N’ayez pas peur du variant delta, c’est un tigre de papier

Par Gérard Delépine

Depuis plusieurs semaines et la disparition de la maladie en France

comme dans le reste de l’Europe, le gouvernement, les médias et les experts covidterroristes tentent de raviver la panique avec le variant delta.

Or, si celui-ci résiste aux pseudo vaccins actuels et est nettement plus contagieux, il est beaucoup moins dangereux que le précédent et de plus sensible aux traitements précoces. C’est un tigre de papier.

Le variant delta résiste aux pseudo vaccins actuels

C’est pour cette raison qu’il s’est développé dans les pays où les vaccins lui assurent un avantage évolutif sur les souches précédentes comme la Grande-Bretagne (67 % de vaccinés), les Pays-Bas (68 %) l’Espagne (62 %), Israël (65 %) ou Malte (73 %) alors qu’il tarde à se développer en Biélorussie peu vaccinée (7 %).

Prétendre comme le fait le gouvernement que l’injection anti-covid protégerait contre le variant delta est donc contraire aux faits établis.

Le variant delta est un tigre de papier

Dans les pays où il progresse rapidement, il se comporte comme un rhume banal et ni le nombre d’hospitalisations ni la mortalité n’augmentent.

En Europe il n’y a aucune raison de craindre le variant delta qui s’accompagne partout d’une baisse du nombre des hospitalisations et de la mortalité.

Le variant delta est très sensible aux traitements précoces

Et en Inde où son apparition a entraîné une augmentation de la mortalité, la reprise des traitements précoces a vaincu l’épidémie.

Deux mois après le début de la vaccination et l’abandon dans certains états des traitements précoces qui avaient jusque-là contrôlé l’épidémie, l’apparition du variant delta a coïncidé avec l’accroissement important de la mortalité.

Mais l’épidémie a été rapidement jugulée par la reprise des traitements précoces par Hydroxychloroquine et Ivermectine recommandés par la task force indienne contre le covid.

La responsable locale de l’OMS qui avait appelé à l’arrêt des traitements précoces a été mise en accusation pour mise en danger de la vie d’autrui et risque la prison à vie.

Il n’y a donc aucune raison de craindre le variant delta qui n’est qu’un croquemitaine qu’on nous agite pour raviver une panique injustifiée et nous pousser à nous faire injecter des traitements expérimentaux inefficaces contre ce variant.




La liberté de prescription des médecins nous concerne tous

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

[Illustration : stopcovid19.today]

LA LIBERTE DE PRESCRIPTION DES MÉDECINS VOUS CONCERNE TOUS ET ELLE EST ENTIÈRE(([1] Liberté de prescrire, liberté d’expression des médecins : déontologie et droit, avec Me Krikorian, le Dr Delépine et le Dr Sroussi (francesoir.fr) ))

Écoutez cette vidéo d’échanges entre deux médecins et un avocat à propos du droit de prescription

Liberté de prescrire, liberté d’expression des médecins : déontologie et droit, avec Me Krikorian, le Dr Delépine et le Dr Sroussi (francesoir.fr)



Exiger de votre médecin ou de SOS Médecin un vrai traitement

Trop de patients encore en juillet 2021 nous contactent pour savoir comment se voir prescrire de l’Ivermectine en cas de problème évocateur de covid-19 ou de complications du vaccin type variant (encore que peu méchant mais surtout contagieux).

Ils se heurtent trop souvent à un refus de collègues qui semblent paralysés par la peur du gendarme « Ordre des médecins »… Ils ont pour beaucoup reçu des mises en garde et sommations de n’appliquer que les ukases du ministre et de se taire sur les autres traitements précoces utilisés dans la moitié du monde.

Nous les adressons au site Laissons les médecins prescrire | (stopcovid19.today) et la liste de médecins engagés par département. Mais ceux-là sont débordés.

Et pourtant TOUS LES MÉDECINS en exercice ONT LE DROIT DE PRESCRIRE HORS AMM DES MÉDICAMENTS QUI SONT SUR LE MARCHÉ DANS UNE AUTRE INDICATION

Comme l’hydroxychloroquine (utilisée depuis 70 ans) et les autres antipaludéens. Comme l’Ivermectine médicament contre la gale et prescrit aussi depuis des lustres sans aucun effet secondaire. Comme évidemment tous les antibiotiques dont les macrolides très efficaces contre le covid-19.

Que trop de médecins refusent de soigner autrement que par Doliprane et Rivotril si besoin, sur injonction du ministre est impensable, a trop duré, et constitue une faute éthique et parfois professionnelle grave. Certes chaque jour la liste des médecins poursuivis s’allonge, mais le droit est en faveur des médecins libres et non le contraire.(([2] Chaque jour la liste des médecins poursuivis s’allonge. Le 8 juillet, c’était au tour de la député Martine Wonner et du réanimateur marseillais Louis Fouché, du prix Nobel français Luc Montagnier d’être poursuivis par l’Ordre ainsi que sept autres collègues lanceurs d’alerte et fidèles à leur serment de soigner. Le bras de fer se poursuit et s’aggrave.

Ainsi de nombreux médecins ayant prescrit des traitements précoces ont été convoqués par le Conseil de l’Ordre pour des raisons diverses depuis plusieurs mois et ils s’interrogent sur la réalité de leurs droits. D’autres le sont pour avoir « parlé » ouvertement des traitements efficaces avec lesquels ils avaient sauvé de nombreux malades atteints de covid-19, dans le but d’aider des confrères désemparés devant la prescription officielle du ministère limitée au Doliprane qui n’a aucune efficacité contre le Covid et peut être toxique.))

Mise en danger des patients mais aussi des médecins sur le plan médico-légal

Il faut donc que vous le sachiez et que vous en informiez vos médecins, s’ils vous disent le contraire, car à force de ne prescrire que du Doliprane à un malade en détresse respiratoire, ils se mettent en danger de non-assistance à personne en danger ou/et de défaut de soin, en plus de mettre en danger leur patient en refusant de prescrire les traitements précoces (qui cherche de plus en plus souvent une solution).

Les médecins sont libres de leur prescription

La situation juridique des médecins français au regard de l’ordonnance du 22 avril 2020 (14 mois déjà) conforte la liberté de prescription et de parole.(([3] Liberté de prescription des médecins vs. déontologie médicale, interview de Me Krikorian (francesoir.fr) 29 JUIN 2021))

Les traitements précoces ne sont pas interdits. Vos médecins peuvent prescrire hydroxychloroquine, Ivermectine (préciser hors AMM sur l’ordonnance) et antibiotiques librement.

La liberté de prescription des médecins relève d’un principe général du droit, à valeur supra-décrétale (au-dessus d’un décret du pouvoir exécutif).

En d’autres termes un arrêté ou même un décret ne peuvent être supérieurs à la loi et ne peuvent donc dans le cas précis mettre en cause la liberté de prescription inscrite dans la loi.(([4] Situation juridique des médecins : liberté de prescription et de parole – (ripostelaique.com) ))

Maître Krikorian a obtenu le 22 avril 2020 l’ordonnance de référé du Conseil d’État. Celle-ci a confirmé que les médecins n’avaient jamais perdu leur liberté de prescription contrairement à l’idée propagée par les médias.

Et ce, donc, il y a déjà plus d’un an.

L’article L.5121-12-1 du Code de la santé publique (CSP), le consacre, 

« y compris hors indication d’autorisation de mise sur le marché (AMM), dès lors qu’il n’existe pas d’alternative médicamenteuse appropriée disposant d’une autorisation de mise sur le marché ou d’une autorisation temporaire d’utilisation et sous réserve que le prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. ». 

Ceci a d’ailleurs aussi été précisé par l’OMS

L’hydroxychloroquine a toujours été autorisée et nous ne le savions pas. Peu l’ont su en avril 2020 et même actuellement de nombreux citoyens et médecins pensent que la prescription est encore interdite, ce qui est faux.

Ainsi contrairement à ce qu’il s’est dit, raconté, répété sur les médias et les réseaux sociaux, les médecins au regard du droit n’ont jamais perdu le DROIT DE PRESCRIRE CE QUE LEUR DICTAIT LEUR SAVOIR ET LEUR CONSCIENCE.

Il suffit d’ajouter hors AMM à côté de la prescription d’hydroxychloroquine ou d’azithromycine ou tout autre antibiotique ou médicament qui leur paraît utile au regard de leur compétence et de l’arrêt Mercier de 1936 (meilleurs soins en fonction des données acquises de la science).

PRENEZ LE TEMPS D’ÉCOUTER CETTE INTERVIEW

L’ordonnance obtenue le 22 avril 2020 aurait dû libérer les médecins de leurs fausses craintes en particulier ordinale et leur permettre de prescrire en toute tranquillité. Ce document a malheureusement longtemps été caché jusqu’à l’article de France-Soir le rendant un peu plus connu le 9 juillet 2020.(([5] INTERVIEW : les médecins peuvent-ils prescrire le Plaquenil ? Me Krikorian répond. (francesoir.fr)  9 juillet 2020))

« Dans l’état actuel des choses, il n’existe, de mon point de vue (maître Krikorian), en accord avec l’ordonnance du juge des référés du Conseil d’État du 22 avril 2020, aucun obstacle légal qui empêcherait les médecins de prescrire ce médicament (le Plaquénil). »

Manifestement cet article de France soir n’a pas été suffisamment lu ou cru.

Nicole Delépine





Kit argumentaire pour « Nous avons des traitements qui marchent, donc pas besoin de “ça” »

Par Lucien Samir Oulahbib

Kit argumentaire pour « Nous avons des traitements qui marchent, donc pas besoin de “ça” »

Ce devrait être l’argument central d’une argumentation de combat (infra) : les traitements précoces sont plus efficaces que lesdits « vaccins » (Israël pense reconfiner). Car c’est sur la base du fait que ces traitements ne marcheraient pas (phase 3.3 de l’AMM) y compris pour les formes dites graves que se justifie cette manipulation. Or, des informations sont disponibles sur les sites d’informations objectives comme FranceSoir et l’IHU de Marseille prouvant qu’ils marchent, y compris sur les formes graves. Voilà pourquoi il ne faut pas tomber dans leur piège à rhinocéros (que je dénonçais déjà il y a un an sous le vocable des « masquocéros ») qu’« ils » vous forcent à devenir, surtout si tous ces variants proviennent des pays où l’on a « essayé » massivement les vaccins, sans parler du Remdisivir (ayant eu l’aval de l’Agence Européenne du Médicament) qui fut ensuite acté comme étant peu efficace à la longue et pourtant il a été quand même distribué en Inde, ce qui aurait pu d’ailleurs créer le variant dit delta. À l’identique des autres essais cliniques ayant comme par hasard « cohabités » avec lesdits variants anglais brésiliens sud-africains, alors que précisément ces essais se déroulaient dans ces trois pays…

En définitive, et alors que les salles de sport et les piscines sont également concernées, il nous faut bien comprendre qu’il s’agit d’une course contre la montre entre les partisans fanatiques de la Secte ayant poussé la France et le monde dans l’abîme hygiéniste et affairiste et les citoyens ayant adhéré pour une vraie démocratie (ou pouvoir du peuple, étymologiquement parlant). Mais la Secte n’en a cure nommant cela populiste…

Aussi nous faut-il fourbir nos armes, théoriques (pour commencer)

Ne dites plus :

  • « passeport sanitaire », mais « passeport politique » ou « totalitaire »
  • « vaccin », mais « essai clinique en phase 3 et toujours en AMM conditionnelle »

À la question correspondante répondez :

  • « T’es-tu fait vacciner ???? »
    • version lapidaire de la réponse :  ” Je n’ai pas besoin de ça. Nous avons des traitements qui marchent, merci » ;
    • version diplomatique : « j’attends la fin des essais cliniques (d’ici un à trois ans selon les marques) avant de me prononcer, merci ».
  • « Mais cela protège des formes graves !!! » :
    « Il y en a très peu, surtout en dessous de 65 ans, et nous avons des traitements, merci ».
  • « Ils ont reçu l’aval de l’Agence Européenne du Médicament !!! » :
    « Le Remdésivir aussi, et il a été très peu efficace, voire même nocif »…
  • « Ces traitements ne marchent pas !!!! » :
    • version lapidaire : « c’est faux bien sûr. Ceux qui disent cela sont payés pour les dénigrer. Regardez par exemple le nouvel acharnement sur l’ivermectine après avoir empêché l’utilisation de l’hydroxychloroquine et l’Azithromycine » ;
    • version diplomatique : « je ne comprends alors pas pourquoi des pays comme l’Inde et le Mexique les recommandent, sans parler de plusieurs États en Afrique ni de ces centaines d’études répertoriées et de tous ces médecins témoignant anonymement qu’ils ont soigné leurs malades avec… succès. »
  • « C’est un geste citoyen et altruiste » :
    • version lapidaire : « c’est une demande de pervers esclavagiste, une idéologie SM qui veut que l’esclave se sacrifie pour satisfaire l’ego de Maîtres égotistes pour une maladie très peu létale et alors que nous avons des traitements » ;
    • version diplomatique : « le vrai geste altruiste et citoyen consiste à ne pas fermer des lits d’hôpitaux, à encourager les traitements qui marchent, à renforcer les systèmes immunitaires de nos aînés avec une réelle politique de santé et non de la maladie ».

La révolte gronde. Faisons en sorte que cela soit l’amorce de quelque chose de grand, la France n’étant pas un pays comme les autres ayant cherché à articuler « liberté égalité fraternité » au lieu de les opposer comme tant d’autres pays.




La chute du Dr Peter Daszak, évincé de l’enquête sur la pandémie diligentée par l’ONU

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Peter Daszak
EcoHealthAlliance]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis le début de la pandémie de Sars-CoV2, le revue médicale The Lancet, jadis réputée comme sérieuse, s’illustre dans des publications très douteuses. 

En mai 2020, le monde entier découvrait avec stupéfaction l’étude sur l’hydroxychloroquine. Et suite à l’énorme scandale de cette affaire désormais appelée « Lancet Gate » et aux critiques des scientifiques du monde entier, la revue avait été forcée de retirer son étude qualifiée de frauduleuse.

Cependant, quelques mois plus tôt, en février 2020, la revue médicale britannique s’était déjà tristement illustrée en publiant une lettre cosignée par 27 scientifiques réunis par le médecin britannique Peter Daszak dans laquelle la théorie de la fuite du laboratoire de Wuhan était réfutée.

Dans la lettre, on pouvait lire ces mots :

« Nous sommes solidaires pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas d’origine naturelle » ou encore « les théories du complot ne font que créer de la peur, des rumeurs et des préjugés qui mettent en péril notre collaboration mondiale dans la lutte contre ce virus ». Quiconque doutait de la version officielle était traité de complotiste, nouvelle insulte à la mode qui a permis pendant des mois de ne pas ouvrir officiellement le débat, disqualifiant au passage les plus grands scientifiques comme le Professeur Luc Montagner, qui avait osé affirmer le contraire en analysant le génome du virus qui ne pouvait pas selon lui être d’origine naturelle.

Mais les faits sont têtus, et 18 mois après que le virus a été détecté à Wuhan et depuis la publication des emails d’Antony Fauci, la thèse de l’origine du laboratoire désormais dominante n’est plus considérée comme une théorie conspirationniste.

En revenant sur le profil du Dr Daszak, on apprend qu’il est le président de l’EcoHealth Alliance, une organisation basée aux Etats-Unis et financée par l’Institut Antony Fauci. On découvre également qu’il entretient des relations étroites avec le chef du laboratoire de Virologie de Wuhan (WIV), le Dr Shi Zhengli dont il a financé des recherches sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.

Depuis quelques jours, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus est accusé de conflits d’intérêts avec l’Institut de virologie de Wuhan. Devant les soupçons qui pèsent sur lui, il a été évincé de l’enquête du journal The Lancet, soutenue par l’ONU, enquêtant sur les origines du virus.

Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier mais finit toujours par triompher.

Auteur(s): FranceSoir




L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale

Par Gérard Delépine

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Elle ferait de plus courir des risques politiques insensés à notre démocratie.

Le covid a quasiment disparu du pays même si nos gouvernants et les médias le cachent

D’après l’OMS et OurWorldinData, le nombre de nouvelles contaminations journalières est en chute libre en France depuis avril 2021. Depuis trois semaines, ce nombre ne dépasse pas 2000 par jour, soit une incidence quotidienne de 0,000 03.

À titre de comparaison, la Grande-Bretagne en est à 20 000 cas quotidiens malgré sa couverture vaccinale élevée et ses confinements récents.

Alors pourquoi le gouvernement veut-il prolonger la loi d’urgence prétendument sanitaire pour une épidémie disparue ?

La stratégie du tout vaccin sans traitement précoce est un échec cuisant

Le gouvernement et les médias tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant la « quatrième vague ».

Celle-ci n’est qu’un mauvais scénario catastrophe issu d’une nouvelle modélisation dont les précédentes se sont toujours révélées fausses et ont été le prétexte des mesures liberticides (confinement, interdiction de traitements précoces) qui ont fortement aggravé la mortalité globale.

Elles nous ont placés dans le peloton de tête des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants, comme les autres grands pays qui ont confiné à l’aveugle et, pour certains, interdit à leurs médecins de traiter précocement les malades.

[Ndlr : la Biélorussie (Belarus sur le schéma) n’a pratiqué aucune mesure sanitaire obligatoire et a beaucoup moins de morts par millions d’habitants et en absolu que la plupart des autres pays d’Europe. Voir ici ou ici, articles qui présentent très négativement ce pays (et son président élu, alors que son choix sanitaire est visiblement le meilleur).]

Le cuisant échec de la stratégie de la peur et du tout vaccin adoptée jusqu’ici devrait faire réfléchir nos politiques et les inciter à une approche plus démocratique, qui s’est révélée nettement plus efficace dans d’autres pays.

Les pseudo vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta

La grippe, autre virus à ARN, nous a appris depuis longtemps qu’il se présente un nouveau virus chaque année, avec pour corollaire l’inefficacité au moins relative du vaccin de l’année précédente.

Il en va de même du Covid ; les variants émergent et se développent parce qu’ils sont résistants aux injections pseudo vaccinales en cours.

Les covidistes prétendent que la vaccination serait la meilleure prévention contre le variant delta alors que l’expérience des pays les plus vaccinés démontre le contraire.

Les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta ainsi que l’atteste la reprise actuelle de l’épidémie en Grande-Bretagne et en Israël champions de l’Astra Zeneca et du Pfizer.

En Israël, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement brutal des contaminations et de la mortalité quotidiennes pendant les mois de janvier et février 2021 qui ont établi les records mensuels de cas et de morts.

Puis après une accalmie de deux mois et malgré un taux élevé de couverture vaccinale,(([1] avec 57,2 % de la population complètement vaccinée (le 2 juillet 2021)) une reprise de l’épidémie avec le variant delta est apparue.

Pfizer et les autorités sanitaires responsables de la campagne du traitement Pfizer prétendent que l’injection anti-covid serait efficace contre le variant delta, mais ne fournissent aucune donnée brute le démontrant ni aucune explication crédible à la progression exponentielle de la maladie chez les vaccinés.

Car l’inefficacité du traitement génique Pfizer est confirmée par l’ancien directeur général de la santé israélienne qui a déclaré que « 40 à 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.(([2] La rédaction : Israël est un pays « hyper » vacciné et il subit aussi le variant Delta. À quoi sert la vaccination ? Nice Matin le 05/07/2021))»

Même cinétique d’échec en Grande-Bretagne.

Après l’hécatombe post-injection qui a emporté en trois mois autant de victimes que pendant les dix mois précédents est apparue une accalmie de 2 mois qui a fait croire que le traitement préventif aurait été efficace.

Mais en réalité les injections géniques n’ont abouti qu’à précipiter l’émergence du variant delta dont l’incidence augmente de manière exponentielle depuis fin mai.

Et la gravité de l’infection à variant delta paraît même augmentée par la pseudo-vaccination puisque le risque de mourir des « vaccinés » est le triple de celui des non injectés démentant la fadaise constamment répétée d’une moindre gravité après l’injection expérimentale anti-covid.

L’échec patent des pseudo vaccins géniques dans ces deux pays champions de cette stratégie prouve de manière indiscutable que les injections géniques actuelles sont incapables de limiter la transmission du variant delta.

On ne comprend donc pas que des chercheurs de l’Institut Pasteur comme Olivier Schwartz puissent prétendre que l’injection « resterait toutefois très efficace face au variant indien », avec « une efficacité légèrement diminuée, d’après les tests en laboratoire, le vaccin Pfizer est probablement protecteur ».

Comment un traitement inefficace sur la transmission de la maladie dans les pays les plus vaccinés pourrait-il être efficace en France ?

L’obligation d’injection anti-covid des soignants n’aurait donc aucune efficacité de protection des contacts des soignants

Les injections géniques actuelles ne sont pas des vaccins pastoriens

Un vaccin selon Pasteur contient des antigènes (un microbe tué ou atténué, ou le plus souvent un simple fragment de celui-ci) destinés à susciter une réaction immunitaire marquée par la création d’anticorps en quantité suffisante pour prévenir la maladie cible.

Les pseudo vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais des ARN messagers créés par génie génétique. Leurs fabricants les présentent comme des vaccins pour bénéficier frauduleusement de la bonne réputation des vrais vaccins en France, et tromper leurs clients par un marketing habile d’après la vaccination antidiphtérique ou contre la fièvre jaune (contenant un virus atténué, mais vivant), laissant croire qu’on est totalement protégé contre la maladie covid.

Ce n’est pas le cas avec les injections anti-covid actuelles dont l’efficacité réelle en population est très faible, et sans rapport avec les mensonges publicitaires colossaux (85 % à 95 % !) que répètent les communiqués des fabricants et leurs complices. Et ce n’est pas l’injection de plus prônée par les laboratoires et le Premier ministre (la 3e !) chez les personnes à faible réponse immunitaire qui changera grand-chose (sauf les bénéfices de Big Pharma).

La protection des soignants et des personnes fragiles peut être assurée par les traitements précoces

L’Inde est un pays gigantesque et pauvre avec un système hospitalier encore plus délabré que le nôtre. Elle a vaincu la première vague en traitant préventivement son personnel soignant et les contacts des malades avec la chloroquine. Au 1er janvier 2021, elle comptait neuf fois moins de morts par millions d’habitants que la France.

En janvier 2021, elle a commencé la vaccination et abandonné dans certains états les traitements précoces systématiques.

Deux mois plus tard, elle a affronté une forte poussée de cas et de morts qui n’a été contrôlée qu’après la reprise généralisée de traitements précoces par chloroquine/Ivermectine.

Au 10 juillet 2021, elle compte 5,5 fois moins de morts par millions d’habitants que la France (312 vs 1690).

Les traitements précoces constituent donc une solution beaucoup plus efficace que l’injection génique.

Pour l’abandon de la politique tyrannique fondée sur la peur

La politique autoritaire de restrictions des libertés et l’inefficacité de la stratégie Covid19 par la peur et les obligations scientifiquement infondées font courir des risques insensés à notre démocratie.

Jusqu’ici, les Français ont été remarquablement patients. Ils ont supporté des restrictions de liberté inefficaces sans beaucoup de réactions, anesthésiés par l’argent déversé du « quoiqu’il en coûte », la propagande terrorisante omniprésente des médias chapitrés par l’Élysée et la censure féroce des opposants. Comme le décrivait La Boétie(([3] La Boétie « Discours de la servitude volontaire »)):

« Le peuple a repoussé la liberté et pris le joug ».

Mais les mensonges permanents du ministère de la Santé et les très mauvais résultats de sa politique prétendument sanitaire les réveillent peu à peu. La poursuite d’une politique totalitaire avec la continuation de l’état d’urgence et des restrictions inutiles maintenant démasquées crée une situation d’incompréhension de plus en plus forte entre le peuple et ses représentants officiels expliquant en grande partie l’abstention record aux élections.

Le professeur Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique l’ont clairement exprimé(([4] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet www.thelancet.com/public-health Vol 6 April 2021
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)):

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et basées sur un confinement généralisé… Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’attirante pour de nombreux scientifiques et une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant d’être légalement responsables de réponses nationales lentes ou indécise.

« Les populations ont été jusqu’à présent relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact du confinement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire étant encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale… Fondamentalement, la nouvelle approche devrait être fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles… ».

Pourquoi n’est-il pas écouté et a-t-il comme le pr Raoult un discours fluctuant ?

Dans l’Histoire, que nos gouvernants devraient méditer, le régime des tyrans ne dura nulle part très longtemps et ne persista que tant qu’il a eu l’appui du peuple. Au tyran demandé par la foule, succèdent le désenchantement, puis la colère, car au fur et à mesure que la tyrannie devient moins utile, elle se fait de plus en plus oppressive. Ainsi s’explique la fin sanglante de nombreux tyrans tels que Alexandre tyran de Phères, Néron, Caligula, Vitellius, Gallère empereurs romains, Louis XVI, Mussolini, Trujillo, Kadhafi, Saddam Hussein…

La dérive de plus en plus totalitaire d’un gouvernement qui abuse d’une loi d’urgence sans aucune justification réelle, qui accroît la propagande permanente, la censure, multiplie les menaces et les intimidations contre les opposants et les mensonges quotidiens fracture un peu plus le pays, fait courir des risques politiques insensés à notre démocratie, au peuple et à ses dirigeants.

Conclusions

Une obligation pour un médicament qui n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale médicamenteuse d’ARN (dont les résultats avérés en Grande-Bretagne et Israël sont franchement mauvais, dont notre ministre reconnaît qu’ils ne sont capables de prévenir ni la maladie ni sa transmission) serait non seulement médicalement inutile, et totalement illogique (si vous croyez que ce traitement vous protège, vous n’avez aucune raison d’avoir peur des autres), mais serait de plus illégale, car contraire à la convention d’Oviedo. D’ailleurs, aucun pays au monde ne l’a imposée.

Non à l’obligation des pseudo vaccins covid des soignants comme du reste de la population ! Un traitement expérimental ne peut être administré qu’à des volontaires loyalement informés.

Préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 :

« Il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »





Devant la menace de démantèlement de l’IHU Raoult a donc cédé

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : L’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) de Marseille (GILLES BADER / MAXPPP)]

Dans un entretien très récent Didier Raoult avait annoncé très explicitement (6 juillet, à 0.55) qu’il est question pour l’IRSEM de démanteler l’I.H.U (l’organisme a démenti sur le champ bien entendu) afin d’empêcher la constitution d’un pôle de prudence et de vérité comme le demandait d’ailleurs il y a quelques mois le professeur Caumes (avant de se rétracter bien sûr et vouloir piquer jusqu’aux enfants déjà affaiblis par le confinement comme l’indique la professeure Martine Duclos) on voit donc que cette Secte H.A! (hygiéniste-affairiste) est prête à tout casser (la “déconstruction” en temps réel) pour arriver à ses fins. C’est évidemment ignoble, minable, dangereux.

Ignoble, car au lieu de laisser les médecins prescrire des traitements ayant des centaines d’études positives derrière eux maintenant (et surtout des millions de personnes guéries au contraire de ce que prétendent les faux vérificateurs à la solde de la Secte), ces scientistes démiurges, assoiffés de puissance par définition, persistent et signent, balayant toute idée alternative (comme l’indique pourtant l’ISERM dans ce schéma en 3.3) qui remettrait en cause leur stratégie hygiéniste-affairiste disproportionnée par rapport à la menace réelle de cette syndémie très peu létale en réalité pour la très grande majorité des… malades (surtout s’ils sont soignés de manière précoce). Ne parlons pas des… 7 milliards d’humains guère touchés par elle en comparaison à d’autres maladies dites “chroniques”, en réalité très mal soignées (car seule l’approche allopathique est privilégiée) et qui causent, elles, des millions de morts.

Minable, puisqu’ils sont obligés de détruire toute opposition avec leur rouleau compresseur alors qu’ils se targuent de faire de la pédagogie et de la persuasion, mais leur impatience est telle que même leurs coupe-jarrets montrent leurs dagues de façon de plus en plus évidente, comme il a été vu avec tous ces seconds couteaux venant harceler, menacer, enfin assaillir ceux qui refusent d’être les cobayes de cet “essai clinique” toujours en cours (malgré les dires fallacieux du “ministre” français de la Santé).

Dangereux: au lieu de tout faire pour renforcer les fonctions immunitaires par diverses méthodes bien connues des naturopathes (dont les vitamines D et C aux effets secondaires bien moindres que ceux de ces injections, bien sûr, dont en plus on ne connaît pas les effets à plus long terme…) l’on voit un 1er Ministre déclamer qu’en raison de leur “affaiblissement” il faudrait une “troisième dose” (officiellement pour les “personnes vulnérables”, alors que nous avons des traitements aussi pour elles), comme s’il s’agissait en fait de remplacer à terme nos fonctions immunitaires par l’artifice génique ou le cyborg en perspective.

Mais en croyant battre en retraite (alors que pour ses ennemis il se rend (tel Vercingétorix) avec armes et bagages), Didier Raoult pense certes pouvoir limiter les dégâts, sauf qu’il les renforce. Car forts de cette victoire, ses ennemis voudront aussi sa tête (celle de Jean-Baptiste). C’est ainsi. Jamais des ennemis de cette trempe (un nihilisme de très haut degré) ne feront quartier. Aucune clémence n’est à attendre venant d’eux, tant les enjeux sont immenses. Aussi, cet éminent chercheur et médecin pourrait encore dévoiler le pot aux roses plus explicitement. Ce n’est pas trop tard et cela aurait même plus de force, d’ailleurs, afin qu’un vaste front de résistance puisse se constituer et passer enfin à l’offensive en créant par exemple une association d’amis de l’IHU qui prendrait rapidement des décisions (comme créer une chaîne d’alerte lorsque les menaces de l’IRSEM deviendront réalité) avant de former un cordon humain 24 heures sur 24 autour des bâtiments de l’IHU, ce Fort Alamo, cet Alésia en apparence, cette Angleterre sous le feu en 40 en réalité, et qui sut tenir et ensuite contre-attaquer victorieusement, n’en déplaise à certains [Ndlr : grâce aux Américains et au sacrifice des Russes. Quel est l’équivalent de ces derniers, de nos jours ? Existe-t-il encore beaucoup d’êtres humains, surtout en Occident, capables de se sacrifier, d’abandonner leur confort (matériel, intellectuel, moral…) et leur illusoire sécurité pour sauver ne serait-ce que leur nation, à défaut de l’Humanité ? Car oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus. Nous le sommes contre les ennemis de l’Humain. Une guerre aux proportions épiques, aux dimensions bibliques].




Le professeur Didier Raoult est-il vraiment un dissident des autorités et mesures sanitaires ?

[Source : Conscience du peuple]

[Photo : Le professeur Didier Raoult
au déjeuner, en l’honneur du professeur D.Raoult, du Chinese Business Club
à l’hôtel L’InterContinental Paris le Grand à Paris, France, le 8 juillet 2021.
© Coadic Guirec/Bestimage]

Et si l’hydroxychloroquine était l’arbre qui cache la forêt…

Le professeur Didier Raoult n’a qu’une épine dans le pied, une seule… 


[Source : La Minute de Ricardo]






Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
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Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Covid-19, vaccins expérimentaux, stratégie vaccinale : entretien avec Christian Vélot

[Source : mediapart.fr]

1) Bonjour Christian Vélot, pouvez-vous vous présenter rapidement pour mes lecteurs ? Quelle est votre formation, votre statut professionnel et votre domaine de compétence scientifique ? Avez-vous par ailleurs des conflits d’intérêts quels qu’ils soient ?

C.V. — Titulaire d’un doctorat de Sciences biologiques et médicales, je suis maître de conférences à l’Université Paris-Saclay, et plus précisément sur le centre scientifique d’Orsay où je dirige une équipe de recherche. Mon domaine de compétence est celui de la génétique moléculaire, et donc des biotechnologies et de leurs produits. C’est à ce titre que je m’intéresse notamment aux vaccins, et en particulier aux vaccins de dernière génération, dits vaccins génétiques, qui sont issus des biotechnologies. Je n’ai aucun conflit d’intérêt.

2) Vous êtes également président du Conseil scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie génétique (CRIIGEN), dans lequel j’ai retrouvé aussi plusieurs personnalités bien connues du monde de la recherche scientifique et de la réflexion sur l’éthique dans les sciences de la vie, telles que Jacques Testart (directeur de recherche honoraire à l’INSERM) et Pierre-Henri Gouyon (professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle, signataire de ma tribune collective de septembre 2020 intitulée « Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur »). Il s’agit d’une association créée en 1999 et qui s’est faite connaître notamment dans sa critique des produits du génie génétique (OGM) et des substances qui leurs sont liées telles que les pesticides et les perturbateurs endocriniens, eu égard aux effets de ces techniques sur la santé, en particulier le développement de certaines maladies chroniques que vous considérez être de véritables pathologies environnementales. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces techniques, ces pathologies et leurs évolutions ?

C.V. — Les OGM agricoles sont, dans leur très grande majorité, conçus pour accumuler un ou plusieurs pesticide(s) dans leurs cellules. Il s’agit soit de plantes génétiquement modifiées pour produire un ou plusieurs insecticide(s) afin de lutter contre un ou des insecte(s) dont elles sont la cible, soit des plantes dont la modification génétique leur permet de tolérer un ou plusieurs herbicide(s), soit encore des plantes qui cumulent les deux propriétés. Ces plantes accumulent donc un ou plusieurs insecticide(s) qu’elles produisent, ou un ou plusieurs herbicide(s) qu’elles absorbent sans en mourir, lesquels vont alors se retrouver dans la chaine alimentaire. S’intéresser à la question des OGM agricoles et notamment à leur sécurité sanitaire et environnementale implique donc de s’intéresser de près à celle des pesticides. Or la plupart des pesticides sont des agents cancérigènes/mutagènes/reprotoxiques (CMR), ou des perturbateurs endocriniens (PE), responsables de nombreuses maladies dites chroniques ou environnementales qui ont explosé à travers le monde ces dernières décennies : cancers, maladies cardiovasculaires, troubles neuro-développementaux, obésité, diabète de type 2…

3) Les vaccins contre la Covid-19 qui sont commercialisés partout dans le monde depuis plusieurs mois utilisent pour beaucoup d’entre eux ces techniques de génie génétique et ne correspondent plus au principe des vaccins qu’on dira alors « classiques », les vaccins à virus inactivés que nous avons tous connus depuis notre enfance, ceux de Pasteur en quelque sorte. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit et les différences entre ces multiples vaccins ?

C.V. — Permettez-moi tout d’abord de repréciser ce que sont les virus. Il s’agit d’agents infectieux comprenant une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d’un grand nombre d’exemplaires d’une protéine virale (la protéine de la capside), et renfermant le matériel génétique du virus qui est soit de l’ADN soit de l’ARN (pour les notions d’ADN, ARN et protéine, voir la Figure 1 de ce texte). De nombreux virus sont en plus entourés d’une enveloppe qui est constituée d’une bicouche de graisse (lipides) dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une autre protéine : la protéine de surface du virus (voir la Figure 2 de ce texte). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n’en possédant pas sont les virus nus. Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé dont le matériel génétique est de l’ARN. Sa protéine de surface (enchâssée dans son enveloppe) est la fameuse protéine « Spike ».

Les vaccins actuellement disponibles dans le monde, ou sur le point de l’être, pour lutter contre la Covid-19 peuvent se classer en trois catégories : les vaccins inactivés, les vaccins à protéine recombinante et les vaccins génétiques.

Les vaccins inactivés consistent à injecter le virus entier mais préalablement inactivé (par la chaleur ou par un traitement chimique au formaldéhyde). C’est le cas par exemple des vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, mais également du vaccin développé par l’entreprise de biotechnologies française Valneva.

Les vaccins dits « à protéine recombinante » consistent à injecter non pas le virus entier mais une protéine du virus (en général sa protéine de surface), laquelle a alors été produite en laboratoire par des cellules cultivées à grande échelle et dans lesquelles a été préalablement introduit le gène viral détenant le secret de fabrication de cette protéine. Ces cellules prennent alors le gène viral à leur propre compte, le décodent et fabriquent la protéine virale (l’antigène) qui est ensuite purifiée, associée à divers adjuvants puis injectée aux personnes à vacciner. La protéine virale en question est qualifiée de « protéine recombinante » car elle est produite par des cellules qui ne sont pas celles qui la fabriquent naturellement. C’est le cas du vaccin développé par l’entreprise américaine Novavax et qui consiste donc à injecter la protéine Spike du virus Sars-Cov2 responsable de la Covid-19. C’est aussi le cas du vaccin cubain (Soberna02), et des candidats vaccins développés par l’entreprise américaine United Biomedical-COVAXX (UB-612) et par l’entreprise française Ose Immunotherapeutics (CoVepiT) mais sous des déclinaisons différentes :  dans ces trois derniers cas, ce qui est produit et injecté (ou destiné à l’être) n’est pas la protéine Spike entière mais seulement un ou plusieurs fragments de cette protéine éventuellement fusionné(s) à une autre protéine (ou des fragments d’autres protéines) servant en quelque sorte de « présentoir » du ou des antigène(s) de Sars-Cov2.

Enfin, les vaccins génétiques consistent à injecter non plus le virus entier ou tout ou partie d’une protéine du virus, mais une partie de son matériel génétique détenant le secret de fabrication de la protéine de surface. Dans le cas de Sars-Cov2, il s’agit donc soit de la portion de l’ARN viral codant la protéine Spike et emprisonnée dans une nanoparticule de graisse, soit d’une copie ADN de cette portion d’ARN viral, insérée dans l’ADN d’un autre virus (adénovirus) utilisé comme « véhicule » (vecteur) pour délivrer ce matériel génétique dans les cellules de la personne à vacciner. Le virus vecteur est donc un virus génétiquement modifié qui a été rendu inoffensif (on dit qu’il a été « désarmé ») par suppression d’une partie de son propre matériel génétique (ADN), laquelle a été remplacée par la copie ADN de l’ARN viral de Sars-Cov2 codant Spike. Le principe de ces vaccins génétiques est donc de faire fabriquer l’antigène (ici la protéine Spike) directement par nos propres cellules. C’est bien sûr le cas des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna (vaccins à ARN emprisonné dans une nanoparticule de graisse) et des vaccins d’AstraZeneca ou Johnson & Johnson (vaccins à ADN utilisant un adénovirus comme vecteur).

4) En décembre 2020, vous avez rédigé un rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/), qui a donné lieu à une polémique avec Alain Fischer, professeur de médecine au Collège de France et placé par le gouvernement à la tête d’un « Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale » le 3 décembre. Pouvez-vous nous expliquer les enjeux et le contenu de cette polémique de votre point de vue ?

C.V. — Dans mon rapport d’expertise, j’insiste sur un risque particulier lié aux vaccins génétiques (à ARN ou à ADN) : celui de favoriser l’apparition de virus recombinants. De quoi s’agit-il ? Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et cohabitent dans des mêmes cellules. Ce phénomène est encore plus marqué si les deux génomes viraux en question partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s’appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d’ADN ou d’ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n’est pas réservé à l’ADN ou l’ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l’objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu’elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces échanges entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants », c’est-à-dire dont le génome est constitué de segments provenant des deux virus parentaux (voir la Figure 3 de ce texte).

Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais dès lors qu’on introduit volontairement et chez un très grand nombre d’individus du matériel génétique viral — ici à des fins de vaccination —, il suffit chez ces personnes d’une infection par un seul virus pour que de tels échanges (entre le génome du virus infectant et le matériel génétique vaccinal) se produisent et puissent ainsi donner lieu à des virus recombinants.

Or dans ses réponses à cette note d’expertise, M. Fischer réfute ce risque au prétexte que « l’ARN viral ne peut-être converti en ADN ». Outre le fait que cette allégation est totalement gratuite car il n’est pas du tout exclu que, dans certaines conditions, l’ARN viral de Sars-Cov2 puisse être converti en ADN au sein de nos cellules comme cela a été montré sur des cellules humaines en culture (Zhang et al, 2021), il est absolument impensable que M. Fischer puisse ainsi laisser croire que des évènements de recombinaison entre ARN viraux nécessiteraient une conversion préalable de ceux-ci en ADN. La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Cela a été montré depuis fort longtemps déjà (à partir des années 60) avec le virus de la polio (Ledinko, 1963 ; Cooper, 1968 ; Cooper et al, 1974), les aphtovirus (McCahon et al, 1977 ; McCahon, 1981 ; King et al, 1982), les virus de la maladie de Newcastle et de la grippe (Hirst, 1962), ainsi que les coronavirus (Makino et a, 1986 ; Baric et al, 1990) qui sont d’ailleurs les champions de la recombinaison virale puisque leur taux de recombinaison (dès lors que deux génomes de coronavirus sont en contact) peut aller au delà de 10% (Makino et al, 1986 ; Baric et al, 1990) alors qu’il est en général, pour les autres virus à ARN, de l’ordre de 0,1 à 2% (Lai, 1992).

De plus, les coronavirus sont capables de recombiner avec des virus à ARN d’une autre famille : des évènements de recombinaison ont en effet pu être mis en évidence entre, d’une part, un virus de la grippe et, d’autre part, des coronavirus bovins, murins et un coronavirus humain (Luytjes et al, 1988).

Par ailleurs M. Fischer affirme que « de tels recombinants n’ont jamais été observés avec les vaccins vivants atténués qui délivrent pourtant leur matériel génétique dans les cellules qu’ils infectent ». Les vaccins vivants atténués (qui ne figurent pas parmi les vaccins ou candidats vaccins contre la Covid-19) consistent à injecter le virus entier, non pas inactivé mais affaibli. D’une part, il y a peu de vaccins vivants atténués (ce sont surtout des vaccins inactivés), et ils n’ont jamais été utilisés à une échelle aussi grande qu’est ou sera celle de la vaccination contre la Covid-19.  D’autre part, j’ai le regret d’apprendre au Pr. Fischer qu’une étude publiée en avril 2020 révèle l’apparition d’un virus recombinant (à ARN) de la bursite infectieuse chez le poulet entre une souche infectieuse naturelle et une souche vaccinale atténuée (Wu et al-2020).

Soit M. Fischer ignore tout cela et c’est grave, soit il ment délibérément et c’est… grave.

5) Les vaccins ont deux fonctions potentielles, l’une individuelle (protéger l’individu contre le risque de maladie au cas où il serait contaminé par le virus), l’autre collective (contribuer à la formation d’une immunité collective, ce que le gouvernement présente comme la clef exclusive pour sortir des mesures restrictives de libertés). Commençons par la première, qui pose elle-même plusieurs questions. J’en vois au moins quatre. La première est : quelle est selon vous la nature et le degré de protection individuelle que procurent ces nouveaux vaccins face au risque de développer une maladie après contamination ? Les publications préparées par les industriels pharmaceutiques qui commercialisent ces vaccins parlent de 70 à 90%, voire 95% d’efficacité contre le risque de maladie plus ou moins grave. Est-ce la réalité ou du marketing ?

