L’OMS révèle enfin ses techniques de manipulation des masses pour faire accepter le vaccin

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Nous sommes nombreux à nous être demandé par quelles techniques de manipulation des masses la caste était parvenue à faire admettre la vaccination quasiment obligatoire contre le COVID. Progressivement, le voile se lève sur ce mystère, au fur et à mesure, notamment, des publications de l’OMS. Celle-ci, publiée par la direction régionale en Europe, intitulée « Recherche qualitative rapide pour améliorer le consentement à la vaccination contre le COVID-91 », en dit long sur les techniques de manipulation de masse, et sur la gestion du dispositif partout en Europe. Entre nous, voilà qui sent le Mc Kinsey.


WHO-EURO-2022-4724-44487-62944-eng.pdf from Société Tripalio

Il faut lire ce guide pratique de l’OMS Europe pour faire accepter la vaccination contre le COVID. On y découvre les fondements de manipulation que la caste utilise pour diffuser ses produits avec le moins de résistance possible. 

On peut d’ailleurs s’étonner, de prime abord, de voir que l’OMS ne s’occupe pas seulement de santé, mais aussi de communication sur la santé auprès des foules, et qu’elle s’occupe de développer, à l’intention des pouvoirs publics, des outils aussi “politiques”. 

L’OMS et la manipulation des masses

Ce document est donc présenté de la façon suivante (c’est la traduction de son résumé) : 

Cet outil qualitatif fournit des conseils étape par étape sur la façon de  concevoir et de mener une analyse qualitative rapide effectuer des recherches auprès de différents groupes cibles pour comprendre leurs obstacles et leurs moteurs à la vaccination contre la COVID-19. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour éclairer le développement d’interventions adaptées à la cible groupes pour une vaccination réussie contre la COVID-19. Alors que le document se concentre sur la vaccination COVID-19 l’approche rapide décrite peut être utilisée pour n’importe quel programme de vaccination.

On comprend que ce document sert aux “interventions adaptées à la cible groupes”, c’est-à-dire à la communication de masse auprès des gens qui ne veulent pas être vaccinés. 

Concrètement, le guide de l’OMS explique aux acteurs de la santé publique en Europe comment s’y prendre pour “traiter” la réticence à être vacciné. 

Et le chemin proposé ne manque pas d’intérêt. 

L’OMS et la fin de la souveraineté

Le guide de l’OMS commence par le commencement, et prend la main des gouvernants en leur expliquant le b.a.-ba du groupe de travail qu’ils doivent monter pour piloter leur opération de vaccination. 

Le guide précise la composition des groupes de travail :

Autrement dit, la lutte contre les sceptiques inclut forcément le ministère local de la Santé et l’OMS. Il serait intéressant de savoir si Olivier Véran a suivi ces préconisations dans l’orchestration de la statégie vaccinale française. 

Identifier les réticences

L’OMS préconise ensuite de définir des groupes cibles dont il faut choisir quelques échantillons “qualitatifs” pour comprendre leurs réticences à se faire vacciner. Sur ce point, l’OMS donne quelques exemples qui nous rappellent forcément quelque chose :

Voici des exemples “au hasard” présents par l’OMS : choisir des travailleurs de la santé qui vont subir la vaccination, ou des “civils” ordinaires pour comprendre ce qui les bloque dans la vaccination. 

L’OMS propose d’organiser, avec ces échantillons, des groupes de discussions pour identifier les réticences. Le guide détaille même le canevas des réunions, et quels thèmes, quelles questions aborder. 

Il faut comprendre qu’on a ici affaire avec un travail de consultant professionnel, qui ne laisse rien au hasard, et qui industrialise sa démarche de consultation. 

Tout est passé au crible, y compris cette question : “comment vos collègues perçoivent-ils les vaccins ?”, dont on comprend qu’ils sèment la graine de la délation et du flicage généralisé des services en mode endoctrinement à la chinoise. 

La mécanique est si effrayante que l’OMS recommande d’obtenir l’approbation d’un comité éthique indépendant. Là encore, on aimrait savoir comment la bureaucratie de la santé a mis ces préconisations en pratique en France. 

Petit traité de la manipulation des masses

Mais que faire de la masse d’informations recueillies à l’occasion de ces “enquêtes qualitatives” ? Une matrice de décisions à la Mc Kinsey, bien entendu. 

En l’espèce, voici à quoi elle ressemble :

Comme on le voit, l’OMS identifie les situations qui posent problèmes, les motifs de réticence, et propose des solutions “automatiques”. Il s’agit en quelque sorte d’un outil d’aide à la décision. 

On retiendra ici quelques clés qui permettent, me semble-t-il, de comprendre ce qui s’est passé en France avec l’arrivée du vaccin. 

Ainsi :

  • l’attitude de réticence peut se combattre par la persuasion (le gouvernement pousse à se faire vacciner en “induisant des sentiments positifs ou négatifs”), par l’incitation (en créant une récompense pour les vaccinés), par la restructuration environnementale (changer le contexte social ou physique, expression pudique qui signifie, à terme, une “mise en quarantaine”), par le remodelage (proposer des héros à imiter). 
  • la réticence due à un soutien collectif peut se combattre par la restriction (l’instauration de règles pour limiter ce refus, on reconnaît ici la passe sanitaire ou le passe vaccinal).

 Autrement dit, la matrice de l’OMS a d’ores et déjà théorisé toutes les mesures liberticides mises en oeuvre par le gouvernement, mais aussi celles qui nous pendent au nez comme le “changement de contexte physique” qui ressemble beaucoup à la mise à l’écart, voire à l’isolement, des non-vaccinés. 

Mc Kinsey en sous-main ?

L’intérêt de ce guide est de montrer que l’OMS n’est pas seulement une organisation supra-nationale qui coordonne les campagnes locales sans vraiment les connaître. L’OMS est beaucoup plus intrusive et beaucoup plus normative. Elle intervient directement sur le terrain, y compris en Europe, et encadre effectivement, localement, autoritairement, les campagnes de santé publique qu’elle promeut. 

On n’avait pas compris pour quelle raison tous les pays européens avaient décliné en même temps la même stratégie vaccinale. Le document que nous publions donne un premier élément de réponse : l’OMS est à la manoeuvre, avec des documents pratiques qui harmonisent la mise en oeuvre dans tous les pays. 

La question est de savoir si ces documents sont le fait de l’OMS elle-même, ou si cette organisation spécialisée de l’ONU bénéficie d’une aide extérieure, au hasard de l’aide de Mc Kinsey. 

De mon point de vue, l’utilisation de matrices, le mode opératoire, le jargon du document sont ceux d’un grand cabinet international de conseil. 

Je recommande à tous la lecture de la captivante enquête de Vox (en anglais) sur le recours de l’OMS à Mc Kinsey, notamment depuis que Bill Gates est devenu le premier contributeur au financement de l’OMS… 

Et, comme par sahrd, la Fondation Gates est aussi une cliente importante de Mc Kinsey.

Et si la vaccination obligatoire partout en Occident était le produit d’une volonté de Bill Gates et d’une stratégie de Mc Kinsey, qui ira, s’il le faut, jusqu’à “l’isolement”, c’est-à-dire l’emprisonnement ou la déportation des non-vaccinés ?




Voici comment l’Europe a été poussée au suicide économique

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Moon of Alabama – Le 18 mai 2022

Avec l’aide active des « dirigeants » européens, les États-Unis parviennent à ruiner l’Europe.

Comme l’écrivait Michael Hudson, professeur et chercheur en économie à l’université du Missouri à Kansas City, début février, avant l’intervention de la Russie en Ukraine :

L’Amérique n’a plus la puissance monétaire, l’excédent commercial et une balance des paiements toujours positive qui lui permettait d’élaborer les règles du commerce et de l’investissement dans le monde depuis 1944-45. La menace qui pèse sur la domination américaine est que la Chine, la Russie et le cœur de l’île-monde eurasienne de Mackinder offrent de meilleures opportunités de commerce et d’investissement que celles offertes par les États-Unis, qui demandent de plus en plus désespérément des sacrifices à leurs alliés de l’OTAN et autres.

L’exemple le plus flagrant est la volonté des États-Unis d’empêcher l’Allemagne d’autoriser la construction du gazoduc Nord Stream 2 afin d’obtenir du gaz russe pour les prochains froids. Angela Merkel s’est mise d’accord avec Donald Trump pour dépenser un milliard de dollars dans la construction d’un nouveau port GNL afin de devenir plus dépendante du GNL américain, dont le prix est élevé. (Le plan a été annulé après que les élections américaines et allemandes ont changé les deux dirigeants). Mais l’Allemagne n’a pas d’autre moyen de chauffer un grand nombre de ses maisons et immeubles de bureaux (ou d’approvisionner ses entreprises d’engrais) que le gaz russe.

Le seul moyen qui restait aux diplomates américains pour bloquer les achats européens était d’inciter la Russie à lancer une réponse militaire, puis de prétendre que la réplique à cette réponse doit l’emporter sur tout intérêt économique purement national. Comme l’a expliqué la sous-secrétaire d’État aux affaires politiques, Victoria Nuland, lors d’un point de presse du département d’État, le 27 janvier : « Si la Russie envahit l’Ukraine, d’une manière ou d’une autre, le Nord Stream 2 n’avancera plus »Le problème est de créer un incident suffisamment offensif et de dépeindre la Russie comme l’agresseur.

À la mi-février, un observateur de l’OSCE notait que les bombardements d’artillerie sur le Donbass par les Ukrainiens était passé d’une poignée à plus de 2 000 explosions par jour. La Russie a réagi à ces préparatifs d’attaque en reconnaissant les républiques du Donbass, en signant des accords de défense avec elles et en leur venant finalement en aide.

Peu après le lancement de l’opération militaire russe, le professeur Hudson a approfondi ses réflexions :

La récente provocation de la Russie par l’expansion de la violence ethnique anti-russe par le régime néo-nazi ukrainien de Maiden post-2014 vise à provoquer une épreuve de force. Elle répond à la crainte des intérêts américains de perdre leur emprise économique et politique sur leurs alliés de l’OTAN et d’autres satellites de la zone dollar, car ces pays ont vu leurs principales opportunités de gain dans l’augmentation de leur commerce et de leurs investissements avec la Chine et la Russie. …

Comme l’a expliqué le président Biden, l’escalade militaire actuelle (« en agaçant l’ours ») ne concerne pas vraiment l’Ukraine. Biden a promis dès le départ qu’aucune troupe américaine ne serait impliquée. Mais il exige depuis plus d’un an que l’Allemagne empêche le gazoduc Nord Stream 2 d’approvisionner son industrie et ses logements en gaz à bas prix et se tourne vers les fournisseurs américains, dont les prix sont beaucoup plus élevés. …

L’objectif stratégique américain le plus urgent de la confrontation entre l’OTAN et la Russie est la flambée des prix du pétrole et du gaz. En plus de créer des profits et des gains boursiers pour les entreprises américaines, les prix plus élevés de l’énergie vont faire perdre une grande partie de sa vapeur à l’économie allemande.

Au début du mois d’avril, le professeur Hudson refaisait un point sur la situation :

Il est maintenant clair que la nouvelle guerre froide a été planifiée il y a plus d’un an par les États-Unis, avec la stratégie de bloquer le Nord Stream 2 dans le cadre de son objectif d’empêcher l’Europe occidentale (« OTAN ») d’augmenter sa prospérité par le commerce et les investissements mutuels avec la Chine et la Russie. …

Ainsi, les régions russophones de Donetsk et de Louhansk ont été bombardées avec une intensité croissante, et comme la Russie s’abstenait de répondre, des plans auraient été élaborés pour lancer une grande épreuve de force en février dernier ;- une attaque lourde de l’Ukraine occidentale organisée par des conseillers américains et armée par l’OTAN. …

Avant la guerre des sanctions, le commerce et les investissements européens promettaient une prospérité mutuelle croissante grâce aux relations entre l’Allemagne, la France et d’autres pays de l’OTAN d’un côté et la Russie et de la Chine de l’autre. La Russie fournissait une énergie abondante à un prix compétitif, et cet approvisionnement énergétique devait faire un bond en avant avec Nord Stream 2.

L’Europe devait gagner les devises étrangères nécessaires pour payer ce commerce d’importation croissant en exportant davantage de produits industriels vers la Russie et en investissant dans la reconstruction de l’économie russe, par exemple par des entreprises automobiles allemandes, des avions et des investissements financiers. Ce commerce et ces investissements bilatéraux sont désormais interrompus pour de très nombreuses années, étant donné la confiscation par l’OTAN des réserves étrangères de la Russie conservées en euros et en livres sterling.

La réponse européenne à la guerre par procuration des États-Unis contre la Russie est basée sur une moralisation hystérique menée par les médias, ou alors une hystérie moralisatrice. Elle n’était et n’est toujours ni rationnelle ni réaliste.

Les « dirigeants » européens ont décidé que le suicide économique de l’Europe était nécessaire pour montrer à la Russie que Bruxelles était sérieusement fâchée. Des gouvernements nationaux imbéciles, y compris celui de l’Allemagne, ont suivi ce programme. S’ils continuent sur leur lancée, le résultat sera une désindustrialisation complète de l’Europe occidentale.

Pour reprendre les termes d’un observateur sérieux :

Aujourd’hui, nous constatons que pour des raisons purement politiques, poussés par leurs propres ambitions, et sous la pression de leur suzerain américain, les pays européens imposent davantage de sanctions sur les marchés du pétrole et du gaz, ce qui entraînera davantage d’inflation. Au lieu d’admettre leurs erreurs, ils cherchent un coupable ailleurs. …

On a l’impression que les politiciens et les économistes occidentaux oublient tout simplement les lois économiques de base ou choisissent simplement de les ignorer. …

Dire non à l’énergie russe signifie que l’Europe deviendra systématiquement et durablement la région du monde la plus coûteuse en ressources énergétiques. Oui, les prix vont augmenter, et des ressources vont aller contrer ces hausses de prix, mais cela ne changera pas la situation de manière significative. Certains analystes affirment que cela portera gravement, voire irrévocablement, atteinte à la compétitivité d’une partie importante de l’industrie européenne, qui perd déjà du terrain au profit d’entreprises d’autres régions du monde.

Maintenant, ces processus vont certainement s’accélérer. Il est clair que les possibilités d’activité économique, avec ses améliorations, quitteront l’Europe pour d’autres régions, tout comme les ressources énergétiques de la Russie.

Cet autodafé économique… ce suicide est, bien sûr, l’affaire interne des pays européens. …

Or, les actions erratiques de nos partenaires – c’est ce qu’elles sont – ont entraîné une croissance de facto des revenus du secteur pétrolier et gazier russe, en plus des dommages causés à l’économie européenne. …

En comprenant les mesures que l’Occident prendra dans un avenir proche, nous devons tirer des conclusions à l’avance et être proactifs, en tournant les mesures chaotiques irréfléchies de certains de nos partenaires à notre avantage pour le bien de notre pays. Naturellement, nous ne devons pas espérer que leurs erreurs se répètent. Nous devons simplement, pratiquement, partir des réalités actuelles, comme je l’ai dit.

Tiré du discours de Vladimir Poutine, lors d’une réunion sur le développement de l’industrie pétrolière, 17 mai 2020, Kremlin, Moscou

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




De Saint-Just à Macron, l’État moderne et la destruction de notre civilisation

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Nicolas Bonnal

Saint-Just

L’État en France, la bureaucratie à Bruxelles, l’administration Biden deviennent fous, liquidant ou ruinant leur population, menaçant le reste du monde. 

Un rappel…

Hans-Hermann Hoppe, philosophe allemand, disciple de Murray Rothbard, est un libertarien guénonien. Autant dire qu’il ne plaira pas à tout le monde : pour lui le système produit un phénomène de dé-civilisation dont on voit les effets terminaux en Europe comme en Amérique (effondrement moral, démographique, culturel, spirituel, et même socio-économique). Le phénomène se mondialise : voyez l’Asie et son déclin culturel et démographique (-30% de chinois en 2100, disparition de la Corée et du Japon, etc.).

Le monde moderne nous a fait dégénérer en vertu de la perversion étatique qui a fabriqué le troupeau timide dont parle Tocqueville. Pour reprendre cet immortel au sens propre, cet Etat nous ôte la peine de penser (BFM) et de vivre (euthanasie), vit à notre place et nous zombifie, nous privant de notre force vitale. Mais voici comment Hoppe en parle :

« Parmi les mesures les plus importantes en matière de politique sociale, citons l’introduction de la législation de “sécurité sociale”, telle qu’elle a été introduite dans les années 1880 dans l’Allemagne de Bismarck, puis est devenue universelle dans tout le monde occidental à la suite de la Première Guerre mondiale. La tâche de devoir prendre en charge son propre âge, la portée et l’horizon temporel de l’action provisoire privée sera réduite. »

Bismarck

L’État bismarckien puis la sécu anéantissent la famille :

« En particulier, la valeur du mariage, de la famille et des enfants diminuera car ils sont moins nécessaires si l’on peut recourir à une assistance “publique”. En effet, depuis le début de l’ère démocratique et républicaine, tous les indicateurs de “dysfonctionnement familial” ont affiché une tendance systématique à la hausse : le nombre d’enfants a diminué, la taille de la population endogène a stagné ou même diminué et les taux de divorce, l’illégitimité, la monoparentalité, la singularité et l’avortement ont augmenté. De plus, les taux d’épargne des particuliers ont commencé à stagner ou même à baisser au lieu d’augmenter proportionnellement, voire excessivement, avec la hausse des revenus. »

Cet État remplace aussi allègrement sa population, rappellent les libertariens. Et il est en plus belliciste.

Je rappelle que pour Rothbard l’Etat sécuritaire (Welfare) est arrivé de pair avec l’Etat militaire (Warfare). Tocqueville parle aussi du goût démocratique pour la guerre interminable. Hoppe rappelle lui que le Far West était un endroit sûr et que la montée du Welfare a fait exploser partout la criminalité dans l’Amérique postmoderne (ce n’est pas la seule raison comme on sait) :

« Sur l’ampleur de la recrudescence des activités criminelles provoquée par le fonctionnement du républicanisme démocratique au cours des cent dernières années, à la suite de l’augmentation constante de la législation et d’un nombre toujours croissant de responsabilités “sociales” par opposition à des responsabilités privées … voir McGrath, Gunfighters, Highwaymen et Vigilantes, en particulier… En comparant la criminalité dans certains des endroits les plus sauvages du “Far West” américain (deux villes frontalières et des camps miniers en Californie et au Nevada) avec celle de certains des endroits les plus sauvages du siècle actuel, McGrath (“Offrez-leur une bonne dose de Lead”, pp. 17-18) résume ainsi en affirmant que les villes frontalières de Bodie et d’Aurora ont en fait rarement été victimes de vols… »

Et de rappeler à qui ne l’entendra pas :

« Les villes d’aujourd’hui, telles que Détroit, New York et Miami, subissent 20 fois plus de vols par habitant. Les États-Unis dans leur ensemble enregistrent en moyenne trois fois plus de vols qualifiés par habitant que Bodie et Aurora. Les cambriolages et les vols étaient également peu fréquents dans les villes minières. La plupart des villes américaines ont en moyenne 30 ou 40 fois plus de vols par habitant que Bodie et Aurora… Au début des années 1950, la ville de Los Angeles comptait environ 70 meurtres par an. Aujourd’hui, la ville subit en moyenne plus de 90 meurtres par mois… En 1952, 572 viols ont été rapportés à la police de Los Angeles, 2 030 en 1992. Au cours des mêmes années, le nombre de vols qualifiés est passé de 2 566 à 39 508 et le nombre de vols d’automobiles, de 6 241 à 68 783. »

Il est bon de souligner le mensonge des westerns dont l’idéologie gauchiste a toujours fait bon marché des réalités historiques.

Puis Hoppe cite l’historien Fuller qui dénonce les horreurs de la conscription made in France :

 « À partir du mois d’août [1793], lorsque le parlement de la République française décréta le service militaire obligatoire universel, la conscription a changé la base de la guerre. Jusque-là, les soldats avaient coûté cher, maintenant ils étaient bon marché ; les batailles avaient été évitées, maintenant, elles étaient recherchées ; si lourdes seraient les pertes, elles pourraient être comblées par le roulement de la conscription. Non seulement la guerre deviendrait de plus en plus illimitée, mais finalement elle serait totale. Au cours de la quatrième décennie du vingtième siècle, la vie était si peu coûteuse que le massacre de populations civiles sur des lignes massives était devenu un objectif stratégique reconnu, tout comme les batailles des guerres précédentes. En 150 ans, la conscription avait ramené le monde à la barbarie tribale. »

(Fuller, The War of War, p. 33 et 35).

Allan Carlson rappellera que l’armée US a été un vecteur de subversion morale, sexuelle et sociale, en Europe comme en Asie ou en Océanie (cent films le démontrent).

Nous sommes entrés dans la phase finale de cette perversion avec bien sûr la Grande Guerre qui précipita notre dégénérescence politique (fascisme, communisme, étatisme-providence, etc.) et culturelle (peinture abstraite, musique dodécaphonique, littérature « moderne », « engagée », etc.) ; notre déclin est tel que nous ne le percevrons plus, alors que tout le monde continue d’écouter Bach ou Rameau, et que personne ne peut supporter Berg ou Webern. Mais Tolstoï dénonçait cette situation déjà en 1900 dans son passionnant petit essai sur l’art. Depuis, ayant touché le fond, nous avons continué de creuser…

Hoppe :

« Depuis 1918, pratiquement tous les indicateurs de préférences temporelles élevées ont affiché une tendance à la hausse systématique : en ce qui concerne le gouvernement, le républicanisme démocratique a produit le communisme (et avec cet esclavage public et ce meurtre de masse parrainé par le gouvernement même en temps de paix), le fascisme, le socialisme national, enfin et de manière durable la social-démocratie (“libéralisme”). Le service militaire obligatoire est devenu presque universel, la fréquence et la brutalité des guerres étrangères et civiles ont augmenté, et le processus de centralisation politique a progressé plus que jamais. »

Et, alors qu’on nous annonce une crise finale (« achetez de l’or ! ») Hoppe ajoute sur la dégénérescence socio-économique et financière :

« En interne, le républicanisme démocratique a conduit à une augmentation permanente des impôts, des dettes et de l’emploi public. Cela a conduit à la destruction de l’étalon-or, à une inflation sans précédent du papier-monnaie et à un renforcement du protectionnisme et des contrôles de la migration. Même les dispositions de droit privé les plus fondamentales ont été perverties par une inondation incessante de lois et de règlementations… »

La pensée et les analyses factuelles de Hoppe (découvrez son œuvre sur Mises.org) démontrent en tout cas l’ancienneté de la crise occidentale et confirment le rôle sinistre de l’Etat et de la… révolution. Les folies étatiques actuelles (guerres, vaccins, confinements, remplacement, dettes, etc.) confirment cette analyse implacable.  Je citerai pour conclure le vicomte Bonald qui est proche comme tout bon traditionaliste de Hans-Hermann Hoppe et qui écrivait après le cataclysme napoléonien :

« La disposition à inventer des machines s’est étendue aux choses morales. »

Sources

  • Alexis de Tocqueville, de la démocratie en Amérique
  • Nicolas Bonnal, chroniques sur la fin de l’histoire ; le coq hérétique (les belles lettres, 1997)
  • Hans-Hermann Hoppe, the process of de-civilisation, in the costs of war (Mises.org).
  • René Guénon, le règne de la quantité et les signes des temps



Les soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux : tout un symbole

Par Dr Nicole Delépine

[Illustration : © Fournis par franceinfo]

À quand le réveil des Français pour leur santé et leurs droits ? Les bénévoles, sûrement animés de bonnes intentions, mais en pratique collabos du pouvoir, se rendent-ils compte des responsabilités qu’ils prennent dans une gestion cynique dont ils ne mesurent pas la perversité ?

Contrairement aux apparences, nos dirigeants ne sont pas incompétents, mais déroulent un scénario sordide d’application rigoureuse (celui de l’organisation mondiale via les réseaux McKinsey.)

Tout change et rien ne change. On prend les mêmes pour la même politique, la misère des hôpitaux, la suspension des soignants(([1] « suspendu, ça veut dire, premièrement, que tu es suspendu sans aides sociales, ça veut dire pas de RSA, pas d’APL, ça veut dire pas de mutuelle, ça veut dire rien ».)) et la vax obligatoire prévue par l’UE en septembre. Il serait temps de protéger nos enfants.

MANIPULATION RÉUSSIE

La population et trop de médecins et politiques ont eu peur d’un virus d’une mauvaise grippe pour lequel des médicaments étaient disponibles. Pourtant ils le savaient d’emblée puisque notre plus grand infectiologue de notoriété mondiale, le PR Raoult, l’avait dit, écrit d’emblée et que chaque semaine, une vidéo postée de MARSEILLE faisait le point de la réalité de la pandémie.

Mais ils ne se sont pas inquiétés de la chute vertigineuse en deux décennies de la qualité de notre médecine. Ils ne voulaient pas voir et ils ne veulent toujours pas SAVOIR.

Bien sûr il reste encore quelques brillants médecins, chirurgiens, soignants, fidèles à leur sacerdoce, mais que peuvent-ils faire sans aucun moyen, avec des lits fermés et l’absence criante de personnels ?

Les Français ont préféré écouter les bonimenteurs des médias subventionnés(([2] En 2019, le montant des subventions versées par l’État à la presse a atteint 76 millions d’euros. Par ex plus de 5,6 millions pour Le Figaro dont le propriétaire n’est autre que la famille Dassault (fortune : 23,8 milliards d’euros en 2018). En 2020, en plein covid, le gouvernement a débloqué 2 milliards pour aider les médias . Afin de continuer à déverser le discours gouvernemental sans craindre l’approche de la fin du moisCNews, Europe 1, Le Monde, Le Figaro, Le Parisien… En France, 10 milliardaires (Niel, Dassault, Bolloré, Kretinsky & co) possèdent 90 % des quotidiens nationaux, 55 % des parts d’audiences TV et 40 % des audiences radio.)) et se laisser injecter encore et encore une substance expérimentale dont les essais ne se termineront qu’en 2023 et dont on connaît déjà l’inefficacité : un vaccin qu’on réinjecte tous les trois mois ? Même la foi en le mot magique de vaccin utilisé pour un médicament expérimental n’explique pas la passivité à cette aberration.

On en connait aussi les drames avecdes effets secondaires en nombre considérable dont la longue litanie des décès des grands sportifs sur les terrains(([3] Maintenant, une épidémie de morts chez les sportifs vaccinés ? – Agoravox TV)) et d’autres forcés d’abandonner leur profession, des malaises d’enfants dans la cour d’école, des fausses couches, des décès de nouveaux nés, des récidives de cancers et des néoplasies « bizarres » et rapidement fatales, jusqu’aux atteintes cérébrales, de la perte de mémoire rapide des vieillards injectés, à la maladie de Creutzfeld Jacob de l’épouse de Marc Doyer(([4] Voir Verity France))(([5] Pourquoi un tel déni des effets graves des vax anticovid chez les femmes enceintes ? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation))(([6] https://nouveau-monde.ca/bilan-catastrophique-des-injections-anticovid-et-manipulation-mediatique/))(([7] « L’OPESCT est au courant des effets indésirables des vaccins contre le Covid » E. Darles et V. Pavan | FranceSoir))

Et depuis ces derniers mois la mortalité bien supérieure des triple vax par rapport aux non vax : exemple du Canada pourtant covidiste

Diffusons la synthèse de Robert Malone inventeur de la technique ARNm et qui comme Einstein en son temps avec la bombe atomique, contemple avec effroi les méfaits de son invention. Bien sûr la science n’est pas coupable, mais seulement les hommes qui tentent de l’utiliser à des fins morbides.

AVERTISSEMENT DU SAVANT ROBERT MALONE AU MONDE ENTIER

Robert Malone affirme que si vous êtes vaccinés, vous avez été trompés par les laboratoires et leurs complices qui ont usurpé les fonctions régaliennes.

« Nous déclarons, et les données confirment, que les injections de la thérapie génique expérimentale Covid 19 doivent cesser. Ces produits ne préviennent pas l’infection, la réplication et la transmission… La majorité des infections se produit chez les vaccinés. Nous ne savons pas ce que l’ARN injecté va donner dans l’avenir… Il faut rétablir une période d’essai minimale de 5 ans… Nous demandons à la FDA de supprimer l’autorisation d’urgence… Nous devons reconnaître que les injections ont causé beaucoup plus de mal que de bien, n’apportant aucun avantage et ne réduisent pas l’infection… À long terme,les injections peuvent abîmer de façon irréversible, le cœur, le cerveau, les organes des enfants…de tous… »

Source : https://odysee.com/@Q…uestions:6/Dr.-Robert-Malone–Stop:a

TOUT CHANGE, MAIS RIEN NE CHANGE

Mais on met la poussière sous le tapis, on prend les mêmes et on recommence malgré les promesses d’un président nouveau, pour un peuple nouveau. Mme Borne a licencié au moins 15000 soignants sans état d’âme et 5000 pompiers et beaucoup d’autres vaccino prudents sont partis et manquent actuellement dans les services et les malades dits non urgents sont toujours forcés de présenter un pass pour être soignés, alors que toutes les autres mesures coercitives sont supprimées.

Le directeur de l’ARS Île de France, Mr Aurélien Rousseau est nommé directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. Les exploits de l’APHP pendant la crise covid, les fermetures de lits, d’hôpitaux témoignent de son « expérience » médicale et surtout de ses choix et on peut être certain que conseillé par son épouse Marguerite Cazeneuve ex McKinsey, directrice de l’assurance maladie et chargée de la réforme des retraites, la saga familiale au pouvoir pourra se poursuivre en toute tranquillité(([8] Aurélien Rousseau devient le nouveau directeur de cabinet d’Elisabeth Borne. Aurélien Rousseau est l’ancien directeur général de l’agence régionale de santé Île-de-France (ARS), de 2018 à 2021 et responsable de la fermeture de milliers de lits y compris pendant le covid. Marguerite Cazeneuve est la femme de Aurélien Rousseau (ex McKinsey, directrice de l’assurance maladie et chargée de la réforme des retraites).))(([9] Sa belle-mère est un cadre important dans l’industrie pharmaceutique E Lily …)) pour le plus grand malheur des Français.

UN BREF ÉMOI À BORDEAUX

Alors, pourquoi s’étonner que la fermeture des urgences du CHU de Bordeaux, scoop de la soirée du 18 mai ait fait moins de bruit que la prestation de l’acteur Zelinsky au Festival de Cannes, applaudi par les présentsqui se fichent de la mise à la rue des soignants conscients et de la croix gammée tatouée sur le bras des soldats ukrainiens sortis de Marioupol ?…

Ont-ils perdu tout sens critique dans ce petit milieu protégé, ou bien se gavent-ils des derniers feux de la rampe, voulant oublier tout le reste ? On dit que Zelinsky va présider la coupe du monde de foot et le challenge de pétanque à Marseille ou le gala des Enfoirés selon certains internautes très choqués de sa présence incongrue à Cannes…

ON CONTINUE À FERMER LES URGENCES ET DE NOMBREUX SERVICES, ET ON REMPLACE LES SOIGNANTS PAR DES BÉNÉVOLES COMPLICES

Eh oui les urgences bordelaises ferment la nuit et l’accompagnement des patients se fera avec des BÉNÉVOLES. Stop ou encore ? Mais ça n’étonne plus personne et tout passe dans le silence assourdissant.

« À compter de ce mercredi, les urgences adultes du CHU de Bordeaux ne seront plus accessibles au public la nuit. Seuls les cas graves, orientés par le Samu, seront admis. On déporte le problème sur les autres services d’urgence », déplorent les syndicats.

La pandémie de Covid-19 a mis en lumière les nombreux problèmes présents dans les hôpitaux en France: manque de moyens humains et matériels, manque de considération, horaires intenables…(([10] Les urgences du CHU de Bordeaux, en crise, ferment la nuit et n’accueillent que les cas graves (msn.com) ))

Orwell hospitalisé ?

Ils ont bien appris Orwell, et du coup ils parlent de « gestion en mode dégradé » : Santé : le CHU de Bordeaux en « mode dégradé », les patients seront « accueillis par des bénévoles »(([11] https://www.capital.fr/economie-politique/faute-de-soignants-les-patients-sont-accueillis-par-des-benevoles-dans-ce-chu-1436792))

Face aux burn-out en cascade et manque de personnels, patients accueillis par des bénévoles aux urgences… G. Mouden, infirmier anesthésiste et représentant du personnel Sud Santé Sociaux de l’établissement bordelais, sur franceinfo explique(([12] Santé : le CHU de Bordeaux en « mode dégradé », les patients seront « accueillis par des bénévoles » (francetvinfo.fr) )):

« On a environ 40% des médecins urgentistes qui sont sur le départ ou en arrêt de travail en lien avec des burn-out »

Mais aussi à Orléans(([13] Anne-Laure Dagnet les urgences du CHR d’Orléans restent au bord du Burn out général radio France 16 5 2022
https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/greve-aux-urgences/temoignage-hopital-une-triste-sensation-de-travailler-a-l-usine-les-urgences-du-chr-d-orleans-restent-au-bord-du-burn-out-general_5139967.html Une solution transitoire ?)): « Une triste sensation de travailler à l’usine », les urgences du CHR d’Orléans restent au bord du burn-out général

« On en arrive là parce qu’on a épuisé totalement un système d’urgence. Cela fait plus de 5 ans qu’on tire le signal d’alarme. On n’a pas entendu les alertes de l’ensemble des professionnels médecins, paramédicaux, infirmiers ou aides-soignants où il manque des effectifs dans les organisations de travail, où on fait travailler des gens à plein régime sur des gardes de 12 heures, voire de 24 heures pour certains médecins. On les amène à l’épuisement ou au départ. » Mon triste record, c’était 26 patients. On est très pessimiste sur la suite. Si, dans un ou deux mois, on revient dans les mêmes conditions, on partira. On protégera notre santé à nous ».

Idem aux urgences pédiatriques :

« J’ai eu des retours sur ce week-end. Il y avait de jeunes enfants qui sont restés plus de 12 heures à attendre parce qu’il n’y avait qu’un interne de chirurgie pour les prendre en charge.

Cet interne a sous sa responsabilité les urgences pédiatriques, il a sous sa responsabilité les enfants qui doivent aller au bloc opératoire. S’il est sur ces blocs opératoires, il n’est pas sur les urgences.Il y a des enfants en souffrance qui attendent plus de 12 heures et c’est encore le cas ce week-end. Et ça, c’est inadmissible. Un jeune interne a quitté son poste le samedi matin, les larmes aux yeux, après 24 heures de garde ».

«  Le personnel, qui était en arrêt maladie, est revenu et un accord a été trouvé avec les médecins grévistes. Il est temps, car la clinique privée qui a récupéré les urgences de l’hôpital est, elle aussi, sur le point de craquer. »

« D’habitude, on n’a pas ça chez nous », regrette le docteur Xavier Della Valle, le chef des urgences de cette clinique privée, qui vient d’enchaîner 36 heures de garde.

L’afflux de patients menace tout son service. « Les patients sont énervés parce qu’on les balade, ils sont agressifs… Notre personnel d’accueil subit fréquemment des agressions : verbales, tous les jours, et physiques, de temps en temps. Aujourd’hui, toutes les équipes sont à bout », décrit-il. 

Mais aussi à Grenoble : 

« Une étape nouvelle a été franchie à l’automne 2021 avec la fermeture de l’accueil des urgences de nuit adulte du CHU Grenoble Alpes(CHUGA) site Voiron plusieurs jours par semaine et la fermeture de l’accueil de nuit des urgences du Groupement Hospitalier Mutualiste à Grenoble. Depuis, aucune solution n’a permis de rétablir la permanence des soins urgents 24h/24 et 7 jours/7. »

(tract SNMHFO snmh.fo@fosps.com)

IDEM DANS DE NOMBREUSES VILLES DE FRANCE d’après le Tract de la CGT 56 : Tweet 17 mai

CGT chômeurs 56 : 

« Bravo aux trois derniers gouvernements qui ont bien démoli l’hôpital : Dégradation des conditions de travail, gel des salaires, diminution des effectifs, fermeture d’hôpitaux, de lits »…

PENDANT CE TEMPS LE SALON ANNUEL DE LA FÉDÉRATION HOSPITALIÈRE DE FRANCE

Évidemment les technocrates, bonimenteurs de soins n’ont à la bouche que de fausses solutions comme l’obligation de gardes pour les médecins libéraux et des primes pour les soignants qui reporteront leurs vacances d’été à l’automne comme ils l’ont fait en 2021.(([14] Huffingtonpost.fr/entry/covid-19-des-primes-pour-les-soignants-qui-renonceront-a-leur-vacances_fr_5f884f14c5b6c4bb54736800))

Comment ces technocrates loin du patient ne comprennent-ils pas qu’il est plus supportable de démissionner, de changer d’orientation, de métier ou de pays, que d’obéir à leurs ukases stupides qui oublient l’essentiel .

Pour travailler, le médecin doit être LIBRE.

« « L’heure est aux mesures rapides, ambitieuses, fortes et durables. » Voilà ce qu’a expliqué ce mardi le président de la Fédération hospitalière de France (FHF) en ouverture de son salon annuel. Alors que depuis lundi, les urgences de Bordeaux ferment la nuit aux adultes – sauf nécessité impérieuse envoyée par le Samu -, Frédéric Valletoux a dressé un tableau alarmant de la situation.

« Le taux d’absentéisme est plus élevé qu’avant la crise (du Covid), les difficultés à recruter sont fortes (…) et des tensions majeures existent sur les spécialités médicales assujetties aux gardes et astreintes »,a-t-il dit.

En octobre dernier, le président du conseil scientifique Jean-François Delfraissy estimait à 20 % le nombre de lits fermés pour manque de personnel, sur un parc de 387 000.

« Des lits sont fermés dans plus de trois quarts des établissements, y compris médico-sociaux, beaucoup de blocs tournent au ralenti et on note dans toutes les régions des fermetures de services d’urgence», a ajouté le président de la FHF, maire de Fontainebleau et candidat Horizons, bannière d’Édouard Philippe, aux législatives en Seine-et-Marne. »(([15] Tensions aux urgences : les hôpitaux réclament une obligation de garde pour les médecins libéraux – Le Parisien))

Et de nombreuses explications dominent dans ce désastre explicité en 2016 dans « soigner ou obéir »(([16] N Et G Delépine éditions fauves 2016 Cf Soigner ou Obéir ? | Blog.Psycho-Ressources – Psychologie « Ce document lève le voile sur les moyens utilisés par la dictature bureaucratique au service des lobbies, et propose quelques mesures indispensables comme la suppression des Agences régionales de santé (Ars), lourdes et coûteuses inquisitions sans contre-pouvoir. Il n’y aura pas de médecine de qualité, quel que soit le mode d’exercice, sans liberté de prescription ni liberté de choix du patient. Que cet ouvrage soit un outil pour poser les bonnes questions aux candidats sur leurs engagements en santé ! » Présentation vidéo sur TVL Mag Oxygène – Soigner ou obéir : La mort d’Hippocrate.
http://www.tvlibertes.com/2016/11/24/11518/oxygene-soigner-obeir-mort-dhippocrate)) 
malheureusement toujours d’actualité.

« Fermeture d’hôpitaux de proximité et services d’urgences indispensables, suppressions de postes, pour les remplacer par des services numériques dématérialisés privatisés qui ont tout dérégulé notre système de Santé, tout ça au nom de la rentabilité coûte que coûte ! »

16 mai 2022·Twitter

Un autre exemple à Strasbourg et les méfaits des ARS : Fermeture de lits, suppression de postes : ce que contient le « contrat d’avenir » des Hôpitaux de Strasbourg – Résistance (resistance-mondiale.com)

« Document confidentiel obtenu par notre partenaire Rue89 Strasbourg, le « contrat d’avenir » signé le 18 mars avec l’agence régionale de santé oblige les Hôpitaux universitaires de Strasbourg à augmenter leur activité tout en fermant des lits et en réduisant le nombre de postes. »
« Accord qui doit permettre à l’établissement hospitalier de retrouver une autonomie financière d’ici à 2026 »

« Les HUS pourront développer l’offre de soins, et sécuriser l’augmentation d’activité de 5 % (par rapport au niveau atteint avant la crise sanitaire) prévue sur la durée du contrat d’avenir ».

« Malgré les manifestations et appels à l’aide des soignants, la gestion de l’hôpital public garde la même philosophie : plus d’activité avec autant de moyens, voire moins.L’hôpital strasbourgeois doit réduire l’éparpillement de ses services sur différents sites pour parvenir à constituer des plateaux d’hospitalisation d’au moins 20 lits.

L’établissement doit aussi développer « des alternatives à l’hospitalisation complète » et « optimiser les durées moyennes de séjour à l’hôpital ».

Toujours le même discours depuis plus de vingt ans qui a partout abouti aux mêmes échecs, aux mêmes catastrophes tant dans les grandes villes qu’en Province.

« Fusionner des unités, c’est mettre fin « aux difficultés de fonctionnement en raison d’une dispersion des ressources médicales », stipule le contrat d’avenir avec toujours la même rengaine

Le projet aboutira à une baisse globale du nombre de places en hépato-gastro-entérologie : de 39 lits au total, le service fusionné passera à 32 lits. Et cette décroissance des capacités d’hospitalisation ne tient pas compte des 12 lits d’ores et déjà fermés au sein du service de Hautepierre depuis la crise du Covid… Au total, le service fusionné perdra donc 19 lits.

Il faut lire le détail dont la philosophie est toujours la même, fusionner des activités, réduire le nombre de lits et les personnels in fine(([17] https://www.reddit.com/r/france/comments/udwh6h/fermeture_de_lits_suppression_de_postes_ce_que 
https://www.rue89strasbourg.com/fermeture-lits-suppressions-postes-hopitaux-de-strasbourg-233152)). Sabordage organisé, technocratique.

ET PENDANT CE TEMPS-LÀ ON INJECTE

Et le plus grave est la politique du tout vaccin qui continue malgré l’amoncellement des effets toxiques et sa totale inefficacité contre une épidémie terminée par ailleurs. Si vous n’êtes pas tout à fait mort, vous devez défendre vos enfants contre les ardeurs de l’UE, ou plutôt de la commission NON ÉLUE, UE continent en péril, et qui veut achever son action destructrice, avant son plongeon définitif, tel le Titanic.

L’Union Européenne envisage la vaccination des enfants à la rentrée 2022/2023

En commission IMCO, la communication de la Commission européenne a transmis à Virginie Jordon des documents avec la volonté de mettre en place une stratégie vaccinale pour la rentrée scolaire 2022/2023 : stratégie pour augmenter la couverture vaccinale des jeunes enfants.(([18] Via : https://twitter.com/v_joron/status/1526498982968668168?t=nyJkwbCdxu7GrzPJIn_DeQ&s=19 https://t.me/LaVeritecensure))

Espérons que d’ici septembre les campagnes d’information, par chacun d’entre nous, aboutiront à un refus massif de ces poisons. Il semble que même dans nos pays occidentaux où la propagande provax est massive et accompagnée de pressions fortes, les doses ne trouvent plus preneurs(([19] Les vaccins de rappel Covid vont être jetés en Angleterre en raison de la baisse de la demande. 16/01/2022 On estime que des centaines de milliers de doses Pfizer et Moderna sont sur le point d’expirer après une forte baisse de la consommation DÉJÀ EN JANVIER 2022
Les vaccins de rappel Covid vont être jetés en Angleterre en raison de la baisse de la demande. – Résistance (resistance-mondiale.com) )) puisqu’actuellement moins de1/1000 des européens continuent à se faire injecter chaque jour.





Comment combattre en France les deux extrêmes (centre et gauche) ?

Par Lucien SA Oulahbib

Comme l’extrême droite n’existe pas en France, du moins de façon conséquente (sauf dans la tête de Mélenchon et ses Suivantes puisque tous ceux qui ne sont pas avec eux y sont classés tels), il y a par contre deux gros blocs d’extrémistes, très dangereux, mais qui ont pourtant pignon sur rue alors qu’ils veulent transformer la France et l’Europe en exécrables démocratures de fait, tout en affichant bien sûr les trompe-l’œil contraires pour continuer à « nous » tromper.

Il s’agit du bloc « d’extrême -centre » selon l’appellation même de son chef de file, l’actuel locataire de l’Élysée, nommé E. Macron, et du bloc d’extrême gauche soutenant le dénommé J. P. Mélenchon qui ne se reconnaît pas évidemment ainsi, mais dont le programme s’y apparente pourtant (spoliation à tous les étages). Ajoutons que ces deux blocs se soutiennent mutuellement (tout en vitupérant l’un contre l’autre officiellement), le second ayant par exemple appelé à voter — indirectement — pour le premier au second tour des dernières élections présidentielles françaises (avril 2022), et ce en le répétant à quatre reprises dans un message mémorable faussement ironique bien sûr.

Quels sont leurs points communs qui effacent de plus en plus leurs différences historiques ?

Le point commun le plus important semble bien être, à l’évidence, la volonté opiniâtre, méticuleuse, minutieuse, d’imposer — « quoi qu’il en coûte » pour l’un, « au nom de la planète » pour l’autre — un modèle de société basée sur la coercition multiforme, la restriction des libertés fondamentales, l’abolition de fait des frontières en mettant de plus en plus sur le même pied citoyens et non-citoyens.

Ainsi, qu’il s’agisse de contraintes pseudo-écologiques non fondées comme le tout éolien, la suppression plus ou moins directe du nucléaire, la hausse drastique de taxes et de « crit’air » sous prétexte de pollution (alors que 98 % des particules fines sont contrôlées par l’amélioration des pots d’échappement, les 2 % restants provenant pour une grande part des centrales à charbon réouvertes en Allemagne), qu’il s’agisse également d’obligations pseudo-sanitaires qui maintiennent encore plus de 15 000 soignants sans moyens de vivre tout bonnement (sans parler de ce qui va arriver en termes d’obligation vaccinale après les élections législatives), qu’il s’agisse enfin de suppression de fait des différences entre droits des citoyens et des non-citoyens depuis que le Conseil Constitutionnel a absous un « passeur » et que le Conseil d’État a dissous un groupe politique désireux de défendre les frontières nationales, il s’avère que ces deux blocs officiellement opposés ont précisément comme points communs ces trois axes-là se résumant en deux mots : contrainte et obligation (injustifiées, en vue de dissoudre la démocratie française au nom de la trans nationalité européenne mondialisée).

Mais alors que l’on aurait pu penser que le camp opposé à ces deux extrémismes — le camp somme tout modéré (au vu des points précédents), dit « souverainiste » — attaquerait ces trois points (climat/pollution, santé, citoyenneté) au même niveau, il s’est juste positionné sur le troisième. Sauf que, et justement, comme il ne parle pas des deux premiers, cela fait trop « disproportionné » et cela apparaît alors « extrême », en tout cas désastreux, au niveau de la communication politique. La preuve ultime est que ce camp peine à rassembler 40 %, alors qu’il est largement majoritaire dans le pays si l’on en croit certaines études qui soulignent par exemple la faillite de l’intégration et du multiculturalisme, la montée de l’insécurité contre les personnes, le matraquage fiscal toujours sur les mêmes, la restriction des libertés de pensée et d’expression (qui ont quasiment disparu sur les antennes dominantes, et sont réduites de plus en plus à la portion congrue dans les institutions scolaires et universitaires)…

Pire, c’est ce camp dit « souverainiste » qui est traité d’extrémiste, alors qu’il se trouve somme toute assez modéré puisqu’il ne prétend même pas (et ce dans sa majorité en tout cas) contraindre par exemple tout étranger à la politique de « la valise ou le cercueil » comme cela a été appliqué en Algérie par les partisans du FLN. Ceux-ci viennent aujourd’hui se réfugier en France, sachant qu’ils ont réduit à néant un pays en plein développement et qui aurait pu se réformer en profondeur si le temps lui avait été donné. Ils cherchent aujourd’hui à faire pareil en France par envie et haine (de soi).

Aussi, les deux blocs d’extrémistes réels, l’extrême centre et l’extrême gauche (par ailleurs alliés objectifs) sont également des alliés subjectifs sur de nombre de points — non seulement les trois cités précédemment, mais aussi d’autres encore tels que la parentalité, l’égalité homme-femme (récemment bafouée à Grenoble et dans le fait de masquer les viols culturels rituels sous le vocable de « féminicide »), mais aussi la démocratie réelle caviardée de plus en plus y compris en leur sein. Aucun de ces blocs ne connaît plus désormais ces fameux « congrès » dans lesquels des « tendances » pouvaient marquer leurs différences, non.

À cette respiration (plus ou moins) démocratique se sont substituées des pseudo consultations plébiscitaires avec aucun moyen en interne de pouvoir peser motion contre motion. Tout cela est bien fini ; et l’on assiste plutôt à la montée en puissance d’un culte du « Chef » qui, à d’autres époques, répondait à des classements bien précis, mais que mon refus de l’anachronisme interdit d’indiquer, même si j’ai tout de même un faible pour celui de néonazi (que j’ai employé bien avant que Poutine ne le fasse), puisque j’estime que lorsque l’on est pour des manipulations génétiques et génitales, pour la formation d’un nouveau peuple dont la couleur de peau et le genre de sexe est même indiqué (non-blanche et non-homme a minima), il s’agit bel et bien d’un néo-eugénisme racialiste avec comme objectif la construction d’une frange supérieure d’individus fonctionnant par ailleurs non plus seulement comme une caste, mais aussi une secte — la différence est que la première s’identifie principalement à son statut de puissance qui permet d’y entrer, mais aussi d’en sortir (pour former une autre caste), tandis la seconde empêche d’en sortir sous peine d’être excommunié par les vocables qui ont remplacé ceux d’hérétique et d’infidèle : « réactionnaire », et récemment « complotiste », « conspirationniste ».

Pourtant, ces deux blocs d’extrémismes sont eux les plus comploteurs et conspirateurs qui soit, surtout au vu de ce que l’on sait maintenant sur leurs passe-droits, leur degré, sinon de corruption et de mensonges, du moins d’omissions. Et malgré cela ce sont surtout eux qui crient au loup alors qu’ils l’ont depuis longtemps fait entrer par la porte de derrière et aujourd’hui carrément de devant, au vu et au su de tous, et ce dans l’indifférence quasi générale. Ou alors, à moins que cela ne soit le calme avant la tempête, celle qui, une fois non plus par siècle, mais par millénaire, balaie tout.

Pour y parvenir ou du moins y contribuer continuons à dénoncer ainsi leur collusion et leur extrémisme, tout en ne cédant pas d’un pouce sur ces trois points et non pas seulement sur un seul, car ils sont de plus en plus liés : les contraintes pseudo-écologiques impliquent le pseudo-sanitaire qui en serait la conséquence, justifiant les mesures antidémocratiques en interne (implosion des partis) comme en externe (implosion de la notion de citoyenneté).




Selon Pierre Hillard, « La Russie va être le fléau de Dieu dans cette histoire »

[Source : Radio Lorraine Enragée]

Pierre Hillard, Docteur en sciences politiques et spécialiste de la question du mondialisme, revient sur l’actualité : Covid19, guerre Ukraine et autres manifestations du grand chambardement qui nous guette.



[Voir aussi :
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Great Reset : la Bête est-elle là ?]




France — Elisabeth Borne Première ministre : le gouvernement profond prend le pouvoir

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Depuis ce soir [16 mai], une femme est Premier Ministre en France. Il s’agit d’Elisabeth Borne, figure emblématique du gouvernement profond tel que la macronie l’a adoré, l’adore, et tel que la caste mondialisée l’a érigé en groupe dominant au service d’une vision de « gauche » où le « populisme », le « souverainisme », le « nationalisme » sont érigés en épouvantails, en repoussoirs pour convaincre le bobo moyen que la seule voie pour la liberté et le progrès consiste à donner les clés de la boutique à un groupe fantomatique qui partage son existence entre Londres, New-York, Genève, Tel-Aviv et Dubaï. On attendait un Macron à l’écoute des attentes de la société. On trouve un intégriste de la désincarnation cosmopolite où nous sommes supposés applaudir à l’idée d’être dirigés par une hyper-fonctionnaire sans âme et sans état d’âme qui nous offrira tout crus aux appétits atlantistes.

