en-Mauges accueil@beaupreauenmauges.fr
49700 Doué-en-Anjou mairie@douee-en-anjou.fr
50108 Cherbourg-en-Cotentin mairie@cherbourg.fr
50200 Coutances mairie@ville-coutances.fr
50302 Avranches mairie@avranches.fr
50500 Carentan-les-Marais mairie.contact@carentan.fr
51022 Châlons-en-Champagne mairie@chalonsenchampagne.fr
51200 Epernay contact@ville-epernay.fr
51308 Vitry-le-François contact@vitry-le-francois.net
51722 Reims accueil@reims-contact.fr
51801 Saint-Ménehould mairie@ste-menehould.fr
52012 Chaumont contact@ville-chaumont.fr
52115 Saint Dizier com@mairie-saintdizier.fr
52206 Langres accueil@langres.fr
53013 Laval mairie@laval.fr
53103 Mayenne contact@mayennecommunaute.fr
53204 Château-Gontier chateau-gontier@chateaugontier.fr
53500 Ernée accueil@ville-ernee.fr
53600 Evron mairie@evron.fr
54035 Nancy nancyendirect@nancy.fr
54150 Briey etat-civil@ville-briey.fr
54190 Villerupt accueil@mairie-villerupt.fr
54301 Lunéville accueil@mairie-luneville.fr
54310 Homécourt mspiess@mairie-homecourt.fr
54400 Longwy accueil@mairie-longwy.fr
54500 Vandœuvre-lès-Nancy contact@vandoeuvre.fr
54701 Pont-à-Mousson mairie@ville-pont-a-mousson.fr
55012 Bar-le-Duc communication@barleduc.fr
55107 Verdun mairie-verdun@grandverdun.fr
55205 Commercy mairie@commercy.fr
55300 Saint-Mihiel mairie-saintmihiel@wanadoo.fr
55500 Ligny-en-Barrois mairie@lignyenbarrois.fr
56019 Vannes contact@mairie-vannes.fr
56300 Pontivy secretariat.general@ville-pontivy.fr
56315 Lorient contact@mairie-lorient.fr
56400 Auray courrier.mairie@ville-auray.fr
56607 Lanester mairie@ville-lanester.fr
56700 Hennebont contact@mairie-hennebont.fr
57125 Thionville contact@mairie-thionville.fr
57216 Sarreguemines courrier@mairie-sarreguemines.fr
57400 Sarrebourg mairie@mairie-sarrebourg.fr
57600 Forbach contact@mairie-forbach.fr
57700 Hayange mairie@ville-hayange.fr
57950 Montigny-lès-Metz mairie@montigny-les-metz.fr
58206 Cosne-Cours-sur-Loire accueil@mairie-cosnesurloire.fr
58405 la Charité-sur-Loire mairie@lacharitesurloire.fr
58500 Clamecy mairie.clamecy@wanadoo.fr
58642 Fourchambault accueil.administration@mairie-fourchambault.fr
59033 Lille contactmairie@mairie-lille.fr
59100 Roubaix contact@ville-roubaix.fr
59140 Dunkerque mairiededunkerque@ville-dunkerque.fr
59524 Hazebrouck contact@ville-hazebrouck.fr
59304 Valenciennes contact@ville-valenciennes.fr
59407 Cambrai contact@villedecambrai.com
59427 Armentières cabmaire@ville-armentieres.fr
59652 Villeneuve-d’Ascq iciva@villeneuvedascq.fr
59508 Douai contact@ville-douai.fr
60021 Beauvais contact@beauvais.fr
60100 Creil info@mairie-creil.fr
60111 Méru services@ville-meru.fr
60170 Ribécourt-Dreslincourt mairie@ribecourt-dreslincourt.fr
60180 Nogent-sur-Oise contact@nogentsuroise.fr
60300 Senlis mairie@ville-senlis.fr
60321 Compiègne courrier@mairie-compiegne.fr
60406 Noyon accueil@noyon.fr
60500 Chantilly maire@ville-chantilly.fr
60600 Clermont contact@mairie-clermont.fr
60721 Pont-Sainte-Maxence mairie@pontsaintemaxence.fr
60800 Crépy-en-Vélois contact@crepyenvalois.fr
61014 Alençon cabinet@ville-alencon.fr
61120 Vimoutiers contact@vimoutiers.fr
61201 Argentan mairie@argentan.fr
61104 Flers accueil@flers-agglo.fr
61600 la Ferté Macé mairie@lafertemace.fr
62022 Arras nousecrire@ville-arras.fr
62107 Calais courrier@mairie-calais.fr
62110 Hénin-Beaumont contact@mairie-heninbeaumont.fr
62200 Boulogne-sur-Mer mairie@ville-boulogne-sur-mer.fr
62230 Outreau mairie@ville-outreau.fr
62400 Béthune contact@ville-bethune.fr
62480 Le Portel mairie@ville-leportel.fr
62505 Saint-Omer service-administres@ville-saint-omer.fr
62600 Berck mairie@berck-sur-mer.com
62630 Etaples accueil@etaples-sur-mer.net
63033 Clermont-Ferrand contact@ville-clermont-ferrand.fr
63201 Riom contact@ville-riom.fr
63300 Thiers communication@thiers.fr
63500 Issoire contact@issoire.fr
63600 Ambert mairie@ville-ambert.fr
63804 Cournon-d’Auvergne contact@cournon-auvergne.fr
64036 Pau contact@ville-pau.fr
64100 Bayonne m.le.maire@bayonne.fr
64202 Biarritz mairie@biarritz.fr
64301 Orthez accueil@mairie-orthez.fr
64404 Oloron-Sainte-Marie dgs@oloron-ste-marie.fr
64500 Saint-Jean-de-Luz contact@saintjeandeluz.fr
65013 Tarbes secr.gen@mairie-tarbes.fr
65100 Lourdes sg@ville-lourdes.fr
65201 Bagnères-de-Bigorre cabinet.maire@ville-bagneresdebigorre.fr
65300 Lannemezan internetlannemezan@gmail.com
66130 Ille-sur-Têt mairie@ille-sur-tet.com
66400 Céret administration@mairie-ceret.fr
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80600 Doullens contact@mairie-doullens.fr
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81023 Albi secretariat.general@mairie-albi.fr
81108 Castres mairie@ville-castres.fr
81160 Saint-Juéry accueil@ville-saint-juery.fr
81200 Aussillon contact@ville-aussillon.fr
81400 Carmaux accueil@carmaux.fr
81304 Graulhet mairie@mairie-graulhet.fr
81600 Gaillac secretariats@ville-gaillac.fr
82013 Montauban mairiemontauban@montauban.com
82103 Castelsarrasin mairie@ville-castelsarrasin.fr
82200 Moissac mairie@moissac.fr
82300 Caussade secretariat@mairie-caussade.com
83183 Six-Fours-les-Plages doleances@mairie-six-fours.fr
83177 Brignoles contact@brignoles.fr
83300 Draguignan mairie@ville-draguignan.fr
83608 Fréjus info@ville-frejus.fr
83412 Hyères mairie@ville-hyeres.fr
83500 la Seyne-sur-Mer courrier@la-seyne.fr
83701 Saint-Raphaël monsieurlemaire@ville-saintraphael.fr
84045 Avignon allo.mairie@mairie-avignon.com
84106 Orange cabinetdumaire@ville-orange.fr
84134 le Pontet communication@mairie-lepontet.fr
84110 Vaison-la-Romaine mairie@vaison-la-romaine.com
84120 Pertuis communication@mairie-pertuis.fr
84208 Carpentras mairie@carpentras.fr
84300 Cavaillon accueil@ville-cavaillon.fr
84405 Apt mairie@apt.fr
84505 Bollène mairie@ville-bollene.fr
84706 Sorgues mairie@sorgues.fr
84801 L’Isle-sur-la-Sorgue courrier@islesurlasorgue.fr
85021 la Roche-sur-Yon mairie@larochesuryon.fr
85118 les Sables-d’Olonne contact@lessablesdolonne.fr
85201 Fontenay-le-Comte courrier@ville-fontenaylecomte.fr
85302 Challans mairie@challans.fr
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89700 Tonnerre bienvenue@mairie-tonnerre.fr
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90020 Belfort courrier@mairie-belfort.fr
90100 Delle mairie@delle.fr
90500 Beaucourt contact@ville-beaucourt.fr
91090 Evry-Courcouronnes evrycourcouronnes@evrycourcouronnes.fr
91108 Corbeil-Essonnes bechter.jp@mairie-corbeil-essonnes.fr
91125 Palaiseau contact@mairie-palaiseau.fr
91150 Etampes mairie@mairie-etampes.fr
91178 Viry accueil@viry-chatillon.fr
91200 Athis-Mons mme-lemaire@mairie-athis-mons.fr
91210 Draveil courrier@mairiedraveil.fr
91270 Vigneux-sur-Seine monsieurlemaire@vigneux91.fr
91300 Massy demarches@mairie-massy.fr
91600 Savigny-sur-Orge contact@savigny.org
91700 Sainte-Geneviève-des-Bois le-maire@sgdb91.com
92104 Boulogne-Billancourt SCC@mairie-boulogne-billancourt.fr
92161 Antony webmaster@ville-antony.fr
93100 Montreuil standard@montreuil.fr
93143 Bondy communication@ville-bondy.fr
93161 Noisy-le-Grand accueil.01@ville-noisylegrand.fr
93200 Saint-Denis mairie.saint.denis@ville-saint-denis.fr
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95220 Herblay-sur-Seine mairie@herblay.fr
95300 Pontoise webmaster@ville-pontoise.fr
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95801 Cergy contact@ville-cergy.fr
95875 Bezons courrier@mairie-bezons.fr



Les soignants n’ont aucune raison objective de se vacciner contre le covid19

Par Dr Gérard Delépine

L’obligation prônée par certains serait un scandale

Il y a un mois, un pharmacien de l’APHP réclamait une obligation vaccinale anticovid19 pour les soignants. Les personnels hospitaliers ne sont pas des enfants et pèsent les bénéfices/risques d’une telle solution. Pourquoi les infantiliser ? Nous tenterons ici de combler les lacunes qui peuvent conduire à une telle proposition.

Au moins 4 raisons majeures s’opposent à une telle obligation.

  • Ces vaccins sont toujours expérimentaux. On n’en connaît donc pas leurs complications à long terme, en particulier sur leurs effets génétiques et la stérilité éventuelle.
  • Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection certaine contre la maladie.
  • Rien ne prouve qu’ils soient capables de limiter la transmission de la maladie, bien au contraire.
  • Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.
Ces vaccins sont expérimentaux

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain Clinical Trials.gov visible par tout un chacun.

Les lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947

Or imposer à quiconque un traitement expérimental est contraire à la déclaration d’Helsinki(([1] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/ Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25.   La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

Les vaccins ne protègent pas de la maladie ni de ses formes graves

Les médias nous inondent de communiqués de victoire des laboratoires, des services de vaccination ou de dirigeants qui se servent de la vaccination pour renforcer leur popularité ou tenter de redorer leur blason.

Ceci explique probablement la quasi-unanimité des politiques en faveur du vaccin. Ils supposent probablement que le peuple attend le vaccin comme le messie et s’occupent plus de la logistique, disponibilité des lots, des lieux pour injection, etc., plus que de la sécurité et de l’efficacité prévisible. Ils sont manifestement mal informés.

RÉSULTATS DES CAMPAGNES DE VACCINATION DANS LA VIE RÉELLE

Mais l’analyse objective des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination est très angoissante, car dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités en relation avec le covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les quatre mois post-vaccination ont été assombris par 65 581 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Même évolution en Israël (3085 morts avant la vaccination et 3131 depuis la vaccination de masse), aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 860 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne très vaccinée et en Suède très peu vaccinée évoque une corrélation entre l’aggravation de la mortalité et la vaccination.

Cette corrélation temporelle évidente justifie des études complémentaires pour voir s’il existe un lien de causalité directe.

Mise en garde de l’Académie de Médecine en janvier

Cette aggravation des mortalités après vaccination montre que la mise en garde de l’Académie de médecine(([2] Communiqué de l’Académie du && janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)) sur les risques d’anticorps facilitants(([3] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) était justifiée : « dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération.

Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Mise en garde du ministre de la Santé sur les aléas et dangers de la vaccination en mars 2021

À l’occasion d’un recours au Conseil d’État d’un patient vacciné à deux reprises, et âgé de 83 ans réclamant sa « libération » de toute mesure d’enfermement étant donné sa protection supposée, le ministre a dans son rapport donné des éléments surprenants par rapport à la campagne de vaccination tous azimuts jusqu’aux pubs télévisées. Nul doute que son rapport au Conseil d’État va faire réfléchir.

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([4] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) « efficacité partielle des vaccins », « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

La balance individuelle bénéfices/risques de la vaccination pour les soignants paraît actuellement négative, car bon nombre d’entre eux sont à risque extrêmement faible en raison de leur âge jeune voire très jeune, et d’autant plus que de nombreuses complications post-vaccinales ont déjà été rapportées en dépit du faible recul en mois de la vaccination.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la transmission de la maladie

La motivation sociétale « il faudrait vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des Ehpad » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

En effet si les communiqués des services de communication des laboratoires, des services de vaccination prétendent que les vaccins seraient efficaces à plus de 90%, les relevés des contaminations publiés par l’OMS montrent le contraire : dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, le nombre de contaminations a explosé durant les 6 semaines post vaccinales avant que l’épidémie ne régresse dans la plupart des pays, vaccinés ou non signant une relative fin de l’épidémie.

Que ce soit en Grande-Bretagne :

En Israël :

Ou aux Émirats Arabes Unis :

Ou au Bahreïn

L’espoir éventuel de protéger les autres en se vaccinant paraît donc illusoire.

HISTOIRE D’UNE MORT ANNONCÉE DU VACCIN COMME DU REMDESIVIR

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique ont récemment prévenu(([5] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI : https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus.

Une telle évolution pourrait être favorisée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle.

La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire de promouvoir la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux.

Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications, dont des décès

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20% à 40% des personnels incapables de travailler. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

À Nantes, un étudiant en médecine en bonne santé est mort après la vaccination. Sa mort s’ajoute aux 5993 morts post-vaccinales comptabilisées par Eudravigilance au 2 avril 2021.

Ces complications sont d’autant plus insupportables que les soignants ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid.

Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

Les entreprises du médicament et le ministère affirment en chœur que les vaccins sont sans dangers, mais alors pourquoi ont-ils convenu d’exonérer par avance les fabricants et les médecins vaccinateurs de toute responsabilité en cas de complications ?

Nos impôts paient les vaccins et paieront aussi le coût des indemnisations pour accident vaccinal, comme en Chine lorsque les familles devaient payer la balle qui a servi à l’exécution de leur enfant.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour eux ni de fait pour leur entourage et patients. Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire(([6] Lors du procès des médecins de Nuremberg la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort)).

On peut protéger les soignants par des traitements préventifs

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les familles au contact des malades. Au 5 avril 2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, déplore 126 morts/million d’habitants contre 1469/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on déplore 12 fois plus de morts que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de diagnostic et de traitements précoces administrés par les médecins traitants !





Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats des vaccinations sont excellents et en particulier qu’elles auraient fait disparaître l’épidémie en Grande-Bretagne avec l’absence de morts (!) et en particulier en Écosse. Pourtant curieusement les données de l’OMS montrent le contraire.

En effet, après la vaccination les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté ; les trois derniers mois (post-vaccination) cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

La comparaison avec la Suède non confinée et très peu vaccinée est éloquente ; entre début décembre (début de la vaccination) et le 29 mars 2021 la Grande- Bretagne a compté 62 547 morts attribuées au Covid-19 (soit 919/million d’habitants) contre 5 371 (537/M) en Suède sur la même période.

Au total, depuis la vaccination la Grande-Bretagne s’est hissée au deuxième rang européen des plus fortes mortalités Covid-19 avec 1 807 morts/M derrière la Belgique(1 988/M)

Comment des médias peuvent-ils proclamer que la vaccination britannique serait un succès et qu’elle éviterait les formes graves ! Les journalistes recopient-ils les bulletins de victoire des firmes pharmaceutiques et du gouvernement britannique, sans vérifier que leur propagande est compatible avec les chiffres officiels de l’OMS que chacun peut consulter sur le site WHO Covid19 Dashboard ?

Le succès d’une vaccination de masse ne se mesure pas au pourcentage de vaccinés mais seulement à la diminution du nombre des contaminations et à la chute de la mortalité. Or dans tous les pays champions de la vaccination, on assiste au contraire à une augmentation forte de ces deux indices. Autre exemple, les Émirats arabes unis :

Ces évolutions post-vaccinales sont très inquiétantes. Elles suggèrent que le trop faible taux d’anticorps après la première injection de vaccin aurait favorisé un phénomène d’anticorps facilitants [1] aggravant la mortalité, comme le craignait l’Académie de médecine dans son communiqué du 11 janvier dernier :

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants.

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination ».

Ces risques de la vaccination anti-Covid-19 ont d’ailleurs aussi été soulignés par 5 membres du Comité scientifique, dont le professeur Delfraissy dans un article récent publié dans le Lancet [2] :

« L’arrivée rapide des variants du SRAS-CoV-2 tels que les variants identifiés pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une évasion immunitaire dite naturelle. En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue.

Si une évasion immunitaire importante se produit, les vaccins actuels offriront probablement encore un certain bénéfice aux individus. Au niveau de la population, cependant, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme… ».

Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur,  fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et comme principale réponse à la pandémie ».

  1. Véran a d’ailleurs récemment reconnu dans un mémoire adressé au Conseil d’État [3] 

1°) L’efficacité partielle des vaccins”, “l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants.”

2°) Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant.”

3°) “le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers.

Dans la mesure où le ministère reconnaît que le vaccin n’offre pas de protection individuelle suffisante, qu’il expose aux formes graves et qu’il n’empêche pas la transmission du virus, on ne comprend pas pourquoi il persiste dans sa propagande actuelle qui prétend le contraire.

Les vérités affirmées devant le Conseil d’État devraient faire réfléchir ceux qui veulent se faire vacciner en croyant ainsi se protéger et protéger les autres et retrouver leurs libertés. Même si vous cédez au chantage « vacciné ou confiné » vous ne serez ni protégé, ni libre. Le Conseil d’État a débouté l’octogénaire qui s’était fait vacciné pour redevenir libre.

Dr Gérard Delépine


[1] https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html

[2] L Atlani-Duault, Bruno Lina, F Chauvin J-F Delfraissy D Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet :2021 February 18, https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext

[3] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911




Covid-19 : échec de l’approche occidentale

[Source : Réseau Voltaire]

Par Thierry Meyssan

L’épidémie de Covid-19 touche le monde entier, toutefois sa mortalité varie de 0,0003 % en Chine à 0,016 % aux États-Unis, c’est-à-dire plus de 50 fois plus. Cette différence peut s’expliquer par des particularités génétiques, mais surtout par des différences d’approche médicale. Elle atteste que l’Occident n’est plus le centre de la Raison et de la Science.

 y a un an déjà, l’épidémie de la Covid-19 arrivait en Occident, via l’Italie. Aujourd’hui, nous en savons un peu plus sur ce virus, cependant, malgré les connaissances, les Occidentaux persistent à l’appréhender de manière erronée.

1- Qu’est ce qu’un virus ?

La Science est par définition universelle : elle observe et échafaude des hypothèses pour expliquer des phénomènes. Cependant elle s’exprime dans des langues et des cultures différentes qui sont sources de quiproquos lorsqu’on ne connait pas leurs spécificités.

Ainsi, les virus sont des êtres vivants selon la définition européenne de la vie, mais de simples mécanismes selon la définition anglo-saxonne de la vie. Cette différence culturelle induit des comportements chez chacun d’entre nous. Pour les Anglo-Saxons, il convient de détruire les virus, tandis que pour les Européens il s’agissait —jusqu’à l’année dernière— de s’adapter à eux.

Je ne dis pas que les uns sont supérieurs ou inférieurs aux autres, ni qu’ils sont incapables d’agir d’une manière différente de celle induite par leur culture. Je dis simplement que chacun appréhende le monde d’une manière qui lui est propre. Nous devons faire un effort pour comprendre les autres et nous n’en sommes véritablement capables que si nous sommes ouverts à cela.

Certes, l’Occident est un ensemble politique plus ou moins homogène, mais il est composé d’au moins deux cultures très différentes. Alors même que les médias ne cessent de minorer ces différences, nous devons toujours en être conscients.

Si l’on pense que les virus sont des êtres vivants, on doit les comparer à des parasites. Ils cherchent à vivre au détriment de leur hôte et surtout pas de le tuer, car ils en mourraient eux-mêmes. Ils tentent de s’adaptent à l’espèce hôte en variant jusqu’à ce qu’ils trouvent un moyen d’habiter en elle sans la tuer. Les variants de la Covid-19 ne sont donc pas les « cavaliers de l’Apocalypse », mais de très bonnes nouvelles conformes à l’évolution des espèces.

Le principe du confinement de populations saines a été édicté par le secrétaire à la Défense états-unien, Donald Rumsfeld, en 2004. Il ne s’agissait pas de lutter contre une maladie, mais de provoquer un chômage de masse pour militariser les sociétés occidentales [1]. Il a été diffusé en Europe par le docteur Richard Hatchett, alors conseiller Santé du Pentagone et aujourd’hui président de la CEPI. C’est lui qui, à propos de la Covid-19, a inventé l’expression « Nous sommes en guerre ! », reprise par le président Macron.

De même, si l’on pense que les virus sont des êtres vivants, on ne peut pas accorder de crédit aux modèles épidémiques développés par le professeur Neil Ferguson de l’Imperial College London et ses disciples, comme Simon Cauchemez du Conseil scientifique de l’Élysée. Par définition, la croissance d’aucun être vivant n’est exponentielle. Chaque espèce s’autorégule en fonction de son environnement. Tracer la courbe du début d’une épidémie puis l’extrapoler est une absurdité intellectuelle. Le professeur Fergusson a passé sa vie à prédire des catastrophes qui ne sont jamais survenues [2].