C.V. — Concernant l’efficacité des vaccins, il faut bien savoir de quoi on parle. D’abord, efficacité contre quoi : forme grave, toutes les formes, contamination ? C’est le plus souvent le flou le plus complet. Pour mesurer directement l’efficacité d’un vaccin anti-Covid, il faudrait inoculer volontairement le virus à un échantillon de personnes, ce qui est bien évidemment totalement exclu pour des raisons éthiques alors qu’il n’existe pas de traitement curatif de la maladie. Ce que mesure l’efficacité d’un vaccin, ce n’est donc pas le risque de développer la maladie ou une de ses formes graves. Dire qu’un vaccin est efficace (par exemple vis-à-vis des formes graves) à 90% ne signifie pas que la population vaccinée est protégée à 90%. Cela ne signifie pas non plus que 90% des personnes vaccinées sont protégées. Ce que mesure l’efficacité annoncée du vaccin, c’est en fait la réduction du risque de développer la maladie en étant vacciné par rapport à la population non vaccinée. Imaginons par exemple que la probabilité de développer une forme grave dans la population non vaccinée soit de 1 pour 1000, alors elle serait de 1 pour 10 000 parmi la population vaccinée (avec un vaccin dont l’efficacité est de 90%). Autrement dit, un vaccin efficace à 90% diminue par 10 la probabilité d’être malade par rapport à la population non vaccinée. Notons enfin que le calcul de l’efficacité d’un vaccin devrait toujours être accompagné de la donnée d’un intervalle de confiance de cette valeur.

Enfin, se pose la question des protocoles ayant permis d’établir ces valeurs d’efficacité annoncées, et notamment des populations concernées. S’agit-il de personnes en bonne santé, de personnes présentant des comorbidités, de jeunes, de personnes âgées, ou d’une moyenne des efficacités sur l’ensemble de ces populations ? On nous gargarise avec des chiffres sans nous apporter la moindre explication et en comptant sur l’imaginaire collectif pour une surinterprétation positive de leur signification.

6) La seconde question concerne à mon sens les populations-cibles de la vaccination et les risques d’effets secondaires. Est-il raisonnable de vacciner toute la population ? N’y a-t-il pas des risques particuliers d’effets secondaires majeurs pour certaines personnes immunodéprimées, cardiques ou encore pour les femmes enceintes ? Quelle est la nature et l’ampleur de ces effets secondaires à votre connaissance ? Pensez-vous qu’ils sont correctement comptabilisés par les centres de pharmacovigilance ?

C.V. — Cette question fait le lien avec celle des protocoles soulignés ci-dessus : quelles sont les populations qui ont été testées dans le cadre de la phase III des essais cliniques ? Étant donné que la durée de cette phase III avant l’autorisation provisoire de mise sur le marché est extrêmement courte, on ne peut compter que sur les données émanant de l’essai grandeur nature que représente la phase de vaccination elle-même. Cela soulève donc la problématique du suivi post-vaccinal. Or, force est de constater que nous ne disposons pas de registres permettant d’assurer ce suivi de façon précise, et population par population (sexe, âge, indice de masse corporelle, comorbidités ou non, personnes allergiques, personnes immunodéprimées, femmes enceintes, etc.). Cela supposerait de devoir remplir un questionnaire très détaillé avant la vaccination, en particulier dans les « vaccinodromes » où les patients sont inconnus des personnels de santé effectuant cette vaccination. Au CRIIGEN, nous sommes particulièrement sensibles à cette question de registres que nous réclamons depuis longtemps pour pouvoir établir, par exemple, d’éventuelles corrélations, région par région, entre l’utilisation de certains pesticides et l’émergence de tel ou tel type de cancers ou autres maladies chroniques. Certes, les corrélations ne sont jamais des preuves mais constituent des pistes qui peuvent alors être creusées afin d’établir la réalité ou non du lien.

Et dans le cas des vaccins anti-Covid-19, la difficulté de cette absence de registre est encore aggravée par le fait que beaucoup de personnes ayant reçu une première injection du vaccin d’AstraZeneca exigent un autre vaccin pour la seconde injection en raison d’importants effets secondaires. Cela complique encore considérablement le suivi. Si on ne peut pas en vouloir aux personnes en question, cela montre une fois de plus qu’on est allé trop vite en autorisant un vaccin sans en apprécier l’ampleur des effets secondaires, au point de ne pas anticiper le refus par les patients de la seconde dose.

7) La troisième question est à mon sens celle de la contagiosité. Après l’argument de la protection individuelle contre le risque de maladie, l’argument central de la vaccination générale est celui au terme duquel il faut se vacciner pour protéger également les autres. Alors, être vacciné empêche-t-il de transmettre le virus lorsqu’on l’a attrapé ? L’IHU de Marseille a déjà signalé que ce n’était pas le cas et qu’ils avaient bien des patients vaccinés qui font ensuite des formes plus ou moins graves de Covid. Qu’en pensez-vous ?

C.V. — De toute évidence, la vaccination qui nous est proposée n’empêche pas la transmission. Non seulement des personnes vaccinées développent la Covid comme cela a effectivement été rapporté par l’IHU, mais l’OMS elle-même recommande que les personnes vaccinées continuent à porter le masque et à appliquer les gestes barrière. Cela signifie que le groupe des vaccinés et le groupe des contaminés se chevauchent, ce qui augmente encore plus le risque de recombinaison virale (entre le virus infectant et le matériel génétique vaccinal) mentionné précédemment.

Par ailleurs, 80% des personnes porteuses du virus étant asymptomatiques, il serait important, afin de limiter ce chevauchement entre contaminés et vaccinés, de faire une détection systématique avant vaccination, ce qui n’est pas le cas. Il serait pourtant facile de mettre ce système en place, notamment dans les « vaccinodromes » avec d’abord un poste de détection rapide (tests antigéniques) puis un poste de vaccination pour celles et ceux qui s’avèrent être négatifs au premier poste.

8) La quatrième question est celle des effets de la vaccination sur la vie des virus. Nous savons que les coronavirus sont des virus qui ont la propriété de pouvoir se recombiner facilement et de créer des variants ou des mutants. L’IHU de Marseille est le premier à en avoir parlé en France, dès la fin de l’été 2020, et à suivre de très près l’évolution de ces variants ou mutants. Mais la vaccination a-t-elle aussi des conséquences sur ces évolutions ?

C.V. — Tout d’abord, permettez-moi une petite clarification : tous les mutants sont des variants mais tous les variants ne sont pas des mutants. Pour « varier », et ainsi échapper au système immunitaire, un virus a deux solutions : muter ou recombiner (l’une n’étant d’ailleurs pas exclusive de l’autre).

Les mutations se produisent au moment de la réplication (recopie) du matériel génétique viral à l’intérieur des cellules infectées. L’enzyme en charge de cette réplication est fournie par le virus et commet un certain nombre d’erreurs (mutations), surtout lorsque le matériel génétique viral est de l’ARN. L’ARN est constitué de l’enchainement de 4 molécules que l’on désigne par leurs initiales respectives, à savoir quatre lettres : A, G, C, U. Il arrive que l’enzyme en charge de la réplication du génome viral mette un G à la place d’un A, un C à la place d’un U, etc. Les variants qui en résultent sont alors des mutants.

L’autre possibilité, pour un virus, de varier est la recombinaison comme expliqué dans ma réponse à la question 4. Les variants qui en résultent sont alors des recombinants.

Si les mutations ou les évènements de recombinaison ont lieu dans la séquence qui code la protéine Spike, cette protéine sera alors modifiée et pourra, le cas échéant, ne plus être reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine d’origine. On parle d’échappement immunitaire.

Contrairement à ce qu’on entend très souvent, les coronavirus mutent peu par rapport à d’autres virus à ARN, et ceci malgré le fait que le génome des coronavirus est plus grand que celui des autres virus à ARN. A titre d’exemples, le génome du VIH (virus du sida) est constitué de 10 000 lettres (A, G, C, U) ; celui de la grippe : 13 500 ; le virus Ebola : 19 000 ; et les coronavirus : 31 000 lettres. En théorie, plus le génome est grand, plus la probabilité de faire des erreurs lors de la recopie est élevée. Les coronavirus échappent à cette règle car l’enzyme responsable de la réplication de leur génome est dotée d’un système de détection et de correction des erreurs. Cela ne veut pas dire qu’ils ne mutent pas (ce système de détection et de correction n’est pas efficace à 100 %), mais ils mutent peu. En revanche, comme cela a déjà été mentionné en réponse à la question 4, les coronavirus sont les champions de la recombinaison, et c’est le principal mécanisme qui leur permet d’échapper au système immunitaire.

Et comme expliqué précédemment, la vaccination génétique n’est pas neutre sur la capacité de Sars-Cov2 à varier puisque les vaccins génétiques font courir le risque d’augmenter l’apparition de variants par recombinaison (entre le matériel génétique vaccinal et le génome d’un virus infectant). Et cela est vrai pour tous les vaccins génétiques, qu’ils soient à ARN ou à ADN. Dans le cas des vaccins tels que celui d’AstraZeneca utilisant un virus à ADN pour délivrer le matériel génétique vaccinal, celui-ci sera, une fois dans la cellule, converti en ARN (codant la protéine Spike), lequel pourrait bien sûr recombiner avec un virus infectant à ARN de la même manière que quand le matériel génétique vaccinal est directement de l’ARN.

De plus, dans le cas des coronavirus au moins, il s’avère que le mécanisme de recombinaison passe par des portions d’ARN correspondant à une réplication partielle d’un virus parental (Makino et al, 1986). Avec l’ARN vaccinal, on fournit directement une portion d’ARN viral, ce qui représente donc un facteur de facilitation pour ces évènements de recombinaison. Par ailleurs, la recombinaison entre un virus infectant et un fragment seulement du matériel génétique d’un virus apparenté a largement été observée chez les plantes transgéniques dans lesquelles a été volontairement introduit un gène viral, et infectées par un virus apparenté (Lommel and Xiong, 1991 ; Gal et al, 1992 ; Green and Allison, 1994 ; Wintermantel and Schoelz ; 1996 ; Frischmuth and Stanley, 1998 ; Borja et al, 1999 ; Adair and Kearney, 2000 ; Varrelmann et al, 2000 ; Latham and Steinbrecher, 2004).

9) Se pose enfin la question de la stratégie de l’immunité collective. Vous expliquez dans votre dernière vidéo que la vaccination générale en période de pandémie est une erreur stratégique majeure. Pourquoi ? Est-il par ailleurs utile et raisonnable de vacciner massivement les enfants au regard des quatre points que nous venons d’évoquer ?

C.V. — En période de pandémie, par définition, le virus circule. Il y a donc émergence de variants (qu’il s’agisse, de manière générale, de mutants ou de recombinants). Si ceux-ci sont moins virulents que la souche d’origine et tout aussi bien neutralisés par les anticorps, tout va bien. Mais si ces variants échappent à l’immunité acquise (naturelle ou vaccinale) contre la souche d’origine, ils vont pouvoir proliférer et d’autant plus que la souche d’origine est freinée par la vaccination de masse. Le variant a alors la voie libre car la souche d’origine ne peut rentrer en compétition avec lui. Autrement dit, en vaccinant massivement en période de pandémie, on crée une pression de sélection en faveur des variants. En quelque sorte, on crée avec la vaccination de masse vis-à-vis des variants la même situation qu’avec l’utilisation intempestive d’antibiotiques vis-à-vis des bactéries résistantes aux antibiotiques : celles-ci ont la voie libre car toutes les bactéries sensibles sont décimées et ne peuvent donc plus « occuper le terrain » et limiter la prolifération des résistantes.

Par conséquent, en admettant que les vaccins soient sûrs et efficaces, il faut bien sûr vacciner mais seulement une frange de la population (les plus vulnérables vis-à-vis du virus), et surtout pas ceux qui permettent au virus d’origine de circuler sans en être victimes. Or cette population existe — et c’est une aubaine — : ce sont les jeunes. Il est donc stupide de vouloir vacciner les populations non sensibles, et notamment les jeunes, au prétexte que des variants circulent. Il faut faire exactement le contraire. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra jamais les vacciner, mais pas avant que nous soyons définitivement sortis de la pandémie.

C’est la raison pour laquelle, au lieu d’assister à une véritable compétition puérile entre les pays pour savoir qui aura vacciné le plus en un minimum de temps, la vaccination devrait être coordonnée à l’échelle mondiale en définissant, pays par pays, région par région, des pourcentages de personnes à vacciner. Mais pour cela, il faudrait disposer d’une structure qui pourrait, par exemple, s’appeler « Organisation Mondiale de la Santé »…

10) Lorsque l’on met en garde contre le marketing des industriels, en rappelant que leur objectif premier est de gagner un maximum d’argent, on est rapidement taxé de complotisme. La question me semble pourtant majeure. Comment décririez-vous le poids, l’influence et les stratégies de ces industries sur les gouvernements et sur l’OMS aujourd’hui ?

C.V. — Il s’agit de stratégies extrêmement agressives, subies par l’OMS et les états, et dictées par les profits et des visions à court terme. Or le temps que demande la sécurité sanitaire et environnementale est incompatible avec l’urgence des brevets et des profits. C’est vrai dans le domaine des vaccins, c’est vrai également dans celui des OGM, des pesticides et autres perturbateurs endocriniens.

Si leur objectif premier n’était pas le profit, ils auraient renoncé aux brevets et les vaccins seraient, comme ils le devraient, des biens communs. Si dire cela relève du complotisme, alors disons que les industriels qui produisent les vaccins sont des philanthropes…

11) Dans le même ordre d’idées, à votre connaissance, quels sont les liens entre les industries de la génétique, de la recherche sur les OGM (ou leurs nouveaux noms) et l’industrie pharmaceutique ?

C.V. — Ce sont les mêmes. Je me souviens avoir vu un documentaire (dont j’ai malheureusement oublié le titre) où l’on nous montrait, entre autres, un ouvrier victime dans son entreprise d’une intoxication avec un produit de chez Bayer. Un peu plus tard, on le retrouve dans son lit d’hôpital avec une poche de perfusion étiquetée « Bayer »…  Encore du complotisme ?

12) Finalement, on comprend que le projet de vaccination générale présenté comme la solution miracle, ce qui allait nous sauver du danger et nous permettre de « retrouver une vie normale », constitue une idéologie simpliste voire dangereuse. Plusieurs maladies classiques et majeures comme le Sida, le paludisme et la tuberculose n’ont jamais trouvé de vaccin. Que pensez-vous des mesures thérapeutiques alternatives, en particulier les traitements précoces ?

C.V. — On ne peut effectivement que déplorer cette politique qui consiste à mettre tous les œufs dans le même panier, celui des vaccins. Bien sûr que les vaccins peuvent s’avérer être une solution et il ne faut pas le négliger. Mais le problème est que c’est exclusif et au détriment de toute autre stratégie. C’est là encore une erreur ! Si, pour le VIH par exemple, on avait tout misé sur le vaccin, on ne disposerait pas aujourd’hui de la trithérapie qui a largement fait ses preuves.

Face à une telle situation, il ne faut rien négliger et ne se fermer aucune porte. On ne peut que s’interroger face à l’attitude qui a consisté à balayer d’un revers de main les pistes basées sur des molécules connues depuis longtemps telles que l’hydroxychloroquine couplée à l’azythromycine, ou l’ivermectine. On voit bien là qu’il s’agit de choix et décisions bien plus politiques et économiques que sanitaires : des molécules connues et administrées depuis 50 ans deviennent tout d’un coup dangereuse et des vaccins pour lesquels on a aucun recul sont sûrs et sans risque. Sur quelle rationalité scientifique reposent ces choix ? D’autres pistes semblent également totalement ignorées telles que, par exemple, celle du BHT (butylated hydroxytoluene), molécule dont l’efficacité d’inactivation des virus enveloppés est connue depuis longtemps et a fait notamment l’objet d’une publication dans la fameuse revue Science (Snipes et al, 1975).

Les États ont débloqué d’importantes sommes pour les laboratoires travaillant à la mise au point de vaccins au détriment des laboratoires explorant des thérapies (préventives ou curatives) alternatives.

13) Lorsque l’on étudie la mortalité liée à la Covid, on comprend rapidement que ce n’est pas du tout une menace pour l’humanité entière comme le prétendait le directeur général de l’OMS au début de la pandémie, ce qui a effrayé le monde entier. En réalité, la Covid ne tue essentiellement que des personnes extrêmement âgées et/ou des personnes déjà très malades pour d’autres raisons telles que des cancers ou des diabètes et de l’hypertension liées à l’obésité. Cela ne nous ramène-t-il pas à votre point de départ au CRIIGEN ? C’est-à-dire que cette mortalité, qui concerne tout particulièrement les pays occidentaux les plus riches de la planète, n’est pas en fin de compte directement liée voire caractéristique de notre mode de vie ?

C.V. — Dès 2008, l’OMS alertait sur les maladies chroniques qui étaient alors (et ça ne s’est pas arrangé depuis) responsables de 63% des décès dans le monde, soit 36 millions de morts, dont 29% avaient moins de 60 ans. Imaginez un instant si M. Salomon venait tous les soirs nous faire le bilan des morts de maladies chroniques, les chiffres annoncés seraient sans aucune commune mesure avec ceux qui nous ont été annoncés quotidiennement dans le cadre de la Covid-19. Il ne s’agit pas là pour moi d’opposer des morts à d’autres, mais force est de constater que, pour nos instances, tous les morts n’ont pas la même valeur. Et pourtant, Covid-19 et maladies chroniques ne sont pas déconnectées : si toutes les personnes atteintes de maladie chroniques ne sont pas victimes de la Covid-19, la plupart des victimes de la Covid-19 sont elles atteintes de maladies chroniques. En d’autres termes, le virus Sars-Cov2 n’est pas un virus tueur : il porte l’estocade finale à des personnes déjà fragilisées car atteintes de pathologies chroniques : les fameuses « comorbidités »…

Il est donc urgent de s’attaquer de près aux causes des maladies chroniques dont nous savons qu’elles ne sont ni génétiques ni infectieuses. Il n’y a en effet aucune loi de la génétique classique qui permette de rendre compte d’une telle explosion sur des temps aussi courts (à travers un nombre très faible de générations), tout comme il est clair que dans la grande majorité des cas, ces pathologies ne sont pas dues à un agent infectieux (virus ou bactérie). Non, nous le savons, la cause est environnementale : cette recrudescence de maladies chroniques s’explique notamment pas les nombreuses pollutions chimiques, et en particulier les pesticides et autre perturbateurs endocriniens omniprésents dans l’air qu’on respire, dans notre habitation, dans notre alimentation. La Covid-19 n’est que le révélateur de cette autre pandémie silencieuse contre laquelle aucune disposition forte n’est pourtant prise, ni à l’échelle nationale, ni à l’échelle mondiale.

Se prémunir de la Covid-19 aujourd’hui ou d’une autre maladie infectieuse demain passe par la lutte contre les pollutions chimiques. Or, c’est malheureusement toute la stratégie contraire à laquelle nous assistons. Nous étions déjà (dans le « monde d’avant ») obsédés par l’hygiène pasteurienne, au détriment de l’hygiène chimique. Cet épisode de la Covid-19 n’aura fait que décupler l’obsession du postillon et de la poignée de porte et nous désintéresser encore un peu plus de tous les poisons qui nous entourent. Mieux, cette pandémie est un prétexte et la porte ouverte à de plus grandes contaminations chimiques : on désinfecte à tout va, les tables, les sièges, les plans de travail, les portes, les rues et même les plages (!!) sans se préoccuper de la composition des produits utilisés et de leur dissémination dans nos intérieurs et dans l’environnement.

Vouloir résoudre la question de la Covid-19 sans s’attaquer à ce problème de santé globale n’est que vernis sur des ongles sales. Aujourd’hui, c’est la Covid-19, demain ce sera une autre maladie virale ou bactérienne mais les victimes seront toujours les mêmes : celles des maladies environnementales.

On nous a souvent parlé à propos de la Covid-19 du « monde d’après ». Or force est de constater qu’on ne tire aucune leçon de cet épisode. Oui, Il y aura bien un « monde d’après » : il sera pour l’essentiel comme le « monde d’avant », mais après… et pire !

14) Votre analyse critique est aujourd’hui presque inaudible dans le débat public. Vos vidéos YouTube ont été victimes de censure. Vous êtes quasiment absent dans l’ensemble des médias, ce qui n’a pas toujours été le cas. Je présume que d’aucuns n’ont pas tardé à vous cataloguer en « complotiste » afin de mieux écarter vos arguments (c’est l’argument favori des défenseurs de la doxa). Pouvez-vous nous raconter un peu ce mépris et cette censure tels que vous les avez vécus ces derniers mois ?

C.V. — J’ai déjà connu la censure, en particulier dans le monde scientifique, notamment autour de la question des OGM. Mais je dois avouer que, là, ça dépasse l’entendement. Que l’on ne soit pas d’accord en science, ce n’est pas grave et c’est même sain. La contradiction est ce qui fait respirer la démocratie, et on en a besoin en science comme ailleurs. On devrait pouvoir se mettre autour de la table et discuter, sans invectives, et prendre en considération tous les avis. En science c’est la culture du dissensus qui doit prévaloir, et non la recherche du consensus à tout prix. L’histoire des sciences nous a souvent montré qu’être seul à défendre une thèse n’est pas synonyme d’avoir tort. Le seul tort de ces scientifiques souvent isolés est d’avoir eu raison trop tôt. Mais là encore, on en tire aucune leçon. Et face au manque d’arguments à opposer, on a recours à l’éviction, à la censure, orchestrée ou relayée par l’essentiel des médias qui n’hésitent pas à déformer les propos desdits scientifiques ou médecins afin qu’on puisse aisément leur coller l’étiquette d’antivax ou de complotistes.

Par exemple, dans un article de l’Express du 6 janvier dernier intitulé « Vaccins modifiant notre génome, itinéraire d’une fake news », les deux auteurs me font dire que « l’ARN des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna pourrait s’insérer dans notre génome et nous transformer en OGM »Or c’est un mensonge, je n’ai jamais dit que l’ARN pouvait s’intégrer dans l’ADN et donc dans nos chromosomes : je dis même clairement, tant dans ma note d’expertise que dans la vidéo didactique que j’ai faite en décembre 2020, que ce n’est pas possible (sauf, éventuellement, s’il était préalablement converti en ADN, comme mentionné en réponse à la question 4). Quant au lien avec les OGM, c’est également une totale déformation de mes propos. Ma note d’expertise s’intitule « Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM », ce qui n’a évidemment rien à voir avec le fait de nous transformer en OGM. Les vaccins génétiques à ARN (Pfizer-BioNtech et Moderna) ou à ADN (AstraZeneca, Sputnik V, ou Johnson& Johnson) sont effectivement des vaccins s’appuyant sur les biotechnologies (ou technologies OGM). Dans le premier cas, l’ARN vaccinal correspondant à la partie du matériel génétique de Sars-Cov2 codant la protéine Spike, est un ARN de synthèse modifié pour augmenter sa stabilité, optimiser la production de la protéine Spike dans les cellules humaines, et optimiser l’immunogénicité de cette protéine. Dans le second cas, le vecteur utilisé pour délivrer le matériel génétique vaccinal dans les cellules de la personne à vacciner est bien un virus (adénovirus) génétiquement modifié comme je l’ai expliqué dans la réponse à la question 3. Et c’est bien pour cela que la directive européenne 2001/18 qui légifère les OGM a été modifiée en août dernier par le règlement européen 2020/1043 dont les articles 2 et 3 permettent à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes, et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement prévues pour les OGM.

Et la plupart des autres organes de presse de répéter bêtement et aveuglément à l’unisson les inepties de leurs confrère et consœur de l’Express sans même prendre le soin de mener la moindre enquête et de vérifier les sources, ni même de me contacter. Tous ces prétendus journalistes se comportent comme un troupeau de brebis effrayées : la première (ceux de l’Express) sort de l’enclos tête baissée à travers le grillage en piétinant tout sur son passage, et toutes les autres empruntent le même chemin alors que la porte de l’enclos est grande ouverte. Et je m’excuse auprès des brebis pour cette métaphore. Ces prétendus journalistes sont au journalisme ce que Gérard Depardieu est à la diététique. Nous sommes dans une dictature de la pensée et cela m’inquiète beaucoup plus que la Covid-19.Recommandé (24)




Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation

Par Lucien Samir Oulahbib

Ah ! La Secte HA! (Hygiéniste-Affairiste) — le point d’exclamation exprime le fait qu’elle accentue en permanence et avec frénésie paranoïaque sa hargne (séculaire, en fait) contre toute objection ou critique considérée par elle comme un complot ou une hérésie provenant, au 21e siècle, d’« antivax » et autres « anti-éoliennes ».

Elle VEUT (comme au temps de l’Inquisition et des procès totalitaires passés présents et à venir) que sa propagande pseudo-médicale et environnementale se déploie sans accroc par la méthode bien connue en manipulation psychologique de « punition-récompense » (carotte : liberté conditionnelle d’aller et venir, boire, manger, se chauffer. Bâton : menace d’obligations et de coupures en agitant quelques figurines grecques, comme dans La Caverne de Platon : Delta, Gamma…) alors que cette pratique d’ingénierie sociale (cataloguée d’« altruiste », mais oui : les c… osent tout…) reste non seulement toujours illégale pour des substances ayant une AMM conditionnelle (il faut 15 ANS pour l’obtenir « normalement »), mais surtout illégitime puisque nous avons les traitements qu’il faut (mais oui) pour cette syndémie peu létale hors maladies chroniques liées justement à un contexte donné de co-morbidités et de maltraitance sanitaire (d’où le préfixe « syn » comme dans synchronie).

La Secte HA! déploie donc sa Milice d’aboyeurs traitant les gens, simplement prudents et désireux de mesures proportionnées, de personnes « incurables » (dixit Enthoven, Lilliputien osant se réclamer de Montaigne) qu’il s’agit dans ce cas d’éliminer en prochaine étape s’il n’est pas possible de piquer de force ces « racailles » (dixit Onfray) et autres « passagers clandestins » (selon un éditorial du « journal » Le Monde) puisque « nous perdons patience » clame une autre fausse féministe désireuse de se faire un nom aussi dans ce secteur somme toute pas si éloigné de la toute puissante technologie Trans (PMA pour qui veut, GPA, Trans/es divers-es) ou comment bien manipuler la technologie scientifique à des fins de plus en plus délirantes. Les masques tombent (tout en étant exigés pour préserver les apparences de cette duperie).

Mais comment éliminer les « incurables »? Surtout s’ils sont taxés de « nocifs » (c’est « à cause d’eux » que…). Déjà, en les tuant médiatiquement : un contre dix, s’ils sont éventuellement « invités » dans quelques rares émissions alibis, tout en leur assénant sur des plateaux menés au fouet par des Miliciens HA! (Naulleau, par exemple) des contre-vérités avec de faux chiffres, puisque les taux d’incidence, par exemple, sont calculés sur des tests (surévalués en plus) et non sur des malades effectifs, tandis que les personnes en « réa » expriment seulement le fait qu’elles n’ont pas été soignées de manière précoce parce que l’on ne laisse pas les médecins prescrire des médicaments qui ont été mis précisément à l’index, car autrement toute l’expérimentation actuelle tomberait à l’eau (phase 3.3 d’une AMM) ; sans parler d’une mise en « réa » hâtive (il existe plusieurs paliers : observation, soins intensifs, réa…) et d’un manque drastique de lits (refus d’une synergie entre public et privé comme on l’a vu il y a dix-huit mois à Nancy, Strasbourg…).

Ensuite, il s’agit de « les » tuer professionnellement, d’écarter par exemple des médecins non pas à cause de ce qu’ils font, mais de ce qu’ils sont, comme soigner autrement que par du paracétamol (qui a un taux d’effets secondaires supérieur à celui de l’hydroxychloroquine) ou alors parce qu’ils ont eu cent pour cent de résultats (zéro morts, très peu d’hospitalisés lorsque c’est pris de façon précoce) : « je ne pouvais pas les laisser mourir » écrivit l’un d’entre eux alors que les miliciens activaient le bûcher médiatique pour le brûler à « bas bruit »….

Enfin, il faut sur le plan académique (afin de faire taire les savants byzantins regardant de haut tout ce raffut « humain trop humain ») peaufiner le faux dogme de l’exhaustivité statistique (battue en brèche par Russel et Whitehead dans les années 1910-1913) ou son contraire – l’exponentielle inductive (prolonger indéfiniment des courbes ascendantes ce qui est illogique comme le démontre actuellement sur un exemple donné Vincent Pavan ou encore Pierre de « décoder l’éco » également ici sur FranceSoir) – en considérant d’une part qu’il faudrait d’abord tout connaître sur cette maladie avant de la soigner (pourtant cette précaution n’est pas prise dans les actuelles injonctions d’injections expérimentales) et ensuite penser qu’il serait possible de « l’éradiquer » comme s’il s’agissait d’une maladie à haute mortalité…

De plus, ces deux (pseudo) arguments ne tiennent pas en pratique médicale : il faut en effet soigner, et tout de suite, comme dans une médecine de guerre (ne nous avait-on pas dit pourtant : « nous sommes en guerre » ?) et donc employer des moyens qui ont fait empiriquement leurs preuves comme l’ont proposé certains médecins intègres et s’appuyant aujourd’hui sur des centaines d’études et des milliers de gens guéris.

On le voit, la Secte HA! n’a que faire de la réalité, de la vérité, surtout empirique (pour eux le réel doit être simulé : effacé puis restauré autrement comme l’a démontré Jean Baudrillard). Il est pourtant dommage que face à une telle déferlante, parmi les amis de la liberté, de la tolérance, de la justice, de l’égalité et de la fraternité, bref de ce qui fait d’un « nous » une « nation », certains divisent, condamnent, montrent du doigt, comme le fait un Richard Boutry dans un rassemblement en attaquant le directeur de FranceSoir parce que celui-ci ne le suivrait pas dans sa prochaine aventure médiatique (à partir de 1 h 50). C’est bien regrettable, alors que devant l’ennemi les rangs doivent tenir et que les dissensions d’ordre tactique doivent être écartées, du moins si l’on ne veut pas servir de cheval de Troie…

Car l’offensive de la Secte HA! ne fait que commencer, se donnant comme objectif, on le sait maintenant de mieux en mieux, ce « Grand Reset » qui modélise le monde humain et sa chair en autant de cibles marketing, ce qui est là une déviation de l’esprit dit « libre » qui avait pour objet, par exemple chez Descartes, Pascal, mais aussi Locke comme Rousseau et Kant, de permettre que chacun puisse acquérir des connaissances et soit à même de vivre en pratique cette liberté qui se nourrit d’altérité et non pas d’uniformité (aujourd’hui la théorie du « sans » ou du « trans »), car c’est en se confrontant au contraire de la Liberté, à savoir la Limite, que l’on arrive à se forger un visage (et aussi décanter ami et ennemi…).

Par exemple le Visage de la France… Ne laissons pas des infâmes en effacer la trame au lieu de l’enrichir (alors que les milliers d’années passées nous « contemplent »).

Il est également dommage que Didier Raoult soit obligé de se sacrifier pour sauver la casse de l’IHU, selon certaines sources [par exemple : RT en français], en se ralliant à l’idée de piquer les soignants avec une substance expérimentale. S’il avait pu résister, une chaîne humaine se serait constituée pour protéger l’institut. Un véritable combattant est tombé. Saluons son sacrifice.




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

Auteur(s): FranceSoir

L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

  1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
  2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
  3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
    • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
    • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
    • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
    • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
  4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
    • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
    • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
    • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
    • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
    • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
  5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
  6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
  7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

Accusation principale de complot contre les accusés

La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

  • i) créé de fausses données.
  • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
  • iii) distordu des faits importants.
  • iv) créé un narratif et un complot.
  • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
  • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
  • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
  • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
  • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
  • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
  • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
  • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
  • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
  • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
  • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
  • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

La peine minimale dans ce cas sera :

a) la peine de mort
et
b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

www.indianbarassociation.in

Auteur(s): FranceSoir




Doit-on avoir peur des variants, nouveaux croquemitaines du lobby de la peur ?

Par Gérard Delépine

Le Covid a quitté la France depuis avril 2021, comme d’ailleurs les autres pays européens, sauf la Grande-Bretagne où la vaccination a entraîné l’apparition d’un nouveau variant avec lequel le gouvernement essaie de nous terroriser.

Les covidterroristes et leur politique d’emprise par la peur

Les Covid terroristes sont inquiets : sans peur, ils ne pourront plus imposer des mesures liberticides. Alors ils inventent des simulations terrifiantes : la nouvelle vague (ce n’est qu’un scénario de film catastrophe créé par ordinateur) et une foule de variants en les affublant de tous les qualificatifs pouvant entretenir la panique et promouvoir les pseudo vaccins.

Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a développé le plan terreur actuel(([1] ce lundi matin 5 juillet sur France Inter)):

« le variant Delta gagne du terrain très rapidement ». « Il double presque chaque semaine, on est aujourd’hui à plus de 30 % des contaminations. » Sa capacité à supplanter les autres variants pour devenir majoritaire dans les prochaines semaines ne fait plus de doute. « Une quatrième vague fin juillet est une possibilité.L’exemple anglais montre qu’une vague est possible dès la fin juillet”. Il faut continuer à se faire vacciner » « Le seul moyen d’empêcher une aggravation de la situation sanitaire est d’avoir recours à la vaccination. »

Benoît Elleboode, très proche de Véran qui l’a récemment promu directeur de l’agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine, renchérissait :

« Toute personne non vaccinée sera contaminée par le variant Delta… une personne non vaccinée et contaminée par le variant Delta pouvait contaminer six personnes en moyenne, contre une seule si le malade est entièrement vacciné »

Mais curieusement, alors que le gouvernement passait jadis son temps à nous imposer chaque jour le nombre quotidien de cas et de morts, il ne donne plus aucun chiffre absolu. Et il oublie de préciser que ce variant, beaucoup moins mortifère que la souche initiale, peut être contrôlé par les traitements précoces.

L’épidémie en France est au plus bas et ne justifie aucune inquiétude

Depuis avril 2021, l’épidémie quitte le pays dans presque tous les pays européens. D’après l’OMS, en 1 jour (le 1/11/2020) la France avait comptabilisé 69 998 cas ; la semaine dernière la moyenne quotidienne de nouveau cas était inférieure à 2000. Et actuellement aucun élément objectif n’indique que la tendance puisse s’inverser.

Le réseau Sentinelle qui rapporte les données de la médecine de ville confirme la quasi-disparition de l’épidémie : « en semaine 25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-vus en consultation de médecine générale a été estimé à 0,3 cas pour 100 000, ce qui représente pour l’ensemble de la France 170 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer ».

Alors pourquoi le gouvernement cache-t-il ces chiffres rassurants ? Pourquoi continue-t-il à propager la peur avec des variants dont le variant delta vedette actuel est certes plus contagieux, mais encore moins mortifère que le précédent.

Le variant delta, plus contagieux, n’est le plus souvent qu’un gros rhume

Les virus à ARN comme le coronavirus ou la grippe se transforment souvent pour s’adapter aux modifications de leurs environnements. Nous savons tous que chaque année nous sommes confrontés à un virus grippal nouveau qui a pris le dessus pour sa résistance au vaccin de l’année précédente. Le coronavirus n’échappe pas à la règle habituelle de l’évolution : plus il mute, plus il devient résistant au vaccin en cours, plus contagieux et moins mortifère.

Lorsque le représentant du gouvernement tente d’affoler la population en faisant croire que le variant delta observé dans les Landes nous submergerait et nous tuerait tous. Il a « oublié » de préciser le nombre absolu de cas recensés et de rappeler sa bénignité habituelle. D’après Santé Publique France dans le département des Landes sur la période du 27 juin au 3 juillet, le taux d’incidence était de 49,8 cas pour 100 000 habitants, soit un total d’environ 200 cas (et en baisse par rapport à la semaine précédente). On sonne le tocsin pour 200 cas d’un virus très peu mortifère !

Car si ce variant est effectivement plus contagieux, il est très peu chez les dangereux chez les non-vaccinés. Un gros rhume ! En Grande-Bretagne, où il prédomine depuis 6 semaines et où le nombre de contaminations quotidiennes atteint les records de février dernier, le nombre d’hospitalisations et la mortalité quotidienne n’augmentent pas sensiblement chez les non-vaccinés.

En France, les deux morts du variant delta de l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour étaient vaccinés, d’après le directeur départemental de l’ARS.(([2] Lou Bourdy, Variant Delta dans les Landes : un deuxième mort dans l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour France Bleu Gascogne.27 juin 2021))

L’aggravation de l’infection à variant delta par la vaccination est confirmée par un rapport officiel récent(([3] Public Health England SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 1725 June 2021)) montrant que les Anglais vaccinés, contaminés par ce variant, sont exposés à un risque vital trois fois supérieur à celui des non-vaccinés ! Ce sur risque traduit très vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants comme dans la catastrophe/scandale sanitaire récente du Dengvaxia aux Philippines.(([4] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/analyse-d-une-catastrophe-217699)) Il est très regrettable que ce phénomène paradoxal ne semble pas avoir suscité pour l’instant des recherches qui pourraient permettre de l’éviter.

Les responsables anglais de la vaccination prétendent que la très faible mortalité actuelle serait due à la vaccination, en oubliant que les autres pays européens ont bénéficié aussi d’une chute drastique de la mortalité dès février, mars ou avril 2021, bien avant que le pourcentage de population vaccinée atteigne les 10 %.

Chiffres que même les mercenaires de la désinformation(([5] M.Bounafaa, S. Terragno : Vrai ou Fake : les vaccins sont-ils efficaces contre le variant Delta ? France info 02/07/2021)) n’ont pas pu contester ; ils ont dû se contorsionner en reconnaissant « en même temps » que le vaccin n’est pas efficace à 100 % et en prétendant (comme l’EMA le 1 juillet), que deux doses de vaccin anti-Covid-19 « semblent » protéger contre le très contagieux variant Delta, sans citer aucune étude scientifique qui le confirmerait, mais seulement des communiqués du fabricant et alors que l’épidémie à variant delta qui flambe chez les Anglais, pourtant très vaccinés, démontre le contraire.

Heureusement, il n’y a pas de raison de s’en inquiéter. Outre que ce variant delta est naturellement peu mortifère chez les non-vaccinés, il est de plus remarquablement sensible à l’Ivermectine et à la chloroquine ainsi que la démontré l’Inde qui a jugulé la poussée épidémique post vaccinale de ce variant avec ces traitements.

L’apparition de ce variant delta ne doit pas inquiéter. Il incite à ne pas se faire vacciner (pour ne pas aggraver son risque vital) et à se faire traiter dès les premiers signes cliniques par exemple selon le protocole de la Task Force Covid indienne.

Les covidterroristes ont plus d’un variant effrayant à leur arc. L’OMS a déjà répertorié plus d’une dizaine de variants dont l’alpha, le bêta, le gamma, le delta, le zêta, l’êta, le thêta, le Kappa (et ses 4 sous variants), le lambda (et ses deux sous-variants) et l’epsilon. À ce rythme, l’alphabet grec ne va pas longtemps suffire. Heureusement que les alphabets cyrillique, hindou, persan, arabe recèlent de nombreuses lettres utilisables.

L’invention de la menace « quatrième vague » par une boule de cristal

Nous avons été astreints à domicile en mars 2020 sur la seule foi d’une prédiction apocalyptique totalement fausse issue du rapport 9 de l’Imperial College et de Neil Ferguson, sacré grand devin officiel de l’OMS par Bill Gates.

Sa prophétie fausse a été prise pour parole d’évangile et a justifié l’astreinte à domicile de la population saine avec les malades (confinement aveugle) alors que les mesures classiques qui ont fait leurs preuves pour contrôler les épidémies ont toujours consisté à la séparation des malades et des personnes saines.

Ce sont les élèves français(([6] et en particulier le mathématicien Simon Cauchemez, chef de service de modélisation de l’institut Pasteur)) de ce mage dangereux qui, depuis le début de l’épidémie, se gargarisent de leurs prédictions fausses et veulent, tous les deux mois, nous enfermer, nous empêcher de vivre, de nous rencontrer, de travailler, d’enseigner nos enfants et nos étudiants et édictent des mesures dictatoriales prétendument sanitaires, dont aucune n’a pu apporter la moindre preuve scientifique d’utilité. Leurs dégâts médicaux par retard de soins et dégradation psychique, et leurs conséquences scolaires, universitaires, sociales et économiques se sont avérés et considérables.

La quatrième vague est la dernière invention du modèle mathématique faux dont les prédictions se sont toujours révélées erronées et qui nous ont coûté si cher.

Il serait temps que notre stratégie anticovid soit enfin basée sur les faits avérés et sur l’expérience des médecins de terrain qui savent qu’une maladie infectieuse doit être traitée le plus tôt possible. Qu’on s’inspire des stratégies des pays dont les résultats sont bien meilleurs que les nôtres, plutôt que sur des élucubrations parfois fortement biaisées par des liens d’intérêt.(([7] Beaucoup de membres du comité prétendument scientifique sont liés aux firmes fabricant des vaccins et le but principal de la privation de nos libertés est de nous obliger à nous faire injecter des prétendus vaccins. Mr Cauchemez est salarié de l’Institut Pasteur qui n’existe que par les vaccins…))

Le bon moyen de stopper le Covid, s’il revenait, est de le traiter précocement

L’Inde est parvenue à stopper la vague post-vaccinale de covid19 par la prescription précoce de chloroquine et/ou d’Ivermectine. La comparaison des évolutions indienne et britannique est éloquente.

Le bon moyen de limiter la mortalité est de traiter précocement

La Grande-Bretagne, et la France ont suivi à la lettre les recommandations de Ferguson et de l’OMS, limitant leur stratégie aux confinements et à la vaccination. L’Inde, au contraire, a surtout centré sa stratégie sur l’utilisation précoce et/ou préventive de traitements anciens et bon marché repositionnés. Au 8 juillet 2021, l’Inde pleure 296 morts/million d’habitants contre 1923 en Grande-Bretagne et 1661/M en France.

Conclusions

Il ne faut pas avoir peur des variants et des vagues à venir que les Covids terroristes agitent pour continuer à nous gouverner par la peur.

Le Covid traité précocement se comporte comme une mauvaise grippe. Ne nous précipitons pas sur des pseudo vaccins expérimentaux qui exposent à de nombreuses complications, déclenchent des pics d’épidémie et de mortalité sans donner une protection individuelle fiable, ni empêcher les transmissions virales, ni les récidives de l’épidémie.

Aux premiers signes cliniques du Covid, exigeons les traitements qui ont fait leurs preuves en Inde.





Pourquoi la Secte aurait-elle suscité la panique sinon pour asservir aujourd’hui ?

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : JOHANNES EISELE / AFP]

Comme il est de plus en plus probable maintenant d’entériner la « manip » faite sur ce virus et surtout le fait qu’il vienne d’un labo P4 installé en Chine communiste, il faut distinguer dans l’analyse deux hypothèses :

  • celle qu’il ait été volontairement distribué via diverses cérémonies sportives et militaires ;
  • celle qu’il soit issu d’un « accident » (ce qui aurait alors suscité la panique des dirigeants communistes, car ne sachant pas comment ce » gain de fonction » pourrait être létal — ce qui aurait été cependant le but recherché, selon la première hypothèse).

