La France : état fasciste en route pour la guerre ?

[Source : mondialisation.ca]

Par Christian Leray

La liste des lois antidémocratiques passées depuis qu’Emmanuel Macron a été élu président de la France s’allonge quasiment chaque jour, ce qui commence à interroger sérieusement.

Des lois toujours plus liberticides

Début 2021, l’article 52 de la loi dite de « Sécurité globale » interdisait aux citoyens qui filmaient des violences policières de diffuser les images, car les agents « pouvaient subir des menaces ou voir leur vie privée atteinte ». Même si le Conseil constitutionnel (l’équivalent de notre Cour Suprême) avait retoqué cette mesure, les policiers ont depuis tendance à confisquer les caméras des gens qui filment, voire même à arrêter des journalistes…

https://www.cnews.fr/france/2023-03-23/manifestations-t-le-droit-de-filmer-les-policiers-1336002

Et ce n’était qu’un début. Toujours la même année, une autre loi avait permis aux policiers de ficher les gens en fonction de leur appartenance à un parti politique, à un syndicat ou en fonction de leur religion… On croyait ne plus jamais revoir cela après la 2e guerre mondiale. Mais Emmanuel Macron l’a fait !

https://www.la-croix.com/France/Le-Conseil-dEtat-valide-fichage-convictions-religieuses-opinions-politiques-2021-01-05-1201133268

Récemment, une loi a autorisé l’installation de caméras biométriques gérées par l’intelligence artificielle. Souriez, on vous géolocalise ! Le prétexte est la tenue des Jeux olympiques… Mais comment faisaient les autres pays avant ? Il n’est pas prévu de les retirer une fois l’évènement passé.

https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/03/23/jo-2024-les-deputes-autorisent-la-videosurveillance-algorithmique-avant-pendant-et-apres-les-jeux_6166681_3242.html

Cette semaine, une loi a été votée permettant aux autorités d’« activer à distance un objet connecté — comme un téléphone portable —, sa caméra et son micro pour géolocaliser ou procéder à des écoutes de suspects dans certaines affaires. »

https://www.lcp.fr/actualites/justice-l-assemblee-autorise-l-activation-a-distance-des-telephones-portables-pour

Dans le même temps, les autorités continuent d’avancer les projets d’identité numérique, de monnaie banque centrale, etc. Des systèmes qui une fois en place nous contrôleront totalement.

Mais ce n’est pas fini. Suite aux émeutes des derniers jours, le parlement français vient de voter une loi sur la « majorité numérique ».

Même si les autorités ne savent pas encore concrètement elles comptent s’y prendre, le but est de savoir (pour le moment) si la personne qui se connecte est majeure. Mais comment faire si ce n’est en créant une identité pour chaque internaute ? Cela signifie donc que l’on ouvre la porte à l’identification sur Internet, ce qui signifierait la fin de l’anonymat, avec des conséquences désastreuses pour la liberté d’expression…

Vers la mobilisation des personnes et des biens en cas de « menace » ?

Cela fait beaucoup d’un coup me direz-vous ? Et bien ce n’est pourtant pas terminé : le parlement français est actuellement en train de discuter de la dernière « loi de programmation militaire ». Celle-ci est quasiment adoptée et donnera au président français des pouvoirs exorbitants.

En l’état actuel du texte (qui doit être revu une dernière fois par l’Assemblée nationale), le président pourra déclarer la mobilisation des personnes et la réquisition de tous les biens pour à peu près n’importe quelle raison (menace de guerre, pandémie, changement climatique, etc.). Cet article de France Soir qui en traite est à lire absolument : Olivier Frot, La loi de programmation militaire impérative : vers un coup d’État masqué ?, le 5 juillet 2023).

Le paragraphe dans lequel l’auteur traite des « engagements internationaux de l’État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer » s’applique parfaitement à l’Ukraine par exemple.

Les mêmes mécaniques qu’en 1914 et dans les années 1930 ?

Tout comme le Canada et les pays de l’OTAN, la France est « engagée » avec l’Ukraine. Sachant que le président français, Emmanuel Macron, va disposer désormais du pouvoir de déclarer « la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services » en cas de « menace » et vus l’évolution de la situation et de l’arsenal législatif français, il devient tout à fait envisageable que la France s’engage militairement en Ukraine. Cela semble bien sûr inimaginable, surtout quand on pense à notre jeunesse, plus habituée aux écrans qu’aux « duretés de la vie ». Mais qui aurait pu penser dans les années 1930, seulement quelques années après la fin de la Première Guerre mondiale, que le monde serait à nouveau plongé dans une guerre aussi horrible ?

Cette avancée vers la guerre est possible, car l’Ukraine est « neutre » : ce n’est ni un pays de l’OTAN (une organisation dont le but était à l’origine d’assurer la sécurité de l’Europe face à l’URSS et dont les membres doivent se porter une assistance mutuelle), ni la Russie (ou un BRICS). Donc il peut s’y dérouler une guerre « traditionnelle » sans crainte d’une guerre nucléaire (tant que le conflit reste cantonné à l’Ukraine et qu’il ne touche ni le territoire russe ni celui d’un pays de l’OTAN).

Actuellement la guerre d’Ukraine peut être considérée comme l’équivalent de la guerre d’Espagne (1936), lorsque les nazis ont utilisé leurs nouvelles armes, notamment les Stukas, tandis que les Français n’intervenaient pas. Elle permet de tester les nouvelles armes, les nouvelles stratégies, de mesurer la réaction et la préparation adverse. Résultat : même s’il y a bien sûr d’autres explications, la France se faisait balayer en 6 semaines quelques mois plus tard (la guerre d’Espagne se termine en 1939).

Sans parler des enjeux, côté russe, la guerre en Ukraine est l’équivalent de la guerre contre la Finlande (1939-40). L’URSS avait perdu cette guerre, pourtant facile sur le papier… mais a beaucoup appris, ce qui a lui permis de résister de justesse à l’invasion allemande en 1941. Sans cette guerre, l’URSS aurait perdu face aux nazis.

La guerre en Ukraine montre que l’armée russe est désorganisée. Cela va leur permettre de s’améliorer.

De l’autre côté, l’OTAN voit que sa capacité de production militaire est famélique : l’armée ukrainienne engloutit en quelques jours toutes les munitions et armes produites par tous les pays de l’OTAN… en un an ! De même l’OTAN a beaucoup de retard concernant les missiles hypersoniques (qui vont à plus de 20 000 km/h) et les avions de 5e génération.

L’OTAN comprend donc qu’il doit impérativement augmenter ses capacités de production et avancer le développement des nouvelles armes. Logiquement les budgets militaires explosent… comme dans les années 1930. On a vu ce que cela a donné.

On est aussi dans la situation de 1914. À cette époque, l’Allemagne montait en puissance et était sur le point de détrôner l’Angleterre. C’est cette montée en puissance qui a convaincu les Anglais de les entraîner dans une guerre (en utilisant les Français qui étaient faciles à fanatiser pour reprendre l’Alsace et la Lorraine). Par le jeu des alliances, toute l’Europe est entrée en guerre. L’OTAN pourrait conduire au même résultat.

Dans le même temps, il y avait de gros problèmes sociaux en Europe. La France, l’Allemagne, la Russie et l’Angleterre faisaient face à une montée du socialisme qui terrifiait l’oligarchie. Donc envoyer tous les contestataires se faire tuer n’était pas forcément une mauvaise affaire : le regard était détourné vers l’extérieur et le peuple ne pensait plus aux causes de sa misère. Les survivants n’ont pas eu la force de s’attaquer au système. Cela a très bien marché… sauf en Russie.

De nos jours, du point de vue de l’oligarchie la situation est inquiétante : on a l’« assaut » du Capitole aux USA, les camionneurs au Canada, les gilets jaunes et les émeutiers en France. L’oligarchie craint clairement des révolutions, surtout avec l’inflation et la hausse des taux d’intérêt qui provoquent une hausse ahurissante de la pauvreté si bien que la part du revenu des ménages pour le logement et la nourriture ne cesse de croître et atteint pour bien des gens des niveaux insupportables. Actuellement, en France, les dépenses de consommation alimentaire s’effondrent. Le peuple a faim et l’oligarchie sait que quand le peuple a faim, ça peut très vite basculer. Les révolutions commencent toutes comme ça.

Dans le même temps, il est possible que les Russes, voire les Chinois et les Iraniens, voire d’autres encore, soient eux aussi ravis d’envoyer leur jeunesse (et pas que) se faire massacrer. Poutine est populaire, mais moins chez les jeunes, qui n’ont connu que lui et veulent du changement. En Iran, où la contestation gronde, est-il nécessaire de faire un dessin ? Et en Chine, malgré son Crédit social et ses systèmes de surveillance dystopiques, envoyer des jeunes contestataires ne ferait pas forcément de tort.

Donc quand l’Ukraine ou le peuple français, ou les deux à la fois, seront vraiment au bout du rouleau, ce qui ne devrait plus tarder (d’autant que d’après Jacques Attali, le « porte-parole de l’oligarchie », un énorme krach financier devrait se produire dans les mois à venir)… il se pourrait que l’arsenal de lois passées par les autorités françaises risque d’entraîner mécaniquement le pays dans le conflit, avec fin des libertés, surveillance généralisée, mobilisation pour aller défendre l’Ukraine et confiscation des biens pour aider à l’effort de guerre.

Il ne s’agit là bien sûr que d’une supposition et cela paraît incroyable à seulement imaginer… Mais comme nous le disions plus haut, qui aurait cru dans les années 1930 qu’une énorme guerre allait à nouveau éclater ? Si les Français ne se réveillent pas maintenant, la ligne est toute tracée. Mais le problème est que la plupart ne se rendent pas compte de ce qui passe, persuadés que l’enjeu est de défendre un gentil pays attaqué par un grand méchant. Le fait que l’OTAN ne cesse de se rapprocher de la Russie, alors qu’il avait promis de ne « pas faire un pas vers l’Est » lors de l’effondrement du Rideau de fer en 1989, ne choque personne (en fait tout le monde l’a oublié). Et Poutine (loin d’être parfait) endosse, tel Sadam Hussein à la belle époque, le costume du grand méchant.

La table est donc mise, on n’attend plus que l’étincelle, comme en 1914, qui mettra le feu aux poudres. Une fois qu’elle aura éclaté, il sera trop tard : comme lors de toute guerre, la censure sera la règle et la propagande galvanisera les sentiments patriotiques. Nous ne serons que quelques-uns, inaudibles, à prêcher la paix. Il faut donc prendre la parole avant qu’il ne soit trop tard et nous devons appeler, voire forcer Russes et Américains à s’asseoir autour d’une table pour régler ce conflit ! Il est aberrant qu’en 2023 on ne puisse régler ce genre de guerres.

Et le Canada dans tout ça ?

Le Canada fait partie de l’OTAN et comme on l’a vu les statuts de cette organisation sont très clairs : à partir du moment où un membre est en guerre, alors tous les autres doivent lui porter assistance. Cela signifie que si la France (mais cela peut être la Pologne, l’Angleterre ou un autre) prend part au conflit, mécaniquement, tous les autres membres de l’OTAN, dont le Canada, seront impliqués. Nous sommes donc les premiers concernés par ce qui se passe en Ukraine, en France et plus globalement au sein de tous les pays membres de l’OTAN.

Christian Leray, M.A

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Christian Leray, Mondialisation.ca, 2023




La CIA et le FBI à la tête de la censure. Google, Twitter, et les grands médias emploient tous des agents de la CIA

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

D’après un article de Brenda Baletti pour le Defender

Aux États-Unis, le journaliste Glenn Greenwald a dénoncé lors d’une de ses émissions que de nombreux agents de la CIA occupent les postes les plus élevés au sein des plates-formes Internet des grandes entreprises technologiques. Leur mission est d’appliquer la censure et de limiter les opportunités de débat public.

Les Américains sont conscients des efforts déployés par l’État sécuritaire pour contrôler les médias depuis les années 1970, lorsque la commission Church du Sénat a révélé l’opération Mockingbird de la CIA, a déclaré M. Greenwald aux auditeurs de son podcast, « System Update ».

Dans le cadre de ce programme, des agents de la CIA ont infiltré et influencé secrètement les plus grands organes de presse du pays.

La révélation du projet Mockingbird a fortement embarrassé les médias et le gouvernement, car il est interdit à la CIA de cibler le public américain, a expliqué M. Greenwald.

Au cours de la dernière décennie, une série de dénonciateurs ont révélé que l’État sécuritaire américain avait de nouveau intensifié ses activités secrètes de ciblage des citoyens américains, en particulier depuis le début de la guerre contre le terrorisme, après le 11 septembre.

Il y a une dizaine d’années, les informations selon lesquelles les agences de renseignement espionnaient les Américains ou infiltraient les médias étaient considérées comme scandaleuses.

Selon Greenwald les choses ont changé. En fait, il est devenu courant que les principaux organes d’information embauchent ouvertement d’anciens agents des services de sécurité américains pour couvrir et commenter l’actualité.

Au cours des derniers mois, les dossiers Twitter et la dernière décision Missouri v. Biden ont clairement montré à quel point le régime de censure est devenu agressif.

Le gouvernement américain dicte en partie le contenu que les plates-formes de médias sociaux doivent autoriser sur leurs sites, a déclaré M. Greenwald. Mais il a ajouté : « Il y a un autre élément, une autre forme de censure » :

« Il y a un autre élément, une autre couche, qui est qu’ils ont infiltré ces grandes entreprises technologiques — ces anciens agents de la CIA l’ont fait — exactement comme ils ont infiltré les organes d’information des entreprises. Ils sont partout dans ces régimes de censure ».

Les postes de direction des entreprises technologiques sont désormais occupés par des personnes issues directement des agences de renseignement.

Par exemple, James Baker, dont les Twitter Files ont révélé qu’il était impliqué dans la plupart des décisions de censure avant la prise de contrôle de la plate-forme par Elon Musk, a travaillé en tant qu’avocat général pour le FBI avant de devenir avocat adjoint de Twitter.

« Le FBI a donc envoyé son meilleur avocat travailler dans la partie de Twitter qui censurait les contenus politiques », a déclaré M. Greenwald. « Vous comprenez ? C’est le FBI qui contrôle notre discours politique national et ses limites. »

MintPress News a dressé le profil d’un certain nombre d’anciens agents de la CIA qui gèrent et élaborent aujourd’hui des politiques de désinformation pour Facebook dans un article datant de juillet 2022 que M. Greenwald a partagé.

Selon l’article, le problème n’est pas que ces personnes soient incompétentes. « Le problème, c’est qu’avoir autant d’anciens employés de la CIA qui dirigent les plates-formes d’information et de nouvelles les plus importantes au monde n’est qu’un petit pas en avant par rapport à l’agence elle-même qui décide de ce que vous voyez et de ce que vous ne voyez pas en ligne — et tout cela sans pratiquement aucun contrôle public. »

En effet, cela permet aux agences de renseignement de conserver une influence significative sur les flux d’informations et de nouvelles, tout en maintenant « un certain vernis de dénégation plausible ».

Le gouvernement américain n’a pas besoin de dire aux plates-formes ce qu’elles doivent faire, car les personnes qui prennent les décisions ont d’abord gravi les échelons de l’État de sécurité nationale — « ce qui signifie que leurs perspectives correspondent à celles de Washington », a déclaré M. Greenwald, citant MintPress News.

Selon M. Greenwald, il s’agit là de la preuve d’un effort sur plusieurs fronts : d’une part, d’anciens agents de l’État de sécurité font de la propagande auprès du peuple américain dans les médias d’entreprise et, d’autre part, ils contrôlent ce qui peut être dit sur les plus grandes plates-formes de Big Tech.

Il en résulte, selon lui, que tout l’éventail des opinions dissidentes est « tout simplement interdit ».

Le complexe industriel de la censure

Le compte Twitter @NameRedacted247 suit le mouvement des agents de sécurité de l’État dans les sociétés de médias sociaux où ils travaillent sur la désinformation.

Le compte a fourni un fil de discussion, que l’équipe de Greenwald a confirmé, indiquant qu’en décembre 2022, Google employait au moins 165 personnes occupant des postes de haut niveau au sein de la communauté du renseignement.

Dans l’ensemble de l’entreprise, il y avait 27 anciens agents de la CIA, 52 anciens agents du FBI, 30 personnes issues de l’Agence nationale de sécurité (NSA), 50 du Département américain de la sécurité intérieure (DHS) et six du Directeur du renseignement national.

Facebook comptait au moins 115 anciens agents des services de sécurité à des postes élevés — 17 de la CIA, 37 du FBI, 23 de la NSA et 38 du DHS.

L’équipe « confiance et sécurité (trust and safety team) » de Google, qui gère les contenus autorisés sur la plate-forme, est dirigée par trois anciens agents de la CIA qui contrôlent la désinformation et les discours haineux.

L’un d’entre eux, Nick Rossman, a qualifié les « anti-vaxxers » sur Twitter de « nazis » et de « confédérés ».

Pensez-vous que ces personnes sont des arbitres objectifs de la désinformation ? Ou pensez-vous qu’ils utilisent leur pouvoir de censure au sein de Big Tech pour cela, idem pour les personnes infiltrées au sein des médias d’entreprise.

Greenwald a ainsi présenté une série de profils en ligne de personnes qui ont travaillé dans les services de renseignement pendant des années, voire des décennies, avant d’occuper récemment leurs nouvelles fonctions dans les grandes entreprises technologiques.

Matt Taibbi a lui aussi rapporté que les entreprises ont commencé à embaucher d’anciens agents de renseignements après l’élection de 2016, lorsque le FBI a créé son groupe de travail axé sur les médias sociaux, The Foreign Influence Task Force ou FITF.

Depuis lors, un énorme « complexe industriel de la censure » s’est développé, a déclaré Greenwald, qui comprend l’État américain, des fondations philanthropiques, des organisations de « vérification des faits », Big Tech, des universités, des groupes de réflexion, des organisations à but non lucratif et des entrepreneurs privés.

La marque du totalitarisme

Mais le plus étonnant dans cette histoire, selon M. Greewnald, c’est l’absence de réaction des libéraux, qui étaient autrefois les premiers à critiquer l’État sécuritaire. « L’idée que ces agences sont néfastes est au cœur de la politique libérale de gauche », a-t-il déclaré. Mais tout cela a changé avec la présidence Trump :

« … en 2015, en 2016, l’État sécuritaire américain s’est aligné contre Donald Trump et s’est consacré au sabotage d’abord de la campagne Trump, puis de la présidence Trump ».

Il y a maintenant très peu de médias qui font des reportages critiques sur ces agences, car elles sont « au sommet de leur pouvoir, plus puissantes que jamais ».

C’est pourquoi elles sont intégrées aux plus grandes entreprises qui contrôlent l’information et la propagande aux États-Unis — les médias d’entreprise et les grandes entreprises technologiques.

Ils sont obsédés par la destruction des quelques avant-postes de médias indépendants, les quelques endroits qu’ils ne peuvent pas contrôler, parce que sans eux, ils ont vraiment un système d’information complètement fermé.

« Et un système d’information totalement fermé est la marque du totalitarisme. Si vous pouvez contrôler la façon dont les gens pensent et les empêcher d’entendre des opinions divergentes, vous pouvez contrôler toutes leurs actions parce que leurs actions sont basées sur ce que sont leurs pensées.

« Et si vous pouvez contrôler leurs pensées, vous n’avez même pas besoin de contrôler leurs actions. Et c’est le système qui est en train d’être créé ».




Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin

[Source : Health Impact News]

Par Brian Shilhavy

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains.

La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News.

[Voir aussi :
Dossier adrénochrome
Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes
Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches
Le trafic sexuel mondial d’enfants rapporte des milliards de dollars
Les sacrifices humains de l’antiquité se poursuivent-ils aujourd’hui avec les mêmes rituels ?
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
La synagogue de Satan
et, du même auteur, l’article postérieur (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains ]

Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants.

Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique.

Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela.

Mais il ne l’a pas fait.

Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

Des copies de ce « message spécial » de Caviezel, d’une durée d’environ 2 minutes, sont disponibles sur l’Internet :



Il est vraiment regrettable que ce film soit présenté par les médias comme un film « chrétien conservateur de droite » (je ne pense pas que Caviezel ou Ballard le voient de cette façon), alors qu’il s’agit clairement d’une question non partisane qui touche tout le monde, quelles que soient les opinions politiques ou religieuses.

Caviezel déclare que le film a été réalisé pendant 5 ans « avec tous les obstacles imaginables ».

De nombreux médias alternatifs en ont déduit que les « élites » avaient fait tout ce qu’elles pouvaient pour empêcher le message de ce film d’être diffusé.

Mais le fait qu’il ne s’agisse manifestement pas d’un film à petit budget et qu’il soit déjà un énorme succès au box-office semble contredire ce point de vue. Les droits du film appartenaient à l’origine à la Fox, puis ont été rachetés par Disney, et Disney aurait décidé de ne pas le sortir.

Les studios Angel ont alors négocié l’achat des droits du film, qui est aujourd’hui dans tous les grands cinémas.

Ce type de retard n’est pas si rare dans l’industrie cinématographique, et si les « élites » ne voulaient vraiment pas que ce film sorte, je peux vous assurer que Disney n’aurait en premier lieu probablement pas vendu les droits du film.

Le fait que ce film soit aujourd’hui dans toutes les grandes salles de cinéma des États-Unis montre clairement que l’industrie cinématographique ne censure pas ce film.

Ils ont clairement le pouvoir de le faire.

Il suffit de demander à Del Bigtree, Polly Tomney et au Dr Andrew Wakefield qui ont produit le film VAXXED en 2016 et ont vu le film être interdit dans tous les festivals du film et ne jamais être présenté dans les grandes salles de cinéma.

De même, un documentaire de 1994 intitulé « Conspiracy of Silence », qui décrivait le réseau pédophile opérant à Boys Town, au Nebraska, a été financé à l’origine par Discovery Channel, mais a été mis de côté et n’a jamais été diffusé à la télévision. Voir :

Si l’industrie voulait empêcher Sound of Freedom d’apparaître sur le grand écran, elle l’aurait certainement fait, mais je pense qu’elle autorise la diffusion de ce film parce qu’il ne cite pas de noms, qu’il ne lance pas de véritable appel à l’action pour mettre fin à tout cela, et que les médias corporatifs de gauche peuvent facilement le rejeter en le qualifiant de « théories de conspiration Qanon ».

Ma critique de « Sound of Freedom »

Comme je l’ai écrit plus haut, je recommande de regarder ce film.

Mais en tant que personne qui couvre cette question depuis une dizaine d’années, je tiens également à souligner certains des problèmes que pose ce film.

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’un documentaire, mais d’une dramatisation basée sur une « histoire vraie ». Quelques jours avant que le film ne sorte en salle, Tim Ballard a publié sur son site web une page indiquant quelles parties du film étaient vraies et lesquelles ne l’étaient pas.

Les spectateurs qui se pressent pour voir ce film savent-ils que des parties importantes du film sont fictives et n’ont jamais eu lieu ?

Cela soulève la question de savoir pourquoi l’histoire vraie n’était pas assez puissante en soi sans avoir à inventer des scènes qui n’ont jamais eu lieu.

Je soupçonne que la raison en est que les studios Fox ont commencé la production et ont estimé que c’était nécessaire, et qu’au moment où les studios Angel ont obtenu les droits, il était trop coûteux de recommencer.

Dans une scène qui m’a mis la puce à l’oreille, Caviezel se fait passer pour un médecin qui livre des vaccins « salvateurs » aux membres du cartel dans le but de sauver la petite fille qui faisait l’objet d’un trafic dans la jungle colombienne.

Les soldats du cartel fouillent son bateau et signalent qu’il ne transporte que des vaccins et que son voyage médical jusqu’à leur emplacement dans la jungle est probablement légitime.

Je ne crois pas qu’une telle chose puisse réellement se produire, car dans de nombreux autres endroits du monde, les forces rebelles antigouvernementales, telles que les talibans au Pakistan et en Afghanistan, ne font PAS confiance aux médecins et à leurs vaccins occidentaux, et empêchent en fait les Occidentaux d’injecter leurs enfants.

Tim Ballard cite cette scène comme étant fictive, mais il affirme également que son organisation s’est fait passer pour des médecins pour mener une mission en Haïti.

Tim s’est rendu seul dans la jungle colombienne pour sauver une petite fille. FAUX

Dans le film, Tim se fait passer pour un médecin et se rend dans la jungle, quelque part en Colombie, pour retrouver la sœur du petit garçon, peu après l’opération Triple Take.

Cela ne s’est pas produit.

Cependant, dans la vraie vie, Tim a conduit un groupe d’opérateurs de l’O.U.R., se faisant passer pour des médecins, dans une jungle à la frontière d’Haïti et de la République dominicaine, quelques années après l’opération Triple Take, à la recherche de Gardy.

Personne n’a été sauvé, mais l’opération a permis de faire avancer la recherche de Gardy, et les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin.
(Source.)

Des vaccins ont-ils été injectés à des enfants lors de leur opération en Haïti, où « les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin » ?

Par ailleurs, étant donné que Tim Ballard était à l’origine un agent d’une agence de renseignement du gouvernement américain, le mensonge semble être la norme et parfaitement acceptable, s’il permet d’atteindre l’objectif d’attraper des terroristes et des pédophiles.

Dans l’une des premières scènes, Tim Ballard se fait passer pour un pédophile (en mentant) afin de gagner la confiance d’un vrai pédophile pour l’arrêter.

Mais pour les personnes qui prétendent être des disciples de Jésus-Christ, le mensonge peut-il jamais être justifié ?

Jésus se présente comme « La Vérité » (Jean 14:6) et désigne les personnes qui prétendent le suivre, mais ne le suivent pas comme appartenant à leur père, le Diable, qui est « le Père du mensonge » (voir Jean chapitre 8).

Si vous êtes l’enfant ou l’épouse d’un homme qui ment pour gagner sa vie, pouvez-vous faire confiance à cette personne pour dire toujours la vérité lorsqu’elle ne remplit pas les fonctions de son travail, comme dans les agences de renseignement du gouvernement américain ?

La principale filière de trafic d’enfants est financée par le gouvernement américain

Le plus gros problème que j’ai avec le film « Sound of Freedom », c’est qu’il présente le trafic d’enfants comme un problème essentiellement international, sans exposer le fait que la plupart des enfants victimes de trafic aux États-Unis sont financés par notre propre gouvernement, principalement par le biais du système de protection de l’enfance, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Nous avons couvert cette question au cours de la dernière décennie, notamment en publiant des centaines d’histoires de familles qui se sont vu arracher leurs enfants par le gouvernement, qui a ensuite fait la traite des enfants par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Voici quelques-uns des articles que nous avons publiés précédemment et qui exposent ce réseau de trafic d’enfants opérant aux États-Unis :

En 2009, Bill Bowen a diffusé la bande-annonce d’un documentaire qu’il produisait et qui dénonçait la corruption des services de protection de l’enfance aux États-Unis.

Le film s’intitule Innocence Destroyed (L’innocence détruite). Bill Bowen est décédé de manière inattendue l’année suivante, en 2010, apparemment d’une crise cardiaque, avant d’avoir pu terminer le film.

Les séquences achevées se trouvent maintenant sur YouTube, dans trois vidéos différentes, mais nous les avons combinées et mises en ligne sur Bitchute.

AVERTISSEMENT :
La vidéo contient des images qui ne conviennent pas aux enfants !
Réservé aux adultes.



Voici quelques informations sur Bill Bowen, y compris des citations qui lui sont directement attribuées, que nous avons pu trouver sur Internet.

À propos de Bill Bowen

Bill Bowen est un ancien pompier et enquêteur fédéral. Il est également connu pour avoir dénoncé le service des pompiers de la ville de New York dans un livre intitulé Radio Silence F.D.N.Y. The Betrayal of New York’s Bravest (Silence Radio F.D.N.Y. La trahison des plus braves de New York), qu’il a coécrit avec le chef de bataillon John Joyce. Ce livre décrit comment 125 pompiers de la ville de New York et de nombreux civils ont perdu la vie le 11 septembre à cause de problèmes liés à leurs radios bidirectionnelles.

Bien qu’il ait beaucoup de pain sur la planche, sa priorité absolue est de terminer Innocence Destroyed et d’aider les gens à engager des recours collectifs contre les agences des services de protection de l’enfance dans les cinquante États. (Source : Daniel Weaver — Albany CPS and Family Court Examiner, 10 septembre 2010.)

Plus d’informations :

Le cinéaste documentait les abus des services de protection de l’enfance et les enfants assassinés sous la garde de l’État avant sa mort

J’apprécie le fait que Jim Caviezel expose dans des interviews une grande partie de ce trafic sexuel d’enfants financé par le gouvernement, car ce sujet n’est PAS abordé dans le film Sound of Freedom. Il affirme que les agences de l’alphabet, telles que la CIA, financent une grande partie de ce trafic.

Mais ces informations sont accessibles au public depuis des décennies, notamment grâce aux présentations publiques de l’ancien directeur du FBI, Ted Gunderson, avant sa mort en 2011.

Ted Gunderson est né à Colorado Springs. Il est diplômé de l’université du Nebraska en 1950. Il a rejoint le Federal Bureau of Investigation (FBI) en décembre 1951, sous la direction de J. Edgar Hoover.

Il a travaillé dans les bureaux de Mobile, Knoxville, New York et Albuquerque. Il a occupé le poste d’agent spécial adjoint à New Haven et à Philadelphie. En 1973, il est devenu chef du FBI de Memphis, puis du FBI de Dallas en 1975. Ted Gunderson a été nommé à la tête du FBI de Los Angeles en 1977. En 1979, il fait partie des quelques candidats interviewés pour le poste de directeur du FBI, qui est finalement attribué à William H. Webster.

Après avoir pris sa retraite du FBI, Gunderson a créé une société d’enquêtes privées, Ted L. Gunderson and Associates, à Santa Monica. Lors d’une conférence donnée en 1995 à Dallas, Gunderson a mis en garde contre la prolifération de groupes sataniques secrets et le danger que représente le Nouvel Ordre Mondial, un gouvernement de l’ombre qui contrôle le gouvernement américain.

Il a également affirmé qu’une « vente aux enchères d’esclaves » au cours de laquelle des enfants étaient vendus à des hommes portant des turbans avait eu lieu à Las Vegas, que quatre mille sacrifices humains rituels étaient pratiqués chaque année à New York et que l’attentat à la bombe perpétré en 1995 contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City avait été perpétré par le gouvernement américain.

Gunderson a découvert qu’il existe aux États-Unis un vaste réseau secret de groupes qui enlèvent des enfants et des nourrissons et les soumettent à des abus rituels sataniques suivis de sacrifices humains.

L’un de ces groupes s’appelle The Finders et, selon Gunderson, il est dirigé par la CIA.

M. Gunderson a parcouru le pays pour donner des conférences sur son travail, notamment sur les cas qui l’ont amené à découvrir les groupes cachés impliqués dans l’occultisme satanique, y compris les abus sexuels sur les enfants et les sacrifices d’enfants. Sa conférence générale durait environ 4 heures, mais il existe une conférence encore disponible aujourd’hui où il l’a condensée en un peu plus d’une heure.

À la fin de cette conférence, Gunderson demande à une femme nommée Linda Weigand de venir témoigner. Lorsqu’il l’a présentée, Gunderson a dit :

C’est l’un des exemples de corruption les plus classiques que j’aie jamais vus. Et croyez-moi, vous pouvez dire, d’après mon exposé, que j’ai vu des exemples de corruption assez terribles.

Comme son témoignage se trouve à la fin de sa conférence, nous l’avons extrait dans une vidéo séparée afin que vous puissiez choisir de le regarder en premier, si vous voulez avoir un avant-goût de ce dont il s’agit.

Mais je dois vous avertir que cette vidéo est très GRAPHIQUE et très maléfique. Elle vous perturbera.



Voici l’intégralité de la conférence de Ted Gunderson :

Une grande partie du travail de Gunderson reste en ligne ici (pour l’instant). Il serait judicieux de copier ses documents avant qu’ils ne disparaissent.

Voir aussi :

L’histoire de Jennifer Guskin, que nous venons de publier, est l’une des plus horribles qui soient sur la façon dont le système de placement familial a été utilisé pour faire du trafic sexuel d’enfants au profit des riches et des puissants de la région de Washington.

Nombre d’entre vous ne devraient probablement pas regarder cette vidéo, car elle pourrait vous causer un grave traumatisme émotionnel. Si vous avez regardé le documentaire publié par le producteur polonais Patryk Vega, intitulé « Eyes of the Devil », et que vous avez pu le supporter, sachez que l’histoire de Jennifer est bien pire.

AVERTISSEMENT : CONTENU GRAPHIQUE SUR DES SUJETS TELS QUE LE CANNIBALISME, LES RELATIONS SEXUELLES AVEC DES ENFANTS, LA TORTURE, LE MEURTRE, ETC. NE CONVIENT PAS AUX ENFANTS — DISCRÉTION CONSEILLÉE !

C’est sur notre chaîne Bitchute.



Regarder un film de fiction ne résoudra pas ce problème – Que peut-on faire pour aider les parents et les enfants ?

Le problème du trafic sexuel d’enfants aux États-Unis est si répandu que si l’on ne s’attaque pas au principal moyen de financement de ce système diabolique, à savoir le gouvernement américain et le système de protection de l’enfance, il n’y a guère d’espoir de changer quoi que ce soit.

Et non seulement l’organisation de Tim Ballard, Operation Underground Railroad, ne dénonce pas le trafic sexuel d’enfants dans le cadre du système national de protection de l’enfance financé par le gouvernement, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption, mais elle soutient en fait cette filière n° 1 pour le trafic sexuel d’enfants.

Lettre de Katherine Ballard, fondatrice de Children Need Families

Lorsque mon mari Tim et moi-même avons adopté nos deux enfants d’Haïti, nous avons fait l’expérience directe de tous les formulaires, des autorisations gouvernementales, des frais juridiques, du temps et de la patience qu’il a fallu pour les ramener enfin à la maison.

Ce fut un voyage long, frustrant, déroutant et coûteux. Je voulais que mes enfants soient en sécurité chez moi, mais notre famille ne pouvait rien faire d’autre que de suivre la procédure, de prier et d’attendre. Nous avons eu la chance d’avoir une famille et des amis généreux qui nous ont aidés financièrement et nous ont apporté un soutien général.

C’est à la suite de cette expérience que le projet Children Need Families (Les enfants ont besoin d’une famille) a vu le jour. J’ai senti que quelque chose devait et pouvait être fait pour aider d’autres familles à traverser le long et difficile processus d’adoption (jusqu’à trois ans dans de nombreux cas, comme le nôtre).(Article complet.)

Voir aussi :

Comment l’Église chrétienne et le gouvernement américain collaborent pour faire le trafic des enfants dans le monde entier par le biais du commerce lucratif de l’adoption

Pour être juste envers les Ballard, je crois qu’ils essaient d’abord de réunir ces enfants dans des endroits comme Haïti avec leurs familles biologiques, mais ce système ne pourra pas être réformé tant que les groupes et les organisations qui dénoncent le trafic sexuel d’enfants ne cesseront pas de travailler avec le gouvernement américain, qui est la principale source de financement du trafic d’enfants.

L’Arizona est l’un des endroits des États-Unis qui est clairement une plaque tournante de la traite sexuelle des enfants.

L’Arizona a toujours retiré les enfants à leurs parents par le biais du système de protection de l’enfance à un taux plus élevé que tous les autres États, et c’est aussi un endroit où de nombreux enfants sont amenés aux États-Unis pour le trafic sexuel à travers la frontière avec le Mexique.

Nous avons lancé MedicalKidnap.com en 2014 pour documenter la façon dont les enfants étaient victimes de la traite dans le cadre du système de protection de l’enfance, et l’Arizona est, de loin, l’État où nous avons réalisé le plus grand nombre d’articles sur la traite des enfants.

La situation est si grave en Arizona que nous avons acheté du temps d’antenne sur une station de radio locale basée à Phoenix et produit une série d’émissions en 2019 exposant le problème de la traite des enfants en Arizona en transmettant notre message directement à la population.

Avec la récente révélation du trafic sexuel d’enfants par le film Sound of Freedom, j’ai vu un clip d’une résidente de l’Arizona, Cindy McCain, épouse de l’ancien sénateur John McCain, qui avouait que tout le monde connaissait Jeffrey Epstein et son réseau de pédophiles.

Pendant des années, Cindy McCain a fait partie du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains, tout comme le gouverneur de l’époque, Doug Ducey.

Nous nous sommes donc intéressés au Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains de Cindy McCain dans l’une de nos émissions diffusées sur KFNX Talk Radio 1100, en interviewant Lori Ford, responsable de l’AZ DCS Oversight Group, un groupe de bénévoles qui assistent aux réunions concernant les questions relatives au Département des services à l’enfance de l’Arizona.

Le groupe compte également des « observateurs » qui assistent aux audiences du tribunal des dépendances en tant que défenseurs des parents et qui observent la façon dont ces parents sont traités au tribunal des dépendances.

Lori a déclaré que le groupe ne voulait PAS devenir une société à but non lucratif 501 c3, car il ne voulait pas tomber sous la « coupe du gouvernement ».

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi les membres du groupe fournissaient gratuitement leurs services aux familles et à d’autres personnes, elle a répondu :

La raison pour laquelle nous faisons cela, c’est que c’est très important. Il s’agit de l’avenir de notre pays, de l’avenir de notre nation. Et la famille représente tout pour nous tous.

C’est pourquoi nous le faisons. Nous constatons que de nombreux droits sont violés dans ce système de tribunaux de la dépendance.

Nous avons interviewé Lori juste après qu’elle et son groupe aient assisté à l’une des réunions du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains.

Lori s’est adressée au Conseil au cours de la section des commentaires publics, soulignant que si le Conseil avait dénoncé des sites Web qui pratiquaient la traite des enfants, tels que BackPage.com, qui a été fermé par le FBI en 2018, le Conseil n’avait pas abordé un autre site Web en Arizona qui pratiquait la traite des enfants, le site Web DCS .gov : « Children’s Heart Gallery ».

Ce site Web financé par les contribuables est destiné à recruter des parents adoptifs, mais il expose ces enfants à des prédateurs en publiant des photos et des descriptions d’enfants vivant actuellement dans des familles d’accueil.

Il n’y a aucune précaution à prendre pour accéder à ce site Web. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire, il est simplement ouvert au monde.

Lorsqu’on lui a demandé si les enfants figurant sur le site Internet du DCS provenaient de parents qui avaient volontairement donné leurs enfants à l’adoption, Lori a répondu :

Les enfants qui figurent sur cette galerie du cœur, qui fait partie du site Web du DCS, sont des enfants qui sont sous la garde du DCS. Ce sont des enfants placés en famille d’accueil ou en foyer.

Il s’agit d’un site d’adoption forcée, d’un site de relogement forcé si vous voulez, d’enfants qui sont sous la garde du DCS.

Ils vendent des enfants en ligne.

Pourtant, si un parent qui se bat contre le système pour récupérer ses enfants met en ligne des photos de ses enfants placés en famille d’accueil, les juges du tribunal des dépendances de l’Arizona lui ordonnent systématiquement de retirer ses photos, et ont même menacé MedicalKidnap.com de mettre en ligne des photos que les parents ont fournies de leurs propres enfants, faisant ainsi pression sur les parents pour que Health Impact News retire leurs histoires et leurs photos (ce que nous n’avons JAMAIS fait).

Lorsqu’on lui a demandé ce que le Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains avait réellement accompli, Lori a répondu :

Je ne sais pas ce qu’ils ont accompli, pour vous dire la vérité…. C’est un Conseil où des intervenants parlent de la traite des êtres humains… ils parlent de la traite des êtres humains.

D’après ce que j’ai vu de ce Conseil, je ne crois pas qu’il fasse quoi que ce soit pour empêcher la traite des êtres humains.

Écouter l’intégralité de l’entretien avec Lori Ford :

Lori et son groupe, l’AZ DCS Oversight Group, sont un exemple de ce qui peut être fait au niveau local pour dénoncer le trafic d’enfants par le biais du système de protection de l’enfance, en travaillant avec des parents dont les enfants ont été kidnappés par l’État, et en allant au tribunal avec eux en tant que « surveillants de tribunal » pour faire savoir aux criminels que les gens de leur communauté les surveillent et dénoncent leur trafic d’enfants sous le couvert de la loi.

Vous pouvez la trouver sur Twitter et Facebook sous le nom de « AZ DCS Warriors ».

Ce que ce groupe fait depuis de nombreuses années pour dénoncer le trafic d’enfants et aider les parents et les enfants devrait être un modèle pour TOUS les États des États-Unis.

Nous contactons Lori pour voir si nous pouvons l’aider à créer un site Web et à collecter des fonds pour aider d’autres personnes à travers les États-Unis à créer des groupes similaires dans d’autres États.

C’est ce type d’activisme, avec des « bottes sur le terrain », qui est nécessaire pour vraiment faire la différence dans le domaine de la traite sexuelle des enfants.

La frontière entre l’Arizona et le Mexique est un autre endroit où des bénévoles aident les victimes de la traite des enfants. J’ai récemment publié un rapport sur la façon dont les habitants de l’Arizona aident les enfants qui traversent la frontière. Voir :

En effet, ces bénévoles trouvent souvent des enfants seuls, abandonnés juste après avoir franchi la frontière dans le désert brûlant de l’Arizona, où ils risquent souvent de mourir de soif ou d’être ramassés par les cartels avant que les services de contrôle des frontières ne les trouvent et ne les traitent.

Certaines de ces personnes font cela à la frontière depuis des années.

Ainsi, bien que le film Sound of Freedom expose une partie de ce trafic d’enfants, le film lui-même ne présente aucune nouvelle information qui n’ait pas déjà été exposée par d’autres depuis de nombreuses années, et le simple fait de regarder un film dans un cinéma ne changera probablement pas grand-chose à ce trafic d’enfants financé et géré par le gouvernement.

Si vous voulez protéger les enfants de votre communauté contre la traite, vous devez vous solidariser avec les parents dont les enfants ont été enlevés par l’État, et la grande majorité d’entre eux sont des familles vivant dans la pauvreté qui aiment leurs enfants et feraient n’importe quoi pour les garder si les gens les aidaient.

C’est certainement vrai dans d’autres pays également, mais le secteur lucratif de l’adoption et du placement familial est tout simplement trop prospère et trop puissant pour permettre que cela se produise, car le gouvernement dépense d’énormes ressources financières pour que des parents sans enfants, y compris des pédophiles, accueillent et adoptent les enfants d’autres personnes, plutôt que de dépenser ces ressources pour que les enfants restent dans leur famille biologique.

Cet article a été écrit par un être humain, sans l’aide de l’IA



La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Transcription

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

C’est ainsi que des millions de personnes atteintes errent depuis deux ans à travers le système de santé. Elles voyagent d’une ville à l’autre parce qu’elles ne sont plus acceptées nulle part pour un traitement ou un diagnostic et parce que les caisses d’assurance maladie ne prennent pas en charge le traitement de la maladie non reconnue.
L’Institut Paul Ehrlich en Allemagne et l’EMA en Europe ne reconnaissent notamment pas les dommages causés par le vaccin Covid-19 comme une maladie en raison d’images cliniques diffuses. Tout le poids est maintenant mis sur les épaules des victimes et des médecins. Par exemple par Thomas Mertens, le chef de la commission STIKO en personne. Il rejette désormais toute la responsabilité du problème des personnes atteintes, qui ne sont pas aidées sur la médecine clinique. Celle-ci doit « créer une définition de cas ». Et c’est là que le bât blesse. Je le cite textuellement :

« Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi les coûts du traitement de cette maladie ne sont en principe pas pris en charge par l’assurance maladie. Si quelqu’un, si vous (dit-il à une personne concernée) étiez par exemple allé chez le médecin maintenant, et pas tout de suite en sachant qu’il s’agissait d’un trouble provoqué par un vaccin, alors ces traitements qui suivraient seraient certainement pris en charge par l’assurance maladie. »

On pouvait presque entendre, pendant la courte pause de réflexion, le mot hideux à éviter de « dommage vaccinal ». Avec cette recommandation, le chef de la commission STIKO admet qu’il existe une forte incitation, générée par la réglementation, pour les victimes de la vaccination à ne pas mettre leurs symptômes en relation avec une vaccination. Sinon, elles sont sanctionnées par un refus de prise en charge. Et c’est ainsi que des millions de personnes concernées dans le monde entier sont en train de sombrer dans un chaos délibérément planifié — sans aucune aide, sans aucun pouvoir, sans aucun droit.
Et c’est ainsi que la situation chaotique se développe actuellement dans les chiffres. Il convient toutefois de garder à l’esprit que ces chiffres sont, comme toujours, à comprendre sans aucun des cas non déclarés. Selon des expertises, c’est-à-dire des études spécifiques sur les cas non déclarés, il faudrait ajouter au moins un zéro aux chiffres suivants, voire deux zéros pour certains d’entre eux :

Des données officielles de l’OMS montrent une augmentation spectaculaire des maladies graves après la vaccination contre le Covid-19 : jusqu’à 4 600 %. La liste affichée derrière moi résume une évaluation systématique de la base de données de l’OMS.
Il s’agit de preuves qui résument actuellement environ 200 études. Plus de 200 études supplémentaires attendent d’être examinées et incluses. Celles qui ont déjà été évaluées témoignent d’un lien de causalité pour 53 maladies ou tableaux cliniques. Elles peuvent être consultées dans le cadre bleu sous l’émission, toutes, oui. Toutes les maladies graves se trouvent dans ce fichier, ainsi que les références des travaux scientifiques qui ont prouvé la causalité.

Le point de départ de cette analyse systématique des effets secondaires dont il est prouvé qu’ils sont provoqués par l’injection contre le Covid-19 est la base de données de l’OMS « VigiAccess ». Cette base de données recense une partie des événements sanitaires survenant effectivement après l’injection antiCovid-19, probablement quelque part entre 10 % et 15 %. La base de données de l’OMS a été utilisée comme base pour analyser l’ACCUMULATION de différentes maladies et classes de maladies causées par l’injection antiCovid-19. Nous sommes ainsi en mesure d’illustrer l’évolution des déclarations à la base de données de l’OMS d’« effets secondaires de la vaccination ». Et ce, pour la période du 3 mai 2021 au 3 mai 2023, c’est-à-dire pour deux années complètes.

La valeur qui en résulte est 6,03 fois supérieure : le nombre de notifications de maladies enregistrées dans la base de données de l’OMS est passé de près d’un million et demi de notifications au 3 mai 2021, à près de dix millions au 3 mai 2023. Ces deux chiffres concernent des maladies et non des malades individuels. Au 3 mai 2023, plus de cinq millions de notifications d’effets indésirables étaient enregistrées dans la base de données de l’OMS. Ces rapports couvrent donc, dans la plupart des cas, plus d’une maladie par personne. Cela permet de déterminer comment la fréquence de certaines maladies est influencée par l’injection antiCovid-19.

Si les injections antiCovid-19 n’avaient aucune conséquence sur la santé, les rapports reçus par l’OMS devraient se répartir de manière aléatoire. Il ne devrait y avoir aucune différence dans la croissance globale ou dans la croissance des différentes maladies. Cela signifie que les chiffres calculés mathématiquement dans la dernière colonne du tableau devraient se situer à 100.

Comme le montre le tableau, l’hypothèse n’est pas correcte, mais aussi fausse qu’elle peut l’être. Pour différentes maladies graves, on constate des différences exorbitantes, par exemple un nombre démesuré de + 1 670 % de déclarations pour le syndrome de Basedow, une maladie de la glande thyroïde, un nombre démesuré de + 1 460 % de déclarations pour la péricardite et de + 746 % pour la myocardite, un nombre démesuré de + 1 580 % pour les déclarations de cas d’hépatite auto-immune après l’injection et une augmentation exorbitante de 4 957 % pour le syndrome multi-inflammatoire, souvent mortel, et le cancer, avec une croissance de 493 %.
En parlant de cancer, des centaines de YouTubers qui ont fait la promotion des « vaccins » Covid pendant la pandémie souffrent également aujourd’hui d’un turbo-cancer. Beaucoup d’entre eux ont été payés par le gouvernement et Big Pharma pour convaincre leurs partisans que l’introduction du vaccin était une bonne chose. Regardez une 1re collection de ces influenceurs sociaux désormais en pleurs sur Pravda-TV ; tout l’argent du monde ne leur sert plus à rien et tout secours arrive trop tard pour eux.

Revenons à notre liste. Elle montre également un nombre démesuré de déclarations de mort de fœtus ou de bébés mort-nés, soit 446 % en pourcentage, puis la liste interminable des déclarations de fausses couches qui ont largement dépassé les 375 % de déclarations attendues — ils donnent également l’image effrayante d’une ingérence médicale qui fait des dégâts à grande échelle.
En fait, peu importe ce que l’on considère : le système lymphatique endommagé, les AVC, les maladies du système nerveux central, partout on trouve des feux rouges en mode clignotant permanent.

Mais toutes ces tragédies ne mènent à aucune aide réelle. Elles font partie d’une gestion volontaire du chaos, planifiée avec précision par des élites au pouvoir dénoncées depuis longtemps. Nous nous trouvons au bord du gouffre infernal d’un plan de destruction du monde qui est mis en œuvre de manière ciblée depuis plusieurs décennies. Le professeur Bhakdi et tous les autres l’ont annoncé en temps voulu. C’est maintenant chose faite ! Pourtant, la quasi-totalité des parquets du monde refusent toujours de prendre des plaintes, bien que des dizaines de milliers de plaintes pénales aient été déposées. La population mondiale doit découvrir ensemble pourquoi les variantes les plus diverses de génocides sont actuellement quasiment couvertes par les procureurs et les tribunaux. En effet ils refusent également de nombreuses autres poursuites pénales extrêmement graves. Et ce, malgré le fait que des millions de personnes souffrantes témoignent que les ondes de la téléphonie mobile (Wi-Fi, antennes 4G, 5G, etc.) ont endommagé leur santé. Ils n’ouvrent pas non plus de procédures pénales contre l’escroc Big-Pharma, bien que des milliers d’études spécialisées de haut niveau aient révélé ses œuvres meurtrières et exigé des poursuites. De même, les procureurs et la justice évitent catégoriquement d’engager des poursuites pénales contre les innombrables sectes sanguinaires et leurs meurtres rituels qui ont été découverts. Et ce, bien que d’innombrables victimes témoignent de l’existence de ces réseaux mondiaux de trafic d’enfants et que les réseaux d’agresseurs d’enfants atteignent les plus hauts étages des gouvernements et des hommes de pouvoir de toutes sortes. Aujourd’hui encore, ces mêmes magistrats condamnent de vieux soldats du Troisième Reich comme complices d’assassins du peuple, alors qu’ils n’ont fait qu’obéir à leurs supérieurs en pleine guerre. Ils auraient été des déserteurs s’ils ne l’avaient pas fait.

Mais le Japon a déjà ordonné une enquête sur les vaccins Covid, car le nombre de décès a tellement augmenté qu’on parle d’une crise nationale. C’est un cas prometteur, où la théorie du complot d’hier devient une réalité d’aujourd’hui : les médias grand public rapportent enfin ce que nous avons toujours su. Biden, Fauci et Gates nous ont nourris de désinformation. Il n’y a justement pas eu « de période noire avec des maladies graves et des décès » pour les personnes non vaccinées. En réalité, il s’agit d’une pandémie de personnes vaccinées.
De nouvelles données montrent que le nombre de décès au Japon a augmenté de 400 % depuis que Pfizer a mis sur le marché la troisième dose du vaccin de rappel l’année dernière. « Le nombre de décès excédentaires a été environ quatre fois plus élevé qu’en 2017, 2018, 2019 et 2021 », peut-on lire dans un rapport publié dans The Exposé. Ces statistiques ont ébranlé la classe dirigeante japonaise. Des enquêtes officielles sont donc en cours et des plaintes sont préparées. L’ensemble de la population mondiale doit s’unir de cette manière, en ce moment même. Elle doit appliquer les mêmes critères à tous les détenteurs de pouvoir dans le domaine de la justice et des autorités de surveillance, qui refusent toujours d’agir à l’heure actuelle.

Nous avons besoin de toute urgence d’instances judiciaires nouvelles et indépendantes qui sanctionnent de manière professionnelle toute couverture de génocides attestés et de bellicismes clandestins. Mais, et c’est peut-être la partie la plus grave de toute la tragédie, la plupart de nos contemporains sont comme plongés dans un profond sommeil hypnotique. Du matin au soir, ils fixent à chaque occasion l’écran maudit de leur téléphone portable, se déplaçant d’une zone de rayonnement à une autre. Ce faisant, leurs pensées et leurs émotions sont constamment diminuées par le WI-FI et les antennes de téléphonie mobile. Si cela continue, la plupart d’entre eux ne s’éveilleront que lorsque le chaos sournoisement planifié, les maladies diaboliquement suscitées, la ruine financière, etc. leur tomberont directement dessus. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendront compte de ce qui se passe. Mais alors, il sera trop tard — il y aura du retard, mes chers amis.

Pour conclure, je vais donc vous montrer comment l’OMS et l’ONU s’efforcent de tirer profit de notre état d’esprit indifférent. En effet, ce sont justement ces institutions, responsables d’avoir causé de graves dommages à des millions de personnes dans le monde entier, qui tentent à présent de se hisser à la domination unique. Ainsi, au lieu de s’incliner devant les dizaines de milliers de professionnels indépendants, de reconnaître leurs erreurs et de se rendre comme des criminels pris en flagrant délit, ils ajoutent une couche par-dessus. Comme un tueur de masse qui menace tous les témoins et cherche à les tuer, les institutions suivantes menacent tous les témoins de la vérité. Elles le font en prenant des décisions visant à éliminer mentalement, en ligne et par tous les moyens, toutes les vraies voix spécialisées et tous les témoins compétents. De cette manière, elles espèrent échapper aux arrestations et aux lourdes condamnations demandées dans le monde entier. Notez leurs récents « plans d’évasion » en trois étapes :

Le premier a eu lieu le 31 janvier 2023. Dans un article du Foreign Affairs recommandé par l’OMS, des scientifiques de la santé et des fonctionnaires conseillent justement les gouvernements auxquels une grande partie de la population ne fait plus confiance depuis le Covid-19. Ils leur conseillent « d’investir » dans des institutions et des personnes dignes de confiance afin que celles-ci fassent la promotion des mesures en cas de pandémie. En bref, l’OMS incite justement les gouvernements qui ont perdu toute confiance à engager des individus fourbes. Ainsi, ils peuvent en quelque sorte détourner l’attention de tous les « cadavres dans le placard » — et tous les peuples trompés disent à haute voix à ce sujet : « Non, pas comme ça ! Non, pas comme ça ! » Ce dont l’OMS a besoin maintenant, ce n’est pas de candidats fourbes qui font aussi de nouvelles pubs pour elle. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des armées entières de procureurs et de fonctionnaires de justice restante qui se dressent contre l’OMS et imposent enfin des poursuites pour les crimes de masse délibérés et dissimulés — il ne s’agit pas seulement de déposer une plainte pénale, mais de l’imposer — et de traîner l’OMS devant un tribunal équitable !

Le 31 mai 2023, soit exactement quatre mois plus tard, les membres de l’OMS ont fait un deuxième pas dans la mauvaise direction. Ils n’ont pu le faire que parce que l’OMS n’avait pas été retirée de la circulation professionnellement. C’est ainsi que les États membres ont adopté une résolution lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Celle-ci demande à tous les gouvernements et à l’OMS de renforcer et d’utiliser systématiquement les sciences comportementales. Cela dans le but de contrecarrer « la désinformation et la mauvaise information liées à la santé » et de garantir ainsi la demande de vaccins, et non notre santé. En clair, cela signifie que des membres de l’OMS ont pris une décision de manipulation de l’opinion publique en toute connaissance de cause ! Et nous disons : c’est exactement le contraire qui doit avoir lieu ici ! L’opinion publique doit encore être totalement informée des crimes de l’OMS et de ses complices.

Mais comme cette nécessité n’a pas non plus été satisfaite à temps, ces destructeurs de peuple sont allés encore plus loin le 13 juin 2023. Ce jour-là, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a présenté un programme. Avec celui-ci, l’organisation mondiale veut veiller à ce que les contenus qui perturbent le « consensus empiriquement fondé sur les faits, la science et le savoir » disparaissent des plateformes en ligne et des médias. Car leur capacité à « saper par la désinformation les faits scientifiquement établis “constitue” un risque existentiel pour l’humanité ». En clair, cela signifie que l’ONU veut imposer l’approche européenne de la censure en ligne au monde entier ! Et la censure s’exerce bien entendu comme d’habitude uniquement contre tous les scientifiques réellement indépendants et les médias libres. C’est-à-dire contre ceux qui ont compris toute la tromperie mondiale de Big Pharma et de tout le système de vaccination et qui souhaitent enfin la dévoiler. Parce qu’ici aussi, le débat public exigé a été systématiquement refusé ou a eu lieu dans un cadre trop restreint, les assassins insolents tentent de se rendre intouchables et en même temps tout-puissants par une attaque générale. C’est pourquoi, là aussi, il faut faire exactement le contraire. Ces grands criminels doivent enfin être condamnés par tous les scientifiques véritablement indépendants. Il faut dévoiler la désinformation des véritables criminels grâce au consensus empirique de scientifiques authentiques et indépendants. Car ce sont bien les grands criminels de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS qui ont systématiquement sapé tous les faits authentiques et scientifiquement établis. Ceux qui ont martyrisé les peuples tout au long de la campagne Covid, qui ont causé de graves dommages à la classe moyenne, blessé des millions de personnes et tué des dizaines de milliers d’autres — ceux-là seuls représentent un risque existentiel pour l’humanité. Donc, si la population mondiale ne s’unit pas maintenant pour passer à l’action et mettre en place des tribunaux réellement indépendants, elle sera perdue à court terme. Il n’y a pas d’autre solution : toutes les lois et les institutions judiciaires qui n’ont pas fonctionné pendant la période de plandémie, parce que les signataires autorisés ne se sont souciés de rien, oui, ils n’ont pas bougé le petit doigt malgré des dizaines de milliers de plaintes pénales, doivent être retirés de leur position de pouvoir. Les peuples trompés doivent tous les déclarer démis de leurs fonctions pour haute trahison. Si nous ne le faisons pas, les forces des ténèbres poursuivront leurs plans de destruction totale de tous les lanceurs d’alerte libres et de toutes les vérités salutaires. Alors toute véritable science prendra fin. C’est exactement ce que nous voulons éviter ensemble, d’accord ? Quiconque souhaite apporter son soutien doit s’allier à tous les scientifiques libres, aux services juridiques et aux médias libres. C’est-à-dire avec ceux qui ont encore le courage de s’opposer à cette conspiration mondiale de la santé.

Il n’y a qu’un seul comportement pratique correct à avoir vis-à-vis de toutes ces calamités : prenez cette émission et diffusez-la partout où vous pouvez. Faites de même avec toutes nos émissions phares de Kla.TV. Dans nos douze rubriques, vous trouverez des révélations sur de nombreuses autres formes de ce chaos délibérément attisé. Engagez-vous d’une manière ou d’une autre, par exemple en vous inscrivant aujourd’hui même sur « Kla.TV — devenir actif ! » (www.kla.tv/aktiv-werden). Participez à cette lutte pour l’information tant que la censure totale n’est pas encore là — mais elle pourrait bien être une amère réalité dès demain, couverte par la loi. Ce serait alors notre problème.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Vetopedia, l’encyclopédie libre des contre voix. Vetopedia établit une vue d’ensemble des cas de dommages liés à la vaccination. Il est ainsi possible de vérifier si ceux-ci sont effectivement aussi rares dans la réalité que ce qu’admettent les instances officielles.

Utilisez vous aussi la plate-forme de déclaration contradictoire Vetopedia.org pour signaler les cas de dommages dont vous avez connaissance. Faites connaître cette possibilité aux victimes de la vaccination, afin que les cas de dommages liés à la vaccination ne soient plus passés sous silence, mais qu’ils soient rendus publics.

de is.

Sources/Liens :




Thierry Breton, le néo-fascisme tranquille

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

La France traverse une crise politique majeure. L’État n’est plus en mesure de contrôler son territoire. Et que dire de l’économie. Les deux tiers des Français haïssent Emmanuel Macron. Qui piétine les libertés publiques et met en place un régime néofasciste. Et pour faire bon poids, il fournit à un régime en panique des missiles de croisière pour frapper le territoire de la Russie. C’est-à-dire que tranquillement il déclare la guerre à la première puissance nucléaire du monde. Le gouvernement est muet, l’ensemble de la classe politique représentée au Parlement fait de même. Pas un élu, à l’exception de Dupont Aignan, aucune autorité intellectuelle ou morale n’élève la voix pour s’inquiéter de l’abîme vers lequel cet homme emmène le pays.

Pour la mise en place de ce qui commence à ressembler à un régime néofasciste (même Julien Dray commence à s’inquiéter), Macron dispose d’hommes de main qui n’ont aucun scrupule. Il faut écouter l’effarant entretien donné par le commissaire européen Thierry Breton à France Télévisions, où l’intéressé vient annoncer triomphalement qu’il est arrivé à ses fins avec la mise en place d’une réglementation européenne de censure a priori sur les réseaux sociaux. Rappelons que ce personnage, quintessence du Capital endogame à la française, a été nommé à la Commission européenne en remplacement d’une autre haute fonctionnaire adepte du pantouflage gourmand, choisie par Macron, mais refusée par le Parlement européen pour cause de rapports jugés trop élastiques avec la morale publique.

Breton s’est récemment signalé par des vitupérations contre les réseaux sociaux, qu’il accuse à demi-mot de véhiculer une parole d’opposition politique aux oligarchies en place. Sous prétexte de lutter « contre la haine en ligne », il décrit un dispositif destiné en fait à bâillonner toute parole dissidente. Il n’a d’ailleurs pas hésité à citer comme devant être interdits les « appels à la révolte » ! La tentation néofasciste du personnage saute aux yeux, tant dans l’attitude que dans le choix des mots. Breton, donc, a fait adopter par le Parlement européen un texte qui reprend toutes les mesures proposées naguère par Emmanuel Macron, par l’intermédiaire de l’ex-députée Laetitia Avia et de la loi dite « Avia », votée par le Parlement-Playmobil du premier mandat — et quasi intégralement censurée par le Conseil constitutionnel puisque jugée attentatoire à la Constitution et notamment à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Notre cour suprême, pourtant fort indulgente en général avec Macron, avait fait sortir l’horreur liberticide qu’était la loi Avia par la porte ; Thierry Breton la fait rentrer par la fenêtre. On en veut pour preuve cet hallucinant entretien passé à décrire tous les moyens administratifs qui permettraient d’instaurer une censure administrative a priori en piétinant tous nos principes.

[Voir aussi :
Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies]

La censure, nouvelle passion de la « gauche »

En France, une « gauche » minoritaire et paniquée nourrit une nouvelle passion pour la censure. Ces jours derniers plusieurs exemples de ce tropisme ont d’ailleurs fait réagir : citons la campagne contre le pluralisme avec l’affaire Geoffroy Lejeune au JDD, les déclarations de Pape Ndiaye sur Europe1 et CNews, médias « clairement d’extrême droite », ou encore les provocations du « philosophe » Geoffroy de Lagasnerie, qui affirme que la pensée de droite n’existe pas.

Il est malheureusement nécessaire une fois de plus de rappeler que la conflictualité est inhérente au politique et qu’elle s’exprime et se résout dans l’espace public. Le propre d’un cadre normatif dans un système démocratique est justement de permettre le débat et l’affrontement des opinions, le juge de paix étant l’élection. L’application de ces principes est de plus en plus problématique pour les blocs oligarchiques au pouvoir dans les pays occidentaux. On y revendique et brandit les « valeurs démocratiques » comme étant universelles, mais on s’efforce par tous les moyens de faire taire les paroles dissidentes. Une tâche rendue plus compliquée par l’existence des réseaux sociaux, plateformes qui ont réalisé une véritable révolution en donnant une parole en temps réel au plus grand nombre, ce qui est quand même, qu’on le veuille ou non, un progrès démocratique. Cette parole charrie comme toujours le pire et le meilleur, et il est quand même inquiétant de voir qu’en France, le pouvoir d’État réagisse comme il le fait avec une succession de lois liberticides. La loi Avia, à juste titre censurée, n’avait été qu’un avatar d’une entreprise d’encadrement mise en œuvre depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, dont l’absence de culture démocratique impose de rappeler que la démocratie est fondée sur l’égalité de n’importe qui avec n’importe qui. Et que l’accès à l’expression et au débat du plus grand nombre ne devrait pas être considéré comme un danger.

À la fin du XIXe siècle, lorsque la IIIe République fut suffisamment bien établie, et afin de garantir le respect de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen fut adoptée une loi de protection de la liberté d’expression. Parmi ses principes figurait celui que cette liberté fondamentale pouvait être limitée si nécessaire par la loi, mais dès lors que les restrictions étaient strictement proportionnées à l’objectif d’intérêt général poursuivi et que le contrôle de ce nécessaire équilibre n’appartenait qu’au Juge. La loi sur la presse de 1881 fonctionne depuis presque 140 ans, et jusqu’à présent, on pouvait considérer que la liberté d’expression existait dans notre pays. Malheureusement, depuis le mandat de François Hollande et maintenant d’Emmanuel Macron, la France a dégringolé dans les classements internationaux de la liberté de la presse, « la patrie des droits de l’homme » se trouvant aujourd’hui à la 34e place sur 180…

Thierry Breton, autocrate assumé

Après la Deuxième Guerre mondiale, un encadrement juridique destiné à garantir l’indépendance, le pluralisme et la transparence de la presse nationale avait été adopté. Il a été soigneusement détruit, et aujourd’hui la presse audiovisuelle et écrite est entièrement entre les mains de l’oligarchie. L’îlot du service public n’y échappe pas, puisqu’il est au service du pouvoir politique mis en place par cette même oligarchie avec le coup d’État judiciaire de 2017. L’existence d’une expression dissidente via les réseaux sociaux est donc considérée comme insupportable, et les agents du pouvoir multiplient les tentatives pour la faire taire.

Le texte présenté par Thierry Breton contient un certain nombre d’horreurs et la première d’entre elles est relative au fait que c’est l’autorité administrative qui désormais décidera de ce que l’on peut dire ou ne pas dire sur les réseaux. Une équipe de flics de la pensée aux ordres de ce nouveau ministre de la Vérité pourra sommer n’importe quel site, quelle que soit sa taille, de supprimer dans les 24 heures des textes qu’elle juge contraires à la loi. La défaillance dans la suppression immédiate pourra être sanctionnée, par l’interdiction dans le pays considéré et pour ce qui nous concerne la France. Il est clair que les grandes plates-formes comme Facebook, YouTube ou Twitter vont non seulement poursuivre leur censure a priori qui existe déjà, mais pourraient aussi, par précaution, déférer à toutes les demandes de suppression émanant des officines européennes opaques. Elon Musk souhaite faire de Twitter, qu’il a racheté, un espace de libre expression ; Thierry Breton, tout à sa pulsion néofasciste, en a fait une de ses cibles principales. Le système d’intimidation ainsi adopté n’est pas destiné à « lutter contre la haine », mais bien à réprimer la liberté d’expression en ligne. Le commissaire européen a tranquillement assimilé à des messages de haine les appels à la révolte. Rappelons encore une fois qu’il s’agit là des mesures contenues dans la loi Avia, démantibulée par la décision du Conseil constitutionnel, dont le projet de Breton est un décalque.

Toute cette entreprise n’est que le prétexte pour mettre les réseaux au pas. Et n’oublions pas que le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence — indispensable à son propre maintien — d’avoir conduit à une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les Gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. Et cette fois-ci, face aux principes fondamentaux de la République française qui s’y opposent, on utilise l’Union Européenne et la violation de notre souveraineté pour les contourner et mettre en place un système autocratique dont Thierry Breton est l’un des gardes-chiourme.

S’y opposer est un devoir. Avant qu’il ne soit trop tard.




Il n’y a pas eu de pandémie

[Source : denisrancourt.ca via santeglobale.world]

Par Denis G. Rancourt, PhD

C’est radical.

L’essai est basé sur mon témoignage du 17 mai 2023 pour la National Citizens Inquiry (NCI) à Ottawa, Canada, mon livre de 894 pages d’expositions à l’appui de ce témoignage, et nos recherches continues.

Je suis un scientifique et physicien interdisciplinaire accompli, et un ancien professeur titulaire titulaire de physique et chercheur principal, à l’origine à l’Université d’Ottawa.

J’ai rédigé plus de 30 rapports scientifiques pertinents à la COVID, à compter du 18 avril 2020 pour l’Association des libertés civiles de l’Ontario (ocla.ca/covid) et récemment pour une nouvelle société à but non lucratif (correlationcanada.org/research). Présentement, tous mes travaux et entrevues au sujet de la COVID sont documentés sur mon site Web créé pour contourner le barrage de la censure (denisrancourt.ca).

Outre les revues critiques de la science publiée, la principale donnée que mes collaborateurs et moi analysons est la mortalité toutes causes confondues.

La mortalité toutes causes confondues par période (jour, semaine, mois, année, période), par juridiction (pays, état, province, comté) et par caractéristiques individuelles des personnes décédées (âge, sexe, race, logement) est la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements à l’origine des décès, et pour évaluer l’impact au niveau de la population d’une augmentation ou d’un effondrement des décès, quelle qu’en soit la cause.

Ces données ne sont pas susceptibles d’être biaisées par la déclaration ou par l’attribution des causes de décès. Nous les avons utilisées pour détecter et caractériser la saisonnalité, les vagues de chaleur, les tremblements de terre, les effondrements économiques, les guerres, le vieillissement de la population, le développement sociétal à long terme et les agressions sociétales telles que celles qui se sont produites au cours de la période COVID, dans de nombreux pays du monde et au cours de l’histoire récente, de 1900 à aujourd’hui.

Fait intéressant, aucune des pandémies de maladies respiratoires virales promues par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) après la Seconde Guerre mondiale (1957-58, « H2N2 » ; 1968, « H3N2 » ; 2009, « H1N1 à nouveau ») peut être détectée dans la mortalité toutes causes confondues de n’importe quel pays. Contrairement à toutes les autres causes de décès dont on sait qu’elles affectent la mortalité, ces soi-disant pandémies n’ont provoqué aucune augmentation détectable de la mortalité, où que ce soit.

Le grand événement de mortalité de 1918, dont on a été convaincu qu’il s’agissait d’une pandémie de maladie respiratoire virale (« H1N1 »), s’est produit avant l’invention des antibiotiques et du microscope électronique, dans des conditions horribles d’assainissement public et de stress économique après la guerre. Les décès de 1918 ont été prouvés par histopathologie du tissu pulmonaire préservé comme ayant été causés par une pneumonie bactérienne. Ceci est démontré dans plusieurs études publiées indépendantes et non contestées.

Mon premier rapport analysant la mortalité toutes causes confondues a été publié le 2 juin 2020, sur Research Gate, sujet à la censure, et s’intitulait « Mortalité toutes causes pendant la COVID-19 – Pas de peste et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement ». Il a montré que des points chauds de poussées soudaines de la mortalité toutes causes confondues ne se produisaient que dans des endroits spécifiques du monde occidental de l’hémisphère Nord, qui étaient synchrones avec la déclaration de pandémie du 11 mars 2020. Une telle synchronicité est impossible dans le cadre présumé d’une maladie respiratoire virale en propagation, avec ou sans avions, car le temps calculé entre l’ensemencement et la flambée de mortalité dépend fortement des circonstances sociétales locales, de plusieurs mois à plusieurs années. J’ai attribué les décès en excès à des mesures agressives et à des protocoles de traitement hospitalier connus pour avoir été appliqués soudainement à cette époque dans ces localités.

Le travail a été approfondi avec des collaborateurs pendant plusieurs années et se poursuit. Nous avons montré à maintes reprises que la surmortalité refusait le plus souvent de franchir les frontières nationales et les frontières interétatiques. Le virus invisible cible les pauvres et les handicapés et porte un passeport. Il ne tue jamais non plus jusqu’à ce que les gouvernements imposent des transformations socio-économiques et de la structure des soins aux groupes vulnérables au sein de la population nationale.

Voici mes conclusions, à partir de nos études détaillées sur la mortalité toutes causes confondues pendant la période COVID, en combinaison avec des données socio-économiques et de déploiement de vaccins :

  1. S’il n’y avait pas eu de propagande ou de coercition pandémique, et que les gouvernements et l’establishment médical avaient simplement continué comme si de rien n’était, il n’y aurait pas eu de surmortalité ;
  2. Il n’y a pas eu de pandémie causant une surmortalité ;
  3. Les mesures ont provoqué une surmortalité ;
  4. La vaccination contre le COVID-19 a causé une surmortalité.

En ce qui concerne les vaccins, nous avons quantifié de nombreux cas dans lesquels un déploiement rapide d’une dose dans le calendrier de vaccination imposé était synchrone avec un pic par ailleurs inattendu de la mortalité toutes causes confondues, parfois dans le cycle saisonnier et d’une ampleur jamais vue auparavant dans l’enregistrement historique de mortalité.

Nous avons ainsi montré que la campagne de vaccination en Inde a causé la mort de 3,7 millions de résidents fragiles. Dans les pays occidentaux, nous avons quantifié le taux moyen de mortalité tous âges confondus à 1 décès pour 2000 injections, à augmenter de façon exponentielle avec l’âge (doublement tous les 5 ans supplémentaires), jusqu’à atteindre 1 décès pour 100 injections chez les 80 ans et plus. Nous avons estimé que les vaccins avaient tué 13 millions de personnes dans le monde.

Si l’on accepte mes conclusions numérotées ci-dessus et les analyses que nous avons effectuées, alors il y a plusieurs implications sur la façon dont on perçoit la réalité concernant ce qui s’est réellement produit et ne s’est pas produit.

Premièrement, alors que les épidémies d’infections mortelles sont bien réelles dans les maisons de soins, les hôpitaux et les conditions de vie dégradées, le risque de pandémie respiratoire virale promu par l’industrie de la « réponse à la pandémie » dirigée par les États-Unis n’existe pas. Il est très probablement fabriqué et entretenu pour des motifs cachés, autres que le sauvetage de l’humanité.

Deuxièmement, en plus des événements naturels (vagues de chaleur, tremblements de terre, sécheresses prolongées à grande échelle), les événements importants qui affectent négativement la mortalité sont des agressions importantes contre les populations domestiques, affectant les résidents vulnérables, tels que :

  • détérioration économique soudaine et dévastatrice (la Grande Dépression, le bol de poussière, la dissolution de l’Union soviétique),
  • la guerre (y compris la restructuration des classes sociales),
  • l’occupation et l’exploitation impériales ou économiques (y compris l’exploitation à grande échelle des terres), et
  • les mesures bien documentées et la destruction appliquées pendant la période COVID.

Sinon, dans une société stable, la mortalité est extrêmement robuste et n’est pas sujette à de grands changements rapides. Il n’y a aucune preuve empirique que des changements importants dans la mortalité peuvent être induits par des apparitions soudaines de nouveaux agents pathogènes. À l’ère contemporaine de l’espèce humaine dominante, l’humanité est son pire ennemi, pas la nature.

Troisièmement, les mesures coercitives imposées pour réduire le risque de transmission (telles que la distanciation, les flèches directionnelles, le confinement, l’isolement, la quarantaine, les barrières en plexiglas, les écrans faciaux et les masques faciaux, les coups de coude, etc.) sont manifestement non scientifiques ; et la préoccupation sous-jacente elle-même concernant la « propagation » n’a jamais été justifiée et est irrationnelle, car il n’y a aucune preuve dans les données fiables sur la mortalité qu’il y ait jamais eu un agent pathogène particulièrement virulent.

En fait, la notion même de « propagation » pendant la période COVID est rigoureusement démentie par les variations temporelles et spatiales de la surmortalité toutes causes confondues, partout où elle est suffisamment quantifiée, dans le monde. Par exemple, le virus présumé qui a tué 1,3 million de résidents pauvres et handicapés des États-Unis n’a pas franchi la frontière terrestre de plus de mille kilomètres avec le Canada, malgré des échanges économiques continus et intenses. De même, le virus présumé qui a causé des points chauds de mortalité synchrones en mars-avril-mai 2020 (comme à New York, dans la région de Madrid, à Londres, à Stockholm et dans le nord de l’Italie) ne s’est pas propagé au-delà de ces points chauds.

Fait intéressant, à cet égard, les variations saisonnières historiques (période de 12 mois) de la mortalité toutes causes confondues, connues depuis plus de 100 ans, sont inversées dans les hémisphères nord et sud du globe et ne montrent aucune preuve de « propagation ». Au lieu de cela, ces modèles, dans un hémisphère donné, montrent des augmentations et des diminutions synchrones de la mortalité dans tout l’hémisphère. Est-ce que le ou les agents causals « en propagation » prendraient toujours exactement 6 mois pour passer dans l’autre hémisphère, où ils provoqueraient à nouveau des changements de mortalité synchrones dans tout l’hémisphère ? De nombreux épidémiologistes ont conclu depuis longtemps que la propagation des maladies respiratoires par «contact» de personne à personne ne peut pas expliquer et est réfutée par les tendances saisonnières de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi le CDC et compagnie ne sont pas systématiquement ridiculisés à cet égard dépasse l’entendement de ce scientifique.

Au lieu de cela, en dehors des conditions de vie extrêmement pauvres, nous devrions nous tourner vers l’ensemble des travaux du professeur Sheldon Cohen et de ses co-auteurs (États-Unis) qui ont établi que deux facteurs dominants contrôlent l’infection des étudiants intentionnellement handicapés et la gravité de la maladie respiratoire quand ils sont infectés :

  • le degré de stress psychologique ressenti ;
  • le degré d’isolement social.

L’impact négatif du stress psychologique ressenti sur le système immunitaire est un vaste domaine d’étude scientifique actuel et établi, consciencieusement ignoré par les intérêts des vaccins, et nous savons maintenant que ledit impact est considérablement plus important chez les personnes âgées, où la nutrition (écologie du microbiome intestinal) est un cofacteur important.

Bien sûr, je ne veux pas dire qu’il n’existe pas d’agents causals, tels que des bactéries, qui peuvent provoquer une pneumonie ; ni qu’il n’existe pas de concentrations environnementales dangereuses de tels agents causals à proximité d’individus fragiles, comme dans les hôpitaux et sur les mains des cliniciens, notoirement.

Quatrièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’il y ait eu un agent pathogène particulièrement virulent causant une mortalité excessive, le débat sur la recherche sur le gain de fonction et une arme biologique échappée n’est pas pertinent.

Je ne veux pas dire que le ministère de la Défense (DoD) ne finance pas la recherche sur le gain de fonction et les armes biologiques (à l’étranger, en particulier), je ne veux pas dire qu’il n’y a pas beaucoup de brevets américains pour des organismes microbiens génétiquement modifiés ayant des applications militaires potentielles, et je ne veux pas dire qu’il n’y a pas eu auparavant d’évasion ou de libération de vecteurs et d’agents pathogènes d’armes biologiques. Par exemple, la controverse sur la maladie de Lyme aux États-Unis peut être un exemple de fuite d’arme biologique (voir le livre de Kris Newby de 2019 « Bitten: The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons »).

Généralement, pour des raisons évidentes, tout agent pathogène extrêmement virulent ne sera pas également extrêmement contagieux. Il y a des milliards d’années de pressions évolutives cumulatives contre l’existence d’un tel agent pathogène, et ce résultat sera profondément encodé dans toutes les formes de vie.

De plus, il serait suicidaire pour n’importe quel régime de chercher avec véhémence à créer un tel agent pathogène. Les armes biologiques sont destinées à être livrées dans des zones cibles spécifiques, sauf dans la science-fiction où l’immunité contre une arme biologique à la fois extrêmement virulente et extrêmement contagieuse peut être délivrée de manière fiable à sa propre population et à ses soldats.

À mon avis, si la COVID est proche d’être une arme biologique, c’est par sa capacité militaire à déployer massivement et de manière répétée des injections individuelles, qui sont les vecteurs physiques des substances que le régime souhaite injecter de manière sélective dans des populations choisies, tout en imposant une conformité totale jusqu’à son propre corps, sous le couvert de la protection de la santé publique.