2- Que faire face à une épidémie ?

Toutes les épidémies ont historiquement été combattues avec succès par un mélange de mesures isolant les malades et augmentant l’hygiène.

Lorsqu’il s’agit d’une épidémie virale, l’hygiène ne sert pas à combattre le virus, mais les maladies bactériennes qui se développent chez les malades du virus. Par exemple, la grippe espagnole, qui sévit dans les années 1918-20, est une maladie virale. Il s’agissait en fait d’un virus bénin, mais dans le contexte de la Première Guerre mondiale, les très mauvaises conditions d’hygiène permirent le développement de maladies bactériennes opportunistes qui tuèrent en masse.

D’un point de vue médical, l’isolement ne s’applique qu’aux malades et à eux seuls. Jamais dans l’histoire, on n’a confiné de population saine pour lutter contre une maladie. Vous ne trouverez aucun ouvrage médical de plus d’un an, n’importe où dans le monde, envisageant une telle mesure.

Les confinements actuels ne sont des mesures ni médicales, ni politiques, mais administratives. Ils ne visent pas à diminuer le nombre de malades, mais à étaler leur contamination dans le temps, de manière à ne pas congestionner certains services hospitaliers. Il s’agit de compenser la mauvaise gestion des institutions de santé. La plupart des épidémies virales durent trois ans. Dans le cas de la Covid-19, la durée naturelle de l’épidémie sera prolongée de la durée administrative des confinements.

Les confinements pratiqués en Chine n’avaient pas plus de raison médicale. C’étaient des interventions du Pouvoir central contre les erreurs de Pouvoirs locaux, dans le contexte de la théorie chinoise du « mandat du Ciel » [3].

Le recours, par une population saine, à des masques chirurgicaux pour lutter contre un virus respiratoire n’a jamais été efficace. En effet, jusqu’à la Covid-19, aucun des virus respiratoires connus se transmet par les postillons, mais par aérosol. Seuls les masques à gaz sont efficaces. Il est bien sûr possible que la Covid-19 soit le premier germe d’un nouveau genre, mais cette hypothèse rationnelle est fort peu raisonnable [4]. Elle avait été envisagée pour la Covid-2 (le « Sars »), mais a déjà été abandonnée.

Il importe de préciser que la Covid-2 n’a pas simplement touché l’Asie en 2003-04, mais aussi l’Occident. Il s’est agi d’une épidémie au même titre que la Covid-19 en 2020-21. Elle est aujourd’hui soignée avec de l’interféron-alpha et des inhibiteurs de protéases. Il n’existe pas de vaccin.

3- Peut-on soigner une maladie que l’on ne connaît pas ?

Même sans connaître un virus, on peut et l’on doit toujours soigner les symptômes qu’il provoque. C’est non seulement un moyen pour soulager les malades, mais aussi une condition pour apprendre à connaître cette maladie.

Les responsables politiques occidentaux ont fait le choix de ne pas soigner la Covid-19 et de miser la totalité de leurs budgets sur les vaccins. Cette décision va à l’encontre du serment d’Hippocrate auquel chaque médecin occidental s’est engagé. Bien sûr de nombreux médecins occidentaux poursuivent leur activité, mais en se faisant le plus discret possible, faute de quoi ils sont menacés de sanctions ordinales et administratives.

Plusieurs traitements médicamenteux sont pourtant administrés avec succès dans les pays non-occidentaux.
- Dès le début de l’année 2020 —c’est-à-dire avant que l’épidémie ne touche l’Occident—, Cuba a montré que certains malades pouvaient être soignés et guéris avec de petites doses d’Interféron Alfa 2B recombiné (IFNrec). La Chine a construit en février 2021 une usine pour produire ce médicament cubain à grande échelle et l’utilise depuis pour certains types de malades [5].
- La Chine a également utilisé un médicament anti-paludéen, le phosphate de chloroquine. C’est à partir de cette expérience que le professeur Didider Raoult a utilisé de l’hydroxychloroquine dont il est un des meilleurs connaisseurs mondiaux. Ce médicament est utilisé avec succès dans de nombreux pays n’en déplaise aux fake news grotesques du Lancet et des médias dominants selon qui ce médicament banal, administré à des milliards de patients, serait un poison mortel.
- Les États qui ont fait le choix inverse des Occidentaux, c’est-à-dire ceux qui ont privilégié les soins plutôt que les vaccins, ont collectivement mis au point un cocktail de médicaments bon marché (dont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine) qui soigne massivement la Covid (voir encadré). Les résultats sont si spectaculaires que les Occidentaux mettent en doute les chiffres publiés par ces États, au premier rang desquels la Chine.

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Extrait d’un document confidentiel suisse. Les médicaments cités peuvent être vendus sous des noms de marque différents selon les pays.

- Enfin le Venezuela a commencé la distribution massive du Carvativir, un médicament issu du thym, qui donne également des résultats spectaculaires. Google et Facebook (et pendant un moment Twitter) censurent toute information à ce sujet avec autant de zèle que le Lancet a tenté de discréditer l’hydroxychloroquine.

4- Comment cette épidémie finira-t-elle ?

Dans les pays qui utilisent les réponses médicales exposées plus haut, la Covid-19 est toujours présente, mais l’épidémie est déjà finie. Les vaccins ne sont proposés qu’aux personnes très exposées.

En Occident, où l’on refuse de soigner les malades, la seule solution paraît de vacciner la totalité de la population. De puissants lobbys pharmaceutiques poussent à l’usage de masse de vaccins coûteux plutôt qu’à celui de médicaments bon marché pour des malades mille fois moins nombreux. On assiste alors à une rivalité meurtrière entre les États pour s’emparer des doses disponibles au détriment de leurs alliés.

Durant quatre cent ans, l’Occident était à la poursuite de la Raison. Il était devenu le héraut de la Science. Aujourd’hui, il n’est plus raisonnable. Il conserve de grands scientifiques, comme le professeur Didier Raoult, et une avancée technique, ainsi que l’attestent les vaccins à ARN messager, mais n’a plus la rigueur pour raisonner scientifiquement. Encore faut-il distinguer les régions d’Occident : les pays anglo-saxons (Royaume-Uni et États-Unis) ont été capables de fabriquer des vaccins à ARN messager, pas l’Union européenne qui a perdu son inventivité.

Le centre du monde s’est déplacé.

Thierry Meyssan


[1] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.

[2] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.

[3] « Covid-19 : propagande et manipulation », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 20 mars 2020.

[4] « Panique et absurdité politique face à la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 7 avril 2020.

[5] « Le monde après la pandémie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17 mars 2020.




Covid, une opération des pouvoirs sionistes et financiers

[Source : zonefr.com]

Par Éric Montana

Parlons de choses sérieuses parce que les événements qui se produisent depuis un an, ne se prêtent ni à la légèreté ni à la plaisanterie.

Le premier point que je souhaite aborder dans l’article d’aujourd’hui, concerne les attaques incroyables sur nos libertés. Tout comme le 11 septembre a permis l’abject Patriot Act qui fait de chaque citoyen américain un individu sous haute surveillance sous prétexte de « lutter contre le terrorisme‘, l’opération Covid est la phase suivante.

Ce virus dont nous savons grâce au Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier, qu’il a été produit en laboratoire, n’est rien d’autre qu’une arme biologique à visée terroriste. Mais cette fois à grande échelle puisque presque tous les pays du monde sont visés.

Alors la première question qui vient à l’esprit c’est : mais qui a donc fait ça ? Et pourquoi ?

Avant de vous faire part de mon idée sur la question, idée que beaucoup d’entre vous connaissent déjà si vous me lisez régulièrement, je ne peux m’empêcher de repenser à la manière dont Poutine a fait face au problème en dénonçant l’échec probable du Nouvel Ordre Mondial et à cette déclaration fracassante du colonel à la retraite Vladimir Kvachkov [Ndlr: voir Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation] du GRU (renseignement militaire russe) sur le coronavirus. Le colonel Kvachkov n’est pas n’importe quel péquin insignifiant car c’est un ancien du Centre d’études de défense et stratégiques de l’état-major général des forces armées russes. Il ne parle pas à la légère car on ne peut pas s’offrir ce luxe dans une situation aussi grave. Il faut donc le prendre au sérieux.

Je le cite : « Le phénomène des coronavirus, la soi-disant « pandémie » – et laissez-moi vous dire – il n’y a pas de pandémie, tout ça, c’est un gros mensonge. – Il doit être considéré comme une opération spéciale, stratégique et mondiale. Ce sont des exercices des pouvoirs sionistes et financiers qui manipulent en coulisse le monde pour le contrôle de l’humanité. Ils veulent réduire notre liberté et accroître leur contrôle politique. Le coronavirus et la crise financière qui ont immédiatement éclaté sont inextricablement liés. Une première tentative mondiale de retirer des droits politiques (des gens) a eu lieu le 11 septembre 2001, puis il y a eu une déclaration de guerre à l’humanité déguisée en guerre contre le terrorisme. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour une prise de contrôle de l’humanité. Le coronavirus a été lancé par les puissances sionistes et financières mondiales dans le but de limiter les droits politiques et de faire peur aux gens.

« Le coronavirus a une origine artificielle; c’est déjà prouvé scientifiquement. Nous recevons une propagande d’information psycho-politique spéciale, une opération des médias de masse mondialistes au service des pouvoirs en coulisse qui créent cette terreur. “Ils” scrutent et recherchent qui obéit et qui ne n’obéit pas pas. De plus, les relations économiques sont passées de l’économie réelle à la bulle financière de l’économie virtuelle, qui doit maintenant être dégonflée. En Chine, ils ont une faction patriotique et une autre de pro-américains dont le seul intérêt est le fric, [les traîtres] qui ont essayé d’utiliser le coronavirus à Wuhan [jusqu’à ce que le président Xi mette fin aux enfermements]. Et puis ça a commencé en Europe. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des USA. Et c’est là qu’ils ont d’abord injecté ce virus. »

« Un autre objectif est de réduire la population mondiale. Ils pensent qu’il y a trop de gens ordinaires [Ils veulent] 100 millions de leur propre genre et peut-être 1 milliard de serfs pour les servir. Tant que nous ne nous débarrasserons pas des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne résisterons pas aux autres parasites. »

Dans ces trois paragraphes nous avons la réponse possible à nos deux questions : qui et pourquoi. Certains douteront et d’autres verront dans ces déclarations du colonel Vladimir Kvachkov, la seule explication plausible à ce que nous subissons depuis un an.

Maintenant l’autre question c’est : mais pourquoi notre gouvernement ne nous protège pas de ces criminels ? La réponse est simple. Voyons qui a choisi Macron et qui a financé son accession au pouvoir et nous comprendrons pourquoi.

Sans revenir en détail sur chaque point et en allant à l’essentiel, Macron a été choisi par le groupe Bilderberg, groupe réunissant les puissants de ce monde et tenant à le rester. Le deal c’est « tu fais tout ce qu’on te dit et on fera de toi le Président de la France. En contre partie de ta participation à nos plans, tu pourras même en profiter pour t’enrichir autant que tu voudras puisque tu bénéficies du privilège de la fonction et que tu es intouchable vu que tu es protégé par l’immunité. » Et Macron a répondu selon ses propres mots : « Banco !« 

Macron n’est ni un moine bouddhiste, ni un jésuite. Il n’a aucune attache spirituelle d’aucune sorte, n’a aucune moralité, est dépourvu de tout scrupule puisqu’il considère comme quantité négligeable « ceux qui ne sont rien ». Sa vie, son parcours démontrent que la seule chose qui l’intéresse c’est de devenir riche et puissant. Il est donc le complice idéal des mondialistes, car lui-même semble obsédé par le projet messianique du gouvernement mondial de Jacques Attali et de tous les sionistes, à qui le grand rabbin Schneerson a demandé d’agir pour accélerer la venue du « Mechia’h« .

Et comme l’explique en détail Youssef Hindi dans ses écrits sur les origines du sionisme messianique, pour que cette venue puisse se produire, la mise en place du Nouvel Ordre Mondial est un préalable.

Alors, que va-t-il se produire dans un futur proche ?

Un peu partout, les peuples divisés entre les crédules qui font encore confiance aux gouvernements criminels obéissant aux ordres de ces « illuminés » (Illuminati ?) et les éveillés qui ont parfaitement compris ce qui est en train de s’accomplir sous nos yeux, vont provoquer une scission qui ne pourra aboutir qu’à des désordres, des affrontements, peut-être même une insurrection ou une guerre civile.

Pourquoi Attali semblait si sûr de lui quand il a déclaré qu’il y aurait une révolution en France avant 2022 ?

Attali n’est ni prophète ni devin, mais a cette faculté étrange d’annoncer des catastrophes auto-réalisatrices. C’est un agent du Nouvel Ordre Mondial qui est parfaitement informé du plan criminel mis en place par ceux qui ont déclenché l’opération Covid. Et il sait aussi que la partie du peuple qui prend conscience de ce qui se passe, va réagir et peut-être même violemment. Voilà pourquoi il a fait cette prédiction. D’ailleurs cette déclaration est bien antérieure à l’opération Covid. Il savait donc déjà tout et avait envisagé tous les scénarios possibles car on peut faire confiance à ces gens, experts en manipulation des masses pour prévoir chaque détail du plan.

Attali comme tous ceux qui se rendent complices de cette opération criiminelle savent que s’ils échouent, leurs sorts seront peu enviables. C’est donc un pari risqué. Mais compte tenu qu’ils sont le vrai pouvoir et qu’ils disposent de complicités dans les institutions, dans les médias et des forces de police et de généraux traîtres à la nation au sein de l’armée, ils pensent être capables de mater une insurrection ou une révolution et continuer à rester les « Maîtres » du pays.

Donc, le désordre et la violence sont le scénario le plus probable et c’est pour l’éviter que la vaccination est utilisée. Le nombre de victimes de ces vaccins qui provoquera une vraie pandémie ne fera qu’augmenter, la peur et la psychose aussi et on compte sur ce stratagème pour maintenir les populations sous pression et soumises, à travers les confinements et autres mesures extrêmes pour éviter une révolte du peuple.

Machiavélique n’est-ce pas ?

J’ai pour habitude de dire ce que je m’applique à moi-même : espérons le meilleur tout en étant prêts à affronter le pire. Et si le pire n’est pas toujours probable, il est souvent possible.

Je vous laisse méditer sur tout ça…

Bonne semaine à tous.




« Qui veut la peau de l’euro ? La Cour de Karlsruhe ! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]

Par Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Cette information n’a pas franchement fait les gros titres de la presse nationale ni de nos télés, même Hanouna n’en a pas parlé, c’est dire si c’est une information insignifiante. [Voir cependant https://nouveau-monde.ca/le-plan-de-relance-europeen-suspendu-par-karlsruhe/]

D’ailleurs, l’euro, notre monnaie commune, n’a aucune importance n’est-ce pas.

Et puis les Allemands, comme chacun le sait, sont nos AMIS, car en plus, l’Europe c’est la PAIX.

Répétez après moi :

« L’Europe c’est la PAIX, l’amour entre les peuples et la félicité ».

Donc en fait c’est parce que le narratif Européen est construit sur cette foutaise d’amitié franco-allemande, que l’on vous parle assez peu de tous les coups de nos amis allemands.

Comme disait l’autre, méfiez vous de vos amis, mes ennemis, je m’en occupe !!

Nous sommes à couteaux tirés actuellement avec les Allemands qui sont à la manœuvre pour dissoudre au maximum l’industrie française de l’armement. Une menace à long terme pour la suprématie allemande en Europe. Et oui. Il ne faut pas être naïfs. Il n’y a qu’en France que nous avons abandonné le temps long de la géopolitique. En Chine, aux USA, en Russie, ou aux États-Unis, ils se battent tous bec et ongles pour assurer leur souveraineté et leur indépendance.

En France nous sommes dirigés par des nains politiques qui se pensent « européens »… hahahahahahahahaha ! Résultat ils organisent le pillage de notre nation et la ruine de notre population unie dans sa diversité et dans de plus en plus grande pauvreté !

Bref, c’est dans ce contexte d’amitié franco-allemande et d’amour entre les peuples que…

La Cour constitutionnelle allemande suspend la ratification du plan de relance !

D’après cette dépêche presque confidentielle de l’agence de presse Reuters, 

« la Cour constitutionnelle allemande a bloqué vendredi la ratification du fonds de relance européen, approuvé cette semaine par les deux chambres du Parlement, le temps d’examiner un recours contre ce plan d’investissement financé par la dette.

Les opposants au plan de relance de l’UE, notamment le parti d’extrême droite alternative pour l’Allemagne (AfD), affirment que le plan viole les traités européens en ouvrant la voie à des emprunts communs par les États membres.

La Commission européenne s’est déclarée convaincue que la législation européenne visée par le recours, la « décision sur les ressources propres », serait validée par le tribunal constitutionnel allemand. Cette loi constitue depuis des décennies la base de tous les budgets pluriannuels de l’UE.

La modification qui doit être ratifiée relève de 0,6 point de pourcentage le plafond des contributions nationales au budget de l’UE pour le porter à 2 % du revenu national brut jusqu’en 2058, afin de garantir le remboursement de l’emprunt de recouvrement au cas où les recettes fiscales prévues à cet effet seraient insuffisantes.

« Nous notons que la validité de la décision sur les ressources propres n’a pas été remise en question par la Cour constitutionnelle allemande », a déclaré une porte-parole de la Commission.

Aucun délai n’est prévu pour que la Cour se prononce sur la plainte, mais il pourrait lui falloir jusqu’à trois mois pour rendre une décision.

La ratification allemande pourrait ainsi être retardée jusqu’en juin, ce qui permettrait néanmoins de respecter le calendrier de la Commission européenne, qui prévoit le versement des premières tranches du fonds de relance de 750 milliards d’euros au cours de l’été ».

Donc il est fort probable que nos aimables voisins retardent les versements du plan d’aide européen, au mieux, car au pire, cela pourrait même provoquer son annulation.

Est-il illégal au sens des traités ce plan d’aide ?

Évidemment !!

Cela fait bien longtemps que l’Europe s’est assise sur tous les traités et toutes les règles.

Vous vous souvenez les règles du traité de Maastricht, les fameux « critères » du genre 60 % de dettes et 3 % de déficit — hahahahahaha — ce n’est plus qu’un souvenir, ou encore l’interdiction de monétiser la dette, oubliée également ! De même que la lutte contre l’inflation et tous ces fils à la patte nécessitant une bonne gestion pour assurer une « convergence ». Terminé. Je vous en ai parlé dans cette vidéo.

Pourquoi cela menace-t-il l’euro?

Soyons clairs.

Nous avons tous la même monnaie.

Mais nous n’avons pas tous le même endettement.

Ceux qui sont trop endettés — et la France en fait désormais partie avec plus de 120% de dettes sur PIB — ne pourront jamais s’en sortir avec l’austérité ou la croissance.

Il ne reste que la fuite en avant monétaire. Sous forme de plans d’aides ou de rachats d’actifs c’est-à-dire de dettes par la BCE directement ou hypocritement indirectement et sur le marché secondaire comme c’est le cas aujourd’hui.

Si la Cour Constitutionnelle allemande s’oppose (juridiquement à juste titre) à ces politiques économiques, alors son refus entraînera l’explosion de fait de la zone euro.

Il ne fera alors pas bon détenir des « liquidités ».

Plus nous approcherons de la « sortie » de crise sanitaire et plus les tensions entre les pays bien gérés et les paniers percés seront fortes.

Ce sera un moment de tous les dangers pour l’Europe avec une Allemagne qui gagne du temps pour payer le moins possible depuis maintenant 12 ans et la crise des Subprimes.

L’heure de vérité approche.

L’euro peut exploser, comme l’Europe faire son grand saut fédéral.

Ce ne sera qu’au pied du mur que nous verrons qui l’emportera.

Nul doute que les mamamouchis français sauront vendre notre pays à l’Allemagne pour qu’elle accepte de « payer » un peu pour nous, après avoir dépecé la bête France.

Triste politique.

Tristes résultats, conséquence de pauvres sires à la tête de notre grand pays.

Un peuple de lions menés par des ânes.

Restez à l’écoute.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

[Ndlr : l’Union Européenne contribue à détruire les nations. Sa destruction permettrait-elle de reconstruire ces dernières et de leur redonner un minimum de souveraineté ?]



Page 1
Chart
La dette publique dans l’UE
Allemagne
Luxembourg
Slovaquie
Slovénie
Image
Chypre
Malte

Dette publique des Etats membres en pourcentage du PIB, au 3e trimestre 2020
Données : Eurostat
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MAJ 7370 – dette publique (T3 2020)
Infogram



Le «vaccin» d’AstraZeneca change-t-il de nom pour continuer en douce ?

[Source : European Medicines Agency (Agence européenne des médicaments)]

Vaxxevria (anciennement Vaccin Covid-19 AstraZeneca)
[Dans le rectangle sur fond vert :]
AUTORISÉ
Ce médicament est autorisé pour utilisation dans l’Union Européenne

Formes autorisées

(Document COVID-19 Vaccine AstraZeneca, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

Numéro AMM UE Nom (de fantaisie) Dosage Forme Voie pharmaceutique d’administration primaire Conditionnement Contenu
(Concentration)
Présentation
EU/1/21/1529/001 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 4 ml (8 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (80 doses)
EU/1/21/1529/002 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 5 ml (10 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (100 doses)

Extraits du document « Annexe I »

(Document Vaxzevria, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

[Les effets secondaires reconnus par le fabricant :]

Effets indésirables du médicament SOC MedDRA Fréquence Effets indésirables
Affections hématologiques et du système lymphatique Peu fréquent Lymphadénopathie
Troubles du métabolisme et de la nutrition Peu fréquent Diminution de l’appétit
Affections du système nerveux Très fréquent Céphalées
Peu fréquent Étourdissements
Somnolence
Affections gastro-intestinales Très fréquent Nausées
Fréquent Vomissements
Diarrhées
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Hyperhidrose
Prurit
Éruption cutanée
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquent Myalgies
Arthralgies
Troubles généraux et anomalies au site d’administration Très fréquent Sensibilité au site d’injection
Douleur au site d’injection
Chaleur au site d’injection
Prurit au site d’injection
Ecchymoses au site d’injection (a)
Fatigue
Malaise
État fébrile
Frissons
Fréquent Gonflement au site d’injection
Érythème au site d’injection
Fièvre (b)
(a) : Les ecchymoses au site d’injection incluent un hématome au site d’injection (peu fréquent)
(b) : Fièvre mesurée ≥ 38°C



Même le Pr Delfraissy déconseille confinement et politique de la peur

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Mais pourquoi le président Emmanuel Macron n’écoute-t-il plus le président du Comité scientifique ?  Et pourquoi certains réclament-ils un nouveau confinement ?