L’idée première fut de « confiner » en attendant mieux, en particulier : les traitements précoces (la première étude sur l’hydroxychloroquine fut chinoise) ; et ce que les dirigeants ont appelé par la suite « vaccin » (qui n’a cependant pas été exporté). La Secte qui nous gouverne (scientiste-hygiéniste et affairiste adepte du « Trans ») apprenant cet « accident » se mit alors en mode panique et suivit sa frange communiste chinoise dans cette pratique archaïque appelée « confinement ».

Mais les partisans de la première hypothèse (l’accident volontaire) peuvent rétorquer que cette « panique » a pu être simulée de la même façon que l’apparente décontraction du Président français disant qu’il fallait continuer à aller au théâtre. Pratiquement au même moment, sa ministre de la santé entérinait le fait de classer l’hydroxychloroquine comme substance vénéneuse (débutée en novembre au moment même de la diffusion officielle du virus via les cérémonies), faisant fi des études chinoises et françaises qui s’amorçaient (elle aurait pu suspendre le classement de cet antiviral comme toxique dangereux). Et le nouveau ministre de la Santé l’interdisait carrément quelques mois plus tard (ainsi que tout autre médicament), suite à une étude frauduleuse retirée depuis, mais jamais attaquée juridiquement jusqu’à présent (juillet 2021) par les autorités concernées dont il a toujours la charge. Il tolère cependant, mais au compte-gouttes que les médecins puissent prescrire, laissant « en même temps » à certaines officines le soin de les poursuivre dans une contradiction somme toute peu gênante selon la doctrine de la Secte (les contradictions n’ont pas à être dépassées ou résolues, mais « gérées » — j’ai étudié cela dans Éthique et épistémologie du nihilisme, les meurtriers du Sens, et dans divers articles sur « le néo-léninisme contemporain »).

Ce « concours de circonstances » fait cependant de plus en plus peser la balance du côté de l’intention volontaire et de la simulation généralisée (panique au-dehors, mais la vie continue en privé y compris dans les restaurants et les bordels chics). Mais dans quel but ?… Et puis les partisans de la seconde hypothèse (« l’accident » opportuniste) peuvent ne pas lâcher prise en avançant que le problème n’est pas là, mais plutôt dans sa manipulation affairiste (les traitements géniques en lieu et place de combinaisons efficaces entre antiviraux et antibiotiques articulés à diverses prises de vitamines C et D) et aussi sa manipulation politique comme cette « opportunité » dite du « Grand Reset ». Celle-ci permet aux adeptes du tout numérique et de l’écologisme frugal d’imposer leur furie idéologique grâce à l’arrêt de l’économie « non essentielle » et des transports, au nom d’un nouveau paganisme qui déifie la Terre et aussi d’une Volonté infinie capable de soumettre la vie à la moindre torsion du préfixe « Trans » fonctionnant alors comme prémisse onto/eschato/téléo/logique sacrée : trans/ition éco/logique/nomos/sexuel/identité, humanisme, animal, etc.

Les partisans du caractère volontaire de « l’accident » n’en démordent cependant pas : il s’agirait de réduire la population mondiale de 7 milliards à environ 500 000 « trans » en faisant en sorte que l’essai clinique actuel (appelé pompeusement « vaccin ») fabrique suffisamment de « variants » mortellement fulgurants de type Ebola.

Qu’en penser ? Comment trancher ?…

Pour l’instant concernant l’analyse il semble bien que l’hypothèse de « l’accident » volontaire pèse plus dans la balance que le côté involontaire, d’autant que cela ne nuit pas au fait que ladite opportunité du Grand Reset peut fort bien être pensée comme étant le réel but à atteindre.

Néanmoins, il semble bien que ce dernier point pèse plus dans l’analyse en dernier ressort que la mise à mort de milliards d’individus du moins au vu des faits à disposition : en effet la maladie reste peu létale et les « variants » n’entament pas (pour l’instant, juillet 2021) cette caractéristique objective du moins lorsque les chiffres ne sont pas biaisés.

Aussi convient-il d’admettre, du moins pour le moment (juillet 2021), que la balance des faits penche plutôt vers l’accident simulé en vue de réorienter drastiquement le cours du monde vers le « Trans » (affairiste) que vers la seule hypothèse d’exterminer les trois quarts de l’humanité.

Ce qui ne veut pas dire cependant que cette dernière possibilité ne fasse pas de manière indirecte, douce, via une implosion, un « suicide », d’aucuns disant, par exemple, que les civilisations s’effondrent lorsqu’elles n’arrivent plus à « gérer » la somme des contradictions laissées à l’abandon, tant l’élite est de plus en plus occupée à se vautrer dans le narcissisme et le nombrilisme (« après moi le déluge »). Ceux-ci sont amplifiés aujourd’hui dans ses caprices cristallisés en idées fixes par la médiatisation névrotique de l’égotisme parfois sulfureux (pédocriminalité), mais voilés dans l’altruisme forcené (obligatoire, disproportionné, donc esclavagiste) ce qui est le comble de l’hypocrisie, disait Pascal, car à force de simuler l’ange on donne prise à la Bête.




Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




Covid-19 et traitements : nous sommes en guerre, en effet

[Source : mediapart.fr]

Par Enzo Lolo

L’essentiel se passe sous les radars médiatiques, mais la bataille déjà évoquée se poursuit et fait rage. L’ivermectine n’en est certainement pas le seul enjeu, mais elle est l’un des plus faciles à observer si on s’en donne la peine.

Partout dans le monde, il se trouve des « partisans » de l’ivermectine, qui y voient un traitement efficace et sans risque, susceptible de réduire rapidement la gravité de la pandémie de Covid-19, et des « détracteurs », qui s’opposent à la prescription d’ivermectine, avançant que son efficacité n’est pas prouvée, voire que la molécule est peut-être dangereuse.

L’affrontement prend des proportions inhabituelles et se déroule sur des terrains pour le moins étonnants, qui dépassent largement le cadre habituel du débat scientifique.

Arguments scientifiques

Parmi les partisans, les principaux arguments en faveur de l’ivermectine sont tirés de la littérature scientifique : une soixantaine d’essais cliniques, dont une trentaine d’essais contrôlés randomisés ont été menés dans le monde (avec des résultats systématiquement meilleurs dans les groupes traités à l’ivermectine), puis une dizaine de méta-analyses menées à partir desdits essais (comme celles de Kory et al. ou de Bryant et al. publiées dans l’American Journal of Therapeutics), concluant à une efficacité importante de l’ivermectine en traitement préventif ou précoce, avec un niveau de certitude « modéré » (ce qui est le cas pour de nombreux médicaments recommandés par les agences de santé publique.)

Ils se réfèrent également à diverses études épidémiologiques, qui indiquent une évolution favorable de l’épidémie partout où l’ivermectine a été largement prescrite.

Ils s’appuient également sur le très bon profil de sécurité de l’ivermectine, souligné par l’OMS dans le passé, qui les conduit à conclure que, même en cas de doute sur l’efficacité de la molécule contre le Covid-19, la balance bénéfice/risque ne peut qu’être favorable, et que dans ce cas il serait moins risqué de la prescrire que de s’abstenir.

Les partisans de l’ivermectine comptent parmi eux des chercheurs et des médecins du monde entier, dont plusieurs groupes de scientifiques (FLCCC aux USA, BIRD au Royaume-Uni, Association Médicale de Tokyo…)

Les détracteurs, de leur côté, soulignent que plusieurs des essais cliniques sur l’ivermectine sont fragiles dans leur méthodologie, et que la plupart d’entre eux n’ont pas atteint une significativité statistique. Un argument souvent évoqué est que lors d’études in vitro, les concentrations d’ivermectine utilisées n’étaient pas reproductibles dans le corps humain.

Les détracteurs comptent dans leurs rangs des poids lourds, tels que l’OMS et la plupart des agences de santé publique (FDA et NIH aux États-Unis, EMA en Europe, ANSM en France, etc.), qui déconseillent l’utilisation de l’ivermectine contre le Covid-19.

Ces dernières s’appuient elles-mêmes notamment sur un essai clinique publié dans le prestigieux JAMA (controversé, comme on l’a évoqué plus tôt), mais aussi sur un communiqué des laboratoires Merck, qui met en doute la sécurité de l’ivermectine — sans toutefois présenter aucune référence scientifique à l’appui.

Un débat faussé

S’il est normal qu’un débat scientifique ait lieu, la façon dont ce débat se déroule n’est pas sereine, et s’éloigne singulièrement des méthodes habituelles du débat scientifique.

D’une façon inédite, la censure est entrée en jeu : assimilant tout discours favorable à l’ivermectine à de la désinformation potentiellement dangereuse, les grands réseaux sociaux sociaux suppriment les contributions, y compris si elles émanent de scientifiques. Ainsi, YouTube, qui a explicitement interdit d’exprimer que l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine sont efficaces contre le Covid-19 (Fig.1), supprime de nombreuses vidéos dans lesquelles des scientifiques font état des résultats de leurs travaux sur l’ivermectine. C’est ce qui est arrivé au Dr Pierre Kory et à l’enregistrement de son témoignage devant le Sénat américain, mais aussi à la chaîne « Dark Horse Podcast » de Bret Weinstein, dont tout le compte a été supprimé par YouTube après la mise en ligne d’entretiens menés avec Pierre Kory puis avec le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm.

Fig.1 — Extrait des conditions d’utilisation de YouTube (capture d’écran du 29 juin 2021) © YouTube

Twitter, appliquant le même genre de règles, a également appliqué des suspensions provisoires aux comptes de Pierre Kory, du Dr Peter McCullough, mais aussi à celui de la Sécurité Sociale de plusieurs états du Mexique, comme le Quintana Roo (Fig.2).

Fig.2 — Compte Twitter de l’IMSS du Quintana Roo (capture d’écran du 30 mai 2021) © Twitter

Autre indice de la tension autour des informations concernant l’ivermectine : en France, le Dr Gérard Maudrux, dont le blog détaille les éléments scientifiques et juridiques en faveur du traitement précoce, en répondant point par point aux arguments contraires, est poursuivi par l’Ordre des Médecins.

L’Inde au tribunal

En Inde, où lors de l’envolée épidémique de mars-avril 2021 l’ivermectine a été incluse dans les recommandations du Ministère de la Santé comme traitement précoce du Covid-19 (première publication le 23 avril 2021), la guerre a pris une autre forme : alors que la plupart des états qui composent l’Inde se conformaient à la recommandation du Ministère national de la santé, et qu’une partie des médecins y prescrivaient l’ivermectine dès les premiers symptômes de Covid-19, Mme Soumya Swaminathan, cheffe scientifique de l’OMS et de nationalité indienne, tweetait que l’ivermectine était déconseillée. Un état au moins, le Tamil Nadu, est alors revenu sur ses recommandations : alors qu’il avait publié le 11 mai des recommandations incluant l’ivermectine en traitement précoce, il a modifié ses recommandations le 13 mai, en en retirant tout traitement précoce.

La bataille sourde se joue jusqu’au sein du Ministère indien de la Santé, dont les différents services s’opposent sur la question des traitements précoces. Si les instances scientifiques du Ministère, l’AIIMS (Institut des Sciences Médicales de Toute l’Inde) et l’ICMR (Conseil Indien de la Recherche Médicale) sont à l’origine des recommandations officielles de traitement précoce incluant l’ivermectine, une troisième instance, la DGHS (Direction Générale des Services de Santé) a rédigé de son propre chef des recommandations alternatives, excluant tout traitement précoce, suscitant des félicitations et une publicité de la part de Mme Swaminathan.

L’Association du Barreau Indien (IBA) a lancé le 26 mai une procédure judiciaire contre Mme Swaminathan, lui reprochant d’avoir sciemment occulté des données scientifiques indiquant l’efficacité de l’ivermectine, dans le but de tromper le peuple indien et de le dissuader d’avoir recours à l’ivermectine pour se soigner. S’appuyant sur l’évolution de l’épidémie en Inde, rapidement favorable dans la plupart des états ayant mis en œuvre des traitements précoces, tandis que la situation se dégradait dans le Tamil Nadu, une deuxième procédure est lancée le 13 juin, toujours contre Mme Swaminathan, mais également contre M. Ghebreyesus, Directeur Général de l’OMS et contre le directeur de la DGHS.

En Malaisie également, une association de consommateurs porte plainte contre le Ministère de la Santé, contestant son refus d’envisager l’ivermectine comme traitement.

L’OMS contestée

Il est à noter que les recommandations de l’OMS sont à la base de nombreuses décisions, à la fois sur le plan de la santé publique, mais aussi sur le plan médiatique. Par exemple, Facebook base l’essentiel de sa communication concernant le Covid-19 sur les positions de l’OMS, présentées comme « la vérité ». C’est sur cette base que Facebook a supprimé, pendant des mois, les publications présentant comme plausible l’hypothèse d’une fuite de laboratoire, et qu’aujourd’hui, les publications relayant des éléments scientifiques en faveur de l’ivermectine (ou contredisant la thèse de l’efficacité et de la sécurité des vaccins) peuvent être supprimées : ce n’est pas conforme à la position de l’OMS, c’est donc, selon Facebook, de la désinformation.

Mais à différents niveaux, les positions de l’OMS sont critiquées. En Inde, outre les actions de l’IBA, on notera qu’un jugement de la Haute Cour de Mumbai a autorisé l’État de Goa à traiter préventivement la population à l’ivermectine, prenant en compte l’argument selon lequel la recommandation de l’OMS de ne pas recourir à l’ivermectine est faussé (flawed).

Diverses voix accusent les responsables de l’OMS de conflits d’intérêts dans leurs décisions défavorables à l’ivermectine.

Dans le cas de Merck, dont le communiqué de presse déjà cité est repris par diverses agences de santé publique, l’intérêt commercial à dénigrer l’ivermectine ne fait pas de doute : le laboratoire vient de vendre au gouvernement états-unien pour 1,2 milliard de dollars de sa nouvelle molécule anti-Covid, le Molnupiravir — encore en cours d’essais — à 700 $ la dose.

D’autres pays ont récemment fait fi des positions de l’OMS : l’Indonésie (4e population du monde après la Chine, l’Inde et les USA) a récemment autorisé la prescription d’ivermectine contre le Covid-19, ainsi que le Zimbabwe.

Silence des médias

Une dimension particulièrement frappante de ce débat et des faits surprenants qui l’accompagnent est que l’immense majorité des médias n’y font aucune allusion. Que ce soit sur les publications scientifiques, sur les conflits juridiques, sur la situation en Inde, sur la censure de réseaux sociaux, presque rien ne filtre dans la presse mainstream.

Il arrive parfois que des médias, comme la télévision bavaroise, en parlent, et — chose étonnante — cela paraît suffisamment remarquable pour faire l’objet d’articles ! De façon plus sensationnelle, aux États-Unis on a vu une journaliste de Fox 24 révéler en direct que sa rédaction l’empêchait de parler d’ivermectine, puis s’expliquer en détail dans une vidéo.

Mais le plus souvent, quand un média important traite le sujet de l’ivermectine, c’est à charge, et sans grand égard pour les données scientifiques, comme on l’a observé pour « Le Monde », et comme TrialSiteNews l’a mis en lumière pour l’agence de presse Australian Associated Press. C’est préoccupant à bien des égards. Tout se passe comme si la quasi-totalité des médias avait considéré qu’une seule hypothèse scientifique était valable (« il n’y a pas de traitement précoce pour le Covid-19 »), et qu’elle était immuable. La presse, dans son ensemble, ne cherche pas à analyser les enjeux de pouvoir et les enjeux financiers liés au Covid-19, et semble avoir balayé, sans l’examiner, l’hypothèse d’une capture réglementaire des instances de décision sanitaire par les laboratoires pharmaceutiques, par exemple.

C’est inquiétant parce que la narration unique soutenue par les grandes agences de santé publique et relayée par les médias (« il n’existe pas de traitement précoce du Covid-19, et notre seule chance de revenir à une situation de liberté est d’administrer à la quasi-totalité de la population les vaccins, qui sont sûrs et efficaces ») exacerbe les divisions dans la population, entre ceux qui considèrent les non-vaccinés comme des dangers publics, et ceux qui, considérant qu’on manque de recul sur les vaccins et qu’il existe des solutions sans risque et moins chères pour réduire l’épidémie, ressentent comme des oppresseurs ceux qui soutiennent la mise en place de procédés de surveillance générale, et des moyens de coercition ou de discrimination à l’égard des non-vaccinés.

C’est enfin inquiétant parce que l’absence de débat médiatique concerne également les vaccins, sur lesquels le débat scientifique est pourtant vif, avec des appels à cesser immédiatement la vaccination des jeunes, et des publications scientifiques comme celle de Walach et al. publiée dans Vaccines, estimant qu’en la connaissance actuelle des données de pharmacovigilance, le nombre de décès causés par les vaccins et celui des décès évités sont du même ordre — sans même prendre en considération l’hypothèse de l’efficacité de traitements précoces ou préventifs. [Màj : la publication a été rétractée par la direction de Vaccines le 02/07/2021.]

Il semble qu’un accord entre médias, la « Trusted News Initiative » (TNI) puisse avoir une part de responsabilité dans les entraves au débat scientifique : partant de la louable intention de combattre les fausses informations susceptibles de mettre des personnes en danger, cet accord conduit à une uniformisation des informations disponibles, et accroît le double risque qu’une information de qualité soit à tort considérée comme fausse, et qu’une théorie erronée soit martelée comme vraie de toutes parts. La TNI regroupe en effet la BBC, Associated Press, l’Agence France Presse, Reuters, Radio-Canada, le Financial Times, The Washington Post, The Hindu, Twitter, Facebook, Microsoft, etc.

Quel processus d’examen scientifique les guide dans leur jugement, pour considérer qu’une information d’ordre scientifique ou médical est vraie ou fausse ? Il serait compréhensible que cet ensemble de médias se fonde sur les positions de l’OMS, mais comment écarter l’hypothèse qu’une « capture » de celle-ci par des intérêts privés, où les conflits d’intérêts de ses responsables puissent conduire l’OMS à adopter des positions moins scientifiques que favorables aux affaires de telle ou telle industrie ? Si tel était le cas — ce que certains observateurs dénoncent déjà, comme on l’a décrit ici —, c’est une part considérable de la presse mondiale qui se ferait, peut-être à son insu, porte-parole d’une désinformation massive et potentiellement criminelle.

Qui mènera l’enquête pour en avoir le cœur net ?




Les « brebis galeuses » répondent à la secte des Covidistes

Par Nicole Delépine

[Source illustration : leparisien.fr]

Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation.

Le journal l’observateur du Maroc et de l’Afrique informe que l’Inde pourrait être le premier pays à poursuivre en justice un scientifique de l’OMS pour avoir déconseillé l’Ivermectine contre le Covid-19. L’association du barreau de l’Inde a entamé une procédure.(([1] 27 JUIN 2021 HAKIM ARIF.
Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA)(([2] IBA-PRESS-RELEASE-MAY-26-2021.pdf (indianbarassociation.in) )) a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS en Inde, l’accusant « d’avoir causé la mort de citoyens indiens, en les trompant sur l’ivermectine. »

Le 10 mai 2021, une scientifique de l’OMS a commis un tweet trompeur contre l’utilisation de l’Ivermectine entraînant, le lendemain, dans l’État du Tamil Nadu le retrait de l’ivermectine du protocole de soins recommandé par le ministère de la Santé qui venait juste de déclarer ce traitement efficace contre Covid-19. Si le Dr Soumya Swaminathan était déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.

L’Inde, avant la vaccination, était, grâce au traitement préventif par chloroquine, un pays efficace dans la gestion de la crise Covid, avec une mortalité douze fois inférieure à celle de la France comme le montre ce graphique comparant la mortalité en France et en Inde.

Mais, avec l’arrivée des vaccins, certains États décidèrent de vacciner leur population et de suspendre les traitements précoces. L’Inde dut brutalement faire face à une augmentation tragique de la mortalité.(([3] Que nous a appris l’Inde sur le traitement du Covid ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
Au total, au 30 janvier 2021 (avant le début de la vaccination) l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants (10 757 710) alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542) soit six fois plus. Elle était un modèle !)) Avec sur toutes les ondes occidentales la description « drame de l’Inde ».

Mais il apparut rapidement que l’explication la plus vraisemblable de cette flambée était la décision de vacciner la population (qui dans certains villages chassa les vaccinateurs à coup de pierres) et surtout l’arrêt brutal des traitements précoces qui avait, jusque-là, protégé ce grand pays.

Une des responsables de cet abandon des traitements préventifs est la représentante de l’OMS en Inde, ce qui lui vaut d’être actuellement dans le collimateur de la Justice.

Invoquer l’autorité ne suffira pas toujours pour se disculper

L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes.

Le mémoire accuse le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.

La montée en puissance de l’Ivermectine antiparasitaire non toxique et efficace

L’ivermectine, médicament bon marché, prescrit comme antiparasitaire a gagné en popularité dans de nombreux pays pour la prévention et le traitement de la Covid-19.

L’OMS et la FDA n’approuvent toujours pas l’ivermectine, car s’ils reconnaissaient un traitement efficace pour le Covid, l’AMM conditionnelle pour les vaccins devrait être suspendue. Histoire de très gros sous à l’échelle mondiale. La guerre menée contre l’hydroxychloroquine recommence avec l’ivermectine.

Mais de nombreux médecins et scientifiques pensent qu’elle est efficace. Certains affirment que les États indiens qui l’ont utilisée ont obtenu de bien meilleurs résultats et beaucoup moins de décès dus à la Covid que les États indiens qui n’ont pas utilisé l’ivermectine.

Dans les régions de Delhi, de l’Uttar Pradesh, de l’Uttarakhand et de Goa, les cas ont chuté respectivement de 98 %, 97 %, 94 % et 86 %. En revanche, dans le Tamil Nadu qui a choisi de ne pas utiliser l’ivermectine, le nombre de cas a explosé et est devenu le plus élevé de l’Inde. Les décès au Tamil Nadu ont été multipliés par dix.

Dans une étude portant sur plus de 4 000 personnes en Inde, plus de 3 000 ont pris de l’Ivermectine préventivement versus 1 000 n’en ont pas pris : 2 % des personnes ayant pris de l’ivermectine ont fait une Covid confirmée par un test PCR versus 11,7 % des personnes n’ayant pas pris d’ivermectine.

Dans l’état d’Uttarakhand, la prescription d’Ivermectine a été suivie très rapidement par la chute des contaminations et quelques jours plus tard par celle de la mortalité.

La justice est difficile à mettre en route, mais pas impossible

L’argument classique des criminels nazis pour récuser leur responsabilité personnelle « je n’ai fait qu’exécuter les ordres » suffira-t-il à la juger « responsable, mais pas coupable » ?

Lorsqu’on rappelle les procès de Nuremberg de 1947 contre les médecins SS ayant fait des expériences en particulier sur les vaccins, on nous rétorque que cela est « dépassé et sans valeur juridique ». Dépassé ? Depuis quand et pourquoi ? En tous cas, des médecins furent pendus ainsi qu’un journaliste considéré comme complice de leurs expériences médicales criminelles en particulier vaccinales.

Quant à la valeur juridique du code de Nuremberg, nié par certains avocats probablement débordés, les conventions régulières de l’Association Médicale Mondiale réunissant les médecins du monde entier ont confirmé la valeur éthique du code de Nuremberg et conforté sa valeur juridique internationale et opposable aux états, lors de la conférence d’Oviedo.(([4] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin antiCovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([5] La Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo). Elle a été signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne. Elle est entrée en vigueur le 1er décembre 1999.))

LA CONVENTION D’OVIEDO EST JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANTE
POUR TOUS LES ÉTATS SIGNATAIRES.

L’exemple médicolégal du vaccin contre la dengue

De fait, plus récemment les médecins et politiques philippins qui ont favorisé une publicité mensongère et organisé une vaste campagne de vaccination contre la dengue, (dengvaxia) à l’origine de nombreux décès d’enfants ont perdu leur poste, ruiné leur carrière et certains sont en procès pénal.(([6] RÈGLEMENTS DE COMPTE AUX PHILIPPINES : responsables poursuivis pour « homicide par imprudence pour avoir facilité l’approbation hâtive du dengvaxia et la mise en place de la campagne scolaire de vaccination »
Les familles manifestent pour obtenir justice, accusent Sanofi d’avoir traité les enfants philippins en cobayes, et accusent les politiques et administratifs de corruption.
Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue – AgoraVox le média citoyen))

L’immunité du pouvoir n’est jamais garantie. Nos politiques, médecins et ministres actuels qui ont, paraît-il, peur des procès ne devraient pas s’exposer aussi imprudemment.

Les vaccins antiCovid n’existent que parce que les dirigeants soumis à Big Pharma nient les traitements précoces et que les médias se soumettent à la doxa officielle

L’absurde situation actuelle en France est incompréhensible, au-delà de l’entêtement du ministre de la Santé refusant de reconnaître les traitements précoces efficaces reconnus dans la moitié du monde, et la complicité agressive de journalistes ou éditorialistes. Des journalistes qui se transforment en propagandistes du pouvoir et qui tancent les réfractaires au pseudovaccin, sans se demander une seconde pourquoi, par exemple, les soignants et maintenant de plus en plus de sportifs de haut niveau refusent cette injection expérimentale qui, compte tenu de leur âge ne peut leur apporter aucun bénéfice.

Les envolées lyriques d’une avocate sur Cnews chez Pascal Praud le 29 juin 2021 laissent pantois. Comment peut-on refuser le vaccin ? crie-t-elle ? Eh bien, Madame, en évaluant objectivement sa balance avantages/risques, sa genèse éclair, ses essais bâclés et même pas terminés, ses composés, ses effets réels, ses conséquences, sans oublier par exemple les 16000 morts et plus décédés en UE depuis le début de la vaccination juste pour avoir fait confiance aux labos, aux ministres, aux médecins et aux médias serviles.

Ce sont les statistiques officielles de l’agence européenne du médicament sur son site réservé aux effets secondaires des médicaments de l’UE : EUDRAVIGILANCE. Si les résultats ne conviennent pas, ils seront traités de complotistes par les « décodeurs » du Monde, France info ou AFP… On s’arrange avec la réalité. MENSONGES et dénis étant les caractéristiques de ces derniers mois tant chez les politiques que chez leurs porte-paroles médiatiques.

En effet, jamais cette dame juriste, plutôt posée quand elle parle procès, son domaine, se transforme en furie quand elle parle vaccin. D’où tire-t-elle ses certitudes, comme tant d’autres éditorialistes incompétents sur ce sujet complexe ? Est-ce la foi dans tout ce qui est appelé vaccin, ou le carriérisme ou l’argent qui la rendent aveugle et l’empêchent d’analyser objectivement les faits, rien que les faits ?

Nous n’avons comme beaucoup, pas cessé de répéter que les vaccins antiCovid ne sont justement pas des vaccins, mais des drogues expérimentales, et qu’utiliser Pasteur comme caution est lui faire injure.

Nous rappelons que ces substances injectées sans précaution à des personnes qui ne peuvent en tirer aucun bénéfice sont en essai thérapeutique, et ce au minimum jusqu’en 2023.

Les soignants avertis sont prudents

Alors comment elle et d’autres peuvent-ils faire grief aux personnels de santé de leur réticence au « vaccin » Covid ? Ceux qu’on applaudissait à vingt heures ne peuvent pas être suspectés d’ignorance, d’égoïsme et traités de complotistes. Ils ont été les premiers à se faire vacciner et beaucoup se sont retrouvés en arrêt de travail sans comprendre, puisqu’on leur avait promis que le « vaccin » était testé, efficace et sans danger. Devant cette épidémie d’arrêts de travail, la HAS avait même dû recommander d’étaler les vaccinations et de ne pas injecter en même temps tout le personnel d’un même service de service, pour ne pas risquer l’arrêt du service.

Nous n’avons pas fait médecine ou choisi d’être infirmières, aides-soignantes, kinésithérapeutes, orthophonistes ou infirmiers auprès des personnes âgées en EHPAD pour servir de cobayes. Qui plus est, inutilement puisque ces drogues expérimentales se sont révélées incapables d’empêcher les transmissions.

Jusqu’à 2019, les étudiants, désireux de se faire un peu d’argent, acceptaient parfois d’être cobayes pour un laboratoire, mais ils étaient volontaires, rémunérés, informés complètement du protocole de l’essai et protégés par des assurances en cas de problème.

Et en 2021, les journalistes, professeurs, etc. osent faire la leçon de morale à ceux qui depuis longtemps et particulièrement depuis la crise Covid subissent humiliations et indifférence.

LES EFFETS SECONDAIRES SE MULTIPLIENT DANS LE SILENCE DES MÉDIAS ET UNE CENSURE FÉROCE
avec L’INTERDICTION FORMELLE AUX SOIGNANTS DE PARLER

Les ambulanciers un peu à l’écart en témoignent : les soignants sont muselés, mais sans muselière. Les professionnels de santé voient actuellement arriver aux urgences nombre de patients vaccinés avec des pathologies vasculaires cérébrales, embolies, infarctus cardiaque ou abdominal. Ils sont interdits de parole, mais les fuites abondent sur ces accidents des vaccins, expliquant à eux seuls le refus bien justifié des personnels de santé à jouer au cobaye.

Pourtant très officiellement les statisticiens de Cambridge indiquent dans The Times que la mortalité (infection fatality rate IFR) ne dépasse pas 0.085 % sur les contaminés du Covid19.

Autrement dit, 99.915 % des personnes contaminées par le coronavirus n’en décèdent pas.

D’autant que l’expérience de l’Inde prouve que ce très minime % peut encore être abaissé si on n’interdit pas les traitements efficaces simples peu chers comme l’Ivermectine.

Alors, pourquoi accepter le risque de complications d’une substance expérimentale, dont l’effet à long terme sur le virus Sars CoV 2 qui mute sans arrêt (en transformant le Covid parfois grave en rhume comme le variant delta qui sert de propagande actuelle au ministre) ? Alors quand Claude Posternak (IFOP) vient dire que 99 % des vaccinés ne décéderont pas du virus, on ne voit pas en quoi cela justifie la prise de risque y compris chez les enfants qui ont zéro risque du Covid, mais meurent parfois du vaccin ou restent paralysés comme cette fille de médecin victime des illusions de ses parents. Même si ces accidents sont rares, est-ce acceptable, la victime étant elle à 100 % de tragédie ?

Les effets secondaires précoces sont bien là et on voit monter régulièrement le nombre des victimes en consultant les bases de données officielles comme EUDRAVIGILANCE pour l’EMA agence européenne du médicament qui récapitule les morts et effets secondaires graves de tous médicaments dont les vaccins Covid pour l’Union européenne. Voir le site VAERS officiel USA pour les effets américains et MHRA pour la Grande — Bretagne.

EUDRAVIGILANCE

Vaccins Covid AU 19 JUIN 2021 :
— 1,5 million d’effets secondaires
— dont 750 000 effets secondaires graves
— dont 15 472 morts !
Pfizer en tête des morts en nombre,
Moderna en % des décès et effets graves.
Le tout largement sous-déclaré.

Pourquoi tant de vanité, d’arrogance, de certitudes et de tant d’incompétence technique ? Le syndrome des « bons opposants »

Comment toutes ces personnes connues ou inconnues, politiques, avocats, artistes, twittos anonymes osent-ils se permettre une opinion tranchée, voire violente, prêchant même la discrimination, pour défendre ces drogues expérimentales dont les premiers résultats n’arriveront qu’en 2023. Ils seront d’ailleurs parcellaires, puisque les fabricants ont décidé de vacciner rapidement le groupe placebo, ce qui nous privera évidemment de l’étude comparative vaccinés-placebo des effets secondaires à moyen et long terme.

Comment par exemple la journaliste Apolline de Malherbe(([7] On se rappelle son Interview du Pr Raoult auquel elle avait demandé s’il voulait la Légion d’honneur. Manque de chance il était déjà officier. Autrefois les journalistes préparaient leurs dossiers. Un autre monde, un monde d’amateurs comme dit fièrement le Président.)) ce 30 juin a-t-elle, semble-t-il, osé traiter les non-vaccinés de « brebis galeuses » ? L’irrespect pour plus de la moitié des auditeurs est incommensurable. Savait-elle que l’Ivermectine qui guérit la grande majorité des patients atteints de Covid est le traitement de la gale ? On espère qu’elle faisait de l’humour noir.

« Non-vaccinés récalcitrants : notre patience a des limites » par Caroline Fourest, le 25/06/2021, Marianne : on apprend ainsi que la médecine s’apprend en moins de 18 mois puisque tous ces journalistes ou commentateurs ont des idées bien arrêtées sur ce qui est bien pour le bon peuple incompétent, les sans dents de Hollande, ou les riens de Macron, et même le personnel soignant aussi ignorant probablement.

Un journaliste de BFM passe les bornes et recueille une volée de bois vert sur les RS : « En 2020, sur la Chine endeuillée, il tenait des propos racistes : « ils enterrent des Pokémons ». Emmanuel Le Chypre, journaliste de BFMTV cette fois, va plus loin :

« On vous vaccinera de force. Je vous ferai amener par deux policiers au centre de vaccination. Parfaitement. Je suis très sérieux… »

« Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut ! »

De quoi je me mêle ! Quelles compétences a-t-il sur sécurité et efficacité des vaccins, sur les contre-indications éventuelles, la balance bénéfices-risques ? Ces propos sont dignes des pires totalitarismes du passé. Sait-il que nous sommes toujours officiellement en démocratie ? Trop, c’est trop ! Des internautes l’ont signalé au CSA « pour atteinte à la dignité humaine ». (J’aurais pu ajouter « incitation à la haine, à la violence et à la ségrégation », dit un twitto.)

Et les pseudo-polémistes de droite joignent leurs imprécations à celles des ayatollahs de gauche et du ministre Véran.

Elisabeth Lévy rédactrice en chef de causeur écrit : « pourtant, que les personnels au contact des malades et des personnes fragiles soient vaccinées relève du bon sens. » Son bon sens à elle, peut-être, mais en tout cas pas les données actuelles de la science, car même O. Veran a reconnu officiellement que le vaccin n’empêchait pas les transmissions.

Plus largement, il n’y a pas assez de Français vaccinés pour atteindre l’immunité collective selon les dealers de vaccin. Mais cet objectif que les épidémiologistes des plateaux télé nous proposent comme un Graal n’a jamais démontré son utilité dans le monde réel pour les vaccins antiCovid actuels.

Les dramatiques échecs de Gibraltar (115 % de vaccinés) qui a vu les cas et la mortalité exploser depuis la vaccination

Et des Seychelles confirment qu’il s’agit d’un mirage publicitaire.

Le gouvernement veut « aller chercher les récalcitrants et les oubliés ». Des médecins de ville demandent la liste de leurs patients non-vaccinés en oubliant que le respect du secret médical constitue l’un des piliers éthiques de l’art médical. Ils attendent l’autorisation de la CNIL. « Ils l’auront », selon Véran. Apparemment, l’indépendance des autorités administratives peut s’incliner devant l’intérêt général.

Même Régis de Castelnau « double vacciné » fait la promo des vax antiCovid sur Sud-Radio SANS PRÉCISER qu’ils sont EXPÉRIMENTAUX. « Ne comprends pas les réticences des Français. Il a lu les rapports #EUDRAvigilance ? Lui aussi cautionne qu’on censure tous les experts vaccinoprudents ? ».(([8] Twitter))

Et Thomas Porcher, l’économiste de gauche veut « rendre la vie difficile aux non-vaccinés » sur les GG sur RMC. Quel mépris pour la population et la démocratie !

Pas un pour racheter l’autre.

Les vrais opposants, n’ont pas ou peu la parole sur les ondes qui les censurent férocement et traitent par ailleurs leur seul espace de liberté, le web, de complotiste. Le tour est-il joué ? Pas vraiment.

Droite, Gauche et les extrêmes, tous ensembles pour la dictature sanitaire qu’ils ont soutenue depuis 18 mois, nous laissant enfermer pour rien, en redemandant parfois plus qu’E Macron n’en imposait.(([9] Comme pour l’ouverture des écoles à laquelle Natacha Polony, Marine Lepen, les France Insoumise entre autres, s’opposaient sans raison scientifique pour le 11 mai 2020 conduisant le ministre à inventer des mesures liberticides à l’école qui ont bousillé l’apprentissage, et le psychisme des enfants.)) Pas de différences, le plan de Soros, Gates, Davos, Merkel et compagnie doit s’accomplir. L’état profond, mondialiste, est bien installé et nos opposants déclarés au Président ne sont en fait que des amis cachés, ce qu’on appelle le bon opposant pour faire croire au peuple, ceux qui ne sont rien, qu’on est en démocratie. Les sans dents sont de moins en moins dupes, l’abstention au cirque des dernières élections de juin en témoigne.

D’où relève le bon sens pour une maladie d’ailleurs disparue du radar du réseau sentinelle ?

En semaine 2021s25 (semaine 25 de l’année 2021), le taux d’incidence des cas d’IRA (insuffisance respiratoire aiguë) dus au SARSCoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 0,3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 170 nouveaux cas pour toute la France en une semaine de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste. Même Pascal Praud sur Cnews le soulignait.

Ce taux continue à diminuer depuis avril 2021.

Le risque vital pour les populations de moins de 65 ans de cette virose est minimal, voire nul en dessous de cinquante ans et il existe depuis le début en mars 2020 des traitements efficaces rapidement comme les antibiotiques macrolides avec zinc et vitamines, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui marche chez les Indiens, les Brésiliens et les Mexicains et pourquoi pas en France, comme dit un internaute.

Pour « éviter la Peste », on vous donnera un chèque de 150 € ou une place gratuite à un concert ou à un match.(([10] Mieux vaut répondre à un sondage rémunéré, moins dangereux a priori : Sondage rémunéré, 150€ de cadeau ! Vous pratiquez une activité artistique (peintures, loisirs créatifs) ?
>> Répondez au sondage : https://bit.ly/3gZY4X8))

Certains organisent la vaccination express à l’entrée d’un match pour obtenir le tampon sur le pass pour avoir le droit d’entrer… Consentement éclairé, souvenir d’un autre monde ? Interdit sur les chaînes continues de parler du code de Nuremberg sans se faire couper… De quoi ont-ils peur ?

Mais si c’est vraiment la peste, vous seriez mort avant d’arriver.

Quel grotesque spectacle donnons-nous à notre jeunesse avec ce théâtre permanent ! Si la secte Covid n’avait pas, à force de matraquages télévisés, privé le peuple de son « bon sens » comme dit E. Lévy, il aurait vite compris la mascarade.

On ne soudoie pas un patient pour lui donner un traitement qui peut le guérir, on ne donne pas encore de sucette ou de cadeau pour qu’un malade réclame sa chimiothérapie. Et rajoutons qu’on ne donne pas de la chimiothérapie préventive à tous les Français au nom des 450000 personnes qui seront touchées dans l’année et des 500 morts par jour du cancer. Une bonne idée, peut-être pour Big Pharma, ses actionnaires et ses adeptes de la secte Covid dans laquelle on pourrait accueillir la secte cancer à fusionner.

La foire aux vaccins

Quelle pression exerce le ministre pour que les journalistes sortent ainsi de leurs gonds, exposant au grand jour l’énorme marché et le marketing extraordinaire pour vendre ces poisons et tous avec le même discours ! Difficile de penser que seul l’argent les motive pour se ridiculiser ainsi en public alors que les morts et handicapés du vaccin s’accumulent.

Pourquoi doit-on offrir des chèques, des cadeaux pour attirer le cobaye, si l’intérêt médical de cette substance était flagrant ?

O. Véran parla de peste… Imaginez-vous nécessaire d’organiser de grands rounds de vaccination, des rappels téléphoniques et des lettres de la sécurité sociale, si la Peste était dans nos villes et que nous enjambions les cadavres pour sortir de notre maison ?

Que penseraient toutes ces personnes, publicitaires sans mesures ni nuances du vaccin, si on se permettait la même chose dans leur domaine de compétences ?

Les éternelles répétitions sur les ondes des affirmations des vendeurs bateleurs, des pseudovaccins ne leur ont pas donné « la connaissance minimale » pour se faire un avis éclairé ! Peu importe, on avale la leçon marketing et on la répète. Les mêmes commentateurs furent infiniment plus réservés pour accepter les conclusions des articles sur l’hydroxychloroquine et l’expérience du virologue internationalement reconnu et de ses collègues de l’IHU de Marseille.

Typique phénomène de secte dont on aura du mal à sortir.





COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR

[Source : ici via profession-gendarme.com]

Par LIUTWIN

Préambule

A priori, tout le monde a aujourd’hui conscience que l’humanité est sur un point d’inflexion. Depuis quelques années, les crises de grande ampleur s’enchaînent : crise sociale, crise politique, crise écologique, crise internationale, crise sanitaire, crise économique, crise bancaire… De plus en plus de personnes se posent des questions sur la direction que prend le monde, sans réussir à mettre de mots sur leur malaise, embrouillés par des réponses contradictoires de notre gouvernement et du Conseil scientifique. À quoi jouent-ils ?

Qui aurait pu imaginer en 2019 qu’on serait tous confinés, qu’il y aurait des couvre-feux, qu’on serait tous obligés de porter un masque, qu’il faudrait une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain, que des policiers armés de fusils d’assauts patrouilleraient dans les parcs et sur les plages pour veiller au respect de ces règles ?

Demandez-vous si on aurait accepté aussi facilement toute cette dictature il y a 5, 10 ou 20 ans et à quoi pourrait bien ressembler le futur au rythme où vont les choses.

Si l’on plonge subitement une grenouille dans de l’eau chaude, elle s’échappe d’un bond ; alors que si on la plonge dans l’eau froide et qu’on porte très progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdit ou s’habitue à la température pour finir ébouillantée.”

Fable de la grenouille.

Cet essai est une synthèse établie par un citoyen suivant l’actualité de près et qui se pose depuis le début de la crise sanitaire beaucoup de questions sur ce que l’avenir nous réserve. Du factuel donc, basé autant que possible sur des sites faisant autorité dans le monde médical et politique et non sur des sites “louches”. Des faits bien réels, vérifiés, analysés et argumentés. Tout est sourcé sur les médias mainstream, qui finissent souvent par dévoiler une partie de la vérité en la noyant sous une masse d’informations et de contradictions. Ce document pourra vous donner une assez bonne idée du niveau de corruption de la société, de la façon dont tourne le monde et de ce qui se met peu à peu en place.

Ouvrez grand votre esprit critique, prenez le temps de lire, d’aller voir les sources lorsque vous avez des doutes ou avez besoin d’éclaircissements. Renseignez-vous de votre côté et faites-vous votre propre opinion. Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.