C’est le même régime qui pratique des guerres de destruction complète de la nation et d’anéantissement de la société, sous couvert de répandre la démocratie et les droits des femmes. Et je ne parle pas de la Chine.

Cinquièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’un agent pathogène particulièrement virulent soit à l’origine de la surmortalité, il n’est pas nécessaire de mettre en place des protocoles de traitement particuliers, au-delà des diagnostics habituels, réfléchis, au cas par cas, suivis de la meilleure approche choisie par le clinicien.

Au lieu de cela, de nouveaux protocoles vicieux ont tué des patients dans des points chauds qui appliquaient ces protocoles au cours des premiers mois de la pandémie déclarée.

Cela a été suivi dans de nombreux États par des mesures sociétales coercitives imposées, qui étaient contraires à la santé individuelle : peur, panique, paranoïa, stress psychologique induit, isolement social, autovictimisation, perte de travail et d’activité bénévole, perte de statut social, perte d’emploi, faillite d’entreprise, perte d’utilité, perte de gardiens, perte de lieux et de mobilité, suppression de la liberté d’expression, etc.

Seule la classe professionnelle a fait mieux, travaillant confortablement à domicile, près de sa famille, tout en étant prise en charge par une armée de services de livraison à domicile spécialisés.

Malheureusement, l’establishment médical ne s’est pas limité à agresser et isoler les patients vulnérables dans les hôpitaux et les établissements de soins. Il a aussi systématiquement retiré les soins normaux et attaqué les médecins qui refusaient de le faire.

Dans pratiquement tout le monde occidental, les prescriptions d’antibiotiques ont été réduites et maintenues à environ 50 % des taux pré-COVID. Cela aurait eu des effets dévastateurs aux USA, notamment, où :

  • les propres statistiques du CDC, basées sur les certificats de décès, comptent environ 50 % du million de décès associés au COVID ayant une pneumonie bactérienne comme comorbidité répertoriée (il y a eu une épidémie massive de pneumonie bactérienne aux États-Unis, dont personne n’a parlé) ;
  • les États pauvres du Sud ont historiquement des taux de prescription d’antibiotiques beaucoup plus élevés (cela implique une forte sensibilité à la pneumonie bactérienne) ;
  • la surmortalité pendant la période COVID est très fortement corrélée (r = +0,86) — en fait proportionnelle à — la pauvreté par état.

Sixièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’il y avait un agent pathogène particulièrement virulent causant une surmortalité, il n’y avait aucune raison de santé publique de développer et de déployer des vaccins ; pas même si l’on acceptait la proposition ténue selon laquelle n’importe quel vaccin a déjà été efficace contre une maladie respiratoire virale présumée.

Ajoutez à cela que tous les vaccins sont intrinsèquement dangereux et nos quantifications du taux de mortalité par dose de vaccin décrites ci-dessus, et nous devons reconnaître que les vaccins ont contribué de manière significative à la surmortalité partout où ils ont été imposés.

En conclusion, la surmortalité n’a été causée par aucun nouveau pathogène particulièrement virulent. La soi-disant réponse COVID était en effet une attaque étatique et iatrogène massive à plusieurs volets contre les populations et contre les structures de soutien de la société, qui a causé toute la surmortalité, dans toutes les juridictions.

Il est maintenant naturel de se demander « qu’est-ce qui a motivé cela ? », « qui en a profité ? » et « quels groupes subissaient des désavantages structurels permanents ? »

À mon avis, l’assaut COVID ne peut être compris que dans les contextes symbiotiques de la géopolitique et des transformations à grande échelle des classes sociales. La domination et l’exploitation en sont les moteurs. L’hégémonie mondiale défaillante centrée sur les États-Unis et ses machinations créent des conditions dangereuses pour pratiquement tout le monde.




La vérité brutale : contre le Forum Économique Mondial, l’Organisation Mafieuse de la Santé et le WOKISME…

[Source : Amelie Paul via les7duquebec.net]




Alex Soros a promis de censurer les conservateurs et les journalistes indépendants en ligne « 100 fois plus agressivement » que son père George

[Source : strategika.fr]

Source : thepeoplesvoice.tv — 12 juin 2023

https://thepeoplesvoice.tv/alex-soros-vows-to-eradicate-conservatives-from-the-internet-im-100-times-worse-than-my-dad/

À la suite de l’information selon laquelle le milliardaire d’extrême gauche George Soros a cédé à son fils le contrôle total de son empire de 25 milliards de dollars, Alex a exposé sa vision despotique de l’avenir de l’internet dans une interview accordée au Wall Street Journal.

« Je suis beaucoup plus politique », a déclaré Alex Soros se comparant à son radical de père.

« Même si j’aimerais que l’argent disparaisse de la politique, tant que l’autre camp le fera, nous devrons le faire aussi », a-t-il affirmé.

D’après Slaynews.com, les comités d’action politique financés par Soros sont devenus un facteur majeur dans les élections américaines.

George Soros a été le plus grand donateur du parti démocrate lors des dernières élections américaines et son financement des petites élections de procureurs locaux lui a permis de prendre le contrôle du système judiciaire américain.

Alex Soros a déclaré qu’il s’efforçait actuellement d’améliorer le soutien des Hispaniques et des Noirs aux politiciens démocrates.

Selon Fox News, le nouveau chef de l’empire Soros s’est rendu au moins 17 fois à la Maison-Blanche du président démocrate Joe Biden depuis 2021.

Trois visites ont eu lieu entre le 8 et le 10 février, selon Slay News.

Plusieurs hauts fonctionnaires de l’administration Biden figurent sur les registres des visiteurs comme étant ceux qui ont rencontré Alex Soros.

« Alexander Soros est prêt à diriger le réseau politique et philanthropique de sa famille, qui pèse plusieurs milliards de dollars », a déclaré Scott Walter, président du Capital Research Center, selon le Washington Examiner.

« Comme son père, il s’acoquine avec les dirigeants de la Maison-Blanche et du Congrès qui sont prêts à obéir aux ordres de la famille sur des questions telles que la criminalité, l’immigration, la politique électorale et bien d’autres encore, tandis que les Soros exploitent tous les types de dons : argent aux partis, groupes de dépenses indépendants et soi-disant “organisations caritatives” », a-t-il ajouté.

Selon le New York Post, Mike Howell, directeur du projet Oversight à la Heritage Foundation, a déclaré que l’accès d’Alex Soros à la Maison-Blanche de M. Biden constituait une préoccupation majeure.

Howell pense que la famille Soros a déjà « causé d’énormes dégâts à notre pays ».

« Le programme de Soros est un programme de mort et de destruction au nom de l’ouverture des frontières et de la fin de la civilisation occidentale », a-t-il déclaré.

« L’administration Biden et le mouvement des procureurs véreux pourraient être son investissement le plus dommageable pour l’Amérique à ce jour ».

Matt Palumbo, auteur de « The Man Behind the Curtain: Inside the Secret Network of George Soros » (L’homme derrière le rideau : le réseau secret de George Soros), a déclaré que la famille Soros était profondément ancrée dans l’administration Biden.

« Dans toute la Maison-Blanche, il y a une emprise Soros quelque part, et son fils est le nouvel ambassadeur de son père », a déclaré M. Palumbo.

Le président de Judicial Watch, Tom Fitton, a déclaré que, quel que soit l’homme de paille de la fondation et des PACS soutenus par Soros, George Soros est toujours aux commandes.

« Ne vous laissez pas distraire par le nom d’Alex dans le registre des visiteurs ; c’est un représentant de George Soros qu’ils cherchent à rencontrer à la Maison-Blanche de Biden », a déclaré Fitton.

« C’est toujours lui qui mène la danse. »

« C’est son argent, ce sont ses fondations. »




De Gambetta à Zelenski : une leçon d’histoire par Drumont

Par Nicolas Bonnal

Zelenski fait liquider les Ukrainiens pour les raisons que l’on connaît et que je ne vais pas discuter ici — on ne les connaît tous que trop ; mais il me semble opportun de rappeler que nous avons eu un héros national qui fit la même chose, qui n’était pas français et qui a envoyé les Français se faire liquider pour rien par les Prussiens mieux préparés et armés après une défaite impériale bien méritée (une « correction », disait Marx dans son Dix-Huit Brumaire, outré par les méfaits de l’armée française au milieu du siècle — colonisation génocidaire, répression politique et sociale, participation au putsch bonapartiste et à la dictature, massacres divers, etc.) : il s’agit de Gambetta. On va laisser parler Drumont, redécouvert surtout grâce à Bernanos, au sujet de Gambetta, dont le nom orne des milliers de rues en France comme celui d’autres tueurs de peuples coloriés et de classes populaires françaises (Thiers, Ferry, Clemenceau, Freycinet, Poincaré, etc.).

Drumont fait le point après Sedan. On pouvait s’arrêter là — comme Zelenski, pas vrai ? Mais non il veut l’OTAN, la guerre mondiale, la guerre nucléaire et l’extermination messianique. Entouré de nazis encore plus humiliés par les Russes que la dernière fois, notre aventurier-messie des médias occidentaux veut finir comme Hitler : dans un bunker après avoir tout fait cramé, Paris compris.

« La situation était très simple, la France a passé son existence de nation à gagner des victoires éclatantes et à subir d’affreuses défaites, elle a eu tour à tour Tolbiac, Bouvines, Marignan, Rocroy, Denain, Fontenoy, Austerlitz, Iéna, Solferino et Crécy, Azincourt, Poitiers, Pavie, Rosbach, Waterloo, elle n’avait qu’à faire ce qu’elle avait toujours fait dans des circonstances analogues, à signer la paix, à soigner ses blessures, à dire : “Je serai plus heureuse une autre fois.” »

Drumont rappelle que Bismarck à qui on avait déclaré la guerre pour une peccadille (cette impératrice espagnole…) était plutôt cool dans cette histoire :

« C’est ainsi que Bismarck, qui raisonnait d’après les principes du sens commun, avait compris les choses. Ainsi qu’il l’a déclaré à maintes reprises, notamment à M. Werlé, maire de Reims [181], il comptait signer la paix à Reims, [386] après quoi chacun serait rentré chez soi, les uns avec un pied de nez, les autres avec des lauriers, ainsi que cela se voit depuis le commencement du monde. »

Après, Drumont s’énerve certes. Mais lisez donc Kunstler qui s’énerve aussi contre les juifs néo-cons dans son texte publié sur son site et traduit par lesakerfrancophone.fr ; il les appelle les dibbouks, notion qu’on ne développera pas ici.

« Deux milliards, c’était bien maigre, pour les Juifs, qui traînaient après eux tout un personnel d’affamés, auxquels on avait promis les dépouilles de la France. »

Et puis intervient Gambetta, pianiste à queue en quelque sorte, un gars au tempérament bohème qui va envoyer tout le monde se faire tuer (et créer les racines d’un conflit franco-allemand catastrophique pour la « civilisation occidentale ») :

« Il se produisit alors un des faits qui restera le plus singulier du XIXe siècle et, on peut le dire, de tous les siècles. Un monsieur, né de parents restés Italiens, à peine Français lui-même, puisqu’il n’avait opté pour la nationalité française qu’au dernier moment et avec la certitude qu’une infirmité le dispenserait de tout service, doublement étranger, puisqu’il était juif (NDLR : on s’en fout du reste de savoir si Gambetta l’était), et qui, en tout cas, ne représentait que les douze mille électeurs qui l’avaient nommé, vint dire :

« Mon honneur est tellement chatouilleux, mon courage est d’une essence si rare, que je ne puis consentir à ce qu’on fasse la paix et que, de mon autorité privée, je veux continuer une guerre à outrance ». »

Et comme avec l’ange exterminateur Zelenski on ne discute pas avec Gambetta, autre adoré des médias et des historiens fonctionnarisés aux ordres. C’est open bar pour l’extermination — sans discussion (vite, Macron, fais de même !) :

« Dans les civilisations les plus rudimentaires, chez les Cafres et chez les Boschiman, il y a, dans les cas graves, un semblant de consultation du pays, on demande à la tribu réunie :

« Êtes-vous d’avis de prendre vos arcs, vos flèches ou vos tomahawks ? »

Les rois chevelus consultaient leurs leudes, Charlemagne consultait ses pairs, sous l’ancien régime, on réunissait [387] les États généraux dans les circonstances critiques. À force de marcher dans la voie du progrès, comme on dit, on a rétrogradé au-delà des Cafres et, durant cinq mois, un aventurier génois envoya les gens se faire casser les bras et les jambes, pendant qu’il fumait des cigares exquis, et cela sans que nul ne s’avisât de protester. »

Et là non plus, 300 ou 400 000 morts ukrainiens, tous les Occidentaux s’en foutent, attendant que la presse envoie ce qui nous reste de jeunesse se faire massacrer par les armes russes. À moins que l’on préfère se faire raser de frais au nucléaire pour obéir aux divins anges exterminateurs Biden-Nuland-Kagan-Blinken-Zelensky.

Vive Gambetta donc.

Et un peu de rappel de Kunstler au cas où quelqu’un s’aviserait de me chercher noise :

« En tant que Juif américain et connaisseur du folklore de mon peuple, j’attire votre attention sur la figure troublante du dibbouk (dih-bik), un démon désincarné qui, à cause de ses péchés, erre sans cesse parmi nous et peut entrer dans la chair d’une personne vivante, qui affligera et tourmentera alors la communauté jusqu’à ce qu’elle soit correctement exorcisée par un minian de rabbins vêtus de linceuls funéraires blancs et brandissant des serments sacrés.

Ainsi, je vous présente Andrew Weissmann, avocat, le dibbouk en chef américain, présent sur la scène depuis des décennies, semant la zizanie et le malheur, à la tête d’une foule impie de dibboukim se faisant appeler Lawfare pour infester les tribunaux et s’immiscer dans les élections. Pensez-y : Michael Sussman, l’un des instigateurs du RussiaGate ; Michael Bromwich, ancien inspecteur général du ministère de la justice (!), puis conseiller de Christine Blasey Ford (vous vous souvenez d’elle ?), David Laufman, ancien lutin du contre-espionnage du ministère de la justice et garçon de course de Blasey Ford, Marc Elias, ingénieur extraordinaire des opérations de récolte des bulletins de vote pour les élections de 2020 et de nombreuses farces connexes, Dan Goldman, avocat principal de la commission judiciaire de la Chambre des représentants pour la mise en accusation de Donald J. Trump… tous des dibbouks ! »

Je rappelle que le texte de Drumont est disponible sur Wikisource.org. Là aussi, qu’on ne me casse pas les pieds. Ou censurez Wikisource.org avec Tik Tok.

Sources

https://lesakerfrancophone.fr/appelez-les-exorcistes

https://fr.wikisource.org/wiki/La_France_juive/Texte_entier/Tome_premier




Un groupe international d’avocats s’oppose à la prise de pouvoir de l’OMS

[Source : information645.wordpress.com]

Lundi, un groupe d’avocats de dix pays a publié une déclaration exprimant son opposition au traité sur la pandémie proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), officiellement connu sous le nom de CA+ de l’OMS, et aux amendements au Règlement Sanitaire International (RSI).

Au cours du week-end du 30 juin au 2 juillet, le premier congrès international des avocats d’Anwälte für Aufklärung eV (avocats de traduction anglaise pour les Lumières eV) s’est tenu à Cologne, en Allemagne. Le congrès s’est concentré sur le RSI et le Traité sur la pandémie. Une alliance solide d’avocats de toute l’Europe, soutenue par des avocats du monde entier, se forme contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. « Nous, les juristes, disons : Non au totalitarisme. Des déclarations claires des avocats sur les plans visant à faire de l’OMS une sorte de “gouvernement mondial de la santé” : Nous disons NON ! », a tweeté dimanche le Dr Alexander Christ. Vous trouverez ci-dessous leur communiqué de presse à la fois les images tweetées telles que tweetées par Markus Haintz et le texte extrait des images. Lectures complémentaires d’Anwälte für Aufklärung eV (« AfA ») :

Communiqué de presse de Lawyers for Enlightenment eV Cologne, 3 juillet 2023

Des avocats de dix pays ont abordé les questions du traité de l’OMS sur les pandémies et de l’amendement prévu du Règlement sanitaire international lors d’un congrès international d’avocats qui s’est tenu ce week-end à Cologne. En tant qu’hôtes du congrès, nous, les Anwalte fur Aufklarung e. V. (Avocats pour les Lumières) d’Allemagne, avons invité à une conférence de presse aujourd’hui, à laquelle ont participé des avocats d’Autriche, de Suisse, du Liechtenstein, de France, d’Espagne, d’Italie, de la République tchèque, des Pays-Bas, d’Israël et d’Allemagne, entre autres.

Les principaux résultats de la réunion : Nous, avocats, rejetons le projet de rédaction d’un traité pandémique de l’Organisation mondiale de la santé OMS et de modification du règlement sanitaire RSI. En particulier, nous appelons les États européens à ne pas participer aux plans visant à conférer à l’avenir à l’OMS des droits étendus pour déclarer de futures pandémies ainsi qu’à établir des réglementations pour lutter contre ces pandémies, que les États membres devraient alors se conformer obligatoirement et sans autre possibilité d’intervention ou de révision nationale.

Afin de pouvoir réagir plus efficacement et plus clairement à l’avenir aux violations des droits humains fondamentaux et aux restrictions de la liberté et des droits fondamentaux des populations par les États démocratiques, les avocats réunis à Cologne se sont regroupés pour former une Association internationale des avocats, l’Association internationale des avocats pour les droits de l’homme (IAL). 27 signatures des premiers signataires figurent sur l’acte fondateur de l’association des avocats, qui s’étoffera de manière décisive dans les semaines à venir. Derrière la fondation se trouvent, entre autres, les Avocats pour les droits fondamentaux/Attorneys for Enlightenment Autriche, les Avocats pour les Lumières e. V. Allemagne, des membres du Comité des Avocats de Suisse, des avocats de l’association espagnole Units per la Veritat, pour n’en citer que quelques-uns à titre d’exemple.

La conférence sert à étendre la coopération internationale des juristes qui ont déjà abordé de manière critique l’illégalité des mesures étatiques et la fragilité de l’État de droit national au cours de la période Corona. Ces développements indésirables sont portés au niveau d’organisations supranationales telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui, à l’aide du traité sur les pandémies, devrait être en mesure de contourner les droits de souveraineté nationaux et européens en cas de pandémie future.

À cela s’opposent les juristes réunis à Cologne qui, en revanche, s’attachent au strict respect des droits de l’homme, des libertés et droits fondamentaux. Le principe fondamental ici est le suivant : la dignité humaine est inviolable. La Charte des Nations Unies, dont découle la Déclaration universelle des droits de l’homme, le Pacte des Nations Unies relatif aux droits civils et politiques et aux droits économiques et sociaux, et la Convention européenne des droits de l’homme revendiquent tous une validité indispensable. Celles-ci ne peuvent en aucun cas être effectivement ou de facto invalidées par un traité pandémique de l’OMS, même et surtout pas en période de pandémie ou d’autres crises sanitaires.

Nous, avocats, défendons : la protection des principes fondamentaux de l’État de droit démocratique, une stricte séparation des pouvoirs au sens du principe de « freins et contrepoids », le principe de légalité, le droit à l’autodétermination des peuples, pour le principe selon lequel tout pouvoir doit émaner du peuple, pour la liberté d’information et surtout pour une interdiction totale de la censure dans tous les États.

Tous ces principes sont contredits par le contenu du soi-disant « WHO Pandemic Treaty », qui est en cours d’élaboration, et les modifications attendues de l’« International Health Regulations » (RSI), qui doivent être soumises pour décision à l’OMS. Assemblée générale en 2024. Selon l’état actuel des connaissances, consultable entre autres sur le site internet du Conseil européen, le traité pandémie et les amendements au RSI visent à faire entrer l’Organisation mondiale de la santé dans le rôle d’un « gouvernement mondial de la santé » en tant que super organisation supranationale et mondiale. À l’avenir, l’OMS sera notamment chargée des tâches suivantes :

  • détection précoce et prévention des pandémies, ce qui nécessite la mise en place d’un système mondial d’alerte précoce et de surveillance sans lien de cause à effet ;
  • création et renforcement de l’OMS en tant qu’autorité de coordination pour les questions de santé mondiale, ce qui aurait pour effet de déresponsabiliser les autorités sanitaires nationales et locales et donc de contredire fondamentalement le principe de subsidiarité ;
  • renforcement de la coopération internationale dans des domaines tels que la surveillance, les alertes et la réponse, ce qui reviendrait à établir un système mondial de surveillance des citoyens par les États, appliqué par l’OMS ;
  • et lutte contre la « désinformation » dans le monde entier, ce qui équivaudrait à instaurer la censure.

Du point de vue de nous, avocats, les quatre objectifs conduiraient à un système mondial de surveillance et de paternalisme de l’OMS d’une manière intolérable qui contredit fondamentalement les principes de l’État de droit. Parmi les principes qui revendiquent une validité indéfectible, le premier à mentionner est l’autodétermination individuelle, qui, surtout dans une crise telle qu’une véritable pandémie, doit toujours avoir la priorité sur le paternalisme étatique, voire supranational. Deuxièmement, il y a le principe de subsidiarité, selon lequel un état supérieur ou une unité sociale ne peut intervenir pour aider et reprendre des fonctions que si les forces de l’unité subordonnée ne sont pas suffisantes pour remplir la fonction nécessaire. Surtout en cas de pandémie, la priorité doit toujours être donnée à la prise de décision locale sur les mesures nécessaires.

Lors de la dernière pandémie de Corona, par exemple, l’OMS a montré, par un échec global, qu’elle n’était à aucun moment en mesure d’évaluer correctement la situation. Le transfert de pouvoir à une organisation anonyme, non légitimée démocratiquement, dotée de structures mafieuses, alimentée par des sources d’argent douteuses et proche du lobby pharmaceutique — pour ne pas dire plus — et qui, à l’avenir, sera en mesure de déterminer de manière incontrôlée quand une pandémie s’est déclarée, quand elle est terminée et comment les populations du monde entier doivent alors se comporter, doit être résolument rejeté.

Nous, juristes, disons : Non au traité pandémique de l’OMS et Non à l’amendement du Règlement sanitaire international !

Dr Alexander Christ, porte-parole AnwSite fur Aufldarung eV, Hohenzollerndamm 112, 14199 Berlin, kontaktaafaev.de vrww.afaev.de




Censure aux USA : selon le gouvernement Biden, la liberté d’expression est « une idéologie conservatrice »

Bataille judiciaire sur fond de campagne électorale

[Source : sentadepuydt]

Par Senta Depuydt

À l’heure où Donald Trump et Robert F. Kennedy Jr, 2 candidats à la présidence sont encore censurés sur la plupart des chaînes mainstream et des réseaux sociaux, la censure et le contrôle de l’information revêtent plus que jamais une importance capitale. Nul besoin d’accuser les Russes dans la manipulation des élections, puisqu’il apparaît clairement que les démocrates installés à la Maison-Blanche sont à la manœuvre avec la complicité du FBI et qu’ils considèrent aujourd’hui la liberté d’expression comme « une idéologie conservatrice ».

D’après un article publié sur Children’s Health Defense le 6 juillet 2023

Un juge républicain interdit « la campagne de censure à grande échelle » du gouvernement Biden

Moins de 24 heures après qu’un juge fédéral ait prononcé une interdiction temporaire à plusieurs fonctionnaires clés de l’administration Biden et à des agences fédérales de communiquer avec des plateformes de médias sociaux, l’administration Biden a déclaré qu’elle ferait appel de la décision.

La décision rendue le 4 juillet par le juge Terry Doughty du tribunal fédéral de district pour le district occidental de Louisiane, division Monroe, indique qu’il existe des « preuves substantielles » que le gouvernement a violé le premier amendement en s’engageant dans une campagne de censure à grande échelle qui cible les contenus critiquant les récits de la doxa sur le COVID-19.

Cette interdiction temporaire s’inscrit dans le cadre d’une action en justice intentée en mai 2022 par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane, ainsi que par plusieurs experts médicaux et journalistes, qui affirment que les plateformes de médias sociaux ont censuré leurs points de vue, qui allaient à l’encontre du discours officiel du gouvernement.

En réponse, le ministère américain de la Justice (DOJ) a déposé mercredi une motion d’appel.

Selon The Hill, « l’appel du ministère de la Justice sera porté devant la Cour d’appel du 5e circuit, basée à la Nouvelle-Orléans. Elle est principalement composée de juges nommés par le parti républicain ».

The Hill cite un fonctionnaire anonyme du ministère de la Justice qui a déclaré que l’agence « s’attend à demander un sursis à la décision du tribunal de district ».

La Maison-Blanche s’accroche aux justifications sanitaires

Répondant à une question d’un journaliste lors de la conférence de presse de mercredi à la Maison-Blanche, la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré : « Écoutez, nous ne sommes pas d’accord avec la décision, mais je m’en tiendrai là. »

Selon le Washington Post, Mme Jean-Pierre a déclaré que l’administration Biden avait été « cohérente » dans ses interactions avec les plateformes Big Tech, ajoutant qu’elle « continuerait à promouvoir des actions responsables pour favoriser la santé, la sûreté et la sécurité publiques face à des défis tels qu’une pandémie mortelle et des attaques étrangères contre nos élections ».

« Notre point de vue reste que les plateformes de médias sociaux ont la responsabilité essentielle de prendre des mesures ou de tenir compte des effets de leurs plateformes sur le peuple américain, mais de faire des choix indépendants quant aux informations qu’elles présentent », a ajouté Madame Jean-Pierre.

Le Washington Post a critiqué la décision de mardi, affirmant que « l’ordonnance est sur le point d’avoir un effet dissuasif sur les efforts des entreprises pour se prémunir contre la désinformation, alors qu’elles s’efforcent de déterminer quels types de partenariats sont autorisés ».

Yoel Roth, ancien responsable de la confiance et de la sécurité chez Twitter, a également critiqué la décision de mardi, déclarant au Post : « Il y a tellement de choses qui ne vont pas avec cette décision — notamment le fait qu’elle nous rendra moins sûrs à l’approche des élections de 2024. »

Roth a fait l’objet de plusieurs révélations sur les « dossiers Twitter », notamment des documents montrant qu’il a échangé plus de 150 courriels avec le FBI, et en particulier avec l’agent du bureau à San Francisco, Elvis Chan, entre janvier 2020 et novembre 2022, en référence aux demandes du FBI de « prendre des mesures » sur les messages hébergés sur cette plateforme.

Chan, l’un des accusés cités dans l’affaire Missouri v. Biden, a fait une déposition sous serment dans le cadre de cette affaire, déclarant que le FBI avait mis en place un poste de commandement avant les élections de 2020 et 2022, envoyant des messages liés aux élections sur Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux.

Le Washington Post, ainsi que des médias tels que l’Associated Press, Reuters et la BBC, constituent la partie adverse du procès antitrust intenté par Children’s Health Defense, pour leur rôle présumé dans la censure de récits non officiels sur le COVID-19 et d’autres sujets, à travers leur participation à la Trusted News Initiative, un « partenariat industriel » comme ils se décrivent eux-mêmes.

La liberté d’expression une « idéologie politique conservatrice »

Le procès, intenté devant le même tribunal que celui qui a rendu la décision de mardi dans l’affaire Missouri v. Biden, a également été confié à M. Doughty.

L’analyste juridique de CNN, Elie Honig, a également critiqué l’injonction de mardi, affirmant que la liberté d’expression est « une idéologie politique conservatrice » et que les références de la décision « remettant en question les vaccins, remettant en question les masques » sont des « points de discussion conservateurs ».

M. Honig a qualifié la décision de M. Doughty de « contraire au conservatisme judiciaire », qui cherche au contraire à « microgérer l’ensemble du pouvoir exécutif […] et les principales entreprises de médias sociaux ».

« Il s’agit d’une opinion judiciaire très activiste », a ajouté M. Honig.

Les agences fédérales restent dans l’attente

Néanmoins, selon le Washington Post, certaines agences fédérales ont annulé des réunions prévues avec des entreprises de médias sociaux à la suite de l’injonction de mardi.

Le W. Post rapporte que des fonctionnaires du département d’État américain ont informé Facebook que les réunions mensuelles entre les deux sociétés ont été « annulées dans l’attente de nouvelles orientations », ajoutant que l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures pourrait prendre la même mesure.

Toujours selon ce journal, « l’annulation des réunions régulières entre Meta, la société mère de Facebook — la plus grande entreprise de médias sociaux au monde — et les agences gouvernementales américaines montre l’impact immédiat de l’injonction de mardi ».




La transformation de l’OMS en dictature hygiénique

Conférence de Lucien Cerise à Moscou

[Source : strategika.fr]

Le 26 mai 2023, Lucien Cerise participait à la conférence trimestrielle du Club français de Moscou (Comitas Gentium). L’événement organisé par Karine Bechet-Golovko, professeur de droit à l’université Lomonossov de Moscou, se tenait dans la capitale russe à la Bibliothèque Tourgueniev et s’articulait autour de deux grands thèmes : la transformation des institutions et de la justice internationales.1 Voici le texte de sa prise de parole.

Source : cultureetracines.com — 13 juin 2023

Par Lucien Cerise

Bonjour et merci pour cette invitation à Moscou !
Mon domaine de recherche est l’ingénierie sociale, ou « social engineering » en anglais. Le monde russophone parle plutôt de « technologies politiques », dont une variante s’appelle le « contrôle réflexif », et fut inventée par un Russe avec un nom français, Vladimir Lefevre.2 Dans tous les cas, il s’agit d’une méthode de transformation furtive de la société et des individus qui la composent. Voyons maintenant comment l’Organisation Mondiale de la Santé travaille à transformer le monde entier en dictature sanitaire.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) organise tous les ans une Assemblée mondiale de la santé. Cette année, elle se tient à Genève du 21 au 30 mai, c’est-à-dire au moment où nous parlons. L’objectif de cette 76e assemblée de l’OMS est principalement d’élaborer un « traité international sur la prévention des pandémies », nouvel outil du Règlement sanitaire international (RSI) déjà adopté par tous les pays du monde. On observe au cours du temps une tendance lourde dans les institutions internationales. Originellement conçues pour être des tables rondes respectant la multipolarité et la souveraineté des nations, ainsi que l’horizontalité des échanges, elles tendent à adopter au fil des années une structure hiérarchique verticale pour devenir contraignantes sur le plan légal, voire coercitives sur les plans juridique et pénal. En 2016, l’OMS écrivait à propos de son RSI :

« Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI) fournit un cadre juridique global qui définit les droits et obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de traverser les frontières. Le RSI est un instrument de droit international juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l’OMS. »3

Originellement conçues pour pacifier les relations d’un monde décentralisé, les institutions internationales tendent à concentrer et centraliser toujours plus l’exercice du pouvoir dans les mains de bureaucrates et de technocrates inconnus du public. Au fil du temps, ces institutions quittent leur caractère internationales pour devenir supranationales, et cherchent à imposer par l’intimidation et la ruse une idéologie que certains appellent le globalisme et d’autres le libéralisme. En fait, il vaudrait mieux appeler cette idéologie le transhumanisme, car elle attaque les fondements de la nature humaine. Le Forum Économique Mondial parle de Grande Réinitialisation (Great Reset) pour qualifier cette nouvelle réalité transhumaniste qui se déploie un peu partout au prétexte d’un risque sanitaire, autorisant à mettre sur pieds une « médecine prédictive », équivalent de la « justice prédictive », ou actuarielle, qui permet de prendre des mesures sur la base d’un potentiel et non de la réalité factuelle en acte. Le 21 avril 2023, une conférence était organisée au parlement européen à l’initiative de Virginie Joron (Rassemblement National) sur le thème « Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger ? » Pendant sa présentation, le docteur David Bell, médecin clinicien, spécialiste de l’épidémiologie du paludisme, chercheur et consultant à l’OMS, remarquait dans les projets d’amendements au Règlement sanitaire international une extension de la définition « des pandémies et des urgences sanitaires, y compris l’introduction du “potentiel” de préjudice plutôt que du préjudice réel. »4

Ainsi, l’OMS travaille en ce moment à implémenter un traité international sur la prévention des pandémies qui devrait lui permettre de prendre le contrôle du corps des individus, comme on l’a vu en 2020, en s’appuyant, non sur un problème sanitaire réel, mais sur la représentation d’un problème sanitaire possible. Ce que l’on appelle un risque, c’est-à-dire l’idée d’un danger, et non pas un danger présent. Dans les propositions d’amendements au RSI discutées en ce moment, on peut lire :

« 4. Pour déterminer si un événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le Directeur général tient compte : (…) e) d’une évaluation du risque pour la santé humaine, du risque de
propagation internationale de maladies et du risque d’entraves au trafic international. »5

Plus besoin d’une pandémie réelle pour enfermer les gens chez eux, la parole du directeur général de l’OMS suffit. Un dicton français dit : « Il vaut mieux prévenir que guérir. » Pour une fois, la sagesse populaire se trompe, ou du moins doit être relativisée, car si l’on absolutise ce principe, cela ouvre les portes à l’arbitraire. Les concepts de biopouvoir et de biopolitique introduits dans le vocabulaire philosophique par Michel Foucault, puis retravaillés par Giorgio Agamben, permettent de faire le lien entre justice et médecine prédictives, deux approches qui convergent dans cette nouvelle forme de contrôle social s’appliquant indistinctement sur tous les individus, au prétexte d’un risque collectif. Le 1er février 2023, l’OMS divulgue dans son projet préliminaire un dispositif conceptuel résumé par le slogan « Une seule santé », apparemment généreux et responsable, mais en fait complètement fou, cherchant à créer une solidarité sanitaire universelle étendue aux animaux et aux objets inanimés, le tout sous contrôle de l’OMS, évidemment, et insistant sur la censure de toute information alternative :

« 8. (…) Tous les États sont responsables de la santé de leur population, ce qui inclut la prévention, la préparation, la riposte et le relèvement en cas de pandémie. Or, les pandémies passées ont démontré que personne n’est en sécurité tant que la sécurité de tous n’est pas assurée. Étant donné que la santé de tous les peuples dépend de la coopération la plus étroite des individus et des États, toutes les Parties sont liées par les obligations du CA+ de l’OMS.
(…) 14. “Une seule santé” – Les mesures multisectorielles et pluridisciplinaires devraient tenir compte des liens qui unissent les êtres humains, les animaux, les végétaux et l’environnement qu’ils ont tous en commun, pour lesquels il conviendrait de renforcer et d’appliquer une démarche cohérente, intégrée et unificatrice dans le but d’équilibrer et d’optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes, notamment, mais pas exclusivement, en prêtant attention à la prévention des épidémies dues à des agents pathogènes résistants aux antimicrobiens et des zoonoses.
(…) Article 17. Renforcement des connaissances en matière de pandémies et de santé publique b) assurer régulièrement une veille et une analyse des réseaux sociaux en vue de déterminer la prévalence et les profils des informations fausses ou trompeuses et ainsi de concevoir des communications et des messages destinés au public et de contrer les informations fausses ou trompeuses et la désinformation, renforçant ainsi la confiance du public ;
(…) »6

Parmi les fondements du droit, il y a l’individualisation de la peine et la pénalisation des actes accomplis, et seulement des actes accomplis, ce qui est synonyme de l’administration de la preuve. En résumé : on ne pénalise que le délit accompli par la personne juridique qui l’a accompli réellement. Autrement dit, la pénalisation est forcément rétrospective et limitée. Limitée par quoi ? Limitée par le réel. Ces deux fondements sont des garde-fous qui permettent de contrôler les risques de dérives arbitraires de la justice en réorientant le processus juridique en permanence sur le réel de ce qui a été vraiment accompli par quelqu’un, et non sur une estimation des juges. Or, c’est justement ce type de dérive arbitraire que la nouvelle tendance de la « justice prédictive » essaye de normaliser en détachant le Droit du réel et de l’exigence d’administration de la preuve. La justice prédictive, dont l’introducteur en France est le criminologue Alain Bauer, évolue dans le domaine du risque, c’est-à-dire non plus du réel en acte et accompli, mais dans le domaine du potentiel. Elle cherche à banaliser la pénalisation par anticipation, ce qui revient à transgresser les deux principes élémentaires du droit susdits : le caractère rétrospectif et individualisé du jugement. Le nouveau courant de la médecine prédictive est grevé lui aussi des mêmes défauts. Sous prétexte d’anticiper sur un risque détecté, mais non réalisé, un risque potentiel, on prendra des mesures concrètes dans le réel, non justifiées dans le présent, et en oubliant qu’un risque potentiel n’est pas une fatalité. La médecine prédictive cherche ainsi à déboulonner du fronton des hôpitaux le principe hippocratique « D’abord, ne pas nuire » (Primum non nocere) pour le remplacer par la fameuse phrase du Docteur Knock : « Les gens en bonne santé sont des malades qui s’ignorent. » La justice prédictive fait l’analogue et essaye de diffuser l’idée que « Les gens honnêtes sont des délinquants potentiels. » Ce qui est toujours vrai et toujours faux, en même temps, puisque ce n’est pas actuel, ce n’est pas réel, mais potentiel, et cela repose donc non sur des faits, mais sur des représentations, ce qui permet au passage de transgresser l’individualisation de la peine et la réalité du délit en les diluant dans un potentiel délictuel collectif.
La notion de « population à risque » fait la jonction entre la justice et la médecine prédictives, et permet aussi de diluer l’individualisation du traitement médical et la réalité de la maladie dans la notion de « mesures sanitaires » prises par anticipation, et s’appliquant aux individus sains, non malades et bien-portants, renommés « cas asymptomatiques », autant qu’aux malades présentant des symptômes réels.

L’OMS est fille de son temps et obéit à cette tendance de la postmodernité déjà remarquée par Jean
Baudrillard dans les années 1960, soit la résorption du réel dans sa représentation, le remplacement complet du territoire par sa carte, la substitution intégrale de la chose objective par le mot qui la désigne. C’est la fin du réel, la fin de toute extériorité à la parole, donc la fin des contre-pouvoirs et le règne sans partage de l’arbitraire subjectif. Ce que la psychologie désigne aussi du terme de psychose.


1 Le Club français de Moscou. « La transformation des institutions internationales »
https://comitasgentium.com/fr/actualites/le-club-francais-de-moscou-la-transformation-des-institutions-internationales/

2« Du contrôle réflexif »
https://kolesnyk.fr/posts/du-controle-reflexif/

3 « International Health Regulations (2005) — Third edition», WHO, 01/01/16:

« The International Health Regulations (2005) (IHR) provide an overarching legal framework that defines countries’ rights and obligations in handling public health events and emergencies that have the potential to cross borders. The IHR are an instrument of international law that is legally-binding on 196 countries, including the 194 WHO Member States. »

https://www.who.int/publications/i/item/9789241580496

4 « Conférence “Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger ?” au Parlement Européen » (1:10:30): « IHR draft amendments. Expand the definitions of pandemics and health emergencies, including the introduction of ˈpotentialˈ for harm rather than actual harm. »
https://www.youtube.com/watch?v=Jislxl-1M8M

5 « Renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires. Proposition d’amendements au Règlement sanitaire international (2005) », OMS, SOIXANTE-QUINZIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ, A75/18, Point 16.2 de l’ordre du jour provisoire, 12 avril 2022, page 7.
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf
Version anglaise :
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-en.pdf?trk=public_post_comment-text

6 Quatrième réunion de l’organe intergouvernemental de négociation chargé de rédiger et de négocier une convention, un accord ou un autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. Projet préliminaire de CA+ de l’OMS soumis à l’examen de l’organe intergouvernemental de négociation à sa quatrième réunion. Convention, accord ou autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies (« CA+ de l’OMS »), Point 3 de l’ordre du jour provisoire. 1er février 2023.
https://www.who.int/fr/news-room/questions-and-answers/item/pandemic-prevention–preparedness-
and-response-accord




Grande-Bretagne — Le gouvernement avait une unité secrète « effrayante » pour freiner la dissidence du confinement

[Source : anguillesousroche.com]

Selon une enquête du Telegraph, les détracteurs des restrictions imposées par le Covid ont été la cible d’une équipe de contre-désinformation au sein du gouvernement. Voici comment cela commence.

Le Telegraph révèle qu’une unité gouvernementale secrète a collaboré avec des entreprises de médias sociaux pour tenter de limiter les discussions sur les politiques controversées de confinement pendant la pandémie.

L’unité de contre-désinformation (CDU) a été mise en place par les ministres pour lutter contre les prétendues « menaces » intérieures et a été utilisée pour cibler ceux qui critiquaient le confinement et remettaient en question la vaccination de masse des enfants.

Les messages des détracteurs du confinement ont été supprimés des médias sociaux. On soupçonne de plus en plus les entreprises de médias sociaux d’avoir utilisé la technologie pour empêcher la promotion, la circulation ou le partage à grande échelle des messages après qu’ils aient été signalés par la CDU ou son homologue du Cabinet Office.

Des documents révélés dans le cadre de demandes de liberté d’information et de protection des données ont montré que les activités d’éminents critiques des politiques du gouvernement en matière de lutte contre le terrorisme étaient secrètement surveillées.

Le gouvernement a fait appel à une société d’intelligence artificielle (IA) pour parcourir les sites de médias sociaux. Cette société a repéré les discussions qui s’opposaient aux passeports vaccinaux.

Bon nombre des questions soulevées étaient valables à l’époque et se sont avérées fondées depuis.

La BBC a également participé à des réunions secrètes d’un forum politique gouvernemental visant à lutter contre la soi-disant désinformation.

Vendredi, des députés et des défenseurs de la liberté d’expression ont condamné ces révélations, les qualifiant de « vraiment effrayantes » et d’ » outil de censure des citoyens britanniques », à l’instar de ce que fait le Parti communiste chinois.

Une grande partie des travaux du gouvernement sur la désinformation est entourée de secret pour des raisons de « sécurité nationale ». De grandes parties de documents officiels sont encore expurgées.

En Amérique, Twitter a publié des informations similaires montrant comment le gouvernement américain a également mis en place un programme secret pour limiter les discussions sur les fermetures de Covid.

On apprend aujourd’hui que les activités du professeur Carl Heneghan, l’épidémiologiste d’Oxford qui a conseillé Boris Johnson, et du docteur Alexandre de Figueiredo, chercheur à la London School of Hygiene and Tropical Medicine (LSHTM), ont été surveillées par les unités de désinformation du gouvernement.

Molly Kingsley, qui a lancé une campagne pour que les écoles restent ouvertes pendant la pandémie, a également vu son activité sociale surveillée.

Outre la CDU, le gouvernement a mis en place une unité de réaction rapide (RRU) au sein du Cabinet Office, qui traquait en ligne les contenus considérés comme de la désinformation.

La CDU, qui fonctionne toujours, était intégrée au ministère de la Culture, des Médias et des Sports (DCMS).

Le département a le statut de « signaleur de confiance » auprès des entreprises de médias sociaux, notamment Facebook et Twitter, ce qui signifie que les demandes de suppression de contenu sont examinées rapidement.

Dans certains cas, des personnes dont les messages sur les médias sociaux ont été enregistrés par les unités ont ensuite fait l’objet de sanctions de la part de Twitter et de Facebook. Les ministres ont nié avoir demandé la suppression des messages du professeur Heneghan, du docteur de Figueiredo ou de Mme Kingsley.

Le gouvernement a déclaré que le CDU « s’attache à aider le gouvernement à comprendre les récits de désinformation en ligne et à comprendre les tentatives de manipulation artificielle de l’environnement d’information ».

Le gouvernement a également organisé un forum sur la politique de lutte contre la désinformation, qui a réuni des fonctionnaires du DCMS et des géants de la technologie — dont Facebook et Google — ainsi que la BBC pour discuter de la manière de limiter la diffusion de ce qui était considéré comme de la désinformation COVID-19.

Ce forum et les deux unités n’ont pas été les seuls moyens utilisés par le gouvernement pour faire pression sur les entreprises de médias sociaux pendant la pandémie.

Les Lockdown Files, publiés par le Telegraph au début de l’année, ont révélé que Matt Hancock, l’ancien ministre de la Santé, a fait pression à plusieurs reprises sur Sir Nick Clegg, l’ancien vice-premier ministre, aujourd’hui cadre chez Facebook, au sujet de la désinformation sur les vaccins.

Facebook n’a pas caché ses efforts pour lutter contre la désinformation au sujet de Covid. Pendant la pandémie, il a supprimé des messages et, rien qu’en avril 2020, il a apposé des étiquettes d’avertissement sur environ 50 millions de contenus.

La CDU a été créée en 2019 et s’est concentrée sur les élections européennes avant de s’intéresser à la pandémie.

Pendant Covid, l’unité a travaillé en étroite collaboration avec la RRU du Cabinet Office, aujourd’hui disparue, dont les responsabilités comprenaient la lutte contre les « prétendus “experts” diffusant des informations erronées dangereuses ».

L’URR a admis, dans une demande d’information obtenue par Big Brother Watch et transmise au Telegraph, qu’elle demandait que des messages sur les médias sociaux soient supprimés.

Dans le cadre de son travail, le Cabinet Office a également transmis à la CDU des rapports de « surveillance des médias ».

Des documents ont révélé que les documents signalés au CDU comprenaient des articles publiés par le Telegraph.

L’un d’entre eux était un article de Mme Kingsley publié en février 2022, dans lequel elle affirmait qu’il était « indéfendable » que la vie des enfants ne soit toujours pas revenue à la normale alors que le reste de la société l’était. Elle a exhorté les ministres à déclarer clairement que les activités extrascolaires des enfants ne devaient pas faire l’objet de restrictions supplémentaires.

L’un des tweets de Mme Kingsley datant de décembre 2020, dans lequel elle déclare qu’il serait « impardonnable de fermer les écoles », a également été transmis à la CDU.

J’ai donné une citation au Telegraph qui n’a pas été utilisée. Je me permets donc de l’inclure ici.

« Le grand danger de confier à l’État et aux entreprises financées par l’État le soin de surveiller et, dans certains cas, de supprimer la “désinformation” est que les hommes politiques et les fonctionnaires ne pourront pas résister à la tentation de classer des critiques parfaitement légitimes de leurs politiques dans ces catégories, puis d’utiliser leur statut de “signaleur de confiance” auprès des entreprises de médias sociaux pour les faire supprimer, comme cela s’est produit pendant la pandémie », a déclaré le ministre de l’Intérieur.

« Ce qui était au départ un désir compréhensible de protéger le public des menaces étrangères en matière de cybersécurité s’est transformé en un outil de censure des citoyens britanniques.

Il est dans l’intérêt du gouvernement conservateur de mettre un terme à cette situation, car il y a fort à parier qu’un gouvernement travailliste utilisera ces outils à une bien plus grande échelle pour réprimer les dissidents.

La solution consiste à intégrer des protections beaucoup plus fortes de la liberté d’expression dans le projet de loi sur la sécurité en ligne, afin que les entreprises de médias sociaux puissent être poursuivies en justice pour avoir empêché l’expression de points de vue parfaitement légitimes. »

Stop Press : L’équipe d’investigation du Telegraph en dit plus sur l’unité de lutte contre la désinformation ici. Entre-temps, Fraser Nelson a écrit sur la façon dont Facebook est une loi en soi lorsqu’il s’agit de censurer un contenu qu’il juge « faux » ou « trompeur ».

Lire aussi : Le Premier ministre britannique est interrogé sur « l’enregistrement des dissidences politiques sur les médias sociaux »

Source : The Daily Sceptic — Traduit par Anguille sous roche




Quinze raisons pour lesquelles les médias ne font pas de journalisme

[Source : El Correo de la Diaspora via investigaction.net]

Pourquoi l’industrie médiatique fonctionne-t-elle comme une énorme machine de propagande au service des 1 % ? Tous les matins, les journalistes ne reçoivent pas des coups de fil des puissants de ce monde pour s’entendre dicter ce qu’ils doivent raconter au public. C’est le fonctionnement même de cette industrie qui explique la manière dont les médias nous racontent ce qui se passe dans le monde. Un fonctionnement qu’Herman et Chomsky avaient brillamment décortiqué dans Fabriquer un consentement. Dans leur sillage, Caitlin Johnstone apporte ici une excellente pierre à l’édifice de l’analyse critique des médias. (IGA)


Par Caitlin Johnstone

Si vous observez les médias occidentaux d’un œil critique, vous finirez par remarquer que leurs reportages s’alignent systématiquement sur les intérêts de l’empire centralisé des États-Unis, de la même manière que vous vous attendriez à ce qu’ils le fassent s’ils étaient des organes de propagande dirigés par le gouvernement.

Le New York Times a toujours soutenu toutes les guerres menées par les États-Unis. Les médias occidentaux se concentrent massivement sur les manifestations à l’étranger contre les gouvernements que les États-Unis n’aiment pas, tout en accordant beaucoup moins d’attention aux manifestations généralisées contre les gouvernements alignés sur les États-Unis. La seule fois où Trump a été universellement couvert d’éloges par les médias a été lorsqu’il a bombardé la Syrie, tandis que la seule fois où Biden a été universellement critiqué par les médias a été lorsqu’il s’est retiré de l’Afghanistan.

Les médias des États-Unis d’Amérique ont si bien réussi à associer Saddam Hussein aux attentats du 11 septembre dans l’esprit du public avant l’invasion de l’Irak que sept USAméricains sur dix croyaient encore qu’il était lié au 11 septembre plusieurs mois après le début de la guerre.

L’existence de cette partialité extrême est évidente et indiscutable pour quiconque y prête attention, mais le pourquoi et le comment sont plus difficiles à percevoir. L’uniformité est si complète et si cohérente que lorsque les gens commencent à remarquer ces schémas, il est courant qu’ils supposent que les médias doivent être contrôlés par une petite autorité centralisée, à l’instar des médias d’État des gouvernements plus ouvertement autoritaires. Mais si l’on cherche à comprendre pourquoi les médias agissent comme ils le font, ce n’est pas vraiment ce que l’on constate.

Il s’agit plutôt d’un réseau beaucoup plus vaste et beaucoup moins centralisé de facteurs qui font pencher la balance de la couverture médiatique à l’avantage de l’empire américain et des forces qui en bénéficient. Certains de ces facteurs sont en effet de nature conspiratrice et se produisent en secret, mais la plupart d’entre eux sont essentiellement exposés au grand jour.

Voici 15 de ces facteurs :

1. Propriété des médias

Le point d’influence le plus évident dans les médias de masse est le fait que ces organes sont généralement détenus et contrôlés par des ploutocrates dont la richesse et le pouvoir reposent sur le statu quo dont ils bénéficient.

Jeff Bezos est propriétaire du Washington Post, qu’il a acheté en 2013 à la famille Graham, elle aussi immensément riche. The New York Times est dirigé par la même famille depuis plus d’un siècle. Rupert Murdoch possède un vaste empire médiatique international dont le succès est largement dû aux agences gouvernementales US avec lesquelles il est étroitement lié.

Posséder des médias a toujours été, en soi, un investissement susceptible de générer d’immenses richesses — « c’est comme avoir une licence pour imprimer son propre argent », comme l’a dit un jour le magnat canadien de la télévision Roy Thomson.

Cela signifie-t-il que les riches propriétaires de médias se tiennent au-dessus de leurs employés et leur disent ce qu’ils doivent rapporter au jour le jour ? Non. Mais cela signifie qu’ils contrôlent qui dirigera leur média, ce qui signifie qu’ils contrôlent qui embauchera les cadres et les rédacteurs, qui contrôlent l’embauche de tous les autres employés du média.

Rupert Murdoch n’a probablement jamais annoncé dans la salle de rédaction les sujets de discussion et la propagande de guerre du jour, mais vous avez une chance inouïe de décrocher un emploi dans la presse Murdoch si vous êtes connu comme un anti-impérialiste qui brûle les drapeaux.

Ce qui nous amène à un autre point connexe :

2. « Si vous pensiez différemment, vous ne seriez pas assis là où vous êtes »

Lors d’une discussion controversée entre Noam Chomsky et le journaliste britannique Andrew Marr en 1996, Chomsky a tourné en dérision la fausse image que les journalistes traditionnels ont d’eux-mêmes en tant que « profession de croisade » qui est « contradictoire » et « se dresse contre le pouvoir », affirmant qu’il est presque impossible pour un bon journaliste de le faire de manière significative dans les médias de masse du monde occidental.

– « Comment pouvez-vous savoir que je m’autocensure ? » a objecté M. Marr.
– « Comment pouvez-vous savoir que les journalistes sont… ?

– « Je ne dis pas que vous vous autocensurez », a répondu Chomsky. « Je suis sûr que vous croyez tout ce que vous dites. Mais ce que je dis, c’est que si vous croyiez quelque chose de différent, vous ne seriez pas assis là où vous êtes ».

Dans un essai de 1997, Chomsky a ajouté que « le fait est qu’ils ne seraient pas là s’ils n’avaient pas déjà démontré que personne n’a besoin de leur dire ce qu’ils doivent écrire parce qu’ils diront de toute façon la bonne chose ».

3. Les journalistes apprennent la pensée de groupe pro-establishment sans qu’on le leur dise

Cet effet « vous ne seriez pas assis là où vous êtes assis » n’est pas seulement une théorie de travail personnelle de Chomsky ; les journalistes qui ont passé du temps dans les médias ont publiquement reconnu que c’est le cas ces dernières années, affirmant qu’ils ont appris très rapidement quels types de résultats aideront et entraveront leur progression dans la carrière sans avoir besoin d’être explicitement informés.

Lors de sa deuxième campagne présidentielle en 2019, le sénateur Bernie Sanders a rendu les médias furieux en accusant le Washington Post de partialité à son égard.

L’affirmation de Sanders était tout à fait correcte ; au cours de la période la plus chaude et la plus disputée de la primaire présidentielle de 2016, Fairness and Accuracy In Reporting a noté que le WaPo avait publié pas moins de seize articles diffamatoires sur Sanders en l’espace de seize heures. Le fait que Sanders ait souligné ce fait flagrant a déclenché une controverse émotionnelle sur la partialité des médias, qui a donné lieu à quelques témoignages de qualité de la part de personnes bien informées.

Parmi elles, l’ancienne journaliste de MSNBC Krystal Ball et l’ancien correspondant du Daily Caller à la Maison-Blanche Saagar Enjeti ont expliqué les pressions subtiles exercées sur eux pour qu’ils adhèrent à l’orthodoxie de la pensée de groupe, dans un segment de l’émission en ligne Rising, diffusée par The Hill.

« Il y a certaines pressions pour rester en bons termes avec l’establishment afin de maintenir l’accès qui est l’élément vital du journalisme politique », a déclaré M. Ball dans cette séquence.

« Qu’est-ce que je veux dire par là ? Laissez-moi vous donner un exemple de ma propre carrière, car tout ce que je dis ici s’applique franchement à moi aussi. Début 2015, sur MSNBC, j’ai fait un monologue que certains d’entre vous ont peut-être vu, suppliant Hillary Clinton de ne pas se présenter. J’ai dit que ses liens avec l’élite n’étaient pas en phase avec le parti et le pays, que si elle se présentait, elle serait probablement la candidate et perdrait ensuite. »

« Personne ne m’a censuré, j’ai été autorisé à le dire, mais par la suite, les Clinton ont appelé et se sont plaints auprès des dirigeants de MSNBC et ont menacé de ne plus me donner accès à l’émission pendant la campagne à venir. On m’a dit que je pouvais toujours dire ce que je voulais, mais que je devais obtenir l’autorisation du président de la chaîne pour tout commentaire lié à Clinton. En tant qu’être humain désireux de conserver son emploi, je suis certain que j’ai fait moins de commentaires critiques sur Clinton après cela que je ne l’aurais fait autrement. »

« C’est quelque chose que beaucoup de gens ne comprennent pas », a déclaré Enjeti.

« Ce n’est pas nécessairement que quelqu’un vous dise comment faire votre couverture, c’est que si vous faisiez votre couverture de cette manière, vous ne seriez pas embauché dans cette institution. Si vous n’entrez pas dans ce cadre, le système est conçu pour ne pas vous donner la parole. Et si vous le faisiez nécessairement, toutes les structures d’incitation autour de votre salaire, de votre promotion, de vos collègues qui vous tapent dans le dos, tout cela disparaîtrait. Il s’agit donc d’un système de renforcement, qui permet d’éviter de s’engager dans cette voie ».

« C’est vrai, et encore une fois, ce n’est pas nécessairement intentionnel », a ajouté Ball. « C’est parce que vous êtes entouré de ces gens-là, et il y a une pensée de groupe qui s’installe. Et vous êtes conscient de ce pour quoi vous allez être récompensé et de ce pour quoi vous allez être puni, ou non récompensé, comme cela joue définitivement dans l’esprit, que vous le vouliez ou non, c’est une réalité ».

Au cours de la même controverse, l’ancien producteur de MSNBC Jeff Cohen a publié un article dans Salon intitulé « Memo to mainstream journalists: Can the phony outrage; Bernie is right about bias » dans lequel il décrit la même expérience de « groupthink » :

« Cela se produit à cause de la pensée de groupe. Cela se produit parce que les rédacteurs en chef et les producteurs savent — sans qu’on le leur dise — quels sujets et quelles sources sont hors limites. Il n’est pas nécessaire de donner des ordres, par exemple, pour que les journalistes de base comprennent que les affaires du patron de l’entreprise ou des principaux annonceurs sont interdites, sauf en cas d’inculpation criminelle. »

« Aucun mémo n’est nécessaire pour parvenir à l’étroitesse de vue — en sélectionnant tous les experts habituels de tous les groupes de réflexion habituels pour dire toutes les choses habituelles. Pensez à Tom Friedman. Ou Barry McCaffrey. Ou Neera Tanden. Ou n’importe lequel des membres du club d’élite qui se sont avérés absurdement erronés à maintes reprises sur les affaires nationales ou mondiales ».

Matt Taibbi s’est également immiscé dans la controverse pour mettre en lumière l’effet de groupthink des médias, en publiant un article dans Rolling Stone sur la manière dont les journalistes en viennent à comprendre ce qui va ou ne va pas élever leur carrière dans les médias de masse :

« Les journalistes voient un bon journalisme d’investigation sur de graves problèmes structurels mourir sur pied, tandis que des montagnes de colonnes sont consacrées à des futilités comme les tweets de Trump et/ou à des intrigues partisanes simplistes. Personne n’a besoin de faire pression sur qui que ce soit. Nous savons tous ce qui mérite ou non des félicitations dans les salles de rédaction. »

Et il est probablement utile de noter ici que Taibbi ne travaille plus pour Rolling Stone.

4. Les employés des médias qui ne se conforment pas à la pensée de groupe s’épuisent et sont poussés vers la sortie

Soit les journalistes apprennent à faire le genre de reportage qui fera avancer leur carrière dans les médias de masse, soit ils n’apprennent pas et ils restent marginalisés et ignorés, soit ils s’épuisent et démissionnent.

Le journaliste de NBC William Arkin a démissionné de la chaîne en 2019, critiquant NBC dans une lettre ouverte pour être constamment « en faveur de politiques qui ne font qu’engendrer plus de conflits et plus de guerres », et se plaignant que la chaîne avait commencé à « imiter l’État de sécurité nationale lui-même ».

M. Arkin a déclaré qu’il se retrouvait souvent comme une « voix solitaire » dans l’examen minutieux des différents aspects de la machine de guerre US, précisant qu’il « s’est disputé sans fin avec MSNBC sur toutes les questions de sécurité nationale pendant des années ».

« Nous avons contribué à transformer la sécurité nationale mondiale en une sorte d’histoire politique », écrit M. Arkin. « Je trouve décourageant que nous ne parlions pas des échecs des généraux et des responsables de la sécurité nationale. Je trouve choquant que nous approuvions essentiellement la persistance de la maladresse américaine au Moyen-Orient et maintenant en Afrique par le biais de nos reportages sans intérêt ».

Parfois, la pression est beaucoup moins subtile. Chris Hedges, journaliste lauréat d’un prix Pulitzer, a quitté le New York Times après avoir reçu une réprimande écrite officielle du journal pour avoir critiqué l’invasion de l’Irak dans un discours prononcé au Rockford College, réalisant qu’il devrait cesser de parler publiquement de ce qu’il croyait ou qu’il serait licencié.

« Soit je me muselais pour être fidèle à ma carrière, soit je m’exprimais et je me rendais compte que ma relation avec mon employeur était en phase terminale », a déclaré M. Hedges en 2013. « À ce moment-là, je suis parti avant qu’ils ne se débarrassent de moi. Mais je savais que je n’allais pas pouvoir rester ».

5. Les employés des médias qui dépassent les bornes sont licenciés

Cette mesure n’a pas besoin d’être appliquée souvent, mais elle se produit suffisamment souvent pour que les personnes qui font carrière dans les médias comprennent le message, comme lorsque Phil Donahue a été renvoyé de MSNBC pour s’être opposé au bellicisme de l’administration Bush avant l’invasion de l’Irak, alors qu’il avait la meilleure audience de toute la chaîne, ou en 2018 lorsque Marc Lamont Hill, professeur à l’université de Temple, a été renvoyé de CNN pour avoir soutenu la liberté des Palestiniens lors d’un discours aux Nations unies.

6. Les employés des médias qui suivent la ligne impériale voient leur carrière progresser

Dans son livre « War Journal: My Five Years in Iraq », Richard Engel, de la NBC, écrit qu’il a fait tout ce qu’il pouvait pour aller en Irak parce qu’il savait que cela donnerait un coup de fouet à sa carrière, qualifiant sa présence sur place pendant la guerre de « coup d’éclat ».

« Dans la période précédant la guerre, il était clair que l’Irak était un pays où les carrières allaient se faire », écrit Richard Engel. « Je me suis faufilé en Irak avant la guerre parce que je pensais que le conflit marquerait un tournant au Moyen-Orient, où je vivais déjà depuis sept ans. En tant que jeune pigiste, je pensais que certains reporters mourraient en couvrant la guerre d’Irak, et que d’autres se feraient un nom ».

Ces propos nous éclairent sur la façon dont les journalistes ambitieux envisagent de gravir les échelons de leur carrière et sur l’une des raisons pour lesquelles ils sont toujours aussi enthousiastes à l’idée de faire la guerre. Si vous savez qu’une guerre peut faire avancer votre carrière, vous allez espérer qu’elle se produise et faire tout ce que vous pouvez pour la faciliter. Le système tout entier est conçu pour élever les pires personnes.

Engels est aujourd’hui le correspondant en chef de NBC pour les affaires étrangères.

7. Avec les médias publics et financés par l’État, l’influence est plus manifeste

Nous avons donc parlé des pressions exercées sur les employés des médias dans les médias gérés par les ploutocrates, mais qu’en est-il des médias qui n’appartiennent pas à des ploutocrates, comme NPR et la BBC ?

La propagande prospère dans ces institutions pour des raisons plus évidentes : leur proximité avec les pouvoirs publics. Jusque dans les années 1990, la BBC laissait le MI5 contrôler ses employés en cas d’activité politique « subversive », et n’a officiellement modifié cette politique que lorsqu’elle s’est fait prendre.

Le PDG de la NPR, John Lansing, est directement issu des services de propagande officiels du gouvernement US, puisqu’il était auparavant PDG de l’Agence étasunienne pour les médias mondiaux — et il n’était pas le premier dirigeant de la NPR à avoir une longue expérience de l’appareil de propagande de l’État étasunien.

Avec des médias appartenant au gouvernement des États-Unis comme Voice of America, le contrôle est encore plus manifeste que cela. Dans un article publié en 2017 par la Columbia Journalism Review et intitulé « Spare the indignation : Voice of America n’a jamais été indépendante », Dan Robinson, vétéran de VOA, affirme que ces organes sont totalement différents des entreprises de presse normales et qu’ils sont censés faciliter les intérêts des États-Unis en matière d’information pour recevoir des fonds du gouvernement :

« J’ai passé environ 35 ans à Voice of America, où j’ai occupé des postes allant de correspondant en chef à la Maison-Blanche à chef de bureau à l’étranger et chef d’une division linguistique clé, et je peux vous dire que pendant longtemps, deux choses ont été vraies.
Premièrement, les médias financés par le gouvernement américain ont été sérieusement mal gérés, une réalité qui les a rendus mûrs pour des efforts de réforme bipartisans au Congrès, qui ont culminé fin 2016 lorsque le président Obama a signé la loi de 2017 sur l’autorisation de la défense nationale.
Deuxièmement, il existe un large consensus au Congrès et ailleurs sur le fait qu’en échange d’un financement continu, ces diffuseurs gouvernementaux doivent faire plus, dans le cadre de l’appareil de sécurité nationale, pour soutenir les efforts de lutte contre la désinformation de la Russie, d’ISIS et d’Al-Qaïda ».

8. L’accès au journalisme

Krystal Ball a abordé ce point dans son anecdote sur l’appel influent de MSNBC du camp Clinton ci-dessus. Le journalisme d’accès fait référence à la manière dont les médias et les journalistes peuvent perdre l’accès aux politiciens, aux fonctionnaires et à d’autres personnalités puissantes si ces personnalités ne les perçoivent pas comme suffisamment sympathiques.

Si une personne au pouvoir décide qu’elle n’aime pas un journaliste donné, elle peut simplement décider de donner ses interviews à quelqu’un d’autre qui est suffisamment flagorneur, ou de faire appel à quelqu’un d’autre lors de la conférence de presse, ou d’avoir des conversations officielles et officieuses avec quelqu’un qui lui fait un peu plus de courbettes.

Le fait de priver d’accès les interlocuteurs difficiles permet d’acheminer tout le matériel médiatique précieux vers les journalistes les plus obséquieux, car si vous avez trop de dignité pour poser des questions faciles et ne pas donner suite aux non-réponses ridicules des politiciens, il y a toujours quelqu’un d’autre qui le fera.

Cela crée une dynamique dans laquelle les lèche-bottes du pouvoir sont élevés au sommet des grands médias, tandis que les journalistes qui tentent de demander des comptes au pouvoir ne sont pas récompensés.

9. Les agences gouvernementales qui cherchent à promouvoir leurs intérêts en matière d’information les alimentent en « scoops »

Dans les dictatures totalitaires, l’agence d’espionnage du gouvernement dit aux médias quels articles publier, et les médias les publient sans poser de questions. Dans les démocraties libres, l’agence d’espionnage gouvernementale dit « Hoo buddy, have I got a scoop for you! » et les médias le publient sans poser de questions.

De nos jours, l’un des moyens les plus faciles d’obtenir une information importante sur la sécurité nationale ou la politique étrangère consiste à se faire confier un « scoop » par un ou plusieurs responsables gouvernementaux — sous couvert d’anonymat, bien entendu — qui se trouve être de nature à donner une bonne image du gouvernement et/ou à donner une mauvaise image de ses ennemis et/ou à susciter l’assentiment de tel ou tel ordre du jour.

Cela revient bien sûr à publier des communiqués de presse de la Maison-Blanche, du Pentagone ou du cartel du renseignement américain, puisqu’il s’agit de répéter sans esprit critique une information non vérifiée qu’un fonctionnaire vous a transmise et de la déguiser en article d’information. Mais c’est une pratique qui devient de plus en plus courante dans le « journalisme » occidental, à mesure que s’accroît la nécessité de diffuser de la propagande sur les ennemis de la guerre froide de Washington à Moscou et à Pékin.

Parmi les exemples récents et notoires de cette pratique, citons le rapport totalement discrédité du New York Times selon lequel la Russie payait des combattants liés aux talibans pour tuer les forces américaines et alliées en Afghanistan, et le rapport totalement discrédité du Guardian selon lequel Paul Manafort rendait visite à Julian Assange à l’ambassade d’Équateur.

Dans les deux cas, il s’agissait simplement de faussetés dont les médias ont été nourris par des agents des services de renseignement qui tentaient de semer un récit dans la conscience du public, et qu’ils ont ensuite répétées comme des faits sans jamais divulguer les noms de ceux qui les avaient nourris de ces fausses histoires. Autre exemple, des fonctionnaires américains ont admis l’an dernier à la chaîne NBC — toujours sous le couvert de l’anonymat — que l’administration Biden avait simplement transmis des mensonges sur la Russie aux médias afin de gagner une « guerre de l’information » contre Poutine.

Cette dynamique est similaire à celle du journalisme d’accès, en ce sens que les médias et les journalistes qui se sont révélés être des perroquets sympathiques et non critiques des récits gouvernementaux qu’ils reçoivent sont ceux qui ont le plus de chances d’être alimentés, et donc ceux qui obtiennent les « scoops ».

Nous avons eu un aperçu de ce à quoi cela ressemble de l’intérieur lorsque le directeur intérimaire de la CIA sous l’administration Obama, Mike Morell, a déclaré que lui et ses acolytes du cartel du renseignement avaient initialement prévu d’envoyer leur opération de désinformation sur l’ordinateur portable de Hunter Biden à un journaliste anonyme du Washington Post, avec lequel ils entretenaient vraisemblablement de bonnes relations de travail.

Un autre aspect de la dynamique des « scoops » des cartels du renseignement est la façon dont les fonctionnaires gouvernementaux transmettent des informations à un journaliste d’un média, puis les journalistes d’un autre média contactent ces mêmes fonctionnaires et leur demandent si l’information est vraie, puis tous les médias concernés organisent une parade publique sur Twitter pour proclamer que le rapport a été transmis à un journaliste.

10. Intérêts de classe

Plus un employé des médias se conforme à la pensée de groupe impériale, suit les règles non écrites et ne menace pas les puissants, plus il gravit les échelons de la carrière dans les médias. Plus il gravit les échelons, plus il gagne de l’argent. Une fois qu’ils se trouvent en position d’influencer un très grand nombre de personnes, ils font partie d’une classe aisée qui a tout intérêt à maintenir le statu quo politique qui lui permet de conserver sa fortune.

Cela peut prendre la forme d’une opposition à tout ce qui ressemble à du socialisme ou à des mouvements politiques susceptibles de faire payer plus d’impôts aux riches, comme nous l’avons vu dans les virulentes campagnes de dénigrement contre des personnalités progressistes telles que Bernie Sanders et Jeremy Corbyn.

Il peut également s’agir d’encourager le public à mener une guerre culturelle afin qu’il ne commence pas à mener une guerre de classe. Elle peut aussi prendre la forme d’un soutien plus général à l’empire, parce que c’est le statu quo sur lequel votre fortune est bâtie.

Cela peut aussi prendre la forme d’une plus grande sympathie pour les politiciens, les fonctionnaires, les ploutocrates et les célébrités dans leur ensemble, parce que cette classe est celle de vos amis maintenant ; c’est avec elle que vous traînez, que vous allez aux fêtes et aux mariages, avec elle que vous buvez, que vous riez, que vous faites la causette.

Les intérêts de classe influencent le comportement des journalistes de multiples façons car, comme l’ont fait remarquer Glenn Greenwald et Matt Taibbi, les journalistes des médias de masse sont de plus en plus souvent issus non pas de la classe ouvrière, mais de familles aisées, et sont diplômés d’universités d’élite onéreuses.

Le nombre de journalistes diplômés de l’enseignement supérieur est passé de 58 % en 1971 à 92 % en 2013. Si vos riches parents ne paient pas pour vous, alors vous avez une dette d’études écrasante que vous devez rembourser vous-même, ce que vous ne pouvez faire dans le domaine que vous avez étudié qu’en gagnant une somme d’argent décente, ce que vous ne pouvez faire qu’en agissant en tant que propagandiste pour l’establishment impérial de la manière dont nous avons discuté.

Les universités elles-mêmes ont tendance à jouer un rôle de maintien du statu quo et de fabrication de la conformité lorsqu’elles produisent des journalistes, car les richesses n’afflueront pas dans un environnement académique offensant pour les riches. Il est peu probable que les riches fassent des dons importants à des universités qui enseignent à leurs étudiants que les intérêts financiers sont un fléau pour la nation, et ils n’enverront certainement pas leurs enfants dans ces universités.

11. Les groupes de réflexion

L’Institut Quincy a publié une nouvelle étude qui révèle que 85 % des groupes de réflexion cités par les médias dans leurs reportages sur le soutien militaire américain à l’Ukraine ont été payés par des contractants du Pentagone.

« Aux États-Unis, les groupes de réflexion sont une ressource de choix pour les médias qui recherchent des avis d’experts sur des questions urgentes de politique publique », écrit Ben Freeman de l’Institut Quincy.

« Mais les think tanks ont souvent des positions bien arrêtées ; de plus en plus de recherches ont montré que leurs bailleurs de fonds peuvent influencer leurs analyses et leurs commentaires. Cette influence peut inclure la censure — à la fois l’autocensure et la censure plus directe des travaux défavorables à un bailleur de fonds — et des accords de paiement direct pour la recherche avec les bailleurs de fonds. Il en résulte un environnement dans lequel les intérêts des bailleurs de fonds les plus généreux peuvent dominer les débats politiques des groupes de réflexion ».

Il s’agit là d’une faute professionnelle journalistique. Il n’est jamais, au grand jamais, conforme à l’éthique journalistique de citer des groupes de réflexion financés par des profiteurs de guerre sur des questions de guerre, de militarisme ou de relations étrangères, mais la presse occidentale le fait constamment, sans même divulguer cet immense conflit d’intérêts à son public.

Les journalistes occidentaux citent les groupes de réflexion financés par l’empire parce qu’ils s’alignent généralement sur les lignes approuvées par l’empire et qu’un sténographe des médias de masse sait qu’il peut faire avancer sa carrière en les poussant, et ils le font parce que cela leur donne une « source » « d’expert » d’apparence officielle à citer tout en proclamant qu’il faut envoyer des machines de guerre plus coûteuses dans telle ou telle partie du monde, ou quoi que ce soit d’autre.

Mais en réalité, il n’y a qu’une seule histoire à trouver dans ces citations :

« L’industrie de la guerre soutient plus de guerres ».

Le fait que les profiteurs de guerre soient autorisés à influencer activement les médias, la politique et les organes gouvernementaux par le biais de groupes de réflexion, de la publicité et du lobbying d’entreprise est l’une des choses les plus insensées qui se produisent dans notre société aujourd’hui. Et non seulement c’est autorisé, mais c’est rarement remis en question.

12. Le Conseil des relations étrangères

Il convient probablement de noter ici que le Council on Foreign Relations est un groupe de réflexion très influent qui compte parmi ses membres un nombre étonnant de dirigeants de médias et de journalistes influents, une dynamique qui confère aux groupes de réflexion une influence supplémentaire dans les médias.

En 1993, Richard Harwood, ancien rédacteur en chef et médiateur du Washington Post, a décrit avec approbation le CFR comme « ce qui se rapproche le plus d’un establishment dirigeant aux États-Unis ».

Harwood écrit :

« L’appartenance de ces journalistes au Conseil, quelle que soit l’idée qu’ils se font d’eux-mêmes, est une reconnaissance de leur rôle actif et important dans les affaires publiques et de leur ascension dans la classe dirigeante US. Ils ne se contentent pas d’analyser et d’interpréter la politique étrangère des États-Unis, ils contribuent à l’élaborer. Dans un article paru dans le Media Studies Journal, Jon Vanden Heuvel estime que leur influence est susceptible de s’accroître maintenant que la guerre froide est terminée : “En se concentrant sur des crises particulières dans le monde, les médias sont mieux à même de faire pression sur les gouvernements pour qu’ils agissent”. »

13. Publicité

En 2021, Politico a été pris en flagrant délit d’apologie du grand fabricant d’armes Lockheed Martin, alors que ce dernier parrainait une lettre d’information de Politico sur la politique étrangère. Eli Clifton, de Responsible Statecraft, a écrit à l’époque :

« La frontière est très floue entre les relations financières de Politico avec la plus grande entreprise d’armement des États-Unis, Lockheed Martin, et sa production éditoriale. Et cette ligne vient peut-être de devenir encore plus opaque. La semaine dernière, Ethan Paul, de Responsible Statecraft, a rapporté que Politico était en train de supprimer de ses archives toute référence au parrainage de longue date par Lockheed Martin de la lettre d’information populaire de la publication, Morning Defense. Alors que les preuves de la relation financière entre Lockheed et Politico ont été effacées, le célèbre média du périphérique vient de publier un remarquable article sur l’entreprise, sans mentionner la relation financière de longue date avec Politico.

Politico n’a pas répondu à la question de savoir si Lockheed était un sponsor permanent de la publication depuis le mois dernier, lorsqu’elle a supprimé les publicités du géant de la défense, ou si l’entreprise d’armement avait payé pour ce qui s’apparente largement à un publireportage.

Lee Hudson, de Politico, a visité les installations de recherche et de développement Skunk Works de Lockheed, hautement sécurisées et pour la plupart classifiées, au nord de Los Angeles, et a écrit avec enthousiasme : “Pour les journalistes spécialisés dans les technologies de défense et les intellos de l’aviation, c’est l’équivalent d’un ticket d’or pour l’usine de Willy Wonka, mais pensez à des drones supersoniques au lieu de gobelets éternels”. »

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous voyez des publicités pour Northrop Grumman pendant le Superbowl ? Pensez-vous que quelqu’un regarde cette publicité en se disant : « Vous savez quoi ? Je vais m’acheter un bombardier furtif ? » Bien sûr que non.

L’industrie de la défense fait de la publicité dans les médias en permanence et, même si elle n’est pas toujours prise en flagrant délit de manipulation des publications d’information comme Lockheed l’a fait avec Politico, il est difficile d’imaginer que son argent n’ait pas un effet dissuasif sur les reportages de politique étrangère, voire qu’il ne lui donne pas une certaine influence sur les questions éditoriales.

Comme Jeff Cohen l’a dit plus haut : les principaux annonceurs sont hors limites.

14. L’infiltration secrète

Ce n’est pas parce qu’une grande partie du comportement propagandiste des médias peut s’expliquer sans conspirations secrètes qu’il n’y a pas de conspirations secrètes. En 1977, Carl Bernstein a publié un article intitulé « The C.I.A. and the Media » (La CIA et les médias), rapportant que la CIA avait infiltré secrètement les organes de presse les plus influents d’Amérique et avait plus de 400 journalistes qu’elle considérait comme des atouts dans le cadre d’un programme connu sous le nom d’Opération « Mockingbird » (Oiseau moqueur).

On nous dit que ce type d’infiltration secrète n’existe plus aujourd’hui, mais c’est absurde. Bien sûr que c’est le cas. Les gens croient que la CIA n’a plus de comportement néfaste parce qu’ils trouvent confortable de le croire, et non pas parce qu’il existe une quelconque base probante pour cette croyance.

Les conditions qui ont donné lieu à l’opération « Mockingbird » dans les années 1970 n’étaient pas les mêmes qu’aujourd’hui. La guerre froide ? Elle a lieu aujourd’hui. La guerre chaude ? C’est la même chose aujourd’hui. Les groupes dissidents ? C’est le cas aujourd’hui. Une course effrénée pour assurer la domination et le capital des États-Unis sur la scène mondiale ? C’est ce qui se passe aujourd’hui.

La CIA n’a pas été démantelée et personne n’a été emprisonné. Tout ce qui a changé, c’est que les médias d’information ont maintenant plus d’éléments avec lesquels les agents du gouvernement peuvent jouer, comme les médias en ligne et les médias sociaux.

Et en effet, nous avons vu des preuves que cela se produit aujourd’hui. En 2014, Ken Dilanian, aujourd’hui grand reporter pour NBC, a été surpris en train de collaborer étroitement avec la CIA dans ses reportages et de lui envoyer des articles pour qu’elle les approuve et les modifie avant leur publication. Dans ses courriels avec les attachés de presse de la CIA, Dilanian se comporte comme un propagandiste de l’agence, expliquant qu’il voulait qu’un article sur les frappes de drones de la CIA soit « rassurant pour le public » et qu’il modifiait son reportage conformément aux souhaits de l’agence.

Parmi les autres actifs potentiels de la CIA figurent Anderson Cooper, de CNN, qui a effectué un stage au sein de l’agence, et Tucker Carlson, dont le passé présente un nombre très suspect de chevauchements avec la CIA.

15. L’infiltration ouverte

Enfin, il arrive que les médias agissent comme des propagandistes d’État parce qu’ils le sont réellement. À l’époque de Carl Bernstein, la CIA devait secrètement infiltrer les médias ; aujourd’hui, les médias embauchent ouvertement des membres des services de renseignement pour travailler dans leurs rangs.