Il y a un an, on ne connaissait pas bien le Covid-19 et le Président a eu peur.

La peur, créée par la prophétie apocalyptique de Ferguson (500 000 morts en France) et amplifiée par la propagande terrorisante du gouvernement et des médias, lui a fait accepter un confinement aveugle [1] qui ne reposait sur aucun argument scientifique du monde réel, mais seulement sur un modèle mathématique imparfait, reposant sur des hypothèses fausses.

Le Président vraisemblablement subjugué par les modélisateurs du Comité scientifique et l’utilisation de modèle informatique, a préféré croire les prédictions d’un mathématicien au lieu de suivre la sagesse médicale traditionnelle, qui venait pourtant de faire ses preuves en Corée du Sud, Taïwan et au Japon.

Car comme le précise J.-P. Delfraissy, dans son article récent, [2] le confinement « est une mesure attirante pour les dirigeants politiques craignant une responsabilité juridique pour des réponses nationales lentes ou indécises ».

Espérant que le confinement masquerait l’état pitoyable de nos hôpitaux [3] affaiblis par 20 ans de gestion bureaucratique, nos gouvernants ont créé la pire crise sanitaire depuis plus d’un siècle et la pire crise économique depuis la dernière guerre. Macron a déclaré la guerre, mais sa stratégie du confinement aveugle (doublé d’une interdiction des traitements précoces sous l’influence des lobbies et de son gouvernement) nous a conduit à une cuisante défaite contre la maladie, tout en massacrant les forces vives de la nation.

Car la crise dramatique que nous subissons actuellement n’est pas due au Covid-19, mais aux mesures totalitaires scientifiquement infondées, disproportionnées et souvent stupides qu’ils nous ont imposées.

Bilan d’un an de confinement et de mesures prétendument sanitaires 

Sur le front du Covid-19, les résultats des confinements sont catastrophiques. Les confinements aveugles, expériences sociales inédites jusqu’ici, n’ont pas atteint leur objectif de diminuer le nombre des contaminations ou de ralentir leur rythme [4] [5] [6].

L’analyse des trajectoires des épidémies avant et après le verrouillage, par la recherche des points de rupture (break point analysis), ne montre aucun signe de discontinuité dans les tendances du taux de croissance, du temps de doublement et du nombre de reproduction.

En extrapolant les tendances des taux de croissance avant le verrouillage, il n’existe aucun élément de preuve que les confinements aveugles auraient sauvé des vies dans le monde réel, contrairement à ce que prétendent les études basées sur les modèles mathématiques des proches de Ferguson qui comparent des morts virtuelles attendues (estimations grossies de 1000 %) au nombre réellement observé [7].

Les rares succès apparents sont en fait liés aux reculs naturels de l’épidémie qui ont précédé le confinement comme en Grande-Bretagne, en Italie (ainsi que le montre la figure suivante) [8] ou en Norvège ainsi que l’a courageusement reconnu le Premier ministre norvégien Erna Solberg, lors d’un discours à la télévision nationale le 27 mai 2020 : « était-il nécessaire de fermer les écoles ? “Peut-être pasJ’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur ».

La comparaison du début des épidémies dans les différents pays montre même que le confinement aveugle enfermant ensemble malades et bien-portants augmente parfois la vitesse de propagation de l’épidémie, comme le prouve la comparaison de deux pays voisins (Belgique et Pays-Bas) aux populations très proches par leur âge, leur mode de vie et l’état de leurs hôpitaux.

Après un an d’épidémie et de mesures sanitaires sévères, au 26 mars 2021, la France avec 1 422 morts/million d’habitants trône sur le podium des 5 plus fortes mortalités européennes attribuées au Covid-19 avec les autres grands pays européens champions du confinement aveugle : la Belgique (1969/M), la Grande-Bretagne (1863/M), l’Italie (1766/M), l’Espagne (1592/M).

alors que ceux qui n’ont pas confiné à l’aveugle souffrent d’une mortalité Covid-19 plus faible, qu’il s’agisse des Pays-Bas (957/M), de la Finlande(148/M), de la Suède (1324/M) ou de la Biélorussie (231/M).

Comme le reconnaissent (enfin) J.-P. Delfraissy et ses coauteurs du Comité scientifique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais le désastre sanitaire du confinement ne se limite pas au Covid-19

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Le confinement et le plan blanc ont entraîné des arrêts et/ou des retards de traitement de toutes les pathologies non Covid. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont eu des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générant des pathologies psychiatriques.

En France, on peut estimer qu’au moins 60 000 morts supplémentaires actuelles et/ou futures sont des victimes des retards et/ou défauts de soins et on ne peut que regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes collatérales. Qu’il s’agisse de maladies aiguës (crises cardiaques, embolies, accidents vasculaires cérébraux) ou de malades chroniques abandonnées à cause du Plan blanc [9] ou des cancers non diagnostiqués.

Les jeunes qui ne craignent presque rien du Covid-19 ont vu leurs études massacrées et leurs relations sociales gravement perturbées à une période où elles sont essentielles à leur épanouissement personnel et social futur. La véritable menace sanitaire actuelle est celle des problèmes psychiatriques amplifiés ou créés par le confinement et qui se traduit dans la hausse des consultations psychiatriques, l’augmentation forte de la consommation des antidépresseurs et de la fréquence des suicides qui menacent maintenant même les enfants.

La précarité et les troubles psychiques chez les étudiants, secondaires à l’arrêt des cours “en présentiel”, ne pourront être qu’aggravés par un nouveau confinement.

Ainsi que le reconnaît Delfraissy :

« les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

La courageuse prise de position du professeur Delfraissy et des autres membres du Conseil scientifique prouvent qu’ils ont conservé leur esprit scientifique et qu’ils ont capables d’analyser les faits, contrairement aux dirigeants politiques et aux représentants de commerce des firmes qui veulent nous maintenir en esclavage jusque nous acceptions de nous faire traiter ou vacciner avec des produits expérimentaux.

Inefficace ou délétère sur le Covid-19, catastrophique pour les autres pathologies, dramatiques pour les jeunes, responsable d’une crise économique [10] , d’un chômage record, le confinement est inefficace et totalement nuisible.

Et l’argument, on « ne peut rien faire d’autre car nos hôpitaux ne sont pas prêts » qui pouvait se discuter il y a un an, est aujourd’hui devenu scandaleux. En un an on a dépensé 120 milliards d’euros pour la crise, on pouvait largement augmenter les lits de réanimation en rouvrant les hôpitaux récemment fermés (à Paris comme l’Hôtel-Dieu ou le Val-de-Grâce que des gestionnaires envisagent de transformer en centres commerciaux ou hôtel de luxe. Et soulignons une nouvelle fois le traitement précoce qui diminue drastiquement le besoin de lits de réanimation.

L’expérience acquise depuis 1 an prouve sans équivoque que le confinement aveugle est sanitairement délétère, catastrophique pour les jeunes, l’éducation, les violences familiales, l’économie, la démocratie, la vie sociale, en un mot pour tout ce qui nous rend humain.

Même le professeur Delfraissy le reconnaît publiquement avec 4 autres membres du Comité scientifique. Comment certains ministres peuvent-ils encore oser en menacer le pays ? Comment peuvent-ils encore interdire aux médecins de traiter leurs malades en leur âme et conscience ? Et comment les journalistes peuvent-ils prétendre que ce confinement serait voulu par le Conseil scientifique ? en tous cas pas par tous ses membres. On choisit celui qui nous arrange !

Au classement mondial du bonheur 2020 [11], les pays européens qui n’ont pas confiné occupent 4 des 6 premières places : Finlande et Islande étant les champions suivis par les Pays-Bas (5e) et la Suède tandis que la Grande-Bretagne passe de la 13e à la 18e place et la France recule d’un rang (21e).

Le confinement, sanitairement désastreux ne fait pas le bonheur !  Stop confinement !

Dr Gérard Delépine


[1] ne séparant pas les malades des bien-portants. Voir Autopsie d’un confinement aveugle par N. et G. Delépine éditions Fauves septembre 2020

[2] JF Delfraissy and al  Lancet Public health, avril 21, 6,4

[3] Pourtant clamée haut et fort par les soignants lors des grèves et des manifestations durement réprimées

[4] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic. https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717

[5] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest   2021 Jan 5 ; e13484. doi :10.1111/eci.13484.

[6] Wieland, T. Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au Covid-19 en Allemagne. Saf. Sci. 131, 104924 (2020).

[7] l’article de Flexman prétend que le confinement aurait sauvé plus de 3 millions d’Européens ; il cite la Suède où le confinement a sauvé 26 OOO Suédois alors que la Suède n’a jamais confiné. Il affirme aussi que le confinement a sauvé 450 000 Allemands alors sur une période où l’Allemagne n’a pas confiné ! !

[8] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 https://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[9] L’Académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines

[10] Déjà 120 milliards d’euros envolés

[11] world happiness report 2020 WHR+21.pd




Le plan de relance européen suspendu par Karlsruhe !

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par Jean Goychman

La Cour constitutionnelle allemande a décidé de suspendre la ratification du plan de relance européen qui devait sceller la solidarité retrouvée des États-membres de la zone euro. Il était, du reste, assez étonnant qu’après avoir plusieurs fois alerté les instances européennes sur la non-conformité des actions entreprises par la BCE en regard des modalités définies dans les différents traités européens, la Cour de Karlsruhe ne se soit pas manifestée plus tôt.

UN PLAN DE RELANCE DE 750 MDS €

Ce programme de relance, porté par la BCE à hauteur de 750 milliards d’euros, est destiné à aider les pays qui ont vu leur situation financière dégradée par la crise du COVID.
Comme la BCE ne peut créer de la monnaie que sur des dettes, il faut donc que ce soit les Etats-membres qui empruntent de l’argent auprès des marchés financiers privés. Jusqu’à présent, un certain nombre de pays, dont l’Allemagne, avaient constamment refusé l’idée de la mise en commun des dettes publiques. Ils passaient pour des « radins » alors qu’ils voulaient simplement ne pas payer pour les autres, jugés trop « dispendieux ».

Compte-tenu de l’ampleur de la crise, Emmanuel Macron, avant tout partisan de la création d’une Europe fédérale, crut qu’il avait une opportunité de pousser ses idées. La rapide et énorme augmentation de la dette française, due au confinement généralisé sur le territoire, pouvant fragiliser la France et peut-être même la zone euro, ne pouvait laisser insensible la Chancelière allemande.

Celle-ci accepta sans entrain excessif le plan de la BCE poussé par Emmanuel Macron. Mais le plus dur restait à faire : convaincre les autres pays « dissidents » du bien-fondé de ce plan de relance qui passait par la mutualisation des dettes des États.

Les négociations s’engagèrent au sein du Conseil de l’Europe et furent longues et difficiles. Toutefois, un accord arriva le 20 juillet 2020 et, pour la 1ère fois, les États acceptèrent d’emprunter collectivement en déléguant les modalités à la Commission Européenne.

Pour entrer en vigueur, ce plan de relance doit toutefois être ratifié par chacun des Etats-membres.

COUP DE TONNERRE À BRUXELLES !

Le texte ayant été approuvé par les parlementaires européens le 12 février 2021, il convient maintenant le faire ratifier par les chefs d’État.

Et c’est là où la Cour Constitutionnelle allemande intervient en suspendant le processus en raison

« d’un recours contre ce mécanisme basé sur une dette commune.
L’instance suprême « a décidé que le texte de loi » sur ce plan, qui venait d’être approuvé par les parlementaires, « ne devait pas être paraphé par le chef de l’Etat » dans l’attente d’une décision sur ce recours en référé, selon un communiqué de la Cour 
».

Véritable « coup de tonnerre » dans le Landerneau bruxellois, cette demande en référé porte justement sur l’inconstitutionnalité de la mise en commun des dettes publiques. Les demandeurs estiment que la Constitution allemande ne permet pas à l’Allemagne de partager sa dette avec d’autres États, invoquant une sorte de transfert financier des pays « vertueux » vers ceux considérés comme « dépensiers »

De plus, se pose à nouveau le problème des financements des déficits publics par la BCE, ce qui lui est interdit par l’article 123 du traité de Lisbonne :

« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite ».

EST-CE UN MOMENT CRUCIAL POUR L’UNION EUROPÉENNE ?

C’est plus que probable, car la crise du COVID a agi comme un véritable révélateur de ce qu’était la réalité de l’Union Européenne. La concurrence entre les États et la défiance des uns envers les autres a pris des proportions alarmantes. De plus, les disparités économiques, déjà considérables, ont été amplifiées par la crise sanitaire qui risque de se prolonger par une crise sociale sans précédent.

Le jeu d’Emmanuel Macron, qui se voulait le champion de l’intégration européenne peut se retourner contre lui et contre Angela Merkel. La différence entre les deux est que Mme Merkel a prévu de quitter bientôt la scène politique, et que M Macron ne partage pas nécessairement ce dessein…

Jean Goychman




La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




Pourquoi les « scientifiques » ne font pas de science ? Pourquoi l’obscurantisme est-il la règle ?

Par Alain Tortosa

Ce texte vient compléter celui que j’ai écrit sur l’incapacité de l’être humain d’exister dans une vérité anxiogène et ainsi son besoin de la fuir. (Pourquoi la condition humaine est-elle conditionnée par la peur et le refus de la vérité ? « Par pitié, mentez-moi ! »)

La corruption ne suffit pas à elle seule à expliquer le délabrement actuel de la science.

Traitements contre le Covid et corruption

En fait, je m’apprêtais à écrire un long dossier sur l’Ivermectine et les anticorps monoclonaux. D’un côté, une molécule quasi gratuite qui date de plus de quarante ans et dont la toxicité semble marginale. De l’autre côté, les anticorps monoclonaux dont le coût d’un traitement est de plusieurs milliers d’euros et dont la toxicité est avérée.
Nous revivons exactement l’épisode de l’hydroxychloroquine et du Remdesivir.
Tandis que tout est fait pour saborder le premier, le 2e est adoubé par l’agence européenne du médicament !

Une revue « Global trends in clinical studies of ivermectin in COVID-19 » après analyse de 42 études arrive à la conclusion que l’Ivermectine est efficace. Cette revue a été publiée dans un journal scientifique japonais de renom et cosignée par Satoshi Ōmura, prix Nobel de médecine en 2015.
Et le 22 mars l’Agence Européenne du Médicament met en garde contre l’utilisation de l’Ivermectine tandis que quelques jours auparavant, elle autorise les anticorps monoclonaux.
Dormez tranquille, c’est cette même agence européenne qui a validé les vaccigénies et les vaccins expérimentaux en ayant fait sauter bon nombre de sécurités pour leur commercialisation.

L’industrie pharmaceutique est une industrie

  • Il est un fait que l’industrie pharmaceutique est une industrie dont les profits dépassent ceux de l’industrie pétrolière.
  • Il est un fait qu’elle n’hésite pas à mentir, corrompre médecins, politiques, journalistes…
  • Selon l’ONG Transparency International, 30 % des membres du Parlement européen et 50 % des Commissaires européens qui ont quitté leur poste travaillent pour des lobbies ! (cf « 7milliards d’esclaves et demain ? »).
  • L’association Corporate European Observatory, qui lutte contre le lobbying indique dans sa publication « Petit guide de la lobbycratie à Bruxelles » :

«On estime à plus de 25 000 le nombre de lobbyistes travaillant dans cette capitale européenne. (,,,) 1,5 milliard d’euros sont dépensés chaque année pour faire pression sur la Commission européenne, le Parlement européen… »

Donc rien de nouveau sous le soleil. L’ultra-capitalisme est là pour faire du profit et n’en a que faire de l’humain… mais là n’est pas l’objet de mon texte…

Où sont passés les médecins et les scientifiques ?

Je ne parlerai pas ici de celles et ceux qui n’ont plus droit à la parole et qui sont même poursuivis par leur conseil de l’ordre parce qu’ils osent réfléchir ou soigner leurs patients !
Je vais m’intéresser à la masse de celles et ceux qui nous ont conduits dans la situation dramatique dans laquelle nous nous trouvons.

1) Le manque de formation. Une fabrique de petits soldats

Je crains que ce ne soit le nerf de la guerre.
Il me semble évident que la démarche scientifique n’est pas apprise dans nos universités sinon nous n’en serions pas là.
L’enseignement français ressemble à un gavage et un formatage des esprits.
Cette « vérité » se transmet de génération en génération. L’étudiant qui a appris d’un maître enseignera aux générations suivantes la même histoire une fois devenu professeur. Ce type d’enseignant devenu inutile pourra être remplacé prochainement par des ordinateurs.

2) La vérité est « pyramidale » et elle naît de la plus forte autorité

Le plus compétent est celui qui est le plus diplômé et le plus élevé dans la hiérarchie. Ni plus ni moins !
Il est de bon ton de se moquer du « complotiste » qui n’a de fait aucune « légitimité », car son curriculum vitae ne l’autorise pas à réfléchir.
Le jeune chercheur ou médecin sera à minima découragé dans ses tentatives de questionnement ou de remise en cause d’une « vérité ».
En revanche le professeur de médecine qui, toute sa vie, n’aura fait que répéter son formatage, sera quant à lui le « grand prêtre détenteur et défenseur de la foi et de la vérité ». Critiquer ses « vérités » est de l’ordre du blasphème et certains n’hésitent pas à qualifier l’entreprise de « criminelle ».
Toutes les personnes d’un rang inférieur approuveront naturellement ce « puits de science » sans jamais le remettre en question.

3) La vérité scientifique est statistique

Elle sera d’autant plus « vraie » qu’elle sera publiée, citée, dupliquée à l’infini pour en devenir une vérité non pas scientifique, mais statistique.
Plus une information est répétée et plus elle est vraie.
C’est ainsi que l’industrie du sucre, pour détourner l’attention, a mis en place une campagne afin de rendre la graisse responsable des maladies cardiaques. Des médecins et des scientifiques ont été achetés, des centaines et des milliers de publications ont eu lieu et ainsi le gras est devenu l’ennemi. Qui pense aujourd’hui que le mauvais cholestérol est un mythe ? Dans le cadre du Covid, les contre-vérités scientifiques se succèdent et sont répétées à l’infini… et elles deviennent de fait « La Vérité ».
Une autre illustration est la méta-étude ou méta-analyse. On analyse la littérature sur un sujet et si 82 % des études publiées affirment qu’une molécule est inefficace alors nous avons la « preuve » de son inefficacité !
Mais 82 % des études sont-elles bien menées, honnêtes, dénuées de conflits d’intérêts, dénuées de biais et financées par qui ?

4) Le biais inconscient

Inutile d’être corrompu pour faire de la fausse science. C’est la conséquence directe de la vérité statistique.
Il est très difficile de reprogrammer ses croyances et d’assumer ses erreurs…

  • Dès lors que la vérité officielle est qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid.
  • Que la vérité officielle est que l’unique solution est le vaccin.

Si vous étudiez une molécule, vous allez inconsciemment orienter vos résultats afin de ne pas risquer de mettre à mal vos croyances.
Et si par malheur une autorité a déjà émis une simple critique sur ladite molécule, alors votre recherche ne visera plus à déterminer si cette molécule fonctionne ou pas, mais à écarter toutes les données qui pourraient aller dans le sens de son efficacité.
Ce problème se produit dès lors que nos certitudes sont basées non pas sur des données scientifiques, mais sur des croyances.

5) La bêtise et la fainéantise

Le plus grand mal est sans doute la bêtise humaine. 90 % des médecins médiatiques ne sont que des porte-parole, mais ils l’ignorent.
Bien entendu, ils se croient supérieurement intelligents comme de très nombreux médecins. Ils n’ont pas lu la moindre étude sur le Covid, au mieux un petit résumé.
Ils n’ont jamais cherché à se faire leur propre opinion, mais se contentent de répéter. Ils n’ont jamais eu le moindre sens critique, le moindre questionnement.
Si demain on leur explique que le blocage du virus passe par une plume dans le cul (cf. mon texte), alors ils adhéreront comme ils ont adhéré à toutes les débilités précédentes.
Ils sont simplement complètement idiots, mais médiatisés, diplômés et donc « crédibles ».

6) La peur, les sanctions et les menaces

Si vous voulez faire carrière et grimper dans la hiérarchie, la voie royale est la prostitution. Nous avons vu ici comment des Peronne, Raoult et autres Toubiana ont été traînés dans la boue, menacés ou virés…
Dès lors que la vérité scientifique relève de la foi et que les tables de la loi sont écrites par l’industrie pharmaceutique, il devient important d’envoyer un signal fort à tout scientifique qui se permettrait de réfléchir, poser des questions ou de douter.
Combien de médecins ou de chercheurs vivent aujourd’hui dans la peur ? Le conseil de l’ordre des médecins n’est qu’une milice aux ordres de Vichy.
Alors « si vous voulez survivre, devenez une pute, asseyez-vous sur vos valeurs et priez pour que la science et la démocratie reviennent un jour ».
Et puis « masquez et vaccinez vos enfants » !
Ou « empochez 1500 euros le samedi pour leur injecter des potions expérimentales »

Nous voyons ici à quel point il est quasi impossible de disposer d’une information scientifique rigoureuse sur le Sars-Cov2. Tout est fait pour fabriquer des moutons et des crétins dès le plus jeune âge.
L’enseignement ne vise en rien l’épanouissement, la curiosité, l’apprentissage de la critique, le questionnement, mais uniquement à formater et (remplir) vider des cerveaux.
Et si le port du masque entraîne des retards d’apprentissage chez de jeunes enfants, cela ne pourra qu’être bénéfique dans une société qui vise à fabriquer des moutons dociles et terrorisés.
Nous avons la science, les médecins, les journalistes, les politiques, etc. que nous méritons.