Et si vous étiez déjà conscient de tout cela, ce document, mis à jour en fonction de l’actualité, pourra toujours vous servir d’aide-mémoire…

Liutwin

Sommaire

  • Les dessous de la crise sanitaire
    • Des hôpitaux à bout de souffle
    • Des facteurs de risque
    • Vraie ou fausse pandémie ?
    • Une faible surmortalité
    • L’escroquerie des tests PCR
    • Au coeur de la manipulation
    • La situation dans les Ehpads
  • Des décisions politiques
    • Une pénurie de masques organisée
    • Le masque “ça ne sert à rien”
    • Les masques et la santé
    • Et chez les enfants ?
    • Le confinement en question
    • Une arme de destruction massive
    • Le faux déconfinement
    • Et ailleurs dans le monde ?
  • Vers un changement sociétal
    • Des commerces non essentiels
    • Un tsunami économique
    • Une société de caste
    • Une dictature sanitaire
    • Des appels à la dénonciation
    • Des gestes barrière antisocials
    • Des recommandations délirantes
  • Le poids de “Big Pharma”
    • Conflits d’intérêt et corruption
    • Obscurantisme moderne
    • La nouvelle inquisition
  • Le $aint Vaccin
    • Des recommandations politiques
    • Objectif thune en Europe de la Santé
    • Un jeu d’apprentis sorciers
    • Premiers retours des cobayes
    • D’inquiétantes corrélations
    • En marche vers un génocide
    • Vers un vaccin obligatoire
    • L’apartheid 2.0
  • Pandémie ou “plan”démie ?
    • De l’origine du virus
    • Une succession de faits troublants
    • Des prédictions étonnamment précises
    • Un incroyable faisceau de coïncidences
    • La “théorie du complot”
  • La manipulation de masse
    • Un peuple sous hypnose
    • La politique de la peur
    • La propagande
    • Les médias
    • La télévision
  • Un monde sous contrôle des oligarques
    • Les GAFAM
    • L’agonie de la démocratie
    • La surveillance numérique
    • La dictature du numérique
    • Vers une dictature mondiale
  • Projections de ce qui nous attend
    • Effondrement économique
    • Fin de nos droits et libertés individuelles
    • Vers un nouvel ordre mondial
    • Réduction de la population mondiale
    • Une lueur d’espoir
  • Annexes
    • Quelques documentaires
    • Contact et liens

Les dessous de la crise sanitaire

Olivier Véran nous rappelait fin octobre 2020 dans un tweet punchlineque le Covid-19, c’est : « 1 malade toutes les 2 sec, 1 hospitalisation toutes les 30 sec, 1 mort toutes les 4 mins ». Ce genre de déclaration, qu’on entend tous les jours depuis le premier confinement, est une méthode de manipulation qui par l’emploi d’une technique hypnotique consiste, en rabachant les chiffres avec des phrases choc, à saturer notre capacité à comprendre le réel. On joue sur l’émotionnel en ne nous donnant pas le temps de comprendre et d’analyser toutes les données. On ne fait plus le lien entre le numérateur (nombre de morts), qui est une donnée concrète, et le dénominateur (nombre de personnes infectées), qui l’est beaucoup moins.

Quelle est la charge virale ? Le taux de mortalité ? Le taux d’incidence ? Les tests sont-ils fiables ? Pourquoi les hôpitaux sont-ils saturés ?

Des hôpitaux à bout de souffle

« Le nombre de malades en réanimation va encore augmenter mécaniquement, quoi qu’on fasse.»1

Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, le 28 octobre 2020.

Donc, le confinement, les couvre-feux et les mesures sanitaires ne servent à rien ? N’y avait-il vraiment rien à faire, comme augmenter le nombre de lits en réanimation ?

Si les cas augmentent, on dit que c’est dû au relâchement des Français qui ne respectent pas les règles sanitaires. Mais, quand les hôpitaux finiront par se vider, on dira que c’est grâce aux mesures sanitaires qui portent leurs fruits. Cherchez l’erreur. C’est comme en matière de sécurité routière où, plutôt que d’avoir une politique de prévention et d’entretien des routes, on préfère tout miser sur les radars. Y aurait-il des intérêts privés derrière ?

1https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-la-deuxieme-vague-pourrait-etre-superieure-a-la-premiere-selon-jerome-salomon_AD-202010280268.html

Les hôpitaux n’ont pas attendu le coronavirus pour être submergés. Ils le sont tous les ans de novembre à mai et cela fait depuis des années que les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme, dans l’indifférence et le mépris de la classe dirigeante.

D’après EuroMomo, un réseau de statistiques qui fait référence en matière de surveillance de la mortalité en Europe, L’Espagne et l’Angleterre sont les seuls à avoir connu un pic épidémique comparable à la France. Pour nos voisins germaniques, c’est le calme plein. L’Allemagne et l’Autriche, avec 2 fois plus de lits par habitant qu’en France, n’ont quasiment pas eu de surmortalité cette année.2

Il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par millier d’habitant dans chaque pays.3

2 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps#z-scores-by-country

3 https://www.oecd.org/coronavirus/fr/les-donnees-dechiffrees/capacite-en-lits-de-soins-intensifs

Près de 100.000 lits ont été supprimés entre 1993 et 2018.4

69.000 lits ont été supprimés ces 15 dernières années, dont 3.400 en 2019.5

Sous Sarkozy : -46.500. Sous Hollande : -17.500. Seulement – 4170 pour Macron, mais il ne faut pas lui en vouloir, ses prédécesseurs ne lui ayant laissé que peu de marge de suppression.

En 1980 : 731 lits pour 100.000 habitants. En 2020 : 378 lits pour 100.000 habitants.6

En 40 ans, les capacités d’accueil ont été divisées par deux. C’est ÇA la réalité dans nos hôpitaux, Monsieur Véran.

Pour la Fédération hospitalière de France, le passage au 35 heures aurait profondément désorganisé l’hôpital. Faute de moyens et de candidats, cette réforme n’a en effet pas été suivie d’embauches, aboutissant à une pénurie de personnel dans la plupart des établissements.7

La réforme Bachelot, calant la gestion des hôpitaux sur les entreprises et en transformant les directeurs d’hôpitaux en managers, a fait disparaître la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.8

4 https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/12/l-hopital-en-quete-du-juste-nombre-de-lits_6042577_3224.html

5 https://www.lesechos.fr/economie-france/social/3400-lits-dhopitaux-ont-ete-supprimes-en-2019-1249859

6 https://donnees.banquemondiale.org/indicator/SH.MED.BEDS.ZS

7 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/03/21/20002-20150321ARTFIG00019-comment-les-35h-ont-desorganise-l-hopital.php

8 https://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/04/16/9500-reforme-bachelot-denoncee-par-medecins-renommes

La T2A (tarification à l’activité) imposée par l’Union Européenne constitue maintenant le mode de financement unique des établissements publics et privés.9

La commission européenne a fait au moins 63 rappels aux États membres pour qu’ils réduisent leurs dépenses de santé.10 Elle a fait de l’hôpital une “entreprise de production de soins” soumis à la rentabilité au moindre coût.11

La destruction de notre système de santé est VOULUE par l’Union Européenne.

Mise en place en 2004 par Jean Castex, alors Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé, cette réforme pousse à la fermeture des services de soins et des maternités n’atteignant pas le “seuil de rentabilité”.12 Désormais, selon le ministère de la Santé, le taux idéal d’occupation des lits est de 95 % en médecine et en chirurgie.13

La conséquence de ce mécanisme pervers est que chaque fois que l’activité diminue, en général à la sortie de l’hiver, on supprime des lits vacants. Nos hôpitaux n’ont de ce fait plus aucune résilience pour faire face à des épidémies.

« Il n’est pas possible de réaliser d’importantes économies à court terme sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié des dépenses publiques. La France s’est fixé des objectifs ambitieux pour 2016 et 2017 afin de limiter la croissance des dépenses de santé. Ces objectifs pourraient être complétés par des efforts supplémentaires visant à identifier des gains d’efficacité sur le moyen à long terme. »14

Recommandation du Conseil de l’UE du 12 juillet 2016.

En 2015, un plan opérationnel sur 3 ans intitulé “Kit de déploiement régional du planOndam à destination des ARS” a été distribué de manière confidentielle aux directeurs des agences régionales de santé. Comportant des tableaux indicateurs de performance, il instaure une logique comptable avec des objectifs d’économie par des restrictions budgétaires.15

La France, mondialement réputée pour son système de santé il n’y a encore pas si longtemps, a été en seulement quelques années reléguée à la 11e place.

9https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/financement/financement-des-etablissements-de-sante-10795/article/financement-des-etablissements-de-sante

10https://www.humanite.fr/la-commission-europeenne-demande-63-fois-aux-etats-de-reduire-les-depenses-de-sante-denonce-687250

11 https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html

12 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-mysterieuse-t2a-du-docteur-castex-ou-la-chaine-de-demontage-de-lhopital

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/hopitaux-la-suppression-des-lits-operee-depuis-les-annees-1990-inquiete-les-professionnels-de-sante_4170777.html

14 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016H0818(27)

15 https://www.liberation.fr/societe/2015/03/08/la-logique-comptable-fait-son-lit-a-l-hopital_1216903

Mais où va l’argent du contribuable ?

L’application StopCovid, qui n’a servi strictement à rien, a coûté au contribuable entre

200.000 et 300.000 euros par mois en frais de fonctionnement.16 D’abord présentée comme ayant été réalisée à titre gratuit par des entreprises privées, le coût global a été estimé à 6,5 millions d’euros. Le développement de l’application n’ayant pas fait l’objet d’un appel d’offre, l’association Anticor a porté plainte contre Olivier “Véreux” pour délit de favoritisme.17

20 millions d’euros ont été dépensés en LBD40 et grenades lacrymogènes en 2019 pour se préparer à la révolte sociale.18

2 milliards d’euros de subvention pour aider les organes de propagande de l’État que sont la presse et les médias.19

2, 8 millions d’euros accordés à des spécialistes de la veille sur les réseaux, afin de surveiller le ressenti des Français sur les actions gouvernementales.20

26 millions d’euros ont été dépensés dans des sondages d’opinion rien qu’en octobre, ce qui représente 184% du budget initialement prévu pour le service d’information du gouvernement (SIG) pour l’année 2020.21 Des sondages destinés à la fois à aider le gouvernement à orienter sa politique publique, mais aussi à convaincre les Français d’accepter sa politique.

Dans la nuit du 17 avril 2020, 20 milliards d’euros ont été donnés par le gouvernement à de grandes entreprises polluantes, sans contrepartie écologique ou sociale.22 Rappelons au passage qu’il y a 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air.23

15 milliards d’euros d’aides aux entreprises sont débloqués par mois de confinement, qui vont allonger la dette pour des décennies.24

Après avoir été gavé d’argent public par les mesures de soutien dans le cadre de la crise sanitaire, le CAC40 va distribuer 51 milliards d’euros à ses actionnaires en 2021, soit une hausse de 22% de dividendes par rapport à l’an dernier.25

On met un pognon de dingue dans les entreprises, la propagande et la répression.

N’aurait-il pas mieux valu le placer dans une véritable prévention pour les personnes vulnérables et pour l’hôpital public ?

16 https://www.capital.fr/economie-politique/lamere-facture-de-stopcovid-pour-le-contribuable-1371669

17https://www.lefigaro.fr/flash-eco/application-stopcovid-anticor-porte-plainte-a-la-cjr-contre-veran-pour-favoritisme-20210322

18 https://www.agoravox.fr/actualites/article/les-millions-depenses-en-lbd40-et-222749

19https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/coronavirus-le-gouvernement-a-debloque-2-milliards-pour-les-medias-1221356

20https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-investit-pres-de-3-millions-d-euros-pour-surveiller-sa-reputation-en-ligne_AN-202104160380.html

21https://www.capital.fr/economie-politique/lappetit-de-sondages-du-gouvernement-epingle-par-une-deputee-1384655 22https://www.franceinter.fr/environnement/20-milliards-d-euros-pour-les-entreprises-strategiques-un-cheque-en-blanc-au-profit-des-pollueurs

23https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-donnees-et-perspectives

24https://www.ladepeche.fr/2020/10/29/aides-economiques-aux-entreprises-15-milliards-deuros-finances-par-letat-par-mois-de-confinement-9171505.php

25https://www.liberation.fr/economie/pour-les-actionnaires-du-cac-40-cest-le-jackpot-20210427_TZT64XHT3VAPXIQCR3W5RLFTYI

Les services de Santé publique ne manquent en fait pas de moyens, la France étant le pays d’Europe où les dépenses de santé sont les plus élevées, mais ils sont étouffés par une bureaucratie inefficace et très coûteuse.26 Ce ne sont ainsi pas moins de 405.600 personnes, soit 34% du personnel hospitalier, qui vaquent à des occupations autres que médicales.27

26 https://www.francetvinfo.fr/sante/sante-publique-labureaucratiepointee-du-doigt_4359685.html

27 https://theconversation.com/fact-check-y-a-t-il-trop-de-postes-administratifs-dans-les-hopitaux-137615

Malgré la promesse d’un plan massif pour l’hôpital28, le dogme de la suppression de lits a continué en 2020, en pleine crise sanitaire !29

« Rien n’a changé. Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible. »

Christophe Prudhomme, de la CGT Santé.30

Les dirigeants de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) ont indiqué lors d’une conférence de presse avoir décidé un « arrêt temporaire » des urgences de l’Hôtel-Dieu pour ouvrir des lits de soins critiques dans un établissement voisin, une décision qui ne fait pas l’unanimité chez le personnel soignant.31 À la manifestation contre la fermeture des urgences de l’hôpital Hôtel-Dieu, les forces de l’ordre ont relevé les identités des manifestants et annoncé des verbalisations pour leur rassemblement.32 En marge de la manifestation du 17 juin 2020, une infirmière asthmatique a été violemment interpellée par les forces de l’ordre.33

Un projet gouvernemental d’un “coût exorbitant” vise, sous l’influence de lobbys, à réorganiser le secteur de la psychiatrie avec une nouvelle approche fondée sur les neurosciences. Le concept ? La déshumanisation par l’intelligence artificielle, qui établit un bilan neurophysiologique approfondi, en ayant recours aux IRM et à des algorithmes. Le patient est ainsi de manière automatisée mis dans une case selon un diagnostic promu par la classification américaine des maladies mentales, passible de traitements médicamenteux.34

28https://www.latribune.fr/economie/france/segur-de-la-sante-le-gouvernement-promet-6-milliards-d-euros-pour-les-salaires-a-l-hopital-et-en-ehpad-851146.html

29 https://framacarte.org/fr/map/suppressions-de-lits-dans-les-hopitaux-source-wwwb_85927

30https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.html

31 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/fermeture-urgences-hotel-dieu-non-sens-sanitaire-1891188.html

32 https://twitter.com/ClementLanot/status/1324708933076946945

33https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/hopital-les-images-dune-infirmiere-arretee-lors-d-une-manifestation-font-polemique_4011241.html

34 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/cri-dagonie-de-la-psychiatrie-20210414_KEER442HNVCALDQUVED34UAPS4

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités, alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie.35 Mais plutôt que d’y transférer les patients, on a préféré les envoyer par hélicoptère à l’autre bout du pays voire en Allemagne. Une stratégie qui interroge.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités »36

Personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniquesprivées alors que la seconde vague déferle !”, a tenté de démentir LCI, parmi tant d’autres médias.37

✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé

que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît par la suite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés.”

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent ceux-ci à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci.38 L’atteinte à la liberté de prescription des médecins par l’état d’urgence sanitaire39 a aussi sans nul doute contribué à l’engorgement des hôpitaux.

Du fait de la priorisation sur les cas “positifs” de Covid, les hôpitaux sont amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France.40

Une fois passé le premier pic de l’épidémie, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence pour pouvoir les garder du fait de la T2A.

« Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle qu’ils mettent aujourd’hui en réanimation des patients qui ont simplement besoin de 3 litres d’oxygène. C’est du jamais vu. »41

Martine Wonner, médecin psychiatre et député du groupe Libertés et Territoires.

35 https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

36 https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

37 https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

38 https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

39 https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

40 https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

41 https://www.youtube.com/watch?v=oMuRdxCSPCg

Des facteurs de risque

L’âge médian des personnes officiellement décédées du coronavirus est de 84 ans, avec un âge moyen de 81 ans. L’espérance de vie en France est de 82 ans. Les personnes de moins de 45 ans sont dans leur immense majorité (plus de 98%) épargnées.42

42 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

La grande majorité des patients en réanimation a plus de 60 ans. Un fait qui n’a été admis par les médias que lorsque le gouvernement a cherché des arguments pour convaincre les personnes âgées de se faire vacciner.43

Le taux de patients COVID-19 nouvellement hospitalisés par semaine et par classe d’âge selon la date d’admission, montre également un risque d’aggravation proportionnel à l’âge.

« Beaucoup de gens pensent à tort que les choses sont simples, par exemple qu’une maladie est la conséquence d’un unique facteur, ce qui est très rare. La mortalité du Covid-19, à part chez les gens qui ont une très faible espérance de vie, est très faible. La quasi-totalité des personnes sont décédées pour la plupart avec des comorbidités sévères. »

Pr Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses.

43 https://www.lci.fr/sante/la-grande-majorite-des-patients-en-reanimation-ont-ils-vraiment-plus-de-60-ans-2174674.html

Une étude rapporte que les personnes obèses atteintes du Covid-19 risquent quatre fois plus d’en mourir, en particulier chez les hommes et les jeunes patients.44 Hélas, une autre étude rapporte que “le confinement, c’est aussi plus d’obésité”.45

Les statistiques de Santé Publique France arrêtées au 6 novembre 2020 et rapportés sur CNEWS.46 C’est factuel.

« 90% des patients en réanimation ont une comorbidité.
Moyenne d’âge des patients morts avec le Covid-19 en France : 81 ans. Cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.
Un tiers des décès a eu lieu dans les Ehpads. 50 % des victimes avaient plus de 84 ans.
80 % des victimes avaient plus de 75 ans. 99,9 % des gens ont plus de 30 ans.
0,1 % ont moins de 20 ans, ce sont les fameux 28 morts sur 38.000 et surtout la majorité sont morts en réalité d’autres pathologies beaucoup plus graves.
Même chez les plus de 90 ans, le taux de survie est de 80 %, un nonagénaire a donc quatre chances sur cinq de s’en tirer.
83 % des gens en réanimation sont en surpoids.
Seuls 2 % des personnes décédées étaient âgées de moins de soixante ans et sans comorbidité connue »

Pascal Praud, un vrai journaliste.

Et si, au lieu d’enfermer tout le monde, on confinait les seules personnes à risque ?

Après avoir dans un premier temps demandé aux personnes les plus vulnérables et aux personnes âgées de rester confinées, le chef de l’État a rétropédalé, ne souhaitant finalement pas « de discrimination des personnes âgées ou fragiles » et appelant à la responsabilité individuelle.47 Par contre, les jeunes en bonne santé doivent accepter un vaccin qui les expose à plus de risque d’effets secondaires que la maladie elle-même. Ils diminuent leurs propres défenses immunitaires avec des gestes barrières antisociaux. Ils doivent se confiner pour ne pas saturer les hôpitaux et cotiser pour des retraites auxquelles ils n’auront probablement jamais accès.

La solidarité entre générations ne fonctionne apparemment que dans un seul sens !

44https://www.ouest-france.fr/sante/les-personnes-obeses-atteintes-du-covid-19-risquent-quatre-fois-plus-d-en-mourir-rapporte-une-etude-6937642

45 https://www.santelog.com/actualites/le-confinement-cest-aussi-plus-dobesite

46 https://twitter.com/boutaour/status/1325730485021134848

47https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/faut-il-confiner-les-personnes-agees-les-nombreux-revirements-de-l-executif_4221507.html

Vraie ou fausse pandémie ?

Selon un rapport de commission d’enquête du sénat, les critères de définition d’une pandémie ont été modifiés par l’OMS un mois avant le passage en phase 6 de l’épidémie de grippe porcine A/H1N1 en 2009. Auparavant, une pandémie était définie par l’apparition de “plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravité, a été supprimée et l’OMS en a modifié en catimini la définition sur son site Internet, sans changer la date affichée.48

La définition d’une pandémie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.49 Et, tout à coup, toute grippe commune et bénigne peut être transformée en pandémie par l’OMS.

Lors de son audition à la commission d’enquête de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimé que la déclaration de l’état de pandémie, pour une grippe dont les chiffres étaient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionné, a été rendue possible par le changement de définition. C’est parce qu’il était à la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular. Les membres de la commission ont alors reconnu à l’unanimité le rôle qu’ont joué des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidémie par l’OMS et les États.50

« Le soin de définir une pandémie alarmante ne doit pas être soumis à l’influence des marchands de médicaments. »

Dr Wolfgang Wodarg, médecin et épidémiologiste allemand, ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intérêts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidémie de grippe H1N1 a été qualifiée de “fausse pandémie” dans le rapport du sénat.

« La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux États membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. »

Extrait du rapport du sénat sur la grippe A/H1N1.

L’escroquerie H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.

48 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html

49 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/

50 https://www.humanite.fr/node/430467

Pour télécharger ou voir la suite :

https://drive.google.com/file/d/1oSHiNBEi91plxW15HciIV48V4HDXsLU5




“Un plan simple pour éradiquer le nouveau coronavirus de Belgique ” (Marc Wathelet)

[Source : Le Spécialiste (lespecialiste.be)]

par Marc Wathelet, docteur en sciences

Dans un courrier envoyé au Premier Ministre et au Ministre de la Santé publique, Marc Wathelet, le virologue bien connu comme lanceur d’alerte, propose “un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines” Il recommande la prescription de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19.


Monsieur le Premier Ministre, 

Monsieur le Ministre de la Santé publique,

Tout d’abord, je voudrais vous remercier d’avoir maintenu les mesures sanitaires nécessaires et de ne pas avoir succombé aux diverses pressions pour rouvrir prématurément.

Deuxièmement, je voudrais vous remercier de m’avoir mis en contact avec M. Frank Hulstaert du KCE. Cet excellent homme m’a invité à participer à une réunion avec d’autres chercheurs et cliniciens ayant pour objet la sélection des molécules à tester prochainement pour évaluer leur efficacité contre le SARS-CoV-2 chez les patients souffrant de la COVID-19.

Lors de cette réunion, j’ai présenté le cas de l’Ivermectine, le médicament que j’ai porté à votre attention le 16 novembre, et une décision sera prise lors de la prochaine réunion à l’initiative du KCE. Si l’Ivermectine devait être sélectionné pour le prochain lot d’essais commençant au début de 2021, nous pourrions obtenir des résultats peut-être déjà fin février. La réutilisation des médicaments existants est une stratégie intéressante car le profil d’innocuité de ces médicaments est déjà bien établi. Bien que le KCE soit l’organe approprié pour évaluer les médicaments repositionnables, il manque de financement, de temps et d’autorité en cette période de crise.

Éradiquons le virus de Belgique.

J’appartiens à un groupe de scientifiques et de médecins comptant plus de 7.000 membres dans le monde, demandant simplement aux autorités sanitaires de chaque pays d’examiner les données existantes indiquant que l’Ivermectine est efficace à la fois en mode prophylactique, pour prévenir la transmission du virus, et comme traitement curatif pour les patients COVID-19.

Je propose donc un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines, ce qui serait extrêmement bénéfique à tous les niveaux: sanitaire, économique, social, psychologique et politique! Nous pourrions reprendre toutes les activités économiques et scolaires trois semaines après son initiation et le port du masque deviendrait inutile dans la plupart des contextes dès la sixième semaine.

Ce plan nécessite de voir l’opportunité que présente l’Ivermectine, et la volonté politique de prendre les décisions nécessaires pour transformer cette opportunité en réalité pour la Belgique. Il faudra, pour ce faire, un “leadership” sans faille au plus haut niveau.

Les preuves en faveur de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir la transmission et l’apparition de symptômes de la COVID-19 ainsi que pour en traiter les formes modérées et sévères ne cessent de s’accumuler, toutes les études sont uniformément positives et la réalité de la situation sanitaire a dépassé le stade où serait raisonnable d’attendre davantage de données encore avant d’agir, alors même que de trop nombreuses personnes continuent jour après jour à mourir de cette maladie en Belgique.

L’Ivermectine est très différente de l’hydroxychloroquine : c’est une molécule beaucoup plus efficace et, par ailleurs, déjà utilisée dans certains pays à la fois à titre préventif et comme norme de soins pour les formes modérées et graves de la maladie.

Aux États-Unis, le Dr Pierre Kory a récemment témoigné devant le Comité sénatorial de la sécurité intérieure, au nom d’un groupe de médecins de grand renom, de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir et traiter la COVID-19 https://tinyurl.com/y6ah7u5d. Ils sont les auteurs d’un manuscrit passant en revue tous les essais cliniques terminés https://tinyurl.com/yyqbq8gw et d’une méta-analyse de toutes les études sur l’Ivermectine https://ivmmeta.com.

Je recommande dès lors, la conduite d’un essai clinique de toute urgence portant sur l’Ivermectine, à la fois comme méthode prophylactique et pour le traitement des formes sévères de la COVID-19. Indéniablement, ce médicament représente une opportunité exceptionnelle de délivrer la Belgique et le monde du SARS-CoV-2. Ne la gaspillons pas ; ne manquons pas cette opportunité offerte par une molécule présentant un profil de sécurité aussi exemplaire. Et puis même s’il devait s’avérer que ce médicament est inefficace contre la COVID-19, ce qui paraît extrêmement improbable compte tenu des preuves existantes, aucun préjudice significatif n’aura été occasionné.

Le rapport bénéfices / risques de l’utilisation de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19 est largement supérieur à celui de tout autre candidat médicament.

Le Ministre de la Santé publique a le pouvoir de mobiliser et de fédérer tous les acteurs concernés autour du plan ici proposé afin de lever tous les obstacles à sa mise en œuvre rapide. Ayons l’intelligence de reconnaître que parier sur l’Ivermectine est de loin l’option la meilleure et la plus sûre. Ayons le courage de notre conviction. Ne manquons pas cette occasion de montrer comment la Belgique peut s’unir pour le plus grand bien de chacun et, à travers les études proposées, ouvrir la voie à l’utilisation généralisée et rationnelle de l’Ivermectine, en Europe et dans le reste du monde, pour l’éradication du SARS-CoV-2.

Le plan d’action que je recommande et sa justification sont détaillés ci-dessous. En voici le résumé :

1) Le médicament lui-même doit être largement disponible dans toutes nos pharmacies et toute entrave administrative qui retarderait la distribution rapide de l’Ivermectine sous sa forme pour administration orale doit être supprimée sans délai.

2) Les autorités compétentes de tous les hôpitaux du pays doivent être impliquées pour l’organisation rapide de l’essai clinique de prophylaxie parmi leur personnel soignant et de l’essai thérapeutique pour les cas graves. Les critères de randomisation, incluant notamment les activités spécifiques de ces travailleurs, doivent être définis et la distribution randomisée des médicaments doivent être mise en œuvre sans délai. Plus vite nous agirons, plus vite nous pourrons mener une vie libérée de ce virus.

3) Un registre doit être ouvert pour collecter des données sur l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

4) Le nombre de tests doit être augmenté pour parvenir à un taux de positivité inférieur à 3%. Les foyers d’infection doivent être retracés rapidement et l’Ivermectine doit être administrée sans tarder aux personnes infectées et à leurs contacts quotidiens. Des équipes dédiées doivent être prêtes pour ce faire.

Indépendamment de l’Ivermectine, les groupes d’individus les plus à risque de développer une forme sévère, en raison de leur âge ou de leurs comorbidités, auraient intérêt à compléter leur alimentation par un apport de vitamine D (2000 à 5000 UI par jour), de vitamine C (500 mg par jour) et de zinc (50 mg par jour). Cette recommandation devrait faire l’objet d’une communication claire et répétée à destination des personnes concernées et de ceux qui les soignent.

Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos demandes d’informations complémentaires et, le cas échéant, pour prendre part activement à la mise en œuvre de ce plan.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé publique, l’expression de mes salutations distinguées.

Marc Wathelet, docteur en sciences

Annexes

Plan spécifique pour éradiquer le SARS-CoV-2 de Belgique en 6 semaines.




STOP TESTS INUTILES ET RUINEUX : COÛT DIRECT ESTIME À 6,4 MILLIARDS D’EUROS (le point au 14 juin 2021)

Par Gérard Delépine

Qui dit mieux ?

En tenant compte des arrêts de travail liés aux quarantaines inutiles de deux millions d’asymptomatiques,(([1] https://www.industrie-techno.com/article/au-rythme-actuel-avec-nos-tests-rt-pcr-nous-allons-confiner-des-dizaines-de-milliers-de-gens-pour-rien-alerte-le-dr-yvon-le-flohic.61409)) de leur indemnisation par la sécurité sociale et de la désorganisation des entreprises liée à ces absences imprévues, le coût réel global des tests inutiles atteint 20 à 30 milliards d’euros.

On aggrave actuellement la gabegie en poursuivant la propagande pour des tests inutiles chez les asymptomatiques, alors que les soignants, et internes en médecine manifestent de plus belle et que le cinéma du manque de lits de réanimation continue à animer les émissions de pseudo-informations pour servir de prétexte aux confinements catastrophiques qu’ils veulent nous imposer à la rentrée.

Jusqu’à quand ? Que le peuple se fâche en plus de bouder les urnes, tellement il lui semble que les décisions sont prises tout à fait indépendamment de la volonté populaire et de ce qui se passe dans le monde réel ?

Dépister les asymptomatiques ne sert à rien

Sinon à entretenir la panique dans la population en confondant cas et malades. Les tests PCR positifs ne permettent pas à eux seuls d’affirmer qu’une personne est/ou sera malade, ni contagieuse.

La littérature internationale l’a démontré largement.(([2] Ou dans la quasi-totalité des états américains, les mesures sanitaires ont été abolies depuis plusieurs mois sans reprise de l’épidémie qui a commencé sa disparition progressive dès janvier 2021 alors que moins de 5 % de la population était vaccinée.))

L’OMS l’a reconnu dès mai 2020(([3] Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs de DIV 2020/05 Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2 https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05)) et rappelé récemment.

Aucune étude médicale publiée n’a pu démontrer que le dépistage des asymptomatiques ait pu ralentir l’épidémie.

Isoler les asymptomatiques ne sert à rien

Une personne sans signe clinique dont le test PCR est positif n’est pas infectée et a extrêmement peu de risque d’être contaminante. L’isoler ne permet donc pas de diminuer les transmissions.

La cour d’appel de Lisbonne(([4] Le test PCR va au tribunal au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr) )) l’a affirmé dans un arrêt exposant au grand jour les ratés et l’imposture du test PCR et de son utilisation à grande échelle sans examen clinique et a condamnant le ministère de la santé portugais à interrompre la quarantaine de touristes allemands injustement isolés.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 ».

Que valent les tests PCR ?

Depuis l’été 2020, les articles sérieux référencés(([5] A N. Cohen, B Kesse False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2))(([6] R Jaafar, S Aherfi, N Wurtz, C Grimaldier, Thuan Van Hoang, P Colson, D Raoult, B La Scola Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
Maladies infectieuses cliniques, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491)) se sont multipliés dans la presse internationale et française, permettant à ceux qui voulaient savoir de s’informer.

Pascal Sacré, médecin anesthésiste, réanimateur, qui travaille dans une unité de soins intensifs en Belgique également expert en hypnose, dans un article « PCR ou comment enfumer toute l’humanité»(([7] Mondialisation.ca et COVID-19 : RT-PCR ou comment enfumer toute l’humanité (Dr Pascal Sacré) — Éloge de la raison dure (aitia.fr)
https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite/5650143)) expose l’utilisation mensongère de ces tests pour faire passer des mesures liberticides dans de nombreux pays :

« en se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de transe hypnotique induit par les mesures autoritaires liées à la crise “sanitaire”.(([8] Tests PCR l’arnaque des cas positifs avec le Dr Pascal Sacré (lapressedupeuple. quebec)
Source de la Vidéo Jérémie Mercier :
https://Youtube/i5taO2_QDQc
https://www.jeremie-mercier.com/))

Il faut stopper les tests pour les bien portants abusivement appelés asymptomatiques :

ils ruinent la sécurité sociale et entretiennent la peur, et c’est probablement la raison pour laquelle contre toute évidence médicale ou scientifique, le ministre de la Santé essaie par tous les moyens de pousser la population à accepter les tests et à les multiplier encore et encore : un million de tests prévus à l’école depuis la dernière rentrée scolaire d’avril et rebelote, autotests tous azimuts sur les plages de l’été !

Le coût des dépistages est considérable : financier, mais aussi psychologique, voire psychiatrique trop souvent

Au 9 juin 2021, Santé publique France précise que 87 568 197 tests ont été réalisés. Pour chaque test réalisé par un laboratoire public ou privé, l’Assurance Maladie verse 73,59 euros. Le coût direct des tests en France avoisine donc actuellement les 6,4 milliards d’euros.

Depuis près de 18 mois, la politique sanitaire repose sur le crédo “dépister par les tests, masquer, distancier (entre autres en fermant les écoles), confiner jusqu’à vacciner”. Cette politique, qui a coûté des dizaines de milliards d’euros, ne repose sur aucune preuve scientifique et n’a jamais été évaluée ni médicalement ni financièrement et a oublié malheureusement le crédo habituel des vrais médecins fidèles à Hippocrate, SOIGNER ! Et ce ne sont pas les médicaments efficaces qui manquaient de l’hydroxychloroquine à l’ivermectine, zinc, vitamines D et C et macrolides entre autres.

Mais leur usage aurait gêné l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle des vaccins pendant les essais cliniques, qui nécessite l’absence de traitement efficace connu.

La publication de Wuhan sur le dépistage de dix millions de Chinois(([9] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmc2003717))

La pratique généralisée à des fins de dépistage chez les personnes saines et la quarantaine des positifs asymptomatiques ne permet pas de limiter la propagation de l’infection.

Le plus grand dépistage mondial (10 millions de dépistés), de Wuhan,(([10] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr) )) est démonstratif : les asymptomatiques testés positifs ont subi ensuite des tests antigéniques, des cultures virales, et ont été mis en quarantaine pour surveillance ; près de la moitié n’avaient pas d’anticorps (il s’agissait donc de PCR faux positifs), aucun des asymptomatiques n’excrétait de virus, aucun n’a contaminé quiconque, aucun n’est tombé malade. Au total, ce gigantesque dépistage publié par les Chinois, dont l’intérêt scientifique est considérable, n’a donc permis de n’éviter aucune contamination nouvelle.

Un dépistage plus limité pratiqué dans les écoles de Vilnius lors de la première vague conclut : “les enfants de notre étude qui ne présentaient pas de symptômes d’infection aiguë et de contact avec une autre personne infectée par le COVID-19 n’ont pas reçu de diagnostic de COVID-19, de sorte que le bénéfice du test PCR est discutable.”

Alors pourquoi O. Véran a-t-il demandé de tester un million d’enfants et s’apprête-t-il à multiplier les autotests cet été sur les plages ?

Pour contenir l’épidémie, il eût été plus efficace et beaucoup moins coûteux de se contenter d’utiliser la technique traditionnelle de mise en quarantaine des seuls malades suspectés cliniquement, ceux qui ont de la fièvre, qui toussent et qui crachent — et de les traiter précocement, et de laisser les autres travailler, étudier, produire, faire du sport. Mais qui voulait stopper l’épidémie ?

Il fallait attiser la peur et au passage ruiner la sécurité sociale qu’on nous imposera bientôt de privatiser après avoir jeté l’argent par les fenêtres.

Tromperie internationale

Il s’agit d’une erreur et/ou d’une tromperie internationale orchestrée par l’OMS et Drosten. La supercherie des tests PCR date de janvier 2020 via le docteur Drosten, conseiller de Mme Merkel.

La démonstration en a été faite par la cour d’appel portugaise et détaillée dans la plainte allemande déposée le 23 novembre 2020. La justice française devrait s’en emparer, et les ARS qui ont imposé encore le 7 décembre des fermetures d’écoles injustifiées et pire encore des isolements des aînés en EHPAD pourraient peut-être finalement avoir des comptes à rendre pour leurs décisions autoritaires et mortifères basées sur l’utilisation inadaptée des tests PCR.

Le PCR (Polymerase Chain Reaction) ne permet pas de diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas.

Sensibilité et spécificité de la technique PCR

Tout test à visée diagnostique est exposé à deux types d’erreurs ; celle consistant à ne pas reconnaître un sujet malade (faux négatif) ; et l’erreur inverse, celle à déclarer malade une personne qui ne l’est pas (faux positif). On qualifie de spécifique un test qui expose à très peu de faux positifs et de sensible un test qui donne très peu de faux négatifs. Les tests PCR tels qu’ils sont pratiqués actuellement sont trop sensibles et peu spécifiques.

Cette technique consiste à “amplifier (multiplier)” les petits segments d’ARN retrouvés dans les prélèvements pour voir s’ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l’hôte, mais de simples fragments de l’ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.(([11] Pascal Sacré COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? 30 août 2020))

Un test PCR ne permet pas seul le diagnostic de maladie

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis (décédé en août 2019) lui-même avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque souvent de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale. Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs (5 à 6). La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement. En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs.

Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus à un moment ou un autre ; il a été en particulier démontré que des fragments de virus pouvaient être retrouvés près de 2 mois après la guérison du Covid19.

Le diagnostic d’une infection doit donc être posé par un médecin et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.

Le diagnostic posé uniquement sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens. Elle n’est pas respectée, car il n’a pas eu de consentement éclairé des personnes. »

Un test positif ne signifie donc pas que vous êtes malade, ni même porteur du virus et ne devrait jamais être utilisé à des fins de décisions contraignantes.

Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux

Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l’excréter en quantité suffisante.

Pour évaluer la contagiosité d’une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant la positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montrent qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70 % des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10 % pour 34 cycles et moins de 5 % au-delà).

UTILISATION ABUSIVE DES TESTS PCR DANS LE MONDE SOUMIS À L’OMS ET À FAUCI

Le test PCR a été et est toujours vanté et promu par l’OMS — et par d’autres institutions sanitaires de premier plan dans le monde occidental, comme le NIAID/NIH et le CDC des États-Unis, ainsi que par des chercheurs du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) à l’hôpital Charité de Berlin, et sans que le risque de faux positifs et/ou qu’une limite maximale du nombre de cycles d’amplification ne soit clairement spécifiée.

La croyance aveugle en ce seul test est délétère, et sa manipulation volontaire délictueuse.(([12] Espoir pour les restaurateurs : le judiciaire international (economiematin.fr) )) Son coût direct est considérable.

La taille du marché mondial du diagnostic COVID-19 est évaluée à 19,8 milliards de dollars en 2020 et devrait croître chaque année de 3,1 % d’ici 2027, si le monde ne met pas fin rapidement à cette supercherie.

LA GRATUITÉ DES TESTS SANS PRESCRIPTION EN FRANCE A FAVORISÉ LA GABEGIE ET LA PEUR

En France, la généralisation des tests PCR, sa réalisation sans ordonnance et sa prise en charge à 100 % ont coûté plus de 6 milliards d’euros à la sécurité sociale, sans aucun bénéfice sanitaire appréciable, bien au contraire (angoisse généralisée, arrêt de travail, fermetures de classe, dépression, peur panique du sujet déclaré positif et de sa famille et amis). Une hystérie collective peu maîtrisable.

Ses coûts indirects sont beaucoup plus lourds

Coût sanitaire (les victimes collatérales des tests) : les malades urgents ne présentant aucun signe évoquant le Covid19 voient leurs soins retardés par l’attente des résultats d’un test qu’on leur a imposé à l’entrée dans le service adapté à leur pathologie, sans raison médicale valable (les tests ne devraient être indiqués médicalement qu’en cas de suspicion clinique de Covid19).

D’autant que cette attente peut être très longue : nous avons connaissance de plusieurs malades qui ont attendu plusieurs semaines avec des tests tantôt positifs, tantôt négatifs avant qu’ils ne puissent recevoir les soins dont ils avaient besoin, tout en bloquant pour rien ces fameux lits d’hospitalisation aigus (cardiologie intensive par exemple). Comme lors du confinement, ces retards aux soins diminuent largement leur chance de guérison et plusieurs cas de décès évitables ont été publiés par des plaignants.

RESPONSABILITÉ DES MÉDECINS DE PLATEAU ET GÉNÉRALISTES ET DES POLITIQUES ET DES ADMINISTRATIFS DES ARS

Au lieu d’examiner une personne, ces responsables conseillent de faire un test PCR et malheur à lui s’il est négatif alors qu’il est cliniquement malade et abandonné sous Doliprane sans utilisation précoce d’ivermectine ou de chloroquine ou d’antibiotique.

Il arrivera trop tard à l’hôpital et sera inclus dans un essai thérapeutique le plus souvent sans consentement éclairé. Comment est-ce supportable en juin 2021 alors que l’on connaît les traitements précoces efficaces ?

Quelle sera la responsabilité personnelle des médecins qui se sont livrés à ces pratiques douteuses en obéissant à une hiérarchie soumise aux agences régionales de santé et à Big Pharma ?

Ils feraient bien en tous cas d’être prudents, car la mystification des tests se dévoile au grand jour dans de nombreux pays, y compris en France. Les lanceurs d’alerte comme le Dr Peter El Baze ou le docteur Pascal Sacré et le Pr Denis Rancourt, qui le disaient depuis des mois dans un silence assourdissant commencent à être relayés et entendus.

Les pensionnaires des EHPAD ont été séparés de longs mois sans raison valable, de leur famille et de leurs soutiens supposés non essentiels, favorisant les syndromes de glissement, les suicides, parce que des tests faux font croire à une persistance de l’épidémie, à un risque non calculé, à une balance bénéfices-risques jamais prise en compte.

Et le coronacircus continue en juin 2021 alors que l’épidémie a disparu et que de nombreux états comme le Texas ou la Floride ont repris une vie normale et oublié le covid.

La maltraitance de nos aînés non déchus de leurs droits civiques et pourtant auxquels on n’a pas demandé leurs choix constitue une violation de leurs droits fondamentaux et ne saurait perdurer sans recours judiciaire. Les plaintes s’accumulent. Les directeurs soumis aux ARS dont ils ne fournissent que rarement les ordres administratifs ne seront pas absous sous prétexte de caporalisation.

Le panic Paper

Un rapport allemand classé, mais divulgué (volontairement semble-t-il) a mis en exergue l’utilisation de la multiplication des tests faussement positifs pour répandre la peur en Allemagne.

Manifestement les techniques utilisées pour faire croire à la pandémie sont celles imposées par l’OMS conformément aux accords signés par 194 pays en 2017 en cas de pandémie (dont l’OMS elle — même déclare l’existence en modifiant les critères antérieurs).

Les faux positifs entretiennent la peur dans la population et augmentent considérablement le nombre de dépressions, de suicides, d’hospitalisations en psychiatrie dont le manque de lits est largement aussi criant que les lits de réanimation, mais dont on parle peu dans les médias ; la consommation d’antidépresseurs a largement doublé depuis les mesures sanitaires liberticides, de même que les demandes de consultations spécialisées ou d’aides téléphoniques. La fermeture des universités prévue a été également une catastrophe non seulement pour l’enseignement — la démonstration est maintenant sous nos yeux que le virtuel ne remplace pas la présence physique — mais psychologique avec plus de la moitié des étudiants déprimés, parfois gravement.