Les médias emploient désormais ouvertement des vétérans des agences de renseignement comme John Brennan, James Clapper, Chuck Rosenberg, Michael Hayden, Frank Figliuzzi, Fran Townsend, Stephen Hall, Samantha Vinograd, Andrew McCabe, Josh Campbell, Asha Rangappa, Phil Mudd, James Gagliano, Jeremy Bash, Susan Hennessey, Ned Price et Rick Francona.

Les médias font également souvent appel à des « experts » pour donner leur avis sur la guerre et les armes, qui sont des employés directs du complexe militaro-industriel, sans jamais expliquer ce conflit d’intérêts massif à leur public.

L’année dernière, Lever News a publié un rapport sur la façon dont les médias ont fait venir des gestionnaires de l’empire américain qui travaillent actuellement pour des entreprises qui profitent de la guerre, dans le cadre de leur vie dans le marécage de Washington entre le secteur public et le secteur privé, et les ont présentés comme des experts impartiaux sur la guerre en Ukraine.

Comme vous pouvez le constater, les médias d’information sont soumis à des pressions sous tous les angles imaginables et à tous les niveaux pertinents, qui les poussent à fonctionner non pas comme des reporters, mais comme des propagandistes. C’est pourquoi les employés des médias occidentaux agissent comme des agents de relations publiques pour l’empire occidental et ses composantes : parce que c’est exactement ce qu’ils sont.

Source originale: Le blog de Caitlin Johstone




2024 sera pire que 1984 de George Orwell

[Source : planetes360.fr]

Par Michael

La Technologie extrêmement avancée a le potentiel d’être utilisée pour IMPOSER une tyrannie à l’échelle mondiale… Les mondialistes nous IMPOSENT un agenda futuriste EFFROYABLE ! Voici 8 faits de contrôle TOTAL de nos vies !!!

[Voir aussi :
« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore]


L’avenir est juste devant nous, et si vous aimez être dominé par des maniaques du contrôle, vous allez adorer. « L’identification numérique » est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement, et comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont maintenant proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe réellement. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement dénués de sens que nos médias mainstream ne cessent de présenter au public. Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes que le programme futuriste des maniaques du contrôle des mondialistes progresse rapidement…

# 1 À partir de septembre, l’UE « obligera » tous les États membres à offrir un « portefeuille d’identité numérique » à tous leurs citoyens et entreprises…

L’Union européenne rendra obligatoire l’identité numérique dans le cadre de l’eIDAS 2.0, qui entrera en vigueur en septembre 2023 et garantira que tous les États membres offrent un portefeuille d’identité numérique (DIW) aux citoyens et aux entreprises. Selon la Commission européenne, « Au moins 80 % des citoyens devraient pouvoir utiliser une solution d’identification numérique pour accéder aux principaux services publics d’ici 2030″.

# 2 Un système d’ » empreintes digitales numériques » pour les Américains est soudainement devenu une des priorités essentielles de Barack Obama…

L’ancien président Barack Obama a suggéré dans une nouvelle interview le développement des « empreintes digitales numériques » pour lutter contre la désinformation et faire la distinction entre les informations vraies et trompeuses pour les consommateurs.

Obama s’est assis avec son ancien conseiller principal de la Maison-Blanche, David Axelrod, pour une conversation sur le podcast de ce dernier, « The Ax Files », sur CNN Audio. Au cours de l’interview, Axelrod a noté qu’il avait vu « de la désinformation, de la désinformation et des deepfakes » ciblant Obama.

# 3 Une note d’orientation de l’ONU que vous pouvez trouver ici propose un système mondial d’identification numérique lié à nos comptes bancaires

Les identifiants numériques liés aux comptes bancaires ou d’argent mobile peuvent améliorer la fourniture de la couverture de protection sociale et servir à mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent aider à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale.

# 4 L’Organisation mondiale de la santé a adopté « le système de certification numérique COVID-19 de l’Union européenne (UE) » et prévoit de le transformer en un « système mondial »…

En juin 2023, l’OMS adoptera le système de certification numérique COVID-19 de l’Union européenne (UE) pour établir un système mondial qui contribuera à faciliter la mobilité mondiale et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces sanitaires actuelles et futures, y compris les pandémies. Il s’agit du premier élément constitutif du réseau mondial de certification de la santé numérique de l’OMS (GDHCN) qui développera une large gamme de produits numériques pour offrir une meilleure santé pour tous.

« S’appuyant sur le réseau de certification numérique très performant de l’UE, l’OMS vise à offrir à tous les États membres de l’OMS l’accès à un outil de santé numérique open source, qui repose sur les principes d’équité, d’innovation, de transparence, de protection des données et de confidentialité », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS. « Les nouveaux produits de santé numériques en cours de développement visent à aider les gens partout dans le monde à recevoir des services de santé de qualité rapidement et plus efficacement ».

# 5 Les agences fédérales aux États-Unis ont acheté d’énormes quantités d’informations sur les citoyens américains auprès de courtiers en données, et nous sommes avertis que ces informations pourraient potentiellement être utilisées pour « chantage, harcèlement, harcèlement et honte publique »…

Les agences fédérales accumulent secrètement des montagnes de données qui pourraient être utilisées pour « le chantage, le harcèlement, le harcèlement et la honte publique » des citoyens américains.

Cette allégation ne vient pas d’un fanatique des libertés civiles aux cheveux roses — c’est dans un nouveau rapport pour le maître-espion en chef du pays, Avril Haines.

# 6 Il a été révélé que le Pentagone utilisait des outils en ligne très effrayants afin de « suivre, localiser et identifier secrètement toute personne exprimant une dissidence ou même une insatisfaction à l’égard des actions de l’armée américaine et de ses dirigeants »…

Dans un rapport choquant publié par « The Intercept » le 17 juin, des détails sont apparus sur une stratégie américaine de surveillance de la sécurité nationale visant à suivre, localiser et identifier secrètement toute personne exprimant une dissidence ou même une insatisfaction face aux actions de l’armée américaine et de ses dirigeants.

Les mesures, prises par le bataillon des services de protection de l’armée, relèvent de leur mandat de protéger les hauts généraux contre « l’assassinat, l’enlèvement, les blessures ou l’embarras ».

# 7 Comme je l’ai dit hier, l’ONU a développé un système mondial de vérification des faits connu sous le nom de « iVerify » en collaboration avec de grandes entreprises technologiques et des organisations financées par Soros. Le but est de pouvoir faire la police de la « désinformation » et des « discours de haine » partout sur la planète

Les Nations Unies ont dévoilé un service de vérification des faits « automatisé » pour contrer la soi-disant désinformation et les discours de haine sur Internet dans le cadre d’un projet en partenariat avec des organisations financées par Big-Tech et Soros.

En réponse à ce qu’ils qualifient de « pollution de l’information en ligne », qu’ils qualifient de « défi mondial », le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a lancé sa plateforme « iVerify » pour contrer les allégations de désinformation et de discours de haine en ligne.

# 8 Le FMI admet publiquement qu’il est en train de construire « une plateforme CBDC mondiale » pour toutes les monnaies numériques des banques centrales nationales qui seront bientôt déployées…

Lors d’une présentation lors d’une conférence au Maroc, Kristalina Georgievahe, directrice générale du « Fonds monétaire international » (FMI), a annoncé que l’organisme mondial « travaillait dur sur le concept d’une plateforme CBDC mondiale ».

Georgieva a déclaré que les monnaies numériques des banques centrales doivent être interopérables entre les pays, notant que « si nous voulons réussir, les CBDC ne pourraient pas être des propositions nationales fragmentées ».

« Pour que les transactions soient plus efficaces et plus justes, nous avons besoin de systèmes qui connectent tous les pays », a poursuivi Georgieva, ajoutant « En d’autres termes, nous avons besoin d’interopérabilité ».

Si vous êtes capables de lire toute cette liste sans devenir extrêmement alarmés, je ne sais pas s’il y a un espoir pour vous.

Les mondialistes construisent une grille de contrôle numérique mondiale qui leur donnerait potentiellement un pouvoir sans précédent sur la vie de chaque homme, femme et enfant de la planète entière.

Dans un tel système, si vous insistez pour être un rebelle, votre accès au système numérique pourrait être complètement révoqué.
Que feriez-vous alors ?

Comment survivriez-vous si vous ne pouviez pas acheter, vendre, trouver un emploi ou ouvrir un compte bancaire ?

La technologie extrêmement avancée que nous possédons aujourd’hui nous a permis de faire beaucoup de très bonnes choses, mais elle a aussi le potentiel d’être utilisée pour imposer une tyrannie à l’échelle mondiale.

Nous devons résister à ces changements que les mondialistes tentent de nous imposer.

Malheureusement, la plupart des Américains ne parlent même pas de ces changements, et c’est parce que les médias mainstream leur disent de se concentrer sur d’autres choses.

Source : theeconomiccollapseblog




« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore

Par Kit Knightly

À la fin du mois dernier, le bureau du secrétaire général des Nations unies a publié un document d’orientation sur les objectifs pour l’avenir de l’Internet.

Faisant suite au rapport de 2021 intitulé « Notre programme commun », le nouveau rapport s’intitule « Un pacte numérique mondial ». L’objectif est de mettre en place une législation internationale visant à contrôler et à imposer l’utilisation de la technologie numérique.

Les clauses proposées promeuvent tout ce que l’on peut attendre d’elles.

Des identités numériques liées à l’accès financier :

« Les identités numériques liées à des comptes bancaires ou à des comptes d’argent mobile peuvent améliorer la couverture de la protection sociale et permettre de mieux atteindre les bénéficiaires éligibles. Les technologies numériques peuvent contribuer à réduire les fuites, les erreurs et les coûts dans la conception des programmes de protection sociale. »

Systèmes de crédit social liés à l’environnement ou au changement climatique :

« Les capteurs et les moniteurs connectés à l’Internet des objets, les plateformes de données basées sur le cloud [nuage de données], les systèmes de suivi basés sur la blockchain et les passeports numériques des produits débloquent de nouvelles capacités pour la mesure et le suivi des impacts environnementaux et sociaux tout au long des chaînes de valeur. »

Partenariat public-privé :

« Les partenariats entre les États, le secteur privé et la société civile tirent parti de la capacité des outils numériques pour fournir des solutions de développement dans le cadre des Objectifs de développement durable. Parmi les exemples, on peut citer la Digital Public Infrastructure Alliance, la Coalition for Digital Environmental Sustainability et les partenariats public-privé pour les interventions en cas de catastrophe. »

Lutter contre les « préjudices » en ligne :

« La désinformation, les discours haineux et les activités malveillantes et criminelles dans le cyberespace augmentent les risques et les coûts pour tout le monde en ligne […] nous devons renforcer la responsabilité pour les actes nuisibles et malveillants en ligne. »

Ce sont les plus évidents, mais il y a aussi un langage plus sournois et insidieux concernant « l’équité » et « l’accès ». Le rapport s’inquiète du fait que de nombreuses personnes dans le monde (principalement dans les pays en développement) n’ont pas d’accès régulier à l’Internet.

Cette préoccupation serait plus honnêtement exprimée dans le langage du contrôle — les personnes qui ne consomment pas de médias numériques ne peuvent pas être hypnotisées, les personnes qui ne communiquent pas en ligne ne peuvent pas être censurées, et les personnes qui ne dépendent pas des services bancaires numériques ne peuvent pas être contrôlées.

En résumé, le Pacte mondial numérique est un texte législatif mondialiste qui sert l’objectif final de la politique mondialiste : le contrôle de tous les aspects de la vie, obtenu en insérant un filtre numérique entre les gens et la réalité.

Banque, communication, consommation de médias, achats. Chaque interaction que vous aurez se fera à travers une membrane numérique qui pourra à la fois surveiller vos échanges avec le monde et — si cela s’avère nécessaire — vous refuser l’accès à ce monde.

Enfin, il est intéressant de noter que le rapport n’utilise pas les mots « mondialiste » et « globalisme ». Ceux-ci n’apparaissent pas une seule fois. Les mots « passeport vaccinal » ou « certificat vaccinal » ne sont pas non plus mentionnés. Les mots « crédit social » ou « monnaie numérique de banque centrale » ne sont pas non plus mentionnés. Ils sont abordés, mais ne sont pas mentionnés.

Ils semblent éviter les mots à la mode dont ils savent qu’ils susciteront des résistances ou déclencheront des sonnettes d’alarme. Auraient-ils agi de la sorte avant que les sceptiques ne commencent à s’imposer dans la conversation sur la Covid ? Je ne le pense pas.

Vous n’êtes pas obligé de me croire sur parole, bien sûr, vous pouvez lire le rapport dans son intégralité.

Il n’y a rien de surprenant là-dedans, évidemment. Mais il s’agit sans aucun doute d’un « moment de silence » et d’un lien à envoyer aux personnes qui vous considèrent toujours comme un théoricien de la conspiration.




Associations Anticor et SOS Éducation clouées au pilori par la Secte SHAA

Par Lucien SA Oulahbib

La Secte SHAA frappe fort et en continu (passe sanitaire et climatique mondial à venir, aboiements contre la caravane Raoult…). Elle a fait même retirer l’agrément fiscal à SOS éducation permettant à chacun de déduire les dons de son imposition et elle s’apprête à le faire également pour Anticor…

Par contre, d’autres associations, insignifiantes pour elle ou allant dans son sens, totalitaire (œuvrant par exemple pour l’abolition, nihiliste, des frontières et des anticorps naturels…) seront abreuvées d’argent public, à l’instar du « Fonds Marianne », « SOS Méditerranée » et de toutes ces « aides » à une « presse » se pressant de presser toutes les interactions dans la direction adéquate.

Est sectaire pourtant toute attitude qui considère que seule la sienne prévaut et, surtout, qui fait condamner en amont, avant même que l’événement ne se soit déroulé, ou alors en corrélation avec untel qui connaîtrait quelqu’un quequin requin « proche de » ou ayant tenu des propos « d’extrême droite » alors que cette position amalgamant ainsi et sanctionnant de manière a priori se trouve déjà en contradiction directe avec la liberté d’expression garantie par la Constitution (article 2) : cherchez l’erreur…

Vous ne la trouverez pas parce qu’il n’y a pas, il ne peut pas (quiddité…) avoir d’erreur ; c’est là aussi que l’on reconnaît la Secte SHAA

On peut certes en contester la désignation, l’acuité, ergoter sur la radicalité du terme, mais parfois il faut bien appeler un Véran un V (en plus les OVNIS sont de retour, si si, le Pentagone, pour amuser la galerie en admet désormais l’existence) ou alors dénommer une Borne bornée ou en « Colère » jeu de quilles au milieu d’un je sans autres limites que les dimensions « dilatées » de Playboy, Pif Gadget, collection blanche d’une maison d’édition autrefois illustre, ces trois organes faisant désormais « trouple »…

Mais comme cela « passe » dans l’opinion atone, terme à la mode, « tac tac tac » et hop ! Labellisation et condamnation deux courbes (peu sexy) qui deviennent lames d’un même ciseau, celui de la Censure et son univers sectaire (« impitoyable ») en expansion….

Cherchez l’erreur… Il n’y…




La vérité explosive sur les fact-checkers dévoilée

[Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE]




Le plan médical mondialiste évoqué par Dr Astrid Stuckelberger

[Source : FNL – FreedomNews NouvellesLibres s.e.c.]

Astrid vient nous parler des enjeux majeurs qui nous touchent. Une réflexion importante, absente présentement, doit commencer sur ces sujets.

L’OMS et la tentative de prise de contrôle mondial de la santé, l’IA, la santé et la monnaie numérique, l’UIT (Union internationale des télécommunications, nouvelle entité mondiale, sous l’égide de l’ONU, prenant de l’ampleur) !



TW: @Stuckelberger WEB : https://www.astridstuckelberger.com/

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Tucker Carlson triomphe sur Twitter avec une audience record : plus de 100 millions de vues pour sa première émission

[Source : lemediaen442.fr]

Malgré son contrat avec Fox News et son licenciement par la chaîne, Tucker Carlson a publié mardi 8 juin le premier épisode de sa nouvelle émission sur Twitter. L’audience est au rendez-vous, avec plus de 100 millions de vues au compteur. C’est un coup dur pour l’establishment qui pensait s’être débarrassé d’une voix dissidente encombrante. Le succès de Carlson sur Twitter inquiète ses détracteurs.

Voici la traduction de ce premier épisode [montrée aussi sur Nouveau Monde dans Censure, manipulation et propagande des médias américains] qui n’arrange pas le président Zelensky et la propagande occidentale :



Selon Axios, Tucker Carlson pourrait intenter une action en justice contre Fox News pour violation de la liberté d’expression. Cette action aggraverait la bataille juridique entre les deux parties, après que Carlson a été informé que son émission avait été abandonnée sans résiliation de son contrat.

Les avocats de Carlson ont averti Fox News que toute action en justice constituerait une violation des droits du premier amendement de la Constitution américaine. Selon eux, Twitter n’est pas un concurrent direct de Fox News et les messages postés par Carlson sur cette plateforme ne constituent pas une violation de son contrat.

Fox News serait prête à payer Carlson pour le faire taire lors des élections de novembre prochain. La chaîne doit également faire face à d’énormes pertes d’audience après avoir supprimé l’émission de Tucker. L’audience totale de la chaîne a chuté d’un tiers en mai et pendant l’heure d’émission de Tucker, l’audience a chuté de 50 %.

On peut supposer que l’audience de Fox News chutera encore plus avec le lancement de l’émission de Tucker sur Twitter. Les propriétaires de Fox et l’establishment de Washington n’ont pas réussi à faire taire Tucker Carlson.




Censure, manipulation et propagande des médias américains

Tucker Carlson, un des rares journalistes américains à s’interroger et à présenter les faits, notamment ici à propos de la destruction du barrage en Ukraine et de quelques autres événements passés.

[Source de la traduction : @Myltraduction]



[Source originale en anglais :]




Yves Rasir un peu fâché sur Louis Fouché

[Source : neosante.eu]

Par Yves Rasir

On pourra raconter à nos petits-enfants qu’on y était. Avec ses 4 000 participants enthousiastes, ses 40 intervenants de renom (Jean-Dominique Michel, Philippe Guillemant, Alexandra Henrion-Caude, Michel de Lorgeril, Henri Joyeux, France Guillain, Eduard Van den Bogaert, Philippe Résimont…) et ses 150 exposants (dont les éditions Néosanté), le Congrès de Médecine Intégrative qui s’est tenu le week-end dernier dans le Jura aura vraiment tenu toutes ses promesses. Comme le cadre était magnifique, le soleil aussi radieux que les visages et l’organisation irréprochable, la réussite de cet événement peut franchement être qualifiée de totale. Dommage peut-être qu’il ait manqué de musique durant ce Woodstock de la résistance. Avec HK sur scène, sûr que la farandole finale du dimanche soir serait restée gravée dans la mémoire des festivaliers. Personnellement, je suis très satisfait d’avoir suscité un intérêt qui s’est traduit par des dizaines de nouveaux abonnements à notre revue, et aussi par le passage à notre stand de nombreux abonnés fidèles qui tenaient à nous féliciter et nous remercier pour le travail accompli. Toutes ces marques de soutien et de gratitude, ça fait forcément plaisir et ça encourage à garder le cap. Mon seul regret, c’est de ne pas avoir pu discuter plus de 5 minutes avec le parrain de ce congrès, le Dr Louis Fouché. Avant et après sa conférence conclue par une standing ovation, le très populaire médecin anesthésiste a été tellement sollicité par ses admirateurs qu’il m’a été impossible de tailler une bavette et de peler un œuf1 avec lui.

Une nouvelle doxa made in America

Car si je reste « fan » du fondateur de RéinfoCovid et que je suis bien content d’avoir contribué à sa notoriété en lui consacrant 3 interviews en 3 ans dans notre mensuel, je suis quelque peu déçu et fâché par sa dernière apparition sur les réseaux sociaux. Dans la vidéo que voici, Louis Fouché confie en effet qu’il a été médusé par l’allocution du Dr David E. Martin lors du sommet qui s’est tenu mi-mai au parlement européen. Il a été à ce point scotché par la présentation du businessman américain qu’il a tout pris pour dollar comptant et qu’il est désormais convaincu que le virus est bien une création de laboratoire, développé à des fins bioterroristes. Dans ma lettre du 17 mai, j’ai pour ma part exprimé une opinion très différente, que je me permets de reproduire ici :

« Lors de l’International Covid Summit » qui vient de se tenir au parlement européen, le Dr David Martin a expliqué que le projet de « militarisation de la nature » remonte aux années 60 et que sa concrétisation peut se suivre à travers la succession de brevets sur des séquences génomiques. Plus de cent patentes concernent les coronavirus et les vaccins destinés à les combattre. OK, mais en quoi ce bricolage informatique atteste-t-il de la létalité du virus chimérique dans la réalité ? Et les expériences dont parle le Dr Martin, qui peut affirmer qu’elles ont été couronnées de succès ? À mon sens, le ramdam scientifico-médiatique sur cette lubie de gain de fonction est plutôt une fiction gagnante qui permet de faire diversion. La théorie de la virologie dangereuse se substitue à celle du virus dangereux, mais c’est la même fumisterie du fléau infectieux qui sert d’écran de fumée et qui est servie à la crédulité des masses. Pendant que toute l’attention est attirée sur le « nouveau coronavirus » et son étrange « site de clivage de la furine », on oublie que des armes bien réelles et bien mortelles ont été déployées par les autorités dans le cadre de la pseudo-pandémie planifiée ».

Malgré mon commentaire critique, des tas d’internautes m’ont envoyé la vidéo où David Martin « sidère » l’assistance. Et depuis sa sortie, j’ai reçu au moins 20 fois celle où Louis Fouché partage sa conversion à la thèse du gain de fonction et de l’arme biologique. Ne vous donnez pas cette peine, chers lecteurs : cela fait trois ans pour ma part que j’entends les propos du Dr Martin et cela fait trois ans que je n’y trouve pas le moindre soupçon d’argumentaire convaincant. Oui, des savants frappadingues s’amusent à bricoler des virus pour les rendre plus virulents ou plus contagieux. Oui, Big Pharma était à l’affût du jackpot vaccinal et a breveté certaines séquences génomiques retrouvées dans le sars-cov-1 et le sars-cov-2. Mais je ne vois toujours pas un commencement de preuve que les créations de labos peuvent infecter un être humain et le rendre malade. Manipulés ou non, le caractère pathogène des virus n’a d’ailleurs jamais été établi selon les postulats de Koch. Une bio-arme, le vilain coco ? Dans les fameuses diapositives qui ont frappé Fouché et que France-Soir a divulguées en bas de cet article confus, je n’aperçois pas non plus un début de preuve qu’une particule virale ait pu être transformée en instrument meurtrier. Beaucoup de chercheurs ont cherché, soit, mais rien ne démontre qu’ils ont trouvé quoi que ce soit. Ce qui me sidère, moi, c’est que le narratif du Dr Martin, par ailleurs proche du Congrès américain et actif dans le secteur des tests diagnostiques et de la technologie sans fil, soit adopté sans sourciller par la résistance. De Robert Kennedy à Jean-Dominique Michel en passant maintenant par Louis Fouché, les lanceurs d’alerte se plient à cette nouvelle doxa made in America sans se poser de question. Surprising! [Surprenant !]

[Voir aussi :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et pour les anglophones, les premières minutes de la vidéo suivante où la docteur Lee Merritt (qui a travaillé comme médecin militaire) dit ce qu’elle pense des « armes biologiques » :
https://www.bitchute.com/video/rc671mEl3sLd/]

Même Fouchier ne suit pas Fouché…

De mon côté, je pense qu’il faudrait continuer à écouter Didier Raoult qui, dernièrement encore, a réaffirmé ne pas croire à l’hypothèse de l’origine artificielle, alors qu’il est lui-même reconnu internationalement comme expert en armes biologiques (le gouvernement US lui avait demandé d’enquêter après l’affaire de l’anthrax en 2001). Je pense aussi que les autorités chinoises, qui contestent l’implication du labo P4 de Wuhan, ne sont pas nécessairement en train de mentir pour étouffer un méga-scandale potentiel. Je pense surtout qu’il faut examiner les sources disponibles avec un scepticisme de bon aloi, voire avec une défiance toute zététicienne. La semaine dernière, j’ai encore lu un livre (« Covid-19, les dossiers dangereux », du grand reporter Philippe Aimar) qui prête foi à la thèse bioterroriste. Cet ouvrage est très intéressant, son auteur apporte beaucoup d’éléments troublants, notamment la série de morts suspectes qui ont précédé et jalonné la pseudo-pandémie, mais il échoue à démontrer que celle-ci soit le produit d’un virus militarisé. Dans un chapitre, le journaliste rappelle utilement que la panique au gain de fonction remonte aux « découvertes » du néerlandais Ron Fouchier. Chercheur et professeur à l’Erasmus Medical Center de Rotterdam, ce virologue réputé a prétendu il y a une douzaine d’années être parvenu à faire muter l’agent infectieux de la grippe aviaire et à le rendre plus dangereux. Tout le monde a crié au fou — Néosanté aussi à l’époque — et le chercheur batave a lui-même annoncé qu’il suspendait ses travaux par précaution, avant de se raviser sous la généreuse pression (9,5 millions de dollars) de la Fondation Bill & Melinda Gates. Officiellement effrayés par la possibilité que le A/H5N1 modifié tombe en de mauvaises mains, les États-Unis ont alors demandé la censure des publications du Pr Fouchier, ce qui entraîna 8 mois de débats agités, mais n’empêcha pas le « découvreur » et son équipe de publier un article dans la revue Science. Qu’apprend-on dans cette étude ? Quelque chose d’épouvantablement terrifiant (lol) : à force d’inoculations répétées, les scientifiques sont arrivés à « transmettre » le virus aviaire à des mammifères, en l’occurrence des furets, et à faire mourir une partie d’entre eux. Et c’est tout ? Oui, c’est tout. Depuis 2012 et jusqu’à aujourd’hui, le scénario cauchemardesque et apocalyptique de la pandémie virale dévastatrice repose essentiellement sur la mort de quelques mustélidés torturés à Rotterdam. Ce matin, j’ai visionné en vitesse une conférence donnée en décembre dernier par Ron Fouchier. Non seulement le virologue hollandais ne dit rien de neuf, mais il n’émet à aucun moment l’hypothèse que la grippe covid puisse être issue d’un coronavirus « weaponisé ». Si même Fouchier n’accrédite pas Fouché, pourquoi faudrait-il s’apeurer ? Jusqu’à preuve du contraire, ce qu’on appelle virus n’est pas militairement manipulable.

Les voix et la voie snobées par Louis

Si je défends bec et ongles mon point de vue « virorassuriste », c’est d’abord parce que je pense qu’on nous balade depuis le début pour occulter le véritable arsenal déployé en 2020. Pendant que les partisans de la zoonose naturelle et ceux de l’origine artificielle se disputent sur la place publique, on ne parle pas (assez) des hydrogels développés par la DARPA (l’agence de recherche du Pentagone), des nanomatériaux médicaux déjà inclus dans des médicaments ou des vaccins, et du très toxique oxyde de graphène identifié dans les fioles par des chercheurs indépendants et déjà omniprésent dans notre environnement. La piste virologique permet d’escamoter la piste d’un empoisonnement chimique inavouable et probablement « multicanal ». Quand donc le Dr Martin dressera-t-il la liste des multiples brevets déposés sur les applications des dérivés de graphène au cours de la dernière décennie ? N’oublions pas que depuis la nuit des temps, les stratèges s’ingénient à leurrer l’ennemi pour mieux lancer leurs attaques. Si je campe sur mes positions virosceptiques, c’est ensuite parce que de nombreux médecins et scientifiques ont profité de la mascarade covidienne pour démonter la théorie pasteurienne du germe. Pour les bilingues passifs que cela intéresse, je signale que ces voix dissidentes, pour la plupart anglo-saxonnes, participent le 20 juin prochain à un grand événement baptisé « The end of covid », la mise en ligne de 90 visioconférences dézinguant de fond en comble le narratif covidiste. À cette occasion, le mythe du méchant virus misanthrope et celui du gain de fonction angoissant seront sans doute expédiés par le fond. Enfin, je ne crois pas à la thèse bioterroriste, car je suis pour l’heure très emballé par la vision des virus selon Jeff Green, dont je vous parlais la semaine dernière et qui fait l’objet d’un long dossier dans le Néosanté de juin. D’après cette théorie audacieuse, mais solidement argumentée, les virus existent, mais ne sont ni exogènes ni contagieux puisqu’ils apparaissent spontanément dès qu’un organisme doit se dépolluer. Ce sont des sortes de mini « Kärchers » enzymatiques qui entrent en action quand le terrain est gravement perturbé. Pour préparer notre conversation espérée, j’avais envoyé à Louis Fouché un numéro numérique de notre mensuel en le priant poliment de le lire, car Jef Green représente, à mes yeux une passionnante voie de compréhension du monde viral. À ma grande déception, Louis ne l’avait pas encore fait lorsque nous nous sommes brièvement parlé dans le Jura. Et à mon vif désappointement, l’initiateur du Conseil Scientifique Indépendant m’a balancé que « Néosanté niait les virus » et que ce n’était pas sa tasse de thé. Aurions-nous commis un crime de lèse-consensus, cher Dr Fouché ? Primo, nous ne nions pas l’existence des virus, mais nous donnons la parole aux médecins et aux microbiologistes qui vont jusque-là, nuance ! Excusez-nous de faire un boulot journalistique. Secundo, on peut admettre l’existence des virus et les disculper complètement, ce que fait magistralement Jeff Green. Lui aussi, qui est canardé des deux côtés, mérite d’être écouté. Et tertio, rien de sérieusement étayé ne permet d’affirmer que l’hypothétique virus couronné a été transformé avec succès en arme de guerre. En adhérant si candidement à ce discours militaro-pasteurien, Louis Fouché me semble bien parti pour se fourvoyer et pour ajouter à la colossale escroquerie des maladies prétendument virales et tout-terrain. C’est fâcheux et ça me fâche un peu.

Yves RASIR

1 Ma correctrice bretonne me signale que « peler un œuf » est une expression belge. Elle signifie avoir une franche explication, régler un différend. Voir ici pour mieux comprendre ce belgicisme.




Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique

[Source : Global Research]

[Source de l’illustration : Children’s Health Defense]

Les parents de l’auteur, qui ont échappé à une dictature dans les années 1950, n’auraient aujourd’hui aucun endroit où se réfugier et se cacher.

Par David Skripac

Introduction

« COVID est essentiel, car c’est ce qui convainc les gens d’accepter, de légitimer, une surveillance biométrique totale ».

Yuval Noah Harari, Forum Économique Mondial

En utilisant le faux récit du « virus COVID » comme couverture, les parasites privilégiés et assoiffés de pouvoir qui pillent les richesses du monde ont fortement accéléré leur plan de longue date visant à créer un empire mondial unique qui est entièrement sous leur commandement.

Cet empire mondial unique emploiera finalement les services de toutes les institutions transnationales de la planète afin de réglementer et de contrôler tous les aspects de la vie humaine.

Il s’agit d’un empire mondial dirigé par un club exclusif, fort de 8 000 à 10 000 membres, dont les membres ne prêtent allégeance à aucun drapeau national, qui se considèrent avec snobisme comme supérieurs à leurs compatriotes et qui sont indifférents à l’idéologie politique tant qu’ils peuvent contrôler la structure politique de l’intérieur. Ils visent à effacer toutes les frontières nationales et sont en bonne voie pour déchirer les constitutions de tous les États-nations.

Il s’agit d’un empire mondial qui, contrairement à ce qui se passait autrefois, n’a pas besoin d’armée permanente pour mener la guerre sur un champ de bataille contre un empire adverse. En effet, à l’ère de l’empire mondial unique, l’ennemi à soumettre est chacun d’entre nous.

Cette mission est accomplie grâce à une campagne de guerre de l’information sophistiquée, conçue pour surveiller et manipuler chacune de nos pensées, de nos paroles et de nos actes.

Il est important de noter que cette attaque offensive contre nous a pour but de supprimer et d’éradiquer la liberté dans tous les aspects de notre vie : la liberté économique, la liberté politique (en particulier la liberté de transmettre et de recevoir des informations et d’accepter ou de rejeter des informations), la liberté de mouvement physique, la liberté de décision en matière de soins de santé et, surtout, l’indépendance de penser par nous-mêmes, ce que l’on peut appeler la liberté mentale.

Avant d’exposer plus en détail cet empire mondial, j’aimerais partager avec vous, cher lecteur, une histoire concernant mes parents. Elle permet d’établir un contraste entre la version des années 1950, caractérisée par une surveillance de masse et des restrictions sévères des libertés individuelles dans certaines parties du monde, et la version des années 2020, caractérisée par la répression, dans laquelle l’ensemble de l’humanité, quel que soit l’endroit où elle vit, est régulièrement et subrepticement enfermée dans une grille de contrôle totalitaire omniprésente.

Un retour en arrière en 1955

En 1955, mes parents, Maida et Janko, ont tout risqué en quittant leur pays, la République fédérale socialiste de Yougoslavie. Ils n’ont pas pris cette décision à la légère, car cela signifiait tout perdre, peut-être même leur vie, si les autorités yougoslaves découvraient que mes parents n’avaient pas l’intention de revenir après avoir visité l’Autriche voisine pour ce qu’ils ont dit aux gardes-frontières n’être qu’une simple excursion amusante d’un week-end.

Josip Broz Tito
(sous licence du domaine public)

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Yougoslavie était dirigée par les communistes sous la houlette de Josip Broz Tito. Bien que le gouvernement de Tito ait tenté d’améliorer le niveau de vie du citoyen moyen, le régime autoritaire de ses apparatchiks laissait beaucoup à désirer.

Par exemple, l’un des principaux obstacles au progrès était la corruption enracinée à tous les niveaux du gouvernement yougoslave. Les membres du parti communiste bénéficiaient de privilèges et de faveurs, tandis que tous les autres devaient attendre des mois pour obtenir des produits de première nécessité, tels que des denrées alimentaires et des logements. Parmi les membres du parti, les pots-de-vin et la corruption étaient monnaie courante. La progression dans l’échelle sociale et politique était basée sur l’allégeance au parti et sur les connaissances, et non sur le mérite.

Un autre inconvénient majeur du règne de Tito était la réduction des libertés individuelles. Mes parents ont été les premiers témoins de l’érosion de leurs droits fondamentaux — leur droit de se réunir, leur droit de s’exprimer librement, leur droit de voyager et leur droit de posséder une entreprise. Si quelqu’un s’élevait courageusement, en public ou en privé, contre ces injustices, l’État surveillait et traquait ses moindres faits et gestes. Il pouvait même être surveillé par un voisin curieux, qui pouvait très bien travailler comme mouchard pour le gouvernement.

Le réseau de surveillance de la société yougoslave et les restrictions imposées aux libertés civiles se sont aggravés à mesure que le fossé entre Belgrade et Moscou s’est creusé à la fin des années 1940 et au début des années 1950. À partir de 1948, les Soviétiques ont activement tenté de s’immiscer dans les affaires politiques intérieures de la Yougoslavie. Ils cherchent même à renverser le gouvernement yougoslave, car Moscou désapprouve le désir de Tito de suivre une voie indépendante, distincte du bloc de l’Est dominé par les Soviétiques.

En juin 1948, par exemple, les Soviétiques se sont adressés au peuple yougoslave en l’appelant à renverser son gouvernement. Pourtant, malgré l’ombre de Moscou qui imprègne tous les niveaux des affaires politiques internes de la Yougoslavie, les communistes de Tito parviennent à conserver le pouvoir. L’URSS et ses alliés d’Europe de l’Est refusent cependant de battre en retraite. Ils menacent toujours d’envahir le pays sous n’importe quel prétexte.

À la demande de Staline, les Soviétiques ont tenté d’assassiner Tito à plusieurs reprises. Pendant ce temps, des voisins autrefois amicaux comme la Hongrie et la Roumanie, désormais sous l’emprise de l’URSS, bloquent les frontières de la Yougoslavie et tirent sur les gardes-frontières yougoslaves, les tuant parfois.

C’est dans ce contexte que mes parents ont pris la décision fatidique de quitter leur pays. Depuis des années, ils entendaient parler de la « Terre promise » : le continent nord-américain. Un pays où l’économie d’après-guerre était en plein essor. Une terre aux possibilités infinies et aux opportunités innombrables. Une terre où, si l’on est prêt à travailler dur, tout est possible. Il était temps pour eux de partir.

Heureusement, ma mère était restée en contact avec Franc Kopitar, un ami proche de sa famille depuis l’enfance. Après avoir servi dans les rangs des partisans de Tito (son nom de code de partisan était Silvo) pendant la Seconde Guerre mondiale, Franc avait rejoint l’agence publique yougoslave de tourisme et de transport Putnik. (L’agence a ensuite été rebaptisée Kompas, nom qu’elle porte encore aujourd’hui).

Bien que Franc soit un patriote, prêt à faire tout ce qui est nécessaire pour défendre sa nation contre une force militaire envahissante, il se méfie profondément des communistes. C’est pourquoi il était prêt à aider secrètement mes parents à échapper à la poigne de fer de Tito et à chercher une vie meilleure.

En 1955, grâce à ses relations au sein du gouvernement, Franc a pu obtenir le visa et les documents de voyage nécessaires pour permettre à mes parents de se rendre à Graz, en Autriche, avec un « laissez-passer temporaire pour le week-end ». Les documents étaient authentiques : ils portaient les cachets d’autorisation requis et d’autres marques susceptibles d’induire les autorités en erreur en leur faisant croire que mes parents reviendraient après leur séjour d’un week-end dans l’Autriche voisine.

Franc avait demandé à mes parents de meubler entièrement leur appartement avec des meubles nouvellement achetés avant leur départ. Il savait que cela permettrait d’induire en erreur toute personne susceptible de s’intéresser aux projets de voyage de mes parents. Après tout, pourquoi quelqu’un dépenserait-il tous ses maigres revenus pour acheter des meubles neufs pour son appartement s’il prévoyait de quitter définitivement le pays ?

Après avoir mis en place le décor trompeur de chambres décorées et mis en œuvre leur plan trompeur, mes parents, désormais pratiquement sans le sou, ont emballé tout ce qu’ils chérissaient dans deux petites valises et se sont mis en route pour la gare de Ljubljana par un froid après-midi de janvier 1955.

Remplis d’espoir et d’inquiétude, ils montent à bord du train qui les mènera à la frontière entre la Yougoslavie et l’Autriche. Ne sachant pas comment cette journée mémorable allait se terminer, trois questions pesaient lourdement sur leur esprit :

Qui et quoi les attend à la frontière ?

Si leurs papiers n’étaient pas en règle, allaient-ils être emmenés en prison et interrogés pendant des jours ?

Pire encore, si leurs papiers n’étaient pas en règle ou si leur attitude semblait suspecte, ils seraient tirés du train et escortés jusqu’à une forêt voisine, pour ne plus jamais être revus. Ils savent qu’une telle fin tragique a frappé de nombreuses âmes malheureuses qui ont tenté d’échapper au règne de Tito.

Le train atteint la frontière autrichienne à la tombée de la nuit. (À l’époque, l’Autriche était divisée en quatre zones d’occupation alliées : britannique, américaine, française et soviétique). Avant qu’il ne soit autorisé à passer dans la zone d’occupation britannique, les autorités militaires yougoslaves sont montées à bord à la recherche de toute personne ayant l’air un tant soit peu suspecte ou soupçonnée de voyager sans autorisation.

Franc avait demandé à mes parents de regarder les soldats droit dans les yeux et de sourire lorsqu’on leur demandait de présenter leurs documents pour inspection. Il était impératif d’établir un contact visuel. Si vous semblez éviter le regard direct des autorités ou si vous avez l’air nerveux, on vous ordonne immédiatement de débarquer.

Mais établir un contact visuel était plus facile à dire qu’à faire. Mes parents ont regardé, impuissants, un passager interrogé avant eux être sorti de leur wagon et traîné dans la forêt adjacente. Quelques secondes plus tard, ils ont entendu l’écho de coups de feu.

Des années plus tard, mes parents m’ont dit que c’était l’un des moments les plus difficiles qu’ils aient jamais eu à endurer. Ils se souvenaient avoir ressenti une peur et une crainte morbides en se forçant à rester assis calmement et à ne pas transpirer, alors que leurs entrailles se transformaient en gelée.

À leur grand soulagement, lorsque leurs documents ont été examinés, tout était en ordre. Rien dans leurs papiers, leur visage ou leurs actions ne trahissait leur secret. Ils sont donc autorisés à rester dans le train et à se rendre en Autriche.

Arrivés à la gare de Graz, ils n’ont aucune idée de ce qu’ils doivent faire ou de l’endroit où ils doivent se rendre. Ils sont restés sur le quai jusqu’à ce qu’un homme vêtu d’un trench-coat gris s’approche et leur demande, dans un croate parfait (mais avec un accent britannique) : « Êtes-vous en visite ou en train de vous évader ? »

Après avoir entendu leur réponse, l’homme les a escortés jusqu’à un centre de traitement, où ils ont reçu de la nourriture et de l’eau de la part de l’organisation humanitaire catholique Caritas Internationalis. De là, ils ont été transportés en bus, avec d’autres réfugiés, vers un camp de personnes déplacées (DP Camp Nr. 1001) situé à Wels, en Autriche, dans la zone d’occupation américaine.

Là, mes parents ont été interrogés et traités par des fonctionnaires américains, avant d’être conduits à leurs logements, étroits, mais heureusement propres, dans ce camp surpeuplé.

Bien que le camp soit rempli de réfugiés venus de toute l’Europe de l’Est, tout le monde s’est efforcé de s’entendre. Mes parents ont rencontré des gens merveilleux de toutes les nationalités voisines — hongroise, ukrainienne, slovène, serbe, croate et bosniaque — et de toutes les couches de la société pendant leur séjour au camp. Le soir, tout le monde jouait aux cartes et partageait des histoires, toujours pleines d’intrigues et souvent pathétiques, sur leur voyage éprouvant depuis l’Europe de l’Est.

Après avoir passé trois mois au camp DP, mes parents ont été invités à s’installer dans la maison d’une merveilleuse famille autrichienne dans le cadre du programme de parrainage des réfugiés du gouvernement autrichien, coordonné par le Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Ce programme avait pour but d’aider les réfugiés à apprendre la langue allemande tout en leur offrant un métier afin qu’ils puissent mieux s’assimiler et contribuer à la société autrichienne. (En moyenne, environ dix pour cent de tous les réfugiés finissent par rester définitivement en Autriche, tandis que les autres partent à l’étranger).

Bien qu’ils aient tissé des liens d’amitié durables au cours de leurs seize mois d’hébergement dans la famille autrichienne, ils ont néanmoins pris la décision audacieuse de traverser l’Atlantique Nord jusqu’au port de Montréal, au Canada, en 1957.

Le reste, comme on dit, appartient à l’histoire.

Avance jusqu’en 2023

Ces derniers temps, je me suis posé la question : si mes parents vivaient aujourd’hui dans la région connue sous le nom d’ex-Yougoslavie et s’ils cherchaient à s’installer dans un pays qui leur promettrait d’améliorer leur sort, où iraient-ils ?

S’ils cherchaient un endroit où les droits inhérents et inaliénables des citoyens sont respectés par le gouvernement, pourraient-ils trouver un tel endroit sur n’importe quel continent ?

Se rendraient-ils encore au Canada, pays du Commonwealth ?

S’aventureraient-ils jusqu’aux deux pays les plus méridionaux du Commonwealth, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ?

Fuiraient-ils vers les États-Unis, ostensiblement libres ? Ou vers un pays de l’Union européenne contrôlé par les États-Unis ?

Pourquoi ne pas s’installer dans l’un des pays du BRIC, par exemple le Brésil, la Russie ou l’Inde ? (Non, ils ne seraient probablement pas tentés par la Chine !)

Une façon de répondre à ces questions est d’examiner les conditions politiques et économiques actuelles dans les pays susmentionnés et de déterminer le « facteur liberté » — ou son absence — dans chacun d’entre eux.

En passant d’un pays à l’autre, nous examinerons les actions de leurs gouvernements au cours des trois dernières années et nous tirerons une conclusion au nom de mes parents.

Commençons par le pays qu’ils ont adopté et dans lequel je suis né et j’ai grandi : le Canada.

Un regard sur le Canada en 2023

Lorsque mes parents ont immigré au Canada en 1957, c’était en effet une terre d’opportunités et d’abondance. Il était possible pour une famille de classe moyenne, à revenu unique, avec deux enfants, de posséder une maison, deux véhicules et peut-être un chalet d’été.

Mes parents n’avaient qu’un niveau d’études de sixième année, mais ils étaient prêts à travailler dur. En l’espace de deux ans, ils ont gagné et économisé suffisamment pour créer leur propre entreprise, un salon de beauté. En 1963, ils ont pu acheter leur première maison individuelle pour 10 000 dollars, avec un acompte de 5 000 dollars. Cinq ans plus tard, ils ont réussi à rembourser l’hypothèque grâce à leurs modestes revenus. Avec le recul, je trouve leur détermination et leur sens de l’épargne incroyables !

Maintenant, imaginez ce que serait le même scénario aujourd’hui. En janvier 2023, le prix de vente moyen d’une maison individuelle au Canada était de 612 204 $. Si nous faisons comme mes parents, en versant la moitié du prix, nous devrons débourser la somme astronomique de 306 000 $ à l’avance, puis rembourser les 306 000 $ restants au cours des cinq prochaines années.

Cela représente environ 61 200 dollars de paiements hypothécaires annuels, sans compter les intérêts. Si l’on tient compte du coût de la nourriture, des vêtements et du carburant — soit 40 000 dollars de plus par an pour une famille moyenne de quatre personnes —, il faudrait gagner environ 100 000 dollars par an, plus 100 000 dollars environ pour couvrir les impôts fonciers et les impôts sur le revenu, ainsi que les intérêts hypothécaires.

Ainsi, nous devrions gagner environ 200 000 dollars de revenus annuels avant impôts pour mener un style de vie relativement modéré, payer notre hypothèque, nos impôts et les coûts de base de la vie — tout cela pour réaliser ce que mes parents ont pu faire au début des années 1960 avec un revenu à l’époque beaucoup plus modeste. Un tel scénario, semble-t-il, possible, ne serait-ce que de loin, aujourd’hui ? Je ne le crois pas.

La vérité, c’est qu’au Canada, comme dans la plupart des pays du monde, le coût de la vie est monté en flèche. La vaste classe moyenne qui existait au Canada et dans la plupart des pays occidentaux entre les années 1950 et 1980, trois décennies au cours desquelles le travailleur moyen pouvait être propriétaire de son logement, est en train de disparaître.

L’inflation rapide a rongé le pouvoir d’achat des dollars canadiens et américains, alors même que les coûts du logement ont grimpé, grimpé et grimpé encore. Pire encore, la hausse des prix de l’énergie, de l’alimentation, des biens ménagers et des soins de santé a contribué à la spirale inflationniste, qui aggrave une baisse déjà importante des salaires réels.

Sur la scène politique, la conduite actuelle du gouvernement canadien est pratiquement méconnaissable par rapport à celle du gouvernement qui l’a précédé dans les années 1950. Le régime actuel du Canada, comme la plupart des soi-disant « démocraties libérales occidentales », a fait preuve de mépris pour la vérité et la liberté individuelle depuis que la pseudo-pandémie a été lâchée sur le monde en mars 2020.

Comme la plupart des pays, les gouvernements fédéral et provinciaux du Canada ont mis en œuvre des mesures COVID répréhensibles — enfermement, éloignement physique, masquage, quarantaine, codes QR et mandats de thérapie génique expérimentale à l’ARNm — pour lutter contre le prétendu « virus mortel COVID ».

LIBERTÉ — MERCI, LES CAMIONNEURS
(Source: David Skripac)

Lorsque des Canadiens de tous horizons se sont révoltés pacifiquement contre l’atteinte à leurs droits inaliénables et constitutionnels en formant le Convoi pour la liberté des camionneurs et en y participant, le régime a pris des mesures de représailles. Plein de dépit, le voyou Trudeau a trouvé un moyen extrême de priver les manifestants de leur droit de se réunir pacifiquement. Le 14 février 2022, il a invoqué la loi sur les situations d’urgence, une première dans l’histoire du Canada.

L’invocation de la loi sur les situations d’urgence a permis à la police d’Ottawa et à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) de démanteler par la force la manifestation pacifique de plusieurs milliers de personnes qui s’est déroulée pendant quatre semaines dans la capitale nationale. Malgré leur ordre, leur respect et leur non-violence, ces citoyens non armés ont été battus par des agents brutaux armés de fusils. Deux manifestants âgés ont été piétinés par des chevaux de police, et des journalistes ont été aspergés de gaz poivré et ont reçu des coups de feu.

Sous le prétexte de la loi sur l’état d’urgence, le gouvernement fédéral est allé jusqu’à geler les comptes bancaires de certains Canadiens qui avaient organisé ou soutenu financièrement le convoi.

Puis, le 27 avril 2023, plus d’un an après la dispersion de la manifestation, le projet de loi C-11, officiellement connu sous le nom de Loi sur la diffusion en ligne, est devenu une loi. Les lâches sénateurs canadiens ont voté en sa faveur malgré l’échec de tous les amendements qu’ils avaient précédemment recommandés. La nouvelle loi mettra en œuvre une législation radicale de censure d’Internet qui réduira au silence les Canadiens ordinaires sur les plateformes de médias sociaux.

En résumé, le Canada a complètement perdu son sens de l’humanité. La compassion et la gentillesse pour lesquelles les Canadiens sont connus dans le monde entier existent toujours, mais elles sont supprimées et enterrées sous une montagne de mensonges propagés par le gouvernement et ses manipulateurs, qui font partie intégrante de la dictature mondiale susmentionnée.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans le Canada d’aujourd’hui.

Nous allons maintenant jeter un coup d’œil à trois autres pays du Commonwealth des Nations.

Un regard sur l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni en 2023

Les dirigeants des cinquante-cinq autres nations du Commonwealth n’ont pas trouvé d’excuse pour suivre le blocage des comptes bancaires du Canada, mais certains d’entre eux ont adopté des mesures particulièrement sauvages pour éradiquer une nouvelle maladie présumée appelée COVID-19.

Le gouvernement australien a non seulement imposé des couvre-feux, le port de masques, l’éloignement physique et l’arrêt de l’économie par le biais de confinements, mais il a également ordonné à l’armée de patrouiller dans les rues de la ville pendant ces confinements. Dans les Territoires du Nord, les soldats ont évacué de force les habitants soupçonnés d’être atteints de la redoutable maladie et les ont transportés dans des camps de quarantaine.

Dans deux grandes villes australiennes, les marionnettes politiques contrôlées par les oligarques mondiaux n’ont peut-être pas gelé les comptes bancaires des manifestants du confinement, mais elles ont ordonné à des policiers en tenue antiémeute d’assister aux manifestations à Melbourne et à Sydney, où ils ont tiré des balles en caoutchouc sur des fuyards non armés et ont aspergé de gaz poivré le visage d’une femme de 70 ans qui était tombée et gisait sans défense dans la rue.

De même, la Nouvelle-Zélande s’est transformée en un véritable État policier, imposant des détentions à domicile et des zones de quarantaine à l’échelle de la ville. Quiconque est surpris à enfreindre les ordres draconiens du gouvernement risque d’être arrêté, voire condamné à une peine de prison. En mars 2023, par exemple, le pasteur Billy Te Kahika et son collègue Vincent Eastwood ont été condamnés respectivement à quatre mois et trois mois d’emprisonnement pour avoir organisé et participé illégalement à une manifestation devant TVNZ.

En plus de mettre en œuvre des mesures COVID impitoyables similaires à celles de l’Australie, le Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern a arbitrairement imposé la « vaccination » aux fonctionnaires de la santé publique, aux pharmaciens, aux barbiers, aux enseignants et aux employés des services d’aide à la communauté. (Plus d’informations sur Ardern plus bas).

Le gouvernement britannique, sans être aussi sévère que ses homologues australiens ou kiwis, s’est néanmoins comporté de manière répressive et répréhensible dans ses efforts anti-COVID. La police a reçu l’ordre de limiter les rassemblements à six personnes dans les pubs, les restaurants, les cinémas et les espaces extérieurs.

Comme ses partenaires du Commonwealth, la Grande-Bretagne n’a pas hésité à utiliser des tactiques douteuses pour manipuler une partie de sa population. Sa « nudge unit » [unité de soutien], créée par le Cabinet Office en 2010, applique les principes de la science du comportement, c’est-à-dire la pression de la propagande, pour orienter les politiques publiques dans tous les domaines, du paiement des impôts à l’isolation des maisons. Pendant la plandémie, cette « nudge unit » non responsable et non éthique a effrayé le public, lui a fait honte et l’a pris comme bouc émissaire pour l’inciter à prendre la piqûre COVID.

Il ne faut pas oublier que le Royaume-Uni abrite l’un des plus grands technocrates du monde, le roi Charles III, qui vient d’être couronné. En janvier 2020, le prince Charles est retourné à Davos pour la première fois depuis trente ans afin de prendre la parole lors d’une réunion annuelle du Forum Économique Mondial (FÉM), qui célébrait alors son 50e anniversaire. Et quel sujet ce pseudo-environnementaliste a-t-il abordé ? Bien sûr, sa passion pour l’adoption de la décarbonisation et d’autres initiatives de développement durable, dont il devait savoir qu’elles étaient conçues pour appauvrir davantage les pauvres et enrichir davantage Son Altesse Royale et ses copains avares dans le monde entier.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les pays du Commonwealth des Nations d’aujourd’hui.

Nous nous arrêtons ici pour nous interroger : qui sont les acteurs qui lisent leurs répliques à partir du même scénario mondial et qui jouent un rôle identique en tant qu’agents d’exécution du gouvernement mondial émergent ?

Au Canada, les acteurs les plus notables sont le Premier ministre Justin Trudeau et la vice-première ministre Chrystia Freeland. Tous deux sont des laquais de Klaus Schwab et des diplômés de son académie Young Global Leaders (YGL), l’organe d’endoctrinement du Forum Économique Mondial (FÉM).

Parmi les autres personnages de ce drame en cours — les diplômés des YGL — figurent l’ancienne Première ministre dictatoriale néo-zélandaise devenue étudiante à Harvard, le président français Emmanuel Macron, tout aussi despotique, le Premier ministre russe — président depuis 1999 — Vladimir Poutine, et les tyrans de la technologie Bill Gates et Mark Zuckerberg. Selon une source, il y aurait environ 3 800 YGLs, et ce n’est pas fini.

[NDLR Concernant la rumeur selon laquelle Poutine serait aussi un YGL, voir :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/]

La principale raison d’être des YGLs, semble-t-il, est de mener à bien les initiatives du FÉM en matière de Grande Réinitialisation et de Quatrième Révolution Industrielle. L’agenda du FÉM est soutenu par le groupe secret de Bilderberg, par les dépopulationnistes malthusiens du Club de Rome eugénique et, surtout, par l’organisation mondiale qui a donné naissance au FÉM : les Nations unies.

Par le biais de son Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et de son sinistre Agenda 2030 — ce dernier étant assorti d’objectifs de développement durable (ODD) admirables, mais en réalité emprisonnants —, l’ONU a mis en place un système destiné à soumettre l’ensemble de la population de la planète en transformant chaque être humain en serf féodal, en esclave technocratique et en transhumain mangeur d’insectes et de viande synthétique — ou de terre végétale !

À l’heure où j’écris ces lignes, les 17 objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 sont en train d’être mis en place dans le monde entier grâce à la grande remise à zéro du FÉM et à sa quatrième révolution industrielle transhumaniste.

Et, à l’heure où j’écris ces lignes, la mise en place de ces ODD est encouragée par de nombreuses banques centrales, notamment la Banque d’Angleterre, la Banque du Canada, la Banque centrale européenne (BCE), la Banque populaire de Chine (BPC), la Banque centrale de la Fédération de Russie (BCR) et la Réserve fédérale américaine (la Fed). Ces banques centrales et celles d’autres pays coordonnent leurs efforts avec ce que l’auteur de Tragedy and Hope, Carroll Quigley, appelle le « sommet » du réseau des banques centrales, la Banque des règlements internationaux (BRI), basée à Bâle, en Suisse.

Les banquiers centraux ont l’intention de mettre en place, dans tous les pays du monde, le mécanisme de contrôle social le plus étendu et le plus oppressif jamais conçu : la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) (au début, chaque pays aura sa propre CBDC, mais il est logique qu’à terme elles soient fusionnées en une seule monnaie numérique mondiale).

La mise en œuvre des CBDC, combinée au déploiement d’un système d’identification numérique, pays par pays, sonnera le glas de la liberté humaine. Les banques centrales vendront les CBDC et les cartes d’identité numériques au public non averti comme une garantie de protection de l’anonymat et des données de l’utilisateur. Toutefois, ce discours ne sera qu’une tromperie destinée à masquer les intentions malveillantes et la tendance dictatoriale de cette monumentale grille de contrôle.

Sur les 208 nations dotées d’une banque centrale, 119 développent actuellement leur propre forme de monnaie numérique.

Cela nous amène aux États-Unis d’Amérique, à leur Banque fédérale de réserve qui voit tout, qui sait tout, qui contrôle tout, et à leurs autres formes d’emprisonnement et d’esclavage.

Un regard sur les États-Unis en 2023

Outre le déploiement prévu de la CBDC émise par la Réserve fédérale, un mouvement se dessine en faveur du lancement d’une identité numérique à l’échelle nationale aux États-Unis.

Les sénateurs américains Kyrsten Sinema (Arizona) et Cynthia Lummis (Wyoming) ont présenté le projet de loi 884 du Sénat, également connu sous le nom de « Improving Digital Identity Act of 2023 » (loi sur l’amélioration de l’identité numérique de 2023). Si ce projet de loi est adopté par les deux chambres et promulgué, tous les Américains devront posséder une pièce d’identité numérique valide s’ils veulent se connecter à Internet, ouvrir et gérer un compte bancaire, obtenir un passeport et accéder aux soins médicaux. En fait, il s’agit d’imiter le système de notation sociale que le gouvernement chinois utilise pour suivre et contrôler ses citoyens. C’est ce même système que le FÉM est si désireux de déployer dans le reste du monde.

Le SB 884 est la preuve la plus récente, la plus évidente et la plus inquiétante du partenariat public-privé que le gouvernement américain entretient avec Big Tech. Il montre l’intention du gouvernement, contrôlé par les entreprises, hautement centralisé et soucieux de la sécurité, de surveiller les mouvements de l’ensemble de la population américaine.

[NDLR À propos du partenariat public-privé, voir Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Bien entendu, le panoptique créé par la loi sur l’amélioration de l’identité numérique permettra aux agences fédérales et étatiques américaines non seulement de surveiller les actions de chacun, mais aussi de bloquer, de réduire au silence et de mettre à l’écart les dissidents qui ne sont pas d’accord avec le discours officiel. Tous les niveaux de gouvernement pourront ouvertement, activement et légalement censurer les citoyens et ignorer leurs droits tels qu’ils sont codifiés par les constitutions des États-Unis et de ses 50 États.

C’est exactement ce que Google et son YouTube, Meta et son Facebook, Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux ont fait à leurs utilisateurs dans leurs tentatives de réduire au silence quiconque présente des faits gênants sur la COVID ou tout autre programme politiquement sensible.

Pour ceux d’entre vous qui pensent que l’État de Floride est un brillant exemple de préservation de la liberté et des droits de l’homme, détrompez-vous. Le gouverneur Ron DeSantis vient de mettre sur la touche le projet de loi 222 du Sénat de Floride, le projet de loi sur la protection de la liberté médicale. Ce projet de loi aurait mis fin à toute discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées, à tous les mandats de vaccination existants et futurs, et à tous les passeports de vaccination existants et futurs pour tous les Floridiens, quels que soient les vaccins imposés par le gouvernement fédéral ou par les eugénistes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) — qui, comme le FME, est alliée à l’ONU.

À la place, le gouverneur DeSantis promeut le SB 252, qui mettrait fin aux obligations vaccinales et aux passeports uniquement pour les « vaccins COVID-19 » existants. Avec le SB 252, les citoyens de Floride ne seraient pas protégés contre les futures « pandémies », les futures obligations vaccinales ou les futures obligations de passeport vaccinal.

Par conséquent, à l’avenir, lorsque le directeur (lire : le dictateur) de l’OMS déclarera une nouvelle pandémie en vertu des vagues exigences stipulées dans le nouveau « traité mondial sur les pandémies » à venir — sans même une once de preuve de l’existence d’une maladie contagieuse — les Floridiens devront abandonner leur autonomie corporelle à une toute nouvelle série de mandats draconiens.

À certains égards, les États-Unis sont les pires au monde lorsqu’il s’agit de priver les citoyens du droit de prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé et de sauvegarder leur souveraineté mentale et physique. En effet, en plus de travailler depuis plusieurs années en étroite collaboration avec les idéologues transhumanistes de l’OMS, de la Fondation Rockefeller, du FÉM et d’autres agences des Nations unies, le gouvernement fédéral américain a été à l’épicentre du développement, des essais et du déploiement des « contre-mesures » expérimentales de la thérapie génique à base d’ARNm. Cette recherche et les produits qui en résultent ont eu des effets néfastes sur la vie non seulement des Américains, mais aussi des populations du monde entier.

Avec le recul, nous nous souvenons qu’au début de l’année 2020, le gouvernement américain, dans le cadre de l’opération Warp Speed (OWS), a travaillé main dans la main avec le ministère de la Défense (DoD) et sa branche « US Army Contracting Command », ainsi qu’avec le Conseil de sécurité nationale (NSC) et la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), afin d’attribuer des contrats de développement clinique et de fabrication à des sociétés de biotechnologie et de biotechnologie, pour attribuer des contrats de développement clinique et de fabrication à chacun des fabricants de « vaccins » — Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Novavax, GlaxsoSmithKline (GSK) et Jansen — avant même le déploiement des dangereuses thérapies géniques expérimentales COVID-19 dans les 50 États américains et dans le reste du monde.

Le ministère de la Défense est allé jusqu’à concevoir, superviser et organiser les essais cliniques très sensibles de ces produits expérimentaux. Ces mesures sont généralement prises par les fabricants de vaccins eux-mêmes. Elles prennent traditionnellement des années et des années, alors que les essais du COVID-19 ont apparemment été menés en quelques semaines.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les États-Unis d’Amérique d’aujourd’hui.

Mais que se passerait-il si mes parents décidaient de s’installer dans l’Allemagne d’aujourd’hui ou dans la partie allemande de la Suisse ?

Ou s’ils avaient choisi de rejoindre les manifestants anti-Macron en France au lieu de partir, comme ils l’ont fait, du port du Havre sur un bateau à destination du port de Montréal ?

Ou s’ils s’étaient sentis concernés par les agriculteurs persécutés aux Pays-Bas et avaient choisi de lutter aux côtés de ces derniers ?

Ou s’ils choisissaient de rester dans l’Autriche des années 2020 ?

Trouveraient-ils un semblant de liberté dans les pays de l’Union européenne ?

Un regard sur l’UE en 2023

La réponse est simple : Non ! L’UE est un échec économique, politique et social prémédité.

En fait, l’UE a été imaginée non pas par les citoyens d’une quelconque nation européenne, mais par la Central Intelligence Agency (CIA) et le Club de Rome de David Rockefeller. La raison pour laquelle ils ont créé l’UE était douloureusement évidente : il est plus facile pour les agences de renseignement et les eugénistes avoués de contrôler une entité plus grande, dépendante, compromise et impuissante que de contrôler de nombreux États-nations souverains, plus petits et toujours indépendants.

Les dirigeants — si on peut les appeler ainsi — des nations européennes sont des marionnettes de l’UE. En tant que tels, ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour désindustrialiser et détruire leurs économies respectives. Comme je viens de le dire, des gouvernements nationaux et régionaux affaiblis sont beaucoup plus faciles à intégrer dans un empire mondial que des gouvernements forts et indépendants. Les dirigeants de l’Allemagne, de la France, de l’Autriche, de l’Espagne, etc. doivent le savoir, ce qui signifie qu’ils sont corrompus jusqu’à la moelle.

En voici un exemple frappant. Les soi-disant chefs d’État européens insistent sur le fait qu’ils protègent la souveraineté et la sécurité nationales de leur propre pays en imposant des sanctions économiques à la Russie, à la demande de Washington. Ils prétendent que ces sanctions sont destinées à blesser le grand méchant ours qui a osé attaquer l’Ukraine contrôlée par l’OTAN.

Mais ce n’est pas vrai. Les sanctions sont en fait en train de décimer leurs propres économies et leurs propres peuples. Les pénuries d’énergie, la hausse des prix des marchandises, les pénuries alimentaires et la hausse des taux d’intérêt dans toute l’Europe sont autant de résultats voulus de ces sanctions. Je le répète : les dirigeants de l’Allemagne, de la France, de l’Autriche, de l’Espagne, etc. doivent le savoir, ce qui signifie qu’ils ont été corrompus jusqu’à la moelle.

Ils prétendent également que la structure du gouvernement central de l’UE à Bruxelles est une « démocratie représentative ». Non, ce n’est pas le cas. C’est loin d’être le cas. Au cœur de cette structure se trouve la Commission européenne (CE), l’organe exécutif de l’UE, composée de fonctionnaires non élus. L’actuelle présidente de la CE, Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, définit la politique de l’ensemble de l’UE à huis clos. Une fois que la Commission européenne a formulé une nouvelle politique, ce n’est qu’une question de temps avant que les bureaucrates du Parlement européen ne l’approuvent.

Le secret, la non-transparence et l’absence de responsabilité sont les maîtres mots. La CE est une farce et un échec sur toute la ligne.

De même, la prétendue indépendance de la Banque centrale européenne (BCE) est un leurre. Bien que son site Internet indique que la BCE n’est pas « autorisée à demander ou à recevoir des instructions des institutions ou organes de l’UE, d’un gouvernement d’un État membre ou de tout autre organisme », la BCE est fortement influencée par la banque qui l’a créée en 1999 : la BRI.

Et, comme la BRI, les opérations quotidiennes de la BCE sont tenues secrètes. Elle ne publie jamais de communiqué de presse après une réunion de politique monétaire de son conseil des gouverneurs, malgré les résolutions répétées du Parlement européen l’exigeant.

En outre, sa structure, son mode de fonctionnement et son manque de responsabilité reflètent ceux de la BRI. En bref, il est difficile d’imaginer une institution plus antidémocratique que la BCE. Pourtant, c’est à cette banque que les pays de la zone euro sont invités à faire aveuglément confiance lorsqu’il s’agit de formuler leur politique monétaire. C’est tout simplement ahurissant !

Avec une telle structure autocratique déjà en place, il a été très facile pour les membres de la CE de se rallier à la thèse de la « pandémie » en concluant des accords en coulisses avec les laboratoires pharmaceutiques pour acheter des millions de doses du « vaccin » COVID-19 et en recommandant à tous les États membres de mettre en œuvre les mesures criminelles prévues par le COVID-19.

De même, il a été facile de persuader les États membres de l’UE de rester silencieux après que Washington, la véritable puissance derrière l’OTAN, a commis un acte de guerre flagrant contre eux en détruisant le gazoduc Nord Stream 2.

Nous avons parlé précédemment de quelques diplômés de l’académie YGL de Klaus Schwab, en mentionnant le nom d’un ancien élève européen, le Français Macron. Parmi les autres Young Global Leaders qui ont gravi les échelons politiques en Europe, citons l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et l’actuel chancelier allemand Olaf Scholz. Ils ne sont pas en reste : La présidente de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, qui siège au conseil d’administration du FÉM.

Il n’est pas surprenant que les États membres de l’UE suivent l’exemple des États-Unis en mettant en place un système d’identification numérique basé sur le modèle chinois d’asservissement et d’emprisonnement.

L’image provient de @Ver365_UK/Twitter

La Croatie (qui faisait autrefois partie de la Yougoslavie), d’où est originaire mon père, Janko, prévoit d’être le premier membre de l’UE à déployer le système d’identification numérique pour les voyageurs qui prennent l’avion entre Zagreb et Helsinki cet été. Le « projet pilote » fait appel à la société Verify 365, basée au Royaume-Uni, pour fusionner l’identité électronique des passagers avec le nouveau système de portefeuille numérique MyID. Comme toujours, le système est présenté au public comme « un moyen sûr, sécurisé et pratique de prouver qui vous êtes ».

Heureusement, certains citoyens des pays de l’UE s’élèvent pour défier l’oligarchie au pouvoir. Aux Pays-Bas, par exemple, des milliers d’agriculteurs néerlandais se sont révoltés contre le projet insensé de leur gouvernement de réduire les émissions d’azote en fermant définitivement plus de 11 000 exploitations. Les agriculteurs ont créé leur propre mouvement politique, le Mouvement des agriculteurs et des citoyens — ou BoerburgerBeweging (BBB) — qui a récemment triomphé lors d’élections régionales après des mois de manifestations généralisées de tracteurs.

Il y a aussi les millions de citoyens mécontents qui descendent régulièrement dans les rues de Paris et d’autres grandes villes françaises pour protester contre diverses « réformes » économiques et politiques. Leur plainte initiale concernant la hausse des taxes sur les carburants (vous vous souvenez du mouvement des gilets jaunes en 2019 ?) s’est transformée en une révolte contre la décision du « monarque » Macron de faire passer l’âge légal de la retraite de 62 à 64 ans. L’invocation par Macron de l’article 49.3 — pour la 11e fois au cours de son « règne » — lui a permis de contourner l’Assemblée nationale (la chambre basse du Parlement français). Le 1er mai, les manifestations contre cette injustice perçue ont dégénéré.

Certes, ces manifestations massives et la victoire encourageante du BBB sont des étapes positives. Cependant, aucune libération majeure des Européens vis-à-vis de leurs propres gouvernements n’aura lieu tant que l’ensemble de l’édifice de l’UE n’aura pas été démantelé. Ce n’est qu’alors que les peuples de chaque nation européenne seront véritablement libérés des chaînes de l’establishment de Washington qui dicte tous les aspects — militaires, économiques et autres — de leur vie.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les pays de l’Union européenne d’aujourd’hui.

En toute justice, nous devons souligner que les mécanismes de contrôle et de surveillance totalitaires, tels que les cartes d’identité numériques et les CBDC, ne sont pas l’apanage des pays occidentaux. Si nous nous aventurons dans les pays de l’Est, nous rencontrerons exactement la même grille de contrôle en cours d’élaboration, avec les mêmes acteurs mondialistes et impérialistes à la barre, qui veillent tous à ce que l’Est, comme l’Ouest, reste sous leur domination.

Un groupe de nations qui n’est ni géographiquement à l’Est ni à l’Ouest, mais qui a formé un bloc pour contrer la domination des États-Unis et de leurs alliés, est ce que l’ancien économiste en chef de Goldman Sachs, Jim O’Neill, a appelé les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).

Je m’interroge : mes parents trouveraient-ils un havre de liberté dans l’un des pays des BRICS ? Nous le saurons bientôt.

Un regard sur les BRICS en 2023

D’innombrables experts et journalistes des médias alternatifs ont estimé que les nations BRICS — en particulier la Russie, la Chine et l’Inde — menaient la charge dans une croisade antimondialiste, anti-gouvernance mondiale et anti-empire mondial unique.

Au contraire, rien n’est plus faux.

Voici quelques preuves de leur incompréhension de la réalité géopolitique :

  • – Tous les pays des BRICS sont fermement engagés dans la Quatrième révolution industrielle du FÉM et dans l’Agenda 2030 de l’ONU — notamment ses ODD [Objectifs de Développement Durable].
  • – Les banques centrales du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud vont toutes de l’avant avec des plans visant à déployer leurs CBDC programmables dès que possible. Parmi ces cinq banques centrales, la Banque populaire de Chine (PBoC) et la Banque de réserve de l’Inde (RBI) envisagent de fixer des dates d’expiration pour leurs CBDC.
  • – Les BRICS ne contestent pas l’hégémonie économique de l’Occident. Leurs initiatives financières sont profondément liées à la Banque mondiale et au FMI. Par conséquent, ils doivent être considérés comme étroitement liés à l’establishment de Washington, et non comme entrant en conflit avec lui (malgré les apparences contraires).

En ce qui concerne le COVID-19, le Chinois Xi Jinping et le Russe Vladimir Poutine ont été les premiers à mettre en place un État de surveillance de la biosécurité.

En effet, depuis que l’alerte à la plandémie a été annoncée au début de 2020, le Kremlin a été complice, tout comme l’Occident, de la mise en œuvre de mesures anti-humaines et anti-santé néfastes sous la direction de la tyrannie sanitaire de l’OMS.

Image tirée d’InfoBrics

Par exemple, le président Poutine et son ministre de la Santé (et membre du conseil exécutif de l’OMS) Mikhail Albertovič Murashko ont promu la vaccination de masse. Leur injection Sputnik V est pratiquement identique à celle du géant pharmaceutique britannico-suédois AstraZeneca. En fait, le Fonds russe d’investissement direct (RDIF) — le fonds du Kremlin qui finance Spoutnik V — a signé un mémorandum de coopération avec AstraZeneca en décembre 2020.

En outre, la Russie a introduit des mandats de vaccination pour certaines régions du pays et des vaccins obligatoires pour les militaires.

La Russie n’ayant pas d’équivalent du système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) du CDC américain, il est difficile de savoir exactement combien de Russes sont blessés ou assassinés par leur vaccin expérimental Sputnik V. Néanmoins, grâce au ministère argentin de la Santé, nous savons que, sur les trois « vaccins » adoptés par le gouvernement argentin — Spoutnik V, AstraZeneca et Sinopharm (Chine) —, l’injection de Spoutnik V a été la première à provoquer des réactions indésirables, devançant de loin les deux autres.

Les médecins russes sont bien conscients des risques sanitaires associés à Sputnik V, mais ils sont qualifiés de « terroristes » et menacés par l’État d’amendes excessives et de peines de prison s’ils expriment leurs inquiétudes. Effrayés par les conséquences, la plupart d’entre eux s’autocensurent.

Si vous pensez que la surveillance biométrique est l’apanage de la Chine et de l’Occident, vous vous trompez. Herman Gref, PDG de la banque russe Sberbank et membre du conseil d’administration du FÉM (avec Ursula von der Leyden, rappelons-le), s’est associé au titan russe des télécommunications Rostelecom pour former Digital Identification Technologies JV, qui créera un système biométrique unifié pour l’ensemble de la Russie.

Bientôt, les pauvres gens de Russie, victimes de la propagande et ponctionnés, ne pourront plus accéder à aucun service gouvernemental s’ils ne fournissent pas leurs données biométriques, ce qui rendra inutile l’utilisation de codes QR.

Faut-il s’étonner que Poutine et ses fonctionnaires ne restreignent pas plus les libertés individuelles que les tyrans occidentaux ? Pourquoi le serions-nous ? Qu’est-ce qui empêcherait Poutine de suivre les traces de ses prédécesseurs ? Rien à ma connaissance, à moins que le peuple russe ne commence à se mobiliser et à protester massivement, comme l’ont fait ses frères et sœurs français à Paris.

Pensez-y : lorsque Mikhaïl Gorbatchev présidait l’ancienne Union soviétique, il était un membre avoué du Club de Rome, un mouvement mondialiste et eugéniste. Il s’est également associé au mondialiste-eugéniste canadien Maurice Strong pour mettre en place le projet de développement durable mondial de la Charte de la Terre, en liaison avec l’Agenda 21. Gorbatchev et Strong ont tous deux été des figures de proue des premières mesures prises par les Nations unies en faveur de la gouvernance mondiale.

Ce n’est pas parce que l’Union soviétique s’est éteinte et que Gorbatchev et Strong ne sont plus parmi nous qu’il faut supposer que le dirigeant russe depuis vingt-quatre ans ne poursuit pas les mêmes objectifs mondialistes. En effet, Poutine n’est pas du genre à laisser les autres dirigeants du monde accaparer les feux de la rampe, s’emparer de toutes les billes ou devenir dangereusement plus grand et plus fort que lui.

À vrai dire, la Russie et la Chine, membres du bloc BRICS, ne sont qu’une autre version de la même grille de contrôle totalitaire mise en place par les technocrates occidentaux. Ni l’un ni l’autre n’offrent à leurs populations la moindre issue, le moindre salut face aux méfaits des produits biologiques, de la biométrie et de la biosécurité.

En fait, la Chine a été le banc d’essai de tous les mécanismes totalitaires qui ont été ou seront lâchés sur le reste du monde. Pendant la pseudo-pandémie, la Chine a lancé une série de mesures vicieuses COVID-19 — confinements inhumains, codes QR obligatoires, surveillance biométrique omniprésente, vaccination obligatoire de masse, règles de masquage forcées et appliquées, et tests constants. En bref, la Chine est une véritable dictature scientifique, une technocratie.

Et qu’en est-il des trois autres nations BRICS : Brésil, Inde et Afrique du Sud ?

En plus d’être à bord du wagon du FÉM, du wagon de l’OMS, du wagon du CDBC, du wagon de la Banque mondiale et du FMI, et donc de tout le wagon hégémonique occidental, ces trois pays ont-ils mis en place des politiciens, des politiques ou des programmes orientés vers la liberté qui donneraient à mes parents l’envie de s’y réfugier ?

Tout d’abord, le Brésil. Le plus grand pays d’Amérique du Sud est désormais sous la coupe de la cabale mondialiste depuis l’élection de Luiz Inácio Lulada Silva (communément appelé « Lula »), le 39e président du Brésil. Contrairement à son prédécesseur, Jair Bolsonaro, qui a refusé de signer un traité international sur les pandémies et s’est opposé à certains aspects du plan de lutte contre les maladies infectieuses, Lula adhère pleinement à l’agenda monolithique et dominateur de l’OMS, de la GAVI et du FÉM.

C’est ainsi qu’il faut comprendre : en février 2023, Lula a déclaré que pour que les familles restent éligibles au fameux programme Bolsa Family (BFP), un programme social destiné aux familles les plus pauvres, elles doivent faire vacciner leurs enfants, en particulier avec la thérapie génique expérimentale COVID-19. Dans le cas contraire, elles perdent les avantages qui leur sont accordés dans le cadre du BFP.

Ensuite, l’Inde. Contrairement à ce qu’affirment les médias grand public et alternatifs, la Fondation Gates n’a jamais été « expulsée » de l’Inde. En fait, c’est le contraire qui est vrai. En 2006, par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gates, en collaboration avec l’ancien Premier ministre indien Manmohan, a lancé la Public Health Foundation of India (PHFI).

Au fil des ans, la PHFI a reçu des fonds de sociétés pharmaceutiques (GSK, Pfizer, Johnson & Johnson), de « philanthropes » (les suspects habituels : Bill et Melinda Gates et les Rockefeller) et d’ONG (la Banque mondiale et l’USAID). Lorsque l’OMS a déclaré la « pandémie » au début de l’année 2020, les membres de l’IFSP étaient parfaitement préparés à créer, conseiller et diriger la task force nationale COVID du gouvernement indien. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’IFSP a joué un rôle central dans l’orientation de toutes les mesures COVID-19 et des politiques liées à l’injection de COVID-19 en Inde.

Enfin, l’Afrique du Sud. En étroite collaboration avec les médias serviles du pays, le gouvernement sud-africain, dirigé par le président Cyril Ramaphosa, a imposé l’un des confinements les plus longs et les plus sévères du continent. L’impact de la fermeture des petites entreprises sur une population qui dépend en grande partie de salaires hebdomadaires de subsistance a été catastrophique. L’État n’ayant pas versé de subventions aux pauvres et aux travailleurs indépendants pendant plus d’un an, près d’un quart des petites entreprises ont fait faillite et le chômage a grimpé en flèche.

Brian Pottinger, qui écrit pour UnHerd, décrit les conséquences pour les personnes courageuses qui ont osé défier les restrictions insensées du gouvernement sud-africain :

Toute une partie de la population a été criminalisée : au cours des quatre premiers mois de l’épidémie, 230 000 citoyens, soit 0,4 % de la population, ont été accusés d’avoir enfreint les règlements relatifs aux catastrophes pour avoir enfreint les restrictions, 311 d’entre eux étant des policiers. Toutes les accusations ont été abandonnées par la suite : le système de justice pénale ne pouvait tout simplement pas faire face.