Et j’en reviens toujours au même point.

Une autorité le dimanche nous disait que le masque était inutile et dangereux (ce qui est vrai).
Le lundi, cette même autorité nous a dit qu’ils étaient vitaux, inoffensifs et le monde « scientifique » a suivi dans un bellement à l’unisson.
Pour faire taire ceux qui auraient eu quelques doutes, on a fait croire que c’était une stratégie, car on manquait de masques…
De fait tout ce monde qui a perdu la capacité de réfléchir enlèvera son masque le jour où cette même autorité dira qu’ils ne sont plus utiles en se basant s’il le faut sur la taille des variants et les phases de la Lune…
Ils peuvent dire n’importe quoi, et cela ne sera jamais remis en cause par la masse.

La science est morte, vive la science !

Merci

Alain Tortosa 29 mars 2021.

« 7milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210329-antiscience-chez-les-scientifiques.pdf




Le passeport vert européen et les QR codes d’ATOS

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Le commissaire européen Thierry Breton nous annonce le passeport sanitaire européen pour le 15 juin. Or on savait qu’il y aurait conflit d’intérêts puisque par le plus grand des hasards sa société ATOS dont il a été le PDG de 2009 à 2019, est précisément spécialisée dans les QR codes, les contrôles aux frontières par le numérique et la digitalisation des données de santé. C’est du reste cette société ATOS qui gère les applications de QR code pour les voyages en Espagne. Edouard Philippe est devenu administrateur de cette société dont les principaux actionnaires sont Blackrock et Siemens. Une plainte d’anticor avait été déposée suite à du favoritisme dans des marchés publics pour la mise en place des radars automatiques alors que Thierry Breton était ministre. Vous avez compris la toile d’araignée? Alors qu’ils sont nommés dans le cadre d’un mandat politique ou européen, ils font leur business sur la mise en esclavage numérique des peuples européens avec des techniques de contrôle et surveillance digitales commercialisées par leurs propres boîtes.

https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-thierry-breton-annonce-l-arrivee-d-un-passeport-vaccinal-des-le-15-juin-20210328

https://www.bastamag.net/Thierry-Breton-audition-Commission-Europe-conflit-interets-PDG-Atos-Macron

https://www.leparisien.fr/politique/commission-europeenne-thierry-breton-cible-par-une-nouvelle-plainte-d-anticor-25-10-2019-8180385.php

https://www.zonebourse.com/cours/action/ATOS-SE-4612/actualite/ATOS-nbsp-va-gerer-les-formulaires-de-controle-sanitaires-des-voyageurs-vers-l-Espagne-31151155/

https://www.capital.fr/economie-politique/la-future-remuneration-dedouard-philippe-chez-atos-1381412
 Thierry Breton, PDG d’une multinationale financée par les fonds européens en voie de devenir commissaire… européen

par Rachel Knaebel 14 novembre 2019

Après le rejet de Sylvie Goulard par le Parlement européen, Emmanuel Macron a proposé Thierry Breton au poste de commissaire européen au Marché intérieur. Au vu du curriculum vitæ du personnage et des marchés sur lesquels intervient l’entreprise dont il était PDG, Atos, ce choix pose de sérieuses questions.

Le 12 novembre, le Parlement de Strasbourg a approuvé en commission la candidature de Thierry Breton au poste de commissaire européen. À 12 voix contre 11, les députés de la commission des Affaires juridiques ont estimé que le profil de l’ancien ministre de l’Économie français, Thierry Breton, ne présentait pas de conflits d’intérêts. L’ingénieur de formation a donc passé cette première étape de justesse. Il y a deux semaines, le Parlement européen avait rejeté la candidature de Sylvie Goulard, ancienne ministre de la Défense mise en cause dans une affaire d’emplois présumés fictifs d’assistants parlementaires.

Exempt de tout conflit d’intérêt, Thierry Breton, vraiment ? Si sa candidature est validée, le Français proposé par Emmanuel Macron pour le portefeuille du Marché intérieur arrivera directement à la Commission depuis sa position de… PDG de grande entreprise. De 2008 à octobre 2019, Thierry Breton a dirigé le groupe Atos. L’entreprise fournit des solutions en télécommunications et électronique, pour la défense ou l’aéronautique, ainsi que pour des fichiers administratifs. Le méga-fichier français TES (pour titres électroniques sécurisés) qui rassemble les données personnelles et biométriques des Français pour les cartes d’identité ou les passeports, c’est Atos.

L’entreprise est aussi active dans le secteur des services sociaux privatisés au Royaume Uni, où sa politique de réduction des dépenses sociales est très controversée (voir notre article). Thierry Breton a démissionné de son poste de PDG d’Atos le mois dernier dans la perspective de devenir commissaire européen, et renoncé à sa rémunération qui avoisinait les 6,1 millions d’euros en 2017 (salaire fixe, part variable et rémunérations en actions).

La suite sur Bastamag




Un passeport de liberté ou de détention…?

[Source : Voyage Forum via Profession Gendarme]

Bonjour à tous,

Avec la crise actuelle et l’arrivée à grands pas du passeport (ou « pass ») vaccinal obligatoire pour non seulement se déplacer entre les pays, mais aussi dans notre propre pays, tout l’univers du voyage risque de bientôt changer de manière très drastique. Nos différents gouvernements nous font miroiter que le passeport vaccinal en sera un de liberté. Mais est-ce vraiment le cas?

Personnellement, je n’y crois pas du tout (cliquez ici pour lire mon questionnement en septembre 2020 concernant cette crise). Nos gouvernements nous disent que, grâce à ce passeport vaccinal, nous pourrons retrouver une partie de notre vie d’avant, retourner au restaurant, revoir nos proches, voyager… Ce brin de liberté est très attirant pour bien des gens, mais une grosse partie de la population réalisera rapidement que ce passeport vaccinal et ses conditions sous-jacentes cachent en fait, entre autres, un système extrêmement sophistiqué de suivi et de surveillance gouvernementale de tous les déplacements et fréquentations de chaque citoyen (bien des dictateurs ont rêvé d’un tel système de surveillance…). Puis viendra le moment des rappels des vaccins à chaque quelques mois et de l’obligation de passer des tests covid pour diverses situations, sous peine de voir son passeport vaccinal être désactivé. Par la suite, nos gouvernements intégreront très certainement d’autres informations dans ce fameux passeport, de sorte qu’il se transformera en une identité numérique contenant bien plus que notre simple fiche vaccinale du covid. Dans un tel système, il est légitime de se demander aussi ce qu’il adviendra de ceux qui critiqueront le gouvernement: ces personnes auront-elles autant de liberté pour se déplacer et vaquer à leurs occupations dans la société que les autres personnes plus dociles et/ou apeurées? Jusqu’où les élites dirigeantes iront-elles pour garder le contrôle sur la population, sur nous: menaces de perdre notre revenu, notre emploi, notre statut, nos droits, nos libertés, nos possessions…? Ces menaces ont de toute évidence déjà commencé dans de nombreux pays par différents subterfuges. Et, tout cela est sans compter les immenses problèmes éthiques entourant le choix de se faire vacciner ou non sous de telles conditions.

Pour ma part, il est évident que nous nous dirigeons rapidement vers un système similaire au régime totalitaire chinois. Je vous invite fortement à écouter cette vidéo sur le crédit social en Chine. Souhaitons-nous vivre dans ce genre de monde? À la vue de tous les changements qu’il y a eus dans nos sociétés depuis un an (lois et mesures très liberticides et infondées, pensée unique dans les grands médias et dans le monde scientifique (du moins en apparence…), censure de tout ce qui est contraire à la version officielle médiatisée, censure ou discréditation infondée de traitements efficaces et peu coûteux, valeurs morales inversées à différents niveaux de la société, menaces de toute sorte si on critique les décisions gouvernementales, etc.), qui peut croire encore qu’il n’y a aucun risque que nous basculions, si ce n’est pas déjà fait, vers un régime totalitaire? Au nom de la sécurité médicale absolue et du risque zéro (le plus grand des leurres pour les hypocondriaques en herbe), au nom du pseudo altruisme (par exemple, se faire vacciner en pensant que c’est «pour les autres», alors que le vaccin n’empêche pas la contagion selon les données officielles des fabricants), combien de droits et libertés sommes-nous prêts à perdre? Et, une fois perdus, n’est-il pas extrêmement naïf de penser que nos gouvernements nous les redonneront un jour d’eux-mêmes?

En tant que Canadien, je suis d’autant plus inquiet lorsque je me rappelle que l’actuel premier ministre du Canada a déjà dit publiquement qu’il admire le régime dictatorial chinois…! 

Surpris

Ça explique probablement pourquoi il ne dénonce pas haut et fort et ne fait rien de concret pour contrer les camps de concentration des Ouïghours en Chine (vidéo)… 

Incertain

Je suis aussi inquiet de réaliser à quel point l’OMS semble très liée à la Chine et à quel point le directeur de cette organisation, en plus d’être soupçonné de très sérieux crimes (article1 et article2), semble apprécier lui aussi les régimes dictatoriaux (vidéo).

Les démocraties un peu partout dans le monde sont de plus en plus à l’agonie. En guise d’exemple, voici ce qui se passe en ce moment en Israël derrière le mur opaque des grands médias (ce scénario est fort probablement prévu pour les pays d’Europe et au Canada d’ici quelques mois…):
– Sonnette d’alarme sur ce qu’il se passe en Israël
– Une Israélienne lance un S.O.S

Et, à ceux qui crient derrière leur écran «complotiste!» en lisant ce message, je leur rappelle que ces fameux «complotistes» ont eu pratiquement tout bon depuis le début de cette crise. Ils ont en fait été vraiment excellents pour annoncer (dénoncer?) les événements un an ou quelques mois d’avance. Il serait peut-être temps de commencer à les écouter…

Concernant l’avenir de VoyageForum, dans la mesure où faire la promotion des voyages impliquera bientôt nécessairement de faire indirectement la promotion du vaccin, du passeport vaccinal ainsi que de tout le contrôle et la surveillance gouvernementale derrière ce passeport, je refuse catégoriquement de participer, d’alimenter ou de promouvoir une telle machination qui nous rendra encore plus esclaves de nos gouvernements et de leurs volontés. Continuer d’administrer VoyageForum dans de telles conditions impliquerait d’outrepasser mes valeurs les plus profondes, sans compter le fait que je suis totalement contre l’obligation de recevoir un vaccin entièrement expérimental et qui demeurera selon les fabricants en phase test jusqu’à la fin de 2022 (nous sommes littéralement des cobayes).

Qu’adviendra-t-il de VoyageForum? Honnêtement, je n’en ai aucune idée pour le moment et, bien franchement, cela devrait être ces temps-ci la dernière de nos préoccupations. Le temps n’est vraiment pas aux voyages, mais bien à la réflexion sur ce qui est en train de se passer dans nos sociétés et sur ce qu’on peut faire pacifiquement pour éviter le pire.

Pour départir le vrai du faux concernant cette crise, il devient aussi de plus en plus flagrant qu’il faille maintenant aller chercher l’information ailleurs que dans les grands médias (« médias mainstream »). Les principaux médias (qui prennent la majorité de leurs informations de seulement quatre agences de presse au niveau mondial), nos gouvernements, les quelques organisations mondiales ainsi que de grandes entreprises pharmaceutiques sont en effet devenus de toute évidence les différents visages d’une seule et même entité, pour ne pas dire d’une même «bête». Posons-nous sérieusement la question si cette entité, dont les ramifications financières et d’influences sont à tous les niveaux de notre société, souhaite vraiment notre bien. Est-ce que l’état providence existe toujours? C’est une question capitale sur laquelle il est très urgent que chaque personne réfléchisse.

J’en aurais tant à dire sur le sujet, mais je vais plutôt laisser parler des scientifiques et experts par l’intermédiaire de vidéos et articles ci-dessous. Cela aidera sûrement certains d’entre vous à avoir un aperçu plus juste de ce qui se passe derrière le mur de la « version officielle » des grands médias. Vous verrez que de très nombreux scientifiques, médecins et autres spécialistes sont loin d’être unanimes sur la gestion de cette crise, sur ce qui est vraiment en train de se passer à l’arrière-scène et sur les moyens pour remédier à cette crise.

Réveillons-nous, levons-nous et reprenons notre destin en main ainsi que nos droits et libertés. Mais surtout restons pacifiques et solidaires en tant que peuple (nous sommes 99,9% de la population et ils ont tellement peur que le peuple se réveille et se lève…). Prenez bien soin aussi de vous et de vos proches.
Une vidéo inspirante qui donne de l’espoir… Cultivons notre courage et unissons-nous…

Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
Bien cordialement,
François Boucher, fondateur de VoyageForum

VoyageForum.com
VoyageRéseau Inc.



L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique

[Source : Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Le test du polymérase de transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) fut appliqué par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en date du 23 janvier 2020 afin de détecter le virus SARS-COV-2, suivant les recommandations d’un groupe de recherche en virologie (basé à l’hôpital universitaire Charité de Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l’étude Drosten).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas «Nous avons fait une erreur». La rétraction est soigneusement formulée. 

Alors que l’OMS ne nie pas la validité de ses « directives trompeuses » en date de janvier 2020, elle suggère néanmoins de « Retester », ce qui dans la pratique est une impossibilité.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :

Le nombre de cycles d’amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détecte uniquement les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire… (en anglais, Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet implicitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé au point de départ en janvier 2020, en liaison  avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui fut recommandé par l’OMS), les segments du virus SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant «cas positifs» confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois sont erronés (n’ont aucune validité du point de vue scientifique ).

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct> 35 a été la norme «dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la «rétractation» soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe:

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.  (emphase ajoutée par l’auteur). »

Estimations Erronées 

Ce n’est pas une question de  «faibles positifs» ou de «risque de faux positifs». L’enjeu relève  au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que  l’estimation du covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR:   «il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…».

« Retester, On s’est trompé… ».  Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sense. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommendation contradictoire de l’OMS de « retester » confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA COVID SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.


Je dois mentionner qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :   The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset  (Chapitre II). Egalement disponible en français.


Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nation Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de la dite  «pandémie». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les segments du virus Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’extrême  pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique Pieter Borger et al. :

« Si quelqu’un est testé par PCR positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3% , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%   (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97% » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».

Au moment d’écrire ces lignes (mi-mars 2021), malgré le mea culpa de l’OMS, le test PCR continue à être utilisé afin de faire augmenter les chiffres en flèche.
L’objectif consiste à  justifier les politiques de verrouillage en cours.

Ces estimations erronées sont à leur tour manipulées afin d’assurer une tendance à la hausse des positifs Covid. De plus, ces tests PCR ne sont pas accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.

Et maintenant, les gouvernements dans plusieurs pays ont émis des avertissements d’une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin Covid-19.

Et ces déclarations trompeuses se basent sur des statistiques qui sont le résultat d’une méthodologie totalement erronée. Par ailleurs, il n’y a absolument aucune base scientifique pour mettre en œuvre le vaccin Covid-19.

L’OMS et l’évaluation scientifique de Pieter Borger , et al. (cité ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests RT-PCR adoptés par les gouvernements afin de justifier le verrouillage et la déstabilisation des économies nationales sont (selon l’OMS) totalement ERRONÉES. 

Il s’agit de comprendre qu’il y a un jeu de chiffres (basées sur des estimations qui au point de départ sont trompeuses). Ces chiffres sont cités sans relâche 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements.

Il s’agit d’une vérité mensongère dont l’objectif est d’alimenter la campagne de la peur. L’ objectif est de «justifier»  TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :

  • verrouillage, confinement,
  • fermeture de l’activité économique, chômage, pauvreté et banqueroutes,
  • distanciation sociale,
  • masque facial,
  • couvre-feu,
  • programme de vaccination.

Données et statistiques mensongères.
Réfléchissez avant de vous faire vacciner.
Et maintenant, nous sommes entrés dans une soi-disant «troisième vague». (où sont les données ??).
C’est «un paquet de mensonges». 
C’est un crime contre l’humanité. 

Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement en anglais :

The WHO Confirms that the Covid-19 PCR Test is Flawed: Estimates of “Positive Cases” are Meaningless. The Lockdown Has No Scientific Basis, le 19 mars 2021.

Version française par l’auteur, Michel Chossudovsky.


A consulter :

Livre électronique de Michel Chossudovsky intitulé: (Dix chapitres)

La crise mondiale du coronavirus de 2020 : Détruire la société civile, la dépression économique, le coup d’État mondial et la « grande réinitialisation »

Voir Michel Chossudovsky, Note biographique

Articles de Michel Chossudovsky (en français)


Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 2021
English
français

Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

20 janvier 2021Alerte de produit médical

Type de produit : Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

Date: 13 janvier 2021

Identifiant OMS : 2020/5, version 2

Public cible : Personnel de laboratoire et utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro (DIV).

Objetif de cet avis : Apporter des précisions aux informations précédemment transmises par l’OMS. Cet avis remplace la version 1 de l’avis de l’OMS à l’attention des utilisateurs de tests de diagnostic in vitro 2020/5, publiée le 14 décembre 2020.

Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions fournies dans le mode d’emploi lors de l’interprétation des résultats obtenus pour les échantillons analysés par la méthode PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.

La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques.

Conseils aux utilisateurs de DIV : 

  1. Veuillez lire attentivement le mode d’emploi dans son intégralité.
  2. Contactez votre représentant local si un élément quelconque du mode d’emploi vous paraît ambigu.
  3. Vérifiez le mode d’emploi de chaque lot entrant afin de repérer toute modification des instructions.
  4. Indiquez la valeur de Ct dans le rapport transmis au prestataire de soins ayant demandé l’analyse.

Personne à contacter pour toute information complémentaire :

Anita SANDS, Réglementation et préqualification, Organisation mondiale de la Santé, courriel : rapidalert@who.int

Références bibliographiques :

  1. Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2020, numéro de référence OMS : WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.2. Altman DG, Bland JM. Diagnostic tests
  2. Predictive values. BMJ. 1994 Jul 9;309(6947):102. doi: 10.1136/bmj.309.6947.102.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Vaccination Covid – L’illusion puis l’extorsion du consentement éclairé

Par Alain Tortosa

Les Français seraient soudainement devenus majoritairement favorables à la vaccination Anti-Covid ?
Je ne disserterai pas sur la réalité de cette affirmation étant donné que nous ne pourrons pas savoir si elle est mensongère ou pas.

Je vous rappelle que tout acte médical, d’autant plus pour un vaccin, doit donner lieu à un consentement libre et éclairé :

  • Libre de contraintes.
  • Éclairé sur la maladie et sa dangerosité.
  • Éclairé sur les traitements disponibles.
  • Éclairé sur l’innocuité du « vaccin ».
  • Éclairé sur l’objectif de cette thérapeutique.
  • Éclairé sur l’efficacité de la mesure face aux alternatives.
  • Éclairé sur le rapport bénéfice vs risque.

Examinons l’ensemble de ces points afin de déterminer si tout français dispose des informations nécessaires et suffisantes pour pouvoir donner un consentement libre et éclairé à sa vaccination.

–L’absence de contraintes.

Depuis plusieurs mois, médias, politiques, personnels médicaux médiatiques ne font que nous répéter que nous n’en sortirons que par le vaccin.

Nous entendons sans cesse que c’est le vaccin ou la prison.
Pour autant, il est dit aussi qu’une fois vaccinés, nous devrons continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières, alors qu’il nous est matraqué quasi 24h sur 24 que ces fameux « vaccins » sont « les instruments de la liberté ».

Ceci sans parler du fameux passeport vaccinal qu’il faudra sans doute appeler « passe sanitaire » afin de ne pas heurter les sensibilités.

Passeport vaccinal présenté aussi comme un « instrument de la liberté » !
La France s’apprête ainsi à mettre en place des dizaines de milliers de postes-frontière au sein du territoire et on ose parler de « liberté » ?!

Nous sommes donc ici dans une extorsion assumée du consentement.

«Tu es libre de ne pas te vacciner, mais tu seras plus ou moins assigné à résidence et interdit d’activités. »

Le terme « sanitaire » est employé pour nous tromper et nous laisser entendre que la vaccination ne sera pas rendue obligatoire.
Il sera théoriquement possible, dans un premier temps, d’autoriser les personnes dites « guéries » et les personnes avec un test PCR négatif récent à pouvoir aussi accéder à une vie sous surveillance. Ne nous leurrons pas, cela ne durera qu’un temps… Trop compliqué, trop sujet à faux documents…

Et d’autant plus que la doxa affirme que le vaccin ne peut être faillible.

Tout cluster dans une assemblée comportant des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées sera automatiquement « causé » par les non-vaccinés qui seront désignés comme les « coupables ».
Le « passe sanitaire » deviendra de fait obligatoirement un « passe vaccinal » qui sera par la suite logiquement étendu pour tous les vaccins existants, voire même au patrimoine génétique.

Une autre forme de suppression de la liberté de choix porte sur la surreprésentation de la dangerosité supposée du virus et de l’absence supposée de traitements efficaces ou d’alternatives. Donc dès lors que vous dites à une personne que sa vie est menacée par un virus, qu’il n’y a pas de traitements, que c’est le vaccin ou la roulette russe de la mort… je ne vois guère de liberté.

Ici encore tous les jours les médias nous disent « vous rigolerez moins quand vous serez en réanimation » à propos de personnes « coupables » de ne pas respecter gestes barrières et autres pattes de lapin liberticides.