La peur choisie comme mode de gouvernance

entraîne la sidération du peuple et explique la facilité avec laquelle les gouvernements obéissants à Big Pharma via l’OMS ont pu depuis des mois imposer des mesures arbitraires, incohérentes à tout un ensemble de citoyens.

L’exemple de l’interdiction de l’ouverture des remonte-pentes dans les stations de ski françaises ouvertes sans restaurants ni bars témoigne de l’ampleur de la manipulation. L’interdiction aux Français d’aller skier en Suisse ou en Autriche, alors que la France a toujours refusé la fermeture des frontières relève aussi de l’absurde, ou d’une stratégie visant à créer de la confusion mentale et de la dissonance cognitive. La stupidité de ces interdictions françaises a depuis été largement confirmée par l’absence de toute poussée épidémique en Suisse et en Autriche qui ont laissé leurs stations fonctionner normalement.


L’acceptation de la soumission ne fait qu’encourager les bourreaux et ne conduit qu’à une soumission de plus en plus intense.

L’expérience des conjoints victimes de pervers narcissiques aurait dû alerter les différentes professions « maltraitées » au sens propre, sans aucune justification sanitaire. Une femme qui accepte une gifle en croyant que son conjoint l’aime entre dans le cercle vicieux qui peut l’entraîner vers la mort. Un peuple qui se soumet aussi.

Coûts économiques et sociaux

Les tests ont probablement parfois servi de prétexte pour des salariés protégés qui désiraient ne plus travailler pendant dix jours par peur ou confort apparent, ou volonté d’éloignement d’un environnement de travail toxique dans cette atmosphère de peur.

Il suffisait de se faire tester de manière répétitive jusqu’au premier faux positif. Après un « contact supposé à risque », le trop long temps d’attente des résultats des tests et les isolements secondaires aux faux positifs désorganisent la production et plombent davantage les comptes sociaux et finalement déstabilisent le salarié qui a cru initialement en bénéficier, mais sombre peu à peu dans l’isolement, l’illogisme, l’incompréhension.

Manipulation psychologique et corruption

Lors d’une interview récente d’un journaliste anglais par l’avocat Fuellmich(([13] Ont-ils décidé de sacrifier Fauci pour mieux accélérer la vaccination mondiale ? — (ripostelaique.com) ))(([14] Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain — Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu) )) Brian Gerrish raconte sa vue des choses à Reiner Fuellmich et Viviane Fischer, avocats du Comité Corona créé en juillet 2020, et nous exposent la manipulation psychologique organisée par la programmation neuropsychique et son application lors la plandémie du coronacircus.

Brian s’étend en particulier sur la manipulation dont est victime le peuple britannique :

« le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement. L’homme clé concerné par cette question est Dr David Halpern. Une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion, datée du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus ».

Un éditorial du British Medical Journal une des plus prestigieuses revues médicales britanniques précise :

« la composition, la recherche et les délibérations du Groupe consultatif scientifique pour les urgences (SAGE) étaient initialement secrètes jusqu’à ce qu’une fuite dans la presse force la transparence

Les politiciens et les gouvernements suppriment la science. Ils le font dans l’intérêt public, disent-ils, mais en réalité la science est supprimée à des fins politiques et financières.(([15] Kamran Abbasi, rédacteur en chef Editorial du BMJ Covid-19 : politisation, « corruption » et suppression de la science BMJ 13/11/2020 ; 371 doi : https://doi.org/10.1136/bmj.m4425 (Publié le 13 novembre 2020) BMJ 2020 ;371 :m4425))

Le Covid-19 a déclenché une corruption d’État à grande échelle, et il est nocif pour la santé publique.

Les politiques et l’industrie sont responsables de ces malversations opportunistes. Il en va de même pour les scientifiques et les experts de la santé. La pandémie a révélé comment le complexe médico-politique peut être manipulé en cas d’urgence, à un moment où il est encore plus important de protéger la science. »

L’avocat Reiner Fuellmich fait le parallèle avec le « Panic Paper » allemand dont nous avons déjà parlé dans les premiers articles sur le Nuremberg 2.

Conclusion : NE VOUS FAITES PAS TESTER !

Osez remettre en question l’intérêt du test ainsi que des mesures « sanitaires » actuelles alors que l’épidémie est terminée et que même certains médias aux ordres se sentent obligés de l’avouer.

Les Corona terroristes recourent au mythe de la vague suivante continuant à oublier que ces vagues et ces morts n’auraient pas existé sans l’interdiction invraisemblable de soigner les patients sur leurs signes cliniques et précocement.

La santé ne doit plus servir de prétexte fallacieux pour installer des mesures liberticides irrationnelles.

LA DICTATURE SANITAIRE DE VERAN RENOUVELÉE LE 20 JUIN

La fin de l’épidémie démontrée par les nouveaux cas en nombre minime malgré la folie des tests et le réseau sentinelle qui montre la disparition de pathologies covid doit poser un problème à notre ministre.

Il lui faut tenir le peuple s’il veut imposer le nouveau confinement prévu à la rentrée par Ferguson et le plan Davos. Malgré l’évidence d’un échec de leur plan en particulier devant les échecs et drames accumulés des vaccins, il accélère autant que faire se peut pour tenter de tenir asservi ce peuple qu’il sent de plus en plus rétif et éveillé.

Course de vitesse. Ce sont toujours les peuples qui gagnent, la question est combien de victimes jusqu’à la libération.

« L’objectif gouvernemental ne change pas : il consiste toujours à “tester-alerter-protéger”, mais la méthode, elle, évolue. Cette méthode s’adapte d’abord à quelques bonnes nouvelles. “Avec 2000 à 3000 cas par jour, ce n’est plus le virus qui nous traque, mais nous qui le traquons” », assure le ministre de la Santé dans les colonnes du JDD.(([16] https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-autotests-partout-mediateurs-mesures-coercitives-veran-annonce-son-plan-pour-lete-20-06-2021-5))»Manifestement il se complaît dans le négationniste et refuse encore aux médecins de traiter et aux malades de choisir leur traitement, le b a ba de la médecine depuis ses origines.

Rappelons tout de même que nous sommes plus de 67 millions d’habitants et que les laboratoires ne fournissent toujours pas le nombre de CT utilisé qui permettrait de se faire une idée de la fiabilité de ces données.

Olivier Véran revendique un été « différent du précédent », enrichi de « plus d’outils » susceptibles d’aider à lutter contre le coronavirus.

Des autotests sur les plages et dans les campings

« Parmi ces outils, les autotests devraient figurer en bonne place d’un été serein, certes, mais placé également sous le signe de la prudence. Ces tests à réaliser soi-même devraient “être distribués gratuitement sur les plages, dans les campings, les hôtels ou les salles de sport », détaille Le Journal du dimanche.

Au total, plus de 8 millions d’autotests vont être distribués à compter de ces prochains jours et pour les deux mois à venir. Ces tests n’ont pas vocation à remplacer les tests PCR et antigéniques, mais à ajouter “une maille supplémentaire” au dispositif.

Ces tests particulièrement peu sensibles pour les personnes sans symptôme sont toujours aussi inutiles que les autres tests, mais ont au moins l’avantage d’être nettement moins chers et de ne pas être remboursés (sauf exception professionnelle). Ils alourdiront donc peu la facture pour la sécurité sociale. Mais fuyez-les absolument, ils vous feront entrer dans un cercle vicieux de chasse au contact !

Médiateurs et contact-tracing

Vous pensiez oublier le covid qui a quasiment disparu de France depuis début avril pendant vos vacances ? Le ministre ne veut pas que vous vous croyez à Miami ou au Texas. Il veut raviver la peur qui risquerait de vous quitter avec la suppression du port de la muselière à l’extérieur.

Olivier Véran annonce le déploiement de médiateurs antiCovid, chargés de conseiller les estivants sur le dépistage, l’isolement ou la vaccination. “Ils seront présents absolument partout : sur les lieux de vacances, dans les campings, les colonies”, assure Olivier Véran.

2 000 d’entre eux seront “capables de réaliser des tests, des enquêtes sanitaires ou de fournir une aide à l’isolement à domicile” en renfort des brigades de l’Assurance maladie !

Créer ces emplois inutiles est-il en réalité une mesure pour lutter contre le chômage ?

Liberté chérie où es-tu passée ?

Ça ne suffisait pas dans l’horreur, alors une nouvelle méthode de contact tracing, “à la japonaise”, devrait être expérimentée “à partir de début juillet” : enquête approfondie » visant à déterminer qui a infecté une personne positive et dans quelles circonstances.

Les chiens renifleurs au secours de Veran : rien ne nous sera épargné !

Le dépistage collectif rendu possible via des chiens renifleurs va être expérimenté « dans un port » et « dans un aéroport ».

« On a désormais la preuve que ça marche dans la vraie vie grâce aux résultats très prometteurs obtenus par les équipes de recherche et l’APHP », fait valoir Olivier Véran, qui signale « un déploiement plus large durant l’été » en cas de succès des expérimentations. Vu les succès de l’aphp dans le traitement du covid, la publicité choisie n’est pas forcément la meilleure.

Ces pauvres chiens risquent de s’épuiser à la tâche, car compte tenu de l’incidence actuelle du covid en France (3/100 000 d’après le réseau sentinelle

(([17] Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021s23), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients consultant pour une IRA était de 0 %, 11 % et 11 %, respectivement chez les 0-14, 15-64 et 65 ans et plus.

Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [1 ; 4]), ce qui représente 1 758 [959 ; 2 557] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à celui de la semaine dernière (données consolidées pour 2021s22 : 3 [2 ; 4], soit 2 199 [1 445 ; 2 953] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).))) il leur faudra renifler 33333 personnes pour retrouver un malade du covid ! Mais que fait la SPA pour protéger ces pauvres bêtes ?

La dictature sanitaire en marche pour une épidémie disparue…

Depuis avril 2021(bien avant que le vaccin y soit pour quelque chose) l’épidémie a quitté peu à peu le territoire Français. Mais O. Veran ne l’annonce pas et préfère continuer à instiller la peur en agitant la possibilité d’une quatrième vague. Si nous étions en véritable « guerre », un tel défaitisme serait passible de lourdes condamnations.

Le ministre de la Santé annonce un plan « plus coercitif » face à un variant Delta « très, très contagieux ».

« Si une personne contaminée par le variant indien refuse de répondre aux équipes de l’Assurance maladie ou de respecter les consignes de mise à l’abri, une alerte est faite aux préfets, indique-t-il. Ces derniers peuvent prendre des mesures d’isolement. (…) Nous n’hésiterons pas à le faire, car nous ne pouvons pas prendre le risque de départ d’une nouvelle vague épidémique. »

Les Français échaudés se laisseront-ils convaincre que l’épidémie ne continue qu’en France alors que les autres pays sont libérés et que les chiffres de l’OMS de Santé Publique France prouvent le contraire ?

Une première prudence pour vous protéger et pour protéger vos proches est de REFUSER TOUT TEST dont on a vu l’absence de fiabilité et d’utilité en l’absence de signes cliniques. La France est — elle sur une autre planète ?





L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

[Source anglophone : mercola.com]

Analyse du Dr Joseph Mercola

RÉSUMÉ

►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.

►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.

►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Les données indiquent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.

►Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés présentent un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.

►Les injections de COVID-19 n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence, qui ne peut être accordée que s’il n’existe pas de remèdes sûrs et efficaces. De tels remèdes existent, mais ils ont été activement censurés et supprimés.

Dans la vidéo ci-dessus [Voir ici], l’animateur du podcast Dark Horse, Bret Weinstein, docteur en biologie évolutionniste, s’entretient avec le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN,(([1] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) et Steve Kirsch, un entrepreneur qui a mené des recherches sur les effets indésirables des thérapies géniques COVID-19.

Je me rends compte qu’il s’agit d’une interview de trois heures absolument épique, mais si vous attachez de l’importance à ce que j’ai enseigné, vous devez au minimum lire très attentivement l’intégralité de cet article.

M. Malone est le scientifique qui a inventé la technologie permettant de réaliser le test COVID et il révèle comment cette introduction a été compromise sur le plan éthique pour rendre le consentement éclairé absolument impossible pour le citoyen moyen. Regardez l’interview si votre emploi du temps le permet, mais lisez attentivement cet article à coup sûr.

Kirsch a récemment publié l’article « Should You Get Vaccinated ? » dans lequel il explique comment et pourquoi il a changé d’avis sur les « vaccins » COVID-19. Et ce, après avoir reçu les deux doses du vaccin Moderna, comme l’ont fait ses trois filles.

Si vous ou l’un de vos proches avez des doutes sur le test COVID, alors vous devez absolument lire l’article de Kirsh, car il s’agit clairement de l’un des meilleurs articles sur le sujet et il présente l’autre côté de l’histoire, qui n’est JAMAIS présenté dans les médias grand public.

N’oubliez pas que sans une divulgation complète des risques liés au vaccin, il est impossible d’obtenir un consentement éclairé.(([2] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) Si vous lisez l’article de Kirsch, vous obtiendrez, de manière très détaillée, l’autre côté que les médias conventionnels refusent de partager. Il écrit :

« J’ai récemment appris que ces vaccins ont probablement tué plus de 25 800 Américains (ce que j’ai confirmé de 3 façons différentes) et handicapé au moins 1 000 000 d’autres. Et nous ne sommes qu’à mi-chemin de la ligne d’arrivée. Nous devons suspendre ces vaccins MAINTENANT avant que d’autres personnes ne soient tuées.

Sur la base de ce que je sais aujourd’hui des avantages minuscules des vaccins (environ 0,3 % de réduction du risque absolu), des effets secondaires (y compris la mort), des taux actuels de COVID et du taux de réussite des protocoles de traitement précoce, la réponse que je donnerais aujourd’hui à toute personne me demandant conseil sur l’opportunité de prendre l’un des vaccins actuels serait : « Dites simplement NON ».

Les vaccins actuels sont particulièrement contre-indiqués si vous avez déjà été infecté par le COVID ou si vous avez moins de 20 ans. Pour ces personnes, je dirais « NON ! NON ! NON ! »

Dans cet article, je vais vous expliquer ce que j’ai appris depuis que je suis vacciné et qui m’a totalement fait changer d’avis. Vous apprendrez comment ces vaccins fonctionnent et les raccourcis qui ont conduit aux erreurs commises.

Vous comprendrez pourquoi il y a tant d’effets secondaires, pourquoi ils sont si variés et pourquoi ils surviennent généralement dans les 30 jours suivant la vaccination. Vous comprendrez pourquoi les enfants ont des problèmes cardiaques (pour lesquels il n’existe aucun traitement), perdent temporairement la vue et la capacité de parler. Vous comprendrez pourquoi jusqu’à 3 % d’entre eux peuvent être gravement handicapés par le vaccin. »

La protéine Spike est une cytotoxine bioactive

Comme l’explique Malone, il y a plusieurs mois, il a averti la Food and Drug Administration américaine que la protéine Spike — que les « vaccins » COVID-19 demandent à vos cellules de fabriquer — pouvait être dangereuse. La FDA a rejeté ses inquiétudes, affirmant qu’elle ne pensait pas que la protéine Spike était biologiquement active. En outre, les fabricants de vaccins ont spécifiquement conçu les injections de manière à ce que la protéine Spike soit collée et ne flotte pas librement.

Eh bien, ils avaient tort sur les deux points. Il a depuis été bien établi qu’en effet, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se libère, qu’elle est biologiquement active et qu’elle cause de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés chez COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.

Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre stupéfiant de personnes ayant reçu une ou deux injections du « vaccin » COVID-19. Pour des informations plus approfondies sur la façon dont la protéine Spike cause ces problèmes, veuillez consulter mon interview avec Stephanie Seneff, Ph.D. et Judy Mikovits, Ph.D.

L’utilisation du mot « vaccin » n’est pas vraiment appropriée ici, et je ne veux pas contribuer à l’utilisation abusive de ce mot. Ces injections ne sont clairement pas des vaccins. Elles ne fonctionnent pas comme les vaccins conventionnels précédents. Comme le dit clairement l’inventeur des vaccins à ARNm dans l’interview, il s’agit de thérapie génique. Comprenez donc que lorsque je parle de vaccin ou de vaccination, je parle en réalité de thérapie génique.

La protéine de pointe se dissémine dans tout votre corps

Dans un récent entretien(([3] Newzworldtoday.com 2 juin 2021)) avec Alex Pierson, Byram Bridle, docteur en immunologie et chercheur canadien sur les vaccins, a parlé de recherches inédites obtenues auprès de l’organisme de réglementation japonais grâce à une demande de loi sur la liberté d’information.

Il s’agissait d’une étude de biodistribution réalisée par Pfizer, qui a montré que l’ARNm du vaccin ne reste pas dans et autour du site de vaccination, mais est largement distribué dans le corps, tout comme la protéine de pointe.(([4] Nouvelles du site du procès 6 juin 2021))

Il s’agit d’un problème grave, car il a été démontré que la protéine de pointe est une toxine qui provoque des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Dans ce cas, elle peut provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins, et/ou provoquer des saignements anormaux. J’ai détaillé ces résultats et d’autres dans « Chercheur : ‘Nous avons fait une grosse erreur’ sur le vaccin COVID-19 ».

On a arrondi les angles*

[Ndlr : *Pour éviter d’exposer des données problématiques]

La protéine Spike est également toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Kirsch cite des données suggérant que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.(([5] Lettre au rédacteur, commentaire sur la sécurité du vaccin ARNm COVID-19 chez les femmes en ceintes (PDF) )) Le taux normal est de 10 %, il ne s’agit donc pas d’une hausse mineure. Kirsch écrit(([6] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)):

« Il est déconcertant que le CDC affirme que le vaccin est sûr pour les femmes enceintes alors qu’il est si clair que ce n’est pas le cas. Par exemple, l’une de nos amies de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines… Elle a reçu sa première injection il y a 7 semaines, et sa deuxième il y a 4 semaines.

Le bébé présentait une grave hémorragie cérébrale et d’autres défigurations. Son gynécologue n’avait jamais vu une telle chose de sa vie. Ils ont fait appel à un spécialiste qui a dit qu’il s’agissait probablement d’un défaut génétique (parce que tout le monde croit au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible).

Pas de rapport VAERS. Pas de rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j’ai parlé disent qu’il est certain à plus de 99 % que c’était le vaccin. La famille ne veut pas d’autopsie de peur que leur fille ne découvre que c’était le vaccin. C’est un exemple parfait de la façon dont ces effets secondaires horribles ne sont jamais signalés nulle part. »

Il est inquiétant de constater que les données de biodistribution de Pfizer révèlent que l’on a pris des raccourcis dans l’intérêt de la rapidité, et que l’un des aspects de la recherche qui a été ignoré est la toxicologie de la reproduction. Pourtant, malgré l’absence d’une enquête initiale sur la toxicologie de la reproduction et un nombre croissant de rapports de fausses couches (qui est probablement un sous-dénombrement important), les Centers for Disease Control and Prevention continuent d’exhorter les femmes enceintes à se faire vacciner. Pourquoi cela ?

Y a-t-il une suppression intentionnelle des données VAERS ?

De plus, comme nous l’avons évoqué dans l’interview, il semble que les données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) soient manipulées, car des rapports qui avaient été déposés ont disparu. Pourquoi ont-ils été supprimés ? Et sans le consentement des déclarants ?

« Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois plus élevé que la normale. »

Même avec cette manipulation, le nombre de décès signalés après la vaccination contre le COVID-19 dépasse tout ce que nous avons jamais vu. D’après Kirsch, le taux de mortalité lié aux injections de COVID-19 dépasse celui de plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière (([7] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) qui a toujours été le plus dangereux.

D’autres effets graves sont également hors normes. Par exemple, des données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux 25 fois plus élevé de myocardite (inflammation du cœur) que la normale.(([8] Ottawa Citizen 4 juin 2021)) De plus, de nombreux jeunes gens meurent actuellement des suites de cette myocardite.(([9] Le Défenseur 15 juin 2021))

M. Malone souligne qu’en relisant la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de COVID, il a découvert que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait toute latitude pour le faire.

Comme l’a noté Weinstein, il s’agit d’une autre anomalie qui nécessite une réponse. Pourquoi ont-ils opté pour une saisie de données aussi laxiste, car sans elle, il n’y a aucun moyen d’évaluer la sécurité de ces produits. Vous ne pouvez pas identifier les signaux de danger si vous n’avez pas de processus pour capturer les données sur les effets et les évaluer toutes.

« Toute la logique de l’EUA consiste à substituer la saisie en temps réel d’informations clés à la saisie prospective de ces mêmes informations », explique M. Malone. « Mais pour ce faire, vous devez obtenir les informations et elles doivent être rigoureuses. »

Autres anomalies

En outre, comme l’a fait remarquer M. Weinstein, si vous diffusez un vaccin dans le cadre d’une utilisation d’urgence — parce que vous dites qu’il y a une urgence sanitaire sans précédent et qu’il n’y a pas d’autres options, et qu’il vaut donc la peine de prendre un risque supérieur à la normale — vous ne le donnerez toujours pas aux personnes qui ne courent aucun risque ou un risque faible de contracter la maladie en question.

Cela inclut les enfants, les adolescents et les personnes en bonne santé de moins de 40 ans, au strict minimum. Les enfants semblent naturellement immunisés contre le COVID-19(([10] Science 14 mai 2021 ; 372(6543) :738-741)) et il a été démontré qu’ils ne sont pas des vecteurs de la maladie,(([11] Archives of Disease in Childhood 2020;105:618-619)) et les personnes de moins de 40 ans ont un taux de létalité de l’infection de seulement 0,01 %.(([12] Annals of Internal Medicine 2 septembre 2020 DOI:10.7326/M20-5352)) Cela signifie que leurs chances de survie sont de 99,99 %, ce qui est aussi bon que possible.

Les femmes enceintes seraient également exclues, car elles constituent une catégorie à haut risque pour toute expérimentation, et toute personne ayant guéri du COVID serait exclue, car elle possède désormais une immunité naturelle et n’a pas besoin d’un quelconque vaccin. En fait, une récente

Une étude de la Cleveland Clinic(([13] medRxiv 5 juin 2021 DOI :10.1101/2021.06.01.21258176))(([14] Nouvelles médicales Sciences de la vie 8 juin 2021)) a révélé que les personnes dont le test de dépistage du SRAS-CoV-2 avait été positif au moins 42 jours avant la vaccination ne tiraient aucun bénéfice supplémentaire des vaccins.

Pourtant, tous ces groupes à risque incroyablement faible sont exhortés et même incités de manière inappropriée à se faire vacciner, ce qui constitue également un comportement anormal. L’analyse des risques et des avantages ne tient pas seulement compte du risque d’effets graves et de décès liés à la maladie, mais aussi de la disponibilité de traitements alternatifs, ce qui constitue une troisième anomalie majeure.

Nous avons assisté à une suppression claire des informations montrant qu’il n’existe pas un seul, mais plusieurs remèdes efficaces qui pourraient réduire à pratiquement zéro le risque de COVID-19 pour un certain nombre de groupes de personnes. Les exemples incluent l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, qui sont tous deux utilisés en toute sécurité depuis des décennies par des millions de personnes dans le monde.

Le principe de précaution veut que tant qu’un médicament ou une stratégie de traitement n’est pas nuisible, même si l’effet positif peut être faible, il doit être utilisé jusqu’à ce que de meilleures données ou de meilleurs traitements soient disponibles. C’est la logique qu’ils ont utilisée pour les masques (même si les données n’ont montré aucun avantage statistique et qu’il existe un certain nombre d’inconvénients potentiels).

Mais lorsqu’il s’agit d’hydroxychloroquine et d’ivermectine, ils ont supprimé l’utilisation de ces médicaments alors qu’ils sont extrêmement sûrs lorsqu’ils sont utilisés aux doses appropriées et qu’il a été démontré qu’ils fonctionnent vraiment bien dans plusieurs dizaines d’études. Comme le note Kirsch dans son article :(([15] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))

« Les médicaments reproposés [comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine] sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec un protocole efficace réduit de plus de 100 fois le risque de décès. Ainsi, au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et ce chiffre ne concerne que le vaccin (et ne tient pas compte des décès dus à une percée). »

Les médecins sont également muselés et leurs avertissements supprimés et censurés. Le Dr Charles Hoffe a administré le « vaccin » COVID-19 de Moderna à 900 de ses patients.

Trois d’entre eux sont désormais handicapés à vie et un est décédé. Après avoir écrit une lettre ouverte au Dr Bonnie Henry, responsable provincial de la santé en Colombie-Britannique, dans laquelle il déclarait être « très alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement « ,(([16] Lettre ouverte du Dr Charles Hoffe 5 avril 2021)) ses privilèges hospitaliers lui ont été retirés.

Les lois de bioéthique sont manifestement violées

Dans un essai du 30 mai 2021,(([17] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) Malone a examiné l’importance du consentement éclairé, concluant à juste titre que la censure fait en sorte que le consentement éclairé ne peut tout simplement pas être donné. Le consentement éclairé n’est pas seulement une belle idée ou un idéal. C’est la loi, tant au niveau national qu’international. L’actuelle campagne de vaccination viole également les principes bioéthiques en général.

« À titre d’information, sachez que je suis un spécialiste et un défenseur des vaccins, ainsi que l’inventeur original de la plate-forme technologique du vaccin à ARNm (et du vaccin à ADN). Mais j’ai également reçu une formation approfondie en bioéthique de l’Université du Maryland, du Walter Reed Army Institute of Research et de la Harvard Medical School, et le développement clinique avancé et les affaires réglementaires sont des compétences essentielles pour moi », écrit M. Malone.

« Pourquoi est-il nécessaire de supprimer la discussion et la divulgation complète des informations concernant la réactogénicité et les risques de sécurité des ARNm ? Analysons rigoureusement les données sur les événements indésirables liés aux vaccins. Peut-on trouver des informations ou des schémas, comme la découverte récente des signaux de cardiomyopathie, ou les signaux de réactivation du virus latent ?

Nous devrions faire appel aux meilleurs experts en biostatistique et en apprentissage automatique pour examiner ces données, et les résultats devraient — non doivent — être mis à la disposition du public rapidement. Suivez-moi et prenez un moment pour examiner avec moi la bioéthique sous-jacente à cette situation…

La suppression de l’information, la discussion et la censure pure et simple concernant les vaccins actuels de COVID, qui sont basés sur les technologies de thérapie génique, jettent une mauvaise lumière sur l’ensemble de l’entreprise des vaccins. Je pense que le public adulte peut gérer l’information et les discussions ouvertes. En outre, nous devons divulguer entièrement tous les risques associés à ces produits de recherche expérimentale.

Dans ce contexte, le public adulte est essentiellement un sujet de recherche qui n’est pas tenu de signer un consentement éclairé en raison de la dérogation de l’EUA. Mais cela ne signifie pas qu’ils ne méritent pas la divulgation complète des risques que l’on exige normalement dans un document de consentement éclairé pour un essai clinique.

Et maintenant, certaines autorités nationales demandent le déploiement des vaccins EUA chez les adolescents et les jeunes, qui, par définition, ne sont pas en mesure de fournir directement un consentement éclairé pour participer à une recherche clinique — écrit ou non.

Le point essentiel ici est que ce qui est fait en supprimant la divulgation et le débat ouverts concernant le profil des effets indésirables associés à ces vaccins viole les principes bioéthiques fondamentaux de la recherche clinique. Cela remonte à la convention de Genève et à la déclaration d’Helsinki.(([18] Association médicale mondiale AMM Déclaration d’Helsinki)) Il doit y avoir un consentement éclairé pour l’expérimentation sur des sujets humains ».

L’expérimentation sans consentement éclairé approprié viole également le Code de Nuremberg,(([19] Code de Nuremberg de 1947)) qui énonce un ensemble de principes d’éthique de la recherche pour l’expérimentation humaine. Cet ensemble de principes a été élaboré pour garantir que les horreurs médicales découvertes lors des procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais.

Des lignes ont été franchies qui ne doivent jamais l’être

Aux États-Unis, nous avons également le rapport Belmont,(([20] HHS.gov Le rapport Belmont)) cité dans l’essai de Malone, qui énonce les principes éthiques et les lignes directrices pour la protection des sujets humains de la recherche, couverts par le Code of Federal Regulations 45 CFR 46 (sous-partie A). Le rapport Belmont décrit le consentement éclairé comme suit :

« Le respect des personnes exige que les sujets, dans la mesure de leurs capacités, aient la possibilité de choisir ce qui doit ou ne doit pas leur arriver. Cette possibilité est offerte lorsque les normes adéquates de consentement éclairé sont respectées.

Si l’importance du consentement éclairé est incontestable, la nature et la possibilité d’un tel consentement font l’objet de controverses. Néanmoins, il est largement admis que le processus de consentement peut être analysé comme contenant trois éléments : l’information, la compréhension et le caractère volontaire. »

Les Américains, et même les peuples de la terre entière, sont empêchés d’accéder librement à l’information sur ces thérapies géniques et de la partager. Pire encore, nous sommes induits en erreur par les vérificateurs de faits et les plates-formes Big Tech qui interdisent ou apposent des étiquettes de désinformation sur toute personne et tout ce qui en discute de manière critique ou interrogative. Cette même censure empêche également la compréhension des risques.

Enfin, le gouvernement et un grand nombre d’acteurs du secteur des vaccins encouragent les entreprises et les écoles à rendre ces injections expérimentales obligatoires, ce qui viole la règle du volontariat. Le gouvernement et les entreprises privées créent également des incitations massives à participer à cette expérience, notamment des loteries d’un million de dollars et des bourses universitaires complètes. Rien de tout cela n’est éthique ni même légal. Comme l’a noté Malone:(([21] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021))

« … comme ces vaccins ne sont pas encore autorisés sur le marché (homologués), il est spécifiquement interdit de contraindre des sujets humains à participer à une expérimentation médicale. Par conséquent, les politiques de santé publique qui répondent aux critères généralement admis de coercition pour participer à la recherche clinique sont interdites.

Par exemple, si je proposais un essai clinique impliquant des enfants et que j’incitais la participation en distribuant des glaces à ceux qui étaient prêts à participer, n’importe quel comité de sécurité des sujets humains (IRB) institutionnel aux États-Unis rejetterait ce protocole.

Si je devais proposer un protocole de recherche clinique dans lequel la population d’une région géographique perdrait ses libertés individuelles à moins que 70 % de la population ne participe à mon étude, une fois encore, ce protocole serait rejeté par n’importe quel IRB américain pour cause de coercition à la participation des sujets. Aucune coercition pour participer à l’étude n’est autorisée.

Dans la recherche clinique sur les sujets humains, dans la plupart des pays du monde, cette exigence est considérée comme une ligne de démarcation à ne pas franchir. Et maintenant, on nous dit de renoncer à cette exigence sans même qu’une discussion publique ouverte soit autorisée ? En conclusion, j’espère que vous vous joindrez à moi, que vous prendrez un moment pour réfléchir par vous-même à ce qui se passe. La logique me semble claire.

1. Un produit médical non autorisé déployé dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) reste un produit expérimental en cours de développement de recherche clinique.
2. L’AUE autorisée par les autorités nationales accorde essentiellement un droit à court terme d’administrer le produit de la recherche à des sujets humains sans consentement éclairé écrit.
3. La Convention de Genève, la déclaration d’Helsinki et l’ensemble de la structure qui soutient la recherche éthique sur les sujets humains exigent que les sujets de recherche soient pleinement informés des risques et qu’ils consentent à participer sans contrainte. »

Encore une fois, si votre emploi du temps le permet, j’espère sincèrement que vous prendrez le temps d’écouter l’interview de Weinstein avec Malone et Kirsch. Oui, c’est très long — environ 3 ½ heures — mais ils sont tous astucieux dans leurs observations, ce qui rend la conversation éclairante. Et n’oubliez pas de lire et de partager largement l’article de Kirsch, « Should You Get Vaccinated ? ”(([22] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))


[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé. En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award. Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.

Le Dr Robert Malone a inventé la technologie de thérapie génique par ARNm et a averti la FDA que les vaccins sont dangereux. La FDA l’a-t-elle écouté ? Non. Au lieu de cela, il a été censuré par Big Pharma et la FDA a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence qui a entraîné des centaines de milliers de blessures. Lisez l’intégralité de cet article et — si vous le pouvez — écoutez attentivement l’entrevue vidéo.


Sources et références




Que nous a appris l’Inde sur le traitement du Covid ?

Par Gérard Delépine

Depuis près de deux mois, les médias se moquent de la politique sanitaire de l’Inde, et décrivent cet immense pays comme celui où on entasse les morts dans les rues pour les brûler, et le creuset de naissance de variants qui vont nous anéantir lors de la quatrième vague. Cette présentation dramatique est contraire à la vérité.

Mais revenons aux faits, aux faits authentifiés et publiés par l’OMS et les agences sanitaires officielles.

L’Inde a affronté le covid avec au total six fois moins de victimes que nous

Au 16/6/21 la France recensait 1678 décès attribués au covid par million d’habitants contre 290 en Inde.

La comparaison de ces deux chiffres devrait interpeller des médias objectifs.

Compte tenu de l’insuffisance de l’appareil sanitaire indien, l’obtention de ce résultat étonnement favorable justifie l’analyse de la recette indienne du succès anti covid19 qui réside dans la jeunesse de sa population, mais surtout dans les traitements préventifs (avant toute contamination) et les traitements précoces (dès les premiers signes).

Le traitement préventif par hydroxychloroquine a contrôlé la première vague

Lors de la première vague le 22/3/2020, le conseil indien pour le covid a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet, et retirée depuis qu’a été dévoilé son caractère totalement fallacieux.

Rappelons que le ministre français s’est précipité pour interdire l’HCQ à la sortie de cet article mensonger et faire stopper les essais où l’HCQ était testée, mais n’a toujours pas pris le temps de rétablir la vérité et de libérer les médecins de l’angoisse de prescrire ce médicament pas cher et sûr, honni par le pouvoir, par crainte de poursuites par le conseil de l’ordre, comme d’autres collègues auxquels on reproche d’avoir guéri leurs patients avec des médicaments refusés par le ministre !

L’Indian covid19 Task force a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant(([1] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine durant 7 semaines)) et des membres des familles âgés de plus de 15 ans(([2] HCQ 400 mg le premier jour suivi de la même dose chaque semaine pendant 3 semaines)) au contact de malades covid19.

Ce traitement a considérablement amoindri la diffusion de la maladie dans la population avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072 (quatorze fois plus).

Au total, au 30 janvier 2021 (avant le début de la vaccination) l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants (10 757 710) alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542) soit six fois plus. Elle était un modèle !

Cette forte réduction du risque de contamination ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Elle est d’autant plus remarquable que l’Inde se singularise par la grande promiscuité de sa population dans les nombreuses mégapoles, Bombay

(12 478 447 d’habitants), Delhi (11 007 835), Bangalore (8 425 970), Hyderabad (6 809 970), Ahmedabad (5 570 585), Madras (4 681 087) Calcutta (4 486 679).

Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde ne comptait que 118 morts/M (154 147 morts) contre 1156/M (75466 morts) en France, soit dix fois plus.

La catastrophe post vaccinale de la deuxième vague stoppée par l’Ivermectine

En février 2021, en Inde, l’épidémie paraissait contrôlée avec une moyenne quotidienne de 7,7 nouveaux cas/million (10000 nouveaux cas) et avec le début de la vaccination le 16 janvier 2021, les traitements préventifs ont été délaissés.

Pourquoi les Indiens ont-ils cédé à la propagande de la vaccination ?

Un mois et demi après le début de la campagne de vaccination, une deuxième vague a déferlé sur l’Inde avec une augmentation exponentielle des nouveaux cas pendant 6 semaines et un pic de contaminations journalières atteignant 418 cas/Million (cependant deux fois et demie moindre que le pic français de novembre 2020).

Cette augmentation post vaccinale brutale des cas, cohérente avec les prédictions du Dr Tenpenny et du Professeur Cahill, avait été déjà observée dans de nombreux pays.(([3] G Delépine L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde 2021-05-24))(([4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Elle a été suivie d’une augmentation de la mortalité qui a été très médiatisée en Occident afin de relancer la panique du covid qui commençait à s’estomper.

LE BON SENS REVIENT AVEC LE TRAITEMENT PRÉCOCE

Les autorités ont réagi en rassurant la population. Le président de Medanta,(([5] Medanta est une chaîne indienne d’hôpitaux basée dans la région de la capitale nationale de l’Inde)) le Dr Trehan, a déclaré

« 90 % des patients atteints de COVID peuvent récupérer à la maison s’ils reçoivent les médicaments appropriés à temps. Dès que votre test RT-PCR est positif, mon conseil serait de consulter votre médecin local avec qui vous êtes en contact. Tous les médecins connaissent le protocole et commenceront votre traitement en conséquence ».

Ce protocole a été publié le 22 avril 2021 en une série de recommandations officielles comportant, pour les formes modérées de covid, de l’hydroxychloroquine ou de l’Ivermectine per os sous la surveillance des médecins traitants, complétées, si besoin, par de la Budésonide inhalée.

Et dix jours plus tard, le nombre de nouvelles contaminations s’est effondré passant de 319 cas/Million (414 188 cas) le 7 mai à 47/Million (61 471 cas) le 14 juin. Si nos dirigeants souhaitaient vraiment éviter une éventuelle quatrième vague, il suffirait qu’ils suivent la méthode indienne, ou marseillaise préconisée dès mars 2020. Que cherchent-ils vraiment ?

La vague post vaccinale a été vaincue par les traitements précoces, mais au prix d’une augmentation de la mortalité globale passée à 295/Million le 20 juin 2021 (contre 1681/M en France avec 109743 morts depuis le début de l’épidémie). Que de vies perdues par ce fameux pseudovaccin !

Quelles leçons peut-on tirer de l’évolution de l’épidémie en Inde ?

1°) Un pays pauvre peut faire nettement mieux que les pays occidentaux

2°) Les traitements préventifs par hydroxychloroquine, ciblés sur les personnes à risque, ont fortement réduit les contaminations lors de la première vague

3°) La campagne de vaccination a été suivie d’une forte augmentation de la maladie et donc qu’il faut abandonner en urgence ces substances géniques en essai thérapeutique.

L’accumulation des effets secondaires graves et des décès post vaccinaux reconnue par les agences officielles tant aux USA(([6] https://www.fda.gov/media/150054/download… Les effets indésirables systémiques (fatigue, céphalées, fièvre…) peuvent être qualifiés de fréquents à très fréquents chez les 16-25 ans (fatigue 30-40 %, céphalées 25-30 %) pour le vaccin Pfizer))(([7] USA WARNING : 7 décès chez les 12-17 ans selon VAERS ! Réfléchissez bien avant de faire vacciner vos enfants… (businessbourse.com) )) qu’en UE(([8] #EudraVigilance : 13 867 morts et 1 354 336 blessés dans la base de données européenne des effets indésirables des médicaments pour #COVID -19 coups | Kathy Vittetoe 12/06/21)) et en Grande-Bretagne, combinée à l’absence d’efficacité démontrée par les vagues de contamination dans tous les pays vaccinés, devrait faire renoncer le monde à cette escroquerie contre une maladie peu mortelle et curable, si tant est qu’on accepte de la traiter.

4°) Les traitements précoces par HCQ et Ivermectine peuvent stopper l’épidémie, ce que confirment de nombreux articles accumulés en 18 mois dont une nouvelle méta-analyse sur l’ivermectine parue récemment et commentée ce jour dans France soir.(([9] Ivermectine : une nouvelle méta-analyse conclut à son efficacité (francesoir.fr) ))

Conclusion

Espérons que les médias et nos gouvernants soient finalement capables de l’entendre et libèrent les prescriptions médicales, devant la révolte populaire encore silencieuse, mais dont l’attitude électorale rejetant tous ceux qui ont soutenu la dictature sanitaire imposée par le gouvernement est un signal fort de la conscience du peuple et de l’absence de résignation.

Il n’est jamais trop tard.





Ce que je sais et ne sais pas sur le virus SRAS-CoV-2

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Edward Curtin

Après quinze mois de lecture, d’étude, d’observation et de recherche assidues, j’en suis arrivé à quelques conclusions sur ce qu’on appelle le COVID-19.

Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail obsessionnel car il semblait si important. J’ai consulté des informations et des arguments sur tous les médias, corporatifs et alternatifs, universitaires, médicaux, livres, etc.
J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web des CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations gouvernementales et non gouvernementales de la santé. En d’autres termes, je n’ai laissé aucun effort, malgré les penchants politiques manifestes ou cachés des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que beaucoup de mes sources aient été des médecins et des études médicales.

Mes conclusions succinctes suivent sans liens avec les sources, car je n’essaie de persuader personne de quoi que ce soit, mais simplement de déclarer pour le compte rendu public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.

Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version de COVID-19 des médias grand public. J’ai conclu que plusieurs millions de personnes sont en « état de transe » et ne le savent pas. Ils ont été induits en erreur dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est inspirée de la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont derrière cela ont sans aucun doute étudié la forte incidence de l’hypocondriase dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour induire l’obéissance.

Je ne sais pas, mais je soupçonne que ceux qui ont été si hypnotisés ont tendance à être principalement des membres de la classe moyenne à la classe supérieure, ceux qui ont tant investi dans le système. Cela inclut les personnes très scolarisées.

Je sais que pour enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, insister sur le port de masques inutiles, pour leur dire d’éviter les contacts humains, pour détruire la vie économique des personnes ordinaires, ont créé de vastes souffrances qui visaient à enseigner aux gens une leçon sur qui contrôlaient et qu’ils révisaient mieux leur compréhension des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de mettre en place de la chair et du sang, face à face à la réalité humaine.

Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas tester le virus présumé ou tout virus et que, par conséquent, tout le nombre de cas et de décès est basé sur absolument rien. Ils sont le fruit d’un tour de passe-passe, d’un immense tour de magie. Je sais que la conviction que le virus peut être testé a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona [le premier test de diagnostic simple de la COVID-19] créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020. Ce dernier est devenu la méthode standard de test du CoV-2 du SRAS dans le monde entier. Je suis sûr que cela a été planifié à l’avance et qu’il faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole a fixé le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que de faux résultats positifs. On les appelait alors des cas : Un acte de fraude à grande échelle.

Je ne sais pas si le prétendu virus a déjà été isolé dans le sens où il était purifié ou isolé de tout le reste, à part être cultivé en laboratoire. Par conséquent, je ne sais pas si le virus existe.