Il est donc impossible de justifier que le modèle économique des BRICS soit considéré comme une alternative à la mondialisation de l’Occident, alors qu’il s’agit en réalité d’une autre forme de mondialisation, d’une approche différente de la mondialisation.

Comme le modèle occidental, le modèle des BRICS est structurellement inflationniste. Comme le modèle occidental, le modèle des BRICS n’est pas basé sur le libre marché, mais plutôt sur la politique industrielle. Enfin, le modèle des BRICS fait partie intégrante, tout comme le modèle occidental, du nouvel ordre mondial international. Il s’agit du même plan dysfonctionnel, mais sous des appellations différentes.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans aucun des pays BRICS d’aujourd’hui.

Il est vrai que des rivalités entre grandes puissances se déroulent sur la scène mondiale. Pour le commun des mortels, il peut sembler que nous vivons dans un monde multipolaire, où les nations affaiblies de l’Ouest — dirigées par l’empire américain en déclin — d’un côté de la ligne de partage, luttent pour conserver leur suprématie sur les nations énergiques de l’Est — dirigées par la Russie et la Chine — de l’autre côté de la ligne de partage.

« Mais les exemples de multipolarité abondent », insistez-vous.

Je comprends : il y a le conflit en Ukraine, où des innocents des deux côtés souffrent et meurent inutilement.

Je comprends : les tensions se développent au large des côtes chinoises, où l’empire américain tente en vain d’empêcher l’inévitable prise de contrôle de Taïwan par la Chine.

Je comprends : Ce même empire américain, qui se meurt lentement, tente fébrilement d’empêcher l’intégration économique entre l’Europe et la Russie en faisant exploser le gazoduc Nord Stream 2, permettant ainsi à Washington de maintenir son emprise temporaire sur cette région jusqu’à ce que son effondrement économique inéluctable soit achevé.

Cependant, malgré le vernis de multipolarité, il existe — comme je l’ai mentionné au début de cet article — un empire mondial unique opérant à un niveau supérieur. Ou, pourrait-on dire, au niveau de l’État profond. L’empire unipolaire existe en dehors du champ de perception général de la majorité de la population mondiale. Il transcende non seulement la division Est-Ouest, mais aussi tous les autres clivages entre les nations. Nous allons maintenant voir comment il en est ainsi.

L’empire mondial : une prison unipolaire, un goulag numérique

Au sommet de l’empire mondial se trouve « la banque centrale de toutes les banques centrales », la Banque des règlements internationaux (BRI), très secrète et qui n’a aucun compte à rendre. Sa mission est de diriger et de coordonner les politiques monétaires et fiscales de toutes les banques centrales du monde. C’est ainsi que la BRI contrôle directement la masse monétaire mondiale et indirectement le commerce et les économies nationales.

En occupant une position aussi influente et éminente, la BRI constitue le sommet d’une structure pyramidale qui consiste en une hiérarchie d’organisations et d’institutions en forme d’échelle constituant l’empire mondial. Toutes sont dirigées par ce que j’appelle la classe des parasites.

Source: Iain Davis

Selon le tableau du Partenariat public-privé mondial (G3P) créé par le chercheur et journaliste britannique Iain Davis, la structure de l’empire mondial est conçue de manière à ce que la chaîne de commandement aille de la BRI aux banques centrales du monde entier et de celles-ci aux…
… décideurs politiques des groupes de réflexion. Ceux-ci comprennent divers fonds et fondations Rockefeller, ainsi que le Club de Rome fondé par Rockefeller, la Commission trilatérale fondée par Rockefeller et le Conseil des relations étrangères (CFR) fondé par Rockefeller. Certains de ces groupes de réflexion n’ont pas d’origine Rockefeller, notamment l’équivalent britannique du CFR, le Royal Institute for International Affairs (RIIA), et l’eugéniste pur et dur Chatham House, fondé par le diplomate britannique Lionel Curtis au lendemain de la Première Guerre mondiale.

Les groupes de réflexion travaillent en partenariat avec la BRI et les banques centrales pour définir les objectifs de la politique internationale publique-privée. Une fois que ces objectifs généraux sont formulés, ils sont transmis aux…
… distributeurs de politiques, tels que les Nations unies fondées par Rockefeller, l’OMS et le GIEC, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale, d’ostensibles philanthropes (on pense notamment à la Fondation Bill et Melinda Gates), des entreprises mondiales et des ONG.

Comme leur nom l’indique, les distributeurs sont chargés de diffuser les politiques à grande échelle, aux quatre coins du monde. Ils veillent à ce que les politiques se retrouvent également entre les mains des fonctionnaires de l’échelon inférieur, que l’on appelle…
… les responsables de l’application des politiques. Ils comprennent les différentes branches de l’armée, le pouvoir judiciaire, les forces de police et de sécurité, ainsi que tout autre organe d’application de la loi mis en place à tous les niveaux du gouvernement (national, provincial, étatique, local).

Ces organes gouvernementaux chargés de l’application de la loi travaillent en collaboration avec des autorités « scientifiques » sélectionnées, telles que…
… les National Institutes of Health (NIH), la Food and Drug Administration (FDA), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) et le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE) du Royaume-Uni.

Toutes ces agences et autorités doivent justifier les politiques qu’elles sont tenues de mettre en œuvre. Elles rédigent souvent des règles, des règlements, des ordonnances et des codes pour ces politiques, qu’elles transmettent ensuite aux organisations situées au plus bas de l’échelle. Iain Davis les appelle…
… les « propagandistes politiques » — ou, en termes polis, les gestionnaires de la perception. Ces groupes de médias et de relations publiques, composés des médias traditionnels (journaux, magazines, chaînes de télévision et stations de radio de l’establishment), des plateformes de médias sociaux (Facebook, YouTube, Twitter) et des vérificateurs de faits (Full Fact, PolitiFact, Snopes, AP Fact Check, Poynter, etc.), travaillent aux côtés de guerriers hybrides (77 th Brigade et HutEighteen, par exemple) et de militants contre la haine. Ces derniers comprennent le Southern Poverty Law Center (SPLC), basé aux États-Unis, et le Center for Countering Digital Hate (CCDH), basé au Royaume-Uni.

Le travail des propagandistes consiste à persuader le public — les milliards de personnes ordinaires qui se trouvent sous la pyramide en forme d’échelle — d’accepter sans réfléchir les mensonges qu’on lui sert et d’acquiescer automatiquement aux politiques répressives.

En résumé, l’humanité n’a jamais été confrontée, au cours de son histoire, à un système de gouvernance totalitaire et technocratique aussi omniprésent.

Le but de cet empire despotique est de réduire, voire de supprimer, les libertés fondamentales des humains, de voler nos richesses, de saper nos forces physiques, morales, émotionnelles et spirituelles, de nous séparer de nos amis et de nos familles, et donc de nous contrôler de la tête aux pieds, d’ici à là et partout, de jour comme de nuit.

Dans l’ombre, la BRI et les banques centrales provoquent déjà l’effondrement de quelques grandes banques (Signature, Silicon Valley, First Republic). À partir de maintenant, le nombre de faillites bancaires ne fera qu’augmenter. Bientôt, les plus grandes banques (JPMorgan Chase & Co.) commenceront à engloutir non seulement leurs concurrents de taille moyenne et grande, mais aussi les petites banques régionales et locales.

Une fois que les banques centrales auront complètement mis en œuvre leur système monétaire et financier numérique contrôlé par l’IA, nous serons tous otages de leur empire mondial, condamnés à leur prison unipolaire, confinés dans leur goulag numérique.

L’empire américain en difficulté continuera d’exister pour le moment. Mais c’est uniquement parce que la classe des parasites qui se nourrit des richesses de l’Amérique depuis des siècles a toujours besoin de l’armée américaine pour exécuter ses ordres — son sale boulot — à l’étranger. Une fois que l’empire américain contrôlé par les entreprises aura atteint son but économique et militaire et ne sera plus un hôte viable, ces mêmes parasites avides organiseront un festin pour mettre fin à tous les festins, dans le but de vider jusqu’à la dernière goutte cette nation jadis forte et fière de l’être. Aucun empire n’a résisté aux générations de suceurs de sang.

Poutine, lui aussi, est dispensable et jetable aux yeux des parasites mondialistes. Il ne peut pas s’attirer leurs faveurs simplement en jouant le jeu de leur agenda, même s’il se perçoit comme l’un d’entre eux. Si la Russie ne fait pas attention, elle sera démembrée, morceau par morceau. Ses ressources précieuses seront arrachées et vendues. Elle sera transformée en une terre de fiefs en guerre. Les parasites sont des mangeurs de chances égales.

Même les gens ordinaires comme vous et moi ne sont pas à l’abri de la classe parasitaire, qui s’attache et absorbe tous ceux qui sont prêts à devenir ses hôtes. Quel que soit l’endroit où nous nous trouvons, nous vivons tous, à des degrés divers, à portée des tentacules de l’empire mondial des parasites.

Cela nous ramène à la question que j’ai posée au début de cet article : si mes parents étaient restés dans leur lieu de naissance, la région connue aujourd’hui sous le nom d’ex-Yougoslavie, pendant les 58 dernières années et si seulement maintenant, en 2023, ils décidaient qu’ils en avaient assez de la suppression de leurs droits par l’État technocratique, où iraient-ils pour trouver la liberté ?

Mon père, âgé de 96 ans, a répondu à cette question lorsque je la lui ai posée récemment. « Sachant ce qu’est le monde aujourd’hui, a-t-il répondu, je n’irais probablement nulle part. Certes, la Biélorussie est la référence en matière de non-respect du COVID, mais je resterais probablement dans mon pays d’origine, la Croatie. Je rejoindrais un réseau de personnes partageant les mêmes idées — quelqu’un comme le journaliste Andrija Klarić du podcast Slobodni — afin qu’ensemble nous puissions trouver des solutions à ce cauchemar. »

Cet article est écrit en mémoire de ma mère, Maida, et en hommage à son ami d’enfance Franc, qui les a sauvés, elle et son mari, Janko, d’une vie de répression en Yougoslavie et d’une possible mort par peloton d’exécution lors de leur fuite.

Elle rend également hommage à mon père, Janko, qui m’a persuadée d’ouvrir les yeux sur les réalités laides, quoique cachées, du monde. Avec persévérance et patience, il a martelé dans ma tête d’adolescent que tout n’est pas ce qu’il semble être. Il m’a dit de toujours tout remettre en question, d’obtenir autant de points de vue différents que possible sur n’importe quel sujet et, surtout, de « suivre la piste de l’argent, car il ne ment jamais ».

Ils voudraient que je dénonce et rejette l’empire mondial et son programme néfaste. Ils accueilleraient un monde véritablement multipolaire. Un monde dans lequel « nous, le peuple », vivons en paix, respectons le droit divin de chacun à la liberté, à la vie privée et à la souveraineté individuelle, et travaillons ensemble de manière à bénéficier à l’ensemble de l’humanité et à bénir notre belle terre abondante.


À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’une licence de technologie en ingénierie aérospatiale. Il a servi comme capitaine dans les Forces canadiennes pendant neuf ans. Au cours de ses deux périodes de service dans l’armée de l’air, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie ainsi qu’en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti.

Il est l’auteur du livre électronique Our Species Is Being Genetically Modified [Notre espèce est génétiquement modifiée] et contribue régulièrement à Global Research.


The original source of this article is Global Research
Copyright © David Skripac, Global Research, 2023




Plus Jamais, épisode 5 : « Ne cédez jamais, n’abandonnez jamais »

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Les ramifications internationales du nazisme, les stratégies de censure, l’utilisation des techniques de contrôle mental (par la CIA)… Comprendre, c’est déjà en sortir !

[Voir aussi :
« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3
et
Plus Jamais, Épisode 4. « Cette fois, nous sommes tous Juifs » !]

Par Senta Depuydt

Mise à jour 3 juin 2023 : Ce n’était pas Himmler, mais Rudolf Hess qui a été expertisé par le prof. Ewen Cameron lors du procès de Nuremberg.

Ce dernier épisode de la série nous réserve encore quelques témoignages particulièrement importants et illustre la poursuite des acteurs et des idéologies liées au nazisme dans le monde de l’après-guerre.

Uwe Alschner, historien allemand

La Commission du Président dirigée par Elie Wiesel invitait à détecter les analogies avec l’Holocauste, pas à les censurer

Je suis conscient qu’il est très, très délicat pour les Allemands de faire référence à l’Holocauste. Nous sommes formés à honorer le caractère unique de cet événement et ses victimes, mais pas à établir des comparaisons, ce qui est bien sûr anhistorique, antidémocratique et même injuste pour ceux qui ont souffert et qui ont été victimes de l’Holocauste.

À Bruxelles, en début d’année (2022), une grande manifestation a été dispersée prématurément par la police. C’était très, très troublant aussi parce que c’était le jour où vous, Vera Sharav, avez parlé d’analogies, de similitudes que vous avez vues. Ce que vous faites est absolument conforme à ce que la Commission d’Elie Wiesel avait recommandé : qu’il y ait des personnes d’autorité morale pour alerter le public sur les dangers possibles, qui pourraient conduire à un nouvel Holocauste ou même à des parties de celui-ci. C’est donc un point qui est très, très explicite dans ce rapport :

Non seulement le paysage moral de la réalité humaine a été modifié par l’Holocauste, mais l’accélération de la technologie et l’énergie nucléaire menacent désormais l’existence humaine elle-même. En mettant l’accent sur les dangers inhérents aux fins et aux moyens d’une société technologique et bureaucratique, l’étude de l’Holocauste et de ses implications peut encourager un renouveau de l’engagement en faveur de la raison et de l’humanité.

En 1979, on a pris conscience que notre société, avec tous ses progrès technologiques réalisés au fil des siècles, et surtout au cours des deux dernières décennies, représentait une menace existentielle pour l’humanité.

En tant qu’historien, je trouve très inquiétant que les personnes qui font allusion à des analogies et à des similitudes entre hier et aujourd’hui soient immédiatement accusées d’être antisémites, fascistes, néonazies ou autres.

Dans le rapport de la commission Elie Wiesel au Président Jimmy Carter, à la deuxième page de la lettre d’introduction, on peut lire :

« La leçon la plus importante à tirer de l’époque de l’Holocauste est qu’Auschwitz a été possible parce que l’ennemi du peuple juif et de l’humanité — et c’est toujours le même ennemi —a réussi à diviser, à séparer, à scinder la société humaine, nation contre nation, Chrétien contre Juif, jeune contre vieux.

Il est clair que pour Elie Wiesel, quand il parle de « l’ennemi du peuple juif et de l’humanité », il veut dire que les Allemands n’étaient pas les seuls à avoir participé à l’Holocauste. Uwe Alschner insiste sur l’importance de cette citation qui sera ensuite explicitée dans le rapport :

Cela faisait partie d’une idéologie établie de longue date dans laquelle l’eugénisme jouait un rôle. Aujourd’hui, le transhumanisme est un concept plus récent, mais qui est clairement enraciné dans l’idée de l’eugénisme.

David Veale, petit-fils d’anciens scientifiques nazis récupérés par les USA.

Témoignage assez rare que celui d’un descendant de nazis « exfiltrés » :

Le mal est fait par des personnes normales

Mes deux grands-parents sont arrivés avec le projet Paperclip (ndlr: un projet secret de la CIA chapeauté par Rockefeller et Nixon qui a permis à des milliers de scientifiques et d’officiels nazis de poursuivre leur carrière aux États-Unis).

Ils sont d’abord allés à la base aérienne de Wright-Patterson dans l’Ohio, puis à Los Angeles. Mon grand-père travaillait pour Aerospace Corporation, qui est un partenaire de l’armée de l’air. Il a été amené dans ce pays parce qu’il était l’un des scientifiques qui travaillaient pour Wernher Von Braun sur les turbines des engins militaires. C’est là qu’il a rencontré ma grand-mère. Elle était l’une des secrétaires. Elle travaillait pour Wernher Von Braun et enregistrait une grande partie des mesures de leurs tests mécaniques.

Je me souviens que ma sœur et moi avons posé des questions à ma grand-mère. Mon grand-père ne parlait pas beaucoup. Il était très, très silencieux. Quoi qu’il en soit, nous avons demandé à ma grand-mère : « Qu’avez-vous vu ? As-tu connu des juifs qui sont allés dans les camps de concentration ? » Elle a répondu : « Oh, eh bien ». Elle n’était manifestement pas à l’aise pour répondre à la question. Et elle dit : « Eh bien, on nous a dit ou montré qu’ils étaient juste séparés. » Je ne sais pas si c’est ainsi que cela a été présenté à la population. C’est ce qu’elle a dit. Je soupçonne qu’elle en savait plus, à la fin, mais je ne sais pas si elle savait tout cela au début au départ. Elle est née en 25, elle était donc encore assez jeune lorsque la guerre a commencé.

Ils faisaient partie de la machine nazie, mais ils étaient aussi mes grands-parents. La demande d’accès à l’information que ma sœur a soumise au FBI suggère que mon grand-père n’était pas le stéréotype du nazi, fortement raciste et nationaliste. Et il est certain que certaines personnes arrivées aux États-Unis avaient suffisamment de valeur pour ce pays pour ne pas se soucier de leur histoire. J’aime donc à penser que mon grand-père était l’un des meilleurs éléments de ce groupe.

Mais en même temps, il faisait certainement partie de la machine nazie. Il faut comprendre que le mal n’est pas tel qu’il est dépeint à la télévision ou même dans les journaux télévisés, où l’on montre des caricatures. Tous les gens de droite ne sont pas membres du Ku Klux Klan et tous les gens de gauche ne sont pas incapables de déterminer leur propre sexe.

Mon grand-père, qui travaillait au développement des V-2, a manifestement été responsable de la mort d’un grand nombre de personnes. On pourrait dire la même chose de ma grand-mère. Mais je pense qu’il est important de comprendre que le mal n’est pas le fait de personnes aux idées et à la personnalité diaboliques. Il est le fait de personnes tout à fait normales.

La CIA a récupéré et développé les méthodes de contrôle mental des nazis (programme MK-Ultra)

David Veale rappelle que la CIA a étudié les nazis et leur capacité à contrôler les populations, à influencer leur comportement :

Je pense que la CIA s’en est servie pour ses expériences MK-Ultra.

Nous connaissons tous au moins deux grands sujets de ces expériences, à savoir « Unabomber » Ted Kaczynski et Charles Manson. Ils été soumis à ces expériences de lavage de cerveau et de programmation mentale pour contrôler les gens.

Notre gouvernement a certainement un intérêt direct dans ce domaine, et les nazis étaient très avancés sur ce sujet.

Note :

L’un des pires tortionnaires des méthodes MK-Ultra était le psychiatre Dr Ewen Cameron qui opérait à l’université Mac Gill au Canada. Il est consternant d’apprendre qu’il avait fait l’expertise psychiatrique des officiels nazis tels que Rudolph Hess au procès de Nuremberg. Plutôt que de s’inspirer des principes de libre consentement énoncés dans le Code d’éthique qui suivit, il reprit leurs travaux de contrôle et de reprogrammation mentale dans ses « traitements » psychiatriques, avec les financements de la CIA. Le programme MK-Ultra a utilisé des méthodes de torture par chocs électriques, traumatisme sexuel, administration de LSD et d’autres drogues, rayons, conditionnement du cerveau, etc.et a impliqué plus de 40 universités, des hôpitaux et des prisons. 

Ces « traitements » qui ont tué et abîmé des milliers de personnes ont dominé la « science » des années 50 et 60. En 1961, Cameron était même devenu président de la société mondiale de psychiatrie. Malheureusement, ils existent toujours de manière officieuse et ils servent même d’inspiration à l’échelle du conditionnement de la population globale. 

Pour plus d’information sur les expériences de la CIA, voir par exemple le documentaire « Les cobayes de la CIA » d’Olivier Pighetti. 

David Veale n’est pas dupe. Pour lui, « de nombreuses personnes ont compris que le mal était utile, s’il pouvait servir des intérêts privés », en particulier aux États-Unis.

Je crois en la santé publique. Je pense qu’il est important de contrôler les maladies. Il n’y a rien de mal à cela. Les gens ne se rendent pas compte qu’on se sert d’eux pour leur imposer quelque chose. Lorsque quelqu’un dit qu’il fait le bien, la plupart des gens supposent qu’il fait effectivement le bien et que tout ce qui s’ensuit est fait dans ce but. Mais ce n’est pas le cas.

L’Allemagne et le monde de l’après-guerre ont réaffecté d’anciens dirigeants nazis à des postes clés, par l’intermédiaire des services secrets.

Uwe Alschner rappelle également le lien entre l’État profond’ et les nazis, en exposant des faits encore peu connus de l’histoire :

Après la guerre, la communauté du renseignement a été mise en place et dirigée par Allen Dulles. Aujourd’hui, l’on voit que la directrice de la CIA, Avril Haines, est également impliquée dans l’événement 201. Il est légitime de se demander :

« Qu’est-ce que la CIA, le service de renseignement des États-Unis, a à voir avec l’urgence en matière de santé publique ? Pourquoi est-elle impliquée ? »

Eh bien, cela a du sens, quand on voit que les services de renseignement sont en fait étroitement liés à ces intérêts financiers, qui restent dans l’ombre, dont les noms ne sont pas mentionnés. Nous entendons les noms de Bill Gates et de George Soros, mais il ne s’agit que de personnes de façade. Par conséquent, les énormes institutions financières qui sont derrière tout cela ont un intérêt dans la manière dont une urgence de santé publique a été déclenchée afin de subvertir la démocratie, d’encourager et de promouvoir les tendances oligarchiques et fascistes des entreprises.

C’est une façon de tromper le public. Les opérations psychologiques, le contrôle mental et la propagande sont le fonds de commerce des agences de renseignement.

Durant la guerre, l’agence de renseignement des nazis était dirigée par Reinhard Gehlen, un général de la Wehrmacht, qui devint plus tard chef du Bundesnachrichtendienst, le service de renseignement fédéral allemand.

Il a été capturé par les troupes américaines, alors qu’en fait, avec ses hommes, il s’était retiré dans une vallée des Alpes en attendant d’être exfiltré. On dit qu’il avait avec lui de très nombreuses caisses de documents, des documents compromettants, non seulement sur les Soviétiques, mais aussi sur les relations avec l’Ouest, avec les Américains. Un officier de marine, du nom de Richard Nixon, avait participé à la prise en otage de Gehlen…

Il existe donc au moins des preuves indirectes qui justifient une observation plus approfondie des raisons pour lesquelles Richard Nixon a été choisi par la suite pour devenir un homme politique américain de premier plan (président des USA),, parce qu’il pourrait avoir eu connaissance d’informations incriminant quelqu’un d’aussi haut placé qu’Allen Dulles.

Avec l’avocat nazi Hans GlobkeGehlen était le co-auteur des politiques qui ont conduit aux lois raciales de Nuremberg.

Eh bien, après la guerre, Globke est devenu le chef de cabinet du chancelier allemand Konrad Adenauer et Gehlen est devenu le chef des services de renseignement allemands. Les deux hommes se réunissaient régulièrement pour discuter de qui devait accéder à quel poste dans l’administration. Ils étaient donc triés sur le volet par d’anciens nazis, sous le contrôle et en coopération avec les services de renseignement américains. Tout cela bien sûr au service des intérêts de ceux qui se cachent aujourd’hui derrière les mesures Covid.

Fascistes américains (du haut) :
#1 David Rockefeller
#2 Prescott Bush,
#3 Averell Harriman,
#4 Clint Murchison Sr.,
#5 H. L. Hunt,
#6 E. Roland Harriman,
#7 Edmund Leopold de Rothschild,
#8 Montagu Norman, 1st Baron Norman,
#9 Allen Welsh Dulles,
#10 Henry Ford.

Les organisations internationales, les Nations unies, mais aussi l’Organisation mondiale de la santé, ont été créées dans les années 1940, après la guerre. Dès le départ, elles ont voulu, ou du moins ont pu mener des politiques mondiales centralisées. De riches investisseurs et de riches industriels demandent un partenariat public-privé avec ces institutions, dont ils tirent ensuite profit. Mais c’est aussi pour mettre en œuvre d’autres formes de leur programme, l’eugénisme, le transhumanisme et essentiellement le non-humain.

Hannah Arendt, lorsqu’elle s’est exprimée dans les années 1960, a déclaré que ce n’était pas tant le fait qu’Hitler soit arrivé au pouvoir qui était choquant. Ce qui était choquant à l’époque, c’était le degré d’adhésion des intellectuels. Nous voyons la même chose aujourd’hui, la suppression, le dépouillement des droits humains fondamentaux des individus, mais aussi de groupes entiers. Il s’agit donc d’un phénomène tout à fait similaire à ce qui s’est passé dans les années 1930.

Et de conclure :

Il faut avoir ce contexte en tête quand nous sommes face à des injections hautement toxiques administrées au grand public, sans tenir compte des effets secondaires, de la mort, du mal qui est fait.

Il est temps d’appeler à l’arrêt, d’appeler à une enquête, de résister, de désobéir civilement, d’être pacifique, mais de ne pas obéir. Nous avons une tâche à accomplir, c’est certain. Nous devons faire face. C’est un moment vraiment décisif.

Scott Schara, père de Grace, jeune trisomique « assassinée sur ordonnance » sous prétexte de traitement Covid.

Les meurtres sur ordonnance enrichissent les médecins et les hôpitaux

L’histoire de Grace, la fille adorée de Scott Schara est aussi poignante que choquante. Hospitalisée « par précaution » avec quelques légers symptômes, Grâce est soumise à des traitements inutiles et dangereux, jusqu’à être simplement « liquidée » par l’injection d’un cocktail mortel (proche du Rivotril), sous l’œil impuissant de ses parents.

Son père raconte cette incroyable tragédie : comment l’hôpital a falsifié les données médicales de sa fille trisomique et feint d’avoir l’accord de la famille pour l’euthanasier’ de force.

Je suis juste le père qui apprend cela en temps réel et qui vient de s’éveiller… et une fois que vous êtes éveillé, vous ne pouvez pas arrêter de partager ces informations.

Les chiffres sont stupéfiants. Le gouvernement a déjà versé aux hôpitaux, sous la forme de primes de traitement du COVID, y compris les primes de décès, quatre mille milliards (trillons) de dollars. Nous sommes le seul pays où plus d’un million de décès sont imputables au COVID… Et nous sommes le seul pays où le Remdesivir est le traitement recommandé.

La chose la plus importante qui m’a choqué est la corruption de notre gouvernement. Ils sont tellement corrompus. Il n’y a pas une seule chose qu’ils disent à laquelle on puisse se fier.

Avital Livy initiatrice du « Projet des Témoins » en Israël

Avital a entrepris de recueillir les témoignages des victimes de la vaccination Covid et de réaliser deux documentaires, expliquant les symptômes vécus et les diagnostics qui ont suivi, pour briser le tabou des médias et du gouvernement sur la question.

En Israël, il reste pratiquement inconcevable de mettre en question la politique sanitaire du gouvernement :

Pour les Israéliens, tout d’abord, les gens oublient que nous avons tous été dans l’armée, entre 18 et 20 ans. Je pense donc que l’on s’habitue à suivre les ordres. Deuxièmement, en raison de notre histoire, nous avons l’impression que notre pays, notre État, notre gouvernement nous protègent du monde entier qui veut nous tuer. Ils sont comme notre père et notre mère. Ils ne nous feront pas de mal. Nous leur faisons confiance. Nous donnons notre vie à ce pays. S’ils disent que c’est bon, que c’est sans danger, que nous nous aiderons les uns les autres en nous faisant vacciner, nous le ferons. Les personnes les plus intellectuelles, les plus éduquées sont celles qui suivent le récit.

Sur les 120 membres du Parlement, le Parlement israélien, il n’y en a plus qu’une, une femme arabe, qui a commencé à dire qu’il fallait vérifier le lien entre tous les cas d’arrêts cardiaques chez les jeunes et les injections. Elle est la seule à parler.

Je n’ai plus confiance dans le parlement, dans notre gouvernement. Ils ont eu leur chance. C’est à nous, le peuple, de prendre les choses en main.

Pour compléter ses révélations angoissantes, elle a aussi choisi de partager les différents types de traitement qui ont permis aux malades du Covid ou aux victimes des injections d’aller mieux.

Je veux donner un message d’espoir à tout le monde. Les personnes non vaccinées ont été terrorisées pendant deux ans. La vérité est en train d’éclater et nous allons vers un monde meilleur. Aux personnes vaccinées, je veux dire : il existe des traitements. N’ayez pas peur. Ne perdez pas espoir. Traitez-vous, traitez votre corps.

La première étape du traitement consiste à comprendre ce qui se passe.

J’envoie donc l’amour et la bonne santé à tout le monde. Nous sommes la majorité. La vérité éclatera et nous gagnerons.

Il y a encore beaucoup d’autres témoignages dans ce dernier épisode qui valent la peine d’être écoutés : des commentaires de Vera Sharav, de Macha Orel, initiatrice d’un mouvement de soutien au Dr Bhakdi, ou ceux du musicien Karsten Troyke.

Mais, l’on ne saurait passer sous silence, les mots de la fin, ceux du Dr Vladimir « Zev » Zelenko à qui Vera Sharav dédicace cette série documentaire :

C’est une course entre l’asservissement et l’expansion de la conscience humaine globale. Parce que nous sommes beaucoup, beaucoup plus nombreux que ces sociopathes. Ils sont solides comme Goliath. Ils ont beaucoup de ressources. Mais le mouvement en faveur de la liberté commune des êtres humains pourrait être imparable une fois que nous aurons franchi un certain seuil.

Je prêche la désobéissance civile non violente et le rejet absolu de toutes les obligations. Pas de pampers sur la figure. Ne vivez pas dans la peur. Ne vous isolez pas. N’acceptez pas le poison de la mort. Et résistez.

Mettez vos enfants à l’abri du danger en les retirant du système scolaire public et en vous regroupant avec des parents partageant les mêmes idées. Créez un d’enseignement à domicile ou dans votre paroisse, où l’on pourra leur enseigner le raisonnement déductif, la pensée analytique, et leur donner une bonne base morale.

Il y a eu de nombreux exemples pendant la Seconde Guerre mondiale, où un nazi armé d’une mitrailleuse et d’un berger allemand pouvait conduire un millier de Juifs selon son gré. Il leur aurait pourtant suffi de se retourner et de lui sauter dessus. Les premiers seraient peut-être morts, mais pas les suivants. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? Parce qu’ils sont démoralisés, parce qu’ils ont perdu, déshumanisé ; ils ont perdu la foi en eux-mêmes. Ils ont perdu leur humanité.

Nous devons donc nous souvenir et enseigner aux gens, leur rappeler leur souveraineté, leur valeur inestimable, qu’ils sont importants. À mon avis, ils sont faits à l’image de Dieu. La vie est sacrée, ils ont des droits humains, et il n’est pas du ressort d’un sociopathe de décider combien d’entre nous vivent sur la planète, combien de temps nous vivons, et qui doit être libre.

Nous allons gagner. La seule variable est le nombre de morts. J’espère que nous pourrons l’atténuer en accélérant l’éveil des consciences. Et nous nous rapprochons de ce seuil, où l’éveil va s’autoentretenir. Nous devons simplement continuer à pousser dans la bonne direction.

Je ne sais pas si je survivrai pour le voir. Mais ce qui est important, ce n’est pas un individu en particulier. Ce qui compte, c’est la capacité de l’âme humaine à s’épanouir et à atteindre son plein potentiel, sans que des forces maléfiques et tyranniques essaient de l’asservir.

C’est une colline sur laquelle il vaut la peine de mourir. Je vois le carnage et je vois la misère, mais j’ai le sentiment, personnellement, que je suis dans le juste — je fais ce pour quoi il semble que j’ai été créé.

Ce n’est qu’un sentiment interne. Je ne peux pas le prouver, mais j’ai l’impression qu’aider les gens à redécouvrir leur valeur humaine, lutter contre la déshumanisation et encourager les gens à se battre pour leur propre souveraineté et leur propre liberté, c’est la bonne chose à faire.

Retrouvez toute la série sur :

La lettre de Senta : sentadepuydt.substack.com

Sur le site www.plusjamais.eu

Crowdbunker : @Plusjamais






Sortir la France du Nouvel Ordre Mondial

[Source : profession-gendarme.com]

Par Virginie Dornier

Dossier de présentation

[Illustration : Land Art « LIBERTE » — Franck Bonneau — Land Art & Co]

Ce Dossier est la présentation de l’ensemble du travail d’enquête réparti sur 7 Tomes où chacun d’entre eux vise à mettre en lumière la gouvernance de la franc-maçonnerie exercée insidieusement par l’ensemble des présidents de la Ve République (Constitution, Lois, symboles nationaux…). Il donne également diverses représentations anatomiques du cartel du Nouvel Ordre Mondial en se basant sur de nombreuses déclinaisons allant des mythes les plus connus à des organismes biologiques et parasitaires tels que le Mérule ou le Blob. Ce dernier, dont les diverses recherches scientifiques, l’engouement médiatique qui en fait la promotion notamment auprès du jeune public (vente libre) couplé avec les différentes données liées aux conséquences des injections nous interpellent.

[Note de Joseph : on connaît d’autant mieux un individu que l’on plonge dans son univers. Celui des élites mondialistes est largement imprégné d’occultisme et d’ésotérisme (kabbale, hermétisme, gnose, alchimie, astrologie, cartomancie, géomancie, divination, numérologie, symbolisme, sorcellerie, thaumaturgie, etc.]

Article 2

Version en vigueur depuis le 05 août 1995
Modifié par Loi constitutionnelle n° 95-880 du 4 août 1995 — art. 8

La langue de la République est le français.
L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.
L’hymne national est la « Marseillaise ».
La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ».
Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple

Il est certains esprits dont les sombres pensées
Sont d’un nuage épais toujours embarrassées ;
Avant donc que d’écrire apprenez à penser.
Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Surtout, qu’en vos écrits la langue révérée
Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
En vain vous me frappez d’un son mélodieux,
Si le terme est impropre, ou le tour vicieux ;
Mon esprit n’admet pour un pompeux barbarisme,
Ni d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme.
Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin
Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.
Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
Et ne vous piquez point d’une folle vitesse ;
Un style si rapide, et qui court en rimant,
Marque moins trop d’esprit, que peu de jugement.
J’aime mieux un ruisseau qui sur la molle arène
Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux,
Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Hâtez-vous lentement ; et, sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent,
Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent.
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ;
Que le début, la fin répondent au milieu
Que d’un art délicat les pièces assorties
N’y forment qu’un seul tout de diverses parties ;
Que jamais du sujet le discours s’écartant
N’aille chercher trop loin quelque mot éclatant.
Craignez-vous pour vos vers la censure publique ?
Soyez-vous à vous-même un sévère critique.
L’ignorance toujours est prête à s’admirer.
Faites-vous des amis prompts à vous censurer ;
Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères,
Et de tous vos défauts les zélés adversaires.
Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ;
Mais sachez de l’ami discerner le flatteur :
Tel vous semble applaudir, qui vous raille et vous joue.
Aimez qu’on vous conseille et non pas qu’on vous loue.
Un flatteur aussitôt cherche à se récrier :
Chaque vers qu’il entend le fait extasier.
Tout est charmant, divin : aucun mot ne le blesse ;
Il trépigne de joie, il pleure de tendresse ;
Il vous comble partout d’éloges fastueux : impétueux.
La vérité n’a point cet air
Un sage ami, toujours rigoureux, inflexible,
Sur vos fautes jamais ne vous laisse paisible :
Il ne pardonne point les endroits négligés,
Il renvoie en leur lieu les vers mal arrangés,
Il réprime des mots l’ambitieuse emphase ;
Ici le sens le choque, et plus loin c’est la phrase.
Votre construction semble un peu s’obscurcir ;
Ce terme est équivoque, il le faut éclaircir.
C’est ainsi que vous parle un ami véritable.

Boileau, Art poétique, Chant I, v. 147-207

SOMMAIRE

  • NOTE AUX LECTEURS
  • REMERCIEMENTS
  • AVERTISSEMENT AUX DÉTRACTEURS
  • GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

    • AVANT-PROPOS
    • COMMENT S’ARTICULE LE DOSSIER

      • Dossier de Présentation
      • Dossier 1
      • Dossier 2
      • Dossier 3
      • Dossier 4
      • Dossier 5
      • Dossier 6
      • Dossier 7
      • Dossier « annexes »

    • Les références
    • Bibliographie

  • MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

    • INTRODUCTION
    • QUELQUES REPÈRES
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL, LEUR ATTRAIT POUR LA NUMÉROLOGIE
    • LE NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LEURS DIFFÉRENTES RÉFÉRENCES

  • L’ANATOMIE DU N.OM : DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE (VISION

    • INTERNATIONALE)
    • LE N.OM : LÉVIATHAN OU BÊTE DE L’APOCALYPSE
    • LE N.OM : UN SYSTÈME « FLUIDE »
    • LE N.OM : MONSTRE À 7 TÊTES

      • a) Les 7 Merveilles du Monde du N.OM
      • b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne

    • LE N.OM : MONSTRE À 10 CORNES

      • a) Les 10 empires économiques mondiaux
      • b) Les 10 secteurs économiques mondiaux
      • c) Les diadèmes ou couronnes

    • CONCLUSION

  • SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VE RÉPUBLIQUE)

    • INTRODUCTION

      • a) La boîte de Pandore
      • b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne
      • c) La prostituée biblique : la France sur le trottoir depuis 1958

  • LE NOM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

    • QUELQUES INFORMATIONS SUR LA SERPULA LACRYMANS OU MÉRULES

      • a) Phase 1 : « infestation exogène »
      • b) Phase 2 : « cycle de réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule
      • c) Phase3 : Expansion du NOM selon exogène du NO.OM selon le principe de la Mérule

    • LE BLOB

      • a) Sommaire du Vikidia
      • b) Définition
      • c) Reproduction et cycle de vie
      • d) Sommaire du Vikidia

    • CONCLUSION
    • SYNTHÈSE

Note aux lecteurs

Vous venez de recevoir « Les dossiers » en version papier, par clé USB ou en dématérialisée. Avant toute chose, il est important de vous en expliquer la Genèse et son articulation puisque nous avons choisi de ne pas traiter le sujet crise sanitaire et le mandat actuel directement.

Pour bien comprendre la démarche, il faut expliquer qui nous sommes, pourquoi nous avons mis du temps à rédiger nos dossiers qui n’ont absolument rien à voir avec ce que nous avions envisagé initialement.

Nous sommes deux anciens salariés de l’industrie pharmaceutique. Me concernant, j’ai travaillé 17 ans dans le secteur du médicament. J’ai eu la chance de commencer ma carrière — avant l’an 2000, détail important — comme administrative au siège de ce qui était le premier groupe français de prestation de services. « Etait », puisque le consortium a fait les frais du système mondialiste et a littéralement « servi d’exemple » à l’ensemble des prestataires du secteur. Justement au moment où en coulisses les pouvoirs publics, les laboratoires, mais surtout le système dit globaliste et mondialiste mettaient en place l’ensemble des paramètres pour nous amener à la situation sanitaire et accessoirement politique actuelle. Tout ce qui est relatif au secteur de la Santé est traité dans le dossier conjoint.

Sur les conseils de ma hiérarchie et de mon mari, j’ai obtenu le Diplôme Universitaire de Visiteur Médical après un passage à la faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry. J’ai poursuivi ma carrière tant que déléguée médicale ville, d’abord prestataire multi produits (c’est-à-dire que dans mon portefeuille produits pour le compte de plusieurs laboratoires) puis j’ai fini par être intégrée dans un laboratoire français. Ce qui m’a valu une fin de carrière brutale et compliquée puisque j’ai directement fait les frais de la franc-maçonnerie. Je n’en dirai pas plus, à une exception près : mon expérience m’aidera tout au long de mon enquête. J’ai également une certification propre aux métiers de la recherche clinique qui m’aurait permis d’exercer le métier d’attachée de recherche clinique.

Bien que sortie du circuit depuis 2011, j’ai toujours gardé un œil sur le secteur. Partagée entre l’envie de « reprendre la sacoche » et la route pour exercer mon métier, tel que ma première entreprise le véhiculait (avec éthique et déontologie), et la défiance à l’encontre d’un milieu en totale mutation spécifiquement depuis les années 2000. Finalement, je n’ai pas réintégré l’industrie pharmaceutique, pour diverses raisons. Cependant j’ai toujours maintenu un intérêt certain pour ce secteur en continuant à me tenir informée et parfois même en envisageant un retour sur le terrain.

Depuis mars 2020, je n’ai jamais autant renoué avec la pharmacie ; mais pour la dénoncer. Quant à mon mari, il est de nous deux le plus expérimenté, et de très loin un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée.

Ce que je peux en dire d’un point de vue professionnel : 30 ans d’expérience en santé, trois ans d’études en médecine puis la rencontre avec l’industrie pharmaceutique. Une carrière exclusivement dédiée à l’information médicale. Ancien cadre sénior terrain pour un block Buster de l’industrie. Un homme pour qui l’éthique, la déontologie, la médecine faisaient sens. Un professionnel respecté par nos homologues et en qui les prescripteurs généralistes et spécialistes plaçaient leur confiance puisqu’il « parlait le même langage » : le patient avant tout.

Un homme qui a su se remettre en question et quitter le secteur du médicament pour le matériel médical et a eu le courage de faire valoir son droit de retrait dans son entreprise en refusant de se plier au dictat de l’état (pass et injection). Alerter sa hiérarchie en interne lui a valu la perte de son emploi. Il est de nous deux le plus expérimenté, un exemple que j’aurai aimé suivre si ma carrière n’avait pas été empêchée. Aucun regret, assurément.

Nous avons décidé de dédier nos compétences, nos connaissances du secteur de l’industrie pharmaceutique « de l’intérieur » et une bonne partie de notre temps pour dénoncer l’infamie que nous subissons sans exception.

Pour ma part, cela fait bientôt 24 mois. Étant désormais thérapeute en auto entreprise, autant dire que j’ai totalement remisé mon activité, y compris les emplois d’appoint que j’ai exercé le temps de remplir mon agenda.

L’ironie est bien entendu que les ¾ de nos proches sont parmi les plus radicaux. Masques, gel hydroalcoolique, poly injectés et injecteurs. Dialogue impossible, même — voir surtout — chez les soignants en exercice ou retraités qui ont perdu pied qu’ils soient de notre famille, ou d’anciens prescripteurs avec lesquels nous avons travaillé et qui pour certains étaient devenus nos amis.

Forts de ce constat, nous avons alors décidé d’enquêter et d’alerter avec une approche différente. Je me suis centrée sur ma commune et mon département. Recueillant les données de la préfecture, de l’ARS, communiquant sur les réseaux sociaux et surtout en allant directement confronter les représentants de l’état, en l’occurrence la mairie.

J’ai fini par porter plainte de façon nominative contre la maire de ma commune et certains adjoints ainsi que la police municipale. Plainte enregistrée et validée en trois semaines par le tribunal d’instance puisque mes arguments sont factuels.et locaux. Ayant déjà eu recours à la justice lorsque j’ai porté plainte contre mon dernier employeur, et compte tenu des éléments que j’ai mis à disposition du juge, c’est donc en qualité de Lanceuse d’alerte conformément à la Loi n° 2016-1691 du 09/12/2016 dite Sapin 2 ainsi que la Directive (EU) 2019/1937 du Parlement Européen et du Conseil du 23/10/2019 ma plainte a été enregistrée et que cela est mentionné dans le cadre des auditions avec la gendarmerie. Je vous donnerai plus de détails dans une partie du dossier.

Mais ce qui nous a motivés à enquêter et est à l’origine de cette compilation d’éléments à charge, ce sont les enfants. Et plus particulièrement le fait qu’il y ait eu une translation de nos compétences professionnelles dans le milieu scolaire. Translation non seulement de nos compétences auprès d’un public mineur qui deviennent des prospecteurs auprès de

leur famille et entourage, mais également incitation à l’exercice de la formation médicale qui est destinée aux adultes enseignants et encadrants. La formation médicale étant du ressort de professionnels laboratoires (médecins ou pharmaciens par exemple) qui forment les équipes terrain. Le tout validé par l’ensemble des acteurs concernés : ministères, les entreprises du médicament (LEEM) qui auraient dû réagir et empêcher cela.

Ce fut le point de non-retour pour nous, et nous sommes partis en quête d’informations complémentaires à toutes celles déjà conséquentes réunies par l’ensemble des alerteurs, connus ou non. Professionnels de la santé ou non, avec une audience ou non.

Notre unique volonté, apporter une nouvelle approche, un autre « angle d’attaque » qui permettra de créer des passerelles entre toutes les informations déjà partagées.

Remerciements

Je remercie chaleureusement les personnes qui nous ont soutenus. Franck Bonneau, qui nous a généreusement autorisés à utiliser l’une de ses créations pour illustrer les dossiers. Un grand merci à Mariannick et son fils Frédéric qui font partie de notre famille depuis 9 ans désormais ainsi qu’à ma belle-mère qui a toujours cru en nous. Merci à Lucie, Marie-Lou, Laurent, Sissi et tant d’autres qui nous ont encouragés pendant des semaines qui se sont transformées en mois.

Je remercie également, et vous comprendrez pourquoi dans la partie « Reine Blanche de l’échiquier », les gendarmes de ma commune ainsi que le Juge du Tribunal d’Instance qui a validé ma plainte à l’encontre de l’équipe municipale et la police municipale.

Nous remercions et saluons grandement l’ensemble des alerteurs qui ont su créer un élan de Résistance. Par leur engagement, leur ingéniosité, leur générosité, ces hommes et ces femmes nous ont maintenus hors de l’eau et continuent de le faire. Ils ont fait un travail colossal qui vous a apporté les éléments factuels sur la situation actuelle. J’ai eu le privilège d’échanger avec certains d’entre eux, et je salue leur courage, car pour ma part je n’aurai jamais pu. Je pense notamment à toutes les chaînes résistantes.

À titre personnel, je remercie — contre attente — toutes les personnes de mon entourage (famille, amis, collègues) qui à l’inverse nous auront tournés le dos parfois de façon extrêmement violente, tant dans les mots que dans les actes. Ainsi « dégagée » de tout affect, j’ai pu me concentrer exclusivement à l’enquête et la rédaction de ce dossier, puisque je le rappelle ici les ¾ de nos proches suivent la narrative et sont poly injectés. C’est là que « majeurs et vaccinés » prend hélas tout son sens… Nous sommes parents.

Enfin, j’ai une pensée particulière pour le Professeur Luc Montagnier et tous ceux qui nous ont quittés parfois prématurément (y compris parmi nos collègues à l’international).

Avertissement aux détracteurs

Dans ces travaux je vais aborder des sujets tabous, notamment la religion au sens large et pas seulement. Si d’aventure quelques « esprits » mal tournés avaient pour velléité de nous accoler des étiquettes telles que : racistes, antisémites, antimusulmans, antichrétiens, antihomo ou tout autre non-arguments, je préfère les prévenir :

• Pour les esprits mal tournés qui imagineraient que les trois hexagones qui ponctuent l’ensemble des dossiers soient en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique et que par conséquent je serai une opposante contrôlée : j’ai simplement choisi l’hexagone pour rappeler la forme de la France. Il ne s’agit en aucun cas d’une référence de près ou de loin avec les « 3 points » maçonniques avec lesquels j’ai eu maille à partir.

• « Racisme » : non recevable. Notre famille est Black-Blanc-Beur (Noirs, Blancs, métis, quarterons).

• « Antireligieux (juifs, chrétiens, musulmans…) » : non recevable. Notre famille est pluricultuelle : juifs, catholiques, musulmans, témoins de Jéhova, Bouddhistes, Athées… Et la plupart de nos amis médecins sont juifs. L’antisémitisme est non compatible avec le métier que nous exercions et les secteurs que nous prospections. CQFD. En revanche, toutes les informations liées aux religions sont argumentées et illustrées.

• « Homophobes ou apparentés » : non recevable, toujours pour les mêmes raisons.

• « Anti médecin/pharmacien » : non recevable pour toujours les mêmes raisons. Premièrement, des « blouses blanches » dans notre famille il y en a… beaucoup (en activité ou retraités) des aides-soignants aux médecins spécialistes. Deuxièmement, ni mon mari ni moi ne « crachons dans la soupe ». Nous défendons la pratique de la médecine et la pharmacie propre contre le système mérulaire.

Dans notre famille, jamais une croyance religieuse, la couleur de peau, ni même les « couleurs » politiques ou le statut social n’ont été des problèmes. Et si toutefois nous sommes en désaccord avec certains proches (famille, amis, ex-collègues) ce n’est pas pour ces « non arguments », mais bel et bien pour et à cause de « la crise sanitaire » qui aura emporté dans une psychose généralisée certains proches.

Quoi que me concernant, je le reconnais, être praticienne en hypnose et médium de surcroît, et ne pas avoir réintégré l’industrie pharmaceutique ou un schéma professionnel normatif en a dérangé quelques-uns parmi ces mêmes proches aujourd’hui poly injectés. Ajoutez à cela le fait qu’avec Jean-Pierre, mon binôme de mari, nous soyons Lanceurs d’alerte… C’est leur problème, pas le nôtre.

La vérité est non négociable. L’incorruptibilité aussi. Nous avons été formés au respect de l’éthique et de la déontologie, nous entendons bien continuer ainsi. Notre seul objectif : que nos travaux, nous le souhaitons de tout cœur, apportent des points d’appui pour les professionnels du droit, des gardiens de la paix, des enseignants, des professionnels de la Santé, des politiques non corrompus et à vous tous… y compris ceux qui sont encore dans le déni.

GUIDE POUR ABORDER L’ENSEMBLE DU DOSSIER

Avant-propos

Ce dossier dans son ensemble a pour but d’apporter un autre regard sur la situation que nous subissons. Il est le fruit de nombreuses recherches et enquêtes transversales puisqu’il n’aborde pas directement la crise sanitaire ni même le quinquennat qui s’achève.

L’objectif était de trouver des arguments et des « faisceaux d’indices » mettant en lumière l’orchestration de l’ensemble des acteurs et spécifiquement ceux de la Ve République pour dilapider la France et créer un terreau propice à la mise en place d’une gouvernance mondiale scientiste. Débusquer des informations complémentaires qui pourraient aider non seulement les personnes conscientes de la prise de pouvoir tyrannique, mais aussi, et peut être même surtout les personnes qui refusent tout dialogue concernant l’actualité.

L’élaboration du dossier n’a pas été chose facile dans le sens où nous avons dû à maintes reprises en repenser le fond et surtout la forme. Il fallait trouver une articulation logique pour ordonner l’ensemble des informations que nous avons recueillies et, autant faire se peut, aborder les événements actuels d’une manière différente et cohérente.

À mesure que nos recherches progressaient, il a fallu nous adapter d’autant plus que sont abordés des sujets peu connus, voir totalement abstraits pour nombre de personnes et même tabous. Considérez chaque partie qui constitue l’ensemble de nos travaux comme des pièces d’un puzzle. Affirmer que la franc-maçonnerie et apparentés sont les réels dirigeants de la France est une chose. Trouver les faisceaux d’indices pour le démontrer en est une autre. Toutes nos investigations n’ont visé qu’à démontrer cela et pour ce faire, rien de mieux que de partir de leurs croyances, symbolisme et culte.

Comment s’articule le Dossier ?

Il s’agit d’un Dossier « à tiroirs ». D’un côté, vous avez le fruit des enquêtes menées par mon mari : « Santé Publique, Bien commun, nanomédecine ; La servitude érigée en raison d’état ». Son travail est exclusivement basé sur la Santé. Il a exhumé des Avis, des textes, des lois, une chronologie et mis en lumière l’ensemble du système mafieux où Politique et laboratoires pharmaceutiques œuvrent de concert pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Si l’approche plus vaste mettant en évidence les pratiques occultes de la franc-maçonnerie et autres sociétés hermétiques, rites sacrificiels politiques ne vous est pas familière, je vous encourage vivement à commencer par cet opus.

De mon côté, je me suis concentrée sur le système parasitaire de type Serpula Lacrymans — ou mérule — pour cerner initialement « l’Organisation » et l’orchestration de la crise sanitaire. La plus grande difficulté a été de trouver un titre pour le dossier. Nous l’avions intitulé ce « Projet FFMOS » pour Fédération Française Métropolitaine et Outremer Souveraine. Somme toute, nous n’étions pas convaincus et surtout nous ne voulions pas être confondus avec d’autres mouvements plus politisés alors que notre objectif est tout sauf de cet ordre.

Et puis, au fil de nos enquêtes, ce qui est ressorti c’est la perte ou plutôt le vol et l’inversion de valeurs communes à tous et toutes quel que soit l’époque où le lieu de vie. Depuis nos plus lointains ancêtres jusqu’à notre époque et pour les siècles à venir sur tous les continents. Des valeurs qui devraient être non négociables que sont la Dignité, l’Équité, l’Universalité et la Solidarité. Il s’avère que l’acronyme donne DéUS.

Après, FFMOS « trop politisé » et DéUS « trop religieux », ou « sortir de la matrice » trop filmographie ; j’ai opté pour les valeurs. Après tout, le camp d’en face utilise et nous fait utiliser à mauvais escient les mots Liberté, Égalité, Fraternité ; nous faisant croire en des principes et valeurs humainement recevables alors qu’il n’en est rien.

Je ne pensais pas que ce dossier serait aussi vaste et conséquent. À maintes reprises j’ai dû en modifier son « squelette », pour finalement aboutir à la version finale. Notez que, vous aurez beaucoup de sujets divers voir de prime abord « non congruents ». J’ai dû chercher un maximum de faits, de faisceaux d’indices qui attestent de la mainmise des sociétés occultes sur notre pays depuis des décennies et même des siècles.

Mon approche est donc pluridisciplinaire. Je m’appuie avant toute chose sur « leurs croyances, leurs rites » en cherchant des preuves matérielles qui attestent de la véracité de l’enquête. C’est triste à admettre, mais nous sommes immergés dans un système occulte. L’affirmer est une chose, le démontrer c’est indispensable, je le répète, mais c’est indispensable. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à apporter un maximum d’illustrations (schémas, photos, dates, références politiques, historiques, religieuses et évidemment des éléments scientifiques puisque nous avons par recoupement défini une chronologie pour les années à venir).

Ont été traduit et décrypté un nombre conséquent de textes : des passages de la Bible, des discours et allocutions de politiques, des peintures maçonniques et autres symboles. J’ai dû également étudier de près certaines lois (loi 1901 et loi 1905) et bien sûr notre Constitution. Mais pas que.

Ce dossier a pour vocation de vous démontrer que c’est l’ensemble des politiques de la Ve République qui est à dénoncer ; pas uniquement « cette présidence ». Si des plus anciens il ne reste plus grand monde, nous avons encore suffisamment d’acteurs majeurs en exercice ou sortis du circuit pour les traduire en justice. En réalité, vous le constaterez c’est bien plus vaste, cependant il me fallait faire des choix.

Ne soyez pas étonnés si je n’aborde que très peu le Sarscov2 ou la « crise sanitaire ». Mon enquête étant axée sur ce qui a mené notre situation actuelle, je ne traite de ce sujet — y compris le gouvernement actuel — que sur la base d’un système plus vaste.

Ne soyez pas non plus offusqués si je dénonce l’ensemble des religions en m’appuyant sur des comparaisons factuelles comme notamment « le Nouvel Ordre du Monde » de la Genèse versus le « Nouvel Ordre Mondial » actuel puisqu’en réalité les élites n’en sont pas à leur premier coup d’essai.

Tout étant intriqué, la difficulté a été pour moi de donner une couleur, un thème spécifique à chaque partie du dossier, le challenge étant d’aborder le modus operandi des sociétés hermétiques en restant centrée sur le factuel, le démontrable et ainsi éviter de ne définir que l’aspect rituel, l’occultisme qui pour nombre de personnes s’apparente à des fantasmes.

Ainsi, chaque chapitre — devenu dossier à part entière — aborde un sujet particulier. Ils sont autonomes et peuvent se lire indépendamment. Cependant, il existe une certaine logique dans l’organisation et la mise en place des informations. Logique résumée en pages suivantes.

Dossier de présentation :

Celui que vous avez entre les mains vous donne la physionomie, l’anatomie du « Nouvel Ordre Mondial 2 .0 ». Il ne s’agit pas ici de reprendre les études faites et partagées par des experts, mais de vous présenter les mondialistes sous un prisme différent.

Si historiquement, il est coutumier de les comparer à une pieuvre, je me suis vite rendu compte que cela n’était pas exactement le reflet de la réalité. Trop restrictif. Et surtout, la « base 8 » n’est pas suffisamment et directement présente pour être significative et le reflet de la réalité. Néanmoins, cette base 8 existe et est non négligeable (les octets en informatique en sont un exemple) et vous verrez dans le déroulé du dossier ce qui se cache derrière ce chiffre « concrètement ».

J’ai donc été amenée à rapprocher le système mondialiste d’organismes vivants bien différents d’octopussy. Une fois que l’on connaît le système parasitaire comparable, il est plus facile ensuite d’aborder son mécanisme d’action.

Parallèlement, conformément au fil rouge décrit précédemment, je me suis penchée sur des analogies plus mythiques, voir mystiques et religieux et qui reprennent les rituels et le culte commun à l’ensemble des mondialistes.

Dossier 1 :

Aborde le système parasitaire ou mérulaire franco-français. Pour ce faire, j’ai défini les contours historiques et politiques en axant sur le système félon et spécifiquement en montrant le mécanisme « unicellulaire » de la Ve République. Dans ce dossier je tire des liens entre le rôle de chaque président de notre République actuelle, et chaque phase du mérule.

Mais, j’y développe également des similitudes avec un passage biblique : l’Apocalypse de Jean, non pas de façon théologique, mais clairement géopolitique. C’est troublant et pertinent. L’ensemble des gouvernements qui se sont succédé depuis Pompidou jusqu’à nos jours sera remis en exergue afin de commencer à démontrer « le système mondialiste » et la préparation minutieuse de l’ensemble des présidences pour démanteler notre pays.

Dossier 2 :

Une fois le cycle du mérule intégré, j’ai pris le pli de placer la chronologie des événements marquants en France et à l’international selon un principe de comptage des mondialistes (francs-maçons et apparentés). Il s’agit d’un découpage en 7 ans. Ces 7 années étant elles-mêmes scindées en 2 phases. Ce dossier est répétitif dans la présentation, puisque je le débute le 1er janvier 2000 jusqu’au 31 décembre 2021. Cependant, il a le mérite de rafraîchir la mémoire et de m’avoir permis d’y incorporer des informations « à charge », toujours en lien avec les sociétés hermétiques de type franc-maçonnique : des liens avec les attentats en France et à l’étranger, les implications réelles des politiques français dans les actes terroristes notamment l’intrication avec le Mali bien d’autres informations somme toutes que nous avons choisi pour mettre en avant les rites maçonniques couverts par des événements officiels tels que des inaugurations ; mais qui sont en réalité des actes cultuels et des mystifications à la vue de tous.

Dossier 3 :

Dans la continuité des dossiers précédents, sont amenés des éléments et informations complémentaires qui devraient donner des sueurs froides aux mondialistes français « tout corps d’état ». Parmi les éléments, par exemple, je vous donne des informations qui attestent du fait que le Consortium République Française a été cédé à l’OMS en mars 2020 et est devenue un Dominion de l’Organisation Mondiale de la Santé. Que le VRP première classe n’est nul autre que Jean Yves le Drian qui en échange de ses bons et loyaux services à obtenu le fief Bretagne. Mais aussi que la gestion de la crise sanitaire a été calquée sur le « Plan France Ebola » commandé par Emmanuel Walls à Jean-François Delfraissy en 2014, alors qu’il existe un autre plan d’action visant à prendre en charge des épidémies de type coronavirus ou d’autres catastrophes sorti la même année. D’autres informations « à charge » sont présentes dans ce dossier, comme le rôle des « immortels », à savoir l’Académie de la Morale et de la Politique et bien d’autres choses encore. Je mettrai en lumière ces autres « acteurs » — bien discrets — qui ont largement contribués à la mise en place d’un régime autoritaire de type Dominat Romain, cette Académie de la morale et de la politique » qui a travaillé durant l’année 2020, à la demande d’Emmanuel Macron, sur un seul thème : « le pouvoir ». Enfin je vous donnerai également des pistes pour identifier, trouver et apporter des éléments à charges.

Il s’agit ici de la partie la plus chronologique quant à la mise en place de la politique d’Emmanuel Macron, version coulisses. Celle qui devrait donner des pistes de recherches complémentaires pour les professionnels du droit, mais aussi les acteurs politiques qui s’opposent au « gouvernement de façade » actuel et à toutes personnes qui ont besoin d’arguments tangibles pour démontrer l’orchestration des décisions.

Je vous donnerai et partagerai également d’autres informations concrètes et retours d’expériences sur le terrain comme, par exemple, le fait que ma plainte auprès du tribunal d’instance n’ait pas été déboutée.

Dossier 4 :

Il traite de l’un des idéaux maçonniques : la ruche et le système pyramidal qui en découle et réciproquement. Dans ce dossier je vous apporte des éléments de compréhension sur le principe de l’Eusocialité (mode sociétal des insectes de type hyménoptère comme les abeilles, les fourmis et a fortiori les « guêpes maçonnes »). Pour mener à bien cette partie, j’ai dû remonter plus loin dans notre Histoire, au siècle des Lumières, puis revenir à notre actualité et le modelage social ou sociétal auquel depuis des siècles les francs-maçons se sont attelés pour préparer le Nouvel Ordre Mondial.

Dossier 5 :

En écho aux propos tenus par Emmanuel Macron, ce dossier ou chapitre aborde le Système Jupitérien. Cette partie est complexe. Y sont abordées des informations mythologiques et mythiques, historiques, et politiques (entre autres). Et vous verrez que la Loi 1905 de séparation de l’église et du pouvoir politique a largement été remaniée, y compris depuis l’investiture d’Emmanuel Macron.

Dossier 6 :

Ce chapitre quant à lui est centré sur la parèdre (jumelle et épouse) de Jupiter selon la mythologie grecque. Le thème est simple : rechercher les symboles cachés francs-maçons et significations réelles de nos emblèmes nationaux. Sujet passionnant puisque je décrypte le Grand Sceau de France, l’hymne national — entre autres — mais depuis les coulisses. Et l’envers de décors et révoltant.

Dossier 7 :

Il s’agit essentiellement de mettre en avant la signification de certains symboles franc-maçonniques et/ou religieux. Mais aussi de donner des informations vérifiables évidemment sur certaines réalités telles que : ce qui se cache dans les textes dits sacrés.

Je préfère vous avertir, dans ce dernier dossier, très conséquent tant sur les thèmes que les nombres d’éléments traités, j’y aborde des sujets difficiles. À la fois par le biais des liens philosophiques, religieux, scientifiques.

Je vous décrypte en partie seulement la réalité de certaines peintures maçonniques, le sens des piliers Boaz et Jaquin (mais pas la version édulcorée et rabatteuse en vue de se faire une virginité et recruter des apprentis), j’y ajoute même des perspectives scientistes sur l’une des volontés cachées des injections biochimiques avec bien entendu des démonstrations.

Dossier « annexes » :

Nous avons complété nos enquêtes avec un dossier annexe. Étant donné le nombre de ressources que nous avons eu à traiter, vous apporter des éléments autrement qu’en citant les références nous a semblé opportun. En effet, il faut comprendre que par références nous parlons de plusieurs centaines, de diverses natures et sous divers formats.

Les références

Vous constaterez que les dossiers sont riches d’illustrations. J’ai opté pour ce format pour appuyer les informations que partagés. Elles sont de natures très variées (photos, schémas, tableaux…), mais permettent une meilleure compréhension, surtout lorsque des sujets touchant au symbolisme, à l’ésotérisme (ou occultisme) des mondialistes sont mis en avant.

Cela explique le volume de l’ensemble de l’enquête.

Il y a également de nombreux apartés étymologiques puisque l’une des « armes » de manipulation massive utilisées par les mondialistes est justement l’écart-type entre leur manière de communiquer et l’appauvrissement de connaissances en vocabulaire de plus en plus généralisé. Vous constaterez qu’ils manipulent les mots avec autant d’aisance que des chercheurs les tubes à essai.

Quant aux références — proprement dites — il m’a été compliqué de les inscrire de façon académique et conventionnelle. Comme c’est le cas pour le Dossier conjoint. La plupart figurent en fin de pages, mais il faut bien comprendre que pour un seul sujet donné, il a été nécessaire de chercher parfois sur diverses ressources, divers articles de journaux (français et étrangers).

Prenons l’exemple de la Constitution de la Ve République : pour l’aborder, il aura fallu travailler sur la version initiale de 1958, en faire une analyse point à point (article/alinéa), en traduire la signification « au réel » dans le contexte de l’époque tant sur l’intrinsèque (la France géopolitique avec ses territoires et ses colonies) que sur l’extrinsèque (relations internationales). D’emblée il en ressort de VRAIES ANOMALIES.

Ensuite, comme pour les lois, chaque articulation du squelette de la Constitution a été prise individuellement pour comparer les modifications (ajout/retrait) par alinéa, en prenant soin d’en préciser le contexte politique (quel président, quel gouvernement, et que penser des modifications).

Conjointement, on a pris en compte des attributs importants qui représentent la France comme le grand Sceau de France et les remarques faites par des spécialistes tels que le Président des Sceaux (à ne pas confondre avec le Garde des Sceaux), là encore : ANOMALIE.

Sans compter les comparaisons entre les différentes autres Constitutions qui ont précédé, et les différentes ressources ayant permis de comprendre le scénario écrit de toute pièce par le cartel français maçonnique.

On peut dès lors comprendre qu’inscrire l’ensemble des ressources en références a été matériellement impossible, autant mettre l’ensemble de la toile, livres d’histoire, archives INA et vos bibliothèques communales. Multiplié par l’intégralité des sujets abordés, bien entendu.

Cependant, ajouter une bibliographie permet de donner du corps, c’est la raison pour laquelle elle a été inscrite ici dans le déroulé du « Tome 0 » puisqu’elle est commune a tous les dossiers. La liste n’est qu’indicative, comme pour le reste des ressources sur lequel on a travaillé.

Bibliographie

• « Trésors d’Égypte. Les merveilles du Musée égyptien du Caire » (sous la direction de Francesco Tiradritti, photographies de Araldo de Luca. Édition Gründ).

• « La vie quotidienne de Mayas et des Aztèques » (Eric Taladoire. Édition Hachette).

• « Secret maçonnique ou vérité catholique » (Serge Abad-Gallardo. Édition Artège).

• « Traité de la couleur thérapie pratique » (Pierre Van Obberghen. Guy Trédaniel éditeur).

• « Mayas, Incas, Aztèques… L’histoire des empires précolombiens. Les dernières découvertes » (Géohistoire — hors-série).

• « Créatures et autres monstres… Une histoire des peurs ancestrales » (Toutes les mythologies/ n° 7 Sept.Oct.Nov. 2021).

• « De la démocratie en Amérique. Tome II, partie IV » (Toqueville.Edition Flammarion).

• « La Bible de Jérusalem » (Édition Cerf)

• « La République » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Le Banquet » (Platon. Edition Garnier Flammarion).

• « Discours de la méthode » (Descartes. Edition Garnier Flammarion)

• « De la démocratie en Amérique Tome II » (Tocqueville. Edition Garnier Flammarion).

• L’ensemble des Constitutions depuis la Révolution française,

• Loi 1901

• Loi 1905 de séparation de l’église et de l’état.

• Le Livre Blanc de la Sécurité intérieure et son annexe (Préfacés par Gérard Darmanin).

• Dossier Ebola France (Commandé par Manuel Walls à Jean-François Delfraissy).

• Dispositif ORSAN.

• Atlas 2000 (Édition Nathan, 1990 versus 2021)

• 20 ans d’archives professionnelles (comme la revue spécialisée « Visite actuelle », les cours de faculté de pharmacie),

• « Anat, Physio, Bio » (Arne Schäffler, Sabine Schmidt. Édition Maloine).

• « Visiteur médical, un vrai métier » (Karen Weic-Ennedam. Édition Heures de France)

• « Le métier de médecin » (Georges Tchobroutsky et Oliver Wong. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

• « L’industrie pharmaceutique » (Jean-Paul Juès. Édition PUF/ collection Que sais-je ?)

Divers ouvrages en apiculture, des références en égyptologie (newsletter Academia.EU), en histoire gréco-romaine, en mythologies diverses, en symbolisme, en pharmacie et médecine également, en peinture, sculpture, ainsi que de nombreuses ressources étrangères et les ouvrages traitant d’occultisme et de franc-maçonnerie….

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne lecture.

MIEUX CONNAÎTRE SON ADVERSAIRE

Introduction

Dans ce chapitre, l’objectif est de définir le Nouvel Ordre mondial, mais avec une approche quelque peu différente de ce qui est couramment partagé et fait consensus. Reprendre les travaux expliquant le rôle des Khazars, de la City du Londres, du Vatican ou autres sujets d’actualité n’auraient eu aucune pertinence. Ici, il s’agit de donner une anatomie à ce système, en quelque sorte.

De plus en plus de personnes sont conscientes des influences de la franc-maçonnerie, des mondialistes, des Global Goals ou tout autre groupe tel que les nazis. Les noms associés à ces « influenceurs » sont connus internationalement, qu’ils soient en lien avec le monde des finances, de la politique, de la religion, de l’industrie ou du divertissement. Mais il fallait, pour donner un canevas au dossier, décrire une anatomie compatible avec le mode de fonctionnement de l’ensemble des différents corpus.

Le challenge a été de rapprocher l’ensemble des éléments et de trouver un ou des équivalents pouvant correspondre. Et comme expliqué en présentation, la pieuvre est par trop restrictive. Il aura fallu comprendre que ce que nous appelons aujourd’hui le Nouvel Ordre Mondial est un système polymorphe décrit depuis des millénaires, de façon mythique, mystique, historique et politique sur tous les continents et dans toutes les cultures.

Ce qui suit n’est qu’un aperçu de ce que peut être cette entité en commençant par une vision mythique-religieuse puisqu’il s’agit du Léviathan, pour établir des analogies plus concrètes et proches de nous dans la mesure où l’on fera des parallèles avec des organismes de type parasite.

Quelques repères

Pour commencer, il est important de rattacher les mondialistes à leur calendrier. Si les dossiers ont commencé à être rédigés et les informations compilées à partir du mois d’octobre 2021 ; pour les francs-maçons et affiliés, nous étions en 6021.

Ce décalage de 4000 ans atteste du fait que ce mouvement est bien antérieur aux dates officielles de création des loges maçonniques. Le fait est qu’il ne portait pas le même nom tout en ayant le même mode opératoire. Le fonctionnement des mondialistes contemporains étant identique à leurs prédécesseurs (c’est la seule chose immuable les concernant), pour définir des « planches anatomiques » les dépeignant, il aura fallu remonter dans le temps.

Il existe un nombre conséquent de calendriers, qu’ils soient solaires, lunaires, semi-lunaire, chaque civilisation a créé son outil de calcul des cycles du temps pour des raisons diverses et variées. Sur le même principe de l’astronomie : sur deux critères majeurs, le premier absolument « terrestre » ou exotérique et le second étant ésotérique et donc « céleste ».

Pour les premiers, il s’agissait de prévoir les cycles strictement liés à la nature pour des raisons pragmatiques et tangibles visant à ce que l’humanité devenant de plus en plus sédentaire et agricole puisse anticiper les semences et récoltes. C’est de façon schématisée le principe de l’almanach.

Les seconds quant à eux, sont destinés à des pratiques plus ésotériques. Par ésotérisme, il ne faut pas entendre « pratiques occultes », bien que pour les mondialistes ce soit l’essence de leurs rituels et cultes. Ici, il s’agit des connexions avec ce qui s’apparente à l’intangible de la façon la plus large possible. Dans ce cas, ce comptage calendaire s’apparente plus à de l’astronomie ou de l’astrologie et fait appel à des mythes et croyances propres à chaque civilisation.

Dans certaines contrées plusieurs calendriers cohabitaient comme par exemple, chez les méso-américains, comme les Aztèques et les May as. En effet, ils utilisaient deux « échelles de temps » ou calendriers. L’un rituel et religieux (le calendrier Tzolk’in est basé sur un cycle de 13 × 20 = 260 jours à caractère divinatoire et religieux du calendrier maya) et le second, civil généralement appelé « cycle long » en opposition au cycle court et au calendrier cosmique (solaire et vénusien).

Le fonctionnement concomitant de plusieurs « temporalité » est finalement le schéma qui est le nôtre : le calendrier des initiés, celui des francs-maçons par exemple et celui des sociétés civiles. Concernant les francs-maçons, leurs calendriers au nombre de 4 sont basés sur la création du monde dite symbolique ou « Anno Lucis » (traduit par le maçon en « Année de la Lumière ») à différencier de l’Anno Mundi (traduit par « année du monde »). Une année franc-maçonne Anno Lucis début le 1er mars1. On trouve l’Anno Ordinis en soustrayant 1118 de la date actuelle.

L’Anno Ordinis est utilisé par les Chevaliers Templiers du Rite d’York. Le dernier calendrier étant Anno Inventionis : l’année de la découverte directement liée au Roi Salomon. Le calendrier maçonnique utilisé par l’Arche Royale (qui regroupe les degrés 4 à 7 du Rite d’York) date de l’année où Zorobabel a fait construire le second temple de Jérusalem, en 530 avant notre ère. On trouve donc l’Anno Inventionis en ajoutant 530 ans à la date actuelle.

Le fait qu’il soit dit que les francs-maçons soient lucifériens provient très probablement de l’Anno Lucis.

Par principe, tout ce qui est partagé par les mondialistes — d’où qu’ils viennent — n’est pas à prendre au pied de la lettre. Ainsi, la version officielle accessible de tous justifiant le choix d’ajouter 4000 ans à notre calendrier civil et internationalement reconnu n’est pas satisfaisante.

Il faut chercher d’autres motivations, et voici une hypothèse qui peut tout à fait expliquer le chiffre « rond » des 4000 ans et le 1er Mars comme premier jour de l’année maçonnique. Il ne faut pas oublier que les mondialistes ont pour obligation de toujours communiquer sur leurs projets et actions, et toutes les informations sont présentes dans leur communication. Seule « coquetterie », si le fond doit être présent ; la forme est libre.

  • Si l’on part du principe qu’Anno Lucis ne veut pas dire « année de la lumière », mais « Année Lumière », dans ce cas les francs-maçons font référence à une distance astronomique et absolument pas symbolique comme ils s’entendent à le faire savoir. Il se trouve que de plus en plus régulièrement dans le milieu des astronomes, des découvertes sont faites justement à l’échelle des 4000 années-lumière.2
  • Il y a d’abord une exoplanète diamantine baptisée « 55 Cancri e »,3 car située dans l’ère du Cancer. Son nom commun est Janssen, comme le laboratoire. Il existe différentes versions concernant cette exoplanète dotée d’une sœur jumelle Galileo. Cependant, les points de convergence avec le calendrier franc-maçon sont suffisamment présents pour vous le mentionner.
  • Ensuite, depuis ces dernières années et plus particulièrement ces derniers mois, le milieu de l’astronomie communique de plus en plus souvent sur les phénomènes provenant de cette distance (pas nécessairement en lien avec la planète Janssen). Il s’agit ici de « pulsation radio »4.
  • En cherchant de façon plus large, il s’est avéré que le site de vente par correspondance « Ali express » avait comme thème justement « 4000 années-lumière »5. Ce détail pourrait sembler insignifiant ou totalement décalé. Dans ce cas, il est bon de rappeler quelques points sur Jack Ma qui fut PDG de cette entreprise. En 2001, Jack Ma6 a été nommé « Young Global Leader » par le World Economic Forum. Il a reçu la distinction de « Chevalier de la Légion d’Honneur en 2016 (remis par Laurent Fabius7). Notez que le Journal du Dimanche indiquait dans son article que Jack Ma avait également rencontré le « ministre le plus en vue du gouvernement » de l’époque : Emmanuel Macron. Fait intéressant : la disparition du PDG chinois plusieurs en 2020 (en pleine turpitude covidienne) et son retrait du monde des affaires officialisé par vidéo en 2021.
  • Retour en arrière : à cette époque en mai 2016, il est toujours ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Emmanuel Macron lance samedi 28 mai une « grande marche » des adhérents de son propre mouvement politique, « En marche ! » créé le 6 avril à Amiens (Somme)8 (7). Aujourd’hui, Emmanuel Macron est président de la République, Laurent Fabius9 est Président du Conseil constitutionnel français, en fonction depuis le 8 mars 2016 (8) et accessoirement l’un de ses fils, Victor Fabius10, est directeur associé du Cabinet Mc Kinsey. Notez tout de même que sur la biographie du fils il est notifié qu’il est « Membre du pôle d’activité Consommation et Distribution de McKinsey, Victor Fabius est le chef de file en France du pôle de compétences Marketing et Ventes. »(9)
  • Autre indicateur à prendre en compte : le premier jour de l’année maçonnique, soit le 1er Mars. Il faut relier ce mois au dieu Mars11 du panthéon romain (10). Dans la mythologie romaine, Mars est le dieu des guerriers, de la jeunesse et de la violence, dieu de première importance dans la Rome antique en tant que père de Romulus et Rémus, fondateur et protecteur de la cité. Associé à deux autres Dieux majeurs comme Jupiter (Dieu du ciel et de la terre) et secondaire (Quirinus communément définit comme le Dieu des hommes). Ce dernier sera par la suite assimilé à Romulus l’un des jumeaux.
  • Nous avons donc pour le calendrier maçonnique le mois de mars faisant référence au dieu guerrier appartenant à la triade précapitoline, terme qui dans sa version contemporaine fait entre autres écho à des organisations criminelles (Triade de Hong Kong), mais aussi d’un point de vue strictement religieux à la Trinité et d’un point de vue géométrique au triangle. Et en l’occurrence, le triangle est l’un des symboles les plus connus de cette organisation.
    La triade capitoline formée par Jupiter-Junon (sa parèdre et jumelle) et Minerve sera détaillée ultérieurement.
  • À noter que, pour appuyer le fait que deux calendriers coexistent à notre époque sur les modèles méso-américains (l’un cultuel, le second civil), le premier jour de l’année en janvier aux temps antiques romains correspond à la vie politique de type républicaine : plus précisément au début d’exercice et nomination des magistrats. En ce temps-là, il n’était pas question de Saint-Sylvestre — fête romaine visant à chasser les mauvais esprits — ou de fête religieuse honorant le Pape Sylvestre 1er.

Il va de soi, que l’ajout de 4000 ans, un chiffre rond, a contrario du calendrier juif qui régit l’anno mundi largement expliqué par les francs-maçons eux-mêmes. Ici, n’ont été apportées que des remarques permettant d’élargir la compréhension du mécanisme des loges. Elles sont la résultante de recherches se voulant justement en dehors des sentiers battus ou consensuelles.

Cependant, l’ouverture sur des sujets connexes aura permis de trouver un nombre incalculable d’éléments congruents qui seront étayés tout au long des 7 dossiers ou tomes résumant l’ensemble des recherches.

Après une prise en main qui d’emblée montre que le monde vit sur des temporalités différentes — un monde à deux vitesses et plus — il est temps de décrire ce nouvel ordre mondial selon différents modèles ou facettes. Par commodité, l’acronyme NOM sera utilisé.

Le Nouvel Ordre Mondial, leur attrait pour la numérologie

Faire le lien entre le NOM et le symbolisme des chiffres est un passage obligé. Dès lors que l’on intègre que tous — sans exception — sont initiés aux pratiques occultes au sens le plus large qui nous soit donné de connaître. Par « sens le plus large », il faut entendre les diverses sources de connaissances et savoirs des pratiques occultes.

Là encore, il ne fait plus aucun doute qu’au fil des siècles les apports cultuels et rituels distribués sur l’ensemble des continents ont abouti à ce que l’on pourrait résumer en un patchwork d’influence… ou la « mondialisation occulte » qui n’est pas non plus exclusivement destinée à être pratiquée dans les bas-fonds des loges ou autres temples voués à leurs « divinités »

Si le chiffre 666 est celui qui est le plus médiatisé de part et d’autre de l’échiquier, le constat fait par nos enquêtes a mis à jour l’importance d’un autre chiffre, qu’il soit pris en solo ou démultiplié.

