La décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

La manipulation scientiste-hygiéniste-affairiste actuelle ayant échoué (les dizaines de millions de morts ne sont pas au rendez-vous malgré le refus de remettre les compteurs annuels à zéro et malgré la jungle féroce des manips statistiques), cette forfaiture dévoile bien comment ce carcan fait office de camisole de force étouffant les esprits libres, mais aussi les corps sevrés en drogues mentales et expérimentales diverses ; sans que ceux-ci ne se demandent un seul instant comment se fait-il qu’il soit encore possible d’accepter de se les faire injecter tous les six mois, et pour les autres à chaque instant (drogue médiatique), alors que pour les vaccins « classiques » (réactionnaires ?) il suffisait d’un rappel tous les dix ans ou alors une fois pour toutes ?…

Pourquoi tant d’injections pour un virus « syndémique » au sens de ne toucher que la partie fragilisée de la population par une génétique et un vieillissement donnés et des modes de vie sédentaires peu favorables à dynamiser une immunité naturelle ?

Ne serait-ce pas parce que ce serait cette dernière qui a été désignée commeétant le but de cette manip triptyque (scientiste-hygiéniste-affairiste) ? Ainsi, par « crainte de voir l’immunité diminuer », clame hypocritement la prothèse holographique faisant office de Premier Ministre en France, le piétinement minutieux forcené paranoïaque des libertés fondamentales est désormais acté comme salvateur, impliquant prolongement des inepties et autres incuries.

En fait et plus généralement le hiatus grandissant entre une réalité annihilant toutes les exponentielles — confondant fantasmes statistiques et historicité des épidémies aux courbes fonctionnant toujours en cloche et jamais en hausse infinie — montre bien que nous sommes gouvernés à la fois par des monstres qui sont en même temps des Lilliputiens.

Tempête dans un verre d’eau ?…

Les peuples ont cependant du mal à l’admettre, tant ils ont été en effet hypnotisés durant bientôt deux ans — ce qui laisse des traces — surtout lorsque la perception est affadie, le cerveau embrumé, un QI sans doute réduit à la portion congrue, les consciences ayant perdu leur âme depuis longtemps (soit cette capacité de clairvoyance instantanée), réduites à n’être que des vitrines encore « vivantes », des hublots de viandes trouées, tatouées que les Maîtres/ses S.M viennent dompter quand cela leur chante via les flux électro-symboliques quadrillant la planète Terre.

Nous sommes de nouveau en pleinemétaphysique des fluides, d’aucuns parlant même de « fluidité de genre ». Ainsi une minorité autoproclamée par définition (les M.S.M : Maîtres/ses Sado-Maso des M.M ou médias mainstream), mais ayant l’aval des Puissants globalistes (et leur manip triptyque) vient en effet reconstruire en grand la République de Salò, tant ils sont tous (les Puissants globalistes et leurs Outils M.S.M) désireux de « faire l’Histoire » et non pas seulement la lire au coin du saladier de coke tout en se faisant fourrer par la « diversité » (comme le conseillait déjà Henri Miller dans Tropique du Cancer, sans oublier Edouard Nabe de l’autre côté du courant thélémite, mais tendance Drumont voyant par exemple dans les origines de la Première Guerre mondiale un complot juif). Aussi tentent-ils par tous les moyens de malaxer à distance et dans les alcôves (payées également par l’argent public) nos corps et esprits afin d’assouvir leur désir ultra-narcissique de psychopathes invétérés visant à nous transformer en tains de leur miroir afin de nous demander inlassablement « qui est la plus belle » traquant alors nos « Blanche-Neige » pour leseffacer.

Pour les contrer il nous faut déc(h)anter. Arrêter de les citer, d’en parler, de s’étonner en employant leurs mots. Ce sont, tous, des suppôts néo-léninistes affairistes, Nouvelle Milice en action agissant pour le compte de La Secte Globale.

Et il faut en effet faire respecter les dénivellements du champ de bataille actuel : comme leurs prothèses intellectuelles et manuelles tentent de nous attirer avec des artefacts langagiers, il ne faut surtout pas employer leur vocabulaire, ne pas leur répondre là où elles le désirent, mais par contre les attaquer sans relâche frontalement et en quinconce, sans oublier les pièges à l’ancienne, mais aussi l’artillerie longue distance dont le martèlement incessant devrait à terme déblayer le terrain pour les bombardements lourds à venir prélude à l’assaut : sans pitié (ou alors celle de King Kong).




Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison ?…

Par Alain Tortosa

Et si j’exagérais, et si je me trompais et si la masse avait raison…
Et si je me faisais des idées, et si je m’étais pris à mon propre piège.
Et si nous vivions en démocratie, et si nos gouvernants et l’industrie étaient « bons ».
Et si les médias étaient ce qu’ils disent :
compétents, intègres, intelligents, professionnels et indépendants ?

Liberté ?

Hier j’étais encore une fois de plus en train de manifester aux cris de « liberté » et de « dictature ». Nous étions bien entendu peu nombreux au regard de la population.

Je n’avais pas l’impression que ceux qui nous dévisageaient avaient le sentiment de ne pas être libres. Ni même ceux que nous pouvons croiser (pas moi, je n’y mets plus les pieds) dans un supermarché avec un masque jusqu’au front et trois doses de « vaccin ».

Dictature ?

Voilà un mot que nous devrions bannir ou manier avec précaution comme ne manque pas de nous le rappeler les « journalistes » tous les jours. Ceci n’étant « qu’une simple marque de respect à l’égard des peuples opprimés » qui eux, vivent « vraiment » dans une dictature !

Si j’interroge nom voisin en évoquant les mots de « dictature sanitaire », il va me regarder avec des yeux exorbités comme si je lui avais annoncé avoir vu une soucoupe volante débarquer dans mon jardin.

La masse, le peuple français, ne vit pas en dictature… mais pourquoi moi oui ?

Histoire d’enfoncer encore plus le clou, j’ajouterais que je vivais déjà en dictature avant même la crise du Covid, c’est dire si je dois être complètement « allumé » aux yeux de certains.

Afin de tenter de mettre un peu d’objectivité, je vais d’abord me référer à la définition du dictionnaire.

Si l’on en croit Le Larousse, une dictature c’est un :

« Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes (junte) qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire »

Tout être « raisonnable » ou « journaliste » confirmera que nous vivons bien dans une « démocratie ». Et oui, où avais-je la tête… nous avons un président élu, un gouvernement, un parlement élu, des institutions, des contre-pouvoirs, des juges « indépendants », une presse « libre » et surtout des « élections libres »… Comment pourrions-nous vivre en dic-ta-tu-re ?

Mais j’y pense, Hitler est bien arrivé au pouvoir par des élections, Pétain a bien obtenu les pleins pouvoirs par les députés, il y a aussi un parlement en Corée du Nord où le dictateur a été élu ! En fait, si on y regarde bien, quasi tous les régimes totalitaires ont des élections et un parlement, non ?

Et voilà, emporté par ma crise délirante, je me mets à oser comparer la France à la Corée du Nord ! Tout être de raison sera bien conscient que mes propos sont outranciers et frisent le ridicule…

Vous dites « Un parlement » ?

Pour autant, une démocratie existe principalement par la liberté d’expression et ses contre-pouvoirs.

Or, depuis le début de la crise, le Conseil d’État et même le Conseil Constitutionnel approuvent des lois d’exception que ledit conseil reconnaît non-constitutionnelles, mais « acceptables » au motif que nous vivons un état d’urgence, une crise « exceptionnelle » et que ces lois sont « temporaires ».

Je vous rappelle pour exemple que le « temporaire » du passe sanitaire qui est censé prendre fin le 15 novembre sera probablement reconduit jusqu’à l’été prochain « pour notre sécurité »…

Depuis le début de la prétendue crise sanitaire, les décisions sont prises en dehors de toute transparence, de tout contre-pouvoir et par un « conseil de défense ». Les lois d’urgence sont votées par un parlement qui, lorsque les décisions ne sont pas en accord avec le gouvernement, sont revotées le plus « légalement » du monde… dans l’indifférence quasi générale.

Cette « démocratie » a pour le moins un fonctionnement bien étrange. Elle donne le sentiment que TOUS les pouvoirs sont dans les mains d’un seul homme, le Président de la République, président dont nous ne savons pas précisément de qui il tient les siens.

Tout ceci serait votre définition d’une démocratie ?

L’indice de bonheur et le totalitarisme ?

Les Français semblent globalement heureux. Je ne perçois pas le moindre désespoir chez tous ces masqués, vaccinés, passe-sanités… Ils sont confinés, privés de liberté de mouvement, privés de loisirs, contraints à porter une muselière, contraints de se vacciner pour avoir le droit de vivre, mais… heureux. Nous pouvons supposer que si nous vivions en dictature ils seraient écrasés par tout ceci ?!

Et bien non !

« Le bonheur ne se mesure pas non plus à la liberté.

Je ne pense pas qu’il y avait de sondages, mais le peuple allemand semblait heureux en Allemagne pendant la période nazie (avant 1944).

Ils avaient leur ennemi commun, de quoi manger, du travail… et ils croyaient en leur leader charismatique qui allait les sauver et leur rendre leur honneur.

Un article publié par Forbes en 2008 “Chasing Happiness” (à la poursuite du bonheur), indique : “Les données révèlent que le bonheur n’est pas proportionnel au revenu moyen, au type de gouvernement — démocratie contre dictature…” »(([1] Extrait « 7 milliards d’esclaves et demain ? »))

Nous voyons donc que celui qui vit dans une dictature, mais qui n’est pas ciblé par cette même dictature pourra être aussi heureux que dans une démocratie.

Mais pourquoi ne suis-je pas comme tout le monde ? Les droits de l’homme sont pour moi une donnée non négociable alors qu’ils semblent totalement annexes pour des millions de Français.

Démocratie, liberté d’expression et censure ?

Nous vivons à ce point une période « merveilleuse » qu’il n’existe aucune censure en France. Non, non, ne riez pas ! Je ne fais que rapporter le sentiment de la masse.

Une majorité de Français adhère à la propagande et regrette que les réseaux sociaux soient si laxistes. D’aucuns pensent même que les médias classiques font une part trop belle aux « complotistes ».
Et oui !
Il n’y a de fait aucune « censure » en France, mais uniquement une chasse à la « désinformation ».

Une preuve de plus que nous vivons donc bien en démocratie pour la majorité des Français qui approuvent la suppression des « informations mensongères ». C’est d’autant plus intéressant que cette même majorité, totalement servile, se dit à la fois « Charlie » et pour la « liberté d’expression ».

Rappelons que celui qui ne suit pas la Doxa est un « ennemi du peuple », un « assassin » en puissance. Allons bon, ne pas adhérer, discuter, critiquer toutes les mesures mises en œuvre « pour notre bien » ne peut qu’être « objectivement » criminel.

Par exemple, celui qui ne met pas de masque (comme votre serviteur) et qui affirme que celui-ci est inefficace, contre-productif et dangereux va, de fait, automatiquement mettre en danger les personnes qui sont autour de lui. Il n’y a donc pas « censure » en le muselant, mais « suppression de propos dangereux ».

Le monde est à ce point délirant que l’on applaudit l’interdiction de publier sur Facebook ou Twitter à un président des États-Unis en exercice et démocratiquement élu…

Démocratie qui définit donc ce qui est vrai ou pas, acceptable ou pas, dangereux ou pas. Tout français est ainsi totalement libre de dire ce qui est autorisé par le Ministère de la Vérité.

Nous ne serions donc pas dans une « dictature qui censure la liberté d’expression », mais dans une « démocratie qui protège son peuple de personnes dangereuses ».

Et moi, naïf, qui m’obstine à nommer un tel régime une dictature. L’idée de l’État « grand frère » et bienveillant qui me protège choque profondément mes valeurs.
Éduquer, oui, mettre en garde oui, interdire non !

Les confinements ?

Étant indécrottable, je n’ai toujours pas digéré le fait d’avoir été assigné à résidence en l’absence d’accusation, de procès et de jugement. Procédé qui me semble plus présent dans un régime dictatorial qu’en démocratie…

Pour être honnête, le confinement a été plutôt agréable pour ma famille. Notre dictateur bienfaiteur a acheté notre silence (que nous devrons rembourser avec intérêts)… Et puis nous avions la chance de sortir sans les nuisances des voitures, les enfants étaient heureux de ne pas aller à l’école… Je confesse que cette période était pour moi à la fois viscéralement inacceptable et dans le même temps plutôt agréable.

Ici encore mon émoi n’était pas celui de la majorité des Français.

« Mais n’as-tu pas compris qu’à virus exceptionnel, solution exceptionnelle ? »

Ben non, quand bien même, la fin ne justifie pas les moyens !

Petit rappel des déclarations du président du conseil scientifique en juin 2020 :

« Nous assumons le fait d’avoir proposé le confinement durant les trois journées très difficiles des 12, 13 et 14  mars. Ce n’était pas notre décision, car elle appartient au politique.

Ce n’était pas une bonne décision, mais la moins mauvaise, étant donné les outils que nous avions. » 

Une autorité a dit aux Français, en dehors de toute preuve scientifique, qu’il fallait confiner ensemble malades et bien portants pour éviter le pire. Puis cette autorité leur a dit que ce confinement a sauvé des dizaines de milliers de vies. Et enfin nombreux sont celles et ceux qui croient encore à ce joli conte pour enfants.

Les catastrophes économiques, sur la santé mentale, sur la violence conjugale, sur les retards de soin ? Cela n’interpelle que les Français concernés. Pour les autres, c’était plutôt des vacances payées. Et si vous leur dites que les pays qui n’ont pas confiné ont eu moins de morts par habitant que nous, ils ne peuvent l’entendre, grâce au soutien actif de la propagande.

Alors ?

  • Si je ne m’obstinais pas à vouloir me rappeler le « liberté égalité fraternité » sur le fronton de toutes les mairies…
  • Si j’oubliais que je pouvais me prendre 135 euros d’amende juste pour être sorti de mon domicile…
  • Qu’il y avait des haut-parleurs dans la ville répétant les consignes…
  • Que des drones tournaient sur la plage au cas où un promeneur en plein hiver contaminait une mouette…
  • Ceci tandis que l’on pouvait s’entasser devant des supermarchés bondés…

Alors j’aurais peut-être pu me convaincre que nous étions en démocratie et que le confinement des personnes non malades était une « bonne » chose.

  • Aussi « bonne » que de dire aux malades de rester chez eux et de ne surtout pas se rendre chez leur médecin de famille avant d’être à l’article de la mort ?
  • Aussi « bonne » que d’interdire les médecins de prescrire ?
  • Aussi « bonne » que de « finir » les vieux au Rivotril ?

Les masques ?

Et que dire de ces « appendices naturels » ? Encore aujourd’hui je croise des centaines de personnes qui ne semblent souffrir en rien avec leur accessoire sur le nez. Après tout, ce n’est qu’un bout de tissu ou du plastique devant la bouche. Elles semblent ne présenter aucune souffrance, même si je ne peux voir leur visage.

Pire encore, elles continuent de le porter et je vois encore des cours d’école pleines d’enfants masqués alors même que le seigneur du département (préfet) a supprimé son arrêté l’obligeant à l’extérieur. Je ne supporte pas de les voir, cela me retourne les tripes à en avoir physiquement mal.

Suis-je juste un crétin d’égoïste (comme le disent les autorités ou les masqués que je croise) ? Le plus drôle avec l’affaire du masque est qu’elle a eu des débuts rocambolesques. Sans doute le seul épisode de la crise qui a débuté par une vérité « le masque ne sert à rien et est dangereux » Pour terminer en « le masque est vital pour ne pas assister à la fin du monde », masque qui demeure indispensable pour protéger les vaccinés d’un « vaccin efficace à 90 % ». L’affaire est à ce point comique que le français manipulé croit que c’est la première annonce qui était un mensonge et la deuxième une vérité.

Ici encore mon problème est que je sais lire et que je ne me contente pas d’écouter la Pravda.

  • Que dois-je faire de toutes les études publiées avant la crise, y compris des écrits de l’OMS, qui affirmaient que ce masque en population générale ne sert strictement à rien, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur ?
  • Que dois-je penser des pays qui n’ont pas masqué leur population et qui n’ont pas plus de décès ?
  • Que dois-je faire du nombre de cas qui n’a cessé d’augmenter au fil de la généralisation du port du masque ?
  • Que dois-je faire de la dangerosité du produit et du faux sentiment de sécurité qui était aussi affirmé par l’OMS ?
  • Que dois-je faire de ce nid à bactéries, de cet appendice qui augmente votre taux de CO2 et diminue votre oxygène ?
  • Que dois-je faire des troubles psychiques induits chez les bébés, les enfants et même les adultes ?
  • Que dois-je faire d’une société qui fait d’une personne en bonne santé une menace pour la vie d’autrui et dont on doit se méfier ?

De toute évidence, aucune de ces pensées ne traverse l’esprit de celles et ceux qui le portent toute la journée y compris seuls dans une voiture.

Une autorité qu’ils ne peuvent penser malveillante leur a dit qu’il fallait le porter et ils arrêteront de le porter temporairement uniquement le jour où cette même autorité leur dira qu’il n’est plus nécessaire.

Autorités qui nous ont dit que le confinement nous sauverait, puis que la distanciation nous sauverait, puis que les tests PCR nous sauveraient, puis que le masque nous sauverait, puis que le vaccin nous sauverait, puis que le passe sanitaire nous sauverait… et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, on vous dit que la suppression en tous lieux du masque n’est pas à l’ordre du jour et que ce serait même irresponsable, alors même que 90 % des personnes à risque seraient injectées… Cela gêne-t-il ou questionne-t-il ces mêmes Français qui le portent sans colère ni révolte ?
Non, absolument pas… « C’est comme ça et c’est pas bien grave ».

Je m’aperçois de l’échec qui se dessine au fil de mon écriture… comment pourrais-je raisonnablement adhérer à la doxa et me dire que je me fourvoie depuis le début de la crise ?

Le vaccin et le passe sanitaire ?

C’est peut-être ma dernière chance de « pouvoir me réveiller, de sortir de mes délires complotistes et enfin revenir vers le bon sens ». Comment douter de la vérité sanitaire quand 100 % des politiques, médecins médiatiques, journalistes vous répètent depuis des mois que les « vaccins » sont efficaces et sans danger ? Après tout, je ne vois pas les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’ils sont presque tout injectés. OK, mais je n’ai pas vu les gens tomber comme des mouches autour de moi alors qu’il y avait cette fameuse terrible pandémie !

Pourquoi des personnes en bonne santé, et encore plus des enfants, se feraient-elles injecter ces produits expérimentaux pour lesquels nous n’avons que quelques mois de recul ? Même la majorité des médecins corrompus reconnaît que le Covid ne touche que les personnes en mauvaise santé, aux défenses immunitaires défaillantes.

Je suis décidément sur une très mauvaise pente et je sens déjà les portes de l’enfer se refermer sur moi. Mais j’ai encore une petite chance de pouvoir revenir dans le bon chemin. Tel un éclair d’espoir, une lumière vient d’apparaître… Une étude « indépendante » vient d’être publiée en France sur l’efficacité des vaccins. Réjouissons-nous mes frères, les vaccins sont bien efficaces à plus de 90 % comme on le pensait, pour réduire les hospitalisations ! C’est une étude « indépendante » (si, si, c’est écrit sur leur site) conduite par « epi-phare », une émanation de l’ANSM (qui évalue la sécurité des médicaments pour le ministère). Je vais enfin pouvoir cesser de regarder les courbes épidémiques des pays qui ont massivement vacciné et pour lesquels nous assistons à une explosion des cas et des décès.. Et puis pourquoi irais-je chercher la petite bête comme le fait que l’étude s’arrête juste avant la remontée des décès de la 4e vague ? Ou quelle compare 3,6 millions de vaccinés à 3,6 millions de non vaccinés de plus de 75 ans alors même que plus de 75 % des personnes dans la tranche d’âge étaient vaccinés vers la fin de l’étude et que de fait il n’y avait plus suffisamment de non-vaccinés pour en trouver autant que de vaccinés. Le plus rigolo est qu’il semble que l’étude portait sur 7,5 millions de plus de 75 ans alors que la France en compterait un million de moins !
Et voilà, mes délires me reprennent, je vais chercher la petite bête au lieu de me contenter de cette simple affirmation d’efficacité.

Quand bien même le risque de s’injecter et d’avoir des séquelles graves ou de mourir ne serait que d’un sur un million, pourquoi le prendre ? Comment pourrais-je survivre à la mort de mon enfant en pleine santé si d’aventure il décédait d’une injection expérimentale ?

Vient alors le mythe de la vaccination solidaire et altruiste. Il faut que je me ressaisisse et me rappelle que le français de 2020 et 2021 est devenu so-li-dai-re !
Ça va rentrer oui ?

Je dois absolument m’empêcher de penser que même les autorités sanitaires reconnaissent et insistent sur le fait que les vaccinés sont contaminants, qu’ils doivent continuer à porter le masque et qu’ils doivent désormais prendre une troisième dose d’un produit « efficace » pour le rendre « efficace ».

Effacer de ma mémoire les pays qui ont eu un recours massif à l’injection et dont la situation est catastrophique.

Pendant ce temps, tout ce petit monde de « vaccinés » vit comme si tout ceci n’était que mythe ! Pour être honnête, ce n’est pas tout à fait vrai, la plupart ignorent totalement les faits que j’ai relatés, n’ayant qu’une unique source « d’informations ».

Mais revenons au fameux « vaccin solidaire » qui vise à injecter tous les enfants pour (officiellement) empêcher de vieux grabataires de mourir…

Qui peut croire qu’un humain s’injecterait ces poisons ou qu’il l’injecterait à ses enfants pour protéger quiconque s’il avait le sentiment que ces produits sont potentiellement dangereux ou mortels ?

Seule la publicité peut nous faire gober un truc pareil. Les injections sont purement égoïstes. POINT.

Nous avons eu dans un premier temps une petite frange de la population paniquée qui s’est vaccinée « volontairement » pour se protéger du « méchant virus ». Puis le gros de la troupe s’est fait injecter pour aller en vacances, au cinéma ou au restaurant. Croyez-vous que ces millions de Français auraient fait ces injections s’ils avaient pensé qu’il y avait un risque, même infinitésimal, pour leur propre vie ou celle de leurs enfants ? Non, ils sont à ce point crédules (j’avais ajouté « et con », mais je suis désormais politiquement correct) pour gober les mensonges de la dictature et croire ce que les médias vomissent à longueur de journée :

« Une injection expérimentale de masse inédite d’ARNm sur des sujets sains et jeunes ne présente aucun danger ni à court ni à long terme ! »

Ce monde est merveilleux.

À noter que par le passé, l’alcool, le tabac, les rayonnements ionisants, le mercure, l’amiante et j’en passe… ne présentaient aucun danger pour la santé et, qui plus est, étaient considérés pour certains comme bénéfiques, alors pourquoi pas de l’ARN messager ?!

Donc ici aussi je ne peux pas… Je suis dans l’incapacité de croire que cette injection d’ARNm sur tous les habitants de la planète permettra d’éradiquer un virus qu’ils croient dangereux et que cet acte ne présente strictement aucun danger pour la santé.

Nous, les complotistes dissidents, disposons de milliers de témoignages d’effets secondaires graves, nous disposons de centaines de témoignages sur la planète de médecins qui signalent des effets secondaires et des décès à court terme chez des enfants. Nous disposons aussi de témoignages sur les soignants menacés et interdits de faire remonter ces informations. Tous ces soignants respectés hier seraient-ils devenus soudainement fous ou menteurs ?

Mais quand bien même toutes mes objections ne seraient que délire complotiste… Pourquoi prendre le risque d’un cancer à 20 ou 30 ans pour une maladie somme toute bénigne qui ne menace que des personnes à risques spécifiques et pour laquelle il est désormais prouvé que l’injection massive n’amènera pas une immunité de masse ?

Qui est le fou, l’irresponsable ou le criminel comme certains aiment à l’affirmer ? Celui qui critique comme moi ou celui qui injecte ses propres enfants ?

Alors ?

Et moi dans tout ça ?
Je ne suis pas comme tous ces Français absents, je vis les débuts d’une vraie dictature dans laquelle la censure est « juste », dans laquelle il n’y a plus de parlement, ni même de gouvernement et encore moins de juges, mais un « conseil de défense ».
Je suis victime de discrimination, interdit de commerces, de restaurants, de cinémas, de vacances, de voyages et bientôt de travail au nom de la « sécurité ».

Je souffre, je hurle, je pleure… souffrance d’autant plus grande que je ne vois pas les endormis souffrir.
Je suis bien sûr interdit de communication avec toutes ces personnes « heureuses », les médias ne cessant de les mettre en garde contre moi le non-malade, mais pour autant potentiellement contaminateur d’idées. Je possède non pas des indices, mais des centaines de preuves que mes pensées ne sortent pas d’un chapeau, mais toute discussion est vaine et interdite. Tous ces masqués, confinés, vaccinés ne veulent surtout pas savoir… alors je suis leur con et la réciproque l’est tout autant. Ces pourritures de vérificateurs qui pleuvent sur tous les médias de toutes les grandes chaînes rient en parlant de nous les « complotistes ». Ils font de nous des débiles, des naïfs, des analphabètes ou de dangereux psychopathes d’extrême droite de la fachosphère et donc bien sûr antisémites comme il se doit. Ceci afin de bien dédouaner les « bons » Français de discuter avec nous, les « pervers manipulateurs ».

J’ai passé et je passe encore des milliers d’heures à étudier la maladie, les symptômes, les publics touchés, les traitements, les statistiques, l’efficacité de telle ou telle mesure, les « vaccins » ou les études scientifiques publiées avant ou depuis la crise.

Et pourtant ma parole a moins de crédit à leurs yeux qu’un « médecin » médiatique :

  • Qui passe sa vie sur un plateau TV.
  • Qui est allé jusqu’à approuver l’interdiction de prescrire.
  • Dont la « vérité » se résume à la vérité médiatique.
  • Qui de fait n’a pas lu la moindre étude.
  • Et, qui plus est, croule sous les conflits d’intérêts.

Dans notre monde qui a perdu toutes ses valeurs, un tel gars corrompu est crédible, car il passe dans les grands médias et a un diplôme.

Au-delà de l’injustice, au-delà de ce procès en sorcellerie, au-delà de cette interdiction qui m’est faite de discuter, d’argumenter, de prouver mon absence de folie…

Ces autorités, ces médias et ces moutons (comment les appeler autrement ?) m’ont fait un mal terrible.

ILS ont tué (ou tout du moins blessé mortellement) mon empathie ! Je confesse n’en avoir plus rien à faire de leur sort. Je suis usé, lessivé…

Ils veulent continuer à porter leur muselière jusqu’à la fin de leurs jours, vivre comme des moutons et diminuer leurs défenses immunitaires… je n’en ai plus que faire. Ils veulent prendre le risque d’avoir des effets secondaires graves à court, moyen ou long terme ou même mourir de ces injections expérimentales… Grand bien leur fasse ! Pire encore, ils ont pris la décision d’injecter leurs propres enfants dont certains sont déjà ou vont décéder pour qu’ils puissent jouer au foot… Eh bien, cela ne me fait plus rien.

J’ai fait ma part. J’ai écrit des dizaines d’articles sur la dangerosité et la totale inutilité de ces poisons. Ils veulent croire la propagande ? Ils veulent croire l’industrie pharmaceutique alors qu’elle est la plus pourrie de toutes les industries qui de plus prétend agir pour nous ?

Grand bien leur fasse !… Ils m’ont à ce point déçu. Ils ont à ce point cette volonté de mettre la tête dans le sable, de ne pas vouloir savoir… que je ne peux plus RIEN pour eux.

Je les vois tel un banc de sardines. Leur survie est purement statistique comme la survie d’une sardine l’est aussi. D’un côté nous avons (pour peu que les sardines et la masse des Français pensent) « avec de la chance, je vais survivre à l’attaque des requins » et de l’autre « avec de la chance, je vais survivre au vaccin ». Ils ne comptent que sur le faible pourcentage de risques, à leurs yeux inexistants, tout en croyant à la dangerosité de ce virus… statistiquement anodin.

C’est trop tard. Je ne peux plus être empathique. J’ai acquis la conviction que si on leur disait de marcher à quatre pattes ou qu’on les faisait monter dans des trains pour aller dans des camps « afin de se mettre à l’abri du virus », ils le feraient sans la moindre réaction.

Ma survie n’est plus que pur égoïsme pour moi et pour les miens. Tous les résistants, les personnes qui réfléchissent et doutent, nous allons finir par faire tomber cette dictature immonde qui se drape sous ses airs de « bienveillance ». Mais personnellement, et même s’ils en tireront aussi les bénéfices, je ne le fais plus du tout pour eux.
Ils ont tué cette lumière en moi et je ne suis pas prêt de leur pardonner.

Alain Tortosa

12 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211012-et-si-ils-avaient-raison.pdf




Cette révolte des peuples contre la tyrannie sanitaire dont les médias subventionnés ne parlent pas

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Les oppositions à la dictature sanitaire, qui a désormais pris la forme de la vaccination forcée, sont désormais nombreuses et répondues dans tous les pays. Il est important d’en prendre conscience car les médias subventionnés garderont le silence à leur propos tant qu’elles pourront. Peut-être l’Italie va-t-elle représenter un point de basculement, si le pays entre dans une vraie grève générale. Mais il est important de comprendre qu’aucun de ces combats n’est inutile. Ceux-ci font douter la caste au pouvoir. Ils retardent d’autant la possibilité d’imposer une vaccination universelle. Ils laissent à tous ceux qui enquêtent sur le caractère bâclé des vaccins proposés, le temps d’étayer leurs études. Nous devons être optimistes. À la fin les peuples reprendront le contrôle.

Il est 16h22 ce mardi 12 octobre 2022. Avez-vous participé, dans notre fuseau horaire, au Black Out mondial, entre 16h et 16h21, qui voulait que nous cessions de nous servir de nos appareils électriques et électroniques? Vous n’étiez pas au courant? Mais quelles sont vos sources d’information?  Vous n’en aviez pas entendu parler sur BFM TV ni dans le Monde? C’est normal. Vous devriez diversifier vos sources d’information et vous abonner à quelques canaux télégrammes où vous saurez ce qui se passe actuellement dans le monde. Car on assiste à une révolte mondiale des peuples de plus en plus marquée. Il arrivera certainement un moment où cela ne sera plus possible pour les médias subventionnés de dissimuler ce qui se passe. En attendant, proposons un tour du monde. 

La caste est inquiète : elle crie au complot

Les complotistes, dans notre monde, sont d’abord les tenants du système. Lisez bien le tweet publié hier par Madame Haim, correspondante à Washington pour divers médias subventionnés français, se sent obligés de parler de la grève, par refus de la vaccination obligatoire, qui a obligé la compagnie Southwest, la fin de semaine dernière, à annuler 2000 vols. Une grève qui continuait lundi. Il suffit de se documenter en anglais sur internet pour comprendre la gravité de la situation. Au public français, Madame Haim préfère servir sa mauvaise soupe conspirationniste: un peu de trumpisme, un peu de Qanon, et hop, voilà le spectre de l’extrême droite qui débarque. De même, franceinfotv s’est fait l’écho de la la très importante manifestation de Rome, samedi dernier uniquement sous l’angle de “l’ultradroite” et des incidents de fin de manifestation. 

En réalité, si Madame Haim faisait son travail sur ce qui se passe aux Etats-Unis, elle devrait parler de la division croissante entre Républicains et Démocrates sur le sujet de la politique sanitaire.  le gouverneur du Texas a interdit la vaccination obligatoire, y compris chez les employeurs du secteur privé. Quant à l’Italie, on peut se demander dans quelle mesure elle pourrait somber dans le chaos dans les prochains jours. 

L’Italie est-elle proche de la grève générale?

Le compte twitter @AnonymeCitoyen fait un énorme travail d’information de même que de nombreux canaux Telegram. Son animateur juge anormal que les médias subventionnés ne rapportent pas les faits. Mais il s’agit d’un fait bien établi: sinon, ils n’auraient pas besoin de subvention pour survivre, puisqu’ils draineraient assez de lecteurs ou d’auditeurs. Alors, oui, il vaut mieux s’informer aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Et constater que la presse étrangère est souvent moins verrouillée que les médias français établis. La presse italienne, en tout cas, commence à devoir parler de la situation très instable dans le pays. 