Je sais que les « vaccins » expérimentaux à l’ARNm que l’on impose à tout le monde ne sont pas des vaccins traditionnels, mais des expériences dangereuses dont les conséquences à long terme sont inconnues. Et je sais que Moderna dit que son « vaccin » non vaccinal à ARN messager (ARNm) fonctionne « comme un système d’exploitation sur un ordinateur » et que le Dr. Robert Malone, inventeur de la technologie du vaccin à ARNm, affirme que les nanoparticules lipidiques des injections voyagent dans tout le corps et s’installent en grande quantité dans de multiples organes où la protéine de pointe, étant biologiquement active, peut causer des dommages massifs et que la FDA le sait. En outre, je sais que des dizaines de milliers de personnes ont subi des effets indésirables de ces injections et que plusieurs milliers en sont mortes et que ces chiffres sont grandement sous-estimés en raison des systèmes de déclaration de ces cas. Je sais qu’avec ce nombre [déclaré] de victimes dans le passé, ces injections expérimentales auraient été arrêtées il y a longtemps ou n’auraient jamais commencé. Le fait que la vaccination se poursuit malgré tout, me persuade qu’un programme extrêmement diabolique est en cours dont le but est de nuire à la santé parce que les responsables savent ce que je sais et bien plus encore.

Je ne sais pas d’où vient ce prétendu virus, s’il existe.

Je sais que dès le début de cette crise, il y a eu un effort concerté dans le monde entier pour refuser l’accès à des traitements efficaces éprouvés tels que l’hydroxychloroquine, les stéroïdes, l’ivermectine dans un effort planifié pour vacciner le plus grand nombre de personnes possible. Cela révèle à lui seul un programme centré non pas sur la santé, mais sur la volonté d’amener le plus grand nombre de personnes possible à se faire vacciner et à être contrôlées.

Le contrôle social est le nom de ce scénario meurtrier.

Je sais que les promoteurs de la vaccination Covid-19 – le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, la Fondation Gates, la Fondation Rockefeller, etc. – ont une longue histoire de volonté de réduire considérablement la population mondiale et que leur promotion de l’eugénisme sous divers noms est très bien connue. Je suis convaincu que la « thérapie génique » de type ARNm non encore testée est la clé de leur plan de réduction de la population.

Je ne sais pas s’ils réussiront.

Je sais qu’il faut nous y opposer.

Je ne sais pas pourquoi il y a autant de citoyens honnêtes qui n’arrivent pas à voir le problème. Je ne peux que l’attribuer au fait qu’elles ont été victimes d’une campagne de propagande gigantesque et hypnotique se servant de leurs peurs les plus profondes et qui aboutira à la manifestation de ces peurs sous prétexte qu’ils pensaient être libres. C’est une grande tragédie.

Je sais que toutes les statistiques sur les cas et les décès « dus » à » COVID-19 ont été manipulées pour créer une fausse pandémie. L’une des preuves les plus évidentes en est la disparition présumée de la grippe et les décès dus à la grippe. Seule une personne en transe pouvait ne pas comprendre la logique absurde de l’argument selon lequel c’était le résultat du port du masque alors que le COVID-19  d’origine aérienne s’est répandu comme une traînée de poudre jusqu’à ce qu’il s’arrête brusquement en janvier 2021 alors qu’un nombre infime de personnes avaient été vaccinées.

Je sais qu’il n’y a guère eu de surmortalité.

Je ne sais pas où tout cela va s’arrêter, mais j’espère contre toute attente que l’opposition croissante à cette fraude se développera et la fera échouer malgré la censure organisée, qui est en cours, contre les opinions dissidentes.

Je sais que lorsque la censure organisée à cette échelle a lieu, ceux qui sont derrière elle ont peur de la révélation de la vérité. Une simple compréhension de l’histoire le confirme.

Je sais que le sursis temporaire accordé par les autorités à leurs sujets sera suivi de nouvelles restrictions aux libertés fondamentales, que les confinements du virus corona reviendront probablement, que les rappels de « vaccins » seront promus et que la pression du Forum économique mondial pour une grande réinitialisation avec une quatrième révolution industrielle conduira au mariage de l’intelligence artificielle, des cyborgs, de la technologie numérique et de la biologie avec les États-Unis et d’autres pays continuant à glisser dans une nouvelle forme de contrôle fasciste à moins que des gens du monde entier ne se lèvent et ne résistent en grand nombre. Je suis rassuré par les signes qui montrent que cette résistance se fait de plus en plus sentir.

Enfin, je sais que si les forces autoritaires gagnent la bataille immédiate, quelqu’un écrira un livre avec un titre comme celui du classique de Milton Mayer, They Thought They Were Free. Il sera censuré. Peut-être sera-t-il d’abord partagé via samizdat. Mais à la fin, après beaucoup de souffrances et de morts, la vérité sur ce mauvais programme prévaudra et il y aura beaucoup de pleurs et de grincements de dents.

Nous sommes dans une guerre spirituelle pour l’âme du monde [une guerre psychologique pour la conquête du monde].

Edward Curtin

Article original en anglais :

What I Know and Don’t Know about SARS-CoV-2 Virus

Traduit par Maya pour Mondialisation


Edward Curtin est un auteur, un chercheur et un sociologue éminent basé dans l’ouest du Massachusetts.

Il est associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG).

Il est l’auteur de Seeking the Truth in a Country of Lies

Pour commander son livre, cliquez sur la page couverture

« Chercher la vérité dans un pays de mensonges est un voyage éblouissant au cœur de nombreuses questions – politiques, philosophiques et personnelles – qui devraient nous préoccuper tous. Ed Curtin a le toucher du poète et l’œil d’un aigle. » 

Robert F. Kennedy, Jr.

« Edward Curtin met nos têtes farcies par la propagande dans une guillotine, puis en un éclair nous emmène dans une promenade rédemptrice dans les bois – de l’enfer au paradiso. Marchez avec Ed et ses amis – Daniel Berrigan, Albert Camus, George Orwell et bien d’autres – à travers les bois les plus sombres et les plus remplis de lucioles de cette terre. » 

James W. Douglass, auteur, JFK et l’indicible

« Un exposé puissant de la CIA et de notre État secret… Curtin est un ardent défenseur de la réforme de longue date ; ses histoires vous réveilleront le cœur. » 

Oliver Stone, cinéaste, écrivain et réalisateur

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Edward Curtin, Mondialisation.ca, 2021




Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

[Source : Cogiito]

[Sur l’illustration : « Big Pharma est un cartel monopolistique protégé par le gouvernement. »]

par Lance D Johnson.

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.   

Ce système dominé par les grandes sociétés pharmaceutiques est également légalement autorisé à commercialiser directement auprès des consommateurs, permettant un lavage de cerveau perpétuel de la population en général et des professionnels de la santé.

projects.propublica.org/docdollars

Pire encore, Big Pharma est mis en place de manière à générer des rendements élevés pour leurs actionnaires ; le système n’est pas incité à promouvoir la meilleure santé d’une population. Cette incitation à haut rendement fait ressortir les comportements les plus épouvantables et les décisions commerciales les plus antihumaines .

PDF à télécharger en anglais seulement : pharma_covid-19_report

Big Pharma est parvenue à convaincre des populations entières qu’il n’y a pas d’immunité naturelle, pas d’autres solutions contre les infections que ses produits de santé.

Par exemple, lors de l’épidémie de covid-19, certains médecins ont eu le courage d’utiliser des antiviraux sûrs et peu coûteux tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine, le glutathion, la vitamine D et C. Mais au lieu de promouvoir des traitements antiviraux sûrs et faciles à utiliser, l’establishment Big Pharma s’est battu pour supprimer les traitements et autres approches pour aider la population à développer une réponse immunitaire saine.

Rien de nouveau sous le soleil, pour ceux qui comprennent comment fonctionne ce monopole. Au fil des décennies, la nutrition et la phytothérapie traditionnelle ont été systématiquement retirées de la médecine occidentale.   

Cette suppression des informations vitales et des solutions d’immunité naturelle ouvre finalement la voie à une autorisation d’utilisation d’urgence des investissements dans les vaccins « trop gros pour échouer ». Alors que ces sociétés se battent pour la domination, leur influence sur les agences de réglementation, les médias et la « science » conduit à des activités commerciales contraires à l’éthique et c’est la raison pour laquelle aucune société pharmaceutique ne peut être digne de confiance.

La cupidité des grandes sociétés pharmaceutiques rend les systèmes médicaux vulnérables, en particulier lors d’une épidémie  

Rien qu’en 2020 : Pfizer, GlaxoSmithKline, Johnson & Johnson, Sanofi, Gilead et AstraZeneca ont généré un flux de revenus combiné de 266 milliards de dollars.

Même si l’industrie regorge d’argent, le gouvernement fédéral américain a remis aux monopoles Big Pharma au moins 18 milliards de dollars de fonds publics pour développer des vaccins contre le covid-19. Ce siphonnage de la richesse du peuple américain est mené sans un seul vote du peuple lui-même.

Le Congrès ne représente pas la Volonté du Peuple ; eux aussi sont rachetés par cette monstruosité Big Pharma.  

Au cours de la dernière décennie, GlaxoSmithKline (GSK) a été condamnée à une amende de 3 milliards de dollars pour avoir versé des pots-de-vin à des médecins américains.

En Grande-Bretagne, GSK a été condamné à une amende pour corruption de producteurs de médicaments génériques.

GSK a publié un article dans une revue médicale qui a induit les parents en erreur sur la sécurité d’un antidépresseur pour leurs enfants.

Pour gagner 100 milliards de dollars supplémentaires, GSK a augmenté le prix d’un inhalateur pour l’asthme de 18% sur le marché américain. Au fur et à mesure que les actionnaires encaissent, blesser les gens devient plus susceptible d’être une pratique commerciale.

Pfizer a également augmenté le prix des médicaments essentiels sur lesquels les patients comptent.   

Pfizer a augmenté le prix d’un médicament antiépileptique dont 48 000 patients britanniques avaient besoin. En un an, les services de santé nationaux ont dû payer plus de vingt-cinq fois le prix initial de ce médicament juste pour garder ces patients en vie.

Dans l’ensemble, les grossistes et les pharmacies britanniques ont été confrontés à des hausses de prix de 2 300%, ce qui a permis à Pfizer de générer 16 milliards de dollars de bénéfices l’année dernière seulement.

Dans un essai de médicament au Nigeria, Pfizer a profité d’une épidémie, a menti sur son traitement expérimental contre la méningite et a soumis les enfants à des médicaments expérimentaux à risque, sans fournir un consentement éclairé adéquat aux parents.

Pfizer a finalement dû verser 75 millions de dollars aux familles touchées – des centimes par rapport au montant que le gouvernement fédéral les a renfloués en 2020.  

Johnson & Johnson (J&J) est actuellement la société pharmaceutique la plus prospère au monde, avec un chiffre d’affaires de 82 milliards de dollars au cours de la dernière année. Ce succès repose également sur des hausses de prix contraires à l’éthique, notamment une hausse sans précédent de 19% des prix des médicaments contre la leucémie et le cancer de la prostate et une hausse de 16% des prix des médicaments contre le VIH.

AstraZeneca construit son empire en supprimant les médicaments génériques qui pourraient offrir des options plus abordables aux patients. La Cour européenne de Justice a récemment soutenu la Commission européenne et a jugé qu’AstraZeneca avait abusé de sa position sur le marché pour bloquer les médicaments génériques.

AstraZeneca a manipulé les marchés en retirant son autorisation de mise sur le marché pour le Losec, en même temps qu’ils ont introduit une version de deuxième génération du médicament. Cette tactique a retenu les essais cliniques assez longtemps pour empêcher les fabricants de médicaments génériques de proposer une alternative moins chère sur le marché.

Le système de cupidité, de censure et de contrôle de Big Pharma rend les systèmes médicaux vulnérables et met la vie des gens en danger, en particulier lors d’une épidémie.




Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Debra Heine – Le 15 juin 2021

Lors d’une interview extraordinaire la semaine dernière, le Dr Peter McCullough, professeur américain de médecine et vice-chef du service de médecine interne de l’université Baylor, a déclaré que le monde avait été soumis à une forme de bioterrorisme et que la suppression des premiers traitements contre le COVID-19 – comme l’hydroxychloroquine – « était étroitement liée au développement d’un vaccin ».

Le Dr McCullough a fait ces commentaires explosifs lors d’un webinaire le 11 juin, avec le Dr Reiner Fuellmich, un avocat allemand, qui pense que la pandémie a été planifiée et qu’elle constitue « un crime contre l’humanité. »

Le Dr McCullough a déclaré que, selon lui, le bioterrorisme s’est déroulé en deux étapes – la première étant le déploiement du coronavirus, et la seconde, le déploiement des vaccins dangereux, qui, selon lui, pourraient déjà être responsables de la mort de milliers d’Américains.

Le Dr McCullough pratique la médecine interne et la cardiologie, est rédacteur en chef de Reviews in Cardiovascular Medicine, rédacteur principal de l’American Journal of Cardiology, rédacteur en chef du manuel Cardiorenal Medicine et président de la Cardiorenal Society.

« La première vague de bioterrorisme est un virus respiratoire qui s’est répandu dans le monde entier et qui a touché relativement peu de personnes – environ un pour cent de la population – mais qui a suscité une grande peur », a expliqué le Dr McCullough lors du webinaire organisé par Oval Media avec d’autres médecins. Il a fait remarquer que le virus visait « principalement les personnes fragiles et les personnes âgées, mais pour les autres personnes en bonne santé, c’était un peu comme un simple rhume ».

Le Dr McCullough a ensuite précisé qu’il avait traité de nombreux patients atteints de la maladie, qu’il avait écrit des articles sur le sujet, qu’il avait lui-même été atteint de la maladie et qu’il avait vu un décès dans sa propre famille dû au COVID.

Le médecin a déclaré qu’il pense que la peur du virus a été utilisée très rapidement pour générer des politiques qui auraient un impact énorme sur la vie humaine, comme les mesures draconiennes de confinement.

« Tout ce qui a été fait en matière de santé publique en réponse à la pandémie n’a fait qu’aggraver la situation », a-t-il souligné.

M. McCullough a expliqué que, très tôt, en tant que médecin traitant des patients atteints du COVID, il a mis au point un régime de traitement précoce pour les personnes atteintes du virus, qui a permis de réduire les séjours à l’hôpital d’environ 85 %, et il a commencé à publier des articles sur ce qu’il avait appris. Le médecin a noté qu’il s’était heurté à une « résistance à tous les niveaux » pour ce qui est de traiter les patients et de publier ses articles.

« Heureusement, j’ai eu assez de force de publication pour publier les deux seuls articles de toute la littérature médicale qui enseignent aux médecins comment traiter les patients atteints de COVID-19 à la maison pour éviter l’hospitalisation », a-t-il déclaré.

« Ce que nous avons découvert, c’est que la suppression du traitement précoce était étroitement liée à la mise au point d’un vaccin, et que l’ensemble du programme – et dans un sens, la phase 1 du bioterrorisme – a été déployé, [et] consistait réellement à maintenir la population dans la peur, et à l’isoler pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase 2 d’une opération de bioterrorisme. »

M. McCullough a expliqué que le coronavirus et les vaccins diffusent tous deux « dans le corps humain, la protéine spike, [qui est] la cible de gain de fonction de cette recherche bioterroriste. »

Il a reconnu qu’il ne pouvait pas dire tout cela à la télévision nationale, car l’establishment médical a fait un travail de propagande très poussé sur la question.

« Ce que nous avons appris avec le temps, c’est que nous ne pouvions plus communiquer avec les agences gouvernementales. En fait, nous ne pouvions pas communiquer avec nos collègues propagandistes des grands centres médicaux, qui semblent tous être sous le charme, presque comme s’ils avaient été hypnotisés. »

« De bons médecins font des choses impensables comme injecter à des femmes enceintes de l’ARN messager biologiquement actif qui produit cette protéine de pointe pathogène. Je pense que lorsque ces médecins se réveilleront de leur transe, ils seront choqués de penser à ce qu’ils ont fait aux gens », a-t-il déclaré, faisant écho à ce que lui-même et le Dr Harvey Risch, professeur à l’école de santé publique de Yale, ont déclaré à Laura Ingraham, animatrice de Fox News, lors d’une interview le mois dernier.

M. McCullough a expliqué à Reiner Fuellmich que l’été dernier, il a lancé une initiative de traitement précoce pour éviter que les patients atteints du COVID ne soient hospitalisés, ce qui a nécessité l’organisation de plusieurs groupes de médecins aux États-Unis et à l’étranger.  Le médecin a noté que certains gouvernements ont essayé d’empêcher ces médecins de fournir les traitements, mais avec l’aide de l’Association des médecins et chirurgiens, ils ont pu publier un guide du patient à domicile et, aux États-Unis, ils ont organisé quatre services télémédicaux différents et quinze services télémédicaux régionaux.

Ainsi, les personnes atteintes du COVID-19 ont pu appeler ces services et se faire prescrire les médicaments dont elles avaient besoin dans des pharmacies locales ou des pharmacies de distribution par correspondance, a-t-il expliqué.

« Sans que le gouvernement ne comprenne vraiment ce qui se passait, nous avons écrasé la courbe épidémique des États-Unis », a affirmé M. McCullough. « Vers la fin décembre et en janvier, nous avons essentiellement pris en charge la pandémie avec environ 500 médecins et des services de télémédecine, et à ce jour, nous traitons environ 25 % de la population américaine du COVID-19 qui sont en fait à haut risque, âgés de plus de 50 ans avec des problèmes médicaux qui présentent des symptômes graves. »

Le médecin a déclaré que sa conviction que la suppression du traitement précoce était « étroitement liée » aux vaccins, est ce qui l’a conduit à concentrer son attention sur la mise en garde du public contre les vaccins.

« Nous savons qu’il s’agit de la phase deux du bioterrorisme, nous ne savons pas qui est derrière, mais nous savons qu’ils veulent une aiguille dans chaque bras pour injecter de l’ARN messager ou de l’ADN adénoviral dans chaque être humain », a-t-il déclaré. « Ils veulent chaque être humain ». Le médecin a par la suite averti que les vaccins expérimentaux pourraient à terme provoquer des cancers, et stériliser les jeunes femmes.

Le Dr McCullough a déclaré que son objectif est de mettre à part un grand groupe de personnes que le système ne peut atteindre, ce qui inclurait les personnes qui ont déjà eu le virus, celles qui sont immunisées, les enfants, les femmes enceintes et les femmes en âge de procréer.

Le cardiologue a poursuivi en disant qu’étant donné qu’il n’y a aucun avantage clinique pour les jeunes à se faire vacciner, même un seul cas de myocardite ou de péricardite après les injections « est de trop ». Pourtant, même si le CDC a connaissance de centaines de rapports alarmants de cas de gonflement du cœur chez les adolescents et les jeunes adultes, il ne va réévaluer la question que plus tard en juin. Il a accusé le corps médical de négliger de faire quoi que ce soit pour réduire les risques des vaccins.

Ayant présidé plus de deux douzaines de comités de surveillance de la sécurité des vaccins pour la FDA et l’Institut national de la santé, M. McCullough a pu critiquer la manière dont les vaccins ont été mis en place.

« Avec ce programme, il n’y a pas de comité des événements critiques, il n’y a pas de comité de surveillance de la sécurité des données, et il n’y a pas de comité d’éthique humaine. Ces structures sont obligatoires pour toutes les grandes enquêtes cliniques, et donc le mot qui est vraiment utilisé pour ce qui se passe est une malversation, c’est-à-dire la faute des personnes en autorité », a expliqué le médecin.

« Sans aucune mesure de sécurité en place, vous pouvez voir ce qui se passe », a-t-il poursuivi.

« En gros, c’est la plus grande application d’un produit biologique avec la plus grande quantité de morbidité et de mortalité de l’histoire de notre pays ».

« Nous en sommes à plus de 5 000 décès jusqu’à présent, comme vous le savez, et je pense à environ 15 000 hospitalisations. Dans l’UE, c’est plus de 10 000 décès. Nous travaillons avec les données du Center for Medicaid (CMS), et nous avons une assez bonne piste pour que le chiffre réel soit décuplé. »

McCullough a expliqué que, comme la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) ne représente qu’environ 10 % des mauvaises réactions aux vaccins, son équipe a dû se tourner vers d’autres sources pour obtenir des informations.

« Nous avons maintenant un lanceur d’alerte au sein du CMS, et nous avons deux lanceurs d’alerte au sein du CDC », a révélé le médecin. « Nous estimons que 50 000 Américains morts. Cinquante mille morts. Donc nous avons en fait plus de décès dus au vaccin par jour que certainement la maladie virale de loin. C’est essentiellement de la propagande pour du bioterrorisme par injection. »

Le Dr McCullough dit avoir vu dans son cabinet des personnes présentant des cas de thrombose de la veine porte, de myocardite et de graves problèmes de mémoire post-vaccination. « C’est tellement déconcertant », a-t-il dit.

Il a ajouté qu’il a récemment été violemment attaqué dans les médias par une femme de Singapour qui est liée à la Fondation Gates.

Le Dr McCullough a ensuite exprimé une théorie effrayante selon laquelle les vaccins pourraient avoir été conçus pour réduire la population mondiale.

« Si vous dites que tout cela est un programme de la Fondation Gates pour réduire la population, cela correspond très bien à cette hypothèse, non ? La première vague a été de tuer les personnes âgées par l’infection respiratoire, la deuxième vague est de prendre les survivants et de cibler les jeunes et de les stériliser », a-t-il déclaré.

« Si vous remarquez les messages dans le pays, aux États-Unis, ils ne sont même pas intéressés par les personnes âgées maintenant. Ils veulent les enfants. Ils veulent les enfants, les enfants, les enfants, les enfants, les enfants ! Ils se concentrent tellement sur les enfants », a-t-il déclaré, notant qu’à Toronto, au Canada, le mois dernier, ils ont attiré les enfants en leur promettant des glaces pour obtenir le vaccin. Selon un rapport, le gouvernement de l’Ontario – qui n’exige pas le consentement des parents pour la vaccination des enfants – a encouragé les enfants à se faire vacciner par Pfizer lors d’un événement pop-up.

« Ils ont retenu les parents, et ils ont vacciné les enfants », s’insurge le médecin. Il a ajouté que la mère de son épouse canadienne avait été vaccinée de force contre son gré.

M. McCullough a prédit que les États-Unis se préparent à forcer les gens à recevoir les injections.

« Nous devons arrêter cela, et nous devons voir ce qui se cache derrière tout cela », a-t-il conclu.

[Source :] https://amgreatness.com/2021/06/15/dr-mccullough-covid-vaccines-have-already-killed-up-to-50000-americans-according-to-whistleblowers/

Vidéo de l’interview en anglais






« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs !!! » L’édito de Charles SANNAT

[Source : Charles SANNAT – Insolentiae]

par Charles Sannat

[Illustration : Georges Clemenceau]

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. » disait Georges Clemenceau.

Et c’est exactement ce que font les guignols qui sont aux manettes de ce pays et qui président à nos destinées en ces temps troublés et troublants de pandémie.

Je me souviens encore de ce match de foot de préparation des bleus il y a à peine quelques jours. Ce match signait le retour des « spectateurs » dans le stade de France, quelle bonne nouvelle pour les sportifs et les footeux !

Mais quand on regarde les images, on se demande tout de même quel est l’abruti de service qui a décidé de ne laisser rentrer « que » 5 000 personnes pour les entasser au même endroit dans le stade et laisser tous les autres gradins vides.

Oui mes amis.

Après plus d’un an de pandémie, nous avons toujours droit à ce type de crétineries, car il n’y a pas d’autre mot pour désigner de telles décisions. On a l’impression qu’ils le font exprès. Depuis que l’euro, je parle de la compétition, a commencé pas un seul pays européen ne procède évidemment de la sorte. On « éparpille » les gens dans le stade, on met de la distanciation bien évidemment.

[Ndlr : il y a de fortes chances qu’ils le fassent exprès, aux ordres des élites financières qui veulent absolument l’achèvement de leur Nouvel Ordre Mondial, et si possible par le chaos.
Voir :
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population
Le contrôle mental au temps du Covid
Stratégie du Chaos Contrôlé
Théories de contrôle de l’esprit et techniques utilisées par les médias de masse]

Le bon sens du premier ministre !

Alors Jean Castex a pris la parole aujourd’hui pour parler du bon sens avec lequel il fallait appliquer les avis du haut conseil à je ne sais plus quoi.

Ainsi, le port du masque dans la rue ne sera plus obligatoire sauf là où c’est bondé. Pourquoi pas.

De même nous dit le premier ministre que dans les stades… c’est sûr que si lon se colle les uns aux autres là où nous pourrions nous distancier, mieux vaut porter un masque… Bon sens donc.

Tenez regardez les photos. Elles parlent d’elles-mêmes. Là où c’est tout blanc sur le coté droit de la photo, ce sont tous les sièges vides. Au centre, c’est bondé et il n’y a aucune distanciation mais la jauge des 5 000 personnes (alors que le Stade de France peut accueillir 80 000 supporters) est respectée. Bon sens en action donc !

Fin du couvre-feu le 21 juin, le jour de la fête de la musique !

Tous les soirs, depuis notamment que nos tristes sires ont eu l’excellente idée (c’est ironique bien sûr) d’autoriser les spectateurs (riches, et snobinards) de Roland-Garros à rentrer après 23 heures pour assister à la fin du match, mais en maintenant les restrictions à 23 heures pour la plèbe, ce sont des fêtes sauvages de protestation qui se déroulent tous les soirs.

Ce couvre-feu est également très critiquable sur son efficacité médicale car, pour le moment, scientifiquement, rien ne démontre ni ne prouve son efficacité. D’ailleurs pour en être certain, il faudrait faire la même chose que pour la chloroquine de Raoult, une étude « randomisée en double aveugle », sinon les effets « observationnels » de Raoult qui ne valent pas tripettes selon nos mamamouchis pour la chloroquine ne valent pas un kopeck de plus pour leur couvre-feu.

Il faut donc pour prouver l’efficacité dudit couvre-feu, prendre un échantillon représentatif de la population (différentes catégories d’âge, de lieux de résidence etc) et lui imposer le couvre feu, puis un autre échantillon à qui on impose aucun couvre feu. On fait une étude de 6 mois, et l’on voit qui est le plus malade ou pas. On peut alors en déduire l’efficacité d’une telle mesure qui prive de liberté une population toute entière.

Evidemment, ce que l’on impose à un traitement potentiel, n’est pas demandé à une mesure privatrice de liberté pour toute la population et qui transforme en « criminel » de braves gens qui rentrent trop tard chez eux.

Terrifiante dérive. 

Mais lorsque l’Etat et les guignols qui nous dirigent sentent que le point de rupture approche, ils ont tout de même encore un instinct de survie qui leur souffle de desserrer l’étau qui brise les peuples.

Un carcan imposé sans preuves scientifiques je tiens à le préciser perfidement et de manière très insolente.

Alors Castex passe à la télé, et grand seigneur annonce qu’il nous libère enfin du couvre-feu et du masque sur la plage où il n’y a personne.

Il habille tout cela d’un sabir technocratique visant à faire croire qu’il s’agit de décisions réfléchies, pensées, et qui correspondent à un grand savoir-faire et des avis très scientifiques et techniques émanant de grands professionnels.

En réalité il n’en est rien de tout cela.

C’est juste des abrutis et des guignols qui font semblant de savoir ce qu’ils font et cela, depuis le début.

Jamais la citation de Clémenceau a été aussi appropriée.

« Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. »

Tout cela va leur sauter à la figure, et l’idée de passer une réforme des retraites cet été en catimini risque d’être la dernière très mauvaise idée de ces dirigeants à la légitimité toute relative et à la popularité historiquement basse.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »




Lettre à un ami qui n’est plus… accessible

Par Alain Tortosa

Hier j’ai perdu un ami qui m’a été « volé » par le Covid…

Hier tu m’as signifié à quel point mon existence te met dans l’embarras.

[Illustration : indiatimes.com]

Ne croyez pas que mon ami soit décédé du « fléau », son corps est bien vivant et il est bel et bien en bonne santé… mais que dire de son âme, de son esprit, de ses valeurs ou de son esprit critique ?

Ne croyez pas que j’accuse ce virus, jusqu’à présent plutôt gentil au demeurant, mais uniquement la dictature sanitaire et les médias à sa botte.

« Ce texte est pour toi et tous les autres qui ne pourront pas me lire et encore moins adhérer… »

Mon cœur pleure, car tu es mon ami depuis 30 ans et tu ne peux plus me parler. Il ne nous est plus possible de communiquer, d’échanger, d’argumenter… alors que c’est une des richesses de l’humanité…

Le problème couvait depuis des mois et je préférais me taire, ne pas te faire parvenir les informations en ma possession, ne pas te perturber dans tes certitudes fragiles… que de te heurter.

Il était évident que tu ne pouvais pas (et non voulais pas) entendre, même si j’imagine que tu penses demeurer dans un libre arbitre et des pensées propres.

Tu as donc ressenti le besoin de m’écrire que…

  • Tu es heureux d’être vacciné.
  • Tu es heureux que toute ta famille soit vaccinée.
  • Tu es heureux de savoir que ton petit fils de douze ans et en pleine santé sera lui aussi bientôt vacciné.

Tu es donc vacciné. Ton bonheur de l’être ne me dérangerait pas s’il été issu d’un choix libre et éclairé, mais…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », respecter encore les confinements ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter les couvre-feux ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », porter encore un masque ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » respecter la distanciation ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », te laver les mains au gel hydroalcoolique ?
  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur », être prudent et te méfier des non-vaccinés comme moi, mais aussi des vaccinés ?(([1] Interrogé sur BFM le 16 juin par un journaliste demandant si deux vaccinés double dose pouvaient se serrer la main, un médecin a répondu qu’il « valait mieux éviter et rester prudent »…))

Et incroyable…

  • T’es-tu interrogé sur le fait que tu doives, malgré ton « vaccin libérateur » et « protecteur » présenter un test PCR négatif, comme les non-vaccinés, avant de te rendre en Corse ?

Sans doute pas… parce que les médias t’ont dit que c’était à la fois logique et transitoire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait une telle vaccination légitime…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Je cherche à comprendre ce que t’apporte ton vaccin.

En effet, que t’apporte-t-il au quotidien que tu n’avais pas lorsque tu n’étais pas vacciné ?

  • Le fait d’être membre à part entière de notre « merveilleuse » société devenue soudainement « solidaire » en 2020 ?
  • Le fait d’être un « bon » citoyen ?
  • Le fait d’être « comme tout le monde » ?
  • Le fait de pouvoir répondre à ta marchande de légumes « oui ! » lorsqu’elle te demande si tu t’es injecté ?
  • Le fait d’être enfin rassuré par un « vaccin » qui n’empêche pas de tomber malade, ne protège pas autrui et permet, au mieux, de ne pas faire de formes graves si l’on ignore les risques d’anticorps facilitants ?

Trouves-tu légitime et moral de demander aux enfants, jeunes et moins jeunes, de se vacciner pour officiellement protéger des personnes âgées, malades ou en fin de vie ?(([2] Les autorités sanitaires ne cachent plus que les enfants ne risquent rien et le Dr Fischer, « m.vaccin » a même dit que la décision de les vacciner n’était qu’arithmétique.))

Trouves-tu légitime et moral de demander à TON petit-fils de porter un masque toute la journée, d’être confiné, de renoncer à l’insouciance de l’enfance, et maintenant lui demander (ou l’avoir manipulé pour…) de se vacciner pour protéger qui ? Ses grands-parents ?

Les médias t’ont dit que c’était normal, l’unique voie « altruiste »…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait ces mesures légitimes et morales…
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Pourquoi tant de peurs, tant d’acceptations, tant de renoncements ?

En toute sincérité…

  • Crois-tu vraiment que cette maladie ne se soigne pas ?
  • Crois-tu vraiment qu’il n’existe aucun traitement efficace ?
  • Crois-tu vraiment que tous les experts mondiaux (au-delà de tout soupçon et sans conflit d’intérêts, eux) qui ont un discours diamétralement opposé à la doxa sont, du jour au lendemain, devenus délirants ou complotistes ?
  • Crois-tu que l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont inefficaces et, qui plus est, devenus soudainement dangereux en 2020, après des dizaines d’années de commercialisation ?

Les médias, les incompétents ou les corrompus le répètent tous les jours, toute la journée…

Ils osent même parler de « bon sens » !

Ce petit club d’imbéciles et de corrompus qui peut accéder aux médias mainstream, ne peut parler que de « consensus » et tu ne peux que les croire…

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans…

  • Si je lui avais dit qu’il trouverait logique ou raisonnable que le seul traitement possible contre un virus respiratoire soit le paracétamol.
  • Qu’il ne fallait pas consulter son médecin avant d’être à l’article de la mort.
  • Que des molécules inoffensives utilisées depuis plus de 70 ans devaient être interdites.
  • Que le droit de prescription devrait être retiré aux médecins et que certains seraient poursuivis devant leur Conseil de l’Ordre de Vichy.
  • Et que la vaccination serait, comme par « hasard », l’unique voie…

Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Tu vois, mon texte est long, très long…, mon ami, plus long que tes quelques lignes pour condamner notre amitié.

Il est tellement plus facile de répéter en boucle le discours de France Info sans réfléchir que d’analyser et chercher à comprendre…

Les vaccins sont-ils pour toi, un tout petit peu, source d’inquiétudes ou ne serait-ce que de questionnements ?

Sais-tu que :

  • Les premiers essais sur l’homme ont eu lieu en avril 2020 ! Non-événement !
  • Des pans entiers de sécurités ont été volontairement ignorés « à cause de l’urgence » ! Non-événement !
  • La commercialisation a débuté en phase III avant la fin des essais ! Non-événement !
  • Une technologie ARN messager expérimentale jamais déployée ! Non-événement !
  • Des effets secondaires à moyen et long terme totalement inconnus ! Non-événement !
  • Le risque de variants induits par la vaccination ! FakeNews !
  • Le risque d’anticorps facilitants qui rendraient une nouvelle infection plus dangereuse pour les vaccinés ! Délire complotiste !

Ces thérapies géniques vaccinales sont autorisées, elles sont recommandées par tous les « médecins » médiatiques, toutes les autorités de santé, tous les gouvernements et même l’OMS…

Elle est vendue toute la journée par tous les médias mainstream… « C’est bien parce qu’ils sont sans danger et efficaces », non ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal de s’injecter à lui-même et sa famille des substances expérimentales à base d’ARNm jamais utilisées sur l’homme hormis pour des cancers en phase terminale.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Qu’as-tu fait du principe de précaution qui te semblait un préambule indispensable à toute action ?

Selon toi, le masque doit-il aussi être porté « au nom du principe de précaution » ?

  • Aucune étude n’a jamais prouvé l’efficacité du port du masque dans une population générale. Même l’OMS le disait ainsi que les autorités françaises avant la grande mystification.
  • Tu es bien conscient qu’il ne peut pas être anodin de porter un masque toute la journée pendant des mois et d’autant plus pour des enfants.
  • Tu es bien conscient que si le dispositif avait une efficacité, il perturberait les échanges gazeux et que plus il filtrerait les virus et plus il gênerait la respiration.
  • Tu es bien conscient que tu réingères notamment une partie de ton CO2 et que tu respires les produits chimiques toxiques du masque et/ou de ta lessive ?
  • Tu es bien conscient que tu détruis la relation à autrui, les interactions humaines et les émotions avec cette muselière faite pour rendre visible une épidémie dont nous ignorerions l’existence sans les médias et que nous aurions pris comme une simple grippe…
  • Tu es bien conscient que tu perturbes gravement l’apprentissage des émotions et du langage chez les tout petits…

Ah, mais la Pravda t’a répété qu’il n’y avait pas d’alternative, que le masque était sans aucun danger et qu’il sauvait des vies.

Il fallait même le porter, seul, en montagne ou à la plage, au nom du « principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique de faire porter un masque en toute circonstance à une population en bonne santé.
Il aurait aussi trouvé étrange l’invention de l’asymptomatique contagieux et dangereux !
Il m’aurait rappelé que lorsque qu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires négatifs certains d’une mesure et de nombreux indices ou études passées montrant que la mesure est non seulement dangereuse et sans doute inefficace, alors on s’abstenait !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Selon toi, les confinements doivent-ils aussi être mis en place au nom du principe de précaution ?

  • Cela fait des siècles que nous savons que les quarantaines ne fonctionnent pas à grande échelle et qu’il suffit d’un seul individu pour faire effondrer l’édifice.
  • Tu es bien sûr au fait que par le passé on confinait les malades… pas les bien portants…
  • Tu sais que les conséquences économiques et psychologiques ne peuvent qu’être désastreuses…
  • Tu entends même désormais que les suicides explosent notamment chez les jeunes.
  • Veux-tu ignorer le fait que des pays qui n’ont pas confiné ont eu de meilleurs résultats ?
  • Veux-tu ignorer que les pays qui ont le moins détruit les droits de l’homme ont eu moins de morts ?
  • Veux-tu ignorer que les pays les plus pauvres ont le moins souffert ?
  • Veux-tu ignorer que la courbe ne s’est jamais aplanie en France durant le confinement et qu’il n’y a eu aucun rebond au déconfinement malgré les prévisions catastrophiques des oracles ?

Ah, mais la Pravda t’a dit qu’il n’y avait pas d’alternative et que le confinement avait sauvé au moins 80 000 vies en France. Il fallait confiner « au nom du principe de précaution » !

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’enfermer ensemble les malades, interdits de traitements, et les bien portants notamment dans les maisons de retraite.
Il m’aurait rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques et les effets secondaires certains négatifs et de nombreux indices ou preuves montrant que la mesure pourrait être inefficace, alors on s’abstient !
Il m’aurait dit que c’est ça le principe de précaution !
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Alors tu te vaccines et il faut désormais vacciner toute la population mondiale au nom du « principe de précaution » ?

  • Jamais personne n’a réussi à mettre au point des vaccins contre les coronavirus.
  • Tout scientifique sait que les coronavirus mutent en permanence pour survivre.
  • Les faux vaccins mis au point en quelques semaines ne ciblent que la protéine Spike les rendant vulnérables à toutes mutations.
  • La vaccination durant une épidémie augmente naturellement le risque de création de variants et d’autant plus que les vaccins ne sont pas de vrais vaccins, des virus atténués et qu’ils sont imparfaits.(([3] La prétendue efficacité de 90 % n’est pas sur l’impossibilité de tomber malade, ni sur le blocage de la transmission, mais sur l’absence de formes graves. Bref les études elles-mêmes précisent que ce n’est pas des vaccins.))
  • La technologie ARN messager ou des adénovirus modifiés génétiquement est totalement expérimentale et n’a jamais été déployée à grande échelle sur l’homme et encore moins sur des enfants ou des femmes enceintes.

Mais suis-bête mon ami, nos « gentilles » autorités nous ont expliqué que la vaccination de la population générale était l’unique option et qu’il fallait la généraliser, même sur les enfants, « au nom du principe de précaution » !

  • Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs, m’aurait ri au nez il y a deux ans si je lui avais dit qu’il trouverait normal et logique d’utiliser une technologie expérimentale sur l’ensemble des humains pour espérer, peut-être, mettre fin à une pandémie pour laquelle plus de 99 % des Français ont survécu malgré l’interdiction de traitement et toutes les mesures contre-productives.
  • Le risque de modification de notre ADN ? Jeté aux oubliettes.
  • Le rapport bénéfice versus risque obligatoirement défavorable pour des personnes en bonne santé qui ne risquent RIEN de ce virus ? Jeté aux oubliettes.
  • Le risque de maladies auto-immunes ou de cancers à long terme ? Jeté aux oubliettes !
  • Le risque sur la fertilité ? Jeté aux oubliettes. Il m’aurait aussi rappelé que lorsqu’il existe des certitudes concernant les risques, les effets secondaires et de nombreux indices montrant que la mesure pourrait être inefficace,voire même dangereuse, notamment du fait des mutations du virus, alors on s’abstient ! Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Ta pensée cartésienne a disparu petit à petit pour se transformer en foi !
Ta foi, car il ne peut s’agir maintenant que de foi, est devenue inébranlable.
Ta pensée actuelle ne peut plus être ta pensée, mais uniquement le reflet des tables de la loi de l’église du coronavirus et ses fidèles serviteurs…

Mais toi, toi qui te disait (ou pourrait peut-être encore dire que tu es) mon ami…

… Pourquoi ne m’aides-tu pas à ouvrir les yeux sur ma « folie » et ta « réalité », toi qui es convaincu de toutes ces « vérités » répétées sans cesse depuis des mois ?

Pourquoi ne pas essayer de me convaincre que :

  • « Le Covid est un fléau. »
  • « Le masque protège avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Le confinement sauve des vies avec un rapport bénéfice vs risque favorable. »
  • « Il n’y a pas de traitements hormis le paracétamol et il faut absolument interdire aux médecins de prescrire. »
  • « Le vaccin est l’unique voie avec un rapport bénéfice vs risque favorable même pour les populations qui ne risquent strictement rien ! »
  • etc.

Pourquoi as-tu de fait renoncé avant même d’essayer de me « sauver » ?

Te penses-tu incapable d’y parvenir ou est-ce parce que les médias t’ont répété jour après jour de ne surtout pas me parler à moi le « complotiste », de ne pas essayer de me raisonner ?

Les médias te l’ont dit…

  • Ma raison a « vacillé ».
  • Je suis devenu un « complotiste ».
  • Je mets en doute le « consensus » scientifique édicté par le Ministère de l’Unique Vérité.
  • Mon esprit de contradiction va jusqu’à remettre en question les « évidences ».
  • Je suis prisonnier de mon « délire », incapable de penser et me remettre en question.
  • Sans doute suis-je un « adolescent cinquantenaire »…
  • Suis-je à ce point « aveuglé » que je vais finir par affirmer que la Terre est plate ?

Pourquoi m’as-tu abandonné ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans procès, sans avoir cherché à me comprendre ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans savoir ce que j’avais à dire ?
Pourquoi m’as-tu condamné sans chercher à discuter ?

Notre amitié ne valait pas de…

  • Chercher à m’expliquer ? Non.
  • Lire mes dizaines de textes, mes milliers de pages que j’ai écrites sur le sujet depuis le mois de mars 2020 ? Non.
  • Chercher à savoir d’où venaient mes « croyances délirantes » ? Non.

Et toi ?

  • As-tu pensé à vérifier et me demander si mes affirmations étaient sourcées ?
  • As-tu fait tes propres recherches ou t’es-tu contenté d’ingérer le discours officiel comme on gave une oie ?

Peux-tu au moins m’accorder le bénéfice d’un travail délirant auquel s’ajoute le travail titanesque de mes amis scientifiques, juristes ou simples « humains » qui cherchent à comprendre ?

Mon ami l’aurait pu…

Toi qui as tant travaillé et étudié dans ta vie, as-tu oublié la valeur du travail ?

  • Sais-tu que j’ai passé des milliers d’heures, si si, des milliers d’heures à étudier le sujet ?
  • Sais-tu que j’ai lu des centaines d’études scientifiques ?
  • Sais-tu que j’ai étudié des statistiques nationales et mondiales ?
  • Sais-tu que je suis entouré de spécialistes qui font de moi un être insignifiant face à des puits de science ?
  • Sais-tu que je doute et que je me remets en question tous les jours et que je m’interroge depuis le mois de mars et même en t’écrivant cette lettre ?