Comme énoncé précédemment, la difficulté que j’ai rencontrée pour cerner « la physionomie » du Nouvel Ordre Mondial est de ne pas rester campée sur les seules informations qui circulent, à juste titre — sur les points d’accroche des « 1 % ». Puisque nous sommes dans un monde dual, ou polarisé à la manière d’une simple pile.

Ainsi, le rôle ou la polarité du chiffre 7 n’a pas la même signification si l’on est le joueur d’échecs aux pièces blanches ou l’adversaire.

Pour les biologistes ou experts de la faune ou la flore, le 7 est présent dans de nombreux domaines : le cycle de vie ou les 7 « métiers » des insectes comme les abeilles ou guêpes qui sera repris dans un dossier dédié pour décrypter l’idéal sociétal maçonnique. La gamétogénèse ou le cycle des cellules reproductives (ovulation répartie par cycle de 7 jours), également analysés par analogie avec le mythe de la Caverne de Platon dans le dossier 7… Justement.

Pour les praticiens en numérologie, cartomancie ou toute autre approche spirituelles/ésotérique « positive », la symbolique est abordée selon un seul prisme qui confère un sens lui aussi bénéfique et divin.

Pour les croyants (juifs ou chrétiens par exemple), il leur est enseigné que le 7 est le chiffre de la perfection divine. Les références dans les textes sacrés sont pléthores.12 Le 7e jour, les 7 péchés capitaux, les 7 cavaliers de l’Apocalypse, les 7 orifices de la tête…

Certaines de ces références en lien avec les textes dits sacrés seront — elles aussi — abordées sous un prisme, un regard totalement différent, dès ce dossier puisque nous rapprocherons le nouvel ordre mondial avec le monstre mythique et ou mystique le Léviathan. Quant aux 7 cavaliers de l’Apocalypse, démonstrations à l’appui, ils seront mis en relation avec chaque président de la Ve République française.

Prenons deux exemples bien concrets à la fois anatomiques et chromatiques qui sont également présents dans les religions monothéistes actuelles ainsi que dans les cultures notamment au Congo13 :

  • Les 7 orifices de la tête
  • Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel.

Nous démontrerons qu’à l’instar d’une médaille, le chiffre 7 a son avers (de polarité positive) et son revers (ce qui nous est caché ou nous formate et induit en erreur). Il ne faut pas oublier que l’objet de ce chapitre est de définir les raisons qui poussent les mondialistes à accorder une importance particulière à ce chiffre 7. Rien que leur attrait doit susciter une interrogation de type « qu’est-ce que cela cache ? »

• Les 7 orifices de la tête :

2 yeux, 2 oreilles, 2 narines, 1 bouche. Rien de plus basique. Sauf que, si les six premiers orifices fonctionnent par paires et n’ont qu’une fonction rattachée à un sens pour faire simple. La bouche quant à elle est bien plus complexe dans son fonctionnement. Il est vrai que les narines servent à la respiration (inspire, expire et à l’olfaction) cependant les fonctions sont très proches et liées.

Alors que la bouche sert à s’abreuver et s’alimenter, à parler, également à respirer dès lors que le nez ne peut plus jouer son rôle. Jusque-là rien de nouveau. Pourtant, la bouche est le seul orifice qui voit chacune de ses fonctions doublées en quelque sorte ou polarisées.
Ainsi, pour l’alimentation liquide et solide : soit on ingère, soit on vomit.
Pour les paroles : même principe, soit on parle avec bienveillance, soit on s’exprime avec malveillance.
De la même manière, soit on embrasse, soit on mord.

Il est clair qu’ici les points abordés seront indicatifs. Il ne s’agit pas de détailler ou de faire une thèse sur le sujet. Mais cela permet d’aborder la signification du 7 d’une manière moins partiale. Ici, le 7e orifice de la tête (ou cap pour reprendre un terme désuet) voit donc chacune de ses fonctions multipliées par deux et il est certes plus agréable de recevoir des mots doux plutôt que du vomi.

• Les 7 couleurs dites de l’arc-en-ciel :

Ici aussi, nous sommes face à concept « faux ami ». S’il est courant de lire que le prisme chromatique est composé de 6 couleurs distinctes — les trois couleurs primaires alternées avec les secondaires — parler de 7 couleurs est un raccourci à plus d’un égard.
Première erreur : ne pas prendre en considération le fait qu’il existe deux types de couleurs. La couleur lumière et la couleur objet14. L’immatériel et le matériel. L’intangible et le tangible.

Ainsi, dire que le blanc est une couleur est faux. C’est la résultante du mélange des 6 couleurs contenues dans l’arc-en-ciel et perceptibles par nous. D’autres espèces ne distinguant pas les mêmes prismes chromatiques que l’humain.
Dire que les 6 couleurs précitées donnent la couleur blanche est partiellement vrai, et donc partiellement faux. C’est le cas si l’on considère « la couleur lumière », mais il est bien de le spécifier.
Ce n’est pas le cas si l’on évoque « la couleur objet ». Généralement, on est plus proche du noir que du blanc lorsque l’on mélange les gouaches.

Si l’on reprend le sujet « chiffre 7 ». Par la démonstration très schématique des couleurs, on voit que pour un même sujet — le mélange des teintes — le résultat obtenu diffère en fonction de la source : immatériel d’un côté et matériel de l’autre. Blanc versus noir. Le principe de la polarité ou du damier de l’échiquier a fortiori maçonnique.
D’où l’importance de véritablement remonter à la source ou du moins de s’en approcher et de veiller à ce que les termes de l’énoncé soient impartiaux en quelque sorte et le plus exhaustif possible.

Le schéma suivant donne une vision du processus. Bien qu’il s’agisse ici de mélange de couleur à partir de même source, ce qu’il est intéressant de noter c’est l’aspect « addictif ou soustractif ». Par extension cela nous ramène à la symbolique du 7 selon les mondialistes. Rappelez-vous que l’objectif est de borner le système de ces derniers en donnant des arguments synthétiques justement.

Une chose est certaine, c’est que sur toute la planète le 7 suscite bien des interrogations et des croyances. À la fois craint et vénéré. Il suffit de regarder sur internet pour se rendre compte de l’envergure des informations relatives à ce chiffre.

Voici la « version officielle » maçonnique extraite du site en référence 17.

• Les francs-maçons et le chiffre 715 16 17

Voici ce que les maçons présentent à propos du symbolisme du chiffre 7 :

Le Sept

L’origine du sept remonte aux sept fonctions de Dieu émanées dans tout l’univers. Le sept le plus connu est celui des jours de la Genèse.

En Franc-Maçonnerie, il correspond au chandelier à sept branches avec l’ordre d’allumage des bougies :

Il représente ainsi la transmutation de l’homme qui part du cœur (soleil).

Cette idée est souvent retrouvée dans la théosophie chrétienne notamment dans la lignée de Jacob Boehme. Par exemple, dans la théosophia practica nous trouvons l’image suivante :

Sur cette image on constate que le feu central immergé dans le cœur de l’homme est entouré d’un serpent qui ferme et empêche la propagation de la lumière. Une fois cet obstacle franchi le feu va pouvoir se propager dans tout le corps par sept centres qui sont eux-mêmes à déboucher.

• Les 7 devoirs des francs-maçons18

  1. Combattre pour la liberté absolue de conscience
  2. N’imposer aucun livre sacré en loge
  3. Accepter le dialogue sur tous les sujets
  4. Placer le Bien de l’humain en référence de la morale
  5. Œuvrer au progrès de l’humanité
  6. Soutenir la laïcité
  7. Défendre la République

Remarque :

Si l’on considère ce chiffre 7 exclusivement selon la version altérée ou négative propre aux sociétés secrètes ou hermétiques ou simplement l’occultisme voici ce qui ressort :

Concernant le 7e devoir des FM. Il faut comprendre que République ne signifie pas Démocratie. En réalité, c’est tout le contraire, dans le sens où le modèle auquel se réfèrent les francs-maçons — et apparentés — relève du modèle antique romain fondé sur l’esclavage généralisé. Ce sujet sera détaillé dans les dossiers suivants.

La Laïcité, autre hypocrisie maçonnique. Comment une organisation qui se réfère à des cultes aux origines multiples peut-elle « soutenir la laïcité » ? De plus en décryptant la loi 1905 de séparation de l’église et de la politique, vous constaterez que la France est littéralement sous la coupe des hermétiques mondialistes.

Quant aux autres « devoirs », ils sont à mettre sur le même registre.

Tout au long des 7 dossiers — à prendre comme un pied de nez à l’égard des mondialistes — seront mis en avant les liens avec le chiffre 7. Que ce soit sur les années clés, le mois de juillet, les jours ou tout autre événement ou support.

L’intérêt porté à ce « numéro magique » nous a été soufflé en quelque sorte en écoutant un discours de Christine Lagarde tenu le 15 janvier 2014 à Washington DC au « the National Press Club ».

Dans son intervention Christine Lagarde, alors Directrice générale du Fonds monétaire international, ne s’est pas contentée de rappeler l’importance des calendriers maçonniques « anno mundis » et « anno Lucis » (dès 1 minute 40 dans les vidéos accessibles sur YouTube). Elle a littéralement donné un cours de numérologie à l’ensemble des personnes présentes ainsi que toutes celles qui regarderaient des retransmissions. Elle a décrit ce chiffre comme « magique », et donne des méthodes de calcul numérologique comme « la compression » ; c’est-à-dire réduire les numéros de telle sorte que l’on obtienne un chiffre compris entre 1 et 9.

• 12345 : 1 +2 +3 +4 +5 = 15, 15= 1 +5= 6. 6 est le résultat numérologique compressé.

Ensuite, Christine Lagarde explique que le zéro n’existe pas en numérologie en s’appuyant sur un exemple concret :

• 2014. Il ne faut tenir compte que des 2, 1 et 4 qu’elle additionne pour obtenir 7. Parenthèse, le zéro ayant été apporté par les érudits arabes, il est probable que cette pratique ésotérique soit antérieure à la création dudit zéro.

S’ensuit une succession de « dates anniversaires » qu’elle corrobore avec la numérologie.

Il faut reconnaître que cette information nous a été d’une grande aide dans nos recherches, à commencer par le tri et la priorité que l’on devait accorder à l’ensemble de nos archives, sur le choix des années à étudier, les mois de juillet, les jours 7, 14, 21, 28 entre autres puisque cela peut tout aussi bien concerner des distances, des références de tout type.

Par exemple le célébrissime James Bond, agent 007. En faisant des recherches sur le patronyme Bååt19 pour les besoins de nos enquêtes. Il se trouve que l’un des noms de famille dérivés est Bond(e). Ajoutez à cela le 007, vous obtenez des informations qui prises individuellement semblent peu importantes, mais qui mises dans un ensemble donnent un canevas plus que pertinent.

Plus proche de nous et bien moins fictif : le 14 juillet. Le jour de la fête nationale est incontestablement une date maçonnique. Le mode de calcul est quelque peu différent. Ainsi, il ne faut pas additionner les chiffres comme précédemment, mais raisonner en multiple de 7.

  • 14 donne 2X7 et mieux encore 7 +7
  • 07 donne 7.

La résultante est que le 14 juillet correspond à une suite de trois 7 ou 777

Là encore ce n’est pas à mettre sous le tapis. En effet, tout comme le 666 a une signification particulière, il en est de même pour 777.

Cette suite entre dans le giron de la Kabbale20 (Les Qliphoth — en hébreu, תופילק, parfois orthographié Klipoth ou qelipoth — qui signifient « écorces » ou « coquilles » se réfèrent aux forces du mal ou aux impuretés de la matière dans le cadre de la Création) et la kabbale hermétique21 « 777 et autres écrits kabbalistiques » d’Aleister Crowley est une collection d’articles écrits par Aleister Crowley. Il a été édité et présenté par le Dr Israel Regardie.

Ce qui ressort des articles mis en référence, c’est le côté pratique démoniaque et hermétisme lié à certains chiffres bien particuliers. Et si l’on reprend la citation d’Albert Camus, selon cette lecture, on comprend alors pourquoi le « XXIe doit être spirituel ou ne sera pas. »

• XXI donnant 21, soit 3X7 ou 777…. Comme l’année 2021 qui double la mise en quelque sorte.

Par hermétisme, il faut bien sûr faire le lien avec le lien avec Hermès le Dieu Grec des voleurs, du commerce et de la négociation)2223. La fourberie, le mensonge font également partie des qualificatifs de ce dieu, pourtant « messager des Dieux ».

Si l’on considère que les mondialistes se prennent pour des individus supérieurs ; dans ce cas les médias sont la transposition d’Hermès. On comprend mieux le mensonge. L’hermétisme définit également le secret. Enfin, et ce n’est pas des moindres, l’un des attributs de ce dieu (hormis le casque ailé d’Astérix) est un caducée.

Ce caducée est différent de celui d’Asklépios (ou Esculape)24. Asklépios25 étant l’ancêtre des médecins Asclépiades, une dynastie exerçant à Cos et Cnide, dont Hippocrate est le plus illustre membre.

Avec la crise sanitaire et l’apparition des « médecins de plateaux » accompagnés de chroniqueurs et autres « messagers des dieux », nous assistons à l’émergence d’un troisième caducée. Un hybride pourvu non pas d’un ou de deux serpents, mais plutôt de trois.

L’une des armes utilisées par les mondialistes depuis des millénaires c’est la programmation mentale, et désormais lorsque les termes « spiritualités » ou « spirituel » sont utilisés, ils suscitent des réactions antagonistes : le côté totalement perché, n’ayons pas peur des mots, et le rejet justement lié à l’image galvaudée ou véhiculée par manque de connaissance. Or la spiritualité n’a rien de tout cela.

Pour ne pas induire d’erreur d’appréciation, en lieu et place de la spiritualité ; pour celles et ceux qui se sont pas à l’aise avec ce mot et en méconnaissent le sens, il est conseillé de changer le terme par « esprit ou mental » voire « réflexion » ou « pensée ».

Si l’on reprend la citation d’Albert Camus et que l’on en change le mot clé, cela donne une approche plus proche de notre réalité et du langage courant. Dire que le XXIe Siècle sera celui de la réflexion ou ne sera vue notre actualité prend tout son sens puisque nous sommes véritablement confrontés à une « guerre » de schémas de pensées où la réflexion, ou son absence, détermine au quotidien les choix de tout à chacun.

Puisque le nouvel ordre mondial agit contre l’ensemble du vivant, humanité incluse depuis ce que l’on va appeler la nuit « de leur temps », soit au moins 6021 années ; tout ce qui est à notre disposition en matière de ressources historiques, mythologiques, religieuses… peut et doit servir à trouver des indicateurs ou indices pouvant les mettre devant des faits avérés.

Par exemple, que ce soit le XXIe Siècle — qui n’en est pas encore à son premier quart — qui connaisse de tels mouvements, de tels chaos, n’est pas un hasard. Dès lors que toute l’histoire qui nous a précédés a été orchestrée selon leurs scénarii avec en point d’orgue des rites, des fréquences, bien spécifiques ; au fil des dossiers l’importance de la numérologie pour les mondialistes et — entre autres — les francs-maçons sera une évidence.

Et si nous résistons aux divers assauts des mondialistes, il faut s’attendre à ce que 2025 soit une année particulièrement tendue puisque Christine Lagarde dans son discours de 2014, expliquait que les 25 ans de la chute du mur de Berlin était une date clé en base 7 (2 +5= 7).

Les chapitres suivants vont définir le nouvel ordre mondial selon d’autres critères, d’autres paramètres et d’autres références. Après la signification du chiffre 7, il va s’agir de définir des critères récurrents utilisés par les mondialistes, peu importe leur nom d’emprunt. Par la suite seront abordés quelques repères anatomiques et physionomiques du nouvel ordre mondial.

Partant du principe que ce cartel est millénaire (nouvel ordre mondial actuel = « nouvel ordre du monde » de la Genèse) et polymorphe ; les sources de comparaisons seront diverses et variées, alliant mythes, mythologies, histoire des civilisations… Bien entendu dans le dossier de présentation, il n’est pas question de détailler, mais de donner des points d’accroche à la manière des murs de varappe.

Le Nouvel Ordre Mondial et ses différentes références

Tel qu’énoncé précédemment, on va dresser une liste non exhaustive des éléments incontournables qu’utilise le nouvel ordre mondial. Certains sont très anciens, mais pas désuets pour autant. Bien au contraire, ils n’ont jamais autant été présents dans nos environnements… jusque dans nos placards.

Parmi les piliers des francs-maçons et consorts, l’on trouve :

  • Les mythes
  • Les panthéons des Dieux, peu importe qu’ils soient égyptiens, gréco-romains, méso-américains…
  • Les jeux de société comme, par exemple, « les échecs »
  • Le système politique romain (la République)
  • Le modèle social des ruches (ne pensez pas qu’il s’agisse des abeilles, puisqu’il s’agit en réalité des guêpes)
  • L’ésotérisme occulte et démonologie de toute sorte : tribal, religieux, païen…
  • L’alchimie occulte
  • L’ensemble des religions majeures (en grande partie leur création)
  • L’astronomie et autres arts et sciences passés sous silence
  • La philosophie, ou plutôt le sophisme et la maîtrise des discours et méthode (pour reprendre le titre d’un ouvrage de Descartes)26
  • La maîtrise des fragmentations cognitives que l’on retrouve dès l’enseignement religieux (catéchisme catholique, mais pas que), donc très ancienne et ayant évoluée au fil des temps pour aboutir au MK-Ultra, aux messages subliminaux visuels, olfactifs, auditifs, tactiles. Tout ce qui est en lien avec les sens primaires et physiques (5 sens), ainsi que les sens adjacents. On touche alors à la perte du sens de l’orientation, sens de l’humour, précognition, etc.
  • Etc.

Tous ces éléments sont détaillés de la manière la plus andragogique possible dans chaque sous-dossier qui constitue l’ensemble de l’enquête. L’objectif étant de démontrer combien le nouvel ordre mondial a imprégné chaque pan de nos vies. J’ai donc cherché à débusquer les informations qui permettent de les confronter à leur vrai dessein. Il s’en suit non pas une série d’accusations sur le modèle de Victor Hugo, mais un recueil de faisceaux d’indices qui permettent d’affirmer que les francs-maçons et analogues sont plus que présents, que la France aurait pu devenir une réelle démocratie en 1848, mais en a été empêchée de l’intérieur. Que depuis lors nous sommes effectivement dans un sous-régime rétrograde et esclavagiste de type République Romaine.

En définitive, l’intégralité des recherches vise à lever le voile de l’hypnose collective au-delà même de l’épisode Covid et de la mandature d’Emmanuel Macron.

L’ANATOMIE DU N.OM :
DU LÉVIATHAN À LA BÊTE DE L’APOCALYPSE
(VISION INTERNATIONALE)

Le N.OM : Léviathan27 28 ou Bête de l’Apocalypse

Première analogie permettant d’établir un portrait-robot du cartel mondialiste : Le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse. Partir des mythes pour définir l’anatomie du nouvel ordre mondial permet d’illustrer au réel ce qu’est cette organisation dans sa version internationale et mondiale. De la même manière que le lien entre la Ve République française et l’alter ego terrestre du serpent marin sera faite par la suite.

S’il est une représentation universelle, c’est bien celle du Mal incarné. Dans toutes les civilisations, le côté obscur est représenté sous la forme ovidienne ou reptilienne. Serpent marin, par excellence c’est le cas du Léviathan.

Léviathan : « Le Léviathan est un monstre colossal, dragon, serpent et crocodile, dont la forme n’est pas précisée ; il peut être considéré comme l’évocation d’un cataclysme terrifiant capable de modifier la planète, et d’en bousculer l’ordre et la géographie, sinon d’anéantir le monde. Sa description évoque par périphrase le redoutable crocodile du Nil qui abondait alors au pays des pharaons. »

Cette description est un extrait de la page Wikipédia mise en référence.

Bête de l’Apocalypse : selon la tradition chrétienne « La Bête de l’Apocalypse (τὸ Θηρίον (tò thēríon) en grec ancien) est une figure de l’eschatologie chrétienne qui apparaît dans le chapitre 13 de l’Apocalypse de Jean, en écho à la Vision des quatre bêtes du Livre de Daniel. »

Il existe de nombreuses interprétations concernant ce monstre allant de sa création jusqu’à sa mise à mort. Ce qui semble faire consensus c’est que :

  • La bête aurait été créée par Dieu — lequel ? Celui en qui les religions nous font croire ou celui qui considère l’humanité comme du bétail (agneaux/moutons/caprins) que les bergers (religieux) sacrifient quotidiennement (deux fois par jour : holocauste) sur les autels des temples…
  • Créature marine ayant reçu les pouvoirs de Satan ne meure [que] sous la lame de l’Archange Mickael.
  • Créature terrestre, alter ego de la première.29

Une fois les présentations faites, on va désormais ajouter une autre façon de comprendre ce que peut être dédoublée de l’Apocalypse conjointement au Léviathan qui lui aussi est affublé d’un alter terrestre : le Béhémot30.

Le principe du polymorphisme ayant été évoqué d’emblée, vont s’ajouter d’autres concepts à prendre en considération, comme :

  • la personnalité multiple ou fractionnée
  • le principe de la fractale
  • et plus que la dualité, on va introduire une notion que les chimistes et professionnels de l’industrie pharmaceutique connaissent bien puisqu’il s’agit de l’énantiomère (explicité dans le dossier 7).
  • Vision systémique, politique, etc.

Ainsi, dégagé de toute approche dogmatique et religieuse, il a été plus facile de faire nos recherches en s’appliquant à trouver des arguments probants. C’est donc en partant du descriptif mythique du monstre aquatique à 7 têtes et 10 cornes couronnées que les passerelles et translations avec le cartel mondial a été fait.

Les éléments exposés sont évidemment peu de choses, comparés à l’étendue du système, néanmoins ils peuvent donner une « assise » ou un début de représentation physique. Puisqu’il s’agit d’un « Guide » exposant le cartel version 2.0, l’illustration ci-après est la plus pertinente trouvée sur le net.

31

Illustration extraite du dessin animé Digimon.

Par ailleurs, il n’a pas été pertinent de reprendre des illustrations plus anciennes. Vu les mutations qu’à subit l’Organisation mondialiste au fil des siècles le plus simple a été d’en créer une qui reprend le descriptif au sens le plus strict.

Figure 1
Léviathan selon les écrits historiques, mythologique et religieux/
Virginie Dornier. 10/2021

Version reprenant les écrits : monstre aquatique, 7 têtes, 10 cornes couronnées. Avec un rappel sur Poséidon : trident présent également sur les symboles et iconographies liés à la psychologie (Symbole des psychologues avant modifications, mais aussi symbole Héraldiques et lié à Shiva)

Vous remarquerez ici que les 10 cornes couronnées sont placées sur le corps du Léviathan et non sur la partie antérieure (les 7 têtes).

C’est un postulat volontaire pour faciliter la compréhension du N.O.M

Les paragraphes suivants vont définir le cartel auquel nous sommes confrontés :

  • Le monde aquatique
  • Les 7 têtes et la traduction au réel.
  • Les 10 cornes au réel
  • Les diadèmes/couronnes au réel

Le NOM : un système « fluide »

Le monde marin est encore inexploré. Il fait l’objet de spéculations multiples. L’eau se trouve partout sur la planète, plus encore que les terres et continents en termes de surfaces et avec des profondeurs abyssales qui de tout temps sont synonymes de mystères. L’eau est en élément pouvant se présenter sous trois formes : gazeux, liquide, solide. Dans les airs, sur terre, sous terre, et bien sûr du ruisseau aux océans.

Par extension, le Léviathan est partout et nulle part à la fois. Indispensable pour toute forme de vie l’eau devient alors source de méfiance, voire de danger.

Au réel, le Nouvel Ordre Mondial apparaît comme un élément présent dans tous les secteurs de nos vies.
De la conception à la mort : Cycle des 3 états de l’eau. Gaz/vapeur, liquide et solide.
De l’individu à l’Humanité : de la goutte à l’océan.
Du plus abstrait des éléments ou plus concret.

Des lois aux actes du quotidien : C’est pourquoi des « idées » émanant de personnes en responsabilité accordée par le Peuple, mais totalement dédiées désormais au Nouvel Ordre Mondial rendant le quotidien de chacun invivable.

Depuis le 4 octobre 1958, les « Vassaux » félons ont prêté allégeance au N.O.M amenant le chaos, la perte de nos richesses individuelles et collectives.
Vendant au plus offrant, nos savoirs, nos héritages, nos existences… que les acquéreurs soient du Parti Communiste Chinois, de l’OMS, de l’OTAN ou tout autre « empire couronné » du Léviathan.

La fluidité du système ressemble trait pour trait aux principes de l’eau.

Sans oublier le continent qu’ils se sont créé bien qu’ils s’en défendent (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) : TerraMar Project créé par Guislaine Maxwell officiellement en 2012 (date de fin d’une ère selon le calendrier maya) et dissout en 2019.

Un concept ? Un véritable continent ? Quoi qu’il en soit, Guislaine Maxwell en fait la promotion avec en première ligne la famille Gates.32 33

Loin d’être une théorie le « Terra Mar Project »34 était présenté comme une « organisation à but non lucratif » à visée écologique. Le cœur de leurs actions étant « la préservation des Océans ». En étudiant de près les divers gouvernements français de la Ve République, ainsi que les enjeux économiques, politiques et militaires rattachés au domaine maritime, il ne fait aucun doute que cette organisation est bien plus que ce qu’elle prétendait être. Et le fait qu’elle soit dissoute suite au scandale sexuel ne signifie pas pour autant que l’activité rattachée à cette organisation se soit arrêtée. C’est un avis.

• Le projet TerraMar
• TerraMar (Royaume-Uni)
Le logo du projet TerraMar
Formation septembre 2012 ; il y a 9 ans
Dissous décembre 2019 ; il y a 2 ans
Taper Environnement
Statut légal • Organisation à but non lucratif
But • charité
Lieu New York (2012-2015)
Woburn, Massachusetts (2016-2019)
Salisbury, Royaume-Uni (2013-2019)
Région desservie Global

Il est intéressant de se pencher sur le logo et la fiche d’identité consultable sur Wikipédia.

  • « Charité » ou « charité/caritative » est un moyen détourné de faire référence à l’un des 3 piliers de l’arbre de vie de la Kabbale. Celui-ci sera abordé sur différents aspects registre dans le dernier dossier. En cherchant des informations en lien avec TerraMar Project et l’arbre des Séphiroth en sont ressortis les points suivants !
  • Il est un consensus disant que le Yin37 correspond à l’aspect féminin en toute chose. De façon réductrice ce symbole asiatique, présent notamment en médecine chinoise, est associé aux émotions. Les émotions sont associées à l’eau. C’est la raison pour laquelle l’on a fait le lien entre TerraMar et le pilier yin de l’arbre kabbalistique.
  • On avait déjà évoqué le principe de la polarité. Avec ces deux illustrations complémentaires, cela est plus flagrant.
  • L’hypothèse sous-jacente est que derrière les activités « caritatives » et vertueuses de TerraMar Project (ainsi que des autres organisations mondiales) un pouvoir impérialiste cultivant le secret. Ce qui correspond en tout point à Binah, Géburah et Hod du pilier Jugement.
  • Évidemment ce principe est applicable à toutes les fondations dirigées par des mondialistes patentés comme Bill et Melinda Gates, George Soros, pour ne citer qu’eux.

Autre point intéressant : le logo de TerraMar Project. Tout comme pour Gmail, TerraMar Project reprend les codes de certains tabliers maçonniques.

Ci-après, en l’inversant versus les symboles de Poséidon et Neptune.

Il s’agit ici, d’une vue d’ensemble du cartel mondialiste selon la matrice du Léviathan ou de la Bête de l’Apocalypse. Ce secteur maritime sera argumenté dans d’autres dossiers en fonction du thème. Il n’est donc pas utile de développer plus ici, le système « fluide ».

Le NOM : monstre à 7 têtes :

Il n’est pas utile de revenir sur l’explication relative au symbolisme de ce chiffre. Cependant, et pour faire le lien avec le chapitre précédent, il est probable que pour le cartel du nouvel ordre mondial le domaine maritime soit considéré comme un territoire à part entière, objet de convoitises, et de pressions politiques diverses. Un territoire convoité et marqué par les courses impérialistes diverses selon les époques ; pour finalement aboutir à une seule entité mondiale. Ce qui ferait du monde marin et maritime le 7e Continent.

Voyons si les têtes du monstre mondialiste peuvent être identifiées autrement (polymorphe). On n’ira pas chercher du côté des sept péchés capitaux bien que la citation suivante soit plutôt appropriée.

« Ce sont l’orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, liée à la tristesse spirituelle), la luxure, l’avarice, la colère et l’envie. Ils sont capitaux au sens où ils sont à la tête d’autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes comme l’assassinat. » (Définition extraite de Wikipédia)

Par contre, ce qui découle de ces péchés permet de donner une orientation dans les recherches. Quoi de mieux que les « 7 merveilles du Monde » pour sceller un peu plus le pouvoir des mondialistes ?

C’est donc en toute logique que l’on a pris des informations sur ces listes des sites et leurs méthodes de sélection.

Fait étonnant, mais à la réflexion, peu surprenant : il existe depuis peu 2 listes distinctes de sites remarquables qui se font concurrence. On tentera de donner les motivations de cette coexistence, bien que le principe en soit simplissime : d’un côté, vous avez les mondialistes et leurs 7 merveilles du Monde. De l’autre leurs opposants. Nous sommes bien engagés dans une partie d’échecs.

Explication en pages suivantes.

a) Les 7 Merveilles du Monde du N.O.M :

« Les Sept Merveilles du monde moderne »38 est une liste, établie par l’American Society of Civil Engineers, consacrant les monuments du XXe siècle. Elle fait directement référence aux Sept Merveilles du monde antique39. » (Wikipédia).

À noter que peu d’informations sont présentes sur la page Wikipédia dédiée.
La liste des pays est : France, Royaume Unis, Canada, USA (Deep State), Brésil (Deep State), Paraguay, Pays-Bas, et Panama.
Ici, les 7 Merveilles du Monde Moderne — 7MMM — sont des ouvrages stratégiques, tous en lien avec les trafics de toutes natures (échanges commerciaux, trafics humains, armes, drogues). Les pays concernés sont la plaque tournante de ces trafics.

Nous attirons votre attention sur les sites classés « Merveilles de leur Monde Moderne ». Ils sont tous en lien avec le secteur maritime et fluvial (d’où le code couleur bleu). Ils sont potentiellement voués à auto –destruction/ attentat de la part du Nouvel Ordre Mondial. Notamment le Tunnel sous la Manche. Ce que l’on appelle communément des actes sous « faux drapeaux ». Pour compléter ce volet il existe une série docufiction intitulée « les 7 merveilles du monde industriel ». (Diffusée sur BBC en 2003)40.

b) L’alliance : 7 Nouvelles Merveilles du monde moderne41,

« Les sept nouvelles merveilles du monde ont été désignées à la suite d’un vote organisé par la New Seven Wonders Foundation, liée à la New Open World Corporation, et dont les résultats ont été dévoilés le 7 juillet 2007 à Lisbonne. » (Notez la date : 07/07/2007).

Ici, il est important de noter que cette nouvelle liste a fait l’objet de controverses.

Au-delà de la date significative du 07/07/07, il faut rapprocher les 7 sites de la nouvelle liste des « 7 Nouvelles Merveilles du Monde Moderne » (7NMMM) du Chapitre 2 de l’Apocalypse de Jean.

En effet, chaque site de cette liste correspond à chacune des sept églises du texte biblique. Comprenez que l’étude des textes sacrés a été faite de façon géopolitique voir stratégique et non de façon théologique ou religieux au sens dogmatique.

Ainsi, l’église d’Éphèse correspond à la Jordanie, l’église de Pergame à l’Italie, l’église de Thyatire au Brésil, etc.

Pour des raisons évidentes de sécurité et de confidentialité, nous ne pourrons expliciter plus en détail les éléments. Ceci étant, ce qu’il faut comprendre c’est que l’Alliance a travaillé depuis longtemps pour faire des sept pays ici sur ce schéma des états satellites de l’alliance. Notez également que seules « les 7 têtes » du Léviathan ont été abordées tout en ne compromettant pas les aspects purement stratégiques. Mais, vous en conviendrez, en comparant avec l’actualité géopolitique, ces merveilles sont bien sympathiques.

Le NOM : monstre à 10 cornes :

Dans l’illustration du Léviathan, les Cornes couronnées ont délibérément été placées sur le corps et non la partie supérieure du Léviathan.
Ce postulat permet de bien scinder les deux organes majeurs du Nouvel Ordre Mondial.

Ainsi, de tout temps, et quelques soient les continents ou les noms attribués aux 10 cornes couronnées, le système est reproductible. Seule la translation en fonction des « progrès et avancées » technologiques en a modifié la forme, mais elles ont toujours été 10 actives simultanément.

Ce sont les EMPIRES. Ayant subi diverses mutations depuis des millénaires, passant des empires géographiques (Incas/ Sumériens/ Britannique, français…) à des formes plus diffuses comme, par exemple, l’empire cinématographique, médiatique, pharmaceutique… qui ne connaissent ni frontière, ni problème pour franchir les océans. Chaque corne en est l’une des représentations et toujours sur le même principe polymorphique. Cela signifie qu’au fil du temps les empires changent de formes.

De nos jours, on y retrouve notamment :

a) Les 10 empires économiques mondiaux qui correspondent aux pays (qui varient depuis plus de 6000 ans)

b) Les 10 secteurs économiques (évoluant en fonction des avancées technologiques et du programme des mondialistes)

En page suivante, vous trouverez quelques exemples chiffrés

a) Les 10 empires économiques mondiaux (source libanaise 2018) :

  • 10— Canada, produit intérieur brut estimé à 1763 milliards de dollars (plus de 987 000 milliards de FCFA).
  • 9 — Italie, produit intérieur brut estimé à 2048 milliards de dollars (plus de 1 146 000 milliards de FCFA).
  • 8 — Brésil, produit intérieur brut estimé à 2199 milliards de dollars (plus de 1. 231 000 milliards de FCFA).
  • 7 — Inde, produit intérieur brut estimé à 2654 milliards de dollars (plus 1. 485 000 milliards de FCFA).
  • 6 — Royaume-Uni, produit intérieur brut estimé à 2661 milliards de dollars (1. 489 000 milliards de FCFA).
  • 5 — France, produit intérieur brut estimé à 2765 milliards de dollars (1. 547 000 milliards de FCFA).
  • 4— Allemagne, produit intérieur brut estimé à 3934 milliards de dollars (2. 201 000 milliards FCFA).
  • 3— Japon, produit intérieur brut estimé à 5063 milliards de dollars (2. 833 000 milliards de FCFA).
  • 2— Chine, produit intérieur brut estimé à 13 118 milliards de dollars (7. 342 000 milliards de FCFA).
  • 1— États-Unis, produit intérieur brut estimé à 20 199 milliards de dollars (11 305 000 milliards de FCFA).

Ci-après l’illustration montre qu’en réalité l’adversaire de l’Humanité, le N.0.M ou cartel, utilise toujours une base chiffrée en lien avec les spécificités de « la Bête de l’Apocalypse » ou Léviathan.

Si pour les 7 têtes nous retrouvons les mêmes organisations : politiques, religions, pour les 10 cornes vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Source : financial Afrique. Com

Il est intéressant ici de noter les points suivants :

  • Entre 1992 et 2008, on constate des mouvements dans l’ordonnancement des pays. Si l’on reprend « la règle de calcul » mise en avant par les acteurs majeurs du N.O.M, alors l’an 2000 en est la ligne d’horizon. En retranchant 7 ans, on arrive à 1993 qui, semble-t-il, marque le début de la décroissance régulière de la France. Il serait intéressant d’avoir d’autres chiffres antérieurs afin de préciser et affiner ce propos.
  • Le « Bug de l’an 2000 » n’avait rien à voir avec un quelconque chamboulement dans les horodateurs des systèmes informatiques, mais une permutation de l’ordre « des choses ». Une inversion de polarité non pas magnétique (pôle Nord/ pôle Sud), mais des valeurs humaines, des systèmes économiques, politiques, sociétaux. En résumé : on passe à la dernière phase d’inversion.
  • Le projectif est éloquent : la France devenant 10e du classement en 2024, les pays occidentaux perdant au moins une place au classement, la Russie également le tout au profit des pays « émergeants » des pays orientaux et de l’Empire du Soleil Levant.

Vous remarquerez une variation. Ainsi, peu importe l’ordre des pays, des secteurs économiques. Le palmarès n’est qu’un paravent puisque nous avons toujours 10 critères.

Lorsque seront abordées les « 10 couronnes », vous verrez pourquoi aujourd’hui il semble quasiment insoluble de faire tomber le système mondialiste. Pourtant, près 6 mois après début de nos recherches et de la rédaction des dossiers, le colosse apparaît de plus en plus fragilisé. Les peuples se lèvent, la France bouge malgré un enkystement dont on a — pour partie — identifié des raisons plus que possibles. Raisons qui sont largement détaillées point par point dans les dossiers 5 et 6 et spécifiques à notre histoire. Mais si l’on devait donner une ligne directrice, elle serait la suivante : si l’on devait comparer la France « contemporaine » à un insecte pour décrire sa situation, ce serait la chenille bloquée dans sa chrysalide par des influences extérieures.

Cette mue, en comparant les diverses Constitutions, correspond à la Seconde République de 1848 sabordée de l’intérieur. Depuis, de génération en génération nous sommes dans un système matriciel visant à nous réduire en esclavage jusqu’au coup de grâce. Du moins selon le cartel maçonnique. Rendez-vous aux dossiers traitant de Jupiter et sa parèdre pour découvrir une partie de l’envers du décor.

b) Les 10 secteurs économiques mondiaux :

  1. Les startups investies dans les clean Tech, l’intelligence artificielle, la Food Tech, etc.)
  2. La santé
  3. La cybersécurité
  4. Les industries culturelles et créatives : écoles d’excellence, art, design, festivals, musique électronique, jeux vidéo, films d’animation…
  5. L’art de vivre : gastronomie, vin, mode, loisirs et tourisme
  6. L’eau, l’économie maritime et les énergies
  7. L’industrie du futur ou Tech (armement, Quantique…)
  8. Les transports et la mobilité
  9. Le secteur du luxe
  10. L’agriculture et l’agroalimentaire

Selon le descriptif fait du monstre marin, il est dit que les 10 cornes sont pourvues de couronnes. Pour compléter la présentation, il va s’agir d’en donner une interprétation permettant de visualiser le cartel différemment.

c) Les diadèmes ou couronnes.

Là aussi il faut se détacher de la symbolique collective qui veut que les couronnes soient des royautés.
En d’autres termes, il faut les appréhender non plus comme des ornementations du type couronne royale posée sur la tête de personnes de pouvoirs, mais comme la couronne en dentisterie qui recouvre la dent.

Par exemple : la Couronne qui chapeaute l’empire ou corne « Santé » est l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

Ce qui vaut pour l’un des 10 secteurs ou empires actuels vaut pour l’ensemble. Ainsi, le secteur de l’alimentation est couronné par la FAO42 (Organisation Mondiale pour l’agriculture et l’alimentation) et ainsi de suite.

Comparer le cartel mondialiste avec le Léviathan n’est pas une nouveauté. En revanche, décortiquer l’anatomie de la Bête biblique en envisageant les diadèmes non plus comme des attributs royaux, mais comme une structure recouvrant chaque corne est peut-être novateur. C’est pourquoi nous mettrons une illustration dentaire pour mieux expliciter le propos.

Il est important de comprendre ici que si des personnes « tombent » dans l’un des 10 systèmes, la couronne protège l’ensemble. C’est pourquoi par exemple des scandales comme celui de la représentante australienne de l’OMS n’ébranleront pas le système. Du moins si l’on exclut l’exception française, le levier de force (ou talon d’Achille).

La couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan :
Ici l’illustration aura été adaptée au secteur qui nous préoccupe tous : la santé et la Dictature mondiale.
Notez que ceci est valable pour toute forme « d’empire » (OTAN et défense, cinéma…).

Figure 2
Couronne dentaire appliquée à la corne du Léviathan

Pour « couronner le tout », et apporter d’autres illustrations : dans le langage courant, il est des mots et des expressions qui apportent des compléments d’information. Si, l’accent a été mis sur la symbolique du chiffre 7 très utilisée par les mondialistes (mais également pour des « vertus » positives) ; le chiffre 5 n’est pas en reste.

Le cinq représente le côté naturel en quelque sorte. Et contrairement à ce que l’on peut lire, il est ce qui par essence définit la création. Lorsque l’on observe la nature, voici ce que l’on constate :

• En coupe sagittale, les fruits sont dotés de 5 alvéoles contenant des pépins.

• Nous sommes pourvus de 5 doigts par main et 5 orteils par pied, au cas où les scientistes nous feraient croire le contraire. Sait-on jamais.

• Deux mains apparemment identiques et pourtant non superposables ce qui est le principe des énantiomères en chimie et pharmacie. (développé dans le dossier 7). Le paradoxe étant que la main gauche — dite la main du cœur pour certains — est aussi considérée comme « la main du diable » par ces mêmes personnes.
Effectivement, l’alliance se porte à l’index gauche et il n’y a pas si longtemps les enfants gauchers devaient apprendre à écrire de la main droite pour des raisons dogmatiques… y compris dans les écoles publiques. Les années 50, ce n’est pas si lointain.

Il n’est pas question de décliner les exemples, simplement de rebondir sur quelques mots clés qu’utilisent volontiers les mondialistes, depuis toujours. Parmi ces mots, l’on trouve bien entendu la main et ses déclinaisons et le chapeau.

  • Faire main basse
  • Avoir la mainmise
  • Manipuler
  • Chapoter
  • Capoter
  • Capitole
  • Capituler…

Le sujet est tellement vaste, qu’il est difficile de faire un tri dans les informations à mettre dans le dossier. Ne soyez pas étonnés si d’aventure les exemples de toutes natures sont mis ici.
On comprend mieux l’ampleur du Nouvel Ordre Mondial/Léviathan avec ce schéma qui reprend le Global Compact (ou Pacte Mondial) des Nations Unies43. Voir illustration en page suivante.

De ce schéma très explicite, on retiendra ici :

• que les Nations Unies et particulièrement le « Global compact » correspondent à l’anatomie de la Bête de l’Apocalypse. Ce qui n’amoindrit nullement les implications de factions ou familles telles que les Rothschild puisqu’ils sont dans la boucle.
« phrases d’accroche ».

• les accroches des items « Les entreprises sont invitées à ». Si de prime abord, il est légitime de penser que cela ne concerne que les entreprises privées ; en réalité cela inclut également les pays. Du moins ceux qui sont officiellement des sociétés comme c’est le cas de la France44. Ce volet « entreprise » est développé en dossier 3.

Conclusion :

Le fait de comparer le cartel mondialiste au Léviathan ou à la Bête de l’Apocalypse n’est pas une nouveauté. D’autres l’on fait bien avant. De même pour la numérologie et l’ensemble des symboles et rituels propres aux sociétés hermétiques (alchimie, culte égyptien…).

Ici, l’objectif a été de trouver de quoi apporter des éléments pouvant répondre à ces questions

  • À quoi pourrait ressembler le cartel mondialiste ?
  • En quoi le cartel mondialiste peut-il être comparé à la bête de l’Apocalypse ?
  • Quels indices ou informations peut-on chercher pour les « débusquer » ?

Si la démonstration est parfois maladroite, il ne faut pas perdre de vue que je ne suis ni politologue, ni économiste, ni écrivain et surtout que je n’ai pas eu la possibilité de peaufiner le style. La priorité est de pouvoir diffuser le fruit de mes enquêtes. De proposer, de la façon la plus argumentée possible, un panel d’éléments qui posent question et méritent d’être investigués cette fois-ci par des experts et professionnels.

Pour conclure ce chapitre, voici une ultime interprétation liant numérologie, dualité, et culte égyptien. Il s’agit de Jeu d’échecs.

• Numérologie : de part et d’autre de l’échiquier, on a 17 pièces (16 sur le damier + le joueur).

• « Echec et Mat » est une déformation de noms de Divinités égyptiennes. Il existe plusieurs combinaisons possibles, mais « Seth et Maât » est la plus probable puisque Seth rappelle le chiffre 7). D’ailleurs au tennis on retrouve le même principe avec « Jeu/Set et Match » que l’on doit transposer en J45 (10e lettre de l’alphabet et 7e consonne)/Seth et Maât.

• Lettre J que l’on retrouve également sur les cartes à jouer pour le Joker ou Jack ou le Mat (Maât) dans le tarot.

• Jack ou Jacques que l’on retrouve dans la bible46 (notamment l’un des demi-frères de Jésus Christ)

SPÉCIFICITÉ FRANÇAISE : DE LA TARASQUE GASCONNE À LA PROSTITUÉE BIBLIQUE (LA VRÉPUBLIQUE)

Introduction

Dès le début de ce dossier ou guide ont été abordés des points qui permettait de définir le système du cartel ou consortium selon la vision internationale. Ce qui nous a amenés à faire le parallèle avec le Léviathan et la Bête de l’Apocalypse.

Cependant, ce qui nous importe c’est la situation française. Il se trouve qu’à bien des égards la France (non pas le peuple) est la représentation alter de ces deux mythes.

Si l’on considère la version biblique, dans ce cas notre République serait la variation terrestre de la bête aquatique et sa morphologie (tête de lion et pattes d’ours) est expliquée dans le dossier X, tout comme l’alter du Léviathan — ou Tarasque Gasconne — le sera.

Si le système international mondialiste est polymorphe, change d’identité et de forme comme des reptiles peuvent muer ; c’est également le cas pour la France. Et pour être au plus proche de notre réalité, l’idée de comparer la République française à la prostituée biblique est également valable.

Ce qui peut différencier l’une ou l’autre des comparaisons est la période ou l’époque. Sur le principe de la géochronologie qui permet d’ordonner et classifier les étapes de vie de la terre47, l’influence du cartel sur la France pourrait ressembler à ceci :

Terre France analogie
Éonothèmes Éons Antérieure à la monarchie X
Érathèmes Ère Apparition de la Monarchie48 X
Systèmes Période De 1789 à nos jours Boîte de Pandore
Séries Époque VRépublique Tarasque
Étages Âge Dictature Sanitaire/Dominat/Mandat Emmanuel Macron Prostitué /Babylone

Ce tableau est très schématique, voire réducteur, mais il pose le décor. Sur le principe de la fractale qui reproduit un même modèle partant de l’infiniment petit à l’infiniment grand, l’inverse existe. De même que la boîte de Pandore et la Tarasque pourraient être interverties. Ici, il ne s’agit pas de jouer la carte de la « quadrature du cercle », simplement de fournir des aides visuelles pour mieux appréhender l’ensemble du dossier.

a) La boîte de Pandore 49 50:

Sur le modèle des ovidiens la France a subi différentes mues. La question de savoir si elles ont été initiées pour de réelles bonnes intentions ou a contrario pour réinitialiser le système des élites ne se posera pas ici, du moins pas dans cette partie présentation.
Il est un fait entendu : la Révolution française n’est pas à l’initiative du peuple, mais a été orchestrée par les francs-maçons. Sachant que la franc-maçonnerie de cette époque n’est que la version « actualisée » de factions préexistante. Il y eut auparavant les templiers, la rose croix, les jésuites ; tout comme il y eut en des temps plus reculés d’autres influenceurs politiques, religieux, économiques qui tous puisent leur modèle 4000 ans avant notre ère.

Pointer du doigt la franc-maçonnerie demande une clarification. Lorsque l’on dénonce les actions des sociétés hermétiques, que l’on mentionne et spécifie la maçonnerie, la kabbale, les illuminati, ne sont visés QUE le haut du pavé. Le gratin, les hauts gradés, voire même au-delà : les inaccessibles.
Ceux « du bas » n’imaginent pas en entrant en loge qu’ils financent et alimentent un système mafieux.

De la même manière qu’en travaillant pour l’industrie pharmaceutique, la majorité d’entre nous ignoraient tout de l’envers du décor, de ce qui se trame en coulisse. Et c’est valable pour quasiment tous les secteurs, y compris les religions.

Pandore dépeinte comme étant la première femme de l’humanité par le poète Hésiode ouvre une jarre ou boîte contenant tous les maux et les vices de la terre qui s’en échappent… Il est dit que dans cette jarre se trouve également l’Espoir (véritable antidote). Seulement ce dernier, plus lent à se mouvoir, n’a pu empêcher les malheurs de s’abattre sur le monde et les hommes.
Transposer à l’histoire de France ; Pandore la jeune femme prend les traits de la Révolution française de 1789.
L’ouverture de la jarre ou de la boîte, nous la situons à l’époque napoléonienne et particulièrement la période des campagnes d’Égypte et Champollion. Cette période marque un tournant dans notre histoire puisque les cultes et rituels égyptiens seront implémentés dans les pratiques maçonniques d’origines indo-européennes.

À partir de ce moment, la franc-maçonnerie va durcir ses actions à l’égard du peuple, tout en étant secouée en interne par des jeux de pouvoirs et d’influence. Aujourd’hui le modèle politique français est calqué sur la République Romaine (héritage de la maçonnerie intracontinentale), en revanche les moyens utilisés pour faire appliquer et perdurer la République romaine — vantée à tort — comme vertueuse sont pour l’essentiel importés de la civilisation pharaonique.

Précision : les influences trans méditerranéennes sont antérieures à Napoléon Bonaparte puisque Paris — la capitale — doit son nom à un clan qui vouait un culte à Isis. (Parisis).
À force de lectures, l’hypothèse que les campagnes d’Égypte aient permis de réactiver des cultes et pratiques occultes perdus et plus que probable. Ce qui explique en partie, la mainmise et l’influence de la capitale, sans cesse croissante, sur le reste des territoires français (sont comptabilisées les colonies de l’époque).

Si d’aventure, certains ont cru pouvoir utiliser des pratiques et rituels occultes en se considérant plus forts et dans la maîtrise, sur le principe du Roi Salomon auquel les francs-maçons se réfèrent, il est clair que le résultat escompté est le strict opposé.
Cela nous ramène à la boîte de Pandore, car depuis lors la France n’a cessé d’être secouée par des conflits internes et externes, subi des mutations quasi génétiques dans ses us et coutumes, ses valeurs, ses mœurs.

Si toutefois le parallèle entre le vécu commun de la France et Pandore n’est pas convaincant, il existe bien d’autres confrontations possibles.
Entre autres le Conte « Aladin et la lampe merveilleuse »51. Si l’on considère que les francs-maçons et apparentés de l’époque se sont servis de pratiques occultes (et c’est le cas) à la manière d’Aladin frottant la lampe magique ; dans ce cas le génie qui en est sorti correspond aux vices de la boîte de Pandore.

Ce qui fait que la France a ouvert le bal d’une nouvelle ère : l’époque contemporaine par excellence. À force de recherches, d’enquêtes et de recoupements, notre conviction est que c’est depuis notre pays que c’est « échappé » le génie ; il est donc normal que celui-ci réintègre sa lampe au bout de 3 vœux. En l’occurrence, par vœux il faut entendre catastrophes. Et le compte y est.

Si l’on rapproche les fléaux qui se sont échappés de la jarre aux 3 vœux du génie et qu’on les transpose à l’Histoire de la France nationale et internationale :

• La 3e guerre mondiale que le médium patenté Jacques Attali ne cesse de claironner ne peut pas être déclarée. En effet, si l’on reprend l’ensemble de la géopolitique depuis la Révolution française, il se trouve que le premier conflit international partant du vieux continent européen est la guerre de 1870.52 Bien qu’à tort appelée « Guerre franco-allemande » ; le conflit en coulisse a été mondial et occulte.

Par « occulte », il faut véritablement entendre « occultisme ». Ce point est d’une importance capitale et fait le lien avec le dossier dans lequel sont décryptés les attributs officiels et surtout officieux de la France. En l’occurrence le Grand Sceau de France.

Pour faire simple, pour que les rites maçonniques soient efficaces, il fallait donner à notre pays une forme hexagonale qui reprend les célèbres sceaux attribués au roi Salomon.

• La guerre de 14-18 devient alors le second conflit international de l’ère contemporaine et par conséquent, à partir de 1939 débute l’ultime conflit mondial. N’en déplaise à certains, mais depuis 1939 le monde n’a jamais plus connu la paix et par le système des vases communicants et surtout de l’OTAN ; nous avons toujours été en guerre. Nos soldats ont toujours mené des combats. Ceux des autres nations également. Seuls la géographie et les sites des conflits ont évolué au gré des intérêts du cartel mondialiste.

• Les bonnes nouvelles — car il y en a — sont que nous sommes à l’aube de voir cette 3e guerre mondiale se terminer. Jacques Attali et son prédécesseur Aleister Crowley53 et tant d’autres prédicateurs ayant mis tellement d’énergie à nous endoctriner, nous faisant croire en une paix retrouvée alors que cela n’a jamais été le cas doivent « l’avoir mauvaise », et certains même [doivent] se retourner dans leurs tombes. Les autres tentent autant que faire se peut de maintenir la chape de plomb sur nos têtes et dans esprits.

• Quant aux autres fléaux, fonctionnant par 3 eux aussi, le principe est le même lorsque l’on considère exclusivement « l’ère moderne » depuis la Révolution française, ou le XXIe siècle. Les crises sanitaires, le cycle amorce son déclin (crise covid) ; les crises économiques qui fonctionnent par séquence de sept ; nous sommes dedans…

En revanche, si l’on a pris le pli de comparer la situation de la France au mythe de Pandore et au conte des mille et une nuits ; il faut comprendre également que la France est l’équivalent de la jarre/boîte et de la lampe. Fléaux et génie doivent donc rentrer au bercail. Ce qui signifie que notre pays sera très probablement celui qui sortira de l’emprise en dernier lieu.

b) La « fille » du Léviathan ou la Tarasque gasconne54 55

Dans la mythologie, dans les ouvrages religieux et plus proche de nous à travers l’ensemble de l’histoire de France nous pouvons attester du fait que celle-ci représente l’alter ego terrestre de la bête de l’Apocalypse version française et occitane. La légende la décrit comme une bête s’apparentant au dragon, au crocodile et au serpent. Une description proche donc du monstre biblique.

Cet animal chimérique est fêté en pays gascon depuis le moyen-âge. Semant la terreur dans la région — comme d’autres légendes sur le territoire — elle fut vaincue par une jeune femme. Cette allégorie est d’emblée a rapprocher d’une lame des jeux du tarot d’inspiration maçonnique : La Force.
Cette légende appuyée par la lame du tarot est à mettre en miroir avec notre actualité… qui ne fait que se répéter depuis des centaines d’années, où la bête serait la personnalisation du système mondialiste franco-français (le cartel) et la jeune femme présente sur les deux supports (la légende et le jeu de cartes divinatoire maçonnique) incarnerait la France. Mais attention, il s’agit ici du peuple français, pas de la République. Doit-on rappeler que la Ve République EST la tarasque ? Du moins c’est ainsi que nous la décrivons.

Si l’on s’appuie sur des références mythologiques ou mythiques, ce n’est pas un hasard. Elles ont traversé les époques et sont connues de tous sinon du plus grand nombre et permettent de faciliter la rédaction du dossier. Ainsi donc Pandora et la bête gasconne ne font elles qu’une. La boîte renfermant quant à elle les fléaux qui nous accablent depuis la révolution et surtout on le répète depuis la campagne d’Égypte.

Seulement, c’est avec la Ve République que cela s’est amplifié et accéléré jusqu’à son paroxysme en 2017 où d’un système félon nous sommes passés à une réelle dictature. Ce qui rapporté aux systèmes politiques de la Rome Antique revient à emporter sciemment le pays d’un « principat »56 à un « dominat »57. Autrement dit d’un système de République romaine (non démocratique, mais qui se désigne comme telle) à une tyrannie basée sur le culte de la personnalité, toujours sous la bannière de la République ce qui est le cas à l’heure actuelle.

c) La prostituée biblique : La France sur le trottoir depuis 1958

Lévitique 19:29
Concept des Versets
« Tu ne profaneras point ta fille en la livrant à la prostitution, de peur que le pays ne se prostitue et ne se remplisse de crimes. »58

Et ce quinquennat, c’est tout naturellement qu’on le compare à la prostituée de la bible. Chaque notion abordée dans ce dossier de présentation fait l’objet d’approfondissements que l’on a autant que faire se peut regroupés dans des dossiers spécifiques. Les chapitres suivants abordent le mode de fonctionnement du cartel mondialiste et français selon deux modèles vivants bien réels cette fois-ci.

Dans les faits — on l’abordera dans le dossier 3 — la fille en question est la France. Et, le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle a été livrée aux proxénètes du cartel mondialiste dès l’entrée en vigueur de la VRépublique.
Passant d’Escort girl pour clients argentés au trottoir depuis le quinquennat d’Emmanuel Macron.

LE N.OM SELON LE PRINCIPE BIOLOGIQUE
DE LA SERPULA LACRYMANS (MÉRULE) ET DU BLOB

Quelques informations sur la Serpula lacrymans ou Mérule :

La Serpula Lacrymans est une moisissure ou un champignon de la famille des Mérules59. Connue depuis des millénaires pour les ravages qu’elle peut provoquer, elle est même citée dans la Bible.
Ce champignon dévoreur de cellulose peut « digérer » l’intégralité d’un bâtiment selon un mode bien particulier.
La Serpula lacrymans s’implante sur des sites et structures créés par l’homme, c’est pour cela qu’elle est peu répandue en pleine nature. Il existe cependant des variétés « cousines » de cette moisissure.

Lorsque le champignon investit un lieu, il commence par s’attaquer in situ à la cellulose des structures en bois (plinthes, poutres, charpente…).
Rapporté au Nouvel Ordre Mondial cela correspond à la « l’épisode d’infestation endogène » que nous développerons ultérieurement.

Arrivée à maturation sur site, la Serpula lacrymans va développer des spores qui se propageront facilement du fait de leur légèreté. C’est l’équivalent de la « Phase 2 » ou Réplication » pour le Nouvel Ordre Mondial.

Une autre particularité de la moisissure pour se propager de proche en proche cette fois-ci est qu’elle développe des cordons mycéliens (rhizophores), sorte de filaments qui permettent au-delà de l’expansion à partir du site primaire d’infestation de transporter de l’eau.
Ce principe qu’extension par filaments est celui que nous développerons en « Phase 3 » ou expansion exogène.

À noter, la Serpula lacrymans s’attaque également à d’autres matériaux tels que ciment, plastique fragilisant encore plus les structures. Les traitements existent, notamment un champignon antagoniste Trichoderma ou va jusqu’à la destruction pure et simple du bâtiment.

Dans les paragraphes suivants, nous allons créer des passerelles entre le mode d’implantation et de développement de cette moisissure et les méthodes du Nouvel Ordre Mondial pour infester, se cloner et enfin se répandre de proche en proche jusque dans les foyers.

Nous nous appuierons sur des exemples concrets, et nous en varierons les secteurs pour vous permettre de mieux en cerner l’ampleur.

Cette carte de la métropole indique les zones à risques et les zones particulièrement sensibles voir infestées par ce champignon. Il est intéressant de voir quelles sont celles qui figurent en rouge : Paris et la pointe Bretagne. L’ironie est que cela est proche de la réalité de l’implantation du nouvel ordre mondial actuel.
En effet, si pour Paris cela ne fait aucun doute, puisqu’il s’agit de la capitale, pour la Bretagne c’est tout autant le cas. Il se trouve que c’est le fief de Jean-Yves le Drian — l’un des personnages les plus impliqués et assurément des plus compris de la Ve République qui a pour ainsi dire récupéré « en sous-marin » l’ensemble des territoires bretons en 2020 pour service rendu au Nouvel Ordre Mondial.

Si l’on se permet d’écrire ceci, c’est évidemment que l’on a trouvé des éléments plus qu’intriguant le concernant. Et lorsque l’on fait un regroupement d’informations concernant les activités et la carrière de ce ministre au gouvernement actuel, cela laisse peu de place au doute. (Voir dossier 3)

a) Phase 1 : « Infestation exogène » du N.O.M selon le principe de la Mérule

Lorsque l’ennemi de l’Humanité agit, il commence par s’implanter in vivo dans un secteur, un système politique, religieux… dans tous les secteurs en réalité.

Ce qui est valable pour chaque individu est valable pour des « organismes » bien plus étendus, puisque c’est un mode « Fractal ».

Historiquement et depuis des millénaires, ce modus operandi n’a jamais changé. Seule la forme a évolué avec son temps, mais le schéma est identique et reproductible.
C’est par exemple, pour notre histoire de France le cas de traître qui tirent les ficelles du pouvoir politique royal ou présidentiel. Les illustres et fameux « conseillers ». Mazarin, Pompidou, Attali pour ne citer qu’eux.

Des femmes également interviennent bien plus souvent qu’il n’y paraît.

Dès lors que l’EMPRISE (anagramme d’empire) opère, le Léviathan ou la mérule sont derrière. Ce qui est valable de nos jours existait donc chez peuples d’Asie (Attila et sa politique de la Terre Brûlée), en Amérique du Sud (anciennes civilisations toltèques et mayas) en Europe.

Cette EMPRISE est la Phase 1 de l’implantation du Nouvel Ordre Mondial, puisque c’est son nom désormais.

« Des spores » ou émissaires du système mondialistes vont s’implanter dans un secteur de préférence solide et porteur. Un secteur ayant pignon sur rue ou ayant l’approbation de la population, voir la confiance.

Ainsi, des grandes religions, des secteurs tels que les syndicats, les industries, la politique se voient infestés par des porteurs d’idées, de concepts du N.O.M. Ce fut probablement le cas de la franc-maçonnerie qui s’est vue elle aussi infestée et dupliquée pour donner ce système à double vitesse : celui du bas de la pyramide maçonnique et celui des hauts initiés (parfois non connus des hauts gradés eux-mêmes).

Si l’on prend l’exemple d’une entreprise florissante : elle se verra sans le savoir initialement embaucher des personnes dont l’objectif correspond au développement de type moisissure.

« Porteurs d’idées novatrices et ambitieuses », ces émissaires vont radicalement changer le sens premier de l’entreprise jusqu’à la rendre méconnaissable par les premières personnes concernées : les salariés et ceux qui sont les créateurs initiaux de ses grandes sociétés. Développement à croissance exagérée, et artificielle (avec la complicité des systèmes bancaires).

Se faisant, l’infestation se développe. En général, il faut compter des périodes de 7 ans, rarement 7 mois entre la primo-infestation et la ruine du secteur ou entreprise (notons ici que la durée des mandats présidentiels était de sept années).

C’est exactement ce qui s’est passé dans mon entreprise. Celle où j’ai débuté ma carrière dans le secteur de « industrie pharmaceutique, sans m’étendre sur le sujet. Une entreprise phare qui a intégré dans son équipe dirigeante à la maison mère un ancien Rothschild (et accessoirement ayant été membre du Savour Club60) désormais PDG d’une structure exclusivement Biotech. Une « spore » en quelque sorte n’agissant pas seul évidemment.

Une croissance anormalement rapide en 7 ans (notez la base 7) boostée par 7 banques, pour finalement aboutir à un démantèlement total du groupe et des milliers de salariés et cadres sur le carreau. Certains s’en sortiront mieux que d’autres d’autant que le dépôt de bilan et la cessation du groupe intervenaient exactement au moment où les mesures prises par Pierre Bérégovoy commençaient à être appliquées, entraînant une refonte totale du paysage de l’industrie pharmaceutique : réduction des effectifs terrain, Charte des bonnes pratiques, obligation de diplômes pour l’information médicale auprès des prescripteurs…
Avec du recul et surtout en faisant le lien avec l’ensemble des éléments récoltés, je suis convaincue que mon entreprise a servi d’exemple pour l’ensemble du secteur de la prestation.

Le fait que le groupe ait été placé en liquidation judiciaire le 17/01/2007 compte tenu de l’importance qu’accordent les francs-maçons, la kabbale et l’ensemble de ces formations hermétiques ne fait que me convaincre plus encore.

Et si l’on compare avec d’autres secteurs, comme l’informatique, l’industrie textile… c’est exactement la même chose, le même schéma. D’un autre côté, c’est le seul que le cartel reproduit depuis plus de 6000 ans.

Pour faire simple, parmi les « spores » nous retrouvons des personnes issues de la sphère Rothschild (banque et Savour — ex Savour Club — qui en cherchant plus d’informations posent plus que des interrogations sur la réalité de cette société très en lien avec la Chine depuis l’accord passé entre la France et ce pays par Monsieur Raffarin alors Premier ministre, Christine Lagarde entre autres. Ce sujet sera abordé en annexe), mais aussi des personnes désormais — en 2021 — en affaire avec Hong Kong.

b) Phase 2 : « Cycle de Réplication » ou clonage du N.O.M selon le principe de la Mérule

Cette deuxième Phase de processus de la Serpula Lacrymans rapporté au Nouvel Ordre Mondial intervient lorsque le site d’infestation n’a plus de nourriture à apporter. Techniquement cela se résume en deux principes :

  • l’ensemble de l’édifice ou société (ou secteur public/privé) est exsangue de savoirs et compétences. Le NOM n’a plus rien à apprendre du site infesté.
  • Les spores ont proliféré et pour survivre la Serpula lacrymans va alors se répliquer ou dupliquer au moyen de ses spores initiales et de ceux qui se seront développés au sein même de la structure.

Rapporté à l’exemple vécu : cela revient à après liquidation judiciaire du groupe à voir l’ensemble des salariés disséminé. Que ce soient ceux qui étaient « du bon côté » du secteur de l’industrie pharmaceutique, mais aussi « les Spores » initiales et les jeunes pousses.

En toute logique, ces spores vont intégrer d’autres structures et procéder de la même manière. Infester le milieu en « ingérant les savoirs et compétences » intrinsèques de chaque entreprise (publique ou privée). Se les approprier pour ensuite les cloner tout en sabordant à nouveau. On constater généralement des liquidations rapides après n « sauvetage artificiel » pour les entreprises en difficulté. Ce qui est l’autre versant de l’infiltration du système mérulaire après celui de la croissance anormale (que l’on peut comparer à la fable de « la grenouille et le bœuf » de la Fontaine). Ce qui nous amène à la « phase 3 » du système d’expansion du nouvel ordre mondial selon le modèle de la serpula lacrymans.

c) Phase3 : “Expansion exogène du N.O.M selon le principe de la Mérule

Le système d’expansion de proche en proche étant de manière préférentielle celle des initiés aux arcanes du Nouvel Ordre Mondial. On parlera ici des « Spores » initiales qui elles resteront sur le même segment d’exercice, mais sur le mode « Phase 3 » du développement de la Mérule.

Ces individus, une fois le « sale boulot » effectué ne seront pas inquiétés. Au contraire, ils feront comme pour tous les autres secteurs économiques et a fortiori en politique « un crochet » dans leur carrière.

Entendez par là qu’ils trouveront un poste similaire dans des structures proches de celles qu’ils ont mises à sac. Cependant, les enjeux ne seront pas tant de viser des entreprises ayant pignon sur rue comme le consortium français. Disons plutôt que la nuance réside dans le fait que les structures « tampon » permettent de ne pas avoir de rupture sur les C.V. tout en maintenant la « philosophie » du NOM : fragiliser des entreprises, soit pour les détruire, soit pour les faire absorber par de faux concurrents… ou enfin pour permettre le clonage des structures initialement allopathiques (voir homéopathiques) en laboratoires orientés biotechnologie chapeautés par un cabinet-conseil américain l’ERDYN61 62 63

Nous mettrons l’accent sur ce cabinet-conseil ayant des succursales à Paris, Rennes et Lyon dans notre troisième partie du Guide Stratégique. Et également dans le dossier conjoint puisque dans le volet « Littératie appliquée à l’éducation nationale », le rôle de ce cabinet-conseil auprès du ministère de l’Éducation nationale est expliqué

En effet, cet élément fait partie des Biais que nous avons trouvés au cours de nos enquêtes, notamment pour ce qui concerne un sujet qui nous touche particulièrement : les jeunes et la pression mise sur eux dans le cadre du système scolaire.

Particularité de ces personnes généralement placées en haut de l’organigramme : elles ont toutes des activités annexes en lien avec des actions philanthropiques ou de promotion du « savoir-vivre à la française » qui d’une façon ou d’une autre nous ramène au groupe Rothschild. Certaines déposent même des « noms de marques » à l’INPI (sujet troublant qui si nous en avons l’occasion fera l’objet d’une annexe).

Quoi qu’il en soit, tous et toutes gravitent de près ou de loin avec la Chine et le commerce lié au secteur viticole via le Savour Club. Ce club nous interpellant lui aussi, vu les noms importants et leur influence dans le secteur des fonds de dotations comme le Thôt.64 Dont on a placé en références un document extrait du Journal Officiel (Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels 2010) Détail pour le moins intéressant : la page Wikipédia « Fond de dotation Thot » a disparu. Ce qui n’est pas dramatique puisqu’elle avait été archivée et sera mise en annexe. Sachant que les dirigeants de cette structure franco-suisse ont dirigé les regroupements de mutuelles comme MMA et ont été également occupés des postes clés au Savour Club plus d’autres informations pour le moins incontournables de nos jours, il y a fort à parier que de plus en plus d’informations vont disparaître de la toile. Il est d’autant plus intéressant d’aller y voir de plus près sur ce qu’est un fond de dotation65.

Sur le principe de la mérule, lorsque plusieurs après le début des enquêtes nous essayons de trouver des informations sur ce désormais mystérieux fond, on trouve ceci :

• L’école THOT66 pour « Transmettre un Horizon à Tous ». Par principe, tout ce qui est d’inspiration ancienne Égypte, gréco-romaine et spécifiquement les dieux, le domaine apicole, vinicole sont liés au nouvel ordre mondial. Concernant cette école, on ne saurait que trop vous conseiller d’aller sur le site et de bien regarder ce qu’il en est. En veillant à bien lire chaque page sans oublier les rubriques qui se trouvent tout en bas et qu’on ne lit jamais.

Ici a été reproduit le plus fidèlement possible le processus de la Serpula lacrymans ou Mérule rapporté à notre société au sens large. Cela implique tous les secteurs économiques, politiques, religieux en France comme à l’international. Et pour donner un autre visage à cette organisation criminelle, c’est avec le BLOB que nous terminerons de définir l’anatomie du Nouvel Ordre Mondial.

Le Blob

De tous les articles que j’ai lus sur cet organisme vivant de la famille des amibes, c’est celui du site « Vikidia »67 qui est le plus intéressant et riche d’informations. Terminer la description du nouvel ordre mondial en le comparant au Blob permet de véritablement se représenter ce cartel aussi bien sur le fond que sur la forme.

Il est plus que conseillé d’aller consulter le site mis en référence bas de page ; vous y trouverez beaucoup de schémas, des vidéos pédagogiques et si l’on remplace le terme Blob par « Nouvel Ordre Mondial », nul doute qu’il sera plus facile de cheminer tout au long de l’enquête.

Anecdote, c’est l’engouement des sites médiatiques mainstream qui a attiré notre attention. « Trop de tapage » en quelques sortes, et surtout un schéma récurrent du discours unique qui occulte totalement le fait que ce blob n’ait pas tout dit de lui. La force avec laquelle les scientifiques — notamment du CNRS — promeuvent cette « chose » ; le fait qu’elle soit commercialisée et en vente libre, et spécifiquement sous forme de « Kit laboratoires » à destination des jeunes, n’a fait que nous alerter… Une fois de plus.

Ce qui suit sont des extraits du site Vikidia, la seule modification apportée sera l’ajout des termes « Nouvel Ordre Mondial », « cartel » ou tout autre déterminant.

a) Sommaire du site Vikidia

b) Définition

‘Physarum polycephalum (Nouvel Ordre Mondial), plus communément appelé blob, est une espèce de myxomycète faisant partie de la famille des Physaraceae et du règne des Amoebozoaires (comme l’amibe). Ce curieux organisme est composé d’une seule et unique cellule géante. Bien que dépourvu de cerveau ou de système nerveux, cet organisme vivant est tout de même capable d’apprendre. Ce n’est ni un animal, ni une plante, ni un champignon. Il vit dans les sous-bois depuis plus d’un milliard d’années. À l’état naturel, il se nourrit de bactéries et de moisissures (champignons). En laboratoire, les scientifiques leur donnent des flocons d’avoine, mais ils se nourrissent en fait des bactéries présentes sur l’avoine. Il existe plus de 1 000 espèces différentes de blobs.’

c) Reproduction et cycle de vie

Reproduction

“Le blob (Nouvel Ordre Mondial) est, comme nous, issu de la fusion de deux cellules sexuées. Elles ne sont pas appelées ovules ou spermatozoïdes, car le blob possède 720 sexes différents (équivalant au principe du polymorphisme énoncé ultérieurement). Une fois dans un milieu humide, ces cellules sexuées (appelées spores — individu infiltrant un système publique/privé ; une entreprise, une association, un mouvement populaire. Principe déjà évoqué par l’analogie avec la serpula larcymnans…) comme pour les champignons) partent en quête d’une cellule de type sexe différent. Avec plus de 720 possibilités, la tâche est plutôt facile. Lorsque deux cellules de sexes différents (appelés gamètes) se rencontrent, elles fusionnent pour devenir une cellule unique (œuf). Mais là, contrairement à nous, la cellule ne va pas se diviser, seul son noyau va le faire (phénomène de duplication ou clonage du nouvel ordre mondial. Par exemple, l’industrie pharmaceutique allopathique a été dupliquée ou clonée. Ils gardent “leur apparence initiale”, conservent le même nom ; la même vitrine, les mêmes axes de communication puis le remplacement se fait progressivement pour migrer vers la biotech exclusivement. C’est le cas pour tous les laboratoires y compris ceux dont on n’entend plus parler comme Servier) Le blob grandira donc au gré des divisions de ses noyaux jusqu’à atteindre des tailles record”. (C’est le principe de la phase 3 expliqué avec la mérule)

Plasmode

La principale phase du blob (du cartel) est le plasmode, ou plasmodium. Ce plasmode est constitué de réseaux de veines qui assurent la distribution des nutriments (par nutriments il faut comprendre systèmes bancaires, prosélytismes idéologiques, informations/désinformations au moyen des supports adaptés à l’époque. Manuscrits, imprimerie, télévisuelle, audiovisuelle…), et de nombreux noyaux (par exemple : si les Nations unies sont le « noyau source » ; les « nombreux noyaux » dans le descriptif correspondent à l’ONU, l’OTAN, l’OMS…) C’est au cours de cette étape que l’organisme cherche de la nourriture (nous, en individuel et/ou collectif). Le blob (Nouvel Ordre Mondial/ la franc-maçonnerie…) entoure sa nourriture (toujours nous) et sécrète des enzymes pour la digérer (guerre, épidémie, famine, Traffic en tout genre, atteintes à la dignité touchant tout le monde vivant : faune/flore/humanité…). Ce procédé est appelé phagocytose. Si les conditions environnementales entraînent la déshydratation du blob lors de l’alimentation ou de migration, il se formera alors un sclérote. Le sclérote est constitué de tissus très renforcés servant de stade de dormance, assurant ainsi la protection du blob pendant de longues années. Une fois les conditions favorables revenues, le blob réapparaît pour poursuivre sa quête de nourriture (c’est comme cela que ce cartel a traversé les temps, alternant des périodes actives et des périodes de sommeil). D’un point de vue historique, on peut rapprocher ces périodes de « dormance » — façon Hibernatus (ou cryogénie chère à Laurent Alexandre) — aux disparitions subites des civilisations majeures et de leurs cultes. Mésoaméricains/Egyptiens/Grèce antique/Sumériens… Un détail, lorsque cette « organisation » se réveille, elle reprend son cycle, mais adapté à l’époque. C’est pourquoi on passe du « nouvel ordre du monde » dans la Genèse au « Nouvel Ordre du Monde » au XXIe siècle).

Sporification

« Quand les réserves alimentaires sont épuisées et qu’il a atteint une taille suffisante, le blob (l’organisation, les 1 %) entre en phase de reproduction. Des poches contenant les spores (sporocystes) se forment dans le plasmode (voir le chapitre serpula lacrymans). Elles se forment habituellement à l’air libre pour que les spores soient dispersées par le vent (entendez par là que tout est fait à la vue de tous, comme, par exemple, l’ensemble de la politique d’Emmanuel Macron qui finit de saccager la France. Annoncé en amont par Jacques Attali qui “habitue” les gens à vivre des catastrophes. Cela concerne également les entreprises qui essaiment à tout vent…) Les spores peuvent rester viables pendant des années. Lorsque les conditions environnementales sont favorables à la croissance, les spores germent et libèrent des cellules flagellées. Les cellules fusionnent ensuite pour former un nouveau plasmode ». (C’est le cas actuellement avec le mouvement néonazi qui de groupuscules épars « insignifiants » a fusionné avec une autre cellule pour donner le gouvernement actuel en Ukraine)

Schéma décrivant le cycle de vie du blob.

Il ne s’agit pas de décliner l’ensemble de l’article ici. Simplement de vous donner un aperçu de la transposition qui peut être faite entre cet organisme particulier et les élites mondialistes.

Concernant le chapitre « La personnalité chez les blobs », il est intéressant de noter que selon les continents le mécanisme d’un organisme à un autre diffère. Par exemple, dans l’article en s’appuyant sur les travaux d’Audrey Dussutour68 et David Vogel, on apprend que certains blobs sont cannibales.
De la même manière, il apparaît que les surfaces d’infestation diffèrent selon le type d’amibes.

Les volets « Apprentissage et mémoire » et « Anticipation » ne peuvent pas être mis de côté. Sur le même principe, ils seront recopiés intégralement et des translations en lien avec le Nouvel Ordre Mondial seront ajoutées.

Apprentissage et mémoire

L’expérience de Toshiyaki69 sur l’optimisation d’un réseau.
Le blob apprend en l’absence de cerveau. Dans un article publié par l’équipe d’Audrey Dussutour dans une revue scientifique internationale. « Le segment de la mémoire du blob est la substance elle-même, résume la chercheuse. C’est un peu comme si pour apprendre ses devoirs, un élève devait les manger ». Malgré sa simplicité apparente, le blob démontre une forme d’intelligence primitive. Il est ainsi capable de trouver le chemin le plus court dans un labyrinthe, de former des réseaux optimisés ou d’équilibrer son régime alimentaire. Une étude réalisée par le professeur japonais Toshiyaki Nagakaki démontre que le blob est capable d’optimisation. Il disposa des flocons d’avoine sur une surface de manière à reproduire le réseau ferroviaire japonais. Il y plaça un blob et observa la façon dont celui-ci relie les différentes sources de nourriture. Le résultat fut surprenant : le blob avait créé un réseau mieux optimisé et plus efficace que le réseau japonais en seulement 24h, alors que des ingénieurs avaient passé plus de 50 ans à le concevoir ! Et même si une rame était inutilisable, il était quand même possible de relier le tout.

Anticipation

En générant de façon répétée des stimuli de chaud et de froid au blob et ce avec 60 minutes d’intervalle, des biophysiciens de l’Université d’Hokkaidō (dont le professeur Toshiyaki Nagakaki) ont découvert que le blob peut anticiper ces stimuli en y réagissant même quand ceux-ci étaient absents. Ils ont également montré que ces résultats pouvaient être obtenus en appliquant les stimuli avec un intervalle de 30 ou 90 minutes.
Ce paragraphe est intéressant si l’on considère que par anticipation et mémorisation les élites mondialistes connaissent mieux la nature humaine que nous. Ce qui permet par exemple de savoir exactement « où, quand, comment » procéder pour mener l’humanité exactement comme elles l’entendent.
En agissant sur les instincts primaires (survie), rien de plus facile en effet que de provoquer des psychoses généralisées (pandémie/guerre/écologie…). Si en plus cet organisme a développé des outils pour absorber les mémoires collectives en quelque sorte, l’exercice est enfantin.

L’expérience de Toshiyaki sur l’optimisation d’un réseau.