Pour la seule journée d’hier, Alitalia a été obligée d’annuler 127 vols. Les lignes du métro de Rome ont été profondément perturbées. Des manifestations fournies ont eu lieu  dans une quarantaine de villes qui ont rassemblé 100 000 personnes dans toute l’Italie. De façon significative, les manifestations s’emparent aussi du sujet des augmentations du prix de l’énergie. Et à Piacenza, un entrepôt d’Amazon a été bloqué. Un million de personnes se sont mises en grèves. 

Ce matin 12 octobre, le port de Gênes était bloqué par les dockers et les routiers. Le port de Trieste était menacé du même sort. Et le bilan social de la journée devrait être équivalent à celui d’hier. 

On est à J-3 du pass sanitaire obligatoire dans toutes les entreprises du pays. Or il y a encore des milliers de policiers non vaccinés et qui ne pourront pas prendre part au maintien de l’ordre puisqu’il refuse de se faire vacciner. Un syndicat de police a voulu rencontrer la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese. Mais elle n’a pas daigné même envoyer un message.  le pays risque-t-il de sombrer dans le chaos vendredi? 

Résistances à travers le monde : pourquoi elles sont utiles

Quand on prend l’habitude se s’informer hors des médias subventionnés, en particulier français, on prend conscience de la multiplication des points de résistance dans la monde. 

Depuis deux semaines, on a recensé des manifestations contre le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire, en Belgique, aux Pays-Bas, en Slovénie, en Israël, en Suisse, en France. Dans notre pays, non seulement les manifestations du samedi continuent mais l’outre-mer est largement mobilisé : AntillesGuyane, Polynésie, Nouvelle Calédonie. 

Un point particulier de fixation a été, ces dernières semaines, l’Australie, celui des pays occidentaux où, sans doute, les attaques du gouvernement contre les Principes du Droit (rule of law) ont été les plus fortes, avec des gouvernements d’Etats poursuivant brutalement un objectif de “Zero Covid” et testant des systèmes de quarantaine surveillée. Des manifestations ont eu lieu qui ont été l’occasion d’une répression policière contestée (en particulier à Melbourne) mais aussi le refus d’une partie de la police d’appliquer les mesures gouvernementales de répression mais aussi la vaccination obligatoire

Bien entendu, les pessimistes souligneront les effets de la coercition – l’acceptation de la vaccination par une majorité de la population. Mais c’est oublier que ce qui se joue n’est pas seulement la vaccination 2021, c’est le risque d’être enfermé dans un système de vaccination récurrente. C’est la généralisation de la vaccination obligatoire. Au moment où je finis cet article, une foule de quelques centaines de personnes s’est rassemblée devant le Sénat, à Paris, pour rappeler aux sénateurs qu’il ne s’agit pas de faire rentrer par la fenêtre le rejet de l’obligation vaccinale qui a eu lieu en Commission le 6 octobre 2021. 

Et puis rappelons-nous qu’un grand nombre de pays, à commencer par l’Inde et des pays africains, sont en train d’apporter la preuve qu’il est possible de vaincre l’épidémie de Covid sans vaccins – par exemple avec l’Ivermectine. Or l’industrie pharmaceutique souhaiterait y imposer des politiques de vaccination généralisée. Résister dans nos pays – en particulier contre les poussées vers la vaccination des enfants – est essentiel pour faire gagner du temps et permettre aux personnes qui font ressortir les effets secondaires graves de vaccins bâclés de gagner en audience. 




L’heure de la justice

[Source : rumble.com ou odysee.com]

Le Symposium interdisciplinaire sur le covid-19 s’est tenu le 29 et 30 Juillet 2021. À travers une réunion d’experts en médecine, en économie ou encore en journalisme, ce symposium cherche à rétablir la vérité sur les événements auxquels nous assistons depuis bientôt 2 ans. Il essaye de répondre à des questions telles que : D’où vient le SARS-Cov-2 ? Est-il d’origine naturelle ou fabriqué par l’homme ? S’il est fabriqué par l’homme, par qui et pourquoi a-t-il été fabriqué ? Quelle est la réelle efficacité des vaccins ? Y a-t-il un agenda dissimulé derrière ce vaste théâtre « sanitaire » ? Quelles sont les conséquences économiques et sociales des mesures restrictives ? Ont-elles réellement été prises pour des raisons sanitaires ? Quelles solutions avons-nous pour sortir de cette situation catastrophique ?
Des figures comme celles de Reiner Fuellmich, Vera Sharav, Sucharit Bhakdi, Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Denis Rancourt ou Richard Werner nous fournissent des interventions de grande qualité et nous apportent des éléments clefs.

✨ Ce symposium a été réalisé grâce à un partenariat entre :
Doctors for Covid Ethics : https://doctors4covidethics.org
Children’s Health Defense : https://childrenshealthdefense.eu
UK Column :https://www.ukcolumn.org

📝 La traduction a été réalisée par :
Jeanne Traduction : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Mention spéciale à Elo, qui depuis des mois nous apporte son aide précieuse dans la traduction ♥️




































Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites

Par Alain Tortosa

Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites.
Nous devons nous préparer activement à contrer le fameux « on ne savait pas ».
Quand la dictature va tomber, les responsables
et les complices vont plaider l’obéissance aux ordres et l’ignorance.

Comme après la Deuxième Guerre mondiale : « On savait pas qu’il y avait des camps, si on avait su… ».

J’en appelle à moi-même et à tous les résistants qui œuvrent depuis des mois pour le rétablissement de la vérité scientifique et des droits de l’homme. Lors de la prochaine débâcle nous allons assister à une destruction massive des preuves, à la suppression d’archives et à une tentative inédite de réécriture de l’histoire. À ce titre je voudrais saluer l’initiative de Crowdbunker, parmi d’autres, qui archive de nombreuses vidéos déjà censurées ou qui le seront bientôt. Quand la dictature va se fissurer, un maximum de « collabos » vont retourner leur veste, mentir, détruire des preuves, pour tenter de passer pour des « résistants ». Il est encore temps, car ils se croient invincibles et pensent être à l’abri de toute démocratie.

Nous devons donc archiver toutes les interviews écrites et audiovisuelles qui les incriminent, mais aussi toutes les preuves qui attestent que les données étaient connues depuis le mois de mars 2020 et même avant pour certaines.

Le travail est titanesque, ne serait-ce qu’en France, quand on pense au nombre de médecins, ministres, politiques, personnes d’influences (artistes…), enseignants, journalistes, préfets, juges, policiers, gendarmes, juristes, fonctionnaires, enseignes commerciales… qui ont manipulé, menti, traqué, condamné, pour contraindre les honnêtes gens à accepter l’inacceptable. Nous allons devoir réécouter et relire toutes les interventions télévisuelles ou écrites et archiver toutes les prises de paroles de chacun.

Il y a probablement des dizaines de milliers de complices en lumière ou de l’ombre qui devront répondre devant la justice quand elle sera enfin de retour.

La méthode de défense des personnes incriminées sera double, comme d’habitude…

  • L’obéissance à la hiérarchie. Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette défense des lâches. Les textes de loi existent déjà et nul ne peut se réfugier derrière sa hiérarchie avec son « je n’ai fait qu’obéir aux ordres ». Nous pourrons d’ailleurs amener la preuve que de nombreux « collabos » sont allés bien au-delà des ordres et des lois scélérates. Ils ont fait du zèle dans tous les échelons de l’administration.
  • Le manque de données. C’est là le gros du travail d’archives. Toutes les pourritures de la plus insignifiante à la plus corrompue, de la plus débile à la plus décorée, ne manqueront pas de dire « on ne savait pas » pour l’ensemble des horreurs qu’ils ont imposé ou encouragé. Il va donc falloir apporter tous les éléments de preuves attestant des mensonges. Ils auront beau chercher, ils n’arriveront pas à prouver l’agissement par ignorance. Soit nous amènerons la preuve que l’on savait, soit nous amènerons la preuve qu’il y avait doute sans consensus. Pour les sujets où il pouvait demeurer ce doute, pourquoi le principe de précaution a-t-il été systématiquement balayé au profit de la mesure la plus dictatoriale possible et dont les conséquences néfastes étaient connues par avance pour un bénéfice hypothétique ? Si nous — résistants, lanceurs d’alerte, soignants, scientifiques, hommes de loi, simples citoyens — savions… alors eux aussi pouvaient disposer des mêmes connaissances et ceci d’autant plus qu’ils étaient proches du pouvoir et des sphères d’influence.

Et les mensonges ne manquent pas !

  • Mensonges et manipulation de l’opinion publique en usant systématiquement de la peur.
  • Mensonges sur l’honnêteté des laboratoires pharmaceutiques, du lobbying et de la corruption.
  • Mensonges en niant la corruption des médecins, soignants, artistes, restaurateurs, entreprises, politiques, fonctionnaires, etc. dont on a acheté le silence à coup de milliards d’euros.
  • Mensonges sur la « certitude » de l’origine du virus.
  • Mensonges sur la prétendue indépendance de l’OMS.
  • Mensonges sur l’ampleur de la crise et son aspect prétendument « exceptionnel ».
  • Mensonges sur les publics touchés, les personnes à risque.
  • Mensonges sur la dangerosité intrinsèque du virus.
  • Mensonges sur le taux d’incidence.
  • Mensonges sur le nombre de vrais malades du Covid..
  • Mensonges sur le nombre d’hospitalisations pour Covid.
  • Mensonges sur le nombre et le pourcentage de personnes en réanimation (soin intensif).
  • Mensonges sur le nombre de morts imputés au Covid.
  • Mensonges sur l’absence de traumatismes chez les enfants.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des gestes barrières.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue innocuité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des confinements.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du couvre-feu.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité de la fermeture des commerces dits non-essentiels.
  • Mensonges sur l’absence affirmée de traitements.
  • Mensonges sur la dangerosité de molécules inoffensives.
  • Mensonges et omerta sur les personnes âgées interdites de traitements et tuées au Rivotril.
  • Mensonges pour promouvoir l’interdiction d’accès aux soins.
  • Mensonges pour interdire aux médecins de prescrire.
  • Mensonges sur la prétendue ouverture de lits d’hospitalisation quand on les fermait.
  • Mensonges pour tuer la réputation de médicaments efficaces et « gratuits ».
  • Mensonges sur l’absence de conflits d’intérêts des « spécialistes ».
  • Mensonges pour promouvoir des molécules dangereuses (et inefficaces).
  • Mensonges sur le mythe de l’immunité vaccinale de masse.
  • Mensonges sur la prétendue impossibilité d’une immunité naturelle de masse.
  • Mensonges pour dénigrer l’AstraZeneca au profit de l’ARN Messager.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des thérapies dites vaccinales.
  • Mensonge sur la prétendue innocuité de ces substances expérimentales et ARNm.
  • Mensonges pour faire croire au public que les tests de sécurité avaient été conduits.
  • Mensonges pour camoufler ou interdire la remontée des effets secondaires graves des injections.
  • Mensonges sur la prétendue absence de mortalité post-vaccinale.
  • Mensonges pour vendre de la 3e dose de vaccins non mis à jour.
  • Mensonges sur les annonces disant qu’il n’y aurait jamais de passe sanitaire.
  • Mensonges identiques concernant l’obligation vaccinale.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du passe-sanitaire qui ne vise que l’obligation vaccinale et l’extorsion du consentement.
  • Mensonges sur le fait que le passe-sanitaire serait devenu naturel et entré dans les mœurs.
  • Mensonges pour dénigrer toute parole autre.
  • Mensonges sur un prétendu consensus scientifique qui n’a JAMAIS existé.
  • Mensonges pour transformer l’annonce et la parole médiatique en « loi ».
  • Mensonges pour faire du résistant un être asocial, débile, complotiste ou antisémite.
  • Mensonges sur le nombre de personnes opposées aux lois liberticides ou sur le nombre de manifestants.
  • Etc.

Pour amener la vérité factuelle historique et scientifique, nous devons mener de front plusieurs travaux majeurs, mais nous devons surtout créer et centraliser :

  • Un fichier des données scientifiques et statistiques par thème (masque, confinement, traitements, vaccins…) Répertorier et dater les données. Ce travail a d’ores et déjà était largement mené notamment par Reinfocovid.
  • Un fichier de lanceurs d’alertes, de scientifiques, de médecins honnêtes et de juristes. Répertorier et dater les déclarations de chacun qui ont été censurées ou dénigrées.
  • Un fichier d’acteurs et de complices de la dictature. Répertorier et dater les affirmations mensongères, tromperies, manipulations, demandes de privations de liberté, conflits d’intérêts de tel ou tel, etc. C’est probablement le plus gros du travail. Ne serait-ce que pour répertorier tous les acteurs.

C’est par recoupement et corrélation des données scientifiques ou statistiques connues à la date de l’affirmation que nous pourrons prouver le mensonge ou la manipulation et contrer le « on ne savait pas ».

Prenons quelques exemples :

  • Le témoignage d’un « médecin » qui à la date du X affirme que sa hiérarchie lui interdit de signaler les effets secondaires des vaccins.
  • Le témoignage d’un médecin qui affirme traiter ses patients avec succès avec les molécules dénigrées ou interdites.
  • Le témoignage d’un soignant menacé par l’ordre des médecins ou l’ARS.
  • Un maire qui lors du 1er confinement va au-delà de la loi et interdit à ses citoyens de sortir à plus de 100m de chez eux.
  • Un préfet qui rend le masque obligatoire dans des écoles alors même que le protocole sanitaire ne l’impose pas.
  • Un directeur d’école qui ne fait pas enlever les masques lorsqu’ils ne sont plus obligatoires ou qui parque des élèves, les punit s’ils portent mal la muselière.
  • Un rectorat qui n’accepte pas les certificats médicaux d’exemption de port du masque.
  • Un journaliste qui dit que la situation est catastrophique en Suède et que l’absence de confinement est un échec.
  • Un enseignant de sport qui oblige ses élèves à porter un masque durant l’activité sportive.
  • Un commerce qui propose des offres aux clients vaccinés.
  • Un médecin qui incite son patient qui n’est pas à risque à se vacciner alors même que les risques de l’injection sont déjà connus et qu’il ne l’informe pas.
  • Un commerce qui impose le masque à l’intérieur alors même que la loi ne l’oblige pas.
  • Une entreprise qui fait pression pour la vaccination de ses employés en dehors de tout cadre légal.
  • Une entreprise qui licencie un employé pour non-port du masque.
  • Un ministre qui affirme que 80 % des hospitalisés sont non vaccinés.
  • Tel journaliste qui le répète comme étant une vérité.
  • Un médecin qui dénigre une molécule inoffensive et qui fait la promotion d’une autre molécule dangereuse et hors de prix.
  • Un enseignant qui harcèle un enfant pour qu’il porte parfaitement la muselière et ignore ses maux.
  • Un médecin qui est invité des centaines de fois dans les médias alors qu’il a des conflits d’intérêts.
  • Un politique qui vote le confinement, la vaccination obligatoire ou l’urgence sanitaire.
  • Un médecin qui affirme que le port du masque en population générale a prouvé son efficacité.
  • Un journaliste qui reprend à son compte les dépêches AFP sans la moindre vérification.
  • Un membre du conseil scientifique qui ment sur des chiffres.
  • Un épidémiologiste qui promet 400 000 morts dont les prévisions sont systématiquement erronées et qui est réinvité à l’infini.
  • Un politique qui affirme que le confinement a sauvé des vies.
  • Un média qui supprime de ses archives une publication ou une interview en fonction des propos « complotistes » qui ont été tenus.
  • Un « vérificateur » de l’information qui se contente d’interroger uniquement les personnes qui affirment La Vérité Officielle pour « prouver » que l’affirmation contraire est donc une « fake news ».
  • Un journaliste qui affirme que le vaccin est la seule voie vers une immunité vaccinale de masse.
  • (Liste non exhaustive).

Ces quelques exemples montrent à quel point l’entreprise est titanesque à l’échelle d’un pays alors imaginez toute la planète.

Mais c’est en listant les faits scientifiques, en listant les déclarations des résistants et en listant les déclarations des incriminés que nous pourrons acquérir les éléments de preuve. Ainsi à la libération nous serons prêts, nos dossiers seront prêts pour les dizaines de milliers de plaintes individuelles et collectives qui seront déposées. Ce n’est pas à nous de les déclarer coupables ni de les juger ou les condamner, mais c’est à nous d’amener et de faire en sorte qu’aucun complice ne soit oublié et que les preuves ne soient pas « égarées ».

J’invite donc toutes les forces de la résistance à se réunir et commencer à travailler d’arrache-pied sur le sujet. Il faudra sans doute créer une plate-forme commune participative pour mener à bien ce juste projet.

Merci.

Alain Tortosa.

8 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211008-collecter-et-sauvegarder-les-preuves.pdf




Lettre ouverte aux politiques de tous bords, aux députés et sénateurs et candidats à la Présidence

Par N. et G. Delépine(([1] Sur telegram t.me/DrDelepine))

L’état actuel de notre système de soins, des libertés publiques, et en particulier les libertés de soigner et celle d’être soigné, doit investir les débats

Les médias mainstream et les politiques se comportent comme si l’après Covid était acquis et ne posait plus aucun problème.

Ils veulent nous persuader qu’un consensus, une fausse évidence de l’accord de tous pour l’injection génique existerait. Que le respect des libertés fondamentales de circuler, de se réunir, de travailler, la liberté vaccinale, le passe ne serait pas un sujet politique majeur ! De qui se moque-t-on ?

Peut-on à nouveau imaginer une présidentielle sans débat sur le système de soins, la liberté de soigner, comme en 2016, alors que les hôpitaux publics et privés se vident de leur personnel et qu’en conséquence des pans entiers de nos hôpitaux ferment jour après jour et que les déserts médicaux se multiplient ? Les Français en subissent déjà les dégâts avec la suppression continue de lits et la régression de la qualité des soins…

L’apartheid a été instauré aux pays des droits de l’homme ! Au moins vingt-cinq millions de Français se sentent discriminés, les « vaccinaux prudents »(([2] Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023)) mis au ban de la société, dont les 300 000 soignants suspendus ou qui risquent de l’être, et les pompiers, mais aussi au moins cinq millions à dix millions de « malgré nous », les personnes qui ont été contraintes à se faire injecter par extorsion de consentement par un chantage ignoble au droit de travailler, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurants, au spectacle ou aux musées, de faire du sport en équipe ou en compétition.

Toutes ces personnes ne comprennent absolument pas que la perte de liberté et le pass sanitaire ne soient pas débattus entre candidats déclarés ou putatifs. Dans quel monde vivent-ils, ces politiques ?

D’autant que l’instauration d’un pass a été suivie dans la plupart des cas d’une augmentation importante des nouvelles contaminations quotidiennes comme en Tchéquie :

En Roumanie :

Ou en Autriche :

La vie des exclus est devenue une réclusion volontaire à domicile. Et beaucoup de ceux qui sont titulaires actuels d’un passe craignent de les rejoindre devant la perspective inacceptable d’être soumis à nouvelles injections de plus en plus dangereuses selon toutes les études sérieuses.

La proportionnalité des restrictions rapportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles sont censées poursuivre, réclamée par le défenseur des droits, n’est pas respectée puisque d’après les données du réseau sentinelle, l’épidémie est terminée en France.

Ce pass et cette obligation vaccinale ouverte ou cachée via les extorsions de consentement sont inacceptables et d’ailleurs condamnés par le conseil de l’Europe, imposés y compris aux enfants (quand des pays proches comme la Grande-Bretagne ou le Danemark n’en ont pas).

Les violences continues faites aux enfants par le port du masque alors que le coronavirus a disparu sont inacceptables, d’autant que leur suppression dans des pays européens de plus en plus nombreux n’est nulle part suivie d’une reprise de l’épidémie.

Croire que les restrictions majeures injustifiées des libertés publiques et l’obligation de fait du pseudovaccin pour ceux qui veulent poursuivre leurs activités normales n’intéresseraient pas les candidats est un non-sens.

Nous dire que le candidat élu fera ce qu’il faut après l’élection relève de la croyance au Père Noël.

Aucun président ne pourra être élu, sans un positionnement très clair sur ce sujet qui perturbe la vie de tous les habitants. Faire semblant que tout va bien avec le pass et le vax relève de la méthode Coué bien connue des médias et de trop d’élus.

Chaque jour, une nouvelle lettre ouverte aux sénateurs, aux députés, au Président apparaît sur le net de personnes concernées ou de groupes, avec la demande aux citoyens de partager, d’écrire personnellement à nos élus et en particulier aux sénateurs qui doivent examiner le 13 octobre un projet d’obligation étendue chez les nourrissons avec un douzième vaccin qui n’est qu’une thérapie génique EXPÉRIMENTALE avec tous les risques que l’on commence à découvrir et à entrevoir.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le 22 sept

« Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus. Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination ; (…) ».

Il faut cesser l’injection génique : appel de survivants de l’Holocauste à la CPI — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le premier octobre

https://nouveau-monde.ca/appel-au-rassemblement le 5 octobre 2021 avec des modèles de lettres à envoyer aux élus, et voir https://www.comitedesalutpublic.fr/

La commission des lois du Sénat : premier espoir

a rejeté l’amendement qui voulait rendre obligatoire l’injection génique expérimentale, ce qui est réconfortant et justifie la poursuite d’informations venant de multiples sources à nos sénateurs.

[Info Public Sénat] Vaccination obligatoire contre le covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat | Public Senat

Et ce jour, nous partageons un nouvel appel à cesser ces injections mortifères écrit par un professeur des universités, chirurgien, résumant l’avis de très nombreux confrères qui le félicitent largement.

Le Professeur Jean Gabriel Balique, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie(([3] jgbalique@gmail.com))

À propos du projet d’obligation vaccinale. Lettre ouverte Le 2 octobre 2021 Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

« Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle.

Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccin (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins “classiques” rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus “facile” de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s’impose est que le “vaccin” ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). »

COMMENTONS CE PASSAGE

L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre qu’une couverture vaccinale record et des restrictions sévères ne préviennent pas une récidive de l’épidémie avec une intensité accrue avec des hospitalisations en hausse et des réanimations débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…).

Suite de la lettre ouverte du Pr Balique

« Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente). Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients.

Les médecins “du terrain” croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer.

Les principes fondamentaux du serment, dont “primum non nocere” (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été écartés d’un revers de main par décret. Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications.

Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire.

Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgés, des cancers jusque-là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L’ANSM indique comme “signaux confirmés” la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exact de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge.

Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid, mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination.

Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner, car ils sont à risque infime de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés.

Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont très limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ? Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale.

Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy et Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres…

Parallèlement dans la même population de personnes jeunes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population-là que le “vaccin” peut avoir une certaine protection.… /… Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir.

Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du Covid lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du “vaccin” dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un “remède” plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…), mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps.

N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ? Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information.

Vous avez le droit de vous informer, car vous êtes nos représentants. La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la pseudo vaccination généralisée :

Au Royaume-Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la pseudo vaccination obligatoire
Au Texas l’injection anticovid des jeunes est interdite.
Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on leur annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants, mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des anti-vaccins, mais des vaccinaux prudents redoutent les effets de pseudo vaccins(([4] Ce ne sont pas des vaccins selon Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène)) encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants “du terrain” voient de vrais malades, contrairement aux médecins des plateaux télé qui extrapolent à partir de chiffres issus de simulations mathématiques dont la plupart se sont avérées erronées. Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique, mais un consensus pour défendre la santé des Français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soi-disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés par les médias et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.…/…

FAITES AU MINIMUM UN MORATOIRE, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre, mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale.

Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

Supprimer le passe sanitaire et faites arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : “tous vaccinés = tous protégés” slogan complètement faux, on le sait maintenant !

Levez les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin ».

Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire, mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

LA STRATÉGIE IMPOSÉE EST DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ :

c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0,05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement, car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…).

En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie »

Merci Mr Le Professeur pour cette belle lettre qui résume bien ce que nous, médecins fidèles au serment d’Hippocrate ressentons. Espérons que vous serez entendu…

Des professeurs de droit conseillent de rappeler aux élus l’expérience de Papon :

« Je vous recommande de diffuser largement cette mise en garde solennelle d’un professeur de médecine et de préciser à vos éventuels destinataires parlementaires que si les choses devaient se gâter sérieusement, nous serions dans le cadre de poursuites pour “crime contre l’humanité”. En ce domaine il n’y a ni prescription, ni immunité parlementaire ou autre. 

Papon l’a appris à ses dépens sur le tard, et pourtant il avait des circonstances atténuantes, car la France était occupée par une puissance totalitaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment… »

En résumé et comme le conseille également Éric Verhaeghe

Continuer à écrire en masse aux sénateurs (contre la loi d’obligation vaccinale) et aux députés (contre la prolongation de l’état d’urgence et du pass sanitaire, et contre toutes les mesures « sanitaires »).

Il y a actuellement 4 cas de covid pour 100 000 habitants, bulletin du Réseau de surveillance Sentinelles du 29/9/2021, et ce taux est très bas depuis novembre 2020, le seuil épidémique étant de 173 cas / 100 000 h.

Toutes leurs adresses sont sur www.voxpublic.org, rubrique « Annuaires partagés ».

« Attention, danger ! Le texte rejeté reviendra.

Le Courrier des Stratèges suit ce dossier depuis plusieurs mois. Le 1er juillet, nous vous avions averti du rôle joué par Bernard Jomier, qui sert de poisson-pilote à Emmanuel Macron et Olivier Véran. Plus récemment, nous vous avons montré combien une réélection d’Emmanuel Macron rendrait quasi-certaine une vaccination obligatoire contre le Covid. 

Ce qui doit inquiéter le plus, c’est le type d’argumentation développée, purement planiste, quantitative et volontariste sans aucun rapport avec le réel d’une palette de vaccins à dispositions encore peu efficaces et comportant des effets secondaires beaucoup plus nombreux que pour d’autres vaccins. Comme l’a dit Éric Verhaeghe dans ces colonnes, la vaccination obligatoire est “fâchée avec le principe de précaution‘.  C’est pourtant le moment de se rappeler la formule de Chesterton sur la folie — ici idéologique — qui consiste à ‘avoir tout perdu sauf la raison’. Le texte reviendra, parce qu’ainsi le veut la raison technocratique. Le jour même où la proposition de texte est rejetée, la Haute Autorité de Santé recommande une troisième dose de vaccin Pfizer pour les soignants soumis depuis seulement le début août à la vaccination obligatoire. Et l’expérience des assemblées conduit à redouter un passage à l’usure ou par surprise, lors d’une discussion parlementaire en petits effectifs. Il va falloir rester très vigilants. »(([5] Le rejet du texte du PS pour la vaccination obligatoire ne signifie pas que le danger soit écarté —Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’heure est grave et personne ne doit se croire dispenser de se battre pour la liberté de soigner, pour le libre choix thérapeutique et en particulier pour la liberté vaccinale.

Aucun politique ne pourra être choisi par le peuple s’il ne défend pas le peuple et aujourd’hui s’il ne bat pas pour le libérer MAINTENANT de l’état d’urgence pseudo- sanitaire complètement injustifiable, des masques et des injections mortifères. REGAGNONS NOS LIBERTÉS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD COMME L’EXPLIQUENT LES SURVIVANTS DES CAMPS.





Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups. 

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie STEVENS

À La Hulpe

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.(([1] « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation)) En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »(([2] Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Joseph
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire)) est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1— Fiabilité des études préliminaires :

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts(([3] Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniques
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4)) leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2— Efficacité du vaccin :

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3— L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4— Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.

5— De la vaccination obligatoire et généralisée.

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans,
il est non nul pour l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités
de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.(([4] http://youtu.be/Vdg4vVmFy5g)) Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).





La HAS exprime ses craintes sur le vaccin et son impact sur les défenses immunitaires

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Plus personne désormais ne remet en cause la très faible efficacité du vaccin (et deux études scientifiques que nous citons ici, publiées dans le prestigieux New England Journal Of Medicine, le démontrent). Malgré l’évidence répétée que la vaccination n’empêchera pas de nouvelles vagues de contaminations, et malgré une reconnaissance par l’EMA de nouveaux effets secondaires du vaccin Pfizer, la Haute Autorité de Santé française préconise désormais une 3è dose de vaccin. En reconnaissant parfaitement que, pour les jeunes générations, le bénéfice-risque est discutable. La logique des sacrifices humains s’affiche au grand jour.

Si la caste mondialisée qui nous dirige était capable d’un minimum de raison et de souplesse face à ses certitudes religieuses, elle examinerait posément ce que signifie aujourd’hui l’analyse bénéfice-risque du vaccin Pfizer, sans y mettre d’orgueil idéologique ni de considération dogmatique sur l’utilité de la vaccination en général. Car, redisons-le, le vaccin à ARN Messager que nous sommes contraints de subir (on suivra ici avec attention la décision du Conseil d’Etat en référé sur l’obligation vaccinale en Polynésie) n’est pas un vaccin comme les autres. C’est un jeune vaccin qui soulève, de l’aveu même de nos autorités scientifiques, de sérieux problèmes de santé et d’efficacité.  

Mais, sans prendre la moindre précaution, nos autorités maintiennent contre toute rationalité une logique de sacrifice qui soulève de graves questions éthiques. 

L’agence européenne élargit la liste des effets secondaires graves

La presse subventionnée ne l’a évidemment pas relevé, mais l’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient d’élargir la liste des effets secondaires du vaccin Pfizer. Elle reconnaît désormais comme nouveaux effets secondaires les érythèmes multiples et la perte du toucher. 

Ceux qui méconnaîtraient la liste des effets secondaires reconnus de ce vaccin, nous la rappelons ici :

Comme on le voit, on y trouve aussi l’asthénie, la léthargie, la perte d’appétit, des sueurs nocturnes, des désordres menstruels et des inflammations des reins. Nous le répétons, il y a tout lieu de penser que cette énumération est extrêmement limitative par rapport à la réalité. Mais elle prouve que les autorités sanitaires ne peuvent pas faire comme si elles ne savaient que le vaccin Pfizer posait des problèmes de santé. 

Des études soulignent l’inefficacité du vaccin

Dans le même temps, la prestigieuse revue scientifique New England Journal of Medicine vient de publier deux études qui démontrent l’inefficacité forte des vaccins dans la lutte contre l’épidémie. 

Une étude israélienne conclut ceci :

Six months after receipt of the second dose of the BNT162b2 vaccine, humoral response was substantially decreased, especially among men, among persons 65 years of age or older, and among persons with immunosuppression.

Autrement dit, la réponse immunitaire au virus permise par le vaccin ne dure pas six mois, ce qui pose un vrai problème quant à l’efficacité dudit vaccin. 

Une étude qatarie confirme ces résultats :

BNT162b2-induced protection against SARS-COV-2 infection appeared to wane rapidly following its peak after the second dose, but protection against hospitalization and death persisted at a robust level for 6 months after the second dose. (Funded by Weill Cornell Medicine–Qatar and others.)

Traduction : la protection apportée par le vaccin diminue rapidement, même si (c’est la version officielle) la protection contre les formes graves ou mortelles se maintient à un niveau robuste pendant six mois après la seconde dose. 

Conclusion : le vaccin ne fonctionne que très peu de temps après la deuxième dose pour empêcher la circulation active du virus (être contaminé et contaminer les autres), et il n’empêche les cas graves que pendant six mois. Ces constats ne proviennent pas de quelconques sites complotistes, mais de sources parfaitement autorisées et non contestées par les grands défenseurs du vaccin. 

La Haute Autorité de Santé dresse des constats pires

C’est à la lumière de ces études qu’il faut lire les deux derniers avis rendus hier par la Haute Autorité de Santé sur la troisième dose de vaccin. Un premier avis élargit le périmètre de la dose de rappel aux personnels soignants. Un second texte donne une recommandation au gouvernement sur la dose de rappel de Pfizer, à distinguer de la troisième dose. 

Chacun de ces avis mérite d’être lu, car ils révèlent tous deux des considérations qui constitueront un jour des imprudences bien plus graves que l’affaire du sang contaminé. 

Le premier avis, qui préconise une dose de rappel pour les soignants, explique sans ambiguïté que l’efficacité du vaccin baisse rapidement, et qu’il n’empêche pas la circulation de la maladie. Il justifie la dose de rappel (soit six mois après la deuxième dose, et non quelques semaines après celle-ci comme pour la “troisième” dose, il faut suivre ces distinctions jésuitiques) par la nécessité de diminuer les contaminations des “plus fragiles” mais certainement pas de les empêcher…

Mais la conclusion de l’avis est particulièrement assassine au regard du risque que la Haute Autorité de Santé fait prendre à la population :

La HAS considère que l’amélioration de la situation sanitaire et les données encore limitées sur les conséquences d’un déclin de l’efficacité vaccinale au cours du temps chez le jeune adulte sans comorbidité ne justifient pas à ce stade de recommander l’administration d’une dose supplémentaire en population générale. 