Depuis ce soir (16 mai), une femme est Premier Ministre en France. Il s'agit d'Elisabeth Borne, figure emblématique du gouvernement profond tel que la macronie l'a adoré, l'adore, et tel que la caste mondialisée l'a érigé en groupe dominant au service d'une vision de "gauche" où le "populisme", le "souverainisme", le "nationalisme" sont érigés en épouvantails, en repoussoirs pour convaincre le bobo moyen que la seule voie pour la liberté et le progrès consiste à donner les clés de la boutique à un groupe fantomatique qui partage son existence entre Londres, New-York, Genève, Tel-Aviv et Dubaï. On attendait un Macron à l'écoute des attentes de la société. On trouve un intégriste de la désincarnation cosmopolite où nous sommes supposés applaudir à l'idée d'être dirigés par une hyper-fonctionnaire sans âme et sans état d'âme qui nous offrira tout crus aux appétits atlantistes.

Combien de Français ont réellement cru Macron, le soir de sa réélection, lorsqu’il a déclaré: 

Cette ère nouvelle ne sera pas la continuité du quinquennat qui s’achève mais l’invention collective d’une méthode refondée pour cinq années de mieux, au service de notre pays, de notre jeunesse.

Elisabeth Borne, une ère nouvelle ? nommée après les refus opposés par Valérie Rabault et Christine Lagarde de tenir un poste dont le détenteur devra se sacrifier pour faire passer la retraite à 65 ans à coups de 49-3 pour faire plaisir à l’Union Européenne, la nouvelle Première Ministre rappelle les maires du palais sous les Mérovingiens. Sans saveur ni couleur, c’est la technostructure qui prend le pouvoir. 

Une fois de plus, Emmanuel Macron a menti. Les éléments de langage ont triomphé. Le narratif d’un quinquennat selon une “méthode refondée” n’aura pas tenu plus de quelques jours, de quelques heures peut-être. 

Dans la pratique, Macron a attendu la dernière minute pour nommer une Première Ministre issue du précédent gouvernement, et même des précédents gouvernements, dont la rigidité, le manque d’imagination, le jacobinisme niveleur et interventionnistes sont déjà bien connus. C’est ce qu’on appelle la continuité. L’inverse de ce qu’il avait promis.

Un emblème du gouvernement profond triomphe

Et en matière d’inverse, Elisabeth Borne illustre de façon caricaturale la continuité qu’on ne voulait pas, qui ne devait surtout pas arriver. 

Cette polytechnicienne, ancienne du très chic lycée Jeanson-de-Sailly, à Paris, ingénieur des Ponts et Chaussées, a fait toute sa carrière dans le service public, enchaînant les postes caractéristiques du gouvernement profond : conseillère puis directrice de cabinet d’un ministre, patronne d’une entreprise publique, préfète de région. Incontestablement, Elisabeth Borne connaît très bien les rouages de l’Etat, elle est une grande praticienne du gouvernement profond et, avec elle, Macron peut dormir sur ses deux oreilles : il n’y aura pas de sortie de route ! le programme du Great Reset sera exécuté scrupuleusement.

Au programme, donc : soumission aveugle, dogmatique, obstinée à l’Europe, y compris dans ses excès russophobe dictés par l’atlantisme, piqûres à tout-va pour assurer le progrès de l’humanité, et éloge sans nuance de l’action menée par un Etat bureaucratique, qui “protège”, “régule”, “corrige le marché” et défend “l’intérêt général”. 

Bref, tous les germes du totalitarisme contemporain sont posés, et même semés, sans aucun état d’âme. 

On ne pouvait pas rêver meilleure expression de la quintessence patiemment distillée sous le gouvernement Castex. 

À quoi faut-il s’attendre avec Borne ?

Donc, en l’état, on connaît le programme d’Elisabeth Borne dans ses grandes lignes.

Le premier point sera la retraite à 65 ans, qui est imposée par l’Union Européenne, et que la Première Ministre mettra en oeuvre quoi qu’il arrive.

Le deuxième point est la vaccination obligatoire, y compris celle des enfants, pour nous protéger du variant mortel et contagieux annoncé par Bill Gates pour cet automne. On va piquer à tout-va, en France, et ce sera sans pitié. Bien entendu, cela n’aura d’utilité que dans les comptes de Pfizer et dans les colonnes de quelques torchons comme Libé ou l’Immonde. Mais qu’importe ? L’essentiel est de se péter de tunes avec les cadeaux de Big Pharma qui va sortir des études aux petits oignons pour expliquer que tout cela va pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Le troisième point consistera à continuer sans état d’âme le déploiement de la dictature numérique, ce grand édifice de surveillance qui nous protège paraît-il de la désinformation complotiste, et grâce auquel les ultimes zones privées de notre vie basculeront dans le grand édifice des Big Data contrôlées par l’Etat. 

Pour le reste, Elisabeth Borne s’accordera peut-être quelques fantaisies, des coups de pouce sur le SMIC, des décisions généreuses qui donneront l’illusion que nous maîtrisons encore notre destin. 

Mais, pour l’essentiel, elle exécutera fidèlement le programme de la mondialisation, sans état d’âme. 

Une étrange confrontation avec la France Insoumise

Ce qu’on ne sait pas encore, c’est la portée politique de cette nomination. 

S’agit-il d’une Première Ministre de transition, chargée de tenir jusqu’aux élections en donnant l’illusion d’une fibre de “gauche”, puis elle s’en ira ? Ou bien, si la mayonnaise prend, restera-t-elle pour mettre en oeuvre durablement cette politique de la caste dont elle incarne l’une des version les plus pures ?

Les prochaines semaines le diront. 

Simplement, on reste surpris par la stratégie macronienne dans sa confrontation avec la France Insoumise, puisqu’au fond il choisit une vieille jument de retour, là où l’on attendait plutôt de l’audace et de “l’agressivité” pour tailler des croupières à Jean-Luc Mélenchon. 

Des sondages auraient-ils rassuré le Président sur l’issue des législatives ?

Toujours est-il qu’on attendait la Blitzkrieg, et Macron nous sert du Gamelin…

Il existe ici deux possibilités claires : soit Macron souhaite la victoire de la France Insoumise, et il a choisi la stratégie la plus déceptive pour s’y opposer, histoire d’être sûr que Mélenchon gagne. Soit il a reçu des assurances sur la défaite de Mélenchon et il choisit une ligne mièvre parce qu’il la sait sans risque. 

Mais tout ceci ressemble à un refus d’obstacle. 

Un message clair sur la continuité

Un message clair se dégage de cet ensemble : Macron ne changera rien à la ligne de son quinquennat précédent. Mêmes profils psychorigides et technocratiques, mêmes dénis, même froideur, et même manque d’imagination dans l’exécution d’un programme décidé ailleurs. 

C’est la mondialisation. 

De mon point de vue, le message est clair : il faut prendre la décision définitive de pratiquer la sécession pour échapper au pire. Mais nous savons aujourd’hui que, livrée à elle-même, la machine bureaucratique reproduit indéfiniment les mêmes erreurs et la même folie. 

Il est temps que le peuple envahisse la scène et décide un changement de scénario. 




La véritable raison de la volonté de l’UE d’imposer un embargo sur le pétrole russe

[Source : exoconscience.com]

Cette semaine, l’Union européenne devrait annoncer une interdiction totale des importations de pétrole russe. La Hongrie, dans son premier véritable acte de défi, menace d’y opposer son veto ; l’Allemagne, après quelques tergiversations, a finalement décidé qu’elle pouvait survivre à une telle interdiction.

En supposant que les objections de la Hongrie soient finalement surmontées, cela ressemble, à première vue, à un nouveau « but contre son camp » en matière d’énergie de la part des personnes obsédées par le football. Les États-Unis ont déjà émis cette interdiction.

L’industrie européenne étant fortement tributaire du pétrole et du gaz russes, la sagesse populaire veut que la Commission européenne soit tout simplement irascible et incompétente.

Sont-ils irritables ? Oui. Incompétente ? C’est possible ? Mais seulement si vous pensez en termes conventionnels à faire ce qu’il faut pour leur peuple. Ce qui est clair pour tout observateur sérieux de la politique européenne, c’est qu’ils ne s’intéressent pas à ce que leurs peuples ont à dire ou à vouloir.

Leur programme ne tolère aucune opposition, même s’il leur faut détruire leur propre économie pour mettre un rival à genoux.

Cela dit, je doute sincèrement qu’il y ait un « embargo des acheteurs » sur le gaz naturel, car il n’existe pas de substitut viable à celui-ci.

La Hongrie utilise la nécessité d’un consentement unanime au sein du Conseil européen pour bloquer toute « interdiction du gaz » dans tout nouveau paquet de sanctions économiques. Au moins trois autres pays sont heureux que la Hongrie soit prête à subir les foudres de Bruxelles.

Mais interdire le pétrole russe, d’un autre côté, c’est différent.

Il est donc intéressant que la Hongrie fasse cela, étant donné qu’elle n’importe pas de pétrole de Russie. {Ed. c’est faux, la Hongrie importe 65% de son pétrole par l’oléoduc Druzhba} Ce veto avait été prédit par moi le matin après que les Hongrois aient massivement rejeté la coalition anti-Viktor Orban de George Soros et lui aient infligé une défaite ignominieuse.

La Hongrie, en revanche, est indépendante de Bruxelles sur le plan énergétique car elle a passé un contrat direct avec Gazprom pour le gaz naturel via le train de Turkstream qui va en Serbie et en Hongrie. Cela devrait vous permettre de comprendre pourquoi l’UE tente de sanctionner la Serbie et de couper les flux de ce gazoduc là où il traverse le territoire de l’UE en Bulgarie.

Avec une Hongrie indépendante sur le plan fiscal, monétaire (elle ne participe pas à l’euro) et énergétique, il n’y a guère d’arguments pour qu’elle reste dans l’UE si Bruxelles la traite comme un membre de seconde zone. Orban et son gouvernement ont refusé catégoriquement de s’impliquer dans le conflit entre la Russie et l’Ukraine, malgré les fortes pressions exercées par l’OTAN.

C’est presque comme si Orban et les Hongrois mettaient maintenant l’UE au défi d’avancer les procédures de l’article 7 pour les expulser. Le problème est que, s’ils le font, l’UE commencera à se fracturer.

Il est donc plus probable que la Hongrie utilise son droit de veto pour obtenir de l’UE qu’elle revienne sur les violations de l’ »État de droit » qui justifient l’exclusion de la Hongrie du budget de l’UE. Le marchandage ici devrait être évident.

Car Bruxelles et ses soutiens en coulisse veulent absolument cette interdiction du pétrole russe, tout comme les États-Unis et le Royaume-Uni. Cela fait partie de leur stratégie à long terme visant à saigner la Russie, après avoir transformé l’Ukraine en Afghanistan 2.0.

Et c’est dans les différences entre l’industrie pétrolière et l’industrie du gaz naturel qu’ils pensent pouvoir atteindre cet objectif.

Des tuyaux et des populi

Dans les industries du pétrole et du gaz, la mise sous pression d’un puits est, pour l’essentiel, un processus à sens unique. On creuse un puits et on en extrait le pétrole et/ou le gaz. Il produit jusqu’à ce que le puits soit épuisé. Vous remplacez la diminution naturelle de la production du puits en forant un nouveau puits.

Mais même s’il y a un gros choc de demande à la baisse, ce qui est rarement le cas dans l’industrie pétrolière en général, ces puits continuent à produire. Le marché est temporairement surchargé de pétrole, le prix chute et les anciens puits ne sont pas remplacés jusqu’à ce que l’équilibre entre l’offre et la demande soit rétabli.

Les courbes des contrats à terme sur le pétrole sont construites par les négociants pour anticiper ces effets sur les prix. Et pour une volatilité normale de la demande de pétrole, ces courbes devraient être raisonnablement prévisibles.

Malheureusement, nous vivons à une époque où les personnes les plus puissantes du monde (du moins dans leur esprit) tentent ouvertement de détruire le marché du pétrole pour leurs propres objectifs et leur propre agenda. Ils travaillent activement à rendre les prix du pétrole et du gaz volatils au point de détruire les investissements dans l’industrie.

Ils ne le cachent pas. Le pétrole est le fléau de la planète !

J’appelle ces gens la foule de Davos (pour une description de ces personnes, voir mon podcast, épisodes 7576 et 77 pour les informations de base). Ce sont les oligarques non élus, les banquiers, le pouvoir héréditaire et les nouveaux Made Men (au sens de la mafia) qui se réunissent chaque année à Davos, en Suisse, pour décider de l’avenir de l’humanité.

Et c’est leur programme, utilisant le changement climatique et les menaces internationales telles que la guerre biologique et le terrorisme comme justifications d’une expansion massive de l’État de surveillance et de leur contrôle sur toutes choses, mais surtout sur l’argent.

L’énorme stock de ressources naturelles de la Russie et son gouvernement souverainiste s’y opposent totalement. Si vous croyez le contraire, vous avez été gazé par la propagande de Davos. Je vous invite à ranger vos enfantillages, certains trous de lapin ne sont que des trous, pas des garennes.

Revenons à l’industrie pétrolière. Le recouvrement d’un puits de gaz ou de pétrole est dangereux car il n’y a aucune garantie qu’il puisse être rouvert. Les puits peuvent être endommagés et le pétrole/gaz qu’ils contiennent perdu sans qu’il soit nécessaire d’en forer un nouveau.

Dans le cas du gaz, il suffit de brûler l’excédent si le stockage est complet, plutôt que de boucher le puits et d’attendre que la demande revienne. Avec le pétrole, par contre, vous ne pouvez pas vraiment faire cela. Vous devez stocker le produit quelque part. De toute évidence, la capacité de stockage de pétrole de la Russie est déjà pleine, voire débordante.

L’industrie pétrolière en général n’est pas conçue pour le stockage massif à long terme en raison des chocs entre l’offre et la demande, car elle n’en a littéralement pas besoin. Ce qui se développe, c’est la capacité à déplacer le pétrole pour le consommer, et non à le stocker dans de grands réservoirs en espérant que quelqu’un l’achètera.

L’industrie dispose de toute la capacité de réserve dont elle a besoin pour coordonner l’offre et la demande dans des tolérances assez étroites. Ce n’est pas une tolérance de livraison « juste à temps », mais elle n’est pas capable d’absorber un choc de demande de 20%.

Et c’est là que l’Occident pense avoir un levier important à utiliser contre la Russie en ce moment. Au dire de tous, l’Europe est l’un des principaux clients de la Russie en matière de pétrole, le port de Rotterdam ayant reçu et raffiné jusqu’à 1,4 million de barils par jour avant la guerre.

Croyez-le ou non, le Washington Post a publié un article décent expliquant où vont les exportations de la Russie. Sur les quelque 7,2 millions de barils par jour que la Russie exporte dans le monde, 4,8 millions sont destinés à des pays, pour la plupart européens, qui déclarent ne plus vouloir acheter de pétrole russe.

Le manque de capacité de stockage ne devrait pas être un problème majeur si la Russie exportait la plupart de son pétrole vers l’Europe par bateau, ce qu’elle fait. D’après un récent rapport de Transport & Environment, une ONG dont l’objectif est de convaincre l’Europe de se passer de l’énergie russe, l’oléoduc Druzhba ne fournit qu’environ 10% du pétrole russe au marché européen.

Cela représente la bagatelle de 250 000 barils par jour. L’embargo américain est plus dangereux pour l’économie russe, car en 2021, les États-Unis, qui devaient remplacer les barils sanctionnés du Venezuela par l’ancien président Trump, ont importé une moyenne de 600 000 barils par jour.

Ces importations ont commencé à se tarir en 2022, bien avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine. Il s’agit donc d’une autre donnée montrant que cette guerre entre l’Occident et la Russie a été planifiée bien avant la date de son déclenchement effectif, fin février.

Le fait est que l’argument qui circule dans la presse aujourd’hui est que la Russie n’a pas la capacité de stockage nécessaire pour faire face à un embargo européen et qu’elle devra donc réduire sa production. Les estimations des réductions de production de la Russie tournent autour de 1,8 million de barils par jour, alors que l’Occident espère 3 millions.

À l’instar de ce que Trump a fait en 2018 contre l’Iran, la campagne de sanctions choc a gelé de nombreuses sociétés de négoce de pétrole, qui ne savaient pas ce que l’avenir leur réservait et refusaient de faire des affaires avec la Russie de peur de se mettre à dos les sanctions.

De Shell à Glencore en passant par Trafigura, les appels d’offres pétroliers russes sont devenus persona non grata et cela a créé un désordre total dans leurs livres de négociation et dans l’ensemble du secteur du négoce des matières premières, comme l’a décrit la note de Zoltan Pozsar du Credit Suisse du mois dernier.

En raison de cette dislocation financière dans ce qui devrait être une industrie stable, ennuyeuse et sans cervelle – le commerce de la matière première la plus importante au monde avec la plus grande infrastructure pour la servir – le chaos a suivi.

L’Occident collectif, suivant le plan de match de Davos, espère encore plus.

La conclusion de Pozsar est que toutes ces entreprises auront besoin d’un renflouement à un moment donné (avec une possible nationalisation comme prix à payer) ou seront autorisées à faire faillite pour servir le plan de révision radicale de l’économie mondiale de l’énergie, loin du pétrole de Davos.

Dans le même temps, ils porteraient un coup dur aux perspectives économiques de la Russie. Vu sous cet angle, il s’agit d’une sorte de double maléfice.

Mais si le fait de soutenir le pétrole acheminé par oléoduc n’est pas un si grand coup pour la production russe, qu’est-ce que l’UE essaie d’accomplir ici ?

En perturbant les routes que le pétrole emprunte normalement dans le monde, il y a maintenant une pénurie structurelle de pétroliers pour transporter le pétrole demandé. En effet, une grande partie de ces barils, soit plus de 2 millions par jour, doivent désormais effectuer des voyages beaucoup plus longs.

Au lieu de faire le trajet café-gâteau de Saint-Pétersbourg à Rotterdam, ces mêmes navires doivent maintenant, au minimum, se rendre dans des installations de stockage aux Bahamas et dans les Caraïbes, voire jusqu’en Chine ou en Inde, leur destination finale.

Lisez le billet de Pozsar ou l’article de ZeroHedge dont le lien figure ci-dessus pour vous faire une idée de l’ampleur de la perturbation.

On espère que ce choc de l’offre sur le marché des pétroliers et les effets en aval des coûts supplémentaires des voyages créeront une réaction en cascade au sein de l’industrie pétrolière russe, ce qui entraînera les baisses de production prévues.

Cela aura pour effet d’entamer sa balance commerciale positive qui « alimente la machine de guerre de Poutine ». Cela donnera également l’occasion aux concurrents de la Russie de venir leur voler des parts de marché.

Grâce à ce mécanisme et aux efforts de l’Occident pour modifier l’utilisation de l’énergie en Europe, l’effet à long terme est de détruire la capacité de la Russie à poursuivre la guerre en la privant des capitaux nécessaires.

Davos rime avec Thanos

Les États-Unis sont heureux de pousser l’Europe à ce point et de nombreux commentateurs sont heureux de terminer la conversation là : Choisissez votre épithète, mais l’idée est que l’ »Empire du Mensonge » ou la « Zone A », ou qui que ce soit d’autre, sent que son hégémonie est menacée et qu’il pousse tout le monde, en particulier l’Europe, à adopter sa stratégie préférée.

Mais je pense que cette histoire est plus une version « Made for TV » qu’une représentation exacte de la réalité.

Elle ne tient pas compte de la structure d’objectifs plus large des personnes à l’origine de ce désordre. Plutôt que d’être captifs d’une Amérique hyper-belligérante, les nations de l’UE sont des partenaires tout à fait volontaires dans cette affaire.

La stratégie de grande réinitialisation de Davos repose sur les mêmes erreurs que celles commises par Thomas Malthus au début du 19e siècle concernant la rareté des ressources. Leur modèle économique ne croit pas que les gens réagissent en temps réel aux incitations, pour ou contre, qui modèrent leur comportement. Au contraire, ils considèrent les humains comme un virus qui se déchaîne sur le monde et qui doit être contrôlé.

L’ensemble de la Grande Réinitialisation peut se résumer au même argument que le méchant des films Marvel, Thanos, qui a dit qu’il fallait tuer la moitié de la vie dans l’univers pour rendre les choses « durables ».

Et le centre de pouvoir de ce type de pensée ne se trouve pas aux États-Unis et dans l’Empire américain. Nous sommes les hyper-capitalistes qui cultivent le virus dans notre boîte de Pétri d’individualisme.

Non, cette pensée vient carrément des critiques européennes du capitalisme. Pour être réducteur, il s’agit simplement d’un marxisme réchauffé et recouvert d’une nouvelle couche de peinture rhétorique – durabilité, capitalisme des parties prenantes, environnement, social et gouvernance (ESG), objectif partagé, etc.

La preuve que l’UE est tout aussi satisfaite de la guerre en Ukraine que les forces néoconservatrices des États-Unis et du Royaume-Uni est évidente dans leur refus de mettre fin à la guerre par la diplomatie.

Mais ce sont les Européens qui souffriront le plus de cette stratégie.

Les mauvais scénarios engendrent de mauvaises politiques

Si les dirigeants de l’UE, possédés par Davos, agissaient au nom des Européens moyens, ils utiliseraient les coûts évidents de la coupure de l’Europe de l’énergie russe pour dire aux États-Unis et au Royaume-Uni d’aller se gratter.

Au lieu de cela, tout ce que nous entendons de leur part, c’est comment l’Allemagne peut se sevrer complètement de l’énergie russe en un an.

Peu importe que cela ne soit pas bon pour l’industrie allemande ou le peuple allemand à long terme. L’énergie russe est de loin la solution la moins chère pour eux, ce qui rend leur main-d’œuvre la plus compétitive possible.

Au lieu de cela, après avoir contribué à fabriquer la crise en Ukraine, ils soutiennent maintenant l’idée que c’est un impératif moral pour les Allemands de souffrir sans nourriture, sans chauffage et sans autres nécessités de base d’une supposée société avancée du premier monde pour vaincre les méchants Russes.

Dans les années qui ont précédé ce conflit, ils auraient travaillé à la mise en œuvre des accords de Minsk. Ils auraient levé les sanctions économiques à l’encontre de la Russie, auraient conclu un accord politique sur la Crimée et le Donbas, et auraient laissé les États-Unis et le Royaume-Uni s’agiter dans le vent.

L’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron ont fait le contraire. Ils ont mis de la poudre aux yeux de Poutine tout en faisant tourner le chrono jusqu’à ce que Macron soit réélu et que Merkel puisse quitter la scène, laissant une faible coalition approuvée à Davos sur laquelle rejeter la responsabilité de l’effondrement.

L’approfondissement des échanges commerciaux entre la Russie et l’UE aurait fini par faire disparaître l’animosité et l’insistance des États-Unis à armer l’Ukraine serait devenue un albatros politique, tandis que l’Europe aurait vu une renaissance potentielle, au lieu d’un trou noir économique.

La France et l’Allemagne n’auraient pas trahi leurs propres tentatives de diplomatie.

Ceci, je crois, est beaucoup plus proche de la véritable histoire du conflit, qui sert un objectif beaucoup plus large, clairement énoncé par les architectes de notre misère, que le cadre simpliste consistant à blâmer les États-Unis pour tout.

L’idée que l’Europe craint une invasion russe de la Pologne ou même de l’Allemagne, qui nécessite l’expansion de l’OTAN jusqu’à sa frontière dans le Donbas, est grotesque. L’armée russe n’est pas construite sur ce modèle et ses performances en Ukraine ne prouvent pas qu’elle est capable d’une telle opération.

Ce qui se passe actuellement est un scénario écrit il y a longtemps. La guerre de l’Occident contre la Russie a été planifiée depuis longtemps.

Les Russes le comprennent mieux que beaucoup ne sont prêts à l’accepter. Leurs dirigeants, Poutine et le ministre des affaires étrangères Sergei Lavrov, l’ont exprimé très clairement à chaque étape de la guerre à ce jour.

Ils ne se font aucune illusion sur la direction que l’Occident et Davos veulent donner à ce conflit, c’est pourquoi ils ont sérieusement menacé de frapper les véritables « centres de décision » qui donnent leurs ordres aux forces armées ukrainiennes.

Ces avertissements ne s’adressent pas à nos politiciens, mais à nous. C’est là que les choses se passent.

Ils ont demandé une séparation pacifique entre l’Est et l’Ouest, mais cela ne fait pas partie de l’ordre du jour. Comme les narcissiques classiques qui ont le besoin brûlant de tout contrôler, la Russie et le reste de l’Asie ne seront pas autorisés à s’éloigner de Davos et de leurs quislings eurocrates, parce qu’ils sont les sauveurs vertueux de l’humanité.

Et nous ne sommes, au mieux, qu’une « aide » et, au pire, un inconvénient.

Le grand plan de Davos, qui consiste à détruire l’ancien ordre mondial pour le reconstruire en mieux, où ils possèdent tout et où vous ne posséderez rien et où vous devrez aimer cela ou non, est le scénario.

Ils sont maintenant engagés dans ce plan. Il importe peu de savoir si cela fonctionnera ou non. C’est ce que nous devons réaliser dans toutes nos analyses. Les Russes et leurs amis d’Asie et du Sud ont-ils les moyens et les outils pour s’en sortir ? C’est possible.

Mais la question la plus importante est de savoir si ce conflit s’intensifie ou non au point que la victoire ne soit plus un concept pertinent. Lorsqu’un bloc aussi puissant que l’Union européenne est prêt à commettre des actes de vandalisme domestique de cette ampleur – et à blâmer la victime de son agression débridée – cela signifie que nous avons largement dépassé le stade du règlement rationnel.

Source : https://www.zerohedge.com/geopolitical/real-reason-behind-eus-drive-embargo-russian-oil

Traduction : https://exoconscience.com




Les pays riches victimes de l’OMS et de la politique du tout vaccin

Par le Dr Gérard Delépine

La catastrophe sanitaire des pays riches

Récemment, le ministre de la Santé algérienne expliquait que son pays n’avait pas acheté davantage de vaccins parce qu’ils étaient trop chers. Il aurait pu préciser que plus de la moitié des doses néanmoins achetées avaient été gâchées, car la population algérienne n’en voulait pas(([1] Lassaad Ben Ahmed Algérie/Covid-19 : risque de perdre un stock de 13 millions de doses de vaccin — Dont la date de péremption est très proche. 07.11.2021)). Il aurait pu aussi se féliciter du bilan sanitaire Covid de son pays, qui comme les autres pays pauvres d’Afrique, s’en sort tellement mieux que les pays riches.

En effet, alors qu’au 10 mai 2022 les USA recensent 2997 morts covid par million d’habitants et l’Europe 2440/M, les pays à revenu moyen supérieur n’en comptent que 1000/M et les pays pauvres seulement 65/M !

C’est d’autant plus inattendu que tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres(([2] MARI ELKA PANGESTU Crise du coronavirus : pour les pays les plus pauvres, le pire est à venir 08 AVRIL 2020
https://blogs.worldbank.org/fr/voices/crise-du-coronavirus-pour-les-pays-les-plus-pauvres-le-pire-est-venir)) parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins.

Ces mêmes experts demandaient aux pays riches de faire cadeau de leurs doses inutilisées aux pays qui ne pouvaient pas les acheter ou de payer l’achat de vaccins(([3] OMS communiqué Mécanisme pour un accès mondial aux vaccins contre la COVID-19 : 172 pays participants et plusieurs vaccins candidats
https://www.who.int/fr/news/item/24-08-2020-172-countries-and-multiple-candidate-vaccines-engaged-in-covid-19-vaccine-global-access-facility)), afin que ces pays ne risquent pas de pérenniser l’épidémie et de la propager au reste du monde.

Les pays pauvres épargnés de la catastrophe covid

Mais les pays pauvres n’en ont majoritairement pas voulu et la catastrophe sanitaire les a épargnés, se concentrant sur les pays riches et vaccinés.

La Zambie, qui compte un médecin pour 10 000 personnes, comptait au 15/5/22 douze fois moins de morts Covid que les USA. Le Mali qui dispose de seulement de trois respirateurs par million de personnes n’en recense que près de 100 fois moins que les USA (31/M versus 2997/M).

Certes l’âge plus jeune des populations des pays pauvres, avec une plus faible proportion de personnes à risques (les plus de 60 ans) peut expliquer une partie de la différence, mais après correction de ce facteur, les différences restent considérables (de 10 à 20 fois plus de décès dans les pays riches que dans les pays pauvres).

Comme quoi, à l’ère du Covid, l’argent ne fait pas toujours le bonheur !

La catastrophe sanitaire des pays riches est due à leur politique sanitaire

Ils ont majoritairement appliqué les directives de l’OMS, favorisant les confinements, interdisant les traitements précoces dans une stratégie autoritaire du tout vaccin, alors que les pays en voie de développement ont plutôt utilisé les traitements traditionnels bon marché.

D’ailleurs les pays pauvres qui ont reçu en cadeau des vaccins et les ont utilisés, ont souvent rapidement été victimes d’une poussée paradoxale de l’épidémie et de la mortalité ainsi que l’illustrent les quelques exemples suivants.

L’exemple des îles africaines de l’océan Indien comparant Madagascar et les Seychelles est très démonstratif.

Ces îles partagent le même climat et leurs populations sont très proches par l’âge et le mode de vie. Les Seychelles ont été longtemps citées par les médias comme les champions de la vaccination de la région par ses 85 % de la population injectée.

Avant la campagne d’injection, décidée pour sauver l’industrie touristique et commencée début janvier 2021, les Seychelles ne comptaient que 226 cas. Le 15 mai 2022, après 15 mois d’injection, ce chiffre a dépassé 43 000 et plus de 43 % de la population a été contaminée confirmant que les injections n’empêchent pas (ou favorisent ?) les contaminations.

Cette explosion des cas a été suivie par une augmentation considérable de la mortalité aux Seychelles. Pendant cette période, grâce à l’Artémisine, l’épidémie et la mortalité ont été totalement contenues sans vaccination à Madagascar.

L’exemple du Maghreb est tout aussi démonstratif. La Tunisie a suivi les instructions de l’OMS et une politique du tout vaccin comme ses voisins du sud de l’Europe, Espagne et Italie. À l’opposé, l’Algérie n’a pas suivi l’OMS et a généralisé l’application du protocole Raoult.

Au 14/5/2022, l’Algérie compte 17 fois moins de morts covid par millions d’habitants (135/M) que la Tunisie (2400/M), l’Espagne (2243/M) et l’Italie (2734/M) alors qu’elle recense davantage de personnes âgées de plus de 60 ans que la Tunisie (25 %(([4] Près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’Algériens, en 2019, d’après le représentant de l’Office national des Statistiques (ONS), Hamid Zidouni.)) vs 15 %) et autant que ses voisins du nord.

Là encore la politique du tout vaccin et l’absence de traitement précoce ont aggravé la mortalité des populations tunisiennes, italiennes et espagnoles.

La corruption des pays riches peut seule expliquer le scandale Covid

Comment l’Europe et la France qui dépensent autant pour la santé et disposent de très nombreux médecins ont-elles pu aboutir à une mortalité covid 20 à 100 fois supérieure à celle de pays pauvres ?

La corruption des pays riches les a condamnés et la pauvreté d’autres pays les a sauvés paradoxalement : les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas voulu investir autant « d’argent » auprès des dirigeants de pays incapables financièrement d’acheter finalement leurs produits expérimentaux.

La politique sanitaire française (confinement(([5] NatureGate et la fable du confinement aveugle
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/naturegate-et-la-fable-du-confinement-aveugle)) et autres mesures autoritaires inutiles, rejet des médecins de famille, interdiction des traitements précoces et peu chers, chantage à la vaccination) ne reposait sur aucune expérience médicale, mais seulement sur une simulation mathématique fausse volontairement terrorisante créée par N. Ferguson (prophétisant 500 000 morts en France) et sur le modèle chinois et sur les conseils de McKinsey.

Elle était contraire à toute l’expérience médicale des épidémies précédentes ainsi que nous l’avons dénoncé dès mars 2020(([6] Delépine Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([7] Delépine Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27/3/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)) et contraire aux préconisations du rapport de la Cour des comptes(([8] https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/5_lutte_contre_la_grippe_A_H1N1.pdf)) et du Sénat sur l’épidémie H1N1.(([9] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2706.html))(([10] https://www.senat.fr/notice-rapport/2009/r09-685-1-notice.html))(([11] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2700.html))

Le comportement outrancièrement autoritaire de nos gouvernants, l’instauration d’une censure sévère dans les médias et sur internet, et la persécution sauvage des opposants allant jusqu’à l’exclusion de la profession et parfois la mise en garde à vue, ne peut résulter de la simple croyance aveugle à l’efficacité miraculeuse d’un traitement(([12] Ce ne sont pas des vaccins car ils ne contiennent aucun antigène anti-covid.)) expérimental(([13] Pour vérifier que les essais phase trois d’aucun pseudo vaccin n’est terminé il suffit de consulter le site clinical trials. gov)) issu d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée en infectiologie.

Seule la corruption intense par les grandes firmes pharmaceutiques Big Pharma et au premier plan Pfizer a permis de tisser des liens d’intérêts intenses avec les revues médicales(([14] L’industrie pharmaceutique qui assure maintenant près de 80 % des ressources des revues médicales.)), les médias grand public, l’OMS(([15] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de l’OMS.)), les agences sanitaires(([16] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de la FDA et de l’EMA.)), les experts, les médecins leaders d’opinion et les décideurs administratifs(([17] un rapport officiel de la Chambre des Communes britannique, en 2005 : « Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques (Chambre des Communes du Royaume-Uni) )) et politiques.(([18] Aux États-Unis qui sont plus transparents que la France, les firmes pharmaceutiques sont les plus gros financeurs des campagnes électorales.))

Ces problèmes ne sont pas nouveaux puisqu’en 2005 un rapport de la Chambre des Communes du Royaume-Uni(([19] The influence of pharmaceutical industry
https://publications.parliament.uk/pa/cm200405/cmselect/cmhealth/42/42.pdf)) s’inquiétait :

« Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques ».

Mais cette mainmise de l’industrie avec « capture des agences de régulation » s’est fortement aggravée depuis lors, comme l’ont montré les affaires du médiator(([20] L’affaire du Mediator 2010-2020 Dix ans après Anne Danis-Fatôme, François-Xavier Roux-Demare
https://univ-droit.fr/recherche/actualites-de-la-recherche/parutions/37571-l-affaire-mediator-2010-2020)), du Vioxx(([21] Scandale du médicament Vioxx : une plainte relance le dossier en France 03/04/2016 à 15 h 2 —
https://www.francesoir.fr/societe-sante/scandale-du-medicament-vioxx-une-plainte-relance-le-dossier-en-france))(([22] Caroline Pintard Scandale du Vioxx : Merck s’apprête à payer le figaro 17/07/2008
https://www.lefigaro.fr/societes-etrangeres/2008/07/17/04011-20080717ARTFIG00432-scandale-du-vioxx-merck-s-apprete-a-payer-.php)) et plus récemment celle des opioïdes aux USA.

La vente des pseudo vaccins Pfizer est une manne colossale pour Pfizer qui a été de plus déchargée des risques de dédommagements pour accidents liés à ses produits. La présidente de la Commission européenne a négocié directement avec le laboratoire et aucun parlementaire, journaliste ni aucune association de malades n’a pu obtenir le détail des contrats qu’elle a signés en notre nom.

Le nombre de doses achetées ou précommandées par l’Union européenne depuis le début de la crise atteint 4,2 milliards (chiffre confirmé par la commission) pour une population de 447 millions d’habitants. C’est donc près de dix injections de cette substance expérimentale inefficace et dangereuse que ces dictateurs veulent imposer à chacun d’entre nous alors que grâce à Omicron nous avons presque tous été immunisés !

Battons-nous pour notre santé et celle de nos proches, en demandant un moratoire de toute injection anticovid et la transparence sur les résultats réels et les accidents de ce traitement expérimental.





Le Pentagone organise la victoire de l’Ukraine à l’Eurovision 2022

[Source : voltairenet.org]

Photo : la délégation ukrainienne à l’Eurovision 2022. L’un des accompagnateurs (à gauche) arbore le trident. Ce symbole médiéval ne devint l’emblème de l’Ukraine qu’en 1917-18 à l’initiative de l’historien Mykhailo Hrushevsky. Il a été adopté comme blason du pays en 1996. Il existe deux manières de dessiner sa base. Les variations de couleurs sont aussi significatives. Celle de l’accompagnateur n’est pas la version officielle, mais celle des bandéristes.

Le festival de l’Eurovision 2022 s’est tenu à Turin (Italie). Il est organisé par une association, l’Union européenne de radio-télévision (European Broadcasting Union), réunissant les télévisions de service public du continent européen devant 200 millions de téléspectateurs.

À l’initiative de la Française Delphine Ernotte (présidente de l’association et de France-Télévision), la Russie, quoique faisant partie des 56 pays membres de l’association, avait été exclue de la compétition pour des motifs politiques assumés. Seuls 25 pays ont participé, 15 autres ayant été éliminés en demi-finale.

Il n’y a que les naïfs pour qui ce concours est fair-play. C’est avant tout un outil de propagande. L’OTAN, qui l’a conçu en 1955 (voir document ci-dessous), en a toujours tiré les ficelles. Les États-Unis, qui ne participent pas à l’Eurovision, en sont toujours le véritable arbitre. C’est la troisième victoire de l’Ukraine. Après celle de 2004 (« Révolution Orange »), celle de 2016 (rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie) est venu celle de de 2022 (guerre russo-ukrainienne).

L’OTAN a renoncé à faire triompher une chanson à texte en raison des problèmes qui ont suivi la victoire de la chanson 1944, en 2016 ; une chanson sur la déportation de Tatars criméens par Joseph Staline. Certains téléspectateurs avaient mis à jour l’engagement de tribus tatares durant la Seconde Guerre mondiale avec les nazis (notamment les combattants de la Légion SS Tatare de Crimée et de la Légion SS Idel-Ural).

Lorsqu’il a obtenu le titre 2022, le chanteur du groupe s’est exclamé « Gloire à l’Ukraine ! », le cri de guerre des bandéristes avec lequel ils ont assassiné 1,6 million de leurs concitoyens durant la Seconde Guerre mondiale.

Les documents ci-dessous ont été déclassifiés, le 16 janvier 2015, conformément aux lois états-uniennes. Ils sont signés par l’États-unien Geoffrey Parsons Jr, chef du service de communication de l’OTAN et porte-parole de l’Alliance atlantique.

Brisant la tradition, le secrétaire général de l’Organisation du Traité de l’Atlantique-Nord, Jens Stoltenberg, a salué la victoire de l’Ukraine à l’Eurovision, lors d’une réunion à Berlin.


Bonnus






L’incroyable malhonnêteté des médias sur les questions de vaccination

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin, journaliste scientifique et écrivain

Février 2022. La scène se passe en direct, à la télévision, sur la chaîne info CNews.

Cela fait plus d’un an déjà que les vaccins anti-Covid ont été massivement injectés aux populations, avec la bénédiction des grands médias.

Mais ce matin-là, le professeur de médecine Michaël Peyromaure « se lâche » et stupéfie ses interlocuteurs :[1]

« Un peu plus de 130 000 effets indésirables ont été recensés, dont 24 % ont été considérés comme graves, soit 1 sur 4 000, sans parler des effets secondaires à moyen ou à long terme.

C’est pour ça que le rapport bénéfice-risque paraît défavorable chez les jeunes, chez les enfants, chez les personnes qui ont 30, 40, 50 ans qui n’ont pas de comorbidité.

Ce vaccin contre le Covid ne protège pas véritablement de la maladie, ou en tout cas très peu de temps. Il protège uniquement des formes graves, mais pas à 100 %. Et il ne protège pas, ou très peu, de la transmission. » 

Conclusion du Pr Peyromaure : 

« C’est quand même un drôle de vaccin ! »

Un peu sidérée, la présentatrice de l’émission Sonia Mabrouk s’interroge : 

« pourquoi ce n’est pas davantage médiatisé et au centre du débat ? » 

Et en effet, c’est bien la question essentielle.

Écoutez bien comment la journaliste Élisabeth Levy, présente sur le plateau, a réagi à la démonstration du Pr Peyromaure :

« Cela pose quand même une question politique. On nous a tellement dit que ce vaccin allait être merveilleux, qu’on regardait tous ces gens qui ne voulaient pas se vacciner comme des sortes d’hurluberlus, on se demandait vraiment s’ils n’étaient pas un peu complotistes, moyenâgeux, etc. Je ne comprenais pas pourquoi des gens ne voulaient pas se vacciner ».

Si Élisabeth Levy, pourtant rédactrice en chef d’un journal « non consensuel », a pu penser qu’il fallait être un « hurluberlu complotiste » pour ne pas se faire vacciner contre le Covid, c’est la preuve que les grands médias étaient unanimes.

Même au début de l’année 2022, les discours critiques comme celui du Pr Peyromaure étaient encore rarissimes dans les médias (Sonia Mabrouk fait partie des très rares journalistes à apprécier les invités « non-conformistes »).

Alors que se passe-t-il ? Pourquoi les médias sont-ils aussi biaisés en faveur de la vaccination ? Comment cela se manifeste-t-il ? Et avec quelles conséquences pour le débat public ?

C’est ce que nous allons voir.

Comment les médias construisent la réalité, avec les « bons » et les « mauvais » experts

L’immense pouvoir des médias vient d’abord de l’effet loupe.

L’actualité est remplie de milliers d’informations potentiellement intéressantes ou utiles. Mais les médias n’en sélectionnent qu’une infime proportion : quelques dizaines d’informations clés, rabâchées sur toutes les antennes. Voilà ce qui façonne la « réalité » des gens.

Imaginez qu’à l’automne 2021, les journaux de « 20h » se soient ouverts sur la souffrance des soignants non vaccinés, suspendus sans salaire et plongés dans la misère sociale. Imaginez que les journalistes aient fait preuve de pédagogie, en expliquant que ces soignants étaient prêts à faire un test PCR tous les jours pour travailler, ce qui les aurait rendus moins susceptibles de contaminer leurs patients que leurs collègues vaccinés qui risquaient de transmettre le virus à leur insu.

Si les médias avaient fait leur travail, le caractère absurde, discriminatoire et violent de cette mesure aurait créé une grande émotion dans les foyers français, et cela aurait certainement conduit le gouvernement à reculer et à réintégrer les soignants – surtout en pleine épidémie, alors que de nombreux lits d’hôpitaux étaient fermés faute de soignants[2].

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé. Même lorsque plusieurs soignants ont entamé une grève de la faim de plus de 40 jours à Périgueux, il n’y a eu aucune dépêche AFP, ni même un reportage de France 3 Régions[3].

De façon générale, sur les vaccins anti-Covid, il n’y a eu globalement qu’un seul refrain, psalmodié dans les grands médias dès le début de l’année 2021 : ils étaient « salvateurs », sans risque, et allaient nous débarrasser de l’épidémie. 

Vous me direz peut-être que les médias se sont contentés de refléter le « consensus des experts » de l’époque, mais ce n’est pas vrai !

Un immense expert comme le Pr Raoult a prévenu dès le départ que ce vaccin ne serait pas une « baguette magique » contre l’épidémie. Le Pr Perronne, autre grand connaisseur des vaccins, jugeait dès l’été 2020 que ces vaccins contre le nouveau coronavirus étaient une « foutaise purement financière » sachant que l’on peut traiter les malades dès le début des symptômes.

Mais la parole de ces experts-là a été marginalisée médiatiquement, ou tout bonnement étouffée.

Le Pr Perronne a ainsi été banni de la plupart des antennes radio et télévision, comme l’a reconnu le journaliste Pascal Praud, en avril 2021 :

«Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal pensant, etc. »[4]

Voilà comment on « fabrique » un pseudo consensus : en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui sont dans la « ligne du parti ».

Autre exemple frappant : en janvier 2021, tout au début de la campagne vaccinale, 700 médecins et professionnels de santé suisses, menés par le Dr Philippe Saegesser, ont demandé un moratoire sur les vaccins ARN, avec des arguments parfaitement raisonnables :

« Comment peut-on affirmer que le rapport bénéfice/risque est favorable alors que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que des vaccins à ARN messager (ARNm) sont utilisés ?

Si ces vaccins sont si sûrs, pourquoi les laboratoires qui les fabriquent ont-ils demandé et obtenu qu’ils soient déchargés de toute responsabilité en cas de problème ?

N’oubliez pas qu’un vaccin est un traitement préventif contre une infection. La population qui y recourt n’est pas malade. Dès lors, nous pensons qu’eu égard aux questions que ces produits laissent encore ouvertes, il n’est pas licite ni éthique, de faire prendre des risques alors qu’il existe un potentiel de progrès important pour un traitement donné précocement »[5].

Avez-vous entendu parler de cette demande de moratoire ? Très probablement non, ou alors en termes péjoratifs.

Car le journal suisse Le Temps a immédiatement allumé un contre-feu contre la tribune de ces 700 professionnels de santé, avec ce titre accusateur : 

« En Suisse, les soignants anti-vaccins montent au créneau », et un intertitre qui parle de « tentative de désinformation».

Ainsi, les grands médias ne se contentent pas d’étouffer les voix critiques vis-à-vis des vaccins ; ils s’efforcent également de les diaboliser !

Quelques mois plus tard, en juin 2021, la diabolisation du Dr Philippe Saegesser est d’ailleurs montée d’un cran dans la presse suisse, avec notamment ce titre cinglant : «Les délires antivax d’un ponte de la médecine vaudoise»[6]. Vous le voyez : une critique raisonnable des vaccins est immédiatement assimilée à un « délire antivax »[7] !

Donc, les médias ne se contentent pas de taire les opinions « minoritaires » : ils concourent activement à les censurer en les diabolisant !

BFM TV : «Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques »

J’en ai moi-même fait les frais, en tant que journaliste indépendant.

En janvier 2021, j’écrivais à mes lecteurs une lettre détaillant les « 6 bonnes raisons de se méfier des vaccins ARN ».

C’était cette fameuse époque où la presse unanime criait au miracle et à la « baguette magique » contre l’épidémie (souvenez-vous des paroles d’Élisabeth Levy !). Mais de mon côté, après avoir évalué calmement la situation, j’en étais arrivé à la conclusion inverse :

«Il est certain que le vaccin n’est pas la solution miracle pour mettre fin à l’épidémie et retrouver une vie normale ».

La suite m’a donné raison, avec son cortège d’obligations « anormales » (masques), de restrictions des libertés fondamentales (pass sanitaires et vaccinaux, etc.), et bien sûr de contaminations et de décès Covid.

C’était parfaitement prévisible : « Le problème est que dans quelques mois, il n’est pas du tout acquis que ce vaccin sera encore intéressant », écrivais-je. Pour une raison simple : les coronavirus mutent beaucoup… et tendent ainsi naturellement à échapper à l’immunité vaccinale recherchée.

Il n’était pas difficile de l’anticiper : à l’époque, le généticien Axel Kahn, pourtant un grand défenseur des vaccins anti-Covid, l’avait même avoué publiquement : « Ilest assez probable que lorsque les personnes seront vaccinées, cela créera une pression de sélection et que des virus qui résistent aux anticorps produits seront favorisés »[8] – rendant ainsi le vaccin initial inefficace.

Mais savez-vous comment j’ai été récompensé, pour avoir été plus lucide que ceux qui nous promettaient des miracles avec ces vaccins ?

Par l’ostracisme médiatique ! Au printemps, non seulement je n’ai été invité à peu près nulle part pour parler de mon livre (Big Pharma démasqué), mais la chaîne BFM TV est allée jusqu’à s’insurger que cet ouvrage puisse être mis en avant dans un magasin Fnac (un seul parmi des centaines !) :

«Christian Perronne, Didier Raoult ou encore Xavier Bazin : tant d’auteurs, dont les noms font polémiques, ont trouvé une place de choix, mis en avant sur un présentoir dans un magasin Fnac»[9].

Voilà la seule et unique mention de mon livre dans les grands médias français (si l’on excepte France Soir et Sud Radio) ! Alors qu’ils ont donné la parole, sur le Covid, à des dizaines de gens qui n’y connaissent rien et qui se sont trompés sur tout !

Et hors de France, c’est pareil : la seule mention de Big Pharma Démasqué dans un média étranger, la chaîne de radio publique « Ici Radio-Canada », était dans un article qui s’indignait que l’on puisse trouver mon livre dans des bibliothèques publiques canadiennes («Des discours antivax bannis de YouTube, mais disponibles à la bibliothèque»)[10].

Bref, les médias ne se contentent pas de refléter le consensus d’experts, ils contribuent activement à le façonner : en choisissant qui a le droit de s’exprimer, et qui au contraire doit être disqualifié comme « antivax ».

Et cela a des conséquences majeures sur l’opinion publique et les politiques vaccinales.

Comment les médias font l’opinion : l’exemple des 11 vaccins obligatoires

Ce n’est pas pour rien qu’on appelle les médias le « quatrième pouvoir ».

Ils sont même souvent le « premier pouvoir », dans nos démocraties modernes, car ils façonnent l’opinion publique – et donc, in fine, les élections et ce qui est voté.

Prenez le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons en France en 2017 : le texte est passé comme une lettre à la poste, grâce à la bienveillance des médias.

Car les médias ont tout fait pour atténuer ou étouffer les sujets qui fâchent, et en particulier les risques sanitaires liés à la présence d’aluminium dans 8 de ces 11 vaccins.

Prenez cet article très représentatif de France Info intitulé 

«Onze vaccins obligatoires au 1er janvier 2018 : ‘’L’aluminium dans les vaccins représente une goutte d’eau’’».

Cet argument de la « goutte d’eau » de l’aluminium vaccinal a été véhiculé à l’époque dans tous les médias. Ici, l’article donne la parole à une scientifique, membre de l’Académie de pharmacie, qui affirme sans rougir :

« Avec tous les vaccins obligatoires, un bébé reçoit entre 4 et 5 milligrammes au total d’aluminium. Ce n’est rien »[11].

Mais c’est de la désinformation pure et simple ! Car personne ne peut affirmer sérieusement que ce métal, même à faible dose, ne peut pas avoir de toxicité, sachant qu’aucun organisme vivant ne contient la moindre trace d’aluminium à l’état naturel.

Au contraire, une étude publiée par des chercheurs français[12], et présentée quelques mois plus tôt devant l’Agence du médicament[13], avait démontré que de faibles doses d’aluminium étaient plus toxiques pour le cerveau des souris que des doses plus élevées !

Toujours à propos de l’aluminium vaccinal, voici un autre exemple de désinformation véhiculée fréquemment par les médias à l’époque[14][15] – ici dans la bouche d’un médecin généraliste :

«Mais les quantités d’aluminium apportées par les vaccins sont faibles (jamais plus de 0,85 mg) par rapport aux apports quotidiens d’aluminium dans l’organisme. Nous en mettons 3 à 5 mg dans notre corps chaque jour en mangeant et en buvant»[16].

Cet argument est simplement ridicule, car on ne peut pas comparer l’aluminium ingéré et l’aluminium injecté, quand on sait que 99 % de l’aluminium alimentaire est éliminé dans les selles et les urines !

Tout média ou journaliste sérieux et objectif devrait donc se garder de relayer une propagande « rassuriste » aussi grossière – sa mission devrait au contraire consister à « fact-checker » cette comparaison avec l’aluminium alimentaire pour en démontrer l’inanité !

Mais ce n’est pas ce qui s’est passé : les médias laissent courir, sans contradiction, la propagande pro vaccinale, et s’acharnent à contredire ceux qui émettent des critiques nuancées.

Et c’est ainsi que l’opinion publique est faussée.

De plus, à l’époque du passage aux 11 vaccins obligatoires, il y avait déjà une stratégie de diabolisation des « antivax ».

C’est ainsi que le Parisien a publié en juillet 2017 un grand article sur «Les figures de proue du mouvement anti-vaccins en France», avec cet intertitre qui pointe un supposé « sectarisme » : « leur gourou, le professeur Henri Joyeux »[17].