Parmi les éléments mis à disposition du public visé dans l’article (les 8-13 ans), il en est qui ne doivent pas être mis de côté :

  • Sont référencés plus de 1000 espèces de blobs à travers le monde.
  • Ils sont présents sur tous les continents, mais aussi dans le milieu aquatique et dans des zones où les températures sont extrêmes (déserts/glaciers).
  • Des recherches sont faites en robotique pour « coupler » ces organismes primitifs à des robots. Voir page suivante.

« À Bristol, le professeur Andrew Adamatzky7071 utilise l’activité électrique du blob pour créer de nouveaux protocoles pour les robots. En greffant un blob à un robot, celui-ci se déplace en fonction des impulsions électriques du blob. Cette découverte permettrait à l’avenir de créer des robots capables de s’adapter constamment à leur environnement et de réagir et en conséquence, à la manière du blob. »

Ci-dessus quelques couvertures d’ouvrages d’Andrew Adamastzky. Lorsque l’on s’attarde sur ses recherches, et ses centres d’intérêt, que l’on met en parallèle les produits biotechnologiques (Pfizer, Moderna…) et que l’on regroupe l’ensemble des informations, émettre l’hypothèse que des savants fous puissent inoculer des spores en plus du graphène et autres HIV, semble être une piste sérieuse à explorer.

Pourquoi cette remarque ?
Si l’on en juge les propos tenus par Laurent Alexandre72, l’avenir de ces « privilégiés » est la cryogénisation. Sa crainte : que les générateurs et sources d’énergie tombent en panne.
Ce qui reviendrait à les transformer — lui et les autres — en momie dans son sarcophage high-tech façon Toutankhamon. Pourquoi ne pas imaginer que des scientifiques planchent sur le moyen de générer de l’énergie autrement et d’éviter la panne électrique comme le mentionne Laurent Alexandre ?

À force de récolter une somme conséquente d’informations (y compris scientifiques), cette projection qui consiste à préparer nos organismes à devenir des piles Duracell n’est pas à mettre de côté. Loin s’en faut. Et opérer à un switch du fer dans l’Hème (contenu dans l’hémoglobine) par du cuivre n’a rien d’une utopie.

Étudier ce personnage qu’est Laurent Alexandre73 a permis d’ouvrir des pistes d’investigations connexes — certes glaçantes — mais très efficaces. Rendez-vous dans le dossier « Reine Blanche » pour avoir plus d’informations.

Conclusion

En rapprochant le Nouvel Ordre Mondial d’organismes vivants comme la serpula lacrymans et plus encore le blob, on peut désormais avoir une projection physique et anatomique de ce cartel millénaire.

Il faut bien comprendre que les recherches nous amènent à explorer des vecteurs d’informations réellement disparates. Ainsi, lorsque l’on a visité les sites en lien avec l’informaticien Andrew (ou Andy) Adamastzky, sont ressortis des éléments récurrents et qui posent interrogations, avec entre autres cette volonté d’attribuer des termes dont l’usage entre dans le registre des sciences du vivant à des secteurs manufacturés (architecture, urbanisme, informatique). De la même manière, et sur le même site internet, on découvre que des termes propres à des insectes de la famille des hyménoptères (abeilles, guêpes…) aux humains, voire des rapprochements mnémotechniques qui font assimiler technologie et génétique. La capture écran de ce site catalan (Iaac : Institut d’architecture avancée catalan74) donne qu’un aperçu.

Une chose est certaine, on assiste à une réelle infestation de tous les secteurs selon le principe « mérule/blob » avec en plus des hybridations illimitées : où l’on mélange règne animal ou des insectes avec l’humain (selon l’idéal maçonnique) ; ou technologie et amibes sont couplées… il n’y a plus de limites. Le monde des chimères, des hybrides de tout type.

Pour les cinéphiles et les plus anciens d’entre nous, le Blob est un film d’horreur des années 50 avec l’acteur Steve Mc Queen où il est question d’un « monstre gélatineux dévorant tout sur son passage ». Film faisant écho à un livre de science-fiction « Invasion of the Body Snatchers » (l’invasion des voleurs de corps75). Il va de soi que l’on fait le lien avec cet ouvrage, plusieurs fois adapté au cinéma, non pas pour le côté « invasion extra-terrestre, même végétale » — bien que parfois il est à se demander si nos élites vivent sur la même planète — mais sur le modèle de clonage-réplication vu également avec la serpula lacrymans. À méditer.

Synthèse

Dans ce dossier de présentation, ont été placés des éléments de natures diverses qui tous sont en lien avec les pratiques du Nouvel Ordre Mondial sans exception. On a travaillé exclusivement à débusquer « les empreintes » laissées par le cartel français, pour ensuite les regrouper par thèmes.

Le reste du document réparti en dossiers à thématique vise, non seulement à en faire la démonstration, mais aussi, et surtout : donne des faisceaux d’indices, des hypothèses de travaux complémentaires et outils pour donner à tous ceux qui le souhaitent — experts, professionnels ou simplement des personnes désireuses de changer de paradigme — des moyens, des arguments permettant de les confronter.

L’objectif étant de comprendre « comment nous en sommes arrivés là ». Si l’ensemble des fichiers apporte des décryptages et une sélection d’éléments « à charge », l’un d’entre eux — a contrario — est une succession d’informations irréfutables qui donnera l’articulation, la chronologie ou le squelette du Plan français pour céder la France aux mondialistes.

Rapporté au jeu de stratégie des Échecs, cela revient en définitive à considérer ce dossier comme la « Reine Blanche » sur le damier ou à la lame de la Force dans le jeu des Tarots de Marseille ou Besançon (qui, on le rappelle ici étaient maçonniques pour l’un et dissident pour l’autre).
Plutôt que de rester focus sur notre actualité politique, sanitaire, économique ; ce dossier tout comme celui qui analyse le secteur de la Santé traitent les informations de façon panoramique sans distinction de temporalité ni de thème. En réalité, on a enquêté de façon globale, terme emprunté aux mondialistes du cartel.

Rappel :

• Si vous ne croyez pas en l’occultisme EUX si.

• Le système du cartel millénaire est millénaire et les informations sont disséminées sur toutes sortes supports : religieux, artistiques, politiques sans distinction d’époque, de culture ou de géographie (de tout temps et sur l’ensemble des continents) d’où la variété de références et illustrations.

« À cœur vaillant, rien d’impossible ».

On a mis nos vies entre parenthèses pour mener nos recherches et tout notre cœur pour monter ces dossiers. Ne reste plus qu’à vous souhaiter le meilleur et surtout de commencer à entrevoir des pistes de solutions.

[Voir aussi :
500 millions
La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
La synagogue de Satan]





Le fascisme

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Les deux faces d’une même pièce

1 — Face — Le fascisme historique

Mouvement politique, idéologique, créé par Benito Mussolini après la guerre de 14-18. Ce terme est dérivé du latin fasces, faisceaux de verges, d’où émergeait le fer de la hache que les licteurs portaient devant les premiers magistrats de la Rome antique.

Il choisit cet emblème dès la fondation de son mouvement. Le premier « Faisceau de combats » apparut le 23 mars 1919 pour lutter entre autres contre la montée du communisme en Italie.

Benito Mussolini avait été auparavant, de 1912 à 1914, le numéro deux du Parti socialiste italien et le directeur du journal des socialistes, Avanti.

Ces Faisceaux, dès l’origine violents, furent regroupés en 1921 en un parti fasciste qui prit rapidement de l’ampleur à cause notamment de la passivité du gouvernement et de sa calamiteuse gestion des affaires de l’État.

En août 1922 Mussolini obtint du roi Victor-Emmanuel III des ministères, puis les pleins pouvoirs notamment grâce au succès de la marche des chemises noires sur Rome (octobre 1922).

La force primant sur le Droit, le parti fasciste s’identifia rapidement à l’État, tous les rouages de la machine étatique fonctionnaient à l’unisson pour converger vers un totalitarisme qui ne disait pas son nom. Mussolini et son parti avaient toujours raison, les oppositions étaient considérées comme des entraves ou négligées, dans tous les cas jamais comme des égales avec qui l’on pouvait avoir un dialogue constructif et démocratique.

Une importante fraction du patronat, des industriels, du Capital qui voyaient d’un mauvais œil la progression des communistes soutinrent le Duce à l’aide de fonds privés, mais surtout grâce aux médias qui leur appartenaient. Une intense propagande vit le jour qui alternait censures et désinformations… et qui ne s’arrêtât que tardivement quand la défaite pointât le bout de son nez.

Par extension on appelle fascisme :

Un phénomène politique général que de nombreux auteurs retrouvent dans certains aspects de tous les systèmes totalitaires comme le nazisme, le franquisme, le stalinisme…

Ses principales caractéristiques sont la propagande, la rétention de l’information, les mensonges, les manipulations, la justice à sens unique, les contraintes, les contrôles et dans le cas de décisions importantes un signe qui ne trompe pas : l’absence de débats démocratiques.

Le régime macronien qui depuis la crise du covid ne brille pas par sa volonté de dialogue va-t-il encore franchir un nouveau pas ?

2 — Pile — Le fascisme actuel se moque de la démocratie : il planifie quasiment tout en coulisse

https://nouveau-monde.ca/davos-nid-de-viperes/ :

Klaus Schwab, un ingénieur et économiste allemand né le 30 mars 1938 à Ravensbourg en Allemagne, fonde avec l’aide d’un puissant réseau en 1971 le Symposium Européen du Management à Davos en Suisse, qui devient en 1987 le Forum Économique Mondial (World Economic Forum) ou Forum de Davos, fondation « à but non lucratif » dont le siège est à Genève (info tirée en partie de Wikipédia).

Pendant des années, le Forum a poursuivi un agenda global de libération de l’économie doublé d’un travail de sape afin de modifier à son avantage les règles du commerce mondial. Il a été aidé en cela par de très nombreux organismes, groupements, associations, groupes d’influences, « philanthropes »… qui aspirent au même objectif. Ils seraient fastidieux de les citer tous, car de plus, des personnes faisant partie de ces réseaux ont infiltré (on dirait chez les trotskistes, ils ont fait de l’entrisme) un grand nombre d’organismes de premier plan pour les orienter de l’intérieur en les colonisant. Nous citerons quand même un organisme où cela est flagrant, l’OMS dont son principal donateur est Bill Gates par l’intermédiaire de sa Fondation. Bill Gates qui à de très gros intérêts dans le domaine des vaccins était présent cette année à Davos. Profitons de l’occasion pour faire remarquer qu’Ursula Von Der Leyen, la présidente de la Commission Européenne dont son époux travaille pour Pfizer y était aussi, à notre sens c’est très révélateur… et devinez où était Albert Boula le PDG de Pfizer, l’homme dont la société a le record du monde, et de loin, des amendes pour fraudes et magouilles des entreprises pharmaceutiques ? 
https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/historique-judiciaire-pfizer/

Le Forum de Davos réunit en principe en janvier de hauts dirigeants d’entreprises, des responsables politiques, comme de soi-disant intellectuels ou des personnalités influentes des médias. Cette année après le Forum virtuel de 2021 la réunion a eu lieu fin mai sans la Russie et la Chine. Selon les médias dominants, l’absence de la Russie est due au fait que la Russie a attaqué l’Ukraine et qu’elle a été exclue pour cette raison. Ce panel élitiste, composé de nantis, assiste à des interventions sur des sujets divers allant de l’économie, à la finance, « à la santé »… comme à l’intelligence artificielle ou IA. Ce sujet tenant particulièrement à cœur à son fondateur Klaus Schwab, comme à un de ses principaux collaborateurs le dénommé Yuval Harari. Ce dernier étant l’auteur du livre Homo Deus encensé par tous les psychopathes de la planète. Voyez le bonhomme présentant son œuvre à l’Élysée avec un Macron ravi.

L’hebdomadaire Le Point à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage 21 leçons pour le XXI siècle en en fait « Le penseur du siècle. »

Mais lissez les commentaires des lecteurs sur ses bouquins et vous comprendrez rapidement que l’on a affaire à une escroquerie de bas étage. Tant que vous y êtes, jetez aussi un œil sur le livre qu’a commis en 2020 Klaus Schwab avec un collaborateur The Great Reset, La Grande Réinitialisation. Les commentaires des lecteurs sont là aussi très instructifs sur le niveau intellectuel des auteurs.

Parallèlement aux réunions, le forum publie un certain nombre de rapports économiques et implique ses membres dans différentes initiatives liées à des secteurs pour lui prioritaires. La fondation consacre une grande partie de son budget à l’organisation de différentes rencontres qui cherchent entre autres à influencer les décisions des politiques à travers le monde. Elle n’a en fait qu’un seul but : prendre par le haut le contrôle de la planète en court-circuitant la démocratie et la population.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/27/klaus-schwab-en-plein-delire-megalomaniaque-lavenir-est-construit-par-nous-une-puissante-communaute-ici-dans-cette-salle/

Liste des participants 2022 :

https://www.aubedigitale.com/decouvrez-les-mondialistes-voici-la-liste-complete-des-participants-a-davos-2022/

La véritable raison de l’absence de la Russie

Comme les médias grands publics et les journalistes complices, ou ceux qui ne font pas leur travail, ne vous le diront pas, en fait, l’absence de la Russie trouve son origine dans le gigantesque clash, que l’on peut qualifier dès maintenant d’historique, qui a opposé deux conceptions du monde antinomiques lors du Forum virtuel de la fin janvier 2021.

Le président Schwab en compagnie de notre Macron national ayant eu la bonne idée de donner ensemble leurs conclusions sur les leçons qu’ils tiraient de l’épidémie de coronavirus et sur la façon dont ils envisageaient l’avenir.

Ci-dessous le duo dans ses œuvres.

Remarquez que le site officiel de l’Élysée précise bien que l’intervention de Macron est faite dans le cadre de l’agenda de Davos organisé par le World Economic Forum. Cet aveu montre d’une façon irréfutable la perfidie de ce traître à la république.

Réponse cinglante de Vladimir Poutine. Vidéo provenant d’une salle Lumineuse du Kremlin. (Pour ceux qui savent voir.)

http://kremlin.ru/misc/64938/videos/4711

Conclusion

Nous sommes dans une guerre de l’information et les médias comme les journalistes collabos ou qui ne font pas leur métier participent à une gigantesque manipulation. Le peuple est berné par des gens sans foi ni loi ou des ignorants. Les conséquences sont énormes, les dégâts considérables. Nous ne leur pardonnerons jamais.

Liste des Français participants à l’influent groupe Bilderberg 2023, dont le Forum de Davos n’est qu’une succursale, et qui s’est tenue fin mai au Portugal :

  • – Édouard Philippe
  • – Gabriel Attal
  • – Clément Beaune
  • – Thomas Buberl (AXA)
  • – Henri de Castries (Institut Montaigne + ex-président d’AXA)
  • – Patricia Barbizet (Afep + ex-présidente du Siècle)
  • – Bernard Gauvain Émié (DGSE)
  • – Antoine Gosset-Grainville (AXA)
  • – Valérie Baudson (Amundi)
  • – Patrick Pouyané (Total)

CONCLUSION

Dans ces réunions opaques se décident l’avenir du monde, entre autres ils sont déjà entrain de préparer la succession de Macron, à la vue des participants on comprend facilement que l’individu choisit est sans doute Édouard Philippe. Seuls les ignorants irrécupérables tomberont dans le panneau.




Mais qui est Antoine Béchamp ?

Par Brigitte Fau

Issu d’une famille modeste, Antoine Béchamp, pharmacien, chimiste, médecin, biologiste fut un savant exceptionnel.

Formé comme pharmacien en Roumanie, où il a vécu depuis l’âge de six ans, chez un oncle diplomate, il dut reprendre ses études, non reconnues en France, à son retour.

En 1851 il réussit le concours de l’agrégation à l’école de pharmacie de Strasbourg. Sa thèse a pour sujet : « De l’air atmosphérique considéré sous le point de vue de la physique, de la chimie et de la toxicologie. »

En 1853, les thèses de Béchamp, pour le doctorat ès sciences, furent chimiques : Recherche sur la pyroxyline (coton-poudre), et « De l’action chimique de la lumière » ;

En 1856, il passe son doctorat en médecine, avec pour thèse « Essai sur les substances albuminoïdes et sur leur transformation en urée. » à Strasbourg.

Pendant 20 ans, il sera professeur de Chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier.

Puis en 1876, alors qu’il s’interrogeait sur « l’Origine et l’essence de la matière », il fut sollicité par l’évêché, il devint premier doyen de la faculté catholique de Lille. Choix qu’il regretta selon ses mots dans ce courrier qu’il adressa en 1900 à Hector Grasset (1) p.66 :

« C’est que j’avais encore les illusions que le clergé de l’Université catholique de Lille s’est chargé de me faire perdre à jamais, lorsque le recteur de cette université a voulu mettre le livre sur les Microzymas à l’index, comme matérialiste. Tenez donc comme une sottise de ma part l’affirmation de ma lettre à la revue l’Univers. Je suis resté chrétien aussi complètement que possible, mais plus du tout convaincu que les théologiens aiment la science pour la science.

Il est ainsi avéré que, tenant l’Évangile pour vrai, je tiens, comme Galilée et Lavoisier, pour certain que l’étude désintéressée et approfondie de la nature est la seule voie capable de conduire à la connaissance des choses qu’il nous est donné de connaître. »

À l’heure de la retraite, il se retire à Paris et continue ses importantes recherches biologiques à la Sorbonne, dans le laboratoire mis à sa disposition par le célèbre naturaliste Ch. Friedel, jusqu’à sa mort à l’âge de 91 ans, le 13 avril 1908.

Antoine Béchamp était désintéressé, tenace, travailleur énergique, rigoureux, précis, intransigeant avec lui-même en particulier, ne supportant pas l’injustice ; sans aucun doute, il aimait la Science et avait compris l’importance d’une démarche exemplaire pour avancer en science (voir le chapitre consacré à la démarche scientifique).

Ce qui me frappe le plus à la lecture de ses livres, c’est sa perspicacité, sa lucidité, son recul exceptionnel. Chaque élément trouve sa place au fur et à mesure des nombreuses expériences qu’il décortique avec une détermination sans faille pour comprendre et trouver l’origine de chaque phénomène, même le plus anodin qui peut s’avérer être en réalité des plus essentiels.

« Rien ne se produit sans cause provocatrice ! »

Ces travaux sont relatés dans les Comptes Rendus réguliers qu’il faisait à l’Académie des Sciences, si nombreux que, je ne serais pas étonnée si l’on y découvrait des pépites, encore inconnues de la science en plus de cette découverte essentielle des microzymas.

Son œuvre est considérable. Le Dr Hector Grasset vous la présente de manière non exhaustive, tant elle est grande, placée dans le contexte scientifique historique.

En 1913, Hector Grasset commence ainsi son livre, « L’œuvre de Béchamp » (1) qu’il a eu l’occasion de rencontrer suite à cette esquisse dont il est question :

« Il y a onze ans, j’avais fait une esquisse de l’œuvre de ce méconnu, pensant attirer l’attention sur un vieillard dont le colossal labeur était digne d’un meilleur sort. Ce fut en vain, l’ostracisme scientifique avait été tel que ma voix n’eut guère d’écho ; ce revenant pouvait être dangereux pour les gloires trop auréolées. Aussi, quand Béchamp mourut isolé, le 15 avril 1908, ce fut un étranger qui signala le cas à la presse française. A. Béchamp, né le 16 octobre 1816, à Bassing, près de Dieuze (Meurthe), s’éteignit, à l’âge de 91 ans, à Paris, de la congestion pulmonaire des vieillards, dans l’indifférence générale ; je n’appris moi-même le fait que longtemps après.

Je n’ai pas été son élève, je n’ai connu ses travaux que d’une façon indirecte, et j’ai été amené à les apprécier en recherchant la genèse de la science contemporaine ; si j’ai été séduit par l’immense portée de ses recherches, j’ai été plus profondément étonné de l’incompréhension presque générale de ses idées parmi les savants actuels, quand il n’y avait pas de mauvaise foi évidente, ou une ignorance absolue. Si donc je prends sa défense, je ne puis être taxé de parti pris ; »

Et pour compléter les informations nombreuses qu’il fournit, Hector Grasset recommande en particulier, les livres suivants d’Antoine Béchamp :

  • Les Microzymas dans leur rapport avec l’hétérogénie, l’histogénie, la physiologie et la pathologie (Paris, in-8°, 1883, chez J. Baillière) ; 1066 pages
  • Microzymas et microbes (Paris, 1893, in-8°, chez E.Dentu) ; 412 pages
  • Le sang et son troisième élément anatomique (Paris, 1899, chez Chamalet) ; 297 pages

Il ajoute :

C’est surtout le premier qui est répandu, et c’est malheureux, car les autres me semblent bien supérieurs. Je dois avouer que, si je n’avais pas connu les idées de Béchamp par les comptes rendus scientifiques étudiés progressivement, le livre de 1883 m’eût semblé indigeste et ne m’eût pas donné une conception aisée de la théorie ; mais lorsqu’on a saisi la grande idée, à chaque pas on trouve des trésors dans ces trois volumes. Ce sera donc la méthode historique et chronologique, qui me permettra de vous faire comprendre et apprécier l’œuvre de ce grand homme, et vous poussera peut-être à faire connaissance avec elle.

J’ai trouvé des « trésors » également dans un 4livre de 1888 (2), dans lequel Antoine Béchamp réunit des lettres, plutôt des articles qu’il écrivait au Dr Édouard Fournier, destinées à être publiées dans la « Revue médicale française et étrangère ».

Hector Grasset nous fait sentir « cette grande idée » en utilisant la méthode historique et chronologique. Il met en évidence les difficultés et les réticences rencontrées par Antoine Béchamp, dont il a compris l’intégrité et le génie, face à des personnes influentes, dont l’ego passait avant la Science, prêtes à tordre la science pour arriver à leur fin.

Antoine Béchamp aurait manqué de souplesse, de sens politique, refusant les compromis et s’est retrouvé victime d’une conspiration du silence (3) p.72.

Mais ce silence imposé pour empêcher que ses travaux fussent connus, n’est-il pas la preuve de l’incapacité de ses adversaires à tenir tête ouvertement à ses explications solides et à sa détermination à défendre « la vérité » des faits scientifiques. Sa pensée aiguisée, était apte à déceler la moindre faille dans les arguments de ses opposants.

C’est cette « grande idée » que je souhaite faire passer modestement, à mon tour, en écrivant ce livre, 110 ans après celui d’Hector Grasset. Hector Grasset ne se contentait pas des connaissances diffusées, il plongeait à la source des Comptes Rendus scientifiques. Et il a compris quel trésor la Science avait là !… Je ne suis pas remontée aussi loin. J’ai pris connaissance des travaux de Béchamp par le biais de son livre écrit en 1883, essentiellement.

Quel que soit l’itinéraire suivi pour approfondir le sujet, c’est « indigeste » au départ, avant que la persévérance et le recul nous fassent sentir cette « grande idée » : cette vision nouvelle du vivant dans toute sa globalité qui échappe à la science.

J’ai choisi une méthode synthétique pour transmettre autrement.

Pourrait-on ainsi enfin casser la « conspiration du silence » dont Antoine Béchamp fut et est encore victime ? Les scientifiques contemporains réalisent-ils seulement qu’ils entretiennent cette censure sans en avoir conscience, par manque de curiosité (et de temps surtout) des origines de leur science dont les fondements sont essentiels et devraient être leur première préoccupation.

Le livre dans lequel je présente cette synthèse de la théorie d’Antoine Béchamp est en cours de publication prévue pour cette fin mai. Il peut être commandé aux éditions Marco Pietteur :

[Voir aussi :
Une approche globale du vivant]

Références :




Référendum volé : deux poids, deux mesures pour le « complotisme » ?

[Source : quebecnouvelles.info]

[Photo : Jacques Parizeau, indépendantiste et 26e Premier ministre du Québec]

Par Philippe Sauro-Cinq-Mars

C’était en 2020 après l’élection présidentielle américaine et la chose m’avait frappé : entre deux articles pour traiter Donald Trump de mauvais perdant et de conspirationniste pour avoir remis en question les résultats de l’élection, Normand Lester publiait un article sur son sujet de prédilection : « Les fraudes électorales lors du référendum de 1995 » ! Le journaliste ayant passé les dernières décennies à étudier cette théorie d’un référendum volé ne voyait aucune contradiction dans le fait de dire qu’après seulement quelques jours, le camp Trump ne disposait pas de preuves suffisantes pour parler de fraude. Mon but ici n’étant certainement pas de confirmer ou infirmer l’une ou l’autre de ces théories, mais simplement d’analyser en quoi notre attitude envers la remise en question des narratifs officiels a évoluée. Car avant de pouvoir prouver une fraude, il faut d’abord se laisser le droit d’être sceptique, mais en 2023, ça vous vaut instantanément d’être taxé de « complotiste ».

Le complotisme normal d’un autre temps

Replacez-vous il n’y a que quelques années ; sans qu’on ne le remarque, les théories « complotistes » étaient tout à fait normalisées, ou en tout cas, on reconnaissait d’emblée la possibilité de complots ou de conspirations aux plus hauts échelons du pouvoir. Déjà, on savait que la guerre en Irak était fondée sur un mensonge et on spéculait que Bush ne voulait que « voler le pétrole » irakien. Et ce n’était pas un mensonge innocent : cette guerre a tellement déstabilisé la région que quelques années plus tard, pratiquement l’ensemble du Moyen-Orient et du Maghreb tombait en guerre civile, avec résultat, au total, des millions de morts.

Mais ça, ce n’est qu’une « conspiration » parmi une multitude d’autres qui formaient jusqu’à récemment un univers social complètement imprégné de cet esprit de méfiance envers les élites. On peut retourner jusqu’à Kennedy : peu de gens doutent encore qu’un président américain ait été assassiné par la CIA. Je vais simplement répéter pour qu’on se comprenne bien : la majorité des gens croient que la CIA a ASSASSINÉ UN PRÉSIDENT EN FONCTION. C’est complètement « mainstream ». On s’entend que les possibles fraudes électorales de Biden, c’est de la petite bière en comparaison.

Et que dire du financement des Contras nicaraguayens par la vente de cocaïne en sol américain par la CIA pendant l’administration Reagan ? Et quid du coup d’État contre Mossadegh. En fait, on pourrait carrément remonter à la Guerre de l’Opium, aux accords de Sykes Picot ou que sais-je ! De manière générale, il était convenu que les grandes puissances et leurs services de renseignements faisaient régulièrement du sale boulot dans les coulisses.

Mais ce n’est pas seulement les sphères politiques qui étaient visées par cet esprit complotiste ; les milieux financiers et les multinationales étaient accusés, parfois encore plus sévèrement, de comploter leur domination mondiale. Particulièrement à gauche, on tenait pour acquis que les puissants formaient des monopoles et écrasaient la compétition par des tactiques déloyales. On tenait pour acquis que des armées de lobbyistes achetaient des passe-droits réglementaires en coulisse pour continuer de polluer et exploiter les gens. Contre quoi pensez-vous que les altermondialistes protestaient lors des grands sommets internationaux ? Contre une mondialisation organisée à huis clos à l’avantage des grandes corporations et de sphères politiques corrompues ! Il n’y avait pas d’ambiguïté là-dessus.

En soi, tout l’imaginaire de gauche est teinté de complotisme ; le marxisme n’est-il pas, dans sa plus simple expression, la théorie d’une caste d’élite (bourgeoisie) qui a volé les moyens de production à une caste d’exploités (le prolétariat) ?

Évidemment, au début des années 2000, on distingue ces contestations sociales du complotisme, jugé plus farfelu, par exemple les histoires d’aliens, de franc-maçons ou de complot juif mondial. La théorie du complot autour du 11 septembre est un peu à mi-chemin, à la limite d’être mainstream, mais quand même déconsidérée. N’en reste pas moins qu’à tous les niveaux, on contestait les élites et les accusait de complot : Monsanto qui accapare des droits sur le vivant, les industries automobile et pétrolière qui auraient « acheté les brevets des voitures électriques pour éteindre leur développement », l’industrie du sucre qui nous rend accros, etc.

Rappelez-vous que ces idées étaient tellement fortes qu’elles ont éventuellement mené à ces mouvements « occupy » autour de 2011, et les manifestants faisaient des blagues de guillotine devant Wall Street… Il serait tentant de penser que ça a eu un gros impact, et que les puissants ont dû réfléchir à une manière de calmer ces éruptions populaires dans les années suivantes… Mais je ne fais que spéculer, évidemment ! Je ne voudrais pas démarrer une nouvelle théorie conspirationniste !

La méfiance québécoise

Maintenant, le Québec, en tant que nation conquise, ayant connu une histoire marquée par les trahisons, de la conquête au référendum de 1995 en passant par le serment du test, le rapport Durham, l’acte d’union, le paiement de la dette du Haut-Canada, le rapatriement de la constitution et j’en passe, a développé un esprit particulièrement « complotiste » envers les élites anglaises ou fédérales.

Il n’y a pas seulement les soupçons d’un vol du référendum de 1995 qu’on puisse associer à une remise en question du narratif officiel et à un « complot » pour maintenir le Québec dans la fédération. Pensez simplement à la « nuit des longs couteaux », où Pierre Elliott-Trudeau et les ministres des autres provinces ont signé la constitution en laissant dormir René Lévesque ! Certains Québécois refusent encore aujourd’hui de reconnaître que le Québec fait partie de la constitution canadienne !

Et que dire de toutes ces commissions d’enquête des dernières décennies, sur le scandale des commandites, l’industrie de la construction, la nomination des juges, etc. Un niveau de corruption ahurissant a été dévoilé et est reconnu de tous. Et qui dit corruption dit fraude et complots. Personne n’est dupe sur le fait que l’État, le gouvernement et les milieux d’affaires sont constamment parasités par de la corruption.

Maintenant, beaucoup de Québécois pensent à raison que le Canada « post-national » de Justin Trudeau veut noyer le Québec dans une vague migratoire sans précédent ; tout dépend de la formulation, évidemment, mais même les principaux partis nationalistes le disent à mots couverts.

Personne n’oserait traiter les souverainistes de complotistes lorsqu’ils soulignent ces différentes fraudes ou conspirations pour empêcher l’indépendance et l’émancipation québécoise. Personne ne contredit réellement que de nombreuses preuves démontrent des irrégularités lors du référendum de 1995. D’ailleurs, il est commun de reconnaître qu’avec un peu de recul, l’affirmation incendiaire de Jacques Parizeau comme quoi le référendum a été perdu à cause de « l’argent et des votes ethniques » était assez légitime.

L’ère de la « post-factualité »

Mais voilà, en 2023, il semblerait que toutes les remises en question qui sont un peu trop d’actualité sont taxées de « complotisme ». On fait la guerre aux « coucous » et l’ostracisme social bat son plein.

D’abord, la montée populiste de Trump et un tout nouveau type d’activisme moqueur sur les réseaux sociaux semble avoir activé une panique dans les médias traditionnels. Si la désinformation existait déjà sur le web, la politisation radicale des contenus à partir du milieu des années 2010 et une polarisation extrême causée par le débat sur la réponse à la montée islamiste a fourni des justifications pour réglementer et censurer les contenus web.

En fait, dès le lendemain de l’élection de Trump, les médias, qui lui prédisaient une défaite cuisante, se justifient en accusant « l’ère de la post-factualité ». Au même moment, Trump réalise que le gouvernement précédent a mis sa campagne sous écoute afin de trouver quelque chose de compromettant à son sujet. C’est alors que les démocrates sortent la théorie tout à fait conspirationniste du « Russia-Gate », où on prétend que Trump aurait obtenu de l’aide de la Russie.

Carrément, on peut dire que toute cette histoire de collusion entre Trump et la Russie était précisément un rejet des résultats de l’élection de 2016. Les démocrates ont contesté cette élection pendant tout le mandat de Trump, utilisant des hashtags comme #NOTMYPRESIDENT et tentant à deux reprises de le destituer ! C’était la définition même d’une théorie du complot, il est donc curieux de voir comment la théorie d’une fraude électorale en 2020 est moins prise au sérieux, cette fois, puisque portée par les Républicains.

Quoiqu’il en soit, on voyait déjà à ce stade s’établir une nouvelle démarcation entre « l’acceptable » et le « complotisme », qui suivait étrangement des lignes partisanes en défaveur de la droite. Les médias traditionnels et une gauche étrangement enlignée avec des élites de plus en plus woke commençaient à accuser cette nouvelle droite de propager des « théories du complot » d’extrême droite. Remarquez d’ailleurs l’ironie : cette nouvelle droite répudiait définitivement le néo-libéralisme pour épouser une position plus identitaire et altermondialiste… Et la gauche, anciennement altermondialiste et opposée au néo-libéralisme accusait désormais la droite de complotisme. Ça ne s’invente pas…

Enfin, la pandémie a scellé définitivement cette ambiance de maccarthysme anti-complotiste en Occident. Le nécessité de solidarité sociale face à l’incertitude du virus, l’application de mesures d’urgence, le partage d’une situation collective intensément vécue ; tout ça a contribué à la formation d’un unanimisme intransigeant. Toute critique était désormais perçue comme une rébellion dangereuse, toute remise en question comme la propagation de théories dangereuses. Du jour au lendemain, se méfier de l’industrie pharmaceutique, des gouvernements et de leurs ententes internationales est devenu automatiquement conspirationniste.

Vous vous rappelez du lab de Wuhan ? Cette théorie était considérée comme complotiste pendant plus d’un an, et ce même si les agences de renseignements en faisaient la théorie la plus probable. Je répète : les agences de renseignement américaines, canadiennes, britanniques, australiennes et néo-zélandaises étaient tous d’accord que le virus s’était probablement échappé du laboratoire, mais parce que nos médias disaient le contraire, affirmer la même chose était proscrit. On peut parler aussi de l’efficacité des masques, du vaccin et des allégements réglementaires ayant accéléré sa production. On peut parler aussi des coûts psychologiques et économiques des mesures sanitaires, parfois extrêmement sévères. Et on peut aussi se rappeler la panique omicron, où des journaux publiaient, noir sur blanc, qu’il fallait « écœurer » les non-vaccinés et les « covidiots » pendant que le Premier ministre tentait de leur faire payer des impôts supplémentaires… Et c’est sans parler du passeport vaccinal et de l’exclusion sociale engendrée.

La ligne était désormais clairement définie : d’un côté, les gens bien qui acceptent absolument toutes les directives gouvernementales et leur narratif, et de l’autre, les « coucous » conspirationnistes qui osent « contredire la science » et qui sont un danger public à éliminer.

C’est à l’histoire d’en juger

J’ai une relation spéciale avec le conspirationnisme. Je ne pourrais nier l’existence de conspirations, puisque mon ancêtre en a fomenté une et en a payé de sa tête.

En effet, Henry Ruzé d’Effiat, dit Marquis de Cinq-Mars, était un proche du roi Louis XIII et avait développé une forte rancune contre le célèbre Cardinal Richelieu, qui agissait comme ministre du roi. Il a donc fomenté un complot avec quelques nobles et le Royaume d’Espagne afin d’assassiner Richelieu et restituer des territoires pris à l’Espagne quelques années auparavant. Une armée espagnole était aux frontières, prête à agir, mais le complot échoua et Cinq-Mars fut pendu sur la place des terreaux, à Lyon.

C’est probablement ce qui est rassurant par rapport aux conspirations : vient un temps où il n’est plus controversé de les admettre.

Dans une perspective historique, la polarisation des camps qui s’affrontent n’est plus la même, et on peut analyser la chose à tête reposée. En ce sens, même si ça demeure relativement récent, faire la lumière sur les fraudes du référendum de 1995 apparaît comme une activité plutôt apaisante en comparaison avec la toxicité des débats autour de l’élection présidentielle américaine de 2020. Disons qu’un sujet est considéré comme tout à fait acceptable, tandis que l’autre vous vaut l’opprobre public.

Mais il faudra un jour reconnaître que rien n’est tout noir ou tout blanc, et que pour remettre en question les résultats du référendum de 1995, il a d’abord fallu qu’on se permette, en tant que société, de remettre en question le narratif officiel. Et que jamais les peuples ne devraient baisser leurs gardes face à la corruption de leurs élites. Un jour, tout finit par se savoir, et l’histoire finira par trancher.




Le Forum Économique Mondial nous promet l’esclavage par l’Intelligence Artificielle

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

[Illustration : photo de Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images]

Par J.B. Shurk

Traduction du texte original : The World Economic Forum’s ‘AI Enslavement’ is Coming for YOU!

La mission du Forum Économique Mondial (World Economic Forum, WEF) est remarquablement simple : le gouvernement mondial doit être confié aux meilleurs et aux plus intelligents. En langage WEF, un schéma de supervision totale et de modification du comportement créera un avenir « durable » pour l’humanité. Les humains sont perçus comme des « choses » à compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Ils deviennent de simples rouages ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF. Sur la photo : le fondateur et président exécutif du WEF, Klaus Schwab, à Davos le 23 mai 2022.

[Sur l’IA voir aussi :
Le danger manifeste et actuel de l’IA
https://www.anguillesousroche.com/intelligence-artificielle/un-expert-en-ia-affirme-que-chatgpt-est-beaucoup-plus-stupide-que-les-gens-le-pensent/
La Tyrannie Numérique
Des membres du personnel de Google avertissent des dangers de Bard AI
D’après le physicien Philippe Guillemant, l’IA GPT-4 est une mystification annonciatrice d’une maladie]

Quand Sir Thomas More a écrit sa satire sociopolitique sur une société insulaire fictive dans le Nouveau Monde, il l’a baptisée Utopia, un terme inventé dérivé du grec et signifiant « non-lieu ». More a eu beau expliquer avec humour que sa communauté idéalisée n’existait nulle part, des planificateurs centraux sont demeurés imperméables à la plaisanterie et, de siècle en siècle, ont poursuivi le fantasme de sociétés utopiques. Pire encore, chaque fois qu’une communauté religieuse pacifique a cherché à se séparer de la civilisation moderne, un tyran avide a surgi qui a entrepris d’imposer sa volonté à tous les autres.

À chaque génération, un mégalomane se lève pour proclamer : « si le monde fait exactement ce que je demande, je lui offrirai le paradis sur Terre ». Habituellement, ces personnalités narcissiques entrent dans l’Histoire avec l’étiquette de bouffons vaniteux ou de tyrans sanguinaires — et le plus souvent les deux.

Aujourd’hui, Klaus Schwab, leader du Forum économique mondial (WEF), promet un « Great Reset » (Grande Réinitialisation) à l’humanité. Son Utopia combinera une technologie de précision, une gestion centralisée des ressources de la Terre, la surveillance attentive des citoyens, la fusion de l’intelligence humaine et artificielle et la centralisation du pouvoir politique entre les mains d’une petite classe de professionnels à l’expertise reconnue. Bien que le WEF ait passé les 50 dernières années à organiser des conférences, à publier des propositions politiques et à mettre en relation les leaders mondiaux de l’industrie, de la banque, des technologies de l’information, de la collecte de renseignements, de la stratégie militaire et de la politique, son objectif est remarquablement simple : les meilleurs et les plus intelligents devraient gouverner le monde.

Hormis ses prétentions à « sauver le monde » d’une croissance démographique incontrôlée et d’une apocalypse climatique, le WEF ne présente rien de nouveau sous le soleil. Ses racines plongent deux millénaires et demi en arrière quand Platon, le philosophe grec, a proposé que la cité-État idéale soit gouvernée par des « rois philosophes ». Tout comme Platon, les « élites » mondialisées du Forum économique mondial ont passé le monde au crible et en ont conclu — faut-il s’en étonner ? — que les sages devraient prendre le pouvoir. Loin de promouvoir une quelconque idée nouvelle, Schwab et ses acolytes marchent sur les traces d’un Grec de l’Antiquité. Depuis un demi-siècle, les membres du WEF sont en quête d’un gouvernement mondial parfait. Nul besoin de demander l’avis des populations occidentales concernées, Ô surprise, ces « rois philosophes » se sont autoproclamés dirigeants du monde. Comme c’est pratique !

Comme toutes les utopies qui eu lieu précédemment, le nouvel ordre mondial du WEF s’avère remarquablement centralisé. Les « experts » du climat désigneront les types d’énergie que les entreprises et les consommateurs seront autorisés à utiliser. D’autres « experts » en durabilité établiront la liste des aliments autorisés (principalement aux non-membres de l’« élite »). Des « experts » de la désinformation détermineront ce qui mérite d’être connu et débattu. Des « experts » de la santé calculeront le nombre de « vaccins » toujours plus récents qu’il convient d’injecter à chacun ; ils diront également si les citoyens doivent être confinés « pour leur propre bien » et si des masques faciaux doivent être portés pour mesurer le niveau d’obéissance de la population. Les « experts » de l’extrémisme détermineront les types de discours « nuisibles ». Les « experts » du racisme expliqueront à tous que certains groupes sociaux bénéficient d’un « privilège » indu. Des « experts » de l’inégalité redéfiniront le droit de propriété et les groupes que l’État doit récompenser. Des « experts » de tout ce qui est nécessaire à l’État expliqueront que l’État agit raisonnablement à chaque étape du processus. Bien entendu, la liberté de pensée, la liberté d’expression, les droits individuels, et d’autres libertés personnelles ne figurent pas au programme de l’avenir conçu par le WEF pour la bonne raison qu’ils sont étrangers à l’expertise approuvée par les rois philosophes. À aucun moment, les besoins, les désirs ou les préoccupations d’un individu ne devront entraver le « souverain bien ». C’est la vision terne de l’Utopia version Schwab.

Pour réussir, Schwab et le clan WEF utiliseront les nouvelles technologies. Elles serviront à affaiblir la race humaine plutôt qu’à la renforcer. Chacun est déjà familiarisé avec les conditions de son futur asservissement. Les monnaies numériques de la banque centrale permettront aux gouvernements non seulement de suivre les revenus et les dépenses de chaque citoyen en temps réel, mais aussi de limiter les dépenses d’une personne en fonction de son score de « crédit social ». Ce dernier aura été déterminé par le gouvernement, ou relativement aux infractions commises envers le « bien commun » ou peut-être en raison de la détention injuste d’un « privilège systémique ». Les passeports numériques de vaccination autoriseront non seulement un suivi universel des déplacements de chaque personne, mais garantiront également le respect — avec punitions à la clé — des futures ordonnances obligatoires lors de la proclamation des « urgences sanitaires ». Des empreintes carbone personnelles seront créées qui mesureront le niveau de « culpabilité » de chaque individu dans le changement climatique d’origine humaine. Ces empreintes carbone auront pour conséquence d’enregistrer tout ce qu’une personne mange et chacun de ses déplacements, tout en « incitant » constamment chaque citoyen à modifier son comportement, à l’aide de récompenses et de sanctions numériques. Il va sans dire que des pouvoirs aussi omnipotents inciteront tous les gouvernements à multiplier les atteintes à la vie privée tandis que les « urgences sanitaires » deviendront de plus en plus nombreuses tandis que les « incitations » et autres coups d’épaule (nudge) du gouvernement se feront chaque fois plus intrusifs.

Ce descriptif semble plus dystopique qu’utopique et ressemble à s’y méprendre à une prison indésirable surveillée par des matons gouvernementaux qui n’ont de comptes à rendre à personne. Mais telle est la situation. Les fanatiques du WEF ne cachent même plus leurs intentions, allant déjà jusqu’à promouvoir la construction de « Villes intelligentes » ou de « Villes de Quinze Minutes » dans lesquelles il est prévu d’entasser des dizaines de millions de personnes vivant côte à côte dans de petits complexes d’appartements et se déplaçant dans un labyrinthe d’entrées et de sorties accessibles uniquement à l’aide de clés numériques individualisées. L’objectif est de créer un panoptique numérique mettant en œuvre tous les programmes de surveillance ci-dessus, pour fournir aux futurs dirigeants un contrôle absolu, plongeant le monde dans un état permanent d’incarcération docile. Dans le langage du WEF, ces schémas de surveillance totale et d’incitation à la modification des comportements créeront un avenir « durable » pour l’humanité. Il ne fait aucun doute que les gardiens de prison ressentent la même chose lorsque les condamnés sont gardés derrière les barreaux dans des rangées de cages sécurisées. La différence est que dans l’Utopie du WEF, aucun crime n’a besoin d’être commis pour se voir infliger les « récompenses » injustes de Schwab.

Si les Occidentaux prenaient conscience de ce qui les attend, ils risqueraient l’apoplexie et résisteraient au nouvel ordre mondial du WEF. C’est ce qui explique que la guerre la plus importante jamais menée est celle qui n’est jamais discutée ouvertement dans la presse : la guerre secrète de l’information. Lorsque les gens sont autorisés à débattre ouvertement d’idées sur la place publique (y compris les médias sociaux et les pages Web libres de toute interdiction de la part des moteurs de recherche), ce « marché libre » mène les idées là où les gens qui débattent ont envie de les mener. Mais pour que les « narratifs » mis au point par les gouvernements survivent, mais aussi dominent toutes les opinions dissidentes, les plates-formes alliées au gouvernement doivent faire pencher la balance de la liberté d’expression en leur faveur en ridiculisant, censurant voire en criminalisant les pensées et les paroles dissidentes. Sur tout autre marché, une telle ingérence serait considérée comme une entente anticoncurrentielle qui viole les lois antitrust. Mais parce que les acolytes du Forum économique mondial traitent le droit d’échanger des idées contradictoires comme une « désinformation » dangereuse, le « libre marché des idées » s’est transformé en un « espace sûr » contrôlé pour les amis du gouvernement.

Que se passe-t-il lorsque l’ambivalence du gouvernement envers la liberté d’expression rencontre la force technocratique amorale de l’Utopia mondiale du WEF ? Eh bien, comme l’a récemment proclamé Herr Schwab au Sommet mondial des gouvernements de Dubaï, à l’occasion d’un débat sur l’intelligence artificielle (IA), les chatbots et les identités numériques : « Celui qui maîtrise ces technologies sera — d’une certaine manière — le maître du monde ». (Après une telle déclaration, le projet de gouvernement mondial peut-il être toujours qualifié de « théorie du complot » ?) Si le WEF contrôle le monde numérique, alors il contrôlera essentiellement le peuple. Certaines idées qui relevaient autrefois de la science-fiction deviennent aujourd’hui réalité : les technocrates du WEF ont même un plan pour « pirater » l’esprit des salariés en surveillant et en décodant leurs ondes cérébrales.

Google est à la pointe de ce combat pour le contrôle de la pensée : le géant de la recherche sur Internet a en cours un programme de « pre-bunking » destiné à « immuniser » les gens contre la « propagande » ou la « désinformation ». En d’autres termes, il s’agit d’endoctriner les internautes bien intentionnés avec une propagande brassée maison et estampillée Google. En manipulant ses utilisateurs à leur insu, le mastodonte des moteurs de recherche pense pouvoir conjurer les idées concurrentes. Génial !

Bill Gates, le fondateur de Microsoft, est du même avis. Au journal allemand Handelsblatt, l’expert autoproclamé des vaccins a affirmé que les technologies de l’IA représentent de puissants outils de lutte contre la « désinformation numérique » et la « polarisation politique ». Cette déclaration fait suite à une découverte récente selon laquelle Microsoft s’est servie d’un think tank britannique, Global Disinformation Index (GDI), pour inscrire discrètement les médias conservateurs américains sur une liste noire de manière à les priver de revenus publicitaires. Le comble ? Le département d’État américain a financé le « travail sur la désinformation » du GDI en versant des fonds publics à l’association National Endowment for Democracy et à sa filiale Global Engagement Center pour que ces fonds soient ensuite reversés à GDI, juste avant que GDI ne blanchisse la sordide discrimination des idées prônée par Microsoft et d’autres entreprises derrière un mince voile d’« objectivité ».

Fidèles aux préconisations du WEF de construire un partenariat tout-puissant entre le secteur privé et les autorités gouvernementales, Microsoft et le Département d’État ont trouvé le moyen de saper la dissidence en demandant à une organisation tierce, GDI, de qualifier de « désinformation nuisible » tous les discours inscrits sur sa « Liste d’exclusion dynamique ».

Partout en Occident — Allemagne, Canada, Suisse, Belgique — des médias financés par des fonds publics travaillent ensemble à « développer des solutions en ligne » pour contrer « les commentaires haineux et la désinformation croissante ». Qu’est-ce qui pourrait mal tourner lorsque des institutions contrôlées par l’État s’entendent pour contrôler l’information ? Comme en a témoigné Yoel Roth, ancien responsable « Confiance et Sécurité » de Twitter, devant le Congrès, « la liberté d’expression illimitée se traduit paradoxalement par moins de parole, pas par plus ». De cette norme orwellienne du double langage, la frontière entre la protection de la liberté d’expression et la censure pure et simple passe par le fait de savoir si l’orateur articule un point de vue conforme aux idées de la coalition des titans de la Big Tech et des autorités gouvernementales ou non. Dans l’Utopia de Schwab, la véritable liberté d’expression n’a pas sa place.

Que se passe-t-il lorsque la censure est entièrement contrôlée par les outils numériques de l’intelligence artificielle (IA) ? Certains dirigeants politiques ont lancé un avertissement sur la « menace existentielle » que l’IA fait courir à l’humanité. Et des pionniers de la technologie comme Eric Schmidt, ancien cadre supérieur de Google, reconnaissent bien volontiers que les systèmes informatiques alimentés par l’IA devraient être considérés comme des équivalents nucléaires. Cela n’empêche pas la ruée vers une Utopia structurée par l’IA de se poursuive à toute allure. Toute personne saine d’esprit devrait réclamer du temps pour la réflexion. Car les biais cognitifs des Gates, Schmidt et autres « élites » de la Big Tech se répercuteront très certainement en biais numériques au sein de tout système d’intelligence artificielle.

ChatGPT, un logiciel d’intelligence artificielle lancé à la fin de l’année dernière, manifeste d’ores et déjà d’effrayants partis pris politiques. Il a ainsi expliqué qu’une insulte raciale était bien pire que l’anéantissement d’une ville par une bombe nucléaire. Une autre fois, ChatGPT a justifié l’annihilation des électeurs de Trump comme un mal nécessaire à la « défense de la démocratie » et a réclamé le blocage des « discours dangereux », tout en affirmant simultanément que « l’IA ne devrait pas permettre d’attenter à la liberté d’expression » des partisans de Biden. Quant au chatbot d’IA de Microsoft, à peine avait-il commencé de fonctionner qu’il a menacé ses utilisateurs.

Ces premiers signes troublants accréditent la comparaison de Schmidt entre l’IA et une bombe nucléaire. Mais les scientifiques impliqués dans le projet Manhattan de construction d’un engin nucléaire n’avaient pas — contrairement aux élites du WEF — le désir inextinguible de retourner ces armes impressionnantes d’IA contre les peuples occidentaux dont ils sont eux-mêmes issus.

De toute évidence, si le Forum économique mondial de Schwab se voit en maître du monde d’une utopie à base d’IA, cette dernière n’a que peu d’utilité pour les êtres humains. Dans ce système, le genre humain n’est plus qu’une « chose » qu’il faut compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Chacun devient un rouage ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF — utile pendant un temps, peut-être, mais à terme un fardeau qu’il faut nourrir, loger et dont on peut logiquement se passer. Si l’intelligence artificielle peut élaborer la réflexion dont Schwab a besoin et soutenir les idées qu’il adore, alors les humains vont finir par représenter un obstacle. Plus le Forum économique mondial avancera dans son utopie centralisée, plus la « chosification » de la race humaine avancera à pas de géant vers son élimination.




Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak

[Source : lecridespeuples.fr via arretsurinfo.ch]

Histoire juive, religion juive: le poids de trois millénaires”, du Professeur Israël Shahak, est un ouvrage majeur consacré au judaïsme et plus particulièrement aux lois talmudiques. Il apporte un éclairage saisissant sur le dogme religieux et l’histoire des communautés juives, ou encore le traitement des non-juifs par les juifs, dont seuls les lecteurs de l’hébreu sont familiers.

Publié en anglais en 1994, il reste une lecture incontournable pour comprendre les fondements idéologiques de la politique israélienne et l’action des lobbys pro-israéliens dans le monde, en particulier aux Etats-Unis et en France : comme le montre l’auteur, « ni le sionisme, y compris sa partie apparemment laïque, ni la politique israélienne depuis la création de l’État d’Israël, ni en particulier la politique des partisans juifs d’Israël dans la diaspora, ne peuvent être compris sans prendre en compte l’influence plus profonde de ces lois talmudiques, et la vision du monde qu’elles créent et expriment…

Si les politiques israéliennes restent incompréhensibles pour les observateurs étrangers, c’est précisément parce qu’ils ne daignent pas s’intéresser au judaïsme tel qu’il est pratiqué et à ‘l’idéologie juive’, dont ils ne connaissent souvent rien d’autre que de grossières apologies. » 

Avec l’adoption de la loi fondamentale faisant d’Israël l’Etat-nation du peuple juif en 2018, l’avènement de l’ultra-droite nationaliste et religieuse au pouvoir en Israël début 2019, la censure et la répression de plus en plus sévère de toute action de dénonciation et de boycott d’Israël au nom de la prétendue lutte contre l’antisémitisme et la judéophobie, et le projet d’Accord du Siècle qui doit définitivement liquider la cause palestinienne, tant de développements qui confirment les craintes et prédictions d’Israël Shahak, ce livre est même plus indispensable que jamais.

Israël Shahak espérait que son ouvrage, destiné au public occidental, serait un précurseur à des écrits authentiques sur l’histoire et les réalités du judaïsme talmudique contemporain (surtout celui qu’incarnent Israël et ses partisans de la diaspora), dépourvus de mensonges par omission et de falsifications. Malheureusement, mais de manière prévisible, ce livre a été soumis à une véritable omerta médiatique. Aujourd’hui encore, on continue à rattacher spontanément l’Etat d’Israël à l’Ancien Testament alors que c’est le Talmud qui en compose le cœur.

Comme le souligne Israël Shahak, « Israël en tant qu’État juif constitue un danger non seulement pour lui-même et ses habitants, mais pour tous les Juifs et pour tous les autres peuples et États du Moyen-Orient et au-delà. Je considère également que d’autres États ou entités du Moyen-Orient qui se définissent comme ‘arabes’ ou ‘musulmans’, tout comme Israël se définit en tant que ‘juif’, constituent également un danger. Cependant, bien que le danger d’origine arabo-musulmane soit largement discuté, le danger inhérent au caractère juif de l’État d’Israël ne l’est pas. »

Cette traduction vise à remédier à ce manque, en rendant aisément accessible au public français cette analyse objective et documentée du talmudisme, et de son rôle dans le fondement et la politique d’Israël, tout à fait assimilables au wahhabisme et à l’Arabie Saoudite.

Sayed Hasan

HISTOIRE JUIVE, RELIGION JUIVE : LE POIDS DE TROIS MILLÉNAIRES

Par ISRAËL SHAHAK

Traduction : lecridespeuples.fr

Israël Shahak, né en 1933 à Varsovie, et mort à Jérusalem en 2001, était un Professeur de chimie à l’Université hébraïque de Jérusalem. Il fut le Président de la Ligue israélienne pour les droits humains et civils de 1970 à 1990. Rescapé des camps de concentration nazis, il fut un ardent militant pour la paix, extrêmement critique des gouvernements israéliens et de la société israélienne.

Chapitre I

Une utopie close ?

Je rapporte ici ce que j’estime être vrai, car les histoires des Grecs sont nombreuses et à mon avis ridicules. (Hécatée de Milet, cité par Hérodote)

Amicus Plato sed magis amica veritas – Platon est mon ami, mais la vérité l’est davantage. (Paraphrase traditionnelle d’un passage de l’Ethique d’Aristote)

Dans un État libre, tout homme peut penser ce qu’il veut et dire ce qu’il pense. (Spinoza)

Ce livre, bien que rédigé en anglais et destiné à des personnes vivant en dehors de l’État d’Israël, est en quelque sorte une continuation de mes activités politiques en tant que Juif israélien. Ces activités ont commencé en 1965-66 par une manifestation qui avait provoqué un scandale considérable à l’époque. J’avais personnellement été témoin de la scène suivante : un Juif ultra-religieux a refusé d’autoriser l’utilisation de son téléphone le jour du Sabbat afin d’appeler une ambulance pour un non-juif qui s’était effondré dans son quartier de Jérusalem, victime d’une crise cardiaque. Au lieu de me contenter de publier l’incident dans la presse, j’ai demandé à rencontrer les membres du tribunal rabbinique de Jérusalem, composé de rabbins nommés par l’État d’Israël. Je leur ai demandé si un tel comportement était conforme à leur interprétation de la religion juive. Ils ont répondu que le Juif en question s’était comporté correctement, voire pieusement, et ont appuyé leur déclaration en me renvoyant à un passage d’un recueil de lois talmudiques faisant autorité, et rédigé au cours de ce siècle. J’ai rapporté l’incident au principal quotidien hébreu, Ha’aretz, dont la publication provoqua un scandale médiatique.

Les résultats du scandale ont été plutôt négatifs à mes yeux. Ni les autorités rabbiniques israéliennes, ni celles de la diaspora ne sont jamais revenues sur ce verdict selon lequel un Juif ne devait pas violer le Sabbat afin de sauver la vie d’un gentil (non-juif/goy). Elles y ont adjoint tout un chapelet d’âneries moralisatrices byzantines selon lesquelles si la conséquence d’un tel acte met les Juifs en danger, la violation du Sabbat est permise, pour leur bien. En m’appuyant sur les connaissances acquises dans ma jeunesse, j’ai commencé à étudier les lois talmudiques régissant les relations entre Juifs et non-juifs, et il est devenu clair à mes yeux que ni le sionisme, y compris sa partie apparemment laïque, ni la politique israélienne depuis la création de l’État d’Israël, ni en particulier la politique des partisans juifs d’Israël dans la diaspora, ne peuvent être compris sans prendre en compte l’influence plus profonde de ces lois talmudiques, et la vision du monde qu’elles créent et expriment. Les politiques suivies par Israël après la guerre des Six Jours, et en particulier le caractère d’Apartheid du régime israélien dans les territoires occupés et l’attitude de la majorité des Juifs à l’égard de la question des droits des Palestiniens, même dans l’abstrait, n’ont fait que renforcer cette conviction.

En faisant cette déclaration, je n’essaie pas d’écarter les considérations politiques ou stratégiques qui ont également pu influencer les dirigeants d’Israël. Je dis simplement que la politique réellement appliquée est une interaction entre des considérations réalistes (qu’elles soient à mes yeux valables ou erronées, morales ou immorales) et des influences idéologiques. Ces dernières ont tendance à être d’autant plus influentes lorsqu’elles sont moins discutées et « traînées à la lumière du jour ». Toute forme de racisme, de discrimination et de xénophobie devient plus puissante et plus influente sur le plan politique si elle est considérée comme allant de soi par la société qui s’y adonne. Cela est particulièrement vrai s’il est interdit d’en discuter, que cet interdit soit formel ou tacite. Lorsque le racisme, la discrimination et la xénophobie sont répandus parmi les Juifs et dirigés contre des non-juifs, alimentés par des motivations religieuses, cela ressemble à son cas opposé, celui de l’antisémitisme et de ses motivations religieuses. Aujourd’hui, cependant, alors que l’antisémitisme est largement discuté, l’existence même du racisme juif contre les goym est généralement ignorée, plus en dehors d’Israël qu’à l’intérieur de l’État juif.

Définir l’État juif

Sans une discussion sur le comportement quotidien des Juifs vis-à-vis des non-juifs, même le concept d’Israël comme « État juif », tel qu’Israël se définit formellement, ne peut être compris. L’idée fausse, mais couramment répandue, selon laquelle Israël, même sans tenir compte de son régime dans les territoires occupés, est une véritable démocratie, découle du refus de se confronter à la signification du terme « État juif » pour les non-juifs. À mon avis, Israël en tant qu’État juif constitue un danger non seulement pour lui-même et ses habitants, mais pour tous les Juifs et pour tous les autres peuples et États du Moyen-Orient et au-delà. Je considère également que d’autres États ou entités du Moyen-Orient qui se définissent comme « arabes » ou « musulmans », tout comme Israël se définit en tant que « juif », constituent également un danger. Cependant, bien que le danger d’origine arabo-musulmane soit largement discuté, le danger inhérent au caractère juif de l’État d’Israël ne l’est pas.

Le principe d’Israël en tant qu’« État juif » a revêtu une importance primordiale pour les politiciens israéliens dès la création de l’État, et fut inculqué à la population juive de toutes les manières imaginables. Lorsque, au début des années 1980, une infime minorité de Juifs israéliens s’opposant à ce concept est apparue, une loi constitutionnelle (c’est-à-dire une loi prévalant sur les dispositions des autres lois, et qui ne peut être révoquée, sinon par le biais d’une procédure spéciale) a été adoptée en 1985 par une énorme majorité de la Knesset. En vertu de cette loi, aucun parti dont le programme s’oppose ouvertement au principe d’« État juif », ou proposant de le modifier par des moyens démocratiques, n’est autorisé à participer aux élections à la Knesset. Je suis moi-même fermement opposé à ce principe constitutionnel. La conséquence juridique pour moi est que je ne peux pas appartenir, dans l’État dont je suis citoyen, à un parti ayant des principes avec lesquels je serais d’accord et qui serait autorisé à participer aux élections à la Knesset. Cet exemple même montre que l’État d’Israël n’est pas une démocratie, en raison de l’application d’une idéologie juive dirigée contre tous les non-juifs, et contre les Juifs qui s’opposent à cette idéologie. Mais le danger que représente cette idéologie dominante ne se limite pas aux affaires intérieures. Ce suprématisme influence également la politique étrangère israélienne. Ce danger continuera de croître tant que deux développements actuellement en cours continueront à être renforcés, à savoir l’insistance sur le caractère juif d’Israël, et l’augmentation de sa puissance, en particulier de sa puissance nucléaire. Un autre facteur inquiétant est que l’influence israélienne au sein de l’establishment politique américain augmente également. Par conséquent, des informations précises sur le judaïsme, et en particulier sur le traitement réservé aux non-juifs par Israël, sont désormais non seulement importantes, mais également vitales sur le plan politique.

Permettez-moi de commencer par la définition officielle israélienne du terme « Juif », illustrant la différence cruciale entre Israël en tant qu’« État juif » et la majorité des autres États. Selon cette définition officielle, Israël « appartient » aux personnes que les autorités israéliennes définissent comme « juives », quel que soit leur lieu de résidence, et à elles seules. D’un autre côté, Israël n’appartient officiellement pas à ses citoyens non juifs, dont le statut est considéré même officiellement comme inférieur. Cela signifie en pratique que si les membres d’une tribu péruvienne se convertissent au judaïsme et sont donc considérés comme Juifs, ils ont immédiatement le droit de devenir citoyens israéliens et de bénéficier des quelque 70 % des terres de la Cisjordanie (et des 92 % d’Israël proprement dit), officiellement décrétés comme étant au bénéfice exclusif des Juifs. Il est interdit à tous les non-juifs (et pas seulement aux Palestiniens) de tirer profit de ces terres. (L’interdiction s’applique même aux Arabes israéliens qui ont servi dans l’armée israélienne et y ont atteint un grade élevé.) L’affaire impliquant des convertis péruviens au judaïsme s’est effectivement produite il y a quelques années. Les Juifs nouvellement créés ont été installés en Cisjordanie, près de Naplouse, sur des terres dont les non-juifs sont officiellement exclus. Tous les gouvernements israéliens prennent d’énormes risques politiques, y compris le risque de guerre, pour faire en sorte que de telles colonies, composées exclusivement de personnes définies comme « juives » (et non « israéliennes » comme le prétendent fallacieusement la plupart des médias) ne soient soumises qu’à une autorité « juive ».

Je soupçonne fortement que les Juifs des États-Unis ou de Grande-Bretagne considéreraient comme antisémite que des chrétiens proposent que les États-Unis ou le Royaume-Uni deviennent un « État chrétien », n’appartenant qu’à des citoyens officiellement qualifiés de « chrétiens ». La conséquence d’une telle doctrine est que les Juifs qui se convertissent au christianisme deviendraient des citoyens à part entière à cause de leur conversion. Il convient de rappeler que les avantages des conversions sont bien connus des Juifs par leur propre histoire. Quand les États chrétiens et l’islamiques pratiquaient la discrimination à l’encontre de toutes les personnes n’appartenant pas à la religion de l’État, y compris les Juifs, la discrimination à l’égard des Juifs était immédiatement supprimée par leur conversion. De même, un non-juif discriminé par l’État d’Israël cessera d’être traité ainsi dès qu’il se convertira au judaïsme — si sa conversion est acceptée par les autorités rabbiniques. Cela montre simplement que le même genre d’exclusivisme que la majorité des Juifs de la diaspora considèrent comme antisémite lorsque les Juifs en sont victimes est considéré par la majorité des Juifs comme proprement juif et donc tout à fait normal lorsque ce sont seulement les non-juifs qui en sont victimes. Mais s’opposer à la fois à l’antisémitisme et au chauvinisme juif est considéré par la majorité des Juifs comme de la « haine de soi », un concept que je considère absurde.

La signification du terme « Juif » et de ses mots apparentés, y compris « judaïsme », devient donc aussi importante, dans le contexte de la politique israélienne, que la signification du terme « islamique » utilisé officiellement par l’Iran, ou du terme « communiste » lorsqu’il était officiellement utilisé par l’URSS. Cependant, le sens du terme « Juif » tel qu’il est couramment utilisé n’est pas clair, que ce soit en hébreu ou lorsqu’il est traduit dans d’autres langues, si bien que ce terme a dû être défini officiellement.

Selon la loi israélienne, une personne est considérée comme « juive » 1/si sa mère, sa grand-mère, son arrière-grand-mère et son arrière-arrière-grand-mère étaient juives de religion ; ou 2/si la personne a été convertie au judaïsme d’une manière satisfaisante pour les autorités israéliennes, et 3/à condition qu’elle ne se soit pas convertie du judaïsme à une autre religion, auquel cas Israël cesse de les considérer comme « Juifs ». Parmi les trois conditions, la première représente la définition talmudique de « Qui est juif », définition suivie par l’orthodoxie juive. Le Talmud et la loi rabbinique post-talmudique reconnaissent également la conversion d’un non-juif au judaïsme (ainsi que l’achat d’un esclave non-juif par un Juif suivi d’un type de conversion différent) comme une méthode pour devenir juifs, à condition que la conversion soit effectuée de manière appropriée par des rabbins autorisés. Cette « manière convenable » implique, pour les femmes, leur inspection par trois rabbins dans un « bain de purification » où elles doivent être totalement nues, rituel qui, bien que notoire pour tous les lecteurs de la presse hébraïque, n’est pas souvent mentionné par les médias anglophones [ni par les médias francophones, si soucieux de défendre la « dignité de la femme » lorsqu’il s’agit de pourfendre l’Islam] malgré son intérêt incontestable pour certains lecteurs. J’espère que ce livre marquera le début d’un processus visant à rectifier cette contradiction [le moins qu’on puisse dire, est que ces espoirs ont été déçus].

Mais un autre motif impérieux nécessite une définition officielle de qui est et qui n’est pas « Juif ». L’État d’Israël discrimine officiellement en faveur des Juifs et contre les non-juifs dans de nombreux domaines de la vie, dont je considère trois comme étant les plus importants : le droit de résidence, le droit au travail et le droit à l’égalité devant la loi. La discrimination en matière de résidence est fondée sur le fait qu’environ 92 % des terres israéliennes sont la propriété de l’État et sont administrées par l’Autorité foncière israélienne conformément aux règles édictées par le Fonds national juif (FNJ), affilié à l’Organisation sioniste mondiale. Dans ses règlements, le FNJ refuse le droit de résider, d’ouvrir une entreprise et souvent aussi de travailler à quiconque n’est pas juif, uniquement parce qu’il n’est pas juif. Dans le même temps, il n’y a aucun endroit d’Israël où il soit interdit aux Juifs de s’installer ou d’ouvrir des entreprises. Si elle était appliquée dans un autre État contre les Juifs, une telle pratique discriminatoire serait immédiatement qualifiée d’antisémitisme et susciterait sans aucun doute des manifestations populaires massives. Mais lorsque de telles lois sont appliquées par Israël dans le cadre de son « idéologie juive », elles sont en général pieusement ignorées ou, dans les rares cas où elles sont mentionnées, excusées.

Le déni du droit au travail signifie qu’il est officiellement interdit aux non-juifs de travailler sur des terres administrées par l’Autorité foncière israélienne, conformément à la réglementation du FNJ. Nul doute que ces réglementations ne sont pas toujours appliquées, voire même sont souvent contournées, mais elles existent. De temps à autre, Israël tente de lancer des campagnes d’application de la loi via les autorités de l’État, comme par exemple lorsque le ministère de l’Agriculture s’attaque à « la peste qui consiste à laisser les vergers fruitiers appartenant à des Juifs et situés sur des terres nationales [c’est-à-dire des terres appartenant à l’État d’Israël] être récoltés par des ouvriers arabes », même si les ouvriers en question sont des citoyens d’Israël. En outre, Israël interdit formellement aux Juifs installés sur un « territoire national » de sous-louer ne serait-ce qu’une partie de leur territoire à des Arabes, même pour une courte période ; et ceux qui le font sont punis, généralement par de lourdes amendes. Mais il n’est pas interdit aux non-juifs de louer leurs terres à des Juifs. Cela signifie, dans mon cas, qu’en tant que juif, j’ai le droit de louer un verger à un autre Juif pour récolter son produit, mais un non-juif, citoyen israélien ou étranger résidant, n’a pas ce droit.

Les citoyens non juifs d’Israël n’ont pas droit à l’égalité devant la loi. Cette discrimination est exprimée dans de nombreuses lois israéliennes dans lesquelles, sans doute pour éviter tout embarras, les termes « Juif » et « non-Juif » ne sont généralement pas explicitement énoncés, alors qu’ils le sont dans la loi fondamentale du retour. Selon celle-ci, seules les personnes officiellement reconnues comme « juives » ont automatiquement le droit d’entrer en Israël et de s’y établir. Ils reçoivent automatiquement un « certificat d’immigration » qui leur fournit à leur arrivée « la citoyenneté en vertu de leur retour dans la patrie juive », ainsi que le droit à de nombreux avantages financiers, qui varient quelque peu en fonction du pays d’où ils ont émigré. Les Juifs qui émigrent des États de l’ex-URSS reçoivent « une allocation d’absorption » de plus de 20 000 dollars par famille. Tous les Juifs qui immigrent en Israël au titre de cette loi acquièrent immédiatement le droit de voter aux élections et d’être élus à la Knesset, même s’ils ne parlent pas un mot d’hébreu.

D’autres lois israéliennes substituent aux mots « Juif » et « non-Juif » les expressions plus obtuses « quiconque peut immigrer conformément à la loi du retour » et « quiconque n’est pas autorisé à immigrer conformément à la loi du retour ». Selon la loi considérée, les avantages sont ensuite accordés à la première catégorie et systématiquement refusés à la seconde. Le moyen habituel de faire respecter la discrimination au quotidien est la carte d’identité, que tout le monde est obligé de porter à tout moment. Les cartes d’identité indiquent la « nationalité » officielle d’une personne, qui peut être « juive », « arabe », « druze », etc., mais jamais « israélienne ». Toutes les tentatives visant à forcer le ministère de l’Intérieur à autoriser les Israéliens à se faire qualifier officiellement d’« Israéliens », voire même de « Juifs israéliens » sur leurs cartes d’identité ont échoué. Ceux qui ont tenté de le faire ont reçu une lettre du ministère de l’Intérieur indiquant qu’« il avait été décidé de ne pas reconnaître une nationalité israélienne ». La lettre ne précise pas qui a pris cette décision ni quand.

Il y a tellement de lois et de règlements en Israël qui discriminent en faveur des personnes définies comme « ceux qui peuvent immigrer conformément à la loi du retour » que le sujet exigerait un livre à part. Nous pouvons considérer un exemple, apparemment trivial par rapport aux restrictions de résidence, mais néanmoins importantes, car il révèle les véritables intentions du législateur israélien. Les citoyens israéliens qui ont quitté le pays pour un certain temps, mais qui sont définis comme ceux qui « peuvent immigrer conformément à la loi du retour » sont éligibles, à leur retour, à des avantages douaniers généreux, à recevoir une subvention pour les études secondaires de leurs enfants, et à recevoir une subvention ou un prêt à des conditions très avantageuses pour l’achat d’un appartement, ainsi que d’autres avantages. Les citoyens qui ne peuvent pas être ainsi définis, en d’autres termes, les citoyens non juifs d’Israël, ne bénéficient d’aucun de ces avantages. L’intention évidente de telles mesures discriminatoires est de réduire le nombre de citoyens israéliens non-juifs, afin de faire d’Israël un État plus « juif ».

L’idéologie de la « Rédemption » des Terres

Israël propage également parmi ses citoyens juifs l’idéologie exclusiviste de la Rédemption des Terres. Son objectif officiel de minimiser le nombre de non-juifs peut clairement être perçu dans cette idéologie inculquée aux écoliers juifs en Israël. On leur enseigne que cet « irrédentisme » israélien s’applique à l’ensemble de l’État d’Israël, ou, après 1967, à ce qu’on appelle la Terre d’Israël. Selon cette idéologie, la terre « rachetée » (ou terre « sauvée ») est celle qui est passée des mains de non-juifs aux mains des Juifs. La propriété peut être soit privée, soit appartenir au FNJ ou à l’État juif. Les terres appartenant à des non-juifs sont au contraire considérées comme « non rachetées » (en quelque sorte « occupées », « souillées »). Ainsi, si un Juif qui a commis les crimes les plus noirs que l’on puisse imaginer achète un morceau de terre à un non-juif vertueux, la terre « non rachetée » devient « rachetée » par une telle transaction. Cependant, si un homme vertueux non-juif achète une terre au pire des Juifs, la terre qui était pure et « rachetée » redevient « non rachetée ». La conclusion logique d’une telle idéologie est l’expulsion, appelée « transfert », de tous les non-juifs de la Terre qui doit être « rachetée ». Par conséquent, l’utopie de « l’idéologie juive » adoptée par l’État d’Israël est celle d’une Terre qui aurait été entièrement « rachetée », où aucun lopin ne serait possédé ou exploité par des non-juifs. Les dirigeants du mouvement travailliste sioniste ont exprimé cette idée abjecte avec la plus grande clarté. Walter Laquer, un sioniste dévoué, raconte dans son Histoire du sionisme1 comment l’un de ces pères spirituels, A.D. Gordon, décédé en 1919, « s’est par principe opposé à la violence et n’a justifié la légitime défense que dans des circonstances extrêmes. Mais lui et ses amis souhaitaient que chaque arbre et chaque buisson de la patrie juive ne soient plantés par personne d’autre que par des pionniers juifs. » Cela signifie qu’ils voulaient que tous les autres habitants de la terre de Palestine s’en aillent et laissent la terre être « rachetée » par des Juifs. Les successeurs de Gordon ont déployé plus de violence que prévu, mais le principe de « rédemption » et ses conséquences sont restés.

De la même façon, le kibboutz, largement salué comme une tentative de créer une utopie, était et reste une utopie exclusiviste ; même s’il est composé d’athées, il n’accepte pas les membres arabes par principe et exige que les membres potentiels d’autres nationalités soient d’abord convertis au judaïsme. Il n’est pas étonnant que les hommes du kibboutz puissent être considérés comme le segment le plus militariste de la société juive israélienne.

C’est cette idéologie exclusiviste, plutôt que tous les « besoins de sécurité » allégués par la propagande israélienne, qui détermine l’accaparement de territoires par Israël dans les années 1950, puis au milieu des années 1960 et dans les territoires occupés après 1967. Cette idéologie dicta également des plans israéliens officiels pour la « judaïsation de la Galilée ». Ce terme curieux signifie l’encouragement des Juifs à s’installer en Galilée en leur apportant des avantages financiers. (Je me demande quelle serait la réaction des Juifs américains si un projet de « christianisation de New York », ou même de Brooklyn, était proposé dans leur pays.) Mais la rédemption de la Terre suppose plus qu’une « judaïsation » régionale. Dans toute la région d’Israël, le FNJ, vigoureusement soutenu par les agences de l’État israélien (en particulier par la police secrète), dépense de grosses sommes d’argent public pour « racheter » toutes les terres que les non-juifs sont disposés à vendre, et pour préempter toute tentative d’un Juif de vendre sa terre à un non-juif (en l’achetant à un prix plus élevé).

Expansionnisme israélien

Le principal danger qu’Israël, en tant qu’« État juif », fait courir à son propre peuple, aux autres Juifs et à ses voisins, réside dans sa quête idéologique d’expansion territoriale et dans la série inévitable des guerres résultant de cet objectif. Plus Israël devient juif, ou, comme on le dit en hébreu, plus Israël « retourne au judaïsme » (un processus en cours au moins depuis 1967), plus sa politique réelle est guidée par des considérations idéologiques juives, et de moins en moins par des considérations rationnelles. Mon utilisation du terme « rationnel » ne fait pas référence à une évaluation morale de la politique israélienne, ni aux prétendus besoins de défense ou de sécurité d’Israël — et encore moins aux supposés besoins de la « survie d’Israël ». Je parle ici de la politique impériale israélienne fondée sur ses intérêts présumés. Si immoral et politiquement grossier que soit cet impérialisme, j’estime que l’adoption de politiques fondées sur « l’idéologie juive », dans toutes ses versions, est encore pire. Les défenses idéologiques de la politique israélienne reposent généralement sur les croyances religieuses juives ou, dans le cas des Juifs laïques, sur les « droits historiques » des Juifs, qui découlent de ces croyances et conservent le caractère dogmatique de la foi religieuse.

Ma propre conversion politique précoce du statut d’admirateur de Ben Gourion à celui de son adversaire acharné a justement commencé avec un tel problème. En 1956, j’ai avalé avec enthousiasme toutes les raisons politiques et militaires avancées par Ben Gourion pour justifier le déclenchement de la guerre de Suez par Israël, jusqu’à ce que celui-ci (bien qu’athée et affichant fièrement son mépris à l’égard des commandements de la religion juive) affirme à la Knesset, le troisième jour de cette guerre, que le véritable objectif de celle-ci était « la restauration du royaume de David et de Salomon » sur ses frontières bibliques. À ce moment de son discours, presque tous les membres de la Knesset se sont spontanément levés et ont chanté l’hymne national israélien. À ma connaissance, aucun politicien sioniste n’a jamais répudié l’idée de Ben Gourion selon laquelle les politiques israéliennes doivent être fondées (dans les limites des considérations pragmatiques) sur la restauration des frontières bibliques en tant que frontières de l’État juif. En effet, une analyse minutieuse des grandes stratégies israéliennes et des principes réels de la politique étrangère, tels qu’ils sont exprimés en hébreu, montre clairement que c’est « l’idéologie juive », plus que tout autre facteur, qui détermine la politique réelle d’Israël. Si les politiques israéliennes restent incompréhensibles pour les observateurs étrangers, c’est précisément parce qu’ils dédaignent de s’intéresser au judaïsme tel qu’il est pratiqué et à « l’idéologie juive », dont ils ne connaissent souvent rien d’autre que de grossières apologies.

Laissez-moi vous donner une illustration plus récente de la différence essentielle qui existe entre les projets impériaux les plus ambitieux d’Israël (mais d’inspiration laïque), et les principes de « l’idéologie juive ». L’idéologie juive stipule que toute terre qui était soit dirigée par un dirigeant juif dans les temps anciens, soit qui fut promise par Dieu aux Juifs, que ce soit dans la Bible, ou, ce qui est en réalité plus important politiquement, selon une interprétation rabbinique de la Bible et du Talmud, doit nécessairement appartenir à Israël, puisqu’il s’agit d’un État juif. Nul doute que beaucoup de « colombes » parmi les dirigeants juifs sont d’avis qu’une telle conquête devrait être reportée à un moment où Israël sera plus fort qu’aujourd’hui, ou qu’il y aura, espèrent-ils, « une conquête pacifique », c’est-à-dire que les dirigeants ou les peuples arabes seraient « persuadés » de céder les terres en question en échange d’avantages que l’État juif leur conférerait ensuite.