Donc, il est clairement établi que les données sur le bénéfice-risque de la vaccination pour les jeunes adultes est loin d’être clair ! Malgré ce manque de connaissance, la Haute Autorité exige, pour “protéger” les autres, que ces jeunes adultes se vaccinent s’ils sont soignants. 

Quelle façon tordue de reconnaître que la vaccination est potentiellement plus dangereuses que la non-vaccination chez les adultes sans comorbidité ! Quel scandale sanitaire que de reconnaître sans l’assumer les sacrifices humaines auxquels on promet ces jeunes adultes, pour mieux protéger nos petits vieux…

La Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle ne sait pas si une 3è dose sert à quelque chose

Mais c’est surtout le second avis, baptisé “recommandation”, qui mérite son pesant de cacahuètes. Dans un premier temps, il donne des chiffres officiels sur le taux d’échec du vaccin, bien plus élevé que les données affichées par l’Agence Européenne du Médicament lors de l’attribution de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle. 

Nous laissons ici le lecteur se forger sa propre opinion :

Mais de cet avis, nous retiendrons des phrases explicites qui montrent que le principe de précaution est ici totalement balayé au nom d’une doctrine fondée sur l’acceptation consciente de sacrifices individuels au nom du bien du “groupe” (réduit en l’espèce à quelques membres apeurés). 

Ainsi, on retrouve cette phrase :

  • Les données limitées d’une étude rétrospective israélienne (avec seulement 245 infections survenues chez des personnes ayant reçu une dose de rappel en Israël), montrent que l’administration d’une dose de rappel est associée à une diminution statistiquement significative de la charge virale en comparaison à celle des personnes primovaccinées qui n’avaient pas reçu leur dose de rappel, suggérant ainsi que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité des personnes développant une infection par le SARS-CoV-2 (variant Delta).

De façon totalement ahurissante, la Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle fonde sa recommandation sur des “données limitées”… “suggérant”… “que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité”. On se pince pour vérifier que l’on ne rêve pas. 

Ainsi, la décision d’obliger les soignants à recevoir une troisième dose se fonde sur une étude aux “données limitées” qui suggère l’efficacité du procédé, et “probablement” la baisse de la contagiosité. Nous sommes ici non plus dans le domaine de la science, mais de la spéculation. 

Souvenons-nous des arguments opposés à l’hydroxychloroquine ou à l’ivermectine : malgré des études positives, les autorités sanitaires en demandaient toujours plus, pour, au final, interdire ces traitements. En revanche, la pauvreté des données sur le vaccin Pfizer ne semble pas être un obstacle à la reconduction de son utilisation. 

Deux poids deux mesures ! Mais une certitude est acquise : dès qu’il s’agit de vaccin, la suggestion, la vraisemblance, le conditionnel, l’indigence des données suffisent largement pour établir des preuves scientifiques. 

La HAS ne dit pas tout sur ses inquiétudes profondes

Nous laissons chaque lecteur lire la recommandation de la Haute Autorité de Santé au prisme des doutes qu’elle laisse transparaître sans oser les écrire clairement. Mais on sent partout, dans cet avis, la gêne de ceux qui sont pris de doutes mais qui, dans le climat ambiant de détestation et de bannissement, n’osent guère prendre la parole pour dénoncer l’imposture. 

Nous retiendrons seulement les dernières phrases qui en disent long sur les craintes de ses membres :

Par ailleurs, la HAS insiste sur le fait que l’essai de phase 3 devra être poursuivi afin de pouvoir disposer de données d’immunogénicité, d’efficacité et de tolérance à plus long terme et souhaite être informée des résultats des analyses en sous-groupes dans cet essai, ainsi que des études mises en place dans le cadre du Plan de Gestion des Risques (PGR). La HAS souhaiterait également disposer d’informations complémentaires sur l’acceptabilité de la vaccination, en particulier sur les motifs des refus de vaccination chez les professionnels du secteur de la santé et du médico-social.

Cet avis sera revu en fonction de l’évolution des connaissances, notamment au regard des données d’efficacité et de sécurité en conditions réelles d’utilisation sur un plus long terme (données israéliennes notamment), des résultats complets des essais de phase 3 chez l’adulte, ainsi que des données épidémiologiques et de pharmacovigilance.

Autrement dit, la HAS ne cache pas son inquiétude sur la tolérance à long terme vis-à-vis du vaccin, et sur les conséquences en matière “d’immunogénicité”. Ce terme savant recouvre la probable baisse durable de défenses immunitaires chez les personnes vaccinées. Tiens ! tiens !

En outre, elle commence à se poser des questions sur le refus du vaccin chez les médecins et les soignants… Elle indique clairement que la mise sur le marché doit rester conditionnelle tant que des données à plus long terme ne sont pas mises à jour. 

Toutes ces précautions devraient naturellement conduire à suspendre la vaccination en attendant d’y voir plus clair. C’est la rationalité même qui l’exige. Mais les talibans au pouvoir ne sont plus, depuis longtemps, dans le domaine de la raison. 




Les mécanismes des régimes totalitaires

[Extrait de Viol des esprits et psychose de masse – Anthropo-logiques]

Audition donnée devant la Commission Corona de l’avocat allemand Reiner Fuellmich par le Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires.

Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes.

Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique diffuses, amplifiées par la perte de liens sociaux. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable que tout facteur obvie apparaissant porte en lui le risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation.

Un agent comme le coronavirus peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse : grâce au Covid, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés.

La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas), les gens s’éprouvent victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié (le redoutable virus, auquel se retrouvent agglutinés ceux qui contestent le narratif officiel -complotistes et antivaxx selon les étiquettes de circonstance- désignés eux aussi comme des « dangers publics » ) et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).

Dans ce processus, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples renoncent actuellement à leurs droits et libertés.

Une fois cet « engoncement » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance implique nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante, perspective psychiquement insupportable. Ce qui explique pourquoi les « covidistes » (autorités et population) sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer.

Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile pour elle l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend à l’inverse les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes.

Les chiffres insensés que continue à produire la Task Force scientifique suisse dans ses hallucinations modélisatoires en est un bon exemple : après avoir prétendu à l’encontre de toute réalité que les confinements avaient sauvé des dizaines de milliers de vies (là où la vraie science montre qu’il n’ont pas eu d’impact favorable) sa vice-présidente Samia Hurst est venue il y a peu expliquer aux médias complaisants que le pass sanitaire allait permettre maintenant d’éviter des dizaines de milliers d’hospitalisations, là où les meilleurs épidémiologistes ont montré son inutilité en ce sens. A part aligner les « 0 » après un nombre entier dans de parfaits fantasmes pseudoscentifiques, les élucubrations de la Task Force ne sont rien d’autre depuis le début de l’épidémie de Covid que des productions proprement délirantes au regard des critères de la vraie science.

Symptôme d’un mal plus profond : comme le problème n’est pas intellectuel ou logique, les données véridiques ne peuvent rien pour ces psychismes azimutés. Qui se tiennent parmi hélas dans une grande bouffée psychotique pour le plus grand malheur de la population.

Alors comment sortir de l’ornière ?! Mattias Desmet souligne qu’il y a toujours dans les formations de masse une répartition inégale de la population : à peu près 30% est captive de l’hypnose collective et ne dispose pas de la ressource nécessaire à la remettre en question. 40% de la population est simplement emportée par le mouvement, mais tout en conservant la ressource latente de se questionner et de sentir intuitivement que quelque chose ne joue pas. En particulier dans la présentation absurde des données. Enfin, de 20 à 30% de la population est constituée de personnes qui ont une immunité psychique face à la formation de masse. Elles ont vocation à être des gardiens des valeurs humaines et du bon sens, avec pour objectif principal de garder le dialogue ouvert avec les 40% de personnes « récupérables ».

Cette audition est si éclairante, si fondamentale, que je ne peux qu’en recommander vivement le visionnement. Fuellmich et son équipe poussent évidemment les questions plus loin, notamment quant à la possible « ingénierie » délibérée et impliquant donc une responsabilité pénale de certains acteurs. La suite est à découvrir ici :



  • Article « Masse und Macht renommées « La formation de masse » par Mattias Desmet » par Valoloz sur son blog de Mediapart : cliquer ici.
  • Dr. Mattias Desmet – psychological crisis and mass formation, podcast (en anglais) : cliquer ici.

[Voir aussi :
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Idriss Aberkane : « L’État français est un des plus gros producteurs de fake news »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Idriss Aberkane a relevé le défi ! Conférencier, essayiste, titulaire de plusieurs doctorats dans des disciplines aussi différentes que les sciences cognitives, la géopolitique ou encore la littérature comparée, Idriss Aberkane est consultant international, auprès de gouvernements et d’entreprises, avec pour sujet de prédilection le développement durable.

S’intéressant toujours à ses premières amours, la biologie ou les mathématiques, il dénonce le niveau de corruption inédit de l’industrie pharmaceutique comme il l’avait évoqué dans un debriefing en décembre 2020. Un exemple : la déclaration d’un éditorialiste de CNN qui affirmait que l’ivermectine était un vermifuge pour chevaux. Or, si l’ivermectine est effectivement à usage vétérinaire, cette molécule multi-thérapeutique qui a été découverte par un prix Nobel de physiologie en médecine, était indiquée chez l’homme avant d’être prescrite en médecine vétérinaire. La vérité étant dans la totalité d’une information, celle-ci, si elle est incomplète, la transforme en mensonge aggravé.

Il fustige le « deux poids, deux mesures » en matière de preuves demandées pour les différentes molécules thérapeutiques, des exigences nulles pour certains traitements coûteux et innovants, tandis qu’il est demandé à des molécules repositionnées un niveau de preuve toujours plus élevé.



Rappelant le parcours exceptionnel du professeur Raoult, il regrette une époque où l’on peut dénigrer les plus grands savants du jour au lendemain. A ce propos, il cite Malcolm X qui avait dit dans les années 60 : « Méfiez-vous des médias : ils peuvent vous faire adorer votre oppresseur et vous faire détester les opprimés ».

Sur la décision du président Macron de créer un observatoire contre le complotisme destiné à contrôler les fausses informations, il déplore une idée catastrophique alors que l’État en est un plus gros producteur de fake news. Le pouvoir médiatique étant l’un des plus puissants, l’enquête ne peut revenir in fine qu’au peuple, seule entité rigoureuse et légitime pour vérifier, recouper, échanger, discuter et contredire l’information. Pour cela, il réclame un journalisme citoyen, le combat du terrorisme intellectuel, l’arrêt immédiat d’un système qui promeut de fausses élites et le retour à la méritocratie.

Un « Défi de la vérité » à l’image de son invité : éclectique, percutant et iconoclaste.




La Commission Bronner en guerre contre la liberté d’expression

Par Nicole Delépine

[Photo : Le sociologue Gérald Bronner préside cette commission. AFP/Ludovic Marin]

Qui sont les complotistes ? Ceux qui posent les questions, ou bien ceux qui refusent d’y répondre et mentent en permanence, les médias dominants et les comploteurs du pouvoir… ? Écoutez cette interview de Mme Anne Sophie Chazaud, essayiste et auteur du livre « la liberté d’expression » sur Sud radio par André Bercoff.

Le nom de la commission fait appel « aux Lumières » ce qui est en soi une inversion à la Orwell ! « La paix, c’est la guerre !(([1] Dans 1984 ou il décrit le parfait totalitarisme qu’il a combattu les armes à la main et disséqué ensuite finement dans ses romans))». Pour saluer la création d’un ministère de la Vérité de Macron ?

L’auteur du livre confirme que cette commission traduit l’obsession de la Macronie de bloquer le débat démocratique depuis quatre ans et d’interdire progressivement le droit à l’expression. Cette commission vient compléter l’arsenal mis en place depuis 2017 : la loi anti-fake news, la tentative de la loi Avia (qui revient par la fenêtre), la tentative de Conseil de l’Ordre des journalismes et le décret de décembre 2020 qui interdit la liberté de paroles des médecins dorénavant appelés à défendre le point de vue gouvernemental sur tous les sujets médicaux. Très épouvantable enterrement d’Hippocrate qui a toujours spécifié :

« Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. »(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Serment_d%27Hippocrate))

Pour Anne-Sophie, cette commission contre le « complotisme vise à compléter l’arsenal de l’entrée en campagne d’Emmanuel Macron, qui a annoncé sa volonté de prolonger le passe sanitaire jusqu’après l’élection. (ne serait-ce pas pour empêcher ses opposants d’entrer dans les bureaux de vote, évitant ainsi qu’ils soient scrutateurs et qu’ils veillent sur les urnes et/ou pour justifier le vote par correspondance aboli jadis parce qu’il permettait les trucages ?).

Cette commission, qui va déclarer qui est complotiste ou non, est présidée par Bronner, lui-même auteur dans son livre de fake news que Bercoff signale ! Quant à Guy Vallancien, macroniste fervent et défenseur de l’industrie pharmaceutique convaincu, il a été condamné par le Conseil de l’Ordre pour mensonges et a exprimé son humanité en laissant pourrir et manger par les rats les corps des personnes confiés à sa garde…

Mais qu’importe ces personnes qui seront toujours discutables car sans légitimité démocratique puisque choisies par le prince, c’est le principe lui-même de la commission qu’il faut combattre !

Qu’est-ce qui est acceptable alors que toute pensée divergente de la pensée du Président est considérée comme complotiste ?

Mélange des genres dans cette commission, le fait du Prince. Sur la question de la vérité, qui va décréter que ce qui va se dire est la vérité ou pas ? On est dans une démarche politique, et purement politique.

L’État veut contrôler l’information. Le concept de fake news a été monté en épingle au moment de l’élection de Trump pour le décrédibiliser et est devenu à la mode en France et pourtant !

André Bercoff confirme que dans les main stream il y a autant d’informations fausses, mais cela n’a pas attendu l’informatique et il rappelle par exemple les fausses nouvelles de la guerre de 14.  Et nous ajouterons les charniers de Timisoara ou les mensonges majeurs de la guerre d’Algérie. Alors oui les réseaux sociaux peuvent receler de fausses informations, mais cela ne date pas d’aujourd’hui mais dès qu’il y a information.

Le pouvoir s’en sert d’ailleurs largement quand il répand sur les réseaux et les TV des clips faisant croire que les petits-enfants pourraient infecter leurs grands-parents, que les vaccins actuels auraient terminés leurs essais et qu’ils seraient efficaces et sans dangers  ce qui sont d’énormes fake news à l’origine de bien des malheurs, des familles privées de contact, aux enfants et adolescents « vaccinés » par extorsion de consentement sur fausse info, et des effets secondaires parfois graves, perte de vue, troubles neurologiques peu réversibles, voire décès.

Et La MHRA dispose désormais de suffisamment de preuves sur le système de la carte jaune pour déclarer les vaccins Covid-19 dangereux pour une utilisation chez l’homme. Des préparatifs doivent être faits pour intensifier les efforts humanitaires afin d’aider les personnes touchées.(([3] Mark Ready Visage souriant avec des yeux rieurs Fleur de cerisier @MarkReady47    2 oct))

À qui va profiter cette commission ? Il s’agit de délégitimer les opposants du pouvoir, purement et simplement.

Et par ailleurs le pouvoir utilise les mensonges à longueur de journée. Il va falloir faire taire les opposants. Avec la loi fake news, le juge va établir ce qu’est la vérité et a le droit de faire supprimer en 48 h un contenu.  Nous arrivons au modèle chinois ou nord-coréen, et au ministère de la Vérité d’Orwell.

Néanmoins il y a raidissement autoritaire par la panique, car l’opinion commence à comprendre, comme le démontrent les centaines de milliers de manifestants qui arpentent les rues chaque week end et les blocages qui commencent à se multiplier.

Même si le pouvoir tente de bloquer encore plus les réseaux sociaux déjà largement censurés sur Facebook et Twitter (qu’il faut abandonner largement), cela nous contraindra à reprendre les bonnes vieilles méthodes des tracts, du boîtage aux lettres, des discussions à la sortie du métro ou des magasins et finalement à toucher beaucoup plus de personnes éloignées jusque-là de nos circuits. Le mieux est l’ennemi du bien, mais les énarques ne l’apprennent probablement pas dans leur monde coupé de la réalité.

Le pouvoir panique. Doucement les covidistes sincères prennent conscience. Poursuivons l’information par les faits avérés, rien que les faits, seuls capables de désintoxiquer les cerveaux conditionnés par la propagande effrénée du pouvoir depuis 20 mois. Défendons l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement.

GARDONS ESPOIR
Et n’oublions pas que les peuples se réveillent partout dans le monde.

Opération escargot dans les Alpes-Maritimes le 4 oct 2021 en opposition au passe sanitaire sur la A 8

https://twitter.com/i/status/1444996010049163268

blocage de l’ARS de Rouen, journée nationale de blocage contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale.

Blocage en Charente contre le passe sanitaire en ce lundi noir

RUNGIS « il y a des blocages en Île-de-France, on passe à l’action »

On va bloquer le pays on est contre le passe sanitaire et contre l’obligation vaccinale, on veut une augmentation des salaires

Opération escargot sur la rocade de Bordeaux (33) tôt ce matin / des blocages aussi dans toute la France ce matin : Vichy, Belfort, Chambéry, La Rochelle, Charente, Alpes-Maritimes…

Écoutez l’interview du Pr Raoult sur l’information et les faits réels :

où il commence par se poser la question du harcèlement sur l’IHU et sur sa personne et la gravité de ces mœurs anti-élite qui règnent en France et qui ne sont pas combattus par les autorités.




Facebook, Instagram, WhatsApp tombent en rade dans le monde entier après la disparition des registres DNS (C’est même encore pire que ça !)

[Source : Aube Digitale]

[Note de Joseph : si les réseaux virtuels tombent en panne, il reste les relations réelles (à recréer au besoin, ce qui n’exige aucune technologie).]

Mise à jour (20h07) : Facebook semble avoir plus que des problèmes de registres DNS, comme le rapporte Sheera Frenkel du NYT :

« Je viens de parler au téléphone avec une personne qui travaille pour FB et qui a décrit des employés incapables d’entrer dans les bâtiments ce matin pour commencer à évaluer l’étendue de la panne parce que leurs badges ne fonctionnaient pas pour accéder aux portes. »

Mise à jour : Cela fait plusieurs heures, et Facebook, Instagram, Whatsapp, et Facebook Messenger, sont toujours hors service. Selon des chercheurs Internet, Facebook semble être confronté à un problème de système de nom de domaine (DNS).

Le chercheur en sécurité Internet Brian Krebs a tweeté :

Confirmé : Les enregistrements DNS qui indiquent aux systèmes comment trouver Facebook.com ou Instagram.com ont été retirés ce matin des tables de routage mondiales. Pouvez-vous imaginer travailler chez FB en ce moment, lorsque votre courriel ne fonctionne plus et que tous vos outils internes basés sur FB tombent en panne ?

Pour être plus précis (et facteur 5 du Geek), les routes BGP desservant le DNS faisant autorité de Facebook ont été retirées, rendant tous les domaines Facebook inaccessibles. C’est ce qu’affirme @DougMadory , qui s’y connaît un peu en BGP/DNS.

La recherche des enregistrements DNS de Facebook ne donne rien.

Kevin Collier de NBC News a qualifié les problèmes de DNS chez Facebook de « vraiment mauvais ».

Nous ne savons pas encore exactement ce qui se cache derrière le problème de DNS qui a mis Facebook/Instagram/WhatsApp hors ligne, mais c’est vraiment mauvais. Pratiquement tout ce qui passe par ces trois entreprises est inaccessible. Les employés ne peuvent même pas entrer dans les salles de conférence parce qu’elles sont *internet des objets* !

Il y a même une réaction en chaîne sur Internet.

Pendant ce temps, tout le monde sur Twitter…

Downdetector rapporte que Facebook, Instagram, Whatsapp et Facebook Messenger connaissent des problèmes et/ou des pannes dans le monde entier. Cette panne intervient juste avant qu’un lanceur d’alerte de Facebook ne témoigne devant le Congrès mardi.

Les utilisateurs ont commencé à signaler des problèmes sur la plateforme de médias sociaux vers 17h20.

Les utilisateurs de Facebook signalent que le site Web ne se charge pas, avec un message d’erreur indiquant :

« Désolé, un problème est survenu. Nous y travaillons et nous le réparerons dès que possible. »

Andy Stone, porte-parole de Facebook, a reconnu sur Twitter que « certaines personnes ont des difficultés à accéder à nos applications et produits. »

Ces pannes généralisées surviennent alors qu’une lanceuse d’alertes de Facebook doit témoigner devant le Congrès mardi. La lanceuse d’alerte est apparue dans l’émission « 60 Minutes » dimanche, décrivant en détail la mission de l’entreprise technologique, qui consiste à faire passer le profit avant « ce qui est bon pour le public », notamment en luttant contre les discours haineux.

Les actions de l’entreprise technologique ont chuté de 6 % en début d’après-midi, en raison non seulement de la lanceuse d’alertes, mais aussi de la panne mondiale.

Les utilisateurs de Facebook se sont rendus sur Twitter pour se plaindre des pannes :

… et il y a ça :

L’utilisateur de Twitter Chad Loder a tweeté : « Quelqu’un a détruit les enregistrements DNS A et AAA de Facebook, Instagram et WhatsApp. »

Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a répondu au tweet de Loder et demande « A combien? »

Laissez les théoriciens du complot se déchaîner avec les événements d’aujourd’hui :

« Facebook est en panne parce que la lanceuse d’alertes faisait le buzz aujourd’hui avant son témoignage au congrès. Maintenant, il y a une panne qui est en train de buzzer. Un astucieux coup de coms », a déclaré un utilisateur de Twitter.

Le bon côté des choses, c’est qu’avec une grande partie des plateformes de médias sociaux hors service aujourd’hui, les gens vont peut-être se remettre au travail et stimuler la productivité mondiale puisque la panne est généralisée.




Médecins de plateaux : les nouveaux télévangélistes

[Source : RT en français]

[Photo : © REUTERS/Regis Duvignau/File Photo]

Ariel Beresniak, docteur spécialiste en santé publique, met en garde contre les médecins de « plateaux » des médias mainstream, qui relaieraient le discours du pouvoir sur les questions de santé et donneraient une fausse idée du consensus scientifique.


Par Ariel Beresniak.

La « pandémie de Covid » a fait émerger une nouvelle catégorie de médecins, les médecins de « plateaux ». Il ne s’agit pas des plateaux de Madagascar ou des Andes, mais des plateaux de télévision.

Ces médecins étaient inconnus du grand public avant la crise sanitaire. Ils ont été sélectionnés soit par les médias qui étaient à la recherche de médecins experts, soit par le pouvoir exécutif à la recherche de conseillers scientifiques courtisans.

Issus de spécialités très variées (urologues, urgentistes, réanimateurs, diététiciens, généralistes, immunologistes voire même simples administrateurs comme les directeurs d’hôpitaux…), le plus souvent très éloignées de celle des maladies transmissibles, ils sont courtisés par toutes les chaînes d’information car le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives.

Le public s’est habitué à ces personnages en blouse blanche sachant expliquer l’intérêt des mesures gouvernementales coercitives

C’est que l’argument d’autorité allié à un ton péremptoire devant les caméras relèvent d’une stratégie de communication extrêmement efficace utilisée couramment par les télévangélistes américains. Ces successeurs modernes des prédicateurs anglais itinérants méthodistes du XVIIIe siècle fondent leurs stratégies de communication sur la répétition d’un même message élémentaire en utilisant un ton charismatique afin de provoquer une adhésion frénétique collective de l’audience écartant toute velléité d’esprit critique. Comme tous les catéchismes, la parole ne doit souffrir d’aucune critique car chaque question amène une réponse et chaque réponse correspond à une question.

Portés par une notoriété soudaine, il apparaît plus facile à ces médecins de plateaux, non compétents en dynamique des épidémies ou en évaluation des interventions de santé publique, d’adhérer et de colporter un dogme ambiant clé en main, plutôt que d’évoquer des informations alternatives pouvant exiger des investigations et des connaissances particulières.

Oscillant entre un ton condescendant et une agressivité paternaliste, ils relaient et martèlent ainsi avec conviction la communication du pouvoir exécutif, fusse-t-elle contradictoire à quelques semaines d’intervalle. Magister dixit, Le Maître a dit.

Pour convaincre, ces nouveaux télévangélistes ne disent pas « Dieu à dit que… » mais « La communauté scientifique a dit… » ou « La Science montre que… ». Qui peut être contre Dieu, la Communauté scientifique ou la Science ? Le mariage de la télévision et de la blouse blanche fait son grand œuvre : la force de conviction du « vu à la télé » exploite les principes élémentaires du marketing auprès d’un public naïf.

Aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général

Quelques éclaircissements permettent cependant à chacun de développer son propre esprit critique.

En premier lieu, aucun médecin honnête ne se permet de s’autoproclamer représentant de la communauté scientifique, encore moins de la science en général. La communauté scientifique ne cautionne aucun dogme. Elle est une mosaïque composée d’une multitude de chercheurs confrontant leurs idées et leurs travaux. Selon le fameux philosophe de la science Karl Popper, une théorie ne peut d’ailleurs être considérée comme scientifique qu’à la condition où elle peut être réfutée. Sinon il ne s’agit pas de science mais d’idéologie.

En deuxième lieu, un médecin n’est pas un scientifique. Il est à la fois moins et plus que cela : il est un homme de l’art. Un scientifique est titulaire d’une thèse de sciences, et non d’une thèse de médecine dite « d’exercice ». Un scientifique a publié un minimum d’articles scientifiques sur les sujets dont il est censé être compétent. Bien entendu, certains médecins peuvent aussi être de véritables scientifiques mais ils sont alors titulaires de deux doctorats et poursuivent une activité de recherche.

En troisième lieu, un médecin est compétent dans le périmètre de sa spécialité, voire de sa sous-spécialité. Le public devrait s’interroger face aux discours d’un urologue, d’un réanimateur ou d’un diététicien s’exprimant sur des sujets extérieurs à leurs domaines de compétence comme les épidémies à maladies transmissibles. On ne demande pas à un gynécologue obstétricien une prescription de lunettes de vue, ni à un ophtalmologiste de réaliser un accouchement.

La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques

Enfin les questions médicales et les interrogations scientifiques réelles ne se résolvent pas à la majorité ! La science n’est pas une démocratie et la vérité ne se décrète pas par le plus grand nombre, fussent-ils médecins ou scientifiques. Sinon la Terre serait toujours plate et toujours au centre de l’Univers.

L’ignorance de ces principes par le public permet aux télévangélistes en blouse blanche de manipuler très facilement leur audience par les techniques bien connues de lavage de cerveau dont l’objectif est d’amenuiser les résistances pour faciliter la persuasion :

  • Isolement social : situation imposée à la population pendant les confinements et couvre-feux, générant une vulnérabilité extrême
  • Contrôle de l’information et dénigrement de l’esprit critique : répétition de la pensée officielle unique avec avertissement à se méfier des informations alternatives présentées comme complotistes appartenant au camp du « mal »
  • Tromperie : déformation de la réalité par simplification pour accentuer le côté dramatique de l’épidémie et entretenir la peur
  • Soumission : incitation à se conformer au dogme
  • Identification au groupe : chaque individu abandonne sa propre personnalité pour rejoindre celle du groupe, par exemple des vaccinés
  • Contrôle du vocabulaire : une véritable novlangue s’est imposée depuis le début de l’épidémie (nombre de « cas », « clusters », on « sauve des vies », « pas de traitements », « la seule solution est la vaccination généralisée », etc.)
  • Distorsion de l’autorité : la seule autorité médicale valable est celle de l’État qui concentre tous les pouvoirs, relayés par les télévangélistes en blouse blanche. Les discours des autres médecins sont pervertis et à éviter.

Par ces moyens, la population se sent nécessairement fragilisée physiquement et moralement. Les sujets, se sentant coupables de risquer de contaminer les autres s’ils ne suivent pas strictement les règles imposées, demeurent les cibles idéales d’une persuasion psychologique.

Ces mécanismes d’avilissement de la population pendant la pandémie de Covid-19 n’auraient pas pu se mettre en place sans la complicité des principaux médias dits « mainstream » et du pouvoir exécutif qu’ils servent. Si les journalistes de ces médias avaient fait correctement leur métier, ils auraient sélectionné des spécialistes en fonction du périmètre de leurs compétences pour répondre aux questions légitimes de la population, ne serait-ce qu’en consultant la nature de leurs travaux accessibles sur les bases de données scientifiques. Les chaînes d’information auraient ainsi prôné des débats contradictoires d’experts confrontant tous les points de vue médicaux, plutôt que d’interviewer un seul médecin par plateau, lui laissant le champ libre pour déverser ses éléments de langage face à un public suffisamment fragilisé pour être conquis par le discours officiel. Il n’est ainsi pas étonnant que ce public manipulé constitue vite une majorité qui cherche à forcer la minorité dissidente à la rejoindre en servitude.

Le principe fondamental de la démocratie n’est-il pas de protéger la minorité contre la tyrannie de la majorité ? C’est bien le rôle de la Constitution censée protéger les droits de tous. Encore faut-il qu’elle soit respectée !

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/91312-medecins-plateaux-nouveaux-televangelistes-ariel-beresniak




Comment asservir un peuple ?

[Source : breizh-info.com]

« Vous voulez connaître le secret pour asservir un peuple ? Prévoir les comportements, contrôler les actions ? Déterminer les pensées ? Comment faire ? Certains ont tenté la coercition. Notre méthode est bien plus efficace, bien plus durable, bien plus profonde. Voulez-vous la connaître ? Écoutez bien.

Choisir un peuple en perte de repères, perdu, la suite sera d’autant plus efficace. Guerre longue, disparition de la tradition et de la foi, déclin civilisationnel, sentiment de déclassement : tout est bon à prendre. Ces peuples sont confrontés à un vide. C’est le moment parfait pour mettre en place notre système d’asservissement. La nature a horreur du vide. Les individus n’ont plus de repères ? À nous de leur en proposer : la valeur de l’argent, le goût du confort, le sens du matériel ; attractif et séduisant. Adhésion à ces valeurs : rapide et totale. L’avoir prend le dessus sur l’être. Les gens sont fiers de ce qu’ils possèdent, les gens commencent à se définir parce qu’ils possèdent. Et pour posséder, il faut acheter. Mais rapidement, l’achat des objets du quotidien ne suffit plus. La machine s’essouffle. Il faut posséder plus, toujours plus. On fait naître chez tous des nouveaux désirs, des désirs de plus en plus récurrents. Le désir devient besoin, le peuple devient marché, l’individu devient consommateur, la consommation devient reine… mais l’emprise est encore trop superficielle. Il faut rendre la dynamique plus durable, faire de cet attrait pour la consommation… une addiction. L’addiction, c’est quoi ? Une perte du libre arbitre qui découle d’une habitude.

Pour y arriver encore plus sûrement, s’appuyer sur la science : sociologie, ethnologie, sciences olfactives, neurosciences, toutes viennent renforcer encore plus les mécanismes d’addiction. Le progrès technique vient nourrir la dynamique ; on introduit alors le monde numérique. Tout est accessible plus vite, plus proche. Les notifications affluent à toute heure, donnant l’illusion du plaisir, l’illusion du bonheur. Le temps de cerveau disponible devient alors marchandise. Plus ça avance, plus le cerveau reptilien prend le dessus. Plus ça avance, plus l’emprise est totale. Les centres commerciaux sont devenus des prisons dans lesquelles les gens rentrent volontairement. Désormais, l’addiction est totale, la pathologie reconnue. Les individus en portent même les stigmates : depuis 2000, les gens qui naissent ont un QI inférieur à celui des générations antérieures. C’est la première fois. Un peuple millénaire fier est vaincu, asservi, se mettant lui-même aux chevilles les chaînes qui assurent sa servitude. Par leur addiction à la consommation, les Européens ont perdu la maîtrise de leur destin. Vous pensez avoir échappé à notre entreprise ? En êtes-vous vraiment sûr ? »

https://youtu.be/M9wGM49u2o0

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Une enquête en immersion dans la « fricosphère »

La bulle science est-elle bien couverte ? Pure et sans tache, exempte d’éléments matériels froids, métalliques, pouvant la salir ? Debout ! Tournez donc le dos aux conflits d’intérêt nuisant à l’intérêt du patient ! Au garde-à-vous devant la Vertu ! Les médecins auraient-ils étudié la médecine seulement pour l’argent, ou plutôt, nous l’espérons, pour soigner nos semblables ?