Il n’y a aucune liberté de consentement.
Nous vivons une extorsion totale de consentement basée sur le chantage à la mort et le chantage aux libertés.

–Éclairage sur la maladie et sa dangerosité

Il va de soi que je dois être parfaitement informé de la dangerosité de la maladie afin de pouvoir jauger du rapport bénéfice versus risque et prendre la décision de me vacciner ou pas.
Il ne s’agit pas de connaître la gravité générale de la maladie, en l’occurrence du Covid, mais de la dangerosité du Covid ME concernant.

Ici encore médecins médiatiques et journalistes ne font que décrire un tableau d’une noirceur extrême.
Sans compter que les données de taux d’incidence, d’hospitalisations, de réanimations et de décès fournis par Santé Publique France ne sont pas seulement erronées, mais des FAUX comme j’ai pu longuement l’exposer et le prouver dans mes précédents textes !

À les écouter, quiconque peut se retrouver en réanimation et mourir de cette maladie, quel que soit son état de santé.
Les chiffres de mortalité officiels, environ 100 000 en France, sont totalement déconnectés de la réalité.
De très nombreuses personnes décédées positives ou avec soupçon de Covid ont été étiquetées Covid sous recommandations de l’OMS.
Le pourcentage de personnes décédées du Covid et non décédées AVEC le sars-cov2 est probablement de moins de 5 000 en France.
L’âge médian des décès ne fait que reculer depuis le début de la crise passant de 82 ans à 85 ans au fil des mois, prouvant par la même l’absence de rajeunissement significatif des décès malgré les variants.
Les décès chez les moins de 65 ans sans comorbidités sont inférieurs à 2 000 (98% des personnes décédées de moins de 65 ans ont des comorbidités lourdes), ce qui veut dire que d’un point de vue statistique le risque de mourir du Covid chez une personne en bonne santé est NUL et moindre que de mourir en tombant d’un escalier ou de s’étouffer en mangeant !

Ainsi 99,9% de la population française a survécu à ce « fléau » et selon l’INSEE la mortalité des moins de 70 ans a été moindre en 2020 qu’en 2019.
Cette maladie ne tue quasiment pas, elle se contente de diminuer l’espérance de vie de personnes très âgées et/ou avec des comorbidités très graves.

Afin de nous manipuler encore plus, le compteur de décès n’a pas été réinitialisé (généralement en novembre) comme cela se fait chaque année pour la grippe…

Enfin, si l’on se réfère au réseau Sentinelle, il est possible de constater que le nombre de décès en 2020 de maladies respiratoires aiguës (IRA) est quasi identique au nombre de décès d’IRA en 2 019. Mais en 2020 toutes les IRA (et même d’autres pathologies) ont été qualifiées de Covid quand bien même elles n’étaient pas causées par le Sars-cov2 !

D’autre part, comme je vais le développer dans la suite de mon texte, la gravité d’une maladie doit toujours être mise en balance avec les traitements disponibles, et dans ce domaine la tromperie a été et est encore grandiose.

L’éclairage sur la maladie et sa dangerosité est totalement noirci et mensonger !

–Éclairage sur les traitements disponibles

Scandale international à lui tout seul !
Rendez-vous compte que nous commençons seulement aujourd’hui à évoquer les traitements en France.

Au mois de mars 2020 et encore à ce jour, le traitement officiel du Covid était le paracétamol !

Il faut que le patient soit hospitalisé et à l’article de la mort pour commencer une prise en charge sérieuse.

Quand bien même les antibiotiques ne seraient pas la panacée face à un virus comme cela nous est répété depuis des années…
Il n’en demeure pas moins vrai que si vous êtes médecin, que vous êtes en mars 2020 face à un virus inconnu (entre parenthèses il n’est pas du tout inconnu au mois de mars, les études chinoises sont déjà publiées depuis le mois de février ainsi que l’efficacité de l’hydroxychloroquine), allez-vous, comme demandé par les autorités de santé, dire à votre patient de rester chez lui, de prendre du paracétamol, puis se rendre aux urgences si son état de santé se dégrade vrai ment ?!
Ou allez-vous faire simplement votre métier et lui proposer un traitement, probablement en premier lieu un antibiotique à large spectre ?!

Je ne reviendrai pas non plus sur l’absence totale de politique préventive pour les personnes à risque.
Sans compter sur le scandale de l’hydroxychloroquine, devenue mortelle du jour au lendemain après 70 ans d’existence alors même que plus de 20 000 Français en consomment tous les jours !
Et ne parlons pas du Remdesivir à la toxicité connue qui lui, a été adoubé par les agences européennes et la France puis commandé en masse.
Tandis que Didier Raoult était menacé par le conseil de l’ordre, Karine Lacombe, financée en partie par Gilead, recevait quant à elle la Légion d’honneur !

Vitamine D, zinc, Azytromicine, Ivermectine… sont ignorés ou mis au placard tandis que les anticorps monoclonaux qui eux aussi sont expérimentaux, dangereux, et hors de prix, sont officiellement présentés comme une lueur d’espoir.

Alors même que la maladie ou le décès sont intimement liés aux défenses immunitaires, non seulement nous vivons l’absence totale de campagne visant à booster celles-ci, non seulement rien n’est prévu pour les personnes à risque, mais qui plus est, la solution la plus préconisée a été l’enfermement des personnes les plus faibles, l’interdiction de respirer (hormis derrière un masque en plastique) et l’interdiction de faire du sport !

Mais quel imbécile lobotomisé par la peur ou corrompu pourrait penser que l’objectif du gouvernement est ou était notre santé ?!

L’éclairage sur la prévention et les traitements disponibles est totalement prohibé,
voire pénalisé, par les autorités de santé.

–Éclairage sur l’innocuité du vaccin

Ici encore l’information est indispensable pour déterminer le rapport bénéfice versus risque et donc de la nécessité de se faire vacciner.

Le matraquage médiatique est totalement criminel !

Dans la réalité, une phase III de mise au point d’un vaccin a pour objectif d’augmenter petit à petit, de monter en puissance, pour mesurer les effets secondaires.
Pour un vaccin classique, celle-ci dure entre 5 et 10 ans avant de passer à la phase IV de commercialisation.
Les autorités de santé se sont assises sur cette donnée sous prétexte que nous étions dans une « urgence mortelle ».
Rappelez-les vous que ce Sars-cov2 est censé terrasser n’importe qui et qu’il est censé n’y avoir aucun traitement selon les autorités.

L’AMM [Autorisation de Mise sur le Marché] conditionnelle des vaccins Anti-Covid était précisément conditionnée à l’absence de traitements disponibles.
Ne vous étonnez donc pas qu’il n’y ait pas eu et qu’il n’y ait jamais le moindre traitement officiel, car cela tuerait la poule aux œufs d’or et empêcherait la création du passeport vaccinal puis du crédit social.

Alors pour nous « rassurer », il nous a été asséné jour après jour que les milliards injectés (goutte d’eau dans l’océan des bénéfices de l’industrie pharmaceutique) permettaient de faire plus de tests et donc d’accroître rapidement le degré de sécurité.

Je suis probablement très bête, mais je ne vois pas comment l’argent peut permettre de s’acheter du temps et d’autant plus pour déterminer l’innocuité d’un médicament à long terme, à 5 ou 10 ans et même plus.

Qui peut me garantir l’absence de maladie auto-immune ou de cancer et autres modifications de mon patrimoine génétique dans 10 ou 20 ans aussi bien pour moi-même que pour ma descendance ?

Le plus extraordinaire est que l’on demande ce temps pour des vaccins classiques, mais que celui-ci ne serait pas important pour des thérapies géniques expérimentales à ARN messager comme le Pfizer BioNTech ou l’AstraZeneca qui est un vaccin expérimental OGM.

Certains se réjouissent de la mise au point de la vaccigénie BioNTech en moins d’un an, mais dans les faits, les premiers essais sur l’homme ont eu lieu fin avril 2020, soit un mois après le début de la collaboration entre Pfizer et BioNTech !

Rions un peu…
Je suis néanmoins « heureux » de constater que les vaccins auront permis le retour des décès en France et dans le monde d’autres pathologies que le Covid.
Alors même qu’une personne décédée, écrasée par un camion, pouvait être étiquetée Covid et qu’il n’y avait que des décès du Covid depuis des mois, voici que la vaccination provoque par miracle l’effet inverse !

Désormais, toute personne vaccinée qui décède ne peut que mourir de vieillesse ou de comorbidités parce que les « vaccins sont sûrs ».
Le décès d’un jeune homme de 24 ans en pleine santé récemment ne peut PAS être causé par le vaccin AstraZeneca !

«Ne doutons pas de la sécurité de ces produits mis au point et commercialisés dans des délais records, pour lesquels la plupart des verrous de sécurité façonnés au fil des années ont sauté » !

L’autorisation de mise sur le marché des vaccins Covid en France est issue directement de l’autorisation de mise sur le marché en Europe ce qui pourrait faire rire ou pleurer.

Et l’Europe s’est basée UNIQUEMENT sur les données fournies par les industriels alors même qu’elle aurait très bien pu étudier les effets et l’efficacité des vaccins parallèle ment aux fabricants !

Je ne résiste pas au « plaisir » de rappeler que Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.
Pour AstraZeneca, c’est 500 millions de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour avoir volontairement caché les effets secondaires d’un médicament qui augmentait les risques de diabète !
Et pour Johnson & Johnson c’est 8 milliards d’amende en 2019 pour avoir caché qu’un de ses médicaments pouvait faire pousser la poitrine chez les hommes !
Sanofi, 25 millions de dollars pour corruption en 2018 ! Je pourrais ainsi continuer pendant des pages !

Et il faudrait les croire lorsqu’ils affirment que les vaccins ne présentent pas de danger ??!!

Le dernier exemple d’effets secondaires avec le vaccin AstraZeneca pourrait faire sourire sinon grincer des dents.
Le « vaccin » pourrait engendrer des thromboses et des caillots de sang qui, mal situés, pourraient être mortels.
Plusieurs pays européens stoppent les vaccinations.
Après l’arrêt par l’Allemagne, la France a bien été obligée de suspendre aussi. Les médecins médiatiques crient alors à l’excès de prudence !!! Si, si !!!
Des enquêtes commencent à être menées sur les décès suspects et … deux jours après, alors même que les enquêtes sont encore en cours, l’agence européenne annonce que le vaccin ne présente aucun danger et que les vaccinations peuvent reprendre !
De qui se moque-t-on ?
C’est tout aussi ridicule que les annonces de Pfizer qui affirment l’efficacité de leur vaccigénie contre les variants avec quelques heures de recul.

En résumé toute personne qui se vaccine participe à un essai de phase III de produits commercialisés par des industries largement condamnées par le passé.

Il n’y a strictement aucun éclairage concernant l’innocuité des vaccins
aussi bien de la part des autorités sanitaires que des médecins médiatiques .

–Éclairage sur l’objectif de la thérapeutique vaccinale

Il est indispensable de savoir pourquoi se vacciner et les bénéfices attendus.
Les produits actuellement appelés « vaccins » contre le Covid, ne sont pas des vaccins, soit du fait de la technologie utilisée, soit parce qu’ils ne sont pas des vaccins au sens de « empêcher d’être malade » ou « bloquer la propagation d’un virus ».
Au point que pour Pfizer (et les autres aussi, il me semble), le blocage de la transmission du virus n’a même pas été évalué pour la mise sur le marché.

À la question « ces médicaments empêchent-ils de tomber malade ? » La réponse est non.
Au mieux, ils empêchent d’avoir une forme grave de Covid.
Cela peut éventuellement présenter un intérêt pour les profils qui font des formes graves, mais certainement pas pour les personnes en bonne santé dont le risque de faire une forme grave est quasi nul !
Plus grave encore, les vaccins contre le Covid mis au point pour les souches de l’année dernière engendreraient un risque d’anticorps facilitant.
De fait, les personnes vaccinées pourraient faire des formes plus graves que si elles ne l’étaient pas.

À la question « Ces médicaments bloquent-ils la propagation du virus ? »
La réponse est : Nous ne le savons pas et cela n’a pas été testé dans les études.
Un point qui tendrait à prouver l’inefficacité serait le nombre de personnes devenues positives au Covid alors qu’elles étaient vaccinées.
De plus, alors même que les essais sur l’homme ont débuté il y a plus de 10 mois, la réponse à cette question n’existe toujours pas !

Enfin, les vaccins favoriseraient les variants.
Les pays qui ont vu émerger le plus de variants semblent être les pays dans lesquels la vaccination a été la plus importante.
Ceci est totalement logique… les vaccins étant plus efficaces contre les premières souches, ils auront plus tendance à les bloquer que les mutations.
De fait, les personnes vaccinées auraient tendance à laisser plus passer les mutations, et ceci d’autant plus que ces produits ne bloqueraient pas les transmissions.
Phénomène qui a peu de chance de se produire avec les personnes immunisées naturellement pour lesquelles le système immunitaire a une bien plus grande flexibilité que le vaccin pour lutter contre les variants.

Il n’y a pas d’éclairage du public sur le fait que les vaccins n’empêchent pas de tomber malade, qu’ils empêchent peut-être de ne pas faire de formes graves pour les personnes qui n’en font pas, que les personnes à risque peuvent faire des formes plus graves qu’elles auraient eu et que les vaccins pourraient favoriser les mutations, raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pendant une épidémie, mais avant, et enfin que rien ne prouve qu’ils bloquent la transmission du virus.

– Éclairage sur l’efficacité supérieure des vaccins face aux alternatives

Il ne s’agit pas uniquement de connaître le rapport bénéfice versus risque de la vaccination, mais d’évaluer non seulement l’efficacité de la vaccination, mais aussi d’évaluer l’efficacité par rapport aux alternatives.
Je n’ai pas connaissance de la moindre étude sur l’évaluation de la vaccination et de son efficacité dans la lutte contre l’épidémie et la mortalité.
Et ce d’autant plus que la plupart des personnes décédées du Covid le seraient même sans le Covid.

D’autre part, les « spécialistes » nous disent qu’il faudrait atteindre 70% d’immunité vaccinale pour bloquer l’épidémie.
Mais c’est tout simplement mathématiquement IMPOSSIBLE !
En imaginant une efficacité du vaccin à 90% ce qui est totalement ridicule, et en vaccinant 80% de tous les Français dès la naissance, nous arriverions péniblement à 72% d’immunité vaccinale.

80% de personnes vaccinées est d’autant plus utopique du fait des irréductibles et des personnes qui ne peuvent pas être vaccinées pour raisons médicales.
Donc, laisser croire que l’on pourra parvenir à une immunité vaccinale de masse, et d’autant plus que les variants se succèdent et vont se succéder, relève d’une manipulation de la population et d’un mensonge d’État.

Ajoutons que le discours officiel en vient toujours à affirmer l’efficacité vaccinale versus… rien du tout.
À la base, nous voyons bien que des pays comme la Suède qui n’ont pas tué les droits de l’homme et l’économie n’ont pas eu plus de morts par habitant que les pays qui ont le plus confiné et mis en place une dictature, comme la France.
Preuve en est de l’efficacité de l’immunité naturelle de masse que l’OMS a bizarrement supprimé de ses sites depuis le mois de novembre.
Donc « rien » est déjà peut-être plus efficace que la vaccination.

Enfin, il faudrait pouvoir évaluer l’efficacité de la mesure vaccinale de masse, aussi bien en termes d’hospitalisation que de mortalité, versus une politique de prévention et de traitement des personnes à risque, aussi bien d’un point de vue préventif que curatif.

Les études (honnêtes) sur l’efficacité vaccinale contre le Covid ne verront probablement jamais le jour parce que cela irait totalement à l’encontre des intérêts de l’industrie pharmaceutique et aussi de tous celles et ceux qui visent à limiter de plus en plus les droits de l’homme.

Il n’y a aucun éclairage sur le fait que la stratégie vaccinale est peut-être,
voire probablement, totalement inefficace pour lutter contre le Covid,
et que cela n’a jamais été étudié, ni comparé à d’autres stratégies.

–Éclairage sur le rapport bénéfice vs risque

Celui-ci est la synthèse des questions posées précédemment.

  • Mes droits seront-ils les mêmes que les personnes non vaccinées ?
  • Quelle est ma probabilité d’attraper le Covid ?
  • Quel est mon risque de faire un Covid grave ?
  • Quels sont les traitements possibles préventifs ?
  • Quels sont les traitements possibles curatifs et leur efficacité ?
  • Quels sont les dangers à court terme du vaccin ?
  • Quels sont les risques à long terme du vaccin ?
  • Mon vaccin sera-t-il solidaire pour prévenir la transmission ?
  • Mon vaccin sera-t-il à risque de faciliter les variants ?

À la lumière de toutes ces données, du chantage au vaccin qui est constant.
À la lumière de l’absence totale d’informations objectives sur la maladie, ses dangers, ses traitements.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur l’efficacité vaccinale.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur les dangers des vaccins.

Je peux affirmer, sans risque d’erreurs, que personne sur la planète qui s’est fait vacciner n’a bénéficié des informations légitimes et d’un consentement libre et éclairé…

Merci

Alain Tortosa.

Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

Le 25 mars 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210325-extorsion-consentement-vaccination.pdf

Autres textes sur https://7milliards.fr




Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

Un jeune médecin nantais de 24 ans, victime expiatoire de la folie vaccinale. À 24 ans, zéro risque du covid-19, et le vaccin ne protège pas les autres. Alors pourquoi lui a-t-on fait courir ce risque ?

Avec l’analyse des données publiées, on apprend que l’EMA a accordé l’autorisation « conditionnelle » sur l’examen intérimaire d’essais phase 3 portant sur seulement 5 800 sujets vaccinés.

Ouest-France rapporte dans son édition du 23/3/2021 la triste histoire de ce jeune interne en médecine nantais de 24 ans, en parfaite santé, brutalement décédé d’une thrombose 10 jours après vaccination par AstraZeneca. Au-delà de la compassion que nous éprouvons pour les proches de cet étudiant qui ne pourra jamais être médecin, c’est la colère qui nous submerge.

Colère que nous inspire le refus des autorités de santé européennes et françaises d’interdire ce vaccin, au moins jusqu’à ce que des études indépendantes sérieuses prouvent que le vaccin est innocent.

Colère devant leur propagande réitérée « la balance avantage/risque est favorable » alors qu’à 24 ans le risque du covid-19 sévère est infime (inférieur à celui d’une grippe) et que dans le monde, les accidents post-vaccinaux graves et parfois mortels se multiplient chez les jeunes. AVANTAGES ZÉRO, risque non négligeable d’incidents et accidents parfois mortels et aucune protection des autres, l’argument compassionnel exclu.

Colère contre l’Agence européenne du médicament qui a autorisé la mise sur le marché « conditionnelle » d’un vaccin dont l’essai phase 3 ne sera pas terminé avant le 15 février 2023, d’après le site américain officiel « clinical trials.gov » et a autorisé la reprise de cette vaccination expérimentale en se fiant au simple plaidoyer de l’entreprise pour innocenter le vaccin tueur.

Après la révélation de thromboses post-vaccinales mortelles par l’agence sanitaire danoise, puis de nombreuses autres agences européennes (néerlandaise, norvégienne, allemande) entraînant la suspension temporaire de 48 h de l’utilisation du vaccin, l’EMA s’est contenté de prétendre « qu’il n’y avait pas de lien établi entre les cas de thrombose signalés et le vaccin, les troubles de la coagulation ne faisant pas partie des effets secondaires reconnus, mais qu’elle n’excluait pas un lien de causalité entre vaccin et thrombose » et a autorisé la reprise de la vaccination sans entreprendre, ni demander immédiatement d’étude sur la responsabilité du vaccin AstraZeneca. Cette triste histoire montre que l’agence européenne fait passer, comme d’habitude, l’intérêt des firmes pharmaceutiques devant la sécurité sanitaire des populations.

Attitude confortée le lendemain par celle de l’OMS qui, elle non plus, n’a pas jugé utile de réclamer une étude indépendante sur le problème. Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Mais plusieurs pays scandinaves maintiennent actuellement l’interdiction d’utilisation

D’autant que des chercheurs norvégiens et allemands ont démontré le lien de causalité et mis en évidence son mécanisme immunologique, expliquant le caractère tout à fait exceptionnel du type de thromboses rencontrées.

En France, la Haute Autorité de santé, comme l’Agence allemande du médicament, avait attiré l’attention sur l’inefficacité de ce vaccin chez les plus de 65 ans et déconseillé son usage dans ce groupe d’âge. Après la révélation récente des morts post-vaccin AstraZeneca par thromboses, la HAS a demandé que ce vaccin ne soit plus administré aux moins de 55 ans.

Malheureusement pour ce jeune homme, cette mesure de prudence a été prodiguée trop tard. Actuellement l’agence ne conseille plus la vaccination AstraZeneca que pour la tranche d’âge 55-65 ans. Espérons que cette tranche d’âge protège vraiment des complications de ce vaccin tueur.

Manifestement nos autorités font preuve d’une foi sans limites en ce vaccin, puisqu’elles ont même utilisé à Blois(([1] La Nouvelle République Covid-19 : des vaccins du lot AstraZeneca retiré en Autriche ont été injectés à Blois
Publié le 12/03/2021)) le lot banni d’Autriche après qu’il a été jugé responsable de deux complications graves dont la mort d’une infirmière.

Qu’en pensent les citoyens qui découvrent cette pratique ?

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Aux USA le vaccin n’est toujours pas autorisé à la vente, même sous conditions. Des dizaines de millions de doses de vaccins AstraZeneca restent bloqués comme réserve stratégique en attendant une éventuelle approbation par la FDA.

Le 22/3/2021 le laboratoire AstraZeneca avait défendu son vaccin, affirmant qu’il était efficace à 80 % contre le Covid chez les personnes âgées et n’augmentait pas le risque de caillots, après des essais cliniques de phase III menés aux États-Unis, avec 32 449 participants.