Plusieurs versions divergentes des frontières bibliques de la Terre d’Israël, que les autorités rabbiniques considèrent comme appartenant idéalement à l’État juif, sont en circulation. Les plus étendues d’entre elles incluent les zones suivantes à l’intérieur de ses frontières : au sud, tout le Sinaï et une partie du nord de l’Égypte jusqu’aux environs du Caire ; à l’est, toute la Jordanie et une grande partie de l’Arabie saoudite, tout le Koweït et une partie de l’Irak au sud de l’Euphrate ; au nord, tout le Liban et toute la Syrie ainsi qu’une grande partie de la Turquie (jusqu’au lac de Van) ; et à l’ouest, Chypre. Un énorme corpus de recherches et de discussions savantes basées sur ces frontières, matérialisées dans des atlas, des livres, des articles et des formes de propagande plus populaires, est publié en Israël, souvent avec des subventions de l’État ou d’autres formes de soutien. Certes, le défunt Kahane et ses partisans, ainsi que des organismes influents tels que Goush Emounim [mouvement politique et messianique israélien prônant la colonisation de tous les territoires bibliques d’Israël], souhaitent non seulement la conquête de ces territoires par Israël, mais la considèrent comme un acte ordonné par Dieu, et sûr de réussir, car il jouira d’un secours divin. En fait, d’importantes personnalités religieuses juives considèrent le refus d’Israël d’entreprendre une telle guerre sainte, voire pire, la restitution du Sinaï à l’Égypte, comme un grand péché national que Dieu a châtié à juste titre. L’un des rabbins les plus influents de Goush Emunim, Dov Lior, rabbin des colonies juives de Kiryat Arba et de Hébron, a répété à plusieurs reprises que l’échec israélien dans la conquête du Liban en 1982-1952 était une punition divine bien méritée pour le péché d’avoir « donné une partie du pays d’Israël », à savoir le Sinaï, à l’Égypte.

Bien que j’aie choisi un exemple extrême des frontières bibliques de la Terre d’Israël qui « appartiennent » à « l’État juif », ces frontières sont très populaires dans les cercles religieux et nationalistes. Il existe des versions moins extrêmes des frontières bibliques, parfois également appelées « frontières historiques ». Il convient toutefois de souligner qu’au sein d’Israël et de la communauté de ses partisans juifs de la diaspora, la validité du concept de frontières bibliques ou de frontières historiques comme délimitant les frontières d’une terre qui appartient de droit aux Juifs n’est pas rejetée pour des raisons de principe, sauf par la minuscule minorité qui s’oppose au concept d’État juif. Autrement, les objections à la réalisation de telles frontières par une guerre sont purement pragmatiques. On peut dire qu’Israël est actuellement trop faible pour conquérir toute la terre qui « appartient » aux Juifs, ou que la perte de vies juives (mais pas de vies arabes !) qu’entraînerait une guerre de conquête d’une telle ampleur serait plus importante que la conquête de la terre, mais dans le judaïsme normatif, on ne peut pas soutenir que « la Terre d’Israël », quelles que soient ses frontières, n’appartient pas à tous les Juifs. En mai 1993, Ariel Sharon a formellement proposé à la Convention du Likoud qu’Israël adopte le concept de « frontières bibliques » comme sa politique officielle. Il y eut assez peu d’objections à cette proposition, que ce soit au sein du Likoud ou en dehors de celui-ci, et toutes étaient fondées sur des considérations pragmatiques. Personne n’a pris la peine de demander à Sharon où se trouvaient exactement les frontières bibliques qu’il exhortait instamment Israël â atteindre. Rappelons que parmi ceux qui se désignaient comme léninistes, il ne faisait aucun doute que l’histoire suivait les principes énoncés par Marx et Lénine. Ce n’est pas seulement la croyance elle-même, si dogmatique qu’elle soit, mais bien le refus de la mettre en doute à quelque moment que ce soit, en empêchant toute discussion ouverte, qui crée un état d’esprit totalitaire. On peut donc dire que la société juive israélienne et les Juifs de la diaspora qui mènent une « vie juive » et sont organisés en organisations exclusivement juives ont une forte tendance au totalitarisme.

Cependant, une grande stratégie israélienne, non basée sur les principes de « l’idéologie juive », mais sur des considérations purement stratégiques ou impériales, s’est également développée dès la création de l’État d’Israël. Une description lucide et faisant autorité des principes qui régissent une telle stratégie a été donnée par le général réserviste Shiomo Gazit, un ancien commandant du renseignement militaire2. Selon Gazit,

La tâche principale d’Israël n’a pas du tout changé [depuis l’effondrement de l’URSS] et elle revêt toujours une importance cruciale. La situation géographique d’Israël au centre du Moyen-Orient arabo-musulman prédestinait Israël à être un gardien dévoué de la stabilité dans tous les pays qui l’entourent. Son rôle est de protéger les régimes existants : d’empêcher ou d’arrêter les processus de radicalisation, et de bloquer l’expansion du fanatisme fondamentaliste.

À cette fin, tout changement qui se produirait hors de nos frontières, mais qui serait jugé intolérable pour Israël sera empêché à tout prix, au point de se sentir obligés d’utiliser toute notre puissance militaire pour prévenir ou éliminer ces phénomènes.

En d’autres termes, Israël vise à imposer son hégémonie à tous les autres États du Moyen-Orient. Inutile de dire que selon Gazit, Israël a une préoccupation bienveillante pour la stabilité des régimes arabes. De l’avis de Gazit, en protégeant les régimes du Moyen-Orient, Israël rend un service vital aux « États industriellement avancés, qui sont tous soucieux de garantir la stabilité au Moyen-Orient ». Il fait valoir que sans Israël, les régimes existants de la région se seraient effondrés il y a longtemps, et qu’ils ne subsisteraient que grâce aux menaces israéliennes. Bien que ce point de vue puisse être hypocrite, il convient de rappeler, dans de tels contextes, la maxime de La Rochefoucauld selon laquelle « L’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu ». La Rédemption de la Terre est une tentative d’éviter de s’acquitter d’un tel tribut.

Il va sans dire que je suis également totalement opposé aux politiques non idéologiques israéliennes telles qu’elles sont expliquées de manière si lucide et adéquate par Gazit. En même temps, je reconnais que les dangers de la politique de Ben Gourion ou de Sharon, motivée par « l’idéologie juive », sont bien pires que de simples politiques impériales, si criminelles que soient ces dernières. Les résultats des politiques d’autres régimes motivés par des considérations idéologiques vont dans le même sens. L’existence d’une composante importante de la politique israélienne, qui repose sur « l’idéologie juive », rend son analyse politiquement impérative. Cette idéologie est, quant à elle, basée sur les attitudes du judaïsme historique à l’égard des non-juifs, l’un des thèmes principaux de ce livre. Ces attitudes influencent nécessairement beaucoup de Juifs, consciemment ou inconsciemment. La tâche que nous nous fixons dans cet ouvrage est de discuter du judaïsme historique en termes réels

L’influence de « l’idéologie juive » sur de nombreux Juifs sera d’autant plus forte qu’elle sera plus écartée du débat public. Nous espérons qu’un tel débat amènera le public à adopter la même attitude envers le chauvinisme juif et le mépris manifesté par tant de Juifs envers les non-juifs (qui sera documenté plus bas) que celle qui est communément adoptée contre l’antisémitisme et toutes les autres formes de xénophobie, de chauvinisme et de racisme. On suppose à juste titre que seul un exposé complet, non seulement de l’antisémitisme, mais également de ses racines historiques, qui doit être révélé au grand public, peut constituer la base de la lutte contre la haine des Juifs. De même, je considère que seul le fait de mettre au grand jour le chauvinisme juif et le fanatisme religieux en Israël peut constituer la base de la lutte contre ces phénomènes. Cela est particulièrement vrai aujourd’hui où, contrairement à la situation qui prévalait il y a cinquante ou soixante ans, l’influence politique du chauvinisme juif et du fanatisme religieux est beaucoup plus grande que celle de l’antisémitisme. Mais il y a aussi une autre considération importante. Je crois fermement que l’antisémitisme et le suprématisme juif ne peuvent être combattus que simultanément.

Une utopie close ?

Tant que de telles attitudes ne seront pas largement adoptées, le danger réel des politiques israéliennes fondées sur « l’idéologie juive » restera plus grand que le danger des politiques fondées sur des considérations purement stratégiques. Hugh Trevor-Roper a bien exprimé la différence entre les deux types de politiques dans son essai Sir Thomas More et l’Utopie3, dans lequel il les a appelées platonicienne et machiavélique :

Machiavel s’est du moins excusé des méthodes qu’il jugeait nécessaires en politique. Il a déploré la nécessité du recours à la force et à la supercherie, et ne les a pas appelées autrement. Mais Platon et More les ont sanctifiées, à condition qu’elles soient utilisées pour soutenir leurs propres Républiques utopiques.

De la même manière, les vrais croyants dans cette utopie appelée « État juif », qui s’efforceront d’atteindre les « frontières bibliques », sont plus dangereux que les grands stratèges à la Gazit, car leurs politiques sont sanctifiées soit par l’usage de la religion, soit, pire encore, par le recours à des principes religieux sécularisés qui conservent une validité absolue. Alors que Gazit estime au moins nécessaire de soutenir que le diktat israélien profite aux régimes arabes, Ben Gourion n’a pas prétendu que le rétablissement du royaume de David et de Salomon profiterait à quiconque, si ce n’est à l’État juif.

Utiliser les concepts du platonisme pour analyser les politiques israéliennes fondées sur « l’idéologie juive » ne devrait pas sembler étrange. Plusieurs érudits, dont le plus important était Moïse Hadas, y ont recouru, affirmant que les fondements du « judaïsme classique », c’est-à-dire du judaïsme tel qu’il avait été établi par les sages talmudiques, reposent sur des influences platoniques, et en particulier sur l’image de Sparte telle qu’elle apparaît dans Platon4. Selon Hadas, une caractéristique essentielle du système politique platonicien, adoptée par le judaïsme dès la période maccabéenne (163-142 av. J.-C.), était que « tous les aspects du comportement humain doivent être soumis à des sanctions religieuses qui doivent en réalité être manipulées par les dirigeants ». Il n’existe pas de meilleure définition du « judaïsme classique » et de la façon dont les rabbins l’ont manipulé que cette définition platonicienne. Hadas affirme que le judaïsme a adopté ce que « Platon a lui-même résumé [comme] les objectifs de son programme », dans le fameux passage suivant :

L’essentiel est que personne, homme ou femme, ne doit jamais être sans un officier placé au-dessus de lui et chargé de sa direction, et que personne ne doit prendre l’habitude mentale de prendre quelque initiative, que ce soit sincèrement ou en plaisantant, sous sa responsabilité individuelle. En temps de paix comme en temps de guerre, chaque individu doit toujours avoir les yeux rivés sur son officier supérieur. En un mot, nous devons façonner les esprits de sorte qu’ils n’envisagent même pas d’agir en tant qu’individus, ni ne sachent le faire. (Lois, 942 ab)

Si on remplace le mot « officier » par « rabbin », nous aurons une image parfaite du judaïsme classique. Celui-ci influence encore profondément la société juive israélienne et détermine dans une large mesure la politique israélienne.

C’est le passage cité ci-dessus qui a été choisi par Karl Popper dans La société ouverte et ses ennemis pour décrire l’essence d’une « société close ». Le judaïsme historique et ses deux successeurs, l’orthodoxie juive et le sionisme, sont tous deux des ennemis jurés du concept de société ouverte appliqué à Israël. Un État juif, qu’il soit fondé sur son idéologie juive actuelle ou, si son caractère juif devient encore plus prononcé qu’il ne l’est aujourd’hui, sur les principes de l’orthodoxie juive, ne pourra jamais être une société ouverte. La société israélo-juive fait face à deux choix. Elle peut devenir un ghetto totalement fermé et belliqueux, une Sparte juive, soutenue par le travail des Hilotes arabes, dont l’existence est maintenue par son influence sur l’establishment politique américain et par les menaces d’utiliser son énergie nucléaire, ou bien elle peut tenter de devenir une société ouverte. Le second choix dépend d’un examen honnête de son passé juif, de l’admission de l’existence du chauvinisme et de l’exclusivisme juifs et d’un examen honnête des attitudes du judaïsme à l’égard des non-juifs.

Chapitre II — Préjugés et supercherie

La première difficulté qui se présente lorsqu’on veut parler du judaïsme est que le terme « Juif » a été utilisé au cours des 150 dernières années avec deux significations assez différentes. Pour comprendre cela, imaginons-nous en 1780. À l’époque, le sens universellement accepté du terme « Juif » coïncidait essentiellement avec ce que les Juifs eux-mêmes comprenaient comme constituant leur propre identité. Cette identité était avant tout religieuse, mais les préceptes de la religion régissaient tous les détails de la vie quotidienne dans tous ses aspects, à la fois sociaux et privés, chez les Juifs eux-mêmes ainsi que dans leurs relations avec les non-juifs. Il était alors littéralement vrai qu’un Juif ne pouvait même pas boire un verre d’eau chez un non-juif. Et les mêmes lois fondamentales de comportement envers les non-juifs étaient également valables du Yémen à New York. Quel que soit le terme utilisé pour décrire les Juifs de 1780 — et je ne souhaite pas entrer dans une querelle métaphysique concernant des termes tels que « nation » et « peuple5 » —, il est clair que toutes les communautés juives de cette époque étaient séparées des sociétés non juives au sein desquelles elles vivaient.

Cependant, tout cela a été modifié par deux processus parallèles qui ont commencé en Hollande et en Angleterre, se sont poursuivis dans la France révolutionnaire et dans des pays qui ont suivi l’exemple de la Révolution française, puis dans les monarchies modernes du XIXe siècle : les Juifs ont acquis un niveau significatif de droits individuels (dans certains cas, une pleine égalité juridique) et le pouvoir juridique de la communauté juive sur ses membres a été détruit. Il convient de noter que les deux développements ont été simultanés et que le dernier est encore plus important, bien que moins connu, que le premier.

Depuis la fin de l’Empire romain, les communautés juives disposaient de pouvoirs juridiques considérables sur leurs membres. Non seulement des pouvoirs résultant de la mobilisation volontaire de pressions sociales (par exemple, le refus de traiter de quelque manière que ce soit avec un Juif excommunié ou même d’enterrer son corps), mais également un pouvoir de coercition absolu : flageller, emprisonner, expulser — tout cela pouvait être infligé à n’importe quel Juif en toute légalité par les tribunaux rabbiniques pour des infractions de toutes sortes. Dans de nombreux pays — l’Espagne et la Pologne en sont des exemples notables —, même la peine capitale pouvait être et était infligée, en utilisant parfois des méthodes particulièrement cruelles telles que la flagellation à mort. Tout cela était non seulement autorisé, mais clairement encouragé par les autorités des pays tant chrétiens que musulmans, qui, outre leur intérêt général à préserver « la loi et l’ordre public », avaient aussi parfois un intérêt financier plus direct. Par exemple, dans les archives espagnoles datant des XIIIe et XIVe siècles, de nombreux ordres détaillés émanant des très fervents Rois Catholiques de Castille et d’Aragon recommandaient à leurs responsables non moins dévoués de coopérer avec les rabbins pour faire respecter le sabbat par les Juifs. Pourquoi ? Parce que chaque fois qu’un Juif se voyait infliger une amende par un tribunal rabbinique pour avoir violé le sabbat, les rabbins devaient en remettre les neuf dixièmes au roi — un arrangement très rentable et très efficace. De même, on peut citer les responsa rédigées peu avant 1832 par le célèbre rabbin Moshe Sofer de Pressburg (aujourd’hui Bratislava), dans l’ancien royaume hongrois autonome de l’Empire autrichien, et adressées à Vienne, en Autriche même, où les Juifs s’étaient déjà vus accorder des droits individuels considérables6. Celui-ci y déplore le fait que depuis que la congrégation juive de Vienne a perdu son pouvoir de punir les coupables, les Juifs y sont devenus laxistes en matière d’observance religieuse, et il ajoute : « Ici, à Pressburg, lorsqu’on me dit qu’un commerçant juif a osé ouvrir son magasin pendant les fêtes religieuses mineures, j’envoie immédiatement un policier pour l’emprisonner. »

C’était le fait social le plus important de l’existence juive avant l’avènement de l’État moderne : l’observance des lois religieuses du judaïsme, ainsi que leur inculcation par l’éducation, étaient imposées aux Juifs par la contrainte physique, à laquelle ils ne pouvaient échapper que par la conversion à la religion de la majorité, ce qui équivalait alors à une rupture sociale totale avec toute leur communauté — et même leur famille —, et pour cette raison était très peu faisable en pratique, sauf en cas de crise religieuse. Tout cela est généralement omis dans l’historiographie juive traditionnelle, afin de propager le mythe selon lequel les Juifs ont préservé leur religion par miracle ou grâce à une force mystique particulière.

Cependant, une fois que l’État moderne a été créé, la communauté juive a perdu le pouvoir de punir ou d’intimider les individus juifs. Les liens de l’une des « sociétés closes » les plus fermées, de l’une des sociétés les plus totalitaires de l’histoire de l’humanité, ont été rompus. Cet acte de libération est venu principalement de l’extérieur ; bien que certains Juifs l’aient aidé de l’intérieur, ils étaient au début très peu nombreux. Cette forme de libération a eu des conséquences très graves pour l’avenir. Tout comme pour le cas de l’Allemagne (d’après l’analyse magistrale d’A. J. P. Taylor), il était facile d’allier la cause de la réaction au patriotisme, car dans les faits, les droits individuels et l’égalité devant la loi avaient été introduits en Allemagne par les armées de la Révolution et de Napoléon, et on pouvait donc qualifier la liberté de « non-germanique » ou « anti-germanique », car imposée par la force de l’envahisseur. Il était donc très facile pour les Juifs, en particulier en Israël, de lancer une attaque très efficace contre toutes les notions et idéaux de l’humanisme et de l’état de droit (pour ne pas dire de la démocratie) comme quelque chose de « non-juif » ou « anti-juif » — comme ils le sont effectivement au sens historique des termes —, et en tant que principes pouvant certes être instrumentalisés dans « l’intérêt des Juifs » (tel que déterminé par les rabbins), mais qui n’ont aucune validité contre « l’intérêt des Juifs », par exemple lorsque les Arabes invoquent ces mêmes principes. Cela a également conduit — encore une fois, tout comme en Allemagne et dans d’autres pays d’Europe centrale — à une historiographie juive trompeuse, sentimentale et ultra-romantique, de laquelle tous les faits gênants ont été expurgés.

C’est pourquoi on ne trouvera pas, dans les écrits volumineux d’Hannah Arendt, que ce soit au sujet du totalitarisme ou des Juifs, ou des deux à la fois7, le moindre indice de ce à quoi ressemblait réellement la société juive allemande au XVIIIe siècle : autodafés de livres « hérétiques », persécution d’écrivains, querelles sur les pouvoirs magiques des amulettes, interdiction de l’éducation « non juive » la plus élémentaire, telle que l’enseignement de l’allemand correct ou même de l’allemand écrit en alphabet latin8. On ne trouve pas non plus dans les nombreuses « Histoires du judaïsme » en langue anglaise les faits élémentaires concernant l’attitude du mysticisme juif (tellement en vogue actuellement dans certains milieux) envers les non-juifs, à savoir qu’ils sont considérés, littéralement, comme des membres du corps de Satan, et que les quelques individus non sataniques parmi eux (c’est-à-dire ceux qui se convertissent au judaïsme) sont en réalité des « âmes juives » qui se sont perdues lorsque Satan a violé la Sainte Dame (Shekhinah ou Matronit, l’une des composantes féminines de la déité, sœur et épouse du jeune Dieu mâle selon la cabale) dans sa demeure céleste. Les grandes autorités juives, telles que Gershom Scholem, ont prêté leur autorité à un système de supercherie et de falsifications dans tous les domaines « sensibles », les plus populaires étant les plus emplis de malhonnêteté et de falsifications, ce afin que les non-juifs ne sachent rien de la manière infamante dont ils sont considérés par les Juifs.

Mais la conséquence sociale de ce processus de libéralisation fut que, pour la première fois depuis les alentours de l’an 200 de notre ère9, un Juif pouvait être libre de faire ce qu’il souhaitait, dans les limites du Code civil de son pays, sans avoir à payer pour cette liberté en se convertissant à une autre religion. La liberté d’apprendre et de lire des livres dans les langues modernes, la liberté de lire et d’écrire des livres en hébreu non approuvés par les rabbins (tout livre en hébreu ou en yiddish devait auparavant obtenir un tel accord), la liberté de manger des aliments non casher, la liberté d’ignorer les nombreux tabous absurdes qui régissent la vie sexuelle, même la liberté de penser — car les « pensées interdites » font partie des péchés les plus graves —, tous ces droits ont été accordés aux Juifs d’Europe (et par la suite à ceux d’autres pays) par des régimes européens modernes, voire absolutistes, bien que ces derniers soient à la fois antisémites et oppresseurs. Nicolas Ier de Russie était un antisémite notoire et avait promulgué de nombreuses lois contre les Juifs de son État. Mais il a également renforcé les forces de maintien de l’ordre en Russie — non seulement la police secrète, mais également la police régulière et la gendarmerie — avec pour conséquence qu’il devenait difficile d’assassiner des Juifs sur l’ordre de leurs rabbins, alors que dans la Pologne d’avant 1795, cela était assez facile. L’histoire juive « officielle » le condamne donc pour ces deux chefs d’accusation. Par exemple, à la fin des années 1830, le « rabbin saint » (Tzadik) d’une petite ville juive d’Ukraine avait ordonné qu’un hérétique soit assassiné en étant jeté dans l’eau bouillante des bains de la ville, mais les sources juives contemporaines notaient avec étonnement et horreur que la corruption n’était « plus efficace », et que non seulement les auteurs du meurtre, mais également le Saint-Homme, furent sévèrement châtiés. Le régime de Metternich de l’Autriche d’avant 1848 était notoirement réactionnaire et assez hostile aux Juifs, mais il ne permettait pas que quiconque, même des rabbins juifs libéraux, soit empoisonné. En 1848, lorsque le pouvoir du régime fut temporairement affaibli, la première chose que firent les dirigeants de la communauté juive de la ville galicienne de Lemberg (aujourd’hui Lvov) avec leur liberté retrouvée fut d’empoisonner le rabbin libéral de la ville, que le minuscule groupe juif local non-orthodoxe avait importé d’Allemagne. L’une de ses plus grandes hérésies avait d’ailleurs été de défendre et de célébrer la cérémonie de la Bar Mitzvah, qui venait d’être récemment inventée — et qui est aujourd’hui centrale dans le judaïsme.

Libération depuis l’extérieur

Au cours des 150 dernières années, le terme « Juif » a donc pris un double sens, à la grande confusion de certaines personnes bien intentionnées, notamment dans les pays anglophones, qui s’imaginent que les Juifs qu’elles rencontrent socialement sont « représentatifs » des Juifs « en général ». Dans les pays d’Europe de l’Est ainsi que dans le monde arabe, les Juifs ont été libérés de la tyrannie de leur propre religion et de leurs propres communautés par des forces extérieures, trop tard et dans des conditions trop défavorables pour permettre un véritable changement social intériorisé. Dans la plupart des cas, et en particulier en Israël, l’ancien concept de société, la même idéologie — en particulier vis-à-vis des non-juifs — et la même conception totalement fausse de l’histoire ont été préservés. Cela s’applique même à certains Juifs qui ont rejoint les mouvements « progressistes » ou de gauche. Un examen des partis radicaux, socialistes et communistes peut fournir de nombreux exemples de chauvinistes et de racistes juifs déguisés, qui ont adhéré à ces partis simplement pour des raisons « d’intérêt juif », et qui sont, en Israël, de fervents partisans d’une discrimination « anti-Goys ». Il suffit de vérifier combien de « socialistes » juifs ont réussi à publier des milliers de pages sur le kibboutz sans se soucier de mentionner qu’il s’agit d’une institution raciste dont les citoyens non-juifs d’Israël sont rigoureusement exclus, pour voir que le phénomène auquel nous faisons allusion n’est pas du tout rare10.

En évitant les étiquettes basées sur l’ignorance ou l’hypocrisie, nous voyons donc que le mot « Juif » et les mots apparentés désignent deux groupes sociaux différents et même opposés, et du fait de la politique israélienne actuelle, leur contiguïté est en train de disparaître rapidement. D’une part, il y a la signification totalitaire traditionnelle évoquée ci-dessus ; d’autre part, il y a des Juifs par descendance qui ont intériorisé le complexe d’idées que Karl Popper a appelé « la société ouverte ». (Il y a également certains Juifs, en particulier aux États-Unis, qui n’ont pas intégré ces idées, mais s’efforcent de les afficher ostensiblement.)

Il est important de noter que toutes les prétendues « caractéristiques juives » — par lesquelles j’entends les traits que les pseudo- intellectuels en Occident attribuent aux « Juifs » — sont des caractéristiques modernes, inconnues durant la plus grande partie de l’histoire des Juifs, et sont apparues seulement lorsque la communauté juive totalitaire a commencé à perdre son pouvoir. Prenez, par exemple, le fameux sens de l’humour juif. Non seulement l’humour est-il très rare dans la littérature hébraïque avant le XIXème siècle (et ne se trouve que pendant quelques périodes, dans les pays où la classe supérieure juive était relativement libre du joug rabbinique, comme l’Italie entre le XIVe et le XVIIe siècle ou l’Espagne musulmane), mais l’humour et les plaisanteries sont strictement interdits par la religion juive – sauf, de manière significative, les railleries contre les autres religions. La satire contre les rabbins et les dirigeants de la communauté n’a jamais été intériorisée par le judaïsme, pas même dans une faible mesure, contrairement à ce qu’on peut observer pour le christianisme latin. Il n’y avait pas de comédies juives, tout comme il n’y avait pas de comédies à Sparte, et ce pour une raison similaire11. Ou prenez l’amour du savoir et de l’apprentissage. À l’exception d’un savoir purement religieux, qui était lui-même dans un état dégradé et dégénéré, les Juifs d’Europe (et dans une moindre mesure également ceux des pays arabes) étaient dominés, avant 1780 environ, par un mépris et une haine absolus pour toute connaissance ou apprentissage (à l’exclusion du Talmud et du mysticisme juif). De grandes parties de l’Ancien Testament, toute la poésie hébraïque non liturgique, et la plupart des ouvrages sur la philosophie juive n’étaient pas lus, et leurs noms mêmes ont souvent fait l’objet d’anathèmes. L’étude de toutes les langues était strictement interdite, de même que l’étude des mathématiques et des sciences. La géographie12 et l’histoire — même l’histoire juive — étaient complètement inconnues. Le sens critique, qui est censé être si caractéristique des Juifs, était totalement absent, et rien n’était plus interdit, craint et donc persécuté que l’innovation la plus modeste ou la critique la plus innocente.

C’était un monde plongé dans les superstitions les plus abjectes, le fanatisme et l’ignorance, un monde dans lequel la préface du premier ouvrage de géographie en hébreu (publié en 1803 en Russie) pouvait se plaindre du fait que de nombreux rabbins de tout premier plan niaient l’existence du continent américain en disant que c’était « impossible ». Entre ce monde et ce que l’on prend souvent en Occident pour « caractériser » les Juifs, il n’y a rien de commun, à part un malentendu sur la dénomination.

Cependant, un grand nombre de Juifs d’aujourd’hui sont nostalgiques de ce monde, de leur paradis perdu, de la société fermée et confortable dont ils n’ont pas tant été libérés qu’expulsés. Une grande partie du mouvement sioniste a toujours voulu le restaurer — et cette partie a pris le dessus. La plupart des motivations de la politique israélienne, qui, en Occident, déconcertent tant les malheureux et confus « amis d’Israël », s’expliquent parfaitement dès lors qu’elles sont considérées simplement comme une réaction, une réaction au sens politique que ce mot a depuis deux cents ans : un retour forcé, et à bien des égards novateur, et donc illusoire, à la société close du passé juif.

Obstacles à la compréhension

Historiquement, il est possible de démontrer qu’une société close n’est pas intéressée par une description d’elle-même, sans doute parce que toute description est en partie une forme d’analyse critique et peut donc encourager des « pensées interdites » critiques. Plus une société devient ouverte, plus elle est intéressée à réfléchir, d’abord de manière descriptive, puis de manière critique, sur elle-même, sur son fonctionnement présent et sur son passé. Mais que se passe-t-il lorsqu’une faction d’intellectuels désire ramener une société, qui s’est déjà considérablement ouverte sur l’extérieur, à son ancienne condition totalitaire et close ? Alors, les moyens mêmes du progrès et des avancées effectuées — la philosophie, les sciences, l’histoire et surtout la sociologie — deviennent les instruments les plus efficaces de la « trahison des clercs ». Ils sont pervertis afin de servir de dispositifs de mystification, et ils dégénèrent dans ce processus.

Le judaïsme classique13 avait peu d’intérêt à se décrire ou à s’expliquer lui-même auprès des membres de sa propre communauté, qu’ils soient instruits (aux études talmudiques) ou pas14. Il est significatif que l’écriture de l’histoire juive, même dans le style annalistique le plus sec, a complètement cessé depuis l’époque de Flavius ​​ Josèphe (fin du Ier siècle) et jusqu’à la Renaissance, où elle a été relancée pour une courte période en Italie et dans d’autres pays où les Juifs étaient soumis à une forte influence italienne15. De manière caractéristique, les rabbins craignaient l’histoire juive encore plus que l’histoire générale, et le premier livre d’histoire moderne publié en hébreu (au XVIe siècle) était intitulé Histoire des rois de France et des rois ottomans. Il a été suivi de quelques recueils d’histoire traitant uniquement des persécutions subies par les Juifs. Le premier livre sur l’histoire juive proprement dite16 (traitant des temps anciens) fut promptement interdit et réprimé par les plus hautes autorités rabbiniques, et ne reparut pas avant le XIXème siècle. En outre, les autorités rabbiniques de l’Europe de l’Est décrétèrent que toutes les études non talmudiques devaient être interdites, même quand on ne trouvait rien de particulier en elles qui méritât un anathème, car elles empiétaient sur le temps qu’il faudrait consacrer à l’étude du Talmud ou à gagner de l’argent… qui devrait être employé à subventionner les autorités talmudiques. La seule exception à la règle concernait le temps que même un Juif pieux doit obligatoirement passer dans les lieux d’aisance — WC. Dans cet endroit impur, les études sacrées sont interdites, et il était donc permis d’y lire des livres d’histoire, à condition qu’ils soient rédigés en hébreu et parfaitement séculiers, ce qui signifiait dans les faits qu’ils devaient être exclusivement consacrés à des sujets non-juifs. (On peut imaginer que les quelques Juifs de cette époque qui — sans doute tentés par Satan — ont développé un intérêt pour l’histoire des rois de France se plaignaient constamment à leurs voisins de la constipation dont ils souffraient…). En conséquence, il y a deux cents ans, la grande majorité des Juifs était dans l’ignorance la plus noire non seulement quant à l’existence de l’Amérique, mais également quant à l’histoire juive et à l’état contemporain de la communauté juive ; et ils étaient pleinement satisfaits de leur condition.

Une histoire totalitaire

Il y avait cependant un domaine dans lequel ils n’étaient pas autorisés à rester dans l’autosatisfaction : le domaine des attaques chrétiennes contre ces passages du Talmud et de la littérature talmudique qui sont spécifiquement antichrétiens ou plus généralement anti-Goys. Il est important de noter que ce défi est apparu relativement tard dans l’histoire des relations entre chrétiens et Juifs, à partir du XIIIe siècle. (Avant cette époque, les autorités chrétiennes attaquaient le judaïsme en utilisant soit des arguments bibliques, soit des arguments généraux, mais semblaient absolument ignorants du contenu du Talmud.) La campagne chrétienne contre le Talmud a apparemment été provoquée par la conversion au christianisme de Juifs qui étaient bien versés dans le Talmud, et qui furent souvent attirés par le développement de la philosophie chrétienne, avec son fort caractère aristotélicien (et donc universel)17.

Il faut admettre d’emblée que le Talmud et la littérature talmudique — indépendamment de la tendance générale anti-goym qui les traverse, et qui sera examinée plus en détail au chapitre 5 de cet ouvrage — contiennent des déclarations et des préceptes très choquants visant spécifiquement le christianisme. Par exemple, en plus d’une série d’allégations sexuelles calomnieuses et infâmes contre Jésus, le Talmud déclare que sa punition en enfer sera d’être plongé dans des excréments bouillants — une déclaration qui n’est pas exactement de nature à attacher les chrétiens dévots au Talmud. On peut aussi citer le précepte selon lequel les Juifs ont le devoir de brûler, si possible publiquement, toute copie du Nouveau Testament qui tombe entre leurs mains. (Non seulement ce précepte est-il toujours en vigueur, mais il est encore pratiqué aujourd’hui. Ainsi, le 23 mars 1980, des centaines d’exemplaires du Nouveau Testament ont été brûlés publiquement et cérémonieusement à Jérusalem sous les auspices de Yad Le’akhim, une organisation religieuse juive subventionnée par le ministère israélien des cultes.)

Quoi qu’il en soit, une attaque puissante, et pertinente sur de nombreux points, contre le judaïsme talmudique s’est développée en Europe à partir du XIIIe siècle. Nous ne nous référons pas ici à des calomnies ignorantes, telles que les accusations de meurtres rituels contre les Juifs, propagées par des moines incultes dans des petites villes de province, mais à des discussions et débats contradictoires publics tenus devant les meilleures universités européennes de l’époque et menées dans l’ensemble de la manière la plus équitable qui puisse être en contexte médiéval18.

Quelle fut la réponse juive — ou plutôt rabbinique ? La plus simple était l’ancienne arme de la corruption et des manigances de toutes sortes. Dans la plupart des pays européens, à toutes les époques ou presque, il n’y avait pas de problème qui ne pût être résolu par un pot-de-vin. Nulle part cette maxime n’a été aussi vraie que dans la Rome des Papes de la Renaissance. L’édition originale de la version intégrale du Code de loi talmudique, le Mishneh Torah de Maïmonide, regorge non seulement des préceptes les plus offensants contre tous les non-juifs, mais également d’attaques explicites contre le christianisme et Jésus (chaque fois que l’auteur cite ce nom, il ajoute pieusement : « périsse le nom de l’infâme ») —, a été publié dans une version non expurgée à Rome en 1480 sous Sixte IV, un pape très actif politiquement qui avait un besoin constant et urgent d’argent. (Quelques années auparavant, l’unique édition ancienne de L’âne d’or d’Apulée, d’où l’attaque violente contre le christianisme n’avait pas été expurgée, avait également été publiée à Rome.) Alexandre VI Borgia était également très libéral à cet égard.

Même au cours de cette période, comme avant celle-ci, il y avait toujours des pays dans lesquels une vague de persécutions anti-Talmud déferlait çà et là. Mais un assaut général et bien plus conséquent contre le Talmud prit forme avec la Réforme et la Contre-Réforme, qui amenèrent les lettrés chrétiens à des critères d’honnêteté intellectuelle plus rigoureux, et à une meilleure connaissance de l’hébreu. À partir du XVIe siècle, toute la littérature talmudique, y compris le Talmud lui-même, fut soumise à la censure chrétienne dans divers pays. En Russie, cela a duré jusqu’en 1917. Certains censeurs, comme en Hollande, étaient plus laxistes, d’autres plus sévères ; et les passages offensants étaient supprimés ou modifiés.

Toutes les études modernes sur le judaïsme, en particulier celles effectuées par des Juifs, ont évolué à partir de ce conflit et portent à ce jour les marques indiscutables de leur origine : la tromperie, la polémique apologétique ou hostile, l’indifférence ou même l’hostilité active pour la recherche de la vérité. Presque toutes les soi-disant Études juives sur le judaïsme, depuis cette époque jusqu’à nos jours, sont une polémique contre un ennemi extérieur plutôt qu’un débat interne.

Il est important de noter que c’était initialement le caractère de l’historiographie dans toutes les sociétés connues (à l’exception de la Grèce antique, dont les premiers historiens libéraux ont été attaqués par des sophistes ultérieurs pour leur manque de patriotisme !). C’était le cas des premiers historiens catholiques et protestants, qui ont polémiqué les uns contre les autres. De même, les premières histoires nationales européennes sont imprégnées du nationalisme le plus grossier et d’un véritable mépris pour tous les autres pays ou nations voisins. Mais tôt ou tard, il y a un moment où l’on tente de comprendre son adversaire national ou religieux et en même temps de critiquer certains aspects profonds et importants de l’histoire de son propre groupe ; et ces deux développements vont de pair. Ce n’est que lorsque l’historiographie devient — comme l’a si bien dit Pieter Geyl — un « débat sans fin » plutôt que la continuation de la guerre par des moyens historiographiques, qu’une historiographie humaine, qui vise à la fois l’exactitude et l’équité, devient possible ; et elle se transforme alors en l’un des instruments les plus puissants de l’humanisme et de l’autoéducation.

C’est pour cette raison que les régimes totalitaires modernes réécrivent l’histoire ou punissent les historiens. Les exemples staliniens et chinois sont suffisamment connus. Cependant, en ce qui concerne le totalitarisme nazi, il convient de mentionner que la persécution d’historiens allemands honnêtes a commencé très tôt19. La situation en Israël est analogue : les pires attaques contre moi ont été provoquées non pas par les termes violents que j’emploie dans mes condamnations du sionisme et de l’oppression des Palestiniens, mais par un de mes articles précoces sur le rôle des Juifs dans le commerce des esclaves, dans lequel la dernière affaire citée datait de 1870. Cet article a été publié avant la guerre de 1967 ; aujourd’hui, sa publication serait impossible. Quand une société entière tente de revenir au totalitarisme, une histoire totalitaire s’écrit, non pas sous l’effet d’une coercition venue d’en haut, mais sous une pression venue d’en bas, ce qui est beaucoup plus efficace. C’est ce qui s’est passé dans l’histoire juive, et c’est le premier obstacle qu’il nous faut surmonter.

Mécanismes de défense

Quels étaient précisément les mécanismes (autres que la corruption) employés par les communautés juives, en coopération avec des forces extérieures, afin de parer aux attaques contre le Talmud et contre le reste de la littérature religieuse juive ? Plusieurs méthodes peuvent être distinguées, toutes ayant des conséquences politiques importantes reflétées dans les politiques israéliennes actuelles. Il serait fastidieux de fournir dans chaque cas le parallèle chez Menahem Begin ou chez le Parti Travailliste sioniste, mais je suis sûr que les lecteurs qui connaissent un peu les détails de la politique au Moyen-Orient pourront eux-mêmes remarquer la ressemblance.

Le premier mécanisme que je vais aborder est celui de la défiance sournoise, combinée à une conformité extérieure. Comme expliqué ci-dessus, les passages talmudiques dirigés contre le christianisme ou contre les non-juifs20 devaient être modifiés ou supprimés — la pression était trop forte. C’est ce qui a été fait : quelques-uns des passages les plus choquants ont été physiquement supprimés de toutes les éditions imprimées en Europe après le milieu du XVIe siècle. Dans tous les autres passages, les expressions « Gentil » (goy), « non-Juif » (einoyehudi) ou « étranger » (nokhri) — qui apparaissent dans tous les plus anciens manuscrits et imprimés ainsi que dans toutes les éditions publiées dans les pays islamiques — ont été remplacées par des termes tels qu’« idolâtre », « païen » ou même « cananéen » ou « samaritain », termes pouvant être justifiés aux yeux des profanes, mais qu’un lecteur juif reconnaissait aisément comme des euphémismes pour les anciennes expressions.

Au fur et à mesure que l’attaque montait, la défense devenait plus élaborée, avec parfois des résultats tragiques et durables. Pendant certaines périodes, la censure tsariste russe devenait plus stricte, et ayant percé à jour les euphémismes susmentionnés, elle les interdisait également. Les autorités rabbiniques leur ont alors substitué les termes « arabe » ou « musulman » (en hébreu, Yishma’éli – qui a les deux sens) ou occasionnellement « égyptien », en calculant à juste titre que les autorités tsaristes ne s’opposeraient pas à ce genre d’abus. Dans le même temps, des listes d’Omissions talmudiques ont été distribuées sous forme de manuscrit, expliquant tous les nouveaux termes et signalant toutes les omissions et tous les passages supprimés. Parfois, un démenti général était imprimé devant la page de titre de chaque volume de littérature talmudique, déclarant solennellement, parfois sous serment, que toutes les expressions hostiles de ce volume ne visaient que les idolâtres de l’Antiquité, voire les Cananéens disparus de longue date, plutôt que « les peuples sur les terres desquels nous vivons ». Après la conquête de l’Inde par les Britanniques, certains rabbins ont recouru au subterfuge de prétendre que toute expression particulièrement désobligeante ou outrageante qu’ils utilisaient était uniquement destinée aux Indiens. De temps en temps, les aborigènes d’Australie ont également été ajoutés à la liste des boucs émissaires.

Inutile de dire que tout ceci était un mensonge calculé du début à la fin ; et après la création de l’État d’Israël, une fois que les rabbins se sont sentis en sécurité, tous les passages et expressions offensants ont été restaurés sans hésitation dans toutes les nouvelles éditions. (En raison du coût énorme qu’implique une nouvelle édition, une grande partie de la littérature talmudique, y compris le Talmud lui-même, est encore réimprimé à partir d’anciennes éditions. C’est pour cette raison que les omissions talmudiques susmentionnées ont maintenant été publiées en Israël dans une édition imprimée bon marché, sous le titre Hesronot Shas.) Ainsi, maintenant, on peut lire assez librement — et on l’enseigne effectivement aux enfants juifs — des passages comme celui qui21 commande à chaque Juif, lorsqu’il passe près d’un cimetière, de prononcer une bénédiction si le cimetière est juif, mais de maudire les mères des morts22 s’il n’est pas juif. Dans les anciennes éditions, la malédiction était omise, ou l’un des euphémismes était substitué à « non-Juif ». Mais dans la nouvelle édition israélienne du rabbin Adin Steinsalz (pourvue de notes explicatives et de la traduction interlinéaire en hébreu des passages araméens de l’original, afin que les écoliers n’aient aucun doute sur ce qu’ils sont censés dire), les mots sans équivoque « non-Juifs » et « étrangers » ont été restaurés.

Sous des pressions extérieures, les rabbins ont éliminé ou modifié de manière trompeuse certains passages — mais pas les pratiques réelles qui y sont prescrites. Il faut savoir, et en particulier les Juifs eux-mêmes doivent savoir que depuis des siècles, notre société juive totalitaire utilise des coutumes barbares et inhumaines pour empoisonner l’esprit de ses membres, et qu’elle le fait toujours. Ces coutumes inhumaines ne peuvent pas être expliquées comme une simple réaction à l’antisémitisme ou à la persécution des Juifs ; elles constituent une barbarie gratuite dirigée contre chaque être humain. Un Juif pieux arrivant pour la première fois en Australie, par exemple, et pouvant passer près d’un cimetière aborigène, doit — comme acte d’adoration de « Dieu » — maudire les mères des morts qui y sont enterrées. Sans affronter ce fait social réel, nous devenons tous partie prenante de la tromperie, et complices du processus d’empoisonnement des générations présentes et futures, avec toutes les conséquences que cela entraîne.

La supercherie continue

Les savants modernes du judaïsme ont non seulement poursuivi la supercherie, mais ils ont encore amélioré les anciennes méthodes rabbiniques, à la fois dans l’impudence et dans le mensonge. Je laisse ici de côté les diverses histoires de l’antisémitisme, indignes de considération sérieuse, et ne donnerai que trois exemples particuliers et un exemple général des tromperies « savantes » plus modernes.

En 1962, une partie du Code de Maïmonide susmentionné, le « Livre de la connaissance », qui contient les règles les plus élémentaires de la foi et de la pratique juives, a été publiée à Jérusalem dans une édition bilingue, la traduction anglaise faisant face au texte hébreu23. La version en hébreu a été restaurée dans sa pureté d’origine, et le commandement d’exterminer les Juifs infidèles y figure dans son intégralité : « C’est un devoir de les exterminer de ses propres mains. » Dans la traduction anglaise, ce propos est adouci comme suit : « C’est un devoir que de prendre des mesures actives pour les détruire. » Mais ensuite, le texte hébreu précise les principaux exemples d’« infidèles » qui doivent être exterminés : « Comme Jésus de Nazareth et ses disciples, Tzadoq et Baitos24 et leurs disciples, périsse le nom des infâmes. » Pas un mot de cela n’apparaît dans le texte anglais de la page en regard (78a). Et, ce qui est encore plus significatif, en dépit de la large diffusion de ce livre parmi les érudits des pays anglophones, aucun d’entre eux n’a, à ma connaissance, protesté contre cette supercherie flagrante.

Le deuxième exemple vient des États-Unis, encore d’une traduction anglaise d’un livre de Maimonide. En plus de son travail sur la codification du Talmud, il était également philosophe, et son Guide des égarés est considéré à juste titre comme la plus grande œuvre de la philosophie religieuse juive, et est largement lu et utilisé même de nos jours. Malheureusement, en plus de son attitude envers les non-juifs en général et les chrétiens en particulier, Maïmonide était également un raciste anti-noir. Vers la fin du Guide, dans un chapitre crucial (livre III, chapitre 51), il explique comment diverses parties de l’humanité peuvent atteindre la valeur religieuse suprême, le véritable culte de Dieu. Parmi celles qui sont incapables de s’en approcher, on trouve :

Certains Turcs [c.-à-d. la race mongole] et les nomades du Nord, les Noirs et les nomades du Sud, ainsi que ceux qui leur ressemblent dans nos climats. Et leur nature est semblable à la nature des animaux muets et, à mon avis, ils ne sont pas au niveau des êtres humains ; leur niveau parmi les choses existantes est inférieur à celui de l’homme et supérieur à celui du singe, car ils ont davantage l’image et la ressemblance de l’homme que le singe.

Maintenant, que fait-on avec un tel passage dans un ouvrage du judaïsme extrêmement important et incontournable ? Allons-nous faire face à la vérité et à ses conséquences ? À Dieu ne plaise ! Allons-nous admettre (comme l’ont fait tant de savants chrétiens, par exemple, dans des circonstances similaires) qu’une autorité juive très importante avait également des vues anti-Noirs farouches, et par cet aveu, s’efforcer de s’éduquer à une véritable humanité ? Qu’une telle pensée périsse ! Je peux presque imaginer les autorités juives aux États-Unis se consulter à ce sujet : « Que faire ? » Car ce livre devait absolument être traduit en raison du déclin de la connaissance de l’hébreu chez les Juifs américains. Que ce soit par consultation ou par inspiration individuelle, une « solution » heureuse a été trouvée : dans la traduction américaine populaire du Guide écrite par un certain Friedlander, publiée pour la première fois en 1925 et reproduite depuis dans de nombreuses éditions, dont plusieurs en format de poche, le mot hébreu Koushim, qui signifie « Noirs », a simplement été transcrit par « Koushites », un mot qui n’avait aucun sens pour ceux qui ne connaissaient pas l’hébreu, ou à qui un rabbin obligeant ne donnerait aucune explication orale25. Pendant toutes ces années, pas un mot n’a dénoncé la supercherie initiale ou les faits sociaux sous-jacents à sa perpétuation — et cela tout au long de la période exaltée des campagnes de Martin Luther King, qui ont été soutenues par tant de rabbins, sans parler d’autres personnalités juives, dont certaines devaient bien avoir conscience de l’attitude raciste anti-Noirs qui fait partie de leur héritage juif.

On peut supposer que bon nombre des partisans rabbiniques de Martin Luther King étaient soit des racistes anti-Noirs qui le soutenaient pour des raisons tactiques d’« intérêt juif » (visant à obtenir le soutien des Noirs pour le judaïsme américain et la politique d’Israël), soit des hypocrites accomplis, jusqu’à la schizophrénie, capables de passer très rapidement des jouissances secrètes d’un racisme forcené à un attachement proclamé à une lutte antiraciste — et vice-versa.

Entre parenthèses, un fait supplémentaire peut être mentionné à cet égard. Il était parfaitement possible, et apparemment respectable, pour un spécialiste juif de l’Islam, Bernard Lewis (qui enseignait autrefois à Londres et enseigne maintenant aux Etats-Unis) de publier un article dans Encounter, où il souligne de nombreux passages de la littérature islamique qui sont anti-Noirs à ses yeux, mais dont aucun n’est ne serait-ce que lointainement comparable en gravité au passage cité ci-dessus. Il serait tout à fait impossible pour quiconque, maintenant ou dans les trente dernières années, de discuter dans toute publication américaine réputée ce passage ouvertement raciste du Talmud ou les nombreux autres passages talmudiques anti-Noirs. Mais sans la critique de toutes les parties, l’attaque contre l’Islam seul se réduit à de la simple diffamation.

Le troisième exemple provient d’un travail qui n’a pas de si hautes prétentions — mais qui en est d’autant plus populaire : Les joies du yiddish de Leo Rosten. Cet ouvrage léger — publié pour la première fois aux États-Unis en 1968 et reproduit dans de nombreuses éditions, y compris à plusieurs reprises sous forme de livre de poche de la collection Penguin — est une sorte de glossaire de mots yiddish souvent utilisés par les Juifs ou même les non-juifs dans les pays anglophones. Pour chaque entrée, outre une définition détaillée et des anecdotes plus ou moins amusantes illustrant son utilisation, il existe également une étymologie énonçant (de manière assez exacte dans l’ensemble) la langue d’origine de ce mot, avant son entrée dans le yiddish, et sa signification dans cette langue. L’entrée Shaygets — dont la signification principale est « un enfant ou jeune homme Goy » — fait exception : l’étymologie y énonce de manière cryptique « origine hébraïque », sans donner la forme ou la signification du mot hébreu original. Cependant, sous l’entrée Shiksa — la forme féminine de Shaygets —, l’auteur donne le mot hébreu original, sheqetz (ou, dans sa translittération, sheques) et définit sa signification en hébreu comme « souillure, imperfection ». C’est un mensonge éhonté, comme le sait quiconque parle l’hébreu. Le Megiddo Modern Hebrew-English Dictionary, publié en Israël, traduit correctement sheqetz comme suit : « Animal impur. Créature répugnante, abomination. Fam. (prononcé shaygets) : misérable, jeune indiscipliné. Jeune goy. »

Mon dernier exemple, plus général, est, si possible, encore plus choquant que les autres. Il concerne l’attitude du mouvement hassidique envers les non-juifs. Le hassidisme — une continuation (et un avilissement !) du mysticisme juif — est toujours un mouvement vivant, avec des centaines de milliers d’adhérents actifs qui sont fanatiquement dévoués à leurs « rabbins sacrés », dont certains ont acquis une influence politique tout à fait considérable en Israël, parmi les dirigeants de la plupart des partis et plus encore dans les échelons supérieurs de l’armée.

Quelles sont donc les vues de ce mouvement au sujet des non-juifs ? À titre d’exemple, prenons le célèbre Hatanya, livre fondamental du mouvement Habbad, l’une des branches les plus importantes de l’Hassidisme. D’après ce livre, tous les non-juifs sont des créatures totalement sataniques « dans lesquelles il n’y a absolument rien de bon ». Même un embryon non-juif est qualitativement différent d’un embryon juif. L’existence même d’un non-juif est « non essentielle », alors que toute la Création a été créée uniquement dans l’intérêt des Juifs.

Ce livre est diffusé dans d’innombrables éditions et ses idées sont également propagées dans les nombreux « discours » du Führer héréditaire actuel de Habbad, le soi-disant rabbin Loubavitch, M. M. Schneurssohn, qui dirige cette puissante organisation mondiale depuis son siège à New York. En Israël, ces idées sont largement diffusées auprès du grand public, dans les écoles et au sein de l’armée. (Selon le témoignage de Shulamit Aloni, membre de la Knesset, cette propagande d’Habbad a été particulièrement renforcée avant l’invasion du Liban par Israël en mars 1978, afin d’inciter les médecins et les infirmiers militaires à refuser l’aide médicale aux « non-juifs blessés ». Ce conseil digne des nazis ne se référait pas spécifiquement aux Arabes ou aux Palestiniens, mais simplement aux « non-Juifs », les Goyim.) Un ancien Président israélien, Shazar, était un ardent adepte de Habbad, et de nombreux hauts responsables politiques israéliens et américains — dirigés par le Premier ministre Begin — l’ont publiquement courtisé et soutenu. Et tout cela malgré l’impopularité considérable du rabbin Loubavitch — il est largement critiqué en Israël parce qu’il refuse de venir en Terre Sainte même pour une simple visite, et se maintient à New York pour des raisons messianiques obscures, alors qu’à New York, son attitude anti-Noirs est notoire.

Le fait que, malgré ces difficultés pragmatiques, Habbad puisse être publiquement soutenu par tant de personnalités politiques de premier plan, doit beaucoup au traitement totalement mensonger et trompeur de presque tous les érudits qui ont écrit sur le mouvement hassidique et sa branche Habbad. Ceci s’applique particulièrement à tous ceux qui ont écrit ou écrivent à ce sujet en anglais. Ils suppriment les preuves flagrantes des anciens textes hassidiques ainsi que leurs implications politiques d’aujourd’hui, qui crèvent les yeux de n’importe quel lecteur occasionnel de la presse israélienne hébraïque, où le rabbin Loubavitch et d’autres dirigeants hassidiques publient constamment les déclarations et exhortations sanguinaires les plus enragées contre tous les Arabes.

À ce propos, Martin Buber fut l’un des plus grands artisans du mensonge, et un bon exemple de la puissance de la supercherie. Ses nombreuses œuvres faisant l’éloge de l’ensemble du mouvement hassidique (y compris Habbad) ne font à aucun moment ne serait-ce qu’une allusion aux véritables doctrines du hassidisme concernant les non-juifs. Sa supercherie est d’autant plus criminelle que les ouvrages de Buber faisant l’apologie de l’Hassidisme ont été publiés pour la première fois en allemand au cours de la période de la montée du nationalisme allemand et de l’accession du nazisme au pouvoir. Mais tout en s’opposant ostensiblement au nazisme, Buber glorifia un mouvement qui enseignait et professait des doctrines sur les non-juifs similaires aux doctrines nazies sur les Juifs. On pourrait évidemment soutenir que les Juifs hassidiques d’il y a soixante-dix ou cinquante ans étaient les victimes et qu’un « pieux mensonge » en faveur d’une victime est excusable. Mais les conséquences de cette supercherie sont incalculables. Les œuvres de Buber ont été traduites en hébreu, sont devenues un élément puissant de l’éducation hébraïque en Israël, ont considérablement augmenté le pouvoir des leaders hassidiques assoiffés de sang, et ont ainsi été un facteur important dans la montée du chauvinisme israélien et la haine de tous les non-juifs. Si nous pensons aux nombreux êtres humains morts de leurs blessures parce que les infirmiers de l’armée israélienne, incités par la propagande hassidique, ont refusé de les soigner, une lourde part de responsabilité en incombe à Martin Buber.

Je dois préciser ici que, dans son adulation du hassidisme, Buber dépassait de loin les autres érudits juifs, en particulier ceux qui écrivaient en hébreu (ou, autrefois, en yiddish) ou même dans les langues européennes, mais exclusivement pour un public juif. Dans les questions internes d’intérêt juif, il y avait eu jadis beaucoup de critiques justifiées contre le mouvement hassidique. Leur misogynie (bien plus extrême que celle commune à tous les orthodoxes juifs), le fait qu’ils s’adonnent à l’alcool, leur culte fanatique de leurs « rabbins sacrés » héréditaires qui leur extorquaient de l’argent, les nombreuses superstitions qui leur sont propres — ces spécificités et bien d’autres traits négatifs ont été commentés de façon critique. Mais le romantisme sentimental et trompeur de Buber a triomphé, en particulier aux États-Unis et en Israël, car il était en accord avec l’admiration totalitaire de tout ce qui était « véritablement juif », et parce que certains cercles « de gauche » dans lesquels Buber avait une influence particulièrement grande ont adopté cette position.

Buber n’était pas seul dans son attitude, bien qu’à mon avis il soit de loin le pire dans le mal qu’il a propagé et l’influence qu’il a laissée derrière lui. Il y avait le très influent sociologue et érudit de la Bible, Yehezkiel Kaufman, qui préconisait un génocide sur le modèle du Livre de Josué, le philosophe idéaliste Hugo Shmuel Bergman, qui, dès les années 1914-15, prônait déjà l’expulsion de tous les Palestiniens vers l’Irak, et bien d’autres encore. Tous étaient extérieurement des « colombes », mais utilisaient des formules qui pouvaient être interprétées dans le sens anti-arabe le plus extrême, ils avaient tous tendance à ce mysticisme religieux qui encourage la propagation de supercheries, et ils semblaient tous être des personnes douces qui, même lorsqu’elles préconisaient l’expulsion, le racisme et le génocide, semblaient incapables de faire du mal à une mouche — et justement pour cette raison, l’effet de leurs manipulations était d’autant plus grand.

C’est contre la glorification de l’inhumanité, proclamée non seulement par les rabbins, mais par ceux qui sont supposés être les plus grandes et certainement les plus influentes autorités du judaïsme, que nous devons lutter ; et c’est contre ces successeurs modernes des faux prophètes et des prêtres malhonnêtes que nous devons répéter — même face à une opinion presque unanime en Israël et au sein de la majorité des Juifs de pays comme les États-Unis — la mise en garde de Lucrèce contre le désir de soumettre son jugement aux déclamations des chefs religieux : Tantum religio potuit suadere malorum — « La religion peut mener les hommes à commettre les plus grandes atrocités. » La religion n’est pas toujours (comme l’a dit Marx) l’opium du peuple, mais elle peut souvent l’être, et quand elle est utilisée dans ce sens en tergiversant et en représentant de manière erronée sa vraie nature, les autorités et les intellectuels qui accomplissent cette tâche deviennent effectivement assimilables à des trafiquants d’opium.

Mais nous pouvons déduire de cette analyse une autre conclusion, plus générale, au sujet des moyens les plus efficaces et les plus horribles pour contraindre à faire le mal, à tricher et à tromper, et, tout en gardant soi-même les mains propres, à corrompre des peuples entiers et à les entraîner à l’oppression et au meurtre. (Car il ne peut plus y avoir le moindre doute sur le fait que les actes d’oppression les plus horribles qui sont commis en Cisjordanie soient motivés par le fanatisme religieux juif.) La plupart des gens semblent supposer que le pire totalitarisme emploie la contrainte physique, et feraient référence à l’imagerie de 1984 d’Orwell pour un modèle illustrant un tel régime. Mais il me semble que cette vue, quoique répandue, est grandement erronée, et que l’intuition d’Isaac Asimov, dont les ouvrages de science-fiction présentent toujours la pire oppression de manière intériorisée, est plus fidèle aux dangers inhérents à la nature humaine. Contrairement aux intellectuels dociles de Staline, les rabbins — et plus encore les érudits que j’attaque ici, et avec eux toute la basse-cour également silencieuse des écrivains, des journalistes et des personnalités publiques qui mentent et trompent encore plus qu’elles — ne font pas face au danger de mort ou d’internement en camp de concentration, mais seulement à une pression sociale ; ils mentent par patriotisme parce qu’ils croient que c’est leur devoir de mentir pour ce qu’ils conçoivent être l’intérêt juif. Ce sont des menteurs patriotiques, et c’est le même patriotisme qui les réduit au silence face à la discrimination et à l’oppression infligées aux Palestiniens.

Dans le cas présent, nous sommes également confrontés à une autre loyauté de groupe, mais qui vient de l’extérieur du groupe et qui est parfois même plus malfaisante. Un grand nombre de non-juifs (parmi lesquels des chrétiens, qu’il s’agisse du clergé ou de simples pratiquants, ainsi que certains marxistes de toutes appartenances) adoptent l’opinion curieuse qu’une manière de « racheter » la persécution des Juifs, c’est de ne pas dénoncer le mal perpétré par les Juifs, mais de participer aux « pieux mensonges » à leur sujet. L’accusation grossière d’antisémitisme (ou, dans le cas de Juifs, de « haine de soi ») contre quiconque proteste contre la discrimination des Palestiniens ou qui souligne tout fait sur la religion juive ou le passé juif qui est en conflit avec la « version approuvée » s’accompagne d’une hostilité et d’une force plus grandes de la part des non-juifs « amis des Juifs » que des Juifs eux-mêmes. C’est l’existence et la grande influence de ce groupe dans tous les pays occidentaux, et en particulier aux Etats-Unis [et en France] (ainsi que dans les autres pays anglophones) qui a permis aux rabbins et aux autorités du judaïsme de propager leurs mensonges non seulement sans opposition, mais avec une aide considérable.

En fait, beaucoup d’« antistaliniens » autoproclamés ont simplement substitué une autre idole à leur culte, et ont tendance à soutenir le racisme et le fanatisme juifs avec une ardeur et une malhonnêteté encore plus grandes que celles des staliniens les plus dévoués du passé. Bien que ce phénomène de soutien aveugle et stalinien à tout mal, tant que celui-ci est « juif », soit particulièrement marqué à partir de 1945, lorsque la vérité sur l’extermination de la communauté juive européenne est devenue connue, c’est une erreur de supposer que cela a commencé seulement à ce moment-là. Au contraire, cela remonte très loin, en particulier dans les milieux sociaux-démocrates. L’un des premiers amis de Marx, Moses Hess, largement reconnu et respecté comme l’un des premiers socialistes en Allemagne, s’est révélé par la suite comme un raciste et extrémiste juif, dont les idées sur la « race juive pure » publiées en 1858 ne sont pas sans comparaison avec les billevesées sur la « race aryenne pure ». Mais les socialistes allemands, qui ont lutté contre le racisme allemand, sont restés silencieux sur leur racisme juif.

En 1944, au cœur de la lutte contre Hitler, le parti travailliste britannique approuva un plan d’expulsion des Palestiniens de Palestine, similaire aux premiers projets d’Hitler (jusqu’à environ 1941) concernant les Juifs. Ce plan a été approuvé sous la pression exercée par des membres juifs de la direction du parti, dont beaucoup ont ouvertement adopté, envers toutes les politiques israéliennes, le principe de solidarité clanique, et cela dans une plus grande mesure que leurs homologues conservateurs partisans de Ian Smith l’ont jamais fait. Mais les tabous staliniens à gauche sont plus forts en Grande-Bretagne qu’à droite, et il n’y a pratiquement pas de discussion sur le soutien des travaillistes à Israël, même lorsqu’il s’agit de soutenir le gouvernement de Begin.

Aux États-Unis, une situation similaire prévaut et, encore une fois, les libéraux américains sont les pires. [On peut dire la même chose pour les socialistes français, bien que la soumission à Israël soit solidement ancrée de l’extrême droite à la pseudo-extrême gauche].

Ce n’est pas le lieu d’explorer toutes les conséquences politiques de cette situation, mais nous devons faire face à la réalité : dans notre lutte contre le racisme et le fanatisme de la religion juive, nos plus grands ennemis ne seront pas seulement les racistes juifs (et les thuriféraires du racisme), mais aussi les non-juifs qui, dans d’autres domaines, sont réputés — à tort selon moi — comme des « progressistes ».

Chapitre III — Orthodoxie et interprétation

Ce chapitre est consacré à une description plus détaillée de la structure théologico-juridique du judaïsme classique26. Cependant, avant de s’engager dans cette description, il est nécessaire de dissiper au moins certaines des idées fausses répandues dans presque tous les ouvrages en langue étrangère (c’est-à-dire autre que l’hébreu) consacrés au judaïsme, en particulier ceux qui propagent des expressions aussi à la mode que « Tradition judéo-chrétienne » ou « les valeurs communes des religions monothéistes ».

Pour ne pas être trop long, je ne traiterai en détail que de la plus importante de ces illusions populaires, à savoir que la religion juive est et a toujours été monothéiste. En réalité, comme le savent de nombreux érudits bibliques, et comme le révèle aisément une lecture attentive de l’Ancien Testament, ce point de vue anhistorique est totalement faux. Dans beaucoup, sinon la plupart des livres de l’Ancien Testament, l’existence et le pouvoir d’« autres Dieux » sont clairement reconnus, mais Yahweh (Jéhovah), qui est le Dieu le plus puissant27, est également très jaloux de ses rivaux et interdit à son peuple de les vénérer28. Ce n’est que très tard dans la Bible, chez certains des derniers prophètes, que l’existence de tous les dieux autres que Yahweh est niée29.

Ce qui nous concerne, cependant, n’est pas le judaïsme biblique, mais classique ; et il est tout à fait clair, bien que beaucoup moins largement compris, que durant les derniers siècles ce dernier était, pour la plus grande partie, très loin du monothéisme pur. On peut en dire autant des véritables doctrines dominantes dans le judaïsme orthodoxe actuel, qui est une continuation directe du judaïsme classique. Le déclin du monothéisme est dû à la propagation du mysticisme juif (la kabbale) qui s’est développé aux XIIe et XIIIe siècles et qui, à la fin du XVIe siècle, avait remporté une victoire presque complète dans presque tous les centres du judaïsme. Les Lumières juives, issues de la crise du judaïsme classique, ont dû lutter avant tout contre ce mysticisme et son influence, mais dans l’orthodoxie juive moderne, en particulier chez les rabbins, l’influence de la kabbale est restée prédominante30. Par exemple, le mouvement Gush Emunim est largement inspiré par des idées kabbalistiques.

La connaissance et la compréhension de ces idées sont donc importantes pour deux raisons. Premièrement, sans cela, on ne peut pas comprendre les vraies croyances du judaïsme à la fin de sa période classique. Deuxièmement, ces idées jouent un rôle politique contemporain important dans la mesure où elles font partie du système de croyances explicite de nombreux mouvements politiques religieux, y compris la plupart des dirigeants de Gush Emunim, et exercent une influence indirecte sur de nombreux dirigeants sionistes de tous les partis, y compris les partis de la gauche sioniste.

Selon la Kabbale, l’univers n’est pas gouverné par un Dieu, mais par plusieurs divinités, de personnalités et d’influences variés, émanant d’une Cause Première ténue et lointaine. En omettant plusieurs détails, on peut résumer le système comme suit. De la Première Cause, ont émané ou sont nés un Dieu masculin appelé Sagesse ou Père puis une Déesse féminine appelée Connaissance ou Mère. Du mariage de ces deux-là, une paire de Dieux plus jeunes sont nés : Fils, également appelé par de nombreux autres noms tels que « Petit Visage » ou « Le Saint Béni » ; et Fille, également appelée « Dame » (ou « Matronit », un mot dérivé du latin), « Shekhinah », « Reine », etc. Ces deux Dieux plus jeunes devraient s’unir, mais leur union est empêchée par les machinations de Satan, qui dans ce système est un personnage très important et indépendant. La Création a été entreprise par la Première Cause pour leur permettre de s’unir, mais à cause de la Chute, ils sont devenus plus désunis que jamais. Et de fait, Satan a réussi à se rapprocher de la Fille divine et même à la violer (en apparence ou en réalité, les opinions diffèrent à ce sujet). La création du peuple juif a été entreprise afin de réparer la rupture causée par Adam et Ève, ce qui a été réalisé momentanément sous le mont Sinaï : le dieu mâle Fils, incarné par Moïse, a été uni à la déesse Shekhinah. Malheureusement, le péché du veau d’or a de nouveau causé la désunion de la divinité ; mais le repentir du peuple juif y a quelque peu remédié. De même, selon la croyance, chaque incident de l’histoire biblique juive est associé à l’union ou à la désunion du couple divin. La conquête juive de la Palestine face aux Cananéens et la construction du Premier et du Deuxième Temples sont particulièrement propices à leur union, tandis que la destruction des Temples et l’exil des Juifs de la Terre Sainte ne sont que des signes extérieurs non seulement de la désunion divine, mais également d’une véritable « prostitution après des dieux étrangers » : Fille tombe étroitement sous l’emprise de Satan, tandis que Fils copule avec divers personnages sataniques féminins qu’il prend dans son lit à la place de sa propre femme.

Le devoir des Juifs pieux est de restaurer, par leurs prières et leurs actes religieux, l’unité divine parfaite, sous forme d’union sexuelle entre les divinités masculine et féminine31. Ainsi, avant la plupart des actes rituels que tout Juif dévot doit accomplir plusieurs fois par jour, la formule kabbalistique suivante est récitée : « Pour l’union32 [sexuelle] du Saint Béni et de sa Shekhinah… » Les prières matinales juives sont également organisées afin de promouvoir cette union sexuelle, ne serait-ce que temporairement. Les parties successives de la prière correspondent mystiquement aux étapes successives de l’union : à un moment donné, la Déesse s’approche avec ses servantes, à un autre moment, le Dieu lui passe le bras autour du cou et lui caresse la poitrine, puis l’acte sexuel est censé avoir lieu.

D’autres prières ou actes religieux, tels qu’interprétés par les kabbalistes, sont conçus pour tromper divers anges (imaginés comme des divinités mineures avec un certain degré d’indépendance) ou pour concilier Satan. À un certain moment de la prière du matin, certains versets sont prononcés en araméen33 (plutôt qu’en hébreu plus courant). Ceci est censé être un moyen de tromper les anges qui opèrent les portes par lesquelles les prières entrent au ciel, et qui ont le pouvoir de bloquer les prières des pieux. Les anges ne comprennent que l’hébreu et sont déconcertés par les versets araméens ; étant un peu simples d’esprit (ils sont présumés beaucoup moins intelligents que les kabbalistes), ils ouvrent les portes, et à ce moment, toutes les prières, y compris celles en hébreu, passent. Ou prenons un autre exemple : à la fois avant et après un repas, un Juif dévot se lave rituellement les mains, prononçant une bénédiction spéciale. À l’une de ces deux occasions, il adore Dieu, en promouvant l’union divine du Fils et de la Fille ; mais à l’autre occasion, il vénère Satan, qui aime tellement les prières et les rituels juifs que, quand on lui en offre quelques-uns, cela le tient occupé pendant un moment et il oublie de harceler la divine Fille. En effet, les kabbalistes pensent que certains des sacrifices brûlés dans le Temple étaient destinés à Satan. Par exemple, les soixante-dix bœufs sacrifiés pendant les sept jours de la fête des Tabernacles34 auraient été offerts à Satan en sa qualité de dirigeant de tous les Gentils35 (non-juifs), afin de le tenir trop occupé pour intervenir le huitième jour, lorsque le sacrifice est fait à Dieu. De nombreux autres exemples du même type peuvent être donnés.

Plusieurs points doivent être soulevés concernant ce système et son importance pour une bonne compréhension du judaïsme, à la fois dans sa période classique et dans son implication politique actuelle dans la pratique sioniste.

Premièrement, quoi que l’on puisse dire de ce système kabbalistique, il ne peut être considéré comme monothéiste, à moins d’être également disposé à considérer l’hindouisme, la religion gréco-romaine tardive ou même la religion de l’Égypte ancienne comme « monothéiste ».

Deuxièmement, la nature réelle du judaïsme classique est illustrée par la facilité avec laquelle ce système a été adopté. La foi et les croyances (à l’exception des croyances nationalistes) jouent un rôle extrêmement mineur dans le judaïsme classique. Ce qui est d’une importance primordiale, c’est l’acte rituel et non la signification que cet acte est censé avoir ou la croyance qui y est attachée. C’est pourquoi, aux époques où une minorité de Juifs religieux refusait d’accepter la Kabbale (comme c’est le cas aujourd’hui), on pouvait voir quelques Juifs accomplir un rituel religieux donné en croyant qu’il s’agissait d’un acte d’adoration de Dieu, tandis que d’autres faisaient exactement la même chose avec l’intention de gagner les faveurs de Satan ; mais tant que l’acte est le même, ils priaient ensemble et restaient membres de la même congrégation, quelle que soit l’antipathie qu’ils puissent éprouver l’un pour l’autre. Mais si au lieu de l’intention attachée au lavage rituel des mains, quelqu’un osait introduire une innovation dans la manière de se laver36, un véritable schisme s’ensuivrait.

On peut en dire autant de toutes les formules sacrées du judaïsme. Si la forme est laissée intacte, la signification est au mieux une question secondaire. Par exemple, la formule juive la plus sacrée peut-être, « Écoute Israël, le Seigneur est notre Dieu, le Seigneur est un », récitée plusieurs fois par jour par chaque Juif dévot, peut aujourd’hui signifier deux choses opposées. Cela peut vouloir dire que le Seigneur est vraiment « un » ; mais cela peut aussi signifier qu’une certaine étape dans l’union des divinités masculine et féminine a été atteinte ou est encouragée par la récitation appropriée de cette formule. Cependant, lorsque les Juifs d’une congrégation réformée récitent cette formule dans une langue autre que l’hébreu, tous les rabbins orthodoxes, qu’ils croient en l’unité ou en l’union sexuelle divine, sont extrêmement fâchés.

Enfin, tout cela revêt une importance considérable en Israël (et dans d’autres centres juifs), même à l’heure actuelle. L’énorme signification attachée à de simples formules (telles que la « loi de Jérusalem ») ; les idées et les motivations de Gush Emunim ; l’insistance derrière la haine des non-juifs vivant actuellement en Palestine ; l’attitude fataliste à l’égard de toutes les tentatives de paix des États arabes — tout cela et bien d’autres traits de la politique sioniste, qui déconcertent tant de gens bien intentionnés qui ont une fausse conception du judaïsme classique, devient plus intelligible dans ce contexte religieux et mystique. Je dois toutefois mettre en garde contre le fait de tomber dans l’autre extrême et d’essayer d’expliquer toutes les politiques sionistes par rapport à ce contexte. De toute évidence, les influences de celui-ci varient en étendue. Ben Gourion était maitre dans l’art de les manipuler de manière contrôlée à des fins spécifiques. Sous [Menahem] Begin, le passé exerce une influence beaucoup plus grande sur le présent. Mais ce qu’il ne faut jamais faire, c’est ignorer le passé et ses influences, car ce n’est qu’en le connaissant qu’on peut transcender son pouvoir aveugle.

Interprétation de la Bible

Les exemples qui suivent montreront que ce que la plupart des personnes supposément bien informées pensent connaître du judaïsme peut être très trompeur, à moins qu’elles lisent l’hébreu. Tous les détails mentionnés ci-dessus peuvent être trouvés dans les textes originaux ou, dans certains cas, dans des livres modernes écrits en hébreu pour un lectorat plutôt spécialisé. En anglais on les chercherait vainement, même lorsque l’omission de faits aussi importants sur le plan social déforme l’ensemble du tableau.

Une autre idée fausse à propos du judaïsme est particulièrement répandue parmi les chrétiens ou les personnes fortement influencées par la tradition et la culture chrétiennes. C’est l’idée trompeuse que le judaïsme est une « religion biblique » ; que l’Ancien Testament a pour le judaïsme la même place centrale et la même autorité légale que la Bible pour le christianisme protestant ou même catholique.

Encore une fois, cela est lié à la question de l’interprétation. Nous avons vu qu’en matière de conviction, il y avait une grande latitude. C’est exactement le contraire qui se produit en ce qui concerne l’interprétation juridique des textes sacrés. Ici, l’interprétation est fixée de manière rigide — mais par le Talmud plutôt que par la Bible elle-même37. De nombreux, peut-être la plupart des versets bibliques prescrivant des actes et obligations religieux sont « compris » par le judaïsme classique et par l’orthodoxie actuelle dans un sens est tout à fait distinct de, ou même contraire à, leur sens littéral tel que l’entendent les lecteurs chrétiens ou autres de l’Ancien Testament, qui ne voient que le texte littéral. La même division existe actuellement en Israël entre ceux qui sont éduqués dans des écoles religieuses juives et ceux qui sont éduqués dans des écoles hébraïques « laïques », où, dans l’ensemble, le sens manifeste de l’Ancien Testament est enseigné.

Ce point important ne peut être compris que par des exemples. On notera que les changements de signification ne vont pas tous dans le même sens du point de vue de l’éthique telle qu’on la conçoit aujourd’hui. Les apologétiques du judaïsme prétendent que l’interprétation de la Bible, qui trouve son origine chez les Pharisiens et qui est fixée dans le Talmud, est toujours plus libérale que le sens littéral. Mais certains des exemples ci-dessous montrent que c’est loin d’être le cas.

1. Commençons par le Décalogue lui-même. Le huitième commandement, « Tu ne voleras pas » (Exode, 20:15), est interprété comme une interdiction de « voler » (c’est-à-dire de kidnapper) un Juif. La raison en est que, selon le Talmud, tous les actes interdits par le Décalogue sont des infractions capitales. Voler des biens n’est pas une infraction capitale (tandis que la loi talmudique autorise le kidnapping de Gentils par des Juifs), d’où son interprétation. Une phrase pratiquement identique — « Vous ne volerez pas » (Lévitique, 19:11) — est toutefois autorisée à avoir son sens littéral.

2. Le fameux verset « Œil pour œil, dent pour dent », etc. (Exode, 21:24) signifie « amende-œil pour œil », c’est-à-dire le paiement d’une amende compensatrice équivalente à la valeur attribuée à la perte d’un œil plutôt que la mutilation physique.

3. Voici un cas notoire de transformation du sens littéral en son exact opposé. Le texte biblique met clairement en garde contre le fait de suivre la foule dans une cause injuste : « Tu ne suivras point la multitude pour faire le mal ; et tu ne déposeras point dans un procès en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice. » (Exode, 23 : 2). Les derniers mots de cette phrase — « en te mettant du côté du grand nombre, pour violer la justice » — sont dissociés de leur contexte et interprétés comme une injonction de suivre la majorité et ainsi de violer la justice !

4. Le verset « Tu ne feras point cuire un chevreau dans le lait de sa mère. » (Exode, 23:19) est interprété comme une interdiction de mélanger tout type de viande avec du lait ou un produit laitier. Étant donné que le même verset est répété dans deux autres endroits du Pentateuque, la simple répétition est considérée comme une interdiction triple, interdisant à un Juif (1) de consommer une telle mixture, (2) de la cuire à des fins quelconques et (3) d’en bénéficier ou d’en tirer profit de quelque manière que ce soit.38

5. Dans de nombreux cas, les termes généraux tels que « ton semblable », « étranger » ou même « homme » ont une signification chauvine exclusiviste. Le judaïsme classique (et orthodoxe actuel) interprète le fameux verset « Tu aimeras ton prochain39 comme toi-même » (Lévitique, 19:18) comme une injonction à aimer son coreligionnaire juif, et non n’importe quel autre être humain. De même, le verset « Tu ne t’élèveras point contre le sang de ton prochain. » (ibid., 16) signifierait qu’il ne faut pas rester inactif quand la vie (le « sang ») d’un Juif est en danger ; mais, comme on le verra au chapitre 5, il est en général interdit aux Juifs de sauver la vie d’un non-juif, car « il n’est pas ton semblable ». L’injonction généreuse de laisser le glanage de son champ et de son vignoble « au pauvre et à l’étranger » (ibid., 9-10) est interprétée comme se référant exclusivement aux pauvres Juifs et aux convertis au judaïsme. Les lois taboues relatives aux cadavres commencent par le verset suivant : « Voici la loi. Lorsqu’un homme mourra dans une tente, quiconque entrera dans la tente, et quiconque se trouvera dans la tente, sera impur pendant sept jours. » (Nombres, 19:14). Mais le mot « homme » (adam) signifie « Juif », de sorte que seul un cadavre juif est tabou (c’est-à-dire à la fois « impur » et sacré). Sur la base de cette interprétation, les Juifs pieux ont un grand respect magique envers les cadavres et les cimetières juifs, mais n’ont aucun respect pour les cadavres et les cimetières non-juifs. Ainsi, des centaines de cimetières musulmans ont été complètement détruits en Israël (dans un cas, afin de faire de la place pour l’hôtel Hilton de Tel-Aviv), mais le fait que le cimetière juif du mont des Oliviers ait été endommagé sous l’autorité jordanienne (avant 1967) a suscité un tollé général. Les exemples de ce genre sont trop nombreux pour être cités. Certaines des conséquences inhumaines de ce type d’interprétation seront examinées au chapitre 5.