Autre exemple frappant : à l’automne 2017, deux grands scientifiques, le Pr Joyeux et le Pr Montagnier (Prix Nobel de Médecine) organisent une conférence de presse sur le thème : «Oui aux vaccins, non aux 11 vaccinations du nourrisson dès la 6e semaine ».

Mais aucune radio ou télévision n’a retransmis cet événement, ce qui a empêché le grand public de se faire un avis sur la qualité des arguments de ce ceux qui s’opposaient aux vaccins obligatoires.

Pire : dans la presse écrite, on a assisté à un déchaînement d’articles assassins sur cette conférence de presse, notamment parce que le Pr Montagnier avait osé évoquer le sujet tabou (mais hélas terriblement plausible) du lien entre vaccins infantiles et mort subite du nourrisson :

« Du mauvais théâtre contre les vaccins » Libération, 7 novembre
« L’hallucinante soirée anti-vaccin », France Inter, 8 novembre
« Le lent naufrage scientifique du Professeur Luc Montagnier », Le Figaro, 17 novembre
« De l’outrance à la modération, la nébuleuse des anti-vaccins »L’Express, 30 novembre

Voilà comment les médias ont traité un sujet démocratique aussi fondamental que l’obligation vaccinale, qui touche à la fois à la santé de nos enfants et à nos libertés publiques !

Et depuis 2018, ce sujet a totalement disparu des radars médiatiques, comme si l’aluminium vaccinal n’était plus controversé et que l’obligation de ces 11 vaccins ne se discutait plus.

Voilà comment on façonne l’opinion publique.

Big Pharma le sait – et va jusqu’à utiliser les médias complaisants pour faire pression sur les autorités sanitaires.

Les campagnes médiatiques influencent aussi nos autorités de santé !

Vous vous souvenez peut-être comment un laboratoire a créé une campagne médiatique en faveur de son nouveau médicament, un soi-disant « viagra féminin » – qui était en réalité un médiocre antidépresseur repositionné – en accusant les critiques de vouloir « réprimer le désir féminin » et combattre l’égalité entre hommes et femmes.

Cette pression médiatique a bien fonctionné puisque la FDA, probablement pour ne pas être accusée d’être « machiste », a autorisé ce très mauvais médicament en 2015, sans motif scientifique sérieux[18].

Pour les vaccins Covid, un stratagème de même nature – mais de beaucoup plus grande ampleur – a été déployé.

Ce n’est pas un hasard si, à l’automne 2020, l’efficacité à 90-95 % des vaccins anti-Covid a été annoncée par communiqué de presse des labos pharmaceutiques, plutôt que par des publications scientifiques.

L’objectif était de former une immense vague médiatique autour de vaccins supposés « miraculeux », afin de forcer les régulateurs à les autoriser aussi rapidement que possible.

Ce n’est pas une théorie du complot.

Grâce à un pirate informatique, le journal Le Monde a dévoilé les incroyables pressions subies par l’Agence du médicament pour approuver rapidement ces vaccins[19].

Ainsi, Le Monde a découvert que l’Agence européenne formulait « trois objections majeures » vis-à-vis du vaccin de Pfizer :

« Certains sites de fabrication n’avaient pas encore été inspectés ; il manquait encore des données sur les lots de vaccins commerciaux ; mais, surtout, les données disponibles révélaient des différences qualitatives entre les lots commerciaux et ceux qui avaient servi durant les essais cliniques. C’est sur ce dernier point que les évaluateurs semblent alors le plus préoccupés. »

L’Agence européenne était « préoccupée », car le vaccin Pfizer testé n’était pas exactement le même vaccin que celui qui a été mis sur le marché, avec des risques d’inefficacité et de dangerosité, notamment à cause de quantités d’ARN messager qui variaient selon les lots.

Mais finalement, l’Agence européenne s’est couchée et a rapidement autorisé ces vaccins. Pourquoi ? Car la pression politique et médiatique était trop grande !

Un échange d’emails entre scientifiques de l’Agence, révélé après coup, montre parfaitement à quel point il aurait été difficile, vis-à-vis de l’opinion publique, de ne pas approuver ces vaccins :

«Quoi que nous fassions, accélérer le processus pour s’aligner [sur les autres agences] ou prendre le temps nécessaire pour avoir une garantie robuste […], l’Agence du médicament européenne devra faire face aux questions et aux critiques de diverses parties (Commission européenne, États membres, Parlement européen, médias, grand public)».

Ici encore, plutôt que de favoriser le débat critique et nuancé sur la vaccination, les médias se sont contentés de relayer la propagande vaccinale des laboratoires.

Mais pourquoi ? Pourquoi les médias ne favorisent-ils pas la confrontation d’idées et d’arguments d’experts ayant des positions différentes ?

Pourquoi jouent-ils au contraire un rôle de « chien de garde pro-vax », en censurant toute critique et ne relayant que les arguments favorables ?

C’est ce que l’on verra au prochain épisode – restez connecté !

Sources

[1] CNews, émission Midi News, 15 février 2022.
https://www.cnews.fr/emission/2022-02-15/midi-news-du-15022022-1183054

[2] https://www.liberation.fr/societe/sante/hopital-public-20-de-lits-fermes-faute-de-soignants-20211026_VG7R2S3SXRGCRAPLRXCTYEVYAY/

[3] https://www.francebleu.fr/infos/societe/trois-personnes-en-greve-de-la-faim-a-perigueux-contre-le-pass-sanitaire-et-l-obligation-vaccinale-1633106501

[4] https://planetes360.fr/le-pr-christian-perronne-seul-contre-tous-chez-pascal-praud-tire-les-choses-au-clair-au-sujet-des-traitements-et-de-la-vaccination/

[5] https://www.illustre.ch/magazine/manquons-recul-face-aux-potentiels-effets-indesirables-vaccins

[6] https://www.blick.ch/fr/news/suisse/son-association-sen-fiche-les-delires-antivax-dun-ponte-de-la-medecine-vaudoise-id16778677.html

[7] Dans la foulée, les médias suisses nous informent que le Dr Saegesser passera devant une « commission de déontologie » et « risque une sanction de ses confrères » (alors que la liberté de parole des médecins en Suisse est infiniment plus respectée qu’en France).
https://www.24heures.ch/le-docteur-philippe-saegesser-risque-des-sanctions-de-ses-confreres-858231714856

[8] https://fr.sputniknews.com/sante/202012221044970445-quel-avenir-pour-la-vaccination-face-a-de-nouvelles-souches-de-coronavirus—video/

[9] https://www.bfmtv.com/tech/fnac-une-selection-d-ouvrages-sur-le-covid-19-fait-polemique-sur-les-reseaux-sociaux_AN-202108180251.html

[10] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1830295/discours-antivax-bibliotheques-youtube-liberte-expression-recherche

[11] https://www.francetvinfo.fr/sante/vaccins/onze-vaccins-obligatoires-au-1erjanvier2018-l-aluminium-dans-les-vaccins-represente-une-goutte-d-eau_2539435.html

[12] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0300483X16303043?via%3Dihub

[13] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/aluminium-dans-les-vaccins-des-effets-toxiques-caches-par-l-ansm_116650

[14] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/vaccins-aluminium-autisme-la-video-eclairante-d-un-medecin-contre-les-rumeurs_1927989.html

[15] https://www.sudouest.fr/sante/vaccins-mais-que-leur-reproche-t-on-exactement-3351247.php

[16] https://www.tf1info.fr/sante/aluminium-present-dans-les-vaccins-adjuvant-est-un-danger-pour-la-sante-2059587.html

[17] https://www.leparisien.fr/societe/les-figures-de-proue-du-mouvement-antivaccins-en-france-24-07-2017-7152822.php

[18] http://www.slate.fr/story/214536/viagra-femmes-sexualite-feminine-desir-libido-agence-americaine-etats-unis-etudes-industrie-pharmaceutique-marketing

[19]https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html




Le « Great Resist » en Italie : vers une plateforme commune anti-passe, UE et Otan

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : L’Italie est-elle prête à se (re)lever ?
Filippo MONTEFORTE / AFP]

Auteur(s): Moufid Azmaïesh, pour FranceSoir

TRIBUNE — « Nous voulons que l’Italie se batte pour l’Italie. » Que ce soit en musique, en mathématiques, en architecture, en physique ou même et surtout en poétique, la majorité des acquis de ce que l’on appelle la civilisation « européenne » découle de découvertes faites en Italie, depuis le 12e ou 13e siècle.

Or, l’Italie n’a depuis 1945 de souveraine que le nom.

Ce pays d’artistes et de génies scientifiques, de facto occupée par les États-Unis, est désormais une simple plateforme militarisée de l’OTAN, modèle de ce que l’Europe est censée devenir.

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La peur au ventre depuis l’assassinat de l’homme d’État Enrico Mattei (1904-1962), qui avait conclu de gigantesques accords avec les pays producteurs de pétrole dont l’URSS, suivi des années de plomb et accompagné par le bruissement des réseaux Gladio, le citoyen italien lambda s’interdit de contester même en rêve ces bases américaines. Car l’Italie est un pays « où on meurt facilement d’accident ».

Or, avec le conflit en Ukraine, la menace de sécurité que représente l’Italie pour ses voisins, avec ses bases américaines recelant des armes nucléaires, éclate au grand jour. Ce n’est pas une vue de l’esprit ou de quelque opinion radicale, mais un fait avéré. Un temps décriées comme « idéologiques », les analyses de Manlio Dinlucci sont avérées.

L’Italie, réserve et donc cible d’armes atomiques

Fin avril, le conseiller Davide Barillari du Latium publiait sur son site un texte incendiaire d’auteurs tiers : « Assez des mensonges ! L’Italie doit sortir de l’OTAN ! ». Si M. Barillari est connu comme le loup blanc pour son opposition au passe vaccinal et aux injections expérimentales, c’est également l’un des francs opposants italiens à l’OTAN et à la présence militaire américaines en Italie.

Lire aussi : Conférence des pourvoyeurs d’armes de l’Otan à Ramstein: ingérence dans les affaires allemandes ?

Le communiqué, s’il est entaché de quelques erreurs, présente toutefois des éléments dans le domaine public sur lesquels le citoyen lambda préfère prudemment fermer les yeux : en plus des bases avouées de l’OTAN, il y aurait 20 bases secrètes, pour un total (le nombre étant en flux constant, il est impossible d’en connaître le nombre exact) de 13 000 soldats américains. Et ces bases sont extra-territoriales, ce qui est d’une importance capitale. Nul Italien ne sait ce qu’il s’y trame.

La marine américaine possède un aérodrome gigantesque en Sicile, à Sigonella, d’où décollent entre autres les drones rôdant sur la frontière ukraino-russe, ainsi que les drones Triton et Reaper. À Camp Darby, près de Pise, un dépôt de bombes et d’armes, 125 bunkers ; à Gaeta, le bâtiment amiral et le commandement de la VIème flotte américaine ; à Ghedi, près de Brescia, un dépôt d’armes atomiques ; à Aviano, la plus grande base aérienne américaine de la Méditerranée, dépôt de têtes nucléaires ; à Vicenza, où la population avait voté à plus de 90 % contre le doublement de la base américaine, se trouve le commandement américain pour l’Europe du Sud, avec des milliers de soldats ; à Naples, l’Allied Joint Force Command de l’OTAN, le commandement de la « Security Force » de la Marine américaine, la base de sous-marins américains, le commandement des forces aériennes pour la Méditerranée ; à Mondragone, près Caserta, le souterrain anti-atomique pour le commandement américain et otanien.

Au total, selon ce même communiqué, 70 têtes atomiques seraient entreposées sur le sol italien.

La liste pourrait s’étendre sur des dizaines de pages sans que jamais elle ne soit à jour, de nouvelles armes, bâtiments et unités américaines arrivant et partant sans cesse dans le contexte du conflit russo-ukrainien.

Lire aussi : L’Union européenne va livrer des armes à l’Ukraine, même si ce n’est pas prévu par les traités

Revenons sur Camp Darby. Cette base américaine, à côté de Pise, fait l’objet d’un gigantesque plan d’investissement censé dévorer une partie du Parc national Rossore, avec l’abattage de 1 000 arbres, mais surtout, censé permettre une connexion multi-voies au Port de Livorno. Le projet, apparemment financé par le Département américain de la défense, donne lieu à des rassemblements les 14 et 15 mai prochains, sous le sigle « Les causes économiques de la guerre : le néolibéralisme », organisé par le comité « No Camp Darby« . Parmi les sujets abordés : le destin de Julien Assange et le « journalisme de guerre », ainsi que « La militarisation du territoire – cause et conséquence de la guerre », avec l’économiste Matteo Bortolon.

Alors que ses travailleurs sont parmi les plus mal payés du continent, l’Italie a augmenté il y a peu son budget militaire, passant de 25 à 38 milliards d’euros annuels.

Par ailleurs, l’association de consommateurs CODACONS vient de déposer recours devant le Tribunal administratif du Latium pour abus de pouvoir, qui sera plaidé le 25 mai. Selon Carlo Rienzi, président du CODACONS, le décret-loi N°14-2022, par lequel le gouvernement italien fournit des armes à l’Ukraine, méconnaît les articles 11 et 78 de la Constitution.

Le CODACONS conteste non seulement le dispositif par lequel l’Italie envoie des armes en Ukraine, mais aussi le fait que le gouvernement ait imposé le secret sur les catégories d’armement concernées, occultant vraisemblablement le fait qu’il puisse s’agir d’armes offensives et non défensives. L’Italie « se trouve par conséquent en état de guerre non formellement déclaré, ce qui viole l’article 78 de la Constitution ». Cette aide, dit la CODACONS, « n’est pas marginale, mais décisive. L’Italie s’est ainsi exposée à toutes les conséquences pour ce que pourront les représailles de la part des armées russes. »

Quant à l’article 11 de la Constitution, il dispose notamment que « l’Italie répudie la guerre comme moyen de résolution des disputes internationales », tandis que la loi exige que toute opération belliqueuse soit débattue par le Parlement. Sur son blog, Carlo Rienzi souligne que le contribuable (et consommateur) italien, qui s’est bien souvent montré hostile à toute participation italienne au conflit, finance par l’impôt ces armes, explosifs et munitions, sans toutefois avoir été consulté.

Des cargaisons occultes d’armes à Pise

Déjà à la mi-mars, des travailleurs de l’aéroport Galilei de Pise s’étaient révoltés, en découvrant que des caisses qu’ils chargeaient à Cargo Village près l’aéroport civil, censées contenir du matériel médical et humanitaire, étaient en réalité remplies d’armes et munitions à destination de l’Ukraine, par le truchement des bases américaines/OTAN en Pologne. Soulignant que les Ukrainiens chargés de la réception du fret militaire seront tués dans les bombardements russes, les manutentionnaires italiens ont refusé de traiter les chargements et ont exigé des contrôleurs aériens qu’ils bloquent les vols. Cela a débouché sur une manifestation à la mi-mars, devant l’aéroport.

Lire aussi : Les dockers de Trieste contre le « Green Pass » : l’avant-garde d’une révolte en Italie ?

Les analyses les plus exactes quant au péril d’extinction que représente cette présence américaine en Italie sont issues de la plume de stratèges très « à gauche », tel Manlio Dinucci. Cela n’enlève rien à leur précision scientifique et ne discrédite en rien le message qui agite désormais le Parlement italien. Cela semble même atteindre l’étrange atlantiste et président du conseil Mario Draghi.

Voilà qu’à la surprise générale, au moment même où le Financial Times annonçait que « l’Italie a finalement décidé de la jouer dure avec la Russie », Mario Draghi a déclaré, à l’issue de son entretien avec Joe Biden le 10 mai à Washington : « Au début de la guerre, certains disaient que l’Italie devrait jouer un rôle, ce à quoi j’ai répondu : il n’est pas utile de chercher un rôle. Il faut chercher la paix. Cela importe peu qui sont les parties impliquées, c’est une initiative de paix qu’il faut et non une initiative partisane ».

Voir aussi : Autriche: les partis du « Great Resist » persistent et signent en défendant la neutralité du pays

Le « Great Resist » en Italie : vers une plateforme commune anti-passe, UE et Otan

Faut-il chercher cet apparent tournant dans les déclarations du pape François, ou plutôt dans la rencontre entre les opposants au passe et le mouvement « gaulliste » italien ?

Le 1er mai dernier s’est tenu à Padoue un congrès qui sera peut-être vu comme de portée historique. Il réunissait tous les mouvements d’opposition : Ancora Italia, Alternativa, Federazione Terza Repubblica, Italexit, Liberiamo l’Italia, Movimento 3V et Riconquistare l’Italia, pour discuter d’une plateforme commune. Évènement couvert par la nouvelle chaîne de réinformation Byoblu, qui à l’instar de plusieurs chaînes italiennes animées par des journalistes pour la plupart non-professionnels (Cento Giorni da Leoni, Luogocomune de Massimo Mazzucco, Visione tv), est auto-financée et émet désormais plusieurs fois par jour.

« Au nom de la Paix, du Travail et de la Liberté, nous voulons que l’Italie se batte pour l’Italie », a déclaré une jeune femme qui participait au Congrès. Mot de la fin… ou d’un nouveau commencement ?




J’ai honte que la France s’associe à la folle guerre américaine contre Moscou

[Source : RL]

Par Jacques Guillemain

J’ai honte que la France s’associe à cette croisade anti-russe injustifiée. Nous menons une guerre contre des chrétiens, contre un peuple à la pointe de la recherche scientifique, un peuple d’une richesse culturelle incomparable. Comment pouvons-nous céder à cette hystérie collective orchestrée par Washington pour conserver son hégémonie planétaire ?

Avec nos sanctions sans limites, nos insultes humiliantes, avec la mise au ban injustifiée de tout un peuple dont je me sens proche, j’ai le sentiment que nous distillons dans le cœur des Russes une haine durable de l’Occident, qui aura de graves conséquences dans le futur. Tout cela va mal finir.

Si nous avions arrimé la Russie à l’Europe en 1990, notre continent serait aujourd’hui la première puissance de la planète, avec ses ressources minières gigantesques et son génie scientifique. Mais les Européens ont fait le choix suicidaire de l’Amérique, qui n’a d’autre ambition que d’affaiblir tout ce qui menace son impérialisme.

[Voir aussi :
J’ai honte pour vous, lâches Occidentaux]

La France a tout à perdre en s’engageant dans cette guerre qui ne nous concerne aucunement. Il devient urgent de quitter l’OTAN qui est devenue une alliance antirusse offensive, bien loin de son concept initial de protection et de défense de l’Europe.

Malgré tous les fiascos de la politique agressive de Washington depuis la fin de la guerre froide, Macron n’a pas eu la sagesse de dire « non » aux Américains, comme l’avait fait Chirac il y a vingt ans, en refusant de s’engager dans une folle guerre en Irak, laquelle a conduit le Moyen-Orient au chaos, en enfantant l’État islamique, ce monstrueux modèle de barbarie qu’on croyait disparu à jamais.

Oui, il s’agit bien d’une guerre américaine qui monte en puissance de jour en jour. Pour Biden, il ne s’agit plus de défendre l’Ukraine, mais de vaincre la Russie une bonne fois pour toutes, en menant une guerre par procuration sur le dos des Ukrainiens. L’escalade qu’il mène avec l’Europe est des plus dangereuses.

Mais qui peut croire une seule seconde que Poutine va renoncer et accepter une défaite cuisante, alors qu’il défend la sécurité de son pays et de son peuple ? Qui peut croire que la deuxième armée du monde va plier sous les sanctions économiques et les aides militaires de l’Occident, inconsidérément fournies à Kiev ?

Poutine n’est pas le fou qu’on nous dépeint. S’il s’est lancé dans cette guerre, ce n’est pas pour avaler l’Ukraine et ensuite dévorer toute l’Europe, comme veut le faire croire l’hystérique Zelensky, ce pitre qui en appelle au monde entier pour sauver l’Ukraine, même au prix de l’apocalypse nucléaire. Personne n’aurait dû écouter cet illuminé qui rêve de nous mener à la guerre totale.

Voilà vingt ans que Poutine réclame des garanties de sécurité pour la Russie et l’Europe. En réponse, l’OTAN a ouvert ses portes à 14 pays de l’ex-URSS.

En 1999, l’OTAN a agressé la Serbie, alliée de Moscou, sous un faux prétexte de génocide au Kosovo

En 2008, l’Occident a dépecé la Serbie en accordant l’indépendance au Kosovo, au mépris du droit international. Pour Washington, seule prévaut la loi du plus fort.

L’Occident a soutenu en 2014 la révolution de Maïdan pour renverser le gouvernement prorusse de Kiev.

La France et l’Allemagne, cosignataires des accords de Minsk de 2015, avec Kiev et Moscou, n’ont jamais levé le petit doigt pour les faire respecter par les Ukrainiens,censés accorder l’autonomie aux républiques prorusses du Donbass.

Bien au contraire, le gouvernement antirusse de Kiev a bombardé et martyrisé le Donbass, faisant 13 000 morts en huit ans de conflit fratricide.

En promettant à l’Ukraine son intégration à l’UE et à l’OTAN, les Occidentaux ne font qu’exaspérer l’ours russe.

Mais attention ! Humilier et acculer la Russie, en la mettant au ban des nations, en ajoutant aux sanctions économiques des sanctions sportives et artistiques aussi injustes que stupides, cela ne fait que braquer tout le peuple russe contre l’Occident et persuader Poutine que nous sommes ses ennemis mortels.

Poutine ne lâchera rien et son peuple le soutiendra toujours, car il se sent haï par cet Occident agressif.

Il faut sortir de ce toboggan vers la guerre totale, où veut nous entraîner Biden, qui ne défend que ses intérêts économiques et stratégiques. Peu lui importe une partition de l’Ukraine, peu lui importe un effondrement économique de l’Europe suite à la crise énergétique et financière. Comme toujours, c’est « L’Amérique d’abord ».

Faire de Poutine un fou et un boucher, un dictateur sanguinaire qui massacre le peuple ukrainien, souhaiter ouvertement son renversement, c’est un mensonge criminel pour entretenir la haine antirusse.

Washington oublie que sa politique agressive a fait des centaines de milliers de morts, ensevelis sous des tapis de bombes depuis 1990.

La soif de domination des États-Unis nous mène à la guerre totale.

Il y aura tôt ou tard des frappes nucléaires tactiques si Poutine juge les intérêts vitaux de la Russie menacés. Il peut aussi y avoir des frappes ciblées vers les pays européens les plus agressifs armant l’Ukraine et prêchant l’escalade sans fin. Les missiles hypersoniques, c’est fait pour s’en servir…

La paix durable en Europe passe par un arrêt de l’élargissement de l’OTAN et par la finlandisation de l’Ukraine, en écartant toute intégration à l’Alliance atlantique ou à l’UE.

Hélas, ce n’est pas la vision de Biden qui veut anéantir économiquement la Russie, oubliant qu’elle détient 20 % des richesses minières mondiales, et que son peuple a montré au cours de l’histoire qu’il ne capitulait jamais.

Ce qui est certain, c’est que Poutine ne reculera sous aucune menace, il en a les moyens militaires.

Ce qui peut faire reculer Biden, c’est la division des Européens, entraînés dans une escalade risquée dont ils sont les premiers perdants.

Le sort des armes aidera à y voir plus clair.

Contrairement à l’odieuse propagande pro-ukrainienne, l’armée russe ne cesse d’avancer, lentement mais sûrement, tandis que l’armée ukrainienne ne cesse de s’affaiblir, en matériels et en personnels.

Et la reddition des troupes d’Azovstal devrait être porteuse d’enseignements majeurs, quant à l’engagement des Occidentaux dans ce conflit. Combien de mercenaires ? Pour quelle mission ? Quel projet ?

Les différentes tentatives de Kiev pour sauver les chefs ukrainiens ou étrangers enfermés dans cette usine, des missions-suicide qui se sont toutes soldées par un désastre, laissent supposer que les sous-sols d’Azovstal cachent des informations explosives pour le camp occidental.

De quoi faire chanceler les convictions antirusses des opinions européennes ?

À suivre…




Ursula von der Leyen : symbole de la ruine de la classe dominante occidentale

[Source : algeriepatriotique.com]

Par Mohsen Abdelmoumen

L’hystérie des dirigeants européens et de la presse occidentale aux ordres ne connaît pas de limites depuis le 24 février dernier, date à laquelle la Fédération de Russie a entamé son opération spéciale en Ukraine. Chaque jour apporte son lot de déclarations à l’emporte-pièce des responsables occidentaux qui laissent à penser qu’ils ont perdu toute lucidité et discernement. La cheffe de file de cette meute enragée n’est autre que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, parachutée par Angela Merkel à la tête de la Commission pour échapper aux problèmes qui n’auraient pas manqué de survenir suite aux nombreux conflits d’intérêts et aux tripotages qui entachent son séjour au ministère de la Défense allemande.

En effet, Ursula von der Leyen a tendance à mêler sa famille à sa carrière politique et à impliquer ses proches dans la réalisation de contrats aux bénéfices plantureux, tels que des contrats passés par le ministère de la Défense lorsqu’elle y était ministre, pour un montant de plusieurs millions d’euros et sur lesquels la commission d’enquête du Bundestag devait se pencher. Mais, pas de chance, les SMS et l’historique des conversations de von der Leyen qui auraient pu servir de preuve ont disparu de son téléphone. D’une incompétence crasse, cette grande bourgeoise teutonne n’en est pas moins roublarde puisqu’elle efface toutes les preuves de ses «indélicatesses».

Non seulement Ursula von der Leyen est incompétente, mais, en plus, elle est embourbée dans une multitude de malversations. Celles-ci ont commencé lors de ses études à l’université de Hanovre en Allemagne où elle étudiait la médecine et où son époux enseignait. En 2015, le site internet anti-plagiat VroniPlag Wiki a découvert que 43,5% de sa thèse de doctorat était copiée. Plusieurs universitaires allemands notables l’ont accusée de plagiat intentionnel, mais à la suite d’une enquête universitaire ouverte en 2016, il a été décidé de ne pas lui retirer son titre de docteur sous prétexte qu’aucune intention de tromper ne pouvait être prouvée. Ursula von der Leyen aurait donc volé le travail de quelqu’un d’autre sans s’en apercevoir ? Serait-elle sujette à des crises de somnambulisme au cours desquelles elle fait des copiés-collés ?

Autre supercherie : son curriculum vitae indiquait qu’elle avait fréquenté l’université Stanford en tant qu’«auditrice invitée», alors que ce poste n’existe pas. Ce n’est qu’un détail mais qui révèle la personnalité de celle qui règne actuellement sur l’Europe comme un nouveau Führer et qui impose ses diktats à des millions de personnes sans jamais avoir été élue. Elle vient d’ailleurs de déclarer que le vote à l’unanimité n’avait plus de sens dans les domaines clés de la politique de l’Union européenne si celle-ci veut agir plus rapidement. Von der Leyen ne cache plus ses intentions de gouverner comme un véritable dictateur. Sachant cela, l’Union européenne va-t-elle encore continuer à vanter ses «valeurs» démocratiques ?

Revenons un peu en arrière. Ursula von der Leyen a pris ses fonctions au ministère de la Défense allemande en décembre 2013 et les dépenses faramineuses de la ministre ont mis la puce à l’oreille du président de la Cour des comptes qui estimait que le ministère de la Défense sous Ursula von der Leyen dépensait beaucoup d’argent pour des prestations de conseil. Ainsi, d’après la Cour des comptes, le ministère de von der Leyen avait dépensé 100 millions d’euros en 2015, puis 150 millions d’euros en 2016 en frais de contrats de conseil, alors que des sommes bien inférieures avaient été publiquement déclarées. Il apparaît que c’était le cabinet de conseil McKinsey qui était chargé de conseiller la ministre von der Leyen, laquelle avait fait appel à son «expertise» sans passer par un appel d’offre. On comprendra aisément pourquoi quand on saura que l’un des collaborateurs de McKinsey était le propre fils de von der Leyen, David, et qu’il participait aux bénéfices de l’entreprise. Dans la foulée, von der Leyen a aussi nommé Katrin Suder, la directrice du bureau berlinois de McKinsey, au poste de secrétaire d’Etat à l’armement, qui est par la suite devenue la cheffe du Conseil du numérique, chargée de conseiller le gouvernement fédéral sur la numérisation de l’Allemagne et qui, au cours de ses quatre années à ces fonctions, a augmenté significativement le nombre de contrats attribués à des consultants externes, notamment à Accenture et McKinsey.

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D’après la presse allemande, von der Leyen dépensait allègrement l’argent public en contrats avec des conseillers externes qui entraient et sortaient du ministère en empochant des tarifs journaliers énormes et, en outre, avaient accès à des documents confidentiels et disposaient également d’adresses électroniques ministérielles. Devant les dizaines de millions d’euros dépensés par le ministère de la Défense pour des contrats attribués à ces cabinets de conseil externes, une commission d’enquête organisée par l’Office fédéral des finances allemand a été chargée en 2018 d’examiner d’un peu plus près la gestion désastreuse de von der Leyen. Le bureau de vérification a constaté plusieurs irrégularités dans la façon dont les contrats avaient été attribués et pour les besoins de l’enquête, deux des téléphones de von der Leyen ont été confisqués, mais les données des deux appareils avaient été supprimées. En décembre 2019, Tobias Lindner, député Alliance 90/Les Verts, a déposé une plainte pénale pour l’effacement des données des téléphones portables d’Ursula von der Leyen, invoquant une destruction délibérée de preuves.

En plus d’être une récidiviste en matière de corruption et de conflits d’intérêts, Von der Leyen a la manie de faire le grand nettoyage de ses téléphones. Ainsi, depuis qu’elle est à la Commission européenne, son copinage avec Albert Bourla, le patron de Pfizer, défraie la chronique. En effet, elle a échangé avec lui des SMS qu’elle ne veut pas révéler malgré la demande expresse de la médiatrice européenne, Emily O’Reilly, qui trouve que cette Ursula est décidément une vilaine cachottière, tellement cachottière qu’elle a à nouveau effacé tous ses SMS et l’historique de ses conversations. Et ce n’est pas par hasard, comme nous allons le découvrir. Il s’avère que le mari de la nouvelle impératrice européenne, le Dr Heiko von der Leyen, a été catapulté directeur médical de la société pharmaceutique américaine Orgenesis, spécialisée dans la recherche sur l’ARN messager et proche de la société Pfizer.

De chef de clinique à Hanovre, il est parti aux Etats-Unis sans crier gare pour rejoindre le conseil d’administration d’Orgenesis en décembre 2020, soit au tout début de ce qui allait devenir la pandémie de Covid. Salaire : 1 million de dollars par an pour quelqu’un qui n’était pas vraiment qualifié pour ce poste. Mais il semble que ce soit une tradition familiale chez les von der Leyen de se faufiler dans des emplois lucratifs. Dès lors, des tractations entre Ursula von der Leyen, son mari et le patron de Pfizer ont eu lieu via des échanges de SMS. Et, le 8 mai 2021, un contrat d’achat de 1.8 milliard de doses de vaccin est signé par Ursula von der Leyen au nom de la Commission européenne. Le prix de la transaction n’a pas été révélé, mais on l’estime à 36 milliards de dollars, payés par les contribuables européens bien sûr. Qui dit négociation de contrat, dit commission et, donc, le Dr Heiko Von der Leyen a reçu une «prime de performance» s’élevant à plusieurs millions de dollars. Les députés européens qui cherchent à faire la lumière sur les tractations obscures entre la Commission et Pfizer ont reçu – dans un laps de temps limité pour l’étudier et avec interdiction de prendre des notes – copie du contrat, mais la moitié des 90 pages dudit contrat étaient grisées et les passages inaccessibles concernaient les éléments les plus importants, comme les prix et les clauses de responsabilité au sujet des effets secondaires.

Son accession à la présidence de la Commission européenne lui monte à la tête, car Ursula von der Leyen a réalisé un véritable coup d’Etat au sein des institutions européennes en prenant des décisions qui n’incombent pas à son poste comme, entre autres, celle d’interdire des organes de presse russes tels que Russia Today et Sputnik, et envoyer des armes en Ukraine, ce dernier fait constituant à lui seul une véritable déclaration de guerre à la Russie qui n’entre pas dans le cadre des attributions de la Commission et qui est totalement anticonstitutionnel. Mais von der Leyen n’en a cure et elle continue à saccager les institutions européennes avec une ardeur frénétique. Comme elle dévaste également l’économie européenne en imposant des sanctions ubuesques à la Russie, dont l’effet boomerang ne va pas manquer de se répercuter sur les populations des pays européens. Elle a envoyé 4 milliards d’euros en Ukraine depuis le début de l’opération spéciale de la Russie pendant que les Européens voient grimper le prix des énergies et des carburants et se demandent comment ils vont pouvoir payer leurs factures de chauffage et faire le plein de leur véhicule pour aller travailler.

Aujourd’hui, Ursula von der Leyen est en guerre contre la Russie et, il faut bien le dire, contre les peuples d’Europe qu’elle précipite dans la ruine et la récession. Elle est très amie avec le clown Zelensky auquel elle envoie l’argent des contribuables européens et de l’armement et auquel elle a promis l’entrée de l’Ukraine dans la communauté européenne. Sachant que l’Ukraine va cesser d’exister en tant qu’Etat en étant coupée en deux, l’ouest revenant à la Pologne et l’est retournant dans le giron de la Fédération de Russie, on se demande quel territoire ukrainien va adhérer à l’Europe. Mais Ursula von der Leyen reste convaincue qu’elle gagnera sa guerre contre la Russie, au risque d’entraîner toute l’Europe dans une crise sans précédent.

Jusqu’ici, elle a réussi à se faufiler entre les enquêtes et à échapper à la justice. Il est grand temps que les peuples européens se réveillent de l’état d’hébétude dans lequel le régime fasciste des «élites» européennes les a plongés, car ce qui s’annonce à l’horizon pourrait bien être la fin de l’Europe et le début du chaos.




Le « traité pandémique » de l’OMS mettra fin à la liberté telle que nous la connaissons et remettra les « clés du pouvoir » à son plus grand bailleur de fonds privé, M. Bill Gates

[Source : mirastnews.net]

Ce qui suit concerne le nouveau traité pandémique proposé par l’Organisation mondiale de la santé qui peut potentiellement éradiquer la souveraineté nationale telle que nous la connaissons. Il s’agit aussi de la banalité du mal et de l’impact de nos choix quotidiens individuels sur les générations futures et l’histoire du monde.

Par Tessa Léna

Quel est l’accord avec le traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ?

En décembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé son intention d’élaborer un nouveau traité sur la pandémie «renforçant» la coopération internationale lors de futures pandémies. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Le langage de l’annonce était vague, nous devons donc l’interpréter dans son contexte. Voici de la bouche du cheval : (décembre 2021) :

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu aujourd’hui de lancer un processus mondial pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la pandémie prévention, préparation et réponse.

Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, a déclaré que la décision de l’Assemblée mondiale de la santé était de nature historique, vitale dans sa mission, et représentait une occasion unique en son genre de renforcer l’architecture mondiale de la santé pour protéger et promouvoir la bien-être de tous. »

Plus de la bouche du cheval (avril 2022):

« Dans une décision consensuelle visant à protéger le monde contre les futures crises de maladies infectieuses, en décembre 2021, l’Assemblée mondiale de la santé a convenu de lancer un processus mondial en créant un organe intergouvernemental de négociation (INB) pour rédiger et négocier une convention, un accord ou un autre instrument international. en vertu de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé pour renforcer la prévention, la préparation et la riposte aux pandémies…

Dans le cadre de cette décision historique, l’Assemblée mondiale de la Santé a demandé au Directeur général de tenir des auditions publiques, conformément à la pratique courante de l’OMS, pour soutenir le travail de l’INB. Selon le calendrier de l’INB, le premier tour de ces audiences a été fixé du 12 au 13 avril 2022, avec un second tour prévu du 16 au 17 juin. Ces informations sur les modalités du premier tour d’audience devraient également s’appliquer au second tour.

Mensonges, Mensonges, Mensonges

Commençons par la question du langage déformé. Dans un monde honnête sans agenda sombre, sans quatrième révolution industrielle et sans langage à l’envers, leur traité pourrait sembler une belle idée. Par exemple, qu’est-ce qui peut mal se passer avec une coopération internationale significative et bienveillante en temps de crise ? Un beau conte de fées, non ?

Malheureusement, ce n’est pas du tout un conte de fées, mais plutôt un film d’horreur, car nous vivons dans un monde de mensonges éhontés et de langage à l’envers – et les mots ne signifient plus ce qu’ils sont censés signifier.

A LIRE AUSSI : Pfizer et CDC ont commis une fraude en retenant des données critiques, causant des dommages et la mort de millions de personnes ! + Regardez Bill Gates tenter de vendre son équipe GERM et ses jeux GERM au monde

Pour nous tromper, les bureaucrates essaient de créer dans nos esprits le sentiment qu’ils se réunissent pour nous protéger, comme un conseil bienveillant de sages grand-mères indigènes — alors qu’en réalité, c’est plutôt comme s’ils cherchaient à nous piéger, étant une bande de loups avides et impitoyables déguisés en brebis qu’ils sont.

« Santé » ne signifie pas la santé réelle, mais plutôt la promotion de tout produit ou interférence souhaitable pour les actionnaires et les PDG des sociétés pharmaceutiques et technologiques.

Tout comme Fauci s’est récemment assimilé à la science, les porte-parole des entreprises assimilent tout ce qu’ils veulent nous vendre ou nous imposer à la «santé», puis disent qu’ils protègent notre «santé» alors qu’en fait, ils ne font que protéger leurs poches.

Nous vivons dans un monde où nos dirigeants (traduction : nos semblables qui n’ont aucun avantage intrinsèque sur nous mais qui ont pris de l’avance sur la base d’une extrême soif de pouvoir) profitent pleinement du fait que, pour faire des choses destructrices avec le moins de résistance, puis les appeler « des choses utiles qui sont bonnes pour le peuple », et s’en tirer pendant un certain temps. C’est l’astuce !

Et d’ailleurs, si les deux dernières années sont une indication, la « coopération internationale » signifie en pratique que tous les dirigeants affiliés au WEF vont de l’avant et jettent leurs gens sous le bus à l’unisson, au son de messages uniformes dans les médias.

La « coopération internationale » signifie que tous les pays font la même chose destructrice, entraînant des morts et des souffrances humaines inutiles, une perturbation des structures sociales et de l’économie mondiale, le tout pour ouvrir la voie à leur « nouvelle normalité » préférée. C’est de la coopération internationale !

Audiences publiques

Compte tenu de la nature historique autoproclamée de ce traité, l’Organisation mondiale de la santé a consacré les deux jours entiers au premier tour des audiences publiques (et ils n’en ont pas fait beaucoup de publicité). Le premier tour a eu lieu en avril 2022. Le deuxième tour aura lieu en juin de cette année.

Le Dr Tess Lawrie a écrit un article très émouvant sur le traité de pandémie de l’OMS et la soumission de commentaires vidéo par le Conseil mondial de la santé.

Voici les commentaires du Dr Lawrie sur le traité proposé, après avoir eu la chance de participer à un appel avec l’OMS (ainsi qu’avec l’ONUSIDA, la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, le Programme des Nations Unies pour l’environnement et l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est) dans le cadre du processus de soumission.

• Appels à être « axés sur la sécurité humaine » et pas seulement « axés sur la sécurité sanitaire ». Apparemment, ils ne veulent pas seulement contrôler votre corps, mais tous les aspects de votre vie.

• Approbation rapide des diagnostics d’urgence – et enregistrement réglementaire unifié pour les diagnostics. En d’autres termes, plus de contrôle.

• Un accès équitable aux vaccins et « un mécanisme pour tenir les contrevenants responsables ». Donc, si une nation conclut qu’un vaccin n’est pas sûr – comme cela s’est produit lors de cette dernière pandémie – l’OMS aurait le pouvoir de passer outre cela et de piquer sa population de toute façon.

• Les vaccins doivent être développés dans les 100 jours. Ceci est absurde. Il faut dix ans pour que les médicaments sûrs soient correctement testés et déclarés sûrs. Il y a plus de 3,5 millions de personnes dans la base de données de l’OMS qui ont été blessées par les vaccins Covid et cela pourrait être la pointe de l’iceberg.

Je suis d’accord que ces puces sonnent comme s’il s’agissait de contrôle, donc pas surprenant que cela s’accompagne de plus de censure !  

Plus de censure

Alors que les commentaires publics étaient ouverts, la campagne #StopTheTreaty du Conseil mondial de la santé, où le Dr Tess Lawrie fait partie du comité directeur, a fait parler de lui dans la « communauté de la liberté ». Mais si vous le cherchiez sur Google, vous n’en sauriez rien ! Voici ce que j’ai écrit quelques heures seulement après la fin de la période de commentaires :

« Si vous recherchez l’expression « traité pandémique de l’OMS » sur DuckDuckGo, #StopTheTreaty  figure parmi les meilleurs résultats. Sur Google, rien de tel n’existe. Si vous recherchez réellement l’expression « arrêter le traité », sur DuckDuckGo #StoopTheTreaty est le résultat numéro un. Google, en revanche, vous dit tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le traité de Versailles de 1919 !) »

Pour l’Organisation mondiale de la santé, ce n’est pas le premier rodéo

Il est curieux que ce ne soit pas la première fois que l’OMS essaie de servir l’industrie pharmaceutique et divers actionnaires de l’industrie en utilisant la « préparation à une pandémie » comme outil juridique.

Par exemple, en 2009, ils ont annoncé une pandémie de grippe (H1N1) qui a activé les accords d’achat de vaccins et contraint les pays participants à de gros lots de doses dont ils n’avaient pas besoin. La sortie précipitée d’un produit médical de qualité inférieure a conduit, entre autres, à un «fiasco de la narcolepsie».

Selon le rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe :

« L’Assemblée parlementaire s’alarme de la manière dont la pandémie de grippe H1N1 a été gérée, non seulement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), mais aussi par les autorités sanitaires compétentes au niveau de l’Union européenne et au niveau national.

Elle est particulièrement troublée par certaines des conséquences des décisions prises et des conseils donnés, qui conduisent à une distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, au gaspillage de sommes importantes d’argent public, ainsi qu’à des craintes et à des craintes injustifiées concernant les risques pour la santé auxquels est confronté le public européen à grande.

L’Assemblée note que de graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus décisionnels liés à la pandémie, ce qui a suscité des inquiétudes quant à l’influence possible de l’industrie pharmaceutique sur certaines des décisions majeures relatives à la pandémie.

L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité n’entraîne une chute de la confiance dans les conseils donnés par les grandes institutions de santé publique. Cela pourrait s’avérer désastreux dans le cas de la prochaine maladie à portée pandémique – qui pourrait s’avérer bien plus grave que la pandémie H1N1…

Le rapporteur considère que certains des résultats de la pandémie, tels qu’illustrés dans ce rapport, ont été dramatiques : distorsion des priorités des services de santé publique dans toute l’Europe, gaspillage d’énormes sommes d’argent public, provocation d’une peur injustifiée parmi les Européens, création de les risques pour la santé liés aux vaccins et aux médicaments qui n’ont peut-être pas été suffisamment testés avant d’être autorisés dans le cadre de procédures accélérées, sont tous des exemples de ces résultats.

Même Forbes a écrit en 2010 que « depuis le début, les actions de l’Organisation mondiale de la santé vont du douteux à l’incompétence flagrante ». Une citation poignante :

« Les décisions douteuses de l’OMS démontrent que ses responsables sont trop rigides ou trop incompétents (ou les deux) pour apporter les ajustements nécessaires au système d’alerte à la pandémie – des lacunes que nous attendons d’une organisation scientifiquement contestée, auto-importante et irresponsable.

L’OMS peut être en mesure d’effectuer et de signaler une surveillance mondiale – c’est-à-dire de compter le nombre de cas et de décès – mais son rôle politique devrait être considérablement limité.

Les bureaucrates de l’ONU se font passer pour des autorités sur toutes sortes de produits, de politiques publiques et d’activités humaines, de la désertification et de la biodiversité à la réglementation des produits chimiques, aux utilisations de l’océan et aux tests de plantes génétiquement modifiées.

Cependant, les politiques, exigences et normes réglementaires de l’ONU défient souvent le consensus scientifique et le bon sens. Ses responsables ne sont pas des amis du commerce, de la santé publique ou de la protection de l’environnement. Le résultat est un monde plus précaire, plus dangereux et moins résilient. En ce qui concerne la peste, l’ONU est peut-être le plus grand fléau de tous.

Qu’est-ce qu’une pandémie, de toute façon ?

Il est à noter que juste avant que l’OMS ne déclare une pandémie, elle a changé la définition du mot. Extrait du British Medical Journal :

« L’OMS avait défini pendant des années les pandémies comme des épidémies causant » un nombre énorme de décès et de maladies », mais début mai 2009, elle a supprimé cette expression – décrivant une mesure de gravité – de la définition.

Des scientifiques clés conseillant l’Organisation mondiale de la santé sur la planification d’une pandémie de grippe avaient effectué un travail rémunéré pour des sociétés pharmaceutiques qui avaient tout à gagner des conseils qu’elles préparaient. Ces conflits d’intérêts n’ont jamais été divulgués publiquement par l’OMS, et l’OMS a rejeté les enquêtes sur sa gestion de la pandémie A/H1N1 comme des « théories du complot ».

Une enquête conjointe du BMJ et du Bureau of Investigative Journalism a révélé des preuves qui soulèvent des questions troublantes sur la façon dont l’OMS a géré les conflits d’intérêts entre les scientifiques qui ont conseillé sa planification en cas de pandémie, et sur la transparence de la science sous-jacente à ses conseils aux gouvernements.

Était-il approprié que l’OMS prenne conseil auprès d’experts qui avaient des liens financiers et de recherche déclarables avec des sociétés pharmaceutiques produisant des antiviraux et des vaccins contre la grippe ? »

Se vanter des tours

En 2019, Marc Van Ranst, commissaire belge à la grippe, a donné une conférence lors de la conférence ESWI/Chatham House Influenza Pandemic Preparedness Stakeholders Conference. À environ 13 minutes, il s’est vanté d’avoir « abusé du fait que les meilleurs clubs de football… de football en Belgique étaient vaccinés de manière inappropriée et contre tous les accords… ils ont fait de leurs joueurs de football des personnes prioritaires ». Le public a répondu en riant.

“Trust WHO”

Afin de comprendre la corruption au sein de l’OMS, on peut vouloir regarder un documentaire pré-pandémique intitulé « Trust WHO« , produit par Lilian Franck. Entre autres choses, il examine divers conflits d’intérêts ainsi que des exemples de la façon dont l’organisation a été influencée par l’industrie du tabac et l’industrie nucléaire.

L’ONU a été détournée

L’année dernière, j’ai interviewé Mary Otto-Chang, une ancienne employée des Nations Unies, qui a parlé du détournement de l’ONU et de l’accord de 2019 entre l’ONU et le Forum économique mondial sur la quatrième révolution industrielle comme objectif de coopération.

Donc, ce que nous envisageons, c’est d’utiliser l’autorité de l’ONU en tant qu’organisation internationale soi-disant juste et merveilleuse qui protège les gens pour les objectifs commerciaux et philosophiques des personnes les plus riches du monde. Quel mensonge compliqué !

Banalité du mal

La plupart des choses horribles que les gens se font ne viennent pas de nulle part. Il y a généralement une période de « réchauffement » pendant laquelle les actions perverses sont banalisées et les sens des gens sont « recyclés ».

Parfois, en utilisant un langage à l’envers, les sens des gens sont rééduqués au point d’échanger complètement les significations, où la guerre devient la paix et le meurtre devient la compassion. Il faut du temps pour déshumaniser des données démographiques entières – sur la base d’une ethnie, d’une religion, d’un état de santé particulier, ou de toute autre affiliation arbitraire.

Par exemple, au début de l’Allemagne nazie, il y avait une campagne pour tuer les enfants handicapés mentaux (et aussi faire des expériences inhumaines sur eux), et on disait souvent aux parents que leurs enfants étaient emmenés pour de meilleurs soins. Les parents ne savaient pas que leurs enfants étaient assassinés – mais les infirmières qui ont tué les handicapés savaient exactement ce qu’elles faisaient, mais peut-être que certaines d’entre elles croyaient qu’elles accomplissaient des actes de miséricorde !

Il existe un documentaire puissant et incontournable à ce sujet, intitulé « Les infirmières tueuses du Troisième Reich ». J’avais écrit à ce sujet l’année dernière :

« La seule chose qui était nécessaire pour que les infirmières fassent la transition vers la zone d’horreur était de décider que les pauvres imbéciles souffrants n’avaient aucune agence. Dès que dans leur esprit, les infirmières ont dépouillé les enfants handicapés et les adultes malades mentaux de leur agence humaine et les ont transformés en créatures semblables à des animaux de compagnie souffrants, les tuer est devenu vertueux. Les infirmières tenaient les bébés handicapés avec amour, puis les tuaient.

Nos choix comptent

Une chose à laquelle j’ai beaucoup pensé au cours de ma vie, c’est à quel point nos choix ont des conséquences à long terme : pour nous-mêmes, pour les gens qui nous entourent, et même pour l’histoire du monde !

Par exemple, pour revenir au sujet de la préparation à une pandémie, une grande partie de ce qui s’est passé aux États-Unis en 2020 a été rendue possible grâce à la décision de Bush en 2005 de refaire le plan de préparation à une pandémie. Qui y a prêté attention en 2005 ? Qui pourrait imaginer que cela aurait un impact aussi profond sur nos vies ? Personne, probablement, sauf ceux qui l’ont planifié. Et pourtant nous y sommes…

Ou un autre exemple. Lorsque les gens acceptent la censure contre les groupes auxquels ils ne sont pas liés, ils ne pensent souvent pas que les censeurs viendront ensuite pour eux – et pourtant, le plus souvent, c’est exactement ce qui se passe.

Ou parfois, un choix que nous faisons à un très jeune âge nous revient des années plus tard, et tout ce à quoi nous avons essayé d’échapper nous regarde droit dans les yeux, et nous devons y faire face de toute façon.

C’est-à-dire que le courage et essayer de faire ce qu’il faut ne sont pas seulement louables, ils sont aussi très pratiques, surtout pendant les périodes difficiles.

Il n’y a certainement pas de formule, et pas de prescription universelle pour une période comme celle-ci, mais il est important de voir les escrocs dans des chaises hautes pour qui ils sont (y compris lorsqu’ils parlent de traités de préparation à une pandémie «pour notre propre bien»), et de voir à travers eux sans avoir peur. Lorsque nous sommes solidaires, avec de l’amour dans nos cœurs, nous sommes forts.

Pour en savoir plus sur le travail de Tessa Lena, assurez-vous de consulter sa biographie,
Tessa Fights Robots.https://dailyexpose.uk/2022/05/08/who-pandemic-treaty-power-a-warning/

Traduction : MIRASTNEWS




Le Canada et les bandéristes nazis

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Dans des articles précédents, Thierry Meyssan a montré comment les bandéristes, collaborateurs des pires exactions nazies en Ukraine et en Pologne, sont arrivés au pouvoir à Kiev, dans la jeune Ukraine indépendante. Il montre ici que, durant quatre-vingt ans, des immigrés bandéristes se sont incrustés dans le Parti libéral canadien au point d’occuper le poste du numéro 2 du gouvernement actuel de Justin Trudeau.

Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, est venu au Parlement pour introduire le discours du président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Sur 39 millions de citoyens canadiens, 1,4 serait d’origine ukrainienne, soit 3 à 4 % du corps électoral. Cette communauté est très encadrée par les organisations bandéristes qui lui infusent leur idéologie raciale.

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
 10 « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
 11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
 12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
 13 « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
 14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
 15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
 16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
 17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.

Les premiers combattants étrangers arrivés en Ukraine, au début de la guerre, en février 2022, étaient des Canadiens. Le premier officier étranger arrêté par les forces russes, le 3 mai, était un général canadien. À l’évidence, le Canada, bien qu’éloigné de plus de 6 000 kilomètres de l’Ukraine, a une implication cachée dans ce conflit.