Bien sûr que non, tu ne peux pas l’imaginer…

Car si c’était le cas, je serais « obligatoirement » arrivé aux mêmes conclusions que toi, toi qui détiens une « vérité prémâchée » par les autorités.

Je serais donc arrivé aux mêmes conclusions que toi et les médias. Je serais sorti de mon délire et j’adhérerais pleinement à la doxa que nous subissons depuis plus d’un an…

Mon ami, celui qui avait ses propres pensées aurait pu m’accorder le bénéfice du doute et surtout le bénéfice du travail accompli…

Tu juges donc que mon temps n’a aucune valeur, que j’ai perdu tout sens commun alors même que tu me pensais plutôt intelligent.

Tes valeurs ne te poussent-elles pas à m’aider au même titre que les miennes me poussent à informer et aider autrui à ouvrir les yeux autant que faire se peut.

Les médias t’ont répété que j’ai évidemment perdu toute capacité de raisonnement, que je suis dans le délire, que je suis dans une secte et que nul ne peut m’aider à en sortir…
Pire encore, je serais devenu « dangereux » au point qu’il ne faut plus me parler, plus discuter avec moi ou mes amis.

À moins que… à moins que tu ne sois toi, en état de sujétion, et que ce soit toi qui te trouves hypnotisé et dans une secte.

Mais le couperet est tombé et tu m’as proposé par écrit (sans doute moins contagieux) ta « solution » :

Voici la proposition de mon « ami ».

« Pourrais-tu supprimer ma photo (et celles de ma famille) sur le site ou tu exposes tes convictions sur ce sujet ? Dans la mesure où je ne partage pas ton analyse de la situation, cette proximité me met dans l’embarras. »

Sommes-nous encore amis ?

Pouvons-nous encore nous rencontrer dans une cave ou le sous-sol d’un parking souterrain qui serait dépourvu de caméras de surveillance ?

Adhères-tu à ce monde et est-ce que tu vis bien de ne surtout pas t’afficher à côté d’un « complotiste », de celui qui ne pense pas « comme tout le monde » ?

Mais de quoi as-tu si peur ?

Que l’on imagine que tu pourrais toi aussi avoir ou soutenir des pensées « déviantes » ?

Et si on m’obligeait à porter une étoile sur le torse ou me parquer dans un camp, cela pourrait-il être de nature à te soulager ?

Le plus simple, le plus rassurant pour toi est, de toute évidence, que je n’existe pas, ni moi ni mes amis.

Sommes-nous si anxiogènes à :

  • Répéter que cette maladie n’est pas si grave.
  • Répéter que cette maladie se traite.
  • Répéter qu’elle ne tue qu’exceptionnellement et qu’en général elle ne fait qu’accompagner des personnes en fin de vie.
  • Répéter qu’elle ne tue pas plus que les infections respiratoires des autres années ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces propos.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre et personne ne doit savoir que nous étions amis…

Et quelle angoisse pour toi d’entendre que nous ne pouvons pas contrôler un virus, que nous n’avons jamais contrôlé la moindre épidémie, que le mieux est de laisser circuler le virus au maximum parmi la population en bonne santé afin de parvenir à une immunité naturelle de masse, et ce afin qu’il disparaisse de lui-même…

La dictature sanitaire a ainsi réussi le tour de force de rendre anxiogène celui qui, comme moi, avec des centaines de preuves à l’appui te dit qu’il n’y a pas à s’inquiéter et que les choses s’arrangeront naturellement avec le temps.

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait adhéré à ces évidences.
Mais tout ceci, je ne peux plus te le dire : tu ne peux plus l’entendre…

Hélas :

  • Tout a été volontairement mis en œuvre pour perturber le processus naturel et l’immunité naturelle de masse.
  • Tout a été fait pour affaiblir et traumatiser la population.
  • Tout a été fait pour dénigrer et interdire les traitements efficaces.
  • Tout a été fait pour rendre indispensable des vaccins qui, par leur nature, ne pourront pas enrayer la maladie.

Mais rien de neuf sous le soleil.

Cela fait des dizaines d’années que l’industrie pharmaceutique a arrêté de fabriquer des médicaments qui guérissent pour se consacrer quasi exclusivement à des médicaments qui traitent le malade à vie en faisant tout pour que le patient ne guérisse jamais.

Et cette année serait l’année de l’industrie pharmaceutique qui deviendrait au service de l’humanité ?

Mon ami, celui avec lequel je partageais de nombreuses valeurs aurait confirmé 1000 fois ces affirmations !
Mais tout ceci je ne peux plus te le dire, tu ne peux plus l’entendre…

Je suis triste, les médias ont eu (provisoirement ?) raison de notre amitié, car je ne conçois pas une amitié dans laquelle un des deux « amis » ne peut exposer son amitié au grand jour…

J’espère qu’une fois sorti de ta léthargie, de ta sidération, que les vérités seront sorties dans les médias nationaux (elles sortent dans la plupart des pays sauf en France pour l’instant), tu pourras rouvrir ton esprit.

Ce jour-là tu te rendras d’abord sur le site de mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? » et tu pourras lire que tout ce que j’affirme depuis le mois de mars 2020 ne relève pas de théories du complot ou de fakenews, mais de faits scientifiques avérés.

En attendant, même si je pleure, je poursuis mon chemin avec mes nouveaux amis de grande valeur avec qui j’ai tant à partager…

Alain Tortosa.

Le 14 juin 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210614-hier-jai-perdu-un-ami.pdf





Ces médecins et scientifiques devenus milliardaires grâce au COVID-19

[Source : Strategika]

Par Giacomo Tognini

source : forbes.fr – en illustration : Stéphane Bancel, Sergio Stevanato et Uğur Şahin. Image réalisée par Forbes ; BERTRAND GUAY/AFP/GETTY IMAGES; STEVANATO GROUP; ANDREAS ARNOLD/DPA/GETTY IMAGES

En 2020, de nouveaux milliardaires ont émergé, leur fortune propulsée par une hausse des marchés boursiers.

Au total, Forbes a trouvé 50 nouveaux milliardaires dans le secteur de la santé en 2020. Les nouveaux milliardaires les plus remarquables de l’année sont les scientifiques à l’origine des deux vaccins les plus efficaces contre le coronavirus – l’un mis au point par Pfizer et la société allemande de biotechnologie BioNTech, l’autre par la société Moderna, basée dans le Massachusetts – qui ont vu leurs avoirs nets monter en flèche depuis janvier : Uğur Şahin et Stéphane Bancel.

Pratiquement inconnus au début de l’année 2020, ces deux hommes sont aujourd’hui milliardaires. Le PDG de BioNTech Uğur Şahin, qui a cofondé l’entreprise avec Özlem Türeci, son épouse et le médecin-chef de l’entreprise, possède aujourd’hui une fortune de 4,2 milliards de dollars (plus de 3,3 milliards d’euros) ; son homologue français chez Moderna, Stéphane Bancel, a uOKne fortune presque égale, dépassant légèrement les 3,3 milliards d’euros également. L’ascension fulgurante de Moderna a également entraîné l’arrivée de deux autres milliardaires parmi ses premiers investisseurs, le professeur Timothy Springer de Harvard et le scientifique Robert Langer du MIT. Ces vaccins nécessiteront des milliards de flacons en verre pour être transportés en toute sécurité – entrez dans le monde de l’Italien Sergio Stevanato, nouveau milliardaire et actionnaire majoritaire du groupe privé Stevanato, qui fabrique des flacons en verre pour plusieurs dizaines de projets de vaccins dans le monde.

Il ne s’agit pas seulement de vaccins : les entreprises qui développent des traitements à base d’anticorps et des médicaments pour aider les médecins à combattre le virus ont également bénéficié de la frénésie du marché. Carl Hansen, PDG de la société canadienne de biotechnologie AbCellera, a aujourd’hui une fortune élevée à 2,9 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros) suite à l’entrée en bourse de sa société le 11 décembre, soutenue par la Food and Drug Administration, le mois dernier, pour son traitement à base d’anticorps développé avec le géant pharmaceutique Eli Lilly. Même les sociétés qui travaillent dans l’ombre pour aider les grandes entreprises à tester de nouveaux médicaments et appareils ont vu le cours de leurs actions atteindre de nouveaux sommets. August Troendle, fondateur et PDG de Medpace, société de recherche sous contrat basée à Cincinnati, voit désormais sa fortune s’élever à 1,3 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros) grâce à une hausse de près de 70 % des actions de la société depuis le début de l’année.

Les nouveaux magnats sont originaires de 11 pays différents, mais la majorité d’entre eux vivent en Chine, l’épicentre de la Covid-19, qui accueille aujourd’hui une trentaine de nouveaux milliardaires du secteur de la santé, dont le principal est Hu Kun, le président du fabricant d’équipements médicaux Contec Medical Systems, qui est entré en bourse à Shenzhen en août. Les actions de la société ont augmenté de près de 150 % depuis son introduction en bourse, grâce aux fortes ventes à l’étranger de produits allant des oxymètres de pouls aux appareils pulmonaires, tous devenus plus nécessaires avec la propagation de la Covid-19 dans le monde entier.

Voici les 10 nouveaux milliardaires les plus remarquables en lien avec la lutte contre la pandémie, suivis par les 40 autres milliardaires de la santé qui ont fait leur apparition en 2020 :

Uğur Şahin

Covid-19
Uğur Şahin. DPA/Picture Alliance via Getty Images

Valeur nette : 4,2 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros)

Nationalité : allemande

Source de richesse : BioNTech

Ce médecin d’origine turque a fondé BioNTech à Mayence en 2008 avec son épouse, Özlem Türeci, qui est la directrice médicale de la société. Uğur Şahin détient environ 17% des actions de la société. Les actions de BioNTech ont augmenté de 160% depuis janvier grâce au succès de son vaccin contre la Covid-19, développé en partenariat avec Pfizer, déclaré par la FDA américaine comme étant efficace à 95%. Les premières doses ont été mises en circulation au Royaume-Uni le 8 décembre et aux États-Unis le 14 décembre, d’autres doses étant réservées à l’Union européenne, au Japon et au Canada, entre autres. Avant de lancer BioNTech, Uğur Şahin et son épouse ont fondé la société biopharmaceutique Ganymed Pharmaceuticals en 2001, qu’ils ont vendue à la société japonaise Astellas Pharma pour environ 460 millions de dollars (373 millions d’euros) en 2016.

Stéphane Bancel

Covid-19
Stéphane Bancel. Getty Images

Valeur nette : 4,1 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros)

Nationalité : française

Source de richesse : Moderna

La français Stéphane Bancel est devenu PDG de la société Moderna, basée dans le Massachusetts, en 2011, après avoir quitté son précédent poste de PDG de la société française de diagnostic BioMérieux. Il détient actuellement environ 6 % de Moderna, contre environ 9 % lorsqu’il est devenu milliardaire en mars, après avoir vendu plus d’un million d’actions, le titre de la société ayant augmenté de plus de 550 % depuis le début de l’année. Le 18 décembre, le vaccin Covid-19 de Moderna, avec une efficacité à 95 %, a été le deuxième à être approuvé par les autorités de réglementation aux États-Unis après le vaccin Pfizer-BioNTech. Les États-Unis ont commandé 200 millions de doses avec une option pour 300 millions de doses supplémentaires.

Yuan Liping

Valeur nette : 4,1 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros)

Nationalité : canadienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Yuan Liping possède 24% de parts de l’un des principaux producteurs de vaccins chinois, Shenzhen Kangtai Biological Products, après son divorce du président (et camarade milliardaire) de la société Du Weimin en juin. La scission a instantanément fait de la résidente de Shenzhen la femme la plus riche du Canada. Les actions de Kangtai ont augmenté de 90 % depuis le début de l’année 2020. Elle a travaillé dans l’entreprise de 2012 à 2015 en tant que manager et directrice et est directrice d’une filiale de Kangtai, Beijing Minhai Biotechnology, depuis mars 2017. Kangtai est le fabricant chinois exclusif du vaccin développé par AstraZeneca et l’Université d’Oxford, avec un accord pour produire 200 millions de doses, mais la société a un passé mouvementé : en 2013, son vaccin contre l’hépatite B a été lié à la mort de 17 nourrissons, mais une enquête gouvernementale n’a pas abouti et les critiques auraient fait pression pour que les articles négatifs soient retirés.

Hu Kun

Valeur nette : 3,9 milliards de dollars (3,2 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Hu Kun est le président de Contec Medical Systems, un fabricant d’équipements médicaux basé dans la ville portuaire de Qinhuangdao, au nord-est de la Chine. Il a fait entrer la société à la bourse de Shenzhen en août et possède près de la moitié des actions, qui ont augmenté de près de 150 % depuis l’introduction en bourse. La société tire plus de 70 % de ses revenus de l’étranger et fabrique une gamme de produits médicaux pour les hôpitaux, notamment des nébuliseurs, des stéthoscopes et des tensiomètres.

Carl Hansen

Valeur nette : 2,9 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Nationalité : canadienne

Source de richesse : AbCellera

Carl Hansen est le PDG et le cofondateur d’AbCellera, une entreprise de biotechnologie basée à Vancouver qui utilise l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique pour identifier les traitements par anticorps les plus prometteurs. Il a fondé la société en 2012. Jusqu’en 2019, il a également travaillé comme professeur à l’université de Colombie-Britannique, mais s’est consacré à plein temps à AbCellera. Cette décision semble avoir porté ses fruits, et les 23 % de parts détenues par Carl Hansen lui ont valu une place dans le club des milliardaires après l’introduction réussie d’AbCellera au Nasdaq le 11 décembre. Le gouvernement américain a commandé 300 000 doses de bamlanivimab, un anticorps qu’AbCellera a découvert en partenariat avec Eli Lilly et qui a reçu l’approbation de la FDA comme traitement Covid-19 en novembre.

Timothy Springer

Covid-19
Timothy Springer. © 2018 BLOOMBERG FINANCE LP

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Moderna

Immunologiste et professeur de chimie biologique et de pharmacologie moléculaire à l’université de Harvard, Timothy Springer a été l’un des investisseurs fondateurs de Moderna en 2010 lorsqu’il a investi environ 5 millions de dollars dans la jeune entreprise. Aujourd’hui, une décennie plus tard, sa participation de 3,5 % vaut environ 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros). Il est un investisseur actif dans la biotechnologie, avec de petites participations dans les sociétés cotées en bourse Scholar Rock et Morphic Therapeutic, qui sont nées de ses recherches avec des étudiants postdoctoraux de son laboratoire à Harvard. Il a gagné son premier gros salaire en 1999 lorsqu’il a vendu LeukoSite, une entreprise de biotechnologie qu’il a fondée en 1993 et qui est entrée en bourse cinq ans plus tard, à Millennium Therapeutics pour 635 millions de dollars (516 millions d’euros).

Sergio Stevanato

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Nationalité : italienne

Source de richesse : Emballages médicaux

Sergio Stevanato est le président de la société italienne d’emballage médical Stevanato Group, le deuxième producteur mondial de flacons en verre et un fournisseur important de flacons pour plus de quarante vaccins Covid-19. Fondée dans la banlieue de Venise en 1949 par Giovanni, le père de Sergio, la société est aujourd’hui dirigée par les enfants de Sergio, Franco et Marco, qui en sont respectivement le PDG et le vice-président. La société, dont le chiffre d’affaires s’élève à 700 millions de dollars (567 millions d’euros), est également le plus grand producteur mondial de stylos à insuline et fabrique des machines qui permettent de fabriquer, de stériliser et d’emballer des milliards de flacons, seringues et autres produits en verre. En juin, Sergio Stevanato a signé un accord avec la Coalition pour la préparation aux épidémies et les innovations, soutenue par la Fondation Gates, pour fournir 100 millions de flacons pour neuf vaccins Covid-19 différents. Depuis lors, la société a conclu des accords supplémentaires avec plusieurs autres fabricants de vaccins qu’elle ne peut pas divulguer publiquement.

Robert Langer

Robert Langer. Boston Globe via Getty Images

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

 Source de richesse : Moderna

Connu sous le nom de « Edison of Medicine » pour son travail de pionnier dans le domaine du génie biomédical, Langer est professeur de génie chimique au Massachusetts Institute of Technology. Il a été l’un des investisseurs fondateurs de Moderna en 2010 et n’a jamais vendu une seule action ; ses 3 % de parts valent aujourd’hui environ 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros). Il détient des participations plus modestes dans les start-ups biotechnologiques cotées en bourse SQZ Biotechnologies et Frequency Therapeutics, toutes deux fondées par des étudiants postdoctoraux de son laboratoire, et il détient plus de 1 400 brevets qui ont été licenciés plus de 400 fois à des entreprises pharmaceutiques et médicales.

Premchand Godha

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Nationalité : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Premchand Godha a commencé comme comptable agréé avant d’entrer dans le secteur pharmaceutique en 1975, lorsqu’il a racheté le fabricant de médicaments Ipca Labs, basé à Mumbai, en partenariat avec la famille de la superstar de Bollywood Amitabh Bachchan. La société, qui fabrique des médicaments génériques et des ingrédients pharmaceutiques, a vu son cours de bourse presque doubler cette année, en partie en raison de l’augmentation de la production et des ventes de l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique controversé, qui a été présenté comme un remède potentiel au début de la pandémie avant que son utilisation ne soit découragée par l’Organisation mondiale de la santé pour son faible effet sur la réduction de la mortalité due à la Covid-19.

Août Troendle

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Services pharmaceutiques

Août Troendle est le PDG et le fondateur de la société Medpace, basée à Cincinnati, qui réalise des travaux sous contrat et des essais cliniques pour des entreprises pharmaceutiques développant des médicaments et des dispositifs médicaux. Avant de fonder Medpace en 1992 et de la rendre publique en 2016, ce médecin formé à l’université du Maryland a travaillé au développement clinique du géant pharmaceutique suisse Novartis et comme médecin examinateur à la FDA. Les laboratoires de Medpace offrent toute une gamme de services pharmaceutiques, allant de la réalisation de tests par écouvillonnage et de tests d’anticorps pour la Covid-19 pour des cliniques externes à la réalisation d’essais cliniques complexes pour des fabricants de médicaments travaillant sur de nouveaux vaccins et traitements. Forbes estime que ce milliardaire, qui possède environ 21 % des actions de Medpace, possède aujourd’hui une fortune d’environ 1,3 milliard de dollars (un peu plus d’1 milliard d’euros), ce qui fait de lui le dernier entrepreneur du secteur de la santé à rejoindre le club des milliardaires en 2020.

 Li Juanquan & sa famille

Valeur nette : 7,9 milliards de dollars (6,4 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits chirurgicaux

Jian Jun

Valeur nette : 4,4 milliards de dollars (3,5 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Biotech

Ye Xiaoping

Valeur nette : 4,2 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Hao Hong

Valeur nette : 3,4 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Jin Lei

Valeur nette : 3,2 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Liu Fangyi

Valeur nette : 3,2 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Lv Jianming

Valeur nette : 3,1 milliards de dollars (2,5 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Gan Zhongru

Valeur nette : 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Weng Xianding

Valeur nette : 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Chen Xiao Ying

Valeur nette : 2,7 milliards de dollars (2,2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Informations sur la santé

Xie Juhua et sa famille

Valeur nette : 2,6 milliards de dollars (2,1 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Dai Lizhong

Valeur nette : 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Tests médicaux

Miao Yongjun

Valeur nette : 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Diagnostic clinique

Hu Gengxi & sa famille

Valeur nette : 2,3 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Biopharma

Li Zhibiao

Valeur nette : 2,3 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits de soins personnels

Lin Zhixiong & sa famille

Valeur nette : 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Alberto Siccardi & sa famille

Valeur nette : 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros)

Citoyenneté : suisse

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Gao Yi & sa famille

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Lin Zhijun

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Xie Liangzhi & sa famille

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Biotech

Chen Baohua

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Zhu Yiwen & sa famille

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Services de santé

Li Wenmei & sa famille

Valeur nette : 1,7 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Lin Jie & sa famille

Valeur nette : 1,7 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Liu Xiucai & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Produits chimiques

Pu Zhongjie & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Rao Wei & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Ren Jinsheng & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Xiong Jun & sa famille

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Yi Xianzhong & sa famille

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Felix Baker

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Investissements dans les biotechnologies

Julian Baker

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Investissements dans les biotechnologies

Rajendra Agarwal

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)  

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Banwarilal Bawri

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Girdharilal Bawri

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Benedicte Find

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : danoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Alan Miller & sa famille

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Services de santé

Zhong Ming & sa famille

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Instruments médicaux

Yuan Jiandong & sa famille

Valeur nette : 1,1 milliard de dollars (900 millions d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Fan Minhua

Valeur nette : 1,1 milliard de dollars (900 millions d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Article traduit de Forbes US – Auteur : Giacomo Tognini




Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Finissons-en avec ce faux vaccin anti-covid !

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Enterrons vite le vaccin covid dans toutes ses fausses indications.

Je respecte nos lecteurs, nos contributeurs et leurs croyances, comme le droit pour ceux qui veulent se vacciner de le faire, mais un article récent de RL(([1] N’enterrons pas le vaccin qui nous évite des tragédies)) m’a fait bondir, tant il paraît ignorer les faits réels en se contentant d’exprimer une foi. J’en appelle ici à la raison, à l’examen des faits objectifs en vie réelle, publiés par l’OMS et certaines agences sanitaires.

L’indication d’un nouveau traitement, quel qu’il soit, doit reposer uniquement sur l’évaluation de sa balance avantages/risques. En cas de traitement d’une maladie grave évolutive (exemple cancer évolutif) il peut être licite de prendre quelque risque car la maladie est réellement menaçante, mais en cas de traitement préventif (de personnes saines) le principe de précaution s’impose, exprimé par la maxime « d’abord ne pas nuire » qui guide la pratique médicale depuis l’origine.

Mais reprenons l’article incriminé argument par argument

Les « vaccins Covid » ne sont pas des vaccins au sens propre

Pasteur et ses contemporains ont conçu les vaccins en injectant des antigènes pour stimuler la fonction immunitaire tant cellulaire qu’humorale (anticorps). Les meilleurs antigènes étant l’ensemble de l’agent infectieux (virus ou bactérie ou toxine) inactivé. L’organisme créant alors une série de défenses portant sur de nombreuses cibles de l’agent pathogène assurant ainsi une immunité solide.

Les pseudo-vaccins Covid ne comportent aucun antigène.

Il ne s’agit donc pas de vaccin mais bien de techniques jamais utilisées chez l’homme en pathologie infectieuse et donc parfaitement expérimentales et dont aucun essai phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023.

Utiliser le terme de vaccin pour ces traitements et/ou prétendre qu’ils ont terminé leurs essais constitue un mensonge total, une escroquerie de propagande marchande.

Les prétendus vaccins anti-Covid n’ont évité aucune tragédie mais en ont créé ou aggravé plusieurs(([2] Mike Whitney La vaccination de masse déclenche un pic de cas Covid-19 et des décès
Mondialisation.ca, 30 mai 2021 
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051))(([3] Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert : Depuis qu’on vaccine, la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a été multipliée par deux dans le monde Mondialisation.ca, 05 juin 2021 
https://www.mondialisation.ca/depuis-quon-vaccine-la-mortalite-moyenne-quotidienne-covid-19-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde/5657176))

Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Et de pareilles évolutions post-vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays

Plus jamais ça !

L’auteur de ce credo vaccinal s’insurge à juste titre du scandale ignoble qu’a constitué le tri des malades à l’entrée des hôpitaux, mais il se trompe totalement sur les causes de ce tri.

Si nos hôpitaux ont été débordés en mars, c’est qu’ils ont été progressivement détruits par nos dirigeants depuis 20 ans et que le gouvernement a interdit aux médecins de traiter. En 2000, l’OMS nous sacrait meilleur système de santé mondial. En 2020 nous sommes descendus au 21e rang mondial du fait de l’emprise bureaucratique et des réductions de lits et de personnel qu’elle a imposées. Rappelez-vous qu’avant la crise Covid, les urgences étaient en grève depuis plus d’un an et que la seule réponse du gouvernement Macron a été policiers et lanceurs de balles !

Rappelez -vous aussi qu’en début de crise, le ministre de la Santé a restreint puis interdit l’usage de la chloroquine puis tout traitement actif (même les antibiotiques) et imposé le traitement par Doliprane, et demandé au Conseil de l’Ordre de sanctionner les médecins qui traitaient leur malade. C’était la première fois au monde qu’un gouvernement dictait leurs ordonnances aux médecins et faisait sanctionner les médecins qui traitaient (avec succès) les malades.

Si les hôpitaux ont été débordés ce n’est pas la faute du Covid, mais totalement celle de nos gouvernants qui ont empêché les médecins de traiter et leur a même interdit de parler à l’exception des médecins représentants des laboratoires qui pouvaient vanter sur les télés, les journaux et les autres médias le remdésivir et les autres molécules nouvelles hors de prix et discréditer le Pr Raoult et les autres donneurs d’alerte.

La Suède, dont le système de santé n’était guère plus brillant que le nôtre mais dont la population et ses médecins sont restés libres de leurs décisions n’a jamais confiné, et ses hôpitaux n’ont pas été débordés et les Suédois pleurent moins (- 20 %) de morts attribués au covid que nous par million d’habitants.

C’est la dictature sanitaire qui a été responsable
de cette médecine de l’épouvante qu’on a subie en avril 2020.
Pourquoi Jacques Guillemain ne l’a-t-il pas précisé ?

La « victoire à la Pyrrhus » de la Grande-Bretagne

Les médias et Jacques Guillemain prétendent que la Grande-Bretagne constituerait un succès de la vaccination en ne parlant que du taux actuel de nouveaux cas « en faisant du passé table rase ». Mais un traitement ne doit pas se juger sur un instantané transitoirement favorable, mais sur l’ensemble de l’évolution sanitaire depuis l’instauration du nouveau traitement. Et si on le fait on se rend compte que la vaccination a été suivie d’une poussée d’infections et d’une hécatombe record.(([4] G. Delépine : Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne Riposte laïque le 29 mai 2021 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html))

Après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de contaminations et de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie. 

Le faible taux de contamination dont se sont flattés hâtivement les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

D’autant que malgré son taux record de vaccinés, une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée par l’agence gouvernementale(([5] https://coronavstats.co.uk/)) britannique depuis trois semaines, prouvant que les vaccins actuels sont incapables de stopper l’épidémie. 7 312 nouveaux cas en GB contre 4 475 en France le 11 juin 2021 et certains prétendent que la vaccination est un succès et que la France serait en retard !

Oui, le nombre de morts et les bénéfices des actionnaires sont moindres en France, moins vaccinée qu’en Grande-Bretagne mais pour les Français cela me paraît avantageux.

La Grande-Bretagne se place dans le peloton record des mortalités européennes avec 1 900 morts par million d’habitants malgré ses confinements multiples et ses vaccins. Les responsables de la vaccination accusent les variants de leur échec (aujourd’hui le variant delta) et ne s’interrogent pas sur la responsabilité de la vaccination dans l’émergence des variants, alors qu’il s’agit d’un fait de plus en plus observé.

Quant à la menace que feraient peser les variants sur notre avenir, sachons raison garder :  l’évolution virale se fait presque toujours vers une plus forte contagiosité et une plus faible gravité. Rien ne laisse supposer que cela puisse changer. L’évolution Covid ressemble de plus en plus à celle de la grippe saisonnière : à chaque poussée, un nouveau virus qui rend inefficace le vaccin de l’année précédente, mais une agressivité relativement faible. Le covid n’est pas la peste !

Oui, le vaccin AstraZeneca est dangereux et on aurait dû l’interdire

Jacques Guillemain accuse le professeur Delfraissy d’avoir précipité l’abandon du vaccin AstraZeneca en France, alors que ce vaccin a été interdit dans de nombreux pays et/ou son usage de plus en plus limité à cause des complications graves et souvent mortelles qui suivaient son administration.(([6] L’Italie vient de l’interdire ce jour à la suite d’un décès d’une jeune fille de 18 ans se rajoutant aux précédents décès post-vaccinaux dans ce pays))

Rappelons(([7] Delépine : Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? 24 mars 2021 Riposte laïque https://ripostelaique.com/combien-faudra-t-il-de-morts-pour-interdire-le-vaccin-astrazeneca.html)) qu’après une alerte de l’agence sanitaire norvégienne à l’OMS à la suite de morts suspectes de grands vieillards dans les établissements de retraite, il a d’abord été abandonné pour inefficacité en Afrique du Sud, puis abandonné au Danemark, puis en Norvège, puis dans de nombreux autres pays européens, que notre Haute Autorité de santé l’a jugé dangereux pour les moins de 30 ans, puis les moins de quarante ans, puis les moins de cinquante ans… Dans cette affaire, le professeur Delfraissy a seulement diffusé les inquiétudes légitimes que soulevaient les complications graves (risque de thrombose associée aux vaccins à adénovirus) et les morts post-vaccinales rapportées dans tous les pays, y compris en France chez les sujets jeunes. Grâce lui en soit rendue !

L’immunité collective ne sera jamais atteinte par les vaccins covid

Le concept d’immunité personnelle est vérifié en clinique après guérison des infections virales. On ne peut faire la rougeole, la rubéole, les oreillons, (comme après la quasi-totalité des infections virales) qu’une fois dans sa vie et les guéris de ces maladies forment un rempart contre la transmission de la maladie.

Mais la protection post-vaccinale est souvent courte (nécessitant des rappels) et son efficacité beaucoup plus faible que celle obtenue naturellement. Aux USA, la résurgence de flambées de rougeole malgré une couverture vaccinale supérieure à 95 % le démontre régulièrement et ces poussées touchent les vaccinés.

Les exemples des pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 % montrent que ce concept purement théorique qui n’a de confirmation que virtuelle est inopérant pour le covid dans le monde réel.

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2 500 %) et 42 morts et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1 040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4 302) et celui des morts par 19 (atteignant 95). Pourtant les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Les Émirats arabes unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale proche de 62 % et de 80 % chez les adultes. Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination

Mais depuis la vaccination le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Ces exemples du monde réel montrent clairement qu’un taux de vaccination anti-Covid très élevé ne protège pas des transmissions, rappelant ce qu’a affirmé O. Véran devant le Conseil d’État « même vacciné on peut transmettre le Covid et même des formes graves ».

Reste-t-il des indications aux vaccins anti-covid actuels ?

Aucune indication chez les enfants qui ne risquent rien du covid et ne le transmettent pas et qui sont, comme les autres, exposés aux complications post-vaccinales dont des myocardites.

Aucune indication chez les moins de 65 ans qui risquent peu du covid et au total moins que des vaccins actuels.

L’indication se discute chez les personnes âgées avec comorbidité lourde qui constituent les cibles du Covid. Mais encore faudrait-il que les vaccins aient fait leurs preuves d’efficacité et d’absence de toxicité. Or les essais ont très peu inclus cette population et ne sont pas terminés.

La vaccination est donc encore plus expérimentale chez eux que chez leurs cadets. Et les vaccinations ont été suivies chez eux de nombreuses morts qui ont motivé une alerte précise de l’agence sanitaire norvégienne appelant à ne pas vacciner les « trop vieux, trop malades » : disparition post- vaccinale de nombreux doyens de région – dont l’ancien cycliste qui faisait encore ses 100 km, morts d’un tiers des prêtres d’une maison de retraite vaccinés en Charente-Maritime, mort du prince Philip quatre semaines après sa vaccination.

Dans l’immédiat, quand on est âgé, il est prudent d’attendre avant de se vacciner contre le Covid.

J’ai 75 ans, je suis médecin et j’attends de pouvoir analyser les données brutes de ces pseudo-vaccins expérimentaux mis trop hâtivement sur le marché pour décider éventuellement de me faire injecter un médicament génique s’il se révélait efficace (on sait dès maintenant qu’ils le sont insuffisamment) et moins dangereux que la maladie. En attendant je donne ma dose à ceux qui veulent jouer à la roulette russe.

Gérard Delépine





La destruction de la destruction en marche

Par Lucien Samir Oulahbib

Mélenchon, LR, le RN, les éléphants dem [démocrates] aux USA, les Verts de tous les pays, tous, sont les bras armés ou les complices de la destruction l’implosion de ce qui est foncièrement humain tout en préservant la façade : à l’instar de ces rénovations qui maintiennent debout le devant et installent leur verroterie derrière façon labos de choc dans lesquels mijotent les essais de ces nouveaux produits à fabriquer (nous).

Bien sûr, « Méluch » essaye, pour masquer sa complicité, de nous rejouer la scène des années 30 avec lui comme « rempart » contre le RN, unique frontière qu’il se permet de défendre alors qu’il pousse au métissage, obligatoire, à fond (y compris bientôt avec l’hybridation animale chère au transhumanisme) sauf, cependant et bien sûr, avec ceux qui préfèrent la singularité, la particularité du « souverainisme ». Ceux-ci sont évidemment à bannir ou… à encenser s’ils sont contre Charles Martel, ou s’ils sont membres de sa Secte hygiéniste.

Mais dans l’ensemble tout ce beau monde partage la même hystérie hygiéniste, aidé en ce sens par une Lacombe, un Fauci et un Cohen, vent debout « au nom » de « la » Science contre ceux qui refusent leur mensonge stipulant qu’il n’y aurait pas d’autres traitements que leur médicament ARN ou OGM et qu’au fond l’être humain ne serait qu’une machine comme une autre qu’il est possible de monter et démonter à sa guise ; le tout en gonflant les chiffres (amalgame entre « mort avec » et « mort de ») ou les dégonflant (effets secondaires, morts post injection) [selon la période et l’objectif], en se moquant d’un Raoult et de son histoire de nombre d’accidentés en trottinette (([1] « Concrètement, si vous ramenez les morts chinois infectés par le coronavirus à la taille de la population de 1,6 milliard, il y a probablement plus de gens qui sont tués en trottinette en Chine que par le virus. »)) qui aurait été supérieur à celui de Covid-19 alors qu’il n’avait pas tort s’il s’agit d’authentifier ce chiffre uniquement chez les jeunes, guère touchés par cette maladie, mais que la Secte hygiéniste cherche pourtant elle aussi à marquer [à l’aide du « vaccin » anticovid].

La bascule d’un extrême à l’autre fait qu’à la fin les deux se touchent, hygiénistes de tous bords unissez vous ! D’où l’émergence des similitudes dans leur totalitarisme, avec toujours ce débat en filigrane (byzantin par excellence) : la chambre à gaz est-elle plus horrible que le Goulag par moins 35 °C avec les humiliations, les coups, les v(i)ols à répétition (à Cologne récemment également) ? Le camp de redressement est-il plus liberticide que le dépeçage mental permanent fait par les médias et les enseignants (votant Méluch) cherchant à amalgamer comme dans les années 30 libéralisme et nazisme (leurs ennemis faisant l’inverse : liberté=individualisme anti-altruiste) ?…

Généralement la réponse, ouatée, aura été de dire dans l’ensemble que les deux sont à bannir, mais que le premier volet est bien plus génocidaire, il faudrait donc bien distinguer camp de la mort et camp de travail, insistait Raymond Aron. Cependant, au-delà de ce « débat », il s’avère, d’une part, que l’assassinat à petit feu en camp de travail n’a toujours pas été sanctionné : où est le procès façon Nuremberg du Goulag (et de ses copies contemporaines en Chine post-maoïste actuelle, à Gaza, en Algérie, au Venezuela…) ?…

D’autre part, il s’ensuivit que prétextant de l’existence du premier (le camp de la mort), certains (par exemple Jean-François Lyotard, ce pape du « postmodernisme ») se sont mis à mettre en cause non pas l’hégémonisme germaniste purificateur, mais le seul christianisme occidental blanc et mâle posé comme source de tout le « mal », ce qui donne aujourd’hui cette diatribe « anti-néolibérale » aisée qui permet à tous les extrêmes de se rencontrer, de se mixer, y compris les plus récalcitrants : Onfray était pro Raoult il y a un an et demi, dans un an il n’est pas sûr qu’il ne fasse pas mea-culpa et ne voie pas à nouveau dans Mélenchon une solution sinon salutaire du moins sanitaire face à un Macron micronisé…

Ainsi tous sont d’accord pour marquer les populations avec un médicament inutile et coûteux (n’ayant en plus qu’une autorisation provisoire) et bardé d’effets secondaires de plus en plus nombreux sans compter ceux visibles uniquement sur le long terme (chose que l’on a reprochée à l’hydroxychloroquine pour la marginaliser et de même aujourd’hui pour l’ivermectinealors que leurs effets secondaires sont quasi inexistants et que ces médicaments s’avèrent efficaces s’ils sont pris à temps et combinés [à d’autres substances] (([2] Ndlr : surtout dans le cas de l’hydroxychloroquine qui nécessite l’usage combiné du zinc et d’un antibiotique adéquat tel que l’azithromycine pour avoir un effet plus notable))), sans oublier tout ce qui permet de renforcer naturellement le système immunitaire, les uns demandant seulement que ces variants russes, voire chinois, soient aussi accessibles. C’est bien là le sommet de l’ignorance crasse de la part d’une classe politique et médiatique qui en fait néanmoins une vertu et qui excommunie tous ceux (pourtant spécialistes) qui recommandent plutôt de soigner de façon précoce. Ces derniers demandent aussi, par exemple, de ne pas de surcroît rendre les jeunes coupables d’une maladie qui ne les concernent pas et qu’ils ne transmettent pas — selon les dernières études à disposition qu’un Anthony Fauci connaissait, mais a contribué à enfouir en vain (de même que pour les traitements précoces).

Tous ces destructeurs, réunis en Secte — se chamaillant sur les écrans, s’acoquinant dans les coulisses — vont se retrouver dans les poubelles de l’Histoire (qui — du moins quelqu’un de sensé — peut encore les voir et les entendre sans dégoût ?). Entre-temps, bonjour les dégâts…

Le 13/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe




Les expériences sur les enfants de moins de 12 ans se poursuivent sans accroc…

Par Alain Tortosa

La firme allemande BioNTech (dont les produits sont commercialisés par Pfizer) a massivement testé ses injections expérimentales d’ARNm en Israël avant de les poursuivre pour partie en Pologne pour les enfants…

Nostalgie quand tu nous tiens…

Les premières expérimentations de la thérapie génique à ARN Messager ont débuté en mars sur les enfants de moins de 12 ans.

Pourquoi « vacciner » les enfants ?

Pfizer(([1] https://www.pfizer.com/science/coronavirus/vaccine/additional-population-studies)) répond sans se cacher à la question :

« Les enfants doivent-ils être vaccinés pour que le monde atteigne l’immunité collective contre le SRAS-CoV-2 ? »

« Les enfants de moins de 15 ans représentent 26 % de la population mondiale. Nous pensons que la vaccination réussie des enfants contribuera à la protection contre le COVID-19 si le vaccin s’avère efficace dans cette population. »

Pfizer confirme qu’il n’y a strictement aucun bénéfice pour les enfants.

L’idée est qu’elle pourrait participer au mythe de l’immunité vaccinale de masse contre le Sars-Cov2.

Bref l’unique raison est mathématique(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210101-vaccination-sacrifice.pdf)) comme je l’avais déjà écrit il y a plus de 5 mois.

Rapport bénéfice vs risque

USA Today le confirme en indiquant que :

« Les enfants sont moins susceptibles que les adultes d’avoir un cas grave de COVID-19, donc les sociétés pharmaceutiques essaient de minimiser les effets secondaires des “vaccins” tout en maximisant les avantages ».

Plusieurs points de cette phrase sont très intéressants :

  • « essaient de minimiser les effets secondaires des vaccins. » Cela confirme qu’il y a bien des effets secondaires y compris pour des enfants (et d’autant plus pour une thérapie totalement expérimentale).

Et

  • « tout en maximisant les avantages » Alors que les avantages pour les enfants sont nuls.

Il est donc officiellement reconnu que le rapport bénéfice/risque de la vaccination pour les enfants ne peut qu’être défavorable, car le bénéfice est nul.

Nous sommes ainsi dans le même cadre que les « bébés médicament »…

Quelle sécurité, quel objectif ?

Il a été décidé (par une dictature mondiale) que tous les enfants de la planète seraient donc utilisés pour uniquement protéger des vieux riches occidentaux en fin de vie.

  • Je ne parlerai pas du fait qu’il existe des traitements efficaces préventifs et curatifs contre le Covid.
  • Je ne parlerai pas du fait que rien ne prouve que la vaccination permettrait d’éradiquer ce virus et d’autant plus que ces « vaccins » n’éliminent pas la propagation du virus. Nous en avons la preuve du fait de vaccinés contaminés même après leurs 2 doses.
  • Je ne parlerai pas des effets secondaires graves et des décès, qui même s’ils sont minimisés ou même parfois niés par nos autorités sanitaires, existent pour des adultes en bonne santé.
  • Je ne parlerai pas des risques à long terme qui sont totalement inconnus comme les risques de maladies auto-immunes ou de cancers.

Durée de l’étude sur les enfants cobayes :

Les données officielles(([3] https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04816643?term=NCT04816643&draw=2&rank=1)) de cette étude de phase 1 sur les enfants indiquent qu’elle a débuté fin mars 2021 (de cette année donc).

Que la fin d’intervention, c’est-à-dire le moment à partir duquel Pfizer BioNTech ne sera plus actif, mais uniquement dans l’observation est fixé au 4 mars 2022 soit environ un an plus tard !

Que la fin de cette phase 1 est fixée au 1er septembre 2023 soit deux ans et demi après les premières injections sur de jeunes enfants.

Quand ces injections expérimentales seront autorisées en masse pour les enfants de moins de 12 ans ?

UsaToday(([4] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/)) indique :

« Si ces essais prouvent l’innocuité et la réponse immunitaire, les entreprises prévoient de demander l’autorisation fédérale en septembre ou octobre (2021) pour fournir le vaccin aux enfants âgés de 5 à 11 ans, et un peu plus tard à l’automne pour les plus jeunes.» (c’est-à-dire dès 6 mois).

Les injections pour les enfants devraient donc probablement débuter en septembre 2021 soit 6 mois après les tout premiers essais chez les moins de 12 ans et donc 2 ans avant la fin de l’étude !

Qui sont les participants ?

« Ces essais incluront 4 500 volontaires dans les trois groupes d’âge aux États-Unis, en Finlande, en Pologne et en Espagne. Les organisateurs des essais s’efforcent d’assurer une diversité de participants aux essais, a déclaré la société. »(([5] https://eu.usatoday.com/story/news/health/2021/06/08/pfizer-covid-vaccine-next-phase-trials-young-children-begin/7602063002/))

« Un enfant recevra un placebo pour deux qui reçoivent le vaccin actif. Les enfants qui reçoivent le placebo auront la possibilité de recevoir les injections actives si le vaccin est autorisé dans les six mois suivant leur participation. »

Notez un point important, la commercialisation est prévue 6 mois après le début de l’essai qui dure 2 ans et demi.

Mais ceux qui ont reçu le placebo pourront donc demander le vaccin actif dès la commercialisation.

Il est plus que probable que les « allumés » ou les « désespérés » qui ont fait de leurs enfants des cobayes vont demander à les injecter dès que possible.

De fait il ne sera plus possible de comparer les effets à long terme des vaccins vs placebo.