Mais un groupe de surveillance(([2] Rhys Blakely Des responsables américains se disent préoccupés par les données “incomplètes” sur le vaccin Oxford The Times 23 3 2021)) de l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID), qui supervise des essais cliniques de vaccins. a exprimé(([3] communiqué publié lundi 22 mars dans la soirée et apporté par Le Figaro)) sa « préoccupation » : AstraZeneca « a pu utiliser des informations obsolètes lors de cet essai », « ce qui peut avoir abouti à une estimation incomplète de l’efficacité » « Nous exhortons la compagnie à travailler avec le Data and safety monitoring board (DSMB, comité de suivi de l’essai), pour évaluer l’efficacité des données et s’assurer que les données les plus précises, les plus récentes et les plus efficaces possibles soient rendues publiques au plus vite ».

Le célèbre DR Fauci a déclaré mardi à « Good Morning America » d’ABC News que le vaccin Oxford-AstraZeneca était « probablement un très bon vaccin ». Cependant, a-t-il ajouté, le DSMB s’est inquiété du fait que les données contenues dans la déclaration publique d’AstraZeneca « étaient quelque peu dépassées et pourraient, en fait, être un peu trompeuses »(([4] Sam Meredith AstraZeneca a peut-être inclus des informations obsolètes dans l’essai du vaccin Covid, selon l’agence américaine de la santé MAR.23 MARS 2021)). Les actions d’AstraZeneca ont glissé de près de 1 % lors de la séance du 23 mars à Londres et ont baissé de 2 % dans les négociations de pré-commercialisation à New York.

Le 24/3/2021 20 heures, la recherche sur Google et PubMed montre qu’il n’existe toujours aucune publication de cet essai qui permettrait d’analyser les données alléguées dans le communiqué de presse d’AstraZeneca.

Situation en Europe au 24/3/2021 : les études avant AMM conditionnelle plus que légères ! De l’AMM ultralight

L’agence européenne l’EMA a osé autoriser la mise sur le marché d’un vaccin sur un simple rapport intérimaire(([5] Merryn Voysey  et al Safety and efficacy of the ChAdOx1 nCoV-19 vaccine(AZD1222) against SARS-CoV-2: an interim analysis of four randomised controlled trials in Brazil, South Africa, and the UK www.thelancet.com Vol 397 January 9, 2021)) de la sommation de deux études, l’une de phase 3 et l’autre de phase 2/3 incluant un nombre très insuffisant de sujets (7 548 dans l’essai phase 2/3  COV002 mené au Royaume-Uni et 4 088 dans l’essai phase 3 COV003 réalisé au Brésil), dont au total de ces deux essais seulement 5 800 vaccinés avec un recul médian totalement insuffisant (3-4 mois) et de plus entachées d’erreurs de dose.

La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.(([6] AstraZeneca avait reconnu que c’était par erreur qu’une demi-dose seulement avait été administrée à certains sujets de l’essai))La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.

La vaccination AstraZeneca réalisée actuellement à marche forcée représente en réalité un véritable essai vaccinal à grande échelle sur des citoyens mal informés et transformés à leur insu en cobayes.

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? Les citoyens sont-ils si compliants et aveugles ?

Dr Gérard Delépine





Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus

Par Jean

Communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire aux populations et aux politiques

De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.

Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it

Une Constitution universelle pour un État global, privatisé et financiarisé, sous les couleurs de l’Agenda 2030 de l’ONU

[Analyse de l’Agenda 2030 de l’ONU non expurgée par Liliane Held Khawam publiée le 25 septembre 2020, https://www.lilianeheldkhawam.com.]

Un jeu qui permet de prendre connaissance des transformations qui traversent notre monde
Fidèle à sa volonté de sensibiliser la population aux « objectifs de développement durable » (ODD) de l’ONU, l’association La Fonda vient de lancer « Faire ensemble 2030 », son nouveau jeu coopératif.
Il s’agit d’un outil ludique à visées pédagogiques fondé sur la résolution de défis en lien avec les ODD. L’idée consiste principalement à mettre en avant des solutions communes, des partenariats d’acteurs, dans l’esprit de l’ODD17 «  Partenariats pour la réalisation des objectifs »
Le Commissariat général au développement durable est heureux d’avoir été associé à l’élaboration de cet outil.

25 septembre 2015. Il y a tout juste 5 ans, le pape François ouvrait en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Un Programme majeur pour un Nouveau Monde

Ce programme jette les bases du Nouveau Monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution universelle. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme :

« Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable».

Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons. Pourtant, les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des Etats, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Une feuille de route pour TOUS les pays

« Le Programme de développement durable, [Agenda 2030] est un plan d’action pour l’humanité, la planète et la prospérité ». Cette première phrase du Préambule introduit un des programmes les plus déterminants du Nouveau Monde. La gestion de l’humanité et de la planète est associée à la prospérité.

Étrangement, bonheur et liberté sont présentés en tant que capacité à produire et à consommer suffisamment.

Faim, misère et désespoir doivent être combattus par la croissance du PIB des pays. 

Joseph Savès a appelé une vision économétrique du monde. Il rappelle que des régimes archaïques enrichis par de fortes rentrées liées à des particularités naturelles, telles que le pétrole, peuvent abriter des populations qui n’en bénéficient pas du tout. A l’inverse, des pays à faibles PIB comme l’Etat du Kérala en Inde du Sud, assurent à leurs populations une vie relativement équilibrée et saine.

Lecture indispensable pour comprendre les enjeux du Développement durable et sa portée sur le terrain :
https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/10/vers-un-nouveau-paradigme-de-structure-coronale-liliane-held-khawam/

Qu’est- ce que l’Agenda 2030?

Liste des 17 objectifs ODD composent et structurent le Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030

  1. Mettre fin à la pauvreté, sous toutes ses formes, partout,
  2. Éradiquer la faim, garantir la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition, promouvoir l’agriculture durable,
  3. Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies,
  4. Garantir une éducation de qualité, sans exclusion, équitable, avec possibilités d’apprentissage pour tous tout au long de la vie,
  5. Égalité des genres: parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles,
  6. Eau pure et hygiène: assurer la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour       tous,
  7. Garantir l’accès à une énergie abordable, fiable, durable, moderne, pour tous,
  8. Travail de qualité et économie: promouvoir une croissance économique soutenue, sans exclusion, viable, le plein emploi productif, un travail décent pour tous,
  9. Innovation et infrastructures de qualité : construire des infrastructures résilientes, promouvoir l’industrialisation, sans exclusion, et durable, et encourager l’innovation,
  10. Réduire les inégalités, au sein des pays et d’un pays à l’autre,
  11. Villes et communautés durables : faire des villes et des établissements humains des endroits sans exclusion, sûrs, résilients et durables,
  12. Consommation responsable: garantir des modèles durables de consommation et de production,
  13. Agir d’urgence contre le changement climatique et ses impacts,
  14. Océans durables: préserver et utiliser de manière durable les océans, mers et ressources marines pour     le développement durable,
  15. Exploitation du sol durable : protéger, restaurer et promouvoir une utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer les forêts de manière durable, lutter contre la désertification, stopper et remédier à la   dégradation des terres, et mettre fin à la perte de la biodiversité,
  16. Paix et justice : promouvoir des sociétés pacifiques, sans exclusion, dans le cadre du développement durable, permettre un accès à la justice pour tous, et mettre en place des institutions efficaces,      responsables, et sans exclusion, à tous les niveaux,
  17. Renforcer les moyens de mise en œuvre et revitaliser le partenariat mondial pour le développement durable

Visuel des 17 buts

https://www.are.admin.ch/are/fr/home/developpement-durable/cooperation-internationale/agenda2030/_jcr_content/par/image/image.imagespooler.jpg/1531215589689/1024.2000/sdg_poster.png

Le visuel a muté récemment en couronne (ou coronal), coronavirus oblige

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2020/09/dab07-sustainable_development_goals_tcm14-147225.jpg

Présentation stylisée par le Prince Charles et le World Economic Forum… (Article ici)

La globalisation de la Suisse actée par la présidente de la Suisse

Dans cette allocution de la présidente de la Suisse en faveur de l’Agenda 2030, nous retrouvons les mêmes arguments mis en avant par ses collègues du Conseil fédéral, soit la famine, la pauvreté, les conflits, les discriminations entre hommes et femmes, etc.

Ainsi, en 2018 déjà, son collègue Alain Berset avait appelé l’assemblée des Nations-Unies à une refonte de l’ordre mondial, qui est une invitation à remettre en question la planète définie par des Etats pour la voir comme un tout, une entité une et indivisible. Pourquoi? Pour mettre fin à la

M Berset invita l’assemblée à entrer dans le Nouveau Monde, que nous définissons comme globalisé, productif, soumis à la finance globale.

L’Agenda 2030 a été tricoté sur la base du Développement durable. Dans un rapport sur la mise en œuvre de l’Agenda 2030 par la Suisse, le Conseil fédéral écrit : 

« En Suisse, le développement durable est un objectif suprême de la Confédération et à ce titre, il est inscrit dans la Constitution fédérale. La réalisation de cet objectif passe par la promotion de la prospérité commune, de la cohésion interne et de la diversité culturelle du pays mais aussi par un engagement en faveur de la conservation durable des ressources naturelles et d’un ordre international juste et pacifique. À tous les niveaux, les autorités publiques doivent viser un juste équilibre, sur la durée, entre la capacité de régénération de l’environnement et son exploitation par l’humain. ».

Forts de ce qui précède, il ne faut pas s’étonner de retrouver une autre conseillère fédérale, Doris Leuthard, en juillet 2018 en train de remettre à l’ONU une sorte de reporting (compte-rendu) incroyablement détaillé sur la Suisse. (cf détail tout en bas)!

Les fidèles de l’Agenda 2030 récompensés par… (Vidéo ICI)

https://i.ytimg.com/vi/7nbYRFZsZ28/maxresdefault.jpg

L’insistance de la présidente suisse quant au rôle de l’OMS

Le discours de la présidente suisse met en avant le rôle central de l’OMS et sa volonté de la soutenir. La chose est d’autant plus étonnante que le monde entier est actuellement au courant de qui tient le pouvoir décisionnel de l’OMS. A relever au passage que l’actuel directeur n’est pas plus médecin (malgré son titre de docteur) que le financeur et donneur d’ordres.

https://www.who.int/images/default-source/funding/ac-and-vc-2018-2019.tmb-1920v.png?sfvrsn=823d03b4_1
On retrouve les Gates aussi bien au niveau de leur fondation que du GAVI.

L’objectif 3 de l’Agenda 2030

Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies (But 3)

Les cibles de l’objectif 3
3.1: D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes
3.2: D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances vivantes au plus
3.3: D’ici à 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose, au paludisme et aux maladies tropicales négligées et combattre l’hépatite, les maladies transmises par l’eau et autres maladies transmissibles
3.4: D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
3.5: Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psychoactives, notamment de stupéfiants et d’alcool
3.6: D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route
3.7: D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux
3.8: Faire en sorte que chacun bénéficie d’une assurance-santé, comprenant une protection contre les risques financiers et donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable
3.9: D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substances chimiques dangereuses et à la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
3.a: Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac

3.b: Appuyer la recherche et la mise au point de vaccins et de médicaments contre les maladies, transmissibles ou non, qui touchent principalement les habitants des pays en développement, donner accès, à un coût abordable, à des médicaments et vaccins essentiels, conformément à la Déclaration de Doha sur l’Accord sur les ADPIC et la santé publique, qui réaffirme le droit qu’ont les pays en développement, pour protéger la santé publique et, en particulier, assurer l’accès universel aux médicaments, de recourir pleinement aux dispositions de l’Accord sur les ADPIC qui ménagent une flexibilité à cet effet

3.c: Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement, notamment dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement
3.d: Renforcer les moyens dont disposent tous les pays, en particulier les pays en développement, en matière d’alerte rapide, de réduction des risques et de gestion des risques sanitaires nationaux et mondiaux

La Suisse derrière la création d’une fondation dédiée à l’OMS. Cadeau de 3 milliards

L’ex-chef de l’Office fédéral de la santé publique Thomas Zeltner a présenté à Genève la WHO Foundation, qui prévoit d’apporter à l’Organisation mondiale de la santé près de 3 milliards de francs d’ici à 2023. https://www.letemps.ch/monde/une-fondation-suisse-secours-financier-loms

Nul besoin de grands discours pour savoir qui va profiter de l’argent des Suisses menés bien malgré eux à l’abattoir de la faillite généralisée… Au nom du big reset exigé par les promoteurs de l’Agenda 2030!

Les liaisons dangereuses vont jusqu’à nous faire assister au versement par Gates de quelques millions à Swissmedic, l’autorité particulièrement indépendante, responsable de la mise sur le marché des vaccins et des médicaments. On soutient avec des milliards les visions hautement discutables de ces personnes privées, puis on accepte quelques petits millions.

Où commencent et où finissent les abus d’autorité et autre corruption?

Eh bien tout ceci est parfaitement illégal en démocratie, mais tout aussi parfaitement légal et exigé dans le monde de l’Agenda 2030.

https://www.20min.ch/story/swissmedic-erhaelt-millionen-von-bill-gates-280633837943

Bref, l’adhésion inconditionnelle à l’Agenda 2030 explique à elle seule le soutien inconditionnel à l’OMS ainsi que les pré-commandes à milliards d’un vaccin anti-Covid avant même d’en avoir vu les premiers effets positifs.

Nous marchons à pas forcés vers un Etat planétaire non seulement unifié, mais globalisé, où les milieux de la haute finance occupent une place de choix dans la cogouvernance de l’humanité, d’ores et déjà en place.

LHK


Remarques complémentaires

Avec la création d’une gouvernance mondiale la démocratie va disparaître, puisque c’est une élite autoproclamée qui va prendre d’autorité les décisions, comme le font actuellement Macron en France, Johnson en Grande-Bretagne, Trudeau au Canada, Draghi en Italie… et Ursula von der Leyen à la Commission européenne.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, les individus ne seront plus que des pions.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la soumission des citoyens et des peuples sera permanente.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la dictature sera actée et définitive.

Avec la volonté de créer une gouvernance mondiale des financiers et des technocrates sans aucune conscience montrent à tous leur profond mépris de l’humanité.

La crise sanitaire n’est donc qu’un prétexte pour déclencher la phase finale de leur complot contre les Peuples et les États.

À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre pour un esprit normalement constitué que se trame dans le dos de la population un gigantesque complot contre les Peuples et les États mené par la finance et ses complices. 

Cela ne peut pas être nié, puisque de ces manigances, les médias dominants aux ordres ne vous en ont jamais parlé.

Les synonymes de complot sont conspiration et intrigue. Il est bien évident que nous sommes en présence de personnes qui se croient au-dessus des lois et qui s’estiment intouchables.

La mafia

 Mafia (XIXe siècle), mot italien désignant une société secrète, issue du sicilien, mafia, « hardiesse, vantardise », d’origine obscure. Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.

Définition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

La mafia comme délit :

La création, en 1982, du « délit d’association mafieuse » répond à la nécessité de fixer un phénomène social ambigu, objet d’une approche tantôt culturaliste (la mafia comme façon d’être, expression archétypale de l’être sicilien), tantôt criminologique (la mafia comme association de malfaiteurs sans rapports permanents entre eux). Or nous avons vu comment la difficulté de prouver le caractère durable du lien mafieux et de démontrer la conscience des associés quant au projet criminel de leur association rendait caduques les tentatives judiciaires d’imputer aux mafieux un délit associatif, tel que prévu par le Code Pénal. La loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code Pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État. Juger la mafia — Deborah Puccio-DenJuger la mafia, Deborah Puccio-Den  

À ces délits, nous ajoutons la corruption.

Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les principes républicains et de tous les principes démocratiques veut se substituer aux États pour mettre en place un gouvernement mondial aux mains d’une élite autoproclamée.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »

David Rockefeller. Discours à la Commission Trilatérale, en juin 1991 à Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000.

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils représentent ma famille et moi comme des “internationalistes” ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée — un seul monde, si vous voulez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller, Mémoires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475.

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

David Rockefeller, All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order.– David Rockefeller, 1994, Dîner aux Nations Unies.

Conclusion

Cet Agenda 2030 de l’ONU est à mettre en relation avec plusieurs projets des mondialistes, la liste ci-dessous n’étant que très sommaire :

Banque européenne, Catherine Lagarde : 
https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html 

Commission européenne : 
https://www.touteleurope.eu/actualite/la-dette-publique-des-etats-de-l-union-europeenne.html
https://www.touteleurope.eu/actualite/margrethe-vestager-il-ne-s-agit-pas-de-reconstruire-le-monde-tel-qu-il-etait-avant-le-covid.html

Forum Économique Mondial, Klaus Schwab : 
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux – Nouveau Monde

Bill Gates :
https://reseauinternational.net/bill-gates-mecene-ou-arnaqueur/

Bonus :
https://nouveau-monde.ca/les-comploteurs-demasques-macron-cheval-de-troie-du-nouvel-ordre-mondial-et-de-la-finance/

Étant donné que dans les médias dominants, ces informations ne sont pas mises en relation, et que l’essentiel se trame en coulisses, caché aux yeux du grand public, nous voulons croire que la plupart des responsables politiques ne sont pas, eux aussi, au courant de ce plan machiavélique, élaboré par des suprématistes et qui signera l’arrêt de mort de la démocratie. Aussi nous demandons aux politiques, qu’ils soient maires, députés, sénateurs ou responsables de parti, de prendre leurs responsabilités sous peine de ne pas être réélus, et de se retrouver très prochainement à la rue…

Le signe de l’infamie



La bataille judiciaire bat son plein : référé contre les confinements et couvre-feux

Par Nicole Delépine

De multiples plaintes et procédures émanent de différents cabinets d’avocats, contre les masques, les contraventions abusives, les vaccins thérapies géniques, etc..(([1] En vert les quelques commentaires du rapporteur du texte pour les citoyens.))

Nous vous présentons aujourd’hui le très fouillé document de Maître Araujo fourni à la justice. Nous la remercions de ce lourd travail.


ASSIGNATION EN RÉFÉRÉ DEVANT LE PRÉSIDENT DU TRIBUNAL JUDICIAIRE DE PARIS

Le 8 mars 2021 présentée par Maître De Araujo, avocat au barreau de Paris

à la demande de l’association Action 21 France, l’association Wikijustice Julian Assange, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations et 1360 demandeurs personnes physiques – anonymat – assignation à laquelle nous nous sommes joints.(([2] l’association Action 21 France pour objet la défense de la liberté individuelle l’association wikijustice Julian Assange, pour objet la défense des droits de l’homme, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations pour objet le libre choix pour le médecin d’appliquer les méthodes préventives et curatives qu’il entend adopter et, avec l’accord du patient, le droit de les appliquer dans l’exercice de sa profession.))

J’AI, huissier soussigné, DONNÉ ASSIGNATION À : Ministère des Solidarités et de la Santé, représenté par le ministre, le Cabinet du Premier ministre, représenté par le Premier ministre, l’Agent judiciaire de l’État, domicilié au Ministère de l’Économie et des Finances.

À COMPARAÎTRE LE : … Devant le président du tribunal judiciaire de PARIS, tenant l’audience des référés, au palais de justice de PARIS

OBJET DE LA DEMANDE : RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE : quelques extraits libres en tant que plaignante, ci- dessous la totalité de la procédure, références et annexes dans le document intégral :

https://drive.google.com/drive/folders/1Rit6Wh6GYBUHtLPvuGg0F5JSv3bqJwAQ?usp=sharing

extraits libres :

« Malgré toute l’énergie déployée afin de mener à bien leurs projets personnels et professionnels, les demandeurs ont vu leur vie basculer radicalement à la suite des mesures dites de « confinement » et de « couvre-feu », prises au niveau national.

La liberté individuelle de chacun d’eux s’est vue entravée de manière drastique, ce qui a engendré de graves conséquences, tant au niveau de leurs liens sociaux, familiaux et professionnels qu’au niveau de leur santé psychologique et morale. »

Le 16 mars 2020, à la suite d’une coordination européenne le 17 mars 2020, le Premier ministre a présenté au Conseil d’État un projet de loi organique d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19.

 La loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence a  été adoptée dans le cadre d’une procédure accélérée.

En l’espace de quatre jours, les citoyens ont vu leurs libertés réduites à néant du fait l’adoption de deux nouveaux articles.

« Ce ne sont certainement pas les conditions dans lesquelles nous légiférons aujourd’hui, sur le fondement d’un texte connu seulement dans la soirée d’hier, qui permettront d’élaborer un dispositif d’exception pérenne et proportionné. » (([3] relève M. Alain Milon, président de la commission des affaires sociales, rapporteur, au Sénat, en séance du 19 mars 2020 ))

Aux termes du nouvel article L. 3131-12 du code de la santé publique (CSP) : « l’état d’urgence sanitaire peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ainsi que du territoire des collectivités régies par les articles 73 et 74 de la Constitution et de la Nouvelle-Calédonie en cas de catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population« .

Note de ND : ces mesures ont été particulièrement étonnantes sans rapport avec la réalité de l’épidémie, car le nombre de malades de ce début mars n’était guère supérieur aux épidémies de grippe habituelles, saturant l’hôpital public éventuellement comme chaque année depuis dix ans et les fermetures de lits accumulées. Les soignants manifestaient quelques semaines plutôt pour dénoncer leurs difficultés de travail et s’étaient d’ailleurs fait largement tabasser.

« Les mesures prescrites en application du présent article sont strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. ».

On verra dans les semaines et mois suivants la supercherie de ces affirmations.
La répression s’annonce forte (([4] Aux termes de l’article L3136-1 du Code de santé publique (modifié par Décret n°2021-172 du 17 février 2021 – art. 1) )) :

Le fait de ne pas respecter les réquisitions prévues est puni de six mois d’emprisonnement et de 10 000 € d’amende. La violation des autres interdictions ou obligations est punie de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.