Dans cet article, je vais montrer que tous les gouvernements libéraux canadiens ont soutenu les bandéristes ukrainiens depuis le début de la Seconde Guerre mondiale. Ils ont joué sur les deux tableaux durant cette guerre, luttant contre les nazis, mais soutenant les bandéristes. Pis encore, l’actuel gouvernement canadien est composé d’un Premier ministre libéral Justin Trudeau, flanqué d’une adjointe bandériste, Chrystia Freeland.

[Voir aussi :
Les croix gammées de Justin Trudeau. « Une démocratie aux caractéristiques néo-nazies »
et
Convoi de la liberté, les croix gammées de qui? Justin Trudeau soutient les néo-nazis en Ukraine]

Si les connections entre la CIA et les nazis ont marqué la Guerre froide et n’ont été révélées qu’en 1975 avec les commissions du Congrès états-unien Pike, Church et Rockfeller, et n’ont pris fin qu’avec le président Jimmy Carter, les liens du Parti libéral canadien avec les bandéristes se poursuivent toujours. Le Canada est le seul pays au monde, hors de l’Ukraine, a avoir une ministre bandériste et qui plus est, elle est le numéro 2 de son gouvernement.

Le Premier ministre canadien William King à la sortie de son entretien avec le führer Adolf Hitler à Berlin (29 juin 1937).

En 1940, c’est-à-dire alors que le Royaume-Uni était en guerre, mais pas les États-Unis, le gouvernement libéral canadien de William King créa l’Ukrainian Canadian Congress (UCC) afin d’aider les immigrés anti-bolchéviques contre les pro-soviétiques (Association of United Ukrainian Canadians – AUUC) et les juifs (Canadian Jewish Congress – CJC). Des bibliothèques pro-soviétiques et des synagogues furent interdites.

Le Parti libéral du royaume du Canada n’a pas été créé pour promouvoir l’individualisme contre les idées conservatrices, mais contre l’idée républicaine.(([1] Canada’s Origins : Liberal, Tory, or Republican ?, Janet Ajzenstat & Peter J. Smith, Mcgill Queens University Press (1995).))

Durant la Seconde Guerre mondiale, le Premier ministre William King, était très apprécié de ses concitoyens, mais il fut hué par ses soldats lorsqu’il vint les voir en Europe. Le Parti libéral a toujours défendu des positions anti-Russes, les présentant jusqu’en 1991 comme anti-soviétiques, et a toujours interprété le christianisme comme opposé au judaïsme.

Aussi, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Canada fut le principal refuge des bandéristes (35 000 immigrés) et des nazis baltes. Parmi eux, Volodymyr Kubijovyč et « Michael Chomiak » de son vrai nom Mykhailo Khomiak, les éditeurs du principal journal nazi en Europe centrale, Krakivs’ki Visti.

Michael Chomiak avec des dignitaires nazis.

Chomiak, qui travaillait sous le contrôle direct du ministre de la Propagande nazi, Joseph Goebbels, n’a jamais renié son passé collaborationniste. Au contraire, il a toujours milité pour l’OUN(B). C’est dans cet esprit qu’il a éduqué sa petite-fille, Chrystia Freeland, actuelle Premier ministre adjoint du Canada. Loin de condamner les crimes des bandéristes, celle-ci a débuté sa carrière de journaliste, à 18 ans, en travaillant pour l’Encyclopedia of Ukraine de Kubijovyč (disponible aujourd’hui sur Internet). Puis pour The Ukrainian News, le journal des bandéristes canadiens, et The Ukrainian Weekly, celui des bandéristes états-uniens liés à l’ABN et à la CIA. Elle voyagea en Union soviétique à la fin de ce pays. Les autorités soviétiques interrogèrent le gouvernement canadien pour son soutien aux bandéristes et lui interdirent de revenir. Cependant, après la dissolution de l’URSS, elle devint la cheffe du bureau du The Financial Times à Moscou. Puis rédactrice en chef adjointe du Globe and Mail et rédactrice en chef de Thomson Reuters Digital.

Dans ses articles et ses livres, Vente du siècle : la chevauchée sauvage de la Russie du communisme au capitalisme(([2] Sale of the Century : Russia’s Wild Ride from Communism to Capitalism, ‎ Crown Business (2000).)) et Plutocrates : La montée des nouveaux super-riches mondiaux et la chute de tous les autres(([3] Plutocrats : The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else, Penguin Pres (2012).)), Chrystia Freeland développe deux thèses chères à son grand-père.
 Elle critique les ultra-riches en choisissant presque exclusivement des exemples juifs.
 Elle dénonce à tout bout de champ l’URSS, puis la Russie.

Il faut se souvenir que le fascisme était une réponse à la crise économique de 1929 proposant une alliance nationaliste de classe par corporation. Les nazis et les bandéristes y ont ajouté une terrible dimension raciale. En ciblant les super-riches, Chrystia Freeland traite à juste titre du principal problème actuel. Aujourd’hui seule la Finance rapporte, tandis que la production est en crise. Cependant elle dérive insidieusement vers une lecture raciale en constatant que les juifs sont plus nombreux parmi les super-riches que dans la population et en laissant penser que cette corrélation est signifiante.

En 1991, le député libéral d’origine polono-ukrainienne Borys Wrzesnewskyj intervint pour que le Canada soit le premier pays au monde a reconnaître l’indépendance de l’Ukraine. Avec sa fortune familiale (les boulangeries Future Bakery), il créa un service pour diffuser auprès de chaque membre du parlement des nouvelles de l’Ukraine. Il finança l’archivage par Volodymyr Kubijovyč et « Michael Chomiak » de documents sur les nationalistes ukrainiens durant la Seconde Guerre mondiale. Il faut admettre que l’Encyclopedia of Ukraine n’est pas une œuvre scientifique, mais une réhabilitation des bandéristes et une falsification de l’histoire. Compte tenu de ses liens familiaux, Borys Wrzesnewskyj introduisit le futur président ukrainien Viktor Iouchtchenko au Canada.

En 1994, le Premier ministre libéral Jean Chrétien négocia un Traité d’amitié et de coopération avec l’Ukraine, dont il demanda, dès 1996, l’adhésion à l’Otan.

En janvier 2004, le Canada, sous l’autorité du Premier ministre libéral Paul Martin, participa à la préparation par Washington de la « Révolution orange ». L’ambassadeur canadien à Kiev, Andrew Robinson, organisa des réunions de ses collègues de 28 pays pour porter au pouvoir Viktor Iouchtchenko. Il s’agissait de casser la politique du président Kouchma qui avait accepté du gaz russe au lieu de favoriser les recherches US de pétrole dans la Caspienne.(([4] « Agent orange : Our secret role in Ukraine », Mark Mackinnon, Globe and Mail, April 14, 2007.))

L’ambassadeur du Canada finança le sondage du Centre ukrainien d’études économiques et politiques Oleksandr Razumkov selon lequel l’élection présidentielle avait été truquée, il subventionna également à hauteur de 30 000 dollars l’association Pora ! (C’est l’heure !) du stratège de l’Otan Gene Sharp.(([5] « L’Albert Einstein Institution : la non-violence version CIA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 juin 2007.))

Sur l’unique base du sondage Razumkov, Pora ! organisa des manifestations, le scrutin fut annulé et un autre convoqué. Le Canada dépensa 3 millions de dollars pour dépêcher 500 observateurs électoraux. Le second scrutin porta Viktor Iouchtchenko au pouvoir. Celui-ci constitua alors son équipe, choisissant Vladislav Kaskiv (employé de George Soros et leader de Pora !) comme conseiller spécial et Anatoliy Gritsenko (militaire formé aux États-Unis et président du Centre Razumko) comme ministre de la Défense.

Le député libéral Borys Wrzesnewskyj, fut particulièrement actif durant la Révolution orange ; sa sœur, Ruslana, étant très proche de Madame Iouchtchenko, Katerina Chumachenko. Il investit 250 000 dollars canadiens pour soutenir le mouvement et utilisa son appartement au centre de Kiev pour coordonner les manifestations entre les deux scrutins. Les cortèges de Pora ! scandaient « Ca-na-da ! » et arboraient le drapeau à la feuille d’érable.

Chrystia Freeland débuta sa carrière politique en 2013, au Parti libéral. Elle fut élue députée de Toronto. En 2014, elle soutint la « Révolution de la dignité » à Kiev (c’est-à-dire le coup d’État bandériste), dont elle rencontra les principaux acteurs. Elle dénonça l’indépendance de la Crimée et rencontra Mustafa Dzhemilev, le célèbre espion US durant la Guerre froide et leader des Tatars. En définitive, le président Vladimir Poutine lui interdit d’entrer en Russie.

Elle fut nommée ministre du Commerce extérieure par le Premier ministre libéral Justin Trudeau, en 2015, puis ministre des Affaires étrangères, en 2017, et ministre des Affaires intergouvernementales en 2019 avec la dignité de Premier ministre adjointe. Elle est devenue ministre des Finances depuis 2020.

John Baird est venu apporter le soutien du Canada au leader du parti néo-nazi Slovoda.

En 2014, le ministre conservateur des Affaires étrangères, John Baird, se rendit sur la place Maidan et rencontra les principaux leaders de la contestation. La Télévision canadienne considéra qu’il donnait ainsi un argument à la version du président Poutine selon laquelle cette révolution n’est qu’une manipulation occidentale.

La porte parole de l’ambassade, Inna Tsarkova, était une des responsables du mouvement AutoMaïdan. L’ambassade, située à côté de la place Maïdan était un refuge pour les protestataires qui campent dans son hall durant une semaine. Le groupe néo-nazi C14(([6] « La loi raciale ukrainienne », Réseau Voltaire, 9 mars 2022.)) s’y réfugia le 18 février pendant le massacre.

Lorsque le 17 juillet 2014, le vol Malaysia Airlines 17 fut abattu au-dessus de l’Ukraine, l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), basée à Montréal, envoya quatre inspecteurs sur les lieux du crash. Avant même le début de l’enquête, Chrystia Freeland débuta une campagne internationale pour dénoncer la Russie. Elle utilisera par la suite son statut ministériel pour jeter autant que possible de l’huile sur le feu.

Après le renversement du président Viktor Ianoukovytch et l’irruption au pouvoir des bandéristes, le Canada créa l’opération UNIFIER (Canadian Armed Forces Joint Task Force-Ukraine). Il s’agissait d’instruire les militaires ukrainiens et de développer leur police militaire. L’opération était conduite sous les ordres de Londres et de Washington. Elle comportait l’envoi de 200 instructeurs et de matériel non-létal. Elle a pris fin, le 13 février 2022, juste avant l’opération russe, afin de ne pas placer le Canada en situation de guerre.

En 8 ans, le Canada a versé près de 900 millions de dollars d’aide à l’Ukraine.

De gauche à droite : l’ambassadeur ukrainien au Canada Andriy Shevchenko, le Premier ministre Justin Trudeau, le député ukraino-canadien Borys Wrzesnewskyj. En premier plan : l’espion mythique de la CIA durant la Guerre froide et leader des tatars anti-russes, Mustafa Dzhemilev (juin 2016).

En 2016, le Premier ministre libéral Justin Trudeau reçut avec les honneurs Mustafa Dzhemilev, que son adjointe Chrystia Freeland avait déjà rencontré. Il était devenu, en août 2015, l’émir d’une Brigade musulmane internationale, co-financée par l’Ukraine et la Turquie pour reprendre la Crimée.(([7] « L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade internationale islamique contre la Russie », par Thierry Meyssan, Télévision nationale syrienne , Réseau Voltaire, 12 août 2015.))

Chrystia Freeland et Stepan Kubiv signent l’Accord de libre-échange Canada-Ukraine, en présence de Premier ministre Justin Trudeau et du président Petro Poroshenko.

Dans la même période,Chrystia Freeland négocie l’accord de libre-échange Canada-Ukraine.

Chrystia Freeland manifeste avec les bandéristes d’OUN(B) contre l’agression russe en Ukraine. La petite banderole est aux couleurs noir et rouge des bandéristes. Elle porte le slogan des bandéristes « Gloire à l’Ukraine ! ».

Lorsqu’en 2017, le site Russia Insider révéla le passé criminel de son grand-père et ses liens toujours étroits avec les bandériste, elle nia les faits et dénonça la « propagande » russe. Cependant, le 27 février dernier, elle s’afficha avec un groupe de bandéristes de l’OUN(B) lors d’une manifestation contre l’agression russe. La photo, qu’elle avait elle-même publiée, fut rapidement retirée de son compte Twitter.

Le Premier ministre Justin Trudeau, Paul Grod président des Ukrainiens bandéristes du Canada, et Chrystia Freeland.

Réagissant avec ses partenaires de l’Otan à l’opération militaire russe, le Canada a modifié son budget pour réserver 500 millions de dollars pour l’armée ukrainienne, bandéristes inclus. Il a déjà envoyé des mitrailleuses, des pistolets, des carabines, 1,5 million de balles, des fusils de tireur d’élite et divers équipements connexes (14 février), des lunettes de vision nocturne, des casques et des gilets pare-balles (27 février), 100 canons sans recul Carl Gustav M2, et 2000 munitions de 84 mm (28 février), 390 000 rations individuelles de campagne et d’environ 1600 vestes pare-éclats (1er mars), 4 500 lance-roquettes M72 et de 7 500 grenades à main, ainsi qu’un abonnement à des images satellitaires commerciales pour 1 million de dollars (3 mars), des caméras pour les drones de surveillance (9 mars), des obusiers M777 et des munitions connexes, ainsi que des munitions supplémentaires pour l’arme anti-blindés Carl Gustav M2 (22 avril), 8 véhicules blindés de modèle commercial et un contrat de service pour l’entretien et la réparation de caméras spécialisées transportées par drone (26 avril), et a commencé à former les soldats ukrainiens au maniement des obusiers M777.

Le 2 mars, Justin Trudeau, qui croit en les États-Unis, a fait signer à une vingtaine de pays une déclaration dénonçant la désinformation russe(([8] « Un appel à l’action sur la désinformation parrainée par l’État en Ukraine », Affaires mondiales Canada, 2 mars 2022.)). Il s’agit d’empêcher la diffusion d’informations sur les bandéristes ukrainiens et canadiens.

Le 10 mars, le Canada est parvenu à faire signer, cette fois à une trentaine de pays, une seconde déclaration, très orwellienne, pour se réjouir — au nom de la liberté de la presse — de la censure en Occident de Russia Today et de l’agence Sputnik, deux organes de presse publics russes.

Depuis l’irruption au pouvoir des bandéristes à Kiev, le Canada a sanctionné plus de 900 personnalités et sociétés russes ou de l’opposition ukrainienne. Il a ajouté à cette liste des proches du président russe et des membres de leurs familles.

Malgré ses déclarations de principe en faveur de l’égalité en droit de tous les hommes, le Canada soutient sans réserve les bandéristes, hérauts de la supériorité raciale des Ukrainiens sur les Russes.

Thierry Meyssan





Les scientifiques ne sont pas plus crédibles que nos gouvernants !

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Les scientifiques qui se sont répandus dans les médias inféodés au système mondialiste, à l’occasion de la fausse pandémie  du SRAS Cov 2 – que personne n’a encore jamais été capable d’isoler – et à l’occasion de la campagne mensongère pour une fausse « vaccination » elle aussi, aujourd’hui largement remise en cause par ses résultats désastreux évidents, mais toujours niés par les fanatiques des injections à ARNm graphénisées et truffées de parasites inconnus, ont perdu toute crédibilité aux yeux de millions de personnes qui ne peuvent plus les voir en peinture !

https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021

Dans ce document de « Santé Publique France », mis en référence ci-dessus, il est clairement affirmé, sans ambiguïté, qu’il n’y a jamais eu ni « pandémie » ni même épidémie de Coronavirus !

Ces scientifiques ont perdu toute crédibilité parce que leurs « conflits d’intérêts » ont été plus importants à leurs yeux que « l’objectivité » scientifique elle-même et que la vérité ou l’honnêteté intellectuelle ! Pour l’argent, des scientifiques, des médecins, des patrons de services hospitaliers ont été capables de « vendre père et mère », de tuer vieillards, femmes et enfants, sans la moindre hésitation : des traitements qui marchaient très bien, comme cela a été largement démontré, (Cf., les références des nombreux documents publiés depuis deux ans et demi dans www.mondialisation.ca), étaient déclarés nocifs, dangereux, interdits à la vente, prohibés, pourchassés, censurés, simplement pour promotionner les produits hautement toxiques et inefficaces des laboratoires, comme le Remdesivir, brassant des milliards sur le dos des braves gens pris en otage dans ce chantage odieux pour lequel ces criminels en cols blancs devront rendre des comptes tôt ou tard, car le boomerang retourne sans faute à son envoyeur. 

2 – Parmi les experts virologues, épidémiologistes, vaccinologues et autres chercheurs liés à ce domaine de compétence, le grand nombre qui n’était pas concerné par « les conflits d’intérêts » s’est tu, car ces scientifiques-là ou ces médecins-là ont été directement menacés pour l’avenir de leur carrière, d’abord par les chancelleries des étatismes autoritaires, mobilisées contre les intérêts collectifs des États Nations, puis par les « ordres de médecins » complices ou par les « Conseils scientifiques » qui étaient plutôt des « Conseils pharmaceutiques » aux ordres d’une industrie génocidaire ne se sentant plus concernée par aucune limite, se vautrant dans le copinage explicite avec les décideurs politiques des Union Européenne et autres, organisées sans l’approbation des peuples priés de la fermer. 

Ces scientifiques et médecins muets ont encore été menacés par les grands patrons de laboratoires ou des organismes publics de la recherche. Les grands maîtres du mondialisme, ceux qui ont pris en otage le pouvoir et qui décident désormais librement, sans jamais rendre de comptes à personne, qui a le droit de vivre et qui doit mourir, ont directement menacé le grand nombre des scientifiques et médecins honnêtes de les suspendre, de briser leur carrière, de leur enlever leur gagne-pain, de les sanctionner ou de les censurer, de les réduire au silence par la coercition, par le mensonge omniprésent, par tous les moyens de pression détenus entre leurs seules mains devenues celles des ordures qui conduisent ce monde vers sa chute finale…

(Cf., covid 19 – Une autre vision de l’épidémie, Les vérités d’un épidémiologiste, Laurent Toubiana, éditions L’Artilleur, 20 avril 2022)

Ce livre est une remise à sa juste place de la vérité scientifique sur toutes ces questions concernant la Covid-19, ses variantes et les « vaccinations »…

Dans un document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech, nous pouvons lire en anglais un certain nombre de choses sidérantes comme par exemple ces deux extraits : 

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, dans l’Union Européenne ou dans d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence, ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché, conditionnelle. »

« Des événements indésirables importants peuvent survenir au cours de nos essais cliniques ou même après avoir reçu l’approbation réglementaire, ce qui pourrait retarder ou mettre fin aux essais cliniques, retarder ou empêcher l’approbation réglementaire ou l’acceptation par le marché de l’un de nos produits candidats. » 

https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1776985/000156459021016723/bntx-20f_20201231.htm

Et pourtant, les « Young Global Leaders » placés à la tête des États de l’Union Européenne, continuent leur mission génocidaire, tranquillement, avec des élections truquées, la manipulation du dressage ou fabrique du consentement, sur des peuples complétement désarmés, dépouillés de leur souveraineté… Pfizer BioNtech peut carrément dire que ses produits sont mortels et pas du tout prévus pour la finalité annoncée, cela laisse de glace les dirigeants qui sont les complices acharnés du seul plan qui les motive : celui du « Great Reset », du « piratage des animaux humains » et d’un passage obligé au transhumanisme. Bien entendu, ils ne tiennent aucun compte de toutes ces publications qui démentent, qui corrigent et qui rétablissent la vérité sur la question sanitaire, puisqu’ils savent pertinemment que toute cette histoire n’est qu’une « fenêtre d’opportunité » qui n’a été exploitée que pour le plan du « Great Reset » et en aucun cas pour résoudre un problème sanitaire inexistant, volontairement monté en épingle pour l’objectif recherché mais non avoué. 

Répétons-le : il n’y a aucune raison médicale dans cette histoire tombée entre les mains des laboratoires de l’industrie pharmaceutique et du financier propriétaire prioritaire de l’OMS ! Des scientifiques et des médecins ont été ravis de profiter de l’aubaine financière, et de leur côté, la gouvernance mondialiste a été ravis de pouvoir installer enfin sa domination à perpétuité sur des peuples « piratés » et enfermés dans l’impossibilité d’échapper à la soumission… Sarközy de Nagy-Bocsa avait bien prophétisé le 1er septembre 2021 : « On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien, personne, ne pourra s’y opposer. »

La violence de ce propos menaçant est sidérante, car il veut dire que des individus non identifiés ont décidé de dominer les populations dans leur ensemble, sans leur demander leur avis : c’est quelque chose qui est imposé de force à tout le monde. Des « élites » ayant en mains tous les moyens coercitifs nécessaires, s’estiment en droit d’imposer leur loi au reste de l’humanité qui doit s’y soumettre, « personne ne pouvant s’y opposer » !

3 – Et puis, nous avons entendu, malgré le tumulte du mensonge qui s’en donnait à cœur joie, la voix des scientifiques, des médecins et des soignants sérieux, brillants, compétents, honnêtes, courageux, objectifs, libres, critiques, résistants. Ces médecins, ces chercheurs et ces soignants ont osé protester et se lever pour critiquer, remettre en cause les mensonges devenus la « vérité », en s’opposant frontalement à toutes cette vermine de l’humanité qui osait les traîner dans la boue en les humiliant, en les condamnant, en les poursuivant, en faisant de leur vie un cauchemar, en mobilisant tous les moyens que la perversion a pu imaginer pour les neutraliser enfin, car « personne ne pouvait s’opposer » à ce projet !

L’occident est tombé entre les mains des mondialistes, des Léo Straussiens, des idéologues du « Great Reset », des criminels génocidaires qui veulent ouvertement la mort de plusieurs milliards d’êtres humains, sans se cacher, sans avoir peur de le dire ou de l’écrire explicitement car ils sont tout-puissants ayant eu tout le temps de concocter une législation en leur seule faveur, comme l’exemplaire Traité de Lisbonne ! On en est là figurez-vous ! 

Ne prêtez plus attention aux hurlements hystériques des pantins qui s’agitent en criant au « complotisme », ceux-là, chaque fois qu’on les entend, on devrait s’inspirer de l’exemple du village gaulois qui ligote, bâillonne et suspend son barde à une branche de chêne, pour l’empêcher de lui casser les oreilles avec sa rengaine habituelle ! 

Dans la suite logique de ce délire collectif survenu en Occident désireux de garder la main sur la gouvernance mondiale, la pratique du mensonge est devenue habituelle. Il est devenu impossible de séparer l’ivraie du bon grain ; il est devenu inutile de chercher un seul endroit en occident qui ne serait pas corrompu par le mensonge ! L’occident et son empire totalitaire orwellien est le territoire du mensonge, il se caractérise par le mensonge : l’occident est menteur, en lui règne le mensonge. Cette perversion fait la pluie et le beau temps. Or, le mensonge n’est pas possible sans le « père du mensonge » qui le fait exister sur tous les plans ; il n’est pas possible sans celui qui est « menteur dès l’origine », sans la Bête qui l’inspire !

L’occident est décadent, perverti, menteur, dégénéré et il veut avec une violence inouïe, précipiter le monde entier dans son mensonge, dans sa perversion et dans sa pulsion de mort, car le mensonge est destructeur et la destruction en soi !

4 – Et voilà qu’une autre cohorte de scientifiques vient maintenant nous mettre à l’épreuve en tenant un discours déroutant. Les « experts » inter-gouvernementaux regroupés sous le nom de GIEC, exigent, dans leur dernier rapport sur les mesures climatiques, des initiatives surprenantes ! Au milieu de très bonnes choses utiles et peut-être même nécessaires, les scientifiques du GIEC ont également fait des propositions, comme celle qui consiste à « aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère afin d’obscurcir le soleil par des nuages de poussière artificiels ! » On apprend dans ce dernier rapport, que la technologie permettant d’aspirer le dioxyde de carbone de l’atmosphère a été développée et qu’elle se nomme même la technique du « Captage et du Stockage du Carbone » le CSC.

On apprend également, comme ce fut le cas pour la promotion de la Covid-19 et des « vaccins » à l’OMS par Bill Gates, que ce même milliardaire misanthrope a financé ce projet du captage et du stockage du carbone ! 

https://www.thetimes.co.uk/article/bill-gates-invests-in-verdoxs-carbon-capture-technology-62z5jcw9z

Des scientifiques de l’Université de Harvard, ont créé de leur côté « l’expérience de perturbation stratosphérique contrôlée » (ScoPEx), grâce au financement encore assuré par Bill Gates. Cette expérience tente de réfléchir les rayons du soleil dans l’espace. C’est en imaginant de telles choses que les « scientifiques » prétendent contrôler le « réchauffement climatique ». Un journal allemand nous révèle que les chercheurs de Harvard désirent, quant à eux, répandre dans l’atmosphère, des particules de carbonate de calcium, ou plus précisément de l’acide carbonique et qu’ils se livrent déjà à ce genre d’expérimentation !

https://www.bbc.com/afrique/monde-61096472

Personne ne sait ce que deviendra la couche d’ozone dans ces conditions. Personne ne sait également les perturbations météorologiques extrêmes que cela va provoquer. En combinant les initiatives du GIEC et de Harvard, sans compter les expérimentations faites en grand secret par le Pentagone, et les opérations désormais abondamment documentées sur la pratique « discrète », mais non moins réelle, des « chemtrails », on peut logiquement s’attendre à de futurs désastres, puisque l’oxygène dont nous avons grand besoin se fabrique à partir de la photosynthèse notamment. En « obscurcissant le soleil », que peut-il se passer objectivement sur Terre ?

De plus, les plantes, des bactéries, des micro éléments du biotope utilisent la lumière et l’eau comme le dioxyde de carbone pour produire du glucose et de l’oxygène. En atténuant la lumière du soleil et en renvoyant le dioxyde de carbone dans la stratosphère, la production d’oxygène devrait forcément chuter sur Terre. Les scientifiques savent théoriquement tout cela et pourtant ils courent ce risque. Pourquoi ? 

Pourquoi Bill Gates se retrouve encore ici dans le financement de ces nouvelles initiatives, sachant que la Fondation Bill Gates n’est jamais déficitaire dans « l’aide » qu’elle accorde à tous ces milieux : santé, écologie, agriculture, alimentaire… Elle retire toujours des bénéfices importants de ses actions financières de grande pilleuse d’épaves dans ces domaines devenus les hauts-lieux de la flibuste…

https://www.ipcc.ch/sr15/

Peut-être pourrons-nous enfin comprendre ! De mémoire d’homme, jamais personne n’avait encore vu un phénomène de cette importance : un nuage de poussière du Sahara qui allait retomber sur toute l’Europe, imprégnant les pierres, les plantes sur des milliers de kilomètres et déposant un voile rouge sur tout objet statique…

Il était très normal que chacun se posât la question de bon sens : pourquoi ce phénomène dit « naturel » n’avait-il jamais existé avant maintenant ? Pourquoi maintenant et pas avant, s’il était naturel ? Pourquoi ce « naturel » ne s’était-il jamais manifesté auparavant ? « C’est normal, ce n’est que de la poussière du Sahara soulevée par les vents violents et qui retombe ensuite sur l’Europe » ! Oui, mais pourquoi avec cette importance, pourquoi dans de telles proportions, allant jusqu’à obscurcir le ciel empêchant le soleil de donner sa lumière ? Les vents n’avaient-ils jamais été violents auparavant ? Il n’y avait pas encore suffisamment de poussière dans le Sahara ? Dans le sud de l’Espagne, tout avait disparu pendant plusieurs jours dans le nuage de poussière rougeâtre et l’on ne voyait plus au-delà de 50 mètres ! En plein jour on se retrouvait comme si nous étions dans la nuit polaire ! 

Le « CSC » avec le « ScoPEx » plus les « chemtrails » et autres expérimentations « HAARP, mystérieux projet de la Force Aérienne Nord-américaine (HAARP, High Frequency Advanced Auroral Research Project), seraient-ils par hasard la bonne réponse à nos questions légitimes ?

https://www.tiempo.com/ram/2487/el-proyecto-haarp/

Jamais cela n’était encore arrivé et pourtant, des personnes théoriquement intelligentes, ne voyaient pas où était le problème et trouvaient assurément ce phénomène – tout à fait inhabituel et donc anormal – comme quelque chose de tout à fait normal ! Exactement comme elles trouvaient qu’une moyenne habituelle, au pic le plus fort de la grippe saisonnière, étant entre 500 et 600 malades pour 100.000 habitants par semaine, n’avait pas lieu d’alerter le monde entier en le traumatisant ! En revanche, la covid-19 qui a atteint, au pic le plus fort de sa manifestation, la moyenne de 142 malades pour 100.000 habitants par semaine, elle devait déclencher la déclaration de « pandémie » par l’OMS et provoquer une surenchère invraisemblable de mesures tout à fait injustifiées et clairement mensongères, n’ayant pour but que de faire peur et d’imposer des contraintes arbitraires et théâtrales aux populations, prises en otages dans un chantage odieux et parfaitement criminel, mais justifiant une finalité, encore non avouée à ce jour par les auteurs de ce génocide planétaire, pour un grand nombre, et un « piratage » pour les survivants ! (Cf., op.cit., Laurent Toubiana, Covid-19, une autre vision de l’épidémie…)

Conclusion

La servitude volontaire restera pour moi une question relevant d’une extrême naïveté ou retard mental ! La servitude volontaire serait ainsi la manifestation ou le symptôme d’une transgression des limites de la distinction entre le malheur d’une soumission imposée de l’extérieur et le vice d’un assujettissement volontaire, consenti dans le for intérieur à défaut de désirer la liberté. Selon La Boétie, les régimes politiques sont fondés sur la peur, laquelle sert à dissimuler l’absence de légitimité des gouvernants. Ainsi, le peuple s’auto-soumet aux pouvoirs en place, par simple habitude, par récurrence historique. 

Je pense qu’il y a plus à dire que ce que postule La Boétie : oser contester la légitimité des Gouvernants en les accusant de fomenter le génocide et l’esclavage des survivants, n’est pas soutenable, car dans la tête d’un occidental formaté à la théocratie, toute la légitimité des pouvoirs non démocratiques – comme c’est le cas de tous les pouvoirs politiques en occident – est basée sur l’innocence sacralisée de ces pouvoirs. Les gouvernants sont regroupés dans « l’État profond » ; celui-ci est le Pontife de la société laïque ne pouvant que vouloir le bien commun, il est impossible d’imaginer que les gouvernants puissent se tromper et la tromper ou avoir des intentions perverses, voire mauvaises et criminelles. La vérité et la vertu font partie de leurs attributs et ils sont gratifiés d’une sorte « d’infaillibilité pontificale » de par la fonction étatique reliée à la légitimité théocratique. Remettre cela en cause, c’est enlever toute légitimité au pouvoir légitimé par le divin et sombrer dans l’anarchie ! C’est cette arriération mentale qui explique, à mon sens, la soumission des personnes rendues, sourdes, aveugles et muettes, face à tout régime politique organisé hors des principes de la démocratie. En démocratie, c’est le peuple qui commande et c’est l’État qui obéit… En théocratie, c’est l’État qui représente dieu et qui commande le peuple prié de se soumettre à ses volontés, à ses lois, à ses décrets, à ses décisions. Il sait où est le bien des uns et des autres mieux que les uns et les autres ! Désobéir à un tel État est quasi blasphématoire et passible de répression, de sanctions, de punitions… C’est cela qui se passe chez nous et qui explique cette passivité grégaire de la majorité face au totalitarisme théocratique de nos sociétés archaïques et de leurs Gouvernants… Ainsi, chacun peut imaginer où se trouve le remède à une telle maladie de civilisation : dans la fin de cette civilisation, le plus tôt possible, ce que nous appelons de nos vœux…

Jean-Yves Jézéquel

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




J’ai honte pour vous, lâches Occidentaux

[Source : rusreinfo.ru]

Par Boris Guenadevitch Karpov

Je ne vous ferai pas de long compte-rendu des célèbrations du 9 mai en Russie, à part un très bref résumé du discours du Président Poutine, et de la présence dans la partie militaire de quelques uns des atouts de la Russie.

Vladimir Poutine donc, en résumé
  •  Longtemps la Russie a exhorté l’Occident au dialogue. En vain, les pays de l’OTAN n’ont pas voulu nous entendre.
  •  La Russie a repoussé préventivement l’agression, c’était une décision forcée, opportune et la seule correcte.
  •  Les vétérans américains qui voulaient venir au défilé de la Victoire à Moscou se sont en fait vus interdire par les États-Unis de le faire.
  • « Nous honorons tous les soldats des armées alliées : les Américains, les Britanniques, les Français, les résistants, les braves soldats et partisans de la Chine, tous ceux qui ont vaincu le nazisme et le militarisme.
  •  Les militaires russes, au cours d’une opération militaire spéciale, se battent pour les habitants du Donbass et pour la sécurité de leur patrie.
  •  « Vous vous battez pour la patrie, pour son avenir et pour que personne n’oublie les leçons de la Seconde Guerre mondiale. Pour qu’il n’y ait pas de place dans le monde pour les bourreaux, les escadrons de la mort et les nazis »
  •  L’État fera tout pour aider les familles des victimes, en particulier les enfants. Le décret correspondant a été signé.

Ceux qui prévoyaient un discours menaçant et offensif restent donc sur leur faim, les directives militaires ne se donnant bien entendu pas en public. Certains « experts » parlaient de « mobilisation » « face a la deroute des russes ». La meilleure reponse a ces stupidites a ete donnee par le secrétaire général de l’OTAN : « L’offensive générale de l’armée russe dans le Donbass n’a même pas encore commencé. Les forces armées RF utilisent une quantité limitée de forces disponibles », a déclaré Stoltenberg.

Sur le plan militaire on a pu observer plusieurs matériels de pointe, quoiqu’en ont dit certains commentateurs occidentaux prétendant que seules des armes « obsolètes » avaient été présentées. Par contre, les armes « secrètes » (par exemple à impulsion magnétique) n’ont pas été dévoilées.🙂

Voici donc 4 photos (mes photos de l’Armata ont été victimes d’une erreur de manip du photographe et ne sont donc pas publiées)

Robot de combat « Vikhr » :

Iskander :

S-400 :

Sarmat :

Pour les passionnés, on trouve largement de quoi se renseigner sur internet.

La traditionnelle « Marche des Immortels » avec Vladimir Poutine a rassemblé quelques personnes dans toute la Russie et à Moscou… Voyez la vidéo ci-dessous !





Mais le but de mon article est plutôt de vous plaindre, vous Occidentaux. Je note qu’en disant « vous » je m’adresse à la majorité des Occidentaux, dont VOUS qui lisez ne faites, peut-être pas partie.

Oui, je vous plains. Et j’ai honte pour vous Occidentaux qui d’un côté célébrez (le 8 mai) la victoire contre les nazis, tout en soutenant moralement et matériellement un régime devenu une résurgence du système nazi. Et qui ne s’en cache même pas !

Je sais parfaitement qu’en France, la bien-pensance traite de « nazis » tout opposant. Les patriotes sont des « nazis », Le Pen est une « nazie », Cyrano sans doute est aussi un « nazi » pour tous ces pauvres types. C’est pourquoi je suis toujours gêné d’employer ce terme quand je parle des raisons de la Russie d’être entrée en Ukraine.

Et pourtant, ce sont bien des « nazis » qui sont au pouvoir en Ukraine, et les régiments Pravy Sektor et Azov (les 2 principaux mais il y en a d’autres) n’ont d’ailleurs pas de honte. Ses membres affichent fièrement leurs convictions tant sur leurs armoiries que sur leur corps avec des tatouages explicites.

Le président ukrainien Zelensky a d’ailleurs déclaré : « Je respecte Azov car ils défendent l’Ukraine ». Tout comme Hitler respectait les SS car ils défendaient l’Allemagne. Dans un sens, si cela ne concernait que les Ukrainiens, nous aurions pû dire que c’est leur problème : la Russie ne se veut pas le « gendarme du monde » comme les États-Unis qui, eux, n’ont aucun scrupule pour détruire les pays qui leur résistent. Mais il se trouve qu’une très grande partie des habitants d’Ukraine sont russes, et la Russie défend les Russes, où qu’ils se trouvent. Je ne détaillerai pas les points qui ont mené à cette intervention, cela a été fait à plusieurs reprises.

Et donc nous avons aujourd’hui, au nom d’une soumission au « gendarme du monde » qui rêve depuis 1945 de faire main basse sur la Russie, l’ensemble ou presque de l’Europe non seulement qui critique la Russie mais qui l’attaque tant financièrement que militairement. Car on a beau dire, livrer des armes à l’Ukraine c’est attaquer la Russie.

On voit donc le « pays des droits de l’Homme » livrer des armes aux nazis. Simplement. Ce soutien aux nazis est-il culturel ? On se souvient en effet que la France a préféré se rendre – et collaborer activement – avec le régime nazi plutôt que de le combattre ! Le siège de Léningrad, c’était en Russie. Paris, elle, a été déclarée « ville ouverte ». C’est une mentalité bien différente…

La France fut jadis le phare culturel et moral d’une grande partie du monde. C’est aujourd’hui une pétaudière où règne une bacchanale totale, sombrant dans la folie sous les regards béats des Français. L’ensemble de l’Europe suit la même voix, à part quelques exceptions.



quand je vois des Polonais aujourd’hui attaquer le consul de Russie alors qu’il dépose des fleurs sur un monument à la mémoire de ceux qui sont tombés contre les nazis, j’en ai honte pour eux. J’en ai honte pour vous Européens ! Mais qu’êtes-vous devenus ? Pour quoi sont donc morts vos pères et grand-pères ? Peut-être bientôt irez-vous saccager leurs tombes puisqu’ils se sont battus contre ceux que vous idolâtrez aujourd’hui ? Plus rien ne m’étonnerait !

Vous ne le savez sans doute pas, mais vos agissements sont le meilleur moyen pour non seulement souder encore plus le Peuple russe, mais aussi pour vous faire haïr par le Peuple russe. L’incompréhension que nous avons de vous concernant votre mode de vie, se transforme aujourd’hui en véritable haine alors que vous participez activement à tuer nos soldats. N’êtes-vous pas capables de comprendre comment ceci va, fatalement, se terminer ?

N’imaginez pas un instant que nous abandonnerons notre combat. Nous ne le pouvons d’ailleurs pas, car il en va de notre survie ! En continuant d’envoyer des armes à l’Ukraine non seulement vous participez à la destruction de ce pays, car nos forces détruisent toutes les voies de communication, mais vous rapprochez le jour où nous dirons : « c’en est assez, assez de morts, arrêtons ça maintenant ».

Et nous arrêterons ça… D’une manière dont vous n’avez pas la moindre idée… Personne au monde n’a connu avant ce qu’il se passera alors, et il n’y aura pas de retour en arrière possible.

N’êtes vous pas capable de comprendre ceci ? C’est pourtant simple ! Mais vous, Européens et Américains, alors que vos dirigeants vous entrainent dans l’abime, continuez à vivre comme si de rien n’était en manifestant « contre la Russie » et « pour les nazis d’Ukraine ».

J’ai honte pour vous ! Honte, car vous soutenez ceux qui ont assassiné vos ancêtres ! Honte car vous ne voyez pas ce qui est en train d’arriver. Honte car vous pensez que vous pouvez nous faire plier avec vos « sanctions », vos vols et vos armes.

Honte, car vous ne comprenez pas que nous battant pour la survie de notre Peuple et de notre civilisation, nous vaincrons finalement. Non pas parce que nous sommes les plus forts, mais parce que nous avons raison.




13 pays de l’UE publient un texte contre Macron et sa proposition de suppression totale du droit de véto des États

[Source : RI]

13 pays de l’UE publient un texte contre Macron et sa proposition de suppression totale du droit de véto des États !

Bulgarie, Croatie, Danemark, Estonie, Finlande, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, Rép. tchèque, Roumanie, Slovénie, Suède.

Énorme humiliation pour Macron !

source : Planètes 360




Maladie, guerre et famine : le troisième cavalier du mondialisme approche au galop

[Source: strategika.fr]

Par Alexandre Keller de t.me/kompromatmedia

Aux Etats-Unis, le rationnement des ventes d’aliments pour bébés a débuté, rapporte USA Today. Dans un contexte de flambée des prix et de rupture de stock, certaines pharmacies et supermarchés limitent les achats à trois produits pour tout-petits en magasin et en ligne.

En France comme en Europe, les rayons de supermarchés se font toujours plus clairsemés. Il ne manquerait que le signal d’envoi des médias de masse, un gros titre sur BFM plutôt que des articles et entrefilets épars jusque-là pour déclencher un «panic buying».

2020 : Emmanuel Macron déclare la «guerre» au Covid et cite l’Apocalypse selon Jean : «La Bête de l’événement est là». Le service de fact-checking du Monde eut beau se démener pour expliquer que le président de la République, «amateur de références littéraires, religieuses ou intellectuelles», n’avait pas vraiment dit ce qu’il disait, l’annonce reste curieusement mystique.

Mars 2022 : en pleine campagne présidentielle, l’ex-banquier prévient qu’une «crise alimentaire sans précédent arrive». Au téléphone avec Vladimir Poutine, le président réélu s’inquiète de la «sécurité alimentaire mondiale». Devant les caméras, il en impute la responsabilité à la Russie, évidemment.

Or, comme souvent, c’est le contraire qu’il faut comprendre : l’Occident, par sa prédation économique et militaire, son messianisme impérial, a provoqué la crise alimentaire qui s’annonce.

L’UE organise sa propre pénurie alimentaire

Acteur irrationnel en apparence, l’Union européenne (UE) cherche à tout prix à couper ses relations commerciales avec la Russie. Irrationnel, car les Etats membres n’ont aucun intérêt, géopolitique comme économique, à se priver de l’énergie et du marché russes. L’Allemagne, dirigée par un gouvernement atlantiste, pourrait voir son puissant complexe industriel péricliter, alors que ses coûts de production ont bondi de près de 30%.

L’UE démontre la même absence de logique pour la sécurité alimentaire, alors que la Russie et l’Ukraine représentent 30% des exportations mondiales de céréales. En 2019, la Biélorussie, la Russie et la Chine, tous des adversaires de l’Empire américain et de ses vassaux européens, se classaient parmi les quatre premiers exportateurs de potasse (engrais) derrière le Canada…

Acteur rationnel, elle, la Russie a déjà imposé une interdiction d’exportation de sa production de céréales. Le 5 avril, Vladimir Poutine a pris des mesures pour augmenter la production de 3% par an. Le Kazakhstan, sixième exportateur mondial de blé et qui approvisionne plus de 70 pays, a également annoncé une restriction de ses exportations de céréales. Les sanctions européennes,décidées dès 2014 sur ordre américain, ont agi en réalité comme une mesure protectionniste en faveur de la Russie et dopé son agriculture…

Troisième exportateur mondial en 2005, la France s’est déclassée en sixième position. Un déclin qui s’accélère : en 10 ans, c’est le pays qui affiche le plus fort recul au monde. La politique agricole commune (PAC) de Bruxelles est passée par là.

La nourriture, c’est du pétrole

Dans un système économique où le pétrole est partout, des plastiques aux carburants, la sécurité alimentaire est étroitement dépendante de l’approvisionnement en hydrocarbures.

Dans le monde de la nourriture industrielle, l’or noir est un intrant vital de l’agriculture. Il est nécessaire pour faire tourner les machines agricoles ; à la pétrochimie pour fabriquer les produits phytosanitaires et les pesticides ; à la production des tourteaux de soja qui engraissent les bœufs ; à la transformation des produits par l’industrie agroalimentaire ; pour les emballages ; à la chaîne logistique qui alimente les supermarchés…

Tandis que les gouvernements des pays de l’Union expliquent à la population qu’il va falloir se priver de chauffage et s’habituer à une inflation record, l’UE tente, de façon absurde, d’imposer un sixième paquet de sanctions contre la Russie, notamment un embargo sur le pétrole d’ici à la fin de l’année 2022 malgré les réticences croissantes de certains pays.

Une dérogation était prévue pour amadouer la Hongrie, mais elle s’est avérée insuffisante pour le Premier ministre hongrois Viktor Orban qui a tapé du poing sur la table. «Un embargo «équivaudrait à une bombe nucléaire larguée sur l’économie hongroise», a-t-il rétorqué à la présidente de la Commission européenne, l’Allemande Ursula von der Leyen, rappelant le «droit souverain de chaque pays sur son mix énergétique». Et de rappeler : « Nous avons clairement signifié dès le début qu’il y avait une ligne rouge : l’embargo sur l’énergie ».

La presse mainstream et l’AFP ont tenté d’expliquer que la Hongrie était dans un cas particulier en raison de sa dépendance aux hydrocarbures russes, mais c’est en réalité la situation, peu ou prou de tous les vassaux de Bruxelles… et du monde entier.

L’OPEP, proche de la Russie, refuse d’ouvrir le robinet

S’exprimant lors du forum mondial de l’énergie de l’Atlantic Council, le 28 mars à Dubaï, le ministre de l’Energie des Emirats arabes unis, Suhail al-Mazrouei, a ironisé sur la position des Occidentaux : «Lors de la COP 26 [sur le climat], tous les pays producteurs se sont sentis indésirables […] Aujourd’hui, parce qu’ils veulent qu’on augmente notre production, on est à nouveau des super héros. Mais ça ne marche pas comme ça».

Les treize membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), menés par Ryad, et leurs dix partenaires conduits par Moscou (Opep+), devraient s’en tenir à une hausse de 400.000 barils par jour, insuffisante pour compenser le choc sur l’offre qu’entraînerait un embargo sur le pétrole russe décrété par Bruxelles. «A moins que quelqu’un ne soit prêt à fournir 10 millions de barils par jour, on ne peut pas remplacer les Russes», a souligné Suhail al-Mazrouei.

Pour rappel, la Russie était en 2019 le troisième pays producteur, avec 12,6% du pétrole mondial, devant le Canada et l’Irak (5,1%), un de ces pays que l’empire états-unien a détruits. La Libye, rasée par l’OTAN, est tombée au 21e rang…  Depuis 20 ans, la politique américaine d’élimination par la guerre de ses concurrents mène l’Europe à la pénurie.

Guerre de Washington contre l’Europe

Les Etats-Unis, grâce aux investissements dans le secteur des schistes, sont redevenus premier exportateur mondial de pétrole depuis 2015, situation inédite depuis 1975. En clair : depuis 2015, les Etats-Unis a de l’énergie à vendre, et non plus à acheter. L’Amérique du Nord et l’Europe n’ont plus les mêmes intérêts géopolitiques.

Reste donc l’Europe, presque sans pétrole local, et qui paie le prix de la soumission de ses élites au projet séculaire de la géopolitique anglo-saxonne : couper la péninsule européenne et son potentiel technologique et industriel du vaste hinterland russe.

En compromettant durablement la diversification de l’approvisionnement en énergie, l’Empire américain s’assure ainsi de la soumission de l’Europe. Dans le monde d’avant le coup d’Etat de l’«Euromaidan» de 2014, l’Ukraine se trouvait exactement sur le chemin des gazoducs acheminant l’énergie russe au complexe industriel européen…

La France, dont l’influence géopolitique s’effondre, n’a plus la maîtrise complète du gaz algérien comme du temps de son empire colonial. En Russie, l’éviction de Total a débuté avec la mort étrange de son PDG, Christophe de Margerie, en 2014. Le dirigeant avait dénoncé l’hégémonie du dollar dans le monde, notamment dans le secteur pétrolier et il évoquait les avantages souverainistes d’acheter le pétrole dans une autre devise que le billet vert.

Alors, où donc est la rationalité de l’Europe comme acteur géostratégique ?

Convergence des agendas de l’OTAN, de l’UE et de Davos

«Pour une raison quelconque [religieuse ?], les mondialistes aiment nous dire ce qu’ils sont sur le point de faire», relève Brandon Smith, dans un article traduit et publié par Strategika. Le journaliste indépendant note que les grandes crises – financières, économiques ou sanitaires – sont presque toujours annoncées par les organes globalistes que sont l’Organisation mondiale de la Santé, l’Organisation des Nations unies (ONU) ou le Fonds monétaire international. En 2020, bien avant la guerre en Ukraine, mais en pleine hsytérie pandémique, l’ONU s’alarmait déjà d’une future pénurie alimentaire.

A ces organismes trans- et supranationaux, il faut ajouter les organisations oligarchiques a-nationales. Parmi celles-ci, le Forum économique mondial ou encore l’Alliance du vaccin (Gavi), cher à Bill Gates, promeuvent le mélange des genres entre public et privé.

Le milliardaire non élu et von der Leyen ont lancé en novembre 2021, sans aucun contrôle de quelque parlement de quelque Etat européen que ce soit, le programme Catalyst, développé par Breakthrough Energy. Cette structure parapluie comprend plusieurs organisations fondées par Bill Gates en 2015, qui visent à accélérer l’innovation dans les énergies durables et dans d’autres technologies pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Breakthrough Energy est financé, entre autres, par BlackRock.

Dans ce monde post-démocratique, celui de la gouvernance privé/public et du néo-despotisme éclairé, une population affaiblie, appauvrie, en demande de sécurité sanitaire et alimentaire, et convaincue de la réalité du réchauffement climatique d’origine anthropique, serait prête à accepter sans discuter, après de longues années de fabrique du consentement, les solutions malthusiennes et transhumanistes du Forum de Davos.

D’après l’Evangile selon Jean, où figure une mention du «nombre de la Bête», chère à Emmanuel Macron, quatre cavaliers annoncent l’Apocalypse (aussi appelée Révélation de Jésus-Christ. Un premier cheval est monté par l’Antéchrist. Avec la maladie et la guerre, un troisième cavalier sur un cheval noir annonce la famine.

«Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre», raconte la Bible.

Pour une élite aux prétentions eschatologiques et démiurgiques, cela peut faire aussi sens, quitte à l’inverser.

Alexandre Keller, pour Strategika





A l’ONU, la Russie démontre les crimes de guerre ukrainiens et les falsifications des médias occidentaux

[Source : lecridespeuples.fr]

Remarques du Représentant permanent de la Russie Vassily Nebenzia et de son Premier Représentant permanent adjoint Dmitry Polyanskiy à la réunion « Arria-formula » des membres du Conseil de Sécurité de l’ONU sur les violations du Droit International Humanitaire et autres crimes commis par l’armée et les milices ukrainiennes, le 6 mai 2022.

Sources : Mission permanente de la Russie à l’ONU et Conseil de Sécurité de l’ONU

Traduction : lecridespeuples.fr

Note du Cri des Peuples : Nous n’avons pas eu le temps de sous-titrer en français les vidéos 4, 5, 8 et 9, mais elles sont sous-titrées en anglais.

Vassily Nebenzia : Chers collègues,

Nous vous souhaitons la bienvenue à notre réunion « Arria-formula » consacrée aux crimes commis par l’armée et les milices ukrainiennes dans le cadre de l’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine. Aujourd’hui, nous allons essayer de parler le moins possible par nous-mêmes et de partager avec vous les récits des habitants de l’Est et du Sud de l’Ukraine et de donner la parole aux journalistes étrangers qui ont travaillé dans ces régions.

Si vous lisez les grands médias occidentaux et écoutez les politiciens occidentaux et ukrainiens, vous aurez dans votre esprit plus ou moins l’image suivante de ce qui se passe en Ukraine. « La Russie, jalouse de la réussite de son voisin et de ses perspectives de devenir membre de l’UE et de faire partie d’un monde libre et civilisé, a lancé une invasion à grande échelle contre ce pays. Les forces russes ont commis et continuent de commettre des atrocités [contre les civils], et les courageux militaires et défenseurs ukrainiens tentent de les mettre à l’abri des terribles bombardements russes aveugles. »

La réalité, cependant, est étonnamment différente, et les autorités ukrainiennes et leurs soutiens occidentaux ne sont pas intéressés à faire la lumière sur celle-ci. Je n’évoquerai pas ici la question des provocations flagrantes et odieuses de l’Ukraine et de ses parrains comme Boutcha, Kramatorsk et Irpin. Ces fabrications sont si évidentes que la présidence britannique du Conseil de sécurité a même décidé, en violation totale du règlement intérieur du Conseil, de nous refuser notre droit de demander une réunion d’urgence sur la provocation de Boutcha.