Trois panoramas ont déjà été publiés évoquant tour à tour :

  • le panorama de l’escroquerie (diagnostic, traitement et vaccin) – le Pr Buzyn et le Pr Karine Lacombe ont été mises en examen quelques jours après.
  • celui du harcèlement organisé contre l’IHU et le Professeur Raoult – que le Pr Raoult n’a pas hésité à dénoncer comme de la « délinquance antiélitisme ». Des plaintes ont été constituées ou vont l’être.
  • Et pour finir celui autour de RéInfoCovid, le collectif créé par le Dr Fouché et plus particulièrement de l’association RéInfo Liberté – pour lequel l’avocat Me Heringuez a dû se fendre d’un courrier de mise en demeure au journal « le Monde » pour avoir enfreint le code de déontologie journalistique à plusieurs reprises.

Quelques pépites dans ces enquêtes. Voici aujourd’hui, la suite sur les conflits d’intérêts et comment se plonger dans l’analyse et leur identification. Remontant la chaine des liens éventuels à partir d’ exemples concrets. « Qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges ». écrivait Anatole France en 1901 . 

Avant-propos

Inutile de revenir en longueur sur ce qu’a déjà mis en lumière FranceSoir quant aux conflits d’intérêts de l’OMS ou aux conflits d’intérêt financiers des médecins plateaux TV parmi lesquels le Professeur Lacombe reléguée au pied du podium – un petit rappel suffit :

Pas plus qu’il n’est utile de revenir sur les essais cliniques randomisés que le chercheur Valère Lounnas décrivait comme « la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques ».

Voici un petit exemple pratique autour d’un article scientifique pouvant mettre le lecteur sur la voie et faire comprendre comment un article peut être entaché de liens d’intérêts modifiant ses conclusions. Et faire taire ceux qui se mettent à hurler sur les réseaux sociaux dès que leurs turpitudes sont mises à jour. L’inélégance du hérisson urticant (@Sonic_Urticant identifié dans la harcelosphère contre l’IHU) ou le spécialiste du publireportage Pokemon @Willvs (alias William Audureau du Monde).

Le commencement passe par une analyse méthodique. Pour cela nous ferons appel à la méthode des « no Fake med » (groupe s’étant violement opposé à la recherche de l’IHU du Pr Didier Raoult pour des raisons de faiblesses méthodologiques !). Deux groupes sont nécessaire.

  • Un contrôle et
  • un soumis au dictat des intérêts matériels.

Le groupe contrôle

Pour commencer nous prenons l’étude italienne sur 3500 patients qui concluait à un bénéfice significatif du traitement des patients hospitalisés covid-19 avec l’hydroxychloroquine. Résultat : une baisse significative statistiquement de la mortalité de 30%.

Ce résultat correspond à celui observé à l’IHU du Pr Raoult sur la cohorte de 2000 patients hospitalisés (30% de baisse du risque de décès).

La réplicabilité des résultats est retrouvée dans deux autres études avec des cohortes similaires. En Italie, l’étude Di Castelnuovo sur 4000 patients – avec un bénéfice confirmé chez les patients à risque faible avant traitement. Cateau et al en Belgique reproduit aussi le bénéfice pour l’hydroxychloroquine. Autant pour les « no fake med » qui disent que le consensus scientifique conclut que l’hydroxychloroquine ne marche pas.

Le groupe à analyser

En continuant le parallèle, il est important de regarder le groupe à analyser. En l’occurrence les études ne reproduisant pas les résultats ci-dessus. Sands et al 2021 montre qu’il n’y a pas de bénéfice clinique chez les patients hospitalisés. Essayons de comprendre pourquoi ?

Le premier réflexe est de chercher les différences dans les conditions expérimentales ou des biais systématiques – suspecter un conflit d’intérêt.

Pourquoi tant de discordance et un effet diamétralement opposé ?

D’un côté un effet bénéfique prouvé dans de nombreux articles et de l’autre un effet délétère ? Ceci défie toute logique, y compris celle affectée des No Fake med.

Analysons ! Quels sont les biais ? Recherchons les conflits d’intérêt. A première vue, tout va bien, les auteurs ne déclarant pas de conflit d’intérêt.

Analysons plus en détail. Y aurait t-il (ô subtilité !) un lien d’intérêt ? Oui, la recherche a été financée par « HCA health system ». C’est le second réflexe à avoir – demander qui paie la recherche et les auteurs ?

Dans le cas présent, bien que les auteurs n’aient pas été payés directement par HCA health system, ceci constitue sans aucun doute un paramètre à prendre en compte. Il faut aussi bien regarder les affiliations des auteurs.
Et, oui les auteurs, employés HCA health system, doivent leur poste et leur travail à qui les emploie.

Les auteurs sont payés par le financeur de la recherche exposée dans l’article.

Cependant il faut chercher plus loin pour comprendre. A commencer par la taille des enjeux financiers. Oui, le pouvoir et l’argent mènent ce monde étranger à ses origines, depuis la chute des valeurs ou perte de bien des repères.

Qui est HCA health system ?

Le plus grand groupe hospitalier privé au monde avec 50 milliards de dollars de chiffres d’affaire en 2020. Le réflexe 2 est donc d’analyser la taille des enjeux financiers. 50 milliards ce n’est pas une paille.

Comprenons que HCA health system a une vocation lucrative et non pas humaniste et académique. Le bien-être du patient ne serait ainsi pas, pour cette corporation, une priorité !

Continuons par paraphraser Monsieur Philippe de Villiers, nous dirons que nous avons tiré sur le fil du conflit d’intérêt et tout est venu.

Le réflexe 4 est donc de clarifier les financeurs du financeur de la recherche. Regardons les actionnaires de la société HCA. Vanguard, un financier américain, truste sept des quinze premières places en terme d’actionnariat.

Continuons à tirer sur le fil de la pelote en remontant les actionnaires. Les médias mainstream diraient-ils que nous complotons?

Non, nous enquêtons – Vanguard Blackrock serait un financeur majeur en lien avec HCA health system.

Et nous associons et synthétisons nos découvertes.

Nous découvrons, ô hasard, que Vanguard Blackrock est un financeur indirect d’Elsevier, la maison d’édition du fameux (fake) article concluant en la nocivité de l’hydroxychloroquine.

Et nous tombons aussitôt sur les liens unissant SPILF – ELSEVIER- et le Dr Nathan Peiffer Smadja qui a été un des « négationnistes de l’efficacité de l’hydroxychloroquine » et un « promoteur du Remdesivir » (section plus bas dans l’article). A commencer par sa fameuse méta-analyse qu’il n’a sans doute pas écrite (contrairement à ce qu’il a affirmé par écrit sur l’article) car il n’était pas auteur dans la prépublication, et par des colloques SPILF.

https://www.elsevier.com/fr-fr/clinical-solutions/evenements/serie-infectio-le-point-sur

Parallèlement le Professeur Karine Lacombe tente de faire la promotion de ce traitement sur des critères intermédiaires (durée d’hospitalisation diminuée grâce à ce traitement, sans jamais mentionner les effets indésirables ni l’absence d’impact sur la mortalité).

Parallèlement, nous remarquons que le journal dans lequel est paru l’article incriminé est celui d’une société savante « International Society for Infectious disease (ISID) »… financée par… Pfizer.

Tirons la pelote. Les « No fake med » opposants affichés à l’IHU vont-ils apprécier ? Ils devraient puisqu’ils sont les champions du monde de l’intégrité !

Tirons la pelote et apparaît encore Vanguard Blackrock, financeur de Pfizer.

Patience, tirons encore un peu sur le fil ! Soyez attentifs, lecteurs, journalistes et médecins des plateaux TV !

Il ne reste plus qu’à reconstituer le puzzle et regarder tous ces liens pouvant entacher l’intégrité scientifique.

Pfizer et le vaccin d’un côté, Gilead et le Remdesivir de l’autre

Rappelons le LIEN d’intérêt unissant le jeune Docteur Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. L’association savante des infectiologues français a des liens si étroits avec Gilead que le laboratoire américain sponsorise les badges de leur colloque annuel

Rappelons (nous l’avions mentionné en début d’article) que François-Xavier Lescure de Paris – Bichat (qui a reçu de l’argent de Gilead) est l’adjoint du Pr Yazdan Yazdanpanah. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine.

Peut-être est ce pour cette raison que le jeune Nathan a recommandé le Remdesivir dans un « élan fougueux ». Cela a déjà été écrit mais rappelons les faits : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-diagnostic-traitements-vaccin-panorama-dune-escroquerie

Son thread fait croire que le HCSP a recommandé, en mars 2020, des thérapies cliniques alors que ce n’est pas sa mission. L’avis disait à Mr Véran de prendre un arrêté pour usage compassionnel du #remdesivir, ce qu’il n’a pas fait.

Attention, les conséquences sont concrètes ; cet article relate la toxicité de ce médicament utilisé à l’hôpital Bichât chez François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah (et donc chez le Dr Nathan Peiffer-Smadja).

Sur cinq patients, quatre effets indésirables hépatiques et/ou rénaux, dont deux patients en dialyse !

Mais, intérêt oblige le délire continue ! https://twitter.com/VirusWar/status/1439159792921190405?s=20

Autorisation en décembre 2020

Autorisation en juin 2021 !

Et pourtant une nouvelle étude parue dans le Lancet confirme l’absence d’intérêt du Remdesivir :

Attention, concernant la malhonnêteté, il y a des cas particuliers…

Il ne reste plus qu’à finir l’analyse par une bonne méthodologie pour faire plaisir aux « No Fake Med » que certains n’hésitent pas à décrire comme des « scientistes étroits ». Le « cas contrôle » n’avait pas de liens financiers pouvant influencer ses conclusions.

Pour conclure, quand vous lisez un article scientifique, n’hésitez pas à remonter le fil des financements et des liens d’intérêt; reconstituez vous-même le puzzle !

Rappelons que certains avocats ont déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale et n’hésitent plus à le comparer au procès dit de Nuremberg.

Si vous êtes arrivés jusqu’ici, ne croyez pas un mot de ce qui est écrit, vérifiez par vous-même.

Enquête réalisée par la rédaction de FranceSoir avec le Collectif Citoyen.

Auteur(s): FranceSoir




Camps de détention du COVID-19 : Les rafles gouvernementales des résistants sont-elles notre avenir ?

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

« Sans doute les camps de concentration étaient-ils un moyen, une menace utilisée pour maintenir l’ordre. »

Albert Speer, procès de Nuremberg

Il ne s’agit plus de savoir si le gouvernement enfermera les Américains pour avoir défié ses mandats, mais quand.

Voici ce que nous savons : le gouvernement a les moyens, les muscles et la motivation pour détenir les individus qui résistent à ses ordres et ne se conforment pas à ses mandats dans un vaste éventail de prisons, de centres de détention et de camps de concentration de la FEMA payés avec l’argent des contribuables.

Ce n’est qu’une question de temps.

La question la plus brûlante n’a plus d’importance (les vaccins obligatoires, l’immigration, les droits des armes à feu, l’avortement, le mariage homosexuel, les soins de santé, la critique du gouvernement, la protestation contre les résultats des élections, etc.

Le travail préparatoire a déjà été effectué

En vertu de la disposition relative à la détention indéfinie de la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), le président et l’armée peuvent détenir et emprisonner des citoyens américains sans accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme des terroristes.

Il n’est donc pas surprenant que le simple fait de critiquer le gouvernement ou de s’opposer à la vaccination contre le COVID-19 puisse vous faire qualifier de terroriste.

Après tout, il suffit de peu de choses pour être considéré comme un terroriste, d’autant plus que le gouvernement aime utiliser indifféremment les mots « anti-gouvernemental », « extrémiste » et « terroriste ».

Par exemple, le département de la sécurité intérieure définit les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale ».

Les vétérans militaires revenant d’Irak et d’Afghanistan peuvent également être qualifiés d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles par le gouvernement, car ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre. »

En effet, si vous croyez en vos droits constitutionnels et les exercez (à savoir, votre droit de parler librement, de pratiquer librement votre culte, de vous associer à des personnes partageant vos opinions politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d’exiger un mandat avant d’être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, bigote, anarchique ou souveraine), vous pourriez figurer en tête de la liste de surveillance du gouvernement en matière de terrorisme.

En outre, comme le souligne un éditorial du New York Times, vous pouvez être un extrémiste antigouvernemental (alias terroriste domestique) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement ne complote pour confisquer vos armes à feu, si vous pensez que l’économie est sur le point de s’effondrer et que le gouvernement va bientôt déclarer la loi martiale, ou si vous affichez un nombre inhabituel d’autocollants politiques et/ou idéologiques sur votre voiture.

Selon le FBI, vous pourriez également être classé comme une menace de terrorisme intérieur si vous adhérez à des théories du complot ou osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement.

Le gouvernement dispose également d’une liste de plus en plus longue, partagée avec les centres de fusion et les services répressifs, d’idéologies, de comportements, d’affiliations et d’autres caractéristiques susceptibles de signaler une personne comme suspecte et de la faire passer pour un ennemi potentiel de l’État.

C’est ce qui se passe lorsque l’on confie non seulement le pouvoir de déterminer qui est un danger potentiel aux agences gouvernementales, aux tribunaux et à la police, mais que l’on donne également à ces agences l’autorité libérale d’enfermer des individus pour des méfaits perçus.

C’est un système qui ne demande qu’à être abusé par des bureaucrates assoiffés de pouvoir et désireux de conserver leur pouvoir à tout prix.

Cela s’est déjà produit auparavant.

Comme le montre l’histoire, le gouvernement américain n’hésite pas à enfermer ses propres citoyens à ses propres fins

Il suffit de remonter aux années 1940, lorsque le gouvernement fédéral a proclamé que les Américains d’origine japonaise, qualifiés de dissidents potentiels, pouvaient être placés dans des camps de concentration (ou d’internement) sur la seule base de leur origine ethnique, pour voir jusqu’où le gouvernement fédéral est prêt à aller pour maintenir « l’ordre » dans son pays.

La Cour suprême des États-Unis a validé le programme de détention dans l’affaire Korematsu v. US (1944), concluant que la nécessité pour le gouvernement d’assurer la sécurité du pays l’emportait sur les libertés individuelles.

Bien que cette décision Korematsu n’ait jamais été formellement annulée, le juge en chef Roberts a opiné dans l’affaire Trump v. Hawaii (2018) que

« la relocalisation forcée de citoyens américains dans des camps de concentration, uniquement et explicitement sur la base de la race, est objectivement illégale et en dehors de la portée de l’autorité présidentielle. »

Les déclarations de Roberts n’offrent guère d’assurance en matière de sécurité, compte tenu de la tendance du gouvernement à contourner la règle de droit lorsque cela satisfait ses objectifs. Soulignant que de telles détentions manifestement illégales pourraient se reproduire – avec la bénédiction des tribunaux – le juge Scalia a un jour averti :

« En temps de guerre, les lois se taisent. »

En fait, la création de camps de détention au niveau national fait depuis longtemps partie du budget et des opérations du gouvernement, relevant de la FEMA, l’Agence fédérale de gestion des urgences.

L’histoire trouble de la FEMA remonte aux années 1970, lorsque le président Carter l’a créée par le biais d’un décret fusionnant plusieurs agences gouvernementales d’aide en cas de catastrophe en une seule grande agence.

Dans les années 1980, cependant, des rapports ont commencé à faire état d’exercices secrets d’entraînement de type militaire menés par la FEMA et le ministère de la Défense. Sous le nom de code Rex-84, 34 agences fédérales, dont la CIA et les services secrets, ont été formées à la gestion des troubles civils intérieurs.

Le rôle de la FEMA dans la création de camps d’internement américains top-secret est bien documenté

Mais faites attention à qui vous partagez cette information : il s’avère que le fait de s’inquiéter de l’existence des camps de détention de la FEMA fait partie de la liste croissante d’opinions et d’activités qui peuvent amener un agent fédéral ou un fonctionnaire à penser que vous êtes un extrémiste (alias un terroriste) ou que vous êtes favorable à des activités terroristes, et que vous pouvez donc être placé en détention pour une durée indéterminée en vertu de la NDAA. Cette liste de points de vue « dangereux » comprend également la défense des droits de l’État, la conviction que l’État n’est pas nécessaire ou est indésirable, la « théorie de la conspiration », les préoccupations concernant les camps de la FEMA, l’opposition à la guerre, l’organisation pour la « justice économique », la frustration à l’égard des « idéologies dominantes », l’opposition à l’avortement, l’opposition à la mondialisation et le stockage de munitions.

Si vous voulez avoir des camps d’internement sur le sol américain, il faut bien que quelqu’un les construise.

Ainsi, en 2006, il a été annoncé que Kellogg Brown and Root, une filiale de Halliburton, avait obtenu un contrat de 385 millions de dollars pour construire des centres de détention américains. Bien que le gouvernement et Halliburton n’aient pas précisé où et quand ces centres de détention nationaux seraient construits, ils en ont justifié la nécessité en cas « d’afflux urgent d’immigrants, ou pour soutenir le développement rapide de nouveaux programmes » en cas d’autres urgences telles que des « catastrophes naturelles. »

Bien entendu, ces camps de détention devront être utilisés pour toute personne considérée comme une menace pour le gouvernement, et cela inclut les dissidents politiques.

Ce n’est donc pas une coïncidence si le gouvernement américain a, depuis les années 1980, acquis et maintenu, sans mandat ni ordonnance du tribunal, une base de données de noms et d’informations sur des Américains considérés comme des menaces pour la nation.

Comme le rapporte Salon, cette base de données, qui aurait été baptisée « Main Core », doit être utilisée par l’armée et la FEMA en cas d’urgence nationale ou de loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. Il y a au moins 8 millions d’Américains dans la base de données Main Core.

Avance rapide jusqu’en 2009, lorsque le département de la sécurité intérieure (DHS) a publié deux rapports, l’un sur l’ »extrémisme de droite », qui définit largement les extrémistes de droite comme des individus et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale », et l’autre sur l’ »extrémisme de gauche », qui qualifie d’extrémistes les groupes de défense de l’environnement et des droits des animaux.

Chose incroyable, les deux rapports utilisent indifféremment les mots terroriste et extrémiste.

La même année, le DHS a lancé l’opération Vigilant Eagle, qui prévoit la surveillance des vétérans de l’armée revenant d’Irak, d’Afghanistan et d’autres pays lointains, les qualifiant d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles parce qu’ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ».

Ces rapports indiquent que pour le gouvernement, ce que l’on appelle l’extrémisme n’est pas une question partisane. Toute personne perçue comme s’opposant au gouvernement – qu’elle soit de gauche, de droite ou quelque part entre les deux – est une cible, ce qui nous ramène, en boucle, à la question de savoir si le gouvernement exercera le pouvoir qu’il prétend posséder pour détenir toute personne perçue comme une menace, c’est-à-dire toute personne critiquant le gouvernement.

La réponse courte est : oui.

La réponse plus longue est plus compliquée.

Malgré ce que certains peuvent penser, la Constitution n’est pas une incantation magique contre les méfaits du gouvernement. En effet, son efficacité dépend de ceux qui la respectent.

Toutefois, en l’absence de tribunaux disposés à faire respecter les dispositions de la Constitution lorsque des représentants du gouvernement n’en tiennent pas compte et en l’absence de citoyens suffisamment informés pour être indignés lorsque ces dispositions sont remises en cause, la Constitution n’offre que peu ou pas de protection contre les raids des équipes d’intervention, la surveillance domestique, les tirs de la police sur des citoyens non armés, les détentions illimitées, etc.

Pour être franc, les tribunaux et la police ont tellement harmonisé leur façon de penser que tout est permis quand c’est fait au nom de la sécurité nationale, de la lutte contre la criminalité et du terrorisme.

Par conséquent, l’Amérique ne fonctionne plus dans le cadre d’un système de justice caractérisé par une procédure régulière, la présomption d’innocence, une cause probable et des interdictions claires concernant les excès du gouvernement et les abus de la police. Au lieu de cela, nos cours de justice ont été transformées en cours d’ordre, défendant les intérêts du gouvernement plutôt que les droits des citoyens, tels qu’ils sont inscrits dans la Constitution.

Nous semblons boucler la boucle sur de nombreux fronts

Il y a vingt ans, nous débattions de la question de savoir si les non-citoyens – par exemple, les soi-disant combattants ennemis détenus à Guantanamo Bay et les Américains musulmans raflés à la suite des attentats du 11 septembre – avaient droit aux protections prévues par la Constitution, notamment en ce qui concerne la détention indéfinie. À l’époque, les Américains ne se préoccupaient pas outre mesure des droits des non-citoyens, et aujourd’hui, c’est nous qui sommes dans la position peu enviable d’être ciblés par notre propre gouvernement pour une détention indéfinie.

De même, la plupart des Américains ne se sont pas inquiétés outre mesure lorsque la Cour suprême des États-Unis a donné aux policiers de l’Arizona le feu vert pour arrêter, fouiller et interroger quiconque – vraisemblablement ceux qui correspondent à un profil racial particulier – qu’ils soupçonnent d’être un immigrant illégal. Dix ans plus tard, les flics ont largement carte blanche pour arrêter tout individu, citoyen ou non, qu’ils soupçonnent de faire quelque chose d’illégal (attention, à notre époque de surcriminalisation, cela peut aller de donner à manger aux oiseaux à la culture d’orchidées exotiques).

De même, il existe encore aujourd’hui une partie non négligeable de la population qui ne se préoccupe pas de la pratique du gouvernement consistant à espionner les Américains, car on leur a lavé le cerveau en leur faisant croire que si vous ne faites rien de mal, vous n’avez rien à craindre.

Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’apprennent à leurs dépens que dans un État policier, peu importe qui vous êtes ou à quel point vous prétendez être vertueux, car finalement, vous serez mis dans le même sac que tous les autres et tout ce que vous ferez sera « mauvais » et suspect.

C’est d’ailleurs ce qui se passe déjà, la police s’appuyant sur des logiciels de surveillance tels que ShadowDragon pour observer l’activité des gens sur les médias sociaux et sur d’autres sites Web, qu’ils soient ou non soupçonnés d’un crime, et les utiliser potentiellement contre eux en cas de besoin.

Il s’avère que nous sommes dans Soleil Vert, cannibalisés par un gouvernement qui cherche à nous soutirer jusqu’à la dernière goutte.

Le film Soleil Vert (Soylent Green) de 1973, avec Charlton Heston et Edward G. Robinson, se déroule en 2022 dans une ville de New York surpeuplée, polluée et affamée, dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la Soylent Corporation pour survivre.

Heston joue le rôle d’un policier qui enquête sur un meurtre et découvre l’effroyable vérité sur l’ingrédient principal du biscuit, Soleil Vert, qui constitue la principale source d’alimentation d’une population affamée. « Ce sont les gens. Soleil Vert c’est de la chaire humaine », déclare le personnage de Heston. « Ils fabriquent notre nourriture à partir de personnes. Bientôt, ils nous élèveront comme du bétail pour nous nourrir. »

Oh, comme il avait raison.

Soleil Vert est en effet constitué de personnes ou, dans notre cas, Soleil Vert est constitué de nos propres données personnelles, reprises, reconditionnées et utilisées par les entreprises et le gouvernement pour nous piéger dans des prisons de notre propre fabrication.

Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les empiètements sur nos droits lorsque le pouvoir, la technologie et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions, un peu comme le personnage d’Edward G. Robinson dans Soleil Vert. Robinson dans Soylent Green, à regarder le passé avec nostalgie, à revenir à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions et aller où nous voulions sans que ces pensées, ces mots et ces mouvements ne soient suivis, traités et stockés par des géants industriels comme Google, vendus à des agences gouvernementales comme la NSA et la CIA, et utilisés contre nous par une police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

Nous n’en sommes pas encore là, mais comme je l’explique clairement dans mon livre 
Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictionnel 
The Erik Blair Diariesce moment décisif se rapproche à chaque minute.

Traduction du Rutherford Institute par Aube Digitale




Le temps des sociologues « marrons »

Par Lucien Samir Oulahbib

« Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence (criminelle) contre le COVID-19 », titre Le Courrier des Stratèges, ce qui va sans doute donner quelque peu du travail à cette nouvelle commission « marron » (puisque mise en place par ces « incompétents criminels ») chargée, paraît-il, de traquer le « complotisme ».

Comment en sont-ils tous arrivés là ? Tous ? Tous, à commencer par les membres de cette commission qui, au mépris de l’état actuel des connaissances liées en médecine aux résultats effectifs de la pratique, récusent toute autre alternative que cette IGE (injection génique expérimentale), alors que les chiffres montrent — y compris pour les personnes à risque — qu’il convient bien mieux de les traiter de toute manière aussi de façon précoce avec des médicaments d’autant plus éprouvés maintenant que nous avons quasiment dépassé deux ans de vérifications validées mondialement.

L’analyse peut déjà repérer que la vanité, la jalousie et l’envie sont des moteurs puissants, naturels permettant d’imposer son propre réel à celui déjà là. Ce qui revient à nier bien sûr ce dernier, donc à le détruire pour s’y substituer. Mais il y a chez certaines personnes, pour des raisons à étudier, de façon évidemment singulière une tendance à exagérer vers l’extrême la puissance de ces moteurs. Ainsi plus la réalité à détruire résiste, plus émerge une méticulosité féroce à pourchasser, harceler le réel récalcitrant, ou les symptômes « classiques » de la psychose paranoïaque.

Ainsi plus les projections et modélisations sont infirmées (pire que la peste noire, vous dis-je, le variant D au-dessus des autres, vous allez alors voir que la majorité désormais des réas sont des personnes à risque et pour beaucoup sous IGE, sans parler des effets secondaires dont certains de plus en plus létaux. Voir sur ce point le CSI du 30/09/21, lui-même harcelé), plus les orcs de la Secte s’énervent, éructent, s’affublent de « Science », bientôt de « Voie », à la façon du fou poursuivant Tintin avec une aiguille, image prémonitoire.

Comment déjouer cette mise en abîme ?… En montrant de manière durable que leur visage d’ange masque celui de la monstruosité humaine, trop humaine, renforcée par son institutionnalisation globalisée qui détruit nations, corps et âmes, chairs à canon, matières premières, tout en jouant de la lyre (et de la planche à billets).




Cancers et « vaccins » anti-Covid

Par Nicole Delépine

COÏNCIDENCES ? LE MOT CLEF

Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l’injection génique sur l’immunité. Plusieurs généticiens avaient d’ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l’activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.

Les mois ont passé, et la folie vaccinale s’est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c’est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.

Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l’ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu’il soit expliqué en détail) si le patient refuse l’injection expérimentale, d’effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c’est comme cela », et nous l’avons bien accepté !

Silence sur les collègues suspendus faute d’obéissance et encore plus sur les raisons objectives qui leur ont fait préférer perdre leur emploi, leur rémunération, leur maison, leur famille intolérante à ces décisions aussi plutôt que de soumettre à l’ukase présidentiel d’accepter des médicaments expérimentaux…

Plus de trois cent mille soignants (chiffre probablement fortement sous-estimé vu le nombre d’hôpitaux et cliniques actuellement obligés de fermer des lits et de reporter des interventions faute de personnel) seraient-ils fous, complotistes ou délirants au point de se mettre en grand danger personnel, social, familial, professionnel, psychologique ? Les médecins qui affirment que se vacciner est sans danger ont-ils pris le temps de regarder les statistiques des effets signalés et acceptés par les agences officielles ? Les FDA EMA MHRA sont-elles aussi « complotistes quand elles affichent comme le VAERS :

Le VAERS au 26 septembre 2021

Plus de 726 000 effets indésirables liés au vaccin Covid signalés au VAERS alors que le CDC et la FDA annulent les recommandations des comités consultatifs sur le troisième vaccin de Pfizer.

Les données VAERS publiées par le CDC comprenaient un total de 726 965 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge suivant les vaccins contre la Covid, dont 15 386 décès et 99 410 complications graves entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.(([1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees’ Recommandations on Third Pfizer Shot • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Ou Eudra Vigilance organisme de pharmacovigilance de l’agence européenne du médicament

Ou même l’ANSM notre agence française qui affiche plus de 1200 décès acceptés comme en lien au moins possible avec ces injections expérimentales

Tous les essais thérapeutiques depuis cinquante ans étaient stoppés après quelques morts pour enquête (53 morts ont fait stopper le vaccin H1N1). Ici des milliers de décès par le monde et on s’attaque aux enfants sans vergogne.(([2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants — Docteur Nicole Delépine)) Comment peut-on continuer à croire que c’est une politique sanitaire ?

Pourquoi ce déni digne des sectes les plus solides de la part de médecins théoriquement instruits, capables de s’informer directement aux sources fiables et dotés d’un cerveau ? La peur du chef, du patron, du directeur, qui d’ici quelques mois seront inéluctablement mis en cause, puisque de nombreux pays rétropédalent et même l’Allemagne veut sortir du terrorisme vaccinal peut-être à l’occasion du départ de Mme Merkel.(([3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de « la politique de la panique »
le 27/09/2021 Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel
KBV Lopata/axentis.de     France-Soir
Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de « la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ».
Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l’assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites « anti-Corona » en Allemagne et la fin de la « politique de la panique et la rhétorique de l’horreur ».
Le communiqué de presse de la KBV déclare : « tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n’est plus une décision qui revient à l’État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même. » Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. « C’est une confusion malsaine », a-t-il dit en exigeant que l’on arrête cette politique de la peur.))

« Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de ‘la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ». Manifestement les médecins hospitaliers français parisiens, et d’ailleurs, ne lisent pas les journaux allemands et sont terrorisés par les menaces de leur Conseil de l’Ordre, leur ministre, et deviennent des kapos(([4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages, devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumains que leurs bourreaux.)) et terrorisent leurs patients.

DES TÉMOIGNAGES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX SE RAPPROCHENT DE TOUS

Quoi qu’il en soit de leurs inacceptables raisons, les témoignages se multiplient.

Une jeune fille accompagne son amie à l’enterrement de sa mère… telle maman, mère d’une amie de lycée, de 34 ans, en rémission d’un cancer du sein depuis deux ans qui se fait injecter la fameuse piquouse et s’écroule quelques jours plus tard dans le coma et meurt après trois jours d’hospitalisation… Explication politiquement correcte : le cancer a explosé et l’a emportée. Fermez le chapitre et le cercueil.

Qu’en aurait dit Maigret ?

Mais trop de coïncidences choquent les enquêteurs de la police devant un cadavre. Seuls les médecins n’auraient pas le droit de réfléchir aux coïncidences de temps, par exemple : « temporalité » est leur mot clef…

Comme le slogan trompeur, « les chiffres ont toujours raison ». Oui s’ils sont vrais et observés dans le monde réel. Mais quelle confiance peut-on accorder à ceux des simulations truquées dont nous abreuvent le gouvernement et les médias sans jamais préciser qu’il ne s’agit que de prédictions ou d’estimation ?(([5] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine)) Mais on fait ce qu’on veut avec les chiffres, lorsqu’on les choisit, ou les crée pour justifier l’hypothèse choisie, et le téléspectateur ne peut y voir que du feu.

En tous cas, en ce qui concerne « cancer et injection génique », le flou se dissipe malheureusement devant la multitude de récits terribles.  De la collègue qui voit apparaître des « boules » multiples sous ses aisselles, que des bilans dans tous les sens à l’hôpital n’expliquent pas… Évidemment aucun lien possible avec le vax. Et pourtant les ganglions qui apparaissent quelque temps après l’injection sont une observation fréquente après ces vax.

Alors clairement il semble bien exister trois situations :

  • L’apparition d’un cancer rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et très évolutif, chez une personne jusque-là indemne de pathologies carcinologiques connues.
  • La reprise évolutive d’un cancer chez un patient en rémission complète depuis plusieurs mois ou années.
  • L’évolution rapide, voire explosive, d’un cancer encore non contrôlé.

Au-delà des témoignages qui affluent chez des proches ou leurs amis et sur les réseaux sociaux, un journal suisse a enfin abordé le sujet de façon plus large.

Voici quelques extraits de leur article(([6] Covid Vaccines and Cancer – Swiss Policy Research (swprs.org) )) et de leurs références(([7] The Testimonies Project – Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded)):

“Les vaccins covid peuvent-ils causer le cancer ?