Si les violations prévues sont verbalisées à plus de trois reprises dans un délai de trente jours, les faits sont punis de six mois d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende ainsi que de la peine complémentaire de travail d’intérêt général, et de la peine complémentaire de suspension, pour une durée de trois ans au plus, du permis de conduire lorsque l’infraction a été commise à l’aide d’un véhicule. (…).

Par dérogation aux dispositions de l’article L. 3131-13 du CSP, l’état d’urgence sanitaire a donc été déclaré pour une durée de deux mois à compter de l’entrée en vigueur de la loi du 23 mars 2020. À aucun moment les parlementaires n’ont été mis à même d’évaluer l’utilité, la proportionnalité et le caractère approprié des mesures d’interdiction de sortie du domicile.

MESURES D’INTERDICTION DE SORTIE DE DOMICILE DITES DE « CONFINEMENT » ET DE COUVRE-FEU

Le « confinement national » est une mesure d’interdiction de sortie du domicile concernant l’ensemble de la population.

Le Premier ministre le reconnaît devant le Sénat le 19 mars 2020 :

« Ces mesures sont massives, draconiennes ; jamais notre pays n’avait connu des mesures de restriction aussi générales et rigoureusessur l’ensemble de son territoire. » 

Au moment de la mise en place du premier « confinement », la loi ne prévoyait pas la possibilité de mettre en place une telle mesure d’interdiction de sortie des citoyens et cela n’avait d’ailleurs jamais existé de toute notre histoire.

[sauf lors de l’occupation par les nazis].

En effet, l’article L3131-1 du CSP alors en vigueur disposait que :

« En cas de menace sanitaire grave appelant des mesures d’urgence, notamment en cas de menace d’épidémie, le ministre chargé de la santé peut, par arrêté motivé, prescrire dans l’intérêt de la santé publique toute mesure proportionnée aux risques courus et appropriée aux circonstances de temps et de lieu afin de prévenir et de limiter les conséquences des menaces possibles sur la santé de la population. »

Or, par un décret n°2020-260 du 16 mars 2020, le Premier ministre décrète:

« Afin de prévenir la propagation du virus covid-19, est interdit jusqu’au 31 mars 2020 le déplacement de toute personne hors de son domicile à l’exception des déplacements pour les motifs suivants, dans le respect des mesures générales de prévention de la propagation du virus et en évitant tout regroupement de personnes »

Et vous avez tous connu la suite du second confinement!

Par un décret (([5] n° 2020-1310)) du 29 octobre 2020il a de nouveau été décidé que : (([6] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143)) Tout déplacement de personne hors de son lieu de résidence est interdit à l’exception des déplacements pour les motifs suivants, en évitant tout regroupement de personnes

La seconde période de confinement a été étendue jusqu’au 14 décembre 2020

Note ND : Et le 17 mars 2021, le gouvernement a à nouveau reconduit des mesures de confinement se rajoutant au couvre-feu imposé depuis décembre 2021 conformément aux injonctions sous forme de prévisions de Ferguson conseiller modalisateur de l’OMS et de la Grande- Bretagne.

Néanmoins ce nouveau confinement est hybride devant la colère des peuples montante partout dans le monde.

Par temps de paix, les demandeurs ont donc subi des mesures de confinement attentatoires à leur liberté individuelle :

du 17 mars 2020 au 11 mai 2020 (soit 1mois et 25jours), et

du 30 octobre 2020 au 14 décembre 2020 (soit 1mois et 17jours).

(note ND et Une troisième fois depuis cette date, couvre-feu puis confinement).

Par temps de paix, des mesures dites de « couvre-feu » ont été mises en place.
Le total cumulé des périodes confinement/couvre-feu correspond : période de plus de six mois étalés depuis le début de la crise.

Tout citoyen contrevenant à l’une des mesures dites « de confinement » ou de « couvre-feu » est passible d’une amende d’un montant de 135 euros en cas d’infraction, d’une amende de 1 500 euros en cas de récidive puis d’une peine d’emprisonnement, cette fois en milieu carcéral.

JUSTIFICATIONS INVOQUÉES À CES PRIVATIONS DE LIBERTÉ

Ces décrets seraient justifiés par les résultats des campagnes massives de dépistage du virus grâce à l’utilisation de tests RT-PCR non fiables, pourtant validés par des arrêtés signés par le ministre de la Santé (Annexe 1).

Ces mesures d’une extrême gravité et manifestement illégales, ont porté atteinte, et continuent de porter atteinte à la liberté individuelle des demandeurs, lesquels n’ont pourtant jamais représenté de danger (même sanitaire) pour la sécurité ou l’ordre public, ni menacé de commettre une infraction prévue par le Code pénal.

C’est pourquoi, dans cette situation d’extrême urgence, les demandeurs ont assigné les défendeurs en référé, aux fins de voir cesser la violation de leur liberté individuelle et aux fins de voir réparer leur préjudice moral découlant de cette violation.

EXPOSÉ DES MOYENS EN FAIT ET EN DROIT sur les demandes en référé

Les justifications citées par l’avocate reposent sur

la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen conquise en 1789 :
les actes du pouvoir exécutif ne peuvent être respectés par le peuple que si ces actes respectent eux-mêmes les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme.(([7] « Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. »))

Sur l’obligation de sagesse, de justice et de raison des lois :

« Les lois ne sont pas de purs actes de puissance ; ce sont des actes de sagesse, de justice et de raison. Le législateur exerce moins une autorité qu’un sacerdoce.
Il ne doit point perdre de vue que les lois sont faites pour les hommes, et non les hommes pour les lois ».(([8] Extrait du discours préliminaire sur le projet de Code civil de Jean-Etienne-Marie PORTALIS, présenté le 1er pluviôse an IX).))

Sur lobligation dune justice indépendante afin datteindre ou de conserver le statut d’« État de Droit »

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution »
Lorsque les droits de l’Homme sont bafoués, seule une justice indépendante fait alors office de rempart.

Depuis l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2001, de la loi du 30 juin 2000, la justice administrative s’est progressivement arrogé le pouvoir de juger de l’ensemble des atteintes aux droits fondamentaux.

Or, dans le cadre de la crise de Covid-19, constitue -t-elle véritablement une justice indépendante ?

Notre réponse à cette question sera la même que celle formulée par Anselme BATBIE

« Nous ne considérons pas comme une garantie vaine celle qui résulte de l’examen par le Conseil d’État. Mais il est difficile d’admettre que chez nous, après tout ce qui a été dit pour demander que nul ne soit distrait de ses juges naturels, nous en soyons arrivés à placer les droits les plus essentiels sous la protection d’un corps semi-politique et composé de membres révocables, qu’après avoir tant de fois entendu demander que le contentieux administratif fût restreint ou même supprimé, on mette sous la protection de cette justice tant attaquée autrefois les droits essentiels de l’homme vivant en société ».(([9] A. BATBIE, Traité théorique et pratique de droit public et administratif, 2e éd., 1885-1886, t. VII, p. 409 et s., cité par E. DESGRANGES, préc., p. 154, sénateur et auditeur au Conseil d’État en 1847))

Aujourd’hui en France, l’autorité judiciaire indépendante est la seule Gardienne Naturelle de nos Libertés et Droits fondamentaux. 

Les évènements récents exigent plus que jamais l’intervention du Juge Judiciaire indépendant afin que les atteintes aux libertés et le mépris des Droits de l’Homme dont fait preuve le pouvoir exécutif cessent immédiatement et soient sanctionnés.

L’existence d’une voie de fait emporte immédiatement compétence du juge judiciaire.(([10] (T. confl., 30 octobre 1947 : Rec. CE, p.511; JCP G 1947, II, 3966, note Fréjaville ; RD publ. 1948, p.86, note Waline; D. 1947, p.476, note P.L.J.).))

La seule constatation d’une voie de fait ouvre droit à réparation soit contre l’Administration soit contre le bénéficiaire de la voie de fait.

Depuis l’arrêt du Tribunal des conflits en date du 17 juin, il y a voie de fait de la part de l’administration dans la mesure où l’administration :

  • soit a procédé à l’exécution forcée, dans des conditions irrégulières, d’une décision, même régulière, portant atteinte à la liberté individuelle
  • soit a pris une décision qui a les mêmes effets d’atteinte à la liberté individuelle ou d’extinction d’un droit de propriété et qui est manifestement insusceptible d’être rattachée à un pouvoir appartenant à l’autorité administrative.

Le Conseil Constitutionnel a eu maintes fois l’occasion de le rappeler, toute mesure de procédure de nature à porter atteinte à la liberté individuelle doit être placée sous le contrôle de l’autorité judiciaire.

En cas de voie de fait, le juge judiciaire peut non seulement constater l’atteinte à la liberté individuelle commise par l’administration et en réparer les conséquences dommageables, mais aussi la faire cesser.

En l’espèce, le Premier ministre et le ministre de la Santé ont commis plusieurs voies de fait en prenant des actes manifestement insusceptibles de se rattacher à un pouvoir leur appartenant, portant ainsi atteinte à la liberté individuelle des demandeurs.

Il y a VOIE DE FAIT LORSQUE DES DÉCISIONS SONT MANIFESTEMENT INSUSCEPTIBLES D’ÊTRE RATTACHÉES À UN POUVOIR APPARTENANT À L’AUTORITÉ ADMINISTRATIVE

Par principe seule l’autorité judiciaire peut prendre des mesures limitatives ou privatives de liberté. L’Habeas Corpus à la française figure à l’article 66 de la Constitution du 4 octobre 1958.

L’Habeas corpusénonce la liberté fondamentale, selon laquelle personne ne peut être emprisonné sans jugement, contraire de l’arbitraire qui permet d’arrêter n’importe qui sans raison valable. Ildispose que :

« Nul ne peut être arbitrairement détenu. L’autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi. »

FONDEMENTS JURIDIQUES

L’article 7 contient la formule suivante :

« Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ».

-L’article 9 :

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».  

La Déclaration (([12] du 10 décembre 1948)) pose les principes :

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. »

« Toute personne a droit à la liberté et à la sûreté. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales (cf texte in extenso joint)

Toute personne victime d’une arrestation ou d’une détention dans des conditions contraires aux dispositions de cet article a droit à réparation. »

L’article 9 :

« Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu, ni exilé. »

  • le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (ONU, 16 décembre 1966) dispose :Tout individu victime d’arrestation ou de détention illégale a droit à réparation. »

BLOC CONSTITUTIONNEL NORME SUPRÊME ET HIÉRARCHIE DES NORMES

La hiérarchie des normes applicable en France place le bloc constitutionnel et le bloc conventionnel au-dessus du bloc législatif et du bloc réglementaire, le bloc constitutionnel étant la norme suprême.

Par conséquent, les normes rappelées ci-dessus sont de valeur supérieure à la loi récente n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence et aux articles L. 3131-12 et L. 3131-15 du CSP issus de cette loi et aux suivantes.

La loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 (([13] https://www.senat.fr/seances/s202003/s20200319/s20200319_mono.html#Niv1_SOM6)) prétendait s’inspirer de la loi du 3 avril 1955 relative à l’état d’urgence, elle s’en écarte largement. Ainsi le Parlement se voit empêché d’exercer un quelconque contrôle sur cette action, au mépris de l’article 24 de la Constitution du 4 octobre 1958 et le juge judiciaire est écarté en violation de l’article 66 de la Constitution.

En ce sens, la loi du 3 avril 1955 est beaucoup plus protectrice des droits des personnes.

Ce contrôle n’est pas prévu par la loi d’état d’urgence sanitaire.

Nous affirmons que le traitement des citoyens sous le régime de l’état d’urgence sanitaire est contraire à l’Habeas Corpus et aucun argument ne pourra venir contredire cette vérité.

En conclusion : Jusqu’à présent les régimes dérogatoires, limitatifs ou privatifs de la liberté individuelle, ont toujours prévu l’intervention du juge judiciaire, que ce soit dans le but de lutter contre le terrorisme ou que ce soit dans le domaine de la santé, conformément à notre État de Droit.

Ceci contrairement à l’article L3131-15 du CSP qui permettrait au Premier ministre et au ministre de la Santé d’interdire aux citoyens de sortir de leur domicile (il s’agit bien d’une mesure limitative ou privative de liberté), sans que cet article ne prévoie un contrôle, même a posteriori, de cette mesure par le juge judiciaire.

De même l’article L3136-1 du CSP nouvellement rédigé, prévoie des peines d’amende et d’emprisonnement conséquentes et de fait incontestables devant le juge judiciaire et apporte la précision suivante :

« L’application de sanctions pénales ne fait pas obstacle à l’exécution d’office, par l’autorité administrative, des mesures prescrites en application des articles L. 3131-1 et L. 3131-15 à L. 3131-17 du présent code. »

En effet, en dehors de la procédure d’urgence en référé-liberté et le recours pour excès de pouvoir devant le juge administratif, aucune voie de droit devant le juge judiciaire n’est prévue par ce dispositif aux fins de contestation des mesures d’interdiction de sortie de domicile.

CARACTÈRE INCONSTITUTIONNEL DE CES PRIVATIONS DE LIBERTÉ

Le Premier ministre et le ministre de la Santé ne pouvaient disposer d’un tel pouvoir d’interdiction de sortie du domicile à l’encontre des citoyens, sans qu’aucun contrôle du juge judiciaire ne soit prévu par l’article L. 3131-15 du code de la santé publique, lequel revêt de ce seul fait un caractère inconstitutionnel et entre en contradiction avec les conventions signées par la France.

Les décisions de confinement et de couvre-feu sont manifestement insusceptibles de se rattacher à un pouvoir de l’administration.

« Un tel dispositif devrait être supprimé purement et simplement du code de santé publique, car il entre en contradiction avec toutes les règles et les valeurs les plus fondamentales de notre démocratie. » Ce dispositif est une voie de fait en lui-même, oserais-je, dire un coup d’État à lui seul. 

Heureusement le bloc constitutionnel et les conventions signées par la France sont là pour rappeler qu’un tel dispositif ne saurait exister et perdurer en France, pays des droits de l’homme.

Si par extraordinaire, vous jugiez néanmoins que l’administration avait le pouvoir de prendre de telles décisions, manifestement et gravement attentatoires à la liberté individuelle des citoyens, nous démontrerons par ailleurs que l’administration a procédé à l’exécution forcée de ces décisions dans des conditions irrégulières.

VOIE DE FAIT LORSQUE L’ADMINISTRATION A PROCÉDÉ À L’EXÉCUTION FORCÉE, DANS DES CONDITIONS IRRÉGULIÈRES, D’UNE DÉCISION ADMINISTRATIVE MÊME RÉGULIÈRE

Les événements dans lesquels l’état d’urgence est justifié doivent non seulement être graves, mais aussi imprévisibles et intempestifs.

Or, on ne peut plus considérer aujourd’hui que l’épidémie de Covid-19 est un événement imprévisible et intempestif un an après le début de ladite épidémie. La Cour constitutionnelle de l’Équateur a annulé l’état d’urgence déclaré par le président de ce pays le 10 décembre 2020 en relevant justement que l’épidémie de Covid-19 n’était plus un événement imprévisible et intempestif.(([14] réunie en session plénière, dans une décision n°1217 en date du 27 décembre 2020, ►http://esacc.corteconstitucional.gob.ec/storage/api/v1/10_DWL_FL/e2NhcnBldGE6J3RyYW1pdGUnLCB1dWlkOicyYzM2ZDg1NC1iZDFjLTRkMWQtYjBkZS0xZGJjYWNmYjc3ZTcucGRmJ30=
https://q4kspolmx3an7phvn4omlnkwau–www-elcomercio-com.translate.goog/actualidad/corte-constitucional-decreto-excepcion.html))

La situation « gravissime » utilisée par le pouvoir depuis un an est une mascarade (ND)

En France, les mesures de confinement et de couvre-feu ont été prises afin de juguler le risque sanitaire, dit d’une particulière gravité par le gouvernement engendré par l’épidémie de Covid-19.

Or on évalue le degré de gravité d’une épidémie par le taux de mortalité, en ce qui concerne le Covid-19 très faible: 0,03 à 0,05%.Le taux de létalité est de 0,12 à 0,14% sans soins avec 2,6 comorbidités en moyenne et un âge médian de 83 ans.

« La COVID-19 a un taux de létalité réel similaire à celui de la grippe saisonnière » Pr John Ioannidis, 17 avril 2020).

Il n’y a donc aucune justification concernant ces mesures non seulement disproportionnées, mais aussi non scientifiques.Ces mesures attentatoires à la liberté individuelle ont été exécutées de manière forcée dans des conditions irrégulières.

LA MESURE D’INTERDICTION AUX PERSONNES DE SORTIR DE LEUR DOMICILE AURAIT DÛ ÊTRE JUSTIFIÉE :

Absence de publication du rapport du ministre et prise en compte aveugle des données OMS

Le ministre n’a pas su prendre en compte les observations rendues publiques à la suite de la « pandémie » H1N1 de 2009 ni s’interroger quant à la réalité de l’urgence sanitaire et sur le recul qu’il est nécessaire d’observer face aux recommandations de l’OMS.

Pourtant, des experts indépendants (sans lien d’intérêt avec les laboratoires pharmaceutiques) ont contesté à de nombreuses reprises les communications alarmantes de l’OMS. Des protocoles particuliers, dont le plan national de prévention et de lutte contre les pandémies, existent en France depuis 2004.(([15] Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul FLYNN en date du 7 juin 2010))

Il ressort clairement de ce rapport qu’aucun État membre à ce jour ne peut se fonder uniquement sur les recommandations de l’OMS pour déclarer l’État d’urgence sanitaire au niveau national, car la gouvernance de l’OMS ne présente à ce jour aucune assurance quant à ses réels objectifs, organisme majoritairement financé par des fonds privés provenant de sociétés ou fondations détenant des laboratoires pharmaceutiques. Information désormais de notoriété publique.

Le rapport de la Cour des comptes septembre 2010, intitulé « l’utilisation des fonds mobilisés pour la lutte contre la pandémie grippale A(H1N1)(([16] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-270-annexe.pdf)) rappelle :

« Le plan national de prévention et de lutte contre la pandémie grippale est le document stratégique réunissant sous une forme synthétique le fruit opérationnel des réflexions menées de façon interministérielle depuis 2004 et la première alerte pandémique mondiale. Il a pour vocation dorganiser la réponse des autorités en cas de pandémie grippale.

le plan « pandémie grippale » de l’OMS et le ministère de la Santé disposent par ailleurs de très nombreux conseils, comités et commissions quil peut consulter et saisir dans le cadre de leurs compétences.Or, durant la crise du Covid-19, ces experts et Comités n’ont pas été consultés à titre principal, un nouveau Conseil scientifique a été mis en place et le plan national de prévention et de lutte contre la pandémie semble avoir été écarté.

Le ministère sait donc pertinemment qu’une immunité croisée peut réduire le taux de létalité d’un virus, que le système hospitalier doit être en capacité d’offrir des soins de qualité, et que les traitements précoces ont un impact décisif.

Dans ce rapport, il n’est absolument pas question de mesure d’interdiction de sortie du domicile. Cette mesure n’est d’ailleurs jamais mentionnée et les plans d’urgence n’ont jamais prévu de telles mesures liberticides aux fins d’enrayer une épidémie.

  • Les citoyens n’ont pas accès à la documentation du Conseil scientifique

Par un avis n°20204259 du 10 décembre 2020, la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) reconnaît qu’il n’existe aucun enregistrement ou compte rendu des séances du Comité scientifique Covid-19 qui propose au gouvernement les mesures liées à la crise sanitaire. De même, aucune liste des experts sollicités n’est accessible, contrairement à ce que prévoient la loi et le règlement.

Les députés ont également demandé ces éléments puisqu’ils n’y ont pas accès en empêchant par là même le contrôle du Gouvernement.(([17] https://www.agnesthill.fr/2021/01/question-ecrite-n-35725-comptes-rendus-du-conseil-scientifique-covid-19/
Ainsi, une question écrite de Madame Agnès THILL, députée de l’Oise a été déposée le 26 janvier 2021 afin de réclamer les documents, qui ont fait l’objet de l’avis précité de la CADA))

Note ND :
TOUT EST OPAQUE ET LE GOUVERNEMENT N’A PAS SUIVI LES RECOMMANDATIONS INTERNATIONALES ET NATIONALES PAR CE QUE SA FEUILLE DE ROUTE EST AILLEURS ET SUIT RIGOUREUSEMENT COMME LA PLUPART DES PAYS OCCIDENTAUX LES DIRECTIVES DE L’OMS ET DU PLAN DAVOS
(([18] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont))

Dans la partie suivante, l’avocate explique que l’ensemble des mesures repose non pas sur une épidémie de malades, mais sur une épidémie de tests. Elle rejoint par-là les procédures internationales en cours, initiées par l’avocat allemand Reiner Fuellmich par un comité international dit corona créée en juillet 2020 à Berlin.

PANDÉMIE DE « TESTS POSITIFS »

D’après les arrêtés de validation pris par le ministre (Annexe 1), le test virologique PCR permettrait de savoir, au moment où on le réalise, si une personne est infectée par le coronavirus. CECI EST UNE SUPERCHERIE INTERNATIONALE.

De ce fait, nous assistons depuis plusieurs mois à des campagnes de dépistage par utilisation de PCR produisant une quantité importante de faux positifs (faux infectés/faux malades), de laquelle découle des mesures liberticides et mortifères, notamment les mesures de confinement et de couvre-feu, port du masque obligatoire, quarantaine, codes couleurs, interdiction de voyager, traçage, distanciation sociale (et maintenant, campagne matraquage pour la vaccination portant le rêve de passeport sanitaire et donc de coercition sans justification du peuple)

(Annexe 1).

« Un test PCR positif ne peut pas vous dire que vous êtes malade, car avec ce test, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui». (([19] Pourtant, l’inventeur du test PCR (créé en 1983), le Docteur Kary Mullis, lauréat du prix Nobel de chimie en 1993, a déclaré dans une interview))

Le drame est venu de la supercherie organisée par le conseiller de Me Merkel, C. Drosten qui a publié en urgence en janvier 2020 un papier sur le test PCR et en 48 h l’OMS a déclaré ce test valide et imposé dans le monde entier. La tromperie est largement démontrée depuis le printemps 2020, mais le pouvoir de l’OMS et affidés plus celui des médias appartenant aux milliardaires continue à l’imposer sous toutes ses formes jusque maintenant, alimentant la peur et la croyance au virus.