Je vais simplement essayer de réfuter certains des mythes promus par l’Ukraine en passant le micro à des concitoyens ukrainiens qui ont été confrontés à la terrible réalité sur le terrain.

Comme vous le savez tous, même les activités militaires ont leurs lois. Il s’agit du droit international humanitaire, qui se résume en gros, entre autres, aux principes suivants : pas d’utilisation d’infrastructures civiles à des fins militaires, pas de placement d’armes lourdes dans des zones résidentielles, pas d’utilisation de la population civile comme « bouclier humain » et traitement digne des prisonniers de guerre. Nous avons des raisons de croire que tous ces principes sont systématiquement violés par l’armée et les milices ukrainiennes.

De nombreux témoins affirment que l’armée ukrainienne utilise les civils comme otages et « boucliers humains ». Voici à quoi ressemblent, par exemple, les tactiques de défense du bataillon Azov dans les grandes villes, notamment Marioupol.

Vidéo 1 (original)

Vous pouvez voir à l’écran qu’ils se placent normalement au premier étage et aux étages supérieurs des immeubles résidentiels tandis que la population civile est prise en otage au milieu du bâtiment. Les chars sont placés sous les arches, s’il y en a. L’ensemble de l’édifice se transforme en position d’artillerie.

Il existe de nombreux témoignages attestant que les militaires ukrainiens placent des chars, des pièces d’artillerie et des systèmes de lancement de roquettes dans des zones résidentielles, souvent en dépit des protestations manifestes des habitants de ces quartiers, transformant ainsi ces bâtiments en une sorte de sandwich. Et c’est ainsi que les habitants des villes ukrainiennes décrivent la situation. Nous aimerions attirer votre attention sur les propos concernant le théâtre de Marioupol, qui aurait été détruit par les forces armées russes.

Vidéo 2 (original)

Nous avons de nombreux témoignages de personnes à qui l’on a interdit de sortir des villes assiégées par les couloirs humanitaires ouverts par la Russie et qui ignorent même l’existence de ces couloirs. Je m’excuse par avance auprès du public russophone. La vidéo suivante contient quelques obscénités, mais nous avons jugé nécessaire de conserver le discours tel quel.

Vidéo 3 (original)

Un grand nombre de ces crimes sont attribués aux soi-disant unités de défense territoriale qui ont été imprudemment armées par les autorités ukrainiennes malgré le fait qu’il y ait dans leurs rangs beaucoup de criminels condamnés et de détenus libérés de prison. Cela a entraîné l’anarchie et des pillages à grande échelle dans un certain nombre de villes. Il y a beaucoup de témoins d’attaques délibérées sur des blocs résidentiels, des maisons et des infrastructures civiles par des détachements d’Azov et de l’armée ukrainienne pour présenter cela comme le résultat d’une opération militaire russe, et ainsi compromettre nos affirmations selon lesquelles nous n’utilisons que des armes de haute précision et ne ciblons pas les infrastructures civiles.

VIDEO 4

La situation concernant l’évacuation des civils de Marioupol est largement couverte par les médias en ce moment, mais les informations pertinentes sont fortement déformées par les médias ukrainiens et occidentaux. Écoutons certains des témoins. Mon collègue, le premier Représentant permanent adjoint, Dmitry Polyanskiy, va maintenant prendre la parole pour vous présenter une interview intéressante.

VIDEO 5

Dmitry Polyanskiy : Le mérite de cette séquence émouvante revient à Patrick Lancaster, qui devait être avec nous aujourd’hui, mais qui n’a pas pu. Il s’agit de sa couverture de ce qui se passe actuellement à Marioupol.

Je veux faire référence au fait que les grands médias occidentaux couvrent le sujet des personnes évacuées de Marioupol. C’est déroutant, car ils disposent des mêmes matériaux que leurs collègues russes, des mêmes décors et des mêmes témoins. Il est extrêmement décevant de constater que, dans la plupart des cas, les journalistes occidentaux pratiquent la censure et dissimulent les informations gênantes au public occidental. C’est ainsi que l’on crée un nouveau rideau de fer. Je ne vous donnerai qu’un exemple très récent.

Le 2 mai, un groupe de journalistes de nombreux pays a interviewé un groupe de personnes évacuées de l’aciérie Azovstal. L’une d’entre elles, Natalia Usmanova, s’est montrée très loquace et émotive. C’est pourquoi elle est apparue dans de nombreuses séquences. Elle s’est entretenue avec Reuters, qui a publié un court article accompagné d’une séquence vidéo sur son site Internet.

Voici l’article de Reuters en question en intégralité :

BEZIMENNE, Ukraine, 1er mai (Reuters) – Recroquevillée dans le labyrinthe de bunkers datant de l’ère soviétique, profondément enfouie sous l’immense aciérie Azovstal, Natalia Usmanova a eu l’impression que son cœur allait s’arrêter tant elle était terrifiée par les bombes russes qui s’abattaient sur Marioupol, la saupoudrant de poussière de béton.

Usmanova, 37 ans, a parlé à Reuters dimanche après avoir été évacuée de l’usine, un complexe tentaculaire fondé sous Josef Staline et conçu avec un réseau souterrain de bunkers et de tunnels pour résister à une attaque.

« Je craignais que le bunker ne résiste pas, j’avais une peur terrible », a déclaré Usmanova, décrivant le temps passé à s’abriter sous terre.

« Lorsque le bunker a commencé à trembler, j’étais hystérique, mon mari peut en témoigner : j’avais tellement peur que le bunker s’effondre. »

« Nous n’avons pas vu le soleil pendant si longtemps », a-t-elle déclaré, s’exprimant dans le village de Bezimenne, dans une zone de Donetsk sous le contrôle des séparatistes soutenus par la Russie, à environ 30 km (20 miles) à l’est de Marioupol.

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Natalia Usmanova, 37 ans, employée de l’aciérie Azovstal, évacuée de Mariupol, réagit à son arrivée dans un centre d’hébergement temporaire pendant le conflit Ukraine-Russie dans le village de Bezimenne, dans la région de Donetsk, en Ukraine, le 1er mai 2022.
REUTERS/Alexander Ermochenko

Elle a remémoré le manque d’oxygène dans les abris et la peur qui s’est emparée des personnes qui s’y étaient entassées.

Mme Usmanova faisait partie des dizaines de civils évacués de l’usine de Marioupol, une ville portuaire du sud du pays assiégée par les forces russes depuis des semaines et laissée à l’abandon.

Usmanova dit avoir plaisanté avec son mari pendant le trajet en bus, dans un convoi agréé par les Nations unies et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en disant qu’ils n’auraient plus à se rendre aux toilettes avec une torche.

« Vous ne pouvez tout simplement pas imaginer ce que nous avons vécu : la terreur », a déclaré Usmanova. « J’ai vécu là-bas, j’y ai travaillé toute ma vie, mais ce que nous avons vu là-bas était tout simplement terrible. »

Quelle est l’impression que vous donne ce reportage ? Natalia est terrifiée, effrayée par les frappes russes, elle doit détester la Russie pour ce qu’elle a fait à l’Ukraine. Dieu merci, elle est en sécurité et peut se rendre en Ukraine : c’est l’impression que l’on a en regardant cette vidéo et en lisant le reportage sur le site de Reuters.

Mais en fait, Reuters a fortement censuré ce qu’elle a réellement dit. Regardons le reste du récit de Natalia, qui a été diffusé dans son intégralité à la télévision russe.

VIDÉO 6

Journaliste : Maintenant, où préfèreriez-vous aller, en Ukraine ou en Russie ?

Natalia Usmanova : En Russie, pas en Ukraine. En fait je ne sais même pas si je peux le dire. Franchement, on a peur. On ne sait pas ce qu’on peut dire ou pas.

Journaliste : Vous pouvez dire tout ce que vous voulez.

Natalia Usmanova : Franchement, je ne veux pas aller en Ukraine. Je ne veux pas aller en Ukraine. Notre famille a décidé à l’unanimité qu’on ne veut pas aller en Ukraine. Mais si on décide de revenir, alors ce sera seulement à Marioupol, c’est-à-dire en République populaire de Donetsk, pas en Ukraine.

En tant que citoyenne de l’Ukraine, je dois dire que ce pays en tant qu’Etat est mort à mes yeux. L’Etat et les politiciens et touts ceux qui nous ont infligé tout cela. Ils n’ont pas résolu ce conflit de manière pacifique dès le début.

Et j’ai une question : pourquoi les gens ont-ils été retenus de force dans la ville ? Dès que les tirs ont commencé, le maire a été le premier à quitter la ville. Il a évacué la ville alors que les citoyens étaient coincés. L’armée ukrainienne a tout simplement interdit aux civils de partir, même les enfants, les personnes âgées et les malades. Je veux demander pourquoi, dans quel but ils ont fait ça ?

Cette vidéo montre clairement quelle était l’humeur réelle de Natalia Usmanova. Il est vraiment difficile de commenter cette manipulation éhontée. Comment les téléspectateurs occidentaux apprendront-ils la vérité alors que les chaînes de télévision russes, comme nous le savons tous, sont interdites dans les pays occidentaux ? Qui diffuse de la propagande ici ? Jugez-en par vous-même. Et ma remarque personnelle : honte à vous, Reuters. Au lieu de promouvoir le journalisme, la liberté d’expression et l’accès à l’information, vous choisissez la voie qui consiste à devenir les soldats d’une guerre de l’information contre la Russie. Au fait, le journal allemand Der Spiegel a publié une version plus longue de l’interview de Natalia Usmanova et l’a supprimée après quelques heures. Nous ne doutons pas de la raison de cette censure.

Note du Cri des Peuples — Voici la brève réaction de Reuters à l’accusation russe de censure, qui évite courageusement de parler du fond :

L’ambassadeur adjoint de la Russie auprès de l’ONU, Dmitry Polyanskiy, a déclaré qu’un rapport de Reuters du 1er mai n’incluait pas un commentaire fait par une personne évacuée de l’aciérie. Dans son récit aux médias de l’Ukraine sous contrôle russe [il s’agit de la même interview donnée à plusieurs médias, dont Reuters], Natalia Usmanova a déclaré que les troupes ukrainiennes l’avaient maintenue, elle et d’autres civils, dans l’aciérie contre leur gré.

Un porte-parole de Reuters a déclaré que l’organisation s’en tenait à son reportage.

« Nous cherchons encore à vérifier des aspects essentiels du récit de Natalia Usmanova. Nous nous engageons à rendre compte du conflit en Ukraine de manière impartiale et indépendante, comme nous le faisons dans le monde entier. »

Le ministère de la Défense et l’état-major ukrainien n’ont pas immédiatement répondu aux demandes écrites de commentaires sur la remarque d’Usmanova.

« Reuters, en fait, a fortement censuré ce qu’elle a dit en réalité », a déclaré Polyanskiy lors d’une session informelle du Conseil de sécurité de l’ONU. Les réseaux de télévision russes ont diffusé le commentaire d’Usmanova.

Vassily Nebenzia : Après avoir visionné toutes ces vidéos, on peut se poser une question : pourquoi les combattants ukrainiens traitent-ils leurs concitoyens de manière aussi méprisante, dénigrante et inhumaine ? Pourquoi détruiraient-ils les villes ukrainiennes sans se soucier du sort des civils ? La réponse est très simple et pourtant difficile à digérer : les bataillons Azov et autres nationalistes ne traitent tout simplement pas la population russophone comme leurs égaux, comme des concitoyens de leur pays.

Une autre question importante que nous ne pouvons éviter d’aborder est la cruauté animale de la milice ukrainienne envers les détenus militaires russes. Nous n’allons volontairement pas montrer aujourd’hui les vidéos pertinentes, mais elles sont nombreuses sur les réseaux sociaux. Des soldats russes, les bras attachés dans le dos, reçoivent des balles dans les jambes, sont égorgés, battus de manière très violente et leurs os sont brisés de manière sadique. Et toutes ces tortures sont filmées par de « fiers » miliciens ukrainiens. Pour vous éviter de vous lancer dans une nouvelle série d’accusations inutiles de propagande russe, nous vous invitons simplement à regarder ce qui suit.

https://youtu.be/AB6GAQU2hjA
Vidéo 7 (original)

Chers collègues, nous avons essayé de vous montrer seulement quelques-uns des récits des victimes des crimes et des traitements dénigrants de l’armée ukrainienne et des nationalistes. Nous en avons beaucoup plus, ceci n’en est qu’une petite partie. Nous les documentons afin de garantir que ceux qui ont commis ces crimes rendent des comptes pour leurs actes. Mais en raison des limites de temps, nous allons nous arrêter là et donner la parole à nos distingués informateurs. Ils viennent de différents pays mais ont une chose en commun. Ils ont tous une expérience de première main du travail dans les zones de nos opérations militaires spéciales. Beaucoup d’entre eux ont également couvert la guerre de huit ans menée par l’Ukraine contre les habitants de Donetsk et de Lugansk.

Notre premier intervenant n’a pas besoin d’être présenté. Nous avons le plaisir d’accueillir Anne-Laure Bonnel, journaliste française, qui a déjà fait un travail inestimable pour faire la lumière sur la vie de la population civile de Donbass, qui a été simplement « annulée » dans l’Occident humaniste.

Intervention d’Anne-Laure Bonnel : « L’offensive russe de 2022 est une tragédie pour l’Ukraine, mais gardons à l’esprit que l’Est de l’Ukraine souffre depuis 2014. Le passé jette la lumière sur le présent. Mai 2014 : des hélicoptères ukrainiens tirant sur des civils tués instantanément ou pire, toujours vivants et parlant encore alors que leurs corps étaient coupés en deux. Ces images hanteront à jamais les gens de l’Est. Avec le massacre d’Odessa, ces crimes sont restés impunis.

Donc, oui, j’espère que les négociations en vue d’un accord de paix seront encore possibles.

De plus, nous sommes les rares journalistes français qui ont été témoins oculaires des derniers développements. Mon témoignage est en phase avec ceux de mes collègues. Liseron Boudoul de TF1, la première chaîne française, documente les tirs et bombardements sur Donetsk. De plus, la formation américaine des volontaires a été rapportée par le journaliste Régis Le Sommier pendant son séjour à Odessa.

La paix ne se fait pas seulement par des accords écrits. La paix est faite et maintenue par les peuples. Comment l’apaisement peut-il être garanti après un conflit si les communautés ont été retournées les unes contre les autres, armées encore et encore, et ont appris à se haïr et à se détester les unes les autres ?

En envoyant des armes de plus en plus lourdes et meurtrières en Ukraine, les dirigeants des pays non impliqués dans le conflit ne font que contribuer à une nouvelle escalade entraînant de plus en plus de victimes, de larmes et de ressentiment pendant des années et des décennies à venir.

Inonder un pays d’armes est loin d’unir les nations. N’oubliez pas votre rôle principal. Le monde entier doit immédiatement demander le dialogue et la médiation dans le but de rétablir la paix.

Pousser l’Allemagne vers la remilitarisation met en danger l’Europe. Le continent est au bord de l’effondrement. Une guerre mondiale dont l’épicentre serait en Europe devient de plus en plus plausible. Le danger nucléaire doit être pris au sérieux.

Le conflit dure depuis 8 ans. Est-ce le manque de dialogue et le non-respect des engagements précédents qui ont abouti à l’invasion tragique que nous regrettons maintenant ? Je me le demanderai à jamais.

La solution, le cas échéant, est entre vos mains.

L’humanité compte sur vous et sur les vertus de réunions comme celle de M. Guterres le 26 avril 2022 à Moscou. Chaque vie perdue est un échec. Chaque vie sauvée est une victoire.

Aujourd’hui, dans ce sanctuaire des Nations unies, c’est vous qui gardez les idéaux et la conscience. Cette lourde responsabilité et cet immense honneur qui vous sont accordés devraient vous encourager à donner la priorité au désarmement pacifique.

J’aimerais conclure par une citation. « L’humanité est maudite, si elle est condamnée à tuer pour toujours au nom du courage ». Le courage consiste plutôt à ne pas recourir à la force dans un conflit qui peut être résolu par la raison.

Merci.

J’aimerais vous montrer quelques-uns de mes témoignages sur la guerre du Donbass. 

Merci.

VIDEO 8

Merci Mme Bonnel.

Notre deuxième intervenant est Giorgio Bianchi, photojournaliste, réalisateur, cinéaste et écrivain italien. Il a largement couvert le conflit armé en Syrie et la crise ukrainienne à partir de l’ « EuroMaïdan ». Dans son travail, Giorgio accorde toujours une attention particulière aux questions humanitaires et anthropologiques. Il a également réalisé une interview de la jeune femme Marianna, dont les photos se sont répandues à la vitesse d’une fusée dans les médias occidentaux en tant que victimes de la prétendue attaque d’artillerie russe contre une maternité à Marioupol. Combien de fois avons-nous entendu ces mensonges flagrants au Conseil de sécurité de la part de nos collègues occidentaux ?

Bonsoir, c’est vraiment un honneur pour moi d’être ici.

Je suis récemment rentré du Donbass, où j’ai documenté le conflit pendant environ deux mois.

Je dois dire que je m’attendais à trouver une différence entre la réalité sur le terrain et dans les médias, mais pas à ce niveau.

Je peux comprendre la propagande russe, je peux comprendre la propagande ukrainienne. Ce qui reste incompréhensible pour moi, c’est la propagande européenne.

Avec les médias russes censurés, et avec tous les autres médias supposés officiels alignés sur la propagande ukrainienne, pour le public européen – je suis européen – il est pratiquement impossible de se faire une opinion objective sur la réalité sur le terrain. C’est pourquoi de plus en plus de personnes se tournent vers le web pour recevoir des informations équilibrées.

Les gouvernements et les plateformes numériques, au lieu de se questionner sur ce phénomène, tentent de limiter l’accès à l’information en ligne. Il semble que leur objectif soit de soutenir un seul récit des faits.

La guerre est traumatisante en soi, et j’en sais quelque chose. Il n’est pas nécessaire de la rendre encore plus horrible en inondant l’éther et le papier de fausses nouvelles. Je pense qu’il n’est pas utile d’alimenter le conflit ou de l’élargir, en nourrissant la haine.

Il me semble qu’il existe une sorte d’intérêt à ce que le conflit dure longtemps et s’étende.

J’ai personnellement dénoncé plusieurs fake news diffusées dans les médias européens : la honteuse une de La Stampa qui attribuait de manière mensongère le massacre de Donetsk du 14 mars aux Russes ; le fait que Marianna, la fille qui a symbolisé le bombardement de l’hôpital de Mariupol, n’avait pas été enlevée par les Russes ; le fait que les Russes n’expulsent pas les civils de Marioupol (ils n’ont pas pu évacuer tous les civils qui voulaient partir ; ils n’ont certainement pas emmené ceux qui voulaient rester).

Au contraire, j’ai montré que les soldats et miliciens ukrainiens ont largement utilisé les civils comme boucliers humains. Les témoignages que j’ai recueillis se comptent par dizaines et la grande majorité le confirme. Il n’y a aucune trace de ce travail de vérification des faits dans la presse grand public.

A quel jeu jouons-nous ? Voulons-nous une troisième guerre mondiale ? Voulons-nous réduire les populations européennes à la misère à force de sanctions ?

Je suis un journaliste indépendant. Mon travail a été reconnu internationalement. Mais je ne peux pas travailler en Ukraine car je figure sur une liste noire, Myrotvorets, dans laquelle je suis défini comme un « criminel », simplement pour avoir fait mon travail et pour avoir partagé mon point de vue avec le public, un point de vue documenté par huit années de travail sur le terrain.

Aujourd’hui, on m’accuse d’être un professionnel infiltré. Mais je ne peux pas travailler de l’autre côté car je risque d’être arrêté.

Pensez-vous que cela soit normal ?

Une autre fois : à quel jeu jouons-nous ?

Pour sûr, c’est un jeu très dangereux.

Merci beaucoup.

Merci M. Bianchi.

Nous sommes heureux de saluer aujourd’hui Salem Abdel-Munem, plus connu sous le nom de Salam Al-Obaidi. Il est le chef du bureau de Moscou et de l’Europe du Nord du réseau de télécommunications panarabe indépendant « Al-Mayadeen ». Il a commencé sa carrière journalistique à la fin des années 1980 du 20e siècle, en travaillant comme traducteur dans un certain nombre de publications soviétiques de radiodiffusion étrangère. Plus tard, il a travaillé comme correspondant pour un certain nombre de médias arabes à Moscou. Journaliste universel, il a couvert divers domaines de la vie en Russie, dans la CEI (Communauté des États indépendants), dans les États baltes et en Europe du Nord. Il a une grande expérience du travail dans les points chauds tels que l’Afghanistan, l’Irak, la Libye, la Syrie, etc.

Al-Obaidi : Merci beaucoup, M. Nebenzia, et bonjour mesdames et messieurs. C’est un grand honneur pour moi de participer aujourd’hui à cet événement organisé par la Mission russe auprès des Nations Unies.

Tout d’abord, j’espère que mon humble participation nous rapprochera au moins un peu plus de la vérité sur ce qui se passe au Donbass, peut-être que cela vous aidera à prendre la bonne décision et à contribuer à mettre fin à l’effusion de sang en Ukraine. Pour cela, il est tout d’abord nécessaire, je pense, d’arrêter l’approvisionnement en armes au régime de Kiev.

Mesdames et Messieurs, je suis heureux d’avoir l’occasion de partager mes impressions avec vous. Après avoir visité un certain nombre de villes et villages du Donbass, la première chose que je veux dire est que je me suis concentré dans mes rapports sur les déclarations des habitants eux-mêmes, leurs humeurs et ces faits qui parlent d’eux-mêmes, où que je me trouve, que ce soit dans chaque maison détruite, dans la salle d’urgence d’un hôpital, devant une fenêtre brisée ou dans un terrain de sport à l’écol, et bien sûr il est impossible de passer outre le drame du théâtre de Marioupol.

C’est probablement la chose la plus importante que je veux souligner : malgré les excès des radicaux et nationalistes, les gens n’ont pas n’ont pas perdu leur humanité et leur soif de paix. J’étais dans le Donbass, dans les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk début avril, et la ville de Marioupol était en grande partie libérée des radicaux alors. Nous avons aussi visité d’autres villes libérées. Dans les sept histoires que j’ai filmées là-bas, j’ai essayé de refléter l’image réelle de ce que j’ai vu et entendu. J’ai vu la destruction tout le temps, j’ai entendu les histoires de personnes courageuses qui veulent tourner cette page tragique dans le destin de leur terre et commencer une nouvelle vie en tant que peuple libre. Je vais vous présenter un extrait de mes sept histoires. S’il vous plait, lancez le film.

VIDEO 9

Vassily Nebenzia : Monsieur Al-Obaidi, voulez-vous ajouter quelque chose ?

Al-Obaidi : Oui. Je pense que la pire des choses, la pire des choses est d’avoir des yeux et de ne pas voir, ou de ne pas vouloir voir la vérité. C’est très facile de parler de la guerre assis sur votre chaise, que ce soit au bureau, dans un studio ou à la maison, mais c’est tout autre chose de la voir de vos propres yeux, à travers les yeux d’enfants qui ont vu toutes les horreurs de la guerre. J’ai vécu en Russie pendant de nombreuses années et je peux dire en toute confiance que les Russes ne veulent pas la guerre. Les résidents du Donbass ne veulent pas la guerre. La célèbre chanson [pacifiste soviétique] le dit bien : « Les Russes veulent-ils la guerre ? ».

Merci.

Merci M. Al-Obeidi. J’attire l’attention de l’audience sur le fait que nous n’éditons ni ne censurons aucun de nos briefings.

Bienvenue à Sonja van den Ende, des Pays-Bas, dont les témoignages sur les tragédies des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk sont également inestimables.

Sonja van den Ende : Bonjour. Tout d’abord, je vous remercie beaucoup M. l’ambassadeur et les membres de l’ONU de me donner l’occasion de m’exprimer aujourd’hui.

La semaine dernière, j’ai visité les républiques de luhansk et de donetsk, je me suis rendu tout d’abord dans la ville de Meliteopol. Nous y avons entendu une déclaration du nouveau maire, et elle nous a dit que l’ancien maire avait été kidnappé, et il est maintenant libre et il est en tournée en Europe. Il est en tournée sans que les gens sachent qu’il fait partie du bataillon Azov et du Secteur droit, qui est un parti populiste de droite. Il est accueilli par l’Europe démocratique. C‘est ce que je ne comprends pas : que l’Europe, l’Europe démocratique que je connais, surtout le pays d’où je viens c’est-à-dire les Pays-Bas, donnent la parole à des gens qui sont d’extrême droite, qui sont clairement avec le bataillon Azov, dont on peut voir l’emblème sur leurs costumes, leurs tenues, leurs drapeaux, vous pouvez le voir partout.

Et nous, journalistes occidentaux comme mon collègue d’Italie, sommes sur une liste (noire), nous sommes censurés en Europe, nous ne pouvons pas dire la vérité alors que nous étions là et que nous avons vu des choses horribles. J’étais par exemple aussi à Marioupol, j’ai vu la guerre, j’ai vu ce qu’elle fait aux enfants, j’ai entendu les bombardements. Je sais qu’il y avait des combats dans l’usine d’acier Azovstal. Mais il n’y a qu’un côté de l’histoire qui est présenté en Europe, l’autre côté n’est pas présenté car ils ne permettent pas aux journalistes européens d’aller en Russie, ou du moins du côté russe en Ukraine.

Aujourd’hui, M. Scholz, le chancelier allemand, a dû aller s’excuser parce que les Ukrainiens l’ont traité de « saucisse de foie », ce qui est une insulte terrible. Donc si les politiciens ne peuvent même pas aller en Russie ou parler avec la Russie, que veut l’Europe, que veut-elle ? La troisième guerre mondiale ? On dirait bien. Parce que les gens en Ukraine ne veulent pas de troisième guerre mondiale. J’ai vu la guerre dans leurs yeux, j’ai vu ce qui s’est passé. Et je veux aussi souligner la tragédie au théâtre de Marioupol. J’ai parlé là-bas avec un militaire russe qui m’a expliqué que ça n’a pas pu arriver à cause d’une bombe parce que le bâtiment a implosé de l’intérieur, donc sans aucun doute, il devait y avoir des armes stockées sous le théâtre. Et beaucoup de gens à qui j’ai parlé, des résidents, m’ont tous dit que la nuit ou le jour où c’est arrivé, il n’y a pas eu de bombardements Russes, alors pourquoi nous n’entendons pas cette histoire ? Pourquoi n’entendons-nous les histoires que du côté ukrainien ? Où est la presse libre ? Pourquoi Russia Today est-elle bannie en Europe ?

Pouvez-vous me dire que c’est l’Europe libre et démocratique où la liberté de la presse est au plus haut, comme on le prétend toujours ?  Ce n’est pas le cas, tout est censuré. Alors s’il vous plaît, membres de l’ONU, essayez de faire respecter la liberté de la presse, donnez aussi la parole à l’autre côté parce que dans une guerre, il y a toujours des choses qui arrivent, mais je suis 100% sûr que les Russes ne veulent pas la guerre, tout comme les Européens ne veulent pas la guerre, nous le voyons bien. On l’a vu à Marioupol, on l’a vu à Mélitopol, les gens ne veulent pas la guerre. Et le plus terrible aussi c’est qu’il y avait beaucoup de personnes âgées restant à Marioupol, cachées dans les caves, et beaucoup de gens m’ont dit qu’ils ont tous été utilisés comme boucliers humains, donc c’est très très terrible.

Pour conclure, s’il vous plaît, pensez à permettre la liberté de la presse, en nous donnant à nous les journalistes de guerre qui allons dans ces dans ces endroits pour vous rapporter ce qui se passe. Et au moins, assurez-vous que cette guerre ne va pas s’aggraver en une troisième guerre mondiale.

Merci beaucoup.

Vassily Nebenzia : Merci Mme van den Ende.

Et notre dernière invitée, mais non la moindre, est Asya Zuan, rédactrice en chef de l’édition bulgare de l’agence « News Front », qui connaît également très bien le contexte ukrainien, en particulier le Donbass.

Nous ne doutons pas que leurs exposés contribueront à diluer l’approche médiatique unilatérale des événements dans les régions orientales de l’Ukraine et permettront de voir et d’entendre d’autres témoignages de graves violations du droit international humanitaire et de crimes de guerre par les forces armées ukrainiennes et les bataillons nationalistes. Asya Zuan :

Asya Zuan : Merci beaucoup. Bonjour M. l’ambassadeur. Distingués délégués et chers collègues, je veux remercier tout d’abord mes collègues qui commencent à parler et à montrer la vérité. Si vous me le permettez, je voudrais commencer par une citation qui est vraiment très pertinente pour la situation actuelle : « La dernière guerre entre les peuples sera une guerre pour la vérité. Cette guerre sera dans chaque personne, la guerre contre sa propre ignorance, sa propre agression, sa propre irritation, et seule une transformation radicale de chaque individu peut devenir le début d’une vie paisible pour tous les peuples. »

Avant que je commence avec ma présentation, intitulée « Donbass : la vie sous le feu et le silence criminel du monde civilisé », je dois vous dire qu’avant notre réunion aujourd’hui, j’ai été informée et prévenue que je ne pourrai jamais revenir dans mon pays natal, la Bulgarie, si je participais à cette réunion. Mais j’ai quand même pris la décision de faire ce discours aujourd’hui parce que je crois que cette réunion est extrêmement importante pour la société mondiale et la sécurité globale.

Je suis une journaliste bulgare. J’ai visité le Donbass plusieurs fois. J’ai vu les yeux des gens. J’ai vu comment les armes ukrainiennes tirent sur leurs maisons, et j’ai commencé à montrer cela dans mon pays. Après ma première visite, j’ai uploadé [inaudible]. Je crois que c’est aussi une grande violation du droit international humanitaire, parce qu’aujourd’hui nous parlons tous de violations systématiques et massives, de graves violations du droit international humanitaire ainsi que d’autres crimes de guerre commis par les militaires et milices ukrainiens découverts au cours de l’opération militaire spéciale en cours.

Je veux prêter attention à plusieurs moments liés à la guerre de l’information, notamment les marins capturés, dont un bulgare, par les nationalistes d’Azov, et la situation sur le fait que les armes ukrainiennes sont fournies en quantité énorme par les Etats-unis.

Je voudrais poser une simple question : nous savons tous ce qu’est une arme : une arme est une chose que l’on utilise pour tuer des gens. Alors je crois qu’aujourd’hui il y a des représentants des États-Unis et laissez-moi vous poser quelques questions à ce sujet.

Je veux demander pourquoi cet argent que les États-Unis allouent pour les armes et la soi-disant assistance militaire n’est pas dirigée vers l’aide humanitaire, parce que je crois que les ukrainiens n’ont pas besoin d’armes. Je crois que les ukrainiens ont besoin de nourriture, d’éducation, d’aide psychologique et généralement d’une vie sans l’ « aide » des États-Unis. Je crois que si les Etats-Unis ne fournissent pas d’armes à l’Ukraine (et ne forcent pas les autres pays à le faire), il n’y aura pas de dette et pas de guerre. Si les états-unis ne dépensaient pas tant d’argent pour des activités militaires biologiques en Ukraine en particulier et globalement dans tout le monde et l’espace post-soviétique, il n’y aurait pas d’épidémies de maladies infectieuses inconnues et de morts. Parce que moi et ma collègue bulgare Esther Dilena Gatenzeva nous avons fait quelques enquêtes sur ce sujet.

J’aimerais vous poser une question : vous développez des armes biologiques en Ukraine. Pourquoi avez-vous besoin de tant de laboratoires là-bas ? Et n’est-ce pas une grande violation du droit international humanitaire ? Aussi je suppose que tout le monde a entendu parler de la situation à Marioupol où les nationalistes ont capturé plusieurs navires étrangers, dont le navire bulgare Tsarevna. Pourquoi les autorités bulgares ont-elles nié que les marins ont été secourus par la DPR et les forces armées de la Fédération russe ? Pourquoi ont-elles nié qu’Azov a a tiré depuis le navire ?

Les nationalistes d’Azov ont capturé deux navires bulgares, Sarena et Lady Augusta, et ont pris l’équipage en otage. L’information a été connue en avril, le 10 avril selon l’information de l’armée du peuple de la DPR. Le 8 avril, le chef du ministère des affaires étrangères en de la DPR, Natalia Nicanorovo, a signalé que l’armée ukrainienne avait bloqué au moins six navires étrangers dans le port de Marioupol. Ils ne pouvaient pas quitter le port en raison du risque d’utilisation d’armes ou en raison du risque potentiel que la la zone d’eau du port pourrait être minée. Sur le navire bloqué en particulier, il y avait des citoyens de Bulgarie, Syrie, Azerbaïdjan, Turquie, Libéria et Egypte. Je veux faire quelques citations de nos marins bulgares qui ont été sauvés par la DPR et les soldats russes. Nos marins ont dit : « Tout d’abord, je tiens à remercier la DPR du fond du coeur pour nous avoir sauvés, pour l’évacuation. C’est très touchant que des gens qui sont en première ligne essayent de nous calmer. Ils nous ont donné de la nourriture, de l’eau, des conserves. » Et quelque chose de très touchant, le deuxième ingénieur à bord a expliqué que le gouvernement de Bulgarie restait silencieux pour des raisons politiques.

Je voudrais demander : n’est-ce pas une violation du droit international humanitaire ? Aussi, une autre citation : « Il n’y a eu que la DPR pour nous sauver, il n’y avait personne d’autre pour nous sortir de là. Seulement la DPR et la Fédération de Russie. Je remercie la DPR et la Russie de nous avoir évacués, de nous avoir bien traités de nous avoir donné de la nourriture et de l’eau », a ajouté un autre marin, Radoslav Stryanov.

Cette situation a montré que les nationalistes d’Azov ont un tel sentiment d’impunité qu’ils se sont permis de traiter les gens d’autres pays ainsi en sachant ou en croyant que rien ne leur arrivera. N’est-ce pas une violation du droit humanitaire international ? Pourquoi la communauté internationale ferme-t-elle les yeux sur de telles choses ?

Egalement au sujet de cette guerre internationale d’information, je pense que tout le monde connaît cette incroyable femme, Angelina Jolie, que j’admire depuis mes années d’école. Cette femme incroyable, une grande mère et une actrice extrêmement talentueuse, a fait les titres quand elle est venue en Ukraine soutenir le peuple ukrainien. J’aimerais demander à Angelina Jolie pourquoi vous n’êtes jamais venue au Donbass pendant ces huit ans ? Quelle est la différence entre les gens du Donbass et les gens en Ukraine ? Pourquoi une telle différence de traitement entre les gens ?

Et si vous me permettez, depuis cette tribune, je veux dire aux autorités bulgares, parce que je suis bulgare et que mon pays fournit des armes à l’Ukraine, parce que je crois que ces armes sont utilisées pour tuer des gens et tuer les enfants dans le Donbass. Nous ne devons pas participer à de tels crimes de guerre. Et je pense qu’il est temps que les gens dans le monde entier disent la vérité pour arrêter cette guerre.

La situation est simple : les Etats-Unis et les autres pays occidentaux doivent cesser de fournir des armes à l’Ukraine et il n’y aura pas de guerre. Maintenant, je crois que la Russie fait de son mieux pour arrêter cette maladie nationaliste qui frappe toute l’Europe. Je crois que l’opération spéciale russe vise à l’arrêter, parce que quelqu’un doit arrêter les Etats-Unis qui utilisent l’Ukraine pour cette terrible guerre.

S’il n’y avait pas de fourniture d’armes, il n’y aurait pas eu de crimes aussi terribles. Comme d’autres journalistes, j’ai regardé des vidéos (des crimes ukrainiens dans le Donbass), et je n’ai pas dormi, j’ai pleuré.

Je crois que cette réunion maintenant est vraiment importante parce que si mes collègues d’autres pays commencent à parler de ça, nous pourrions tous ensemble arrêter cette guerre. Nous devons clairement identifier les coupables dans cette situation. Je ne veux pas que notre pays, la Bulgarie, fournisse des armes. Permettez-moi de m’adresser dans ma langue à mes autorités : [déclaration en bulgare].

Et maintenant je veux vous vous montrer une vidéo.

Vidéo 10

Avant de terminer, je voudrais partager quelques chiffres. Selon les données officielles du centre conjoint de contrôle et de coordination de la DPR, du 17 février au 6 mai 2022, pendant les 79 jours de l’escalade, 105 civils du Donbass ont été tués, dont 3 enfants. 460 civils dont 39 enfants ont été blessés.

Je vous remercie.

[Tour de table des membres du Conseil de Sécurité. La France, qui était courageusement absente durant la présentation, a fait une déclaration abjecte de servilité atlantiste, de négationnisme face aux crimes UkroNazis et de russophobie.]

Remarques finales de Vassily Nebenzia : Je pense que nous arrivons à la fin de notre réunion. Je remercie une fois de plus les informateurs, et pas seulement eux, mais aussi ceux qui ont été interviewés. Ces personnes ne sont pas assises à cette table. Elles se trouvent souvent dans des conditions terribles. Mais elles ont expliqué pourquoi ces conditions sont devenues possibles. Contrairement à ce que nous entendons dans les grands médias aujourd’hui, ils disent clairement qui est à blâmer pour ce qui leur est arrivé et ce qui leur arrive.

Chers collègues,

Nous espérons que cette réunion a été utile, pour présenter non pas une alternative, mais les véritables récits de ces témoins, quelle que soit leur opinion. Mais si vos yeux et vos oreilles sont fermés à la vérité, et que vous vous contentez de lire vos déclarations nationales dans vos journaux, nous ne pouvons rien y faire d’autre que d’essayer de revenir avec les véritables récits des personnes qui ont témoigné. Peut-être que certains d’entre vous se complaisent dans leur engourdissement confortable, mais cela ne changera rien à la vérité. Et cette vérité, vous l’avez entendue aujourd’hui de la part d’habitants de l’est et du sud de l’Ukraine et de journalistes qui y travaillent. Alors ouvrez les yeux et accueillez la vérité, même si elle est cruelle ou inconfortable.

Merci.

Voir notre dossier sur la situation en Ukraine.




Alexandre Juving-Brunet : « Je livre tout ce que je sais, et je prends des risques pour le faire »

[Source : Nexus]

Ancien capitaine de gendarmerie, Alexandre Juving Brunet nous livre sa vision d’un monde au bord du chaos. Il a démissionné en 2013 après avoir observé et subi les dérives des institutions.

Alexandre Juving Brunet appelle les Français à réincarner l’esprit Gaullien et recréer un pays phare pour devenir une force d’attraction pour le monde. Formé à l’École Spéciale Militaire de Saint-Cyr puis à l’École des Officiers de la Gendarmerie Nationale, Alexandre Juving-Brunet s’est engagé très tôt pour servir la France. Il occupa des responsabilités de sécurité publique en zone rurale, dans la gendarmerie mobile, puis d’officier d’état-major et de liaison aux renseignements militaires.






Lavrov/Israël sur les origines juives d’Hitler : qui a raison ?

[Source : RI via mediazone]

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, est en conflit avec Israël en raison du soutien de ce dernier à la milice nazie en Ukraine.

La cause immédiate est un passage d’une interview que Lavrov a accordée à la chaîne de télévision italienne Mediaset.

« Question : C’est ainsi que vous le voyez, alors que Volodymyr Zelensky le voit différemment. Il pense que la dénazification n’a aucun sens. Il est juif. Les nazis, Azov – il y en a très peu (plusieurs milliers). Volodymyr Zelensky réfute votre vision de la situation. Pensez-vous que Volodymyr Zelensky soit un obstacle à la paix ?

Sergueï Lavrov : Ce que le président Volodymyr Zelensky réfute ou ne réfute pas m’importe peu. Il est aussi inconstant que le vent, comme on dit. Il peut changer de position plusieurs fois par jour.

Je l’ai entendu dire qu’ils ne discuteraient même pas de démilitarisation et de dénazification lors des pourparlers de paix. Premièrement, ils torpillent les pourparlers comme ils l’ont fait pour les accords de Minsk pendant huit ans. Deuxièmement, la nazification est là : les militants capturés ainsi que les membres des bataillons Azov et Aidar et d’autres unités portent des croix gammées ou des symboles des bataillons nazis Waffen-SS sur leurs vêtements ou se les font tatouer sur le corps ; ils lisent ouvertement « Mein Kampf » et en font la promotion. Son argument est le suivant : Comment peut-il y avoir du nazisme en Ukraine s’il est juif ? Je peux me tromper, mais Adolf Hitler avait aussi du sang juif. Cela ne veut absolument rien dire. Les sages juifs disent que les antisémites les plus ardents sont généralement des juifs. « Chaque famille a son mouton noir », comme on dit. »

L’entité sioniste en Palestine a réagi avec des mots durs :

« Le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, a condamné lundi une récente déclaration du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, selon laquelle les juifs étaient « les plus grands antisémites ».

Le ministère israélien des Affaires étrangères a également convoqué l’ambassadeur russe en Israël pour qu’il s’explique sur les propos de Lavrov, tandis que le ministre israélien des Affaires étrangères, Yair Lapid, a exigé des excuses. …

Bennett a déclaré qu’il considérait les remarques de Lavrov avec la « plus grande sévérité« , affirmant que ces commentaires étaient « faux et que leurs intentions étaient mauvaises« . 

Bennett a ajouté : « Le but de tels mensonges est d’accuser les juifs eux-mêmes des crimes les plus horribles de l’histoire, qui ont été perpétrés contre eux, et d’absoudre ainsi les ennemis d’Israël de toute responsabilité« . …

Séparément, Lapid a déclaré que les commentaires de Lavrov étaient « à la fois une déclaration impardonnable et scandaleuse, ainsi qu’une terrible erreur historique« . …

« Les juifs ne se sont pas assassinés eux-mêmes lors de l’Holocauste« , a-t-il ajouté. « Le plus bas niveau de racisme contre les Juifs est d’accuser les Juifs eux-mêmes d’antisémitisme« . 

Lapid a une grande bouche qui cache le blanchiment des collaborateurs juifs nazis dans lequel sa propre famille était impliquée.

Mais abordons d’abord la question de l’ascendance d’Adolf Hitler. La chaîne Histoire a fait un reportage à ce sujet :

« Dans les décennies qui ont suivi la mort d’Adolf Hitler, l’ascendance du leader nazi a fait l’objet de spéculations effrénées et d’une intense controverse. Certains ont suggéré que son père, Alois, né d’une femme célibataire nommée Maria Schickelgruber, était l’enfant illégitime de Leopold Frankenberger, un jeune homme juif dont la famille l’employait comme femme de ménage (elle a ensuite épousé Johann Georg Hiedler – plus tard orthographié « Hitler » – dont son fils a adopté le nom de famille).« 

En 2019, le Jerusalem Post a fait état de nouvelles recherches sur la question :

« Une étude menée par le psychologue et médecin Leonard Sax a apporté un nouvel éclairage soutenant l’affirmation selon laquelle le père d’Hitler avait des racines juives. 

L’étude, intitulée « Aus den Gemeinden von Burgenland : Revisiting the question of Adolf Hitler’s paternal grandfather », publiée dans le numéro actuel du Journal of European Studies, examine les affirmations de Hans Frank, l’avocat d’Hitler, qui aurait découvert la vérité. …

Hitler a demandé à Frank d’examiner cette revendication en 1930, après que son neveu William Patrick Hitler ait menacé de révéler que le grand-père du leader était juif. …

Dans ses mémoires de 1946, qui ont été publiées sept ans après son exécution lors des procès de Nuremberg, « Frank a prétendu avoir découvert en 1930 des preuves que le grand-père paternel d’Hitler était un juif vivant à Graz, en Autriche, dans le foyer où la grand-mère d’Hitler était employée« , et c’est en 1836 que la grand-mère d’Hitler, Maria Anna Schicklgruber, est tombée enceinte, explique Sax. …

Sax écrit dans l’étude que selon les lettres contenues dans le mémoire de Frank, « Frankenberger Sr. a envoyé de l’argent pour l’entretien de l’enfant de la petite enfance jusqu’à son 14ème anniversaire« . 

« La motivation du paiement, selon Frank, n’était pas la charité mais principalement une inquiétude quant à l’implication des autorités : ‘Le juif a payé sans décision de justice, parce qu’il était inquiet du résultat d’une audience au tribunal et de la publicité qui en découlerait' », peut-on lire dans les lettres. »

Il me semble que Lavrov a raison sur ce point. Il semble vraiment qu’Adolf Hitler avait des ancêtres juifs qui ont même payé pour l’éducation de son père.

Passons maintenant à l’autre question, l’affirmation de Lavrov selon laquelle :

 » … les antisémites les plus ardents sont généralement des juifs. « Chaque famille a son mouton noir« , comme on dit. 

Yair Lapid n’est pas d’accord avec cela. Son père ne l’était pas non plus jusqu’à ce que, à son grand embarras, de nouveaux faits lui donnent tort. Il y a par exemple le cas bien connu de Rudolf Kasztner, dans lequel le père de Lapid était impliqué.

Comme l’a rapporté le Times of Israel en 2016 :

« [L’historien juif britannique Paul] Bogdanor a été « extrêmement choqué » de constater que tout indiquait que Kasztner avait été « un collaborateur » des nazis, et un « traître au mouvement sioniste et au peuple juif« . 

Le nouveau livre de Bogdanor, « Le crime de Kasztner« , publié en octobre, expose le dossier contre le leader juif avec des détails accablants. Même le défenseur le plus dévoué pourrait avoir des doutes après avoir lu son livre. …

Kasztner était le leader d’un petit groupement sioniste à Budapest vers la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il a dirigé un comité de sauvetage juif qui, avant l’entrée des nazis en Hongrie, a réussi à sauver la vie d’un certain nombre de juifs. Mais une fois les nazis arrivés, Kasztner, un avocat ambitieux, s’est retrouvé mêlé à des négociations prolongées avec les dirigeants nazis, en particulier Adolf Eichmann

Après des tractations complexes avec EichmannKasztner a réussi à convaincre les nazis d’accepter la déportation d’un groupe de 1684 juifs hongrois, le « train Kasztner« , qui ont fini par retrouver la liberté en Suisse. …

Mais des milliers d’autres ont poursuivi leur chemin vers Auschwitz. Bogdanor affirme que non seulement Kasztner savait qu’ils étaient envoyés à la mort, mais qu’il a activement caché cette information aux autres juifs de Hongrie et au reste du monde juif. 

Kasztner a délibérément inscrit sur sa liste certains sionistes convaincus qui souhaitaient émigrer en Palestine. Il a trompé les juifs hongrois qui ne voulaient pas émigrer en leur faisant croire que les nazis ne représentaient aucun danger pour eux. Kazstner lui-même a trouvé plus tard un rôle dans l’establishment sioniste :

« Kasztner lui-même n’est pas monté dans le train, mais a survécu à la guerre et s’est rendu en Palestine. En 1952, il était porte-parole du ministère du Commerce et candidat à la Knesset, bien qu’il n’ait pas réussi à obtenir une place suffisamment élevée sur la liste du Mapai pour être élu. » 

Néanmoins, lorsqu’en 1953, un juif hongrois amer du nom de Malkiel Gruenwald distribue un pamphlet sur Kasztner, le désignant comme un collaborateur nazi, le gouvernement israélien l’estime suffisamment pour intenter un procès en diffamation en son nom, accusant Gruenwald de diffamation. …

Au cours du procès, des dizaines de témoins ont témoigné des actions de Kasztner pendant la guerre. L’affaire dure 18 mois et ne se termine pas bien pour lui. Le président du tribunal décide que Kasztner a bel et bien collaboré et, dans des termes qui résonnent encore aujourd’hui, il déclare qu’il a « vendu son âme au diable« . 

Le gouvernement israélien de l’époque est tombé et Kasztner et sa famille sont devenus des quasi prisonniers dans leur maison. Il a démissionné de son poste, sa femme a sombré dans la dépression et sa fille a parlé, des années plus tard, d’avoir été ostracisée et moquée par les autres enfants à l’école.

« Le 3 mars 1957, des extrémistes de droite ont abattu Kasztner. L’année suivante, trop tard pour lui, le verdict du tribunal a été annulé, ce qui laisse penser qu’une grande partie de ce qui a été dit contre lui n’était pas vrai. Dans les années qui ont suivi, le journaliste et politicien Tommy Lapid, lui-même juif hongrois et père de Yair Lapid, le leader du parti Yesh Atid actuel, a mené la campagne de réhabilitation de Kasztner. »

Le père de l’actuel ministre des Affaires étrangères d’Israël Yair Lapid a tenté de réhabiliter Kasztner. Mais l’historien britannique a estimé que Kasztner était bel et bien coupable :

« Kasztner n’a pas commencé comme quelqu’un de mauvais« , dit Bogdanor. « Il a commencé comme quelqu’un qui voulait sauver des juifs, et avant mars 1944, il a effectivement sauvé des juifs. Mais lorsque les nazis ont occupé la Hongrie, il a commencé à négocier avec eux et, très rapidement, selon moi, il est devenu un collaborateur. » 

L’accusation principale portée contre Kasztner par les juifs hongrois survivants était, selon Bogdanor, « non seulement qu’il n’avait pas réussi à les avertir [de l’intention des nazis]. C’est que Kasztner avait donné des instructions aux dirigeants juifs locaux pour les induire en erreur et les inciter à monter dans les trains à destination d’Auschwitz. Après que Kasztner ait rendu visite aux communautés locales, les dirigeants ont diffusé les fausses informations – qu’il leur avait données – selon lesquelles les juifs allaient être réinstallés en Hongrie. Agranat et les autres juges ont négligé cette affaire de tromperie ». 

Bogdanor admet avoir été profondément choqué par la profondeur et l’étendue de ce qu’il a découvert sur Kasztner. Il aurait été assez grave, selon lui, que Kasztner collabore passivement avec les nazis. Mais il a collaboré activement, dit-il, en prenant des mesures pour tromper à la fois les juifs de Hongrie et ses contacts juifs dans le monde extérieur. »

Yair Lapid, tout comme son père, a tort. Il y avait un grand nombre de collaborateurs juifs et certains étaient même officiers dans la Wehrmacht d’Hitler.

Le ministère russe des Affaires étrangères a répondu aux fausses accusations de Yair Lapid :

Aujourd’hui le russe @mfa_Russia a officiellement répondu sur son canal télégramme à la déclaration de @yairlapid que vous voyez ci-dessous et cette réponse mérite d’être traduite et postée dans son intégralité. Un long fil de discussion avec la traduction complète ci-dessous, lien vers la source à la fin.

La traduction complète de la déclaration du ministère des Affaires étrangères est ici. Elle dit :

« Nous avons prêté attention aux déclarations anti-historiques du ministre israélien des Affaires étrangères Yair Lapid, qui expliquent en grande partie la ligne du gouvernement israélien actuel qui soutient le régime néo-nazi de Kiev. » Le ministre israélien a littéralement déclaré ce qui suit : « Les juifs ne se sont pas détruits eux-mêmes pendant l’Holocauste. Blâmer les juifs pour l’antisémitisme est un niveau flagrant de racisme contre les juifs« . 

Pour une raison quelconque, la presse occidentale (et certains de nos libéraux) continue de se demander s’il y a des néo-nazis en Ukraine. L’origine juive de Volodymyr Zelensky est donnée, comme l’un des arguments « en béton armé« .

L’argument est non seulement indéfendable, mais aussi fallacieux. L’histoire, malheureusement, connaît des exemples tragiques de coopération entre les juifs et les nazis. En Pologne et dans d’autres pays d’Europe orientale, les Allemands ont nommé des industriels juifs à la tête de ghettos et de conseils juifs (« Judenrats« ), dont certains sont restés dans les mémoires pour des actes absolument monstrueux. …

Jakub Leikin, à Varsovie, surveillait les juifs et rapportait tout à l’administration d’occupation allemande, condamnant ses compatriotes à une mort certaine, et parfois douloureuse, et Chaim Rumkowski proposait généralement aux juifs de Lodz de donner leurs enfants aux nazis en échange de sauver la vie des résidents adultes du ghetto, les preuves de ses propos sont nombreuses. Il ne reste plus qu’à se ranger à l’avis de H. Dreyfus, professeur d’histoire à l’Université de Tel-Aviv, selon lequel la complicité des juifs dans l’Holocauste est un « phénomène marginal » (mais pas un tabou et fait l’objet de recherches). 