6. Enfin, considérons l’un des plus beaux passages prophétiques, la magnifique condamnation par Esaïe de l’hypocrisie et des rituels vides de sens, et l’exhortation à la décence commune. Un verset (Esaïe, 1:15) de ce passage est le suivant : « Quand vous étendez vos mains, je détourne de vous mes yeux. Quand vous multipliez les prières, je n’écoute pas : vos mains sont pleines de sang. » Étant donné que les prêtres juifs « étendent leurs mains » lorsqu’ils bénissent le peuple pendant leur office, ce verset est censé signifier qu’un prêtre qui commet un homicide accidentel ne peut plus « étendre ses mains » durant une bénédiction (même s’il s’est repenti) parce qu’elles sont « pleines de sang ».

Même à partir de ces seuls exemples, il apparait clairement que, lorsque les Juifs orthodoxes aujourd’hui (ou tous les Juifs avant 1780 environ) lisent la Bible, ils lisent un livre très différent, ayant un sens totalement différent de la Bible lue par des non-juifs ou des Juifs non orthodoxes. Cette distinction s’applique même en Israël, bien que les deux parties y lisent le texte en hébreu. L’expérience, particulièrement depuis 1967, l’a corroboré à plusieurs reprises. De nombreux Juifs en Israël (et ailleurs), qui ne sont pas orthodoxes et ont une connaissance limitée des arcanes de la religion juive, ont essayé de faire honte aux Israéliens orthodoxes (ou aux membres de la droite fortement influencés par la religion) par leur attitude inhumaine envers les Palestiniens, en leur citant des versets de la Bible dans leur sens le plus manifeste (humaniste et sans exclusivisme juif). Cependant, il a toujours été constaté que de tels arguments n’ont aucun effet sur ceux qui suivent le judaïsme classique : ils ne comprennent tout simplement pas ce qui leur est dit, car pour eux le texte biblique signifie quelque chose de très différent du sens commun.

Si un tel fossé de communication existe en Israël, où les gens lisent l’hébreu et peuvent facilement obtenir des informations correctes s’ils le souhaitent, on peut imaginer à quel point le malentendu à l’étranger est profond, par exemple chez les personnes éduquées dans la tradition chrétienne. En fait, plus une telle personne lit la Bible, moins elle en sait sur le judaïsme orthodoxe. Car celui-ci considère l’Ancien Testament comme un texte de formules sacrées immuables, dont la récitation est un acte de grand mérite, mais dont la signification est entièrement déterminée ailleurs. Et, comme Humpty Dumpty (le Gros Coco) l’a dit à Alice, derrière le problème de la détermination du sens des mots, se trouve la vraie question : « Qui sera le maître ? »

Structure du Talmud

Il faut donc clairement comprendre que c’est le Talmud, ou, plus précisément, le soi-disant Talmud de Babylone, qui est la source d’autorité de toutes les pratiques du judaïsme classique (et orthodoxe actuel), la base déterminante de sa structure juridique ; tandis que le reste de la littérature talmudique (y compris le soi-disant Talmud de Jérusalem ou Talmud palestinien) fait office d’autorité complémentaire.

Nous ne pouvons pas entrer ici dans une description détaillée du Talmud et de la littérature talmudique, mais nous nous limiterons à quelques points principaux nécessaires à notre argumentation. Fondamentalement, le Talmud se compose de deux parties. La première partie est la Mishna, un code juridique succinct composé de six volumes, chacun subdivisé en plusieurs traités écrits en hébreu, rédigés en Palestine autour de l’an 200 après J.-C. sur une base juridique beaucoup plus étendue (et en grande partie orale) composée au cours des deux siècles précédents. La deuxième partie, de loin prédominante, est la Gémara, un volumineux compte rendu de discussions sur et autour de la Mishna. Il existe deux ensembles de Gémara, à peu près parallèles : l’un composé en Mésopotamie (« Babylone ») entre 200 et 500 de notre ère environ, l’autre en Palestine entre environ 200 et une date inconnue bien antérieure à l’an 500. Le Talmud de Babylone (c’est-à-dire, la Mishna plus la Gémara mésopotamienne) est beaucoup plus long et mieux organisé que le Talmud Palestinien, et c’est le seul à être considéré comme définitif et faisant autorité. Le Talmud de Jérusalem (Palestinien) bénéficie d’un statut nettement inférieur en tant qu’autorité légale, de même que de nombreuses compilations connues collectivement comme la « littérature talmudique », contenant des documents que les éditeurs des deux Talmuds avaient omis.

Contrairement à la Mishna, le reste de la littérature talmudique est écrit en un mélange d’hébreu et d’araméen, cette dernière langue étant prédominante dans le Talmud Babylonien. En outre, il ne se limite pas aux questions juridiques. Sans ordre ni raison apparents, la discussion juridique peut être soudainement interrompue par ce que l’on appelle le « récit narratif » (Aggadah), un mélange de contes et d’anecdotes impliquant des rabbins ou des gens ordinaires, des personnages bibliques, des anges, des démons, de la sorcellerie et des miracles40. Ces passages narratifs, bien que de grande influence populaire dans le judaïsme à travers les âges, ont toujours été considérés (même par le Talmud) comme ayant une valeur secondaire. Ce sont les parties juridiques du texte qui revêtent une importance primordiale pour le judaïsme classique, en particulier la discussion des cas considérés comme problématiques. Le Talmud lui-même définit les différentes catégories de Juifs, par ordre croissant, comme suit : la plus basse catégorie est composée de ceux qui sont totalement ignorants ; puis viennent ceux qui ne connaissent que la Bible ; puis ceux qui connaissent la Mishna ou Aggadah ; et enfin la classe supérieure, composée de ceux qui ont étudié et qui sont capables de discuter de la partie légale du Gémara. Seuls ces derniers sont aptes à diriger leurs semblables Juifs en toutes choses.

Le système juridique du Talmud peut être décrit comme totalement exhaustif, rigoureusement autoritaire, et pourtant capable d’un développement infini, sans toutefois changer sa base dogmatique. Tous les aspects de la vie juive, tant individuels que sociaux, sont abordés et régis, généralement de manière très détaillée, avec des sanctions et des peines prévues pour tout péché ou infraction aux règles qui se puissent concevoir. Les règles de base pour chaque problème sont énoncées de manière dogmatique et ne peuvent être remises en question. Ce qui peut l’être et qui est discuté très longuement est l’élaboration et la définition pratique de ces règles. Permettez-moi de donner quelques exemples.

« Ne réaliser aucun travail » durant le sabbat. Le concept de travail est défini comme comprenant exactement 39 types de travaux, ni plus ni moins. Le critère d’inclusion dans cette liste n’a rien à voir avec la pénibilité d’une tâche donnée ; c’est simplement une question de définition dogmatique. Un type de « travail » interdit est l’écriture. La question se pose alors : combien de caractères faut-il écrire pour avoir commis le péché d’écrire durant le sabbat ? Réponse : deux caractères. Le péché est-il le même en fonction de la main qui est utilisée (droite ou gauche) ? Réponse : non. Cependant, afin d’éviter de tomber dans le péché, la principale interdiction d’écrire est renforcée par une interdiction secondaire de toucher à tout instrument d’écriture pendant le sabbat.

Un autre type de travail interdit durant le sabbat est de moudre le grain. On en déduit par analogie que tout type de meulage est interdit. Et cela est à son tour renforcé par une interdiction d’exercer la médecine le jour du sabbat (sauf en cas de danger pour une vie juive), afin d’éviter de tomber dans le péché de moudre un médicament. Il est vain de souligner que, dans les temps modernes, un tel danger n’existe pas (il n’existait d’ailleurs pas dans de nombreux cas, même à l’époque talmudique) ; car, en tant que mesure de précaution autour de la mesure de précaution, le Talmud interdit explicitement les médicaments liquides et les boissons réparatrices pendant le sabbat. Ce qui a été déterminé reste à jamais déterminé, aussi absurde que cela puisse être. Tertullien, l’un des premiers pères de l’Église, avait écrit : « Je crois parce que c’est absurde ». Cela peut servir de devise à la majorité des règles talmudiques, « Je crois » étant remplacé par « Je le pratique ».

L’exemple suivant illustre encore mieux le niveau d’absurdité atteint par ce système de croyance. Un des types de travail interdit durant le sabbat est la récolte. Par analogie, cela s’étend à l’interdiction de casser la branche d’un arbre. Par conséquent, il est interdit de monter à cheval (ou tout autre animal), en guise de mesure de sécurité contre la tentation de casser la branche d’un arbre pour fouetter la bête. Il est inutile d’argumenter que vous avez un fouet prêt à l’emploi, ou que vous avez l’intention de chevaucher dans un endroit dénué d’arbres. Ce qui est interdit reste interdit pour toujours. Cela peut cependant être étendu et rendu plus strict : à l’époque moderne, il est interdit de faire du vélo le jour du sabbat, car c’est comme faire du cheval.

Mon dernier exemple montre comment les mêmes méthodes sont également utilisées dans des cas purement théoriques, n’ayant aucune application concevable dans la réalité. Pendant l’existence du Temple, le Grand Prêtre n’était autorisé à épouser qu’une vierge. Bien que pendant la quasi-totalité de la période talmudique il n’y ait plus eu de Temple ou de Grand Prêtre, le Talmud consacre l’une de ses discussions les plus animées (et les plus bizarres) à la définition précise du terme « vierge » pouvant épouser un Grand Prêtre. Qu’en est-il d’une femme dont l’hymen a été rompu par accident ? Est-ce que cela fait une différence que l’accident se soit produit avant ou après l’âge de trois ans ? Par l’impact du métal ou du bois ? Grimpait-elle à un arbre lorsque l’accident est arrivé ? Et si oui, est-ce qu’elle montait ou descendait ? Est-ce arrivé naturellement ou anormalement ? Tout cela et bien d’autres choses sont discutées en détail. Et tous les érudits du judaïsme classique devaient maîtriser sur le bout des doigts des centaines de problèmes de ce genre. Les grands érudits se distinguaient par leur capacité à développer davantage ces problèmes, car, comme le montrent les exemples, il est toujours possible de poursuivre le développement — même si c’est dans un seul sens, celui de davantage de sévérité —, et ce développement s’est effectivement poursuivi après la rédaction finale du Talmud.

Cependant, il existe deux grandes différences entre la période talmudique (se terminant vers 500 ap. J.-C.) et la période du judaïsme classique (à partir d’environ 800 ap. J.-C.). 1) Le Talmud est le produit d’une aire géographique limitée, et 2) La société juive qui y est décrite est une société « complète », fondée sur l’agriculture. (Ceci est vrai pour la Mésopotamie ainsi que pour la Palestine.) Bien qu’à cette époque, des Juifs vivaient dans tout l’empire romain et dans de nombreuses régions de l’empire sassanide, il ressort clairement du texte talmudique que sa composition — durant plus d’un demi-millénaire — était une affaire strictement locale. Aucun érudit de contrées autres que la Mésopotamie et la Palestine n’y a pris part, et le texte ne reflète pas non plus les conditions sociales extérieures à ces deux régions.

On sait très peu de choses sur les conditions sociales et religieuses des Juifs au cours des trois siècles qui se sont écoulés entre les deux périodes (de l’an 500 à l’an 800). Mais à partir de l’an 800 de notre ère, lorsque des informations historiques plus détaillées sont à nouveau disponibles, nous constatons que les deux caractéristiques mentionnées ci-dessus ont été inversées. Le Talmud babylonien (et dans une bien moindre mesure le reste de la littérature talmudique) est reconnu comme faisant autorité, étudié et développé dans toutes les communautés juives. Dans le même temps, la société juive avait subi un profond changement : peu importe où elle se trouve et ce qu’elle est, elle ne comprend plus de paysans.

Le système social résultant de ce changement sera discuté au chapitre 4. Nous allons décrire ici comment le Talmud a été adapté aux conditions — géographiquement beaucoup plus larges et socialement beaucoup plus étroites, et de toute façon radicalement différentes — du judaïsme classique.

Nous allons nous concentrer sur ce qui est à mon avis la méthode d’adaptation la plus importante, à savoir les dispenses ou exemptions.

Les dispenses

Comme indiqué ci-dessus, le système talmudique est très dogmatique et ne permet aucun assouplissement de ses règles, même si celles-ci sont réduites à l’absurde par un changement de circonstances. Et dans le cas du Talmud — contrairement à celui de la Bible —, le sens littéral du texte est contraignant et il n’est pas permis de l’interpréter pour actualiser ou rationaliser son sens. Mais à l’époque du judaïsme classique, diverses lois talmudiques devinrent intenables pour les classes dirigeantes juives — les rabbins et les riches. Dans l’intérêt de ces classes dirigeantes, une méthode de tromperie systématique a été mise au point pour respecter la lettre de la loi, tout en violant son esprit et son intention. C’est ce système hypocrite de « dispenses » (heterim, signifiant exemption ou dérogation) qui, à mon sens, a été la cause la plus importante de la dégradation du judaïsme à son époque classique. (La deuxième cause est le mysticisme juif, qui a cependant opéré pendant une période beaucoup plus courte.) Encore une fois, quelques exemples sont nécessaires pour illustrer le fonctionnement du système.

1. Le prêt à intérêt. Le Talmud interdit formellement à un Juif, sous peine d’un châtiment sévère, de percevoir des intérêts sur un prêt consenti à un autre Juif. (Selon la majorité des autorités talmudiques, c’est un devoir religieux que de fixer le taux d’intérêt le plus élevé possible à un emprunt consenti à un non-juif.) Des règles très détaillées interdisent même les formes les plus tirées par les cheveux par lesquelles un créditeur juif pourrait tirer profit d’un débiteur juif. Tous les complices juifs d’une telle transaction illicite, y compris le scribe et les témoins, sont qualifiés d’infâmes par le Talmud, et interdits de témoigner devant un tribunal, car en participant à un tel acte, un Juif déclare pour ainsi dire « qu’il n’a aucune part dans le Dieu d’Israël ». Il est évident que cette loi est bien adaptée aux besoins des paysans et artisans juifs, ou des petites communautés juives qui utilisent leur argent pour prêter à des non-juifs. Mais la situation était très différente en Europe de l’Est (principalement en Pologne) au XVIe siècle. Il y avait une communauté juive relativement importante, qui constituait la majorité dans de nombreuses villes. Les paysans, soumis à un servage strict proche de l’esclavage, n’étaient guère en mesure d’emprunter, tandis que prêter à la noblesse était l’affaire de quelques très riches Juifs. Beaucoup de Juifs faisaient des affaires les uns avec les autres.

Dans ces circonstances, le dispositif suivant (appelé heter’isqa — « dispense commerciale ») a été conçu pour un emprunt portant intérêt entre Juifs, ce qui ne constitue pas une violation de la lettre de la loi, car il ne s’agit pas formellement d’un emprunt. Le prêteur « investit » son argent dans les affaires de l’emprunteur, stipulant deux conditions. Premièrement, l’emprunteur versera au prêteur à une date ultérieure convenue une somme d’argent indiquée (en réalité, l’intérêt du prêt) à titre de « part (du prêteur) sur les bénéfices » (allégués) du débiteur. Deuxièmement, l’emprunteur sera présumé avoir réalisé un bénéfice suffisant pour donner sa part au prêteur, à moins que l’affirmation contraire ne soit corroborée par le témoignage du rabbin ou du juge rabbinique de la ville — qui, par arrangement, refusaient de témoigner dans ces cas. En pratique, tout ce qui est requis est de prendre un texte de cette dispense, rédigé en araméen et tout à fait incompréhensible pour la grande majorité, et de le placer sur un mur de la pièce où la transaction est effectuée (une copie de ce texte est aujourd’hui affichée dans toutes les succursales des banques israéliennes) ou même de le garder dans un coffre — et le prêt portant intérêt entre Juifs devient parfaitement légal et irréprochable.

2. L’année sabbatique. Selon la loi talmudique (basée sur Lévitique, 25), les terres détenues par des Juifs en Palestine41 « doivent être laissées en jachère tous les sept ans » (année sabbatique), lorsque tout travail agricole (y compris la récolte) y est interdit. Il est clairement établi que cette loi a été rigoureusement observée pendant environ mille ans, à partir du Ve siècle avant notre ère jusqu’à la disparition de l’agriculture juive en Palestine. Puis, lorsqu’il n’y eut aucune occasion d’appliquer la loi dans la pratique, elle fut maintenue théoriquement intacte. Cependant, dans les années 1880, avec l’établissement des premières colonies juives agricoles en Palestine, la question devint une préoccupation pratique. Des rabbins, qui soutenaient les colons élaborèrent avec bienveillance une dispense, qui fut ensuite perfectionnée par leurs successeurs au sein des partis religieux sionistes, et qui est devenue une pratique israélienne bien établie.

Voilà comment cela fonctionne. Peu de temps avant une année sabbatique, le ministre israélien des Affaires Intérieures remet au Grand Rabbin un document le rendant propriétaire légal de toutes les terres israéliennes, privées et publiques. Armé de ce papier, le Grand Rabbin se rend chez un non-juif et lui vend toute la terre d’Israël (et, depuis 1967, les territoires occupés) pour une somme symbolique. Un document séparé stipule que « l’acquéreur » « revendra » le terrain au Rabbin une fois l’année écoulée. Et cette transaction se répète tous les sept ans, généralement avec le même « acquéreur ».

Les rabbins non-sionistes ne reconnaissent pas la validité de cette dispense42, affirmant à juste titre que, puisque la loi religieuse interdit aux Juifs de vendre des terres de Palestine à des non-juifs, l’ensemble de la transaction est basée sur un péché et donc nulle et non avenue. Les rabbins sionistes répondent cependant que ce qui est interdit est une vente réelle et non fictive !

3. Traire les vaches durant le sabbat. Cela a été interdit à l’époque post-talmudique, par le processus de sévérité religieuse croissante mentionné ci-dessus. L’interdiction pouvait facilement être maintenue dans la diaspora, car les Juifs qui possédaient des vaches étaient généralement assez riches pour avoir des serviteurs non-juifs, à qui on pouvait demander (en utilisant l’un des subterfuges décrits ci-dessous) d’effectuer la traite. Les premiers colons juifs en Palestine employaient des Arabes pour cela et d’autres choses, mais l’imposition forcée de la politique sioniste de travail exclusif des Juifs nécessitait une dispense. (Cela était particulièrement important avant l’introduction de la traite mécanisée à la fin des années 1950.) Là aussi, il y avait une différence entre les rabbins sionistes et les rabbins non-sionistes.

Selon les rabbins sionistes, la traite interdite devient autorisée à condition que le lait ne soit pas blanc, mais coloré en bleu. Ce lait bleu du samedi est donc utilisé exclusivement pour la fabrication du fromage, et le colorant est ensuite éliminé par lavage dans le lactosérum. Les rabbins non-sionistes ont mis au point un système beaucoup plus subtil (dont j’ai personnellement été témoin dans un kibboutz religieux en 1952). Ils ont découvert une vieille disposition qui permet de vider les mamelles d’une vache durant le sabbat, uniquement pour soulager les souffrances causées à l’animal par des mamelles gonflées, et à la stricte condition que le lait soit déversé au sol pour ne pas être consommé. Voilà ce qui se passe réellement : samedi matin, un pieux kibboutznik se rend à l’étable et place des seaux sous les vaches. (Un tel travail n’est pas interdit dans l’ensemble de la littérature talmudique.) Il se rend ensuite à la synagogue pour prier. Vient ensuite son collègue, qui a pour « intention sincère » de soulager la douleur des animaux et de laisser leur lait couler au sol. Mais si, par hasard, un seau se trouvait sous leurs mamelles, est-il obligé de l’enlever ? Bien sûr que non. Il « ignore » simplement les seaux, remplit sa mission de miséricorde et se rend à la synagogue. Finalement, un troisième collègue pieux entre dans l’étable et découvre, à sa grande surprise, les seaux pleins de lait. Alors il les met dans une chambre froide et suit ses camarades à la synagogue. Maintenant, tout va bien, et il n’y a pas besoin de gaspiller de l’argent en colorant bleu.

4. Cultures mixtes. Des dispenses similaires ont été émises par les rabbins sionistes en ce qui concerne l’interdiction (basée sur Lévitique, 19:19) de semer deux espèces de cultures différentes dans le même champ. L’agronomie moderne a cependant montré que dans certains cas (notamment dans la culture du fourrage), les semis en mélange sont les plus rentables. Les rabbins ont inventé une dispense selon laquelle un homme sème le champ dans le sens de la longueur avec une sorte de graine et, plus tard dans la journée, son camarade, qui « ne sait pas » ce qu’a fait l’autre, sème un autre type de graine de manière transversale. Cependant, cette méthode était perçue comme un gaspillage de main-d’œuvre, et une meilleure fut conçue : un homme entasse un type de graines dans un lieu public et le recouvre soigneusement d’un sac ou d’une planche. Le second type de graines est ensuite placé par-dessus. Plus tard, un autre homme arrive et s’exclame devant des témoins : « J’ai besoin de ce sac (ou de cette planche) » et l’enlève, pour que les graines se mélangent « naturellement » et fortuitement. Enfin, un troisième homme arrive et on lui dit : « Prends ces graines et sème le champ », ce qu’il fait ensuite43.

5. Le pain au levain (et autres produits de fermentation) ne doivent pas être consommés ni même gardés en possession d’un Juif pendant les sept (ou, en dehors de la Palestine, huit) jours de Pâque. Le concept de « substances levée » a été continuellement élargi et l’aversion de les voir pendant la fête a approché l’hystérie. Ils comprennent toutes sortes de farines et même de grains non moulus. Dans la société talmudique d’origine, cela était supportable, car le pain (levé ou non) était généralement cuit une fois par semaine ; une famille paysanne utiliserait le dernier grain de l’année précédente pour cuire du pain sans levain à l’occasion de la fête, qui inaugurerait la nouvelle saison des récoltes. Cependant, dans les conditions du judaïsme européen post-talmudique, l’observance de cet interdit était très difficile pour une famille juive de la classe moyenne et encore plus pour un marchand de maïs. Une dispense a donc été conçue, par laquelle toutes ces substances sont vendues fictivement à un non-juif avant Pâque et rachetées automatiquement après. Ce qu’il faut faire, c’est enfermer les substances taboues pendant toute la durée de la fête. En Israël, cette vente fictive a été rendue plus efficace. Les Juifs religieux « vendent » leurs substances levées à leurs rabbins locaux, qui les « vendent » à leur tour aux Grands Rabbins ; ces derniers les vendent à un non-juif, et, par dérogation spéciale, cette vente est présumée inclure également les substances au levain de Juifs non pratiquants.

6. Le goy du Sabbat. Les dispenses les plus élaborées concernent probablement le « Goy (gentil/non-juif) du sabbat ». Comme mentionné ci-dessus, l’éventail des tâches interdites durant le sabbat s’est élargi continuellement ; mais l’éventail des tâches qui doivent être effectuées ou supervisées pour satisfaire les besoins ou augmenter le confort ne cesse de s’élargir lui aussi. Ceci est particulièrement vrai à l’époque moderne, mais l’effet du changement technologique a commencé à se faire sentir il y a longtemps. L’interdiction de moudre du grain pendant le sabbat était une affaire relativement légère pour un paysan ou un artisan juif, par exemple en Palestine au IIe siècle, qui utilisait un moulin à main à des fins domestiques. Il en va tout autrement pour le locataire d’un moulin à eau ou d’un moulin à vent — l’une des occupations juives les plus courantes en Europe orientale. Mais même un « problème » humain aussi simple que le désir de prendre une tasse de thé chaud le samedi après-midi devient bien plus grand avec le samovar tentant présent dans la salle, utilisé régulièrement en semaine, mais interdit le samedi. Ce ne sont que deux exemples parmi un très grand nombre de problèmes dits de « respect du sabbat ». Et on peut affirmer avec certitude que, pour une communauté composée exclusivement de Juifs orthodoxes, ces problèmes étaient parfaitement insolubles, du moins au cours des huit ou dix derniers siècles, sans « l’aide » de non-juifs. C’est encore plus vrai aujourd’hui dans « l’État juif », car de nombreux services publics, tels que l’eau, le gaz et l’électricité, entrent dans cette catégorie. Le judaïsme classique ne pourrait pas exister durant une semaine sans faire appel à des non-juifs.

Mais sans dispenses spéciales, il est très difficile d’employer des non-juifs pour ces travaux du samedi ; car les règlements talmudiques interdisent aux Juifs de demander à un non-juif de faire durant le sabbat tout travail qui leur est interdit44. Je décrirai deux des nombreux types de dispenses utilisées à cette fin.

Premièrement, il y a la méthode de « l’allusion », qui dépend de la logique casuistique selon laquelle une demande pécheresse devient irréprochable si elle est exprimée de manière déviée. En règle générale, l’indication doit être « obscure », mais dans les cas d’extrême nécessité, une indication « claire » est autorisée. Par exemple, dans une brochure récente sur l’observance religieuse à l’usage des soldats israéliens, ces derniers apprennent à parler aux travailleurs arabes employés par l’armée en tant que « Goys de sabbat ». Dans des cas urgents, par exemple lorsqu’il fait très froid et qu’un feu doit être allumé, ou lorsque la lumière est nécessaire pour un service religieux, un soldat juif pieux peut utiliser une allusion « claire » et dire à l’arabe : « Il fait froid (ou sombre) ici. » Mais normalement une allusion « obscure » doit suffire, par exemple : « Ce serait plus agréable s’il faisait plus chaud ici45. » Cette méthode d’« allusion » est d’autant plus répugnante et dégradante qu’elle est normalement utilisée sur des non-juifs qui, en raison de leur pauvreté ou de leur position sociale subordonnée, sont entièrement au pouvoir de leur employeur juif. Un serviteur non-juif (ou employé de l’armée israélienne) qui ne s’entraîne pas à interpréter les « allusions obscures » comme des ordres sera impitoyablement renvoyé.

La deuxième méthode est utilisée dans les cas où ce que le non-juif est tenu de faire le samedi n’est pas une tâche occasionnelle ou un service personnel, qui peut être « suggéré » au besoin par une « allusion », mais un travail routinier ou régulier sans supervision juive constante. Selon cette méthode — appelée « inclusion implicite » (havla’ah) du sabbat entre les jours de semaine —, les Gentils sont embauchés « pour toute la semaine (ou l’année) », sans que le sabbat ne soit ne serait-ce que mentionné dans le contrat. Mais en réalité, le travail n’est accompli quedurant le sabbat. Cette méthode a été utilisée dans le passé pour embaucher des non-juifs pour éteindre les bougies dans la synagogue après la prière de la veille du sabbat (plutôt que de les laisser se consumer, ce qui serait du gaspillage). Les exemples israéliens modernes sont la régulation de l’approvisionnement en eau ou la surveillance des réservoirs d’eau le samedi46.

Une idée similaire est également utilisée dans le cas des Juifs, mais dans un but différent. Il est interdit aux Juifs de recevoir un paiement pour le travail accompli durant le sabbat, même si ce travail lui-même est autorisé. Le principal exemple concerne les professions sacrées : le rabbin ou savant talmudique qui prêchent ou enseignent le jour du sabbat, le chantre qui chante uniquement le samedi et les autres jours saints (pendant lesquels des interdictions similaires s’appliquent), le sacristain et d’autres offices analogues. À l’époque talmudique, et dans certains pays, même plusieurs siècles après, ces emplois étaient non rémunérés. Mais plus tard, lorsque ces professions sont devenues salariées, la dispense de « l’inclusion implicite » a été utilisée et ils ont été embauchés sur une base « mensuelle » ou « annuelle ». Dans le cas des rabbins et des talmudistes, le problème est particulièrement compliqué, car le Talmud leur interdit de recevoir tout paiement pour prêcher, enseigner ou étudier le Talmud, même en semaine47. Pour eux, une dérogation supplémentaire stipule que leur salaire n’est pas du tout un salaire réel, mais une « allocation de chômage » (dmey batalah). En tant que résultat combiné de ces deux fictions, ce qui est en réalité un paiement pour un travail effectué principalement, voire exclusivement, le jour du sabbat, est transformé en un paiement pour chômage pendant les autres jours de la semaine.

Aspects sociaux des dispensations

Deux caractéristiques sociales de ces pratiques et de nombreuses autres pratiques similaires méritent une mention spéciale.

Premièrement, une caractéristique dominante de ce système de dispensations, et du judaïsme classique dans la mesure où il s’appuie sur elles, est la tromperie, en premier lieu la tromperie de Dieu, si ce mot peut être utilisé pour un être imaginaire si facilement trompé par les rabbins, qui se considèrent plus intelligents que lui. On ne peut concevoir un plus grand contraste que celui qui existe entre le Dieu de la Bible (en particulier celui des plus grands prophètes) et le Dieu du judaïsme classique. Ce dernier ressemble plus au Jupiter romain primitif, qui était lui aussi facilement berné par ses adorateurs, ou aux dieux décrits dans Le Rameau d’or de Frazer (ouvrage consacré à la mythologie antique).

Du point de vue éthique, le judaïsme classique représente un processus de dégénérescence qui se poursuit encore ; et cette dégénérescence en une collection tribale de rituels vides et de superstitions magiques a des conséquences sociales et politiques très importantes. Car il faut se rappeler que ce sont précisément les superstitions du judaïsme classique qui ont la plus grande emprise sur les masses juives, plutôt que ces parties de la Bible ou même du Talmud qui ont une réelle valeur religieuse et éthique. (On peut observer la même chose dans d’autres religions qui connaissent actuellement un renouveau.) Qu’est-ce qui est généralement considéré comme l’occasion la plus « sainte » et la plus solennelle de l’année liturgique juive, à laquelle même de très nombreux Juifs par ailleurs loin de la religion participent ? C’est la prière de Kol Nidré à la veille de Yom Kippour — la psalmodie d’une dispense particulièrement absurde et trompeuse, par laquelle tous les vœux privés faits à Dieu l’année suivante sont déclarés par avance nuls et non avenus48 (« Tous les vœux que nous pourrions faire depuis ce jour de Kippour jusqu’à celui de l’année prochaine — qu’il nous soit propice —, toute interdiction ou sentence d’anathème que nous prononcerions contre nous-mêmes, toute privation ou renonciation que, par simple parole, par vœu ou par serment nous pourrions nous imposer, nous les rétractons d’avance ; qu’ils soient tous déclarés non valides, annulés, dissous, nuls et non avenus ; qu’ils n’aient ni force ni valeur ; que nos vœux ne soient pas regardés comme vœux, ni nos serments comme serments. »). Ou, dans le domaine de la religion personnelle, la prière Kaddish, récitée durant les jours de deuil des Fils pour leurs parents défunts afin d’élever leurs âmes disparues au paradis — une récitation d’un texte araméen, incompréhensible pour la grande majorité. De toute évidence, le respect accordé par les masses juives à ces éléments, les plus superstitieux de la religion juive, n’est pas accordé aux éléments plus valorisants et plus dignes.

La tromperie de Dieu va de pair avec la tromperie des autres Juifs, principalement dans l’intérêt de la classe dirigeante juive. Il est caractéristique qu’aucune dérogation n’ait été autorisée dans l’intérêt spécifique des Juifs pauvres. Par exemple, les rabbins (qui n’avaient pas souvent faim eux-mêmes) ne permettaient jamais aux Juifs accablés par la famine, mais qui n’étaient pas sur le point de mourir, de manger la moindre nourriture interdite, bien que la nourriture casher soit généralement plus chère.

La deuxième caractéristique dominante des dispenses est qu’elles sont en grande partie manifestement motivées par l’esprit de lucre. Et c’est cette combinaison d’hypocrisie et de quête du profit qui a dominé de plus en plus le judaïsme classique. En Israël, où le processus se poursuit, l’opinion publique le perçoit faiblement, malgré tout le lavage de cerveau officiel prôné par le système éducatif et les médias. Les institutions religieuses — les rabbins et les partis religieux — et, par association, dans une certaine mesure, la communauté orthodoxe dans son ensemble, sont assez impopulaires en Israël. Une des raisons les plus importantes en est précisément leur réputation de duplicité et de vénalité. Bien entendu, l’opinion populaire (qui peut souvent avoir des préjugés) n’est pas la même chose que l’analyse sociale ; mais dans ce cas particulier, il est vrai que les autorités religieuses juives ont une forte tendance à la chicane et à la corruption, en raison de l’influence corruptrice de la religion juive orthodoxe. Parce que dans la vie sociale en général, la religion n’est que l’une des influences sociales, son impact sur la masse des croyants n’est pas aussi important que son impact sur les rabbins et les chefs des partis religieux. Les Juifs religieux en Israël qui sont honnêtes, comme le sont sans doute la majorité d’entre eux, ne le sont pas à cause de l’influence de leur religion et des rabbins, mais malgré elle. D’un autre côté, dans les quelques domaines de la vie publique en Israël qui sont entièrement dominés par les cercles religieux, le niveau de chicane, de vénalité et de corruption est notoire, dépassant de loin le niveau « moyen » toléré par la société israélienne généralement non-religieuse.

Au chapitre 4, nous verrons comment la prédominance de la recherche du profit dans le judaïsme classique est liée à la structure de la société juive et à son articulation avec la société générale au milieu de laquelle les Juifs vivaient à l’époque « classique ». Ici, je veux simplement faire remarquer que le motif du profit n’est pas caractéristique du judaïsme à toutes les périodes de son histoire. Seule la confusion platonicienne qui cherche « l’essence » métaphysique intemporelle du judaïsme, au lieu d’observer les changements historiques de la société juive, a obscurci ce fait. (Et cette confusion a été grandement encouragée par le sionisme, qui s’appuie sur des « droits historiques » tirés de la Bible au mépris de l’Histoire.) Ainsi, les apologistes du judaïsme prétendent, à juste titre, que la Bible est hostile à la quête du profit, tandis que le Talmud y est indifférent. Mais cela était dû aux conditions sociales très différentes dans lesquelles ces écrits furent composés. Comme indiqué ci-dessus, le Talmud a été composé dans deux régions bien définies, à une époque où les Juifs qui y vivaient constituaient une société basée sur l’agriculture et composée principalement de paysans, ce qui est très différent de la société du judaïsme classique.

Dans le chapitre 5, nous traiterons en détail des attitudes hostiles et des tromperies pratiquées par le judaïsme classique contre les non-juifs. Mais la tromperie à but lucratif pratiquée par les Juifs riches contre leurs compatriotes juifs pauvres est plus importante en tant que caractéristique sociale (comme la dispense concernant les intérêts sur les emprunts). Je dois dire ici, malgré mon opposition au marxisme tant en tant que philosophie que comme théorie sociale, que Marx avait tout à fait raison lorsque, dans ses deux articles sur le judaïsme, il le décrivait comme étant dominé par la recherche du profit — à condition que ce propos soit limité au judaïsme tel qu’il le connaissait, c’est-à-dire au judaïsme classique qui, dans sa jeunesse, était déjà entré dans sa période de dissolution. Certes, il a déclaré cela de manière arbitraire, anhistorique et sans preuve. Évidemment, il en arriva à sa conclusion par intuition ; mais son intuition dans ce cas — et dans les limites historiques appropriées — était juste.

À venir :

Chapitre IV – Le poids de l’histoire

Chapitre V – Les lois contre les non-juifs

Chapitre VI — Conséquences politiques

NOTES

1 Walter Laquer, Histoire du sionisme, Schocken Publishers, Tel-Aviv, 1974, en hébreu.

2 Voir Yedioth Ahronot, 27 avril 1992.

3 In Hugh Trevor-Roper, Essais sur la Renaissance, Fontana Press, Londres, 1985.

4 Voir Moses Hadas, Culture hellénique, fusion et diffusion, Columbia University Press, New York, 1959, en particulier les chapitres VII et XX.

5 Les Juifs eux-mêmes se sont universellement décrits comme une communauté religieuse ou, pour être plus précis, une nation religieuse. « Notre peuple n’est un peuple qu’à cause de la Torah (loi religieuse) ». Ce dicton de l’une des plus hautes autorités juives, le rabbin Sa’adia Hagga’on, qui vivait au Xème siècle, est devenu proverbial.

6 Par l’Empereur Joseph II en 1782.

7 Par exemple dans ses Origines du totalitarisme, dont une partie considérable est consacrée aux Juifs.

8 Avant la fin du XVIIIème siècle, les Juifs allemands n’étaient autorisés par leurs rabbins à écrire en allemand qu’en lettres hébraïques, sous peine d’être excommuniés, flagellés, etc.

9 Quand par un accord entre l’Empire romain et les dirigeants juifs (la dynastie des Nesi’im) tous les Juifs de l’Empire ont été soumis à l’autorité fiscale et disciplinaire de ces dirigeants et de leurs tribunaux rabbiniques, qui de leur côté s’engagèrent à faire régner l’ordre chez les Juifs..

10 Je ne suis pas socialiste. Mais j’honore et respecte les personnes qui ont des principes avec lesquels je suis en désaccord, si elles font un effort honnête pour être fidèle à leurs principes. En revanche, il n’y a rien de plus abject que l’utilisation malhonnête de principes universels, vrais ou faux, pour les fins égoïstes d’un individu ou, pire encore, d’un groupe.

11 En fait, de nombreux aspects du judaïsme orthodoxe ont apparemment été dérivés de Sparte, à travers l’influence politique funeste de Platon. Sur ce sujet, voir les excellents commentaires de Moses Hadas, Hellenistic Culture, Fusion and Diffusion, Columbia University Press, New York, 1959.

12 Y compris la géographie de la Palestine et son emplacement même. C’est ce que montre l’orientation de toutes les synagogues dans des pays tels que la Pologne et la Russie : les Juifs sont censés prier face à Jérusalem, et les Juifs européens, qui n’avaient qu’une vague idée de l’endroit où se trouvait Jérusalem, ont toujours supposé qu’elle était plein Est, alors que pour eux, elle était plutôt au Sud.

13 Tout au long de ce chapitre, j’utilise la formule « judaïsme classique » pour désigner le judaïsme rabbinique tel qu’il est apparu après environ l’an 800 et a duré jusqu’à la fin du XVIIIème siècle. J’évite de parler de « judaïsme normatif », formule que beaucoup d’auteurs utilisent avec à peu près le même sens, car à mon avis, elle a des connotations injustifiées.

14 Les œuvres de juifs hellénistiques, comme Philon d’Alexandrie, constituent une exception. Ils ont été écrits avant que le judaïsme classique ait atteint une position d’hégémonie exclusive. En effet, ils ont été subséquemment réprimés et censurés chez les Juifs, et ont survécu uniquement parce que les moines chrétiens les ont trouvés plaisants.

15 Pendant toute la période allant de l’an 100 à 1500, les lettrés juifs n’ont produit que deux ouvrages (de ce type) : un livre de voyage et une histoire des études talmudiques — un livre court, inexact et aride, composé en outre par un philosophe méprisé (Abraham ben-David, Espagne, 1170).

16 Me’or « Eynayim par » Azarya de Rossi de Ferrare, Italie, 1574.

17 Les cas de conversion les plus connus eurent lieu en Espagne ; par exemple (pour utiliser les noms chrétiens qu’ils ont adopté) Maître Alfonso de Valladolid, converti en 1320, et Paul de Santa Maria, converti en 1390 et nommé évêque de Burgos en 1415. Mais de nombreux autres cas peuvent être cités partout en Europe occidentale.

18 Le ton de ces disputes, et leurs conséquences, étaient assurément largement préférables à ce qui se passait dans le cas des chrétiens accusés d’hérésie ; voir, par exemple, les controverses qui aboutirent à la condamnation d’Abélard ou des franciscains de stricte observance.

19 En 1874, H. Ewald, un professeur à Göttingen, a été emprisonné pour avoir exprimé des vues « incorrectes » sur les conquêtes de Frédéric II cent ans plus tôt.

20 En fin de compte, quelques autres passages ont également dû être supprimés, tels que ceux qui semblaient théologiquement absurdes (par exemple, où Dieu est décrit comme s’adressant des prières à lui-même, ou pratiquant physiquement certaines des pratiques requises du Juif individuel) ou ceux qui ont célébré trop librement les frasques sexuelles d’anciens rabbins.

21 Tractate Berakhot, p. 58 b.

22 « Ta mère sera couverte de confusion, Celle qui vous a enfantés rougira de honte… », Jérémie, 50:12.

23 Publié par Boys Town, Jérusalem et édité par Moses Hyamson, l’un des savants les plus réputés du judaïsme en Grande-Bretagne.

24 Les supposés fondateurs de la secte sadducéenne.

25 Je suis heureux d’annoncer que, dans une traduction récente (Chicago University Press), le mot « Noirs » apparaît, mais ce volume très lourd et très coûteux risque peu, pour l’instant, de tomber en de « mauvaises » mains. De même, en Angleterre au début du XIXe siècle, les livres radicaux (tels que ceux de l’anarchiste William Godwin) étaient autorisés à paraître, à condition qu’ils soient publiés dans des éditions très onéreuses.

26 Comme au chapitre 2, j’utilise l’expression « judaïsme classique » pour désigner le judaïsme rabbinique de la période allant de l’an 800 environ jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Cette période coïncide généralement avec le Moyen Âge juif, car pour la plupart des communautés juives, les conditions médiévales persistèrent beaucoup plus longtemps que pour les nations de l’Europe occidentale, notamment jusqu’à la période de la Révolution française. Ainsi, ce que j’appelle le « judaïsme classique » peut être considéré comme le judaïsme médiéval.

27 Exode, 15:11.

28 Ibid., 20:3-6.

29 Jérémie, 10 ; le même thème est repris plus tard par la deuxième Esaïe, voir Esaïe, 44.

30 La Kabbale est bien sûr une doctrine ésotérique, et son étude détaillée était réservée aux érudits. En Europe, surtout après 1750 environ, des mesures extrêmes ont été prises pour la garder secrète et interdire son étude, sauf pour des savants juifs expérimentés et sous un contrôle strict. Les masses juives non éduquées d’Europe orientale n’avaient aucune connaissance réelle de la doctrine kabbalistique ; mais la Kabbale les a percolés sous forme de superstition et de pratiques magiques.

31 De nombreux mystiques juifs contemporains pensent que le même but peut être atteint plus rapidement par la guerre contre les Arabes, par l’expulsion des Palestiniens ou même par l’établissement de nombreuses colonies de peuplement juives en Cisjordanie. Le mouvement croissant pour la construction du Troisième Temple est également basé sur de telles idées.

32 Le terme hébreu utilisé ici – yihud, signifiant littéralement « union dans l’isolement » — est le même que celui employé dans les textes juridiques (concernant le mariage, etc.) pour désigner les rapports sexuels

33 La soi-disant Qedushah Shlishit (Troisième Sainteté), insérée dans la prière Uva Letzion vers la fin du service matinal.

34 Nombres, 29.

35 Le pouvoir de Satan, et ses relations avec les non-juifs sont illustrés par une coutume répandue, établie sous l’influence kabbalistique dans de nombreuses communautés juives à partir du 17ème siècle. Une femme juive revenant de son bain de purification rituel mensuel (après lequel des rapports sexuels avec son mari sont obligatoires) doit se garder de rencontrer l’une des quatre créatures sataniques : le non-juif, le cochon, le chien ou l’âne. Si elle rencontre l’un d’entre eux, elle doit prendre un autre bain. Shevet Musar, l’un des ouvrages les plus populaires parmi les Juifs d’Europe orientale et des pays islamiques jusqu’au début du siècle, a prôné cette coutume (entre autres) en 1712. Il est encore largement lu dans certains milieux orthodoxes.

36 Cela est prescrit dans les moindres détails. Par exemple, le lavage rituel des mains ne doit pas se faire sous un robinet ; chaque main doit être lavée séparément dans l’eau d’une tasse (de la taille minimale prescrite) tenue dans l’autre main. Si nos mains sont vraiment sales, il est tout à fait impossible de les nettoyer de cette façon, mais de telles considérations pragmatiques sont évidemment hors de propos. Le judaïsme classique prescrit un grand nombre de tels rituels détaillés, auxquels la Kabbale attache une signification profonde. Il existe, par exemple, de nombreuses règles précises concernant le comportement dans les toilettes. Un Juif qui fait ses besoins naturels dans un espace ouvert ne doit pas le faire dans une direction nord-sud, car le nord est associé à Satan.

37 « Interprétation » est ma propre expression. Le point de vue classique (et orthodoxe actuel) est que le sens talmudique, même opposé au sens littéral, était toujours celui qui était appliqué.

38 Selon une histoire apocryphe, un célèbre hérétique juif du XIXe siècle aurait observé à cet égard que le verset « Tu ne commettras pas d’adultère » ne se répète que deux fois. « Il est donc vraisemblablement interdit de manger l’adultère ou de le cuisiner, mais en tirer jouissance est tout à fait acceptable. »

39 Le mot hébreu re’akha est traduit de façon assez imprécise par la version King James de la Bible (et la plupart des autres traductions anglaises) en tant que « ton voisin » (ou « ton prochain » en français). Voir cependant Samuel, II, 16:17, où exactement le même mot est rendu par la version King James, plus exactement par « ton ami ».

40 La Mishna est remarquablement libre de tout cela, et en particulier la croyance aux démons et à la sorcellerie y est relativement rare. Le Talmud Babylonien, en revanche, regorge de superstitions grossières.

41 Ou, pour être précis, dans de nombreuses régions de la Palestine. Apparemment, les domaines d’application de la loi sont ceux où la prédominance démographique juive était prédominante autour des années 150-200 de notre ère.

42 C’est pourquoi les Juifs orthodoxes non sionistes en Israël prévoient des magasins spéciaux pendant les années sabbatiques, qui vendent des fruits et des légumes cultivés par des Arabes sur des terres arabes.

43 À l’hiver 1945-1961, moi-même, alors un garçon de moins de 13 ans, participai à de telles procédures. La personne en charge du travail agricole de l’école d’agriculture religieuse que je fréquentais à l’époque était un Juif particulièrement dévot et estimait qu’il serait prudent que l’acte crucial, qui consiste à retirer la planche, soit exécuté par un orphelin de moins de 13 ans, incapable d’être, ou de rendre quelqu’un d’autre coupable d’un péché. (Un garçon de moins de 13 ans ne peut pas être coupable d’un péché ; son père, s’il en a un, est considéré comme responsable.) Tout m’a soigneusement été expliqué à l’avance, y compris le devoir de dire : « J’ai besoin de cette planche », alors qu’en fait personne n’en avait aucun besoin.

44 Par exemple, le Talmud interdit à un Juif de profiter de la lumière d’une bougie allumée par un non-juif durant le sabbat, à moins que ce dernier ne l’ait allumée pour son propre compte avant que le Juif n’entre dans la pièce.

45 Un de mes oncles qui vivant à Varsovie avant 1939 utilisait une méthode plus subtile. Il employait une femme de chambre non-juive appelée Marysia et sa coutume était, en se levant de sa sieste du samedi, de dire, d’abord à voix basse : « Ce serait bien que… » Et puis, élevant la voix jusqu’à crier, « … Marysia nous apporte une tasse de thé ! » Il était tenu pour très pieux et craignant Dieu, et ne rêverait jamais de boire une goutte de lait avant d’avoir laissé écouler six heures complètes après avoir mangé de la viande. Dans sa cuisine, il avait deux lavabos, un pour la vaisselle utilisée pour manger de la viande, l’autre pour les plats contenant du lait.

46 Des erreurs parfois regrettables sont commises, car certains de ces emplois sont assez confortables, laissant à l’employé six jours de congé par semaine. La ville de Bney Braq (près de Tel-Aviv), habitée presque exclusivement

par les Juifs orthodoxes, a été secoué dans les années 1960 par un horrible scandale. À la mort du « sabbat-Goy » qu’ils avaient employé plus de vingt ans pour veiller à leur approvisionnement en eau le samedi, il fut découvert qu’il n’était pas vraiment chrétien, mais juif ! Donc quand son successeur, un Druze, a été embauché, la ville a exigé et obtenu du gouvernement un document certifiant que le nouvel employé était un gentil de pure ascendance Gentille. Selon des rumeurs fiables, la police secrète a été invitée à faire des recherches à ce sujet.

47 En revanche, l’enseignement élémentaire des Écritures peut être effectué moyennant un paiement. Cela a toujours été considéré comme un travail peu qualifié et mal payé.

48 Un autre rituel « extrêmement important » est de souffler dans une corne de bélier à Roch Hachana, afin de déconcerter Satan.




« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3

[Sources : Kairos Presse et sentadepuydt.substack.com]

« Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » réalisée par Vera Sharav, rescapée de l’Holocauste qui a vécu 3 ans dans les camps.
5 épisodes qui montrent les parallèles entre la montée du nazisme et le retour du totalitarisme lors de la « gestion » du Covid.
32 témoignages, des survivants ou leurs descendants nous expliquent à quel point les mécanismes de prise de pouvoir par la peur, la propagande et l’exclusion sont similaires.
Cette série est dédicacée au Dr Vladimir Zelenko dont Vera a recueilli les messages pour la postérité.


PLUS JAMAIS épisode 1. « Plus jamais ça » revient à toute vitesse. Des survivants dénoncent le retour de l’impensable…

Des rescapés de l’Holocauste alertent le monde sur les dérives totalitaires actuelles.

Vera Sharav, survivante née en Roumanie, a survécu a trois années dans les camps de concentration.

Mon nom de naissance est Vera Roll. Je suis née en Roumanie. En avril 1937. Et en 1941, nous avons été déportés et enfermés dans un camp de concentration en Ukraine. Mon père y est mort avant mon cinquième anniversaire. Ce n’était pas un camp de la mort, mais un camp de transit. On y mourait de faim. Et la peur d’être sur une liste pour être envoyé dans un camp d’extermination régnait sans cesse et terrorisait tout le monde…

À l’âge de 6 ans, en pleine opération d’évacuation, un acte de défiance fruit de son intuition, lui sauve la vie…

On ne peut pas nier sa propre expérience. J’aimerais que les gens aujourd’hui fassent confiance à leur expérience et à leur intuition, plutôt que d’écouter les autorités…

Sa vie durant, elle luttera contre l’aveuglement et l’indifférence face aux abus des puissants.

J’ai atterri ici en Amérique le 8 janvier 1948. J’ai eu du mal à m’adapter à l’Amérique. En regardant autour de moi ici à New York, tout était beau, tout était glamour. Les gens avaient une bonne vie. Et je me suis demandée : où étaient- ils tous [quand nous avions besoin d’eux] ? Qu’ont-ils fait [pour nous aider] ?

Avec le temps, j’ai appris qu’il y a souvent des événements terribles – y compris des génocides – qui se déroulent en divers endroits du monde, alors que le reste de la planète s’en désintéresse complètement.

Sarah Gross, survivante de l’Holocauste née en Hongrie, dont les deux parents sont morts dans les camps :

Je ne crois pas au Covid. Je n’y crois pas.

J’ai le droit de dire ce que je veux. Oui je perds des amis qui ne le supportent pas. Que puis-je y faire ? C’est comme ça que l’on découvre qui sont nos amis.

Je ne veux pas mourir avec les mêmes sentiments que ceux que j’ai éprouvés sous la botte des nazis. Comment en sommes-nous à nouveau arrivés là? Les gens n’ont-ils rien appris?

Je suis tellement en colère de cette situation !

Dr Vladimir Zelenko, petit-fils de survivants :

Même le concept de traitement précoce était vilipendé. Tout médecin qui s’élevait contre les diktats du gouvernement était immédiatement censuré. J’ai compris que le débat et la vérité n’avait plus d’importance. La seule chose qui comptait c’était le récit officiel que le gouvernement voulait imposer.

Ce qui était important c’était d’administer le bon traitement, au bon moment aux patients. Une méta-analyse a montré une réduction de 85% des hospitalisations et des décès en faisant cela. Pour vous donner une échelle de ce dont on parle: sur 900 000 américains décédés du Covid, on aurait pu éviter à 760 000 d’entre eux, d’aller à l’hôpital et de mourir….

Michael Green, rabbin, Chabad de Westoborough, petit-fils de survivants :

Lorsque la crise Corona, la prétendue pandémie, a commencé, j’ai estimé qu’il était de mon devoir de protester contre chaque aspect des mesures Corona et des politiques de santé publique qui n’étaient pas fondées sur la science, car c’était la justification de l’Holocauste. La science, c’était la justification de la persécution des Juifs par les staliniens, et cela a toujours été une justification du meurtre de masse et de l’exclusion des minorités. C’est pourquoi je voyais la politique du COVID comme une répétition, une sorte de répétition de l’histoire dont nous n’avons jamais tiré de leçon.

Hervé Seligmann, petit-fils de survivants :

Je suis un scientifique qui fait de la recherche biomédicale et qui s’est heurté par hasard à cette question des vaccins Covid…

Au niveau des parallèles, il y a d’abord cette lente succession de lois et d’obligations. C’est de cela que mes grands-parents m’ont parlé…

Cette progression lente à laquelle on assiste …Tout le monde se dit que cela ne peut pas être la même chose, parce qu’il n’y a pas de chambres à gaz. D’abord c’est faux, parce que les injections peuvent être comparables à une chambre à gaz, sous forme de bombe à retardement. Ensuite, il ne faut pas attendre d’en arriver là. Il faut avertir les gens, avant cela, quand les choses sont mises en marche. Quand on dit aux gens de ne pas sortir, de rester à la maison, de ne pas aller dans les bars, ni ici ou là…

Mon grand-père me disait toujours: “Tu verras, ça va revenir”. Il a vraiment vu que dans la société toutes les racines, tous les ingrédients étaient là pour que cela se reproduise.

Une des choses qu’ils avaient testées et pratiquées sur les gens c’est l’euthanasie. Et c’est un dénominateur commun, non seulement l’euthanasie, mais aussi l’eugénisme. On voit ça dans ces deux périodes de l’histoire.

Les gens disaient : “Il y a trop de monde sur la terre”. Cela signifie quoi qu’il y a trop de monde sur la planète? C’est ce qu’ils disent tous aujourd’hui, beaucoup de gens le répètent. Eh bien, c’est exactement l’idée du ‘Lebensraum’, de l’espace vital nécessaire qui était si chère aux nazis…Les Allemands justifiaient leurs conquêtes de nouveaux territoires et l’extermination de leurs habitants par cette idée qu’il leur fallait assurer leur ‘espace vital’.

Les gens me disent : “Tu supposes que les injections vont tuer autant de gens, mais pour l’instant, ce n’est pas ce que l’on voit”. Mais moi je connais des chercheurs qui disent qu’il y a différents lots de production dans les vaccins. Et même si je ne peux le confirmer par moi-même, j’observe par contre des changements périodiques dans le taux de mortalité des injections ou dans le nombre de gens qui meurent.

On en revient à la question des chambres à gaz…Non ce n’est pas la même chose, parce que les chambres à gaz, c’était la solution finale. Mais on peut extrapoler à partir de toutes les choses que l’on voit maintenant, tous les parallèles comme par exemple la surveillance et le contrôle que l’on voit aujourd’hui et qui d’une certaine manière est bien pire qu’à l’époque. Peut-être que ce n’est pas pire dans le niveau de cruauté avec lequel on a tué les gens, mais ce contrôle absolu dépasse l’entendement.

Henny Fischler, survivante née en Belgique, dont les parents sont morts à Auschwitz :

Mon nom est Henny Fischler, je vis en Israël. Je suis née en Belgique, en 1938. Quand j’avais 4 ans, les Allemands sont arrivés en Belgique. Mon père, ma mère, mon frère et moi avons tenté de fuir. Nous avons été attrapés à la frontière française et envoyés à Drancy….

Mes parents sont morts à Auschwitz. Je ne les ai pas connus. Tout ce que j’ai d’eux, c’est cette photo, prise en cellule à Drancy…

Je me suis battue avec mes enfants et mes petits-enfants pour les alerter. Ils ne veulent pas m’écouter. Ils ont peur de la vérité. Je n’arrive pas à expliquer pourquoi ils sont si obstinés à ne pas m’écouter. Ni même à poser des questions, à chercher à comprendre quand je leur envoie des informations de médecins, d’avocats, du Dr Zelenko par exemple. Que dois-je dire ? Vraiment, je ne comprends pas.

Martineke Grossman-Boermeester, petite fille de survivants :

Ces gens doivent être tenus responsables pour ce qu’ils ont fait aux autres. Cela été terrifiant pour beaucoup de monde. C’est très difficile de se dire ‘: “Je me suis trompé” ou “Pourquoi n’ai-je pas posé de questions ?”

Mon grand-père m’a raconté que de ‘bonnes personnes’ ont fait des choses terribles, des personnes dont il n’aurait jamais imaginé qu’elles puissent écouter les Allemands ou plutôt les nazis. C’est terrible de se dire que les gens font des choses atroces en pensant que c’est ok, c’est pour le bien commun.

Il n’y a pas de bien commun.

Edwin Black, historien, chercheur, auteur de “The War Against the Weak” (la guerre contre les faibles) :

On a beaucoup parlé de l’antisémitisme, on a beaucoup parlé des souffrances que les Juifs ont endurées, mais tout cela aurait n’aurait pas eu d’ampleur, sans l’apport d’énergie fourni par cinq corporations.

La première était la Ford Motor Company et son patron, Henry Ford, qui ont répandu cet extraordinaire mensonge selon lequel les Juifs contrôlaient le monde et que les Juifs prévoyaient de s’emparer des militaires, de contrôler les médias et les gouvernements. Il l’a fait bien sûr par le biais de son journal « The Dearborn Independent », et ses idées ont effectivement été diffusées par la Ford Motor Company via ses concessionnaires. Les informations étaient traduites dans de nombreuses langues, y compris en allemand, et Hitler les étudiait intensivement. Grâce à Ford, l’antisémitisme [d’Hitler] a pris une nouvelle dimension. Et cette dimension ne consistait pas seulement à dire que les Juifs étaient différents, et mauvais, mais qu’ils étaient un ennemi qui tentait de détruire la planète et l’humanité.

La deuxième de ces entreprises était General Motors, car bien sûr General Motors a donné aux nazis le moyen à tout faire pour faire la guerre : Le camion OPEL-Blitz a été fabriqué par General Motors pour la Blitzkrieg. Avant cela, l’Allemagne était essentiellement non motorisée. Oui, ils avaient beaucoup de très jolies voitures à l’aspect antique qui circulaient, mais ils n’avaient pas de production de masse. General Motors produisait également des composants indispensables pour les bombardiers JU-88, des moteurs pour les chars, des explosifs pour les mines terrestres et des têtes de torpilles. Sur terre, sur mer et [dans les airs], General Motors a donc été l’arsenal du fascisme et du nazisme, avant d’être celui de la démocratie pour les Alliés. Cela nous oblige à nous confronter au fait qu’il n’y aurait jamais eu d’Holocauste à cheval.

La troisième et la quatrième de ces sociétés étaient, d’une part, la Carnegie Institution, une société de capitaux basée sur la fortune d’Andrew Carnegie, et, d’autre part, la Rockefeller Foundation, qui, ensemble, ont inventé toutes ces absurdités eugénistes selon lesquelles les Juifs étaient une tare génétique, que les Juifs étaient une sorte de bactérie organique qui devait être combattue pour ne pas infecter les générations futures. En fait, la fondation Rockefeller a financé l’assistant qui est finalement allé à Auschwitz pour mener les expériences sur les jumeaux : Josef Mengele.

Adolf Hitler et le chef d’IBM Thomas Watson

Il ne s’agissait pas seulement de ‘promouvoir la science’. Ils ont mis en place les instituts et financé les bourses. Ils étaient là jusqu’au début de la guerre et même après, et ne se sont retirés que lorsque les États-Unis sont entrés en guerre en décembre 1941. Mais à ce moment-là, il était déjà trop tard. Mais le coupable encore plus central à tout cela était International Business Machines, IBM, « l’entreprise de toutes les solutions », qui a offert à Hitler toutes les solutions qu’il souhaitait pour atteindre ses objectifs, même la solution finale, depuis le premier moment le 30 janvier 1933 jusqu’au dernier souffle du Troisième Reich en mai 1945.

Et c’est donc IBM qui a mis au point les cartes perforées personnalisées, les précurseurs de l’ordinateur, et qui a ainsi été en mesure de planifier. IBM a effectivement planifié les six phases de l’holocauste. Car le Troisième Reich ne pouvait marcher qu’aussi vite que la technique le permettait. Et ces phases étaient: 1. l’identification des Juifs, 2. leur exclusion de la société, 3. la confiscation de leurs biens, 4. la ghettoïsation des Juifs, 5 la déportation dans des camps et même 6. l’extermination des Juifs.

C’est IBM qui a développé et créé le programme « Vernichtung durch Arbeit » (extermination par le travail), dans lequel toutes les capacités des Juifs étaient identifiées et comparées aux besoins en main-d’œuvre, et ensuite, bien sûr, il y avait une liste de transfert établie par eux, et les Juifs étaient expédiés dans tous les sens via la liste d’IBM, connue en Allemagne sous le nom de liste Hollerith. S’il n’y avait pas eu ces cinq entreprises, la taille et l’ampleur de l’Holocauste auraient eu un quotient numérique qui n’aurait pas approché les six millions que nous connaissons aujourd’hui. Il existe des musées aux États-Unis qui ne veulent pas aborder le sujet de l’implication des entreprises américaines dans le nazisme.

On le voit, cette série documentaire à beaucoup, beaucoup de choses à nous rappeler…




Plus Jamais, Épisode 2 : La propagande hier et aujourd’hui, les mêmes objectifs et les mêmes stratégies…

Dans ce second épisode, Zelenko y va franco ! Il dénonce les plans d’asservissement, les parallèles entre l’eugénisme, le surhomme et les théories transhumanistes des acteurs du grand reset.

‘Le gouvernement finit le boulot d’Hitler !’ La preuve c’est qu’Israël a l’un des taux de mortalité les plus élevés soi-disant dû au variant Omicron…. Personne d’autre n’est mort d’Omicron, ce variant est contagieux, mais moins dangereux…mais Israël est le pays le plus vacciné, spécialement en terme de nombre de doses par personnes. C’est le pays où il y a le plus de gens ayant reçu 4 doses. Il y a plus de 30 études qui montrent à présent que ces vaccins endommagent le système immunitaire.

Il y a une explosion de cancers atypiques et de gens qui meurent d’infections opportunistes.

Albert Bourla, le CEO de Pfizer, a reçu le prix Genesis, c’est l’équivalent du prix Nobel juif. Il a appelé Israël ‘le laboratoire test du monde’. En réalité, ce qu’il a fait c’est de donner le sida au peuple juif. Ils ont détruit le système immunitaire de la moitié du peuple d’Israël.

Pour avoir dénoncé les mensonges et les malversations de l’industrie pharmaceutique depuis des décennies, Vera nous explique comment elle a immédiatement repéré les différentes fraudes et manipulations exercées sous couvert de réponse à la pandémie. L’utilisation de la peur et de la propagande, les mesures qui ont mené au meurtre par injection (Midazolam, même famille que le Rivotril) de 15 000 personnes âgées dans les maison de repos new yorkaises, les pass sanitaires ou la vaccination des enfants ont été pour elle une confirmation du « retour de l’impensable ».

Vera revient sur le rôle de la « médecine » et de la science dans les premiers meurtres médicalisés des nazis: le programme T4 d’élimination des enfants « inadaptés », et plus tard des handicapés, et des veillards, toutes ces « bouches inutiles à nourrir. »

Juive d’origine hollandaise en Israël, Shirley Maymon se désole face au déni de la population devant le retour des mesures totalitaires. Pourquoi Israël a-t-elle été « le laboratoire » du monde, les premiers cobayes à expérimenter le vaccin? Pourquoi personne n’ose parler des effets secondaires ? Comment le gouvernement qui a pour mission de protéger le peuple juif comme « un père et une mère », a-t-il pu trahir sa population?

Joshua Stylman, petit-fils de survivants qui a grandi dans un cercle de rescapés de l’Holocauste à New York s’est progressivement éveillé à l’idée que les mesures de réponse à la pandémie sortaient du cadre de la démocratie et de la bienveillance, et rappelaient plutôt les débuts du nazisme. En dépit de ses propos mesurés et modérés, il a été victime d’un piège médiatique tendu par un journal mainstream visant à le faire passer pour un extrémiste, négationniste, antisémite. Son récit illustre parfaitement les procédés auxquels se livre la presse de propagande afin d’éliminer tout espace de pensée critique et d’instiguer la haine et la violence.

Dans une école de son quartier les enfants ont du faire un spectacle en chantant « t’es pas vacciné, t’es pas mon ami »…

Une grand-mère partisane qui se battait dans la résistance, un père qui a dû se cacher dans les forêts et la campagne belge, d’autres parents moins fortunés qui ont péri dans les campsc’est en pensant à la bravoure de ses ancêtres que Revital Florman a trouvé le courage de sortir manifester dans les rues en Israël. Une dame qui n’a pas froid aux yeux et qui garde le sourire…

Ce n’est pas un hasard si Mathias Koie Levi Palsvig est psychologue. Son histoire familiale est d’une richesse incroyable, l’histoire de son grand-père est un récit de survie digne d’un film où l’amour et la cruauté se côtoient au pire de l’horreur.

Danois, Russe et Juif, Mathias jeune homme était aux avant-postes de la résistance en novembre 2020 lorsque tout était fermé et que les vikings harcelaient leurs parlementaires jour et nuit pour stopper le vote d’une « loi pandémie ».

Marion Schmidt raconte sa détresse et sa révolte lorsque les camps de concentration ont été interdits aux visiteurs non-vaccinés et lorsqu’on a empêché les travailleurs de ces lieux de mémoire de participer à des manifestations contre les pertes de libertés imposées par le gouvernement allemand. Fidèle à ses convictions et à ce qu’elle estime être un devoir de mémoire, elle s’est néanmoins rebellée!

C’est à nouveau des paroles et une réalité très crues qui nous sont présentées ici, avec une froide lucidité, mais sans pathos. Mais il est par contre réconfortant de se dire que toutes ces personnes gardent espoir en l’humanité, leur engagement en témoigne.




Plus Jamais. Épisode 3 « Lever le voile sur les vrais conspirateurs ».

Comment la dérive génocidaire a-t-elle eu lieu ? Y a-t-il une continuité dans ses acteurs ? Des récits poignants et des réflexions percutantes

Au fur et à mesure que les modèles et les parallèles sont identifiés, nous commençons à voir la continuité des opérations génocidaires par des idéologies utilitaristes et déshumanisantes déguisées en « pseudo-sciences ». L’on retrouve les mêmes puissantes dynasties familiales et les mêmes entreprises derrière les évènements de la seconde Guerre Mondiale et la tentative totalitaire du Grand Reset. Hier comme aujourd’hui, leur manipulation mentale a fait appel aux mêmes techniques de propagande, utilisant des slogans identiques, tels que « c’était nécessaire » ou « il a fallu répondre à l’urgence »…

Un témoignage particulièrement intéressant dans ce 3ème épisode, est celui de d’Isyyes Keidar, un Juif d’origine hongroise qui a grandi en Israël, et dont la grand-mère Myriam Kerpel Nierenstein, a vécu des moments particulièrement difficiles. Au cours de leurs nombreuses conversations, elle a tenté de lui expliquer « comment » les choses ont dérivé. « Pourquoi avez-vous collaboré, pourquoi avez-vous obéi? » Cette question le hantait. Face à son incompréhension, elle cherchait à identifier des éléments de réponse en lui faisant promettre qu’il ne se laisserait jamais duper à son tour.

Voici une réponse intéressante de ma grand-mère…Je ne sais pas si beaucoup de gens le savent, mais les nazis ne se sont jamais présentés comme des personnes négatives, destructrices. Ils se sont présentés comme des gens, comme un parti qui essayait d’améliorer les choses, et c’est ce qu’ils ont enseigné aux gens. Ainsi, lorsque vous étiez emmené dans un ghetto, c’était pour votre propre protection. Quand on vous emmenait dans un camp, on vous disait : « Ah, nous avons du travail pour vous là-bas, de la nourriture et un abri. » Il s’agissait toujours de dire : « Non, en fait, nous vous aidons. Nous voulons vous aider. » Ainsi, tous les Juifs qui sont montés dans les trains, et peu de gens le savent, ont bénéficié d’une fameuse propagande de la part des gens qui les ont convaincus que c’était bon pour eux. Et cela s’est poursuivi jusqu’à la fin. Car ce n’est qu’à la toute fin que les nazis sont devenus vraiment insupportables, ouvertement sadiques.

Au fur et à mesure que des conditions horribles étaient imposées, chaque changement était présenté comme un espoir d’amélioration, alors qu’en réalité il menait au pire. Keidar évoque les heures les plus sombres qu’elle a connues dans le ghetto :

La véritable obscurité, c’est lorsque vous rampez pendant des heures dans les eaux usées des égouts, comme elle le faisait chaque jour, pour aller chercher un demi-pain dans une poubelle à l’extérieur du ghetto.

Dans de telles conditions, la promesse d’un morceau de pain quotidien était facile à accepter…

Jeune femme en bonne santé, sa grand-mère avait participé à de nombreuses « sélections » supervisées par le Dr Mengele, avant d’être envoyée dans différents camps de travail. De quoi avait-il l’air ? Selon les mots de cette femme qui avait échappé à la mort de nombreuses fois :

Il était plutôt ennuyeux. C’était une personne froide, calculatrice, grise. On pourrait dire qu’il était très scientifique. Il se voyait comme un scientifique et on ne pouvait pas dire, quand on le voyait, qu’il ressemblait à cet horrible monstre que tout le monde a voulu dépeindre.

En fait, comme le rappelle Isyyes Keidar il avait juste l’air « neutre », comme tous les scientifiques et experts qui dirigent ces opérations aujourd’hui.

Une anecdote récente illustre aussi comme des notions présentées comme « neutres » et des décisions désignées comme nécessaires ont permis de manipuler l’esprit des gens.

J’étais près de Fribourg, je me promenais dans un village appelé Ebringen. J’ai rencontré ce type, un Allemand, qui s’appelait Claudius. Au fil de la conversation, il s’est passé quelque chose de très étrange. Il a commencé à défendre les raisons de l’Holocauste. Et les mots qu’il a utilisés, que tout le monde doit entendre, la phrase qu’il a utilisée et qu’il a répétée encore et encore, c’est « C’était nécessaire ». Cette phrase magique : « C’est nécessaire. C’est nécessaire. » C’est aussi, d’une certaine manière, ce qui est utilisé en ce moment, sauf qu’il y a un gros virus en cours pour justifier qu’ ‘il faut faire ceci et cela. »

Et donc, pour que tout le monde le sache, cette rhétorique a déjà été utilisée auparavant. Pendant la Seconde Guerre mondiale, on a expliqué à la population locale que tout ce qui se passait était absolument nécessaire parce que les choses devenaient trop importantes, qu’il y avait trop de monde, qu’il y avait toutes sortes de problèmes d’hygiène, etc. Cette attitude n’a donc rien de nouveau. De « c’est nécessaire », on passe à « c’est urgent », puis à « l’état d’urgence » et la force majeure. Telle est la progression. Mais cela commence par « Oh, c’est nécessaire ».

Vera Sharav et Vladimir Zelenko s’en prennent à Klaus Schwab, le vilain caricatural à qui il ne manque qu’un chat pour figurer dans un James Bond. Faut-il s’étonner du fait que le fondateur et président du Forum économique mondial provienne d’une famille d’industriels ayant collaboré avec le régime nazi ? La succursale allemande de l’entreprise Escher-Wyss à Ravensburg, alors dirigée par son père Eugen, avait même été désignée comme une « entreprise modèle du régime national socialiste » par le régime d’Hitler. Après la guerre, la famille a également été impliquée dans le développement d’armes nucléaires.

De toute évidence, les liens entre l’idéologie du surhomme des nazis et l’homme augmenté du transhumanisme prôné par Klaus Schwab dans son « Grand Reset » sont manifestes.

Fils de nazi convaincu, fondateur du forum de Davos et auteur du « Grand reset »

En 2016 Schwab annonçait que dans la prochaine décennie, les implants cérébraux ou cutanés mèneraient à une fusion entre « l’identité physique, numérique et biologique » de l’être humain.

Pour le Dr Zelenko, il faut donc prendre ses « prévisions » au sérieux et par conséquent poser la question qui fâche : comment et pourquoi 7 milliards d’êtres humains se soumettraient-ils spontanément à ce genre de procédure? Ou cela passerait-il par la vaccination?

Les familles eugénistes, toujours à la manœuvre depuis la montée du nazisme.

Un eugénisme « démoniaque » d’une élite délirante auto-proclamée, plutôt que de l’antisémitisme…

Pour le Dr Zelenko :

Le mal de la Seconde Guerre mondiale, qui s’est cristallisé dans la dépravation des massacres nazis, était enraciné dans un concept d’eugénisme. Il était ancré dans le concept de hiérarchie au sein de l’humanité. Il y avait l’übermensch, le mensch et l’üntermensch. Le surhomme, l’humain et le sous-homme. Pourquoi les nazis étaient-ils des surhommes ? Parce qu’ils étaient les descendants d’une sorte de dieu aryen. Qui étaient les humains ? Les Anglo-Saxons. Ils étaient destinés à être réduits en esclavage pour servir les surhommes supérieurs. Et les sous-hommes, dont vous et moi faisons partie, ainsi que les Slaves, les Tziganes, les handicapés et les prisonniers politiques, étaient destinés à être éliminés. Cela n’a pas fonctionné comme ils le souhaitaient, même s’ils ont tué au moins six millions d’entre nous. Mais le concept n’a pas disparu. Il est resté en sommeil pendant quelques décennies et il refait surface aujourd’hui.

Pour être honnête, cette fois, ce n’est pas de l’antisémitisme. Je ne le crois pas – et d’ailleurs beaucoup d’auteurs de ces crimes sont juifs. Ce n’est pas un programme antisémite. Il s’agit d’autre chose. C’est démoniaque, c’est comme le produit de la distillation du mal. Par contre, l’on retrouve aussi qu’il y a une classe de ‘surhommes’, la soi-disant élite auto-proclamée ; disons des personnes qui pensent évoluer à des niveaux de conscience supérieurs – c’est ce qu’elles croient. Moi, je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit d’évolué chez eux.

Le nouvel ordre mondial n’est pas une évolution de l’humanité. C’est un retour au paganisme, à l’idolâtrie et aux sacrifices d’enfants. Il n’y a rien de nouveau ici. Ils ont juste relooké le concept pour donner un emballage new-age au nouvel ordre mondial. Ils reviennent à un paganisme primitif . Cela vient de refaire surface avec ces dégénérés, je suis à court d’adjectifs pour les qualifier à ce stade, mais ils se sont démasqués et sont prêts à nous sauter dessus.

Fort heureusement, Ina-Maria Raschen a eu la chance d’avoir des parents éveillés qui ont vu la réalité et écrit des pamphlets pour dénoncer le totalitarisme en marche, avant de fuir à temps. Son père avait lu « Mein Kampf » d’Hitler en 1933 et l’avait pris au sérieux. Mais malheureusement, les gens pensent souvent « qu’ils n’iront pas si loin ».

C’est pourquoi, il faut continuer à alerter :

Je ne peux pas me taire et attendre en me disant que je n’agis pas. Je dois dénoncer ce qui se passe. Les Allemands sont tellement… Je ne peux plus les entendre. Ils n’ont rien appris. Et maintenant, la vérité se fait jour. Elle est difficile à accepter. C’est difficile à digérer, mais il est nécessaire que la vérité apparaisse pour que la vie soit meilleure. La guérison a donc commencé. Nous nous battons pour la vérité et nous restons positifs.

L’épisode ce termine avec une note spirituelle venant de Johanna Findeisen, dont le père qui avait perdu toute foi en Dieu et en l’humanité au sortir des camps de concentration, avait finalement pu retrouver la lumière peu avant de mourir.






Conspiracy Watch, Rothschild et la Shoah

[Source : Jean-Dominique Michel]

Cette officine de propagande [Conspiracy Watch] déploie son activité de désinformation et de manipulation de l’opinion aux frais du contribuable et de David de Rothschild. Tout en invoquant la mémoire des déportés. We have a problem…

[Voir aussi :
Pouvoir et médias : main dans la main pour torpiller l’info]

[Cependant, concernant les « virus », voir notamment :
Pourquoi s’inquiéter de vaccins quand l’hypothèse virale n’a jamais été démontrée après plus de 70 ans de tentatives faussement scientifiques ?
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et autres articles du dossier Vaccins et virus]




Pouvoir et médias : main dans la main pour torpiller l’info

[Source : elucid.media]

Jean-Baptiste RIVOIRE est journaliste d’investigation, fondateur d’off-investigation, et auteur de « L’Élysée (et les oligarques) contre l’info » (Edition LLL, janvier 2022). Dans cet entretien par Olivier Berruyer pour Élucid, Jean-Baptiste Rivoire raconte la manière dont Bolloré et son système tyrannique ont conduit à son exclusion de Canal+. Fin connaisseur du monde des médias, il dénonce la collusion entre les présidents de la République (Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron) et nos oligarques (Lagardère, Bolloré, Arnault, Bouygues, Drahi, Niel, etc…). Il explique la manière dont l’information est biaisée et orientée pour favoriser le pouvoir ou des intérêts particuliers. La détention des grands médias par des milliardaires est un scandale démocratique, et ne peut qu’aboutir à engendrer de la propagande, et une méfiance des citoyens français.

00:00 – 01:56 : Zapping
01:56 – 13:43 : Le système Canal +
13:43 – 18:26 : Qui possède les médias ?
18:26 – 22:08 : Pourquoi font-ils ca ?
22:08 – 33:41 : Empire Bolloré
33:41 – 35:24 : Barrosso : lobbying à Bruxelles
35:24 – 38:48 : C’est quoi un bon journaliste ?
38:48 – 45:50 : Syndrome de la page 27 et fin de l’investigation
45:50 – 51:56 : Résister, le journalisme de combat
51:56 – 56:05 : David contre Goliath : les médias indépendants
56:05 – 01:05:56 : Les fake news…
01:05:56 – 01:08:54 : La confiance dans les médias
1:08:54 – 1:12:45 : Médias, faiseurs de roi
1:12:45 – 01:14:25 : Les présidents et l’info
01:14:25 – 01:26:52 : Off Investigation, la liberté d’informer
01:26:52 – Question finale

Les Graphiques de l’Interview

   




Covid : Radio-Canada aurait censuré des journalistes

[Source : libre-media.com]

[Illustration : La nouvelle Maison de Radio-Canada, à Montréal. Photo: Simon-Marc Charron/page Facebook du diffuseur public.]

Par Laurie Smith

Une ex-journaliste de Radio-Canada a déclaré devant la Commission d’Enquête Nationale Citoyenne que le diffuseur public avait interdit à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin.

Ce 18 mai se poursuivaient à Ottawa les audiences de la Commission d’Enquête Nationale Citoyenne consacrée à faire la lumière sur la gestion de la pandémie.

Dans ce cadre, Marianne Klowak, une ex-journaliste de la CBC basée au Manitoba et à l’emploi de ce média depuis 34 ans, a déclaré que le réseau d’État avait failli à sa mission en interdisant à ses journalistes d’écrire des articles sur les préjudices causés par le confinement et les effets secondaires du vaccin, mais aussi sur l’opposition d’une partie de la population aux mesures sanitaires contraignantes et obligatoires.

« Les règles avaient changé du jour au lendemain »

« Je sais qu’en tant que radiodiffuseur public, vous vous attendez à ce que nous vous disions la vérité, et c’est ce que nous avons cessé de faire », a souligné Mme Klowak durant son témoignage devant les commissaires de la National Citizen’s Inquiry, une « initiative dirigée et financée par les citoyens et totalement indépendante du gouvernement ».

Information biaisée

« Il s’agit d’un certain nombre d’articles que j’ai présentés et qui ont été bloqués, mais il m’a semblé, en tant que journaliste en poste depuis 34 ans, que les règles avaient changé du jour au lendemain. Et cela s’est produit si rapidement que j’en ai été étourdie », a poursuivi celle qui a quitté la CBC en décembre 2021.

À lire aussi : Wokisme et censure: les universités auront-elles le courage d’agir?

Selon elle, le diffuseur public l’a empêchée de rédiger plusieurs articles sur la pandémie, mais surtout sur sa gestion par les gouvernements, articles qu’elle avait présentés à ses rédacteurs en chef avant de voir son travail censuré.

Marianne Klowak estime que la CBC a trahi la confiance du public canadien en privilégiant systématiquement les experts favorables aux mesures sanitaires, tout en qualifiant de «dangereux et de diffuseurs de fausses informations» ceux qui mettaient en doute l’efficacité et le bienfait de ces mesures et de la vaccination de masse.