Dans certains cas, la réponse semble être oui. Certes, il n’y a aucune preuve que les vaccins covid eux-mêmes sont cancérigènes. Cependant, il a été démontré que chez jusqu’à 50 % des vaccinés, les vaccins covid peuvent induire une immunosuppression temporaire ou un dérèglement immunitaire (lymphocytopénie) qui peut durer environ une semaine ou peut-être plus.

En outre, il a été démontré que les vaccins à ARNm covid “reprogramment” (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives et innées et, en particulier, qu’ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses”.

Ainsi les auteurs en concluent qu’il est bien possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique.  Question de bon sens de fait !

« Ainsi, s’il y a déjà une tumeur quelque part — connue ou inconnue —, ou s’il y a une prédisposition à un certain type de cancer, un tel état de suppression immunitaire induite par le vaccin ou de dérèglement immunitaire pourrait potentiellement déclencher une croissance tumorale soudaine et un cancer dans les semaines suivant la vaccination. Il est à noter que la lymphocytopénie a également été fréquemment observée dans les cas de covid sévère ».

Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite.

« L’immunosuppression temporaire induite par le vaccin est également un facteur susceptible de contribuer au pic post-vaccination des infections à coronavirus, observé dans de nombreux pays ».

FRÉQUENCE DES ÉVÉNEMENTS LIÉS AU VACCIN EN CANCÉROLOGIE : INCONNUE

Il existe déjà quelques milliers d’observations dans les rapports officiels de déclaration des événements indésirables et dans les groupes de patients en ligne. Il y a certainement de véritables coïncidences ou des retards diagnostiques en raison d’un diagnostic retardé lié au confinement. Mais nous ne devrions pas rayer d’un revers de manches les énormes problèmes que posent ces vraies personnes affectées dans leur quotidien et plus encore la responsabilité que prennent les médecins cancérologues en imposant l’injection avant tout traitement ou toute poursuite de protocole. Leur principal argument : « nous, on l’a bien fait, sans discuter » ne paraît pas digne d’une profession autrefois pensante.

En août 2021, le Dr Ryan Cole,(([8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination :
Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica)) américain, anatomopathologiste depuis de très longues années a décrit une augmentation significative de certains types de cancer (par exemple le cancer de l’endomètre, utérus) depuis le début de la campagne de vaccination de masse covid. Plus récemment, les pathologistes allemands ont également noté le problème de la dérégulation immunitaire post-vaccination et de la croissance tumorale soudaine chez certains patients.

Sur les réseaux français, plusieurs témoignages coïncident avec la réapparition d’hémorragies vaginales chez des femmes âgées de plus de 85 ans aboutissant au diagnostic de cancer de l’endomètre et au décès rapide… La protéine spike fabriquée par l’organisme à la suite de l’injection est particulièrement attirée par les organes génitaux, et c’en serait une nouvelle démonstration.

Alors en attendant d’en savoir plus, soyons prudents, tant médecins que soignants, et ne jouons pas à l’apprenti sorcier !

La prudence s’impose avec tous les traitements expérimentaux et encore plus lorsqu’ils sont le fruit d’une technique jamais utilisée auparavant en pathologie infectieuse. D’abord ne pas nuire doit guider les décisions de tout médecin fidèle à son serment d’Hippocrate.





Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.





La disparition voulue de Poutine

[Source : Entre La Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Poutine s’est caché. Enfin, en quelque sorte. Le 14 septembre, il a déclaré que de nombreuses personnes (« des dizaines ») de son cercle intime avaient été testées positives au virus et qu’il devait donc s’isoler. Sa soudaine réclusion a suscité des vagues d’angoisse à travers cet immense pays. Son explication a été accueillie avec incrédulité. Tout le monde autour de Poutine est vacciné et Poutine l’est aussi, du moins l’a-t-il affirmé.

Pourquoi aurait-il besoin de s’isoler ; et comment toutes ces personnes vaccinées pourraient-elles tomber malades ? Le vaccin est-il un faux ? Ou devons-nous chercher une autre explication. Est-il tombé, ou a-t-il été poussé ? Va-t-il revenir ? Est-ce la fin de l’ère de Poutine ? Poutine est-il malade, ou a-t-il été contraint à l’isolement ? S’agit-il d’une conspiration ? Le gouvernement russe est, et a toujours été, de type manuel et non automatique ; l’absence du dirigeant à la barre du puissant navire qu’est l’État russe pourrait être synonyme de problèmes. Les Russes ne croient pas à la version officielle, mais où est la vérité ?

Une semaine avant son annonce, le 8 septembre, un ami proche de Poutine et son ancien garde du corps, l’homme considéré comme un successeur probable, le ministre des Urgences, M. Evgueni Zinichev, est décédé dans des circonstances inhabituelles lors d’un exercice dans l’Arctique. Selon la directrice de RT, Margarita Simonyan, il est mort en essayant de sauver un caméraman tombé d’une falaise. Les rumeurs disent qu’il avait peut-être été ciblé en tant que successeur de Poutine. Juste avant cela, le 7 septembre, Poutine s’était rendu dans une retraite en Sibérie avec son ministre de la Défense, M. Choïgou. De quoi ont-ils discuté, loin des oreilles indiscrètes ? Selon certaines rumeurs, Poutine aurait soupçonné ou découvert un complot contre lui et aurait préféré minimiser ses contacts avec le monde extérieur et même avec ses propres gardes du corps. Homme très prudent, le président Poutine sait que nombreuses sont les personnes et organisations puissantes qui aimeraient le voir mort et il ne veut pas leur donner cette satisfaction. C’est pour cette raison que ses ennemis l’appellent « le vieil homme dans le bunker ». Cependant, Poutine est apparu à la télévision depuis sa cachette.

Par ailleurs, il existe des précédents de dirigeants invoquant un cas de force majeure pour manquer un événement ou éviter une réunion.

Le président Gorbatchev avait appris l’existence d’un complot ourdi par les partisans de la ligne dure soviétique et avait décidé de rester à l’écart, espérant profiter de ses avantages en cas de réussite du complot et avoir un alibi en cas d’échec. Il s’est rendu dans son palais de Crimée-Phoros au cours d’un mois d’août 1991 tumultueux et a prétendu être détenu par des comploteurs ; le complot a échoué, il est retourné dans la capitale, mais il n’a jamais retrouvé ses pouvoirs.

De même, le dernier empereur russe, le tsar Nicolas II, avait appris que des paysans et des ouvriers avaient l’intention de venir au Palais d’hiver pour implorer le tsar. Il décida de se tenir à l’écart des problèmes éventuels et se rendit dans sa résidence de campagne de Tsarskoe Selo. Ses fonctionnaires mitraillèrent les plaideurs lors du dimanche sanglant. C’est ce massacre qui provoqua la première révolution russe de 1905-07, et l’absence du tsar ne le servit aucunement. À une autre échelle, le président Trump est allé jouer au golf pendant que ses partisans se rassemblaient à la Maison Blanche. Cela ne l’a pas aidé : il avait perdu la Maison Blanche et il s’est retrouvé accusé d’actions illégales. Bref, rester à l’écart n’est pas le bon choix pour un dirigeant, mais cela se fait, parfois.

Considérons cette possibilité. Qu’est-ce qui pourrait pousser Poutine à réaliser un Phoros-2 ? La période actuelle est très mouvementée et un Poutine en bonne santé devrait se rendre à Douchanbé et s’occuper des élections législatives russes, entre autres choses.

Le Sommet de Douchanbé

Les 16 et 17 septembre, le double sommet de l’OCS et de l’OTSC s’est tenu à Douchanbé. L’OCS et l’OTSC sont deux organisations internationales différentes, bien que leurs membres coïncident en partie. M. Poutine était censé venir en personne et s’occuper des dispositions relatives à l’après-Afghanistan, même si cela pouvait se traiter à distance. Mais il devait également rencontrer les dirigeants de la Chine, de l’Inde et de l’Iran. Le sommet prévu avec le président Xi était particulièrement important, car les deux dirigeants ne se sont pas rencontrés en personne depuis longtemps. Des rumeurs circulent à Moscou selon lesquelles Poutine éviterait de rencontrer le dirigeant chinois, alors que cette rencontre était prévue immédiatement après le sommet de Genève avec Joe Biden. Le sommet Poutine – Xi avait été prévu encore plus tôt, pour coïncider avec le 20ème anniversaire du traité d’amitié russo-chinois ; il a ensuite été reporté à cause du sommet de Genève, puis tout simplement annulé. Xi était censé venir à Douchanbé pour le sommet de l’OCS. Lorsqu’il a appris que Poutine ne viendrait pas, il est également resté chez lui. Ainsi, ce sommet très important entre deux dirigeants ne s’est pas concrétisé. Se pourrait-il que Poutine ne veuille pas être vu comme se rangeant du côté de la Chine, dans le contexte du triangle fatidique Washington-Moscou-Pékin ? Peut-être. Les élites russes sont divisées : certains préfèrent des relations étroites avec la Chine, d’autres veulent que la Russie se range du côté de l’Occident. Poutine cherche à équilibrer ces deux groupes. Qui sera le premier à conclure un accord avec Biden, Poutine ou Xi ? Peut-être Poutine préfère-t-il ne pas intervenir et laisser Xi s’y essayer le premier, lors du prochain sommet du G2.

La place physique de Poutine à Douchanbé a été prise par Alexandre Loukachenko, le solide président du Belarus, et il a visiblement apprécié cette tâche. Il y a quelques années, après que le Belarus et la Russie eurent conclu l’accord sur l’État de l’Union, les gens pensaient que Loukachenko dirigerait les deux États, ou au moins qu’il s’occuperait aussi des affaires intérieures russes. On avait le sentiment que Loukachenko serait le meilleur pour l’économie, l’agriculture, l’industrie et la structure sociale que Poutine, qui s’occupait davantage des affaires étrangères. Si la Russie et le Belarus votaient pour un président, les Biélorusses voteraient pour Poutine, tandis que les Russes voteraient pour Loukachenko, disait-on en plaisantant. Cependant, cela ne s’est pas produit. Loukachenko a très bien géré la session de Douchanbé et Poutine s’est entretenu avec eux par liaison vidéo.

Il semble qu’ils n’aient pas réussi à faire entendre raison à l’obstination de M. Rahmon, même s’ils ont essayé. La Russie est prête à défendre le Tadjikistan en cas d’offensive ou d’infiltration des Taliban. Mais le président tadjik a des projets beaucoup plus audacieux. Il s’élève contre l’ingérence des Taliban au Tadjikistan, mais espère ressusciter l’Alliance du Nord, le groupe des chefs de guerre du Nord, ennemis des Taliban. Il s’agit principalement de membres de groupes ethniques minoritaires, dont beaucoup de Tadjiks, le deuxième groupe ethnique le plus important (après les Pachtounes) d’Afghanistan. Il semble que Rahmon souhaiterait briser l’Afghanistan et y créer un deuxième État tadjik, ce qui signifierait un nouvel épisode de guerre civile, ce que personne ne souhaite.

Il a été rapporté que Rahmon a reçu et amusé Ahmad Massoud, le « rebelle du Panchir », et l’ancien vice-président de l’Afghanistan Amrullah Saleh (qui s’est déclaré « président par intérim de l’Afghanistan », après la fuite de Ghani). Il n’est pas certain qu’une telle réunion ait réellement eu lieu. Il ne s’agit peut-être que de l’un des nombreux exemples de fausses nouvelles en provenance d’Afghanistan produites par les usines à fausses nouvelles indiennes. Si celle-ci était vraie, cela franchirait la ligne rouge dans les relations entre les deux pays voisins.

La Russie n’apprécierait pas non plus : La Russie a établi des relations de travail avec les Taliban ; les Taliban ont demandé à la Russie de les aider à retrouver leur siège légitime à l’ONU ; ils ont proposé une visite d’État à Moscou. La « résistance du Panchir » a été vaincue sans combat. Certains des « résistants » errent dans les montagnes et font appel au soutien de politiciens américains belliqueux, mais pour le reste, ils ont perdu leur guerre. Apparemment, Massoud et Saleh ont trouvé un refuge au Tadjikistan ; ce pourrait donner lieu à un geste humanitaire, à moins que l’ambitieux Rahmon ne transforme son pays en base dans la guerre civile afghane.

Toutefois, cette évolution ne justifierait pas que Poutine les héberge, à moins qu’il n’y ait des problèmes de sécurité.

Les élections parlementaires russes

La Russie va « rattraper et dépasser l’Amérique », déclarait Nikita Khrouchtchev en 1957. Les récentes élections parlementaires (17-19 septembre 2021) pourraient être considérées comme une nouvelle tentative pour faire mieux que la fraude électorale américaine. Mais les Russes n’ont pas pu dépasser la Cité brillante sur la colline : les dernières élections présidentielles américaines étaient si profondément malhonnêtes que personne n’a pu les battre. N’empêche que les Russes ont bel et bien essayé.

La Russie a un système mixte pour l’élection des membres du Parlement : certains sont élus par une liste de parti et d’autres par un système majoritaire. Dans les endroits où les gens ont été autorisés à voter librement et où leurs voix ont été décemment comptées, – principalement en Sibérie – les communistes ont gagné. Ailleurs, le parti au pouvoir, Russie Unie, a obtenu les sièges. Ils ont utilisé toutes les méthodes appliquées avec succès par les démocrates américains. Les gens ont été autorisés à voter à domicile et les équipes de collecte ont récolté de nombreux votes. Il y a eu plus de votants que d’inscrits. L’opposition a été tenue à l’écart du dépouillement. Les scellés des urnes étaient souvent brisés. Mais la meilleure méthode reste le vote numérique, autorisé dans quelques villes dont Moscou.

Comme le vote par correspondance à Detroit, le vote numérique à Moscou était en totale contradiction avec le vrai vote papier. Voici l’image du vote de Moscou, à gauche – le vote réel seulement, à droite – le vote réel et numérique ; vert pour l’opposition (principalement communiste), bleu pour les candidats du gouvernement. Le vote numérique à Moscou présentait une caractéristique inhabituelle : les électeurs étaient autorisés à changer d’avis et à voter à nouveau. Le gouvernement pouvait donc voir les résultats et faire « re-voter » autant qu’il le voulait.

La « démocratie » russe est aussi limitée que partout ailleurs. Le processus politique est contrôlé par un organe directeur appelé AP (Administration du Président) ; il n’est même pas mentionné dans la constitution, mais c’est lui qui décide qui peut participer aux élections et qui sera élu au parlement. Ils font aussi des coups bas, en créant des partis dissidents pour voler des voix à l’opposition. L’AP a décidé que les communistes ne devaient pas obtenir plus de 20% des voix, tandis que le parti au pouvoir, Russie Unie, devait en obtenir environ 50%. Telles étaient les instructions données aux chefs locaux et ils n’ont fait que suivre les ordres. Dans quelques districts où les patrons locaux ont décidé d’ignorer les ordres de l’AP, les communistes ont obtenu jusqu’à 30%, et Russie Unie moins de 30%. Avec les socialistes, les Rouges russes pourraient former le nouveau gouvernement. Ils seraient heureux de servir sous les ordres de Poutine.

Les Rouges russes ne ressemblent pas à la gauche américaine (et européenne). Ils sont contre la politique des minorités, contre le discours sur le genre et la race, ils aiment le Christ et Staline. Les Rouges russes diffèrent de la droite américaine (et européenne), car ils sont favorables à une nationalisation massive, à un service de santé complet et à une éducation gratuite ; ils sont contre les oligarques et n’aiment pas l’immigration. En bref, ils sont beaucoup plus poutinistes que Poutine. Et ils ne sont pas favorables à l’Occident. Leur ascension changerait les choses à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, pour la première fois depuis 1996, ils sont devenus populaires parmi les jeunes ainsi que parmi les citoyens plus âgés. Bien qu’ils soient très différents de l’opposition libérale pro-occidentale, ils ont appris à faire les choses ensemble contre le diktat de l’AP. Le CPRF est fondamentalement un parti social-démocrate, parfaitement apte à gouverner, mais l’AP le considère comme trop indépendant.

Les communistes ont rejeté les résultats du vote numérique ; le gouvernement a répondu par la force. De nombreux candidats communistes et leur personnel ont été arrêtés. Le gouvernement a interdit les manifestations et les rassemblements de protestation, sous le prétexte du Coronavirus. Que feraient-ils sans le Corona, je me le demande ! L’Occident a accusé à juste titre les autorités russes de manipuler les résultats des élections ; à tort, il a attribué le succès de l’opposition à Navalny et à ses libéraux pro-occidentaux. Mais les Rouges sont assez timides, pour deux raisons : ils sont plutôt favorables à Poutine et à sa politique étrangère, et ils ont peur d’être mis hors la loi et interdits, comme cela s’était produit sous Eltsine. Les libéraux avaient renversé les communistes et bombardé le parlement dans les années 1990, et ils ne vont pas permettre le retour des rouges, m’a dit un membre du parlement russe, la Douma.

En outre, la population a bien digéré les résultats. Il n’y a pas eu de grands rassemblements ou de manifestations ; certes, ils étaient interdits, mais les gens ont accepté l’interdiction plutôt docilement. Il n’y a pas de révolution à venir, ni même de grandes manifestations. Apparemment, les Russes se sont réconciliés avec cette « démocratie limitée ». Comme nous tous : de l’Australie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne, la vraie démocratie est morte. Au lieu de cela, nous avons une tyrannie sanitaire avec quelques « élections » pour sauver la face, corrigées par une fraude électorale massive.

Les Russes pensent qu’ils vont bien. Les gens ont leurs salaires, leurs voitures, leurs maisons de campagne ; les villes sont en bon état, il n’y a pas beaucoup de chômage. Avant les élections, le Covid obéissant a presque disparu ; maintenant il risque de réapparaître, mais c’est le cas partout dans le monde. Il n’y a donc pas de motifs forts de protestation, comme c’était le cas en 1991 ou même en 2011. De plus en plus de gens arrivent à la conclusion que les élections ne sont qu’une farce. Mais cela ne suffit pas à pousser les gens à la révolution.

J’ai parlé à des personnes proches du Kremlin ; elles m’ont dit qu’elles pensaient que Poutine s’était caché à cause des élections, car ses services de sécurité n’étaient pas certains de la façon dont les masses allaient réagir à la fraude électorale. On aurait pu avoir une répétition de 1991, lorsque des masses énormes de personnes avaient renversé le pouvoir soviétique. Nous voyons maintenant que cela ne s’est pas produit. Les gens ont pris tout cela de haut. Mais la sécurité aime jouer la carte de la surenchère. À Washington, Londres et Moscou, il y a plus de policiers que de manifestants dans pratiquement tous les rassemblements.

Une semaine après les élections, elles ont été totalement oubliées. Le jour de la publication des résultats, il y a eu une fusillade de masse ; un jeune homme de 18 ans a pris un fusil de chasse et a abattu six élèves dans son école. Ces attaques terroristes surviennent opportunément lorsqu’il est nécessaire de changer radicalement l’ordre du jour, et il y a suffisamment d’hommes mentalement perturbés pour commettre un massacre si on ne les arrête pas à l’avance.

Conclusion

Nous ne savons pas avec certitude pourquoi Poutine a décidé d’affirmer qu’il devait s’auto-isoler. Il n’est pas totalement impossible (bien que peu probable) qu’il y ait effectivement une épidémie de Covid. Sinon, cela pourrait être lié à l’incertitude des élections ou à l’imminence du sommet Poutine-Xi, ou, effectivement, il y aurait eu un complot qui a été découvert. Poutine sortira très probablement de son abri le 29 septembre, pour son sommet avec le président Erdogan, car ils ont beaucoup de choses à se dire. Mais sa réclusion ne lui fera pas gagner des points aux yeux des Russes.

Traduit par Maria Poumier
– Source : The Unz Review (Etats-Unis)




Pourquoi BioNTech et Moderna ne livrent pas de « vaccins » actualisés ?

Par Alain Tortosa

Pourquoi 18 mois après les premiers essais sur l’homme il n’existe pas de versions adaptées aux nouveaux variants pourtant si nombreux ?

Pour nous nuire ?

« Ils » ne savent pas qu’il y a une perte d’efficacité ?

Cela fait des mois que les médias mainstream avec la complicité des médecins médiatiques corrompus cherchent à nous convaincre que ces injections d’ARNm demeurent efficaces contre tous les variants.

La fameuse 3e dose n’étant qu’une dose de rappel pour booster les défenses immunitaires des petits vieux, ceci n’ayant « rien à voir avec les mutations du virus ».

À noter que l’on se demande bien comment un « vaccin » ARNm pourrait garder son efficacité alors qu’il ne cible QUE la protéine spike (à la différence des vaccins classiques à virus atténués qui eux ont plusieurs cibles) quand ladite protéine spike a muté dans les variants.

Le 23 juillet 2021, on pouvait lire un article sur CNBC(([1] https://www.cnbc.com/2021/07/23/delta-variant-pfizer-covid-vaccine-39percent-effective-in-israel-prevents-severe-illness.html)):

« Israël says Pfizer Covid vaccine is just 39% effective as delta spreads, but still prevents severe illness »

L’efficacité officielle de « 95 % » étant tombée à « 39 % », tout en constituant à raconter qu’il était efficace à 90 % contre les formes graves… va comprendre.

Pourtant le 11 août le Ministre de la Santé israélien rapportait(([2] https://www.naturalnews.com/2021-08-13-most-patients-in-serious-condition-fully-vaccinated.html)) que 64 % des patients gravement malades étaient totalement vaccinés tandis que 32 % des malades ne l’étaient pas du tout.

Pour celles et ceux qui oseraient dire « c’est normal qu’il y ait des vaccinés parce que toute la population est vaccinée ».

Je leur répondrais deux choses :

  • De un, ce n’est pas normal, quand un vaccin est réputé 90 % efficace on ne va plus à l’hôpital.
  • De deux, au 11 août, 66,3 % de la population avait reçu au moins une dose(([3] https://ourworldindata.org/vaccination-israel-impact)) et 61,5 % étaient totalement vaccinés.

Il faudrait aussi m’expliquer pourquoi Pfizer a annoncé le 9 juillet 2021 qu’il préparait un vaccin contre le Delta et que les essais cliniques démarreraient en août.(([4] https://www.lavoixdunord.fr/1042827/article/2021-07-09/pfizer-et-biontech-preparent-un-vaccin-contre-le-variant-delta))

Annonce bien étrange quand on affirme par ailleurs que son vaccin fonctionne parfaitement.

Information d’ailleurs contredite en août 2021 avec BioNTech qui annonce qu’il n’est pas nécessaire d’adapter son vaccin au variant Delta(([5] https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-08-09/selon-biontech/pas-encore-necessaire-d-adapter-le-vaccin-pfizer-aux-variants.php)) et qui préconise la 3e dose.

Quant à Moderna, ceux-ci continuaient à dire encore au 15 septembre que leur injection demeurait extrêmement efficace contre le Delta.(([6] https://www.forbes.com/sites/jemimamcevoy/2021/09/15/moderna-vaccine-highly-effective-against-delta-but-protection-against-infection-may-wane-over-time-new-data-suggests/?sh=4954b1b3339f))

Sortir une nouvelle version des « vaccins » coûterait-elle trop cher ?

On doit naturellement se poser la question d’autant plus que l’article de La Presse sur BioNTech précise :

« Depuis le début de l’année, ce laboratoire allemand a déjà enregistré 7,3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, contre 69,4 millions d’euros sur la même période l’an dernier, avant la mise au point du sérum contre la COVID-19 »

Quant à Moderna, elle déjà avait engrangé 1,7 milliard de dollars de chiffre d’affaires début mai.

On peut imaginer que l’on peut se permettre de dépenser quelques euros et d’autant plus en sachant qu’un vaccin adapté au Delta ne pourrait qu’avoir un retour sur investissement délirant.

« L’analyste de Morningstar Karen Andersen s’attend à ce que les boosters à eux seuls rapportent environ 26 milliards de dollars de ventes mondiales l’année prochaine pour Pfizer et BioNTech et environ 14 milliards de dollars pour Moderna s’ils sont approuvés pour presque tous les Américains. »(([7] https://www.nouvelles-du-monde.com/covid-19-les-rappels-de-vaccins-covid-19-pourraient-signifier-des-milliards-pour-les-fabricants-de-medicaments/))

Société Moderna qui, rappelons-le, ne commercialise qu’un seul produit, le « vaccin ».

Une adaptation aux variants prendrait-elle trop de temps ?

Nous serions alors face à des problèmes d’annonce…

Le 8 février 2021, le journal Les Échos publiait :

« Le vaccin à ARN messager de Pfizer/BioNTech permet également a priori une adaptation rapide. Le laboratoire allemand a déjà assuré pouvoir produire un vaccin contre de nouveaux variants en six semaines. »(([8] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/covid-comment-les-vaccins-sadaptent-aux-variants-1288302))

Notez qu’il y a eu régulièrement des articles nous expliquant qu’il faudrait environ 5 semaines pour sortir un nouveau vaccin adapté aux variants.

Pour aller dans ce sens, les premières injections humaines du Pfizer/BioNTech/Fosun(([9] https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer_and_biontech_dose_first_participants_in_the_u_s_as_part_of_global_covid_19_mrna_vaccine_development_program)) ont été annoncées le 5 mai 2020.

Autant la collaboration de BioNTech le fabricant du « vaccin » avec Pfizer n’a été que commerciale, autant il est plus que probable que la collaboration avec le chinois Fosun(([10] https://www.bloomberg.com/press-releases/2020-03-16/biontech-and-fosun-pharma-form-covid-19-vaccine-strategic-alliance-in-china)) a permis à BioNTech de récupérer des éléments permettant la conception du produit et notamment la récupération du génome du Sars-cov2.

Cette collaboration ayant débuté le 16 mars, il s’est donc passé 7 semaines entre ces deux dates.

Quant à Moderna, la société a conclu un partenariat avec le National Institute of Allergy and Infectious Diseases(([11] https://www.pharmaceutical-technology.com/news/new-coronavirus-vaccine/)) le 24 janvier 2020.

Le NIAID étant une émanation du NIH (Institut National de Santé des USA).

Le « vaccin » Moderna étant financé par ce petit monde.

Et qui est le directeur du NIAID ?

Le Dr Fauci, le monsieur vaccin des USA, qui commence à être acculé. Lui-même étant impliqué dans des recherches de « gain de fonction » sur des virus au laboratoire de Wuhan.

Bref on peut facilement déduire que Moderna a bénéficié d’informations sur le virus en provenance de Wuhan en janvier.

Quant aux premiers essais(([12] https://www.pharmaceutical-technology.com/news/first-us-covid-19-vaccine-trial-moderna/)) sur l’homme du « vaccin » Moderna, ceux-ci ont débuté le 17 mars 2020 soit 7 semaines après le début de la collaboration.

Ceci tendrait donc à prouver qu’il n’a pas fallu bien longtemps pour créer ces « vaccins » et par conséquent, qu’il en faudrait largement moins pour une « mise à jour ».

Pourquoi un vaccin ?

Si Moderna et BioNTech avaient commencé à travailler sur le virus dès la fin décembre 2019, quand les Chinois ont rendu public le Sars-cov2, cela ne laisse quand même que 3 mois entre la connaissance de l’existence d’un nouveau virus et les premiers essais sur l’homme par Moderna.

Le 30 janvier 2020, les médias commençaient à parler d’une course au vaccin…

Tandis qu’au 22 janvier 2020, il n’y avait que 17 morts(([13] https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=earliest..2020-03-09&facet=none&pickerSort=asc&pickerMetric=location&hideControls=true&Metric=Confirmed+deaths&Interval=Cumulative&Relative+to+Population=false&Align+outbreaks=false&country=~OWID_WRL)) officiels sur la planète et 557 cas…

Pourquoi vouloir créer un vaccin dès le mois de janvier alors que ce Sars-cov2 semble encore totalement inoffensif ?

D’autant plus que les scientifiques savaient qu’ils avaient affaire à un coronavirus et qu’il passe son temps à muter.

Donc même avec un énorme flair, ils n’ont pas pu avoir plus de 2 mois entre le début de la conception et les premiers essais sur l’homme.

Quelles hypothèses raisonnables pour soutenir la non-sortie d’une mise à jour ?

Si l’on considère pour acquis qu’il a fallu moins de 2 mois entre la conception des « vaccins » et les premiers essais sur l’homme, alors il est totalement logique de penser qu’il faudrait environ 1 mois pour faire une mise à jour en partant du génome du variant Delta ou de tout autre variant.

De plus l’injection étant « sans danger » (on ne rit pas jaune s’il vous plaît) et du fait que l’on subit des nouvelles vagues « terribles » avec un variant qui « s’attaque même aux jeunes », il serait inutile et irresponsable d’attendre un délai entre la mise au point du nouveau vaccin et l’injection en masse de la population. Délai de « sécurité » déjà mis en œuvre pour les premières versions.

Pour résumer :

  • Le délai (très court) n’est pas un problème.
  • L’argent (retour sur investissement garanti) n’est pas un problème.

Je ne vois pas le moindre argument valide pour ne pas commercialiser des vaccins adaptés aux nouveaux variants, et même tous les mois si il faut !

Dans un monde ultralibéral, tu n’hésites pas à choisir l’option qui va te rapporter le plus d’argent et, qui plus est, augmenter ton capital sympathie.

D’autant plus que si ton vaccin protégeait à 90 % avec la souche d’origine, que tu sais qu’il a énormément perdu d’efficacité avec les variants et que tu pourrais retrouver la même d’efficacité d’origine avec la version 2,0, pourquoi t’en priver ?

Nous voyons de plus que le « booster » est inefficace (cf. Israël) et que les injectés de la première date ont l’impression qu’on les prend pour des cons…

Alors que, je le répète, s’il y avait une mise à jour Delta, de très nombreuses victimes de la propagande retomberaient dans le piège.

Ils voudraient détruire leur marché qu’ils ne s’y prendraient pas autrement…

Quelles hypothèses dites « complotistes » pour soutenir la thèse de non-sortie ?

  • Le mensonge sur les délais… En fait il ne faudrait pas un mois pour mettre au point la mise à jour comme il n’a pas fallu 2 mois pour fabriquer les premiers vaccins. Ces délais ne seraient que mensonges. Dans cette hypothèse, il faudrait un an ou plus pour mettre au point une thérapie génique ARNm. Vous pourriez me rétorquer « mais comment ont-ils fait alors » ? Ici la réponse est « complotiste » (mais de moins en moins au fil des révélations). Dans cette hypothèse, le virus est un virus pour partie artificiel et les fabricants ont mis au point le vaccin en même temps que le virus. Il devient de fait logique qu’aucune mise à jour ne puisse voir le jour, car il leur faudrait au moins des mois, voire des années, pour la faire (peut-être que cela expliquerait aussi pourquoi des Sanofi n’ont toujours pas sorti leur « vaccin » ARN).
  • Une volonté de nuire… S’il est effectivement possible de sortir des mises à jour rapidement et qu’en plus l’opération serait à la fois rentable économiquement, rentable en termes d’image et rentable en termes de lutte contre le virus, c’est que l’intention n’est pas de sauver, mais de détruire des vies. Nul ne peut ignorer qu’un vaccin imparfait favorisera les variants. De fait insister avec le même vaccin tout en sachant qu’il sera OBLIGATOIREMENT moins efficace du fait des mutations sur la spike souligne bien une intention criminelle. Sans compter les risques d’anticorps facilitants qui font que le vaccin peut se retourner contre les vaccinés qui feraient alors des formes plus graves que s’ils n’étaient pas vaccinés.

Mes conclusions (provisoires).

Je ne doute pas que les vérificateurs de l’information à la solde de la propagande auront des raisons totalement « valables » pour soutenir cette absence de vaccins mis à jour.

À se demander comment ils supportent que le vaccin contre la grippe soit adapté d’année en année en fonction des mutations du virus… « quelle hérésie » !

Cette absence d’évolutions 18 mois après les premiers essais sur l’homme constitue une preuve du mensonge.

Les fabricants de « vaccins » à ARNm sont donc soit des menteurs avec de mauvaises intentions, soit des menteurs avec de mauvaises intentions.

Merci.

Alain Tortosa.

30 septembre
https://7milliards.fr/tortosa20210930-vaccins-pourquoi-pas-de-mises-a-jour-variants.pdf





Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




Enquête indépendante du DRASTIC sur l’origine du SRAS-CoV-2

[Sources : yetiblog.org, 20minutes.fr, drasticresearch.org]

yetiblog

La création du virus du Covid-19 est bien d’origine humaine !

Par Pierrick Tillet

Ce que nous n’osions pas imaginer est en train de se transformer un réalité. Le virus du Covid-19 résulte bien de manipulations humaines impliquant l’administration US et le labo chinois de Wuhan.