Le ministère des Affaires étrangères pointe ensuite des sources gouvernementales israéliennes qui ont documenté une grande augmentation de l’antisémitisme en Ukraine depuis le coup d’État de Maidan en 2014 :

« Depuis le coup d’État de 2014, l’antisémitisme a prospéré en Ukraine. » Le rapport du ministre des Relations avec la diaspora d’Israël, Naftali Bennett (PM maintenant), indique qu’en 2017, le nombre d’incidents antisémites, comprenant des dizaines d’actes de vandalisme dans des musées, des synagogues et des mémoriaux, a été multiplié en Ukraine. 

L’Ukraine est devenue le leader parmi tous les pays de l’ex-URSS en termes de nombre d’incidents antisémites, et certaines publications indiquent que l’Ukraine dépasse généralement tous les pays de l’ex-URSS réunis dans leur nombre. L’un des représentants éminents du mouvement juif en Ukraine, Eduard Dolinsky, a récemment craint la cessation des activités de son organisation (« Comité juif ukrainien« ). 

Il existe une certaine tradition de collaboration entre les sionistes et les antisémites. Le fondateur du mouvement sioniste visant à établir un « État juif« , Theodor Herzl, s’en est même rendu coupable :

« Alors que l’écrivain austro-hongrois Theodor Herzl était sur le point de publier son manifeste « L’État juif » en février 1896, il a dû faire face à d’intenses pressions de la part de la communauté juive de Vienne pour qu’il arrête la publication. Herzl a rejeté les supplications, publié le livre et lancé un mouvement qui aboutira à la création de l’Israël moderne. À peu près à la même époque, les habitants de Vienne ont élu un maire antisémite. Au grand soulagement des juifs de Vienne, l’empereur a refusé d’approuver Karl Lueger, mais Herzl a fait pression sur le Premier ministre pour qu’il accepte le choix du peuple, arguant que le boycott du leader populiste ne ferait qu’accroître la haine des juifs. »

Herzl avait espéré que l’installation d’un maire antisémite pousserait davantage de juifs de Vienne à soutenir son idée d’un « État juif« .

L’armement par Israël de la milice fasciste en Ukraine pourrait bien avoir un motif similaire :

« Selon des universitaires et des analystes, Israël tient à faire venir des réfugiés juifs ukrainiens dans le but de maintenir la « suprématie » démographique juive sur la population palestinienne. …

Depuis le début de la guerre avec la Russie le 24 février, le gouvernement israélien a appelé les réfugiés juifs ukrainiens à immigrer en Israël et a supprimé les obstacles bureaucratiques pour garantir leur arrivée le plus rapidement possible. 

« Nous appelons les juifs d’Ukraine à immigrer en Israël – votre foyer », a déclaré le ministère israélien de l’Immigration et de l’Absorption dans un communiqué le 26 février.

Cela explique-t-il aussi pourquoi Igor Kolomoiski, l’oligarque juif ukrainien qui vit en Israël, a financé le bataillon Azov et d’autres milices fascistes en Ukraine ?

Source : Moon of Alabama
Traduction : Réseau International




Nouveau cri d’alarme de la députée italienne Sarah Cunial contre l’obligation vaccinale

Par Nicole Delépine

[Illustrations et tableaux ajoutés par N et G Delépine]

« Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

(([1] Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire… DÉPUTÉE SARAH CUNIAL 12 septembre 2021))

Nouveau cri de détresse sur le mode sarcastique de la célèbre députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial(([2] exclue de son parti (actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi, pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire))(([3] Sara Cunial : « Cher président Draghi, merci de nous avoir mis en ruine en seulement 12 mois » (maurizioblondet.it) via Maurizio Blondet 6 mai 2022))

Elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, comme à chaque fois… Puis elle s’adresse directement au Pape. À quand un tel discours en France au Parlement ?

« Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments) a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider (cf. blog du Dr Gulisano).

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs, car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document — financé par Bill Gates et Rockefeller — sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ».

Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence.

Le but du Pass Covid européen — qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) — est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ».

L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives, car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino(([4] du mot sicilien pizzinu signifiant « petit bout de papier ». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement)) de Speranza [ministre de la Santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays.

Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les tests nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la Santé] pluri vaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple, car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS — et je dis bien TOUS — payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons, car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes :

par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22 %.

Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique !

Nous parlons de +32 %, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées !(([5] EFFETS DELETERES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! /LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([6] Le point sur les complications des pseudovaccins anticovid au 4 mars 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([7] https://childrenshealthdefense.org/defender/pilots-injured-covid-vaccines-speak/))

Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable — jusqu’à 26 % — de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies, car le chiffre officiel du ministère israélien de la Santé du 13/08/2021 dit que 81 % des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies, car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés !

Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON-VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques craignent le vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.(([8] https://nouveau-monde.ca/chroniquesdu-totalitarisme-psychopathologie-du-totalitarisme/))

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. »

C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Georgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert, car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ».

INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »


Vous avez reconnu le ton clair et net de cette députée qui depuis 2020 fait le maximum pour tenter de faire échapper les Italiens à la folie covid et aux mensonges permanents de la clique mondialiste au service de Big Pharma et de Davos et cie.

Rappelons quelques-unes de ses contributions.

Nous l’avions déjà connue depuis 2020 :

En aout 2021 :

En septembre 2021 : Sara Cunial : parlement italien le 9 septembre — Ciel Voilé (cielvoile.fr) et une superbe intervention

En décembre 2021 un appel gagné au tribunal lui permet de retourner au parlement italien :



Début janvier 2022 :

Elle dénonce les mensonges sur les incidents niés lors de la campagne de vaccination sur les enfants. Elle parle des myocardites particulièrement fréquentes. Elle insiste sur cette campagne de vaccination honteuse, mensongère. Elle demande de « garder vos mains avides » loin de nos enfants.

2022 une nouvelle fois la courageuse députée italienne fort isolée dans son hémicycle, non vaccinée, chassée temporairement de ce fait, va défendre les enfants italiens pour tenter de leur éviter la vaccination obligatoire :

Elle est aussi intervenue lors des explications de vote sur le projet de loi transformant en loi le décret-loi du 24 mars 2022, n. 24, « contenant des dispositions urgentes pour surmonter les mesures de lutte contre la propagation de l’épidémie de COVID-19 », à la suite de la cessation de l’état d’urgence.

Et elle avait fait ce magnifique discours grinçant :

« Merci, Monsieur le Président, et merci à tous mes collègues. Au cours de ces mois, j’ai eu le temps de réfléchir et aujourd’hui, je peux vous dire merci. Merci de vraiment penser au bien de notre pays et de ses citoyens, de donner la priorité à leur santé et de mettre à la disposition de tous des traitements efficaces et sûrs, des remèdes éprouvés, des protocoles innovants et, surtout, personnalisés.

Merci de rendre la recherche libre et indépendante, pour la minutie et la transparence dans la diffusion des données. Merci pour tout ce que vous avez fait dans le seul intérêt du peuple italien ou peut-être d’une partie. Les résultats sont vraiment incroyables et le bien-être, aujourd’hui, grâce à vous, est endémique. Merci au nom de tous les enfants et jeunes italiens de les avoir défendus contre la dépression, l’anxiété, les difficultés d’apprentissage, les réactions indésirables, les suicides ; les premiers qui ont pu profiter de votre vision admirable, les premiers à être encouragés à un mode de vie sain, à respirer profondément, à se nourrir de vraie nourriture, à raconter, à connaître le monde les yeux grands ouverts et l’esprit critique.

Ils ont enfin appris à quel point le sourire d’un enfant peut être dangereusement puissant pour cette société. Merci d’avoir fait de l’école un endroit accueillant et sûr, pour l’argent investi dans les installations, dans la beauté, dans les enseignants.

Merci au nom des agents de santé et de tous les travailleurs qui, ces dernières années, ont vu leur soutien et leurs subventions augmenter : pas un emploi n’a été touché, pas un emploi et pas un travailleur ont été victimes de chantage. Droite ?

Il est très important de savoir que notre Constitution, dans son premier et principal article, n’a pas été affectée le moins du monde en cette période difficile. Ceux qui montrent qu’ils résistent, en effet, doivent être taxés, condamnés à une amende, toujours, je le recommande. Merci de les suspendre et de les supprimer, donc au moins maintenant nous savons vers qui nous tourner.

Merci d’avoir dressé les forces armées contre les citoyens, humilié et poursuivi ceux qui prient même sur la place ou osent boire avec un masque. Merci aussi de nous taxer parce que nous ne sommes pas morts, comme certains l’espéraient peut-être.

L’Italie est une République fondée sur le travail. L’Italie répudie la guerre, toutes les guerres. L’Italie garantit le droit d’étudier. Il ne fait pas de discrimination, Italie.

Merci à ce Parlement d’avoir concrétisé tout ce qui est écrit dans notre Charte constitutionnelle.

Je vous remercie d’avoir lu et répondu à mes 160 questions que, depuis février 2020, j’ai déposées, en vous fournissant tous les éléments pour arrêter les tragédies de plus en plus nombreuses liées à l’administration de poisons : dommages immunologiques, cardiologiques et neurologiques irréversibles ; 40 morts subites seulement pendant les vacances de Pâques. Mais pourquoi lire les questions, si vous savez déjà tout ?

Merci de nous avoir habitués aux bulletins des morts, il est donc plus facile de passer d’une guerre à l’autre.

Vous nous avez fait comprendre que nos agents de santé peuvent être remplacés par des Ukrainiens, mais pas par des Palestiniens, des Africains ou des Sud-Américains. Grâce à ces deux années, aujourd’hui tout est extrêmement clair. Vous nous avez enfin fait comprendre que l’expression “être né en Italie” n’est pas une source de fierté, mais une déclaration de soumission à l’économie de guerre qui a toujours commandé nos institutions : gouvernement, majorités, fausses oppositions, anciennes et nouvelles incluses.

Merci parce qu’en nous enlevant nos services essentiels, notre travail, notre capacité à survivre, vous nous enseignez la dignité de vivre de manière de plus en plus indépendante et autosuffisante. Merci parce que beaucoup d’entre nous ont changé d’emploi, avant que le chantage du travail ne nous change. Il n’est plus temps de déléguer à qui que ce soit, nous n’avons plus besoin de vous. Sous-estimez les Italiens, si vous pensez que vous pouvez nous arrêter et plier avec vos peines, vos amendes et votre violence. Merci d’utiliser l’argent des Italiens pour acheter aux filiales de l’État ce qui est vraiment nécessaire à notre subsistance : la santé, la culture et le bien-être, les armes offensives bénies, l’identité numérique, la 5G, les incinérateurs, les vaccins, bref, toutes les nécessités de base. Et merci, en particulier, aux deux derniers gouvernements, Conte et Draghi, qui ont augmenté les dépenses militaires de 25 à 38 milliards par an, en les soustrayant de la santé et de l’école.

Nous vous remercions parce que, depuis la gestion de l’urgence COVID, nous nous sommes réveillés avec un tiers des entreprises fermées, la crise et la pauvreté endémique, le pouvoir d’achat réduit de moitié, vendu au meilleur oligarque en service, peut-être américain, aussi longtemps ami d’amis. Enfin, nous pouvons remplacer notre made in Italy, notre biodiversité agroalimentaire par des produits contrefaits dans les laboratoires des multinationales de la chimie. Merci. C’est aussi grâce à l’Afrique qui n’avait pas hâte de résoudre le problème séculaire de la mortalité due au COVID, qui ne permet pas à sa population d’atteindre le seuil de survie, toujours garanti par l’extractivisme de l’ENI.

Merci parce que, en passant de la guerre par procuration à faire des Italiens des mandataires de la guerre, de la haine et de la dénonciation, vous nous avez fait comprendre clairement de quel côté nous ne voulons pas être, et cela ici — ici ! – *aucun d’entre vous ne nous représente*.

Au fait, pour nous avoir empêchés d’être complices du mouvement institutionnel dense, merci. Mais surtout merci parce que, en nous marginalisant et en nous isolant, vous nous avez donné l’occasion de construire tant d’arches de salut avec le seul courage de la dignité.

De la satisfaction des besoins induits, nous sommes passés à la création de notre bonheur, de nombreux lieux de vie et de joie dans lesquels grandir dans le respect et la conscience, en célébrant notre mémoire et notre talent.

Merci, parce que vous avez transformé nos peurs les plus profondes en force et en énergie. À l’extérieur des bâtiments, au milieu des gens qui résistent, vous êtes beaucoup mieux ; vous pouvez respirer la volonté, l’esprit d’initiative et célébrer la vie, malgré tout ce que vous décidez ici.

Nous sommes en bonne santé, nous sommes vivants, nous sommes entiers, cohérents et, par conséquent, pas chantables et cela vous fait peur. Au fait, je me suis apporté un kit de survie : je vous conseille de rester très loin de moi, car j’ai de l’eau bénite, de l’ail et des piquets ici avec moi ».




Refuser l’obligation vaccinale prévue ! Informons chaque jour !

Par Nicole Delépine

RAPPELER CHAQUE JOUR À NOS CONCITOYENS INEFFICACITÉ ET DRAMES LIÉS AU VAX COVID POUR REFUSER ENSEMBLE L’OBLIGATION D’INJECTIONS EXPÉRIMENTALES ET DANGEREUSES

Le président réélu l’avait annoncé, il imposerait l’obligation vaccinale à tous et même aux bébés. Le choix évoqué du sénateur Malhuret comme remplaçant de Veran va dans ce sens. Ce sénateur a été un des plus violents dans ses discours contre les non-vaccinés.

Quelques réactions sur Twitter concernant le potentiel nouveau ministre de la Santé

@Spotlight29 « Claude Malhuret est pressenti pour devenir ministre de la Santé. Au-delà de ses positions quasi dictatoriales sur la vaccination obligatoire, il a également été directeur du développement de l’éthique chez Korian (quelle réussite !). Enfin, ce mal luné a quand même 72 ans ! » 6:23 AM · 4 mai 2022

@Tily2601 4 mai @Spotlight29

Co fondateur de Doctissimo avec Laurent Alexandre. Quand on connaît les idées et les relations de Mr Alexandre et les propos de Mr Malhuret. »

Et il contrôle les procurations du vote des Ephads à travers les directeurs 10 h 50 · 4 mai 2022 (à vérifier…)

DEPUIS LA PUBLICATION IMPOSÉE PAR LA JUSTICE AMÉRICAINE DES DOCUMENTS PFIZER, LA PROPAGANDE MÉDIATIQUE NE CHANGE PAS

Pourtant Les documents Pfizer révèlent un scandale immense à l’échelle planétaire

« et les médias se taisent. Ne les appelez plus jamais des journalistes. Ce sont des courtisans. #pfizerdocuments

Procureur Décitoyennisé @menalahy2 “Soyez avertis : La nouvelle que vous n’auriez pas dû voir était que Pfizer a publié 80 000 pages informant le public que leur médicament Covid n’est efficace qu’à 12 % et est extrêmement nocif pour les bébés à naître”.

@KattousM. “12 % d’efficacité après des tests sur une dizaine de souris, aucune idée des impacts sur les femmes enceintes, 9 pages recto verso d’effets secondaires notoires”. »

Par Romain Doyer (@Marc_Doyer @verity_france)

le 5 mai 2022 qui a cruellement perdu sa maman il y a deux jours

« Voici une des neuf pages de la notice #pfizerdocuments concernant les #effetssecondaires du vaccin, sous 👇 la flèche noire vous pouvez apercevoir la pathologie de ma maman #jesuismauricette.#Pfizermatue ».

Alors que certains continuent à nier le lien du Creutzfeld Jacob avec l’injection malgré la publication de Luc Montagnier et Henrion Caude.

Le document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech devrait nous réveiller :

« le produit expérimental à injection conçu par BioNTech et Pfizer, abusivement appelé vaccin, ne serait pas concluant durant les essais cliniquesà échelle mondialeet ne permettrait pas une mise sur le marché définitive. »

document interne à l’entreprise, axé principalement sur la finance et la rentabilité de cette société allemande. Mais dès la page 8, l’information est sans équivoque :

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, Union européenne ou d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. »(([1] « We may not be able to demonstrate sufficient efficacy or safety of our COVID-19 vaccine and/or variant-specific formulations to obtain permanent regulatory approval in the United States, the United Kingdom, the European Union, or other countries where it has been authorized for emergency use or granted conditional marketing approval »))

https://phmpt.org/pfizers-documents/ Plus que 1 % de protection 7 jours après l’injection ! tout ça pour ça… allez lire vous-même.

VAERS — LE POINT DES ACCIDENTS AU 22 AVRIL 2022

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022.(([2] 21 % des décès signalés au VAERS après les injections contre la COVID sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination. (mondialisation.ca)
La source originale de cet article est The Defender Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2022))

pour les enfants de 5 à 11 ans

  • 10 290 événements indésirables, dont 248 qualifiés de graves et 5 décès signalés.
  • 19 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
  • Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences !
  • 40 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

pour les jeunes de 12 à 17 ans

  • 31 113 événements indésirables, dont 1 796 qualifiés de graves et 43 décès.
  • 65 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort — 96 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.
  • 651 rapports de myocardite et de péricardite, dont 639 cas attribués au vaccin de Pfizer. 166 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer.

Tous groupes d’âge confondus :

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022

  • 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
  • 54 % des personnes décédées étaient des hommes, 41 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée. L’âge moyen du décès était de 73 ans.
  • Au 15 avril, 5 429 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins contre la COVID, dont 1 701 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.
  • 3 633 cas de paralysie de Bell signalés, 52 % attribués aux vaccins de Pfizer, 40 % à Moderna et 8 % à J&J.
  • 861 syndromes de Guillain-Barré, avec 42 % des cas attribués à Pfizer, 30 % à Moderna et 28 % à J&J.
  • 2 355 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis en danger la vie du patient, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.
  • 1 672 infarctus du myocarde.
  • 13 733 troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, 6 166 attribués à Pfizer, 4 914 à Moderna et 2 653 à J&J. 4 131 cas de myocardite et de péricardite dont 2 532 cas attribués à Pfizer, 1 408 cas à Moderna et 181 cas au vaccin contre la COVID de J&J.

Les troubles cardiaques représentent 20 % des 1,2 million d’accidents signalés après la vaccination COVID, selon les données du VAERS. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur les 12 304 décès signalés aux États-Unis au 1er avril 22, 17 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 21 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes dont les symptômes sont apparus dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 561 millions de doses de vaccin COVID avaient été administrées au 1er avril, dont 331 millions de doses de Pfizer, 211 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J). on peut néanmoins supposer que les accidents graves et les décès survenus plus tard dans les semaines suivant la vax n’ont pas été répertoriés pour insuffisance de preuve sur la cause à effet, sans l’argument de poids de la chronologie rapprochée. Mais les auteurs de l’article regrettent l’absence de prise en compte et d’enquête sur des cas plus tardifs

Un homme de 34 ans meurt deux semaines après avoir été vacciné par Pfizer, les CDC n’ont pas enquêté

Un homme de 34 ans est décédé subitement, deux semaines seulement après avoir reçu sa première dose du vaccin COVID de Pfizer, des suites d’une dissection aortique aiguë qui touche habituellement les hommes âgés de 60 à 70 ans.

Au The Defender, la mère de Victor Castillo Simoes, Henrietta, a déclaré que le seul symptôme de son fils était la douleur thoracique qu’il a ressentie peu avant sa mort.

Après sa mort, Henrietta a déclaré que les tests avaient permis d’exclure les facteurs génétiques susceptibles d’avoir causé la maladie cardiaque, et qu’un chercheur prestigieux travaillant avec la famille partageait sa conviction que le vaccin avait déclenché l’événement.

Dans le cas de nombreuses histoires de blessures liées aux vaccins rapportées par The Defender — y compris celle de Simoes — les dossiers médicaux ne sont pas disponibles pour les personnes qui meurent soudainement après avoir reçu un vaccin COVID et qui ne se sont pas rendues à l’hôpital pour y être soignées.

Selon le site web VAERS, cela signifie que le CDC ne donne pas suite à ces décès signalés.

Les conseillers de la FDA en matière de vaccins discutent de la diminution de l’efficacité des vaccins et ignorent les personnes souffrant de complications post vaccinales.

Le Dr Peter Marks, directeur de la division vaccin de la FDA, le Center for Biologics Evaluation and Research, a admis au cours de la réunion que la quatrième dose de vaccin approuvée la semaine dernière était une « mesure palliative » — en d’autres termes, une mesure temporaire à mettre en œuvre jusqu’à ce qu’une solution adéquate soit trouvée à l’avenir.

Pourtant Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS a prévenu(([3] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie)):

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel… Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Pfizer a secrètement engagé plus de 600 personnes pour traiter les rapports de blessures liées aux vaccins

Des documents récemment publiés, obtenus par le biais d’une demande au titre de la loi sur la liberté d’information, ont révélé que Pfizer a embauché environ 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter les rapports d’événements indésirables au cours des trois mois qui ont suivi l’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin COVID-19.

La société a déclaré qu’elle prévoyait d’embaucher un total de 1 800 personnes supplémentaires d’ici la fin juin 2021, selon les documents.

L’analyse de documents de 10 000 pages publiée le 1er avril 2022 par la FDA montre qu’au 28 février 2021, 42 086 rapports de cas (25 379 confirmés médicalement et 16 707 non confirmés médicalement) contenant 158 893 événements indésirables ont été reçus de 63 pays.

La plupart des effets indésirables signalés concernaient les « classes de systèmes d’organes »

les événements de réactogénicité comprenant les troubles généraux et les anomalies au site d’administration (51 335), les troubles du système nerveux (25 957), les troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif (17 283) et les troubles gastro-intestinaux (14 096).

« Malgré ces résultats, Pfizer a déclaré à la FDA que son vaccin était “sûr et bien toléré chez des adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans, sans aucun résultat inattendu en matière de sécurité”. »

Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID

Comme l’a rapporté The Defender le 6 avril, les documents de Pfizer publiés le 1er avril confirment également que Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID de la société pour prévenir les maladies graves.

Lors d’une discussion avec les co-animateurs de “Rising” Robby Soave et Ryan Grim, Kim Iversen a identifié ce qu’elle a appelé la “première bombe” dans les documents : le fait que “l’immunité naturelle fonctionne, et Pfizer le sait”.

Iversen a déclaré que les données des essais cliniques ont montré que les personnes ayant déjà été infectées par la COVID ne présentaient aucune différence de résultats par rapport à celles qui avaient été vaccinées.

Dans l’essai limité, aucun des vaccinés ou des personnes ayant déjà été infectées n’a souffert d’une maladie grave telle que définie par le CDC ou la FDA.

Les données ont également montré que les taux d’infection étaient “statistiquement identiques” chez les personnes vaccinées et celles présentant une immunité naturelle.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.

La source originale de cet article est The Defender

Copyright © Children’s Health DefenseThe Defender, 2022




Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but

[Source anglaise : stopworldcontrol.com]

[Transmis par Philippe Loubière]

[NDLR : Le présent article représente une mise à jour du suivant :

]

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LE PLAN

L’Organisation mondiale de la santé a un plan pour dix ans de maladies infectieuses, selon un virologue de l’OMS

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Des documents qui ouvrent les yeux de l’humanité

✔︎ Preuve du grand jury 1

✔︎ Rapport sur le décès par vaccin

Documents annonçant la pandémie de coronavirus

✔︎ Scénarios pour l’avenir par la Fondation Rockefeller

✔︎ Un scénario futuriste par le John Hopkins Center

✔︎ Plan australien de gestion de la santé pour la grippe pandémique

✔︎ L’OMS a demandé au monde de se préparer à une pandémie imminente de coronavirus

✔︎ La bande dessinée de l’UE montre la pandémie qui commence en Chine et la tyrannie médicale

Soyez conscient du niveau extrême d’hypocrisie qui se trouve dans ces documents. Ces criminels prétendent protéger l’humanité, alors qu’en réalité ils suppriment et interdisent tous les traitements efficaces contre le covid, tout en censurant, licenciant, arrêtant et même assassinant les médecins qui guérissent les patients covid.

Des milliers de médecins disent que la pandémie était planifiée

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé « Médecins pour l’information », qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, y compris des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale(([1] Groupe allemand de médecins pour information)):

« La panique corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque. Une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus. Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

« Le Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. »(([2] Groupe espagnol de Médecins pour la vérité))

Alliance mondiale des médecins

« Le plus grand crime de l’histoire »

« Médecins pour l’information » et « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens du monde entier dans le cadre de la « World Doctors Alliance »(([3] Alliance mondiale des médecins)). Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde. Ils révèlent comment la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides à l’appui de cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

Alliance mondiale pour la liberté

Connecter les avocats

De même, l’Alliance mondiale pour la liberté a été formée – un réseau d’avocats, d’experts médicaux, de politiciens, de banquiers et de nombreux autres professionnels qui travaillent ensemble pour dénoncer le « crime Covid » et qui commencent à construire un nouveau monde de liberté. Ils veulent s’assurer que ce genre d’escroqueries mondiales qui détruisent des millions de vies ne puisse plus jamais se reproduire.

QUE SAVENT-ILS?

Pourquoi des milliers d’experts médicaux dans le monls que la pandémie est un « crime mondial » ? ils que nous ne savons pas? Jetons un coup d’œil à quelques faits intéressants…

Des millions de trousses de dépistage de la COVID-19 vendues en 2017 et 2018

La nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. C’est pourquoi il a été nommé COVID-19, qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019. Les données de la Solution du commerce intégré mondial, cependant, montrent quelque chose d’étonnant:

En 2017 et 2018, des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été distribués dans le monde entier.

Cela a coulé une seconde: littéralement des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été exportés et importés, partout dans le monde, en 2017 et 2018.

Des centaines de millions !

« Vite! Cachez-le ! »

Ces données déconcertantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les médias sociaux. Il est devenu viral partout dans le monde. Le lendemain, le 6 septembre, le WITS a soudainement changé l’étiquette originale « COVID-19 » en « kits de test médical ». Mais leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde entier.

Vous pouvez télécharger un PDF qui montre les données originales de ce site Web. Il peut également être vu sur les archives Web.(([4] Méthode brevetée de Richard Rothschild pour tester la COVID-19 ))(([5] Inventions de R. Rothshild))

DISTRIBUTION DE MASSE

Pourquoi le monde entier a-t-il explosé dans la distribution massive de centaines de millions de kits de test COVID-19, juste avant que la pandémie mondiale ne frappe?

En 2017, Fauci a garanti une pandémie
dans les deux prochaines années

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a garanti que pendant le premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit(([6] Fauci garantit une épidémie dans les deux prochaines années)):

Il ne fait AUCUN DOUTE qu’il y aura un défi pour la prochaine administration dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise pendant le premier mandat de l’administration Trump? Qu’est-ce qu’il savait que nous ne savons pas?

« Au cours des deux prochaines années, il y aura une épidémie surprise. Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet. »

ANTHONY FAUCI

Bill et Melinda Gates ont garanti une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route qui pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie.(([7] Bill Gates annonce une pandémie mondiale))

Melinda Gates a ajouté qu’un virus artificiel est la plus grande menace de l’humanité, et a également assuré que cela frapperait l’humanité dans les années à venir.(([8] Melinda Gates dit que la plus grande menace de l’humanité est un virus artificiel))

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment…

« Une pandémie mondiale est en route.
Un VIRUS ARTIFICIEL est la plus grande menace de l’humanité.
Cela se produira au cours de la PROCHAINE DÉCENNIE. »

BILL ET MELINDA GATES

Pratiquer pour une pandémie

Bill Gates est le premier distributeur mondial de vaccins, qui a doublé sa fortune de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards simplement en vendant des vaccins dans le monde entier. Il a dit que cela a été son « meilleur investissement commercial » de tous les temps. Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates a organisé un événement à New York appelé Event 201. Devinez en quoi consistait l’événement? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ».

Oui, vous avez bien lu : Bill Gates a organisé un exercice sur la pandémie de coronavirus, juste avant que la pandémie de coronavirus ne se produise !

Bill Gates a créé un événement de pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus ne se produise.

Enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins au cours de la prochaine année

Après cet « exercice pour une pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats en santé mondiale : les vaccins.

Pensez-y : le numéro 1 mondial des distributeurs de vaccins garantit une pandémie mondiale dans les prochaines années, et sa femme dit que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Prochain… Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.

Et en effet, d’emblée Bill Gates proclame que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins…

pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante parce qu’elle montre combien d’informations sont disponibles, pour ceux qui osent faire la recherche. En 2013, un artiste musical au nom particulier de Dr. Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC. Rien de spécial à ce sujet, n’est-ce pas que l’une de ses paroles se lit comme suit:(([9] Paroles de la chanson de 2013 qui a prédit la pandémie de coronavirus en 2020))

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard?

La chanson a également prédit les émeutes qui ont fait rage dans toute l’Amérique pendant cette pandémie:

« L’État se révolte, utilisant la rue à l’extérieur. Ça vient à vos fenêtres. »

Encore une fois : comment un artiste louche pouvait-il savoir, en 2013, qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et j’ai lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, les pandémies étaient inévitables au cours de la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson Pandemic à ce sujet. »

Pigé ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément les « théories du complot ». Des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme des « absurdités ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car certaines d’entre elles ont prédit avec précision que exactement en 2020, cette pandémie et les émeutes se produiraient.

Que peut-on découvrir d’autre lorsque nous commençons à faire de la recherche? Continuez à lire pour en savoir plus…

« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 – également juste avant l’épidémie – le Conseil mondial de suivi de la préparation a publié un rapport intitulé « Un monde en danger ».

Il a souligné la nécessité d’être prêt à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve la photo d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous avons lu le paragraphe intéressant suivant:

« Les Nations Unies (y compris l’OMS) mènent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système. L’un d’eux implique la libération délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel. »

L’avez-vous saisi ? 

Annonce de l’épidémie en provenance de Chine

En 2018, l’Institut de modélisation des maladies a produit une vidéo montrant un virus de la grippe (qui est un coronavirus) originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est passé deux ans plus tard.

VIRUS DE WUHAN

Comment pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une pandémie mondiale de coronavirus qui commencerait dans la région de Wuhan, en Chine? Comment pouvaient-ils le prédire avec autant de précision juste avant que cela ne se produise?

Ce coronavirus a-t-il été conçu ?

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan – le laboratoire de biosécurité de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… les coronavirus !

Ils travaillent avec les virus existants pour les armer – ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour être utilisés comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes suivant, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, et le président Trump parler de la façon dont ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.

Vient maintenant la partie intéressante: en 2015, Anthony Fauci a donné à ce même laboratoire 3,7 millions de dollars.

Figurez-vous ceci: le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus armés. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.

Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive est le processus d’information de la population sur les événements qui vont bientôt se produire. Au cours des dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague »[peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus, et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde entier – avec la distanciation sociale, les masques faciaux, les confinements, le lavage des mains, etc. en conséquence.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.

La bande dessinée de l’Union européenne a visualisé la pandémie mondiale

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour être distribuée uniquement à leurs employés.(([10] La bande dessinée de l’UE dépeint la pandémie mondiale)) Le titre de la bande dessinée est « INFECTED », et il montre un nouveau virus originaire d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan de santé mondial. Cela signifie : Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale par des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux salariés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit:

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

Pandémie représentée lors des Jeux olympiques d’été de 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été de 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpital, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort qui se cachait, un géant démoniaque se soulevant au-dessus du monde, et tout le théâtre était éclairé de telle sorte que, vu du ciel, il ressemblait à un coronavirus.

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur spectacle d’ouverture?

Confinement mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un confinement mondial.(([11] Robin de Ruiter prédit des confinements))

Il a dit que le but de cela serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été réédité.

Les journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. L’une des choses qui manquaient dans leur boîte à outils était les quarantaines et les couvre-feux. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(([12] Harry Vox a prédit la pandémie mondiale))

« Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »

HARRY VOX, JOURNALISTE D’INVESTIGATION RENOMMÉ

« Scénario pour l’avenir » décrit la pandémie mondiale

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail: la pandémie mondiale, les confinements, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise !

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ».(([13] « Scénario pour l’avenir » décrit une pandémie mondiale)) Cela dit tout: un scénario pour l’avenir. Il a un chapitre intitulé « LockStep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement destinée à être une répétition pour l’avenir.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit avec la comparaison de deux réponses différentes à leur pandémie prévue: les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les personnes de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un confinement étouffant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire : Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs tels que les gares et les supermarchés.

Il est clair que la flexion de l’autorité est la réponse souhaitée. Mais la situation s’aggrave, selon ce « scénario du futur » :

« Même après l’estompement de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »

Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a présenté la deuxième étape : un manuel sur la façon de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Le livre révèle que ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis sont en place que le monde peut s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Tout d’abord, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent ce à quoi cela devrait conduire: un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la vie privée devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population sur une base hebdomadaire. »

Conformément à leur « scénario de l’avenir », l’ensemble de la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports en commun, etc., sera refusé.

Et maintenant, à partir de 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.

Les contacts de chacun doivent être vérifiés

Dans une vidéo du gouvernement qui a fuité(([14] Andrew Cuomo s’entretient avec Bill Clinton sur le contrôle autoritaire)), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la façon de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la façon de construire une armée pour mener à bien ce système de contrôle.

ANDREW CUOMO,
GOUVERNEUR DE NEW YORK

Un tout nouveau niveau de contrôle mondial

Bill Gates a également précisé que seules les personnes vaccinées contre le Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler.(([15] Bill Gates parle d’une identité numérique pour contrôler les gens)) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement(([16] Relier les vaccins à une identification numérique)) et Gates détient un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie s’appelle WO2020-060606(([17] Gates a un brevet sur la technologie pour retracer n’importe qui n’importe où)). En outre, Gates souhaite mettre en place un réseau mondial de surveillance qui suivra toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19.(([18] Gates veut un système de surveillance mondial))

Connecter votre corps à l’intelligence artificielle

Big Tech et Big Pharma veulent nous connecter tous à des réseaux mondiaux qui peuvent nous surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et… décider si nous pouvons nous déplacer librement ou non. Dans cet esprit, une invention particulière de 2015 devient intrigante.

En 2015, Richard Rothschild a inventé une « méthode de test pour COVID-19 ». Cette méthode consiste à envoyer nos informations de santé personnelles au « cloud », qui est contrôlé par Big Tech.(([19] Inventions de Richard A Rothschild))

Richard Rothschild n’est pas un professionnel de la santé, mais un avocat. Pourquoi un avocat veut-il créer une méthode pour détecter les virus? Nous trouvons la réponse en regardant une autre de ses inventions. Il a développé un système dans lequel les gens sont filmés pour recueillir des informations détaillées sur leur visage, leur corps, leurs mouvements, etc. Ces données vidéo sont ensuite combinées avec d’autres informations personnelles et envoyées au cloud, où elles sont connectées à l’intelligence artificielle.

Si toutes nos données médicales personnelles sont « dans le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler.

Le plan : injecter à l’humanité un vaccin altérant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’une entrevue en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit :

« Ils vont libérer un coronavirus d’origine humaine. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera un troisième brin d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, presque immédiatement son ADN subit une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils soient conscients que cela s’est produit. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir des esclaves pour l’élite. »

Bien sûr, cela semble fou – et c’est fou en effet. Pourtant, nous devons nous rendre compte que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a investi des années de recherche sur ce sujet, et c’est ce qu’il a découvert pendant cette période.

20 ans de recherche disent : le vaccin va changer notre ADN

Docteur Carrie Madej a dirigé deux cliniques médicales en Géorgie, aux États-Unis, et a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années. Elle a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre le Covid-19. L’objectif de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à une identification numérique de vaccin, ce qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient sur les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.

Regardez ce documentaire critique sur les dangers des vaccins à venir :

Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

John Coleman était un officier de renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Dans le livre, il explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre peut être trouvé sur le site de la CIA.(([20] Télécharger le livre de l’officier de la CIA Coleman))

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes qui contrôlent les gouvernements et les médias est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit au sujet de leur stratégie :

DR. JOHN COLEMAN,
CIA INTELLIGENCE OFFICER

Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000

En 1980, un monument en granit a été érigé en Géorgie, aux États-Unis, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices est inscrit sur la structure dans huit langues modernes, et un message plus court est inscrit au sommet de la structure dans quatre écritures de langues anciennes. La première ligne directrice est la suivante :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.

L’officier de la CIA, le Dr Coleman, a révélé que l’une de leurs méthodes pour « maintenir l’humanité » consiste à provoquer « des épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide ».

Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, lorsqu’il a littéralement déclaré que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15 % !(([21] Gates parle de réduire la population mondiale en utilisant des vaccins))

Vaccin contre le Covid-19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique de l’alimentation publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics et fondateur de CWC Labs accrédités iso. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique modifiée sera libérée dans les centres de population.

Il y aura des appels à un financement gouvernemental massif pour que l’industrie des vaccins propose un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.

Il y a en effet eu la publication d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions – voire des milliards – de personnes au cours de quelques années. Il s’agira d’un vaccin tueur à gages, conçu pour réduire la population mondiale.

RÉSUMÉ : La PANDÉMIE ÉTAIT-ELLE PLANIFIÉE ?

Des milliers de médecins du monde entier qualifient la pandémie de crime mondial, de dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Dans les années qui ont précédé la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour la COVID-19.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait en raison d’une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant le début de la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event 201.Peu de temps avant l’épidémie, le Global Preparedness Monitoring Board a dit au monde d’être prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a prédit une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé dans le laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Des films several ont dépeint la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails et ont même mentionné l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne dépeint un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont présenté dans leur spectacle d’ouverture le scénario d’une pandémie d’un coronavirus.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait créée afin que la « classe dirigeante » puisse mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel – qui serait utilisé pour forcer l’humanité à utiliser un vaccin altérant l’ADN.

Carrie Madej étudie l’ADN et les vaccins depuis des décennies, et ses recherches ont montré que le plan est d’utiliser le vaccin CONTRE LA COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié en profondeur les sociétés secrètes et déclare que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles et à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, aux États-Unis, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité en huit langues. Le premier de ces « Dix Commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Mike Adams, le « Health Ranger », a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire aujourd’hui : la sortie d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir…» dans lequel ils décrivent une pandémie mondiale à venir qui vise à entraîner la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur le peuple et qui devrait s’intensifier après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller a publié un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils affirment que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que le monde n’est pas devenu « verrouillé » avec ce contrôle descendant de gouvernements autoritaires.

Nous constatons en effet que Bill Gates et beaucoup d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle de manière sans précédent: en appliquant les identifiants de vaccins (micropuces à implanter dans les personnes), en imposant le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les confinements forcés, la recherche extrême des contacts, etc.

L’élément de ce contrôle descendant est la censure et la déplateforme extrêmes de littéralement chaque voix de médecins, de scientifiques et d’autres experts qui osent remettre en question ou critiquer ce qui se passe.

Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

Le temps est maintenant

Noter que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années ou même des mois avant qu’elle ne se produise. Le fait qu’un événement aussi unique en histoire ait été prédit en détail – par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards de dollars de ces pandémies, et ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. – révèle clairement que c’était planifié.

Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications que la pandémie avait été planifiée à l’avanceSi c’est effectivement orchestré, alors cela devrait aussi être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est aussi une pandémie contrôlée. Observe-t-on effectivement que la pandémie est manipulée ? Absolument. D’autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point littéralement toutes les voix médicales, scientifiques, gouvernementales, éducatives et journalistiques qui diffèrent de la propagande médiatique sont censurées de manière agressive.

Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y a eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

En outre, il y a un affichage sans précédent de la fraude mondiale avec les chiffres covid. Littéralement, chaque information sur la COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions pour enregistrer chaque patient en tant que patient covid, et chaque décès – quelle qu’en soit la cause – en tant que décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cette révélation choquante de la plus grande fraude de l’histoire du monde.

Qui est derrière le plan pour contrôler le monde?

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle les « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents dans le monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés: les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, les gouvernements, la religion – tout.

La domination totale du monde a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants tout au long de l’histoire du monde. Il suffit de penser aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a jamais quitté les cœurs corrompus de l’humanité, mais les moyens d’atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent maintenant l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la « solution ». Cette solution, cependant, signifie supprimer nos libertés et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade qui cache les véritables pouvoirs, qui sont les nombreuses « Sociétés Secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis dans une petite ville appelée Davos, en Suisse, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites(([22] DAVOS et le rassemblement des mondialistes)):

« C’est maintenant le moment historique dans le temps, non seulement pour combattre le virus, mais aussi pour FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour RÉORGANISER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum économique mondial a créé un graphique « rouet » avec tous ses objectifs. Ici, nous pouvons voir les trois « projets » suivants: COVID19, suivi de la gouvernance mondiale et de la gouvernance de l’Internet.

Personne ne veut de ces organisations

Aucun humain sur la terre n’a voté pour que ces organisations existent, sans parler de prendre le contrôle total de nos vies, de nos familles, de nos communautés, de nos emplois, de notre santé, de nos industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation mondiale de la santé s’est positionnée comme l’autorité sur notre santé, sans qu’aucun d’entre nous ne les ait choisies.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi? Parce que ces géants des médias sociaux cherchent à dépeindre que SEULES les informations de l’Organisation mondiale de la santé sont vraies. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » – qui n’ont AUCUNE autorité sur l’un d’entre nous. Mais simplement parce qu’ils s’appellent eux-mêmes des leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.

Cela signifie la perte complète de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus que personne n’a choisis ou voulus. Et pourtant, ils s’emparent simplement de la propriété de notre monde entier.

Ils sont le « gros, gros, méchant intimidateur sur le terrain de jeu » qui joue au patron sur tout le monde.

L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un parti communiste révolutionnaire violent en Éthiopie : le Front de libération du peuple du Tigré.(([23] Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un groupe terroriste violent)) Le département de la Sécurité intérieure indique clairement:

« Le TPLF se qualifie d’organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes… »

Laissez-vous comprendre : l’homme qui dirige l’Organisation mondiale de la santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme en Éthiopie. Ce même homme intimide maintenant le monde entier, nous dit à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censure tous les professionnels de la santé qui ont une opinion différente, exigeant l’obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats de vaccination au sponsor financier numéro un de l’OMS: Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre, à partir de maintenant?

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Les mondialistes theses menacent également l’humanité de plus de souffrances si nous ne nous soumettons pas à leur contrôle total. Le prince Charles a récemment rejoint les mondialistes et a déclaré publiquement:

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas « la grande réinitialisation » maintenant.(([24] DAVOS et le rassemblement des mondialistes))

Bill Gates appelle déjà cela « pandémie un » et parle de « pandémie deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies au cours de 2020-2030.

Cette décennie est la période choisie pour transformer le monde en une grande prison.

Les mondialistes prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire afin de briser l’épine dorsale de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à son contrôle mondial. L’obligation de vacciner est essentielle à leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 700 médecins d’Allemagne, 600 médecins d’Espagne, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier qualifient cette pandémie de crime « mondial »?

Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

L’archevêque d’An et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert de COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier.(([25] Lettre de l’archevêque et des cardinaux à l’humanité))

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles]

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie en fonction du nombre de morts, qu’il existe des puissances intéressées à créer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôle des personnes et de suivi de leurs mouvements. L’imposition de ces mesures illibérales est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Y a-t-il de l’espoir? Que pouvons-nous faire?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus brillant que nous ne pouvons même l’imaginer !

Ce n’est pas un scénario pessimiste, mais un signal d’alarme pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les médias mafieux et les politiciens pervers, et qu’elle se lève comme un seul homme pour un avenir de liberté. Je vous invite à vous joindre à un mouvement unique et historique de Combattants mondiaux de la liberté, qui conduiront l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de restauration et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.

Soutenez la lutte pour la liberté

Bonjour,

Je m’appelle David Sorensen. Je suis l’auteur de StopWorldControl.com. Je l’offre comme une ressource gratuite pour toute l’humanité, afin de protéger notre liberté et notre avenir.

Titulaire d’une maîtrise en communication, j’ai choisi de laisser derrière moi une vie de gros sous, de servir le monde avec mes capacités.

Des appels désespérés à l’aide du monde entier inondent ma boîte aux lettres. Les gens de Chine, de Slovaquie, du Moyen-Orient, d’Amérique du Sud, etc. voient comment leur vie leur est enlevée, et la tyrannie est imposée par des gouvernements corrompus, soutenus par des médias appartenant aux criminels trillionaires.

La clé pour briser leur emprise diabolique sur l’humanité est la VÉRITÉ. Par conséquent, je veux répondre aux appels à l’aide et traduire le site Web dans autant de langues que possible, afin d’informer toute l’humanité.

C’est une tâche monumentale qui nécessite des fonds. Si vous souhaitez m’aider à me battre pour la liberté du monde, alors s’il vous plaît envisager de faire un don généreux ici. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur et soutenez cette plate-forme unique pour la voix de la liberté.

Ensemble, nous pouvons aider à protéger l’humanité des fous avides de pouvoir et à créer un monde de liberté et de bonheur.

Références




Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre « le docteur de l’Amérique », Anthony Fauci ?

Par Nicole Delépine

Pourquoi la candidate au poste de gouverneur de l’Arizona veut-elle lancer un mandat d’arrêt contre Fauci, le monsieur vax américain ?

« Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit : “Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent”. Je ne l’ai jamais oublié. »

Robert Kennedy, fils de Robert et neveu du Président JFK

Mai 2022

Kari Lake, la candidate des Républicains soutenue par Donald Trump pour l’élection du Gouverneur de l’Arizona veut lancer un mandat d’arrêt contre Anthony Fauci pour avoir caché les bienfaits de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine !

Rappelons qu’Antony Fauci est le Mr Santé des présidents américains depuis des décennies et que ses exploits connus ont commencé avec le SIDA.

Selon le prologue du livre de R Kennedy :

« Le Dr Anthony Fauci a trôné pendant un demi-siècle en tant que commissaire à la Santé des États-Unis, se préparant à son rôle final de commandant dans la plus grande guerre de l’histoire contre une pandémie mondiale. À partir de 1968, il a occupé différentes fonctions au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dont il est le directeur depuis novembre 1984. Son salaire annuel de 417 608 $ fait de lui le mieux payé des quatre millions de fonctionnaires fédéraux, le président compris. L’expérience de 50 ans qu’il a acquise en tant que grand manitou d’une puissante administration fédérale, après avoir conseillé six présidents, le Pentagone, les agences de renseignement, les gouvernements étrangers et l’OMS, l’a excellemment préparé à une crise qui allait lui permettre d’exercer un pouvoir dont peu de dirigeants et aucun médecin ont pu se targuer dans l’histoire.

Au cours des premiers mois de l’épidémie, le calme, l’autorité et le côté oncle bienveillant du Dr Fauci ont été le Prozac des Américains assaillis par deux crises existentielles : la présidence Trump et la COVID-19. Les démocrates et les libéraux idéalistes du monde entier, traumatisés par le style de gouvernement chaotique du président Trump, ont trouvé du réconfort dans la présence sereine et forte du Dr Fauci sur la scène de la Maison-Blanche. Il a semblé offrir un contrepoids rationnel, franc et scientifique à la grandiloquence narcissique et agitée du président Trump. Naviguant dans des eaux dangereuses, entre un président erratique et un virus mortel, le Dr Fauci a d’abord fait figure de héros, tel l’Ulysse d’Homère menant son navire entre Scylla et Charybde.

Tournant le dos au sinistre horizon, des Américains confiants ont pris les rames et ont obéi aveuglément à ses ordres, sans se rendre compte qu’ils propulsaient notre pays vers une destination désolée où la démocratie allait mourir. Tout au long de la première année de la crise, le charisme du Dr Fauci et sa voix autoritaire ont inspiré confiance en ses prescriptions. Ils lui ont valu une affection certaine — quoique pas universelle.

De nombreux Américains, consciencieusement enfermés chez eux pour se conformer à la quarantaine imposée par le Dr Fauci, se sont consolés avec la possibilité de rejoindre un fan-club Tony Fauci, de se prélasser sur un coussin “J’aime Fauci”, de boire dans un mug “In Fauci We Trust”, de garder leurs pieds au chaud dans des chaussettes et chaussons Fauci, de s’empiffrer de donuts Fauci, d’afficher une pancarte “Klaxonnez pour le Dr Fauci” devant leur maison ou de se prosterner devant une bougie de prière Dr Fauci. Les aficionados de Fauci pouvaient choisir parmi une variété de jeux en ligne Fauci et une armée de figurines et de bubbleheadse à son effigie. Ils pouvaient même raconter son hagiographie à leur progéniture grâce à un livre pour enfant à sa gloire.

Au plus fort du confinement, Brad Pitt a rendu un hommage révérencieux au Dr Fauci lors de l’émission Saturday Night Live, et Barbara Streisand lui a envoyé un message surprise enregistré lors d’une fête d’anniversaire organisée en son honneur sur Zoom. Le New Yorker l’a surnommé “le docteur de l’Amérique”. »

Ceci ne nous étonne guère, en particulier depuis le livre choc de Robert Kennedy maintenant traduit en de nombreuses langues dont le français, disponible pour tous.

Voici quelques éléments à ce sujet, extraits de l’interview de la journaliste belge Senta Depuydt à l’occasion de la sortie du livre en France et en Belgique(([1] Disponible sur www.neosante.eu :
Le numéro 120 (mars 2022) de Néosanté, revue internationale de santé globale.

Lire la totalité de l’ITW mise en ligne gratuitement par neosanté, vu l’importance des infos et relayez, merci.
Interview Exclusive De Robert Kennedy | NéoSanté Éditions (neosante.eu)

Et KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages.indd (neosante.eu) prologue du livre de Robert Kennedy))

à lire en totalité sur le site de Neosanté.


« Robert F. Kennedy, Jr : Les gens qui sont au pouvoir mentent ! » Propos recueillis par Senta Depuydt(([2] Entretien effectué à l’occasion de la sortie du livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » (Collection Résurgence) ))(([3]Retrouvez Robert F. Kennedy, Jr. sur
www.chdeurope.org
(site européen) et www.childrenshealthdefense.org (site américain)
Senta Depuydt, journaliste indépendante, fondatrice de la branche européenne de l’association de l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. « Children’s Health Defense Europe » et auteur d’un avant-propos pour l’édition française du livre paru aux éditions Marco Pietteur))

(…). Durant la pandémie, disons que près de 30 % de la population avait une méfiance spontanée envers les autorités et des personnalités comme Anthony Fauci ou Bill Gates. Mais il leur était quand même difficile de concevoir les motifs pour lesquels les responsables de la santé publique agiraient à l’encontre de l’intérêt des citoyens. Les Américains sont assez idéalistes, parfois naïfs. C’est pour les aider à comprendre tout cela que j’ai écrit ce livre.

Vu la somme de crimes et délits que vous documentez là, peut-on espérer des poursuites à leur encontre ?

Difficile à dire. Je pense qu’il y a un espoir que cela arrive, si la situation politique change. Si les républicains gagnent aux élections qui auront lieu à la mi-novembre et qu’ils s’emparent du Sénat, il est probable qu’ils procèdent à des auditions à partir de janvier prochain. D’ici là, je pense que les démocrates et les médias qui font leur propagande vont continuer à les protéger.(([4] Note : l’ancien président des USA et le clan Kennedy sont traditionnellement des démocrates, Robert Kennedy, Jr. s’est lamenté à de nombreuses reprises du manque d’intégrité et de respect des valeurs démocratiques qui règne parmi les membres actuels du parti.)) Mais quand on voit les chiffres, Fauci aura des comptes à rendre sur les politiques de réponse à la pandémie.Plus de 2800 décès par million d’habitants aux USA, c’est extrêmement élevé, alors qu’avec tout le budget et l’expertise dont nous disposons, nous sommes censés avoir les meilleurs résultats.