… De l’art de faire disparaître les preuves du crime !

(À noter qu’il y avait la même disposition pour les adultes.)

Karine Lacombe et la « vaccination » des enfants

Le docteur Lacombe, plus présente dans les médias qu’avec ses patients, a déclaré hier 9 juin 2021 sur FranceInfo que la vaccination des enfants n’était qu’un « geste altruiste », confirmant que les enfants n’ont rien à y gagner médicalement parlant.

Mais qu’ils auraient « un bénéfice à la vaccination » !

Si, si, car grâce à la « vaccination » des enfants, l’épidémie disparaîtra (on peut rêver) et ainsi les mesures coercitives et dictatoriales (elle n’a pas utilisé ce terme) à leur encontre seront levées.

Nous sommes toujours dans le chantage à la liberté pour « convaincre ».

Elle a aussi été en capacité de noter qu’il y avait le problème du consentement qui n’était pas possible pour des enfants et que les parents devraient prendre la décision à leur place (à quand des procès à l’encontre de leurs parents, d’enfants devenus majeurs et ayant des séquelles graves ?).

Et de conclure avec sa logique « qu’il fallait vacciner les enfants ».

Je profite de ma tribune pour rappeler que Mme Lacombe a encore « oublié » d’énumérer ses conflits d’intérêts alors que la loi le lui oblige et que le « journaliste » qui lui a encore déroulé le tapis rouge, a aussi « oublié » de le lui rappeler.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de vous rapporter ses propos sur l’hydroxychloroquine.

Selon elle, il ne doit pas y avoir de débats scientifiques sur la molécule.

En discuter relève de la désinformation et de la fakenews !

Il n’y a aucun doute sur le fait que la molécule est inefficace et dangereuse comme le prouvent toutes les études (financées par les labos, mais pas les autres ?).

Il devrait de fait être interdit de communiquer sur ladite molécule pour ne pas tromper les Français.

Je vous rappelle que cette brave dame est quand même rémunérée notamment par Gilead et qu’elle a fait la promotion du Remdesivir, dès le début de la crise, tout en crachant sur l’hydroxychloroquine. Remdesivir dont l’inefficacité et la dangerosité ne sont plus à prouver.

Elle demeure pourtant toujours invitée comme intervenante respectable, compétente et intègre !

Fauci

Pendant ce temps et à quelques jours d’intervalle, la chaîne Fox News(([6] https://twitter.com/CuendetV/status/1401832873515225090)) (Accessible par 87,2 millions de ménages américains, elle est la chaîne d’information câblée la plus regardée aux États-Unis devant ses concurrentes CNN et MSNBC)(([7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Fox_News_Channel)) honnie comme il se doit par les médias corrompus français fait la part belle au scandale des mails du Dr Fauci qui a fait de son mieux pour faire disparaître l’hydroxychloroquine.

Le Dr Fauci est celui qui a transformé le Covid en fléau, obligé les masques, empêché l’HCQ, etc., etc. Les informations sortent suite à une fuite de plusieurs milliers de mails dont le Dr Fauci ne semble pas remettre en question leur véracité.

Il a de plus été confirmé sur la chaîne Fox News que la molécule était extrêmement efficace et qu’elle aurait pu sauver la vie de 450 000 personnes !

Bref un scandale international comme nous en avons rarement vu.

À noter que cet homme, d’une grande modestie, aurait déclaré(([8] https://news-24.fr/le-dr-fauci-appelle-a-pousser-son-licenciement-absurde-et-fait-rage-lorsque-vous-lattaquez-vous-attaquez-la-science/)):

« Donc, si vous essayez de m’attaquer en tant que responsable de la santé publique et scientifique, vous attaquez vraiment non seulement le Dr Anthony Fauci, vous attaquez la science. »

Le scandale prend de l’ampleur(([9] https://www.youtube.com/watch?v=C1RHyr6U9MY)) sauf en France où l’AFP dit aux médias ce qu’ils doivent en penser et en dire pour continuer à manipuler massivement nos concitoyens sidérés(([10] https://www.leprogres.fr/sante/2021/06/07/masques-hydroxychloroquine-ce-que-contiennent-les-mails-du-scientifique-americain-anthony-fauci))

Bref, j’attends avec impatience que justice se fasse.

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a déclaré quant à lui(([11] https://crowdbunker.com/post/mRbjlFD3a2Q7u)):

« La vaccination de masse crée les variants et est une énorme erreur scientifique et une faute médicale…
C’est effectivement la vaccination qui a créé les variants…
Les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination…
Je refuse d’être vacciné, je dis aux 200 000 généralistes, comportez-vous en médecins et pas en moutons. »

Nous vivons une époque dans laquelle la parole d’un animateur de l’émission « TPMP » sur C8 est plus crédible qu’un prix Nobel. L’animateur est applaudi tandis que le prix Nobel est ridiculisé…

Indifférences face à la vaccination des enfants

À part nous, qui sommes qualifiés d’irresponsables ou de complotistes, tout le monde politique, médiatique, scientifique ou médical a l’air de trouver que la vaccination des enfants est un non-événement et une évidence.

Nous nous apprêtons à injecter à des centaines de millions d’enfants des produits 100 % expérimentaux dont nous ignorons tout pour un bénéfice reconnu NUL !

Nous savons donc qu’ils vont tuer des enfants pour rien (même si c’est évidemment toujours pour rien), mais ce que l’on ignore c’est dans quelle proportion et dans quel délai !

Ces enfants ne sont que des cobayes, des sujets d’expérimentation, une manne financière… ou pire…

Nous vivons sur une planète où il n’y a plus la moindre éthique, plus aucun sens du bien ou du mal.

Plus aucune référence aux horreurs du passé et aux crimes contre l’humanité.

Au fait, savez-vous que 1er septembre, la date de fin de l’étude sur les enfants, est la date anniversaire de l’invasion de la Pologne par les troupes allemandes ?(([12] https://www.herodote.net/1er_septembre_1939-evenement-19390901.php))

Avec la manipulation, le chantage et peut-être la vaccination obligatoire, adultes et enfants sont désormais les victimes d’une expérimentation humaine à une échelle jamais connue sans l’accord des personnes concernées !

Et quand nous verrons que l’épidémie ne disparaît pas malgré la vaccination massive, les « scientifiques » et « médias corrompus » accuseront les variants.

Il sera alors demandé de proposer une 3e puis une 4e dose de vaccins…

Jusqu’à quand le peuple suivra-t-il aveuglément ?

Sans doute jusqu’à ce qu’un drame se produise…

Merci.

Alain Tortosa

Le 10 juin 2021.

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210610-vaccination-enfants-cobayes.pdf





Au tour du meurtrier Bill Gates !

[Source : NéoSanté Editions (neosante.eu)]

Vous suivez « l’Affaire Fauci » sur les réseaux sociaux ?  Je présume que oui et si ce n’est pas le cas, je vous conseille de le faire car c’est un feuilleton palpitant dont voici une petite vidéo récapitulative. En résumé, la déclassification de ses e-mails professionnels révèle que l’immunologue américain, personnage central de la « crise sanitaire », a copieusement menti  aux autorités de son pays et  a délibérément dissimulé un tas de choses à ses compatriotes, notamment son rôle dans le financement du laboratoire P 4 de Wuhan et de ses périlleuses recherches sur les coronavirus. Nonobstant son implication dans ce scandale, sa correspondance dévoile qu’Anthony Fauci n’a jamais cru à l’utilité antivirale du masque, savait depuis le début que les asymptomatiques ne représentaient aucun danger, était au courant que l’hydroxychloroquine pouvait être repositionnée en traitement prometteur et n’ignorait pas que l’infection procurait une immunité naturelle durable. Dans un échange avec Mark Zuckerberg, patron de Facebook, on apprend que le vaccin était déjà en voie de fabrication dès février 2020 et que son développement était évalué à 6 semaines ! Vu que les 3.000 courriels rendus publics n’ont pas encore été tous dépouillés, on peut s’attendre à d’autres surprises car même les médias mainstream  sont en train de déballer le linge sale, du moins chez l’Oncle Sam car en Europe, ces révélations fracassantes font très peu de remous. Dossier à suivre via les canaux alternatifs comme France Soir ou Sud Radio.
 
L’autre covidingue
 
Quand sa tête roulera sur le billot, le monde entier pourra se réjouir car de par sa fonction de « Monsieur Covid » étasunien, le Dr Fauci aura été une pièce maîtresse dans la construction du narratif plandémiste. Comme en atteste un message émanant de Jean-François Delfraissy, son homologue français, c’est l’Amérique qui donnait le ton et  qui dictait le « consensus  scientifique» sur lequel se sont appuyés les artisans de la terreur hystérique et les partisans du verrouillage économique. Lorsque le domino Tony tombera à Washington, nos experts en mesures liberticides auront aussi du souci à se faire. Mais n’oublions pas un autre personnage-clé du Corona Circus, un autre covidingue amerloque sans qui le délire sanitaire  totalitaire n’aurait jamais pris une dimension planétaire. Je veux évidemment parler du multimilliardaire Bill Gates, opportunément rebaptisé « Kill » Gates par certains médias anglophones indépendants. Personnellement, je ne vois pas cet éternel adolescent bigleux comme un affreux conspirateur eugéniste ayant cyniquement  planifié un génocide vaccinal. Dans sa fameuse conférence Fedex de 2010,  il parle bien de réduire la population  mondiale de 15% grâce aux vaccins mais il voulait dire par là que la réduction de la mortalité infantile allait conduire à une baisse spontanée de la fécondité. Pour autant, le richissime homme d’affaires ne mérite absolument pas l’absolution et le traitement de faveur que les médias – bénéficiant parfois de ses largesses, comme le journal Le Monde – lui réservent invariablement. Lui, un philanthrope désintéressé ? C’est au contraire un assoiffé d’argent et de pouvoir qui a trouvé dans la distribution de dons le moyen de faire fructifier sa fortune et d’amplifier sa capacité d’influence. Dans la revue Néosanté  de juin 2019, nous avons modestement œuvré à rectifier le récit journalistique à l’occasion  de la sortie du livre de Lionel Astruc « L’art de la fausse générosité », consacré aux entourloupes fiscales et aux manigances financières de la galaxie Gates. Lui, un bienfaiteur de l’humanité ? Peu de gens le savent, mais ce mégalomane transhumaniste ne poursuit pas seulement le rêve de vacciner la terre entière et d’en tracer numériquement tous les habitants. Aux States, il a acheté des millions d’hectares agricoles pour y appliquer un agrobusiness-model dopé aux pesticides et aux OGM, ses deux autres domaines d’investissement privilégiés. Tonton Bill n’est pas seulement le boss de la pharmafia, c’est aussi le parrain omnipotent de l’agrochimie  transgénique.  Ce bourreau de la nature déguisé en sauveur du genre humain est également dévoré par l’ambition pathologique de préserver le globe du réchauffement climatique. Comment ?  En finançant des programmes de géo-ingénierie consistant à masquer le soleil  par l’envoi de  millions de tonnes de poussières dans la stratosphère, ainsi que vous pouvez le vérifier en cliquant ici .  Il y a deux mois, la Suède a bloqué  une expérience visant à tester  dans son ciel la faisabilité de ce projet démentiel . Mais ne croyez pas qu’il soit abandonné et que son  faux mécène va renoncer à sa guerre des ténèbres contre l’astre solaire. Ce type est complètement givré  et en attendant la livraison de son méga-yacht à hydrogène (600 millions d’euros, une bagatelle), il va certainement continuer à dériver vers la folie pure et la technoscience dénuée de toute conscience.
 
Kill Gates est bien un sérial killer
 
La saga corona aura au moins permis de mettre sa démence en évidence et à faire surgir l’urgence d’arrêter ses folles entreprises prométhéennes.  Mais comment faire quand  les instances de santé sont sous sa coupe financière , la presse sous son contrôle insidieux et l’oligarchie politique sous son charme pécuniaire   ? Je ne vois qu’une solution : exploiter à fond le dossier des vaccins en exposant le désastre de la vaccination anticovid et  les crimes vaccinaux  que l’ex-mari de Melinda  a sponsorisés dans le passé. Car des casseroles macabres, il y en a aux fesses de cet obsédé sexuel harceleur impénitent de ses employées  et ami du pédophile Jeffrey Epstein. Dans le Tiers-Monde, l’informaticien se prenant pour le médecin du monde a plus d’une fois trucidé l’éthique médicale et financé des expérimentations mortelles sur des peuplades trompées et manipulées. Les journaux occidentaux n’en ont jamais parlé mais le casier médico-judiciaire  du milliardaire est lourdement chargé en Afrique et en Asie. Il a contribué à tuer de nombreuses victimes innocentes lors d’essais cliniques sauvages !  Il y a 15 jours,  un site indien a publié une enquête accablante  sur l’ONG américaine PATH, une des associations pseudo-caritatives que Gates stipendie pour fournir  des cobayes à l’industrie pharmaceutique. Voici une douzaine d’années, cet organisme a procédé à la vaccination expérimentale de jeunes adolescentes indiennes  contre le papillomavirus humain. Plus d’une centaine d’entre elles ont subi de graves secondaires et au moins 7 sont décédées à la suite de cet essai effectué sans leur consentement éclairé.  L’affaire a fait grand bruit en Inde à l’époque, il y a même eu une commission d’enquête parlementaire,  mais le scandale a fini par être étouffé et Bill Gates n’a jamais été inquiété.  C’est toute cette histoire que raconte l’investigation de Bernard Marx  pour Greatgameindia, à laquelle la presse occidentale n’a  – à ma connaissance – pas fait le moindre écho.  Ce silence radio m’a paru insupportable et j’ai demandé à Catherine,  collaboratrice ponctuelle et traductrice bénévole pour Néosanté, de  traduire l’article in extenso. Je vous l’offre en lecture ci-dessous, en espérant que ce petit caillou concoure  à lapider la réputation humaniste d’un cinglé sans scrupules  appelé Bill Gates. Si  ce criminel frapadingue tombe dans la foulée de Fauci, la religion vaccinaliste  aura perdu  son  plus illustre prélat et le cauchemar covidiste approchera de sa fin. On tient bon, ami(e)s complotistes !
 

Yves Rasir

Comment l’ONG PATH, financée par Bill Gates, a tué des jeunes filles tribales en Inde lors d’essais cliniques non autorisés

par Bernard Marx

publié le 25/05/2021 sur https://greatgameindia.com/bill-gates-path-tribal-girls-india/amp/

Voici l’histoire inédite de l’ONG PATH, financée par Bill Gates, qui a tué des jeunes filles tribales en Inde dans le cadre d’essais cliniques non autorisés de vaccins et s’en est tirée à bon compte.
 
Nous avons beaucoup entendu parler de l’Inde aux informations récemment. Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, une sorte d’apocalypse s’y déroule. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective[1]. Alors qu’aujourd’hui les médias du monde entier n’en finissent pas de scruter l’Inde – dans leur empressement à soutenir un récit terrorisant sur le Covid-19 – il y a douze ans ces mêmes médias brillaient par leur absence et leur silence tandis qu’une histoire bien réelle s’y déroulait.

Les essais cliniques non autorisés de vaccins

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill et Melinda Gates a réalisé des essais cliniques[2] non autorisés de vaccins sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Elle l’a fait sans fournir d’informations sur les risques encourus[3], sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même déclarer qu’elle menait un essai clinique.
Après la vaccination, nombre de jeunes participantes sont tombées malades et sept d’entre elles sont mortes. Telles ont été les conclusions[4] d’une commission parlementaire chargée d’enquêter[5] sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves[6] à l’appui de ses dires. Toute cette affaire a à peine effleuré le radar des médias occidentaux.
PATH (anciennement Program for Appropriate Technology in Health) est une ONG basée à Seattle, largement financée[7] par la fondation Gates et qui reçoit également des subventions importantes[8] du gouvernement américain. Entre 1995 et le moment où nous écrivons ces lignes (mai 2021), PATH a reçu plus de 2,5 milliards de dollars[9] de la fondation.
En 2009, PATH a mené un projet[10] de vaccination contre le papillomavirus humain (VPH). L’objectif était, selon les termes de PATH, « de générer et de diffuser des preuves favorisant l’introduction éclairée des vaccins contre le VPH dans le secteur public ». Ce projet a été mis en œuvre dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. Une autre organisation financée par Gates, GAVI, avait initialement été pressentie pour gérer le projet, mais la responsabilité a finalement été déléguée à PATH. Le projet a été directement financé par la fondation Gates.
De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différentes ethnies dans l’essai devait permettre de comparer les effets du vaccin dans une diversité de groupes de population (l’ethnicité étant un facteur déterminant dans la sécurité et l’efficacité de certains médicaments).
Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient être étudiés : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par l’État, cela représenterait une manne annuelle de bénéfices pour les entreprises concernées.
Deux types de vaccins contre le VPH ont été utilisés dans l’essai : le Gardasil de Merck et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil par PATH en Inde.
Il est intéressant de noter ici la relation entre la fondation Gates et l’une des entreprises dont les médicaments étaient testés. En 2002, la fondation avait, de manière controversée, acheté[11] pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, incluant des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de la fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle de propriétaire d’entreprises dans le même secteur.
Le Wall Street Journal a rapporté[12] en août 2009 que la fondation Gates avait vendu ses parts dans Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, à peu près au moment où commençaient les essais sur le terrain du vaccin contre le VPH en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet (déjà opérationnel en octobre 2006[13]), et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la fondation a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative responsable en termes de soins et celui d’un propriétaire d’entreprise responsable en termes de profits.
Ces conflits d’intérêts sont la marque de fabrique de la fondation Gates depuis 2002. Lors de ses apparitions régulières à la télévision en 2020[14] pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 – avec un soutien particulièrement enthousiaste[15] à l’effort de Pfizer-BioNTech – l’objectivité de Bill Gates n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire[16] de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH)

Le vaccin contre le VPH vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck aux États-Unis en 2006, mais ses ventes étaient menacées après qu’une série d’articles parus dans des revues médicales américaines eurent jugé que ses risques l’emportaient sur ses avantages.
Une analyse[17] des rapports transmis au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) sur les effets indésirables du Gardasil, a été particulièrement préjudiciable. Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) le 19 août 2009.
Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins) et le syndrome de Guillain-Barré.
Dans la même édition du JAMA, le Dr Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Association, écrivait[18] : « La question de savoir si un risque vaut la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seront prêts à accepter les risques. Mais pour une femme, le bénéfice net du vaccin contre le VPH est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Rationnellement elle devrait donc être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. » Le Dr Haug faisait également remarquer que « lorsqu’on évalue les risques et les bénéfices, il convient également de se demander qui prend les risques et qui en retire les bénéfices » – une allusion claire à Merck, le fabricant du Gardasil.

La controverse sur le Gardasil

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil étaient controversées. Le Dr Angela Raffle[19], l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie de marketing de Merck comme « un bélier chargeant sur le ministère de la Santé et un pilonnage à la périphérie ».
Le Dr Raffle craignait que l’incitation à la vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 : « Je crains que la panique instaurée pour des considérations commerciales afin d’introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »
Diane Harper[20], professeur à la faculté de médecine de Dartmouth dans le New Hampshire, qui a dirigé deux essais du vaccin, a affirmé catégoriquement[21] que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de VPH.
Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, Dr Harper a déclaré : « Les programmes de vaccination de masse (constitueraient) une expérience de santé publique à grande échelle… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin sera efficace dans la durée. Pour être honnête, nous n’avons pas actuellement de données sur son efficacité chez les jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela fonctionne ou non. Le pari est énorme ».
Ainsi, à l’époque où PATH menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : sa sécurité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient mises en question, non par les anti-vaccins et les théoriciens du complot, mais par l’establishment médical international et les médias dominants respectés.

Les filles de Khammam

En 2009, le district de Khammam faisait partie de l’état d’Andhra Pradesh, à l’est de l’Inde (depuis les changements de frontières effectués en 2014, le district de Khammam appartient à l’état du Telangana). La région, essentiellement rurale, est considérée[22] comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.
Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, représentant environ 21,5% de sa population (quelque 600 000 personnes) selon certaines estimations. Comme souvent chez les populations indigènes[23] ailleurs dans le monde, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de l’ensemble de la région.  Quelque 14 000 filles[24] ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam en 2009. Les filles recrutées pour le projet de PATH avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille mais dans des ashrams pathshalas (foyers gérés par le gouvernement), situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.
Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré[25] par la suite qu’elle pensait que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car c’était un moyen de « contourner la nécessité de demander le consentement parental pour les injections ».
Si l’Inde a été très présente dans l’actualité ces derniers temps, la couverture de ce pays et de ses affaires est généralement discrète. Bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages sur ce pays sont rares. Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son histoire abyssale en matière de santé et de sécurité[26] ou de sa longue tradition de corruption[27] au sein du gouvernement.
Des chercheurs de profit sans scrupules profitent de ces défaillances depuis des décennies. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop importante pour être ignorée.
En 1984, nous avons appris[28] que quelque 7 000 personnes avaient été tuées et plus d’un demi-million blessées après avoir été exposées[29] à un gaz mortel, l’isocyanate de méthyle, suite à une fuite de gaz[30] dans l’usine de pesticides Union Carbide à Bhopal. Mais au cours des années qui ont précédé la catastrophe, nous n’avons rien su de la culture de normes déficientes et de mépris des réglementations[31] qui était en fin de compte responsable de ce désastre.

Le rapport accablant de l’ONG Sama

Il est donc ‘’normal’’ que le projet de PATH visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre le VPH soit passé inaperçu en Occident. De même qu’en Inde : les médias indiens ne sont pas plus réputés pour leurs reportages sur les groupes tribaux que les médias occidentaux pour leurs reportages sur les Indiens.
Malgré les inquiétudes[32] exprimées en octobre 2009 par Sama[33], une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes, le sujet n’a pas été relayé dans l’actualité indienne.
Ainsi, ce projet n’aurait pas pu être plus ignoré des radars s’il s’était déroulé sur la lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à filtrer à Khammam, indiquant que quelque chose avait terriblement mal tourné : plusieurs des filles qui avaient participé aux essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient mortes.
En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour en savoir plus sur les bruits qui couraient. Ils ont appris[34] que jusqu’à 120 filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour enquêter davantage sur la situation.
L’implication de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face à un barrage de publicité négative, le Conseil indien de la recherche médicale (IMCR) a suspendu[35] le projet PATH. C’est alors que le Commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter[36] sur cette affaire.
Le 17 mai, Sama a produit un rapport[37] accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.
Le rapport indique que « de nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. Des rapports font état de l’apparition précoce des menstruations, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de mal-être suite à la vaccination. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »
Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles ayant participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie tournent lentement. C’est seulement trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport[38] de la Commission permanente de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Si beaucoup s’attendaient à ce que l’affaire soit balayée sous le tapis, il n’en fut rien: la lecture de ce rapport est révoltante.
Le rapport condamne à la fois PATH et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant[39] que « la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés ». La commission a constaté[40] que PATH, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour le faire. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu un certificat du Registre des sociétés de l’Inde en septembre 2009, ce certificat lui-même était en infraction avec la loi.
Le rapport indique[41] que « PATH…. a violé toutes les lois et réglementations établies pour les essais cliniques… son seul objectif a été de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH. Il s’agit d’un grave abus de confiance… car le projet engageait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Cet acte de PATH est une violation flagrante des droits humains de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance d’enfants ».
La commission a accusé[42] PATH de lui avoir menti et d’avoir tenté de l’induire en erreur au cours de son enquête et a recommandé[43] au gouvernement indien de signaler les violations des droits de l’homme commises par PATH à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement américain.
Le rapport déclare[44] que la totalité du plan mis en œuvre par PATH était une tentative cynique d’assurer des profits continus à Merck et GSK :
« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique – à ce moment-là – du produit promu, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays concernés, sont autant d’indices d’un plan bien orchestré pour exploiter commercialement une situation.
Si PATH avait réussi… cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais d’une vente automatique, année après année, sans la moindre dépense de promotion ou de marketing. Il est bien connu qu’une fois introduite dans un programme d’immunisation, il devient politiquement impossible d’arrêter une quelconque vaccination. »

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, PATH a eu recours à un subterfuge en appelant les essais cliniques « Études observationnelles » ou « Projet de démonstration » et autres expressions de ce genre. Ainsi, l’intérêt, la sécurité et le bien-être des personnes ont été mis en péril absolu par le biais d’une nomenclature autodéterminée et autosuffisante, instrumentalisée par PATH, ce qui est non seulement hautement déplorable mais constitue une violation sérieuse de la loi du pays. »

Des jeunes indiennes utilisées comme cobayes

Ces accusations ont été reprises[45] par des voix éminentes de la communauté médicale indienne. « Il est choquant de voir comment une organisation américaine a utilisé des méthodes furtives pour s’établir en Inde », a déclaré Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities, « (ce) n’était pas de la philanthropie ».
Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date[46] des pratiques corrompues dans le domaine de la santé n’a pas mâché ses mots : « C’est un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».
Le rapport de la commission permanente était également très critique à l’égard de la relation entre PATH et les membres de plusieurs agences de santé indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts[47].
Sur la question du consentement éclairé[48], la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes (souvent les gardiens des foyers où vivaient les filles) et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations sur la nécessité alléguée de la vaccination, ses avantages et ses inconvénients ou ses effets secondaires potentiels.
Aucune assurance[49] n’était prévue pour aucun des enfants en cas de dommages et « PATH ne prévoyait pas de soins médicaux urgents et spécialisés en cas d’événements indésirables graves ». De plus, PATH a gravement enfreint[50] les réglementations sanitaires indiennes en effectuant un essai clinique de médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai de ce même médicament sur des adultes.
Concernant les jeunes filles décédées, la commission a critiqué[51] PATH, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh pour avoir sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination sans mener d’enquêtes approfondies. En 2016[52], quelque 1 200 jeunes filles ayant participé aux deux essais de vaccins contre le VPH en Inde faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5% de la cohorte totale de 23 500 personnes. À cette date, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits de l’homme est passée presque totalement sous silence en dehors de l’Inde. La Commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé[53] une ONG américaine de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves[54] à l’appui de ses allégations, mais les médias occidentaux n’en ont quasiment pas fait mention.
Les revues de vulgarisation scientifique Nature[55] et Science[56] ont chacune publié un bref article sur le désastre, mais aucune des deux n’est entrée dans le détail des violations légales et éthiques de PATH. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature privilégie la réfutation des accusations par le directeur de PATH, Vivien Tsu.
La façon dont les médias du monde entier sont financés[57] par la fondation Gates, et dont cela affecte les reportages[58] sur la fondation elle-même et les organisations qu’elle parraine, mériterait un article à part entière[59]. Mentionnons tout de même qu’à ce jour la BBC a reçu[60] un total de 51,7 millions de dollars et le Guardian[61] 12,8 millions de dollars.

In memoriam, par Seth Berkley, PDG de GAVI

Le Guardian, qui prétend donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux sur les jeunes filles de Khammam. Du moins à l’exception d’un article[62] publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente. L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avaient plaidé en leur faveur, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire. Non. Il a été écrit par un Américain du nom de Seth Berkley. PDG de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la fondation Gates.
Berkley a profité de sa tribune dans le Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Évoquant les 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré : « Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. » Pour la compassion on repassera. Et dans son déni de cette iniquité, pas une seule fois Berkley n’a abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique, ni le rôle de PATH et de son employeur, la fondation Gates. The Guardian a commencé à recevoir[63] des fonds de la fondation en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles qui critiquaient les tactiques de lobbying[64] utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil, et mettaient en doute son efficacité[65] dans les programmes de vaccination de masse. Suite à l’accord conclu avec Gates, le Guardian s’est cantonné dans une couverture positive[66] de ce médicament (et de la vaccination contre le VPH en général).

Le gouvernement indien cède à l’influence de Bill Gates

Le gouvernement indien était réticent à prendre les mesures recommandées par le commission. Après tout, des organisations comme PATH mettaient d’énormes sommes d’argent[67] à la disposition de l’État, des institutions et des particuliers. Finalement, aucun rapport officiel sur les violations des droits de l’homme ne fut adressé par les autorités indiennes à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement américain, ainsi que l’avait recommandé[68] la commission.
Cependant, en 2017, le gouvernement annonça[69] qu’il n’accepterait plus les subventions de la fondation Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des ‘’conseils en matière de stratégie vaccinale’’ pour le compte d’environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la fondation dans d’autres domaines.
Merck et son vaccin Gardasil contre le VPH ont remarquablement prospéré depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam n’a jamais vraiment affecté l’entreprise du fait qu’il n’a quasiment pas été ébruité en dehors de l’Inde. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars[70], grâce à son inclusion dans les calendriers vaccinaux du monde entier et à son lancement cette même année en Chine.
PATH ne s’est jamais aussi bien portée. Tout comme pour Merck, l’absence de reportages sur ce qui s’est passé à Khammam a permis à l’organisation de ne pas être affectée. Depuis 2010, elle continue de recevoir[71] d’énormes financements de la fondation Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement américain. Au cours de cette période, la fondation a fourni à PATH plus de 1,2 milliard de dollars[72].
La Fondation Bill et Melinda Gates a continué à étendre sa toile d’influence. Décrivant les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici, Jacob Levich a déclaré dans Aspects of India’s Economy[73] : « En substance, la fondation achetait des stocks de médicaments qui n’avaient pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, en élargissait la promotion à un prix réduit et concluait des accords d’achat à long terme avec les gouvernements du Tiers monde. »
Depuis, la fondation Gates a migré vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 l’a véritablement propulsée sur le devant de la scène. Bill Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître[74] à un point encore inimaginable même en 2019.
Malgré son manque de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination de masse à l’échelle planétaire avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède[75], en utilisant les plateformes[76] que lui offrent les médias qu’il finance[77].
Et les filles de Khammam dans tout ça ? Ces pauvres enfants et leur détresse étaient à peine connues en dehors de l’Inde en 2010. Dire qu’on les a oubliées sous-entendrait pour commencer que l’on ait eu connaissance de leur situation et que l’on s’en soit soucié.

Source : https://notesfromthenewnormal.com/?p=339 (11/05/2021)
 
À LIRE AUSSI :
Une étude publiée par The Lancet montre que le vaccin Dipthérie-Tétanos-Coqueluche de Bill Gates a tué dix fois plus de petites filles africaines que la maladie elle-même.
06/01/2021 : https://greatgameindia.com/bill-gates-dtp-vaccine-africa/
Study 01/02/2017 : « The Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis and Oral Polio Vaccine Among Young Infants in an Urban African Community: A Natural Experiment »
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(17)30046-4/fulltext


[1] https://greatgameindia.com/vaccination-second-covid-19-wave-india/
[2] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[3] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[4] https://www.thehindu.com/news/national/its-a-path-of-violations-all-the-way-to-vaccine-trials-house-panel/article5083151.ece
[5] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[6] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[7] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[8] https://www.path.org/about/finances/
[9] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[10] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[11] https://archive.is/XP9QA#selection-2083.395-2083.417
[12] https://archivÒe.is/UMSos
[13] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/4/mode/2up
[14] https://www.youtube.com/watch?v=VVapO-ynD7k
[15] https://nypost.com/2020/09/15/bill-gates-says-pfizer-has-best-shot-at-early-covid-19-vaccine/
[16] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[17] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/184421
[18] https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/184404
[19] https://research-information.bris.ac.uk/en/persons/angela-e-raffle
[20] https://medicine.umich.edu/dept/family-medicine/diane-m-harper-md-mph-ms
[21] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[22] https://web.archive.org/web/20120405033402/http://www.nird.org.in/brgf/doc/brgf_BackgroundNote.pdf
[23] https://www.un.org/development/desa/indigenouspeoples/mandated-areas1/education.html
[24] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[25] https://grain.org/en/article/6511-why-the-bill-gates-global-health-empire-promises-more-empire-and-less-public-health
[26] https://amrc.org.hk/content/india-health-and-safety-work
[27] https://thediplomat.com/2010/12/a-story-of-indian-corruption/
[28] https://www.theatlantic.com/science/archive/2018/07/the-worlds-worst-industrial-disaster-is-still-unfolding/560726/
[29] https://ehjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/1476-069X-4-6
[30] https://www.nytimes.com/1985/01/28/world/the-bhopal-disaster-how-it-happened.html
[31] https://www.cambridge.org/core/books/international-crime-and-justice/bhopal-gas-disaster-and-corporate-criminal-negligence/94BB44AB0F79C34C15E075A135374C40
[32] https://samawomenshealth.wordpress.com/2009/12/14/concerns-around-hpv-vaccine-a-memorandum-to-the-health-minister/
[33] https://samawomenshealth.wordpress.com/
[34] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[35] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[36] https://ia801803.us.archive.org/34/items/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/Alleged%20Irregularities%20in%20the%20Conduct%20of%20Studies%20using%20HPV.pdf
[37] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[38] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[39] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[40] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[41] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[42] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[43] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[44] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/20/mode/1up
[45] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[46] https://www.bmj.com/content/360/bmj.k105
[47] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[48] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/11/mode/1up
[49] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[50] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[51] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[52] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[53] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[54] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/mode/1up
[55] https://www.nature.com/articles/nature.2013.13700
[56] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[57] https://www.cjr.org/criticism/gates-foundation-journalism-funding.php
[58] https://www.seattletimes.com/seattle-news/does-gates-funding-of-media-taint-objectivity/
[59] https://robertfortner.posthaven.com/why-you-might-think-like-bill-gates-about-global-health
[60] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?page=2&q=bbc
[61] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=guardian
[62] https://www.theguardian.com/global-development/2013/oct/08/anti-hpv-vaccine-campaigners-cervical-cancer
[63] https://www.theguardian.com/gnm-press-office/guardian-launches-global-development-site
[64] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health1
[65] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[66] https://www.theguardian.com/society/hpv-vaccine
[67] https://economictimes.indiatimes.com/industry/healthcare/biotech/healthcare/controversial-vaccine-studies-why-is-bill-melinda-gates-foundation-under-fire-from-critics-in-india/articleshow/41280050.cms
[68] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[69] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[70] https://www.forbes.com/sites/greatspeculations/2019/10/04/mercks-3-billion-drug-jumped-to-4x-growth-over-previous-year/?sh=6cc2a74c6294
[71] https://www.path.org/about/finances/
[72] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[73] https://archive.ph/RyOaj#selection-1315.2-1315.220
[74] https://www.corbettreport.com/how-bill-gates-monopolized-global-health/
[75] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[76] https://www.vox.com/2015/6/10/8760199/gates-foundation-criticism
[77] https://medium.com/mediapowermonitor/gates-foundation-the-rich-disruptor-be774b83493e


[Voir aussi :
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




Les « Expliqueurs » : Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux

Par Alain Tortosa

[Ndlr : texte à prendre au second degré.]

Les « Expliqueurs »

Mais qui est donc ce « Galilée », nouvelle star autoproclamée des complotistes sur les réseaux sociaux ?

Cela fait plusieurs mois qu’il répand des théories complotistes délirantes sur la toile.

Comment en ce 17e siècle éclairé pouvons-nous avoir encore des idées aussi loufoques et dangereuses qui se répandent comme une traînée de poudre ?

Les journalistes indépendants investigateurs des « Expliqueurs » ne pouvaient pas rester silencieux face à cette nouvelle vague de désinformation et cette menace supplémentaire pour la démocratie, la sécurité et la liberté.

Une fois de plus des personnes fragiles, sans repères, et en quête de réponses faciles, sont tombées dans le piège des manipulateurs pervers…

Ce Galilée se base sur les théories fumeuses d’un certain Copernic(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Copernic)) dont le système a été si justement condamné en 1616.

Ils ont appelé leur théorie « l’héliocentrisme », théorie selon laquelle ce ne serait pas tous les astres qui tournent autour de la Terre, mais la Terre qui tournerait autour du Soleil !

Ne riez pas, certains y croient dur comme fer !

C’est tout aussi délirant qu’imaginer que le Sars-Cov2 ne serait pas naturel, que les confinements seraient inutiles, que le masque ne serait que muselière pour rendre visible une épidémie montée en épingle, que le Covid se traiterait avec succès avec des molécules génériques ou que les vaccins seraient des produits expérimentaux inefficaces et dangereux…

C’est dire à quel point on peut faire croire n’importe quoi !

Je vous rappelle que nous les « Expliqueurs » sommes sur le qui-vive depuis le début de la crise.

  • Nous vous avons expliqué comment les confinements étaient efficaces.
  • Nous vous avons expliqué que le 1er confinement serait de nature à nous en sortir.
  • Nous vous avons expliqué que les masques étaient inutiles, surtout en plein air.
  • Nous vous avons expliqué que l’hydroxychloroquine était très dangereuse.
  • Nous vous avons expliqué que l’internement forcé ou des camps d’internement relevaient du délire.
  • Nous vous avons expliqué que le virus est 100 % naturel né d’une idylle entre une chauve-souris et un pangolin.
  • Nous vous avons expliqué qu’un passeport sanitaire relevait de l’infox…
  • Nous vous avons expliqué que le nombre de personnes en réanimation était exact même s’il était faux.
  • Nous vous avons expliqué que tous les décès comptabilisés concernaient des personnes mortes du Covid.
  • Nous vous avons expliqué qu’il y aurait un rebond et une nouvelle vague en juin 2020, puis en juillet, puis en août pour finalement la faire en septembre.
  • Nous vous avons expliqué que le Remdesivir était une molécule prometteuse.
  • Nous vous avons expliqué que l’immunité de masse était un leurre et que les guéris n’avaient pas d’anticorps (ou que nous ne savions pas si ils seraient durables).
  • Nous vous avons expliqué que les tests en masse permettraient de mettre fin à l’épidémie.
  • Nous vous avons expliqué qu’il était indispensable de porter des masques à l’intérieur, mais pas nécessaires à l’extérieur.
  • Nous vous avons expliqué, en mars 2020, qu’il fallait rester à l’intérieur, ne pas sortir, ni en montagne ni sur la plage… trop dangereux.
  • Nous vous avons expliqué que l’Ivermectine était inefficace et dangereuse.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait deux doses de vaccins pour s’en sortir.
  • Nous vous avons expliqué en juin 2020 que les variants n’existaient pas.
  • Nous vous avons expliqué que les anticorps monoclonaux étaient porteurs d’espoir.
  • Nous vous avons expliqué qu’il fallait mieux manger dehors, même en hiver et éviter de rester à l’intérieur.
  • Nous vous avons expliqué qu’il était indispensable de porter des masques aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.
  • Nous vous avons expliqué que la vaccination ne serait pas obligatoire.
  • Nous vous avons expliqué que la vaccination était efficace et serait la voie vers la liberté.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait vacciner 70 % des adultes.
  • Nous vous avons expliqué que les guéris avaient des anticorps durables rendant inutile une deuxième dose.
  • Nous vous avons expliqué pourquoi, même vacciné, il fallait continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières et le confinement.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait vacciner les enfants.
  • Nous vous avons expliqué que les variants étaient la cause de la 3e vague.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait sans doute une 3e dose de vaccin et même plus du fait des nouveaux variants.
  • Nous vous avons expliqué que la recrudescence de Covid dans des pays fortement vaccinés était due à un relâchement des gestes barrières et non au vaccin bien sûr.
  • Nous vous avons expliqué que le passeport sanitaire serait rendu obligatoire en Europe.
  • Nous vous avons expliqué que l’origine artificielle du virus n’est plus à exclure.
  • Nous vous avons expliqué que les positifs pourraient être mis à l’isolement de force.
  • Nous vous avons expliqué qu’il faudrait sans doute rendre la vaccination obligatoire.

Bref, nous sommes toujours présents et travaillons d’arrache-pied pour clouer le bec aux fakenews et autres délires complotistes pour rétablir LA Vérité.

Revenons à Galilée et rappelons que cet individu est aussi coutumier des théories loufoques.

En 1610 il avait déjà affirmé qu’il y avait des satellites autour de la planète Jupiter(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quivalence_des_hypoth%C3%A8ses)) ce qui bien évidemment n’a aucun sens, comme si des astres pouvaient tourner autour d’autres planètes que la Terre.

Interrogé par notre correspondant à Rome, l’expert de renommée internationale Orazio Grassi(([3] https://books.openedition.org/psorbonne/15548?lang=fr)) a déclaré à notre antenne :

« Ce qui n’a pas été accordé pour l’opinion concernant le mouvement de la Terre, bien que son immobilité ne soit pas considérée comme étant l’un des points fondamentaux de notre Foi, sera permis encore moins, si je ne me trompe, pour ce qui constitue ou bien le point essentiel de la Foi, ou alors ce qui contient tout autre point essentiel ».

Confirmant que l’héliocentrisme ne repose sur aucune théorie valable et que le géocentrisme est et demeure une réalité scientifique immuable.

Mais qui est donc ce Galilée au passé bien sombre ?

Il est l’aîné d’une famille de sept enfants et a essayé, très jeune, d’exister au sein de sa famille.

Ne pouvant se faire remarquer pour ses talents et son intelligence, le petit Galileo faisait des maquettes.

Rendez-vous compte des « maquettes » !

Ses parents ne sachant plus quoi faire de lui le donnèrent à l’âge de 10 ans au prêtre du village.

On tente d’en faire un prêtre, mais sans succès !

Ensuite c’est les études de médecine, mais là aussi c’est un échec !

Il se prend ensuite de passion pour des pendules puis se lance dans les mathématiques…

Une de ses premières escroqueries a été de faire croire qu’il avait inventé une lunette astronomique alors qu’il avait volé l’idée aux Hollandais,(([4] https://www.groupeastronomiespa.be/lunetteastro.htm)) c’est dire le manque de scrupules de cet individu malfaisant.

Mais revenons au délire de l’héliocentrisme, sans chercher des théories fumeuses…

Faisons juste appel au bon sens dont les complotistes manquent cruellement.

Nous voyons bien que le soleil tourne autour de la Terre et qu’il se déplace dans la journée.

De plus si nous étions nous-mêmes en train de nous déplacer, nous serions éjectés de la planète comme une bille au bord d’un tourne-disque.

Et les preuves ne manquent pas comme celle de faire chuter un objet d’une falaise… Si la Terre se déplaçait à la vitesse de 1000 km/h sur nos latitudes ou de 40 000 km/h à l’équateur, l’objet ne tomberait pas à la verticale, c’est évident !

Plus délirant encore d’imaginer que la Terre se déplacerait à 100 000 km/h autour du soleil… nous aurions disparu depuis bien longtemps.

De grands illuminés en sont même à dire que notre planète ferait partie d’un système solaire lui-même au sein d’une galaxie qui se déplacerait à 2 millions de kilomètres par heure !

Et cela n’empêche pas des esprits faibles, et je suis gentil, de croire en ces théories délirantes.

Heureusement plainte a été déposée contre ce charlatan et j’espère que celui-ci sera condamné au plus vite.

Le procès devrait avoir lieu en 1633, ne doutons pas que l’individu sera justement condamné !

Merci

Alain Tortosa.

Pour les « Expliqueurs »

Le 8 juin 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210608-galilee-escroc-decodeurs.pdf