[NDLR Autre capture du site que celle proposée par le Yéti :]

Une collusion avérée entre l’administration US et le labo de Wuhan

En 2018, une ONG américaine, EcoHealth Alliance (EHA), financée principalement par l’administration US (et les grands labos pharmaceutiques), a demandé un financement de 14 millions de dollars pour un projet consistant à créer un virus Sars-CoV à partir de coronavirus de chauves-souris.

Dès 2014, 600 000 dollars de subventions avaient déjà été versés par un sous-traitant de l’EHA à l’ Institut de virologie de Wuhan pour poursuivre les travaux de séquençage et d’échantillonnage des coronavirus dans les régions rurales du sud de la Chine.

L’affaire est suffisamment sérieuse pour que les médias mainstream ne puissent se priver de la reprendre (en France, Le Point). Que ceux-là tentent par tous les moyens de dédouaner l’administration US (celle-ci aurait refusé la demande de subvention) n’est guère surprenant, mais apparaît comme une manoeuvre dérisoire et bien insuffisante. Car le constat est accablant :

  • il y avait bel et bien collusion entre l’EHA et le labo chinois de Wuhan ;
  • ceux-ci travaillaient à la création d’un virus Sars-CoV du même type que celui du Covid-19 ;
  • l’administration US ne pouvait pas l’ignorer, ni les autorités sanitaires, ni les grands labos pharmaceutiques.

De la “théorie du complot” à sa réalité

Laissons à l’état d’hypothèses ce qui n’est pas encore démontré : fuite accidentelle du virus ? virus plus agressif qu’escompté par ses créateurs ? Il n’en demeure pas moins que les mensonges répétés des responsables politiques, sanitaires (Dr Fauci) et médiatiques occidentaux apparaissent dans toute leur cruelle vérité.

N’ont-ils pas condamné comme “théorie du complot”, notamment à travers un article du Lancet publié en 2020, ce qui apparaît aujourd’hui comme une réalité indéniable ? N’ont-ils pas essayé de traîner dans la boue le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui lui aussi affirmait que le virus du Covid-19 ne pouvait être que d’origine humaine ? Le film Hold-Up n’avait-il pas raison avec un peu d’avance et des conclusions qui n’entraient pas dans leurs plans ?

Mais pourquoi cette manipulation de virus ? Pourquoi ces mensonges ? Pourquoi ces tentatives de discréditer aussi salement celles et ceux qui portaient la vérité ? Là encore, les réponses ne peuvent être clairement affirmées, mais elles ne tarderont pas à l’être, comptez-y. Elles éclaireront alors nos questions du moment :

  • comment qualifie-t-on la création artificielle de virus à des fins aussi possiblement mercantiles ?
  • pourquoi ont-ils si obstinément interdit la prescription de vieux médicaments (sans valeur lucrative) comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine… en attendant que leurs produits géniques arrivent sur le marché et soient imposé massivement à toutes les populations sans même attendre leur validation définitive ?
  • comment appelle-t-on une interdiction artificielle de soins pour une maladie qui a causé à ce jour 4,7 millions de morts ?
  • que méritent les responsables de telles exactions lorsque celles-ci sont avérées ?


D.R.A.S.T.I.C. Research




L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ? Mise à jour

[Source : Le Saker Francophone]

[Mise à jour : une fuite WikiLeaks]

Wikileaks révèle des scènes coupées de l’alunissage filmées dans le désert du Nevada.


L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?

Une introduction à la mère de toutes les théories du complot


Par Moon Landing Skeptic – Le 1er avril 2019 – Source Unz Review

D’après une enquête, 52% des britanniques pensent que l’alunissage est une infox

Le 50e anniversaire de l’alunissage d’Apollo 11 approche à grands pas. En 2016, une enquête a montré que 52 % du public britannique pensait que les missions Apollo étaient truquées. Le scepticisme est plus élevé chez ceux qui étaient trop jeunes pour le voir en direct à la télévision : 73 % des 25-34 ans croient que nous n’avons pas atterri sur la lune, comparativement à 38 % de ceux de 55 ans ou plus. Ces chiffres semblent augmenter chaque année. Les incroyants britanniques n’étaient que 25 % il y a dix ans. On ne sait pas combien ils sont aujourd’hui, mais un sondage réalisé en 2018 par le Centre russe de recherche sur l’opinion publique a révélé que 57 % des Russes croient qu’il n’y a jamais eu d’alunissage habité.

En d’autres termes, plus les gens sont instruits et plus ils sont capables de raisonner rationnellement, moins ils croient aux alunissages. Aux États-Unis, ce pourcentage semble beaucoup plus faible : Un sondage Gallup de 1999 a révélé que seulement 6 % des Américains doutent des débarquements sur la lune, et un sondage Pew Research de 2013 a montré que ce chiffre n’est passé qu’à 7 %. Il n’est donc pas surprenant qu’un sondage Pew Research de 2010 ait montré que 63% des Américains étaient confiants que la NASA allait faire atterrir un astronaute sur Mars d’ici 2050.

Les croyants sont-ils en danger d’extinction ?

La théorie du canular lunaire était presque inconnue avant l’arrivée d’Internet et elle a pris de l’ampleur avec le développement de YouTube, qui a permis à quiconque s’y intéressait d’examiner de près les images d’Apollo. Auparavant, les personnes qui avaient de sérieux doutes avaient peu de moyens de les partager et de rendre leur cas convaincant. L’un des pionniers a été Bill Kaysing, qui a abordé le sujet en 1976 avec son livre qu’il a publié lui-même : On n’est jamais allé sur la lune ; L’escroquerie américaine à 30 milliards de dollars. On peut le qualifier de lanceur d’alerte, puisqu’il travaillait pour Rocketdyne, la société qui a conçu et construit les fusées Apollo. Ralph René est ensuite arrivé avec son NASA Mooned America ! également auto-publié.

La recherche a gagné en profondeur et en ampleur, et l’incrédulité est devenue virale autour du 30e anniversaire d’Apollo 11, grâce en grande partie au directeur de la photographie britannique David Percy, co-auteur du livre Dark Moon avec Mary Bennett, et réalisateur du documentaire de trois heures « What Happened on the Moon ? An Investigation into Apollo » (2000), présenté par Ronnie Stronge. Il demeure à ce jour très précieux pour quiconque est disposé à se faire une opinion éclairée.

Puis, il y a eu « A Funny Thing Happened on the way to the Moon » (2001), réalisé par Bart Sibrel, qui apporte un éclairage précieux sur le contexte historique. Sibrel a également mis les astronautes de la NASA au défi de jurer sur la Bible, devant la caméra, qu’ils avaient marché sur la lune, et il a compilé ces séquences dans « Astronauts Gone Wild », ainsi que des séquences plus utiles de déclarations embarrassantes faites par des astronautes de la NASA qui sont censés avoir marché sur la lune mais semblent peu convaincants et consistants ; Alan Bean d’Apollo 12 qui apprend par Sibrel que le passage à la ceinture de radiation Van Allen est « à voir absolument ».

Puis, à partir de ces films et d’autres sources, est arrivé le documentaire télévisé novateur « Did we land on the moon ? » (2001),
réalisé par John Moffet pour Fox TV. À ma connaissance et à mon avis,
c’est encore la meilleure introduction aux arguments des « théoriciens du canular lunaire » : Vous pouvez le regarder ici à partir de sa rediffusion en 2013 sur Channel 5 :

Il y a très peu de livres disponibles sur le sujet. Je ne suis pas au courant d’une recherche plus approfondie que One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space par le chercheur allemand Gerhard Wisnewski, publié à l’origine en 2005, dont je citerai plusieurs extraits.

Je ne vais pas discuter de toutes les preuves présentées dans ces
sources. Je ne peux que les recommander, ainsi que quelques autres en
passant. Je vais simplement trier ce que je considère comme les
arguments les plus convaincants, ajouter quelques développements
récents, donner ma meilleure conclusion, placer la question dans une
perspective historique plus large et en tirer quelques leçons sur la
Matrice dans laquelle nous vivons.

Tout d’abord, nous devons être clairs quant à l’objectif d’une telle enquête. Nous ne devons pas nous attendre à une preuve concluante que Neil Armstrong, ou tout autre marcheur sur la lune d’Apollo, n’a pas marché sur la lune. Cela ne peut être prouvé, en l’absence de preuves indiscutables qu’il était ailleurs (en orbite autour de la terre, par exemple) au moment précis où il prétendait avoir passé sur la lune. Dans la plupart des cas, vous ne pouvez pas prouver que quelque chose ne s’est pas produit, tout comme vous ne pouvez pas prouver que quelque chose n’existe pas. Vous ne pouvez pas prouver, par exemple, que les licornes n’existent pas. C’est pourquoi le fardeau de la preuve incombe à quiconque prétend qu’elle existe. Si je vous dis que j’ai marché sur la lune, vous me demanderez de le prouver, et vous ne prendrez pas pour réponse : « Non, prouve le toi que je n’y suis pas allé. » Est-ce que ça fait une différence si je suis la NASA ? C’est le cas, car traiter la NASA de menteuse vous amènera inévitablement à remettre en question tout ce à quoi votre gouvernement et les médias grand public vous ont fait croire. C’est un pas de géant ! Tout comme les enfants de parents violents, les citoyens honnêtes des gouvernements violents auront tendance à réprimer les preuves de la malveillance de leur gouvernement. Ainsi, les gens choisissent de croire à l’alunissage, sans même demander de preuves, simplement parce que : « Ils ne nous auraient pas menti pendant plus de 50 ans, n’est-ce pas ? Les médias auraient dénoncé le mensonge il y a longtemps (n’oubliez pas le Watergate) ! Et qu’en est-il des 250 000 personnes impliquées dans le projet ? Quelqu’un aurait parlé. » En fait, je m’entends parler comme ça il y a encore 10 ans à peine. Toutes ces objections doivent en effet être prises en compte.

Mais avant cela, la chose scientifique à faire est de commencer par
la question : la NASA peut-elle prouver qu’elle a envoyé des hommes sur
la lune ? Si la réponse est non, la prochaine étape consiste à décider
si nous les croyons sur parole ou non. Pour cela, il faut se demander
quelles auraient pu être les raisons d’un mensonge d’une telle ampleur.
Nous y viendrons.

Mais, tout d’abord, la NASA peut-elle fournir des preuves tangibles de l’atterrissage sur la lune ?

Des preuves solides comme le roc depuis l’Antarctique

Si, ils le peuvent. Ils ont rapporté des morceaux de lune : environ
380 kilogrammes de roches lunaires et d’échantillons de sol, toutes
missions Apollo confondues. Les roches lunaires prouvent l’atterrissage
sur la lune, n’est-ce pas ? Oui, mais seulement s’il peut être fermement
établi qu’elles n’ont pas été extraites sur Terre. Et c’est là le
problème. Comme expliqué ici, « des météorites ont été
trouvées en Antarctique qui ont prouvé qu’elles avaient les mêmes
caractéristiques que les roches lunaires »
. Il peut être utile de
savoir qu’en 1967, deux ans avant Apollo 11, la NASA a organisé une
expédition en Antarctique, rejointe par Wernher Von Braun, le principal
propagandiste de la NASA pour les missions lunaires ; l’Antarctique est
la région de la Terre qui compte la plus grande concentration de
météorites, mais on ignore si l’expédition a inclus des géologues et si
des météorites ont été rapportées. En fait, ce n’est qu’en 1972 que les
météorites lunaires ont été officiellement découvertes en Antarctique ;
leur origine lunaire, bien sûr, a été déterminée par comparaison avec
les échantillons lunaires rapportés par les équipes d’Apollo (Wisnewksi
202).

Les rochers de la lune sont donc loin de prouver l’atterrissage sur la lune. En fait, on ne peut prouver qu’aucune des soi-disant roches lunaires n’a été ramenée de la lune plutôt que de l’Antarctique ou d’ailleurs sur terre. Mais la situation s’aggrave : il a été prouvé de manière concluante que certaines des soi-disant roches de la lune sont fausses. Dans les années 1990, l’astrobiologiste britannique Andrew Steele a eu le privilège spécial d’approcher certains des précieux échantillons enfermés dans des coffres-forts de la NASA et, imaginez sa surprise quand il y découvre une soie, des morceaux de plastique, du nylon, du téflon et de petits animaux terrestres (Wisnewski 207). Une autre pierre de lune a fait la une des journaux lorsque, 40 ans après avoir été remise personnellement par Neil Armstrong et Buzz Aldrin au premier ministre néerlandais, elle a été examinée de près et s’est révélée être du bois pétrifié. Certes, quelques fausses pierres de lune ne prouvent pas que toutes les pierres de lune sont fausses. Mais ce devrait être une raison suffisante pour commencer un examen scientifique systématique des douzaines d’autres échantillons que les États-Unis ont cédé de façon officielle en 1969 et dans les années 1970.

La preuve photographique

Quelles sont les autres preuves que la NASA a de l’atterrissage sur
la lune ? Les films et les photos, bien sûr ! Les films sont notoirement
flous, ce qui rend leur examen difficile. Comment, par exemple,
pouvez-vous être sûr que l’astronaute David Scott d’Apollo 15 fait
tomber un vrai marteau et une vraie plume pour démontrer la gravité
newtonienne dans un environnement sans atmosphère, quand vous pouvez à
peine voir les objets ? Nous avons une photo claire du marteau et de la
plume sur le sol, mais comment savoir s’ils sont identiques aux objets
flous déposés dans le film ?

Ce qui serait utile pour une enquête correcte, ce sont les images originales de la NASA. Les chercheurs demandent l’accès à ces films depuis des décennies, en vertu du Freedom of Information Act. En 2006, ils ont reçu une réponse. Voici ce que vous pouvez lire sur Reuters :

La NASA a admis en 2006 que personne n’avait trouvé les
enregistrements vidéo originaux de l’atterrissage du 20 juillet 1969.
Depuis lors, Richard Nafzger, ingénieur au Goddard Space Flight Center
de la NASA dans le Maryland, qui a supervisé le traitement télévisuel
sur les sites de suivi au sol pendant la mission Apollo 11, les cherche.
La bonne nouvelle, c’est qu’il a trouvé où ils sont allés. La mauvaise
nouvelle, c’est qu’ils faisaient partie d’un lot de 200 000 cassettes
qui ont été magnétiquement effacées et réutilisées pour économiser de
l’argent.

Les Russes sont si méchants : à la suite de cet aveu de la NASA, les autorités russes ont commencé à exiger une enquête internationale.

Heureusement, nous avons les photos. En plus de planter un drapeau américain et de recueillir des échantillons de roches, les astronautes ont passé beaucoup de temps à prendre des photos sur la lune. Et soyons justes : en 2015, la NASA en a publié des milliers en haute résolution. Elles sont accessibles ici, et peuvent être examinées en détail. La plupart d’entre elles sont remarquables par leur qualité.

L’équipage d’Apollo 11 a utilisé un Hasselblad 500C standard avec
quelques modifications, dont le retrait du miroir réfléchissant. Le film
utilisé était un film diapositif Kodak Ektachrome standard, 160 ASA.
C’est un film étonnamment sensible pour un endroit où la lumière du
soleil n’est filtrée par aucune atmosphère, surtout si l’on considère
que certaines photos, parfaitement exposées, ont été prises directement
contre le soleil. Il y a aussi des problèmes techniques avec la
fiabilité de ce matériau à la surface de la lune, où les températures
vont de moins de 100°C à plus de 100°C : la seule protection contre la
chaleur pour la caméra et le chargeur était un revêtement réflexif. (La
façon dont les astronautes survivent à de telles températures est un
problème encore plus grave).

Un autre aspect problématique est la qualité professionnelle de la
plupart de ces photos. Chaque plan pris par Neil Armstrong, par exemple,
est parfaitement cadré et exposé. Wisnewski (144-149) souligne à juste
titre à quel point c’est incroyable, étant donné qu’Armstrong (ou tout
autre astronaute) ne pouvait pas viser, puisque la caméra était fixée
sur sa poitrine où il ne pouvait même pas la voir. Sans parler de la
difficulté de régler manuellement l’ouverture, le temps d’exposition, la
mise au point et le champ de vision avec ses gants pressurisés et
aucune vision de l’appareil, et sans aucune expérience de la
photographie sur l’environnement lunaire. Nous devons nous rappeler que
la photographie était un métier très spécialisé à l’époque, même sur
terre, et il est assez étonnant de voir que toutes les photos
d’Armstrong sont parfaites.

Plus précisément, y a-t-il des preuves que ces photos ont été prises
sur la lune ? Aucune, quelle qu’elle soit. Elles sont faciles à
fabriquer en studio. En fait, la NASA a fait beaucoup d’efforts pour
entraîner les astronautes à l’intérieur en reproduisant l’état de la
surface lunaire tel qu’ils l’imaginaient, en fabriquant des tonnes de « poussière de lune »
à cette fin (avant même que quiconque ait vu la vraie poussière
lunaire), et même en simulant le ciel noir. Certaines des photographies
prises dans ces studios de cinéma, comme celle qui suit, tirée des
archives de la NASA, seraient difficiles à distinguer de la « vraie » chose, si elles étaient cadrées différemment.

Armstrong et Aldrin s’exerçant sur de la fausse poussière de lune sous un faux ciel noir

Soyons réalistes : il n’y a aucune preuve que l’une ou l’autre des
photographies d’Apollo soit authentique. Ce n’est peut-être pas
suffisant pour déstabiliser les croyants. Mais qu’est-ce que cela veut
dire que bon nombre de ces photographies sont « pleines d’incohérences et d’anomalies », pour reprendre les mots de David Percy, qui prouve son point de vue dans « What Happened on the Moon ? ».
Le film contient une interview de Jan Lundberg, ingénieur de projet
pour l’Apollo Hasselblad. Lorsqu’on lui demande d’expliquer certaines
des incohérences concernant les ombres et l’exposition (par exemple, les
astronautes entièrement éclairés bien qu’ils soient dans l’ombre du
module lunaire, comme dans la photo reproduite sur la couverture du
livre de Wisnewski), il répond : « Je ne peux pas expliquer ça. Cela m’échappe… pourquoi. »

Soit dit en passant, l’aveu embarrassé de Lundberg illustre
parfaitement à quel point le cloisonnement a pu rendre possible le
canular lunaire. Comme les centaines de milliers de personnes impliquées
dans le projet, il a travaillé sur la base du « ce que tu as besoin de savoir »
et n’avait aucune raison de soupçonner qu’il travaillait pour autre
chose que ce qu’on lui avait dit, du moins jusqu’à ce qu’on lui demande
d’expliquer des images impossibles. Seule une poignée de personnes
devaient connaître le tableau global, et il n’est même pas certain que
le président Nixon était parmi eux. Comme l’illustre Wisnewski (121-126)
avec le programme Corona alias Discoverer (un satellite de
recherche américain lancé vers 1959 dans le but secret d’espionner
l’Union soviétique), il est faux de supposer que les communautés
militaires, spatiales et du renseignement américaines ne peuvent garder
un secret. Pour prendre un autre exemple, des centaines de milliers de
personnes ont travaillé sur le projet Manhattan, qui est resté
complètement caché du public jusqu’à ce que la bombe soit larguée sur
Hiroshima.

Je ne vais pas énumérer et examiner les anomalies des photographies d’Apollo, car elles sont analysées dans les documentaires mentionnés ci-dessus. Mais je recommande de parcourir et de zoomer sur les photographies haute définition du site d’archives de la NASA, dans le but d’évaluer leur crédibilité avec un minimum de bon sens. Demandez-vous, par exemple, si vous pouvez croire que le module lunaire Apollo 11 Eagle (ici, ici ou ici) aurait pu faire atterrir deux astronautes sur la lune et les renvoyer en orbite lunaire pour se reconnecter avec le module de commandement orbital. Ou choisissez le LM Antares d’Apollo 14 (ici), ou le LM Orion d’Apollo 16 (ici, ou ici avec le rover qui s’en est miraculeusement sorti), ou le LM Challenger d’Apollo 17 (ici). Rappelons que ces huttes minables devaient être pressurisées hermétiquement dans un environnement sous vide et que, dans les deux derniers cas, deux astronautes ont passé plus de 3 jours (respectivement 71 heures et 76 heures) sur la lune et dormi 3 nuits dans le module. Si vous voulez être guidé dans cette réflexion, je peux vous recommander cette vidéo de 15 minutes.

Module lunaire Apollo 11 avec Neil Armstrong
Scène d’ascension du module lunaire d’Apollo 17, photographié à partir du module de commandement avant le rendez-vous.

Où sont passées toutes les étoiles ?

Si les équipages d’Apollo avaient photographié le ciel étoilé de la
lune, cela aurait pu servir à la NASA pour contrer l’accusation de
fraude. Dans les années 1960, il aurait été très difficile d’effectuer
les calculs informatiques nécessaires à la cohérence de la constellation
d’étoiles. Malheureusement, personne n’y a pensé à la NASA. On a
demandé aux astronautes de regarder en bas et de ramasser des roches, et
non de regarder vers le haut et d’étudier les étoiles. C’est comme si
la NASA était une congrégation de géologues qui méprisaient
l’astronomie. Et dire qu’ils dépensent des milliards de dollars pour
envoyer des télescopes sur orbite terrestre ! Pour être honnête, j’ai lu
un article sur un télescope installé par l’équipage d’Apollo 16, mais
il semble que personne n’ait jamais vu ce qui en est ressorti. En tout
cas, pas une seule photo des archives de la NASA ne montre une étoile
dans le ciel.

L’explication officielle ? Il n’y avait tout simplement pas d’étoiles visibles dans le ciel lunaire. Point final. C’est tellement incroyable que même certains « démineurs de canulars lunaires » préfèrent expliquer le ciel noir de toutes les photographies Apollo comme résultant d’une faible exposition. Mais ils ont tort : les astronautes n’ont vu aucune étoile de leurs propres yeux. Tous, d’Apollon 11 à Apollon 17, déclaraient constamment que le ciel était complètement noir, « un immense ciel de velours noir – totalement noir », selon les mots d’Edgar Mitchell, le sixième homme sur la lune.

Était-ce parce que la luminosité de la surface de la lune était trop
forte, de sorte que leurs yeux ne pouvaient pas s’ajuster ? (un jour sur
la lune dure 27 jours terrestres, de sorte que les astronautes qui ont
atterri sur le côté illuminé de la lune n’ont jamais vécu une nuit sur
la lune). Si c’était la raison, alors au moins, les astronautes auraient
dû voir beaucoup d’étoiles lorsqu’ils voyageaient entre la terre et la
lune. Ils n’en ont pas vu. Quand ils ont orbité autour de la lune et
sont passés dans son ombre, ils se sont retrouvés dans l’obscurité
totale, et n’ont vu aucune étoile. Michael Collins, qui a orbité autour
de la lune plusieurs fois dans le module de commandement pendant
qu’Aldrin et Armstrong étaient sur la lune, a déclaré dans leur
conférence de presse 1969 : « Je ne me souviens pas en avoir vu ! ».
C’est l’une des remarques les plus étranges que l’on puisse trouver
chez un astronaute, mais toute la conférence de presse est une
expérience bizarre à regarder.

Ne demandez rien à Neil Armstrong

L’interview de Neil Armstrong en novembre 1970 est tout aussi bizarre. Elle a été utilisée par plusieurs sceptiques comme preuve qu’il ment. Je recommande vivement cette analyse très professionnelle commandée par Richard D. Hall de RichPlanet TV à Peter Hyatt, un expert reconnu à l’échelle nationale dans la détection de la tromperie. Je trouve cela dévastateur pour la crédibilité d’Armstrong.

Après cela, Armstrong a dû recevoir l’ordre de se tenir à l’écart des interviews. Mais lorsqu’on lui a permis de faire une dernière apparition à l’occasion du 40e anniversaire de sa marche sur la lune, il en a profité pour se comparer à un perroquet, « le seul oiseau qui pouvait parler » mais « ne volait pas très bien », et pour conclure par une remarque énigmatique sur « les percées disponibles pour ceux qui peuvent enlever une couche protectrice de la vérité ». Dieu seul sait ce qu’il dirait s’il était maintenant invité à prendre la parole pour le 50e anniversaire ! Heureusement pour la crédibilité des missions Apollo, il a maintenant quitté la terre pour de bon, et son histoire peut maintenant être racontée par Hollywood.

Attachez votre ceinture Van Allen

Nous avons cherché à savoir s’il y a des preuves que l’atterrissage sur la lune était réel. Nous n’en avons pas trouvé. Au lieu de cela, nous avons trouvé des preuves qu’ils n’étaient pas réels. Mais en fait, c’était à peine nécessaire : Les ingénieurs de la NASA eux-mêmes nous disent que cela est impossible, pour la simple raison que les astronautes devaient traverser la ceinture de rayonnement Van Allen, ce qui les aurait tué et aurait endommagé également l’équipement électronique. Écoutez, dans la vidéo de 10 minutes ci-dessous, des astrophysiciens et des astronautes admettant par inadvertance que la technologie permettant d’envoyer des hommes au-delà de l’orbite terrestre inférieure n’est pas encore disponible.

C’est peut-être la raison pour laquelle, depuis la présidence de
Tricky Dick, aucune mission habitée sur la lune, ni même au-delà de
l’orbite terrestre basse, n’a jamais été entreprise. N’oubliez pas que
la Station spatiale internationale est en orbite à une distance de 250
milles de la Terre, alors que la lune est à environ 237 000 milles de la
Terre. Le 14 janvier 2004, le président George W. Bush, s’exprimant au
siège de la NASA, a annoncé une nouvelle tentative pour « mettre a nouveau pied sur la lune » et au-delà, et a fait remarquer : « Au
cours des 30 dernières années, aucun être humain n’a mis le pied sur un
autre monde, ou ne s’est aventuré plus loin dans l’espace que 386
milles, soit approximativement la distance entre Washington D.C. et
Boston, Massachusetts »,
(cité dans Wisnewski 329). Aucune annonce de mission habitée sur la lune n’est sortie de cette annonce.

Le temps travaille à l’avantage des théoriciens du canular lunaire, car chaque année qui passe amène les gens à s’interroger : « S’il était si facile d’envoyer un homme sur la lune entre 1969 et 1972, pourquoi n’a-t-on pas recommencé depuis ? » .
Moins de la moitié des Britanniques et des Russes croient encore à un
atterrissage sur la lune. Parmi les personnes instruites, ce pourcentage
diminue rapidement. Que se passera-t-il dans vingt ans, quand les
Américains réaliseront que presque personne d’autre qu’eux n’y croit ?
Les États-Unis d’Amérique survivront-ils à l’exposition de ce canular
géant ?

La fabrication de la croyance

Si les alunissages d’Apollo ont été simulés, de sérieuses questions
devraient être posées au sujet de la NASA, pour commencer. Ensuite, il
serait nécessaire de réfléchir en profondeur à ce qu’il est advenu des
États-Unis depuis la Seconde guerre mondiale. Et au-delà, le canular
lunaire est le point de départ idéal pour réfléchir sur le contrôle
hypnotique que la télévision et les médias ont acquis sur notre esprit.
Ce n’est pas seulement une question politique. C’est une bataille pour
nos âmes.

La première étape consiste à sortir de nos croyances infantiles au
sujet de la NASA et à faire une étude de base sur ce dont il s’agit. La National Aeronautics and Space Administration
a été fondée en 1958 par le président Eisenhower. Nombreux sont ceux
qui aujourd’hui félicitent Eisenhower d’avoir mis en garde les
Américains, à leur départ, contre la menace croissante du complexe
militaro-industriel et le « risque d’une montée désastreuse du pouvoir entre de mauvaises mains ».
Ironiquement, la fondation de la NASA a été en soi un pas de géant pour
le complexe militaro-industriel. Il ne fait aucun doute que le
soi-disant « programme spatial civil » de la NASA
était d’abord et avant tout une couverture pour un programme militaire.
La loi sur la NASA de 1958 prévoyait explicitement une collaboration
étroite avec le ministère de la Défense et, en pratique, le Pentagone a
participé à toutes les décisions concernant les programmes Mercury,
Gemini et Apollo. Erlend Kennan et Edmund Harvey ont documenté ce point
dans « Mission vers la lune : un examen critique de la NASA et du programme spatial », dès 1969, et ont conclu :

Il demeure impératif que la NASA conserve son statut de
porte-parole décent de l’ère spatiale afin d’obtenir le soutien du
public pour tous les projets spatiaux et de donner aux efforts spatiaux
du ministère de la Défense une « couverture » efficace. (cité dans
Wisnewski 296).

Outre le lancement de satellites à des fins d’espionnage, la NASA
devait contribuer au développement de fusées transcontinentales. Car
après la Seconde guerre mondiale, l’équation était simple : « Fusée + bombe atomique = puissance mondiale », (Wisnewski 62).

Le but paramilitaire de la NASA est essentiel pour comprendre le canular Apollo. Car en matière de programmes militaires, « ce
que le public sait est aussi connu de l’ennemi. Cela signifie qu’en
principe, le public et l’ennemi peuvent être considérés comme une seule
et même chose »,
(Wisnewski 7). Par conséquent, nous devons
comprendre que tromper le public américain n’était pas une perversion de
l’objectif initial de la NASA, mais une partie intégrante de celui-ci.

Il incombait à Kennedy de vendre le programme lunaire au Congrès et au public américain afin d’augmenter considérablement le budget de la NASA. Le 25 mai 1961, à peine 43 jours après que Yuri Gagarine eu terminé une orbite autour de la terre, Kennedy a livré devant le Congrès un message spécial sur les « besoins nationaux urgents ». Il a demandé 7 à 9 milliards de dollars supplémentaires au cours des cinq prochaines années pour le programme spatial, dans le but, selon lui, d’« atteindre l’objectif, avant la fin de cette décennie, de faire atterrir un homme sur la lune et de le ramener en toute sécurité sur Terre. Aucun projet spatial de cette période ne sera plus impressionnant pour l’humanité ou plus important pour l’exploration spatiale à longue distance. »

Kennedy peut être blâmé pour avoir dupé le public américain, mais il est probable qu’il ait été dupé lui-même, tout comme la CIA l’avait piégé dans l’invasion désastreuse de la Baie des cochons, un mois auparavant. Quoi qu’il en soit, la lune était l’idée de Johnson, pas celle de Kennedy. On croit que Kennedy a été convaincu par un mémorandum de Lyndon Johnson, intitulé « Evaluation of Space Program », daté du 28 avril 1961, supposément basé sur des délibérations avec de hauts responsables de la NASA. Le mémo assurait le président de la faisabilité d’un « atterrissage et d’un retour en toute sécurité d’un homme sur la lune d’ici 1966 ou 1967 », si « un effort sérieux » était fait. Pour ce qui est de l’avantage, Johnson l’a exprimé de cette façon :

Les autres nations, indépendamment de leur appréciation
de nos valeurs idéalistes, auront tendance à s’aligner sur le pays
qu’elles croient être le chef de file mondial – le gagnant à long terme.
Les réalisations spectaculaires dans l’espace sont de plus en plus
considérées comme un indicateur majeur du leadership mondial.

Un mois après son discours au Congrès, Kennedy a officiellement nommé son vice-président à la tête du National Aeronautics and Space Council, chargé d’explorer le projet lunaire. Comme Alan Wasser l’a dit :

Peu de gens aujourd’hui réalisent ou se souviennent, mais
un seul homme, Lyndon Baines Johnson, ‘LBJ’, est le principal
responsable du début et de la fin de La Course à l’espace.

Cela explique pourquoi les industries texanes ont été les plus
grandes bénéficiaires du programme spatial, et pourquoi le Centre des
engins spatiaux habités de la NASA à Houston, a été rebaptisé le Lyndon B. Johnson Space Center en 1973.

Sous Eisenhower, Johnson était à la fois le leader de la majorité au
Sénat et un acteur clé dans le secteur texan du complexe
militaro-industriel. Il est intéressant de savoir que l’ébauche
originale du discours d’adieu d’Eisenhower, écrite par ses assistants
Malcolm Moos et Ralph Williams, parlait du « Complexe militaro-industriel du Congrès »,
mais Eisenhower a abandonné la citation du Congrès –  par peur,
peut-être, de Johnson. La corruption de Johnson s’est aggravée après
qu’il est devenu vice-président et a nommé ses amis texans à la tête de
la Marine : d’abord John Connally, puis Fred Korth, qui a démissionné en
octobre 1963, après que le ministère de la Justice (dirigé par Robert
Kennedy) l’ait impliqué pour corruption dans le contrat des avions TFX
de la Force aérienne et de la Marine.