Au Nigéria, où seul 1,5 % de la population a été vaccinée, ils n’ont eu que 14 morts par million et la plupart des autres pays d’Afrique ont une moyenne qui tourne autour de 170, on ne peut même pas parler de pandémie. Pourtant, au début de la crise, Gates et Fauci multipliaient les discours alarmistes en prédisant une réelle hécatombe en Afrique. Finalement, c’est l’inverse qui s’est produit. Comment cela se fait-il ? Il va tout de même falloir l’expliquer. Personnellement, je pense que c’est en partie parce que ce sont des pays qui ont l’habitude d’utiliser des médicaments simples, efficaces et accessibles, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. (…)

Quid de Bill Gates ?

Bill Gates est peut-être moins présent dans les médias, mais il reste très actif en coulisses. Et comme il a le contrôle de l’OMS, il continue à pousser tous ces agendas mondialistes, les passeports vaccinaux, l’identité numérique, les politiques alimentaires.Il est extrêmement riche et puissant, très proche de la plupart des gouvernants d’Europe, mais aussi de la Chine, et il collabore étroitement avec le Forum Économique Mondial (Davos). Malheureusement, beaucoup de gens continuent à le révérer et à écouter ses recommandations, ses « prédictions ». Je crois que pour l’instant, il serait difficile de le déboulonner, c’est tout un réseau mondial qui opère avec lui.

À propos de réseau mondial, que pensez-vous de cette histoire de labos de recherche en Ukraine ? Il semble que l’on retrouve un certain nombre d’acteurs identiques dans ce partenariat avec l’Ukraine pour les « programmes de réduction de la menace biologique » ?

(…) lorsque Victoria Nuland, Secrétaire d’état aux affaires politiques et affaires étrangères, a été auditionnée sous serment par le Congrès, elle a semblé particulièrement mal à l’aise en admettant que, oui, les États-Unis financent des labos qui manipulent des souches dangereuses : l’anthrax, certains types d’herpès et même des souches de variole — ce qui est interdit — et de nombreux autres agents susceptibles de créer des pandémies. Dans ce « programme de réduction de la menace sanitaire », nous sommes en présence des mêmes acteurs qu’avec la pandémie. La firme Eco Health Alliance qui avait financé les recherches de gain de fonction des coronavirus à Wuhan avec l’aide de Fauci et Peter Daszak, et USAID qui est une couverture pour les opérations de la CIA.(([5] À ce propos il serait intéressant de rappeler que le baron Peter Piot, responsable en charge de la réponse à la pandémie à l’Union Européenne, a été un des directeurs de USAID et travaille toujours en consultance pour le département de la sécurité américain, ensemble avec son épouse Heidi Larson, directrice du Vaccine Confidence Project. Quelles sont les implications des agences de renseignement américaines dans les politiques de l’Union ?))

Rappelons qu’en 2014, Obama a interdit les recherches de gains de fonction et d’autres types de technologies servant à développer des agents biologiques mortels, jugeant que c’était trop dangereux pour la population humaine. Car cette année-là, des souches dangereuses s’étaient échappées de laboratoires à trois reprises différentes.Fauci et ses acolytes avaient donc reçu l’ordre de mettre fin à 18 expériences de ce type, mais au lieu d’obéir, ils ont poursuivi leurs expériences à l’étranger par l’intermédiaire d’un scientifique nommé Peter Daszak, en créant Eco Health Alliance.Rien qu’à Wuhan ils avaient investi plus de 100 millions de dollars. (…)

IL FAUT ABSOLUMENT QUE LE PUBLIC COMPRENNE QU’IL EST MANIPULÉ PAR DE LA PROPAGANDE. BIG PHARMA CONTRÔLE LA SANTÉ PUBLIQUE, LE COMPLEXE MILITARO-INDUSTRIEL OPÈRE VIA LA CIA ET CONTRÔLE AUSSI LE PENTAGONE. TOUTES CES INSTITUTIONS SONT DETOURNÉES ET NE SONT PLUS AU SERVICE DE LA NATION.

Malheureusement l’Europe semble être sous la même influence. Quel que soit le domaine, on y voit les mêmes experts répétant les mêmes mensonges à l’unisson, peu importe la réalité.

Tout récemment par exemple, un de nos « Fauci » locaux a prétendu que la réponse à la pandémie avait été exemplaire, en donnant pour preuve le fait qu’aux USA les états « rouges » (républicains) avaient eu des résultats désastreux, alors que les états « bleus » (démocrates) s’en étaient mieux sortis, grâce à l’application de mesures draconiennes.

C’est exactement l’inverse ! Il y a même eu un article dans le New York Times qui l’a confirmé : le confinement, les masques, la distanciation sociale, tout cela n’a eu aucun impact sur la circulation de l’épidémie. De manière générale les états qui ont eu une politique plus souple s’en sont mieux sortis, parce qu’ils ont limité les dommages collatéraux provoqués par ces mesures. L’impact sur les enfants, sur la vie des gens, l’impact économique sur les petites et moyennes entreprises, tout cela a été dramatique.

En revanche, cela a permis à ceux qui ont imposé et soutenu ces restrictions (par ex. les GAFA) de s’enrichir d’une manière odieuse. Environ 3,1 trillions de dollars sont partis de la poche des familles américaines vers les méga-corporations et en réalité, c’était une gigantesque opération de racket qui a profité à cette nouvelle caste de milliardaires. Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sergei Brin, Bill Gates ont censuré toutes les infos critiques sur les politiques sanitaires.

Il ne faut pas oublier de se demander « à qui profite le crime » ? Cui bono ? Le public a constamment été manipulé… d’abord avec la pandémie, aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et avant cela en Irak, etc.(…). Tout semble être fait pour poursuivre un agenda global, peu importe les faits ou les données sur lesquelles l’on se base, et pourtant la plupart des gens l’acceptent.

Malheureusement, c’est le résultat du contrôle par la peur. Tant qu’ils sont dominés par la peur, ils se retranchent dans cette sorte de mécanisme de survie, proche de ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm, où les victimes d’enlèvements se mettent à aimer ceux qui les ont kidnappés et se convertissent à leur foi ou leur idéologie, devenant même des fanatiques.

Comment faire pour résister à de tels pouvoirs ? Vous avez souvent dit « la seule barrière qu’il y a entre des prédateurs comme Big Pharma et les enfants, c’est leur mère ».

(…)Malheureusement, il y a un effort considérable pour attaquer ce dernier rempart, par le vote d’une série de lois visant à éliminer l’autorité parentale. Par exemple aux États-Unis, de nombreux états accordent à l’enfant la faculté de consentir seul à la vaccination, allant même jusqu’à interdire aux écoles et aux compagnies d’assurance d’en informer les parents.

Que faut-il faire ? Comment des organisations comme la nôtre, peuvent-elles apporter leur soutien à ces familles ?

Martin Luther King disait qu’il fallait déployer un arsenal d’actions : militer, aller en justice, changer les lois et éduquer et moi j’y ajouterai aussi innover.

(…) Chacun doit avoir le courage d’un guerrier et mener les actions qui sont à sa portée, exploiter toutes les failles du système. C’est la somme de tous ces efforts individuels, ces ripostes sur tous les fronts, qui peut faire la différence. Il faut mener une sorte de guérilla.Ce n’est pas la première fois que la démocratie est sous attaque, on finit par la restaurer, souvent avec des changements positifs à la clé. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, la puissance des technologies de surveillance et de contrôle est au-delà de tout ce que l’on a jamais pu connaître dans l’histoire et c’est un vrai défi. Il est essentiel que la résistance citoyenne se développe plus rapidement que la mise en place de ces instruments de contrôle totalitaire.

Il faut d’abord que l’industrie pharmaceutique paye pour ses crimes. Je pense par exemple à la crise des opioïdes, où tant de gosses sont morts d’overdose, parce que la firme Purdue a véritablement poussé à la consommation de ces médicaments dangereux (l’Oxycotin). Il faut voir la mini-série Dopesick qui revient sur toute cette horreur et c’est la même chose qui se passe avec les vaccins. On pousse à la consommation en cachant les effets secondaires. On ne peut pas faire confiance à ces entreprises.

Nous avons une grave épidémie d’autisme. Pourquoi sommes-nous passés d’un enfant sur 10 000 à 1 enfant sur 44 aux États-Unis ?Pourquoi y a-t-il une épidémie d’allergies alimentaires et d’eczéma, et une explosion du nombre de maladies chroniques, comme le diabète juvénile, le lupus, l’arthrite rhumatoïde, les maladies de Crohn, le syndrome de Guillain Barré ?Les gènes ne peuvent expliquer ces épidémies, cela ne peut être attribué qu’à une toxicité de l’environnement ou de certains produits. D’ailleurs c’est pour cela que nous sommes aussi très actifs sur des questions comme les dangers liés à la 5G, aux pesticides (Kennedy et le bureau d’avocats Michael Baum ont gagné le procès contre le Roundup et Monsanto en 2018 NDLR), la qualité des aliments pour bébé, enfin toutes sortes de pollutions. Donc oui, clairement, le rôle numéro un de la santé publique, c’est d’identifier tous ces facteurs et de les éliminer.Toute cette focalisation sur les maladies infectieuses, n’est qu’une manière de sortir de l’argent. (…)

IL FAUT VRAIMENT QUE LES GENS COMPRENNENT QUE LA PANDÉMIE EST UN ACTE DE GUERRE MONDIALE, UN COUP D’ÉTAT CONTRE LA DÉMOCRATIE. LA RÉPONSE À LA PANDÉMIE N’A JAMAIS ÉTÉ MÉDICALE, ELLE A ÉTÉ D’ORDRE MONÉTAIRE ET MILITAIRE.

Tout le monde doit prendre ses responsabilités et défendre la démocratie. Il faut lutter contre la propagande que l’on nous inflige, et pour cela il est essentiel de développer la pensée critique chez nos enfants.

Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit :

« Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent ».

Je ne l’ai jamais oublié.


La candidate américaine de l’ARIZONA focalise ses reproches gravissimes contre Fauci sur son interdiction des traitements peu coûteux comme l’ivermectine.

Médicaments qui pourtant guérissent les patients atteints de covid particulièrement si prescrits tôt dans l’évolution de la maladie. Nous avons connu les mêmes errements en France dont les autorités refusent systématiquement depuis le début de la crise covid tous les médicaments susceptibles de guérir les malades en commençant par l’hydroxychloroquine conseillée par le PR Raoult.

Et cela continue actuellement en même temps que le gouvernement donne l’AMM sans limitation au Paxlovid de Pfizer, d’efficacité très discutée de même que ses effets indésirables…(([6] Un message DGS-Urgent daté du 5 mai confirme l’entrée dans le droit commun du Paxlovid, jusqu’à présent mis à disposition dans le cadre d’une autorisation d’accès précoce. De ce fait, ses modalités de prescriptions s’allègent.

Paxlovid est composé de deux molécules. La molécule PF-07321332 est l’agent actif qui empêche à la protéine du virus de se répliquer. La molécule de ritonavir, un inhibiteur de la protéase.)) en ce 5 mai 2022.

Les autorités françaises nient l’efficacité démontrée de ces vieux médicaments et poursuivent les médecins qui les utilisent et osent guérir leurs patients. Hippocrate est torturé jusque dans sa tombe.

Le Bamlanivimab médicament très cher et sans efficacité prouvée(([7] anticorps monoclonal bamlanivimab (Lilly/AbCellera) ))

Déjà en 2021 Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » distribué par Lily à plus de 1 000 euros la cure.

Appelé Bamlanivimab, il n’a pas passé la phase 2 des expérimentations. Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… De plus, il fait partie des médicaments susceptibles de favoriser l’apparition de nouveaux variants.(([8] https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/anticorps-monoclonaux-imbroglio-autour-d-un-medicament-risque-mais-pousse-par-l-etat_2145966.html mars 2021))

Aucune raison scientifique d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament. POURTANT

« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu », a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.

Alors pourquoi : derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.

Parmi les directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve Béatrice Cazeneuve :

  • Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;
  • Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Élysée ;
  • Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.

Comme cela a été résumé sur twitter :

(([9] https://www.liberation.fr/checknews/traitement-contre-le-covid-19-y-a-t-il-un-conflit-dinteret-entre-le-labo-lilly-et-certains-conseillers-du-gouvernement-20210302_2YJH2PU7XFHQNBBUS5YOYGPEAI/))

Le scandale Ivermectine

Depuis plus d’une année, les articles cachés par les médias officiels se multiplient pour dénoncer le blackout sur l’ivermectine après celui sur l’hydroxychloroquine et même sur la vitamine D.

Citons par exemple :

Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine — Xavier Bazin (xavier-bazin.fr)

Ce sont les mêmes autorités qui ont autorisé le Remdesevir, le Paxlovid et le Molnupiravir, mais bloquent un traitement ancien, non toxique pas cher et qui sauve des vies.

Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !

L’ivermectine n’a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU), remède d’efficacité majeure contre le Covid-19.

Des médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :

  • L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain [5] ;
  • Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine [6] ;
  • Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %
  • Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament

En France, le Dr Gérard Maudrux a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine(([10] Le traitement du Covid existe : Ivermectine, efficace à 100 % ? par le Dr Gérard Maudrux — Le Libre Penseur)), s’exprime en janvier 21 et envoie en avril 21 une lettre à Emmanuel Macron(([11] Ivermectine vs Doliprane : le Dr Gérard Maudrux s’exprime dans une lettre à Emmanuel Macron – Le Libre Penseur)). En mai, il interroge officiellement le médecin Olivier Veran sur son refus de guérir les malades du Covid avec l’Ivermectine.(([12] https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/le-medecin-gerard-maudrux-89530 ))

L’article reprend le recours, signé par 1500 médecins, et l’exposé des motifs édité sur son blog :

https://www.covid-factuel.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/(([13] « Contrairement à ce que dit l’ANSM, les conclusions de l’étude citée sont pourtant claires : “La prophylaxie à deux doses par l’ivermectine a été associée à une réduction de 73 % de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les travailleurs de la santé pour le mois suivant. La chimio prophylaxie est pertinente pour endiguer la pandémie”. L’ANSM ne retient que la réserve d’usage exprimée quasi systématiquement dans toutes les études : “ils ont souligné la nécessité d’obtenir confirmation par des études longitudinales ou interventionnelles”. »
Or, aucune étude au monde n’est négative en ce qui concerne la prophylaxie, et l’ANSM prétend le contraire sans avancer une seule étude le démontrant.))

Il détaille efficacité tant en prophylaxie qu’en curatif et son innocuité. L’Ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Reconnu comme » sans danger pouvant être utilisé à grande échelle » par l’OMS.

À titre de comparaison, Vigibase recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine, contre 3 695 décès et 161 147 effets indésirables pour le Doliprane.

Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats :

  • L’État indien Uttar Pradesh a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ;
  • Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ;
  • Tout récemment, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.

À l’Assemblée nationale, Olivier Véran s’est cru permis de tenter de ridiculiser la députée Martine Wonner qui l’avait interpellé sur l’ivermectine. Qui était le plus ridicule ?

Olivier Véran a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump ! Combien de temps allons-nous tolérer l’inversion des valeurs médicales et humaines dans ce pays ?

Points communs entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine :

  • vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde
  • Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées — dans certains pays, en vente libre, sans ordonnance
  • Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, car ce sont des médicaments génériques aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits importants avec ces molécules ;
  • Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine peuvent être données à domicile par des médecins généralistes dès les premiers symptômes :
  • L’ivermectine est encore plus sûre que l’hydroxychloroquine

L’hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle !

  • L’ivermectine est nettement plus efficace que l’hydroxychloroquine

l’hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement : conclusion de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde, sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille.

Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital avec l’ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires :

  • En prévention, l’ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection
  • En traitement, l’ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu’à 75 %

C’est la conclusion de méta-analyses réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill comme celle du Dr Pierre Kory.

Quelques articles de presse médiastream concèdent cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times : « un antiparasitaire bon marché pourrait réduire le risque de mort de la Covid-19 jusqu’à 75 %) »

Ou dans le Daily Mail.

Mais lire aussi Mathilde Debord | 09 mars 2022 : Ivermectine : de la DARPA à Buckingham, jusqu’où ira le scandale ?(([14] Ivermectine, le scandale de l’après-COVID ? | Le Point critique))

James O’Keefe affirme avoir obtenu des documents surprenants concernant les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça

Projet Veritas, la FDA et Pfizer

« Le 10 janvier 2022, le rédacteur en chef du Projet Veritas, James O’Keefe, affirme avoir obtenu “des documents surprenants et inédits concernant les origines du COVID-19, la recherche sur le gain de fonction, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça”.

Pour information, Projet Veritas est une organisation composée de journalistes regroupés autour d’un projet commun : “enquêter et dénoncer la corruption, la malhonnêteté, les délits d’initié, le gaspillage, la fraude et autres inconduites dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et transparente” (LinkedIn). Ce mot d’ordre peut faire sourire, mais le talent des journalistes du Projet Veritas est de parvenir à obtenir des documents accablants pour les personnes qu’ils incriminent, sans que leurs accusations ne soient jamais contredites par la justice ».

Military Documents About Gain of Function Contradict Fauci Testimony Under Oath | Project Veritas

Et encore Anthony Fauci

Au-delà des révélations concernant le financement par le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci, d’études de gain de fonction conduites dans le laboratoire P4 de Wuhan, c’est la mise au jour d’un document explosif qui inquiète aujourd’hui l’administration américaine.

« L’efficacité de l’ivermectine et l’hydroxychloroquine est connue des autorités depuis avril 2020 et elle est cohérente avec la manière dont le virus a été modifié »(([15] « Bon nombre des premiers protocoles de traitement ignorés par les autorités fonctionnent parce qu’ils inhibent la réplication virale ou modulent la réponse immunitaire aux protéines de pointe, ce qui est logique dans le contexte créé par EcoHealth. Certains de ces protocoles de traitement inhibent également l’action de la protéine de pointe du moteur. Par exemple, l’ivermectine (identifiée comme curative en avril 2020) agit à toutes les phases de la maladie, car elle inhibe à la fois la réplication virale et module la réponse immunitaire. Il convient de noter que le phosphate de chloroquine (hydroxychloroquine, identifiée en avril 2020 comme curative) est identifié dans le protocole comme un inhibiteur du SRASr-CoV, tout comme l’interféron (identifié en mai 2020 comme curatif). »

Rapport DARPA))

LES « BONS CONSEILS » DE MCKINSEY À OLIVIER VERAN

« Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?

Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le
gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en “négligence délibérée” le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée »(([16] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique))

Au-delà de la polémique sur la guérison de la reine Elisabeth II qui serait due à l’Ivermectine après son infection malgré ses 4 injections anticovid, (mais qu’il ne faut surtout pas ébruiter), informons nos lecteurs qu’il existe maintenant un arsenal thérapeutique large !

L’arsenal thérapeutique contre le COVID-19 compte à ce jour 511 traitements potentiels, dont 30 précoces approuvés par 70 pays, adossés à 1 479 études(([17] https://lepointcritique.fr/2022/03/09/ivermectine-de-la-darpa-a-buckingham-jusquou-ira-le-scandale)) recensées dans la base de données
https://c19early.com/.

Le magazine Nexus a publié un dossier complet sur le sort qui a été réservé à l’ivermectine sous la houlette d’Olivier Véran. Le titre du numéro est un clin d’œil à la décision du ministre d’en censurer l’accès malgré les preuves accablantes de son efficacité.

Dossier « Ivermectine : présumé inefficace ? » (Nexus, numéro de mars 2022)(([18] Le site c19ivermectin.com recense 148 études comparant l’ivermectine à d’autres traitements. Elles ont porté au total sur 85 767 patients.))

Le journaliste Jean-Loup Izambert répond le 3 mai 2022 à Kairos :
Le scandale de l’Ivermectine — interview de Jean-Loup Izambert — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





L’utilisation du paracétamol dans le COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Doliprane et restez chez vous » ! © MYCHELE DANIAU / AFP/Archives]

Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, pour FranceSoir

Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, dans cette tribune, analysent la politique du « paracétamol et restez chez vous » utilisée à l’envi pendant la crise sanitaire, qu’ils jugent « contreproductive en termes de santé comme en termes de coût ». Pour cela, ils traitent dans une première partie de l’historique du médicament depuis le début de la crise, en soulignant notamment les désaccords entre le gouvernement et les autorités sanitaires. Puis, ils analysent les effets néfastes du Doliprane, notamment dans le cadre du traitement contre le Covid-19.

TRIBUNE — Historique 2020-2022 de l’utilisation et des recommandations concernant l’usage du paracétamol et de l’ibuprofène/anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Le ministre de la Santé, Oliver Véran, a tweeté le samedi 14 mars 2020 que les personnes suspectées de Covid-19 devraient éviter les anti-inflammatoires. « La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone…) pourrait être un facteur aggravant de l’infection. Si vous avez de la fièvre, prenez du paracétamol », a-t-il dit. (BMJ, 2020)

À l’opposé, quatre jours plus tard, le 18 mars 2020, l’EMA publiait un communiqué remettant en cause ce tweet :

« Il n’existe actuellement aucune preuve scientifique établissant un lien entre l’ibuprofène et l’aggravation de la COVID‑19. L’EMA suit la situation de près et examinera toute nouvelle information disponible à ce sujet dans le contexte de la pandémie. »

Elle recommande donc les deux :

« Lors du début d’un traitement contre la fièvre ou la douleur dans le COVID-19, les patients et les professionnels de la santé doivent envisager toutes les options de traitement disponibles, y compris le paracétamol et les AINS. ».

De plus, le 19 avril, l’OMS publiait un rapport scientifique avec 13 références sur la base de 73 études, dont la conclusion était :

« À l’heure actuelle, il n’y a aucune preuve d’événements indésirables graves, d’utilisation des soins de santé aigus, de survie à long terme ou de qualité de vie chez les patients atteints de COVID-19, à la suite de l’utilisation d’AINS. ».

Aux États-Unis, la FDA de son côté, le 19 mars 2020, écrit qu’elle « a pris connaissance d’articles de presse indiquant que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tels que l’ibuprofène, pourrait aggraver la maladie à coronavirus (COVID-19). Ces reportages médiatiques faisaient suite à une lettre du 11 mars 2020 dans la revue médicale The Lancet, qui émettait l’hypothèse qu’une enzyme (protéine qui facilite une réaction biochimique dans le corps) est augmentée par les AINS et pourrait aggraver les symptômes de la COVID-19. » L’agence ajoute qu’« à l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

C’est donc une simple phrase sans référence scientifique (« ACE2 peut également être augmenté par les thiazolidinediones et l’ibuprofène »), dans l’étude du Lancet du 11 mars, qui traite du COVID et des diabétiques (Fang L et al., 2020), qui estutilisée par Olivier Véran pour justifier des recommandations en faveur exclusivement du Paracétamol/Acétaminophène (Doliprane). Ce tweet, sans aucune recherche approfondie et sur la base d’une hypothèse, exclut l’utilisation de l’ibuprofène et des AINS. Et ceci est toujours d’actualité alors que, comme on l’a vu, quelques jours plus tard, les grandes agences de santé envoient des recommandations différentes.

Le 16 mars, l’auteur principal de l’article du Lancet, le Dr Michael Roth, directeur d’un groupe de recherche au Département de biomédecine de l’Université et de l’Hôpital universitaire de Bâle, commente alors l’article et sa phrase relative à l’ibuprofene, probablement en réaction au tweet du ministre, puisque c’est avant les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA : « Ce soupçon, qui a été expressément formulé comme une hypothèse, s’adresse aux scientifiques en vue d’une enquête plus approfondie fondée sur des données supplémentaires sur les patients. Cela ne constitue pas une recommandation d’utiliser ou non certains médicaments. Les patients doivent toujours suivre les instructions données par leur médecin », déclare-t-il.

Le site de l’Université de Bâle poursuit :

« En soi, l’enzyme ACE2 est une protéine très précieuse qui favorise la régénération des tissus. Des études antérieures ont montré que les inhibiteurs de l’ACE et les bloqueurs des récepteurs de l’angiotensine entraînent une formation accrue d’ACE2. Malheureusement, le coronavirus SARS-CoV-2 se lie à cette protéine et l’utilise pour pénétrer dans les cellules, où il se multiplie. »

Et selon le professeur Michael Roth, des relations similaires ont été décrites suite à la pandémie de SARS de 2002-2003. 

Le site continue :

« Certains patients souffrant de maladies cardiaques, d’hypertension ou de diabète sont en effet traités avec des médicaments qui augmentent la quantité d’ACE2. »

Et, le Dr Roth conclut :

« Pour cette raison, nous suggérons de poursuivre les recherches sur l’utilisation de ces médicaments chez les patients atteints de COVID-19 ».

En effet, comme on le sait déjà, la protéine ACE2, tout en étant le récepteur du virus SARS-CoV-2 joue un rôle très bénéfique dans la santé sur l’équilibre de la tension artérielle (système rénine-angiotensine), de l’inflammation et dans beaucoup d’aspects positifs dans la COVID, qui est une pathologie inflammatoire. Ainsi, se fonder sur une hypothèse ne privilégiant qu’un aspect simpliste de la question complexe de la maladie COVID et en faire une recommandation générale à ce moment de la pandémie, est un raccourci scientifique hasardeux aux conséquences potentiellement importantes. Depuis, des études ont montré que le paracétamol, comme l’ibuprofène, n’augmentait pas les niveaux d’ACE2 et que l’ibuprofène avait même une activité antivirale in vitro (de Bruin N et al., 2022).

Les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA sont prises en compte dans de nombreux pays comme au Royaume-Uni, où ce changement a été acté au contraire de la France, dès le 17 avril : les agences britanniques des médicaments ont changé leurs conseils sur l’ibuprofène pour dire que le médicament pouvait être utilisé pour traiter les patients présentant des symptômes de Covid-19, même si les preuves qui ont motivé la révision n’ont pas été rendues publiques (Torjesen I, 2020). Le changement fait suite à un examen par le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments à usage humain (CMH) sur le Covid-19 ainsi que des examens antérieurs des preuves, qui a conclu qu’il n’y avait actuellement pas suffisamment de preuves pour établir un lien entre l’utilisation de l’ibuprofène ou d’autres médicaments inflammatoires non stéroïdiens (AINS), et le fait de contracter ou d’aggraver la Covid-19 (Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, 2020). L’examen du groupe n’a pas été publié, mais a incité l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), le NHS England et le National Institute for Health and Care Excellence (NICE) à mettre à jour leurs conseils pour déclarer que les patients pouvaient prendre du paracétamol ou de l’ibuprofène contre les symptômes de la Covid-19, comme la fièvre et les maux de tête (Powis S, 2020).

Il semble qu’Olivier Véran ait aussi été influencé par des médecins français ayant alerté sur la toxicité des anti-inflammatoires « type ibuprofène », qui ont participé à un reportage pour le journal 20Minutes, dont voici un paragraphe très négatif sur l’utilisation de l’ibuprofène (Bosredon, 2020) :

Tous les patients en réanimation avaient pris des anti-inflammatoires

À Bordeaux, on confirme que les cas graves de Covid-19, ne touchent pas que les personnes âgées : les quatre premiers patients admis sont tous jeunes, l’un ayant même seulement 26 ans. » « Nous avons une population différente de celle décrite par nos collègues chinois », confirme le Dr Benjamin Clouzeau (anesthésiste-réanimateur au CHU de Bordeaux). « Mais nos malades ont tous le même profil, et j’insiste là-dessus : ils ont tous pris des anti-inflammatoires type ibuprofène, pour traiter les symptômes de fébrilité. Il faut bannir cela. »

Le 27 mars 2020, seulement quelques jours plus tard, le Dr FitzGerald GA réagit dans le journal Science (FitzGerald GA, 2020) en accusant Olivier Véran de semer la confusion en ce début de pandémie :

« Alors que la pandémie de maladie à coronavirus 2019 COVID-19 continue de s’accélérer, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a semé la confusion en affirmant sur Twitter que des anti-inflammatoires comme l’ibuprofène ou la cortisone pourraient aggraver l’infection. Cependant, les preuves scientifiques n’indiquent pas que la consommation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) met les patients à risque d’une maladie plus grave, alors qu’ils pourraient autrement avoir une infection légère ou asymptomatique par le syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus (SARS-CoV-2). Les personnes qui prennent des AINS pour d’autres raisons ne doivent pas arrêter de le faire de peur d’augmenter leur risque de COVID-19. »

Ceci a été repris dans le journal le Guardian (Willsher K, 2020).

Beaucoup de scientifiques ont donc réagi au tweet d’Olivier Véran. On rappelle aussi les mots prudents de la FDA :

« À l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

Ce tweet un peu rapide n’est pas sans rappeler un autre cas lié au Lancet, sur une autre molécule et avec la même rapidité. Le même Lancet qui publiait en 2021 une étude disant :

« L’utilisation d’AINS n’est pas associée à une mortalité plus élevée ou à une gravité accrue de la COVID-19 (Drake TM et al., 2021). Les décideurs politiques devraient envisager de revoir les conseils émis concernant la prescription d’AINS et la gravité de la COVID-19. »

On parle ici d’une étude réalisée entre le 17 janvier et le 10 août 2020, sur 78 674 patients dans 255 établissements de santé en Angleterre, Écosse et Pays de Galles. Cet article rappelle aussi les propriétés anti-inflammatoires observées pour l’ibuprofène contre des vecteurs de l’inflammation (cytokines impliquées dans le fameux orage inflammatoire) dans la COVID en particulier l’IL-6, mais nous y reviendrons. Autre étude du Lancet (Rheumatology) :

« Au début de la pandémie de COVID-19, les médias craignaient que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier l’ibuprofène, ne puisse exacerber les symptômes de la COVID-19. Ces inquiétudes, basées sur des données non publiées, ont conduit à déconseiller l’utilisation des AINS. »

Et en conclusion :

« La présente étude complète plusieurs études antérieures études d’observation, dont la plupart ont soutenu l’absence d’association entre l’utilisation d’AINS et la COVID-19 gravité. En fin de compte, sur la base des connaissances actuelles, les cliniciens ne doivent pas s’abstenir ou interrompre les AINS chez les patients atteints de COVID-19 si un traitement par AINS est indiqué » (Kragholm K  et al., 2021). »

Ces résultats sont corroborés par de nombreuses autres publications depuis 2020 (Bruce E et al. 2020), dont une méta-analyse d’une équipe française qui aurait pu intéresser nos responsables (Moore N et al., 2020) (Kelleni MT, 2020) (Kelleni MT, 2021). De plus, deux études ont révélé que lorsque l’ibuprofène ou les AINS étaient utilisés seuls chez des patients atteints de COVID-19, il n’y avait aucun décès, contre 3 ou 4 % avec le paracétamol utilisé seul (Rinott E et al., 2020) (Jeong HE et al., 2020).

Hélas, en France, on ne voit pas de changement au tout-paracétamol. Et même opportunément, un rapport de l’ANSM publié le 18/04/2019 et remis à jour le 20/05/2020, intitulé « Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et complications infectieuses graves » vient en soutien aux recommandations gouvernementales pour recommander de ne pas prendre d’ibuprofène, mais plutôt du paracétamol, dans les complications infectieuses graves notamment dans un contexte de varicelle et de pneumonie.

Le problème plus grave est qu’avec le temps, les preuves scientifiques ne vont cesser de s’accumuler en faveur des AINS, dont l’ibuprofène, médicaments génériques, et au contraire en défaveur du médicament de Sanofi, mais sans aucun changement de cap des responsables politiques de la santé en France. On peut regretter aussi l’absence de mise au point de la part du conseil scientifique, qui aurait pu intervenir et même anticiper les risques de toxicité du paracétamol dans le cadre de la COVID-19 au regard du rôle crucial de l’inflammation dans la pathologie de la COVID : on rappelle que le Doliprane n’est pas anti-inflammatoire et qu’il est pro-oxydant, au contraire de l’ibuprofène et des AINS.

L’ANSM rapporte que « La dispensation d’ibuprofène a été quasiment arrêtée à la suite des messages des autorités sanitaires, tandis que la délivrance sur ordonnance de paracétamol a atteint jusqu’à 1 million de patients par jour (pic le 16 mars). » (ANSM, 2020)

Malgré les arguments scientifiques connus et entérinés depuis fin mars 2020 par les plus grandes agences mondiales de la santé, on peut lire encore en juillet 202, en France, les affirmations suivantes de l’HAS adressé à Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé :

Encore répété par la HAS, le 11mars 2022 :

Ou encore sur la page actuelle du site du ministère de la Santé :

Le journal Le Point avait aussi honnêtement rectifié en 2021:

Le gouvernement français a donc choisi de privilégier uniquement le paracétamol dans le cadre de la COVID, tout en refusant systématiquement aux Français différents traitements ambulatoires précoces et en faisant même pression sur les médecins. Il les a notamment empêchés de prescrire l’azithromycine, un traitement qui, en association avec le zinc, a pourtant fait ses preuves, comme une multitude de médecins et patients peuvent en témoigner. Quid de l’aspirine, qui en plus est anticoagulante ?

Questions sur la sécurité du Paracétamol à travers quelques études cliniques rétrospectives

Alors, une question jamais évoquée se pose étant donné cette politique à sens unique concernant le Doliprane. C’était particulièrement prégnant en 2020, mais hélas encore d’actualité, même si de nombreux médecins et personnes éclairées l’ont abandonné : à quel moment a-t-on validé que le paracétamol (Doliprane) était vraiment sécurisé pour la santé, en particulier dans la pathologie de la COVID ? Le Doliprane est-il un médicament anodin comme le pensent beaucoup de Français ?

La réalité est qu’aucune étude observationnelle ni randomisée (les fameuses RCT) n’a été réalisée sur ce médicament. D’autres chercheurs alertent sur ce sujet, dont l’auteur d’un travail sur la base de 2 356 articles scientifiques, et de déclarations individuelles d’effets indésirables du paracétamol dans la pharmacovigilance internationale, base de données VigiBase (Romanov BK , 2021). L’auteur note également qu’aucune revue systématique n’existe, d’articles et d’essais cliniques sur la question de la sécurité du paracétamol utilisé dans le cadre du COVID-19. En comparant les années 2018/2019 et 2021/2021, cet auteur observe que des effets indésirables graves pour le paracétamol ont été plus fréquents dans la période COVID (35,4 %) que dans la période pré-COVID (28,2 %), du 1er janvier 2020 au 31 juillet 2021 (Romanov BK, 2021). La fréquence relative de tous les décès, dans les cas des événements indésirables graves, ont également augmenté dans la période COVID (de 8,9 à 14,3 %).

On en est donc réduits à tenter d’analyser des données à travers des analyses statistiques rétrospectives sur des études existantes. Ainsi, une analyse multivariée sur une cohorte de 524 patients a montré que les patients exposés au paracétamol avaient une probabilité significativement plus élevée d’être dirigés vers des unités de soins dans le groupe d’exposition modérée (100-1000 mg/day, nb de sujet : 256) et fortement exposés (>1000 mg/day ; nb de sujets : 132) que le groupe témoin n’ayant pas reçu de paracétamol (nb de sujets : 136) (Manjani L et al., 1021). La durée de séjour en unité de soins était aussi plus longue (5 vs 10 jours, p < 0,001) et les deux groupes qui ont pris du paracétamol ont aussi eu une mortalité plus élevée : 5,1 % en plus pour le groupe avec prise modérée et 16,5 % en plus (p = 0,001) pour le groupe avec prise supérieure à 1 g/j en comparaison du groupe sans paracétamol. Ils notent aussi un risque plus élevé de nécessiter une assistance respiratoire (2,9 % vs 15,5 % p < 0,001) dans les groupes exposés modérément ou fortement exposés. Cela laisse entendre que le Doliprane pourrait aggraver la maladie de la COVID et augmenter les chances d’hospitalisations, voire de décès.

Une étude observationnelle rétrospective est particulièrement intéressante : dans le groupe dit de contrôle, 45 patients sur 77 (58,44 %) ont reçu du paracétamol comme traitement à domicile, alors que dans le groupe suivant un protocole recommandé, utilisant en particulier des anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase (Suter F et al., 2020), seuls 6 sur 86 (6,98 %) utilisaient le paracétamol comme thérapie principale (Suter Fet al., 2021). Le taux d’hospitalisation fut de 1,2 % pour les patients suivant le protocole recommandé et 13,1 % (p = .007) pour les patients utilisant majoritairement du paracétamol, soit 44 jours cumulés d’hospitalisation (groupe protocole recommandé) contre 481 (groupe paracétamol). En plus d’une hospitalisation presque 11 fois supérieure dans le groupe Doliprane, il en découle des frais cumulés d’hospitalisation 10 fois plus élevés finalement : 296 243 euros pour le groupe Doliprane vs 28 355 euros pour le groupe anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase. À noter que 9,2 % du groupe Doliprane a pris des corticoïdes vs 30 % avec le protocole recommandé.

La politique du « Doliprane et restez chez vous » est donc contreproductive en termes de santé comme en termes de coût : 11 fois moins efficace pour l’hospitalisation et 10 fois plus cher pour le contribuable :

Légende : Jours d’hospitalisation cumulés et coûts associés dans les deux groupes étidiés
Panneau A : Jours d’hospitalisation cumulés dans la cohorte de traitement recommandé (recommended cohort) et dans le groupe Paracétmol (control cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)
Panneau B : Coûts cumulés d’hospitalisation dans la cohorte « traitement recommandé » et dans le groupe paracétamol (conrtol cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)

Comment cela est-il possible ? Y a-t-il des mécanismes biologiques connus qui pourrait l’expliquer, alors qu’on prescrit du Doliprane à tout-va, y compris en post-vaccination ?

La réponse est oui, et ces mécanismes biochimiques et physiologiques sont nombreux et connus ! Ils surviennent, il est vrai, essentiellement dans le cadre du dosage plus important que les doses thérapeutiques maximales normalement acceptées (3-4 g/j), mais sont aussi susceptibles d’intervenir à des doses plus basses, notamment en lien avec certaines conditions qui sont associées… avec les comorbidités de la COVID.

Après une brève introduction sur l’historique du paracétamol, nous décrivons ci-dessous sa toxicité générale, mais aussi les mécanismes inflammatoires, coagulants et pro-oxydants connus du paracétamol (Doliprane, Efferalgan…), qui peuvent être néfastes dans le cadre de la pathologie de la COVID-19.

Quelles sont les conséquences biologiques de la prise de paracétamol ?

Antalgique le plus vendu au Monde, le Paracétamol trouve son origine dans l’industrie des colorants du XIXème siècle. Depuis sa commercialisation en France, en 1957, sa consommation ne cesse d’augmenter. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a tiré à plusieurs reprises la sonnette d’alarme, jusqu’à récemment encore. En effet, sous son apparente innocuité, ce dérivé de la Phénacetine, elle-même dérivée de l’Anniline, cache un fonctionnement complexe dont l’entièreté des mécanismes reste à confirmer. Bien que longtemps assimilé aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sa pharmacodynamie apparaît, en fait, bien plus complexe. Aussi, la première hypothèse d’un mécanisme d’action via l’inhibition des cyclo-oxygénases est largement reconsidérée.

A contrario de son mécanisme d’action, son métabolisme est, quant à lui, bien établi. Normalement bien toléré aux doses thérapeutiques, sa métabolisation dans l’organisme n’est pas dénuée d’effets indésirables et/ou d’interactions aux conséquences parfois dramatiques, de sorte que sa toxicité est reconnue depuis 50 ans au moins et depuis 2018, même hors surdosage apparent et à des doses thérapeutiques ou très proches (Kurtovic J and Riordan SM, 203) (Graham GG et al., 2005) notamment avec des facteurs de risque comme d’hépatotoxicité comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie ou chez des adultes âgées de faible poids (les plus fragiles face à la COVID), une séropositivité au VIH ou hépatite C (Bonkovsky HL et al, 1994) (Claridge LC et al., 2010). Ces personnes ont-elles vraiment été averties par les autorités de santé et leurs médecins de ces contrindications nécessitant des précautions d’emploi ?

Toxicité générale du paracétamol et de son métabolite toxique : le N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI

Dans le cadre de son métabolisme, une proportion minime de paracétamol (aussi appelée acétaminophène ou encore acetyl-para-aminophénol) est relâchée dans le système sanguin sous forme inchangée, la majeure partie étant métabolisée au niveau du foie par le biais de plusieurs voies (Steventon GB et al., 1996). Les métabolites actifs distribués dans le sang sont, pour une faible part, inactivés par liaisons avec l’albumine à raison de 10 à 15 % (Gimenez F et al., 2012). Majoritaires, la conjugaison à l’acide glucuronique ou glycuroconjugaison et la conjugaison à l’acide sulfurique ou sulfoconjugaison se partagent environ 80 % de la biotransformation de l’acétaminophène à hauteur d’un ratio moyen de 1/3//2/3. Inactives et non toxiques, les deux formes qui en résultent sont éliminées par voie urinaire.

Suite aux travaux d’Högestätt, une autre voie mineure a été mise en évidence. Ainsi, le paracétamol subit également une hydrolyse catalysée par l’acylamidase et la N-désacétylase du foie aboutissant à un métabolite désacétylé : le P-aminophénol (Högestätt ED et al., 2005).

Enfin, et surtout, la voie oxydative, quant à elle, intervient à une moyenne de 10 %. Associée au cytochrome P450, principalement les enzymes CYP2E1 et CYP2D6, elle aboutit à la formation de N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI (Gimenez F et al., 2012) (Lee SS et al., 1996) (Dong H et al., 2000). C’est ce dérivé du paracétamol qui est hautement toxique, du fait de sa capacité à se lier aux cellules du foie (hépatocytes), il peut en provoquer l’apoptose (mort cellulaire) jusqu’à la nécrose hépatocytaire ou hépatite cytolytique. Il est également responsable de la néphrotoxicité du paracétamol. Il est ainsi responsable de près de 500 décès par an aux États-Unis, ainsi que de 100 000 appels aux centres antipoison américains, de 50 000 visites aux urgences et de 10 000 hospitalisations par an (Lee WM, 2017).

En conditions dites « thérapeutiques », il est rapidement détoxifié par le glutathion (GSH), un petit tripeptide (3 acides aminés) composé d’acide glutamique, de cystéine et de glycine (Steventon GB et al., 1996).

Et, c’est là qu’intervient l’élément qui nous intéresse : le glutathion. Son rôle dans la lutte contre la toxicité du paracétamol est absolument essentiel. Gros consommateur de cet oxydant, seuls 10 g en une prise suffisent à effondrer suffisamment les stocks de cet antioxydant majeur du corps humain. C’est par ce mécanisme, inhérent au fonctionnement de bas du paracétamol, que le paracétamol est devenu, en quelques années, la cause numéro 1 de greffes hépatiques et une molécule régulièrement utilisé dans les tentatives d’autolyse ou suicide. En cas de surdosage, deux molécules sont principalement utilisées :

  • Le charbon actif, capable d’adsorber jusqu’à 90 % du paracétamol s’il est administré dans les cinq premières minutes. Son efficacité est « dose-dépendante » et n’est prouvée que dans un délai de deux heures après ingestion de la surdose.
  • La N-acétylcystéine, véritable antidote, atténue voire évite l’atteinte hépatique en produisant de la cystéine, élément précurseur du glutathion. Néanmoins, sa protection complète ne va pas au-delà dès huit heures après ingestion. Passé ce délai, son activité protectrice décroit progressivement.

Au sujet de l’importance de la toxicité du paracétamol vis-à-vis du glutathion dans le cadre du COVID paracétamol, des chercheurs écrivent :

« Au vu de ce qui précède, poursuivre l’utilisation généreuse du paracétamol peut signifier que nous ignorons les messages importants de la recherche. Cela peut ne pas être inquiétant chez les adultes en bonne santé. À l’inverse, au milieu d’une pandémie dévastatrice, il est plus important que jamais de présenter des arguments satisfaisants pour prescrire du paracétamol aux populations sensibles avec des niveaux de GSH faibles. Nous avons décrit en détail quatre problèmes de santé graves associés à la réduction de GSH et les risques de développer une COVID-19 sévère. Nous suggérons que la sécurité et l’efficacité du paracétamol devraient être étudiées plus en détail dans COVID-19. Des recherches futures pourraient tenter de corréler le taux de mortalité attribuable à la COVID-19 avec les chiffres de doses quotidiennes de paracétamol pour 1 000 habitants dans des pays au niveau de vie similaire. » (Verd S and Verd M, 2020).

Effets néfastes du paracétamol dans le COVID-19 :

Consommation du glutathion : effet délétère sur l’inflammation/stress oxydant et l’immunité dans la COVID-19 – Le premier effet particulièrement délétère du paracétamol et de loin le plus dangereux est donc la consommation de glutathion (GSH).

Certains chercheurs ont suggéré qu’en appauvrissant le GSH, le paracétamol pourrait également aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020). Or, le GSH comme protecteur de l’inflammation et du stress oxydant joue un rôle crucial et central dans la résistance au COVID-19 pour éviter d’évoluer vers une forme grave et la mort (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Ceci a été trop sous-estimé et trop peu évoqué dans la communauté scientifique et pratiquement jamais par la plupart des médecins et des médias. Probablement parce que cela implique de travailler sur des domaines vastes allant de la virologie à l’immunité, l’inflammation/stress oxydant et requérant des notions non seulement médicales, mais aussi de chimie et de biochimie poussées. Un des résultats, notamment chez les médecins, est que l’importance cruciale du stress oxydatif dans la pathologie de la COVID a été largement sous-estimée, quand elle leur est connue, et donc de l’importance centrale du glutathion dans la pathologie de la COVID !

Dans la COVID (et dans toutes les pathologies inflammatoires), l’inflammation est accompagnée de réactions d’oxydation dans les cellules par des petites molécules très réactives (que l’on appelle radicaux libres) qui sont produites sur le site de l’inflammation par un processus appelé stress oxydatif. C’est un peu comme si l’inflammation était le lance-flammes et le stress oxydatif les flammes. Ceci devrait faire l’objet de travaux de recherches supplémentaires notamment pour identifier des traitements antioxydants/anti-inflammatoires y compris pour les formes longues du Covid (Delgado-Roche L et al., 2020) (Cecchini R et al., 2020) (Ntyonga-Pono MP, 2020). Le glutathion est justement le maître antioxydant dans l’organisme qui permet de lutter contre ce stress oxydant dans de nombreuses pathologies (Franco R et al., 2007). Le paracétamol fabrique justement du stress oxydant et notamment des radicaux libres (peroxynitrites en particulier) à l’intérieur des mitochondries (Knight TR et al., 2001) (Knight TR et al., 2002) (Bajt ML et al., 20003) (Ishitsuka Y et al., 2020) (Prasun P, 2021) (Ramachandran A and Jaeschke H, 2019).

Au niveau de l’immunité, un autre effet néfaste de la consommation de GSH par le paracétamol est l’efficacité diminuée des globules blancs, en particulier des lymphocytes T, si importants pour lutter dans la COVID. Ces lymphocytes T ont besoin GSH afin de travailler efficacement, améliorant ainsi l’identification et destruction des bactéries et virus (Droge W and Breitkreutz R, 2000) (Grimble RF and Grimble GK, 1998) (Maciolek JA et al., 2014) (Wang K et al., 2017). Le taux de GSH qui régule l’état oxydatif dans toutes les cellules de l’organisme ralentit également la réplication des virus comme la grippe et d’autres virus respiratoires (Geiler J et al., 2010) ce qui peut donc potentiellement atténuer les symptômes viraux et améliorer la survie (McCarty MF et al.,2010) (De Flora S et al., 1997) (Mata M et al., 2012) (Nencioni L et al., 2003) (Cai J et al., 2003) (Khomich OA et al., 2018) (Ghezzi P et al., 2004).

Effet du paracétamol sur une des voies inflammatoire principales de la COVID-19 : la voie immuno-inflammatoire du complément

La voie du complément est une des voies principales de l’immuno-inflammation dans la COVID-19, notamment dans les formes graves et contribue aussi à la coagulation dans les vaisseaux et à la mort.

Or le paracétamol a été décrit par plusieurs travaux comme un activateur de cette voie inflammatoire, ce qui est préoccupant et jamais évoqué même si d’autres études doivent être menées pour mieux étudier ce sujet. Dans une récente étude, Li et ses collaborateurs rapportent la sur-activation du complément en lien avec la toxicité hépatique du paracétamol et l’effet protecteur de la CRP (C réactive protéine)  (Li HY et al., 2022) (Garcia-Ruiz C et al., 2022).

Dans des études chez l’homme avec surdosage de paracétamol, l’activation du complément a été associée à un dysfonctionnement hépatique (Ellison et al., 1990) (Clapperton et al., 1997).

L’hépatotoxicité induite par le paracétamol est initiée par une lésion précoce des hépatocytes, qui peut évoluer vers l’insuffisance hépatique aiguë par une amplification des lésions hépatiques entraînée par l’activation des cellules immunitaires. Des études antérieures ont rapporté un rôle de l’activation du complément dans les lésions hépatique induites par le paracétamol (Singhal R et al., 2012). Dans cette étude chez la souris, des niveaux plasmatiques élevés de cytokines inflammatoires sont retrouvés, telles que l’interleukine-6, interleukine-10 dont les taux élevés sont prédictifs d’une aggravation de la pathologie COVID (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020) et sont des marqueurs de la sévérité et même de la mortalité (Udomsinprasert W et al., 2020) (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020).

C’est donc une question importante qui est posée ici : la prise de Doliprane, en plus de consommer le GSH, aggrave-t-elle la pathologie COVID en activant une de ses voies inflammatoires et mortelle principale, inflammatoire et pro-coagulante et qui mène au décès : la voie du complément ?

1. Paracétamol et coagulation : activation de la thrombine et autres acteurs de la coagulation

On sait que la coagulation est une conséquence grave de la COVID-19 notamment dans les formes très sévères et terminales.

Il se trouve que le paracétamol a la capacité d’activer des mécanismes pouvant promouvoir la coagulation (en plus de la voie évoquée précédemment). En effet, on sait que la progression des lésions hépatiques induites par le paracétamol est associée à l’activation de la cascade de la coagulation sanguine. La génération de thrombine (enzyme qui convertit le fibrinogène en fibrine, protéine qui participe à la formation de caillots sanguins) est évidente chez les patients présentant une surdose aiguë de paracétamol et dans les modèles murins de lésions hépatiques aiguës (Ganey P et al., 2007) (Gazzard BG et al., 1975) (Sullivan BP et al., 2012). La thrombine active en particulier le proteinase-activated receptor (PAR-1) conduisant à l’activation des plaquettes et à une inflammation (cyclooxygénase-2 et autres cytokines) (Coughlin, 1999) (Uzonyi et al., 2006) (Kawabata and Kawao, 2005). Hautement exprimé dans les plaquettes et les cellules endothéliales, PAR-1 joue un rôle clé dans la médiation de l’interaction entre la coagulation et l’inflammation, ce qui est important dans la pathogenèse des maladies pulmonaires inflammatoires et fibrotiques et c’est le cas dans la COVID (Sriram K and Insel PA, 2021) (Rovai ES et al., 2021).

Aussi, l’administration de paracétamol est associée à des taux plasmatiques de protéine plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1) augmentés (Ganey P et al., 2007) (Bajt ML et al., 2008) (Radonovich MF et al., 2001) (Kastl et al., 2006). Or le PAI-1 est une enzyme qui freine la capacité de fibrinolyse, c’est-à-dire de dissolution de caillots (par inhibition de l’activateur tissulaire du plasminogène (tPA) et de l’urokinase (uPA), eux-mêmes activateurs du plasminogène, enzyme qui permet de dégrader les caillots (Mackman N, 2005) (Schaller J et Gerber SS, 2011). Ce PAI-1 est également important dans la pathologie de la COVID et retrouvé à des taux élevés chez les patients ayant des formes sévères (Khan SS, 2021) (Zuo Y et al., 2021).

Le PAI-1, qui peut être libéré par les cellules de Kupffer en réponse à C5a est augmenté dans le plasma par le paracétamol et réduit par une déplétion préalable du complément (Kastl et al., 2006).

Ces mécanismes inflammatoires et pro-coagulants du paracétamol devraient aussi être pris en compte dans l’utilisation de ce produit après vaccination, ce qui est largement proposé, étant donné que la protéine spike vaccinale (plus concentrée) induit des conséquences inflammatoires importantes qui peuvent expliquer une grande partie des très nombreux effets graves et des décès induit par la vaccination.