-Pourtant, l’étude scientifique du 27 septembre 2020 de 22 chercheurs démontre que ces travaux présentent dix erreurs majeures qui rendent les tests invalides pour le diagnostic d’infection par Sars-CoV-2.(([20] Review Report by an International Consortium of Scientists in Life Sciences (ICSLS) – Corman-Drosten et al., Eurosurveillance 2020: analyse indépendante « par les pairs » de l’article original de Drosten et Corman ,
https://cormandrostenreview.com/report/))

« L‘utilisation des tests PCR en tant que méthode de mesure des infections, n’est pas seulement un non-sens scientifique, mais a apparemment été délibérément conçue pour créer autant de faux positifs que possible (et paniquer ainsi le monde). »

Cette trop grande sensibilité du test RT-PCR est délétère et nous induit en erreur !

Les paramètres d’interprétation ont finalement été rappelés par l’OMS le 13 janvier 2021 mis à jour le 20 jan 2021 concernant les tests PCR : l’OMS reconnaît l’existence d’un grand nombre de faux résultats positifs liés notamment au seuil de cycle et par là même la non-fiabilité des tests RT-PCR. Elle reconnaît qu’il s’agit d’une aide au diagnostic, pas d’un diagnostic en tant que tel.

Manifestement, le gouvernement français actuel n’en tient AUCUN COMPTE

En conclusion, concernant l’épidémie de tests : nous réclamons l’arrêt de l’utilisation du nombre de cas « positifs » par tests PCR additionné au nombre de cas « positifs » par test antigénique issus de Contact Covid, afin d’alimenter la peur au sein de la population et tenter de justifier l’ensemble des mesures liberticides et notamment l’interdiction de sortie des citoyens de leur domicile.

Pour mémoire, d’après l’article 432-5 du Code pénal :

Le fait, par une personne visée à l’alinéa précédent ayant eu connaissance, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’une privation de liberté dont l’illégalité est alléguée, de s’abstenir volontairement soit de procéder aux vérifications nécessaires si elle en a le pouvoir, soit, dans le cas contraire, de transmettre la réclamation à une autorité compétente, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15000 euros d’amende lorsque la privation de liberté, reconnue illégale, s’est poursuivie. »

CHANGEMENT DU TAUX D’INCIDENCE OU DE PRESSION ÉPIDÉMIQUE AFIN DE LÉGITIMER L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE :

le taux d’incidence ou de pression épidémique (nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants, sur une période de sept jours) : le seuil épidémique pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux) depuis 1985 et jusqu’à 2018 (dernière année pour laquelle le réseau Sentinelles a publié un bilan annuel(([21] https://www.sentiweb.fr/document/4633)) a constamment été fixé entre 150 et 200 cas pour 100.000 habitants.

Jamais un seuil épidémique n’a été fixé à 50 cas pour 100 000 habitants, comme c’est le cas depuis mai 2020.Ce changement de seuil permet de manipuler l’opinion publique.

NOMBRE ARTIFICIEL DE DÉCÈS CAUSÉS PAR LE COVID-19 :

De nombreux témoignages (de médecins notamment remettent en cause les formulaires de déclaration de décès) : un grand nombre de personnes décédées d’accident ou d’autres maladies a été porté à tort au nombre des décédés de la maladie Covid-19.

Les tensions hospitalières et traitements sont récurrents depuis des années et ne justifient en rien le coronacircus actuel. Depuis décembre 2020, les « Réas » incluent Réas, Soins Intensifs & Unités de Surveillance Continue((22] https://dashboard.covid19.data.gouv.fr/vue-d-ensemble?location=FRA)) soit une capacité totale de près de 20.000 lits et non de 5.000 lits, comme l’indique le gouvernement relayé par les médias.

Les traitements disponibles et efficaces n’ont pas été conseillés pour soigner la maladie de Covid-19 (voire interdits) alors que bon nombre d’entre eux sont utilisés à travers le monde : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, Artemisia, vitamine D, zinc O2, aspirine… (plus de 300 études et plus de 3500 scientifiques font part de ces traitements et de leurs résultats)(([23] ​HCQ études scientifiques et résultats : https://hcqmeta.co
Ivermectine études scientifiques et résultats : https://c19ivermectin.com/)). Des antibiotiques à spectre large couplés à des corticoïdes sont également utilisés pour soigner, mais rien ne peut être dit publiquement (sous peine de sanctions par l’ordre des médecins).

La mesure d’interdiction aux personnes de sortir de leur domicile doit être proportionnée aux risques sanitaires encourus

MÊME LE CONSEIL SCIENTIFIQUE SE DÉDIT, MAIS NE PEUT PUBLIER QU’À L’ÉTRANGER. CURIEUX ?

Par une lettre publiée par The Lancet le 18 février 2021, certains membres du Conseil scientifique (Annexe 5) proclament : « La lutte contre l’évasion immunitaire nécessitera une réévaluation des stratégies de santé publique et la création d’un nouveau contrat social fondé sur des preuves.

Il est donc temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, basées sur un confinement généralisé, en apparence aléatoire, comme principale réponse à la pandémie. (…)

L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, et le pire est à venir en ce qui concerne les niveaux de chômage et de dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient peu menacées en termes de morbidité et de mortalité par l’infection par le SRAS-CoV-2. (…)

Bien qu’il soit attrayant pour de nombreux scientifiques et qu’il constitue une mesure par défaut pour les dirigeants politiques qui craignent d’être tenus pour légalement responsables de la lenteur ou de l’indécision des réponses nationales, son utilisation doit être revue, mais seulement en dernier recours. »

Constat accablant, les membres du Conseil scientifique reconnaissent que les mesures d’interdiction de sortie du domicile ne sont pas fondées, ont des conséquences dévastatrices et qu’elles n’ont été prises que pour couvrir les risques de mise en cause de la responsabilité juridique de nos dirigeants.

Constat confirmé par une étude de l’Université de Stanford en date du 12 janvier 2021(([24] Constat confirmé par une étude de l’Université de Stanford en date du 12 janvier 2021, en comparant les courbes épidémiques de huit pays ayant adopté des mesures autoritaires (fermeture d’entreprises, couvre-feu, confinement) avec celles de deux pays s’étant contentés de conseils à la population, il s’avère qu’il n’y a pas de résultats significativement différents dans les deux groupes)) « les décrets de confinement obligatoire à domicile et de fermeture d’entreprise ne semblent pas avoir eu d’avantages substantiels sur la croissance des cas dans les huit pays aux premiers stades de la pandémie. Des réductions similaires de la croissance des cas peuvent être réalisables avec des changements de comportement résultant d’interventions moins restrictives.

Près de 35 000 scientifiques et de praticiens de médecine ou de santé publique ont signé le 4 octobre 2020 la Déclaration de Great Barrington (États-Unis)(([25] https://gbdeclaration.org/la-declaration-de-great-barrington/ rédigée par trois chercheurs des universités Stanford, Oxford et Harvard)) qui affirme que:

« Les politiques actuelles de confinement et couvre-feu produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme ». Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice. 

Conserver ces mesures en attendant quun vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées. 

« Nous sommes de simples médecins, mais dès le 21 mars 2020 nous dénoncions dans une tribune le caractère non scientifique, médicalement stupide, socialement et économiquement désastreux dune telle mesure. Le 27 mars, nous récidivions espérant ainsi réveiller les réflexions dune population tétanisée par la peur créée par une propagande dune intensité jusque-là inégalée en France. En vain.

L’expérience marseillaise de l’an 1720:

Nous rappelions que le confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants) navait jamais fait la preuve de son efficacité dans le monde réel et quenfermer ensemble malades et bien portants avait un grand risque daccélérer les contagions.

Cela avait été démontré lors de la grande peste de Marseille de 1720 où le confinement militaire strict avait abouti à la mort de la moitié de la population de la cité, sans empêcher la propagation de l’épidémie à la Provence et à l’Italie. La comparaison, d’après les chiffres de lOMS, des évolutions de l’épidémie en Belgique confinée et aux Pays-Bas non confinés a malheureusement confirmé nos craintes. »

Nous relevons effectivement que le confinement participe à l’augmentation inquiétante des suicides et des maladies mentales. En effet, des médecins psychiatres constatent que les mesures de confinement sont nocives pour la population et que ces mesures privatives de liberté causent de réelles atteintes à la dignité et à l’intégrité physique, psychique et morale de chaque citoyen, d’autant plus si les interventions médiatiques des autorités administratives contribuent à engendrer un climat de peur et de terreur.

Des études scientifiques vont également dans le sens d’une corrélation entre les mesures de confinement et l’apparition de maladies mentales, notamment chez les jeunes individus (prévalence de la dépression et de l’anxiété).(([28] Association of Home Quarantine and Mental Health Among Teenagers in Wuhan, China, During the COVID-19 Pandemic
https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/2775249?guestAccessKey=04af0d22-d94d-435d-8c8e-afb5ad0de5a7&utm_source=silverchair&utm_medium=email&utm_campaign=article_alert-jamapediatrics&utm_content=olf&utm_term=011921))

« Nos gouvernants et nos parlementaires, du fait de leur pouvoir et leur influence, vont inciter toute une population à faire un geste dont l’intérêt n’est pas démontré et dont les conséquences ne sont pas mesurées, et se présenter ainsi en sauveurs.

Cela évoque les techniques sectaires et les suicides collectifs. Pour échapper à la fin du monde ou aux extra-terrestres -ici au virus mortel-, le sacrifice est présenté comme salvateur. La réalité ensevelie sous les messages quotidiens discordants, culpabilisants, a laissé la place au délire dans lequel les liens logiques se dissolvent.

Les sectes se servent de ces moyens : isoler les individus en les coupant de leurs liens sociaux et familiaux, rendre les gens dépendants en les privant de leurs moyens de subsistance, propager un discours univoque martelé dans des grand-messes permanentes, évincer toute pensée divergente, présenter les opposants comme des nuisibles qui ne comprennent ni leur propre intérêt ni l’intérêt commun supérieur. « Nous contre les autres » est généralement la doctrine simple compréhensible par chacun, car simpliste, et hélas adoptée.

Le cap est franchi. (…) Maintenant que les lignes de partage qui clivent la population se précisent, ce gouvernement na plus la possibilité de revenir à des positions plus raisonnables et proportionnées.

Les mesures de distanciation resteront la règle. Signe supplémentaire de la supercherie, les hommes qui murmurent à l’oreille des virus prédisent déjà les vagues à venir et leurs dates dapparition. Toute science a vraiment déserté nos sociétés. Les réseaux sociaux, « complotistes », ont donné des dates de confinement bien avant leur annonce officielle, montrant ainsi que toute préoccupation sanitaire était absente des décisions officielles.

Les conséquences humaines sont terribles. Tout lieu de convivialité a disparu, les gens sont plus isolés que jamais, ils souffrent de mesures iniques imposées par une poignée de dirigeants, sans aucune concertation, sous couvert dassurer leur salut. Ce qui fait lhumain, sa capacité à tisser des liens, son besoin dentrer en contact avec lautre est menacé. Le tissu social sest dissout dans les mesures imposées par un régime devenu fou, hors de contrôle, déroulant une feuille de route établie de longue date en dépit de toute considération du réel. »

Une étude chinoise publiée le 20 novembre 2020, faite à Wuhan sur la base de 10 millions de personnes (représentant 94,1% de la population de Wuhan – méta-analyse), a démontré que les personnes asymptomatiques ne sont pas contaminantes: la pratique généralisée des tests PCR au sein d’une population est donc parfaitement inutile.(([29] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020):
https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w))

Dans la mesure où seuls les malades symptomatiques sont contagieux, comme le prouve cette très large étude portant sur 10 millions de Chinois,il n’existeAUCUNE RAISON de confiner la population saine. Il suffit d’isoler les personnes véritablement malades.

LA JURISPRUDENCE INTERNATIONALE

La Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine (([30] https://reseauinternational.net/cour-constitutionnelle-de-bosnie-herzegovine-la-mesure-de-restriction-de-mouvement-et-de-port-de-masques-est-une-violation-des-droits-humains-fondamentaux-affaire-ap-3683-20/ Par une décision du 22 décembre 2020, la 120e session ordinaire du Grand Conseil (Affaire AP-3683/20)
http://www.ustavnisud.ba/dokumenti/_bs/AP-3683-20-1262390.pdf)) a déclaré que les décisions de la cellule de crise sur l’interdiction de circuler et le port obligatoire de masques de protection sont « une ingérence dans les libertés et droits fondamentaux de l’homme garantis par la Constitution de la Bosnie-Herzégovine et la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme».

La Cour de Rome (Italie) (([31] https://cv19.fr/2020/12/26/italie-la-cour-de-rome-declare-que-les-decrets-ministeriels-anti-coronavirus-sont-illegitimes-les-libertes-et-les-droits-constitutionnels-violes/ section civile 6, dans l’ordonnance n. 45986/2020 R.G. du 16 décembre 2020
https://ia801802.us.archive.org/7/items/ordonnance-45986-2020-du-tribunal-de-rome/Ordonnance%2045986-2020%20du%20tribunal%20de%20Rome.pdf)) déclare que les décrets ministériels anti-coronavirus sont illégitimes et les droits constitutionnels violés.

Une décision du Tribunal de Weimar (Allemagne)(([32] https://openjur.de/u/2316798.html en date du 11 janvier 2021, n° 6 OWi – 523 Js 202518/20)),selon laquelle en imposant une mesure de confinement strict, le gouvernement régional a violé la dignité humaine garantie comme étant un droit fondamental inviolable par la loi allemande, que de ce fait cette mesure est inconstitutionnelle.

Ledit Tribunal a observé que le confinement était « une décision politique catastrophique et erronée, avec des conséquences dramatiques dans tous les domaines de la vie des citoyens » les qualifiant par là même d’attaque disproportionnée contre les fondements de la société.

Le Tribunal de Mannheim (Allemagne)(([33] https://www.badische-zeitung.de/suedwest-1/gericht-kippt-naechtliche-ausgangssperre-in-baden-wuerttemberg)) a jugé le couvre-feu illégal(([34] https://www.stuttgarter-zeitung.de/inhalt.urteil-zu-corona-massnahme-gericht-hebt-naechtliche-ausgangssperre-in-baden-wuerttemberg-auf.c11554f0-3671-43b0-89d9-d4422f5ef84b.html décision sans appel en date du 8 février 2021.)).

La Cour de La Haye (Pays-Bas)(([35] https://uitspraken.rechtspraak.nl/inziendocument?id=ECLI:NL:RBDHA’2021’1100 décision en date du 16 février 2021 (C/09/607056 / KG ZA 21-118).)) a jugé le couvre-feu illégal et observé qu’avant d’introduire une restriction de grande envergure telle qu’un couvre-feu, il doit être clair qu’il n’existe pas d’autres mesures de moindre envergure et que l’introduction du couvre-feu aura effectivement un effet substantiel.

Ces décisions émanant de différents pays d’Europe démontrent que les magistrats en charge de ces affaires font le même constat concernant l’inutilité des mesures de confinement et de couvre-feu et de leur nocivité.

CONCLUSION DE L’ASSIGNATION EN RÉFÉRÉ DU MINISTRE DE LA SANTÉ ET DU PREMIER MINISTRE

Le confinement et le couvre-feu n’entraînent ni réduction des taux de transmission de la maladie Covid-19, ni réduction du nombre des décès.

Seuls les individus présentant les symptômes (donc « malades ») doivent être soignés avec l’un des traitements disponibles et éventuellement isolés à la suite du diagnostic d’un médecin, seule habilité à prendre des décisions d’ordre médical pour chacun des patients visés.

Le confinement et le couvre-feu sont des mesures politiques disproportionnées et dramatiques, qui n’ont pas fait l’objet d’une évaluation empirique préalable de la part du pouvoir exécutif et qui ne sont pas recommandées lorsque d’autres solutions sont disponibles suivant une majorité d’études scientifiques.

En revanche, il est démontré que ces mesures portent une atteinte grave à la liberté individuelle des citoyens, à la dignité humaine et plus généralement aux intérêts fondamentaux de la Nation.

Des professionnels de santé du collectif international United Health Professionals(([36] Plus de 1,500 membres (y compris des professeurs de médecine, d’anesthésistes-réanimateurs et des infectiologues) de différents pays d’Europe, d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’Océanie ont adressé un courrier le 12 février 2021 au président de la France, au Premier ministre et au ministre de la Santé dont voici un extrait (Annexe 7) et adressé à des chefs d’État des cinq continents.)) ont interpellé les chefs d’État du monde entier.

« Levez toutes les restrictions.Ces mesures tyranniques violent la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et la Convention Internationale des Droits de l’Enfant de l’UNICEF.

« Lorsque l’État sait le mieux et viole les droits de l’homme, nous sommes sur une voie dangereuse. La pandémie a conduit à la violation des droits fondamentaux de l’homme…Il n’y a pas eu la moindre analyse éthique pour savoir si c’était justifié. Ça ne l’est pas » (Pr Peter Gøtzsche, 4 décembre 2020). (…) »

Pour l’ensemble des raisons exposées ci-dessus, nous affirmons que le Premier ministre et le ministre chargé de la santé ont donc bel et bien de manière évidente procédé à l’exécution forcée de décisions administratives dans des conditions irrégulières, portant ainsi manifestement atteinte à la liberté individuelle des demandeurs.

En outre, étant donné que la qualification de catastrophe sanitaire n’est absolument pas démontrée ni justifiée par le pouvoir exécutif, le droit commun s’applique.

Ces mesures d’interdiction de sortie du domicile sans justification sanitaire sont qualifiables en réalité de mesures d’assignation à résidence, pour reprendre les termes communément applicables en droit pénal, car il ne s’agit pas d’autre chose.

Ces mesures d’interdiction de sortie du domicile/d’assignation à résidence ont été prises à l’encontre de l’ensemble de la population, de manière générale, arbitraire et sans discernement, alors que la Constitution et les traités internationaux requièrent la prise en considération des agissements des individus et le recours au juge judiciaire.

En effet, aucune autorité administrative ne peut décider de priver de liberté individuelle l’ensemble de la population sur la seule basede données informatisées, correspondant à un certain nombre de tests RT-PCR positifs non fiables, lesquels ne permettent pas de diagnostiquer une infection ou une maladie, d’un nombre de décès douteux et imprécis, puisqu’il est impossible aujourd’hui de connaître le nombre exact de personnes décédées de la maladie Covid-19 et non pas « avec le Covid-19 »

Le bloc constitutionnel et le bloc conventionnel n’ont jamais donné un tel pouvoir aux autorités administratives. Ces voies de fait ont manifestement porté atteinte à la liberté individuelle des demandeurs et par là même à leur dignité et à l’intégrité physique, psychique et morale de chacun.

Nous demandons donc la cessation immédiate de ces mesures attentatoires à la liberté individuelle et nous demandons réparation(([37] Pour mémoire, d’après l’article 432-4 du Code pénal :
« Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, agissant dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ou de sa mission, d’ordonner ou d’accomplir arbitrairement un acte attentatoire à la liberté individuelle est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende.
Lorsque l’acte attentatoire consiste en une détention ou une rétention d’une durée de plus de sept jours, la peine est portée à trente ans de réclusion criminelle et à 450000 euros d’amende. »)).

Sur les dommages-intérêts provisionnels

Il y a urgence à faire cesser et à réparer le trouble particulièrement grave que génère ces voies de fait, lesquelsont porté atteinte et continueront de porter atteinte àla liberté individuelle des demandeurs.Le principe de ce préjudice étant acquis, chacun des demandeurs est bien fondé à solliciter à ce titre la somme de 25 000 euros à titre de provision sur dommages-intérêts.

Le préjudice lié aux voies de fait sera réparé par la condamnation du ministère de la Santé et de l’État. À titre subsidiaire, et vu l’urgence, s’il était jugé que l’une de ces demandes dépassait les pouvoirs du juge des référés, il sera demandé de faire application de l’article 837 du code de procédure civile et de renvoyer à une audience au fond, à bref délai.

PAR CES MOTIFS (([38] Vu l’article 66 de la Constitution, le Préambule et les articles 3, 5 et 9 de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, l’article 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’O.N.U. du 16 décembre 1966, les articles 834, 835, 836, 837 du Code de procédure civile, les moyens qui précèdent et les pièces versées aux débats.))

Il est demandé à Monsieur le Président du Tribunal judiciaire de PARIS statuant en référé, pour les causes et raisons sus-énoncées, de :

  1. RECEVOIR l’intégralité des moyens et prétentions des demandeurs en constatant l’existence de voies de fait commises par le Premier ministre et le ministre de la Santé.
  2. ORDONNERla cessation de toute mesure d’interdiction de sortie du domicile dites « de confinement » ou de « couvre-feu ».
  3. ORDONNER la cessation de l’utilisation du nombre de cas « positifs » aux tests RT-PCR ou antigéniques à des fins de justification de mesures liberticides.
  4. CONDAMNER le Ministère de la Santé, le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État à payer à chacun des demandeurs la somme de 25 000 euros à titre de dommages-intérêts provisionnels.
  5. CONDAMNER le Ministère de la Santé,le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État à payer aux demandeurs la somme de 2 000 euros au titre des frais irrépétibles par application des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile.
  6. SUBSIDIAIREMENT et vu l’urgence, faire application de l’article 837 du code de procédure civile et renvoyer le cas échéant à une audience au fond, à bref délai.
  7. CONDAMNER le Ministère de la Santé,le Cabinet du Premier ministre et l’Agent judiciaire de l’État aux dépens par application des dispositions de l’article 695 du code de procédure civile.

Me Virginie DE ARAUJO-RECCHIA , Avocat à la Cour