La NASA n’était pas seulement un camouflage pour les développements
militaires. C’était un rêve fabriqué pour laisser les Américains
regarder le ciel pendant que leur gouvernement commettait des atrocités
au Vietnam. Ainsi, la NASA avait aussi des liens étroits avec
l’industrie cinématographique. Son premier patron, T. Keith Glennan
(1958-1961) avait une longue expérience dans la gestion de studios de
cinéma à Hollywood (Wisnewski 298).

Walt Disney avec Wernher von Braun, « Père de la science des fusées », en 1954

Pendant la période de transition entre Johnson et Nixon, Apollo 8
aurait transporté trois astronautes dix fois autour de la lune. Puis,
après deux autres missions d’essais (Apollo 9 et 10), six membres de
l’équipage d’Apollo ont atterri sur la Lune de 1969 à 1972, le tout sous
la présidence de Nixon. Wisnewski (130-139) fournit un parallèle
spectaculaire montrant comment les nouvelles de dernière heure liées au
programme Apollo ont commodément détourné l’attention du public
américain des crimes de guerre au Vietnam. Apollo 11 a atterri sur la
lune deux mois après que les médias eurent révélé des bombardements
illégaux au Cambodge, et le programme Apollo a cessé juste après la fin
officielle de l’engagement des États-Unis en Asie du Sud-Est. Alors,
écrit Wisnewski :

Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des
milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts
vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient
en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une
conquête d’un tout autre genre. (131)

Pour le reste du monde, le frisson culturel et technologique provoqué
par l’alunissage a dû être aussi bouleversant et désarmant que le coup
négatif du 11 septembre. Jusqu’à ce jour, les États-Unis tirent leur
force de l’admiration sans bornes suscitée par ces alunissages. Et je
maintiens toujours que cette « conquête » de la lune, ce mythe antique
de l’humanité, a élevé l’Amérique au statut de nation quasi-divine. Les
alunissages s’inscrivent dans la stratégie psychologique globale
d’auto-agrandissement du pays, associée à l’asservissement, à
l’affaiblissement et à la démoralisation des autres. (287)

Les voyages spatiaux civils sont devenus une forme d’« opium pour le
peuple », une promesse de rédemption apportant un avenir nouveau et
meilleur pour l’univers. (63)

En effet, voyager sur la lune et revenir vivant est un exploit aux
proportions mythiques. C’est comme voyager dans l’Autre Monde et revenir
dans le monde des vivants avec son corps physique. Cela fait des
astronautes de la NASA les égaux des anciens héros surnaturels, des
demi-dieux immortels, et cette qualité semi-divine se reflète sur les
États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages
d’Apollo : il s’agissait d’une nouvelle religion mondiale qui élevait
les États-Unis au-dessus de toutes les autres nations terrestres. On a
beaucoup parlé des religions institutionnelles comme moyen de contrôle
mental collectif. Mais aucune croyance religieuse ne peut se comparer au
débarquement sur la lune en termes d’abus cyniques de la crédulité des
gens. Et aucune religion ne pouvait rivaliser, jusqu’à récemment, pour
le nombre de croyants dans le monde.

La leçon la plus profonde est que cela a été rendu possible par la
télévision, et aurait été impossible autrement. Personne ne l’aurait cru
s’il ne l’avait pas vu de ses propres yeux.

Dans « Par-delà le miroir » de Lewis Carroll, Alice dit à la Reine Blanche qu’« on ne peut pas croire des choses impossibles », mais la Reine insiste sur le fait que c’est possible avec assez de pratique : « Quand
j’avais ton âge, je le faisais toujours une demi-heure par jour.
Parfois, j’ai cru jusqu’à six choses impossibles avant le
petit-déjeuner. »
Avec la télévision, croire en six alunissages impossibles est venu sans effort.

Annexe : l’hypothèse de Kubrick

Avant d’être diffusés à la télévision, les alunissages d’Apollo étaient des productions de studio. Il n’est donc pas étonnant que l’un des dénonciateurs les plus influents ait été le cinéaste hollywoodien Peter Hyams avec son film Capricorn One (1978).

Bien qu’il n’ait aucun rapport avec la question de la réalité ou de
la possibilité de l’alunissage, et ne devrait pas être pris comme
argument, je voudrais mentionner ici l’un des développements les plus
intrigants de la théorie du complot du canular lunaire : la suggestion
que le réalisateur Stanley Kubrick a collaboré avec la NASA dans la
réalisation des films lunaires Apollo pendant son film « 2001 : Odyssée de l’Espace », (1968), auquel il a commencé à travailler dès 1964, peu après la fin de son film antimilitaire « Dr Folamour ».
Selon la rumeur, Kubrick aurait ensuite été contraint de conclure un
pacte faustien en échange de financements et d’autres formes d’aide. Que
Kubrick ait reçu le soutien de la NASA pour son film 2001
n’est en fait un secret pour personne : le scénario a été co-écrit par
Arthur C. Clark, un supporter enthousiaste et contributeur aux aventures
de la NASA, et plusieurs assistants pour le film, tels que Harry Lange
et Frederick Ordway, avaient travaillé pour la NASA et des entrepreneurs
aérospatiaux. Certains croient donc que 2001 faisait partie
d’un programme de la NASA à la fois pour fasciner le public avec les
voyages spatiaux et pour tester les techniques de production.

Cette hypothèse s’est d’abord posée lorsque les sceptiques qui étudiaient les photos et les films d’Apollo se sont convaincus qu’ils avaient été réalisés dans des studios de cinéma en utilisant la technique appelée projection sur écran, qui avait été perfectionnée par Stanley Kubrick pour son film 2001.

La théorie existait déjà depuis un certain temps, lorsqu’un « fauxdocumentaire »  français intitulé « Dark Side of the Moon », réalisé par William Karel, a été diffusé sur Arte en 2002, comme une tentative très intelligente mais futile de le démystifier.

Mais la théorie a gagné une nouvelle vigueur lorsque le réalisateur Jay Weidner y a ajouté l’hypothèse que Kubrick a avoué sa participation de façon énigmatique dans son film « The Shining » de 1980. Weidner présente ses arguments dans son documentaire « Kubrick’s Odyssey : Secrets Hidden in the Films of Stanley Kubrick. Part One : Kubrick and Apollo ». Il donne également un bref résumé de sa théorie dans le film documentaire Room 237 (2012), disponible sur vimeo (la contribution de Weidner se situe entre 00:44:25 et 00:51:55, et entre 1:16:00 et 1:16:45). Vous pouvez voir ici la contribution de Weidner sur YouTube :

Quand j’ai entendu parler de cette théorie pour la première fois et que j’ai regardé Room 237 (je n’ai pas regardé le film Odyssée de Kubrick), je n’y ai pas beaucoup pensé. Mais après avoir regardé à nouveau The Shining avec cela à l’esprit, après avoir étudié les autres films de Kubrick (en particulier Eyes Wide Shut,
qui l’a tué d’une façon ou d’une autre) et leurs couches de sens
cachés, et après avoir appris son obsession perfectionniste pour chaque
détail, je trouve cette théorie fascinante, mais aussi très plausible.

Le point de départ de Weidner est l’observation que, bien que le film The Shining
soit prétendument basé sur le roman du même titre de Stephen King,
Kubrick a ignoré le scénario adapté par King lui-même, et a changé
tellement de choses dans l’histoire qu’on peut dire que c’est une
histoire totalement différente, ce qui a rendu King très amer. Kubrick
semble avoir utilisé le roman de King comme couverture pour une histoire
à lui. Ce qui est donc intéressant, c’est de se concentrer
exclusivement sur les éléments du film qui s’écartent du roman de King,
et sur les détails qui ne semblent pas avoir d’incidence directe sur le
récit principal. Weidner n’est pas le seul à adopter cette approche : de
nombreux admirateurs de Kubrick pensent que le film a des
significations cachées. Certains prétendent, de façon convaincante je
crois, qu’il contient des références énigmatiques à la maltraitance des
enfants, un thème sous-jacent également dans Eyes Wide Shut.
Mais Weidner lit dans le film un sous-texte qui équivaut à une
confession autobiographique du rôle de Kubrick dans la simulation de
l’alunissage d’Apollo onze ans auparavant.

Selon cette interprétation, Jack Torrance (Jack Nicholson) représente
Kubrick lui-même, tandis que l’hôtel Overlook (construit sur un
cimetière indien) représente l’Amérique. Le gérant de l’hôtel, Stuart
Ullman (Barry Nelson), maquillé en JFK, représente le gouvernement
américain (ainsi que peut-être le JFK Space Center), tandis que son
assistant Bill Watson, qui observe Torrance sans dire un mot, représente
le monde des renseignements.

Stuart Ullmann (l’État) et Bill Watson (l’État profond)

Deux scènes en particulier donnent les clés de ce récit énigmatique.
La première, c’est lorsque Danny (représentant l’enfant de Kubrick,
c’est-à-dire les films Apollo) se lève en portant un pull Apollo 11, sur
un tapis au design similaire au Launch Complex d’où les fusées
Apollo ont été tirées. Peu après, Danny entre dans la chambre n°237,
qui contient le secret de l’hôtel. Le numéro de chambre était 217 dans
le roman de King, mais Kubrick l’a changé à 237 en référence à la
distance de 237,000 miles qui sépare la terre de la lune (selon
l’estimation courante à l’époque). La « chambre 237 » est en fait la « chambre lunaire », car « chambre/room » ressemble à « lune/moon » lorsqu’on lit le mot à l’envers, et Kubrick nous a appris à lire les mots à l’envers dans la scène où le mot « redrum » devient « meurtre/murder » dans le miroir.

Danny (l’enfant de Jack/Kubrick) est Apollo 11 (une production Disney ?)

La deuxième scène la plus importante du point de vue du sous-texte
énigmatique de Kubrick est lorsque Wendy découvre que Jack, qui est
censé écrire un roman, a tapé une seule phrase à maintes reprises : « Le travail et le manque de loisir font de Jack un garçon ennuyeux. »
Cette phrase, qui doit avoir été choisie par Kubrick pour un but bien
précis, prend un sens secondaire une fois que l’on se rend compte que
Tout/All, dans un script de machine à écrire américaine, ne peut être
distingué de A11, qui peut signifier Apollo 11.

La femme du réalisateur découvre qu’il a fait A(pollo) 11, sans loisir. [Regardez le pllay de la 1ere ligne, NdT]

Lorsque Jack surprend Wendy en train de lire les pages, il lui dit à quel point son contrat est sérieux :

As-tu déjà pensé un seul instant à mes responsabilités
envers mes employeurs ? (…) Est-ce important pour vous que les
propriétaires m’aient fait entièrement confiance et que j’aie signé une
lettre d’entente, un contrat, dans lequel j’ai accepté cette
responsabilité ? (…) Vous est-il déjà venu à l’esprit ce qui arriverait à
mon avenir si je n’assumais pas mes responsabilités ?

Outre ces deux scènes, il existe un certain nombre d’autres indices
qui étayent cette lecture subliminale. Pourquoi Kubrick, par exemple,
a-t-il fait ressembler le dessin de la tapisserie indienne dans le salon
principal à des fusées ? Est-ce que le fait que Jack les vise avec une
balle représente Kubrick « en train de tourner » les films d’Apollo ?

Juste après cette photo, Wendy et Danny vont dans le labyrinthe de
haies. Jack regarde ensuite un modèle du labyrinthe à l’intérieur du
salon, qui se confond avec le vrai labyrinthe en fondu enchaîné,
suggérant que le labyrinthe n’est pas réel. Le plan aérien de l’hôtel
Overlook, qui montre clairement qu’il n’y a pas de labyrinthe à côté de
l’hôtel, laisse également deviner ce fait. Venant de Kubrick, ça ne peut
pas être une erreur de continuité.

Des impossibilités spatiales déconcertantes dans le film ont également été découvertes par des gens étudiant attentivement ce film tels que Rob Ager. Ce ne sont pas des erreurs, car Kubrick s’est donné beaucoup de mal pour les produire. Par conséquent, elles doivent avoir un message à faire passer, peut-être que ce qui semble être à l’extérieur a en fait été filmé à l’intérieur.

Il y a aussi deux brèves allusions à la télévision qui correspondent au prétendu sous-texte : une remarque sarcastique sur la notion que ce qui est vu à la télévision est « OK » (voir la scène ici), et une télévision mystérieusement sans fil (impossible en 1980) montrant le film Summer of 42.

« Tu vois, c’est bon, il l’a vu à la télé ! »

Un autre indice possible laissé par Kubrick pour nous faire savoir qu’il avait l’intention de lire The Shining comme une autobiographie énigmatique, est le documentaire qu’il a demandé à sa fille Vivian de tourner sur le plateau du film (maintenant inclus comme bonus dans les DVDs). Il fait apparaître Kubrick comme un miroir de Jack Torrance. Cela a été détecté même par des critiques sans intérêt pour la théorie d’Apollo, comme Rob Ager, qui écrit :

La décision de Kubrick d’autoriser le tournage d’un documentaire sur le plateau de The Shining
a constitué une rupture sans précédent par rapport à sa politique de
travail ultra-secrète habituelle. Toutes les images de l’arrière-scène
ont été filmées par sa fille Vivian. Sans s’en rendre compte, de
nombreux critiques de cinéma et biographes ont accidentellement
identifié le motif de Kubrick pour la sortie de ce documentaire. À
maintes reprises, ils ont décrit son comportement dans les coulisses
comme étant comparable à celui du personnage principal du film, Jack
Torrance. Une des biographies que j’ai lues (…) affirmait même qu’il y
avait des blagues sur les similitudes d’apparence et de comportement
entre le personnage de Jack Nicholson et Stanley Kubrick. Ma théorie est
que Kubrick a délibérément créé ces parallèles entre lui et Jack, à la
fois dans le documentaire et parmi son équipe en général. Mais l’exemple
le plus frappant de ce parallèle est le traitement dégradant de
l’actrice Shelley Duvall (Wendy) et de l’acteur Scatman Crothers
(Halloran) par Kubrick, tous deux victimes de la folie de Jack Torrance.

Jack is writing a horror story, and so is Stanley, here shown typing in his daughter’s documentary
Jack écrit une histoire d’horreur, tout comme Stanley, ici montré en train de taper un textes dans le documentaire de sa fille.

Moon Landing Skeptic

Note du Saker Francophone : Il semble que Ron Unz soit en guerre personnelle pour dévoiler l'envers du décors, touche après touche. La pression monte doucement mais sûrement et on peut se demander à quel moment le rideau va tomber. On ne perd pas de vue que la crise économique menace, fragilisant encore un peu plus un système bien mal en point. Ou alors c'est un poisson d'avril ... qui sait.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le plus grand flou règne sur l’ampleur exacte des effets secondaires du vaccin. On doit à l’OMS et à sa base partagée par le centre d’Uppsala, la base VigiAccess, de donner quelques éléments d’informations un peu plus fiables que les éléments transmis par l’ANSM en France, et par quelques autres. On retiendra que cette base recense plus d’un million de cas d’effets secondaires pour la seule Europe, et pour la seule année 2021, du fait de la vaccination contre le COVID. Un chiffre qui sème le trouble sur la sincérité des chiffres en France.

Les effets secondaires du vaccin (ou des vaccins) contre le COVID constituent le grand tabou de la communication gouvernementale partout en Europe. Officiellement, le vaccin nous délivre de la maladie et se révèle parfaitement sûr. Sauf que les chiffres officiels, les quelques chiffres qui percent, ne disent pas exactement cela. 

Les effets secondaires selon l’OMS

On en veut pour preuve les chiffres globaux donnés par cette très dangereuse institution complotiste appelée l’OMS, sur la base VigiAccess opérée par l’Uppsala Monitoring Centre, tout ce qu’il y a de plus officiel donc. Nous reproduisons ci-dessus le nombre d’effets secondaires du vaccin comptabilisés par continent, tous vaccins confondus. 

On s’aperçoit que l’Europe est championne de l’effet secondaire, alors qu’elle compte environ 280 millions d’habitants vaccinés (on en compterait 380 millions aux Etats-Unis). Pour être exact, 1.074.200 effets secondaires étaient comptabilisés sur notre continent, soit un cas toutes les 560 millions d’injections environ, ou 1 cas pour 280 vaccinés. Ce n’est quand même pas rien.

Assez étonnamment, la proportion aux Etats-Unis est beaucoup moins importante. 

L’OMS contredit l’ANSM

En France, l’ANSM vient péniblement de reconnaître 90.000 cas d’effets secondaires (mais les autorités françaises sont avares sur les chiffres). 

On sait que la France a pratiqué environ 90 millions d’injections (nous nous contentons ici de cottes mal taillées, car tout recensement au jour le jour est impossible), soit un effet secondaire pour 1.000 injections. Autrement dit deux fois moins en France qu’en Europe. Mais c’est quand même bizarre.

Une fois de plus, ces incohérences dans les données officielles posent la question de la transparence sur les effets du vaccin. Et sur ce point, le débat est ouvert : la démocratie gagnerait à informer le public de façon transparente sur la réalité vaccinale. 

Quels effets secondaires des vaccins ?

Si les chiffres de l’OMS présentent l’inconvénient de ne pas décomposer plus précisément (notamment par vaccins) les effets secondaires, ils ont l’avantage de faire une synthèse chiffrées des différents types d’effets secondaires. 

Certains chiffres alertent. On constate ainsi plus de 100.000 problèmes cardiaques, plus de 115.000 problèmes vasculaires, 225.000 problèmes respiratoires, près de 300.000 problèmes dermatologiques, près de 650.000 problèmes musculosquelettiques… sans compter les 100.000 problèmes psychiatriques. 

On aimerait disposer en France d’un tableau clinique aussi précis. Cela aiderait au consentement libre et éclairé




“Si t’es pas d’accord t’es d’extrême droite”

Par Lucien-Samir Oulahbib

  • Tu vois, tous les anti-passe sont d’extrême droite… Ne parlons même pas des antivax bien sûr…
  • Ah oui ? Pourquoi ?
  • Parce que je le dis, et toi aussi d’ailleurs tu m’as l’air infecté…
  • Pourquoi ?
  • Parce que tu dis « pourquoi ».
  • On peut pas se poser des questions ?
  • Non « les chiffres cela ne se discutent pas » dit la pub et elle a raison, ou alors t’es platiste.
  • Ou complotiste.
  • Mais je préfère d’extrême droite…
  • Il y a des gens qu’on dit d’extrême droite qui sont ni pour ni contre bien au contraire.
  • Ils se masquent. N’oublie pas que Mussolini et Hitler étaient socialistes à la base.
  • Déjà le point Godwin…
  • Non c’est pas ça, mais tu sais bien que l’extrême droite se fait la gueule de mère-grand sauf que c’est la bête tu vois…
  • Immonde disait Brecht…
  • Oui.
  • Mais dis-moi toi qui est très savant, c’est quoi l’extrême droite à la base ?
  • Ben… Justement les partisans de Benito et d’Adolf.
  • Pas de Joseph, Léon, Vladimir ?
  • Mais non !
  • Pourquoi ? Flûte j’ai dit « pourquoi » désolé… Soyons précis… Zemmour est donc d’extrême droite ?
  • Ben oui.
  • Marine Le Pen ?
  • Évidemment.
  • Marion Maréchal ?
  • Quelle question !
  • Sonia Mabrouk aussi ?
  • Bien sûr…
  • Macron ?
  • C’est un libéral allié objectif de l’extrême droite comme sous Hitler qui était soutenu par le « grand capital ».
  • Mais Hitler peu à peu remplaçait ses patrons par des hommes à lui…
  • Peu importe, je n’ai pas dit qu’il y a qu’une seule extrême droite, attention. Il y a plusieurs courants bien sûr.
  • Donc Zemmour, Marine Le Pen, Marion Maréchal, Sonia Mabrouk, Macron ont du sang sur les mains ?
  • Je n’ai pas dit ça !
  • Tu as dit quoi alors ? C’est quoi l’extrême droite ?
  • Le racisme.
  • C’est quoi le racisme ?
  • Si tu ne sais pas cela, c’est que tu es d’extrême droite…
  • Tu sais bien que non.
  • Mais quand même, fais attention.
  • Je me fais l’avocat du diable, mettons que je sois en CE2 : « c’est quoi le racisme, monsieur ».
  • Déjà en me désignant par mon genre…
  • Ah ?…
  • Oui, demain je peux vouloir qu’on m’appelle Madame…
  • Oui c’est vrai…
  • Ou rien du tout…
  • Oui…
  • Donc appelle-moi par…
  • Un prénom ?
  • Non cela essentialise… Zemmourise…
  • Ah…
  • Oui…
  • Par quoi alors ?
  • Une lettre, un chiffre. Delta c’est bien, par exemple.
  • Mais c’est déjà pris…
  • C’est vrai, Alpha aussi, Bêta aussi et puis c’est connoté… Appelle-moi « L »… Cela sonne bien « l », « elle, aile » c’est poétique…
  • OK « L » ! C’est quoi le racisme ?
  • Préférer soi-même à autrui, or « je est un autre »
  • Ah…
  • Le racisme c’est égoïste…
  • Aime ton prochain à la place de toi-même alors ?
  • Voilà !
  • Encore mieux que le christianisme qui dit « aime ton prochain comme toi même ».
  • Mais oui le christianisme est une religion d’égoïstes en fait… Mais le nouveau Pape s’en est rendu compte, tant mieux !
  • Mais c’est pas un peu esclavagiste ?
  • Euh non, je ne vois pas.
  • Si tu aimes d’abord l’autre et pas toi, c’est que tu fais passer ses désirs avant les tiens comme l’Esclave qui se sacrifie pour le Maître…
  • Mais non ! Par exemple si ton enfant a faim tu lui donnes à manger avant toi.
  • Mais autrui n’est pas mon enfant.
  • Voilà l’égoïsme.
  • C’est cela le racisme alors ?
  • Pareil, si c’est tout pour ta gueule eh bien tu te mets en avant donc au-dessus alors qu’il faut te mettre derrière.
  • Par-derrière ?
  • En plus tu joues à l’homophobe ?!!!…
  • Par-derrière, j’ai dit en général. Cela ne concerne pas seulement les homos…
  • Fais attention à ta langue…
  • Pourtant je lèche bien comme il faut non ?
  • Tu persifles, ma parole !!!
  • Donc l’humour est d’extrême droite aussi ?
  • Sur ces choses-là oui aussi. Je te dis seulement qu’il faut que tu te places derrière…
  • C’est bien ce que je dis… Tu te places derrière… autrui… Pour mieux le…
  • T’es bête ou quoi ?
  • C’est pas raciste ça de cataloguer l’intelligence des gens ?…
  • Tu ne comprends pas, c’est moi qui décide ce qui est raciste ou pas.
  • Explique…
  • Je suis scientifique, c’est la Science.
  • Ah ?…
  • Oui la Science dit qu’il n’y a pas de race, mais l’extrême droite ne le voit pas comme ça et donc te dépeint quand même d’après la couleur de ta peau ils te désignent ainsi donc tu deviens « racisé, genré » il faut se battre contre ça…
  • Contre le fait d’être blanc noir jaune homme femme ?…
  • Voilà !
  • Comment ?…
  • Tu remplaces le pourquoi par le comment maintenant ?
  • Donc les gens d’extrême droite te désignent par ta couleur et ton genre.
  • Voilà…
  • Mais ils le nient, par exemple Sonia Mabrouk, Marine Le Pen, Zemmour, tu leur dis ça ils vont nier…
  • Bien sûr ! C’est ça leur ruse.
  • Ben… Comment on fait alors ?
  • Encore ton « comment » !…
  • Oui, désolé…
  • On les montre du doigt, c’est tout. Ils sont d’extrême droite point barre !
  • Même s’ils le nient ?…
  • Oui…
  • Mais ils vont dire que tu les essentialises aussi…
  • C’est une ruse de théologiens…
  • Même s’ils n’ont pas de sang sur les mains ? Alors que nous quand on a quand même soutenu Lénine, Trotski, Staline Mao Castro les FLN et FNL Pol Pot, Kadhafi, Mugabe, Chavez, Maduro, on a quand même du sang sur les mains non ?…
  • Tu sais bien que c’est du sang de tsariste blanc colonialiste impérialiste ce n’est pas pareil.
  • Le sang vendéen lyonnais celui des Chouans « mauvais sang » ?
  • Voilà… Tu as donc le bon sang et le mauvais sang.
  • Bon sang, mais c’est bien sûr ! Comme au temps de l’aristocratie au bon sang bleu ?
  • Ton humour à deux balles…
  • Désolé…
  • Donc l’extrême droite c’est le mauvais sang qui a répandu le bon sang, la chambre à gaz, le four crématoire quand même…
  • Le camp de travail le Goulag non ce n’était pas du mauvais sang ?…
  • Pas pareil… Tu te fais du mauvais sang là ! Là c’est le bon sang qui a répandu le mauvais sang…
  • Tu défends donc toujours le Goulag ?…
  • Non bien sûr. Mais nous on a répandu le mauvais sang pour la bonne Cause…
  • Les autres disent la même chose aussi…
  • Pas pareil encore une fois, nous on a tué pour sauver l’Humanité, eux ils ont tué pour la purifier…
  • Sauver, purifier…
  • Ce n’est pas pareil…
  • J’ai brusquement envie de voir Godot apparaître tout d’un coup, mais dis-moi, est-ce que sauver ce n’est pas purifier aussi ?…
  • Non, parce que nous on sauve au nom du Progrès, de l’Avenir alors que les autres purifient au nom de la Conservation du Passé.
  • Mais aujourd’hui quand on te dit qu’il faut t’injecter pour sauver autrui et aussi te purifier pour y arriver on n’a pas réconcilié les deux tendances ?
  • Là je ne te suis vraiment pas ! Tu frises le conspirationnisme en plus du complotisme !
  • Tu dis que le clivage entre disons « les » extrême droite et les antiracistes si tu veux c’est que les premiers veulent purifier et les seconds sauver c’est bien ça ? Si oui et dans ce cas aujourd’hui avec l’obligation « injectale » si tu veux on fait bien les deux non, sauver ET purifier ?…
  • Oui, mais c’est un secret, faut pas le dire…
  • Faut pas dire quoi ?
  • Tu veux que je te le dise ?
  • Ben oui.
  • Tu n’as pas lu « L’instant de ma mort » de Blanchot ?
  • Euh non…
  • Mais après faudra que je te tue.
  • Pourquoi ?
  • T’as dit pourquoi…
  • Désolé
  • Tu veux vraiment que je te le dise ?…
  • Oui…
  • Mais tu vas mourir…
  • Je suis déjà mort…
  • C’est vrai… J’oubliais (donc t’as lu Blanchot ? Cachotier va !) Eh bien je vais te le dire : le système immunitaire dit naturel EST d’extrême droite…
  • Quoi ?!!!
  • Tu penses que tu as un système immunitaire ?
  • Ben oui, il paraît…
  • Mais ce système c’est l’égoïsme lui-même !
  • Ah bon ?…
  • Oui ! Il filtre, catégorise, colonise et tue… C’est le suc de l’égoïsme… Il faut le déconstruire…
  • Ah oui « l’homme déconstruit » !
  • Voilà !
  • Mais déconstruire c’est pas un peu détruire aussi ?
  • Mais non Gaston ! On t’injecte de bons trucs, qui vont susciter une réaction de ta part pour te mettre en alerte.
  • Ah oui comme sœur Anne !
  • Voilà !
  • Et si rien ne vient ?…
  • T’inquiète ! les méchants virus attaquent comme l’extrême droite, mais heureusement que les bons anticorps que la Science a fabriqués pour toi viennent te défendre. Tu n’as plus besoin de tes anciens anticorps, vieillots, racistes, et puis la propriété, le propre, c’est dépassé.
  • Ah ?
  • Mais oui ! Tes anticorps, ton corps, ta femme, ta voiture, ton appartement : fini, tout ça. Vois cela comme une immense partouze ou une chaîne de montage sans début ni fin, sans envers ni endroit. Tout est remplaçable, déplaçable : monsieur/madame, vie privée/vie publique, intérieur/extérieur, fini ; c’est l’extrême droite, cela, tu vois.
  • Oui…
  • Bon, tu l’auras voulu alors !
  • Pitié !
  • Bon OK, mais fini les pourquoi, comment, etc. d’accord ? Plus de questions !
  • C’est quoi une question ?
  • L’extrême droite.
  • Compris…



Le professeur Jacques van Helden, de l’université Aix-Marseille, explose les mensonges du Dr Fauci dans The Lancet

[Source : ZEjournal]

Auteur : Jean-Patrick Grumberg

La principale revue médicale au monde, The Lancet, vient de publier un article (1) condamnant explicitement les positions conspirationnistes d’Anthony Fauci, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui déclarait le 17 février 2020 à USA Today (2) que le risque de coronavirus aux États-Unis était « minuscule », puis niait qu’il sortait du laboratoire de Wuhan dont il a financé les travaux de recherche. 

Dans leur appel « pour un débat scientifique objectif, ouvert et transparent sur l’origine du SRAS-CoV-2 », publié le 17 septembre dans The Lancet (1), une quinzaine de scientifiques français et étrangers accusent implicitement le Dr Fauci d’avoir menti, et de continuer à mentir sur les origines du coronavirus, sous le fallacieux prétexte qu’il fallait « suivre la science et non les spéculations ».

Typique travers de la nature humaine, où le voleur accuse celui qu’il vient de dérober d’être le voleur, si bien illustré par le loup furieux contre l’agneau qui « trouble son breuvage », alors que d’une part, l’agneau se désaltérait déjà quand le loup est arrivé, et qu’au surplus, l’innocent accusé se trouvait « plus de vingt pas au-dessous » du loup dans le courant. Jean de la Fontaine (merci, Gérard Pierre, pour la mention) décrit ce que nous observons quotidiennement dans les médias : être traité de conspirationniste par les conspirationnistes, et accusés de Fake News par les industriels de la Fake News.

En réalité, dans l’origine du coronavirus, les faits pointent vers tout l’inverse de ce qu’affirmait Fauci, comme le loup qui pollue l’eau de l’agneau et lui reproche de troubler son breuvage : la science semble indiquer que le virus est de fabrication humaine, et les spéculations l’attribuent à une origine animale.

Mais revenons à nos moutons…

Source de la controverse

  • Nous sommes au tout début de ce qui deviendra une pandémie. Nous sommes le 1er février 2020, et lorsqu’il a été confronté aux premiers indices que le Covid pouvait provenir du laboratoire de Wuhan qu’il a financé via EcoHealth Alliance de Peter Daszak, président de l’organisation basée à New York, le docteur Fauci a organisé une conférence téléphonique secrète pour discuter de la manière de supprimer cette information dangereuse, puisque la piste menait directement à eux.

« Un groupe d’élite de scientifiques internationaux a donc eu une réunion téléphonique pour discuter d’une possibilité choquante : Le virus semblait avoir été créé dans un laboratoire », explique Alison Young, membre de l’équipe d’investigation de USA TODAY, qui couvre les questions de santé, d’environnement et de consommation.

https://www.usatoday.com/story/opinion/2021/06/17/covid-19-fauci-lab-leaks-wuhan-china-origins/7737494002/

  • Le 19 février 2020, Peter Daszak et 27 autres scientifiques ont publié une lettre dans The Lancet (3), disant :

« Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ».

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext

Cette lettre a ensuite été utilisée par tous les médias pendant plus d’un an pour supprimer et censurer toutes discussions – et même toute question – suggérant que le virus est sorti d’un laboratoire chinois. Les médias sociaux ont tous apporté leur concours à cette censure. Les sites qui combattent les théories conspirationnistes ont ridiculisé ceux qui posaient des questions, et les organismes de vérifications des faits, en prenant pour référence la lettre du 19 février, ont rejeté comme Fake news tout avis contraire. Pendant plus d’un an.

  • La veille, soit le 18 février 2020, Dreuz a été le premier média en langue française à émettre des doutes sur l’origine du coronavirus et à pointer du doigt le laboratoire de Wuhan (4).

Ce qui, dans la lettre des élites scientifiques de février avait attiré les doutes de l’homme simple que je suis, n’était pas difficile à déceler : comment ces messieurs, sans faire d’enquête, sans encore rien connaître au virus, pouvaient-ils affirmer de manière absolue et définitive que le Covid-19 était d’origine naturelle, et ne pouvait absolument pas venir d’un laboratoire. Ils ne présentaient aucune preuve scientifique de leurs affirmations parce qu’ils n’en avaient pas. A la place, ils se servaient de l’autorité et du prestige de leur position pour demander qu’on les croie.