2. Fièvre et baisse de l’interféron

Faire baisser la fièvre, comme déjà évoqué dans un article précédent « Covid-19 : le paracétamol aurait-il tué ? » n’est pas forcément une bonne idée. Le paracétamol fait tomber la fièvre et améliore le confort des patients, mais la fièvre a une raison d’être : il s’agit d’un mécanisme de défense bien connu de l’organisme face à l’infection. D’ailleurs, en pédiatrie, les nouvelles recommandations HAS ne préconisent plus de faire « tomber » systématiquement la fièvre, sauf cas particuliers :

Prise en charge de la fièvre chez l’enfant – recommandations HAS : Rôle physiopathologique de la fièvre  « La fièvre est un des moyens de réponse de l’organisme aux infections. Elle est également présente dans les maladies inflammatoires, rares chez l’enfant. La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères (purpura infectieux, septicémie) et il a été observé que des infections graves non fébriles étaient associées à une augmentation de la mortalité. Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »

En particulier, le paracétamol, en faisant baisser la température, diminue le taux et l’activité de l’interféron (IFN-I), molécule antivirale produite par l’organisme (Hirai et al., 1984). Des températures plus basses réduisent l’activité de l’interféron de type I et favorisent l’arthrite alphavirale (Prow NA et al.. 2017). Et de plus, il a été publié qu’un bas taux d’interféron est associé aux formes graves de la maladie (Activité altérée d’interféron de type I et réponses inflammatoires dans les patients graves de COVID-19 (Hadjadj J et al., 2020).

C’est un phénomène essentiel, car comme déjà décrit , le SARS-Cov-2 est un mauvais inducteur de la réponse IFN-I in vitro et dans des modèles animaux ainsi que chez l’homme puisque les taux d’IFN-I dans le sérum des patients infectés sont en dessous des niveaux de détection des tests couramment utilisés (Sa Ribero M et al., 2020) (Hadjadj J et al., 2020) (Lee JS et Shin EC, 2020). Le SARS-CoV2 induit encore moins d’IFN-I que le SARS-CoV et ces coronavirus contiennent plusieurs protéines permettant d’échapper à la production ou aux réponses induites par l’interféron (Spiegel M et al., 2005) (Hu Y et al., 2017) (Sa Ribero M et al., 2020). 

Conditions et pathologies associées à la dangerosité du paracétamol : un lien avec les comorbidités du COVID-19 ?

La réduction du GSH est une condition particulièrement sévère pour la réponse antioxydante et antiinflammatoire de l’individu et il est compréhensible que sa déplétion soit cruciale pour l’aggravation du COVID‐19.

Plusieurs facteurs de risques d’hépatotoxicité du paracétamol comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie, une séropositivité au VIH et hépatite C (Moling O et al., 2006).

  • Personnes âgées
    La réduction des taux plasmatiques et intracellulaires de GSH est typique chez les patients âgés (Sekhar RV et al., 2011) en particulier s’ils sont affectés par le syndrome métabolique (Sekhar RV et al., 2011) donc les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de la COVID‐19 ne doivent pas être traités avec paracétamol déclarent certains scientifiques (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Pandolfi S et al., 2021) : «  Les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de COVID‐19 ne doivent pas être traités avec du paracétamol. » Chez des adultes dénutris de faible poids corporel (comme peuvent l’être les personnes âgées, les plus fragiles face au COVID), 4 g de paracétamol répété quotidiennement peut être hépatotoxique (insuffisance hépatique acidose lactique) et a été décrits (Claridge LC et al., 2010). Des cas d’hépatotoxicité aigüe chez des personnes âgées (80 à 91 ans) sans autre risque que l’âge et à des doses faibles (de 1-4 g/j)  ont été reportés après quelques jours d’utilisation et les auteurs invitent à des révisions des doses pour les personnes âgées (Ging P et al., 2016) (Liukas A et al et al., 2011) (What dose of paracetamol for older people?, 2018) voire même chez des personnes un peu plus jeunes (Schmidt LE et al., 2005).

    Ainsi, à la vue de ses interactions, médicamenteuses ou non, ainsi que des répercussions sur la physiologie du vieillissement, la question de la sécurité de son utilisation, chez la personne âgée et/ou fragile se pose. Les recommandations d’usages du paracétamol apparaissent peu respectées pour cette population « pré-fragile » ou « fragile » et de manière globale, ce traitement semble, peu évalué, comme peu surveillé, en EHPAD comme en ville alors que cela devrait s’inscrire dans une démarche de pharmacovigilance et de qualité des soins, en particulier dans le COVID où le paracétamol est pris en continu sur plusieurs jours. Il est globalement reconnu que des surdosages itératifs sont plus délétères qu’un surdosage massif (Craig D et al., 2011). Afin de lutter contre cette surutilisation, l’ANSM a limité sa délivrance à deux boites par prescription. Pour autant, les chiffres de ses délivrances en officine ne décroissent pas, au contraire. La crise sanitaire débutée fin 2019 et surtout les recommandations officielles excluant tout autre molécules dans le traitement des symptômes associé à une infection à SARS-CoV-2 ou variants a permis un pic des consommations allant jusqu’à un million de boites vendues/jours.

    Les personnes âgées peuvent souvent être en déficit de glutathion (Erden-Inal M et al., 2002) (Samiec PS et la., 1998) (Sekhar RV et al., 2011) (Matsubara LS, Machado PE  et al., 1991) (Loguercio C et al., 1996) (Suh JH t eal., 2004) (Lang CA et al., 1992), qui comme on l’a vu, est une molécule clé pour contrer et parfois survivre à la phase inflammatoire (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Or comme on l’a cité le paracétamol en abaissant les niveaux de GSH sont susceptibles d’aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020).

    L’âge étant le paramètre le plus significatif de la mortalité dans la COVID, ignorer ces connaissances est au minimum un manque de sérieux scientifique, au maximum, grave et irresponsable. La COVID est une pathologie où le stress oxydant joue un rôle central et a un lien avec toutes les comorbidités.
     

  • Diabète et obésité, maladies cardiovasculaires 
    La corrélation entre un faible taux de GSH et le diabète est bien établie. Le diabète a été largement associé à des dommages oxydatifs et à une diminution de la teneur en GSH (aussi augmentation du rapport GSSG/GSH, glutathion oxydé/glutathion réduit) dans différents tissus (Yoshida K et al., 1995) (Thornalley PJ et al., 1996). La diminution du GSH est, dans la plupart des cas, associée à une activité accrue du NF-kB, un nœud l’inflammation y compris dans le COVID (Arnalich F et al., 2001). Une étude de Samiec et ses collègues a montré que les niveaux de glutathion total et de sa forme réduite étaient plus faibles dans le plasma des sujets âgés et encore plus bas chez les patients diabétiques (Samiec PS et al., 1998).

    Plusieurs études ont rapporté que chez les patients obèses, le stress oxydatif est aussi associé à une diminution des niveaux de glutathion (Habib S et al, 2015) (Uzun H et al., 2017) et à une diminution du rapport GSH/GSSG) (Zamora-Mendoza R et al., 2018) et que le paracétamol pourrait avoir une toxicité augmentée (Michaut A et al., 2014). De plus, le stress nutritionnel causé par un régime riche en graisses et en glucides favorise le stress oxydatif, comme en témoignent l’augmentation des produits de peroxydation lipidique, la diminution du système antioxydant et la diminution des niveaux de glutathion (Parsanathan R and Jain SK, 2019) (Andrich DE et al., 2019).

    Les maladies cardiovasculaires en général sont associées au stress oxydatif et l’inflammation et les doses de paracétamol devraient être adaptées à la gravité de la pathologie : un homme de 67 ans atteint d’une maladie cardio-pulmonaire chronique a présenté une atteinte hépatique sévère et une atteinte rénale modérément sévère après ingestion à court terme de doses thérapeutiques d’acétaminophène (1 à 3 g/jour pendant 3 jours) (Bonkovsky HL et al, 1994).
     

  • L’hypertension est une comorbidité nettement reconnue dans le COVID
    Une étude chez des patients atteints de maladie coronarienne (CAD) (Sudano I et al., 2010) a montré qu’un traitement au paracétamol était associé à une augmentation significative de la tension artérielle et soulève la question de la prudence de l’usage du paracétamol chez ces patients. De plus, des revues systématiques de la littérature soutiennent l’association entre l’utilisation de paracétamol et l’élévation de la pression artérielle chez les patients souffrant d’hypertension (Turtle EJ et al., 2013). La prise quotidienne régulière de 4 g d’acétaminophène (dose COVID) augmente la pression artérielle systolique chez les personnes souffrant d’hypertension de ≈ 5 mm Hg par rapport au placebo ; « cela augmente le risque cardiovasculaire et remet en question l’innocuité de l’utilisation régulière d’acétaminophène avec cette condition » (MacIntyre IM et al., 2022).

    Ceci est observé aussi dans certaines études aves les AINS, mais pas avec l’aspirine, même si le sujet est débattu (Curhan GC et al., 2002) (Bautista LE et al., 2010).

    Favoriser l’hypertension est donc dangereux dans le COVID en particulier parce que l’hypertension, comme le diabète et d’autres conditions cardiovasculaires peuvent être associées à l’augmentation des protéines MASP (Mannan-binding lectin serine protease) (Bumiller-Bini V et al., 2021) qui activent la voie clé faisant le lien entre l’inflammation et les phénomènes de coagulation en phase finale des formes graves du COVID-19 (la voie des lectines du complément).
     

  • Affections pulmonaires, respiration
    Un grand nombre d’études ont rapporté une toxicité pulmonaire du paracétamol (Kennon-McGill S and (McGill MR, 2017) (Nassini R et al., 2010) (Baudouin SV et al., 1995). Cette dernière étude montre que les lésions pulmonaires aiguës (33 %) peuvent être fréquentes chez les patients atteints d’insuffisance hépatique fulminante induite par le paracétamol et associées à une insuffisance circulatoire systémique et à un œdème cérébral (Baudouin SV et al., 1995). Le développement de lésions pulmonaires aiguës était associé à une mortalité élevée.

    Des études montrent que le phénomène toxique dans le foie se produit également dans les poumons qui possèdent aussi l’enzyme CYP2E1 qui fabrique le dérivé toxique du  paracétamol, le NAPQI, capable de consommer le glutathion et produire des dommages dans les poumons Breen K et al., 1982) (Sandoval J et al., 2019).

    Cette toxicité dans les poumons pourrait même survenir à des doses pour lesquelles le paracétamol n’est pas toxique sur le foie, comme le montre une étude récente chez la souris avec de 140 mg/kg ip (Dobrinskikh E et al., 2021).

    La prise de paracétamol est aussi associée à une aggravation possible de l’asthme et de la Bronchopneumopathie chronique obstructive (COPD) et une baisse de la fonction pulmonaire au contraire de l’aspirine (McKeever TM et al., 2005) (Allmers H et al, 2009) (Beasley RW et al., 2011) (Goto T et al., 2018). D’ailleurs, des chercheurs et médecins s’interrogent sur les effets à long terme de ce médicament qui est utilisé à plus de 65 % chez tous les nourrissons nés à moins de 27 semaines de gestation sur le développement des poumons, alors qu’aucune donnée de sécurité n’est disponible (Wright CJ, 2021).

Autres toxicités, un exemple : l’autisme

On pourrait citer encore plusieurs conditions et maladies dans lesquelles la toxicité du paracétamol est impliquée sans que les autorités de santé, visiblement peu indépendantes, ne s’en inquiètent vraiment.

C’est le cas de l’autisme, pour prendre un dernier exemple très préoccupant en relation, aussi bien avec une exposition prénatale que périnatale (Bittker SS, Bell KR and 2020) (Ji Y et al., 2020) (Ji Y et al., 2020) : « Nos résultats appuient des études antérieures concernant l’association entre l’exposition prénatale et périnatale à l’acétaminophène et le risque de neuro-développemental chez l’enfant et justifient des investigations supplémentaires du trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité et trouble du spectre autistique (TSA) (Ji Y et al., 2020) ». Cette étude vient de la prestigieuse université John Hopkins et est publié dans le JAMA.

Elle a aussi été publiée par le site du NIH, l’agence principale responsable de la recherche et de son financement aux États-Unis :

D’autres grandes études de cohortes (Alemany S et al., 2021), dont une sur plus de 48 631 enfants et un suivi de 12,7 ans a révélé que l’exposition gestationnelle à l’acétaminophène était associée à un risque accru de trouble du spectre autistique lorsqu’un trouble hyperkinétique était également présent (Andrade C et al., 2016).

« Des preuves considérables appuient cette affirmation, notamment l’augmentation exponentielle de l’incidence de l’autisme depuis 1980, lorsque l’acétaminophène a commencé à remplacer l’aspirine chez les nourrissons et les jeunes enfants. » (Good P, 2009). L’impulsion de ce changement a été faite par le CDC, prétendant que l’aspirine était associée au syndrome de Reye — a depuis été démystifiée de manière convaincante. L’auteur conclut : « Si l’aspirine n’est pas à craindre comme cause du syndrome de Reyes et que l’acétaminophène est à craindre comme cause de l’autisme, l’épidémie d’autisme peut-elle être inversée en remplaçant l’acétaminophène par de l’aspirine ou d’autres remèdes ? »

Un mécanisme de sa toxicité a été proposé à travers le système endocannabinoide (Schultz S et al., 2021).

Est-ce que les femmes enceintes ont été prévenues de cela en France, dans le cadre de la COVID ou en général par les agences de santé, les sociétés savantes et nos politiques qui sont si prompts à réagir à ce que dit la Science ? Au contraire, on lit au journal du 13 avril 2020 relativement à l’article L. 551 du Code de la santé publique sur Légifrance : « Le paracétamol est utilisable à tous les stades de la grossesse et compatible avec l’allaitement, contrairement à l’aspirine et à l’ibuprofène contre-indiqué dans ces deux circonstances ».

« france » avec un petit « f » et « santé » avec un petit « s »…

On sent bien que cette molécule a été mise en avant avec des grands bénéfices financiers et malgré des bénéfices de santé contestés, par une grande partie de la communauté scientifique, même en ce qui concerne l’effet antidouleur (da Costa BR et al., 2017).

Conclusion :

Cette revue de la littérature scientifique pose de sérieuses questions sur l’utilité et la sécurité de l’utilisation du paracétamol dans le cadre du COVID, en particulier dans le cadre des comorbidités qui lui sont associées (âge, hypertension, diabète et obésité et autres conditions inflammatoires). D’une manière plus générale d’ailleurs, de nombreux scientifiques se posent la question de l’utilité de cette molécule au regard de sa faible efficacité et de cette toxicité établie (Roberts E et al., 2016).  

Un blockbuster dont on pourrait très probablement se passer, ce qui n’est évidemment pas l’avis de ceux à qui elle rapporte autant d’argent.

Curieusement, là où l’argument du « hors AMM » fut le fer de lance opposé à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, là où les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) furent déboutés au motif d’évaluation bénéfice/risque en faveur du risque de formes graves, force est de constater, que l’utilisation du paracétamol, tout autant hors AMM, ne fut ni surveillée, ni étudiée. Bien au contraire, puisque les autorités sanitaires le recommandent encore actuellement, avec un peu plus de vigilance aujourd’huin mais la dose quotidienne de 3g/j fut longtemps recommandée sans autres mises en garde. Aucune rectification n’a été faite concernant les AINSn alors qu’ils ont été réhabilités pour le COVID dès la fin mars 2020 par l’ensemble des agences internationales de santé. Dans le cadre d’une pathologie dont nous ne savions rien et dont la concentration aurait pu être jusqu’à une contrindication stricte à son usage, il eut été de rigueur qu’une surveillance accrue de ces interactions soit effectuée. Il n’en fut rien, bien à tort, car si nous ne pourrons probablement jamais évaluer l’impact de l’utilisation du paracétamol sur le nombre de décès associé à la COVID-19, il y joue très probablement un rôle particulier.

La crise sanitaire de la COVID-19, même si elle en cache d’autres, est la plus grande crise de ce début de XXIème siècle. La Santé doit être éclairée par une Science indépendante de la politique et du business afin d’éviter les résultats catastrophiques que l’on observe depuis deux ans. À quel moment des scientifiques, des médecins et des citoyens indépendants vont-ils décider de se réapproprier vraiment la Science au service de notre Santé ?


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Le ministère russe des Affaires étrangères répond à Israël : « L’histoire connaît des exemples tragiques de coopération entre les juifs et les nazis »

[Source : RI]

Aujourd’hui, le ministère russe des Affaires étrangères a officiellement répondu sur son canal télégramme à la déclaration de Yair Lapid.

Les remarques du ministre des Affaires étrangères Lavrov sont à la fois une déclaration impardonnable et scandaleuse, ainsi qu’une terrible erreur historique. Les juifs ne se sont pas assassinés eux-mêmes pendant l’Holocauste. Le plus bas niveau de racisme contre les juifs est d’accuser les juifs eux-mêmes d’antisémitisme.

Nous avons prêté attention aux déclarations anti-historiques du ministre israélien des Affaires étrangères Yair Lapid, qui expliquent en grande partie la ligne de conduite du gouvernement israélien actuel, qui soutient le régime néo-nazi de Kiev.

Le ministre israélien a littéralement déclaré ce qui suit : « Les juifs ne se sont pas assassinés eux-mêmes pendant l’Holocauste. Blâmer les juifs pour l’antisémitisme est un niveau flagrant de racisme contre les juifs ». Pour une raison quelconque, la presse occidentale (et certains de nos libéraux) continue de se demander s’il y a des néo-nazis en Ukraine. L’origine juive de Volodymyr Zelensky est donnée, comme l’un des arguments « en béton armé ». L’argument est non seulement indéfendable, mais aussi fallacieux. L’histoire, malheureusement, connaît des exemples tragiques de coopération entre les juifs et les nazis.

En Pologne et dans d’autres pays d’Europe orientale, les Allemands ont nommé des industriels juifs à la tête de ghettos et de conseils juifs (« Judenrats »), dont certains sont restés dans les mémoires pour des actes absolument monstrueux. Jakub Leikin, à Varsovie, surveillait les juifs et rapportait tout à l’administration d’occupation allemande, condamnant ses compatriotes à une mort certaine, et parfois douloureuse, et Chaim Rumkowski proposait généralement aux juifs de Lodz de donner leurs enfants aux nazis en échange de sauver la vie des résidents adultes du ghetto, les preuves de ses propos sont nombreuses. Il ne reste plus qu’à se ranger à l’avis de H. Dreyfus, professeur d’histoire à l’université de Tel-Aviv, selon lequel la complicité des juifs dans l’Holocauste est un « phénomène marginal » (mais pas un tabou et fait l’objet de recherches).

En même temps, la tragédie historique réside dans le fait que si, pendant la Seconde Guerre mondiale, certains juifs ont été contraints de participer à des crimes, alors V. Zelensky, qui spécule sur ses origines, le fait tout à fait consciemment et volontairement. Il se cache lui-même derrière ses origines et les recouvre avec des néo-nazis naturels, héritiers spirituels et de sang des bourreaux de son peuple. L’origine juive du président n’est pas une garantie de protection contre le néo-nazisme rampant dans le pays. L’Ukraine, d’ailleurs, n’est pas le seul pays dans ce cas. Le président de la Lettonie a éégalement des racines juives. Et il couvre aussi « fructueusement » la réhabilitation de la Waffen SS dans son pays. Lapid et son cabinet ne voient pas ça ? Tout aussi cyniquement, ils ignorent l’épidémie de destruction et de profanation des monuments aux vrais justes du monde – les soldats de l’Armée rouge qui ont arrêté l’Holocauste et sauvé le monde juif. Combien de fois le ministère israélien des Affaires étrangères a-t-il demandé que les ambassadeurs de Pologne, de Bulgarie, des pays baltes et d’Ukraine envoient des protestations virulentes à ce sujet ?

Lapid et son cabinet ne voient pas que Zelensky ne fait que « compléter » le scénario décrit par le pasteur allemand M. Niemoller. D’abord, en Ukraine en 2014, ils sont venus pour les communistes, puis pour les socialistes, ensuite, tout le monde « civilisé » s’est tu lorsque les Russes ont été « abolis » en Ukraine. N’y a-t-il pas assez d’imagination pour comprendre quels « non-indigènes » iront « sur les couteaux* » et « au gilyak** » après les moskals*** ?

*idiome russe/ukrainien signifiant « être poignardé ou coupé ».
**idiome ukrainien signifiant être tué (gilyak est une forme familière de guillotine).
***Terme ukrainien désignant les Russes, les personnes originaires de Moscou.[Voici l’indice. Voilà ce qui existe réellement en Ukraine, même si nous laissons de côté la russophobie frénétique et la lutte contre tout ce qui est russe, c’est l’antisémitisme et la romophobie les plus extrêmes, auxquels il était impensable de penser il n’y a pas si longtemps.

Les partis nationalistes ont commencé à promouvoir leur programme antisémite immédiatement après l’effondrement de l’URSS, mais ils sont devenus particulièrement actifs ces dernières années. Le parti Svoboda d’Oleg Tyagnibok a été inscrit sur la liste des organisations néonazies par le Congrès mondial juif, ce qui ne l’a pas empêché de devenir le quatrième parti du pays en 2012. Depuis le coup d’État de 2014, l’antisémitisme a prospéré en Ukraine. Le rapport du ministre des Relations avec la diaspora d’Israël, Naftali Bennett (PM maintenant), indique qu’en 2017, le nombre d’incidents antisémites, dont des dizaines d’actes de vandalisme dans des musées, synagogues et mémoriaux, a été multiplié en Ukraine. L’Ukraine est devenue le leader parmi tous les pays de l’ex-URSS en termes de nombre d’incidents antisémites, et certaines publications indiquent que l’Ukraine dépasse généralement tous les pays de l’ex-URSS réunis dans leur nombre.

L’un des représentants éminents du mouvement juif en Ukraine, Eduard Dolinsky, a récemment craint la cessation des activités de son organisation (« Comité juif ukrainien »).

Les processions aux flambeaux avec des portraits de Stepan Bandera dans les rues de Kiev avec les slogans « Dehors, le juif ! », ainsi que les inscriptions des vandales sur les synagogues (« mort aux youpins* ») parlent d’elles-mêmes.

*Utilisation du mot « жид » qui en est l’équivalent russe.

L’année dernière, à l’occasion de Hanoukka, des néonazis ont profané la ménorah à Kiev, et à Mykolaïv, des antisémites ont coupé la guirlande de Hanoukka. Jusqu’à présent – seulement une guirlande. Les juifs ne sont pas les seuls à souffrir. Les tsiganes (le ministère russe des Affaires étrangères utilise ce mot au lieu de celui de Rom) sont aussi souvent persécutés pour leur origine ethnique. L’automne dernier, les nazis ont détenu quatre tsiganes à Kiev et les ont soumis à des sévices. Leurs visages ont été peints à la peinture verte et l’inscription « Voleur » a été laissée sur leurs fronts. Un incident tout aussi flagrant s’est également produit en plein centre de la capitale ukrainienne. Une personne non identifiée a rencontré des gitans dans la rue et, en proférant des injures, a ordonné aux représentants de la communauté de quitter la place de l’Indépendance. De tels cas sont signalés en permanence, mais l’Ukraine les traite tous, au mieux, comme du « petit hooliganisme ».

Malgré l’existence de la loi « Sur la prévention et la lutte contre l’antisémitisme en Ukraine », que Volodymyr Zelensky a signée en 2020, ses dispositions ne s’appliquent pas. L’antisémitisme quotidien et politique et le nazisme ne sont pas supprimés, au contraire, ils sont entretenus. Les autorités et les forces de l’ordre sont calmes face aux cris judéophobes des marches « Bandera », tout cela parce que le régime actuel de Kiev est confiant dans son infaillibilité. Une telle « construction de l’État » est particulièrement immorale pour un pays qui a perdu 1,5 million de juifs pendant l’Holocauste, et dont la capitale abrite un mémorial aux morts de Babi Yar. Fin.

Voilà où nous en sommes, le ministère russe des Affaire étrangères explique aux juifs ce qu’est l’antisémitisme et qualifie les gouvernements Lapid et Bennett de complices des néo-nazis… Sans commentaires…

source : Telegram/Ministère russe des Affaires étrangères

traduction Réseau International




La Croatie opposera son veto à l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’OTAN : « C’est du charlatanisme dangereux »

[Source : lemediaen442.fr]

Décidément, rien ne va pour l’Otan et l’Union européenne. Alors que la Hongrie opposera son veto à toute initiative de l’UE qui pourrait conduire à des restrictions sur les importations d’énergie de Russie, de son côté la Croatie opposera son veto à l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan, considérant la manœuvre extrêmement dangereuse et provocatrice envers la Russie.


Selon RIA Novosti, le président croate Zoran Milanovic, s’exprimant lors d’un briefing, a menacé d’opposer son veto à l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan. Il a déjà fait une déclaration similaire la semaine dernière, qualifiant la perspective de l’adhésion de Stockholm et d’Helsinki à l’alliance de charlatanisme : « Impliquer la Finlande, qui est à cinquante kilomètres de Saint-Pétersbourg, là-dedans, je pense que c’est du charlatanisme dangereux. »

« Qui a dit que je suis un agent russe ? Je n’ai rien à voir avec la Russie. Quand le chef de Gazprom est venu à Zagreb, il n’a rien obtenu de moi. Je n’ai peur ni des Russes ni des Ukrainiens, je peux facilement faire face aux menaces », a déclaré le président de la Croatie .

Le président Milanović a de nouveau appelé à une modification des lois électorales de Bosnie-Herzégovine en faveur des Croates de Bosnie et a exigé que le Parlement croate ne ratifie pas l’adhésion de la Finlande et de la Suède tant que les problèmes dans les Balkans ne seront pas résolus. Auparavant, il avait évoqué d’autres questions laissées en suspens dans la région : le non-alignement de la Roumanie et de la Bulgarie sur l’espace Schengen, le report des négociations sur l’entrée dans l’UE de l’Albanie et de la Macédoine du Nord, la non-reconnaissance de l’autoproclamé Kosovo..Le président hongrois Viktor Orbán et le président croate Zoran Milanovic sont en embuscade et bloquent les sanctions et adhésions voulus par les États-Unis. Tous les pays européens ne sont pas soumis à l’oncle Sam.

Traduction Le Média en 4-4-2




Attention : le portefeuille d’identité numérique arrive en France

[Source : Nexus]

Avec son nouveau décret, la France fait un pas de plus vers le crédit social à la chinoise.

Emmanuel Macron n’aura pas perdu de temps. Seulement quelques heures après son élection, un décret autorisant la création d’un nouveau système baptisé Service de garantie de l’identité numérique (SGIN) a été publié. Le portefeuille d’identité numérique arrive en France…

◆ La Commission européenne à la manœuvre

En juin 2021, la Commission européenne a exprimé le souhait de créer une identité numérique pour tous les Européens. Pour cela, elle souhaite la mise en place d’un portefeuille européen d’identité numérique permettant de stocker et de gérer des documents officiels grâce à une application mobile.

Bon élève, la France est donc sur le point de lancer son portefeuille d’identité numérique. Le décret, signé par Jean Castex et Gérald Darmanin, permettra aux possesseurs d’une carte d’identité équipée d’une puce NFC de conserver leurs documents officiels dans leur portefeuille numérique, afin de s’authentifier auprès « d’organismes publics et privés ». Il pourra être utilisé pour « des services en ligne proposés par des fournisseurs liés par convention à FranceConnect », ainsi que pour « générer des attestations électroniques comportant les seuls attributs d’identité dont il [l’usager] estime la transmission nécessaire aux tiers de son choix ».

◆ Une traçabilité du citoyen ?

D’après le texte, l’application associée au SGIN pourra traiter de nombreuses données personnelles, comme le nom, le prénom, la date de naissance, la photo, l’adresse mail ou encore l’adresse postale. En juin 2021, la Commission européenne, pour illustrer l’utilisation de son portefeuille d’identité numérique, avait donné l’exemple de Myra qui « fait la queue devant une boîte de nuit et [à qui] le vigile […] demande ses papiers. Au lieu de présenter sa carte d’identité, elle utilise son portefeuille d’identité numérique européen. » Le gouvernement pourra donc savoir que Myra est allée en boîte de nuit ce soir-là. Le gouvernement ne pourrait-il pas finir par trouver que Myra va trop souvent en boîte pour une demandeuse d’emploi ?

◆ Un portefeuille numérique à points à Bologne ?

L’Italie va également instaurer un portefeuille d’identité numérique. En effet, la ville de Bologne a lancé le « portefeuille du citoyen vertueux ». Son fonctionnement s’apparente au mécanisme d’une « collecte de points de supermarché », par lequel « les citoyens seront récompensés s’ils trient leurs déchets, utilisent les transports publics, gèrent bien leur énergie, ne reçoivent pas d’amende de la municipalité et sont actifs avec la carte culture. Le comportement vertueux correspondra à un score que le Bolognais pourra ensuite “dépenser” pour obtenir des prix en cours de définition. »

L’instauration de ce portefeuille numérique peut entraîner de nombreuses dérives autoritaires, transformant ce portefeuille en pass, accordant des bons ou des mauvais points selon vos comportements. Si vous ne rentrez pas dans le moule, vous deviendrez des sous-citoyens avec moins de droits que les autres. C’est le choix qu’a fait la Chine en instaurant une dictature numérique avec son crédit social, et c’est le chemin que prend l’Europe.




Pénuries alimentaires dans six mois – Les mondialistes nous disent ce qui va se passer ensuite

[Source : strategika.fr]

Source : alt-market.us – Traduction Strategika

Par Brandon Smith

Au milieu de l’année 2007, la Banque des règlements internationaux (la banque centrale des banques centrales) a publié une déclaration prédisant une “grande dépression” imminente causée par une implosion du marché du crédit. La même année, le Fonds monétaire international a également publié des avertissements sur les “problèmes des subprimes”, qui entraîneraient une crise économique de plus grande ampleur. J’ai commencé à rédiger des analyses économiques alternatives un an plus tôt, en 2006, et j’ai immédiatement trouvé étrange que ces institutions mondialistes massives ayant une influence considérable sur le monde financier commencent soudainement à ressembler à ceux d’entre nous qui font partie du mouvement pour la liberté.

C’était il y a 16 ans, donc beaucoup de personnes lisant ces lignes ne s’en souviennent peut-être pas, mais en 2007, les médias alternatifs avaient déjà mis en garde depuis un certain temps contre l’imminence d’un crash déflationniste sur les marchés et les logements américains. Et, sans surprise, les grands médias étaient toujours là pour nier toutes nos inquiétudes en les qualifiant de “catastrophisme” et de “théorie du complot”. Moins d’un an plus tard, les premières sociétés inondées de produits dérivés ont commencé à annoncer qu’elles étaient au bord de la faillite et que tout s’effondrait.

La réponse des médias ? Ils ont fait deux déclarations très bizarres simultanément : “Personne n’aurait pu le voir venir” et “Nous l’avons vu venir à un kilomètre à la ronde”. Les journalistes grand public se sont empressés de se positionner comme les devins de l’époque, comme s’ils avaient toujours dit que le crash était imminent, alors que seule une poignée de personnes l’avaient annoncé et qu’aucune d’entre elles ne faisait partie des médias. On a également ignoré le fait que la BRI et le FMI avaient publié leurs propres “prédictions” bien avant le crash ; les médias ont fait comme si elles n’existaient pas.

Dans les médias alternatifs, nous surveillons TRÈS attentivement les déclarations et les aveux des mondialistes, car leur métier n’est pas d’analyser les menaces, mais de les synthétiser. En d’autres termes, si quelque chose va très mal dans le monde sur le plan économique, les banquiers centraux et les élites financières qui aspirent à une autorité économique unique et centralisée pour le monde sont TOUJOURS accusés d’être à l’origine de ce désastre.

Pour une raison quelconque, ils aiment nous dire ce qu’ils sont sur le point de faire avant de le faire.

L’idée que les mondialistes créent artificiellement des événements d’effondrement économique sera bien sûr critiquée comme une “théorie du complot”, mais c’est un FAIT. Pour plus d’informations sur la réalité du sabotage financier délibéré et de l’idéologie de ” l’ordre issu du chaos ” des mondialistes, veuillez lire mes articles ” Fed One Meeting Away From Creating A Doomsday Sinkhole ” et ” What Is The Great Reset And What Do The Globalists Actually Want ? “.

L’agenda de la Grande Réinitialisation proposé par le chef du WEF, Klaus Schwab, n’est qu’un exemple des nombreuses discussions cachées au grand jour par les globalistes concernant leurs plans pour utiliser le déclin économique et social comme une “opportunité” pour établir rapidement un nouveau système mondial unique basé sur le socialisme et la technocratie.

Le principal problème pour discerner les plans des mondialistes n’est pas de découvrir des agendas secrets – ils ont tendance à discuter ouvertement de leurs agendas si vous savez où regarder. Non, le problème est de séparer les aveux de la désinformation, les mensonges de la vérité. Pour cela, il faut faire correspondre les livres blancs et les déclarations des mondialistes aux faits et aux preuves disponibles dans le monde réel. Examinons en détail le problème de la pénurie alimentaire…

Pénuries alimentaires dans six mois

Il y a une semaine, un torrent de communiqués de presse émanant d’institutions mondiales a déferlé, mentionnant tous exactement la même préoccupation : Des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois. Ces déclarations correspondent de très près à mes propres estimations, car j’ai régulièrement mis en garde contre les dangers imminents de l’inflation qui conduirait au rationnement de la nourriture et aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement.

Le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l’ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial, la Bank of America et même Biden lui-même prédisent tous une crise alimentaire majeure à court terme, et ce n’est pas une coïncidence si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des politiciens fantoches qui travaillent avec elles provoquent la crise qu’ils prédisent maintenant. En d’autres termes, il est facile de prédire un désastre quand on l’a créé.

On prétend que l’invasion de l’Ukraine par la Russie est la cause première, mais c’est une distraction par rapport au véritable problème. Oui, les sanctions contre la Russie finiront par entraîner une diminution de l’approvisionnement alimentaire, mais les mondialistes et les médias ignorent délibérément la plus grande menace, qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créée par les banques centrales qui pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires “trop grosses pour faire faillite”.

Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6 000 milliards de dollars à partir de rien et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes d’aide sociale. Ajoutez à cela les nombreux billions de dollars que la Fed a imprimés depuis le crash du crédit en 2008 – C’est une fête de destruction du dollar qui n’a jamais cessé et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences. Heureusement pour les banquiers centraux que la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée sur la pandémie et sur Poutine.

L’inflation a atteint son plus haut niveau depuis 40 ans aux États-Unis bien avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine, mais considérons les ramifications de cette guerre et la façon dont elle affecte l’approvisionnement alimentaire.

L’invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché mondial total du blé. La Russie détient également une part de 17 % et, ensemble, ces deux nations alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de l’Europe avec 30 % des exportations de blé et d’orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations de canola et 78 % des exportations de tournesol.

Les sanctions contre la Russie constituent toutefois un problème qui va bien au-delà de l’Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l’approvisionnement mondial en ammoniac et 20 % de l’approvisionnement mondial en potasse. Il s’agit d’ingrédients clés pour la production des engrais utilisés dans l’agriculture industrielle. Les agriculteurs estiment que la hausse globale des prix sur les marchés alimentaires sera d’environ 10 %, mais je pense que ces chiffres sont très prudents. Je constate déjà des hausses de prix globales d’au moins 20 % par rapport à il y a six mois, et je m’attends à ce qu’il y ait encore 30 % de hausses de prix avant la fin de l’année. En d’autres termes, nous nous attendons à des augmentations moyennes de 50 % en 2022.

Les données officielles du gouvernement sur l’inflation et l’IPC ne sont pas fiables. Doublez les chiffres qu’ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité. Le taux d’inflation utilisé par Shadowstats.com, calculé à l’aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu’il ne “corrige” ses modèles pour masquer les données, soutient ma position jusqu’à présent.

Les experts agricoles américains s’attendent à ce que la Chine comble le vide où disparaissent les approvisionnements russes, mais c’est une erreur de faire cette supposition.

Il se passe quelque chose de bizarre en Chine

La répression chinoise des infections au covid a atteint des niveaux si bizarres que je dois poser la question : leurs mesures de confinement concernent-elles vraiment le covid, ou cachent-elles autre chose ?

Le taux de mortalité lié au covid en Chine est impossible à calculer avec précision, car ils n’ont jamais publié de données correctes pouvant être confirmées. Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, le taux médian de létalité de l’infection par le covid est de 0,27 %, ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde n’ont pas à craindre de mourir du virus. Mais en Chine, le PCC agit comme s’il avait affaire à la peste noire. Pourquoi ?

Les fermetures ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, les chaînes d’approvisionnement étant mises à rude épreuve et les usines restant fermées dans de nombreux cas. Mais ce dont beaucoup d’Occidentaux n’entendent pas parler, c’est du fait que les exportations chinoises ont été essentiellement gelées. Plus d’un porte-conteneurs sur cinq dans le monde est actuellement bloqué dans les ports chinois en raison de la fermeture des ports. C’est incroyable.

Pourquoi la Chine ferait-elle cela pour un virus dont nous savons tous qu’il n’est pas dangereux pour la grande majorité des gens ? Pourquoi instituer le pire verrouillage du pays à ce jour et affamer sa propre population alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont désormais abandonné leur campagne de peur de la pandémie et leur programme de vaccination forcée ?

Je pense qu’il est possible que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont beaucoup d’Américains et d’Européens ne se rendent même pas compte. Il peut s’agir d’un test bêta pour un arrêt des exportations vers les États-Unis et l’Europe, ou d’un arrêt progressif destiné à devenir permanent. Le goulot d’étranglement du commerce peut également être le précurseur d’une invasion chinoise de Taïwan.

Taïwan est en fait plus dépendante et plus étroitement liée à l’économie chinoise que beaucoup de gens ne le savent. La Chine est le plus gros acheteur des exportations de Taïwan et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan. Des centaines de milliers de travailleurs et d’hommes d’affaires taïwanais se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est aujourd’hui mis à mal par les lockdowns. En outre, Taïwan compte de nombreuses sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des lockdowns.

Tout ce que je dis, c’est que si j’étais la Chine et que je prévoyais d’envahir Taïwan dans un avenir proche, je pourrais envisager d’utiliser le covid comme couverture pour endommager d’abord leur économie et perturber leur modèle d’exportation. Les communistes considèrent la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement prête à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti. En outre, si je devais m’engager secrètement dans une guerre économique avec l’Occident, quel meilleur moyen que de bloquer 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d’approvisionnement au nom de la protection du pays contre une “pandémie” ?

L’essentiel ? Ne comptez pas sur la Chine pour répondre aux besoins d’exportation d’ingrédients d’engrais ou de quoi que ce soit d’autre, car les sanctions contre la Russie se poursuivent.

Inflation, offre et contrôle

Les organisations mondialistes ne sont pas les seules à parler de pénuries alimentaires à venir ; le PDG de la société alimentaire internationale Goya a également averti récemment que nous étions au bord d’une crise alimentaire. Comme je l’ai noté dans le passé, l’inflation conduit au contrôle des prix par les gouvernements, le contrôle des prix conduit à un manque d’incitations à la production (profits), le manque de profits conduit à une perte de production, la perte de production conduit à des pénuries, et les pénuries conduisent au rationnement gouvernemental (contrôle de toutes les grandes sources de nourriture).

Comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population. Il n’est surpassé, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie (dont nous connaîtrons bientôt des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à absorber les approvisionnements des autres exportateurs). La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles. Il n’y a rien de pire pour de nombreux parents que la perspective que leurs enfants aient faim.

Les médias grand public ignorent une fois de plus toute menace économique potentielle, et plus précisément, ils nient la notion de pénurie alimentaire comme étant quelque chose dont il faut s’inquiéter. Je dis, pourquoi écouter un groupe de personnes qui ont toujours tort sur ce type d’événements ? Je prendrais au moins au sérieux les propos des mondialistes lorsqu’il s’agit d’effondrement économique ; après tout, ce sont eux qui profitent le plus de telles catastrophes et qui ont le plus d’influence lorsqu’il s’agit de déclencher une crise.

La préparation aujourd’hui ne coûte rien demain. Le manque de préparation aujourd’hui coûte TOUT demain. Pour toute personne dotée d’un cerveau, le choix est simple : se préparer à la fin de la nourriture abordable et facilement disponible avant la fin de l’année.




Reiner Fuellmich : « ils veulent le chaos, par la guerre, car le covid ne fonctionne plus… »

[Source : businessbourse.com]



[Voir aussi :
Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

Grand Jury – Session 2

Jour 3 – Grand Jury]




Le string de Coralie pour masquer le McKinsey de Véran

Par Nicole Delépine

La petite culotte qui masque la propagande mensongère de députés invités sur les plateaux par des journalistes révérencieux et soumis le plus souvent

LE VRAI SCANDALE MASQUÉ PAR LES PETITES CULOTTES DE CORALIE DUBOST, EX-COMPAGNE DE VÉRAN – MINISTRE DE LA SANTÉ, INVITÉE PERMANENTE DES PLATEAUX

« La présidente déléguée du groupe LREM à l’Assemblée nationale, Coralie Dubost, députée de l’Hérault sur la 3e circonscription, a été épinglée dans un rapport confidentiel remis au déontologue de l’Assemblée nationale pour des notes de frais inappropriées et pour la gestion de ses collaborateurs, selon une enquête de “Mediapart” publiée ce vendredi 29 avril après-midi intitulée “Les mirobolantes notes de frais de la députée Coralie Dubost”, les faits qui sont reprochés à la députée remontent à 2018, soit quelques mois à peine après son élection. »

(([1] Montpellier : Coralie Dubost, députée de la majorité, épinglée sur la gestion de ses frais de mandat – midilibre.fr. Notons que c’est à nouveau Richard Ferrand qui choisit les candidats députés pour LREM. Voulez-vous recommencer ?))

Je n’avais aucune envie de m’étendre sur le scandale financier de la députée Dubost concernant hôtels de luxe et petites culottes, comparables à l’histoire DE RUGY et les homards, aussi choquant soit-il. Mais il permet de faire oublier très OPPORTUNÉMENT LE SCANDALE INTERNATIONAL MCKINSEY OU ROTHSCHILDGATE passé sous silence dans lequel son ex-compagnon est impliqué pour les décisions concernant la crise du covid.(([2] Depuis la publication, en mars, d’un rapport sénatorial accablant sur le rôle des cabinets de conseil privés dans les décisions de l’État, le cabinet américain McKinsey est au cœur d’un scandale présidentiel.
◆ Un rapport accablant
Le rapport explique que « le recours aux consultants constitue aujourd’hui un réflexe », ces cabinets étant « au cœur des politiques publiques ». Il dénonce une sorte de « dépendance » de l’État envers ces cabinets. Il met également en avant l’explosion des dépenses liées au conseil dans les différents ministères. En 2021, le gouvernement a ainsi dépensé la somme de 893,9 millions d’euros contre 379,1 millions en 2018.
Philippe de Villiers dénonce les liens entre le président Macron, Pfizer et le cabinet McKinsey – Nexus))

Occupons le chaland, qu’il rigole un peu en plus, le Français goguenard oubliera vite qui nous dirige et leurs vrais scandales :

McKinsey : le Parquet a ouvert une enquête pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale » – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) puis silence :

Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

« Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ? »

« Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

Et pendant ce temps-là, les accidents vaccinaux se multiplient et des scandales de plus en plus graves sont révélés si bien que le Danemark par exemple stoppe sa campagne de vaccination comme le Japon et que la Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles doses Pfizer, quitte à affronter la Commission européenne qui a commandé 1,3 milliard de doses.

Des données de l’armée américaine remettent en cause le discours sur la sécurité des vaccins – ANTIDOTES (wordpress.com)

Et ce jour 29 avril 2022, 1.2 Million Reports of Injuries After COVID Vaccines, VAERS Data Show • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

« Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont publié aujourd’hui de nouvelles données montrant qu’un total de 1 247 131 rapports d’événements indésirables consécutifs aux vaccins contre la COVID-19 ont été soumis entre le 14 décembre 2020 et le 22 avril 2022 au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). VAERS principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

Les données comprenaient un total de 27 532 signalements de décès – une augmentation de 183 par rapport à la semaine précédente – et 224 766 blessures graves, y compris des décès, au cours de la même période – en hausse de 1 930 par rapport à la semaine précédente. »

CACHER CE DRAME INTERNATIONAL MAJEUR PAR UNE PETITE HISTOIRE GRIVOISE DONT RAFFOLENT LES FRANÇAIS CQFD

De Griveaux à Dubost en passant par De Rugy et ses homards, on oublie l’essentiel et E M a beau jeu de se refaire une santé morale en refusant l’ investiture de Coralie à la candidature de député LREM(([3] La députée Coralie Dubost écartée des Législatives par Emmanuel Macron (entreprendre.fr) )). Je vous parie qu’on va en parler beaucoup plus que des scandales McKinsey et autres cabinets de conseil accumulés. Brouillard tactique…

Ce qui est frappant et désolant dans la succession des posts qu’on peut lire au sujet de cette députée en particulier sur tweeter, est le silence complet sur le rôle qu’elle a joué depuis plusieurs années sur la question de l’obligation vaccinale et du pass. Il était ahurissant de voir la déférence et le silence des éditorialistes devant ses affirmations péremptoires et infondées et l’oubli associé de signaler qu’elle était la compagne du ministre de la Santé.

En revenant quelques semaines en arrière, on voit qu’elle défend la vax des femmes enceintes alors que les fausses couches se multiplient pour les grossesses de moins de vingt semaines.

Extraits(([4] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/19/les-vaccins-covid-accroissent-ils-la-disparition-des-enfants-a-naitre/)):
Le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté d’environ 2000 % depuis la mise à disposition des vaccins COVID.

Il rapporte une multiplication par plus de 50 du nombre de grossesses extra-utérines qui entraînent également la mort du fœtus.
Pfizer est d’ailleurs parfaitement conscient des risques tout en dénigrant les principes de précaution qu’il a lui-même établis.

Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai de Pfizer BioNTech, les femmes enceintes ou susceptibles de devenir enceintes ne doivent pas prendre les injections d’ARNm. La section 10.4.1 avertit également les hommes prenant les injections d’ARNm de « s’abstenir de rapports hétérosexuels » et de ne pas donner de sperme.(([5] Documents publiés sur injonction de la justice américaine à la FDA)) (…)

MENSONGES EN DIRECT

Et on le sait depuis longtemps, mais malgré tout, l’ex de Veran affirme sur le plateau de Cnews :

Le scandale monstrueux est de lui donner la parole sans personne en face pour lui répondre !

Et vous pouvez trouver X interviews de cette députée qui passait pour spécialiste santé  et dont les liens avec le ministre décideur restaient dans l’ombre. On pourrait en écrire un livre modèle Schiappa, du coup.

Coralie Dubost : « ce pass sanitaire est indispensable pour préserver nos… » (sudradio.fr) juillet 2021 alors que ce pass est médicalement inefficace et même contreproductif et qu’il a été abandonné pour ces raisons dans la plupart des pays qui l’ont imposé.

VIDÉO – « Vous ne pouvez pas dire ça » : Coralie Dubost et Pascal Praud en désaccord sur le pass sanitaire – Gala

« À quoi ça sert aujourd’hui ? », s’est interrogé Pascal Praud, alors qu’il débattait sur l’utilité du pass sanitaire dans L’Heure des Pros.
Notons qu’il évolue par moments. Inquiétude pour son avenir de journaliste et pour ses proches ?

Ce mercredi 17 novembre 2021, le présentateur de CNews a reçu Coralie Dubost. Connu pour son franc parler, l’intéressé a souhaité aborder un sujet d’actualité, fâcheux pour certains, avec son invitée du jour. « Vous avez voté jusqu’à fin juillet le pass sanitaire ? Vous trouvez que c’est bien, vous ? », s’est interrogé le collègue d’Ivan Rioufol.

Coralie Dubost, elle aussi réputée pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, a répondu en toute franchise à la question qui lui était posée : 

« Oui oui, moi je l’ai voté parce que je pense que c’est utile pour protéger les Français, sinon je ne le voterais pas. »

Peu convaincu par l’application de cette mesure, Pascal Praud a cherché à comprendre sa véritable utilité : « À quoi ça sert aujourd’hui le pass sanitaire, parce qu’on a toujours des contaminations ? », a-t-il demandé :

« Il sert à réguler la circulation du virus et faire en sorte qu’il ne se propage pas de façon inédite », a-t-elle déclaré, avant de se faire interrompre par Pascal Praud. « Mais non ! Il circule de la même manière ! », s’est-il exclamé. Et l’intéressée de s’agacer : « Non, ah non ! Vous ne pouvez pas dire ça. »

Il aurait pu citer les chiffres officiels de l’OMS illustrés par l’université John Hopkins qui montrent que partout en Europe ou en Israël les instaurations des pass ont précédé une augmentation considérable des contaminations !

Et en décembre 2021, cette déclaration publique n’est-elle pas plus grave encore que cette histoire de strings ?

Tous les poursuivre pour déclaration mensongère mettant en danger la vie d’autrui est capital, mais se fait dans le grand silence médiatique. Et les victimes s’accumulent.(([6] Les « vaccins » augmentent-ils le risque de contamination et de mort par Covid19 ? Confirmation un an plus tard – La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) ))

Quelques exemples de mensonges médiatiques par une députée de la République, donc a priori crédibles pour les téléspectateurs, en particulier ces pauvres boomers attaqués de partout alors qu’ils sont MANIPULÉS. Que faire dans un EHPAD sinon regarder la chaîne choisie par la direction ?

22 déc. 2020

utah2828 – #Macron2022 @infernale95

Coralie Dubost : Un vaccin trouvé dans des délais records, fait par les meilleurs chercheurs du monde entier. Cette campagne de vaccination concertée, c’est une grande réussite européenne, politique et sanitaire @CBeaune

Mais comment peut-on être ainsi déconnecté de la vérité constatée par l’OMS ?

Marquis de Dreslincourt

@dreslincourt 5 janv.22

Situation effarante: pour justifier les propos injurieux de Macron, les députés LREM mentent sur un sujet aussi grave que le covid. Coralie Dubost hystérique affirme qu’avec la 3e dose, elle protège « son père fragile! » Praud: Mais le vaccin ne protège pas de la transmission même Véran l’a reconnu!

Annie royal

@annieroyal1

@CNEWS

Coralie Dubost, LREM, compare le pseudo-vaccin de Pfizer au vaccin de la grippe!

Le virus de la grippe mute et le vaccin s’adapte chaque année aux nouveaux variants ! Or, depuis sa sortie, la même substance est injectée, quel que soit le variant!

Que Dubost la boucle!

10:46 AM · 5 janv. 2022·Twitter

Et rappelons qu’aucune recommandation de vacciner contre la grippe la population générale n’a jamais été proposée.

utah2828 – #Macron2022 @infernale95

Coralie Dubost : « Les précautions de départ sur un vaccin nouveau étaient compréhensibles. Désormais, nous avons du recul, et nous savons que le vaccin est la clef de sortie de l’épidémie ». 10:01 AM · 3 juil. 2021·Twitter.

Ignore-t-elle que l’OMS a déclaré que « les doses de rappel ne mettront pas fin à la pandémie » et que ses experts ont précisé « Une stratégie de vaccination basée sur des rappels répétés » des premiers vaccins « a peu de chances d’être appropriée ou viable ».

A-t-elle seulement regardé une seule fois les chiffres officiels des agences gouvernementales sur les effets secondaires accumulant décès rapides ou lors d’efforts chez les sportifs, mais aussi énormément de complications cardiaques chez les jeunes mettant en péril la qualité de leur avenir ?

INCOMPÉTENCE OU FRAUDE CONSCIENTE ? MANIPULATION MAJEURE CAMOUFLÉE PAR UN STRING ?

Pas assez de tissu … Dénonçons les scandales majeurs, mal cachés par un string et battons-nous pour informer chaque citoyen des dangers du vax particulièrement pour les enfants.

À moins que nos députés ne soient les nouveaux mannequins pour défendre la mode française dans le monde ?