Et cela doit nous servir de leçon : ce n’est pas parce qu’un grand scientifique, réputé, honoré et honorable par ailleurs, affirme quelque chose, que ce soit suffisant pour le croire.

  • Le 17 septembre 2021, un nouvel article paru dans The Lancet, rédigé par Jacques van Helden de l’université d’Aix-Marseille en France, Richard Ebright de l’université Rutgers et 14 autres auteurs français et américains, a mis à mal les Fake news de la clique des élites de Fauci qui prétendaient apporter un soutien écrasant à l’hypothèse selon laquelle le nouveau coronavirus à l’origine de la pandémie de COVID-19 provenait de la faune sauvage.

« Les auteurs ont associé tout point de vue alternatif à des théories du complot, en déclarant : « Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle ».

Cette déclaration a eu pour effet de réduire au silence le débat scientifique au sens large, y compris parmi les journalistes scientifiques », accuse van Helden.

Contrairement à ce qu’affirmaient ces élites scientifiques, poursuit l’article,

« Il n’y a pas de soutien direct à l’origine naturelle du SRAS-CoV-2, et un accident lié à un laboratoire est plausible. Il n’existe à ce jour aucune preuve scientifiquement validée qui soutienne directement une origine naturelle. »

« Ni l’option de l’hôte, de la chauve-souris à l’homme, ni la route géographique du Yunnan (où les virus les plus proches du SRAS-CoV-2 ont été échantillonnés) à Wuhan (où la pandémie a émergé) n’ont été identifiées.

Plus de 80 000 échantillons prélevés dans des sites sauvages et des fermes d’élevage chinoises se sont tous révélés négatifs », écrivent les chercheurs.

En outre, poursuivent les auteurs :

La communauté internationale des chercheurs « n’a pas accès aux sites, échantillons ou données brutes » liés au laboratoire de Wuhan et à l’épidémie de Covid.

Même le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a maintenant déclaré « que toutes les hypothèses restaient sur la table, y compris celle d’une fuite de laboratoire. »

Et donc, ajoutent les scientifiques, l’origine pointe plutôt vers un virus fabriqué par l’homme :

L’origine de la pandémie par une fuite en laboratoire est « plausible. Certaines caractéristiques inhabituelles de la séquence du génome du SRAS-CoV-2 suggèrent qu’elles pourraient résulter du génie génétique. »

Le professeur de l’université Aix-Marseille poursuit ainsi :

En tant que scientifiques, nous devons évaluer toutes les hypothèses sur une base rationnelle, et peser leur probabilité sur la base de faits et de preuves, sans spéculation quant à d’éventuels impacts politiques.

Contrairement à la première lettre publiée dans The Lancet … nous ne pensons pas que les scientifiques doivent promouvoir l’ »unité » (« Nous soutenons l’appel du directeur général de l’OMS à promouvoir les preuves scientifiques et l’unité plutôt que la désinformation et les conjectures »).

Comme nous l’avons montré ci-dessus, les hypothèses liées à la recherche ne sont pas de la désinformation et des conjectures. Plus important encore, la science accepte les hypothèses alternatives, les arguments contradictoires, la vérification, la réfutabilité et la controverse. S’écarter de ce principe risque d’établir des dogmes, d’abandonner l’essence de la science et, pire encore, d’ouvrir la voie aux théories du complot. Au lieu de cela, la communauté scientifique devrait amener ce débat là où il doit être : dans les colonnes des journaux scientifiques ».

Conclusion

Lorsque je faisais des recherches sur Dreuz pour retrouver l’historique de nos publications – je ne fais pas confiance dans les médias traditionnels à moins qu’ils fournissent leurs sources, ce qu’ils ne font pas – j’ai compris une partie du légitime rejet du vaccin par une partie du public informé : ils ont très tôt été pris pour des imbéciles par les autorités, et dès cet instant, ont décidé de ne plus leur faire confiance en rien concernant leur santé et la pandémie.

J’ai également remarqué que très tôt, je me suis personnellement, ainsi que tous les auteurs de Dreuz.info, positionné en faveur des médicaments comme l’hydroxy, tandis que des lecteurs me reprochent aujourd’hui de soutenir son interdiction – qu’ils fassent une recherche dans mes articles passés, ils verront qu’ils se trompent. Ils verront également que j’ai été le premier, en 2020, à évoquer les dangers révélés lors des tests grandeur nature du vaccin – là encore, les mêmes m’accusent à tort d’être pro-vaccin, qu’ils fassent une recherche. Mais qu’ils se rassurent, je crois avoir compris qu’au train où vont les dons – qui se sont taris, Dreuz ne sera plus là très longtemps pour les embêter avec son refus d’être anti-vaccin.

Enfin, je m’étonne qu’autant de politiques et de scientifiques mettent l’accent sur la dangerosité pour la vie de l’homme du réchauffement climatique – une certitude du futur selon eux – et qu’ils réclament qu’on ait confiance dans leur désir de protéger notre bien-être, alors qu’ils ne réclament pas d’enquête internationale sur l’origine d’un virus qui a déjà tué 5 millions de personnes, qu’ils ne menacent pas la Chine de sanction si elles s’obstinent à refuser la visite d’experts, et ne demandent pas des précautions extraordinaires et des observateurs indépendants au laboratoire chinois d’où est plus que probablement sorti le virus.

Références :

  1. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)02019-5
  2. https://www.usatoday.com/story/news/health/2020/02/17/nih-disease-official-anthony-fauci-risk-of-coronavirus-in-u-s-is-minuscule-skip-mask-and-wash-hands/4787209002/
  3. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext
  4. https://www.dreuz.info/2020/02/coronavirus-celui-par-qui-la-theorie-du-complot-est-partie-rompt-le-silence-207081.html

Lire aussi : RÉVÉLÉ : 26 des 27 scientifiques du Lancet qui ont réfuté la théorie selon laquelle le Covid aurait fui d’un laboratoire chinois ont des liens avec des chercheurs de Wuhan
– Source : Dreuz Info




Covid : la quatrième vague meurtrière programmée à partir d’octobre prochain

Par Diane Vincero

Voici un texte du Sénat (texte n° 811 – 2020-2021) sur « les motifs de la proposition de loi sur la vaccination obligatoire contre le Covid » qui doit être étudié le 13/10/2021 et qui vise à ajouter aux 11 vaccins déjà obligatoires, un 12e ** : celui du Covid.

Les termes du texte en sont intéressants.

Voici d’abord le texte, puis le décryptage qui s’impose.

Texte n° 811 (2020-2021) de MM. Patrick KANNERBernard JOMIER, Mmes Marie-Pierre de LA GONTRIEMonique LUBIN et plusieurs de leurs collègues, déposé au Sénat le 31 août 2021 —

proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (exposé des motifs) (senat.fr)

« EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteint par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n° 2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

“- d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus”.

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribut à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au reconfinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le Covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–   Protège sa propre santé et liberté, mais aussi celles des autres ;

– Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–   Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–  Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–  Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le pass sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


En voici maintenant le décryptage proposé

Le texte met en avant « la nécessité d’une protection collective contre les variants du Covid afin de garantir un retour à une vie quotidienne normale, de limiter les restrictions et les privations de libertés, de mettre fin aux craintes pour nos familles, nos emplois, et la scolarité de nos jeunes », éternelle tactique de la carotte (en attendant le prochain bâton), sachant par ailleurs que les scientifiques indépendants de Big Pharma sont tous d’accord pour dire que pendant une pandémie, la vaccination collective est contre-indiquée, qu’elle laisse la place à des variants potentiellement plus graves et qu’enfin, la contagion reste effective même après la vaccination.

« La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. » qu’on peut traduire par « la seule solution de rentabilité financière maximale ».

Au passage, le texte refait l’éloge des soignants « engagés dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout », sachant que tous les soignants qui ont refusé la vaccination ont été jetés dehors depuis le 15 septembre dernier, sans salaire… Le texte évoque aussi les « acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires ». Mais qui a fermé les restaurants, les cinémas, les théâtres, les magasins de vêtements, etc. des centres commerciaux, pendant que les grandes surfaces qui vendaient les mêmes articles ont pu continuer à fonctionner ?

Les Sénateurs se réfugient derrière l’Académie de Médecine pour justifier de leur proposition, sachant que celle-ci, tout comme eux-mêmes est en lien étroit avec Big Pharma.

En effet, ils s’abritent derrière le fait que l’Académie de Médecine prônait l’usage du masque, alors que le masque laisse passer le coronavirus. Comment l’Académie de Médecine peut-elle ignorer que le SARS-CoV2 mesure entre 0,06 et 0,14 µm et que les masques laissent passer les particules jusqu’à 0,6 µm, et donc que le coronavirus est bien plus petit que les mailles des masques ?

Dans le fond, quelle peut être la réelle utilité du masque si ce n’est de nous rappeler sans arrêt qu’il existe une prétendue épidémie ?

De la même manière, les sénateurs s’abritent derrière l’Académie de Médecine pour l’obligation vaccinale pour tous, mais, comment l’Académie de Médecine peut-elle prôner

« de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Il est en effet étonnant de constater que cette « éminente instance », pourtant censée abriter des médecins, puisse ignorer les principes énoncés ci-dessus sur la contre-indication de la vaccination généralisée en cas de pandémie.

La situation évoquée par les sénateurs concernant les Antilles ne reflète pas les réalités du terrain, d’une part sur le vrai pourcentage de patients hospitalisés et/ou décédés, et le vrai pourcentage parmi eux de personnes vaccinées ou non, et enfin, la résultante, en période de pandémie, des comorbidités (hypertension artérielle, diabète, cancer, maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la thyroïdite d’Hashimoto, etc.), comorbidités aux Antilles liées aux OGM et aux pesticides utilisés largement (tels que le chlordécone dans les bananeraies, pourtant interdit en France métropolitaine, et le DDT pourtant interdit en France depuis 1962)…

Quand très noblement, nos sénateurs écrivent que la vaccination de tous « Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne, et dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public. », on ne peut alors que s’interroger sur le pourquoi de ce nouveau formulaire de dénonciation de faits et de personnes ne respectant pas les ordres sur le covid, formulaire destiné aux procureurs de la République, et le pourquoi de la plateforme du service de répression des fraudes du Ministère de l’Économie et des Finances qui recueille les mêmes éléments…

« La vaccination est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme ». Phrase d’un apparent altruisme magnifique, mais qui ne tient plus lorsqu’on connaît l’ampleur des conflits d’intérêts entre ces politiciens et Big Pharma… 

Dans le fond, ce texte nous révèle, outre les « beaux principes » et les « belles promesses » (la carotte) mis ostensiblement en avant pour faire avaler la couleuvre, « beaux principes » que sont le fait de « vouloir protéger le peuple », que « chacun pense aux autres », « qu’il faut que tout le monde ait la chance d’avoir le vaccin », avec la culpabilisation systématique du peuple à chaque occasion, et l’aspect financier colossal qui apparaît avec Big Pharma, ce texte donc, nous révèle également la difficulté qu’ont nos dirigeants à arriver à ces fins financières, et à trouver pour ce faire, les arguments convaincants et incontournables.

On peut simplement penser que, si la pandémie était réelle, elle n’aurait besoin d’aucun argument pour imposer une marche à suivre. La transparence évoquée dans le texte du sénat serait effective, honnête et les faits se seraient enchaînés sans contre-vérités à répétition, sans revirements incessants, sans données tronquées ou complètement erronées et sans autoritarisme…

Mais qui, le 13 octobre prochain sera présent au Sénat pour apporter la réalité des faits, avant que ce 12ème vaccin ne soit rendu obligatoire ??


30 % DES DOSES DE « VACCINS » ADMINISTRÉES SONT DES ÉQUIVALENTS PLACEBO                                                

En résumé, ce texte explique que, comme dans les études cliniques sur les effets des médicaments, les patients sont divisés en 2 groupes pour les « vaccins anti-covid » : l’un qui reçoit, sans le savoir, un placebo, et l’autre qui reçoit réellement le médicament.

Ici, 30 % des doses injectées, ne contiennent pas les ingrédients « anti-covid », mais probablement seulement du sérum physiologique, et constituent l’équivalent placebo des études cliniques ci-dessus.

Étant donnée la réalité des faits qui se déroulent depuis début 2020, étant donnée l’ampleur de la manipulation des peuples autour d’une pseudo-pandémie de covid, étant donné ce que contiennent ces pseudo vaccins,  on peut penser qu’il s’agit là, d’une manipulation supplémentaire, hautement perverse, à savoir que comme 30 % des doses sont inoffensives, les personnes qui la reçoivent ne développent aucun symptôme et vont donc se croire plus fortes de nature, ou, n’envisageront pas un seul instant être l’objet d’une stratégie « vaccinale »… Elles croiront que ceux qui sonnent l’alarme sont de simples complotistes et inciteront les autres à se faire vacciner « puisqu’il ne se passe en réalité rien de grave »…

De cette manière, ces personnes vont elles-mêmes se revacciner, jusqu’au jour où elles recevront un vrai vaccin « anti-covid » et développeront à leur tout un effet secondaire grave, MAIS IL SERA TROP TARD…


** Proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (senat.fr)

1.— Le 1 de l’article L.3111-2 du code de la santé publique est complété par un 12° ainsi rédigé :

« 12° contre le SARS-CoV-2. »

Article L3111-2 — Code de la santé publique — Légifrance.gouv.fr : 

Version en vigueur depuis le 01 janvier 2018                                  Modifié par LOI n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 — art. 49 (V)

I.-Les vaccinations suivantes sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue, dans des conditions d’âge déterminées par décret en Conseil d’État, pris après avis de la Haute Autorité de santé
1° Antidiphtérique ;
2° Antitétanique ;
3° Antipoliomyélitique ;
4° Contre la coqueluche ;
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
6° Contre le virus de l’hépatite B ;
7° Contre les infections invasives à pneumocoque ;
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C ;
9° Contre la rougeole ;
10° Contre les oreillons ;
11° Contre la rubéole.

II.— Les personnes titulaires de l’autorité parentale ou qui assurent la tutelle des mineurs sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligation prévue au I. La preuve que cette obligation a été exécutée doit être fournie, selon des modalités définies par décret, pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.




L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres

[Source : @Nawac7]

Il mentionne en résumé notamment les faits suivants :

Les morts, lors de la première vague, venaient presque exclusivement de maisons de retraite qui avaient reçu préalablement un afflux de malades en provenance d’hôpitaux et qui avaient été traités au Midazolam.

Ils étaient tous étiquetés Covid, alors qu’ils avaient par exemple un cancer en phase 4 ou d’autres maladies.

Il n’y a pas eu plus de morts en 2020 que l’année d’avant, sauf pendant quelques semaines en mars et avril du fait des morts dans les maisons de retraite.

La deuxième vague en janvier 2020 est venue par les récents vaccinés.

Presque tous les morts Covid venaient d’être vaccinés.

Il révèle d’autres informations choquantes et révélatrices indiquant qu’il n’y a pas eu de réelle pandémie.



Son entreprise : MK Family Funeral Services (mkffs.co.uk)

Son adresse courriel : john@mkffs.co.uk

À noter qu’à la fin de la vidéo, le réalisateur de l’entretien mentionne que John O’Looney a été contacté par RT (chaîne russe pourtant souvent considérée comme alternative) pour qu’il se taise en échange de 100 000 euros.




Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”. Mise à jour

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

[Mise à jour : vidéo complète sous-titrée en français]



EXCLU L’ANTIPRESSE/LE COURRIER DES STRATÈGES

Notre correspondant en Allemagne, François Stecher, nous a signalé cette conférence du journaliste-enquêteur ERNST WOLFF (né en 1950 et spécialisé dans l’analyse des crises financières) donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cet exposé nous a frappé par sa cohérence, sa mesure et sa limpidité. Il propose, loin de tout «complotisme», une «contre-narration» de la crise en cours. Elle corrobore la thèse proposée dès avril-mai 2020 dans L’Antipresse: celle du coup d’État technologique et l’analyse du Great Reset proposée par Eric Verhaeghe dans son ouvrage « Great reset: mythes et réalités » (éditions Culture et racines, 2021) ou celle du « fascisme gris » proposée par Edouard Husson dans ces colonnes. Le schéma proposé par Wolff complète également de manière frappante la stratégie de l’hyper-normalisation exposée dans le documentaire capital d’Adam Curtis produit en 2016 par la BBC. Le nihilisme robotique du projet illustre enfin la thèse du grand sociologue américain Theodore Roszak sur la Secte informatique résumée et commentée dans l’Antipresse durant l’été 2020. Les enquêtes et intuitions de Wolff s’inscrivent ainsi dans un faisceau de tendances et d’indices plus que convaincant, d’autant plus qu’il est assumé et alimenté par les protagonistes eux-mêmes de ce grand renversement, notamment au travers de la mise à jour permanente doctrines resettistes et transhumanistes de Davos. François Stecher a bien voulu traduire la conférence en français et nous la publions en deux parties. Le lecteur pourra se reporter à la vidéo en allemand ainsi qu’à la version sous-titrée en anglais dont nous donnons les liens ci-dessous. À toutes fins utiles, des repères de minutage sont insérés dans le texte. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

L’effondrement a-t-il été planifié?

Le président américain Franklin Delano Roosevelt a dit une fois: «rien en politique ne se produit par hasard. Si quelque chose arrive, vous pouvez parier que c’était exactement planifié ainsi». Si l’on regarde tout ce qui s’est passé au cours de l’année et demie qui vient de s’écouler, cette phrase est particulièrement terrifiante. Est-il seulement possible que tout ce que nous avons vécu ait été planifié?

Je voudrais en préambule clarifier un point: je ne peux apporter aucune preuve de l’existence d’un tel plan, par exemple sous la forme de documents authentifiés. Mais après m’être intéressé, depuis dix-huit mois, à ce sujet de manière approfondie, je dois dire qu’il y a un nombre impressionnant de signes et d’indices qui vont dans cette direction. De ceux-ci et de leurs conséquences, je voudrais parler aujourd’hui(1:09). 

D’absurdité en absurdité

La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est unique dans l’histoire de l’humanité. Jamais encore le monde entier n’a été soumis à un régime de contraintes comme celui qui règne aujourd’hui. Et jamais encore n’ont été prises autant de mesures qui paraissent à première vue si incompréhensibles, parfois si absurdes et à de nombreux égards si contradictoires (1:42).

Officiellement, nous avons, de mémoire d’homme, affaire à la plus grave crise sanitaire de l’histoire de l’humanité. Pourtant, les mesures qui ont été prises pour y faire face n’ont pas amélioré la situation, mais l’ont au contraire continûment dégradée (1:58). Tout médecin peut aujourd’hui confirmer que l’état de santé des gens, de la majorité des gens est aujourd’hui moins bon [pire] qu’il n’était avant la crise. Et même du point de vue de ceux qui ont ordonné ces mesures, la situation est catastrophique. La quatrième vague qui prétendument nous menace, comme l’annonce de la nécessité des troisième puis quatrième puis cinquième injections, montrent bien que toutes les décisions prises jusqu’ici ont échoué à atteindre leur but, celui de contenir la maladie (2:35).

[1]

Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. Nous avons affaire désormais, dans la foulée des confinements, à une crise économique globale. Dans les moindres coins et recoins du monde, la production est comme suspendue, la logistique est à terre, les chaînes d’approvisionnement sont brisées, nous faisons face à de mauvaises récoltes, des pénuries alimentaires, et de surcroît, à un manque cruel de semi-conducteurs, si essentiels à des pans entiers de l’économie (3:12). Mais dans ce domaine également, ce que nous voyons, c’est que l’on ne s’attaque pas aux problèmes pour les résoudre, mais qu’au contraire, par la prise de nouvelles mesures et la menace permanente de nouvelles restrictions, on les multiplie et les amplifie (3:31).

Dernier exemple en date: en Chine, un terminal du troisième plus grand port de fret du monde a été fermé à cause d’un unique cas positif parmi les employés du port (3:47). Ou bien encore la Nouvelle-Zélande: en Nouvelle-Zélande, la semaine dernière, on a confiné le plus sérieusement du monde 5 millions de gens parce qu’une seule personne de 58 ans a eu un résultat de test positif.

Une autre crise concerne les classes moyennes (Mittelstand), qui sont de loin les premiers employeurs à la surface du globe, et supportent en outre le gros de la pression fiscale (4:17). Par une insécurité sans cesse attisée et de nouvelles réglementations qui surgissent en permanence, les classes moyennes se retrouvent acculées, plus fortement de semaine en semaine, et n’ont encore jamais été confrontées à une telle crise.

Mais même cela, ce n’est pas tout. Nous vivons actuellement une violente hausse de l’inflation pour le monde entier, en particulier pour ce qui concerne les matières premières, les prix à la production et les aliments (4:49). Et là encore, bizarrement, on ne fait rien pour contrecarrer cela, bien au contraire. On maintient la surabondance d’argent, et même on la renforce. Les États et les banques centrales ont injecté 20 billions de dollars dans les circuits financiers mondiaux depuis le début la crise, sans qu’on puisse voir la fin de ces agissements. Et le Fonds monétaire international, la plus puissante organisation financière au monde, libérera lundi prochain, pour 650 milliards, la plus grosse somme jamais sortie de sa propre monnaie, des droits de tirage spéciaux (DTS) (5:32).

Et la situation sociale n’est pas meilleure. Un seul exemple: aux États-Unis, la première puissance économique mondiale, près de 4 millions de personnes sont menacées d’expulsion parce qu’elles sont incapables de payer leurs loyers ou de payer les traites de leurs emprunts. Aux États-Unis encore, plus de dix fois autant de personnes – j’insiste, il s’agit du pays le plus riche du monde – ne sont pas en mesure de se nourrir avec leur seul revenu (6:06). Et ce que la destruction délibérée de l’économie et l’aggravation de l’inflation n’ont pas réussi à provoquer, les politiciens y sont parvenus: quel que soit le pays, une division au sein des populations comme nous n’en avons jamais connue.

Il faut encore y ajouter désormais, dans une certaine mesure comme un couronnement de tout cela, le changement de pouvoir, prémédité, provoqué par les États-Unis en Afghanistan. Là-bas, on a abandonné délibérément, pour 20 milliards de dollars US de matériel militaire, une armée de l’air complète et onze bases aériennes, ce qui va déclencher de manière absolument certaine la prochaine vague géante de réfugiés (7:04).

Pourquoi?, se demande-t-on. Pourquoi, à travers le monde entier de telles mesures sont prises, qui provoquent un désastre après l’autre, et poussent vers l’abîme la majorité des gens, au lieu de les tirer de leur misère? Pour répondre à cette question, il convient d’en poser deux autres: qui a un intérêt à cet agenda global, et qui en tire profit (7:38)?

Le complexe financier-numérique

La réponse à ces deux questions est indiscutable: le plus grand profiteur de la crise actuelle et le plus important des instigateurs dans la coulisse est le «complexe financier numérique», c’est-à-dire une sorte de communauté d’intérêts à la pointe de laquelle on trouve les plus grosses entreprises informatiques et les plus gros gestionnaires de fortune de notre temps. Sont comptées au nombre des plus grosses entreprises du numérique Apple, Alphabet, la société mère de Google, Amazon, Microsoft et Facebook. La valeur boursière de ces seules cinq compagnies représente la somme hallucinante de 9,1 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, le produit intérieur brut de l’Allemagne, de la France et de l’Italie réunies pèse 8,6 milliers de milliards de dollars US (8:39)!

À ces entreprises du numérique, il faut ajouter les grands gestionnaires de fonds: BlackRock, Vanguard, Statestreet et Fidelity. Tous, ils ont des participations massives dans chacune des entreprises du numérique. Mais ce n’est pas tout: à eux seuls, ces quatre-là gèrent actuellement un portefeuille d’un montant de 22,6 milliers de milliards de dollars US. À titre de comparaison, une fois encore: le produit intérieur brut des 28 pays de l’Union Européenne représentait l’année dernière une valeur de 15,7 milliers de milliards de dollars US.

Mais ce n’est pas seulement la monstrueuse puissance financière de ces entreprises qui rend le complexe financier numérique si puissant (9:29). Commençons d’abord par les entreprises du numérique: elles n’ont pas seulement par elles-mêmes une écrasante force sur le marché, elles contrôlent également des centaines de milliers d’autres entreprises, parce qu’elles organisent leur numérisation et jouissent ainsi d’une surveillance permanente de leurs flux de données. L’industrie du numérique n’est rien d’autre qu’une tumeur qui, au cours des années, a répandu ses métastases dans toutes les branches de l’économie, les a placées dans sa dépendance, et désormais les domine complètement (10:09).

Il n’en va pas différemment des gestionnaires de fonds. Ils ont des participations dans toutes les grandes entreprises du monde, et sont en situation de pouvoir pousser n’importe quel marché de leur choix dans n’importe quelle direction. Le plus grand d’entre eux, BlackRock, dispose avec un système d’analyse de données sur plus de 40 ans, du plus gros fonds d’informations financières que le monde ait jamais vu. Et BlackRock, sur la base de ce fonds, conseille les plus grandes banques centrales du monde, c’est-à-dire la Réserve fédérale et la Banque centrale européenne (10:48). Compte tenu de l’avantage considérable dont jouit BlackRock avec ses fonds, il devrait être facile de voir qui, ici, dépend de qui.

Nous avons donc affaire à l’association, unique dans l’histoire, d’une puissance financière écrasante et de la jouissance d’une base d’informations géante aux dimensions inimaginables. Depuis le début de la crise, cette combinaison a donné à ces entreprises un essor comme elles n’en avaient jamais connu auparavant. Et ce n’est pas tout: cet essor s’accélère sans cesse (11:29). Pour le seul dernier trimestre, c’est-à-dire aux mois d’avril, de mai et de juin, elles ont enregistré les plus gros gains de leur histoire.

Un immense geste de désespoir

Si l’on considère ces faits, on n’a pas besoin d’une imagination débordante pour arriver à la conclusion que l’on a affaire, avec le complexe financier numérique, au centre global de pouvoir, autour duquel tout gravite (11:57). Le complexe financier numérique se tient largement au-dessus de tous les gouvernements de la planète, il est en situation, à tout instant, de les mettre à genoux et de les soumettre à sa volonté. On s’étonnera d’autant plus des méthodes avec lesquelles le complexe œuvre depuis le début de la crise actuelle: il semblerait presque qu’il sape justement le système dont il profite lui-même (12:28). Quelques exemples de cela: si le complexe financier numérique détruit les classes moyennes, il détruit, de fait, les fondements mêmes de son existence, puisque comme nous l’avons dit, ce sont les classes moyennes qui paient le plus d’impôts et qui créent le plus d’emplois; et s’il attise l’inflation, c’est bien à lui-même qu’il inflige des dommages; et s’il détruit la paix sociale en faisant exploser les déséquilibres sociaux, cela détruit aussi le terrain sur lequel il fait ses affaires (13:02).

Tout cela, ce sont des objections justifiées – mais elles font fi de la réalité. Et voici ce qu’elle est : le complexe financier numérique n’a pas d’autre choix que celui de faire précisément ce qu’il est en train de faire. Ce que nous vivons actuellement, ce n’est pas, par exemple, la mise en œuvre d’un quelconque agenda conçu à une table de travail, par lequel il voudrait s’approprier encore plus d’argent et encore plus de pouvoir, afin de jouir ensuite en paix du fruit de ses efforts (13:42). Ce que nous vivons actuellement, c’est un gigantesque geste de désespoir, sans doute le plus grand qu’il ait jamais été donné de vivre dans l’histoire de l’humanité.

[2]

Cet acte désespéré trouve son origine dans le fait que le système auquel le complexe financier numérique doit son existence ne peut plus être maintenu en vie avec les moyens employés jusqu’ici (14:09). Il a déjà frôlé la fin lors de la crise financière mondiale de 2007–2008. Si les gouvernements, alors, n’avaient pas mobilisé en masse l’argent des impôts, et donné aux banques centrales l’instruction de tirer du néant des quantités faramineuses de monnaie, le système se serait alors déjà effondré. De fait, le sauvetage n’était que provisoire. Au cours de ces plus de douze années, il a fallu continuellement accroître la masse monétaire, tandis que les taux d’intérêt étaient réduits pas à pas – rendant ainsi le système toujours plus instable. Cela ne pouvait pas bien se terminer. L’année dernière, on y était: en mars 2020, un nouvel effondrement menaçait déjà. Et cet effondrement a été repoussé une toute dernière fois, par un dernier tour de force, en amenant les taux à zéro et en injectant de la monnaie par milliers de milliards, non plus par milliards (15:22).

La solution du dernier recours

Cela a fait émerger, qualitativement, une nouvelle situation. Différer l’issue finale nécessiterait désormais de pousser les taux dans le domaine négatif, détruisant ainsi les fondements du système bancaire actuel. Les banques ne peuvent pas durablement vivre avec des taux négatifs. En d’autres termes, il n’y aura pas de nouvelle tentative pour repousser cette issue avec les moyens jusqu’ici utilisés (15:56). On peut tout au plus, dans la situation actuelle, injecter une toute dernière fois des milliers de milliards et des milliers de milliards, avec pour conséquence, cependant, que l’on attisera une inflation déjà galopante et qu’on la fera basculer dans le domaine de l’hyperinflation. La situation dans laquelle se trouve donc le complexe financier numérique est celle d’une alternative entre, d’un côté, l’effondrement numérique du système, et de l’autre l’hyperinflation, c’est-à-dire la dévalorisation totale de la monnaie (16:36). Ainsi, historiquement, nous sommes arrivés à un point où le complexe financier numérique n’a plus que le choix entre deux modes d’effondrement.

Que doit-il donc faire? De toute évidence, dans cette situation, on s’est décidé, pour un nouveau système et en vue de son installation, à mettre en œuvre une double stratégie (17:08). D’un côté, on prépare en arrière-plan, à l’abri des regards du public, un nouveau système. De l’autre côté, on exploite en parallèle la phase terminale de l’ancien système désormais voué à la mort pour le piller, selon les meilleures règles de l’art. C’est exactement ce que nous vivons depuis mars de l’année dernière (17:35) : la destruction délibérée et consciente de l’économie mondiale par le complexe financier numérique dans l’unique but de s’enrichir, avec en parallèle la préparation d’un nouveau système par les banques centrales en coopération avec les groupes informatiques. 

2e partie


[1] NDLR : les données factuelles démontrent assez largement que les prétendues troisièmes et quatrièmes vagues sont essentiellement des vagues de résultats positifs à un test PCR, sauf dans les pays qui ont massivement vacciné leur population et qui voient une nouvelle explosion des malades effectifs. Le test PCR ne devrait nullement servir d’outil de diagnostic et donne un nombre d’autant plus important de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est grand. Il n’y a plus de pandémie (naturelle ou bien produite initialement par un virus fabriqué en laboratoire, selon des deux hypothèses principales) que dans l’imagination de ceux qui subissent encore l’effet de la psychose de masse créée par le biais des médias dominants.

[2] Note de Joseph : un autre point de vue, probablement plus « complotiste » est que cette action n’est nullement un geste de désespoir, mais s’inscrit dans la logique de l’ordo ab chao (l’ordre à partir du chaos ou de la destruction). Pour achever la création du Nouvel Ordre Mondial, cette élite pense nécessaire et indispensable de détruire l’ordre ancien de A à Z, de faire table rase du passé, et même d’effacer ce dernier des livres d’Histoire. Au bout du processus, après le Great Reset (ou Grande Réinitialisation), se trouve un « Meilleur des Mondes » orwellien où les survivants de la purge seront asservis aux machines ou devenus eux-mêmes des cyborgs, mi-hommes mi-machines, et contrôlés par Intelligence Artificielle, entassés dans des villes ou des mégapoles surpeuplées, laissant le reste de la planète aux élites. Voir notamment Le « Great Reset » n’est pas du complotisme. Pour réussir, cependant, la destruction ne doit pas être trop rapide, mais contrôlée, afin qu’il subsiste malgré tout pour cette élite des matériaux intacts pour une reconstruction adéquate.




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast

Par Serge Monast, journaliste d’enquête québécois mort en décembre 1996

[Ndlr : au-delà de la question de l’authenticité ou non des éléments rapportés par Serge Monast en 1994, ceux-ci, réels ou fantasmagoriques, trouvent un écho tout particulier par rapport à la « plandémie » Covid-19. À chacun d’estimer s’ils sont plausibles, probables ou seulement la traduction d’un délire paranoïaque ou complotiste.]

Extraits du rapport dactylographié
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides »